Appel aux familles, enseignants, éducateurs, professionnels de santé, etc. : protégeons nos enfants !

Par Nicole Delépine

INFORMONS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE

« Myocardites, péricardites, etc.

La résistance à l’obligation vaccinale Covid relève désormais de la légitime défense ».

@TvlCampagnol

On nous demande constamment de protéger la planète. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants ? La question actuelle serait plutôt : quels enfants laisserons-nous à la planète bleue ?

Chacun d’entre nous (— en dehors des quelques milliers de milliardaires et affidés anaffectifs qui nous dirigent) — est concerné par le sort des enfants, des siens, mais aussi de ceux que nous côtoyons et/ou qui nous sont confiés comme enseignants, éducateurs, infirmiers, médecins, kiné, entraîneurs, coachs, etc.

Nous avons donc une responsabilité directe, morale, voire juridique dans certains cas si nous leur imposons, par notre position d’autorité et notre influence, une injection morbide.

Nous ne pouvons plus faire confiance à nos gouvernants qui nous ont constamment menti (sur les masques, sur l’interdiction de la chloroquine et des antibiotiques, sur l’efficacité des confinements, sur l’utilité des pass sanitaires, puis vaccinaux, sur l’efficacité des vaccins…) et faire comme si nous ne savions pas.

Aujourd’hui, s’il accepte d’ouvrir les yeux CHACUN SAIT, à moins de nier les signaux quotidiens comme les décès brutaux de trop de grands sportifs, sains et en bonne santé avant l’injection, mais tombés sur le sol en plein match ou les accidents post vaccinaux d’artistes célèbres comme Céline Dion ou Bieber incapables de poursuivre leurs activités.

Nous aimons les enfants et voulons leur bien. Ils sont notre avenir et celui de la planète.

Trop d’entre nous ont été instrumentalisés par la manipulation médiatique et gouvernementale durant ces deux années, et appliqué des mesures coercitives nocives, mais nous n’avons pas à les juger. Nous sommes tous dans le même bateau, vaccinés ou non, masqués encore ou non. Selon les circonstances, ses expériences antérieures, le temps libre pour s’informer, la propagande gouvernementale au service de Big Pharma et de Davos a été plus ou moins efficace. Gardons-nous de sermons, de leçons de morale, de jugements de valeur. Mais informons-les et agissons.

L’important est d’en sortir, ENSEMBLE. MAINTENANT.

Ensemble, nous devons protéger nos enfants de l’injection dont on connaît maintenant l’absence d’efficacité contre les contaminations, mais aussi contre les formes graves et la mort,

et la toxicité révélée à court terme pour certains effets déjà, et largement inconnue à moyen et long terme.

Les nombreux effets toxiques sur les organes reproducteurs bien explicités par le site « où est mon cycle » font craindre des troubles de la fertilité des bébés contaminés in utero chez les mamans injectées et les plus grands, vaccinés à tout âge.

Les myocardites dont la fréquence a été rapidement dépistée par les Israéliens ont de quoi nous choquer.

L’inutilité de l’injection chez les enfants avait été soulignée d’emblée par toutes les sociétés de pédiatrie, rappelant que les enfants ne risquent rien du covid et que cela avait été démontré dans de nombreuses études internationales résumées dans « les enfants sacrifiés du covid ».(([1] N et D Delépine éditions Fauves, janvier 2022))

L’inefficacité globale couplée à ses dangers a également été démontrée chez l’adulte.(([2] Delepine, G. Les vaccins Covid-19 conduisent à de nouvelles infections et à la mortalité : les preuves sont accablantes.
https://www.globalresearch.ca/covid-19-vaccines-lead-to-new-infections-and-mortality-the-evidence/5746393))

Les effets secondaires déclarés se sont multipliés, colligés par les banques de données internationales(([3] Vogel, G. (2021). Israël signale un lien entre de rares cas d’inflammation cardiaque et la vaccination contre la COVID-19 chez les jeunes hommes. Science.
https://www.sciencemag.org/news/2021/06/israel-reports-link-between-rare-cases-heart-inflammation-and-covid-19-vaccination)). Même si les déclarations sont sous-estimées, le nombre effrayant de toxicités doit imposer le retrait de cette injection et l’interdire tout particulièrement chez les enfants.(([4] Le ridicule ne tue pas, mais le vax anticovid le fait : myocardites, mort subite — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))(([5] Classen, JB. Il a été prouvé que les vaccins américains contre la COVID-19 causent plus de mal que de bien sur la base des données d’essais cliniques pivots analysées à l’aide du critère d’évaluation scientifique approprié, « Tous causent une morbidité grave ». Trends Int Med. 2021 ; 1 (1) : 1-6))(([6] Rapport de pharmacovigilance du Conseil Mondial de la Santé sur la sécurité des injections anticovid : ce signal d’alerte fort doit faire stopper les injections .
Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org))

Ces myocardites, même apparemment guéries après quelques semaines ou mois, ne sont pas anodines et sont à risque de séquelles tardives. Les cicatrices dans le cœur provoquent au fil des ans un « remodelage » pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des arythmies et une mort subite.

Déjà en septembre 2021, le Pr Claverie criait au secours dans le désert…

Ainsi :

« Les enfants font face à un risque substantiel de myocardite à partir d’une injection anticovid19. VAERS = 48 500 rapports d’événements indésirables chez les enfants, dont 112 décès (au 20 mai 2022) et # de rapports d’encéphalopathies, de problèmes de coagulation, de diabète et de problèmes neurologiques chez les enfants après des injections de C19. Arrêtez la pression de la FDA »

14 juin 2022 @jammingem

Et quelques jours plus tard, à la date du 17 juin 2022 on note

« Il y a maintenant 49 283 rapports VAERS d’événements indésirables chez les enfants par suite d’injections Anti-Covid, dont 114 décès, 457 rapports d’invalidité permanente et 1 326 rapports de myocardite. Ces rapports sous-estiment probablement les méfaits par un facteur de 41 à 100. »

6 h 19 · 17 juin 2022· @mhstangarone

« Allez regarder sur Eudravigilance, rien que pour l’Europe ! Pour 2 décès d’enfants par suite d’une contamination de pizza Buitoni, on arrête tout, on enquête et on retire du marché le produit ! Là on continue à injecter les gens ! Dans des essais normaux cliniques, tout serait arrêté ! »

@Arletty32083869

Le bon sens évidemment, mais quelles sont les raisons profondes de la poursuite de ce massacre que personne ne peut plus ignorer, rien qu’en regardant autour de soi, fatigues, troubles menstruels, AVC jeune (faute à pas de chance, mais à force…). Cette fameuse dépopulation programmée à laquelle nous refusions de croire ? En tous cas, le massacre continue.

ET GLOBALEMENT POUR L’UE 27 pays

RISQUE D’UNE CAMPAGNE DE VACCINATION À LA RENTRÉE.
NOUS DEVONS NOUS PRÉPARER, NOUS UNIR ET REFUSER TOUS ENSEMBLE

Devant la pression gouvernementale et des instances européennes et internationales, on peut craindre une grande campagne pour la vax des enfants dès la rentrée. Trois événements couplés — projet de loi du 22 juin au conseil des ministres en France pour prolongation de l’état d’urgence, réunion de l’OMS(([7] L’Organisation mondiale de la santé (#OMS) a annoncé qu’elle convoquait une réunion de son comité d’urgence le 23 juin pour évaluer si la #VarioleDuSinge représente une « urgence de santé publique de portée internationale » #AFP ! Quelle coïncidence ! ATTENTION à l’élargissement de la vax anticovid couplée à un vax antivariole du singe. Soyons vigilants.)) et prolongation du certificat européen(([8] Europe — Certificat COVID de l’UE : accord entre les députés et le Conseil pour prolonger les règles une année supplémentaire Par Parlement Européen, le 15 juin 2022.
Le dispositif actuel expire le 30 juin 2022.
Les négociateurs du PE et des États membres ont trouvé un accord pour conserver le dispositif du certificat COVID numérique de l’UE durant une année supplémentaire, jusqu’en juin 2023.))— prouvent bien la volonté de l’oligarchie mondialiste au pouvoir de poursuivre le narratif de la peur alternant virus, guerre, famine ou autre chose.(([9] Une majorité Macron serait la pérennisation de l’état d’urgence ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Il est temps que la volonté des peuples s’oppose à ce mauvais théâtre mondial, et refuse en particulier l’injection prévue des enfants par ces produits toxiques.

Pourtant malgré les mises en garde d’instances médicales et scientifiques internationales telles le conseil mondial de la santé(([10] Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )), l’appel de scientifiques japonais, canadiens ou américains, etc., la FDA vient d’autoriser le pseudovax chez les enfants. On peut craindre que l’EMA suive et donc la France.

18/06/2022 16 h 52(([11] La FDA américaine autorise les vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer pour les enfants dès 6 mois — Le Courrier du VietNam))

L’Administration américaine des aliments et des médicaments (FDA) a autorisé vendredi 17 juin l’utilisation d’urgence des vaccins anti-COVID-19 Moderna et Pfizer-BioNTech pour les enfants dès 6 mois.

Pour le vaccin Moderna, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure son utilisation chez les individus âgés de 6 mois à 17 ans. Le vaccin avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les adultes de 18 ans et plus.
Pour le vaccin Pfizer-BioNTech, la FDA a modifié l’autorisation d’utilisation d’urgence pour inclure l’utilisation du vaccin chez les individus âgés de 6 mois à 4 ans. Il avait déjà été autorisé pour une utilisation chez les personnes de 5 ans et plus.

« Et pourtant Moderna a été retiré du marché dans les pays scandinaves il y a déjà plusieurs mois à cause des nombreuses myocardites chez les moins de 30 ans, ce sont carrément des rituels de sacrifices d’enfants, ils ne peuvent pas faire ça, c’est criminel. »(([12] Belzil Sylvio sur twitter))

Un élément positif, le peuple français n’est pas prêt à l’injection des enfants selon le Pr Delfraissy.

Il s’était exprimé ainsi en mars 2022 lors d’une conférence à Science Po Lille(([13] Ibid ref 3)) en réponse à un étudiant.

« Bonsoir Mr Delfraissy. 3,3 millions d’effets secondaires déclarés sur la base de données OMS

23 000 morts aux USA ; 36 000 morts dans l’UE,

Imputables au vaccin. Et je dis le mot imputable

Parce que ces vaccins consistent à injecter le code génétique de la protéine spike. Et cette protéine a une toxicité

Elle se colle sur les récepteurs ACE2 sur les cellules endothéliales à l’intérieur des vaisseaux sanguins

Et on a observé des thromboses, des myocardites, des AVC… tout un tas de choses qui sont reliés à ces toxicités on a également observé des rechutes de cancers il y a de nombreuses études des autopsies des choses comme ça… in vitro également…

Et des maladies neurodégénératives ainsi que des réveils de maladies auto-immunes.

Ma question

Mr Delfraissy : pourquoi malgré une toxicité » qui est quand même importante pour un médicament, pourquoi ces vaccins continuent-ils de bénéficier de leur autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM conditionnelle) et étant donné finalement leur moindre efficacité… parce que finalement après quelques mois l’efficacité même sur les formes graves, baisse.

Je voulais savoir si selon vous la balance bénéfices/risques est toujours suffisante pour permettre à ces vaccins de rester sur le marché ??? »

Pr Delfraissy :

« (…) là où vous pouvez m’argumenter, c’est en population plus générale, c’est une vraie question que je n’ai pas totalement résolue dans ma tête qu’on vaccine, pourquoi vacciner une population jeune qui a nettement moins de chances enfin moins de risques plutôt de développer une forme sévère et une forme grave »

Vidéo 2/2 :

Pr Delfraissy :

« On l’a fait parce qu’il y a un risque qui existe quand même qui n’est pas nul.

Deuxièmement parce qu’il y avait une vision de protection également contre l’infection.

Mais en effet — et je suis le premier à vous l’avoir dit que ces vaccins protègent modérément contre l’infection —, on ne peut pas dire qu’ils ne protègent pas. Ils protègent modérément, donc du coup plus on va vers la tranche d’âge des plus jeunes, plus en effet le bénéfice individuel est difficile à mettre en évidence.

D’où d’ailleurs les citoyens ont tranché et en France c’est très clair.

On est chez les enfants de 5 à 11 ans avec actuellement en gros 5 à 6 % d’enfants vaccinés. Et je ne pense pas qu’on fera beaucoup bouger les lignes. »

(…)

Vous n’avez plus d’obligations. Là maintenant vous avez plus de pass vaccinal. Vous n’avez plus… Bon, mais vous ne convaincrez pas de l’inverse. Voilà je suis très ferme sur mes positions. Et vous faites ce que vous voulez et à vrai dire je m’en fous ! »

EN RÉSUMÉ :
DEUX PIZZAS TUENT, ON LES RETIRE DU MARCHÉ ;
LES PSEUDOVAX TUENT, ON CONTINUE !

Il est capital que chacun se sente responsable y compris juridiquement des enfants qu’il pourrait influencer.

Les directeurs d’école, les journalistes, les chroniqueurs, etc. ne peuvent pas impunément répandre de fausses informations comme une soi-disant efficacité sur les formes graves et la rareté et bénignité des effets secondaires.

Les parents doivent imposer la neutralité aux enseignants et dénoncer les brochures de propagande destinées à conditionner les élèves à la vaccination.

L’injection n’est pas un vaccin (ils ne contiennent pas d’antigène), ce sont des médicaments expérimentaux. Il faut via les associations, les avocats, etc. faire supprimer cette propagande mensongère prévue y compris dans les petites classes. Les enseignants ne sont pas là pour désinformer et conditionner les élèves.

COURAGE À TOUS !
SAUVONS LES ENFANTS !




MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?

[Source : surgicalneurologyint.com]

Par Russel L. Blaylock
Neurochirurgien retraité, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

Adresse de correspondance :
Russell L. Blaylock, Theoretical Neuroscience Research, LLC, Ridgeland, Mississippi, États-Unis.

DOI : 10.25259/SNI_150_2022Copyright : © 2022 Surgical Neurology International Cet article en libre accès est distribué sous les termes de la licence Creative Commons Attribution-Non Commercial-Share Alike 4.0, qui permet à d’autres de remixer, transformer et s’appuyer sur le travail à des fins non commerciales, comme tant que l’auteur est crédité et que les nouvelles créations sont sous licence aux mêmes conditions.

Comment citer cet article : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22-Apr-2022;13:167

Comment citer cette URL : Blaylock RL. MISE À JOUR COVID : Quelle est la vérité ?. Surg Neurol Int 22 avril 2022;13:167. Disponible sur :
https://surgicalneurologyint.com/surgicalint-articles/covid-update-what-is-the-truth/

La pandémie de COVID-19 est l’un des événements de maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flux sans fin dirigé par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales. 3 , 6 , 57 ] Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre des experts médicaux, la destruction de carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des personnes non qualifiées disposant d’une richesse énorme , pouvoir et influence.

Pour la première fois dans l’histoire américaine, un président, des gouverneurs, des maires, des administrateurs d’hôpitaux et des bureaucrates fédéraux déterminent les traitements médicaux non pas sur la base d’informations scientifiques précises ou même sur l’expérience, mais plutôt pour forcer l’acceptation de formes spéciales de soins et de « prévention » – y compris le remdesivir, l’utilisation de respirateurs et finalement une série de vaccins à ARN messager essentiellement non testés. Pour la première fois dans l’histoire du traitement médical, les protocoles ne sont pas formulés sur la base de l’expérience des médecins traitant avec succès le plus grand nombre de patients, mais plutôt d’individus et de bureaucraties qui n’ont jamais traité un seul patient, notamment Anthony Fauci, Bill Gates, EcoHealth Alliance, le CDC, l’OMS, les agents de santé publique des États et les administrateurs d’hôpitaux. 23 , 38 ]

Les médias (télévision, journaux, magazines, etc.), les sociétés médicales, les conseils médicaux des États et les propriétaires des médias sociaux se sont désignés comme la seule source d’information concernant cette soi-disant « pandémie ». Des sites Web ont été supprimés, des médecins cliniciens hautement qualifiés et expérimentés et des experts scientifiques dans le domaine des maladies infectieuses ont été diabolisés, des carrières ont été détruites et toutes les informations dissidentes ont été qualifiées de « désinformation » et de « mensonges dangereux », même lorsqu’elles proviennent des meilleurs experts. dans les domaines de la virologie, des maladies infectieuses, des soins intensifs pulmonaires et de l’épidémiologie. Ces obscurcissements de la vérité se produisent même lorsque ces informations sont étayées par de nombreuses citations scientifiques de certains des spécialistes médicaux les plus qualifiés au monde.23 ] Incroyablement, même des individus, comme le Dr Michael Yeadon, un ancien scientifique en chef à la retraite et vice-président de la division scientifique de la société pharmaceutique Pfizer au Royaume-Uni, qui a accusé la société de fabriquer un vaccin extrêmement dangereux, sont ignorés et diabolisé. De plus, lui, ainsi que d’autres scientifiques hautement qualifiés, ont déclaré que personne ne devrait prendre ce vaccin.

Le Dr Peter McCullough, l’un des experts les plus cités dans son domaine, qui a traité avec succès plus de 2000 patients COVID en utilisant un protocole de traitement précoce (que les soi-disant experts ont complètement ignoré), a été victime d’un assaut particulièrement vicieux par ceux qui bénéficient financièrement des vaccins. Il a publié ses résultats dans des revues à comité de lecture, signalant une réduction de 80 % des hospitalisations et une réduction de 75 % des décès grâce à un traitement précoce. 44 ] Malgré cela, il subit une série d’attaques incessantes de la part des contrôleurs de l’information, dont aucun n’a traité un seul patient.

Ni Anthony Fauci, le CDC, l’OMS ni aucun établissement médical gouvernemental n’ont jamais proposé de traitement précoce autre que le Tylenol, l’hydratation et appeler une ambulance une fois que vous avez des difficultés à respirer. C’est sans précédent dans toute l’histoire des soins médicaux, car le traitement précoce des infections est essentiel pour sauver des vies et prévenir les complications graves. Non seulement ces organisations médicales et ces chiens de garde fédéraux n’ont même pas suggéré un traitement précoce, mais ils ont attaqué quiconque tentait d’initier un tel traitement avec toutes les armes à leur disposition – perte de licence, retrait des privilèges hospitaliers, honte, destruction de réputation et même arrestation. 2 ]

Un bon exemple de cet outrage à la liberté d’expression et à la fourniture d’informations sur le consentement éclairé est la récente suspension par le conseil médical du Maine de la licence médicale du Dr Meryl Nass et l’ordre de se soumettre à une évaluation psychiatrique pour avoir prescrit de l’ivermectine et partagé son expertise. dans ce champ.9 , 65 ] Je connais personnellement le Dr Nass et je peux témoigner de son intégrité, de son intelligence et de son dévouement à la vérité. Ses références scientifiques sont impeccables. Ce comportement d’une commission des licences médicales rappelle la méthodologie du KGB soviétique à l’époque où les dissidents étaient incarcérés dans des goulags psychiatriques pour faire taire leur dissidence.

D’AUTRES ATTAQUES SANS PRÉCÉDENT

Une autre tactique sans précédent consiste à retirer les médecins dissidents de leurs postes de rédacteurs en chef, de réviseurs et à retirer leurs articles scientifiques des revues, même après la publication de ces articles. Jusqu’à cet événement pandémique, je n’ai jamais vu autant d’articles de revues retirés – la grande majorité faisant la promotion d’alternatives au dogme officiel, surtout si les articles remettent en question la sécurité des vaccins. Normalement, un article ou une étude soumis est examiné par des experts dans le domaine, appelé examen par les pairs. Ces critiques peuvent être assez intenses et minutieuses, insistant pour que toutes les erreurs dans le document soient corrigées avant la publication. Ainsi, à moins qu’une fraude ou un autre problème caché majeur ne soit découvert après la publication de l’article, l’article reste dans la littérature scientifique.

Nous assistons maintenant à un nombre croissant d’excellents articles scientifiques, rédigés par les meilleurs experts dans le domaine, qui sont retirés des principales revues médicales et scientifiques des semaines, des mois, voire des années après leur publication. Un examen attentif indique que dans de trop nombreux cas, les auteurs ont osé remettre en question les dogmes acceptés par les contrôleurs des publications scientifiques, notamment en ce qui concerne la sécurité, les traitements alternatifs ou l’efficacité des vaccins. 12 , 63 ] Ces revues s’appuient sur la publicité abondante des sociétés pharmaceutiques pour leurs revenus. Plusieurs cas se sont produits où de puissantes sociétés pharmaceutiques ont exercé leur influence sur les propriétaires de ces revues pour supprimer des articles qui remettaient en question les produits de ces sociétés. 13 , 34 , 35 ]

Pire encore est la conception réelle d’articles médicaux pour la promotion de médicaments et de produits pharmaceutiques qui impliquent de fausses études, des soi-disant articles écrits par des fantômes. 49 , 64 ] Richard Horton est cité par le Guardian comme ayant déclaré que « les journaux se sont transformés en opérations de blanchiment d’informations pour l’industrie pharmaceutique. »13 , 63 ] Des articles frauduleux avérés « écrits par des fantômes » parrainés par des géants pharmaceutiques sont régulièrement publiés dans des revues cliniques de premier plan, telles que JAMA et New England Journal of Medicine, qui ne seront jamais supprimés malgré des abus scientifiques et une manipulation des données prouvés.49 , 63 ]

Les articles écrits par des fantômes impliquent l’utilisation de sociétés de planification dont le travail consiste à concevoir des articles contenant des données manipulées pour soutenir un produit pharmaceutique, puis à faire accepter ces articles par des revues cliniques à fort impact, c’est-à-dire les revues les plus susceptibles d’affecter la prise de décision clinique des médecins. De plus, ils fournissent aux médecins en pratique clinique des réimpressions gratuites de ces articles manipulés. The Guardian a trouvé 250 entreprises engagées dans cette activité d’écriture fantôme. L’étape finale dans la conception de ces articles pour publication dans les revues les plus prestigieuses est de recruter des experts médicaux reconnus dans des institutions prestigieuses, pour ajouter leur nom à ces articles. 11 ]

D’une importance vitale est l’observation par des experts dans le domaine de l’édition médicale que rien n’a été fait pour arrêter ces abus. Les éthiciens médicaux ont déploré qu’en raison de cette pratique répandue, « on ne puisse faire confiance à rien ». Alors que certaines revues insistent sur la divulgation d’informations, la plupart des médecins qui lisent ces articles ignorent ces informations ou les excusent et plusieurs revues rendent la divulgation plus difficile en demandant au lecteur de trouver les déclarations de divulgation à un autre endroit. De nombreuses revues ne contrôlent pas ces déclarations et les omissions des auteurs sont courantes et sans sanction.

En ce qui concerne les informations mises à la disposition du public, la quasi-totalité des médias est sous le contrôle de ces géants pharmaceutiques ou autres qui profitent de cette « pandémie ». Leurs histoires sont toutes les mêmes, à la fois dans le contenu et même dans la formulation. Des dissimulations orchestrées se produisent quotidiennement et des données massives exposant les mensonges générés par ces contrôleurs de l’information sont cachées au public. Toutes les données provenant des médias nationaux (télévision, journaux et magazines), ainsi que les nouvelles locales que vous regardez tous les jours, proviennent uniquement de sources « officielles » – dont la plupart sont des mensonges, des distorsions ou complètement fabriquées à partir de tissu entier – toutes visant à tromper le public.

Les médias télévisés reçoivent la majorité de leur budget publicitaire des sociétés pharmaceutiques internationales, ce qui crée une influence irrésistible pour rapporter toutes les études concoctées soutenant leurs vaccins et autres soi-disant traitements. 14 ] Rien qu’en 2020, les industries pharmaceutiques ont dépensé 6,56 milliards de dollars pour ce type de publicité.13 , 14 ] La publicité Pharma TV s’élevait à 4,58 milliards, un incroyable 75% de leur budget. Cela achète beaucoup d’influence et de contrôle sur les médias. Des experts de renommée mondiale dans tous les domaines des maladies infectieuses sont exclus de l’exposition médiatique et des médias sociaux s’ils s’écartent de quelque manière que ce soit des mensonges et des distorsions concoctés par les fabricants de ces vaccins. De plus, ces sociétés pharmaceutiques dépensent des dizaines de millions en publicité sur les réseaux sociaux, Pfizer étant en tête du peloton avec 55 millions de dollars en 2020.14 ]

Bien que ces attaques contre la liberté d’expression soient suffisamment terrifiantes, pire encore est le contrôle quasi universel que les administrateurs d’hôpitaux ont exercé sur les détails des soins médicaux dans les hôpitaux. Ces mercenaires indiquent maintenant aux médecins les protocoles de traitement auxquels ils adhéreront et les traitements qu’ils n’utiliseront pas, peu importe à quel point les traitements « approuvés » sont nocifs ou à quel point les traitements « non approuvés » sont bénéfiques. 33 , 57 ]

Jamais dans l’histoire de la médecine américaine les administrateurs d’hôpitaux n’ont dicté à leurs médecins comment ils pratiqueront la médecine et quels médicaments ils peuvent utiliser. Le CDC n’a pas le pouvoir de dicter aux hôpitaux ou aux médecins concernant les traitements médicaux. Pourtant, la plupart des médecins s’exécutèrent sans la moindre résistance.

La loi fédérale sur les soins a encouragé cette catastrophe humaine en offrant à tous les hôpitaux américains jusqu’à 39 000 dollars pour chaque patient des soins intensifs qu’ils mettent sous respirateur, malgré le fait qu’au début, il était évident que les respirateurs étaient une cause majeure de décès parmi ces patients confiants et sans méfiance. . De plus, les hôpitaux ont reçu 12 000 dollars pour chaque patient admis aux soins intensifs, ce qui explique, à mon avis et à d’autres, pourquoi toutes les bureaucraties médicales fédérales (CDC, FDA, NIAID, NIH, etc.) ont fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher la vie. – économiser les traitements précoces.46 ] Laisser les patients se détériorer au point d’avoir besoin d’être hospitalisés signifiait beaucoup d’argent pour tous les hôpitaux. Un nombre croissant d’hôpitaux sont menacés de faillite, et beaucoup ont fermé leurs portes, avant même cette « pandémie ».50 ] La plupart de ces hôpitaux appartiennent désormais à des sociétés nationales ou internationales, y compris des hôpitaux universitaires.dix ]

Il est également intéressant de noter qu’avec l’arrivée de cette « pandémie », nous avons assisté à une augmentation du nombre de chaînes d’entreprises hospitalières rachetant un certain nombre de ces hôpitaux financièrement à risque.1 , 54 ] Il a été noté que des milliards d’aide fédérale Covid sont utilisés par ces géants hospitaliers pour acquérir ces hôpitaux financièrement menacés, augmentant encore le pouvoir de la médecine d’entreprise sur l’indépendance des médecins. Les médecins expulsés de leurs hôpitaux ont du mal à trouver d’autres membres du personnel hospitalier à rejoindre, car eux aussi peuvent appartenir au même géant. En conséquence, les politiques de mandat de vaccination incluent un nombre beaucoup plus important d’employés hospitaliers. Par exemple, la Mayo Clinic a licencié 700 employés pour avoir exercé leur droit de refuser un vaccin expérimental dangereux, essentiellement non testé. 51 , 57 ] La Mayo Clinic l’a fait malgré le fait que bon nombre de ces employés ont travaillé pendant le pire de l’épidémie et sont licenciés lorsque la variante Omicron est la souche dominante du virus, a la pathogénicité d’un rhume pour la plupart et les vaccins sont inefficaces dans la prévention de l’infection.

De plus, il a été prouvé que la personne vaccinée asymptomatique a un titre nasopharyngé du virus aussi élevé qu’une personne infectée non vaccinée. Si le mandat du vaccin vise à prévenir la propagation du virus parmi le personnel hospitalier et les patients, ce sont les vaccinés qui présentent le plus grand risque de transmission, et non les non vaccinés. La différence est qu’une personne malade non vaccinée n’irait pas travailler, l’épandeur vacciné asymptomatique le fera.

Ce que nous savons, c’est que les principaux centres médicaux, tels que la Mayo Clinic, reçoivent chaque année des dizaines de millions de dollars en subventions des NIH ainsi que des fonds des fabricants pharmaceutiques de ces «vaccins» expérimentaux. À mon avis, c’est la véritable considération qui motive ces politiques. Si cela pouvait être prouvé devant un tribunal, les administrateurs faisant ces mandats devraient être poursuivis dans toute la mesure de la loi et poursuivis par toutes les parties lésées.

Le problème de la faillite des hôpitaux est devenu de plus en plus aigu en raison des mandats de vaccination des hôpitaux et du grand nombre de membres du personnel hospitalier, en particulier des infirmières, qui refusent d’être vaccinés de force. 17 , 51 ] Tout cela est sans précédent dans l’histoire des soins médicaux. Les médecins des hôpitaux sont responsables du traitement de leurs patients individuels et travaillent directement avec ces patients et leurs familles pour initier ces traitements. Des organisations extérieures, telles que le CDC, n’ont aucune autorité pour intervenir dans ces traitements et le faire expose les patients à de graves erreurs de la part d’une organisation qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19.

Lorsque cette pandémie a commencé, les hôpitaux ont reçu l’ordre du CDC de suivre un protocole de traitement qui a entraîné la mort de centaines de milliers de patients, dont la plupart se seraient rétablis si des traitements appropriés avaient été autorisés. 43 , 44 ] La majorité de ces décès auraient pu être évités si les médecins avaient été autorisés à utiliser un traitement précoce avec des produits tels que l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine et un certain nombre d’autres médicaments sûrs et composés naturels. Il a été estimé, sur la base des résultats de médecins traitant avec succès les patients les plus covid, que sur les 800 000 personnes dont on nous dit qu’elles sont mortes de Covid, 640 000 auraient non seulement pu être sauvées, mais auraient pu, dans de nombreux cas, retourner à leur pré -l’état de santé de l’infection avait exigé un traitement précoce avec ces méthodes éprouvées. Cette négligence du traitement précoce constitue un meurtre de masse. Cela signifie que 160 000 seraient en fait décédés, bien moins que le nombre de morts aux mains des bureaucraties, des associations médicales et des conseils médicaux qui ont refusé de défendre leurs patients. 43 , 44 ]

Incroyablement, ces médecins compétents ont été empêchés de sauver ces personnes infectées par le Covid-19. Ce devrait être un embarras pour la profession médicale que tant de médecins suivent sans réfléchir les protocoles mortels établis par les contrôleurs de la médecine.

Il faut aussi garder à l’esprit que cet événement n’a jamais rempli les critères d’une pandémie. L’Organisation mondiale de la santé a modifié les critères pour en faire une pandémie. Pour se qualifier pour un statut pandémique, le virus doit avoir un taux de mortalité élevé pour la grande majorité des gens, ce qu’il n’a pas fait (avec un taux de survie de 99,98 %), et il ne doit avoir aucun traitement existant connu – que ce virus avait – dans fait, un nombre croissant de traitements très efficaces.

Les mesures draconiennes mises en place pour contenir cette « pandémie » artificielle ne se sont jamais avérées efficaces, comme le masquage du public, les confinements et la distanciation sociale. Un certain nombre d’études soigneusement menées au cours des saisons grippales précédentes ont démontré que les masques, quels qu’ils soient, n’avaient jamais empêché la propagation du virus parmi le public. 60 ]

En fait, de très bonnes études ont suggéré que les masques propageaient en fait le virus en donnant aux gens un faux sentiment de sécurité et d’autres facteurs, tels que l’observation que les gens brisaient constamment la technique stérile en touchant leur masque, en l’enlevant de manière inappropriée et en laissant échapper des agents infectieux. aérosols autour des bords du masque. De plus, des masques étaient jetés dans les parkings, les sentiers pédestres, posés sur les tables des restaurants et placés dans les poches et les sacs à main.

Quelques minutes après la mise en place du masque, un certain nombre de bactéries pathogènes peuvent être cultivées à partir des masques, ce qui expose la personne immunodéprimée à un risque élevé de pneumonie bactérienne et les enfants à un risque plus élevé de méningite. 16 ] Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Floride a mis en culture plus de 11 bactéries pathogènes de l’intérieur du masque porté par les enfants dans les écoles.[ 40 ]

On savait également que les enfants ne couraient pratiquement aucun risque de tomber malades du virus ou de le transmettre.

De plus, il était également connu que le port du masque pendant plus de 4 heures (comme cela se produit dans toutes les écoles) entraînait une hypoxie (faible taux d’oxygène dans le sang) et une hypercapnie (taux de CO2 élevés) importantes, qui ont de nombreux effets délétères sur la santé, y compris entraver le développement du cerveau de l’enfant.4 , 72 , 52 ]

Nous savons que le développement du cerveau se poursuit longtemps après les années d’école primaire. Une étude récente a révélé que les enfants nés pendant la « pandémie » ont un QI nettement inférieur, mais les conseils scolaires, les directeurs d’école et les autres bureaucrates de l’éducation ne sont évidemment pas concernés.18 ]

LES OUTILS DU MÉTIER D’ENDOCTRINATION

Les concepteurs de cette pandémie anticipaient un refoulement du public et que de grandes questions embarrassantes seraient posées. Pour éviter cela, les contrôleurs ont nourri les médias d’un certain nombre de tactiques, l’une des plus couramment utilisées était et reste l’escroquerie de «vérification des faits». À chaque confrontation avec des preuves soigneusement documentées, les «vérificateurs des faits» des médias ont répliqué avec l’accusation de «désinformation» et une accusation infondée de «théorie du complot» qui a été, dans leur lexique, «démystifiée». On ne nous a jamais dit qui étaient les vérificateurs de faits ou la source de leurs informations de «démystification» – nous devions simplement croire les «vérificateurs de faits». Une récente affaire judiciaire a établi sous serment que les « vérificateurs de faits » de Facebook ont ​​utilisé l’opinion de leur propre personnel et non de vrais experts pour vérifier les « faits ».59 ] Lorsque des sources sont en fait révélées, il s’agit invariablement du CDC corrompu, de l’OMS ou d’Anthony Fauci ou simplement de leur opinion. Voici une liste de choses qui ont été qualifiées de « mythes » et de « désinformation » qui se sont avérées plus tard vraies.

  • Les vaccinés asymptomatiques propagent le virus de la même manière que les infectés symptomatiques non vaccinés.
  • Les vaccins ne peuvent pas protéger adéquatement contre les nouvelles variantes, telles que Delta et Omicron.
  • L’immunité naturelle est de loin supérieure à l’immunité vaccinale et dure très probablement toute la vie.
  • Non seulement l’immunité vaccinale diminue après plusieurs mois, mais toutes les cellules immunitaires sont altérées pendant de longues périodes, ce qui expose les vaccinés à un risque élevé d’infections et de cancer.
  • Les vaccins COVID peuvent provoquer une incidence significative de caillots sanguins et d’autres effets secondaires graves
  • Les partisans du vaccin exigeront de nombreux rappels à mesure que chaque variante apparaîtra sur la scène.
  • Fauci insistera sur le vaccin covid pour les petits enfants et même les bébés.
  • Des passeports de vaccination seront nécessaires pour entrer dans une entreprise, voler dans un avion et utiliser les transports en commun
  • Il y aura des camps d’internement pour les non vaccinés (comme en Australie, en Autriche et au Canada)
  • Les non-vaccinés se verront refuser un emploi.
  • Il existe des accords secrets entre le gouvernement, les institutions élitistes et les fabricants de vaccins
  • De nombreux hôpitaux étaient soit vides, soit peu occupés pendant la pandémie.
  • La protéine de pointe du vaccin pénètre dans le noyau de la cellule, altérant la fonction de réparation de l’ADN cellulaire.
  • Des centaines de milliers de personnes ont été tuées par les vaccins et beaucoup plus ont été endommagées de façon permanente.
  • Un traitement précoce aurait pu sauver la vie de la plupart des 700 000 personnes décédées.
  • La myocardite induite par le vaccin (qui a été niée initialement) est un problème important et disparaît en peu de temps.
  • Des lots mortels spéciaux (lots) de ces vaccins sont mélangés à la masse d’autres vaccins Covid-19

Plusieurs de ces affirmations de ceux qui s’opposent à ces vaccins apparaissent maintenant sur le site Web du CDC, la plupart encore identifiées comme des «mythes». Aujourd’hui, de nombreuses preuves ont confirmé que chacun de ces soi-disant «mythes» était en fait vrai. Beaucoup sont même admis par le « saint des vaccins », Anthony Fauci. Par exemple, on nous a dit, même par notre président déficient cognitif, qu’une fois le vaccin sorti, toutes les personnes vaccinées pourraient enlever leur masque. Oops! On nous a dit peu de temps après que les vaccinés ont des concentrations élevées (titres) du virus dans le nez et la bouche (nasopharynx) et peuvent transmettre le virus à d’autres personnes avec lesquelles ils entrent en contact, en particulier les membres de leur propre famille. Reprenez les masques – en fait, le double masquage est recommandé. 27 , 42 , 45 ]

Une autre tactique des partisans du vaccin consiste à diaboliser ceux qui refusent de se faire vacciner pour diverses raisons. Les médias qualifient ces personnes à l’esprit critique d' »anti-vaccins », de « négationnistes des vaccins », de « résistants aux vaccins », de « meurtres », d' »ennemis du plus grand bien » et de ceux qui prolongent la pandémie. J’ai été consterné par les attaques vicieuses, souvent sans cœur, de certaines personnes sur les réseaux sociaux lorsqu’un parent ou un être cher raconte l’histoire de la terrible souffrance et de la mort éventuelle qu’eux-mêmes ou leur proche ont subies à cause des vaccins. Certains psychopathes tweetent qu’ils sont heureux que l’être cher soit décédé ou que la personne vaccinée décédée soit un ennemi du bien pour avoir raconté l’événement et devrait être interdite. C’est difficile à conceptualiser. Ce niveau de cruauté est terrifiant et signifie l’effondrement d’une morale, décente,

C’est déjà assez grave pour le public de tomber aussi bas, mais les médias, les dirigeants politiques, les administrateurs d’hôpitaux, les associations médicales et les conseils d’administration des licences médicales agissent de la même manière moralement dysfonctionnelle et cruelle.

LA LOGIQUE, LE RAISONNEMENT ET LES PREUVES SCIENTIFIQUES ONT DISPARU DANS CET ÉVÉNEMENT

Les preuves scientifiques, les études soigneusement menées, l’expérience clinique et la logique médicale ont-elles eu un effet sur l’arrêt de ces vaccins inefficaces et dangereux ? Absolument pas! Les efforts draconiens pour vacciner tout le monde sur la planète se poursuivent (sauf l’élite, les postiers, les membres du Congrès et autres initiés).31 , 62 ]

Dans le cas de tous les autres médicaments et vaccins conventionnels antérieurs examinés par la FDA, les décès autrement inexpliqués de 50 personnes ou moins entraîneraient un arrêt de la distribution du produit, comme cela s’est produit en 1976 avec le vaccin contre la grippe porcine. Avec plus de 18 000 décès signalés par le système VAERS pour la période du 14 décembre 2020 au 31 décembre 2021 ainsi que 139 126 blessures graves (y compris les décès) pour la même période, il n’y a toujours aucun intérêt à arrêter ce programme de vaccination mortelle. 61 ] Pire encore, aucune agence gouvernementale n’a mené d’enquête sérieuse pour déterminer pourquoi ces personnes meurent et sont gravement et définitivement blessées par ces vaccins.15 , 67 ] Ce que nous voyons est une série continue de dissimulations et d’évasions par les fabricants de vaccins et leurs promoteurs.

La guerre contre les médicaments et les composés naturels efficaces, bon marché et très sûrs, qui ont prouvé sans aucun doute qu’ils ont sauvé des millions de vies partout dans le monde, s’est non seulement poursuivie, mais s’est intensifiée. 32 , 34 , 43 ]

Les médecins sont informés qu’ils ne peuvent pas fournir ces composés vitaux à leurs patients et s’ils le font, ils seront retirés de l’hôpital, verront leur licence médicale retirée ou seront punis de nombreuses autres manières. Un grand nombre de pharmacies ont refusé de remplir les ordonnances d’lvermectine ou d’hydroxychloroquine, alors que des millions de personnes ont pris ces médicaments en toute sécurité pendant plus de 60 ans dans le cas de l’hydroxychloroquine et des décennies pour l’ivermectine.33 , 36 ] Ce refus de remplir les ordonnances est sans précédent et a été conçu par ceux qui veulent empêcher les méthodes alternatives de traitement, toutes basées sur la protection de l’expansion du vaccin pour tous. Plusieurs entreprises qui fabriquent de l’hydroxychloroquine ont accepté de vider leurs stocks de médicament en les faisant don au Stock national stratégique, ce qui rend ce médicament beaucoup plus difficile à obtenir. 33 ] Pourquoi le gouvernement ferait-il cela alors que plus de 30 études bien faites ont montré que ce médicament réduisait les décès de 66% à 92% dans d’autres pays, comme l’Inde, l’Égypte, l’Argentine, la France, le Nigeria, l’Espagne, le Pérou, le Mexique, et d’autres?23 ]

Les détracteurs de ces deux médicaments qui sauvent des vies sont le plus souvent financés par Bill Gates et Anthony Fauci, qui gagnent tous deux des millions grâce à ces vaccins.48 , 15 ]

Pour arrêter davantage l’utilisation de ces médicaments, l’industrie pharmaceutique et Bill Gates/Anthony Fauci ont financé de fausses recherches pour prouver que l’hydroxychloroquine était un médicament dangereux et pouvait endommager le cœur. 34 ] Pour rendre ce cas frauduleux, les chercheurs ont administré au plus malade des patients covid une dose presque mortelle du médicament, à une dose bien supérieure à celle utilisée sur n’importe quel patient covid par le Dr Kory, McCullough et d’autres médecins, médecins « réels » et compatissants qui traitaient réellement des patients covid.23 ]

Bien sûr, les médias contrôlés et tout-petits ont martelé le public avec des histoires sur l’effet mortel de l’hydroxychloroquine, le tout avec un air terrifié de fausse panique. Toutes ces histoires de dangers de l’ivermectine se sont avérées fausses et certaines d’entre elles étaient incroyablement absurdes. 37 , 43 ]

L’attaque contre l’ivermectine a été encore plus vicieuse que contre l’hydroxy-chloroquine. Tout cela, et bien plus encore, est méticuleusement relaté dans l’excellent nouveau livre de Robert Kennedy, Jr. Le vrai Anthony Fauci. Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique .32 ] Si vous êtes vraiment concerné par la vérité et par tout ce qui s’est passé depuis que cette atrocité a commencé, vous devez non seulement lire, mais étudier attentivement ce livre. Il est entièrement référencé et couvre tous les sujets de manière très détaillée. Il s’agit d’une tragédie humaine aux proportions bibliques conçue par certains des psychopathes les plus vils et sans cœur de l’histoire.

Des millions de personnes ont été délibérément tuées et paralysées, non seulement par ce virus artificiel, mais par le vaccin lui-même et par les mesures draconiennes utilisées par ces gouvernements pour « contrôler la propagation de la pandémie ». Il ne faut pas ignorer les « morts par désespoir » causées par ces mesures draconiennes, qui peuvent dépasser des centaines de milliers. En conséquence, des millions de personnes sont mortes de faim dans les pays du tiers monde. Rien qu’aux États-Unis, sur les 800 000 morts, revendiqués par les bureaucraties médicales, bien plus de 600 000 de ces décès étaient le résultat de la négligence délibérée d’un traitement précoce, bloquant l’utilisation de médicaments réutilisés hautement efficaces et sûrs, tels que l’hydroxy- la chloroquine et l’ivermectine, et l’utilisation forcée de traitements mortels tels que le remdesivir et l’utilisation de ventilateurs.

Pour aggraver tout cela, en raison des mandats de vaccination parmi tout le personnel hospitalier, des milliers d’infirmières et d’autres travailleurs hospitaliers ont démissionné ou ont été licenciés. 17 , 30 , 51 ] Cela a entraîné des pénuries critiques de ces travailleurs de la santé vitaux et des réductions dangereuses de lits de soins intensifs dans de nombreux hôpitaux. En outre, comme cela s’est produit dans le système de santé du comté de Lewis, un système hospitalier spécialisé à Lowville, NY, a fermé son unité de maternité à la suite de la démission de 30 membres du personnel hospitalier suite aux commandes de vaccins désastreuses de l’État. L’ironie dans tous ces cas de démissions est que les administrateurs ont accepté sans hésiter ces pertes massives d’effectifs malgré les élucubrations sur le manque d’effectifs en période de « crise ». Cela est particulièrement déroutant lorsque nous avons appris que les vaccins n’empêchaient pas la transmission virale et que la variante prédominante actuelle est d’une pathogénicité extrêmement faible.

LES DANGERS DES VACCINS SONT DE PLUS EN PLUS RÉVÉLÉS PAR LA SCIENCE

Alors que la plupart des chercheurs, virologues, chercheurs en maladies infectieuses et épidémiologistes ont été intimidés au silence, un nombre croissant de personnes hautement intègres et dotées d’une expertise considérable se sont manifestées pour dire la vérité, c’est-à-dire queces vaccins sont mortels.

La plupart des nouveaux vaccins doivent subir des tests de sécurité approfondis pendant des années avant d’être approuvés. Les nouvelles technologies, telles que les vaccins à ARNm et à ADN, nécessitent un minimum de 10 ans de tests minutieux et un suivi approfondi. Ces nouveaux soi-disant vaccins ont été « testés » pendant seulement 2 mois, puis les résultats de ces tests de sécurité ont été et continuent d’être tenus secrets. Le témoignage devant le sénateur Ron Johnson de plusieurs personnes qui ont participé à l’étude de 2 mois indique que pratiquement aucun suivi des participants à l’étude préalable à la libération n’a jamais été effectué.67 ] Les plaintes de complications ont été ignorées et malgré les promesses de Pfizer que toutes les dépenses médicales causées par les « vaccins » seraient payées par Pfizer, ces personnes ont déclaré qu’aucune n’avait été payée.66 ] Certaines dépenses médicales dépassent 100 000 dollars.

À titre d’exemple de la tromperie de Pfizer et des autres fabricants de vaccins à ARNm, citons le cas de Maddie de Garay, 12 ans, qui a participé à l’étude de sécurité préalable à la commercialisation du vaccin Pfizer. Lors de la présentation de la sénatrice Johnson aux familles des victimes du vaccin, sa mère a raconté les crises récurrentes de son enfant, qu’elle est maintenant confinée dans un fauteuil roulant, qu’elle doit être alimentée par sonde et qu’elle souffre de lésions cérébrales permanentes. Sur l’évaluation de la sécurité de Pfizer soumise à la FDA, son seul effet secondaire est répertorié comme ayant un « mal de ventre ». Chaque personne a soumis des histoires horribles similaires.

Les Japonais ont eu recours à un procès FOIA (Freedom of Information Act) pour forcer Pfizer à publier son étude secrète sur la biodistribution. La raison pour laquelle Pfizer voulait que cela reste secret est qu’il a démontré que Pfizer avait menti au public et aux organismes de réglementation sur le sort du contenu du vaccin injecté (le support nano-lipidique enfermé dans l’ARNm). Ils ont affirmé qu’il restait au site de l’injection (l’épaule), alors qu’en fait leur propre étude a révélé qu’il se propageait rapidement dans tout le corps par la circulation sanguine dans les 48 heures.

L’étude a également révélé que ces transporteurs de nano-lipides mortels s’accumulaient à des concentrations très élevées dans plusieurs organes, notamment les organes reproducteurs des hommes et des femmes, le cœur, le foie, la moelle osseuse et la rate (un organe immunitaire majeur). La concentration la plus élevée se trouvait dans les ovaires et la moelle osseuse. Ces transporteurs de nano-lipides ont également été déposés dans le cerveau.

Le Dr Ryan Cole, un pathologiste de l’Idaho, a signalé un pic spectaculaire de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées (non rapporté dans les médias). Il a découvert une incidence effroyablement élevée de cancers très agressifs chez les personnes vaccinées, en particulier de mélanomes très invasifs chez les jeunes et de cancers de l’utérus chez les femmes.26 ] D’autres rapports d’activation de cancers précédemment contrôlés apparaissent également chez les patients cancéreux vaccinés. 47 ] Jusqu’à présent, aucune étude n’a été réalisée pour confirmer ces rapports, mais il est peu probable que de telles études soient réalisées, du moins des études financées par des subventions du NIH.

La forte concentration de protéines de pointe trouvée dans les ovaires dans l’étude de biodistribution pourrait très bien altérer la fertilité chez les jeunes femmes, modifier les menstruations et les exposer à un risque accru de cancer de l’ovaire. La concentration élevée dans la moelle osseuse pourrait également exposer les vaccinés à un risque élevé de leucémie et de lymphome. Le risque de leucémie est très inquiétant maintenant qu’ils ont commencé à vacciner les enfants dès l’âge de 5 ans. Aucune étude à long terme n’a été menée par aucun de ces fabricants de vaccins Covid-19, notamment en ce qui concerne le risque d’induction de cancers. L’inflammation chronique est intimement liée à l’induction, à la croissance et à l’invasion du cancer et les vaccins stimulent l’inflammation.

On dit aux patients cancéreux qu’ils devraient se faire vacciner avec ces vaccins mortels. Ceci, à mon avis, est fou. Des études plus récentes ont montré que ce type de vaccin insère la protéine de pointe dans le noyau des cellules immunitaires (et très probablement de nombreux types de cellules) et une fois là, inhibe deux enzymes de réparation de l’ADN très importantes, BRCA1 et 53BP1, dont le devoir est de réparer dommages à l’ADN de la cellule.29 ] Les dommages à l’ADN non réparés jouent un rôle majeur dans le cancer.

Il existe une maladie héréditaire appelée xeroderma pigmentosum dans laquelle les enzymes de réparation de l’ADN sont défectueuses. Ces personnes malheureuses développent de multiples cancers de la peau et une incidence très élevée de cancers d’organes en conséquence. Ici, nous avons un vaccin qui fait la même chose, mais à un degré moins étendu.

L’une des enzymes de réparation défectueuses causées par ces vaccins est appelée BRCA1, qui est associée à une incidence significativement plus élevée de cancer du sein chez les femmes et de cancer de la prostate chez les hommes.

  • Il convient de noter qu’aucune étude n’a jamais été réalisée sur plusieurs aspects critiques de ce type de vaccin.
  • Ils n’ont jamais été testés pour les effets à long terme
  • Ils n’ont jamais été testés pour l’induction de l’auto-immunité
  • Ils n’ont jamais été correctement testés pour leur sécurité à n’importe quel stade de la grossesse
  • Aucune étude de suivi n’a été réalisée sur les bébés de femmes vaccinées
  • Il n’y a pas d’études à long terme sur les enfants de femmes enceintes vaccinées après leur naissance (surtout lorsque des étapes neurodéveloppementales se produisent).
  • Il n’a jamais été testé pour ses effets sur une longue liste de conditions médicales :
  • Diabète
  • Cardiopathie
  • Athérosclérose
  • Maladies neurodégénératives
  • Effets neuropsychiatriques
  • Induction des troubles du spectre autistique et de la schizophrénie
  • Fonction immunitaire à long terme
  • Transmission verticale des défauts et désordres
  • Cancer
  • Maladies auto-immunes

L’expérience antérieure avec les vaccins contre la grippe démontre clairement que les études de sécurité réalisées par les chercheurs et les médecins cliniciens liés aux sociétés pharmaceutiques étaient essentiellement toutes soit mal faites, soit délibérément conçues pour montrer à tort la sécurité et dissimuler les effets secondaires et les complications. Cela a été démontré de façon spectaculaire avec les fausses études mentionnées précédemment, conçues pour indiquer que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine étaient inefficaces et trop dangereuses à utiliser. 34 , 36 , 37 ] Ces fausses études ont entraîné des millions de décès et de graves catastrophes sanitaires dans le monde. Comme indiqué, 80 % de tous les décès n’étaient pas nécessaires et auraient pu être évités avec des médicaments réutilisés, sûrs et peu coûteux, avec un très long historique de sécurité parmi des millions de personnes qui les ont pris pendant des décennies, voire toute leur vie. 43 , 44 ]

Il est au-delà de l’ironie que ceux qui prétendent être responsables de la protection de notre santé aient approuvé un ensemble de vaccins mal testés qui a entraîné plus de décès en moins d’un an d’utilisation que tous les autres vaccins combinés administrés au cours des 30 dernières années. Leur excuse lorsqu’ils ont été confrontés était – « nous avons dû négliger certaines mesures de sécurité parce que c’était une pandémie mortelle ».28 , 46 ]

En 1986, le président Reagan a signé la National Childhood Vaccine Injury Act, qui accordait une protection générale aux fabricants pharmaceutiques de vaccins contre les litiges pour blessures intentés par les familles des personnes blessées par le vaccin. La Cour suprême, dans un avis de 57 pages, s’est prononcée en faveur des sociétés de vaccins, permettant effectivement aux fabricants de vaccins de fabriquer et de distribuer des vaccins dangereux, souvent inefficaces à la population sans crainte de conséquences juridiques. Le tribunal a insisté sur un système d’indemnisation des blessures causées par les vaccins qui n’a versé qu’un très petit nombre de récompenses à un grand nombre de personnes gravement blessées. On sait qu’il est très difficile de recevoir ces récompenses. Selon la Health Resources and Services Administration, depuis 1988, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) a accepté de payer 3 597 indemnités parmi 19, 098 personnes blessées par le vaccin ont fait une demande pour un montant total de 3,8 milliards de dollars. C’était avant l’introduction des vaccins Covid-19, dont les décès à eux seuls dépassent tous les décès liés à tous les vaccins confondus sur une période de trente ans.

En 2018, le président Trump a promulgué la loi sur le «droit d’essayer» qui autorisait l’utilisation de médicaments expérimentaux et de tous les traitements non conventionnels en cas de conditions médicales extrêmes. Comme nous l’avons vu avec le refus de nombreux hôpitaux et même le refus général des États d’autoriser l’ivermectine, l’hydroxy-chloroquine ou toute autre méthode «officielle» non approuvée pour traiter même les cas terminaux de Covid-19, ces individus infâmes ont ignoré cette loi.

Étrangement, ils n’ont pas utilisé cette même logique ou la même loi en ce qui concerne l’ivermectine et l’hydroxychloroquine, qui ont toutes deux subi des tests de sécurité approfondis par plus de 30 études cliniques de haute qualité et ont donné des rapports élogieux sur l’efficacité et la sécurité dans de nombreux pays. . De plus, nous avions un dossier d’utilisation allant jusqu’à 60 ans par des millions de personnes, utilisant ces médicaments dans le monde entier, avec un excellent bilan de sécurité. Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement. Le livre de Kennedy présente ce cas en utilisant de nombreuses preuves et citations. 14 , 32 ]

Le Dr James Thorpe, expert en médecine materno-fœtale, démontre que ces vaccins covoid-19 administrés pendant la grossesse ont entraîné une incidence de fausse couche 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés. 28 ] Lorsque nous examinons son graphique sur les malformations fœtales, il y avait une incidence 144 fois plus élevée de malformations fœtales avec les vaccins Covid-19 administrés pendant la grossesse par rapport à tous les autres vaccins combinés. Pourtant, l’American Academy of Obstetrics and Gynecology et l’American College of Obstetrics and Gynecology approuvent l’innocuité de ces vaccins à tous les stades de la grossesse et chez les femmes qui allaitent leur bébé.

Il convient de noter que ces groupes de spécialités médicales ont reçu un financement important de la société pharmaceutique Pfizer. L’American College of Obstetrics and Gynecology, juste au 4ème trimestre de 2010, a reçu un total de 11 000 $ de la seule société pharmaceutique Pfizer.70 ] Le financement des subventions du NIH est beaucoup plus élevé.20 ] La meilleure façon de perdre ces subventions est de critiquer la source des fonds, leurs produits ou programmes pour animaux de compagnie. Peter Duesberg, en raison de son audace à remettre en question la théorie favorite de Fauci sur le sida causé par le virus du VIH, n’a plus reçu aucune des 30 demandes de subvention qu’il a soumises après avoir été rendues publiques. Avant cet épisode, en tant que principale autorité sur les rétrovirus dans le monde, il n’avait jamais été refusé pour une subvention du NIH. 39 ] C’est ainsi que fonctionne le système « corrompu », même si une grande partie de l’argent des subventions provient de nos impôts.

LOTS CHAUDS — LOTS MORTELS DE VACCINS

Une nouvelle étude a maintenant fait surface, dont les résultats sont terrifiants.25 ] Un chercheur de l’Université de Kingston à Londres, a réalisé une analyse approfondie des données des VAER (un sous-département du CDC qui recueille des données volontaires sur les complications des vaccins), dans laquelle il a regroupé les décès signalés à la suite des vaccins en fonction des numéros de lot du fabricant des vaccins. . Les vaccins sont fabriqués en grandes quantités appelées lots. Ce qu’il a découvert, c’est que les vaccins sont divisés en plus de 20 000 lots et qu’un sur 200 de ces lots (lots) est manifestement mortel pour quiconque reçoit un vaccin de ce lot, qui comprend des milliers de doses de vaccin.

Il a examiné tous les vaccins fabriqués – Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson (Janssen), etc. Il a découvert que sur 200 lots de vaccins de Pfizer et d’autres fabricants, un lot sur 200 s’est avéré plus de 50 fois plus mortel que les vaccins. lots provenant d’autres lots. Les autres lots de vaccins (lots) provoquaient également des décès et des incapacités, mais loin d’être à ce point. Ces lots mortels auraient dû apparaître au hasard parmi tous les « vaccins » s’il s’agissait d’un événement non intentionnel. Cependant, il a constaté que 5% des vaccins étaient responsables de 90% des événements indésirables graves, y compris des décès. L’incidence des décès et des complications graves parmi ces « lots chauds » variait de plus de 1 000 % à plusieurs milliers de pour cent de plus que les lots comparables plus sûrs. Si vous pensez que c’était par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants. Dans l’un de ces scandales, des «lots chauds» d’un vaccin se sont tous retrouvés dans le même état et les dégâts sont immédiatement devenus évidents. Quelle a été la réponse du fabricant ? Ce n’était pas pour retirer les lots mortels du vaccin. Il a ordonné à son entreprise de disperser les lots chauds à travers le pays afin que les autorités ne voient pas l’effet mortel évident.

Tous les lots d’un vaccin sont numérotés, par exemple Modera les étiquette avec des codes tels que 013M20A. Il a été noté que les numéros de lot se terminaient par 20A ou 21A. Les lots se terminant par 20A étaient beaucoup plus toxiques que ceux se terminant par 21A. Les lots se terminant par 20A ont eu environ 1700 événements indésirables, contre quelques centaines à vingt ou trente événements pour les lots 21A. Cet exemple explique pourquoi certaines personnes ont eu peu ou pas d’effets indésirables après avoir pris le vaccin tandis que d’autres sont soit tuées, soit gravement et définitivement blessées. Pour voir l’explication du chercheur, rendez-vous surhttps://www.bitchute.com/video/6xIYPZBkydsu/À mon avis, ces exemples suggèrent fortement une altération intentionnelle de la production du « vaccin » pour inclure des lots mortels.

J’ai rencontré et travaillé avec un certain nombre de personnes concernées par la sécurité des vaccins et je peux vous dire qu’elles ne sont pas les méchants anti-vaccins qu’on vous dit qu’elles sont. Ce sont des personnes morales, pleines de principes et compatissantes, dont beaucoup sont des chercheurs de haut niveau et des personnes qui ont étudié la question de manière approfondie. Robert Kennedy, Jr, Barbara Lou Fisher, Dr Meryl Nass, Professeur Christopher Shaw, Megan Redshaw, Dr Sherri Tenpenny, Dr Joseph Mercola, Neil Z. Miller, Dr Lucija Tomjinovic, Dr Stephanie Seneff, Dr Steve Kirsch et le Dr Peter McCullough pour n’en nommer que quelques-uns. Ces gens n’ont rien à gagner et beaucoup à perdre. Ils sont violemment attaqués par les médias, les agences gouvernementales et les milliardaires d’élite qui pensent qu’ils devraient contrôler le monde et tous ses habitants.

POURQUOI FAUCI NE VOULAIT-IL AUCUNE AUTOPSIE DE CEUX QUI SONT DÉCÉDÉS APRÈS LA VACCINATION ?

Il y a beaucoup de choses à propos de cette « pandémie » qui sont sans précédent dans l’histoire médicale. L’un des plus surprenants est qu’au plus fort de la pandémie, si peu d’autopsies, en particulier d’autopsies totales, étaient pratiquées. Un virus mystérieux se propageait rapidement dans le monde, un groupe sélectionné de personnes dont le système immunitaire était affaibli tombaient gravement malades et beaucoup mouraient et la seule façon dont nous pouvions rapidement acquérir le plus de connaissances sur ce virus – une autopsie, était découragée.

Guerriero a noté qu’à la fin avril 2020, environ 150 000 personnes étaient décédées, mais il n’y avait que 16 autopsies réalisées et rapportées dans la littérature médicale. 24 ] Parmi celles-ci, seules sept étaient des autopsies complètes, les 9 restantes étant partielles ou par biopsie à l’aiguille ou biopsie incisionnelle. Ce n’est qu’après 170 000 décès par Covid-19 et quatre mois après le début de la pandémie que la première série d’autopsies a été effectivement réalisée, soit plus de dix. Et ce n’est qu’après 280 000 décès et un mois de plus que la première grande série d’autopsies a été réalisée, au nombre d’environ 80.22 ] Sperhake, dans un appel pour que les autopsies soient faites sans poser de questions, a noté que la première autopsie complète rapportée dans la littérature avec des photomicrographies est apparue dans une revue médico-légale de Chine en février 2020.41 , 68 ] Sperhake a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il y avait une réticence à effectuer des autopsies pendant la crise, mais il savait que cela ne venait pas des pathologistes. La littérature médicale était jonchée d’appels de pathologistes pour que davantage d’autopsies soient effectuées. 58 ] Sperhake a en outre noté que l’Institut Robert Koch (le système allemand de surveillance de la santé) a au moins initialement déconseillé de faire des autopsies. Il savait également qu’à l’époque, 200 institutions d’autopsie participantes aux États-Unis avaient pratiqué au moins 225 autopsies dans 14 États.

Certains ont affirmé que cette pénurie d’autopsies était basée sur la peur d’infection du gouvernement parmi les pathologistes, mais une étude de 225 autopsies sur des cas de Covid-19 a démontré un seul cas d’infection parmi le pathologiste et il a été conclu qu’il s’agissait d’une infection contractée. autre part.19 ] Guerriero termine son article appelant à davantage d’autopsies par cette observation : « Au coude à coude, les médecins légistes et cliniciens ont surmonté les obstacles des études d’autopsie chez les victimes de Covid-19 et ont ainsi généré des connaissances précieuses sur la physiopathologie de l’interaction entre le SARS-CoV- 2 et le corps humain, contribuant ainsi à notre compréhension de la maladie. »24 ]

Les soupçons concernant la réticence mondiale des nations à autoriser des études post mortem complètes des victimes de Covid-19 peuvent être basés sur l’idée que c’était plus que par hasard. Il y a au moins deux possibilités qui se démarquent. Premièrement, ceux qui ont mené la progression de cet événement « non pandémique » vers une « pandémie mortelle » mondiale perçue, cachaient un secret important que les autopsies pourraient documenter. À savoir, combien de décès ont été réellement causés par le virus ? Pour mettre en œuvre des mesures draconiennes, telles que le port obligatoire de masques, les fermetures, la destruction d’entreprises et finalement la vaccination forcée obligatoire, ils avaient besoin d’un très grand nombre de morts infectés par le covid-19. La peur serait le moteur de tous ces programmes destructeurs de lutte contre la pandémie.

  • Elder et al dans son étude ont classé les résultats de l’autopsie en quatre groupes. 22 ]
  • Mort certaine du Covid-19
  • Probablement la mort du Covid-19
  • Mort probable du Covid-19
  • Non associé au Covid-19, malgré le test positif.

Ce qui a peut-être inquiété ou même terrifié les ingénieurs de cette pandémie, c’est que les autopsies pourraient bien montrer, et ont montré, qu’un certain nombre de ces soi-disant décès de Covid-19 sont en réalité morts de leurs maladies comorbides. Dans la grande majorité des études d’autopsie rapportées, les pathologistes ont noté de multiples conditions comorbides, dont la plupart aux extrêmes de la vie pourraient à elles seules être mortelles. Auparavant, on savait que les virus du rhume avaient une mortalité de 8 % dans les maisons de retraite.

En outre, des preuves précieuses pourraient être obtenues à partir des autopsies qui amélioreraient les traitements cliniques et pourraient éventuellement démontrer l’effet mortel des protocoles mandatés par le CDC que tous les hôpitaux étaient tenus de suivre, tels que l’utilisation de respirateurs et le remdesivir, un médicament mortel qui détruit les reins. . Les autopsies ont également démontré une accumulation d’erreurs médicales et de soins de mauvaise qualité, car le fait de protéger les médecins des unités de soins intensifs des yeux des membres de la famille conduit inévitablement à des soins de moindre qualité, comme l’ont rapporté plusieurs infirmières travaillant dans ces domaines. 53 – 55 ]

Aussi mauvais que tout cela ait été, la même chose est faite dans le cas des décès dus au vaccin Covid – très peu d’autopsies complètes ont été effectuées pour comprendre pourquoi ces personnes sont mortes, c’est-à-dire jusqu’à récemment. Deux chercheurs hautement qualifiés, le Dr Sucharit Bhakdi, microbiologiste et expert hautement qualifié en maladies infectieuses, et le Dr Arne Burkhardt, pathologiste faisant autorité et ayant été professeur de pathologie dans plusieurs institutions prestigieuses, ont récemment pratiqué des autopsies sur 15 personnes ayant mort après vaccination. Ce qu’ils ont trouvé explique pourquoi tant de personnes meurent et subissent des dommages aux organes et des caillots sanguins mortels. 5 ]

Ils ont déterminé que 14 des quinze personnes sont décédées des suites des vaccins et non d’autres causes. Le Dr Burkhardt, le pathologiste, a observé de nombreuses preuves d’une attaque immunitaire sur les organes et les tissus des individus autopsiés, en particulier leur cœur. Cette preuve comprenait une invasion étendue de petits vaisseaux sanguins avec un nombre massif de lymphocytes, qui provoquent une destruction cellulaire importante lorsqu’ils sont libérés. D’autres organes, tels que les poumons et le foie, ont également été gravement endommagés. Ces découvertes indiquent que les vaccins amenaient le corps à s’attaquer avec des conséquences mortelles. On peut facilement voir pourquoi Anthony Fauci, ainsi que les agents de santé publique et tous ceux qui font la promotion de ces vaccins, ont publiquement découragé les autopsies sur les vaccinés décédés par la suite. On peut aussi voir que dans le cas des vaccins, qui étaient essentiellement non testés avant d’être approuvés pour le grand public, au moins les organismes de réglementation auraient dû être tenus de surveiller et d’analyser attentivement toutes les complications graves, et certainement les décès, liés à ces vaccins. La meilleure façon de le faire est d’effectuer des autopsies complètes.

Bien que nous ayons appris des informations importantes de ces autopsies, ce qui est vraiment nécessaire, ce sont des études spéciales des tissus de ceux qui sont décédés après la vaccination pour la présence d’infiltration de protéines de pointe dans les organes et les tissus. Ce serait une information critique, car une telle infiltration entraînerait de graves dommages à tous les tissus et organes impliqués, en particulier le cœur, le cerveau et le système immunitaire. Des études animales l’ont démontré. Chez ces individus vaccinés, la source de ces protéines de pointe serait les porteurs nanolipidiques injectés de l’ARNm produisant la protéine de pointe.

CONCLUSION

Nous vivons tous l’un des changements les plus drastiques de notre culture, de notre système économique et de notre système politique de l’histoire de notre nation ainsi que du reste du monde. On nous a dit que nous ne reviendrions jamais à la « normale » et qu’une grande réinitialisation a été conçue pour créer un « nouvel ordre mondial ». Tout cela a été décrit par Klaus Schwab, chef du Forum économique mondial, dans son livre sur la « grande réinitialisation ».66 ] Ce livre donne beaucoup d’informations sur la pensée des utopistes qui sont fiers de revendiquer cette «crise» pandémique comme leur moyen d’inaugurer un nouveau monde. Ce nouvel ordre mondial est sur les planches à dessin des manipulateurs d’élite depuis plus d’un siècle.73 , 74 ] Dans cet article, je me suis concentré sur les effets dévastateurs que cela a eu sur le système de soins médicaux aux États-Unis, mais aussi sur une grande partie du monde occidental. Dans des articles antérieurs, j’ai discuté de la lente érosion des soins médicaux traditionnels aux États-Unis et de la façon dont ce système est devenu de plus en plus bureaucratisé et enrégimenté. sept , 8 ] Ce processus s’accélérait rapidement, mais l’apparition de cette « pandémie » fabriquée, à mon avis, a transformé notre système de santé du jour au lendemain.

Comme vous l’avez vu, une série d’événements sans précédent s’est produite au sein de ce système. Les administrateurs d’hôpitaux, par exemple, ont assumé la position de dictateurs médicaux, ordonnant aux médecins de suivre des protocoles dérivés non pas de ceux qui ont une vaste expérience dans le traitement de ce virus, mais plutôt d’une bureaucratie médicale qui n’a jamais traité un seul patient COVID-19. L’utilisation obligatoire de respirateurs sur les patients des soins intensifs Covid-19, par exemple, a été imposée dans tous les systèmes médicaux et les médecins dissidents ont été rapidement démis de leurs fonctions de soignants, malgré leur démonstration de méthodes de traitement nettement améliorées. De plus, les médecins ont été invités à utiliser le médicament remdesivir malgré sa toxicité avérée, son manque d’efficacité et son taux de complications élevé. On leur a dit d’utiliser des médicaments qui nuisent à la respiration et de masquer chaque patient, malgré les difficultés respiratoires du patient. Dans chaque cas, ceux qui ont refusé d’abuser de leurs patients ont été renvoyés de l’hôpital et ont même fait face à une perte de licence ou pire.

Pour la première fois dans l’histoire de la médecine moderne, le traitement médical précoce de ces patients infectés a été ignoré à l’échelle nationale. Des études ont montré qu’un traitement médical précoce permettait d’économiser 80 % du nombre plus élevé de ces personnes infectées lorsqu’il était initié par des médecins indépendants.43 , 44 ] Un traitement précoce aurait pu sauver plus de 640 000 vies au cours de cette « pandémie ». Malgré la démonstration de la puissance de ces premiers traitements, les forces de contrôle des soins médicaux ont poursuivi cette politique destructrice.

Les familles n’étaient pas autorisées à voir leurs proches, obligeant ces personnes très malades hospitalisées à affronter seules leur mort. Pour ajouter l’insulte à l’injure, les funérailles étaient limitées à quelques membres de la famille en deuil, qui n’étaient même pas autorisés à s’asseoir ensemble. Pendant tout ce temps, les grands magasins, tels que Walmart et Cosco, étaient autorisés à fonctionner avec des restrictions minimales. Les patients des maisons de soins infirmiers n’étaient pas non plus autorisés à recevoir des visites familiales, étant à nouveau forcés de mourir seuls. Pendant tout ce temps, dans un certain nombre d’États, le plus transparent étant celui de New York, des personnes âgées infectées ont été délibérément transférées des hôpitaux vers des maisons de retraite, ce qui a entraîné un taux de mortalité très élevé chez ces résidents de maisons de retraite. Au début de cette « pandémie », plus de 50 % de tous les décès survenaient dans des maisons de retraite.

Tout au long de cette « pandémie », nous avons été nourris d’une série interminable de mensonges, de distorsions et de désinformation de la part des médias, des responsables de la santé publique, des bureaucraties médicales (CDC, FDA et OMS) et des associations médicales. Des médecins, des scientifiques et des experts en traitements infectieux qui ont formé des associations visant à développer des traitements plus efficaces et plus sûrs, ont été régulièrement diabolisés, harcelés, honteux, humiliés et subissent une perte de licence, une perte de privilèges hospitaliers et, dans au moins un cas, ordonné de subir un examen psychiatrique.2 , 65 , 71 ]

Anthony Fauci a reçu le contrôle essentiellement absolu de toutes les formes de soins médicaux lors de cet événement, notamment en insistant pour que les médicaments dont il a bénéficié soient utilisés par tous les médecins traitants. Il a ordonné l’utilisation de masques, bien qu’il se soit d’abord moqué de l’utilisation de masques pour filtrer un virus. Les gouverneurs, les maires et de nombreuses entreprises ont suivi ses ordres sans poser de questions.

Les mesures draconiennes utilisées, le masquage, les verrouillages, les tests des personnes non infectées, l’utilisation du test PCR inexact, la distanciation sociale et la recherche des contacts s’étaient auparavant avérées peu ou pas utiles lors des pandémies précédentes, mais toutes les tentatives de rejeter ces méthodes n’ont servi à rien. Certains États ont ignoré ces ordonnances draconiennes et ont enregistré le même nombre de cas ou moins, ainsi que des décès, que les États avec les mesures les plus strictement appliquées. Encore une fois, aucune preuve ou démonstration évidente dans ce sens n’a eu d’effet sur la fin de ces mesures socialement destructrices. Même lorsque des pays entiers, comme la Suède, qui ont évité toutes ces mesures, ont démontré des taux d’infections et d’hospitalisation égaux à ceux des nations avec les mesures les plus strictes et les plus draconiennes, aucun changement de politique de la part des institutions de contrôle n’a eu lieu.

Les experts en psychologie des événements destructeurs, tels que les effondrements économiques, les catastrophes majeures et les pandémies précédentes, ont démontré que les mesures draconiennes s’accompagnent d’un coût énorme sous la forme de « morts de désespoir » et d’une augmentation spectaculaire des troubles psychologiques graves. Les effets de ces mesures pandémiques sur le développement neurologique des enfants sont catastrophiques et en grande partie irréversibles.

Au fil du temps, des dizaines de milliers de personnes pourraient mourir à la suite de ces dommages. Même lorsque ces prédictions ont commencé à apparaître, les contrôleurs de cette « pandémie » ont continué à toute vapeur. Augmentation drastique des suicides, augmentation de l’obésité, augmentation de la consommation de drogue et d’alcool, aggravation de nombreuses mesures sanitaires et augmentation terrifiante des troubles psychiatriques, notamment la dépression et l’anxiété, ont été ignorés par les responsables contrôlant cet événement.

Nous avons finalement appris que de nombreux décès étaient le résultat de négligence médicale. Les personnes atteintes de maladies chroniques, de diabète, de cancer, de maladies cardiovasculaires et de maladies neurologiques n’étaient plus suivies correctement dans leurs cliniques et cabinets médicaux. Les opérations non urgentes ont été suspendues. Beaucoup de ces patients ont choisi de mourir chez eux plutôt que de risquer d’aller à l’hôpital et beaucoup ont considéré les hôpitaux comme des « maisons de la mort ».

Les registres des décès ont montré qu’il y avait une augmentation des décès chez les personnes âgées de 75 ans et plus, principalement expliquée par les infections à Covid-19, mais pour les personnes âgées de 65 à 74 ans, les décès avaient augmenté bien avant le début de la pandémie. 69 ] Entre 18 ans et 65 ans, les dossiers démontrent une hausse choquante des décès non-Covid-19. Certains de ces décès s’expliquent par une augmentation spectaculaire des décès liés à la drogue, quelque 20 000 de plus qu’en 2019. Les décès liés à l’alcool ont également augmenté de manière substantielle et les homicides ont augmenté de près de 30 % dans le groupe des 18 à 65 ans.

Le chef de la compagnie d’assurance OneAmerica a déclaré que leurs données indiquaient que le taux de mortalité des personnes âgées de 18 à 64 ans avait augmenté de 40 % au cours de la période pré-pandémique.21 ] Scott Davidson, PDG de la société, a déclaré que cela représentait le taux de mortalité le plus élevé de l’histoire des dossiers d’assurance, qui collecte chaque année de nombreuses données sur les taux de mortalité. Davidson a également noté que cette augmentation du taux de mortalité n’avait jamais été observée dans l’histoire de la collecte de données sur les décès. Les catastrophes précédentes d’une ampleur monumentale n’ont augmenté les taux de mortalité que de 10%, 40% est sans précédent.

Le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l’Indiana, a déclaré que les hospitalisations dans l’Indiana sont plus élevées qu’à tout moment au cours des cinq dernières années. Ceci est d’une importance cruciale puisque les vaccins étaient censés réduire considérablement les décès, mais c’est l’inverse qui s’est produit. Les hôpitaux sont inondés de complications liées aux vaccins et de personnes dans un état critique à cause de la négligence médicale causée par les fermetures et d’autres mesures pandémiques. 46 , 56 ]

Un nombre dramatique de ces personnes meurent maintenant, le pic se produisant après l’introduction des vaccins. Les mensonges de ceux qui se sont nommés dictateurs médicaux sont sans fin. D’abord, on nous a dit que le confinement ne durerait que deux semaines, ils ont duré plus d’un an. Ensuite, on nous a dit que les masques étaient inefficaces et n’avaient pas besoin d’être portés. Cela s’est vite inversé. Ensuite, on nous a dit que le masque en tissu était très efficace, maintenant ce n’est plus le cas et tout le monde devrait porter un masque N95 et avant cela, ils devraient porter un double masque. On nous a dit qu’il y avait une grave pénurie de respirateurs, puis nous découvrons qu’ils sont inutilisés dans les entrepôts et dans les dépotoirs de la ville, toujours dans leurs caisses d’emballage. Nous avons été informés que les hôpitaux étaient principalement remplis de personnes non vaccinées et nous avons découvert plus tard que c’était exactement le contraire dans le monde entier.

Lors de la sortie des vaccins, les femmes ont été informées que les vaccins étaient sûrs pendant tous les stades de la grossesse, seulement pour découvrir qu’aucune étude n’avait été réalisée sur la sécurité pendant la grossesse lors des «tests de sécurité» avant la sortie du vaccin. On nous a dit que des tests minutieux sur des volontaires avant l’approbation de l’EUA pour un usage public ont démontré l’extrême sécurité des vaccins, seulement pour apprendre que ces malheureux sujets n’étaient pas suivis, que les complications médicales causées par les vaccins n’étaient pas payées et que les médias couvraient tout cela .67 ] Nous avons également appris que les fabricants pharmaceutiques des vaccins avaient été informés par la FDA que d’autres tests sur les animaux n’étaient pas nécessaires (le grand public serait les cobayes.) Incroyablement, on nous a dit que les nouveaux vaccins à ARNm de Pfizer avaient été approuvés par la FDA. , qui était une tromperie de couperet, en ce qu’un autre vaccin avait l’approbation (comirnaty) et non celui utilisé, le vaccin BioNTech. Le vaccin communautaire approuvé n’était pas disponible aux États-Unis. Les médias nationaux ont déclaré au public que le vaccin Pfizer avait été approuvé et n’était plus classé comme expérimental, un mensonge flagrant. Ces mensonges mortels continuent. Il est temps d’arrêter cette folie et de traduire ces personnes en justice.

Clause de non-responsabilité

Les points de vue et opinions exprimés dans cet article sont ceux des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la politique ou la position officielle de la Revue ou de sa direction.

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53. Nicole Sirotek partage ce qu’elle a vu en première ligne à New York. # Meurtre. https://rumble.com/vt7tnf-registered-nurse-nicole-sirotek-shares-what-she-saw-on-the-front-lines-in-n.html [Dernier accès le 6 février 2022].

54. Noether MMat S. Avantages de la fusion des hôpitaux : points de vue des dirigeants d’hôpitaux et analyse économétrique. Janvier 2017 https://www.aha.org/guidesreports/2017-01-24-hospital-merger-benefits-views-hospital-leaders-and-econometric-analysis [dernière consultation le 6 février 2022].

55. Témoignage de l’infirmière Colette Martin devant la Chambre des représentants de la Louisiane. https://www.youtube.com/watch?v=cBwnIRUav5I [dernière consultation le 6 février 2022].

56. Infirmière Dani : Ce sont les protocoles hospitaliers Covid-19 qui tuent les gens. https://rumble.com/vqs1v6-nurse-dani-its-the-covid-19-hospital-protocols-are-killing-people.html [dernière consultation le 06 février 2022].

57. La clinique Parpia R. Mayo licencie 700 employés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le Covid-19. https://thevaccinereaction.org/2022/01/mayo-clinic-fires-700-employees-for-refusing-to-get-covid-19-vaccinations [dernière consultation le 6 février 2022].

58. Pomara C, Li Volti G, Cappello F. Morts du Covid-19 : sommes-nous sûrs qu’il s’agit d’une pneumonie ? S’il vous plaît, autopsie, autopsie, autopsie !. J Clin Med. 2020. p.

59. .éditeurs. Post Editorial Board Facebook admet la vérité : les « vérifications des faits » ne sont qu’une opinion (de gauche). Poste de New York. p.

60. DG de Rancourt. Le masque ne fonctionne pas. Une revue de la science pertinente à la politique sociale covid-19. https://archive.org/details/covid-censorship-at-research-gate-2 [Dernier accès le 06 février 2022].

61. Redshaw M.éditeurs. Alors que les rapports de blessures après les vaccins Covid approchent le million de dollars. CDC, FDA clear Pfizer, boosters Moderna pour tous les adultes. p.

62. Roche D. éditeurs. Les membres du Congrès et leur personnel sont exemptés du mandat de vaccin de Biden, Newsweek 9/10/21 Boston Herald Editorial Staff. Éditorial : Les élites politiques exemptées des mandats vax. Boston Herald. 2021. p.

63. Ross E. Comment les tactiques de relations publiques des sociétés pharmaceutiques faussent la présentation de la recherche médicale. https://www.theguardian.com/science/2011/may/20/drug-companies-ghost-writing-journalism [dernière consultation le 6 février 2022].

64. Saul S. Ghostwriters utilisés dans les études sur le Vioxx, dit l’article. 15 avril 2008 https://www.fpparchive.org/media/documents/public_policy/Ghostwriters%20Used%20in%20Vioxx%20studies_Stephanie%20Saul_Apr%2015,%202008_The%20New%20Times.pdf [dernière consultation le 06 février 2022] .

65. Saxena V. Doctors perd sa licence médicale. Ordonné d’avoir Psych Eval pour Ivermectin Scrits, partageant la « désinformation » de Covid. Disponible sur : https://bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-orderedto-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharining-covid-falsehoods-1189313. [Dernier accès le 06 février 2022].

66. Schwab K, Malleret T. éditeurs. La pandémie de Covid-19 et la grande réinitialisation. Forum Publishing 2020 Forum économique mondial. Cologny/Genève : p.

67. Le sénateur Ron Johnson sur les blessures causées par le vaccin Covid-19 aux sujets testés. https://www.youtube.com/watch?v=6mxqC9SiRh8 [dernière consultation le 6 février 2022].

68. Sperhake JP. Autopsies du Covid-19 décédé ? Absolument!. Méd. Juridique 2020. p.

69. Svab P.éditeurs. Pic de décès non Covid chez les Américains âgés de 18 à 49 ans. The Epoch Times. p.

70. US Medical, Scientific, Patient and Civic Organization Funding Report: Pfizer: Fourth Quarter 2010. https://cdn.pfizer.com/pfizercom/responsibility/grants_contributions/pfizer_us_grants_cc_q4_2010.pdf [Dernier accès le 6 février 2022].

71. Vivek Saxena. Les médecins perdent leur licence, ont reçu l’ordre d’avoir une évaluation psychologique pour les scrits d’ivermectine, partageant la « désinformation » de Covid. https://www.bizpacreview.com/2022/01/16/doctor-loses-license-ordered-to-have-psych-eval-for-prescribe-ivermectin-sharing-covid-falsehoods-1189313.

72. Westendorf AM. L’hypoxie améliore l’immunosuppression en inhibant la fonction des lymphocytes T effecteurs CD4+ et en favorisant l’activité des Treg. Cell Physiol Biochem. 2017. 41 : 1271-84

73. Wood PM.rédacteurs. Technocratie : la route difficile vers l’ordre mondial. édition cohérente ; 2018. p.

74. Wood PM.rédacteurs. Technocratie en hausse : le cheval de Troie de la transformation mondiale. édition cohérente ; 2015. p.




Seule la liberté des médecins et soignants peut sauver la médecine pour les malades

[Voir aussi sur la-verite-vous-rendra-libres.org]

Par le Dr Gérard Delépine, le 8 juin 2022  

L’échec des politiques sanitaires des 20 dernières années

D’après l’OCDE la France est l’un des pays qui consacre le plus de richesse aux dépenses de santé en pourcentage du PIB avec 12,4 %(([1] https://www.vie-publique.fr/fiches/37910-depenses-de-sante-par-rapport-au-pib)) derrière les USA (17 %), avec la Suisse et l’Allemagne. Mais alors qu’en 2000 nous figurions à la première place du classement OMS(([2] https://www.universalis.fr/encyclopedie/sante-le-systeme-de-sante-francais/2-le-parcours-de-soins/)), celui de 2021 nous a rétrogradé en 16e position, juste avant l’Italie.(([3] https://international-leader.com/classement-2021-des-6-pays-ayant-le-meilleur-systeme-de-sante-au-monde/)) Ce déclassement hospitalier de la France a été abondamment illustré par des attentes devenues interminables aux urgences se terminant parfois par la mort. Les très nombreuses grèves et manifestations d’appel au secours de soignants pendant plusieurs mois ont a été méprisées par le gouvernement Macron et n’ont reçu comme réponse que gaz lacrymogène et flash balls.  

Le Ségur de la santé de juillet 2020 n’a été qu’une parodie de discussion sans aucune décision permettant de remotiver les personnels et deux organisations syndicales ont signalé :

« l’absence de mesures efficaces pour les médecins en début de carrière et plus largement pour tous ceux qui assurent des gardes. »  

La dictature sanitaire de ces deux dernières années

Lors de cette crise Covid, le gouvernement craignait que l’incapacité de l’hôpital de répondre aux besoins prévus de la population ne démontre à celle-ci la gravité des dégâts occasionnés par sa politique sanitaire passée.  

Au lieu de remettre en question celle-ci, le ministère en a profité pour imposer des mesures de coercition inefficaces et au total infiniment plus coûteuses qu’une remise en état du système sanitaire.  

La maltraitance accrue des médecins a atteint des sommets incroyables avec la négation gouvernementale du rôle de l’examen clinique par les médecins de ville (n’allez pas voir votre docteur !), l’interdiction de prescrire les médicaments qu’ils estimeraient utiles (tels que la chloroquine, les antibiotiques, l’Ivermectine, la vitamine D etc..), la recommandation du Doliprane, l’incitation au meurtre par le décret Rivotril, la propagande officielle pour le Remdesevir et ses invraisemblables achats par la Commission européenne et dans une moindre proportion par l’État français (achats liés apparemment aux conflits d’intérêts de certains membres du comité scientifique, et alors que ce remdesevir a été déclaré médicament inefficace et dangereux par l’OMS), l’établissement d’une censure généralisée dans les médias et Internet et le rétablissement du délit d’opinion pour les médecins(([4] Avec poursuites intentées par l’ordre des médecins contre les docteurs dont les propos s’opposent à la propagande officielle comme Raoult, Perrone et les autres lanceurs d ‘alerte.)), la propagande sans limite et les chantages permanents aux libertés élémentaires pour forcer la population à se faire injecter des médicaments expérimentaux mensongèrement qualifiés de vaccin, culminant avec l’obligation pour les soignants et de nombreux autres professionnels de se faire injecter ces produits incapables de protéger de la maladie ni de la transmission et potentiellement dangereux.  

Comme le souligne le rapport du Sénat(([5] http://www.senat.fr/seances/s202102/s20210210/s20210210005.html#Niv1_SOM4)):

« Doit être aussi questionné l’hyper-présidentialisme, qui voit se concentrer autour d’un seul un conseil de défense, un conseil scientifique, un comité d’analyse et de recherche, puis un autre conseil scientifique sur les vaccins épaulé par trois cabinets de conseil privés, …et dont le fonctionnement reste opaque, sans contrôle public du Parlement et des acteurs du territoire ».  

En période de pénurie avérée, exclure des soignants sous un prétexte fallacieux est criminel !  

Désormais incapables d’exercer leur métier en respectant le serment d’Hippocrate auquel ils sont viscéralement attachés, beaucoup de confrères ont préféré démissionner, se faire exclure de la profession ou prendre une retraite anticipée. Ils sont en réalité beaucoup plus nombreux que les 15000 exclus que reconnaît le ministre de la Santé qui fait semblant d’ignorer les démissions, les retraites anticipées et les changements de carrière vers les métiers non soignants (de la recherche, de la fonction publique ou des laboratoires pharmaceutiques) ou même étrangers au secteur médical.  

Ces soignants ne sont pas des antivax comme le gouvernement le répète en permanence car la plupart ont, au cours de leur carrière, largement conseillé et vacciné leurs patients et se sont fait injecter de vrais vaccins : ce sont des vaccino prudents. La prudence s’impose en effet devant une mise sur le marché totalement précipitée de ces substances en essai thérapeutique, en moins d’un an, avant la fin des essais phase 3 alors qu’il faut en moyenne 10 à 15 ans pour de vrais vaccins.  

Le bienfondé de cette prudence a été malheureusement rapidement confirmé par les complications (officiellement imprévues)(([6] Mais dont les documents Pfizer cachés ont démontré que les premières semaines d’essai avaient révélé toutes ces complications rapides et parfois mortelles. Le mur de mensonges se lézarde depuis que la justice américaine a rendu obligatoire la diffusion des documents secrets des essais.
Les DOCUMENTS SECRETS DES ESSAIS PFIZER révèlent DEUX FOIS PLUS DE DECES PARMI LES VACCINES que les non injectés | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)  ))(([7] Pfizer’s Documents – Public Health and Medical Professionals for Transparency (phmpt.org)  )) qu’ont subies les premiers soignants à se faire injecter, au point que la HAS pourtant très favorable à la pseudo-vaccination a dû recommander de « NE PAS « VACCINER » EN MEME TEMPS TOUS LES SOIGNANTS D’UN SERVICE » pour éviter les fermetures provisoires des dits services.  

La liste colossale des complications recensées en Europe par Eudravigilance, aux USA par le VAERS mais aussi en Grande-Bretagne, en Israël, et la divulgation grâce à la justice américaine du dossier Pfizer de la FDA montrent que ces injections ont été suivies en 16 mois de plus de morts et de séquelles graves que toutes les vaccinations depuis 30 ans.

De plus ces complications ont été imposées sans aucun bénéfice autre que celui des laboratoires pharmaceutiques qui avaient prétendu que leurs vaccins étaient efficaces à 97 %, alors que les données publiées par l’OMS montrent que depuis les grandes campagnes de « vaccination » le nombre des contaminations mondiales a été multiplié par 6,5 (de 83 millions le 31/12/2020 à 532 millions le 6/6/22) et celui des morts attribuées au Covid19 par 3,5 (de 1,8 million au 31/12/2020 à 6,28 au 6/6/2022).  

Eliminer des soignants pour des injections qu’ils refusent car elles ne les protègeraient pas plus que leurs contacts de la maladie tout en leur faisant courir des risques, est éthiquement et médicalement incompréhensible.  

Ces soignants exclus sont aussi victimes de leur honnêteté : du fait de leur profession il leur était particulièrement facile de faire semblant de se faire vacciner comme beaucoup de politiques et de journalistes, mais leur éthique leur a interdit de faire ou d’utiliser de faux certificats.(([8] Espagne : Vaccinés pour de faux : la liste de tous les chanteurs, sportifs et hommes d’affaires ayant fait l’objet d’une enquête dans le cadre de l’ »opération Jenner ». – Résistance (resistance-mondiale.com)  )) Mais ces mêmes politiques osent prétendre qu’ils manqueraient d’éthique !  

Pour l’urgentiste Christophe Prudhomme suspendre les soignants, « c’est catastrophique au niveau sanitaire ». Le Dr Patrick Pelloux, président de l’Association des Médecins Urgentistes de France (AMUF a lui, plaidé pour un retour des non-vaccinés dans les hôpitaux jugeant que la situation est « catastrophique ». « Il y a le feu au lac ! La crise que vit l’hôpital est historique. Dans ce contexte, on ne peut pas se passer des 15 000 personnes suspendues » mais manifestement le ministère de la santé les considère comme de simples médecins ignorants des réalités virtuelles dans lesquelles vit le gouvernement.  

Début juin 2022, au moins 120 services d’urgence sont incapables d’assurer une continuité de service avec des difficulté majeures à boucler les listes de garde, une pénurie permanente d’effectifs médicaux et paramédicaux, un absentéisme fortement augmenté…  

Même choses pour les services de psychiatrie et d’obstétrique et de nombreux autres services.  

Les blocs opératoires ont dû réduire leurs activités retardant d’autant des interventions urgentes et encore davantage les opérations courantes.  

En même temps, en médecine de ville, les déserts médicaux se multiplient et les revendications ont pris de l’ampleur.

Et l’été approche avec les absences dues aux vacances qui aggraveront la situation.  

La qualité de la médecine et son attractivité nécessitent la liberté.  

Ayant exercé la médecine puis la chirurgie pendant près de cinquante ans j’ai vécu une période heureuse où je pouvais prescrire et opérer librement sous ma responsabilité directe. Je pouvais respecter le serment d’Hippocrate et assurer les meilleurs soins aux malades selon l’état de la science, mon expérience et mon imagination.  

Certes je m’exposais aux foudres d’un Conseil de l’Ordre peu ouvert aux progrès(([9] Ainsi en 1986 on me reprocha de ne pas amputer les malades atteints de cancer des membres car il s’agissait «d’une  méthode non validée par la science » alors qu’elle s’est depuis imposée dans tous les pays riches. ))(([10] Plainte contre le Pr Raoult : moi aussi j’ai eu affaire au Conseil de l’Ordre…
https://ripostelaique.com/plainte-contre-le-pr-raoult-moi-aussi-jai-eu-affaire-au-conseil-de-lordre.html )), mais jamais l’administration ne s’immisçait dans mes indications. Et les malades témoignaient leur reconnaissance avec des sourires, des remerciements, des petits cadeaux souvenirs ; comme fromage ou vin de leur production familial. C’était le bonheur d’être utile, passionné et libre.  

Mais dans les années 1990 l’exercice médical est devenu plus difficile, car le coût à court terme est devenu la priorité absolue des gestionnaires hospitaliers.

Un jour, je n’ai obtenu la prise en charge d’une prothèse nécessaire pour éviter l’amputation d’un malade qu’en menaçant le directeur de l’hôpital (qui la refusait) d’organiser une quête nationale avec exposé des motifs dans les journaux !

Le malade a pu conserver sa jambe, mais mon dossier administratif en a fortement souffert.  

Quelques années plus tard, lors de la retraite de mon épouse, son service de Garches a été fermé alors qu’il pouvait parfaitement(([11] Durant son fonctionnement ce service n’a jamais été l’objet d’une plainte de malades ou de leur famille mais la bureaucratie et ceux que nous dérangions nous ont gratifié d’une dizaine d’audits. Les familles enchainaient manifestations devant le siège de l’aphp ou du ministère et ont même fait une grève de la faim en juin2014 ; la direction fit évacuer ces parents par des CRS…lire « neuf petits lits sur le trottoir » N Delepine ed fauves 2014. )) continuer à traiter les petits malades cancéreux grâce aux compétences reconnues de ses membres plus jeunes. Le directeur de l’APHP avait décidé de dédier ses établissements à la « Recherche », (celle des subsides de l’industrie pharmaceutique qui rémunère les établissements et les médecins) au lieu de se consacrer à remplir en premier lieu la mission de l’hôpital, les soins.  

Les dangers immédiats exigent un changement de méthode  !  

Deux ans après la pseudo concertation du Ségur de la santé(([12] Les Contes de Ségur, revus et corrigés par O. Véran. Communication ou véritable réforme ? | FranceSoir  )), c’est la totalité des soignants – des étudiants aux médecins et autres soignants en exercice, des prestataires de santé à domicile aux EHPAD – qui se demandent s’ils pourront enfin traiter leurs malades dans des conditions décentes de liberté et de qualité.  

La « perte de repères » qu’ils vivent vient d’être illustrée par l’enquête Odoxa pour la MNH(([13] Perception des Français et des professionnels de santé sur l’hôpital, le système de santé et l’attractivité des métiers de la santé
http://www.odoxa.fr/wp-content/uploads/2022/05/CP-MNH.pdf  )), montrant aussi qu’une forte majorité d’hospitaliers subissent un niveau de stress « inacceptable »..  

Mais au lieu de traiter les vraies causes de cette désaffection croissance des médecins, les solutions autoritaires faciles que proposent les élus mal informés (telles que forcer les praticiens de ville qui restent et qui travaillent souvent 60 heures par semaine à prendre des gardes de nuit, ou obliger les nouveaux praticiens à s’installer dans les déserts médicaux) vont l’aggraver. En voulant rajouter des mesures contraignantes, ils risquent de faire fuir encore davantage les soignants. On n’attire pas les mouches avec du vinaigre !  

Emmanuel Macron a promis 50 000 nouveaux postes d’infirmières et d’aides-soignants sur cinq ans, une promesse qu’il sera bien en peine de réaliser même en titularisant les soignants et tous les médecins étrangers vivants en France alors que les candidats font défaut, à moins de supprimer l’inutile obligation d’injection des soignants et de supprimer le poids administratif qui pèse sur leur exercice quotidien via les cadres de santé, le temps passé sur l’écran pour rien d’efficace et les plannings délirants.  

D’autant que la préparation du projet de loi de financement de la Sécu (PLFSS 2023) se profile avec un parcours d’équilibriste très incertain : le redressement de la Sécu, exsangue (24,6 milliards d’euros de déficit l’an passé) alors que les revendications du secteur n’ont jamais été aussi fortes avec l’inflation approchant les 5 %.  

Dans ce contexte la réintégration immédiate des soignants ignominieusement démis et la suppression de toutes les mesures coercitives inutiles (masques, pass) qui persistent toujours à l’hôpital y compris pour les visiteurs (ce qui rend la vie des soignants encore plus difficile, par honte de cette maltraitance) et les EHPADs sont des mesures peu coûteuses qui pourraient faire immédiatement réapparaitre au moins 20000-30000 soignants et éviter de nombreuses démissions ou arrêts maladies supplémentaires.  

Élisabeth Borne affirme vouloir « des mesures efficaces pour l’été ».  

Mais ces mesures supposent que la ministre rompe définitivement avec son autoritarisme passé qui lui a fait supprimer le contrat de travail des salariés des entreprises recevant du public pour cause de non-vaccination, le tout sans droit au chômage ni au RSA, les transformant de fait en sdf en l’absence de gros soutiens des familles.  

Tout laisse craindre que le dogmatisme, l’autoritarisme et la corruption l’emporteront sur le pragmatisme et que l’été sanitaire sera chaud.  

Et la nouvelle ministre Mme Bourguignon a été formée par O. Véran, ce qui laisse craindre la suite.  

Espérons que nous nous trompons.  


Une injection acceptée, deux, des ennuis, combien en faudra-t-il ? d’autant qu’ils ne tiennent pas compte des « ennuis ». Une collègue injectée pour poursuivre son job a fait une myocardite sévère. On la force à se réinjecter. Comment survivre à une telle violence physique et morale ?

Et si le peuple ne se réveille pas pour soutenir les soignants … :  


Notes et références :  




Le combat pour l’humanité

[Source : Kla.tv]

« Le combat pour l’humanité » avec le Dr. Carrie Madej et David Sorensen

La bataille fait rage pour l’humanité. Le Dr Carrie Madej révèle comment Big Tech collabore avec Big Pharma pour introduire de nouvelles technologies dans les vaccins à venir qui vont modifier notre ADN et nous transformer en hybrides. Cela signifiera la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et déclenchera le processus de transhumanisme : HUMAN 2.0. Les plans prévoient d’utiliser des vaccins pour injecter la nanotechnologie dans notre corps et nous connecter au cloud et à l’intelligence artificielle. Cela permettra aux gouvernements corrompus et aux géants de la technologie de nous contrôler sans que nous en soyons conscients. Cela peut paraître cool pour ceux qui ont vu trop de films de science-fiction, mais en réalité, cela mettrait fin à notre autonomie et nous rendrait esclaves d’entreprises technologiques mondialistes qui pourraient alors nous contrôler sans que nous nous en rendions compte.

[Voir aussi :
Les 10 plans les plus diaboliques du Forum Économique Mondial pour l’Humanité
Intégrer les nouvelles technologies directement dans notre corps est l’une des ambitions du Forum économique mondial d’ici 2030
Elon Musk veut implanter la puce de Neuralink dans le cerveau d’humains dès l’année prochaine
Le Great Reset : Le Forum économique mondial dévoile un projet mondial d’« identité numérique »
L’ultime objectif du Forum Économique Mondial : prendre le contrôle de l’Humain
Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale
Tous surhumains demain?
Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Yuval Noah Harari, théoricien oligarchique du piratage de l’humain et de la dépopulation
Harari et « l’homme numérique de demain » : les projets inquiétants du Forum de Davos
Le FEM de Klaus Schwab en 2020 : Les humains sont désormais des « animaux piratables » et seront « réingénierisés »
Great Reset : le « monde d’après » est un cauchemar
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset”
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
La RTS invite Patrick Artus pour expliquer le Great Reset qui nous attend
Great reset : c’est pour bientôt !
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
La nanotechnologie dans les vaccins
Quelle est la cause réelle du Covid ? Qu’y a-t-il dans ces injections ?
Le Dr Astrid Stuckelberger confirme que les vaccins anti-covid et le test PCR sont en réalité les causes de la maladie Covid, au moins sous forme de variants, à cause notamment du graphène qu’ils contiennent
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins Covid
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]



Transcription

David Sorensen : Pourquoi des milliers de médecins et de scientifiques sont-ils censurés dans le monde entier ? Pourquoi les experts médicaux ne sont-ils pas autorisés à s’exprimer sur le vaccin Covid-19, et sur les traitements efficaces contre le Covid-19 ? Nous sommes dans une ère de censure sans précédent. La liberté d’expression a complètement disparu de la planète Terre. Des milliers et des milliers de documentaires, d’interviews, d’émissions de médecins et de scientifiques sont retirés d’Internet, c’est une réalité. Leurs sites web sont fermés, sans aucun avertissement. Qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi y a-t-il une pression si agressive avec le vaccin Covid-19 ? Pourquoi tous les traitements qui réussissent contre le Covid-19 sont-ils littéralement bannis de tant de pays ? Il se passe quelque chose.

Bonjour, je suis David Sorensen. Aujourd’hui, j’accueille le Dr Carrie Madej dans notre studio. C’est une experte médicale qui fait des recherches depuis des décennies. Et elle a découvert des choses extrêmement inquiétantes sur le vaccin Covid-19.

Le Dr Carrie Madej a été la directrice médicale de deux grandes cliniques. Elle a une énorme expérience médicale et c’est un honneur pour nous de l’avoir parmi nous. Chers spectateurs, je vous encourage à regarder la vidéo jusqu’au bout et à l’écouter. Il s’agit peut-être de la vidéo la plus importante que vous verrez jamais dans votre vie.

Dr Carrie Madej : Je suis très heureuse d’être ici. Et je sens qu’il est très urgent que nous partagions cette information. J’ai commencé à faire des recherches sur les vaccins quand j’avais à peine une vingtaine d’années. Mais je n’avais jamais vu la technologie utilisée pour ce vaccin Covid-19 envisagée auparavant. Tout d’abord, ce vaccin utilisera un ARN modifié ou un ADN modifié dans le vaccin. Alors pourquoi est-ce important ? C’est important de le savoir parce que ça pourrait potentiellement modifier notre ADN, notre génome. Et pourquoi l’ADN ou l’ARN et notre génome sont-ils si importants ? Le génome est ce qui nous rend humains, ce qui nous distingue du reste des animaux et des plantes. C’est le plan de ce qui nous constitue, de la façon dont nous nous reproduisons, nous fonctionnons, nous nous réparons et nous développons. Une petite modification, une petite protéine qu’on ajoute ou qu’on enlève peut en fait créer un défaut congénital ou un trouble héréditaire. Donc quelque chose qui peut vraiment avoir un double effet sur nous, sur l’être humain. D’accord ? Ils proposent d’utiliser la technologie, et une partie de cette technologie s’appelle la transfection.

La transfection est la même technologie que celle utilisée pour produire un organisme génétiquement modifié, comme une tomate ou du maïs du supermarché. Et nous savons tous que Monsanto est assez connu pour produire des organismes génétiquement modifiés. Et ceux-ci ne sont pas aussi sains que le type organique et sauvage qu’on voit dehors dans la nature. Alors, si la même technologie est utilisée pour les plantes, que se passe-t-il pour nous, les humains ? Il est possible que nous ne soyons pas aussi sains. Et je voudrais rappeler à tout le monde que c’est la première fois que cette technologie est utilisée à grande échelle chez les humains. Nous serions l’expérience, nous serions les rats de laboratoire. Nous n’avons pas d’études à long terme, donc c’est très important de le savoir. Je vais vous montrer l’un des précurseurs de ce vaccin. Il s’agit de Moderna. Moderna a reçu environ un demi-milliard de dollars du gouvernement américain pour la recherche et le développement. Il est soutenu par la fondation Bill & Melinda Gates. Ils ont donc donné beaucoup d’argent pour ça. Je voudrais vous faire remarquer que chez Moderna, ils sont novices dans ce domaine. Ça ne fait pas si longtemps qu’ils sont là. Ils n’ont encore jamais développé de vaccin ou de médicament pour les humains. C’est leur première tentative. Et juste pour que vous le sachiez, ils ont des années-lumière d’avance sur un vaccin à fabrication rapide D’accord. Donc, ils sont passés de l’expérience en laboratoire à la phase 2 avec seulement 45 volontaires humains en 63 jours ! Deux mois ! C’est fou ! Ça aurait dû prendre des années.

Et je vous rappelle que c’est le délai le plus court jamais enregistré pour le développement d’un vaccin. Voici ce que leurs premières études ont montré, appliquées en phase 2, testées sur 45 personnes : 100% des personnes ayant reçu des doses élevées ont eu des effets secondaires systémiques après avoir eu ce vaccin à haute dose. Dans le groupe de vaccins Lotus, 80% des personnes ont eu des effets secondaires systémiques. Ici, nous voyons déjà les effets secondaires initiaux. À long terme, nous ne le savons pas du tout.

Donc, pour Moderna, une possibilité d’application pourrait être un patch, également appelé patch à micro-aiguilles. Vous pouvez donc obtenir des patchs à micro-aiguilles par la poste, Amazon ou UPS. L’avantage : vous pourriez vous-même l’appliquer sur votre peau. Vous retirez le film et voilà, vous êtes vacciné. Vous le faites vous-même. Alors, comment faites-vous ? Le patch a de minuscules micro-aiguilles dessus. Il est conçu à la manière d’une dent de serpent ou d’un museau de vipère. Donc, c’est comme la morsure d’un serpent, mais de plusieurs. Ils disent que vous ne le sentirez pas, mais ça va dans votre peau. Et les petites micro-aiguilles minuscules injectent la substance dans votre corps. Qu’est-ce qu’il y a dans une micro-aiguille ? Ce sera soit l’ADN, soit le vaccin ARN ! Numéro deux : ce sera quelque chose qui s’appelle la luciférase.

Eh bien, c’est très important à savoir. Ils ont breveté une enzyme qui s’appelle la luciférase. D’accord ? Lucifer, porteur de lumière, parce que c’est de la bioluminescence. Une lumière. Et c’est quelque chose que vous ne pouvez pas voir ou sentir. Si vous avez un appareil comme une application pour smartphone, vous pouvez le scanner et il s’allume. Cela montre un motif, un code numérique, un code-barres, un tatouage. Nous sommes marqués au fer rouge. Chaque personne a alors sa propre carte d’identité. Vous savez, cela me rappelle la Seconde Guerre mondiale. Vous devriez penser à être marqué comme un produit en magasin.

Ce sera donc là-dedans, comme preuve que vous avez été vacciné. Ils veulent pouvoir vous scanner pour vérifier que vous avez bien le vaccin. Donc, nous serons marqués. À quoi cela pourrait-il servir ? Il existe de nombreuses technologies, mais c’est quelque chose dont nous devons nous préoccuper.

Il y a donc deux choses : Nous avons un tout nouveau vaccin expérimental à base d’ADN, d’ARN, qui pourrait potentiellement modifier notre génome, et deuxièmement, nous serons tatoués ou marqués d’une ID. Et troisièmement, tout ça sera dans un hydrogel. Donc, l’hydrogel est une technologie développée par la DARPA, (agence du ministère de la Défense des États-Unis). C’est une petite partie du Pentagone, le ministère de la Défense. Ils font les inventions de science-fiction dont vous entendez peut-être parler. Il s’agit donc d’une de leurs inventions. Vous pouvez chercher sur YouTube « Hydrogel », la société « Profusa » et « DARPA » et regarder quelques clips, certaines de ces technologies. Il s’agit donc d’une technologie particulière. Elle s’insère sous la peau, à condition que le corps ne la rejette pas. Et c’est une nanotechnologie, des organismes robotiques microscopiques. Donc, ces organismes microscopiques, ces petits robots, seront dans votre corps. D’accord ? Ils peuvent se réunir, se séparer et se réunir à nouveau, et faire d’innombrables choses dans votre corps. L’idée est donc de recueillir des informations de votre corps. Vous pourriez mesurer votre tension artérielle, votre glycémie, votre rythme cardiaque, ce qui semble bien. Donc ils collectent ces informations. Mais ça peut aussi faire d’autres choses. Il peut compter le nombre de pas que vous avez faits, si vous tombez, si vous marchez, si vous avez vos règles et comment se déroule votre cycle menstruel, si vous avez des relations sexuelles ou si vous dormez. Il peut en fait détecter vos émotions. D’accord ? Toutes ces données, 24 heures par jour, 7 jours par semaine, 365 jours par an, sont collectées. Et où cela va-t-il ? Eh bien, ils prétendent que ça va vers une application intelligente, vers le cloud ou vers tout autre appareil. Mais qui reçoit ces informations ? Qui les utilise ? Dans quel but les utilisent-ils ? Il n’y a pas de réponse à cette question. L’autre chose importante à savoir est donc ceci : où sont collectées toutes ces informations nous concernant ? Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle. Il faut le savoir : Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Vous devez le savoir: Ce n’est pas seulement un vaccin ! Nous sommes connectés à l’intelligence artificielle ! Donc, vous avez votre smartphone. Vous pouvez envoyer un SMS ou un e-mail, mais le téléphone ou quelqu’un d’autre peut aussi vous envoyer quelque chose, à votre appareil. Ça signifie que quelque chose peut renvoyer quelque chose à notre corps. Des messages et des informations. Que peut-il se passer ? J’imagine que votre humeur serait affectée, ou votre comportement, ou votre mémoire. Cela pourrait vraiment causer beaucoup de problèmes. Et qui est responsable de cela ? Le ministère de la Défense ? Bill et Melinda Gates ? Qui s’en occupe ? Nous n’avons pas encore de réponses, mais c’est quelque chose qu’il faut vraiment savoir, parce que c’est à l’ordre du jour !

Et je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler d’ID 2020. C’est l’idée que tout le monde doit avoir une identification unique ! Et avec cette identification, tout sera réglé. Plus besoin de carte de crédit, plus besoin d’argent liquide ! Ce tatouage, ce n’est que le début de l’identification univoque ! Cela signifie la fin de l’argent liquide, la fin des cartes de crédit et ce n’est que le début de tout ! D’accord ? La perte d’autonomie, la perte d’indépendance, la perte de la vie privée. Nous devons vraiment savoir ce que ces personnes ont l’intention de faire !

Parlons maintenant de l’hydrogel. Les entreprises prétendent que l’hydrogel a le potentiel d’être un « système d’administration immédiate de médicaments à la demande ». Et je ne dis pas qu’on le met dans ce vaccin, mais je dis que c’est la même technologie. Vous devez le savoir ! C’est donc une « administration immédiate de médicaments à la demande ». Ça signifie que par une application de lumière, un médicament serait délivré directement dans votre corps. C’est inquiétant, parce que normalement, quand je veux prendre un médicament, j’ai un emballage avec une étiquette, je vois le comprimé, il est marqué, et je le prends quand je veux. J’ai le contrôle ! Mais qu’en est-il lorsque quelque chose est livré par la lumière ? Et je ne suis pas tout à fait sûr de ce qu’ils sous-entendent par là mais c’est de cela qu’ils parlent. Est-ce que quelque chose dans votre corps peut être activé de l’extérieur ? Est-ce que vous saurez qu’il a été activé ? Et s’il y a un problème avec ça, alors quoi ? Je veux dire, pouvez-vous imaginer l’impact de cela ? Que se passerait-il si un groupe de personnes devenait incontrôlable ? Quelque chose en vous pourrait-il être stimulé pour vous calmer ? J’imagine que dans de mauvaises mains, ce serait très dangereux. Est-ce une des raisons pour lesquelles notre armée est impliquée ? Je vous donne juste quelques idées pour réfléchir de manière critique, pour faire vous-même des recherches sur ces choses, sur ce qui serait possible avec ces vaccins. Vous devez vraiment savoir qu’ils ne nous donnent pas seulement un vaccin ! Ils manipulent notre ADN, notre génome ! Et ils disent : Ce n’est que temporaire, mais je vous dis qu’il est possible de manipuler le génome de façon permanente avec la transfection, et nous ne le remarquerons pas tant qu’ils ne l’auront pas fait avec nous tous ! Voulez-vous prendre ce risque ?

David Sorensen : Un autre point qui est extrêmement préoccupant, c’est que c’est le numéro 1 des distributeurs de vaccins qui fait avancer le projet. Il s’agit de Bill Gates. C’est un homme qui n’a réellement aucune formation médicale.

J’aimerais vous poser une question. Quand vous êtes malade, vous allez voir un médecin. Vous allez voir quelqu’un qui a été formé pour bien vous soigner, quelqu’un qui peut poser un diagnostic précis et qui peut proposer les meilleurs traitements pour vous guérir. Iriez-vous chez une personne qui n’a absolument aucune formation médicale ? Aucun d’entre nous ne le ferait. Bill Gates, cependant, est le numéro 1 mondial. Il contrôle les gouvernements et les organisations de santé dans de nombreux pays. Il est le numéro 1, le financier de l’Organisation mondiale de la santé. Il dicte ce qu’ils font et ce qu’ils ne font pas. C’est un homme qui n’a littéralement aucune formation médicale, et pourtant il est la voix principale dans le monde, qui oriente l’humanité dans son ensemble vers des décisions médicales extrêmement dangereuses, une direction médicale. C’est lui qui finance les entreprises de vaccins. C’est lui qui a parlé au président Trump. Vous pouvez écouter ce clip, il ne s’agit que de quelques secondes, où il dit mot pour mot au président Trump : « Nous ne devrions pas étudier les risques et les dommages des vaccins ».

Bill Gates : La deuxième fois que je l’ai vu, c’était après, en mars 2017, à la Maison Blanche. Lors de ces deux rencontres, il m’a demandé si les vaccins n’étaient pas malgré tout une mauvaise idée. Il a envisagé de créer une commission chargée d’étudier les effets nocifs des vaccins. Robert F. Kennedy Junior a en effet déclaré que les vaccins étaient nocifs. Et j’ai dit : Non, c’est une impasse, ce n’est pas une bonne idée. Ne le fais pas.

David Sorensen : Bill Gates est connu pour les ravages qu’il a causés dans le monde entier avec ses vaccins. Robert F. Kennedy Junior est un proche parent de feu John F. Kennedy, qui a été assassiné parce qu’il enquêtait sur la corruption de la CIA. Robert Kennedy a la même passion pour la vérité et la lutte contre la corruption. Il a enquêté sur l’industrie des vaccins de Bill Gates et il a rédigé un rapport montrant comment il a rendu des millions de femmes stériles sans qu’elles le sachent. Il a provoqué la paralysie, l’autisme, la mort de centaines de milliers d’enfants. Il a été expulsé d’Inde pour cela. Il y a une pétition à la Maison Blanche avec plus de 600 000 signatures de personnes qui demandent une enquête sur Bill Gates pour crimes contre l’humanité. Voilà l’homme… zéro formation médicale. Il ne sait rien sur la manière de soigner les gens malades, et pourtant il est le numéro 1 des fabricants de vaccins. Pourquoi fait-il cela ?

Il a dit que son entrée dans le secteur de la vaccination était le meilleur investissement commercial qu’il ait fait. En faisant du commerce avec les vaccins il a multiplié sa fortune qui est passée de 15 milliards à 100 milliards de dollars.

Pour cela, il possède la plupart des médias ou les soudoie. Le célèbre journaliste allemand Udo Ulfkotte qui a été rédacteur pour l’un des plus grands journaux d’Europe, a fait des aveux choquants il y a quelques années,

Il a dit : « J’ai été journaliste pendant 25 ans. Pendant toutes ces années, on m’a appris à mentir, à tricher et à ne jamais dire la vérité au public ». Et il ajoute : « J’ai été corrompu par des milliardaires américains, par la CIA, par des sociétés secrètes et par les services secrets allemands. »

Udo Ulfkotte : Je suis journaliste depuis 25 ans. J’ai été éduqué à mentir et à tricher, à ne pas dire la vérité. C’est mal ce que j’ai fait dans le passé, manipuler les gens, faire de la propagande. Et ce n’est pas bien ce que nous avons fait, mes collègues et moi, parce que nous avons été soudoyés pour tromper les lecteurs, pas seulement en Allemagne, mais dans toute l’Europe. Nous vivons dans une république bananière, pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse et les droits de l’homme. J’ai été soutenu par le service central de renseignement, par la CIA. J’en ai assez, je ne veux plus de ça. Alors j’ai écrit un livre. Pas pour gagner de l’argent, non, je vais avoir beaucoup de problèmes. Je veux montrer aux gens en Allemagne, en Europe et dans le monde entier ce qui se passe derrière les portes fermées.

David Sorensen : Pourquoi est-ce important dans le contexte des vaccins ? Récemment, une réunion secrète des experts en sécurité des vaccins de l’Organisation mondiale de la santé a eu lieu à Genève, en Suisse. La réunion était secrète. Elle ne devait pas être divulguée. Quelqu’un de consciencieux a fait fuiter les informations de la réunion, car ces experts de haut niveau en matière de sécurité des vaccins, venus du monde entier, ont reconnu mutuellement qu’il existait de graves problèmes de sécurité. Nous sommes profondément préoccupés par les nombreux problèmes de santé à long terme causés par les vaccins et les nombreux décès qu’ils entraînent. Un des principaux scientifiques de l’Organisation mondiale de la santé a déclaré littéralement : « Dans de nombreux pays, nous n’avons pas de bons systèmes de sécurité et nous ne pouvons pas répondre aux questions des gens sur les décès dus aux vaccins. »

Dr Soumya Swaminathan, OMS : Nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus à cause d’un vaccin particulier.

Dr Stephen Evans, OMS : Et c’est pourquoi il ne me semble pas incorrect de dire qu’il y a de plus en plus d’incidents indésirables liés à l’antigène, mais qui n’ont peut-être pas été identifiés en raison du manque de statistiques dans les études initiales.

Dr Martin Friede, OMS : Vous avez raison : le plus grand souci de santé publique que nous voyons, ce sont les accusations d’effets à long terme.

Dr Heidi Larson, OMS : Nous avons des professionnels de la santé critiques qui commencent à remettre en question les vaccins et la sécurité des vaccins. Avec un peu de chance, on a une demi-journée consacrée aux vaccins pendant les études. Ensuite, il faut se tenir au courant soi-même.

David Sorensen : Il est bien connu que les vaccins classiques sont très dangereux et ont de graves effets secondaires. Les médias cachent cela à tout prix au public. Le gouvernement américain a récemment organisé une audition avec Mark Zuckerberg, le PDG de Facebook. Un sénateur a attiré l’attention sur ce point : Le gouvernement amér-icain a récemment versé plus de 4 milliards de dollars à des personnes dont la vie a été détruite par des vaccins. Alors pourquoi Facebook cache-t-il à ses utilisateurs des informations sur les dommages causés par les vaccins ?

Bill Posey : En avril, je vous ai écrit que j’étais déçu que Facebook restreigne la liberté d’expression et que j’envisageais d’aborder le risque de vaccination. Reconnaissant les incertitudes et les risques des vaccins, le gouvernement fédéral a créé un fonds fiduciaire. Ce fonds a versé plus de quatre milliards de dollars pour indemniser les personnes qui ont subi des dommages suite à la vaccination. Il n’y a pas de message plus clair sur le risque vaccinal que l’existence et les paiements de ce fonds. De temps en temps, la recherche médicale a identifié des cas de risques spécifiques liés aux vaccins. Quelqu’un ne devrait-il pas avoir la possibilité d’exprimer une opinion différente de la vôtre ? Je veux dire, plus de quatre milliards de dollars ont été versés par le fonds, à plus de quatre mille personnes. Ne pensez-vous pas que les gens devraient avoir des informations pour pouvoir prendre une décision plus fondée ?

Mark Zuckerberg : Membres du Congrès, c’est ce que je fais, et c’est pourquoi nous n’empêchons pas les gens de publier sur leur page quelque chose qui est faux. Quelqu’un tape dans le champ de recherche quelque chose qui pourrait conduire à des contenus anti-vaccins… nous ne leur recommandons pas de résultats de recherche anti-vaccination.

Bill Posey : Les gens qui sont lésés par cette politique sont en effet des parents d’enfants handicapés, et je ne pense pas que nous devrions, ou que vous devriez, leur tourner le dos si vite, si vous regardez les statistiques terribles. Je pense que vous faites une grave erreur.

David Sorensen : Une forme sévère d’autisme fait que les gens ne sont plus capables de penser clairement, ils ne peuvent pas parler correctement, ils ne peuvent pas se comporter correctement, ils sont handicapés mentaux. Une étude a été menée par le CDC pour examiner le lien entre les vaccins et l’autisme sévère. Ils ont en effet découvert que les vaccins provoquent l’autisme. Cependant, ils ont jeté toutes les preuves dans une poubelle qu’ils ont placée au milieu de la pièce. Ils ont détruit les preuves et ils ont publié un document scientifique dans la prestigieuse revue PEDIATRICS en disant que non, les vaccins ne causent pas l’autisme. Le scientifique principal de cette enquête, de cette étude, William Thompson, est sorti et a dit « Je suis coupable, nous avons caché la vérité au public ».

Conversation téléphonique de William Thompson avec Brian Hooker :

Vous et moi nous nous connaissons à peine, mais vous avez un fils autiste et moi une grande honte.

Journaliste Del Bigtree : Il y a un lanceur d’alerte du CDC qui annonce que le CDC a commis une fraude dans l’étude ROR et qu’ils savaient que les vaccins provoquaient effectivement l’autisme.

Parents d’enfants handicapés dus à la vaccination :

  • Avant la vaccination, mon fils aîné pouvait marcher, mais plus après !
  • J’ai donc appelé la clinique et j’ai dit que je pensais que mon enfant avait un effet secondaire.
  • Et puis il a commencé à se cogner la tête sans arrêt, il tapait contre tout ce qu’il pouvait trouver.

Enregistrement de William Thompson : Je suis assis au bon endroit en ce moment pour vous donner plein d’informations :

(Insertion vidéo : Le risque relatif de recevoir un diagnostic d’autisme était gigantesque.)

Udo Ulfkotte : Wow ! Le CDC était au courant du risque d’autisme dû au vaccin ROR depuis le début !

Dr Coleen Boyle : Et le verdict du CDC : la meilleure politique publique est tout simplement de continuer à vacciner.

Dan Burton : Vous dirigez nos autorités sanitaires et vous avez l’obligation de veiller à ce que ces études soient complètes, afin que nous connaissions tous les faits.

Enregistrement de William Thompson : Oh mon Dieu ! Je ne peux pas le croire… nous l’avons fait !

Journaliste Del Bigtree : …détruit des données, induit le Congrès en erreur, causé de graves dommages à des enfants innocents

Jim Sears (pédiatre) : Tout ce que j’ai dit à mes patients au cours des dix dernières années est basé sur des mensonges et des dissimulations.

Bill Posey : Vous devriez pouvoir compter sur les autorités fédérales pour vous dire la vérité…

Doreen Granpeesheh : En 1978, la prévalence de l’autisme était d’un enfant sur 15 000.

Stephanie Seneff : Au rythme actuel, nous pouvons prédire que d’ici 2032, 80 % des garçons qui naîtront finiront dans le spectre de l’autisme. 80 % des garçons !

Doreen Granpeesheh : Ce nombre énorme d’enfants qui sont diagnostiqués autistes chaque jour…

Stephanie Seneff : … ce sera une catastrophe totale ! Vous laissez cela arriver.

David Sorensen : C’est un crime de l’organisation de la santé au plus haut niveau de nous cacher cette information. Les médias cachent cette information.

Le documentaire VAXX montre en effet l’immense destruction causée par les vaccins dans le monde entier. Les gens expriment l’indicible souffrance du cœur que les vaccins ont causée à leurs enfants, qui ne peuvent plus marcher, plus parler, plus penser. Ce documentaire a été interdit, réprimé et censuré de toutes les manières possibles. C’est pourquoi j’ai invité le Dr. Carrie Madej à parler des vaccins, car le vaccin Covid-19 présente tous les dangers des vaccins classiques, plus tous les risques inhérents aux nouvelles technologies introduites sans tests de sécurité.

Bill Gates dit littéralement dans une interview avec la BBC qu’ils sautent les tests de sécurité habituels parce qu’ils n’ont pas le temps. Comment ça, pas le temps ?

C’est absolument fou ! Et il a aussi dit qu’au moins sept cent mille personnes vont souffrir d’effets secondaires. Et ces effets secondaires incluent le cancer, les maladies auto-immunes, la paralysie, la mort, toutes sortes d’effets secondaires graves. Je vais passer le clip dans lequel vous pouvez entendre Bill Gates parler de l’omission des tests de sécurité.

Bill Gates : Et le moyen de nous ramener au monde d’avant le Covid consiste à vacciner les sept milliards de personnes. L’efficacité chez les personnes âgées, dont le système immunitaire est affaibli, est un grand défi. Pour y parvenir, si on utilise vraiment le vaccin, on risque de se heurter à des problèmes de sécurité. Il faudrait donc terminer en dix-huit mois quelque chose qui prend normalement cinq ou six ans. Mais il y aura un compromis : moins de tests de sécurité que ce que nous avons normalement.

Intervenant du studio : Si je comprends bien, il peut y avoir des compromis sur les mesures de sécurité auxquelles on s’attendrait normalement, parce que le temps est tellement compté ?

Bill Gates : Eh bien, si vous voulez attendre pour voir si un effet secondaire apparaît deux ans plus tard, cela prend deux ans.

David Sorensen : Dans le clip suivant, on entend Bill Gates dire qu’il injecte des organismes génétiquement modifiés, directement dans les veines de jeunes enfants.

Bill Gates : Les effets secondaires isolés sont un peu préoccupants. Avons-nous besoin de tests de sécurité ? Nous utilisons des organismes génétiquement modifiés, et nous les injectons dans les bras de petits enfants, nous les injectons directement dans la veine. On utilise des organismes génétiquement modifiés et on les injecte directement dans le bras. On les injecte directement dans la veine. Donc oui, je pense que nous devrions peut-être avoir un système de sécurité où nous ferions des essais et des tests.

David Sorensen : Regardez l’expression de son visage. Comme il aime ça, il regarde sur le côté et sourit … « des organismes génétiquement modifiés et on les injecte dans les petits bras des enfants, on les injecte directement dans la veine… »

Donc oui, peut-être qu’on devrait avoir des tests de sécurité, ce qui veut dire qu’ils ne l’avaient pas encore au moment où il l’a dit. Ça veut dire qu’ils ont injecté des organismes génétiquement modifiés à des millions de personnes depuis des décennies. Ça peut modifier leur ADN, ce qui provoque une énorme destruction de leur corps. Et il dit simplement : « Oui, peut-être que nous devrions avoir un système de sécurité » !

Extraits (citations) :

« … parce que nous ne sommes pas en mesure de donner des réponses claires lorsque les gens posent des questions sur les décès survenus en raison d’un vaccin particulier. »

« De grandes préoccupations sanitaires que nous avons vues, accusations d’incidents à long terme et de longue durée. »

« Nous avons de très nombreux professionnels de la santé en première ligne qui commencent à remettre en question les vaccins et aussi la sécurité des vaccins. »

« Ce serait la catastrophe totale si ça continuait comme ça. »

David Sorensen : Il se passe autre chose, c’est extrêmement dangereux. Mike Adams de Natural News est un scientifique qui étudie cela depuis de nombreuses années. Il a fait une vidéo il y a des années dans laquelle il disait textuellement : ils vont créer une pandémie de Covid et ensuite introduire un vaccin qui va tuer des millions de personnes parce qu’ils veulent réduire la population mondiale.

Mike Adams : Ils sont appelés à participer à un programme d’inoculation-meurtrier. Ça pourrait se passer de la façon suivante : D’abord, il y a une épidémie planifiée, la libération d’armes biologiques manipulées. Nous avons vu le coup d’essai, l’épidémie de rougeole à Disney World, pour promouvoir le mandat de vaccination SPE 277 en Californie. Ça se fait au niveau global. Une arme biologique est libérée. Ça entraîne des appels au financement massif de l’industrie des vaccins par l’Etat. Et comme par miracle, le vaccin sera ensuite développé en un temps record. Tout le monde sera obligé de se faire vacciner, mais le vaccin sera tel qu’il tuera les gens. Le kill-switch pour l’humanité, la grande mort. De nouvelles lois exigeront que tout le monde se fasse vacciner. Les personnes non vaccinées ne pourront plus utiliser les transports en commun. Ils ne pourront pas prendre l’avion, ils se verront refuser un compte en banque.

Et dans ce vaccin, ils introduiront bien sûr d’autres armes fabriquées par biotechnologie. Il s’agira de souches virales à longue latence, qui ne seront peut-être actives que des mois plus tard. Dès que l’effet commencera à se faire sentir, ils verront des gens mourir dans les rues, dans toutes les villes, dans le monde entier. Lorsque cela commencera, les médias encourageront un deuxième tour de vaccination. Ce deuxième tour sera un kill-switch plus court, qui tuera les gens en quelques semaines, pas en quelques mois, peut-être en quelques jours dans certains cas.

Si tu fais la queue pour te faire vacciner, tu seras probablement mort en peu de temps. Et c’est le cas, les vaccins sont devenus une arme. Ils sont un facteur de mort pour l’humanité. Rappelle-toi que les mondialistes ne veulent pas des humains, du moins pas de la plupart d’entre nous. Ils veulent dépeupler la planète de 90%. Les vaccins sont devenus de plus en plus des armes biologiques.

David Sorensen : Mike Adams a-t-il perdu la tête, est-il fou ? Pourquoi dit-il cela ? Je reviens au Dr Carrie. Elle va expliquer quelques choses sur le passé de Bill Gates, sa mission et l’agenda général de dépopulation du monde.

Revenons à vous, Carrie.

Dr Carrie Madej : Alors, vous vous demandez peut-être pourquoi, pourquoi cela arrive avec ce nouveau vaccin ? Pourquoi ces nouvelles technologies ? Eh bien, chaque fois que je ne suis pas sûre de quelque chose, je me dis de suivre l’argent. Et si vous regardez le contexte, les bailleurs de fonds qui essaient d’être les précurseurs de la fabrication des vaccins, si vous regardez la recherche et le développement, si vous regardez ce qu’il y a derrière les grandes organisations de santé comme l’OMS, l’Institut national de la santé, le Centre de surveillance des maladies du CDC, vous trouvez les mêmes noms. L’un des plus grands donateurs est la Fondation Bill & Melinda Gates. Un autre que vous n’avez pas souvent remarqué, c’est notre armée, le ministère de la Défense et la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency), qui est une autre branche du Pentagone. Donc, vous voyez ça tout le temps. Ok, donc nous savons qu’il y a des entités, l’armée.

Mais regardons ces personnes, Bill et Melinda Gates, qui parlent si brutalement. Pourquoi s’intéressent-ils aux vaccins ? Parce qu’ils font partie de la technologie informatique. Ce sont des gens de la technologie. Ils n’ont pas de formation en santé, en science ou en épidémiologie. C’est eux qui mettent des millions et des millions de dollars dans ces entreprises et qui les financent, donc ils ont aussi un intérêt personnel à gagner de l’argent avec ça, parce qu’on peut gagner de l’argent avec les vaccins.

Et si on regarde l’histoire de la famille, on voit que la famille Gates a été très impliquée dans l’eugénisme. L’eugénisme, c’est le contrôle mondial de la population ! Tous deux pensent qu’il y a trop de gens dans le monde, et que pour créer un monde sain, il faut le dépeupler. Comment peut-il décider qui reste et qui part ? Dans la vidéo, il dit que grâce à la nouvelle technologie des vaccins, nous pouvons dépeupler la population. Il pense de 10 à 15 %.

Citation de Bill Gates :

« Il y a aujourd’hui 6,8 milliards d’êtres humains, il y en aura 9 milliards dans peu de temps. Si nous faisons vraiment un super boulot maintenant, avec de nouveaux vaccins et des soins de santé reproductive, nous pourrons peut-être réduire la population de 10 à 15%. »

Dr Carrie Madej : Qui est-il pour décider qui reste et qui part ? C’est quand même très inquiétant. Il faut regarder la motivation de celui qui nous pousse à le faire. Est-ce que c’est sa motivation ? Il y a encore une chose à savoir : La fondation Bill & Melinda Gates et le Pentagone DARPA ont effectivement financé quelque chose qui s’appelle Gene Drive Research ou technologie de modification des gènes. C’est exactement ce qu’ils pensent peut-être. Il s’agit d’extinction, d’extermination d’espèces. Ils proposent de l’utiliser et ont dépensé des millions de dollars pour éradiquer des espèces de la planète. Ils veulent le faire avec les moustiques et les plantes en Afrique. Encore une fois, est-ce que quelqu’un en a parlé ? Donc, s’ils parviennent à éradiquer une espèce sur la planète, ça pourrait s’appliquer à l’homme. Et s’il y a une espèce, une race qu’ils n’aiment pas ? Il y a là un potentiel. Et comment font-ils ? Ils le font par mutagenèse. Ils mutent un gène. Encore une fois, ce mot s’appelle transfection. C’est un moyen de manipuler l’ADN, de faire muter un gène. C’est la même technologie qu’ils utilisent dans ce nouveau vaccin contre le Covid-19. Mais nous devons voir la motivation derrière tout cela ! Pourquoi sont-ils si pressés ? Et vous savez, si le vaccin nous endommage, si des gens ont un cancer, sont paralysés, meurent, personne n’a de droits de recours. Nous ne pouvons pas porter plainte ! Nous n’avons pas de voix parce qu’aux États-Unis, ils ont voté deux mandats pour dégager les fabricants de vaccins et tous ceux qui les administrent, de toute responsabilité, de toute responsabilité ! D’abord en 1986 ! Si on regarde la loi sur les vaccins, on voit qu’ils sont déjà exonérés de toute responsabilité. Puis, pour vraiment brouiller les pistes, en février 2020, les États-Unis ont pris les devants en adoptant une loi de précaution d’urgence qui implique une responsabilité zéro complète pour tous les fabricants de vaccins. Encore une fois, il y a deux mandats, et même avec cette loi préventive d’urgence, ils peuvent imposer des vaccins à la population, c’est-à-dire lorsqu’il n’y a pas de traitement connu pour l’infection. Ça nous amène au point suivant. Il y a un traitement ! Des médecins nous ont contactés. Nous connaissons différents traitements, en effet. Vous avez peut-être déjà entendu parler de l’hydroxychloroquine. Elle a été bannie de certains protocoles. Même dans mon État, la Géorgie, où je suis autorisé à exercer, les pharmacies peuvent désormais refuser à leur gré la prescription d’hydroxychloroquine. Nous n’avons jamais eu cela auparavant. Pourquoi empêche-t-on les médecins de prescrire un traitement dont nous savons qu’il est efficace contre ce virus – et même qu’il le prévient !? Je ne sais pas. Je pense que c’est peut-être l’argent, peut-être est-ce un programme pour les fabricants de vaccins ? Qu’est-ce que ça peut être d’autre ? Des médecins américains en première ligne parlent de leur expérience. Ils ont eu des expériences et des succès avec l’hydroxychloroquine. Ils ont eu une audience publique. Puis ils ont été réduits au silence. Leur site web est devenu introuvable, un médecin a été licencié, un autre calomnié. Voilà les conséquences de leur témoignage.

The Frontline Doctors des États-Unis :

« Hier, il y a eu plus de 20 millions de clics sur YouTube, Google, Facebook et Twitter. Puis ils nous ont supprimés. J’en ai assez de voir des gens mourir sous nos yeux. Nous étions encore plus consternés par ce filet de peur dans lequel les gens ont été enveloppés. Quand il y avait un traitement, ils étaient guéris. Il y a un traitement. Les gens ont peur de le dire. S’ils donnent le remède à temps, il stoppe le processus de la maladie ! La maladie s’arrête. Nous te suivons de près, Big Tech ! C’est ce que nous faisons ! Nous ne nous tairons pas ! La première demande n’est pas la dernière ! Bon, vous ne vous reposerez pas quand nous reviendrons. Nous viendrons. Nous sommes des milliers ! Et d’ailleurs, le flot de preuves concernant l’hydroxychloroquine est sauvegardé et c’est la solution pour l’Amérique. C’est un tsunami ! »

« Le produit était autrefois utilisé tout le temps. Il n’y a pas de Covid, presque zéro ! Le Dr Raoult est le n°1 mondial des infections et l’a approuvé. Il a traité 4 000 personnes avec ce produit. Avec un résultat formidable ! L’hydroxychloroquine est efficace ! Ne pas le donner aux malades, c’est honteux ! Nous vous apportons cette nouvelle : l’hydroxychloroquine fonctionne ! »

« Je suis le Dr Stella Immanuel. Je suis pédiatre et médecin urgentiste ici au Texas. Je suis originaire du Cameroun et j’ai étudié la médecine au Nigeria. Nous utilisons l’hydroxychloroquine et aussi la camoquine, la flavoquine et toutes ces substances actives. Je suis donc habituée à ces médicaments. Alors quand ils ont commencé à dire que ça ne marchait pas et que c’était dangereux, j’ai pensé : Quoi ? On en donne aux bébés, aux femmes enceintes, aux personnes âgées, tout le monde en prend. L’hydroxychloroquine est efficace ! J’ai traité plus de 350 patients : asthmatiques, diabétiques, personnes âgées, peu importe. Et pas un seul décès ! Républicains, n’ayez pas peur ! Le Covid a un remède, on peut aussi prévenir le Covid ! »

« Il est important de reconnaître qu’il y a un effort concerté pour tenir à l’écart du peuple l’innocuité et l’efficacité de l’hydroxychloroquine, et nous devons tous nous faire entendre. Merci. »

« La seule façon d’obtenir cette ressource est la suivante : vous devez la réclamer ! Ecrivez aux membres du Congrès, aux gouverneurs, tweetez au président Trump. Si vous le réclamez, vous l’obtiendrez et vous pourrez sauver votre vie et celle de beaucoup d’autres. Faites-le ! »

« Je vous remercie beaucoup. Oui, faisons-le ! Exigeons tous de l’hydroxychloroquine ! Quel est notre hashtag ? #hydroxychloroquinewirkt. Directement au président ! »

David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a plus de 1 700 professionnels de la santé – imaginez ce chiffre un instant – soutenus par des dizaines de milliers de personnes ordinaires qui ont écrit une lettre au gouvernement avec deux messages.

Premièrement, ils disent :

« Il est extrêmement inquiétant que les médecins et les scientifiques soient réduits au silence, et blâmés lorsqu’ils s’expriment sur les traitements existants efficaces contre le Covid-19, sûrs, bon marché et largement disponibles. »

Et deuxièmement :

« Pourquoi les gouvernements interdisent-ils ces traitements efficaces, peu coûteux et sûrs, alors qu’ils mettent en avant un vaccin non testé et peu sûr ? »

Les gouvernements versent déjà des milliards de dollars à ces développeurs de vaccins. Ces montants sont fous. C’est votre argent ! Avec cela, vous êtes contrôlés, réprimés et même tués !!! En Espagne, 600 médecins se sont avancés et ont déclaré lors d’une conférence de presse nationale : La pandémie de Covid est un plan politique unique. Il a été élaboré dans un but politique. En Allemagne, plus de 1 500 médecins et scientifiques ont déclaré ce qui suit lors d’une conférence de presse nationale :

Dr Heiko Schoning : « Nous doutons de la véracité de l’histoire officielle de Covid ! Nous avons des tas de preuves, c’est une histoire fabriquée au niveau mondial. C’est évident ! Je parle à tous mes collègues médecins, car nous avons les preuves médicales : C’est une fraude !!! Ce n’est pas vrai ! Tout simplement pas vrai !

Nous devons nous demander : Pourquoi ? Pourquoi ? Ok, et nous devons nous demander : A qui cela profite-t-il ? Si vous regardez derrière les coulisses, vous voyez, cette histoire avec le Covid-19, nous avons les faits médicaux, c’est une fraude ! C’est faux ! Alors nous nous demandons : Qui en tire profit ? Et qui a le pouvoir de créer ces faits ? Et qui a le pouvoir de créer ces choses fausses ? Eh bien, la cible, c’est vous ! Les citoyens ! Vous et l’économie. C’est l’économie qui est visée ! Donc le Covid-19 semble n’être que la couverture.

48mn30 – David Sorensen : Aux Pays-Bas, il y a un médecin qui s’appelle Rob Elens, un médecin généraliste. Il a vu guérir en quatre jours tous ses patients traités avec de l’hydroxychloroquine combinée à du zinc. Il a dû arrêter de soigner sans délai, sinon il perdait sa licence. Il a ensuite réalisé une vidéo dans laquelle il a fait une liste de tous les traitements efficaces existants pour le Covid-19. Elle a été vue 10 000 fois en quelques heures seulement. YouTube l’a supprimée.

Ils ne veulent pas que tu saches que l’humanité sait qu’il existe en fait un traitement sûr et efficace pour le Covid-19.

Le Dr David Brouncen, du Michigan, a traité plus de 120 patients atteints du Covid. Certains étaient en train de mourir, d’autres étaient proches de la mort.

Dr David Brouncen : Un de nos patients ne pouvait pas respirer. Il était couché et ne pouvait pas tenir un verre d’eau, tellement il était faible. Dès qu’il a commencé à inhaler de l’hydroxychloroquine et de l’iode, il s’est rétabli de manière spectaculaire.

David Sorensen : Le Dr Richard Bradley, du Texas, a été responsable de la mise en place de soins de santé de haute qualité pour l’ensemble du Texas. En tant que professionnel de la santé, il est connu pour sa qualité. Depuis le début de la pandémie, il a traité plus de 500 patients atteints du Covid avec un médicament contre l’asthme très bon marché et très simple, qui existe depuis des décennies.

Dr Richard Bradley : Je vais vous dire ce que j’ai entendu de la part des patients lorsque j’ai commencé à utiliser cela. Ils m’ont dit : « Je me sens mieux dès le premier traitement. » Leur douleur thoracique, leur essoufflement disparaissent, leur fièvre baisse.

Je vais vous donner un exemple. J’ai une patiente qui a deux types de cancer. Elle m’appelle après être restée cinq jours à plat sur le dos, elle ne peut pas se lever. Elle a de la fièvre depuis cinq jours et me dit : « Je vous ai entendu à la radio, pourriez-vous m’aider ? » C’est un vendredi et elle me dit : « Ma petite-fille a été testée positive aujourd’hui et je pense que je l’ai aussi. »

Et j’étais sûre qu’elle l’avait avec tous les symptômes qu’elle décrivait. Elle se bat actuellement contre deux formes de lymphomes, elle fait de la chimiothérapie et a eu une radiothérapie pour son lymphome il y a un mois. Après tout ce qu’on entendait de la part du CDC et de l’OMS, elle aurait dû mourir, mais je lui ai donné le premier traitement dans la nuit. Le lundi, sa fièvre était tombée et elle a bien dormi pour la première fois. Pendant le week-end, elle se remet et le lundi, elle fait une journée de travail de huit heures. Elle ne présente plus de symptômes. Deux tests négatifs, c’est une guérison !!!

Présentatrice : Ok, pouvez-vous répéter le nom du produit ?

Dr Richard Bradley : Budésonide

Présentatrice : Il est inhalé ? Par inhalation ?

Dr Richard Bradley : Avec un inhalateur.

David Sorensen : Ce ne sont que quelques exemples. Il y a des traitements, il y a des guérisons, mais ils sont réprimés et ils vous sont cachés. Les médias travaillent ensemble comme un seul homme pour mentir à toute l’humanité, car ils ne veulent tous qu’une chose : vacciner toute l’humanité !!!

Ce sera catastrophique ! Il est impossible de l’exprimer avec des mots !

La Dr Carrie Madej a soulevé quelques points. À la fin de cette vidéo, elle dira un dernier mot d’avertissement. Je vous encourage à vous inscrire sur le site stopworldcontrol.com, parce que vous aurez beaucoup plus d’infos et de révélations, beaucoup plus de vérité fortifiante, plus de vie pour défendre votre famille, votre nation…

Nous nous trouvons à un moment critique de l’histoire. Ce qui se passe actuellement est sans précédent. Sur le site Stopworldcontrol, vous pouvez trouver un article avec des dizaines de faits qui montrent sans l’ombre d’un doute que cette pandémie a été planifiée. Elle a été organisée et orchestrée. Des événements ont été organisés pour la répéter. Des scénarios ont été mis en œuvre, c’est fou ! Vous pouvez le voir de vos propres yeux sur stopworldcontrol.com.

Je vous encourage à devenir une voix de la liberté, une voix de la vérité. Beaucoup de gens découvrent cette vérité, puis s’assoient simplement et se découragent, ou ont peur, ou sont en colère, ou choisissent de dénigrer.

Mais ça n’aide personne. Vous avez le pouvoir de changer votre monde. Si nous nous levons comme UN SEUL homme et commençons à arrêter le contrôle du monde et à partager cette vérité, cette vidéo et ces pages web, à partager toute source fiable qui peut réveiller l’humanité, alors nous deviendrons un rugissement furieux que rien ne pourra arrêter !!!

Et aucun milliardaire ne peut lutter contre l’humanité entière si elle s’élève dans la plénitude de ce qu’elle est vraiment.

Alors, je vous encourage : allez sur le site stopworldcontrol, il y a un lien de téléchargement où vous pouvez télécharger des flyers et des affiches pour que vous puissiez aider à partager ce site.

Dr Carrie Madej : Alors, s’il vous plaît, écoutez nos paroles et entendez le message. En ce moment même, nous sommes confrontés à quelque chose qui pourrait changer l’humanité. Nous passons de l’humanité 1.0 à l’humanité 2.0. Et cela peut paraître très sympathique de recevoir peut-être quelques capacités – des capacités surhumaines – si nous nous connectons à ce 2.0 – cette intelligence artificielle. Mais je suis ici pour vous dire que je ne pense pas que ce sera comme vous le voyez dans les films de science-fiction. Je pense que notre autonomie, nos libertés, nos capacités à être des âmes souveraines nous seront retirées.

Alors s’il vous plaît, réfléchissez et faites des recherches critiques avec votre propre pensée, et ensuite nous devons unir nos voix dans le monde entier. Et nous devons défendre nos droits, nos droits de l’homme. Ensemble, nous avons le pouvoir ! Les personnes qui sont actuellement responsables de notre santé n’agissent pas dans notre intérêt, n’agissent pas selon une méthodologie scientifique, une bonne science solide.

Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi introduisent-ils des technologies dont ils ne parlent pas dans les grands médias ? Qu’est-ce qu’ils cachent ? Nous devons donc nous unir et avoir une seule voix !




Si le covid n’est pas un complot… — 2e volet

[Source : dondevamos]

Après avoir posé la question de la répétition des fausses alertes pandémiques et des traitements et vaccins toxiques développés par Bill Gates, fauci et leurs amis depuis 20 ans, en fait depuis 2001 et la création de la fondation Gates, la crise de l’anthrax et le 11 septembre, la question qui se pose forcément est : pourquoi retrouve-t-on les mêmes protagonistes ?

Nous allons en citer quelques-uns, d’abord en France, puis en Angleterre et aux USA, épicentres de la recherche sur les modélisations et les traitements à toutes les épidémies / pandémies.

3. Pourquoi les mêmes protagonistes d’une pandémie à l’autre ?

Si on voit arriver de nouvelles têtes, on compte un certain nombre de protagonistes du covid, parmi les plus acharnés à imposer la doxa covidiste, qui étaient déjà à la manoeuvre pour le H1N1 voire pour les autres « épidémies ». Cette persistance à la fois dans l’erreur et sur les écrans de télé est incohérente: normalement quand on fait des erreurs professionnelles, surtout si elles entraînent des gaspillages massifs d’argent public, on est sanctionné. 

Dans ces cas, on observe qu’il n’y a pas de sanctions, et on assiste à des évolutions de carrière vers les sommets.

Antoine Flahault :

Flahault

Référent grippe dans les années 2000, spécialiste des « modélisations mathématiques » des épidémies, il a été membre du Conseil d’Administration  du LEEM Recherche mais selon lui aucun « conflit d’intérêt » [1]

Il a officié comme télétoubib pendant le H1N1 puis le covid et a fondé à Rennes l’Ecole des hautes études en santé publique (EHESP) qu’il a dirigée de 2007 à 2012, avant de devenir prof de santé publique à l’école de médecine de Genève où il a créé l’ « Institue of Global Health ».

Il a publié 12 articles sur le covid en 2021, et fait divers « scénarios » d’épidémies.

H1N1 grippe porcine de 2009 :

Flahault disait le 5 mai 2009 que « nous sommes en situation de pandémie ». À ce moment, selon le rapport de la commission du Sénat sur la gestion du H1N1, il « affirmait dans la presse que près de 35 % de la population française pourrait être touchée par le virus H1N1, ce qui pourrait entraîner 30 000 morts lors d’un pic intervenant après l’été ».

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Il a indiqué à la commission d’enquête « qu’il n’entretenait pas de liens d’intérêts directs avec l’industrie pharmaceutique et qu’il n’appartenait plus au conseil d’administration du syndicat des entreprises du médicament, le « LEEM recherche ». Néanmoins, son nom apparaît parmi les membres de cette structure au titre de ses fonctions de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique, ce qui « ne constitue pas à ses yeux un lien d’intérêt ». En août 2009 Flahaut déclarait encore que « la grippe A cause 100 fois plus de morts directs que la grippe classique ».

Il déclarait dans Le Monde alors que seulement 1000 « cas » et 27 morts dans le monde étaient recensés :

« De fait, nous sommes en situation de pandémie. Tous les ingrédients sont déjà présents. Un virus grippal, nouveau du point de vue génétique et de ses propriétés immunologiques, se transmet de personne à personne et circule à travers le monde. L’épidémie n’est pas restée confinée dans le pays où elle a émergé et s’est diffusée via les connexions aériennes ».

Il présentait plusieurs scénarios dont un « soft » qu’il dit « proche de la pandémie de 1968 » soit « l’équivalent d’une grosse grippe saisonnière » avec « 20 à 30.000 décès« , qui  « serait susceptible d’entraîner une désorganisation du système de santé, de l’absentéisme et fragiliserait notre société, comme pourrait le faire un ouragan puissant ». On a eu une vingtaine de décès attribués au H1N1 au final. Son chiffre de 30.000 morts a été repris en boucle dans les médias.

Il recommandait d’utiliser le Tamiflu même s’il n’était pas super efficace car il servait seulement à « diminuer la pression virale ». En août 2009 il disait que le Tamiflu n’était « pas dangereux pour les enfants » après la parution d’une étude anglaise pointant les effets indésirables. Il misait sur le « vaccin » (pas encore créé) pour éviter la saturation des hôpitaux.

Quand tout le monde a compris que le H5N1 était passé tranquillement, il a Le déclaré le 18 février 2010 dans Le Figaro que le H1N1 « reviendra sans doute l’an prochain » et que les vaccins anti grippe devaient intégrer des souches du virus de 2009 et envisageait une vaccination de toute la population.

Flahault a tout de même admis en avril 2010 avoir exagéré ses prévisions du nombre de morts et que « le Tamiflu est très modérément efficace« , tout en recommandant de l’utiliser contre le H1N1.

Covid :

2022-05-29 15_24_47-_Dans cette crise, le masque est le préservatif du coronavirus_ _ Corse Matin -

Ce tenant du « zéro mort du covid » a appelé :

  • À « prendre des mesures fortes tout de suite, et jusqu’à l’été » type « confinement » dès le 13 mars 2020, soit 3 jours avant l’annonce de jupicrétin. Il voulait aussi que l’OMS « guide l’action des Etats ».
  • À porter des muselières.
  • À maintenir un état d’alerte permanent : « l’important aujourd’hui n’est pas tant de prédire que de se préparer à un scénario plausible et redoutable. Ma crainte aujourd’hui, c’est que la situation actuelle nous entraîne vers une augmentation très conséquente du nombre de malades et une poussée épidémique incontrôlable, à l’instar de ce que les Etats-Unis ont connu l’été dernier » disait-il en février 2021. De fait, il n’a cessé d’alerter sur les prochaines « vagues », comme ici en avril 2021 où il parlait déjà d’une « vague » à l’automne : « Pour cet expert, l’enthousiasme suscité par la vaccination ne doit pas nous exonérer d’une certaine vigilance vis-à-vis du virus, et du maintien de mesures de contrôle ».
  • À « vacciner » tout le monde régulièrement.
  • À ne pas utiliser la chloroquine car les essais n’avaient pas été menés selon les protocoles, qui pourtant n’ont pas été respectés pour le développement accéléré des « vaccins ». 

En février 2022 il est encore en train de dire qu’il ne faut pas de « relâchement » des « restrictions » pseudo sanitaires et garder le « pass vaccinal » jusqu’à la mi mars 2022 :

« La circulation du virus demeure très intense. En allégeant prématurément, les pays voisins risquent un ralentissement de la décrue et la mise en danger des populations vaccinées mais immunodéprimées, âgées, ou encore non vaccinées, comme les enfants ayant des facteurs de risque ».

Il est partisan des mesures les plus restrictives et ne se cache même pas de prendre l’Asie (comprendre : la Chine) comme exemple : « Préférons-nous revivre une année comme 2020, ou plutôt nous inspirer des pays d’Asie et du Pacifique ? ».

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Début février 2022 il voulait imposer la « 3e dose », « Et les politiques peuvent traduire une telle recommandation par l’instauration d’un usage étendu du pass vaccinal » disait-il à Libération,

« Les hospitalisations pédiatriques atteignent aussi des niveaux records. Ne risque-t-on pas d’augmenter la circulation du virus en ôtant le masque trop tôt dans les écoles ? Le télétravail réduisait les interactions sociales sans trop peser sur l’économie générale. N’aurait-on pas pu attendre davantage avant d’en lever l’obligation ? Le vent d’optimisme qui souffle un peu rapidement en Europe risque d’inviter la population à baisser trop rapidement la garde et à renoncer aux gestes barrières, à la distanciation sociale qui la protégeaient contre la transmission du coronavirus. Cela pourrait retarder la décrue épidémique, voire relancer les transmissions et son cortège d’hospitalisations et de décès ».

Le 6 mai 2022, Flahault alertait sur le risque d’une énième « vague » de covid durant l’été et appelait les gouvernements à prendre « des mesures préventives »: « Si tous les indicateurs sanitaires repassent actuellement dans le vert en France comme dans toute l’Europe de l’Ouest, deux nouveaux sous-variants d’omicron, BA.4 et BA.5 pourraient dès la mi-juin relancer les contaminations, selon le professeur Antoine Flahault. L’épidémiologiste et enseignant de santé publique à l’université de Genève invite les pouvoirs publics à prendre des mesures préventives« . Et bien-sûr on le retrouve sur la variole du singe, qui selon lui pouvait évoluer en « pandémie ».

Jean-François Delfraissy

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Cet expert du SIDA avait déjà 70 ans au début du covid. Quelques dates de sa carrière :

  • 1982-1986 : membre de la commission scientifique spécialisée en infection et immunité de l’Inserm.
  • 1984-1987 : Secrétariat général de la Société française d’immunologie.
  • 1990-1994 : conseiller médical auprès de la mission sida à la Direction des hôpitaux et membre du conseil d’administration Ensemble contre le sida
  • 2001-2005 : Dirige l’unité de recherche clinique Paris-Sud.
  • 2005-2017 : Directeur de l’Agence nationale de recherches sur le sida (ANRS)
  • 2008 : Directeur de l’I3M à l’Inserm et membre de la fondation de GSK
  • 2014 : Chargé par Valls du plan Ebola
  • 2016 : président du Comité consultatif national d’éthique
  • Mars 2020 : Président du « conseil scientifique covid » du micron.

H1N1 :

H1N1

Lors de son audition au Sénat en 2010 il a admis des liens avec l’industrie :

« Je suis directeur de l’Institut de microbiologie et des maladies infectieuses, professeur de médecine à Bicêtre et je dirige également l’Agence nationale de recherche sur le Sida et les hépatites virales. Je n’étais pas, jusqu’à mai 2009, expert de la grippe. Je n’avais donc pas de lien particulier avec les laboratoires de vaccins, ni avec les produits antigrippaux. 

Par ailleurs, dans le cadre du Sida, je suis expert international pour le compte d’un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.Lorsque j’ai pris mes fonctions de directeur, j’ai annoncé à mon conseil d’administration que j’arrêterai toute relation au niveau national mais que je garderai pour certaines formes d’expertises les boards internationaux de l’industrie, que je revendique comme nécessaires pour participer à la collaboration internationale. Il s’agit de Merck, Gilead et Tibotec ».

À ce moment il est toujours membre du conseil scientifique de GlaxoSmithKline, et a fait partie de la fondation Roche. Il dirigeit l’IMMI (Institut de Microbiologie et de Maladies Infectieuses) à qui la recherche sur le H1N1 a été confiée :

« Dès l’annonce de l’émergence du virus A(H1N1) et du risque pandémique qu’il représentait, les ministères chargés de la Recherche et de la Santé ont confié à l’IMMI, au nom d’AVIESAN, la coordination des recherches H1N1″.

Quand le président Autain lui demande « A partir de quel moment était-il scientifiquement établi que la grippe H1N1 serait majoritairement bénigne ? Dès lors que la virulence du virus était similaire à celle de la grippe saisonnière, pourquoi une double vaccination sur le modèle du vaccin H5N1 a-t-elle été jugée nécessaire ? » il répond qu’il n’a « pas tous les éléments de réponse » et que 15 à 20 millions de français ont « développé des formes asymptomatiques ».

Il appelait à se faire « vacciner », disant que c‘était sûr, mais devant la commission il a dit qu’il n’est pas spécialiste des vaccins.

Covid :

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Dès le début mars 2020 il tourne en boucle à la télé en tant que président du comité consultatif d’éthique (ex le 11 mars 2020 sur France Info ou le 3 mars 2020 sur Radio Classique  où il appelait déjà à « des mesures encore plus restrictives »  et disait que « La vision collective doit dépasser le droit individuel, à condition que cela soit clair, annoncé, transparent et transitoire« !). Cependant il admettait à ce moment-là que la « létalité du covid » était « faible ».

Le 24 mars il déclarait : « Nous n’avons pas de traitement » et évoquait l’absence problématique de « vaccin« .

7 avril 2020 Delfraissy déclare que ne pas obéir au « confinement » était un « suicide collectif » et appelait à maintenir la rétention de masse : « Selon le médecin, l’isolation que nous vivons depuis plusieurs semaines devrait se poursuivre encore plusieurs autres. Au moins jusqu’au mois de mai. « Je pense qu’il vaut mieux le dire d’emblée maintenant. Il est trop tôt pour prévoir une date de sortie« . Selon lui l’afflux de « malades » saturait les zopitaux et il y avait des effets positifs au « confinement ».

Au milieu du 1er « confinement » en avril 2020 il déclare que le covid aura « un rebond » à l’automne. Delfraissy est un adepte des « rebonds », qu’il annonce tous les 3 ou 4 mois (juin 2021novembre 2021mars 2022…). Il nie tout le temps avoir le moindre conflit d’intérêts mais annonce sa présence bénévole à plusieurs conseils consultatifs de labos ces dernières années dont Gilead.

Il a été nommé par le micron dès le début du « confinement » dans le nouveau conseil « scientifique » spécial covid, opaque, dont aucun compte rendu réunion n’existe, et dont le micron ne suivait l’avis que si ça l’arrangeait. Ses positions :

  • Pour le « confinement » qu’il regrette de ne pas avoir réclamé plus tôt, et qu’il voulait continuer
  • Contre l’hydroxychloroquine (HCQ) dès le départ (3 mars 2020)
  • Pour les tests PCR à fond dès le 20 mars 2020, dès la fin du « confinement ».
  • Pour les muselières partout quand on en a eu (avant il ne les trouvait pas utiles)
  • A parlé à longueur de temps de « saturation des zopitaux » à cause du covid même si on sait que c’est faux. Il n’a jamais fait aucun mea culpa ni là-dessus ni sur rien.

Didier HOUSSIN

Houssin
  • 2005-2011 : Directeur général de la Santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire.
  • 2013 : président du conseil d’administration de l’Anses
  • Janvier 2020 : président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé (nommé à 70 ans)

H5N1 :

Moins connu car moins médatique, il est aujourd’hui à l’OMS à plus de 70 ans. Dès le début de l’alerte de l’OMS en mai 2009 en tant que directeur général de la santé (même poste que Salomon) il a enclenché la machine épidémique en France : campagne de propagande, recherche des cas potentiels, délcarations intempestives sur les injections de masse déjà prévues en mai 2009… L’ « épidémie » n’a démarré officiellement qu’en septembre 2009 en France. À ce moment il prévenait déjà qu’il faudra sûrement 2 injections au moins pour les jeunes.

En tant que DGS il a poussé les gens à se faire injecter, signant même des conventions avec diverses multinationales pour qu’elles incitent leurs salariés (BNP, Air France, IBM, Micghelin, PSA,Renault, Sanofi, SNCF). Il a aussi préconisé le traitement « systématique » avec le Tamiflu de Roche et sinon avec le Relenzea de GSK. Et alors que les mutations du virus étaient connues, il disait que les « vaccins » basés sur la première souche de virus étaient toujours « sûrs » et efficaces.

Il était aussi très favorable à l’utilisation à tout va du Tamiflu; disponible gratuitement en France pour toutes formes de grippe, bien que la seule étude dont on disposait était celle du frabriquant et que les données brutes étaient secrètes.

2022-05-29 21_14_05-Alerte 6 dans le monde, alerte 5 en France - L'Express - Opera

Devant la commission d’enquête du Sénat sur la préparation de la pandémié H1N1, Houssin a expliqué l’échec de les injections de masse en France parce que « nous n’étions pas suffisamment armés pour battre en brèche les argumentaires et les rumeurs qui se sont développés sur le réseau« , contrairement aux Américains, où le CDC d’Atlanta et la FDA avaient des « équipes qui ont pour seule tâche de suivre Facebook ou Twitter et de réagir dès l’apparition de signaux inquiétants » c’est-à-dire des gens qui posent des questions ou donnent des informations n’allant pas dans le sens de la propagande épidémico-vaccinale.

« Nous aurions aimé avoir une couverture vaccinale semblable à celles obtenues en Suède, en Norvège ou au Canada, mais il se trouve que la population française ne s’est pas montrée assez inquiète, craignant peut-être davantage le vaccin« , ajoutait-il. Là encore, la question de la dangerosité du H1N1 n’entre même pas en ligne de compte.

Il était très satisfait de sa gestion du H1N1 et trouvait que l’alerte de l‘OMS avait été super. En 2020, il expliquait avoir fortement renforcé la gestion « pandémique » au cours de l’épisode de la grippe porcine, bien que la H1N1 n’ait pas du tout eu l’ampleur espérée :

« le plan pandémie grippale avait été élaboré entre 2005 et 2009, dans le cadre de la menace H5N1, puis il a été amélioré en 2010 avec des fiches précises, notamment sur la réduction des déplacements en période épidémique (fiche C9) et celle des rassemblements (fiche C10). Nous avions beaucoup travaillé sur les plans de continuité d’activité dans de nombreux secteurs, avec le recours au télétravail. Nous avions aussi créé le Centre opérationnel de régulation et de réponse aux urgences sanitaires sociales (CORRUSS) au ministère de la Santé, ainsi que l’Établissement pour la réponse aux urgences sanitaire (EPRUS), ce dont j’étais le plus fier.

Dans la gestion de ces crises, on avait également tiré les leçons avec la nécessité d’une dimension interministérielle des plans. Nous avons aussi travaillé dans l’interdisciplinarité, en mixant les données issues de l’épidémiologie, des sciences de la communication, du droit et des sciences politiques et économiques« .

Bref, l’artillerille lourde était prête à être déployée un peu plus, peu importe qu’on tue les mouches au bazooka.

Covid :

2022-05-29 21_42_38-Confinement_ l'ancien directeur général de la Santé Didier Houssin affirme que _

Président du Comité d’urgence Covid-19 de l’Organisation mondiale de la santé et membre de l’académie de « médecine » en France. Dès avril 2020 il disait que tout le monde devait mettre un tissu facial y compris dans la rue, pour « se protéger mutuellement » y compris après la fin de la rétention de masse, mais comme ces machins ont une efficacité très limitée (on savait déjà qu’ils ne servent à rien) il trouvait que le « confinement » était tout à fait justifié. Bien-sûr, selon lui, le mieux était d’avoir un « vaccin ».

Il prenait exemple sur la gestion de crise à Wuhan pour expliquer qu’il « y aura une phase de transitioon, de réapprentissage de la vie normale« . C’est lui qui a lancé l’équipe d’enquête sur l’origine du virus qui n‘a rien donné, et considérait l’origine naturelle du virus comme la plus probable.

Selon lui il était « très peu probable » que le SARS Cov 2 vienne d’un laboratoire. Il défend une gestion préventive des maladies en mode guerrier face à un risque qu’il qualifie de « permanent »:

« On se prépare aux guerres, on a une armée, on l’entraine, on l’équipe, parce qu’on sait que les guerres peuvent survenir. C’est la même chose pour les épidémies. On n’est plus au temps de la peste et du choléra où il faut seulement subir, on peut aussi se préparer. Il faut intégrer dans les grands risques celui là »

Houssin livre

Le « comité d’urgence » covid de l’OMS basé à Genève qu’il préside, a maintenu la pression épidémique, par exemple fin octobre 2021 il annonçait que la « pandémie » était loin de finir et demandait aux Etats de « reconnaître tous les vaccins qui ont reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence » de l’OMS.

En avril 2022 alors plus rien ne se passait nulle part au niveau du covid, il considérait toujours que la « pandémie » était « une urgence de santé publique » et le comité de l’OMS déclarait -encore- que « la situation est loin d’être terminée«  et qu’il fallait continuer les tests. La situation était donc encore à l' »urgence », comme depuis 2 ans.

Il a poussé au développement des pouvoirs de l’OMS et à l’extension du règlement sanitaire international. Il disait « Et tout en continuant à faire face à la pandémie actuelle, l’OMS se prépare à la prochaine », et justement un mois plus tard, nouvelle alerte sur la variole du singe, dont Bill Gates avait parlé aussi.

Michel Cymes (télé)

H5N1:

cymes

Ce télétoubib par excellence a fait peur à tout le monde sur la gravité de la grippe A, puis a incité tout le monde à se « faire vacciner ». Le H1N1 lui avait déjà permis de faire « exploser l’audience de France 5 », annonçait un média télé le 2 décembre 2009, il a manifestement conservé la recette pour le covid.

En novembre 2009 il déclarait :

« À ceux qui prétendent que le vaccin contre la grippe A est dangereux ou qui m’accusent d’être à la botte des laboratoires pharmaceutiques, je réponds que c’est le devoir du service public d’inciter les gens à se faire vacciner. Il y aura probablement dans l’hiver plusieurs vagues de grippe. Et, si les corps politiques et médicaux ne sont pas clairs, moi, je prends position. C’est tout ».

Covid :

Pour le covid, il a d’abord été raisonnable en disant que c’était « une forme de grippe » et qu’il n’était « absolument pas inquiet« , puis a été critiqué, puis pris position en faveur des mesures les plus restrictives et des injections. Il a d’ailleurs fait deux doses puis a attrapé le covid.

Il traitait les critiques de « quelques centaines ou quelques milliers » de « complotistes complètement malades » et en août 2021 il traitait les « zantivax », « anti pass » et les manifestantspro libertés d’ « égoïstes » :

« L’énorme majorité des Français est pour la vaccination, l’énorme majorité des Français est pour le pass sanitaire. Il n’y a pas d’autre solution aujourd’hui. Et ces personnes égoïstes se baladent dans les rues en criant des slogans« .

En octobre 2021 il s’en prenait aussi aux soignants non injectés :

« Je pense qu’un jour il faudra demander des comptes à ceux qui ont été médecins ou infirmières et qui ont refusé de se faire vacciner pour des raisons qui leur sont probablement personnelles. Je ne m’apitoie absolument pas sur le sort des infirmières ou des médecins qui ont fini par quitter ce métier parce qu’ils n’ont pas voulu se faire vacciner. C’est leur choix, c’est leur problème« .

Il a fini par prendre sa retraite des plateaux télé pour tourner des séries.

Simon Cauchemez

Ce spécialiste non pas de la médecine mais des modélisations informatiques était déjà présent pour le H5N1 en 2005 puis en 2009 pour le H1N1, pas vraiment dans les médias à l’époque mais avec des modélisations sur la transmission du virus qui ont fait la une de la presse. 

H1N1 :

ferguson cauchemez

Pendant le H1N1 il était un collègue de Neil Ferguson, autre modélisateur star des médias, au département d’épidémiologie des maladies infectieuses de l’Imperial College de Londres. C’est là qu’ont été réalisés les « modèles » alermistes qui ont servi à orienter les politiques publiques.

En 2008, il publiait avec Flahault et Ferguson notamment une étude sur l’impact de la fermeture des écoles sur la transmission de la grippe dont la conclusion était que fermer les écoles durant une période prolongée réduisait le nombre de « cas », mais que si les enfants avaient quand-même des contacts sociaux l’impact de cette mesure était réduit.

Tous ces travaux ont été repris dans la presse, et le Guardian demandait en juillet 2009 s’il fallait fermer les écoles pour limiter l’ « épidémie » de HN1, puisque « les enfants sont plus contagieux et plus vulnérables au H1N1 » : « Le gouvernement devrait repenser sa politique actuelle de laisser les écoles ouvertes pendant la pandémie avant que les 30.000 écoles primaires et secondaires de Grande Bretagne ne terminent les vacances d’été, avertissent Cauchemetz et Ferguson ».

Covid : 

2022-05-28 19_15_01-Simon Cauchemez_ «Vaccins et météo ne seront pas suffisants pour tout relâcher l

Au moment du covid il avait rejoint l’unité de Modélisation Mathématique des Maladies Infectieuses de l’Institut Pasteur[2], qui « développe des outils de pointe pour l’étude des épidémies, qui aident à mettre en lumière leurs facteurs de risque ainsi que les ressorts et les profils de leur transmission, en vue d’améliorer les mesures prédictives et les campagnes de prévention« .

On a donc encore eu droit à ses modélisations sur la propagation du covid. France Info nous expliquait en décembre 2020 que « ce sont ses calculs qui orientent les choix du gouvernement face au covid« , et aussi ceux du Conseil « Scientifique » dont il est membre. Ils ont servi à justifier les « confinements », les « couvre-feu », la « vaccination » forcée par exemple.

Beaucoup d’observateurs tels que le statisticien Vincent Pavan reprochent à ces « modèles » leurs incertitudes, en particulier pour de nouveaux virus, puisqu’on manque de données à mouliner pour faire des prédictions fiables et que sur le plan purement mathématiques ces modèles n’ont pas plus de sens que la lecture de l’avenir dans les entrailles de poulet.

Même Cauchemez l’a admis devant France Info, expliquant que « Dans les premiers mois, les données restaient très limitées et nous devions donc travailler dans un contexte de grande incertitude. Aujourd’hui, nous commençons à avoir plus de recul (…) En général, au démarrage d’une épidémie, les données sont très limitées et de mauvaise qualité. Il y a beaucoup de biais potentiels. Par exemple, au début, nous n’allons voir que les cas les plus graves avec un risque de surestimer la mortalité. C’est ce qui s’était passé avec le virus H1N1 en 2009« . Il aurait été intéressant de le préciser à l’époque: nous aurions peut-être évité de détruire nos économies et la vie sociale.

Toutefois, pas moins d’une trentaine de « modèles » différents, réalisés avec des données différentes par des équipes différentes, ont été utilisés pendant le longépisode du covid.

cauchemez 2

Cauchemetz est aussi membre d’un groupe modestement appelé « Midas Network » créé par le National Institute of General Medical Sciences (USA), et dont l’objectif est de « faire avancer la science pour améliorer la préparation et la réponse globale contre les menaces des maladies infectieuses, par la recherche, l’entrainement, la communication et les services« .

Sur la base de ses « modèles », il a poussé à des mesures ultra restritives : rétentions de masse, injections de masse censées réduire les hospitalisations, y compris bien-sûr les enfants (sans ça l’ « épidémie » ne pouvait pas être stoppée selon lui en avril 2021), ne voulait jamais « relâcher les efforts » (même en avril 2021) et a soutenu les politiques les plus liberticides au nom de cette grippe, se justifiant en agitant ses modélisations hasardeuses.

Cependant, cet oracle du covid qui n’a cessé de voir des « pics » et des « vagues » arriver a rapidement dit que même avec les injections de 90% de la population, la « vie normale » n’allait pas revenir. 

Ce sont encore des modélisations, auxquelles il a pu participer, qui ont affirmé que les mixtures anti covid étaient « efficaces ». Mais aucune modélisation n’a été faite sur les effets graves de ces produits expérimentaux.

Bruno Lina

Virologue au HCL (Lyon) et au CNRS déjà en 2009

Président du conseil scientifique que GEIG et conseiller de la directrice générale de l’OMS dans un comité technique sur l’évolution de la « pandémie « pendant le H1N1. Il était aussi membre du « comité de lutte contre la grippe » mis en place par Bachelot.

2020 : membre du conseil « scientifique » de macron et directeur du Centre national de référence de la grippe – Centre International de Recherche en Infectiologie – CIRI  à Lyon et coordonnateur au Centre national de référence enterovirus et parechovirus – Hospices Civils de Lyon.

Il collabore aussi centre de modélisation Covid de l’Institut Pasteur, pilotée par Simon Cauchemez.

H1N1:

2022-05-30 19_17_52-La-verite-sur-la-grippe-A-H1N1

Président du Conseil Scientifique du GEIG déjà au moment du H1N1 et encore au moment du covid. Le GIEG, financé à 100% par 5 grands labos[3], a été mis en cause pour avoir incité le gouvernement au tout vaccinal lors du H1N1.

Il a fait la promotion du test PCR développé par l’Institut Pasteur puis du Tamiflu de Gilead dont les effets favorables n’ont jamais été démontrés, et qui par contre a rapidement montré des effets toxique. Il répondait ainsi aux détracteurs en novembre 2011 qu’il  « n’existe pas d’essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l’efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères« , mais que « de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu’il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l’ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A« .

Dans les médias il a pris position en faveur des « vaccins », même développés de manière accélérée. Selon le Parisien du 29 octobre 2009, « le 20 octobre, à l’occasion du lancement officiel de la campagne de vaccination de la grippe A au ministère de la Santé, le professeur Lina était invité à s’exprimer, assis à la gauche de Roselyne Bachelot. Il a notamment répété qu’il était « très important de se faire vacciner » contre ce virus ».

2022-05-30 19_29_31-Grippe _ le Tamiflu accusé d'être inefficace - Opera

Il était parmi les alarmistes, déclarant par exemple (décembre 2009) que « tout est possible avec le virus de la grippe A« , même s’il devait admettre que rien n’était vraiment alarmant à ce moment.

Il a été défendu par Bachelot qui le trouvait très compétent et ne trouvait rien à redire sur ses conflits d’intérêts :

« En matière de grippe, je suis entourée d’un panel d’experts très large : Comité de lutte contre la grippe, Comité technique des vaccinations et Haut Conseil de la santé publique. Sans compter les réunions de travail avec des infectiologues, des pédiatres ou des urgentistes, ce qui fait au total plus d’une centaine de personnes.(…) Beaucoup des scientifiques remarquables que je consulte sont également sollicités par les laboratoires pharmaceutiques pour valider leurs produits et leurs procédures. Ces experts, qui font dans l’immense majorité des cas preuve d’une grande indépendance d’esprit, sont tenus de faire des déclarations d’intérêt public consultables par tous. Le professeur Bruno Lina, qui est l’un des meilleurs spécialistes mondiaux de la grippe, a été mis en cause de façon injuste.« 

En septembre 2009 il a publié avec Jérome Salomon un bouquin au titre prometteur : « La vérité sur la GRIPPE A H1N1« . Mui aussi oubliait de mentionner ses nombreux liens d’intérêts, à la télé et ailleurs.

En 2010, il a mené des travaux sur le croisement de H5N1 (grippe aviaire, assez violent mais peu contagieux) et H1N1 (grippe porcine, contagieux et peu virulent), au labo P4 de Lyon : « L’expérience, qui va coûter provisoirement 200 000 euros — après cette gabegie nous ne sommes plus à quelques euros près — a officiellement pour but d’anticiper une éventuelle mutation des deux virus« , expliquait la journaliste Pryska Ducoeurjoly.

Covid :

2022-05-30 20_04_49-Covid-19 _ « L’épidémie n’est pas finie », selon Bruno Lina, virologue et membre

SI en janvier 2020 il afirmait que « nous ne sommes pas face à un virus extrêmement dangereux (…) Ce virus a affecté 400 personnes et fait 9 décès. Au même stade, le SRAS, lui, avait déjà causé 200 décès pour 400 cas. « , il a rapidement changé d’avis.

Bruno Lina a incité tout le monde à se faire tester, puis à appliquer les fameux « gestes barrières » et compagnie. En juillet 2020 il a contribué à une étude avec François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah et d’autres qui annonçait l’efficacité du Remdesivir combiné à une autre moldécule.

Dès octobre 2021 il lançait la propagande sur les injections pour les 5 – 11 ans au nom du fameux « covid long »: « À partir du moment où le vaccin est disponible et que des enfants font des infections au coronavirus, la question se pose »

Il a soutenu l’essai Discovery auquel il a participé avec des patients à Lyon. Il a été stoppé avant la fin, après avoir traîné en longueur, et dit qu’on n’avait pas de preuve de l’efficacité de la chloroquine. En novembre 2021 il appelait à s’injecter la 3e dose appelée « dose de rappel » pour « retrouver une protection de très haut niveau« . Selon lui la 3e dose « remet les compteurs à zéro«  en termes de protection.

Au bout de la 4e dose il a dit qu’il fallait « changer la composition » des mixtures et s’est même interrogé sur l’intérêt d’une 4e dose tout en prévoyant des rappels sur « des années ».

Il disait aussi sur BFM qu’il n’y a aucun problème à s’injecter la mixture anti-covid en même temps que l’injection anti grippe saisonnière. Mais pour la chloroquine, il réclamait tout le temps des « preuves solides » ou davantage de patients pour les essais Discovery (inculant la chloroquine).

En janvier 2022 il admettait que tout le monde allait être immunisé : « il est probable que nous ayons tous acquis une forme d’immunité, par la vaccination, l’infection ou les deux » mais en mars 2022 ils déclarait que « l’épidémie n’est pas finie« .

Il déroulait dans le jargon covidiste l’argumentaire habituel fondé sur les « cas positifs » identifiés avec des PCR inappropriés:

« Certes Omicron est moins agressif que Delta ou Alpha mais il ne faudrait pas en tirer la conclusion erronée que c’est un virus banal et peu dangereux. L’épidémie n’est pas finie ; la vague BA.2 est le prolongement de la cinquième vague car nous ne sommes jamais retombés sous le seuil de 500 nouveaux cas positifs par jour pour 100 000 habitants en moyenne sur sept jours comme dans la période de calme de juin 2020 ou du début de l’été 2021« .

Roselyne Bachelot

H1N1;

2022-05-29 14_03_22-Grippe H1N1 _ quand la France s’était (trop) préparée à une pandémie _ Public Se

Ministre de la Santé après avoir travaillé plus 10 ans dans l’industrie pharma[4], elle a volontairement effrayé la population en annonçant la pandémie des mois avant que des cas ne surviennent en France. Par exemple, le 19 août 2009 -1 mois avant la déclaration de l’épidémie en France- elle disait qu’il fallait se préparer « au pire » et comptait sur le plan pandémies.

Elle a commandé 94 millions de doses de « vaccins » (alors qu’officiellement elle pensait qu’une seule dose surffirait) auprès de Sanofi, Novartis, Baxter, GlaxoSmithKline. Ces labos ont mis « la pression » sur les gouvernements pour passer très vite commande de bien plus de doses que nécessaire, avant même que les produits soient disponibles. 

Déjà, les labos étaient préservés de toute responsabilité, quoi qu’il y ait dans les produits injectés. Les clauses mentionnaient ainsi que « les opérations de vaccination de la population seront décidées par la seule administration et seront placées sous la seule responsabilité de l’Etat.

En conséquence, l’administration s’engage à garantir le titulaire [les labos] contre les conséquences de toute réclamation ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre de ces opérations de vaccination, sauf en cas de faute établie du titulaire« . Un avenant a prévu qu’en cas de faute manifeste sur la conformité des produits, les labos pouvaient être poursuivis, mais sauf à démontrer cette « faute » c’était donc déjà au contribuable de tout assumer.

Les contrats, a juré Roselyne, ont été négocié par ses soins et pas du tout à l’Elysée.

Une fois ses commandes passées, Bachelot a très lourdement insisté pour que « toute la population » se fasse « vacciner », d’autant qu’en 2009 la France était le premier producteur de vaccins au monde. Le 16 septembre 2009 c’est elle qui a déclaré l’épidémie en France. Elle affirmait alors : « Nous avons décidé d’acquérir une quantité de vaccins suffisante pour nous permettre de proposer la vaccination à l’ensemble de nos concitoyens qui souhaiteront se faire vacciner. Les tout premiers vaccins nous ont été livrés début septembre.

Mais ces vaccins ne seront utilisés que dans le cadre d’autorisations de mise sur le marché (AMM) dûment délivrées par les autorités sanitaires européennes qui garantiront leur efficacité et leur sécurité (…) Je rappellerai simplement que, au-delà de la protection individuelle qu’elle procure, la vaccination est aussi un acte altruiste, en ce sens qu’elle contribue à protéger son entourage, ses proches, ses collègues.

vaccin-grippe-aviaire-bachelot_1

C’est particulièrement important lorsque ces derniers présentent des facteurs de risque qui les rendent plus vulnérables ou qu’ils ne peuvent pas être vaccinés eux-mêmes, du fait de contre-indications médicales« .

Elle a mis en place un « comité de lutte contre la grippe » dont elle a nommé les experts, tous liés à l’industrie pharma. Le H1N1 a été la première maladie pour laquelle des « vaccins » ont été développés si rapidement, sans avoir de recul avant d’être injectés à la population[5].

En août 2009, alors en  visite à La Réunion, en bonne VRP des laboratoires qu’elle fut pendant une vingtaine d’années, elle déclarait que « le pic épidémiologique sera certes dépassé à La Réunion à la mi-octobre mais la grippe n’aura pas disparu. Il faudra donc continuer à protéger le public et en particulier les populations les plus fragiles. Le vaccin restera utile et servira aussi à nous prémunir pour 2010 et 2011« .

C’est aussi la première fois qu’on utilisait un adjuvant à base de squalène et de polysorbate. Et bien que ce soit un bide, elle déclarait le 24 novembre 2009 que la campagne de « vaccination » était « un grand succès ».

En juin 2010 lors d’une audition au Sénat elle a déclaré : « En prévision des prochaines alertes, c’est bien notre capacité de préparation et d’adaptation que nous devons renforcer afin de choisir, le moment venu, la réponse la plus appropriée enrichie de l’expérience acquise.

Bachelot H1N1

Le virus grippal, vous l’avez bien compris, est un sujet de choix, puisque, dès juin 2009, vous avez initié un travail sur les mutations virales. L’émergence du virus pandémique H1N1 constitue un cas emblématique. Il s’agit bien d’un virus pandémique, mais nous avons su très vite qu’il n’était pas celui que nous attendions.

Je me réjouis qu’à travers vos travaux le Parlement ait pu produire sa propre expertise et, surtout, organisé un espace de dialogue fécond et serein entre le scientifique et le politique. Ainsi, pour la première fois, face à une alerte sanitaire, nous avons mis en œuvre une gestion pro-active, et non plus seulement réactive, en particulier grâce à la préparation et à la vaccination« . Cette campagne d’injections aurait selon elle coûté 500 millions d’euros, exactement le montant du déficit des hôpitaux publics cette année-là.

Les contrats passés avec les labos étaient déjà particulièrement opaques et favorables aux industriels, comme le fait de passer des commandes fermes, la confidentialité absolue des contrats, ou l’absence de toute responsabilité de la part des fabricants de « vaccins ». En janvier 2010 Bachelot a tout de même réussi à résilier une commande de 50 millions de doses tout en déclarant à la presse que « Cette grippe a tué 18 personnes ce week-end, en particulier des personnes qui n’avaient aucun facteur de risque« .

Covid :

Roselyne-Bachelot-une-insubmersible-au-ministere-de-la-Culture

Devenue ministre de la Culture, elle n’a pas hésité à sacrifier tout le secteur, qui a subi les « confinements » et autres « couvres-feu » avant d’être définitivement mis à terre par les laissez-passer « sanitaires » puis « vaccinaux ».

Aux artistes qui lui demandaient des sous ou des actions concrètes fin 2021, elle répondait contre toute évidence que « la culture n’est pas sacrifiée » et même qu’elle « continue« , se croyant obligée de souligner que « ce qui menace la culture, c’est la pandémie pas les mesures gouvernementales« . CQFD.

En tout cas, aujourd’hui en Europe la fréquentation des cinémas a chuté de 60% depuis la « crise sanitaire » et sa gestion lamentable.

En Février 2022, la fréquentation en France dans les salles de cinéma et de spectacle vivant (concerts, théâtres…) avait baissé d’environ 25 % par rapport à la même période avant la crise « sanitaire », selon les chiffres annoncés par le ministère de Roselyne Bachelot..

Neil Ferguson »

Ferguson cartoon

Cet informaticien hollandais financé par les labos et par Bill Gates était déjà à l’origine de modélisations dantesques qui ont littéralement créé la crise de la vache folle puis de la grippe dite  « aviaire » pour laquelle il avait pronostiqué jusqu’à 150 millions de morts alors qu’il y en a eu moins de 300 dans le monde.

« Comme le rapportait à l’époque le Daily Telegraph, c’était « la première fois que des épidémiologistes modélisaient une épidémie majeure au fur et à mesure qu’elle se déroulait, puis intervenaient pour changer son cours« . »C’est vraiment la pensée innovante de Neil sur le plan informatique qui a rendu cela possible », déclare Deirdre Hollingsworth, épidémiologiste de l’université d’Oxford qui a travaillé avec le professeur Ferguson à l’Imperial » (Financial Time, 20 mars 2020).

H1N1:

2022-05-30 21_25_58-First analysis of swine flu spread supports pandemic plan _ New Scientist - Oper

C’est encore à cause de ses modélisations pour le H1N1 que le tout début d’ « épidémie » a été repéré dans l’oeuf, et qu’en France l’Institut de veille sanitaire avait prédit jusqu’à 96.000 morts dans le pays (alors qu’on en a finalement dénombré 312). 

En 2009, celui qui est aujourd’hui surnommé « Dr Confinement » par les anglais était professeur de médecine à l’Imperial College et avait récemment travaillé de manière rémunérée pour Baxter, GSK et Roche.

Il était aussi membre du comité vaccination grippe A de l’OMS (créé en avril 2009), qui conseillait la directrice générale Margaret Chan, du groupe de travail scientifique européen sur la grippe (ESWI), et ses liens d’intérêts avec les fabricants de « vaccins » posaient déjà question.

Une étude qu’il a publiée en mai 2009 affirmait que le H1N1 était aussi grave que la grippe de 1957 qui aurait fait 2 millions de morts. Et alors que l’ « épidémie » régressait déjà au Mexique, l’OMS augmentait le niveau d’alerte mondial de 4 à 5. Un article de Futura Sciences expliquait : « Selon les auteurs, comme pour beaucoup d’autres, le nombre de cas réels ne peut qu’être sous-estimé car la maladie reste parfois bénigne chez des sujets qui, néanmoins, sont porteurs, et même colporteurs, du virus ». Au final il envisageait 65.000 morts en Grande-Bretagne en l’absence de mesures spectaculaires.

Le taux de létalité du virus était évalué entre 0,3% et 1,5%, ce qui change la donne, mais plus probablement à 0,4%. Ferguson et son équipe annonçaient donc qu’un tiers de la planète pourrait être infecté (The Guardian, 12/05/2009).

Comme Ferguson conseillait le comité d’urgence de l’OMS[6], son étude y a été prise très au sérieux. Quand il a fait ses modélisations en 2009 pour la grippe porcine, il n’y avait pas d’épidémie et l’OMS avait seulement détecté quelques cas avec des symptômes légers.

« Néanmoins, [l’OMS] décida, à l’issue de réunions secrètes, de déclarer une pandémie mondiale« , explique Kennedy dans son livre[7], et « fit pression sur divers pays africains et européens pour qu’ils passent des contrats avec GlaxoSmithKline et d’autres sociétés pharmaceutiques. Ces accords confidentiels obligeaient les nations signataires, dont l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, à acheter pour 18 milliards de dollars de divers vaccins contre la grippe H1N1 expérimentaux, non testés, adoptés en procédure accélérée et sans responsabilité pour les entreprises productrices ».

Covid :

Ferguson covid 1

Dès janvier 2020 l’équipe de Ferguson alertait sur la menace mortelle du SARS-Cov-2 qui était actif en Chine. En mars, une nouvelle modélisation annonçait 250 à 510.000 morts en Grande-Bretagne et 2,2 millions aux Etats-Unis. Elle a été diffusée auprès des gouvernements très rapidement début mars 2020, sans être publique ce qui empêchait de vérifier les calculs, qui de toute manière ne pouvaient à ce stade qu’être de la spéculation.

Le pire est que cette étude formulait des recommandations -baées sur les modélisations- pour enrayer ladite « épidémie », à savoir les mesures aussi liberticides qu’inutiles imposées dans les pays alignés : enfermement des populations pendant des mois d’affilée, traçage, injections de masse, sanctions, censure.

C’est cette étude qui a servi à justifier les mesures prises soudain par l’OMS comme par la plupart des gouvernements occidentaux. Elle était publiée le 16 mars, et le 17 le micron plaçait tout le pays en rétention à domicile. Même la fondation Héritage, dans un article de Kevin Dayaratna de mai 2020, soulignait l’opacité et les défauts des modèles de Ferguson :

« J’ai demandé à Ferguson et à ses collègues leur modèle à plusieurs reprises pour voir comment ils avaient obtenu leurs chiffres, mais ils n’ont jamais répondu à mes e-mails« . 

lockdwn london

En refaisant les calculs avec un collègue à partir de données récupérées à droite à gauche (comme Ferguson), « constaté que la mortalité prévue due à la maladie pourrait aller de près de 78 000 décès à 810 000 décès aux États-Unis au 1er août« . Un sacré écart, qui rend difficile un décision politique rationnelle en se basant sur de tels résultats. 

Concernant l’opacité des modèles de Ferguson, l’auteur de l’article ajoute :

« Après que nous ayons publié notre travail, la nouvelle a fait surface que Microsoft avait en fait fait des progrès dans la mise à disposition du modèle de l’équipe de l’Imperial College. Mais les codes qu’il a publiés sont une version hautement modifiée de ce que l’équipe impériale a réellement utilisé. Et, il s’avère que le modèle présente de graves défauts, dont un ancien ingénieur logiciel de Google discute longuement dans son blog« .

L’étude, dont les grandes lignes ont été largement reprises dans les médias, préconisait carrément de faire disparaître le virus. Sans aucune vérification, ni même temps de débat, l’OMS a repris ces chiffres alarmistes et fantaisistes pour effrayer les gouvernements et les populations, et les gouvernements occidentaux ont mis en application les mesures de Ferguson.

Ferguson ne conseillait pas seulement l’OMS, mais aussi le 1er ministre anglais qui l’a viré le 6 mai 2020 au prétexte [8] qu’il avait vu sa copine à plusieurs reprises en plein confinement qu’il avait lui-même inspiré. 

Pas plus tard qu’en mars 2022 il s’autocongratulait lors d’une conférence sur la pertinence de ses modèles, si utiles pour appuyer la décision politique.

ferguson model

Il contribue pourtant encore à diverses études, comme celle de janvier 2020 parue dans le Lancet (encore), pour assurer en se basant sur des modélisations que les injections avaient un intérêt vis-à-vis d’une dizaine de virus (papillomavirus, rotavirus, rubéole, fièvre jaune, encéphalite japonaise notamment). Celle-ci conclut que « la vaccination des dix agents pathogènes sélectionnés aura évité 69 millions de décès (intervalle de crédibilité à 95 % 52-88) entre 2000 et 2030, dont 37 millions ont été évités entre 2000 et 2019. De 2000 à 2019, cela représente une réduction de 45 % des décès par rapport au scénario contrefactuel sans vaccination » et surtout les meilleurs résultats concerneraient les enfants de moins de 5 ans.

Il est membre de la direction du Vaccine Impact Modelling Consortium créé et financé par la Fondation Gates et le GAVI, dont le président est José Manuel Barroso de Goldman Sachs, et qui lui-même est créé et financé par la fondation Gates, qui a pondu cette étude. L’objectif du Vaccine Impact Modelling Consortium est de « coordonner plusieurs groupes de recherche » pour modéliser l’impact des programmes de vaccination à travers le monde.

On retrouve comme « partenaire » de ce « consortium » avec le GAVI et la fondation Gates l’Imperial College de Londres où bosse Ferguson[9] et qui bénéficie de dons de la fondation Gates ainsi que de l’OMS, qui elle aussi reçoit d’importants financements de la fondation Gates.

En effet, Bill Gates se targue de modéliser les « pandémies » et finance les deux structures qui ont réalisé des modélisations du covid : l’institut de Ferguson à l’Imperial College de Londres qui a reçu plus de 184 millions de $ tout de même entre 2006 et 2018 de la fondation Gates, et l’institut de modélisation de l’université de l’Etat de Washington.

Anthony Fauci

Fauci H1N1

Avec Gates, Fauci, directeur de l’institut des maladies infectieuses du NIH, le NIAID depuis 1984, il est LE pilier de l’organisation de la gestion de crise « covid ». 

Durant son interminable mandat il a renforcé les liens du NIH et du NIAID avec l’industrie pharmaceutique au cours de la vague du SIDA –largement amplifiée par l’AZT dont Fauci a fait une promotion intensive. Sa femme Christine Grady est médecin et directrice du département de bioéthique du NIH depuis 2012, en charge des essais cliniques.

Il a commencé à collaborer avec Bill Gates dans le domaine de la santé dès 1998, deux ans avant la création de la fondation Gates en commençant par « vacciner » les populations d’Afrique et d’Amérique latine, avec une grande campagne contre la polio lancée en 2000, et en 2003 le lancement d’une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

H1N1:

Fauci 2022 - 1

À l’époque, comme il l’avait déjà fait pour l’anthrax, l’hépatite B ou le Zika par exemple, Fauci s’est montré très loquace dans les médias et très alarmiste, tenant absolument à parler de « pandémie » quand tous les signaux restaient au vert. Il expliquait qu’un tiers de la population américaine risquait d’être contaminée, si bien que le gouvernement US a commandé 195 millions de doses de « vaccins » (notamment en spray nasal) développés en express et à peine testés, livrables à partir d’octobre 2009.

Le développement desdits « vaccins » a été largement financé par le NIAID, dirigé par FAUCI. C’est le NIAID qui organisait les essais avec des médecins relais dans les hôpitaux depuis le mois d’août 2009, et l’OMS a recommandé d’y ajouter des adjuvants (comme le squalène qui se sont avérés toxiques) pour augmenter l’impact des mixtures et donc avoir plus de doses avec la même quantité de produit.

On doit noter que ces médecins relais touchent, comme les agents du NIAID, des royalties sur les produits développés, versées par les industriels. Il était questions de deux doses pour tout le monde même les enfants de moins de 10 ans, sauf pour les femmes enceintes qui étaient protégées avec une seule dose.

L’échec du H1N1, des « vaccins » et du Tamiflu n’a pas empêché Fauci de continuer à prêcher pour les vaccins à sa sauce, notamment un « vaccin universel contre la grippe ».

Covid :

Fauci Trump

Fauci n’est pas impliqué dans l’affaire du covid que par sa gestion de crise : il est aussi impliqué dans les recherches sur les gains de fonction qui permettent à des virus d’animaux de contaminer les humains, notamment sur des coronavirus de chauve-souris, et notamment au laboratoire de Wuhan. En effet, le NIAID finance depuis 2014 les recherches menées par une société appelée EcoHealth Alliance, qui pilote ce type de recherche à Wuhan[10].

En 2017 Fauci a encore filé 6 millions à EcoHealth Alliance pour tester le Remdesivir comme remède contre le SARS-Cov-2, toujours au labo de Wuhan.

En 2018, l’OMS a créé le Global Preparedness Monitoring Board pour préparer le monde aux futures « pandémies », dont Fauci a été co-président, et quand Trump a créé sa task-force covid le 29 janvier 2020 il mis Fauci à sa tête. Il y avait aussi plusieurs affidés de Fauci dans cette task force, comme Deborah Birx, ex médecin militaire et spécialiste des recherches sur le SIDA, ou Robert Redfield, directeur du CDC depuis 2018, ex médecin militaire spécialiste du SIDA également.

Durant l’été 2021, Fauci a contribué à l’organisation par Trump d’un grand exercice de simulation d’une pandémie appelé Crimson Contagion, qui impliquait des dizaines d’établissements de santé et d’institutions dans le pays. Le scénario était celui de touristes venus de Chine avec une « nouvelle forme de grippe ».

Fauci 2020

Avant le début de l’ « épidémie » à l’automne 2019, ce fanatique de ce qu’il qualifie de « vaccins » mais qui s’en éloigne de plus en plus en appelait à la création d’un « vaccin universel contre la grippe ».

Fauci était alerté depuis le 31 janvier 2020 par des scientifiques que le virus du covid avait l’air fabriqué et que son génome ne correspondait pas aux critères de l’évolution du virus. Kristian Andersen sous-entendait même qu’il pouvait avoir été développé dans le cadre de travaux financés par le NIAID. Le lendemain lors d’une conférence en visio deux virologues ont dit que le covid venait très probablement du labo de Wuhan.

Pourtant Fauci s’est empressé de qualifier de « théories du complot » toutes les interrogations sur l’origine non naturelle dudit virus. Comme c’est vers lui que les spécialistes occidentaux, comme chez nous Delfraissy, se sont tournés dès la fin 2020 et surtout en janvier et février 2021 pour prendre les informations sur la « pandémie », cette bonne parole s’est propagée sans difficulté à travers le monde occidental.

Fauci a vu dans le covid une nouvelle opportunité pour faire des affaires, et a créé dès le début de l’épidémie son « réseau de prévention covid » avec ses inspecteurs principaux les plus fidèles, pour obtenir l’approbation la plus rapide possible pour les « vaccins » qu’ils étaient déjà en train de développer pour le SIDA. Kenny explique : 

« Fauci a accompli cette mission redoutable en transformant ses essais de VIH existants, pratiquement du jour au lendemain, en essais de phase III sur le vaccin covid-19″.

En tous les cas, le 22 février 2020, Fauci a annoncé sur CNN : « on est au bord d’une pandémie« , et trois jours plus tard alors que seulement 14 cas de covid étaient déclarés aux USA, il lançait avec l’argent public du NIAID un essai de Remdesivir de Gildead à l’université du Nebraska. D’autres essais avaient lieu depuis février à Wuhan[11].

Deux mois plus tôt le Remdesivir n’avait donné aucun résultat contre le Zika, mais le 29 avril Fauci déclarait qu’il devenait aux Etats-Unis la « nouvelle norme de soins », donc le traitement de base donné aux gens contre le covid[12]. Certains pensent que c’est la raison du taux de décès hallucinant aux Etats-Unis. Et le 1er mai il était autorisé sans que les études n’aient été publiées[13].

FAuci CNN

En parallèle, il a tout fait pour dénigrer et bannir les traitements qui avaient déjà commencé à montrer leur efficacité, en premier lieu l’hydroxychloroquine et l’ivermectine qui, si elles avaient été autorisées, auraient empêché l’autorisation du Remdesivir. Le 29 août 2021 alors qu’on avait déjà des dizaines d’études disant le contraire, il déclarant « Il n’y a pas la moindre preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement présenter une toxicité » et qu’il « n’y a aucune preuve clinique que cela fonctionne ».

Le NIAID et le CDC ont dépensé 79 millions de dollars d’argent public pour développer le Remdesivir. Lors des essais, un faux placebo toxique (le sulfobutyl) a été donné au groupe témoin, dont les résultats étaient forcément moins bons. Kennedy explique que Fauci a commencé à utiliser cette technique il y a déjà 40 ans pour bidonner les essais et dissimuler les effets indésirables de produits toxiques qu’il cherchait à développer.

Malgré ça les résultats n’ont pas été favorables. Fauci a donc changé les critères pour que les hospitalisations apparaissent plus courtes, mais une partie des cobayes ont du se faire réhospitaliser, ce qui montre qu’ils étaient sortis trop tôt. 

Et Fauci dictait les mesures à prendre, aussi bien au gouvernement US qu’au monde entier. En avril 2021, il expliquait sur France 24 que « une pandémie implique une réponse mondiale » pour dépasser les « divisions politiques ». Selon lui « Il y a eu beaucoup de divisions politiques qui ont rendu très difficile la tâche de faire face à la situation« .

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Ce qu’il qualifie de « politique » est ensuite précisé, et on comprend qu’en fait il s’agit de toutes les critiques par rapport à la doxa pseudo « sanitaire » qu’il a imposée :

« certaines questions liées à la pandémie ont acquis une connotation politique par exemple une réticence à porter le masque en raison d’une idéologie politique ou une réticence à éviter les attroupements ».

Selon lui « LA science a été très bonne parce que nous avons mettre au point des vaccins en un temps record« . On sait aujourd’hui par des dizaines d’études que ces « vaccins » sont complètement inutiles contre le covid. 

Selon une étude du Dr Michael Yeadon sur les effets des différents lots de vaccins, 5% des lots sont responsables de 90% des effets graves dont les décès.

« Si vous pensez que c’est par accident, détrompez-vous. Ce n’est pas la première fois que des « lots chauds » étaient, à mon avis, fabriqués et envoyés à dessein à travers le pays, généralement des vaccins conçus pour les enfants« , explique Russell L. Blylock, qui raconte un de ces scandales, étouffé : des lots pourris d’un « vaccin » se sont retrouvés dans le même Etat US et les dégâts sont donc devenus très vite évidents.

fauci vaccin

Du coup, pour éviter que ça ne se voie trop, le fabricant n’a pas retiré les lots mais les a dispatchés dans le pays pour diluer les effets graves.

Parmi les nombreux travaux sur les effets toxiques des « vaccins », Steve Kirsch qui a créé le Covid 19 Early Treatment Fund en mars 2020 a fait une étude de données basée sur huit méthodes différentes. Celle-ci attribue 150.000 décès aux « vaccins » aux USA depuis janvier 2020 jusqu’en octobre 2021. Il a été violemment attaqué dans des médias de masse et scientifiques.

« Il était évident qu’un groupe de personnes très puissantes en collaboration avec des conglomérats pharmaceutiques ne voulait pas que la pandémie se termine et voulait que les vaccins soient la seule option de traitement« , analysait en avril 2022 le neurologue Russell L. Blaylock.

Il détaillait le rôle de chef d’orchestre joué par Fauci, à travers une série d’actions qui avaient pour objectifs :

  • Réduire de 3 ans à 6 mois les essais cliniques, puis injecter le groupe témoin de manière à ne plus pouvoir comparer les « vaccinés » aux non « vaccinés ». L’essai Pfizer devait initialement durer jusqu’au 2 mai 2023.
  • Refuser d’améliorer le système de suivi VAERS « conçu pour échouer » selon Kennedy, et « qui supprime systématiquement la déclaration de la plupart des dommages liés aux vaccins » et ne détecte au mieux qu’1% des problèmes liés aux « vaccins »[14].
  • Rallier les médias de masse et les fournisseurs de réseaux sociaux pour soutenir sa propagande et censurer les paroles dissidentes.
  • Amener le CDC à refuser les autopsies de personnes décédées après l’injection.
  • Placer dans les instances comme la FDA et le CDC des financiers et des fidèles du NIAID, du NIH et de la fondation Gates, pour s’assurer que les mixtures seraient directement approuvées sans qu’il n’y ait d’études sur les effets à long terme : « Plus de la moitié du comité VRBPAC de la FDA qui a approuvé les EUEA de Moderna, Johnson et Johnson et Pfizer, a accordé l’homologation finale du du vaccin Pfizer, était composé de bénéficiaires de subventions du NIH, du NIAID, de la BMGF et de sociétés pharmaceutiques. Plus de la moitié des participants au comité ACIP (Advisory Committee on Immunization Practices) du CDC étaient aussi en situation de conflits d’intérêts« 
  • Vacciner l’ensemble de la population sans que cela soit justifié (d’ailleurs il a monté le taux de couverture immunitaire collective en cours de route), il s’est assuré qu’il n’y aurait plus de groupe contrôle. Et alors qu’il se disait contre la vaccination obligatoire, il a clairement changé d’avis quand tous les volontaires ont été piqués.

On sait parfaitement que les labos, notamment Pfizer, ont dissimulé les résultats des essais et menti dans les communiqués de presse qui étaient les seuls documents disponibles au moment où les premières décisions ont été prises.

Toujours à fond avec ses « vaccins », et après 40 ans de recherches infructueuses, le NIH lançait en mars 2022 de nouveaux essais cliniques pour tester 3 « vaccins » ARNm contre le SIDA. « Avec le succès de sécurité et de haute efficacité des vaccins contre le covid, nous avons une opportunité fantastique d’apprendre comme la technologie ARNm peut remplir les mêmes objectifs contre l’infection au HIV« avait déclaré Fauci.

Bill Gates

bill gates book

Bill Gates est bien connu, ce qui l’est moins ce sont ses liens avec le gouvernement et la sécurité US et la philosophie eugéniste de sa famille.

Son père Bill Gates Sr, avocat d’affaires, a été président du barreau de Washington et a créé le cabinet de lobbying Preston Gates & Ellis présent aussi en Chine. Il était aussi élu de la région de Seattle, était eugéniste et militait en faveur d’un « contrôle de la population », notamment en siégeant au conseil d’administration national du Planning Familial créé par l’eugéniste et raciste Margaret Sanger et de United Way, une ONG axée sur l’éducation.

Gates a pu bosser pour IBM grâce à sa mère qui était au conseil d‘administration et connaissait le PDG John OPEL. En 1982 il a éjecté son copain Paul Allen de Microsoft pendant qu’il a eu un cancer. En 1998 plusieurs procédures sont lancées contre lui pour abus de position dominante (trust) envers les consommateurs qui ne pouvaient pas télécharger d’autres logiciels que Microsoft sur leurs ordis équipés de Windows. Mais il a réussi à conserver sa branche « logiciels » et les ordinateurs et à n’avoir qu’une amende de 800.000$.

2022-05-31 21_49_50-Microsoft Co-founder Bill Gates Holding a CD-ROM Photo d'actualité - Getty Image

Bref, Gates se lance dans la philanthrope au milieu des années 90, avec la William H Gates foundation en 1995 déjà orientée sur la santé et sur l’éducation, l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI, lancé au forum de Davos sur le SIDA) en 1996, la Gates Learning Foundation en 1997, le Children’s Vaccine Program doté de 100 millions $ en 1998 année où il rencontre Fauci, puis le GAVI son alliance mondiale (argent) public- (bénéfice) privé pour les « vaccins » en 2000 année de création de la fondation Bill & Melinda Gates[15], devenue en quelques années la plus grosse fondation au monde par son budget.

Il a choisi le créneau des vaccins, expliquait un article du New York Times en novembre 2020, parce que les effets en termes de vies sauvées étaient facilement visibles et quantifiables, ce qui lui permettait de se refaire une image. C’est même lui a relancé l’industrie vaccinale, moribonde car ces produits, à la fin des années, n’étaient pas considérés comme « rentables » par l’industrie. 

De plus, il s’agissait de haute technologie, et il était à l’aise dans ce domaine. Au final, « Par ses dons, M. Gates a contribué à la création d’un nouveau modèle économique, qui mêle subventions, engagement anticipé sur des marchés et garantie d’un certain volume de commandes. Sa dimension incitative a attiré davantage de fabricants, dont certains issus de pays en développement, permettant ainsi de démultiplier la production de vaccins salutaires » s’enthousiasmait la journaliste du NYT.

D’aucuns ont même reconnu son « expertise technocratique », et on comprend que Gates est l’égérie de l’industrie phramaceutique et de se sactionnaires.

En 2003, il a lancé son Grand Challenge for Global Health (GCGH) destiné à orienter les financements du NIH vers des « vaccins » et autres traitements –mais surtout des « vaccins »- contre des maladies qui touchent d’autres continents ou n’existent pas encore[16]. Il a aussi lancé l’ère de la « santé globale », que certains qualifient de colonialisme sanitaire.

Gates 2

Depuis, il finance à tour de bras, via sa fondation, des programmes de recherche, des entreprises privées, d’autres fondations comme la Johns Hopkins University, des médias et même l’OMS, dans de nombreux domaines liés de près ou de loin à la santé. Cela lui a permis de créer un réseau mondial tourné vers ses propres objectifs.

En mai 2005 Gates a ouvert la 58e assemblée de l’ONU pour faire sa propagande sur les « vaccins ».

« Il a annoncé que sa fondation augmentait de 250 millions de dollars sa contribution au projet «Grands défis pour la santé globale». Cette initiative lancée en 2003, avec une première dotation de 200 millions de dollars, vise à pallier le manque d’argent dont pâtirent la recherche et le développement de médicaments pour les maladies spécifiques aux pays pauvres, comme la malaria. Elle financera, dès cet été, des projets sélectionnés parmi plus de 1500 idées provenant de 75 pays, par exemple des vaccins qui n’ont pas besoin d’être conservés au frais ».

C’est aussi en 2005 que l’OMS a lancé son « Règlement sanitaire international », qui risque de s’imposer en Europe à l’initiative du micron.

En 2007 il créé le H8 qui réunit pour des rencontres discrètes OMS, UNICEF, le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP), l’UNAIDS, la banque mondiale, la fondation Gates, GAVI et le Global Fund[20].

H1N1 :

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Une petite sauterie discrète de 14 milliardaires « philanthropes » et eugénistes a eu lieu le 5 mai 2009 quelques jours après que l’OMS déclare la « pandémie » H1N1. Cette réunion de ce qu’on a appelé le « Good Club » a été organisée à l’Université Rockefeller à l’instigation de la fondation Gates, de David Rockefeller et de Warren Buffet (qui avait transféré la plupart de sa fortune dans la fondation Gates, qu’il copilotait avec le couple).

Il y avait aussi George Soros, Michael Bloomberg, le fils Rockefeller qui s’appelle aussi David, des milliardaires dirigeants de multinationales, ou encore Oprah Winfrey.

Dans l’invitation il était question de faire face à la récession et de préparer le futur en développant leur « philanthropie » (qualifiée par le Guardian de « philanthro-capitalisme) et disant aux gouvernements ce qu’ils doivent faire.

Un des problèmes à régler, selon les dires d’un invité, était celui de la croissance de la population mondiale qui engendre « une menace environnementale, sociale et industrielle » (en rapport probablement avec les matières premières). C’est là que Gates a annoncé qu’il consacrerait la plus grande partie de sa fortune à « améliorer le monde ».

2022-05-31 22_05_50-Bill Gates and his father Bill Gates, Sr

Les membres de ce club se targuaient d’avoir donné plus de 70 milliards en bonnes œuvres les 12 dernières années.

Pour H1N1, Gates a évidemment promu ses « vaccins », car ils sont aussi un moyen de réduire la population « Avec de très bons résultats sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, le contrôle des naissances, on pourrait la réduire de, peut-être, 10 ou 15 pour cent » a-t-il expliqué lors d’une conférence TED en février 2010.

C’est l’OMS qui a lancé la « pandémie » de H1N1 en avril 2009 avec moult alertes graduelles[17] et le changement de la définition de la pandémie pour enlever le critère de mortalité. En 2009, l’OMS était déjà largement sous le contrôle du geek timbré qui en était déjà le principal donateur[18].

L’année précédente, la fondation Gates avait donné 39 millions de $ au PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) pour « soutenir le développement rapide de vaccins pour se protéger contre une future pandémie de grippe » vec des partenaires publics et privés. 

Il y avait 4 axes de recherches: 

  • les vaccins antigrippaux vivants atténués ;
  • la technologie des vaccins recombinants ;
  • les vaccins à base de peptides ;
  • de nouveaux adjuvants, des ingrédients vaccinaux qui aident à stimuler la réponse immunitaire, permettant potentiellement d’étendre davantage l’approvisionnement en vaccins. Car de « nouvelles technologies » de « vaccins » seraient selon eux apyes à fournir les 14 mlliards de doses nécessaires en cas de « pandémie », au lieu des 400 millions produites chaque année pour la grippe saisonnière.
Gates agenda 2030

En 2008 également, la fondation Gates, le Wellcome Trust anglais et l’Institut pasteur ont entamé une collaboration pour lancer des projets afin d’ « améliorer l’effort de recherche et réduire le risque issu des menaces d’épidémies de grippe durant les prochaines décennies« , comme l’expliquait Yamada, un affidé de la fondation Gates:

« Au cours des 18 prochains mois, nous développerons, maintiendrons et diffuserons un inventaire central des activités de recherche financées qui sont pertinentes pour la grippe humaine afin de nous assurer que les intervenants sont bien informés. Nous coordonnerons également des exercices de feuille de route pour identifier les lacunes dans les connaissances. Ceux-ci aideront les bailleurs de fonds et les chercheurs à établir des priorités de financement de la recherche, en mettant l’accent sur les vaccins, les pharmacothérapies et l’épidémiologie/la science de la population (par exemple, le diagnostic, la surveillance, la transmission et la modélisation) ».

Gates a aussi financé les modélisations flippantes de la « pandémie », qui déjà se sont avérées fausses et inutilement alarmistes[19]. Au tout début de l’épidémie, une étude financée par la fondation Gates et le National Institute of General Medical Sciences faisait remonter le H1N1 à la grippe espagnole et pôuvait donc se transmettre à l’homme et entre humains, ce qui a alimenté les titres de la presse.

Selon Kennedy, « En 2020 de nombreux essais de vaccins contre le VIH menés par Gates / Fauci en Afrique sont soudainement devenus des essais de vaccins contre le covid-19« .

En janvier 2010, vers la fin de l’ « épidémie », Gates a appelé à lancer la « décennie du vaccin ». 

Covid : 

gates fauci

La préparation du covid ou de la « pandémie » de covid, c’est selon, s’est accélérée avec la création en janvier 2017 au forum de Davos de la Coalition do Epidemic Preparadness and Innovations (CEPI) pour une gestion mondiale des épidémies et financer la recherche sur le développement de « vaccins » pour les « nouvelles épidémies« .

Financement : la Fondation Bill Gates, le Wellcome Trust, le forum de Davos au départ. Puis par des gouvernements (Belgique, Autriche, Australie, Canada, Danemark, Ethiopie, Grèce, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite, Luxembourg, Indonésie, Angleterre…) + USAID, Commission européenne + secteur privé (pas en 2021) + ONU via la fondation « Covid 19 solidarity reponse fund ».

Gates a toujours été très actif dans les « vaccins », jusque’à présent principalement en Afrique, et a redoublé d’efforts à l’approche du covid. En septembre 2017, quelques mois plus tard, c’est le 1er don du département de la Défense à EcoHealth Alliance pour des recherches sur les virus de chauve-souris dans l’ouest de l’Asie, puis en octobre a lieu un exercice pandémique organisé par Gates et Johns Hopkins sur une épidémie de coronavirus entre 2025 et 2028.

Bill gates 4

Cet exercice SPARS a eu lieu avec la participation de Luciana Borio vice-présidente d’In-Q-Tel une société d’investissement dans les technologies très proche de la CIA, Joseph Buccina d’In-Q-Tel et directeur de l’Intelligence Community Support, Walter Orenstein ex haut fonctionnaire de la Santé passé à la fondation Gates.

Dans cette simulation, les médias et les réseaux sociaux sont mobilisés pour diffuser en boucle les messages officiels de peur, rassurer sur les « vaccins » et occulter les vraies infos sur leurs effets toxiques, pour attaquer les voix dissidentes.

En mai 2018 après avoir financé trois exercices organisés par le John Hopkins Center for Public Health, Gates a mis en place le Global Preparadness Monitoring Board, créé officiellement par Tedros de l’OMS et par le président de la Banque Mondiale. Un de ses objectifs est de renforcer les pouvoirs de l’OMS et de mettre au pays défavorisés. 

On trouve au conseil d’administration qui est présidé par l’ancien secrétaire général de la Croix Rouge internationale, un représentant de la fondation Gates, Jeremy Farrar du Wellcome Trust, le directeur général du CDC chinois, et Anthony Fauci y siégeait encore récemment.

2022-05-31 19_08_57-Bill Gates, Emmanuel Macron, _Big Pharma_

Le 4 septembre 2019, la fondation Gates nouait un partenariat avec BionTech qui travaillait sur des vaccins ARNm, avec un investissement de 55 millions $ pouvant aller jusqu’à 100 millions sur la recherche autour de vaccins contre les « maladies infectieuses ». 2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ et préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul produit sur le marché.

En octobre 2019 c’est l’Event 201 organisé par la fondation Johns Hopkins, le forum de Davos et la fondation Gates pour préparer une pandémie mondiale.

Un focus important était fait sur le contrôle de l’information, notamment sur les réseaux, sociaux, ce qui est amusant quand on relève qu’en octobre 2019, justement, Zuckerberg devait s’expliquer devant le sénat US pour la censure intempestive d’informations, principalement au sujet de la dangerosité des « vaccins ».

2022-05-31 22_03_31-Bill Gates , co-founder and co-chair of the Bill & Melinda Gates

En janvier 2020, Bill Gates et le Wellcome Trust annoncent mettre 150 millions de dollars chacun à la Coalition for Epidemic Preparadness Innovations (Cepi) pour développer des « vaccins » covid (en réalité un remixage de « vaccins » contre le VIH qui ne donnaient rien).

Gates dit vouloir lever 3,5 milliards et organiser une grande conférence des donateurs le 8 mars à Londres. Et le 23 janvier l’OMS alerte d’une « flambée » de SARS Cov2 et prévient les Etats qu’il faut agir :

« Les pays doivent prêter une attention particulière à la réduction de l’infection chez l’homme, à la prévention de la transmission secondaire et de la propagation internationale, et s’attacher à contribuer à la riposte internationale moyennant des efforts multisectoriels de communication et de collaboration et une participation active à l’amélioration des connaissances sur le virus et la maladie, ainsi qu’aux progrès de la recherche. Les pays doivent aussi suivre les conseils de l’OMS concernant les voyages« .

Le même jour, l’OMS déclarait les tests RT-PCR valables pour le covid, en s’appuyant sur les recommandations d’un groupe de recherche en virologie basé à l’hôpital universitaire La Charité à Berlin, financé par la fondation Gates.

2022-05-31 20_20_21-Advancing research into accessible coronavirus treatments - COVID-19 Therapeutic

Juste avant le grand déclenchement des mesures « sanitaires » dans les pays alignés, le 10 mars 2020, la fondation Gates, le Wellcome Trust et Mastercard ont lancé le « COVID-19 Therapeutics Accelerator » (accélérateur thérapeutique COVID)  doté de 125 millions $ (+150 rajoutés peu après par Gates avec son argent personnel) pour « accélérer la réponse au covid ».

La fondation Gates expliquait alors que « L’accélérateur poursuivra plusieurs aspects du cycle de développement afin de rationaliser le cheminement du produit candidat à l‘évaluation clinique, à l’utilisation et à la fabrication« . 

L’initiative, qui pour l’instant n’a financé que des projets US et anglais, a été rejointe par d’autres organismes comme le GLOPID-R une structure destinée à nous « préparer aux épidémies de maladies infectieuses », et on trouve à sa direction Jeremy Farrar proche des renseignements US et dirigeant du Wellcome Trust, ou Barbara Kerstiens, en charge de ce sujet à la commission européenne et le désormais incontournable Yazdanpanah.

Parmi les grands donateurs de plus d’un million de $, il y a Zuckerberg de Facebook, Madonna, l’entrepreneur du net chinois Zhang Yiming qui a été désigné par le ministère américain de la Justice en septembre 2020 comme une tête de pont du parti communiste chinois (il a démissionné en mai 2021).

Quand Trump a lancé officiellement la procédure de retrait du financement US à l’OMS, en juillet 2020 (moins 400 millions de $ par anpour l’OMS) il a maintenu le financement de 1,16 milliard de $ au GAVI (via l’USAID) ce qui renforçait mécaniquement le poids de Bill Gates dans l’OMS. En juin 2020 les US ont aussi donné 8,8 milliards au GAVI sur 5 ans lors du « Global Vaccine Summit ».

En août 2020, pour accélérer la finalisation des candidats « vaccins » d’AstraZeneca, Johnson & Johnson, et Novavax, Gates a encore organisé la levée de 350 millions de $. 

La première « pandémie moderne »

2022-05-31 20_02_29-Bill Gates_ «Nous n’allons pas revenir à la normale avant un à deux ans» - Opera

Avant même que l’OMS déclence le scénario « pandémique », Gates a mobilisé les gouvernements occidentaux pour financer des recherches et la fourniture de mixtures partout dans le monde, sans que les pays défavorisés soient consultés. Ils devaient pourtant payer 1, 2 $ voir davantage, sans savoir ce qui allait leur être livré ni quand.

Des masses incroyables d’argent ont été draînées vers l’industrie pharma grâce à l’activisme pro « vaccins » et pro Big Pharma de Gates.

Le tout, en faisant sa propagande médiatique, car étrangement ce geek timbré est considéré par les médias et politiques mainstream comme le référent santé mondial. Il était pour un « confinement total » fin mars 2020 pour faire face au « genre de scénario cauchemardesque » (le covid) qui selon lui survenait, affirmant que si on confinait bien on n’aurait à le faire qu’une seule fois. Alors qu’il savait que comme ses mixtures n’arriveraient pas sur le marché immédiatement, le cirque allait forcément continuer.

Il va sans dire qu’il a soutenu les 2e, 3e (censée combattre les nouveaux variants avaec une ancienne souche de virus), 4e doses de mixtures. Finalement il a dit (janvier 2022) qu’on devra avoir une « dose annielle » de mixture anti-covid pendant plusieurs années.

Dès le 7 avril 2020, il annonçait qu’il allait financer pas moins de 7 vaccins en développement et les usines pour les fabriquer. Tout en déclarant quelques mois plus tard (en août) que « le vaccin initial ne sera pas idéal en termes d’efficacité contre la maladie et la transmission. Il n’aura peut-être pas une longue durée et sera principalement utilisé dans les pays riches comme mesure palliative » mais comptait déjà sur les « vaccins » suivants qui selon lui seraient plus efficaces.

Irlande du Nord 2

On a vu qu’en effet ils n’ont pas été efficaces, mais les suivants ne l’ont pas été davantage.

C’est encore lui qui donnait le tempo des « confinements » « déconfinements », du degré de mesures liberticides et de traçage qu’il convenait d’instaurer, etc.

Fin avril 2020 il annonçait que le fameux « retour à la normale » qui était en fait la carrotte pour que les citoyens crédules se montrent obéissants, ne reviendrait pas avaant un ou deux ans.

Il considérait que « Les gens seront très préoccupés par l’idée d’être infectés et changeront drastiquement leurs comportements, (…) tant qu’il ne sera pas prouvé que les thérapies ou un vaccin rendent le risque de mort résiduel ».  Il posait déjà ses conditions, et tout le monde avait compris que le plan était bien d »injecter massivement de nouveaux produits à un maximum de population mondiale.

Les pays occidentaux sortaient à peine de la première grande rétention de masse d’une population ahurie par la propagande, que Gates faisait ses petites prescriptions car évidemment la vie ne pouvait pas reprendre comme avant: pas de rassemblements avant le printemps 2021 (et c’est ce qu’il s’est passé en plus!), des distances « sanitaires » entre les gens, et surtout le « produit miracle » qu’il fallait attendre comme le messie :

« Si au printemps 2021, les gens pourront aller à de grands événements publics – comme un match ou un concert dans un stade – ce sera parce que nous aurons un traitement miraculeux qui a donne aux gens la confiance nécessaire pour sortir à nouveau« .

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En décembre 2020, quand ses produits « miracle » commençaient à être injectés à la population occidentale, il annonçait que « les 4 à 6 prochains mois pourraient être le pire de la pandémie » aux USA. 

En février 2021 il disait qu’on ne sortirait pas du covid avant 2022, date qu’il a toujours annoncée. On peut maintenant se demander si ce n’est pas parce que d’autres épidémies devaient arriver.

Quant à la chloroquine, Gates lui a réglé son compte en finançant une « grande étude » à l’université de Washington, qui a conclu que l’hydroxycholorquine n’empêchait pas d’attraper le covid et ne réduisait pas les symptomes. On notera que les essais sur l’hydroxychloquine menés par l’OMS, par les Etats-Unis, par la France et certainement ailleurs ont été stoppés d’un coup. On nous a dit qu’aucune efficacité n’était apparue, mais comme rien n’a été publié on est obligés de les croire sur parole.

Il y a été si fort avec sa propagande que 28% des Américains considéraient qu’il s’agitait ainsi dans le but d’implanter des micropuces aux gens par le biais des mixtures.

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Une des dernières inventions de Bill Gates dans l’affaire du covid, avant de passer à celle du monkeypox, est la création de la GERM Team (Global Epidemic Response and Mobilization) : une équipe internationale de 3000 experts pour intervenir partout dans le monde et prendre en main la gestion des « épidémies » à la place des gouvernements.

Il l’a lancée avec l’OMS, avec un budget estimé à 1 milliard de $ par an. Objectif affiché : casser les foyers de maladie avant qu’elles ne deviennent des « épidémies » [21]. De la santé globale préventive, en somme.

Il veut aussi « améliorer les systèmes de santé« , qui ont été détruits et doivent être reconstruits, à sa manière. Mais il faut dire que ce volet-là n’est pas prioritaire actuellement, Gates étant concerntré sur les nouvelles technologies de « vaccins ».

Investissements et conflits d’intérêts

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La fondation Gates a des liens d’intérêts et même des conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique. Et contrairement à ce qu’ont dit certains « débunkers », sa fondation gagne bien de l’argent grâce à ses « investissements » dans des grandes et petites entreprises, notamment les biotechnologies.

Elle a ainsi des liens anciens avec Gilead, qui vend le Remdesivir. Il y a quelques années, elle a investi ainsi que le NIAID dans le développement de produits anti SIDA que Gilead a récupérés. Les deux ont collaboré pour essayer le Remdesivir en Afrique contre Enola et le Zika, sans succès.

En fait, la fondation Gates –tout comme le GAVI- subventionne depuis des années de nombreux travaux de développement de divers produits médicaux menés par d’obscures start-ups comme par des multinationales telles que Pfizer, GSK, Sanofi, Roche ou même des hôpitaux comme le Birmingham Hospital and Women Health (BWH) de Boston… Et elle « investit » comme le Wellcome Trust par exemple, en prenant des partis du capital de start-ups, touchant parfois le gros lot en cas de rachat.

Au titre des retours sur investissement, en 2016 la fondation Gates a touché 80 millions de $ de la part de Pfizer lors de la revente d’une start-up de biotechnologies, Anaacor Pharmaceuticalls dans laquelle la fondation avait pris des parts, à Pfizer.

En 2019 elle a investi 55 millions de $ (pouvant monter à 100 millions) dans BioNtech, qui développait justement un des « vaccins » anti covid mis sur le marché. 

2 mois plus tôt BionTech a levé 325 million $ auprès d’investisseurs internationaux et elle préparait son entrée en bourse (début octobre 2019) sans avoir jamais mis un seul traitement sur le marché.

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D’un autre côté, le NIH a donné des centaines de millions de dollars aux programmes de recherche de la fondation Gates, notamment pour des « vaccins » contre le SIDA. En 2003 Fauci et Gates ont lancé une douzaine d’essais de « vaccins » anti SIDA en Afrique.

Avec Gilead, il était notamment question de traitements expérimentaux en Afrique contre le SIDA comme le Tenofovir[22], et Gilead Sciences est d’ailleurs le premier donateur pour les programmes anti-SIDA depuis au moins 2016, devant la fondation Gates sauf en 2020.

Il a financé dans les années 2000, via la fondation Gates, des travaux de Gilead -qui produisait le Tamiflu présenté comme le remède miracle contre le H1N1, sur le SIDA par exemple. À ce moment il y avait du beau linge au conseil d’administration de cette boîte qui démarrait seulement, comme Donald Rumsfeld (ex ministre de la Défense de Bush 2) qui en détenait aussi un paquet d’actions vendues avant que l’opinion ne se pose trop de questions sur l’inocuité ou l’efficacité de ce produit et George Schulz (ex ministre de l’Intérieur de Bush 2). En 2005 Bush 2 a mis 7 milliards pour la préparation d’urhence à une « pandémie » de grippe.

Angleterre

La fondation Gates collabore aussi avec Moderna  qui a reçu 125 millions de $ du HHS ainsi que des fonds de Gates pour un « vaccin » à ARN messager anti Zika en 2017 [23], et a subventionné Moderna pour  des « vaccins » à ARN messager contre le VIH. Elle a versé 20 millions de $ la première année en 2016 et les financements pouvaient monter jusqu’à 100 millions[24].

Moderna passait alors pour avoir « une approche disruptive » de la médecine avec ses « vaccins » à ARNm, qu’elle avait testé pour la première fois sur l’humain en 2010 avec un vaccin anti grippe. Et alors que toutes les grosses boîtes et start-ups qui avaient tenté de développer des « vaccins » à ARNm s’y étaient cassé les dents, il a été dit que les essais avaient été concluants et que ce produit était sûr.

En 2018 Moderna a encore levé plus de 500 millions de $ dont 230 millions de diverses fondations mais surtout celle de Gates, et valait 7 milliards. L’objectif était de « découvrir de nouveaux candidats-médicaments contre les maladies rares, tout en restant déterminé à faire progresser de nouveaux candidats au développement de vaccins pour répondre à de graves besoins non satisfaits ».

Forbes notait au moment de cette levée de fonds importante :

« Moderna affirme disposer de 1,4 milliard de dollars en espèces, en plus de la possibilité d’accéder à 250 millions de dollars supplémentaires en subventions de la Fondation Bill & Melinda Gates et de plusieurs agences gouvernementales, notamment la Biomedical Advanced Research and Development Authority (BARDA) et la Defense Advanced Research Projects. Agence (DARPA) ».

Avec tout cet argent, qui finit par faire la pluie et le beau temps dans de nombreux domaines de la recherche médicale à commencer par les biotechnologies et les « vaccins », Bill Gates est craint et l’autocensure à son sujet est la norme depuis bien longtemps aux USA. Il y a même une expression, explique le New York Times: le « Bill Chill« , comme un courant qui refroidit les ardeurs critiques dès qu’il est question de sa personne.

La commission européenne, soumise aux lobbys industriels et financiers, a aussi lancé son programme de financement de la « recherche » sur de nouvelles mixtures. En avril 2020, elle lance la « riposte mondiale au coronavirus », qui consiste à financer des recherches privées pour « développer et déployer des vaccins, des tests et des traitements contre le coronavirus » puis acheter des millions de doses de « vaccins » pour l’Europe et les pays défavorisés.

2022-06-01 22_12_33-(2) Commission européenne 🇪🇺 sur Twitter _ _

En décembre 2020 elle avait levé 16 milliards via une campagne de collecte menée avec l’ONG mondialiste Global Citizen. Un grand concert co-présenté par von der Leyen avec plein de stars made in USA (Shakira, Coldplay, Usher, Jennifer Hudson, Miley Cyrus, Justin Bieber…) a été organisé.

Le communiqué de la commission précise :

« Financée par Bloomberg Philanthropies, la Bill & Melinda Gates Foundation et le Wellcome Trust, cette campagne est axée sur les aspects suivants: remédier aux conséquences de la pandémie sur les communautés les plus vulnérables, garantir un accès équitable à des technologies abordables permettant de lutter contre le coronavirus et renforcer les systèmes de santé partout dans le monde« .

L’argent collecté devait être reversé à une série d’organismes bien connus :

Gates est en train de faire en Europe ce qu’il a fait aux Etats-Unis : réorienter l’argent public destiné à la santé des citoyens du pays vers la « santé globale », avec des canaux de financements mondiaux qui, on l’a vu, profitent toujours d’abord aux industries anglo-saxonnes.

4. Pourquoi une telle impunité, toujours renforcée ?

2022-06-02 20_46_47-Une gestion déplorable - ladepeche

La question qui vient logiquement ensuite est : Pourquoi des individus responsables de tant de désastres sont-ils toujours actifs lors de l’épidémie suivante ? On le voit avec la « variole du singe » : ce sont encore les mêmes protagonistes qui tournent en boucle à la télé, les mêmes qui sont aux postes de décision.

Par exemple, Delfraisssy, Flahault, Lina et Bachelot se sont retrouvés devant la commission d’enquête du Sénat « sur la manière dont a été programmée, expliquée et gérée la campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1) », mais sont encore là, à des postes clés. Il est vrai que cette commission ne cherchait pas à comprendre pourquoi on a misé sur des « vaccins » expérimentaux, mais pourquoi la vaccination avait raté.

Du coup les conclusions ont été qu’il fallait mieux « communiquer » :

« le message sanitaire délivré par les pouvoirs publics a été opacifié par un véritable brouillard médiatique, tandis que la communication institutionnelle, utilisant des instruments traditionnels, n’a pas su prendre la mesure de l’état d’esprit de la population et réagir correctement pour susciter son adhésion ».

En effet, la « menace » n’était pas perçue comme assez importante par les citoyens pour prendre le risque de se faire injecter, et au fil du temps la motivation déjà faible a littéralement chuté. Du coup, les sénateurs disaient qu’il fallait davantage « susciter l’adhésion » ce qui veut simplement dire qu’on allait devoir manipuler le consentement des citoyens par la propagande.

« Ce qui est regrettable, c’est certes que la communication n’ait pas été ajustée en conséquence, mais aussi que les décisions prises concernant l’organisation de la campagne n’aient pas mieux intégré la faible perception du risque par la population et la nécessité de susciter son adhésion et celle des professionnels de santé, notamment libéraux, à une campagne de vaccination que l’on souhaitait massive mais qui reposait sur la liberté de choix ».

2022-06-02 20_41_32-Covid-19 - Retrouvez toutes les campagnes de communication de l'ARS Auvergne-Rhô

On se souciait aussi déjà beaucoup d’ « internet », qui diffusait des informations contraires à la propagande officielle, et où les « messages institutionnels » n’étaient pas assez présents : on l’a vu, ça a été corrigé avec le covid où on a connu à la fois une propagande massive sur tous les canaux, et une censure jamais vue de toute opinion contraire à la doxa.

On nous parlait d’un « échec » de la « vaccination » sans jamais se demander si elle était justifiée au vu du nombre incroyablement bas de décès (323). L’utilité de cette campagne d’injections expérimentales n’a même pas été un sujet.

Au lieu de se féliciter qu’on ait évité de nombreuses victimes d’effets indésirables, la commission disait que « Les résultats de la campagne de vaccination contre le virus A(H1N1) sont indéniablement insatisfaisants : seule une très faible partie de la population a adhéré à la vaccination, alors même que les moyens, logistiques et financiers, déployés pour organiser la campagne, ont été particulièrement importants. Toutefois, la France n’est pas le seul pays à accuser un tel échec : celui-ci est très largement partagé« . Le seul objectif des sénateurs était-il de piquer tout le monde, peu importe la dangerosité du H1N1? On dirait.

Une des propositions de la commission pour régler le problème de l’influence des labos sur les décisions était de renforcer le rôle de l’Europe dans les achats de mixtures. Le rapport demande ainsi de « Promouvoir, au niveau communautaire, une meilleure coordination entre les États membres en matière de gestion de crise sanitaire et la mise en place d’une stratégie mutualisée d’achats de vaccins« .

carte H1N1

Le député François Autain, président de cette commission, avait beau jeu de dénoncer « la pression des laboratoires«  et le « chantage de l’industrie pharmaceutique » si sa commission réclame en parallèle une centralisation accrue des décisions, rendant encore plus facile le contrôle de la décision par l’industrie.

Il n’y a pas eu à ma connaissance de procédure judiciaire contre les responsables de ce gaspillage, ni de sanctions disciplinaires puisque tous ceux qui ont été impliqués ont poursuivi leurs carrières sans problème. Même les indemnisations des victimes des injections se font encore attendre pour la plupart des victimes.

D’ailleurs, l’Etat a été condamné par des tribunaux à en indemniser certaines, par exemple en 2020 quand le tribunal de Nanterre a obligé l’Etat à verser 558.000€ à une jeune femme atteinte de narcolepsie suite à l’injection anti H1N. Mais seulement une cinquantaine de dossiers auraient été définitivement indemnisés en 2021, certains sont en cours et beaucoup n’ontpas été reconnus.

En évitant de faire un bilan, voire même de régler les comptes après le H5N1, le H1N1, ainsi que sur toutes les mixtures injectées par Bill Gates et Fauci depuis 20 ans, on s’assure que le scénario sera encore pire la fois d’après. 

Le Sénat réclamait aussi que les préfets renforcent les « zones de défense » au niveau territorial : il fallait « Instituer dans chaque zone de défense un conseil zonal de préparation aux crises sanitaires présidé par le préfet de zone et composé de représentants de l’ensemble des acteurs de la gestion de crise sur le terrain« .

L’impunité organisée

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Pharmacovigilance, négociation des contrats, absence de débat contradictoire et scientifique, précipitation: une bonne partie des ingérdients qyi ont réaillé pour le H1N1 ont été reproduits et amplifiés avec le covid.

Par contre certaines choses intéressantes ont été dites par cette commission, comme le fait que les professionnels de santé ont été laissés complètement hors des réflexions et du dispositif, problèmes qui a été encore plus marqué dans le cas du covid avec une véritable éviction des médecins de ville de tout le dispositif, avec le résultat qu’on connait (pour les explications je renvoie notamment vers les travaux des membres du Conseil Scientifique Indépendant). 

La commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion par le gouverne-ment de la grippe A (H1N1), créée par le groupe Communiste, a été un peu plus loin.

Mais les parlementaires continuaient à faire comme si le H1N1 avait été grave (bien qu’ils reconnaissent que la « pandémie » annoncée n’était jamais arrivée) et recommandaient d’ « Elargir les plans de lutte antipandémiques à l’ensemble des maladies infectieuses » ou encore de renforcer les pouvoirs de l’Europe pour « une action concertée » même si on voit mal en quoi déconnecter davantage la décision du terrain et concentrer les pouvoirs entre les mains de quelques individus pourrait avoir un effet bénéfique. L’affaire du covid, notamment les magouilles de Von der Leyen pour les contrats des « vaccins », l’a d’ailleurs violemment montré.

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On a l’impression d’un système qui tourne tout seul, quelle que soit la dangerosité du virus. C’est comme si chaque acteur jouait sa partition, celle pour laquelle il est payé, celle à laquelle il a été préparé, c’est-à-dire une menace grave justifiant des actions mondiales, même si on est face à une épidémie de faible intensité. 

Peu importe la réalité: on plaque dessus un scénario établi d’avance au cours d’exercices, de conférences, d’études et rapports diffusés à grand renfort médiatique.

C’est un processus en deux temps : d’abord on injecte de l’argent dans des travaux de recherche ou des ONG sur tel ou tel sujet, par exemple les maladies infectieuses émergentes, puis cet argent diffuse, corrompt, fait oublier l’éthique partout où il passe, et la « pandémie » qui n’existe pas encore devient un sujet.

« Cette préparation collective, notamment de la communauté scientifique, à l’émergence d’une pandémie s’est auto-alimentée, comme le soulignait M. Jérôme Sclafer, avec l’accroissement de l’activité éditoriale autour de ce sujet : selon la base de données américaine Medline qui répertorie les principales revues médicales, si deux publications seulement en moyenne par an, dans les années 1980, portaient un titre contenant l’expression « grippe pandémique », en 1997, dix-huit publications avec un tel titre ont accompagné l’alerte sur la grippe de Hong Kong.

L’intérêt pour ce concept a encore augmenté à partir de 2003 puisque cinquante et une publications ont titré sur la grippe pandémique en 2004, cent vingt-quatre en 2005, puis plus de deux cents par an à partir de 2006″ notait le rapport sur le rôle de l’industrie pharmaceutique.

On imagine où on en est aujourd’hui.

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Concernant le H1N1, l’opinion publique a dû se contenter de ces deux enquêtes parlementaires pour comprendre comment une telle gabegie a été possible, pourquoi on a insisté pour refiler du Tamiflu et des « vaccins » à une population désinformée par les autorités, pourquoi on a effrayé la population alors que rien ne l’a jamais justifié. Aucun des problèmes n’a été réglé, la seule chose qui a avancé depuis est la gestion disproportionnée des « épidémies »qu’elles soient réelles ou purement hypothétiques.

En avril 2010, l’OMS a admis des erreurs dans sa communication sur les « incertitudes » de la « pandémie ». Le quotidien Le Monde notait alors que « Face aux recommandations de l’agence onusienne, les Etats ont accumulé des doses de vaccins qui n’ont finalement été d’aucune utilité. D’aucuns se sont interrogés sur les liens de l’OMS avec l’industrie pharmaceutique, notamment des laboratoires comme GlaxoSmithKline ».

Il n’y a évidemment pas eu d’enquêtes à ce sujet, au contraire les décisions suivantes ont montré que l’OMS a renforcé son processus d’alerte et de gestion « pandémiques », mais on y reviendra.

Définition Pandémie - rapport Sénat H1N1

D’ailleurs, l’OMS a expliqué que si la « vaccination » a été un bide, ce n’est pas du tout parce que le virus était bénin, mais à cause des « nouveaux médias » : les réseaux sociaux ! Le Monde relatait : « Les nouveaux médias – Twitter, blogs, email… – ont en outre perturbé la communication autour de la grippe, ont souligné les experts de l’OMS. Il y a eu « des informations, des rumeurs, beaucoup de spéculations et des critiques dans de nombreux supports » médiatiques, a rappelé Keiji Fukuda », spécialiste de la communication pandémique à l’OMS[25].

L’impunité vient de plusieurs facteurs, dont l’un des principaux est que beaucoup d’acteurs de la gestion « pandémique » baignent dans la propagande de l’industrie pharmaceutique qui les transforme progressivement en VRP de cette même industrie. Elle vient aussi du fait que personne n’ose remettre en question la « doxa » car les carrières sont souvent liées aux financements privés qui ont un intérêt à vendre toujours plus de produits, toujours plus chers. $

Beaucoup ont travaillé sur ces liens d’intérêt, comme Laurent Mucchielli dans plusieurs articles et dans ses livres « La doxa du covid« .

Est-ce que cela a changé depuis le H1N1 ? Au contraire, l’industrie pharma a encore grossi (1200 milliards de chiffre d’affaires en 2019) et l’étau s’est refermé davantage : les liens d’intérêt se sont renforcés, les membres des plus hautes instances n’ont aucune indépendance par rapport aux industries avec lesquelles ils collaborent de plus en plus étroitement [26].

On a même passé un cap assez hallucinant avec le conseil de « défense » du micron, dont les décisions sont secrètes pour 70 ans. Du jamais vu en matière « sanitaire ». Et comme le micron est irresponsable, on ne peut pas le poursuivre pour ce qu’il fait sauf à prouver la corruption active. Ce qui est impossible vu l’opacité complète sur l’ensemble de ses décisions.

Big Pharma 2021

Des médecins et des politiques au service de Big Pharma

En 2019, le Corporate Europe Observatory a souligné l’augmentation importante des dépenses de lobbying de l’industrie pharma en Europe. Un article du Point expliquait ainsi que les dix groupes pharmaceutiques les plus actifs en lobbying « disposent de 60 laissez-passer pour le Parlement européen et ils ont organisé 112 réunions avec des membres haut placés de la Commission européenne. Le budget annuel de lobbying de la seule Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) atteint 5,5 millions d’euros, et même 6 millions si l’on ajoute ses deux sous-groupes, l’European Biopharmaceutical Enterprises et Vaccines Europe.

Au total, les 3 organismes ont obtenu 42 réunions avec des commissaires, leurs cabinets ou leurs directeurs généraux, et disposent de 10 laissez-passer au Parlement européen. L’EFPIA siège également dans 8 groupes de conseil à la Commission, qui fournissent aux législateurs leur expertise sur des questions politiques« . 

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Ce lobbying poursuit deux objectifs principaux (mais pas exclusifs): diffuser des messages alarmistes sur les maladies pour lesquelles de nouveaux traitements viennent d’être repositionnés ou développés par les labos, et augmenter les prix. En 2020 et 2021, les investissements de Big Pharma en lobbying avaient encore explosé, aussi bien aux USA qu’en Europe où on a atteint la somme de 50 millions de dollars -déclarés (mais la transparence en la matière n’est qu’un leurre).

« Outre l’omniprésence des lobbyistes pharmaceutiques, les statistiques des réunions permettent d’identifier les cinq visiteurs les plus fréquents lors des réunions sur la production et la distribution de vaccins et de médicaments. Elles se répartissent en trois catégories : les organisations internationales, les fondations philanthropiques et une organisation de la société civile.

Avec respectivement 5 et 7 réunions, le CEPI et Gavi sont deux des quatre groupes à l’origine de l’initiative internationale COVAX (les autres étant l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF), et ont été très actifs pour des raisons évidentes. Ils ont certainement besoin d’un soutien européen, financier et politique. Alors que leur objectif déclaré est de fournir au monde des médicaments et des vaccins contre le COVID-19, il y a un hic : ni le CEPI ni GAVI ne sont enclins à ouvrir une discussion sur les droits de propriété intellectuelle« , notait le Corporate Europe Observatory dans un autre rapport en mai 2021.

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On a vu avec le cas Bill Gates qu’un des moyens par lesquels l’industrie pharmaceutique diffuse l’argent est la rémunération d’études cliniques. Celles-ci peuvent aussi bénéficier d’argent public, mais ce sont bien les labos qui les mènent. Les médecins hospitaliers qui recutent des cobayes sont rémunérés par l’industrie, et cette rémunération peut mettre du beurre dans les épinards.

Ces médecins hopitaliers qui collaborent avec l’industrie pour des essais ou des travaux de recherche de molécules sont couvés par Big Pharma qui s’en sert comme « influenceurs », ou « Key Opinion Leaders », c’est-à-dire qu’ils sont en position de s’exprimer auprès des décieurs, des autres médecins ou du grand public.

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Du coup, ils touchent en moyenne 3.700€ annuels de cadeaux (davantage que la moyenne des médecins) pour faire la promotion de de tel ou tel produit, et surtout 41.000 € en moyenne pour des interventions à des congrès, des expertises spécifiques etc. Et cette rémunération augmente… en fonction du prix des traitements prescrits par le « médecin »: plus il prescrit de médocs chers, plus il touchera de l’industrie.

Des sommes qui sont dix fois plus importantes aux USA.

Evidemment, le top de l’influenceur est celui qui est présent dans des autorités décisionnaires en matière médicale. Il va être recruté comme « conseiller », ou carrément dans des conseils scientifiques et conseils d’administration des entreprises pharmaceutiques, ou même dans des organisations satellites. 

L’industrie pharma a aussi mis la main sur la presse médicale, en premier lieu les médias de référence comme le BMJ ou le Lancet[27]. Ce qui amène Laurent Mucchielli à parler de « trafic d’influence organisé par les industries pharmaceutiques, que l’on peut également qualifier de « corruption systémique » de la recherche médicale« . L’industrie ne rémunère pas tous les médecins, et cible des « influenceurs » (les télétoubibs qui oublient systématiquement de préciser leurs liens d’intérêts), qui ont reçu 3,5 milliards en France entre 2012 et 2018.

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Une étude française parue en 2021 dans le British Medical Journal a identifié 548 médecins « influenceurs » en France, qui interviennent dans des congrès, sont membres d’associations professionnelles, ont publié des recommandations entre 2014 et 2019. Durant cette période, les industriels ont versé 6 milliards d’euros pour les médecins dont 3 milliards d’euros de rémunération et 1,7 milliard de cadeaux en nature, et ces influenceurs ont une plus grosse part du grisbi.

Depuis 2016 une loi oblige pourtant ces gens à préciser leurs liens d’intérêt à chaque intervention publique. Mais cette loi n’est jamais appliquée et le CSA s’en tape.

Ces « influenceurs » n’hésitent pas à faire la promotion de la nouvelle pharmacopée. Par exemple en novembre 2019, donc quelques mois avant le début officiel du covid, 86 médecins regroupés dans un « collectif ACCèS+ » (dont Karine Lacombe) signaient une tribune dans l’Opinion pour accélérer la mise sur le marché des nouveaux médocs. À eux tous ils cumulaient 16 millions d’euros de liens d’intérêts avec l’industrie depuis 2013, soit une moyenne de 31.000€. Médiapart a ensuite montré que ladite tribune a été coordonnée par Agipharm, une association qui réunit 14 labos US.

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En 2020, Pfizer a annoncé un investissement de plus de 500 millions d’euros au macronistan. Objectif :

« travailler avec les établissements de santé en France pour augmenter de manière significative le nombre de patients inscrits dans ses essais cliniques au cours des cinq prochaines années. Cette démarche est soutenue par l’engagement continu du pays à vouloir simplifier les programmes d’accès précoce aux médicaments innovants, et permettre ainsi l’accès plus rapide aux patients en France dont les besoins médicaux ne sont pas couverts aujourd’hui« .

On ne reviendra pas sur la fameuse étude du Lancet contre l’hydroxychloroquine débunkée en 24h, qui est un cas emblématique du ridicule dans lequel s’est enfoncée une certaine « science ». Mais on notera que véran s’en est servi pour renforcer l’interdiction de l’HCQ dès le lendemain et qu’il n’est jamais revenu sur cette décision criminelle puisqu’elle a entraîné des décès qui auraient pu être évités. À ce moment, tous les « influençeurs » étaient vent debout contre l’hydroxychloroquine et contre Raoult, plus facile à attaquer que la chloroquine.

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Par ailleurs, il est devenu quasiment impossible de faire de la recherche dans le domaine médical sans recourir à l’argent du privé, grâce à la privatisation de la recherche universitaire introduite au début des années 2000 sur injonction européenne.

On notera aussi que l’industrie du « vaccin » est tenue par quatre géants : GSK, Merck, Pfizer et Sanofi dont les chiffres d’affaires de ce secteur en 2019 allaient respectivement de 9,2 milliards à 6,4.

Les manigances de big pharma sont connues depuis des lustres, il y a même parfois des condamnations (Pfizer les cumule, avec plus de 6 milliards versés en dédommagements aux USA), mais le système perdure et se renforce. La mainmise est aussi de plus en plus prégnante aux plus hauts niveaux politiques : on n’a pas fini d’étudier les liens de la micronie avec les labos, du micron avec Pfizer notamment[28], que ce soit ou non via McKinsey.

Avec le covid, des milliers de plaintes ont été envoyées à diverses institutions censées appliquer les lois, et aussitôt classées sans suite. Quand un tribunal décidait de faire sauter des mesures liberticides locales type couvre-feu, muselières obligatoires, déplacements limités etc. on a vu les préfets passer outre systématiquement.

L’impunité aujourd’hui est totale, et est facilitée par l’opacité totale dans laquelle sont prises les décisions : opacité du conseil de « défense » du micron où se décidait par exemple l’ouverture du Puy-du-Fou pendant une rétention de masse stricte, opacité des essais des labos, opacité des contrats, opacité sur les traitements efficaces, opacité sur les effets indésirables des « vaccins », censure systématique, en tous lieux et places, des contradictions.

2022-06-03 22_46_58-Emer Cooke, directrice de l'EMA et _apothicaire de l'Europe_, donne le feu vert

L’industrie aime aussi recruter les anciens décideurs politiques, ou envoyer ses dirigeants dans les instances de décision. Par exemple plusieurs membres de l’Agence Européenne du médicament ont aussi travaillé pour l’industrie pharma (comme sa directrice actuelle Emer Cooke qui a commencé sa carrière dans l’industrie et a notamment passé 7 ans à l’EFPIA, le lobby de Big Pharma auprès des instances européennes), ou bien y sont allés dès la fin de leurs fonctions, comme son Directeur exécutif, Thomas Lönngren, qui dès le lendemain de son départ en 2011 avait rejoint le conseil d’administration de NDA Ltd, société de lobbying au service des firmes pharmaceutiques, qui l’a recruté en tant qu’influenceur de premier plan. Il avait de nombreux autres liens d’intérêt avec diverses boîtes du secteur.

C’est cette agence européenne du médicament qui autorise les médicaments en Europe (Rmedesivir, vaccins etc.), qui assure l’opacité sur les essais cliniques et empêche le développement de médicaments génériques, par exemple.

L’infiltration est la même au niveau européen et international, notamment à l’OMS[29].

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Pourquoi cette corruption ne fait-elle que se renforcer ? Tout simplement parce qu’elle n’est pas exceptionnelle mais systémique et que l’argent est le nerf de la guerre. Et pour qu’elle soit systémique il faut bien que les conditions favorables soient réunies sur le long terme et cela n’est pas dû au hasard. Il n’y a qu’à considérer l’ampleur du phénomène dans le temps et dans l’espace, mais on va voir progressivement quels processus sont en cours.

On peut déjà être certains d’une chose : cette impunité ne va pas s’arrêter, au contraire elle va continuer à prendre de l’ampleur, probablement jusqu’à ce que l’industrie pharma et les instances de décision nationales et surtout internationales se confondent complètement.

Ne négligeons pas non plus la corruption, phénomène mal perçu aux plus hauts niveaux de l’Etat et des institutions internationales, mais qui pourtant est réel. Je ne donnerais qu’un chiffre à ce sujet: un rapport d’Interpol estimait qu’au bas mot 12,5 % des marchés publics passés en Europe sont des dessous de table. C’est-à-dire que si on paie 100 millions pour des « vaccins », 12,5 millions sont renvoyés aux politiques qui ont pris la décision et organisé le contrat des deux côtés. Selon l’OCDE, plus de la moitié des cas de corruption transnationale avaient pour objectif de remporter un marché public.

Selon le type de marché, les commissions et rétrocommissions peuvent représenter 10 à 25 % du montant des contrats selon Transparency International, 10 à 30 % pour l’OCDE. Au niveau européen, ça pourrait représenter 6,3% du PIB.


On sait qui a commis des erreurs mais on ne cherche pas à identifier les responsabilités sur le plan pénal. Il n’est donc pas question de protéger les citoyens mais les donneurs d’ordre. La corruption des différents niveaux de décision par l’argent de Big Pharma n’est pas un scoop; on le sait depuis des années. Mais rien n’est fait pour lutter contre, à part des règlements ineptes de fausse « transparence ». Ce qu’il faudrait, c’est cloisonner la décision politique ou sanitaire et l’industrie, empêcher l’infiltration. 

Au lieu de cela, l’influence de l’industrie pharma et de ses sbires ne cesse de se renforcer malgré les scandales. À ce stade la question à se poser est : à qui tout cela profite, et qui a les moyens d’empêcher que les citoyens ne se mêlent de leur prore santé?


[1] Dans son audition au Sénat le 28 avril 2010 devant la commission d’enquête il a déclaré : « J’ai été membre du LEEM Recherche, aux côtés d’ailleurs de la présidente de l’Institut Pasteur, du directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), du directeur général de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), au titre de ma fonction de directeur de l’Ecole des hautes études en santé publique ». Le 26 février le LEEM Recherche est devenu l’Alliance pour la recherche et l’innovation des industries de santé (ARIIS) et Flahaut était mentionné sur leur site mais niait encore faire partie de la structure.

[2] Apparemment c’est l’Institut Pasteur qui est allé le chercher en 2013 pour « disposer d’outils d’aide à la décision en cas de nouvelle pandémie« .

[3] Le GEIG organise des congrès financés par l’industrie pharma.

[4] Elle fut déléguée à l’information médicale des laboratoires ICI Pharma de 1969 à 1976, et chargée des Relations Publiques chez Soguipharm de 1984 à 1989, en gros elle gérait la com de ces labos. Entre les deux missions dans le privé elle a fait ses premiers pas en politique comme conseillère générale dans le fief de son père.

[5] Même l’OMS admettait en août 2009 que « par manque de temps, les données cliniques seront inévitablement limitées au moment où on commencera à administrer les vaccins contre la grippe pandémique. Les tests d’innocuité et d’efficacité devront donc se poursuivre après avoir commencé à les administrer« .

[6] Un comité dont quasiment tous les experts avaient des liens d’intérêts de longue date avec l’industrie pharma.

[7] « Anthony Fauci, Bill Gates et Big Pharma – Leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », paru en mars 2022.

[8] Ferguson était membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage) qui conseille le gouvernement anglais.

[9] Plus précisément au MRC Centre for Global Infectious Disease College créé pour modéliser les pandémies.

[10] Ce projet destiné à « comprendre le risque d’émergence d’un coronavirus de chauve-souris » devait initialement être financé par le NIAID jusqu’en juin 2024 mais il a été stoppé prématurément après que la DARPA ait compris qu’il y avait quelques problèmes de sécurité au laboratoire de Wuhan. On était alors en juin 2020.

[11] Les résultats de l’étude chinoise n’ont pas été favorables au Remdesivir, pointant ses dangers et son inutilité face au covid.

[12] La FDA l’a autorisé dans les jours suivants, ce qui a entraîné son remboursement à 100%, à un prix de plus de 2000$ le traitement.

[13] Une étude parue dans le Lancet en mai 2020 a montré que 12% des patients traités au Remdesivir avaient eu des effets graves et ont dû arrêter le traitement, contre 5% des patients non traités.

[14] En 2010 l’Agence fédérale pour la qualité des soins de santé (AHRQ) a évalué un système bien plus performant qui a été jeté aux oubliettes par le CDC car il a révélé que les « vaccins » causaient des dommages graves chez 1 personne sur 40. 

[15] La fondation Bill & Melinda Gates est née de la fusion de la Fondation William H. Gates et de la Gates Learning Foundation. En 2006 elle avait environ 30 milliards de $ de budget, quand Warren Buffet lui a donné une bonne partie de sa fortune, soit encore 30 milliards de $.

[16] Cf. « The grand impact of the Gates Foundation » de Kirstin RW Matthews et Vivian Ho. https://doi.org/10.1038/embor.2008.52

[17] Selon le rapport du Sénat sur le rôle de Big Pharma dans la « pandémie » H1N1, « l’OMS avait déjà, selon M. Ulrich Keil, directeur de l’Institut d’épidémiologie à l’Université de Munster, lancé plusieurs « fausses alertes » avant le déclenchement de la pandémie grippale de 2009. M. Ulrich Keil cite les exemples de l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) et de la grippe aviaire. Toutefois, à la différence des cas précédents, la grippe A (H1N1)v a donné lieu à l’engagement, pour la première fois dans de telles proportions, de mesures de production de vaccins, et à l’engagement de campagnes de vaccination de masse ».

[18] Gates finançait –et finance toujours- l’OMS via plusieurs canaux : sa fondation qui en 2008-2009 a donné 338 millions de $ (le gouvernement US, 1er donateur a donné 424,5 millions $), mais le GAVI qui reçoit des financements de sa fondation, a donné 85 millions à l’OMS, et le Programme for Appropriate Technology in Health (PATH) lui aussi principalement financé par la fondation Gates, a donné 9 millions $. De plus, la fondation Gates finançait déjà diverses structures qui donnaient aussi à l’OMS (par exemple la Johns Hopkins University, le International Development Research Centre, le Global Fund to Fight AIDS, Tuberculosis and Malaria).

[19] Le centre de modélisation de l’Imperial College de Londres est financé par Bill Gates et c’est là que travaillait Neil Ferguson.

[20] Le « Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme », créé par l’OMS en 2001 avec l’appui du G8 et bien-sûr des financements de la fondation Gates (2,74 milliards $ tout de même depuis sa création, et 760 millions rien que pour 2020-2022).

[21] La GERM team a été présentée par Gates en avril 2022 dans une conf TED, en version intervention hollywoodienne : « Ce serait une équipe à temps plein dont la seule et unique priorité serait la prévention des pandémies. Elle serait constituée de divers spécialistes couvrant des domaines très variés : des épidémiologistes, des spécialistes des données, des logisticiens. Il faut davantage qu’un savoir-faire médical et scientifique, il faut aussi des compétences en communication et en diplomatie…« .

Il dit aussi que l’Australie a très bien géré la crise covid, mais il n’y a jamais eu de morts là-bas et a parlé d’un « médicament à inhaler ». Mais les « vaccins » doivent « être plus faciles à inoculer ».

[22] Que Gates compte apparemment donner en priorité aux « jeunes filles des bidonvilles« . 

[23] Le PDG de Moderna Stéphane Bancel déclarait que « Nous avons défini Moderna pour imiter la biologie en donnant à votre corps les instructions pour que vos cellules fabriquent les protéines dont vous avez besoin pour vous protéger« . À l’occasion de ce partenariat, CNBC notait : « En cas de succès, les méthodes de Moderna pourraient conduire à la production rapide de médicaments thérapeutiques et d’une myriade de vaccins à moindre coût. C’est un argumentaire qui a fait de Moderna Therapeutics, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, actuellement évaluée à près de 5 milliards de $, la société de biotechnologie privée la plus valorisée des États-Unis. Sa réserve de 1,9 milliard $ en espèces a été levée auprès de financeurs et partenaires tels que les géants pharmaceutiques Merck et AstraZeneca et la Fondation Bill et Melinda Gates« .

[24] Les recherches étaient principalement menées par une filiale de Moderna spécialisée dans la recherche de « vaccins » contre les maladies infectieuses, Valera.

[25] On notera qu’il était toujours actif pour le covid, et n’a pris sa retraite aux Etats-Unis qu’en novembre 2021. Fukada a milité pour un renforcement du Règlement Sanitaire International pour que l’OMS puisse décider au niveau mondial des mesures à prendre en cas de « pandémie ».

[26] Les labos ont augmenté leurs actions de lobbying et les rémunérations diverses et variées auprès des médecins hospitaliers. Par exemple en 2020 Didier Raoult dénonçait l’entrisme de Gilead au sein du Collège des universitaires des maladies infectieuses et tropicales (CMIT) : 97 des 114 médecins de ce comité avaient eu une rémunération ou un avantage de la part de Gilead depuis 2012.

[27] « En 2009, le docteur Marcia Angell, ancienne éditrice en chef du très célèbre New England Journal of Medicine déclarait qu’« il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion, à laquelle je suis parvenu lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies en tant que rédacteur en chef du NEJM » rappelle par exemple Mucchielli.

[28] Plusieurs éléments interrogent quant à la relation de jupicrétin avec Pfizer, comme l’argent qu’il a réellement touché du contrat Pfizer – Nestlé qu’il a négocié chez Rothschild pour 12 milliards de dollars (rachat par Nestlé de la branche nutrition infantile Pfizer Nutrition), la rpésence de VRP de Pfizer dans le cabinet de véran, comme le médecin de l’AP-HP François-Xavier Lescure conseiller covid de véran tout en étant rémunéré par Pfizer, ou le soutien actif de l’industrie pharmaceutique à sa campagne, en attente d’un retour sur investissement.

[29] Après le H1N1 déjà un rapport du conseil de l’Europe cité par Le Monde dénonçait « de graves lacunes (…) en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer à l’égard des principales décisions relatives à la pandémie ».




L’épidémie cachée : Les erreurs médicales sont la 3e cause de décès au Canada, pas la covid

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Lévesque

28 000 morts par an.

C’était le bilan alarmant des erreurs médicales au Canada en 2019.

C’est presque deux fois plus que la covid avec ses 15 000 morts en 2020.

La 9 janvier 2021, Radio-Canada publiait pourtant l’article La COVID-19 a été la 3e cause de décès au pays en 2020, article illustré sur la photo qui coiffe ce texte :

« La COVID-19 est venue ajouter plus de 15 000 décès au Canada, dont environ 8000 au Québec, en 2020Ce qui fait de cette nouvelle maladie la troisième cause de décès l’an dernier, confirment des experts.

Au Canada, ces dernières années, on a dénombré annuellement près de 80 000 décès attribuables aux cancers et 50 000 décès dus aux maladies cardiovasculaires. Il s’agit là des deux premières causes de mort au pays.

Se retrouvent ensuite les accidents, les maladies cérébrovasculaires et les maladies chroniques des voies respiratoires, avec environ 13 000 décès annuellement dans chaque catégorie. »

Les erreurs médicales brillent par leur absence dans cet article de Radio-Canada, qui a pourtant écrit au moins deux articles sur le sujet : un en 2004, Erreurs médicales: jusqu’à 24 000 morts par année, et plus récemment, le 28 octobre 2019, Thousands die from medical errors yearly, notes advocacy group (Des milliers de morts dues au erreurs médicales chaque année, note un groupe de défense).

Article de 2004
Article de 2019

Nous sommes donc passés de 24 000 à 28 000 décès par année. Visiblement, la situation ne s’améliore pas.

Radio-Canada International écrit :

« Au Canada, les erreurs médicales sont responsables de 28 000 décès par an, selon l’Institut canadien pour la sécurité des patients qui milite pour réduire ce nombre. Les erreurs seraient la troisième cause de décès au Canada après le cancer et les maladies cardiaques, et toutes les minutes et 18 secondes, une personne est blessée par accident. » (Soulignements ajoutés)

On trouve dans l’article de 2019 une entrevue avec une infirmière de formation, Chris Power, à l’époque PDG de l’Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP). Elle y affirme que les erreurs médicales sont la 3e cause de décès au Canada.

L’erreur la plus courante selon Mme Powers? La médication :

Chris Power

« Vous pouvez recevoir la mauvaise médication ou le mauvais dosage, vous pourriez être allergique à certains médicaments, par exemple, et cette information est enregistrée quelque part, mais on ne la voit pas », explique Mme Powers.

Les infections nosocomiales sont un autre problème : « Il s’agit des infections que vous n’aviez pas avant d’entrer dans le système de santé, et les causes sont diverses, par exemple des mains mal lavées ou de l’équipement mal stérilisé etc., ce qui mène à des infections. »

Les mauvais diagnostics et l’absence de diagnostics sont également problématiques, ainsi que les chutes chez les personnes soignées à la maison, note Mme Powers.

« [Les erreurs médicales] sont un problème mondial de grande envergure […] Au Canada particulièrement, il s’agit de la 3e cause de décèsUne personne meurt de blessures non intentionnelles à toutes les 13 minutes 14 secondes dans ce pays et à chaque minute 18 secondes quelqu’un est blessé. Ces statistiques sont alarmantes, et si nous regardons ailleurs dans le monde, nous observons des taux de blessures similaires. Il s’agit donc d’une épidémie mondiale et nous essayons de la faire connaître, pas seulement dans notre pays, mais dans tous les pays. » (Soulignements ajoutés)

Mme Powers souligne que les personnes le moins au courant de ce problème sont les citoyens.

Ce n’est pas étonnant lorsqu’on lit des articles de Radio-Canada affirmant que la covid est la 3e cause de décès au pays et que l’on omet d’inclure les erreurs médicales, comme on peut le constater dans ce tableau de janvier 2021, lequel utilise incidemment 2019 comme année de référence :

Il est impossible que le nombre d’erreurs médicales aient chuté au point de ne pas figurer sur ce tableau.

Selon les sondages effectués par l’ICSP sur la sécurité des patients, les citoyens savent très peu de choses au sujet des erreurs médicales.

L’une des raisons pour lesquelles ce sujet est méconnu repose sur « la véritable déférence à l’égard de l’autorité » selon Mme Powers :

« Les patients ont peur de parler et craignent de ne pas recevoir de soins adéquats s’ils critiquent [les soignants]. Il est très important que chacun de nous fasse entendre sa voix ».

Vous trouverez des ressources et outils pour ce faire sur le site de l’ICSP.

Il est fort probable qu’une autre raison principale du manque de connaissance des citoyens au sujet des erreurs médicales soit la désinformation des grands médias.

Les injections covid, une erreur de médication monumentale?

L’épidémie mondiale des erreurs médicales a sans aucun doute augmenté depuis 2020 en raison du bannissement des traitements précoces contre la covid, comme l’ivermectinel’hydroxychloroquine et autres, ainsi que des effets secondaires liés aux injections anticovid, incluant la mort.

En date du 20 mai, la base de données étasunienne VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System) comptait plus de 28 000 décès et près de 53 000 handicaps permanents :

En 2011, le rapport Lazarus sur le VAERS, visant à améliorer les décisions prises en matière de soins de santé, estimait que « moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont rapportés ».

« Les faibles taux de déclaration empêchent ou ralentissent l’identification des médicaments et vaccins “problématiques” mettant en danger la santé publique. De nouvelles méthodes de surveillance des effets indésirables des médicaments et des vaccins sont nécessaires. Les obstacles à la déclaration comprennent le manque de sensibilisation des cliniciensl’incertitude quant au moment de la déclaration et aux sujets à déclarer, ainsi que le fardeau de la déclaration […] » (Soulignements ajoutés)

Cela signifie que les effets secondaires des vaccins sont bien plus nombreux que ce que l’on trouve dans le VAERS.

De nombreuses personnes victimes d’effets secondaires des injections anticovid au Québec ont témoigné que leurs soignants nient les liens entre les injections et leurs problèmes de santé, même lorsqu’il s’agit d’effets secondaires reconnus, comme la paralysie de Bell et les problèmes cardiaques.

À la lumière de ces informations, on peut constater que la méfiance de certains citoyens envers le système de santé n’a rien à voir avec les théories du complot. Cette méfiance provient souvent des connaissance des nombreuses failles du système et des réels dangers de certains produits pharmaceutiques, qu’il s’agisse de vaccins ou d’autres produits comme le Vioxx.

Selon un article de 2017 de Union of Concerned Scientists :

« Les scientifiques du géant pharmaceutique Merck ont biaisé les résultats des essais cliniques en faveur du médicament contre l’arthrite, le Vioxx, pour cacher des preuves que le médicament augmentait le risque de crise cardiaque chez les patients. »

La récente publication des documents internes de la Food and Drug Administration (FDA) concernant les injections covid semblent démontrer que Pfizer a elle aussi « biaisé les résultats des essais cliniques en faveur » de ses injections anticovid.

En date du 28 février 2021, soit un peu plus de deux mois après le début de la campagne d’injection, 1223 personnes étaient décédées après avoir reçu l’élixir selon les documents de Pfizer ci-dessus, portant sur l’innocuité des injections après autorisation. Pfizer reconnait par ailleurs comme risques potentiels importants les « maladies induites par la vaccination, incluant l’augmentation des maladies respiratoires liée à la vaccination ».

L’auteure a demandé en vain au ministère de la Santé du Québec les statistiques réelles des non-injectés par rapport aux personnes injectées avec une première dose depuis moins de 14 jours, en évoquant précisément ce problème des anticorps facilitants induits par les injections.

Vous trouverez les échanges ici ainsi qu’un tableau de la Santé publique ontarienne démontrant que le nombre d’hospitalisation pour la covid chez les personnes injectées est le plus élevé dans les 14 premiers jours suivant l’injection :

Il est donc clair que le fait de regrouper les personnes non injectées et les personnes injectées depuis moins de 14 jours dans une seule catégorie fausse dramatiquement les données en faveur des injections.

L’argument servi par les « experts » est que dans les premiers 14 jours, l’injection n’a pas eu le temps de faire effet.

Ce tableau semble toutefois indiquer que l’injection a exactement l’effet contraire de celui souhaité, soit faciliter la maladie.

De nombreux scientifiques et professionnels de la santé de renom avertissent des dangers de ces injections depuis 2020, mais se font traiter de « coucous » dans les grands médias.

Comme on disait dans le bon vieux temps : celui qui le dit c’est lui qui l’est!

***

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Revue de Presse 22/05/2022

Par MF

REVUE DE PRESSE DU 15 Mai 2022

ÉDITO — « C’est un crime contre l’humanité ! »

S’écrie le Dr Paul Marik, numéro deux dans le monde des soins intensifs, la voix brisée par l’émotion. D’émotion, il n’est nullement question dans le monde des affaires qui s’obstine à promouvoir, fabriquer et vendre ces armes létales, au besoin en utilisant la peur depuis plus de deux ans, même si 17 000 médecins au sommet mondial sur le Covid-19 ont dénoncé ces manipulations. Les preuves s’accumulent de l’inefficacité et des effets nocifs, des mensonges et des fraudes, mais la machine à détruire la santé des populations, et particulièrement des enfants, avance inexorablement. L’immunité s’en ressent, et pourrait expliquer cette soudaine apparition de variole du singe de manière concomitante dans les pays largement vaccinés. Mais à un singe (lucide), on n’apprend pas à faire des grimaces.

IL FAUT IMMÉDIATEMENT RETIRER CES VACCINS DU MARCHÉ !

POLITIQUE ET SOCIÉTÉ

La vaccination obligatoire signée Elisabeth Borne ?

L’invention des soignants suspendus sans aucune ressource, c’est elle.

Un flicage numérique pour préparer la vaccination obligatoire

Solution, refuser d’entrer dans le dispositif de « Mon espace santé » d’Ameli…

Brigitte Bourguignon, ministre de la Santé, le 5/01/2022 :

« Derrière les non-vaccinés, il y a un mouvement contestataire qui est violent, qui est très violent, qui est même menaçant avec tous ceux qui se vaccinent ».
« La liberté de ces 10 % s’arrête là où celle des 90 % commence ».

Véran en pire ??

La crise sanitaire a affecté la santé mentale de la population

Et la proposition de soins psychiatriques est dans un état lamentable.

Ces soignants toujours à l’arrêt

https://www.midilibre.fr/2022/05/09/covid-medecins-infirmiers-sages-femmes-ces-soignants-toujours-a-larret-faute-detre-vaccines-10284748.php

« On a perdu notre identité professionnelle, on est traité comme des criminels »

L’Union dentaire demande la réouverture des cabinets de dentistes non vaccinés

https://www.lindependant.fr/2022/05/17/covid-le-vaccin-nempeche-ni-la-transmission-du-virus-ni-de-le-contracter-rappelle-lunion-dentaire-qui-demande-a-macron-la-reouverture-des-cabinets-de-dentistes-non-vaccines-10300274.php

« Les patients ont besoin que ces cabinets dentaires rouvrent au plus vite »

Les urgences. en état d’urgence, dans TOUTE la France

https://www.liberation.fr/societe/sante/dans-toute-la-france-les-urgences-hospitalieres-en-etat-durgence-20220515_SVYKWCXCCVCDFF6VTO3PN4FS6U/

La pénurie de soignants vire à la catastrophe

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/alerte-rouge-aux-urgences-au-moins-120-services-en-difficultes-avant-lete

De mémoire d’urgentiste on n’a jamais connu une telle tension.

Soignants remplacés par des bénévoles au CHU de Bordeaux, tout un symbole

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-soignants-remplaces-par-des-benevoles-au-chu-de-bordeaux-tout-un-symbole/

Symbole d’une destruction programmée des soins hospitaliers et de ville.

Il va y avoir des morts, alerte dans les hôpitaux publics

Plan de bataille qui consiste à déshabiller l’un pour habiller l’autre.

148 millions de nouvelles doses commandées

Des vaccins connus (et inefficaces) et d’autres à venir/peut-être, comme Valneva..

La baisse de l’immunité, une menace plus grande que n’importe quel virus

https://www.epochtimes.fr/laffaiblissement-de-notre-systeme-immunitaire-une-menace-bien-plus-terrible-pour-la-sante-publique-quun-quelconque-virus-2024682.html

Entre vaccins, vieillissement et détérioration de la santé mentale, le système immunitaire est mis à rude épreuve.

ÉTRANGER

Le (second) sommet mondial de la peur

Manipulation et scénario du pire pour 3,2 milliards de dollars.

Et son pendant le Global Covid Summit, avec pas moins de 17 000 scientifiques et des révélations massives !



« nous sommes ici pour représenter l’humanité et l’éthique médicale » 

« LES INJECTIONS DE LA THÉRAPIE EXPÉRIMENTALE ANTI-COVID 19 DOIVENT CESSER ! »

Hydroxychloroquine et Ivermectine sont des traitements efficaces, en ambulatoire précoce et même à l’hôpital pour l’IVM, associés à des antibiotiques, du zinc, des vitamines D et C. « Nous devons rendre la confidentialité aux patients et aux citoyens ».

« Les masques de tout type sont inefficaces et potentiellement dangereux »

Nécessité de reconnaître les blessures dues aux vaccins, sous-déclarées, de réintégrer les soignants suspendus, et d’inculper pour fraudes les fabricants des vaccins anti-covid.

Les agences gouvernementales et médicales doivent être tenues responsables.

CHINE, grogne des étudiants contre le renforcement des mesures anti-Covid

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/rare-grogne-etudiante-pekin-contre-les-mesures-anti-covid

et la grogne est notable aussi à Shanghai.

CORÉE DU NORD, confinement national

https://www.francesoir.fr/afp-afp-france/coree-du-nord-larmee-deployee-pour-aider-lutter-contre-lepidemie-de-covid

Contexte de sous-nutrition et système sanitaire déplorable, mais la Corée refuse l’aide étrangère qui lui est proposée (traitements et vaccins).

POLOGNE, des chercheurs alertent sur le traité de l’OMS de prévention des pandémies

https://www.francesoir.fr/societe-sante/traite-international-oms-prevention-pandemies-des-chercheurs-sonnent-lalerte

Porte ouverte à la perte de souveraineté des pays et de liberté des citoyens.

SUISSE, pourquoi autoriser un vaccin avec un composant non autorisé pour l’être humain ?

https://www.medias-presse.info/parlement-suisse-comment-se-fait-il-que-swissmedic-autorise-un-vaccin-contenant-un-composant-non-autorise-pour-letre-humain-demande-une-elue/156039/

« Quelles mesures le Conseil fédéral compte-t-il prendre maintenant qu’il en a connaissance ? »

UE, 100 millions de non vaccinés qu’il faudra convaincre sans les discriminer

https://www.businessbourse.com/2022/05/16/virginie-joron-deputee-en-commission-covi-la-commissaire-kyriakides-annonce-la-couleur-pour-la-rentree-priorite-100-millions-de-non-vaccines-en-ue-quil-faudra-convaincre-et-les-cibler/

OMS, le plan des pandémies sur 10 ans à partir de 2020, un film choc !

https://rumble.com/v13ghrb-the-plan-the-who-plans-for-10-years-of-pandemics-form-2020-to-2030.html

En 2017 et 2018, des centaines de millions de tests Covid ont été exportés dans le monde, avec prédiction d’une pandémie en Chine qui ferait des dizaines de millions de morts. En 2017 les Gates annoncés une attaque terroriste dans les prochaines années. Six mois AVANT la pandémie de Coivd le gouvernement australien publiait un guide en cas de pandémie de coronavirus et quatre mois AVANT Bill Gates a organisé un exercice en cas de pandémie de coronavirus, « Event 201 ». Cinq mois AVANT la pandémie l’OMS a donné des instructions aux nations pour se préparer à une pandémie. Le 12 septembre 2019, sommet à Bruxelles sur la vaccination de la population mondiale. Un an AVANT la pandémie, un forum de virologie a réuni des leaders pour expliquer les techniques d’information du public : comment créer la peur avec un faux nombre de décès, un seul discours d’une seule voix, partout, afin de manipuler les populations pour accepter une vaccination.

Quatre mois AVANT, Fauci et Moderna avaient un vaccin déjà prêt. Des scénarii de films ou de BD antérieurs à la pandémie la décrivaient déjà entièrement… Qui a pris le pouvoir pour créer ce mensonge ? D’après l’Australie, cela fait partie du Nouvel Ordre Mondial. Des associations de médecins enjoignent de revenir à la clinique et de ne pas céder à la panique avec des faux positifs, exemples du Mouvement mondial pour la liberté, regroupant médecins et juristes. L’Humanité se lève contre le crime. Espoir pour le futur où chacun doit faire sa part en informant son entourage. Le but de la pandémie est d’installer une dictature mondiale. Toutes ces informations sont révélées dans le « Grand Jury ».

USA, la responsable de la bioéthique veut mettre dans l’embarras les résistants aux vaccins

https://www.francemediasnumerique.net/2022/05/la-responsable-americaine-de-la-bioethique-qui-est-la-femme-de-fauci-a-publie-un-nouveau-document-indiquant-aux-entreprises-quelles-peuvent-ethiquement-faire-pression-sur-les-employes-pour-q/

Encore une qui a juste un « petit » conflit d’intérêt, c’est l’épouse du Dr Fauci !!

JUSTICE

Un employé suspendu réintégré par décision prud’hommale

https://www.nicematin.com/justice/un-veilleur-de-nuit-avait-refuse-la-2e-dose-de-vaccin-la-justice-ordonne-sa-reintegration-a-vence-767071

Une victime d’effets indésirables graves va assigner prochainement Pfizer devant la justice

https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/seine-et-marne/vaccin-anti-covid-la-descente-aux-enfers-d-eloise-2543656.html

Elle a été auditionnée au Sénat avec son avocat le 2 mai.

Mc Kinsey, suspicion de faux témoignage, le bureau du Sénat saisit le Parquet

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/mckinsey-le-bureau-du-senat-saisit-le-parquet-pour-suspicion-devant-la

« il appartiendra au parquet de déterminer les suites judiciaires à donner, dans le respect du principe de séparation des pouvoirs »

Allemagne, pour la Cour Suprême l’obligation vaccinale est constitutionnellement justifiée

https://euroweeklynews.com/2022/05/19/german-compulsory-covid-vaccine-justified/

« le droit à l’intégrité physique est moins important que la protection des personnes vulnérables ».

Glaçant !

COVID

Vérités dérangeantes sur la pandémie

https://reseauinternational.net/russell-blaylock-21-verites-derangeantes-sur-la-pandemie/

Exemple :

« Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient. »

Prédictions évolutives

https://www.vidal.fr/actualites/29225-covid-19-que-nous-reserve-l-avenir.html?cid=eml_001747

Avec prudence, des auteurs plaident pour une évolution endémique

Covid-19, les mensonges dévoilés, un réquisitoire contre la gestion sanitaire US

Attaques sans précédent contre des médecins, fausses études, médias sous contrôle des géants pharmaceutiques, interdiction des traitements précoces et protocoles mortels de « soins » hospitaliers, fausse pandémie, mandats de vaccination, endoctrinement, refus d’autopsies post-injections, utilisation de médicaments toxiques, augmentation de troubles psychologiques graves. Il est temps de mettre fin à cette folie et de traduire ces personnes en justice.

INJECTIONS

Un vaccin à base de plantes ?

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-vaccin-anti-covid-19-prometteur-produit-plantes-96743/

Étude randomisée en cours, mais sur un échantillon bien petit.

Les promoteurs de la vaccination universelle sont coupables de crimes contre l’humanité

https://www.epochtimes.fr/selon-lancien-vice-president-de-pfizer-les-personnes-ayant-promu-la-vaccination-universelle-sont-coupables-de-crimes-contre-lhumanite-2026602.html

Michael Yeadon l’immunité naturelle est plus forte que toute protection conférée par les vaccins

Les mensonges éhontés du CDC relayés par le BMJ

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/bmj-gate-interpretation-manipulee-des-donnees-statistiques

Le CDC nie l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations.

Mensonge dans les essais Pfizer par un médecin de la Fondation Gates

Heureusement que les documents Pfizer n’ont pas attendu 75 ans pour être divulgués !

La fraude scientifique des tests de sécurité de Pfizer

https://www.covid-factuel.fr/2022/05/07/pfizer-et-les-tests-de-securite-fraude-scientifique/

L’absence de preuve de préjudice n’est pas une preuve d’absence de préjudice !

Libé ment en disant « vérifier »

https://la-verite-vous-rendra-libres.org/les-verificateur-des-faits-de-liberation-pris-la-main-dans-le-sac-a-faknews-par-le-dr-g-delepine/

Quand on n’est ni médecin ni statisticien, il est dangereux de s’aventurer sur des terrains périlleux.

Il serait temps de réfléchir avant de vacciner aveuglément toute la population y compris les porteurs de maladies auto-immunes

https://www.aimsib.org/2022/05/15/les-porteurs-de-maladies-auto-immunes-sont-ils-si-rares-quon-peut-les-vacciner-sans-reflechir/

Qui représentent 1/5 de la population !

Vaccins et rappels de moins en moins efficaces et de plus en plus nocifs

https://infodujour.fr/sciences/57831-covid-19-les-vaccins-et-rappels-de-moins-en-moins-efficaces-et-de-plus-en-plus-nocifs

Les affections cardiovasculaires directement liées aux vaccins à ARNm sont en forte progression, ainsi que le syndrome d’immunodéficience acquise, catastrophe à venir.

EFFETS INDÉSIRABLES

Le vaccin anti-covid doit être immédiatement retiré du marché

https://nouveau-monde.ca/le-vaccin-anticovid-doit-etre-immediatement-retire-du-marche-dans-le-monde-entier/#identifier_5_36343

« Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur ». 

L’OPECST est au courant des effets indésirables des vaccins

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/emmanuelle-darles-vincent-pavan-rapport-opesct

et particulièrement pour les enfants, que 12 millions de doses attendent à l’automne !

Les injections favorisent l’augmentation des cancers

https://nouveau-monde.ca/refusons-la-poursuite-des-injections-anticovid-qui-favorisent-laugmentation-des-cancers/

« Le pseudo vaccin anticovid n’est pas un vaccin mais un modificateur des gènes »

ISRAËL, augmentation des pathologies cardiaques pendant le premier semestre 2021

https://www.francesoir.fr/societe-sante/covid-19-problemes-cardiaques-israel-vaccination

Augmentation chez les jeunes depuis la campagne de vaccination, qui ne peut plus être ignorée.


C’est un crime contre l’humanité, il n’est pas trop tard pour soigner les victimes.

Et si l’hépatite des bébés au Royaume-Uni était due à un virus mutant dérivé des vaccins ?

https://reseauinternational.net/les-hepatites-aigues-des-bebes-au-royaume-uni-premier-boomerang-des-vaccins-anti-covid/

Une alerte du Dr De Lorgeril à prendre au sérieux.

Les pays riches victimes de la politique sanitaire anti-Covid

https://nouveau-monde.ca/les-pays-riches-victimes-de-loms-et-de-la-politique-du-tout-vaccin/

Paradoxe : la corruption des pays riches les a condamnés, la pauvreté d’autres pays les a sauvés.

L’APRÈS COVID

Infected, la BD qui prévoyait une pandémie mondiale, en 2012 !

https://qactus.fr/2022/05/21/europe-saviez-vous-que-lue-prevoyait-deja-lepidemie-de-monkey-pox-oui-dans-une-bd-de-2012-tres-explicite/

No comment, tout y était...

Mars 2021, exercice de simulation d’une épidémie de Monkey-Pox

https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/

Le scénario fictif de l’exercice mettait en scène une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe. Depuis, un vaccin a été fabriqué. On prend les mêmes et on recommence ??

Ne pas confondre la variole du singe avec la variole humaine

https://www.lindependant.fr/2022/05/19/virus-monkeypox-fievre-douleurs-pustules-quels-sont-les-symptomes-de-la-variole-du-singe-10304716.php

La mécanique de la peur, bien huilée, est enclenchée.

RÉSISTANCES

OMERTAS

https://www.kairospresse.be/omertas-medicale-vaccinale-mediatique-politique/

Diane Protat avocate, Mélodie, fondatrice de Ouestmoncycle, Marco Pietteur, éditeur.

Laurence Kayser gynécologue-obstétricien.

Penser le totalitarisme, Ariane Bilheran et Slobodan Despot

Kit de survie psychologique en situation de crise

Mieux comprendre pour mieux réagir :






Les pays riches victimes de l’OMS et de la politique du tout vaccin

Par le Dr Gérard Delépine

La catastrophe sanitaire des pays riches

Récemment, le ministre de la Santé algérienne expliquait que son pays n’avait pas acheté davantage de vaccins parce qu’ils étaient trop chers. Il aurait pu préciser que plus de la moitié des doses néanmoins achetées avaient été gâchées, car la population algérienne n’en voulait pas(([1] Lassaad Ben Ahmed Algérie/Covid-19 : risque de perdre un stock de 13 millions de doses de vaccin — Dont la date de péremption est très proche. 07.11.2021)). Il aurait pu aussi se féliciter du bilan sanitaire Covid de son pays, qui comme les autres pays pauvres d’Afrique, s’en sort tellement mieux que les pays riches.

En effet, alors qu’au 10 mai 2022 les USA recensent 2997 morts covid par million d’habitants et l’Europe 2440/M, les pays à revenu moyen supérieur n’en comptent que 1000/M et les pays pauvres seulement 65/M !

C’est d’autant plus inattendu que tous les experts de l’OMS et des médias dominants avaient prophétisé une catastrophe sanitaire dans les pays pauvres(([2] MARI ELKA PANGESTU Crise du coronavirus : pour les pays les plus pauvres, le pire est à venir 08 AVRIL 2020
https://blogs.worldbank.org/fr/voices/crise-du-coronavirus-pour-les-pays-les-plus-pauvres-le-pire-est-venir)) parce que leurs systèmes de santé étaient insuffisants, leurs populations sous-alimentées, qu’ils manquaient d’hôpitaux, de médecins et de médicaments et de vaccins.

Ces mêmes experts demandaient aux pays riches de faire cadeau de leurs doses inutilisées aux pays qui ne pouvaient pas les acheter ou de payer l’achat de vaccins(([3] OMS communiqué Mécanisme pour un accès mondial aux vaccins contre la COVID-19 : 172 pays participants et plusieurs vaccins candidats
https://www.who.int/fr/news/item/24-08-2020-172-countries-and-multiple-candidate-vaccines-engaged-in-covid-19-vaccine-global-access-facility)), afin que ces pays ne risquent pas de pérenniser l’épidémie et de la propager au reste du monde.

Les pays pauvres épargnés de la catastrophe covid

Mais les pays pauvres n’en ont majoritairement pas voulu et la catastrophe sanitaire les a épargnés, se concentrant sur les pays riches et vaccinés.

La Zambie, qui compte un médecin pour 10 000 personnes, comptait au 15/5/22 douze fois moins de morts Covid que les USA. Le Mali qui dispose de seulement de trois respirateurs par million de personnes n’en recense que près de 100 fois moins que les USA (31/M versus 2997/M).

Certes l’âge plus jeune des populations des pays pauvres, avec une plus faible proportion de personnes à risques (les plus de 60 ans) peut expliquer une partie de la différence, mais après correction de ce facteur, les différences restent considérables (de 10 à 20 fois plus de décès dans les pays riches que dans les pays pauvres).

Comme quoi, à l’ère du Covid, l’argent ne fait pas toujours le bonheur !

La catastrophe sanitaire des pays riches est due à leur politique sanitaire

Ils ont majoritairement appliqué les directives de l’OMS, favorisant les confinements, interdisant les traitements précoces dans une stratégie autoritaire du tout vaccin, alors que les pays en voie de développement ont plutôt utilisé les traitements traditionnels bon marché.

D’ailleurs les pays pauvres qui ont reçu en cadeau des vaccins et les ont utilisés, ont souvent rapidement été victimes d’une poussée paradoxale de l’épidémie et de la mortalité ainsi que l’illustrent les quelques exemples suivants.

L’exemple des îles africaines de l’océan Indien comparant Madagascar et les Seychelles est très démonstratif.

Ces îles partagent le même climat et leurs populations sont très proches par l’âge et le mode de vie. Les Seychelles ont été longtemps citées par les médias comme les champions de la vaccination de la région par ses 85 % de la population injectée.

Avant la campagne d’injection, décidée pour sauver l’industrie touristique et commencée début janvier 2021, les Seychelles ne comptaient que 226 cas. Le 15 mai 2022, après 15 mois d’injection, ce chiffre a dépassé 43 000 et plus de 43 % de la population a été contaminée confirmant que les injections n’empêchent pas (ou favorisent ?) les contaminations.

Cette explosion des cas a été suivie par une augmentation considérable de la mortalité aux Seychelles. Pendant cette période, grâce à l’Artémisine, l’épidémie et la mortalité ont été totalement contenues sans vaccination à Madagascar.

L’exemple du Maghreb est tout aussi démonstratif. La Tunisie a suivi les instructions de l’OMS et une politique du tout vaccin comme ses voisins du sud de l’Europe, Espagne et Italie. À l’opposé, l’Algérie n’a pas suivi l’OMS et a généralisé l’application du protocole Raoult.

Au 14/5/2022, l’Algérie compte 17 fois moins de morts covid par millions d’habitants (135/M) que la Tunisie (2400/M), l’Espagne (2243/M) et l’Italie (2734/M) alors qu’elle recense davantage de personnes âgées de plus de 60 ans que la Tunisie (25 %(([4] Près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’Algériens, en 2019, d’après le représentant de l’Office national des Statistiques (ONS), Hamid Zidouni.)) vs 15 %) et autant que ses voisins du nord.

Là encore la politique du tout vaccin et l’absence de traitement précoce ont aggravé la mortalité des populations tunisiennes, italiennes et espagnoles.

La corruption des pays riches peut seule expliquer le scandale Covid

Comment l’Europe et la France qui dépensent autant pour la santé et disposent de très nombreux médecins ont-elles pu aboutir à une mortalité covid 20 à 100 fois supérieure à celle de pays pauvres ?

La corruption des pays riches les a condamnés et la pauvreté d’autres pays les a sauvés paradoxalement : les laboratoires pharmaceutiques n’ont pas voulu investir autant « d’argent » auprès des dirigeants de pays incapables financièrement d’acheter finalement leurs produits expérimentaux.

La politique sanitaire française (confinement(([5] NatureGate et la fable du confinement aveugle
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/naturegate-et-la-fable-du-confinement-aveugle)) et autres mesures autoritaires inutiles, rejet des médecins de famille, interdiction des traitements précoces et peu chers, chantage à la vaccination) ne reposait sur aucune expérience médicale, mais seulement sur une simulation mathématique fausse volontairement terrorisante créée par N. Ferguson (prophétisant 500 000 morts en France) et sur le modèle chinois et sur les conseils de McKinsey.

Elle était contraire à toute l’expérience médicale des épidémies précédentes ainsi que nous l’avons dénoncé dès mars 2020(([6] Delépine Confinement, mesure sanitaire ou politique ? Agoravox samedi 21 mars 2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/confinement-mesure-sanitaire-ou-222478))(([7] Delépine Ce n’est pas de confinement généralisé que la France a besoin, mais de liberté, de masques et de chloroquine Agoravox 27/3/2020
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/ce-n-est-pas-de-confinement-222712)) et contraire aux préconisations du rapport de la Cour des comptes(([8] https://www.ccomptes.fr/sites/default/files/EzPublish/5_lutte_contre_la_grippe_A_H1N1.pdf)) et du Sénat sur l’épidémie H1N1.(([9] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2706.html))(([10] https://www.senat.fr/notice-rapport/2009/r09-685-1-notice.html))(([11] https://www.senat.fr/rap/r10-270/r10-2700.html))

Le comportement outrancièrement autoritaire de nos gouvernants, l’instauration d’une censure sévère dans les médias et sur internet, et la persécution sauvage des opposants allant jusqu’à l’exclusion de la profession et parfois la mise en garde à vue, ne peut résulter de la simple croyance aveugle à l’efficacité miraculeuse d’un traitement(([12] Ce ne sont pas des vaccins car ils ne contiennent aucun antigène anti-covid.)) expérimental(([13] Pour vérifier que les essais phase trois d’aucun pseudo vaccin n’est terminé il suffit de consulter le site clinical trials. gov)) issu d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée en infectiologie.

Seule la corruption intense par les grandes firmes pharmaceutiques Big Pharma et au premier plan Pfizer a permis de tisser des liens d’intérêts intenses avec les revues médicales(([14] L’industrie pharmaceutique qui assure maintenant près de 80 % des ressources des revues médicales.)), les médias grand public, l’OMS(([15] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de l’OMS.)), les agences sanitaires(([16] L’industrie pharmaceutique et Bill Gates apportent plus de la moitié du budget de la FDA et de l’EMA.)), les experts, les médecins leaders d’opinion et les décideurs administratifs(([17] un rapport officiel de la Chambre des Communes britannique, en 2005 : « Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques (Chambre des Communes du Royaume-Uni) )) et politiques.(([18] Aux États-Unis qui sont plus transparents que la France, les firmes pharmaceutiques sont les plus gros financeurs des campagnes électorales.))

Ces problèmes ne sont pas nouveaux puisqu’en 2005 un rapport de la Chambre des Communes du Royaume-Uni(([19] The influence of pharmaceutical industry
https://publications.parliament.uk/pa/cm200405/cmselect/cmhealth/42/42.pdf)) s’inquiétait :

« Notre préoccupation dominante vient de l’importance et de l’intensité de l’influence de l’industrie pharmaceutique, non seulement sur la médecine et la recherche, mais sur les patients, les médias, les administrations, les agences de régulation et les politiques ».

Mais cette mainmise de l’industrie avec « capture des agences de régulation » s’est fortement aggravée depuis lors, comme l’ont montré les affaires du médiator(([20] L’affaire du Mediator 2010-2020 Dix ans après Anne Danis-Fatôme, François-Xavier Roux-Demare
https://univ-droit.fr/recherche/actualites-de-la-recherche/parutions/37571-l-affaire-mediator-2010-2020)), du Vioxx(([21] Scandale du médicament Vioxx : une plainte relance le dossier en France 03/04/2016 à 15 h 2 —
https://www.francesoir.fr/societe-sante/scandale-du-medicament-vioxx-une-plainte-relance-le-dossier-en-france))(([22] Caroline Pintard Scandale du Vioxx : Merck s’apprête à payer le figaro 17/07/2008
https://www.lefigaro.fr/societes-etrangeres/2008/07/17/04011-20080717ARTFIG00432-scandale-du-vioxx-merck-s-apprete-a-payer-.php)) et plus récemment celle des opioïdes aux USA.

La vente des pseudo vaccins Pfizer est une manne colossale pour Pfizer qui a été de plus déchargée des risques de dédommagements pour accidents liés à ses produits. La présidente de la Commission européenne a négocié directement avec le laboratoire et aucun parlementaire, journaliste ni aucune association de malades n’a pu obtenir le détail des contrats qu’elle a signés en notre nom.

Le nombre de doses achetées ou précommandées par l’Union européenne depuis le début de la crise atteint 4,2 milliards (chiffre confirmé par la commission) pour une population de 447 millions d’habitants. C’est donc près de dix injections de cette substance expérimentale inefficace et dangereuse que ces dictateurs veulent imposer à chacun d’entre nous alors que grâce à Omicron nous avons presque tous été immunisés !

Battons-nous pour notre santé et celle de nos proches, en demandant un moratoire de toute injection anticovid et la transparence sur les résultats réels et les accidents de ce traitement expérimental.





BMJ Gate : interprétation manipulée des données statistiques au bénéfice des mensonges officiels

[Source : francesoir.fr]

 Par Gérard Delépine

« Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

TRIBUNE — Les Américains, à plus de 90 %, ne croient plus à la gravité du Covid-19 — merci Omicron — ni à l’intérêt des mesures coercitives, bien que l’éternel menteur Fauci tente d’alimenter la peur via les CDC, agences gouvernementales. Vainement, cette fois en mai 2022 : « Epidemy is over ».

Lire aussi : L’étrange docteur Fauci envisage désormais des traitements précoces

Ainsi, la plus grosse manipulation récente sur les vaccins Covid vient du CDC (Centers for disease control and prevention; voir les agences gouvernementales par État). Pour tenter de convaincre encore et de vendre encore et encore leurs injections dangereuses, l’article tente de faire croire à l’efficacité des pseudo-vaccins alors que l’épidémie régressait naturellement (en courbe en cloche comme toutes les épidémies).

[Notes relatives au CDC : Le président des États-Unis nomme les directeurs des agences de santé majeures à un niveau national, avec l’approbation du Sénat. Les gouverneurs jouent le même rôle pour les agences de santé des États. Le « U.S. Department of Health and Human Services » (HHS) est la principale agence de santé aux États-Unis. Cette agence reçoit ses instructions directement du Congrès et de la Maison-Blanche en ce qui concerne la gestion des finances, la coordination, la réglementation ou encore la fourniture de services de santé.]

Le Center for Disease Control and Prevention (CDC) est une agence du HHS et la principale agence de santé publique aux États-Unis. Le CDC travaille en collaboration avec des organisations partenaires (institutions académiques, agences gouvernementales, organisations privées…) pour assurer le suivi, la prévention et le contrôle de la santé humaine et environnementale.

Le CDC patronne une nouvelle étude truquée, biaisée pour faire croire au succès vaccinal et le comité de lecture du British Medical Journal n’y voit pas malice.

Comment transformer un bilan catastrophique réel en succès imaginaire

Cette étude de propagande marchande a été publiée dans le British Medical Journal (BMJ) le 27 avril 2022 (([1] Public health impact of Covid-19 vaccines in the US : observational study BMJ 202 04 27 2022;377:e069317)) et a été immédiatement reprise sans modération par les médias médicaux et grand public (voir les articles de VnExplorer et Femme actuelle.

Elle prétend que « l’augmentation de la couverture vaccinale pourrait influer sur la mortalité et l’incidence du Covid-19, car une couverture vaccinale plus élevée serait associée à des taux plus faibles de mortalité et d’incidence du covid-19 au niveau de la population aux États-Unis ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple étude observationnelle dont les conclusions, soumises aux biais temporels, sont toujours incertaines.

En janvier et février 2021, aux États-Unis, le nombre quotidien de nouveaux cas a fortement régressé en même temps que la pseudo-vaccination progressait, mais rien n’indique qu’il puisse y avoir la moindre relation de cause à effet entre les deux.

Voir aussi : Pour le directeur de la FDA, la principale cause de décès aux États-Unis est la « désinformation »

En effet, les premières injections datent de la mi-décembre 2020 et fin février 2021 seulement 17 % des Américains avaient reçu une dose, et moins de 10 % deux doses depuis plus de deux semaines, délai couramment admis pour prétendre à une protection.

Or l’évolution naturelle des épidémies suit une évolution en cloche et celle du Covid n’échappe pas à la règle ainsi que l’a souligné dès avril 2020 le Pr Isaac Ben Israël alors que les vaccins n’existaient pas.

« Le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 joursCela est vrai dans n’importe quelle partie du monde – que les pays interrompent leurs activités économiques ou pas. »

D’ailleurs, en octobre 2021, alors que le pourcentage d’injectés atteignait ses chiffres les plus élevés (88 %), l’absence d’immunité contre l’infection s’affirmait clairement avec l’explosion des cas hebdomadaires culminant à six fois les pics atteints lors de la première vague d’avant les vaccins.

Curieusement, les auteurs du CDC n’ont tenté ni d’analyser, ni d’expliquer cette récidive explosive de l’épidémie, ni le dramatique échec global de la politique sanitaire américaine du « tout vaccin », sur la prévention des formes graves qui place le pays dans les pires bilans mondiaux de mortalité Covid.

La mortalité Covid globale des États-Unis, en mai 2022, culmine en effet à près de 3 000 par million, soit 20 fois plus que l’Algérie (pourcentage de plus de 60 ans égal à celui de la France) qui a utilisé le protocole Raoult et 200 fois plus que le Nigeria (qui a largement utilisé la nivaquine) et dont moins de 3 % de la population a été vaccinée.

Nier l’échec mondial des pseudo-vaccins, c’est nier l’évidence

Les chiffres de l’OMS et les courbes de l’Université John Hopkins sont sans appel ; les pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont ceux qui totalisent le plus d’infections.

Et, ces pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont aussi ceux qui souffrent des mortalités les plus élevées par rapport aux pays adeptes des traitements précoces (par chloroquine ou autres antipaludéens, Ivermectine, antibiotiques, zinc, vitamine D.)

En niant l’évidence mondiale de l’échec des pseudo-vaccinations, le CDC qui les a très largement promus n’améliorera pas sa réputation et prolongera la campagne vaccinale et tous ses effets secondaires parfois gravissimes.

Le comité de lecture du British Medical Journal, qui n’a pas émis les critiques que tout scientifique indépendant devait soulever, était-il aveuglé par la qualité des auteurs ou tenu d’accepter cet article par sa direction ? Après le Lancet Gate (voir les articles de FranceSoirDissentvoice et Agoravox) et le Nature Gate, un BMJ Gate.

Voir aussi : NatureGate et la fable du confinement aveugle
et : Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie !

La réputation des jadis grandes revues scientifiques se décrédibilise chaque jour un peu plus.

Rappelons le commentaire de Richard Horton (The Lancet) :

« Si cela continue, nous ne serons pas en mesure de publier d’autres données de recherche clinique parce que les sociétés pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui, et sont capables d’utiliser des méthodologies telles que nous acceptons des articles qui sont apparemment méthodologiquement parfaits, mais qui, en réalité, parviennent à conclure ce qu’ils veulent conclure ».

« Quand il y a une épidémie comme le Covid, en réalité, il y a des gens comme nous – les médecins – qui voient la mortalité et la souffrance… et il y a des gens qui voient de l’argent. C’est tout »

Et malheureusement, si l’article du Lancet a été retiré, le ministre Véran n’a pas modifié sa position ni son ordonnance vis-à-vis des traitements précoces du covid, toujours peu utilisés en France et pour lesquels les médecins résistants, fidèles à Hippocrate sont poursuivis s’ils décident de soigner leurs patients. La position avouée du ministre est évidemment de contraindre de fait à l’injection de tous les dangers et inefficace de surcroit.

En toute impunité, M. Véran, mais jusqu’à quand ?




Russell Blaylock : 21 vérités dérangeantes sur la pandémie

[Source : RI]

Par Claudio Fabian Guevara.

Un éditorial publié dans la revue Surgical Neurology International, écrit par le Dr Russell Blaylock, aborde de manière opportune et percutante le scandale médico-politico-scientifique qui se cache derrière la pandémie de Covid-19.

Russell L. Blaylock (né le 15 novembre 1945) est un neurochirurgien américain à la retraite et un auteur. Il était professeur adjoint de neurochirurgie au centre médical de l’université du Mississippi. Il est l’auteur de plusieurs livres et articles, dont « Excitotoxines : Le goût qui tue » (1994), « Santé et nutrition : les secrets qui peuvent vous sauver la vie » (2002), et « Stratégies naturelles pour les patients atteints de cancer » (2003). Il rédige un bulletin mensuel, le Blaylock Wellness Report.

Les points les plus importants de l’article ont été résumés en espagnol par le Dr Karina Acevedo Whitehouse, qui a donné son avis sur l’ouvrage : « La vérité, comme l’eau des barrages, n’a besoin que d’atteindre le point où elle ne peut être contenue, et alors, elle déborde, atteignant des endroits insoupçonnés ».

Synthèse des principales affirmations de l’article :

1. La pandémie COVID-19 est l’un des événements les plus manipulés de l’histoire.

2. Comme jamais auparavant, il y a eu des intrusions dans la pratique médicale, et la censure des médecins qui osent entrer en dissidence.

3. Depuis la présidence, d’autres niveaux de gouvernement et l’administration des hôpitaux ont imposé des traitements et des pratiques médicales qui ne sont pas fondés sur des preuves scientifiques ou sur l’expérience médicale. Les administrateurs dictent désormais aux médecins la manière dont ils pratiquent la médecine et les médicaments qu’ils peuvent utiliser.

4. Pour la première fois dans l’histoire de la médecine, des protocoles ont été formulés sur la base des recommandations d’individus et d’institutions qui n’ont jamais traité un seul patient.

5. Les médias et les sociétés médicales se sont déclarés la seule source d’information valable concernant la pandémie et quiconque s’y oppose est soumis à la censure, à la suppression des comptes de plateforme et à l’étiquette de « menteur, désinformateur », même lorsqu’il s’agit de personnes ayant une expérience remarquable en virologie, immunologie, épidémiologie, etc.

6. Les revues scientifiques/médicales sont de plus en plus dépendantes des subventions des industries pharmaceutiques, ce qui élimine leur impartialité (indispensable à la démarche scientifique).

7. Il y a de plus en plus d’articles scientifiques qui parlent du COVID ou des vaccins avec un argument différent de l’argument officiel, mais ils sont retirés des revues après avoir été acceptés et publiés.

8. Il y a de plus en plus d’études scientifiques basées sur des données manipulées, falsifiées et inventées, écrites par des « fantômes » (c’est-à-dire des personnes qui écrivent au nom d’une entreprise pharmaceutique) pour promouvoir leurs produits, même dans des revues aussi prestigieuses que le JAMA (Magazine of American Medical Association) ou le New England Journal of Medicine, et qui n’ont pas été retirées malgré les preuves d’abus scientifique et de manipulation des données.

9. Des médias télévisés reçoivent la majorité de leur financement des entreprises pharmaceutiques, pour la publicité des médicaments. Cela crée un énorme conflit d’intérêts pour ce qui est de pouvoir s’exprimer de manière neutre ou contre les vaccins et autres traitements promus. Rien qu’en 2020, l’industrie pharmaceutique a dépensé 6 560 000 000 (6,56 milliards de dollars US) en publicités pour ses produits.

10. Aux États-Unis, la « loi fédérale sur les soins » a encouragé les fautes professionnelles en offrant à tous les hôpitaux du pays jusqu’à 12 000 dollars pour chaque patient admis en soins intensifs et 39 000 dollars pour chaque patient en soins intensifs sous respirateur, alors même que ce protocole était l’une des plus grandes causes de décès des patients du COVID.

11. Des milliers de médecins et d’infirmières ont été injustement licenciés pour avoir refusé de recevoir un vaccin alors qu’ils ont travaillé pendant près d’un an de pandémie, sans vaccins COVID-19, pour soigner les patients, et malgré le fait qu’il a déjà été démontré que les personnes vaccinées qui sont positives aux tests et présentent des symptômes cliniques légers, ont la même charge virale que les personnes positives non vaccinées présentant des signes cliniques légers.

12. Le CDC, qui n’a aucune autorité pour imposer des protocoles et des traitements, a ordonné aux hôpitaux de suivre des protocoles médicaux qui ont entraîné la mort de centaines de milliers de patients qui, au vu des preuves, se seraient probablement rétablis s’ils avaient reçu un traitement précoce avec des produits qui ont été diabolisés de manière injustifiée (ivermectine, hydroxychloroquine, et autres). En fait, on estime que sur les 800 000 personnes comptabilisées comme « morts du COVID-19 » (aux États-Unis), 640 000 se seraient rétablies et auraient retrouvé leur état de santé antérieur si d’autres protocoles avaient été appliqués.

13. Les mesures utilisées pour contenir la pandémie n’ont pas été couronnées de succès ; les preuves scientifiques disponibles à l’époque concernant la mise en place de mesures de confinement, l’utilisation de masques et la distance sociale, n’ont jamais démontré qu’elles empêchaient la transmission de virus de ce type.

14. Tout au long de la pandémie, et avant l’utilisation des vaccins COVID-19, les enfants n’ont jamais couru de risque réel (au-delà de quelques cas d’enfants prédisposés à l’inflammation systémique) de tomber malades du COVID-19 ou de transmettre le virus.

15. Pendant la pandémie, la logique, le raisonnement et le besoin de preuves scientifiques ont disparu : pour tous les autres médicaments et vaccins qui étaient en cours d’examen par la FDA, le décès de 50 personnes ou moins ayant utilisé ledit produit aurait justifié l’arrêt de l’utilisation et de la distribution du médicament, comme ce fut le cas pour le vaccin contre la grippe en 1976. Entre le 14 décembre 2020 et le 31 décembre 2021, plus de 18 000 décès ont été signalés dans le VAERS et 139 126 événements indésirables graves, mais il n’y a eu à ce jour aucune tentative d’arrêter ce programme de vaccination, ni aucun effort sérieux pour enquêter (par le gouvernement) sur les causes des décès et des maladies graves chez les personnes vaccinées.

16. Il y a de plus en plus de preuves, certaines publiées dans des revues indexées et d’autres non, des dangers de ces vaccins, qui n’ont été testés que pendant 2 mois avant d’être autorisés, et les résultats de ces tests de sécurité sont restés cachés jusqu’à récemment où ils commencent à sortir (après l’ordre de la Cour suprême de justice des États-Unis).

17. On a dit au public que l’ARNm des vaccins n’était pas distribué au-delà des ganglions lymphatiques proches du site d’inoculation, mais ce n’est que grâce à la ressource d’accès à l’information au Japon que le livre blanc de Pfizer montre que le vaccin est distribué dans tout le corps en moins de 48 heures, avec des concentrations élevées dans le cœur, le foie, la moelle osseuse, la rate et les ovaires.

18. On constate une augmentation inhabituelle des cas de cancers agressifs chez les personnes vaccinées, notamment des mélanomes, des cancers de l’utérus et du sein, ainsi que la réactivation de cancers déjà contrôlés. On dit à ces patients, sans preuve, et malgré cette tendance à l’augmentation du risque de développer plus de tumeurs, qu’ils ont besoin de plus de vaccins COVID-19 car ils sont plus sensibles.

19. Un expert en médecine materno-fœtale a montré que les vaccins COVID-19 – administrés pendant la grossesse – provoquent une incidence de fausses couches 50 fois plus élevée que celle rapportée avec tous les autres vaccins combinés, et que les malformations fœtales sont 144 fois plus fréquentes chez les personnes vaccinées avec ces vaccins qu’avec les autres, bien qu’ils continuent d’être déclarés sûrs par les académies et sociétés d’obstétrique et de gynécologie (qui reçoivent des financements de Pfizer et d’autres sociétés pharmaceutiques ; par exemple, l’American College of Obstetricians and Gynecologists a reçu, au cours du seul dernier trimestre 2010, 11 000 dollars de Pfizer, et le financement du NIH, qui est plus important, dépend du fait de ne pas critiquer les sociétés pharmaceutiques.

20. Tous les lots de vaccins n’ont pas la même létalité ou le même risque. Un lot sur 200 est manifestement mortel (50 fois plus) pour ceux qui le reçoivent. Il existe des preuves que cette disparité dans la létalité des lots n’est pas aléatoire, ce qui pourrait suggérer une intentionnalité (5% des lots sont responsables de plus de 90% des effets indésirables graves, ainsi que des décès).

21. Aucune autopsie n’est pratiquée sur les personnes décédées après avoir été vaccinées, ni sur celles décédées du COVID-19. À la fin du mois d’avril 2020, sur les 150 000 décès signalés comme « décès dus au COVID », seules 16 autopsies avaient été pratiquées, et parmi celles-ci, seules 7 étaient des autopsies complètes. La réticence à faire des autopsies ne venait pas des pathologistes, mais des autorités.

Source : Diaro de Vallarta

Traduction Réseau International




Bilan catastrophique des injections anticovid et manipulation médiatique

Par le Dr Gérard Delépine

Les Américains ne sont plus dupes de la propagande vaccinale à 90 %.(([1] Americans Say Covid-19 Pandemic Is Over—Even If Fauci, CDC Disagree (forbes.com) )) Évidemment la presse médicale autrefois fiable, mais maintenant aux ordres de Big Pharma, falsifie l’interprétation des résultats pour tenter de faire croire à l’efficacité des injections toxiques et inutiles (BMJ Gate : interprétation manipulée des données statistiques au bénéfice des mensonges officiels). D’autres sont encore dupes comme les Français et il faut continuer à faire croire au miracle pour imposer une cinquième dose et pire encore la vaccination généralisée des enfants.

INFORMONS AUTOUR DE NOUS POUR QUE CESSE CE DRAME

Comment transformer un bilan catastrophique réel en succès imaginaire

Une étude de propagande marchande a été publiée dans le British Medical Journal (BMJ) le 27 avril 2022(([2] Public health impact of Covid-19 vaccines in the US : observational study BMJ 202 04 27 2022;377:e069317)) et a été immédiatement reprise sans modération par les médias médicaux(([3] https://www.frequencemedicale.com/psyaddictologie/actualites/8390-Covid-19-l-efficacite-de-la-vaccination-est-validee-dans-le-monde-reel)) et grand public(([4] https://vnexplorer.net/covid-19-le-vaccin-a-t-il-reellement-ete-efficace-contre-lepidemie-une-etude-repond-s1310776.html))(([5] https://www.femmeactuelle.fr/sante/news-sante/covid-19-le-vaccin-a-t-il-reellement-ete-efficace-contre-lepidemie-une-etude-repond-2134115)). Elle prétend que « l’augmentation de la couverture vaccinale pourrait influer sur la mortalité et l’incidence du Covid-19, car une couverture vaccinale plus élevée serait associée à des taux plus faibles de mortalité et d’incidence du covid-19 au niveau de la population aux États-Unis ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais d’une simple étude observationnelle dont les conclusions, soumises aux biais temporels, sont toujours incertaines. Nous avons démonté cette étude ailleurs.

Les responsables israéliens de la vaccination tentent de se justifier par le même procédé fallacieux.

Ils publient une nouvelle étude biaisée dans l’interprétation des données, pour faire croire au succès vaccinal et amoindrir ainsi leurs responsabilités dans les complications vaccinales.

Comment transformer un mauvais bilan réel en succès imaginaire

Cette étude de propagande marchande publiée dans le Journal américain « Contrôle des infections Am J »(([6] How many lifes saved by covid vaccin? Proof from d’Israël Ronen Arbel, Candace Makeda Moore 2, Rouslan Sergienko 3, Joseph Pliskin 4 2022 mars;50(3):258-261.doi : 10.1016/j.ajic.2021.12.019. Publication en ligne le 29 décembre 2021)) a été immédiatement reprise sans vérification par les médias grand public. Elle prétend que :

« les vaccins contre le COVID-19 ont sauvé plus de vies que prévu en appliquant simplement l’efficacité des vaccins individuels à la population vaccinée en Israël ».

Il ne s’agit pas d’une étude randomisée, mais de la vieille technique de triche mathématique consistant à comparer le nombre de vrais décès observés à celui des décès virtuels d’une simulation très exagérée !(([7] Quand les résultats de simulations mathématiques remplacent les résultats réels dans l’information médicale diffusée par les médias par delepine 19 octobre 2018
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/quand-les-resultats-de-simulations-208775))

« Les décès projetés tels qu’attendus à partir de l’efficacité du vaccin et les données réelles sur la mortalité ont été comparés pour la population des plus de 70 ans quand le taux de vaccinés a dépassé les 90 % ».

Il suffit que la prophétie mathématique initiale surestime par 10 le nombre estimé de morts pour que l’évolution naturelle aboutisse à des chiffres 10 fois inférieurs permettant de se glorifier d’une diminution de 90 % de la mortalité.

Dans le cas précis, la prophétie mathématique estimait à 5 120 la menace et comme il n’y a eu que 370 morts enregistrés, ils se glorifient d’avoir sauvé 4750 Israéliens sans jamais mettre en doute des modèles mathématiques fumeux dont l’exemple de la Suède(([8] L’échec de la modélisation de l’Imperial College est bien pire que nous ne le savions
Phillip W. Magness)) et bien d’autres pays ont démontré l’absence totale de cohérence avec la réalité.(([9] https://evaluation-modelisation-covid.github.io/france/))(([10] LAURENT MUCCHIELLI Prophètes de malheur : rendez les exponentielles ! 18 MARS 2021))(([11] G et N Delépine Comment se gargariser d’avoir sauvé virtuellement plus de 3 000 000 d’européens. Toute honte bue !
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/comment-se-gargariser-d-avoir-225132))

Quittons le monde imaginaire des pythies et revenons au réel

L’évolution naturelle des épidémies suit une évolution en cloche et celle du covid n’échappe pas à la règle ainsi que l’a souligné dès avril 2020 le Pr Isaac Ben Israël alors que les vaccins n’existaient pas.

« Le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours. Cela est vrai dans n’importe quelle partie du monde — que les pays interrompent leurs activités économiques ou pas. »

La diminution naturelle des cas quotidiens peut, un temps, faire croire à l’efficacité de n’importe quelle mesure ou traitement appliqué au moment du pic de l’épidémie. Pour éviter ce biais temporel bien connu, il suffit de prendre en compte la totalité de l’évolution connue et de comparer les évolutions d’avant et d’après traitement et aussi à celles des pays les plus proches.

L’exemple d’Israël confirme l’inutilité des injections Pfizer

Dans ce pays qui faisait figure de champion Pfizer et était cité en exemple par tous les médias, plus de 72 % de la population est vaccinée. Mais ce taux de pseudo vaccination n’a pas protégé la population des récidives de plus en plus fortes de l’épidémie.

En décembre 2021, alors que le pourcentage d’injectés atteignait ses chiffres les plus élevés, l’absence d’efficacité contre l’infection s’affirmait clairement avec l’explosion des cas quotidiens culminant à 9 fois les pics atteints lors de la première vague d’avant les vaccins (55 000 vs 6000).

La comparaison de l’évolution des cas et de la mortalité journalière entre Israël et son pays frère peu vacciné (Palestine) montre que les injections Pfizer n’ont pas du tout protégé la population israélienne des contaminations, bien au contraire.

Et aussi la comparaison au Liban qui a subi la vague Covid, mais d’une intensité sans commune mesure avec celle d’Israël :

Curieusement, les auteurs de l’étude n’ont tenté ni d’analyser ni d’expliquer cette récidive explosive de l’épidémie observée en Israël et pas chez ses voisins.

Les injections Pfizer n’ont pas non plus diminué la fréquence des formes graves ni la mortalité comme le prétendent en permanence le gouvernement et les médias. Les décès attribués au Covid ont été plus fréquents depuis les pseudos vaccins : durant les quinze mois des vaccins, plus de 8000 décès ont été enregistrés contre moins de 3000 durant les dix mois d’épidémie sans vaccins.

La comparaison de l’évolution des cas et de la mortalité journalière entre Israël et son pays frère peu vacciné (Palestine) montre que les injections Pfizer n’ont pas du tout protégé la population israélienne ni des formes graves ni de la mort.

Nier l’échec mondial des pseudo vaccins, c’est nier l’évidence.

L’échec des injections Pfizer en Israël s’est répété dans le monde entier(([12] https://nouveau-monde.ca/lechec-avere-des-vaccins-covid/)). Les chiffres de l’OMS et les courbes de l’université John Hopkins sont sans appel : depuis l’introduction des vaccins en décembre 2020, le nombre global de cas a été multiplié par 7 :

Et les pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont ceux qui totalisent le plus d’infections

Et ces pays qui ont appliqué la stratégie OMS du tout vaccin sont aussi ceux qui souffrent des mortalités les plus élevées par rapport aux pays adeptes des traitements précoces (par chloroquine ou autres antipaludéens, Ivermectine, antibiotiques, zinc, vitamine D.)

Cet article de propagande aux biais trop évidents aurait dû être amendé ou refusé par le comité de lecture du Journal américain « Contrôle des infections Am J. L’avoir publié confirme que trop de revues sont contrôlées (parce que financées) par l’industrie pharmaceutique. L’évolution anti-scientifique de trop nombreuses revues médicales jadis prestigieuses les décrédibilise.(([13] Lancetgate: why was this “monumental fraud” not a huge scandal? | Dissident Voice))(([14] LancetGate : quel rôle joue le laboratoire Gilead qui développe le Remdesivir ? (francesoir.fr) ))(([15] Lancet Gate : l’étude anti-hydroxychloroquine s’avère être une « escroquerie intellectuelle » — AgoraVox le média citoyen))(([16] Ferguson ment grossièrement et le journal Nature le publie ! (francesoir.fr) ))

Rappelons le commentaire de Richard Horton (The Lancet) :

Si cela continue, nous ne serons pas en mesure de publier d’autres données de recherche clinique parce que les sociétés pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui, et sont capables d’utiliser des méthodologies telles que nous acceptons des articles qui sont apparemment méthodologiquement parfaits, mais qui, en réalité, parviennent à conclure ce qu’ils veulent conclure”.

Quand il y a une épidémie comme le Covid, en réalité, il y a des gens comme nous — les médecins — qui voient la mortalité et la souffrance… et il y a des gens qui voient de l’argent. C’est tout”

Et malheureusement si l’article du Lancet de mai 2020 a été retiré, la désinformation par de grandes revues médicales s’étend et, le ministre Véran n’a pas modifié sa position, ni son ordonnance vis-à-vis des traitements précoces du covid, toujours peu utilisés en France et pour lesquels les médecins résistants, fidèles à Hippocrate sont poursuivis s’ils décident de soigner leurs patients(([17] Denis Agret, dernier en date avec trois ans d’interdiction d’exercice !)). La position avouée du ministre est évidemment de contraindre de fait à l’injection de tous les dangers (et inefficace de surcroît).

En conclusion, ces injections sont inutiles et ne font qu’aggraver les contaminations et la mortalité, et par ailleurs sont dangereuses et à l’origine de très nombreux effets secondaires dont certains graves et mortels(([18] Le point sur les complications des pseudovaccins anticovid au 4 mars 2022 — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))(([19] https://reaction19.fr/droit-de-pensee/art-dinformer/nicole-et-gerard-delepine/delepine-2022/delepine-mai-2022/080522-pourquoi-un-tel-deni-des-effets-graves-des-vax-anticovid-chez-les-femmes-enceintes-dr-nicole-delepine/))(([20] LE VOTE MACRON, C’ETAIT CELUI POUR LA CINQUIEME DOSE, aussi dangereuse et inutile que les précédentes (cf Israel) | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))(([21] DES MYOCARDITES ET MAINTENANT UNE EXPLOSION DES CANCERS POST INJECTIONS | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) )). Il faut cesser ces injections et cette désinformation.

Exiger un moratoire international doublé d’enquêtes transparentes sur les conséquences





Preuve que la pandémie a été planifiée avec un but

[Source anglaise : stopworldcontrol.com]

[Transmis par Philippe Loubière]

[NDLR : Le présent article représente une mise à jour du suivant :

]

100% VÉRIFIÉ PAR LES FAITS

Notre objectif est de présenter des informations 100% précises. Chaque fait peut être vérifié dans les références au bas de la page. Si vous voyez quelque chose qui n’est pas correct à 100%, s’il vous plaît laissez-nous savoir.

VIDÉO INCROYABLE – REGARDEZ MAINTENANT!

LE PLAN

L’Organisation mondiale de la santé a un plan pour dix ans de maladies infectieuses, selon un virologue de l’OMS

[Vidéo en anglais]


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présentés dans LE PLAN

Des documents qui ouvrent les yeux de l’humanité

✔︎ Preuve du grand jury 1

✔︎ Rapport sur le décès par vaccin

Documents annonçant la pandémie de coronavirus

✔︎ Scénarios pour l’avenir par la Fondation Rockefeller

✔︎ Un scénario futuriste par le John Hopkins Center

✔︎ Plan australien de gestion de la santé pour la grippe pandémique

✔︎ L’OMS a demandé au monde de se préparer à une pandémie imminente de coronavirus

✔︎ La bande dessinée de l’UE montre la pandémie qui commence en Chine et la tyrannie médicale

Soyez conscient du niveau extrême d’hypocrisie qui se trouve dans ces documents. Ces criminels prétendent protéger l’humanité, alors qu’en réalité ils suppriment et interdisent tous les traitements efficaces contre le covid, tout en censurant, licenciant, arrêtant et même assassinant les médecins qui guérissent les patients covid.

Des milliers de médecins disent que la pandémie était planifiée

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé « Médecins pour l’information », qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, y compris des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale(([1] Groupe allemand de médecins pour information)):

« La panique corona est une pièce de théâtre. C’est une arnaque. Une escroquerie. Il est grand temps que nous comprenions que nous sommes au milieu d’un crime mondial. »

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus. Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelé « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

« Le Covid-19 est une fausse pandémie créée à des fins politiques. C’est une dictature mondiale avec une excuse sanitaire. Nous exhortons les médecins, les médias et les autorités politiques à mettre fin à cette opération criminelle en répandant la vérité. »(([2] Groupe espagnol de Médecins pour la vérité))

Alliance mondiale des médecins

« Le plus grand crime de l’histoire »

« Médecins pour l’information » et « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens du monde entier dans le cadre de la « World Doctors Alliance »(([3] Alliance mondiale des médecins)). Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde. Ils révèlent comment la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides à l’appui de cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

Alliance mondiale pour la liberté

Connecter les avocats

De même, l’Alliance mondiale pour la liberté a été formée – un réseau d’avocats, d’experts médicaux, de politiciens, de banquiers et de nombreux autres professionnels qui travaillent ensemble pour dénoncer le « crime Covid » et qui commencent à construire un nouveau monde de liberté. Ils veulent s’assurer que ce genre d’escroqueries mondiales qui détruisent des millions de vies ne puisse plus jamais se reproduire.

QUE SAVENT-ILS?

Pourquoi des milliers d’experts médicaux dans le monls que la pandémie est un « crime mondial » ? ils que nous ne savons pas? Jetons un coup d’œil à quelques faits intéressants…

Des millions de trousses de dépistage de la COVID-19 vendues en 2017 et 2018

La nouvelle maladie COVID-19 est apparue en Chine vers la fin de 2019. C’est pourquoi il a été nommé COVID-19, qui est un acronyme pour Corona Virus Disease 2019. Les données de la Solution du commerce intégré mondial, cependant, montrent quelque chose d’étonnant:

En 2017 et 2018, des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été distribués dans le monde entier.

Cela a coulé une seconde: littéralement des centaines de millions de kits de test COVID-19 ont été exportés et importés, partout dans le monde, en 2017 et 2018.

Des centaines de millions !

« Vite! Cachez-le ! »

Ces données déconcertantes ont été découvertes par quelqu’un le 5 septembre 2020, qui les a publiées sur les médias sociaux. Il est devenu viral partout dans le monde. Le lendemain, le 6 septembre, le WITS a soudainement changé l’étiquette originale « COVID-19 » en « kits de test médical ». Mais leur dissimulation est arrivée trop tard : cette information critique a été découverte et est révélée par des millions de personnes dans le monde entier.

Vous pouvez télécharger un PDF qui montre les données originales de ce site Web. Il peut également être vu sur les archives Web.(([4] Méthode brevetée de Richard Rothschild pour tester la COVID-19 ))(([5] Inventions de R. Rothshild))

DISTRIBUTION DE MASSE

Pourquoi le monde entier a-t-il explosé dans la distribution massive de centaines de millions de kits de test COVID-19, juste avant que la pandémie mondiale ne frappe?

En 2017, Fauci a garanti une pandémie
dans les deux prochaines années

En 2017, Anthony Fauci a fait une prédiction très étrange, avec une certitude encore plus étrange. En toute confiance, Fauci a garanti que pendant le premier mandat du président Trump, une épidémie surprise d’une maladie infectieuse se produirait sûrement. Voici ce qu’il a dit(([6] Fauci garantit une épidémie dans les deux prochaines années)):

Il ne fait AUCUN DOUTE qu’il y aura un défi pour la prochaine administration dans le domaine des maladies infectieuses.

Il y aura une ÉPIDÉMIE SURPRISE.Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet.

Comment Fauci pourrait-il garantir une épidémie surprise pendant le premier mandat de l’administration Trump? Qu’est-ce qu’il savait que nous ne savons pas?

« Au cours des deux prochaines années, il y aura une épidémie surprise. Il n’y a AUCUN DOUTE dans l’esprit de quiconque à ce sujet. »

ANTHONY FAUCI

Bill et Melinda Gates ont garanti une pandémie mondiale imminente

En 2018, Bill Gates a annoncé publiquement qu’une pandémie mondiale était en route qui pourrait anéantir 30 millions de personnes. Il a dit que cela se produirait probablement au cours de la prochaine décennie.(([7] Bill Gates annonce une pandémie mondiale))

Melinda Gates a ajouté qu’un virus artificiel est la plus grande menace de l’humanité, et a également assuré que cela frapperait l’humanité dans les années à venir.(([8] Melinda Gates dit que la plus grande menace de l’humanité est un virus artificiel))

Laissez leur choix de mots résonner dans votre esprit pendant un moment…

« Une pandémie mondiale est en route.
Un VIRUS ARTIFICIEL est la plus grande menace de l’humanité.
Cela se produira au cours de la PROCHAINE DÉCENNIE. »

BILL ET MELINDA GATES

Pratiquer pour une pandémie

Bill Gates est le premier distributeur mondial de vaccins, qui a doublé sa fortune de 50 milliards de dollars à plus de 100 milliards simplement en vendant des vaccins dans le monde entier. Il a dit que cela a été son « meilleur investissement commercial » de tous les temps. Quelques mois avant l’épidémie, Bill Gates a organisé un événement à New York appelé Event 201. Devinez en quoi consistait l’événement? C’était un « exercice de pandémie de coronavirus ».

Oui, vous avez bien lu : Bill Gates a organisé un exercice sur la pandémie de coronavirus, juste avant que la pandémie de coronavirus ne se produise !

Bill Gates a créé un événement de pratique pour une pandémie mondiale de coronavirus, juste avant qu’une pandémie mondiale de coronavirus ne se produise.

Enthousiasme à l’idée de vendre des vaccins au cours de la prochaine année

Après cet « exercice pour une pandémie de coronavirus », Bill Gates a tweeté :

Je suis particulièrement enthousiasmé par ce que l’année prochaine pourrait signifier pour l’un des meilleurs achats en santé mondiale : les vaccins.

Pensez-y : le numéro 1 mondial des distributeurs de vaccins garantit une pandémie mondiale dans les prochaines années, et sa femme dit que nous devrions tous craindre un virus artificiel qui est « en route ». Ensuite, ils organisent un exercice pour une pandémie mondiale imminente et disent que les vaccins seront la seule solution. Prochain… Bill Gates tweete à quel point il est enthousiaste à l’idée de vendre des vaccins l’année prochaine. Immédiatement après, la pandémie annoncée éclate.

Et en effet, d’emblée Bill Gates proclame que la seule solution pour l’humanité est d’acheter ses vaccins…

pandémie de coronavirus 2020 prévue en 2013

L’information suivante est particulièrement intéressante parce qu’elle montre combien d’informations sont disponibles, pour ceux qui osent faire la recherche. En 2013, un artiste musical au nom particulier de Dr. Creep a écrit une chanson de rap appelée PANDEMIC. Rien de spécial à ce sujet, n’est-ce pas que l’une de ses paroles se lit comme suit:(([9] Paroles de la chanson de 2013 qui a prédit la pandémie de coronavirus en 2020))

« 2020 combiné avec CoronaVirus, les corps s’empilent. »

Comment est-il possible qu’un musicien inconnu puisse prédire avec précision qu’une pandémie de coronavirus se produira sept ans plus tard?

La chanson a également prédit les émeutes qui ont fait rage dans toute l’Amérique pendant cette pandémie:

« L’État se révolte, utilisant la rue à l’extérieur. Ça vient à vos fenêtres. »

Encore une fois : comment un artiste louche pouvait-il savoir, en 2013, qu’en 2020, un coronavirus balayerait la terre, suivi d’émeutes de masse ? Sa réponse est intéressante :

« J’ai fait des recherches en 2012 et j’ai lu les soi-disant « théories du complot ». Vous savez, ces enquêtes que les médias ne veulent pas que nous examinions. Selon ces théories, les pandémies étaient inévitables au cours de la décennie 2020-2030. J’ai donc écrit la chanson Pandemic à ce sujet. »

Pigé ? Cet homme a fait des recherches sur ce que l’on appelle communément les « théories du complot ». Des choses que nous sommes programmés pour ignorer comme des « absurdités ». Mais apparemment, ces enquêtes ne sont pas toujours aussi stupides après tout, car certaines d’entre elles ont prédit avec précision que exactement en 2020, cette pandémie et les émeutes se produiraient.

Que peut-on découvrir d’autre lorsque nous commençons à faire de la recherche? Continuez à lire pour en savoir plus…

« Préparez-vous à une pandémie mondiale de coronavirus »

En septembre 2019 – également juste avant l’épidémie – le Conseil mondial de suivi de la préparation a publié un rapport intitulé « Un monde en danger ».

Il a souligné la nécessité d’être prêt à… une épidémie de coronavirus !

Sur la couverture du rapport se trouve la photo d’un coronavirus et de personnes portant des masques faciaux.

Dans le rapport, nous avons lu le paragraphe intéressant suivant:

« Les Nations Unies (y compris l’OMS) mènent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système. L’un d’eux implique la libération délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel. »

L’avez-vous saisi ? 

Annonce de l’épidémie en provenance de Chine

En 2018, l’Institut de modélisation des maladies a produit une vidéo montrant un virus de la grippe (qui est un coronavirus) originaire de Chine, de la région de Wuhan, et se propageant dans le monde entier, tuant des millions de personnes. Ils l’ont appelé « Une simulation pour une pandémie mondiale de grippe ». C’est exactement ce qui s’est passé deux ans plus tard.

VIRUS DE WUHAN

Comment pouvaient-ils savoir qu’il y aurait une pandémie mondiale de coronavirus qui commencerait dans la région de Wuhan, en Chine? Comment pouvaient-ils le prédire avec autant de précision juste avant que cela ne se produise?

Ce coronavirus a-t-il été conçu ?

D’où vient le virus ? L’un des plus grands experts mondiaux en armes biologiques est le Dr Francis Boyle. Il est convaincu qu’il provient d’un laboratoire d’armes biologiques à Wuhan – le laboratoire de biosécurité de niveau 4.

Cette installation est spécialisée dans le développement de… les coronavirus !

Ils travaillent avec les virus existants pour les armer – ce qui signifie qu’ils les rendent beaucoup plus dangereux, pour être utilisés comme une arme biologique. Dans le clip vidéo de deux minutes suivant, vous voyez un porte-parole de l’administration Trump, l’expert en armes biologiques, le Dr Francis Boyle, et le président Trump parler de la façon dont ce virus est venu du laboratoire de Wuhan.

Vient maintenant la partie intéressante: en 2015, Anthony Fauci a donné à ce même laboratoire 3,7 millions de dollars.

Figurez-vous ceci: le même homme qui a garanti une épidémie surprise d’un virus dans les deux prochaines années, a donné près de 4 millions de dollars à un laboratoire qui développe des coronavirus armés. Dans le court clip ci-dessous, vous pouvez voir un journaliste interroger le président Trump sur cette subvention accordée par Fauci au laboratoire de Wuhan.

Plusieurs films ont prédit la pandémie de coronavirus

La programmation prédictive est le processus d’information de la population sur les événements qui vont bientôt se produire. Au cours des dernières années, plusieurs films et séries télévisées ont été produits sur… une pandémie mondiale de coronavirus !

Le film « Dead Plague »[peste noire] dépeint une pandémie mondiale avec un coronavirus, et mentionne même l’hydroxychloroquine comme remède.

Un autre film intitulé « Contagion » montre comment un coronavirus se propage dans le monde entier – avec la distanciation sociale, les masques faciaux, les confinements, le lavage des mains, etc. en conséquence.

Littéralement, tout ce que nous voyons maintenant est prédit en détail dans ces films.

La bande dessinée de l’Union européenne a visualisé la pandémie mondiale

En 2012, une étrange bande dessinée a été produite par l’Union européenne, pour être distribuée uniquement à leurs employés.(([10] La bande dessinée de l’UE dépeint la pandémie mondiale)) Le titre de la bande dessinée est « INFECTED », et il montre un nouveau virus originaire d’un laboratoire chinois et se propageant à travers le monde. La solution à cette pandémie est décrite dans la bande dessinée : les mondialistes appliquent un plan de santé mondial. Cela signifie : Plus de liberté médicale, mais la tyrannie médicale par des entités mondialistes.

Tel est le message de cette bande dessinée, publiée aux salariés de l’Union européenne. L’une des citations de la bande dessinée se lit comme suit:

« Les mesures de sécurité qui ont suivi ont rendu notre existence totalement insupportable. »

Pandémie représentée lors des Jeux olympiques d’été de 2012

Lors du spectacle d’ouverture des Jeux olympiques d’été de 2012, une pandémie de coronavirus s’est jouée aux yeux du monde entier. Des dizaines de lits d’hôpital, un grand nombre d’infirmières devenant les marionnettes d’un système de contrôle, la mort qui se cachait, un géant démoniaque se soulevant au-dessus du monde, et tout le théâtre était éclairé de telle sorte que, vu du ciel, il ressemblait à un coronavirus.

Pourquoi les Jeux Olympiques ont-ils montré une pandémie de coronavirus, dans leur spectacle d’ouverture?

Confinement mondial prévu en 2008

L’auteur et enquêteur Robin de Ruiter a prédit en 2008 qu’il y aurait un confinement mondial.(([11] Robin de Ruiter prédit des confinements))

Il a dit que le but de cela serait de créer un nouveau monde de contrôle autoritaire.

Parce qu’une grande partie de ce qu’il a écrit en 2008 se passe maintenant sous nos yeux, ce livre a été réédité.

Les journalistes ont prédit une pandémie planifiée

En 2014, le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit une pandémie mondiale planifiée et a expliqué pourquoi la « classe dirigeante » ferait une telle chose:

« Ils ne reculeront devant rien pour compléter leur boîte à outils de contrôle. L’une des choses qui manquaient dans leur boîte à outils était les quarantaines et les couvre-feux. Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »(([12] Harry Vox a prédit la pandémie mondiale))

« Le plan est d’infecter des centaines de milliers de personnes et de créer la prochaine phase de contrôle. »

HARRY VOX, JOURNALISTE D’INVESTIGATION RENOMMÉ

« Scénario pour l’avenir » décrit la pandémie mondiale

Ce chercheur de renom fait référence à un document célèbre de la Fondation Rockefeller dans lequel tout ce que nous voyons se passer maintenant est littéralement prédit en détail: la pandémie mondiale, les confinements, l’effondrement de l’économie et l’imposition d’un contrôle autoritaire.

Tout est décrit avec une précision terrifiante… dix ans avant que cela ne se produise !

Le document s’intitule « Scénario pour l’avenir de la technologie et du développement international ».(([13] « Scénario pour l’avenir » décrit une pandémie mondiale)) Cela dit tout: un scénario pour l’avenir. Il a un chapitre intitulé « LockStep », dans lequel une pandémie mondiale est rapportée comme si elle s’était produite dans le passé, mais qui est clairement destinée à être une répétition pour l’avenir.

Le « Scénario pour l’avenir » se poursuit avec la comparaison de deux réponses différentes à leur pandémie prévue: les États-Unis n’ont « fortement découragé » que les personnes de prendre l’avion, tandis que la Chine a imposé une quarantaine obligatoire à tous les citoyens. La première réponse est accusée de propager encore plus le virus, tandis que l’imposition d’un confinement étouffant est saluée. Ensuite, il décrit la mise en œuvre du contrôle totalitaire : Pendant la pandémie, les dirigeants nationaux du monde entier ont fait preuve d’autorité et imposé des règles et des restrictions hermétiques, allant du port obligatoire de masques faciaux aux contrôles de la température corporelle aux entrées des espaces communs tels que les gares et les supermarchés.

Il est clair que la flexion de l’autorité est la réponse souhaitée. Mais la situation s’aggrave, selon ce « scénario du futur » :

« Même après l’estompement de la pandémie, ce contrôle et cette surveillance plus autoritaires des citoyens et de leurs activités sont restés, et même intensifiés. »

« Dans les pays développés, cette surveillance accrue a pris de nombreuses formes: des identifiants biométriques pour tous les citoyens, par exemple, et une réglementation plus stricte des industries clés dont la stabilité était jugée vitale pour les intérêts nationaux. »

Manuel pour le contrôle global

Maintenant que la pandémie annoncée est bel et bien là, la même Fondation Rockefeller a présenté la deuxième étape : un manuel sur la façon de mettre en œuvre de nouveaux systèmes de contrôle pendant cette pandémie. Le livre révèle que ce n’est que lorsque tous les réseaux de contrôle requis sont en place que le monde peut s’ouvrir à nouveau.

Lorsque vous combinez les deux documents Rockefeller, vous voyez le plan :

1) Tout d’abord, ils annoncent une pandémie mondiale avec un coronavirus et disent ce à quoi cela devrait conduire: un tout nouveau niveau de contrôle autoritaire.

2) Deuxièmement, ils donnent des étapes pratiques sur la façon d’appliquer ce système de contrôle.

Ce sont des illustrations et des citations de leur guide :

« Les applications numériques et les logiciels de suivi protégés par la vie privée devraient être largement utilisés pour permettre un suivi plus complet des contacts. »

« Afin de contrôler pleinement l’épidémie de Covid-19, nous devons tester la majorité de la population sur une base hebdomadaire. »

Conformément à leur « scénario de l’avenir », l’ensemble de la population mondiale devrait obtenir une identification numérique indiquant qui a reçu tous les vaccins. Sans vaccinations suffisantes, l’accès aux écoles, aux concerts, aux églises, aux transports en commun, etc., sera refusé.

Et maintenant, à partir de 2020, c’est exactement ce que Bill Gates et de nombreux gouvernements réclament.

Les contacts de chacun doivent être vérifiés

Dans une vidéo du gouvernement qui a fuité(([14] Andrew Cuomo s’entretient avec Bill Clinton sur le contrôle autoritaire)), nous voyons une conversation entre l’ancien président américain Bill Clinton et Andrew Cuomo, le gouverneur de l’État de New York. Ils discutent de la façon de mettre en place un grand système de contrôle pour tester l’ensemble de la population et vérifier tous leurs contacts. Ils discutent de la façon de construire une armée pour mener à bien ce système de contrôle.

ANDREW CUOMO,
GOUVERNEUR DE NEW YORK

Un tout nouveau niveau de contrôle mondial

Bill Gates a également précisé que seules les personnes vaccinées contre le Covid-19 devraient être autorisées à voyager, à aller à l’école, à assister à des réunions et à travailler.(([15] Bill Gates parle d’une identité numérique pour contrôler les gens)) Des identifiants numériques de vaccins sont déjà en cours de développement(([16] Relier les vaccins à une identification numérique)) et Gates détient un brevet sur la technologie qui permet de retracer le corps d’un individu n’importe où. Cette technologie s’appelle WO2020-060606(([17] Gates a un brevet sur la technologie pour retracer n’importe qui n’importe où)). En outre, Gates souhaite mettre en place un réseau mondial de surveillance qui suivra toutes les personnes ayant été en contact avec le Covid-19.(([18] Gates veut un système de surveillance mondial))

Connecter votre corps à l’intelligence artificielle

Big Tech et Big Pharma veulent nous connecter tous à des réseaux mondiaux qui peuvent nous surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 et… décider si nous pouvons nous déplacer librement ou non. Dans cet esprit, une invention particulière de 2015 devient intrigante.

En 2015, Richard Rothschild a inventé une « méthode de test pour COVID-19 ». Cette méthode consiste à envoyer nos informations de santé personnelles au « cloud », qui est contrôlé par Big Tech.(([19] Inventions de Richard A Rothschild))

Richard Rothschild n’est pas un professionnel de la santé, mais un avocat. Pourquoi un avocat veut-il créer une méthode pour détecter les virus? Nous trouvons la réponse en regardant une autre de ses inventions. Il a développé un système dans lequel les gens sont filmés pour recueillir des informations détaillées sur leur visage, leur corps, leurs mouvements, etc. Ces données vidéo sont ensuite combinées avec d’autres informations personnelles et envoyées au cloud, où elles sont connectées à l’intelligence artificielle.

Si toutes nos données médicales personnelles sont « dans le cloud », elles peuvent être utilisées par les autorités pour nous surveiller et nous contrôler.

Le plan : injecter à l’humanité un vaccin altérant l’ADN

Le célèbre journaliste d’investigation Anthony Patch a fait des années de recherche sur les plans de contrôle du monde au moyen de pandémies créées et de vaccins obligatoires. Lors d’une entrevue en 2014, ce chercheur a prédit ce qui suit :

« Ils vont libérer un coronavirus d’origine humaine. En conséquence, les gens exigeront un vaccin pour les protéger. Ce vaccin ajoutera un troisième brin d’ADN au corps d’une personne, ce qui en fera essentiellement un hybride. Une fois qu’une personne est injectée, presque immédiatement son ADN subit une transformation. Ce changement génétique fera perdre aux gens la capacité de penser par eux-mêmes, sans même qu’ils soient conscients que cela s’est produit. Ainsi, ils peuvent être contrôlés plus facilement, pour devenir des esclaves pour l’élite. »

Bien sûr, cela semble fou – et c’est fou en effet. Pourtant, nous devons nous rendre compte que cet enquêteur professionnel n’est pas dupe. Il a investi des années de recherche sur ce sujet, et c’est ce qu’il a découvert pendant cette période.

20 ans de recherche disent : le vaccin va changer notre ADN

Docteur Carrie Madej a dirigé deux cliniques médicales en Géorgie, aux États-Unis, et a étudié l’ADN et les vaccins au cours des vingt dernières années. Elle a réalisé une vidéo urgente dans laquelle elle prévient qu’il existe un plan pour injecter à l’humanité des vaccins très dangereux contre le Covid-19. L’objectif de ces nouveaux vaccins sera double :

1) reprogrammer notre ADN et faire de nous des hybrides plus faciles à contrôler.
2) nous connecter à l’intelligence artificielle grâce à une identification numérique de vaccin, ce qui ouvrira également un tout nouveau domaine de contrôle.

Cette experte médicale dit avoir observé à plusieurs reprises comment les maladies se propageaient sur les populations par avion. Pour des raisons de sécurité, elle n’est pas en mesure de partager plus de détails à ce sujet en public.

Regardez ce documentaire critique sur les dangers des vaccins à venir :

Dépeupler la terre au moyen d’épidémies organisées

John Coleman était un officier de renseignement de la CIA qui a écrit un livre intitulé « Le Comité des 300 ». Dans le livre, il explique comment les sociétés secrètes manipulent les gouvernements, les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, etc. Ce livre peut être trouvé sur le site de la CIA.(([20] Télécharger le livre de l’officier de la CIA Coleman))

L’un des principaux objectifs des nombreuses sociétés secrètes qui contrôlent les gouvernements et les médias est de dépeupler la terre.

Le Dr Coleman dit ce qui suit au sujet de leur stratégie :

DR. JOHN COLEMAN,
CIA INTELLIGENCE OFFICER

Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000

En 1980, un monument en granit a été érigé en Géorgie, aux États-Unis, appelé les Guidestones. Un ensemble de 10 lignes directrices est inscrit sur la structure dans huit langues modernes, et un message plus court est inscrit au sommet de la structure dans quatre écritures de langues anciennes. La première ligne directrice est la suivante :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 en équilibre perpétuel avec la nature.

[Voir aussi :

https://nouveau-monde.ca/les-%e2%80%89georgia-guidestones%e2%80%89-ou-les-10-commandements-du-nouvel-ordre-mondial/

]

L’officier de la CIA, le Dr Coleman, a révélé que l’une de leurs méthodes pour « maintenir l’humanité » consiste à provoquer « des épidémies organisées de maladies mortelles à action rapide ».

Utiliser des vaccins pour réduire l’humanité

Lors d’une conférence TED, Bill Gates a fait écho à cet objectif, lorsqu’il a littéralement déclaré que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15 % !(([21] Gates parle de réduire la population mondiale en utilisant des vaccins))

Vaccin contre le Covid-19 pour le contrôle de la population ?

Mike Adams est un scientifique de l’alimentation publié, auteur du livre scientifique populaire Food Forensics et fondateur de CWC Labs accrédités iso. Il y a des années, il a dit ce qui suit :

Une arme biologique modifiée sera libérée dans les centres de population.

Il y aura des appels à un financement gouvernemental massif pour que l’industrie des vaccins propose un vaccin. Miraculeusement, ils auront un vaccin développé en un temps record. Tout le monde devra faire la queue et prendre ce vaccin.

Il y a en effet eu la publication d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

Le reste de son message est que ce vaccin commencera lentement à tuer des millions – voire des milliards – de personnes au cours de quelques années. Il s’agira d’un vaccin tueur à gages, conçu pour réduire la population mondiale.

RÉSUMÉ : La PANDÉMIE ÉTAIT-ELLE PLANIFIÉE ?

Des milliers de médecins du monde entier qualifient la pandémie de crime mondial, de dictature mondiale avec une excuse sanitaire.

Dans les années qui ont précédé la COVID-19, le monde entier a soudainement commencé à distribuer des centaines de millions de kits de test PCR pour la COVID-19.

En 2013, un chercheur a prédit qu’une pandémie mondiale avec un coronavirus se produirait en 2020. Il le savait en raison d’une enquête personnelle sur les soi-disant « théories du complot ».

En 2017, Anthony Fauci a garanti une épidémie surprise d’une maladie infectieuse au cours du premier mandat de l’administration Trump.

Juste avant le début de la pandémie mondiale de coronavirus, Bill Gates a organisé un exercice mondial sur la pandémie de coronavirus : Event 201.Peu de temps avant l’épidémie, le Global Preparedness Monitoring Board a dit au monde d’être prêt pour une pandémie de coronavirus.

En 2018, l’Institute for Disease Modeling a prédit une pandémie mondiale avec un virus de la grippe, originaire de Chine dans la région de Wuhan.

En 2018, Bill et Melinda Gates ont annoncé que dans les années à venir, il y aurait une pandémie mondiale d’un virus artificiel.

Le coronavirus SARS-CoV-2 pourrait avoir été créé dans le laboratoire de biosécurité de niveau 4 à Wuhan, qui a reçu des millions de dollars d’Anthony Fauci.

Des films several ont dépeint la pandémie de coronavirus avec beaucoup de détails et ont même mentionné l’hydroxychloroquine comme remède.

Une bande dessinée produite par l’Union européenne dépeint un virus qui se propage dans le monde entier. La crise est résolue par la mise en œuvre d’une tyrannie médicale totalitaire.

Les Jeux olympiques d’été de 2012 ont présenté dans leur spectacle d’ouverture le scénario d’une pandémie d’un coronavirus.

Le journaliste d’investigation Harry Vox a prédit en 2014 qu’une pandémie mondiale serait créée afin que la « classe dirigeante » puisse mettre en œuvre un niveau plus élevé de contrôle autoritaire.

Le journaliste d’investigation Anthony Patch a prédit une pandémie mondiale avec un virus artificiel – qui serait utilisé pour forcer l’humanité à utiliser un vaccin altérant l’ADN.

Carrie Madej étudie l’ADN et les vaccins depuis des décennies, et ses recherches ont montré que le plan est d’utiliser le vaccin CONTRE LA COVID-19 pour lancer le processus de transhumanisme : reprogrammer l’ADN humain.

L’officier de la CIA, le Dr John Coleman, a étudié en profondeur les sociétés secrètes et déclare que leur objectif est de dépeupler la terre au moyen de pandémies organisées de maladies mortelles et à action rapide.

Dans l’État de Géorgie, aux États-Unis, un immense monument a été érigé en 1980 avec dix directives pour l’humanité en huit langues. Le premier de ces « Dix Commandements » est que l’humanité doit être réduite à un demi-milliard de personnes.

Bill Gates a déclaré lors d’une conférence TED que de nouveaux vaccins peuvent être utilisés pour réduire la population mondiale de 10 à 15%.

Mike Adams, le « Health Ranger », a prédit il y a des années ce que nous voyons se produire aujourd’hui : la sortie d’une arme biologique artificielle, suivie d’un mandat de vaccination, d’un financement gouvernemental massif pour l’industrie des vaccins et d’un vaccin qui a été développé en un temps record.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié le « Scénario pour l’avenir…» dans lequel ils décrivent une pandémie mondiale à venir qui vise à entraîner la mise en œuvre d’un contrôle autoritaire sur le peuple et qui devrait s’intensifier après la pandémie.

En 2020, la Fondation Rockefeller a publié un manuel sur la façon de créer ce monde de contrôle, avec un guide étape par étape. Ils affirment que la vie ne peut pas revenir à la normale tant que le monde n’est pas devenu « verrouillé » avec ce contrôle descendant de gouvernements autoritaires.

Nous constatons en effet que Bill Gates et beaucoup d’autres dans le monde prennent immédiatement le contrôle de manière sans précédent: en appliquant les identifiants de vaccins (micropuces à implanter dans les personnes), en imposant le port de masques faciaux, la distanciation sociale, les confinements forcés, la recherche extrême des contacts, etc.

L’élément de ce contrôle descendant est la censure et la déplateforme extrêmes de littéralement chaque voix de médecins, de scientifiques et d’autres experts qui osent remettre en question ou critiquer ce qui se passe.

Toutes les prédictions ont été faites peu de temps avant que cela ne se produise

Le temps est maintenant

Noter que chaque prédiction de cette pandémie a été annoncée quelques années ou même des mois avant qu’elle ne se produise. Le fait qu’un événement aussi unique en histoire ait été prédit en détail – par des films, des émissions, des enquêteurs, des médecins, ceux qui financent les laboratoires qui développent ces virus, ceux qui gagnent des milliards de dollars de ces pandémies, et ceux qui veulent créer un tout nouveau niveau de contrôle dans notre monde, etc. – révèle clairement que c’était planifié.

Y a-t-il des signes que la pandémie est manipulée ?

Jusqu’à présent, nous avons examiné les indications que la pandémie avait été planifiée à l’avanceSi c’est effectivement orchestré, alors cela devrait aussi être évident pendant la pandémie. Une pandémie planifiée est aussi une pandémie contrôlée. Observe-t-on effectivement que la pandémie est manipulée ? Absolument. D’autres articles sur StopWorldControl.com révèlent à quel point littéralement toutes les voix médicales, scientifiques, gouvernementales, éducatives et journalistiques qui diffèrent de la propagande médiatique sont censurées de manière agressive.

Jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité il n’y a eu une telle censure mondiale des médecins et des scientifiques respectés du monde entier.

En outre, il y a un affichage sans précédent de la fraude mondiale avec les chiffres covid. Littéralement, chaque information sur la COVID-19 est fausse. Le personnel médical du monde entier a admis qu’il subissait de fortes pressions pour enregistrer chaque patient en tant que patient covid, et chaque décès – quelle qu’en soit la cause – en tant que décès covid.

Vous pouvez voir les preuves de cette affirmation scandaleuse dans cette révélation choquante de la plus grande fraude de l’histoire du monde.

Qui est derrière le plan pour contrôler le monde?

Nous avons parlé d’un groupe de personnes que l’on appelle les « mondialistes ». Alors, qui sont ces « mondialistes » de toute façon ? Ce sont des gens riches et influents dans le monde entier qui envisagent de créer un gouvernement mondial. Cela leur permettra de contrôler chaque être humain sur la planète. Leur stratégie est de dominer tous les domaines de nos sociétés: les soins de santé, les industries alimentaires, les médias, les gouvernements, la religion – tout.

La domination totale du monde a été un désir diabolique de nombreux dirigeants puissants tout au long de l’histoire du monde. Il suffit de penser aux empires mondiaux notoires de Rome, de la Grande-Bretagne, des Perses, des Russes, etc.

Cette passion perverse n’a jamais quitté les cœurs corrompus de l’humanité, mais les moyens d’atteindre cet objectif ont changé. Au lieu d’envahir les nations avec des chars et des bazookas, ils asservissent maintenant l’humanité en utilisant la force de la peur. Une fois qu’ils peuvent créer suffisamment de panique, ils peuvent présenter la « solution ». Cette solution, cependant, signifie supprimer nos libertés et nous soumettre à leur contrôle.

Les principaux acteurs du mondialisme sont les Nations Unies, le Forum économique mondial, l’Organisation mondiale de la santé, l’Union européenne, le Fonds monétaire international, la Banque mondiale et en particulier les nombreuses banques privées qui contrôlent déjà le monde. Ces entités visibles ne sont cependant qu’une façade qui cache les véritables pouvoirs, qui sont les nombreuses « Sociétés Secrètes ». Beaucoup de ces mondialistes se sont récemment réunis dans une petite ville appelée Davos, en Suisse, où ils ont exprimé comment la pandémie sera utilisée pour déployer leurs plans. Voici quelques-unes des déclarations qu’ils ont faites(([22] DAVOS et le rassemblement des mondialistes)):

« C’est maintenant le moment historique dans le temps, non seulement pour combattre le virus, mais aussi pour FAÇONNER LE SYSTÈME.

La pandémie représente une fenêtre d’opportunité pour RÉINITIALISER NOTRE MONDE.

Le monde doit agir conjointement et rapidement pour RÉORGANISER TOUS LES ASPECTS de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contacts sociaux et aux conditions de travail.

CHAQUE PAYS, des États-Unis à la Chine, doit participer, et chaque industrie, du pétrole et du gaz à la technologie, doit être TRANSFORMÉE. »

Klaus Schwab, fondateur du Forum économique mondial

Le Forum économique mondial a créé un graphique « rouet » avec tous ses objectifs. Ici, nous pouvons voir les trois « projets » suivants: COVID19, suivi de la gouvernance mondiale et de la gouvernance de l’Internet.

Personne ne veut de ces organisations

Aucun humain sur la terre n’a voté pour que ces organisations existent, sans parler de prendre le contrôle total de nos vies, de nos familles, de nos communautés, de nos emplois, de notre santé, de nos industries, etc. Pourtant, ils se présentent comme nos « leaders mondiaux » qui planifient tout notre avenir.

L’Organisation mondiale de la santé s’est positionnée comme l’autorité sur notre santé, sans qu’aucun d’entre nous ne les ait choisies.

Ils appliquent une tyrannie dans les médias grand public et les médias sociaux, où aucune expression d’expertise médicale ou scientifique n’est autorisée, à moins qu’elle ne soit conforme aux directives de cette organisation « mondiale ».

Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques ont été censurés dans le monde entier par Facebook, Youtube et Twitter. Pourquoi? Parce que ces géants des médias sociaux cherchent à dépeindre que SEULES les informations de l’Organisation mondiale de la santé sont vraies. C’est un exemple clair de la tyrannie mondiale des mondialistes. Ils installent leurs propres institutions « mondiales » – qui n’ont AUCUNE autorité sur l’un d’entre nous. Mais simplement parce qu’ils s’appellent eux-mêmes des leaders « mondiaux », ils assument l’autorité sur toute l’humanité.

Cela signifie la perte complète de la liberté médicale, la perte de la liberté d’expression, la perte de la vraie science, la perte du vrai journalisme et l’imposition de dictatures par des organisations pour lesquelles personne n’a voté, dirigées par des individus que personne n’a choisis ou voulus. Et pourtant, ils s’emparent simplement de la propriété de notre monde entier.

Ils sont le « gros, gros, méchant intimidateur sur le terrain de jeu » qui joue au patron sur tout le monde.

L’Organisation mondiale de la santé est dirigée par un terroriste

Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un parti communiste révolutionnaire violent en Éthiopie : le Front de libération du peuple du Tigré.(([23] Le chef de l’Organisation mondiale de la santé était membre d’un groupe terroriste violent)) Le département de la Sécurité intérieure indique clairement:

« Le TPLF se qualifie d’organisation terroriste de niveau III… sur la base de ses activités violentes… »

Laissez-vous comprendre : l’homme qui dirige l’Organisation mondiale de la santé est littéralement un terroriste communiste, qui a été impliqué dans l’imposition du communisme en Éthiopie. Ce même homme intimide maintenant le monde entier, nous dit à tous ce que nous pouvons et ne pouvons pas faire, censure tous les professionnels de la santé qui ont une opinion différente, exigeant l’obéissance aveugle de toute l’humanité, tout en imposant des mandats de vaccination au sponsor financier numéro un de l’OMS: Bill Gates.

Est-ce le monde dans lequel vous voulez vivre, à partir de maintenant?

De plus en plus de pandémies, jusqu’à ce que l’humanité se soumette

Les mondialistes theses menacent également l’humanité de plus de souffrances si nous ne nous soumettons pas à leur contrôle total. Le prince Charles a récemment rejoint les mondialistes et a déclaré publiquement:

Il y aura de plus en plus de pandémies, si nous ne faisons pas « la grande réinitialisation » maintenant.(([24] DAVOS et le rassemblement des mondialistes))

Bill Gates appelle déjà cela « pandémie un » et parle de « pandémie deux et trois ». L’enquêteur qui, en 2013, avait prédit qu’une pandémie de coronavirus se produirait en 2020, suivie d’émeutes, a déclaré que le plan était de créer une série de pandémies au cours de 2020-2030.

Cette décennie est la période choisie pour transformer le monde en une grande prison.

Les mondialistes prévoient de provoquer autant de pandémies que nécessaire afin de briser l’épine dorsale de l’humanité, jusqu’à ce que tout le monde se soumette à son contrôle mondial. L’obligation de vacciner est essentielle à leur plan, car les vaccins nous connecteront aux systèmes de contrôle mondiaux. Seuls les vaccinés pourront se déplacer librement.

Commencez-vous à comprendre pourquoi plus de 700 médecins d’Allemagne, 600 médecins d’Espagne, des milliers d’experts médicaux des États-Unis et bien d’autres dans le monde entier qualifient cette pandémie de crime « mondial »?

Des dirigeants de l’Église catholique mettent en garde l’humanité

L’archevêque d’An et plusieurs cardinaux de l’Église catholique romaine ont écrit une lettre à l’humanité, pour nous avertir de la tyrannie mondiale sous le couvert de COVID-19. Ceci est un extrait de ce message historique, qui a été traduit dans de nombreuses langues et envoyé aux dirigeants du monde entier.(([25] Lettre de l’archevêque et des cardinaux à l’humanité))

[Voir aussi :
Mgr Carlo Maria Viganò : « Le moment est venu de dénoncer les corrompus et les traîtres, d’expulser ceux qui ne servent pas le peuple mais l’État profond et le Nouvel Ordre Mondial »
L’archevêque Viganò lance une mise en garde contre le programme du nouvel ordre mondial « clairement anti-humain »
L’archevêque Carlo Maria Vigano appelle à une alliance anti-mondialiste internationale
DELIVREZ-NOUS DU MAL – Considérations sur le Great Reset et sur le Nouvel Ordre Mondial, par Mgr Viganò
Conférence de l’archevêque Carlo Maria Viganò : « Comment la Révolution de Vatican II sert le Nouvel Ordre Mondial »
Pour Mgr. Viganò, ce sont les mêmes acteurs derrière le confinement et les manifestations actuelles]

Nous avons des raisons de croire, sur la base des données officielles sur l’incidence de l’épidémie en fonction du nombre de morts, qu’il existe des puissances intéressées à créer la panique parmi la population mondiale dans le seul but d’imposer en permanence des formes inacceptables de restriction des libertés, de contrôle des personnes et de suivi de leurs mouvements. L’imposition de ces mesures illibérales est un prélude inquiétant à la réalisation d’un gouvernement mondial hors de tout contrôle.

Y a-t-il de l’espoir? Que pouvons-nous faire?

Y a-t-il un espoir pour notre avenir, ou sommes-nous livrés aux mains impitoyables de ces méchants méga-milliardaires qui veulent dépeupler la terre et prendre le contrôle total de l’humanité ?

Oui, il y a de l’espoir. L’avenir est plus brillant que nous ne pouvons même l’imaginer !

Ce n’est pas un scénario pessimiste, mais un signal d’alarme pour que l’humanité cesse de croire aveuglément les médias mafieux et les politiciens pervers, et qu’elle se lève comme un seul homme pour un avenir de liberté. Je vous invite à vous joindre à un mouvement unique et historique de Combattants mondiaux de la liberté, qui conduiront l’humanité dans une nouvelle ère d’espoir, de restauration et de plus de liberté que nous n’en avons jamais connue.

Soutenez la lutte pour la liberté

Bonjour,

Je m’appelle David Sorensen. Je suis l’auteur de StopWorldControl.com. Je l’offre comme une ressource gratuite pour toute l’humanité, afin de protéger notre liberté et notre avenir.

Titulaire d’une maîtrise en communication, j’ai choisi de laisser derrière moi une vie de gros sous, de servir le monde avec mes capacités.

Des appels désespérés à l’aide du monde entier inondent ma boîte aux lettres. Les gens de Chine, de Slovaquie, du Moyen-Orient, d’Amérique du Sud, etc. voient comment leur vie leur est enlevée, et la tyrannie est imposée par des gouvernements corrompus, soutenus par des médias appartenant aux criminels trillionaires.

La clé pour briser leur emprise diabolique sur l’humanité est la VÉRITÉ. Par conséquent, je veux répondre aux appels à l’aide et traduire le site Web dans autant de langues que possible, afin d’informer toute l’humanité.

C’est une tâche monumentale qui nécessite des fonds. Si vous souhaitez m’aider à me battre pour la liberté du monde, alors s’il vous plaît envisager de faire un don généreux ici. S’il vous plaît, ouvrez votre cœur et soutenez cette plate-forme unique pour la voix de la liberté.

Ensemble, nous pouvons aider à protéger l’humanité des fous avides de pouvoir et à créer un monde de liberté et de bonheur.

Références




Pourquoi lancer un mandat d’arrêt contre « le docteur de l’Amérique », Anthony Fauci ?

Par Nicole Delépine

Pourquoi la candidate au poste de gouverneur de l’Arizona veut-elle lancer un mandat d’arrêt contre Fauci, le monsieur vax américain ?

« Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit : “Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent”. Je ne l’ai jamais oublié. »

Robert Kennedy, fils de Robert et neveu du Président JFK

Mai 2022

Kari Lake, la candidate des Républicains soutenue par Donald Trump pour l’élection du Gouverneur de l’Arizona veut lancer un mandat d’arrêt contre Anthony Fauci pour avoir caché les bienfaits de l’ivermectine et de l’hydroxychloroquine !

Rappelons qu’Antony Fauci est le Mr Santé des présidents américains depuis des décennies et que ses exploits connus ont commencé avec le SIDA.

Selon le prologue du livre de R Kennedy :

« Le Dr Anthony Fauci a trôné pendant un demi-siècle en tant que commissaire à la Santé des États-Unis, se préparant à son rôle final de commandant dans la plus grande guerre de l’histoire contre une pandémie mondiale. À partir de 1968, il a occupé différentes fonctions au National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), dont il est le directeur depuis novembre 1984. Son salaire annuel de 417 608 $ fait de lui le mieux payé des quatre millions de fonctionnaires fédéraux, le président compris. L’expérience de 50 ans qu’il a acquise en tant que grand manitou d’une puissante administration fédérale, après avoir conseillé six présidents, le Pentagone, les agences de renseignement, les gouvernements étrangers et l’OMS, l’a excellemment préparé à une crise qui allait lui permettre d’exercer un pouvoir dont peu de dirigeants et aucun médecin ont pu se targuer dans l’histoire.

Au cours des premiers mois de l’épidémie, le calme, l’autorité et le côté oncle bienveillant du Dr Fauci ont été le Prozac des Américains assaillis par deux crises existentielles : la présidence Trump et la COVID-19. Les démocrates et les libéraux idéalistes du monde entier, traumatisés par le style de gouvernement chaotique du président Trump, ont trouvé du réconfort dans la présence sereine et forte du Dr Fauci sur la scène de la Maison-Blanche. Il a semblé offrir un contrepoids rationnel, franc et scientifique à la grandiloquence narcissique et agitée du président Trump. Naviguant dans des eaux dangereuses, entre un président erratique et un virus mortel, le Dr Fauci a d’abord fait figure de héros, tel l’Ulysse d’Homère menant son navire entre Scylla et Charybde.

Tournant le dos au sinistre horizon, des Américains confiants ont pris les rames et ont obéi aveuglément à ses ordres, sans se rendre compte qu’ils propulsaient notre pays vers une destination désolée où la démocratie allait mourir. Tout au long de la première année de la crise, le charisme du Dr Fauci et sa voix autoritaire ont inspiré confiance en ses prescriptions. Ils lui ont valu une affection certaine — quoique pas universelle.

De nombreux Américains, consciencieusement enfermés chez eux pour se conformer à la quarantaine imposée par le Dr Fauci, se sont consolés avec la possibilité de rejoindre un fan-club Tony Fauci, de se prélasser sur un coussin “J’aime Fauci”, de boire dans un mug “In Fauci We Trust”, de garder leurs pieds au chaud dans des chaussettes et chaussons Fauci, de s’empiffrer de donuts Fauci, d’afficher une pancarte “Klaxonnez pour le Dr Fauci” devant leur maison ou de se prosterner devant une bougie de prière Dr Fauci. Les aficionados de Fauci pouvaient choisir parmi une variété de jeux en ligne Fauci et une armée de figurines et de bubbleheadse à son effigie. Ils pouvaient même raconter son hagiographie à leur progéniture grâce à un livre pour enfant à sa gloire.

Au plus fort du confinement, Brad Pitt a rendu un hommage révérencieux au Dr Fauci lors de l’émission Saturday Night Live, et Barbara Streisand lui a envoyé un message surprise enregistré lors d’une fête d’anniversaire organisée en son honneur sur Zoom. Le New Yorker l’a surnommé “le docteur de l’Amérique”. »

Ceci ne nous étonne guère, en particulier depuis le livre choc de Robert Kennedy maintenant traduit en de nombreuses langues dont le français, disponible pour tous.

Voici quelques éléments à ce sujet, extraits de l’interview de la journaliste belge Senta Depuydt à l’occasion de la sortie du livre en France et en Belgique(([1] Disponible sur www.neosante.eu :
Le numéro 120 (mars 2022) de Néosanté, revue internationale de santé globale.

Lire la totalité de l’ITW mise en ligne gratuitement par neosanté, vu l’importance des infos et relayez, merci.
Interview Exclusive De Robert Kennedy | NéoSanté Éditions (neosante.eu)

Et KENNEDY-Fauci-Gates-BigPharma-640pages.indd (neosante.eu) prologue du livre de Robert Kennedy))

à lire en totalité sur le site de Neosanté.


« Robert F. Kennedy, Jr : Les gens qui sont au pouvoir mentent ! » Propos recueillis par Senta Depuydt(([2] Entretien effectué à l’occasion de la sortie du livre « Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma, leur guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique » (Collection Résurgence) ))(([3]Retrouvez Robert F. Kennedy, Jr. sur
www.chdeurope.org
(site européen) et www.childrenshealthdefense.org (site américain)
Senta Depuydt, journaliste indépendante, fondatrice de la branche européenne de l’association de l’avocat Robert F. Kennedy, Jr. « Children’s Health Defense Europe » et auteur d’un avant-propos pour l’édition française du livre paru aux éditions Marco Pietteur))

(…). Durant la pandémie, disons que près de 30 % de la population avait une méfiance spontanée envers les autorités et des personnalités comme Anthony Fauci ou Bill Gates. Mais il leur était quand même difficile de concevoir les motifs pour lesquels les responsables de la santé publique agiraient à l’encontre de l’intérêt des citoyens. Les Américains sont assez idéalistes, parfois naïfs. C’est pour les aider à comprendre tout cela que j’ai écrit ce livre.

Vu la somme de crimes et délits que vous documentez là, peut-on espérer des poursuites à leur encontre ?

Difficile à dire. Je pense qu’il y a un espoir que cela arrive, si la situation politique change. Si les républicains gagnent aux élections qui auront lieu à la mi-novembre et qu’ils s’emparent du Sénat, il est probable qu’ils procèdent à des auditions à partir de janvier prochain. D’ici là, je pense que les démocrates et les médias qui font leur propagande vont continuer à les protéger.(([4] Note : l’ancien président des USA et le clan Kennedy sont traditionnellement des démocrates, Robert Kennedy, Jr. s’est lamenté à de nombreuses reprises du manque d’intégrité et de respect des valeurs démocratiques qui règne parmi les membres actuels du parti.)) Mais quand on voit les chiffres, Fauci aura des comptes à rendre sur les politiques de réponse à la pandémie.Plus de 2800 décès par million d’habitants aux USA, c’est extrêmement élevé, alors qu’avec tout le budget et l’expertise dont nous disposons, nous sommes censés avoir les meilleurs résultats.

Au Nigéria, où seul 1,5 % de la population a été vaccinée, ils n’ont eu que 14 morts par million et la plupart des autres pays d’Afrique ont une moyenne qui tourne autour de 170, on ne peut même pas parler de pandémie. Pourtant, au début de la crise, Gates et Fauci multipliaient les discours alarmistes en prédisant une réelle hécatombe en Afrique. Finalement, c’est l’inverse qui s’est produit. Comment cela se fait-il ? Il va tout de même falloir l’expliquer. Personnellement, je pense que c’est en partie parce que ce sont des pays qui ont l’habitude d’utiliser des médicaments simples, efficaces et accessibles, comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine. (…)

Quid de Bill Gates ?

Bill Gates est peut-être moins présent dans les médias, mais il reste très actif en coulisses. Et comme il a le contrôle de l’OMS, il continue à pousser tous ces agendas mondialistes, les passeports vaccinaux, l’identité numérique, les politiques alimentaires.Il est extrêmement riche et puissant, très proche de la plupart des gouvernants d’Europe, mais aussi de la Chine, et il collabore étroitement avec le Forum Économique Mondial (Davos). Malheureusement, beaucoup de gens continuent à le révérer et à écouter ses recommandations, ses « prédictions ». Je crois que pour l’instant, il serait difficile de le déboulonner, c’est tout un réseau mondial qui opère avec lui.

À propos de réseau mondial, que pensez-vous de cette histoire de labos de recherche en Ukraine ? Il semble que l’on retrouve un certain nombre d’acteurs identiques dans ce partenariat avec l’Ukraine pour les « programmes de réduction de la menace biologique » ?

(…) lorsque Victoria Nuland, Secrétaire d’état aux affaires politiques et affaires étrangères, a été auditionnée sous serment par le Congrès, elle a semblé particulièrement mal à l’aise en admettant que, oui, les États-Unis financent des labos qui manipulent des souches dangereuses : l’anthrax, certains types d’herpès et même des souches de variole — ce qui est interdit — et de nombreux autres agents susceptibles de créer des pandémies. Dans ce « programme de réduction de la menace sanitaire », nous sommes en présence des mêmes acteurs qu’avec la pandémie. La firme Eco Health Alliance qui avait financé les recherches de gain de fonction des coronavirus à Wuhan avec l’aide de Fauci et Peter Daszak, et USAID qui est une couverture pour les opérations de la CIA.(([5] À ce propos il serait intéressant de rappeler que le baron Peter Piot, responsable en charge de la réponse à la pandémie à l’Union Européenne, a été un des directeurs de USAID et travaille toujours en consultance pour le département de la sécurité américain, ensemble avec son épouse Heidi Larson, directrice du Vaccine Confidence Project. Quelles sont les implications des agences de renseignement américaines dans les politiques de l’Union ?))

Rappelons qu’en 2014, Obama a interdit les recherches de gains de fonction et d’autres types de technologies servant à développer des agents biologiques mortels, jugeant que c’était trop dangereux pour la population humaine. Car cette année-là, des souches dangereuses s’étaient échappées de laboratoires à trois reprises différentes.Fauci et ses acolytes avaient donc reçu l’ordre de mettre fin à 18 expériences de ce type, mais au lieu d’obéir, ils ont poursuivi leurs expériences à l’étranger par l’intermédiaire d’un scientifique nommé Peter Daszak, en créant Eco Health Alliance.Rien qu’à Wuhan ils avaient investi plus de 100 millions de dollars. (…)

IL FAUT ABSOLUMENT QUE LE PUBLIC COMPRENNE QU’IL EST MANIPULÉ PAR DE LA PROPAGANDE. BIG PHARMA CONTRÔLE LA SANTÉ PUBLIQUE, LE COMPLEXE MILITARO-INDUSTRIEL OPÈRE VIA LA CIA ET CONTRÔLE AUSSI LE PENTAGONE. TOUTES CES INSTITUTIONS SONT DETOURNÉES ET NE SONT PLUS AU SERVICE DE LA NATION.

Malheureusement l’Europe semble être sous la même influence. Quel que soit le domaine, on y voit les mêmes experts répétant les mêmes mensonges à l’unisson, peu importe la réalité.

Tout récemment par exemple, un de nos « Fauci » locaux a prétendu que la réponse à la pandémie avait été exemplaire, en donnant pour preuve le fait qu’aux USA les états « rouges » (républicains) avaient eu des résultats désastreux, alors que les états « bleus » (démocrates) s’en étaient mieux sortis, grâce à l’application de mesures draconiennes.

C’est exactement l’inverse ! Il y a même eu un article dans le New York Times qui l’a confirmé : le confinement, les masques, la distanciation sociale, tout cela n’a eu aucun impact sur la circulation de l’épidémie. De manière générale les états qui ont eu une politique plus souple s’en sont mieux sortis, parce qu’ils ont limité les dommages collatéraux provoqués par ces mesures. L’impact sur les enfants, sur la vie des gens, l’impact économique sur les petites et moyennes entreprises, tout cela a été dramatique.

En revanche, cela a permis à ceux qui ont imposé et soutenu ces restrictions (par ex. les GAFA) de s’enrichir d’une manière odieuse. Environ 3,1 trillions de dollars sont partis de la poche des familles américaines vers les méga-corporations et en réalité, c’était une gigantesque opération de racket qui a profité à cette nouvelle caste de milliardaires. Mark Zuckerberg, Jeff Bezos, Sergei Brin, Bill Gates ont censuré toutes les infos critiques sur les politiques sanitaires.

Il ne faut pas oublier de se demander « à qui profite le crime » ? Cui bono ? Le public a constamment été manipulé… d’abord avec la pandémie, aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et avant cela en Irak, etc.(…). Tout semble être fait pour poursuivre un agenda global, peu importe les faits ou les données sur lesquelles l’on se base, et pourtant la plupart des gens l’acceptent.

Malheureusement, c’est le résultat du contrôle par la peur. Tant qu’ils sont dominés par la peur, ils se retranchent dans cette sorte de mécanisme de survie, proche de ce que l’on appelle le syndrome de Stockholm, où les victimes d’enlèvements se mettent à aimer ceux qui les ont kidnappés et se convertissent à leur foi ou leur idéologie, devenant même des fanatiques.

Comment faire pour résister à de tels pouvoirs ? Vous avez souvent dit « la seule barrière qu’il y a entre des prédateurs comme Big Pharma et les enfants, c’est leur mère ».

(…)Malheureusement, il y a un effort considérable pour attaquer ce dernier rempart, par le vote d’une série de lois visant à éliminer l’autorité parentale. Par exemple aux États-Unis, de nombreux états accordent à l’enfant la faculté de consentir seul à la vaccination, allant même jusqu’à interdire aux écoles et aux compagnies d’assurance d’en informer les parents.

Que faut-il faire ? Comment des organisations comme la nôtre, peuvent-elles apporter leur soutien à ces familles ?

Martin Luther King disait qu’il fallait déployer un arsenal d’actions : militer, aller en justice, changer les lois et éduquer et moi j’y ajouterai aussi innover.

(…) Chacun doit avoir le courage d’un guerrier et mener les actions qui sont à sa portée, exploiter toutes les failles du système. C’est la somme de tous ces efforts individuels, ces ripostes sur tous les fronts, qui peut faire la différence. Il faut mener une sorte de guérilla.Ce n’est pas la première fois que la démocratie est sous attaque, on finit par la restaurer, souvent avec des changements positifs à la clé. Mais il est vrai qu’aujourd’hui, la puissance des technologies de surveillance et de contrôle est au-delà de tout ce que l’on a jamais pu connaître dans l’histoire et c’est un vrai défi. Il est essentiel que la résistance citoyenne se développe plus rapidement que la mise en place de ces instruments de contrôle totalitaire.

Il faut d’abord que l’industrie pharmaceutique paye pour ses crimes. Je pense par exemple à la crise des opioïdes, où tant de gosses sont morts d’overdose, parce que la firme Purdue a véritablement poussé à la consommation de ces médicaments dangereux (l’Oxycotin). Il faut voir la mini-série Dopesick qui revient sur toute cette horreur et c’est la même chose qui se passe avec les vaccins. On pousse à la consommation en cachant les effets secondaires. On ne peut pas faire confiance à ces entreprises.

Nous avons une grave épidémie d’autisme. Pourquoi sommes-nous passés d’un enfant sur 10 000 à 1 enfant sur 44 aux États-Unis ?Pourquoi y a-t-il une épidémie d’allergies alimentaires et d’eczéma, et une explosion du nombre de maladies chroniques, comme le diabète juvénile, le lupus, l’arthrite rhumatoïde, les maladies de Crohn, le syndrome de Guillain Barré ?Les gènes ne peuvent expliquer ces épidémies, cela ne peut être attribué qu’à une toxicité de l’environnement ou de certains produits. D’ailleurs c’est pour cela que nous sommes aussi très actifs sur des questions comme les dangers liés à la 5G, aux pesticides (Kennedy et le bureau d’avocats Michael Baum ont gagné le procès contre le Roundup et Monsanto en 2018 NDLR), la qualité des aliments pour bébé, enfin toutes sortes de pollutions. Donc oui, clairement, le rôle numéro un de la santé publique, c’est d’identifier tous ces facteurs et de les éliminer.Toute cette focalisation sur les maladies infectieuses, n’est qu’une manière de sortir de l’argent. (…)

IL FAUT VRAIMENT QUE LES GENS COMPRENNENT QUE LA PANDÉMIE EST UN ACTE DE GUERRE MONDIALE, UN COUP D’ÉTAT CONTRE LA DÉMOCRATIE. LA RÉPONSE À LA PANDÉMIE N’A JAMAIS ÉTÉ MÉDICALE, ELLE A ÉTÉ D’ORDRE MONÉTAIRE ET MILITAIRE.

Tout le monde doit prendre ses responsabilités et défendre la démocratie. Il faut lutter contre la propagande que l’on nous inflige, et pour cela il est essentiel de développer la pensée critique chez nos enfants.

Quand j’étais enfant, mon père m’a pris à part et m’a dit :

« Tu sais Bobby, les gens qui sont au pouvoir mentent ».

Je ne l’ai jamais oublié.


La candidate américaine de l’ARIZONA focalise ses reproches gravissimes contre Fauci sur son interdiction des traitements peu coûteux comme l’ivermectine.

Médicaments qui pourtant guérissent les patients atteints de covid particulièrement si prescrits tôt dans l’évolution de la maladie. Nous avons connu les mêmes errements en France dont les autorités refusent systématiquement depuis le début de la crise covid tous les médicaments susceptibles de guérir les malades en commençant par l’hydroxychloroquine conseillée par le PR Raoult.

Et cela continue actuellement en même temps que le gouvernement donne l’AMM sans limitation au Paxlovid de Pfizer, d’efficacité très discutée de même que ses effets indésirables…(([6] Un message DGS-Urgent daté du 5 mai confirme l’entrée dans le droit commun du Paxlovid, jusqu’à présent mis à disposition dans le cadre d’une autorisation d’accès précoce. De ce fait, ses modalités de prescriptions s’allègent.

Paxlovid est composé de deux molécules. La molécule PF-07321332 est l’agent actif qui empêche à la protéine du virus de se répliquer. La molécule de ritonavir, un inhibiteur de la protéase.)) en ce 5 mai 2022.

Les autorités françaises nient l’efficacité démontrée de ces vieux médicaments et poursuivent les médecins qui les utilisent et osent guérir leurs patients. Hippocrate est torturé jusque dans sa tombe.

Le Bamlanivimab médicament très cher et sans efficacité prouvée(([7] anticorps monoclonal bamlanivimab (Lilly/AbCellera) ))

Déjà en 2021 Emmanuel Macron a fait autoriser la prescription d’un médicament « innovant » distribué par Lily à plus de 1 000 euros la cure.

Appelé Bamlanivimab, il n’a pas passé la phase 2 des expérimentations. Les tests préliminaires ne montrent pas d’efficacité probante… De plus, il fait partie des médicaments susceptibles de favoriser l’apparition de nouveaux variants.(([8] https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/anticorps-monoclonaux-imbroglio-autour-d-un-medicament-risque-mais-pousse-par-l-etat_2145966.html mars 2021))

Aucune raison scientifique d’accorder une « autorisation temporaire d’utilisation » à ce médicament. POURTANT

« Une autorisation temporaire d’utilisation délivrée sur un niveau de preuve aussi faible, c’est probablement du jamais-vu », a déclaré le Pr Mathieu Molimard, chef de service de pharmacologie clinique au CHU de Bordeaux.

Alors pourquoi : derrière ce médicament un Big Pharma au lobbying puissant, le laboratoire Eli Lilly.

Parmi les directeurs du laboratoire Eli Lilly, on trouve Béatrice Cazeneuve :

  • Son mari, Jean-René Cazeneuve, est député LREM, le parti d’Emmanuel Macron ;
  • Son fils, Pierre Cazeneuve, est conseiller technique à l’Élysée ;
  • Sa fille, Marguerite Cazeneuve, était cheffe du pôle santé, solidarités et protection sociale auprès du Premier ministre Jean Castex.

Comme cela a été résumé sur twitter :

(([9] https://www.liberation.fr/checknews/traitement-contre-le-covid-19-y-a-t-il-un-conflit-dinteret-entre-le-labo-lilly-et-certains-conseillers-du-gouvernement-20210302_2YJH2PU7XFHQNBBUS5YOYGPEAI/))

Le scandale Ivermectine

Depuis plus d’une année, les articles cachés par les médias officiels se multiplient pour dénoncer le blackout sur l’ivermectine après celui sur l’hydroxychloroquine et même sur la vitamine D.

Citons par exemple :

Big Pharma est en train d’enterrer méthodiquement la très efficace ivermectine — Xavier Bazin (xavier-bazin.fr)

Ce sont les mêmes autorités qui ont autorisé le Remdesevir, le Paxlovid et le Molnupiravir, mais bloquent un traitement ancien, non toxique pas cher et qui sauve des vies.

Et « en même temps », le gouvernement refuse l’efficace ivermectine à 8 euros !

L’ivermectine n’a toujours pas reçu de « recommandation temporaire d’utilisation » (RTU), remède d’efficacité majeure contre le Covid-19.

Des médecins du monde entier se sont élevés pour recommander ce traitement salvateur :

  • L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, qui a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [5] ;
  • Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, qui vient de publier un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [6] ;
  • Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation Mondiale de la Santé, qui a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 %
  • Au Japon, l’association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament

En France, le Dr Gérard Maudrux a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine(([10] Le traitement du Covid existe : Ivermectine, efficace à 100 % ? par le Dr Gérard Maudrux — Le Libre Penseur)), s’exprime en janvier 21 et envoie en avril 21 une lettre à Emmanuel Macron(([11] Ivermectine vs Doliprane : le Dr Gérard Maudrux s’exprime dans une lettre à Emmanuel Macron – Le Libre Penseur)). En mai, il interroge officiellement le médecin Olivier Veran sur son refus de guérir les malades du Covid avec l’Ivermectine.(([12] https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/le-medecin-gerard-maudrux-89530 ))

L’article reprend le recours, signé par 1500 médecins, et l’exposé des motifs édité sur son blog :

https://www.covid-factuel.fr/2021/05/12/ivermectine-recours-gracieux-aupres-du-ministre/(([13] « Contrairement à ce que dit l’ANSM, les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : “La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine a été associée à une réduction de 73 % de l’infection par le SRAS-CoV-2 chez les travailleurs de la santé pour le mois suivant. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie”. L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : “ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles”. »
Or, aucune étude au monde n’est négative en ce qui concerne la prophylaxie, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.))

Il détaille efficacité tant en prophylaxie qu’en curatif et son innocuité. L’Ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu comme » sans danger pouvant être utilisé à grande échelle » par l’OMS.

À titre de comparaison, Vigibase recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine, contre 3 695 décès et 161 147 effets indésirables pour le Doliprane.

Plusieurs États dans le monde ont déjà autorisé massivement ce traitement, avec d’excellents résultats :

  • L’État indien Uttar Pradesh a distribué un « kit » anti-Covid-19 à base d’ivermectine et de zinc ;
  • Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer l’épidémie et la mortalité de façon magistrale avec l’ivermectine ;
  • Tout récemment, la Slovaquie et la République tchèque ont approuvé ce traitement.

À l’Assemblée nationale, Olivier Véran s’est cru permis de tenter de ridiculiser la députée Martine Wonner qui l’avait interpellé sur l’ivermectine. Qui était le plus ridicule ?

Olivier Véran a répondu par la moquerie, en invoquant des remèdes à l’eau de javel, en référence à Trump ! Combien de temps allons-nous tolérer l’inversion des valeurs médicales et humaines dans ce pays ?

Points communs entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine :

  • vieux médicaments connus de longue date, figurant sur la liste des médicaments essentiels de l’OMS et déjà utilisés par des centaines de millions de personnes à travers le monde
  • Ils font partie des médicaments les plus sûrs qui existent, raison pour laquelle ils sont donnés en prévention (pas seulement en traitement), y compris à des enfants et personnes âgées — dans certains pays, en vente libre, sans ordonnance
  • Ils coûtent moins de 10 euros la boîte, car ce sont des médicaments génériques aucun laboratoire pharmaceutique ne peut donc faire de profits importants avec ces molécules ;
  • Contrairement aux médicaments à 2 000 euros comme le remdésivir et le bamlanivimab, qui sont des médicaments expérimentaux devant être prescrits à l’hôpital, donc une fois que l’état du patient s’est détérioré, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine peuvent être données à domicile par des médecins généralistes dès les premiers symptômes :
  • L’ivermectine est encore plus sûre que l’hydroxychloroquine

L’hydroxychloroquine est très sûre aux doses normales, mais peut être dangereuse en cas de surdosage… ce qui n’est pas le cas de l’ivermectine : avec ce médicament, on n’a même pas décelé d’effet indésirable à 10 fois la dose habituelle !

  • L’ivermectine est nettement plus efficace que l’hydroxychloroquine

l’hydroxychloroquine est efficace contre la Covid-19, surtout quand elle est donnée précocement : conclusion de plus de 200 études scientifiques réalisées dans le monde, sans même parler des excellents résultats du Pr Raoult à Marseille.

Mais cette efficacité n’est pas parfaite : elle est peut-être de 50 % en prévention, et entre 10 et 50 % en traitement précoce et à l’hôpital avec l’ivermectine, les résultats sont beaucoup plus spectaculaires :

  • En prévention, l’ivermectine marche mieux que le meilleur des vaccins (et sur n’importe quel variant du virus), avec une réduction de plus de 90 % du risque d’infection
  • En traitement, l’ivermectine permet une réduction de la mortalité qui pourrait aller jusqu’à 75 %

C’est la conclusion de méta-analyses réalisées sur la question, celle du Dr Andrew Hill comme celle du Dr Pierre Kory.

Quelques articles de presse médiastream concèdent cet effet spectaculaire sur la mortalité, dans le Financial Times : « un antiparasitaire bon marché pourrait réduire le risque de mort de la Covid-19 jusqu’à 75 %) »

Ou dans le Daily Mail.

Mais lire aussi Mathilde Debord | 09 mars 2022 : Ivermectine : de la DARPA à Buckingham, jusqu’où ira le scandale ?(([14] Ivermectine, le scandale de l’après-COVID ? | Le Point critique))

James O’Keefe affirme avoir obtenu des documents surprenants concernant les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça

Projet Veritas, la FDA et Pfizer

« Le 10 janvier 2022, le rédacteur en chef du Projet Veritas, James O’Keefe, affirme avoir obtenu “des documents surprenants et inédits concernant les origines du COVID-19, la recherche sur le gain de fonction, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout ça”.

Pour information, Projet Veritas est une organisation composée de journalistes regroupés autour d’un projet commun : “enquêter et dénoncer la corruption, la malhonnêteté, les délits d’initié, le gaspillage, la fraude et autres inconduites dans les institutions publiques et privées afin de parvenir à une société plus éthique et transparente” (LinkedIn). Ce mot d’ordre peut faire sourire, mais le talent des journalistes du Projet Veritas est de parvenir à obtenir des documents accablants pour les personnes qu’ils incriminent, sans que leurs accusations ne soient jamais contredites par la justice ».

Military Documents About Gain of Function Contradict Fauci Testimony Under Oath | Project Veritas

Et encore Anthony Fauci

Au-delà des révélations concernant le financement par le directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), Anthony Fauci, d’études de gain de fonction conduites dans le laboratoire P4 de Wuhan, c’est la mise au jour d’un document explosif qui inquiète aujourd’hui l’administration américaine.

« L’efficacité de l’ivermectine et l’hydroxychloroquine est connue des autorités depuis avril 2020 et elle est cohérente avec la manière dont le virus a été modifié »(([15] « Bon nombre des premiers protocoles de traitement ignorés par les autorités fonctionnent parce qu’ils inhibent la réplication virale ou modulent la réponse immunitaire aux protéines de pointe, ce qui est logique dans le contexte créé par EcoHealth. Certains de ces protocoles de traitement inhibent également l’action de la protéine de pointe du moteur. Par exemple, l’ivermectine (identifiée comme curative en avril 2020) agit à toutes les phases de la maladie, car elle inhibe à la fois la réplication virale et module la réponse immunitaire. Il convient de noter que le phosphate de chloroquine (hydroxychloroquine, identifiée en avril 2020 comme curative) est identifié dans le protocole comme un inhibiteur du SRASr-CoV, tout comme l’interféron (identifié en mai 2020 comme curatif). »

Rapport DARPA))

LES « BONS CONSEILS » DE MCKINSEY À OLIVIER VERAN

« Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?

Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le
gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en “négligence délibérée” le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée »(([16] Olivier Véran, marionnette de McKinsey ? — Le Point Critique))

Au-delà de la polémique sur la guérison de la reine Elisabeth II qui serait due à l’Ivermectine après son infection malgré ses 4 injections anticovid, (mais qu’il ne faut surtout pas ébruiter), informons nos lecteurs qu’il existe maintenant un arsenal thérapeutique large !

L’arsenal thérapeutique contre le COVID-19 compte à ce jour 511 traitements potentiels, dont 30 précoces approuvés par 70 pays, adossés à 1 479 études(([17] https://lepointcritique.fr/2022/03/09/ivermectine-de-la-darpa-a-buckingham-jusquou-ira-le-scandale)) recensées dans la base de données
https://c19early.com/.

Le magazine Nexus a publié un dossier complet sur le sort qui a été réservé à l’ivermectine sous la houlette d’Olivier Véran. Le titre du numéro est un clin d’œil à la décision du ministre d’en censurer l’accès malgré les preuves accablantes de son efficacité.

Dossier « Ivermectine : présumé inefficace ? » (Nexus, numéro de mars 2022)(([18] Le site c19ivermectin.com recense 148 études comparant l’ivermectine à d’autres traitements. Elles ont porté au total sur 85 767 patients.))

Le journaliste Jean-Loup Izambert répond le 3 mai 2022 à Kairos :
Le scandale de l’Ivermectine — interview de Jean-Loup Izambert — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





L’utilisation du paracétamol dans le COVID : une erreur/obstination préjudiciable pour la santé?

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : « Doliprane et restez chez vous » ! © MYCHELE DANIAU / AFP/Archives]

Auteur(s): Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, pour FranceSoir

Dr Jean-François Lesgards et Julien Eard, dans cette tribune, analysent la politique du « paracétamol et restez chez vous » utilisée à l’envi pendant la crise sanitaire, qu’ils jugent « contreproductive en termes de santé comme en termes de coût ». Pour cela, ils traitent dans une première partie de l’historique du médicament depuis le début de la crise, en soulignant notamment les désaccords entre le gouvernement et les autorités sanitaires. Puis, ils analysent les effets néfastes du Doliprane, notamment dans le cadre du traitement contre le Covid-19.

TRIBUNE — Historique 2020-2022 de l’utilisation et des recommandations concernant l’usage du paracétamol et de l’ibuprofène/anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).

Le ministre de la Santé, Oliver Véran, a tweeté le samedi 14 mars 2020 que les personnes suspectées de Covid-19 devraient éviter les anti-inflammatoires. « La prise d’anti-inflammatoires (ibuprofène, cortisone…) pourrait être un facteur aggravant de l’infection. Si vous avez de la fièvre, prenez du paracétamol », a-t-il dit. (BMJ, 2020)

À l’opposé, quatre jours plus tard, le 18 mars 2020, l’EMA publiait un communiqué remettant en cause ce tweet :

« Il n’existe actuellement aucune preuve scientifique établissant un lien entre l’ibuprofène et l’aggravation de la COVID‑19. L’EMA suit la situation de près et examinera toute nouvelle information disponible à ce sujet dans le contexte de la pandémie. »

Elle recommande donc les deux :

« Lors du début d’un traitement contre la fièvre ou la douleur dans le COVID-19, les patients et les professionnels de la santé doivent envisager toutes les options de traitement disponibles, y compris le paracétamol et les AINS. ».

De plus, le 19 avril, l’OMS publiait un rapport scientifique avec 13 références sur la base de 73 études, dont la conclusion était :

« À l’heure actuelle, il n’y a aucune preuve d’événements indésirables graves, d’utilisation des soins de santé aigus, de survie à long terme ou de qualité de vie chez les patients atteints de COVID-19, à la suite de l’utilisation d’AINS. ».

Aux États-Unis, la FDA de son côté, le 19 mars 2020, écrit qu’elle « a pris connaissance d’articles de presse indiquant que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), tels que l’ibuprofène, pourrait aggraver la maladie à coronavirus (COVID-19). Ces reportages médiatiques faisaient suite à une lettre du 11 mars 2020 dans la revue médicale The Lancet, qui émettait l’hypothèse qu’une enzyme (protéine qui facilite une réaction biochimique dans le corps) est augmentée par les AINS et pourrait aggraver les symptômes de la COVID-19. » L’agence ajoute qu’« à l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

C’est donc une simple phrase sans référence scientifique (« ACE2 peut également être augmenté par les thiazolidinediones et l’ibuprofène »), dans l’étude du Lancet du 11 mars, qui traite du COVID et des diabétiques (Fang L et al., 2020), qui estutilisée par Olivier Véran pour justifier des recommandations en faveur exclusivement du Paracétamol/Acétaminophène (Doliprane). Ce tweet, sans aucune recherche approfondie et sur la base d’une hypothèse, exclut l’utilisation de l’ibuprofène et des AINS. Et ceci est toujours d’actualité alors que, comme on l’a vu, quelques jours plus tard, les grandes agences de santé envoient des recommandations différentes.

Le 16 mars, l’auteur principal de l’article du Lancet, le Dr Michael Roth, directeur d’un groupe de recherche au Département de biomédecine de l’Université et de l’Hôpital universitaire de Bâle, commente alors l’article et sa phrase relative à l’ibuprofene, probablement en réaction au tweet du ministre, puisque c’est avant les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA : « Ce soupçon, qui a été expressément formulé comme une hypothèse, s’adresse aux scientifiques en vue d’une enquête plus approfondie fondée sur des données supplémentaires sur les patients. Cela ne constitue pas une recommandation d’utiliser ou non certains médicaments. Les patients doivent toujours suivre les instructions données par leur médecin », déclare-t-il.

Le site de l’Université de Bâle poursuit :

« En soi, l’enzyme ACE2 est une protéine très précieuse qui favorise la régénération des tissus. Des études antérieures ont montré que les inhibiteurs de l’ACE et les bloqueurs des récepteurs de l’angiotensine entraînent une formation accrue d’ACE2. Malheureusement, le coronavirus SARS-CoV-2 se lie à cette protéine et l’utilise pour pénétrer dans les cellules, où il se multiplie. »

Et selon le professeur Michael Roth, des relations similaires ont été décrites suite à la pandémie de SARS de 2002-2003. 

Le site continue :

« Certains patients souffrant de maladies cardiaques, d’hypertension ou de diabète sont en effet traités avec des médicaments qui augmentent la quantité d’ACE2. »

Et, le Dr Roth conclut :

« Pour cette raison, nous suggérons de poursuivre les recherches sur l’utilisation de ces médicaments chez les patients atteints de COVID-19 ».

En effet, comme on le sait déjà, la protéine ACE2, tout en étant le récepteur du virus SARS-CoV-2 joue un rôle très bénéfique dans la santé sur l’équilibre de la tension artérielle (système rénine-angiotensine), de l’inflammation et dans beaucoup d’aspects positifs dans la COVID, qui est une pathologie inflammatoire. Ainsi, se fonder sur une hypothèse ne privilégiant qu’un aspect simpliste de la question complexe de la maladie COVID et en faire une recommandation générale à ce moment de la pandémie, est un raccourci scientifique hasardeux aux conséquences potentiellement importantes. Depuis, des études ont montré que le paracétamol, comme l’ibuprofène, n’augmentait pas les niveaux d’ACE2 et que l’ibuprofène avait même une activité antivirale in vitro (de Bruin N et al., 2022).

Les recommandations de l’EMA, de l’OMS et de la FDA sont prises en compte dans de nombreux pays comme au Royaume-Uni, où ce changement a été acté au contraire de la France, dès le 17 avril : les agences britanniques des médicaments ont changé leurs conseils sur l’ibuprofène pour dire que le médicament pouvait être utilisé pour traiter les patients présentant des symptômes de Covid-19, même si les preuves qui ont motivé la révision n’ont pas été rendues publiques (Torjesen I, 2020). Le changement fait suite à un examen par le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments à usage humain (CMH) sur le Covid-19 ainsi que des examens antérieurs des preuves, qui a conclu qu’il n’y avait actuellement pas suffisamment de preuves pour établir un lien entre l’utilisation de l’ibuprofène ou d’autres médicaments inflammatoires non stéroïdiens (AINS), et le fait de contracter ou d’aggraver la Covid-19 (Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency, 2020). L’examen du groupe n’a pas été publié, mais a incité l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), le NHS England et le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) à mettre à jour leurs conseils pour déclarer que les patients pouvaient prendre du paracétamol ou de l’ibuprofène contre les symptômes de la Covid-19, comme la fièvre et les maux de tête (Powis S, 2020).

Il semble qu’Olivier Véran ait aussi été influencé par des médecins français ayant alerté sur la toxicité des anti-inflammatoires « type ibuprofène », qui ont participé à un reportage pour le journal 20Minutes, dont voici un paragraphe très négatif sur l’utilisation de l’ibuprofène (Bosredon, 2020) :

Tous les patients en réanimation avaient pris des anti-inflammatoires

À Bordeaux, on confirme que les cas graves de Covid-19, ne touchent pas que les personnes âgées : les quatre premiers patients admis sont tous jeunes, l’un ayant même seulement 26 ans. » « Nous avons une population différente de celle décrite par nos collègues chinois », confirme le Dr Benjamin Clouzeau (anesthésiste-réanimateur au CHU de Bordeaux). « Mais nos malades ont tous le même profil, et j’insiste là-dessus : ils ont tous pris des anti-inflammatoires type ibuprofène, pour traiter les symptômes de fébrilité. Il faut bannir cela. »

Le 27 mars 2020, seulement quelques jours plus tard, le Dr FitzGerald GA réagit dans le journal Science (FitzGerald GA, 2020) en accusant Olivier Véran de semer la confusion en ce début de pandémie :

« Alors que la pandémie de maladie à coronavirus 2019 COVID-19 continue de s’accélérer, le ministre français de la Santé, Olivier Véran, a semé la confusion en affirmant sur Twitter que des anti-inflammatoires comme l’ibuprofène ou la cortisone pourraient aggraver l’infection. Cependant, les preuves scientifiques n’indiquent pas que la consommation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) met les patients à risque d’une maladie plus grave, alors qu’ils pourraient autrement avoir une infection légère ou asymptomatique par le syndrome respiratoire aigu sévère du coronavirus (SARS-CoV-2). Les personnes qui prennent des AINS pour d’autres raisons ne doivent pas arrêter de le faire de peur d’augmenter leur risque de COVID-19. »

Ceci a été repris dans le journal le Guardian (Willsher K, 2020).

Beaucoup de scientifiques ont donc réagi au tweet d’Olivier Véran. On rappelle aussi les mots prudents de la FDA :

« À l’heure actuelle, la FDA n’a pas connaissance de preuves scientifiques reliant l’utilisation d’AINS, comme l’ibuprofène, à l’aggravation des symptômes de la COVID-19. L’agence étudie cette question plus avant et communiquera publiquement lorsque plus d’informations seront disponibles. »

Ce tweet un peu rapide n’est pas sans rappeler un autre cas lié au Lancet, sur une autre molécule et avec la même rapidité. Le même Lancet qui publiait en 2021 une étude disant :

« L’utilisation d’AINS n’est pas associée à une mortalité plus élevée ou à une gravité accrue de la COVID-19 (Drake TM et al., 2021). Les décideurs politiques devraient envisager de revoir les conseils émis concernant la prescription d’AINS et la gravité de la COVID-19. »

On parle ici d’une étude réalisée entre le 17 janvier et le 10 août 2020, sur 78 674 patients dans 255 établissements de santé en Angleterre, Écosse et Pays de Galles. Cet article rappelle aussi les propriétés anti-inflammatoires observées pour l’ibuprofène contre des vecteurs de l’inflammation (cytokines impliquées dans le fameux orage inflammatoire) dans la COVID en particulier l’IL-6, mais nous y reviendrons. Autre étude du Lancet (Rheumatology) :

« Au début de la pandémie de COVID-19, les médias craignaient que l’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), en particulier l’ibuprofène, ne puisse exacerber les symptômes de la COVID-19. Ces inquiétudes, basées sur des données non publiées, ont conduit à déconseiller l’utilisation des AINS. »

Et en conclusion :

« La présente étude complète plusieurs études antérieures études d’observation, dont la plupart ont soutenu l’absence d’association entre l’utilisation d’AINS et la COVID-19 gravité. En fin de compte, sur la base des connaissances actuelles, les cliniciens ne doivent pas s’abstenir ou interrompre les AINS chez les patients atteints de COVID-19 si un traitement par AINS est indiqué » (Kragholm K  et al., 2021). »

Ces résultats sont corroborés par de nombreuses autres publications depuis 2020 (Bruce E et al. 2020), dont une méta-analyse d’une équipe française qui aurait pu intéresser nos responsables (Moore N et al., 2020) (Kelleni MT, 2020) (Kelleni MT, 2021). De plus, deux études ont révélé que lorsque l’ibuprofène ou les AINS étaient utilisés seuls chez des patients atteints de COVID-19, il n’y avait aucun décès, contre 3 ou 4 % avec le paracétamol utilisé seul (Rinott E et al., 2020) (Jeong HE et al., 2020).

Hélas, en France, on ne voit pas de changement au tout-paracétamol. Et même opportunément, un rapport de l’ANSM publié le 18/04/2019 et remis à jour le 20/05/2020, intitulé « Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et complications infectieuses graves » vient en soutien aux recommandations gouvernementales pour recommander de ne pas prendre d’ibuprofène, mais plutôt du paracétamol, dans les complications infectieuses graves notamment dans un contexte de varicelle et de pneumonie.

Le problème plus grave est qu’avec le temps, les preuves scientifiques ne vont cesser de s’accumuler en faveur des AINS, dont l’ibuprofène, médicaments génériques, et au contraire en défaveur du médicament de Sanofi, mais sans aucun changement de cap des responsables politiques de la santé en France. On peut regretter aussi l’absence de mise au point de la part du conseil scientifique, qui aurait pu intervenir et même anticiper les risques de toxicité du paracétamol dans le cadre de la COVID-19 au regard du rôle crucial de l’inflammation dans la pathologie de la COVID : on rappelle que le Doliprane n’est pas anti-inflammatoire et qu’il est pro-oxydant, au contraire de l’ibuprofène et des AINS.

L’ANSM rapporte que « La dispensation d’ibuprofène a été quasiment arrêtée à la suite des messages des autorités sanitaires, tandis que la délivrance sur ordonnance de paracétamol a atteint jusqu’à 1 million de patients par jour (pic le 16 mars). » (ANSM, 2020)

Malgré les arguments scientifiques connus et entérinés depuis fin mars 2020 par les plus grandes agences mondiales de la santé, on peut lire encore en juillet 202, en France, les affirmations suivantes de l’HAS adressé à Jérôme Salomon, Directeur Général de la Santé :

Encore répété par la HAS, le 11mars 2022 :

Ou encore sur la page actuelle du site du ministère de la Santé :

Le journal Le Point avait aussi honnêtement rectifié en 2021:

Le gouvernement français a donc choisi de privilégier uniquement le paracétamol dans le cadre de la COVID, tout en refusant systématiquement aux Français différents traitements ambulatoires précoces et en faisant même pression sur les médecins. Il les a notamment empêchés de prescrire l’azithromycine, un traitement qui, en association avec le zinc, a pourtant fait ses preuves, comme une multitude de médecins et patients peuvent en témoigner. Quid de l’aspirine, qui en plus est anticoagulante ?

Questions sur la sécurité du Paracétamol à travers quelques études cliniques rétrospectives

Alors, une question jamais évoquée se pose étant donné cette politique à sens unique concernant le Doliprane. C’était particulièrement prégnant en 2020, mais hélas encore d’actualité, même si de nombreux médecins et personnes éclairées l’ont abandonné : à quel moment a-t-on validé que le paracétamol (Doliprane) était vraiment sécurisé pour la santé, en particulier dans la pathologie de la COVID ? Le Doliprane est-il un médicament anodin comme le pensent beaucoup de Français ?

La réalité est qu’aucune étude observationnelle ni randomisée (les fameuses RCT) n’a été réalisée sur ce médicament. D’autres chercheurs alertent sur ce sujet, dont l’auteur d’un travail sur la base de 2 356 articles scientifiques, et de déclarations individuelles d’effets indésirables du paracétamol dans la pharmacovigilance internationale, base de données VigiBase (Romanov BK , 2021). L’auteur note également qu’aucune revue systématique n’existe, d’articles et d’essais cliniques sur la question de la sécurité du paracétamol utilisé dans le cadre du COVID-19. En comparant les années 2018/2019 et 2021/2021, cet auteur observe que des effets indésirables graves pour le paracétamol ont été plus fréquents dans la période COVID (35,4 %) que dans la période pré-COVID (28,2 %), du 1er janvier 2020 au 31 juillet 2021 (Romanov BK, 2021). La fréquence relative de tous les décès, dans les cas des événements indésirables graves, ont également augmenté dans la période COVID (de 8,9 à 14,3 %).

On en est donc réduits à tenter d’analyser des données à travers des analyses statistiques rétrospectives sur des études existantes. Ainsi, une analyse multivariée sur une cohorte de 524 patients a montré que les patients exposés au paracétamol avaient une probabilité significativement plus élevée d’être dirigés vers des unités de soins dans le groupe d’exposition modérée (100-1000 mg/day, nb de sujet : 256) et fortement exposés (>1000 mg/day ; nb de sujets : 132) que le groupe témoin n’ayant pas reçu de paracétamol (nb de sujets : 136) (Manjani L et al., 1021). La durée de séjour en unité de soins était aussi plus longue (5 vs 10 jours, p < 0,001) et les deux groupes qui ont pris du paracétamol ont aussi eu une mortalité plus élevée : 5,1 % en plus pour le groupe avec prise modérée et 16,5 % en plus (p = 0,001) pour le groupe avec prise supérieure à 1 g/j en comparaison du groupe sans paracétamol. Ils notent aussi un risque plus élevé de nécessiter une assistance respiratoire (2,9 % vs 15,5 % p < 0,001) dans les groupes exposés modérément ou fortement exposés. Cela laisse entendre que le Doliprane pourrait aggraver la maladie de la COVID et augmenter les chances d’hospitalisations, voire de décès.

Une étude observationnelle rétrospective est particulièrement intéressante : dans le groupe dit de contrôle, 45 patients sur 77 (58,44 %) ont reçu du paracétamol comme traitement à domicile, alors que dans le groupe suivant un protocole recommandé, utilisant en particulier des anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase (Suter F et al., 2020), seuls 6 sur 86 (6,98 %) utilisaient le paracétamol comme thérapie principale (Suter Fet al., 2021). Le taux d’hospitalisation fut de 1,2 % pour les patients suivant le protocole recommandé et 13,1 % (p = .007) pour les patients utilisant majoritairement du paracétamol, soit 44 jours cumulés d’hospitalisation (groupe protocole recommandé) contre 481 (groupe paracétamol). En plus d’une hospitalisation presque 11 fois supérieure dans le groupe Doliprane, il en découle des frais cumulés d’hospitalisation 10 fois plus élevés finalement : 296 243 euros pour le groupe Doliprane vs 28 355 euros pour le groupe anti-inflammatoires inhibiteurs de la cyclooxygénase. À noter que 9,2 % du groupe Doliprane a pris des corticoïdes vs 30 % avec le protocole recommandé.

La politique du « Doliprane et restez chez vous » est donc contreproductive en termes de santé comme en termes de coût : 11 fois moins efficace pour l’hospitalisation et 10 fois plus cher pour le contribuable :

Légende : Jours d’hospitalisation cumulés et coûts associés dans les deux groupes étidiés
Panneau A : Jours d’hospitalisation cumulés dans la cohorte de traitement recommandé (recommended cohort) et dans le groupe Paracétmol (control cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)
Panneau B : Coûts cumulés d’hospitalisation dans la cohorte « traitement recommandé » et dans le groupe paracétamol (conrtol cohort) en séjour ordinaire (blanc) ou unité de soins (sombre)

Comment cela est-il possible ? Y a-t-il des mécanismes biologiques connus qui pourrait l’expliquer, alors qu’on prescrit du Doliprane à tout-va, y compris en post-vaccination ?

La réponse est oui, et ces mécanismes biochimiques et physiologiques sont nombreux et connus ! Ils surviennent, il est vrai, essentiellement dans le cadre du dosage plus important que les doses thérapeutiques maximales normalement acceptées (3-4 g/j), mais sont aussi susceptibles d’intervenir à des doses plus basses, notamment en lien avec certaines conditions qui sont associées… avec les comorbidités de la COVID.

Après une brève introduction sur l’historique du paracétamol, nous décrivons ci-dessous sa toxicité générale, mais aussi les mécanismes inflammatoires, coagulants et pro-oxydants connus du paracétamol (Doliprane, Efferalgan…), qui peuvent être néfastes dans le cadre de la pathologie de la COVID-19.

Quelles sont les conséquences biologiques de la prise de paracétamol ?

Antalgique le plus vendu au Monde, le Paracétamol trouve son origine dans l’industrie des colorants du XIXème siècle. Depuis sa commercialisation en France, en 1957, sa consommation ne cesse d’augmenter. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) a tiré à plusieurs reprises la sonnette d’alarme, jusqu’à récemment encore. En effet, sous son apparente innocuité, ce dérivé de la Phénacetine, elle-même dérivée de l’Anniline, cache un fonctionnement complexe dont l’entièreté des mécanismes reste à confirmer. Bien que longtemps assimilé aux anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sa pharmacodynamie apparaît, en fait, bien plus complexe. Aussi, la première hypothèse d’un mécanisme d’action via l’inhibition des cyclo-oxygénases est largement reconsidérée.

A contrario de son mécanisme d’action, son métabolisme est, quant à lui, bien établi. Normalement bien toléré aux doses thérapeutiques, sa métabolisation dans l’organisme n’est pas dénuée d’effets indésirables et/ou d’interactions aux conséquences parfois dramatiques, de sorte que sa toxicité est reconnue depuis 50 ans au moins et depuis 2018, même hors surdosage apparent et à des doses thérapeutiques ou très proches (Kurtovic J and Riordan SM, 203) (Graham GG et al., 2005) notamment avec des facteurs de risque comme d’hépatotoxicité comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie ou chez des adultes âgées de faible poids (les plus fragiles face à la COVID), une séropositivité au VIH ou hépatite C (Bonkovsky HL et al, 1994) (Claridge LC et al., 2010). Ces personnes ont-elles vraiment été averties par les autorités de santé et leurs médecins de ces contrindications nécessitant des précautions d’emploi ?

Toxicité générale du paracétamol et de son métabolite toxique : le N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI

Dans le cadre de son métabolisme, une proportion minime de paracétamol (aussi appelée acétaminophène ou encore acetyl-para-aminophénol) est relâchée dans le système sanguin sous forme inchangée, la majeure partie étant métabolisée au niveau du foie par le biais de plusieurs voies (Steventon GB et al., 1996). Les métabolites actifs distribués dans le sang sont, pour une faible part, inactivés par liaisons avec l’albumine à raison de 10 à 15 % (Gimenez F et al., 2012). Majoritaires, la conjugaison à l’acide glucuronique ou glycuroconjugaison et la conjugaison à l’acide sulfurique ou sulfoconjugaison se partagent environ 80 % de la biotransformation de l’acétaminophène à hauteur d’un ratio moyen de 1/3//2/3. Inactives et non toxiques, les deux formes qui en résultent sont éliminées par voie urinaire.

Suite aux travaux d’Högestätt, une autre voie mineure a été mise en évidence. Ainsi, le paracétamol subit également une hydrolyse catalysée par l’acylamidase et la N-désacétylase du foie aboutissant à un métabolite désacétylé : le P-aminophénol (Högestätt ED et al., 2005).

Enfin, et surtout, la voie oxydative, quant à elle, intervient à une moyenne de 10 %. Associée au cytochrome P450, principalement les enzymes CYP2E1 et CYP2D6, elle aboutit à la formation de N-Acetyl-P-Benzoquinone Imine ou NAPQI (Gimenez F et al., 2012) (Lee SS et al., 1996) (Dong H et al., 2000). C’est ce dérivé du paracétamol qui est hautement toxique, du fait de sa capacité à se lier aux cellules du foie (hépatocytes), il peut en provoquer l’apoptose (mort cellulaire) jusqu’à la nécrose hépatocytaire ou hépatite cytolytique. Il est également responsable de la néphrotoxicité du paracétamol. Il est ainsi responsable de près de 500 décès par an aux États-Unis, ainsi que de 100 000 appels aux centres antipoison américains, de 50 000 visites aux urgences et de 10 000 hospitalisations par an (Lee WM, 2017).

En conditions dites « thérapeutiques », il est rapidement détoxifié par le glutathion (GSH), un petit tripeptide (3 acides aminés) composé d’acide glutamique, de cystéine et de glycine (Steventon GB et al., 1996).

Et, c’est là qu’intervient l’élément qui nous intéresse : le glutathion. Son rôle dans la lutte contre la toxicité du paracétamol est absolument essentiel. Gros consommateur de cet oxydant, seuls 10 g en une prise suffisent à effondrer suffisamment les stocks de cet antioxydant majeur du corps humain. C’est par ce mécanisme, inhérent au fonctionnement de bas du paracétamol, que le paracétamol est devenu, en quelques années, la cause numéro 1 de greffes hépatiques et une molécule régulièrement utilisé dans les tentatives d’autolyse ou suicide. En cas de surdosage, deux molécules sont principalement utilisées :

  • Le charbon actif, capable d’adsorber jusqu’à 90 % du paracétamol s’il est administré dans les cinq premières minutes. Son efficacité est « dose-dépendante » et n’est prouvée que dans un délai de deux heures après ingestion de la surdose.
  • La N-acétylcystéine, véritable antidote, atténue voire évite l’atteinte hépatique en produisant de la cystéine, élément précurseur du glutathion. Néanmoins, sa protection complète ne va pas au-delà dès huit heures après ingestion. Passé ce délai, son activité protectrice décroit progressivement.

Au sujet de l’importance de la toxicité du paracétamol vis-à-vis du glutathion dans le cadre du COVID paracétamol, des chercheurs écrivent :

« Au vu de ce qui précède, poursuivre l’utilisation généreuse du paracétamol peut signifier que nous ignorons les messages importants de la recherche. Cela peut ne pas être inquiétant chez les adultes en bonne santé. À l’inverse, au milieu d’une pandémie dévastatrice, il est plus important que jamais de présenter des arguments satisfaisants pour prescrire du paracétamol aux populations sensibles avec des niveaux de GSH faibles. Nous avons décrit en détail quatre problèmes de santé graves associés à la réduction de GSH et les risques de développer une COVID-19 sévère. Nous suggérons que la sécurité et l’efficacité du paracétamol devraient être étudiées plus en détail dans COVID-19. Des recherches futures pourraient tenter de corréler le taux de mortalité attribuable à la COVID-19 avec les chiffres de doses quotidiennes de paracétamol pour 1 000 habitants dans des pays au niveau de vie similaire. » (Verd S and Verd M, 2020).

Effets néfastes du paracétamol dans le COVID-19 :

Consommation du glutathion : effet délétère sur l’inflammation/stress oxydant et l’immunité dans la COVID-19 – Le premier effet particulièrement délétère du paracétamol et de loin le plus dangereux est donc la consommation de glutathion (GSH).

Certains chercheurs ont suggéré qu’en appauvrissant le GSH, le paracétamol pourrait également aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020). Or, le GSH comme protecteur de l’inflammation et du stress oxydant joue un rôle crucial et central dans la résistance au COVID-19 pour éviter d’évoluer vers une forme grave et la mort (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Ceci a été trop sous-estimé et trop peu évoqué dans la communauté scientifique et pratiquement jamais par la plupart des médecins et des médias. Probablement parce que cela implique de travailler sur des domaines vastes allant de la virologie à l’immunité, l’inflammation/stress oxydant et requérant des notions non seulement médicales, mais aussi de chimie et de biochimie poussées. Un des résultats, notamment chez les médecins, est que l’importance cruciale du stress oxydatif dans la pathologie de la COVID a été largement sous-estimée, quand elle leur est connue, et donc de l’importance centrale du glutathion dans la pathologie de la COVID !

Dans la COVID (et dans toutes les pathologies inflammatoires), l’inflammation est accompagnée de réactions d’oxydation dans les cellules par des petites molécules très réactives (que l’on appelle radicaux libres) qui sont produites sur le site de l’inflammation par un processus appelé stress oxydatif. C’est un peu comme si l’inflammation était le lance-flammes et le stress oxydatif les flammes. Ceci devrait faire l’objet de travaux de recherches supplémentaires notamment pour identifier des traitements antioxydants/anti-inflammatoires y compris pour les formes longues du Covid (Delgado-Roche L et al., 2020) (Cecchini R et al., 2020) (Ntyonga-Pono MP, 2020). Le glutathion est justement le maître antioxydant dans l’organisme qui permet de lutter contre ce stress oxydant dans de nombreuses pathologies (Franco R et al., 2007). Le paracétamol fabrique justement du stress oxydant et notamment des radicaux libres (peroxynitrites en particulier) à l’intérieur des mitochondries (Knight TR et al., 2001) (Knight TR et al., 2002) (Bajt ML et al., 20003) (Ishitsuka Y et al., 2020) (Prasun P, 2021) (Ramachandran A and Jaeschke H, 2019).

Au niveau de l’immunité, un autre effet néfaste de la consommation de GSH par le paracétamol est l’efficacité diminuée des globules blancs, en particulier des lymphocytes T, si importants pour lutter dans la COVID. Ces lymphocytes T ont besoin GSH afin de travailler efficacement, améliorant ainsi l’identification et destruction des bactéries et virus (Droge W and Breitkreutz R, 2000) (Grimble RF and Grimble GK, 1998) (Maciolek JA et al., 2014) (Wang K et al., 2017). Le taux de GSH qui régule l’état oxydatif dans toutes les cellules de l’organisme ralentit également la réplication des virus comme la grippe et d’autres virus respiratoires (Geiler J et al., 2010) ce qui peut donc potentiellement atténuer les symptômes viraux et améliorer la survie (McCarty MF et al.,2010) (De Flora S et al., 1997) (Mata M et al., 2012) (Nencioni L et al., 2003) (Cai J et al., 2003) (Khomich OA et al., 2018) (Ghezzi P et al., 2004).

Effet du paracétamol sur une des voies inflammatoire principales de la COVID-19 : la voie immuno-inflammatoire du complément

La voie du complément est une des voies principales de l’immuno-inflammation dans la COVID-19, notamment dans les formes graves et contribue aussi à la coagulation dans les vaisseaux et à la mort.

Or le paracétamol a été décrit par plusieurs travaux comme un activateur de cette voie inflammatoire, ce qui est préoccupant et jamais évoqué même si d’autres études doivent être menées pour mieux étudier ce sujet. Dans une récente étude, Li et ses collaborateurs rapportent la sur-activation du complément en lien avec la toxicité hépatique du paracétamol et l’effet protecteur de la CRP (C réactive protéine)  (Li HY et al., 2022) (Garcia-Ruiz C et al., 2022).

Dans des études chez l’homme avec surdosage de paracétamol, l’activation du complément a été associée à un dysfonctionnement hépatique (Ellison et al., 1990) (Clapperton et al., 1997).

L’hépatotoxicité induite par le paracétamol est initiée par une lésion précoce des hépatocytes, qui peut évoluer vers l’insuffisance hépatique aiguë par une amplification des lésions hépatiques entraînée par l’activation des cellules immunitaires. Des études antérieures ont rapporté un rôle de l’activation du complément dans les lésions hépatique induites par le paracétamol (Singhal R et al., 2012). Dans cette étude chez la souris, des niveaux plasmatiques élevés de cytokines inflammatoires sont retrouvés, telles que l’interleukine-6, interleukine-10 dont les taux élevés sont prédictifs d’une aggravation de la pathologie COVID (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020) et sont des marqueurs de la sévérité et même de la mortalité (Udomsinprasert W et al., 2020) (Melo AKG et al., 2020) (Han H,  et al., 2020).

C’est donc une question importante qui est posée ici : la prise de Doliprane, en plus de consommer le GSH, aggrave-t-elle la pathologie COVID en activant une de ses voies inflammatoires et mortelle principale, inflammatoire et pro-coagulante et qui mène au décès : la voie du complément ?

1. Paracétamol et coagulation : activation de la thrombine et autres acteurs de la coagulation

On sait que la coagulation est une conséquence grave de la COVID-19 notamment dans les formes très sévères et terminales.

Il se trouve que le paracétamol a la capacité d’activer des mécanismes pouvant promouvoir la coagulation (en plus de la voie évoquée précédemment). En effet, on sait que la progression des lésions hépatiques induites par le paracétamol est associée à l’activation de la cascade de la coagulation sanguine. La génération de thrombine (enzyme qui convertit le fibrinogène en fibrine, protéine qui participe à la formation de caillots sanguins) est évidente chez les patients présentant une surdose aiguë de paracétamol et dans les modèles murins de lésions hépatiques aiguës (Ganey P et al., 2007) (Gazzard BG et al., 1975) (Sullivan BP et al., 2012). La thrombine active en particulier le proteinase-activated receptor (PAR-1) conduisant à l’activation des plaquettes et à une inflammation (cyclooxygénase-2 et autres cytokines) (Coughlin, 1999) (Uzonyi et al., 2006) (Kawabata and Kawao, 2005). Hautement exprimé dans les plaquettes et les cellules endothéliales, PAR-1 joue un rôle clé dans la médiation de l’interaction entre la coagulation et l’inflammation, ce qui est important dans la pathogenèse des maladies pulmonaires inflammatoires et fibrotiques et c’est le cas dans la COVID (Sriram K and Insel PA, 2021) (Rovai ES et al., 2021).

Aussi, l’administration de paracétamol est associée à des taux plasmatiques de protéine plasminogen activator inhibitor-1 (PAI-1) augmentés (Ganey P et al., 2007) (Bajt ML et al., 2008) (Radonovich MF et al., 2001) (Kastl et al., 2006). Or le PAI-1 est une enzyme qui freine la capacité de fibrinolyse, c’est-à-dire de dissolution de caillots (par inhibition de l’activateur tissulaire du plasminogène (tPA) et de l’urokinase (uPA), eux-mêmes activateurs du plasminogène, enzyme qui permet de dégrader les caillots (Mackman N, 2005) (Schaller J et Gerber SS, 2011). Ce PAI-1 est également important dans la pathologie de la COVID et retrouvé à des taux élevés chez les patients ayant des formes sévères (Khan SS, 2021) (Zuo Y et al., 2021).

Le PAI-1, qui peut être libéré par les cellules de Kupffer en réponse à C5a est augmenté dans le plasma par le paracétamol et réduit par une déplétion préalable du complément (Kastl et al., 2006).

Ces mécanismes inflammatoires et pro-coagulants du paracétamol devraient aussi être pris en compte dans l’utilisation de ce produit après vaccination, ce qui est largement proposé, étant donné que la protéine spike vaccinale (plus concentrée) induit des conséquences inflammatoires importantes qui peuvent expliquer une grande partie des très nombreux effets graves et des décès induit par la vaccination.

2. Fièvre et baisse de l’interféron

Faire baisser la fièvre, comme déjà évoqué dans un article précédent « Covid-19 : le paracétamol aurait-il tué ? » n’est pas forcément une bonne idée. Le paracétamol fait tomber la fièvre et améliore le confort des patients, mais la fièvre a une raison d’être : il s’agit d’un mécanisme de défense bien connu de l’organisme face à l’infection. D’ailleurs, en pédiatrie, les nouvelles recommandations HAS ne préconisent plus de faire « tomber » systématiquement la fièvre, sauf cas particuliers :

Prise en charge de la fièvre chez l’enfant – recommandations HAS : Rôle physiopathologique de la fièvre  « La fièvre est un des moyens de réponse de l’organisme aux infections. Elle est également présente dans les maladies inflammatoires, rares chez l’enfant. La fièvre peut avoir un effet bénéfique lors d’infections invasives sévères (purpura infectieux, septicémie) et il a été observé que des infections graves non fébriles étaient associées à une augmentation de la mortalité. Par ailleurs, quelques publications indiquent que l’utilisation d’antipyrétiques pourrait retarder la guérison de certaines infections virales »

En particulier, le paracétamol, en faisant baisser la température, diminue le taux et l’activité de l’interféron (IFN-I), molécule antivirale produite par l’organisme (Hirai et al., 1984). Des températures plus basses réduisent l’activité de l’interféron de type I et favorisent l’arthrite alphavirale (Prow NA et al.. 2017). Et de plus, il a été publié qu’un bas taux d’interféron est associé aux formes graves de la maladie (Activité altérée d’interféron de type I et réponses inflammatoires dans les patients graves de COVID-19 (Hadjadj J et al., 2020).

C’est un phénomène essentiel, car comme déjà décrit , le SARS-Cov-2 est un mauvais inducteur de la réponse IFN-I in vitro et dans des modèles animaux ainsi que chez l’homme puisque les taux d’IFN-I dans le sérum des patients infectés sont en dessous des niveaux de détection des tests couramment utilisés (Sa Ribero M et al., 2020) (Hadjadj J et al., 2020) (Lee JS et Shin EC, 2020). Le SARS-CoV2 induit encore moins d’IFN-I que le SARS-CoV et ces coronavirus contiennent plusieurs protéines permettant d’échapper à la production ou aux réponses induites par l’interféron (Spiegel M et al., 2005) (Hu Y et al., 2017) (Sa Ribero M et al., 2020). 

Conditions et pathologies associées à la dangerosité du paracétamol : un lien avec les comorbidités du COVID-19 ?

La réduction du GSH est une condition particulièrement sévère pour la réponse antioxydante et antiinflammatoire de l’individu et il est compréhensible que sa déplétion soit cruciale pour l’aggravation du COVID‐19.

Plusieurs facteurs de risques d’hépatotoxicité du paracétamol comme la consommation chronique d’alcool, de tabac et d’opiacés, la malnutrition, une sous-alimentation induite par une maladie, une séropositivité au VIH et hépatite C (Moling O et al., 2006).

  • Personnes âgées
    La réduction des taux plasmatiques et intracellulaires de GSH est typique chez les patients âgés (Sekhar RV et al., 2011) en particulier s’ils sont affectés par le syndrome métabolique (Sekhar RV et al., 2011) donc les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de la COVID‐19 ne doivent pas être traités avec paracétamol déclarent certains scientifiques (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Pandolfi S et al., 2021) : «  Les patients âgés présentant des symptômes prodromiques de COVID‐19 ne doivent pas être traités avec du paracétamol. » Chez des adultes dénutris de faible poids corporel (comme peuvent l’être les personnes âgées, les plus fragiles face au COVID), 4 g de paracétamol répété quotidiennement peut être hépatotoxique (insuffisance hépatique acidose lactique) et a été décrits (Claridge LC et al., 2010). Des cas d’hépatotoxicité aigüe chez des personnes âgées (80 à 91 ans) sans autre risque que l’âge et à des doses faibles (de 1-4 g/j)  ont été reportés après quelques jours d’utilisation et les auteurs invitent à des révisions des doses pour les personnes âgées (Ging P et al., 2016) (Liukas A et al et al., 2011) (What dose of paracetamol for older people?, 2018) voire même chez des personnes un peu plus jeunes (Schmidt LE et al., 2005).

    Ainsi, à la vue de ses interactions, médicamenteuses ou non, ainsi que des répercussions sur la physiologie du vieillissement, la question de la sécurité de son utilisation, chez la personne âgée et/ou fragile se pose. Les recommandations d’usages du paracétamol apparaissent peu respectées pour cette population « pré-fragile » ou « fragile » et de manière globale, ce traitement semble, peu évalué, comme peu surveillé, en EHPAD comme en ville alors que cela devrait s’inscrire dans une démarche de pharmacovigilance et de qualité des soins, en particulier dans le COVID où le paracétamol est pris en continu sur plusieurs jours. Il est globalement reconnu que des surdosages itératifs sont plus délétères qu’un surdosage massif (Craig D et al., 2011). Afin de lutter contre cette surutilisation, l’ANSM a limité sa délivrance à deux boites par prescription. Pour autant, les chiffres de ses délivrances en officine ne décroissent pas, au contraire. La crise sanitaire débutée fin 2019 et surtout les recommandations officielles excluant tout autre molécules dans le traitement des symptômes associé à une infection à SARS-CoV-2 ou variants a permis un pic des consommations allant jusqu’à un million de boites vendues/jours.

    Les personnes âgées peuvent souvent être en déficit de glutathion (Erden-Inal M et al., 2002) (Samiec PS et la., 1998) (Sekhar RV et al., 2011) (Matsubara LS, Machado PE  et al., 1991) (Loguercio C et al., 1996) (Suh JH t eal., 2004) (Lang CA et al., 1992), qui comme on l’a vu, est une molécule clé pour contrer et parfois survivre à la phase inflammatoire (Silvagno F et al., 2020) (Polonikov A, 2020). Or comme on l’a cité le paracétamol en abaissant les niveaux de GSH sont susceptibles d’aggraver la sévérité du COVID-19 (Sestili P et Fimognari C, 2020) (Verd S and Verd M, 2020).

    L’âge étant le paramètre le plus significatif de la mortalité dans la COVID, ignorer ces connaissances est au minimum un manque de sérieux scientifique, au maximum, grave et irresponsable. La COVID est une pathologie où le stress oxydant joue un rôle central et a un lien avec toutes les comorbidités.
     

  • Diabète et obésité, maladies cardiovasculaires 
    La corrélation entre un faible taux de GSH et le diabète est bien établie. Le diabète a été largement associé à des dommages oxydatifs et à une diminution de la teneur en GSH (aussi augmentation du rapport GSSG/GSH, glutathion oxydé/glutathion réduit) dans différents tissus (Yoshida K et al., 1995) (Thornalley PJ et al., 1996). La diminution du GSH est, dans la plupart des cas, associée à une activité accrue du NF-kB, un nœud l’inflammation y compris dans le COVID (Arnalich F et al., 2001). Une étude de Samiec et ses collègues a montré que les niveaux de glutathion total et de sa forme réduite étaient plus faibles dans le plasma des sujets âgés et encore plus bas chez les patients diabétiques (Samiec PS et al., 1998).

    Plusieurs études ont rapporté que chez les patients obèses, le stress oxydatif est aussi associé à une diminution des niveaux de glutathion (Habib S et al, 2015) (Uzun H et al., 2017) et à une diminution du rapport GSH/GSSG) (Zamora-Mendoza R et al., 2018) et que le paracétamol pourrait avoir une toxicité augmentée (Michaut A et al., 2014). De plus, le stress nutritionnel causé par un régime riche en graisses et en glucides favorise le stress oxydatif, comme en témoignent l’augmentation des produits de peroxydation lipidique, la diminution du système antioxydant et la diminution des niveaux de glutathion (Parsanathan R and Jain SK, 2019) (Andrich DE et al., 2019).

    Les maladies cardiovasculaires en général sont associées au stress oxydatif et l’inflammation et les doses de paracétamol devraient être adaptées à la gravité de la pathologie : un homme de 67 ans atteint d’une maladie cardio-pulmonaire chronique a présenté une atteinte hépatique sévère et une atteinte rénale modérément sévère après ingestion à court terme de doses thérapeutiques d’acétaminophène (1 à 3 g/jour pendant 3 jours) (Bonkovsky HL et al, 1994).
     

  • L’hypertension est une comorbidité nettement reconnue dans le COVID
    Une étude chez des patients atteints de maladie coronarienne (CAD) (Sudano I et al., 2010) a montré qu’un traitement au paracétamol était associé à une augmentation significative de la tension artérielle et soulève la question de la prudence de l’usage du paracétamol chez ces patients. De plus, des revues systématiques de la littérature soutiennent l’association entre l’utilisation de paracétamol et l’élévation de la pression artérielle chez les patients souffrant d’hypertension (Turtle EJ et al., 2013). La prise quotidienne régulière de 4 g d’acétaminophène (dose COVID) augmente la pression artérielle systolique chez les personnes souffrant d’hypertension de ≈ 5 mm Hg par rapport au placebo ; « cela augmente le risque cardiovasculaire et remet en question l’innocuité de l’utilisation régulière d’acétaminophène avec cette condition » (MacIntyre IM et al., 2022).

    Ceci est observé aussi dans certaines études aves les AINS, mais pas avec l’aspirine, même si le sujet est débattu (Curhan GC et al., 2002) (Bautista LE et al., 2010).

    Favoriser l’hypertension est donc dangereux dans le COVID en particulier parce que l’hypertension, comme le diabète et d’autres conditions cardiovasculaires peuvent être associées à l’augmentation des protéines MASP (Mannan-binding lectin serine protease) (Bumiller-Bini V et al., 2021) qui activent la voie clé faisant le lien entre l’inflammation et les phénomènes de coagulation en phase finale des formes graves du COVID-19 (la voie des lectines du complément).
     

  • Affections pulmonaires, respiration
    Un grand nombre d’études ont rapporté une toxicité pulmonaire du paracétamol (Kennon-McGill S and (McGill MR, 2017) (Nassini R et al., 2010) (Baudouin SV et al., 1995). Cette dernière étude montre que les lésions pulmonaires aiguës (33 %) peuvent être fréquentes chez les patients atteints d’insuffisance hépatique fulminante induite par le paracétamol et associées à une insuffisance circulatoire systémique et à un œdème cérébral (Baudouin SV et al., 1995). Le développement de lésions pulmonaires aiguës était associé à une mortalité élevée.

    Des études montrent que le phénomène toxique dans le foie se produit également dans les poumons qui possèdent aussi l’enzyme CYP2E1 qui fabrique le dérivé toxique du  paracétamol, le NAPQI, capable de consommer le glutathion et produire des dommages dans les poumons Breen K et al., 1982) (Sandoval J et al., 2019).

    Cette toxicité dans les poumons pourrait même survenir à des doses pour lesquelles le paracétamol n’est pas toxique sur le foie, comme le montre une étude récente chez la souris avec de 140 mg/kg ip (Dobrinskikh E et al., 2021).

    La prise de paracétamol est aussi associée à une aggravation possible de l’asthme et de la Bronchopneumopathie chronique obstructive (COPD) et une baisse de la fonction pulmonaire au contraire de l’aspirine (McKeever TM et al., 2005) (Allmers H et al, 2009) (Beasley RW et al., 2011) (Goto T et al., 2018). D’ailleurs, des chercheurs et médecins s’interrogent sur les effets à long terme de ce médicament qui est utilisé à plus de 65 % chez tous les nourrissons nés à moins de 27 semaines de gestation sur le développement des poumons, alors qu’aucune donnée de sécurité n’est disponible (Wright CJ, 2021).

Autres toxicités, un exemple : l’autisme

On pourrait citer encore plusieurs conditions et maladies dans lesquelles la toxicité du paracétamol est impliquée sans que les autorités de santé, visiblement peu indépendantes, ne s’en inquiètent vraiment.

C’est le cas de l’autisme, pour prendre un dernier exemple très préoccupant en relation, aussi bien avec une exposition prénatale que périnatale (Bittker SS, Bell KR and 2020) (Ji Y et al., 2020) (Ji Y et al., 2020) : « Nos résultats appuient des études antérieures concernant l’association entre l’exposition prénatale et périnatale à l’acétaminophène et le risque de neuro-développemental chez l’enfant et justifient des investigations supplémentaires du trouble déficitaire de l’attention/hyperactivité et trouble du spectre autistique (TSA) (Ji Y et al., 2020) ». Cette étude vient de la prestigieuse université John Hopkins et est publié dans le JAMA.

Elle a aussi été publiée par le site du NIH, l’agence principale responsable de la recherche et de son financement aux États-Unis :

D’autres grandes études de cohortes (Alemany S et al., 2021), dont une sur plus de 48 631 enfants et un suivi de 12,7 ans a révélé que l’exposition gestationnelle à l’acétaminophène était associée à un risque accru de trouble du spectre autistique lorsqu’un trouble hyperkinétique était également présent (Andrade C et al., 2016).

« Des preuves considérables appuient cette affirmation, notamment l’augmentation exponentielle de l’incidence de l’autisme depuis 1980, lorsque l’acétaminophène a commencé à remplacer l’aspirine chez les nourrissons et les jeunes enfants. » (Good P, 2009). L’impulsion de ce changement a été faite par le CDC, prétendant que l’aspirine était associée au syndrome de Reye — a depuis été démystifiée de manière convaincante. L’auteur conclut : « Si l’aspirine n’est pas à craindre comme cause du syndrome de Reyes et que l’acétaminophène est à craindre comme cause de l’autisme, l’épidémie d’autisme peut-elle être inversée en remplaçant l’acétaminophène par de l’aspirine ou d’autres remèdes ? »

Un mécanisme de sa toxicité a été proposé à travers le système endocannabinoide (Schultz S et al., 2021).

Est-ce que les femmes enceintes ont été prévenues de cela en France, dans le cadre de la COVID ou en général par les agences de santé, les sociétés savantes et nos politiques qui sont si prompts à réagir à ce que dit la Science ? Au contraire, on lit au journal du 13 avril 2020 relativement à l’article L. 551 du Code de la santé publique sur Légifrance : « Le paracétamol est utilisable à tous les stades de la grossesse et compatible avec l’allaitement, contrairement à l’aspirine et à l’ibuprofène contre-indiqué dans ces deux circonstances ».

« france » avec un petit « f » et « santé » avec un petit « s »…

On sent bien que cette molécule a été mise en avant avec des grands bénéfices financiers et malgré des bénéfices de santé contestés, par une grande partie de la communauté scientifique, même en ce qui concerne l’effet antidouleur (da Costa BR et al., 2017).

Conclusion :

Cette revue de la littérature scientifique pose de sérieuses questions sur l’utilité et la sécurité de l’utilisation du paracétamol dans le cadre du COVID, en particulier dans le cadre des comorbidités qui lui sont associées (âge, hypertension, diabète et obésité et autres conditions inflammatoires). D’une manière plus générale d’ailleurs, de nombreux scientifiques se posent la question de l’utilité de cette molécule au regard de sa faible efficacité et de cette toxicité établie (Roberts E et al., 2016).  

Un blockbuster dont on pourrait très probablement se passer, ce qui n’est évidemment pas l’avis de ceux à qui elle rapporte autant d’argent.

Curieusement, là où l’argument du « hors AMM » fut le fer de lance opposé à l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, là où les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) furent déboutés au motif d’évaluation bénéfice/risque en faveur du risque de formes graves, force est de constater, que l’utilisation du paracétamol, tout autant hors AMM, ne fut ni surveillée, ni étudiée. Bien au contraire, puisque les autorités sanitaires le recommandent encore actuellement, avec un peu plus de vigilance aujourd’huin mais la dose quotidienne de 3g/j fut longtemps recommandée sans autres mises en garde. Aucune rectification n’a été faite concernant les AINSn alors qu’ils ont été réhabilités pour le COVID dès la fin mars 2020 par l’ensemble des agences internationales de santé. Dans le cadre d’une pathologie dont nous ne savions rien et dont la concentration aurait pu être jusqu’à une contrindication stricte à son usage, il eut été de rigueur qu’une surveillance accrue de ces interactions soit effectuée. Il n’en fut rien, bien à tort, car si nous ne pourrons probablement jamais évaluer l’impact de l’utilisation du paracétamol sur le nombre de décès associé à la COVID-19, il y joue très probablement un rôle particulier.

La crise sanitaire de la COVID-19, même si elle en cache d’autres, est la plus grande crise de ce début de XXIème siècle. La Santé doit être éclairée par une Science indépendante de la politique et du business afin d’éviter les résultats catastrophiques que l’on observe depuis deux ans. À quel moment des scientifiques, des médecins et des citoyens indépendants vont-ils décider de se réapproprier vraiment la Science au service de notre Santé ?


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L’échec avéré des vaccins Covid

Par Dr Gérard Delépine

Pendant plus d’un an l’OMS, notre gouvernement et les médias ont prétendu et répété sans cesse :

« Les vaccins sont efficaces à 97 %(([1] https://www.20minutes.fr/sante/2996451-20210311-coronavirus-vaccin-pfizer-efficace-97-contre-cas-symptomatiques-selon-etude)) ; se vacciner vous protège et protège les autres ; tous vaccinés tous protégés ; être vacciné protège des formes graves ».

Toutes ces affirmations sont fausses. Les chiffres publiés par l’OMS sur l’évolution de l’épidémie et la mortalité démentent totalement cette propagande pro vaccinale marchande.

Les pseudo vaccins anti-covid sont incapables d’éviter les contaminations

Au 27 avril 2022, un total de 11 438 720 838 doses anti-covid ont été injectées à près de la moitié de la population mondiale. Mais ces injections loin de ralentir l’épidémie paraissent l’avoir stimulée(([2] Pr D Raoult « Ce que nous sommes en train de voir et d’analyser, c’est que les vaccins ont augmenté l’épidémie. Sud radio 11/1/2022)) avec l’émergence de variants plus contagieux apparaissant dans les pays les plus vaccinés. Au total au 27 avril 2022, après quinze mois de campagnes d’injection, l’OMS a comptabilisé 8 fois plus de cas qu’avant les injections montrant que les vaccins ne protègent personne de la contamination et sont incapables d’arrêter l’épidémie.

Cette recrudescence de l’épidémie affecte surtout les régions les plus vaccinées, l’Europe et les Amériques qui regroupent 75 % des nouveaux cas pour 25 % de la population mondiale.

Dans ces régions les pays les plus vaccinés ont subi les plus fortes poussées de contaminations contrairement aux pays adeptes des traitements précoces

L’efficacité d’une vaccination se mesure à sa capacité d’empêcher la contamination des vaccinés et la transmission aux contacts permettant de stopper l’épidémie. Cette évolution paradoxale de l’épidémie démontre que les slogans gouvernementaux « la vaccination est efficace à 97 % ; se vacciner vous protège et protège les autres ; tous vaccinés tous protégés » sont totalement mensongers.

Les vaccins n’évitent ni les formes graves ni la mort par covid

La vaccination en Grande-Bretagne ne diminue pas le risque d’être hospitalisé en réanimation : les vaccinés sont autant hospitalisés en réanimation, ainsi que le montre le pourcentage d’hospitalisation selon le statut vaccinal publié par Public Health England.

Au Canada, les chiffres des dernières semaines montrent que les vaccinés ont une mortalité supérieure aux non-vaccinés !

La fréquence des formes graves se mesure à la mortalité Covid. Les données de l’OMS mises en courbes par Our world in data montrent qu’au 21 avril 2022 les pays champions de la vaccination souffrent d’une mortalité Covid par million d’habitants nettement plus élevée (Pérou 6377/M, Grande-Bretagne 2539/M, Malte 1326/M, Gibraltar 2997/M, USA 2975/M, Italie 2688/M, France 2149/M, Israël 1146/M) que les pays qui ont utilisé les traitements précoces (Algérie 154/M, Madagascar 49/M, Inde 374/M, Afrique 184/M) et que la situation des pays très vaccinés s’est nettement aggravée dans les derniers mois.

Les injections anti-covid ne protègent donc pas des formes graves alors que les traitements précoces tels que l’hydroxychloroquine, Artémisine, ivermectine y parviennent.

L’échec des injections anti-covid à prévenir les formes graves et la mort est d’ailleurs évident lorsqu’on observe la même mortalité Covid en Israël championne des injections Pfizer et en Palestine peu vaccinée :

L’immunité collective par la vaccination n’était qu’un mythe !

La très grande majorité des agences qui préconisaient la pseudo vaccination pour créer une immunité vaccinale protectrice ont depuis reconnu qu’il s’agissait d’un mythe inatteignable, que ce soit en Grande-Bretagne(([3] Andrew Pollard chef du Oxford Vaccine Group : l’immunité collective est un « mythe »)), en Islande(([4] Þórólfur Guðnason, a déclaré le 8 août 2021 : « Obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte »)), en Espagne(([5] En Espagne, le Premier ministre Pedro Sánchez a déclaré à la mi-janvier que « la pandémie serait à l’avenir traitée comme la grippe »)) à Singapour(([6] Devant l’échec de la vaccination massive incapable d’empêcher l’explosion Omicron le gouvernement a décidé d’opter pour une stratégie consistant à vivre avec le virus.)), en Belgique(([7] Devant l’explosion des cas malgré 80 % de couverture Steven Van Gucht a reconnu : « Si le variant d’origine de Wuhan avait encore été dominant, nous aurions déjà atteint cette immunité collective et ce serait terminé maintenant. Nous avons été malchanceux ».)), en Norvège(([8] « Nous devrons vivre avec des chiffres d’infection élevés, et nous pouvons vivre avec des chiffres d’infection élevés », a déclaré par le Premier ministre Jonas Gahr Støre.))…

L’OMS elle-même a déclaré que les doses de rappel ne mettront pas fin à la pandémie (([9] Déclaration de Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le 22 décembre à Genève
https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)) et ses experts ont précisé dix jours plus tard « Une stratégie de vaccination basée sur des rappels répétés » des premiers vaccins « a peu de chances d’être appropriée ou viable ».

Ils ont aussi reconnu implicitement que les vaccins actuels étaient peu efficaces en espérant « des vaccins contre le Covid-19 ayant un impact élevé en matière de transmission et de prévention de l’infection, en plus de prévenir les formes graves de la maladie et la mort, sont nécessaires et doivent être développés ».(([10] https://www.europe1.fr/sante/pour-loms-combattre-la-pandemie-a-coups-de-doses-de-rappel-nest-pas-une-strategie-viable-4087273))

Depuis lors, le Danemark a interrompu sa campagne de vaccination et la Pologne refuse officiellement de « prendre ou de payer plus de vaccins contre le Covid-19 pour le moment ».

Ces pseudo vaccins expérimentaux inefficaces sont dangereux

Au 23/04/2022 le site EudraVigilance responsable de la surveillance des effets secondaires des médicaments dans l’Union européenne recensait :

20 453 décès et 2 113 249 complications après injection ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/PFIZER

11 757 décès et 687 334 complications après injection d’ARNm SPIKEVAX/ARNm-1273 (CX-024414) de MODERNA

1 241 710 complications dont 8 927 décès après vaccin AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/AstraZeneca

Comme Eudravigilance ne recommande pas d’autopsie systématique après les décès post-injection, un lien de causalité certain ne peut pas être affirmé entre les pseudo vaccins et toutes les complications observées, mais l’énormité de tels chiffres, jamais observés pour aucun autre médicament, constitue un signal d’alarme considérable et il est incompréhensible que nos autorités fassent semblant de les ignorer.

Qu’attendent nos autorités sanitaires pour cesser de croire et de baser leur politique sanitaire sur des simulations fausses réalisées par des épidémiologistes liés aux entreprises des vaccins, et enfin considérer les faits avérés et interrompre leur campagne pro vaccinale inefficace, mensongère et délétère en recommandant, en cas de besoin, les traitements précoces qui ont fait leurs preuves dans tous les pays qui les ont utilisés ?

La persévérance dans leur volonté d’imposer par tous les moyens ces médicaments expérimentaux, quel qu’en soit le coût humain met gravement en cause leur responsabilité.





Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?

[Source : lepointcritique.fr]

Olivier Véran s’est toujours défendu d’avoir menti aux Français pendant la pandémie, allant jusqu’à qualifier la diffusion de fakenews de crime de « haute trahison ». Il n’aura pourtant reculé devant aucun mensonge pour forcer les Français à se faire vacciner. Le conflit d’intérêts soulevé par le scandale McKinsey est-il le chaînon manquant permettant enfin d’expliquer pourquoi il a choisi d’hypothéquer leur santé en leur dissimulant des informations cruciales ?

Six mensonges d'Olivier Véran, marionnette de McKinsey ?
© Anita Jankovic

Combien de Français se seraient fait vacciner s’ils avaient su que le vaccin est toujours en phase de test et qu’ils contribuent en se vaccinant à déterminer si les injections sont sûres, comme le précise sur son propre site l’ANSM ? Combien savent que la Commission européenne a rappelé, le 13 janvier 2022, que l’actuelle vaccination contre le COVID est un essai clinique est qu’elle ne peut à ce titre être imposée à aucun citoyen, dont le consentement éclairé est une condition sine qua non ?

Peu sans doute, et c’est bien pour cela que l’obligation vaccinale n’a fait l’objet d’aucune loi. Convaincre plutôt que contraindre, mais à quel prix ? L’objectif de cet article n’est pas de faire l’inventaire des mensonges commis pendant deux ans par Olivier Véran mais de l’interpeller sur six d’entre eux, constitutifs d’une extorsion de consentement dont les conséquences sont potentiellement gravissimes pour le ministre mais aussi et surtout pour les Français.

Au-delà de cet inventaire, il nous paraît urgent, à l’heure de reconduire, ou pas, Emmanuel Macron à la tête de l’État, d’appeler un chat un chat et de demander au ministre s’il a bénéficier de contreparties pour accepter de prendre un tel risque.

Mensonge no 1 : Le vaccin n’est plus en phase de test

« Je vais me permettre peut-être d’éclaircir les choses. Lorsqu’un vaccin a été autorisé, ce qui a été le cas pour les vaccins que nous avons autorisés en France, il y a ensuite une phase d’examen en population générale qui va durer plusieurs années pour voir, et c’est pareil avec tous les médicaments et les produits de santé, ça s’appelle pas un médicament qui est en test, ça s’appelle si vous voulez un médicament qui est en phase de post-test. Un médicament qui est totalement validé ou un médicament qui est validé. […] On le sera pendant des années et ça n’a jamais posé de problème aux Français qui souffrent de maladies chroniques, lorsqu’un médicament innovant arrive et qu’il est validé, c’est-à-dire qu’on sait qu’il est sûr et efficace, derrière on va regarder en population générale. »

Olivier Véran, On est en direct, 26 mars 2022

Non, et le ministre le sait parfaitement, le vaccin ne bénéficie à ce jour que d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, ce qui signifie concrètement que :

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus. » (Contrat albanais Pfizer, p. 19)

Source : PfizerLeak  les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

  • Les PDG de Pfizer et Moderna ne se sont jamais cachés de ne pas être en mesure d’apporter les garanties minimales de sécurité attendues d’un vaccin, ils l’ont chacun reconnu publiquement :

« Si vous vouliez avoir des données scientifiques parfaites de 10 ans de recul et de sécurité, il faut attendre 10 ans, il n’y a pas de miracle. C’est une question de balance bénéfice-risque. C’est bien sûr une question personnelle. »

Stéphane Bancel, 10 décembre 2021

  • Le vaccin n’a jamais été évalué pour les utilisations suivantes [1, page 124-126] :
    Utilisation durant la grossesse et l’allaitement
    Utilisation chez les personnes immunodéprimées
    Utilisation chez les personnes fragiles avec comorbidités, dont : bronchite pulmonaire obstructive chronique (BPCO), diabète, maladie neurologique chronique, troubles cardio-vasculaires
    Utilisation chez les patients atteints de troubles auto-immuns ou inflammatoires
    Interaction avec d’autres vaccins
    Données de cancérogénicité et de génotoxicité » (p. 56)
  • On sait aujourd’hui que la mise sur le marché des vaccins est entachée d’une série de fraudes ou de manquements déontologiques gravissimes. La COVID Canadian Covid Care Alliance a publié plusieurs documents, dont une vidéo, une lanceuse d’alerte de l’entreprise Ventavia ayant coordonné l’essai clinique pour Pfizer attaque aujourd’hui le laboratoire. Son avocat expliquait le 23 février dernier :

« Les essais cliniques de Pfizer sont truffés de fraude et d’abus du processus scientifique au point qu’il ne reste plus aucune crédibilité. »

Mensonge no 2 : Les myocardites postvaccinales sont rares et d’évolution toujours favorable

« Aux États-Unis, ils ont fait 7 millions d’injections chez les 5-11 ans. Sur 7 millions d’injections, 14 effets indésirables à titre de myocardite réversible, c’est-à-dire qu’il y a plus de risques, et même beaucoup plus de risques statistiques de faire une forme grave de COVID quand on a entre 5 et 11 ans même quand on n’a pas de comorbidités que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié aux vaccins. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Le Pr P. McCullough, cofondateur et actuel président de la Cardiorenal Society of America, alertait au contraire à nouveau, le 26 janvier 2022, sur le risque de myocardite et de péricardite induites par les vaccins ARN messager, évoquant plus de 200 études confirmant la réalité d’un tel risque qui concernerait l’ensemble des enfants et des adultes de moins de 50 ans.

Il explique dans une autre intervention le rôle joué par les nanoparticules lipidiques :

« Les myocardites dues au covid sont légères. Par contre, la myocardite induite par le vaccin est un gros problème. Il y a des changements spectaculaires dans l’ECG. Les troponines sont de 10 fois à 100 fois plus élevées qu’avec l’infection naturelle. »

Selon une étude du réseau de soins américain Kaiser Permanente, publiée en preprint le 27 décembre 2021 [2], ce risque tous vaccins ARNm confondus (Pfizer et Moderna) serait de :

  • 1/2 700 pour les garçons de 12-17 ans.
  • 1/1 860 pour les hommes de 18-24 ans.

Ces incidences sont cohérentes avec celles retrouvées dans de nombreuses études [3-7], mais aussi et surtout avec la cardiotoxicité de la protéine Spike que le ministre de la Santé ne peut pas ignorer [8-13].

Peut-on supposer que les myocardites postvaccinales sont réversibles et sans gravité ?

  • Une étude parue en 2016 [14] décrit la myocardite comme « une maladie potentiellement mortelle associée à une morbidité élevée chez certains patients pédiatriques, en raison de sa capacité à se présenter comme une maladie aiguë et fulminante et à évoluer vers une cardiomyopathie dilatée ». Pourquoi supposer qu’il en serait autrement aujourd’hui ?
  • Les pathologistes allemands et américains disent avoir observé la présence de cicatrices précoces lors de l’autopsie de plusieurs adolescents vaccinés et alertent sur le fait que, dans la mesure où les cellules du cœur ne se renouvellent quasiment pas, les dommages induits par les myocardites postvaccinales sont irréversibles [15-18].
  • Ce risque est aujourd’hui confirmé par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) américains [19] et par la Food and Drug Administration (FDA), qui reconnaît dans son rapport d’évaluation du booster Pfizer « des risques graves de myocardite et de péricardite », et n’exclut pas des séquelles potentielles à long terme.
  • La FDA a conditionné l’homologation du vaccin pédiatrique Pfizer à la réalisation d’une série d’essais pour évaluer la fréquence de cet effet secondaire, sa gravité, son mécanisme d’apparition et ses éventuelles séquelles. Six essais ont été exigés par le régulateur américain dont l’issue n’est pas connue à ce jour.
  • Enfin, dans un document daté du 26 octobre 2021, Pfizer reconnaît qu’il a besoin d’un délai de cinq ans pour déterminer si les myocardites vaccinales induiront ou non des séquelles. Dans un autre document (formulaire de consentement, p. 20), il estime que leur incidence se situe entre 1/1 000 et 1/10 000 cas.

Pour comprendre la gravité de ce phénomène, c’est la première fois dans l’histoire que les médecins sont confrontés à des infarctus chez les enfants, comme le relate ici une infirmière américaine lors de la table ronde COVID-19: A Second Opinion organisée fin janvier par le sénateur Ron Johnson :

« J’ai transporté à l’hôpital un enfant de 10 ans avec une crise cardiaque. Le médecin m’a dit : ce n’est pas possible, les enfants de 10 ans ne font pas de crise cardiaque ! Je lui ai répondu : il a été vacciné hier, c’est parfaitement possible ! »

(Nicole Sirotec, 26 janvier 2022)

Comment comprendre dans ces conditions le silence du corps médical français face à une telle situation et l’actuel acharnement à vouloir les vacciner dès l’âge de 5 ans alors qu’ils ne sont pour la majorité d’entre eux pas concernés par le COVID ?

On rappellera que ce n’est pas parce qu’une autorisation est délivrée afin de permettre l’administration du médicament, il doit nécessairement être imposé à l’ensemble d’une population :

  • au Japon, la revue MedCheck alerte sur « le risque de décès de causes cardio-vasculaires, en particulier AVC hémorragique et TV/PE » auquel la vaccination COVID-19 serait étroitement associée. Les éditeurs évoquent un risque de mortalité lié à la vaccination 5 fois plus élevé que celui lié au COVID-19 chez les personnes âgées de 20 à 29 ans ;
  • les autorités de santé britanniques ne recommandent pas le vaccin chez les adolescents en raison d’une balance bénéfice-risque qu’ils estiment défavorable [20] ;
  • la Floride recommande aujourd’hui de ne pas vacciner les enfants en bonne santé. C’est le premier État à le faire ;
  • après l’arrêt de la vaccination Moderna chez les jeunes adultes dans plusieurs pays d’Europe, le Vietnam et Taïwan ont suspendu la vaccination des adolescents et des enfants suite à des décès et des effets secondaires graves (TrialSite News). Le Brésil déclare l’envisager à son tour selon l’agence Reuters.

Combien de médecins se souviennent aujourd’hui que le premier principe qui leur a été inculqué lorsqu’ils débuté les études est « d’abord de ne pas nuire » (primum non nocere), qu’une balance bénéfice-risque s’évalue toujours individuellement et que le critère pour stopper un essai clinique n’est pas qu’il tue moins la maladie qu’il prétend combattre (est-ce seulement encore le cas depuis que l’on sait que l’immense majorité des personnes estampillées décédées du COVID sont simplement mortes avec le COVID ?), mais simplement qu’il tue ? Pour rappel, le Pr P. McCullough rappelait en juillet 2021 :

« Pour le vaccin de la grippe porcine 1976, ils l’ont arrêté après 25 décès. La limite pour arrêter un programme est de 25 à 50 morts. »

Mensonge no 3 : La balance bénéfice-risque de la vaccination serait systématiquement en faveur des vaccins, notamment chez les enfants

« Il y a plus de risque statistique de faire une forme grave de COVID-19 quand on a entre 5 et 11 ans, même quand on n’a pas de comorbidité que d’avoir un effet indésirable grave et réversible lié au vaccin. »

Olivier Véran, BFM, 22 décembre 2021

Combien de parents ont fait vacciner leur enfant sur la base des déclarations du ministre de la Santé ? Nous avons détaillé cette balance dans un précédent article.
Parlons-nous la même langue que le ministre ?

Plus récemment, la chercheuse Stefanie Seneff (MIT) a cherché à calculer pour chaque tranche d’âge non pas la balance bénéfice-risque de la vaccination mais la balance coût-risque des injections, c’est-à-dire le risque de mourir de l’inoculation versus celui de mourir du COVID et le bénéfice de la vaccination pour réduire le risque de décéder du COVID.

Ses calculs aboutissent aux ratios suivants, sans appel pour les enfants et les adultes, y compris ceux de plus de 75 ans, le bénéfice (0,13 %) n’étant perceptible qu’au-delà de 80 ans et le risque de décès étant augmenté par la vaccination pour toutes les tranches d’âge [28] :

  • Âge < 18 ans : les personnes de cette tranche d’âge ont un risque augmenté de mourir du COVID si elles sont vaccinées et elles sont 51 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 18 à 29 ans : les personnes sont 16 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 8 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que du COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 30 à 39 ans : les personnes sont 15 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 7 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 40 à 49 ans : les personnes sont 9 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont 5 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.
  • De 50 à 59 ans : les personnes sont 2 fois plus susceptibles de mourir de l’injection que d’éviter un décès par COVID et sont légèrement plus susceptibles de mourir de l’injection que de mourir de la COVID si elles ne sont pas vaccinées.

Ses calculs sont par ailleurs cohérents avec plusieurs études majeures publiées récemment (PantazatosMeyerCrawfordOhanaKuhbandner) [29-33].

Le Pr Peyromaure dénonçait il y a quelques mois une hérésie (Europe 1). Le Pr Claverie et le Pr La Scola mettent en garde contre l’absence de recul concernant les risques vaccinaux, notamment d’apparition de pathologies cancéreuses ou dégénératives à moyen et long terme, l’étude clinique sur laquelle a été évaluée le vaccin ne comportant que 1 000 enfants.

L’article de Kostoff et al. de décembre 2021 Pourquoi vaccinons-nous les enfants contre le COVID-19 ? recense l’ensemble des arguments qui plaident contre l’utilité des injections au sein de cette tranche d’âge, au regard notamment des risques qu’elles engendrent [34]. Comment un ministre peut-il encore les recommander 4 mois plus tard après la publication de cette étude ?

Mensonge no 4 : Le vaccin est sûr pour les femmes enceintes

Conférence de presse d’Olivier Véran concernant la situation sanitaire et la vaccination, 26 août 2021

« Dire qu’on manquerait de recul sur les vaccins est erroné. Nous avons une expertise des vaccins plus importante que sur nombre de médicaments d’usage courant. […] Et je redis ici, les femmes enceintes doivent se faire vacciner pour se protéger et protéger leur bébé. »

Olivier Véran, 26 août 2021

Est-ce vraiment ce que dit la science ?

  • Les femmes enceintes et allaitantes ont été exclues de l’essai clinique, le vaccin n’a donc jamais été testé sur elles en amont de la campagne de vaccination. Les études viennent tout juste de commencer : les résultats ne seront pas connus avant août 2022 (Pfizer), 2024 (Moderna) et fin 2025 pour l’étude C-VIPER.
  • Olivier Véran a pourtant expliqué, le 26 août 2021, qu’aucune agence sanitaire ne peut autoriser l’inoculation d’un produit en l’absence de données cliniques. Or il n’y en a pour l’instant aucune.
  • Le risque d’effets nocifs sur l’embryon ou le fœtus est clairement mentionné dans le Plan de gestion des risques du vaccin Comirnaty® Pfizer [35, p. 110] qui mentionne l’existence de cinq essais en cours visant à évaluer ses risques (le premier se terminera le 30 avril 2023) [35, p. 133, 146, 155].
  • Une étude parue en novembre 2021 met à son tour en garde contre l’impact potentiel de la vaccination maternelle contre la COVID-19 sur le développement fœtal et néonatal [36] : « N’avons actuellement aucune donnée pour évaluer les résultats de la vaccination maternelle contre le COVID-19 sur la santé de la progéniture, et cela peut prendre des années à générer. »
  • Le Plan de management des risques du vaccin Pfizer est d’ailleurs formel :

« L’administration du vaccin ARNm COVID-19 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les avantages potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus. » [35, p. 86]

Sur quelles bases s’est faite et continue à se faire la vaccination des femmes enceintes ? L’enthousiasme planétaire des agences de santé et leur confiance instinctive dans le vaccin sont-il une raison suffisante à leur imposer le vaccin ?

  • Les auteurs d’une étude parue en septembre 2021, bien après l’élargissement de la vaccination à l’ensemble des femmes enceintes, dénoncent des recommandations « à la fois mitigées et contradictoires » et « la nécessité d’identifier, de rassembler et de diffuser rapidement les données disponibles sur l’innocuité des vaccins » [37].
  • L’ANSM indique qu’aucun signal de sécurité n’existe à ce jour mais identifie à ce jour 6 événements indésirables à surveiller : événements thromboemboliques, contractions utérines douloureuses, morts in utero, HELLP syndrome, métrorragies, mastites [38, p. 9]. Les parturientes en sont-elles informées ?
  • Bien que l’Agence affirme que les données de pharmacovigilance française n’ont pas « montré de conséquences des vaccins à ARN messager sur le déroulement de la grossesse », elle réalise pourtant en parallèle une étude (Covacpreg) visant à suivre le déroulement des grossesses des femmes vaccinées.
  • Au 4 mars 2022, elle recensait 588 événements indésirables tous vaccins confondus [39], dont 70 % d’événements indésirables graves (+ 25 % en deux mois), alors que ce taux est seulement de 24 % en population générale. À aucun endroit ne sont précisés ni le nombre de doses administrées ni donc l’incidence de ces événements.
  • À titre d’information, trois médecins du Pentagone ont récemment alerté sur une explosion des effets au sein de l’Armée américaine depuis le déploiement des vaccins, la gravité de ces accusations ayant provoqué le lancement d’un essai clinique visant à les confirmer :
  • Fausses couches : + 279 % (x 3,79) ;
  • Malformations congénitales : + 155 % (x 2,55) ;
  • Infertilité féminine : + 471 % (x 5,71) ;
  • Dysfonctionnement ovarien : + 437 % (x 5,37).

Mensonge no 5 : Le vaccin n’a aucun impact sur la fécondité

« Non, les vaccins à ARN messager ne perturbent en aucun cas la fertilité des femmes. C’est aussi quelque chose qu’on entend souvent. Il n’y a aucun lien qui n’existe, ni en théorie ni dans la pratique, et ce après des mois de recul et des milliards de femmes vaccinées. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Non, il est impossible de l’affirmer et là encore, Olivier Véran ne peut l’ignorer puisque les études concernant les troubles menstruels n’ont commencé que fin juillet. Il le peut d’autant moins au regard des alertes émises par la communauté scientifique :

  • Des milliers de femmes dans le monde ont signalé l’apparition des troubles menstruels depuis le début de la campagne de vaccination : fausses couches, absence temporaire ou disparition des règles, entraînant un diagnostic de ménopause précoce. Ménopause ou stérilité ?
    D’autres évoquent des saignements ininterrompus pendant plusieurs semaines, avec pour possible conséquence la destruction prématurée de leur stock d’ovocytes. Le Collectif Où est mon cycle ? relate le cas d’une jeune femme ayant déclaré une endométriose peu de temps après sa vaccination, qui s’est résolue par l’ablation de son utérus.
    L’association Vérity (France), le collectif Real Not Rare (États-Unis) ou le Testimonies Project (Israël) diffusent quotidiennement de nouveaux témoignages de possibles effets secondaires des vaccins dont un grand nombre concerne des problèmes gynécologiques.

La parole se libère, les témoignages sont aujourd’hui légion (le collectif Où est mon cycle ? était reçu ces derniers jours au Parlement européen et par les sénateurs français) mais la question suivante se pose : ces drames étaient-ils évitables ?

La stérilité masculine est un autre point d’inquiétude :

  • Deux études parues l’une en octobre 2020 [45], l’autre en novembre 2020[46] ont montré que la protéine Spike se lie aux cellules ovocytaires, placentaires, mais également testiculaires, comme le montrait l’étude de biodistribution conduite par Pfizer [AMM p. 54].
  • De nouvelles données ont confirmé ce risque en 2021 : une étude publiée le 20 décembre 2021 [48] montre un remaniement des ovaires par la protéine Spike chez le Poisson-zèbre ; une autre, datée du 11 mai 2021 [49] identifie l’implication de la protéine Spike sur le système de reproduction masculin et la fertilitévia notamment la formation d’anticorps contre une hormone (la kisspeptine).

Peut-on raisonnablement dire qu’aucun lien n’existe ni en théorie ni dans la pratique et se satisfaire des propos rassurants du ministre évoquant les milliards de femmes injectées quand on sait que :

Mensonge no 6 : Le vaccin ne modifie pas le génome

« Non le vaccin ARN messager ne modifie pas le génome. D’ailleurs il ne peut même pas rentrer dans le noyau des cellules. Les noyaux sont des sortes de citadelles imprenables. L’ARN il est détruit en quelques heures, de jours, le temps de faire produire hors du noyau par nos cellules des anticorps contre le virus. »

Olivier Véran, Conférence de presse, 26 août 2021

Aucune étude de génotoxicité n’a été réalisée par les laboratoires [1, p. 50], mais plusieurs scientifiques ont alerté en amont de la campagne de vaccination sur l’existence d’un possible risque de modification du génome par les vaccins ARNm [52, 53].

Les récentes découvertes scientifiques leur donnent aujourd’hui raison :

  • Ce risque a été confirmé in vitro dès mai 2021 par l’Académie des sciences [54].
  • Une étude publiée en juin 2021 a montré que les cellules de mammifères possèdent une transcriptase inverse native (la polymérase thêta, Polθ) permettront donc de réinscrire des segments d’ARN peuvent dans notre ADN [55, 56].
  • Un article daté du 25 février 2022 mettant en évidence une transformation de l’ARN du vaccin Pfizer en ADN dans des cultures de cellules hépatiques clôt à cette polémique [57].

Combien auraient accepté de « se faire injecter dans le corps un produit de thérapie ou cellulaire », qui est la catégorie dans laquelle la FDA et l’Agence européenne des médicaments classent les vaccins à ARN messager (pages 7 et 23 du formulaire de déclaration d’inscription en bourse de BioNTech) ? Selon Stefan Oelrich, le PDG de Bayer, qui s’interrogeait à voix haute lors du World Helath Summit 2021, ils auraient été… 0,5 %.

Ceci explique-t-il cela ?

De l’obligation vaccinale à l’extorsion de consentement

Nous n’avons relevé ici que les affirmations du ministre de la Santé qui sont factuellement mensongères. D’autres sont éminemment problématiques (le vaccin ne donne pas le cancer, le sida, la maladie de Creutzfelds-Jakob…), car elles ne reposent sur aucun fondement scientifique et sont donc de nature à biaiser le consentement des Français :

Nous avons dénoncé il y a plusieurs semaines le mensonge du ministre de la Santé devant la représentation nationale visant à exclure a priori le rôle du vaccin dans les décès recensés par l’ANSM, dont il est par ailleurs légitime de penser qu’ils sont largement sous-estimés par rapport à nos voisins européens :

  • pas de cause de décès retrouvée dans 44 % des cas étudiés ;
  • aucune ne recherche des causes du décès pour les personnes de plus de 50 ans, la conduisant à exclure de ses investigations 75 % des cas ;
  • pas d’objectif d’exhaustivité dans le recensement des cas (site de l’ANSM).

Son silence interroge et inquiète d’autant plus aujourd’hui puisque le Gouvernement refuse toujours catégoriquement de supprimer le passe vaccinal et de réintégrer les soignants alors que plus rien ne le justifie (déclarations d’Olivier Véran et d’Emmanuel Macron).

Risques vaccinaux réévalués

Études, données de pharmacovigilance, autopsies… les alertes concernant les risques vaccinaux ne cessent de se multiplier. Jamais un vaccin n’aura été associé à un volume aussi élevé d’effets secondaires, dont on considère habituellement (rapport Lazarus) [62]), comme l’a d’ailleurs confirmé récemment Martin Blachier, qu’ils ne sont déclarés qu’à hauteur de 1 % (selon d’autres études, le facteur de sous-déclaration serait de 20 [29] ou de 41 [63, 64]) :

  • L’OMS dénombre à ce jour (5 avril 2022) 3 541 451 effets secondaires observés dans le monde (source : http://www.vigiaccess.org/), dont 40 % se manifestent chez les 18-44 ans.
  • À titre de comparaison, elle dénombre 272 202 effets secondaires pour le vaccin contre la grippe, 15 085 pour le vaccin contre le tétanos, 711 pour le vaccin contre les oreillons survenus depuis 1968, c’est-à-dire survenus en plus de 30 ans versus 1 an. Ces événements indésirables représentent donc 13 fois le nombre d’effets secondaires recensés en plus de 50 ans après une vaccination contre la grippe.
  • Aux États-Unis, le VAERS recense 1 205 753 effets secondaires post vaccination COVID, dont 26 396 décès pour un total de 2 074 104 d’effets secondaires et 35 763 décès post-vaccinaux, ce qui représente 74 % des décès post-vaccinaux et 58 % des effets indésirables recensés en 31 ans, tous vaccins confondus sur le territoire américain.
  • En Europe, la base EudraVigilance (base officielle de l’EMA) recense début avril plus de 42 000 décès post vaccination COVID, tous vaccins confondus, le chiffre symbolique des 1 000 000 effets secondaires a été dépassé fin septembre, il s’élève aujourd’hui à 1  746 550.
  • En France, l’ANSM recensait en décembre 2021 [38] : 121 486 événements indésirables (soit 271 % des 45 000 cas/an moyens tous médicaments confondus), dont 29 157 événements indésirables graves, 1 512 décès (dont 1 167 pour le vaccin Pfizer), auxquels s’ajoutent : 8 454 hospitalisations ;
    680 invalidités ;
    1 300 mises en jeu du pronostic vital.
    Elle recense 152 308 événements indésirables au 04 avril 2022, soit 25 % de plus en 3 mois .

Le lien avec le vaccin est-il avéré ? Impossible de l’affirmer, mais la comparaison au sein de chaque base avec les années précédentes et les autres vaccins est édifiante. Pourquoi se cantonner aux seules données françaises, dont la présentation est particulièrement opaque alors que la promotion des vaccins s’est faite sur la base des données mondiales ? L’explication est peut-être à trouver ici :

D’autres signaux sont éminemment préoccupants, notamment :

  • La multiplication des études portant sur des séries de cas cliniques et/ou des mécanismes physiopathologiques pouvant expliquer l’incidence de ces effets secondaires : plus de 1 000 selon une revue de la littérature (non exhaustive) actualisée au 10 janvier 2022. À titre d’exemple, une étude parue le 3 avril 2022 dénonce, encore une fois, une toxicité cardiaque des vaccins COVID-19 « sans précédent » selon les auteurs [65].
  • Les premières autopsies de personnes vaccinées réalisées en Allemagne [16, 17, 66, 67] et aux États-Unis [18] : les pathologistes alertent depuis plus de six mois sur leurs découvertes (lésions inédites, incidence hors norme de décès de personnes jeunes, notamment mineures).
  • La réévaluation du nombre d’effets indésirables déclarés dans en pharmacovigilance sur la base d’une série d’études [28-33, 63, 64] et, de manière plus inquiétante, sur les données des assureurs allemands : 10 fois plus d’effets secondaires selon l’assureur allemand BKK ProVita. L’un des plus éminemment pathologistes au monde, le Dr Peter Schirmacher, qui a réalisé les toutes premières autopsies de personnes vaccinées alertait à nouveau le 23 mars 2022 30 % des décès suspects imputables au vaccin dans sa pratique, de nombreux cas probablement non signalés et l’inefficacité de la vaccination obligatoire en population générale.
  • L’identification régulière de nouveaux signaux potentiels de sécurité : aphasie postvaccinale (52 en 2019 vs 3 057 rattachés au COVID), pemphigoide bulleuse auto-immune, déjà évoquée comme possible effet secondaire en octobre 2021 (série de cas, dont un mortel), troubles auditifs (l’OMS se décide à enquêter), ces signaux viennent compléter une liste hors norme de pathologies postvaccinales (plus de 1 200 types d’effets secondaires surveillés par Pfizer, recrutement de 1 800 employés supplémentaires pour analyser les signalements d’effets secondaires) [68, p. 6, 30-38].
  • La publication des premières études visant à comparer les effets secondaires des vaccins contre le COVID et du vaccin contre la grippe [69]. Le résultat est sans appel :

« La dyspnée, l’arrêt respiratoire, l’embolie pulmonaire, l’infarctus du myocarde, la thrombose, les hémorragies cérébrales et la pneumonie étaient les effets indésirables les plus fréquemment mentionnés dans les rapports de décès. […] Il existe un important excès de risque de décès, d’hospitalisation et de rapports mettant en jeu le pronostic vital pour tous les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins antigrippaux. »

Que se passe-t-il avec le vaccin Pfizer, alors même que la FDA, dont le directeur général a récemment divulgué comment les laboratoires négociaient l’homologation de leurs produits (ce que confirme la lettre d’accompagnement du virement adressé par Pfizer à l’attention de la scientifique principale de la FDA, le Dr Marion Gruber, qui a démissionné de son poste en novembre 2021 après avoir approuvé le vaccin Pfizer et dont l’époux est le vice-président de la recherche et développement clinique des vaccins), a dû être contrainte par la justice de divulguer les données cliniques de la vaccination Pfizer (en cours de publication).

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1494059501070479360

Les études montrent par ailleurs aujourd’hui que :

  • les effets secondaires sont majorés en cas de vaccination d’une personne ayant été précédemment infectéeOn le sait depuis septembre 2021 : comment comprendre le slogan « Une injection = une infection », considéré comme aberrant par un grand nombre de scientifiques ? [70]
  • les injections répétées induisent une fatigue du système immunitaire et/ou une auto-immunité systémique [71-74]. On le sait en réalité depuis une étude de 2009 selon laquelle : « Une immunisation répétée avec un antigène provoque une auto-immunité systémique chez des souris autrement non sujettes à des maladies auto-immunes spontanées. » [74] Sur quels fondements scientifiques reposent les boosters, actuellement contestés par l’EMA et l’OMS ?
  • le PDG de Moderna l’a d’ailleurs confirmé en 2016 en mettant en cause l’exposition répétée aux nanoparticules lipidiques :

« Ces nanoparticules peuvent entraîner des effets secondaires dangereux, surtout si un patient doit prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. »

  • le mécanisme vaccinal auquel se réfère le ministre de la Santé a été démenti il y a plusieurs mois : la protéine Spike est non seulement toxique [75-84] mais elle atteint l’ensemble des organes [85-93] (c’est écrit noir sur blanc dans les AMM de Pfizer et de Moderna [93, p. 47]) où elle persiste pendant au moins 60 jours [94, 95] sans qu’on sache si le corps l’éliminera un jour ni pendant combien de temps l’ARNm de synthèse injecté continue d’en produire [96].

Cet échange entre deux médecins concernant l’explosion des décès dans l’Armée américaine devrait logiquement glacer le sang de tout ministre de la Santé :

« Il y a une augmentation de 4 133 % des notifications de décès de militaires dans VAERS (pharmacovigilance vaccinale) entre 2020 et 2021 ! […] Le Dr Theresa Long (lanceuse d’alerte) m’a dit que l’an dernier 88 soldats de Fort Bragg avaient été retrouvés morts dans leur lit ! »

Bénéfices individuels et collectifs imaginaires

Le miracle vaccinal s’est définitivement dissipé il y a plus de six mois :

  • les personnes vaccinées et non vaccinées transmettent le virus de la même manière [97-104] ;
  • une étude d’envergure a démontré en septembre 2021 que le nombre de contaminations n’est pas corrélé au niveau de la couverture vaccinale [105], les pays vaccinés étant au contraire ceux où le virus circule le plus (OMS).
  • l’Afrique enregistrait en octobre 2021 la baisse des nouveaux cas la plus significative malgré un niveau de vaccination le plus faible dans le monde alors que l’Europe rapporte le taux d’incidence hebdomadaire des cas le plus élevé (OMS). À titre d’exemple, le Nigeria, pionnier dans le recours aux traitements précoces, totalise 3 142 morts pour une population de 206 millions d’habitants (136 fois moins qu’en France) malgré le taux de vaccination le plus faible au monde (8 %).

Le variant Omicron a définitivement rebattu les cartes :

  • en France, le taux d’incidence est actuellement le plus élevé en Bretagne, région la plus vaccinée. Son plus bas niveau est a contrario observé en Guadeloupe, département le moins vacciné. Avec l’émergence du variant Omicron, on parle désormais d’une efficacité négative du vaccin sur les contaminations.
  • en Norvège, une étude vient de chiffrer l’efficacité du vaccin chez les adolescents deux mois après leur deuxième dose : 23 % [106], confirmant les résultats de l’étude danoise de décembre 2021 qui avait déjà montré que les personnes doublement vaccinées s’infectent désormais plus que les personnes non vaccinées (efficacité négative de – 76,5 % pour le vaccin Pfizer et – 39,3 % pour le vaccin Moderna) [107].
  • les données récentes de la littérature pointent au contraire une contribution majeure du vaccin dans le développement de formes graves (anticorps facilitants, patients immunodéprimés jamais inclus dans les essais cliniques…), les décès causés par Omicron touchant essentiellement des personnes vaccinées (> 94 %), quasi exclusivement de plus de 60 ans.
Statistiques des décès COVID France par statut vaccinal, décembre 2021, issues de la Drees

Le mythe de l’épidémie de vaccinés est désormais une illusion à ce point criante qu’aucun Français, y compris vacciné, ne peut décemment croire en une quelconque utilité du passe sanitaire.

Comment comprendre dès lors la volonté d’Olivier Véran et du Président de la République de continuer à imposer une obligation vaccinale, illégale au regard du droit européen, au nom d’un risque sanitaire qu’aucune donnée scientifique ne soutient plus désormais, sans s’alarmer à aucun moment ni de la gravité des alertes émises par les scientifiques, ni du poids que font peser sur l’hôpital et sur la société les effets secondaires des vaccins dont Olivier Véran a lui-même reconnu que 24 % d’entre eux étaient des effets secondaires graves ? Jusqu’à combien de doses sont-ils prêts à aller avant de reconnaître que ces vaccins ne sont pas efficaces, s’interrogeait à voix haute un professeur de biologie il y a déjà six mois ? [108]

Israël, laboratoire à ciel ouvert de la vaccination Pfizer avait déjà prévenu en août 2021 : « Ne pensez pas que les boosters sont la solution. » [109] La toute dernière étude du New England Journal of Medicine parue le 5 avril 2022 [110] le confirme pour la quatrième dose, avec :

  • une chute de l’efficacité à près de 10 % en deux semaines ;
  • qui commence à s’effriter après 4 semaines ;
  • qui reste relativement élevée contre les formes graves mais jusqu’à la 6e semaine seulement.

Chacun jugera s’il souhaite ou non se faire inoculer une quatrième fois en un an, en fonction de son risque individuel, mais il doit pouvoir décider en connaissance des risques. Selon le pathologiste Ryan Cole dont nous publions une interview il y a quelques semaines [60], la balance ne plaide pas en faveur d’une énième injection.

https://twitter.com/Anaiss_tea/status/1512309617522528259

Jacques Cohen, Pr émérite à l’URCA de Reims et immunologiste, le confirme d’ailleurs et exprime ses craintes concernant de futures injections : « On a vacciné avec un certain nombre d’incidents. Mais si on met une troisième dose, là, c’est un peu tenter le diable, c’est-à-dire augmenter le taux d’effets secondaires. » Les Dr Michael Palmer et Sucharit Bhakd du collectif Doctor for ethics l’expliquaient dans un article publié le 10 janvier 2022 [111].

La « réactogénicité plus sévère après la 2e dose » figure déjà parmi les signaux actuellement sous surveillance de l’ANSM. Sur quels critères scientifiques est-elle imposée aujourd’hui aux Français, il y a quinze jours au plus de 80 ans, depuis aujourd’hui au plus de 60 ans, et demain ?

L’ombre de la méthode McKinsey ?

Aucun médecin ne peut lucidement soutenir aujourd’hui un programme de vaccination non ciblée, encore moins l’imposer à la population. Aucune institution garante de la Constitution ne peut permettre une telle dérive et une telle entorse au droitpiétant plus de 10 textes de lois, dont le Code de Nuremberg. C’est précisément l’intelligence diabolique du passe sanitaire, qui présente accessoirement l’avantage pour le Gouvernement de ne pas avoir demain à indemniser les victimes, du moins si l’on en croit le rejet de l’amendement proposé par le sénateur Alain Houpert visant à corriger cette injustice puisqu’Olivier Véran a assuré le contraire, comme il avait assuré le 23 décembre 2020 que la vaccination ne serait jamais obligatoire et le passe sanitaire, limité aux événements exceptionnels :

Pourquoi en sommes donc nous là aujourd’hui ? Pourquoi des doses continuent-elles d’être commandées ? Pourquoi les Français doivent-ils vivre avec l’angoisse de devoir se soumettre à des injections objectivement délétères, sans aucune raison apparente ?
Est-on en droit de parler d’escroquerie ou de tromperie aggravée compte tenu de l’absence d’impact des vaccins sur la mortalité COVID, pourtant revendiquée dans l’AMM pour justifier la précipitation de sa mise sur le marché [1] ?

Le conflit d’intérêts entre le président du Conseil constitutionnel et le cabinet McKinsey est connu depuis des mois. On apprend aujourd’hui à la faveur du contexte électoral que c’est le même cabinet McKinsey qui assure depuis l’origine le pilotage de la stratégie vaccinale française sous la tutelle du ministre de la Santé.

Premier problème, des membres de McKinsey accompagnent gracieusement Emmanuel Macron depuis la création d’En marche ! dont plusieurs cadres sont également des associés du cabinet.

Y a-t-il eu appel d’offres ? On l’ignore, mais si tel est le cas, jamais il n’aurait pu être remporté par un prestataire dont le siège est basé dans un paradis fiscal, en l’occurrence le Delaware. Le Paquet national financier enquête, mais déjà certains s’interrogent.

Est-ce McKinsey qui a recommandé d’interdire aux médecins de prescrire, y compris pour eux-mêmes ou pour les proches ?
Lui a-t-il le cas échéant également dicté la liste des molécules censurées ?
Le gouverneur du Kansas vient de réhabiliter leur utilisation et de requalifier en « négligence délibérée » le refus de prescrire ou de délivrer de l’ivermectine ou de l’hydroxychloroquine dont l’efficacité est à leurs yeux avérée :

Est-ce le cabinet McKinsey qui a suggéré que l’on remplace l’évaluation clinique des patients par des tests PCR dont on savait depuis le début qu’ils ne permettent pas d’identifier si une personne est contagieuse ou malade et dont on sait aujourd’hui qu’ils ont effectivement produit un nombre de faux positifs estimé dans certains pays à… 97 % ? (§ 17, iii du jugement rendu par la Cour d’appel de Lisbonne le 11/11/2020) ?

Est-ce également lui qui a proposé que les médecins puissent administrer du rivotril hors AMM sur la base d’un test PCR ?

Est-ce enfin le cabinet McKInsey qui a conseillé au Sénat de rejeter la demande du Pr Toubiana qui réclamait un accès complet aux statistiques de mortalité toutes causes confondues en fonction du profil de vaccination ? Peut-on parler d’« obstruction » comme le pense son auteur ?

Est-ce le cabinet McKInsey qui a encouragé les confinements dont l’échec est aujourd’hui acté [112-114] et dont le retentissement dramatique sur l’économie et la santé mentale autorise à le qualifier de « barbare » ?
Combien de Français se sont fait vacciner pour ne plus jamais revivre ça, combien de jeunes l’ont fait en toute confiance suite aux déclarations d’Olivier Véran ?
On se souvient du slogan qu’il avait utilisé, lors de la visite d’un vaccinodrome :

« Le vaccin est 100 % efficace contre les confinements » ?

Second problème, McKinsey est également actionnaire du laboratoire Pfizer [115, p. 262] dont il a assuré le placement des vaccins dans 78 pays (c’est en tout cas le nombre de pays où il est implanté), via les mandats de vaccination et les passeports sanitaires. Autrement dit, des obligations vaccinales déguisées reposant sur trois piliers fondamentaux : la pression économique, sociale et morale, le refus de soins pour les personnes non vaccinées et la confiance dans le vaccin. Or c’est là que les choses se compliquent.

Faut-il voir dans les mensonges d’Olivier Véran et dans les provocations du Président de la République à l’encontre des non-vaccinés une manière de responsabiliser les Français, quoi qu’il en coûte pour leur santé, ou bien plutôt une méthode de vente agressive ? McKinsey était-il informé des conclusions de l’essai clinique, dont la publication récente des données,sur ordre de la justice confirment selon Philip G. Kerpen ce que les scientifiques ont mis depuis en évidence :

  • Des effets secondaires plus graves et plus fréquents chez les plus jeunes, qui tendent à augmenter en fonction de la dose (p. 324)
  • Une baisse de l’immunité les deux jours suivant l’injection, persistante pendant sept jours (p. 319)
  • Pas ou peu de bénéfices chez ceux ayant déjà contracté le COVID.

Si tel était le cas, Olivier Véran l’était-il également ? La récente nomination (26 août 2021) au poste de directeur de l’Innovation de Pfizer de l’ancien consultant de McKinsey, Aamir Malik, alors en poste lors de la campagne de 2017 interdit-elle de le penser ?

Accélérer alors que tous les signaux sont au rouge, c’est en substance la méthode qu’a utilisée le cabinet McKinsey lors de la crise des opioïdes pour aider l’entreprise Purdue Pharma à augmenter ses ventes. Les décès par overdose augmentent et dissuadent les pharmaciens de maintenir la distribution d’Oxycontin ? Offrez-leur des rabais ! Cynique ? Oui. Bilan : 500 000 morts, un recul de l’espérance de vie des Américains et le plus gros scandale sanitaire de ce siècle. McKinsey sera condamné par la justice, en pleine crise du COVID, peu avant d’être reconduit dans ses missions par le Gouvernement, et s’engagera à ne plus conseiller aucune entreprise pour placer ses produits.

Les passeports sanitaires seraient-ils une alternative relevant du même procédé ? La justice le dira, une plainte a été déposée par plusieurs associations pour « corruption » et « recel de favoritisme ». Mais on ne peut que s’étonner du mimétisme entre la stratégie vaccinale française et celle adoptée pour le compte de Purdue Pharma puisque, depuis la promesse de ne pas imposer la vaccination aux Français et de limiter le pass sanitaire à des situations exceptionnelles, la réponse du Gouvernement face à la terreur des Français de se faire injecter le vaccin a toujours été la suivante :

  • élargir le nombre d’activités et de lieux soumis au pass sanitaire ;
  • augmenter le nombre d’injections requises pour son maintien ;
  • réduire arbitrairement la durée d’immunité sans jamais tenir compte des alertes émises par la communauté scientifique.

Il manquait en effet une explication rationnelle permettant de comprendre comment un ministre de la Santé avait pu mentir aux Français avec un tel aplomb et leur faire courir de tels risques.

Faut-il en conclure que l’acharnement vaccinal qu’ils subissent depuis un an et l’injonction qui leur est faite de se sacrifier au nom de l’intérêt supérieur de la nation n’a jamais eu d’autre finalité que de les transformer en produits de consommation de l’industrie pharmaceutique ?
Combien de millions ont-ils offerts aux laboratoires en leur permettant de tester gratuitement une nouvelle technologie et en effectuant pro bono le placement de leurs « vaccins » ?
Une compensation a-t-elle été négociée en échange de ce cadeau commercial ?

S’il y a une autre explication, il est urgent de la donner.

Références

  1. European Medicines Agency (EMA). Assessment report. Comirnaty: Common name: COVID-19 mRNA vaccine (nucleoside-modified) Procedure No. EMEA/H/C/005735/0000. 2021 Feb 19. EMA/707383/2020 Corr.1*1 https://www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf.
  2. Institut Paul-Ehrlich. Rapport sur les cas suspects d’effets secondaires et de complications vaccinales après vaccination pour se protéger contre le COVID-19 (période de déclaration du 27 décembre 2020 au 31 août 2021). Langen. 2021 Szpt 20. https://www.pei.de/SharedDocs/Downloads/DE/newsroom/dossiers/sicherheitsberichte/sicherheitsbericht-27-12-bis-31-08-21.pdf.
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  4. Prasad V. Myocarditis under age 40: An update. Brownstone Institute. 2021 Dec 28. https://brownstone.org/articles/myocarditis-under-age-40-an-update/.
  5. Patone M, et al. Risks of myocarditis, pericarditis, and cardiac arrhythmias associated with COVID-19 vaccination or SARS-CoV-2 infection. Nature Medicine. 2021 Dec 14. DOI: 10.1038/s41591-021-01630-0.
  6. Mevorach D, et al. Myocarditis after BNT162b2 mRNA vaccine against Covid-19 in Israel. N Engl J Med. 2021; 385:2140-2149. DOI: 10.1056/NEJMoa2109730.
  7. Chua GT, et al. Epidemiology of acute myocarditis/pericarditis in Hong Kong adolescents following comirnaty vaccination. Clinical Infectious Diseases. 2021 Nov 28. ciab989. DOI: 10.1093/cid/ciab989.
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  97. Acharya CB, et al. No Significant Difference in Viral Load Between Vaccinated and Unvaccinated, Asymptomatic and Symptomatic Groups Infected with SARS-CoV-2 Delta Variant [Aucune différence significative dans la charge virale entre les groupes vaccinés et non vaccinés, asymptomatiques et symptomatiques infectés par la variante delta du SRAS-CoV-2]. 2021 Sept 29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.09.28.21264262v1.
  98. Riemersma KK, et al. Shedding of Infectious SARS-CoV-2 Despite Vaccination. [Excrétion du SRAS-CoV-2 infectieux malgré la vaccination] 2021 Oct 15. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.07.31.21261387.
  99. Brown CM, Vostok J, Johnson H, et al. Outbreak of SARS-CoV-2 Infections, Including COVID-19 Vaccine Breakthrough Infections, Associated with Large Public Gatherings — Barnstable County, Massachusetts, July 2021. MMWR Morb Mortal Wkly Rep 2021;70:1059-1062. DOI: 10.15585/mmwr.mm7031e2
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  102. Mallapaty S. COVID vaccines cut the risk of transmitting Delta — but not for long [Les vaccins COVID réduisent le risque de transmission de Delta – mais pas pour longtemps]. Nature. 2021 Oct 5. https://www.nature.com/articles/d41586-021-02689-y#ref-CR1.
  103. Servellita V, et al. Predominance of antibody-resistant SARS-CoV-2 variants in vaccine breakthrough cases from the San Francisco Bay Area, California. 2021 Aug 25. DOI: https://doi.org/10.1101/2021.08.19.21262139.
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  112. Drustan JY. Évaluation scientifique d’une idéologie sanitaire. LePointCritique. 2022 Mar 4. https://lepointcritique.fr/2022/03/04/evaluation-scientifique-ideologie-sanitaire/.
  113. Bendavid E, Oh C, Bhattacharya J, Ioannidis JP. Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19. Eur J Clin Invest. 2021 Apr;51(4):e13484. DOI: /10.1111/eci.13484.
  114. Alexander PE. Plus de 400 études sur l’échec des interventions Covid obligatoires (confinements, restrictions, fermetures). Browstone Institute. 2021 Nov 30. https://brownstone-org.translate.goog/articles/more-than-400-studies-on-the-failure-of-compulsory-covid-interventions/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=op,wapp.
  115. Assassi É, Bazin A (dir.). Rapport fait au nom de la commission d’enquête (1) sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques sur « Un phénomène tentaculaire : l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques ». Rapport no 578, remis à M. le Président du Sénat le 16 mars 2022. https://t.co/oaaxcBw0wp.

Le site lepointcritique.fr ne se fixe pour mission que d’informer le public. Il n’a donc en aucun cas vocation à se substituer ni à un avis ni à un diagnostic médical, encore moins à conseiller ses lecteurs sur l’usage ou le non-usage d’un médicament.




Le plus grand danger pour nos libertés ne serait-il pas la réélection de E. Macron ?

Par Gérard Delépine

Les médias et le gouvernement essayent de nous faire croire que reconduire E. Macron protégerait nos libertés, que menacerait par ailleurs M le Pen.

Pourtant le quinquennat Macron a été le plus antidémocratique et antisocial de la cinquième république avec utilisation permanente de mensonges d’état, propagande massive, censure, persécution des donneurs d’alerte et des opposants, fichage généralisé et restriction des libertés…

Que restera-t-il de nos libertés s’il poursuit ses attaques contre elles pendant 5 ans de plus ?

Mensonges permanents pour manipuler l’opinion, faire régner la terreur et culpabiliser les opposants

Les mensonges sur l’intérêt supposé des masques ont été les premiers à atteindre des sommets ubuesques que chacun garde en mémoire.(([1] https://www.bfmtv.com/politique/olivier-veran-l-usage-des-masques-est-inutile-en-dehors-des-regles-d-utilisation-definies_VN-202003040077.html))(([2] https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/commerces-les-masques-sont-desormais-obligatoires_4050923.html))(([3] https://www.lemonde.fr/politique/article/2020/04/06/port-du-masque-l-executif-amorce-un-virage-a-180-degres_6035698_823448.html))

Allocutions répétées des membres de l’exécutif et des interventions de la Direction générale de la santé, relayées par les principaux médias et spots publicitaires anxiogènes quotidiens, conçus par une agence de communication, experte en sciences comportementales. Allocution présidentielle martelant que nous sommes en guerre alors qu’il n’en est rien. Allocutions ministérielles présentant des chiffres exorbitants et infondés avec mise en avant permanentes des testés « positifs » et non pas des « malades » afin de présenter des chiffres susceptibles d’entretenir la terreur.

Manipulation liée aux tests PCR du SARS-CoV2

Chez une personne ne présentant aucun signe clinique, la positivité d’un test PCR n’indique absolument pas qu’elle est malade, ni qu’elle le deviendra, ni qu’elle est porteuse de virus, ni qu’elle peut le transmettre. Ces constatations ont initialement été faites sur 3790 cas positifs.(([4] Rita Jaafar Corrélation entre 3790 échantillons positifs de réaction en chaîne de polymérase quantitative et cultures de cellules positives, y compris 1941 isolats de coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère Maladies infectieuses cliniques, 28/9/2020 ciaa1491,
https://academic.oup.com/cid/article/72/11/e921/5912603?login=false)) Cette étude a conclu : « À un seuil de cycle (ct) de 25, environ 70 % des échantillons restent positifs dans la culture cellulaire (c’est-à-dire qu’ils étaient infectés) ; dans un ct de 30, 20 % des échantillons sont restés positifs ; dans un ct de 35,3 % des échantillons sont restés positifs ; et à un ct supérieur à 35, aucun échantillon n’est resté positif (infectieux) en culture cellulaire (voir diagramme). »

La confirmation de l’absence d’intérêt médical des tests PCR chez les asymptomatiques a été confirmé lors du dépistage colossal (10 millions de personnes testées) autour de Wuhan(([5] http://www.chinadaily.com.cn/a/202006/03/WS5ed6f96ea310a8b24115a6a8.html))(([6] France info avec AFP : Après avoir mobilisé plus de 28 000 soignants sur plus de 2 800 sites, les autorités de Wuhan (Chine) ont réalisé la plus vaste opération de dépistage du Covid-19 chez onze millions d’habitants pour un prix de 127 millions de dollars lundi 9 août 2020)) où aucun des 300 asymptomatiques positifs en PCR ne s’est révélé porteur de virus, ni contaminant, ni atteint par la maladie après un mois de surveillance.(([7] Post-lockdown SARS-CoV-2 nucleic acid screening in nearly ten million residents of Wuhan, China https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w))

Le 11 novembre 2020, la 3e chambre pénale de la cour d’appel de Lisbonne(([8] Lisbonne, le 11 novembre 2020 Margarida Ramos de Almeida Ana Paramés.)) se basant sur les données de la littérature internationale a condamné le recours exclusif au test PCR comme moyen de diagnostic de covid.

« Le test PCR retenu n’est en aucun cas un élément de certitude pour poser le diagnostic à coronavirus 19 et ne doit pas être utilisé à ces fins. Au vu des preuves scientifiques actuelles, ce test est, en soi, incapable de déterminer, au-delà de tout doute raisonnable, qu’une telle positivité correspond, en fait, à l’infection d’une personne par le virus SARS-CoV-2.

La cour rappelle que le diagnostic de malade du covid devrait être posé par un médecin inscrit à l’ordre des médecins et non pas un simple test pratiqué et interprété par des non-médecins. Le médecin se doit d’examiner son patient, prescrire des examens complémentaires éventuels, de l’interroger, avant de poser un diagnostic. »

Manipulation du taux d’incidence

(nombre de personnes infectées sur 100 000 habitants)(([9] https://www.mondialisation.ca/covid-19-rt-pcr-ou-comment-enfumer-toute-lhumanite)): le seuil épidémique d’alerte pour chaque épidémie à virus respiratoire (syndromes grippaux)(([10] https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/covid-19-une-enquete-pour-suivre-l-evolution-des-comportements-et-de-la-sante-mentale-pendant-l-epidemie))(([11] V.DAR Page 13 sur 44 bilan annuel)) auparavant fixé entre 150 et 200 cas pour 100 000 habitants a été abaissé à 50 cas pour 100 000 habitants, en mai 2020. Ce changement de seuil a pour but de faire croire que la situation est grave, ce qui permet aux Agences régionales de santé (A.R.S.), aux préfets et à l’exécutif de prendre des mesures liberticides

Mensonges concernant les patients en hôpitaux : les malades et décédés ont été comptabilisés covid-19 sur la simple foi d’un test frauduleux même lorsque le décès et/ou la maladie étaient la conséquence d’une autre pathologie ou d’un accident.

Manipulation des taux d’occupation des lits de réanimation : le gouvernement a décidé d’abaisser le seuil de vigilance de 60 % à 40 % de patients covid-19 en réanimation et le seuil d’alerte de 80 à 60 %.

Opacité autour des patients décédés : absence d’autopsie (voire interdiction) qui aurait permis d’établir la cause réelle de la mort. Le même refus d’autopsie est actuellement pratiqué en cas de mort après vaccination afin de nier tout lien possible de causalité.

[La Pologne n’achètera plus de « vaccins » anticovid :
https://www.francesoir.fr/politique-monde/la-pologne-nachetera-ni-ne-paiera-plus-le-vaccin-anti-covid]

Gestion de crise totalement disproportionnée et non conforme aux pratiques habituelles en la matière et globalement très inefficace.

En effet, en cas d’épidémie, les experts savent qu’il est nécessaire d’isoler les « malades » (non pas les « positifs ») et de les soigner.

Confinement(([12] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-critique-decision-politique-delepine))

Imposant une astreinte à domicile de toute la population, mesure pourtant totalement contraire à l’état de la science.

Violant le droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, de restreindre la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.

Violant la liberté d’entreprendre visant spécifiquement les P.M.E. : les commerçants, les indépendants, le secteur de la culture et de l’événementiel, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le tourisme, etc.

Violant le droit de manifester et de se rassembler et usant de violence à l’encontre des manifestants (ou interdiction pure et simple).

Violation du droit à l’éducation durant le premier confinement.

Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France.

Toutes les études scientifiques indépendantes ont depuis démontré que ces confinements n’ont entraîné aucune réduction des taux de transmission du Covid-19, ni une réduction du nombre des décès, mais de nombreuses victimes par défaut de soins, des dommages majeurs à l’enseignement, un recul sans précédent du PIB et de l’économie de la France, une augmentation de la pauvreté et des inégalités sociales.

Mesures de couvre-feu et d’interdictions diverses restreignant les libertés sans aucune justification scientifique, faisant fi de l’intelligence collective et traitant les citoyens comme des mineurs alors qu’aucune étude scientifique des faits constatés n’a démontré qu’elles pouvaient avoir un effet utile sur l’épidémie.

Euthanasie active des anciens dans les EPHAD et dans certains hôpitaux par administration du Rivotril alors que l’euthanasie active est interdite en France.(([13] Loi Clayes-Léonetti n° 2016-87 du 2 février 2016))

La volonté de mettre à l’isolement des citoyens simplement « positifs » à un test fallacieux (proposition de loi du député Olivier Becht) et volonté d’étendre cette séquestration aux non-vaccinés attestée par le projet de loi 3714. Allocution présidentielle du 24 novembre 2020 menaçante :

« Je souhaite que le gouvernement et le Parlement prévoient les conditions pour s’assurer de l’isolement des personnes contaminées, y compris de manière plus contraignante ».

Décision de rendre le port du masque obligatoire en toutes circonstances pour les adultes (juillet 2020), puis les enfants(([14] l’article 36 du décret n° 2020-1310 du 29 octobre 2020)) (octobre 2020) alors qu’aucune étude scientifique ne démontre l’utilité du masque en cas d’épidémie de Covid et que beaucoup rappellent l’absence de bénéfices et la nocivité du port du masque, même pour les professionnels(([15] Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery (Journal Neurocirurgia, 19 avril 2008 — PMID 18500410))(([16] Use of surgical face masks to reduce the incidence of the common cold among health care workers in Japan: a randomized controlled trial (American Journal of Infection Control, 12 février 2009 – PMID 19216002))(([17] A cluster randomised trial of cloth masks compared with medical masks in healthcare workers (British Medical Journal, 22 avril 2015 PMID: 25903751) : 20)). Mesure parfaitement disproportionnée, qui ne tient pas compte de la balance bénéfice/risques en l’état des connaissances scientifiques.

Interdiction de traitements anti-covid-19 disponibles bon marché en violation des droits du patient, de la liberté de prescrire et des données de la science.

Le 19 novembre 2020 le Professeur Harvey Risch, MD, PhD, spécialiste en épidémiologie et maladies chroniques de l’université de médecine de Yale, auditionné par le Sénat américain affirme(([18] https://www.hsgac.senate.gov/imo/media/doc/Testimony-Risch-2020-11-19.pdf)):

« Les preuves des avantages de l’hydroxychloroquine utilisée à un stade précoce chez les patients ambulatoires à haut risque sont extrêmement solides, et les preuves d’absence d’effets nocifs sont tout aussi solides.

Cet ensemble de preuves l’emporte nettement sur les preuves de risques/bénéfices du Remdesivir, des anticorps monoclonaux ou du bamlanivimab, difficile à utiliser, que la FDA a approuvés pour les autorisations d’utilisation d’urgence, tout en refusant l’autorisation d’utilisation d’urgence de l’hydroxychloroquine. Ce double standard flagrant pour l’hydroxychloroquine doit être immédiatement renversé et sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence approuvée. C’est ainsi que nous nous mettrons sur la voie d’un traitement ambulatoire précoce et d’une réduction importante de la mortalité ».

En France aussi ce double standard de critères d’autorisation a été scandaleusement appliqué en autorisant le Remdesivir alors que cette molécule extrêmement coûteuse n’avait aucunement démontré son efficacité qui a d’ailleurs été niée depuis par l’O.M.S.

Censure et violation de la liberté d’expression

Tous les médias, Facebook et Twitter ont interdit l’expression d’opinion contestant le récit officiel en les qualifiant systématiquement de fausses nouvelles et leurs auteurs traités de complotistes et d’antivax même lorsqu’ils avaient toute leur vie défendu les vrais vaccins comme les Pr Raoult et Perronne.

Depuis le début de son mandat, E M a choisi de placer l’information sous contrôle. Dès lors, tout était possible, et la fermeture de RT France n’est que le résultat de « la propagande et la censure voulue » par le président de la République.

Il n’y a eu aucun débat sur la réalité de la crise, l’intérêt médical des mesures ou la nécessité d’un état d’urgence.

Les délibérations du conseil scientifique pilotant les décisions sanitaires ont été déclarées Secret-défense pour 50 ans et en même temps J. Castex affirmait que cette politique était transparente !

Le conseil de l’ordre des médecins a rétabli le délit d’opinion(([19] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/le-conseil-de-lordre-retablit-le-delit-dopinion#disqus_thread)) à la demande du gouvernement et poursuivi de nombreux médecins qui exprimaient des doutes sur la stratégie anti-covid de E. Macron.

Le 24 décembre 2020, J. Castex s’est attaqué à la liberté d’expression des médecins en publiant un décret modifiant l’Article R. 4127-19-1 du code de santé publique afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle.

Emmanuel Macron a installé une commission prétendument indépendante visant à lutter contre les fausses informations, présidée par le sociologue Gérald Bronner et dont les membres ont été choisis par l’Élysée. Beaucoup d’entre eux ont la fâcheuse habitude d’user du terme « complotisme » comme d’un anathème contre quiconque pense mal (= différemment du gouvernement).

Persécution des donneurs d’alerte et des soignants vaccino prudents

Raoult, Perronne et bien d’autres médecins dont la seule faute était de dénoncer les erreurs et mensonges du récit officiel et de s’y opposer publiquement ont été diffamés, poursuivis par l’ordre, démis de leurs fonctions et parfois chassés de leur emploi.

Et pour pouvoir évincer de la profession médicale sans possibilité de recours les médecins, chirurgiens-dentistes sage-femme, pharmacien et autres soignants infirmiers, masseur-kinésithérapeutes, pédicure-podologue qui n’obéiraient pas aux ukases gouvernementaux, E. Macron a créé par ordonnance en date du 19 juillet 2021 un « Conseil national de certification ». Officiellement chargé de garantir le maintien des compétences, la qualité des pratiques professionnelles [et] l’actualisation et le niveau des connaissances, il dispose en pratique du droit exorbitant de retirer le droit d’exercer des médecins. Il abolit en pratique la valeur du diplôme de docteur en médecine puisqu’elle peut décider seule de supprimer le droit d’exercice aux soignants qui lui déplaise.

L’obligation vaccinale des soignants a exclu inutilement de la profession 15 000 à 30 000 soignants. Ce n’étaient pas des antivax comme les ont présentés le gouvernement et les médias (ils avaient dans le passé accepté de recevoir de vrais vaccins et de les injecter) mais des soignants qui ayant observé des complications vaccinales étaient devenus vaccino prudents, attendant les résultats définitifs des essais toujours en cours avant de se décider de les accepter ou non. Ils ont été exclus de la profession sans salaire ni chômage aggravant le manque cruel de personnel qualifié et le nombre de déserts médicaux tandis que le ministre et les ARS prétendent qu’ils n’auraient « pas de soignants dans les placards ».

Roi de la propagande, de la censure, de la persécution des donneurs d’alerte et des opposants, du fichage généralisé et des restrictions des libertés, E. Macron le fait en cohérence avec la complaisance qu’il éprouve envers les régimes et dirigeants autoritaires, comme la Chine (initiatrice du confinement) ou du Qatar, apôtre de l’obligation vaccinale.





Le serment d’Hippocrate à géométrie variable du Collège national des généralistes enseignants (CNGE)

Par le Dr G Delépine

Le Collège national des généralistes enseignants (CNGE) a appelé à voter Macron relayé sur les réseaux sociaux par le Dr Jérôme Marty, président de l’UFML, le Syndicat national des jeunes médecins généralistes (SNJMG) ou encore le Dr Mathias Wargon(([1] En époux d’une ministre…)), chef des urgences de l’hôpital de Saint-Denis.

Ils affirment(([2] https://www.lequotidiendumedecin.fr/actus-medicales/politique-de-sante/generalistes-enseignants-etudiants-universitaires-et-mutualite-appellent-clairement-faire-barrage)) que le serment d’Hippocrate serait :

« en totale contradiction avec celles de l’extrême droite qui a toujours prôné un discours d’exclusion, de sectarisme, d’intolérance et de xénophobie qui heurte au plus profond le, sens de nos pratiques et de nos engagements ».

Médecin qui se bat depuis toujours pour le strict respect de ce serment que j’ai juré de respecter et de défendre, je suis scandalisé de cette instrumentalisation politique par des organisations et des personnes qui ne l’ont jamais défendu contre les décisions du gouvernement Macron qui l’ont bafoué pendant ces deux dernières années telles que :

1°) L’interdiction faite aux médecins de prescrire de la Chloroquine sous le fallacieux prétexte d’une toxicité que seuls des articles mensongers signalaient (en totale contradiction avec l’expérience de 50 ans d’usage libre sans toxicité notable.) Interdiction sans précédent historique que le CNGE n’a pas dénoncée.

2°) L’injonction de ne donner que du Doliprane(([3] À risque par ailleurs :
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/utilisation-paracetamol-erreur-prejudiciable-pour-la-sante))

Qu’ont-ils fait à ces moments pour « préserver l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. », comme ils l’ont juré ?

3°) Le décret Rivotril et l’instruction de pratiquer des euthanasies actives des personnes âgées au Rivotril sur simple suspicion de covid, sans l’avis des intéressés ni de leurs familles interdites de visite.

Qu’ont-ils fait pour défendre cette partie de leur serment : « Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. » ? Euthanasie active que trop peu médecins et en tout cas pas le CNGE ont dénoncée.(([4] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ?
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/decret-rivotril-compassion-223015))

4°) Et lors de l’instruction ministérielle de ne pas adresser aux urgences nos aînés suspects de covid, pourquoi le CNGE n’a-t-il pas répondu comme le serment le prévoit :

« Je ne permettrai pas que des considérations d’âge, de maladie ou d’infirmité, croyance… s’interposent entre mon devoir et mon patient ».

5°) Qu’a fait le CNGE lors des décisions Macron d’instaurer un apartheid avec les pass sanitaire puis vaccinal y compris dans les maternités et les hôpitaux ? A-t-il oublié que tout médecin a juré :

« Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. »

Tout au long de cette crise, la défense du serment d’Hippocrate n’a apparemment pas préoccupé le CNGE lors des violations réalisées par le gouvernement Macron. Mais elle monte un procès d’intention à M Le Pen ? Deux poids, deux mesures qui font fortement douter de l’éthique du CNGE.

De plus cette application à géométrie variable du serment d’Hippocrate se double d’un déni scientifique. L’ignorance du Collège national des généralistes enseignants atteint des sommets lorsqu’il affirme :

« , le Rassemblement national s’est illustré au cours de la crise Covid par des prises de position s’opposant brutalement aux données scientifiques. En deux ans, Marine Le Pen a défendu la liberté de prescription d’hydroxychloroquine ou s’est montrée “fondamentalement opposée à la vaccination Covid des enfants. »

En effet, il suffit de consulter les données publiées par l’OMS(([5] Consultable en français à « OMS coviddashboard » :
https://covid19.who.int/)) et les courbes de l’université John Hopkins pour vérifier que les affirmations du CNGE sur la chloroquine et les pseudo vaccins en contradiction totale avec données scientifiques du monde réel reposent uniquement sur le crédo gouvernemental.

1°) Que ce soit en Algérie qui a conseillé et appliqué le protocole Raoult et qui compte treize fois moins de morts par millions que nous(([6] https://ripostelaique.com/le-succes-de-lalgerie-face-au-covid-confirme-lefficacite-du-protocole-raoult.html)) alors que sa population partage les mêmes facteurs de risque (âge avancé(([7] Les 60 ans et plus représentent 25 % d la population algérienne : près de 11 millions, sur une population globale de plus de 40 millions d’après l’agence officielle d’Algérie.)), obésité, hypertension…) que la nôtre :

2°) Ou en Afrique équatoriale qui souffre du paludisme et dont les populations qui prennent quotidiennement des antipaludéens ont été largement épargnées(([8] https://nouveau-monde.ca/lafrique-test-geant-pour-la-chloroquine-comparaisons-des-mortalites-covid-entre-lafrique-et-leurope/)):

3°) ou en Inde dont le Covid task force a refusé de suivre l’OMS et fortement conseillé l’usage préventif et précoce de la chloroquine

3°) Que les vaccins ont été incapables de diminuer la mortalité Covid. Les pays qui ont prescrit des traitements efficaces (HCQ, Artémisine, Ivermectine) comptent 5 à 20 fois moins de morts que ceux qui, comme la France, ont refusé les traitements précoces et imposé le crédo du tout vaccin

4°) que l’injection des enfants par des substances géniques expérimentales qui ne sont pas des vaccins(([9] Selon Pasteur un vaccin est constitué d’antigènes obtenus à partir de l’agent pathogène inactivé ou tué. Les pseudo vaccin covid ne contiennent pas d’antigène, mais seulement un ARN messager.)) est inutile et dangereuse n’est donc absolument pas justifiée.

Chez l’enfant, les pseudo vaccins ne peuvent pas lui être utiles. Toutes les études publiées et toutes les sociétés de pédiatrie du monde s’accordent pour affirmer que le covid est rare chez l’enfant et qu’il est le plus souvent asymptomatique et qu’il n’est pas dangereux. Le relevé de santé publique France montre que dans cette tranche d’âge, il est trois fois moins dangereux que la grippe. Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel des injections anti-covid.(([10] Large bibliographie in « Les enfants sacrifiés du covid » par N et G Delépine éditions Fauves 2022))

Toutes les études épidémiologiques montrent que les enfants ne contaminent personne et qu’ils ne constituent pas un vecteur de transmission communautaire.

Leur injecter des produits expérimentaux qui se sont de plus révélés incapables de prévenir les transmissions ne présente donc aucun intérêt pour les personnes fragiles.

Surtout les injections géniques expérimentales sont dangereuses(([11] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/))(([12] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) et de nombreuses allergies, myocardites ont été signalées.

En France fin février 2022, on dénombrait selon l’ANSM déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site de l’agence européenne recensant les accidents médicamenteux.

Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux”, ont alerté 93 médecins israéliens devant la constatation des complications qu’ils constataient chez l’enfant.

La défense du serment d’Hippocrate doit être permanente et non partisane. Elle doit se baser sur les faits avérés et l’état des connaissances scientifiques. Le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes n’ont pas dénoncé les multiples violations de ce serment par le gouvernement Macron. On s’étonne donc qu’ils s’en préoccupent aujourd’hui.

Leur communiqué actuel, par son orientation grossièrement partisane et son refus de reconnaître les faits établis publiés par l’OMS, ressemble plus à une Fatwa religieuse qu’à une appréciation objective des faits.

Quelle que soit l’opinion que l’on peut avoir sur tel ou tel candidat, le Collège national des généralistes enseignants et le Syndicat national des jeunes médecins généralistes devraient raison garder et ne pas nier les réalités de la science : les pseudo vaccins expérimentaux sont inefficaces, incapables de contenir le covid même avec des doses de rappel.

Même Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’Organisation mondiale de la santé l’a rappelé quelques jours avant noël(([13] https://www.france24.com/fr/sant%C3%A9/20211222-l-oms-affirme-que-les-doses-de-rappel-ne-mettront-pas-fin-%C3%A0-la-pand%C3%A9mie)):

« Aucun pays ne pourra se sortir de la pandémie à coups de dose de rappel Des programmes de rappel sans discernement ont toutes les chances de prolonger la pandémie, plutôt que d’y mettre fin ».

Ce communiqué partisan et négationniste ne fait pas honneur à leurs signataires !





L’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec est pire qu’en France

[Source : putsch.media]

Julien Garon-Carrier : « Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec? »

Les médias n’avaient pas bonne presse bien avant la crise sanitaire aussi bien en France qu’au Québec. Et la défiance s’est accélérée pendant la pandémie de Covid19, toujours aussi bien au Québec qu’en France.

Julien Garon-Carrier, Éditeur en chef, d’un nouveau média en lancement au Québec « Libre Média » explique dans les colonnes de Putsch cette méfiance pour les médias et la naissance de « Libre Média » actuellement en cours de financement participatif.

Quel est l’état de la liberté de la presse et de la liberté d’expression au Québec?

Comme dans le reste du monde occidental, la liberté de presse a été particulièrement mise à mal durant les deux dernières années, soit depuis le début de la crise sanitaire. Aujourd’hui, elle est peut-être bien dans un état plus lamentable au Québec qu’ailleurs, puisque l’écosystème médiatique québécois forme un microcosme unique et hermétique.
Ainsi, la plupart des grands médias pendant la pandémie se sont alimentés aux mêmes sources, soit strictement des experts médicaux québécois, qui sont quasiment devenus des vedettes médiatiques : invités à la radio et à la télévision, cités dans les journaux quotidiennement.
Or, ces experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec (confinement, couvre-feux, port du masque, distance entre les individus) et sur la vaccination. Et leurs points de vue ont été très peu nuancés, c’est-à-dire que trop souvent ils s’imbriquaient parfaitement à ceux du gouvernement et de la Santé publique du Québec.

« Les experts, dont certains ont des conflits d’intérêts avec des entreprises pharmaceutiques, avaient presque tous les mêmes points de vue sur les mesures sanitaires adoptées par le gouvernement du Québec »

Dans ce contexte, les médias ont manqué à leur obligation critique d’exercer pleinement leur rôle de chien de garde de la démocratie, celui propre au quatrième pouvoir. En somme, ils n’ont été que la courroie de transmission des discours des experts médicaux et des politiques.
Il n’y a eu aucun espace dans le débat public pour les opinions divergentes ou les propos d’experts qui allaient à l’encontre de la doxa. Et parlons franchement, il y a eu de la censure et de l’intimidation de la part des médias, et l’utilisation de techniques de manipulation psychologique de la part du gouvernement.

Bref, l’espace mental du libre arbitre s’est significativement rétréci depuis deux ans au Québec. Après tout, plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement. Avec Libre Média, nous comptons y remédier.

« Plus d’un Québécois sur deux croit que les représentants des médias tentent de les tromper volontairement »

Vous évoquez dans une vidéo que les sources de financement québécois ne favorisent pas leur indépendance ? Pouvez-vous nous en dire quelques mots?

Le financement des médias québécois pose problème pour deux raisons. D’une part, le gouvernement fédéral (gouvernement du Canada) subventionne le salaire de plusieurs journalistes. Et d’autre part, le gouvernement provincial (gouvernement du Québec) a acheté une quantité de publicité phénoménale pendant la pandémie, représentant des centaines de millions de dollars, pour inciter la population à respecter les mesures sanitaires et à se faire vacciner.
Un adage vieux comme le monde stipule qu’on ne mord pas la main qui nous nourrit. Cet adage prend tout son sens dans le contexte actuel : il révèle l’évidence.
Que se serait-il passé si un média de masse avait décidé de donner la parole chaque semaine à des experts qui n’auraient pas endossé le récit dominant, qui auraient véhiculé des hypothèses différentes, qui auraient émis des réserves sur l’approche à adopter pour la gestion sociale de la pandémie ?

Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents-conseils que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? Ce qui fait polémique en France est balayé sous le tapis de l’autre côté de l’Atlantique. Le financement est, et sera toujours, un levier pour effectuer des pressions sur les contenus.

« Pourquoi au Québec aucun média n’a-t-il réussi à obtenir et à publier les documents que la firme Mc Kinsey a fourni au gouvernement du Québec ? »

L’impartialité des grands médias a été remise en cause par beaucoup pendant la crise sanitaire. Quelle analyse faites-vous de cette situation ?

L’impartialité est un principe associé à celui de l’équilibre des points de vue, afin d’offrir un texte objectif aux lecteurs. Or, sous le couvert du consensus scientifique, les médias de masse nous ont balancé les propos d’experts qui, en fait, n’exposaient qu’un seul côté de la médaille, n’exploitaient qu’une seule facette de l’histoire.
Par exemple, nulle part dans les médias québécois, les risques des effets à long terme des injections ARN-m n’ont été sérieusement discutés. Lorsqu’ils étaient évoqués, ses détracteurs s’empressaient de lui opposer le risque de la forme longue de la maladie à coronavirus.
Ou encore, lorsque l’ancien animateur vedette de Radio-Canada, Stéphane Bureau, a interviewé le professeur Raoult à l’été 2021, cela lui a vivement été reproché, alors que les points de vue opposés à la chloroquine se sont maintes fois fait entendre sur les ondes du média d’État. Il a même reçu un blâme de l’ombudsman de Radio-Canada. Et au terme de cette saga, M. Bureau a choisi de ne pas renouveler son contrat avec le média d’État.
Et je pourrais continuer comme ça en dressant une liste effarante de sujets, de thèmes et d’angles qui ont, à toutes fins pratiques, soit été ignorés par les grands médias, soit reçus un traitement biaisé.
Bref, l’impartialité en a pris pour son rhume dans les médias au Québec pendant la pandémie de COVID-19.


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Le rôle du journaliste consiste à dévoiler la vérité au grand jour, dans une optique de probité publique.
Cela s’inscrit dans une démarche d’indépendance d’esprit, voire de marginalité, afin de promouvoir le libre-arbitre et de produire une information qui colle à la réalité, ce qui n’est pas une mince tâche, puisque les contraintes structurelles des organes de presse pèsent lourd sur le journaliste. Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui. Chez Libre Média, nous souhaitons offrir de la latitude à nos journalistes, tout en respectant l’éthique de la profession.

« Après quelques avertissements d’un patron, le journaliste intériorise la censure et met en place des mécanismes d’autocensure qui le poussent à livrer le type de contenu que son employeur attend de lui »

Quel sera votre modèle économique chez Libre Média ? Uniquement de l’abonnement ?

Nous revendiquons être un média financé par le peuple et pour le peuple, donc oui les abonnements constitueront une bonne part de nos recettes. Cependant, nous souhaitons avoir une couverture médiatique d’envergure à terme et cela nécessitera des revenus d’annonceurs, mais attention, pas n’importe lesquels. Nous désirons des annonceurs publicitaires dont la vision et les valeurs s’arrimeront à 100 % avec celles de Libre Média, afin d’assurer l’entière indépendance de pensée de nos contenus.

« Ni de gauche, ni de droite, nous créons un nouveau paradigme ». Néanmoins quelle sera votre ligne éditoriale ?

Notre ligne éditoriale mise sur le respect des valeurs de notre coopérative, soit la liberté, la transparence et la bienveillance. Nous voulons éviter les grilles de lecture prédéterminées qui encadrent la réflexion et la cloisonnent dans un espace mental restreint. Il y a de bonnes idées à gauche et de bonnes idées à droite. Néanmoins, la transcendance des clivages pour donner préséance à l’humain dans toute sa sacralité oriente notre ligne éditoriale.
En ce sens, la mission de Libre Média consiste également à mettre en vitrine l’émergence de modèles régénératifs économiques et de gouvernance du développement territorial. S’inscrivant dans un paradigme de décentralisation du pouvoir décisionnel et un retour à l’équilibre avec notre environnement naturel, ce mouvement régénératif s’accélère particulièrement depuis quelques années au Québec et à l’échelle de l’Occident.

Allez-vous aussi traiter de sujets internationaux ou vous concentrer sur le Québec ?

Naturellement, nous allons nous concentrer sur le Québec et le Canada. L’information internationale s’avère complexe et chaque région du monde possède ses enjeux géopolitiques stratégiques et ses particularités culturelles et politiques. Cela requiert des journalistes d’expérience avec un bon bagage, des études et une bonne tête, ce qui est assez dispendieux.
Par exemple, faute de budget, au Québec la plupart des médias de masse francophone, pour ne pas dire l’ensemble d’entre eux, emploient les services de l’AFP pour les nouvelles internationales. Nous voyons mal comment un média indépendant comme Libre Média pourrait diffuser les articles de l’AFP, qui admettons-le, sont « orientés ». Donc, oui, développer l’information internationale, mais sur le long terme, pour bien faire les choses.

Est-ce que les Québécois sont enclins aujourd’hui à s’abonner de nouveaux médias indépendants ?

Il y a deux ans, soit avant la crise sanitaire, la réponse à cette question aurait été toute autre, mais aujourd’hui, il y a une partie substantielle de la population qui est prête à poser ce geste. Le peuple n’est pas dupe. Une prise de conscience s’est opérée. Il a vu le « storytelling » des médias, la propagande des gouvernements, les articles biaisés en faveur d’un point de vue! Le peuple a soif d’une information qui sort de l’ordinaire.
Et à en juger par notre campagne de financement sur notre page libremedia.ca, ayant permis d’amasser plus de 80 000 $ en trois semaines, je crois que nous sommes sur la bonne voie. Il y a certainement un lectorat prêt à investir, c’est indéniable et de bon augure.

Pour en savoir plus sur Libre Media : https://libremedia.ca/




Laurent Mucchielli : « Nous contredisons des forces politiques et financières extrêmement puissantes »

[Source : FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Dans les médias grand public, il avait droit de cité. Il en est désormais « blacklisté ». Jusqu’au déclenchement de la crise du Covid-19, il était considéré comme un adversaire majeur de l’extrême-droite. Le voilà désormais taxé d’extrême-droite. Laurent Mucchielli, directeur de recherche et sociologue au CNRS, est venu sur notre plateau témoigner de son combat d’universitaire au cours de ces deux dernières années et, en sa qualité de sociologue, livrer son analyse des causes et des mécanismes de cette « guerre d’influence » à laquelle nous sommes confrontés. Le chercheur, auteur de deux ouvrages sur la  « doxa du Covid », en est certain : « Nous enfreignons un tabou et nous venons contredire des forces politiques et financières extrêmement puissantes au niveau mondial ».



Le chercheur en sociologie, connu pour ses ouvrages sur la thématique de l’insécurité, compare la situation sociétale dans laquelle nous sommes plongés depuis le début de la crise du Covid-19 à celle de la période des « guerres de religion ». Une impression de rétropédalage au XVIᵉ siècle. Remettre en cause le bien-fondé des diverses mesures sanitaires ou celui du « miracle vaccinal », c’est professer une hérésie et s’excommunier, un phénomène particulièrement prégnant au sein de la communauté scientifique, nous rapporte Laurent Mucchielli : « Les plus agressifs, les plus arrogants sont une partie de mes collègues. C’est quelque chose que j’avais déjà analysé au moment du mouvement des gilets jaunes il y a 2 ans : une forme de racisme du diplôme ». Le directeur de recherche au CNRS rappelle que, pourtant, le fondement de la science, c’est « soumettre une vérité à la possibilité d’une réfutation ». Et de déplorer : « Or, là, on se heurte à des discours totalement dogmatiques qui, par définition, ne sont pas de la science ».

Il analyse aussi la communication médiatique branchée sur le registre émotionnel de la peur, une tactique qui a permis d’éteindre complètement les capacités d’analyse critique de nombreux Français. Cette peur qui « rend fou » traverse toute la société et n’a aucun rapport avec le niveau de diplôme, souligne le chercheur qui raconte : « J’ai vu d’éminents collègues se comporter comme des petits enfants, être prêt à gober n’importe quoi, et être incapable d’avoir la moindre argumentation, tout simplement parce qu’ils étaient terrorisés. »

Au cours de cet entretien, Laurent Mucchielli a aussi exprimé son effarement face à la censure qui sévit dans les médias largement responsables de cette panique, tel Médiapart, ou encore sur les réseaux sociaux. Autrefois porteurs d’une promesse de liberté et d’une meilleure participation des citoyens au débat public, pour le chercheur, ils sont aujourd’hui devenus « d’incroyables machines à formater la pensée ».

L’occasion aussi pour lui de dénoncer la malhonnêteté intellectuelle qui sous-tend le débat public. Dès 1984, sa première manifestation, alors qu’il n’était encore qu’au lycée, était organisée pour s’opposer à la venue de Jean-Marie le Pen dans sa ville. 36 années plus tard, en mars 2020, juste avant la crise du Covid-19, Laurent Mucchielli publiait un nouvel ouvrage intitulé La France telle qu’elle est : Pour en finir avec la complainte nationaliste. « Une sorte de manuel anti-Zemmour », explique-t-il. Pourtant, depuis ses prises de position sur le Covid, le sociologue serait désormais, pour une certaine presse… d’extrême-droite.

Autre exemple à l’appui de sa démonstration. La classe journalistique avait discrédité l’hydroxychloroquine en faisant valoir un rapport de pharmacovigilance de l’ANSM qui rapportait quatre morts, dont trois pourtant décédés par automédication, le quatrième s’étant suicidé par overdose plurimédicamenteuse. Or, mettre en avant la même pharmacovigilance pour alerter sur les effets secondaires du vaccin anti-Covid est, selon les mêmes personnes, une méthode qui « ne vaut rien ». « Le principe et la source même vous conviennent quand ça vous arrange et ne vous conviennent plus quand ça vous dérange », résume l’universitaire.

Laurent Mucchielli est aussi revenu sur l’International Covid Summit (ICS), congrès qui a réuni des experts scientifiques venus du monde entier à l’IHU Méditerranée Infection dirigé par le Pr Didier Raoult. Un succès, selon lui, qui a permis de faire vivre le débat scientifique. En fin d’entretien, le chercheur termine en expliquant que la crise que nous vivons est, au même titre que toutes les autres crises, « un moment d’accélération de l’histoire ». Cependant, en dépit des pressions, M. Mucchielli l’assure : « J’irai jusqu’au bout parce que le sujet le demande. »




Voter : Oui, mais pour qui ?

Par Claude Janvier

Une trop grande majorité de la population se laisse bercer par le bla-bla lénifiant orchestré par les médias mainstream, les politiciens, les financiers et la plupart des économistes. Trop d’abstentionnistes d’une part, et manque de jugement d’autre part, font que les résultats sont à la mesure de ce que l’on mérite, à savoir, d’être dirigés par des nuisibles. Une analyse des faits, des actions et des programmes de chacun est nécessaire avant de se rendre au bureau de vote. 

Les abstentionnistes ne comprennent pas que bouder les urnes fait le jeu des politiciens en place. En effet, leurs militants fidèles les propulseront toujours au pouvoir, sans états d’âme. Être de droite ou de gauche est devenu un débat stérile depuis François Mitterrand, où les cohabitations successives nous ont amené plus d’impôts — Nicolas Sarkozy a réussi le tour de force d’imposer aux Français une taxe sur les abris de jardins, que François Hollande s’est empressé de conserver —, plus d’inflation, plus de charges, plus de lois liberticides et de moins en moins de pouvoir d’achat. Nous avons dépassé le point de non-retour. Le changement, c’est maintenant ou jamais ! 

Passons donc en revue rapidement chaque candidat :  

– Emmanuel Macron : Bradage de nos industries à commencer par Alstom, privatisations à tout crin, hausse du carburant, hausse des denrées alimentaires et des matières premières, hausse des impôts. Liste non exhaustive. (Le Coronavirus, comme la guerre en Ukraine, n’est responsables en rien de la crise économique.) Il est évident que ces deux crises ne vont pas contribuer à juguler l’inflation, mais comme nous l’avons largement démontré dans notre ouvrage « Le virus et le président », coécrit avec mon ami Jean-Loup Izambert, IS édition, l’effondrement de notre société était déjà bien réelle. 

Gestion calamiteuse de la crise sanitaire : pas de masques, hôpitaux sous-équipés, réduction drastique des budgets, cliniques privées pas sollicitées ni réquisitionnées pour aider les hôpitaux publics, prescription totalement écartée de médicaments efficaces pour enrayer le virus au profit de l’obligation presque obligatoire pour tout le monde de se faire injecter des liquides expérimentaux encore en phase 3 d’essai clinique, et répression sanglante des gilets jaunes. Pour rappel : 13 morts, 27 personnes ont perdu un œil, plus de 150 blessés graves, plus de 1500 blessés et, cerise sur le gâteau, des gens emprisonnés pour leurs convictions politiques. 

Dette abyssale de la France, planche à billets qui tourne toujours à fond alors qu’il n’y a jamais le moindre euro pour augmenter le SMIC et les retraites. 15,8 millions de pauvres sur 32 millions d’actifs, plus de 200 millions de cadeaux fiscaux aux grands patrons du CAC 40 chaque année… Une catastrophe. 5 ans de règne sans partage, sans dialogues et sans compassions. Un vrai cauchemar. Fuyez-le. 

– Valérie Pécresse : Invisibilité de son patrimoine et de ses actifs financiers. Soupçonnée de prise illégale d’intérêts. Dans un article publié le mardi 18 janvier 2022, le média Blast dévoile la façon dont la présidente de la région Île-de-France s’est organisée pour transférer les actions Alstom que le couple Pécresse détient dans une fiducie (dont le nom est inconnu). Collusion avec Emmanuel Macron dans l’affaire Alstom. Son époux a été vice-président et directeur général d’Alstom puis président d’Alstom Renewable Power. Depuis 2016, il est Président Directeur Général de GE Renewable Energy. 

Pendant le mandat de Nicolas Sarkozy, elle a été Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, puis son porte-parole. Rappelons que Nicolas Sarkozy a détruit la Libye et assassiné son président Mouammar Kadhafi avec l’aval de l’ONU, qu’il a trahi les Français en 2005 en disant oui au traité de Lisbonne, alors que les Français avaient dit non, et qu’il s’est empressé de remettre la France dans l’OTAN. Valérie Pécresse avait donc accepté de servir un président félon. Fuyez-la. 

– Anne Hidalgo : Maire de paris depuis 2014. Les Parisiens doivent être « maso » pour l’avoir réélue. En effet, depuis sa nomination à la tête de la capitale, l’endettement de cette dernière explose. De 2014 à 2021, le montant cumulé de la dette passe de 3,4 à 7,7 milliards d’euros, soit une augmentation de 110 %. Camps de migrants omniprésents, coincés entre des bretelles de sortie du périph et le périph lui-même, quartiers de Paris où le deal de drogues est devenu au fil du temps une véritable industrie, rien n’est sérieusement fait pour résoudre ces graves problèmes. 

Paris est devenu une ville de plus en plus sale et mal entretenue. Aux pieds de nombreux arbres — dans le 7ᵉ arrondissement par exemple —, les herbes folles non coupées côtoient les canettes et les papiers gras. Mais c’est écolo… D’ailleurs, en septembre 2019, The Guardian décrit Paris comme « l’homme sale de l’Europe ». L’article souligne que, malgré les 550 millions d’euros dépensés tous les ans par la ville pour débarrasser les trottoirs des déchets et excréments ainsi que pour vider les 30 000 poubelles publiques, la capitale est toujours surnommée « Paris poubelle ». Selon plusieurs élus, le budget propreté de la ville est en réalité en baisse. En réponse, Anne Hidalgo incite les Parisiens à se prendre « en charge » pour lutter contre la saleté. Sans commentaires…

Elle vient d’imposer la vitesse de 30 km/h dans Paris et multiplie les radars. Les PV pour excès de vitesse dans Paris coûtent 135 €. Il faut bien réduire l’endettement… Elle a fait aussi peindre les passages piétons du quartier du Marais aux couleurs du drapeau LGBT. Ça coûte une blinde et en finalité, ça ne sert strictement à rien, à part tenter de s’attribuer les bulletins de vote de cette communauté. Vu comment elle gère Paris, elle ne doit, en aucun cas, gérer le pays. Fuyez-la. 

– Marine Le Pen : Une présidentielle de plus pour Marine Le Pen, la troisième. La première de ses 22 mesures pour 2022 concerne l’arrêt de l’immigration incontrôlée en donnant la parole aux Français par référendum. Le problème avec elle est le sabordage contrôlé ou incontrôlé de dernière minute. Nous avons encore en mémoire le débat avec Emmanuel Macron en 2017 qui était un bide total. À se demander si elle ne l’avait pas fait exprès. Pour le Frexit, elle penche pour une renégociation des traités européens, n’envisageant ensuite que par défaut d’y désobéir unilatéralement ou de se retirer de l’UE. Conclusion, si nous ne sortons pas de l’hégémonie de Bruxelles, des USA et de l’OTAN, ça ne sert à rien. À vous de voir. 

– Jean-Luc Mélenchon : À noter qu’en 1992, il appelle à voter pour le traité de Maastricht. Donc, proeuropéen, pro-Bruxelles et par ricochet pro-USA. A contrario, il a eu aussi une volonté de se rapprocher de la Russie et il est à noter que les députés de la FI ont lutté contre l’entérinement du passe sanitaire liberticide. Sa proposition de VIe République est toujours valable et figure en première position dans son programme. En 2017, il a appelé ses électeurs à voter en faveur d’Emmanuel Macron, ou blanc ou nul. Il savait qu’en donnant ce genre de consignes, Macron avait toutes les chances d’être élu. Il redonnera les mêmes consignes après le 10 avril 2022. Rédhibitoire, car cela propulse Macron. Enfin, concernant le Frexit, même remarque que pour Marine Le Pen : Renégociation des traités européens, n’envisageant ensuite que par défaut d’y désobéir unilatéralement ou de se retirer de l’UE. Pas fiable. Fuyez-le. 

– Fabien Roussel : C’est le premier candidat du PCF depuis Marie-George Buffet en 2007. Favorable au RIC. Programme « Les Jours Heureux », Fabien Roussel tente de donner un nouveau souffle aux communistes. Il se prononce en faveur de renationalisations dans certains secteurs, mentionnant les autoroutes, l’énergie (EDF et Engie) ou une compagnie d’assurances comme Axa. Il veut quitter l’OTAN. Opposant au passe sanitaire. Gros bémol, il est partisan d’une vaccination généralisée. C’est presque rédhibitoire. En effet, la vaccination contre la Covid-19 ne doit pas être obligatoire, et ce, pour deux raisons. La première est le fait de n’imposer que des vaccins ARNm alors que les gens devraient avoir le choix entre un vaccin classique et un ARNm et aussi que, dans ce cas précis, des médicaments efficaces ont été écartés sciemment par le pouvoir en place. – Hydroxychloroquine, Ivermectine, Budésonide, etc. – À vous de voir

– Éric Zemmour : C’est le candidat que personne n’attendait. Au programme, la lutte contre l’immigration clandestine, priorité numéro 1. Toujours en les reliant à cette thématique, il égrène diverses propositions sur l’emploi ou le pouvoir d’achat. Pour le Frexit, c’est pareil que Marine Le Pen ou Jean-Luc Mélenchon : Renégociation des traités européens, n’envisageant ensuite que par défaut d’y désobéir unilatéralement ou de se retirer de l’UE. Il ne minimise pas la responsabilité de l’OTAN par rapport à ce qui se passe en Ukraine. Il est contre le passe vaccinal. Difficile de trancher si oui ou non, il pourra être à la hauteur s’il est élu. À vous de voir

– Nathalie Arthaud : Elle en est à sa troisième campagne présidentielle sous les couleurs du parti « Lutte Ouvrière ». Solidaire des Gilets Jaunes. Elle revendique un programme communiste révolutionnaire et défend le camp des travailleurs. Son objectif principal est d’assurer un emploi à chacun avec un salaire permettant de vivre correctement. Bien qu’opposé à l’UE qu’elle décrit comme « une machine capitaliste qui sert la grande bourgeoisie », elle soutient une certaine construction européenne basée sur le dépassement des frontières nationales. À vous de voir

– Nicolas Dupont-Aignan : Député de l’Essonne, il est le candidat souverainiste de Debout La France. Il se présente comme le candidat de l’indépendance de la France et de la liberté des Français. Pendant la crise sanitaire, il a fait partie des opposants au passe sanitaire, mais aussi à la vaccination obligatoire. Bien qu’il n’ait pas parlé du « Frexit », Nicolas Dupont-Aignan envisage une sortie complète de l’UE par référendum. Il dit vouloir remplacer l’Union européenne par une communauté des nations libres, souveraines sur leurs frontières, budget et supériorité de la loi. Afin de regagner l’indépendance militaire et stratégique de la France, le candidat souverainiste aspire également à sortir du commandement intégré de l’OTAN. Il souhaite aussi arrêter les sanctions à l’égard de la Russie. À vous de voir

– Yannick Jadot : bref passage à Greenpeace. Il soutient Nicolas Hulot, ce qui le rend de facto suspect. En effet, Hulot était pour la taxe carbone qui est une taxe inique (laissant libre les grands pollueurs), et a inondé le marché de produits Ushuaïa plombés aux produits chimiques. Jadot est favorable aussi à la taxe carbone. Il dénonce les relais prorusses en France et veut mettre fin au projet gazier Nord Stream 2. Du coup, le gaz en Europe va arriver des USA. Ce sera du gaz de schiste dont l’extraction est une catastrophe écologie. Ce gaz est ensuite liquéfié, puis sera transporté à bord de porte-conteneurs polluants plus que l’ensemble des voitures d’un pays de l’UE. Il veut mettre le paquet sur l’Éolien, mais l’Éolien est aussi une catastrophe écologique et ne procure que peu d’électricité. Enfin, il soutient la vaccination obligatoire, et se prononce à armer l’Ukraine. Fuyez-le. 

– Jean Lassalle :  Il a soutenu et soutient les Gilets Jaunes, et s’est positionné contre le passe sanitaire et le passe vaccinal. Dès septembre 2018, il a annoncé sa candidature pour 2022 sous l’étiquette de son parti « Résistons » qui défend une France authentique. Il a d’ailleurs effectué un tour de France à la rencontre des citoyens pour leur proposer de remplir des « Cahiers de l’Espoir », qui sont des cousins des cahiers de doléances, appelant à la créativité du peuple et non à la révolution. Dans son programme présidentiel, Jean Lassalle présente une vision intergouvernementale de l’Europe. Se réclamant du gaullisme, le candidat du mouvement « Résistons » ne prévoit toutefois pas de sortir de l’UE. À vous de voir

– Philippe Poutou : Il souhaite avant tout rompre avec le système capitaliste, qu’il juge « dangereux » et pas réformable. Il entend ainsi fusionner les banques pour constituer un monopole public du crédit, réquisitionner les grandes entreprises de l’énergie, pharmaceutiques, du transport, de la communication et des secteurs clés de l’industrie, mais aussi sortir du nucléaire en dix ans. Il veut en finir avec l’élevage industriel et développer des transports 100 % publics et gratuits. Semaine de 32 h, SMIC à 1800 € net et retraite à 60 ans. Il est contre le passe sanitaire et vaccinal, mais pour les vaccins contre la Covid-19. Même remarque que précédemment à ce sujet. Il se prononce pour une sortie de l’Union européenne tout en prônant l’avènement d’une Europe des travailleurs et des peuples. À vous de voir.  

Voici donc le tour d’horizon des candidats pour l’élection présidentielle du 10 avril 2022. Je n’ai pas de consignes à donner, à part rejeter d’office Emmanuel Macron, Valérie Pécresse, Anne Hidalgo, Yannick Jadot et Jean-Luc Mélenchon. Je pense sincèrement qu’il faut privilégier les candidats qui veulent sortir de l’UE, — ou tout au moins avoir une Europe de coopération, non dépendante du joug de Bruxelles et des USA, qui souhaitent sortir de l’OTAN, qui se sont positionnés contre le passe sanitaire et le passe vaccinal, — ce sont des passes totalement liberticides —, qui sont opposés à la vaccination obligatoire contre la Covid-19 et qui ont un programme tenant la route. Notre futur à tous est dans les mains de chacun. 

Claude Janvier

Écrivain, essayiste. Auteur de trois livres « coups de gueule ». Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. À paraître bientôt, avec les mêmes auteurs : « Covid-19 : Le bilan en 40 questions. Retour sur deux ans d’infos et d’intox ». IS édition




Le bilan de la politique sanitaire du quinquennat d’E. Macron est désastreux

Par Gérard Delépine

[NDLR : il ne s’agit malheureusement pas d’un poisson d’avril.]

Le bilan sanitaire de la stratégie anti-covid française depuis deux ans ne montre que morts évitables, destruction de l’économie et de l’instruction, flambée de suicides et de dépressions, etc. UN GÂCHIS MAJEUR !

Ce n’est pas l’épidémie qui est responsable de l’état catastrophique actuel de la France et des Français, mais seulement les mesures restrictives des libertés souvent ubuesques qui nous ont été imposées sans aucune justification scientifique (sur les conseils de McKinsey ?).

Mortalité Covid record, innombrables victimes collatérales par défaut de soins, explosion des problèmes psychiatriques, forte progression de la pauvreté, débâcle de l’enseignement, crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société sont quelques-unes des conséquences des mesures autoritaires contre lesquelles aucun des organismes supposés défendre la démocratie, ni aucun parti politique lourd, ni la plupart des personnalités politiques, médicales, « scientifiques, syndicales, associations ne se sont opposés, figés dans la collaboration et/ou dans la sidération induite par les médias aux ordres des milliardaires qui les possèdent. Nous estimerons ici les conséquences purement sanitaires de la politique covid du gouvernement, laissant de côté les innombrables conséquences désastreuses économiques, sociales, éducatives, etc., traitées ailleurs.

Mortalité Covid-19 globale : la France parmi les mauvais pays du monde

Au 21 mars 2022, avec 2058 morts par million d’habitants la France compte trois fois plus de morts que la moyenne mondiale (758/M) et la comparaison avec des pays qui consacrent beaucoup moins d’argent à leur système de santé montre que notre politique du tout vaccin a été une erreur.

Les partisans de la tyrannie sanitaire prétendent parfois que ce mauvais résultat serait seulement la conséquence de l’âge avancé de notre population.

Mais la comparaison avec le Japon montre qu’il n’en est rien. Le Japon qui n’a jamais confiné et dont la population est plus âgée que la nôtre (27 % de Japonais âgés de plus de 65 ans contre 20 % de Français) recense une mortalité près de dix fois inférieure à la nôtre.

Le directeur général de l’OCDE observait récemment : « les Espagnols, comme les Italiens ou les Britanniques, sont convaincus que leurs pays respectifs ont eu la pire réponse face au Covid-19. ». La mortalité Covid-19 place juste la France derrière eux en très mauvaise place également.

Malheureusement l’intensité de la propagande et de la désinformation que nous subissons en permanence est telle que trop de nos compatriotes sont encore dupes.

Non la politique de santé menée depuis deux ans n’a pas été la meilleure : une autre stratégie sanitaire aurait pu éviter environ 100 000 morts de covid, et 15 000 à 25 000 victimes collatérales, la vague massive de dépressions, de flambées de cancer, etc.

Ces très mauvais résultats de la politique sanitaire d’E. Macron sont la conséquence de mesures autoritaires non fondées sur la science telles que l’interdiction des traitements précoces, et l’interdiction aux médecins de soigner, l’usage immodéré du Rivotril, les confinements, les plans blancs et les autres restrictions sanitaires, les pass, et les pseudo-vaccins.

Les confinements et les autres mesures privatives de liberté inefficaces ont aggravé la situation

Le confinement ne repose sur aucune base scientifique ni aucune expérience médicale, — on le savait d’emblée d’après l’Histoire des épidémies des siècles précédents — mais seulement sur la peur créée ex nihilo par la croyance aveugle en une prophétie mathématique délirante de non-médecins et de médecins non-cliniciens répétée 24 heures sur 24 par tous les médias complices de la mise en condition de la « pandémie »(([1] Les critères ont été modifiés pour permettre de décréter une épidémie « pandémie » avec des chiffres plus bas.)) décrétée par l’OMS, Bill Gates et leurs complices.

Niels Ferguson et ses complices de l’Imperial College dans le rapport 9(([2] Report 9—Impact of non-pharmaceutical interventions (NPIs) to reduce COVID-19 mortality and healthcare demand
https://www.imperial.ac.uk/mrc-global-infectious-disease-analysis/covid-19/report-9-impact-of-npis-on-covid-19/)) et ses élèves de l’institut Pasteur ont prétendu que « seul le confinement pourrait éviter un record de morts et le blocage complet des hôpitaux » et « que ce confinement devrait s’étendre jusqu’en décembre 2021 ou l’arrivée d’un vaccin. »

En France, le rapport 9 n’a été ni publié, ni analysé par des médecins indépendants, ni discuté à l’Assemblée nationale avant la décision autoritaire du confinement. Les agences sanitaires suédoise, finlandaise, biélorusse, japonaise et coréenne n’ont pas cru cette simulation folle et ont refusé de confiner aveuglément. Ils avaient raison : leurs hôpitaux n’ont jamais été débordés et ont accueilli normalement les malades tout au long de l’épidémie.

En Suède, sans aucun confinement (refusé par le conseiller du gouvernement devenu héros national) ni port de masque, le pourcentage d’occupation des lits de réanimation et le nombre de morts a été dix fois inférieur aux prophéties de l’impérial College comme le montrent les figures suivantes.(([3] https://evaluation-modelisation-covid.github.io/france/))

Le confinement aveugle(([4] Lire « autopsie d’un confinement aveugle » N et G Delépine qui relate au jour le jour les évolutions de la politique sanitaire de mars à juin 2020.)) (ne séparant pas les malades de la population saine !) s’est même révélé susceptible d’accélérer la propagation de l’épidémie, ainsi que le montre la comparaison du début de l’épidémie en Belgique (qui a confiné le 17 mars 2020) et aux Pays-Bas qui n’ont pas confiné dans cette période.

L’augmentation des contaminations a été suivie de l’augmentation de la mortalité ainsi que l’illustre la courbe comparant les mortalités Covid-19 cumulées par million de personnes des pays qui ont confiné à l’aveugle (USA, Belgique, Italie, Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, France) et de ceux qui n’ont pas confiné (Suède, Belarus, Finlande, Japon, Corée, Vietnam)

Au 20 mars 2022, les pays qui ont refusé le confinement affichent une mortalité plus faible que la nôtre. La Suède comptait 15 % de moins de morts Covid-19 par million que la France (et environ dix fois moins que les prévisions catastrophiques de N. Ferguson), le Belarus trois fois moins (711/M), la Finlande quatre fois moins (500/M) et les pays asiatiques encore moins, entre 5 et 10 fois moins que la France (entre 200 et 400/M).

Quelques publications ont prétendu que le confinement aurait sauvé des vies. Elles ont toutes été rédigées par des auteurs qui ont prôné ce confinement, et sont très liés aux gouvernements qui les ont imposées. Aucune ne fait l’analyse des faits avérés et toutes reposent sur des simulations aussi fausses que le report 9.

Leur principe d’autoglorification consiste à comparer une simulation catastrophique au réel. Il suffirait de prophétiser par exemple qu’il y aurait 5 millions de morts sans confinement, puis constatant qu’en réalité il n’y en aurait eu que 500 000, elles proclameraient fièrement « le confinement a sauvé 4,5 millions de personnes » alors que la conclusion scientifique logique aurait dû être « notre prédiction était exagérée et nous le regrettons ». C’est exactement ce qui a été fait par plusieurs gouvernements et publications autrefois scientifiques.

Ainsi, la caricature de ces textes d’autosatisfaction est parue dans la revue Nature qui a osé prétendre, selon ce procédé, que le confinement aurait sauvé 3 millions de vies(([5] Seth Flaxman et al Estimating the effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe Nature 08 June 2020
https://www.nature.com/articles/s41586-020-2405-7)). Malheureusement, leurs auteurs n’ont pas assez soigné leur argumentation. Dans leur tableau présenté en annexe, ils estiment le nombre de vies sauvées dans chaque pays par le confinement et précisent : 560 000 allemands et 26 000 suédois grâce au confinement alors que ces pays n’avaient pas confiné dans la période concernée et que ces chiffres démontraient très simplement que la simulation initiale catastrophique du report 9 était totalement erronée.

L’acceptation de cet article montre aussi l’inefficacité et/ou la complicité du comité de lecture de Nature qui n’a pas fait corriger de telles contre-vérités pourtant évidentes.

De très nombreuses études réalisées par des chercheurs indépendants(([6] Ari R Joffe et al COVID-19: Rethinking the Lockdown Groupthink Front Public Health 2021 Feb 26;9:625778. doi: 10.3389/fpubh.2021.625778. eCollection 2021.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33718322/))(([7] Lockdowns Do Not Control the Coronavirus: The Evidence AIER Staff — December 19, 2020
https://www.aier.org/article/lockdowns-do-not-control-the-coronavirus-the-evidence/))(([8] Rabail Chaudhry et al A country level analysis measuring the impact of government actions, country preparedness and socioeconomic factors on COVID-19 mortality and related health outcomes”. EClinicalMedicine 25 (2020) 100464.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32838237/))(([9] Christof Kuhbandner et al Was Germany’s Corona Lockdown Necessary?”. Advance: Sage Preprint, June 23, 2020
https://advance.sagepub.com/articles/preprint/Comment_on_Dehning_et_al_Science_15_May_2020_eabb9789_Inferring_change_points_in_the_spread_of_COVID 19_reveals_the_effectiveness_of_interventions_/12362645))(([10] Stefan Homburg and Christof Kuhbandner Comment on Flaxman et al. (2020): The illusory effects of non-pharmaceutical interventions on COVID-19 in Europe” by. June 17, 2020. Advance, Sage Pre-Print.))(([11] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no evident impacts on the COVID-19 epidemic” by. MedRxiv Pre-print May 1, 2020
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.24.20078717v1.full.pdf))(([12] Surjit S Bhall Lockdowns and Closures vs COVID-19: COVID Wins
https://www.semanticscholar.org/paper/Lockdowns-and-Closures-vs-COVID-%E2%80%93-19%3A-COVID-Wins-Bhalla/95aeeff82b572458ce69c
https://indianexpress.com/article/opinion/columns/lockdowns-dont-work-6855411/))(([13] Jonas Herby, Lars Jonung, and Steve H. Hanke A LITERATURE REVIEW AND META-ANALYSIS OF THE EFFECTS OF LOCKDOWNS ON COVID-19 MORTALITY SAE./No.200/January 2022/October 2021
https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf))(([14] Eran Bendavid Assessing mandatory stay‐at‐home and business closure effects on the spread of COVID‐19 Eur J Clin Invest. 2021 Feb 1 : e13484.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7883103/)) ont analysé les évolutions avérées de l’épidémie selon les restrictions imposées et ont toutes conclu, comme la dernière macroanalyse de l’université Johns Hopkins(([15] https://sites.krieger.jhu.edu/iae/files/2022/01/A-Literature-Review-and-Meta-Analysis-of-the-Effects-of-Lockdowns-on-COVID-19-Mortality.pdf)) qui les résume :

« les mesures de confinement n’ont eu que peu ou pas d’effets sur la santé publique, elles ont imposé d’énormes coûts économiques et sociaux là où elles ont été adoptées. En conséquence, les politiques de confinement sont mal fondées et devraient être rejetées en tant que stratégies de gestion des pandémies. »

Cinq membres du comité scientifique, dont le Pr Delfraissy du comité scientifique gouvernemental français, l’ont d’ailleurs reconnu dans une lettre au Lancet(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin Jean-François Delfraissy Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract The Lancet : 2021 February 18,
https://www.thelancet.com/journals/lanpub/article/PIIS2468-2667(21)00036-0/fulltext)) restée confidentielle de fait.

« L’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. »

« Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

Mais leurs constatations ont été ignorées par les médias et le gouvernement qui continue périodiquement de nous menacer de confinement si nous n’obéissons pas à leurs lubies pseudo sanitaires, en réalité purement politiques et manipulatoires.

La mise à l’écart des médecins et l’interdiction des traitements précoces ont été responsables de très nombreuses morts évitables et de maladies évolutives

Au début de la crise, le gouvernement a répété « n’allez pas voir votre médecin, restez chez vous et prenez du doliprane, car il n’existe pas de traitement efficace contre le Covid-19 ». L’exemple de l’Algérie qui a rejeté ces injonctions montre qu’elles étaient infondées. Elles ont été très mortifères.

L’Algérie dépense près deux fois moins que nous pour sa santé (6 % du PIB contre 11 % en France) et sa population est semblable à la nôtre par l’âge et les autres facteurs pronostiques connus du Covid-19. Elle a basé sa stratégie Covid sur l’application précoce du protocole Raoult(([17] Abderrahmane Benbouzid, ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière algérien a annoncé le 23 mars 2020, que son pays aurait recours à la Chloroquine pour le traitement des malades atteints de l’épidémie du coronavirus.)) et compte au 24 mars 2022 treize fois moins de morts covid par million que la France. (156/M vs 2093/M)

« Grâce aux traitements précoces », a affirmé le ministère de la santé algérien.

Si nous avions appliqué la même stratégie thérapeutique, nous aurions pu espérer avoir le même résultat et ne compter guère plus de 11 000 morts.

Isolement et prescription de Rivotril ont accru la mortalité des vieillards

L’objectif officiel mis en exergue du ministère de la Santé aurait été de protéger les plus fragiles, mais les décrets de mars 2020, y compris dans les établissements médicaux (hôpital, EHPAD, maternités, etc.). Immédiatement applicables, sans le temps minimum pour rencontrer ses proches, ses kinésithérapeutes, animateurs, bénévoles, au moins pour expliquer, apaiser, s’organiser (téléphones, Skype pour ceux qui pourraient les utiliser, etc.). Rien. Cet isolement brutal les séparant de leurs familles les a rendus plus vulnérables, les entraînant dans un syndrome d’abandon de soi-même vers un syndrome de glissement qui en a déjà probablement tué un bon nombre, avec ou sans l’aide du virus. De véritables drames ont été décrits, comme ces couples dont l’épouse venait nourrir son conjoint Alzheimer chaque jour, virée brutalement de l’établissement avec pour seule excuse : « on applique les ordres ; on n’y peut rien » et cette autre octogénaire verbalisée parce qu’elle était sur la voie publique en essayant de voir son mari en EHPAD au travers d’une vitre. Les témoignages sont légion.

Le Conseil national d’éthique avait pourtant rappelé :

« l’environnement familial ou amical dont les résidents ne peuvent plus momentanément profiter est pour nombre d’entre eux, le lien qui les rattache au monde extérieur et leur raison essentielle de vivre. Les en priver de manière trop brutale pourrait provoquer une sérieuse altération de leur état de santé de façon irrémédiable et même enlever à certains le désir de vivre ».

Le fameux syndrome de glissement…

Le confinement de nos parents âgés n’a pas constitué une mesure de protection, mais une maltraitance, une non-assistance à personne en danger, un abus de faiblesse. On les a mis en prison en leur supprimant même les parloirs !

Les mesures contre les personnes âgées ont culminé avec la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Veran qui prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé, appliqué y compris chez des personnes de 70 ans et des handicapés même jeunes) par injection intraveineuse de médicaments contre-indiqués dans les détresses respiratoires (benzodiazépines). Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort sans le consentement éclairé du patient (en abus de faiblesse) ni de sa famille (interdite de visite).(([18] Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) publié dès le 6 avril 2020. Comment les médecins ont-ils accepté une horreur pareille contraire au serment d’Hippocrate, au code de Nuremberg et à toutes les lois et conventions (Oviedo etc.), régissant notre profession ?))

Les prescriptions de ces drogues(([19] à défaut de midazolam, la SFAP propose : le clonazépam (RIVOTRIL®), 0,5 à 1 mg en induction (IV, IM, SC), puis 2 mg/24 h, ou le diazépam (VALIUM®), 5 mg (IV très) à 10 mg (IM) toutes les 4 à 6 h ou le clorazépate (TRANXENE®), 60 mg en induction, 120 mg/24 h en relais) destinées à l’euthanasie.)) ont été bien analysées par F. Pesty(([20] F. Pesty Chronique n° 33 — « Combien de morts sur ordonnances en EHPADs ou à domicile avec le Rivotril, à cause du covid et des refus d’hospitaliser ? » France soir 22/10/2020 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/chronique-covid-ndeg33-combien-de-morts-sur-ordonnances-dans-les-ehpads-ou)) qui estime leur surprescription globale durant la première vague à près de 100 000 ampoules. Il regrettait à juste titre que l’inspection générale des affaires sociales n’ait pas expertisé les dossiers médicaux de tous les résidents d’EHPAD et de toutes les personnes vivant à leur domicile qui ont fait l’objet de ces prescriptions « hors AMM pour covid-19 ». Ces pratiques ont été prolongées jusqu’à maintenant.

Bizarrement le Rivotril®, et les autres benzodiazépines recommandées par la SFAP, n’ont pas fait l’objet d’une analyse par EPI-PHARE le Groupement d’intérêt scientifique associant l’ANSM et la CNAMTS, dans leur étude épidémiologique des produits de santé publiée le 5 octobre 2020.

L’isolement de nos aïeux et les prescriptions de Rivotril ont certainement pesé pour 10 000 à 20 000 morts dans le surplus mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

Les trop nombreuses « victimes collatérales » du plan Blanc

En plus des victimes directes du covid qui auraient pu être évitées par une stratégie plus respectueuse de la science et de la pratique médicale, le bilan de la politique gouvernementale a été aggravé par la dictature du « plan blanc ».

Le plan blanc interdit toute intervention ou tout traitement jugés non urgents par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale), tant en public qu’en privé (soumis aux mêmes contraintes).

Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier Ministre dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars 2020 avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020. Levé progressivement à partir de mai 2020, il a été réactivé dans plusieurs hôpitaux français le 15 décembre 2020 et redéclenché au cours de l’été 2021 puis début décembre 2021.

Ces quatre à 6 mois (selon les régions) d’applications du plan blanc ont été particulièrement dommageables pour les malades en attente de greffe d’organes, pour les patients en urgence vitale non diagnostiqués restés à domicile, les cancéreux en traitement ou non repérés, et les malades chroniques parfois en grande souffrance physique et psychique, etc.

En Île de France, le confinement et le plan blanc ont fait chuter les consultations de 40 % chez les généralistes, de près de 70 % chez les spécialistes et l’activité des urgences a fortement régressé. « Les Franciliens ont eu moins recours aux soins, ce qui peut malheureusement engendrer, pour les cas les plus graves, des décès. », a avoué l’agence régionale de santé d’Île-de-France.

L’académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan Blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées »

Des greffes d’organes ont été annulées ou retardées de plusieurs mois et globalement, pour les malades qui ont survécu à ces retards, elles ont diminué de 25 % en 2020 et de 10 % en 2021 (par rapport à 2019) selon l’Agence de biomédecine. Actuellement plus de 20 000 Français sont en attente de greffe alors que les donneurs se sont nettement raréfiés et qu’on ne voit pas comment le gouvernement pourrait recruter 300 infirmières spécialisées supplémentaires, comme il l’a annoncé s’il ne supprime pas l’obligation vaccinale qui a exclu de la profession près de 10 % d’entre eux et s’il n’améliore pas de façon drastique les émoluments et plus encore les conditions d’exercice de l’ensemble des soignants très rapidement.

Le traitement des cancers a été désorganisé par les retards de soins et de diagnostic. L’Institut national du cancer a noté un recul de 17 % des chirurgies d’ablation de tumeurs ou d’organes entre mars et août 2020. Ces retards de plusieurs mois aux traitements en cours des cancers pourraient être responsables de très nombreux décès évitables dans les années à venir.(([21] Camille Maring The impact of the COVID-19 pandemic on cancer deaths due to delays in diagnosis in England, UK: a national, population-based, modelling study www.thelancet.com/oncology Vol 21 August 2020
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S1470-2045%2820%2930388-0))

Le diagnostic précoce représente un facteur essentiel du pronostic du cancer et environ 30 000 nouveaux cancers étaient dépistés chaque mois avant le plan blanc soit environ 150 000 cancers qui n’ont pas pu être diagnostiqués durant les 5 mois des différents confinements. Début décembre 2020 le Pr Axel Kahn constatait « après la première vague de Covid-19, un déficit important de diagnostics de cancer a été observé, parfois de 30 à 50 % selon les territoires ». « Les chiffres varient, mais on sait qu’un mois de retard fait perdre entre 5 et 20 % de chances de guérison selon les tumeurs, souligne JYBlay, président d’Unicancer qui craint que les retards de diagnostic soient fort préjudiciables.(([22] Retard de diagnostic du cancer : jusqu’à 6000 morts en plus à cause du Covid
https://www.leparisien.fr/societe/sante/retard-de-diagnostic-du-cancer-jusqu-a-6000-morts-en-plus-a-cause-du-covid-08-12-2020-8413033.php))(([23] https://www.unicancer.fr/fr/communique-de-presse/unicancer-presente-les-conclusions-de-son-etude-relative-aux-retards-de-diagnostics-en-cancerologie-lies-a-la-crise-sanitaire-et-deplore-labsence-de-revalorisation-des-praticiens-des-centres/))

Ainsi par l’abandon des dépistages et des diagnostics précoces, les perturbations des traitements en cours et le retentissement psychologique de ces retards, le plan blanc aura probablement entraîné lors de la première vague de l’ordre de 4 à 11 000 morts supplémentaires (à venir) de cancéreux.

Le plan blanc a également nui au traitement optimal des urgences vitales cardiaques et vasculaires (phlébites et accidents vasculaires cérébraux) dont les consultations hospitalières ont chuté de près de 50 %, les patients terrorisés ne se rendant plus aux urgences.

Le professeur J. Silvain, chirurgien cardiaque à la Pitié-Salpêtrière a précisé que trois quarts des opérations programmées ont été reportées. « Quand on a rappelé des patients pour fixer de nouvelles dates, certains étaient décédés entre-temps ». On estime qu’au moins 3000 à 5000 malades sont morts de ces retards durant cette période.

Les chances de guérison des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dépendent considérablement de l’extrême précocité de leur traitement. Mais le docteur F. Rouanet, de l’hôpital Pellegrin à Bordeaux a vu, pendant vingt jours, le nombre de diagnostics d’AVC baisser de 50 %. « On ne sait pas ce qu’ils sont devenus. La pathologie, elle, n’a pourtant pas disparu, cela nous fait craindre une hausse brutale des accidents et de la mortalité. »

Les traitements des maladies chroniques (diabète, hypertension, insuffisance cardiaque, rénale ou hépatique…) ont également été gravement perturbés par le plan blanc du fait des hospitalisations retardées ou annulées et souvent de la reconduction d’ordonnances sans aucun examen. Aucune estimation du nombre de victimes potentielles n’a été jusqu’ici publiée à notre connaissance par les instances officielles.

Globalement les plans blancs ont déjà conduit à plus de 5000 morts évitables et seront vraisemblablement responsables de 10 000 à 20 000 décès supplémentaires dans les années à venir. Ceci est d’autant plus triste qu’ils n’ont servi à rien, car les lits d’hospitalisation ainsi libérés sont presque tous restés vides comme l’a récemment confirmé l’analyse officielle de l’activité hospitalière 2020.(([24] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_covid.pdf))(([25] Aboutissant à des licenciements de personnels dans le secteur privé faute de patients (les malades covid n’étant quasiment pas adressés dans ces établissements).))

Mais les bureaucrates des agences de santé ne sont apparemment pas intéressés au sort de ces victimes collatérales. Ils auraient soi-disant dû faire de la place pour que les plus jeunes atteints de Covid (moins de 70 ans ?) ne soient pas refusés aux urgences, afin que la population ne réalise pas l’état pitoyable dans lequel leur politique comptable des trois dernières décennies a mis l’hôpital public. Les motivations n’étaient probablement pas limitées à cette propagande, car rien n’imposait d’interdire les traitements précoces à domicile…

En France comme partout en Europe, les pass ont totalement échoué

La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique, a fortement milité pour la vaccination et a été la première à imposer les pass à sa population alors qu’elle recensait moins de 500 cas journaliers. Mais depuis les pass, le nombre de cas quotidiens a atteint 36 000 ! 180 fois plus !

L’Autriche a instauré le passe le 1er juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières). Mais depuis l’instauration du pass, l’épidémie est repartie de plus belle pour atteindre 500 fois la valeur d’avant pass (44 275 cas/jour le 19/3/2022).

En France, avant l’instauration du pass sanitaire le nombre quotidien de cas s’élevait à 1800 ; depuis les pass il a atteint les 365000, 200 fois plus !

Dans aucun pays d’Europe, les pass sanitaire et/ou vaccinaux n’ont permis de ralentir le nombre d’infections. Partout ils ont été suivis par un accroissement considérable des contaminations journalières. Constatant leur totale inefficacité sanitaire, la plupart des pays d’Europe les ont abandonnés dans le courant du premier trimestre 2022.

L’Italie et la Grèce, pays pionniers de la tyrannie vaccinale ont annoncé qu’ils abandonneraient leurs mesures autoritaires le 1er mai 2022. C’est la confirmation de l’inutilité totale de ces mesures, qui a précipité leur abandon et non pas une prétendue efficacité des vaccins.

Combien de temps les Français supporteront-ils une simple suspension de ces pass inutiles qui constituent une négation de notre devise « Liberté, Égalité, Fraternité » ? Il faut les supprimer définitivement ainsi que tous les fichiers nominatifs qu’ils ont permis d’établir et qui constituent une menace pour notre démocratie.

En France, comme dans le monde, les vaccins ont totalement échoué

L’idéologie officielle des pass reposait sur la croyance infondée en l’efficacité des pseudo-vaccins. Mais ce ne sont pas des vaccins (ils ne contiennent pas d’antigènes), mais des thérapeutiques géniques à ARN messager. Ils sont issus d’une technologie expérimentale qui n’avait jamais été utilisée en infectiologie. Leurs essais phase 3 ne seront terminés qu’en 2023 et jusqu’à cette date ils restent par définition expérimentaux.

On peut cependant dès maintenant estimer leurs résultats en population réelle en observant l’évolution de l’épidémie depuis leur mise en œuvre début 2021.

D’après l’OMS au 18 mars 2022, près de 11 milliards de doses de vaccin ont été administrées, mais cette extrême diffusion a été incapable d’empêcher l’épidémie de s’étendre et même récemment, de s’accélérer.

On peut même se demander si les injections ne facilitent pas la progression d’Omicron, car les pays les plus vaccinés sont ceux où l’épidémie est actuellement la plus vive.

Et contrairement à ce que les laboratoires pharmaceutiques et les médias prétendent constamment, les pseudovaccins sont également incapables de protéger des formes graves et de la mort comme le montre l’exemple d’Israël. Dans ce pays modèle champion des injections Pfizer, le nombre total de morts est passé de 3040 avant les injections à 10 449 (+250 %) en 15 mois. La comparaison avec la Palestine peu vaccinée est très parlante.

Cette incapacité à prévenir les formes graves et la mort se confirme au niveau mondial où les pays les plus vaccinés souffrent tous d’une mortalité plus élevée que l’Afrique, très peu vaccinée.

Incapable d’empêcher les contaminations, ni de prévenir les transmissions, ni d’éviter les formes graves, ni la mort, ces injections anti-covid constituent l’échec récent le plus sévère de la vaccination de masse.

Et les nombreuses complications observées, dont un nombre totalement inhabituel de morts post injections, rendent la balance bénéfice/risque de ce traitement expérimental totalement défavorable et singulièrement chez les moins de 65 ans qui statistiquement ne risquent rien du virus SARS-CoV-2 en dehors d’une symptomatologie grippale plus ou moins visible.

Explosion des problèmes psychiatriques

Le nombre de victimes de maladies organiques du confinement doit être complété par les conséquences des confinements sur les pathologies psychiatriques en traitement, les nouveaux malades psychiques, et les futurs suicides prévisibles liés entre autres à la crise économique.

La propagande terrorisante du gouvernement qui se poursuit, les périodes de confinement et couvre-feu, la peur de la maladie, pour soi et ses proches et les conditions de vie bouleversées dues aux mesures sanitaires et donc économiques, ont entraîné des conséquences graves sur la santé mentale des Français et particulièrement inquiétantes chez les enfants et adolescents.

L’hystérisation de la maladie décrite par les gouvernements et par les médias comme une « guerre », « contre une peste » due à un « ennemi invisible, mais très intelligent », menaçant toute la population(([26] Alors qu’en réalité les jeunes ne risquaient presque rien. Relire « Les enfants sacrifiés du covid » N et G Delépine fauves éditions janvier 2022.)) et la culpabilisation des enfants par des publicités mensongères les accusant de « contaminer leurs grands-parents » a généré un sentiment de peur et de stress qui se pérennise.

Les complications psychiques des personnes antérieurement saines confinées sont nombreuses et bien connues : dépressions qui persistent dans plus d’un tiers des cas de nombreux mois après sa levée, stress post-traumatique durable, obésité, drames familiaux, divorces, retard scolaire, addiction renforcée à l’alcool aux drogues ou aux écrans. Les complications médicales et sociales de cette mesure moyenâgeuse inefficace sont avérées et souvent catastrophiques.

Les enfants déterminent leurs réponses émotionnelles et comportementales selon celle des adultes proches et les parents angoissés leur transmettent leurs inquiétudes. Les familles qui ressentaient de la peur et de l’anxiété ont eu une qualité de vie inférieure aux rares familles n’éprouvant pas ces émotions négatives. À l’opposé, les enfants qui ont pu poursuivre une activité physique pendant le confinement ont présenté un niveau d’anxiété et de stress plus faible que ceux ayant une diminution des activités physiques imposées.

Anxiété et stress ont conduit à des pathologies psychiatriques comme la dépression (25 à 40 % selon les enquêtes 2020 contre 13 % en 2017), le stress post-traumatique (30 %), divers troubles de l’adaptation (16,7 %), le deuil pathologique (16,7 %) et même le suicide chez de très jeunes enfants. Ces suicides et tentatives chez les moins de 9 ans ont constitué une grande nouveauté tragique de cette période.

Aux USA, après le confinement 41,5 % des enfants avaient pris du poids, 34,2 % présentaient une augmentation du temps de sommeil et 69,3 % une augmentation de l’utilisation d’Internet.

Dans la région niçoise, les mesures sanitaires, l’arrêt des activités scolaires et l’obligation de port des masques ont entraîné une réactivation de la peur et des symptômes du syndrome post-traumatique éprouvé au lendemain de l’attentat terroriste du 14 juillet 2016 durant lequel plusieurs enfants ont été confinés avec leurs parents, dans des restaurants ou dans des appartements autour de la Promenade des Anglais, en attendant que le danger passe. Pour certaines familles, cet enfermement s’est poursuivi pendant plusieurs semaines, de peur qu’une nouvelle attaque ne se produise.

L’augmentation de la demande de soins en psychiatrie va certainement perdurer, car la peur installée persiste (et est entretenue) dans la population comme le montre la persistance du port des masques qui n’ont pourtant jamais fait la preuve de leur utilité contre le Covid, et au contraire de bien des inconvénients.(([27] Jetez ces masques que je ne saurais voir ! Jetez les muselières qui ne protègent personne ! — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

Mais dans toute la France, le gouvernement, via les ARS, continue de fermer des lits ou des services de psychiatrie comme à Auch(([28] https://www.ladepeche.fr/2022/03/29/hopital-psychiatrique-dauch-la-cgt-denonce-une-fuite-en-avant-10201079.php)), Laval(([29] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/laval-53000/laval-un-service-entier-de-psychiatrie-ferme-a-l-hopital-de-laval-be806d9c-8b42-11ec-88ed-2ead809b0816)), Cholet(([30] https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/cholet-49300/cholet-fermeture-du-service-de-psychiatrie-les-elus-de-gauche-soutiennent-les-soignants-ade4c2ea-3b2d-11ec-82a9-f13e64837724)), Thonon(([31] https://www.lemessager.fr/36254/article/2022-02-03/fermeture-de-l-unite-psychiatrique-de-thonon-laisse-faire-deplore-un-ancien)), Draguignan(([32] https://www.varmatin.com/sante/non-a-la-fermeture-des-urgences-psychiatriques-a-draguignan-une-petition-deja-signee-par-plus-de-30000-personnes-743734)), Saint-Maurice(([33] https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/fermeture-dune-unite-psychiatre-a-lhopital-saint-maurice-cest-la-fin-dun-suivi-digne-de-ce-nom-13-01-2022-S4ORKSMYWJDMND3N36BQ476ANI.php)), Sevrey(([34] https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/bourgogne/saone-et-loire-fermeture-de-25-lits-au-centre-hospitalier-specialise-de-sevrey-2364106.ht)), ou près de Lyon au Centre Hospitalier du Vinatier…

Conclusion

Le bilan sanitaire de ces deux ans de politique du gouvernement Macron est réellement catastrophique avec un excès considérable de morts Covid évitables (130000-140000 morts ?) liées à l’interdiction des traitements précoces, les euthanasies au Rivotril, mais aussi les trop nombreuses victimes collatérales du plan blanc (15000-25000 ?) et d’un véritable tsunami de troubles psychiatriques alors qu’on retire aux hôpitaux les moyens de les traiter.

Et ce bilan purement sanitaire ne tient pas compte des autres conséquences des mesures sanitaires : crise économique la plus sévère depuis la dernière guerre, fragmentation de la société, forte progression du décrochage scolaire et de la pauvreté, mise à mal des hôpitaux et du personnel soignant, dérive autoritaire foulant aux pieds de nombreux droits fondamentaux garants de la démocratie…

Ainsi analyserons-nous dès que possible le gouffre financier du « quoiqu’il en coûte ».

Notes




Une avocate antivax kidnappée et séquestrée par les barbouzes de Macron

[Source : RL]

Par Christian Navis

Le 22 mars 2022 la macronestapo procédait à la rafle matinale de Maître Virginie de Araujo Recchia, et à sa séquestration en un lieu tenu secret, en violation de ses droits. Une info étouffée dans le silence complice des médias main stream.

[Voir aussi :
L’avocate Virginie de Araujo-Recchia placée en garde à vue]

Cette juriste opposée à la dictature sanitaire travaillait avec Reiner Fuellmich, son confrère qui a initié contre Macronescu une procédure internationale en crimes contre l’humanité.

Cette procédure s’articule, entre autres griefs, sur les contraintes vaccinales sous menaces et chantages, en violation du code de la santé français et du code de Nuremberg.  Aggravées par les nombreux accidents, certains mortels, résultant de ces thérapies expérimentales rendues obligatoires sur des cobayes  humains.

Mais je vous parie que les nervis du pouvoir vont « découvrir » quelques grammes de coke chez elle, ou une arme ayant servi à un hold up, ou alléguer tout autre prétexte permettant de la séquestrer. Et après ça, la macronaillerie traite Poutine de dictateur !

Elle a commis des fautes impardonnables !

À l’été 2021, après que Macronescu a imposé l’obligation vaccinale pour tous les soignants et la généralisation du passe nazitaire pour l’ensemble des Français ne voulant plus rester enfermés chez eux, elle clamait dans une vidéo virale qui n’allait pas tarder à être cenSSurée, que les mesures gouvernementales covidesques, notamment la vaccination forcée et le port du masque obligatoire, participaient à un génocide dans un pays où la séparation des pouvoirs n’existait plus.

Puis en février 2022, elle rassemble des preuves pour le Tribunal international (non reconnu par la France, comme les nazis récusaient Nuremberg) mis en place par l’avocat allemand Reiner Fuellmich afin de juger les politiciens cupides qui ont contribué, avec leurs pseudo-vaccins, à tuer plus de gens que le virus de la grippe pangoline.

Il tombe sous le sens que les voyous qui ont pris la France en otage ne pouvaient tolérer pareilles dénonciations.

Peu de temps auparavant, elle avait rendu public son rapport intitulé « Dictature 2020 » accusant le pouvoir macronien et ses sbires de « terrorisme d’État, atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation et crimes contre l’humanité ».

Ce document devait constituer la base des poursuites pénales contre les membres de ce gouvernement de république bananière.

Elle ne fait qu’énoncer des évidences lorsqu’elle écrit : « On empêche les gens de travailler, on empêche les gens d’avoir une vie sociale, on isole les personnes depuis plusieurs mois, après leur avoir fait croire que tout irait mieux en portant le masque. »

Mais le dictateur et ses séides n’aiment pas entendre de genre de vérités. Malgré l’armada des journaleux vendus et des médias pourris qui chantent leurs louanges 24/24, ils craignent que les yeux des électeurs s’ouvrent avant l’élection.



Dénoncer les crapules au pouvoir est le crime le plus horrible !

Elle aurait été arrêtée sans mandat par des agents se prétendant de la DGSI, agence gouvernementale chargée de l’espionnage et du contre-terrorisme. Aucun chef d’inculpation n’a été notifié et il semblerait qu’on lui ait refusé le coup de téléphone et la présence d’un confrère, dont bénéficient les braqueurs, les narcos et les égorgeurs.

On a une chance de la revoir vivante car mieux vaut prendre des coups de Bottin sur la tête que d’avoir affaire à ces officines parallèles qui, de Ben Barka à Doucet, de Boulin à Bérégovoy, de François de Grossouvre à Jean-Edern Hallier et Claire Séverac ont su neutraliser les gêneurs.

Quand ils ne font pas disparaître discrètement les corps, les nettoyeurs s’y entendent pour qu’il leur arrive des accidents de bicyclette, des noyades dans une flaque d’eau, ou qu’ils se suicident de deux balles dans la nuque.

Virginie de Araujo-Recchia avait déjà déposé plusieurs plaintes au pénal contre le répugnant Emmanuel Lechypre et contre le fantoche Blachier, ainsi que contre les directeurs de publication de plusieurs médias menteurs complices des covideurs. De même que contre les membres de la commission mixte paritaire ayant validé le scélérat passe vaccinal. Et elle envisageait d’assigner des ministres corrompus.

Bien évidemment, Dupond le Yéti avait donné ordre à ses parquetiers de classer ces affaires, ce qui fut fait promptement.

Mais par effet Streisand, entre cenSSure, dénégations insensées et mensonges incohérents, un nombre croissant de personnes, ré informées par le web, ont commencé à se poser des questions. Auxquelles le paltoquet ne répondra pas puisqu’il refuse tout débat. Mais auxquelles des électeurs moins stupides qu’il l’imagine, trouveront tout seuls les bonnes réponses.

Le tyran craint pour son trône

On imagine le paltoquet hystérique, trépignant, éructant, hurlant et se bavant dessus devant Jean-Britt désemparé, incapable de consoler le gamin.

Si Macronescu se fait jeter, fini la belle vie aux frais des contribuables ! Fini la protection des banksters puisqu’il ne leur servira plus à rien ! Fini surtout l’immunité de la fonction et donc le risque de devoir répondre de ses méfaits. De tous ses crimes. À commencer par ceux contre les Gilets jaunes. En continuant par les expérimentations de masse sur des êtres humains contre leur volonté.

Il n’y a pas que la dictature sanitaire !

Des juristes que j’ai consultés m’ont confirmé que des éléments constitutifs de crimes contre l’humanité étaient incriminants depuis les Gilets jaunes.

Et si le manque de réaction des partis et des institutions, et la lâcheté des politiques, ont été pour Macronescu un encouragement à aller plus loin, en terrorisant les gens pour leur imposer ses décisions arbitraires d’autocrate capricieux et immature, ce n’est pas une excuse.

Si l’on s’en tient à la lettre du Code pénal, Macron et ses complices devraient être accusés de crimes contre l’humanité selon les dispositions de l’art 212-1 – 2°, 5° et 11° du code pénal ainsi libellés :

« Constitue un crime contre l’humanité et est puni de la réclusion criminelle à perpétuité l’un des actes ci-après commis en exécution d’un plan concerté à l’encontre d’un groupe de population civile dans le cadre d’une attaque généralisée ou systématique :(…..)

2° L’extermination,

5° L’emprisonnement ou toute autre forme de privation grave de liberté physique en violation des dispositions fondamentales du droit international ;

(…..)

11° Les actes inhumains causant intentionnellement de grandes souffrances ou des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique. »

Pourraient trouver également application les dispositions de l’art 211-1 punissant de la réclusion criminelle à perpétuité « tout plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe déterminé à partir de tout critère arbitraire et de commettre ou faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie (…..) »

Les faits vus au travers du Droit :

1 / Sur le chef d’accusation du 212 – 1 11° : 11°alors que la menace d’épidémie était connue dès le mois de décembre 2019, un arrêté du 13 janvier 2020 a déclaré « substance vénéneuse » l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée depuis 80 ans, tombée dans le domaine public donc bon marché, et dont les effets anti-viraux étaient connus.

Puis est venue une nouvelle mesure cynique : par décret du 25 mars 2020, le gouvernement a limité l’usage de ce remède aux cas désespérés afin de pouvoir en dénoncer l’inefficacité. Surtout quand on sait que prescrire de l’hydroxychloroquine à un moribond sans le combiner à l’azithromycine revient à traiter un cancéreux avec de la tisane de queues de cerise…

Le tout assorti d’une campagne médiatique hystérique de dénigrement des médecins qui proposaient cette thérapie. Brocardés, contredits et insultés par des journaleux agressifs dont la plupart n’ont pas le niveau scientifique d’un BEPC d’antan.

Menacés par ailleurs des foudres de l’administration s’ils revendiquaient le droit de choisir librement leurs prescriptions, conformément au code de déontologie. Même Pétain et Laval lorsqu’ils ont créé l’Ordre n’avaient pas osé aller aussi loin !

Aujourd’hui il est permis de s’étonner de la célérité avec laquelle l’ANSM a donné des « avis » conformes aux décisions du dictateur. L’ANSM impliquée dans les scandales du Médiator, de la Dépakine et du Levothyrox, et traduite en justice pour ses nombreuses erreurs.

On doit ajouter au désastre initial l’impossibilité matérielle pour des millions de personnes de soigner leurs maladies chroniques, perdant ainsi des chances de vie. De même que des affections autres que celles résultant du covid, du fait de la fermeture arbitraire des cabinets médicaux et de l’interdiction faite aux patients de se déplacer normalement.

S’y est ajoutée par la suite l’interdiction d’accès aux hôpitaux pour les gens non vaxinés, quel que soit le mal dont ils souffrent, soumis à un véritable chantage : Faites-vous piquer sinon on vous laissera crever la gueule ouverte pleine de mouches !

Bien que rackettés toute leur vie par une Sécu qui ne profite réellement qu’aux étrangers de préférence en situation irrégulière couverts à 100 % sans avoir jamais cotisé, on refuse de soigner les Français qui ne veulent pas servir de cobayes.

Les médicastres qui se déshonorent ainsi devront eux aussi rendre des comptes, le moment venu.

Une inconséquence criminelle peut être lue à travers la chronologie des faits et leur réitération malgré les nombreuses réserves et mises en garde provenant d’une partie du corps médical honnête et des virologues et épidémiologistes scrupuleux.

Lesquels ont été bâillonnés afin de ne pas nuire aux intérêts d’entreprises pharmaceutiques dont les dirigeants, proches du tyran et des membres de son gouvernement, devront répondre du chef de corruption active et de conflits d’intérêts, en plus de complicité d’homicides.

2/ En ce qui concerne la définition du 2e des crimes contre l’humanité, le décret du 28 mars 2020 prescrivant, facilitant et incitant à l’usage de Rivotril afin d’achever les personnes les plus âgées répond au qualificatif juridique d’ « extermination », tuerie de masse délibérément organisée selon des critères discriminatifs précis : l’âge et le niveau socio-économique.

3/ Pour ce qui relève du 5e des crimes contre l’humanitépeuvent être considérées comme constitutives d’atteintes graves et répétées aux droits civils des citoyens : l’assignation à domicile arbitraire de toute une population, sans condamnation préalable des personnes pour quelque délit que ce soit, instaurant une présomption de culpabilité généralisée s’appliquant de façon aveugle à chacun dans un climat de méfiance, de mal-être et de terreur entretenus par des harcèlements systématiques opérés par des milices qui n’ont plus rien à voir avec une police républicaine.

Le tout encadré par des sanctions pénales abusives décidées pour appuyer ces mesures autoritaires sans que les représentants élus du peuple en aient débattu et les aient votées.

Même si ces diktats furent validés ultérieurement par le Conseil anticonstitutionnel, ce rattrapage a piétiné le principe général de non-rétroactivité des lois pénales. Outre le fait qu’ils intervenaient dans le domaine dévolu à la loi, même si on les a qualifiés de « contraventions » dont les peines étaient supérieures à certains délits !

4/ En ce qui concerne le 212 – 1 – 11°,  Les piquouses forcées avec des produits dangereux sont bien des actes inhumains intentionnels causant des atteintes graves à l’intégrité physique ou psychique des personnes, passibles de la réclusion criminelle à perpétuité.

On peut y ajouter l’état de sidération dans lequel on a maintenu les enfants pendant 2 ans, en les terrorisant et en les contraignant à porter en permanence une muselière nocive, provoquant des troubles cutanés et respiratoires, et altérant gravement leur développement psychique et intellectuel en les privant des indispensables interactions visuelles avec leurs interlocuteurs.

 Tout cela s’ajoute aux crime constitués avant par les ordres donnés pour terroriser, éborgner et mutiler des manifestants pacifiques en utilisant, pendant toute une année, chaque semaine de façon délibérée, une panoplie d’armes létales telles que des grenades de combat rapproché et des balles renforcées à projection ultra rapide dites de dispersion, spécialement calibrées pour faire le plus de dégâts possible, et dont on savait qu’elles provoquaient des énucléations et des amputations à répétition.

Sans oublier les jet de gaz corrosifs et asphyxiants en plein visage, provoquant des cécités et des défigurations, pour le plus grand amusement des nervis.

Ces crimes ont occasionné des dommages physiques et psychiques à plusieurs milliers de personnes, et parmi elles des centaines de blessés très graves qui devront obtenir réparation. En attestent l’abondante documentation vidéo, les nombreuses déclarations des soignants ainsi que les témoignages de quelques policiers qui ont préféré se porter malades ou prendre des congés plutôt que de se rendre complices du dictateur.

Je connais personnellement un haut gradé, « en maladie diplomatique » prêt à témoigner à charge, une fois que Macronescu et sa clique auront été inculpés.

Les autres gradés et subalternes de la force publique auteurs d’agressions physiques devront être poursuivis du chef de coups et blessures volontaires, tentatives d’homicides, tortures et traitements dégradants. Y compris ceux qui ont impunément harcelé, tabassé et racketté d’innocents promeneurs pour une muselière de travers.

Leur culpabilité sera établie en fonction du degré de zèle avec lequel chacun a suivi des ordres manifestement illégaux.

En vertu de la jurisprudence de Nuremberg selon laquelle :

« L’obéissance aveugle à des ordres injustes ou illégaux n’exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle. »

SVP n’oubliez pas  Virginie de Araujo Recchia et racontez partout où vous pouvez le traitement odieux que lui infligent les tontons macoutes du despote. Seule une vague d’indignation soutenue pourra la sauver de ses tortionnaires !

Christian Navis




La destruction de la médecine française achevée par le pouvoir macroniste. Pistes pour en sortir

Par Docteurs Nicole et Gérard Delépine

En 2000, le système sanitaire français était encore jugé l’un des meilleurs du monde. Mais en quarante ans depuis la politique Thatcher inaugurée en France par F. Mitterrand en 1983, la politique de restriction budgétaire et de gestion de plus en plus bureaucratique l’a mis au bord du gouffre.

Depuis de nombreuses années, les grèves quasi permanentes des personnels des hôpitaux psychiatriques et des urgences, les manifestations populaires des petites villes se battaient pour tenter d’éviter la fermeture des hôpitaux de proximité et en particulier des maternités. La mise en place des agences régionales d’hospitalisation (ARH) en 1996 par Alain Juppé, quelques mois après son échec de casse de la sécurité sociale, a conduit aux premières coupes en lits hospitaliers de proximité et aux manifestations fréquentes des personnels et citoyens de la Corrèze au Cotentin, en passant par le Jura et la Creuse. Dans le silence médiatique déjà et l’indifférence nationale.

En 2003, le plan cancer nationalisait la cancérologie (au bénéfice de Big Pharma) coupant toute possibilité de choix de traitement par le médecin et son patient. Test d’obéissance réussi. En ville les références médicales opposables transformées bientôt au début du XXIe siècle en recommandations imposées bloquaient la liberté de soigner des généralistes et spécialistes de ville. Le carcan se mettait en place sans réaction des médecins vite achetés par quelques avantages et paroles mielleuses.

La loi Bachelot(([1] Récompensée par le poste actuel de ministre de la Culture… ils sont tous liés.)) en 2008 sous Sarkozy a transformé les ARH en ARS — agences régionales de santé — mettant la main sur l’ensemble du système hospitalier tant public que privé. Les médecins du privé ont les mêmes obligations que ceux du public, en termes d’injonctions thérapeutiques, de réunions multiples et comités ad hoc, et accréditations via les agences au minimum tous les quatre ans. Pas d’accréditation, on ferme. Il n’y a plus de médecine libre ni privée en France depuis la loi de 2008. Cette dernière a été aggravée sous Hollande par la loi dite Touraine, ministre de la Santé dont O. Véran fut le rapporteur et Gabriel Attal membre de son cabinet entre autres.

Ainsi le ministère de la Santé sous E. Macron est la suite de la précédente législature dont il fut secrétaire général adjoint de l’Élysée sous F. Hollande avant d’être son ministre de l’Économie.

Continuité donc depuis de longues années sous l’apparence de changements politiques qui ne furent qu’esbroufe pour le public naïf.

REMERCIMENTS À BIG PHARMA

Ainsi le début du quinquennat Macron fut marqué par la rapide décision d’imposer 11 vaccins obligatoires à tous les enfants nés après le 1er janvier 2018 faisant fi des avis de la société civile, et surtout des dangers d’injecter tant de valences différentes aux tout petits avant qu’ils ne construisent leur système immunitaire. Mme Buzyn fut à la manœuvre et le président put remercier ses amis de Big Pharma. Cette décision n’avait jamais été évoquée pendant la campagne présidentielle.

Durant la crise Covid, A. Buzyn, puis O. Veran (ministres de la Santé) et le célèbre homme en noir du soir (le secrétaire général de la santé J. Salomon) se sont attaqués au nom de leur Président, aux principes mêmes de la médecine d’Hippocrate par des mesures autoritaires qu’aucun dirigeant n’avait jusqu’ici osé imposer. Rappelons-en quelques-unes.

NOUS SOMMES EN GUERRE, répéta E. Macron lors de sa première TV sur le Covid, oubliant de préciser contre qui… Contre les citoyens et en particulier ce qui restait de la médecine. On en eut vite quelques démonstrations.

N’allez pas consulter votre médecin !

Jamais dans l’histoire il n’avait été conseillé à un patient, en cas de maladie, de ne pas consulter son médecin, longuement formé pour vous examiner et porter un diagnostic et alors seulement, prescrire un traitement adapté à votre maladie en fonction de votre spécificité. Pourtant le ministère l’a fait dès mars 2020 en ces termes :

« Si vous présentez des symptômes pouvant indiquer une infection liée au coronavirus : toux, fièvre, écoulement nasal, mal de gorge, symptômes grippaux… restez chez vous. N’allez pas chez le médecin. »

Ça restera célèbre !

Même au temps de la peste, les médecins se rendaient au chevet des malades et leur portaient secours, car c’est depuis toujours leur mission. Mais le ministre a-t-il estimé qu’il saurait les soigner mieux qu’eux (et sans examiner personne) ou plutôt que ne pas les soigner du tout aggraverait de fait cette épidémie « providentielle » bien tombée pour imposer le Grand Reset ?

Interdictions de prescrire de la chloroquine puis l’Azithromycine et peut-être bientôt la vitamine D !

Jamais dans l’histoire le pouvoir en place n’avait interdit aux médecins de prescrire un médicament utilisé depuis longtemps sans complication. Ils l’ont fait. A. Buzyn a classé la chloroquine en médicament dangereux en janvier 2020 avant les premiers cas, alors que ce médicament était en vente libre depuis plus d’un demi-siècle et que chacun s’en procurait librement à l’occasion d’un voyage en Afrique, sans examen médical. Les militaires en mangent chaque jour comme des bonbons. Mais miracle, elle devient dangereuse alors qu’arrive le SARS-CoV-2 en France. Et Mme Buzyn osera répondre au Sénat comme « justification » que les Français consomment trop de médicaments.

Instrumentalisant l’article complètement bidon du Lancet d’ailleurs retiré peu de temps après sa publication (affaire dite du Lancet Gate(([2] Affaire du Lancet. On regrette que la presse française ne vérifie plus rien. The Gardian l’a fait. Premier résultat : les données sur l’Australie sont fausses
https://www.theguardian.com/science/2020/may/28/questions-raised-over-hydroxychloroquine-study-which-caused-who-to-halt-trials-for-covid-19On le redit, cette étude est une escroquerie intellectuelle L. Muchielli. La doxa du Covid
« Fin de partie » pour l’hydroxychloroquine ? Une escroquerie intel… | Le Club (mediapart.fr) ))), un décret paru le 27 mai 2020 au Journal Officiel interdit aux médecins de prescrire 
l’hydroxychloroquine contre le Covid pour soi-disant « toxicité cardiaque ». C’était d’autant plus surprenant que la nivaquine est commercialisée en France depuis plus de 70 ans (1949) et qu’elle n’avait pas jusqu’ici fait l’objet de signalement pour toxicité (sauf quelques rares cas lors d’automédication non surveillée par un médecin). Cette interdiction ministérielle a été soutenue par le Conseil de l’Ordre qui a systématiquement poursuivi les médecins qui défendaient ces médicaments en public comme les professeurs Raoult et Perronne et ceux qui guérissaient leurs malades grâce à eux, et encore en mars 2022 malgré l’accumulation de preuves internationales de l’absence de toxicité, mais surtout de la grande efficacité des schémas de traitement incluant la chloroquine ou dérivés !

Pourtant maître Krikorian démontra rapidement que cette interdiction n’était pas licite.

« …Le décret publié ce 27 mai 2020 tire une nouvelle fois les conclusions de l’avis du HCSP et modifie les conditions dérogatoires de prescription de l’hydroxychloroquine : que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19… »

Merci Mr Veran, car ce communiqué fut contesté dans sa valeur juridique, mais le mal était fait et court encore, exemple parfait de ce qu’est devenue la communication en France depuis le début du Covid et qui se poursuit avec la guerre en Ukraine, une version divulguée partout sur tous les Médias.

« Ce communiqué de presse a entraîné ce qui aujourd’hui peut être caractérisé comme une des plus grosses fake news puisque tous les médias ont repris cela en cœur et communiqué sur ce fait que le ministre avait interdit l’hydroxychloroquine. Ce “Ne doit pas” a eu un impact critique sur tous les médecins et Français et a entraîné une confusion générale. »

« Un élément des plus surprenants est l’asymétrie de traitement de l’information sur l’hydroxychloroquine. Le 27 mai 2020, le ministre de la Santé faisait le communiqué de presse avec ce “Ne doit pas”, mais, ce 11 juillet, alors que prenait fin cette interdiction, il n’y a eu aucun communiqué du ministre. Deux poids deux mesures. »(([3] La liberté de prescription des médecins est intacte ? (francesoir.fr) ))

« Le communiqué n’a donc aucun effet pour la juge, cependant il a été, pendant de nombreuses semaines, interprété par les médias, les patients et les médecins comme une interdiction. C’est la réalité sociologique que l’on retiendra et qui a créé beaucoup de confusion pour rien. La clarification demandée à ce sujet est donc importante et continue à mettre en évidence les incohérences ».

L’Azithromycine qui avait eu le tort d’être conseillée par le Pr Raoult en association avec l’hydroxychloroquine avec des résultats probants recueillis dans le monde entier, a été de même « interdite » par l’arrêté du 13 décembre 2021 pour soi-disant « éviter la trop grande prescription d’antibiotiques. » Mais là aussi avec un grand flou. Mais le mal est fait, démultiplié par les médias.

Jusqu’ici lorsqu’un médicament mis sur le marché se révélait dangereux, l’agence sanitaire émettait une alerte rappelant les risques signalés et le déconseillait, laissant aux médecins la liberté de le prescrire sous leur responsabilité personnelle. Ni l’hydroxychloroquine ni l’Azithromycine ni leur association n’exposent à des complications aux doses suggérées par le PR Raoult, et s’est révélée efficace et sans danger. Alors, pourquoi ?

L’Algérie, dont la population comporte les mêmes facteurs pronostiques péjoratifs que la population française (âge, obésité, diabète, hypertension), mais qui a instauré le traitement par le protocole Raoult pleure 13 fois moins de morts Covid par million d’habitants que la France

Les « interdictions » de traiter édictées par O. Véran sont vraisemblablement responsables d’une partie de l’excès de 120 000 morts français comptabilisés au nom du Covid et particulièrement chez les personnes âgées moins susceptibles de guérir spontanément. Les généralistes qui les suivaient pour leur « grippe » les années précédentes les traitaient avec l’Azithromycine pour leur infection pulmonaire et ils guérissaient.

Plus récemment, la vitamine D, dont de nombreux articles ont mis en évidence l’effet protecteur contre les formes graves de Covid, a, elle aussi, été menacée d’interdiction, car elle a été brutalement qualifiée de « perturbateur endocrinien ». L’imagination du ministère pour interdire tout traitement efficace contre le Covid n’a vraiment pas de limite !

Pour comprendre l’opiniâtreté du refus d’admettre l’efficacité des traitements précoces du Covid-19, il faut savoir que la reconnaissance officielle de l’efficacité d’un traitement médicamenteux contre le Covid aurait pu mettre en péril « l’autorisation conditionnelle » de mise sur le marché des pseudo vaccins, car celle-ci n’a été accordée que parce qu’il n’existait aucun traitement reconnu de l’infection. De fait, ils ont contourné les lois au fur et à mesure et en mars 2022, plusieurs médicaments (chers), des nouveautés, ont été acceptés. Mais en restreignant leurs indications, ce qui permet de faire croire qu’il n’existe pas de traitement pour tous les malades. Et pourtant, ivermectine, etc..

Refuser les vieux aux urgences et à l’hôpital !

L’état d’urgence sanitaire a été officiellement instauré en février 2020 pour « protéger les plus fragiles et en particulier les personnes âgées ».(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen)) Pour justifier les mesures restrictives des libertés prétendument sanitaires, les médias ont LARGEMENT insisté sur la priorité absolue « de protéger les plus vieux et les plus fragiles » faisant croire aux jeunes qu’ils se sacrifiaient pour les plus vieux. Mais diviser pour régner et mentir outrageusement est leur mantra. Les mesures imposées par nos gouvernants ont fait le contraire, en excluant cruellement les personnes âgées des soins.

Les mesures contre les personnes âgées se sont durcies avec les consignes de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 et plus encore le décret du 28 mars signé E. Philippe et O. Véran

« Ils prévoient, organisent et facilitent l’euthanasie des personnes âgées (âge non précisé : 60, 65, 75 ?) par injection intraveineuse d’un médicament contre-indiqué dans les détresses respiratoires. Injection qui va donc endormir le patient, aggraver son asphyxie et le mener à la mort. Le consentement éclairé est absent, de même que le simple choix du patient en abus de faiblesse. »(([4] Mais l’analyse des actions gouvernementales réalisées depuis montre qu’en réalité, une des véritables intentions de cette suppression des droits élémentaires du citoyen est « éliminer les vieux » trop coûteux en termes de retraites, de soins. Un des thèmes préférés d’Attali (le mentor d’E. Macron), est l’élimination des retraités après 65 ans (oubliant son âge, mais c’est pour les gueux). La prévision télévisuelle de l’homme C. Barbier, à l’écharpe rouge est glaçante : Macron pourra être réélu en 2022 même s’il traite durement les retraités, car ils ne seront plus là pour voter.
Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? — AgoraVox le média citoyen))

Les directeurs d’EHPAD ont reçu le document rédigé par le Dr Renaud Lévy, gériatre, membre du bureau de l’association nationale de médecins coordonnateurs d’EHPAD donnant l’instruction claire et nette de ne pas « emboliser le standard téléphonique du SAMU pour des patients qui n’iront pas à l’hôpital ». Le document ajoute à cette catégorie les personnes âgées pour qui l’hospitalisation ne serait pas bénéfique ». Évidemment les bureaucrates sont aptes à en juger. Mais la population sidérée se tait.

De plus, dans sa fiche de « RECOMMANDATIONS Gestion COVID-19 » à destination des établissements médicosociaux pour personnes en situation de handicap et établissements pour public en difficultés spécifiques(([5] https://www.hauts-de-france.ars.sante.fr/system/files/2020-03/Recommandations%20ESMS%20Mars%202020.pdf)), les ARS ne mentionnent nulle part la possibilité d’une hospitalisation.

Les ARS bras armé du ministère ont appliqué les instructions et ordonner de laisser les vieux atteints du Covid dans leur EHPAD d’origine ou le manque de personnel, d’espace et de moyens de protection a abouti à contaminer leurs compagnons d’infortune, de plus privés du soutien de leurs familles et d’une partie de leurs soignants habituels et ce de façon complètement incompréhensible et injustifiée. Du jour au lendemain, on prive nos parents de tous contacts, et on s’étonne qu’ils décèdent en grand nombre (non testés). La vie a besoin d’amour pour perdurer et le Covid-19 a bon dos. N’oublions pas que la dernière réunion de l’Assemblée nationale avant le coronacircus était consacré à l’étude de la réforme des retraites qui donnait lieu à de nombreuses voire violentes manifestations. Quelle aubaine, ce virus.

Les médecins ont reçu dès fin mars 2020 les instructions rédigées par la société savante de soins palliatifs.

Administrer du Rivotril pour euthanasier de fait les vieillards suspects de Covid

Fourniture du poison (Rivotril injectable) autorisé par le décret du 29 mars pour une période exceptionnelle (qui a eu vocation de durer…)

INCITE LES MÉDECINS ET SOIGNANTS À ACCÉLÉRER LA FIN DE VIE CHEZ LES PATIENTS QU’ILS ESTIMENT NE PAS POUVOIR PRENDRE EN CHARGE (faute de lits ou de probabilité suffisante de les guérir !)

SEULS, SANS CONSENTEMENT DU PATIENT NI DE SA FAMILLE QUI NE LE REVERRA PAS

 « Une internaute raconte : “on leur a amené ma grand-mère consciente, un peu gênée sans plus, ils nous ont rendu un cercueil fermé et l’interdiction de l’accompagner à plusieurs dans sa dernière demeure”. Nous pourrions vous en transcrire des centaines ».

Ce décret scélérat signé Veran-Philippe(([6] Un candidat à la présidence 2027 semble-t-il…))(([7] Décret n° 2020-360)) autorise la prescription de Rivotril sous forme injectable dans ces établissements et à domicile, aux malades infectés ou supposés tels (pas de test !). Le Rivotril injectable, puissant inhibiteur respiratoire est, selon la notice, contrindiqué dans les détresses respiratoires. C’est clair ! « Par dérogation à l’article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril® sous forme injectable peut faire l’objet d’une dispensation, jusqu’au 15 avril 2020, par les pharmacies d’officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d’être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l’état clinique le justifie sur présentation d’une ordonnance médicale portant la mention “Prescription hors AMM dans le cadre du Covid-19” ». Le ministre pousse la générosité à rembourser le médicament à 100 %, 4 € plus généreux que les Chinois qui font payer la balle aux familles des condamnés à mort.

Les médecins reçoivent au début de leur garde une fiche-conseil pour la prise en charge des patients Covid(([8] Fiche conseil-urgence sanitaire patients Covid+ prise en charge des détresses respiratoires asphyxiques à domicile ou en EHPAD rédigée par la Société dite savante d’accompagnement et de soins palliatifs. « Ces propositions ne sont en aucun cas destinées à être appliquées dans d’autres circonstances que celles que nous rencontrons, déjà aujourd’hui pour certains et peut-être demain pour d’autres, liées à ce contexte dramatique d’épidémie de COVID-19 ». Travail coordonné par Pr Morel (président conseil scientifique de la SFAP), Pr Guirimand, Dr Michenot, Dr Sahut-d’Izarn.)). Injonction mortifère pour « euthanasie », mais sans consentement éclairé de l’intéressé, ni demande préalable à la famille, contraire à la loi Leonetti et même aux désirs des partisans de l’euthanasie qui la souhaitent toujours décidée par le patient lui-même.

Les fiches détaillent les étapes à suivre selon la gravité du tableau clinique (cf. article Agoravox réf.).

Le Rivotril est un puissant dépresseur respiratoire et sa notice indique qu’il est contre-indiqué en cas de difficultés respiratoires. Le donner à des vieillards souffrant de gêne respiratoire revient à les euthanasier activement ou plutôt à les assassiner puisque l’injection réalisée avec préméditation n’était pas faite à la demande du malade et que ses conséquences létales lui étaient cachées. Dix mille prescriptions supplémentaires de Rivotril par rapport à l’année 2019 ont été comptabilisées en mars et avril 2020. Dix mille morts par injection au minimum.

Plan blanc et ses milliers de « victimes collatérales »

Déclenché dès le 26 février 2020 dans les hôpitaux de Creil et de Compiègne, le plan blanc a été étendu par le Premier ministre E. Philippe dans les hôpitaux des régions du Grand Est et Île-de-France le 6 mars, avant d’être généralisé à tous les établissements de santé le 13 mars 2020.

Ce plan blanc interdit toute intervention ou traitement jugé non urgent par les Agences Régionales de Santé si ce traitement nécessite une hospitalisation (soit environ 70 % de l’activité chirurgicale normale).

Pour prétendument faire de la place pour les malades Covid, sur ordre du Premier ministre Édouard Philippe,(([9] Désastre sanitaire et économique du blocage de la chirurgie (economiematin.fr) )) les ARS ont interdit aux chirurgiens d’opérer sauf en cas d’urgence reconnue par leurs agents. Des bureaucrates décidant du degré d’urgence d’une intervention sans examiner le malade ! Par exemple, ils ont ainsi estimé que l’ablation des cancers du côlon n’était pas urgente et qu’elle pouvait être remplacée par de la radiothérapie (alors que ce cancer est très peu sensible aux rayons et qu’il y avait très peu de disponibilité de place en radiothérapie).

Cette interdiction d’opérer pour libérer des lits aux malades du Covid n’avait en réalité aucun intérêt, car les ARS ont généralement refusé de transférer les malades Covid des hôpitaux publics vers les cliniques privées qui sont restées majoritairement vides(([10] https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/31945-Podcast-On-prefere-eloigner-patients-alors-des-cliniques-restent-vides))(([11] https://www.lesechos.fr/economie-france/social/coronavirus-les-hopitaux-prives-non-lucratifs-veulent-etre-plus-sollicites-1186749))(([12] https://www.espaceinfirmier.fr/actualites/200416-Covid-19-les-cliniques-sont-elles-insuffisamment-sollicitees.html)) et ont dû, pour beaucoup d’entre elles, mettre leur personnel au chômage !

Ce blocage inutile des lits pendant trois mois a empêché de traiter convenablement les malades chroniques courants (cardiaques, diabétiques, insuffisants rénaux.), de pratiquer des greffes d’organes prévues, de dépister des cancers(([13] OMS le nombre de cancers diagnostiqués en avril de l’année dernière a par exemple « diminué de 30 à 40 % lors du premier confinement de 2020 » aux Pays-Bas et en Belgique,)), de faire les biopsies nécessaires au diagnostic précoce (objectif pourtant prioritaire de la médecine depuis 20 ans). On estime que les retards et défauts de soins consécutifs sur le plan blanc ont déjà causé le décès évitable de 5000 personnes par infarctus, embolie, accidents vasculaires cérébraux et qu’ils seront responsables de la mort de 15 000 à 20 000 cancéreux dans les prochaines années.(([14] OMS Déclaration du docteur Hans Henri P. Kluge, directeur régional de l’OMS pour l’Europe– L’impact catastrophique de la COVID-19 sur les soins du cancer Copenhague (Danemark), 4 février 2021))(([15] Dans son rapport, F Bizard précise : « selon les données de Doctolib, l’activité aurait baissé en avril 2020 par rapport à janvier 2020 de 44 % chez les médecins généralistes et de 71 % chez les spécialistes. La CNAMTS a confirmé une baisse d’activité de 40 % pour les médecins généralistes. Une moyenne de 70 % de perte d’activité chirurgicale a été constatée depuis le début du plan blanc ». L’impact de la crise Covid-19 a été estimé à une baisse de plus de 2 millions d’actes chirurgicaux, pour une date de levée du plan blanc postérieure au premier juin. Le nombre des décès secondaires aux retards de soin consécutifs à ce plan blanc est difficile à estimer pour l’instant, mais compte tenu du nombre considérable de malades concernés (plusieurs millions), il devrait très largement dépasser celui des victimes directes de l’épidémie.))

Ce plan blanc était inutile puisque le taux d’occupation des lits hospitaliers pour Covid est resté bas au cours de l’année 2020(([16] https://www.atih.sante.fr/sites/default/files/public/content/4144/aah_2020_analyse_Covid.pdf)), « les patients Covid ont représenté 2 % de l’ensemble des patients hospitalisés tous champs hospitaliers confondus » et « 5 % de l’ensemble des patients pris en charge en service de soins critiques. » AVEU terrible qui aurait dû entraîner des vagues de protestation, mais tout passe.

Néanmoins, les conséquences immédiates et à venir du plan blanc, totalement méprisées par le Premier ministre et les ministres successifs de la santé, Buzyn puis O Veran ont lourdement aggravé le bilan mortifère de la politique sanitaire du gouvernement.

Censure Covid servant de modèle à la censure généralisée en médecine.

Officiellement la censure est abolie en France et la loi n’interdit que :

« la négation des crimes contre l’humanité, les incitations à la haine raciale, et à la discrimination fondée sur l’appartenance ou la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion ».

Pourtant, depuis le début de la crise Covid, les dirigeants et les médias ont établi une censure sévère empêchant toute expression d’opinion mettant en doute le dogme corona officiel.

Chacun a pu l’observer sur Tweeter et LinkedIn où les donneurs d’alerte ont vu leur compte supprimé, sur Facebook qui a censuré d’un coup 8000 canaux de journalistes et de médecins indépendants, dans les journaux et à la télévision grand public où se sont succédé tous les jours des médecins très liés aux fabricants de vaccins ou aux organismes apôtres de la pseudo vaccination.

Tous les médias dominants et l’Agence France-Presse ont créé des services de « fast checkers » (souvent rémunérés par Bill Gates) qui se comportent en propagandistes sans vergogne de la stratégie « tout vaccinal »(([17] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/larnaque-des-fact-checkers))(([18] https://blogs.mediapart.fr/basicblog/blog/170721/Covid-medias-fact-checkers-fabriques-mensonges))(([19] https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/le-BMJ-etrille-le-fact-checking-de-facebook)) prétendant par exemple qu’il serait « possible éradiquer le virus par une immunité collective vaccinale »(([20] Hypothèse folle reconnue depuis impossible par la quasi-totalité des agences sanitaires qui en avaient pourtant fait un mantra.)), que les traitements précoces (Hydroxychloroquine, Ivermectine, Artémisine) étaient inefficaces et dangereux(([21] Affirmations démenties par les évolutions sanitaires des pays africains et de l’Inde qui les ont utilisés avec succès.)), que les mesures sanitaires étaient efficaces(([22] Prétention démentie par toutes les analyses indépendantes.)), que les « vaccins » seraient efficaces et sans danger(([23] L’inefficacité des vaccins est affirmée par la poursuite de l’épidémie dans tous les pays très vaccinés.))(([24] Les registres officiels américains, européen et français recensent un nombre de morts post injection sans précédent dans l’histoire des vaccins.)) et que l’injection des enfants pourrait protéger les personnes à risques

Et les médias qui publient ces désinformations refusent systématiquement un droit de réponse. À quand les poursuites juridiques contre les décideurs, mais aussi les journalistes complices ?

Parallèlement, la censure des opinions des médecins qui ne cadreraient pas avec le lobby pharmaceutique s’est élargie de jour en jour et elle est maintenant demandée par l’Institut du cancer qui réclame un collège d’expert qui aurait le pouvoir de juger qu’une information donnée dans n’importe quel domaine de la santé est une « fake news » ou pas, et d’imposer aux médias et aux réseaux sociaux sa « suppression pure et simple ».

Cette demande est intégrée au décret n° 2021-119 du 4 février 2021 qui définit la stratégie nationale de lutte contre le cancer.(([25] www.legifrance.gouv.fr/eli/décret/2021/2/4/SSAP2100774D/jo/texte Un dispositif de lutte contre les fake news réactif sera structuré. Il permettra d’éclairer les personnes face aux polémiques susceptibles de concerner les différents champs du cancer : prévention primaire, dépistage, traitements et soins complémentaires.))

Sur le même modèle, la création d’un dispositif type « CSA santé » serait étudiée, pour instaurer des règles en matière d’information en santé, prévues dans un accord-cadre avec les hébergeurs de contenus (médias, réseaux sociaux) pour qu’ils fassent « un travail d’élimination des fake news identifiées par un collège d’experts. » La menace d’une censure systématique de l’information médicale indépendante n’est donc pas un fantasme de complotiste.

Cette censure sévère et la diffamation systématique des opposants traités de complotistes, d’extrême droite, d’antisémites empêche tout débat démocratique sur la stratégie anti-Covid et autres sujets médicaux comme le traitement du cancer.

Et le gouvernement qui prétend que sa stratégie sanitaire est transparente a refusé de publier les comptes rendus du comité sanitaire de défense et les a même décrétés Secret-Défense pour 50 ans !

Rétablissement du délit d’opinion conduisant à l’interdiction d’exercer

Le délit d’opinion qui, du temps des rois, pouvait vous valoir la Bastille a été aboli lors de la Révolution française. La Déclaration des droits de l’homme du 26 août 1789 proclame : « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. ».

Mais le pouvoir macroniste a officiellement rétabli le délit d’opinion par le décret du 22 décembre 2021, modifiant le l’Article R. 4127— 19-1 du code de santé publique « relatif à leur communication professionnelle » afin d’interdire aux médecins d’exprimer des opinions divergentes de la doxa officielle. Ses complices ont persécuté les médecins qui refusaient de se taire et continuent à interdire d’exercice quelques semaines des médecins ou plus, ceux auxquels il est reproché d’avoir guéri et/ou informé leurs malades comme tout récemment encore le Dr Philippe de Chazournes à la Réunion.

Ce décret visant à museler les médecins complète le décret de Macron— Veran qui a créé « le Conseil national de certification », investi du pouvoir exorbitant de retirer le droit d’exercer aux médecins qui n’obéissent pas. Le 19 juillet 2021, un Conseil des ministres, sans doute insatisfait d’un Conseil de l’Ordre qui n’a pas réussi à faire rentrer dans l’ordre les Pr Raoult et autres Perronne(([26] https://www.youtube.com/watch?v=9VkkvHeyq-o)), a créé ce nouvel organisme ayant le pouvoir d’évaluer, à tout moment de sa carrière, chaque médecin et donc de l’empêcher d’exercer s’il n’obéit pas servilement. Il semble que le Pr Perronne en ait été la première et célèbre victime.

L’interdiction d’exercer la médecine peut ainsi être décidée sans débat contradictoire, ni avocat, ni possibilité d’appel par des fonctionnaires nommés selon le bon vouloir des princes qui nous gouvernent selon le modèle de fonctionnement des tribunaux de l’Inquisition (la torture physique en moins).

Ainsi deux collaborateurs de la tyrannie élyséenne — la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification — seront désormais les gendarmes de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre qui devra désormais appliquer à la lettre la politique inquisitoriale punitive de l’état. Les ARS ne suffisent plus. Y a-t-il des résistances internes ?

Pourtant l’article 10 de la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) affirme la liberté d’expression :

« toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontière»

Le Conseil constitutionnel français a précisé en 1994 que la liberté d’expression est une « liberté fondamentale » d’autant plus précieuse que son existence est une des garanties essentielles du respect des autres droits et libertés. » Période déjà lointaine…

Selon ces textes fondamentaux, chacun a le droit d’avoir son opinion, ses idées et de l’exprimer par n’importe quel moyen et sous n’importe quel format, sous réserve qu’il ne soit ni diffamatoire, ni négationniste, ni qu’il appelle au crime.

Serions-nous sortis de la démocratie européenne sans le savoir ?

Poursuite des suppressions de lits d’hospitalisation pendant la crise

Entre 2003 et 2019, le nombre de lits d’hospitalisation complète installés, tous établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus, est passé de 468 000 à 393 000, soit une diminution d’environ 75 000 dont environ 18 000 réalisée par les gouvernements Macron.(([27] la DREES édition 2021 de l’ouvrage « Les établissements de santé ».))

Durant la crise Covid, alors que le gouvernement affirmait que les restrictions sanitaires étaient dues au manque de lits hérité du passé, il a en même temps continué à en fermer, dont 5 700 en 2020 (dernier chiffre connu.)

Et les fermetures continuent en 2022 comme en témoigne la grève actuelle illimitée à l’hôpital Ravenel (Mirecourt) contre la possible suppression de l’unité pédopsychiatrique(([28 https://www.vosgesmatin.fr/sante/2022/03/08/mirecourt-une-greve-illimitee-a-l-hopital-ravenel-contre-la-possible-disparation-de-l-unite-pedopsychiatrie)), alors que les mesures sanitaires ubuesques ont fait exploser les problèmes psychiatriques des enfants.

Les mesures sanitaires inefficaces imposées « parce que nous manquions de lits » ont coûté près de 400 milliards € au pays, mais le ministre de la Santé n’en a pas trouvé 10 à 20 pour remettre immédiatement à niveau nos hôpitaux avant la prochaine crise.

On manque de soignants, mais la présidence et O. Véran les chassent de la profession

Dans son avis du 5 octobre 2021, le conseil scientifique affirmait que parmi les lits censés être ouverts :

« environ 20 % des lits fermés l’étaient du fait d’emplois vacants »… « Un certain nombre d’unités dans des hôpitaux sont obligées de fermer temporairement, ou de réduire la voilure, faute de soignants, faute surtout de pouvoir en recruter »

Le 20 octobre 2021, la Fédération Hospitalière de France faisait en plus état d’« un taux d’absentéisme de l’ordre de 10 % » et de « 2 à % de postes vacants de soignants » au sein des hôpitaux et des établissements médico-sociaux publics aggravant d’autant le manque de personnel.

Actuellement, plus de 25 000 postes hospitaliers de soignants ne trouvent pas de candidats du fait de salaires insuffisants, de conditions de travail de plus en plus pénibles sous le joug de cadres bureaucrates, d’une lourdeur administrative croissante et de l’obligation vaccinale.

Les médecins manquent tant à l’hôpital qu’en ville et les déserts médicaux se multiplient poussant certains maires à demander l’affectation autoritaire des nouveaux médecins, sans qu’ils ne se rendent compte que toutes les obligations dissuadent les médecins de s’installer et que mieux vaut renoncer à la profession sans liberté de soigner pour ne pas trahir le serment d’Hippocrate. Que ceux qui imaginent imposer des « gardes obligatoires » en ville ou ailleurs ne se fassent pas d’illusion, cela ne ferait que conduire à quelques démissions supplémentaires.

Si on veut relever la France, il faut sortir de cette gestion bureaucratique et autoritaire. Sans liberté, point de salut !

Pour tenter de colmater l’hémorragie des médecins qui abandonnent la profession, le gouvernement a proposé des rustines : une prime de solidarité territoriale pour les inciter à faire des gardes supplémentaires, 2000 assistants médicaux pour diminuer leur charge administrative, et le développement des pratiques avancées pour des infirmiers pour qu’ils pratiquent plus d’actes médicaux…

Les décideurs ne veulent pas voir qu’un médecin doit être LIBRE DES SES CHOIX PROFESSIONNELS ET EN PARTICULIER DU PREMIER D’ENTRE EUX, DE SES PRESCRIPTIONS et que le reste n’est que détail.

O. Véran prétend ne pas avoir les moyens humains pour venir à bout du problème qu’il a fortement aggravé par son obsession « vaccinale » :

« Je n’ai pas de médecins cachés dans le placard ni des infirmières qui attendent dans une salle qu’on appuie sur un bouton pour les déployer dans les hôpitaux. J’ai demandé à Pôle Emploi de repérer les soignants qui s’étaient inscrits en vue d’une reconversion professionnelle en essayant de comprendre pourquoi ils s’en vont ».

POURQUOI LES MÉDECINS ET INFIRMIERS SE RECONVERTISSENT !!

Être médecin et ne pas comprendre que cette profession ne peut se pratiquer que librement sans multiples garde-chiourmes à tous les étages, médecins CPAM, médecins ARS en ville, injonction d’appliquer les références médicales et recommandations. À l’hôpital également avec les multiples réunions imposées pour respect des normes toujours plus nombreuses et souvent imbéciles et la surveillance permanente et intrusive des cadres de santé dressés à cette tâche pour agir sur les durées de séjour et valoriser au maximum les séjours. Ce n’est plus de la médecine, pourquoi rester comme robot ?

Le ministre pourrait pourtant immédiatement ouvrir le placard dans lequel il a autoritairement enfermé plus de 10 % des soignants (les vaccino prudents). Ces soignants ne sont pas des antivax comme O. Véran et les médias les présentent ; ils ont, pour la plupart, précédemment largement injecté de vrais vaccins et n’ont pas rechigné à se faire vacciner. Mais mieux informés que le reste de la population, ils savent que ce qu’on leur propose n’est pas des vaccins, mais des médicaments géniques expérimentaux issus d’une technique jusqu’ici jamais utilisée en pathologie infectieuse.

Ils s’inquiètent de l’extrême rapidité avec laquelle ces prétendus vaccins ont été mis sur le marché alors qu’il faut normalement 9 à 15 ans pour vérifier la sécurité de tels produits. Ils savent que leur âge jeune les protège des complications du Covid-19 et que les nombreuses complications qu’ont subies leurs collègues injectés ont mis certains services hospitaliers hors d’état de fonctionner pendant plusieurs semaines ; ils ont observé que ces pseudo vaccins n’empêchaient ni d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni de se retrouver en réanimation et qu’ils entraînent parfois des complications graves. Ils attendent les résultats définitifs des essais pour se décider.

Cette obligation d’un médicament expérimental a constitué la goutte d’eau qui a fait déborder le ras-le-bol. Actuellement de nombreuses opérations sont reportées par manque de panseuses ; des urgences et même des services sont fermés faute de médecins et de personnel soignant et cela est directement la conséquence du totalitarisme vaccinal surajouté aux conditions déjà délétères.

Après n’avoir rien fait pour remettre les hôpitaux à niveau, O. Véran, par son obstination à injecter les soignants, injonction réitérée par le président récemment, a mis hors d’état de fonctionner un grand nombre d’entre eux. Et comme tout pompier pyromane, il prétend qu’il a fait tout pour éteindre l’incendie.

Suppression du secret médicalet transmission des données médicales personnelles à des tiers privés

Big Brother veut tout savoir de vous. Après l’échec relatif du dossier médical partagé qui traîne depuis plus de 15 ans sans efficacité, le ministère vient de créer « Mon espace santé » sans vraiment avertir la population de ses risques.

Ce dossier de santé numérique intitulé comprend déjà une version du Dossier médical partagé (DMP) stockant toutes les données de santé connues de l’assurance maladie — ordonnances, traitements, résultats d’examens, imageries médicales, antécédents médicaux et allergies, comptes rendus d’hospitalisation, vaccination.

Ce dossier numérique personnel sera prochainement complété par : un agenda santé pour gérer les rendez-vous médicaux et recevoir des rappels pour les dates clés des examens de contrôle (bilans, mammographie, vaccination…) et un catalogue d’applications certifiées par l’État pour « être mieux guidé dans le choix des outils numériques utilisés pour le suivi de votre santé. ».

C’est donc clairement la fin du secret médical ; l’état enregistrera tout de votre santé et de celle de vos proches : si vous êtes éthylique, drogué, cancéreux ou malade du sida, à quel âge votre fille a pris la pilule, si votre fils est homosexuel, si votre femme a avorté…

Et non content de rassembler et d’enregistrer ces données, l’état s’autorise à les transmettre à des sociétés privées. Ainsi l’arrêté du 21 avril 2020 a confié la collecte et l’hébergement des données de santé à la société Microsoft (Health Hub) et confié à différents prestataires privés, dont la société Doctolib, les données personnelles pour la gestion des rendez-vous de vaccination. Et le Conseil d’État a validé ces ruptures du secret médical !

Sachez que vous pouvez vous opposer à la création de votre espace santé en notifiant votre opposition dans le mois qui suit cette création automatique. Attention de le faire dans les délais, car l’absence de refus est considérée par l’état comme une acceptation. Si vous ne voulez pas que vos données médicales et celle de votre famille puissent être stockées par Microsoft et vendues à tous ceux que l’état prévoira, il est urgent que vous adressiez votre refus à votre conseiller Mon espace santé et que vous demandiez votre justificatif d’opposition.

Durant ces deux années le pouvoir macronien avec A Buzyn puis O. Véran comme chefs d’orchestre ont ainsi poursuivi une politique de destruction du système de santé tant en ville qu’à l’hôpital public ou privé, et des règles fondamentales de l’exercice médical avec en particulier la violation du secret médical, la création d’un délit d’opinion médicale, l’interdiction arbitraire de prescription de médicament mis sur le marché, l’incitation au meurtre de nos aînés en EHPAD par Rivotril, l’obligation d’un médicament génique expérimental scandaleusement qualifié de vaccin

Combien de temps accepterons-nous ? En tous cas les candidats à la présidence doivent en retenir les principaux enseignements.

Pour améliorer rapidement la situation, il ne sert à rien d’ouvrir des postes supplémentaires en ville ou à l’hôpital si on ne change pas radicalement les conditions d’exercice, car ils ne seraient pas pourvus

Augmentation des salaires des paramédicaux

Liberté de soigner découlant de la suppression des ARS sans les remplacer par d’autres pouvoirs bureaucratiques (préfets) et de la suppression du pouvoir du conseil de l’ordre d’interférer dans les prescriptions médicales et de constituer un tribunal d’exception.

Suppression de nombreuses agences sanitaires soi-disant indépendantes, mais dont les directeurs sont nommés par le ministère et dont les membres peuvent contracter des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique : HAS, INCA qui ne devraient posséder à la rigueur que des possibilités de conseil, mais jamais d’ukases ni de sanctions.

Lorsque le système de santé français brillait dans le monde, le diplôme de médecine était suffisant pour exercer ce noble métier et le médecin dispensait ses soins dans le cadre du colloque singulier avec son malade en respectant les données acquises de la science (arrêt Mercier 1936). Liberté au patient de porter plainte en cas de désaccord ou faute professionnelle supposée.

La multiplication des agences, comités, observatoires depuis les années 1995 que les députés n’arrivent plus à compter tant ils sont nombreux et opaques(([29] https://docteur.nicoledelepine.fr/destruction-de-la-securite-sociale-du-systeme-hospitalier-et-liberal-couplee-a-celui-de-luniversite-et-de-la-recherche-desastre-annonce/ diaporama)), a désorganisé la médecine en donnant des petits pouvoirs à des bureaucrates et détourné beaucoup de soignants de leur vocation, en les affectant à ces organismes inutiles, coûteux et minés par des conflits d’intérêts.

Il faut revenir à la médecine de base, libre, et pour les hôpitaux de proximité rendre le pouvoir de gestion aux maires, pour les CHU supprimer l’essentiel des PPT (partenariat public privé en expansion depuis la loi Bachelot) qui ont transformé des structures de soins en pôle de recherche aux dépens des patients, recherche tendue vers celle de crédits et des liens de plus en plus incestueux avec l’industrie pharmaceutique qui a pris la main non seulement sur la recherche et les soins, mais aussi sur l’enseignement.

Il faudra beaucoup de volonté politique pour remonter la pente, mais tous les dirigeants doivent comprendre qu’il n’y aura jamais de vraie médecine sans liberté de soigner et sans liberté de choix par les malades.





Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr via Antidotes]

Le conseil de l’ordre n’était-il pas assez obéissant pour sanctionner les médecins indépendants ? toujours est-il que le 19 JUILLET 2021 un décret créait un conseil de certification des médecins et qu’aujourd’hui la première victime est un professeur respecté et connu internationalement le pour Perronne ! Les médecins français vont-ils enfin relever la tête et protester à large échelle contre cette mesure inique, injustifiée, dangereuse pour les patients, car qui osera soigner si cette mesure monstrueuse n’est pas rapidement levée. Nous avions protesté en 2016 en écrivant « soigner ou obéir » pour témoigner de la perte de la liberté de soigner. Aujourd’hui, il est non seulement interdit de respecter son serment d’Hippocrate en soignant les malades en fonction des meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science (arrêt Mercier, 1936) mais interdit de parler… Toutes nos libertés disparaissent en même temps que le pétrole augmente. Il serait temps de réagir.

Nicole Delépine

INTERVIEW EXCEPTIONNELLE A FAIRE LARGEMENT CIRCULER

Le brillant et courageux Professeur Christian Perronne a compris les véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire. Ce que nous diffusons depuis près de deux ans sur ce blog commence à circuler un peu plus largement mais rien n’est encore gagné. Le combat pour l’information est quotidien. Si seulement 10% de nos concitoyens venaient à découvrir les dessous et enjeux de cette crise et à manifester un peu de courage, nous serions sauvés.

Arnaud de Brienne

Entretien avec le Professeur Christian Perronne par Nelly Fouks

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2e, la 3e, la 4e et la 5e vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.





Sauvons les enfants des injections géniques

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur RL]

Il est urgent de sauver les enfants !
Arrêtons ce pouvoir aveugle, en refusant l’injection des petits 5 – 11 ans et bientôt des 6 mois – 5 ans présentée dans les médias comme un « progrès » !
L’injection est irréversible et rien n’est connu actuellement pour annuler les effets pervers de ce médicament en expérimentation. Alors parents, résistez !
Il n’existe aucune raison pour accepter cette injection morbide, car les enfants ne font pas de formes sévères du covid, ne contaminent ni les adultes ni les enfants, et le pseudo-vaccin ne protège en aucun cas des contaminations.

QUELLE JUSTIFICATION EN DEHORS DE LA SOUMISSION À UN POUVOIR QUI VOUS TROMPE DEPUIS DEUX ANS ?

Les mesures prétendument sanitaires imposées à des milliards d’individus dans le monde ont gravement nui à l’humanité avec ses conséquences d’interruption de soins, d’activités scolaires et sportives, d’aggravation de la pauvreté, d’explosions des troubles psychiques dépressions, suicides, etc. Et tout particulièrement aux enfants et jeunes adultes dont la vie va être impactée pendant plusieurs décennies par ces traumatismes successifs.

Nous avons évoqué dans « les enfants sacrifiés du covid » l’ensemble des conséquences sanitaires et scolaires des décisions mortifères et injustifiées imposées sans aucune justification scientifique réelle aux populations. Le confinement imposé brutalement alors que le Président quelques jours plutôt nous incitait à aller au théâtre a constitué le premier traumatisme majeur dans la vie des jeunes (et des moins jeunes).

La coupure brutale de leur milieu scolaire, périscolaire, sportif, musical, amical les a plongés dans l’infortune que l’écran d’ordinateur n’a bien évidemment pas compensée. Et depuis ce funeste mois de mars 2020, les persécutions se sont poursuivies par l’obligation invraisemblable du port du masque (sans aucun intérêt sanitaire, comme de multiples études l’ont démontré bien antérieurement à ce scénario) et de privations de liberté ubuesques et tragiques en même temps, comme l’interdiction de se promener en forêt ou sur la plage, même seul. Les mesures délirantes et discordantes, contradictoires d’un jour à l’autre ont entraîné des troubles cognitifs, des dépressions, des décrochages scolaires etc., dont les séquelles sont innombrables à court, moyen et long terme, tant économiques, sociales que psychologiques.

Nous ne sommes pas dans un problème sanitaire, mais bien uniquement politique visant à habituer des populations entières à se soumettre, à se déshumaniser et à ressembler de plus en plus aux petits Chinois qui « s’adapteraient » selon nos médias complices.
Non, ils ne sont pas adaptés, mais SOUMIS. Non, nous ne devons pas laisser soumettre nos enfants aux caprices des milliardaires mondialistes en recherche de légions d’« esclaves » déshumanisés obéissants, aveugles et sourds. Le port du masque des scolaires encore d’actualité en janvier 22 alors que l’épidémie est terminée et que les enfants ne sont pas à risque est infâme. Il démontre, s’il en était besoin, la perversité des mesures sans intérêt sanitaire.

Le masque est une torture psychologique, physique, mentale. Dès l’été 2020 des psychologues, orthophonistes, pédopsychiatres, enseignants appelaient au secours, constatant chez les très jeunes des troubles de gravité variable, comme l’incapacité à apprendre à lire, à écrire, sans l’aide de la reconnaissance des lettres et syllabes sur la bouche, chez l’enseignant et l’élève. La perte de l’apprentissage du langage non verbal est aussi d’une gravité certaine dans la formation des émotions et des rapports entre humains, aussi petits soient-il. Nous avons, comme d’autres, insisté sur la toxicité particulière du port du masque en crèche et maternelle conduisant à des enfants qui ne savent pas ce qu’est un visage (leurs dessins en témoignent)…

Ce pouvoir a-t-il seulement réfléchi aux conséquences multiples de ce masque inutile favorisant infections locales et pulmonaires en plus des déformations anatomiques bien décrites par les dentistes et ORL. Une circulaire pondue par un énarque dans un beau bureau des ors de la République, imposant le port du satané masque et basta, on obéit. La France est devenue une vaste expérience de Milgram, la population étant hypnotisée par un message unique infiniment répété par tous les médias mainstream financés par le pouvoir et Big Pharma, focalisé sur le risque du virus, qui pourtant de toute évidence ne constitue plus une menace réelle et n’a jamais été grave pour les individus de moins de 65 ans sans maladie associée.

Et comme cela ne suffisait pas, a commencé la grande braderie du pseudo-vaccin qui allait tout arranger et avant tout les finances de Pfizer et affidés. Les pressions médiatiques ont divisé les familles, rajoutant du stress au stress, et la soumission du peuple espérant sortir du marasme via la piqûre merveilleuse, ou simplement pouvoir continuer à gagner sa vie a été large. Les multiples prêches des ministres ont utilisé la pensée magique via cette piqûre.

Les mentalités ont changé, la recherche d’emploi a chuté (réglant magnifiquement le taux de chômage, faute de nouveaux inscrits). Les étudiants et élèves se sont, pour trop d’entre eux, désintéressés du fond, et ont privilégié la vie au jour le jour, ne voulant pas pour la majorité d’entre eux entendre parler des possibles effets délétères du masque et autres coercitions ni de ceux de la piqûre libératrice, que nient effrontément les officiels du ministère.

Et quand trop de sportifs contraints de se vacciner par leurs fédérations sont tombés au champ d’honneur, les médecins de plateau ont inventé une nouvelle maladie cardiaque… Et pourtant combien de décès déjà chez les jeunes vaccinés, que certains se permettent de relativiser par rapport au nombre d’injectés.

Mais si c’était votre enfant qui a perdu la vue, qui aura des problèmes de stérilité, ou des maladies auto-immunes, quand ce ne sera pas une maladie de la vache folle, ou qui a perdu la vie d’emblée ? Rare effet secondaire ? Oui, espérons-le, mais votre enfant n’est pas une statistique et a-t-il mérité de jouer à la roulette russe, pour vous rassurer, pour obéir, pour vous soumettre par fatigue, facilité , fuite ? Nous sommes là, parents, grands-parents pour les défendre et non pour les livrer en sacrifice, enfant martyre qui symbolise le don ultime de l’innocence face à la violence.

La résistance à la piqûre magique et la tentative du miracle du test tous azimuts

Et comme il y avait de la « résistance » tout de même y compris chez les soignants, et les pompiers aux premières loges pour constater les dégâts, ils eurent l’idée de génie du TEST à gogo qui nous a coûté dix milliards d’euros en 2021 et beaucoup de peur, de drames, d’arrêt de travail et d’école. La peur, toujours la peur, leur seule arme.

Alors que les enfants ne contaminent pas et ne risquent rien, ils ont créé des queues dignes de l’URSS de jadis, devant les pharmacies pour détecter les cas contacts, ces fameuses personnes sans symptômes, sans maladie, mais qui de l’imagination de nos politiques, permettraient de perpétrer cette psychose populaire, en faisant croire malgré tout à un RISQUE !

Nouvelle déstabilisation des écoles, mais aussi des entreprises par les absences imposées par le pouvoir. Tout ça pourquoi ? User la patience du peuple et l’envoyer dans les centres de la piqûre, rapidement avant que le cirque de la plandémie ne se dévoile trop vite. Si on peut encore utiliser les millions de doses achetés à Pfizer, ce sera toujours cela… et ils tentent d’accélérer encore et encore. Ils espèrent pouvoir maintenir leurs restrictions délétères le plus longtemps possible pour les annuler peu de temps avant les élections en proclamant « la victoire contre le vilain virus grâce aux mesures sanitaires et aux vaccins » et en tirer un bénéfice électoral.

Eh oui, car la réalité finit par apparaître, malgré la mise en scène mondiale, le bilan des injections apparaît de plus en plus clairement catastrophique dans les pays les plus vaccinés, qui sont devenus les plus contaminés et les plus touchés par la mortalité. À ces pays très vaccinés, qui souffrent d’une mortalité cumulée record s’opposent ceux qui ont refusé les ukases de l’OMS et utilisé les traitements précoces (tels que l’hydroxychloroquine, antibiotiques, Ivermectine etc.).

L’Algérie, dont la population est semblable à celle de la France par l’âge et les comorbidités de sa population, a démontré l’efficacité du protocole Raoult.

Manifestement la situation évolue très vite et il est indispensable que les parents fassent échapper leurs enfants à l’injection morbide, car rien ne pourra les protéger des effets délétères irréversibles des injections.
Espérons que les convois de la liberté dans tous les pays du monde nous libèrent enfin.

Enfin, préservons nos enfants en allant informer les parents partout où ils sont menacés d’injection. Vous en sauverez peut-être quelques-uns. Le collectif Blouses Blanches l’a expérimenté efficacement en allant s’entretenir avec les parents tentés.
« L’acharnement des corrompus sur les enfants s’intensifie pendant qu’on parle élections et autres jeux olympiques. (voir sur Telegram leaders unis pour la protection des enfants)
https://www.ouest-france.fr/bretagne/melesse-35520/une-vaccimobile-pour-les-enfants-le-mercredi-16-fevrier-b1805c88-a1b5-47b7-bb9b-e646c776b366

Melesse. Une « vaccimobile » pour les enfants le mercredi 16 février

Afin de répondre à l’élargissement de la campagne de vaccination contre le Covid aux enfants âgés de 5 à 11 ans, la Croix-Rouge, avec la collaboration de l’Agence régionale de santé (ARS), a mis en place une « vaccimobile » qui se déplace de commune en commune. « Les cas contacts peuvent se faire vaccin… »

Appelez les journaux pour protester contre cette publicité normalement interdite puisque ce médicament expérimental est remboursé par la Sécurité Sociale…




Laurent Mucchielli décrit l’état du monde à partir de la crise Covid

[Source : AIMSIB]

J’ai également beaucoup apprécié le combat de Laurent Mucchielli et son livre en est le reflet que beaucoup auront intérêt à lire pour mieux comprendre ce qui s’est passé depuis deux ans
Merci à lui de son effort de synthèse dans son livre « la doxa du covid »

Nicole Delépine

Il fallait s’y attendre, quand un immense sociologue formé à l’histoire, de surcroît parfaitement imperméable aux pressions extérieures, décide de publier un ouvrage sur la crise de la Covid-19, les révélations et les mises en accusations pleuvent dru. Toutes y sont disséquées, démontrées, évidemment parfaitement sourcées. On plaint presque tous ceux qui apparaissent au fil du livre, car on comprend que quand la justice se penchera enfin sur leurs implications diverses et variées, leurs projets d’avenir s’en verront radicalement modifiés. (…)

Ins Montagnier

Vincent RELIQUET (V.R.) – Cher Laurent, il faut d’abord te présenter à notre public bien que probablement ce préalable ne soit plus d’une très grande utilité aujourd’hui. Tu es chercheur au CNRS depuis 1997, médaillé par lui, élevé au grade de directeur de recherche en 2006, tu as participé à la réalisation d’une foule énorme d’ouvrages et d’articles (*). Depuis le début de la crise sanitaire, tu as publié toute une enquête sur ton blog chez Mediapart mais hélas ta liberté de parole, qu’on aurait attendu comme plutôt encouragée sur ce type de site, t’a valu de découvrir la censure en août 2021, poussé par un collectif de « bien-pensants » qui souhaitait laisser toute la place au récitatif covid officiel. Tu leur as pardonné depuis ?

Laurent MUCCHIELLI (L.M.) – Non, j’estime que ce que fait Mediapart depuis le début de cette crise est impardonnable. Je peux évidemment comprendre toutes les personnes qui doutent et qui hésitent, ou encore celles qui ont suivi le discours officiel au début mais le regrettent aujourd’hui. J’en connais beaucoup, y compris dans mon entourage. Nous avons tous été victimes d’une propagande industrielle et politique massive. Mais je ne peux pas oublier celles et ceux qui ont joué un rôle aussi actif et nocif dans le débat public que Mediapart. La chasse à l’homme qu’ils ont décidé d’orchestrer (avec d’autres journalistes parisiens, au Monde, à Libération, à l’Express, à Marianne notamment) au détriment de Didier Raoult est une faute à la fois intellectuelle et morale car, derrière le personnage qui a évidemment ses qualités comme ses défauts, des questions majeures de stratégie sanitaire étaient en jeu. Questions qu’ils ont fortement contribué à rendre invisibles et incompréhensibles en concentrant l’attention sur une seule personne, déchaînant contre elle cette espèce de cancel culture qui a envahi les réseaux sociaux et où tous les coups sont permis dans le but de tuer symboliquement les personnes. Et ils ont fait le même coup à d’autres comme le Dr Louis Fouché. Loin d’aider à réfléchir collectivement et d’apporter du débat contradictoire, ils ont parfaitement servi la propagande industrielle et politique du moment. Ceci s’est illustré jusqu’à la caricature vis-à-vis des nouvelles thérapies géniques improprement appelées « vaccins ». Leur positionnement pro-vax (pour reprendre ces raccourcis ordinaires du débat public) est confondant de simplisme et de naïveté. Ils ont ainsi joué un rôle important dans le naufrage de la gauche politique durant cette crise. Pire encore, ils ont joué un rôle dans la dérive autoritariste d’un gouvernement qui n’a trouvé aucun contre-pouvoir capable de lui rappeler les limites à ne pas franchir.

Leur attitude à mon égard participe de cet ensemble. Pour faire court, en transformant mon blog en une sorte de mini-revue en ligne où j’ai publié près de 70 articles et 46 auteurs (universitaires et/ou médecins pour la plupart), je leur amenais une véritable contre-enquête, un véritable débat contradictoire et accessoirement des lecteurs. Ils auraient pu s’en réjouir, nous aurions même pu travailler en collaboration plus étroite. J’ai tenté à plusieurs reprises de dialoguer en écrivant à Edwy Plenel, à Fabrice Arfi ainsi qu’à la rédaction de la partie blog du journal. Je n’ai reçu en retour qu’un grand silence méprisant. Eux qui prétendent défendre la liberté d’expression, valoriser les lanceurs d’alerte et faire alliance avec les intellectuels critiques, ont pourtant fait exactement le contraire. Ils m’ont d’abord invisibilisé le plus possible sur leur propre site (via des procédés de shadow-banning), et finalement ils m’ont censuré à quatre reprises. Et pas simplement moi mais aussi les universitaires et les médecins que je publiais, nous traitant de complotistes et de propagateurs de « fake news », en chœur avec des lobbies liés aux industries pharmaceutiques, se réclamant de la « vraie science » et qui sont spécialisés dans le harcèlement en ligne, l’attaque ad hominem et la dénonciation calomnieuse. On a connu mieux que ce parti-pris superficiel digne d’une chaîne d’information en continu. Edwy Plenel se vante d’avoir sorti l’affaire Cahuzac, il devrait se souvenir que cette affaire était aussi celle de mallettes qui transitaient entre la Suisse et Paris, ayant pour origine un grand industriel de la pharmacie qui est devenu milliardaire grâce à la gestion calamiteuse de cette épidémie.

Se faisant, Mediapart s’est mis au même niveau que tous ces petits sites de prétendu « fact-checking » que l’on voit fleurir sur Internet et qui permettent à quelques influenceurs à la mode de propager leur médiocrité intellectuelle dans le débat public. Je pense à « Fact and furious » créé par un ancien militaire (Antoine Daoust) qui se fait manifestement un devoir de protéger le gouvernement contre toute critique de sa politique de santé. Je pense à « Conspiracy watch », dont le fondateur (Rudy Reichstadt) est un proche des milieux de pensée extrême-droitisant, dont on se souvient de la façon dont, après un sondage de l’IFOP, il se moquait des « pauvres gens » qui pouvaient penser que le virus avait pour origine un accident de laboratoire à Wuhan. Ce ridicule ne l’empêche pas d’être invité jusque sur les plateaux de télévision du service public, à la place des chercheurs qui ont de véritables compétences sur ce sujet. Je pense encore à « La Tronche en biais », alias Thomas Durand, un influenceur qui utilise YouTube et des outils de « co-financement » anonymes comme Tipeee pour faire commerce de la propagande, qui est aussi accueilli comme rédacteur par le magazine de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS), un lobby aux positions pro-OGM, pro-glyphosate, pro-big-pharma, pro-nucléaire et j’en passe, tout en se permettant de se proclamer « indépendant » (quelle farce !).

Alors oui, c’est bien un naufrage pour Mediapart, et cela m’attriste beaucoup car j’étais un soutien et un abonné de la première heure, qui donc s’en ira désormais proposer ailleurs son travail de chercheur désintéressé et d’intellectuel engagé.

V.R. – Quand on veut savoir « à qui on a affaire » aujourd’hui s’agissant d’un personnage public, c’est très simple : on regarde d’abord ce qui s’écrit d’officiel sur le web et en général on est vite renseigné sur la façon dont l’establishment le considère. Par exemple ta page Wikipédia [1] nous fait comprendre immédiatement que tu sens depuis peu franchement le souffre, regarde :

Wikipedia, capt. écran

Tu as suscité « une guerre d’édition » ! Espérons que tu ne vas pas faire sauter le serveur de leur site et quelques lignes plus loin la catastrophe se confirme : tu serais l’auteur de « propos controversés et propagateur de fausses nouvelles sur la dangerosité du virus…/… participant à la désinformation sur la pandémie de la Covid-19 ». On pourrait pleurer de tristesse devant tant d’imbéciles accusations, dont la puérilité et l’absence de fond démontre toute la nullité partisane de tes détracteurs chez Wikipedia. Sérieusement, de tels écrits t’ont-ils blessé voire gênés dans l’exercice de ton travail quotidien de chercheur ?

L.M – Tu connais le dicton sur la bave du crapaud et la blanche colombe… Non, sincèrement, je ne suis pas atteint par le torrent d’imbécilités plus ou moins malveillantes qu’on peut trouver sur Internet aujourd’hui me concernant. Cela ne fait que confirmer et exemplifier mon analyse du fonctionnement du débat public. L’un des volets de mon enquête consiste précisément à essayer de comprendre comment un ensemble d’acteurs (parmi lesquels la plupart des journalistes) se sont de facto associés pour organiser la clôture du débat public, l’érection de frontières entre ce qu’il est permis ou non de penser et de dire, contribuant massivement à imposer comme seule légitime la narration globale que j’appelle la Doxa du Covid. Quant à Wikipedia, chacun comprend désormais que cette entreprise collective au départ pleine de promesses démocratiques (comme Internet et les réseaux sociaux de manière générale) et animée par des bénévoles enthousiastes, est devenue le lieu d’une lutte d’influence où les trolls et les lobbyistes se déchainent pour imposer la vision du monde découlant de leurs intérêts politiques ou commerciaux. C’est triste là encore, mais c’est la réalité. Tous les chercheurs et tous les enseignants doivent en tirer les leçons et expliquer notamment aux jeunes qu’ils ne doivent pas manipuler ce site naïvement. Wikipedia n’est pas une « encyclopédie en ligne » où l’on pourrait se faire une connaissance minimale de l’état des savoirs sur n’importe quelle question. Beaucoup de contenus sont utilement informatifs mais ils perdent toute neutralité dès que les questions posées prennent une dimension politique ou économique. Ils deviennent alors au mieux l’expression du point de vue dominant dans le débat public d’un pays, à un moment donné de son histoire, au pire l’expression de la petite propagande des influenceurs qui ont réussi provisoirement à gagner la « guerre d’édition » dont tu parles.

V.R. – Avant d’aborder le fond de ton dernier ouvrage, je souhaiterais que tu visionnes ce sujet diffusé pendant le JT de TF1 en février 2010 par Corinne Lalo (aimsib) [2] et Etienne Bourbotte, au sujet de la grippe porcine de 2009 :https://www.youtube.com/embed/GfB–uQA4iU?controls=0

L.M. – Ce rappel est salutaire. L’espèce d’amnésie qui a frappé un peu tout le monde en février-mars 2020 est l’une des choses qui m’a le plus étonné. L’affaire de la pandémie de grippe H1N1 en 2009-2010 a en effet de nombreux points communs cruciaux avec ce que nous venons de vivre. Cela ressemble à une sorte de premier essai non transformé pour les industries pharmaceutiques, le philanthrocapitalisme de la galaxie Bill Gates et tous leurs affidés que l’on trouve dans les organisations supranationales comme l’OMS et la Commission européenne, ainsi que dans la haute administration sanitaire et parmi les politiques dans de nombreux pays du monde, à commencer bien sûr par les riches pays occidentaux. Le drame est que nous n’avons pas su tirer les leçons d’H1N1. La raison fondamentale, à mon avis, est la sous-estimation de l’ampleur et de l’efficacité des trafics d’influence et de la corruption organisée par ces industries et par ce philanthrocapitalisme. Les quelques outils de contrôle supplémentaires mis en place après 2009 ont montré leurs terribles limites. A quoi cela sert-il d’obliger les médecins à déclarer leurs liens d’intérêts avec les industries si, le moment venu, aucun d’entre eux n’a l’honnêteté d’en faire état quand il intervient dans les médias ou même dans une enceinte parlementaire ? Et si aucun journaliste n’a ni la présence d’esprit de faire trois clics sur son ordinateur pour chercher ces liens d’intérêt, ni le courage de les signifier à son interlocuteur lorsque celui-ci s’exprime publiquement sur les stratégies sanitaires à adopter ?

Voyez aussi le déni de la pharmacovigilance en matière d’effets indésirables des nouvelles thérapies géniques. Cette affaire trahit globalement un échec cuisant pour la démocratie sanitaire à laquelle beaucoup travaillent depuis des décennies. Nos instruments de contrôle de l’industrie et de protection des populations sont clairement sous-calibrés. Ils n’ont pas pesé lourd face à la déferlante de la communication biaisée de l’OMS et des gouvernements, suscitée par les puissances financières qui leur murmurent aux oreilles.
Entendons-nous bien : l’épidémie de 2020-21 est clairement plus redoutable que celle de 2009. Cela semble dû essentiellement à la contagiosité et la mutagénicité plus fortes du Sars-CoV-2 dont il est presque certain désormais qu’il est le produit accidentel d’expériences virologiques de laboratoire menées en Chine avec le soutien financier massif des Etats-Unis. Or, précisément, les corrupteurs sont allés jusqu’à tenter d’interdire même ce questionnement sur l’origine du virus, le qualifiant de « complotiste ». Et la plupart des gens sont tombés dans le panneau.

V.R. – Tu portes à notre connaissance une nouvelle proprement inouïe et qui a échappé à nombre d’entre nous : En 2020 le vrai patron de l’OMS, à savoir son financier Bill Gates, a réussi à publier un article dans le New England Journal of Medicine ! [3] On y lit qu’il veut sauver des vies, ce qui demeure pour le moins suspect quand on connaît sa position résolument « réductionniste » qu’il souhaite appliquer à la population du monde. Mais le meilleur est à venir, il écrit : « …/… Scientists sequenced the genome of the virus and developed several promising vaccine candidates in a matter of days, and the Coalition for Epidemic Preparedness Innovations is already preparing up to eight promising vaccine candidates for clinical trials .” [4] Ton avis sur l’intrusion de Gates l’informaticien dans la médecine des épidémies ?

https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762

L.M. – Pendant longtemps, j’ai vécu sur le souvenir de mes cours de fac en droit international (j’ai fait du droit avant de faire de l’histoire et de la sociologie) où l’on présentait à juste titre l’OMS comme une organisation financée par les pays occidentaux. Mais c’était à la fin des années 1980… En 2019, mon attention avait été attirée par le petit livre d’un journaliste français (Lionel Astruc, L’art de la fausse générosité. La fondation Bill et Melinda Gates, Actes Sud). Et en 2020, dès que j’ai compris que l’OMS était en train de créer une nouvelle panique mondiale, comme en 2009, j’ai commencé à chercher des informations sur les enjeux financiers sous-jacents. J’ai, entre autres, fait une chose très simple : regarder le financement de l’OMS. J’ai fait alors cette « découverte » :  Le premier financeur de l’OMS n’est plus le gouvernement américain, c’est un financeur privé : Bill GatesJ’ai poursuivi en essayant d’objectiver le réseau de fondations et d’associations philanthropiques, de partenariats et de systèmes de dons (défiscalisés bien entendu), mis en place ces vingt dernières années par celui qui fut longtemps l’homme le plus riche du monde (avant d’être détrôné par Jeff Bezos, propriétaire d’Amazon, et Elon Musk, propriétaire de Tesla). J’ai alors compris que le Sars-CoV-2 était l’occasion rêvée, l’aubaine tant attendue, de déployer le grand projet de vaccination intégrale du monde dont Bill Gates ne se cache pas, et ce depuis des années. Sa présence dans le champ des politiques mondiales de santé est devenue tellement banale que l’on peut en effet assister, médusé, à ce que je raconte page 77 de mon livre, à savoir le fait que Bill Gates peut se permettre et se voir autorisé, par une rédaction soi-disant scientifique et indépendante, à publier un article dans une des plus prestigieuses revues médicales du monde (le New England Journal of Medicine) en avril 2020. Article dans lequel on trouve un concentré de la doxa : c’est la « pandémie du siècle », le virus est hyper-dangereux même pour les gens « en bonne santé », mais tout va bien car la science va fabriquer un vaccin sûr et efficace « en quelques jours », là où il fallait des années jusque-là. On croit rêver, et pourtant ce n’est pas le cas.

La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste

Lionel Astruc est l’auteur d’une enquête approfondie sur la Fondation Bill et Melinda Gates. Créée en 2000 par l’un des hommes les plus riches de la planète, Bill Gates, le père de Microsoft (fortune personnelle estimée à 96,5 milliards de dollars, selon le classement Forbes 2019), la Fondation Bill et Melinda Gates se donne pour missions la lutte contre la pauvreté, la protection de la santé, le renforcement de l’éducation, la promotion d’une agriculture intensive…

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V.R. –  A partir de la page 79, tu nous brosses un portrait glaçant de l’expansion financière des firmes pharmaceutiques et parallèlement tu cites Jean-Dominique Michel, un autre de nos membres d’élite, qui ne cesse jamais de dénoncer la « corruption systémique » [5] régulièrement utilisée par ces entreprises. Quelques exemples consternants sont relatés dans ton ouvrage. Sans tout révéler, peux-tu nous en dire un mot ici ?

L.M. L’essentiel tient en trois constats :
1) Le premier est celui de l’importance de ce secteur économique et financier. Avec près de 1 200 milliards de dollars américains de chiffre d’affaires en 2019, soit une multiplication par 3 depuis le début du 21ème siècle, l’industrie pharmaceutique est devenue l’un des plus grands secteurs industriels du monde et peut-être le plus rentable de tous. Les grands groupes pharmaceutiques qui se sont constitués rivalisent désormais avec l’industrie pétrolière, les groupes bancaires, les GAFAM, l’industrie du luxe, l’industrie automobile et les cigarettiers. Ils font partie de ces multinationales interconnectées par le jeu des participations croisées dans l’actionnariat, qui dominent le monde et y imposent leurs intérêts. Ils développent également les mêmes stratégies de maximisation des profits que la plupart de ces multinationales (rachats d’entreprises, licenciements dans les pays d’origine, délocalisation dans les pays pauvres, tricherie sur les prix, évasion fiscale, lobbying intense, détournement des aides publiques à leur profit, etc.). Les patrons de ces firmes sont parmi les mieux payés du monde et les dividendes qu’elles reversent à leurs actionnaires sont parmi les plus importants du monde. Ils sont donc devenus un acteur central du nouveau capitalisme financier dominant la planète.
2) Le second constat est que ces gigantesques groupes pharmaceutiques dominent non seulement le marché mondial des médicaments, mais ils influencent aussi de plus en plus la recherche médicale, au point de la contrôler en grande partie dans certains domaines. Les fameux essais cliniques (ou essais thérapeutiques) sont financés et réalisés très majoritairement par ces industriels, parfois à la demande des agences publiques comme la Food and Drug Administration aux USA ou l’Agence Européenne du Médicament. C’est dans cette mouvance politico-industrielle que s’est fixée une sorte d’ersatz de l’Evidence Based Medecine (« médecine fondée sur des preuves ») avec ces méthodes statistiques de randomisation donnant l’illusion d’une démonstration mathématique infalsifiable, à grand renfort de données collectées à l’aide de moyens financiers que seule l’industrie peut généralement s’offrir, créant ainsi des standards artificiels souvent inaccessibles pour la recherche publique indépendante. Le principe est de substituer le calcul statistique à l’expérience clinique, la démonstration mathématique à la pratique médicale. Conséquence d’un tel système : un nombre croissant de médecins-chercheurs multiplient les publications sur les maladies et les médicaments, lors même qu’ils n’en ont pas de pratique médicale. Les malades sont devenus de simples unités statistiques.
3) Et le troisième constat est relatif au trafic d’influence et à la corruption, qui est plus forte que jamais. Les laboratoires payent des études à ces médecins-chercheurs testant leurs médicaments, ils en déterminent les protocoles et vont jusqu’à payer plusieurs milliers d’euros par patients inclus dans l’étude. Ils organisent également des boards et autres « réunions stratégiques » dans lesquels les médecins-chercheurs sont associés à la détermination des projets des laboratoires et pour lesquels ils sont fréquemment payés entre 1 000 et 2 000 euros la journée. Les laboratoires financent également les voyages et tous les frais de ces médecins-chercheurs pour qu’ils aillent présenter leurs résultats dans des colloques internationaux dont l’organisation est elle-même très largement financée par les industriels. Dans certains cas, ces derniers vont jusqu’à réaliser eux-mêmes les études dans leurs laboratoires et proposer ensuite à des médecins universitaires plus ou moins renommés de les signer de leurs noms. Cela s’appelle le ghostwriting et a donné lieu à de nombreuses fraudes ces dernières années, à l’image du Lancet Gate en mai 2020.
Mais la question de la corruption ne se limite pas à l’univers médical. Ce qui donne à la corruption une ampleur démesurée, c’est aussi la transformation des rapports entre organisations publiques et privées. En cause, la circulation des mêmes personnes entre ces deux univers aux logiques de fonctionnement et aux finalités pourtant théoriquement opposées (le bien public pour les unes, l’enrichissement personnel pour les autres). Au-delà même du phénomène que l’on appelle en France le « pantouflage », le problème majeur qui se pose désormais est celui du changement de la nature de ces relations. Nous avons été habitués à penser un monde dans lequel les puissances publiques (Etats et organisations supranationales) sont un peu les gendarmes du monde économique privé. Or, ce monde est en train de disparaître sous nos yeux.  Nous entrons dans un monde où les puissances publiques deviennent des partenaires des groupes commerciaux privés dont certains ont de fait acquis autant de pouvoir qu’un Etat. Ceci se voit très bien dans plusieurs pays, dont la France. Ceci devrait faire l’objet de grandes discussions politiques. Je n’en vois guère pour le moment.

V.R. – De Gilead à Air France, tu me vois venir ? Qu’est-ce qu’il faut retenir en peu de mots sur cette énorme boite américaine méconnue en France qu’est Gilead ?

L.M. – Le groupe américain Gilead Sciences emploie près de 12 000 personnes et a fait un chiffre d’affaires de 22,5 milliards de dollars en 2019. Parmi ses actionnaires, figurent certains des plus gros fonds d’investissement américains. Le premier est The Vanguard Group, concurrent direct de Black Rock (le plus gros gestionnaire d’actifs du monde et l’un des plus importants actionnaires du CAC40). Vanguard est par ailleurs le premier actionnaire d’Apple, possède 5% d’Amazon et est entré au capital de nombre de grandes entreprises françaises. Même chose pour le second actionnaire de Gilead, Capital Research and Management, qui possède des parts du capital de la Caisse des Dépôts et Consignations, de Veolia, de Bouygues, de Schneider, de la Société Générale, de Pernod et d’Air France. Nous sommes donc bien ici au cœur du capitalisme financier actuel, c’est-à-dire celui qui est entièrement dominé par les banques et autres fonds d’investissements contrôlant l’actionnariat des grandes entreprises et ayant pour logique fondamentale la maximisation de la valeur pour l’actionnaire.

Au demeurant, la suite n’aurait pas dû surprendre tant Gilead était déjà connu pour pratiquer une exagération des prix à des fins d’enrichissement maximum. Je rappelle dans mon livre l’affaire du Sovaldi dans la lutte contre l’hépatite C, affaire qui a fait la fortune de Gilead. Dès le tout début de la crise du Covid, ce dernier a voulu refaire le coup en faisant acheter par tous les pays du monde un antiviral pour traiter le Covid : le Remdesivir. L’industriel y travaille depuis l’épidémie du virus Ebola qui traversa l’Afrique de l’Ouest en 2014-2015. Les recherches montreront pourtant par la suite que ce médicament était déjà inefficace sur Ebola. Mais qu’à cela ne tienne, face à la nouvelle pandémie de coronavirus, tout l’enjeu pour cet industriel était de convaincre que son produit était le plus efficace pour traiter les personnes infectées, et lancer ainsi sa production industrielle de masse. Il a en ce sens déployé toute sa puissance de lobbying et de trafic d’influence, au point que, dès le départ, l’OMS et un certain nombre de chercheurs importants dans plusieurs pays occidentaux (tels Yazdan Yazdanpanah et Franck Chauvin en France, tous deux membres du Conseil scientifique Covid-19, le second étant aussi le président du Haut Conseil de la Santé Publique qui fera d’emblée barrage à la proposition de l’IHU de Marseille au profit du Remdesivir) annonçaient déjà que l’antiviral de Gilead était la solution la plus prometteuse. Étrangement, tandis qu’elle bloquera l’hydroxychloroquine, l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) délivrera très rapidement une autorisation de mise sur le marché (AMM) pour le Remdesivir.
On sait aujourd’hui que ce médicament est inefficace et même dangereux. Il n’est quasiment plus utilisé dans les pays occidentaux. Mais si Gilead est passé une fois encore à côté du jackpot mondial, il s’est quand même enrichi grâce à la seconde grande stratégie des nouvelles industries capitalistiques : la spéculation boursière. Enfin, son intense lobbying lui permettra de parvenir tout de même à fourguer pour 1,2 milliard de son produit à l’Union Européenne fin 2020, avant que cette dernière ne s’en débarrasse vers les pays pauvres en ayant de surcroît l’indécence de présenter la chose comme de la générosité. La chose se reproduira du reste avec le « vaccin » d’AstraZeneca. Je note toutefois que certains pays africains (comme le Nigeria) ont bien compris l’arnaque et répondent « non merci » à cette fausse générosité.

V.R. – Le délire corruptif qui règne à l’Agence Européenne du Médicament (EMA) semble t’avoir particulièrement intéressé, je te remercie d’ailleurs d’avoir cité un de mes articles dans ta démonstration. Ce passage de ton livre est vraiment sidérant…

L.M. – L’affaire Ursula Von der Leyen est un révélateur du trafic d’influence et de la corruption qui sévissent en effet au sein de la Commission européenne et d’agences comme l’EMA. Madame négocie personnellement avec le PDG de Pfizer des contrats dont le contenu est étrangement tenu top secret, tout en ayant un mari travaille dans l’industrie des biotechs et un fils qui travaille chez Mc Kinsey, le cabinet de conseil qui s’enrichit démesurément en organisant la communication (i.e. la propagande) des campagnes vaccinales de nombreux pays (dont la France). Et quand on demande des comptes à madame, elle répond qu’elle a malencontreusement effacé ses conversations avec monsieur Bourla, avec lequel on la voit s’enlacer à la cérémonie de l’Atlantic Council récompensant les meilleurs business-leaders du moment. On nous prend vraiment pour des imbéciles et c’est gros comme le nez au milieu du visage. Et pourtant, à une ou deux exceptions près (comme Etienne Campion à Marianne), aucun journaliste ne s’en est inquiété. Voilà typiquement le sujet d’intérêt public majeur dont un journal comme Mediapart aurait dû s’emparer, plutôt que de s’enfermer dans sa haineuse petite entreprise de démolition de Didier Raoult. Et les intellectuels ne valent guère mieux hélas. Où sont passés tous les universitaires et les journalistes dits « d’investigation » qui ont travaillé ces dernières années sur ces phénomènes de lobbying et de corruption organisée par les industriels, comme sur les nouvelles formes de marketing, de propagande et autres méthodes de story telling ? Toute cette affaire est une dramatique défaite de la pensée.

V.R. – Tu abordes ensuite le point le plus crucial de ton livre, à mon avis, et c’est ce que tu appelles le « viol des foules », qui ne comprend pas cette manipulation mentale abominable se met immédiatement en position de se faire à nouveau duper lors de la prochaine crise, le Dr Pascal Sacré avait déjà abordé ce phénomène chez nous, il y a un an [6]…

L.M. – J’ai intitulé ce chapitre « Le viol des foules par la propagande politique », reprenant le titre d’un vieux livre de Serge Tchakhotine, paru en 1939, interdit en France et même brûlé ensuite par la Gestapo. Les dictatures n’aiment pas que l’on objective leurs stratégies d’endoctrinement des masses. Mais il faut croire que les démocraties ne l’aiment pas non plus. A moins qu’elles ne soient déjà plus vraiment des démocraties. Quoi qu’il en soit, j’analyse effectivement les formes et les contenus de l’intense propagande que le gouvernement français (parmi d’autres) a déployé pour faire croire à la population que le vaccin était la fin de l’histoire, qu’il fallait d’urgence injecter à tout le monde (adultes, personnes âgées, enfants, femmes enceintes) ces produits prétendus « totalement sûrs », qui allaient « nous débarrasser de l’épidémie » (en bloquant la contagion) et qui étaient « efficaces à 95% » pour empêcher les formes graves de Covid. Ah, la magie des chiffres…

Je montre que, pour réaliser cette grande manipulation, le gouvernement a usé de toutes les ficelles et tout le registre de la propagande : technique de « la bouse blanche » consistant à envoyer dans les médias des médecins triés sur le volet pour vanter les mérites de la nouvelle politique vaccinale, technique du « choix truqué » consistant à placer les citoyens devant un prétendu choix entre la solution qu’on veut leur imposer et une fausse alternative en réalité inacceptable (du genre : préférez-vous être vaccinés ou reconfinés ?), et enfin bien entendu la technique de « la grenouille ébouillantée » consistant à amener progressivement les gens vers le point d’arrivée prévu en réalité dès le départ, mais en y allant par étapes, à coups de demi-mensonges successifs, afin de faire accepter très progressivement quelque chose qui, si il avait énoncé d’emblée, aurait été jugé inacceptable pour beaucoup. En l’occurrence, il fallait amener doucement les citoyens à renoncer à une de leurs libertés fondamentales en acceptant l’idée que seule une vaccination intégrale et forcée de la population s’imposait pour nous « libérer » de l’épidémie.

V.R. – L’heure de nous quitter est venue. Nous ne sortons pas de ton interview beaucoup plus optimiste qu’au moment où nous l’avons abordée, mais avec une envie bien plus grande de dévorer ton passionnant bouquin. Vivement le tome II, on s’y prépare avec délectation. Ton mot de la fin ?

L.M. – D’abord je te remercie de me donner ainsi la parole et de traiter mon travail avec sérieux. Le tome 2 paraîtra en mars, il reprendra les meilleurs « épisodes » de ma série initiée en mars 2020, avec 40 chapitres et 30 auteurs. C’est un travail collectif qui n’est certainement pas parfait mais dont je suis fier et qui me donne le sentiment d’avoir fait ce que je devais faire.

Ensuite un mot pour dire que j’avais depuis longtemps l’habitude d’être attaqué, essentiellement par l’extrême droite, du fait de mes travaux sur la sécurité (qui montrent notamment comment on passe là aussi son temps à effrayer la population pour mieux vendre de l’idéologie sécuritaire et des technologies très coûteuses comme la vidéosurveillance). Mais depuis le début de la crise du Covid, j’ai été couvert d’insultes et de calomnies à un point que je n’avais jamais connu. Et surtout, indépendamment des affidés des industriels et des intellectuels de cour (comme le très macroniste Gérald Bronner qui a publié contre moi en août 2021, dans Le Monde, une tribune aussi agressive que dénuée de contenu, avant d’être nommé par l’Elysée à la tête d’une commission), la plupart de ces insultes sont venues de gens qui disent appartenir à la gauche intellectuelle et politique. Certains sont même allés jusqu’à m’accuser de complicité avec l’extrême droite, moi qui la combat depuis 30 ans et qui y avait consacré tout mon dernier livre paru juste avant le premier confinement (La France telle qu’elle est. Pour en finir avec la complainte nationaliste, Fayard, 2020). C’est dire à quel point nous sommes en pleine confusion mentale. Il faudra du temps pour en sortir et essayer de rebâtir quelques digues intellectuelles et éthiques. La chose est essentielle car l’histoire est loin d’être terminée. D’autres crises sécuritaires, sanitaires et écologiques sont à venir. Et si nous ne sommes pas mieux armés pour les affronter, j’ai peur que les dégâts individuels et collectifs soient plus importants encore, notamment que l’idéal démocratique finisse par disparaître au profit d’une gestion autoritaire des biens publics par des intérêts privés.

Crédit photo : © Editions Eolienne

(*) Ouvrages de Laurent MUCCHIELLI :

Direction d’ouvrage

  • Histoire de la criminologie française, Paris, L’Harmattan, 1995, 535 p. (ISBN2-7384-3136-4, notice BnF no FRBNF36685469)
  • Avec Massimo Borlandi, La Sociologie et sa méthode : les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, 1995, 415 p. (ISBN2-7384-4033-9, notice BnF no FRBNF35804890)
  • Avec Dominique Duprez, Les Désordres urbains : regards sociologiques, Chêne-Bourg-Genève, Médecine et hygiène, 2000, 440 p. (ISBN2-8257-0726-0, notice BnF no FRBNF37733537)
  • Avec Philippe RobertCrime et sécurité : l’état des savoirs, Paris, La Découverte, coll. « Textes à l’appui », 2002, 438 p. (ISBN2-7071-3620-4, notice BnF no FRBNF38811277)
  • Gendarmes et voleurs : de l’évolution de la délinquance aux défis du métier, Paris, L’Harmattan2007
  • Avec Véronique Le Goaziou, Quand les banlieues brûlent : retour sur les émeutes de novembre 2005, Paris, La Découverte, 2eédition 2007
  • Avec Marwan MohammedLes Bandes de jeunes : des blousons noirs à nos jours, Paris, La Découverte, 2007
  • La Frénésie sécuritaire : retour à l’ordre et nouveau contrôle social, Paris, La Découverte, 2008
  • Avec Pieter Spierenburg, Histoire de l’homicide en Europe, de la fin du Moyen Âge à nos jours, Paris, La Découverte, 2009
  • Avec Xavier Crettiez, Les Violences politiques en Europe : un état des lieux, Paris, La Découverte, 2010, 336 p. (ISBN9782707164582)
  • Avec Christian Mouhanna,La police contre les citoyens ?, Nîmes, Champ social, coll. « Question de société », 2011, 182 p. (ISBN978-2-35371-105-5)

En collaboration

Notes et sources:

[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Mucchielli
[2] https://www.aimsib.org/2021/12/09/encore-des-hormones-mais-pour-combien-de-temps/
[3] Gates B,Responding to Covid-19 — A Once-in-a-Century Pandemic? N Engl J Med 2020; 382:1677-1679 DOI: 10.1056/NEJMp2003762 https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMp2003762
[4] Traduction : Les scientifiques ont séquencé le génome du virus et développé plusieurs vaccins candidats prometteurs en quelques jours, et la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations prépare déjà jusqu’à huit vaccins candidats prometteurs pour des essais cliniques.
[5] Michel JD, Covid : anatomie d’une crise sanitaire, Paris, HumenSciences, 2020, p.109
[6] Pascal Sacré, « Pavlov ou la Covid-19, comprendre l’inhibition transmarginale » https://www.aimsib.org/2021/01/17/pavlov-ou-la-covid-19-comprendre-linhibition-transmarginale/




Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !

[Source : la-verite-vous-rendra-libres.org]

[Voir aussi :
Premier jour du procès : Reiner Fuellmich s’adresse au Jury, et expose les faits. Mise à jour]

Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importanteCette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultimequi est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

[Note de Joseph : en toute rigueur scientifique, ce n’est pas le virus lui-même qui est traité, sachant notamment qu’il n’a jamais été isolé (voir :
L’enterrement de la théorie virale
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Le virus existe-t-il ? Le CoV-2 du SRAS n’a toujours pas été isolé ? « La plus grande fraude de l’histoire de la médecine »
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey), mais les symptômes attribués à une maladie nommée Covid-19 et dont les causes sont manifestement autres qu’un virus naturel.]

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui.

Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en mains par l’autre partie par le biais de leur principale plate-forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous.
Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Organisation mondiale de la santéBill GatesBlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.
Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Kurz, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, -la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. […]


[Source : http://myreader.toile-libre.org/uploads/My_620229c67d6b4.pdf]

Transcription complète

Grand Jury – Session 1

https://youtu.be/ELTFNkCdzjA

  • Viviane Fischer — Avocate d’Allemagne
  • Ana Garner — Avocate des États-Unis
  • Rui Fonseca e Castro — Juge du Portugal
  • Deana Sacks — Avocate des États-Unis
  • Reiner Fuellmich Avocat des États-Unis et d’Allemagne
  • Dipali Ojha Avocate d’Inde
  • Dexter L-J. Ryneveldt — Avocat d’Afrique du Sud

00:17 Viviane Fischer :

Bonjour et bienvenue au premier jour de la procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une salle qui a été spécialement construite à cet effet, pour entendre des témoins et des experts sur ce qui s’est passé dans la crise de Corona. Et nous sommes reliés à un groupe international d’avocats. Et pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ena Garner des États-Unis d’Amérique.

00:46 Ana Garner :

Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour moi de participer à cette enquête du grand jury international. Un grand jury criminel contre certains des auteurs qui, dans une collaboration criminelle mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité sur la population mondiale entière sous la forme d’une pandémie planifiée appelée Covid-19. Nous, un groupe d’avocats internationaux et un juge, menons une enquête criminelle sur le modèle des procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette enquête du grand jury sert de modèle de procédure légale, pour présenter à un jury composé de citoyens du monde, toutes les preuves disponibles du crime contre l’humanité qu’est le Covid-19, à ce jour contre les dirigeants, organisateurs, instigateurs et complices qui ont aidé, encouragé ou participé activement à la formulation et à l’exécution d’un plan commun pour une pandémie.

Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent tous les actes accomplis ou omis par une personne dans la poursuite d’un dessein commun, de commettre des crimes contre l’humanité, et tous ces actes criminels condamnés dans les différentes communautés de jurés à travers le monde. Cette enquête est du peuple, par le peuple et pour le peuple. Elle sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion publique ». N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les preuves réelles dans les cours de justice du système actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors du système actuel et sur la base du droit naturel. Celle-ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que chaque personne peut facilement distinguer le bien du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette procédure pourrait être l’un des événements extrajudiciaires les plus importants de l’année.

Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux, présenterons des preuves réelles provenant de vrais experts, tels que des scientifiques, des historiens, des médecins, ainsi que des victimes. Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation, seulement des personnes réelles qui désirent apporter la justice au monde. Et nous avons besoin de votre aide. La raison de la mise en place d’un processus de grand jury est que notre monde est à un stade critique de l’humanité, qui dépendra du réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons en tant qu’humains libres, nous devons inverser la trajectoire de ce cours maintenant. Et la représentation d’une enquête du grand jury est le moyen le plus rapide que nous connaissons pour apporter les preuves devant le tribunal public du monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les procureurs de district ou les procureurs généraux des différents États sont autorisés à engager de telles procédures pénales. Mais comme personne ne l’a fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les preuves sous une forme calquée sur ce type de procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.

Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal américain. En général, le grand jury détermine si les preuves sont suffisantes pour prononcer une mise en accusation criminelle contre un ou plusieurs accusés. Il se déroule à huis clos, et ni l’accusé ni son avocat ne sont présents dans ce type de procédure. Cependant, nous effectuons ce processus sous les yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le peuple. Le but de cette enquête est de révéler les preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de procédure dans votre juridiction. Nous vous invitons à nous rejoindre dans une transparence ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui pourraient être présentés dans une véritable procédure de grand jury criminel devant les tribunaux des États-Unis. L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des personnes qui ont fait confiance à la gouvernance constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont relevé les défis épiques de notre histoire sur la base de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont libéré des êtres humains libres du joug de la Couronne britannique. Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous demanderons, en tant que tribunal de l’opinion publique, d’examiner les preuves présentées, afin de réclamer nos droits et libertés accordés à chaque personne dans ce pays et dans le monde à la fin de cette procédure.

5:34 Viviane Fischer :

Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.

5:47 Rui Fonseca e Castro :

La légitimité du tribunal de l’opinion publique s’appuie sur le Droit Naturel. Au cours des deux dernières années, nous avons assisté à l’effondrement fulgurant de l’État de droit démocratique. Au nom d’une idée de biens communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés, et nous pouvons déjà sentir l’approche d’une gigantesque vague de victimes. Les systèmes judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions. C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.

Devons-nous attendre sans rien faire que nous soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer nos responsabilités en tant que membres de nos communautés ? C’est notre droit et surtout notre devoir, envers le peuple et les générations futures de résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi naturelle, immanente pour les êtres humains, indépendamment de sa positivité, nous donne des droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les Constitutions sont la source des droits et libertés fondamentaux, le droit naturel est sa source originelle.

Le droit naturel confère au peuple la légitimité de défendre les droits et libertés fondamentaux, face à des États devenus tyranniques. Nous voyons bien maintenant l’incapacité des systèmes de justice nationaux et internationaux à protéger les peuples contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans le droit naturel, et le droit non écrit inhérent à la condition humaine que ce tribunal de l’opinion publique trouve sa légitimité pour engager la procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui. Merci.

8:10 Viviane Fischer :

Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis d’Amérique.

8:34 Deana Pollard Sacs :

Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs, et depuis 22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la constitution, militante des droits civils et avocate. Je suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle, et pour expliquer pourquoi les vaccins Covid-19 sont tous inconstitutionnels selon notre jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères Fondateurs ont signé la Déclaration d’Indépendance. Et voici ce qu’ils ont dit :

« Nous tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et la recherche du bonheur. »

En 1891, notre Cour suprême, dans une affaire appelée Botsford, a expliqué que la liberté médicale est inaliénable et constitue l’un des droits les plus précieux que nous puissions avoir.

Ils ont dit :

« Aucun droit n’est considéré comme plus sacré ou n’est plus soigneusement gardé par la “Common Law” que le droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa propre personne, libre de toute contrainte ou interférence d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme un droit d’immunité totale, à laisser en paix ».

En 1914, le juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi :

« Tout être humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il doit faire de son propre corps, et un chirurgien qui pratique une opération sans le consentement de son patient commet une agression pour laquelle il est responsable des dommages. »

Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies. En 1990, par exemple, dans une affaire appelée Cruzan contre le directeur du département de la santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement affirmé que chaque individu a le droit de refuser un traitement médical. Cela remonte à la common law anglaise. Et voici ce que le juge Brennan a dit dans l’affaire Cruzan :

« Le droit anglo-américain part du principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque homme est considéré comme le maître de son propre corps, et qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa vie ou tout autre traitement médical. »

Comment se fait-il alors que nos gouvernements nous imposent un traitement médical sans consentement, pas un vrai consentement. Ils contraignent nos concitoyens à prendre un vaccin de nature expérimentale sous la menace de perdre leurs moyens de subsistance, leurs maisons et leur éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie sur une affaire appelée Jacobson contre Massachusetts. Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous avons le droit de choisir la médecine et les traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une petite pandémie pop qui a tué des centaines de millions de personnes dans le monde, l’État du Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque personne devait être vaccinée contre la variole ou payer une amende de cinq dollars. C’est exactement ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou » donnant aux gens l’option de payer une amende de 5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.

M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le protégeait à la fois de la vaccination et du paiement de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis après avoir payé l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. Et la Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans. Il était utilisé dans le monde entier avec une grande efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires pandémies de l’histoire du monde. Après avoir examiné attentivement les preuves médicales, après avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson ne pouvait pas récupérer ses 5 $. Maintenant, gardez à l’esprit que M. Jacobson pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir et de se promener sans le traitement médical qu’il ne voulait pas. Et donc l’opinion de la cour était basée sur tous ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats Covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts, et je cite, nous décidons maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son application au plaignant M. Jacobson. Il y a plusieurs raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne cautionne pas les mandats de vaccination proposés aujourd’hui concernant le coronavirus.

Tout d’abord, il y a une énorme différence concernant les risques publics encourus. La pandémie de variole tuait jusqu’à 60 % des personnes dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60 % des gens mouraient, soit un taux de mortalité global d’environ 30 %. À certaines périodes, plus de 90 % des bébés exposés à la variole mouraient. Maintenant, comparez ça au Covid-19, il tue une minuscule fraction de 1 % des gens. Le risque public n’est même pas comparable.

La deuxième chose est que les vaccins Covid-19 ne sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la transmission, ces vaccins ne font ni l’un ni l’autre. Ces vaccins expérimentaux n’existent pas depuis 100 ans. Ils n’ont pas été essayés et testés, et nos concitoyens sont soumis à des vaccins expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait vraiment quels en seront les effets à long terme. Et enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre Massachusetts donnait la possibilité aux gens de payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont travaillé, leur maison et leur étude universitaire parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaccin expérimental. Il n’y a tout simplement aucune comparaison possible. Jacobson contre Massachusetts ne soutient pas les fabricants de vaccins ni les obligations en matière de vaccins. Alors certains d’entre vous se demandent peut-être pourquoi les mandats de vaccination du Covid n’ont pas été déclarés totalement inconstitutionnels ?

Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier 2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le mandat de vaccination des travailleurs de la santé découle de la clause sur les impôts et les dépenses de la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1, section 8. Le Congrès a toujours eu une grande latitude pour imposer des conditions aux fonds fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des conditions à la réception des fonds de Medicare et de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé des conditions pour limiter la transmission des maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges convenant que le mandat de vaccination pour les travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir si oui ou non la cour arrêterait l’application du mandat de vaccination. Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge Thomas, pourquoi l’efficacité du vaccin n’a-t-elle pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en compte. Et le juge Thomas l’a dit très clairement dans sa position dissidente, rejointe par trois autres juges. La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du vaccin n’ont pas été prises en compte est que la question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États qui ont contesté le mandat de vaccination, aucun n’a affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la clause de liberté a été utilisée pour nous protéger contre des procédures médicales non désirées et même pour nous permettre d’exiger les actes médicaux que nous souhaitons.

Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait que, lorsque nos juges se verront présenter les faits médicaux concernant l’efficacité du vaccin, la nécessité du vaccin et la manière dont nos gouvernements intimident et contraignent les gens à se faire vacciner contre leur gré, la Cour soutiendra nos droits à la liberté et déclarera tous les vaccins inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans les jours qui suivent, vous entendrez un certain nombre de professionnels de la santé expliquer pourquoi ce vaccin n’a rien à voir avec les vaccins du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute et je vous remercie de nous avoir suivis.

18:12 Viviane Fischer :

Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre déclaration introductive. Je voudrais maintenant donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en Allemagne, pour une présentation générale.

18:25 Reiner Fuellmich :

Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe d’éminents avocats et juristes internationaux qui collaborent depuis de nombreux mois dans cette affaire très importante. Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux contre l’humanité, commis sous le couvert d’une pandémie de Coronavirus à l’échelle mondiale, ne semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous, avec l’aide de nombreux experts renommés et d’autres témoins au cours de cette procédure, vous constaterez quatre séries de faits.

Premièrement, il n’y a pas de pandémie de Corona, mais seulement une plandémie de tests PCR, alimentée par une opération psychologique élaborée visant à créer un état de panique constant parmi la population mondiale. Ce programme a été planifié de longue date. Son précurseur, qui a finalement échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine d’années. Et il a été concocté par un groupe de super riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et craignent les gens en même temps, n’ont aucune empathie et sont animés par le désir de prendre le contrôle total de nous tous, les peuples du monde. Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias, qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour véhiculer leur propagande panique 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de l’Ivermectin, de l’Hydroxychloroquine, etc. Mais toutes ces méthodes de traitement, non pas alternatives, mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le monde reçoive, comme nous le montrerons dans cette procédure, des injections expérimentales non seulement in-efficaces, mais aussi très dangereuses, voire mortelles.

Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de la grippe porcine, qui s’est finalement avérée être une grippe bénigne, une pandémie il y a douze ans, en changeant d’abord la définition de ce qu’est une pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé cette pandémie de Corona. La grippe porcine a été leur première véritable tentative de créer une pandémie. Et tout comme l’un de ses objectifs à l’époque était de détourner notre attention des activités frauduleuses flagrantes de leur industrie financière, qu’il serait plus approprié d’appeler la mafia financière, qui était devenue visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un des principaux objectifs de cette pandémie de Corona aujourd’hui. Si nous avions regardé de plus près lors de la crise de Lehman, au lieu de croire aveuglément les promesses de nos gouvernements selon lesquelles les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et saccagé nos caisses publiques pendant des décennies, et nous aurions vu que nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été pris en main par l’autre partie par le biais de leur principale plate — forme, le Forum économique mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders mondiaux par le biais de son programme Young Global Leaders dès 1992, les premiers diplômés étant Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà compris à l’époque ce que nous allons vous montrer maintenant, à travers cette procédure, ces crimes financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les commettent et profitent de ces crimes.

Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Cela implique la finalisation de leur pillage en détruisant délibérément nos petites et moyennes entreprises, nos commerces de détail, nos hôtels et nos restaurants, afin que des plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le relais. Et cela implique le contrôle de la population, qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction massive de la population et la manipulation de l’ADN de la population restante, à l’aide, par exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.

Mais cela nécessite également, selon eux, la destruction délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de nos constitutions par le chaos, afin que nous acceptions finalement de perdre nos identités nationales et culturelles et que nous acceptions à la place un gouvernement mondial unique sous l’égide de l’ONU, qui est maintenant sous leur contrôle total, et leur Forum économique mondial, un passeport numérique, dont chaque mouvement est surveillé et contrôlé, et une monnaie numérique, que nous ne pourrons recevoir que d’une seule Banque mondiale, la leur, bien sûr.

À la fin de la procédure, et après que vous ayez entendu toutes les preuves, nous sommes convaincus que vous recommanderez des mises en accusation contre les six accusés présumés : Christian Drosten d’Allemagne, Anthony FAUCI des États-Unis, Tedros de l’Or-ganisation mondiale de la santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.

Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un programme de longue haleine d’un groupe de personnes ultra riches et de leur mafia financière basée à la City de Londres et à Wall Street, qui consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un prétexte derrière lequel, pendant que notre attention est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs efforts de plusieurs décennies pour obtenir un contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus importante est celle du Forum économique mondial, qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors âgé de 33 ans.

Ses membres sont 1000 entreprises mondiales ayant un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de dollars, des hommes politiques, des représentants des médias, des scientifiques et d’autres personnalités dites de haut niveau.

Ils se réunissent une fois par an à Davos, mais il existe d’autres réunions de ce type, par exemple en Chine. Et depuis 1992, ils ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier d’Autriche, Justin Trudeau, Premier ministre du Canada, Jacinda Ardern, Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, Président de la France, et beaucoup, beaucoup d’autres.

Ce groupe, qui est maintenant appelé la Clique de Davos, — la publication The Great Reset de Klaus Schwab est l’une des sources les plus importantes pour cette organisation, promeut ouvertement le transfert des actifs du monde vers ce groupe de personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens ordinaires ne posséderont rien et seront heureux, comme il est explicitement indiqué dans leur gouvernement mondial unique, avec une monnaie numérique qui nous sera donnée par leur Banque mondiale unique. Et ils encouragent aussi ouvertement, en étroite collaboration avec des gens comme le défendeur putatif Bill Gates, les Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la population mondiale et la manipulation de l’ADN de la population restante jusqu’au transhumanisme.

Leur objectif le plus important est, cependant, l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système financier complètement pillé et l’introduction simultanée d’une monnaie numérique émise par une Banque Mondiale Unique contrôlée par eux, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement mondial sous l’ONU, qui est passé sous leur contrôle total en 2019. À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette plandémie de Corona depuis au moins le printemps 2001 : l’opération Dark Winter, suivie d’une autre répétition de ce type : l’exercice lockstep de la Fondation Rockefeller en 2010. Enfin, l’Event 201 en octobre 2019 à New York, parrainé par le Johns Hopkins Center for Health Security, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates.

Membres du jury, nous allons appeler un certain nombre de différents témoins experts très renommés de tous les horizons de la science, mais aussi des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils ont subis suite à l’obtention des injections expérimentales. Après nos déclarations préliminaires, nous commencerons dans une semaine par appeler d’anciens membres de l’armée américaine, James Bush, qui a participé à l’opération Dark Winter en 2001, d’anciens membres des services de renseignement britanniques Brian Gerrish et Alex Thompson, et les journalistes d’investigation Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens employés et conseillers de l’Organisation mondiale de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confrontés, et ils nous montreront comment cet agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en commençant par l’opération Dark Winter en 2001, et une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep de la Fondation Rockefeller, pour finir par la répétition générale, l’Event 201 en octobre 2019. Et ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de cas — ce dont ils avaient besoin pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut détecter par un dépistage de masse de personnes parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un mensonge, comme nous le montrerons.

Nous poursuivrons avec le prochain groupe de témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue expérimenté et ancien membre du Bundestag allemand et du Conseil de l’Europe, qui a réussi à démasquer la première tentative de pandémie de la partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans, comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke, le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière la légende de l’épidémie du marché humide de Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne peut rien nous dire sur les infections, mais il est la seule base de toutes les mesures anti-Corona, y compris la mesure ultime, les soi-disant vaccins. Et les soi-disant vaccins sont non seulement inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux. Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine du virus, notre système immunitaire est parfaitement capable de faire face au virus, comme le prouve un taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou 0,5 % ou même moins. Il n’y a eu aucune surmortalité nulle part, avant le début des injections expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale, car c’était la seule base sur laquelle il serait possible, selon leurs propres règles inventées et acceptées par tous les gouvernements des États membres de l’Organisation mondiale de la santé, d’utiliser de nouveaux médicaments non testés — les injections expérimentales — sur des personnes.

Après une première tentative ratée d’annoncer cette urgence de santé publique de portée internationale parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce désormais tristement célèbre test PCR de Drosten, et ont annoncé cette urgence de santé publique de portée internationale deux semaines plus tard. Ces experts nous diront que ces cas étaient presque tous des résultats de tests faussement positifs, rien d’autre.

Le prochain groupe d’experts est composé du Dr Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du Dr Wolfgang Wodarg d’Allemagne et de John O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts nous expliqueront comment, dès le départ, nous avons été les témoins d’une interdiction délibérée et totalement insensée des méthodes normales, efficaces et sûres de traitement des maladies respiratoires et, à la place, à une obligation de traitements qui doivent aujourd’hui être considérés comme des fautes médicales graves. Intubation, Remdesivir, Midazolam.

John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru les allégations de l’autre partie concernant une pandémie, et a même aidé la BBC à diffuser sa propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués intentionnellement.

Nous appellerons ensuite le groupe suivant d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur de la technique du vaccin ARNm des États-Unis, et la professeur Anna Blochat, pathologiste d’Allemagne. Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué de surmortalité, son taux de survie est de 99,97 %. Les injections tuent maintenant des gens et ont causé une surmortalité allant jusqu’à 40 % depuis septembre, en raison d’un empoisonnement par la protéine spike et de l’arrêt de notre système immunitaire.

Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un groupe de scientifiques a même trouvé des preuves concrètes que les fabricants de vaccins expérimentent des dosages mortels, pour voir comment les effets secondaires mortels peuvent être manipulés de manière à ce que la population ne comprenne pas immédiatement ce qui se passe.

Le groupe d’experts suivant nous expliquera comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend le professeur Matthias Desmond de Belgique, le docteur Ariane Bilheran de France, le docteur Meredith Miller des États — Unis, le professeur Harald Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du ministère allemand de l’Intérieur. Ces experts nous expliqueront comment l’autre partie, après avoir établi rapidement l’urgence de santé publique de portée internationale, nous a présenté le confinement, les obligations absurdes et dangereuses du port du masque et la distanciation sociale très nuisible, à la fois physiquement et psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur objectif ultime, les injections inefficaces et dangereuses, voire mortelles. Et ils nous expliqueront en détail comment notre consentement à tout cela a été rendu possible par une gigantesque opération psychologique dont le message de panique nous a été transmis par la propagande implacable des médias grand public et de nos politiciens, tous deux détenus par l’autre camp.

Le groupe d’experts suivant comprend Leslie Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine, Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine, Anzwef, économiste allemand, le professeur Christian Christ, économiste allemand, le professeur Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl, économiste allemand. Ces experts nous expliqueront en détail la destruction intentionnelle de nos économies et la manière dont l’autre camp travaille à un crash contrôlé du système financier afin d’échapper aux crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières années, des décennies de pillage de nos caisses publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, et d’introduire une Banque Mondiale Unique, une monnaie numérique et un passeport numérique.

Le dernier groupe d’experts comprend Matthew Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York, Patrick Wood, un expert en technocratie des États-Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie de l’enquête, ces experts nous expliqueront comment une partie importante du programme de l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation, comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble de l’UNESCO. Mais lui et le très grand groupe de personnes qui soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a expliqué ouvertement.

Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et ce qui se passe maintenant ne doivent pas être ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.

Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne doutons pas que vous recommanderez des actes d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs pour crimes contre l’humanité. Merci.

36:30 Viviane Fischer :

Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que nous allons entendre. Je voudrais maintenant revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour nous donner plus d’informations sur le test PCR.

36:52 Ana Garner :

Merci. Pour comprendre l’énormité de la planification de cette collaboration criminelle à l’échelle mondiale, nous devons commencer par la base de la pandémie. C’était un gros mensonge. C’était un mensonge pour les gouvernements du monde de déclarer, presque à l’unisson, une pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a été modifiée pour répondre aux objectifs du programme.

Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests. Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ». Les informations qui nous ont été données par le CDC et la FDA sur le test PCR sont manifestement fausses, et nous aurons des éléments pour le prouver. En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas un test de diagnostic, mais une technologie de fabrication génétique, qui recherche des bribes de code spécifiques et les amplifie en les doublant à chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en faire un outil de diagnostic valable, et il est connu de tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer une panique mondiale et l’obtempération. Le CDC a même admis que son propre test, récemment retiré, était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de cycle grossièrement excessifs recommandés par l’OMS, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que subit une petite quantité de matériel génétique, pour déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont bien au-delà des normes de l’industrie, et ils rendent tout test inutile, avec des résultats faussement positifs à des taux approchant les 100 %. Des études ont montré que le taux de faux positifs de ce test PCR est en fait plus proche de 97 %. Cela signifie que 3 % de la population dont le test est positif sont peut — être malades de quelque chose, mais nous ne savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière abusive dans le monde entier pour justifier frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour déterminer des chiffres de cas et de décès faussement gonflés.

Nous démontrerons par des preuves claires et convaincantes que les défendeurs ont participé à ce mensonge mondial et ont qualifié une maladie largement dispersée géographiquement, avec des taux de survie équivalents à ceux d’une grippe saisonnière, de pandémie permettant de fausses déclarations mondiales d’urgence de santé publique. À partir de cette situation d’urgence qui dure maintenant depuis près de deux ans, les gouvernements ont imposé des restrictions draconiennes, la séparation et l’isolement des populations vulnérables, comme les personnes âgées et les enfants, ainsi que la mise en place de vaccins obligatoires dans le monde entier.

Nous savons que la prochaine étape sera la mise en place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront encore plus notre planète, ainsi que des camps de quarantaine partout. Notre confiance a été trahie par la corruption du système, et nous vous fournirons des faits vérifiables prouvant que nous avons tous été gravement trompés pour croire à un gros mensonge. Et les objectifs finaux étant, selon les termes de l’un des accusés, Bill Gates, de vacciner chaque homme, femme et enfant de la planète, avec des injections expérimentales modifiant les gènes.

Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le nombre de cas et de décès. Examinons la définition d’un cas. Historiquement, un cas était une personne malade, et pas seulement un test positif en l’absence de tout symptôme. Avec des tests effectués dans le monde entier sur des personnes en bonne santé, ils ont grossièrement gonflé le nombre de cas. Et cela nous est diffusé en permanence par les médias grand public, par le Department of Highway Signs aux États-Unis et peut — être dans d’autres pays, et a été utilisé pour inciter la panique et l’obtempération dans le monde entier.

Les inconvénients importants sont la raison pour laquelle le test PCR ne devrait être effectué que sur des patients symptomatiques et pourquoi un test positif ne devrait être considéré que comme un seul facteur de tout diagnostic. Vous ne pouvez pas diagnostiquer quelqu’un en l’absence de symptômes cliniques et en l’absence de diagnostic médical.

Nous nous retrouvons donc à tester des personnes en bonne santé en grand nombre, ce qui donne lieu à des chiffres faussement gonflés et à la panique. Le CDC et la FDA ont reconnu ce potentiel, tout comme les auteurs de ces crimes, que nous allons présenter.

Les preuves montreront que Drosten, qui prétend avoir inventé le test du Covid-19, était conscient de ses limites et de sa fausseté. Le test n’était spécifique d’aucun virus ni d’aucune bactérie. Par conséquent, il est inutile pour déterminer ce qui pourrait même causer des symptômes. Ce à quoi le test est bon, c’est à provoquer une panique mondiale. Même les morts, autre chiffre faussement gonflé, qui doit être examiné à la lumière de ces faux tests PCR. Un décès avec un test PCR positif est considéré comme un décès dû à Covid. Que vous ayez été admis à l’hôpital à la suite d’un accident de voiture, d’une crise cardiaque ou même d’un accouchement. Si vous avez été testé positif et que vous êtes décédé dans les 28 jours environ suivant votre test, votre décès a été attribué à Covid-19. Même notre CDC a admis, plus tard au cours de la pandémie, que 95 % des décès attribués au Covid étaient dus à d’autres causes. C’était simplement basé sur un faux test. Les fabricants savaient aussi tout cela, y compris je cite : « l’inventeur du test Covid-19, Drosten ».

Nous assistons maintenant à un message de peur qui a provoqué une discrimination institutionnalisée contre les personnes qui ne choisissent pas d’être vaccinées et qui ne choisissent pas d’être testées. Ceci est moralement répréhensible selon toute norme humaine. Le résultat de ces faux tests est un énorme préjudice catastrophique pour les populations du monde entier. Il y a des scientifiques et des médecins qui témoigneront de l’énorme préjudice catastrophique qui a été causé par ces tests. La preuve juridique de l’intention et de la connaissance se trouve dans les divers documents de la FDA et les documents connexes, et ils sont conçus pour obscurcir et égarer même les avocats qui lisent et parcourent ces documents. Comme vous pouvez commencer à le voir ici, les piliers de la narration officielle du Covid et celle des médias, qui sont une seule et même chose, tombent comme des dominos lorsque l’on montre les preuves.

Il existe des preuves irréfutables de fraude et de malfaisance multiforme dans tout le régime Covid. Si vous avez le courage et l’honnêteté intellectuelle de les regarder, de les étudier et de les considérer équitablement, faites-le. Cela peut être choquant pour certains, incroyable pour d’autres, mais je vous assure que ces preuves sont réelles et inquiétantes. L’une des choses qui en découlent est que le système doit prétendre que la seule réponse à ces nombres exagérés de cas et de décès est les vaccins, et ils ont fait cela pour que leur utilisation d’urgence soit autorisée et qu’ils figurent sur les calendriers des enfants. Et c’est ce qui va suivre. Merci de votre attention.

44:54 Viviane Fischer :

Merci beaucoup Mme. Garner pour cette voix additionnelle. J’aimerais maintenant me tourner vers Dipali Ojha, de l’Inde. Est-ce que vous nous entendez ?

45:09 Dipali Ojha :

Oui. Merci beaucoup. Bonjour à tous. Je suis l’avocate Dipali Ojha, d’Inde. C’est un grand honneur pour moi de présenter ma déclaration d’ouverture au Grand Jury du Tribunal populaire de l’opinion publique. Je remercie le Juge Rui Da Fonsesca et tous mes collègues juristes pour cette présentation pleine d’espoir et de perspicacité.

En mars 2020, la plupart d’entre nous ont été pris au dépourvu lorsque les gouvernements du monde entier ont annoncé le début d’une pandémie supposée être créée par un nouveau virus SARS — CoV2 qui pourrait provenir de Wuhan, en Chine. Dès la déclaration de la pandémie, une série d’annonces sans précédent a été faite, comme la fermeture des frontières internationales, l’arrêt complet des vols internationaux, l’obligation de porter un masque, le respect d’une distance sociale et des mesures des plus mortelles comme le confinement. En Inde, les services ferroviaires se sont arrêtés net pour la première fois en 167 ans d’histoire. Chaque pays a rapidement adopté des mesures similaires, censées prévenir et contrôler la propagation de l’infection.

Dans cet état de chaos, de panique, de choc, d’incertitude et de peur, la plupart d’entre nous se fient aux médias grand public comme source d’informations authentiques sur ce virus et les ravages qu’il a provoqués chez nous. L’un des aspects les plus marquants de la communication que nous recevons constamment des gouvernements et des autorités sanitaires du monde entier est qu’il n’existe aucun remède connu contre le virus Sars-Cov-2. Dans plusieurs pays, les patients malades se voyaient refuser l’admission dans les hôpitaux et étaient renvoyés chez eux en prétextant qu’il n’y avait pas de remède à cette maladie. Pendant cette phase, il y avait des médecins honnêtes et des médecins de première ligne qui traitaient les patients avec d’anciens médicaments, ce qui n’est certainement pas un phénomène nouveau dans le courant de la médecine allopathique. Et certains médecins ont proposé leurs propres protocoles de traitement sur la base de leur vaste et riche expérience clinique.

Tandis que les médecins font leur devoir solennel de sauver la vie de leurs patients de la meilleure manière possible, en utilisant de vieux médicaments dont la sécurité a été prouvée, en association avec des suppléments comme le zinc, la vitamine C, la vitamine D, etc., nous avons assisté à une opposition véhémente de la part des mêmes autorités sanitaires qui étaient à la tête de la conception de la réponse à la pandémie. L’agitation de ces autorités sanitaires s’est manifestée par le rejet de toute information révélant l’efficacité des traitements précoces et l’existence de thérapies alternatives pour traiter les patients atteints du Covid-19.

Toute personne d’intelligence ordinaire aurait trouvé cela déraisonnable dans la mesure où sauver des vies serait évidemment le premier et le plus important des objectifs, surtout lorsque les médecins, sur la base de leur expertise clinique, affirmaient pouvoir guérir les patients grâce aux traitements précoces.

Je vais dévier ici un moment pour partager avec vous quelque chose du point de vue de mon pays, l’Inde. En Inde, nous avons une riche tradition de systèmes de médecine alternative comme l’Ayurveda, le Siddha, le Unani et d’autres systèmes de guérison comme la naturopathie et l’homéopathie. En fait, il existe un ministère spécifique au sein du gouvernement indien appelé AYUSH, qui est un acronyme pour Ayurveda, Yoga et Naturopathie, Unani, Siddha et Homéopathie.

Les médecins reconnus qui sont formés pour pratiquer ces systèmes de médecine alternative ont traité avec succès des patients Covid-19. Cependant, après le lancement de ces vaccins expérimentaux, nous ne devrions pas les appeler des vaccins. En fait, il s’agit d’injections, ce qui serait une description plus appropriée. Après le déploiement de ces injections expérimentales, le blocage de toute discussion autour des traitements alternatifs semble être devenu plus prononcé, y compris le licenciement des médecins qui ont préconisé des traitements précoces pour le Covid, ceux qui ont proclamé que les traitements précoces étaient effectivement sûrs et efficaces. Certains médecins ont même fait l’objet de mesures disciplinaires de la part de leur conseil médical. Certains ont été ridiculisés publiquement et ont risqué l’annulation ou la suspension de leur licence médicale.

Une telle réaction académique de la part des autorités sanitaires, des gouvernements et des conseils médicaux était en soi un signal d’alarme indiquant que quelque chose, quelque part, n’allait pas et n’était pas correct. Il est intéressant de noter que la plupart des personnes qui dictaient les réponses pour le Covid-19 des pays du monde entier ne traitaient même pas les patients Covid, mais ne prêtaient aucune attention aux médecins honnêtes et diligents qui traitaient réellement les patients sur le terrain avec un traitement précoce.

Comme mon savant collègue l’a déjà souligné, la raison possible du blocage de toute information concernant l’efficacité des traitements précoces pour l’autorisation d’utilisation d’urgence qui n’est accordée que lorsqu’il n’y a pas de médicament adéquat, premièrement approuvé et disponible pour le traitement.

L’affirmation selon laquelle il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 a permis aux fabricants de vaccins de demander l’autorisation d’utilisation d’urgence. En outre, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité lorsque cette autorisation leur est accordée. Je souhaite informer ici qu’en Inde, il n’existe pas de dispositions spécifiques comme celles établies par la FDA américaine concernant l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence et que, par conséquent, jusqu’à récemment, les traitements alternatifs ou les médicaments de traitement précoce faisaient partie du protocole national indien de gestion du Covid.

L’Ivermectine et l’Hydroxychloroquine étaient inclus dans un protocole national jusqu’à fin septembre 2021. En fait, des États comme l’Uttar Pradesh et Goa en Inde se sont fait connaître au niveau mondial pour avoir démontré avec succès l’utilisation de l’Ivermectine dans le contrôle de la propagation du Covid-19 et la guérison rapide des patients. Cependant, ces réussites ont été délibérément sapées et supprimées par toutes ces personnes et plateformes médiatiques compromises qui ont lourdement investi dans des entreprises de vaccins ou qui ont un intérêt direct, sous une forme ou une autre, à ce que le succès de ces médicaments de traitement précoce ne soit pas connu de tous. L’absence manifeste de tout débat scientifique sur l’efficacité des traitements précoces, associée au musellement des voix qui tentent de faire connaître l’efficacité des médicaments de traitement précoce, est un signe clair que les gouvernements et les autorités sanitaires du monde entier poussent le vaccin comme la seule solution pour guérir le Covid-19.

Un autre aspect spécifique à l’Inde est qu’il n’y a pas d’immunité pour les fabricants de vaccins en Inde, ce qui a été confirmé par une déclaration sous serment déposée par le gouvernement indien auprès de la Cour suprême de l’Inde. Récemment, nous avons aidé à fournir une pétition à la Haute Cour de Bombay par un père qui a perdu sa fille suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Il a demandé une indemnisation d’environ 1,3 milliard de dollars pour la perte de la vie de sa fille.

C’est le deuxième cas que nous avons aidé à déposer. Le premier cas a été déposé en novembre 2021 par une mère qui a perdu son jeune fils suite à la première dose de ces vaccins expérimentaux. Dans ce cas, le fils a été contraint de prendre le vaccin expérimental afin d’accéder au système de transport public qui ne permet qu’aux personnes vaccinées de voyager, conformément à l’ordre administratif du gouvernement. En plus de la compensation monétaire pour la perte de la vie de son fils à cause de ces injections expérimentales, cette mère a également demandé une enquête approuvée par la Première Agence d’Investigation d’Inde sur le rôle de toutes les personnes impliquées dans l’enchaînement des événements, depuis les fabricants de ces vaccins, les personnes en charge de la réponse au Covid-19 ici en Inde et tous ceux qui ont prétendu que ces vaccins Covid sont 100 % sûrs et efficaces.

Nous nous attendons à ce que plusieurs plaintes soient déposées dans tout le pays dans un avenir proche par des victimes de ces expériences médicales.

Il serait inapproprié d’appeler ces produits des vaccins, car les vaccins sont censés fournir une immunité contre une maladie. Alors que l’on nous avait promis que les vaccins Covid nous protégeraient d’un virus prétendument mortel, nous constatons aujourd’hui que ces vaccins Covid n’empêchent pas d’entrer en contact avec la maladie et n’en arrêtent pas la transmission. En outre, ces vaccins ont montré qu’ils avaient des effets secondaires graves, y compris des décès, de sorte qu’il est impossible de justifier des produits médicaux expérimentaux qui n’arrêtent ni l’infection ni la transmission.

En outre, les personnes vaccinées sont tenues de suivre le comportement approprié en cas de confinement, de rester à l’intérieur, de porter des masques et de respecter les distances sociales.

Il y a un autre aspect alarmant de la manière dont ces injections expérimentales sont administrées à la population mondiale que je souhaite porter à votre attention. Il s’agit du consentement éclairé et de la manière dont les lois établies autour du consentement éclairé ont été ouvertement violées.

Dans le procès que nous avons intenté ici en Inde, outre les précédents judiciaires spécifiques à l’Inde établis par nos tribunaux, nos hautes cours et la Cour suprême, nous avons également cité les dispositions de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme de 2005, qui imposent de fournir des informations détaillées au public afin d’obtenir son consentement éclairé à de telles expérimentations médicales.

Toutes ces dispositions ont été violées. Par exemple, l’article 3 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme stipule que la dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés et que l’intérêt et le bien — être de l’individu doivent avoir la priorité sur le seul intérêt de la science et de la société.

De même, l’article 6 de la même déclaration stipule que toute intervention médicale préventive, diagnostique et thérapeutique ne peut être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations adéquates. Ce consentement doit, le cas échéant, être exprimé et peut être retiré par la personne concernée à tout moment et pour toute raison sans inconvénient ni préjudice.

Il existe également un autre jugement de référence que nous avons cité dans les procédures que nous avons déposées, à savoir le jugement rendu par la Cour suprême du Royaume-Uni dans l’affaire Montgomery contre Lanarshire Health Board, qui date de 2015. Alors que nous discutons des points cruciaux concernant l’absence de consentement éclairé et la violation de plusieurs conseils et accords internationaux dans ce processus de déploiement de ces vaccins expérimentaux, la partie adverse, M. Global, s’appuie généralement sur un examen très peu convaincant pour justifier ces produits médicaux expérimentaux, à savoir que les avantages l’emportent sur les risques.

Nos témoins experts présenteront les preuves qui montrent l’étendue de la façon dont ces produits expérimentaux ont infligé à la population les effets sérieux et graves de ces injections, y compris des décès, le manque de transparence autour des données des essais cliniques, la sous-déclaration des décès causés par ces vaccins, toutes ces preuves que nos experts présenteront au grand jury lors des prochaines audiences démoliront complètement ce raisonnement, couramment utilisé pour pousser ces vaccins expérimentaux que les avantages de ces injections expérimentales l’emportent sur les risques.

Pour conclure, je souhaite attirer l’attention du jury sur ce qui suit. La raison pour laquelle les autorités déclarent qu’il n’y a pas de traitement pour le Covid-19 n’est pas claire jusqu’à aujourd’hui puisqu’il n’y a pas eu de débat scientifique ou de discussion entre les personnes en charge de la réponse Covid dans les pays et les médecins, les scientifiques et les docteurs qui prétendent avoir une histoire de succès prouvée et documentée autour du traitement précoce efficace. Deuxièmement, il n’y a eu aucune initiative, aucun effort pour mener des essais cliniques sur l’efficacité des médicaments de traitement précoce de la part des personnes responsables de la conception de la réponse officielle des pays au Covid. Il y a eu un déni général concernant l’immunité naturelle ou l’immunité développée après une infection naturelle, malgré la publication de plusieurs études à cet effet.

Les grandes entreprises technologiques censurent délibérément quiconque choisit de parler de l’existence de traitements alternatifs et du fait qu’ils sont plus sûrs que les injections expérimentales.

Enfin, le fait que de vieux médicaments, pour lesquels il existe de nombreuses données sur la sécurité, soient ignorés et qu’une injection médicale expérimentale lancée à la hâte soit présentée comme sûre et efficace. Nous savons qu’il n’y a aucune transparence autour des données sur les essais cliniques réalisés. Compte tenu du nombre d’effets indésirables signalés chaque jour dans le monde, ces produits expérimentaux sont tout sauf sûrs.

Nos témoins experts couvriront chacun de ces aspects en détail lors des prochaines audiences. Et je suis persuadé qu’après avoir examiné les éléments de preuve amenés au dossier, le grand jury sera parfaitement équipé pour évaluer le rôle et la complicité de chaque personne, chaque entité, chaque organisation impliquée dans la commission de ces horribles crimes contre l’humanité.

Merci de votre attention.

59:12 Viviane Fischer :

Merci beaucoup. Maintenant, l’avocat Dexter Ryneveldt d’Afrique du Sud est avec nous. Pouvez-vous nous entendre ?

59:25 Dexter Ryneveldt :

Je vous entends très bien.

59:28 Viviane Fischer :

Fantastique. La parole est donc à vous.

59:31 Dexter L-J. Ryneveldt :

Merci beaucoup. Mes sincères excuses. Je suis Dexter Ryneveldt, un avocat pour la défense des droits en Afrique du Sud. C’est avec un grand honneur et une grande reconnaissance que je vous présente, membres de ce jury, une déclaration du tribunal de l’opinion publique, une déclaration d’ouverture.

Tout d’abord, je tiens à remercier Lemuel Malloy, Yvonne Katsanda, Kabura Monieki et Walter Mashillo, ainsi que tous les courageux témoins blessés par le vaccin Covid-19 dans le monde entier, pour leur aimable assistance et leur participation.

Je vais commencer par ce que Thomas Payne a dit il y a 200 ans, et qu’il a d’ailleurs énoncé de manière très éloquente :

« Les plus grandes tyrannies sont toujours perpétrées au nom des causes les plus nobles ».

Cette déclaration est encore plus pertinente aujourd’hui qu’elle ne l’était il y a 200 ans, et elle le sera encore pendant des années et des siècles.

La question posée à vos honorables membres du jury, quelle est la cause la plus noble ? Elle a été et est toujours exploitée depuis le début de cette pandémie de SARS-CoV-2 Covid-19, qui n’est autre que la cause qui englobe : santé du corps, santé de l’esprit, se résumant à la santé de l’humain. Nous pouvons tous convenir que la cause la plus noble est ce qui est dans le meilleur intérêt de la santé humaine et comment cela affecte notre famille et nos amis, ainsi que notre capacité à générer un revenu. Les preuves présentées montreront exactement comment les défendeurs ont orchestré et manipulé cette cause la plus noble qu’est la santé humaine pour faire avancer l’agenda du contrôle total et de la domination sur une population qui ne s’en rend pas compte, et comment ils ont fait de sérieuses incursions dans les droits populaires, constitutionnels et inaliénables et la liberté. Depuis le début de la pandémie, mesdames et messieurs les jurés, les défendeurs ont déployé et investi des efforts et des sommes considérables dans les relations publiques. En fait, leurs campagnes de relations publiques, avec l’aide des grands médias d’entreprise, capitalisent ces préoccupations de la santé humaine pour leurs bénéfices financiers et leurs aspirations à la domination et au contrôle total.

À leur avantage, ils utilisent le slogan « suivez la science ». C’est une phrase d’accroche que nous connaissons tous si bien. Car chaque fois qu’ils parlent, ils justifient toujours l’expression « suivons la science », « c’est ce que la science » dit pour justifier et légitimer leurs politiques publiques de santé pour le soi-disant bien commun dans le monde entier avec les mesures de confinements.

En abordant les préoccupations de santé humaine en ce qui concerne le Covid-19, les questions pertinentes suivantes doivent être posées, mesdames et Messieurs.

La première question, quelle est la vraie nature du virus SARS-CoV — 2 ? Est-il vraiment nouveau ? Et si oui, dans quelle mesure pouvons-nous dire qu’il est nouveau ? La réponse courte à cette question est non, il n’est pas nouveau. Ici, les preuves apportées par les experts médicaux et scientifiques montreront sans l’ombre d’un doute que nous n’avons pas affaire à un nouveau virus. En fait, mesdames et messieurs, membres de ce jury, le virus SARS — CoV — 2 peut à bien des égards être considéré comme une grippe saisonnière, sa composition est très comparable au virus SARS-CoV-1.

La deuxième question que nous devons poser est la suivante : existe-t-il des traitements médicaux appropriés et viables pour combattre la maladie de Covid-19 ? Sans entrer dans trop de détails, ma collègue Dipali Ojha a clairement indiqué que, oui, en effet, ils facilitent les traitements alternatifs. Et pas seulement les traitements alternatifs faciles, mais ils facilitent les traitements alternatifs qui marchent.

Et c’est la preuve qui vous sera très certainement présentée à chacun. La troisième et dernière question que nous devons poser par rapport à cette préoccupation est : quel est le taux de survie au Covid-19 ?

Une fois de plus, les preuves montreront que la prévision du taux de survie au début de la pandémie n’était rien d’autre qu’une prévision statistique informatisée utilisée pour susciter la peur. Et je crois que nous connaissons tous très bien cette peur qui a été instillée en chacun d’entre nous. Mais en réalité, le taux de survie est de 99,5 %. Certains experts prouveront même que le taux de survie peut atteindre 99,97 %. Le taux de mortalité réelle actuel est loin de correspondre aux prévisions statistiques informatisées. En fait, le taux de mortalité de la grippe saisonnière est plus élevé que celui du Covid-19. Rien que cette déclaration, Mesdames et Messieurs, doit nous amener à réfléchir et à nous demander si cela en valait la peine. Toutes les mesures de confinement, d’aseptisation, de distanciation sociale ? Cela en valait-il vraiment la peine ?

Les trois questions que je viens de vous poser, membres du jury, nous amènent aux États-Unis, à la Bibliothèque nationale de médecine des États-Unis. Il s’agit d’un atelier qui a été mené et je vais en tirer une citation, que vous pouvez rechercher Internet. Il s’agit d’une réponse rapide aux maladies infectieuses par des contre-mesures médicales, mettant en œuvre des capacités durables grâce à un partenariat permanent entre les secteurs public et privé. Et dans lequel le Dr Peter Daszak a écrit au Dr Anthony Fauci : je cite :

« De facto, une crise de maladie infectieuse bien réelle, présente et à un seuil d’urgence, est souvent largement ignorée. Nous devons faire mieux comprendre au public la nécessité de contre – mesures médicales, telles que le simple vaccin contre le coronavirus. Les médias sont un facteur clé et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage à notre avantage pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs réagiront lorsqu’ils verront des bénéfices à la fin du processus.»

Fin de citation.

Cette citation en elle-même, Mesdames et Messieurs, est incriminante. Elle est sans ambiguïté. Elle expose le plan derrière la pandémie. Et par un simple clic sur un bouton, membres du jury, vous pouvez rechercher vous-même sur Internet qui sont les bénéficiaires financiers de cette pandémie. Sans nul doute, ce sont les investisseurs. Ce sont les actionnaires des compagnies de vaccins, au grand désespoir de la population, des hommes et femmes ordinaires. Quelle est l’intention ultime pour anéantir les petites et moyennes entreprises ? Les seules entreprises florissantes actuellement sont les sociétés pharmaceutiques et les grands conglomérats technologiques. Nous voyons aussi l’impact direct que cela a eu sur les petits magasins et sur les entreprises de taille moyenne aussi. Les déclarations qui vous seront présentées indiqueront clairement pourquoi les citoyens ont participé aux expériences médicales mondiales sur les vaccins, et le noyau du système de croyances des participants aux vaccins, — et vous l’entendrez de la bouche des victimes blessées par ces vaccins, le noyau du système de croyances qui explique pourquoi ils ont participé à cette expérience médicale, est qu’ils pensaient que ce serait dans leur meilleur intérêt sanitaire et, en fin de compte, financier.

Donc, avec cet ensemble, nous voyons qu’il y a un lien direct : je dois le faire pour ma santé et si je ne le fais pas, je vais y perdre financièrement, je ne serai pas en mesure de gagner un revenu. Et c’est pour cela que je vous expose l’intérêt financier. S’ils ne participent pas aux vaccins expérimentaux, ils risquent de perdre leur revenu. Ce n’est rien d’autre que de la coercition et du chantage, c’est le moins qu’on puisse dire. C’est ce que nous appelons, Mesdames et Messieurs, l’approche de la carotte et du bâton. Les preuves présentées permettront d’élucider les processus et protocoles d’expérimentation médicaux, éthiques qui doivent toujours être respectés lors de la réalisation d’expériences médicales de masse. Les expériences médicales doivent respecter les normes les plus élevées de l’éthique médicale définies dans la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg, ainsi que la prescription législative codifiée de chaque pays respectif. Les preuves montreront que, sans nul doute, la Déclaration d’Helsinki, le code de Nuremberg et le code de conduite pour les expériences médicales de chaque pays ont été violés. En fait, ils sont toujours violés avec cette vaccination obligatoire. C’est poussé dans le monde entier.

Et tout cela a été accompli avec le slogan « suivez la science ». Les preuves montreront que le SARS-CoV-2, le Covid-19, peut se comparer à une grippe ordinaire. Honorables membres du jury, l’inventeur de l’ARNm, le Dr Robert Malone, a mentionné sur de multiples plateformes médiatiques alternatives les raisons pour lesquelles les vaccins expérimentaux à ARNm Covid-19 sont dangereux et constituent une fraude avec possibilité de graves séquelles à long terme. Entre autres, il peut s’agir de myocardites, de péricardites, et les preuves l’indiqueront clairement. Nous vous présenterons aussi un large aperçu des tests médicaux et scientifiques de laboratoire menés dans le passé sur la technologie médicale à ARNm jusqu’à ce jour, et pourquoi il n’est pas prudent de déployer les vaccins à ARNm à l’échelle mondiale, sur une population sans méfiance. Les preuves seront corroborées par des pharmacologues, des toxicologues, des immunologistes, des virologistes, des physiologistes et des biochimistes, entre autres. Mais ce n’est qu’un prélude aux preuves qui seront présentées par le professeur Bhakdi, le professeur Palmer ou le Dr Wodarg. Et je cite :

« Dans l’ensemble, il est évident qu’une nouvelle méthode d’introduction de matériel génétique dans les cellules humaines, par le biais d’adénovirus ou de virus adéno-associés est frauduleuse en entraîne des effets secondaires dangereux, dont les causes ne sont pas encore entièrement claires. Si de tels risques peuvent être acceptables dans le cas d’affections sinon incurables comme l’amyotrophie spinale, il est absolument irresponsable de les imposer à des personnes en bonne santé qui présentent peu ou aucun risque de connaître un jour un Covid-19 sévère.»

Fin de citation.

Membres du jury, pour comprendre pleinement l’étendue du plan derrière cette pandémie, nous devons mettre l’attention sur la mesure dans laquelle les défendeurs ont supprimé la procédure standard ou suivi la science. Nous n’avons pas besoin d’aller trop loin pour comprendre le plan de jeu. Nous pouvons simplement examiner comment ils ont changé les définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques, pour les adapter et justifier leur mantra « suivre la science ». En dernière analyse, nous devons étudier comment ils ont changé, adapté les définitions médicales et scientifiques. Et les définitions dont nous parlons sont les suivantes : pandémie, endémie, vaccins, immunité collective et immunité naturelle. Les preuves médicales et scientifiques montreront comment ces définitions ont été modifiées, adaptées pour correspondre aux crimes prémédités et intentionnels des accusés, de crime contre l’humanité.

Les adaptations des principales définitions épidémiologiques, médicales et scientifiques sont criminelles, en ce sens qu’elles suivent le récit scientifique. Elles ne sont pas en phase avec les normes et pratiques épidémiologiques bien établies. Les preuves illustreront clairement les divergences entre le récit « suivez la science » et les informations et données médicales et scientifiques objectives et bien établies. Honorables membres du jury, j’attire votre attention sur une citation de Booker T. Washington. Je cite :

« Un mensonge ne devient pas vrai, ce qui est faux ne devient pas juste, et le mal ne devient pas le bien simplement parce que c’est accepté par la majorité. »

Même si la majorité, pour les besoins du raisonnement, — et je veux juste revenir rapidement en arrière, car la citation s’arrête à majorité — même si la majorité, pour les besoins du raisonnement accepte les définitions médicales et scientifiques déformées, on ne peut pas les considérer comme correctes ou véridiques. Un simple changement de définitions médicales et scientifiques, effectué sur un coup de tête sans justifications médicales et scientifiques claires et exemptes d’ambiguïté, ne peut justifier aucun changement chez les patients, et ne peut donc pas être considéré comme une vérité. Peu importe le nombre de fois que les défendeurs et/ou leurs collaborateurs répètent un mensonge, dans le cas qui nous occupe, les médias, il ne peut devenir vrai. Les questions les plus importantes dans l’esprit de la population, d’honorables membres du jury, sont les suivantes : comment se fait — il que les défendeurs aient pu faire autant de progrès dans le déploiement de la pandémie planifiée et des vaccins ? Pourquoi un nombre considérable de personnes se sont — elles laissées prendre au récit de la pandémie des défendeurs au point de se présenter pour être vaccinées avec un vaccin expérimental à ARNm Covid-19 ?

Pour répondre à cette question, nous devons nous pencher sur le concept suivant : l’astroturfing. Je vais vous lire la définition d’astroturfing tirée de Merriam Webster :

« Activité organisée destinée à créer la fausse impression d’un mouvement populaire généralisé et spontané, en faveur ou en opposition à quelque chose, comme une politique, mais qui est en réalité initiée et contrôlée par un groupe ou des organisations dissimulées, comme des entreprises. »

Des preuves seront fournies pour montrer comment les accusés et les co-conspirateurs ont mobilisé le soutien de la population et déployé les grands médias pour faire progresser le programme de meurtre de masse mondial prémédité, en convainquant une partie de la population d’accepter volontairement les vaccins expérimentaux de thérapie génique Covid-19. Nous démontrerons qu’à travers la formation d’un état psychologique de masse à grande échelle, l’équité mentale du peuple a été intoxiquée. En conséquence directe, le peuple a fait confiance au récit du courant dominant, même s’il était totalement absurde et manifestement faux. Je vous laisse avec la citation suivante d’Aristote. Elle résume l’essence même de notre situation actuelle au niveau local. Mais avant de le citer, ce tribunal de l’opinion publique vous demande de considérer dûment toutes les preuves qui seront présentées dans leur totalité et de trouver en vous la force de voir la vérité telle qu’elle est.

C’est une plandémie et non une pandémie. Et quand vous regardez les deux mots plandémie, pandémie, il y a une lettre qui est différente et c’est le « l ». Donc ce que nous disons, nous allons présenter toutes les preuves. Vous apprendrez exactement pourquoi nous sommes là où nous sommes, et à la suite de cela, vous pourrez dire en toute confiance, j’ai appris, donc je vais prendre ce L majuscule et je vais l’insérer dans le mot pandémie, ce n’est pas une pandémie, c’est une pLandémie.

Les preuves sont claires et directes. En conséquence, les preuves présentées aujourd’hui sont suffisantes pour constituer une preuve prima facie contre tous les accusés et leurs actes d’accusation peuvent être, en fait doivent être émis contre les accusés et leurs capacités personnelles ou professionnelles, ainsi que contre les co-conspirateurs dans chaque pays du monde qui ont joué un rôle instrumental en colportant la grande illusion de suivre la science jusqu’à causer littéralement la mort. Et voici la citation d’Aristote :

« Les gouvernements qui ont le souci de l’intérêt commun, sont constitués selon des principes de justice stricts et sont donc des régimes véritables. Mais ceux qui n’ont en vue que l’intérêt des gouvernants sont tous des régimes défectueux et pervertis, car ils sont despotiques, alors qu’un État est une communauté d’hommes libres ».

Je vous remercie, honorables membres du jury.

1:20:06 Viviane Fischer :

Merci, M. Ryneveldt. Et merci à tous pour les déclarations préliminaires. Nous sommes arrivés à la fin des déclarations préliminaires et je voudrais faire savoir au jury, aux téléspectateurs que vous pouvez faire partie du jury. Nous avons mis en place une adresse électronique, contact@grand-jury.net, où vous pouvez nous contacter, si vous êtes, par exemple, un avocat et que vous souhaitez soutenir cet effort pour fournir les preuves afin que les mises en accusation puissent commencer. N’hésitez pas à nous contacter. Également si vous êtes une victime, si vous avez eu des problèmes, par exemple avec votre entreprise, si vous avez subi des dommages liés à la vaccination, si vous avez subi toutes sortes de pertes ou de restrictions, vous pouvez prendre contact avec nous et nous pouvons présenter votre cas, peut-être même ici, pendant que la procédure est en cours ou sous une autre forme, par exemple sur un site Web afin que le monde entier sache ce qui vous est arrivé.

1:21:22 Reiner Fuellmich :

Quelques mots de conclusion pour aujourd’hui, peut-être. Nous apprécions beaucoup la participation des téléspectateurs à cette procédure. C’est une procédure modèle. Et je dirai au nom de l’ensemble du groupe d’avocats, que vous avez rencontré pour certains, et d’autres que vous verrez pendant la suite de la procédure lorsque nous interrogerons les témoins, par exemple, que je tiens à vous remercier et à vous implorer de nous soutenir, de regarder cela, de dire au monde ce qui se passe réellement, parce qu’il n’y a pas beaucoup de sources auxquelles vous pouvez faire confiance. Il y a quelques sources. Celle-ci est l’une d’entre elles. Et nous pensons que c’est l’une des plus importantes d’entre elles. Car ce que nous faisons ici, ce que nous entreprenons, c’est de vous donner une image complète, une image complète de ce qui s’est passé et de ce qui se passe. Parce que ce n’est qu’en voyant le tableau complet que vous arriverez à la conclusion que nous ne pouvons pas faire confiance à ceux en qui beaucoup d’entre nous ont l’habitude de faire confiance. Nos gouvernements ne sont plus nos gouvernements. Nos institutions ont été infiltrées par ceux qui commettent ces crimes contre l’humanité. Plus important encore, une fois que vous aurez réalisé cela, vous arriverez également à la conclusion que c’est seulement nous, le peuple, qui ferons la différence. Nous mettrons fin à tout cela et nous nous assurerons qu’il y aura un nettoyage après coup, y compris les procédures nécessaires pour que justice soit faite. Et afin de traduire en justice ceux qui ont commis ces crimes contre l’humanité. Merci beaucoup.




L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

Par Gérard Delépine

L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche(([1] « AFP Factuel Attention aux assertions trompeuses de Christian Perronne sur la vaccination anti-Covid devant des députés luxembourgeois 27 01 2022 »)) contre le Pr Perronne

Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament”. » L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

Par définition tant que l’essai phase 3 n’est pas terminé, le médicament est expérimental. D’ailleurs l’autorisation de mise sur le marché qui lui a été accordée est conditionnelle rappelant qu’elle n’est que provisoire en attendant la fin des essais.

Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

« il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95 % (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50 %), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site(([2] https://vaccination-info-service.fr/Generalites-sur-les-vaccinations/Qualite-securite-et-efficacite-des-vaccins/Securite-et-qualite-des-vaccins/Recherche-et-essais-cliniques-sur-les-vaccins)):

« Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA). »

Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi.(([3] https://www.sanofi.com/fr/media-room/communiques-de-presse/2015/2015-12-09-16-30-00))

Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’état et permettent une appréciation plus objective.

Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1 200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1 099 cas graves recensés dans le pays, 47 % sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

Grande-Bretagne

Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

25 % (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6 % (49) une dose, 43 % (352) deux doses et 23 % (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès.

Rappelons les faits historiques.

Après la 2e Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration.(([4] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne Vuibert, 2007))(([5] https://www.memoiresdeguerre.com/article-proces-des-medecins-nazis-42235659.html)) La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg.(([6] Philippe Amiel, François Vialla Le « code de Nuremberg », une jurisprudence pénale inaugurale en droit international de la santé
https://hal.archives-ouvertes.fr/hal-01248128/document))(([7] Amiel P., « Code de Nuremberg » : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011, appendice électronique
http://descobayesetdeshommes.fr/Docs/NurembergTrad))

Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki(([8] https://www.fhi360.org/sites/default/files/webpages/fr/RETC-CR/nr/rdonlyres/e3vjr6w3l5e2acb6uezmtjmslkergm5udhzoqwtt3ixs5ntx5e7cp32ppismbsifle2vkurebdhmcn/HelsinkiDeclarationFrench.pdf)) de l’Association Médicale Mondiale(([9] https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique/declaration-dhelsinki/)) et de la convention d’Oviedo.(([10] http://www.preventionvaccin.org/post/La-convention-d-Oviedo))(([11] http://www.espace-ethique-poitoucharentes.org/obj/original_115108-oviedo-original_111432-convention-d-oviedo.pdf)) Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012.(([12] portant publication de la convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : convention sur les droits de l’homme et la biomédecine, signée à Oviedo))

D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.





Le président Macron doit être jugé et condamné pour haute-trahison

[Source : yetiblog.org]

Par Pierrick Tillet

Les faits sont désormais évidents. Comme son prédécesseur roumain en oeuvres maléfiques, Nicola Ceaucescu, le président de la République française Emnanuel Macron s’est livré à des actions malveillantes, délibérées et criminelles contre l’ensemble de ses administrés.

Des milliers de morts pour refus de soins

Dès l’entrée dans la crise sanitaire, il a précipitamment fait interdire les médicaments conseillés par les plus hautes sommités de la médecine virale (Didier Raoult, Christian Perronne…). Il a fait exclure d’autorité ces médicaments des tests menés à l’échelle nationale (hydroxychloroquine, ivermectine…). Enfin, il a privé les médecins dits de proximité de leur droit inaliénable à la libre prescription.

Ce faisant, il est directement impliqué dans la mort, faute de soins, de dizaines de milliers de personnes atteintes du covid. Car il est désormais établi que ces médicaments ont eu un effet hautement bénéfique et protecteur là où ils ont été utilisés. En Inde et au Japon, le virus a purement et simplement été éradiqué grâce à une utilisation intensive de l’ivermectine. Dans les pays africains habitués à consommer de l’hydroxychloroquine (pour combattre le palu), le covid est resté dérisoire. Et ne parlons pas des excellents résultats obtenus par l’IHU Méditerranée-Infection du Pr Didier Raoult.

Les vaccins, une opération de grand-banditisme privé plutôt que sanitaire

Au lieu de ça, entouré d’une équipe sanitaire dont les membres ne peuvent même plus dissimuler leurs énormes liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, il a imposé une campagne massive de vaccination avec des produits préparés en toute précipitation et opacité par des labos plusieurs fois condamnés à des milliards de dollars d’amendes pour charlatanisme répété (Pfizer). Pire, ces labos ont obtenu de ne pas révéler la composition de leurs mixtures. Ils se sont fait dégager par les États complices de toutes responsabilités quant aux éventuels effets secondaires graves.

Ces effets secondaires graves sont innombrables incontestables. Des tranches d’âge (les moins de 60 ans), jusque-là peu sinon même pas touchées du tout par le covid, font aujourd’hui les frais de cette politique désastreuse : myocardite, crise cardiaque entraînant la mort, frappant les jeunes, les sportifs…

Les pass, des scissions intolérables dans la société civile française

Comme beaucoup de ses collègues étrangers, le président Macron s’est empressé d’entériner la situation de monopole vaccinal par l’imposition d’un pass sanitaire, puis vaccinal, créant de fait des scissions intolérables au sein de la société civile française.

Le bilan de toutes ces manoeuvres, relevant bien plus du grand banditisme que de la haute politique, est humainement catastrophique, criminel. Délibérés, ces actes doivent conduire leur responsable devant les plus hautes instances judiciaires du pays : le président Emmanuel Macron doit être instamment jugé et condamné pour haute trahison contre le pays qu’il avait en charge d’administrer.




Situation sanitaire mondiale le point au 22 01 2022 : pays avec traitement précoce, versus les tout vax

Par le Dr Gérard Delepine

Si les gouvernements et les médecins honnêtes avaient voulu faire autrement et utiliser les traitements précoces : le point au 22 01 2022

Depuis le début de la crise Covid, une propagande effrénée assortie d’une censure féroce nous assène « il n’y a pas de traitement possible …rentrez chez vous et prenez du Doliprane…le confinement sauve des vies…la fin de la crise viendra des vaccins… »

Puis après la mise sur le marché des pseudo vaccins « les vaccins sont efficaces à 97 %. Ils sont sûrs et efficaces…Vous vacciner vous protège et protège les autres…vaccinez-vous et vous retrouverez vos libertés… »

Mais la réalité est têtue et, progressivement, dément tous ces slogans mensongers. Après un an d’une vaccination imposée à plus de 80 % des Français, les restrictions s’intensifient dans une stratégie du tout vaccinal dont l’échec est maintenant reconnu par l’OMS, qui en a pourtant été la grande conseillère, et de nombreux pays qui abandonnent actuellement toute restriction (Espagne, Grande-Bretagne, etc.…).

L’argument le plus fréquemment utilisé par les médias et le pouvoir pour justifier la politique sanitaire qui nous empêche de vivre libre est : « tous les pays pratiquent la même politique ».

Mais cette affirmation est mensongère : près de la moitié des pays du monde (dont l’Inde, les pays d’Afrique tropicale, la Chine, la Malaisie) ont utilisé des traitements précoces, permettant des comparaisons solides avec les pays occidentaux soumis à une dictature sanitaire du tout injection.

Lors des comparaisons, pour évaluer l’efficacité des politiques anti-covid, nous utilisons les données officielles publiées par l’OMS avec, pour étalon la mortalité mondiale cumulée au 11/1/2022 qui atteint 693/Million.

Globalement l’analyse des données de l’OMS est porteuse d’espoir en objectivant l’efficacité des traitements précoces et/ou préventifs utilisés entre autres en Afrique et en Inde et la très grande bénignité d’Omicron qui va sauver les pays soumis à la dictature vaccinale.

L’Afrique tropicale démontre que les traitements précoces sont efficaces

Certains pays africains par choix et/ou nécessité n’ont pas ou très peu vacciné et ont utilisé des traitements anciens et bon marché (antipaludéens et Ivermectine) ou des plantes locales qu’ils utilisent depuis longtemps pour lutter contre le paludisme et de nombreuses parasitoses (Artemisia annua).

En janvier 2022, l’OMS recense en Afrique, un peu plus de 7,8 millions de cas (2,2 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial), alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Cette très faible mortalité africaine pourrait sembler d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus délabrés que les nôtres, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés. D’ailleurs, depuis le début de la crise, les médias mainstream aux ordres de l’ordre mondial avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent et nos gouvernants voudrait leur imposer la thérapie génique expérimentale.

Certes la jeunesse des Africains constitue un facteur protecteur important : le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 12 % (Maurice) alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA. Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est en moyenne quatre fois inférieure à celle de l’Europe et pourrait expliquer une partie de sa sous-mortalité constatée. De fait, après correction de la mortalité par l’âge, les Africains bénéficient encore de 7 fois moins de morts Covid par million d’habitants (en excluant l’Afrique du Sud qui concentre 45 % de la mortalité africaine globale pour les raisons explicitées plus loin).

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid, parfois évoquée, est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

La mortalité Covid des pays africains exposés au paludisme est inférieure à 80/million soit, 22 fois plus faible qu’en France.

La comparaison au 20/1/2022 des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence du paludisme montre que les pays, dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour, bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible 10 à 180 fois inférieure à celle de la France (1847/M) comme : le Nigéria (14/M), le Mali (33/M), le Congo (65/M), La Tanzanie (12/M), le Tchad (11/M), le Cameroun (68/M), le Niger (11/M), la Côte d’Ivoire (27/M), la Guinée (30/M), le Kenya (99/M), le Sénégal (116/M), le Gabon (129/M).

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, la population à risque, les plus de 60 ans, représente 25 % du total. Dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé. Au 19/1/2022, la mortalité cumulée ne dépasse pas 144/M, soit 13 fois moins que la France.

Le 31 mai 2021 sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 19/1/2022 la mortalité cumulée atteint 401/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 19/1/2022, la mortalité Covid atteint les chiffres européens : 2165/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin. Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le second pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1556 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne, mais paraît être sortie de l’épidémie depuis la fin de la vague Omicron.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens et/ou d’Ivermectine/Artémisine.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens et/ou Ivermectine/Artémisine sont efficaces.

La comparaison des îles Africaines de l’océan Indien met en évidence la supériorité du traitement par Artémisine sur les pseudo vaccins

Dans l’océan Indien, quatre îles se situent dans un cercle de 1000 kilomètres de rayon : Maurice, la Réunion, les Seychelles, Madagascar. Leurs conditions climatiques, leur mode de vie et les caractéristiques de leurs populations sont très proches. Mais les trois premières ont adopté la stratégie de l’OMS, tandis que Madagascar adoptait le traitement précoce par l’Artémisine. La comparaison de leurs évolutions est démonstrative.

Madagascar : 29 millions d’habitants, dont 2 % de vaccinés

Le gouvernement a fait la promotion de l’utilisation préventive d’un antipaludéen local, l’Artemisia qui a été beaucoup consommée.

Au 19/1/2022, l’épidémie est maîtrisée depuis début juin 2021 après 55 827 cas et 1169 morts, soit une incidence globale de 1963/Million et une mortalité globale 39/Million, soit 18 fois moins que la moyenne mondiale et 48 fois moins que celle de la France.

Île Maurice 70 % d’injectés

En 2022, la population de l’île Maurice compte 1 280 000 personnes. La vaccination a commencé mi-février 2021 et au 17/11/2021 plus de 70 % de la population avait reçu au moins une injection.

Depuis la campagne de vaccination le nombre de morts par a été multiplié par 24 (de 10 à 240). Au 12/12/2021, la mortalité cumulée s’élève à 200/million, soit 5 fois supérieure à celle de Madagascar.

La Réunion compte 905 000 habitants dont 58 % sont vaccinés

La politique sanitaire suivie est celle de la métropole avec l’interdiction des traitements précoces et un tout vaccin. Au 12/12/2021, l’épidémie reste active, le nombre de cas cumulé atteint 63 863 avec 391 morts (mortalité 415/M), soit le triple la moyenne africaine et 12 fois celle de Madagascar.

La catastrophe vaccinale des Seychelles vaccinées à 90 %

Fin décembre 2020, le pays comptait moins de 500 cas de Covid-19 confirmés et 3 morts. En espérant sauver sa prochaine saison touristique, le gouvernement a décidé de vacciner massivement la population. En janvier 2022, la couverture vaccinale dépasse 90 %.

Mais depuis la vaccination, les Seychelles ont dû faire face à une hausse considérable des cas qui a incité le gouvernement à fermer les écoles, interdire les rassemblements, fermer plus tôt les bars dans la journée, les casinos…

Au 19 janvier 2022, le pays comptait 32 850 cas confirmés et 133 morts contre 500 cas et 3 morts avant la vaccination. Ainsi après 12 mois de vaccination, le nombre de cas a été multiplié par 64, la mortalité par 44. L’incidence globale atteint 332078/million et la mortalité globale attribuée au Covid s’élève à 1415/million, 8 fois plus que la moyenne africaine et 38 fois celle de Madagascar.

Cette analyse des îles africaines de l’océan Indien confirme l’efficacité du traitement par Artemisia et l’inefficacité dangereuse des vaccins. Le traitement précoce et/ou préventif par Artemisia a permis à Madagascar de compter 40 fois moins de morts par million que la stratégie OMS du tout vaccin adoptée aux Seychelles.

L’Inde très peu vaccinée a utilisé avec succès les traitements précoces et préventifs

Le système de santé indien est beaucoup moins bien pourvu que celui de la plupart des pays, avec une dépense par habitant de 73 dollars à peine, contre 4 690 dollars en France. Compte tenu de l’état de leurs hôpitaux et de la grande promiscuité de la population qui s’entasse dans les mégalopoles, les experts prédisaient une catastrophe sanitaire majeure qui n’a pas eu lieu.

Le 22/3/2020, lors de la première vague, l’Indian covid19 Task force a refusé de suivre l’avis de l’OMS déconseillant HCQ sur la foi de l’étude truquée publiée par le Lancet et a, au contraire, recommandé le traitement préventif par l’hydroxychloroquine du personnel soignant, des forces de l’ordre et des foyers, contenant des personnes contaminées par le Covid-19. Ce traitement préventif a contrôlé la première vague en limitant considérablement la diffusion de la maladie avec un pic de nouvelles contaminations quotidiennes qui n’a pas dépassé 75/Million, alors qu’en France il a atteint 1072/M.

Au 30 janvier 2021 l’Inde ne comptabilisait que 8275 cas/Million d’habitants alors qu’à cette date la France en recensait 47 715/M (3 114 542), soit six fois plus.

Cette forte réduction du risque de contamination lors de la première vague ne peut pas être attribuée à l’âge de la population, car l’infection atteint à peu près également toutes les tranches d’âge, même si son expression et sa gravité en dépendent fortement. Ce traitement préventif ciblé a aussi fortement réduit la mortalité puisqu’au 30 janvier 2021, l’Inde comptait dix fois moins de morts que la France (118 morts/M contre 1156/M).

Le début timide de la vaccination en janvier 2021 a été suivi par relatif abandon des traitements préventifs et l’explosion du nombre de cas en mars 2021 puis de la mortalité en avril, obligeant le ministère de la Santé indien à actualiser ses recommandations, en ajoutant l’Ivermectine à la liste des traitements officiellement recommandés. Les contaminations journalières ont très rapidement diminué ainsi que la mortalité. Grâce à l’Ivermectine, l’Inde bénéficie depuis juillet 2021 d’une accalmie qui confine à la guérison et sa mortalité cumulée globale par million d’habitants est quatre fois et demie plus faible que celle de la France (395 vs 1843).

Depuis l’utilisation de l’Ivermectine, la mortalité quotidienne attribuée au covid en Inde se maintient autour de 300, équivalent français de 15/J, alors que notre moyenne actuelle tourne autour de 200/J.

L’Inde n’est pas le seul pays à avoir utilisé l’Ivermectine avec succès

Au Mexique, l’État du Chiapas et la ville de Mexico ont fait reculer la mortalité avec l’Ivermectine.

Plus de 20 études randomisées ont démontré avec certitude que l’Ivermectine a une très grande efficacité contre la Covid-19 — en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital.(([1] https://blog.gerardmaudrux.lequotidiendumedecin.fr/wp-content/uploads/2021/03/BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.)) En France, le Dr Gérard Maudruxa publié une synthèse complète(([2] BIRD-Proceedings-02-03-2021-v-1.5.1.pdf.))(([3] Ivermectine for COVID-19: real-time meta analysis of 75 studies Covid Analysis, Jan 17, 2022, Version 172
https://ivmmeta.com)) de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine.

De très nombreux scientifiques et médecins du monde entier militent pour généraliser la prescription d’Ivermectine, comme l’Alliance FLCCC aux États-Unis, le groupe BIRD en Grande-Bretagne, le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé. Au Japon, le président de l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament.

Les négationnistes institutionnels : aveugles ou corrompus ?

L’Autorité européenne du médicament (EMA) déconseille ce médicament prétendant« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques » de même que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) prétextant que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes ». L’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’Ivermectine une recommandation temporaire d’utilisation, estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable » alors que certaines de ces mêmes agences ont défendu ou autoriser sans preuves réelles les pseudo vaccins, le Remdesivir, l’Evusheld(([4] nouvelle bithérapie d’anticorps monoclonaux contre la Covid-19, autorisée en accès précoce sur le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament)) et le 21 janvier 2021 le Paxlovid qui serait donné aux patients susceptibles de faire une forme grave !

C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’Ivermectine est nul : avec trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, même à des enfants et des personnes âgées, aucun risque sérieux n’a été signalé aux doses recommandées.

Ces refus de l’Ivermectine, comme celui de l’hydroxychloroquine, ne reflètent que le crédo d’un petit groupe de pseudoscientifiques trop liés à l’industrie pharmaceutique et sous la pression de politiques qui refusent qu’un médicament du domaine public à un prix ridicule puisse concurrencer les dernières inventions brevetées et hors de prix de leurs amis industriels.

L’excellente nouvelle de l’arrivée d’Omicron, possible futur « vaccin » naturel idéal

Manifestement, nos dirigeants veulent continuer de gouverner par la peur, via les tests multiples que tout le monde ou presque va pouvoir pratiquer (décret du 21 janvier 2022), pour prolonger des mesures contraires aux données de la science, au simple bon sens et aux droits de l’homme pour leurs profits et ceux de Big Pharma.

Mais leur dernier croquemitaine (Omicron) que les médias montent en épingle risque fort de les décevoir en mettant définitivement fin au coronacircus.

En effet sa plus grande contagiosité va progressivement le rendre dominant en 2022. Or il est très peu mortifère et son installation devrait progressivement réduire la mortalité vers zéro comme tendent à le démontrer l’Afrique du Sud et la Grande-Bretagne.

Il pourrait représenter le vaccin idéal : naturel, gratuit et efficace pour la vie.

Vive le variant omicron et n’en ayez pas peur ! Il va nous libérer.





Décision du Conseil Constitutionnel : la fin des illusions ?

Par Lucien SA Oulahbib

Il n’est pas sûr que soit évaluée dans son importance gravissime pour les libertés cette avalisation absolument inique, celle d’une telle loi scélérate, en l’occurrence le fait de rendre « comme » obligatoire ce qui ne l’est pas déjà légalement à savoir l’injonction d’une injection censée éviter « des formes graves », alors qu’il suffisait de laisser les médecins prescrire les traitements précoces qui marchent. Rappelons d’ailleurs qu’interdire ces derniers est criminel et sera sans aucun doute durement châtié lorsque la Raison retrouvera ses droits ; mais quand ? Car il n’est cependant pas sûr, répétons-le, que soit encore saisi à sa juste mesure le piétinement faramineux actuel de nos libertés, et ce au moment même où la Grande-Bretagne et l’Espagne décident de classer cette pandémie (une syndémie en réalité) comme « endémique » ce qui implique de plutôt soigner les personnes fragiles et laisser vivre normalement la grande majorité de la population en particulier les enfants qui ne sont ni à risque ni dangereux.

Mais pour les fanatiques de la secte hygiéniste, la Grande-Bretagne ne compte pas, parce qu’elle a quitté l’UE, un crime de lèse-majesté pour les jusqu’au-boutistes de la solution injectable. Ceux-ci se sont « enkystés » dans un « long tunnel » de déni (pour paraphraser leurs propres dires lorsqu’ils parlent et montrent du doigt les non-injectés comme source du mal, car autrement tout aurait été bien sûr accompli), alors que — et ce comme prévu par les spécialistes (et non les charlatans de la lumpen intelligentsia, qu’ils soient médecins, politiques, journalistes, ou pseudo-philosophes) — l’accélération des contaminations (avec bien moins de létalité) est objectivement liée au fait que ces injections initialement structurées pour répondre (provisoirement) à la souche initiale ont un spectre bien trop spécifique (à la différence de l’immunité naturelle et acquise) et donc laissent passer les nouvelles variations.

À quoi bon de toute façon s’entacher ainsi puisque de tels arguments sont inécoutables pour des sectaires ? Rappelons-nous ce ministre de la santé qui dès qu’il entend le mot « hydroxychloroquine » sort son revolver clownesque en répondant à Martine Wonner que cela ne se « fume » pas, lui qui à sa troisième injection s’en est trouvé alité.

Sans doute [à cause de] un de ses enfants, peut-être à l’instar du Premier Ministre qui a accusé sa fille de 11 ans et dont la célérité à définir le terme de « dangereux » devrait être citée comme exemple type et symbole monstre d’une narration absurde frisant non pas la démence (dépassée depuis longtemps), mais la monstruosité.

Car nous en sommes là. Ce sont des monstres (comme il a été déjà dit dans plusieurs textes), au sens de recombinés synthétiques qui associent des bribes d’un peu de toutes les idéologies et que j’ai proposé de nommer soit Secte Scientiste hygiéniste affairiste (la SSHA), soit la Secte néonazie plus synthétiquement parlant, car il s’agit d’un projet à la fois racialiste et génétique. Il est racialiste au sens de créer une nouvelle « race » tout en dénonçant le racisme. Et pour ce faire il emploie les manipulations génétiques géniques génitales multiformes, le tout dans une ambiance idéologique de manipulation mentale à haute dose en injectant des séries comportementalistes via les réseaux fictionnels que des « influenceurs » patentés ou « miroirs mimétiques » doivent à la fois initier et entretenir (entertainment [ce terme anglais signifie « divertissement »]).

La tératologie politique dont j’essaye d’esquisser les contours dans plusieurs ouvrages et articles tente alors déjà de comprendre la genèse de ce processus idéologique qui a produit de tels mutants (ou « variants ») tout en sachant bien sûr qu’il est sans doute très inconfortable déjà de penser que des (prétendus) partisans de l’antifascisme et de la démocratie se soient ainsi transformés, et ce peu à peu, en leur contraire, comme l’engendrement (et non l’enfantement) d’Aliens  à l’instar du film bien connu ou encore du Portrait de Dorian Gray.

Mais c’est ainsi : l’incrédulité entoure toujours la force prégnante d’une nouvelle argumentation comme le prophétisait déjà Marshall Mac Luhan lorsque dans son livre » La galaxie Gutenberg » (précédant le suivant — « Medium is the message » — qui a tant influencé la pensée de Jean Baudrillard cité aujourd’hui de plus en plus par… Didier Raoult dans ses vidéos) Mac Luhan indiquait que lorsque la nouveauté conceptuelle dépassait les 20 %, le public moyen des influenceurs était perdu ou rebuté parce qu’ils ont été formés dans l’ancienne blockchain conceptuelle ce qui fait qu’ils ne peuvent adouber une pensée qui les remet en cause même indirectement ; aussi préfèrent-ils l’ignorer, voire l’effacer, et ainsi croient-ils, pensent-ils « protéger » le « grand » public de pensées « complotistes », un peu comme autrefois où la lecture des Écritures ne pouvait se faire que par l’intermédiaire des Clercs.

Mais quand ceux-ci « trahissent » (transition aisée, mais opportune…), faut-il attendre que de 20 nous passions à 30, 40, puis 50, enfin 80 % d’une argumentation recevable alors qu’il n’est pas sûr que cedit « grand » public que l’on prétend préserver ne soit pas à même d’appréhender lui-même la nouveauté ? La mode fonctionne ainsi : une nouvelle forme apparaît et se répand partout parce qu’elle rend visible ce qui se tramait comme esprit du temps.

[Note de Joseph : une certaine vision des choses, d’ordre métaphysique, ésotérique ou religieux, considère que les nouvelles idées proviennent d’un ensemencement du plan mental commun à l’Humanité et tout individu suffisamment sensible à ce plan peut alors les capter. Les plus réceptifs sont souvent des penseurs, des inventeurs ou des artistes. Ils s’en emparent puis les transmettent alors sous une forme ou une autre : textes, paroles, inventions, expressions artistiques… les rendant alors plus accessibles à ceux qui ne sont pas autant réceptifs ou mentalement outillés. Cependant, il peut exister une fraction des penseurs et autres capteurs d’idées qui préfèrent conserver pour eux-mêmes les nouveautés de peur de perdre leurs privilèges. Et dans le même temps, ceux parmi les privilégiés qui ne sont pas eux-mêmes des récepteurs d’idées nouvelles tendent à lutter contre ces dernières pour le même motif ou pour éviter de chambouler ce qui justifiait jusqu’à présent leur vie. Ils peuvent entraîner derrière eux tous ceux qui ont peur de perdre leurs repères, leurs habitudes ou leur confort physique, moral ou psychique…]

Espérons qu’il en soit bientôt ainsi : que l’illusion d’un « État de droit » inamovible se dissolve, que les « civilisations sont des êtres mortels » et que sans un Appel, un Sursaut, une Révélation enfin (ou le travail séculaire des Prophètes, aujourd’hui des Précurseurs) il soit enfin possible de prévenir la fin si l’on ne fait rien.

Mais, à l’inverse, et après tout, la Terre en a vu d’autres sur quatre milliards et quelques années de son émergence, les dinosaures ont bien disparu, l’espèce humaine serait donc en train de se détruire, à une vitesse sans doute plus lente que celle des premiers, du moins en apparence…

Et puis comme nous sommes encore dans une période interglaciaire, celle-ci touche peut-être à sa fin ou le retour vers le grand froid (« Anéantir » clame justement le Prophète à la mode) : spirituellement c’est fait, politiquement aussi, économiquement en cours.




Le jour où Jake Tapper (de CNN) a vendu son âme à Big Pharma

[Source : lewrockwell.com]

Par Robert F. Kennedy Jr.Children’s Health Defense — 8 janvier 2022

Traduction : Jean Bitterlin

Il y a une raison pour laquelle Jake Tapper de CNN à l’intention de me désigner comme étant une « menace » et un « menteur » et pourquoi il refuse de débattre avec moi sur le contrôle de la matérialité des faits et des preuves scientifiques. Voici le fond de l’histoire.

Apparemment, consterné par les solides ventes de mon best-seller « The Real Anthony Fauci », le présentateur de CNN Jake Tapper — au lieu d’examiner l’œuvre de manière critique — s’est servi de son compte Twitter pour déverser contre moi un déluge d’insultes ad hominem.

Rompant avec la traditionnelle retenue de neutralité journalistique, de rectitude professionnelle et de rigueur intellectuelle, il m’a désigné de « dangereux », d’être « une menace », « un menteur », « un escroc », « un fraudeur », « un déséquilibré » et autres.

Mais les diffamations de Tapper flottent dans l’atmosphère, sans fondements ni citations. Si je suis un menteur, alors quel était mon mensonge ? Si je suis un escroc, alors quel est mon profit ou avantage personnel ? Si je suis un fraudeur, alors où est ma déclaration inexacte ?

Je reconnais que je suis une menace dangereuse, mais seulement pour l’industrie pharmaceutique, pour ses technocrates captifs et pour ses flagorneurs médiatiques.

Alors que j’ai répondu à sa calomnie par un tweet respectueux l’invitant à débattre avec moi, Tapper a refusé, expliquant qu’il ne débattrait pas avec un « théoricien du complot ». De manière caractéristique, il a négligé de citer une seule théorie du complot dont il croit que j’ai fait la promotion.

Et est-il crédible de m’écarter comme étant un théoricien du complot indigne d’un débat ? Après tout, je suis le fondateur et ancien président de la plus grande association de protection de l’eau et fondateur et président en exercice de l’une des plus grandes associations de défense de la santé des enfants.

J’ai gagné des centaines de procès, parmi lesquels des victoires historiques contre MonsantoDuPontExxonSmithfield Foods et les principaux pollueurs des industries chimiques, du carbone, pharmaceutiques et agricoles. (Dont bon nombre me traitaient également de « théoricien du complot »).

Mon dernier livre, « le véritable Anthony Fauci » (The Real Anthony Fauci) est sans doute le livre comportant le plus de références à avoir jamais figuré au sommet des listes mondiales de best-sellers durant six semaines consécutives. Avec 500 000 exemplaires vendus, il a attiré le nombre spectaculaire de plus de 5 500 critiques cinq étoiles (92 %).

Malgré l’extrême hostilité envers ce livre de la part des médias mainstream et du cartel médical, jusqu’à présent personne n’a encore identifié une seule inexactitude factuelle dans ses 250 000 mots.

Si mon livre n’est que théories du complot sans fondement, alors M. Tapper ne devrait-il pas se réjouir de l’opportunité qui lui est donnée de me corriger avec des faits ou des arguments qui vont au-delà des injures ?

Permettez-moi, alors, de vous proposer ma propre théorie pour l’apoplexie de M. Tapper.

De nombreuses personnes font, au cours de leur vie, des pactes faustiens, échangeant leur intégrité personnelle contre des avantages matériels. Bien souvent la métamorphose se produit comme une érosion graduelle de la fibre morale. De temps en temps cela se produit en un instant ; un homme se trouve à la croisée des chemins moraux et choisit le côté sombre.

Il se trouve que j’étais aux premières loges lorsque Jake Tapper a eu son moment de crise morale. Je suppose que sa féroce attaque au vitriol envers moi est une réaction à son embarras dont j’étais le témoin au moment même où M. Tapper a choisi la carrière plutôt que la moralité.

En juillet 2005, Jake Tapper était le producteur principal d’ABC lorsque le réseau lui a ordonné de tirer un long exposé à partir de la conférence secrète de Simpsonwood en 2000 organisée par les Centres de Contrôle des Maladies et de la Prévention (les fameux CDC — NdT).

En voici le contexte :

En 1999, en réponse à l’explosion des épidémies d’autisme et autres troubles neurologiques, le CDC a décidé d’étudier son vaste Datalink de Sécurité des Vaccins — le dossier médical et de vaccination de millions d’Américains, archivé par les principaux HMO (Health Maintenance Organization — organisme de gestion des dépenses de santé — NdT) pour savoir si l’escalade spectaculaire du calendrier vaccinal, à partir de 1989, était le coupable. L’épidémiologiste interne du CDC, Thomas Verstraeten, a dirigé l’effort.

Les graphes des données initiales de Vertraeten suggéraient que les vaccins Hépatite B qui contiennent du mercure — administrés au cours de premiers mois de vie — étaient associés à un large éventail de blessures neurologiques parmi lesquelles une augmentation spectaculaire de 1 135 % des risques d’autisme [soit 11 fois plus] chez les enfants vaccinés.

Les résultats de Verstraeten ont propulsé le CDC en DEFCON 1 (mesure militaire de menace, le DEFCON 1 correspondant à la menace la plus grave commandant une réponse immédiate aux menaces ou attaques — NdT). Les plus hauts responsables de l’agence ont convoqué, pour une réunion secrète de deux jours dans le centre de retraite isolé de Simpsonwood à Norcross en Géorgie, 52 représentants de l’industrie pharmaceutique, les plus éminents vaccinologues du milieu universitaire et de l’Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) et des fonctionnaires régulateurs de santé publique de l’Institut National de la Santé, de l’Administration des Denrées Alimentaires et des Médicaments (FDA), du CDC, de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l’Agence Européenne du Médicament pour élaborer une stratégie pour cacher au public ces terribles révélations.

En 2005 j’ai obtenu la transcription explosive de cette réunion et j’étais sur le point d’en publier des extraits dans Rolling Stones (Deadly Immunity, 18 juillet 2005). Ces enregistrements, de manière ironique, dépeignaient ces principaux caïds du cartel des vaccins en équilibre au bord de leur propre précipice moral, et racontaient leur effondrement dans la corruption durant deux jours écœurants de débat.

La plupart de ces personnes étaient des médecins et des responsables chargés de la réglementation qui avaient consacré leur vie par idéalisme et par profonde préoccupation pour les enfants. Les données de Verstraeten les confrontaient avec le fait que les niveaux cumulés de mercure dans tous ces nouveaux vaccins qu’ils avaient recommandés avaient surdosé une génération d’enfants américains avec des concentrations de mercure plus de cent fois supérieures aux expositions que l’Agence de Protection de l’Environnement considérait comme sûres.

En recommandant une très grande batterie de nouveaux vaccins pour les enfants, les organismes de régulation de santé publique avaient en quelque sorte négligé de calculer les charges cumulatives de mercure et d’aluminium dans toutes les nouvelles injections.

Le Dr Peter Patriarca, qui était alors le directeur à la FDA du Bureau de la Recherche et de l’Examen sur les Vaccins, a exprimé le sentiment général d’horreur lorsqu’il a demandé pour quelle raison personne n’avait calculé l’exposition cumulée au mercure des enfants alors que les décideurs ajoutaient cette cascade de nouveaux vaccins au calendrier de vaccination des enfants :

« La conversion du pourcentage de thimérosal en microgrammes réels de mercure implique une algèbre de niveau 3e (donc de collégien — NdT). Qu’est-ce qui a pris autant de temps à la FDA pour faire les calculs ? »

Dans les jours tendus qui ont précédé le conclave de Simpsonwood, le défenseur de la santé des enfants, le Dr Ruth Etzel de la EPA (Environmental Protection Agency — NdT) a plaidé avec ses collègues responsables de la santé publique d’admettre publiquement qu’ils avaient fait une terrible erreur en empoisonnant par inadvertance les enfants américains et de réparer les dégâts.

Le Dr Etzel a exhorté l’AAP (American Academy of Pediatrics — NdT) et les organismes de réglementation gouvernementaux de gérer la crise avec la même honnêteté et le même remords public dont avait fait preuve Johnson & Johnson en découvrant des produits chimiques toxiques dans la préparation de son Tylénol :

« Nous devons suivre trois règles de base : (1) agir rapidement pour informer les pédiatres que les produits ont plus de mercure que ce que nous pensions ; (2) être francs avec les consommateurs sur le pourquoi nous n’avons pas trouvé cela plus tôt ; (3) faire preuve de contrition. Si le public perd confiance dans les recommandations des Services de Santé Publique, alors la bataille de la vaccination va se briser. Pour garder la confiance, nous devons être francs et honnêtes et aller rapidement de l’avant pour remplacer ces produits ».

Confrontée aux preuves scientifiques de leur rôle dans la calamité des maladies chroniques, la cabale fit exactement l’inverse. Les transcriptions choquantes de Simpsonwood montrent le Dr Patriarca et d’autres caciques de la santé publique s’avertissant les uns les autres de leurs responsabilités quant à leurs réputations, à leur vulnérabilité face aux avocats des plaignants et des dommages potentiels au programme de vaccination.

Le Dr Patriarca a prévenu que la divulgation publique des découvertes explosives du CDC donnerait aux Américains le sentiment que la FDA, le CDC et les décideurs en matière de vaccination dormaient aux commandes pendant des décennies en permettant au Thimérosal de rester dans les vaccins destinés aux enfants.

Après plus de deux jours de discussions intenses, ces agents de Big Pharma et ces technocrates gouvernementaux se sont persuadés les uns les autres afin de transformer leur désastreuse erreur en infamie — en doublant la mise et en cachant leur erreur au public.

Tapper a vu une première ébauche de mon histoire (destinée à être publiée dans — NdT) Rolling Stones et a proposé qu’en échange de l’exclusivité, il fasse un documentaire d’accompagnement pour ABC programmé pour être diffusé le jour de la publication du magazine.

Tapper a passé plusieurs semaines à travailler sur l’histoire avec moi et une équipe de journalistes et de techniciens enthousiastes. Au cours de ses fréquentes conversations avec moi lors de cette période, il était brûlant d’indignation sur les révélations Simpsonwood. Il a agi comme un journaliste qui espère gagner un Emmy (les Emmy Awards sont des récompenses décernées aux meilleures émissions et meilleurs professionnels de la télévision — NdT).

La veille de la diffusion de l’article, c’est un Tapper exaspéré qui m’a appelé pour me dire que les responsables d’ABC lui avaient ordonné de retirer l’histoire. Le réseau des annonceurs publicitaires de l’industrie pharmaceutique menaçait d’annuler ses publicités.

« L’entreprise nous a dit de la fermer », fulminait Tapper. Il m’a dit que c’était la première fois dans sa carrière que les responsables lui ordonnaient d’étouffer une histoire.

ABC avait annoncé l’exposé Simpsonwood, et son annulation soudaine a déçu une armée de défenseurs de la sécurité des vaccins et de parents d’enfants blessés (par un vaccin — NdT) qui ont inondé le réseau (ABC – NdT) par un maelström de mails de colère.

En réponse, ABC changea de tactique et promit publiquement de publier l’article. Au lieu de cela, après un retard d’une semaine, le réseau a diffusé de manière trompeuse un reportage assemblé à la hâte qui faisait la promotion des vaccins et assurant les auditeurs que les vaccins contenant du mercure étaient sûrs.

Le nouveau débat « bait and switch » (émission d’ABC qui dénonce la méthode consistant à appâter les gens avec un produit bon marché pour ensuite leur vendre autre chose — NdT) suivait exactement les points de discussion de Pharma (Big Pharma — NdT). « Je fais confiance à l’institut de Médecine », a déclaré en conclusion l’obséquieux rédacteur médical d’ABC, le Dr Tim Johnson. Le débat était précédé et suivi par une annonce publicitaire pharmaceutique.

Après la publication de l’article (l’article a finalement été publié par le magazine Rolling Stone — NdT) j’ai appelé Jake pour me plaindre. Il ne m’a ni répondu ni rappelé.

Durant les 16 années qui ont suivi, Big Pharma a renvoyé l’ascenseur à M. Tapper en promouvant de manière agressive sa carrière. Pfizer sponsorise sans vergogne le journal télévisé de Tapper sur CNN, annonçant sa propriété sur l’espace — et le servage sous contrat de M. Tapper — avant chaque épisode avec la phrase chargée de sens : « Pfizer vous présente ».

Sous le terme apparent de ce parrainage, CNN et Tapper fournissent à Pfizer une plate-forme pour commercialiser ses produits et permettre à la société pharmaceutique — un criminel en série — de dicter le contenu à CNN.

Cet arrangement a transformé The Lead with Jake Tapper  (nom du journal télévisé présenté par Jake Tapper sur CNN — NdT) en un véhicule de propagande pour Big Pharma et a effectivement réduit le rôle de M. Tapper à celui de représentant pharmaceutique — promouvant sans vergogne la peur pornographique, la confusion et la phobie des germes, et guidant son public vers des produits pharmaceutiques brevetés à haut rendement (financier — NdT).

L’objectif principal de Tapper durant la pandémie a été de promouvoir des niveaux de terreur suffisants pour compenser tous les mensonges officiels à l’encontre de la pensée critique.

Tout cet argent provenant de Big Pharma exige naturellement que M. Tapper fasse des courbettes au Dr Fauci, et l’esclavage du présentateur de CNN a contribué à faire de l’émission de Tapper la tribune du directeur de l’Institut National de l’Allergie et des Maladies Infectieuses (le NIAID dont le Dr Fauci est le directeur depuis 1984 ! – NdT).

C’est un endroit sûr pour le Dr Fauci pour obtenir de Jake des résultats fiables.

« La compétition de léchage de bottes à CNN est assez nauséabonde », a observé la journaliste d’investigation Celia Farber qui a relaté la mauvaise gestion du Dr Fauci au NIAID durant plus de 25 ans. « C’est à la fois ruineux pour la démocratie et pour la santé publique ».

Un autre journaliste a comparé la servilité horriblement gênante de Tapper envers le Dr Fauci à l’adulation d’un chien loyal et obéissant. « C’est comme un chien qui regarde une partie d’échecs », dit l’ancien journaliste du New York Times Alex Berenson. « Tellement d’intensité et si peu de compréhension ».

Tapper a passé deux ans sans poser une seule question difficile au Dr Fauci. Il a dissimulé l’implication de Fauci (le NIH aurait financé à Wuhan des expériences de gain de fonction sur des virus — NdT), supprimé les nouvelles de blessures vaccinales, a manipulé psychologiquement les blessés, et défendu toutes les orthodoxies officielles sur le port du masque, les confinements, la distanciation sociale, les vaccins, le Remdesivir, l’Ivermectine et l’hydroxychloroquine.

Il n’a jamais posé de questions sur la santé publique, la santé mentale et les coûts économiques liés aux confinements, sur les fardeaux disproportionnés des politiques du Dr Fauci sur les minorités, la classe ouvrière et les pauvres du Monde.

Il n’a jamais demandé au Dr Fauci d’expliquer pour quelle raison les pays et États qui ont refusé les prescriptions du Dr Fauci ont systématiquement eu de meilleurs résultats en matière de santé. Par exemple, pour quelle raison les taux de mortalité américains sont-ils 1 000 fois supérieurs aux taux de mortalité des pays africains tels que le Nigéria et des États indiens qui utilisent largement l’hydroxychloroquine et l’Ivermectine ? M. Tapper n’autorise tout simplement jamais des points de vue contraires dans son émission.

Il continue à chanter les louanges des vaccins contre la COVID comme étant une technologie miracle que les personnes peuvent prendre quatre fois et qui peuvent malgré cela contracter et propager la maladie.

« Il n’appelle jamais le Dr Fauci sur ses déclarations hésitantes dénuées de science », a dit Farber. « Le Dr Fauci semble capable de paralyser les traits de curiosité du cerveau de Tapper ».

Il faut que Tapper demande au Dr Fauci pour quelles raisons, sous sa direction, l’Amérique a souffert du plus grand décompte de décès au Monde. Avec 4,2 % de la population mondiale, notre nation a subi 15 % des décès COVID.

Au lieu de cela, il opère tel un grand prêtre de toute l’orthodoxie officielle, travaillant à déifier le Dr Fauci et à oindre toutes ses déclarations absurdes, hésitantes et contradictoires avec une infaillibilité papale. Le meilleur moyen de susciter l’indignation de Tapper c’est de critiquer le Dr Fauci.

Voici quelques exemples de tromperies éhontées de M. Tapper :

Le 2 février 2021, Tapper a réfuté les affirmations que le grand joueur de baseball Hank Aaron ait pu décéder suite à une vaccination COVID. Le roi du home run (coup de maître au baseball lorsque le joueur envoie la balle au-delà des limites du terrain — NdT) s’était présenté à une conférence de presse organisée par le CDC 17 jours plus tôt. Tapper a affirmé à son auditoire que le médecin légiste du comté de Fulton avait déterminé qu’Aaron était décédé de « causes naturelles ».

Lorsque le médecin légiste du comté de Fulton a nié par la suite avoir jamais vu le corps d’Aaron, et encore moins avoir effectué une autopsie, Tapper a refusé de corriger son histoire.

En août 2021, Tapper a donné au Dr Fauci une tribune pour répandre la rumeur que des Américains qui s’étaient fait berner étaient en train de s’empoisonner avec un « remède pour cheval » appelé Ivermectine.

Dans une interview du 29 août 2021, le Dr Fauci a dit à Tapper « Il n’y a absolument aucune preuve que cela fonctionne, et cela pourrait potentiellement avoir de la toxicité… avec des gens qui sont allés dans des centres antipoison parce qu’ils ont pris le médicament à une dose ridicule et finissent par tomber malades. Il n’y a aucune preuve clinique qui indique que cela fonctionne ».

Tapper n’a jamais corrigé le Dr Fauci. Il n’a jamais souligné qu’il y avait alors 70 études révisées par des pairs démontrant l’efficacité miraculeuse de l’Ivermectine contre la COVID.

Il n’a pas contesté la qualification de remède pour cheval faite par le Dr Fauci au sujet de l’Ivermectine en faisant remarquer que le médicament avait remporté à la fois un Prix Nobel et été mis dans la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS pour son efficacité miraculeuse contre les maladies humaines, et que les gens en ont consommé des milliards de doses sans aucun signalement significatif au niveau de la sécurité.

M. Tapper n’a jamais pensé à demander au Dr Fauci s’il essayait de décourager l’utilisation d’un médicament bon marché et efficace qui pourrait concurrencer ses vaccins expérimentaux.

Au lieu de cela, Tapper a de manière abjecte répété comme un perroquet les points de discussion :

« Les centres antipoison signalent que leurs appels explosent dans des endroits comme le Mississippi et l’Oklahoma, parce que certains Américains essaient, pour traiter et éviter de contracter le coronavirus, d’utiliser un médicament antiparasite pour chevaux appelé Ivermectine ».

Peu importait à Tapper que les responsables du Mississippi tout comme ceux de l’Oklahoma aient rapidement nié que quiconque dans leur état ait été hospitalisé pour un empoisonnement à l’Ivermectine. Tapper n’a jamais corrigé son histoire fausse.

Le 14 septembre 2021, Tapper a obligeamment donné au Dr Fauci une tribune pour contester l’inquiétude de la rappeuse Nicki Minaj que les vaccins COVID puissent affecter la fertilité. Le Dr Fauci a simplement déclaré :

« La réponse à cela, Jake, est un non catégorique ».

Comme d’habitude, Tapper n’a pas demandé au Dr Fauci de citer une étude pour soutenir son affirmation. Il n’a jamais souligné que tous les fabricants de vaccins COVID reconnaissent que leurs produits ne sont pas testés pour les effets sur la fertilité, ou que des données récentes ont montré des augmentations spectaculaires de fausses couches et de prééclampsies chez les femmes vaccinées. (La prééclampsie est une complication de grossesse qui se caractérise par une pression sanguine élevée et des signes de dommages au foie et aux reins — NdT).

Néanmoins, sur la base de la seule parole du Dr Fauci, CNN s’est précipitée pour diffamer et discréditer la rappeuse et pour assurer au public que Minaj avait tort. Après tout, le Dr Fauci avait parlé !

Il est facile de voir comment deux années d’une telle déférence obséquieuse ont encouragé le Dr Fauci, en novembre 2021 à déclarer :

« Je représente la science ».

Il y a beaucoup trop d’autres exemples de la promotion non critique par Tapper de mensonges du gouvernement et de l’industrie pharmaceutique, ne serait-ce que pour les résumer. Il ne s’agit pas de mensonges inoffensifs. Chacun d’entre eux a de potentielles conséquences pour la santé publique.

Le terme de « projection psychologique » décrit l’extraordinaire précision avec laquelle un certain type de personnes applique aux autres des termes péjoratifs, ces termes mêmes qui décrivent avec le plus de précision leurs propres défauts.

Lorsque M. Tapper me traite de « déséquilibré », de « menace pour la santé publique », d’« escroc », de « menteur », n’est-il pas victime de projection ?

Dans une démocratie, les fonctions essentielles du journalisme sont de dire la vérité au pouvoir, d’exposer sans relâche la corruption et de toujours maintenir une posture de scepticisme envers les centres de pouvoir du gouvernement et des entreprises.

Ce que fait Jake Tapper est à l’opposé du journalisme. Tapper, au lieu de cela, s’aligne sur le pouvoir et se fait propagandiste des narratifs officiels et un agent publicitaire servile pour les élites puissantes et les technocrates gouvernementaux.

Sa fureur à l’encontre de ceux qui contestent leurs récits n’est donc pas étonnante.




Project Veritas : au Pentagone la nocivité des vaccins à ARN messager est un secret de Polichinelle

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Anthony Fauci a dissimulé au Sénat les origines du COVID et les implications américaines dans la recherche menée au Laboratoire P4 de Wuhan. C’est confirmé par une nouvelle vidéo et des documents secrets que s’est procurés Project Veritas. Ces documents viennent compléter des informations datant de la fin du printemps 2021 et que nous avions déjà présentées à nos lecteurs. Surtout, ils confirment comment les médias subventionnés ont créent un écran de fumée permanent qui dissimule la réalité et permet aux dirigeants d’agir de façon dissimulée. Dans les bureaux capitonnés du Pentagone, on dit la vérité non seulement sur l’origine accidentelle de la pandémie mais aussi sur la nocivité des vaccins à ARN messager.

Voici, pour nos lecteurs, en traduction française, les explications données par Project Veritas, qui accompagnent la vidéo : 

“[WASHINGTON, D.C. – 10 janvier 2022] Project Veritas a obtenu des documents surprenants et jamais vus auparavant concernant les origines du COVID-19,  la recherche sur les gains de fonctions, les vaccins, les traitements potentiels qui ont été supprimés, et les efforts du gouvernement pour dissimuler tout cela.

Les documents en question proviennent d’un rapport de la Defense Advanced Research Projects Agency, mieux connue sous le nom de DARPA, et étaient cachés dans un disque étiqueté “top secret”.

La DARPA est une agence du Département de la Défense des Etats-Unis chargée de faciliter la recherche de technologies ayant des applications militaires potentielles.

Project Veritas a obtenu un rapport  adressé à l’Inspecteur Général du Département de la Défense écrit par le Major du Corps des Marines, Joseph Murphy, un ancien membre de la DARPA.

Le rapport indique qu’EcoHealth Alliance a approché la DARPA en mars 2018, demandant un financement pour mener des recherches sur le gain de fonction des coronavirus transmis par les chauves-souris. La proposition, nommée Project Defuse, a été rejetée par la DARPA pour des raisons de sécurité et parce qu’elle violait le moratoire sur la recherche de gain de fonction de base.

Selon les documents, le NAIAD, sous la direction du Dr Fauci, a poursuivi les recherches à Wuhan, en Chine, et sur plusieurs sites aux États-Unis.

Le Dr Fauci a affirmé à plusieurs reprises, sous serment, que les NIH et NAIAD n’ont pas été impliqués dans la recherche de gain de fonction avec le programme EcoHealth Alliance. Mais selon les documents obtenus par Project Veritas, qui décrivent pourquoi la proposition d’EcoHealth Alliance a été rejetée, la DARPA a certainement classé la recherche comme un gain de fonction.

“La proposition ne mentionne ni n’évalue les risques potentiels de la recherche sur le gain de fonction (GoF)”, une citation directe de la lettre de rejet de la DARPA.

Le rapport du Major Murphy détaille les grandes inquiétudes suscitées par le programme COVID-19 de gain de fonction, la dissimulation de documents, la suppression de remèdes potentiels, comme l’Ivermectin et l’Hydroxychloroquine, et les vaccins à ARNm.

Project Veritas a contacté la DARPA pour obtenir des commentaires sur les documents cachés et s’est entretenu avec le responsables des communications de documents, Jared Adams, qui a déclaré : “Cela ne me semble pas normal”, lorsqu’il a été interrogé sur la manière dont les documents ont été entourés de secret. “Si un document est classifié, il doit être marqué de manière appropriée”, a déclaré M. Adams. “Je ne suis pas du tout familier avec des documents non marqués qui résident dans un espace classifié, non.”

Dans une vidéo publiée lundi soir, le PDG de Project Veritas, James O’Keefe, a posé une question fondamentale à la DARPA :

“Qui à la DARPA a pris la décision d’enterrer le rapport original ? Ils auraient pu tirer la sonnette d’alarme au Pentagone, à la Maison Blanche ou au Congrès, ce qui aurait pu empêcher toute cette pandémie qui a entraîné la mort de 5,4 millions de personnes dans le monde et causé beaucoup de douleur et de souffrance à des millions d’autres.”

Le Dr Anthony Fauci n’a pas encore répondu à une demande de commentaire sur cette histoire”.

Pour comprendre les documents antérieurs publiés dans la presse de langue anglaise, auxquels il est fait allusion, nous rappelons ce que nous avions exposé à nos lecteurs. 

Quand la DARPA refusait, d’autres départements du Pentagone acceptaient de financer la recherche d’EcoHeath Alliance

Le Pentagone a versé sur plusieurs années 39 millions de dollars à Eco Health Alliance,  une ONG qui a elle-même transféré de l’argent à l’Institut de virologie de Wuhan. Quelle partie de cette somme est-elle allée aux recherches du Docteur Shi Zhengli, la désormais célèbre “Batwoman”, soupçonnée d’être à l’origine de l’accident de laboratoire qui aurait déclenché la crise du COVID-19? Il va falloir continuer à investiguer mais le comportement d’Anthony Fauci ou de Peter Daszak, scientifique d’origine britannique, collaborateur de longue date de Madame Shi et directeur d’Eco Health Alliance révèle des hommes qui ont cherché à effacer des traces compromettantes d’une collaboration avec les recherches les plus dangereuses menées à Wuhan. 

Au début 2020, Donald Trump a vite repéré un sérieux problème

Jusqu’en 2020, EcoHealth Alliance ne s’est jamais caché de ses liens avec l’Institut de virologie de Wuhan. India Today a rediffusé récemment des déclarations décomplexées de Peter Daszak, le responsable de l’organisation sur ce sujet. Et tout expert du secteur savait que cette ONG, créée pour étudier les nouvelles maladies, finançait également des expériences universellement controversées (qu’elles fussent menées en Chine, en France ou aux Etats-Unis) de “gain de fonction”, qui consistent à rendre des virus dangereux plus infectieux pour étudier leurs effets sur les cellules humaines.

Et puis est venu l’épidémie de COVID 19. Rapidement, les soupçons se sont tournés vers le laboratoire P4 de Wuhan. Une tempête politique a éclaté en mai 2020,  lorsque l’ancien président Donald Trump a annulé une subvention de 3,7 millions de dollars destinée à EcoHealth Alliance et plus particulièrement à Peter Daszak. En fait, l’ancien président américain avait suffisamment d’informations sur le fait que l’argent gouvernemental avait été très mal utilisé. Et contre ceux qui criaient au scandale, les informations dont nous disposons aujourd’hui lui donnent raison. 

En effet, des données sur les subventions fédérales rassemblées par James Baratta et Mariamne Everett montrent qu’EcoHealth Alliance a reçu plus de 123 millions de dollars du gouvernement – de 2017 à 2020 – et que l’un de ses plus grands bailleurs de fonds est le ministère de la Défense, qui a versé près de 39 millions de dollars à l’organisation depuis 2013.

Il va bien entendu falloir déterminer quelle part de cet argent a été consacrée à la recherche menée à l’Institut de virologie de Wuhan – et nous savons par les documents de Project Veritas que la DARPA a refusé le “Projet Defuse” –  mais il ne fait aucun doute que de l’argent a été versé par certaines branches du Pentagone comme le montrent à la fois l’intitulé des financements et le comportement suspect de Fauci et Daszak.

De l’argent du Pentagone pour le développement de recherches intéressant hautement l’armée chinoise

Les subventions du Pentagone comprenaient 6 491 025 dollars de la Defense Threat Reduction Agency (DTRA) de 2017 à 2020 avec la description suivante : “Comprendre le risque d’émergence de zoonoses transmises par les chauves-souris en Asie occidentale “.

La subvention a été classée dans la catégorie ” recherche scientifique – lutte contre les armes de destruction massive “. On appréciera cette inversion totale de la réalité puisque, comme nous l’avons indiqué dans un précédent article, l’Armée Populaire de Libération comptait beaucoup sur les recherches menées dans le P4 de Wuhan pour développer des armes biologiques. De même que la mission du DTRA est de “contrer et dissuader les armes de destruction massive et les réseaux de menaces improvisées”, EcoHealth Alliance vous pose la question sur son site web: ” Qui s’interpose entre vous et la prochaine pandémie?”. 

EcoHealth Alliance  a également reçu 64,7 millions de dollars de l’Agence américaine pour le développement international (USAID), 13 millions de dollars de Health and Human Services, qui comprend les National Institutes of Health et les Centers for Disease Control, 2,3 millions de dollars du Department of Homeland Security et 2,6 millions de dollars de la National Science Foundation.

Et, comme résume le Daily Mail : “Un chiffre de financement gouvernemental de 3,4 millions de dollars a été largement commenté, après que le conseiller médical en chef de la Maison Blanche, Anthony Fauci, a été interrogé lors d’une audition au Sénat sur la quantité d’argent que les National Institutes of Health ont envoyé au laboratoire de Wuhan via ses subventions à EcoHealth Alliance en 2019. Mais les chiffres totaux des subventions, y compris le financement du Pentagone sont beaucoup plus importants”. James Baratta et Marianne Everett ont rassemblé les déclarations de subventions des agences gouvernementales américaines à EcoHealth Alliance. Ils ont découvert que la déclaration de l’EHA concernant son vaste financement militaire se trouve dans la section “Politique de confidentialité” de son site web, sous le titre “EcoHealth Alliance Policy Regarding Conflict of Interest in Research”. Dans cette déclaration, l’EHA indique qu’elle est “le bénéficiaire de diverses subventions de la part d’agences fédérales, dont le National Institute of Health, la National Science Foundation, l’US Fish and Wildlife Service, l’US Agency for International Development et le Department of Defense”. EcoHealth Alliance ne divulgue pas le montant exact de son financement par le Pentagone.

Plongée dans les eaux troubles du marécage: de Bagdad 2002 à Wuhan 2019

En 2014, l’administration Obama a instauré un moratoire, qui interdisait de mener aux USA la recherche sur le “gain de fonction”, après que des scientifiques se soient inquiétés du fait qu’elle pourrait conduire à une pandémie mondiale due à un virus génétiquement amélioré s’échappant d’un laboratoire.

Les expériences financées par EcoHealth Alliance en Chine relevaient du même type de recherche. Eh bien, pour contourner le moratoire du gouvernement Obama, EHA a utilisé une faille qui autorise la recherche dans les cas “d’urgence pour protéger la santé publique ou la sécurité nationale”, James Baratta et Marianne Everett, toujours eux, ont découvert que l’un des “conseillers politiques” d’EcoHealth Alliance est David Franz, ancien commandant du principal centre de guerre et de biodéfense biologique du gouvernement américain, Fort Detrick. Franz est surtout connu comme ayant été placé par le Pentagone dans la Commission spéciale des Nations Unies qui avait inspecté l’Irak en 2002 à la recherche d’armes biologiques, chimiques  ou nucléaires. Le même homme qui avait contribué à inventer des armes qui n’existaient pas en Irak se retrouve, deux décennies plus tard, à dissimuler des recherches létales menées par son pays. 

Quand le Docteur Daszak créait des fake news

En février 2020, M. Daszak a persuadé plus d’une vingtaine d’autres scientifiques de signer une lettre qu’il avait adressée au très respecté journal médical The Lancet. Comme le résume très bien le Daily Mail : “Cette lettre  a intimidé la plupart des experts, qui ont refusé d’envisager que le virus puisse avoir été fabriqué par l’homme et s’être échappé de l’institut de Wuhan. Jamie Metzl, ancien haut fonctionnaire de l’administration Clinton, qui siège aujourd’hui au comité consultatif de l’Organisation mondiale de la santé sur l’édition du génome humain, a déclaré au DailyMail.com que la lettre du Lancet “était de la propagande scientifique et une forme de brutalité et d’intimidation”.

La lettre commune, publiée dans le journal médical le 19 février 2020, faisait l’éloge des scientifiques chinois “qui continuent à sauver des vies et à protéger la santé mondiale face à l’épidémie de Covid-19” et ajoutait : “Nous sommes unis pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas une origine naturelle”. Le 21 juin 2021, soit plus d’un an après, The Lancet publiait une mise au point de Peter Daszak qui assurait qu’il n’était pas en conflit d’intérêt en co-signant le courrier de février 2020 étant donné qu’il n’avait jamais reçu d’argent d’un laboratoire chinois sur ce sujet. Et pour cause, c’est lui qui en versait ! 

Ce n’est pas le seul scandale qui est en train de sortir. Malgré ses liens étroits avec le laboratoire chinois, M. Daszak avait également été choisi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour faire partie de l’équipe de 13 membres chargée de trouver la cause de la pandémie. On se rappelle qu’en mars 2021, après les conclusions provisoires de la commission (et les déclarations de Peter Daszak) écartant à nouveau la possibilité d’une fuite de laboratoire, l’OMS avait été obligée de présenter un communiqué plus nuancé suite à des protestations internationales. 

Liberté de ton au Pentagone pour parler des origines du COVID et de la nocivité des vaccins à ARNm


L'évaluation du major murphy au début de l'été 2021 from EdouardHusson

Evidemment, vu toutes ces révélations dans les médias avant l’été 2021, chaque département du Pentagone a fait évaluer en interne son évaluation au risque. Le document le plus intéressant de ceux publiés par Project Veritas est précisément cette évaluation du risque pour la DARPA par le Major Murphy, que nous mettons à diposition de nos lecteurs ci-dessus. 

Elle contient en outre un témoignage extraordinaire de la liberté avec laquelle, au sein du Pentagone, on évaluait, il y a quelques mois, les origines du COVID-19 et, surtout, la réalité des vaccins à ARN messager. 

Une analyse très détaillée en a été proposée par un compte sérieux sur Twitter. Les lecteurs pourront cliquer sur le tweet pour dérouler le THREAD (fil twitter):