Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

____________

Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



Devinez qui dicte les ordres à vos autorités sanitaires…

[Source : lilianeheldkhawam.com via Sott.net]

Par LHK

Rome, le 27 janvier 2021 – Les membres du G20 ont convenu d’établir un groupe d’experts indépendant de haut niveau (HLIP) sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la riposte aux pandémies . La décision a été prise par les membres lors des premières réunions des Délégués des Finances et de la Banque centrale du G20, le mardi 26 janvier. La pandémie de Covid-19 a créé une crise sanitaire mondiale, qui entraîne des crises économiques et sociales à travers le monde. Malgré les réponses sanitaires et économiques rapides des pays, les coûts humains, économiques et sociaux restent sans précédent dans l’histoire récente.

Le monde dans lequel nous vivons est celui de la convergence. D’ailleurs, le concept transhumaniste fait lui-même converger différentes disciplines pour finir par déboucher un jour sur un produit high-tech dérivé de l’humain, et par extension de la société digitalisée.

Si quelqu’un essaie de vous faire croire que les industriels ont développé ces dernières semaines sous la pression d’un virus des produits basés sur la nanotechnologie/la biotechnologie/la technologie de l’information et de la communication/de la science cognitive, c’est que c’est un menteur. Ces différents domaines de la technoscience travaillent main dans la main depuis près de 100 ans. Et ce qu’ils font, c’est faire converger les connaissances pour:

  1. Apprivoiser la mort et s’offrir la vie éternelle pour les uns
  2. Améliorer les performances de ceux qui vont servir pour qu’ils donnent un maximum, en un minimum de temps, sans que la chose ne leur coûte trop en matière de soins, prise en charge des familles, etc. comme cela fut le cas du temps de l’esclavage. L’hygiène des pauvres n’étant pas extraordinaire, elle peut engendrer des épidémies qui remettraient en question le souci soulevé sous le point 1.

Pourtant le nouveau monde n’est pas que celui de la convergence technologique. Il est aussi celui du centrage et de l’ancrage de la société non plus sur une identité collective, une constitution nationale, une croyance théologique, ou autre, mais sur les flux financiers.

Le coeur du nouveau modèle de société est financier.

L’économiste, membre du Club de Rome, star de la planète médiatico-économique du moment Kate Raworth l’a magnifiquement représenté dans son célèbre beignet.

Les humains, tout comme les Etats, n’ont plus à posséder des biens (casés dans la catégorie commons) sont coincés entre les flux financiers, coeur du système, et l’économie . Ils ne sont que des ressources parmi d’autres livrés à la toute-puissance finance qui subitement détient un rôle essentiel, et même vital.

La haute finance est ainsi devenue l’Alpha et l’Omega d’une société dépossédée, démotivée, mais surtout déshumanisée. En voie de robotisation. Et la micro-élite financière compte bien mener à son terme cette transmutation de l’humanité.

Eugénisme actif mais requalifié, pour les besoins de la cause, de libéral.

C’est donc avec une envie d’exploser de rire, si cela n’avait été tragique, que j’ai découvert les têtes du panel indépendant de haut niveau sur le financement de la préparation et de la réponse à une pandémie mondiale. Voici les membres du panel. Si vous suivez ce blog, vous ne devriez pas être surpris de découvrir que les cordons de la bourse en matière de santé ont été centralisés et remis à des financiers. Ce petit monde de banquiers, banquiers centraux, ministres de la santé, et autres représentants des investisseurs se réjouit très certainement de ce nouveau jalon historique qui les rapproche tous les jours un peu plus de ce monde-entreprise préparé depuis de nombreuses décennies… Grand moment d’émotion donc.

Cette équipe a la charge de proposer des solutions concrètes pour combler ces lacunes de manière systématique et durable, et pour tirer le meilleur parti des ressources des secteurs public, privé et philanthropique et des institutions financières internationales.

Vous constaterez aussi au passage que le logo de cette aréopage inclut l’appellation « Commons » puisque le faux libéralisme n’est rien d’autre qu’un pillage généralisé des ressources qui doit se terminer lorsque ces personnages et leurs mandants auront mis la main sur les dernières miettes de propriétés encore privées. Et dans notre cas, il s’agit d e la santé de l’humanité, un bien commun indispensable à la Compagnie mondiale qui est en train de se mettre en place en lieu et place des États.

En mettant la main sur la santé de manière aussi ostentatoire, ces personnes vont pouvoir modifier la sphère médicale dans le sens de la nanomédecine et de l’hôpital du futur. Qui paie, commande…

L’enjeu ultime va être celui de transformer l’humanité non pas en un Common d’esclaves, mais en une machine humaine connectée en permanence à leur système « d’exploitation » grâce auquel ils peuvent la surveiller 24/24, 7 jours/7. Jacques Attali expliquait déjà fort bien certains aspects de la chose en 2008.



Merci à l’équipe de Nouveau-Monde d’avoir rappelé cet entretien…

LHK

Je vous laisse lire ce que mon ami Bruno Bertez a écrit sur le sujet :

https://brunobertez.com/2021/07/10/les-elites-fabiennes-semparent-de-la-sante-votre-sante-vers-une-refonte-majeure-de-linfrastructure-mondiale-de-gouvernance-de-la-sante-depossession/

LES ÉLITES FABIENNES S’EMPARENT DE LA SANTÉ, VOTRE SANTÉ! VERS UNE REFONTE MAJEURE DE L’INFRASTRUCTURE MONDIALE DE GOUVERNANCE DE LA SANTÉ. DÉPOSSESSION.

Les élites fabiennes, après avoir pris le contrôle de la finance mondiale en 2008 après la crise qu’ils ont eux même créée se proposent de prendre le contrôle de la santé mondiale après la crise sanitaire de 2020.

Les peuples et leur pseudo gouvernements démocratiques sont une nouvelle fois privés de leurs pouvoirs. Dépossession!

Un groupe d’experts mondial coprésidé par Larry Summers indique que d’autres pandémies suivront et que la communauté internationale doit se mobiliser maintenant.

Même si le monde lutte toujours pour vaincre la pandémie de COVID-19, il doit agir maintenant pour renforcer sa préparation aux pandémies à venir, selon un rapport publié vendredi par un groupe d’experts nommé par le groupe du G-20. nations riches et en développement.

Le panel, coprésidé par l’économiste de Harvard Larry Summers, professeur à l’Université Charles W. Eliot, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération. »

Le rapport du panel repose sur des bases effrayantes.

Premièrement, que la pandémie de COVID-19 représente « le plus grand revers en termes de vie et de moyens de subsistance dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale », replongeant des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, tuant environ 4 millions de personnes et entraînant des pertes cumulatives qui ont été prévues à 22 000 milliards de dollars.

Deuxièmement, que nous sommes entrés dans «l’ère des pandémies» et que des événements comme la pandémie actuelle pourraient se reproduire avec une régularité effrayante dans les années à venir.

Elle repose également sur l’impératif moral et pratique d’une action collective, aidant tous les pays, y compris les plus pauvres, à se défendre contre cette pandémie et les futures.

Le panel, composé principalement d’experts économiques et financiers, a été créé en janvier par le G-20 pour déterminer comment organiser au mieux les finances de la communauté internationale pour se préparer aux futures pandémies.v

Son rapport détaillé identifie quatre domaines majeurs de prévention, de préparation et de réponse qui doivent être abordés :

  • un réseau mondial de surveillance et de recherche pour prévenir et détecter les menaces futures ;
  • des systèmes de santé nationaux plus résilients ;
  • la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux, pour raccourcir radicalement le temps de réponse à une pandémie et offrir un accès mondial équitable ;
  • une gouvernance mondiale qui assure la coordination et un financement adéquat.

Le prix de 75 milliards de dollars ne représente qu’une petite fraction – 700 fois moins, selon l’estimation du panel – de ce que la pandémie a coûté aux gouvernements nationaux. Le panel suppose également que les investissements, initialement prévus sur une période de cinq ans, devraient se poursuivre.

Cet argent comprendrait un fonds annuel de 10 milliards de dollars pour les menaces pour la santé mondiale, plus 5 milliards de dollars supplémentaires par an en financement supplémentaire pour les institutions internationales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les organisations financières internationales, telles que la Banque mondiale, qui leur permettraient de débourser des fonds rapidement en cas de nouvelle pandémie.

La surveillance financière et une fonction de coordination clé seraient assurées par un Conseil des menaces pour la santé mondiale composé des ministres de la Santé et des Finances du G-20 et d’autres pays, ainsi que des chefs des principales organisations régionales. Il s’inspire du Conseil de stabilité financière, qui a été créé par le G-20 à la suite de la crise financière mondiale de 2008.

« Les investissements collectifs que nous proposons, avec des contributions équitables de toutes les nations, sont abordables », indique le rapport. « Ils sont également minuscules par rapport aux 10 000 milliards de dollars américains que les gouvernements ont déjà engagés dans la crise du COVID-19. Nous devons investir sans tarder. Ce sera une énorme erreur d’économiser à court terme et d’attendre encore une fois qu’il soit trop tard pour éviter qu’une pandémie ne nous submerge. La prochaine pandémie pourrait en effet être pire. »

Le panel comprend plus de 20 experts financiers et économiques ayant une expérience au sein du gouvernement, des organisations internationales et du secteur privé.

Summers a été secrétaire au Trésor des États-Unis sous le président Clinton et a dirigé le Conseil économique national du président Obama, et est Weil directeur du Mossavar-Rahmani Center for Business and Government à la Harvard Kennedy School. Les deux autres coprésidents sont Ngozi Okonjo-Iweala, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce et ancien Angelopoulos Global Public Leaders Fellow à la Harvard Kennedy School, et Tharman Shanmugaratnam, ministre principal et ancien vice-Premier ministre et ministre des Finances de Singapour.


Voici 2 extraits de Dépossession où nous retrouvons:

1.- M Summers qui lutte pour la suppression du Cash

L’alliance banco-financière veut, voire exige, la suppression du cash. Evalué à environ 10% de la masse monétaire en circulation. La suppression de la prérogative de battre monnaie rendra ainsi obsolète la principale raison d’être constitutionnelle des banques centrales nationales. Ça tombe bien, la technologie dite du « blockchain », qui a émergé de nulle part au lendemain de la crise des subprimes (notamment avec le bitcoin), ne nécessite pas de supervision par un « tiers de confiance ». Normalement, cette technologie devrait être amenée à remplacer, à terme, le système bancaire classique. Pour ce faire, la suppression du cash est indispensable.

En 2016[1], le thème du World Economic Forum (WEF)  portait sur la suppression du cash. Klaus Schwab, fondateur du WEF y avait fait référence à « la quatrième révolution industrielle », en parlant de la révolution digitale[2]… Mais c’est lapublication sur le site de l’organisation qui attire l’attention. Dans « Qui sera le roi de ce monde sans cash», un nouveau monde nous est présenté avec moult références à un roi, une couronne dormante, une révolution globale et un nouvel ordre mondial. Une terminologie qui a tout de même de quoi interpeller.Et l’article de nous faire entendre que les petits acteurs auraient une chance de remporter la mise… « La révolution sans cash est en marche. Les gouvernements, les entreprises, les start-ups et les consommateurs peuvent avoir des motivations différentes pour détrôner le cash mais le résultat final sera probablement le même. Mais avec la mondialisation où « gros » est traditionnellement « beau », ce sont les plus petits acteurs — start-ups, petites entreprises et consommateurs — qui vont en définitive façonner le nouvel ordre mondial. Et pour ceux qui aiment l’innovation et les idées nouvelles ce ne peut être qu’une bonne chose »[3]Le texte n’indiquait en revanche pas les sources de financement desdites startups…

Les plus grands acteurs de la haute finance internationale vont défiler lors de cette rencontre : Bill Gates (Microsoft), Blythe Masters (ex. JP Morgan et inventrice des produits dérivés qui sont à l’origine de la crise des subprimes, reconvertie depuis dans la promotion du Blockchain[4]), Michel Sapin (alors ministre de l’Économie), Christine Lagarde (FMI) ou William White (OCDE). Leurs discours étaient convergents et militaient en faveur de la société sans cash.

Mme Blythe Masters, qui prône la suppression du K, fut accusée par The Guardian d’être la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive, et même de manipulation des prix du marché de l’énergie. Son parcours est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle est une double ambassadrice du nouveau monde qui se met en place. Une fois en tant que militante de la suppression du cash, et une autre fois en tant que promotrice de la blockchain et des actifs digitalisés.

Blythe ne quitta la JP Morgan qu’en 2014, mettant un terme à 27 ans de carrière. La crise des subprimes à cause de laquelle, elle fut pointée du doigt, ne fut pas source de rupture de collaboration. En fait, JP Morgan devient un client de la nouvelle société Digital Asset dont elle est CEO depuis 2015.

Selon le site web de la société, la plateforme d’actifs digitalisés, que développe l’entreprise de Mme Blythe, serait la seule à avoir été développée en fonction des besoins de production des plus grandes institutions financières de la planète. Vous ne serez donc pas étonnées de trouver certaines références sur son site, telles que : Goldman Sachs, JP Morgan, Accenture, IBM, Santander, ABN_AMRO, Price Waterhouse Coopers (un des partenaires mondiaux). Le client IBM a par exemple dévoilé récemment son « Blockchain as a service » basé sur la technologie open source « Hyperledger fabric », qui a servi à développer la version 1.0 de Linux Foundation (Info Hightech). Dans ce monde si petit de la haute finance et de la haute technologie, nous découvrons que Mme Masters[5] est aussi présidente du conseil de Linux Foundation, dont les produits sont le fruit de l’open source,et donc de « l’économie de partage » prônée par l’élite de la finance internationale… C’est par cette technologie de la Blockchain que le cash devrait être remplacé.

Des économistes américains qui font autorité au sein du monde académique international, se joignent à ces voix du WEF pour imposer la suppression du cash. On peut compter sur l’ancien Secrétaire au Trésor américain [6], le professeur [7]Lawrence Summers et l’ancien économiste en chef du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff, qui préconisent le retrait progressif des grosses coupures. « Selon Rogoff, éliminer les gros billets pourrait également servir la politique monétaire : en période de déflation, les banques centrales auraient alors plus de latitude pour imposer des taux d’intérêt négatifs, puisque la menace d’une ruée vers les banques pour récupérer les dépôts en numéraire aurait ainsi disparu. » (Alan Wheatley[8]). Mais voilà que MM Summers et Rogoff sont des membres du G30, le think tank dont nous avons déjà parlé[9]. Ils siègent donc avec de nombreux banquiers centraux (y compris MM. Paul Volcker, Ben Bernanke, et Jean-Claude Trichet), certains patrons des grandes banques too-big-to-fail, ainsi que des principaux gestionnaires d’actifs concentrateurs des  richesses planétaires…

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

Le Fonds d’équipement des Nations Unies (United Nations Capital Development Fund, UNCDF), qui vise à accompagner la réalisation des « objectifs du Millénaire » des Nations-Unies dans les pays les moins avancés, sert de secrétariat à Better Than cash alliance. Le Fonds héberge d’ailleurs l’Alliance dans ses locaux de New York. Enfin, celle-ci travaille étroitement avec les organisations supranationales. Elle représente même un outil d’implémentation du G20 Global Partnership for Financial Inclusion.


2.- La menace que font courir les partenariats multipartites à la démocratie et aux États en général

Le puissant partenariat multipartite « banques-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » se retrouve dans le Group of Thirty, Groupe des Trente ou G30. Ce think tank est une organisation privée qui traite des affaires économiques internationales et monétaires. Il rassemble de prestigieux membres de la corporation « banquiers-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » sous la présidence d’une personnalité dont le CV est impressionnant. Nous en retiendrons juste que M Frenkel est à la fois président et CEO du G30, tout en étant président de la JP Morgan Chase International et qu’il est aussi un ancien banquier central.(([1] Gouverneur de la Banque d’Israël entre 1991 et 2000.))

A côté de lui, figurent des banquiers centraux tels que: MM Draghi et Trichet, actuel et ancien patron de la BCE ou M Dudley, patron de la Réserve fédérale de New York. Nous y trouvons un autre banquier central reconverti en banquier commercial présidant au sort d’UBS qui est M Weber. M P Hildebrand, ancien président de la banque centrale suisse, devenu vice-président de Blackrock, ainsi que M Fischer, ancien vice-président de la Réserve fédérale et ancien gouverneur de la Banque d’Israël font partie des trente. Relevons encore au passage la présence de professeurs d’économie, dont certains sont d’ardents défenseurs de la suppression du cash.

Nous voyons ainsi une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien-être sociétal. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement.(([2] L’article 99 de la Constitution suisse dit : « En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération. »))

Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financière et monétaire planétaire, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont concentrés entre les mains de finalement peu de personnes. La politique des banques centrales de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la haute finance de l’argent frais à profusion, ainsi que les garanties des États et de l’économie réelle. Partant de ce constat, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus !





L’épouse du Machiah sera une Française

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]

L’épouse du Machiah sera une Française — 20 juin 2021

En substance et résumé, notamment :

« Les Français referont la Révolution Française à l’envers, redonnant la couronne au Machiah fils de David alors que France et Israël seront réunis, ceci par le réveil du peuple et de la femme. »



[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La France revivra-t-elle?]




Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Je vous invite à regarder le reportage de Mathieu Laflamme réalisé en collaboration avec l’organisme Courage Québec / Fearless Canada, intitulé : « L’esprit d’un guerrier pacifique ». Brillant professeur de mathématiques, François Amalega Bitondo parle avec son cœur et explique pourquoi il a tout sacrifié pour défier la tyrannie. Il décrit comment il a dû quitter le Collège de Jean-de-Brébeuf (Montréal) et renoncer à sa profession pour assumer pleinement sa responsabilité sociale. Intègre, il défend pacifiquement la liberté de penser et ouvre courageusement la voie d’une désobéissance intelligente et pacifiste. Depuis des mois, il sensibilise les individus sur l’absurdité des mesures sanitaires, aux dépens de sa liberté et de sa vie : il dit être « prêt à mourir » pour assurer un monde plus juste et libre pour les générations futures.

Le 20 juillet 2021, lors d’une soirée sombre et tonitruante à Montréal, la légende locale et militant intransigeant François Amalega a rencontré Mathieu Laflamme de Courage Québec / Fearless Canada. Amalega a parlé des raisons pour lesquelles il a rejoint le mouvement de la résistance au Québec et précisément combien il a sacrifié pour rester fidèle à ses convictions les plus profondes.



À l’été 2020, alors que ses collègues tentaient en vain de le forcer au silence, Amalega a renoncé à son poste de professeur titulaire de mathématiques au Collège Brébeuf, à Montréal. Il a été confronté à ses positions, accusé d’épouser des croyances complotistes et on lui a demandé de fermer ses profils de médias sociaux s’il voulait conserver son emploi. Bien sûr, Amalega a refusé et a plutôt présenté sa démission. Depuis, il lutte sans relâche et de manière pacifique dans les rues de nombreuses villes du Québec contre les mesures de confinement inconstitutionnelles, contre l’obligation du port du masque et, plus récemment, contre les passeports vaccinaux discriminatoires et diviseurs.

Ayant reçu 37 constats à ce jour et ayant été arrêté à de nombreuses reprises, l’esprit guerrier pacifique d’Amalega l’oblige à continuer. Comme il l’explique dans l’interview, il préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides, en l’absence de tout débat, lorsqu’ils sont complètement déconnectés de la science et de la raison. Alors que ses positions sont principalement contre les mesures gouvernementales autoritaires, Amalega refuse également d’acquiescer à une société moralement et intellectuellement en faillite qui préfère accepter un mensonge que de débattre des faits et risquer d’arriver à une vérité plus que dérangeante.



Le 22 juillet 2021, François Amalega Bitondo s’est fait arrêter pour la seconde fois par les policiers lors d’une action devant le magasin Canadian Tire de Joliette. Il s’est rendu le lendemain au palais de justice de Joliette. Il devait comparaître pour quatre accusations déposées contre lui. 

« Il a été arrêté et libéré mercredi avec une promesse de comparaître et il a eu une accusation pour avoir troublé la paix. Jeudi, il a encore essayé de rentrer dans le Canadian Tire sans masque, alors qu’il n’avait pas le droit d’y retourner. Il a donc été arrêté une seconde fois », explique le lieutenant Benoît Richard, de la Sécurité du Québec (SQ).

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) confirme que François Amalega a été libéré le lendemain sous promesse de comparaître à nouveau le 15 septembre prochain.



Comme l’explique l’avocat André Lafrance : 

« Le sensationnalisme du Journal de Montréal, un journal abrutissant s’il en est. Au Québec il [François Amalega] est anti-masque, ailleurs il est un citoyen normal. Malheureusement, les règles sanitaires liberticides de Legault doivent être respectées même si elles ne font plus de sens, et surtout que l’efficacité de ce bidule a été remis en question par plusieurs experts internationaux. En fait, plusieurs provinces n’exige plus le port du masque de même que la presque totalité des États-Unis et la majorité des pays d’Europe. Cela veut dire que si Francois Amalega avait fait son geste en Colombie-Britannique, il aurait agit légalement. Le Journal de Montréal est pro dictature, point barre. »



Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs.
[8 juillet 1942] — Ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l’accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. Document ci-haut : Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs (mesures prises par le gouvernement de Vichy).

[Voir aussi :
Mourir libre ou vivre esclave et
La clef de la libération]




Ce n’est pas de passe sanitaire ni de pseudo vaccins dont la France a besoin, mais de LIBERTÉ !

Par Gérard Delépine

Les pseudo vaccins actuels sont gravement inefficaces

Un « vrai vaccin » contient des antigènes spécifiques du virus ou de la bactérie suscitant une réaction immunitaire spécifique, et il est efficace. Les vaccinés contre la diphtérie ou la fièvre jaune sont protégés à vie de la maladie, ne peuvent donc pas la transmettre et n’ont aucun risque d’en mourir.

Mais ceux qui ont reçu les pseudo vaccins anti-covid peuvent attraper la maladie, la transmettre et en mourir.

Les données acquises de la science montrent que se « vacciner anticovid » ne protège ni de la maladie, ni du risque de faire une forme grave, ni d’en mourir.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la maladie

À Chavagnes-en-Paillers en Vendée,(([1] https://by-jipp.blogspot.com/2021/06/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute.html)) entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères, malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires.(([2] Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([3] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([4] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([5] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([6] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))

Quatre des neuf navires du groupe aéronaval de la Royal Navy dont le HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, ont été touchés par une épidémie de Covid(([7] https://www.lorientlejour.com/article/1268472/epidemie-sur-le-porte-avions-hms-queen-elizabeth-apres-une-escale-a-chypre.html)) avec plus de 100 cas, alors que tous les marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas,mais les décodeurs du monde ont le culot d’affirmer que c’est une bonne nouvelle.(([8] Gary Dagorn Covid-19 : les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël (et c’est une bonne nouvelle) le 02 juillet 2021)) « C’est pourtant là, chose tout à fait normale et attendue. » Craignait-il que les vaccins soient totalement inefficaces pour se réjouir d’un pareil échec ? Toute contamination d’un vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins classiques (qui n’existent pas pour le covid19 dans nos contrées).

Contrairement aux annonces des labos et de nos gouvernants, recevoir l’injection anticovid ne protège pas non plus des formes graves

Actuellement en Israël les vaccinés sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés.

Cela démontre de manière formelle que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la mort par Covid

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées ».(([9] https://www.gov.uk/government/publications/investigation-of-novel-sars-cov-2-variant-variant-of-concern-20201201))

Constatation confirmée par O. Véran dans sa réponse au Conseil d’État en mars 2021 : « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant ».

Un vrai vaccin efficace empêche d’être malade et encore plus de faire des formes graves et d’en mourir. Ce n’est pas le cas des injections géniques actuelles présentées comme de vrais vaccins.

Certains fastcheckers(([10] https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/plus-de-personnes-vaccinees-meurent-de-covid-en-angleterre-que-de-personnes-non-vaccinees-voici-pourquoi.html)) pour désamorcer la bombe que constituent ces faits établis n’hésitent pas à se ridiculiser en concluant : « le fait que plus de personnes vaccinées meurent que de personnes non vaccinées ne compromet en rien l’efficacité des vaccins. En fait, c’est exactement ce que l’on attend des excellents vaccins ».

Est-ce de l’humour noir qui a échappé aux correcteurs ? J’espère que l’auteur, Christian Yates, non-médecin, a quand même été payé pour proférer de pareilles stupidités dignes des pires antivax. Ont-ils oublié que les vaccins contre la variole, la fièvre jaune ou la diphtérie protègent tous les vaccinés à vie et complètement contre les maladies cibles ?

Alors, pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent de répéter la propagande des labos en prétendant que la vaccination protégerait à 95 % de la maladie et en particulier des formes graves ?

Les pseudo vaccins n’empêchent pas la transmission aux contacts ni la propagation de la maladie dans la population

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes — officiels — des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData, montre le contraire.

Les exemples — britannique, israélien et espagnol — montrent l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations ; ces champions des pseudos vaccins sont actuellement confrontés à une forte reprise de l’épidémie avec des variants dont ils ont favorisé l’émergence.

Et même Olivier Véran l’a d’ailleurs reconnu dans sa réponse au Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Alors pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent-ils de prétendre que la vaccination serait le meilleur moyen de lutte contre l’épidémie ?

Les pseudos vaccins actuels ne sont pas dépourvus de risques

Le site d’Eudravigilance comptabilise plusieurs centaines de milliers d’effets secondaires et près de 19 000 décès post injectons anti-covid.

La majorité des effets secondaires sont relativement bénins, mais imposent souvent des arrêts de travail de quelques jours du personnel des hôpitaux (au point de justifier la recommandation de la Haute Autorité de santé de ne pas vacciner en même temps les membres d’un même service).

Les myocardites et les péricardites (inflammation du cœur et de son enveloppe) post vaccination sont des complications sévères maintenant reconnues par la FDA qui touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les adolescents vaccinés.

Beaucoup de sportifs qui se vaccinent et voient ensuite leurs performances baisser de 10 % à 20 %. L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique. Elle a été relayée en France par Christophe Lemaitre, forfait pour les Championnats de France à Angers comme Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse non qualifiés pour les JO. Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue

Mais l’injection peut être aussi suivie de décès. Comme ce médecin âgé de 55 ans, sportif et alpiniste, mort d’une thrombose après une injection de Pfizer/BioNtech, ou cet agent hospitalier de 54 ans à La Garde ou Carole Petit, une assistante sociale de 38 ans qui travaillait à Albi, morte de thromboses cérébrales fin mars, à l’hôpital Purpan, trois semaines après vaccination.

Les décès n’épargnent pas les jeunes comme ce jeune interne en médecine nantais en excellente santé et sportif dont l’autopsie « indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents »

Les décès n’épargnent pas les sportifs de haut niveau. Ainsi Lise Vidal, double championne d’Europe de planche à voile, propagandiste de la vaccination est décédée brutalement à l’âge de 43 ans d’une hémorragie cérébrale après vaccination.

La ségrégation par le passe ne peut avoir aucun effet positif sur l’épidémie

Le passe constitue un moyen totalitaire de chantage brutal « vacciné ou enfermé » destiné à imposer l’injection par une voie détournée(([11] Imposer par la loi un médicament expérimental serait contraire au droit et en particulier à la convention d’Oviedo que la France a signée)) en nous promettant qu’ensuite nous retrouverons nos libertés scandaleusement confisquées. Mais quel crédit peut-on accorder à cette promesse compte tenu des reniements habituels des promesses de Macron ? D’autant que beaucoup des covid-terroristes font actuellement campagne dans les médias pour toujours plus d’enfermement.

Mais on ne voit pas comment l’obligation d’un pseudo vaccin (qui n’empêche pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni d’en mourir) pourrait améliorer la situation de l’épidémie. Les vaccins actuels sont tout bonnement trop inefficaces pour être utiles.

Et comme les titulaires de passe se croient protégés et prennent moins de précautions, on peut même craindre que l’instauration de passe entraîne une augmentation des contaminations.

C’est la tendance observée en Autriche qui a instauré ce système de ségrégation le 1/7/21 et qui se trouve depuis avec une forte poussée de nouvelles contaminations.

Les organisateurs du festival Verknipt à Utrecht en ont aussi fait la triste expérience. Ils croyaient protéger les participants en subordonnant l’entrée du festival à l’utilisation d’un passe sanitaire. Les visiteurs ont dû en effet démontrer, via l’application CoronaCheck, qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente.

Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus(([12] RTBF Malgré l’obligation d’un pass sanitaire, plus de 1000 participants à un festival contaminés par le Covid-19)) (dont une majorité de vaccinés !). La porte-parole des services de santé de la région d’Utrecht n’exclut pas la possibilité que le nombre d’infections augmente encore dans les prochains jours. « Nous espérons que le pic a été atteint, mais avec la variante delta plus contagieuse, ce n’est pas évident. » Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer encore des contraintes inefficaces ?

Pour une tout autre politique sanitaire

La politique totalitaire du mensonge-confinement-vaccination sans traitement a fait la preuve de sa nocivité sanitaire, sociale, économique et politique. Il est temps de suivre l’exemple des pays qui ont parié sur l’emploi de traitements précoces comme l’Inde et de nombreux pays africains qui comptent 5 à 10 fois de moins de morts par million d’habitants que nous. Et d’appliquer la recette du ministre de la santé de Taiwan qui a rappelé dès avril 2020 que la « démocratie et la transparence gouvernementale étaient essentielles pour vaincre l’épidémie. »

Stop au mensonge et à la dictature ! Libérons le pays.

Que le gouvernement cesse de nous mépriser en des termes orduriers tels que ceux qu’utilise G Attal :

« les non-vaccinés doivent se bouger le cul sinon ils auront une vie de merde »

ou Castaner :

« On va vraiment vous pourrir la vie »

Rassurons la population en rappelant que le variant delta ne nécessite qu’exceptionnellement l’hospitalisation et ne tue presque jamais et qu’il est de plus très sensible au traitement précoce par Ivermectine/chloroquine et antibiotiques, zinc et vitamines.

Reconstruisons l’hôpital en arrêtant les suppressions de lits qui se sont poursuivies durant la crise et en en créant de nouveaux.

Que le gouvernement arrête de menacer ceux qui sont en première ligne du combat, comme les pompiers ou les soignants dont trop envisagent de démissionner, alors que nous en manquons déjà si les menaces perdurent. Remotivons les soignants en ne leur imposant rien qui heurte leurs connaissances et leurs convictions, en les libérant du carcan administratif et en les payant mieux.

Encourageons enfin les médecins à utiliser les traitements précoces tellement efficaces, si une poussée entraînait des hospitalisations. Ils ont parfaitement le droit de les prescrire (en mettant hors AMM) tant que ce n’est pas le traitement « recommandé » par les instances. Mais en aucun cas ils ne sont interdits de prescription.

Si ceux qui sont censés nous représenter au parlement ne défendent plus nos libertés, faisons-le à leur place en manifestant partout et tous les jours et en organisant des grèves nationales jusqu’au retrait des mesures liberticides et à la démission des responsables.

Retrouvons nos racines du pays des lumières et des droits de l’homme. Donnons ainsi l’exemple du combat pour la liberté aux autres populations européennes qui commencent elles aussi à se réveiller telle qu’en Italie.





Google censure la vérité plandémique parce qu’il est fortement investi dans les « vaccins » Covid

[Source : NaturalNews.com]

Traduction : MIRASTNEW

Par Ethan Huff

L’une des principales raisons pour lesquelles Google, et par extension YouTube, censure agressivement toute la vérité sur la « pandémie » du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)] est que la société est directement investie dans l’injection de virus chinois d’AstraZeneca et de l’Université d’Oxford.    

En d’autres termes, Google profite directement de la vente de vaccins contre la grippe Fauci, ce qui explique pourquoi l’une des sociétés les plus diaboliques au monde supprime les vidéos YouTube et censure les résultats de recherche qui attirent l’attention sur toute la science démystifiant la plandémie en tant que fraude manufacturée.  

Le Dr Reiner Fuellmich de la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss) s’est récemment entretenu avec la journaliste d’investigation indépendante Whitney Webb au sujet de la collusion entre Google et AstraZeneca, et de la façon dont le monde est trompé par celle-ci.

Malgré les affirmations selon lesquelles son jab est «à but non lucratif», AstraZeneca a développé son injection de virus chinois via Adrian Hill et Sarah Gilbert du Jenner Institute for Vaccine Research. Les brevets et les droits de redevance sont également détenus par une société privée connue sous le nom de Vaccitech, cofondée par Hill et Gilbert.

Parmi les investisseurs les plus importants de Vaccitech figurent Google Ventures, le Wellcome Trust, le gouvernement britannique, une société d’investissement en capital de la Deutsche Bank connue sous le nom de BRAAVOS et diverses sociétés chinoises communistes, dont Fosun Pharma.

« Tous ces investisseurs devraient profiter de ce « vaccin » à un moment donné dans un proche avenir, et Vaccitech a été assez ouvert sur le potentiel de profit futur avec ses actionnaires, notant que le vaccin COVID-19 deviendra très probablement un vaccin annuel qui est mis à jour chaque saison un peu comme le vaccin contre la grippe saisonnière », explique le Dr Joseph Mercola.

« Bien sûr, AstraZeneca a promis qu’il ne tirerait aucun profit de ce vaccin COVID-19, mais il y a une limite de temps pour cet engagement. Le vœu à but non lucratif expire une fois la pandémie terminée, et AstraZeneca elle-même peut décider à quel moment. »

Les mondialistes veulent un contrôle total de votre argent et de votre corps

En censurant toutes les informations et la vérité qui menacent la poussée d’injection du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)], Google protège ses enjeux financiers, ainsi que ceux de ses alliés et partenaires.

Google essaie également de se plonger dans le secteur des soins de santé avec la création de nouveaux programmes de « télémédecine » et d’intelligence artificielle (IA) qui, espère-t-il, seront éventuellement mis en œuvre en remplacement des médecins humains.

« Ils ont commencé à réinventer en quelque sorte les soins de santé comme un moyen de prendre le contrôle de la vie des gens, en leur disant que c’est pour le bien du public, du collectif et aussi de leur santé personnelle, alors que c’est vraiment un moyen de mettre en œuvre ces technologies transhumanistes ou technocratiques sous le couvert d’une entreprise liée à la santé », déclare Webb à propos du programme.

Le but ultime est de supplanter toutes les formes traditionnelles de médecine et de les remplacer par un système centralisé, contrôlé par les mondialistes et géré par les grandes technologies, fondé sur l’asservissement total de l’humanité.

L’armée américaine serait impliquée dans l’opération, s’étant associée à Google pour agir en tant que force pour sa mise en œuvre – ce qui signifie une conversion obligatoire au culte du Covidisme sous la menace d’une arme.

Il semble y avoir un élément transhumaniste dans le complot d’injection de virus chinois, suggérant que quelque chose dans les flacons jette les bases de la «marque de la bête», qui transformera les corps humains créés à l’image de Dieu en corps transhumanistes recréés dans le image de Satan.

« La DARPA est fortement investie dans les technologies transhumanistes à utiliser chez les soldats, y compris les interfaces cerveau-machine et d’autres idées encore plus extrêmes », prévient Webb. « Ils se sont récemment associés au Wellcome Trust pour créer quelque chose appelé » Wellcome Leap « , un mouvement plutôt troublant pour inaugurer le transhumanisme. »

Plus d’informations sur le complot mondialiste visant à conquérir la planète et à injecter à tout le monde des coups mortels contre le virus chinois peuvent être trouvées sur Corruption.news.

Les sources de cet article incluent :

Mercola.com

NaturalNews.com




Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

[Source : henrymakow.com]

Traduction : MIRASTNEWS

Par Steven Fishman

On me pose souvent la question : « Si j’ai pris le « vaccin », combien de temps vivrai-je ?

J’ai renvoyé cette question à un de mes amis, le Dr Mylo Canderian, Ph.D. [né Milos Iskanderianos, Corfou, Grèce, 1938], qui a développé le brevet pour l’oxyde de graphène à utiliser comme arme biologique hématologique en 2015.

En toute transparence, le Dr Canderian est ce que j’appellerais un « mondialiste génocidaire », qui suit le précepte dix des Georgia Guidestones, qui est très rarement discuté, déclarant « Ne soyez pas un cancer sur la Terre ; Laissez place à la nature. »

Le Dr Canderian est un contributeur médical de l’Organisation mondiale de la santé et soutient également Klaus Schwab et la « grande réinitialisation », inaugurant une monnaie numérique mondiale qui est un objectif secondaire de l’OMS pour 2022.

Le Dr Canderian est d’avis que 95 % de la population mondiale sont des « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible.

« Regardez le centre-ville de Chicago, Baltimore ou Los Angeles », a-t-il déclaré, « et vous verrez clairement pourquoi les mangeurs inutiles doivent être réprimés comme des chiens enragés. »

Il a exprimé son dédain pour les « éducateurs infectieux » qui promeuvent la théorie critique de la race, et est convaincu que le « vaccin » mettra fin au « cancer humain sur la Terre ».

Le Dr Canderian est un ardent partisan du devoir et de l’obligation de la franc-maçonnerie de débarrasser le monde de la « peste de l’humanité ».

Pourtant sur le plan personnel, lui et moi partageons une passion pour le même plat exotique servi à L’émince de Veau à Genève : la Crème de Colibri suivi de Elk Tongue.

Nous sommes tous les deux fans du Chef Gaston Sere de Rivières, qui est un génie culinaire.

Alors, j’ai demandé à Mylo : « Comment les « vaccinés » peuvent-ils savoir avec certitude combien de temps ils doivent vivre une fois qu’ils ont été piqués ? »

Il m’a présenté l’information, appelée la «Formule de fin de cycle».

Il a expliqué à quel point il est facile de calculer.

« Le pouvoir de la simplicité », a-t-il déclaré. « Il y a un cycle maximum de dix ans entre l’injection et la fin du cycle », [ou la mort], a-t-il précisé. « Et c’est extrêmement facile à déterminer. »

Il a déclaré que tout hématologue peut le voir en quelques secondes au microscope, et encore plus facilement au microscope électronique. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l’oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle », a-t-il divulgué.

En d’autres termes, un « inoculé » [comme il appelle toute personne ayant reçu l’autorisation d’utilisation expérimentale de l’eugénisme pour l’injection mortelle par injection biologique] ayant une détérioration de 20 % d’oxyde de graphène dans son sang vivra, à l’exception de tout autre critère d’entrée, pendant 8 ans. [10 ans moins 20%].

Quelqu’un avec une détérioration de 70% d’oxyde de graphène ne vivra pas plus de 3 ans. [10 ans moins 70%].

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Le Dr Jane Ruby a récemment été interviewé par Stew Peters sur son podcast et a montré des exemples de ce à quoi ressemble le sang détérioré lorsqu’il est exposé à l’oxyde de graphène.

L’oxyde de graphène, pour ceux qui ne le savent pas, est le composant des protéines de pointe de l’ARN messager et des prions, qui est en guerre avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang pour l’oxygène.

L’oxyde de graphène est une éponge à oxygène qui prive le corps de l’oxygène nécessaire et provoque de nombreuses complications, y compris, mais sans s’y limiter, un choc anaphylactique, une coagulation sanguine toxique, une paralysie pulmonaire mortelle, un cancer mitochondrial et un cancer endothélial.

Le point de vue du Dr Mylo Canderian est à peu près le même que celui de Klaus Schwab, Bill Gates et du PDG de Big Pharma : LAISSEZ-LES TOUS MOURIR !

J’ai demandé à Mylo quel était l’effet des deuxième et troisième injections et des boosters et comment cela changeait le tableau de fin de cycle.

Mylo a répondu : « Tout est mesurable par des tests hématologiques. Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope, et plus vite ils se transformeront en engrais.

Enfin, je lui ai demandé comment le complot visant à tuer autant de milliards de personnes pouvait être tenu secret par un tel groupe d’élites.

Sa réponse fut : « Tu ne connais pas grand-chose à la franc-maçonnerie, n’est-ce pas, Steve ? Et voilà.


[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Le directeur du programme de vaccination du Royaume-Uni reconnaît que le « vaccin » Pfizer affaiblit le système immunitaire inné

[Source : businessbourse.com]




Les vaccins Pfizer « Détruisent tous les systèmes du corps humain », avertissent des experts israéliens de la santé

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Le Comité du peuple israélien (IPC), un groupe d’experts israéliens de la santé dirigé par des citoyens, a publié son rapport d’avril émettant un avertissement urgent selon lequel le vaccin Pfizer / BioNTech endommage pratiquement tous les systèmes du corps.
Alors que la majeure partie de l’attention entourant le vaccin a été concentrée sur AstraZeneca, qui est lié à des caillots sanguins mortels, l’injection de Pfizer est en réalité encore beaucoup plus dangereuse, d’après les dernières données.

Pfizer: The Vaccine In Demand Will Be Available Through ...

Le rapport d’avril de l’IPC avertit que l’injection du vaccin Pfizer pourrait entraîner des problèmes de santé catastrophiques, comme en témoignent les innombrables vies israéliennes qui ont été endommagées par le vaccin.
Le rapport précise : « Jamais un vaccin n’a fait autant de blessés (effets secondaires néfastes)! Nous avons reçu 288 rapports de décès survenus à juste après la vaccination (90 % jusqu’à 10 jours après la vaccination), dont 64% sont des hommes. »

Cependant, les chiffres du ministère israélien de la Santé affirment que seulement 45 décès sont survenus juste après  la vaccination. Comme l’indique le rapport, cet « écran de fumée » gouvernemental, le manque de transparence et la tromperie ne font qu’indiquer que le nombre de morts est beaucoup plus élevé.
Si les chiffres contenus dans le rapport IPC sont valides, alors il y a plus d’Israéliens morts du vaccin Pfizer que  d’Européens morts par le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.

Le rapport met en garde : 

« Selon les données du Bureau central des statistiques (CBS), en janvier-février 2021, au milieu de l’opération de vaccination, il y a eu une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à la moyenne bimensuelle de mortalité de l’année précédente.
« En fait, la période de janvier-février 2021 est la plus meurtrière de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globaux les plus élevés, par rapport aux mois correspondants au cours des 10 dernières années. »

Le rapport souligne que les jeunes âgés de 20 à 29 ans semblent être le groupe démographique qui a connu l’augmentation la plus spectaculaire de la mortalité après le déploiement du vaccin Pfizer.

Dans ce groupe, la vaccination au cours de la même période, janvier-février 2021, il y a eu une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne bimensuelle en 2020.
L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinées aux informations du ministère de la Santé, conduit à la conclusion que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 pour 5000 (1 pour 13000 les 20-49 ans, 1pour 6000 pour les 50-69 ans, 1 pour 1600 pour les 70 ans et plus).

Sur la base de ces données, l’IPC estime que le nombre de décès survenus en Israël, juste après la piquouse du vaccin Pfizer, est d’environ 1 000 à 1 100 personnes. Le rapport indique que le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé que le risque de décès après la vaccination.

« Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour allant jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge.
« Pour les 20-49 ans – une plage de 9 jours à partir de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 50-69 ans – 5 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 70 ans et plus – 3 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès
. »

En publiant ce rapport, l’IPC espère que le gouvernement israélien et les gouvernements du monde entier reconnaîtront qu’« un manque de transparence tue des gens ».

L’IPC conclut que :

« La tromperie et la dissimulation conduisent les gens à l’invalidité et à la mort. Supprimer toute confidentialité, créer des mécanismes de signalement transparents et contrôlés ; Ce n’est qu’alors que des vies peuvent être sauvées et que d’autres dommages peuvent être évités grâce à l’outil même censé préserver la santé. »

« Est-ce un cas où le médicament est plus mortel que la maladie ? »

Source : Pfizer Covid Vaccines “Destroy Every System of the Human Body” Warns Israeli Health Experts




Les personnes ayant reçu un placebo lors d’essais de vaccins seront considérées comme « totalement vaccinées » par le gouvernement britannique

[Source : anguillesousroche.com]

[Ndlr : ceci tend à confirmer que la moitié de la population mondiale vaccinée aurait reçu en fait un placebo et expliquerait la disparité entre les personnes n’ayant ressenti absolument aucun symptôme et celles ayant eu des effets secondaires plus ou moins graves, en proportion des dizaines de fois plus importantes que lors des campagnes vaccinales réalisées avec de vrais vaccins. Nous rappelons que les prétendus « vaccins » anti-covid sont en réalité des thérapies géniques et qu’ils sont encore en phase d’essai. Or, lors d’essais médicamenteux et normalement aussi lors d’essais de vrais vaccins, il est d’usage d’avoir un groupe témoin qui reçoit un placebo au lieu du vrai médicament ou du vrai vaccin.]

Le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré : « En ce qui concerne le Royaume-Uni, ils seront considérés comme pleinement vaccinés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. »




Outils juridiques contre les dispositions « anti covid »

Par Me DE ARAUJO-RECCHIA

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui serait rendue obligatoire dans le cadre du projet de loi en cours de discussion au Parlement.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés:

Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Netcomparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPEEN:

Une action soutenue par la LNPLV est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italien et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/? toc=OJ%3AL%3A2021%3A211%3ATOC&uri=uriserv%3AOJ.L_.2021.211.01.0001.01.FRA)

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)


(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. » 

– Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

– Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.

2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:

a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;

b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;

c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;

d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte

juridique, ils méritent un examen approfondi.

Article très instructif:

https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

***

Le 23 juillet 2021

Me DE ARAUJO-RECCHIA

Avocat à la Cour de Paris




Pass sanitaire : message d’un habitant d’Israël

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

À tous ceux qui sont résignés, qui ont peur et qui sont prêts à céder, à se résigner… Voici le message d’un Israélien:
Guillaume Saehr, [Jul 13, 2021].

« Je vous partage mon expérience du pass sanitaire que nous avons vécu en Israël avant vous :

  • C’est un moyen de pression pour vous décourager, vous angoisser, vous déprimer.
  • Le but est de créer du désespoir.
  • Ce désespoir amène à la colère.
  • Cette colère a pour but de créer de la haine, soit une haine vers ceux qui se sont fait vacciner ou alors si ce désespoir vous a poussés à faire la piqûre elle créera de la colère vers ceux qui ne se sont pas fait vacciner alors que vous étiez réveillés.
  • En réalité d’un point de vue juridique, ça ne peut pas tenir, comme en Israël.
  • En réalité la pression n’est pas sur vous mais sur ce gouvernement qui est en retard dans son timing. N’oubliez pas que la rhétorique covid est de plus en plus bancale et qu’elle dépend des saisons et d’autres événements à venir.
  • Vos gouvernements sont dans la merde alors ils essayent de vous créer le sentiment que vous êtes dans la merde.
  • Ici de plus en plus de gens se réveillent, nous avons refusé la vaccination pour les enfants et nous ne voulons pas de la 3e dose.
  • Ils ne veulent pas que vous sachiez.
  • Restez sereins, dans le dialogue , ne laissez pas la panique diriger vos conversations , il y aura toujours ceux qui feront les malins à vous provoquer soit dans votre famille ou amis ou collègues de travail : résistez !
  • Nous avons ici en Israël une épidémie de Myocardites, de crises cardiaques , mini AVC ou AVC, thromboses ou décès. Explication des médecins : le stress 🥶.

Les gens se réveillent.

Tenez bon ! Soyez Unis ! Buvez un petit coup ! Acceptez que les prochaines semaines soient plus compliquées ! Organisez-vous !

CA NE VA PAS DURER INDÉFINIMENT.

On doit tenir bon, ils mettent autant la pression parce qu’ils savent que leurs plans ne fonctionnent pas comme ils le voudraient. »




Les inondations, une fatalité ?

[Source : Investig’Action (investigaction.net)]

Par Michel Collon

Je reviens de Liège. Trois jours près de ma fille. Heureusement, elle habite en hauteur mais nombre de ses amis et collègues vivent près des rives. Trois jours d’émotions intenses à suivre anxieusement les messages et les réseaux, à réconforter et proposer des coups de main. « Fatalité imprévisible », disent nos responsables. Faux : dès 1990, le GIEC (groupe d’experts internationaux sur l’évolution du climat) annonçait un quadruplement des canicules et des « précipitations extrêmes ». Qu’a-t-on fait pour se préparer ?

Des pas de fourmis pour freiner la pollution par les entreprises. On continue d’abattre des forêts précieuses. On continue à développer le transport des marchandises par camions au lieu de favoriser le rail et le transport fluvial. Rien pour créer des zones inondables de protection, rien pour renforcer l’absorption des pluies par les sols. Le nord du pays a solennellement proclamé un « Béton stop » , mais on n’a jamais autant construit (y compris sur des terres agricoles) et c’est plutôt « Béton flop ». Et très peu de mesures protectrices dans les zones qu’on savait à risques.

 « On avait bien le temps » ? Que nos responsables osent aller le dire aux sinistrés. Pire : le gouvernement belge a démantelé la Protection civile, chargée des secours en cas de catastrophe. La Belgique comptait six casernes, il n’en reste que deux, le personnel a été réduit. Or, ces sauveteurs héroïques ont sauvé des vies mais le manque d’effectifs, et parfois d’équipements, n’a pas permis d’en sauver davantage. Le ministre Jan Jambon qui a imposé cette réforme et le gouvernement Charles Michel ont donc, littéralement, tué des gens. L’an passé, la même rage néolibérale contre les services publics coûtait la vie à de nombreux malades. Leur Covid n’a pu être soigné parce que nos divers gouvernements avaient supprimé des dizaines de milliers de lits d’hôpitaux (En France, 110.000 lits sous Sarkozy, Hollande et Macron).

 « Ce n’est pas l’heure de la polémique », écrivait hier le quotidien Le Soir. Mais bien sûr que c’est le moment de poser la question essentielle : « Aurions-nous pu diminuer fortement le nombre des victimes ? » C’est bien le moment de redire que, face au Covid, certains pays ont fait cent fois mieux que nous en termes de [faible nombre de] victimes grâce à un ensemble de mesures radicales et énergiques plaçant, dès le premier jour d’alerte, la protection des vies au centre des stratégies. Parmi ces mesures, des équipes sociales se rendant de maison en maison pour former aux gestes protecteurs, détecter les cas, assister les plus fragiles et limiter ainsi la propagation. Face aux inondations, de même, de telles équipes auraient pu sauver de nombreuses vies en passant de maison en maison dès que l’alerte fut donnée le mercredi 14, pour repérer les personnes fragiles et les protéger ou les évacuer ! Un des pays les plus riches du monde est-il incapable d’assurer un véritable service de protection sociale à ses vieux et ses handicapés ?

C’est aussi le moment de réfléchir avec le remarquable livre Quand le dernier arbre aura été abattu, nous mangerons notre argent, où Ludo De Witte démontre comment le système capitaliste, par sa soif de profit, mène au gaspillage, au pillage des ressources, à la destruction de la Nature et de nos conditions de vie. Inondations, virus ou autres catastrophes : ce n’est pas la Nature qui est violente mais cette société qui place l’argent au-dessus de tout.

Cependant, dans ce flot de souffrances, une grande lueur d’espoir. La solidarité admirable entre les habitants sinistrés et dans toute la région. Les sauvetages risqués, les dons de nourriture, de vêtements et de matériel, les hébergements, les coups de main pour déblayer les boues, les messages de sympathie. Comme lors de la première vague du Covid, la solidarité des simples citoyens a été magnifique et émouvante. L’homme n’est pas un loup pour l’homme.

Et donc les gens d’en bas méritent de meilleurs dirigeants. Et surtout un meilleur système économique où la santé et la vie l’emportent sur les profits d’une minorité. N’attendons pas la prochaine catastrophe pour imposer le changement.

Source : Investig’Action




France : bracelet électronique — comment le Sénat et l’Assemblée veulent nous pourrir la vie

[Source : lemediaen442.fr]

« Alors que la pandémie de Covid-19 n’est pas terminée, et qu’il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. »

Rapport du Sénat du 21 juillet 2021

Le Pass, on ne s’en passera pas !

Nos sénateurs, pleins d’imagination, ont trouvé un autre prétexte au cas où l’épidémie viendrait à manquer : la chute de débris spatiaux. Fallait y penser ! Bref, on n’est jamais trop prudents, le Ciel peut nous tomber sur la tête. Parallèlement, nos députés ont rejeté un amendement qui envisageait de supprimer le Pass sanitaire dès que la circulation du virus ne représenterait plus de danger suffisamment grave ou que la population serait vaccinée à 80 %.

Le Pass à l’Assemblée ? Amendement rejeté !

Il est bien naturel que l’amendement suivant ait été rejeté : « Dans un souci d’exemplarité, il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée Nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. »

Des sanctions pour une meilleure efficacité

Et nos charmants sénateurs d’imaginer un monde merveilleux de repérage des déplacements, des fréquentations, des transactions : « Et c’est précisément là que le numérique pourrait être le plus efficace. » Le tout payé par une hausse des cotisations sociales pour les contrevenants. Ce ne serait pas une sanction, mais une juste répartition des coûts « du fait de l’épidémie ». Ah ! on l’avait oubliée, celle-là.

Afin de repérer les dissidents, nos sénateurs envisagent le Safety Check de Facebook ou l’Amber Alert. Il suffit d’utiliser :

  • les données génétiques, les dossiers médicaux : un portique d’entrée dans le métro se mettrait à sonner très fort au passage d’une personne contagieuse ou censée être confinée,
  • les objets connectés : un boîtier connecté, porté autour du cou, qui sonnerait (avec un son de 85 décibels) en cas de non-respect des règles de distanciation par les salariés d’une entreprise— un smartphone peut faire la même chose avec son Bluetooth, et un son de 100 décibels , 
  • les données de mobilité pour aider la populace égarée à retrouver le droit chemin : en Corée du Sud, les habitants positifs d’un quartier pouvaient être géolocalisés sur une carte accessible à tous, et en Chine, on a vu d’honnêtes citoyens prendre eux-mêmes en charge la « police sanitaire » de leur immeuble.

Contrôler quoi ?

Nos sénateurs veulent tout connaître de vous : 

  • votre santé tout d’abord, que vous devrez obligatoirement contrôler avec des thermomètres connectés, des caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux…
  • vos déplacements : avec un bracelet électronique pour vérifier le respect de la quarantaine, auparavant le pass pour les transports en commun aura été désactivé, avec des radars pour détecter votre plaque d’immatriculation, des portiques de contrôle dans les magasins, des caméras thermiques dans les restaurants. Tout est prévu !
  • vos fréquentations : par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que vous êtes contagieux, ça va vous coûter cher ;
  • vos transactions commerciales avec amende automatique en cas d’achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie) ou en cas de poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.)  malgré des restrictions.

Le pouvoir d’interdire, c’est le Pass !

Dans la foulée, nos sénateurs avouent tout bonnement le but du Pass sanitaire :

« Même s’ils sont rarement présentés comme tels, des dispositifs tels que le pass sanitaire ou le passeport sanitaire relèvent bien de la catégorie des outils contraignants, car ils conditionnent, de facto ou de jure selon les cas, l’accès à certains lieux et à certaines activités. En soi, cela n’a rien d’exceptionnel : le “vrai” passeport, le carnet international de vaccination ou le permis de conduire font la même chose, c’est-à-dire autoriser ou interdire, soit l’une des fonctions principales de la puissance publique. »

Marcel n’aurait pas dit mieux !

Pendant ce temps-là, à l’Assemblée…

A l’assemblée, députés LREM et Cie s’efforcent de rendre l’abus de pouvoir légal, le coup d’État démocratique. Le Pass sanitaire sera obligatoire un peu partout, mais avec des nuances pour montrer qu’il ne s’agit pas d’un abus. Il sera cependant impossible de bouger une oreille sans pouivoir le présenter aux autorités. D’où un nouveau texte hallucinant qui nous le détaille, pour qu’on comprenne bien. Accrochez-vous ! Ça décoiffe ! Allez ! quelques exemples.

Une bonne nouvelle : les cimetières sont ouverts sans limitation de rassemblement

Les visites de biens pour l’achat ou la location d’une résidence principale sont autorisées, mais… la résidence secondaire ne pourra être visitée.
En intérieur comme en extérieur, les chorales professionnelles sont autorisées, mais… les chorales amateurs uniquement en extérieur.
A la maison, les règles barrières, dont le port du masque en intérieur, restent nécessaires après… la vaccination.
A partir de début août, et si cela est bien voté dans la loi, le seuil de 50 personnes sera supprimé, et le pass sanitaire s’appliquera dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux, ainsi que dans les hôpitaux, les maisons de retraite, les établissements médico-sociaux. Les déplacements pour les longs trajets en avion, train et car seront également concernés. Et tout cela y compris pour les 12-18 ans, mais… ils ne sont pas obligés de se faire vacciner.

Un rassurant effort pédagogique

« Les contrôles des mesures sanitaires sont assurés par les 250 000 policiers et gendarmes répartis sur l’ensemble du territoire national. Autant que de besoin, à la demande des préfets, des effectifs supplémentaires de forces mobiles seront déployés pour appuyer les forces locales dans cette mission spécifique. Les 24 000 policiers municipaux répartis dans 8 000 communes viennent appuyer l’action des forces de l’ordre. » 

On espère qu’ils seront assez nombreux. Ne faudrait-il pas augmenter les effectifs de police ? C’est une question.

Les lendemains ne chantent pas du tout

Au moment où la France macronienne va légaliser la distinction entre les bons citoyens (vaccinés) et les mauvais (non-vaccinés), les sénateurs préparent notre avenir. Ils nous dirigent vers une société qui semble de science-fiction, mais qui est très réelle. C’est la Chine qui leur sert de modèle. Ce pays où les habitants, contrôlés par des caméras à reconnaissance faciale, sont classés en fonction d’un permis de vivre à points. Le pays où les mauvais citoyens n’ont pas les mêmes droits que les bons, c’est l’avenir de la France en Marche !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Bigard ne s’oppose plus au Pass sanitaire, les non-vaccinés seront refoulés à l’entrée de son spectacle

[Source : lemediaen442.fr]

Quand on investit dans la grande gueule et la bistouquette, faut avoir de la remorque et une bonne paire de baloches pour aller jusqu’au bout… Du coup BFMTV se fait un malin plaisir de titrer « Opposé au pass sanitaire, Jean-Marie Bigard l’accepte finalement pour se produire » et ils ont bien raison de se tirer sur le haricot face à l’humoriste qui ne voulait pas — à une époque — imposer à son public un protocole strict. Il déclarait sur Instagram le 7 juillet. « Moi, c’est le 23 juillet ! Et il n’y aura aucun pass sanitaire ! Je refuse catégoriquement ! »

Mais l’époque est à la soumission. « Avoir des couilles » n’est plus qu’une expression. Donc les non-vaccinés, ceux qui ont soutenu Jean-Marie et salué son courage jusqu’au bout lors des manifestations contre le pass sanitaire et autres restrictions, vont malheureusement être refoulés à la porte de son spectacle Bigard and Friends où le rire sera encadré, confiné.

« Les amis, je me suis battu jusqu’au dernier moment mais il y aura bien un test sanitaire le 23 juillet à Fréjus et le 24 juillet à la Comédie de Nice. J’en suis désolé. Je vous attends nombreux. »

Autre information, Jean Marie BIGARD nous  annonce l’annulation de son spectacle à Nice pour cause des manifestation contre le Pass Sanitaire… et son lot d’extrême droite et gauche qui pourrait venir perturber l’évènement.




Les failles de la stratégie anti-liberticide

Par Lucien Samir Oulahbib

Mettre les traitements et la prévention à disposition systématiquement en avant à la première seconde de n’importe quels interview et/ou billet/article doit être l’impératif, catégorique, stratégique, sans appel pour cette guerre atypique, puisque c’est leur manque supposé qui justifie tout(([1] voir aussi le point 3 de la phase 3 de l’AMM)):

  • autorisation conditionnelle de l’essai,
  • passe dit « sanitaire » (alors qu’il n’y en a pas pour le HIV transmissible et bien plus létal),
  • couvre-feu,
  • confinement,
  • confusion entre « cas » et « maladie »,
  • contagion et virulence létale, 

prévoyant à chaque fois des centaines de milliers de morts.

Même si nous ne connaissons pas à 100 % ce « virus » pourtant bien catégorisé dans une « famille » donnée et sur lequel des expérimentations médicamenteuses ont été faites avec succès surtout avec le recul à disposition maintenant (fin juillet 2021).

Or, le fait de miser plutôt en priorité sur la « liberté de choix » ne tient pas juridiquement, car sur les questions d’infection à tendance endémique la notion « d’état d’urgence » par défaut de traitements prévaut systématiquement sur la liberté individuelle dans la hiérarchie des normes, surtout lorsqu’elle est validée par une loi le Conseil d’État derrière et le Conseil Constitutionnel en surplomb (qui, en matière d’urgence sanitaire, a toujours validé la contrainte de « l’état d’urgence »).

Donc il serait plus judicieux tactiquement de mettre en avant la prévention et les traitements en l’articulant éventuellement avec le principe de précaution (bafoué par l’essai clinique en cours) plutôt que de s’appuyer prioritairement sur la notion de « liberté ». Même si cependant cela semble avoir mobilisé. Mais il semble bien que pour toucher les millions de gens apeurés et/ou ayant une confiance aveugle envers « la » technologie (puisque leur téléphone est de plus en plus savant. Pourquoi pas le reste, mon bon monsieur ?) il va bien falloir mettre stratégiquement en avant des arguments qui doivent répondre point par point à ceux d’un gouvernement qui balaie d’un revers de main les cris et les pleurs (le ministre français de la Santé désignant dernièrement ceux d’une infirmière comme étant de la « propagande »).

Enfin, il faudrait demander à ce que chaque soir soit également mis en avant le nombre des effets secondaires et des morts liés à l’essai clinique en les ventilant au-dessus et en dessous de cinquante ans.

On peut certes rêver d’avoir à disposition une telle information, ce serait si honnête… Mais certains réseaux se permettent cependant de la censurer: ils ne veulent visiblement pas comprendre que les libertés d’expression et de s’informer tout en étant distinctes partent d’un même principe constitutionnel : celui d’émettre des pensées validées à diverses échelles par des cercles compétents, mais non pas triées de manière arbitraire par des personnes qui n’ont aucune compétence en la matière, tels ces « journalistes » prétendant trancher sur la fiabilité des traitements pourtant validés par nombre de pays il est vrai considéré comme « inférieurs » scientifiquement, une sorte de racisme intellectuel comme l’indique le docteur Guillaume (Emmanuel Macron envoyant ses doses de Remdisivir en Inde alors qu’elles ont été jugées inopérantes, voire nocives et même « facilitantes »…).

Si « racisme systémique », il y a, ce serait plutôt dans cette idée que les pays et les pratiques n’employant pas les méthodes biotechnologiques aujourd’hui de plus en plus imposées seraient « inférieurs », alors que l’analyse de la complexité d’une cellule humaine en est toujours à ses balbutiements…

Et où sont les organes de remplacement promis ? Où en est le cœur dit « artificiel »? Ils devaient être opérationnels au début du 21e siècle, nous en sommes si loin… D’où l’outrecuidance de la position obséquieuse des dites « Autorités » officielles actuelles à propos de ce virus qui n’est ni le premier ni le dernier.




France : l’Assemblée nationale vote l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants

[Source : RT en français]

L’Assemblée nationale a adopté ce 23 juillet en première lecture le nouveau projet de loi anti-Covid qui prévoit l’extension controversée du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants au bout d’une nuit marquée par d’âpres débats.

Les députés ont voté dans la nuit du 22 au 23 juillet le controversé pass sanitaire, l’une des mesures phares du nouveau projet de loi anti-Covid dont l’examen a joué les prolongations. 

Peu avant 0h40, les députés ont adopté par 132 voix contre 106 l’article 1 du projet de loi gestion de la crise sanitaire qui étend le champ d’application de cet outil présenté par le gouvernement comme la meilleure arme face au rebond de l’épidémie du Covid-19.

Les débats qui se sont achevés vers 5h40 furent âpres et rugueux, avec des oppositions chauffées à blanc par un calendrier contraint. Près de 1 200 amendements ont été passés en revue depuis l’après-midi du 21 juillet.

Une «brutalité» et une «monstruosité» selon l’opposition

Les passes d’armes entre le gouvernement et les oppositions se sont poursuivies pendant toute la soirée du 22 juillet avec comme point d’orgue une disposition de ce neuvième texte «Covid» depuis mars 2020, ouvrant la voie à un licenciement pour des travailleurs d’établissement recevant du public qui refuseraient d’obtenir un pass sanitaire (parcours vaccinal complet ou test récent).

Un amendement du gouvernement avec l’objectif affiché d’adoucir cette disposition polémique n’a pas convaincu gauche et droite qui ont dénoncé une «brutalité» voire une «monstruosité». «L’esprit n’est pas de renvoyer les gens mais d’encourager à la vaccination», a justifié le ministre de la Santé Olivier Véran. 

Contre l’avis de l’exécutif et dans un scrutin serré, les députés s’étaient opposés dans l’après-midi au pass sanitaire pour l’ensemble des patients et visiteurs dans les hôpitaux et maisons de retraite. Le gouvernement est revenu sur ces amendements avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du passe sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et les maisons de retraite.

Le groupe socialiste a également fait adopter peu avant minuit un amendement supprimant la peine sanctionnant l’utilisation frauduleuse du pass sanitaire de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Très pressé, le gouvernement veut faire adopter le pass sanitaire encore élargi et la vaccination obligatoire pour certaines professions d’ici à la fin du week-end du 25 juillet, après quatre jours de débat parlementaire. «Il y a une urgence à légiférer», a ainsi déclaré Olivier Véran.

Une opposition y compris au sein de la majorité

Mais dans un hémicycle où malgré l’heure tardive les bancs sont restés garnis, les discussions patinent. A l’inflexibilité du gouvernement, le regard fixé sur les courbes des contaminations, répond la pugnacité des oppositions qui défendent pied à pied leurs amendements.  

La majorité fait bloc mais des voix dissonantes se font entendre comme celles des marcheurs Pacôme Rupin ou Stella Dupont. Le 20 juillet, le député de Paris en charge de la coordination du groupe parlementaire LREM à la Commission des Lois avait estimé que le pass sanitaire allait «fracturer notre pays», et qu’il s’agissait d’une «atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé».

«Les mesures doivent s’accompagner de souplesse, de solidarité», a quant à elle déclaré la députée LREM le 22 juillet.

Le groupe Les Républicains – qui s’est majoritairement abstenu – n’a pas souhaité donner de «blanc-seing» et a mis en garde contre la volonté de mettre le «pays sous cloche» en regrettant que les débats n’aient pas permis de «lever les ambiguïtés» sur un pass sanitaire assimilable à «un passeport du quotidien», selon le député Philippe Gosselin.  

La session d’examen «fut une vaste blague», a estimé la socialiste Lamia El Aaraje. Celle-ci a plaidé en vain pour la vaccination obligatoire, tout en taclant le «retard permanent» du gouvernement. PS, LFI et PC ont voté contre le texte.  

Le pass sanitaire au cœur des critiques

Si l’obligation vaccinale étendue aux soignants, sapeurs-pompiers ou encore professionnels auprès des personnes âgées fait à peu près consensus, ce n’est pas le cas de l’extension du pass sanitaire, prévue pour début août dans les cafés-restaurants, objet de vives critiques de part et d’autre de l’hémicycle.

«Nous avons deux choix : réussir le pass, vite, très vite […] ou nous exposer au risque de devoir reconfiner notre pays», a justifié Olivier Véran devant la Commission des Lois du Sénat. «Les chiffres d’aujourd’hui ne sont pas bons», a poursuivi le ministre de la Santé. Près de 22 000 nouveaux cas ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France publiés dans la soirée du 22 juillet, au plus haut depuis le 5 mai.

Devant les sénateurs le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a déclaré craindre «une situation complexe, très complexe» dans les hôpitaux fin août.

En Martinique où la population est très peu vaccinée, les autorités sanitaires redoutent une «déferlante» dans les hôpitaux. Pour la Guadeloupe, où la situation est très dégradée, l’Assemblée a voté un amendement gouvernemental visant à réinstaurer l’état d’urgence sanitaire. Celui-ci devrait être mis en œuvre par décret d’ici la promulgation de la loi. 

De nouvelles mesures comme le retour au masque obligatoire en extérieur ont été prises pour des communes du Var, de Meurthe-et-Moselle, de l’Hérault et de Vendée. Dans les Pyrénées-Orientales, le port du masque sera même obligatoire à partir du 24 juillet dans les lieux assujettis à un pass sanitaire. 

Le taux d’incidence progresse surtout chez les 12-17 ans et les 18-29 ans, deux tranches d’âge où le nombre de vaccinés reste très faible. L’exécutif prévoit des campagnes de vaccination spécifiques pour les jeunes, notamment dans les établissements scolaires à la rentrée.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88944-assemblee-nationale-vote-extension-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-des-soignants





Référé-Liberté de Me Krikorian : passe sanitaire, ou comment fracturer un peu plus la société française

[Source : francesoir.fr]

[Voir Philippe KRIKORIAN, Avocat à la Cour, a déposé un REFERÉ-LIBERTÉ auprès des juges des référés du Conseil d’État]

Auteur(s): FranceSoir

Me Krikorian a écouté l’allocution du président et comme beaucoup de Francais s’est interrogé sur la portée des décisions liberticides sur le passe sanitaire ou la vaccination obligatoire des soignants. Le projet de loi est en cours de discussion à l’Assemblée nationale et Me Krikorian a déposé sa requête hier afin d’obtenir réponse au plus vite. 

Il a répondu à nos questions :



Entretien

FS : Maître Krikorian, vous venez de déposer un référé-liberté devant le Conseil d’Etat par lequel vous demandez la suspension d’exécution de l’allocution télévisée du Président de la République en date du 12 juillet 2021 et une mesure d’injonction concernant le nouveau dispositif du passe sanitaire. Pourriez-vous nous en dire plus ? 

PK : Très volontiers ! Ce référé-liberté valeur de test démocratique. Il est fondé sur l’article L. 521-2 du Code de justice administrative ( CJA ) aux termes duquel : 

« Saisi d’une demande en ce sens justifiée par l’urgence, le juge des referes peut ordonner toutes mesures necessaires a la sauvegarde d’une liberte fondamentale a laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit prive charge de la gestion d’un service public aurait porte, dans l’exercice d’un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illegale. Le juge des referes se prononce dans un delai de quarante-huit heures. » 

Je considère, en effet, qu’en présentant le futur vote comme un fait irrévocablement acquis et en ne précisant pas, lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, que le dispositif dit passe sanitaire ne s’appliquerait pas aux situations suivantes : 

1) groupe familial au sein duquel l’un, au moins, des membres justifie d’une vaccination, d’un rétablissement ou d’un dépistage récent ne concluant pas à une contamination ;
2) réservation de l’activité par une ou plusieurs personnes avant l’entrée en vigueur du nouveau dispositif.
3) port du masque et respect de la distanciation physique par les personnes ne justifiant pas de l’une des trois modalités du passe sanitaire, 

Le Président de la République a d’ores et déjà, sans considération aucune du texte qui sera définitivement voté et promulgué, porté à la liberté d’aller et de venir ( articles 2 et 4 DDH ), ainsi qu’au droit au respect de la vie privée et familiale ( article 8 CEDH ), une atteinte grave et manifestement illégale, au sens et pour l’application de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.

Imaginez, en effet, une famille au sein de laquelle deux membres sont vaccinés et les deux autres ne le sont pas. Que devra faire le restaurateur auquel s’appliquerait le nouveau dispositif ? Leur refuser l’accès à son établissement ou admettre seulement les deux membres vaccinés, scindant en deux cette famille d’estivants ? 

Devrons-nous, dès lors, nous en remettre à la Providence en espérant que le Parlement rejettera le projet gouvernemental ou agir selon les voies de droit ? 

C’est cette seconde option que j’ai choisie. Mon recours part du principe que le Président de la République n’a pas voulu mal faire, mais que l’absence de précisions dans son message aux Français du 12 juillet 2021 porte immédiatement atteinte aux libertés fondamentales susvisées, sans qu’on ait besoin d’attendre le vote définitif de la loi prévu début août. 

S’agissant d’une décision d’une autorité de l’Etat, sa justiciabilité ne devrait pas faire difficulté. On peut, en effet, raisonnablement apprécier l’allocution télévisée comme le vecteur d’une véritable norme juridique, à valeur de décret. Le Chef de l’Etat entend, ainsi, conditionner les Français, les préparer à respecter docilement le nouveau dispositif que le Premier ministre est chargé de mettreen œuvre. 

S’il devait être interprété littéralement, le projet de loi déposé ce mardi 20 juillet 2021 heurterait de front les motifs de l’ordonnance rendue le 6 juillet 2021 dernier par le juge des référés du Conseil d’Etat. 

Ainsi, pour rejeter la demande de suspension de la mise en œuvre du passe sanitaire, le juge des référés du Conseil d’Etat a énoncé, dans son ordonnance du 6 juillet 2021 (n°453505 – pièce n°4 de mon référé-liberté ) : 

« ( … ) 

13. Enfin, le passe sanitaire est de nature a permettre, par la limitation des flux et croisements de personnes qu’il implique, de reduire la circulation du virus de la covid-19 dans le pays. Son usage a ete restreint aux deplacements avec l’etranger, la Corse et l’outre-mer, d’une part, et a l’accès a des lieux de loisirs, d’autre part, sans que soient concernees les activites quotidiennes ou l’exercice des libertes de culte, de reunion ou de manifestation. En outre, l’usage de l’application TousAntiCovid demeure facultatif, les justificatifs pouvant etre produits par voie papier ou sur tout autre support numerique, au choix de la personne concernee. ( … ) », prenant soin de préciser que ce dispositif n’était pas manifestement illégal « ( … ) à la date de la presente ordonnance ( … ) », réservant, ainsi, l’avenir. 

Auteur(s): FranceSoir




Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

Par Gérard Delépine

Similitudes entre l’obligation des pseudos vaccins anti-covid(([1] Ce ne sont pas des vaccins, car un vaccin contient des antigènes obtenus à parti du virus ou de la bactérie ; ces médicaments n’en contiennent aucun, mais un ARN destiné à obliger nos cellules à en fabriquer ; il s’agit en réalité d’une thérapie génique préventive.)) et l’obligation faite aux déportés de subir des essais de vaccins

L’obligation d’injections anti-covid expérimentales aux soignants est inutile, car elles n’empêchent pas d’être malade, ni de faire des formes graves, ni de transmettre la maladie. Elle rappelle les tristes expériences vaccinales qu’ont imposées les médecins nazis aux déportés.

On reproche parfois à certains de faire le parallèle entre les médecins nazis et ceux qui imposent l’obligation des pseudo vaccins expérimentaux actuels.

On reproche aux Français de comparer le QR code à l’étoile jaune, mais quand les Israéliens le font, va-t-on les traiter d’antisémites ?(([2] En Israël, les manifestants comparent le Pass sanitaire à l’étoile jaune (lemediaen442.fr) ))(([3] On n’a pas entendu Goldnadel insulter les Israéliens à étoile jaune — Riposte Laïque (ripostelaique.com) ))

Pourtant la mémoire du passé est nécessaire à l’analyse du présent et, manifestement, certains faits et enseignements de la Seconde Guerre mondiale ont été oubliés. Un petit rappel historique s’impose pour souligner les similitudes entre les crimes commis entre 1940 et 1945 contre nos grands-parents déportés, résistants, tziganes, communistes et juifs et l’obligation actuelle d’un médicament expérimental, affublé du nom trompeur de vaccin.

Les pseudos vaccins actuels sont expérimentaux

Leur création repose sur une technique jamais utilisée chez l’homme, sauf dans un essai de traitement des maladies génétiques, interrompu, car il causait des leucémies.

Ce qu’on veut vous injecter n’est pas des vaccins : ils ne contiennent aucun antigène, mais une protéine (ARN messager) — Pfizer et Moderna — ou des virus non humains génétiquement modifiés — (Johnson et Astra Zeneca) — ce sont des médicaments génétiques à visée préventive.

Aucun n’a terminé les essais phase 3, préalables habituellement indispensables à l’autorisation de mise sur le marché. C’est pour cette raison qu’ils n’ont reçu qu’une autorisation dite « conditionnelle ». Ceux qui en doutent peuvent le vérifier sur le site officiel gouvernemental américain clinicaltrials.gov(([4] ClinicalTrials.gov est une base de données d’études cliniques financées par des fonds privés et publics et menées dans le monde entier.)) qui recense les essais en cours dans 220 pays. Ils verront ainsi que les essais phase 3 les plus avancés ne se termineront qu’en 2023 comme le montrent ces captures d’écran agrémentées de nos commentaires en rouge.

Ceux qui prétendent que les pseudos vaccins actuels ne seraient pas expérimentaux et qu’ils auraient terminé leurs essais sont donc mal informés ou mentent délibérément.

Imposer une obligation d’un médicament ou « vaccin » expérimental est totalement contraire au code de Nuremberg qui affirme que le consentement éclairé indispensable d’un être humain avant l’administration d’un traitement expérimental est indispensable.

Ce code que certains considèrent comme dépassé (!) est pourtant le fondement des conventions internationales qui ont donné lieu à la déclaration d’Helsinki et à la convention d’Oviedo en 1997. Les accords signés à Oviedo sont opposables aux pays signataires, dont la France. Plusieurs juristes ont rappelé ces bases éthiques et légales internationales que trop voudraient piétiner.(([5] Daniel Antoine : Petit point de droit concernant l’ensemble des textes à opposer, si la vaccination devenait « obligatoire » (ou, obligée, indirectement, par un « Pass Sanitaire » ; ce qui revient à peu de chose près au même…). /PETITPOINTDEDROIT.pdf))

Les médecins nazis ont réalisé beaucoup d’essais criminels de vaccin.
Les essais concernant les vaccins ne sont pas une première

Essais criminels, car réalisés sans le consentement de ceux qu’ils considéraient comme des sous-hommes : déportés, juifs, tziganes, des objets !

Un tiers des expériences réalisées par les nazis sont des essais de vaccins : contre le paludisme, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, l’hépatite, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse principalement à Buchenwald, mais aussi dans les camps de concentration de Sachsenhausen, Dachau, Natzweiler, Struthof, et Neuengam.

Le tribunal militaire américain de Nuremberg(([6] https://fr.wikipedia.org/wiki/Proc%C3%A8s_des_M%C3%A9decins))(([7] Bruno Halioua Le procès des médecins de Nuremberg : l’irruption de l’éthique médicale moderne –
Vuibert, 2007))(([8] Yves TERNON LE PROCÈS DES MÉDECINS. ACTUALISATION
http://www.memorialdelashoah.org/wp-content/uploads/2016/05/texte-reference-memorial-shoah-ternon-proces-medecins.pdf)) en 1947 reste, aujourd’hui, la référence majeure des normes juridiques et déontologiques visant l’expérimentation sur l’être humain. Cette décision historique réaffirme le caractère universel du fondement de l’éthique médicale, en même temps qu’elle impose l’idée que le consensus universel dans ces matières n’allant plus de soi, il revient au droit international d’en garantir le contenu et l’effectivité.

Dix crimes à charge contre les médecins jugés à Nuremberg ont été retenus, dont une expérience de vaccination contre le paludisme à Dachau (février 1942 — avril 1945), celle contre le typhus et autres maladies infectieuses à Buchenwald et Natzweiler (décembre 1941 — février 1945) et celle contre l’hépatite virale réalisée à Sachsenhausen et Natzweiler.

C’est l’absence de consentement libre et éclairé des victimes de ces essais qui a justifié la condamnation des médecins responsables de ces expériences qu’ils estimaient faire « pour la science et le bien de l’humanité ». Et la moitié des condamnés l’ont été à la pendaison.

Les soignants ne sont pas des antivax

Ils ont été les premiers à se faire vacciner et aussi les premiers à en subir les effets secondaires. Si les résultats réels des vaccins étaient ceux que le gouvernement et les médias prétendent, les soignants continueraient à se précipiter pour se faire vacciner.

S’ils refusent, c’est qu’ils sont mieux informés que la population des complications post-vaccinales qu’ils voient arriver aux urgences, dont plusieurs décès de soignants (dont un interne en médecine, nantais, sportif et en parfaite santé avant la vaccination, et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))) qui n’avaient aucun bénéfice personnel à espérer du pseudo vaccin.

Les injections anti-covid sont inefficaces

Elles ne vous protègent ni de la maladie ni d’en mourir. La Grande-Bretagne et Israël ont été confrontés après la « vaccination » à de véritables explosions de cas et des hécatombes pendant 2 mois. Ils sont actuellement confrontés à une croissance exponentielle du variant delta et près de la moitié des morts Covid actuels ont reçu deux injections. Heureusement, ce dernier variant est peu mortel et se traduit le plus souvent par un rhume.

Ils ne protègent pas vos contacts. Le dernier exemple démonstratif est celui du porte-avions britannique HMS Queen Elizabeth, où une épidémie de plus de 100 cas atteint les 1600 marins de l’équipage qui ont pourtant tous reçu leurs deux doses il y a plus de 3 mois.(([10] Épidémie sur le porte-avions HMS Queen Elizabeth après une escale à Chypre
AFP / le 14 juillet 2021))

Cette obligation est totalement illogique.

Si vous croyez que ces injections vous protègent, vaccinez-vous, mais vous n’aurez alors aucune raison d’avoir peur des autres et de leur imposer un pass ou une injection expérimentale. Et si vous avez des doutes sur l’efficacité de ces injections, vous devez vous méfier tout autant des vaccinés que des non-vaccinés et n’avez aucune raison d’imposer aux autres une injection expérimentale qui ne vous protégera pas plus.

Ne reproduisez pas les crimes des médecins nazis, dites non au fascisme pseudo vaccinal !

Relisez les attendus du procès de Nuremberg des médecins nazis. Manifestez pour vos libertés si durement conquises par nos ancêtres. Soutenez l’action de Reinhart Füllmich et de ses associés pour la tenue d’un second procès de Nuremberg et des nombreux avocats qui multiplient référés, plaintes, etc. (Fabrice Divizio, Virginie Araujo, JP Joseph, A Durand, Emmanuel Ludot, Carlo Brusa et bien d’autres).

Joignez vos députés et sénateurs, montrez-leur les vrais chiffres actuels de l’épidémie (aucun nouveau cas clinique en médecine de ville et aux urgences malgré la flambée du variant delta et la totale disproportion entre une menace virtuelle (une simulation !) et des mesures gravement attentatoires aux droits fondamentaux.

Ne laissez pas la France, anciennement pays des lumières et des droits de l’homme, devenir la risée du monde en rejoignant les deux théocraties islamiques qui sont les seules à appliquer une telle obligation.

Interrogée sur l’obligation vaccinale qui va être imposée en France au personnel soignant, Angela Merkel s’est montrée catégorique : « Nous n’avons pas l’intention de suivre la voie que la France vient de proposer. »





Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 JOEL SAGET]

Le projet de loi sur le pass sanitaire est actuellement examiné à l’Assemblée nationale. Et ce malgré les réserves de la CNIL et du Défenseur des droits. Pour l’avocat en santé publique Fabrice Di Vizio, très présent sur le front du mouvement anti-pass sanitaire, le gouvernement «assied un pouvoir totalitaire». Rien que cela.

300 amendements discutés en 10 heures de débat: à l’Assemblée nationale, les nuits sont courtes pour les députés chargés d’examiner en urgence le millier d’amendements déposés pour le projet de loi relatif à «la gestion de la crise sanitaire».

Un texte rédigé par le gouvernement dans la foulée de l’allocution d’Emmanuel Macron du 12 juillet. Il prévoit notamment l’obligation vaccinale pour les soignants et personnels d’établissements recevant du public, l’extension du pass sanitaire à ces mêmes lieux (cafés, restaurants, musées, etc.) et l’isolement forcé des cas positifs.

Ce mercredi 21 juillet, la présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été entendue par les membres de la commission des Lois du Sénat. De manière générale, Marie-Laure Denis invite les parlementaires à s’assurer que la restriction des libertés individuelles est «proportionnée». Une proportionnalité qui, selon la CNIL, dépend «grandement du caractère gratuit ou payant des tests de dépistage.» Or, le gouvernement avait déjà annoncé que les tests antigéniques et PCR allaient devenir payants à l’automne. Même son de cloche du côté du Défenseur des droits, Claire Hédon. Dans un avis rendu le 20 juillet dernier, celle-ci relève «dix points d’alerte» et s’interroge «tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte.»

«L’État de droit s’est éteint»

Pour l’avocat en droit de la santé publique Fabrice Di Vizio, en tête de cortège à Paris lors de la manifestation du 17 juillet dernier contre le pass sanitaire, l’heure est plus que jamais à la «mobilisation». Interview.

Sputnik: La présidente de la CNIL a estimé que le nouveau dispositif prévu par le gouvernement est une atteinte «particulièrement forte aux libertés et aux droits fondamentaux». Partagez-vous ce point de vue?

Fabrice Di Vizio: 

«Est-ce que la CNIL est complotiste et “antivax” quand elle dit cela? Cela fait un an et demi que l’on est nombreux à dire qu’il y a une inflation dans les mesures liberticides. 150.000 personnes à Paris [18.000 selon le ministère de l’Intérieur, ndlr] ont dit la même chose dans la manifestation du 17 juillet dernier. On se fait pointer du doigt comme des irresponsables. La CNIL et le Défenseur des droits s’inquiètent de cette atteinte particulièrement sévère aux libertés. J’aimerais bien que l’on me donne la définition d’un régime dans lequel les libertés sont à ce point menacées. Comme je suis soi-disant le fer de lance des “antivax”, je n’ai peut-être pas le droit de le dire. Pourquoi le ministre de la Santé n’a pas chassé cette dame qui a osé de venir traiter le gouvernement de liberticide devant les sénateurs? Et le Défenseur des droits, qu’attend-on pour le supprimer? Selon la logique du Président de la République, il faudrait chasser toutes ces voix discordantes!»

Contrôle des populations, «le rêve de la société moderne»

«Le gouvernement s’assied avec allégresse sur les institutions censées être gardiennes de l’équilibre des droits et des devoirs. Et ensuite, lorsque j’ose utiliser le terme de “tyrannie”, on me traite de tous les noms. Nous avons un renversement total des valeurs: l’État de droit s’est éteint. Le variant delta a été une circonstance bien commode pour venir asseoir un pouvoir totalitaire. Ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à reprendre le sens des mots! Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie.»

Sputnik: La CNIL recommande aussi aux parlementaires de contraindre le gouvernement à fournir une évaluation de l’efficacité des «différents dispositifs numériques» que celui-ci a mis en place pour lutter contre la pandémie. N’avez-vous pas le sentiment que l’on assiste plutôt à des lourdeurs bureaucratiques dont le sens échappe parfois aux citoyens?

Fabrice Di Vizio: 

«Les tyrannies technocratiques, ça existe aussi. La machine administrative, quand elle est au service d’une idéologie unique, fonde une tyrannie. Dans un État de droit, c’est le Parlement (donc la représentation nationale) qui décide. Dans la tyrannie, la bureaucratie nommée par le Prince s’auto-entretient sans aucun contrôle du Parlement et c’est elle qui décide de tout. N’est-ce pas ce qui se passe en ce moment?»

Sputnik: On pourrait vous rétorquer que le motif invoqué par le gouvernement est la santé publique et la protection de la population face à la pandémie.

Fabrice Di Vizio: 

«Quand on considère que les vaccinés ne sont plus cas contact, c’est encore de la santé publique? Face à un variant qu’on nous décrit comme plus contagieux, pour quelle raison les vaccinés seraient exonérés d’isolement s’ils sont cas contact? L’OMS et le CDC [agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé publique, ndlr] disent pourtant le contraire. Israël ferme ses frontières aux vaccinés et aux non-vaccinés, la quarantaine est obligatoire pour les gens qui arrivent en Angleterre en provenance de la France. Qui décide alors?

Ce n’est plus de la science, c’est de la tyrannie. Et la tyrannie naît quand la cause finale n’est plus la recherche du bien commun. Le pass sanitaire étendu à tous a-t-il jamais fait la preuve de son efficacité? A-t-on un exemple dans l’Histoire où une pandémie s’est arrêtée grâce à un dispositif pareil? Nous avons érigé le mensonge en règle de gouvernement. La vérité, c’est que la santé des Français est devenue une variable d’ajustement.»

Sputnik: L’Assemblée nationale a rejeté un amendement de la députée Emmanuelle Ménard qui visait à mettre fin au pass sanitaire une fois la pandémie sous contrôle. Pensez-vous vraiment que ce dispositif est voué à perdurer?

Fabrice Di Vizio: 

«Bien sûr. C’est le rêve de la société moderne que d’exercer un contrôle sur les populations! Connaissez-vous une mesure temporaire qui n’est pas devenue définitive avec le temps? Il suffit de voir le Patriot Act aux États-Unis [loi antiterroriste votée dans la foulée du 11 septembre 2001 et qui permet notamment aux autorités américaines de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste, ndlr]. La loi était censée être temporaire et limitée aux seuls cas de terrorisme. En définitive, le Patriot Act a été utilisé par les Américains pour asseoir leur pouvoir dans le monde.»

Vers une société à deux vitesses?

«On nous parle de l’équilibre entre une société de droits et une société de devoirs. Sauf qu’aujourd’hui, des droits, j’en vois très peu. Le seul droit que les citoyens aient depuis un an et demi, c’est de se taire et de subir les vicissitudes de ce gouvernement incapable de gérer la crise. L’heure n’est plus à discuter, elle est à se mobiliser et à récupérer un pouvoir qui nous a été retiré depuis maintenant un an et demi. Nous allons lutter avec les armes du droit et de la démocratie.

Au titre de ces armes figure le fait de bloquer le pays, s’il le faut. Il y a une abdication totale des contre-pouvoirs et de toute forme d’opposition dans ce pays. Pardonnez mon indignation, mais il faut arrêter de faire de la liberté une discussion de salon. Des gens sont morts pour la liberté. La tyrannie prend toujours le même chemin: celui d’une abdication de l’opposition, du bon sens et de la critique du pouvoir.»

Sputnik: Pensez-vous que nous sommes à l’aube d’un nouveau mouvement social, de l’ampleur des Gilets jaunes, voire plus large encore?

Fabrice Di Vizio: 

«C’est aux Français de savoir dans quel monde eux et leurs enfants veulent vivre. J’en profite pour dire que le traitement médiatique de la manifestation du 17 juillet a été indigne.

Le problème, au fond, c’est que l’on va créer une société de classes. Vous pensez que les gens qui ont de l’argent vont se laisser intimider et pénaliser? Concrètement, ce sont ceux que l’on qualifie avec mépris de “petites gens” qui subissent la crise. C’est une lutte des classes, rien d’autre. On se demande encore ce qu’attendent les syndicats, visiblement apeurés à l’idée de froisser le pouvoir. Rappelez-vous Péguy: “Il faut toujours dire ce que l’on voit; il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit”. Est-ce qu’on ne voit pas que c’est une société à deux vitesses que l’on est en train de créer?»


[Voir aussi : Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]




« C’est une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience » : Le député LREM Pacôme Rupin s’oppose au “pass sanitaire”

[Source : Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie]

Par Olivier Demeulenaere

« Je crois que le pass sanitaire va fracturer notre pays. C’est un changement majeur de société. Des millions de citoyens vont devoir surveiller le statut sanitaire de millions de citoyens. Les convictions différentes sur le vaccin vont partager les Français en deux, entre ceux qui auront des autorisations et ceux qui auront des interdictions pour aller et venir dans un certain nombre d’établissements recevant du public. Des milliers de citoyens vont potentiellement perdre leur emploi s’ils ne veulent pas se faire vacciner et je ne peux donc me résoudre à cet extrême qui créera un précédent qui est pour moi une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé ».



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USA. Un procès fédéral demande l’arrêt immédiat des vaccins COVID, le CDC ayant sous-estimé les décès dus aux vaccins

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

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America’s Frontline Doctors (AFLDS) a déposé une requête le 19 juillet, demandant une injonction immédiate devant un tribunal de district fédéral de Californie pour arrêter l’utilisation des vaccins COVID à autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization (EUA)) – Pfizer/BioNTechModerna et Johnson & Johnson (J&J)  – pour trois groupes d’Américains.Selon un communiqué de presse, AFLDS demande d’arrêter immédiatement l’administration du vaccin expérimental COVID chez toute personne de 18 ans et moins, toutes celles qui se sont rétablies du COVID et ont acquis une immunité naturelle, et tout autre Américain qui n’a pas reçu de consentement éclairé tel que défini par la loi fédérale.

La requête de 67 pages demande au juge de délivrer une injonction préliminaire conformément au § 360bbb-3 (b) (1) (C) pour les raisons suivantes :
• Il n’y a pas d’urgence, ce qui est une condition préalable à la délivrance d’EUA et de renouvellement d’EUA pour des vaccins COVID.
• il n’y a « aucune maladie ou affection grave ou potentiellement mortelle ».
• Les vaccins ne diagnostiquent, ne traitent ni ne préviennent le SRAS-CoV-2 ou le COVID.
• Les risques connus et potentiels du vaccin l’emportent sur ses bénéfices connus et potentiels.
• il existe des alternatives adéquates, approuvées et disponibles aux vaccins.
• les professionnels de santé et les candidats vaccins ne sont pas suffisamment informés.

Les auteurs de la motion ont joint une déclaration d’un dénonciateur qui s’est présenté alléguant que le nombre de décès survenu dans les 72 heures suivant la vaccination COVID est considérablement sous-déclaré au système de notification des événements indésirables des vaccins (Vaccine Adverse Events Reporting System  VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) maintenu par les États-Unis Food and Drug Administration (FDA).

Au 9 juillet, le nombre de décès signalés chez les VAERS s’élevait à 10.991, dont  4.593 sont survenus dans les 72 heures suivant la vaccination.

La dénonciatrice – une informaticienne qui a développé plus de 100 algorithmes distincts de fraude aux soins de santé et qui possède une expertise dans l’analyse des données de santé qui lui permet d’accéder aux données Medicare et Medicaid obtenues par les Centers for Medicare and Medicaid Systems (CMS) – a déposé une déclaration sous serment sous peine de parjure alléguant le nombre réel de décès liés au vaccin COVID, est plus proche de 45.000.
Elle a affirmé que VAERS, bien qu’extrêmement utile, n’enregistre qu’environ un cinquième des chiffres réels.
Dans sa déclaration, elle a déclaré :

« Au 9 juillet 2021, on a enregistré 9.048 décès à VAERS. J’ai vérifié ces chiffres en rassemblant moi-même toutes les données de VAERS, sans me fier à un tiers pour les recenser. Enfin, j’ai interrogé les données des réclamations médicales CMS concernant les décès de vaccins et de patients, et j’ai évalué que les décès survenus dans les 3 jours suivant la vaccination sont supérieurs à ceux rapportés dans VAERS d’un facteur d’au moins 5. Cela indiquerait que le véritable nombre de décès liés au vaccin était d’au moins 45000. Mis en perspective, le vaccin contre la grippe porcine a été retiré du marché alors qu’il n’a fait que 53 décès. »

AFLDS a déclaré que les résultats étaient choquants et qu’un consentement éclairé est impossible lorsque les données de sécurité ne sont pas exactes.
Dans un communiqué de presse, a déclaré AFLDS :

« Il est illégal et inconstitutionnel d’administrer les agents expérimentaux à des personnes qui ne peuvent pas prendre une décision éclairée quant aux véritables avantages et risques du vaccin sur une base indépendante. Ils doivent avoir l’âge ou la capacité de prendre des décisions éclairées et avoir reçu toutes les informations sur les risques/bénéfices nécessaires pour prendre une décision éclairée. »

L’une des plaignantes nommées, Deborah Sobczak, mère d’adolescents de 15 et 17 ans, a déclaré dans le communiqué de presse :

« Mon enfant ne fera pas l’objet d’une expérimentation. Quel genre de monstres permettons-nous de nous contrôler ? Des enfants en parfaite santé ont développé une inflammation cardiaque, une hémorragie cérébrale et sont même morts ! J’en ai assez. Je ne sacrifie pas mon enfant pour qu’une société pharmaceutique puisse expérimenter sur elle. Cette folie doit cesser. »

Il n’y a pas d’urgence justifiant l’EUA de vaccins COVID, selon le plaignant

Selon la plainte, le secrétaire du ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) des États-Unis, nommé comme l’un des accusés dans le procès, a déclaré le 24 février 2020 que, conformément au § 360bbb–3(b)(1)(C), SARS-CoV-2 a créé une « urgence de santé publique ».

Cette déclaration d’urgence initiale a été renouvelée à plusieurs reprises et reste en vigueur aujourd’hui – une condition légale nécessaire à la délivrance de vaccin EUAs, indique la plainte. L’EUA a autorisé l’utilisation massive du vaccin par le public américain avant l’achèvement du régime standard des essais cliniques et l’approbation de la FDA.
Les plaignants allèguent que la déclaration d’urgence et ses multiples renouvellements sont illégaux car il n’y a pas d’urgence sous-jacente. En utilisant les données des décès HHS COVID, le SRAS CoV-2 a un taux de survie global de 99,8 % dans le monde, qui passe à 99,97 % pour les personnes de moins de 70 ans. Cela correspond à la grippe saisonnière, indique la plainte.

Les plaignants soutiennent que le HHS a délibérément gonflé les données COVID

Les plaignants allèguent que les données du HHS sont délibérément gonflées. Le 24 mars 2020, le HHS a modifié les règles applicables aux coroners et autres responsables de la production et de la détermination des certificats de décès « cause de décès » exclusivement pour COVID.

Le changement de règle stipule:

« COVID-19 doit être signalé sur le certificat de décès pour toutes les personnes décédées où la maladie a causé ou est supposée avoir causé ou contribué au décès. »

Selon la plainte, les statistiques du HHS ont montré que 95% des décès classés comme « décès COVID-19 » impliquaient en moyenne quatre comorbidités supplémentaires. Les plaignants affirment que les CDC savaient que les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès feraient en sorte que COVID soit la cause sous-jacente le plus souvent citée.

Les plaignants ont déclaré que le nombre réel de cas de COVID est également bien inférieur au nombre signalé en raison de l’utilisation d’urgence des tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR), qui sont utilisés comme outil de diagnostic pour COVID. Les tests PCR sont eux-mêmes des produits expérimentaux, autorisés par la FDA sous EUAs séparé. Les notices d’emballage indiquent que le test PCR ne doit pas être utilisé pour diagnostiquer le COVID.

La plainte allègue que la manière dont le test PCR est administré en toute connaissance de cause garantit un nombre inacceptablement élevé de résultats faussement positifs.

Les risques des vaccin COVID ne sont pas divulgués et sont  sous-déclarés, selon la plainte

Les chercheurs médico-légaux d’AFLDS ont analysé les données accumulées sur le risque COVID du vaccin et ont découvert une migration de la protéine pathogène SARS-CoV spike-2 dans le corps. Pourtant, les vaccins ont été autorisés sans aucune étude démontrant où les protéines de pointe ont voyagé dans le corps après la vaccination, combien de temps elles restent actives et quel effet elles ont, indique la plainte.

Les chercheurs d’AFLDS ont analysé VAERS et découvert un risque accru de décès par COVID des vaccins. La base de données a indiqué que les décès dus au vaccin au premier trimestre de 2021 représentaient une augmentation de 12000 % à 25000 % des décès dus au vaccin d’une année sur l’autre

De 2009 à 2019, il y a eu 1529 décès signalés associés à tous les vaccins signalés à VAERS, selon la motion. Au premier trimestre de 2021, il y a eu, dans le système, plus de 4000 décès signalés dont 99% signalés en 2021 attribués aux vaccins COVID, et seulement 1% attribués à d’autres vaccins.

Les plaignants ont également divulgué des preuves de dommages reproductifs, de maladies vasculaires, de maladies auto-immunes, de dommages neurologiques et ils ont souligné un risque accru de dommages pour les enfants atteints de COVID des vaccins pour soutenir leur position.

Pourquoi le secret autour des données V-Safe?

La plainte a attiré l’attention sur le secret du V-Safe system du CDC – un système parallèle utilisé pour suivre les événements indésirables signalés via une application pour smartphone contrôlée exclusivement par le CDC.
Les plaignants ont fait part de leurs inquiétudes quant au fait que les informations contenues dans un V-Safe dépassent celles de VAERS. VAERS, selon eux, est inexact car il inclut potentiellement moins de 1% de tous les événements indésirables liés aux vaccins, et le gouvernement fédéral ne fournit pas de données de surveillance provenant d’autres sources telles que V-safe, CMS et l’armée.

Les plaignants ont déclaré que le consentement éclairé ne peut être donné sans comprendre les risques. Ils ont déclaré qu’ils ne pouvaient s’empêcher de se demander pourquoi le HHS ne divulguait pas au public des informations critiques relatives aux risques provenant de ses systèmes de déclaration,

«  en particulier à la lumière du fait qu’ils ont eu le temps et les ressources pour étudier et étendre l’autorisation sur le vaccin, le vaccin construit une énorme machine de marketing et déploie les cliniques de vaccination dans tout le pays. »

La poursuite a été déposée par plusieurs cabinets d’avocats, dont RENZ Law. La plainte et la déclaration de dénonciation peuvent être lues ici.

Source : Federal Lawsuit Seeks Immediate Halt of COVID Vaccines, Cites Whistleblower Testimony Claiming CDC Is Under-Counting Vaccine Deaths




Philippe KRIKORIAN, Avocat à la Cour, a déposé un REFERÉ-LIBERTÉ auprès des juges des référés du Conseil d’État

Par Philippe KRIKORIAN

Philippe KRIKORIAN Avocat à la Cour (Barreau de Marseille) a déposé un

REFERÉ-LIBERTÉ REQUÊTE INTRODUCTIVE D’INSTANCE Aux JUGES DES RÉFÉRÉS DU CONSEIL D’ÉTAT(([1] (Articles L. 511-2, L. 521-2, L. 522-1, R. 522-5, alinéas 1er et 3, R. 522- 6, R. 522-13, alinéa 2 du Code de justice administrative) ))

LE REQUÉRANT

demande au juge des référés du Conseil d’État d’exercer les pouvoirs à lui conférés par l’article L. 521-2 du Code de justice administrative aux fins de sauvegarder les libertés fondamentales que constituent notamment :

1°) la liberté d’aller et de venir

2°) le droit au respect de la vie privée et familiale.

« La présente affaire soumet à discussion juridique les limites qu’une Société démocratique du XXIe siècle, comme l’est et doit le demeurer la France, doit assigner au pouvoir exécutif.

Est, ici, plus particulièrement en cause un message politique du Chef de l’État à vocation normative et ayant valeur de décret (prélude au dépôt de projet de loi en date du 20 juillet 2021), à l’adresse de la Nation tout entière (pièce n° 1).

Le législateur a organisé des voies de recours aux fins que soit assurée, conformément à l’article 16 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 (DDH), à pleine valeur constitutionnelle, en tous lieux et à tout instant, la protection juridictionnelle effective que sont légitimement en droit d’attendre les personnes placées sous la juridiction de la France.

SYNTHÈSE DES GRIEFS FORMULÉS À L’ADRESSE DE L’ALLOCUTION TÉLÉVISÉE DU CHEF DE L’ÉTAT EN DATE DU 12 JUILLET 2021, SOUS L’ANGLE DE L’ATTEINTE GRAVE ET MANIFESTEMENT ILLÉGALE AUX LIBERTÉS FONDAMENTALES, AU SENS ET POUR L’APPLICATION DE L’ARTICLE L. 521-2 DU CODE DE JUSTICE ADMINISTRATIVE

En présentant le futur vote comme un fait irrévocablement acquis et en ne précisant pas, lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, que le dispositif dit passe sanitaire ne s’appliquerait pas aux situations suivantes : 1°) groupe familial au sein duquel l’un, au moins, des membres justifie d’une vaccination, d’un rétablissement ou d’un dépistage récent ne concluant pas à une contamination ; 2°) réservation de l’activité par une ou plusieurs personnes avant l’entrée en vigueur du nouveau dispositif ; 3°) port du masque et respect de la distanciation physique par les personnes ne justifiant pas de l’une des trois modalités du passe sanitaire, le Président de la République a d’ores et déjà, sans considération aucune du texte qui sera définitivement voté et promulgué, porté à la liberté d’aller et de venir, ainsi qu’au droit au respect de la vie privée et familiale, une atteinte grave et manifestement illégale, au sens et pour l’application de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.

Les conditions de l’application du texte susvisé sont, dès lors, toutes réunies »




Une note du Renseignement : forte exaspération et risque de radicalisation

[Source : yetiblog.org]

Une note de service datée du 19 juillet émise par le Renseignement territorial (RT) tranche singulièrement avec les fabulations des médias tentant de relativiser la mobilisation et l’exaspération populaire contre le pass sanitaire ou l’obligation vaccinale. On y lit ce constat :

« Une exaspération de plus en plus généralisée face à des mesures considérées comme liberticides. »

Loin de relativiser quoi que ce soit, la note du RT souligne au contraire une « mobilisation exceptionnelle », tant par le volume de manifestants que par le nombre de villes concernées. « Une telle mobilisation, surtout hors cadre d’un mouvement structuré, est très inhabituelle durant une période estivale », explique le RT en alertant sur un potentiel risque de « radicalisation ».

Les renseignements font également valoir le profil hétéroclite des manifestants, leur « physionomie très hétérogène » dans des cortèges rassemblant de « simples citoyens » de tous âges, venant de tous bords politiques et de tous milieux sociaux, sans leader attitré, pour beaucoup en première ligne de l’obligation vaccinale (soignants…).

Syndrome Gilets jaunes : LFI et le RN aux abonnés absents

La note du RT pointe aussi l’absence dans ce mouvement de protestation populaire de « l’ultra-gauche » (entendez LFI), mais aussi – là, c’est moi qui note – de l’extrême-droite institutionnelle (i.e. le RN). Dès lors, le parallèle avec ce qui se passa au début du mouvement des Gilets jaunes est vite établi :

« À l’instar de ce qui s’est produit pour les Gilets jaunes, plus le conflit durera, plus le risque est grand que les plus déterminés, puis les plus radicaux, parviennent à en prendre le contrôle. »

Pour le RT, une 

« pérennisation de la crise n’est pas à exclure, surtout que les appels à manifester sont lancés exclusivement par le biais d’Internet et des réseaux sociaux et ne font pas à de rares exceptions près, l’objet de déclaration en préfecture ».

Prochain test grandeur nature : samedi 24 juillet (sans compter les actions sporadiques qui n’attendent même pas le week-end pour éclater).




Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA

[Source : cv19.fr]

Alors que de plus en plus de personnes prennent conscience de la présence d’oxyde de graphène dans les vaccins covid, une société appelée INBRAIN Neuroelectronics démontre que la technologie de “neuromodulation” basée sur le graphène et utilisant la neuroélectronique alimentée par l’IA est bien réelle.

Un communiqué de presse du 30 mars 2021 publié par BusinessWire.com dévoile cette affaire :

INBRAIN Neuroelectronics obtient un financement de série A de 17 millions de dollars pour la première interface graphène-cerveau alimentée par l’intelligence artificielle.

Le financement permet à l’entreprise de faire progresser les premières études sur l’homme pour son produit phare, un dispositif de neuromodulation moins invasif destiné à traiter les troubles neurologiques et utilisant l’intelligence artificielle et des électrodes en graphène.

INBRAIN Neuroelectronics – Restaurer des vies en décodant les signaux du cerveau et des nerfs dans des solutions médicales – Systèmes neuronaux intelligents en graphène à haute densité et haute résolution.
https://www.inbrain-neuroelectronics.com/

Pour être clair, nous ne prétendons en aucun cas qu’INBRAIN est impliqué dans les vaccins covid. Ils affirment plutôt que leur technologie est utilisée “pour traiter l’épilepsie et la maladie de Parkinson”. L’intérêt de présenter INBRAIN est de révéler que les “biocircuits” de contrôle du cerveau basés sur le graphène sont, en fait, une technologie bien réelle.

Les soi-disant “fact-checkers” – qui ne sont rien d’autre que des organes de propagande et de désinformation – affirment régulièrement que le graphène n’est pas présent dans les vaccins et que les biocircuits en graphène sont une théorie du complot. INBRAIN Neuroelectronics démontre que les fact-checkers mentent.

En fait, comme INBRAIN l’indique dans son propre communiqué de presse, son objectif est “d’établir la sûreté du graphène comme nouvelle norme de soins pour les dispositifs neurotechnologiques”.

Ils décrivent également les biocircuits en graphène comme une sorte de plateforme évolutive :

Des technologies neuroélectroniques moins invasives et plus intelligentes comme les nôtres pourraient fournir des thérapies plus sûres, évolutives et adaptables en temps réel…

Si cela vous semble familier, c’est probablement parce que Moderna, créateur du vaccin covidien à ARNm, a décrit sa technologie comme un “système d’exploitation” qui peut être mis à jour et reprogrammé à tout moment, lui aussi.

Sur le site Web d’INBRAIN Neuroelectronics, la société se décrit ainsi :

Nous sommes des scientifiques, des médecins, des techniciens et des amoureux de l’humanité, dont la mission est de construire des interfaces neuroélectroniques pour soigner les troubles cérébraux. Nous utilisons le GRAPHENE, le matériau le plus fin connu de l’homme, pour construire la nouvelle génération d’interfaces neuronales pour la restauration du cerveau afin d’aider des patients à travers le monde.

Elle cite également le professeur A. Fasano, qui a déclaré : “Le graphène est la prochaine grande nouveauté dans le domaine des matériaux de bio-ingénierie, qui sont des composants piliers de la prochaine génération d’électrothérapies dans le domaine en croissance constante de la neuromodulation.”

La société présente sa technologie comme étant capable de “lire” le cerveau d’une personne, de détecter des schémas neurologiques spécifiques, puis de contrôler la neurologie de cette personne pour modifier ses fonctions cérébrales. Selon ses propres termes :

Nos interfaces graphène-cerveau ont la capacité de lire à une résolution jamais vue auparavant, ainsi que de détecter des biomarqueurs spécifiques à la thérapie et de déclencher une neuromodulation adaptative hautement focale pour de meilleurs résultats dans les thérapies neurologiques personnalisées.

Le graphène est également décrit comme “le matériau connu le plus fin pour adapter parfaitement la stimulation à l’anatomie ciblée du cerveau”.

Quiconque affirme que le graphène n’est pas utilisé pour contrôler la neurologie humaine fait preuve d’une ignorance totale de l’état des neurosciences modernes ou vous ment délibérément.

Pour clarifier encore une fois, nous n’affirmons pas qu’INBRAIN Neuroelectronics est engagée dans un quelconque programme néfaste, ni qu’elle est impliquée dans les vaccins contre le covid. Comme toute technologie, les biocircuits à base de graphène peuvent être utilisés pour le bien ou le mal, selon l’éthique et les motivations de ceux qui contrôlent la technologie. Il existe sans aucun doute des applications très positives pour cette technologie, mais comme pour la plupart des technologies qui étaient autrefois présentées comme un moyen d’émancipation de l’humanité – la télévision, les vaccins, Internet, l’énergie nucléaire, la robotique, etc. – elles finissent toutes dans les mains de mondialistes fous et génocidaires qui les utilisent comme des armes contre l’humanité.

En d’autres termes, il n’existe aucune technologie que des cinglés n’exploiteront pas pour asservir l’humanité et accroître leur propre pouvoir et leur contrôle. Les biocircuits en graphène donnent aux cinglés avides de pouvoir un accès direct à votre cerveau, et selon de nombreux analystes (voir ci-dessous), les vaccins fournissent l’excuse pour injecter aux victimes humaines des substances à base de graphène qui s’auto-assemblent en biocircuits dans le cerveau humain.

ALLÉGATION : les vaccins Covid contiennent des niveaux élevés d’oxyde de graphène, qui s’auto-assemble en biocircuits en récupérant des éléments (tels que le fer) du sang humain.

Comme le rapporte Orwell.city, un groupe appelé La Quinta Columna a analysé des vaccins contre le covid et a découvert que 98% à 99% de la masse non-liquide du vaccin semble être de l’oxyde de graphène. Ricardo Delgado, parlant au nom de La Quinta Columna, déclare :

Un phénomène qui a longtemps été nié, mais qui aujourd’hui a déjà été prouvé. Il y a des millions de vidéos de personnes dans le monde entier. Des vidéos sur ce phénomène, appelons-le “pseudo-magnétisme acquis après inoculation”, mais il peut aussi être acquis par d’autres moyens. Donc, une fois que nous avons mené cette étude épidémiologique de base, nous avons commencé à nous demander quels matériaux ou nanomatériaux peuvent provoquer le magnétisme dans le corps. Et pas seulement du magnétisme, mais qui pourraient agir comme des condensateurs d’énergie, car j’ai aussi mesuré dans un multimètre une charge importante…

Il s’agit d’un phénomène d’induction électromagnétique dans le métal qui adhère près de la zone d’inoculation. De plus, nous avons constaté que le magnétisme se déplace ensuite vers la tête. Et ceci est très important. Sûrement dans le but qu’ils recherchent. De plus, une différence de potentiel est mesurée avec un multimètre : la personne devient un supraconducteur. C’est-à-dire qu’elle émet et reçoit des signaux. Et quand nous avons trouvé les matériaux qui peuvent provoquer ce type d’altérations dans le corps, nous avons commencé à parler du graphène. Nous avons soupçonné qu’il s’agissait d’oxyde de graphène car il présentait toutes les caractéristiques que les personnes magnétisées exprimaient après inoculation.

Le graphène est toxique, c’est un produit chimique, un agent chimique toxique. Introduit dans l’organisme en grande quantité, il provoque des thromboses. Il provoque des caillots sanguins. Nous avons tous les articles scientifiques qui le prouvent. Il provoque un syndrome post inflammatoire, il provoque une altération du système immunitaire. Et lorsque l’équilibre redox est rompu, en ce sens qu’il y a moins de glutathion de réserve dans l’organisme qu’un toxique introduit comme l’oxyde de graphène, cela génère un effondrement du système immunitaire et une tempête de cytokines. En d’autres termes, quelque chose de très similaire à la maladie à la mode, n’est-ce pas ?

Voir la vidéo ici :



Delgado poursuit :

Et étant donné que toutes les personnes qui sont inoculées avec le vaccin Pfizer, qui était celui que nous avons envoyé pour analyse, ainsi que Moderna, AstraZeneca, Johnson&Johnson, Janssen, Sinovac, et tous les types de vaccins acquièrent des propriétés magnétiques, nous soupçonnons avec beaucoup de preuves qu’ils contiennent tous plus ou moins de doses de graphène, d’oxyde de graphène.

…nous savons que précisément la N-acétylcystéine ou le glutathion dégrade lui-même l’oxyde de graphène. C’est pourquoi nous pensons que nous avons probablement touché directement l’agent causal ou étiologique de la maladie.

Dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, j’aborde plus en détail cette nanotechnologie exotique, y compris les nanostructures de biocircuit en graphène “auto-assemblées” et la manière dont elles peuvent construire une antenne pour recevoir des commandes ou des instructions de champs électromagnétiques externes.

Si c’est bien ce qui se passe, cela signifie que les gouvernements mondiaux pourraient être en mesure de contrôler les masses vaccinées en diffusant des signaux à partir des tours cellulaires 5G. Bien que cela ressemble à de la science-fiction, cette technologie a déjà fait ses preuves dans des expériences sur des souris, impliquant à la fois des SPION (nanoparticules d’oxyde de fer super paramagnétiques) pour l’administration ciblée de médicaments dans les tissus et des protéines “magnétiques” qui permettent la neuromodulation (contrôle du cerveau).

Article original : https://www.naturalnews.com/2021-07-19-graphene-based-neuromodulation-technology-is-real-inbrain-neuroelectronics.html (anglais)


[Voir aussi :
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




CANCER, BUSINESS MORTEL ?

Par Jean-Yves Bilien

Nicole et Gérard Delépine, des médecins hors norme ! 

En proposant la diffusion libre de ce film, je tenais à leur affirmer mon soutien total et toute mon affection.
Car ce film est complètement d’actualité. 

Je salue leur engagement extraordinaire auprès des malades durant des décennies, ainsi que le travail d’investigation pointu qu’ils ont réalisé depuis 1an et demi dans cette aventure complètement dingue du COVID. 
Il reste à déplorer que si peu de médecins et de chercheurs tirent la sonnette d’alarme… y aurait-il une absence totale de conscience sur la réalité de ce qui se passe réellement depuis plusieurs mois ? 

Je suis admiratif et fier de leurs combats.  Pour moi, ce sont des héros ! 

Je vous conseille aussi la lecture de leur dernier livre : Autopsie d’un confinement aveugle.

Amicalement,

Jean-Yves Bilien 
Réalisateur/ Documentariste/ Producteur 
www.jeanyvesbilien.com

LIBERTÉ DE SOIGNER ET LIBRE CHOIX THÉRAPEUTIQUE

Y aurait-il un super business de la maladie qui ne tiendrait pas compte des patients en souffrance ?

JEAN-YVES BILIEN VOUS PROPOSE

DE REGARDER GRATUITEMENT LE FILM 

CANCER, BUSINESS MORTEL ?

un film de 2014 toujours d’actualité 

Le Dr Nicole Delépine, cancérologue, responsable de l’unité d’oncologie pédiatrique de l’hôpital universitaire Raymond Poincaré à Garches, pratique avec son équipe une cancérologie individualisée, mieux tolérée et de surcroît plus efficace. Ses résultats parlent d’eux-mêmes : plus de 90% de réussite sur des cancers de l’os chez l’enfant si la prise en charge est immédiate contre 50% ailleurs.

Dr Nicole LEPINE

Après trente ans de bons et loyaux services, le Dr Delépine s’apprête à partir en retraite en juillet prochain.

La présence de la petite équipe des 8 médecins seniors pédiatres qui exercent avec elle depuis plus de trente ans, garantit la pérennité de ses méthodes et pourtant l’avenir du service reste très incertain.

S’INSCRIRE POUR VOIR LE FILM OFFERT
« Peut-on soigner librement en France ? »
Manifestement la question vaut la peine d’être posée.

Pourtant les pouvoirs publiques veulent fermer ce service. Pourquoi ?

Parce que Nicole Delépine dénonce depuis des années les pratiques des laboratoires pharmaceutiques ? Et qu’elle lutte contre les essais thérapeutiques de plus en plus pratiqués sur des malades atteints de cancer, en particulier les enfants ? Sans doute. Le franc-parler du Dr Delépine dérange…

Après plus de 25 ans de lutte, le service existe toujours. Il est à parier que si les résultats n’avaient pas été significatifs, l’unité aurait tout bonnement disparu depuis bien longtemps.

VOIR LE FILM
VOIR LA BANDE-ANNONCE

Article sur Argoravox en 2020 

Ce qui se joue très clairement c’est la vie d’enfants et d’adultes. II semble donc évident que poursuivre la mission initiée par le Docteur Delépine est pour ainsi dire vitale.

Ses collègues pourront-ils poursuivre leurs missions ?

Avec  la participation de : Zana et Damien Adzic, Mathilde et Romain Antoine, Dr Francois Bachelot, Laurent Baffie, Medhi Balamane, Kamel Bechir, Naïma Bentahar, Djémila Boucenna, Marc Borand, Orlane Bretonniere, Ali Chaib, Coralie Corbec, Carine Curtet, Dr Hélène Cornille,

Dr Nicole Delépine, Dr Gérard Delépine, Dr Eléonore Djikeussi, Christine et Paul-Emmanuel Esquier, Violaine Ferrand, Dr Michaël Finaud, Bernard Frau, Alina Gabor, Dr Olivia Hicks-Garcia, Kimberley-Anne et Marie-France Joseph Julien, Alex Kamara, Jean-Christophe Lagarde, Magalie Lange, Dr Zahia Lankri, Cindy et Logan Leclerc, Virginie et Océane Lingois, Ottman Mansour, Peggy et Guillaume Martinez, Dr Jérôme Marty, Alain, Sophie et Hugo Masset, Christelle Mathillon-Delmarthy, Mohamed Moud-Ari, Pascal Olmeta, Nadia Plazenet, Ileane Radoi, Dr Pierre Sadoul, Sabrina et Llya Serandoure, Jérôme Serapiglia, Christelle Soudé, Astrid Veillon.

VOIR LE DOSSIER DE PRESSE

Voir l’article sur Madame Figaro
Voir l’article sur Vivamagazine





Restrictions Delta : Castex manque de plus en plus de cortex

Par Lucien Samir Oulahbib

Dire sans honte, comme Castex, que « 96 % des positifs sont des non-vaccinés » revient à jouer sur la peur et non sur la raison (cortex) : les positifs ne sont pas des malades, le Delta est moins grave que les autres variants, confirme le docteur Gérard Delépine, et nous avons des traitements et de la prévention indique le docteur Guillaume, donc point de besoin de cet essai clinique qui ne donne pas toujours la preuve de son efficacité comme l’admet un récent rapport anglais.

Mais les paranoïaques qui nous gouvernent n’ont cure de ces objections qu’ils considèrent comme du « complot/isme » tout en refoulant leur part de vérité par le dédoublement de personnalité caractéristique du psychotique (Psychose de Hitchcock qui s’était appuyé sur les études de Pierre Janet concernant cette dissociation), ou docteur Jekyll et Mister Hyde, voire le bon la brute et le truand, Castex jouant les deux derniers en même temps sous les traits du premier. Il y arrive cependant très mal. N’est pas Clint Eastwood qui veut…

Au lieu de mettre le paquet en augmentant le salaire des soignants, en leur promettant qu’ils seront protégés par de la prévention et des traitements au cas où, tout en sachant que plus en amont les médecins peuvent donner massivement ces derniers, Castex sans cortex va chercher les poux encore à l’IHU de Raoult parce qu’il aurait mal appliqué des protocolesalors que des millions de personnes participent à une expérimentation cobaye grandeur nature qui a ses milliers de morts, mais en effet noyés dans la masse, tant l’on ne connaît pas encore la fin de l’histoire sinon l’injonction à répétition (Macron confirmant Castex sur l’affaiblissement du système immunitaire : (…)« Je veux m’adresser à ceux qui, vaccinés les premiers, c’est-à-dire en janvier-février, verront prochainement leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer », a souligné le chef de l’État. (…)) Mais Zorro est arrivé et une troisième dose est en vue pour les « plus vulnérables » officiellement, pour tous en réalité — faisons-en en effet le pari :

En gros, plus les cobayes prendront des doses, plus certains d’entre eux (et sans doute de plus en plus) verront « leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer » (dixit, supra) jusqu’à être de plus en plus dépendants, à la façon de certaines maladies chroniques. Ou comment transformer des bien portants ayant très peu de risques d’en mourir en malades permanents.

Plus fondamentalement, dans ce genre de déraison nihiliste, mais affairiste (que j’ai étudié dans Éthique et épistémologie du nihilisme et divers articles en ligne (autour du néo-léninisme contemporain), le fait d’être bien portant est un outrage ou le sentiment d’être maître de soi alors que la notion même de « maîtrise » s’apparente à de la domination, de la fermeture identitaire ; de la même façon que de dire « je » ou de se considérer comme voulant être acteur de sa vie (le terme « acteur » est interdit chez Bourdieu, Foucault) ; d’où l’idée paradigmatique de voir dans le handicapé, le modèle anthropologique à atteindre (comme l’avait bien vu Jean Baudrillard encore une fois), prélude au devenir cyborg de la troisième révolution bionumérique actuelle et ses fantasmes divers de transhumanisme au sens fort du terme « trans »…

Bien sûr, le lien entre ce cortex collectif, celui de la Secte néo-léniniste (et son faire-valoir post-gaulliste) dominant la Justice, l’Université, les Médias, les plus hauts Conseils, et celui tout simplet de Castex, ne semble pas évident, mais lorsque l’on creuse les convergences, les faisceaux (étymon de fascisme) ne manquent pas : la Secte voit dans le peuple non encore formaté des gens nécessairement « sales, affreux et méchants » qu’il faut désinfecter, casser, remodeler (à la façon du théâtre de la non-méthode dite « Actor’s studio“), éventuellement coopter à la façon d’autrefois les meilleurs indigents, en particulier les nouveaux nymphes et éphèbes.

Il s’agit dans l’ensemble de promouvoir la symbiose globale d’une domination planétaire jet-set : palaces, mignon(nes), le tout combiné façon table de mixage où l’on voit les plus grandes firmes globales s’approprier ce néo-léninisme comme colonne vertébrale de leur CSO (Corps Sans Organes) théorisé par Deleuze, ce maître en « éthique », disait Foucault dans la préface américaine de « Mille plateaux », cette matrice qui se déroule sous nos yeux, comme je l’explique en long et en large (supra) dans l’indifférence générale (ou quasi).

Rendez-vous dans dix ans, cependant : un ami avait prédit dix ans auparavant que cette idéologie mortifère serait vue ainsi dans vingt ans. Dix ans sont passés. Encore dix, donc… Pendant ce temps elle va faire visiblement beaucoup de dégâts, tant elle est désireuse d’Être l’Histoire, son film, son œuvre d’art (à la façon de Wonder Woman revisitant la guerre de 14… en vrai)… Marquer son temps avec le « VACX », car écrire Guerre et Paix ne vaut rien disait Blanchot leur master, mais écrire le Capital oui. Modeler des millions de gens en cobayes expérimentaux, alors là, oui, c’est « géniaaaaal », se moquait Robert de Musil dans L’homme sans qualités.

Game over.




« Nous devons lutter contre la désinformation », déclare l’empire entièrement basé sur la désinformation

[Source : reseauinternational.net]

par Caitlin Johnstone.

Le plus étrange dans le fait que l’administration Biden se charge de la censure de la « désinformation » sur les médias sociaux, c’est que les États-Unis sont la plaque tournante d’un empire mondial qui repose sur la désinformation, qui est entretenu par la désinformation et qui est facilité par la désinformation.

Si le moteur de propagande de l’empire centralisé aux États-Unis cessait de tromper activement le public sur le monde, il s’effondrerait immédiatement. Il y aurait des troubles massifs dans le pays et à l’étranger, les politiques de statu quo seraient abandonnées, les alliances et les coalitions s’effriteraient, les dirigeants officiels et officieux seraient évincés et l’hégémonie unipolaire des États-Unis prendrait fin.

La seule chose qui empêche que cela se produise est l’énorme quantité de richesse et d’énergie qui est déversée pour tromper continuellement le peuple américain et ses alliés sur ce qui se passe réellement dans leurs nations et leurs systèmes politiques, et dans le monde dans son ensemble.

Pour faire croire aux gens qu’ils vivent dans des nations distinctes et souveraines qui fonctionnent indépendamment les unes des autres, au lieu d’être des États membres d’un seul empire non déclaré qui se déplace comme une seule unité sur la scène internationale.

Pour faire croire aux gens qu’ils contrôlent le destin de leur nation par le biais du processus démocratique, alors qu’en réalité, toutes les politiques à grande échelle sont des spectacles de marionnettes scénarisées contrôlées par une classe ploutocratique qui possède à la fois les politiciens et les médias qui en parlent.

Pour faire croire aux gens qu’ils font partie d’un ordre international vertueux fondé sur des règles, qui s’oppose aux régimes totalitaires pour répandre la liberté et la démocratie, au lieu d’un empire tyrannique qui s’emploie à détruire toute nation qui désobéit à ses diktats.

Et surtout, fabriquer l’illusion que le statu quo impérialiste oppressif et exploiteur est normal.

Ce ne sont pas les grands et célèbres mensonges, comme ceux qui ont précédé l’invasion de l’Irak, qui constituent le gros de la colle qui maintient l’empire en place, mais les petits mensonges banals que les médias ploutocratiques nous servent chaque jour. Ceux qui déforment notre vision du monde par des demi-vérités, des déformations et des omissions conçues pour normaliser un statu quo de meurtre, de vol et d’écocide.

Cette normalisation se produit dans la façon dont les experts et les politiciens traitent toute tentative de mettre fin aux guerres ou de redresser les inégalités de revenus comme un extrémisme effrayant et un fantasme irréaliste, alors qu’en réalité, c’est la chose la plus saine et la plus normale au monde et que la seule chose irréaliste à ce sujet est le fait que les tentatives pour faire avancer ces programmes sont toujours sabotées par ces mêmes experts et politiciens.

La normalisation se manifeste également dans la manière dont les guerres sans fin, les morts de faim causées par les sanctions américaines, la menace imminente d’une extinction totale par l’effondrement du climat ou la guerre nucléaire, l’exacerbation rapide des inégalités de revenus et l’accroissement de la tyrannie dans le pays et à l’étranger ne sont pas traités comme des sujets dignes d’intérêt, alors que les potins de célébrités et les querelles partisanes entre Alexandria Ocasio-Cortez et Marjorie Taylor Greene font la une des journaux. Chaque jour, les médias omettent de rendre compte des plus grandes horreurs que l’empire a déchaînées sur notre monde et se concentrent sur des banalités insipides, ce qui contribue à normaliser ces horreurs.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager des informations importantes sur le monde, le génocide soutenu par les États-Unis au Yémen ferait la une des journaux tous les jours au lieu d’être mentionné de façon marginale toutes les quelques semaines. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager les informations importantes sur le monde, le fait que les Américains deviennent de plus en plus pauvres alors que les milliardaires multiplient leurs richesses pendant la « pandémie » serait porté à l’attention de tous. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Si les médias de masse existaient réellement pour partager des informations importantes sur le monde, le fait que l’armée américaine vienne de dépenser des milliards de dollars pour une occupation de plusieurs décennies de l’Afghanistan qui n’a rien accompli à part enrichir des gens horribles aurait été un scandale national. Chaque jour où personne n’en parle, cet abus scandaleux est normalisé.

Mais les médias de masse n’existent pas pour partager des informations importantes sur le monde. Ils existent pour partager d’importantes désinformations sur le monde. S’ils ne le faisaient pas, le même empire américain qui décrie aujourd’hui la diffusion de la désinformation s’effondrerait dans sa propre empreinte.

L’empire américain est sans exception la force la plus corrompue et la plus destructrice sur cette planète, et de loin. C’est la toute dernière institution sur terre qui devrait être chargée de décider quel contenu en ligne est vrai et ce qui est de la « désinformation ». Absolument la dernière, sans exagération.

Des institutions dépravées qui mentent constamment et qui ont tué des millions de personnes et déplacé des dizaines de millions de personnes depuis le début de ce siècle ne devraient pas être le Ministère de la Vérité pour les systèmes de communication en ligne du monde. Cela devrait être extrêmement évident pour tout le monde.


source : https://caityjohnstone.medium.com

traduit par Réseau International




Un double vacciné parle aux vaccinés

[Source : Geopolintel]

Jamais deux sans trois !

L’origine de cette expression est « tierce fois, c’est droit ». Une chose correctement faîte en une seule fois, appelle une amélioration et une répétition. C’était l’époque où l’on fabriquait tout à la main.

Maintenant, les vaccins annoncés en grande pompe avec une efficacité à 95% contre le Covid, réclament une troisième dose puis une quatrième etc…
Ces médicaments expérimentaux ne sont pas issus du bricolage mais de la haute technologie avec les plus grand spécialistes du monde de la génétique moléculaire.

Ces « vaccins » OGM sont l’introduction du contrôle permanent de la population avant d’avoir droit au crédit social et le revenu universel.

Alors vacciné ou pas on est tous en route vers le Nouvel Ordre Mondial.

https://youtu.be/eSD2uHsCa78

Emmanuel Macron a annoncé, lors de son allocution du lundi 12 juillet, qu’une campagne de rappel serait lancée à la rentrée prochaine, face à l’émergence du variant Delta, particulièrement contagieux, sur le territoire. Cette campagne concernera les personnes les plus vulnérables, qui avaient aussi été les premières à bénéficier du vaccin au début de l’année.

« Je veux m’adresser à ceux qui, vaccinés les premiers, c’est-à-dire en janvier-février, verront prochainement leur taux d’anticorps baisser, leur immunité diminuer », a indiqué Emmanuel Macron« Je tiens à les rassurer. Dès la rentrée, une campagne de rappels sera mise en place pour vous permettre de bénéficier d’une nouvelle injection selon le même système et dans les mêmes conditions ».

Le chef de l’État a précisé que les rendez-vous pour cette troisième dose pourraient être pris « dès les derniers jours du mois d’août ».

Vaccin Covid-19 : une quatrième dose envisagée pour les personnes sévèrement immunodéprimées

L’administration de vaccins différents ou de plus fortes doses sont aussi envisagées pour renforcer la protection de ces personnes.

Pour les personnes sévèrement immunodéprimées, le chemin de la vaccination est long. Alors que l’injection d’une troisième dose de vaccin leur est déjà recommandée depuis la publication de l’avis du Conseil d’Orientation de la Stratégie vaccinale daté du 7 mai, une quatrième dose pourrait désormais être envisagée, selon Ouest-France.




À Toulon, un afficheur transforme Macron en Hitler avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner »

[Source : lesmoutonsrebelles.com]

À Toulon, une affiche géante fait apparaître Emmanuel Macron en Hitler, avec le slogan : « Obéis, fais-toi vacciner ». Quelques heures après l’installation de cette affiche, elle a été tagguée du mot « honte ».

C’est l’afficheur controversé Michel-Ange Flori qui est à l’origine de cette provocation qui a été relayée par France Bleu. Il a d’ailleurs réagit au mot « Honte » sur ses affiches en écrivant : « Les fossoyeurs de la liberté d’expression ne supportent pas que je me gausse de leur idole, ils ont courageusement tagué l’affiche du mot Honte de nuit à l’entrée de Toulon et s’en sont pris au texte « fais toi vacciner ».

Alors que des milliers de personnes manifestaient ce samedi en France contre l’instauration du pass sanitaire à partir de la semaine prochaine, l’afficheur provoque une nouvelle fois en prenant part au débat et en affirmant se battre pour la liberté d’expression. Michel-Ange Flori n’en est pas à son coup d’essai. Il utilise fréquemment certains de ses 350 panneaux pour donner son opinion.




États-Unis : un collectif de médecins dénonce que sur 45 000 décès imputables à la vaccination, seuls 9048 sont remontés dans la base de données de pharmacovigilance




Le taux de mortalité diminue-t-il lorsque les médecins font grève ?

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Les taux de mortalité diminuent lorsque les médecins font grève

La plupart des gens pensent que les médecins sauvent beaucoup plus qu’ils ne blessent, et que les éventuelles préjudices causés par les médecins sont généralement mineurs. Cependant, de nombreuses preuves montrent le contraire. En 2000, les médecins d’Israël ont décidé de se mettre en grève pour réclamer des augmentations de salaire. Rapidement, les entreprises de pompes funèbres ont commencé à remarquer une tendance surprenante.

“Le nombre de funérailles que nous avons organisées a considérablement diminué”.

Hananya Shahor, le directeur vétéran de la la société de pompes funèbres Kehilat Yerushalayim de Jérusalem.

Plus la grève des médecins se prolongeait, plus le taux de mortalité diminuait. Dans certains endroits, le taux de mortalité a chuté de 50 %, ce qui est stupéfiant. Malheureusement, les médecins ont fini par arrêter leur grève et le taux de mortalité est revenu à la normale. La même chose s’était déjà produite en Israël, presque vingt ans plus tôt.

“Il y a définitivement un lien entre la grève des médecins et la diminution des décès. Nous avons vu la même chose en 1983 [lorsque l’Association médicale israélienne a exercé une grève pendant quatre mois et demi].”

Meir Adler, gérant des pompes funèbres Shamgar.

Il serait facile de rejeter ce phénomène comme étant le fait d’une médecine israélienne de mauvaise qualité s’il était limité à cette partie du monde, mais des résultats similaires ont été observés en 1976, à Los Angeles, lorsque les médecins ont fait grève pendant un mois seulement. Le taux de mortalité a rapidement diminué de 18 %. Ces statistiques choquantes ont depuis été étudiées, et c’est officiel : les médecins tuent des gens.

Il y a, bien sûr, des rationalisations pour les réductions de la mortalité, mais elles sont insuffisantes. Pendant les grèves, les soins d’urgence étaient toujours assurés, alors que les opérations chirurgicales non urgentes étaient interrompues. C’est l’une des principales explications de la baisse du taux de mortalité pendant les grèves des médecins, et l’absence de décès dus aux produits pharmaceutiques a été ignorée.

Une étude publiée en 2008 dans la revue Social Science & Medicine a analysé cinq incidents distincts dans lesquels des grèves de médecins ont entraîné une baisse de la mortalité. Les auteurs ont également tenté de mettre en cause le manque de chirurgies non urgentes, mais ils ont finalement été contraints d’admettre que “la littérature suggère que des réductions de la mortalité peuvent résulter de ces grèves”. Ainsi, la meilleure façon de réduire le nombre de décès est peut-être de licencier les médecins.

Source : https://healthwyze.org/reports/502-death-rates-drop-when-doctors-go-on-strike (anglais)


[Voir aussi : Prendre sa santé en main]




Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID

[Source : fawkes-news.com]

C’est devenu évident aujourd’hui: un jour les gens feront la queue pour aller se faire pucer comme du bétail.


[Voir aussi :
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
Le Signe de la Bête
Garçon, la carte s’il vous plaît !
Implants RFID
Il y a des preuves que Bill Gates est impliqué dans les micropuces implantables même s’il nie lui-même avoir jamais été impliqué avec elles
L’entreprise Citrix s’attend à ce que les travailleurs aient des « puces implantées » d’ici l’année 2035.]




Un cas d’école de honte nationale

[Source : Le Saker Francophone]

[Photo : des Pachtounes, par Sylvie Lasserre]

Par Dmitry Orlov – Le 12 juillet 2021 – Source Club Orlov

https://1.bp.blogspot.com/-4epZX5mtnQQ/YOwhFCnVabI/AAAAAAAAL6o/qo49EP5qeLMEPeytzpIJNMN0L7gmVkoTgCLcBGAsYHQ/s400/taliban%2Bfighter.jpg

L’occupation américaine de l’Afghanistan est, heureusement, terminée, et la façon dont elle s’est terminée fait remarquablement miroir à cette initiative qui était complètement malavisé. Les États-Unis se sont retirés au milieu de la nuit, sans avertir leurs alliés et en laissant derrière eux un État fantoche s’effondrant rapidement, qu’ils ont mis en place et soutenu pendant deux décennies, pour un coût de 2 260 milliards de dollars. Pour vous donner un ordre d’idée de ce chiffre, la population de l’Afghanistan est de 38 millions d’habitants ; son revenu annuel par habitant est de 581 dollars. En multipliant les deux ensemble et le tout par 20 ans, on obtient 441,56 milliards de dollars. Ainsi, les dépenses américaines en Afghanistan ont dépassé le PIB du pays par un facteur de cinq !

Et qu’est-ce que cela a donné ? Eh bien, pendant qu’il était sous le contrôle des États-Unis (dans de nombreux cas plus théorique que réel), l’Afghanistan est devenu responsable de 90 % de l’approvisionnement mondial en opium, soit environ 58,5 milliards de dollars par an. Même s’il s’agissait d’un stratagème de corruption visant à utiliser des fonds publics pour s’emparer de l’argent sale de la drogue, l’entreprise afghane s’est avérée pitoyablement inefficace, et c’est probablement la raison pour laquelle le sujet n’est presque jamais abordé. Être dirigé par un gouvernement mafieux n’est peut-être pas particulièrement honteux pour les personnes qui n’ont pas honte, mais être dirigé par un gouvernement mafieux qui ne peut même pas voler correctement est, pour les voleurs, le déshonneur ultime.

Un déshonneur encore plus grand est peut-être de laisser derrière soi des dizaines de personnes que les talibans considèrent comme des collaborateurs américains : des traducteurs et d’autres personnels de service recrutés et employés par les forces américaines et de l’OTAN en Afghanistan au cours des deux dernières décennies. Une chose honorable à faire serait de les faire venir par avion aux États-Unis et de leur donner un endroit où vivre et une pension. La chose déshonorante à faire est ce que les États-Unis font habituellement dans de telles circonstances : abandonner leurs alliés dès qu’ils deviennent inutiles. Le monde entier regarde et la leçon qu’il en tire est la suivante : les États-Unis sont en recul rapide et chaotique, et il est manifestement dangereux d’être un allié américain ou, pire encore, un collaborateur américain.

Mais des sujets aussi importants sont soigneusement ignorés. Ce dont on parle à la place … rien, le son du silence. Joe Biden nous a récemment laissé entrevoir son vide mental interne en déclarant : « Nous sommes allés [en Afghanistan] pour deux raisons : pour… pour… ». Puis son regard vide s’est figé et il a fini par trouver deux explications opportunes : attraper Oussama Ben Laden (qui se trouvait au Pakistan, un allié des États-Unis à l’époque, profitant de sa retraite tranquille de la CIA à côté d’un collège militaire) et combattre le terrorisme (qui est aujourd’hui un problème plus grave que jamais).

Nous pourrions en conclure que l’échec américain en Afghanistan et le fait d’y rester pendant deux décennies était une erreur épouvantable, et c’est certainement le cas, mais cela n’explique pas pourquoi cette erreur a été commise. Pourquoi les empires, en particulier les empires mourants, sont-ils attirés par l’Afghanistan comme des papillons de nuit par une flamme ? L’étude de cas ci-dessous est tirée de mon livre The Five Stages of Collapse. Elle porte sur les Pachtounes, mais, en simplifiant un peu, les Talibans, qui selon toutes les indications seront bientôt à nouveau en charge de l’ensemble de l’Afghanistan, sont des Pachtounes ethniques (ils ont recruté un grand nombre de Tadjiks ethniques ces derniers temps, mais cela ne change pas leur nature fondamentale).

Au-delà de la satisfaction d’un intérêt pour la politique étrangère américaine, l’histoire de l’Afghanistan, et des Talibans dans ce pays, offre une occasion précieuse de changer d’attitude. Vous n’avez peut-être pas une haute opinion d’eux ; en retour, ce qu’ils pensent de vous, c’est que vous devriez vous taire, partir et rester en dehors de tout cela. Vous pouvez être tenté de leur exposer vos tendres sentiments à l’égard de la liberté, de la démocratie, des droits de l’homme, du progrès social et technologique, de l’environnementalisme, de l’égalité des sexes et des droits reproductifs des femmes. Ils ignoreront simplement tout cela comme un bruit idiot et enfantin.

Il y a de fortes chances pour que votre civilisation entière finisse par tomber en poussière et qu’il n’en reste rien, à part quelques armature rouillées sortant du béton fissuré, et eux seront toujours là, comme avant. Votre défi est d’apprendre à les respecter, en sachant pertinemment qu’ils n’auront jamais, au grand jamais, de respect pour vous.

Étude de cas : Les Pachtounes

Parmi les nombreux espaces non gouvernés du monde, il y en a peu qui soient aussi durables et aussi capables de résister aux assauts incessants des empires que les zones tribales pachtounes, qui chevauchent la frontière poreuse et largement théorique entre l’Afghanistan et le Pakistan, y compris la zone tribale pakistanaise du Waziristan. Pour les envahisseurs, il s’agit d’une forteresse invisible mais imprenable qui a résisté à toutes les tentatives de la part d’autorités gouvernementales centralisées d’imposer leur volonté. Le terme « non gouverné » est, comme d’habitude, mal appliqué ici : les Pachtounes ont un système de gouvernance alternatif dont les règles empêchent l’établissement de toute autorité centralisée. Avec plus de quarante millions de personnes, ils constituent l’un des plus grands groupes ethniques de la planète. Leur capacité à résister aux Britanniques, aux Pakistanais, aux Soviétiques et maintenant aux Américains et à l’OTAN en fait l’une des plus grandes réussites anti-impérialistes de notre planète. Qu’est-ce qui constitue la coquille d’une noix si difficile à casser ? C’est une question intéressante, et c’est pourquoi j’ai décidé d’inclure un exposé sur les Pachtounes, la noix la plus difficile à casser de tout le sac de noix tribal.

Une autre question tout aussi intéressante est de savoir ce qui a poussé une succession d’empires à continuer de faire des tentatives futiles pour la casser, en sacrifiant des vies et des trésors pour la conquête d’un morceau de terre rude, farouchement indépendant, inaccessible et pratiquement sans valeur. Ne serait-il pas beaucoup plus simple de laisser les Pachtounes tranquilles et de continuer à utiliser des fusils contre des Pygmées armés de fruits mûrs ? La compulsion de conquête et d’asservissement n’est en aucun cas nouvelle, et les tribus n’ont cessé de conquérir et d’asservir d’autres tribus depuis la préhistoire, mais avec l’émergence des empires mondiaux, un nouvel élément semble avoir été introduit : l’intolérance totale à une indépendance totale. Chaque secteur de la planète, aussi petit soit-il, doit être attribuée à un État internationalement reconnu qui est lié à d’autres États par des traités et des relations juridiques étatiques. L’ordre politique mondial ne peut plus tolérer une seule tache blanche sur la carte politique. Son impératif semble être de forcer chaque groupe humain à s’asseoir à la table des négociations, où les plus puissants (du moins le pensent-ils) ont toujours le dessus, et à signer des documents juridiquement contraignants. L’existence d’un tel point blanc constitue une menace existentielle pour l’ensemble du système, c’est pourquoi les efforts déployés pour l’éliminer sont souvent disproportionnés par rapport à sa valeur ou à sa menace. Comme des extraterrestres, les grands empires arrivent en piqué et disent : « Emmenez-moi à votre chef ! ». Et s’il n’y a pas de chef, et que le seul élément de politique étrangère que cette tribu particulière ait jamais développé est exhaustivement décrit par les mots « partez et laissez-nous tranquilles », alors un malentendu en résulte inévitablement et les choses finissent mal pour les deux parties. Nommer un larbin local pour signer des documents juridiquement contraignants au nom d’un territoire non gouverné qui est censé se comporter comme un État-nation ne fonctionne pas.

Il semblerait que l’État ne puisse pas imposer son autorité sur une région si le système de gouvernance local sous-jacent n’est pas hiérarchique, s’auto-renforce de lui-même et est décentralisé, et s’il a une forte tradition d’unité dans le seul but de se liguer contre les menaces extérieures et une tradition tout aussi forte de tentative de vengeance de toutes les morts injustifiées (comme un membre de la famille tué par un drone américain Predator). C’est le cas des Pachtounes. Leur code de conduite ancien et éternel est le Pashtunwali, ou « la voie pachtoune ». La raison de suivre le Pashtunwali est d’être un bon Pashtoune. En retour, ce que fait un bon Pachtoune est de suivre le Pashtunwali. Ce principe s’auto-renforce car tout Pachtoune qui ne suit pas le Pashtunwali est incapable de s’assurer la coopération des autres Pachtounes et a une espérance de vie très faible, car l’ostracisme équivaut généralement à une condamnation à mort. Chez les Pachtounes, le droit à la vie n’existe pas ; il n’y a que la raison qui le pousse à ne pas tuer quelqu’un sur-le-champ. Si cela vous semble inutilement dur, à quoi vous attendiez-vous ? Un voyage à Disneyland ? Il va sans dire que les Pachtounes ne peuvent pas être séduits par des offres de progrès social et de développement économique, car ce n’est pas le but du Pashtunwali. Le but du Pashtunwali est de perpétuer le Pashtunwali, et il est apparemment très, très bon à cela.

La société pachtoune est classée comme segmentaire, un sous-type d’acéphale (sans chef). Les principales figures d’autorité sont les anciens (maliks) qui servent un chef de tribu local (khan), mais leur position de leader reste à tout moment subordonnée à la priorité accordée aux intérêts de la tribu. Toutes les décisions sont prises par consensus, ce qui limite considérablement le champ d’action unitaire. Toutefois, lorsqu’ils sont confrontés à une menace extérieure, les Pachtounes sont capables de nommer un dictateur et de le servir avec une obéissance absolue jusqu’à ce que la menace soit éteinte.

Le pachtounwali définit les concepts clés suivants : l’honneur (nang) exige une action, quelles qu’en soient les conséquences, dès que le pachtounwali est violé. Il est permis de mentir et de tuer pour protéger son nang. La vengeance (badal) exige « œil pour œil » en cas de blessure ou de dommage, mais permet aussi le paiement d’une compensation pour éviter l’effusion de sang. L’incarcération est considérée comme inacceptable et injuste en toutes circonstances. Elle est considérée comme une ingérence dans la justice, car elle complique le processus de vengeance et empêche le paiement d’une compensation. C’est pourquoi l’Afghanistan a été le théâtre d’évasions spectaculaires de prisons, où des centaines de détenus sont libérés en une seule attaque de type militaire ; l’objectif des assaillants n’est pas seulement de libérer les prisonniers, mais aussi de les tuer plus tard ou de leur demander réparation. La loi de l’hospitalité (nanawatai) exige que tout Pachtoune accueille et donne asile à quiconque le demande. Dans le cadre du nang, l’invité doit être maintenu en parfaite sécurité et à l’abri de tout danger pendant qu’il est invité. Une fois qu’il a franchi le seuil et qu’il n’est plus un invité, il peut être abattu à loisir si une telle action s’avère nécessaire. Les lois interdisant d’héberger des fugitifs, de servir de complice après le fait, d’entraver les enquêtes officielles, etc. sont dénuées de sens et toute tentative de les faire appliquer entraîne automatiquement le badal.

L’organe de gouvernement local pachtoune est la jirga, qui n’est convoquée que pour des occasions spéciales. Elle tire ses racines de la démocratie athénienne, bien que certains spécialistes soutiennent qu’elle lui est antérieure. Les participants se disposent en cercle et chacun a le droit de s’exprimer. Personne ne préside, conformément au principe selon lequel personne n’est supérieur aux yeux du pachtounwali. La décision est basée sur un consensus majoritaire. Ceux qui défient la décision de la jirga s’exposent à un incendie criminel et à un meurtre officiellement sanctionnés. Il est significatif que la jirga ne permette pas la représentation : il s’agit d’une démocratie directe plutôt que représentative. Il est également crucial que la jirga se réserve le droit d’abroger tout accord précédemment conclu, ce qui rend impossible toute relation légale fondée sur un traité entre l’État et les Pachtounes . Enfin, seuls ceux qui suivent le Pashtunwali peuvent participer à une jirga ; tous les étrangers sont automatiquement exclus.

Cela devrait vous donner une idée de la raison pour laquelle le Pashtunwali représente un problème insoluble pour tout empire qui veut dominer les Pachtounes. Jetons maintenant un bref coup d’œil à l’histoire longue et embrouillée de ces tentatives.

Les empires s’y cassent les dents

Le premier empire moderne à avoir eu maille à partir avec les Pachtounes est l’empire britannique, qui a tenté avec optimisme de leur imposer le code pénal indien. Lorsque les Pachtounes ont refusé de reconnaître ce code comme juste, il en a résulté un carnage considérable. Les Britanniques ont abandonné alors toute tentative d’imposer un système de justice et ont recouru plutôt à des moyens administratifs : leur politique de frontières fermées vise à séparer les tribus des plaines de celles des collines. Cette politique n’a pas réussi à arrêter le carnage et a été abandonnée après trente ans. Finalement, les Britanniques ont été contraints de recourir à des accommodements en reconnaissant le droit tribal pachtoune. Puis ils se sont vidés de leur sang et sont partis dans une précipitation inconvenante, laissant les Pachtounes aux Pakistanais, qui pratiquaient eux aussi des accommodements. Le mouvement taliban, qui est majoritairement dirigé par des Pachtounes, a été reconnu par le Pakistan. Le Pakistan s’est contenté de permettre l’autonomie des Pachtounes jusqu’au 11 septembre 2001. Depuis lors, il a été contraint de faire au moins semblant d’imposer son autorité aux Pachtounes, afin de donner l’impression de coopérer avec ses alliés américains, bien qu’il ne reste plus grand-chose de cette coopération aujourd’hui.

Les Soviétiques ont débarqué en Afghanistan dans un effort malavisé pour défendre le socialisme contre les tendances régressives contre-révolutionnaires, conformément à la doctrine Brejnev. Ils ont tenté en vain d’éradiquer les identités ethniques et religieuses par une stratégie de répression et ont réussi, pendant un certain temps, à consolider le contrôle des zones urbaines tandis que la résistance, principalement pachtoune, prenait pied dans les collines entourant Kaboul, la capitale . Ils ont également bombardé sans relâche la frontière afghano-pakistanaise pour créer un no man’s land. Ce faisant, ils ont échoué dans les grandes largeurs, créant une crise de réfugiés de très grande ampleur et assurant ainsi à leurs ennemis un large soutien international. Une fois que, grâce aux efforts de la CIA (qui travaillait en étroite collaboration avec Oussama Ben Laden), les Pachtounes ont acquis des missiles anti-aériens Stinger, les Soviétiques ont progressivement perdu la capacité de poursuivre la campagne aérienne.

Les efforts déployés par les Soviétiques pour gagner le cœur et l’esprit des Pachtounes ont également été un échec spectaculaire. Le pachtounwali exigeait une vengeance pour les actions militaires des Soviétiques, même de la part des Pachtounes les plus ambivalents. Les quelques anciens que les Soviétiques ont réussi à coopter par l’intimidation ou la corruption ont rapidement perdu le soutien de leurs partisans. Les Soviétiques se sont retirés en 1988, n’ayant fait aucun progrès et ayant perdu la volonté politique de réussir. Ce fut un conflit coûteux, sans aucun bénéfice.

Les Américains (et quelques troupes de l’OTAN) sont actuellement en train de répéter l’expérience soviétique, avec des résultats très similaires. Voici un joli petit fait pour illustrer ce point : le 18 mars 2012, Hamid Karzai, le président de l’Afghanistan imposé par les Américains et un Pachtoune de souche (mais un apostat évident du Pachtounwali) dénonçait les Américains comme étant des  » démons «  engagés dans des  » actes sataniques. «  Les Américains ont rapidement réagi… en ne disant rien et en faisant encore moins. Puis ils ont fait appel à des médias aux ordres bien pensants qui ont déclaré que l’Afghanistan était encore, potentiellement, « une bonne guerre ». Ainsi, le résultat de l’invasion américaine de l’Afghanistan était prévisible : les Américains font comme si rien ne s’était passé. Lorsqu’ils seront forcés d’en discuter, ils resteront dans l’illusion. Mais surtout, elle ne fait pas la une des journaux, et les Américains ne savent plus, ou ne se soucient plus, de ce qui se passe là-bas. Au départ, les États-Unis sont entrés en Afghanistan avec l’illusion qu’ils y trouveraient Oussama Ben Laden (alors que, si l’on en croit les informations, Oussama était au Pakistan, vivant tranquillement à côté d’une école militaire). Si les avions de ligne recommencent à s’écraser sur des gratte-ciel, il y a de fortes chances pour qu’une autre tribu soit « bombardée pour la renvoyer à l’âge de pierre ».

Une approche qui fonctionne

Il est difficile, mais pas impossible, d’engager un dialogue constructif avec les Pachtounes : en des temps meilleurs, les Pakistanais ont été les plus proches de le faire. Ils ont offert gratuitement les quelques cadeaux importants que les Pachtounes étaient prêts à accepter et à apprécier. Ils ont offert aux Pachtounes un sentiment de participation en leur donnant une large audience et une voix. Ils ont fourni un horizon temporel illimité pour engager les Pachtounes en tant que voisins permanents, en construisant des liens traditionnels et des relations à long terme. Ces activités reposaient sur la conviction que les tentatives d’imposer l’ordre sans autorité légitime sont vouées à l’échec et sur la prise de conscience qu’avec les Pachtounes, une telle autorité légitime doit nécessairement venir de l’intérieur et rester autonome et décentralisée.

Le succès de ces accommodements s’explique en partie par le fait que le Pakistan est un État faible aux ressources limitées. Mais tant qu’il y aura de puissants empires militaires sur la planète (plus pour très longtemps, espérons-le), nous devrons nous attendre à ce que l’un d’entre eux vienne périodiquement et, comme ceux qui l’ont précédé, se casse les dents sur le Pashtunwali. On pourrait penser qu’ils apprendront de leurs erreurs respectives, mais voici une règle simple à retenir : l’intelligence d’un groupe de personnes hiérarchiquement organisé est inversement proportionnelle à sa taille, et les grands empires militaires sont si grands, et par conséquent si stupides, qu’ils n’apprennent jamais, jamais rien.

Dmitry Orlov

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone