Affaire de la lettre ouverte des anciens militaires : 58% des français la soutiennent dont 46% des sympathisants LREM (MàJ)

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Mise à Jour :

« Aujourd’hui, deux bonnes nouvelles sont venues conforter les signataires de la lettre dans leur démarche. 

1 – Le nombre de signataires de « l’Alerte » a « explosé ». Il est passé en 24 heures de 10 093 à 18 005 (+ 80%) et ce, malgré les menaces proférées par les destinataires de la lettre et les sarcasmes permanents d’une majorité des journalistes et des médias mainstream dévoués à ceux qui mènent notre pays vers l’abîme par leur inaction.

Pour être juste, je dois admettre que Cnews et Sud Radio se sont écartés de la meute mainstream malhonnête et malfaisante, et nous ont donné la parole dans de bonnes conditions (Bercoff, Morandini, Praud). Qu’ils en soient remerciés. Nos remerciements vont aussi aux nombreux responsables de sites ou de blogs, qui ont relayé notre alerte sans esprit partisan, politicien, bref vicieux…

2 – En creusant les résultats du sondage Harris Interactive pour LCI, on s’aperçoit que le soutien à notre lettre nous vient de tous les partis politiques et c’est un bien puisque notre alerte ne concerne pas la politique, mais l’avenir de la France, notre pays à tous. Il est particulièrement réjouissant de voir que les sympathisants écologistes nous soutiennent tout de même à 36% ; que 43% des sympathisants LFI, 44% des sympathisants PS, et même 46% des sympathisants LREM, dont les responsables politiques et leurs relais médiatiques sont pourtant « vent debout » contre nous, nous soutiennent aussi.

Cela indique clairement que certaines élites politiques sont déconnectées des préoccupations d’une part très importante de leur électorat. Et que les médias qui relayent 24h sur 24 leurs messages hostiles à la lettre ouverte des anciens militaires sont, une fois de plus, à côté de la plaque, ce qui n’est pas bien surprenant  lorsqu’on connaît ceux qui les « contrôlent ».

Il va donc falloir, pour les politiques de tous bords, se saisir enfin de ce problème qui nous concerne tous, s’ils veulent garder leur électorat. Les problème évoqués dans la lettre ouverte seront probablement déterminants dans les futures échéances électorales. Quant aux médias, ils devront eux aussi évoluer s’ils ne veulent pas perdre le peu de crédibilité qui leur reste

Pour conclure, je voudrais ré-insister sur le fait que cette lettre ouverte n’est pas une lettre des généraux mais une lettre des anciens militaires de tous grades, attachés à leur pays. Un général n’est jamais qu’un homme comme un autre. Il a deux pieds, deux jambes, deux bras, un cœur et, parfois même, un cerveau. Il sera dans une position de stricte égalité avec tous les autres lorsqu’il aura quitté notre terre. Ni plus haut, ni plus bas, quel que soit son rang.

Pour terminer, je voudrais remercier les milliers de français de tous bords qui n’ont pas pu signer la lettre ouverte, mais qui nous ont apporté et nous apportent encore leurs messages de soutien ou leurs témoignages par tous les moyens disponibles. »

Un sondage d’Harris Interactive réalisé pour LCI, vient d’être publié sur l’affaire de la lettre ouverte des « 1 500 lanceurs d’alerte anciens militaires au gouvernement concernant les délitements de la France et l’incitation à l’action avant qu’il ne soit trop tard.

Notons, avant de donner les résultats que le nombre de lanceurs d’alerte est passé de 1 500 à 10 093 et le nombre de généraux en retraite de 20 à 40malgré les menaces brandies par les destinataires de la lettre.

Notons aussi que l’institut de sondage, sollicité par un média mainstream qui soutient et relaye notoirement les points de vue de l’exécutif ne peut être soupçonné de complaisance envers les anciens militaires, bien au contraire. Si biais il devait y avoir, il ne serait certainement pas en faveur des anciens militaires.

Les résultats sont sans appel : 58% des français soutiennent les auteurs de cette lettre ouverte.

49% estiment même que l’Armée devrait intervenir sans qu’on lui en donne l’ordre (ce qui n’est pas du tout suggéré dans le texte de la lettre puisque celui-ci s’inscrit strictement dans le cadre de la légalité républicaine, c’est-à-dire que l’intervention de l’Armée ne peut être décrétée, que dans le cadre de l’État de Siège, promulgué par le président de la République, en cas de situation qui deviendrait incontrôlable. Seuls les gens de totale mauvaise foi voient, dans le texte des lanceurs d’alerte, l’idée d’intervenir sans ordre ou un quelconque appel au soulèvement de l’Armée… S’il fallait remettre les points sur les i, je les remets solennellement ici.

86% estiment que dans certaines villes ou quartiers les lois de la république ne s’appliquent plus.

73% estiment que la société française se délite.

45% estiment même, déjà, que la France connaîtra prochainement une guerre civile.

Ces résultats montrent que les Français partagent massivement le constat des lanceurs d’alerte sur le délitements du pays et ses possibles conséquences et qu’ils soutiennent également massivement l’initiative des lanceurs d’alerte et cela, il faut le souligner, malgré une campagne de presse très importante et coordonnée, visant à les faire passer pour des factieux et à les discréditer. La meute médiatique mainstream conduite par BFMTV, va y perdre le peu de crédibilité qui pouvait lui rester.

Quant aux sanctions prévues contre les 18 militaires en activité qui ont signé la lettre ouverte, 64% des français les désapprouvent.

C’est la première fois qu’une décision, prise sous la pression politico-médiatique par un chef d’État major des Armées en exercice est désavouée par une telle majorité de l’opinion. En clair, la confiance accordée aux anciens militaires et, par extension aux militaires d’active, est mise à mal par une décision disproportionnée de son chef, ce qui est évidemment regrettable…

Contrairement à ce que prétend le complexe politico-médiatique, et quelques généraux « de rencontre » qui auraient peut être été vichystes en 1939, les personnels de l’Armée d’active ne sont pas indifférents à cette lettre d’alerte. Les signataires retraités reçoivent de très nombreux mails de remerciements et de soutien de la part des personnels d’active, contraints au silence mais qui n’en pensent pas moins. Les pompiers et les forces de l’ordre nous adressent également de très nombreux messages d’encouragement et de soutien.

Ma conclusion est simple : Les politiques et ceux des chefs militaires qui leurs sont liés ne doivent pas se tromper de cible. Au lieu de s’attaquer et de bâillonner ou de sanctionner les lanceurs d’alerte, ils devraient s’attacher à neutraliser les fauteurs de troubles et de violence, souvent connus des services de police qui pourrissent la vie des citoyens honnêtes. Ils devraient aussi s’attacher à reconquérir les territoires perdus de la République. C’est aussi simple que ça, et nous, les lanceurs d’alerte en seront très heureux.

Quant aux politiciens qui nous accusent de faire de la politique je dis solennellement ceci : je ne suis pas encarté et je n’ai jamais milité pour le Front national, comme une majorité de mes camarades signataires. Ceux qui cherchent à faire l’amalgame font, eux, de la politique politicienne. Ils essayent de nous faire passer pour des factieux, liés au Rassemblement national, dans le seul but de porter atteinte à ce parti, pour éviter la débâcle dans les élections à venir. Qu’ils s’occupent donc correctement de la France et tout ira mieux, pour eux, dans les prochaines élections. Vouloir nous mêler à leurs basses manœuvres politiciennes est tout simplement indigne.

Ce texte peut être diffusé à vos amis.

Dominique Delawarde

Post Scriptum : J’ai eu la possibilité et l’honneur de défendre ma signature et de m’exprimer sur les possibles sanctions des militaires en activité, dans l’émission de CNews « Morandini Live » ce matin. J’intervenais en début d’émission.




Covid-19: Consentement éclairé préparé par une femme médecin de Suisse romande

[Source : Egalité des citoyens face aux lois. (tdg.ch)]

Bonjour,

Voilà le texte reçu ce matin d’un internaute que je remercie vivement. Il s’agit d’un texte préparé par une femme médecin travaillant en Suisse romande afin d’alerter ses patients avant qu’ils acceptent de se faire vacciner contre le Covid-19.

Votre consentement éclairé avant de recevoir le vaccin à ARN COVID-19

Quelques vérités à accepter avant que je vous injecte le vaccin :

1. Je comprends que je reçois un vaccin expérimental, entièrement nouveau, avec des ingrédients inédits qui n’ont jamais été administrés en masse avant l’été 2020.

2. Je consens à participer à une expérience internationale menée par des entreprises pharmaceutiques et des politiciens qui n’assument aucune responsabilité pour tout dommage causé.

3. Je suis d’accord de fournir mes données médicales personnelles pendant l durée de deux ans, au cours de cette étude post-autorisation de phase 3 puis 4.

4. Je comprends que les vaccins sont encore en phase expérimentale et que les essais cliniques de phase 3 sont en cours – leurs achèvements prévus en octobre 2022 pour Moderna et en janvier 2023 pour Pfizer-BioNTech Comirnaty.

5. Je suis au courant que les résultats définitifs de la sécurité et de l’efficacité de ces vaccins expérimentaux sont inconnus à ce jour.

6. Je prends conscience que ce vaccin expérimental est un produit de génie génétique 100% synthétique – c’est un OGM, un organisme génétiquement modifié, qui sera injecté dans mon corps.

7. Je comprends que ce vaccin expérimental peut :

  • ne pas me protéger de la maladie Covid-19 (ne protégerait potentiellement que des formes graves) ;
  • ni prévenir la transmission du virus SRAS-CoV-2.

8. Je reconnais que l’analyse du ratio bénéfice-risque de ce vaccin expérimental est fondée sur des risques inconnus et minimisés, et des avantages surestimés et présumés. Les risques potentiels incluent l’atteinte à la fertilité, troubles de la coagulation et troubles neurologiques.

9. J’accepte l’idée fausse selon laquelle être humain signifie être toujours un contaminant potentiel et un vecteur de maladie, idée faite pour susciter la peur.

10. Je comprends qu’avec le vaccin, je dois garder les mesures barrières : règles de distanciation sociale, du port du masque, PCR et quarantaine si je suis testé(e) positif(ve) à l’avenir.

11. Je reconnais qu’à ce jour, des milliers de décès ont été signalés à la suite de cette campagne de vaccination expérimentale, ainsi que des centaines de milliers de blessés souffrant de troubles neurologiques, d’inflammations sévères et d’effets indésirables cardiovasculaires (thromboses, AVC, infarctus)

12. Je comprends que la maladie de Covid n’est à haut risque que pour les personnes âgées et les immunodéprimés, et que pour que plus de 99.7% de la population le décès n’est pas un risque : 99.7% de survie ! 

13. J’ai pris connaissance des politiques et accords en Suisse concernant l’indemnisation et les compensations (maximum payé= 70 000 Francs suisses) : 

je comprends qu’il pourrait s’avérer impossible de poursuivre le fabriquant de cette injection contre le Covid-19 au cas où elle serait responsable d’un dommage sur ma santé, ou d’un décès.

14. Je comprends et j’ai lu la liste des effets indésirables significatifs signalés en lien avec les injections contre le Covid-19. 

Les effets indésirables connus comprennent :
►l’infection au Covid-19,
►l’anaphylaxie,
►des problèmes neurologiques,
►troubles cardio-vasculaires graves,
►maladies auto-immunes,
►affections chroniques,
►la cécité et la surdité,
►problèmes de fertilité,
►dommages sur les fœtus,
►fausse-couches,
►mort-nés
►et décès.

15. Je suis informé(e) que la probabilité statistique de décès par Covid-19 est de
►0,003% pour les jeunes (entre 0 et 19 ans),
►0,02% entre 20 et 49 ans,
►0,5% pour des individus âgés de 50 à 69 ans,
►5,4% pour les seniors âgés de 70 ans et plus quand non soignés (tel qu’il a été fortement recommandé de le faire : « restez chez vous ! »)

16. J’ai pris connaissance que bien que vendues sous le nom de « vaccins », ces injections Covid-19 ARNm sont des thérapies géniques expérimentales. 

Les fabricants de vaccin décrivent officiellement l’approche ARNm, jamais autorisée auparavant, comme un moyen de « programmer les cellules d’un individu » ou, en usant de la terminologie de la société Moderna, comme le déploiement d’un nouveau « logiciel ». 

Dans la recherche passée, les injections de ARNm ont montré qu’elles avaient un élément inflammatoire intrinsèque, ce qui rend difficile la détermination d’une balance bénéfice/risque « acceptable ».

17. En tant que cobaye, je suis bien conscient(e) que, contrairement à tout autre essai thérapeutique de médicament, je ne serai pas payé(e)/défrayé(e) par le laboratoire pour cet essai de phase 3 dans la population générale.

J’ai bien lu et compris, je donne mon consentement éclairé et j’accepte de me faire vacciner en toute liberté avec le vaccin expérimental Moderna/Pfizer et décharge entièrement mon médecin de toute responsabilité civile et pénale concernant cette injection et ses possibles conséquences.

Fait à 

Le                                                             signature du patient/de la patiente




Philippe de Villiers : Macron, Zemmour, Schwab, Le Pen… il dit tout !

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Dans l’entretien accordé à TVLibertés, Philippe de Villiers n’est jamais allé aussi loin dans sa critique de la personnalité d’Emmanuel Macron. Celui qui évoquait un lien amical avec le président de la République considère aujourd’hui que ce dernier « n’a pas le goût de la France. Ce pays est trop vieux pour lui ! ». La rupture date du 3 mars 2019. Il s’en explique ouvertement et évoque la nécessité absolue de battre l’actuel locataire de l’Elysée.

Philippe de Villiers décrit aussi dans son nouveau livre à succès « Le jour d’après », un monde qui passe du politique au bio politique. Il cible ceux qui, comme le patron du Forum de Davos, Klaus Schwab, veulent mettre à profit les crises sanitaires pour nous faire basculer dans une société distanciée, désagrégée, contrôlée par le numérique et imposant le capitalisme de surveillance : « On nous prépare le goulag numérique, l’épadhisation de la vie avec un tiers accompagnant, un auxiliaire de vie digitale ».

Cependant, même si « notre société coule à pic et est en perdition », Philippe de Villiers réfute avec force tout esprit de défaitisme. Il appelle à un travail de re-francisation de notre pays et à une véritable insurrection des consciences.
Un entretien puissant avec des arguments nouveaux, Philippe de Villiers dit tout !! A regarder et partager de toute urgence.




Appel aux professionnels qui croient et défendent la vaccination : « Sauvez la vaccination en mettant fin à la vaccination ! »

Par Alain Tortosa

  • Vous scientifiques, professionnels, médecins, infirmiers qui œuvrez pour la vaccination !
  • Vous qui croyez que les vaccins proposés (imposés) aux enfants sauvent des vies !

« Sauvez la vaccination générale en réclamant l’arrêt immédiat des thérapies dites “vaccinales” utilisées pour “lutter” contre le Covid ! »

Après il sera trop tard !

Il est encore un peu possible de faire croire au public que :

  • Les vaccins pourraient « peut-être » être des vaccins qui empêcheraient les contaminations !
  • Les variants sortent d’un chapeau et qu’ils n’ont pas été favorisés ou crées par les vaccinés !

Il est encore possible de minimiser les effets secondaires et les décès causés par ces thérapies expérimentales qui n’ont pas bénéficié des protocoles de sécurité habituels.

AstraZeneca est déjà redouté par de très nombreux Français qui avaient cru en son innocuité.

Des Français en sont à réclamer de la thérapie génique ARN messager expérimentale pensant que celle-ci serait sûre aussi bien à court qu’à long terme.

La liste des pays fortement vaccinés dans lesquels il y a une explosion délirante de la mortalité due au Covid ne fait que croître.

Déjà en France, le nombre de décès chez les jeunes de 20 à 29 ans a été quasi multiplié par 3 alors même que seule 5% de cette population est vaccinée.

Demain quand la vaccination de masse pour les jeunes adultes et les enfants va débuter, il ne sera pas possible de camoufler les décès alors qu’il est facile de le faire pour les personnes âgées en fin de vie ou avec des comorbidités.

Des enfants VONT mourir de la vaccination alors qu’ils ne sont PAS concernés par cette maladie !

Les premiers décès seront niés, attribués à d’autres pathologies et comorbidités ou à de nouveaux variants qui, « bizarrement », ne les tuent pas aujourd’hui…

L’État ne pourra PAS cacher cette vérité, des parents endeuillés vont demander des comptes.

La confiance de la population pour les vaccins VA totalement disparaître pour des dizaines d’années.

Tout ce que vous avez construit au fil du temps, tout ce travail de longue haleine, toutes ces années au service de votre idéal vaccinal seront balayés et vous ne le retrouverez pas de votre vivant…

Les mêmes qui ont fabriqué la poule aux œufs d’or de la vaccination sont en train de la détruire…

Le marché de la vaccination va s’effondrer et les antivax, ceux que vous combattiez, vont gagner !

Alors si vous croyez en la vaccination, arrêtez le massacre et militez pour l’arrêt immédiat des fausses « vaccinations » contre le Covid !

Merci

Alain Tortosa.

30 avril 2021
https://7milliards.fr/tortosa20210430-sauvez-la-vaccination-en-arretant-la-vaccination.pdf




La France vaccine aussi les jeunes adultes. Existe-t-il un lien entre l’augmentation de la mortalité et la vaccination? TROIS fois plus de morts depuis le début de la campagne de vaccination alors que seuls 5% des 18-29 ans sont vaccinés !

Par Alain Tortosa

Le nombre de vaccinés

Contrairement à ma croyance qui pensait que seuls les vieux étaient vaccinés, 5,17 % des jeunes(([1] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474)) entre 18 et 29 ans ont reçu une dose de vaccin au 27 avril soit 388 947 personnes sur une population(([2] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2381474)) de 7 526 051.

70 % sont des personnels de santé, 18% des EHPAD et le reste, soit 12 %, n’est pas précisé. 0,29 % seulement avaient des comorbidités !!!

Le nombre de décès du Covid dans cette tranche d’âge

Avant le début de la vaccination, entre le 17 mars 2020 et le 23 janvier de cette année, 41 personnes(([3] https://geodes.santepubliquefrance.fr/#c=indicator&f=29&i=covid_hospit_clage10.dc&s=2021-04- 28&t=a01&view=map1)) entre 20 et 29 ans, sont officiellement décédées du Covid. Je dis bien officiellement, car nous savons tous que les données sont totalement manipulées et qu’il faudrait probablement dire qu’ils sont morts AVEC le Covid. Cela correspond à un taux de mortalité de 0,00054 %, soit 5,45 morts par million d’habitants.

Si maintenant on s’intéresse à la mortalité entre le début de la crise et le 27 avril de cette année alors nous en sommes 76 décès. Un taux de mortalité de 0,00101% donc 10 morts par million.

Nous avons un doublement de la mortalité en incluant la période de la campagne de vaccination.

Une autre façon de l’illustrer est de comptabiliser le nombre de décès mensuels avant la période de vaccination qui est de 3,94 morts par mois. Puis de la comparer à la seule période de vaccination où le nombre de décès par mois passe à 11,17 par mois soit presque 3 fois plus de morts depuis la campagne de vaccination !

Le nombre de décès habituels dans cette tranche d’âge

Selon l’Ined,(([4] https://www.ined.fr/fr/tout-savoir-population/chiffres/france/mortalite-cause-deces/taux-mortalite-sexe-age/)) le taux de mortalité habituel est de 0,0045% soit environ 3387 décès par an.

L’INSEE(([5] https://www.insee.fr/fr/statistiques/2386052#tableau-figure2)), quant à elle, précise que pour l’année 2018, le pourcentage de décès dans cette tranche d’âge par maladie infectieuse est de 1,5 %.

Si l’on s’intéresse à la période prévaccinale, soit 10,4 mois, il aurait dû y avoir environ 2935 décès. Les morts de maladies infectieuses, soit 1,5 %, devraient être de l’ordre de 44 sur la période. Il est intéressant de constater que le nombre habituel de décès par infection, soit 44, est quasi identique au nombre de morts imputés au Covid sur la même période soit 41 décès.

Ceci indiquerait deux choses :

  • Une absence totale de surmortalité due au Covid dans la tranche d’âge.
  • Que tous les décès habituels par infections auraient été estampillés Covid en 2020.

Intéressons-nous maintenant à la période de vaccination, soit 3,1mois. Le nombre de décès habituels toutes causes devrait être de 884. 1,5% de maladies infectieuses de ces 884 devrait donner 13,26 morts.

Mais nous déplorons officiellement 35 décès sur cette période par Covid soit 2,6 fois plus.

Nous constatons une énorme surmortalité, presque trois fois plus qu’en temps normal durant la période vaccinale !

Pourquoi une telle explosion de la mortalité chez les 20 à 29 ans ?

En premier lieu, nous sommes dans l’obligation de partir du principe que les morts ne sont pas plus de faux morts qu’habituellement. Le gouvernement ayant pour habitude de tricher et mentir en permanence, il aurait pu décider de modifier la méthode de calcul…

Partons donc de l’hypothèse que la triche est demeurée la même.

Nous savons tous, vous et moi, que si nous posions la question aux autorités de santé ou à la Pravda, la réponse serait évidemment « c’est la faute aux variants ! ». Et ce alors même que la probabilité est, plus que forte, que ces variants soient la conséquence directe des campagnes vaccinales.

Dans cette hypothèse qui est vérifiée dans de nombreux pays, le coupable serait la vaccination ou les conséquences de la vaccination, ce qui revient au même.

Chili 75% de la population ayant reçu au moins une dose, augmentation du taux de mortalité de plus de 40% depuis le début de la vaccination.
Uruguay, 50% de la population vaccinée, augmentation de 310% du taux de mortalité.
Hongrie, 59% de la population vaccinée, augmentation de 124% de la mortalité.
USA, 70% de vaccinés, hausse de 61% !

Venezuela, 0,88% de vaccinés, augmentation de 55% mais 23 fois moins de morts qu’aux USA !
Japon, 2,55% de vaccinés, hausse de 16% et 22 fois moins de morts qu’aux USA !

Tout ceci ne serait que « hasard » et « malchance » bien évidemment !

Ces données ne prouvent pas la dangerosité des vaccins mais au moins leur totale inefficacité !

Je vous rappelle que le Covid n’a entraîné AUCUNE surmortalité chez les jeunes en France (avant la campagne de vaccination).

Et ces criminels veulent maintenant l’étendre aux enfants ??!!

J’espère VRAIMENT me tromper, mais si 5% de vaccinés s’est réellement traduit par un quasi triplement des décès, imaginez 70% des jeunes vaccinés !!!

Merci

Alain Tortosa 30 avril 2021
https://7milliards.fr/tortosa20210430-vaccination-jeunes-morts.pdf





Et surgit une hécatombe post vaccinale !

Par Gérard Delépine

L’hécatombe mondiale post vaccin anti Covid19 va progressivement mettre fin au mythe vaccinal

Alors qu’une propagande sans pareil (et incompréhensible si le médicament était à l’évidence efficace et sans danger) et des mesures liberticides veulent nous imposer une prétendue « vaccination » par des médicaments nouveaux mal évalués, les résultats des premiers mois des campagnes citées partout en exemple comme succès sont marqués par une augmentation paradoxale des contaminations et de la mortalité dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné.

Les faits avérés

Sont illustrés par les courbes de l’OMS publiées sur son site WHO Covid19 Dashboard additionnées de nos commentaires en rouge.

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.(([1] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314))

« Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. « Il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes… Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle et totalise près du quart de la mortalité globale.

Au Chili, les contaminations et la mortalité ont augmenté depuis la vaccination

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination, des fortes hausses des contaminations (+150%) et de la mortalité (+140%) globales ont aussi été observées

Au Bahreïn

Mais aussi au Koweït : les quatre mois post vaccination comptabilisent presque autant de contaminations que les dix mois précédents et 40% des décès survenus depuis le début de l’épidémie.

Mais aussi en Mongolie

Mais aussi à Monaco qui comptait seulement 3 décès avant la vaccination et plus de 30 aujourd’hui

Et à Gibraltar

Que peut -on déduire de ces faits avérés ?

Que les essais de ces vaccins ont été insuffisants. Aucun n’est terminé et il eut été judicieux d’attendre les résultats de ces essais (prévus à partir de janvier 2023)

Aucun d’entre eux ne signalait la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires.

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives si une nouvelle poussée survenait.

La situation s’est heureusement stabilisée en Israël et en Grande Bretagne en même temps que dans des pays peu vaccinés comme la Suède et les Pays Bas qui ont traversé cette période sans exacerbation brutale post vaccinale.

La comparaison montre une amplification nette de la mortalité en GB très vaccinée par rapport aux Pays-Bas peu vaccinés. Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en GB (934/M) dépasse le double de celle des PB (411/M).

Hypothèses qui pourraient expliquer cette surmortalité

Les vaccins ne sont pas assez efficaces : ils n’empêchent pas d’être malade ni n’évitent la transmission virale à l’entourage, comme l’a précisé le ministre de la Santé français le 31 mars 2021. La trop faible concentration d’anticorps favorise l’aggravation de la maladie par le phénomène des anticorps facilitants et facilite l’apparition de variants résistants.

Certains variants seraient susceptibles de s’accompagner d’une augmentation considérable de l’incidence de la maladie et de sa mortalité pendant les 6 à 8 semaines qui suivent les premières injections.

Les vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper le Covid19

Que l’on soit président du Pérou (M Vizcarra), ancienne ministre de la santé (R Bachelot), chirurgienne (Joëlle Huth) ou pensionnaires d ‘Ehpad en France(([2] OBS Des résidents de maisons de retraite contaminés par des variants alors qu’ils étaient vaccinés contre le Covid 23/4/2021)) (([3] S AURENCHE RTL Les infos de 18h – Coronavirus : 47 résidents d ‘Ehpad contaminés malgré la vaccination 22/2/2021)) (comme dans de nombreux autres pays comme les USA(([4] États-Unis : un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination Le Figaro avec AFP le 24/4)), l’Allemagne, l’Espagne), les vaccins actuels n’empêchent donc pas d’attraper la maladie.

Le risque serait plus élevé après la première injection, mais une vaccination complète ne protège pas non plus ainsi que vient cruellement de le rappeler la déconvenue récente de deux retraités marseillais(([5] CLAIRE DOMENECH Pourtant vacciné avec Pfizer, un couple marseillais contracte le Covid-19 Capital 23/4/2021)) vaccinés au Pfizer.

On ne doit pas croire qu’en se vaccinant on se protège du Covid19 et les propagandes pros vaccinales visant à retrouver une vie normale via un passeport sanitaire ne sont que de la manipulation politique sans fondement scientifique.

Les vaccins actuels n’évitent pas de mourir de Covid19

L’ARS de Guyane vient d’annoncer la mort de covid19 de deux retraités malgré une vaccination complète.(([6] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/guyane-deux-personnes-vaccinees-decedent-du-covid-19-7239925))

Plusieurs pensionnaires des Ehpad précédemment cités et des nonnes du couvent de Kentucky sont morts de Covid alors qu’ils avaient été totalement vaccinés et vivaient dans un grand isolement depuis un an et même après la vaccination.

L’affirmation partout répétée que la vaccination protège des formes graves n’est donc pas vraie ainsi que l’a reconnu récemment notre ministre de la santé O. Veran :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

(([7] Les propos hallucinants d’Olivier Véran « Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin… le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers » | Europe Israël news (europe-israel.org) ))

Les vaccins actuels ne préviennent pas la transmission de la maladie

C’est ce que rappelle le Conseil d‘Etat suivant en cela les affirmations du ministère(([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) dans un mémoire de réponse :

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ».

La vaccination peut favoriser l’apparition de variants

De nombreux chercheurs ont remarqué que la plupart des variants connus sont apparus dans les pays ou avaient été testés des médicaments (Remdesevir) ou des vaccins insuffisamment efficaces.

Cette hypothèse avait été soulevée par l’Académie de Médecine en janvier.(([9] le 11 janvier 2021 Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?))

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Et confirmée par JF Delfraissy et d’autres membres du conseil scientifique(([10] L Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,4)):

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin ».

L’échappement immunitaire par apparition des variants rend illusoire l’espoir de résoudre cette crise par les vaccins :

« ce changement du comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start ».

Cette incapacité à éradiquer l’épidémie par les vaccins rend encore plus indispensables les traitements précoces

Boris Johnson qui prétend avoir protégé son pays par les vaccins ne doit pas en être aussi certain, puisqu’il vient de promettre aux anglais qu’ils bénéficieront avant la fin de l’année de médicaments contre le Covid19 à prendre à domicile dès les premiers signes de la maladie.

Et pour confirmer sa promesse, il a alloué des sommes importantes au fond de recherche créé pour cet objectif.

Le Pr Éric Caumes, en février dernier a reconnu(([11] https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/covid-19-est-on-passe-a-cote-de-traitements-miracles/)): « cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité.

Même Olivier Véran a dû faire une “concession” au traitement précoce en admettant que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie ». Il a de plus annoncé, le financement de 45 nouveaux projets de recherche appliquée(([12] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/financement-de-45-nouveaux-projets-de-recherche-appliquee-sur-le-coronavirus)) sur le Coronavirus COVID-19 pour près de 22 millions d’euros et encourage les Français à participer aux études. Espérons seulement qu’il ne s’agit pas d’essais conçus et réalisés uniquement pour discréditer les traitements bon marché comme les fameux essais Discovery et Hycovid dont on attend toujours les résultats définitifs.

L’échec annoncé des vaccins impose de revoir complètement la stratégie sanitaire du gouvernement et devrait calmer l’arrogante campagne de publicité actuelle sur toutes les chaines TV recrutant comme agents de pub des personnalités aussi compétentes que A. Roumanoff. Misère.

Que chacun puisse juger librement et peser son propre bénéfice -risque mais sans culpabiliser ou traiter de débiles ceux qui n’ont aucune envie de jouer à la roulette russe ou au cobaye.





Covid : la validité de l’imposition du port du masque s’effondre à son tour !

[Source : Anthropo-logiques (tdg.ch)]

Par Jean-Dominique Michel

Après donc les mesures de confinement (dont tout confirme la nocivité et l’inutilité) voilà que s’effondre à son tour l’autre grande mesure soi-disant sanitaire qui nous est imposée : le port du masque. Comme pour le confinement, ce ne sera une surprise que pour les naïfs ou les fanatiques : nous savions depuis des décennies que le port du masque n’est d’aucune utilité face aux viroses respiratoires, et qu’il est de toute manière inefficace (sauf contre certaines formes de pollution aérienne comme les particules fines) en population générale.

Il s’agissait donc d’une telle évidence que la seule surprise est que des personnes a priori éduquées et capables de réfléchir aient adhéré à une telle absurdité. Ceci, nous sommes nombreux (à nouveau) à l’avoir dit depuis des mois. Que l’on ait pu imposer une telle mesure, évidemment nocive, à la population et même des groupes vulnérables comme les enfants ou les jeunes restera comme une ignominie de plus dans cette lamentable crise sanitaire.

Je repose la question aux sceptiques et à mes détracteurs : trouvez-moi un seul plan de lutte contre les pandémies respiratoires virales qui ait prévu d’imposer le port du masque à la population en bonne santé et je vous offre le champagne !

Nous savions, comme pour le confinement, que cela ne servait à rien en plus d’infliger des dommages graves, avec un élément qu’il faut être inconscient pour ne pas remarquer : ces mesures, sans utilité sanitaire avérée, sont des mesures puissantes de contrôle social et d’humiliation.

Elles polarisent de surcroît la population entre ceux qui ont cru de bonne foi aux bêtises avancées par nos autorités et ceux qui ont gardé un esprit critique. Avec, le cas échéant, un objectif à ce sujet : les dociles et les soumis devenant des multiplicateurs de la contrainte absurde et les petits soldats de la dérive totalitaire.

Ce trait, comme de nombreux autres, est caractéristique. Je sais que les mots relatifs à la dérive en cours (comme totalitaire ou dictature) font ricaner nombre de bien-pensants qui n’ont toujours pas compris que nous avions déjà basculé hors de l’état de droit.

Lors de la conférence de presse du 15 avril organisée par les Amis de la Constitution, M. Nicolas Rimoldi, co-président de l’association Mass-voll, a rappelé qu’à l’heure actuelle, 23 articles de notre Constitution sont suspendus ou violés par les diktats pseudo-sanitaires sans justification solide. On peut en effet ricaner mais il ferait plutôt sens d’y réfléchir.

Or donc, si l’absence de pertinence du port du masque aurait dû être une évidence, il s’est trouvé (comme toujours) des ayatollahs en blouse blanche pour affirmer l’inverse en se réclamant de l’autorité de la « science » et pour aller terroriser et culpabiliser la population sur les plateaux télé… à partir de données mensongères.

Le dogme du masque est en effet une pièce importante de la manipulation en cours. Quand les populations se rendront compte qu’on leur a imposé des mesures sans justification et lourdement dommageables en leur racontant des salades, il est possible qu’elle réagissent autrement qu’en poussant des cris de joie.

Les lecteurs de ce blog se souviendront des différents articles que j’ai rédigés ou re-publiés sur cette question au long des derniers mois. Ils se souviendront également de la réponse quelque peu hystérique d’un gratte-papier de l’AFP à une revue de la littérature scientifique publiée au mois de janvier par un médecin travaillant dans un des hôpitaux de la faculté de médecine de Stanford, que j’avais portée à la connaissance de mes lecteurs.

Faisant feu de toutes les moches ficelles du journalisme de propagande, il avait tout à la fois dénigré l’auteur et convoqué à mon encontre des collègues aussi pleins de parti-pris que lui, comme Mme Johanne Montay, journaliste belge qui après s’être fait connaître pour harceler ses collaborateurs, maltraite depuis une année la population belge tout entière. Non encline à en rester là, elle s’en était pris à moi après une conférence à Liège, déformant scandaleusement mon propos et cherchant à piéger certaines personnalités de manière malhonnête et déloyale en les faisant réagir à des propos que je n’avais jamais tenus (je dispose évidemment des preuves écrites de ce que j’indique là) !

Les gredins s’entre-cautionnent, ce qui n’est non plus guère surprenant. Là où je commence à me réjouir par avance, c’est de voir comment lesdits « journalisss » vont faire pour contenir la masse de données probantes confirmant la fausseté de leur propagande. Ça ressemble à l’histoire du jeune hollandais qui avait mis son doigt pour boucher la faille d’une digue. Je souhaite à ces tristes sires bien du plaisir…

Voici donc quelques épouvantails supplémentaires dont ils vont devoir trouver comment les diffamer ou les dénigrer (je ne fais pas de souci, à défaut de savoir faire du journalisme ils sont doués en la matière) pour continuer à désinformer la population.

C’est ennuyeux pour eux, mais on commence ainsi à voir apparaître des études confirmant que non seulement le port du masque n’empêche en rien la transmission du Covid mais encore fait courir un risque à ceux qui le portent. Les courbes des maladies infantiles en France montrent par exemple que les taux de prévalence de l’asthme, des gastro-entérites ou du Covid ne connaissent pas de différence entre les mois précédant ou suivant l’imposition du port du masque dans les écoles.

Par contre, les pneumopathies bactériennes, elles, flambent à partir de cette date comme nous étions nombreux à l’avoir annoncé comme étant prévisible.

Malgré les dénégations imbéciles des autorités médicales et politiques, bien sûr qu’infliger cette contrainte absurde a des effets problématiques majeurs ! Comme vient de le confirmer une étude publiée dans l’ International Journal of Environmental Research amd Public Health par une équipe de chercheurs et médecins allemands :

De nombreux pays ont introduit l’obligation de porter des masques dans les espaces publics pour contenir le SRAS-CoV-2, ce qui en fera une pratique courante en 2020.  Jusqu’à présent, il n’y a pas eu d’enquête complète sur les effets néfastes que les masques peuvent avoir sur la santé. L’objectif était de trouver, de tester, d’évaluer et de compiler les effets secondaires liés au port de masques qui ont été scientifiquement prouvés (…)

Dans cet article, nous faisons référence à la détérioration psychologique et physique ainsi qu’aux multiples symptômes décrits en raison de leur présentation cohérente, récurrente et uniforme dans différentes disciplines comme un syndrome d’épuisement induit par le masque (MIES). Nous avons objectivé l’évaluation des changements dans la physiologie respiratoire des porteurs de masque avec une corrélation significative de la chute d’O2 et de la fatigue (p< 0,05), une cooccurrence groupée de la déficience respiratoire et de la chute d’O2 (67%), du masque N95 et de la montée de CO2 (82%), du masque N95 et de la chute d’O2 (72%), du masque N95 et des maux de tête (60%), de la déficience respiratoire et de l’élévation de température (88%), mais aussi de l’élévation de température et de l’humidité (100%) sous les masques. Le port prolongé de masques par la population générale pourrait entraîner des effets et conséquences pertinents dans de nombreux domaines médicaux.

Dans le même temps, une étude réalisée par une équipe du MIT (Massachusetts Institue of Technology » dément la protection contre les gouttelettes, principal « argument » en faveur du port du masque :

Les chercheurs vont plus loin, affirmant même que dans un espace mal ventilé, ces gouttelettes peuvent se propager lorsque les personnes respirent à travers un masque. Pire, dans un espace mal ventilé, lorsque les personnes respirent à travers un masque, les gouttelettes ont tendance à remonter et à se propager dans l’espace confiné. Le risque de contamination est alors plus élevé, augmentant ainsi le risque de contamination.

A nouveau, cela ne surprendra que les fanatiques ! Au demeurant, la question ne se pose même pas dans les termes d’une éventuelle utilité : le droit constitutionnel exige comme condition impérative d’une mesure portant atteinte aux droits fondamentaux qu’elle soit absolument nécessaire et indiscutablement efficace.

Nous aurons à la place, vu à nouveau des médicocrates venir perpétrer des abus de pouvoir, complaisamment accueillis par une presse de connivence, en prétendant fallacieusement que « la science » imposait ces mesures.

Tout en brodant des explications foireuses selon lesquelles « même si on n’avait pas de certitude absolue, on pensait quand même que ça avait forcément une certaine d’efficacité, petite ou grande, et que combiné à d’autres absurdités, ça générait forcément in fine quelque chose dont il serait « contraire à l’éthique » de se priver. » Bref, de la bullshit [littéralement : « de la merde de taureau » = des conneries] en barre pour dire les choses sans détour.

Ce que ces Diafoirus ont oublié au passage c’est que même s’ils portent des titres prestigieux tout en étant payés 500’000.- par an ou plus aux frais du contribuables et des assurés, le droit prohibe strictement de tels agissements.

Tout en reconnaissant aussi que ce sont les autorités politiques et les juristes qui ont failli : la tentation de la toute-puissance est une scorie de l’univers médical et s’il n’y a pas les patients, les élus, les avocats et les journalistes pour la contenir, il tend à dériver naturellement dans ce type d’abus, l’histoire de la médecine comme son quotidien en donnent d’innombrables exemples.

Allons-nous enfin et une bonne fois pour toutes pouvoir mettre cela derrière nous ?

Eh bien probablement pas ! Ceci pour trois raisons :

  1. Reconnaître ses erreurs est un signe de grandeur d’âme et d’honnêteté ; or il faut se lever de bonne heure pour repérer grand-chose qui relève de ces valeurs au sein de la nomenklatura politico-sanitaire !
  2. Comme indiqué précédemment, l’imposition du masque permet de marteler obsessionnellement l’existence d’un danger (là où le risque de mortalité n’a simplement pas été modifié en-dessous de 75 ans l’an dernier !) De surcroît, elle déshumanise, humilie et force à la soumission, ce qui est du pain béni pour tous les apprentis-dictateurs ! Maintenir la population dans cet état de panique et de soumission est un objectif évident des « autorités » : sinon, pourquoi avoir entretenu la panique de manière aussi obsessionnelle depuis des mois là où un appel raisonné à la prudence quand c’était requis aurait suffi sans traumatiser la population ?
  3. Elle remplit à ce titre un rôle central dans le dispositif d’aliénation et d’asservissement, nécessaire notamment à faire avancer le troupeau affolé vers l’expérimentation génique (contraire à l’éthique et au droit) qu’on nous fait passer comme étant la seule porte de sortie de cette cacade alors qu’il s’agit au mieux d’un pari à haut risque

Un fait devrait nous alerter : j’ai déjà mentionné le verdict rendu par un juge de Weimar, saisi par des parents d’élèves. Après avoir entendu des experts, fouillé les articles scientifiques et respecté le droit, il avait conclu à la levée immédiate de ces mesures, ce qui évidemment avait fait un certain foin (sauf en Suisse, où la presse anesthésie la population en s’assurant que les informations importantes ne parviennent jamais à ses oreilles).

Or voilà qu’on apprend que ledit juge a été l’objet de différentes plaintes pénales et qu’une perquisition vient d’être menée chez lui au petit matin. Certes, peut-être s’avérera-t-il qu’il allait braquer des banques, planqué derrière son masque, pendant ses heures perdues…

Ce qui vient plus naturellement à l’esprit comme hypothèse est que nous pourrions être face à une tentative d’intimidation, réalité elle aussi courante dans les temps de dérive totalitaire.

Celles et ceux qui ne comprennent pas que nous ne sommes pas dans l’illusion de réalité que les gouvernements et les médias peignent à notre intention depuis une année auront des réveils douloureux. Pour nous c’est le combat qui l’est, particulièrement du fait de l’endoctrinement massif de la population à coup de procédés de propagande parfaitement connus et de l’efficacité dramatique de ce lavage de cerveau.

Comme par exemple le fait de présenter l’expérimentation génique en cours comme un vaccin, une innovation quasimiraculeuse montrant notre agilité et la grandeur de notre science.

Ceci alors qu’en réalité l’injection hasardeuse d’ARN messager n’a rien à voir avec les vaccins classiques, et que l’incertitude sur les effets indésirables à moyen et long terme devrait conduire chaque citoyen à refuser d’être pris comme cobaye à ses risques et périls. Sans oublier que le taux anormalement élevé d’effets indésirables (graves dans 30% des cas) devrait conduire à suspendre instantanément cette opération aussi risquée pour les gens qu’elle est lucrative pour les intéressés, c’est dire.

Inoculer des personnes en bonne santé et sans facteurs de risque, a fortiori des enfants ou des jeunes, est juste une abomination en termes de santé publique et d’éthique. Qu’autant de corps constitués (les médecins en première ligne) adhèrent à cela restera un grand moment d’égarement collectif. Même si en jouant à la roulette russe il reste des chances de ne pas mourir…

Je re-publie pour terminer infra la traduction de l’article paru dans Nordkurier relatant les tracasseries infligées à ce juge suivie de la relation du jugement de Weimar.


Opération de police au domicile d’un juge de Weimar

Appartement et bureau fouillés, téléphone portable confisqué : après qu’un juge ait fait sensation dans tout le pays en statuant contre les mesures prises contre le coronavirus dans deux écoles, il a maintenant reçu une « visite » de la police.

On ne sait pas encore ce dont Christian Dettmar est accusé. Le fait est que le juge du tribunal de grande instance de Weimar s’est prononcé le 8 avril dans une décision spectaculaire contre les masques obligatoires, les tests obligatoires, les règles de distance et l’enseignement à domicile et a ainsi remis en question, pour la première fois, le sens et la nécessité des mesures « sanitaires » prescrites dans les écoles. Selon les médias, le parquet d’Erfurt a entre-temps confirmé la perquisition des locaux d’habitation et de travail du magistrat et la confiscation de son téléphone portable ainsi que de son ordinateur portable. Une procédure préliminaire a été ouverte pour suspicion initiale d’obstruction à la justice, a déclaré un porte-parole du parquet.

Les observateurs parlent de « tentative d’intimidation

La nouvelle que des perquisitions avaient eu lieu au domicile du juge de district s’est répandue sur les médias sociaux lundi soir et a été confirmée au Nordkurier par une source sûre. Selon les informations, l’opération de police dans les locaux du juge concerne certainement le verdict controversé. Les observateurs de l’entourage du magistrat auraient eu l’impression d’une « tentative d’intimidation ».

La décision avait provoqué des rumeurs

Après que la décision a été connue, des allégations ont circulé selon lesquelles le juge était connu pour sa position critique sur les mesures et avait été délibérément choisi pour la procédure. Jusqu’à présent, cependant, aucune preuve concrète n’a été apportée à ces accusations. Selon BILD, une douzaine de plaintes pénales contre le juge ont été déposées au parquet d’Erfurt.

Le juge des affaires familiales, âgé de 58 ans, avait interdit, après la plainte d’une mère de deux enfants (8 et 14 ans), à deux écoles de Weimar, par décision judiciaire, de contraindre les élèves au devoir de masque, à la distance, au devoir d’examen et à l’enseignement à domicile.

« Défiant les faits historiques »

Le raisonnement approfondi soutenu par trois experts disait, entre autres choses :

« 100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port d’un masque pendant une semaine pour prévenir une seule infection par semaine. Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 


Verdict sensationnel à Weimar : plus de masques, de distanciation ni de tests pour les élèves

Source : site Enfance & Libertés

Le 8 avril 2021, le tribunal de la famille de Weimar a décidé, dans le cadre d’une procédure en référé (réf. : 9 F 148/21), qu’il est interdit à deux écoles de Weimar, avec effet immédiat, d’exiger des élèves le port de couvre-bouche ou de nez de quelque nature que ce soit (en particulier les masques qualifiés tels que les masques FFP2), de respecter les distances minimales de l’AHA et/ou de participer aux tests rapides SARS-CoV-2. En même temps, la Cour a déterminé que l’enseignement en classe doit être maintenu (texte intégral de l’arrêt comprenant trois avis d’experts).

Pour la première fois, des preuves ont été présentées devant un tribunal allemand concernant le caractère scientifiquement raisonnable et la nécessité des mesures anti-Corona prescrites. Les témoins experts qui ont éré entendus étaient les professeurs Ines Kappstein, médecin, Christof Kuhbandner, psychologue et Ulrike Kämmerer, biologiste.

La procédure judiciaire en question est une procédure dite de protection de l’enfance en vertu de l’article 1666, paragraphes 1 et 4, du code civil allemand (BGB), qu’une mère avait engagée pour ses deux fils, âgés respectivement de 14 et 8 ans, auprès du tribunal local (tribunal de la famille). Elle a fait valoir que ses enfants subissaient un préjudice physique, psychologique et éducatif, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque avantage pour les enfants ou les tiers. Cela violerait en même temps de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales.

La procédure prévue par le § 1666 du code civil peut être engagée d’office, sur proposition de toute personne ou sans proposition, si le tribunal estime que l’intervention est nécessaire pour des raisons de bien-être de l’enfant, § 1697a du code civil.

Après avoir examiné la situation de fait et de droit et évalué les expertises, le tribunal des affaires familiales de Weimar est arrivé à la conclusion que les mesures désormais interdites représentent un danger actuel pour le bien-être mental, physique ou psychique de l’enfant, à tel point que, si elles sont maintenues, un préjudice considérable est presque certainement à prévoir.

Le juge déclare : « Un tel risque est présent ici. En effet, les enfants ne sont pas seulement mis en danger dans leur bien-être mental, physique et psychique, notamment par l’obligation de porter des masques pendant les heures de classe et de se tenir à distance les uns des autres et d’autres personnes, mais ils sont en outre déjà actuellement lésés. Dans le même temps, cela viole de nombreux droits des enfants et de leurs parents en vertu de la loi, de la constitution et des conventions internationales. Cela s’applique en particulier au droit au libre développement de la personnalité et à l’intégrité physique de l’article 2 de la Loi fondamentale ainsi qu’au droit de l’article 6 de la Loi fondamentale à l’éducation et aux soins par les parents (également en ce qui concerne les mesures de soins de santé et les « objets » à porter par les enfants.) »

Par son jugement, le juge confirme l’appréciation de la mère : « Les enfants subissent un préjudice physique, psychologique et pédagogique et leurs droits sont violés, sans que cela soit contrebalancé par un quelconque bénéfice pour les enfants eux-mêmes ou les tiers. »

Selon la condamnation du tribunal, les administrateurs scolaires, les enseignants et d’autres personnes ne pouvaient pas invoquer les dispositions légales de l’État sur lesquelles les mesures étaient fondées, car elles étaient inconstitutionnelles et donc nulles. Motif : ils violent le principe de proportionnalité ancré dans l’état de droit (articles 20, 28 de la Loi fondamentale).

« Selon ce principe, également appelé interdiction du caractère excessif, les mesures destinées à atteindre un but légitime doivent être appropriées, nécessaires et proportionnées au sens étroit, c’est-à-dire lorsqu’on met en balance les avantages et les inconvénients qu’elles procurent. Les mesures qui ne sont pas fondées sur des preuves, contrairement à l’article 1(2) IfSG, sont déjà inadaptées pour atteindre le but fondamentalement légitime qu’elles poursuivent, à savoir éviter la surcharge du système de santé ou réduire l’incidence de l’infection par le virus SRAS-CoV- 2. Mais en tout état de cause, elles sont disproportionnées au sens strict du terme, car les inconvénients considérables/dommages collatéraux qu’elles entraînent ne sont pas compensés par un avantage perceptible pour les enfants eux-mêmes ou les tiers« , a déclaré le juge.

Il précise : « Il convient toutefois de souligner que ce ne sont pas les intéressés qui devraient justifier l’inconstitutionnalité des atteintes à leurs droits, mais, à l’inverse, l’État libre de Thuringe, qui porte atteinte aux droits des intéressés par ses dispositions de droit public, devrait prouver, à l’aide des preuves scientifiques requises, que les mesures qu’il prescrit sont aptes à atteindre les objectifs visés et qu’elles sont, le cas échéant, proportionnées. Jusqu’à présent, cela n’a pas été fait à un degré quelconque. »

  1. l’absence de bénéfice du port de masques et du respect des règles de distance pour les enfants eux-mêmes et les tiers

Pour convaincre le tribunal, l’expert Prof. Kappstein, après avoir évalué l’ensemble de la base de données internationale sur le sujet des masques, a déclaré que l’efficacité des masques pour les personnes en bonne santé en public n’est pas soutenue par des preuves scientifiques.

Dans le verdict, il est dit : « De même, la ‘protection étrangère’ et la ‘transmission inaperçue’, avec lesquelles le RKI a justifié sa ‘réévaluation’, ne sont pas soutenues par des faits scientifiques. La plausibilité, les estimations mathématiques et les évaluations subjectives dans les articles d’opinion ne peuvent remplacer les enquêtes clinico-épidémiologiques basées sur la population. Les études expérimentales sur les performances de filtrage des masques et les estimations mathématiques ne permettent pas de prouver leur efficacité dans la vie réelle. Si les autorités sanitaires internationales préconisent le port de masques dans les espaces publics, elles affirment également que les études scientifiques ne fournissent aucune preuve à cet égard. Au contraire, toutes les preuves scientifiques actuellement disponibles suggèrent que les masques n’ont aucun effet sur l’incidence des infections. Toutes les publications qui sont citées comme preuve de l’efficacité des masques dans les espaces publics ne permettent pas cette conclusion. Cela s’applique également à l’étude dite de Jena, comme l’expert l’explique en détail dans son avis. En effet, l’étude d’Iéna – comme la grande majorité des autres études une estimation purement mathématique ou une étude de modélisation basée sur des hypothèses théoriques sans recherche réelle des contacts avec des auteurs du domaine de la macroéconomie sans connaissances épidémiologiques – ne tient pas compte, comme l’explique en détail l’expert, de la circonstance épidémiologique décisive que les niveaux d’infection ont déjà diminué de manière significative avant l’introduction des masques obligatoires à Iéna le 6 avril 2020 (environ trois semaines plus tard dans toute l’Allemagne) et qu’il n’y avait déjà plus d’incidence pertinente d’infection à Iéna à la fin du mois de mars 2020. »

Les masques ne sont pas seulement inutiles, ils sont aussi dangereux, juge le tribunal : « Tout masque, comme le précise encore l’expert, doit être porté correctement pour être en principe efficace. Les masques peuvent devenir un risque de contamination s’ils sont touchés. Cependant, d’une part, ils ne sont pas portés correctement par la population et d’autre part, ils sont très souvent touchés avec les mains. C’est également le cas des hommes politiques que l’on voit à la télévision. La population n’a pas appris à utiliser correctement les masques, on ne lui a pas expliqué comment se laver les mains en chemin ou comment procéder à une désinfection efficace des mains. Il n’a pas non plus été expliqué pourquoi l’hygiène des mains est importante et qu’il faut veiller à ne pas toucher les yeux, le nez et la bouche avec les mains. La population a été pratiquement laissée seule avec les masques. Non seulement le risque d’infection n’est pas réduit par le port des masques, mais il est augmenté par une manipulation incorrecte du masque. Dans son expertise, l’experte expose ce point en détail, ainsi que le fait et les raisons pour lesquelles il est « irréaliste » de parvenir à une manipulation appropriée des masques par la population. »

L’arrêt poursuit en disant que « la transmission du SRAS-CoV-2 par les « aérosols », c’est-à-dire par l’air, est médicalement invraisemblable et scientifiquement non prouvée. Il s’agit d’une hypothèse basée principalement sur les physiciens des aérosols, qui, selon l’expert, sont incapables d’évaluer les corrélations médicales à partir de leur domaine d’expertise. La théorie des « aérosols » est extrêmement préjudiciable à la coexistence humaine et fait que les gens ne peuvent plus se sentir en sécurité dans les espaces intérieurs, et certains craignent même d’être infectés par des « aérosols » à l’extérieur des bâtiments. Avec la transmission « inaperçue », la théorie de l’aérosol conduit à voir un risque d’infection dans chaque être humain.

Les déclarations modifiées de la politique sur les masques, d’abord les masques en tissu en 2020, puis depuis le début de 2021 les masques OP ou les masques FFP2, manquent de clarté. Même si les masques OP et les masques FFP sont tous deux des masques médicaux, ils ont des fonctions différentes et ne sont donc pas interchangeables. Soit les politiciens qui ont pris ces décisions eux-mêmes n’ont pas compris à quel type de masque convient en principe, soit ils ne sont pas intéressés par cela, mais seulement par la valeur symbolique du masque. Du point de vue de l’expert, les décisions des politiciens en matière de masques ne sont pas compréhensibles et, pour le moins, peuvent être qualifiées d’invraisemblables.

L’expert souligne en outre qu’il n’existe aucune étude scientifique sur l’espacement en dehors des soins médicaux aux patients. En résumé, selon elle, à la conviction de la cour, seules les règles suivantes peuvent être établies à cet égard :

  1. le maintien d’une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) en cas de contacts vis-à-vis, si l’une des deux personnes présente des symptômes de rhume, peut être décrit comme une mesure raisonnable. Cependant, elle n’est pas prouvée au sens scientifique du terme ; il existe seulement des preuves ou on peut la qualifier de plausible qu’il s’agit d’une mesure efficace de protection contre le contact avec des agents pathogènes par le biais de gouttelettes de sécrétion respiratoire si la personne en contact présente des signes de rhume. En revanche, une distance tout azimut n’est pas utile pour se protéger lorsque l’interlocuteur est enrhumé.
  2. garder une distance totale ou même seulement une distance d’environ 1,5 m (1 – 2 m) si aucune des personnes présentes ne présente de signes de rhume n’est pas étayé par des données scientifiques. Cependant, cela nuit gravement à la coexistence des personnes et en particulier aux contacts insouciants entre enfants, sans aucun avantage apparent en termes de protection contre l’infection.
  3. les contacts étroits, c’est-à-dire à moins de 1,5 m (1 – 2 m), entre élèves ou entre enseignants et élèves ou entre collègues de travail, etc. ne présentent pas de risque même si l’une des deux personnes de contact présente des signes de rhume, car la durée de ces contacts à l’école ou même entre adultes dans un lieu public est beaucoup trop courte pour que la transmission de gouttelettes se produise. C’est également ce que montrent des études portant sur des ménages où, malgré la promiscuité et les nombreux contacts avec la peau et les muqueuses, peu de membres du ménage tombent malades lorsque l’un d’eux souffre d’une infection respiratoire. »

Le tribunal suit également l’évaluation du Pr Kappstein concernant les taux de transmission des personnes symptomatiques, pré-symptomatiques et asymptomatiques. Il écrit :

 » Les transmissions pré-symptomatiques sont possibles, selon elle, mais pas inévitables. Quoi qu’il en soit, selon elle, ils sont nettement plus faibles lorsque des scénarios de contact réels sont évalués que lorsqu’une modélisation mathématique est utilisée.

A partir d’une revue systématique avec méta-analyse sur la transmission du Corona dans les foyers publiée en décembre 2020, elle oppose un taux de transmission plus élevé mais non excessif chez les cas index symptomatiques de 18% à une transmission extrêmement faible chez les cas asymptomatiques de seulement 0,7%. La possibilité que des personnes asymptomatiques, autrefois appelées personnes saines, transmettent le virus n’a donc aucun sens. »

En résumé, le tribunal déclare :  » Il n’existe aucune preuve que les masques faciaux de différents types puissent réduire le risque d’infection par le SRAS-CoV-2, ni même de façon appréciable. Cette affirmation est vraie pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents, ainsi que pour les personnes asymptomatiques, présymptomatiques et symptomatiques.

Au contraire, il est plus probable que le contact encore plus fréquent entre les mains et le visage lors du port du masque augmente le risque d’entrer soi-même en contact avec l’agent pathogène ou d’amener d’autres personnes à entrer en contact avec lui. Il n’existe aucun risque d’infection pour la population normale, que ce soit en public ou en privé, qui pourrait être réduit par le port de masques (ou d’autres mesures). Il n’y a aucune preuve que le respect des exigences de distance puisse réduire le risque d’infection. Cela est vrai pour les personnes de tous âges, y compris les enfants et les adolescents. »

Même après les conclusions approfondies de l’expert, le professeur Kuhbandner, selon les motifs du jugement, « il n’existe à ce jour aucune preuve scientifique de haute qualité que le port de masques faciaux puisse réduire de manière significative le risque d’infection. Selon les conclusions de l’expert, les recommandations du RKI et la ligne directrice S3 des sociétés professionnelles sont basées sur des études d’observation, des études de laboratoire sur l’effet de filtre et des études de modélisation, qui ne fournissent que des preuves faibles et très faibles, car aucune conclusion réellement valable sur l’effet des masques dans la vie quotidienne et dans les écoles ne peut être tirée de telles études en raison de la méthodologie sous-jacente. En outre, les résultats des différentes études sont hétérogènes et les études observationnelles plus récentes fournissent également des résultats contradictoires. »

Le juge déclare :

 » En outre, l’ampleur réalisable de la réduction du risque d’infection par le port du masque dans les écoles est en soi très faible, car les infections se produisent très rarement dans les écoles, même sans masque. En conséquence, la réduction du risque absolu est si faible qu’une pandémie ne peut être combattue de manière pertinente… Selon les explications de l’expert, les chiffres d’infection actuellement prétendument en hausse chez les enfants sont très probablement dus au fait que le nombre de tests chez les enfants a considérablement augmenté au cours des semaines précédentes. Le risque d’infection dans les écoles étant très faible en soi, même une éventuelle augmentation du taux d’infection par la nouvelle variante du virus B.1.1.7 de l’ordre de grandeur retenu dans les études ne devrait pas entraîner une augmentation significative de la propagation du virus dans les écoles. Ce faible avantage est contrebalancé par de nombreux effets secondaires possibles en termes de bien-être physique, psychologique et social des enfants, dont de nombreux enfants devraient souffrir pour prévenir une seule infection. Ceux-ci sont exposés en détail par l’expert sur la base, notamment, du registre des effets secondaires publié dans la revue scientifique Monatsschrift Kinderheilkunde. »

  1. l’inadéquation des tests PCR et des tests rapides pour mesurer l’incidence de l’infection

En ce qui concerne le test PCR, le tribunal écrit :  » Le témoin expert Prof. Kappstein souligne déjà dans son expertise que le test PCR utilisé ne peut détecter que le matériel génétique, mais pas si l’ARN provient de virus capables d’infection et donc capables de se répliquer (= capables de se reproduire).

L’expert Prof. Kämmerer confirme également dans son avis d’expert en biologie moléculaire qu’un test PCR – même s’il est effectué correctement – ne peut fournir aucune information sur le fait qu’une personne est infectée ou non par un agent pathogène actif.

En effet, le test ne peut pas faire la distinction entre la matière « morte », par exemple un fragment de génome totalement inoffensif, vestige de la lutte du système immunitaire de l’organisme contre un rhume ou une grippe (de tels fragments de génome peuvent encore être trouvés plusieurs mois après que le système immunitaire a « traité » le problème) et la matière « vivante », c’est-à-dire un virus « frais » capable de se reproduire.

Par exemple, la PCR est également utilisée en médecine légale pour amplifier l’ADN résiduel présent à partir de résidus de cheveux ou d’autres traces au moyen de la PCR de manière à pouvoir identifier l’origine génétique du ou des auteurs (« empreinte génétique »).

Même si tout est fait « correctement » lors de la réalisation de la PCR, y compris toutes les étapes préparatoires (conception et établissement de la PCR, prélèvement et préparation de l’échantillon et réalisation de la PCR), et que le test est positif, c’est-à-dire qu’il détecte une séquence génomique qui peut également exister dans un ou même le virus spécifique « Corona » (SARS-CoV-2), cela ne signifie en aucun cas que la personne qui a été testée positive est infectée par un SARS-CoV-2 en réplication et est donc infectieuse = dangereuse pour d’autres personnes.

Pour déterminer l’existence d’une infection active par le SRAS-CoV-2, il faut plutôt recourir à d’autres méthodes de diagnostic spécifiques, comme l’isolement des virus réplicables.

Indépendamment de l’impossibilité principale de déterminer une infection par le virus SARS-CoV-2 au moyen du test PCR, les résultats d’un test PCR, selon les explications de l’expert Prof. Dr. Kämmerer, dépendent d’une série de paramètres qui, d’une part, entraînent des incertitudes considérables et, d’autre part, peuvent être délibérément manipulés de manière à obtenir beaucoup ou peu de résultats (apparemment) positifs.

Parmi ces sources d’erreur, il convient d’en distinguer deux frappantes.

L’un d’eux est le nombre de gènes cibles à tester. Ce nombre a été successivement réduit de trois à un, conformément aux spécifications de l’OMS.

L’expert calcule que l’utilisation d’un seul gène cible à tester dans une population mixte de 100 000 tests dont aucune personne n’est réellement infectée donne un résultat de 2 690 faux positifs sur la base d’un taux d’erreur moyen déterminé dans une comparaison interlaboratoire. L’utilisation de 3 gènes cibles ne donnerait que 10 faux positifs.

Si les 100 000 tests effectués étaient représentatifs de 100 000 citoyens d’une ville ou d’un comté dans un délai de 7 jours, cette réduction du nombre de gènes cibles utilisés entraînerait à elle seule une différence de 10 faux positifs par rapport à 2690 faux positifs en termes d' »incidence quotidienne » et, en fonction de celle-ci, de gravité des restrictions à la liberté des citoyens prises.

Si le « nombre cible » correct de trois ou même mieux (comme par exemple en Thaïlande) jusqu’à 6 gènes avait été systématiquement utilisé pour l’analyse PCR, le taux de tests positifs et donc « l’incidence sur 7 jours » aurait été réduit presque complètement à zéro.

D’autre part, ce que l’on appelle la valeur ct, c’est-à-dire le nombre d’étapes d’amplification/doublement jusqu’auquel le test est encore considéré comme « positif », est l’une des sources d’erreur.

L’expert souligne que, selon l’opinion scientifique unanime, tous les résultats « positifs » qui ne sont détectés qu’après un cycle de 35 n’ont aucune base scientifique (c’est-à-dire : aucune preuve). Dans la fourchette des valeurs ct 26-35, le test ne peut être considéré comme positif que s’il correspond à une culture virale. En revanche, le test RT-qPCR pour la détection du SRAS-CoV-2, qui a été propagé dans le monde entier avec l’aide de l’OMS, a été (et à sa suite tous les autres tests qui s’en inspirent) fixé à 45 cycles sans définir une valeur ct pour « positif ».

En outre, la notice d’information de l’OMS à l’intention des utilisateurs de DIV 2020/05 doit être respectée lors de l’utilisation du test RT-q-PCR (n° 12 de la notice légale du tribunal). Ainsi, si le résultat du test ne correspond pas aux constatations cliniques d’une personne examinée, un nouvel échantillon doit être prélevé et un nouvel examen doit être effectué ainsi qu’un diagnostic différentiel ; ce n’est qu’alors qu’un test positif peut être comptabilisé selon ces directives.

Selon l’avis de l’expert, les tests antigéniques rapides utilisés pour les tests de masse ne sont pas non plus en mesure de fournir des informations sur l’infectivité, car ils ne peuvent détecter que des composants protéiques sans aucun lien avec un virus intact et reproductible.

Afin de permettre une estimation de la contagiosité des personnes testées, le test positif respectif (similaire à la RT-qPCR) devrait être comparé individuellement avec la cultivabilité des virus de l’échantillon testé, ce qui est impossible dans les conditions de test extrêmement variables et invérifiables.

Enfin, l’examinateur souligne que la faible spécificité des tests entraîne un taux élevé de faux positifs, qui ont des conséquences inutiles sur le personnel (quarantaine) et la société (par exemple, fermeture des écoles, « notifications d’épidémie ») jusqu’à ce qu’ils s’avèrent être de fausses alertes. L’effet d’erreur, c’est-à-dire un nombre élevé de faux positifs, est particulièrement fort dans les tests effectués sur des individus sans symptômes.

Il reste à préciser que le test PCR utilisé, ainsi que les tests rapides antigènes, comme le prouve l’expertise, ne sont en principe pas adaptés à la détection d’une infection par le virus SARS-CoV-2. En outre, les sources d’erreur décrites et d’autres sources d’erreur avec des effets graves énumérées dans l’avis d’expert, de sorte qu’il n’existe pas de détermination adéquate de l’infection par le SRAS-CoV-2 en Thuringe (et à l’échelle nationale).

En tout état de cause, le terme « incidence » est mal utilisé par le législateur de l’État. Par « incidence », on entend en fait l’apparition de nouveaux cas dans un groupe de personnes défini (testé à plusieurs reprises et, si nécessaire, examiné médicalement) au cours d’une période définie, cf. le point 11 des notes juridiques de la Cour. En réalité, cependant, des groupes de personnes non définis sont testés au cours de périodes non définies, de sorte que ce que l’on fait passer pour une « incidence » ne sont que de simples taux de déclaration.

En tout cas, selon une méta-étude du médecin et statisticien John Ioannidis, l’un des scientifiques les plus cités au monde, publiée dans un bulletin de l’OMS en octobre 2020, le taux de létalité de l’infection est de 0,23 %, ce qui n’est pas plus élevé que pour les épidémies de grippe modérément sévères.

Ioannidis a également conclu, dans une étude publiée en janvier 2021, que les confinements ne présentent aucun avantage significatif.

  1. la violation du droit à l’autodétermination informationnelle par les tests rapides dans les écoles

Le droit à l’autodétermination informationnelle, qui fait partie du droit général de la personnalité énoncé à l’article 2, paragraphe 1, de la Loi fondamentale allemande, est le droit des individus de déterminer eux-mêmes, en principe, la divulgation et l’utilisation de leurs données personnelles. Ces données personnelles comprennent également le résultat d’un test. En outre, le résultat d’un tel test est une « donnée » de santé personnelle au sens du règlement sur la protection des données (DSGVO), qui ne regarde en principe personne.

Cet empiètement sur les droits fondamentaux est également inconstitutionnel. En effet, étant donné les procédures concrètes du processus de test dans les écoles, il semble inévitable que de nombreuses autres personnes (camarades de classe, enseignants, autres parents) aient connaissance d’un résultat de test « positif », par exemple.

Cela s’appliquerait mutatis mutandis si des barrières de test similaires étaient érigées dans le cas de l’accès aux magasins ou aux événements culturels.

En outre, tout test obligatoire des écoliers en vertu de la loi du Land n’est déjà pas couvert par la loi sur la protection contre les infections – indépendamment du fait que cette dernière fait elle-même l’objet de préoccupations constitutionnelles considérables.

Conformément à l’article 28 de l’IfSG, les autorités compétentes peuvent prendre les mesures de protection nécessaires de la manière qui y est spécifiée si des  » personnes malades, des personnes suspectées d’être malades, des personnes suspectées d’être infectées ou des excréteurs  » sont identifiés. Selon le § 29 IfSG, ces personnes peuvent être soumises à une observation et doivent alors également tolérer les examens nécessaires.

Dans sa décision du 02.03.2021, Réf. : 20 NE 21.353, la Cour administrative d’appel de Bavière a refusé de considérer les employés des maisons de retraite comme malades, soupçonnés d’être malades ou excréteurs dès le départ. Cela devrait également s’appliquer aux élèves. Cependant, une classification comme suspect d’être infecté est également hors de question.

Selon la jurisprudence du Tribunal administratif fédéral, est considéré comme suspecté d’être infecté au sens de l’article 2 n° 7 IfSG quiconque a eu un contact avec une personne infectée avec une probabilité suffisante ; une simple probabilité lointaine ne suffit pas. Il est nécessaire que l’hypothèse selon laquelle la personne concernée a ingéré des agents pathogènes soit plus probable que l’inverse. L’élément déterminant pour une suspicion d’infection est exclusivement la probabilité d’un processus d’infection passé, cf. arrêt du 22.03.2012 – 3 C 16/11 – juris marginal n° 31 et seq. Le BayVGH, loc. cit. l’a rejeté pour les employés des professions infirmières. Rien d’autre ne s’applique aux écoliers. »

4 Le droit des enfants à l’éducation et à la scolarisation

En ce qui concerne le droit à l’éducation des enfants, le juge déclare : « Les écoliers ne sont pas seulement soumis à l’obligation scolaire en vertu du droit du Land, mais ont également un droit légal à l’éducation et à la scolarisation.

Cela découle également des articles 28 et 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant, qui est le droit applicable en Allemagne.

Selon ce texte, tous les États contractants doivent non seulement rendre la fréquentation de l’école primaire obligatoire et gratuite pour tous, mais aussi promouvoir le développement de diverses formes d’enseignement secondaire à caractère général et professionnel, les rendre disponibles et accessibles ( !) à tous les enfants et prendre des mesures appropriées telles que l’instauration de la gratuité de l’enseignement et l’octroi d’un soutien financier en cas de besoin. Les objectifs éducatifs de l’article 29 de la Convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant doivent être respectés. »

  1. Résultat

Le juge a résumé sa décision comme suit :

« La contrainte imposée aux écoliers de porter des masques et de se tenir à distance les uns des autres et des tiers porte atteinte aux enfants sur le plan physique, psychologique, éducatif et dans leur développement psychosocial, sans être contrebalancée par autre chose que, au mieux, un bénéfice marginal pour les enfants eux-mêmes ou pour les tiers. Les écoles ne jouent pas un rôle important en cas de « pandémie ».

Les tests PCR et les tests rapides utilisés ne sont pas adaptés en soi, en principe et dans un premier temps, pour détecter une « infection » par le virus SRAS-CoV-2. Ceci résulte déjà des propres calculs de l’Institut Robert-Koch selon les explications des avis d’experts. Selon les calculs de RKI, comme l’indique le professeur Kuhbandner, témoin expert, la probabilité d’être réellement infecté lors d’un résultat positif lors d’un test de masse avec des tests rapides, indépendamment des symptômes, n’est que de 2 % pour une incidence de 50 (spécificité du test 80 %, sensibilité du test 98 %). Cela signifie que pour deux résultats de test rapide vrais positifs, il y aurait 98 résultats de test rapide faux positifs, qui devraient tous être retestés avec un test PCR.

Une contrainte (régulière) de tester en masse des personnes asymptomatiques, c’est-à-dire des personnes en bonne santé, pour lesquelles il n’existe aucune indication médicale, ne peut être imposée car elle est disproportionnée par rapport à l’effet qui peut être obtenu. En même temps, l’obligation régulière de passer le test soumet les enfants à une pression psychologique, car leur capacité à fréquenter l’école est ainsi constamment mise à l’épreuve. »

Enfin, le juge note : « Sur la base d’enquêtes menées en Autriche, où aucun masque n’est porté dans les écoles primaires, mais où des tests rapides sont effectués trois fois par semaine dans tout le pays, les résultats suivants selon les explications de l’expert Prof :

100 000 élèves d’écoles primaires devraient supporter tous les effets secondaires du port de masques pendant une semaine afin d’éviter une seule infection par semaine.

Qualifier ce résultat de simplement disproportionné serait une description tout à fait inadéquate. Elle montre plutôt que le législateur de l’État qui réglemente ce domaine est tombé dans une déconnexion factuelle qui a atteint des proportions historiques. « 




France — un célèbre médecin refuse le test : « Savez-​​vous qui je suis ? »

[Source : 20 minutes]

Le célèbre professeur Axel Kahn s’est présenté sans test PCR, à son retour de Belgique. Un policier lui a rappelé la règle, mais le médecin a estimé qu’elle ne s’appliquait pas à lui.

L’information révélée par «Le Canard enchaîné» a fait grincer des dents sur Twitter, et suscité les critiques acerbes des commentateurs les plus avisés. Le célèbre professeur français Axel Kahn s’est tristement distingué lors d’un contrôle dans une gare parisienne. Comme tous les autres voyageurs de retour de l’étranger, la Belgique en l’occurrence, le président de la Ligue contre le cancer devait présenter un test PCR négatif. Mais il n’était pas en mesure de le faire, et pour cause: il n’en avait pas.

Motif? Sa notoriété qui, selon lui, le dispense des mesures imposées au reste de la population: «Vous ne me reconnaissez pas? Je suis Axel Khan!» a-t-il dit au policier, après que ce dernier lui a rappelé la règle qui s’applique à tout le monde. Et le généticien d’argumenter par la suite: «Je m’en fous! J’ai été vacciné parmi les premiers, je n’ai pas besoin de faire de test. Laissez-moi passer», a-t-il poursuivi. Le médecin a finalement eu gain de cause, les policiers ayant décidé de passer l’éponge pour cette fois.

Favorable au confinement

Une fois l’anecdote révélée, Axel Kahn a tout d’abord démenti avant de finalement reconnaître les faits. Mais il réfute un quelconque échange virulent. «Je sais être très exposé du fait de mon exposition médiatique, il y aura une campagne diffamatoire à mon encontre. Peu importe, c’est inévitable. Je préfère par conséquent vous préciser que ce qui s’est passé m’est apparu d’abord plus amusant qu’inquiétant», a-t-il répondu dans un billet publié sur son site, où il raconte la scène en question.

Depuis, cette histoire fait le tour du microcosme parisien. Un ministre du gouvernement français, préférant garder l’anonymat, a ainsi dénoncé une attitude «très moyenne, venant de quelqu’un qui passe son temps à donner des leçons».

En février dernier, le célèbre médecin avait notamment appelé à un reconfinement général en lieu et place du couvre-feu. Plus récemment, il avait estimé que les restrictions actuellement en place en France n’avaient «que très peu d’effets» sur la circulation du virus.




Ni voyages, ni cinés, ni restos. Ne rien céder face à la tyrannie sanitaire !

[Source : breizh-info.com]

Par Julien Dir.

Les dirigeants européens sont en train de mettre en branle la machine amenant inéluctablement au Passeport vaccinal (qui était encore jugé complotiste il y a quelques mois par la presse aux ordres) « pour permettre aux Européens de voyager » nous dit-on.

Dans le même temps, il est question, avec la réouverture à venir de lieux publics (cinémas, musées), mais aussi de certains commerces au moins partiellement (terrasses de restaurants ou des bars privilégiés qui en possèdent), de multiplier les contrôles, via des code-barres, des tests PCR négatif, et puis demain sans doute, la preuve que vous êtes vacciné.

Rendez-vous compte : la police veille au couvre-feu, les contrôles se multiplient, les mesures pour vous restreindre dans votre liberté de circuler et de vous déplacer s’accumulent, dans un pays dont les frontières sont un gruyère et où finalement, les migrants clandestins qui zonent dans les centre-villes des métropoles se font moins contrôler que vous.

Cela fait un an que les populations dans le monde sont victimes de la folie furieuse et de la lâcheté de leurs dirigeants, qui, effet domino oblige, prennent les uns après les autres des mesures aussi délirantes qu’inefficaces pour contrer un virus qui, rappelons-le, n’est ni la Peste noire, ni la Grippe espagnole, et qui de facto mute, se transforme. Un virus avec lequel il faudra bien un jour ou l’autre apprendre à vivre, sans baigner éternellement dans la peur.

Cela fait un an que chaque jour, en Une des journaux, de vos quotidiens, on vous matraque Covid par ci, Covid par là, confinement, gestes barrières, mesures sanitaires. À ce niveau, c’est devenu un véritable lavage de cerveau destiné à faire peur, à user mentalement, pour au final, provoquer la soumission, l’obéissance aveugle en des charlatans qui sont des politiques ou des lobbyistes (parfois des idiots utiles), pas des scientifiques ni des médecins indépendants.

Les gens dans la rue ont désormais peur. Mais regardez les bon sang, ces tête grises pour qui il était « interdit d’interdire » il y a 50 ans, et qui vous dévisagent aujourd’hui parfois avec de la quasi haine dans le regard, parce que vous marchez dans une rue quasi déserte sans votre masque. Un masque qui traine depuis des mois dans votre poche, à des années lumières d’une utilisation « médicale » comme cela peut être pratiqué, par exemple, en salle d’opération dans un hôpital.

Et que dire de ce chantage permanent à l’illusion de la liberté retrouvée ?

Les masses veulent pouvoir de nouveau « faire la fête », aller dans ce qu’il restera de restaurant en état de fonctionner économiquement, se donner l’illusion de voyager en allant s’entasser dans des charters destination « All Inclusive » avec une armada de compatriotes et très peu de tourisme local. Pour cela, ces masses sont prêtes à tout (enfin celles qui n’ont pas été encore victimes du massacre économique qui s’opère au quotidien sous nos yeux) : tels des chiens battus, maltraités, affamés durant des mois par un mauvais maître, par un sadique. Lorsque ce dernier, un beau jour, mieux luné, rentre dans le chenil où est enfermée la bête, amaigrie, triste, malade, et qu’il lui jette une ou deux croquettes, celle-ci fait la fête à son bourreau. Le lèche, le remercie… là où un loup aurait saisi la première occasion pour lui sauter à la gorge, puis retrouver sa liberté.

C’est une bataille psychologique, mentale qui va se dérouler désormais. Il faut résister. Faire la grève du déplacement, et de la consommation inutile. Ne pas envisager la moindre seconde de se faire faire poser un code-barre quelque part pour pouvoir voyager. Ne plus voyager si nécessaire. Ne plus aller au cinéma, au bar ou au restaurant s’il le faut. Refuser que quiconque masque ses enfants, y compris s’il faut pour cela transformer son mode de vie et faire l’instruction à la maison.

Le système est fort, redoutable. Nos dirigeants veulent faire de vous des brebis dociles, soumises, obéissantes. Mais notre liberté n’a pas de prix. Elle ne se sacrifie pas sur l’autel de rêves consuméristes ou de projets longue distance. Demain, ce sera la liberté totale de vivre, ou la mort lente, dans le goulag mental dans lequel sans s’en rendre compte, les masses se sont précipitées depuis plus d’un an.

Ne cédons pas un pouce de terrain face à la tyrannie sanitaire. Résistance !

Julien Dir.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

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[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Québec : exemple de désinformation et de foi aveugle en la «vaccination» par un «journaliste» de média mainstream

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Par Julie Lévesque

[Extraits]

La propagande vaccinale atteint des sommets inégalés et [le journaliste] Patrick Lagacé est l’un de ses chantres. Il ne rate pas une occasion de nous chanter les louanges de la « vaccination » et de désinformer le citoyen moyen qui ne prend pas le temps de vérifier ce que disent les apôtres de l’injection divine.

(…)

La chronique de Patrick Lagacé « Oui au passeport vaccinal » publiée le 24 avril 2021 contient plusieurs manquements à la déontologie journalistique telle que décrite dans le Guide de déontologie des journalistes de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec.

Notez que les termes « vaccin » et « vaccination » seront employés ici avec parcimonie puisque les produits pharmaceutiques dont il est question dans la chronique ne sont pas des vaccins. Les termes « thérapie génique », « injection » et « traitement » étant plus appropriés, leur emploi sera privilégié.

Monsieur Lagacé manque totalement de rigueur, fait plusieurs fausses affirmations et des déclarations qui ne sont pas appuyées par des faits ou des statistiques. De plus, son discours est totalement incohérent.

Il affirme :

« La réticence vaccinale est un problème : en CHSLD, seulement 62 % des employés sont vaccinés. Cela favorise les infections de personnes vaccinées – même vaccinée, une personne âgée a un système immunitaire plus vulnérable – en CHSLD. »

D’abord sur quoi M. Lagacé s’appuie-t-il pour affirmer que si « seulement 62 % des employés sont vaccinés, [c]ela favorise les infections de personnes vaccinées »? Cette affirmation semble tout à fait gratuite et non factuelle.

De plus, M. Lagacé admet que les personnes « vaccinées » peuvent tout de même être infectées. Comment peut-il ensuite justifier l’injection de masse et l’instauration d’un « passeport vaccinal », sachant que ces injections auraient pour seul effet d’empêcher les formes graves de la maladie? Quel intérêt ont les personnes qui ne sont ni âgées ni vulnérables à recevoir une injection?

Les thérapies géniques et autres injections n’empêcheront « probablement pas » l’infection ni la transmission, selon ce qui est clairement écrit dans un article d’Alice Girard-Bossé paru dans La Presse le 2 décembre 2020, « Pas de retour à la “normale” automatique ».

L’article cite de nombreux experts dont aucun ne connaît l’efficacité des traitements injectables contre la COVID. Certains s’inquiètent même que ces traitements, au lieu de prévenir la transmission, l’augmentent :

« Le vaccin n’empêchera probablement pas d’attraper la COVID-19, il diminuera plutôt les risques de développer des symptômes graves de la maladie. Les personnes vaccinées seront possiblement asymptomatiques, mais pourront toujours transmettre le virus.

“Les données annoncées démontrent que le vaccin est efficace pour réduire la sévérité de la COVID-19, mais on ne sait pas s’il prévient l’infection”, affirme Benoit Mâsse, professeur à l’École de santé publique de l’Université de Montréal. C’est le cas des études sur les vaccins de Johnson & Johnson, Pfizer-BioNTech, Moderna et Oxford-AstraZeneca […]

“Le vaccin pourrait avoir un effet au niveau pulmonaire, mais ne pas avoir d’effet sur la capacité du virus à se transmettre”, explique Nathalie Grandvaux, chercheuse au laboratoire de recherche sur la réponse de l’hôte aux infections virales du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Si c’est le cas, la personne vaccinée sera protégée de la maladie, mais pourra toujours contaminer les autres […]

“Il faut vraiment protéger les plus vulnérables, parce qu’on ne sait pas jusqu’à quel point le vaccin peut permettre d’éliminer la transmission.” Le DNicholas Brousseau, de l’INSPQ

La vaccination pourrait toutefois avoir des effets pervers. Un vaccin qui réduirait seulement la gravité de la maladie pourrait augmenter les risques de transmission, puisque les personnes vaccinées deviendraient asymptomatiques, ce qui faciliterait la transmission communautaire, indique M. Mâsse. » (Soulignements ajoutés)

Par ailleurs, le Dr Anthony Fauci lui-même l’a déclaré en entrevue récemment :

« Actuellement nous ne sommes pas certains de la protection contre l’infection, parce qu’il est concevable que vous vous fassiez vacciner, que vous soyez exposé, que vous soyez infecté sans le savoir parce que le vaccin vous protège des symptômesmais vous pourriez être porteur du virus dans votre nasopharynx, donc c’est pourquoi nous disons que jusqu’à ce que nous prouvions que le vaccin prévient la transmission, les gens qui sont vaccinés devraient porter un masque en présence de personnes vulnérables à l’infection. »

Donc, selon Anthony Fauci, la preuve que le vaccin empêche la transmission n’a toujours pas été établie.

En ce qui a trait à l’utilité du « vaccin », il est clairement écrit dans l’article de Mme Girard-Bossé qu’il n’immunise pas contre le SARS-CoV-2 :

« L’utilité du vaccin

À quoi sert donc un vaccin qui ne nous immunise pas ? “À désengorger les hôpitaux et à alléger le poids de la COVID-19 sur le système de santé”, explique M. Mâsse. Il précise que si la majorité des cas deviennent asymptomatiques, ce sera beaucoup plus facile à gérer pour les systèmes de santé. »

La réussite de la vaccination repose donc sur le fait que la grande majorité des personnes vulnérables soient vaccinées. » (Soulignements ajoutés)

La « vaccination » ne sert donc pas à immuniser mais plutôt à « désengorger les hôpitaux », et sa réussite repose sur la « vaccination » de « la grande majorité des personnes vulnérables ».

Bref, il n’a pas encore été prouvé que ces traitements préviennent la transmission, donc prôner un « passeport vaccinal » est totalement injustifié sur le plan scientifique et déraisonnable sur le plan éthique puisqu’une telle politique rendrait de facto la « vaccination » obligatoire dans le seul et unique but de palier le désinvestissement dans le système de santé qui dure depuis des décennies.

Par ailleurs, voici ce que dit l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) à propos de la COVID-19 dans un document intitulé « Nouveau coronavirus (2019-nCoV) : conseils au grand public – En finir avec les idées reçues » :

« La plupart des personnes qui contractent la COVID-19 en guérissent

La plupart des personnes qui contractent la ‎COVID-19 ont des symptômes bénins ou ‎modérés et peuvent guérir grâce à un ‎traitement de soutien. » (Soulignements ajoutés)

La COVID-19 est donc, selon l’OMS, une maladie généralement bénigne.

Il convient de rappeler ce que dit l’objet de la Loi sur la santé publique. Il est très clair qu’elle vise « la population en général » :

« CHAPITRE I

OBJET DE LA LOI

La présente loi a pour objet la protection de la santé de la population et la mise en place de conditions favorables au maintien et à l’amélioration de l’état de santé et de bien-être de la population en général. » (Soulignements ajoutés)

L’urgence sanitaire, elle, s’applique uniquement lorsqu’une « menace grave à la santé de la population » en général est « réelle » ou « imminente » :

« SECTION III

DÉCLARATION D’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE

118. Le gouvernement peut déclarer un état d’urgence sanitaire dans tout ou partie du territoire québécois lorsqu’une menace grave à la santé de la population, réelle ou imminente, exige l’application immédiate de certaines mesures prévues à l’article 123 pour protéger la santé de la population. » (Soulignements ajoutés)

Nous l’avons vu, l’OMS considère la COVID-19 comme une maladie bénigne ou modérée pour « la plupart des personnes », donc l’urgence sanitaire est injustifiée.

Parmi les mesures prévues à l’article 123 figure « la vaccination obligatoire de toute la population ». Or, cette mesure ne peut s’appliquer qu’à certaines conditions.

Le Collège Royal des médecins et chirurgiens du Canada stipule dans Les règlements reconnus par la loi touchant la relation médecin-patient :

« Traitement et mesures de prophylaxie obligatoires

Les conditions dans lesquelles le traitement est obligatoire figurent sur la liste dressée par le ministre de la Santé. Cette liste comprend uniquement les « maladies ou infections contagieuses médicalement reconnues comme pouvant constituer une grave menace à la santé d’une population et pour lesquelles un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion est disponible. » (Soulignements ajoutés)

La COVID-19 ne menace pas la santé de la population en général, mais bien les personnes âgées et les personnes vulnérables, comme le démontre Jay Bhattacharya, MD, PhD, professeur de médecine de l’Université Stanford dans son rapport d’expert rédigé pour le recours juridique d’Entrepreneurs en actions du Québec contre le gouvernement du Québec.

« En résumé, le COVID-19 ne constitue pas une menace réelle ou imminente grave pour la santé de la population en général, mais seulement pour la santé d’une partie spécifique de la population – les personnes âgées et un nombre limité de personnes souffrant de certaines maladies chroniques. L’âge est le facteur de risque le plus important, avec un taux de survie à l’infection de 99,95 % pour les personnes de moins de 70 ans et de 95 % pour les personnes de 70 ans ou plus. » (Soulignements ajoutés)

De surcroît, le « vaccin » n’est pas « un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion », selon les nombreux experts cités plus haut.

En résumé, la COVID-19 ne constituant pas une menace grave pour la santé de la population en général et le « vaccin » n’étant pas « un traitement efficace pour mettre un terme à la contagion », la « vaccination » obligatoire, de facto comme de jure est totalement injustifiée. Dès lors, l’idée du « passeport vaccinal » l’est tout autant.

Sur le plan légal, le passeport vaccinal contrevient à l’article 7 de la Charte canadienne des droits et libertés :

« 7. Chacun a droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de sa personne; il ne peut être porté atteinte à ce droit qu’en conformité avec les principes de justice fondamentale […]

L’article 7 protège également une sphère d’autonomie personnelle où se prennent des « décisions intrinsèquement privées » qui sont de « l’essence même de ce que signifie la jouissance de la dignité et de l’indépendance individuelles » (Godbout c. Longueuil (Ville)[1997] 3 R.C.S. 844, au paragraphe 66; 

[…] Cet aspect de la liberté comprend le droit de refuser un traitement médical (A.C., précité, aux paragraphes 100 à 102 et 136) et celui de faire des « choix médicaux raisonnables » sans menace de poursuites pénales: R. c. Smith2015 CSC 34 au paragraphe 18. » (Soulignements ajoutés)

Pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, l’idée du « passeport vaccinal » est inconstitutionnelle en plus d’être injustifiée sur le plan scientifique.

En qualifiant de « négationnistes sanitaires » d’« obscurantistes » et d’« égoïstes » les personnes qui revendiquent leurs droits et libertés fondamentaux garantis par la Charte, M. Lagacé manque totalement de rigueur, d’équité et d’ouverture d’esprit.

Il écrit :

« Si – et seulement si – les taux de vaccination ne nous permettent pas d’atteindre l’immunité collective qui protégera la société contre les ravages du virus, ce passeport deviendra sans doute inévitable. » (Soulignements ajoutés)

M. Lagacé ignore visiblement en quoi consiste l’immunité collective. Les traitements injectables contre la COVID-19 n’immunisent pas, comme l’affirmait sa collègue Alice Girard-Bossé dans son article du 2 décembre. M. Lagacé fait donc de la désinformation en affirmant que la « vaccination » pourrait permettre d’atteindre l’immunité collective.

L’article 3 du Guide de déontologie des journalistes du Québec stipule :

« 3 a) Véracité des faits

Les journalistes ont l’obligation de s’assurer de la véracité des faits qu’ils rapportent au terme d’un rigoureux travail de collecte et de vérification des informations. Ils doivent corriger leurs erreurs avec diligence et de façon appropriée au tort causé. » (Soulignements ajoutés)

M. Lagacé contrevient à cet article en ignorant les données scientifiques sur la COVID et en prétendant que la « vaccination » immunise. Son texte constitue de la désinformation.

Il contrevient également aux valeurs fondamentales du journalisme que sont l’équité, qui amène les journalistes à « à considérer tous les citoyens comme égaux devant la presse comme ils le sont devant la loi », et l’ouverture d’esprit qui « suppose chez [les journalistes] la capacité d’être réceptifs aux réalités qui leur sont étrangères et d’en rendre compte sans préjugés ».

Les termes « négationnistes sanitaires » « obscurantistes » et « égoïstes » ne sont rien d’autre que des préjugés et constituent des propos haineux dirigés vers un groupe identifiable par ses opinions.

En prônant le « passeport vaccinal », Patrick Lagacé incite à la ségrégation médicale.

En terminant, précisons que le Guide de déontologie stipule :

« Dans les genres journalistiques comme les éditoriaux, les chroniques et les billets ou dans le journalisme engagé, où l’expression des opinions prend une large place, les journalistes doivent tout autant respecter les faits. »

Patrick Lagacé ne respecte les faits d’aucune manière pour appuyer son opinion.


À propos de l’auteur

Dès la fin de ses études en journalisme en 2009, elle s’est fait un devoir de critiquer la désinformation et la propagande de guerre dans les médias occidentaux. Elle a travaillé 6 ans pour Global Research et Mondialisation.ca [version francophone de Global Research], l’un figurant sur la liste Prop or Not du Washington Post, l’autre sur le Décodex du Monde [Ndlr : vérificateurs de la conformité à la « pensée unique »].




Démarche pour se libérer de la crise covidienne

[Source : Deseille Michel]

Le message délivré dans la vidéo

Pour participer à l’amélioration de la situation terrestre :

Aperçu de la crise mondiale :

  • Crise économique qui s’aggrave depuis 2008 ;
  • Plusieurs camps s’affrontent ;
  • Des batailles perdues ou gagnées par l’un ou l’autre camp dépendra l’éventuelle explosion du système économique en 2021 (toutes les conditions sont réunies pour cela) ;
  • Cela amènera l’émancipation ou l’asservissement de l’Humanité, selon le cas.

Vers une dictature mondiale :

S’il n’y a pas de réveil [par un travail intérieur comme exposé ci-dessus].

Etc.

« « Il n’est pas temps que la peur change de camp » : cette phrase est sans sagesse ; il est temps que la peur quitte le cœur des Hommes avant qu’elle ne les tue jusqu’au dernier. » [Car même les élites ont peur. Elles ont peur des foules.]

« Soyez le plus détaché possible des émotions. Entraînez vos esprits à trier le bon grain de l’ivraie. Soyez lucide. Et lorsque le temps de l’action est là, soyez déterminé. »




France : manifestation sans masque et sans distanciation avec le Dr Louis Fouché à Nîmes. MàJ

[Source : Master Music]

[Mise à jour : La précédente vidéo issue d’une autre source a déjà été censurée par YouTube]

https://youtu.be/HixORaY_Tsc



Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?

[Source : AgoraVox]

par L’étrangère

Nous sommes toutes et tous manipulables.

Doués d’émotions, conditionnés depuis notre naissance, nous voguons à chaque instant dans une réalité virtuelle où nos illusions (la plupart du temps inconscientes), remplacent le plus souvent la réalité de nos existences. Ce que nous voyons ou pensons est, pour une large majorité du temps, une projection déformée de cette réalité.

Nous avons construit nos croyances et nos certitudes sur la base de connaissances distillées par des êtres plus ou moins bien intentionnés, nous piégeant ainsi dans une prison mentale dont il est difficile de s’extraire.

Il est toujours plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils se font fait tromper.

Les techniques de manipulations, les répétitions d’images, de mots, jouent un rôle important dans ce qui s’en vient. Car, après réflexion, j’ai le sentiment que le Covid est un exercice de préparation mentale.

« Encore un article de complotiste » diront certains. Peut-être. Peut-être pas. Je ne fais que conjecturer ici.

La genèse de ma petite bafouille est liée à une des dernières vidéos de Project Veritas (https://www.youtube.com/watch?v=Dv8Zy-JwXr4). Le sujet principal concerne la propagande anti-Trump déployée par CNN durant la dernière campagne présidentielle mais, ce qui m’a surtout interpelé, c’est l’aveu concernant l’utilisation de « narratif » par les médias et que le prochain concernerait la crise du « changement climatique ».

On peut même parier que le mot changement sera très prochainement renommé en « urgence ». Il faut bien faire sonner l’alarme de catastrophe imminente dans toutes les têtes.

Mettons quand même les choses au clair : Je ne nie pas que le dérèglement climatique existe. Comme je ne nie pas que le Covid 19 existe.

En revanche, l’histoire que l’on nous raconte sur ces deux réalités, dont l’origine de ces crises, est peut-être légèrement, voire beaucoup, « bidouillée » pour arriver à des fins très utiles pour certains.

Ce qui m’a fait tilt c’est de rapprocher la vidéo de Project Veritas à un des derniers articles du voyant Attali (https://www.attali.com/coronavirus-2/la-pandemie-et-apres/). Outre le fait d’apprendre que nous allons devoir subir beaucoup de piqures, nous découvrons surtout que nous devons nous préparer aux prochaines menaces imminentes (tu la sens monter la peur, tu la sens ?).

Le forum de Davos qui avait participé à la répétition générale d’une pandémie en Octobre 2019 avec l’Event 201 (https://www.weforum.org/press/2019/10/live-simulation-exercise-to-prepare-public-and-private-leaders-for-pandemic-response/), est désormais tout orienté vers cet autre enjeu majeur pour 2021 : « Mais malgré les retombées inévitables de COVID-19, ce sont les questions liées au climat qui constituent l’essentiel de la liste des risques de cette année, que le rapport décrit comme « une menace existentielle pour l’humanité ». » (https://fr.weforum.org/agenda/2021/01/voici-les-plus-grandes-menaces-mondiales-de-2021/).

Et puis Biden et la clique de mondialistes corrompus ont organisé il y a quelques jours un sommet sur le climat. Si en France le Covid tient encore la population bien sagement à la maison, sourires figés derrière les masques, aux Etats-Unis, par exemple, certains Etats ayant repris une vie quasi normale, il faut donc vite remplacer le joujou cassé par un nouveau pour garder la masse des esprits concentrés sur une thématique effrayante.

On apprend que la pandémie a exacerbé les effets dévastateurs du réchauffement climatique (tu la sens monter la peur, tu la sens ?) et qu’il faut donc mettre tout en œuvre pour lutter contre ce fléau (https://www.france24.com/fr/am%C3%A9riques/20210421-pas-de-r%C3%A9pit-en-temps-de-pand%C3%A9mie-pour-le-r%C3%A9chauffement-climatique).

Notre cher Président Macron (si si, il nous coûte très cher) a d’ailleurs récemment twitté que la Finance serait notre alliée (https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1385243093927092230) pour la lutte (finale ?). Rien de moins étonnant pour un ancien banquier.

Factuellement donc, toutes les grandes instances mondiales se mettent en marche pour lutter contre la prochaine plaie qui s’abattra sur le monde.

Et c’est là que le Covid vient tenir son rôle.

Evidemment dans l’histoire de la pandémie il avait le 1er rôle, mais une pandémie ça ne peut pas durer éternellement et comme on a quand même sacrément investi sur lui, on va pas le mettre à la poubelle. Allez Covid tu continues à jouer mais en deuxième ligne.

Une pandémie, c’est utile, c’est pratique car d’un cela permet de se faire un max de thunes rapidement (surtout qu’on nous annonce qu’il faut finalement beaucoup, beaucoup vacciner : 3 doses au lieu de 2 et tous les 6 mois s’il vous plait), de deux cela permet de mettre les gens en condition pour vivre à fond la prochaine histoire qui fait peur. Bouh !

Car pourquoi autant de confinements alors que rien ne prouve factuellement que cela a un impact sur l’épidémie (la Suède, la Corée du Sud sont des contre-exemples) ?

Pourquoi une accélération du contrôle total de la population dans les pays les plus « pollueurs » ?

Ce n’est certes qu’une hypothèse mais je crois qu’avec les restrictions imposées pour la gestion (catastrophique) de la crise sanitaire, on prépare en fait les esprits à accepter les nouvelles règles de vie à venir qui seront imposées sous le prétexte ultime de « sauver la planète ».

Pour sauver la planète il faudra renoncer à certains plaisirs (ski, consommation de biens non essentiels).

Pour sauver la planète il faudra accepter de se confiner 2 fois par an pour faire baisser le taux de CO2 (qui deviendrait le nouveau taux d’incidence).

Pour sauver la planète il faudra accepter une dépopulation.

Pour sauver la planète il faudra accepter d’être contrôlé tout le temps pour s’assurer qu’on ne nuit pas à notre mère nourricière la Terre.

Vous avez aimé être culpabilisé pour sauver vos papis et mamies et pour ces pauvres âmes en réanimation ? Vous allez adorer porter le lourd fardeau du sort de la planète sur vos épaules !

Les médias joueront ici encore une fois leur rôle de haut-parleur pénible mais efficace, rabâchant matin midi et soir ce qu’il faut croire et penser. Une déformation de la réalité mais pour qui ? Pour quoi ?

C’est le moment de l’article pour faire fonctionner son imaginaire si fertile…

Pas de solution pour échapper aux contes effrayants et mortifères ?

Si bien sûr ! Tout est question de choix.

Ce qui peut marcher (par expérience) :

  1. éteindre la télé et la radio (on s’informe en lisant) et utiliser ce nouveau temps libre pour respirer, méditer, reprendre contact avec la (sa) vraie nature.
  2. réfléchir sur la place de ses croyances et le rôle de l’autorité (parentale, institutionnelle) dans sa vie.
  3. lister ce qui est important dans sa vie, ce qui (nous) fait du bien. Poser à l’écrit avec des mots bien choisis la trame qui sert de repère quand les nuages s’amoncellent parfois.

Refaire lien avec l’humain car si les politiques et médias, marionnettes du pouvoir caché, cherchent autant à nous diviser à coup de différences de couleur de peau, de religions, de genres, et autres cases de prison, c’est uniquement parce que si nous comprenons enfin notre interconnexion et interdépendance alors aucune histoire qu’ils nous vendraient de force n’aurait de prise sur nous. On pourrait être libre d’être.




Et quand vous serez déconfinés, vous ne serez plus libres…

[Source : Contrepoints]

Par Margot Arold

Le déconfinement est le rêve de nombreux Français. Mais avant qu’il soit possible de retrouver un semblant de « vie d’avant », il importe à de nombreux politiques, Emmanuel Macron le premier, de bâtir le « monde d’après ». Et dans le monde d’après, il y aura peu de place pour la liberté.

SURVEILLÉS PAR DES DRONES

La Loi sur la Sécurité globale vient d’être votée. Si elle a beaucoup fait parler d’elle à travers l’article 24, on a tendance à passer sous silence l’autorisation qui est faite dorénavant de l’usage de drones pour la surveillance de la population (article 22).

Les sénateurs, peut-être plus sensibles au respect des libertés civiles, avaient demandé que l’usage des drones soit soumis à une demande d’autorisation préalable. Une préoccupation louable mais balayée d’un revers de main par Gérald Darmanin :

« Cela complexifierait beaucoup l’utilisation de ces drones », a estimé Gérald Darmanin, y voyant une procédure qui irait « alourdir le travail de la police ».

La CNIL elle-même, a tenté de faire valoir que « les drones sont beaucoup plus intrusifs en termes d’images et d’atteinte à la vie privée que ne le sont les caméras fixes », mais Gérald Darmanin a tenu à rappeler que les avis donnés par la CNIL n’avaient pas forcément à être suivis.  « Ce n’est pas parce qu’une autorité administrative donne un avis qu’elle engage le législateur ».

En d’autres termes, pour Gérald Darmanin, tous ces protecteurs des libertés et des droits rejoignent dans l’usage qu’il en fait les pénuriques rouleaux de papier toilette…

Les sénateurs avaient par ailleurs interdit expressément, en commission, que les images captées par les drones puissent faire l’objet d’une technologie de reconnaissance faciale et d’une interconnexion automatisée de données.

Ce ne sera donc pas le cas, mais n’allez pas imaginer que la technologie est impuissante à le faire : pour résumer, il s’agit d’une option qui n’est pas activée. Mais qui pourrait l’être. Inutile de se réjouir qu’elle ne le soit pas pour l’instant. On a vu à quelle vitesse les lois peuvent changer ces derniers temps.

D’ailleurs cette loi était bien prévue pour aller encore plus loin.

« Les sénateurs ont par ailleurs rejeté l’initiative du gouvernement consistant à lui permettre de prendre par ordonnance, dans un délai de dix-huit mois après publication de la loi, ‘toute mesure relevant du domaine de la loi visant à modifier le régime juridique de la vidéoprotection’. »

QUI ACCÈDERA AUX IMAGES FILMÉES ? À PEU PRÈS CHAQUE AGENT EN UNIFORME

« Le Sénat a élargi cette attribution aux agents de la police municipale et de la ville de Paris, des communes, des communautés de communes et groupements similaires ainsi que des services de sécurité de la SNCF et de la RATP.

Si de plus en plus de personnes auront accès aux images de vidéosurveillance, les protections restent maigres : les agents communaux qui regarderont qui se déplace dans quelle rue seront par exemple placés « sous l’autorité exclusive du maire » pendant le visionnage. Les personnels de la SNCF et de la RATP scrutant les quais de gare et du métro seront « individuellement désignés et dûment habilités par le représentant de l’État dans le département ».

Vu l’efficacité de l’État en matière d’organisation, tout porte à craindre que cette surveillance se fasse de manière de plus en plus sauvage.

DRONES : QUI SERA SURVEILLÉ ?

En matière de sécurité, tout est bon à prendre. Puisqu’on vous dit que c’est pour votre bien. Et évidemment c’est pour lutter contre le terrorisme et toute forme « d’atteinte grave à l’ordre public ». Termes vagues englobant peut-être des situations qui paraissent aujourd’hui anecdotiques. Gilets jaunes ? Manifestations diverses ? Bonnets rouges ?

PASS SANITAIRE ET QR CODES POUR VÉRIFIER QUE VOUS ÊTES SAIN

Vous aurez aussi droit au pass sanitaire. L’application TousantiCovid contiendra désormais un certificat de vaccination. Bien sûr le gouvernement n’oblige pas à se faire vacciner, ni n’oblige à installer l’application. Non, bien sûr.

En revanche, la mise en place de QR Code à scanner à l’entrée des restaurants, des concerts… remplacera le pass sanitaire si vous n’en avez pas :

« Les Français pourront ainsi « scanner » des QR Code à l’entrée des restaurants, bars, ou tout autre établissement accueillant du public. En enregistrant ce code-barre, l’application pourra alors garder l’information concernant l’heure de passage d’un client dans un lieu précis. Résultat : si un client ayant, lui aussi, scanné ce QR Code au même moment est dépisté comme positif au coronavirus, alors l’utilisateur recevra une alerte l’avertissant d’une éventuelle contamination. »

Cela est présenté comme étant « pour votre bien », pour votre santé.

« L’application ne donnera ni plus, ni moins de droit », résume-t-on ainsi au ministère. Elle se veut simplement être « un outil pour faciliter la vie des Français, améliorer le travail de ceux qui devront vérifier les tests ou vaccins et donc fluidifier les voyages ». 

Toujours l’argument de votre sécurité, de votre confort, de la simplification administrative.

QUI AURA ACCÈS À VOS DONNÉES DE SANTÉ ?

Souhaitez-vous qu’un agent de l’État quel que soit son métier, son statut, son grade, ait accès à votre intimité ? Cela ne regarde-t-il pas exclusivement deux personnes, vous et votre médecin ? Un médecin ne garantit-il pas la confidentialité des informations qu’il a sur vous, qu’en sera-t-il de ces données vaccinales délivrées à tort et à travers ?

Avez-vous envie que vos droits soient conditionnés par votre santé ? Au pays de la Sécurité sociale et de l’égalité, cela fait un peu désordre…

Avez-vous envie que ce soit un agent, ou un QR code qui conditionne votre acceptabilité sociale ? Aujourd’hui le Covid, et demain ?

La France est en chemin pour accepter le crédit social cher aux Chinois. Et avec l’argument facile de « plus de sécurité », nous y perdrons tous nos libertés, à coup sûr.




La « banalité du mal » : EHPAD, institutions pour handicapés…

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

La « banalité du mal » dans les EHPAD, les institutions pour handicapés et ailleurs…

Misère et silence sur le sort des handicapés en ces temps de coronafolie. Une bouteille à la mer

Chaque jour nous recevons des témoignages de personnes perdues, isolées, ne sachant comment et à qui s’adresser pour défendre des membres de leur famille. Que pouvons-nous faire pour elles en dehors de cette bouteille à la mer, afin qu’ils se reconnaissent et se regroupent ? C’est peut-être déjà le cas par des plaintes multiples mais invisibles car non relayées par les médias, cachées. Faites-le savoir, le cas échéant.

LE DIABLE EST DANS LES DÉTAILS

« Témoignage : ce que nous avons vécu. 

 “Je suis le frère d’une personne handicapée. Mes parents et moi, nous nous sommes toujours préoccupés de sa santé. Or la situation que nous vivons actuellement nous préoccupe beaucoup.

On a eu la chance d’avoir ma sœur pendant tout le 1er confinement, jamais malade, aucun symptôme durant cette période. À l’issue de cette période, début juillet, nous avons été les derniers convoqués par l’administration, avec d’autres parents, pour le retour de ma sœur dans le centre.

Ils nous ont expliqué les règles du retour et comment tout se passerait.

 Déjà certaines personnes s’opposaient à la vaccination que nous pressentions et au test PCR. Nous fûmes parmi ces personnes.

J’ai aussi profité pour parler de mes inquiétudes causées par le comportement de certains éducateurs. En effet, le nombre de fois où j’ai senti la fumée de cigarette à l’intérieur des bâtiments m’exaspérait surtout en pleine épidémie respiratoire. J’avais soulevé le problème, mais aucune réponse ne m’a été donnée sur ce point par les personnes de l’administration qui nous ont reçus.

 Arrive le deuxième confinement. Ma sœur est restée sans nous voir, seulement une heure par semaine.

 J’avais pourtant lu dans un article de journal sur internet, qu’un de mes collègues m’a montré, que les personnes handicapées pouvaient rentrer dans leurs familles pendant les weekends.

L’administration n’a pas pris une telle disposition. Malheureusement, j’ai perdu cet article de journal. Mais je me souviens l’avoir montré à une employée. La directrice a dit qu’il ne fallait pas croire tout ce qui est écrit forcément lors d’une convocation.

 Convocation qui a eu lieu le 30 novembre dernier pendant laquelle on nous a accusés de ne pas respecter les consignes de sécurité. La seule erreur de ma mère est d’avoir sonné et de se mettre à l’écart du bâtiment ensuite pour signaler notre présence. On ne savait pas à quel autre endroit joindre les éducateurs.

 On nous a reproché d’avoir caressé ma sœur alors que j’ai vu une des employées, le masque sous le nez mettre celui de ma sœur entourée de cinq autres employés qui n’ont rien dit.

Durant cette convocation tendue, il a été sujet de la vaccination.

 Ma sœur ne peut pas communiquer verbalement ou par écrit mais son avis lui aurait été demandé… Et si nous refusions on aurait été accusés “de ne pas respecter la volonté de ma sœur” si elle l’acceptait le vaccin.

J’ai été aussi accusé de critiquer le personnel, tout ça parce que j’ai fait part de mon exaspération quant à la fumée de cigarette qui circule dans le bâtiment. L’odeur est forte. Et combien j’ai vu d’éducateurs fumer près de personnes handicapées dans d’autres département aussi.

En décembre, on nous demande une lettre pour spécifier notre refus de la vaccination pour ma sœur. ce que je fis. Mais quelques jours après, j’apprends de la tutrice que la volonté de ma sœur serait recueillie alors qu’elle est dans l’impossibilité physique de communiquer comme nous.

Un courrier de l’administration nous incite à les faire vacciner ” pour le bien de la collectivité” et que la vaccination serait le seul moyen d’enrayer l’épidémie. Rien dans ce courrier mentionnait que le refus des familles serait respecté. 

J’ai donc écrit une lettre recommandée avec AR en justifiant notre refus avec des sources officielles. On a quand même reçu une lettre mentionnant qu’elle n’a pas été vaccinée. 

Aujourd’hui j’ai écrit une deuxième lettre avec aussi une autre mise en demeure pour refus des tests nasopharyngés après avoir pris connaissance de l’alerte de l’académie nationale de médecine. 

j’apprends ce soir même qu’elle sera isolée 10 jours durant car ils auraient trouvé un cas positif “non malade” chez ces adultes. Ma sœur serait un cas contact. Rien ne nous a été dit concernant les modalités d’isolement…”

J’ai peut-être oublié des choses. Mais voilà, je pourrais dire autre chose, des détails…  Mais ça en dit long sur la situation. » 

par L. Z.

CHAQUE JOUR DE PETITES VEXATIONS OU PIRE, DE L’ABANDON PAR ISOLEMENT

Ce vaccin « thérapie génique » expérimental est imposé de fait dans les Ehpad et dans les instituts pour handicapés sans respect de fait du Code de Nuremberg qui semble bien oublié.(([1] 
Imposer un vaccin expérimental ou la violation du code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg dans la loi soumise au parlement en novembre 2017 ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Sous prétexte de sécurité ou d’obéissance venue « d’en haut » de multiples petits « kapos » dignes des camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale se sont levés pour faire respecter l’ordre, leur ordre, leur petit pouvoir mesquin qui gâche la vie d’humbles citoyens INVISIBLES et en tous cas rendus invisibles.

Que pouvons-nous faire pour eux ? Pour cette femme dont on nous dit qu’elle ne peut communiquer mais que « son avis sera respecté pour l’accord du vaccin », alors que ses proches le refusent ?

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.(([2] Dans l’admirable recueil qu’il rapporta de l’horreur de la déportation : « Si c’est un homme ». Il le décrit ainsi : « son regard ne fut pas celui d’un homme à un autre homme ; et si je pouvais expliquer à fond la nature de ce regard, échangé comme à travers la vitre d’un aquarium entre deux êtres appartenant à deux mondes différents, j’aurais expliqué du même coup l’essence de la grande folie du troisième Reich. »))

Une expérimentation sur la population mondiale d’un potentiel modificateur du génome
Hitler n’a pas osé ou n’en a pas eu les moyens

L’acceptation quasi généralisée du « vaccin » de fait thérapie génique ou OGM, EXPÉRIMENTAL par les macroniens, mais plus invraisemblable par toutes les oppositions – sauf F. Philippot -, laisse pantois.  La revendication d’un vaccin obligatoire par aussi bien M. Lepen que J.-L. Mélenchon mais aussi des députés autrefois plus clairvoyants comme J.-C. Lagarde qui défendit les enfants atteints de cancer et la liberté thérapeutique, fait froid dans le dos. Le maire de Cannes faisait espérer un espoir de renouvellement à LR et nous démoralise en ouvrant ses centres de vaccination au lieu d’informer sur le caractère expérimental de ces médicaments qu’ils rêvent tous de nous imposer. Les Cannois ne sont pas mieux lotis que les Niçois, ce qui nous désespère.

Même Éric Zemmour ne dénonce pas haut et fort la transformation en rats de laboratoire d’une énorme partie de la population aveuglée, sidérée, apeurée. Sur qui compter ?

Comment un philosophe comme Onfray peut-il accepter voire prôner cet essai thérapeutique à échelle mondiale sans voir qu’il trahit ses congénères ? Comment tous les politiques marchent-ils dans l’intoxication et la multiplient et rivalisent sur le nombre de centres ouverts, mais pas sur l’information des cobayes qui ont remplacé les rats, puisque l’expérimentation animale a été sautée « faute de temps ». De fait elle avait été catastrophique dans les essais des précédents coronavirus, SRAS et Mers car les animaux vaccinés étaient décédés plus rapidement que les non vaccinés.

Si on vaccine quinze patients à l’heure, comment peut-on interroger, examiner, informer le cobaye et le surveiller un minimum de temps après la vaccination ?  Et certains commentateurs n’hésitent pas à prétendre que le Code de Nuremberg est dépassé, qu’il n’a pas valeur de loi… L’horreur est parmi nous, ouvrez les yeux et informez.

Ne criez pas que nous sommes loin du monde qui mena aux camps. Par acceptation quotidienne d’une petite dégradation supplémentaire et de l’humiliation, au contraire, chaque jour de soumission silencieuse, d’éloignement d’amis refusant les ukases de la secte covid nous en rapproche et il est encore temps d’ouvrir les yeux, afin d’éviter des années d’horreur.

La « Banalité du mal »(([3] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-éthique-contemporaine.org) )) est quotidienne à des degrés divers, mais chaque jour un peu plus qu’hier et moins que demain.

La « Banalité du mal est l’expression paradoxale, utilisée pour la première fois par Hannah Arendt, (philosophe juive réfugiée aux USA, auteur des « origines du totalitarisme »), à l’occasion du procès de Eichmann, responsable nazi capturé à Buenos Aires en mai 1960 par les services secrets israéliens, et jugé à Jérusalem en avril 1961.

Cette notion suscita une énorme polémique, tant elle paraissait inacceptable à l’époque, comme aujourd’hui encore, à chacun d’entre nous. Ces criminels nazis responsables des pires horreurs étaient de fait, semblables à nous tous.

« Voilà donc posée la plus grande interrogation pour la pensée : tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante. Certes, « il eût été réconfortant de croire qu’Eichmann était un monstre » écrit-elle. Pourtant, beaucoup lui ressemblaient : « ni pervers, ni sadiques ». Ces gens étaient « effroyablement normaux ».

L’inhumain en chacun d’entre nous

« La banalité du mal » est un concept philosophique d’une importance inégalée, car il pose donc la possibilité de l’inhumain en chacun d’entre nous. En cela, il est certes, novateur. Novateur et précisément attaché au XXe siècle, parce que « cette possibilité de l’inhumain émerge nécessairement de la nocivité d’un système totalitaire, et suppose que le crime soit commis dans des circonstances telles que les « criminels » ne puissent sentir ou savoir qu’ils font le mal ».

Elle suppose que le système totalitaire en place ait réussi préalablement à tuer « l’animal politique » en l’homme, qu’il veut rayer de la surface de la terre, pour n’en conserver que l’aspect biologique. Pour les nazis spécifiquement, il s’agissait, à travers la Shoah, de créer « l’espèce animale humaine ».

Pour ce faire, il s’agissait de déshumaniser l’homme en le dépolitisant, au sens étymologique du mot. Tendre à supprimer la chose qui faisait de lui un être humain, en détruisant d’abord ce qui le rattachait à une communauté. Ces condamnés faisaient alors l’insoutenable expérience de « non-appartenance » au monde qu’Arendt appellera : « la désolation ».(([4] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-ethique-contemporaine.org) ))  »

Le monde de « la désolation »

Ne reconnaissez-vous pas dans cette description de la dépolitisation progressive et la déshumanisation de l’être humain, ce que nous subissons depuis plus d’une année, avec les auto-autorisations, les contraventions pour surfer seul sur la mer ou bronzer seul sur la plage ou se promener seul à cheval en forêt, accusé sans fondement scientifique de mettre en cause la santé publique et de favoriser la dissémination du très malin virus venu d’ailleurs !

Si les foules se plient à ces rites débiles et constamment contradictoires, ce n’est que parce que nous sommes entrés pas à pas dans ce processus totalitaire de dénaturation de l’homme qui se transforme petit à petit en esclave.

OUVRONS LES YEUX. Ôtons les muselières infâmes et indignes.(([5] Procédure judiciaire de Maitre JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))  Refusons tous les codes et tous les signes de discrimination entre les humains !  L’étoile jaune, verte ou bleue comme le passeport vaccinal doivent être définitivement enterrés dans le fumier de l’histoire. Notons que ces signes d’horreur veulent nous être imposés pour des vaccins reconnus inefficaces contre la transmission virale par le ministre O. Veran(([6] Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation   le passeport est refusé par USA et OMS est-ce difficile de le faire savoir ?)) (([7] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/effets-secondaires-en-europe-sur-les.html)) et/ou des tests PCR condamnés en justice dans plusieurs pays du monde pour supercherie. Ne sommes-nous pas déjà robotisés ?(([8] 
L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)
Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr 
RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf))

« Le mal dans sa forme extrême et dans sa forme banale devient un refus de communiquer avec l’autre, de le reconnaître comme tel, comme si l’identification à la loi se substituait à l’identification au semblable. C’est d’ailleurs ainsi qu’Arendt délie volonté et responsabilité.(([9] Voir Hannah Arendt, Responsabilité et Jugement, Payot, 2005)) On peut faire le mal sans le vouloir, avoir le sentiment de faire son devoir et pourtant être responsable. Telle est la leçon donnée par le procès Eichmann. Telle est la leçon philosophique capitale que nous propose Hannah Arendt, dont le concept de « banalité du mal » n’a pas fini de nous laisser penser, en ce nouveau siècle. »

Il est probablement encore temps d’en sortir avant de nouveaux épisodes encore plus tragiques déjà envisagés et matérialisés par des locaux adéquats (camps), comme la séparation des familles, les enfants enlevés aux parents récalcitrants, etc.

Les foules se lèvent en Angleterre, aux Pays- Bas, en Suisse et ailleurs contre l’épouvantable passeport vaccinal qui transformerait notre France en univers policier chinois.

Des avocats accumulent les preuves pour un Nuremberg 2.(([10] COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les habitants du Texas et du Mississippi ont repris une vie normale et sans obligation vaccinale et la situation sanitaire de ces deux États s’est franchement améliorée depuis cette libération. Les vaccinodromes américains ferment faute de clients.

Mississipi.jpg (605×340)

Les Français seront-ils les derniers à se lever pour brandir à nouveau le drapeau de la liberté ?

Nicole Delépine





Lettre ouverte à Hervé Gastinel PDG de la Compagnie du Ponant et au groupe François-Henri Pinault

Par Alain Tortosa

[Ndlr : texte volontairement caustique.]

Lettre ouverte à Hervé Gastinel PDG de la Compagnie du Ponant(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ponant_(entreprise) )) et au groupe François-Henri Pinault

« Merci pour votre courage et votre politique visionnaire au service de la lutte contre le fléau du Covid ! »

Je n’ai pas pour habitude de prendre ma plume pour flatter quiconque, mais lorsque j’ai lu le courrier écrit par Hervé BELLAÏCHE, Directeur Général Adjoint, j’ai ressenti le besoin de partager mon enthousiasme et, je l’avoue modestement, ma fierté d’être français.

Vous avez raison. On ne négocie pas avec la sécurité et votre décision de réserver vos croisières aux seules personnes vaccinées relève à la fois du courage politique et, disons-le, du simple bon sens.

Comment imaginer qu’un moment festif se transforme en cluster causant ainsi le décès de grands-parents ou d’arrière-grands-parents jouissant de la vie alors même que les membres d’équipage philippins et indonésiens(([2] https://la1ere.francetvinfo.fr/martinique/les-membres-d-equipage-du-dumont-durville-sont-liberes-820794.html)) veillent à leur confort.

Je comprends et j’admire comme il se doit votre décision, mais ma générosité et mon altruisme naturel ont pris le dessus me poussant à vous poser la question suivante :

Nous savons, vous et moi, que certains, pour des raisons de santé, ne peuvent se vacciner. J’ai bien conscience, comme vous, j’imagine, que « c’est bien fait pour leur gueule » et qu’ils n’avaient qu’à pas tomber malades. Et ce n’est pas non plus à vous ni à votre illustre propriétaire milliardaire que je vais apprendre que la vie est injuste. Injuste, mais « bonne », car la Compagnie du Ponant n’hésite pas à apporter du travail à des castes de nécessiteux de pays sous-développés, qui, sans le salaire (généreux ?) que vous leur octroyez, ne pourraient pas nourrir leur famille nombreuse. Mais là n’est pas mon propos du jour, même s’il est juste de reconnaître votre générosité.

Non, je voulais vous demander s’il ne serait pas possible de réserver les ponts inférieurs, sans accès sur l’extérieur aux personnes non vaccinées pour qu’ils jouissent aussi des croisières. Il suffirait de les équiper d’un bracelet électronique afin de s’assurer qu’ils ne s’approchent pas des personnes saines et vaccinées, voir peut-être d’un signe distinctif cousu sur leur chemise ? Imaginez qu’une personne vaccinée activement protégée du Covid puisse tomber malade et mourir du fait de non-vaccinés. Nous serions là dans une injustice totale ! À vous dégoûter de vous vacciner ! Il faudrait bien sûr que les non-vaccinés payent un supplément du fait de protocoles spécifiques. J’espère donc que vous vous pencherez sérieusement sur ma proposition généreuse.

D’autre part, comme je sens que vous êtes à la fois visionnaire et courageux, je voulais vous faire part de nos besoins. Nous sommes un petit groupe d’amis qui organisent régulièrement des réunions à caractère festif. Il faut dire que nous sommes une bande de joyeux drilles incorrigibles qui portent une espèce de chapeau pointu découpé dans un drap blanc, ce qui agace sérieusement nos femmes ! Il y a généralement une guest-star invitée et nous faisons la fête tard dans la nuit autour d’un feu avec de bonnes odeurs de viande grillée…

Étant donné que vous n’hésitez pas à mettre en place une discrimination « positive », « motivante » et « juste » sur vos bateaux… Vous serait-il aussi possible de faire des croisières où seules les personnes pouvant devenir membres de notre club pourraient participer ? Mes amis et moi étant très maladroits risquerions de bousculer la nuit sur le pont certaines personnes « peu visibles » qui pourraient ainsi « malencontreusement » tomber à l’eau et se noyer. Il serait de fait raisonnable d’interdire totalement les Croisières du Ponant à ces personnes.

Étant donné que je vous ai sous la main… J’ai des copains très âgés (ce qui collerait bien avec votre clientèle) qui ont déménagé en Argentine après-guerre pour quitter le climat morose de l’Allemagne. Dès qu’ils sont en présence de certains types « d’amis » aux pratiques « orthodoxes », eux aussi se mettent à faire tellement la fête qu’ils pourraient aussi les faire basculer du bord… Il serait donc préférable de s’assurer qu’ils n’aient plus accès aux croisières. Je compte sur vous.

C’est la lourde tâche des pionniers comme vous et c’est le premier pas qui compte… que vous avez franchi avec panache pour la vaccination.

Surtout, n’écoutez pas les mauvaises langues qui pourraient vous parler de discrimination, d’apartheid, de castes ou autres fariboles. Nous ne pouvons pas laisser une partie de la population complotiste mettre en danger la liberté, la démocratie et la sécurité de chacun. Après tout, il y a bien un permis pour conduire, pourquoi ne pas instaurer un permis pour aller en croisière.

La France, que dis-je, le Monde a besoin de grands visionnaires et démocrates comme vous attachés aux libertés fondamentales !

Merci.

Alain Tortosa
(Qui n’est pas prêt de mettre les pieds sur un bateau de la compagnie le Ponant.)

Le 28 avril 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210428-compagnie-ponant-vaccination.pdf


Copie du courrier du directeur général :

« Le 27 avr. 2021, Croisières Ponant a écrit : INFORMATION IMPORTANTE VOIR EN LIGNE

Vaccination et protocole sanitaire renforcé : voyagez l’esprit léger.

Vous le savez, la sécurité de nos passagers et membres d’équipage a toujours été notre préoccupation majeure. Depuis un an, nous avons mis en œuvre un protocole rigoureux, performant et adapté à l’évolution de la situation sanitaire mondiale pour lutter contre la Covid-19.

Aujourd’hui, la vaccination ouvre de nouvelles perspectives et permet de projeter sereinement la reprise de notre activité. Votre confiance également. Vous êtes 94 % à nous avoir confié votre souhait de reprendre la mer à nos côtés, si l’ensemble des personnes à bord étaient vaccinées.

Nous avons donc décidé de renforcer notre protocole d’accès à nos navires. Dès la reprise de nos croisières, les personnes qui embarqueront devront être vaccinées contre la Covid-19…

Cette décision nous permet de consolider notre bulle anti-Covid à bord et de vous assurer les meilleures conditions de voyage possibles. Vous pouvez ainsi réserver votre prochain séjour en toute tranquillité.

À bientôt à bord,

Hervé BELLAÏCHE — Directeur Général Adjoint, Commercial et Marketing »





La Turquie contribue-t-elle à changer le rapport de forces entre l’OTAN et l’Orient ?

[Source : avia-pro.fr]

La Turquie a annoncé une interdiction d’utiliser ses bases militaires par l’US Air Force

Après que le président américain Joseph Biden a annoncé que les États-Unis avaient reconnu le génocide arménien, la Turquie a parlé très durement de la poursuite de la coopération militaire avec les États-Unis, annonçant l’expulsion de l’armée américaine de son territoire et l’introduction d’une interdiction d’utilisation de son air. bases par l’armée de l’air américaine, apparemment même dans le cadre de la coopération de l’OTAN.

Selon le président du parti turc Rodina, Dogu Perincek, Washington sera obligé de quitter les installations militaires turques dans les 15 jours, que le Pentagone soit prêt ou non. Selon la partie turque, la coopération entre les États-Unis et la Turquie dans le domaine militaire peut être considérée comme terminée.

« Les forces armées turques doivent immédiatement établir un contrôle total sur la base aérienne d’Incirlik et ramener chez elles les troupes américaines qui y sont stationnées dans les 15 jours. », a-t-il déclaré.

Il est à noter que les armes nucléaires de l’US Air Force sont également situées sur la base aérienne d’Incirlik – il sera tout simplement impossible de les sortir de la base militaire dans le délai spécifié, et il est évident qu’Ankara entend ainsi démontrer sa disponibilité. d’agir radicalement même à l’égard de ses anciens partenaires.




Coup de froid en Mongolie ! Explosion du nombre de décès en Mongolie : Vaccination ou gestes barrières ?

Par Alain Tortosa

La Mongolie est, comme vous le savez tous, un pays de 3,2 millions d’habitants(([1] https://www.worldometers.info/world-population/mongolia-population/)) qui se trouve entre la Chine et la Russie.
Je ne suis pas certain que Gengis Khan, à la tête de l’empire mongol, fut paniqué par le Covid… Ce pays rude avait été totalement épargné par le Covid jusqu’à récemment.

Alors même que le pays comptabilisait une trentaine de cas (donc de tests positifs) par jour jusqu’à la fin du mois de février…

Alors même que le nombre total de décès était de 2. Si, si, je dis bien 2 ! début mars 2021…

Le pays a décidé de se lancer dans une campagne massive de vaccination qui a réellement commencé le 9 mars avec du AstraZeneca.

Pourcentage de la population vaccinée(([3] https://ourworldindata.org/covid-vaccinations))

Au 3 avril, 10 % de la population était vaccinée.

Gros pic de vaccination entre le 3 et le 15 avril comme vous pouvez le voir sur le graphique suivant.

Doses journalières vaccin(([4] https://ourworldindata.org/covid-vaccinations))

En effet le 2 avril est marqué par l’arrivage massif de 300 000 doses du vaccin chinois, la Chine venant prêter main forte en « toute amitié » à la Mongolie pour lutter contre le méchant Covinou. Méchant Covinou qui, rappelons-le, n’avait fait que 2 morts au total jusqu’à début mars 2021 !

La campagne de vaccination s’est interrompue jusqu’au vendredi 23 avril pour reprendre ensuite. Il semblerait qu’il n’y ait pas de raison officielle à cette interruption, défaut d’approvisionnement ?

Le 22 avril a été marqué par la livraison de 50 000 doses de AstraZeneca et de 600 000 doses du vaccin chinois.(([5] https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccines/Mongolia-resumes-vaccinations-as-worst-outbreak-rolls-on)) Ainsi au 26 avril 690 000 mongoliens (à prendre au premier et deuxième degré) ont été vaccinés.

Il est intéressant de noter que les plus de 60 ans (donc la population à risque) ne représente que 200 000 personnes soit environ 6,7 % de la population du pays.(([6] https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMPagePyramide/MNG/2018/?))

Ce qui veut dire que la Mongolie, à la différence de la France, vaccine massivement une population jeune qui n’est pas à risque et ceci explique peut-être cela.

Les moins de 20 ans représentent 37 % de la population et les moins de 35 ans sont 2 millions.

Ce qui veut dire qu’avec les doses de vaccin qu’ils possèdent, ils peuvent injecter une dose à 100 % de la population de plus de 35 ans !

Ceci n’est pas de nature à nous rassurer.

Regardons maintenant l’évolution des cas et des décès

Le nombre de cas a explosé. Il était de 32 le 2 mars avec un pic de 2 527 le vendredi 23 avril, soit un peu moins de deux mois après le début de la campagne vaccinale.

Quant au nombre de morts depuis le début de cette campagne, celui-ci est passé de 2 à 80 morts, soit une augmentation de 3900 %.

Le nombre de morts par habitant est passé de 0,61 par million au 7 mars à 24,4 au 26 avril soit 40 fois plus.

Quelles explications plausibles à l’explosion du nombre de morts ?

Vous avez sans doute déjà deviné, mais la voici :

« “Les gens ne suivent pas les directives de distanciation sociale et ne portent pas correctement de masques”, a déclaré le Dr Enkhsaikhan Lkhagvasuren, directeur du Département des politiques de santé publique, à Nikkei Asia.“ C’est pourquoi nous assistons à une augmentation du nombre d’incidents. La majorité des cas sont le résultat de contacts étroits et de baisse du masque alors qu’ils sont à proximité de leurs collègues.”»(([9] https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccines/Mongolia-resumes-vaccinations-as-worst-outbreak-rolls-on))

Et le connard (pardon) de rajouter :

« Nous ne pouvons pas dire avec certitude si l’augmentation du nombre est due à une nouvelle variante parce que nous n’avons pas réellement de laboratoire de séquençage pourvoir les souches.»

Mais que n’y ai-je pas songé plus tôt ! Comment, en regardant les courbes, ai-je pu faire une corrélation entre l’explosion du nombre de morts et la campagne de vaccination ? Il est des cas où ma bêtise est telle que je ferais mieux de me taper la tête contre un mur avant d’imaginer des thèses complotistes totalement débiles !

Malchance

Bizarrement on retrouve cette corrélation, cette malchance en Hongrie, en Inde, aux Seychelles, etc. Et oui, c’est quand même la faute à pas de chance ! Un pays comme la Mongolie qui n’a aucune épidémie de Covid, (quasi)aucun mort depuis le début se dit qu’il va vacciner TOUTE sa population pour lutter contre une non-épidémie. À la base, on touche déjà au génie, mais poursuivons…

Et là, alors même qu’ils commencent à vacciner massivement sa population qui respectait parfaitement les gestes barrières et le port du masque (tum’étonnesavec deuxmorts)! (Ce n’est pas comme les Français qui ne respectent rien et continuent à crouler sous les morts malgré le masque, les gestes barrières et presque 30 % de la population vaccinée.)

Avec l’arrivée du vaccin, comme les Indiens, ils se mettent à faire n’importe quoi et se comporter comme des cons de français ! Avouez que c’est vraiment idiot quand on pense qu’ils n’avaient pas d’épidémie avant.

Et, comble de malchance, au moment où ils arrêtent massivement de respecter les gestes barrières et le port du masque, un variant venu de nulle part, qui n’avait pas eu jusqu’à présent l’idée de visiter le pays, leur tombe dessus et multiplie la mortalité par 40 !

Il n’y a pas à dire, le mongol ne fait pas semblant quand il a la poisse. Heureusement il y a de la lumière dans cette morosité.

La campagne de vaccination a repris de plus belle, les vaccins sont disponibles en masse, ils vont pouvoir vacciner femmes enceintes et enfants et le pays sera enfin libéré du fléau qui n’existait pas avant la campagne de vaccination… Décidément, il faut que j’arrête d’écrire n’importe quoi, tout va pour le mieux en Mongolie… Merci à vous, merci aux labos, merci aux médecins, merci à la presse, merci aux politiques… Merci.

Alain Tortosa.

Hors de lui…

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210427-mongolie-vaccination.pdf




Grande Proclamation pour la France

[Source : @Rémy-Daillet-Wiedemann-Officiel]



[Voir aussi :
La France revivra-t-elle?
Annonce du renversement du gouvernement français
Renversement, Seconde Sommation, Au Peuple
Questions à Monsieur Rémy Daillet-Wiedemann
100 mauvaises raisons de ne pas agir]




Science-fiction ou réalité ? Contrôler le cerveau via des vaccins ARNm ?

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

[Ndlr : même dans l’hypothèse où ces technologies d’origine militaire n’en seraient plus au stade de recherche, mais seraient déjà déployées (notamment dans ces nouveaux « vaccins anticovid » en conjonction avec la 5G pour l’activation de certains effets spécifiques), deux facteurs peuvent probablement les contrecarrer de manière complémentaire :
►l’existence des phénomènes épigénétiques selon lesquels nos comportements et habitudes de vie peuvent modifier notre patrimoine génétique avec transmission des modifications à la descendance ;
►les facultés liées à la spiritualité, à la Conscience ou encore à la connexion au divin (en tant que source universelle de Vie) et les phénomènes miraculeux qui s’y trouvent liés, telles que la guérison de maladies incurables.

En d’autres termes, il doit toujours être possible de griller, de court-circuiter ou d’inhiber les effets néfastes ou délétères de telles technologies invasives.]

Conférence du Dr Charles Morgan à l’Académie militaire de West Point : Contrôler à distance le cerveau humain via des vaccins ARNm

Le 13 juin 2018, le Dr Charles Morgan, un expert en neurobiologie de l’Université de Yale, de la DARPA et de la CIA, a donné une conférence devant les étudiants de l’Académie militaire de West Point (USMA). Il a parlé de la capacité de modifier l’ADN à des fins de contrôle de l’esprit.(([1] MWI Video : « Dr. Charles Morgan on neurobiology and war ». Modern War Institute, 15 June, 2018.)) Le Dr Morgan montre et raconte aux étudiants d’élite de l’armée américaine comment les technologies connues sous leurs acronmymes CRISPR (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées) et DREADDS (Designer Receptor Exclusively Activated by Designer Drugs) peuvent « concevoir n’importe quoi ».

Le Dr Morgan montre comment DREADDS peut être « infusé » dans l’ADN des êtres humains pour contrôler notre comportement. Ces récepteurs Designer activés exclusivement par des drogues de synthèse peuvent créer de nouvelles cellules. Ils peuvent produire de nouveaux souvenirs et comportements chez leurs sujets humains. Ils peuvent également l’utiliser pour effacer ou même modifier votre mémoire. La technologie CRISPR peut être utilisée pour tuer uniquement certaines races de personnes via l’édition d’ADN.

Le Dr Morgan dit aux étudiants de la Modern War University de West Point que 

« la technologie appelée CRISPR rend un certain nombre de choses immédiatement disponibles … Vous pouvez concevoir n’importe quoi. Vous pouvez concevoir une chose unique qui n’en tuerait qu’un. Ce que vous faites lorsque vous créez des plasmides et les mettez dans des cellules, cela envoie un signal et indique quelle partie de l’ADN doit se dérouler, se déplier et produire un produit. C’est l’avenir de la médecine. »

Le Dr Morgan demande :

« Que pourriez-vous faire avec cette technologie si vous travailliez dans le domaine de la sécurité et du renseignement? » Les cellules « peuvent être conçues pour des activités et des objectifs spécifiques. Elles peuvent être placées stratégiquement. Elles peuvent être contrôlées à distance ». Ainsi, ces contrôleurs de cellules « peuvent avoir des choses activées dans le cerveau des autres ».

En 2011, la technologie semblait commander au niveau cellulaire « la diffusion programmée des informations à la demande ». En 2018, le pouvoir de remplacer par le sang, le cerveau et les cellules les propres souvenirs et choix d’un être humain par la réalité de substitution des contrôleurs dépassait déjà tout conditionnement comportemental imposé par les téléphones portables. Pour le Dr Morgan, les nouvelles capacités mènent à des améliorations de la prestation et de l’exhaustivité. « Pourquoi auriez-vous un système numérique alors que vous pouvez avoir un système ADN? », demande-t-il.

Le Dr Morgan est assez explicite dans son diaporama : « Les cellules peuvent être conçues pour des activités et des objectifs spécifiques. Les cellules peuvent être placées stratégiquement. Elles peuvent être contrôlées à distance. » La nouvelle technologie permet à ses contrôleurs « d’activer les choses dans le cerveau des autres ». Plus loin, le docteur, maintenant titulaire à l’Université de New Haven, imagine comment la combinaison de « systèmes ADN » avec « l’informatique quantique » peut former « une menace vraiment assez étonnante et à la fois mortelle ». Ainsi, les doses d’ARNm de Pfizer et Moderna peuvent atteindre un dernier arrêt dans l’agenda mondial d’un peuple au pouvoir.(([2] Don Paul : « Pfizer’s, Moderna’s mRNA Shots: Aren’t Needed, Won’t Protect, Do Harm, May Change DNA Forever ». Don Paul – We Are Rev.))


L’ADN pourra contrôler votre corps et votre esprit

Le vaccin COVID est un vaccin à ARNm qui est un tout nouveau type qui n’a encore jamais été approuvé, homologué et distribué à grande échelle. Il modifie l’ADN de votre corps et reproduit et contrôle votre corps. C’est extrêmement dangereux à bien des égards. Le Dr Morgan révèle qu’ils peuvent désormais stocker et cacher des images et des films dans l’ADN et des bactéries, il dit également que seulement 1 gramme d’ADN humain peut stocker l’équivalent de 7 milliards de iPADS, pensez-y, juste 1 gramme, c’est absolument étonnant! ! Il dit que les informations et les images peuvent également être stockées dans des bactéries sur le corps humain qui peuvent ensuite être placées dans un plat et lorsque ces mêmes bactéries se reproduisent, leur progéniture sera également codée avec les mêmes informations. Il dit également qu’il est possible de programmer une cellule et de la diriger pour cibler n’importe quelle partie du corps, y compris le cerveau qui peut alors également être reprogrammé et contrôlé à partir d’une force extérieure.

Cela signifie que le vaccin Covid-19 peut contenir toute la technologie que vous entendrez dans cette vidéo. Le niveau de précision de cette technologie est tel que des nanobots miniatures de la taille des particules de poussière peuvent être programmés pour attaquer n’importe quelle partie du corps pour délivrer une charge utile ou un virus directement dans la circulation sanguine, les organes, le cerveau, les yeux, etc. Elle peut également rester en sommeil dans n’importe quelle partie du corps vers laquelle elle a été dirigée et peut y rester sans être détectée jusqu’à ce que le signal électronique approprié soit délivré pour la réactiver.

Comme l’écrit le propriétaire de la chaîne “End Times Watchman” : « Si vous êtes chrétien, vous devez savoir que ces vaccins permettront aux Lucifériens de changer votre ADN et de modifier votre perception de Dieu. En fait, vous serez programmé pour le détester ! La Bible prévient que les nations et les peuples de la terre détesteront le christianisme biblique et persécuteront les chrétiens croyant à la Bible et c’est ainsi que cela va se passer. Ils modifieront la perception de chaque personne qui prend ces vaccins démoniaques modifiant l’ADN. C’est une guerre spirituelle, elle a été annoncée dans la Bible il y a près de 2000 ans et se déroule maintenant sous nos yeux ! Il convient également de mentionner qu’ils peuvent EFFACER des souvenirs et en installer des FAUX. Imaginez simplement si cela est utilisé pour tromper les habitants de la terre en adorant la bête, et bien sûr, CELA LE SERA, car c’est exactement ce pour quoi il a été créé. »

Michael Yeadon, ancien employé de Pfizer et chercheur, ainsi que le médecin allemand Wolfgang Wodard, ont récemment envoyé une pétition à l’Agence européenne des médicaments, demandant à l’EMA d’arrêter les essais cliniques du vaccin COVID-19 de Pfizer. Ils ont dit que le vaccin pourrait bloquer une protéine qui est cruciale dans la formation d’un placenta, et les médecins ont affirmé que cela pourrait « entraîner une infertilité des femmes vaccinées ». Par conséquent, il est possible qu’un autre objectif du vaccin soit d’empêcher la naissance de nouveaux Blancs, un objectif que la Chine, Bill Gates et George Soros tentent d’atteindre.

la Chine veut être la superpuissance CRISPR du monde

CRISPR-baby2

Le Dr Charles Morgan raconte les progrès de la Chine continentale dans la manipulation de l’ADN. Il imagine « l’informatique quantique » en combinaison avec une telle manipulation. « C’est donc là que se trouve la course … La fusion des systèmes d’ADN avec l’informatique quantique sera vraiment une menace incroyable et à la fois mortelle. » Le directeur du renseignement national américain, John Ratcliffe, a déclaré que la Chine utilisait l’outil d’édition de gènes CRISPR (Courtes répétitions palindromiques groupées et régulièrement espacées) pour modifier les embryons humains pour créer une nouvelle génération de « super soldats » capable de combattre plus dur, plus longtemps et plus efficacement(([3] Alex Keown : « Is China Using CRISPR to Create Super Soldiers? ». BioSpace, December 04, 2020.)) :

« Ils veulent qu’ils soient les plus grands et ils veulent aussi qu’ils soient les plus forts, c’est pourquoi ils sont engagés dans l’édition de gènes — essayant littéralement de modifier l’ADN pour rendre les soldats, les marins et les aviateurs plus forts et plus puissants. (…) Les renseignements sont clairs : Pékin a l’intention de dominer les États-Unis et le reste de la planète économiquement, militairement et technologiquement. (…) Il n’y a pas de frontières éthiques à la poursuite du pouvoir de Pékin. (…) La Chine représente la plus grande menace pour l’Amérique et le reste du monde libre depuis la Seconde Guerre mondiale. »(([4] Amelia Wynne : « Army of the biologically enhanced ‘super soldiers’: China is using ‘gene editing’ to make the military ‘stronger and more powerful’, Director of National Intelligence John Ratcliffe has warned ». Daily Mail, 8 December 2020.))

La République populaire de Chine (RPC) collecte l’ADN des personnes depuis des années.(([5] Antonio Regalado : « China’s CRISPR twins might have had their brains inadvertently enhanced ». MIT Technology Review, February 21, 2019.)) La Chine envisage d’utiliser ces informations pour créer des armes biologiques conçues pour cibler des groupes ethniques spécifiques (Blancs: États-Unis, Royaume-Uni, Australie, Nouvelle-Zélande, Israélites).(([6] Marc Prosser : « Inside China’s Play to Become the World’s CRISPR Superpower ». SingularityHub, August 18, 2019.)) Ils ont également trouvé des moyens d’obtenir l’ADN des Américains en achetant des entreprises américaines qui ont des profils ADN, en subventionnant l’analyse ADN pour les sociétés d’ascendance, et aussi en piratant toute organisation qui a des profils ADN. Par exemple, en 2015, il a été découvert que la RPC avait piraté Anthem, la deuxième plus grande compagnie d’assurance aux États-Unis.(([7] Teny Sahakian : « China is collecting the world’s DNA and the reason is sinister: Gordon Chang ». Fox News, 4 December, 2020.))

Il est clair que cette technologie sera utilisée dans les guerres futures et est déjà en cours de développement par la Chine.(([8] I Saw The Light Ministries : « The Assyrian Invasion of The Nations ». This article was first published in 2008. Last updated/edited: Dec. 8, 2020.)) Vision nocturne, super force, esprits de ruche, contrôle de l’esprit, super mémoire (hypermnésie, hyperthymesie), suppression de mémoire, faux souvenirs, cryptage ADN, animaux et insectes espions secrets …

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À propos du Dr Charles Morgan

Dr Charles Morgan

Au cours de 20 ans à l’Université de Yale et à l’Unité d’études neurobiologiques du Centre national du trouble de stress post-traumatique, les recherches neurobiologiques et médico-légales du Dr Morgan l’ont établi comme un expert international du trouble de stress post-traumatique (SSPT), de la mémoire des témoins oculaires et dans la performance humaine dans des conditions de stress élevé. Il est psychiatre légiste et a témoigné en tant qu’expert de la mémoire et du SSPT au Tribunal international des crimes de guerre, à La Haye. Le Dr Morgan est un expert en la matière dans la sélection et l’évaluation des opérations militaires spéciales et des unités de mission spéciales des États-Unis.

Son travail a permis de mieux comprendre la psycho-neurobiologie de la résilience chez les soldats d’élite et a contribué à la mission de formation des programmes spéciaux de l’armée.

Pour son travail dans la communauté des opérations spéciales, le Dr Morgan a reçu le prix de l’armée américaine pour le service patriotique en 2008. En 2010, le Dr Morgan a reçu la médaille et le prix Sir Henry Welcome pour ses recherches sur l’amélioration des performances cognitives sous stress chez le personnel des opérations spéciales. En 2011, le Dr Morgan s’est déployé en Afghanistan à titre de conseiller opérationnel au sein de l’Asymmetric Warfare Group.

À l’heure actuelle, le Dr Morgan enseigne le cours sur la sexualité humaine pour le programme de médecin associé, YSM ainsi que des cours optionnels liés à la médecine légale dans les évaluations de crédibilité et les évaluations indirectes. (Yale School of Medicine)


RÉFÉRENCES :



Le NHS anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Après le CDC(([1] Center for disease control and prevention USA)), le NHS(([2] National Health Service (NHS) système de la santé publique du Royaume-Uni, fournit l’essentiel des soins en Grande-Bretagne, fondée en 1948)) anglais passe aux aveux sur le nombre de décès liés au Covid-19

« Ils vous mentent – Les données officielles du NHS montrent que seulement 3 542 personnes sont réellement mortes de COVID-19 »

(([3] They’re lying to you – Official NHS data shows only 3.5K have died of COVID-19 – Daily Expose))

À l’instar des Français, les Anglais ont été confinés pendant de longs mois avec, comme chez nous, le slogan mensonger « sauvez des vies » destiné à calmer les peuples.

Le journal « the Daily News » revient sur les milliers de vies perdues faute de soins, faute de travail et de ruines des entreprises.

Le peuple anglais (comme le nôtre) a toléré l’intolérable pour sauver des vies. On lui a fait croire que 125 000 personnes étaient décédées directement du Covid-19 et que beaucoup plus seraient décédés sans les mesures de confinement. En France, le Président surfe sur les « cent mille morts » qui sont aussi très contestables et contestés.

Aujourd’hui l’énormité du mensonge dont ont été victimes les Anglais est démontrée par l’examen des données officielles du NHS résumées dans le document « Covid-19 et décès totaux » que les journalistes du Daily ont examiné en détail.

Un tableau fournit la ventilation des 86 308 décès présumés de Covid-19 survenus jusqu’au 31 mars 2021 en nombre de personnes ayant une maladie préexistante et en personnes dépourvues de maladie préexistante.

Sur les 86 308 décès survenus chez des personnes avec résultat positif au test de dépistage du « Covid », 82 766 le sont des suites de conditions préexistantes. Seulement 3 542 personnes sans comorbidités connues sont mortes.

Cela ne signifie pas que les 3 542 morts sans conditions préexistantes connues soient effectivement morts de Covid-19. Cela signifie simplement qu’ils n’avaient pas d’autres maladies connues susceptibles de les tuer. Il est tout à fait possible qu’ils soient morts d’autres causes, comme d’un accident de voiture par exemple.

ENREGISTREMENT DE TOUS DÉCÈS DE PATIENTS POSITIFS EN COVID-19

C’est tout à fait possible car les ordres ont été d’emblée d’enregistrer les décès « comme Covid » pour toute personne décédée dans les 28 jours suivant la réception d’un test positif pour le SRAS-CoV-2 !

Sur les 82 766 décès survenus dans les hôpitaux chez des personnes avec test positif pour le SRAS-CoV 2 et affections préexistantes, 14 090 d’entre eux avaient une maladie rénale chronique. « Cela représente plus de 11,2 % des 125 000 morts qui ont été utilisés pour justifier la tyrannie dictatoriale de l’année écoulée ».

Le NHS liste 62 054 de ces conditions sous-jacentes comme « autres » ; 13 391 des 82 766 décès étaient dus à une maladie pulmonaire chronique, 13 495 étaient atteints de démence et 8 544 avaient une maladie cardiaque, tous présumés « Covid ».

602 DÉCÈS CHEZ LES MOINS DE 60 ANS SANS MALADIES PREEXISTANTE !

Le plus grand nombre de décès à test positif (45 127) est survenu chez les personnes âgées de plus de 80 ans souffrant de maladies graves préexistantes.

Chez les personnes âgées de 60 à 79 ans à test positif et comorbidités, 31 522 décès ont été comptabilisés.

Chez les moins de 60 ans, depuis le début de l’épidémie, dans les hôpitaux anglais, il n’y a eu que 602 décès survenus chez des personnes testées positives sans comorbidités, et 5 569 chez des personnes testées positives et souffrant de maladie préexistante.

Le Daily se demande l’intérêt des autorités anglaises d’avoir bloqué toute une population qui ne risquait pratiquement rien du Covid-19.

« Les écoliers ont vu leur éducation stoppée, les adolescents ont vu leur jeune vie ruinée, de nouveaux parents ont été laissés isolés pour lutter seuls sans l’aide de leurs familles, la liste est sans fin ».

La majorité des décès qui peuvent effectivement être dus au Covid-19 (seulement 3 542 en tout) se sont produits, dans la très grande majorité chez des personnes âgées de plus de 75 ans.

Le gouvernement britannique a fourni une carte des « décès survenus dans les 28 jours suivant un test positif » par date de décès et par âge.

Les décès covid les plus fréquents se sont produits chez les personnes âgées de 90 ans et plus.

Le groupe d’âge suivant avec le plus de décès étant 85-89, puis 80-84 et ainsi de suite. Il y a une diminution générale du nombre de décès jusqu’à environ 65-69 ans.

Ensuite nous voyons une chute spectaculaire (proche de zéro) pour les personnes âgées de moins de 60 ans.

« L’espérance de vie moyenne au Royaume-Uni est de 81 ans. Pourtant, le Royaume-Uni a appliqué la tyrannie dictatoriale, détruit l’économie, décimé les entreprises et les moyens de subsistance des gens et créé un flot de problèmes de santé mentale pour éviter la mort de gens qui ont vécu plus longtemps que l’espérance de vie moyenne de 81 ans ».

IT’S ALL A LIE Le 13 avril 2021 dans « Breaking News »

L’enquête sur les données Office national des statistiques National Health Service pour l’année de Covid-19 révèle le plus grand mensonge du siècle.

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Nicole Delépine





Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux

Par Nicole et Gérard Delépine

Le sacrifice des enfants par un « vaccin » expérimental ne sauvera pas nos aïeux(([1] Children Next to be Sacrificed to COVID-19 mRNA Injections as 12-Year-Old Girl is Paralyzed During Trials (healthimpactnews.com) ))

[Illustration : Offrande à Moloch par Charles Foster]

Alors que depuis un an, nous nous efforçons de rappeler que les enfants sont « innocents du covid-19 », qu’ils ne transmettent pratiquement pas le virus, ni aux autres enfants ni aux adultes, nous découvrons avec horreur les projets de vaccination large des enfants de l’UE dans le fallacieux espoir d’interrompre la transmission virale avec des vaccins.

Ne jetons pas aux oubliettes plus de deux millénaires de progrès. Ne nous conduisons pas comme les Carthaginois du roman de Flaubert(([2] Salammbô est un roman historique de Gustave Flaubert, paru le 24 novembre 1862 chez Michel Lévy frère qui relate de manière romantique la révolte des mercenaires contre Carthage.)) en exposant des enfants innocents au Dieu vaccin Covid19 qui deviendrait alors le digne héritier du dieu Moloch.

Il est urgent d’agir, de se réveiller, de refuser de sacrifier nos enfants à nos angoisses amplifiées par la propagande terrorisante des médias aux ordres de quelques milliardaires qui tentent de transformer notre civilisation, voire de la liquider.

Les enfants ne risquent rien du coronavirus

L’étude de la littérature internationale démontre que les enfants ne sont pas menacés par cette épidémie.

Toutes les séries rapportées,(([3]
►Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020
►Ji Young Park First Pediatric Case of Coronavirus Disease 2019 in Korea J Korean Med Sci. Mar 23, 2020; 35(11)
►LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL.
►Qinxue Shen Novel Coronavirus Infection in Children Outside of Wuhan, China Pediatr Pulmonol. Apr 7, 2020. doi: 10.1002/ppul.24762. Online ahead of print
►Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020
►Zhonghua Er Ke Za Zhi pour la Société de pédiatrie et Association médicale chinoise : Recommandations pour le diagnostic, la prévention et le contrôle de la nouvelle infection à coronavirus 2019 chez les enfants (première édition intermédiaire). 2020 ; 58 : 169–74.]., Chinese Journal of Pediatrics
►Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China: an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars; S1473-3099 (20) 30198-5.)) tous les relevés nationaux et internationaux confirment tous que le Covid-19 est rare et presque toujours bénin chez l’enfant, et qu’il risque moins du Covid-19 que de la grippe saisonnière.

Aucun mort uniquement dû au Covid-19 n’a été recensé en France depuis quinze mois sur près de douze millions d’enfants âgés de moins de quinze ans (les trois morts testés PCR positifs étaient de grands immunodéprimés) alors que la grippe a fait en moyenne 8 victimes annuelles dans ce groupe d’âge.

L’OMS confirme que les enfants ne risquent pratiquement rien.

Chez les enfants, ce risque infime fait qu’aucun bénéfice individuel ne peut être espéré de la vaccination, alors que des complications post-vaccinales parfois graves, allant jusqu’à la mort, sont rapportées dans les médias.

Les enfants ne transmettent pas le virus

Les médias et le gouvernement tentent de nous effrayer avec des enfants dépistés positifs, mais ne précisent jamais que les asymptomatiques dépistés « positifs » ne sont pas des malades, n’excrètent pas le virus et ne peuvent donc pas contaminer leur entourage.

Si beaucoup d’émissions TV ou radio nous présentent « Mme Duchnok dont le fils aurait contaminé le professeur », aucune étude scientifique sérieuse ne l’a démontré. Parmi les 11 703 études internationales recensées sur la base de données PubMed le 25 avril 2021 sous les termes « Children Covid19 » dont 1849 avec « Children Covid19 transmission », on n’en trouve aucune qui rapporte avec certitude la contamination d’un autre enfant ou même d’un adulte en éliminant toutes les autres sources possibles. 

Plus de 20 études épidémiologiques dans une dizaine de pays ont recherché opiniâtrement des contaminations à partir d’enfants de moins de 15 ans : aucune n’a pu mettre en évidence un seul exemple réellement probant.

L’étude de l’INSERM(([4] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.)) est très démonstrative. L’enfant des Contamines a été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes, dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club. Il n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie. Et l’infection apportée de Singapour par un adulte est restée cantonnée aux occupants du chalet.

L’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy-en-Valois(([5] Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France: A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) a porté sur 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes. Aucun de ces trois enfants n’a contaminé quiconque, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

L’étude Coville(([6] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-nest-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) du groupe Activ (Association clinique et thérapeutique infantile du Val-de-Marne) dirigé par le professeur Robert Cohen, vice-président de la Société française de pédiatrie, a porté sur 600 enfants de la naissance à l’âge de 15 ans et permet de conclure que :

« sans histoire de Covid parental, l’enfant n’a rien. »

Aux Pays-Bas, les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans et il n’y a pas de cas d’enfants décédés du Covid-19. Une étude des ménages aux Pays-Bas a rapporté des données sur 116 enfants de 1 à 16 ans(([7] Sur la base des rapports des services de santé publique municipaux (GGD) )) et les résultats préliminaires ont montré que rien n’indique que les enfants de moins de 12 ans aient été les premiers infectés de la famille.

En Irlande(([8] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020; 25 :2000903)), avant la fermeture des écoles aucun cas de contamination scolaire n’a été détecté parmi les 924 enfants et 101 adultes au contact de six infectés (trois enfants, trois adultes).

En Australie,(([9] D’après l’Australian National Centre for Immunisation Research and Surveillance https://www.who.int/vaccine_safety/initiative/communication/network/ncirs/en/
Et Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) 9 élèves et 9 membres du personnel infectés par le SRAS-CoV-2 dans 15 écoles ont eu des contacts étroits avec un total de 735 élèves et 128 membres du personnel. Seules 2 infections secondaires ont été identifiées, aucune chez le personnel adulte. 1 élève du primaire a été potentiellement infecté par un membre du personnel.

En Suisse(([10] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the first two months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)): sur un total de 4 310 patients atteints du SRAS-CoV-2, 40 étaient âgés de moins de 16 ans (0,9 %). Parmi les 111 contacts familiaux positifs des enfants étudiés, les mères prédominaient (n = 39), suivies des pères (n = 32), des frères et sœurs pédiatriques (n = 23), des frères et sœurs adultes (n = 8) et des grands-parents (n = 7).

En Finlande, un enfant de 12 ans qui allait à l’école durant sa maladie a été en contact avec 121 personnes et n’en a contaminé aucune.

En Grèce,(([11] Helena C. Maltezoua Transmission dynamics of SARS-CoV-2 within families with children in Greece: a study of 23 clusters J Med Virol. 2020 août 7 ; 10.1002/jmv.26394. doi : 10.1002/jmv.26394)) l’analyse épidémiologique de 23 clusters touchant 109 personnes (66 adultes et 43 enfants) n’a retrouvé aucun cas de transmission à partir d’un enfant.

À Singapour,(([12] Agence gouvernementale de Singapour. COVID-19: cas à Singapour [Internet]. Singapour, Agence gouvernementale de Singapour. 2020 ; [cité le 12 mars 2020. Disponible sur : https://www.gov.sg/features/covid-19)) deux écoles primaires et une école secondaire ont constaté des covid-19 infantiles. Aucun des 34 contacts identifiés des écoles primaires ne s’est révélé positif. Parmi les 77 contacts de l’école secondaire, 8 ont développé des symptômes grippaux, mais aucun d’entre eux n’a été testé positif.

Sur les plus de 11 180 articles ayant pour sujet l’enfant et le Covid-19 répertoriés par PubMed le 9/4/2021 et les 1794 spécifiquement dédiés à la transmission éventuelle par les enfants, aucun n’apporte la preuve d’une transmission d’un enfant à un autre enfant ou à un adulte dans le monde réel.(([13]
►Weiyong Liu. et al.: Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371
►Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/S1473-3099(20)30232
►Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
►Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China: summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020; published online Feb 24. DOI:10.1001/jama.2020.2648
►Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars))

Les seuls articles qui évoquent cette possibilité se basent sur la charge virale ou sur des modélisations aux hypothèses fausses.

Certes des enfants scolarisés peuvent être malades ou testés positifs, mais chez les asymptomatiques, il s’agit le plus souvent de faux positifs (plus de 90 %), ou d’infections anciennes qu’ils ont contractées à domicile et dont ils sont guéris.

La fréquence de ces faux positifs chez les asymptomatiques est considérable : 97 % des cas lorsque le test PCR est réalisé avec un nombre de cycles d’amplification trop élevé). L’OMS a récemment recommandé de toujours considérer l’état clinique avant d’interpréter un test qu’elle ne juge pas utile pour un dépistage massif.

La parfaite inutilité des dépistages systématiques a été démontrée par les plus massifs d’entre eux, celui de Wuhan portant sur près de 10 millions de Chinois : aucun des asymptomatiques PCR positifs ne s’est révélé excréteur de virus, n’est devenu malade ni n’a contaminé quiconque.

Les transmissions scolaires sont possibles, mais toutes celles qui ont fait l’objet d’une enquête épidémiologique sérieuse montrent qu’elles sont liées au personnel adulte. Comme les enfants sont innocents de la transmission de la maladie, leur vaccination, même si elle était efficace et sans danger ne servirait à rien pour protéger les autres.

Allons-nous répéter les expériences nazies des vaccins ?

L’Association Médicale Mondiale (AMM) a élaboré la Déclaration d’Helsinki comme un énoncé de principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains.

Le Serment de Genève de l’Association médicale mondiale lie le médecin dans les termes suivants : « La santé de mon patient sera mon premier souci »

et le Code international d’éthique médicale énonce que « le médecin devra agir uniquement dans l’intérêt de son patient lorsqu’il lui procure des soins qui peuvent avoir pour conséquence un affaiblissement de sa condition physique ou mentale ». Dans la recherche médicale sur les sujets humains, les intérêts de la science et de la société ne doivent jamais prévaloir sur le bien-être du sujet.

Proposer ou prôner un vaccin expérimental à des enfants pour protéger autrui viole donc aussi les principes éthiques de la médecine.

Moderna et Pfizer ont annoncé récemment qu’ils commençaient des essais de leurs « vaccins » anticovid (de fait injections d’ARNm COVID) sur des enfants âgés de 6 mois à 11 ans. Plusieurs essais sont déjà visibles sur la base de données internationale clinicaltrials.gov disponible pour tous.

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Moderna a actuellement un essai en cours avec des enfants âgés de 12 à 17 ans avec environ 3000 participants.

Ces essais thérapeutiques sans intérêt médical ne sont pas sans risque : une jeune fille de 12 ans nommée « Maddie » en est déjà la victime, paraplégique.(([14] chaîne YouTube nommée WhatsHerFace ou sur la chaîne Rumble et la chaîne Bitchute si censure))

Si vous lisez en détail le descriptif de l’essai thérapeutique (tapez Covid19, Moderna ou Pfizer par exemple et children), vous voyez qu’est exigé le « consentement éclairé » des parents. Comment ce consentement peut-il être véritablement éclairé alors que cette maladie ne touche pas les enfants et qu’ils ne la transmettent pas aux adultes ? Même si tel était le cas, il ne serait pas éthique de se servir des enfants pour protéger d’autres humains et contraire au code de Nuremberg qui spécifie clairement que l’avantage supposé doit d’abord être direct. Quel bénéfice-risque quand la maladie est absente dans cette tranche d’âge ?

Le code de Nuremberg suivi des conventions d’Helsinki et d’Oviedo est formel. Ne pas les respecter nous ramène au temps des nazis. Sacrifier des enfants à la recherche est inacceptable. Mais à quelle époque cela nous ramène-t-il ? Comment pouvons-nous en arriver là ? Le sacrifice de son enfant à des fins de pratiques occultes a existé tout au long de l’histoire humaine. En est-on revenu à ces coutumes au moment où l’on s’apprête à conquérir Mars ? Ou bien les élites ont-elles comme certains le prétendent usé de pratiques infâmes qu’elles chercheraient à laver ?

La science corrompue suit une dérive sectaire

Les humains vivant en 2020 ont-ils été tellement paniqués par cette mascarade du coronacircus qu’ils ont besoin, comme de lointains ancêtres, de sacrifier aux puissances occultes qu’ils imaginent leur avoir infligé cette pandémie ?

« Les hommes ont toujours cherché à s’attirer les bonnes grâces de la divinité en particulier par la pratique des sacrifices. Sacrifier, c’est “faire sacrer” : une offrande passe dans le domaine divin et, en retour, le prêtre transmet des dons du ciel, tels que bénédictions, instructions, pardon ».

(([15] Les sacrifices dans la Bible | S.B.E.V. (bible-service.net) ))

« Sacrifices humains ? Le sacrifice humain est considéré comme une abomination en Israël et Juda… où cette pratique a néanmoins existé ! Sous l’influence des peuples voisins ? À Gezer (à mi-chemin entre Jérusalem et la Méditerranée, au N-O), près d’un lieu de culte cananéen, on a retrouvé des squelettes d’enfants. Au IXe siècle av. J.-C., un prince de Jéricho sacrifie son fils aîné lors de la reconstruction de la ville (1 Rois 16,34). À Jérusalem, au VIIIe siècle, les rois Achaz et Manassé commettent des actes semblables (2 Rois 16,3 et 21,16). Au VIIe siècle, le prophète Jérémie témoigne : “Les Judéens érigent le tumulus de Tafeth pour que leurs fils et leurs filles y soient consumés par le feu” (7,31). En cas de détresse, offrir ce que l’on a de plus cher demeure donc une tentation constante et cela, jusqu’au moment de l’Exil. Après l’Exil, quand le livre de l’Exode est mis en forme, il sera affirmé que tout premier-né “appartient” au Seigneur, mais qu’il faut le “racheter” par un animal (Ex 13,2.13 et 34,19-20) : le Seigneur est le Dieu de la vie »., © SBEV. Maurice Autané.

Une telle croyance est basée sur la peur, et ceux qui vendent cette peur agissent pour les intérêts de ceux qui vendent les « médicaments » pour nous protéger soi-disant de la chose redoutée. Tout au long d’une grande partie de l’histoire, la « santé » a été considérée principalement comme une question spirituelle, et si l’on était « malade », on rendait visite à un « prêtre » en son temple pour trouver comment apaiser les esprits, ou les dieux par une offrande, un ex-voto. »

On peut se demander si la « science » absolutiste qui a oublié le doute fécond et la discussion ouverte indispensable aux progrès n’a pas remplacé la religion de plus en plus absente de notre civilisation occidentale. La fameuse prophétie de Malraux (ou pas) sur « le XXIe siècle qui sera religieux ou spirituel ou ne sera pas » s’illustre au mieux dans nos nouvelles pratiques quasi barbares.

Les nouveaux ayatollahs des plateaux télé qui prétendent tout savoir, tout prévoir et veulent tout imposer relèvent plus de la secte que de la vraie science noyée par la corruption, tricheries, et manipulations élaborées. Ils sont même apparemment prêts à imposer des pratiques ancestrales et cruelles comme le SACRIFICE de nos enfants à travers une expérimentation mondiale de produits susceptibles de modifier le patrimoine génétique de l’humanité s’ils sont injectés à suffisamment de cobayes. Tragédie moderne.

« Les gens font confiance à ces autorités pseudo médicales ou pseudoscientifiques de la même manière que les croyants font confiance aux prêtres, pasteurs, imams ou autres autorités religieuses. Ces parents ignorants qui inscrivent leurs enfants à des essais expérimentaux covid-19 “vaccin” suivent le même chemin que les anciens qui ont écouté les autorités responsables de leur époque, et ont sacrifié leurs enfants aux prêtres pratiquant la sorcellerie ou la magie, leur faisant confiance et croyant qu’ils faisaient réellement quelque chose de bien pour eux-mêmes et leurs familles. »

Comment protéger vraiment nos vieillards ?

Les pays européens qui ont suivi les consignes de Ferguson et de l’OMS (confinement généralisé et absence de traitement précoce) souffrent des mortalités covid19 les plus élevées par million d’habitants (au 25/4/21 : 2070/M pour la Belgique, 1940/M en Italie, 1877/M au Royaume-Uni, 1563 en France).

Nos gouvernants ont parié que la fin de crise serait obtenue par des traitements nouveaux ou des vaccins, mais le Remdesevir s’est révélé un traitement hors de prix toxique et incapable de diminuer la mortalité.

Les vaccins actuels apparaissent beaucoup moins efficaces et plus toxiques que proclamés par les communiqués de victoire des laboratoires et incapables de prévenir la transmission. O Veran l’a reconnu ainsi dans un mémoire récent au Conseil d’État « les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ». De plus d’après les membres du comité scientifique dont Delfraissy(([16] Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)) les vaccins suscitent l’apparition de variants contre lesquels ils sont inopérants : « Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. … La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme.

À ce jour l’Inde a subi le plus grand nombre mondial de contaminations (16 960 172 cas confirmés) et malgré la faiblesse de son réseau de soin elle compte proportionnellement dix fois moins de victimes que la France (148/M contre 1563/M) et la décision de son comité sanitaire de recommander des traitements précoces et même parfois préventifs (dont la chloroquine) en est certainement responsable.

Boris Johnson a enfin compris que les vaccins ne constituent pas la solution et l’importance de traiter précocement l’infection pour prévenir les aggravations(([17] Agence Reuters British PM Johnson launches search for COVID-19 antiviral treatments 20/4/2021.)) ; il vient de débloquer des fonds conséquents pour réaliser des essais et promet : “avant la fin de l’année, les Anglais infectés pourront être soignés à domicile avec des médicaments, pour réduire le besoin de lits d’hôpital”.

Serons-nous encore une fois les derniers à admettre l’importance des traitements précoces ?

Pour sauver nos vieux, il ne faut pas vacciner les enfants ;
il faut laisser les médecins prescrire !





La funeste illusion de Klaus Schwab pour sa Grande Réinitialisation

[Source : cultureetracines.com]

Modeste Schwartz : la funeste illusion de Klaus Schwab

En dépit d’une existence assez cosmopolite, Modeste Schwartz est citoyen français mononational, normalien et agrégé. Traducteur, linguiste, polyglotte, il a publié un premier essai politico-philosophique, intitulé YINl’Occident comme cunnicratie en 2020 aux éditions Culture & Racines. Il publie aujourd’hui chez le même éditeur Le magicien de Davos. Vérité(s) et mensonge(s) de la Grande Réinitialisation.



Cette thématique proche des préoccupations de l’Antipresse, il l’éclaire d’un point de vue et avec un style très différents. On est loin, ici, du ton diplomatique des analyses socio-économiques courantes. Schwartz est de toute évidence un essayiste d’assaut. Sa démarche nous a interpellés. Nous l’avons donc interpellé à notre tour.

Trois questions à Modeste Schwartz…

Pourquoi Klaus Schwab vous fascine-t-il tant?

A vrai dire, contrairement à mon « collègue d’écurie » chez Culture & Racines Éric Verhaeghe (qui lui travaille dans la veille stratégique et dans la prospective), avant 2020, j’avais à peine conscience de son existence (même si j’étais déjà bien conscient de l’existence et du rôle de Davos). C’est Schwab qui, comme le dit si bien son ami Gates, « a su capter notre attention » par l’instauration d’une dictature qui se voudrait planétaire, et à laquelle il fournit sans s’en cacher le moins du monde son programme officiel. J’imagine que les Russes de 1918, même peu politisés, s’intéressaient facilement au personnage de Lénine…

Pourquoi ce livre?

Aussi bien en français qu’en anglais, les premières réactions à la Grande Réinitialisation (celles de 2020) m’ont convaincu que j’avais une pierre à ajouter à l’édifice – notamment en répondant (avec, j’espère, plus de lucidité que d’autres) aux questions « à qui s’adresse Schwab? » et « Schwab est-il communiste et, si oui, de quel type? ». Or, pour vaincre le schwabisme, il faudra d’abord le comprendre.

Justement: pensez-vous que le schwabisme a une chance de s’imposer, et dans quelles conditions?

Si l’on entend par là l’utopie/dystopie décrite par son livre: en aucun cas (et surtout pas mondialement). Sans dérive du modèle, tout cela devrait capoter en un ou deux ans tout au plus. En revanche, à l’intérieur de cette tyrannie déjà constituée qu’est l’UE, le schwabisme pourrait (si nous manquons de chance et laissons faire) fournir son prétexte doctrinal à une «Union covidienne» bien moins futuriste. Un peu comme, sous Staline, le bolchevisme a mué en soviétisme – auquel cas cette monstruosité pourrait éventuellement tenir encore une décennie, plus ou moins.


EXTRAIT. Chapitre III — Hilferding, Huxley, Schwab VS Lénine, Orwell, Macron : essai de zoologie taxinomique du progressisme

Est-il normal de mentir au public pour le plus grand bien? » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 179)

« Une seule voie nous mènera vers un monde meilleur » (K. Schwab, La Grande Réinitialisation, p. 204)

« The beatings will continue until morale improves. » (Sagesse populaire)

Entre le judéo-viennois Hilferding (1877–1941), médecin et fils d’un riche marchand de cette capitale de l’Europe qu’est alors Vienne, et le russo-tatare provincial Lénine (1870–1924), il y a presque la même distance sociale qu’entre le *dandy upper class *Huxley (1894–1963) et le upwards mobility working class boy Orwell (1903–1950) – ou encore entre le Professeur Klaus Schwab (né en 1938), fondateur du Forum économique mondial, et le petit parvenu Macron.

Ce triple parallèle n’a rien d’accidentel.

Lénine, homme intelligent, mais provincial dans l’âme, s’est condamné à l’illogisme du jour où il a décidé de concilier le marxisme (et sa doctrine essentiellement centrifuge de propagation du progrès social depuis les centres industriels) avec le projet d’une révolution bourgeoise d’émancipation nationale (seule catégorie qu’un marxisme rigoureux soit en mesure d’attribuer aux événements russes de 1917). L’extermination des koulaks, les famines provoquées etc., tout ce lourd cahier des charges qu’il léguera, en crevant à l’anglaise, à son rude majordome caucasien, sont déjà présentes, en germe, dans cette contradiction originelle.

Macron, bourgeois de province, Rastignac dégénéré, produit typique de l’Éducation nationale française sous sa forme spécifiquement post-bonapartiste des khâgnes, rêve à 20 ans de souveraineté, vibre avec Chevènement (on vibre avec ce qu’on peut). Et puis finalement, il se rend compte que le dispositif xénocrate de la Ve République finissante ne peut porter au pouvoir que des serviteurs de Davos. Suivant les conseils du bon docteur Attali, il signe chez Rothschild. On ne connaît que trop la suite de cette triste histoire.

Orwell, un homo novus de la toute petite bourgeoisie britannique, qui n’a commencé à réellement réfléchir qu’en assistant à l’inévitable écrasement de sa chère révolution anarcho-gauchiste catalane par les staliniens, nous a laissé une vision dystopique inspirée de la société réellement créée par Lénine (et son successeur Staline), c’est-à-dire des conséquences d’une interprétation autoritaire/révolutionnaire du marxisme – passée à la postérité sous le nom de léninisme(1). On remarque que, comme Huxley comparé à Hilferding et Schwab(2), Orwell ne diffère des deux autres (Lénine et Macron) que par ce scrupule de dernier instant(3) qui le saisit au vu des cadavres de ses amis anars et trotskos allongés par le NKVD.

Pour les austromarxistes (courant dont Hilferding est issu, et dont il crée la synthèse théorique la plus achevée), en revanche, il était clair dès avant 1917 que la révolution russe ne pouvait qu’ouvrir une parenthèse historique locale(4) : ils savaient d’avance que ce à quoi le naïf Orwell assistait horrifié en Catalogne ne serait que le mopping-up(5) d’un échec consommé dès le moment où Lénine et sa poignée de fanatiques ont tenté d’appliquer les idées de Marx à une société périphérique et arriérée.

Huxley, fils gâté de l’aristocratie intellectuelle, à qui sa femme bisexuelle fournissait des maîtresses à tirer en triplette le soir venu(6), partageait très probablement l’intuition des austromarxistes concernant l’impasse soviétique; frère et cousin des Klaus Schwab de l’entre-deux-guerres, il savait bien mieux qu’Orwell ou que le jeune Macron ce que l’Occident (qui ne pouvait que gagner) nous préparait: un totalitarisme technologique, fondé non sur la crainte et la douleur, mais sur la manipulation et les menus plaisirs du lapin de laboratoire. Orwell ne voyait que tortures et prisons, qui n’ont d’utilité que pour mater des hommes libres. Huxley savait que les zombies que l’Occident aspire à produire n’auraient nul besoin de ce genre de traitement. Il avait, simplement, quelques scrupules (probablement issus d’un vieux fond chrétien) concernant la moralité de ces brillantes perspectives. C’est à ces scrupules – et à son ambition littéraire – que nous devons Le Meilleur des mondes. Dans lequel il décrit ce monde que les descendants (au moins intellectuels) de ses frères et cousins, réunis autour des grands-messes annuelles de Davos, s’emploient actuellement à créer, sous prétexte sanitaire – programme que résume (tout en l’embellissant un peu) Klaus Schwab, secrétaire du parti, dans sa Grande Réinitialisation de juillet 2020.

Or, le mécanisme d’apparition de ce meilleur des mondes, c’est la fusion de l’État et du grand capital financier, que Hilferding prédisait dès 1910, et que Schwab, 110 ans plus tard, nous «annonce» (comprendre: ordonne) pour un avenir, ce coup-ci, imminent. Schwab, comme Hilferding avant lui, présente cette fusion comme une appropriation démocratique: l’État devenu socialiste confisquant la superstructure finances/industrie (et désormais: finance/High Tech). En réalité, Hilferding (futur élu du SPD allemand au moment où il écrit…) se doutait bien de ce que Schwab ne peut que pertinemment savoir (mais s’abstient naturellement soigneusement d’écrire) : c’est, bien entendu, l’inverse qui se produit, l’oligarchie bancaire (et son avant-garde pseudo-technologique de la Silicon Valley) cooptant les élites démocratiques d’États transformés en shows par le Gestell médiatico-électoral. Huxley, écrivant sous le manteau de la fiction, n’avait pas ce genre de précautions oratoires à respecter – par ailleurs, les trois visions concordent parfaitement.

La version fictionnelle (celle de Huxley) est d’ailleurs aussi la seule dans laquelle ce projet – si profondément contraire aux instincts les plus enracinés de Sapiens Sapiens – réussit. Car régulièrement(7), cette belle locomotive transhumaine déraille. La République de Weimar (dont Hilferding a été ministre des Finances) débouche sur la misère, l’anarchie et, finalement, l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler. Hilferding, après avoir passé le plus clair des années 1920 à louvoyer entre l’aile centriste non-marxiste du SPD et les communistes (s’attirant pour cela les foudres du Lénine des dernières années), rejoint finalement le «socialisme révolutionnaire» dans les années 1930, «devant le péril fasciste». C’est-à-dire qu’il rejoint de facto le parti de Lénine (post mortem), et les assassins des amis anarchistes d’Orwell. Gageons (car on en voit déjà des signes très clairs) que l’utopie grand-réinitialisée du Hilferding de la carte à puces (j’ai nommé le camarade Schwab) tournera au moins aussi bien que celle de Weimar. Puisque, finalement, l’Occident où réussit ce brillant putsch covidien est, dans le monde de 2020, presqu’aussi périphérique déjà (du point de vue économique) que la Russie de Nicolas II en 1914; et l’exploit pseudo-sanitaire de 2020–21 le fera, soyons-en sûr, reculer suffisamment pour qu’on puisse, à terme, le comparer directement à la Russie de 1917 (une économie balbutiante, et qui déraille après trois ans de débâcle militaire), ou au moins à l’Allemagne de Weimar. Or c’est au début de ce genre d’époques – où le vert inclusif se tache soudain de rouge sang – que les Hilferding et les Schwab de ce monde tendent à se souvenir brusquement de leur affection (pourtant teintée de dégoût) pour des coreligionnaires plus frustes, moins frottés de Thèses sur Feuerbach, mais dotés d’un sens plus vif du flashball et du camp de concentration. Ce qui, par la suite, fournit des sujets littéraires aux Orwell de ce monde, et autres petits greffiers de l’horreur consommée.

Cette mise en perspective a pour but de faire comprendre au lecteur néophyte que Klaus Schwab – même s’il se doute bien que l’OMS nous ment, même s’il croit moins qu’il ne le prétend à la spontanéité des évolutions qu’il ordonne en faisant mine de les prédire – est sincère. Dans sa vision du monde(8), ces mensonges sont un moindre mal au service d’un plus grand bien. Il n’a pas de haine à l’encontre des anarchistes, des libertariens, des chrétiens et autres églises prêchant la méfiance face à l’État omniprésent: il les plaint. Et si les appels à frapper et emprisonner les «négationnistes» (qui doutent de la transsubstantiation de la grippe en peste) ne viennent jamais de lui, c’est bien sûr aussi le résultat d’un casting qui lui assigne un rôle de «bon flic»(9) – mais pas uniquement: s’il fait ce qu’il fait à cet âge vénérable, c’est parce que, comme son camarade Piketty, comme feu le camarade Hilferding, il pense sincèrement que sa Grande Réinitialisation correspond aux aspirations les plus profondes et les plus sain(t)es du genre humain, tel que sa secte le redéfinit. Il aura donc un pincement au cœur absolument sincère quand ses gouvernements covidiens commenceront à tirer dans la foule, et qu’il faudra, une fois de plus, laisser la place au léninisme. Nous l’aurons déçu.

NOTES
  1. A propos de cette habitude terminologique, voir la conclusion du présent texte.
  2. Ou encore comparé à ses propres frères et cousins de l’aristocratie britannique: ancêtres (au moins intellectuellement – parfois aussi biologiquement) des confrères de Schwab.
  3. Peut-être un peu favorisé par certaines largesses du MI6 dans le contexte du début de la Guerre froide – mais passons.
  4. Même s’il n’en prévoyaient pas forcément la longueur surprenante, due à des facteurs parasitaires – de même que Hilferding lui-même a visiblement «mal calculé» Hitler. C’est d’ailleurs un trait structural des hilferdingiens: trop habitués à raisonner en millénaires, ils ont du mal avec les décennies…
  5. Pour employer les mots d’un autre fils spirituel de l’(austro)marxisme: Alexandre Kojève.
  6. Comme la Beauvoir à Sartre, et presque à la même époque.
  7. Et de façon, soyons en sûrs, mystérieuse pour ces croyants plus ou moins enthousiastes de l’évangile occidental.
  8. Vision du monde qui est en réalité une religion – d’autant plus dangereuse qu’elle se conçoit elle-même comme pure immanence – cf. infra Chap. 8.
  9. Dans le dispositif davosien, même quand elle est la conséquence inévitable des instructions de la Centrale, la violence directement ressentie par les citoyens doit toujours venir d’autorités nationales. D’où la grande naïveté des rêveries conspirationnistes sur la proclamation imminente de je ne sais quel «Etat mondial» (naïveté encouragée par le vocable de «mondialisme»). Nous y reviendrons.

Antipresse
Samedi 10 avril 2021.




« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

Par Alain Nicolaï, auteur du  Livre des Sept Sceaux (Le Retour à l’Évidence)

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« Nous sommes en guerre. »

Macron le 16 mars 2020

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Aux naïfs qui ne se sont pas encore rendu compte que la politique de Macron et de son gouvernement(([1] Gouvernement dont il faut se demander si une partie n’est pas manipulée par Macron, de même que la plupart des députés LREM. Remarque : ce qui ne les excuse en aucun cas, puisque, en théorie, ils devraient avoir un cerveau.)), loin d’être incohérente, est en fait simplement l’exécution d’un plan machiavélique préparé de longue date par la finance (le banco-centralisme), certains milliardaires et les partisans du nouvel ordre mondial, il va être présenté dans cet article une suite d’informations cachées au grand public qui le prouvent abondamment. Il est très facile de le démontrer, puisqu’une grande partie des textes et des vidéos ci-dessous proviennent de leurs propres sources. 

Au cours de l’histoire de France on n’a jamais vu un gouvernement provoquer une dépression économique. Cette pandémie de Corona a commencé en janvier 2020, pourquoi ?  

Extrait de la conférence faite le 20/11/2020 à Berlin par Paul Schreyer, journaliste d’investigations :

On peut bien sûr se dire : il y a un virus qui apparaît, et voilà. Si nous restons dans l’explication officielle, et après, ça a suivi son cours. C’est arrivé comme le destin l’a voulu. Si nous supposons maintenant que cela ne s’est pas produit de manière aussi fatale, mais que cela a été dirigé par certains cercles, une sorte de gymnastique mentale, alors il n’est peut-être pas inintéressant d’éclaircir ce qui s’est passé en septembre 2019.

Parce que c’est à ce moment-là qu’un très gros tremblement de terre s’est produit sur les marchés boursiers. Je n’avais presque rien remarqué. A l’époque, j’y ai vaguement fait attention, c’était juste un petit événement, mais je n’avais pas suivi et ce n’est que maintenant, lors de la préparation de ma conférence, que je l’ai examiné de plus près.

Comme je l’ai déjà dit au début, je n’ai pas encore abordé ce sujet dans mon livre. Pour vous donner une idée de ce qui s’est réellement passé, je vais simplement vous montrer un court article de presse qui résume assez bien la situation. C’est un article de la « Zeit » (un journal allemand). Il a été publié en octobre 2019, et on y lit:

« Court-circuit dans le système financier. La Réserve fédérale américaine veut empêcher une défaillance totale du marché monétaire en injectant des milliards de dollars. À quel point la situation est-elle critique? »

Je vais vous lire les informations clés de l’article pour que vous compreniez ce qui se passait : « La crise est survenue du jour au lendemain. Les banques étaient à court d’argent. Les banques centrales ont injecté des centaines de milliards de dollars sur le marché monétaire, juste pour éviter le pire. Tout cela ressemble à l’apogée de la crise financière mondiale il y a onze ans — mais en fait, il s’agit de l’avant-dernier lundi. » Donc septembre 2019. « C’est à ce moment-là qu’une partie essentielle du système financier mondial était au bord de l’effondrement, et le public n’a quasiment rien remarqué. »

« Dans la nuit du 17 septembre, un certain taux d’intérêt (…) a grimpé sans prévenir : le taux qui s’applique aux banques qui veulent emprunter à court terme. Normalement, les banques sont approvisionnées en argent liquide pour un intérêt d’environ deux pour cent (…) Mais soudain, l’argent liquide y coûtait dix pour cent. (…) La dernière fois que les banquiers centraux ont dû intervenir sur marché Repo (le marché des pension) — c’est le nom de cette place financière —, c’était après la disparition de la banque d’investissement Lehman Brothers en 2008. À l’époque, la détresse de cette banque d’investissement avait déclenché un état d’urgence dans cette partie du système financier, ce qui avait presque conduit à l’effondrement de l’économie mondiale. »

J’ai trouvé cela très intéressant et je le trouve toujours très intéressant. J’ai donc essayé de vérifier ça, de jeter un coup d’œil sur les chiffres. Je suis allé sur le site de la Réserve fédérale, la Réserve fédérale américaine. Et là, j’ai trouvé le graphique suivant. (Min. 53.32 * graphique)

Pour ceux d’entre vous qui ne sont pas familiers avec la finance et les chiffres, ne vous inquiétez pas, ce graphique n’est pas magique. Pas aussi compliqué qu’il n’y paraît à première vue. Je vais essayer de l’expliquer brièvement : Le graphique montre le « bilan », c’est-à-dire le total des actifs de la banque centrale.

On pourrait le traduire ainsi : Le graphique montre la quantité d’argent que la Réserve fédérale apporte à l’économie américaine. Alors, combien d’obligations d’État achète-t-elle, et combien d’obligations de sociétés achète-t-elle.

Cela signifie que la Réserve fédérale crée de l’argent et le met sur le marché pour compenser le fait que les banques ne se prêtent plus d’argent parce qu’elles ont perdu confiance. C’est ce qui se passe. On pourrait nommer cela également, de manière un peu simplifiée, la courbe de température de l’économie américaine. En fait, c’est excatement ça. (*Min. 54.21).

Commençons par la gauche. En 2008, avant la crise financière, la Réserve fédérale avait des actifs totaux d’environ un trillion, 1’000 milliards de dollars. Ça a doublé en quelques semaines, à l’automne 2008. Oui, pourquoi ça a doublé ? Parce que les banques ont arrêté de se prêter de l’argent entre elles. La confiance a disparu. Et c’est à ce moment-là que la banque centrale doit intervenir, sinon le système s’effondre. C’est ce qui s’est passé.

Ce qui est intéressant, c’est qu’il n’a pas été réduit, le niveau est resté le même au cours des années suivantes. En 2010, 2011, il a été augmenté. 12,13,14, il a encore été augmenté. Ensuite, il y a eu une phase de plateau de 2015 à fin 2017. Avec une phase de plateau très élevée, quatre mille milliards, donc quatre fois le niveau d’avant la crise. Si vous regardez cela avec le recul d’aujourd’hui, vous pouvez voir que cette bulle était gigantesque. Il est clair pour nous qu’une bulle aussi importante ne peut être maintenue éternellement. À un moment donné, il faut la dégonfler ou elle va éclater. Et c’est exactement ce que la Réserve fédérale a essayé de faire à la fin de 2017. Elle a décidé de dégonfler lentement et délibérément cette bulle de manière continue. Vendre des actifs et ainsi dégonfler l’argent du système à nouveau. Et ça a bien marché pendant deux ans. De fin 2017 à fin 2019 — et là, nous allons zoomer — vous pouvez le voir à nouveau. Comment, continuellement, donc mois après mois, la banque centrale essaie de dégonfler la bulle. Et les marchés ont joué le jeu. Les investisseurs l’ont accepté.

Et en septembre 2019, quelque chose s’est produit. Je ne sais pas quoi, je ne peux pas vous le dire. Mais le fait est que la confiance dans ce marché financier, dans ce « marché repo » s’est effondrée en septembre 2019. Et cela a conduit la banque centrale à devoir changer totalement de cap. Ce qu’elle avait fait pendant deux ans, elle a dû l’inverser complètement. Il fallait recommencer à acheter. Cela a donc été un choc pour cette banque. Et vous pouvez voir, ce pic ici, n’a rien à voir du tout avec la Corona. Nous sommes en janvier 2020, et puis en mars, c’est la montée dans l’ombre de la Corona. Mais ce qui se passe ici, en octobre, novembre et décembre 2019, n’a rien à voir avec la crise de la Corona. Mais c’est le même mouvement qui s’est intensifié par la suite.

Si vous regardez ça maintenant… Oh non … D’abord, je voudrais vous montrer un rapport de janvier 2020, un rapport du 16 janvier, c’est-à-dire avant même que la Corona ne devienne le grand sujet médiatique. Le journaliste du Handelsblatt Norbert Häring a écrit un article sur cette augmentation. Et il y écrit :

« La FED a justifié son intervention — de manière peu convaincante — par une erreur de calcul temporaire de sa part (…). Il ne faut en aucun cas en conclure que les banques ne se font plus confiance. La prétendue erreur de calcul est apparemment assez persistante. Quatre mois plus tard, les prêts d’urgence (…) sont toujours disponibles en quantités illimitées, et il n’y a pas de fin en vue. 

La FED garde secrets les noms des bénéficiaires des prêts afin de ne pas les marquer d’une réputation d’indigence. (…) 

Peut-être que le boom des marchés financiers alimenté par les banques centrales est dans sa phase finale avant l’effondrement. »

Norbert Häring

Permettez-moi de replacer cela dans un contexte temporel plus large. J’ai choisi un graphique des actifs totaux de la Réserve fédérale remontant non pas à 10 ans, mais à 100 ans. C’est le nombre d’années d’existence de cette banque. (Min. 57.45 graphique) Voilà, c’est cette courbe.

C’est fait là où vous voyez dans quelle mesure la Réserve fédérale est impliquée dans l’économie américaine. Et nous voyons — nous sommes ici en 2008 — la crise financière. La dernière fois qu’une crise de cette ampleur s’est produite, c’était lors de la Grande Dépression de 1930. Les valeurs jusqu’à la Deuxième Guerre mondiale ont été lentement réduites après la guerre mondiale. C’est le niveau, c’est la gravité que nous avons atteinte avec la crise financière de 2008 et aussi avec la crise qui a éclaté à nouveau en septembre 2019. C’est la dimension dans laquelle nous nous trouvons, sur le plan fiscal.

L’Event 201, l’ultime simulation basée sur les Relations Publiques

En octobre 2019, l’exercice suivant était  » l’événement 201 « . Voici l’endroit, l’hôtel où cet exercice a eu lieu. Nous voyons un hôtel chic de Manhattan, sur la 5e avenue. Et là-bas, c’est Central Park. Oui, et si vous descendez un peu la rue, à quelques rues d’ici, vous trouverez la tour Trump. C’est donc la rue la plus chère de Manhattan ici. Et cet hôtel a ouvert en 1930, en pleine crise économique, avec l’argent des grandes banques de Wall Street.

Et l’architecture de cet attique s’est inspirée de la chapelle de Versailles, la splendeur baroque de Louis XIV. C’est dans cette splendeur que les banquiers de Wall Street qui l’ont financé voulaient vivre. Ils se voyaient un peu à ce même niveau. Oui, l’hôtel est toujours là aujourd’hui. Et c’est là, à New York, qu’a eu lieu l’exercice « Event 201 », au cours duquel une pandémie de coronavirus a été répétée.

Laissez-moi vous dire qui est assis à cette table, afin que vous puissiez vous faire une idée des personnes qui répétaient : voici le modérateur du Center for Health Security (min 59:32), à côté de lui se trouve Christopher Elias. Nous l’avons vu tout à l’heure, il fait partie de la Fondation Bill Gates et a été conseiller du gouvernement fédéral, comme nous l’avons appris tout à l’heure. À sa droite, le directeur du Centre de contrôle des maladies. Ici, c’est le chef de l’agence chinoise de contrôle des maladies. Ils ont également participé à cet exercice. Et puis le vice-président de Johnson & Johnson, la plus grande société pharmaceutique du monde en termes de valeur marchande. Et elle, c’est l’ancienne vice-présidente de la CIA, elle était aussi dans ce panel. Et le monsieur en face est le président de l’agence de relations publiques Edelmann, la plus grande agence des relations publiques au monde.

Lors de cette conférence, lors de cet exercice, comme je l’ai dit, une pandémie de coronavirus a été jouée, également en termes de relations publiques.

Il est dit dans les documents relatifs à cet exercice que « les gouvernements devront travailler avec les sociétés des médias pour rechercher et développer des approches plus sophistiquées pour contrer la désinformation. Il va donc falloir développer la capacité d’inonder les médias d’informations rapides, précises et cohérentes. (…) Pour leur part, la presse devrait s’engager à faire en sorte que les messages officiels soient prioritaires et que les faux messages soient supprimés, y compris par le biais de la technologie. » Et c’est exactement ce qui se passe en ce moment même.

Voici une autre photo de cette conférence ; nous voyons l’organisatrice ici, il s’agit de la directrice du Centre pour la sécurité sanitaire, Anita Cicero. Elle est avocate. Elle a œuvré, avant de travailler pour cet institut, pour un grand cabinet d’avocats en tant que lobbyiste pharmaceutique. Elle avait trois cents avocats sous ses ordres et ses interlocuteurs comprenaient des membres de la Commission européenne, des hommes politiques du Sénat américain, auxquels elle a fait valoir les intérêts de l’industrie pharmaceutique avant de devenir ensuite vice-directrice de ce centre et d’aider à organiser des exercices comme celui-ci.

Ce que je trouve très intéressant, c’est la présentation en haut à gauche de l’image, où l’on voit comment cette crise, qui a été fictivement mise en scène, est illustrée. Vous pouvez donc voir ici un graphique, les numéros de cas, comment ils se développent. Vous pouvez voir quels pays sont touchés dans quelle mesure, vous pouvez voir comment les cours boursiers évoluent au même moment, combien de décès il y a, projeté sur les mois suivants.

M Schreyer montre l’infographie présentée lors de l’Event 201 et sa ressemblance avec celles qui nous accompagnent depuis plus d’une année.

Voir la transcription intégrale de la conférence sur le site de Liliane Held Khawam.(([2] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/18/une-serie-de-simulations-de-pandemie-a-precede-la-crise-du-covid-19-partie-1-paul-schreyer/)) (([3] https://lilianeheldkhawam.com/2021/04/21/une-pandemie-qui-survient-au-lendemain-du-crash-du-marche-des-repo-suite-et-fin-de-la-traduction-de-la-conference-de-paul-schreyer/))

À notre connaissance le premier à avoir dénoncé la crise sanitaire comme étant une manœuvre de la haute finance est un trader italien Andreas Cecchi.(([4] Version italienne et française de l’article original en partie flouté par la censure, repris par Nouveau Monde https://nouveau-monde.ca/le-bon-virus-au-bon-moment/))

Voici un court extrait de son article publié dès le 12 mai 2020 qui résume bien la situation :

« Le virus est vraiment arrivé au bon moment. S’il n’était pas arrivé, les taux d’intérêt auraient grimpé en flèche et le marché de la dette et le marché des produits dérivés (2,5 milliards de milliards — estimation BRI) auraient explosé en une supernova aux proportions bien pires que ce qui s’est passé (en 2008). Une crise pour laquelle il n’y a pas d’outil pour la gérer.

Arrêter l’économie et donc la demande de prêts et inonder les banques de liquidités nouvelles semblait être la solution la moins dommageable. Au moins pour eux. Le slogan “tout ira bien” qu’ils ont mis dans la bouche des zombies sans tête, a servi à réitérer que tout ira bien pour eux, pas pour nous, et que pour l’instant, l’effondrement monétaire n’aura pas lieu, car ils ont arrêté l’économie en jetant tout le monde. Nous restons immobiles, immobiles dans un coin, comme dans une prison planétaire. En sauvant les REPO, les Hedge Funds et donc les fonds de pension ont également été sauvés. Pour l’instant, les retraités peuvent se reposer tranquillement. Leur pension est assurée. »


À ces manœuvres, s’ajoutent de multiples projets préparés de longue date, comme on le comprend facilement en lisant :
l’Agenda 2030 de l’ONU,(([5] Voir sur https://www.lilianeheldkhawam.com))
la déclaration de la Banque Européenne(([6] https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html))
ou celle de Klaus Schwab, Président fondateur du Forum Économique Mondial(([7] https://nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/ Ce qui se résume ainsi : pour le remboursement des dettes créer par votre gouvernement nous saisirons tous vos biens.)) 
qui convergent tous vers la prise de pouvoir qu’ils voudraient planétaire par la caste des fascistes.

La France est bloquée et privée de liberté depuis plus d’un an alors que Plus de 90 % des décès du Covid-19 surviennent chez les plus de 65 ans (lefigaro.fr)Il n’y a vraiment que les naïfs pour croire que derrière tout ceci il n’y a pas d’intentions cachées.

L’instrumentalisation de l’épidémie de Covid 19 rappelle les heures les plus sombres de l’histoire, avec la propagande nazie qui a fait d’une nation cultivée la victime d’un des plus grands criminels de l’histoire. Mais avec ce qui se passe actuellement en France et dans de nombreux pays, à l’exception notoire de la Fédération de Russie et de la République Populaire de Chine,(([8] La Chine et la Russie lancent une « économie mondiale de la résistance ». — Nouveau Monde  États qui ne sont plus confinés et qui ont repris leur marche en avant.)) nous avons franchi un pas de plus dans l’abjection :
l’Union Européenne, les gouvernements et les chefs d’État qui trahissent leur propre population.

Pour couronner  le tout, la dernière de Macron, l’entrepreneur de démolition :

« Nous devons déconstruire notre propre histoire. »

(([9] https://www.nice-provence.info/2021/04/22/chronique-decomposition-francaise-le-retour-des-barbares/))


La devise de la République française est Liberté — Égalité  Fraternité,
pour être parfaite elle devrait être, Équité Liberté Objectivité,
car cela donne :

Équité + Liberté + Objectivité = Fraternité.

Le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider.

Certes Nicolas Sarkozy et François Hollande étaient des partisans du nouvel ordre mondial comme l’indiquent certaines de leurs déclarations… , mais dans les faits, le seul président qui a osé — dans le pays qui a proclamé le premier les Droits de l’homme — ouvertement briser le Pacte Républicain, est le dénommé Macron. Aussi il ne faudra pas qu’il s’étonne le jour où il en paiera le prix cash !!!!!


Notes




Ce que l’Europe nous prépare

[Source : Observatoire européen de la Transition (transition-europe.eu)]

COMMENT S’ALIGNER SUR UNE TRAJECTOIRE COMPATIBLE AVEC LES 1,5°C ?

Suite au rapport alarmant du GIEC paru en octobre 2018, le cabinet d’analyse B&L Évolution a présenté en décembre 2018 ses recommandations pour limiter le réchauffement climatique à 1,5°. Ce document a pour objectif de mettre du concret sur ce que signifie une trajectoire compatible avec les 1,5°C, c’est-à-dire qui permette de limiter le réchauffement climatique à une augmentation de la température moyenne à la surface de la Terre de 1,5°C par rapport au niveau préindustriel. Le but de l’étude est d’aider à comprendre l’ampleur des efforts nécessaires, afin que chacun puisse juger de leur faisabilité ou de leur réalisme dans le contexte actuel. Si l’étude se focalise sur les mesures à prendre en France, elle peut servir d’exemple pour tous les pays européens.

Quel est le niveau d’ambition nécessaire pour parvenir à limiter le réchauffement climatique à une augmentation de 1,5°C ? Qu’est-ce que ça signifie en France ? Quels types de mesures doivent-être appliquées pour y parvenir ? Peut-on réellement suivre cette trajectoire ? Voici les questions auxquelles le cabinet B&L Évolution a décidé de répondre dans une étude qui s’appuie sur le scénario proposé par le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) dans son rapport spécial d’octobre 2018. Intitulé « Comment s’aligner sur une trajectoire compatible avec les 1,5°C ? », le document analyse la faisabilité technique de ce scénario et met en perspective l’ampleur des mesures à mettre en place pour y arriver.

L’étude passe en revue l’ensemble des secteurs les plus émetteurs de gaz à effet de serre (résidentiel, tertiaire, mobilité, agriculture, industrie de l’énergie, aménagement, émissions liées à l’aviation, services et bien de consommation dont l’industrie textile et le numérique) et explicite pour chacun d’eux des exemples de mesures types permettant de réduire suffisamment les émissions de GES pour s’inscrire dans une trajectoire compatible avec l’objectif de 1,5°C.

L’étude se concentre sur la faisabilité d’une telle trajectoire uniquementsans analyser les aspects sociaux et économiques de telles mesures. Pour les auteu.rice.s de l’étude, « il ne s’agit ni de proposer un programme réaliste économiquement, ni de proposer un programme souhaitable socialement, ni de proposer un programme jugé acceptable politiquement. Notre objectif est d’aider à comprendre l’ampleur des efforts à réaliser afin que chacun puisse juger de leur faisabilité ou de leur réalisme dans le contexte actuel. »

Il s’agit bien de montrer qu‘un tel changement ne se fera pas sans conséquences sur nos modes de vies« Malgré tout, ne rien faire serait pire […] Nous avons trop attendu, c’est une évidence et une transition douce ne pourra se faire. Nous sommes dans une véritable course contre la montre. ». C’est pourquoi les auteurs nous invitent à faire de la décarbonation de l’économie, un grand projet de société.

Pour mieux faire comprendre leur démarche, les auteurs de l’étude se proposent de répondre en direct aux questions des lecteur.rice.s le 12 mars sur leur plateforme web (inscriptions ici).

Novethic a résumé l’étude en une infographie des mesures phares préconisées par B&L Évolution.




L’utopie sociétale confrontée au principe de réalité du monde ultralibéral. L’illusion d’un nouveau monde post-Covid

Par Alain Tortosa

La dictature dans laquelle nous vivons est vécue par certains comme une opportunité inédite de changer le monde de demain…

Pour autant de nombreux projets me semblent totalement utopiques. Je ne suis en rien opposé à une utopie ou un idéal de société, mais j’ai l’intime conviction qu’il faudrait des dizaines, voire des centaines d’années pour y parvenir…

J’ai relevé ici plusieurs « solutions » qui sont parfois présentées pour prendre un nouveau départ :

La monnaie nationale

On a une forte tendance à associer la notion de souveraineté à la notion de monnaie. Elle est un outil qui permet de jouer sur les paramètres de la compétitivité ou de l’inflation. En augmentant votre masse monétaire, vous aurez une dévaluation de la monnaie et une inflation. Vos exportations seront facilitées et les importations plus chères.

Pour dire simplement :
Imaginons que votre pays possède 10 kg de blé et que la masse monétaire est de 100 euros. Si vous doublez la masse monétaire, comme la richesse matérielle du pays sera la même, vous aurez 10 kg de blé pour 200 euros. Donc pour 100 euros vous ne pourrez avoir que 5 kg de blé. Il y a eu dévaluation de la monnaie et une inflation de 100%. Vos produits seront donc deux moins chers à l’exportation, mais deux fois plus à l’importation.

Dans ce cas de figure extrême, c’est la population qui aura financé la relance de l’économie par l’inflation et donc la diminution du pouvoir d’achat.

De plus c’est une solution fort limitée dans le temps, car le bénéfice concurrentiel sera plus ou moins annihilé par le surcoût des importations qui se traduira par une augmentation des prix en interne et donc une diminution de l’avantage concurrentiel.

Il est important de noter que vous n’êtes pas libres de spéculer librement sur votre monnaie. Il faut des accords avec les autres pays… Si vous faisiez donc trop marcher la planche à billet les autres pays pourraient vous exclure du système monétaire international.

Cette solution est d’autant plus limitée que nous n’avons aucune indépendance économique. Ni énergétique, ni autosuffisance alimentaire, ni production industrielle…

Bref la monnaie est un petit levier qui permet de booster artificiellement une économie, mais à l’efficacité marginale dans le monde dans lequel nous vivons.

Les risques de récession, de crise économique mondiale sont très importants.

L’Europe

L’Europe est souvent désignée comme étant la cause de tous nos maux. Nous sommes effectivement soumis à de très nombreuses lois ou traités européens. Imaginer que nous serions libres en quittant l’Union Européenne est pour le moins naïf. Il existe des centaines, voire des milliers d’accords, de traités, de normes internationales qui entravent nos libertés au-delà du cercle européen. Les Britanniques ont quitté l’Union Européenne, non sans mal, car la négociation a duré des mois pour définir les accords commerciaux, administratifs, juridiques, etc. liant les deux.

Il était évidemment impossible pour eux de n’avoir aucun traité avec l’Union Européenne. Résultat des courses, les Britanniques ont des obligations aussi bien financières que normatives ou autres pour pouvoir pénétrer le marché européen. Le seul droit dont ils disposent est de se soumettre aux directives européennes ou de renoncer à ce marché, ce qui serait une catastrophe économique pour leur pays. De fait, j’ai l’intime conviction que la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne ne s’est pas traduite par une réelle augmentation de son indépendance. Nous sommes dans de la pure politique politicienne et électoraliste, dans du symbole, mais factuellement cela ne change probablement pas grand-chose.

Il faut voir aussi que l’Europe est le grand bouc émissaire.. Quand il y a une embellie en France, le gouvernement se l’attribue, mais dès lors qu’il y a problème sociétal ou économique, c’est toujours la faute à l’Europe en oubliant que la France a voté ces mêmes lois ou directives européennes. Les pro-frexit se servent aussi du Covid et des vaccins pour souligner l’avantage d’être en dehors alors même que la Hongrie a été totalement libre de négocier en direct l’achat de vaccins chinois.

Dès lors qu’un pays européen est contraint d’être en relation économique avec l’Europe, il est certainement plus en capacité de peser sur les décisions prises en Europe en étant membre de l’Union que s’il est un simple partenaire commercial.

J’ai donc l’intime conviction que la France pourrait accroître son indépendance en augmentant son pouvoir décisionnel sur l’Europe plutôt qu’en la quittant politiquement (maispaséconomiquement).

L’argent dette

Régulièrement le mythe de l’annulation de la dette revient sur le devant de la scène et encore plus avec la crise du Covid.

Avant d’aborder le sujet, je voudrais faire un rappel sur le fonctionnement de l’argent dette. L’argent dette, que les banques d’affaires peuvent pratiquer, permet de prêter de l’argent qu’elles ne possèdent pas. Le principe est simple et je vais l’illustrer par un exemple :

  1. Vous êtes une entreprise de travaux publics.
  2. Vous voulez construire un pont qui va relier 2 régions isolées.
  3. Vous demander un prêt de 1 milliard à une banque.
  4. La banque fabrique une ligne de dette de 1 milliard sans avoir cet argent.
  5. Vous payez des intérêts.
  6. Vous construisez votre pont et mettez en place un péage.
  7. Vous remboursez la banque.
  8. Lorsque la dette est remboursée, la banque supprime l’existence de cet argent dette.

L’intérêt de l’argent dette est double:

  • Permettre de financer des travaux dans le monde réel.
  • Ne pas augmenter la masse monétaire… Cet argent n’existe que pendant la durée du prêt.

Le problème principal se produit dès lors que la banque émet trop d’argent dette et qu’elle se retrouve avec trop d’impayés.

Quelles possibilités s’offrent pour l’annulation de la dette ?

Le mythe de tout le monde doit à tout le monde. C’est beaucoup plus compliqué, car des États, des banques, des entreprises, des particuliers (oudesfondsdepensions), prêtent de l’argent et s’attendent à le récupérer. Rappelez-vous de l’emprunt russe qui a ruiné de nombreux épargnants.

Quelles solutions ?

  • Augmenter votre masse monétaire.
    Dans ce cas de figure, cela va se traduire par une dévaluation et une forte inflation.
    Cela revient à ponctionner de façon invisible l’argent des épargnants. Ils ont toujours 10000 euros sur leur livret, mais celui-ci a le pouvoir d’achat de 5 000 euros.
    En fait la dette est remboursée par l’épargne privée ponctionnée par l’inflation.
  • Ne rembourser que les intérêts.
    Cette option présente l’inconvénient de laisser de l’argent dette jamais remboursé.
    Plus cette masse monétaire augmente et plus le risque d’insolvabilité du préteur augmente. Dans l’hypothèse où une banque a prêté trop d’argent, elle ne pourra plus en prêter et donc sera condamnée à mort.
    Plus il y aura d’argent dette non remboursé et plus la valeur de l’argent s’effondrera. Cette solution n’est pas viable à long terme surtout en grande quantité.
  • Négocier un troc pour annuler la dette.
    « J’efface ta dette, mais en échange tu me donnes tes ports pour 40 ans. »
    «Tu me donnes 10000 hectares de terres que j’utiliserai pour nourrir ma population. »
    «Tu seras obligé de m’acheter mon pétrole pendant 40 ans. »
    « Tu m’autorises à installer mes missiles dans ton pays .»…
    L’annulation se traduira par une vente des biens de la famille ou une perte d’indépendance.
  • Refuser de rembourser la dette sans négociation.
    Imaginons qu’un fond de pension américain ait prêté de l’argent à l’état français moyennant intérêts. Un paysan du Dakota du Sud n’aura plus de pension de retraite ni de capital, il sera obligé de vendre sa maison et ses biens et sera ruiné…
    Au-delà du fait que ce n’est pas moral, cela va entraîner une récession dans le pays. Et si c’est une banque, la banque va peut-être faire faillite.
    Le risque de crise économique mondiale sera d’autant plus important que la dette effacée sera importante.
    D’autre part, la note de confiance de votre pays va s’effondrer… ici encore les représailles peuvent être multiples.
    • Vous n’aurez plus le moindre prêt ou à un taux délirant avec des garanties délirantes. C’est d’autant plus une folie que votre budget annuel est (toujours)en déficit.
    • Les autres pays vont mettre en place des droits de douane pour les produits que vous exportez, ainsi vous serez contraint de baisser vos prix de vente et donc la dette sera supportée par les entreprises qui exportent.
    • Il est possible qu’il y ait des embargos sur les importations.

Bref ce serait la solution rêvée pour amener le pays à la ruine ou la perte d’autonomie.

Le référendum ?

Là encore de quoi parlons-nous ? Dès lors qu’il s’agit de poser une question au peuple alors même que la marge de manœuvre du pays est quasi nulle, cela n’est que démagogie politique. Comme je l’ai rappelé, aucun pays n’a la moindre liberté décisionnelle dans ce monde ultra-libéral. J’en reviens à la question du « frexit»… cela ne se traduirait dans les faits par aucune augmentation de marge de manœuvre dans un pays sans la moindre indépendance économique ou productive. Alors parlons-nous de référendum qui donnerait un pouvoir au peuple ou d’une parodie et d’un simulacre de démocratie participative.

La parole à quel peuple ?

La crise du Covid a illustré à quel point le peuple était servile et demandait à être « irresponsable ». Il est visiblement prêt à gober n’importe quel mensonge du moment qu’il est répété par des autorités. Pour le faire taire, il n’y a qu’à acheter son silence à coups de milliards.
« Du pain et des jeux » cela ne date pas d’hier.

Dès lors qu’une majorité du peuple n’a pas le moindre sens critique, pas la moindre éducation aux droits de l’homme et à l’importance des libertés. Ajoutons le fait qu’il n’a aucune éducation économique et ne connaît absolument pas les rouages de l’ultralibéralisme et de l’économie internationale… Comment espérer le voir faire des choix libres et éclairés ? Nous avons vu à quel point il a été facile à la finance internationale de faire élire notre pantin de président…

De fait, il me semblerait totalement irresponsable de donner au peuple le pouvoir de décider sans auparavant lui fournir une éducation et un sens critique… et donc j’affirme que le référendum d’initiative populaire est à la fois une illusion, une manipulation, mais aussi extrêmement dangereux.

Le vrai pouvoir dans les mains des lobbys et de la corruption

Nous sommes politiquement paralysés et quiconque accéderait demain au pouvoir n’aurait strictement aucune marge de manœuvre au-delà du symbolique ou de la manipulation des masses.

Quitter l’Euro, l’Europe ou vouloir effacer la dette sont des chimères qui conduiraient à faire un simple échange standard de nos chaînes et probablement pas à notre avantage.

Le pouvoir a toujours été et est toujours dans les mains de l’argent. Il est dans les mains des banques d’affaires et d’entreprises dont le chiffre d’affaires dépasse le PIB de plusieurs États.

C’est aujourd’hui uniquement le lobbyisme et la corruption généralisée qui dirigent le monde.

Lobbying contre lobbying

Retrouver de la démocratie et du pouvoir politique ne peut se faire qu’en luttant contre la corruption. Nous devons donc créer un lobbying « propre » dont l’objet serait de contrer le lobbying ultra- libéral au niveau mondial, européen, et français. Le problème du lobbying « propre » est qu’il ne lutte pas à armes égales, ne disposant pas de réseaux ni des milliards de dollars dédiés à la corruption qui est présente à TOUS les niveaux. Et c’est là que le politique peut et doit intervenir en imposant des règles éthiques et des lois pour lutter efficacement contre la corruption. Ne pensons pas que cela serait facile étant donné qu’il est impossible d’accéder à des responsabilités sans disposer de la puissance financière d’un appareil et des lobbys.

Je ne suis pas certain qu’il soit possible pour un français d’accéder au poste de Président de la République sans bénéficier de l’argent de la corruption et des cercles. En revanche je ne doute pas que les puissances de l’argent feraient tout pour empêcher une personne intègre de pouvoir y accéder…

Merci.

Alain Tortosa.

24 avril 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »
https://7milliards.fr/tortosa20210423-economie-utopie.pdf




Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament

[Source : CTIAP ctiapchcholet.blogspot.com]

Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA)

Avec l’éclairage de Madame Catherine FRADE, Docteur en pharmacie, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique.

Peut-on imaginer le lancement d’une chaîne de fabrication de voitures, et la mise en circulation de ces véhicules, malgré les incertitudes relevées dans les documents officiels publiés ? Ces incertitudes concernent la qualité des pièces composant le moteur et les différentes autres pièces détachées dont celles relatives à la sécurité, le procédé de fabrication, la reproductibilité des lots commercialisés, etc.

Dans le domaine du médicament (dont les vaccins), l’acte pharmaceutique de « libération » du produit fini (produit autorisé destiné à la vente) constitue l’ultime étape de contrôle qui précède la mise à disposition de ces produits auprès de la population. Cette étape clef de « libération » relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants, notamment.

Dans la continuité de ses précédentes analyses proposées, le CTIAP du centre hospitalier de Cholet vient donc, à nouveau, révéler à la population, et sans doute de façon inédite et exclusive, de nouvelles informations capitales, vitales, concernant les 4 vaccins contre la Covid-19 suivants : celui du laboratoire BioNTech/Pfizer ; celui du laboratoire Moderna ; celui du laboratoire Astra Zeneca ; celui du laboratoire Janssen.

Ce travail a été possible grâce à la précieuse contribution de Madame le Docteur Catherine FRADE, pharmacienne, et ancienne directrice des affaires réglementaires internationales dans l’industrie pharmaceutique. De façon grâcieuse, elle nous a transmis une alerte écrite documentée. Dans ce document, elle apporte un « éclairage » sur des données qui sont extraites, le 22 mars 2021, de l’AMM (autorisation de mise sur le marché) elle-même ; une AMM qualifiée de « conditionnelle ». Elle a extrait des « données sources qui sont difficilement identifiables par quelqu’un qui ne travaille pas dans le domaine ». Ces données sont donc publiques et vérifiables. Au préalable, il y a lieu de préciser que l’auteure de ce document n’exerce plus au sein de l’industrie pharmaceutique ; elle déclare : « Tout d’abord, je tiens à préciser que je n’ai aucun conflit d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique ». C’est donc avec son accord, que le CTIAP entend mettre à la disposition du public, des professionnels de santé, des décideurs… une analyse de quelques-unes de ces données que toute personne devrait lire de façon attentive.

La présente réflexion présente d’abord ce qu’est une AMM « conditionnelle » (I). Puis, elle rappelle que les études concernant ces vaccins ne sont pas terminées puisqu’elles s’étalent de « 2021 à au moins 2024 » (II). Ensuite, elle révèle, de façon sans doute inédite et exclusive, que les documents officiels, publiés par l’Agence européenne du médicament (EMA), soulignent l’insuffisance des preuves concernant également la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc. (III). Enfin, cette analyse propose une conclusion.

I- En premier lieu, il est important de comprendre ce qu’est une AMM « conditionnelle »

L’AMM est pour un médicament ce qu’une carte grise représente pour une voiture. L’AMM est octroyée quand un médicament a prouvé sa qualité, son efficacité et sa sécurité ; avec un rapport bénéfice/risque positif : c’est-à-dire qu’il présente plus de bénéfices que de risques. L’obtention de cette AMM est la condition indispensable pour qu’un laboratoire pharmaceutique puisse vendre un médicament, dont les vaccins.

En l’espèce, dans le cas de ces vaccins contre la Covid-19, les 4 AMM délivrées sont des AMM dites « conditionnelles ». Elles sont temporaires. Leur durée de validité n’excède pas 1 an ; car elles sont obtenues sur la base de « données allégées incomplètes ». Pour obtenir une AMM standard de 5 ans, les laboratoires concernés doivent fournir des dossiers complétés « d’études en cours et d’études planifiées dans les années à venir ». Tout au long de « ce développement », une surveillance étroite et coordonnée entre les laboratoires fabricants et les autorités de santé est organisée au travers de discussions régulières. L’AMM « conditionnelle » est « réévaluée chaque année » en fonction de l’apport et de l’analyse critique des données supplémentaires fournies et recueillies durant une année complète.

Cette AMM « conditionnelle » est une AMM européenne. Elle a été obtenue par la procédure centralisée accélérée. Elle permet une mise sur le marché simultanée dans les 30 pays suivants (Union européenne et Association européenne de libre-échange) : Allemagne, Autriche, Belgique, Bulgarie, Chypre, Croatie, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Islande, Italie, Lettonie, Liechtenstein, Lituanie, Luxembourg, Malte, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, Roumanie, Slovaquie, Slovénie, Suède, Tchéquie.

Les études, concernant ces 4 vaccins, sont donc toujours en cours.

II- En deuxième lieu, les études planifiées sont toujours en cours et s’étalent sur une période allant de « 2021 à au moins 2024 »

L’ensemble des études déposées lors de la demande d’AMM est résumé dans l’EPAR (European Public Assessment Report : Rapport Public d’Évaluation Européen). Ce dernier est publié sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA). Les études planifiées, non encore réalisées, y figurent également.

Ce planning, qui « s’étale de 2021 à au moins 2024 » selon les vaccins contre la Covid-19, est défini dans les « annexes » de l’AMM conditionnelle et dans les EPAR publiés.

À titre d’exemple, le vaccin BioNTech/Pfizer a obtenu cette AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. Et, le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance de ce vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Le vaccin Moderna a obtenu cette AMM le 6 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2022 », au moins.

Le vaccin Astra Zeneca a obtenu cette AMM le 29 janvier 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « mars 2024 ».

Le vaccin Janssen a obtenu cette AMM européenne conditionnelle le 11 mars 2021. Le délai pour déposer « la confirmation » d’efficacité, de sécurité et de tolérance du vaccin est fixé au mois de « décembre 2023 ».

Mais, à ce jour, et c’est là où se trouve sans doute la révélation inédite et exclusive, un autre délai a été fixé pour ces 4 vaccins. Ce délai ne concerne plus seulement les essais cliniques en cours, mais également les « preuves de qualité pour la substance active et le produit fini », lui-même : c’est-à-dire la qualité intrinsèque (le cœur) du produit vendu et administré à des millions de gens.

III- En troisième lieu, et cela semble sans doute inédit, les documents officiels publiés soulignent également le caractère incomplet des preuves relatives à la « qualité » de la « substance active » et des « excipients », du « procédé de fabrication », de la « reproductibilité des lots » commercialisés, etc.

C’est ainsi que le délai pour déposer les compléments de preuves concernant la « qualité » de la « substance active » et du « produit fini » (c’est-à-dire le vaccin autorisé et vendu) est fixé aux mois de :

« juillet 2021 » pour BioNTech/Pfizer ;

« juin 2021 » pour Moderna ;

« juin 2022 » pour Astra Zeneca ;

« août 2021 » pour Janssen.

En effet, pour ces 4 vaccins, le paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, mentionne clairement ce qui suit :

Pour le vaccin BioNTech/Pfizer (pages 18-19)

À échéance de « mars 2021 », le laboratoire doit fournir « des données de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini ».

À échéance de « juillet 2021 », le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation de la substance active et du produit fini » ;

« renforcer la stratégie de contrôle, y compris les spécifications de la substance active et du produit fini » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0315 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

« fournir des informations supplémentaires concernant son procédé de synthèse et sa stratégie de contrôle » afin de « confirmer le profil de pureté de l’excipient ALC-0159 » et « d’assurer un contrôle qualité et une reproductibilité entre les lots tout au long du cycle de vie du produit fini » ;

Et à échéance de « décembre 2023 », et « en vue de confirmer l’efficacité et la sécurité » de ce vaccin, le laboratoire « devra soumettre le rapport final d’étude clinique pour l’étude randomisée, contrôlée contre placebo, avec observateur en aveugle (étude C4591001) ».

Pour le vaccin Moderna (page 15)

Le laboratoire doit fournir les informations manquantes afin de :

« compléter la caractérisation des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « janvier 2021 ») ;

« confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication de la substance active et du produit fini (tailles de lot initiale et finale) (échéance « avril 2021 ») ;

« fournir des informations supplémentaires sur la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications de la substance active et du produit fini après une plus longue pratique industrielle » dans le but « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2021 ») ;

« soumettre le rapport final de l’étude pour l’étude clinique randomisée, contrôlée par placebo et en aveugle pour l’observateur mRNA-1273-P301 » dans le but de « confirmer l’efficacité et la sécurité de COVID-19 Vaccine Moderna » (échéance « décembre 2022 »).

Pour le vaccin Astra Zeneca (pages 14-15)

Le laboratoire doit verser les informations manquantes afin de :

« fournir les données de validation et de comparabilité supplémentaires, et instaurer des tests plus approfondis » dans le but de « confirmer la reproductibilité des procédés de fabrication de la substance active et du produit fini » (échéance « décembre 2021 ») ;

« fournir l’analyse principale (basée sur le data cut-off du 7 décembre (post-verrouillage de la base de données) et l’analyse finale des études pivotales combinées » afin de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 5 mars 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mai 2022 » (pour l’analyse combinée)) ;

« soumettre les rapports finaux des études cliniques randomisées et contrôlées COV001, COV002, COV003 et COV005 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca » (échéance « 31 mai 2022 ») ;

« fournir des données supplémentaires concernant la stabilité de la substance active et du produit fini et revoir les spécifications du produit fini après une longue pratique industrielle » en vue « d’assurer une qualité constante du produit » (échéance « juin 2022 ») ;

« soumettre la synthèse et les résumés de l’analyse principale et le rapport final d’étude clinique pour l’étude D8110C00001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la tolérance de COVID-19 Vaccine AstraZeneca chez les personnes âgées et le sujets présentant une maladie sous-jacente » (échéance « 30 avril 2021 » (pour l’analyse principale) et « 31 mars 2024 » (pour le rapport d’étude final)).

Pour le vaccin Janssen (page 18)

Le laboratoire doit transmettre les informations manquantes afin de :

« fournir des données de comparabilité et de validation supplémentaires » en vue de « confirmer la reproductibilité du procédé de fabrication du produit fini » (échéance « 15 août 2021 ») ;

« déposer le rapport final de l’étude clinique randomisée, contrôlée contre placebo, en simple aveugle VAC31518COV3001 » en vue de « confirmer l’efficacité et la sécurité du vaccin COVID-19 Ad26.COV2.S » (échéance « 31 décembre 2023 »).

Ces faits nous permettent de proposer une conclusion.

Conclusion

Par ces motifs, non exhaustifs, il était donc utile de chercher et de lire également et notamment le contenu dudit paragraphe « E. Obligation spécifique relative aux mesures post-autorisation concernant l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle », extrait de l’annexe II de l’AMM, correspondant à chacun de ces 4 vaccins contre la Covid-19.

L’insuffisance d’évaluation ne concerne donc pas seulement les essais cliniques (études menées chez l’Homme (femme et homme)), mais également la qualité même de la substance active, des excipients dont certains sont nouveaux, du procédé de fabrication, des lots libérés et administrés à des personnes humaines dans plusieurs pays du monde.

D’ailleurs, ces excipients nouveaux doivent être considérés comme des principes actifs nouveaux ; et ainsi faire l’objet d’un dossier d’évaluation complet et similaire à celui qui est exigé pour un principe actif nouveau.

Le changement du nom commercial de l’un de ces vaccins, comme cela a été récemment annoncé pour notamment le vaccin du laboratoire Astra Zeneca, ne pourrait être considéré que comme un arrangement cosmétique de l’image du produit dans un but marketing (conquête d’une nouvelle confiance du public, relance des ventes). Il ne répondrait pas aux questions soulevées concernant la qualité, l’efficacité et la sécurité du produit. C’est l’une des techniques habituelles utilisée pour maquiller (dissimuler) certaines caractéristiques indésirables du produit concerné. Une technique qui a déjà été employée pour présenter d’autres médicaments sous leur meilleur jour.

Comme déjà mentionné précédemment, dans le domaine du médicament (dont les vaccins), la « libération » du produit fini (destiné à la vente) est l’ultime étape de contrôle (de la qualité et donc de la sécurité) avant de mettre à disposition de la population ces produits.

Cette étape clef de « libération » des lots relève de la responsabilité pharmaceutique des fabricants. Mais, la responsabilité des utilisateurs (établissements et professionnels de santé notamment) peut également être engagée.

À notre avis, ces études cliniques n’auraient jamais dû commencer avant, au moins, la totale maîtrise de la qualité intrinsèque du produit fini et de son procédé de fabrication ; avant la stabilisation des formules de ces vaccins.

Comment pourrait-on comparer les résultats de ces essais cliniques, menés à l’échelle mondiale, si le vaccin administré peut varier d’une fabrication à l’autre, d’un lot à l’autre, d’une région à l’autre… ?

Ces variabilités, qui impactent même le cœur du produit, pourrait même invalider tous les essais cliniques effectués.

Même en cas d’urgence sanitaire, il nous est donc difficile de comprendre les fondements de ces AMM (autorisation de mise sur le marché) qui ont été octroyées à ces vaccins contre la Covid-19.

Aux incertitudes liées à la Covid-19, se sont ajoutées les approximations liées à l’utilisation, et à la qualité intrinsèque même, de ces vaccins. Désormais, il faudrait gérer deux problèmes au lieu d’un.

La manœuvre semble subtile. Les informations utiles sont bien disponibles dans les documents officiels publiés dans le cadre de l’AMM ; mais, ces données ne sont pas rendues visibles par le discours officiel. Ce dernier n’aurait cherché qu’à présenter ces produits comme étant efficaces et sûrs, et sans réserves ; alors même que les formules et les procédés de fabrication de ces vaccins ne semblent même pas encore totalement stabilisés.

Ces nouvelles révélations, sans doute inédites et exclusives, sèment davantage le doute sur la validité du consentement (une liberté fondamentale) qui est censé être libre et éclairé ; et qui aurait été donné par les personnes aujourd’hui vaccinées.

Toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information est également pérenne : en cas de révélation de nouvelles données, les personnes déjà vaccinées doivent être informées a posteriori (après l’administration de tel ou tel vaccin).

L’« obligation » vaccinale ne peut donc prospérer ; même sous forme déguisée via notamment un « passeport vaccinal ».

Cette nouvelle analyse vient confirmer davantage nos précédentes réflexions comme celle intitulée « Le vaccin contre la Covid-19 (Tozinaméran ; COMIRNATY°) pourrait-il être qualifié de « défectueux » par le juge ? » ; ou celles exprimées dans les deux lettres ouvertes qui ont déjà été adressées notamment au Ministre des solidarités et de la santé et aux 7 Ordres professionnels de santé.

La vulnérabilité ne jaillit pas uniquement de l’âge et de l’état de santé des personnes notamment. Ne pas pouvoir accéder à une information indépendante sur les médicaments (dont les vaccins) est la première des pauvretés et des inégalités.

D’ailleurs, concernant les incertitudes sur l’efficacité de ces vaccins, le Conseil d’État relevait, le 3 mars 2021, notamment l’aveu du Ministère des solidarités et de la santé, lui-même, et les contradictions de l’« administration » française. Dans cette décision, et contre l’avis de ce Ministère, le Conseil d’État avait pris une décision qui semblait tendre vers la reconnaissance de cette efficacité. Mais, quelques jours plus tard, dans une nouvelle décision (n°450413) rendue le 11 mars 2021, le Conseil d’État change de position et admet « l’incertitude qui demeure sur l’efficacité réelle du vaccin quant à la propagation du virus ». Il y a lieu de rappeler aussi que, le 18 février 2021, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé a reconnu également, et publiquement, qu’aucun pays européen n’a pu apporter, non plus, la preuve que ces vaccins permettent de prévenir les formes « graves » de la Covid-19 (cf. conférence de presse à partir de 34min 44s).

Dans son dernier « Point de situation sur la surveillance des vaccins contre la COVID-19 – Période du 12/03/2021 au 18/03/2021 » publié le 26 mars 2021 – mis à jour le 29 mars 2021 -, l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) fait état de notamment le nombre de décès survenus en France après l’administration de ces vaccins. Des décès qui sont notifiés (signalés) en pharmacovigilance (indépendamment de la certitude du « lien de causalité » entre ces vaccins et ces décès) : « 311 décès » après l’administration du vaccin BioNTech/Pfizer ; « 4 décès » après l’administration du vaccin Moderna ; « 20 décès » après l’administration du vaccin Astra Zeneca ; (pas de données pour l’instant concernant le dernier vaccin (Janssen) autorisé). En sachant, qu’en général pour tous les médicaments, il existe une forte sous-notification en pharmacovigilance malgré le caractère obligatoire de ces déclarations.

Par conséquent, la prudence notamment voudrait même que, dans tous les pays où ces vaccins contre la Covid-19 ont été commercialisés, tous les lots ainsi « libérés » soient retirés immédiatement ; et que ces AMM qui ont été octroyées soient suspendues, voire annulées, en urgence jusqu’à nouvel ordre. C’est en tout cas le sens des recommandations que nous pourrions suggérer aux autorités ad hoc, et notamment françaises. Et, a minima, ces informations doivent être portées à la connaissance de toute personne de façon claire, loyale et appropriée.

D’autant plus qu’en cas d’effets indésirables graves, dont des décès, et pour établir ledit « lien de causalité » avec certitude, les victimes et leurs familles se trouvent souvent démunies face à l’exigence de la « preuve diabolique ».




Localisation des antennes 5G en France

[Source : https://partage.agirpourlenvironnement.org/s/antennes-relais-5g/]

Déjà plus de 32 000 antennes installées partout en France.

[Note : Rafraichir au besoin la fenêtre pour voir la carte correctement.]






La « Vie Paisible » de Macron a le goût du sang et des larmes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Erwan Lubovski, pour FranceSoir

Dans un entretien paru le 18 avril dans le Figaro, Emmanuel Macron a affirmé sa volonté de se « battre » pour garantir à tous les Français une « vie paisible ».

Mieux que les pommes de Jacques Chirac en 1995, voici pour l’élection 2022 le Macron du futur et son concept de « Vie Paisible™. » Préparez-vous à l’avènement d’une ère nouvelle, oublié le « Grand Reset », voici venue la « Grande Paisibilité ».

Macron le poète, probablement touché par la grâce d’une lecture nocturne de Baudelaire s’est éveillé au chant des tourterelles avec un nouveau programme : « ordre et beauté, luxe, calme et volupté. » 

La Vie Paisible™, donc. 

La Vie Paisible™ pour les manifestants, Gilets jaunes en tête, eux qui après un an de protestation (de fin 2018 à fin 2019, donc), décomptaient 2500 blessés dans leurs rangs dont 25 éborgnés et cinq mains arrachées. « Aujourd’hui, le maintien de l’ordre en France consiste trop souvent à appliquer une répression immédiate et de grande ampleur au point d’entraver les libertés fondamentales », a ainsi fait remarquer Anne-Sophie Simpere, chargée de plaidoyer Libertés à Amnesty international France.

Mais restons positifs, les libertés sont entre de bonnes mains en France, Macron l’affirme dans son Interview au Figaro : « Nous allons, côté policier, renforcer l’encadrement, améliorer profondément les formations et créer une forme d’école de guerre. » De guerre contre qui ? 

 La Vie Paisible™ pour les étudiants, dont 73% déclaraient suite au premier confinement « avoir été affectés sur le plan psychologique, affectif ou physique », tandis que 23% déclaraient « avoir eu des pensées suicidaires durant cette période. » Et comme le dit fort justement Maximilien Delvallée dans une récente tribune au Figaro : « La jeunesse française est en lambeaux. Car la dépression et les envies suicidaires de 2020, malheureusement, seront bien les tragédies de 2021. » 

La Vie Paisible™ pour les forces de l’ordre, avec une augmentation de 70% des suicides en 2019, de « plus en plus de cas de dépression constatés », « des centaines d’arrêt de travail déposés chaque jour », et des attaques aveugles au couteau comme celle qui a coûté la vie à une policière de 49 ans aujourd’hui à Rambouillet

La Vie Paisible™ pour les soignants, ceux que les bonnes volontés applaudissaient à 20 heures il y a un an… Alors que la population n’a de cesse de vieillir et de s’agrandir, près de 100 000 lits ont été fermés entre 1993 et 2018. Macron a-t-il inversé la tendance ? « Sur le terrain, à la Réunion, à Nantes, à Caen, à Paris… les projets de restructuration hospitalière sont toujours à l’ordre du jour, prévoyant la fermeture de centaines de lits et la suppression de nombreux emplois hospitaliers », a constaté Olivier Milleron, cardiologue à l’hôpital Bichat, lors d’une conférence de presse du collectif inter-hôpitaux au mois de décembre. BastaMag tient même une carte des suppressions de lits d’hôpital en cours ou à venir. Ça promet… 

La Vie Paisible™ pour les enfants, masqués, privés de sorties, de vie sociale, de sport, d’école ou d’activités au gré des confinements, couvre-feu et restrictions diverses… « On observe depuis plusieurs mois une augmentation spectaculaire de la fréquentation des urgences concernant la santé mentale des enfants », a ainsi alerté Christelle Gras-Le Guen, présidente de la Société française de pédiatrie, dénonçant des symptômes délétères : « certains vont arrêter de manger, de dormir, avoir des troubles de la mémoire, de la concentration », et en guise de cerise sur le gâteau une « flambée des violences intrafamiliales. »

Et in fine la Vie Paisible™ pour tous les Français, assignés à résidence, contrôlés, amendés, fichés pour les moins conciliants ; gavés d’informations anxiogènes et soumis à des restrictions dont plus personne ne cherche à comprendre le sens. La vie paisible derrière une porte fermée, la vie paisible sans risque, sans passion, sans loisirs, sans rencontre, sans saveur, sans sorties, sans voyage, sans concert, sans culture… Une vie si paisible qu’elle en devient mortelle… 

Une mort paisible en somme.  

Auteur(s): Erwan Lubovski, pour FranceSoir




Pourquoi l’empire du chaos est paralysé

[Source : reseauinternational.net]

par Pepe Escobar.

Attachez vos ceintures.

Ce que vous êtes sur le point de lire fait partie d’un rapport interne rédigé par l’une de mes meilleures sources dans le monde des affaires et des renseignements depuis une quinzaine d’années. Parmi les lecteurs qui l’ont reçu figurent Jamie Dimon de JP Morgan, Evelyn de Rothschild et sa femme Lynn, Larry Fink de Blackrock, Michael Bloomberg – qui ne m’engagerait jamais comme chroniqueur de Bloomberg… – Stephen Schwartzman de Blackstone, Jeff Bezos d’Amazon et d’autres Maîtres de l’Univers. J’ai reçu une copie avec toutes leurs adresses – que je ne peux pas rendre publiques pour des raisons évidentes.

C’est une bombe MAJEURE – dans le sens où les Maîtres de l’Univers financiers sont maintenant pleinement conscients des informations sensibles qui ne sont pas partagées avec les acteurs non militaires. La question est de savoir ce qu’ils vont faire à ce sujet.

La section des rapports commence ici :

« Alors que Rome brûle, ce que j’utilise comme une métaphore étendue sur les centaines de villes américaines qui ont brûlé l’été dernier, et que les États-Unis font face à une désintégration interne, le Pentagone admet que les États-Unis ne peuvent pas faire face à une guerre sur deux fronts.

Les États-Unis ne peuvent pas faire face seuls à une guerre sur un front en Europe et seraient vaincus en cinq à dix minutes. Il est peu connu que le moyen clé que les États-Unis ont choisi pour défendre l’Europe de manière conventionnelle était leur puissance aérienne supérieure qui surclasse les Russes. Cependant, ce qui n’est pas non plus connu du grand public, c’est que les États-Unis seront vaincus en Europe par les Russes en cinq à dix minutes par des missiles hypersoniques russes détruisant tous les aérodromes commerciaux de l’OTAN et de l’Europe, y compris ceux de l’Angleterre, alors qu’ils envoient allègrement leurs navires de guerre vers la péninsule de Kerch.

La question de savoir si tous nos avions F-35, qui coûtent des milliards de dollars, seront également détruits en cinq minutes dépend de la rapidité avec laquelle les États-Unis pourront les mettre hors de danger sur un rivage étranger. La question clé qui reste alors est de savoir si les États-Unis peuvent évacuer l’Europe assez rapidement via une sortie de Dunkerque pour s’échapper vers l’Angleterre ou si toutes les forces américaines rejoindront leurs camarades de l’OTAN dans un camp de prisonniers de guerre russe.

La réponse est qu’ils ne peuvent pas s’échapper car il leur faudrait plus de deux semaines pour évacuer. Cela m’a été confirmé par les plus hautes autorités militaires américaines ».

L’utilisation par les États-Unis des récentes sanctions contre la Russie visait à faire passer le message que le tueur de nation qu’ils appellent SWIFT-CHIPS est dans la boîte à outils des États-Unis comme réponse américaine à une invasion de l’Ukraine. (Il va sans dire que Nord Stream 2 serait terminé et que le pipeline actuellement en service de la Russie vers l’Europe serait fermé). Les États-Unis restent donc assis dans cette partie de poker, avec la certitude que les Russes n’oseront pas envahir l’Ukraine, ce qui les amènerait à appuyer sur la gâchette pour éjecter la Russie du système de paiement SWIFT-CHIPS, ce qui les conduirait à leur perte à l’iranienne.

Mais les États-Unis n’ont pas encore vu les cartes russes en main, qui seraient d’exercer leur super arme financière de fermeture du détroit d’Ormuz avec leur allié l’Iran qui est prêt à coopérer, selon nos meilleures sources de renseignement.

Nous avons discuté de ce scénario avec les spécialistes en produits dérivés de Goldman Sachs, qui prédisent que le prix du pétrole atteindrait 500 à 1 000 dollars le baril lors d’une telle fermeture, ce qui déclencherait l’implosion du marché des produits dérivés, qui représente entre 600 billions et 2,5 trillions, et détruirait l’ensemble du système financier mondial.

Le cataclysme qui frapperait les États-Unis conduirait, comme en Allemagne en 1933, à un taux de chômage de 50% ou plus, provoquant le renversement complet du gouvernement américain qui ne tient plus qu’à un fil après les émeutes de l’été dernier, lorsque l’armée américaine a refusé d’intervenir par crainte que ses forces, comme en Russie en 1918, ne se désintègrent selon des critères raciaux.

La défaite des États-Unis en Europe sonnerait le glas de l’empire américain, comme lorsque Rome a été mise à sac par Alaric, et le monde entier applaudirait.[Voici maintenant la partie qui tue, et qui m’a laissé, eh bien, sans voix].

« Le mythe des fissures entre la Russie et la Chine devrait être dissipé par l’article suivant, paru dans l’Asia Times, où l’on voit sur le bureau de Poutine une offre importante d’une grande société pour financer la réorientation de tout le pétrole et du gaz naturel allant vers l’Europe vers la Chine via un pipeline.

Il s’agirait de la plus grande transaction commerciale de l’histoire mondiale. La Chine pourrait alors compter sur le fait de recevoir de la Russie les ressources naturelles qui viennent actuellement par la mer et la Russie pourrait remplacer toutes les importations européennes en Russie par substitution et là où ce n’est pas possible depuis la Chine. Cet article très profond doit être lu très attentivement. Les centaines de milliards de dollars pour ce projet sont disponibles aujourd’hui selon les plus hautes sources de renseignement ».

Voici une citation importante de l’article :

« Un secret bien gardé à Moscou est que juste après les sanctions allemandes imposées en relation avec l’Ukraine, un grand opérateur énergétique mondial a approché la Russie pour lui proposer de détourner vers la Chine pas moins de 7 millions de barils par jour de pétrole plus du gaz naturel. Quoi qu’il en soit, cette proposition étonnante est toujours sur la table de Shmal Gannadiy, l’un des principaux conseillers du président Poutine en matière de pétrole et de gaz ».[Et ensuite, le rapport renvoie à mon article] : « L’alliance eurasiatique définitive est plus proche que vous ne le pensez ».

CODA : L’armée de drones perse

Le général Frank McKenzie, chef du CENTCOM – responsable des forces américaines en Asie occidentale – a fait un aveu surprenant lors d’un témoignage écrit devant la Commission des Services armés de la Chambre des Représentants.

Il a admis l’impuissance totale du Pentagone face à un essaim de drones iraniens de petite et moyenne taille utilisés pour la surveillance et les attaques : « Pour la première fois depuis la guerre de Corée, nous opérons sans une supériorité aérienne totale ».

Et il a ajouté, de manière inquiétante – pour l’Empire, bien sûr : « Tant que nous ne serons pas en mesure de développer et de mettre en service une capacité en réseau pour détecter et vaincre les UAS (systèmes aériens sans pilote), l’avantage restera à l’attaquant ».

Dites bonjour à l’armée de drones perse : un facteur de déstabilisation réel, 24/7, pour l’Empire et ses caniches dans le golfe Persique et au-delà.

Pepe Escobar

source : https://vk.com/pepeasia

traduit par Réseau International




Imagine 2021

Par Jean-Michel Grau

Un monde sans fêtes, sans vacances, sans loisirs, sans culture, sans contacts. Un monde de morts-vivants où tout se résume à l’essentiel et au non essentiel. John Lennon aurait-il pu l’imaginer ?
Et pourtant, Schwab en a rêvé, Macron l’a fait.

Imagine qu’il n’y ait plus de libertés
Ce n’est pas facile d’essayer
Rien d’autre que l’enfer en dessous de nous
Autour de nous seulement la peur
Imagine tous les gens bâillonnés
Imagine qu’il n’y ait plus de pays
Pour nous défendre et nous protéger
Ce n’est pas facile à croire
Plus rien que la mort à attendre
Car plus aucun espoir de vie meilleure
Imagine tous les gens qui vivaient en paix avant
Tu ne peux plus dire que je fais un cauchemar
Car telle est la réalité aujourd’hui
J’espère que bientôt tu te joindras à nous
Pour que le monde retrouve sa liberté
Imagine maintenant plus de pouvoir tyrannique
Je suis sûr que tu peux
Plus de cupidité ni d’esclavage
Juste une grande fraternité humaine
Imagine tout le monde se partageant le monde
Tu peux bien sûr dire que je suis un rêveur
Mais sache que je ne suis pas le seul
J’espère qu’un jour tu te joindras à nous
Et tout le monde sera à nouveau réuni

PCNC : Pour copie non conforme, John Lennon (1940-1980)




Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus

[Source : Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus. – Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le Texas a mis fin au confinement et au masque obligatoire : maintenant, les États confinés sont ceux où le COVID se développe le plus.

https://mises.org/wire/texas-ended-lockdowns-and-mask-mandates-now-locked-down-states-are-where-covid-growing-most

Rédigé par Ryan McMaken – l’Institut Mises – 21 avril 2021

Au début du mois dernier, le gouverneur du Texas, Greg Abbott, a annoncé qu’il mettrait fin à l’obligation de port du masque dans l’État et permettrait à la plupart des entreprises de fonctionner à 100 % de leur capacité.

La réaction des médias aux ordres et de la gauche était prévisible. Le gouverneur de Californie, Gavin Newsom, a déclaré que cette décision était « absolument irresponsable ». Beto O’Rourke a qualifié le parti républicain de « culte de la mort ». Joe Biden a qualifié la décision de « pensée néandertalienne ». Keith Olbermann a insisté sur le fait que « le Texas a décidé de rejoindre le camp du virus » et a suggéré que les Texans ne devraient pas être autorisés à prendre le vaccin contre le covidium. Vanity Fair a publié un article intitulé « Les gouverneurs républicains célèbrent l’anniversaire du COVID avec un plan audacieux pour tuer 500 000 autres Américains ».

D’autres États ont suivi le sillage du Texas, et le Mississippi, l’Alabama, la Floride et la Géorgie sont maintenant tous des États où les restrictions concernant le covid sont faibles ou inexistantes.

La Géorgie et la Floride, bien sûr, se distinguent toutes deux par le fait qu’elles mettent fin au confinement et aux restrictions beaucoup plus tôt que de nombreux autres États. Dans ces cas également, les gouvernements des États ont été critiqués pour leur politique, jugée imprudente et susceptible de provoquer des décès sans précédent. La politique de la Géorgie a été dénoncée comme une expérience de « sacrifice humain ».

Pourtant, au cours des dernières semaines, ces prédictions sur le sort du Texas se sont révélées spectaculairement fausses. De plus, bon nombre des États où la croissance des cas de covid est la plus forte – et où le nombre total de décès est le plus élevé – sont des États où les mesures de confinement sont parmi les plus sévères.

L’échec de la narration du confinement dans cette affaire a été si écrasant que la semaine dernière, lorsqu’on l’a interrogé sur la situation au Texas, Anthony Fauci n’a pu que suggérer quelques lignes peu convaincantes sur le fait que les Texans portent peut-être volontairement des masques et se conforment plus rigoureusement que les habitants des autres États. Dans l’explication de Fauci, nous voyons un récit qui n’explique tout simplement pas les faits réels de la question. 

Texas vs Michigan

La situation au Texas n’est qu’un exemple parmi d’autres d’une situation qui, État par État, est dévastatrice pour le récit du confinement qui sauverait des vies.

Par exemple, examinons le nombre de cas de covid au 20 avril.

Le nombre de cas est la mesure préférée des partisans de l’ordre de rester à la maison, de la fermeture des entreprises, du port du masque et des mesures répressives au nom du contrôle de la maladie.

Au Texas, le nombre total de nouveaux cas (moyenne mobile sur sept jours) au 20 avril était de 3 004. Cela correspond à environ 103 par million.

Maintenant, regardons le Michigan, où une variété d’obligation stricte de port du masque et de confinement partiel se poursuivent. La capacité des restaurants est maintenue à 50 % et l’État continue d’édicter des règles sur le nombre de personnes que l’on peut inviter à dîner.

Dans le Michigan, la moyenne mobile sur sept jours des nouvelles infections au 20 avril était de 790 par million, soit près de huit fois plus que le Texas.

Selon la logique des défenseurs du confinement, les États où les confinements sont sévères devraient avoir beaucoup moins de cas et moins de croissance dans les cas.

Cependant, ce n’est certainement pas le cas. Dans le New Jersey, par exemple, où les confinements ont été longs et durs, la croissance des cas est près de quatre fois supérieure à celle du Texas. Et puis il y a la Pennsylvanie, le Minnesota, Rhode Island, le Maine et New York, qui ont tous des taux de croissance des nouveaux cas plus de deux fois supérieurs à ceux du Texas.

En fait, le seul État dont les politiques de covid sont particulièrement laxistes et qui figure dans le top 10 de la croissance des cas est la Floride, qui connaît néanmoins des taux de croissance plus faibles que ceux des États dirigés par des fétichistes du confinement comme Andrew Cuomo et Phil Murphy.

De plus, l’épidémie globale de covid-19 en Floride a été beaucoup moins meurtrière que celle des États qui ont adopté le confinement depuis longtemps. Le New Jersey, par exemple, a le pire taux de décès dus au covid-19 du pays, soit 2 838 par million au 20 avril. Juste derrière, on trouve New York et le Massachusetts avec un total de 2 672 et 2 537 décès par million, respectivement.

La Floride, quant à elle, se situe au vingt-huitième rang national en termes de décès du covid, avec 1 608 décès. Le Texas a un total de 1 721 décès par million.

En d’autres termes, la Floride n’est pas près de rattraper New York ou le New Jersey, et elle n’est certainement pas près de rattraper le Michigan, qui laisse les autres États dans la poussière en termes de croissance des cas. Pour ceux qui ont une peur bleue du covid, ils seraient mieux en Floride, au Texas ou en Géorgie que dans les États qui ont depuis longtemps adopté le confinement et prétendent « suivre la science ».

Alors comment expliquer cela ?

Les partisans du confinement ne semblent pas avoir d’explication du tout.

La semaine dernière, Anthony Fauci, directeur de l’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), a eu du mal à trouver une explication lors de son témoignage devant le Congrès.

Au cours des semaines précédentes, M. Fauci a eu tendance à s’appuyer sur le vieil argument éprouvé selon lequel il suffit d’attendre deux à quatre semaines de plus pour que les cas explosent partout où les restrictions covid sont allégées ou éliminées. Les défenseurs du confinement ont essayé cela pendant des mois après que la Géorgie ait mis fin à son ordre de rester à la maison, bien que la Géorgie ait constamment obtenu de meilleurs résultats que de nombreux États qui ont poursuivi leur confinement.

Mais maintenant que nous sommes à six semaines de la fin de l’obligation de port du masque et des confinements partiels du Texas, Fauci n’a pu offrir aucune explication plausible. Plutôt, lorsque le représentant Jim Jordan l’a pressé sur le sujet, Fauci a insisté sur le fait que ce qui compte vraiment, c’est la conformité plutôt que l’existence de l’obligation du port du masque et le confinement :

Il y a une différence entre le confinement et les personnes qui obéissent au confinement… Vous savez, vous pouvez avoir une situation où l’on dit : « Nous allons confiner », et pourtant les gens font exactement ce qu’ils veulent- Jordan a demandé si cela expliquait la situation dans le Michigan et le New Jersey (et d’autres États où le nombre de cas de covid augmente rapidement). Fauci a alors prétendu qu’il ne pouvait pas entendre la question, et Jordan a été interrompu par le président de la commission.

Aucune personne connaissant la situation dans des États comme le Texas, la Floride et la Géorgie, ne trouverait plausible que la propagation du covid ait été réduite dans ces régions par une utilisation plus militante des masques et une distanciation sociale. Le témoignage de Fauci n’était clairement qu’un cas d’expert du gouvernement cherchant une explication.

Mais ne vous attendez pas à ce que Fauci et ses partisans renoncent à insister sur le fait que New York et le Michigan font « ce qu’il faut » tandis que le Texas et la Floride adoptent le « sacrifice humain » dans le cadre d’un « culte de la mort ».

Les chiffres réels donnent une image très différente, et même les observateurs occasionnels peuvent maintenant voir que l’ancienne narration était vraiment fausse.




Note sur certaines actions contre la tyrannie sanitaire

Par Joseph Stroberg

L’Histoire tend à démontrer que les révolutions ont pratiquement toujours été dirigées en fait par une faction très minoritaire qui travaillait pour elle et non pour le peuple. Celle de 1789 en France a par exemple servi la Bourgeoisie et non ce dernier. Les manifestations actuelles contre les mesures sanitaires relèvent d’un processus similaire.

Le pouvoir ne fonctionne que tant qu’on le reconnaît comme tel. Un enfant devenu adulte ne donne plus à ses parents le droit de le diriger. Il assume ses choix et décisions.

Si la société humaine était devenue adulte, la présente tentative mondiale n’aurait pas tenu 5 minutes. Personne ne s’y serait soumis.

Et ici, nul besoin de manifester. Il suffit de refuser de suivre les règles éhontées, abusives et scientifiquement injustifiées. Celles-ci ne tiennent que par l’émotionnel (particulièrement la peur), la dévotion religieuse face à la médecine allopathique et la croyance naïve en la bonté de nos dirigeants.

La psychologie humaine est telle que l’enfant battu et abusé n’en continue pas moins, le plus souvent, d’aimer ses parents et de culpabiliser parce qu’il croit que cela vient de lui-même. Les victimes d’enlèvements en viennent pareillement à aimer leur bourreau (cf. le syndrome de Stockholm).

Ne soyez plus des enfants, ni même des ados rebelles. Devenez adultes et responsables (de vos seuls actes. Il n’y a pas à prendre sur ses épaules le poids des actes des tortionnaires et des tyrans).




Chronique d’une décomposition française : le retour des barbares

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Alexandra SCHREYER

Emmanuel Macron, Président de la République française, déclarait le 18 avril 2021 « Il faut déconstruire l’histoire de France ! » Certains n’ont pas attendu l’espoir exprimé par le président Macron. Ils ont déjà commencé !

« Là où on brûle des livres, on finit aussi par brûler des hommes »

(Heinrich Heine dans Almansor)

Dans la nuit du 26 au 27 juin 2018, une voiture a été projetée dans la devanture de la Médiathèque des 4 000 à la Courneuve. Un incendie s’est ensuite déclaré, brûlant les livres, les documents, etc… Mais, depuis une vingtaine d’années, au moins 70 bibliothèques et sans doute bien plus, sont parties en fumée dans les banlieues de toute la France, dans les cités HLM et grands ensembles prioritairement. Il est notoire que les attaques de bibliothèques sont souvent passées sous silence, par une sorte de déni des maires qui ont un peu honte de l’ambiance de leur ville ou qui ne veulent pas, tout simplement, subir de représailles.

Livres brûlés - Chroniques Nuremberg - 1440-1514

Pour les sociologues, un tantinet gauchistes, qui s’intéressent à l’affaire, il s’agit bien sûr d’une population de jeunes désœuvrés, mal aimés, qui rejettent le symbole du Pouvoir dans une légitime révolte, car ces livres ne parlent pas de leur sort douloureux de pauvres victimes. D’autres seront plutôt tentés d’y voir l’action délibérée de bandes organisées et politisées, voire mues par des sentiments religieux, qui veulent détruire tout ce qui représente à leurs yeux l’Occident, sa culture et ses valeurs. Il est en effet tentant de traduire ces destructions comme une attaque contre un savoir et une connaissance rejetée afin de prôner, éventuellement, un certain obscurantisme.

Pour mémoire, les nazis détruisirent par le feu les ouvrages dissidents (notre illustration à la une) et les phalanges franquistes firent de même.

Roland Barraux - Savonarole bûcher vanités

Diego de Landa ordonna la destruction des manuscrits racontant l’histoire de la civilisation maya et Savonarole, au nom de la Sainte Inquisition, alluma le « Bûcher des Vanités » à Florence.Quant aux Talibans, ils ont détruit d’anciens livres rares, et la révolution française ne fut pas en reste, etc… la liste est loin d’être exhaustive.

Alors pourquoi tant d’acharnement à détruire et même brûler des livres afin qu’il ne reste absolument rien de leur contenu ?

Dans le livre des dieux égyptiens, il est dit que les hiéroglyphes ont le pouvoir de s’animer, il en est de même d’ailleurs pour les mots hébreux. Parfois, le scribe de l’ancienne Égypte détériorait ou mutilait ces signes afin de leur ôter ce pouvoir de création. C’est ce qu’ont sans doute pressenti toutes les grandes dictatures, celles qui ne supportent pas la contradiction, la différence, la liberté : brûler un livre revient à brûler l’esprit et la pensée. On peut donc s’inquiéter, à juste raison, quand on observe ce qui se produit avec l’incendie des bibliothèques en France. Cherche-t-on à mutiler et brûler des livres afin de leur enlever ce pouvoir de transmission d’une certaine pensée et culture ? Dans le film « Farenheit 451 » (le nombre de degrés auquel le papier se consume), l’action se situe dans une société totalitaire où le livre est interdit car il stimule la réflexion.

Fahrenheit 451

Alors, des « hommes-livres » ont choisi d’apprendre chacun un livre par cœur afin de sauvegarder la connaissance. Une vieille femme préfère s’immoler sur l’autodafé purificateur organisé par le dictateur.

José Luis Borges - Bibliothèque Babel

Mais il est difficile de pulvériser complètement le contenu d’un livre. Ces œuvres détruites recèlent encore l’âme des lettres comme les cimetières contiennent le livre de la vie des défunts et leur mémoire (un tel cimetière de livres existe réellement en Israël, à Safed). L’écrivain argentin José Luis Borges est à la recherche du livre ultime qui contient à la fois tous les mots de l’alphabet, tous les ferments de la création et toute la mémoire du monde, dans la gigantesque « Bibliothèque de Babel ». Il rêve de trouver un livre sans commencement ni fin, dont les pages s’ouvrent sur un autre monde invisible à nos yeux et au potentiel illimité.

Mais il est vrai qu’il y a plusieurs manières de brûler ou d’enterrer un livre.
Il suffit d’user d’inculture, c’est ce qui menace nos sociétés comme un péril supplémentaire. Nous sommes en passe de perdre tout simplement le chemin du savoir et si nous n’y prenons pas garde, bientôt « le temps approche où l’on ne saura plus lire ni écrire, où quelques mandarins chuchoteront des secrets à l’oreille… » (Jean Cocteau).
Ou d’user de malveillance

Vieux livres poussiéreux

Alors, il faut être vigilants, si nous ne voulons pas un jour prochain errer dans la fictive et profonde vallée de Kloriole(1) où s’étend un cimetière d’ossements de papiers, où gisent des livres fragiles comme des feuilles mortes et froissées dont nous ne recueillerons plus que la poussière, cimetières qui seront parcourus par des lettrés à la recherche des reliques de leur connaissance du passé, tant il est vrai qu’un peuple qui oublie son Histoire est un peuple perdu.

Alexandra SCHREYER

(1) NDLR : en références aux lieux imaginaires en littérature.