L’agonie de l’Occident

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

Sergueï Lavrov avait l’habitude de comparer l’Occident à un prédateur blessé. Selon lui, il ne faut pas le provoquer car il serait pris de folie et pourrait tout casser. Il convient plutôt de l’accompagner au cimentière. L’Occident ne l’entend pas ainsi. Washington et Londres mènent une croisade contre Moscou et Pékin. Ils rugissent et sont prêts à tout. Mais que peuvent-ils entreprendre vraiment ?

Comme Rome, l’Empire anglo-saxon s’effondre de par sa propre décadence.

Cet article fait suite à :
 1. « La Russie veut contraindre les USA à respecter la Charte des Nations unies », 4 janvier 2022.
 2. « Washington poursuit le plan de la RAND au Kazakhstan, puis en Transnistrie », 11 janvier 2022.
 3. « Washington refuse d’entendre la Russie et la Chine », 18 janvier 2022.
 4. « Washington et Londres, atteints de surdité », 1er février 2022.
 5. « Washington et Londres tentent de préserver leur domination sur l’Europe », 8 février 2022.
 6. « Deux interprétations de l’affaire ukrainienne », 15 février 2022.
 7. « Washington sonne l’hallali, tandis que ses alliés se retirent », 22 février 2022.
 8. « Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens », 5 mars 2022.
 9. « Une bande de drogués et de néo-nazis », 5 mars 2022.
 10. « Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens », 8 mars 2022.
 11. « Ukraine : la grande manipulation », 22 mars 2022.
 12. « Le Nouvel Ordre Mondial que l’on prépare sous prétexte de guerre en Ukraine », 29 mars 2022.
 13. « La propagande de guerre change de forme », 5 avril 2022.
 14. « L’alliance du MI6, de la CIA et des bandéristes », 12 avril 2022.
 15. « La fin de la domination occidentale »,19 avril 2022.
 16. « Ukraine : la Seconde Guerre mondiale ne s’est jamais terminée », 26 avril 2022.
 17. « Washington espère rétablir son hyper-puissance grâce à la guerre en Ukraine », 3 mai 2022.
 18. « Le Canada et les bandéristes », 10 mai 2022.
 19. « Une nouvelle guerre se prépare pour l’après défaite face à la Russie », 24 mai 2022.
 20. « Les programmes militaires secrets ukrainiens », 31 mai 2022.
 21. « Ukraine : quiproquos, méprises et incompréhensions », 7 juin 2022.
 22. « La Pologne et l’Ukraine », 14 juin 2022,
 23. « L’idéologie des bandéristes ukrainiens », 21 juin 2022.
 24. « Le sabordage de la paix en Europe », 28 juin 2022.

Le président Joe Biden et le Premier ministre Boris Johnson lors du sommet du G7 à Elmau (Allemagne).

Les sommets du G7 en Bavière et de l’Otan à Madrid devaient annoncer la punition par l’Occident du Kremlin pour son « opération militaire spéciale en Ukraine ». Mais, si l’image donnée a mis en avant celle de l’unité des Occidentaux, la réalité atteste de leur déconnexion des réalités, de leur perte d’audience dans le monde et en définitive de la fin de leur suprématie.

Alors que les Occidentaux se persuadent que l’enjeu est en Ukraine, le monde le voit affronter le « piège de Thucydide »(([1] Destined For War : Can America and China escape Thucydides’s Trap ?, Graham T. Allison, Houghton Mifflin Harcourt (2017).)). Les relations internationales continueront-elles à s’organiser autour d’eux ou deviendront-elles multipolaires ? Les peuples jusqu’ici soumis s’affranchiront-ils et accéderont-ils à la souveraineté ? Sera-t-il possible de penser autrement qu’en termes de domination globale et de se consacrer au développement de chacun ?

Les Occidentaux ont imaginé un narratif de l’« opération militaire spéciale » russe en Ukraine qui fait l’impasse sur leur propre action depuis la dissolution de l’Union soviétique. Ils ont oublié leur signature de la Charte de la Sécurité européenne (dite aussi déclaration d’Istanbul de l’OSCE) et la manière dont ils l’ont violée en faisant adhérer un à un presque tous les anciens membres du Pacte de Varsovie et une partie des nouveaux États post-soviétiques. Ils ont oublié la manière dont ils ont changé le gouvernement ukrainien en 2004 et le coup d’État par lequel ils ont placé au pouvoir à Kiev des nationalistes bandéristes en 2014. Ayant fait du passé table rase, ils accusent la Russie de tous les maux. Ils refusent de remettre en question leurs propres actes et considèrent, qu’à l’époque, ils sont passés en force. Pour eux, leurs victoires font le Droit.

Pour préserver ce narratif imaginaire, ils ont déjà fait taire les médias russes chez eux. On a beau se prétendre « démocrates », il vaut mieux censurer les voix discordantes avant de mentir.

Ils abordent donc le conflit ukrainien, sans contradiction, en se convaincant qu’ils ont le devoir de juger seuls, de condamner et de sanctionner la Russie. En faisant chanter de petits États, ils sont parvenus à obtenir un texte de l’Assemblée générale des Nations-unies qui semble leur donner raison. Ils envisagent maintenant de démanteler la Russie comme ils l’ont fait en Yougoslavie et ont tenté de le faire en Iraq, en Libye, en Syrie et au Yémen (stratégie Rumsfeld/Cebrowski).

Pour ce faire, ils ont commencé à isoler la Russie de la Finance et du Commerce mondial. Ils ont coupé son accès au système SWIFT et aux Lloyds, l’empêchant d’acheter et de vendre tout autant que d’assurer son transfert de marchandise. Ils pensaient ainsi provoquer son effondrement économique. De fait, le 27 juin 2022, la Russie s’est avérée incapable d’honorer une dette de 100 millions de dollars et l’agence de notation Mody’s l’a déclarée en défaut de paiement.(([2] « Government of Russia : Missed coupon payment constitutes a default », Moody’s, June 27, 2022.))

Mais cela n’a pas eu l’effet escompté : tout le monde sait que les réserves de la Banque centrale russe regorgent de devises et d’or. Le Kremlin a payé les 100 millions, mais n’a pas pu les transférer en Occident du fait des sanctions occidentales. Il les a placés sur un compte bloqué où ils attendent leurs débiteurs.

Pendant ce temps, le Kremlin qui n’est plus payé par les Occidentaux s’est mis à vendre sa production, notamment ses hydrocarbures, à d’autres acheteurs, particulièrement à la Chine. Les échanges ne pouvant plus être effectués en dollars le sont en d’autres monnaies. Par conséquent, les dollars que leurs clients utilisaient d’habitude refluent vers les États-Unis. Ce processus avait déjà commencé il y a plusieurs années. Mais les sanctions unilatérales occidentales l’ont brutalement accéléré. L’énorme quantité de dollars qui s’accumule aux USA y provoque une hausse des prix massives. La Réserve fédérale fait tout son possible pour la partager avec la zone euro. La hausse des prix se propage à grande vitesse sur tout le continent ouest-européen.

La Banque centrale européenne n’est pas un organisme de développement économique. Sa mission principale est de gérer l’inflation à l’intérieur de l’Union. Constatant qu’elle ne peut absolument pas ralentir la brusque hausse des prix, elle tente de l’utiliser pour diminuer sa dette. Les États membres de l’Union sont donc invités à compenser, par des baisses d’impôts et des allocations, la baisse du pouvoir d’achat de leurs « citoyens ». Mais c’est un cercle sans fin : en aidant leurs citoyens, ils se lient les pieds et les mains à la Banque centrale européenne, ils s’enchaînent un peu plus aux dettes US et s’appauvrissent encore.

Il n’y a pas de remède à cette inflation. C’est la première fois en effet que l’Occident doit éponger les dollars que Washington a imprimé avec insouciance durant des années. La hausse des prix en Occident correspond au coût des dépenses impériales des trente dernières années. C’est aujourd’hui et aujourd’hui seulement que l’Occident paye ses guerres de Yougoslavie, d’Afghanistan, d’Iraq, de Libye, de Syrie et du Yémen.

Jusqu’à présent les États-Unis tuaient tous ceux qui menaçaient la suprématie du dollar. Ils ont pendu le président Saddam Hussein qui la refusait et ont pillé la Banque centrale iraquienne. Ils ont torturé et lynché le guide Mouamar el-Kadhafi qui préparait une nouvelle monnaie panafricaine et ont pillé la Banque centrale libyenne. Les sommes gigantesques amassées par ces États pétroliers ont disparu sans laisser de traces. On a seulement vu des GI’s embarquer des dizaines de milliards de dollars emballés dans de grands sacs-poubelles. En excluant la Russie des échanges en dollar, Washington a lui-même provoqué ce qu’il redoutait tant : le dollar n’est plus la monnaie de référence internationale.

La majorité du reste du monde n’est pas aveugle. Elle a bien compris ce qui se passe et s’est précipitée au Forum économique de Saint-Pétersbourg, puis a tenté de s’inscrire au sommet virtuel des Brics. Elle réalise —un peu tard— que la Russie a lancé le « Partenariat de l’Eurasie élargie », en 2016 et que son ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, l’avait solennellement annoncé à l’Assemblée générale de l’Onu, en septembre 2018(([3] “Remarks by Sergey Lavrov to the 73rd Session of the United Nations General Assembly”, by Sergey Lavrov, Voltaire Network, 28 September 2018. « Onu : naissance du monde post-occidental », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 2 octobre 2018.)). Durant quatre ans, quantités de routes et de chemins de fer ont été construits pour intégrer la Russie dans les réseaux des nouvelles « routes de la soie », terrestres et maritimes, imaginés par la Chine. Il a donc été possible de déplacer en quelques mois les flux de marchandise.

Le reflux des dollars et le déplacement des flux de marchandise provoquent une hausse plus marquée encore du prix des énergies. La Russie, qui est l’un des premiers exportateurs d’hydrocarbures au monde, a vu ses revenus augmenter considérablement. Sa monnaie, le rouble, ne s’est jamais aussi bien portée. Pour y faire face, le G7 a fixé un prix plafond du gaz et du pétrole russe. Il a ordonné à la « communauté internationale » de ne pas payer plus cher.

Mais la Russie ne va évidemment pas laisser les Occidentaux fixer les prix de ses produits. Ceux qui ne veulent pas les payer aux prix du marché ne pourront pas les acheter et aucun client n’a l’intention de se priver pour faire plaisir aux Occidentaux.

Le G7 tente d’organiser, au moins au plan intellectuel, sa suprématie(([4] « Communiqué des chefs d’Etat et de gouvernement du G7 d’Elmau », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). Cela ne fonctionne plus. Le vent a tourné. Les quatre siècles de domination occidentale sont terminés.

En désespoir de cause, le G7 a prit l’engagement de résoudre la crise alimentaire mondiale que sa politique a provoqué. Les pays concernés savent ce que les engagements du G7 veulent dire. Ils attendent toujours le grand plan de développement de l’Afrique et autres miroirs aux alouettes. Ils savent que les Occidentaux ne peuvent pas produire les engrais azotés et qu’ils empêchent la Russie de vendre les leurs. Les aides du G7 sont uniquement des pansements sur des jambes de bois chargés de les faire patienter et de ne pas remettre en question les principes sacrés du libre-échange.

Le sommet de l’Otan à Madrid était une manifestation d’unité et de puissance. Mais ses Etats membres étaient convoqués pour signer ce que Washington et Londres avaient décidé pour eux. Leur unité n’était qu’une forme de servitude dont beaucoup songeaient à s’affranchir.

La seule option possible pour le sauvetage de la domination occidentale, c’est la guerre. Il faut que l’Otan parvienne à détruire militairement la Russie comme jadis Rome avait rasé Carthage. mais c’est trop tard : l’armée russe dispose d’armes bien plus sophistiquées que l’Occident. Elle les a déjà expérimentées depuis 2014 en Syrie. Elle peut à tout instant écraser ses ennemis. Le président Vladimir Poutine a exposé devant ses parlementaires, en 2018, les progrès stupéfiants de son arsenal.(([5] “Vladimir Putin Address to the Russian Federal Assembly” by Vladimir Putin, Voltaire Network, 1 March 2018. « Le nouvel arsenal nucléaire russe rétablit la bipolarité du monde », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 6 mars 2018.))

Le sommet de l’Otan de Madrid était une belle opération de communication(([6] « Ce qu’il faut retenir du Sommet de l’OTAN 2022 à Madrid », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Mais ce n’était que le chant du cygne. Les 32 États membres ont proclamé leur unité avec le désespoir de ceux qui craignent de mourir. Comme si de rien n’était, ils ont d’abord adopté une stratégie pour dominer le monde durant les dix prochaines années, désignant la « croissance » de la Chine comme un sujet de préoccupation(([7] « OTAN 2022 Concept Stratégique », Réseau Voltaire, 29 juin 2022.)). Ce faisant ils ont admis que leur but n’est pas d’assurer leur sécurité, mais bien de dominer le monde. Ils ont alors ouvert le processus d’adhésion de la Suède et de la Finlande et envisagé de s’approcher de la Chine avec, pour commencer, une possible adhésion du Japon.

Le seul incident, rapidement maîtrisé, aura été la pression turque qui a contraint la Finlande et la Suède à condamner le PKK(([8] “Turkiye, Sweden, Finland Memorandum”, Voltaire Network, 28 June 2022.)). Incapables de résister, les États-Unis ont lâché leurs alliés, les mercenaires kurdes en Syrie et leurs leaders à l’étranger.

Sur ce, ils ont décidé de multiplier par 7,5 la Force d’action rapide de l’Otan, en la faisant passer de 40 000 à 300 000 hommes, et de la stationner à la frontière russe. Ce faisant ils ont violé une fois de plus leur propre signature, celle de la Charte de la Sécurité en Europe, en menaçant directement la Russie. En effet, celle-ci n’a pas la possibilité de défendre ses immenses frontières et ne peut assurer sa sécurité qu’en veillant à ce qu’aucune force étrangère n’installe de base militaire à ses frontières (stratégie de la terre brûlée). D’ores et déjà, le Pentagone fait circuler des cartes prospectives du démantèlement de la Russie qu’il espère mettre en œuvre.

L’ancien ambassadeur russe à l’Otan et actuel directeur de Roscosmos, Dmitry Rogozin, leur a répondu en publiant sur son compte Telegram les coordonnées de tir des centres de décisions de l’Otan, salle du sommet de Madrid comprise(([9] « La Russie menace les centres de décision occidentaux », Réseau Voltaire, 28 juin 2022.)). La Russie dispose de lanceurs hypersoniques, pour le moment impossibles à intercepter, qui peuvent porter une charge nucléaire en quelques minutes sur le siège de l’Otan à Bruxelles et sur le Pentagone à Washington. Pour qu’il n’y ait pas de méprise, Sergueï Lavrov a précisé, faisant allusion aux Straussiens, que les décisions martiales de l’Occident n’étaient pas prises par les militaires, mais au département d’État US. C’est lui qui serait la première cible.

La question est donc : les Occidentaux joueront-ils le tout pour le tout. Prendront-ils le risque d’une Troisième Guerre mondiale pourtant déjà perdue, juste pour ne pas mourir seuls ?





De l’uni, vers le multipolaire… concrètement.

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Introduction

Chers lecteurs, nous vivons actuellement l’apocalypse, c’est-à-dire, le temps du dévoilement. En observant la confusion qui règne dans tous les domaines, nous constatons que les masques tombent et la Vérité se fait jour. Cette excellente nouvelle est la révélation que notre destin NOUS appartient pleinement.

Pour contribuer activement au futur de l’humanité, reprenons confiance en l’Être que nous sommes vraiment et agissons individuellement pour construire collectivement le merveilleux monde de demain. Ce blog, qui traite de « l’écume des choses », a pour ambition de vous y aider.

Si vous désirez être pleinement acteur de « l’ardente obligation » de changer vraiment ce monde, abonnez-vous aux « Rendez-vous d’Hubert ». En plus de bénéficier de solutions pratiques, ce sera votre manière de m’aider très concrètement à poursuivre mon travail et améliorer sa qualité.


Sujet du jour : Un monde s’écroule… un autre nait.

Je ne reviendrais pas dans ce billet sur le début de la guerre « de haute intensité » contre la Russie, déclenchée en 2014 par les USA sur le territoire ukrainien ni sur la réaction « Poutinesque » en déclenchant « l’opération militaire spéciale ». Les numéros du 14 avril et du 21 avril 2022 des « Rendez-vous d’Hubert » y sont largement consacrés.

Ces actions militaires russes ont engendré des sanctions d’ordre financier, infligées par les États-Unis d’Amérique et leurs affidés (dont la France). En réaction, les Russes… aidés par les Chinois, ont accéléré la mise en place d’un nouveau système financier, au niveau mondial. Dans le numéro du 21 mai 2022 des « Rendez-vous d’Hubert », j’ai décrit tout cela et surtout, ce qu’il était nécessaire de faire rapidement, au niveau de votre patrimoine, pour atténuer les conséquences de ce véritable tsunami financier.

Ce qui se passe en Ukraine ne doit pas nous faire oublier la partie du « plan », qui consiste à contrôler les masses par tous les moyens, y compris par l’injection de produits modifiant notre structure cellulaire ☹!!! Dis donc, Hubert, te voilà à nouveau atteint de « fièvre complotiste » ? Que nenni, chers lecteurs, que nenni. Souvenez-vous de ce que j’écrivais il y a plusieurs années, à propos de notre système financier. À l’époque, j’étais aussi traité de complotiste ☺. Jamais découragé, je reprends mon « bâton de pèlerin » de lanceur d’alerte.

La priorité des « marionnettistes » est bien d’injecter les produits « qui vont bien » à un maximum de personnes par le monde, afin de pouvoir les contrôler. C’est dans ce but que les gouvernements sont aimablement conviés à transférer leur pouvoir en matière de gestion de crise sanitaire, à une organisation supranationale… contrôlée par un certain… Bill … je ne me rappelle plus son nom. Buffalo Bill ? Non, ce n’est pas lui. Bill COSBY ? Non plus… Billy le kid ? Toujours pas… je vous laisse chercher, ma mémoire m’abandonne. Je crois qu’il a travaillé dans l’informatique dans sa jeunesse, mais je n’en suis plus sur ☺.

Vous l’avez compris, « l’entité supranationale » c’est l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Le 3 mars 2022, le Conseil européen a adopté une décision autorisant l’ouverture de négociations en vue d’un accord international sur la prévention, la préparation et la riposte face aux pandémies. L’idée est que l’OMS coordonne l’action des états s’approprie le pouvoir des états, pour décider seule, des conduites à tenir pour les prochaines pandémies.

Toujours prompt à « faire le maximum » pour emmerder les français la santé des français, notre cher « Jupiter 1er » a donné son accord enthousiaste à ce projet :

« je suis favorable à l’adoption, sous l’égide de l’OMS, d’un accord international juridiquement contraignant ».

Cela tranche avec l’avis du président d’un « petit pays émergeant membre des BRICS »… le Brésil. Avec plus de 200 millions d’habitants, la population brésilienne se situe au 5e rang mondial. Sa position est claire :

« Le Brésil est autonome et n’entrera pas là-dedans, vous pouvez l’oublier. J’ai déjà parlé à notre cabinet des relations extérieures et si cette proposition va de l’avant, ce ne sera pas avec le Brésil ».

Plus fort, le Botswana a déclaré au nom des 47 membres de l’AFRO qu’il n’apporterait pas son soutien à ces « réformes ».

Encore plus fort, tenez-vous bien : le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud… vous vous souvenez ? Les BRICS… auxquels se joignent maintenant l’Iran et la Malaisie !!! Tout ce « petit monde » qui n’est pas vraiment « fana » pour le projet de l’OMS. Ça fait beaucoup de monde☺.

Le « monde occidental » autrement dit, les USA et ses « alliés », encore autrement dit, le monde unipolaire… c’est la fin !!! La montée en puissance des « pays émergents » et de l’Afrique… voilà que se dessine le monde multipolaire de demain. Et si nous tendions l’oreille à l’est ? Et si nous portions un autre regard sur la Chine ?

Et si nous échappions à « la piquouse pour tous » grâce à ce Nouveau Monde qui émerge ? Voilà une perspective réjouissante, ne pensez-vous pas ?

« Tout au long de l’histoire de l’humanité, il y a eu des meurtriers et des tyrans.
Bien qu’il puisse sembler momentanément qu’ils aient le dessus, ils sont toujours tombés ».

(Mahatma Gandhi)

Chers lecteurs, il est des raisons d’espérer. Je vous aime et vous salue.




Les courses de chevaux : le point par un lecteur sur les Rothschild et leur occultisme. Mise à jour

[Transmis par Nicolas Bonnal]

Mise à jour : Nouveau noms de chevaux

  • – MARKLAND/marquer la terre. Marquer tous les habitants sur terre ?
  • – PREMIER AVRIL. Aucun occultisme sur celui-là, mais le 1er avril dernier il gagne une course à 16/1, plus c’est gros plus ça passe.
  • – DIABOLIC QUEEN. Une allusion à la reine Elise à bête II ?
  • – GLOBAL WARNING/Alerte mondiale
  • – LA TEMPLIÈRE
  • – GIFT OF THE G/Cadeau du G. Oui oui vous ne rêvez pas un cadeau de la gnose …
  • – GOLDEN WITCH/Sorcière dorée
  • – JÉRUSALEM
  • – GOLD SHIVA
  • – PEGASUS
  • – SILVER SCHNOCK/Schnock D’argent. Certainement un rapport avec le docteur Schnock.
  • – CHASING THE CHAOS/La chasse au chaos
  • – GÉNÉRAL TRUMP
  • – BRICS. L’acronyme anglais qui désigne les cinq pays qui se réunissent depuis 2011 en sommets annuels : Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud.
  • – GLOBAL TRUSTWORTHY/Digne de confiance à l’échelle mondiale
  • – HOMO DEUS. C’est le nom d’un ouvrage transhumaniste à souhait écrit par Harari.
  • – FEU FOLLET
  • – MISTER DONALD
  • – JASON DRAGON. Probablement une référence à la JASON society une société secrète.
  • – RESET BUTTON/Bouton de réinitialisation. Certainement une allusion au Great Reset.
  • – FORUM. Allusion à Davos ?
  • – HELLO PAN, DIRTY PAN, FASHIONSPAN, FLUKPE PAN (etc. …). Beaucoup d’allusions à cette entité démoniaque.
  • – FAUST
  • – JE SUIS CHARLIE
  • – DEVIL/DIABLE
  • – GLOBAL GODESS/Dieux mondial
  • – GLOBAL ACCLAIM/Reconnaissance Mondiale
  • – GLOBAL STORM/Tempête Mondiale
  • – GLOBAL HEAT/Chaleur Mondiale
  • – EXPERT DELTA. Une allusion au variant delta ?
  • – JOAO
  • – HAMISH
  • – ESTHER CHERI 
  • – IONIQUE
  • – AGENDA
  • – IRMA BABEL
  • – BABYLONIA
  • – IMPÉRIAL DU RADON. Le radon est un gaz radioactif d’origine naturelle hautement cancérigène. 
  • – SPIRIT OF PROPHECY/Esprit de prophétie.
  • – APOCALYPSE ERRE
  • – APOCALYPTICO
  • – KHAZAR LISES
  • – WITCH HUNTER/Chasseur de sorcières
  • – COUNT ROSTOV
  • – SPIKE RAZZ/Razzia sur les pointes. Une allusion aux protéines Spike ?
  • – GLOBALE PASSION/Passion Mondiale
  • – SERAPHIM. Ce sont des anges cités dans la Bible, mais à ce niveau-là n’est-ce pas du blasphème ? 
  • – INFLATION. Ce cheval a couru une course en date du 10/02/2022 et est arrivé 2e à 50/1 sur seulement 8 partants, et ce avant que la guerre en Ukraine ne débute et qu’on ne parle d’inflation.
  • – JUPITER. C’est certain que c’est une allusion à la fiotte présidente française.
  • – DESIRA SWIFT. Depuis que le conflit Ukrainien a débuté ce cheval est apparu, SWIFT ?!
  • – DON BERTRAND. Aucun symbolisme occulte sur ce nom, mais ce cheval a gagné à 12/1 sur une course à 8 partants en date du 13 mai dans une course ou un autre cheval s’appelait « ÉTATIQUE » et DON BERTRAND appartient au fils de Valery Giscard d’Estaing.

En date du 04 mai dernier il y’a eu une course qui s’appelait « PRIX DU PONT DE NOTRE DAME » et curieusement dans cette course deux chevaux avaient « JUPITER » dans leurs noms dont le favori de la course, est-ce une allusion symbolique à la fiotte de macron et sa responsabilité sur l’incendie de notre dame en tant que président antiChristique ?


Courrier email :

Cette information n’a jamais été publiée nulle part, c’est le fruit d’un travail personnel. J’ai grandi dans le 93, et vous le savez bien dans les quartiers populaires ça fume des joints et joue au PMU.

J’ai découvert que France Galop (C’est le vrai propriétaire des courses hippiques en France, le PMU n’est qu’un bookmaker, d’ailleurs son propriétaire est la famille Rothschild… Ce n’est donc pas un hasard) était féru de symbolisme ésotérique, occulte, voir numérologie kabbalistique. Pire cela pourrait être un canal pour ces gens-là…

Voici les noms de chevaux à forte consonance symbolique :

  • True mason/Vrai maçon
  • Freemason/Franc maçon
  • Baal de pouline
  • Close border/Fermeture des frontières (48 heures avant la fermeture des frontières de l’espace Schengen suite à cette crise sanitaire)
  • Border control/Contrôle des frontières
  • Ésotérique (cheval qui appartenait à la famille Rothschild) tiens tiens…
  • Illuminati (ce n’était pas le nom du cheval, mais celui de l’entraîneur venu d’Italie pour une course en France)
  • Illuminati (le cheval)
  • M. Crowley
  • Satan
  • Lucifer posh girl/Lucifer chic fille
  • Ishtar
  • New world next/Nouveau monde suivant (ce cheval est apparu de nulle part il y’a environ 1 an en pleine crise sanitaire, est-ce un message subtil pour dire qu’on est rentré dans leur nouveau monde ?)
  • Big Brother
  • Presidencia (PresidenCIA ?)
  • Fox trotter (Une course au royaume uni diffusée en France). Sur une course à 9 partants [fox = 666 j’imagine que vous le savez] qui portait le numéro 6 et qui partait à la corde 6 qui gagne la course à la cote finale de 6,90/1 et pour finir, le clou du spectacle le jockey qui montait ce cheval a pour nom « Crowley » j’imagine aussi que vous savez le surnom d’Aleistair Crowley dans le milieu : the beast 666/la bête 666
  • Baphomet
  • Vampire Syrien (ce cheval a couru moins d’un an après le début de la guerre en Syrie et a très peu couru). La seule fois où ce cheval a été rémunérateur c’est sur une course à 13 partants avec un cashprize à 33k à se partager entre les 7 premiers, le nom de la course était lié à une entité de la mythologie germanique et il est arrivé 3e à la côte de 33/1 et le propriétaire s’appelait : ÉCURIE DE LA LOGE)
  • Pandemonium (celui-là est incroyable aussi)… c’était il y a environ 1 an, on était dans la réunion 3, course 3, et il portait le numéro 3 à Bordeaux — code postal 33. Vous avez du 33 à foison… et ça ne s’arrête pas là… Accrochez-vous ! … j’ai fait un calcul que je n’ai jamais fait de toute ma vie. J’ai été sur un site qui répertorie la carrière d’un canasson et j’ai calculé le nombre de jours entre sa toute première course de sa carrière et sa course du jour et BIMMMMMM ! 1666 jours séparaient ces deux dates… il a gagné tout seul… faut quand même le faire de tomber sur un 666 la seule et unique fois où j’entreprends ce type de calcul, qui plus est avec le nom qu’il a… « just insane » [complètement fou]. Un ami aussi m’a dit quelque chose de très pertinent aussi quand vous décortiquez l’étymologie de ce mot « pandemonium » de par les temps de pandémie qui courent… et aux premiers abords, si on ne connaît pas le sens de ce mot, mais étant un tant soit peu éveillé, on pourrait croire qu’ils ont ouvert la porte à la pandémie, alors que Pandémonium désigne la capitale imaginaire de l’enfer dans la littérature ou encore un lieu où règne un désordre/chaos infernal)
  • Global streaming/diffusion mondiale (celui-là aussi est particulier). On était en plein 1er confinement avec les mesures restrictives : hippodrome fermé en France, il était en galère de course ; donc ils ont diffusé des courses de l’étranger, genre Suède, etc… et concernant ce cheval, je n’ai aucun doute que ça soit un message, car le nom de la course c’était « Ultra secret » et c’est ce cheval qui gagne… qui plus est sur 9 partants il gagne à plus de 25/1… Comme je vous disais, je n’ai aucun doute sur le lien de causalité dans l’arrivée, le nom de la course et le cheval. Tenez par exemple, ça m’ai déjà arrivé de voir une course qui s’appelle « Prix du western » et celui qui gagne s’appelle « Shérif », entre autres.
  • Delta Planform en pleine pandémie Delta, et ironie du sort cheval déclaré non partant dans le courant de la journée, et pire : course annulée…
  • Fort Templiers (il gagne un 6 juin)
  • Démocrate (il gagne le quinté à plus de 70/1, 2 semaines avant le deuxième tour des élections américaines, avant que Biden le démocrate remporte les élections)
  • Insurrection
  • Hear the trumpet/entendre la trompette
  • Skull and bones
  • Les loges
  • Obama (il a gagné à 33/1 sur une course à seulement 8 partants au Royaume-Uni lors de la période d’élection de son premier mandat)
  • Marrakech express (y a-t-il un lien avec le Lolita express ? Quand on connaît Marrakech…)
  • MK’s Pride pour MK ultra ?
  • Georgia parcs (il court depuis peu et a gagné une course il y’a moins de 6 mois. Est-ce une allusion aux Georgia guidestones ?)
  • Before the storm (le fameux « calme avant la tempête » ?)
  • French Pegasus (un rapport avec le logiciel espion ?)
  • L’assaut six (un jolie 666 car ce cheval a gagné en suisse il y’a quelque temps, il partait à la corde 6 avec le numéro 6 avec ce nom et la cote finale de 6.6/1)
  • Zandvoort (l’affaire ?)

Une course avec un drôle de nom et une arrivée qu’il l’est tout autant :

Sur ce cas de figure, ce sont les 3 premiers arrivés et le nom de la course qui semblent vouloir dire quelque chose. On est en Argentine en pleine pandémie, avec les premiers vaccins en Israhell, Chili, etc. et l’arrivée c’est :

  • Quiet man/Homme silencieux
  • Global poderoso/Puissant mondial
  • Devil camp/Camp du diable

Avec la course qui s’appelait Premio Norimberga/Premier Nuremberg


Aussi le discours de Christine Lagarde concernant le chiffre 7 et la magie qui l’entoure est respecté dans ce secteur, car à chaque fois qu’un canasson a « Magic » dans son nom et qu’il porte le n° 7 il est très souvent à l’arrivée et ça ne me surprendrait pas d’un point de vue statistique que ça soit du 7 fois sur 10…


  • Insurrection
  • Standby for chaos/Dans l’attente du chaos
  • Electrical storm/Tempête électrique
  • Les loges. Je sais que j’ai déjà mentionné ce cheval plus haut, mais une course que ce dernier a gagnée cet été est bourrée de symboles. Ils ont essayé au mieux de noyer le poisson pour que ce cheval ne soit pas une évidence pour les joueurs, etc. cheval qui fait sa rentrée, le mouvement de la cote, le pronostic, etc…

Le nom de la course était : Prix de la confrérie des chevaliers. Oui, oui, vous avez bien lu : la CONFRÉRIE !!!??? On est sur la discipline du plat avec 8 partants. Les loges portait le numéro 7. Le 8 gagne la course à la plus grosse côte 18/1 et là, la fameuse sirène de l’enquête qui retentit à peine les chevaux passés la ligne d’arrivée. J’étais sur Marseille dans un café dans le quartier du panier, car j’étais en repos 2 jours consécutifs, travaillant dans la région de Gap dans un village vacances. J’ai dit à voix haute dans le café, comme avec certitude : ils vont viré le 8 pour faire passer le 7. Et c’est en effet ce qui s’est passé… En effet, le 8 a un peu gêné Les loges dans la ligne droite finale, mais pour moins que ça ils ne modifient pas l’arrivée… c’est eux la loi… Les affreux ne voulaient pas perdre la face par rapport à ce clin d’œil entre initiés.

Cela se voyait comme le nez au milieu de la figure qu’ils allaient modifier l’arrivée suite à la chronologie des évènements.

– la sirène qui retentit aussi tôt sur l’hippodrome ; je ne les ai jamais vus aussi réactifs.

– La raison invoquée de l’enquête c’est une réclamation, là aussi c’est une fumisterie. C’est impossible que la sirène retentisse aussi rapidement. Le temps que l’entourage du cheval aille voir les commissaires pour demander réclamation…

Non IL FALLAIT RESPECTER LE PLAN !!!! Les loges devaient gagner le prix de la confrérie des chevaliers.

Tous les chevaux que je vous ai cités sont pour la plupart rémunérateurs selon le contexte. C’est-à-dire qu’ils ne font pas que courir pour courir, mais gagnent 8 fois sur 10.

Je ne suis pas collé aux courses 24 h/24 h, donc j’en ai très certainement oublié, d’autant plus que c’est un secteur où je n’y prête plus attention, et que j’ai tout en tête, car aucune note.

Je suis conscient qu’il y a une actualité plus brûlante et prioritaire concernant ce que l’on vit que ce symbolisme, mais ça serait bien qu’il y ait une trace quelque part avant le chaos, qu’en pensez-vous ?

Dans l’attente de votre retour, prenez soin de vous.

Très sincèrement,

<Anonyme> [L’auteur souhaite conserver l’anonymat]




Le Russe Sergey Glazyev présente le nouveau système financier mondial

[Source : RI]

Par Pepe Escobar.

Le nouveau système monétaire mondial, soutenu par une monnaie numérique, sera adossé à un panier de nouvelles monnaies étrangères et de ressources naturelles. Et il libérera le Sud global de la dette occidentale et de l’austérité imposée par le FMI.

Sergey Glazyev est un homme qui vit en plein dans l’œil du cyclone géopolitique et géoéconomique actuel. L’un des économistes les plus influents au monde, membre de l’Académie des sciences russe et ancien conseiller du Kremlin de 2012 à 2019, il dirige depuis trois ans le portefeuille super stratégique de Moscou en tant que ministre chargé de l’Intégration et de la Macroéconomie de l’Union économique eurasiatique (UEE).

La production intellectuelle récente de Glazyev n’est rien moins que transformatrice, comme en témoignent son essai intitulé « Sanctions et souveraineté » et une discussion approfondie sur le nouveau paradigme géoéconomique émergent dans une interview accordée à un magazine économique russe.

Dans un autre de ses récents essais, Glazyev explique que « j’ai grandi à Zaporozhye, près de laquelle de violents combats ont lieu actuellement pour détruire les nazis ukrainiens, qui n’ont jamais existé dans ma petite patrie. J’ai étudié dans une école ukrainienne et je connais bien la littérature ukrainienne et la langue ukrainienne, qui, d’un point de vue scientifique, est un dialecte du russe. Je n’ai rien remarqué de russophobe dans la culture ukrainienne. Pendant les 17 années de ma vie à Zaporozhye, je n’ai jamais rencontré un seul banderiste ».

Glazyev a eu la gentillesse de prendre un peu de temps sur son emploi du temps chargé pour répondre en détail à une première série de questions dans ce qui devrait devenir une conversation permanente, particulièrement axée sur le Sud global. Il s’agit de sa première interview avec une publication étrangère depuis le début de l’Opération Z. Merci à Alexey Subottin pour la traduction russe-anglais.

The Cradle : Vous êtes à l’avant-garde d’un développement géoéconomique qui change la donne : la conception d’un nouveau système monétaire/financier par le biais d’une association entre l’UEE et la Chine, en contournant le dollar américain, dont le projet sera bientôt achevé. Pourriez-vous nous présenter certaines des caractéristiques de ce système – qui n’est certainement pas un Bretton Woods III – mais qui semble être une alternative claire au consensus de Washington et très proche des besoins du Sud global ?

Glazyev : Dans un accès d’hystérie russophobe, l’élite dirigeante des États-Unis a joué son dernier « atout » dans la guerre hybride contre la Russie. Après avoir « gelé » les réserves de change russes sur les comptes de dépôt des banques centrales occidentales, les régulateurs financiers des États-Unis, de l’UE et du Royaume-Uni ont sapé le statut du dollar, de l’euro et de la livre en tant que monnaies de réserve mondiales. Cette mesure a fortement accéléré le démantèlement en cours de l’ordre économique mondial fondé sur le dollar.

Il y a plus d’une décennie, mes collègues du Forum économique d’Astana et moi-même avons proposé de faire la transition vers un nouveau système économique mondial fondé sur une nouvelle monnaie d’échange synthétique basée sur un indice des monnaies des pays participants. Plus tard, nous avons proposé d’élargir le panier de devises sous-jacent en y ajoutant une vingtaine de produits de base négociés en bourse. Une unité monétaire basée sur un tel panier élargi a été modélisée mathématiquement et a démontré un haut degré de résilience et de stabilité.

À peu près au même moment, nous avons proposé de créer une large coalition internationale de résistance dans la guerre hybride pour la domination mondiale que l’élite financière et au pouvoir des États-Unis a déclenchée sur les pays qui restaient hors de son contrôle. Mon livre « La dernière guerre mondiale : les États-Unis pour bouger et perdre », publié en 2016, expliquait scientifiquement la nature de cette guerre à venir et plaidait pour son caractère inévitable – une conclusion fondée sur les lois objectives du développement économique à long terme. Sur la base de ces mêmes lois objectives, le livre argumentait l’inévitabilité de la défaite de l’ancienne puissance dominante.

Actuellement, les États-Unis se battent pour maintenir leur domination, mais, tout comme la Grande-Bretagne auparavant, qui a provoqué deux guerres mondiales mais n’a pas pu conserver son empire et sa position centrale dans le monde en raison de l’obsolescence de son système économique colonial, ils sont destinés à échouer. Le système économique colonial britannique basé sur l’esclavage a été dépassé par les systèmes économiques structurellement plus efficaces des États-Unis et de l’URSS. Les États-Unis et l’URSS étaient tous deux plus efficaces dans la gestion du capital humain au sein de systèmes verticalement intégrés, qui divisaient le monde en zones d’influence. Une transition vers un nouvel ordre économique mondial a commencé après la désintégration de l’URSS. Cette transition arrive maintenant à son terme avec la désintégration imminente du système économique mondial basé sur le dollar, qui a servi de base à la domination mondiale des États-Unis.

Le nouveau système économique convergent qui a émergé en RPC (République populaire de Chine) et en Inde est la prochaine étape inévitable du développement, combinant les avantages de la planification stratégique centralisée et de l’économie de marché, ainsi que du contrôle étatique de l’infrastructure monétaire et physique et de l’esprit d’entreprise. Le nouveau système économique a uni les différentes couches de leurs sociétés autour de l’objectif d’accroître le bien-être commun d’une manière sensiblement plus forte que les alternatives anglo-saxonnes et européennes. C’est la principale raison pour laquelle Washington ne sera pas en mesure de gagner la guerre hybride mondiale qu’il a déclenchée. C’est aussi la raison principale pour laquelle le système financier mondial actuel, centré sur le dollar, sera remplacé par un nouveau système, fondé sur un consensus des pays qui rejoindront le nouvel ordre économique mondial.

Dans la première phase de la transition, ces pays se contentent d’utiliser leurs monnaies nationales et leurs mécanismes de compensation, soutenus par des échanges bilatéraux de devises. À ce stade, la formation des prix est encore principalement déterminée par les prix des différentes bourses, libellés en dollars. Cette phase est presque terminée : après le « gel » des réserves de la Russie en dollars, en euros, en livres et en yens, il est peu probable qu’un pays souverain continue à accumuler des réserves dans ces monnaies. Les monnaies nationales et l’or les remplacent immédiatement.

La deuxième étape de la transition impliquera de nouveaux mécanismes de fixation des prix qui ne font pas référence au dollar. La formation des prix en monnaies nationales implique des frais généraux substantiels, mais elle restera plus attrayante que la fixation des prix en monnaies « non ancrées » et traîtresses comme le dollar, la livre, l’euro et le yen. La seule monnaie mondiale candidate restante – le yuan – ne prendra pas leur place en raison de son inconvertibilité et de l’accès externe restreint aux marchés de capitaux chinois. L’utilisation de l’or comme référence de prix est limitée par les inconvénients de son utilisation pour les paiements.

La troisième et dernière étape de la transition vers le nouvel ordre économique impliquera la création d’une nouvelle monnaie de paiement numérique fondée sur un accord international reposant sur des principes de transparence, d’équité, de bonne volonté et d’efficacité. Je m’attends à ce que le modèle d’une telle unité monétaire que nous avons développé joue son rôle à ce stade. Une telle monnaie peut être émise par un panier de réserves monétaires des pays BRICS, auquel tous les pays intéressés pourront adhérer. Le poids de chaque monnaie dans le panier pourrait être proportionnel au PIB de chaque pays (sur la base de la parité du pouvoir d’achat, par exemple), à sa part dans le commerce international, ainsi qu’à la taille de la population et du territoire des pays participants.

En outre, le panier pourrait contenir un indice des prix des principales matières premières négociées en bourse : or et autres métaux précieux, principaux métaux industriels, hydrocarbures, céréales, sucre, ainsi que l’eau et autres ressources naturelles. Pour soutenir la monnaie et la rendre plus résistante, des réserves de ressources internationales pertinentes peuvent être créées en temps voulu. Cette nouvelle monnaie serait utilisée exclusivement pour les paiements transfrontaliers et émise en faveur des pays participants sur la base d’une formule prédéfinie. Les pays participants utiliseraient plutôt leurs monnaies nationales pour la création de crédits, afin de financer les investissements nationaux et l’industrie, ainsi que pour les réserves de richesse souveraine. Les flux transfrontaliers du compte de capital resteraient régis par les réglementations des monnaies nationales.

The Cradle : Michael Hudson demande spécifiquement que si ce nouveau système permet aux nations du Sud global de suspendre la dette dollarisée et qu’il est basé sur la capacité de payer (en devises étrangères), ces prêts peuvent-ils être liés à des matières premières ou, pour la Chine, à une participation tangible dans les infrastructures financées par le crédit étranger en non-dollar ?

Glazyev : La transition vers le nouvel ordre économique mondial sera probablement accompagnée d’un refus systématique d’honorer les obligations en dollars, en euros, en livres et en yens. À cet égard, ce ne sera pas différent de l’exemple donné par les pays émetteurs de ces monnaies qui ont jugé bon de voler les réserves de change de l’Irak, de l’Iran, du Venezuela, de l’Afghanistan et de la Russie à hauteur de milliers de milliards de dollars. Puisque les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Union européenne et le Japon ont refusé d’honorer leurs obligations et ont confisqué les richesses des autres nations détenues dans leurs devises, pourquoi les autres pays devraient-ils être obligés de les rembourser et d’honorer leurs prêts ?

En tout état de cause, la participation au nouveau système économique ne sera pas limitée par les obligations de l’ancien système. Les pays du Sud peuvent être des participants à part entière du nouveau système, quelles que soient leurs dettes accumulées en dollars, en euros, en livres et en yens. Même s’ils devaient manquer à leurs obligations dans ces monnaies, cela n’aurait aucune incidence sur leur cote de crédit dans le nouveau système financier. De même, la nationalisation de l’industrie extractive ne provoquerait pas de perturbation. En outre, si ces pays réservaient une partie de leurs ressources naturelles pour soutenir le nouveau système économique, leur poids respectif dans le panier de devises de la nouvelle unité monétaire augmenterait en conséquence, ce qui permettrait à cette nation de disposer de réserves de devises et d’une capacité de crédit plus importantes. En outre, des lignes de swap bilatérales avec les pays partenaires commerciaux leur fourniraient un financement adéquat pour les co-investissements et le financement du commerce.

The Cradle : Dans l’un de vos derniers essais, « L’économie de la victoire russe », vous appelez à « une formation accélérée d’un nouveau paradigme technologique et à la formation des institutions d’un nouvel ordre économique mondial ». Parmi les recommandations, vous proposez spécifiquement la création « d’un système de paiement et de règlement dans les monnaies nationales des États membres de l’UEE » et le développement et la mise en œuvre « d’un système indépendant de règlements internationaux dans l’UEE, l’OCS et les BRICS, qui pourrait éliminer la dépendance critique du système SWIFT contrôlé par les États-Unis ». Est-il possible de prévoir un effort conjoint concerté de l’UEE et de la Chine pour « vendre » le nouveau système aux membres de l’OCS, aux autres membres des BRICS, aux membres de l’ANASE et aux nations d’Asie occidentale, d’Afrique et d’Amérique latine ? Et cela débouchera-t-il sur une géo-économie bipolaire – l’Ouest contre le Reste ?

Glazyev : En effet, c’est la direction dans laquelle nous nous dirigeons. Il est décevant de constater que les autorités monétaires russes font toujours partie du paradigme de Washington et jouent selon les règles du système basé sur le dollar, même après que les réserves de change russes aient été capturées par l’Occident. Les « agents d’influence » occidentaux contrôlent toujours les banques centrales de la plupart des pays, les obligeant à appliquer les politiques suicidaires prescrites par le FMI. Cependant, ces politiques sont à ce stade si manifestement contraires aux intérêts nationaux de ces pays non occidentaux que leurs autorités s’inquiètent à juste titre de leur sécurité financière.

Vous soulignez à juste titre les rôles potentiellement centraux de la Chine et de la Russie dans la genèse du nouvel ordre économique mondial. Malheureusement, la direction actuelle de la BCR (Banque centrale de Russie) reste coincée dans le cul-de-sac intellectuel du paradigme de Washington et est incapable de devenir un partenaire fondateur dans la création d’un nouveau cadre économique et financier mondial. Dans le même temps, la BCR a déjà dû faire face à la réalité et créer un système national de messagerie interbancaire qui ne dépend pas de SWIFT, et l’a également ouvert aux banques étrangères. Des lignes de swap inter-devises ont déjà été mises en place avec les principales nations participantes. La plupart des transactions entre les États membres de l’UEE sont déjà libellées dans les monnaies nationales et la part de ces dernières dans le commerce intérieur augmente à un rythme rapide.

Une transition similaire est en cours dans les échanges avec la Chine, l’Iran et la Turquie. L’Inde a indiqué qu’elle était prête à passer elle aussi à des paiements en monnaies nationales. Beaucoup d’efforts sont déployés pour développer des mécanismes de compensation pour les paiements en monnaie nationale. Parallèlement, des efforts sont en cours pour développer un système de paiement numérique non bancaire, qui serait lié à l’or et à d’autres matières premières négociées en bourse – les « stablecoins ».

Les récentes sanctions américaines et européennes imposées aux circuits bancaires ont entraîné une augmentation rapide de ces efforts. Le groupe de pays travaillant sur le nouveau système financier n’a plus qu’à annoncer l’achèvement du cadre et la préparation de la nouvelle monnaie commerciale et le processus de formation du nouvel ordre financier mondial s’accélérera encore à partir de là. La meilleure façon de le faire serait de l’annoncer lors des réunions régulières de l’OCS ou des BRICS. Nous y travaillons.

The Cradle : C’est une question absolument essentielle dans les discussions des analystes indépendants à travers l’Occident. La Banque centrale russe a-t-elle conseillé aux producteurs d’or russes de vendre leur or sur le marché de Londres pour obtenir un prix plus élevé que celui que le gouvernement ou la Banque centrale russe paierait ? N’y avait-il aucune anticipation que la future alternative au dollar américain devra être basée en grande partie sur l’or ? Comment qualifieriez-vous ce qui s’est passé ? Quels dommages concrets cela a-t-il infligé à l’économie russe à court et à moyen terme ?

Glazyev : La politique monétaire de la BCR, mise en œuvre conformément aux recommandations du FMI, a été dévastatrice pour l’économie russe. Les désastres combinés du « gel » d’environ 400 milliards de dollars de réserves de change et de plus d’un billiard de dollars siphonnés de l’économie par les oligarques vers des destinations offshore occidentales, se sont produits dans le contexte de politiques tout aussi désastreuses de la BCR, qui comprenaient des taux réels excessivement élevés combinés à un flottement géré du taux de change. Nous estimons que cela a entraîné un sous-investissement d’environ 20 billiards de roubles et une sous-production de biens d’environ 50 billiards de roubles.

Suivant les recommandations de Washington, la BCR a cessé d’acheter de l’or au cours des deux dernières années, obligeant de fait les mineurs d’or nationaux à exporter la totalité de leur production, soit 500 tonnes d’or. De nos jours, l’erreur et le préjudice que cela a causé sont tout à fait évidents. Aujourd’hui, la BCR a repris ses achats d’or et, espérons-le, poursuivra des politiques saines dans l’intérêt de l’économie nationale, au lieu de « cibler l’inflation » au profit des spéculateurs internationaux, comme cela a été le cas au cours de la dernière décennie.

The Cradle : La Fed ainsi que la BCE n’ont pas été consultées sur le gel des réserves étrangères russes. On dit à New York et à Francfort qu’elles s’y seraient opposées si on leur avait demandé. Vous attendiez-vous personnellement à ce gel ? Et les dirigeants russes s’y attendaient-ils ?

Glazyev : Mon livre, La dernière guerre mondiale, que j’ai déjà mentionné, et qui a été publié dès 2015, soutenait que la probabilité que cela se produise finalement était très élevée. Dans cette guerre hybride, la guerre économique et la guerre informationnelle/cognitive sont les théâtres clés du conflit. Sur ces deux fronts, les États-Unis et les pays de l’OTAN ont une supériorité écrasante et je n’avais aucun doute sur le fait qu’ils en tireraient pleinement parti en temps voulu.

Je plaide depuis longtemps pour le remplacement des dollars, des euros, des livres et des yens dans nos réserves de change par de l’or, qui est produit en abondance en Russie. Malheureusement, les agents d’influence occidentaux qui occupent des postes clés dans les banques centrales de la plupart des pays, ainsi que les agences de notation et les principales publications, ont réussi à faire taire mes idées. Pour vous donner un exemple, je ne doute pas que des fonctionnaires de haut rang de la Fed et de la BCE aient participé à l’élaboration des sanctions financières anti-russes. Ces sanctions n’ont cessé de s’intensifier et ont été mises en œuvre presque instantanément, malgré les difficultés bien connues de la prise de décision bureaucratique dans l’UE.

The Cradle : Elvira Nabiullina a été reconfirmée à la tête de la Banque centrale russe. Que feriez-vous différemment, par rapport à ses précédentes actions ? Quel est le principal principe directeur de vos différentes approches ?

Glazyev : La différence entre nos approches est très simple. Ses politiques sont une mise en œuvre orthodoxe des recommandations du FMI et des dogmes du paradigme de Washington, tandis que mes recommandations sont fondées sur la méthode scientifique et les preuves empiriques accumulées au cours des cent dernières années dans les principaux pays.

The Cradle : Le partenariat stratégique Russie-Chine semble de plus en plus inébranlable – comme les présidents Poutine et Xi eux-mêmes ne cessent de le réaffirmer. Pourtant, des voix s’élèvent contre lui, non seulement à l’Ouest, mais aussi dans certains cercles politiques russes. Dans cette conjoncture historique extrêmement délicate, dans quelle mesure la Chine est-elle un allié fiable pour la Russie ?

Glazyev : Le fondement du partenariat stratégique russo-chinois repose sur le bon sens, les intérêts communs et l’expérience de la coopération depuis des centaines d’années. L’élite dirigeante américaine a lancé une guerre hybride mondiale visant à défendre sa position hégémonique dans le monde, en ciblant la Chine comme principal concurrent économique et la Russie comme principale force de contrepoids. Au départ, les efforts géopolitiques des États-Unis visaient à créer un conflit entre la Russie et la Chine. Les agents de l’influence occidentale amplifiaient les idées xénophobes dans nos médias et bloquaient toute tentative de transition vers des paiements en monnaies nationales. Du côté chinois, les agents de l’influence occidentale poussaient le gouvernement à se conformer aux exigences des intérêts américains.

Cependant, les intérêts souverains de la Russie et de la Chine ont logiquement conduit à leur partenariat stratégique et à leur coopération croissants, afin de faire face aux menaces communes émanant de Washington. La guerre tarifaire américaine contre la Chine et la guerre des sanctions financières contre la Russie ont validé ces préoccupations et démontré le danger clair et présent auquel nos deux pays sont confrontés. Des intérêts communs de survie et de résistance unissent la Chine et la Russie, et nos deux pays sont largement symbiotiques sur le plan économique. Ils se complètent et accroissent leurs avantages concurrentiels respectifs. Ces intérêts communs persisteront sur le long terme.

Le gouvernement et le peuple chinois se souviennent très bien du rôle de l’Union soviétique dans la libération de leur pays de l’occupation japonaise et dans l’industrialisation de la Chine après la guerre. Nos deux pays ont une base historique solide pour un partenariat stratégique et nous sommes destinés à coopérer étroitement dans nos intérêts communs. J’espère que le partenariat stratégique entre la Russie et la RPC, qui est renforcé par le couplage de l’Initiative Ceinture et Route et de l’Union économique eurasiatique, deviendra le fondement du projet du président Vladimir Poutine de grand partenariat eurasiatique et le noyau du nouvel ordre économique mondial.

Pepe Escobar

source : The Cradle

traduction Réseau International




Coup de grâce

[Source : regischamagne.fr]

Par Régis Chamagne.

L’annonce par Vladimir Poutine que les contrats de vente de matières premières russes vers les pays occidentaux seront honorés à condition d’être payés en roubles est arrivée peu de temps après que la Russie ait utilisé pour la première fois des missiles hypersoniques dans sa guerre en Ukraine. Il n’y a pas de hasard.

Déjà, début septembre 2013, j’avais relevé que le président chinois Xi Jinping avait déclaré qu’il fallait dédollariser l’économie mondiale quelques jours après que des missiles S-300 russes, tirés depuis des navires sillonnant en Méditerranée orientale, avaient intercepté des missiles américains tirés contre la Syrie. À cette époque, je l’avais analysé comme la combinaison de la puissance militaire russe et de la puissance économique chinoise pour contrer l’hégémonie américaine.

Pour bien comprendre ce qui se passe en ce moment, il faut peut-être revenir sur deux notions : la notion de puissance comme moteur de la stratégie et la notion de système.

[Voir aussi :
Vie et mort des systèmes
et
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

La puissance comme moteur de la stratégie

À propos de stratégie, le général Poirier présente la notion de stratégie intégrale d’État comme la « théorie et pratique de l’ensemble des forces de toute nature, actuelles et potentielles, résultant de l’activité nationale, elle a pour but d’accomplir l’ensemble des fins définies par la politique générale. Elle associe les résultats des trois stratégies économique, culturelle et militaire dans une unité de pensée et d’action qui combine et leurs buts et leurs voies et moyens. »

Pour s’exercer, la stratégie intégrale d’État s’appuie donc sur des capacités (les moyens) qui permettent de développer le cas échéant une certaine puissance (les voies). Ainsi, les capacités constituent le socle à partir duquel une certaine puissance peut être mise en œuvre. Constituer des capacités est un travail de long terme ; exercer sa puissance est question de circonstances. On peut formuler cela différemment : constituer des capacités, c’est accumuler de l’énergie potentielle ; exercer sa puissance, c’est transformer l’énergie potentielle en énergie dynamique en tant que de besoin.

Le système

Il existe une littérature sur la systémique théorique relativement abondante, dont les deux ouvrages de référence : « Théorie générale des systèmes » de Ludwig von Bertalanffy et « Théorie du système général » de Jean-Louis Le Moigne. La notion de système a été exprimée de différentes façons. Pour ma part, je retiendrai une définition qui en combine plusieurs : « Un système est un ensemble d’éléments en interaction dynamique, organisés en fonction d’un but, et immergés dans un environnement. » La complexité d’un système varie avec le nombre d’interactions, de liens entre les éléments.

Le but en fonction duquel les éléments sont organisés est la raison d’être du système en question, son cœur existentiel en quelques sortes. C’est à partir de la compréhension du but que l’on peut classer les éléments du système par ordre d’importance, que l’on peut les hiérarchiser. En effet, une des caractéristiques des systèmes est qu’ils sont hiérarchisés, et plus un système est complexe, plus il est hiérarchisé. Le ou les centres de gravité du système, selon l’expression de Carl von Klausewitz, sont les éléments les plus élevés dans la hiérarchie du système, ceux qui sont directement reliés au but du système, donc à son existence même.

À ce stade, et avant d’analyser la confrontation des volontés en cours, on peut dire que le but du système anglo-américain et celui du système russe sont différents et d’ailleurs cela se manifeste de manière éclatante à travers la nature des propagandes de part et d’autre. Il est important de comprendre cela.

Pour finir avec la notion de système, il convient d’introduire les notions de dangerosité, de fragilité et de vulnérabilité. Un élément dangereux est un élément qui, s’il disparaît ou s’affaiblit, met en jeu la survie du système, au bout d’un certain temps ; il est lié à la notion de centre de gravité, soit directement, soit indirectement. Un élément fragile est un élément qui peut facilement se rompre. Lorsqu’un élément dangereux est à la fois fragile, on a alors affaire à une vulnérabilité du système.

Dans la situation d’une confrontation des volontés, un bon stratège aura analysé l’adversaire correctement, c’est-à-dire identifié ses centres de gravité, et aura accumulé suffisamment d’énergie potentielle pour, le moment venu, la transformer en énergie dynamique afin d’être en mesure de fragiliser les éléments dangereux du système adverse. C’est ce qu’ont fait les adversaires des États-Unis depuis au moins quinze ans (Russie, Chine, Iran…). C’est ce que n’ont pas fait les dirigeants occidentaux (banques et multinationales) pendant tout ce temps, par autosatisfaction, aveuglement, manque d’intelligence ou simplement paresse.

Deux systèmes, deux visions, une confrontation

Schématiquement, on pourrait résumer les buts des deux systèmes qui s’opposent de la façon suivante :

• S’agissant du système mené par les États-Unis : « Dominer le monde ». Les outils pour atteindre ce but sont la globalisation économique et consubstantiellement la disparition des États-nations (à l’instar de l’UE), la maîtrise de la monnaie grâce au dollar, à la City, à Wall Street et aux paradis fiscaux, et la suprématie militaire pour imposer tout cela. Le centre de gravité de ce système est l’argent, véritable dieu avec ses églises et ses prêtres.

• S’agissant du système concurrent : « Se protéger pour maintenir son identité », ce qui implique un monde multipolaire et des règles de sécurité globale. Les instruments pour réaliser cet objectif sont des partenariats multiples grâce à des institutions telles que l’OCS, les BRICS, l’EAEU ou encore l’ASEAN, une autonomie énergétique, alimentaire et financière et un système éducatif (écoles et université) performant grâce à des États centralisés. Le centre de gravité de ce système est la, ou plutôt les civilisations.

Tandis que les adversaires des États-Unis ont analysé correctement le système anglo-américain, en ont tiré les enseignements qu’il convient et ont amassé de l’énergie potentielle ciblée pouvant être transformée au moment adéquat, les « élites » américaines ont analysé leurs adversaires (pays récalcitrants face à leur but) à l’aune de ce qu’ils sont, ce qui est une faute stratégique, mais cela s’explique.

Dans un livre intitulé « Pourquoi le monde déteste-t-il l’Amérique ? » paru en 2002, après le 11/09/2001, un chapitre porte le titre « L’Amérique est le monde, et le monde est l’Amérique ». Les auteurs écrivent : « L’Amérique ne se présente donc pas comme une puissance impériale surannée en quête de sphères d’influence et en concurrence avec d’autres empires ; elle est une hyperpuissance qui n’a pas d’égale […] Si le monde est l’Amérique, il s’ensuit que les intérêts de l’Amérique sont forcément les intérêts du monde. Et que ceux qui agissent contre les intérêts, la culture ou la vision du monde de l’Amérique attentent en réalité au bien-être et à la sécurité de la planète. »

La combinaison de suprémacisme et du sentiment du destin manifeste (à cet égard, lire « Dieu est américain – De la théodémocratie aux États-Unis » de Jean-François Colosimo) a maintenu les « élites » américaines dans un fantasme qui, se heurtant de plus en plus souvent à la réalité des événements et des situations, a été compensé par une propagande chaque jour plus violente et idiote, propagande destinée avant tout à eux-mêmes. Corrélativement, n’ayant pas analysé correctement leurs adversaires, ils n’ont pas senti le moment où ils allaient trop loin et où ils touchaient à la raison d’être du système adverse. Ils n’ont donc pas pu anticiper la réaction de leurs adversaires. Et le pire, c’est qu’ils n’ont toujours pas compris que la Chine, l’Inde, les pays d’Afrique, d’Amérique latine, du Moyen-Orient et d’Asie du Sud-Est n’attendaient que cela. Ils continuent à essayer d’imposer leurs décisions au reste de la planète tandis que celle-ci attend patiemment la fin de la partie et l’effondrement de la puissance américaine… Aveugles jusqu’au bout ! Cet effondrement est en cours.

L’effondrement

Le 26 mars 2018, dans un article intitulé « Une so british hystérie », j’écrivais ceci : « Le système SWIFT : “Society for Worldwide Interbank Financial Telecommunication” est un système de communication internationale qui permet aux banques de faire des transferts électroniques entre elles. Il est contrôlé par les États-Unis et la Grande-Bretagne, ce qui leur donne toutes les informations stratégiques sur les politiques des banques dans le monde entier. À la suite d’une attaque contre une banque russe via SWIFT, la Russie a développé son propre système interbancaire. La suite logique est que l’abandon de SWIFT par les BRICS, puis par d’autres pays, n’est qu’une question de temps. »

L’annonce récente de Vladimir Poutine au sujet du paiement en roubles des ressources russes annonce la fin du dollar en même temps qu’un processus en cours. L’Allemagne a beau s’insurger contre une rupture de contrat, le rouleau compresseur de l’Histoire est en marche, et nous sommes du mauvais côté.

Voici ce qu’écrit Godfree Roberts dans le Saker :

« Le 1er avril, la Chine et l’Union économique eurasienne — Russie, Arménie, Biélorussie, Kazakhstan et Kirghizistan — dévoileront un système monétaire et financier international indépendant. Il sera basé sur une nouvelle monnaie internationale, calculée à partir d’un indice des monnaies nationales des pays participants et des prix internationaux des matières premières.

Les DTS (Droits de Tirage Spéciaux) s’inspirent de l’invention de John Maynard Keynes, une monnaie synthétique qui tire sa valeur d’un vaste panier mondial et public de devises et de matières premières. Totalement résistante à la manipulation, elle est aussi stable que l’est une pyramide.

Les DTS constituent une alternative attrayante au dollar américain qui est devenu toxique pour l’EAEU, les 143 États membres de la BRI, l’Organisation de Coopération de Shanghai (OCS), l’ASEAN et le RCEP, organisations dont aucune ne compte les États-Unis parmi ses membres et toutes comptent la Russie parmi ses membres, à part entière ou en tant que correspondant.

Le fait que l’EAEU, la BRI, l’OCS, l’ASEAN et le RCEP discutaient déjà d’une fusion avant l’opération en Ukraine n’en est que plus amusant.

Je prédis une proche mutinerie monétaire. »

Et maintenant ?

La question qui reste est : quelle forme va prendre l’effondrement ?

Je vois deux scénarios extrêmes :

  • Un effondrement économique extrêmement brutal aux États-Unis qui provoquera une guerre civile. Un grand procès de Nuremberg N.° 2 pour juger les crimes commis au nom de la démocratie et des droits de l’Homme depuis au moins trente ans.
  • Une reddition sans condition des pays occidentaux, à commencer par ceux de l’UE, le Japon, la Corée du Sud et l’Australie amenant à un atterrissage sans trop de douleur.

Entre ces deux scénarios extrêmes, toutes les spéculations sont possibles. Ce qui est certain, c’est que nous allons nous régaler à observer les retournements de veste en cascade et le bal des cons.




Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul !

Par Alain Tortosa

Face au variant Delta une seule solution : la plume dans le cul ! L’heure n’est plus à la frilosité, mettons une plume dans le cul à nos enfants !

Dès septembre 2020 je suggérais que nous luttions efficacement comme le « Fléau » en nous mettant une plume dans le cul… Hélas, les autorités qui ont toujours une longueur de retard face à ce virus « diabolique », comme le disait si justement le professeur Delfraissy, ne prennent pas les bonnes décisions en temps et en heure.

Et cela se confirme avec cette explosion de tests effectués pour lutter contre le variant Delta, qui, selon les dernières données officielles du réseau sentinelle, se traduit par un taux d’incidence de 19 malades pour 100 000 habitants.

Rendez-vous compte que si nous avions 10 fois plus de cas, nous pourrions vivre une épidémie de Covid !

Ceci sans compter sur le fait que 2221 personnes sont comptabilisées en soin critique en France au 4 septembre (données geodes).

Nous sommes au bord de la saturation ! Les personnes positives au variant Delta, qu’elles soient en soin critique pour des raisons de Covid ou autres pathologies, occupent officiellement désormais un peu plus de 11 %, rendez-vous compte, 11 % des lits de soins critiques disponibles en France, c’est dire l’urgence de la situation.

Je ne résiste pas non plus au plaisir de faire référence aux « excellents journalistes » de Libération qui ont eu une analyse extrêmement fine, intelligente et honnête de la situation. Ils nous ont brillamment expliqué que plus il y aura de vaccinés et plus, mathématiquement, il y aura de personnes vaccinées hospitalisées pour Covid… Et c’est logique, car plus il y a de personnes protégées et plus il y a d’hospitalisations de vaccinés pour Covid et d’autant plus que le vaccin est efficace à 90 %, non ?

Il faudrait vraiment être stupide et de mauvaise foi pour ne pas comprendre que plus on augmente le nombre de vaccinés, plus les non-vaccinés menacent les vaccinés dont le vaccin est efficace.

C’est ce que vit Israël, le vaccin est tellement « efficace », le nombre de vaccinés est tellement important que la proportion et le nombre absolu de vaccinés à l’hôpital ne fait que croître !

Je dois avouer humblement que je n’ai pas leur intelligence et je n’aurais pas eu l’idée lumineuse de me dire :

« Les gars, vous voyez bien que plus nous vaccinons et plus nous avons de malades, nous allons donc imposer une 3e dose ! »

Et là où ça touche au génie, c’est que c’est le même vaccin que pour les deux premières doses !

C’est comme si les spécialistes du vaccin contre la grippe annonçaient :

« Nous avons un nouveau variant qui arrive pour la prochaine saison de grippe, nous allons donc resservir le vaccin de l’année dernière, mais en augmentant les tarifs de 20 % pour frais d’adaptation que nous n’avons pas fait. »

Voilà je voulais donc profiter de mon texte pour remercier Libé qui nous éclaire chaque jour…

J’ai bien compris que si demain 100 % de la population était vaccinée, alors « nos hôpitaux seraient saturés de malades Covid protégés par un vaccin efficace à 90 % ».  Tous les spécialistes médiatiques et au-delà de tout soupçon de conflits d’intérêts et qui nous avaient vendu le vaccin comme le « retour à la vie normale » sont unanimement d’accord pour dire qu’il faut plus que jamais appliquer les gestes barrières et bien sûr porter le masque dont nous ne pouvons pas douter de « l’efficacité ».

Il suffit pour cela de regarder l’historique de l’obligation de port du masque en France pour constater que plus il a été obligatoire et plus les contaminations se sont mises à croître, preuve de « l’efficacité » dont nous ne pourrions pas douter !

Donc l’heure est grave mes amis ! Nous ne sommes plus là à rigoler ! Nous devons prendre le taureau par les cornes !

Certains d’entre-vous, naïfs, avaient souri, voire s’étaient moqué de moi, lorsque l’année dernière j’avais suggéré que l’on impose le port de la plume dans le cul pour faire reculer l’épidémie.

Ah ! vous rigolez moins maintenant que la situation est devenue d’autant plus catastrophique que la vaccination a massivement progressé !

Voici donc un rappel de mon texte de septembre 2020

Plusieurs études suggèrent qu’il pourrait y avoir une transmission fécale du Covid et même qu’elle serait possible par les flatulences… (voir sources).

Des études suggèrent que l’électricité statique pourrait jouer un rôle dans l’efficacité de filtration des virus (voir sources).

Nous savons tous que les plumes, lorsqu’elles sont agitées, génèrent de l’électricité statique… (voir sources).

« On estime qu’un être humain produit entre 10 et 25 flatulences, soit 0,5 à 1,5 litre de gaz par jour. Il s’agit d’une estimation moyenne »

Source allodocteur.

Je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je veux participer à cette noble lutte contre ce virus qui ne tue que les personnes ayant des pathologies très graves ou à l’espérance de vie de quelques mois à qui l’on refuse tout traitement…

Je comprends bien qu’il serait ridicule de prendre des mesures pour protéger les personnes à risque et qu’il est totalement logique de faire porter le masque aux personnes en bonne santé et limiter au maximum leurs libertés, les injecter et tuer l’économie et les droits de l’homme…

Il faudrait être sacrément stupide pour imaginer une politique inverse…

Vous imaginez une politique dans laquelle :

  • Les personnes qui ne sont pas à risque sont invitées à faire circuler le virus, ne doivent surtout pas porter de masque, doivent vivre normalement et sauver l’économie et les droits de l’homme ?
  • Et dans le même temps, tester, isoler, protéger, faire des campagnes de prévention, soigner, les personnes à risque ?

RI-DI-CU-LE…

J’ai donc eu l’idée d’étudier d’un point de vue scientifique le dispositif suivant pour lutter contre cet odieux virus pour lequel, rappelons-le « il n’existe AUCUN traitement » (Si, si, les « vrais » experts le disent).

Certains internautes avaient d’instinct imaginé que la plume dans le cul pouvait être une solution et j’ai donc « creusé » l’idée d’un point de vue scientifique.

Je pense qu’il faudrait étudier puis imposer dès 6 ans la plume dans le cul avec, pour les plus de 11 ans, obligation en plus de la faire bouger afin de générer un maximum d’électricité statique.

Cette électricité statistique agirait selon le même principe que la filtration des masques qui ont des trous béants et attirerait donc les particules virales issues de nos flatulences, qui représentent plus d’un litre de gaz mortel par jour.

Il suffirait ensuite de jeter sa plume ou de la laver avec son linge de maison afin de la réutiliser.

À quoi bon porter un masque dans un lieu clos si dans le même temps nous répandons le virus par nos flatulences comme le suggèrent les études ?

Bien entendu il faudrait respecter un protocole strict lors du remplacement de la plume et la changer toutes les 4 heures.

Mais je pense comme certains médecins très « compétents » l’affirment pour le masque « même mal mis, même souillé, même ramassé dans une poubelle, le masque c’est mieux que rien » (ils n’ont pas écrit dans une poubelle, mais c’est l’esprit).

Donc même mal mise, même si on l’échange avec son voisin et qu’on la porte à la bouche, la plume dans le cul devrait, selon exactement la même logique, protéger !

Dans ces temps d’incertitude et de risque d’extinction totale de l’espèce humaine, face à cet odieux virus dons nous ne savons toujours RIEN (dixit les « experts »), je pense qu’il serait criminel de passer à côté d’une mesure qui pourrait sauver des millions de vie…

Ainsi j’apporterais ma contribution afin d’ajouter aux politiques généreuses mises en place par les experts. Experts au-delà de tout soupçon (sourire) et à l’intelligence supérieure (si,si) qui nous disent que nous sommes dans une nouvelle vague d’un virus au moins aussi mortel.

Mais ceux-ci sont plus malins que le virus !

Ils développent des trésors d’ingéniosité pour nous aider en nous disant :

  • Il a été « prouvé » que le virus s’attaque aux foules qui font la fête, mais pas dans un métro bondé.
  • De même il n’est pas capable de contaminer dans des manifestations uniquement si elles sont contre le racisme, mais c’est une catastrophe sur les plages en septembre après 20 h.
  • En Suède il est blasé, il y a de moins en moins de cas alors que presque personne ne porte de masque alors qu’en France il aime bien les compétitions « même avec un masque je vais les contaminer ».
  • Il circule fortement dans certaines rues françaises, mais pas d’autres où il s’arrête net à l’entrée.
  • Dans certains départements, c’est l’enfer, mais dans d’autres, limitrophes… rien…
  • Il a ses heures durant lesquelles il est dehors ou pas.
  • Il s’attaque à nous lorsque nous entrons dans un restaurant, mais cesse d’attaquer quand nous nous asseyons.
  • Il attaque les enfants assis dans une classe, mais pas au réfectoire.
  • Les enfants qui pratiquent la lutte pendant le sport (véridique) peuvent le faire sans masque, le virus n’aime pas la violence.
  • À Cagnes-sur-Mer par exemple si vous couriez le virus ne vous attrapait pas, mais dès que vous vous arrêtiez il vous sautait dessus (voir arrêté préfectoral). En revanche comme certains chiens il déteste les vélos et n’hésitera pas à vous attraper en vélo.
  • Il est beaucoup plus dangereux en septembre quand les touristes sont partis.
  • En région toulonnaise, en revanche, le virus déteste les moyens de transport individuels. En vélo, skate, trottinette, rollers,… vous ne craignez rien, le virus n’ose pas vous attaquer sauf si vous êtes dans un marché de plein air où là, la trottinette ne vous sera d’aucun secours et le virus sera impitoyable.
  • Dans certaines villes si vous fumez, grignotez en marchant, le virus vous épargnera, mais en revanche il sera impitoyable dans d’autres villes.
  • Dans certains endroits il est un peu sourd, vous devez chuchoter et ne surtout pas chanter si vous tenez à la vie. Bref, il est malin ce virus…

La plume dans le cul, ne serait pas LA solution, soyons raisonnables, mais serait un plus à ajouter aux gestes barrières dont nul ne peut douter qu’ils sont efficaces, à moins d’être un crétin complotiste.

Passer à côté d’un dispositif efficace « sans aucune contre-indication » (comme le masque) et qui ne pourrait QUE sauver des vies supplémentaires serait criminel, non ?

Non au coronavirus ! Oui à la plume dans le cul !

Rejoignez-moi dans la lutte contre le virus, militez pour la plume dans le cul.

Réclamons une étude randomisée sur l’efficacité de la plume dans le cul dans la population générale !

L’heure n’est plus à la rigolade, des experts nous disent qu’il faut siffler la fin de la récréation. Je suis d’accord avec eux.

Et entre nous, on va quand même pas faire des histoires pour une plume dans cul.. ce n’est pas si grave, on s’y fait très bien, c’est une question d’habitude.

Tout de suite les grands mots, « atteinte à ma liberté », « droits de l’homme », tout ça pour une simple petite plume dans le cul sans la moindre contre-indication… ridicule…

Je n’ai strictement aucun doute que si la mesure était bien expliquée et qu’il y avait le même « consensus » scientifique que sur le port du masque, les Français adhéreraient majoritairement à cette mesure qui ne relève que du bon sens !

Flyer pour la promotion de la plume dans le cul

Pour se protéger du virus, n’oublions pas le masque, les gestes barrières, mais SURTOUT la plume dans le cul.
Ludique, esthétique, efficace, la plume dans le cul nous protège du virus et comme pour le masque, sans la moindre contre-indication.

La plume dans le cul s’ajoute à l’ensemble des gestes barrières. Elle est un symbole fort de solidarité envers nos anciens qui n’ont plus la souplesse pour se la mettre.

La plume dans le cul existe en différentes couleurs pour être en harmonie avec ses différents habits, elle permet aussi d’afficher son émotion du jour.

Soyons solidaires organisons des distributions gratuites de plumes dans le cul pour aider les plus démunis.

« je pense aux autres, je suis solidaire, j’ai une plume dans le cul »

Mise en garde : Des irresponsables, complotistes, révisionnistes, néonazis, adorateurs de Satan, ou faisant du Yoga, font circuler de fausses informations sans fondement laissant entendre que la plume dans le cul ne protégerait pas et qu’elle pourrait entraîner certains effets secondaires.

Tout ceci n’est que fakenews, vous pouvez être rassurés, les mêmes experts qui ont étudié le port du masque et la sécurité des vaccins ont évalué l’efficacité de la plume dans le cul.

Merci.

Alain Tortosa.

PS Attention la plume dans le cul est un dispositif médical, demandez son avis à votre médecin. Tenir hors de portée des enfants de moins de 3 ans.

5 septembre 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210904-plume-dans-le-cul.pdf


Sources

J Med Virol 2020 Apr « Fecal transmission in COVID-19: A potential shedding route »

Acta Biomed 2020 Sep « Possible modes of transmission of Novel coronavirus SARS-CoV-2: a review » « Besides, some of the other possible modes of transmission are being explored by the researchers, with some studies suggesting the viral spread through fecal-oral, conjunctival secretions, flatulence (farts)… »

ACS Nano 2020 May « Aerosol Filtration Efficiency of Common Fabrics Used in Respiratory Cloth Masks » « We speculate that the enhanced performance of the hybrids is likely due to the combined effect of mechanical and electrostatic-based filtration. Cotton, the most widely used material for cloth masks… »

teslabel.be « Lorsqu’une plume est agitée dans l’air, elle se charge d’électricité statique, pourvu que des porteurs de charge soient présents dans l’air. »




Quel jeu joue la Russie dans le Great Reset ? *

Par Jean-Michel Grau

À l’heure où la confrontation entre l’État profond américain et la Russie de Poutine s’avère de plus en plus probable très prochainement dans le marais ukrainien, il s’avère judicieux de se pencher sur l’alliance contre nature à la tête de l’événement Cyber Polygone consacré à la cybersécurité qui a réuni en juillet 2020 le Premier ministre russe, Mikhael Mishustin, spécialisé en ingénierie des systèmes, et le patron du Forum Économique Mondial (FEM), l’économiste Klaus Schwab, événement dans lequel les intervenants ont mis en garde contre une « pandémie » de cyberattaques mortelles qui cibleraient principalement deux secteurs économiques : la santé et la finance.(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/))

Comment interpréter une telle alliance entre le représentant le plus caricatural de la domination mondialiste et l’ennemi juré des intérêts impériaux de l’Occident, à deux doigts d’une guerre USA-Russie qui pourrait entraîner toute l’Europe dans un déluge de feu ?

Pour tenter de comprendre ce qui peut apparaître au premier abord comme un pari insensé, on reprendra l’article de « Newswars »(([2] newswars.com/cyber-polygon-2021-globalists-run-simulation-of-a-coming-cyber-pandemic-to-prepare-for-economic-reset/)) dont voici la traduction ci-dessous, que l’on commentera.

« Les mondialistes préparent le terrain pour la Grande Réinitialisation avec une prochaine simulation très médiatisée ciblant les cyberattaques contre les principales institutions financières.

Le Forum Économique Mondial (FEM) fera équipe avec le gouvernement russe et les banques mondiales en juillet prochain pour simuler une « cyberpandémie » majeure de la chaîne d’approvisionnement qui pourrait potentiellement « faire tomber tout le système ».

La simulation, appelée Cyber Polygone 2021, a été annoncée par la plus grande banque publique russe, Sberbank, en février.(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS))

« Le message clé exprimé par les experts lors du FEM et d’autres plateformes internationales est que la sécurité de la chaîne d’approvisionnement va devenir un problème majeur de cybersécurité en 2021 », a déclaré Sberbank. « La numérisation en constante expansion resserre l’interconnectivité entre les personnes, les appareils, les entreprises et les pays. Ainsi, la résilience d’un système entier dépend de la capacité de chaque maillon de la chaîne à résister à des menaces de différents grades. »

Le site web(([1] 2020.cyberpolygon.com/results-2020/)) prévient sinistrement « qu’un seul maillon vulnérable suffit à faire s’effondrer l’ensemble du système, tout comme l’effet domino », ajoutant que « le Cyber Polygone 2021 permettra aux spectateurs et aux participants d’améliorer leur cyberculture, de renforcer la résilience de leurs organisations et d’apprendre à repousser les cybermenaces à tous les niveaux. »

Le Cyber Polygone 2021 est la suite annuelle de l’événement Cyber Polygone 2020 de l’année dernière, auquel participait le Premier ministre russe Mikhail Mishustin, et des participants comme le fondateur du FEM Klaus Schwab, l’ancien Premier ministre britannique Tony Blair et une vingtaine d’autres membres de l’élite politique.

120 organisations réparties dans vingt-neuf pays ont pris part à deux scénarios, Défense et Réponse, qui ont été simulés au Cyber Polygone 2020. Selon le groupe russe de cybersécurité BI.ZONE, pas moins de cinq millions de personnes auraient regardé le livestream dans plus de 57 pays.

L’un des intervenants était notamment Stéphane Duguin, PDG de l’Institut CyberPeace, qui est financé par Microsoft, Facebook et Mastercard, entre autres. L’institut prétend aider les clients à

« accroître la résilience numérique et la capacité à répondre aux cyberattaques et à s’en remettre. »

Schwab, en particulier, est un grand partisan de la Grande Réinitialisation,(([4] https://weforum.org/great-reset/)) une transition coordonnée par les mondialistes vers une économie mondiale de la Quatrième Révolution Industrielle dans laquelle les travailleurs humains deviennent de moins en moins pertinents à mesure que l’économie mondiale s’automatise.

Mais la Grande Réinitialisation ne pourra se réaliser qu’après l’effondrement total du système corrompu actuel.

L’exercice du Cyber Polygone présente des similitudes remarquables avec l’Event 201,(([5] centerforhealthsecurity.org/event201/about)) (([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) un exercice soutenu par le FEM et Bill Gates qui simulait une pandémie dévastatrice de coronavirus perturbant l’ensemble de l’économie mondiale, lancé quelques mois avant l’épidémie de COVID-19 qui s’est déroulée exactement comme prévu par l’exercice.

Et, à l’instar d’Event 201, certains se demandent si Cyber Polygone n’est pas censé avoir une qualité prédictive similaire concernant l’effondrement de l’économie mondiale.

Certains diront qu’une « cyberpandémie » est une conséquence inévitable de l’évolution rapide du monde hi-tech dans lequel nous vivons, mais il est tout de même juste de souligner que « 2021 est l’année que beaucoup ont prédite pour la destruction financière des grandes institutions qui conduira à de nouveaux systèmes économiques qui s’alignent sur la Grande Réinitialisation », a rapporté Unlimited Hangout.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

« L’effondrement inévitable du système bancaire mondial, résultant de la corruption et de la fraude hors normes qui sévissent depuis des décennies, sera probablement mené par le biais d’un effondrement contrôlé, qui permettrait aux riches banquiers et élites, comme ceux qui ont participé au Cyber Polygone, d’éviter toute responsabilité pour leur pillage économique et leurs activités criminelles. »

De plus, l’establishment de Washington, qui n’a cessé d’accuser la Russie d’avoir « piraté » l’année 2016, (l’élection de Donald Trump ndlr) ne semblait pas voir de problème à laisser le gouvernement russe sonder les infrastructures de cybersécurité du monde entier à la recherche de faiblesses.

« L’absence totale du récit du ‘pirate russe’ au Cyber Polygone ainsi que le rôle de leader de la Russie lors de l’événement suggèrent, soit qu’un changement géopolitique a eu lieu, soit que le récit du pirate russe communément déployé par les agences de renseignement aux États-Unis et en Europe est principalement destiné au grand public et non aux figures d’élite et aux décideurs politiques présents au Cyber Polygone », rapporte Unlimited Hangout.

Ce n’est pas une coïncidence si les mondialistes lancent ces simulations qui s’alignent sur leurs objectifs radicaux de transformation de la vie publique.

« Lorsque les personnes les plus puissantes du monde, comme les membres du FEM, souhaitent procéder à des changements radicaux, des crises émergent opportunément — qu’il s’agisse d’une guerre, d’un fléau ou d’un effondrement économique — qui permettent une « réinitialisation » du système, qui s’accompagne fréquemment d’un transfert massif de richesses vers le haut. »

Le moins qu’on puisse dire est que ce texte appelle plusieurs commentaires.

Tout d’abord, comme le rappelle judicieusement l’article de Newswars, l’événement Cyber Polygone dont les Russes sont doublement partie prenante dans son organisation avec la première banque publique russe Sberbank(([3] sberbank.com/news-and-media/press-releases/article?newsID=a05b1950-213f-404e-a4c2-a39fbb41a879&blockID=7&regionID=77&lang=en&type=NEWS)) et le Premier ministre russe Mikhael Mishustin, n’aurait-il pas un caractère prédictif, à l’instar de l’Event 201, répétition générale de la pandémie du Covid-19, prélude à son déclenchement et à l’effondrement de l’économie mondiale un an après ?

Quand on sait que le Cyber Polygone a prévu de simuler en juillet 2021 une cyberattaque mondiale entraînant un black-out total des populations avec plus d’électricité, plus d’approvisionnement, plus d’hôpitaux, plus de transports, on est en droit de se poser légitimement la question de savoir quel rôle jouent les Russes dans cette affaire ?

D’autant plus que comme chacun sait, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais été aussi vives depuis la guerre froide, avec le sort de l’Ukraine en ligne de mire.

Quel est alors l’intérêt de la Russie de s’associer au FEM de Klaus Schwab, mais aussi à des entreprises américaines comme IBM ou encore l’ONG californienne ICANN ? Même chose pour Interpol, la BBC ou Tony Blair qui sont tous partie prenante de cet événement et par là même des défenseurs acharnés de la suprématie occidentale ?

À moins d’être un cheval de Troie, on voit mal comment la participation de la Russie au Cyber Polygone peut se justifier uniquement par la lutte contre la cybercriminalité.

Le véritable motif de la participation russe à l’organisation de l’événement Cyber Polygone ne serait-il pas tout autre ? Ne serait-ce pas plutôt une motivation financière ?

Selon Unimited Hangout,(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)) « Les nouveaux systèmes économiques basés sur la numérisation, en partenariat avec les banques centrales ou gérés par elles, sont un élément clé de la Grande Réinitialisation du FEM, et de tels systèmes seraient une partie de la réponse au contrôle des masses de chômeurs récents. Ces monopoles numériques, et pas seulement les services financiers, permettraient à ceux qui les contrôlent de « couper » les rentrées d’argent d’une personne et son accès aux services si cette personne ne respecte pas certaines lois, mandats et règlements. »

On comprend déjà mieux l’intérêt de la Sberbank de participer à une telle opération. Cela suppose donc que la Banque Nationale russe, et donc l’État russe soient partie prenante dans la numérisation programmée des monnaies. Auquel cas, ils semblent, eux aussi, en assumer les conséquences, même les moins avouables.

Car la Sberbank a en ligne de mire le lancement de sa propre cryptomonnaie, le Sbercoin, un

« stablecoin » lié au rouble russe et son « écosystème » de finance numérique qu’elle a annoncé quelques semaines seulement après l’exercice Cyber Polygone 2020. Elle deviendrait ainsi la première banque au monde à lancer sa propre cryptomonnaie.(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/))

Pour bien comprendre la portée autoréalisatrice des scénarios catastrophes du Forum économique mondial (FEM), il faut revenir sur le discours de « bienvenue » de son président fondateur Klaus Schwab lors de l’exercice Cyber Polygone de 2020 :

« Nous connaissons tous, mais n’y prêtons pas encore suffisamment attention, le scénario effrayant d’une cyberattaque globale qui mettrait complètement à l’arrêt l’approvisionnement en électricité, les transports, les services hospitaliers, notre société dans son ensemble. La crise du Covid-19 serait à cet égard considérée comme une petite perturbation par rapport à une cyberattaque majeure. Nous devons nous demander dans une telle situation, comment nous avons pu laisser cela se produire alors que nous avions toutes les informations sur la possibilité et la gravité d’une attaque à risque. La cybercriminalité et la coopération mondiale devraient être au premier plan de l’agenda mondial. »

On voit ainsi clairement où Klaus Schwab veut en venir. En d’autres termes : sans traçage de la population mondiale via les vaccins, pas de cybersécurité possible. Et donc, encore une fois, le caractère autoréalisateur de cette menace s’avère d’autant plus probable qu’il fait suite à l’Event 201 qui a simulé une pandémie mondiale quelques mois avant la « pandémie » du Covid-19. Ainsi, Klaus Schwab lors de l’Event 201 ne déclarait-il pas dans sa documentation officielle(([4] https://weforum.org/great-reset/)) :

« La prochaine pandémie grave ne provoquera pas seulement de grandes maladies et des pertes de vie humaines, mais pourrait avoir des conséquences économiques et sociétales majeures en cascade qui pourraient contribuer grandement à un effondrement et à la souffrance des populations au niveau mondial. »

Il faut avoir donc à l’esprit que c’est en parfaite conscience que l’oligarchie mondialiste du Forum de Davos a planifié, déclenché et organisé la « pandémie » du Covid-19 avec la parfaite connaissance des dégâts majeurs qu’elle provoquerait au niveau économique et sociétal ainsi qu’en termes de pertes de vies humaines.

C’est dans ce contexte que s’inscrit la participation de la Russie aux événements du Cyber Polygone 2020 et 2021 pour lutter contre les « pandémies » dans le cadre du partenariat public-privé cher au Forum de Davos, promoteur de la fusion de ces deux secteurs.

Revenons maintenant à cette alliance contre nature de la Russie via sa banque publique Sberbank et le Forum Économique Mondial au sein du Cyber Polygone.

En 2020, y participait aussi IBM. Rappelons ici que les relations entre IBM et la CIA sont un secret de polichinelle, celles-ci remontant au début de la Guerre froide.(([7] wraltechwire.com/2020/11/23/ibm-lands-a-cloud-deal-with-cia-as-part-of-reported-multi-billion-dollar-contract/)) Ainsi, l’entreprise s’est tellement enracinée dans la CIA que celle-ci a récemment recruté son directeur de l’information chez IBM Federal.(([8] govconwire.com/2019/03/ibms-juliane-gallina-to-serve-as-chief-information-officer-at-cia-in-april/))

Quand on pointe les accusations répétées de l’establishment américain contre les hackers russes dans les élections américaines depuis plusieurs années, et aujourd’hui l’atmosphère de nouvelle guerre froide en Ukraine qui se réchauffe de plus en plus, cette collaboration américano-russe au sein du Cyber Polygone ne laisse pas d’étonner.

À gauche : la salle de commandement stratégique de Docteur Folamour.
À droite : la salle de commandement stratégique du Cyber Polygone.

Au final, que peut-on en conclure ?

Si l’on en croit Unlimitedhangout(([6] reseauinternational.net/de-levenement-201-a-cyber-polygone-simulation-dune-cyberpandemie-a-venir-au-forum-economique-mondial/)), « l’inclusion de la Russie en tant que leader dans une initiative mondiale de cybersécurité aussi importante est un peu surprenante, surtout après que la Russie ait été le bouc émissaire de choix pour toute cyberattaque commise contre une puissance occidentale depuis plusieurs années. Pourtant, il n’y a pas eu de tollé en Occident à propos de Cyber Polygone 2020, dans lequel une société détenue majoritairement par le gouvernement russe a pu prendre directement connaissance des faiblesses en matière de cyberdéfense des grandes institutions, banques et entreprises mondiales accueillant l’exercice. »

Selon Unlimitedhangout, « la participation de Tony Blair à cet exercice a peut-être pour but de faciliter le soutien des gouvernements occidentaux alignés sur le FEM en faveur d’une inclusion encore plus grande de la Russie dans le Great Reset. Cela est dû en partie à l’effort du FEM pour amener les nations des BRICS comme la Chine ou la Russie dans le giron du Great Reset, car c’est essentiel pour le succès de leur programme à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, la Russie est le pionnier de ce nouveau modèle de systèmes financiers nationaux que le FEM soutient par la création par la Sberbank d’un monopole numérique non seulement des services financiers, mais de tous les services au sein de la Fédération de Russie. »

« Peu après le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, Schwab a fait remarquer que la crise pandémique était exactement ce qu’il fallait pour lancer le Great Reset car elle a servi de catalyseur pratique pour commencer à remanier les économies, la gouvernance et la société sociale à l’échelle mondiale. Si les événements déstabilisateurs simulés à Cyber Polygone se produisent, il est probable que le FEM s’en félicitera également, étant donné qu’une défaillance critique du système financier mondial actuel permettrait l’introduction de nouveaux monopoles public-privé de type « écosystème numérique », comme ceux que la Sberbank est en train de mettre en place en Russie. »

« Fin 2019, quelques mois avant le début de la crise du Covid-19, le PDG de la Deutsche Bank a averti que les banques centrales ne disposaient plus d’outils pouvant répondre de manière adéquate à la prochaine crise économique. Il est certainement révélateur que des systèmes bancaires entièrement nouveaux, tels que le monopole monétaire numérique de la Sberbank, qui sera bientôt lancé, aient commencé à être développés au moment même où l’on commençait à reconnaître publiquement que les moyens traditionnels des banques centrales pour répondre aux calamités économiques n’étaient plus viables. »

« Une cyberattaque majeure, telle que celle simulée à Cyber Polygone 2020, permettrait de blâmer les pirates informatiques sans visage pour l’effondrement de l’économie, exonérant ainsi les véritables criminels financiers de toute responsabilité. De plus, en raison de la nature difficile des enquêtes sur les piratages et de la capacité des agences de renseignement à faire porter le chapeau aux autres États-nations pour les piratages qu’ils ont eux-mêmes commis, tout croque-mitaine de choix peut être blâmé, qu’il s’agisse d’un groupe de « terroristes intérieurs » ou d’un pays non aligné sur le FEM comme l’Iran ou la Corée du Nord », conclut Unlimitedhangout.

Tout cela suppose que la Russie soit entièrement d’accord avec le récit officiel sur le coronavirus et la cyberpandémie prétendument imminente. Mais qu’en sera-t-il avec le Cyber polygone planifié pour juillet 2021 ? À l’heure où la confrontation Russie-USA ne tient plus qu’à une étincelle en Ukraine, la participation russe via la Sberbank et le Premier ministre Mikhael Mishustin est-elle encore sérieusement envisagée ?

Dans un monde où les armes hypersoniques et les missiles intercontinentaux des grandes puissances pourraient provoquer le seul véritable Great Reset, la finalité du Cyber Polygone ne devrait-elle pas avant tout s’appliquer à ceux qui l’ont organisé ?

« Aujourd’hui, chaque habitant de cette planète doit envisager le jour où elle ne sera plus vivable. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant vit sous le coup d’une épée de Damoclès atomique, suspendue par le plus fin des fils, susceptible d’être coupé à n’importe quel moment. Par accident, erreur ou folie. Les armes de guerre doivent être abolies avant qu’elles nous abolissent. »

John Fitzgerald Kennedy, discours à l’Assemblée Générale des Nations Unies, 25 septembre 1961

Y a-t-il encore un chef d’État pour relever le défi ?


* Grande réinitialisation




Bitcoin et autres cryptomonnaies au service du Nouvel Ordre Mondial?

[Source : ⚡️ BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME (geopolitique-profonde.com)]

BITCOIN, PIÈGE À CONNE ? SORTIR DE LA BULLE AVANT QUE LA FINANCE NE VOUS PLUME

Par Marc Gabriel Draghi

Depuis quelques semaines, le bitcoin ne cesse d’affoler les compteurs. La valeur de la cryptomonnaie la plus célèbre du monde a même dépassé les 60 000 dollars au cours du mois de mars 2021, du jamais-vu dans l’histoire récente des cryptomonnaies. 

Le succès du Bitcoin

Cette tendance favorable peut s’expliquer par plusieurs facteurs : tout d’abord, la crise sanitaire et les différents plans de relance à travers le monde et ensuite l’arrivée d’investisseurs qualifiés de « traditionnels ». L’extrême volatilité de la crypto de Nakamoto, ne semble donc plus décourager les investisseurs. Certains même n’hésitent pas à parler d’or digital ou encore d’étalon Bitcoin.

La comparaison entre l’actif numérique et l’or en matière de référence de valeur est de plus en plus entendue dans le monde de l’investissement.

Cette frénésie actuelle autour du bitcoin des grands acteurs « institutionnels » a débuté de manière significative avec l’année 2020 et l’instauration progressive de la crise sanitaire.

La société américaine PayPal (l’hégémonique plateforme de service de paiement en ligne) autorise désormais les paiements en bitcoin sur sa plateforme. Ce qui représente une consécration pour la plus célèbre des cryptos.

Ensuite, le discours de la fin d’année 2020, de Larry Fink, patron de BlackRock, a également acté le poids croissant du bitcoin et son intérêt pour le plus gros gestionnaire d’actifs au monde comme monnaie alternative au dollar…

Ainsi, le 20 janvier 2021, l’ancienne filiale de Blackstone, premier gestionnaire d’actifs mondial a officiellement inclus des produits dérivés du bitcoin dans la liste des actifs éligibles à deux de ses fonds d’investissement.

Enfin, le très médiatique et iconique patron de Tesla, Elon Musk, a de son côté, carrément fait grimper le cours du cryptoactif de 33 % en février 2021 quand il a fait l’acquisition de plus de 1.5 milliard de Bitcoin et qu’il a communiqué sur cette initiative.

On constate donc qu’au cours de l’année 2020 et en ce premier semestre 2021, il s’est véritablement passé quelque chose (en tout cas politiquement et stratégiquement) autour du bitcoin. Cependant, ce succès et cette tendance soulèvent évidemment plusieurs questions.

Bitcoin et alt season en bulle
Cette pièce existe-elle vraiment ?

Cryptomonnaies et Great Reset

En effet, alors que nous avons entamé une phase extraordinaire de décroissance programmée (le fameux Great Reset), on constate depuis quelques mois une recrudescence d’attention vers les cryptomonnaies. Dans ce contexte particulier (pré-effondrement), les cryptomonnaies (plus particulièrement le bitcoin) sont en train d’être présentées comme la solution numéro 1 au péril financier qui se dresse devant nous.

Mais n’en déplaise à certains, les comportements « médiatiques » de BlackRock et Musk qui n’hésitent pas à clamer haut et fort leurs investissements sur le bitcoin semblent davantage s’apparenter à des tentatives de manipulation de marchés, plutôt qu’à une exclamation de joie désintéressée. Et à y regarder de plus près, il semble bien que ce soient les grands acteurs financiers et leurs échos médiatiques qui font concrètement le jeu des cryptomonnaies et du bitcoin en particulier.

N’oublions pas que depuis presque une décennie les médias nous expliquent à longueur de journée que le bitcoin est un succès et qu’il existe un engouement. Dans le même temps, les grands acteurs du monde financier n’ont eu de cesse de souffler le chaud et le froid sur ce cryptoactif. Et au final, ils ont participé à cette promotion de manière avérée (principe du bad et good buzz). Plusieurs exemples d’articles de journaux comme Les ÉchosLa Dépêche ou France Tv Info, peuvent nous permettre de justifier cet argument.

Et si le succès du Bitcoin est indéniable, l’engouement actuel (fabriqué) autour de cette cryptomonnaie ne doit rien au hasard, car les politiques de surliquidités des banques centrales et l’inflation qui arrivent à grands pas ont tout fait pour rompre la confiance qu’ont les investisseurs dans les actifs et devises traditionnels. Chacun cherche désormais à protéger son épargne et sortir le plus possible son capital du système financier mondial agonisant et sous perfusion.

Et il n’est pas impossible que les cryptodevises, qui sont donc de plus en plus présentées (presque officiellement) comme des actifs crédibles face aux périls de notre système financier moribond, fassent en réalité partie du piège…

La valeur du bitcoin

Car même si a priori le bitcoin peut paraître séduisant, plusieurs caractéristiques et signes peuvent nous permettre de douter légitimement face à cette technologie numérique.

Tout d’abord, le bitcoin a connu un succès rapide après sa création, le 31 octobre 2008. En effet, seulement de 2 ans après son lancement, le site Wikileaks acceptait les dons en bitcoin, lui conférant un nouveau statut d’outil libertaire.

C’est à cette occasion que le grand public prît connaissance de l’émergence d’une cryptomonnaie qui était encore jusque-là très confidentielle (principalement connue des geeks américains). À partir de cet évènement, plusieurs projets de cryptomonnaies et blockchain commencèrent à voir le jour dans la foulée de ce succès.

Le 10 juin 2011, le bitcoin se situait déjà aux alentours de 28 euros et moins de deux ans après (des corrections sont intervenues entre temps) le cours avait atteint les 287 euros en avril 2013, puis les 1240 dollars à la fin de cette même année. L’or digital était donc lancé !

Certes à un moment où les grandes banques centrales ont commencé à faire fonctionner la planche à billets (politiques de QE), on peut comprendre qu’une monnaie émise de pair à pair, qui ne nécessite pas de banque centrale et qui est utilisable au moyen d’un réseau informatique décentralisé, a de quoi faire rêver les plus dissidents et retors d’entre nous…

Cette technologie qui utilise les principes de la cryptographie et associe l’utilisateur aux processus d’émission et de règlement des transactions a forcément l’apparence d’un véritable outil démocratique, à une époque où la contrainte et la surveillance généralisée sont grandissantes.

Mais malheureusement pour nous, les cryptomonnaies et les systèmes de Blockchain sont en vérité des illusions, pour ne pas dire purement et simplement des escroqueries à plus ou moins long terme.

Là où l’on devrait ramener nos systèmes économiques et financiers vers un peu de concret et les faire pencher davantage vers le travail véritable (création de valeur ajoutée), cette technologie nous pousse en réalité vers une fuite en avant en direction de la numérisation et la virtualisation du monde.

De ce constat, on peut en conclure que le mécanisme financier du bitcoin est d’ailleurs simple : une performance exceptionnelle qui ne repose sur rien !

Certains m’opposeront l’argument que la valeur du bitcoin repose au contraire, sur la technologie Blockchain, qui semble être une révolution technologique à elle seule, mais nous répondrons à cet argument un peu plus tard, quand nous évoquerons sa fiabilité et le rôle de la fonction de hachage SHA-256.

En réalité le problème principal et donc de fond du bitcoin (et des cryptomonnaies en général) repose sur leur nature même.

À l’inverse de l’or (à qui il est comparé actuellement), le bitcoin n’a évidemment pas de valeur intrinsèque et sa reconnaissance n’est pas universelle. De plus, de manière encore plus concrète l’accès à un bitcoin nécessite de l’électricité, une connexion internet, une plateforme d’exchange pour en acquérir, une wallet, un code d’accès à celle-ci, etc. ce qui ne facilite pas son « universalisation ». On peut donc d’ores et déjà indiquer objectivement que ce n’est pas simple de « posséder » un Bitcoin, à la différence d’une pièce d’argent métal que l’on a dans la proche.

De même, ces « cryptos » que l’on qualifie abusivement de monnaies ne sont en aucun cas des monnaies au sens légal du terme. Il serait même plus approprié d’utiliser les termes cryptoactifs, car ces « coins » (pièces de monnaie numériques en français) s’apparentent davantage à des actions, produits obligataires … qu’à une véritable monnaie. De plus, même celles qui se disent éthiques et vertueuses sont uniquement créées pour la spéculation. Le terme monnaie accolé à « crypto » vise d’ailleurs à subvertir le concept de monnaie et à habituer le grand public à cette conception viciée de l’objet monétaire.

En réalité, ce que certains qualifient de cryptomonnaie (comme le bitcoin) ne possède pas du tout l’ensemble des caractères fonctionnels d’une convention (un accord de volonté conclu entre des personnes pour créer, modifier, éteindre, ou transférer des obligations). En aucun lorsque vous possédez un Bitcoin, vous êtes face à la dimension d’une norme impérative (règle de droit à laquelle personne ne peut déroger). Nous ne sommes donc pas en présence d’un objet monétaire au sens légal du terme.

C’est cette absence de caractère conventionnel/légal des cryptomonnaies qui explique le fait qu’il est très compliqué d’acheter son pain et de payer ses impôts en bitcoin, même si certains acteurs sont désormais favorables à cet outil.

De surcroît l’extrême volatilité du bitcoin ne permet pas non plus d’affirmer qu’il pourrait être une unité de mesure.

Concrètement et pour ne pas tourner autour du pot, le Bitcoin est en réalité un gigantesque schéma de Ponzi qui ne repose que sur la confiance d’une communauté.

D’ailleurs la notion de communauté est primordiale dans la plupart des projets de cryptomonnaies. Pour la quasi-totalité des cas, il faut simplement que les investisseurs continuent à remplir le gouffre, jusqu’à ce que la musique stoppe. Le transfert de richesse est réalisé au final quasiment à sens unique (vers celui qui a produit le token : jeton d’authentification et qui a fait la levée de fonds / ICO). C’est -à-dire celui qui a vendu un produit qui possède une valeur réelle proche de zéro.

Au regret de perturber les investisseurs naïfs, il n’y a malheureusement aucune réalité économique ou financière derrière les cryptomonnaies actuelles : seulement une valeur de convenance entre parties. La valeur de l’actif réside simplement dans la croyance de celui qui va acheter cette cryptodevise. Certes, comme à la roulette ou à une partie de poker, il peut vous arriver de gagner, mais au final c’est toujours le Casino qui remporte la partie sur le long terme. Le véritable gagnant (celui qui s’enrichit) est celui qui a son nom sur le jeton…

Et vous imaginez bien que si le Bitcoin (qui est la cryptomonnaie de référence) est un Ponzi, ces semblables (qui sont automatiquement de moins bonnes qualités pour plusieurs raisons que l’on va détailler), sont elles aussi des fraudes à plus ou moins grande échelle.

Mais alors qu’est-ce qui permet de dire qu’une cryptomonnaie (et en particulier le Bitcoin) est un Ponzi numérique sophistiqué?

Le premier argument est un argument de bon sens, mais il est fondamental de le présenter, car chaque citoyen mature politiquement devrait comprendre ce constat simple lié à l’observation et à la réflexion sur la question monétaire.

Cet argument consiste à répéter que cette monnaie virtuelle n’a aucune valeur intrinsèque (en elle-même), et qu’elle ne vaut fondamentalement rien sur le temps long. Mais alors quelle différence les monnaies fiat actuelles ont-elles avec le Bitcoin, me direz-vous ?

Le billet imprimé par la BCE ou le dollar de la Réserve fédérale sont fondamentalement dans la même situation, selon plusieurs adeptes de cryptos.

Mais en réalité, pas tout à fait (voire même pas du tout), puisque nos monnaies fiat modernes reposent quand même (et ce n’est pas rien) sur une garantie de la banque centrale et surtout de la nation (communauté de producteurs) qui a choisi cette monnaie pour ses échanges.

Et même si pour les monnaies fiat créées ex nihilo (depuis les accords des changes flottants 1971 et de la Jamaïque 1976) nous sommes également en présence d’une fraude (Argent-Dette), celle-ci est bien plus complexe et elle ne repose pas totalement sur rien. La valeur d’une monnaie fiat repose quand même sur le droit, une obligation, donc l’État et en définitive la force (monopole de la violence physique légitime comme le disait le sociologue Max Weber) ce qui n’est pas rien et ce qui est encore concret (demandez aux Gilets jaunes).

Cette démonstration peut également s’appliquer au dollar, qui au niveau mondial, reste encore la monnaie internationale de référence, non pas parce que l’économie US est la plus productive), mais parce que l’ensemble des nations du monde redoutent le complexe militaro-industriel américain (la force) qui pèse encore très lourd dans la géopolitique mondiale. Un autre facteur (sa grande liquidité sur le marché international des devises) permet également de justifier la conservation de son statut. Il existe donc une gradation dans entre ces deux escroqueries qui résident en particulier sur la notion de garantie (qui est tout de même un aspect fondamental).

En effet, quelqu’un qui vous vend une Twingo dans un garage en vous faisant croire que c’est une Mercedes ne commet pas le même méfait que celui qui vous vend une photo de Mercedes sur internet, en vous faisant croire qu’il vous vend la voiture… Dans le premier cas, vous aurez davantage de chance de vous déplacer à 50km/h sans produire un effort physique énorme…

Plus concrètement, le jour où vous ne pouvez plus acheter/vendre/posséder de bitcoin, personne ne sera responsable. Par contre le jour où il n’y a plus de monnaie, plus d’accès au compte en banque, les responsables existent et vous pourrez toujours aller en chercher certains et leur demander des comptes… Ce qui semble beaucoup plus difficile à faire avec le cas de l’ectoplasme nippon…

Bitcoin et altcoin : comment investir ?

Qu’est-ce qu’une monnaie ?

C’est d’ailleurs tout l’intérêt que pose la question du Bitcoin et des cryptomonnaies. En réalité, les actifs numériques nous interrogent sur le rôle de la monnaie elle-même.

Il y a quelques semaines, lors d’un échange avec l’excellent Dr Louis Fouché du collectif RéinfoCovid et l’universitaire spécialiste de l’histoire de la monnaie Jean-Michel Servet, nous avons essayé d’apporter des réponses à cette question, à l’invitation de la plateforme de débat « Prenez Place ».

Dans ce débat, il a été avancé par mes contradicteurs (Fouché-Servet) un élément pertinent indiquant que : « la monnaie était vraisemblablement un outil qui avait pris différentes formes à travers l’histoire ». Et cette forme pouvait, selon eux, « varier en fonction de l’époque, mais qu’il existait cependant une constante notamment le fait que l’objet-monnaie reflétait presque toujours le zénith (technique ou technologique) de ce qu’une communauté d’individu savait produire ou échanger »

Cette analyse est très intéressante, car elle est au cœur de la question monétaire moderne et des interrogations relatives au cas du bitcoin en particulier. Car nous sommes bien avec le Bitcoin et la Blockchain face à un outil technologique très avancé.

Malheureusement pour moi, cette vision énoncée dans le débat n’a pas pu faire l’objet d’une réponse développée et argumentée de ma part en raison des contraintes de temps inhérentes à ce genre d’exercice (débat entre 4 personnes sur des questions précises, en l’occurrence la notion de commun).

Par cet article sur le Bitcoin et la Blockchain, il me paraît donc essentiel d’apporter une précision sur la notion d’objet monétaire.

Ainsi, dans cette vidéo de l’Acte 1 de Prenez Place, comme dans mon livre d’ailleurs, j’ai tenté d’expliquer que l’outil monétaire possédait plusieurs facettes que je synthétise pour ma part avec cette définition relativement simple et ancienne qui consiste à dire que : la monnaie au sens classique du terme, est le morceau de métal précieux produit en série et estampillé par la cité.

Et même si le côté métallique de la monnaie est désormais officiellement désuet, on retrouve dans cette définition historique, de manière implicite, les fonctions essentielles de l’objet monnaie (à savoir être une réserve de valeur, un intermédiaire/ moyen d’échange, une unité de mesure, mais surtout une marque de souveraineté : une norme impérative de droit).

Et pour se faire un avis sur le Bitcoin, les monnaies numériques, mais aussi sur nos « bouts de papier » et cartes bleues actuels (les monnaies fiat et scripturales), il est primordial d’avoir cette ancienne conception de la monnaie dans un coin de notre tête.

Pour faire le lien directement avec le Bitcoin et la cryptomonnaie, on peut déjà dire que l’Euro ou le Dollar, qui sont encore émis par les banquiers centraux, ont au moins encore (plus pour très longtemps) le mérite (par rapport au bitcoin) d’être un morceau de papier qui reste difficile à reproduire par une entité qui ne dispose pas du droit de le faire. Et quand il est dans votre main ou dans votre poche, il reste assez difficile à faire disparaître…

Contrairement à ce que m’a opposé le Dr Fouché (disciple du penseur Jacques Ellul) l’outil par essence est bien neutre. C’est la technique qui, elle, peut, ne pas être neutre. Il est donc important de ne pas faire l’amalgame entre les notions d’outils, d’objets techniques ou encore de fonction d’usage et d’action complémentaire. Pour l’outil monétaire, il n’existe évidemment pas d’intention intrinsèque particulière à l’outil. La monnaie sert d’abord à mesurer et échanger des biens. L’usage pour la quasi-totalité des outils (les plus basiques : ne nécessitant pas de technique spécifique) est totalement neutre. Par exemple pour une hache, sa fonction d’usage est de couper (du bois ou autre chose) et pour un marteau c’est d’enfoncer/écraser. Cette conception de neutralité de l’outil se retrouve dans les analyses et observations d’Aristote dans la plupart de ses ouvrages (Éthique à Nicomaque, la Politique, Économie, etc.) Ainsi, pour ne pas se perdre dans la question monétaire, il est donc important de ne pas sur interpréter la notion de fonction d’usage d’un outil.

Cependant l’argument du docteur Fouché est néanmoins juste lorsqu’il s’agit d’un outil technique numérique ou en réalité la donnée (la data), l’information est l’élément essentiel de la technologie. Contrairement à ce que l’on pourrait croire de manière intuitive, une Kalachnikov n’a en réalité pas pour fonction première de tuer, elle est d’abord construite pour tirer des balles efficacement, et rien n’empêche son utilisateur de tirer en l’air, sur une cible, ou dans les jambes… Sa fonction extensive (complémentaire) est évidemment de tuer, mais elle n’est pas dans l’ADN premier de cet outil (malgré les apparences). C’est l’entraînement (la technique) qui permettra à l’usager (le tireur) de parachever son intention. Pour la monnaie en réalité c’est la même chose.

La monnaie en tant qu’outil n’est ni bonne ni mauvaise. C’est son utilisation (comme pour la hache qui peut couper du bois ou des têtes) qui induit sa finalité d’usage.

Comme je l’ai brièvement évoqué dans le débat, en termes de réflexion économique, il est donc nécessaire de partir de ce postulat (neutralité de l’objet monnaie) et de retenir qu’il existe deux conceptions monétaires opposées (les autres n’étant que des subdivisions de ces 2 catégories) :

– La première, celle d’Aristote (la bonne) consiste à considérer la monnaie comme un instrument de mesure, un intermédiaire et la norme supérieure organisant le bien commun, c’est-à-dire un moyen d’échange qui vise à échanger des biens (valeur ajoutée, richesses : récompense du travail) dans l’intérêt d’une collectivité (société) et en vue de la consolidation du bien commun.

– Puis, la seconde, celle de Jacques Attali et ses pantalons à une jambe par exemple, voit l’Argent (la monnaie) comme la finalité de l’échange (bien en lui-même). Ce qui compte c’est « d’être riche », que ça rapporte beaucoup, qu’il existe « un retour sur investissement maximal ».

Cette conception (celle de notre temps) sacralise l’appât du gain, la chasse aux profits et l’objet monétaire en lui-même. Celle-ci est en réalité la matrice monétaire de notre époque moderne. Mais elle est aussi en définitive la conception proposée par le bitcoin qui est seulement un actif spéculatif. Il y a dans le bitcoin, une adoration d’un objet vide de valeur réelle, qui est encore bien plus dangereux que la célèbre auri sacra fames (maudite soif de l’or).

L’or baisse : le Bitcoin monte

D’ailleurs, ceux qui adoptent la conception aristotélicienne se rapprochent souvent de solutions monétaires liées à l’argent métal ou à l’or, car bien qu’étant improductifs, ces actifs sont des étalons de valeur neutres (personne ne les créés), concrets et difficilement manipulables quand il s’agit d’or et d’argent physique.

Cependant dans cette période de troubles financiers, contre toute attente, l’or depuis quelques mois (la rentrée 2020) baisse, alors que le bitcoin lui a continué son ascension de manière considérable. Mais alors comment peut-on expliquer cet état de fait ?

Nous le savons, le marché de l’or est manipulé depuis des décennies, pour ne pas dire des siècles désormais. Le simple fait de s’intéresser au « fixing » du prix du métal jaune suffit à valider l’argument.

Ces manipulations du cours de l’or (mais aussi de l’argent) sont la conséquence des comportements des grandes banques internationales, des démonétisations officielles et successives de l’argent (fin du XIXe) et celle de l’or (1971-76) et de la création du marché de l’or et de l’argent papier (certains ETF).

Face à ce contexte de baisse (correction) du métal jaune, réputé comme l’actif anti-fragile par excellence, le bitcoin tend à être vendu et imposé dans la sphère médiatique comme une nouvelle valeur refuge, au même titre que la relique barbare (l’or) dans cette période de grande instabilité financière.

Géopolitique de l'Or
Les banques centrales ont-elles du Bitcoin ?

Les origines du Bitcoin

Mais pour poursuivre notre critique de fond, nous pouvons affirmer que la structuration/conception du bitcoin pose elle-même question. La source de la crypto/blockchain la plus célèbre est réellement et fondamentalement problématique.

Pour commencer, le créateur de la première blockchain : le bitcoin, est un parfait inconnu. Ainsi, selon le peu d’informations dont nous disposons, ce monsieur se nommerait Satoshi Nakamoto.

Cet individu de nationalité japonaise serait un mathématicien, programmeur, cryptographe et révolutionnaire dans l’âme, et nous aurait même donné sa date de naissance exacte le 5 avril 1975. Cependant, à l’heure actuelle, il est tout simplement impossible de savoir s’il s’agit bien d’une seule personne ou au contraire d’un groupe de personnes. Ce Nakamoto qui n’a jamais donné aucun signe de vie et n’a jamais prouvé son existence est également le créateur du forum bitcointalk (communauté).

Selon la légende officielle, il posséderait quand même plus d’un million de bitcoins comme l’indique le site businessinder et en décembre 2017, sa fortune était déjà estimée à 19,4 milliards de dollars…

D’ailleurs, dans un dernier message public de la fin de l’année 2010, Nakamoto aurait cessé d’être actif et aurait quitté le projet Bitcoin, pour passer à autre chose…

Il aurait donc confié le « bébé » à un certain Gavin Andresen (américain) développeur en chef du bitcoin, travaillant à créer selon ses propres termes une « monnaie pour l’Internet » sécurisée et stable. Ce dernier est d’ailleurs diplômé de Princeton (université de l’Yvy League) et serait même allé présenter le projet dans les bureaux de la CIA comme il l’a déclaré dans un tweet étrange de juin 2011.

Gavin Andresen, le bitcoin et la CIA

À la tête de la fondation Bitcoin jusqu’en 2017, il a ensuite rejoint le projet BitcoinCash (une cryptomonnaie issue du Bitcoin) par la suite. Évidemment cet étrange mystère autour du « créateur » a pour conséquence d’énormes spéculations sur l’identité de Nakamoto. D’ailleurs son origine nipponne est même sérieusement remise en cause par la qualité de son anglais et l’absence totale de publications en japonais…

La Blockchain et la NSA

Mais ce n’est pas tout, une hypothèse pas totalement farfelue fait de Satoshi Nakamoto une création de la National Security Agency (renseignement américain). Le japonais serait donc un personnage fictif présenté au grand public par l’agence de renseignement américaine, ou au moins une personne travaillant pour elle. « Absurde théorie du complot ! » diront certains adeptes de la très subventionnée « conspiracywatch », mais quand on connaît les origines (pourtant officielles) de la « crypto-currency », l’hypothèse est loin d’être surréaliste.

Concrètement, il est tout aussi crédible de dire que le créateur du bitcoin est la NSA que d’affirmer vigoureusement que Nakomoto est une vraie personne.

D’ailleurs, bien avant la création du bitcoin, un document intitulé : « How to make a mint : The cryptography of anonymous electronic cash » publié en 1997, détaille étrangement la structure et la fonction de la monnaie virtuelle.

Et l’auteur de ce petit document se trouve être le Bureau de la recherche et de la technologie de la sécurité de l’information de l’Agence nationale de sécurité américaine (NSA).

En définitive, par l’intermédiaire de ce document, l’agence de renseignement américaine a donc réellement détaillé la structure future des cryptomonnaies, bien avant la fin de l’année 2008. En réalité le Bitcoin a réussi là où le concept de b-money, imaginé par Wei Dai en 1999, et le bitgold, de Nick Szabo en 2005 ont échoué.

Une grande partie du protocole de la monnaie virtuelle est même détaillée dans le document cité ci-dessus, y compris les techniques d’authentification des signatures, l’élimination des contrefaçons de cryptocoin par l’authentification des transactions et plusieurs caractéristiques qui permettent l’anonymat et l’impossibilité de retracer les transactions. Le document souligne aussi le risque important de blanchiment d’argent qui peut être aisément réalisé avec cet actif numérique.

La date officielle de création du Bitcoin (31 octobre 2008) en pleine crise financière des Subprimes et son succès en pleine défiance du grand public envers le monde de la finance (le mouvement OccupyWall Street lancée en 2011) sont également étranges.

Évidemment, le lien entre la NSA et la technologie de la blockchain ne s’arrête pas à la rédaction d’un document technique sur la cryptomonnaie.

L’agence de renseignement américaine est surtout le créateur du hash SHA-256 dont dépendent toutes les transactions Bitcoin et des autres cryptomonnaies (toutes basées sur ce système) dans le monde.

Ainsi, l’intégrité du bitcoin dépend d’une fonction de hachage appelée SHA-256, qui a été conçue, développée par la NSA et publiée par le National Institute for Standards and Technology.

Contrairement à ce qu’avancent les adeptes du bitcoin, la Blockchain (comme tout support numérique) n’est pas inviolable. En effet, comme l’a expliqué un spécialiste en cryptographie Matthew D. Green de l’Université John Hopkins, il n’est pas impossible de prendre le contrôle du réseau.

Néanmoins selon lui, pour arriver à cela il faudrait procéder rapidement sur le SHA-256, avec de gros moyens techniques et des actions crédibles et détectable pour falsifier les transactions. Officiellement, cela n’est jamais arrivé et il faudrait une grosse structure (un service de renseignement ?) pour réussir à réaliser cette opération.

Ainsi, comme tout outil numérique la blockchain est manipulable et il serait donc possible de falsifier les transactions si le hachage SHA-256 développé par la NSA disposait d’une méthode détournée pour déchiffrer le cryptage.

Il est à noter que jusqu’ici aucune activité frauduleuse n’a officiellement été détectée par aucun chercheur. D’ailleurs si tel avait été le cas et si cela avait été su, le bitcoin aurait déjà été liquidé par les investisseurs qui auraient fui cet actif déjà très volatile. Cependant quand on examine le cours du bitcoin depuis 2014 et les réactions (nombreuses) qu’il suscite, on constate que certains experts expriment leurs doutes sur le fait qu’il n’est jamais subi de manipulations

D’ailleurs, le 15 août 2010 un certain Jeff Garzik avait déjà repéré une faille dans le système. Une sorte de « bloc étrange » comme il le désigne dans le forum bitcointalk : avait été identifié par ses soins. Ainsi, il y a plus d’une décennie, une faille dans le protocole (ou une intervention) avait permis la génération de 92 milliards de bitcoins ! Cette erreur avait pu être corrigée et la Blockchain était revenue à son état antérieur afin de liquider ces nouveaux bitcoins issus de cette création frauduleuse.

Les adeptes du bitcoin, n’apprécient généralement pas qu’on leur rappelle ce petit épisode qui n’a jamais vraiment été expliqué de manière convaincante (malgré de multiples tentatives). En outre, une manipulation du cours du bitcoin, voire même une spoliation de millions de bitcoins pourrait être réalisée et semble du domaine du possible.

Et pour cela, sans même aller sur terrain de l’argumentation de la fiabilité de la blockchain, le cours du bitcoin est par principe manipulable puisque le créateur du bitcoin possède à lui seul entre 900 000 et 1.1 million de bitcoins. Certains observateurs avisés expliquaient déjà en 2018 que Satoshi Nakamoto (ou l’entité derrière ce personnage) possédait un stock d’environ 980 000 bitcoins…

Rajoutez à cela, les acquisitions de mastodontes comme Musk/Tesla ou encore BlackRock qui en 2018 dépassait déjà les 6 000 milliards d’actifs sous gestion, et vous obtenez un cours potentiellement manipulable « au carré/puissance 2 »… BlackRock qui est devenu, à l’occasion de la crise du Coronavirus un organe du gouvernement américain (ou l’inverse), fait désormais la pluie et le beau temps sur les marchés internationaux et peut donc totalement et sans aucun problème, jouer avec le cours du bitcoin…

Il ne nous est donc pas très difficile de conclure qu’il est très probable qu’une cryptomonnaie comme le bitcoin, serve d’une certaine manière à prendre le contrôle d’une partie importante de la masse monétaire mondiale alors que le système de la monnaie fiduciaire/dette s’effondre sur lui-même. La dimension de piège politique/financier à propos du bitcoin n’est évidemment pas à écarter.

Une monnaie numérique remplaçant nos vieux billets et évitant une fuite vers l’or et l’argent métal serait une solution idéale pour l’oligarchie apatride de Wall Street et de la City. Le bitcoin, en plus d’habituer les gens par la culture d’investissement numérique qu’il répand, similaire à la numérisation des devises, sert probablement de prétexte à l’oligarchie financière.

Cash et cryptomonnaie
Tangible ou pas tangible ?

La fausse opposition au Bitcoin des banques centrales et des banques commerciales

On le constate de plus en plus au fil des mois, il existe une opposition formelle à la monnaie virtuelle alors que dans l’ombre s’organise une adhésion de fond parmi les grands acteurs et les institutions du secteur financier comme l’attestent les différentes réactions sur le bitcoin.

En effet, la Réserve fédérale américaine (FED) n’a pas hésité à déclarer (à la stupeur des experts) que « des monnaies virtuelles comme le bitcoin étaient légitimes ».

Pourtant en utilisant sciemment le terme « monnaie », la banque centrale américaine se tirait une belle balle dans le pied quand on pense à sa propre fonction (battre la monnaie pour les États-Unis). À moins que les gens de la Réserve fédérale en disant cela aient une idée derrière la tête…

Plusieurs banques centrales, dont la Banque de France, avaient, elles, été jusque-là plus prudentes dans leurs déclarations concernant le Bitcoin, faisant preuve d’une grande hypocrisie : « La Banque de France met en garde contre l’utilisation du bitcoin, soulignant que ce genre de devise n’est pas régulé, et réclamant une intervention des autorités pour mettre un terme à certaines transactions illicites. »

Une déclaration qui était pour le moins totalement inepte… Car qui sont les autorités dont elle parle ? Ne serait-ce pas le rôle d’une banque centrale ? Ne seraient-ce pas les missions des autorités de marché ? Serait-ce la division financière du parquet qui doit intervenir ? Qui a la mission d’assurer la protection des investisseurs ?

La Banque Centrale européenne avait, quant à elle, étrangement (en pleine crise de l’Euro) travaillé sur un rapport d’octobre 2012, ou l’hostilité envers les cryptomonnaies ne transparaissait pas vraiment…

La Banque des Règlements internationaux de Bâle et la Banque d’Angleterre quant à elles, ont lancé officiellement la phase d’instauration des monnaies numériques de banque centrale au cours de l’année 2020.

En réalité, dans cette grande pièce de théâtre, personne n’agit vraiment. Seuls les Chinois ont interdit l’usage et même le minage du bitcoin, et les Russes l’ont aussi très vite déclaré illégal.

Pour les Chinois, cela s’explique d’une manière assez simple : c’est la nation la plus en avancée dans l’instauration de sa monnaie (yuan) numérique de banque centrale (CBDC) et dans l’expérience de crédit social dont les mesures sanitaires occidentales (covipass/gestes barrières, attestations, amendes pour non-respect, etc.) semblent se rapprocher de semaine en semaine.

Pour la Russie, il y a fort à parier que les services de renseignements russes savent qui se cache derrière le bitcoin, comme ils connaissent déjà l’état de santé délicat du président américain Joe Biden.

D’ailleurs, il est aussi possible (pour des objectifs complètement différents) que les actions des deux leaders des BRICS soient justifiées également par leur politique respective d’achat important d’or métal depuis plusieurs années. L’or ou le Bitcoin, a priori, il faut choisir, et ces deux grandes puissances semblent avoir choisi…

Autres preuves que les cryptomonnaies sont des fraudes : désormais les grandes banques anglo-américaines investissent massivement dans les cryptomonnaies. À commencer par la JP Morgan and Chase de Jamie Dimon qui est devenue récemment (2019) la première banque à créer sa propre cryptocurrency. Cette dernière repose sur la même technologie de blockchain avec pour seul détail qu’elle est indexée sur le dollar. Les investisseurs peuvent donc utiliser cet actif numérique dans le cadre de transferts d’argent instantanés entre des comptes institutionnels de grands investisseurs, d’autres banques, et de grandes entreprises clientes de JP Morgan.

De même pour le « Boss » de la Bank of America Bryan Moynihan, qui a lui aussi déclaré au cours de la même année (2019) dans une interview que son institution déposait de nombreux brevets sur cette nouvelle technologie qu’était la blockchain. Preuves que les grandes banques ne sont pas du tout hostiles à cette tendance de digitalisation/numérisation monétaire…

Le FMI aime ça !

D’ailleurs, même le Fonds Monétaire International aime le concept de monnaie virtuelle. Pourtant, face à cette révolution monétaire, on aurait pu légitimement s’attendre à ce que le l’institution basée à Washington joue un rôle d’éventuel opposant face à cette révolution technologique « d’émancipation ». Bien au contraire le FMI version Christine Lagarde et maintenant Georgieva ne considère pas du tout le Bitcoin comme un problème.

En 2017, devant la Banque d’Angleterre, la grande Christine avait même déclaré qu’ « Il n’y a pas si longtemps, certains experts ont fait valoir que les ordinateurs personnels ne seraient jamais adoptés, et que les tablettes ne seraient utilisées que comme de coûteux plateaux à café. Je pense donc qu’il ne serait pas sage de rejeter les monnaies virtuelles. »

Des rumeurs ont même circulé par la suite, indiquant carrément que c’était le FMI qui était à l’origine du bitcoin ou que le bitcoin visait à détruire les grandes banques centrales à son profit… Rien n’est impossible, mais seul l’avenir nous le dira.

Ce qui est certain, et on le constate avec la crise/dictature sanitaire du Coronavirus, le bitcoin et les cryptomonnaies vont servir de marchepied aux monnaies numériques de banque centrale (CBDC) et à l’élimination de l’argent liquide.

Monnaie numérique et fin du cash

En réalité, il est surtout avéré que la technologie « Blockchain » a été construite (ou reprise c’est selon) pour détruire définitivement l’argent liquide.

Une réunion de banquiers et grands dirigeants relatée par un article du journal Bloomberg intitulé : « Inside the Secret Meeting Where Wall Street Tested Digital Cash » nous a d’ailleurs informé qu’une centaine de dirigeants des grandes institutions financières anglo-américaines (représentants du Nasdaq, de Citigroup, de Visa, de Fidelity, de Fisery et de Pfizer…) s’était tenue en 2016 à New York dans les bureaux de Times Square Nasdaq Inc.

Avec le recul et la crise du Coronavirus on peut légitimement se poser la question de la présence des dirigeants de Pfizer (entreprise pharmaceutique qui se trouve être le plus grand vendeur de vaccin anti-covid) à cette réunion…

Bitcoin, numérisation et traçage
Un petit vaccin peut-être ?

Lors de cette réunion privée, une société avait même présenté une technologie qui transforme les dollars américains en actifs numériques purs. C’est la promesse de la Blockchain, ou le système lourd actuel sujet aux erreurs qui prend des jours pour transférer de l’argent est remplacé par un mécanisme à la rapidité quasi instantanée. Cette technologie révolutionnaire est destinée à changer les pratiques liées à l’argent et a constitué la première étape vers une société sans liquide.

La technologie des monnaies numériques a donc été sélectionnée pour nous amener vers une dictature financière universelle.

Par sa nature informatique : la monnaie virtuelle sera tout simplement facile à créer et à voler. Et bien qu’elle repose sur une somme d’algorithmes complexes, la technologie Blockchain qui semble être anonyme et décentralisée est au contraire bien plus susceptible d’être spoliée qu’une pièce d’or ou d’argent présente au fond d’un coffre. Vision archaïque, mais de bon sens, que les « pros-crypto » n’hésiteront pas à dénigrer, car elle remet leur démarche dans le concret.

D’ailleurs grâce au terrorisme international, le gouvernement américain a depuis longtemps accès à des données financières par le biais de SWIFT dans le cadre de la prétendue lutte contre le terrorisme. Et même si l’on sait que la crypto-currency sert déjà de « monnaie d’échange » pour les diverses activités de financement et blanchiment entre la pègre, les mouvements terroristes mafieux, certaines grandes multinationales et agences gouvernementales, la technologie Blockchain rendra la traçabilité parfaite et seuls les grands groupes mafieux (qui contrôlent) cet outil, auront la chance (le luxe) de ne pas être traçable (comme le dit si bien Jacques Attali).

Ce système de monnaie virtuelle va aussi enterrer à coup sûr, le mouvement de résurgence des systèmes financiers, basé sur les métaux précieux, qui après la chute du dollar hégémonique, laissera naturellement la place à une crypto monnaie mondiale divisée probablement dans un premier temps en CBDC continentale (peut être portée par le FMI, avec son phénix/DTS).

En conclusion, mis à part si vous savez que vous pouvez faire un gain à court terme, évitez de vous lancer dans les cryptomonnaies, car elles amènent avec elles, un monde construit sur l’illusion numérique et l’asservissement.

Illusion et captation de la rébellion

Au contraire, nous devons prioritairement nous battre pour reconnecter l’Argent (la monnaie) avec le Travail productif afin de rester dans le monde réel. C’est bien l’extrême virtualisation et mathématisation du monde qui amène le gouvernement perpétuel des usuriers.

Il ne faut surtout pas imiter les parasites (traders, grands banquiers, etc., dans leur quête de la pierre philosophale virtuelle…), mais au contraire travailler concrètement en ayant conscience de l’effondrement prochain. Comme le dit si bien le Dr Fouché, il faut faire de cette crise, une chance, une opportunité, pour nous changer nous-mêmes. Mais ne nous leurrons pas en plus de ce travail personnel, il nous faudra aussi nous mettre en colère pour aller chercher les marchands du Temple… La passivité même consciente nous conduira à l’esclavage.

Et pour ne pas subir le cataclysme qui vient, il va nous falloir impérativement nous remettre au travail en tournant vers les activités réellement productives et enfin militer pour la reprise du contrôle de notre monnaie (souveraineté) en adossant celle-ci à un (des) étalon qui a lui-même une valeur intrinsèque (l’or, l’argent, le cuivre, le palladium…).

Le Silver Squeeze et le WallStreetBet, mouvement de fond bien plus intéressant que les épisodes rigolos Gamestop, démontrent qu’il existe des solutions concrètes que Wall Street et la City abhorrent (acquisition d’or et d’argent physiques par les masses et retour au Bimétalisme pour les nations).

Pour vous en convaincre, dites-vous bien que vous ne verrez jamais BlackRock, JP Morgan, Barclays ou Goldman Sachs vous crier que les perspectives d’investissement sur l’argent métal sont intéressantes avec de vastes campagnes publicitaires et de communication dans les médias…

Au final, n’oublions pas que la seule valeur d’une monnaie réside en réalité, sur le travail et la richesse des producteurs qui s’assemblent et se servent de cet objet pour échanger.

L’or et l’argent métal sont malheureusement encore une fois, les seules monnaies valables pour se préserver de l’effondrement qui vient et pour lutter collectivement contre la dictature numérique et sanitaire de l’oligarchie financière… Nos ancêtres (bien plus sages que nous) ont utilisé en priorité ces métaux comme objet monétaire pendant des millénaires, dîtes-vous bien qu’il doit bien y avoir une raison à cela…

Enfin, si vous persistez encore avec les cryptos et le bitcoin, essayez de sortir avant la captation définitive (par une interdiction, un bug, etc.) Car lorsque la petite musique cessera, que le silence numérique fera de vous des petits Bernie Madoff, qui après avoir bien joué, seront à la fin, privés de liberté (financière et politique), plus personne au fond de votre cellule, ne viendra vous sauver, car il sera trop tard.

Dans ce « Monde d’Après » totalitaire et virtuel, dans lequel nous serons presque tous enfermés, il nous arrivera probablement de regretter le temps où nous aurions pu abattre cette douce illusion, prémices de ce système diabolique (Blockchain/Bitcoin/CBDC), que nous avons cru pouvoir maîtriser à notre avantage…

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




Sources des articles externes

En français

En anglais

Note : les sources vidéo ne sont pas indiquées ici.




L’histoire cachée de l’effroyable mafia khazare

[Source : Nice-Provence Info via Réseau International]

Nice Provence Info avait publié en juin 2017 cet article issu du site du site “Veteran-Today” et que la malveillance de notre ancien hébergeur OVH a effacé.

Cet article majeur et consistant avait suscité une grande curiosité de nos lecteurs et doit figurer dans notre bibliothèque malgré les entraves de la Police de la Pensée.

« Dans les temps de tromperie universelle, dire la vérité devient un acte révolutionnaire. »

nous avertit George Orwell dans 1984.

Le Pouvoir étant lui-même complotiste (lire Macron, ce grand complotiste), il n’y a plus aucune raison pour que nous ne le soyons pas non plus.

Bonne lecture !

Le voile est à présent déchiré pour exposer clairement à la lumière la mafia khazare et ses effroyables plans pour infiltrer, tyranniser la planète entière et éradiquer toutes les religions du Livre pour en permettre une seule : leur talmudisme babylonien également connu sous les noms de luciférianisme, satanisme ou encore ancien culte de Baal.
L’histoire des Khazars, et particulièrement celle de la mafia khazare, le plus grand syndicat mondial du crime organisé, ayant muté grâce à un “tour de magie” monétaire utilisé par les anciens Babyloniens, a été quasiment occultée de tous les livres d’Histoire.

Actuellement, la mafia khazare sait très bien qu’elle ne peut opérer ou même exister sans un secret abject, et, dans ce but a dépensé beaucoup d’argent pour expurger les livres d’Histoire empêchant les citoyens de toute la planète d’en savoir plus sur leur pouvoir de nuisance terrifiant au delà de toute imagination et permettant la toute puissance de la plus grande organisation mondiale criminelle. Les auteurs de cet article ont fait de leur mieux pour reconstituer cette histoire secrète des Khazars et de leur syndicat mondial du crime organisé, mieux nommé encore mafia khazare, et pour l’exposer aux yeux du monde grâce à l’internet, cette nouvelle presse de Gutenberg.

Il est excessivement difficile de reconstituer cette histoire cachée de la mafia khazare, ainsi veuillez excuser les erreurs ou les inexactitudes mineures qui ne sont pas intentionnelles et seulement dues à la difficulté de creuser dans cette histoire réelle des Khazars et de leur mafia. Nous avons fait notre possible pour la restituer.

Ce fut tout d’abord Mike Harris qui relia les points et fit cette découverte récente de l’existence d’une histoire cachée et sanguinaire de la mafia khazare et de sa volonté de revanche sur la Russie.

Lors de la conférence en Syrie sur la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme religieux le 1er décembre 2014, Gordon Duff directeur de “Veterans Today” (publication des vétérans de l’armée américaine et des services secrets US), exposa publiquement pour la toute première fois que le phénomène du terrorisme mondial est actuellement le fait d’une vaste organisation criminelle internationale liée à Israël. Cette révélation envoya un tsunami au sein de la conférence et quasi-instantanément dans le monde entier, dans la mesure où presque tous les chefs d’État de la planète reçurent également le rapport de cette révélation historique !

Et les répercussions de ce discours historique continuent à résonner actuellement autour du monde.

Gordon Duff demande aujourd’hui au président Poutine de divulguer les documents des services secrets russes qui exposent environ 300 traitres du Congrès US pour leurs actes de félonie en série ainsi que d’espionnage pour le compte de la mafia khazare contre les intérêts de l’Amérique et de plusieurs nations du Moyen-Orient.

Nous savons désormais que la mafia khazare mène une guerre secrète contre l’Amérique et les Américains par l’usage d‘actes de terrorisme sous faux-drapeau de type “Gladio” et au travers d’organismes illégaux et inconstitutionnels comme la Federal Reserve, l’IRS, le FBI, la FEMA, le HomeLand Security et le TSA. Nous tenons à présent pour certain que la mafia khazare est responsable de “l’inside job” du 11 septembre 2001, attaque sous faux drapeau de pur style Gladio, ainsi que de l’attentat du Murrah building le 19 Avril 1995.

Voici donc les grandes lignes de l’Histoire cachée de la plus grande mafia de la planète

Khazarie carte

100800 après J.-C. : Les Khazars se sont développés au sein d’une nation gouvernée par un roi malfaisant, pratiquant la magie noire et secondé en sa cour par des oligarques occultistes. À cette époque les Khazars étaient connus par les peuples environnants comme criminels, assassins et pillards, pratiquant le meurtre comme mode vie et occupation journalière normale.

800 après J.-C. : Un ultimatum leur est donné par la Russie et d’autres contrés environnantes : les chefs des nations environnantes, au premier rang desquelles la Russie, ayant eu depuis tant d’années des plaintes de la part de leurs ressortissants, donnèrent un ultimatum au roi khazar. Ils envoyèrent un communiqué au roi, l’assignant à choisir l’une des trois religions du Livre pour son peuple en en faisant la religion officielle afin de socialiser le enfants dans la pratique de cette foi.
Il fut donc donné au roi le choix entre l’islam, le christianisme et le judaïsme.

Le roi choisit le judaïsme

Il promit alors de s’en tenir aux assignations de la confédération de peuples menée par le tsar (descendant des César de Rome) de Russie. Malgré les promesses de s’en tenir là, le roi khazar et son cercle rapproché d’oligarques continuèrent à pratiquer l’ancienne magie noire babylonienne connue aussi sous le nom d’occultisme satanique. Celui-ci implique des cérémonies occultes reposant sur le sacrifice rituel d’enfants par égorgement, puis d’actes de cannibalisme en buvant le sang et en dévorant le cœur de l’enfant égorgé.

Le secret profond de ces cérémonies occultes est le fait qu’elles étaient toutes basées sur l’ancienne religion de Baal et le sont toujours aujourd’hui.
Dans le but de tromper la surveillance de la confédération de nations menée par la Russie, le roi khazar se mit à mêler ces pratiques de magie noire luciférienne avec celles du judaïsme, créant ainsi une religion satanique hybride connue sous le nom de talmudisme babylonien qui devint la religion nationale des Khazars tout en continuant à nourrir le même pouvoir de malfaisance qu’auparavant !

Hélas, les Khazars continuèrent dans leur même façon de nuire, volant et assassinant les voyageurs égarés en pays khazar…

Les bandits khazars s’efforçaient souvent de dissimuler leur identité après avoir perpétré leurs méfaits sur ces malheureux visiteurs et devinrent maîtres dans l’art des déguisements et des fausses identités, une pratique qu’ils poursuivent encore de nos jours, de même que celles de leurs sacrifices d’enfants et cérémonies occultes, qui ne sont autres que celles de l’ancienne confrérie de Baal.

Vers 1200 : La Russie et les nations environnantes en eurent assez et décidèrent d’agir…
Àcette époque la Russie à la tête des nations voisines de la Khazarie envahirent celle-ci pour arrêter les crimes des Khazars contre leurs ressortissants, ce qui incluaient des enlèvements d’enfants et de bébés en vue de leurs sacrifices sanglants à Baal.

Ces “élites” khazares avaient un réseau d’espions très développé qui les prévint du danger. Aussi s’enfuirent-ils de Khazarie vers les nations de l’ouest de l’Europe, emmenant avec eux leur immense fortune en or et en argent. Ils se regroupèrent de façon discrète sous de nouvelles identités. En secret, ils poursuivirent leur pratique des sacrifices rituels sanglants de meurtres d’enfants, confiants dans la promesse de Baal de leur donner le monde entier et ses richesses sous réserve qu’ils poursuivent ces sanglants sacrifices en son honneur. Le roi khazar ainsi que son cercle rapproché de criminels se firent depuis lors une réputation de mafia auprès des nations voisines. Ils se mirent alors à ourdir un projet souterrain de revanche contre les Russes et les nations qui, en envahissant la Khazarie, les avaient chassés du pouvoir et de leur territoire.

Cette mafia khazare décida d’envahir l’Angleterre.

Pour accomplir ce plan, ils recoururent aux services d’Oliver Cromwell en vue de l’assassinat du roi Charles 1er et firent de l’Angleterre une terre où ils purent prospérer à nouveau. Ce fut le début de la guerre civile en Angleterre qui fit rage une dizaine d’années et se solda par l’assassinat de toute la famille royale ainsi que des centaines de personnes appartenant à l’aristocratie anglaise originelle.

C’est ainsi que la City de Londres fut établie comme la capitale bancaire de l’Europe et fut à l’origine de l’essor de l’Empire britannique.

David Ickes fut le premier à exposer courageusement en pleine lumière la mafia Rothschild. Ceci fit de lui un héros international et nous aurions besoin d’autres personnes de cette trempe pour briser une bonne fois cette zone d’ombre entourant la mafia khazare et mettre ainsi fin à leur illégitime hégémonie mondiale.

La mafia khazare décida d’infiltrer et de détourner toutes les banques au niveau mondial en utilisant la magie noire babylonienne, aussi connue sous le nom de “système magique pour faire de l’argent” babylonien ou encore l’art secret de fabriquer de l’argent à partir de rien associé au pouvoir de l’usure qui additionne sans fin les intérêts…
La mafia khazare utilisa donc son immense fortune pour favoriser ce nouveau système de leur invention et créateur magique d’argent qu’ils prétendirent inspiré par les esprits de Baal en échange de leurs sacrifices sanglants en son honneur.

Ce système babylonien “d’argent magique” supposait la substitution de l’or ou de l’argent déposés contre des certificats de “papier-crédit” qui permettait aux commerçants de voyager avec leur argent sous une forme qui autorisait le remplacement aisé en cas de perte ou de vol…
Il est intéressant de constater au passage comment le problème (de la dangerosité des voyages en Khazarie de par le fait de leurs razzias et meurtres) recevait sa solution grâce à eux 

Finalement le roi khazar et sa petite cour infiltrèrent l’Allemagne grâce à un groupe du nom allemand de “Bauer” pour les représenter et étendre leur fabuleux et maléfique “Baal-powered” système…
Ces Bauer, habitant à “l’Enseigne Rouge” (ce qui représentait fort bien en effet leur charmante activité secrète d’égorgement d’enfants), changèrent donc tout naturellement leur nom en Rothschild (rot-schild : enseigne rouge en allemand).

Ces Rothschild, hommes de paille de la mafia khazare, poursuivirent le travail d’infiltration et de détournement du système bancaire anglais et ensuite de toute la nation anglaise.
Ce Bauer/Rothschild eut cinq fils qui infiltrèrent à leur tour toutes les places bancaires en Europe y compris le système bancaire anglais, sous le couvert de puissantes opérations, y compris le fameux faux rapport de la victoire de Napoléon sur les Anglais alors qu’il était perdant. Ce coup de “génie” permit par la fraude et la tromperie l’appropriation par les Rothschild des richesses de la noblesse anglaise et propriétaires terriens qui avaient fait des accord d’investissement avec les institutions de la City de Londres.

Les Rothschild créèrent ainsi un système bancaire privé basé sur la monnaie-papier, spécialisé dans la création monétaire à partir du néant et additionnant au passage une usure pernicieuse sur le dos du peuple anglais et avec son propre argent ! Ils confiaient aux “insiders” que cette magie noire du pouvoir par la monnaie leur venait directement de Baal grâce à leurs fréquentes mises à mort sanglantes de petits enfants. Une fois qu’ils eurent infiltré et détourné le système bancaire anglais, ils interférèrent avec la couronne britannique et ses principales institutions dans toute l’Angleterre…

Certains experts pensent que les Rothschild éliminèrent peu à peu les membres de la famille royale d’Angleterre en organisant des unions avec des représentants de leur propre lignée khazare afin de faire accéder au trône leurs propres comparses.
D’une manière générale, la mafia khazare mena un effort international pour éradiquer les rois légitimes de droit divin. De par le fait-même que la mafia khazare prétend avoir un partenariat avec Baal (alias Satan, alias Lucifer), de par les sacrifices dont ils l’honorent, ils détestent tous les souverains régnant sous l’autorité de Dieu tout puissant car la plupart d’entre eux se sentent responsables de leurs sujets et conscients de leur rôle de protection contre des tentatives de traitrises ou d’infiltration d’ennemis se tenant à leurs portes.

À partir des années 1600, la mafia khazare suprima donc les autorités royales légitimes anglaises pour leur substituer des “infiltrés”.

Dans les années 1700, ils s’en prirent ensuite à la famille régnante de France en fomentant la révolution française.

Juste avant la première guerre mondiale, ils firent assassiner l’archiduc autrichien François-Ferdinand, dans le but, justement de déclencher cette guerre. Ce qui fonctionna à merveille.

En 1917, ils créèrent l’armée de la mafia khazare, alias les bolchéviques, et infiltrèrent et détournèrent la Russie, assassinèrent le tsar Nikola II et sa famille de sang froid, trucidant leur fille préférée à coups de baïonnette dans la poitrine, puis dérobèrent tout l’or, l’argent et les trésors fabuleux des œuvres d’art que la Russie possédait alors.
Juste avant la seconde guerre mondiale, ils se débarrassèrent des lignées royales autrichienne et allemande.
Ce fut ensuite le tour des lignées impériales de la Chine et du Japon.

Cette mafia khazare a une haine intense pour quiconque professe une quelconque foi en un quelconque Dieu, si ce n’est le leur propre, Baal/Satan qui leur donna pour mission de massacrer tout roi et toute royauté, et de bien s’assurer que ceux-ci ne pourraient plus jamais régner. Ils ont fait exactement la même chose avec les présidents américains, organisant des opérations secrètes et sophistiquées afin de les chasser du pouvoir.
Si cela ne fonctionne pas, la mafia khazare les assassine tout simplement, comme par exemple Mac Kinley, Lincoln, Kennedy. Elle entend éliminer quiconque pourraient rétablir des lois fortes ou être élu et oser résister à leur système de magie noire financière et à leur pouvoir souterrain rendu possible par leurs réseaux basés sur la compromission d’humains corrompus.

Les Rothschild financèrent les trafics de narcotiques internationaux sur ordre de la mafia khazare. Ils dirigèrent ensuite dans l’ombre l’empire britannique et élaborèrent un plan pour récupérer l’énorme quantité d’or et d’argent que les Britanniques ont payée à la Chine pour ses épices et soieries.

Les Rothschild, ayant découvert l’existence de l’opium turc et de son caractère fortement addictif, organisèrent un trafic pour le vendre à la Chine, infectant des millions de malheureux avec une dépendance mortelle au poison qui apportait dans le même temps des monceaux d’or et d’argent.
L’addiction à l’opium créée par les Rothschild en Chine infligea tant de mal à celle-ci que la Chine en vint à la guerre par deux occasions pour mettre un arrêt à cet empoisonnement. Ces guerres sont connues sous le nom de révolte des Boxers ou encore de Guerre de l’opium. L’argent que gagnèrent les Rothschild avec l’opium était si énorme qu’ils devinrent complètement addicts à cet argent facile, plus encore que les opiomanes de leur opium !

Les Rothschild furent la source de financement qui permit l’établissement des colonies américaines. Ils incorporèrent la “Hudson Bay Company” ainsi que d’autres compagnies commerciales afin d’exploiter les richesses de ce Nouveau-Monde. Qu’importe si l’exploitation de ces vastes ressources du continent passait par le génocide des peuples indigènes d’Amérique du Nord.

Hudson Bay Company

Les Rothschild suivirent également le même “schéma d’affaire” aux Caraïbes et dans le sous-contnent indien, occasionnant la mort de millions d’indigènes.

Les Rothschild tirèrent également profit du commerce des esclaves.

Ce commerce s’appuie sur la corruption des chefs africains qui revendent comme du bétail des membres kidnappés de tribus ennemies. Notons au passage que les mafieux khazars voudraient bien généraliser ce mode de fonctionnement à l’ensemble des populations du monde qui ne font pas partie de leur cercle maléfique.
Les marchands d’esclaves transportaient ensuite par bateau ces esclaves kidnappés vers l’Amérique et les Caraïbes où ils étaient revendus.

Les banquiers Rothschild apprirent également très tôt que les guerres étaient d’excellents moyens d’accroître leur fortune.

Ils mirent à profit cette expression « Pile je gagne, face tu perds » et finançaient les deux camps des belligérants. Il est à noter que la mafia bancaire khazare des Rothschild entretient une éternelle revanche contre les colonies américaines ainsi que contre la Russie qui aida celles-ci et leur fit perdre cette guerre.
En effet, lorsqu’ils perdirent cette guerre de la révolution américaine, les Rothschild en imputèrent la cause à la Russie — encore elle ! — qui avait bloqué les bateaux de la marine anglaise. Ils vouèrent alors une revanche éternelle contre les colons américains, exactement de la même façon qu’à l’encontre de la Russie qui écrasa la Khazarie 7 siècles plus tôt.

Les Rothschild et l’oligarchie anglaise qui les entoure n’ont eu de cesse depuis lors de trouver tous les moyens possible pour reprendre l’Amérique et la Russie et cela devint même leur principale obsession.

C’est pourquoi ils promurent la FED en déployant une fois de plus leur système babylonien qui s’appuie sur la création de fausse monnaie. La mafia khazare essaya donc en 1812 de reprendre le contrôle de l’Amérique du Nord et échoua une fois de plus à cause d’une nouvelle interférence Russe. Ce nouvel échec enragea la mafia khazare qui, une nouvelle fois, se mit à planifier une éternelle revanche à la fois contre les Russes et les colonies américaines. Ce qu’ils firent en infiltrant et détournant ces deux nations, leurs richesses ainsi qu’ en tyrannisant et massacrant au besoin leurs populations.

La tentative de cette même mafia de créer une banque centrale privée américaine fut stoppé par le président Andrew Jackson qui les traita de satanistes et voulut les faire déguerpir avec l’aide et la Grâce de Dieu. Les banksters Rothschild se coalisèrent et poursuivirent néanmoins opiniatrement leurs manœuvres dans l’ombre afin d’installer leur système monétaire sur le sol Américain.

Finalement en 1913, elle parvint à établir une importante tête de pont au cœur de l’Amérique. C’est en 1913 que la mafia khazare établit sa base grâce à la corruption et à la traitrise de membres du Congrès : le “Federal Reserve Act” fut passé en toute illégalité et contre la Constitution la veille de Noël et sans même le quorum requis. L’acte fut donc signé par un président américain corrompu, traitre à l’Amérique tout comme les membres du Congrès qui l’avaient élu. La mafia khazare put donc mettre en place un système de taxation tout à fait illégal, de façon à être sûre que le peuple américain paierait pour les titanesques dépenses du “Gouvernement américain”, le tout approuvé par un Congrès acheté et un président fantoche totalement aux ordres de cette machiavélique et ingénieuse communauté.

Il est aisé pour la mafia khazare de fournir autant de monnaie qu’il en faut pour faire élire leurs hommes de paille dès lors que vous contrôlez une “banque” qui n’est autre qu’une fabrique secrète de fausse-monnaie !

Dans le même temps qu’ils établissaient ce système de taxation généralisé, ils mettaient sur pied l””Internal Revenue Service”, leur collecteurs d’impôts privés incorporé à Puerto-Rico.
Peu après encore, ils mirent au point le “Federal Bureau of Investigation” (FBI) afin de protéger tout le système mis en place, de pourvoir à leurs besoins de mener des opérations occultes et surtout d’étouffer les poursuites concernant leurs sacrifices rituels d’enfants et les réseaux pédophiles qui les approvisionnent. Le FBI est aussi un réseau d’espionnage à leur usage propre. Il est à noter que le FBI n’a aucune charte officielle, conformément aux textes du Congrès, donc aucune existence légale, ni droit d’émettre aucun chèque de paiement.

La mafia Rothchild déploya sa “Révolution Bolchévique” en 1917 en Russie

afin de concrétiser sa revanche qui fut d’une sauvagerie sanglante inouïe sur un peuple russe innocent et ce, conformément à ce qu’ils avaient mis au point depuis tant d’années … depuis la destruction de la Khazarie par la Russie.

Alexandre Soljenitsyne

La mafia khazare Rothschild mit en œuvre et pilota la révolution communiste en fournissant des fonds depuis la FED afin de financer l’infiltration bolchévique de la Russie. Les bolchéviques furent donc créés et déployés par la mafia khazare comme l’instrument principal de leur revanche longuement préparée sur la Russie des tsars et sur un peuple russe innocent mais qui avait eut l’audace de briser la Khazarie dans les années 1000. Ce fait peu connu explique l’extrême violence exercée en 1917 sur la Russie : les bolchéviques furent lâchés dans un assaut de furie sanglante, parfaitement planifiée, qui stupéfia alors le monde entier par sa barbarie. Les bolchéviques, suivant les directives de la mafia Rothschild, pillèrent, torturèrent et se livrèrent à d’inimaginables massacres de masse sur environ 100 millions de Russes, y compris des femmes, des enfants, des bébés. Citons Alexandre Soljenitsyne : « Vous devez comprendre que les bolchéviques qui firent le coup d’État de 1917 n’étaient pas des Russes. Ils haïssaient les Russes. Ils haïssaient les Chrétiens. Mus par une haine ethnique revancharde, ils torturèrent et assassinèrent des millions de Russes sans l’ombre d’un remord humain. Jamais cela ne sera assez dit : Les bolchéviques ont accompli le plus grand meurtre de masse de tous les temps. Le fait que la plupart des gens soient ignorants et indifférents devant cet énorme crime est la preuve que les médias mondialistes sont dans la main des perpétrateurs de celui-ci.”

La mafia khazare s’est toujours attachée à infiltrer et détourner le judaïsme.

Ils ont donc mis sur pieds un plan d’action pour contrôler l’ensemble du judaïsme par le contrôle de l’esprit. Ils mâtinèrent donc le judaïsme de talmudisme babylonien tout en prenant le contrôle des banques en général,de Wall Street, du congrès des USA ainsi que des principaux mass-media.

Ainsi, la mafia khazare Rothschild peut distribuer la richesse et le succès à ces Juifs qui ont bu leur elixir magique et les utiliser comme des disjoncteurs ou des Sayanims (agents actifs).
Leur financement de la Knesset en Israël ainsi que son édification grâce à l’architecture des loges maçoniques est au service de leur talmudisme babylonien avec tout le mal qu’il génère partout, y compris des sacrifices occultes d’enfants dédiés à leur dieu secret,Baal.

Ils organisent un système appelé Nouvel Ordre Mondial ou encore Mondial- Sionisme, qui a été inculqué aux Juifs grâce à une illusion paranoïaque de supériorité raciale de leur groupe, allié au fait que tous les Gentils sont supposés avoir des intentions génocidaires à l’égard de ce groupe.
En retirant le rideau, on constate que l’architecture maçonique a été utilisée à l’édification de la Knesset et de la Cour Suprême israëlienne.
Ils ont appelé cette illusion raciale et paranoïaque Juive massive de conquête mondiale, “le Sionisme Mondial”. C’est en réalité une forme de Talmudisme Babylonien ou Luciferianisme qui était inconnu auparavant du courant dominant Juif.

Ce système a donc été conçu pour utiliser les Juifs comme couverture, les doter du pouvoir d’argent babylonien, les utilisant ainsi comme disjoncteurs et plus tard devant eux-mêmes être sacrifiés à Lucifer en deux étapes :

  • La première étape allait être leur Seconde Guerre mondiale, planifiée dans les camps de travail Nazis et aboutissant aux morts d’environ 200,000 Juifs par famine ou maladie, de même que 90,000 non Juifs, selon les chiffres officiels et reconnus des fonctionnaires de La Croix-Rouge. (Ce nombre est de 5 % de ce que la mafia khazare prétend.
  • Le deuxième grand sacrifice en serait le bouquet final, à l’avènement du Nouvel Ordre Mondial lorsque leur “Roi” Luciférien du monde accédera au pouvoir et quand toutes les trois religions d’Abraham seront supprimées : Particulièrement le Judaïsme, qui sera alors accusé pour toutes les guerres et destructions du monde.

À ce moment là la mafia khazare se métamorphosera à nouveau sous une nouvelle identité n’ayant plus rien à voir avec le Sionisme mondialiste …
Il est important de réaliser que la mafia khazare écrasa l’Allemagne avec la première guerre mondiale, créant ainsi un vide propice au fascisme, et ensuite la re-propulsa au premier rang en installant Hitler et le nazisme comme contre-force à leurs bolchéviques russes.

Hitler devint pour la mafia khazare un problème à partir du moment où il se libéra de leur joug et commença à agir pour la défense des intérêts du peuple allemand et des autres peuples libres du monde en développant un système bancaire libéré du système Rothschild.
Hitler initia un système financier libre de l’usure et bénéficiant aux travailleurs.

Ceci nécessitait bien évidemment la destruction complète de l’Allemagne et de son peuple car la mafia khazare de Rothschild ne pouvait en aucun cas permettre la naissance d’un système financier non basé sur l’usure.
Nous voyons la même chose aujourd’hui avec la guerre Khazare contre l’Islam puisque l’Islam ne permet pas l’usure. C’est la raison des vociférations agressives d’Israël demandant la destruction de l’Islam partout dans le monde.

Cette mafia khazare est bien rodée à présent pour mettre sur pieds de façon cachée des attentats sous faux drapeaux comme moyen courant d’utiliser les Américains aux déclenchement de guerres en leur faveur !
Après la seconde guerre mondiale, la mafia khazare déploya la guerre froide et à cet occasion importa des scientifiques Nazis expert en contrôle de l’esprit vers les USA : Ce fut l’opération Paperclip. Ceci leur permit de mettre sur pied le plus grand réseau d’espionage qui excède de loin tout ce qu’ils avaient déjà réalisé.

Sous ce nouveau système, ils continuent d’infiltrer et de détourner toutes les institutions américaines,y compris, les différentes Eglises, les loges maçoniques, bien sûr, surtout celles de rite “écossais” et “d’York”, l’armée US, le renseignement US, et la plupart des instituts privés liés à la défense, la Justice US y compris la plupart des gouvernements des Etats,et bien sûr, la plupart des partis politiques.
La mafia khazare prend les camps de travail Nazis comme pretexte pour manipuler les Alliés qui leur “devront” leurs propres colonies en Palestine grâce aux terres volées aux Palestiniens.
Ils sont ainsi fondés à utiliser leur soi-disant “Holocauste”shoatique comme gachette du contrôle de l’esprit contre toutes intimidations ou critiques à l’égard de leur voie sioniste.

Lorsque la mafia khazare obtint sa propre terre privée en Israël en 1947 grâce à ses manipulations politiques occultes, ils commencèrent à percevoir toute la Palestine comme leur nouvelle Khazaria et se mirent à comploter pour génocider tous les Palestiniens afin de s’octroyer la totalité de la Palestine. Leur Plan est le “Grand Israël” (Eretz Israël) s’étendant sur tout le Moyen-Orient et dans ce but ils manipulent ces Goyims Américains stupides afin qu’ils combattent sur commande pour la conquête des terres arabes et de leurs richesses, surtout celle du pétrole.
De récentes études menées par un doctorant juif respecté dans le cadre des recherches génétiques de John Hopkins a montré que 97.5 % des juifs vivant en Israël n’ont strictement aucun ADN hébreux et par conséquent ne sont pas Sémites et n’ont aucun sang lié à la terre de Palestine. En revanche, 80% des Palestiniens sont porteurs d’ADN hébreux et sont donc bien des Sémites liés par le sang à la terre de Palestine.

Ce qui signifie que les véritables anti-sémites ne sont autres que les Israéliens qui volent les terres Palestiniennes afin d’agrandir sans cesse leurs colonies !

Actuellement la mafia khazare décide de se métamorphoser encore et d’étendre ses rangs :
Se rendant compte qu’ils ne peuvent plus rester cachés aux yeux du public, ils travaillent dur en ce moment à encore infiltrer davantage en profondeur la franc-maçonnerie et ses ramifications secrètes, en y plaçant des membres très haut placés dans leurs réseaux pédophiles pratiquant les rituels de sacrifices d’enfants.

Ainsi, des membres haut-placés du Congrès sont intronisés dans leurs cercles sataniques leur donnant ainsi un pouvoir spécial, des récompenses financières et un très haut statut dans “leur hierarchie”.
Il s’ensuit un front massif d’espionnage usant de citoyens à double nationalité (US/israëlienne, mais Israëlienne first !), et plaçant dans les hautes sphères US des disjoncteurs nécessaires à péréniser le système de fausse monnaie de la Fed et les élections sous contrôle.

AIPAC :

La mafia Khazare a donc décidé d‘alourdir le “Mind-Control”, le contrôle de l’esprit des masses américaines afin de mieux les manipuler à approuver leurs guerres illégales, inconstitutionnelles, non-déclarée officiellement, non réellement provoquées, ingagnables mais, et tout est là, perpetuelles,dans le but d’un contrôle mondial encore accru et de prévision de gains titanesques.

(Comme en France, je souligne…), cette mafia a décidé de prendre totalement le contrôle sur l’ensemble de l’Éducation nationale en créant un enseignement mondialiste, d’orientation socialiste/collectiviste, basé sur le “politiquement correct”, l’acceptation de la “diversité” (ethnique)et de la décadence comme norme sociale (perversions diverses reconnues comme normales, “mariage gay”,inversion des valeurs, “gender”, etc.)

Fabius, Hollande les parrains du terrorisme satanique
Les seconds couteaux

Le fluor est rajouté aux réseaux d’eau potable des villes, aux pâtes dentifrices et les dentistes subissent un lavage de cerveau pour les persuader que le fluor c’est la prévention des caries … et qu’il n’est aucunement dangereux du tout pour les fonctions cérébrales ni pour la fonction thyroïdienne, ce qu’il est hélas en réalité…
L’addition du fluor aux réseaux d’eau potable et aux dentifrices a pour but en réalité de débiliter les facultés cérébrales moyennes des Américains, d’abaisser leur QI et de rendre les gens beaucoup plus dociles qu’ils ne le seraient sans cela .

Les médecins ont été induits en erreur par une recherche scientifique totalement biaisée depuis longtemps et donc secrètement contrôlés, volontairement tenus dans l’ignorance de tout côté négatif des études réalisées. Ceci comprend bien entendu les vaccins, généralement contaminés par des serums animaux douteux ainsi que de l’aluminium, entre autres …

Le pouvoir de l’argent a pris le contrôle depuis longtemps sur toute l’école de la médecine dite allopathique au travers de ses différents instituts et officines afin de s’assurer que leur agenda de duperie et de mensonges criminels mais juteux soit consciencieusement poursuivi.
Une partie de ce plan monumental de lavage de cerveaux et d’abêtissement du peuple américain a été l’action de la mafia khazare achetant et concentrant toujours plus les media jusqu’à aboutir à la situation actuelle où l’on a plus que six media parfaitement contrôlés (Controlled Major Mass Media). Ce CMMM fonctionne comme un cartel illégal de journaux qui devrait être dissout par le fait de la loi antitrust et condamné pour propagande de guerre contre le peuple américain.

Les chefs de la mafia khazare ont décidé qu’il était temps d’utiliser l’Amérique pour finaliser leur coup d’état planétaire ultime et leur occupation définitive du monde en créant une opération majeure sous faux drapeau au coeur même de l’Amérique. Ce qui permet de mettre le blâme sur l’Islam et de légitimer l’attaque de l’Amérique contre le monde musulman.

Ainsi ont-ils utilisé leur top-agents doubles Israëlo-Américain vivant en Amérique (top PNAC et top néo-cons) pour planifier une attaque nucléaire majeure le 11 Septembre 2001.
Bibi Netanyahu, la tête opérationnelle de la mafia khazare, déploya le Mossad et son réseau d’agents doubles pour organiser et réaliser cette attaque sur l’Amérique et la mettre sur le dos de l’Islam grâce au travail diligent des medias sous contrôle.
Ils informèrent donc leurs top rabins et amis du sionisme mondial de ne pas prendre l’avion ce jour-ci et de rester en dehors de New York, comme le fit par exemple “Larry Silverfisch” l’un des principaux initiateurs de l’opération.

Ils ont utilisé leur “disjoncteur” principal dans le département de la Défense pour entrainer les enquêteurs potentiellement dangereux du Pentagone dans la salle de réunion de l’Intel Navale, où ils seraient assassinés par un missile de croisière Tomahawk tiré d’un sous-marin israélien de classe Dauphin acheté à l’Allemagne.(re-qualifié “d’avion” sans qu’aucune pièces d’avion n’aient été pourtant retrouvées.)
Trente-cinq des enquêteurs potentiellement dangereux pour la mafia khazare et qui suivaient la piste des 350 têtes nucléaires Davy Crockett W‑54 déclassées et volées dans les fosses nucléaires de la base de Pantex au Texas, ont été assassinés par ce Tomahawk, dont le tir a été synchronisé avec la détonation de bombes pré-installées dans l’aile de l’Intel Navale qui avait été pourtant nouvellement consolidée.

La société écran du mossad israélien, “Urban Moving System” a été utilisée pour le transport des mini bombes nucléaires (provenant du vol des têtes de W‑54 des fosses nucléaires de Pantex et fabriquées à l’usine d’Hanford), puis ont été stockées dans l’Ambassade israélienne à New York et transportées aux tours jumelles pour “l’attentat” du 11 Septembre 2001.
Baal ou bien Moloch ou encore Lucifer ou Satan est bien cet “esprit” désireux de la mort et de la souffrance de tous les humains.

Granit FONDU sous les tours après le 11 septembre.
D’où provient une telle chaleur capable de faire fondre du granit ?

Pour son service, il récompense ceux qui lui donnent leur âme dispensant richesse incroyable, gloire et pouvoir…
C’est le contrat scellé par le sang et connu depuis toujours comme la vente de son âme.
L’agenda secret effroyable et la synthèse historique de cette mafia khazare sont maintenant révélés publiquement pour la toute première fois en Amérique par l’organe en ligne “Veterans Today” de Gordon Duff, ancien militaire.

Nous savons donc maintenant avec certitude que Bibi Netanyahu a exécuté l’attaque nucléaire sur l’Amérique le 11 septembre 2001 dans le cadre de cet agenda précis.
Accrochez-vous à votre chaise : ceci est le très grand secret et rend plus clair en effet tout ce qui se passe en Amérique, causé par Israël et sa Mafia ayant infiltré presque toutes les institutions du Gouvernement US et la société elle-même.

J’ai entendu beaucoup de secrets d’initiés choquant au fil des ans mais celui-ci est vraiment la cerise sur le gâteau et explique exactement ce qu’Israël et ses valets en Amérique nous ont fait pour le compte de leur maitre Rothschild !
Ils ont dévasté presque tous les aspects de nos vies, créant une économie de la pauvreté, beaucoup de chômage et de sous-emploi, générant le crime massif, l’alcoolisme et la drogue, détruit l’école qui nivelle par le bas les enfants, produit des programmes d’eugénisme comme le fluor dans l’eau et le mercure dans les vaccins, d’énormes fraudes, ainsi que la corruption politique effrénée !

Cet entretien de “Veteran Today” envoie à présent des ondes de choc dans le monde entier et quand vous considérez le contenu que Gordon Duff a divulgué pour la première fois ici publiquement, beaucoup risquent d’être choqués tant nous sommes loin de la version officielle !
Dans cet entretien Gordon Duff divulgue une transcription écrite de ce qui a été dit à une réunion entre Bibi Netanyahu et un traître américain ainsi que quelques autres espions en 1990.

Gordon Duff a divulgué que Netanyahu était un espion du KGB comme Jonathan Pollard. Et nous savons de plus maintenant qu’Israël a commencé comme un satellite des Bolcheviks de Russie . Ils étaient très malheureux quand l’Union soviétique est tombée.
Lors d’une réunion au bar de Finks à Jérusalem, célèbre rendez-vous des agents du Mossad, voici ce qu’a dit Benjamin Netanyahu repris directement de la transcription de l’enregistrement avec témoins et 100 % authentifié :

« Ce que vous faites n’a pas trop d’importance… Si nous sommes attrapés, ils nous remplaceront juste avec des personnes du même tonneau.

l’Amérique est un Veau D’or et nous le sucerons jusqu’à la moelle, le couperons et le vendrons morceau par morceau jusqu’à ce qu’il n’y ai plus rien que le plus grand État-providence du monde que nous créerons et contrôlerons.

Pourquoi ?

Parce que c’est la volonté de Dieu et que l’Amérique est assez grosse pour encaisser les coups, donc nous pouvons y taper, encore et encore !
C’est ce que nous faisons aux pays que nous détestons. Nous les détruisons très lentement et les faisons souffrir s’ils refusent d’être nos esclaves. »

Ceci est exactement ce que la mafia khazare Rothschild infiltrée depuis 1913 a fait en Amérique avec grand succès !

La connaissance de ce que Bibi a dit là devrait nous rendre tous furieux et motivés pour foutre ces créatures infernales hors d’Amérique afin de restaurer notre grande république !
Quand Bibi Netanyahu mentionne la volonté de Dieu, il se référait à Baal, aussi connu d’eux comme le Grand Hibou ou Moloch et qui exige être adoré par des bains de sang, des sacrifice humain douloureux et des tueries de masse.

S’ils “vendent leurs âmes” à Baal (c’est-à-dire à Lucifer ou Satan), ils seront récompensés par une incroyable richesse, la gloire et le super Pouvoir.

Le culte de Moloch-Baal

Ce qui arrive en réalité est que leurs âmes leurs sont en effet comme arrachées, ils deviennent inhumains, prennent les caractéristiques de Baal, et deviennent de plus en plus psychopathes et effroyablement mauvais.
Ce dont Bibi Netanyahu discutait au Finks était l’attaque nucléaire prochaine sur l’Amérique le 11 septembre 2001, et quand il a mentionné “ils” nous remplaceront juste, il se référait au “Cercle supérieur des Douze”, ce groupe dont Stew Webb a divulgué sur Veteran Today le nom de onze d’entre eux, qui s’appellent eux-même “Illuminati” ou “les Disciples de Satan.” Ces hommes font des sacrifices d’enfants à Denver deux fois par an, mangent les coeurs d’enfants, boivent leur sang après les avoir violés et égorgés.

Mes amis, nous devons révéler ces informations à tout le monde, nous unir et pourchasser ces pourritures de diciples de Baal jusque dans les moindres recoins et les traduire en justice pour leurs effroyables crimes.
Celui qui a compris ce que Bibi Netanyahu pense faire au Veau d’Or américain en le découpant en rondelles devrait être en colère et poussé à l’organisation de communautés conscientes et à l’action politique contre toute activité israélienne à l’intérieur de l’Amérique que ce soit par le Système de la Réserve fédérale, l’AIPAC, le JINSA, le Conseil de Politique de Défense, le CFR et les autres du même genre.

La mafia Khazare a caché 25 bombes atomiques dans des villes américaines majeures et d’autres grandes villes d’Europe pour faire chanter les gouvernements-“associés”.

Cela a été découvert et mentionné par Seymour Hersh comme leur “Option Samson”:
La mafia khazare a aussi détourné un certain nombre d’ogives S‑19 et S‑20 via un membre corrompu du Congrès US a qui la tâche a été confiée de récupérer des Mirvs ukrainiens pour les déclasser. Au lieu de cela, il les a vendu aux Israéliens et a arrosé d’autres Membres du Congrès corrompus.
Ceci est de la haute trahison et est punissable de la peine capitale.
Juste après leur attaque du 11 septembre sur l’ Amérique, la mafia khazare a annoncé à l’Administration US qu’ils s’apprêtaient éventuellement à faire exploser d’autres bombes dans quelques villes américaines, y compris Washington DC, s’ils refusaient à Israël de créer ses propres forces d’occupation en vue d’un état policier, basée sur le renforcement de toutes les lois américaines sous contrôle israélien.

Cette nouvelle force d’occupation israélienne appelée la “Homeland Security” (DHS) a été initialement créée par ces citoyens doubles et de plus, pervers : L’anciennne directrice de DHS Janet Napolitano est poursuivie en justice pour harcèlement sexuel d’hommes travaillant à DHS, ayant ordonné de déplacer leurs bureaux dans les toilettes hommes…
Le traître et citoyen double Michael Chertoff, (traduit du russe : “le fils du diable” ça ne s’invente pas !), est le cerveau criminel qui a installé DHS, avec l’ancien responsable de la Stasi d’Allemagne de l’Est, Marcus Wolfe, loué comme consultant spécial et mort mystérieusement aussitôt sa mission terminée.

La mafia Kazhare Rothschild ne pensait pas être percée à jour pour leur attaque nucléaire du 11 septembre 2001 mais ils firent une des plus grande erreur tactique de leur histoire en surjouant leur rôle cette fois ci… Ceci étant dû aux trop nombreux succès faciles qu’ils obtinrent dans le passé grâce à leur argent.
Bientôt l’Amérique “mainstream” saura que ce fut Netanyahu et le Likud qui organisa cette attaque sur l’Amérique sur ordre de la mafia Kazhare Rotschild.

Ils pensaient qu’ils avaient le contrôle complet sur tous les media mainstream et pourraient éviter la diffusion des résultats d’analyses de l’IAEA et de Sandia Labs auprès du public américain.
Ils firent donc une sérieuse erreur tactique car à présent la vérité concernant leur rôle dans l’attaque du 9.11.2001 se diffuse actuellement partout sur l’internet, la nouvelle presse de Gütemberg des temps modernes !

Ils n’ont pas compris la puissance d’internet et comment les pépites de vérité qui y sont publiées et répandues résonnent avec les gens partout dans le monde et se répandent comme un incendie à la vitesse de la lumière. La vérité se diffuse à présent partout auprès des masses.
Cette incroyable erreur tactique est si déterminante qu’elle les expose en pleine lumière et va finalement les détruire comme ils le méritent.
L’ordre de Nethanyahu, commanditant l’attaque nucléaire du 11 Septembre 2001 sur l’Amérique, restera dans l’histoire leur plus grande erreur, celle qui aura occasionné leur mise à nu et leur destruction pour laquelle le monde entier se ligue actuellement.

Les Russes ont déja fait fuiter, le dossier de l’IAEA, du laboratoire Sandia et des autres dangers possibles, transmis par Edward Snowden. Bientôt tous ces dossiers seront mis devant les yeux des Américains et du monde entier via internet : Ceci ne peut plus être arrêté.
Un certain nombre de Russes dans le haut commandement militaire et les plus hautes positions de la hierarchie gouvernante réalisent qu’il s’agit de la même cabale de crime organisé qui dirigea les Bolshevicks dans leur génocide de 100 millions de Russes innocents : Ces hommes veulent à présent un “remboursement”…

C’est pourquoi ils veulent s’assurer que les banksters Rothschild soient mis hors d’état d’être en affaire, ce qui coupera la mafia khazare de sa perpétuelle production de monnaie de contrefaçon. C’est la raison de la création de la banque de développement des BRICS : Remplacer le pétrodollar comme monnaie de référence mondiale, mais, à la différence du pétrodollar, cette banque est adossée à l’or, l’argent et autres biens tangibles, ne permettant aucune contrefaçon…
Les media mainstream ne sont plus crédibles et beaucoup d’Américains ne croient plus à leurs histoires, tout spécialement les générations en dessous de la trentaine qui recherchent l’info sur internet et se font ainsi leur propre opinion.

Tant d’utilisateurs d’internet en Amérique rejettent à présent les media mainstream que la vérité au sujet de l’attaque d’Israël du 9.11 est de plus en plus aisée à concevoir. Bientôt tout le mainstream en Amérique saura que l’attaque du 9.11 est due à Bibi Netanyahu, son Mossad et ses doubles-nationaux…

Tout le haut commandement militaire US sait à présent que c’est Netanyahu, le Mossad et ses bi-nationaux qui ont commandité l’attaque nucléaire du 9.11 sous les directives de la mafia khazare.
De multiples opérations sous diverses couvertures sont aujourd’hui déployées mondialement pour exposer et décapiter la mafia Rothschild et sa fabrique de fausse monnaie.

Leurs jours de pouvoir absolu et inhumain sont désormais comptés.Des commandos secrets US surentraînés, appelés “les bouffeurs de serpents nucléaires”, sont à présent à l’œuvre, traquant tout envoi ou valise diplomatique en provenance d’Israël. Ils visitent ou survolent les synagogues, les ambassades et autres lieux liés au Mossad, utilisant une batterie high tech de détecteurs à rayons gamma, ou à neutrons d’helium‑3, de satellites de détection ultra ciblée, afin de localiser et de récupérer tout stockage de têtes nucléaire. Ils travaillent d’arrache-pied à retrouver toutes les têtes nucléaires volées partout dans le monde en dehors d’Israël.
Ces commandos de super-élite furent alertés par un appel téléphonique de Michaël Shrimpton au MI‑6, les prévenant qu’un engin de grande envergure était dissimulé près du stade olympique. L’engin fut donc récupéré par le commando qui débarqua en Angleterre et le mis hors d’état de nuire.

Le MI‑6 avait hélas prévu de faire exploser l’engin afin d’accroitre la main-mise de la mafia khazare en Angleterre, où se trouve leur base au coeur-même du district financier de la City de Londres.
Le nom secret de ces chefs de la mafia khazare de Londres est Gog et Magog, et malgré le fait que beaucoup d’historiens croient qu’il s’agit d’un nom de code pour la Russie,il n’en est rien. C’est bien le nom de code des têtes de la mafia khazare, ce qui,entre parenthèse,semble désigner leur origine historique.

Le super Commando des “Nuclear Snake Eaters” est prêt à tout moment à intervenir en Israël, au cas où cette nation se dissoudrait sous la pression des désinvestissements européens et du retrait des aides US, conformément aux lois des USA : Il est en effet illégal de fournir des aides à une nation qui a la bombe et n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire.
Car Israël a bien des têtes nucléaires détectables par satellites munis de sensor à l’helium‑3, mais ne l’a jamais avoué, ni n’a signé aucun traité de non-prolifération.

Nous autres Américains, devont demander que le Congrès et l’Administration obeïssent aux lois et suppriment immédiatement toute aide monétaire ou militaire à Israël, et mettent en état d’arrestation toutes les têtes de l’espionnage Israëlien liées à l’AIPAC, au JINSA, au “Defense Policy Board”, ainsi qu’à toutes les passerelles à NYC, dans l’ADL, etc.
Il est assez peu connu mais probable qu’un nombre significatif de ces ogives nucléaires volées aient été récupérées.

Il a par ailleurs été rapporté par des infos d””insider” qu’un message solennel a été envoyé à Netanyahu et ses Likudistes, ainsi qu’aux hauts degrés de l’espionage israëlien en Amérique.
Quelle était la teneur de ces avertissements ? Ces personnes étaient prévenues que s’il y avait encore une attaque de type “false flag” en provenance des services secrets israëliens, ceux qui en seraient à l’origine seraient poursuivis sous les lois de sécurité nationale américaine et éliminés ainsi que leurs structures de défense qui seraient réduites en poussière.

La suite de l’Histoire de la mafia Khazare dépendra de VOUS ! C’est à dire des lecteurs de “Veteran Todays” et de nous tous, le peuple,en apprenant l’histoire secrète de cette mafia qui fut évidemment soustraite à tous les livres d’Histoire et bibliothèques par eux-même afin de maintenir ces crimes dans le plus grand secret. Aucune personne n’accepterait ces abominations si elles étaient révélées au grand jour !

Ainsi,de grâce, partagez ces données avec votre famille, votre entourage, vos collègues de travail et rendez les virales. Soyons très clair sur ce point : Si ce groupe ne peut agir dans cette ombre abjecte qu’ils affectionnent, ils seront attaquésde toutes part et détruits de façon certaine.
Ainsi reproduisez autant que faire se peut cette Histoire occultée afin que chacun en soit enfin informé.

C’est bien pour cette raison qu’ils ont travaillé si dur afin de contrôler tous les media mainstream ainsi que l’éducation et l’université,et faire en sorte, qu’aucun humain ne connaisse jamais leur secret maléfique.
Si celui-ci venait à être percé à jour, il liguerait assurément l’ensemble de l’humanité contre eux et à tous les niveaux où ils se sont incrustés.
La grande question qui reste posée : D’où leur vient cette sauvagerie et cet esprit de destruction exceptionnel envers les humains ? Certains pensent qu’il s’agit d’une culture toxique liée à une structure tribale maligne perpétuant la pédophilie, les crimes rituels d’enfants, etc… Celle-ci serait également caractérisée par l’illusion paranoïaque folle d’être un groupe d’essence supérieure. D’autres pensent qu’il s’agit des descendant de Caïn, d’essence diabolique et totalement dépourvue d’âme ou d’humaine conscience, mais sont de purs prédateurs, des bêtes sauvages… Incroyablement doubles, ils seraient doués à la fois pour monter des escroqueries inouïes en même temps que des dehors avenants…
Peut-être ya-t-il les deux facteurs.

Dans tous les cas, il est temps d’exposer cette plaie en pleine lumière, certainement la plus grande que l’humanité n’ai jamais connue. Il est temps pour le monde de travailler de concert pour éradiquer ce problème maintenant et à jamais. Par tous les moyens possibles.”

Mike Harris


Mike Harris est éditeur de “Veterans Todays”, animateur radio, ayant cotoyé le monde de la finance, candidat aux élections sénatoriales pour l’Arizona,
vice-président senior du “Adamus Defense Group” en Suisse.
Mike est expert d’arts martiaux full contact. Son expérience de longue date lui a valu le surnom de Iron-Mike.

Mike était partie prenante du groupe “Veterans Today” à la conférence de Damas sur le sujet : “Combattre le terrorisme et l’extrêmisme religieux”.
Il donna à cette occasion vingt-cinq entretiens télévisés qui furent diffusés à des millions de téléspectateurs en Syrie, Iraq, Liban et en Iran.
Dans ces interviews, Mike ainsi que Gordon Duff, éditeur également et directeur de “Veterans Today” insistaient sur le fait que le véritable problème derrière le terrorisme était en réalité un immense syndicat du crime organisé à l’échelle mondiale.


[Voir aussi : Les Khazares – problèmes et controverses (PDF 221 pages)]




L’Esprit du Cœur et le Cœur de l’Esprit

[Source : Urantia Gaïa]

L’Esprit du Cœur et le Cœur à l’Esprit

Publié le 3 janvier 2019 par Le Passeur

Par Le Passeur.

Il
n’est pas toujours aisé d’avoir une lecture mentale claire de ce qui
est en train d’émerger, tant convergent en ce point précis de
l’espace-temps une multitude de chaînes de paramètres, dont certaines se
sont formées très loin dans le temps.

Tout nous
ramène donc en nous pour ressentir en profondeur que ce qui se joue
aujourd’hui en France a une dimension bien plus vaste que ce qu’il n’y
paraît encore. Et quelle que soit la vitesse de progression des
événements à venir, leurs temps d’arrêt, leurs soubresauts, leurs
changements de direction et leur apparente anarchie, quelle que soit
l’illusion des victoires des uns et des défaites des autres, il se lève
une lame de fond où il n’y aura plus ni victoire ni défaite, mais, dans
un moment assez proche, juste la Conscience dans sa pleine lucidité et
sa pleine intelligence. Après quoi, plus rien ne sera comme avant.

Ce
que nous en voyons pour le moment n’est que la petite partie visible
d’un changement de Conscience extrêmement profond qui remue les êtres
sans qu’ils aient forcément eux-mêmes la compréhension de ce qu’ils
vivent au fond d’eux. L’aspect social collectif noie d’ailleurs un peu
plus cette compréhension profonde et intime de ce qui s’éveille en
chacun. Cette confusion aura un temps, plus bref qu’on ne pourrait
croire, tant que l’Homme se contentera des apparences et incarnera le
conditionnement qu’il a reçu à croire que le pouvoir sur sa vie n’est
pas dans ses seules mains.

Pour mieux nous guider,
nous devons avoir à l’esprit les choses concrètes liées à ce qui est
encore, mais de moins en moins, dissimulé.

Les
puissances occultes dirigent ce monde, en aucun cas les valets à qui les
Hommes pensent confier leur pouvoir. N’entendez pas par là que la
puissance occulte ne se situe qu’en-dehors du monde matériel, encore que
les forces qui sourcent ces pouvoirs œuvrent, elles, bien en-dehors de
la densité. Le pouvoir dont je parle est celui de quelques initiés
humains et non-humains, regroupés en des dynasties, entourés de tribus
asservies mais profitant des privilèges qu’ils leur octroient.

Au
regard de l’humanité, cela représente bien peu de gens concentrant
beaucoup de pouvoir, mais tant que les Hommes n’auront pas compris que
ceux-là n’ont aucune bienveillance pour eux, ils auront tout pouvoir
d’exercer leur mainmise grâce à cette faiblesse. Parlons donc de choses
concrètes. Pour eux, la couleur politique des dirigeants ou des Nations
n’a aucune importance, ce n’est qu’un leurre pour donner aux populations
ignorantes l’impression qu’elles ont la décision, ils maîtrisent tout
des nations qui représentent un levier de pouvoir et exploitent sans
vergogne les autres.

Maîtriser tout des nations
riches et influentes signifie que rien n’y est laissé hors de contrôle.
On y détruit toute forme d’individuation en la diabolisant dans l’esprit
des gens puis en appliquant les mesures propres à l’annihiler. Ce au
niveau des Nations en détruisant politiquement, économiquement et
culturellement ce qui a fait leur substance et en les asservissant à des
organismes internationaux qui n’appartiennent qu’à quelques uns, mais
aussi au niveau des êtres humains en alimentant le stress permanent, la
confusion des genres et tout ce qui peut affaiblir l’identité et la
pensée par soi-même. On y pousse là à l’abêtissement organisé, via
l’éducation des enfants, l’abrutissement et le conditionnement par les
médias grand public, l’affaiblissement de la conscience via les ondes
(écrans, wi-fi, 3G, 4G, 5G, etc.), l’empoisonnement par adjuvants de
l’eau du robinet, de la chimie médicamenteuse, de la nourriture
industrielle et de l’air, par les épandages chimiques destinés aussi à
nous voiler de plus en plus la lumière solaire qui transmet massivement
en ce temps du cycle cosmique des particules propices à stimuler
l’Éveil.

Mais encore à travers le consumérisme
forcené qui est devenu une véritable hypnose collective et qui
entretient le système d’esclavage des nations pauvres, avec la
complicité d’êtres corrompus imposés à leur tête. Ainsi demandez-vous
par exemple d’où viennent les terres rares nécessaires aux batteries
perfectionnées du dernier smartphone tant attendu ? Qui va vouloir
savoir qui sont les enfants des pays d’Afrique qui extraient et portent
ces matériaux en mangeant un jour sur trois quand tout va bien ? Nations
pauvres où quelques pays riches créent et entretiennent les guerres,
les maladies, la misère, l’esclavage et les pires trafics, dans
l’ignorance choisie des populations qui n’ont plus la capacité de penser
par elles-mêmes ou n’ont plus la volonté de prendre leurs
responsabilités.

Loin
de moi l’idée de vouloir ici tenter de culpabiliser qui que ce soit, la
solution n’est pas là. La solution c’est de se réveiller du long
sommeil du théâtre de cette humanité qui n’en est pas encore une mais
qui va le devenir. Et dans un premier temps, prosaïquement, d’informer
tout autour de soi et de prendre conscience que le monde où nous vivons
est la proie de forces obscures agissant sur plusieurs dimensions,
d’informer autrui afin que l’ignorance se dissipe et, pleinement
conscient de cela, ce qui est capital, conserver la paix en soi, sans
aucune vindicte, sans aucune violence, mais en ouvrant son cœur à
l’Amour de la Vie qui vibre en chaque homme et en sachant encore voir et
soutenir en ces êtres sombres l’étincelle de lumière qui ne peut pas
par nature ne pas exister.

L’information est la
seule arme qu’ils craignent, car elle éveillera le cœur et le cœur de
l’Homme les dévastera, sans les tuer, mais en leur tendant la main.


est la véritable force de l’Homme, dans l’Amour dont il est capable, un
amour loin des considérations mielleuses et du déni de cette part
sombre qui cherche à détruire ce qu’il a de meilleur en lui.

Pour
répondre à certains qui s’en sont étonnés, c’est une des raisons pour
lesquelles je dénonce souvent le petit monde du new âge, qui au lieu de
nous asséner les canalisations du peuple des lombrics ou je ne sais
quelle autre plaisanterie astrale, ferait mieux de voir en face ce
qu’est le piège qui s’est tissé en ce monde dense et inciter chacun à
reprendre sa souveraineté, en connaissance de cause et dans la pleine
force de la paix et de l’amour qui règnent en-dehors des vicissitudes de
nos incarnations ici-bas et de nos désincarnations dans la matrice
astrale.

Nous sommes tous potentiellement des
êtres puissants. Mais voilà… potentiellement. Et comment ce potentiel
peut-il émerger dans nos réalités sans un maximum d’effort sur soi-même,
une véritable volonté de déconditionnement de soi et une vigilance
quotidiennement soutenue ? Certes nous avons le potentiel de déjouer les
pièges si nous sommes suffisamment honnêtes envers nous-mêmes, pour
autant sous-estimer leur redoutable efficacité serait une grave erreur.
Comme je l’ai déjà dit nous jouons dans cette matrice avec un adversaire
qui a plusieurs coups d’avance sur nous, pour la simple et bonne raison
qu’il a la connaissance occultée, qu’il a les moyens d’explorer le
futur, ou tout au moins les lignes du Temps possibles et qu’il a parmi
nous tous énormément d’alliés, conscients ou non, infiltrés au plus
près.

L’année 2019 va très certainement être
cruciale, à la fois difficile sous certains aspects, mais aussi,
épanouissante. Le mouvement social né en France et qui s’exporte au
moment où j’écris ces mots dans déjà une trentaine de pays, est à double
tranchant.

Il est à la fois légitime et porteur
d’un éveil attendu et nécessaire, mais il est aussi voulu et attendu par
les forces occultes qui ont pressé leurs bras armés d’accroître
toujours plus la pression sur le peuple gaulois pour l’amener à
s’insurger. Je l’ai dit, il y a un cycle planétaire qui a commencé ici
et qui doit s’achever ici.

A présent que cela a
commencé, malgré les déclarations hypocrites et les effets de manches,
les décisions prises au niveau de l’État vont pour l’instant toutes dans
le sens d’accroître la pression, que ce soit à travers la violence
policière disproportionnée, mais ordonnée, les peines judiciaires
prononcées par les tribunaux, les arrestations abusives, les multiples
viols de la Constitution. Les discours politiques jusqu’au plus haut
niveau et les dernières sanctions prises contre les chômeurs assimilés à
des délinquants, poussent clairement à un durcissement de la rébellion.
Attention à la façon de répondre à ces provocations.

Car
tout ceci n’est pas que le fruit d’une incompréhension ou d’une pulsion
totalitariste, tout ceci est ordonné pour conduire vers une guerre
civile si le peuple répond dans la violence, l’instauration de la loi
martiale et cimenter ainsi les fondations du Nouvel Ordre Mondial
totalitariste qu’ils ont organisé au plus haut niveau des États depuis
plusieurs décennies déjà.

Là où le pouvoir du
Maître ne s’exerce que dans la bienveillance et le respect du Vivant, le
pouvoir de l’ego est toujours plus avide de pouvoir pour la jouissance
du pouvoir et les richesses qu’elles lui octroient.

Pour ajouter à la confusion, des attentats à venir sous fausse bannière sont programmés, comme il y en a déjà eu tant, pour attiser comme jamais les peurs et diviser les populations, d’ailleurs certaines informations que je pense assez fiables sont consultables à ce sujet. D’autres événements, plus traumatiques encore, viendront probablement selon la réponse des peuples. Le quotidien, lui, est déjà ponctué partout dans le monde d’attentats perpétués par des individus solitaires sous contrôle mental (voir projets Montauk et Monarch).

La
confusion toujours, est largement alimentée par les combats inventés de
toutes pièces sur les questions écologiques. Sujet tabou. Tant de gens
s’émeuvent, se divisent et se mobilisent pour des causes justes à
travers des idées fausses que c’en est devenu, en plus d’une source de
richesses et d’énergie, un grand amusement pour ceux qui tirent les
ficelles.

Comment faut-il encore convaincre que
les changements climatiques à l’œuvre sont des cycles naturels en grande
partie liés à l’activité de notre soleil ? Qu’il n’y a contrairement à
ce que qu’en dit la presse, aucun consensus scientifique autour des
affirmations du GIEC quant au réchauffement climatique global, à la
responsabilité du CO2 et par voie de conséquence à la production de CO2
par l’homme ? Que bien au contraire, les preuves scientifiques
s’accumulent pour démontrer le très faible impact de l’homme sur la
production de CO2 dans l’atmosphère, qu’il n’y a pas de réchauffement
global mais un bouleversement des équilibres climatiques aux
conséquences locales différentes ? Que c’est l’ensemble du système
solaire qui est en proie à ces modifications climatiques… et j’en
passe ?

Mieux encore, Les observations et les
calculs des scientifiques Karl Zeller et Ned Nikolov, maintes fois
vérifiés par la communauté scientifique et donc confirmés à ce jour à
chaque nouvelle vérification, démontre que le dioxyde de carbone n’est
pour rien dans la chaleur d’une atmosphère, pas plus sur Terre que sur
Vénus. Qu’il n’y a donc pas d’effet de serre mais que c’est la
compression des gaz sous le poids de l’atmosphère qui détermine la
température ambiante. Autrement dit, le CO2 n’est pour rien dans la
température de notre climat.

Et si on pousse un
peu plus loin, on découvrira que la théorie des gaz à effet de serre,
qui date de 1986 et qui est devenue depuis une religion médiatique, n’a
elle-même jamais été scientifiquement validée… J’ajouterai enfin que les
climats et la sismologie sont de surcroît partiellement sous contrôle
des marionnettistes de ce monde.

Et pourtant
malgré tout cela, certains, animés de bons sentiments, mais naïfs et
servant malgré eux les intérêts financiers qui les manipulent, prônent
des technologies dont ils n’ont pas creusé la connaissance en ignorant
encore que leur mise en œuvre suscite toujours plus d’exploitation et de
destruction des ressources de la Terre.

Il n’y a
que l’énergie libre, qui est maîtrisée depuis plus d’un siècle dans le
cycle de notre histoire récente, qui est la solution à ces problèmes.
Encore un peu de patience, elle va se libérer des mains qui l’enferment.

En
attendant, ce sujet du climat, qu’il est tabou de remettre en question,
est une manipulation de plus propre à dresser les hommes les uns contre
les autres, à les affaiblir et à s’enrichir sur leur dos à force de
taxes et de marchés économiques fallacieux et corrompus.

Ce qui bien entendu, n’enlève rien à la profonde responsabilité que l’Homme doit avoir en chaque instant et en toute circonstance auprès du Vivant sous toutes ses formes. Par sa place et sa capacité destructrice, il a l’obligation sans compromis de préserver la Terre, ses océans, ses forêts et l’ensemble du Vivant qu’elle héberge. Ce qu’il est loin d’assumer à ce jour.

Toutes ces actions de
tromperie et de manipulation des Hommes, que je crois nécessaire de
citer à titre d’exemple, ne sont là que pour pousser le peuple à
incarner dans la haine et la violence le rite occulte souhaité par ceux
qui agissent dans l’ombre afin de l’asservir pleinement. Et la seule
bonne réponse du peuple, qui je le sais est véritablement possible, est
une réponse massive et déterminée, dans une totale non-violence quelles
que soient les provocations. Ce qui demande un dépassement de chacun,
dont chacun j’en suis sûr est capable.

Comme
l’aspect occulte échappe à la presque totalité de ceux et celles qui
aujourd’hui commencent à se lever, le danger est réel de servir le plan
occulte dans l’ignorance de l’existence de celui-ci.

Si quelques uns doutent, qu’ils se souviennent de ce que je disais récemment à propos du rite dont était lui-même victime le Président français, façonné par ceux qui l’ont mis en place. Et qu’ils stimulent leur perplexité en constatant ce qu’il faisait lors du premier week-end du soulèvement à Paris. Ils verront qu’il était à Bruxelles où la famille royale belge l’a emmené visiter la restauration d’une toile au Musée des Beaux Arts. Et quelle était cette toile ?.. L’Agneau mystique des frères Van Eyc… où l’agneau est sacrifié.

Certains n’y verront rien, d’autres une
coïncidence et d’autres percevront les concordances habituelles de la
sombre alchimie à l’œuvre. Je n’en ferai pas plus de commentaires.

Les mois et le peu d’années qui viennent sont ces temps tant attendus de la Fin des Temps, qui ouvriront un tout autre cycle. Je ne peux faire autrement que vous inviter à lire ou relire ces écrits de Bernard de Montréal que j’avais publiés en 2015, d’une actualité salutaire. Que chacun se souvienne que nous sommes la clé de ce que nous allons vivre, que nous ne sommes victimes de rien, si ce n’est nos peurs illusoires, que nous sommes souverains et que de là, de notre Vivant, nous n’avons rien à craindre et tout en nous à Réaliser.

Fraternellement,

© Le Passeur – 3 Janvier 2019 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est volontiers autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Eveil ».




Inversion

[Source : jbl1960blog ]
Auteur : Zénon

Inversion

Ou la nécessité de relire 1984, le Prince et l’Art de la guerre

« Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois, ou perdus. », déclarait notre Jupiter fraîchement élu le 27 juillet 2017. Le téléspectateur ou lecteur normalement constitué pouvait interpréter ces propos comme une promesse d’offrir un toit aux plus démunis. C’est du moins ce que nous suggère en la circonstance notre bon vieux sens commun. Ce dernier, malheureusement, se trouve le plus souvent inapte à saisir l’intention profonde sous la permanente ambiguïté verbale d’un psychopathe. Car cet engagement pouvait tout aussi bien annoncer, sans ambages, la déportation pure et simple des sans-abris, sans que le bon peuple y voie malice… Vous trouverez peut-être ce contrepied délirant ou paranoïaque. Il illustre néanmoins à merveille la double-pensée si caractéristique du discours présidentiel.

Dire une chose et son contraire à chaque phrase permet auprès de l’interlocuteur d’à la longue jusqu’à annihiler le fait dont il est question. Tels sont à peu près la seule politique et le seul équilibre possibles au monarque pour se maintenir en poste. Au pinacle d’un paradigme Orwellien où nous nous sommes lentement mais sûrement enfoncés, et dans lequel on casse des gueules et mutile au nom de la paix civile, on déclare des guerres en celui des droits de l’Homme, on censure au prétexte d’assainir la démocratie, on rackette les peuples sous couvert d’une dette illégitime et l’on garantit l’impunité aux plus hauts-gradés des gangsters d’État.

De façon générale, nous avons affaire à un système si corrompu qu’il favorise, tous corps de métiers confondus, les plus voraces dans cette course effrénée au profit. Garante en théorie d’une égalité républicaine devant la loi, la magistrature se fait à présent la simple courroie de transmission d’un exécutif lui-même aux ordres du Kapital. Nous observons un système dans lequel – depuis tant de générations que cela semble naturel – les plus salopards s’en sortent le mieux tandis que les humbles subissent perpétuellement leur joug.

Rien de nouveau sous le soleil, certes. Si ce n’est que depuis un peu plus d’une décennie, le niveau de corruptibilité requis pour compter parmi les classes dirigeantes s’est vu graduellement grimper. L’accès à l’emploi se raréfiant parallèlement pour ceux d’en bas, le seuil minimal d’individualisme et d’esprit de compétition nécessaire à simplement s’intégrer au système s’est également relevé. Seuls les plus rentables – c’est-à-dire les plus obéissants à cette logique – demeurent en place. Les autres sont abandonnés à leur sort.

En somme, il s’agit ni plus ni moins d’une sélection naturelle par le bas d’un point de vue spirituel. Un exemple frappant à cet égard est celui des policiers et gendarmes devant les consignes aberrantes qui leur sont données. Les plus zélés d’entre eux sont récompensés de titres honorifiques ou de quelque prime au rabais, tandis que ceux refusant d’obéir à des ordres iniques se trouvent l’un après l’autre acculés au suicide… Dans le royaume d’inversion où nous vivons, les meilleurs quittent la table de jeu et les pires prospèrent. Nous nous demandons, parfois depuis l’enfance, la raison de cet état de fait. Eh bien, elle réside principalement dans ce que les individus bons et candides ne présagent que trop rarement des desseins de ceux rompus à l’exercice de truander.

Nous sommes fin 2014. Le sérieux et influent Peterson Institute de Washington publie un rapport préconisant, pour une meilleure administration du pillage spéculatif de la zone « France », des modifications constitutionnelles en vue de limiter les pouvoirs du président de la république, voire à supprimer complètement la fonction élyséenne. La proposition, incongrue auprès d’un peuple majoritairement attaché à la constitution de 1958, passe à l’époque relativement inaperçue. Mais certains exécutants du programme néoconservateur pour l’Europe ont quant à eux bien reçu le message. Ils disposent alors de deux ans et demi pour façonner le candidat mandchou idéal.

Le jeune et fringuant ministre de l’économie d’à l’époque se distingue par l’audace avec laquelle il s’attache à démanteler le code du travail tout en bradant outre-Atlantique les fleurons de notre industrie. Nanti du soutien de milliardaires et magnats de la presse à l’instar de Xavier Niel ou Patrick Drahi, des banques Rothschild et Morgan Stanley, de la French American Foundation et des réseaux Obama-Clinton, le poulain de la finance et ses commanditaires réussissent le hold-up du siècle. En faisant opportunément écarter d’autres candidats potentiels, ils réitèrent le coup de 2002 du front républicain contre l’extrémisme, et parviennent ainsi à placer à l’Élysée la personnalité la plus ouvertement hostile aux Français.

Volontiers arrogant, cynique, injurieux envers le pays et ses habitants, Macron incarne à la perfection tout le mépris de classe, toute la déconnexion des « élites » cosmopolites avec la réalité vécue des couches populaires. Les saillies toujours plus irrévérencieuses, les images parfois plus sordides encore s’accumulent au rythme effréné des voyages de notre présipède autour du monde. Celui-ci semble même goûter un certain plaisir à ces petites provocations à distance.

Survient d’abord durant l’été 2018 l’affaire Benalla, lors de laquelle la classe médiatique, auparavant acquise à sa cause, se retourne soudainement contre le petit monarque pour dénoncer une dérive autoritaire de l’exécutif. Tout en s’obstinant à ne rien répondre aux faits qui lui sont reprochés, le chef de l’État invite alors « tous ceux qui chercheraient un responsable », comme on s’en souvient, à « venir le chercher ».

Nous connaissons la suite : au bout d’un an et demi de règne, à force d’attaques en tous genres à l’égard d’un peuple déjà exsangue, la coupe de colère déborde et la rue, depuis maintenant douze semaines, réclame à juste titre sa démission.

Dès le démarrage de la « crise » des gilets jaunes, expression légitime d’une population aspirant à la dignité, l’auteur du livre-programme prophétiquement intitulé en 2016 « Révolution » aurait pu jouer la carte de l’apaisement. Mais a au contraire obstinément préféré attiser la colère et la division du pays. Non seulement il n’a jusqu’ici rien cédé aux revendications de centaines de milliers de manifestants mobilisés chaque semaine, mais a choisi d’y répondre à grands renforts de gaz, grenades, flashballs, canons à eau et autres blindés paramilitaires.

Une démonstration de force si absurdement disproportionnée ne pouvait avoir pour but que de radicaliser des citoyens jusque-là pacifiques. Il ne faut ici pas être dupe quant à la supposée incompétence des décideurs qui nous gouvernent. C’est en toute connaissance de cause qu’ils alimentent une révolte participant, in fine, à la réalisation de leur plan.

Nous devons ici ouvrir une parenthèse au sujet du contexte économique mondial. Les plus hautes places financières de la planète savent inéluctable la disparition du dollar. Ils se préparent à en amortir au maximum les effets en l’échelonnant dans la durée. Car les économies, y compris celles des BRICS, sont trop inter-reliées pour ne pas souffrir d’une correction brutale du billet vert sur les marchés. En cette situation de pré-explosion de la « bulle de tout », les gouvernements se préparent soit, s’ils le peuvent, à se prémunir au maximum des dommages collatéraux, soit à siphonner ce qui leur est à portée avant d’abandonner le navire. Rappelons que la banque Rothschild, toujours aux premières loges des mauvais coups, a revendu tous ses actifs au mois de novembre dernier…

L’objectif des puissances financières semble donc ici de temporiser. De faire le « maître des horloges » jouer la montre, et liquider ce qui reste de rentable en France jusqu’à ce que les effets de la future crise se fassent sentir. Lorsque ce moment sera venu et que le courroux populaire atteindra son comble, le marquis poudré aura, bien avant l’échéance de son mandat, parfaitement rempli son cahier des charges. Il ne lui restera plus qu’à se laisser symboliquement guillotiner lors du dernier acte, et à poursuivre son carriérisme européen tandis que le peuple français, enorgueilli d’avoir recouvré sa souveraineté par le biais d’un vote ou autre, devra se dépatouiller des conséquences du prochain krach.

Pour pessimiste que paraisse ce scénario, il ne présente qu’une des façons dont les gros bonnets peuvent envisager de tirer leurs marrons du feu. Cela ne signifie nullement que tout soit écrit, ni qu’une sortie de cette situation par le bas soit inéluctable. Les plus grandes forces des gilets jaunes ont été jusqu’à présent l’horizontalité du mouvement et son incroyable capacité à innover. Son devenir devra, pour se voir couronné de succès, imaginer et prendre en compte les pires stratagèmes possibles de la part des puissances financières afin de les devancer.

La surenchère délibérée de violence et de répression gouvernementale nous donne un indice de la direction voulue par l’exécutif. Attiser toujours davantage les tensions dans la rue leur permet de légitimer, du moins médiatiquement, le déploiement d’un arsenal juridico-policier de plus en plus large – que les « régimes autoritaires » du monde entier regardent en se gaussant. Les politiciens valsent, mais les lois restent. Il n’est d’aucune utilité au mouvement d’offrir au prochain héritier (ou héritière) du trône, sous quelque forme que celui-ci prendra, un attirail répressif digne des régimes les plus totalitaires de l’Histoire.

Nous voici rendus à un point où il est nécessaire d’inverser le rapport de force. D’agir et de frapper au cœur du système, où aucune compagnie de CRS ne saurait intervenir… La solidarité née dans les manifs et sur les ronds-points ne s’éteindra pas dans le cœur de ceux qui l’ont vécue. Ces collectifs d’entraide demeureront bien après que les actuelles structures aient fini de voler en éclats. L’initiative d’une grève générale illimitée est une excellente évolution à soutenir. Pour ceux dans l’impossibilité de supporter cet effort, la grève du zèle ou la désobéissance civile, sous quelque occasion que celle-ci se présente, sont des initiatives pertinentes. Afin d’être la plus efficace possible, cette grève devrait s’accompagner d’un arrêt à durée indéterminée de toute consommation superflue. Mais la meilleure alliée du mouvement dans le temps sera sans doute sa capacité d’entraide, et son ouverture à l’autre, condition de sa permanente inventivité.

Pour que cette lutte soit véritablement victorieuse, il ne faudra pas se contenter de quelques concessions pécuniaires qui nous seront reprises demain. Ni de l’obtention du référendum d’initiative citoyenne s’il venait à nous être accordé… Il ne faudra pas non plus s’écrier « victoire ! » le jour où le bouc-émissaire des Rothschild sera sacrifié, sauf à nous trouver alors véritablement libérés de l’emprise financière globale, ce qui exigerait davantage qu’un simple jeu de chaises musicales.

Jusqu’il y a peu, les élites devaient leur pouvoir à un haut niveau d’instruction ainsi qu’à l’exclusivité de certaines connaissances du passé. Elles le doivent à présent au labourage médiatique, au bourrage d’urnes et au big-data. Rien qui devrait représenter un horizon indépassable à notre imagination. Jacques Attali l’a lui-même reconnu : internet a remis en cause la traditionnelle verticalité de l’accession au savoir, et par là-même, menace les fondements de l’ordre établi. Nous devons en conséquence utiliser l’instrument de sorte à dégager les marionnettistes et non seulement leur pantin actuel.

Les monnaies locales et circuits de trocs sont d’excellentes alternatives au système économique mortifère que nous alimentons malgré nous. Affaiblir l’ennemi par où il engraisse est une tactique n’offrant prise à aucune répression. S’apprendre les uns les autres à jouer aux échecs ou à pratiquer l’aïkido peut sembler loufoque, mais ne peut être que bénéfique à l’état d’esprit nécessaire pour mener à bien cette lutte en cours. La connaissance plus largement répandue d’ouvrages de stratégie des 16ème et 18ème siècles encore étudiés de nos jours par la CIA, l’apprentissage des enseignements hermétiques, ou de la programmation neurolinguistique, seraient dans la durée de précieux outils en vue d’anticiper les actions ennemies.

Quelle que soit l’issue de ce mouvement, celui-ci amènera chacun à se déterminer face à un pouvoir en train de dévoiler son vrai visage. L’éveil des consciences auquel nous assistons ne connaîtra pas de retour en arrière. Cette bataille décisive nous place devant la nécessité d’appréhender le mal pour être capables en toute conscience de faire le bien. Il faut nous munir de toutes les ressources morales, physiques et spirituelles, de toutes nos capacités de résilience et d’adaptation afin de renverser contre nos élites criminelles ce piège infernal qui nous est tendu.

Zénon (5 février 2019)