Ressources contre les mesures Covid

Par Joseph Stroberg

Récapitulatif des articles du site qui mentionnent les ressources juridiques et d’autres natures contre les mesures prétendument « sanitaires », mais en fait sociopolitiques. (Essentiellement pour le Québec et/ou pour la France, selon les cas)

Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

Outils juridiques contre les dispositions “anti covid”

Contraventions COVID : ressources (au Québec)

Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

NO PASS : POURQUOI UN RECOURS CEDH ? – NO PASS !!! (en provenance d’un commentaire)

Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester :

Ne paniquez pas ! Il n’est pas forcément nécessaire d’être un héros pour échapper à l’injection expérimentale forcée !

Conseil de Maître DiVizio aux parents inquiets d’une vaccination de leur enfant à l’école sans leur consentement parental

Déclaration à faire signer au médecin qui voudrait vous vacciner de force

« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

Une association française contre les mesures Covid-19

Voir aussi la rubrique Avocats dans le menu en haut du site.

Sur un plan intérieur :

La clef de la libération




Contraventions COVID : ressources (au Québec)

[Source : Le Tribunal de l’infaux (tribunaldelinfaux.com)]

Voici des ressources pour ceux et celles qui ont reçu des contraventions en lien avec les mesures sanitaires.

Vous trouverez :

A- L’avis juridique de Me Dominic Desjarlais, l’avocat de la Fondation pour la défense des droits et libertés du peuple.

En résumé, vous pouvez demander une remise pro forma de l’audition (reporter à une date ultérieure) afin de faire des démarches pour vous trouver un avocat ou produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure.

B- Autres ressources et liens utiles.

A- RÉSUMÉ DE L’AVIS JURIDIQUE DE ME DOMINIC DESJARLAIS

1. Contester la contravention

Pour contester une contravention, vous avez 30 jours. Demandez la divulgation de la preuve.

Exemple :

« Bonjour,

J’ai reçu le constat d’infraction 100400 5000******.

Je souhaite plaider non coupable.

Veuillez s’il-vous-plaît me transmettre la divulgation de la preuve.

Merci de confirmer la réception de ce courriel.

Cordialement,

VOTRE NOM »

Voici l’information du Bureau des amendes:

« Vous voulez plaider non coupable et contester votre constat d’infraction

Vous pouvez enregistrer votre plaidoyer de non-culpabilité :

Par courriel à l’adresse amendes@justice.gouv.qc.ca , en indiquant votre nom, votre numéro de constat d’infraction et votre choix de plaidoyer.

Par la poste à l’adresse apparaissant sur votre constat ou par télécopieur au 418 644-8486, en utilisant le coupon-réponse de votre constat d’infraction ou de la correspondance reçue.

Vous serez alors avisé par la cour du Québec de la date prévue pour la tenue du procès. »

2. Si vous recevez un avis d’audition, présentez-vous à l’endroit, la date et l’heure indiquée.

– Si vous ne pouvez pas vous présenter :

  • Contactez la partie poursuivante (le Bureau des infractions et des amendes du Ministère de la Justice, toutes les informations sont sur la 2e page du constat). Cliquez ici pour le site web, les coordonnées et la FAQ.
  • Demandez de reporter l’audition en expliquant votre motif.
  • Confirmez par écrit toute remise de l’audition.

– Si vous n’arrivez pas à communiquer avec la partie poursuivante :

  • Présentez-vous devant le tribunal à la date et l’heure convenues, sinon un jugement par défaut pourrait être prononcé contre vous.

3. Lorsque vous vous présentez devant le tribunal pour une première date d’audition, dites si vous êtes prêt à procéder ou non. Vous pouvez demander une remise pro forma.

  • Représentation :
  • Représenté par un avocat : Si vous souhaitez être représenté par un avocat, notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander une remise d’audition afin de faire des démarches en ce sens. Vous pouvez demander un délai de 60 à 90 jours.
  • Représenté seul : Si vous souhaitez vous représenter seul et souhaitez attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret et/ou de la mesure, vous pouvez demander de reporter le dossier en indiquant le délai nécessaire pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du Code de procédure civile, requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

4. La suite dépendra des démarches entreprises. Une date d’audition devra éventuellement être fixée une fois que toutes les parties seront prêtes à procéder.


B- AUTRES LIENS UTILES

Extrait pertinent :

« À cet égard, la Cour suprême du Canada a établi le principe judiciaire voulant qu’il faille impérativement une habilitation législative expresse pour imposer ou créer, par règlement ou une taxe, des infractions et des pénalités. En d’autres termes, il faut que la loi prévoie expressément le pouvoir d’adopter des sanctions pénales. Or la LSP ne le prévoit pas dans le chapitre XIV relativement aux sanctions pénales (articles 138 à 142). Son pouvoir de réglementation de l’article 136 ne saurait non plus lui permettre.

Ainsi, rien dans la Loi sur la santé publique n’autorise le gouvernement à adopter des mesures conférant des pouvoirs discrétionnaires aux policiers ou à imposer des sanctions pénales. »

Extrait pertinent :

« Le décret dispose ensuite qu’il est « interdit à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’y admettre une personne qui ne porte pas un couvre-visage ou de tolérer qu’une personne qui ne porte pas un couvre-visage s’y trouve ». Des exceptions sont toutefois prévues pour une personne qui :

2. déclare que sa condition médicale l’en empêche […]

2.2 Le droit à l’égalité Selon les circonstances, certains enjeux liés au caractère discriminatoire de l’obligation prévue au décret pourraient par ailleurs être soulevés. Ainsi, la Commission avait souligné dans la FAQCOVID-19 présentée sur son site Internet que l’obligation du port du masque pourrait, par exemple, constituer un fardeau important pour des personnes en situation de handicap.

En l’espèce, précisons que le décret prévoit cependant une exception, permettant à l’exploitant d’un lieu qui accueille le public d’admettre ou de tolérer la présence d’une personne ne portant pas de couvre-visage si cette personne « déclare que sa condition médicale l’en empêche ».

Aux termes du décret, il ne repose donc pas sur l’exploitant du lieu public ou sur le commerçant de vérifier le bien-fondé de cette déclaration. De fait, toute démarche intrusive menée par le responsable du lieu public concerné, visant à vérifier si la personne en situation de handicap qui invoque l’exception présente réellement une condition médicale qui l’empêche de porter un couvre-visage, serait susceptible de porter atteinte au droit au respect de sa vie privée (article 5 de la Charte) ainsi qu’au droit d’avoir accès aux moyens de transport ou aux lieux publics et au droit de conclure, en pleine égalité, un acte juridique ayant pour objet des biens ou des services ordinairement offerts au public sans discrimination, en lien avec un handicap (articles 10, 12 et 15).

La Commission retient néanmoins que l’exception relative à la condition médicale prévue au décret doit viser à permettre l’exercice, en pleine égalité, des droits des personnes en situation de handicap dont la condition les empêche effectivement de porter le masque. Pour ce faire, la mise en œuvre de l’obligation pourrait nécessiter, pour les exploitants des lieux publics visés, une recherche d’accommodement afin de ne pas porter atteinte indument au droit des personnes en situation de handicap d’exercer leurs droits et libertés en toute égalité – que ce handicap soit visible ou non. » (Soulignements ajoutés)

  • Tweet du Gouvernement du Québec à propos du billet médical, 3 août 2020 :

« Une personne exemptée doit seulement déclarer : « j’ai une condition médicale qui m’empêche de porter le masque ». Elle n’a pas à nommer la condition ou à présenter un billet médical. Nous travaillons à transmettre l’information le mieux possible. Merci pour votre commentaire! » (Soulignements ajoutés)

  • Vidéo de Me Dominic Desjarlais et Stéphane Blais (juillet 2021) : Le point sur le juridique

Sur Rumble :

https://rumble.com/vkvbou-crise-sanitaire-au-qubec-le-point-juridique.html



Sur Facebook :



  • Vidéo de Lily Monier, vers 4 minutes elle parle des contraventions :



  • Avis juridique (intégral) de Me Dominic Desjarlais :

Extraits pertinents de l’avis juridique de Me Dominic Desjarlais :

« Tout d’abord, si une personne veut contester un constat d’infraction qu’elle a reçu, elle doit transmettre un plaidoyer de non-culpabilité par la poste à l’adresse indiquée sur ce constat sur le constat et ce, dans les 30 jours de la réception du constat.

Par la suite, lorsqu’une personne reçoit un avis d’audition elle doit se présenter à l’endroit la date et l’heure indiquée dans l’avis d’audition.

Si une personne ne peut se présenter pour un motif quelconque à la date indiquée dans l’avis d’audition, il est important qu’elle contacte dès que possible avant cette date la partie poursuivante afin de demander le report de l’audition en expliquant son motif et de confirmer par écrit avec le poursuivant toute remise de l’audition convenue.

Si une telle communication n’est pas possible avec le poursuivant il est important que la personne se présente devant le tribunal à la date et à l’heure indiquée dans l’avis d’audition, à défaut de quoi un jugement par défaut pourrait être prononcée contre elle.

Lorsqu’une personne se présente devant le tribunal pour une première date d’audition elle doit indiquer au tribunal si elle est prête à procéder ou non.

Il se peut qu’une personne qui se présente devant le tribunal pour la première fois désire être représenté par un avocat pour la suite du dossier notamment pour attaquer la constitutionnalité du décret et de la mesure en vertu de laquelle elle a reçu un constat d’infraction auquel cas elle doit alors en informer le tribunal et demander une remise pro forma de l’audition à une date ultérieure afin d’effectuer les démarches nécessaires pour se trouver un avocat. Elle doit alors indiquer le délai raisonnable dont elle aurait besoin pour se trouver un avocat qui la représenterait dans le dossier selon notre expérience un délai minimal de 60 ou même de 90 jours pourrait être demandé pour ce faire.

Par ailleurs si une personne désire se représenter seule il se peut qu’elle ne soit pas prête à procéder lors de la première date d’audition: par exemple dans le cas des infractions aux mesures COVID-19 une personne pourrait vouloir attaquer la légalité et/ou la constitutionnalité du décret en vertu duquel l’infraction dont elle est accusée a été édictée et/ou attaquer la constitutionnalité de la mesure (port du masque, couvre-feu, etc.) à laquelle elle est accusée d’avoir contrevenu. Dans un tel cas, la personne pourrait demander le report du dossier pro forma à une date ultérieure en indiquant le délai dont elle estime avoir besoin pour produire une requête attaquant la constitutionnalité du décret et de la mesure, ainsi qu’un avis selon l’article 76 du code de procédure civile qui est requis lorsque la constitutionnalité d’une loi ou d’un décret gouvernemental est attaqué.

Quant à la suite possible d’un dossier donné cela dépendra des démarches qui pourraient être/seront entreprises. Ultimement une date d’audition de la cause au mérite devra éventuellement être fixée dans le cours du dossier une fois que toutes les parties auront déclaré être prête à procéder. »

BONNE CHANCE À TOUS!

Et n’oubliez jamais ceci :




« Les vaccinés sont des innocents qui vont au massacre » Dr Roger Hodkinson

[Source : Sott.net]

« Les scientifiques savent, ils ont juste peur de le dire. »

Éminent professeur à Alberta, une des plus grandes universités du Canada, Roger Hodkinson alerte sur les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 et sur les manipulations des discours face à la maladie, dont il explique qu’aujourd’hui nous savons que ce n’est « pas pire qu’une mauvaise grippe saisonnière. »

Le professeur Roger Hodkinson : « nous vivons actuellement un cauchemar médical. » Professeur en pathologie, ancien PDG d’un grand laboratoire privé à Edmonton, dans l’Alberta, actuellement dirigeant d’une petite entreprise de biotechnologie, le professeur Roger Hodkinson est l’ancien président du comité du Collège royal des médecins et chirurgiens d’Ottawa. Il a aussi occupé pendant les 20 dernières années le poste de président d’une société de biotechnologie médicale basée en Caroline du Nord, chargée de vendre un test Covid-19. Il est spécialiste en pathologie, y compris en virologie, et a été formé à l’université de Cambridge au Royaume-Uni. Il a également déclaré en novembre 2020 qu’ils s’agissait du « plus grand canular jamais perpétré sur un public sans méfiance ».

Dans la vidéo qui suit, il explique :

« Je n’ai plus rien à prouver, j’ai une carrière très bien remplie, je me sens obligé de me lever et de prendre des coups. Dans la grande majorité, je suis triste de le dire, les médecins et scientifiques tombent dans la décision binaire du choix entre l’éthique et le revenu, et choisissent le revenu car ils savent que s’ils se lèvent ils vont se faire massacrer. »

Dans cet entretien, le professeur Roger Hodkinson revient sur les discours de peur pour encourager les injections expérimentales nommés « vaccins » anti-Covid-19 et évoque entre autres, les différents scandales autour du Covid-19 tels que Ferguson et ses grotesques modélisations et les falsifications de Fauci. Un témoignage avec des paroles intenses. Pour le professeur Roger Hodkinson, « nous vivons actuellement un cauchemar médical ».

« […] L’échelle des complications potentielles en dehors de la dépendance des anticorps, l’échelle des complications qui pourraient se produire est si gigantesque que c’est un vrai cauchemar. Et le grand public, ces innocents voués au massacre, est gardé intentionnellement ignorant [par la propagande]. Pas seulement par le manque de contre propagande, mais par une opération psychologique destiné spécifiquement avec une grande sophistication à installer la peur afin que la « vaccination » soit encouragée. Si ce n’est pas la conséquence la plus malsaine de cette triste période de l’Histoire de la médecine, c’est tout simplement scandaleux. Et c’est pourquoi je me lève et je m’exprime.
[…]
Je ne veux pas descendre dans le terrier du lapin pour défendre le « vaccin ». Analyser les données sur le « vaccin » et patati et patata, non, c’est une distraction. Vous échouerez dans les arguments contre les personnes qui le défendent. Vous devez revenir aux bases, aux bases fondamentales : pour commencer, il n’y jamais eu d’urgence de santé publique. Il n’y a aucune raison de se précipiter pour commercialiser ces produits. Le simple fait qu’ils soient maintenant disponibles pour le mauvais prétexte, n’est pas une raison pour les utiliser sur qui que ce soit.
[…]
La « vaccination » doit être arrêtée immédiatement. [Ces produits] sont dangereux, ils n’ont pas été testés [de la manière habituelle, à savoir cliniquement avec un suivi des patients et un groupe témoin]. Il n’y a pas de raison de les utiliser tant qu’il n’aura pas été prouvé qu’ils sont sûrs. Ils utilisent le mot « sûr » de la manière la plus orwellienne qui soit.
[…]
Les gouvernement n’écoutent pas les bonnes personnes, ils écoutent les gens qui ont un intérêt direct dans leur propre survie. Et leur propre survie dépend de leurs accords avec le gouvernement. »

Et bien plus plus dans la vidéo qui suit :



Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org

La version originale de cette vidéo (en anglais) est disponible ici.

Source partielle de l’article : FranceSoir
Doublage en français : Quantum Leap




Injonction aux autorités : rendre publique la liste complète des composants des vaccins anti-covid-19 qui ont reçu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle en Europe comme l’exige la Loi !

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, pour vaincre la résistance face à la vaccination obligatoire due à la création du Passe Sanitaire, il vous faut impérativement rendre publique la liste les ingrédients de ces vaccins puisque les fioles contenant les injections ne comportent aucune mention, à part le nom du produit, et ne sont donc pas conforme à la Loi.

Source Légi France :

Étiquetage et informations sur le médicament (spécialité pharmaceutique)

publié le13.06.16.

Médicaments 

Conditionnement

Le conditionnement primaire est celui en contact avec le médicament. Le conditionnement secondaire, ou extérieur, est l’emballage dans lequel est placé le médicament. L’étiquetage du conditionnement secondaire mentionne notamment le nom du médicament, le dosage, la composition qualitative et quantitative en substances actives par unité de prise, la forme pharmaceutique, les mises en garde spéciales, le numéro de lot de fabrication, la date de péremption, le nom et l’adresse du titulaire de l’autorisation de mise sur le marché.

Consulter les articles R. 5121-137 à R. 5121-142 du Code de la santé publique

Notice

La notice est le document d’information accompagnant le médicament et destiné spécifiquement à l’utilisateur.

Elle décrit notamment le nom du médicament, le dosage, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, les informations relatives aux contre-indications, précautions d’emploi et interactions médicamenteuses, la posologie, le mode et la voie d’administration, la description des effets indésirables.

Consulter les articles R. 5121-147 à R. 5121-149 du Code de la santé publique

RCP (résumé des caractéristiques du produit)

Le RCP est le document qui précise les caractéristiques du médicament, notamment la dénomination du médicament, la composition qualitative et quantitative, la forme pharmaceutique, les indications thérapeutiques, la posologie et le mode d’administration, les contre-indications, les mises en garde spéciales et précautions particulières d’emploi, les interactions médicamenteuses et autres, l’utilisation en cas de grossesse et d’allaitement, les effets indésirables.

Consulter l’arrêté du 6 mai 2008 pris pour l’application de l’article R. 5121-21 du code de la santé publique

En parallèle, dans le Code de la Consommation il est indiqué que le moindre produit industriel doit avoir affiché sur son emballage sa composition comme l’indique le site Légi France. Celui qui reçoit sa vaccination n’est-il pas lui aussi un consommateur à qui l’on doit la considération et donc de l’information objective ?

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Source Légi France

Code de la consommation.

Chapitre Ier : Obligation générale d’information

Chapitre II : Modes de présentation et inscriptions (Articles R112-1 à R112-33)

Article R112-1

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

Au sens du présent chapitre, on entend par :

1° Denrée alimentaire : toute denrée, produit ou boisson destiné à l’alimentation de l’homme ;

2° Denrée alimentaire préemballée : l’unité de vente constituée par une denrée alimentaire et l’emballage dans lequel elle a été conditionnée avant sa présentation à la vente, que cet emballage la recouvre entièrement ou partiellement, mais de telle façon que le contenu ne puisse être modifié sans que l’emballage subisse une ouverture ou une modification ;

3° Étiquetage : les mentions, indications, marques de fabrique ou de commerce, images ou signes se rapportant à une denrée alimentaire et figurant sur tout emballage, document, écriteau, étiquette, bague ou collerette accompagnant ou se référant à cette denrée alimentaire.

Liens relatifs

Article R112-2

Créé par Décret n°97-298 du 27 mars 1997 — art. 1 (V) JORF 3 avril 1997

On entend par ingrédient toute substance, y compris les additifs, utilisée dans la fabrication ou la préparation d’une denrée alimentaire et qui est encore présente dans le produit fini, éventuellement sous une forme modifiée.

Lorsqu’un ingrédient d’une denrée alimentaire a été élaboré à partir de plusieurs ingrédients, ces derniers sont considérés comme ingrédients de cette denrée.

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Complément concernant l’obligation d’informations, source Union Européenne :
https://ec.europa.eu/info/business-economy-euro/product-safety-and-requirements/eu-product-requirements_fr
Exigences de l’UE concernant les produits | Commission européenne (europa.eu)

Notice du vaccin Pfizer :
https://nouveau-monde.ca/la-notice-complete-du-vaccin-pfizer/
Combien de vaccinés en ont eu connaissance ?

Compte tenu de la notice précédente, comment expliquer ceci :
https://nouveau-monde.ca/waccins-covid-aimantes-lincroyable-scandale-arrive/ ?

Mesdames et Messieurs les membres du gouvernement français, des institutions et du Conseil Constitutionnel, notre demande étant parfaitement légitime, nous vous demandons de répondre sans tarder. Il va de soi que votre refus sera considéré dans le pays des Droits de l’Homme et de la Révolution française comme une attaque directe contre le bien commun : un refus vous mettra hors la Loi et sera considéré comme une provocation.

TANT QUE VOUS NE PUBLIEREZ PAS LA COMPOSITION EXACTE ET COMPLÈTE DES VACCINS ANTI COVID-19 COMME L’OBLIGE LA LOI, VOUS SEREZ CONSIDÉRÉS COMME DES HORS LA LOI.




CHINE COMMUNISTE : VERS LA CHUTE FINALE ?

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

[Photo : Le président chinois Xi Jinping. (Source : Asia Nikkei)]

Par L’Imprécateur

Des circonstances récentes et exceptionnelles m’ont permis d’avoir accès à des informations surprenantes sur la Chine.
En voici l’inventaire. Il donnera lieu plus tard, et en fonction des circonstances, à des articles plus détaillés.
Mais le scoop, c’est que l’accumulation des erreurs commises sous la responsabilité de 
Xi Jinping pourrait, probablement en 2022, entraîner un effondrement du régime communiste actuel.

L’Imprécateur

XI JINPING ACCUMULE LES ERREURS. Y SURVIVRA-T-IL ?

1 — La gestion brutale du conflit diplomatique et économique avec l’Australie

On se souvient que l’Australie avait entraîné en avril 2020 plusieurs pays à déposer une plainte à l’OMS accusant la Chine d’avoir été à l’origine de la pandémie Covid.

La Chine avait menacé ces pays, qui s’étaient ensuite, les uns après les autres, désolidarisés de la plainte.

Pour punir l’Australie, Xi Jinping avait annoncé que si l’Australie persistait dans ses mensonges, la Chine pourrait bombarder quelques-uns de ses ports !
Puis les importations de bœuf et de vins australiens avaient été interdites, puis surtaxées. Celles de céréales furent considérablement réduites ou, comme l’orge, surtaxées elles aussi.
La guerre continue aujourd’hui, mais avec l’OMC comme acteur principal.

Xi a mal apprécié le risque. Il croyait punir l’Australie, c’est la Chine qui pendant l’hiver 2020-21 souffrit le plus ! Il y eut même des débuts de famines dans certaines provinces rurales, les céréales importées étant en priorité données à Pékin, aux villes et aux provinces.

Des révoltes paysannes auraient eu lieu, comme celle de 2005 dans la province de Guandong. Mais la confirmation est difficile à obtenir, le PCC ayant menacé les agences de presse et les journalistes de représailles s’ils rapportaient ces révoltes.

Pourtant elles sont vraisemblables.

2 — Les jeunes et les ouvriers en colère contre les horaires de travail : le 9-9-6

Les paysans ne sont pas les seuls à être mécontents de la gestion du pays par Xi Jinping. Les jeunes travailleurs et les ouvriers du secteur industriel dit « tech » se révoltent, pour le moment calmement, contre le « 9-9-6 ».

Xi, pour réaliser son rêve fou de dominer avant 1949 le monde occidental par l’inoculation du « gène rouge », commet la même erreur que Mao Zedong avec le « grand bond en avant ». Il exige des travailleurs qu’ils travaillent plus fort, plus durement et plus longtemps.
Il leur impose le régime du 9-9-6, un régime sur lequel notre syndicat CGT qui rêve d’une France communiste devrait méditer :

72 heures par semaine (de 9 heures du matin à 9 heures du soir), 6 jours par semaine !

Leur révolte est encore pacifique et se manifeste en s’allongeant par terre en groupes dans les jardins publics et partout où ils le peuvent, c’est le tang ping (rester allongé) en expliquant aux passants qu’ils sont épuisés par le 9-9-6.

3 — Le patronat inquiet hostile à la suppression des participations étrangères

Les chefs d’entreprises optimistes croient que si Xi Jinping prenait la décision d’exproprier les porteurs de financements étrangers dans les entreprises chinoises, il déclencherait un processus bloquant l’entrée des entreprises chinoises sur les marchés boursiers étrangers.
Ils en concluent que cela ne peut pas arriver.

Les pessimistes savent que ce que dit Xi Jinping dit, Xi Jinping le fait !
Une preuve : l’annulation de dernière minute de l’introduction d’Ant Group([1] Ant group est une énorme entreprise financière qui appartenait à Ali Baba)) à la bourse à Hong-kong et Shanghai en novembre dernier a montré que Xi Jinping est prêt à tout pour suivre son plan de conquête mondiale en gardant par tous les moyens — y compris les plus immoraux — la main sur tout.

Beaucoup oublient que le communisme chinois est intrinsèquement hostile au secteur privé en général et aux étrangers en particulier.
La pseudo « ère des réformes » qui, à partir de 1978, a libéralisé et ouvert au monde l’économie et le système financier chinois, est désormais terminée.
Xi Jinping juge l’influence étrangère beaucoup trop importante au sein des entreprises chinoises et veut limiter autant que possible la part étrangère dans leur capital. Des mesures obligeant les investisseurs étrangers à quitter la Chine sont en préparation. Sont visés au premier chef les investisseurs étrangers dans les entreprises chinoises de haute technologie.

Business France et Business China, qui font une promotion délirante au VIE en Chine (Volontariat International pour Entreprendre), devraient creuser la question !

4 — La Chine n’est pas le « paradis free-covid » décrit par la presse mal informée

Depuis les premières annonces sur les premiers cas de Covid en décembre 2019, alors que ceux-ci étaient connus localement à Wuhan depuis la première semaine d’octobre, la communication officielle chinoise n’a jamais cessé de mentir.

Et la presse française, naïve ou mal informée, n’a jamais cessé de répéter les sornettes chinoises, comme le dernier mort de Covid en janvier 2021. En début d’année, deux provinces proches de Pékin, le Liaoning au Nord-est (frontière avec la Corée du Nord) et l’Anhui (à mi-distance entre Wuhan et Shanghai) étaient confinées, ainsi qu’une quarantaine de villes dans toute la Chine. Et Courrier International (Groupe Le Monde) le confirmait il y a quelques jours encore :

Confinement, rues vides, délation : en Chine l’histoire semble se répéter 

5 — Xi Jinping menace constamment des pays dans le monde

 En premier lieu, Taïwan.

Taïwan, île peuplée depuis trente mille ans de Negritos aborigènes et depuis six mille ans d’Austronésiens, ni japonais ni chinois, était portugaise depuis 1542 sous le nom de Ilha Formosa, « la plus belle île ». Colonisée à la manière de Macau ou de Goa en Inde : un fort et un port, quelques centaines de militaires et de fonctionnaires portugais et aucun conflit avec la population locale.
Puis passèrent des Espagnols et des Hollandais qui importèrent de la main-d’œuvre chinoise, les aborigènes locaux étant comme en Australie, ou comme les Canaques en Nouvelle-Calédonie, réfractaires au travail agricole.

Suivirent des empereurs chinois, les Ming, les Zheng, les Quing, ils venaient pour se servir de Taïwan comme base arrière de reconquête de la Chine continentale. Mais ils tenaient si peu à Taïwan que le premier gouverneur chinois n’y fut envoyé par l’empereur Quing qu’en 1885, avec de la troupe, pour faire croire aux Japonais que Taïwan appartenait à la Chine. Et pour la vendre ensuite au Japon, ce qui fut fait en 1895. Le Japon investit beaucoup pour développer l’île.

En 1945 les Américains chassèrent les Japonais et donnèrent Formose à Tchang Kaï-Chek. Il en fit en 1949 la République de Chine sous le nom de Taïwan. Taïwan n’a jamais appartenu à la Chine communiste comme le prétend Xi. Il veut la prendre pour arrêter la protection américaine sur Taïwan et confirmer son autorité sur la totalité des mers riveraines de la Chine, du Japon à Singapour.

Singapour contrôle le détroit de Malacca. Il donne accès à l’océan indien, donc Xi avance l’argument d’une population chinoise à Singapour, comme Hitler avait avancé l’argument d’une population germanophone en Autriche, et Xi dit qu’il serait donc normal qu’il s’approprie Singapour.

Mais pendant qu’il y est, il menace les riverains de la mer de Chine du Sud, Bahreïn, Philippines, Indonésie, Vietnam et Malaisie de représailles s’ils s’avisaient de contester son droit à s’attribuer leur zone maritime internationale et les îles, les atolls, et même les récifs submergés. Sur lesquels la Chine construit aussitôt des bases militaires à coups de milliers de tonnes de béton sous l’œil attendri des écolos qui n’ont émis aucune protestation pour dénoncer ce crime international contre l’environnement.

L’Afrique est en partie sous tutelle chinoise, la Chine menaçant de représailles financières le pays qui oublierait de voter pour elle à L’A.G. de l’ONU et aux Commissions qu’elle contrôle, OMS, OMC… Il s’agit surtout d’empêcher une sanction contre la Chine fraudeuse des lois internationales et des Droits de l’Homme.

En Europe, sa tactique est différente. Il y a les petits pays fragiles, comme le Monténégro, qu’elle terrorise, et ceux, plus malléables dont elle achète les élites gouvernementales et de la haute administration, via France-China Foundation et Business China qui ne comptent plus leurs « young leaders » membres ou ex-membres du gouvernement.

Xi Jinping est au milieu, uniforme gris. 100e anniversaire du PCC, 1er juillet 2021, Tien An Men

6 — La Chine est en permanence agressive

Que ce soit en mettant en avant ses missiles balistiques intercontinentaux à chaque défilé des troupes au pas de l’oie place Tien An Men ou dans les discours de son président à vie Xi Jinping, la Chine montre un visage belliqueux.

La presse française est toujours très discrète sur ce sujet tabou. Il faut consulter la presse dissidente des Chinois anticommunistes pour avoir des comptes rendus clairs et précis.
En voici un où Xi menace « d’écraser » Taïwan si elle essaie de préserver son indépendance, et de « fracasser la tête » des pays occidentaux qui s’opposeraient à la Chine. Sans commentaire.

https://fr.theepochtimes.com/a-loccasion-centenaire-pcc-xi-jinping-menace-loccident-taiwan-1783185.html

La Chine communiste considère le monde entier comme son ennemi, excepté peut-être la Corée du Nord, et le veut soit soumis (c’est le projet 2049), soit détruit.
Mais comme un monde détruit entraînerait sa propre disparition par les famines et les guerres civiles inter chinoises, elle espère obtenir la soumission totale dans moins de trente ans.

L’ÉLITE DU PCC EST CONSCIENTE DES ERREURS DE XI JINPING

Bien conscients que Xi Jinping commet trop d’erreurs qui coûteront finalement cher à la Chine, les vieux caciques du PCC et les plus intelligents des jeunes réfléchissent aux moyens de l’écarter du pouvoir. Ainsi que de nombreux membres de l’opposition.

Plusieurs moyens d’action sont possibles, en se servant des erreurs de Xi et en les amplifiant pour les retourner contre lui.

  • En signant une alliance miliaire avec l’Iran, Xi a pris le risque de se mettre à dos les nombreux pays musulmans sunnites hostiles à l’islam chiite, ainsi qu’Israël et les États-Unis. Surtout si l’Iran provoque une nouvelle guerre au Moyen-Orient que Donald Trump avait réussi à calmer avec ses Accords Salomon.
  • Un nouvel hiver froid avec de nouvelles famines, s’il pousse à bout la paysannerie chinoise alliée aux jeunes et aux ouvriers de la « tech », obligerait le PCC à choisir entre le dictateur à vie et le peuple.
  • Si le prochain Sommet Mondial sur les Droits de l’Homme, organisé en principe en septembre par la Commission des Droits de l’Homme de l’ONU, met la Chine en minorité, ce sera une défaite terrible pour Xi.
  • Même chose si la nouvelle vague Covid qui démarre actuellement n’est pas maitrisée, alors qu’avec ses mensonges la Chine a fait croire au monde entier qu’elle maîtrisait le virus.
  • Et d’autres, pour le moment moins évidents. Comme la rupture du barrage des trois gorges que craignent les spécialistes.

C’est pourquoi l’année 2022 pourrait voir un effondrement du PCC en Chine et la disparition de Xi Jinping.
Et pas seulement au figuré.

L’Imprécateur

7 août 2021




Louis Fouché s’est-il couché ?

[Source : Jean Robin]






Coup de gueule contre des projets glaçants de nos dirigeants (France)

Par Diane Vincero

Coup de gueule :

Voici une partie, glaçante, de ce que nos dirigeants mijotent contre le peuple, un projet digne des plus effrayants films d’anticipation, un scénario à faire peur :

Rapport sénatorial français N° 673 (Sénat-Session ordinaire de 2020-2021) par Mmes Véronique Guillotin, Christine Lavarde et M. René-Paul Savary :

« Crise sanitaire, naturelle ou industrielle : autoriser les applications de contact tracing, de tracking ou de géolocalisation, pass et passeport sanitaires, utilisation de drones ou de caméras thermiques, vidéosurveillance avec reconnaissance faciale, permettre un ciblage précis, individuel et en temps réel, des mesures ou des contrôles. Désactivation des titres de transport ou des comptes bancaires des personnes violant une éventuelle quarantaine, ou encore, utilisation d’outils de rappels à l’ordre, comme l’envoi de SMS, identification précise des personnes, leur géolocalisation et le croisement des données personnelles, voire sensibles (dont les données médicales), le recours à des bracelets électroniques pour assurer le respect de la quarantaine, en complément d’autres mesures telles que des visites inopinées, les appels vidéo surprise, et bien sûr, les sanctions dissuasives (amendes et prison) ».

Une horreur pour aujourd’hui et demain, juste devant nous…

Précisons que le port du bracelet électronique par les conjoints violents a été décrié sous prétexte « qu’il privait ces derniers de liberté », mais remarquons au passage que leurs victimes, elles, vivent à chaque instant dans la terreur de les croiser sur leur chemin…

Ce rapport vise à mettre en place toutes les stratégies bien connues du harcèlement et celles de la plus puissante des dictatures qui soit.

Alors, voici le coup de gueule !!


Pour avoir vu toutes ces années, comme tout le monde, d’innombrables grèves et manifestations qui n’ont jamais abouti, à commencer par celles des gilets jaunes que nos gouvernants ont totalement méprisés et qui se sont arrangés pour saboter leurs manifestations avec des casseurs, et, pour laisser ce mouvement pourrir dans le temps, en reportant sans cesse des réponses au fil des mois, réponses qui n’ont jamais été apportées finalement, alors que ces mêmes gouvernants ont su voter en quelques jours à peine, un texte de loi d’une telle envergure (et si fondamentalement scandaleux)…

Pour avoir vu les camionneurs bloquer les raffineries — et c’était pourtant une action forte, radicale, bien organisée — et avoir vu que leurs conditions de travail n’ont pas évolué pour autant !!!… Eux aussi, méprisés par les gouvernants…

Pour avoir vu combien de mouvements restés sans réponse et avortés parce que nos dirigeants ont divisé les groupements en donnant des avantages à certains et pas à d’autres…

Pour avoir vu que les seuls qui obtiennent immédiatement ce qu’ils demandent, ce sont les policiers, la gendarmerie, etc. Comme par hasard !!…..

On voit que manifester, c’est bien, pour se stimuler, se rassurer, croire qu’on fait quelque chose, mais qu’il faut en réalité un réel plan d’action.

Le premier point est de comprendre la stratégie que nos dirigeants utilisent pour nous asservir, à savoir la manipulation destructrice (MD).

La manipulation destructrice, ou comment bercer, berner et abuser les peuples depuis l’Antiquité : c’est la stratégie qui consiste à :

1 — mentir sur tout, en se cachant derrière un beau principe, bien sûr indiscutable, pour bien anesthésier et faire croire à de bonnes intentions (comme le nombre de morts sur les routes ou le prétendu « trou de la SS », ou « nous voulons vous protéger de cet affreux virus »),

2 — puis à culpabiliser, en accusant les autres de ce que eux-mêmes font, à isoler et diviser pour mieux régner (« vous êtes un délinquant routier, parce que vous avez fait du 118 km/h au lieu de 110 », ou bien « vous coûtez cher à la SS », ou encore « Vous êtes un citoyen indigne parce que vous ne portez pas le masque », ou « parce que vous ne vous faites pas vacciner, parce qu’il faut protéger les autres », sachant que nos dirigeants ne se faisant pas RÉELLEMENT vacciner, ils accusent les autres de ce qu’eux-mêmes font… et qu’ils cherchent à monter les vaccinés contre les non-vaccinés…)

3 — et enfin à extorquer de l’argent (les amendes, les cotisations, les vaccins).

Voici en illustration, un exemple flagrant de MD, aux Antilles, — un autre scandale — qui est que deux insecticides, le Chlordécone et le DDT, interdits en France métropolitaine, mais par contre autorisés aux Antilles (…), entraînent des maladies — comme l’hypertension artérielle, le diabète type 2, les cancers, les maladies auto-immunes telles que thyroïdite d’Hashimoto, sclérose en plaques, spondylarthrite ankylosante, polyarthrite rhumatoïde, etc., etc. — autant de comorbidités qui font que le coronavirus qui à la base, n’est pas un virus mortel, le devient lorsqu’il touche ces patients. Le professeur généticien Christian Vélot, spécialisé dans ces pesticides et les OGM résistants à ces derniers (signalés ou masqués aux consommateurs…), explique qu’au fil des années, la population sera de plus en plus fragilisée par ces pesticides et OGM (et autres produits industriels) en développant de plus en plus les maladies ci-dessus et qu’ainsi, les pandémies à venir seront de plus en plus mortelles.

Ce sont nos dirigeants qui permettent cette situation mortelle et ce sont les mêmes qui font croire aux Antillais que ces morts sont dus au fait qu’ils ne se vaccinent pas !!…

Pour information, le DDT est interdit depuis 1971 en France et a une rémanence de 30 ans dans le milieu environnant, et, le Chlordécone a lui, une rémanence de… 700 ans dans le milieu environnant !!!… Et, il est utilisé dans les bananeraies. Et, où elles vont les bananes ensuite ???…. En France métropolitaine !!!…

Donc, nos gouvernants ont un mépris total pour nos vies, celles des Antillais, celles des Métropolitains, pourvu que Monsanto (avec le DDT, mais aussi le glyphosate=Rondup et les céréales OGM résistantes au glyphosate, etc.) et toutes ces industries chimiques fassent des milliards sur notre dos, et auxquels est associé Big Pharma, c’est-à-dire toutes ces industries pharmaceutiques qui font ensuite des milliards avec leurs médicaments contre l’hypertension artérielle, le diabète, les cancers, la thyroïdite d’Hashimoto (Lévothyrox), etc., etc….. Et la boucle est bouclée…

UN VÉRITABLE SCANDALE HUMANITAIRE EN SOI, PARMI TANT D’AUTRES (MEDIATOR/ISOMERIDE, AMIANTE, ALUMINIUM DANS LES VACCINS, ETC.)….

N’oublions jamais qu’un état n’est pas philanthrope, comme c’est d’ailleurs indiqué noir sur blanc dans les manuels de philosophie de classe terminale…

— Pour avoir vu les gens souffrir de cette situation de manipulation (destructrice) à grande échelle (mondiale), à cause précisément de ces dirigeants MD, à force de mesures coercitives, d’isolement par le confinement, etc., les soignants, mais aussi tout autre corps de métier, sombrent dans un état dépressif tel, que l’ensemble de tous ces professionnels ne sera plus en mesure d’aller au travail en septembre (du fait d’une tristesse lancinante, d’une envie de rien, de goût à rien, d’une perte de l’appétit, d’un sommeil perturbé avec des difficultés à s’endormir et des réveils nocturnes)…  et ce sera alors une pandémie d’arrêts maladie

— Le boycott est un autre moyen pacifique de faire changer les choses.

— il faut aussi passer le message aux policiers, gendarmes et militaires qu’ils sont eux-mêmes instrumentalisés par les gouvernants qui font d’eux, les « méchants-barrières » face aux peuples (encore une belle manipulation destructrice…) et qu’en cessant de protéger les dirigeants au profit de ces peuples dont ils sont issus, ils changeront radicalement la donne.

— Une autre chose aussi à faire est de s’associer à la plainte du CSAPE auprès de la CPI, et la diffuser le plus largement possible dans le monde pour lui donner le plus de poids possible. Cette plainte, sérieusement documentée, reprend tous les points de la situation « sanitaire » actuelle (masque, confinement, couvre-feu, tests PCR, vaccination, pass vaccinal), en démontrant en quoi ces mesures bafouent nos libertés fondamentales, et en l’étayant par tous les textes de loi bafoués.
https://www.csape.international/

— DIFFUSER LARGEMENT CE TEXTE.

À plusieurs, germeront peut-être encore d’autres idées d’actions pour stopper net ces dirigeants. Que peuvent faire une poignée de dirigeants contre 7 milliards d’habitants, surtout si la police, la gendarmerie et l’armée arrêtent de servir de « chiffons-tampons » à ces MD…

— [Ndlr : Dépasser la peur — voir La clef de la libération]

ALERTE : les médecins préviennent que les vaccins tueront la plupart des personnes, 62 % de la population vaccinée présentant déjà des caillots sanguins microscopiques dans tous les organes (cœur, cerveau, etc.) https://www.naturalnews.com dans « search » (en haut à droite), taper : Alert : doctor says mRNA vaccines will kill more people — et vous trouverez plusieurs autres articles sur les méfaits de ces vaccins.

[Voir aussi : Dr. Charles Hoffe : 62 % de ses patients vaccinés contre le COVID ont des dommages cardiaques permanents]

Voici une belle photo de fleurs pour se changer les idées… et qui pourrait d’ailleurs servir de symbole à toutes ces actions : « Non à la MD sur le COVID et oui à la nature dont nous faisons tous partie »




Dogma Édition 16. Été 2021

Par Dr.  Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

(voir aussi sur Dogma.lu)

SOUFFLET

LA MÉTAMORPHOSE

L’outrecuidance cuistre affiche de plus en plus avec fureur ce Mauvais Universel que l’on croyait exsangue tant il avait voulu agir « au nom du Bien » ; il se régénère maintenant et puissamment à coup d’obligations hygiénistes et « climatistes » empêchant alors que la Mutation qualitative en gestation, celle visant la santé d’ensemble des êtres moraux et politiques que nous sommes, craquèle leurs paradigmes à compartiment en faillite. Pourtant, sans fards, leur ignorance, impudente, qui suinte ouvertement maintenant de menaces fétides, s’habille de plus en plus effrontément en Pravda, quoique de manière très vulgaire (et perlée de menaces totalitaires) ; l’altérité démocratique est ainsi désormais fragilisée. Cela mérite bien un soufflet.

Leurs courants délétères ne veulent en effet pas mourir seuls dans les mouroirs à théories subventionnées. Aussi tentent-ils d’emporter l’Humanité avec eux dans les Poubelles en agitant de pseudo « concepts » (guère validés malgré leurs ornements chiffrés) agitant par exemple des notions de « théorie critique » accolée à « race » ou à « genre » ou de « vaccination empathique » opposée à « égoïsme » ; alors qu’il n’y a pas d’une part d’égalité à établir entre origine ethnique et intelligence et que d’autre part il existe des traitements précoces en suffisance comme le démontrent des centaines d’études et des milliers de médecins souhaitant les prescrire malgré les menaces des coupe-jarrets et seconds couteaux. Cette hargne à imposer une Carte en guise de Territoire peut faire croire à une profondeur de champ alors qu’il s’agit d’un dernier chant celui de cette vision étriquée provenant d’un monde quantitativiste mort, mais qui arrive encore à se maintenir en sustentation stationnaire parce que « nous » le voulons bien. Aussi s’agira-t-il dans ce numéro d’été de continuer à étudier par une sorte de dossier sur la question proche-orientale comment cette Secte pense agit empêche et tue partout.  D’autres textes et images tentent aussi de créer des contrepoisons afin de renforcer notre système immunitaire mental.


CONTENU:

LE RETOUR DE L’ISLAM EN EUROPE

Entretien avec Bat Ye’or

LESZEK KOLAKOWSKI. LES ANTISÉMITES : CINQ THÈSES CONFIRMÉES ET UN AVERTISSEMENT

Traduction et notes Irena Elster

LE « RAPPORT » DE BENJAMIN STORA

Par Jean-Pierre Lledo

« LES MYTHES FONDATEURS DE L’ANTISIONISME CONTEMPORAIN »
(COMPTE-RENDU)

Par Lucien Samir Oulahbib

L’ECRITURE DE LA PASSION DANS L’ŒUVRE DE CLEMENT MAROT

Par Zahra Chaouch

ÉDUCATION ET PENSÉE COMPLEXE CHEZ E. MORIN

Par Abdelkader Bachta

DIE MISCHPOCHE SINGER

DER WEIBLICHE UND DER MÄNNLICHE BLICK ZURÜCK AUF DIE FAMILIENBANDE

Elvira Groezinger

LE CONCEPT DU POLITIQUE SELON JULIEN FREUND

UN HOMMAGE AU CENTENAIRE DE SA NAISSANCE

David Cumin

LE CLIMAT ET LA RELATION TEMPÉRATURE-CO2

UN RÉEXAMEN ÉPISTÉMOLOGIQUE DU MESSAGE DES CAROTTES GLACIAIRES

Pascal Richet

L’ISLAMO-GAUCHISME COMME RHÉTORIQUE

Par Shmuel Trigano

LES TROIS ÂGES DU MYTHE DE LA NAKBA : UNE DÉCONSTRUCTION

Par Shmuel Trigano

AGAMBEN LECTEUR DE BENJAMIN ET DE FOUCAULT : RETOUR SUR UNE INCOMPRÉHENSION

Par Pierre Lurçat

L’INTENTION D’AMOUR, DE SHMUEL TRIGANO : ESQUISSE D’UNE ANTHROPOLOGIE HÉBRAÏQUE

Par Pierre Lurçat

QUELQUES PRÉCISIONS À LA RÉPONSE DE LA FÉDÉRATION TRANS ET INTERSEXE POUR DONNER SUITE À UN PETIT TEXTE POSANT LA QUESTION DE LA PRÉSENCE DES MILITANTS TRANS DANS LES STAFFS MÉDICAUX DE TRANSITION DES ENFANTS ET ADOLESCENTS

Dr Nicole Athea

Philippe Remacle

A FAREWELL TO THE AGE OF ENLIGHTENMENT, WELCOME TO THE ERA OF WOKENESS?

Elvira Groezinger

LES MÉTALOGISMES CHEZ RABELAIS, MAROT ET MONTAIGNE OU LA FABRIQUE DU MENSONGE

Zahra Chaouch

ELECTRICITÉ ET BIOCARBURANT DANS LES VÉHICULES EN FRANCE

Par Michel Gay et Christian Bailleux

KNOWLEDGE AND EVIL

Par Marco A. Andreacchio

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GRÈVE DES SOIGNANTS À BELCAIRE

[Source : SMAER]

Du plateau de Sault dans l’Aude, le Dr. Patrick Giusti, nous fait part du combat de sa maison médicale contre le totalitarisme de la politique de santé gouvernementale.




René Chiche: « Le pass sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! »

[Source : putsch.media]

[Extraits (lire l’article entier sur putsch.media]

(crédit photo René Chiche)

René Chiche, professeur de philosophie, auteur du livre « La désinstruction nationale » a accordé un très long entretien à Putsch. Il évoque le pass sanitaire, la démocratie, Emmanuel Macron, l’état de droit, la désinformation de certains grands médias ainsi que l’éducation nationale sous Jean-Michel Blanquer dans une analyse au vitriol qui permet de mieux appréhender la situation dans laquelle la France se retrouve aujourd’hui, et surtout avec un point de vue très discordant. Un entretien passionnant.

PROPOS RECUEILLIS PAR NICOLAS VIDAL

Quel regard portez-vous sur ce Pass sanitaire et la façon dont il est imposé aux Français ?

Plus de trois semaines après son allocution le 12 juillet dernier, je suis encore sidéré qu’un président de la République se soit permis de dire droit dans les yeux aux Français que désormais, le poids des restrictions pèserait sur une partie d’entre eux. Cette déclaration est extrêmement grave dans la bouche d’un homme dont le premier devoir est d’assurer l’unité de la nation et d’œuvrer à la paix civile. Car, indépendamment de tout ce que l’on peut dire pour justifier ce « laissez-passer sanitaire » (il faut appeler les choses par leur vrai nom !), la façon de le présenter ne va pas du tout, et la suite n’a fait que l’illustrer : on a clairement désigné à la vindicte une partie de la population. Pire : on a sciemment donné à une mesure censée être sanitaire une toute autre portée, suggérant que se faire vacciner était une forme de civisme et que les personnes non-vaccinées étaient de mauvais citoyens, des égoïstes, quand ce n’était pas tout simplement des ignares ou des égarés puisque, si j’en crois les dernières sorties d’Emmanuel Macron dans Paris-Match, il n’hésite plus à qualifier les opposants au laissez-passer vaccinal d’ennemis de la démocratie ou de débiles mentaux « en perte de sens » (sic) !

(…)

En résumé, le passeport sanitaire est une passoire et une sorte de permis officiel de contaminer ! (…) Le virus circule autant et surtout il se moque du taux de vaccination de la population car sa circulation dépend d’autres facteurs sur lesquels on n’a finalement que peu de prise, sauf à cloîtrer indéfiniment chez elle la population mondiale !

(…)la crise sanitaire est en réalité une crise des systèmes de santé, et il est évident qu’une sous-capacité, par exemple dans les services de réanimation (…), devient tout de suite une catastrophe en cas de pic épidémique, mais avec la grippe aussi bien que la covid. (…) Il me semble évident que si l’on ne surveille pas attentivement la maladie dans sa phase initiale, on augmente le nombre de chance de voir survenir des cas graves. (…) la médecine, contrairement à la statistique, ne porte que sur l’individu, la première règle à laquelle s’astreint l’homme de l’art étant de connaître l’histoire du patient afin de ne pas lui nuire. Je crois qu’on touche ici au cœur de la « crise » actuelle, où je vois d’abord une tentative pour l’administration de se mêler de médecine et, concrètement, d’en entraver la pratique, exactement comme elle le fait en matière d’éducation.

Comment avez-vous réagi à ces déclarations de Jean-Michel Blanquer sur la « mise à l’isolement » des élèves cas contacts/positifs non vaccinés ? Est-on en train de toucher à un fondement de l’éducation nationale ?

(…) on sait désormais que lorsqu’un membre de ce gouvernement ou de cette majorité annonce qu’il va faire beau demain, il faut se munir de son parapluie. Oui, Jean-Michel Blanquer instaure un « passeport sanitaire » qui ne dit pas son nom dans les écoles, et ce sans aucun fondement légal puisque la loi instaurant ledit passeport ne mentionne pas les établissements scolaires.

(…) Avec une telle mesure, on assiste dans le domaine de l’éducation à ce qu’on voit par ailleurs : sous prétexte d’une crise sanitaire dont j’ai déjà dit qu’elle était surtout une crise hospitalière, on tourne le dos à des principes fondamentaux comme si les circonstances suffisaient à le justifier. Cela permet surtout de constater que ceux qui invoquent à longueur de journée et d’année les « valeurs de la République » ne savent pas ce qu’est un principe et n’en ont aucun. Pendant la seconde guerre mondiale, des Français ont sacrifié leur vie parce qu’ils avaient des principes, et désormais, on sacrifie des principes pour sauver des vies. C’est une inversion terrible et qui donne à penser.

Jean-Michel Blanquer semble empiler les approximations notamment sur le processus de contamination et le vaccin ou encore sur la proportion d’enseignants aujourd’hui vaccinés. Pourquoi selon vous ?

J’ai cru en Jean-Michel Blanquer lors de son arrivée rue de Grenelle, mais très rapidement, je l’ai vu à l’œuvre et ai cessé de le prendre au sérieux. Il est capable de dire tout et son contraire, et d’aligner d’énormes mensonges avec la candeur d’un enfant de chœur, que ce soit à propos de la vaccination, de la contamination ou de tous les autres sujets (je suis bien placé pour le dire en tant que professeur mais aussi membre du Conseil supérieur de l’éducation où je représente comme vice-président du syndicat Action & Démocratie la CFE-CGC). (…)

(…) Il ne faut pas oublier que nous avons à faire à des gens qui prétendent gouverner au nom de la science ! Cette prétention est évidemment grotesque quand on sait que la science, c’est le doute, la précaution contre soi-même érigée en méthode, la prudence, alors qu’on fait présentement de la science l’usage inverse, l’argument d’autorité qui interdit toute critique et renvoie les doutes légitimes à l’obscurantisme, pour ne pas dire au « complotisme » !

Est-on arrivé aux limites de l’État de droit avec une décrédibilisation de plus en plus grande chez de nombreux Français pour les parlementaires et le Conseil d’État ?

(…): si des élus se croient légitimes quand ils obtiennent un mandat avec 10% du corps électoral, je ne vois pas ce qui les empêche de se dire légitimes avec moins encore ! Mais là, il s’agit de la limite de la démocratie, non de l’État de droit.

(…) il est clair que, la désinstruction nationale aidant, notre époque est celle d’une crise de la démocratie. Enfin non, le mot « crise » étant un mot bon à tout faire, je préfère parler plus exactement d’un effacement de la démocratie, dont certains éléments formels demeurent et permettent de maintenir l’illusion que nous sommes en démocratie alors que ce qui décrit plus exactement notre régime actuel, c’est la notion de despotisme technocratique.

(…) L’autre aspect de votre question concerne l’État de droit, et là, je ne parlerais pas de discrédit mais, plus gravement, d’une liquidation en douceur. Je précise que le contraire de l’État de droit, c’est l’état de nature, c’est-à-dire le pur jeu des forces. Et en effet, on est en droit, c’est le cas de le dire, de s’inquiéter quand on lit certains avis ou certaines décisions des juges du Conseil d’État qui se permettent d’écarter des objections sérieuses à l’aide de sophismes grossiers et qui me font dire de cette instance qu’elle réalise la proposition de Pascal selon laquelle, n’ayant pas pu faire en sorte que la justice soit forte, on a fait en sorte que la force soit juste.

Le Conseil d’État n’est qu’une annexe de l’exécutif, quand il n’en est pas tout simplement l’antichambre.(…)

Enfin, comment jugez-vous le traitement de certains grands médias sur les fortes mobilisations de Français qui s’opposent au Pass sanitaire depuis le 14 juillet dernier ?

Eh bien parlons donc de l’industrie de la désinformation. J’avoue que le spectacle offert chaque jour par les chaînes de bavardage en continu est impressionnant et, à part ceux qui s’y pressent ou ne vivent que de ça, je suis persuadé que personne ne les prend au sérieux, ou alors il faudrait prendre au sérieux les conversations des tontons et tatas autour du gigot du dimanche.

Mais ce spectacle présente un intérêt tout de même pour qui veut s’instruire, car on y observe un usage de la langue qui permet de comprendre bien des choses. J’en parle abondamment dans le petit livre sur la désinstruction que j’ai écrit voici deux ans, et il me sera difficile de résumer cela en deux lignes, mais pour dire l’essentiel, les mots ne sont plus utilisés comme des signes mais comme des signaux destinés à faire réagir au lieu de faire réfléchir. Les ficelles de la désinformation sont à la fois grossières, pour qui n’en est pas dupe, et subtiles. Par exemple, puisque vous faites allusion aux manifestations contre le passeport sanitaire, je suis tombé par hasard sur un journal télévisé où la speakerine (car à ce niveau, je ne peux pas l’appeler journaliste même si elle a probablement une carte de presse) évoquait les « antivax » et enchaînait en parlant de ce que « les Français » en pensaient : du coup, je me suis demandé quelle était la nationalité des « antivax ». On fait avec ce mot absolument ridicule ce qu’on a fait avec « les gilets jaunes » : en désignant de la sorte des Français qui ne sont pas d’accord avec les politiques conduites par le gouvernement, on les met insidieusement au ban de la communauté nationale, on en fait une espèce singulière, et l’on suggère ainsi à son auditoire les pires choses à leur sujet. (…) Si je devais faire un cours sur la manipulation à l’ère de la démocratie moderne, j’aurais l’embarras du choix pour l’illustrer. Pas un seul média n’y échappe, comme si les écoles de journalisme formataient les jeunes gens de la même manière, toutes choses égales par ailleurs, que l’école nationale d’administration formate les futurs gouvernants. Mais, comme je l’ai dit précédemment, ceci est très grave dans la mesure où l’existence d’une opinion publique instruite est une des conditions de possibilité d’un régime républicain, et le niveau des médias en dit long à ce sujet. Je parle bien du niveau, et pas seulement du fait qu’ils désinforment plus souvent qu’ils n’informent, au point qu’il m’était arrivé de dire, quand le documentaire Hold-up a fait jaser et que l’on a crié au « complotisme », que même si je le trouvais plutôt médiocre, il m’apparaissait beaucoup moins nuisible à la santé mentale des Français que le journal télévisé de TF1 !

Nous avons des médias tétanisés et qui n’osent plus critiquer le pouvoir, ce qui condamne des gens qui ont des choses à dire, et même parfois (ce qui est tout de même un comble !) des scientifiques de grande valeur, à ne pouvoir s’exprimer que dans des médias alternatifs et bien entendu réputés « complotistes » ou au service de puissances étrangères (…)

La désinstruction nationale, René Chiche, les éditions Ovadia




À Béziers, la police municipale ne contrôlera pas le passe sanitaire sur les terrasses des cafés

[Source : theepochtimes.com]

[Photo : Robert Ménard, maire de Béziers. (Photo : PASCAL GUYOT/AFP via Getty Images)]

Par LÉONARD PLANTAIN

Bien que favorable à la vaccination pour tous, Robert Ménard, le maire de Béziers, n’a pas l’intention de demander à sa police municipale de contrôler le passe sanitaire sur les terrasses.

Robert Ménard a été clair : à Béziers, les policiers municipaux n’iront pas sur les terrasses des cafés et restaurants pour vérifier que les clients assis ont bien leur passe sanitaire. Hostile à ces contrôles, le maire de Béziers n’a donc pas l’intention de demander à ses équipes de faire ce travail supplémentaire à compter de ce lundi 9 août, a rapporté France Bleu.

Par ailleurs, à la fin du mois de juillet, le syndicat de défense des policiers municipaux (S.D.P.M) s’opposait déjà fermement à cette mesure du projet de loi, qui devrait être validée par le Conseil constitutionnel. En effet, le S.D.P.M a estimé « que les forces de l’ordre ont d’autres tâches prioritaires à effectuer que de s’immiscer dans les données médicales des administrés, qui relèvent de la vie privée ».

« La délinquance et le risque terroriste n’ont pas baissé en France », a également souligné le représentant du S.D.P.M sur son site internet.

De son côté, le maire de Béziers, farouche défenseur de la vaccination obligatoire, a jugé que cette nouvelle mesure était inapplicable : « Je suis favorable au passe sanitaire, mais je pense que sur les terrasses cela n’a pas de sens », a conclu Robert Ménard.




« Des milliers de citoyens font battre le coeur de la France tous les samedis » Alexandre Juving-Brunet

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Ancien capitaine de gendarmerie, saint-cyrien, Alexandre Juving-Brunet en a gardé un parler franc et direct. Aujourd’hui entrepreneur, il porte un regard engagé sur la vie publique de son pays, nourri de son passé et des antennes qu’il y conserve. Pour lui, la clé de cette crise que nous traversons réside « dans la force publique » : il explique que les consciences des militaires et policiers sont « secouées » par ce qui se trame, mais que c’est la masse critique des mobilisations citoyennes qui permettra d’en sortir.

[Ndlr : l’entretien date de la veille de la décision du Conseil constitutionnel]

Alors que le Conseil constitutionnel a finalement décidé du sort du passe sanitaire, Emmanuel Macron a renouvelé des attaques dont il a le secret contre la frange « réfractaire » du peuple français, les qualifiant de « menace pour la démocratie » – des extraits de confidences qui doivent paraître demain dans Paris Match. Outré par ces propos qu’il juge irresponsables, analyste de la faillite démocratique dans laquelle nous nous débattons, sévère sur les « choix difficiles » dont se gargarise par avance le président alors qu’il n’en fait aucun pour des sujets brûlants comme la sécurité, Alexandre Juving-Brunet a relevé le défi, en mots pesés mais pas timorés :






Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.




C—19 : Les fausses solutions

Par Lucien Samir Oulahbib


Comme l’indique Michel Rosenzweig sur FranceSoir en guise de « solution rationnelle », il s’agit toujours de l’opposé d’une filouterie cynique et nihiliste (gonflant les chiffres et censurant les soignants qui disent le contraire), et ce dès le départ (avec 23 000 morts non soignés précocement en France et non pas 100.000 !). Peu importe le « variant », au fond, même s’il s’avère moins létal que les précédents, eux-mêmes aisément soignables par les traitements précoces qui marchent, sans attendre cette injection expérimentale qui ne peut de toute façon pas s’y substituer, comme le dit le professeur Montagniertant son efficacité non seulement n’est pas testable pour les moins de 85 ans, mais créé des effets secondaires de plus en plus mortels ! Voilà un résumé possible…

Mais rien n’y fait tant les fanatiques (en complet veston tailleur seyant et au sourire d’ange) de la Secte hygiéniste (qui veut éradiquer tout virus) et affairiste (Big Pharma payant les gouvernements) s’enflamment cependant à la moindre question en agitant toujours le pire (cas — pourtant difficilement détectés — automatiquement assimilés à des malades à l’article de la mort, avec interviews à la clé), jouant sur les « hausses » (deux malades à un moment donné, quatre le lendemain = 100 % de hausse !) ou les baisses (liées automatiquement à l’injection, alors que les chiffres en Israël, en UK, à Malte… disent le contraire). Tout va bien, madame la Marquise…

Face à cela, la mobilisation est de plus en plus soutenue, mais pour l’instant rien n’y fait, tant le Pouvoir en place hypnotise les indécis et fascine par sa Puissance tous ceux qui pensent que celle-ci donne à elle seule Autorité et Compétence (ainsi les adeptes de Foucault y croient, d’où leur neutralisation, à l’exception d’un Mucchielli et d’un Rosenweig), ce qui explique également cette servitude volontaire des intellectuels et des médias à la recherche de faveurs, de roueries, et de miettes sonnantes et trébuchantes. Et il s’avère que le « après moi le déluge » semble être de plus en plus l’état d’esprit dominant de cette voracité ambiante. Car le bilan approche et les conclusions vont être terribles ; en même temps les crimes communistes ne sont toujours pas jugés, voire même justifiés. Il en est de même des crimes djihadistes en Algérie et ailleurs. Donc, aucune raison pour tous ces gens (qui à l’instar du « sang contaminé » sont à la fois responsables ET coupables) de s’inquiéter, sauf au regard de l’Histoire (qui les contemple par notre intermédiaire).

Plus dure sera la chute ; mais sur un tas d’or façon Picsou no big deal….




Merci Macron et ton passe sanitaire !

[Source : agoravox.fr]

Par laurent64

Merci Macron, car grâce à toi, j’ai pu me faire un ami, un très bon ami, du genre de celui sur lequel on peut compter en toutes circonstances, un ami dont je suis assuré qu’il me sera fidèle à vie sans jamais me renier, acceptant mes imperfections et mes trébuchements inhérents à la condition d’homme libre que je suis, la liberté s’entendant au sens de celle de l’âme. Et cet ami, c’est moi-même.

Il m’a fallu bien des décennies pour me rencontrer et savoir quel homme je voulais être ou peut-être quel homme j’étais déjà, depuis toujours.

Bien des circonstances m’en avaient éloigné, des désirs, des vanités, des prétentions, comme tout un chacun et aussi par effet de jeunesse et d’immaturité, mais cet ami m’attendait patiemment au fil du temps.

J’étais déboussolé, désorienté. Bien des signaux funestes dans ce monde ne cessaient de s’accumuler et mon esprit formé à la rationalité s’indignait de la dissonance cognitive qu’il y avait de plus en plus entre les discours et la réalité.

Il fallut enfin ce virus tombé du ciel, ou bien échappé volontairement ou involontairement d’un labo de Wuhan, pour que la rencontre se fît. Car alors il était donné d’observer au grand jour le grand cirque, cette farce tragique jouée par une poignée de soi-disant « sachant » du monde politique et médical transformant de façon flagrante, observable par tout un chacun qui ne serait pas à la fois sourd et aveugle, l’analyse scientifique, normalement étayée par l’organisation de débats contradictoires et requérant des études soignées sur les thèses non consensuelles, en scientisme, c’est-à-dire une idéologie claironnée par tout un chœur de potentats médicaux contredits par une soi-disant minorité de confrères, ce qui n’est pas sans rappeler les médecins de Molière.

En tant qu’enseignant en sciences physiques et en mathématiques, j’avais bien vu depuis de longues années, que des méthodes d’enseignement toujours plus stupides, fondées sur des analyses de documents où il suffisait d’aller à la pêche à la ligne pour recracher une vision inscrite dans le cadre d’un programme national, empêchaient au développement d’un certain nombre d’esprits : esprit d’observation, esprit d’analyse, esprit critique, reléguant l’apprentissage à un savoir prémâché, résumé dans les manuels par une page : l’essentiel, ce qu’il faut retenir, comme si éduquer se résumait à gaver l’esprit de connaissances et non à lui apprendre à apprendre pour finalement pouvoir s’adapter à des situations de l’existence qui ne sont pas prévisibles, comme celle d’un nouveau virus débarquant sans crier gare.

Il n’est pas étonnant que des élèves aux esprits formatés soient devenus, après intégration dans des écoles de prestige, des technocrates totalement déconnectés du monde réel, gérant la vie de tout un chacun à coup de formules rentrant dans leur modèle idéologique, champions de la manipulation et de la désinformation. 2020 et 2021 resteront des années historiques, tout comme les années sombres qui ont précédé la Seconde Guerre mondiale et aveuglé tout un peuple en jouant sur la paranoïa et en désignant un bouc émissaire de tous les maux tout en promouvant une race supérieure, car pure.

Une fois de plus, merci Emmanuel, car tu auras contribué, comme sœur Emmanuelle, mais par la négative, à une prise de conscience de ce qui rendait la vie digne d’être vécue. Jusque-là, j’errais comme un zombie dans une société de consommation hyperproductiviste et hyperdestructrice de son environnement, mais surtout, qui divisait de plus en plus les hommes en ceux capables de faire marcher cette machine folle et les autres, les déclassés, les inutiles, les zéros de cordée, les z’en trop, les débiles, les complotistes, les « start losers », en un camouflet à notre troisième principe fondateur, la fraternité.

J’avais eu un pincement au cœur en voyant le mouvement des gilets jaunes et j’avoue avec honte, avoir suivi les évènements depuis mon fauteuil, sur BFM, un peu en mode boucle. Puis vinrent les difficultés d’endormissement comme si quelqu’un venait me secouer pour me dire : réveille-toi Laurent, la vie est belle, elle est dangereuse, mais elle est sacrée. Elle ne cesse pas avec la mort, crois-moi. Va, vis, deviens, me susurrait cette voix, comme un titre de film.

Rien ne se serait produit, si Emmanuel n’avait pas, dans un discours merveilleux prononcé début juillet 2020, fait basculer un commutateur dans mon cerveau. J’étais déjà convaincu de la non-nécessité de me faire vacciner avec un vaccin expérimental, aux arguments irréfutables que, d’une part, je ne menace pas la santé de mes congénères, car les dernières études montrent une relative équivalence de contagiosité entre vaccinés et non vaccinés, d’autre part, bien qu’ayant un certain nombre de décennies, je suis d’un groupe O à rhésus positif, pour la population duquel les cas de Covid sévères sont rares, et enfin, je n’ai aucune comorbidité et un système immunitaire éprouvé depuis déjà plus de quatre décennies, pendant lesquelles je n’ai pris, au grand dam de Big Pharma, aucun cachet particulier pour me soigner.

Le discours d’Emmanuel a déclenché une tempête de cytokines dans mon organisme (le terme plus juste serait peut-être adrénaline, puisque je me targue d’esprit scientifique, peu importe, le mot cytokine est mieux pour le côté blague) comme je pense, chez nombre de mes concitoyens, venus grossir des manifestations anti-passe sanitaire.

J’ai compris, dans la menace de donner une vie de merde à ces c… d’opposants à la politique autoritaire et totalement injustifiée du gouvernement en matière sanitaire, que j’allais devoir faire face à une épreuve sur une durée indéterminée. Mais j’avais déjà des armes en la matière. Ne m’étais je pas entaillé, coupé, un nombre incalculable de fois en jardinant à mains nues au milieu de ronces. Malgré des débuts d’infection, chaque fois, la nature me rendait mes doigts en format d’usine, les blessures ayant disparu, les infections régressé, dans une sorte de miracle qui est celui de la vie, enfin en ce qui me concerne.

Je me dis alors que de cette nouvelle épreuve de privation sociale, je ne pourrais qu’en sortir grandi, et cela, je le dis bien, même si la Covid devait m’emporter, car la vie en aurait décidé ainsi, selon un vieil adage : Tout ce qui ne tue pas renforce.

J’ai alors profité de ces vacances pour prendre les devants, un peu à la manière d’un assiégé qui ferait des réserves et s’habituerait à vivre de peu dans la perspective d’un siège pouvant être long. Et là, j’ai découvert la force de l’âme, celle d’un Gandhi, celle d’un Nelson Mandela resté dans la lumière de son âme, même dans l’obscurité d’une prison, finalement quelque chose de banal pour qui croit à une dimension sacrée de l’être humain et plus généralement de tout ce qui a été créé avec (par qui et pourquoi ? Somme toute, peu importe !).

Je me suis reclus seul, tel un ermite, dans un endroit inspirant par sa beauté et sa tranquillité, quelque part dans une région de France réputée pour sa pluviométrie. La plus grande révélation, c’est le silence, dit une sagesse orientale. Et effectivement, dès qu’on fait silence, le cerveau commence par s’agiter, les pensées s’enchaînent, repassent en boucle comme sur BFM, puis finissent par se dissoudre pour laisser filtrer une lumière bienveillante, celle de notre âme. Et soudain, je saisis, ce qui vaut pour moi dans la vie, la liberté, dans le risque, le danger, peu importe, mais la liberté à tout prix, non négociable, imprescriptible et sacrée, seulement limité par le devoir de ne pas attenter à la liberté de mon semblable, mais surtout non entachée par une forme de culpabilité sordide fondée sur une sur exagération du risque, telle que martelée par notre Président.

Oui, je revendique de me battre pour avoir le droit de prendre des risques personnels, comme faire de l’escalade, monter sur mon toit sans être attaché, faire du saut à cheval, du parapente, du « base jump » et d’être gracieusement pris en charge en cas d’accident par le monde médical, car tel est le serment d’Hippocrate, menacé de se convertir aujourd’hui en serment d’hypocrites.

La vie est dangereuse, oui. La vie tue oui, n’en déplaise à Laurent Alexandre et autres angoissés pensant que le transhumanisme va mettre fin à tout cela dans un horizon proche.

La santé n’est pas une vertu, disait André Comte Sponville, que je remercie pour la formule, sachant que les philosophes contemporains semblent soudain curieusement devenus muet dans ce débat sur la vaccination obligatoire pour une pandémie peu létale comparée à Ebola et consœurs pour lesquelles j’irais me faire piquer sans hésiter la moindre seconde, pourvu que ce ne soit pas des entreprises à la sinistre réputation qui produisent le vaccin, mais plutôt un labo d’état ne pouvant être impliqué dans de sordides intérêts financiers.

En revanche, si la santé n’est pas une vertu, la défense de la liberté en est une. On peut mourir pour défendre sa liberté, donc perdre sa santé, mais en aucun cas, on ne peut tolérer de perdre sa liberté pour défendre sa santé, car on vivrait alors dans un monde totalement robotisé, sécurisé certes, mais sans aucune dimension, car le bonheur ne réside pas dans le confort bourgeois et la sécurité artificielle assurée par des vigiles, des murs, des implants qui contrôlent en permanence son état de santé et en formulent des injonctions du style : vous avez un excès de ceci ou de cela, vous devez dans les heures qui suivent marcher une heure.

D’ailleurs, si la nature avait voulu un monde de totale sécurité, elle l’aurait fait depuis longtemps, c’est-à-dire de toute éternité et nous n’aurions pas tous ces maux qui nous affligent. Je crois en un sens sacré de ce monde, que l’on peut nommer Dieu si on le souhaite ou de tout autre nom comme Nirvana. Et ce sens, c’est d’y découvrir notre âme, qui est notre véritable amie. Alors pour finir, à ceux qui comme moi, vont endurer cette épreuve, dans des conditions peut-être moins confortables, je vous souhaite d’en sortir grandi, car si par un boycott général de tous les lieux où est requis un passe sanitaire, nous parvenons à faire plier ce gouvernement, la France pourra être fière d’avoir retrouvé une place pour laquelle elle s’enorgueillissait jusque-là, celle d’être un phare des nations en ce qui concerne le principe de Liberté.

Que vive la France quand elle défend ses principes sacrés : Liberté, Égalité, Fraternité, car c’est la dignité humaine qu’elle défend.




Passe sanitaire : un ancien militaire porte plainte contre Jean Castex et Olivier Véran

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Le Premier ministre français Jean Castex (d), à côté du ministre français de la Santé Olivier Véran.
(GAIZKA IROZ/AFP via Getty Images)]

Par EMMANUELLE BOURDY

Un habitant du Cotentin âgé de 72 ans a décidé de porter plainte contre le Premier ministre Jean Castex et contre le ministre de la Santé Olivier Véran. Il dénonce la mise en place du passe sanitaire.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur »

Une plainte a été déposée par Philippe A., un habitant de Cherbourg (Manche), contre Jean Castex et Olivier Véran. Cet officier supérieur retraité du Service de Santé des Armées a adressé un courrier à François Molins, le procureur général près la cour de cassation et à Rémy Heitz, procureur de la République près le tribunal judiciaire de Paris, ainsi que le relate France Bleu. Il leur a demandé d’ouvrir une enquête et de saisir la Cour de Justice de la République. Par ailleurs, l’ancien officier s’est adjoint les conseils d’un juriste pour déposer plainte et a pris un avocat. Dans sa plainte, le septuagénaire a pointé plusieurs violations des droits de l’homme.

« La France réelle est un État de droit et non une cité de la peur où les convulsions politiques cédant à la panique, cherchent à dresser les Français les uns contre les autres, dans la recherche de boucs émissaires pour faire oublier les carences de leurs gestions respectives passées, notamment en matière de santé », a martelé Philippe A., ainsi que le relate Actu.fr. Concernant cette gestion du gouvernement, il a précisément pointé du doigt la fermeture des hôpitaux auprès de France Bleu.

Ce passe sanitaire est illégal et discriminatoire !

Le plaignant, qui a étudié de nombreux textes de loi, ouvre cette procédure avec une volonté « apolitique »« Il y a dans ce passe sanitaire une contrariété vis-à-vis de la constitution, des droits de l’homme, vis-à-vis des personnes qui vont contrôler le passe sanitaire et qui auront donc accès à des données médicales nous concernant », s’est indigné Philippe A. au micro de France Bleu.

L’ancien militaire dénonce effectivement le fait d’être contraint de justifier de son état de santé auprès de « personnes physiques ou morales privées, non détentrices de la fonction publique et non habilitées officiellement à accéder à [ses] données médicales ».

Il explique encore à Actu.fr : « Je ne suis pas en mesure de fournir un passe sanitaire assujetti, soit à une injection dont la compatibilité avec mon affection n’est pas avérée, soit à une entrave permanente de mes déplacements soumis à des tests caducs et scientifiquement contestés. » Il ajoute que de ce fait, il est « de manière discriminatoire, interdit d’accès pour des raisons de santé », dans de nombreux lieux où le passe sanitaire est demandé. « Je me vois privé de manière discriminatoire de mes déplacements familiaux territoriaux par le non-accès aux services publics (trains, avions, cars) », a poursuivi l’officier retraité.

Une dictature d’obligations et un apartheid sanitaire !

« Je subis de fait au nom de la Liberté, une dictature d’obligations, au nom de l’Égalité, un apartheid sanitaire, et au nom de la Fraternité, un déclassement social égaré dans les tiroirs de la distanciation », s’exaspère encore Philippe dans un extrait de sa plainte.

« Il est nécessaire aujourd’hui de redonner, dans la sérénité, aux scientifiques et médicaux pratiquant, la maîtrise et les moyens de la gestion de crise tout en permettant aux personnels de santé de terrain la liberté de remèdes et de soins à la hauteur de la confiance que leur ont toujours porté leurs patients », réclame enfin cet habitant du Cotentin.




La science discréditée par la finance pour régner sur le monde

[Source : reseauinternational.net]

par Jean Goychman.

L’opinion publique sort de la léthargie profonde dans laquelle elle était immergée depuis des décennies. L’Américain Mark Twain, grand observateur de la nature humaine, disait : « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu’ils ont été trompés ».

Les récentes manifestations et surtout leur montée en puissance partout en France nous indiquent que cette prise de conscience se produit et qu’elle marquera un tournant de notre Histoire.

Pour autant, la victoire est loin d’être acquise et le chemin qui y conduit sera encore long.

Qui est au cœur de ce bouleversement mondial ?

Si on en croit les médias « mainstream », tous les événements que nous subissons depuis près de 2 ans sont purement fortuits et quiconque y verrait un quelconque déterminisme, sans même parler d’un plan concerté, ne pourrait être qu’un affreux complotiste, ennemi de l’Humanité et fomenteur de troubles. Pourtant, la quasi-parfaite unanimité du propos devient d’autant plus suspecte que ce sont toujours les mêmes arguments qui nous sont présentés, un peu comme si « tous ces détaillants se fournissaient chez le même grossiste », pour paraphraser le regretté Philippe Seguin.

Considérés comme des moyens d’information au service de leurs lecteurs, les médias se sont progressivement mués en véritables instruments de propagande. Certes, cela n’est pas tout à fait nouveau, mais soulève néanmoins la question : « pour le compte de qui agissent-ils vraiment ? » Nous avons assisté à la dépersonnalisation progressive des éditorialistes et il n’en reste que très peu (et c’est tout à leur honneur) qui osent encore braver la doxa de la bien-pensance universalisée.

La première opération de prise de contrôle d’un média par la finance est probablement celle relatée par Carol Quigley. Dans son livre « Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine » (éditions Le retour aux sources) celui-relatait, dans le chapitre 6, intitulé « The Times » que le groupe de Milner avait utilisé le Times pour propager ses idées depuis 1905. Après avoir pris la direction de la ligne éditoriale dès 1912, ce groupe en fit l’acquisition en 1922.

C’est en 1906 que les banquiers à l’origine de la création de la FED avaient commencé à prendre le contrôle d’un certain nombre de journaux américains. Ceux-ci, après la crise de 1907, réclamèrent la mise en place d’une banque centrale, dont le peuple américain ne voulait pas.

Depuis cette époque, nombreux furent les médias qui, au travers d’une prise de participation majoritaire de leur capital, durent ainsi aliéner leur liberté de parole ou d’écrit aux « amicales pressions » de leurs administrateurs.

Un pouvoir sans limite

Après avoir convaincu (partiellement) le peuple américain de la nécessité de créer une banque centrale (sans utiliser le terme) la Réserve fédérale, couramment désignée sous le nom de FED, fut créée le 23 décembre 1913 à 23 h 30, au terme d’une séance particulièrement animée, car certains sénateurs et représentants avaient perçu ce qui se cachait derrière l’apparence. En réalité, la FED était une banque privée dont le capital était détenu par d’autres banques privées qui formaient une sorte de « cartel ». En ayant obtenu le pouvoir d’imprimer les dollars, la FED avait de facto pris le contrôle de la monnaie américaine, alors même que la Constitution donnait ce droit exclusif au peuple américain (Article 1er, section 8 §5)

Il ne manquait plus que la dernière étape pour libérer complètement ce pouvoir et celle-ci fut franchie en 1971 lorsque le dollar perdit sa convertibilité en or. Le dollar, devenu monnaie « fiduciaire » pouvait alors être créé à partir de rien et financer sans limites les dettes publiques américaines, comme le faisaient les autres banques centrales bâties sur le même modèle. Or, le dollar n’était pas une monnaie comme les autres, car il possédait un autre attribut : il était également, depuis les accords de Bretton Woods de 1944, la monnaie dite « de réserve internationale » avec laquelle s’effectuaient les transactions internationales, et en particulier le commerce du pétrole. Il est évident que ce double statut « brouillait » les cartes et que cela permettait à la finance américaine (et aux banques internationales qui contrôlaient Wall Street) de s’enrichir également sans limites car il fallait créer de plus en plus de dollars pour satisfaire la demande mondiale. Et comme ces dollars ne pouvaient être créés que sur demande du Trésor américain, ils généraient également des intérêts en proportion…

C’est donc toute la planète, ou presque, qui s’est trouvé sous la coupe de la monnaie américaine. Ajoutez à cela les deux autres piliers de la finance mondiale qui sont le FMI et la Banque Mondiale et vous obtenez le système financier qui dirige la planète.

Il est curieux de constater qu’en aout 2019, les principales banques centrales décidèrent de « tuer le dollar » et que certains y voient l’acte initiateur du « Great Reset » pour lequel , aux dire même de Klaus Schwab, celle-ci fut une sorte de bénédiction.

Les conséquences de cette mainmise

On prête à Nathan Rothschild, dès 1815 la phrase : « Si j’imprime les billets, je me moque de qui fait les lois ! » Cette prophétie semble s’être réalisée car ce pouvoir exorbitant est aujourd’hui concentré dans les mains d’une infime minorité qui peuvent pratiquement tout se payer.

Ils ont compris tout de suite que la faiblesse des démocraties résidait dans la facilité à convaincre, voire à égarer, les opinions publiques et que, pour cela, il fallait contrôler les différents moyens d’informations. Lorsqu’on dispose d’une telle « manne céleste », les choses deviennent faciles.

Et parmi les moyens de contrôle de ces opinions, il y en avait un qui présentait d’énormes avantages, qui était de pouvoir inspirer des grandes peurs collectives. Ce climat de peur s’est progressivement installé depuis quelques décennies.

Les grandes peurs successives

Ne citons que pour mémoire que la « grande peur de l’an Mille » qui devait voir la fin du monde, et passons au XXe siècle. En 1938, Orson  Welles avait réalisé une émission de radio qui commentait l’attaque de New-York inspirée de « La guerre des mondes » écrite par HG Wells.

[Ndlr : il semble bien que la prétendue grande peur de l’an Mille relève davantage de légende urbaine que de fait historique (voir par exemple Jean Delumeau: «La peur de l’an mille n’est qu’une légende» – L’Express (lexpress.fr) et Sylvain Gouguenheim, Les Fausses Terreurs de l’an mil – Persée (persee.fr)).
Concernant, l’émission de radio d’Orson Welles, voir L’arnaque de la fausse panique de “La Guerre des Mondes” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]

Une opération similaire a eu lieu en France en 1946 et avait pour thème la désintégration incontrôlée des atomes, qui généra également une certaine panique. En fait, ces expériences montraient très clairement le pouvoir de persuasion sur une foule que possédaient les « mass-médias »

Mais c’est surtout à la fin des années 60 que les grandes peurs planétaires sont apparues. Elles trouvaient probablement leur origine dans le « Rapport de la Montagne de Fer ». Souvenez-vous du trou de la couche d’ozone, ou encore des « pluies acides ». D’une façon générale, il fallait accréditer l’idée que l’Homme détruit la planète sur laquelle il vit. Cette base allait constituer le soubassement d’un dogme religieux qui s’est progressivement transformé en véritable religion.

La Croyance nécessite l’appui de la Science

Alors que, depuis plusieurs siècles, les religions, de par leur coté dogmatique, avaient toujours observé une certaine méfiance au sujet de la science, et notamment de ce côté « prédictif » qui empiète sur le pouvoir divinatoire de Dieu, la grande force de ceux qui utilisent ces peurs est justement de leur donner un aspect scientifique destiné à établir la véracité des causes des phénomènes mis en jeu. Et peu importe si les étapes nécessaires pour passer de l’observation à la formulation d’une hypothèse qui devra être suivie d’une expérience « cruciale », pièce maîtresse qui, seule, permettra de valider une théorie, ne sont pas respectées, l’essentiel est que les gens croient, du moins dans leur immense majorité, à cette théorie. Pour cela, l’apparence scientifique, voire la signature de sommités réputées, relayées par des médias unanimes sont les instruments essentiels de persuasion. Dans les temps jadis, un événement relaté dans un journal ne pouvait-être que vrai. Et cela était très souvent le cas car les rédacteurs ne voulaient en aucun cas, par déontologie, divulguer de fausses nouvelles. Seuls étaient admis les écarts ne modifiant pas le sens général de l’information transmise. Nous n’en sommes plus là et aujourd’hui, ce n’est plus la réalité qui est le critère, mais ce que les gens pensent être la réalité. Nous sommes rentrés insensiblement dans l’ère du « story telling ».

Le monde des trois peurs

Trois menaces nous surplombent aujourd’hui, et alternent dans l’actualité. Il y a le terrorisme international, le réchauffement climatique et la pandémie. La première se caractérise par un énorme choc dans l’opinion dû à l’horreur des méthodes employées et la sidération de voir des gens perdre la vie sans d’autre justification que d’inspirer la terreur. Il y a cependant eu un certain nombre de retombées financières, notamment dans le domaine de la surveillance et de la sécurité, notamment dans les transports, mais cela n’est guère évoqué.

Ensuite, il y a le réchauffement climatique. De quoi s’agit-il exactement ? On nous prédit un réchauffement catastrophique qui va tout bouleverser à la surface de la planète. La fonte des glaces va engloutir les terres émergées et faire disparaître, à terme, toute vie sur terre…

La cause ? La concentration en dioxyde de carbone est passée de 3 particules pour dix mille à 4 en quelques décennies. Même si les molécules de ce gaz peuvent réémettre une partie de l’énergie qu’elles captent, (effet de serre) cela reste quand même très limité et il est impossible que ce seul phénomène, à l’exclusion de tous les autres, soit à l’origine de ce qui est appelé le « dérèglement climatique ». D’autant plus que l’enfer prévu semble plus que modéré car, d’après les relevés satellites, la température moyenne de la planète ne s’est élevée que d’environ 1°C depuis un peu plus d’un siècle et semble même ne plus augmenter du tout depuis une quinzaine d’années.

Enfin, il y a la pandémie du virus SARS-CoV-2. Qu’en retiendra l’Histoire ? Probablement le nombre de décès qui lui sont imputables, comme cela s’est toujours fait pour les grandes épidémies. Je vous laisse le soin d’aller chercher les chiffres, et vous conviendrez que, rapportée à la population actuelle de la Terre, cette épidémie est, du moins jusqu’à présent, une des moins tueuses qui soit.

Cependant, la dramatisation extrême de la communication planétaire fait que la crainte qu’elle inspire est telle que les peuples sont prêts à accepter toutes les privations de leur liberté au nom de leur survie, qui ne semble pourtant pas vraiment menacée.

Le bilan de tout cela

Parti d’une simple idée qui consistait à créer de la fausse monnaie à laquelle on donnait l’apparence de la vraie, celle qui possède une réalité économique et dont la création ne peut se faire qu’en raison des richesses créées par l’Homme, l’oligarchie financière qui a entrepris de diriger le monde il y a environ 150 ans touche pratiquement au but.

Les étapes successives se sont déroulées sous nos yeux et quiconque s’interrogeait sur le bien-fondé de celles-ci se voyait immédiatement ostracisé et interdit de parole, voire de pensée.

Il y eut pourtant de nombreux avertissements, y compris venant de personnalités pouvant influencer le cours mondial des choses (de Gaulle, Eisenhower, Kennedy, Philippe de Villiers, pour parler des politiques, mais également des historiens, comme Carol Quigley, Pierre Hillard, Peter Dale Scott et tant d’autres, sans parler des témoignages écrits de nombre de journalistes et d’éditorialistes, rien n’y fait. Les gens refusèrent de voir ce qui, pourtant, était devant leurs yeux.

Redonnons un court instant la parole à Nathan Rothschild, publiée par Stephen Mittford Goodson, dans son livre « L‘histoire des banques centrales » page 64 (éditions Omnia Veritas) :

« La minorité qui comprend le système sera si intéressée par ses profits ou si dépendante de ses faveurs qu’il n’y aura jamais d’opposition de la part de cette classe sociale ».

Reste à savoir si le « Great Reset » qui semble déjà entrer dans une phase active, marquera la victoire définitive de cette élite mondialiste ou si les peuples, dans un sursaut salvateur, sauront retrouver le chemin de la liberté que cette minorité entend leur confisquer.




Un citoyen canadien de l’Alberta demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées dans cette province

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr) via reseauinternational.net]

Un citoyen canadien demande la preuve de l’existence du SARS-CoV-2 au tribunal, une semaine plus tard toutes les restrictions sont levées

Le patriote Patrick King s’est représenté lui-même devant le tribunal après avoir été condamné à une amende de 1 200 dollars pour avoir protesté contre l’arnaque du Covid-19. Il a assigné la ministre provinciale de la santé à prouver l’existence du soi-disant virus, et ils ont été forcés d’admettre qu’ils n’avaient aucune preuve. Le virus n’a jamais été isolé, et le gouvernement n’avait donc aucun fondement juridique pour imposer les restrictions sévères qu’il a imposées à la société. Depuis que cette confession choquante a été révélée, la province a annulé toutes les restrictions sur le Covid et traite désormais officiellement le Covid-19 comme une simple grippe !

Le Dr Deena Hinshaw, de l’Alberta, s’excuse pour la  » confusion, la peur ou la colère  » suscitées par la levée des mesures COVID-19

Par Kieran Leavitt

EDMONTON – La Dre Deena Hinshaw, médecin hygiéniste en chef de l’Alberta, s’est excusée de la « confusion, de la peur ou de la colère » qui ont entouré la décision de la province d’éliminer la mise en quarantaine obligatoire des personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif, la recherche des contacts et les masques dans les écoles et les autobus.

« J’ai entendu dire que le message que les gens ont reçu de mes paroles était que je pense que le COVID est terminé et que les gens sont laissés à eux-mêmes pour y faire face », a-t-elle écrit dans une chronique publiée mercredi dans plusieurs médias.

« Ce n’était pas le message que je voulais faire passer », a-t-elle ajouté.

« Nous n’éliminerons pas le COVID, ce qui signifie que nous devons apprendre à vivre avec ».

Cette chronique survient une semaine après qu’elle a annoncé la levée des mesures de santé publique qui étaient en place pendant la majeure partie de la pandémie et au milieu de critiques intenses pour avoir agi ainsi. Le premier ministre Jason Kenney et le ministre de la Santé Tyler Shandro ont déclaré que la décision de lever les restrictions faisait suite aux recommandations de Mme Hinshaw.

Cela signifie également un nouveau changement dans son image publique. Au début de la pandémie, les gens partageaient des fanarts de Mme Hinshaw en ligne – l’une des images les plus remarquables la représentait dans une armure – et admiraient son comportement calme et froid en tant que visage de la réponse de l’Alberta au COVID-19.

La semaine dernière, le hashtag #FireHinshaw [Virez Hinshaw] s’est répandu.

En effet, elle venait d’annoncer qu’à partir de la mi-août, l’Alberta n’exigerait plus que les personnes dont le test de dépistage du COVID-19 est positif s’isolent, mais qu’elle leur recommanderait fortement de le faire. Les traceurs de contact ne diront plus non plus aux contacts proches qui a pu être exposé (certaines mesures seront toutefois maintenues pour divers milieux à haut risque).



Transcription FR : https://pastebin.com/AY0z4mMX

“En Alberta, aujourd’hui, le port du masque obligatoire prend fin. Les enfants ne devront plus porter de masque lorsqu’ils retourneront à l’école, la quarantaine obligatoire va prendre fin, le traçage des contacts, les tests pour les symptômes légers, tout cela est terminé. Ils vont maintenant reconnaître le covid comme une grippe légère et la traiter comme telle. La liberté a gagné en Alberta, prouvant que se battre fonctionne”.

Le 5 décembre 2020, le citoyen canadien Patrick King a été reconnu coupable d’avoir enfreint un ordre du médecin en chef de la santé de l’Alberta (Deena Hinshaw), l’ordre étant “en réponse à la pandémie de Covid-19” et l’infraction concernant spécifiquement le fait de se trouver dans un rassemblement de plus de 10 personnes. King a été condamné à une amende de 1 200 $.

King a fait appel. Lors de sa comparution devant le tribunal le 4 mai, il a exposé les informations dont il aurait besoin pour préparer une défense adéquate et plausible. Il s’agit notamment de la preuve de l’isolement du virus SARS-CoV-2.

Le mercredi 14 juillet, M. King a assigné le CMOH (Médecin en chef du Canada) en vertu de l’article 699 du Code criminel, lui demandant d’apporter “tous les livres blancs décrivant l’isolement du virus SARS-CoV-2, directement à partir d’un échantillon prélevé sur un patient malade”, car “ces livres blancs auraient fait partie intégrante de l’élaboration des statuts établis en vertu de la ” Loi sur la santé publique ” ici en Alberta”.

Trois jours plus tard, King a été informé que son action en justice avait été annulée ; il a donc dû la faire reporter.

King a ensuite été assigné par les avocats de Deena Henshaw à comparaître à une audience en chambre. Lors de cette audience, un avocat de Deena Henshaw a déclaré : “M. King a demandé des preuves que nous ne pouvons pas fournir”.

Lorsque l’affaire est portée devant le tribunal, le samedi 24 juillet, elle a pris de l’ampleur, étant reformulée comme suit : “Sa Majesté la Reine contre Patrick James King”, et des procureurs généraux d’Ottawa y assistent. Une fois de plus, King fait état, et le tribunal prend acte, de l’incapacité du CMOH à fournir les preuves qu’il avait demandées.

L’enjeu de la contestation de King est que les politiques de santé liées au Covid élaborées et mises en œuvre par le gouvernement provincial de l’Alberta et son CMOH reposent sur l’existence d’un agent infectieux spécifique, alors qu’ils ne peuvent pas produire de preuves de l’existence d’un tel agent.

Les conséquences de ce précédent juridique sont sûrement énormes. Elles impliquent, comme l’a dit Peters, “la fin du covid”.

Dans son interview, King fait référence à l’affaire Rook contre Alberta, “où ils ont convoqué tous ceux qui avaient violé l’une de ces règles Covid … ils attendent la décision concernant des milliers et des milliers de contraventions et de convocations …” Ces affaires seront probablement rejetées.

Maintenant que King connaît la bonne méthode d’approche, il tient à faire passer le mot : “Ce qu’ils doivent faire, c’est contester la loi sur la santé publique, car alors le juge n’a pas d’autre recours que d’assigner les fonctionnaires qui sont responsables de tout cela.”

DOCUMENTATION LÉGALE :

Letter to Patrick James King (Service)
LAW relied on by the Applicant
Affidavit of Krisztina Grech Sworn July 16 2021
Originating Application

Vidéo et articles originaux :

https://www.redvoicemedia.com/2021/08/freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta/
https://adriandignam.com/covid-is-dead-alberta-court-strikes-down-public-health-policy-for-lack-of-scientific-evidence/
https://rumble.com/vkorz0-freedom-fighter-court-victory-ends-masking-shots-quarantine-in-alberta.html

En savoir plus


[Voir aussi :
LIBÉREZ LE MÉDECIN QUI EST EN VOUS
Prendre sa santé en main
Épidémies et contagions
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Le culte de la virologie – Documentaire
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]




« Casdémie » Covid : le cartel bancaire est le moteur de l’agenda

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

[Source originale anglaise : The Naked Hedgie]

[Traduction du texte de l’illustration : « Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques.« ]

Par Alex Krainer

Alex Krainer – @NakedHedgie est un ancien gestionnaire de fonds spéculatifs, créateur de I-System Trend Following et fondateur de Krainer Analytics. Il a écrit « Mastering Uncertainty in Commodities Trading » (Maîtriser l’incertitude dans le négoce des matières premières), classé premier livre sur la liste FinancialExpert.co.uk des « 5 meilleurs livres sur les matières premières pour les investisseurs et les traders ». Son livre « Grand Deception : The Browder Hoax » (Grande tromperie : le canular de Browder) a été interdit à deux reprises sur Amazon sur ordre des créatures des marais du Département d’État américain. Il écrit également sur ISystem-TF.com. Ses points de vue et ses opinions ne sont pas toujours destinés à la société polie, mais ils sont toujours exprimés dans une recherche sincère de la vraie connaissance et de la compréhension claire des idées qui comptent.

Depuis des semaines, les médias et les autorités « sanitaires » promeuvent sans relâche un récit effrayant sur la « pandémie » de Covid 19 comme si le décompte quotidien de nouveaux « cas » était une urgence de santé publique majeure, sensationnalisée par les médias près de 24h/ 24 et 7/7. Le récit officiel est fortement en contradiction avec les voix rassemblées de centaines de médecins, virologues et épidémiologistes.
il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel.

Supposons que la maladie existe. Toutes les variantes de tout virus présumé deviennent toujours moins virulentes. Mais, curieusement, pas celui-ci, selon des médecins nazillons. Tout ce qu’ils mentionnent, ce sont les cas, les cas, les cas ! À présent, la plupart des personnes « intelligentes et informées » comprennent que le test PCR ne peut pas déterminer l’infection. Voici ce que dit l’inventeur du PCR, Kary Mullis:  le PCR ne recherche aucun virus spécifique,  il recherche uniquement des séquences génétiques. Or, la séquence de covid originale et ses variantes ont été/sont fabriquées par ordinateur. Ce n’est pas une pandémie – c’est une ‘Casdémie’, où il y a beaucoup de soi-disant cas, mais pas beaucoup de maladies réelles. 

Incohérence du récit officiel

Si nous étions confrontés à la pandémie « du siècle », ce serait un grand défi pour l’humanité, forgé d’incertitude. On s’attendrait à rencontrer un débat animé, des discussions, beaucoup de doute et de controverses. Les journalistes devraient rechercher autant d’experts du domaine que possible afin que nous puissions comprendre le plus clairement possible le nouveau défi de la santé et comment y faire face. Des traitements efficaces devraient être promus, célébrés, criés sur les toits. Mais la réalité est très différente.

Les mesures de santé publique – pratiquement identiques dans la plupart des pays – sont transmises par l’Organisation Mondiale de la Santé à travers des hiérarchies bureaucratiques obscures qui revendiquent le monopole de la vérité. La discussion est découragée et des centaines d’experts sont agressivement réduits au silence. Plusieurs traitements efficaces ont été identifiés, mais l’administration est à la limite de l’hostilité à toute mention d’eux.

Dissimulation de traitements efficaces

Début mars 2020 déjà, le président Trump a commencé à mentionner l’hydroxychloroquine (HCQ) comme traitement des infections par le virus Corona. Les médias l’ont rapidement ridiculisé, l’accusant même de mettre des vies en danger. Cependant, il s’est avéré que l’HCQ réduisait la mortalité due à Covid 19 de plus de 50 % et, lorsqu’il est utilisé avec du zinc et des vitamines, jusqu’à 85 %.

Le Dr Stella Immanuel a affirmé qu’elle avait traité au HCQ plus de 300 patients atteints de covid, dont beaucoup étaient âgés et ayant une ou plusieurs comorbidités, et qu’elle n’avait eu aucun décès parmi ses patients. Aujourd’hui, la vidéo avec ses déclarations est difficile à trouver sur YouTube, mais vous trouverez facilement des dizaines de vidéos qui la ridiculisent et diffament son personnage. Beaucoup plus récemment, le Dr Brian Tyson a témoigné que sa clinique avait traité 1 700 patients positifs au Covid-19 – encore une fois avec zéro décès.

Quoi qu’il en soit, les médecins et les patients ont été fortement découragés d’utiliser l’hydroxychloroquine et dans certains pays, HCQ a été brusquement retiré du marché. En Australie, la prescription d’HCQ a même été érigée en infraction pénale. Pendant ce temps, les autorités semblent favoriser l’imposition de vaccins expérimentaux développés à la hâte, non testés, bien que la maladie elle-même ne se soit révélée mortelle que pour 0,004% de la population (même selon les statistiques surgonflées du CDC américain).

Retranchement déroutant de l’administration

L’incohérence totale des positions officielles est désormais devenue si évidente qu’elle a  depuis longtemps perdu toute crédibilité. Mais plutôt que de déclarer la victoire contre le virus et de célébrer le retour à la vie normale, les autorités sont devenues encore plus profondément ancrées dans leurs propres contradictions, devenant de plus en plus agressives avec des mesures de « santé publique » toujours plus restrictives. Pendant ce temps, les médias ont intensifié la propagande de « Projet Peur » à des proportions nauséabondes.(([1] Le terme projet Peur (en anglais, Project Fear) a été utilisé dans la politique anti-intellectuelle britannique, notamment avant, pendant et après le référendum de 2016 sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’UE par ceux qui battaient campagne pour la sortie de celle-ci.

Il met en avant le contenu alarmiste et pessimiste employé par les européistes (en faveur du maintien dans l’UE). Selon ceux qui utilisent le terme il fut en premier lieu soi-disant utilisé par le Parti national écossais (SNP) et les sympathisants à l’indépendance qui s’opposaient à la campagne « Meilleurs ensemble » (« Better Together ») qui a eu lieu en 2014 (le référendum sur l’indépendance de l’Écosse). ))

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Nous insistons : l’édifice est sain, n’en croyez pas vos yeux menteurs,
ne faites pas vos propres recherches !

La situation est devenue surréaliste : comment des personnes apparemment intelligentes et instruites peuvent-elles rester si obstinément attachées à un récit aussi manifestement fallacieux ? Pourquoi les médias incitent-ils sans relâche à la peur et à l’hystérie à propos d’un virus grippal bénin ? En plus des médias américains et britanniques, j’ai suivi les reportages médiatiques en Croatie, en Espagne, en France et en Italie – la même chose partout : c’est rien que Covid tout le temps, avec des alarmes incessantes et des appels au respect de mesures « de plus en plus stupides ». Par exemple, plus de quatre mois après le début de cette « pandémie », 71 pays ont émis des mandats étrangement similaires pour que les gens portent des masques dans les espaces publics, même s’il n’y a strictement aucune preuve scientifique que cela serve à quelque chose.

Est-ce que tout le monde sur cette planète Terre est devenu fou ? Si ce ne sont pas la science et la logique qui informent les mesures de santé publique, alors qu’est-ce que c’est que tout ce binz ? Et ensuite ce qui suit m’a frappé…

Le cas curieux des prêts du FMI pour la Biélorussie

En juin, j’ai noté que le président biélorusse Alexandre Loukachenko avait publiquement snobé une ligne de crédit de 940 millions de dollars du Fonds monétaire international. Il l’a rejeté parce que le FMI a conditionné le prêt à ce que la Biélorussie impose une politique stricte de verrouillage  Covid 19 et un couvre-feu. À l’époque, je pensais qu’il était très étrange que le FMI offre des prêts à un pays tout en fixant des conditions qui compromettent gravement la capacité de remboursement de ce pays.

Apparemment, un certain nombre d’autres pays ont reçu des offres similaires du FMI et/ou de la Banque mondiale. Nous ne connaissons la conditionnalité de Covid 19 que parce que le président de la Biélorussie l’a divulguée publiquement. Fait significatif, Loukachenko a mentionné à plusieurs reprises que les négociateurs du FMI voulaient que la Biélorussie fasse « comme en Italie ». D’autres nations et gouvernements qui ont accepté l’argent ont peut-être accepté discrètement la conditionnalité qu’ils n’ont jamais divulguée au reste d’entre nous.

En avril 2020, 85 pays avaient demandé une aide financière au FMI. Profondément endettés et avec des économies gravement endommagées, la plupart des gouvernements du monde entier avaient besoin de prêts, ce qui les rendait la proie des diktats du pouvoir monétaire. Pour obtenir les fonds nécessaires, ils ont accepté de fermer leurs économies, de restreindre la liberté de mouvement de leur population, de créer des structures de surveillance de type Stasi et de fermer les écoles.

Une autre preuve que l’ordre du jour est dirigé par les banquiers était le récent éditorial dans le New York Times par Neel Kashkari, le président de la Réserve fédérale de Minneapolis, appelant le gouvernement à émettre des ordonnances strictes d’abri sur place de 4 à 6 semaines, « pour tout le monde sauf les travailleurs vraiment essentiels. » Kashkari a préconisé que les verrouillages soient aussi complets et stricts que possible et effectués de manière agressive, en utilisant « la capacité de test et de traçage que nous avons construite… »

Les empreintes digitales du cartel bancaire peuvent également être trouvées dans le document « Scenarios for the Future of Technology and International Development » (Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international), publié par la Fondation Rockefeller en 2010. À la page 18, intitulée « Lock Step » (Étape de verrouillage), le document décrit avec prévoyance notre réalité actuelle comme « Un monde de contrôle gouvernemental de haut en bas et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et un refoulement croissant des citoyens. » Le scénario envisage une « pandémie que le monde avait anticipé depuis des années… » Et aujourd’hui, nous avons cette « pandémie », ainsi que le monde du contrôle gouvernemental de haut en bas et un leadership plus autoritaire.

Comme Napoléon Bonaparte ne l’a que trop bien compris, 

« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain. »

Dans chaque nation, nous semblons être contrés par une bureaucratie gouvernementale. Mais alors que ces bureaucraties et les fonctionnaires qui y travaillent deviennent la cible du ressentiment du public, il est essentiel que nous reconnaissions les marionnettistes derrière le programme qui se déroule.

Il ne fait aucun doute que l’ennemi est le cartel bancaire international dont le siège est à Londres et à Wall Street, ainsi que leurs agences comme la Banque des règlements internationaux, le FMI, la Banque mondiale, les banques et institutions d’importance systémique mondiale comme la Forum économique mondial, grandes sociétés pharmaceutiques, Organisation mondiale de la santé, Fondation Bill et Melinda Gates, GAVI et bien d’autres.

Comme Lord Acton l’a prévenu il y a plus d’un siècle, « Le problème qui a traversé les siècles et qui devra être combattu tôt ou tard est celui du peuple contre les banques ». Ce combat est maintenant à nos portes. Ce pourrait être la lutte ultime entre l’émancipation de l’humanité ou notre asservissement final. Pour l’emporter, nous devons comprendre nos vrais ennemis et les structures financières, économiques, politiques et sociales permettant leur agenda.

Comme le révèle le document de la Fondation Rockefeller, ils ont anticipé notre recul et ont sûrement prévu des diversions pour détourner nos griefs vers les outils visibles de leur régime autoritaire top-down [Le haut contrôle le bas]. L’un des plus grands moyens de diversion est la guerre. Nous devons donc nous garder de croire que nos ennemis sont les Russes, les Chinois ou quiconque contre qui la logique du diviser pour régner nous opposerait.

Lorsque nos gouvernements nous disent que nous faisons face à une grave menace venant d’une autre nation, envoient des troupes à ses frontières ou des navires de guerre près de ses côtes, nous devons exiger qu’ils se retirent. Nous devons également nous garder de diaboliser les autres nations et leurs dirigeants car elles conduisent fréquemment à une escalade militaire (pensez à Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi, Bachar al Assad…). Ron Paul nous a prévenus : 

« Ce n’est pas une coïncidence si le siècle de la guerre totale a coïncidé avec le siècle de la banque centrale. » 

J’ai expliqué les racines systémiques de la soif de guerre de l’Occident dans mon article : “Deflationary Gap and the West’s War Addiction.” « Gap déflationniste et dépendance à la guerre de l’Occident ».

Bref, il ne faut pas se laisser distraire par la muleta rouge du torero : les coupables ultimes, le super-prédateur sont les banquiers : une poignée de familles et d’individus qui contrôlent et gèrent le système monétaire actuel. Nous n’avons pas d’autre choix que de rejeter la peur et de les affronter. Aujourd’hui, nous sommes armés de vérités et d’informations dont les générations passées n’auraient pas pu rêver. Aujourd’hui, nous pouvons faire la différence et offrir à nos enfants et à nos petits enfants un monde de prospérité et de liberté au-delà de tout ce que nous pouvons imaginer actuellement. Nous sommes vraiment ceux que nous attendions et nous devons saisir cette opportunité car cette lutte vaut tout.





Grave erreur de se faire vacciner pour partir en vacances !

Par Gérard Delépine

Rappel de quelques faits avérés que devraient méditer ceux qui envisagent de se faire vacciner pour partir en vacances !

Croisière cauchemardesque(([1] France3 Occitanie Covid. Aveyron : le cauchemar de cinq touristes de Villefranche-de-Rouergue confinés dans un hôtel insalubre de Palerme le 03/08/2021
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-aveyron-le-cauchemar-de-cinq-touristes-de-villefranche-de-rouergue-confines-dans-un-hotel-insalubre-de-palerme-2202664.html))

Une famille de Villefranche-de-Rouergue a reçu ses deux injections pour partir en croisière sur un paquebot en méditerranée. Mais après une sortie touristique à Messine, le 28 juillet, le mari, médecin retraité, a été testé positif au covid malgré sa double vaccination. Brigitte, son mari, son fils, sa belle-fille et son petit-fils de sept ans sont depuis retenus dans un hôtel insalubre de Palerme dans des conditions sanitaires déplorables sans contact avec l’extérieur sans eau courante, sans médicaments, sans médecin.

La grand-mère Brigitte témoigne : « Pas de clim, pas de frigo. Il fait excessivement chaud. La chambre est sale, pas désinfectée, pas nettoyée. Nous n’avons droit qu’à un litre et demi d’eau par jour et par personne »

Pas d’eau potable à l’hôtel-prison !

Cette mésaventure, qui n’est pas exceptionnelle (une soixantaine de Français seraient dans la même situation dans le même hôtel en Italie), rappelle que :

1°) les injections anti-covid n’empêchent pas d’être contaminés

2°) de très nombreux pays exigent des tests négatifs pour entrer sur leur territoire et qu’en cas de positivité vous enferment à vos frais dans des conditions parfois indignes.

Australie et Nouvelle-Zélande pionnières de la détention inefficace(([2] Le Journal de Montréal En Australie, la stricte quarantaine des voyageurs n’empêche pas des contaminations
https://www.journaldemontreal.com/2021/02/10/en-australie-la-stricte-quarantaine-des-voyageurs-nempeche-pas-des-contaminations))

Évitez de visiter ces pays dont vous risquez de ne connaître que des lieux de détention ! Depuis le début de la pandémie, environ 320 000 voyageurs arrivés via les ports ou les aéroports d’Australie ou de Nouvelle-Zélande ont été transférés dans des hôtels-prison afin d’être confinés 14 jours dans une chambre.

Sur une seule journée, en Nouvelle-Zélande, des voyageurs en provenance d’Allemagne, de Tanzanie et des Émirats arabes unis ont été testés positifs au coronavirus et mis en quarantaine stricte.

Cela n’est pas sans risque pour le personnel qui ne bénéficie pas de traitement préventif comme leurs collègues indiens et qui paient, de ce fait, un lourd tribut à la stratégie gouvernementale du « tout vaccin, et pas de traitements précoces ».

Dans l’État de Victoria, près d’un millier d’employés travaillant pour trois hôtels touchés par une épidémie de COVID-19 ont été placés à leur tour en quarantaine. « Il est temps d’éloigner (les lieux de) quarantaine pour réduire le risque de transmission dans les zones urbaines densément peuplées », a déclaré Adrian Esterman, de l’Université d’Australie-Méridionale.

Des endroits sont envisagés, notamment une base de l’armée de l’air et un centre de rétention pour immigrés situé en mer. Le directeur de la Santé Paul Kelly, qui défend le système actuel, a expliqué qu’ouvrir des centres dans des régions reculées n’est pas sans risque, notamment en cas de problème médical, car l’offre de soins sera moins bonne.

Et que « l’un des moments où le risque de contamination est le plus élevé est lors du transport de l’aéroport vers l’établissement. Donc, plus c’est long, plus il y a de risques ».

Cette politique de quarantaine+ Vaccination n’empêche pas l’épidémie de flamber depuis maintenant 7 semaines passant de 10 nouveaux cas journaliers le 14 juin 2021 à 256 le 5 août. Il serait grand temps de passer aux traitements précoces !

Mort après injection anti-covid faite pour partir en vacances

Maxime Beltra, jeune homme de 22 ans s’est fait injecter le traitement Pfizer le lundi 26 juillet 2021, afin d’obtenir son passe sanitaire pour partir en vacances en Grèce. Il est décédé dans la nuit après l’injection. Le lendemain, son père a posté sur les réseaux sociaux une vidéo liant le décès de son fils à la vaccination.

Comme d’habitude le père a été traité d’antivax et la relation causale niée par les autorités et les médias qui parlent d’allergie alimentaire possible. Mais il est difficile de croire que ce jeune homme qui connaissait ses allergies ait pu ingérer des aliments qu’il savait dangereux pour lui.

Et on ne peut pas comprendre que le médecin responsable de l’injection ait pu la faire alors que le risque d’accident allergique grave du vaccin est parfaitement établi (un rapport de l’ANSM précise que 247 cas ont été enregistrés depuis le début de la campagne de vaccination) et signalé dans la notice d’utilisation.

Une plainte a été déposée. Attendons les décisions de la justice.

C’est vraiment une grave erreur de se faire vacciner pour partir en vacances.

L’injection ne vous empêche ni d’être malade ni de contaminer les autres. Elle vous expose à des complications graves dont certaines mortelles. Elle vous expose à passer plusieurs semaines en prison hôtel sur la foi d’un test souvent faux.

Bonnes vacances tout de même !





Une infirmière et un chirurgien posent une bombe sur le plateau de BFM Alpes : « On se demande où sont les patients Covid ? »

[Source : Sott.net]

« Le plan blanc, on se pose actuellement la question : comment se fait-il qu’il a été déclenché, parce que dans nos services, nous avons toutes les pathologies liées au tourisme (…) mais on se demande où sont les patients Covid ? »



Même constat à la Réunion : service Covid cherche patients ?






« Les médecins ne sont plus autorisés à remettre en question le récit politique » Charles Hoffe

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Médecin généraliste, le docteur Charles Hoffe exerce dans petite ville au milieu de la campagne canadienne et compte tenu du lieu géographique où se trouve, il pratique également la médecine d’urgence. En mars 2021, tandis que la campagne de vaccination en est à son troisième mois, il prend connaissance de rapports inquiétants qui affluent depuis l’Europe et les Etats-Unis concernant des problèmes graves que certains patients rencontrent suite aux injections. Conscient qu’il s’agit d’un vaccin expérimental dont les conséquences à long terme sont inconnues, il soulève des questions éthiques qui gênent le milieu médical et rappelle que lorsque surviennent des accidents graves, la déontologie médicale exige la fin de l’expérience. Charles Hoffe communique ses préoccupations à ses collègues par e-mail et reçoit un avertissement de la part des autorités sanitaires locales lui expliquant qu’il est interdit de dire quoi que ce soit de négatif aux sujets de ces vaccins, même s’ils doivent provoquer des accidents.

Lorsqu’il constate de graves problèmes chez ses patients vaccinés notamment des atteintes neurologiques et pulmonaires, il en informe le responsable provincial de la santé publique auprès duquel il plaide l’arrêt de la campagne de vaccination. Il explique à une infirmière qu’une personne qui a contracté le Covid est naturellement immunisée par l’infection et n’a pas besoin de faire le vaccin. Cette prise de position lui  vaut d’être accusé de détourner les gens de la vaccination, de perdre son poste d’urgentiste tandis que le collège des médecins et chirurgiens lance une enquête contre lui et l’avertit qu’il n’a pas le droit de contredire le récit officiel en matière de santé publique.



Après avoir perdu un patient et constaté des atteintes corporelles définitives chez 15 autres patients (soit 1% de sa patientèle), il lance une recherche pour essayer de comprendre ce qui peut provoquer ces accidents à la vaccination, afin de savoir comment  les prendre en charge au mieux. Il rejoint l’association « Doctors for Covid Ethics » principalement basée en Europe mais également présente dans le monde entier. Aidé de médecins et de scientifiques, il entreprend de rechercher la cause de ses effets secondaires graves. Il fait pratiquer un test sanguin appelé D-dimère sur les personnes qui ont reçu un vaccin dans les 7 jours et ceci afin de détecter une éventuelle activation de la coagulation et se rend compte que 62% des tests révèlent la présence de caillots.

Le docteur Hoffe revient sur les déclarations mensongères des laboratoires qui ont présenté ces vaccins à la FDA et à l’ensemble des autorités régulatrices en assurant que la substance n’entrait pas dans la circulation sanguine. Or il est prouvé avec une certitude absolue que 25% seulement reste dans le bras tandis que 75% entre dans la circulation sanguine et y reste pendant des semaines.

Il soulève la difficulté à faire reconnaître les effets secondaires graves par les autorités régionales. Il explique remplir de longs formulaires qu’il envoie à l’officier médical de santé de la région et constate que son courrier lui est à chaque fois renvoyé ; les autorités ne cherchent jamais à pousser les investigations ou à dialoguer avec lui, préférant conclure à une simple coïncidence.

Charles Hoffe note également que les médias mainstream, contrôlés par le gouvernement qui leur alloue des subventions, refusent de rapporter sa parole et se conforment à ce que les autorités leur dictent. Il trouve néanmoins la possibilité de s’exprimer dans les médias alternatifs et invite les gens à éteindre la télévision et à s’informer sur ces nouveaux médias s’ils veulent connaître la vérité sur ce qu’il appelle « un crime contre l’humanité ».

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Auteur(s): FranceSoir




« Penser que l’on va revivre normalement est une arnaque », Michel Rosenzweig

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Philosophe, psychanalyste, Michel Rosenzweig est bien connu des lecteurs de France Soir pour ses écrits : un Entretien essentiel nous a permis de mieux comprendre son analyse de la crise.



Au début de la crise sanitaire, celui qui a participé au reportage Hold-up l’avoue ; il était inquiet et alarmiste. En juillet, après le déconfinement et avec des courbes épidémiques plates, il entre dans un nouveau processus de pensée. Il a alors la sensation d’être comme un canari dans une mine, cet oiseau que les mineurs emmenaient avec eux lorsqu’ils descendaient sous terre pour extraire le charbon. Très sensible aux émanations de gaz toxiques, impossibles à détecter pour les hommes ne bénéficiant pas d’équipements modernes, le petit oiseau jaune servait d’outil de référence : lorsqu’il mourait ou s’évanouissait, les mineurs sortaient de la mine afin d’éviter une explosion ou une intoxication imminente.

Dans cet Entretien essentiel, il nous partage les convictions qu’il a acquis au cours de son parcours en tant que canari : la gravité épidémique construite par des discours, le déni des traitements : pourquoi a-t-on décrété tout d’un coup que l’hydroxychloroquine était une molécule toxique ? Le dévoiement de la science et de la médecine, le silence du monde intellectuel… 

Un an après, Michel Rosensweig nous confie sa conclusion de canarie : « l’atmosphère devient irrespirable. ». Le narratif officiel ayant fait sécession du réel, il est urgent d’en construire un nouveau.

Auteur(s): FranceSoir




D’après l’expérience internationale, le passe sanitaire n’a aucun intérêt médical

Par Gérard Delépine

Acceptée sans vraie modification par le Conseil Constitutionnel, la loi scélérate instaure la discrimination par un passe prétendument sanitaire qui n’a pourtant aucune efficacité dans la lutte contre l’épidémie.

Rappel de faits avérés

Tous les 1300 marins du porte-avions Queen Elizabeth ont reçu leurs deux injections Covid depuis plus de 3 mois et bénéficieraient à ce titre d’un passe sanitaire s’ils étaient français (les juridictions britanniques ont refusé ce passe, jugé contraire aux droits fondamentaux). Après une escale, une épidémie de plus de cent cas s’est déclarée à bord chez ses vaccinés prouvant qu’un passe n’aurait protégé personne.

Tous les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus(([1] Ouest France Covid-19. Aux Pays-Bas, un millier de contaminés après un festival malgré l’usage du passe sanitaire
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-au-pays-bas-un-millier-de-contamines-apres-un-festival-malgre-l-usage-du-passe-sanitaire-b5f05ae6-e54f-11eb-8ee1-0deddf8c8ae2)) (dont une majorité de vaccinés !). Selon les informations de l’AD,(([2] https://www.sudinfo.be/id405517/article/2021-07-14/coronavirus-enorme-cluster-apres-un-festival-utrecht-pres-dun-millier-de)) au moins 448 festivaliers ont été infectés le premier jour et 516 le deuxième jour !

Tous les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont présenté des tests négatifs et porté des masques. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes(([3] El Pays Près de 2 300 personnes testées positives pour le coronavirus après avoir assisté à des festivals de musique en Catalogne
https://english.elpais.com/society/2021-08-05/nearly-2300-people-test-positive-for-coronavirus-after-attending-music-festivals-in-catalonia.html))(([4] L’express 5/8
https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/en-catalogne-des-festivals-tests-se-transforment-en-clusters-geants_2156128.html))(([5] Huffpost Covid: En Catalogne, des festivals-tests tournent au fiasco
https://www.huffingtonpost.fr/entry/covid-catalogne-festivals-tests-fiasco_fr_610add17e4b038cedb3b0ea5)): 466 participants au Vida Festival, 956 au Canet Rock, et 857 à la Cruïlla, soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents. Durant cette période, dans les groupes de contrôle (dont les participants ne se sont pas rendus au festival), ces chiffres sont de 197, 524 et 571. Ce surplus de contaminations confirme que ni les tests ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France, le passe n’empêche pas les clusters

Malgré leurs passe sanitaires, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

L’Autriche a instauré le passe le 1er juillet 2021 à une période où l’épidémie régressait (taux moyen lissé sur 7 jours : 79 nouvelles contaminations journalières). Le gouvernement demande la présentation d’un test PCR négatif ou un certificat de vaccination pour toutes les activités en contact avec un public, le rendant obligatoire pour l’accès aux restaurants, aux hôtels, aux théâtres, aux concerts, dans les stades ou les salles de sport.

Depuis l’instauration du passe, l’épidémie est repartie de plus belle et se stabilise à 6 fois la valeur d’avant passe (479 cas/jour).

La Grèce, espérant ainsi sauver sa saison touristique, a fortement milité pour la vaccination et le passe européen et a été la première à l’imposer à sa population après que le Premier ministre grec, Kyriákos Mitsotákis, ait promis

« nous pourrons fermer le dernier chapitre de cette crise sanitaire seulement si chacun possède à son bras le vaccin de la liberté ».

Mais l’inefficacité totale de ces mesures contre le variant delta et les restrictions récentes du gouvernement sur les cafés et les bars depuis ce 6 août consistant à interdire tous les espaces intérieurs aux personnes non vaccinées ont sonné le glas de ses espoirs.

Le mirage de retrouver la liberté et la clientèle touristique par la vaccination et le passe s’est évanoui.

L’inutilité du passe est habituellement reconnue en moins de 3 mois

À Moscou, il a été abandonné en moins d’un mois.

En Israël, il a été abandonné après deux mois, même si l’inefficacité maintenant évidente de l’injection Pfizer le fait à nouveau utiliser pour les très grands rassemblements.

Le 21 avril 2021, le Danemark avait fait le choix de mettre en place un coronapass en promettant qu’il était indispensable pour retrouver « la vie d’avant ». Mais le 14 juin 2021, 7 semaines plus tard, une majorité des députés a voté pour l’abandon immédiat des masques et l’abandon progressiF du passe.

Fin avril 2021, alors que l’épidémie régressait fortement, la Hongrie a choisi de rendre obligatoire la présentation d’un « certificat d’immunité », pour accéder aux hôtels, théâtres, ou salles intérieures des restaurants. Alors que la mortalité qui avait commencé de décroître plusieurs semaines avant le passe est maintenant proche de zéro, la carte d’immunité reste obligatoire sans aucune justification médicale pour les événements sportifs, les spectacles en salles fermées ou dans les événements accueillant plus de 500 personnes.

Combien de temps les Français supporteront-ils ce passe inefficace qui nie leur devise Liberté, Égalité, Fraternité ?

Le 31 juillet, plusieurs millions de personnes ont manifesté dans près de 50 villes de France avec pour seul slogan « Liberté ». Ils n’ont été entendus ni par les médias qui ont diffusé des chiffres de manifestants ridicules et faux, ni par le Président qui s’est moqué d’eux, ni par la justice, ni par le Conseil Constitutionnel dont le président est en conflit d’intérêts majeur(([6] le cabinet de conseil Mc Kinsey qui accompagne la Présidence de la République en France sur la politique vaccinale actuelle est également celui qui conseille dans le monde les principaux laboratoires pharmaceutiques pour leur développement commercial et l’un des directeurs associés du cabinet en France qui bénéficie de ce contrat de conseil de l’Élysée n’est autre que Victor Fabius le fils de Laurent Fabius, Président du Conseil constitutionnel, Conseil constitutionnel et passe sanitaire : Fabius en conflit d’intérêts ? www.economiematin.fr/news-passe-sanitaire-conseil-constitutionnel-conflit-interet-fabius-redaction)) avec le conseiller du Président de la République pour l’organisation de la vaccination, son propre fils et directeur du cabinet de conseil pour la France.

Samedi 7 août, nous devons redoubler d’efforts pour imposer qu’enfin la France redevienne une démocratie, par le peuple, pour le peuple souverain et non plus une république bananière où le gouvernement ment sans arrêt et où le lobby des vendeurs de pseudo-vaccins inefficaces dicte les lois en empêchant l’utilisation des traitements précoces performants.





Conseil Constitutionnel : « démocratie réelle et démocratie formelle »

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette formule de Marx fait suite à celle de Montesquieu : « le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument » ainsi que celle de Max Weber lorsqu’il différencie « légalité et légitimité » : ici, le 5 août, soit le lendemain de l’anniversaire de l’abolition des privilèges du 4 août 1789 en France, le Conseil Constitutionnel français a réinstauré l’idée de privilège inique associé de fait audit « passe sanitaire » qu’il vient de légaliser.

Ce qui fait que ce « Conseil » ne peut d’autant pas le rendre légitime que cette disproportion criante ne se justifie pas au vu de la réalité sanitaire effective et non pas construite.

La teneur de ce marquage est donc en réalité politique, et ce de bout en bout : il avalise ainsi une rupture d’égalité de fait, ce qui est pourtant anticonstitutionnel. Il y a même là parjure puisque l’article 2 de la DDH (qui fait partie du Bloc de constitutionnalité) est violé.

Ce qui implique a contrario, du moins s’il s’agit de préserver la démocratie réelle, de recourir à l’un de ses lemmes énonçant explicitement la  « résistance à l’oppression ».

Qu’il s’agisse par exemple de la réalité médicale, la « proportionnalité » et l’« équilibre » liés à la notion « d’état d’urgence » s’avèrent bafoués puisque cette maladie n’est guère létale et il existe de plus en plus de traitements fiables sans passer par une injection expérimentale de plus en plus hasardeuse en particulier pour les personnes ayant une immunité solide et pas de comorbidité.

Qu’il s’agisse également des principes fondamentaux tels que la liberté, l’égalité et la propriété, ils sont pour l’heure suspendus dans les faits. Or la philosophie de l’État de droit fait que « quoiqu’il en coûte » ces pierres d’angle forgeant toute démocratie réelle doivent être défendues bec et ongles, y compris en temps de « guerre ». C’est une donnée intangible qui fait dire par exemple au niveau du droit international que les démocraties ne peuvent recourir aux mêmes moyens que les dictatures, puisque précisément elles sont fondées sur des droits imprescriptibles coextensifs à la notion même de personne humaine, excluant torture, y compris mentale (extorsion de consentement à être injecté au risque de perdre son emploi), dégradation (obligation de porter des marques infamantes, de ne plus se toucher fraternellement — injustifiées médicalement lorsque l’on n’est pas malade), discrimination (obligation de justifier son état de santé, ce qui est une violation du secret médical, pour une maladie très peu létale).

Pourtant le Conseil Constitutionnel français, faisant suite au Conseil d’État, a avalisé ces mesures iniques qui marqueront au fer rouge son histoire politique.

Ne parlons pas, sinon en passant, de tous ceux qui ont eux aussi basculé du « côté obscur de la Force », puisqu’il s’agit d’observer que l’offensive actuelle n’a plus rien de « sanitaire » et oblige de relier toutes les autres attaques entre elles, ne serait-ce que, en dernier lieu, cette volonté de l’UE de cataloguer les huiles essentielles comme « toxiques » (dont la lavande), le tout pour empêcher en réalité qu’une naturopathie effective face pièce au tout chimique d’une politique qui prône d’un côté les « énergies renouvelables » et de l’autre veut les interdire en matière de santé…

D’où l’idée que ces diverses offensives (y compris celle prônant « l’urgence climatique », alors que « le climat a toujours “changé” » disait feu Marcel Leroux et que la Terre a pu y répondre comme l’indique — entre autres — Patrick Moore, cet ancien de Greenpeace) sont des attaques circonstanciées visant à forcer toute une société à se « déconstruire » en vue d’être « reconstruite » tel un lego géant selon le Modèle cybernétique de la bionumérisation du monde, le tout formaté par une Secte hygiéniste affairiste qui veut à tout prix faire de l’Histoire humaine une matière première politique visant à la marquer ainsi de leur trace; à la manière de tous ces noms célèbres parsemant les dictionnaires qui n’ont pas fait que renouveler, inventer, mais bouleverser le Cours du Monde :

« (…) Celui qui reconnaît pour sa tâche essentielle l’action efficace au sein de l’Histoire ne peut pas préférer l’action artistique. L’art agit mal et agit peu. Il est clair que, si Marx avait suivi ses rêves de jeunesse et écrit les plus beaux romans du monde, il eût enchanté le monde, mais ne l’eût pas ébranlé.

Il faut donc écrire Le Capital et non pas Guerre et Paix.

Il ne faut pas peindre le meurtre de César, il faut être Brutus. (…) »

Maurice Blanchot (Maître de Michel Foucault, Deleuze, Derrida…) L’espace littéraire, 1955., Gallimard p. 284.

Cette démesure doit être combattue et il s’agit maintenant de faire en sorte que se réunissent, de manière non partisane, toutes les forces éprises de liberté, d’égalité et de fraternité, cette devise venant d’être piétinée sous nos yeux, avec l’aval de la plupart des forces institutionnelles et intellectuelles (ainsi Médiapart a censuré un article de Laurent Mucchielli pourtant très proche de cette structure que j’avais par ailleurs critiqué dans Disparation du crime dans la sociologie contemporaine). Ces forces sont devenues les soutiens effectifs de cette démocrature « illibérale » en marche. Toutes sont devenues elles aussi illégitimes.




La solution c’est VOUS !

[Source : zonefr.com]

Par Patrick Jaulent

La solution c’est VOUS !

La solution, l’angle, l’avantage que tout le monde recherche pour vaincre cette tyrannie est là depuis le début. Les gens sont toujours à la recherche de réponses, de solutions, de lois ou de quelqu’un pour montrer la voie, alors que la réalité est que la solution a toujours été simple. Cela ne nécessite même pas de pensée critique, d’analyse ou de recherche. Elle n’exige qu’une boussole morale et de l’intégrité.

La solution, c’est VOUS !

Ce combat pour notre liberté est un combat en nous-mêmes. Les écrans de fumée font croire à tout le monde que c’est une bataille de « nous contre eux« , mais quand vous tirez sur ce fil jusqu’à ce que vous ne puissiez plus tirer, et que vous vous regardez dans le miroir, au cœur de cela, c’est une question de résolution en soi.

C’est lâcher tout bruit extérieur, vous dire quoi faire, comment le faire et en quoi croire. C’est aller à la racine de ce qui vous empêche de vous défendre, de fixer des limites, de parler librement et d’honorer les libertés données par Dieu qui ont l’impression d’être dépouillées, parce que vous êtes incapable de désobéir aux tyrans.

Les règles ont été établies, et on vous a toujours dit de suivre les règles. Mais que se passe-t-il si les règles vont à l’encontre de votre droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur ? Que se passe-t-il si ceux qui créent les règles ne vous ont pas dans leur meilleur intérêt ? Les suivez-vous aveuglément, même si vous savez que vous vous soumettez à la destruction même de votre gagne-pain ?

Le problème n’est pas ce que les autres vous disent, comment ils vous regardent ou ce qu’ils exigent de vous – le problème réside dans la façon dont vous choisissez d’y réagir.

Si votre préoccupation générale concerne ce que les autres pensent de vous, alors vous pouvez être prêt à sacrifier vos libertés, votre moralité et votre intégrité. Prendre un chemin différent et se démarquer dans la foule terrifie souvent les gens, même si c’est la bonne chose à faire. Ceux qui commettent les écrans de fumée le savent très bien et l’utilisent à leur avantage tout en instillant la peur, la culpabilité et la honte. Une fois qu’ils ont injecté ce cocktail, il est difficile pour beaucoup de gens d’en sortir et de le voir pour ce qu’il est – la manipulation.

Lorsque vous savez que vous faites ce qui est juste, ce qui est juste et ce qui est compatissant, vous ne vous souciez plus de ce que les autres pensent, de la façon dont ils vous perçoivent ou de la façon dont ils peuvent vous regarder, parce que ce sont leurs propres peurs qui causent ces réactions.

Certains sont remplis à ras bord de colère contre ce virus, le pass sanitaire, le vaccin, l’économie et la corruption à chaque coin de rue, tout en ressentant un sentiment d’impuissance.

Encore une fois, la solution, c’est VOUS.

Cet événement de virus n’est pas un combat que nous menons contre le gouvernement, ni un combat que nous menons dans les rues, c’est une bataille interne qui doit être gagnée pour que tous marchent la tête haute, leur boussole morale indiquant la voie, tout en disant NON à tout cela.

Qu’est-ce que c’est que tout cela ? Qu’est-ce qui mettrait fin à cela rapidement ?

Ouvrez votre entreprise, gagnez votre vie et nourrissez votre famille. Si vous ne souhaitez pas porter de masque, ne le faites pas. Sortez dans la nature et n’hibernez pas chez vous. Recevez-vous des appels ou frappez-vous à votre porte de la part d’un « traceur de contacts » ? Vous n’avez pas à répondre ou à répondre, et vous n’avez certainement pas à les laisser entrer dans votre maison sans mandat. Atteindront-ils un point où ils essaieront de vous intimider en vous faisant une amende si vous ne le faites pas ? Très probablement. Ne payez pas l’amende. Vont-ils vous arrêter et vous emmener en prison pour ne pas l’avoir payé ? Peu probable, mais ils en sélectionneraient sûrement quelques-uns pour en faire un exemple. Voulez-vous réconforter vos peurs ou voulez-vous vivre votre vie dans la dignité ?

N’y pensez pas trop ou ne compliquez pas trop les choses. Ne restez pas assis et n’attendez pas d’être secouru, car si l’on ne peut pas défendre ses propres libertés et ne compter que sur les autres, nous serons tous coincés dans la même chaîne temporelle que celle dans laquelle nous nous trouvons en ce moment.

Les gens doivent libérer les « dirigeants » et reconnaître que vous « gouvernez » en fin de compte votre propre vie. Nos choix créent le monde dans lequel nous vivons et regardent où nous en sommes.

Vous pouvez vous asseoir et évaluer les répercussions de chaque action légitime que vous prenez, et essayer de « peser », ou vous pouvez réellement faire quelque chose à ce sujet en faisant ce que vous savez être juste, indépendamment des répercussions. C’est vivre votre vérité.

Si tout le monde se retirait en raison de répercussions potentielles, il n’y aurait jamais de mouvement vers l’avant, mais si la majorité se levait, cela éliminerait les répercussions pour tous parce qu’ils n’ont pas la main-d’œuvre pour contrôler les masses. 

Vous ne craignez pas le résultat, et vous savez que vous serez capable de naviguer aussi longtemps que vous vivez par votre boussole morale, parce que l’alternative est la soumission et l’auto-sabotage, et vous n’avez aucune intention de vendre votre âme.

Si tout le monde, ou même 1/3 de la population s’honorait et honorait sa famille en défendant ses libertés, il n’y aurait pas besoin de protestations, d’arguments ou d’essayer de réveiller les gens.

Dites non à la tyrannie. Dites non aux dirigeants. Et très certainement dire non à tous ceux qui menacent vous et les droits constitutionnels de votre famille, les libertés et la survie.

N’arrêtez jamais d’avoir de la compassion pour l’humanité, votre prochain ou même la personne qui vous agace au travail, car leurs libertés comptent tout autant que les vôtres. Permettre aux tyrans de vous gouverner en évinçant un voisin, est leur stratégie : celle de diviser pour régner. Les vax contre les antivax !

Ils prétendent avoir beaucoup plus de pouvoir sur vous qu’ils n’en ont vraiment, et ils font la propagande de chaque incident qu’ils peuvent, pour s’assurer que la peur s’imprègne vraiment dans vos pores. Bien sûr, ils convaincront certains membres des forces de l’ordre de frapper à votre porte, de vous intimider ou peut-être même de vous arrêter pour créer un spectacle et plus de peur. Ces membres opèrent à partir de l’obéissance et de leur propre niveau de peur, tout comme vous.

Comment pouvez-vous les tenir responsables si vous ne défiez pas vous-même les règles ?

En disant NON, et en avançant dans votre vie, la tête haute, allez-vous responsabiliser les autres autour de vous ? Absolument! I

ll y a une mentalité de mouton et des études ont prouvé maintes et maintes fois, qu’il suffit d’une seule personne. Pensez-vous une minute que les gens veulent se promener avec des masques ? Personne n’en a envie. Bien sûr, il peut y en avoir qui le font, mais seulement par peur.

Parfois, les gens ont besoin du courage de faire ce qu’ils pensent être juste dans leur cœur, et parfois ce courage vient de l’observation du courage d’une autre personne. Imaginez l’effet d’entraînement de l’autonomisation, en ouvrant simplement la voie.

Cela se résume vraiment à ça dans les termes les plus simples. Il y a plus de 66 millions d’habitants en France.

Nous sommes plus nombreux que les tyrans !

Nous savons que nous avons raison et nous savons qu’ils essaient de nous priver de nos libertés. Devinez quoi ?

Ils ne peuvent pas y arriver. Pas dans nos esprits, pas dans notre âme, et pas dans le monde physique. Nous avons gravé cela dans le marbre, dans notre esprit et dans notre cœur, et nous suivons cette boussole morale et nous nous tenons debout et fiers pour nous-mêmes, notre famille et notre pays.

C’est aussi simple que cela. Ils ne vous possèdent pas, ils veulent juste que vous pensiez qu’ils vous possèdent. Aimez-vous. Aimez votre famille. Aimez votre prochain. Vous n’avez pas été mis sur cette terre pour être un paillasson – vous avez été mis ici pour faire des choses profondes, alors honorez-vous et laissez ceux qui vous entourent s’honorer, et ensemble, nous serons plus forts.

S’il n’y a jamais eu un moment pour se regarder dans le miroir, pour rassembler le courage et pour être courageux, c’est maintenant. »
 

Patrick Jaulent
PhD Stanford University (texte écrit après la pizza du soir)


[Voir aussi : La clef de la libération
Note sur les problèmes et les opportunités]




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




5G La nouvelle utopie

[Source : recit.be]

Par Miguel Coma

Table des matières

Introduction

  1. La technologie 5G en bref (version simplifiée)
  2. Arguments Sanitaires
    • Des milliers d’études scientifiques démontrant des impacts biologiques
      • National Toxicology Program (USA)
      • Institut Ramazzini (Italie)
      • BioInitiative (International)
    • Risques sanitaires posés par les caractéristiques des ondes de la 5G
      • Des fréquences encore inexploitées dans les réseaux mobiles
      • Des faisceaux concentrés ciblant directement les personnes
      • Une exposition permanente à de fortes puissances
      • Un échauffement supérieur de la peau mais plus encore
      • Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO
      • Mises en garde sur les ondes millimétriques
      • Conclusions sanitaires concernant les caractéristiques des ondes de la 5G
    • Problèmes posés par les “directives de sécurité”
    • Sensibilité du vivant aux caractéristiques des radiofréquences
      • Intensité du rayonnement
      • Fréquence porteuse du rayonnement
      • Modulation et pulsation du rayonnement
      • Polarisation du rayonnement
    • Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques
      • Cancer et tumeurs cancéreuses
      • Effets sur l’ADN cellulaire
      • Effets sur la fertilité
      • Maladies et malformations congénitales
      • Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques
      • Apoptose ou mort cellulaire
      • Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres
      • Troubles cardiaques
      • Maladies dégénératives
      • Hypersensibilité Électromagnétique (HSEM ou EHS)
      • Effets sur le système endocrinien (hormonal)
      • Effets sur le système immunitaire
    • Mécanismes d’action des champs et rayonnements électromagnétiques
    • Conclusions sur les impacts sanitaires de la 5G
  3. Arguments environnementaux
    • Impacts significatifs de la 5G sur la consommation électrique
      • Consommation électrique du numérique et de la 4G en 2019
      • Facteurs d’évaluation du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Efficacité énergétique du réseau 5G : des questions encore sans réponse
      • Estimation minimale du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Inconnues sur la consommation électrique des terminaux 5G
    • Impacts énergétiques liés à la production de matériel 5G
    • Consommation énergétique de la 5G: synthèse
    • Impact de la 5G sur le changement climatique/span><
    • Pollutions intrinsèques aux équipements télécoms 5G
      • 5G, lithium et besoins en eau
      • Une exploitation minière extrêmement polluante et dénaturant le paysage
      • Une catastrophe écologique et sanitaire liée aux terres rares et à la délocalisation
      • Des décharges monumentales et un recyclage improbable voire impossible
      • Conclusions au sujet des pollutions intrinsèques de la 5G
    • Raréfaction des ressources naturelles et décroissance accélérée
    • Impacts sur la faune et la flore
    • Impact environnemental des ondes millimétriques
      • Effets thermiques sur les organismes et organes exposés de petite taille
      • Mise en résonance des organismes exposés de petite taille
      • Impact sur les bactéries et résistance aux antibiotiques
      • Abattage des arbres entravant la propagation des ondes millimétriques
      • Interférences avec les prévisions météo et le suivi du changement climatique
    • Vers un Internet plus durable
    • Conclusions sur les impacts environnementaux de la 5G
  4. Arguments économiques
    • Une industrie mobile en permanente mutation
    • Les promesses économiques de la 5G
    • Les failles du Plan d’Action 5G européen
    • Les intérêts économiques des acteurs de la 5G
      • Les intérêts des constructeurs de matériel 5G
      • Les intérêts des Etats
      • Les intérêts du monde académique
      • Les intérêts des opérateurs
    • Le dilemme des opérateurs de téléphonie mobile
      • Une industrie déjà en grande difficulté économique
      • Après l’échec économique de la 4G, le gouffre de la 5G
        • Les opérateurs critiques face à la 5G
        • Le dilemme de l’opérateur prisonnier de la 5G
        • La 5G implique une hausse spectaculaire des coûts pour les opérateurs
        • Des réductions des coûts aux impacts limités et incertains
        • Des revenus sans hausse significative attendue
        • Un retour sur investissement plus qu’incertain
      • Les opérateurs développent des stratégies de survie
    • Pertes économiques collatérales causées par la 5G
    • Conclusions sur les impacts économiques de la 5G
  5. Arguments légaux et régulatoires
    • Le déploiement mondial de la 5G est contraire aux Lois internationales
    • Les “limites de protection” sont définies sur des bases pseudo-scientifiques
    • La science biaisée par l’industrie
    • L’ICNIRP est sous le contrôle de l’industrie
    • Conclusions sur les problèmes légaux et régulatoires liés à la 5G
  6. Arguments démocratiques et sociétaux
    • Des appels internationaux alarmants
    • Les associations citoyennes en action
    • Opinion majoritaire contre la 5G et mobilisation
    • La place du vivant, des écosystèmes et des ressources dans notre société
    • Des conditions de vie inhumaines liées à l’extraction des minerais
    • Les objets connectés et la protection de la vie privée
    • La 5G : une menace à la sécurité des personnes, des données et des nations
      • Une cybercriminalité en hausse et de plus en plus organisée
      • La 5G pose de nouveaux risques pour les vies humaines
      • Des faiblesses de sécurité inhérentes à la conception de la 5G
      • La sécurité nationale et l’équilibre géopolitique mis à mal par la 5G
    • La 5G pose des questions d’ordre éthique
      • Le changement climatique mènera-t-il à la régression ou à l’évolution de la société ?
      • La 5G : expérimentation de masse
      • Des personnes hypersensibles bannies de la société
      • Des phénomènes d’addiction à la technologie
      • La 5G : nécessité, besoin, ou envie ?
      • La place de l’humain dans un monde tout-connecté
      • L’Intelligence Artificielle et le soulèvement des machines
      • La 5G ouvre la voie vers un monde hypermnésique
      • La place des mondes virtuels dans le monde réel
      • L’industrie aux manettes de l’OMS et du pouvoir ?
      • Les dérives du capitalisme de surveillance
      • Une hausse de la fracture numérique
      • La censure des anti-5G et l’absence d’un vrai débat citoyen
    • Conclusions sur les impacts sociétaux de la 5G
  7. Faux arguments sur la 5G
    • Faux arguments technologiques
      • Il n’y aurait pas d’alternative à la 5G pour le futur de la connectivité169 LE MYTHE DE LA 5G169 LE RÔLE DU CÂBLE ET DE LA FIBRE OPTIQUE
      • La 5G serait indispensable à l’innovation dans de nombreux secteurs
      • Les besoins futurs en vitesse ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en latence ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en capacité ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • La 5G est une vision déconnectée de la réalité
        • L’Internet des Objets aurait besoin de la 5G
        • La Réalité Virtuelle et Augmentée auraient besoin de la 5G
        • Le secteur de la santé tirerait profit de la 5G
        • Les véhicules autonomes auraient besoin de la 5G
        • Les drones auraient besoin de la 5G
        • Les réseaux intelligents auraient besoin de la 5G
        • L’accès mobile à large bande aurait besoin de la 5G
        • La mobilité accrue aurait besoin de la 5G
        • Les communications en temps réel auraient besoin de la 5G
        • Les services de secours auraient besoin de la 5G
        • La robotique industrielle aurait besoin de la 5G
        • Les prévisions météo seraient améliorées grâce à la 5G
    • Faux arguments sanitaires
      • La 5G remplacera les 2G et 3G et il n’y aurait donc pas plus de danger
      • La 5G nous exposerait à moins de danger que la 4G
      • Les antennes de la 5G seraient moins puissantes et donc moins nocives
      • Les effets des ondes millimétriques sur la santé seraient négligeables
      • Les ondes 5G n’auraient pas assez d’énergie pour endommager nos cellules
      • Les ondes de la 5G ne cibleraient que les appareils qui en ont besoin
      • La 5G nous exposerait moins par ses transferts de données plus courts
      • La portée réduite des ondes de la 5G réduirait le danger
      • Les bâtiments nous protégeraient des ondes de la 5G
      • La 5G serait moins nocive que les rayons du soleil
      • La 5G serait nécessaire pour sauver des vies
      • La toxicité cancéreuse des radiofréquences ne serait pas un problème
      • Il n’y aurait pas d’explication plausible à l’impact sanitaire des radiofréquences
      • Les études scientifiques indiquant un risque sanitaire seraient biaisées
    • Faux arguments environnementaux
      • La 5G serait plus efficace énergétiquement que les précédentes générations
      • La 5G soutiendrait les économies d’énergie dans d’autres secteurs
  8. La sonnette d’alarme avant le basculement ?
  9. L’alternative à la 5G
    • Un déploiement de la 5G ciblé à ses bénéficiaires
    • Des alternatives câblées et sans fil
    • L’heure des choix décisifs pour notre avenir connecté
    • Une vision alternative de la connectivité

Conclusions

Annexes

La technologie 5G en bref (pour les geeks)

Liste non exhaustive de substances nécessaires à la production de smartphones

Glossaire

Abréviations

Quelques extraits

« Les êtres humains sont des systèmes bioélectriques. Nos cœurs et nos cerveaux sont régulés par des signaux bioélectriques. L’exposition à des Champs Électro-Magnétiques artificiels (CEM) peut interagir avec les procédés fondamentaux du corps humain La corrélation entre l’exposition aux CEM et les cancers et maladies neurodégénératives est suffisamment forte pour mériter des actions préventives. Les normes actuelles sont loin d’être adéquates pour protéger la santé publique. »

En 2007, sur ces bases scientifiques, le groupe formule une recommandation d’intensité maximale d’exposition aux antennes mobiles, revue en 2012 suite à l’analyse des nouvelles études. L’intensité recommandée est 3 millions de fois inférieure à la limite internationale. En raison du manque d’études sur les expositions à long terme ou sur les populations plus sensibles comme les enfants, cette recommandation tient compte du principe de précaution. En effet, des effets biologiques ont été observés à partir de niveaux 300 000 fois inférieurs à la limite actuelle définie par l’ICNIRP depuis 1998.

Le Dr Agostino Di Ciaula, MD, de l’Azienda Sanitaria Locale Barletta-Andria-Trani (Italie), publie en février 2018 :

« Des observations préliminaires ont montré que les ondes millimétriques augmentent la température de la peau, modifient l’expression des gènes, favorisent la prolifération cellulaire et la synthèse des protéines liées au stress oxydant, aux processus inflammatoires et métaboliques, pourraient générer des dommages oculaires, affecter la dynamique neuromusculaire. » (notre traduction)

Conclusions concernant les limites d’exposition :

  • Une révision à la baisse des limites d’exposition est absolument nécessaire pour préserver la santé des citoyens. Ceci implique non seulement une diminution des normes en fonction des recommandations publiées par le monde médical et scientifique, conformément au principe ALARA50, en particulier dans les lieux où séjournent des enfants, des femmes enceintes, des malades, des personnes âgées, mais également une remise en cause complète des fondements mêmes des “directives de sécurité” afin de tenir compte des résultats des études scientifiques indépendantes et des connaissances accumulées en matière d’impact sanitaire des rayonnements.
  • Cette demande est appuyée par un grand nombre de scientifiques et de membres du corps médical
  • La révision à la baisse des normes d’exposition pour protéger la population demandera un courage politique certain.

Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques

Nous avons tenu à répertorier très sommairement les effets sanitaires déjà identifiées lors des expositions aux rayonnements de radiofréquences à ce jour. Chaque maladie ou trouble mériterait bien sûr un traitement bien plus détaillé et en profondeur, mais ce n’est pas le propos de ce rapport qui adopte une perspective large des problématiques.

Vu le nombre important d’études scientifiques disponibles sur le sujet, et afin d’éviter d’alourdir notre rapport, nous référons le lecteur aux listes bibliographiques en fin de dossier du rapport ondes.brussels de novembre 201888.

Lorsqu’un effet sanitaire est repris par le Conseil Supérieur de la Santé en Belgique en 2019, nous y référons le lecteur en bas de page.

Sans doute est-il utile de mentionner que toutes les conséquences sanitaires des technologies déjà en place n’ont pas encore été entièrement révélées. Des pathologies comme le cancer, par exemple, se développent sur le long terme. Ainsi se peut-il qu’il faille plusieurs décennies d’exposition avant que des augmentations significatives de cas ne soient rapportées.

Cancer et tumeurs cancéreuses

Le CIRC89 a classé en 2011 les émissions de hautes fréquences (radiofréquences / micro-ondes) parmi les substances cancérogènes possibles (classe 2B). Il est prévu que cette classification soit réévaluée avant 2024. Compte tenu des études les plus récentes sur le sujet et selon l’avis de nombreux scientifiques (dont ceux de l’institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale), il est probable que les émissions de hautes fréquences soit classées au niveau cancérogène certain (classe 1).

Les nombreuses études réalisées sur cette catégorie ont identifié entre autres les effets suivants:

  • initiation, promotion et progression tumorale
  • invasion tissulaire
  • métastases

Les types de cancers et tumeurs aggravés et/ou causés par les radiofréquences selon ces études sont les suivants :

  • Tumeurs cérébrales malignes ou bénignes dont gliomes90 (tumeurs malignes des cellules gliales) et neurinome de l’acoustique (tumeur bénigne du nerf acoustique) :
    • En lien avec l’utilisation du téléphone mobile
    • Plausibilité d’une relation de cause à effet renforcée par l’apparition de tumeurs homolatérales, c’est-à-dire des tumeurs qui se développent du côté de la tête où le téléphone a été majoritairement utilisé. Une équipe de chercheurs s’est notamment intéressée à l’incidence du type le plus malin de tumeur cérébrale, le glioblastome multiforme, en Angleterre entre 1995 et 2015. Dans un article publié en juin 201891, les auteurs montrent une augmentation linéaire, importante et statistiquement très significative des tumeurs primaires de type glioblastome multiforme sur cette période de 21 ans, en particulier dans les lobes frontaux et temporaux du cerveau, à savoir les parties les plus exposées aux rayonnements provenant du téléphone portable sans fil.
  • Tumeur de la glande parotide
    • En lien avec l’utilisation du téléphone portable
  • Leucémie92
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Lymphome (cancer du système lymphatique)
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Cancer du sein

Concernant les effets cancérologiques encore à étudier, ils sont repris à la section Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO.

Certains types de tumeurs du cerveau pourraient être expliquées par une action néfaste (seule ou en combinaison avec d’autres facteurs) des rayonnements de radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique dont le rôle est de filtrer les agents toxiques présents dans le sang afin qu’ils ne pénètrent pas dans le cerveau.

Effets sur l’ADN cellulaire

Divers effets ont été constatés confirmant un effet sur l’ADN, qui est la molécule essentielle à toute forme de vie connue et contenant le code génétique.

On constate les effets suivants sur l’ADN suite à une exposition à des rayonnements non ionisants du type micro-ondes utilisé par les télécommunications mobiles :

  • ruptures simple brin et double brin
  • effets sur les bases oxydées dans l’ADN cellulaire
  • mutations chromosomiques produites par les ruptures double brin d’ADN

Des dommages à l’ADN peuvent apporter une explication plausible notamment à l’apparition de tumeurs cancéreuses, de problèmes de fertilité, de maladies congénitales ainsi que de malformations.

Les dommages causés à l’ADN par les rayonnements de radiofréquences sont aujourd’hui largement établis mais les conséquences génotoxiques et mutagènes des rayonnements électromagnétiques non ionisants sont encore controversées.

Le lien entre exposition aux rayonnements de radiofréquences et mutations semble pourtant bien observé, sur base d’expériences scientifiques. Voir également la section Maladies et malformations congénitales.

Effets sur la fertilité

Les rayonnements de radiofréquences utilisés par la téléphonie mobile et le sans-fil en général, peuvent avoir des conséquences multiples sur la fertilité féminine et masculine, observées dans la littérature scientifique :

  • Fertilité masculine
    • remodelage tissulaire au niveau des testicules
    • baisse du nombre de spermatozoïdes, de leur motilité et autres paramètres des spermatozoïdes
  • Fertilité féminine
    • remodelage ovarien
    • chute des ovocytes (follicules)
    • baisse des taux d’œstrogène, de progestérone et de testostérone (taux des hormones sexuelles)
    • augmentation du risque de fausse couche
    • baisse de libido

Maladies et malformations congénitales

Vu le caractère aléatoire des gènes endommagés, il serait vain de tenter de dénombrer de façon exhaustive les maladies congénitales et malformations potentielles liées à l’exposition aux radiofréquences. Nous ne citerons donc qu’une seule étude à ce sujet afin d’illustrer le potentiel de dommages sur le vivant. Ensuite, nous identifierons les mécanismes par lesquels des conséquences à long terme peuvent apparaître sur le génome et en particulier celui de l’humain.

Des malformations congénitales ont été observées chez les poulets suite à une exposition à la téléphonie mobile. Une étude93 de 2012 exposant les poulets de façon intermittente (quatre fois 15 minutes par jour), a observé notamment des embryons plus gros, des saignements sous- cutanés, des malformations cérébrales, une augmentation de la croissance des yeux, une augmentation significative de l’épaisseur de la rétine de l’œil ainsi que d’autres problèmes rétiniens.

Ainsi, bien qu’encore peu nombreuses, des études existent sur le sujet des dommages congénitaux en lien avec l’exposition aux rayonnements des technologies sans fil. Elles indiquent que des malformations et maladies congénitales peuvent apparaître dès la première génération exposée.

Plus inquiétant encore, certains dommages causés aujourd’hui à l’ADN et pouvant mener à des malformations ou maladies congénitales sont susceptibles d’être transmis aux générations suivantes.

Les conséquences peuvent ne pas apparaître directement mais seulement après plusieurs générations94 :

« Croyez-le ou non, la perte de fertilité induite électromagnétiquement est la bonne nouvelle puisque cela signifie que les embryons gravement endommagés sont moins susceptibles d’être conçus. La mauvaise nouvelle est que tout gène endommagé nécessaire au développement de l’embryon mais non nécessaire au fonctionnement normal de l’ovule ou du sperme, ne sera pas éliminé de cette manière. Ces gènes peuvent encore trouver leur chemin dans le fœtus et causer des dommages génétiques permanents. L’effet peut ne pas être apparent dans la première génération puisqu’un gène non fonctionnel d’un parent peut souvent être compensé si l’autre parent fournit une bonne version du même gène. En fait, de graves problèmes peuvent ne pas survenir pendant de nombreuses générations jusqu’à ce que par hasard deux versions défectueuses du même gène se retrouvent dans le même fœtus. Ce qui se passe alors dépend du gène concerné, mais il est peu susceptible d’être bénéfique et peut être mortel ». (notre traduction)

Barrie Trower, retraité de la Royal Navy britannique, expert de longue date en armement basé sur les micro-ondes, a ainsi développé une large connaissance liée à leurs effets sanitaires (volontaires dans ce cas précis). Il détient un profil rare combinant des connaissances en physique et en physiologie. Il nous met particulièrement en garde sur les risques de dommages irréparables aux cellules humaines les plus vulnérables : les ovules des jeunes filles.

Militant contre l’installation du Wi-Fi dans les écoles, voici un court extrait de son témoignage assermenté devant la Cour de Portland (Oregon, USA)95 :

« Le problème posé aux jeunes filles est que l’irradiation par micro-ondes endommagent la structure génétique dans leurs ovaires. Les filles naissent avec tous les ovules dont elles ont besoin dans leurs ovaires. Ce sont des œufs immatures, donc sensibles aux dommages pendant la croissance. Les micro- ondes sont génotoxiques (des expériences montrent qu’un rayonnement de téléphonie mobile de bas niveau sur des enfants perturbe la biochimie des cellules folliculaires dans l’ovaire), par conséquent, l’irradiation par micro-ondes pourrait affecter la structure génétique dans les ovules. Le problème est ici que l’ADN mitochondrial, les gènes à l’intérieur des ovaires, est irréparable. Si vous avez une petite fille chez qui il y a des dommages, par ce mécanisme, à la structure génétique de l’un de ses ovules et qu’elle a une fille, cette fille portera ce problème génétique. C’est irréparable. Et sa fille portera à son tour ce problème génétique, car il est irréparable. Et chaque femme pour toujours, dans cette lignée, portera ce problème à perpétuité, car il est irréparable. » (notre traduction)

Andrew Goldsworthy cité plus haut conclut son étude ainsi :

« La conclusion générale est que les dommages génétiques causés par l’exposition aux rayonnements électromagnétiques peuvent avoir un effet presque immédiat sur la fertilité, mais que les dommages à la progéniture peuvent prendre plusieurs générations à apparaître. Si nous ne faisons rien pour limiter notre exposition aux rayonnements électromagnétiques, nous pouvons anticiper un lent déclin de la viabilité du génome humain pour de nombreuses générations à venir. Il est ironique qu’ayant tout juste découvert le génome humain, nous nous sommes déjà mis à le détruire systématiquement. » (notre traduction)

Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques

De nombreux effets cognitifs ou neurologiques étudiés dans la littérature scientifique, seraient en lien avec l’exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels :

  • troubles du sommeil/insomnie
  • fatigue/fatigabilité
  • maux de tête
  • dépression/symptômes dépressifs
  • manque de concentration/attention/déficience cognitive, TDAH
  • étourdissements/vertiges
  • troubles de la mémoire
  • nervosité, tension, anxiété/stress/agitation, irritabilité
  • troubles du comportement et du langage chez l’enfant96
  • démence, voir aussi maladie d’Alzheimer
  • différentes formes d’autisme
  • acouphènes
  • tremblements

L’humain est un être électromagnétique dont les fonctions sont régulées par des extrêmement basses fréquences, qui sont présentes naturellement sur Terre.

Notre nature électromagnétique est confirmée notamment dans une étude de 2018 qui indique que la fréquence de 10 Hz97 correspond à celle des ondes alpha du cerveau. Son utilisation dans les signaux pulsés du Wi-Fi, perturbe l’horloge biologique interne et l’électro-encéphalogramme des sujets même des heures après l’exposition aux ondes, et ce à des niveaux bien en-dessous des limites de sécurité.

Une action néfaste des radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique protégeant le cerveau d’agents toxiques présents dans le sang, pourrait également jouer un rôle dans l’apparition de troubles cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques.

Apoptose ou mort cellulaire

Le processus d’apoptose intervient dans l’apparition de maladies neurodégénératives ainsi que dans l’infertilité, explorées plus haut. Il est donc utile d’indiquer que cette mort cellulaire peut expliquer le lien entre une exposition aux rayonnements de radiofréquences et ces catégories de pathologies. Cependant, les mécanismes biologiques complexes impliqués dans l’apoptose dépassent le cadre de ce rapport.

Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres

Les radicaux libres interviennent dans des mécanismes importants causant un stress oxydant, impliqué dans les maladies chroniques, le vieillissement précoce, ainsi que les dommages à l’ADN cellulaire. Ce rapport n’a pas pour ambition de traiter ces processus complexes délétères. Il est néanmoins utile de garder à l’esprit le rôle néfaste que peut jouer le stress oxydant suite à une exposition aux ondes des télécommunications sans fil.

Troubles cardiaques

Divers troubles cardiaques parfois mortels ont été étudiés et identifiés dans le cadre d’études

sur l’exposition humaine aux rayonnements radiofréquences :

  • tachycardie
  • arythmie
  • bradycardie
  • arrêt cardiaque (infarctus)

Maladies dégénératives

Des études rapportent que les rayonnements de radiofréquences peuvent contribuer à l’apparition de :

  • maladie d’Alzheimer
    Cette maladie dégénérative apparaît à des âges de plus en plus précoces.
    Selon le Prof. Dominique Belpomme98, il existe une vingtaine d’études épidémiologiques indiquant un lien entre l’exposition aux champs électromagnétiques et la maladie d’Alzheimer.
  • sclérose latérale amyotrophique

Ces maladies sont énumérées dans une méta-étude de 202099 reprenant une vue très large couvrant 5400 études dans la littérature scientifique.

Hypersensibilité Electromagnétique (HSEM ou EHS)

Il existe une forte présomption de causalité entre la pollution électromagnétique toujours croissante liée aux technologies sans fil, et un véritable problème épidémique voire pandémique faisant de plus en plus de victimes parmi les personnes électro-hypersensibles (HSEM ou EHS).

L’OMS a bien identifié ce trouble mais n’admet pas l’existence d’un lien de cause à effet avec les champs et rayonnements électromagnétiques, prétextant le manque d’études scientifiques à ce jour100. Elle n’admet pas non plus qu’on puisse en faire un diagnostic médical. Elle se contente d’en énoncer les symptômes sans pouvoir établir un lien avec les causes : symptômes dermatologiques (rougeurs, picotements et sensations de brûlure), des symptômes neurasthéniques et végétatifs (fatigue, lassitude, difficultés de concentration, étourdissements, nausées, palpitations cardiaques et troubles digestifs). L’OMS n’a pas revu son opinion sur la question de l’EHS depuis 2014.

L’association belge francophone pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité, l’AREHS101 identifie d’autres symptômes non repris par l’OMS : maux de tête, troubles de sommeil, troubles de la mémoire, acouphènes, troubles de la vision, douleurs musculaires et articulaires, ou irritabilité.

Le corps médical se trouve encore démuni face à ce syndrome qui n’est pas abordé dans le cursus académique. La formation médicale semble donc un pilier fondamental encore à construire afin de limiter les conséquences sanitaires liées aux champs électromagnétiques artificiels. Des premières initiatives ont été lancées à Bruxelles et à Genève afin d’intégrer l’EHS dans le cursus universitaire102.

Les associations de défense des personnes électro-hypersensibles se multiplient à travers le monde et leurs rangs sont toujours plus nombreux. Pourtant, par manque de reconnaissance et donc de statistiques officielles, il est très difficile d’évaluer leur nombre parmi la population. Le Prof. Olle Johansson a rassemblé un ensemble d’études à travers le monde, et conclut en janvier 2020 à une incidence de l’EHS située entre 3,5 et 13,3% de la population. L’EHS semble frapper toutes les catégories sociales et toutes les classes d’âges, indépendamment du style de vie. Le nombre de cas d’hyper sensibilité électromagnétique serait plus élevé chez les femmes (65% des cas) d’après certaines études. Selon les associations et divers médecins, les victimes des champs électromagnétiques ne naissent pas EHS. Elles développent une hypersensibilité suite à une exposition relativement forte et/ou prolongée aux rayonnements électromagnétiques artificiels. La réaction biologique à l’exposition peut être immédiate et cesser tout aussi immédiatement suite à l’arrêt de l’exposition. Cependant la réaction biologique peut être également décalée dans le temps, survenir après le début de l’exposition ou suite à une accumulation de l’exposition, et se prolonger plus ou moins longtemps après l’exposition.

Les causes médicales encore controversées de l‘EHS ainsi que le manque de protection des populations, posent un problème sociétal et éthique, repris à la section Des personnes hypersensibles bannies de la société.

En complément à la lecture cette section, nous vous invitons à découvrir deux auditions enregistrées en vidéo103 au Sénat de Belgique. A la fin de la première vidéo, le Prof. Dominique Belpomme dénonce un « crime de santé publique » et une « pandémie électromagnétique ».

Effets sur le système endocrinien (hormonal)

Afin de rappeler le rôle, l’importance et la complexité du système hormonal, mais aussi du système immunitaire, nous reprendrons un extrait du site de Physicians for Safe Technology104 :

« Les systèmes immunitaire et endocrinien sont des systèmes organiques critiques qui sont également étroitement liés au système nerveux et peuvent avoir un impact profond sur la reproduction, le développement et la fonction du fœtus ainsi que sur la promotion / prévention du cancer, la défense contre les infections, la cicatrisation des plaies, la fonction neurologique, l’homéostasie métabolique et le vieillissement. Le système immunitaire peut également cibler les propres tissus sains du corps, qui se manifestent par diverses maladies auto-immunes telles que le diabète de type 1, le lupus, la polyarthrite rhumatoïde et le psoriasis. » (notre traduction).

Cette source indique l’observation d’effets néfastes sur la fonction thyroïdienne.

Des changements dans les hormones stéroïdiennes et non stéroïdiennes ont été observés suite à une exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels. Par exemple, le stress oxydant et l’inflammation provoqués par l’exposition peuvent mener à une diminution de la production de mélatonine (appelée parfois « hormone du sommeil »). A cela s’ajoute le fait que la mélatonine, un antioxydant puissant, est consommée par l’organisme pour pallier les effets du stress oxydant. A la longue, un déficit en mélatonine peut apparaître qui peut être à l’origine de plusieurs types de troubles, dont des troubles du sommeil.

Pour aller plus loin, Physicians for Safe Technology référence de nombreuses sources liées aux effets des rayonnements de radiofréquences sur le système endocrinien.

Effets sur le système immunitaire

Selon Physicians for Safe Technology, la recherche à ce stade n’est pas toujours cohérente dans ses méthodes ni ses résultats, au sujet du système immunitaire.

Les effets des rayonnements de radiofréquences sur le système immunitaire sont encore mal connus et parfois incohérents. Joel Moskowitz105 de l’Université Berkeley de Californie indique qu’il semblerait que des expositions de longue durée peuvent déprimer certaines fonctions immunitaires, alors que des expositions de courte durée semblent au contraire les stimuler.

Dans une brochure publiée en 2007219, le biologiste Ulrich Warnke rappelle que :

« C’est un fait avéré et les résultats de la recherche sont accessibles à tout un chacun depuis plusieurs dizaines d’années : les champs magnétiques et électriques naturels et leurs variations constituent des conditions essentielles à l’orientation et aux déplacements d’un grand nombre d’animaux. »

En avril 2020, une centaine d’étudiants belges en biologie et médecine tiraient la sonnette d’alarme220 à l’encontre de la 5G et indiquaient que la survie de l’humanité dépend des écosystèmes. Parmi les observations corrélées à l’exposition aux radiofréquences, ils citent, entre autres, l’effondrement des colonies d’abeilles (80% des abeilles ont disparu en Europe) et l’endommagement de la capacité des insectes à s’orienter à l’aide du champ magnétique terrestre (magnétoréception), la production de protéines de stress, une baisse de moitié de la fécondité, une atteinte aux facultés cognitives, de locomotion, d’apprentissage, et la perte totale de mémoire avec certains effets irréversibles.

L’effondrement des populations d’insectes impacte les populations d’animaux qui s’en nourrissent : oiseaux,

amphibiens et mammifères insectivores par exemple. Le déclin des pollinisateurs a des conséquences sur la chaîne alimentaire.

Les végétaux subissent également les impacts négatifs des radiofréquences. Ils présentent par exemple des anomalies morphologiques et de croissance, une chute prématurée ou un changement de couleur des feuilles, ou la mort de branches221. Or la végétation joue un rôle capital dans l’absorption du gaz carbonique et la régulation de l’effet de serre, mais aussi dans l’alimentation humaine et du bétail.

En mars 2020, le WWF publiait un plaidoyer222 mettant en garde l’humanité sur le risque accru de pandémies (zoonoses) lié à la dégradation de la biodiversité.

En bref, avec une explosion dramatique des niveaux d’exposition aux rayonnements de radiofréquences (en ce compris les ondes millimétriques), la 5G fait peser une lourde menace sur la biodiversité, sur la survie des écosystèmes, et donc sur la survie de l’espèce humaine.




France : passe sanitaire validé par Conseil Constitutionnel

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

Passe sanitaire vacciné (validé) bien sûr par Fabius et le conseil constitutionnel ; il va donc falloir une révolution. Mais attention : car leur France QR avec sa masse de vaccinés, de soumis, de bobos, de « jeunes filles », de retraités et de technophiles, ce n’est pas le modèle de la Liberté : c’est le coq hérétique. Je suis le seul à le dire [Ndlr : peut-être pas tout à fait. Voir notamment :
Le pass sanitaire et son QR Code associé permettront à terme de faire accepter aux gens la puce RFID,
Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité,
Note sur les manifestations sous le règne du NOM,
Garçon, la carte s’il vous plaît !,
Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?], et je le maintiens. Pass sanitaire pour les touristes étrangers vaccinés… La France passe sous administration étrangère (Rothschild, McKinsey, KPMG, Pfizer, Microsoft and Co.), est privatisée, fascisée, et ses ressortissants sont des actifs financiers à plumer (souvent volontaires). Les bourreaux volontaires ? Richard Boutry craque et incrimine les loges et la dictature maçonnique. J’ai parlé il y a un an de dressage maçonnique (strategika.fr). Richard prie la vierge Marie, on va tous en avoir besoin avec nos chaînes à QR code.

Pourquoi les ouvriers se révoltaient et pas nous :

« Il faut remarquer encore que cette insurrection formidable ne fut pas l’entreprise d’un certain nombre de conspirateurs, mais le soulèvement de toute une population contre une autre. Les femmes y prirent autant de part que les hommes. Tandis que les premiers combattaient, les autres préparaient et apportaient les munitions ; et, quand on dut enfin se rendre, elles furent les dernières à s’y résoudre. Quant à la science stratégique que fit voir cette multitude, le naturel belliqueux des Français, la longue expérience des insurrections et surtout l’éducation militaire, que reçoivent tour à tour la plupart des hommes du peuple suffisent pour l’expliquer. La moitié des ouvriers de Paris ont servi dans nos armées et ils reprennent toujours volontiers les armes. Les anciens soldats abondent en général dans les émeutes. »

(Tocqueville, Souvenirs, p. 176)

https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-passe-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-valides-par-le-conseil-constitutionnel-20210805

Le passe sanitaire et la vaccination des soignants validés par le Conseil constitutionnel

Les dispositions prévoyant l’isolement obligatoire des malades ainsi que la rupture d’un contrat de travail ont en revanche été censurées.

Le projet de loi visant à contrer la flambée de l’épidémie de Covid-19, avec l’extension controversée du passe sanitaire, a été approuvé jeudi 5 août par le Conseil Constitutionnel, à l’exception de la mesure d’isolement obligatoire. L’avis des Sages, très attendu, a été rendu en fin d’après-midi et conditionne la mise en œuvre de la stratégie du gouvernement.

« Le législateur a poursuivi l’objectif de valeur constitutionnelle de protection de la santé », notent les Sages à propos du passe et de la vaccination des soignants. Les juges constitutionnels ont toutefois estimé que l’isolement obligatoire des malades de 10 jours n’était ni «nécessaire, adapté et proportionné» en ce qu’il constitue une mesure privative de liberté « sans décision individuelle fondée sur une appréciation de l’autorité administrative ou judiciaire ».

L’extension du passe sanitaire aux centres commerciaux validée

Le Conseil constitutionnel a également validé l’extension du passe sanitaire à certains centres commerciaux «au-delà d’un certain seuil défini par décret» et si «la gravité des risques de contamination» à l’échelle d’un département le justifie. L’autorité préfectorale pourra ainsi mettre en place le passe sanitaire dans les grands magasins et centres commerciaux tout en garantissant «l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité ainsi qu’aux moyens de transport accessibles dans l’enceinte de ces magasins et centres», selon la loi adoptée le 25 juillet et validée par le Conseil Constitutionnel. Le gouvernement veut appliquer cette mesure dès lundi 9 août.

La rupture du contrat de travail censurée

Les dispositions de la loi sanitaire prévoyant qu’un CDD ou contrat d’intérim puisse être rompu «avant son terme» par l’employeur faute de passe sanitaire, ont, en revanche, été censurées. Le Conseil a toutefois validé la procédure de suspension du contrat de travail sans rémunération pour les CDI. «En prévoyant que le défaut de présentation d’un ‘passe sanitaire’ constitue une cause de rupture anticipée des seuls contrats à durée déterminée ou de mission, le législateur a institué une différence de traitement entre les salariés selon la nature de leurs contrats de travail qui est sans lien avec l’objectif poursuivi», indique ainsi le Conseil constitutionnel.

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-et-la-vaccination-des-soignants-mais-retoque-lisolement-obligatoire-20210805_LLLIRNBY3RBDDFUQ62MALZHPZM/

https://www.liberation.fr/societe/sante/le-gouvernement-annonce-la-creation-dun-pass-sanitaire-pour-touristes-etrangers-vaccines-20210805_G7MGM6BNIRCFDIOBYFSM6FIZII/

https://www.nouvelobs.com/pass-sanitaire/20210805.OBS47243/le-conseil-constitutionnel-valide-le-pass-sanitaire-mais-censure-l-isolement-obligatoire.html

Richard Boutry :

« Il faut mettre fin à la dictature de la Franc-Maçonnerie en Politique et Médecine »

Vidéo extraite de :




Injection obligatoire : la fuite en avant dans l’horreur

Par Lucien Samir Oulahbib

Lorsqu’il faudra juger tous les responsables de ce qui apparaît de plus en plus comme une tromperie frauduleuse (voire un crime contre l’Humanité) se déroulant sous nos yeux via cette obligation d’injecter une substance expérimentale aux effets de plus en plus mortels (aux données guère accessibles, du moins pour tous), en réalité très peu efficace et donc faisant bien plus office de placebo mental (pour les plus chanceux et/ou solides) qu’autre chose, il est clair que le futur tribunal international ad hoc qui en sera chargé aura bien du travail.

Il en était de même (rappelons-le à nouveau) au temps du scientisme communiste ou techniciste productiviste triomphant qui promettait l’éradication complète de la misère, la domination la maladie et le bonheur pour tous, du moins si TOUTE la planète y acquiesçait. Et cela se trouve toujours également garanti aujourd’hui par tous ces nouveaux criminels qui stipulent que si toutes les personnes (réfugiés, clandestins et « pays pauvres ») se soumettaient à leur complète et absolue nouvelle définition de la santé (être immunisé artificiellement et non plus naturellement) alors tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles — et peu importe les dommages collatéraux.

Et comme beaucoup de gens croient à ce discours, le futur tribunal ad hoc aura alors beaucoup de mal (comme ceux de naguère) à accéder aux réelles données, puisque l’on sait que moins de 10 % des effets secondaires et de la mortalité afférente remontent, car il s’agit d’une information passive et non pas automatique. Ceci signifie que ceux qui croient dans ce discours artificialiste (l’injection est meilleure que l’immunité et, bien sûr, que n’importe quel traitement toujours ignoré, d’où la mise en avant des « hospitalisations ») ne signaleront pas leur inconfort, mais légitimeront (pour « la bonne cause », par « altruisme »…) les effets moins graves, du moins sur le cours terme, comme n’étant au fond qu’une conséquence admise, alors que certains effets plus violents ne se verront qu’à plus long terme (par exemple le fait que leur immunité sera de moins en moins efficace et nécessitera des doses à répétition et aussi des thérapies annexes si d’autres maladies connexes se déclenchent). Et puis même si cela s’avère grave cela sera enfoui sous les statistiques expliquant que le nombre est « infime » ou encore qu’il n’y a aucune « corrélation » si les exemples sont médiatisés.

Ensuite, le Tribunal devra répertorier toutes les responsabilités connexes comme les interdictions « tacites » des traitements précoces en ce qu’ils peuvent ne pas être officiellement interdits selon les moments, mais fortement déconseillés officieusement via des directives insidieuses, des rappels à l’ordre, voire des actions frauduleuses comme les articles bidonnés (celui du Lancet n’a toujours pas été poursuivi par une officine publique), les donnés tronquées (le dernier rapport Pfizer sur les effets secondaires suite à l’administration de l’injection chez les enfants a été caviardé), les médecins menacés (voire plus), des usines de traitements précoces « accidentellement » incendiées, des pressions institutionnelles visant à démanteler des structures qui refusent de jouer le jeu (l’IHU de Marseille). De telles pressions se sont multipliées, jusqu’à aujourd’hui, avec l’extorsion de consentement par chantage interposé (injection versus emploi). Tout cela n’est toujours pas le produit du hasard.

Enfin, toute la machinerie propagandiste et politiste devra être disséquée juridiquement parlant : comment se fait-il que des médias censés informer aient pu participer à un tel mensonge légal, avalisant par exemple les fraudes sur les données ? Comment se fait-il que toutes les instances politiques institutionnelles académiques aient pu avaliser ces atrocités qui voilent leur criminalité patente par la fuite en avant dans l’accélération forcenée, frénétique, brutale de la mise en pratique de leur solution politico-chimique ?

Cela rappelle ces moments où — au tournant des 19 et 20e siècle — les élites savantes, artistiques et entrepreneuriales étaient si fascinées par les grandes découvertes du moment (machine à vapeur, à combustible, train, télégraphe, voiture, photographie, phonographe, caméra, aviation, radiographie, physique quantique, chimie, biologie naissante…) que toutes ces inventions tournèrent si fortement la tête des parvenus et que ceux-ci se crurent des dieux, avec en substrat l’idée de se distinguer de la « masse », de revenir au temps des « dieux vivants », de se purifier, donc de se croire désormais supérieurs parce que dotés de « La » Science « véritable ». Alors qu’étaient déjà confondus progrès technique et progrès civilisationnel, ces deux aspects n’étant pas nécessairement corrélés (ainsi le dénigrement de la campagne au profit de la ville et son inversion aujourd’hui), tout cela aurait mérité, dès cette époque, d’être affiné comme le demandèrent certains auteurs clairvoyants. Seules les élites voyaient dans tout refus un « déclin de la Raison », avec toujours une unique cause exclusivement externe : les pauvres, les riches, l’étranger, les infidèles, il fallait les excommunier jusqu’à promouvoir la guerre, en externe comme en interne…

Bis repetita ?

Il semble bien que oui : la Secte (plus que la Caste en ce que son recrutement ne se fait pas par hérédité, mais large adhésion, même s’il y a des cooptations) s’appuie sur toute une génération qui a été élevée dans la prise de substances excitantes plus ou moins légales. Celle-ci pensait pouvoir suppléer la force spirituelle qui calme les angoisses et renforce l’effort d’être par des substituts qui n’ont qu’une efficacité toujours momentanée et nécessitent d’en reprendre à dose supérieure afin d’atteindre cet état de volupté recherché pour agir et jouir. Ceci reste cependant toujours éphémère si ce n’est pas sous-tendu par quelque chose de plus pérenne (comme l’idée de renouer avec ce savoir séculaire qui rappelle que le « développement personnel » doit s’appuyer sur une évaluation objective de la cause de nos échecs et réussites, de nos malaises et de nos joies plutôt que de refouler, oublier avec des psychotropes). Voilà à quoi une réelle philosophie devrait servir au lieu de se fourvoyer dans l’idéologie et aujourd’hui la propagande scientiste et hygiéniste, avec toujours ce regard de supériorité vis-à-vis des supposés « inférieurs » (comme les « anti-vax » et les « pays pauvres » qu’il faudrait d’urgence injecter, alors que leur propre pratique médicinale permet, pour ce type précis de virus, d’y remédier).

Nous sommes bien à un tournant : soit à nouveau la nuit totalitaire va s’emparer du monde avant de s’écrouler dans quelque temps, car le Réel est toujours plus fort que l’Idéologie ; soit les peuples éveillés réussiront à éviter cette énième expérience idéaliste (drapée en « science ») en la tuant dans l’œuf, d’où la nécessité de soutenir tous les efforts actuels pour constituer un tribunal international ad hoc (puisque les juridictions nationales sont désormais sorties de l’État de droit), basé en priorité sur la liberté la propriété et la résistance à l’oppression (article 2 de la DDH).




Qu’est-ce que la « Tradition primordiale » ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

par Pierre-Émile Blairon

Avant toute chose, je tiens à préciser que la dictature qui se met en place en France et dans le monde et que beaucoup ne font que découvrir maintenant, ne constitue pas une surprise pour ceux qui connaissent le système des cycles et qui savent que nous sommes à la fin de l’Âge de Fer, le dernier âge avant le rétablissement des valeurs traditionnelles, avant le Grand retournement ; savoir ce qu’est la cyclologie et la Tradition primordiale qui sont les fondements de la spiritualité indo-européenne permet une vision cohérente de tout ce qui se passe actuellement.

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Cette dictature constitue simplement l’un des éléments qui caractérisent une fin de cycle ; une fin de cycle s’appelle le Kali-Yuga en Inde, l’Âge de Fer chez les anciens Grecs ; elle est composée de la réunion de plusieurs événements, certains provoqués par les hommes : par exemple, le dépeuplement des campagnes au profit des villes mondiales, comme l’avait bien montré Oswald Spengler dans Le Déclin de l’Occident ; ça peut être aussi une dégénérescence physique globale, là, il suffit de se promener dans les villes européennes pour s’en rendre compte, ça peut être un suicide collectif ou catégoriel, comme pour les paysans en France, etc., d’autres catastrophes sont naturelles, dans ce cas, le plus souvent des inondations, selon les études de Mircéa Eliade sur les déluges originels, mais ça peut être aussi d’énormes incendies, des tremblements de terre, des ouragans, etc., et, bien sûr, nous pouvons avoir un condensé des deux quand les hommes manipulent la nature et provoquent ces catastrophes qui ne sont donc plus naturelles.Mon nouveau livre, L’iceberg, qui vient de paraître il y a quelques jours, est constitué pour moitié de la recension des articles que j’ai écrits sur l’avènement prévisible de cette dictature avec l’invention de cette pseudo-pandémie ; le premier de ces articles en mai 2020 s’appelait tout simplement : les apprentis-dictateurs.

Ce nouveau livre est le dixième paru sous ma signature, hors livres collectifs et hors traductions étrangères.

L’Iceberg est le troisième volet d’une trilogie exclusivement consacrée à la connaissance de la Tradition primordiale et à la cyclologie.

La Tradition primordiale et la cyclologie

La signification de l’expression Tradition primordiale a été largement expliquée par René Guénon et Julius Evola qui considèrent qu’il s’agit d’un principe originel permanent et immuable qui a fondé toutes les traditions du monde sur toute la surface de la Terre ; ces traditions se réfèrent, consciemment ou non, à la Tradition primordiale et en sont une émanation ; sur le plan plus concret, la Tradition primordiale est représentée par un continent mythique, Hyperborée, lui aussi originel, enfoui désormais sous les glaces du Pôle arctique qui a essaimé son savoir sur la totalité du globe et a laissé de nombreuses traces, notamment architecturales.

Cosmos - Tradition primordiale

Dans tous mes livres, je m’efforce de montrer que la Tradition primordiale est le lien qui réunit les trois mondes, comme déjà nos ancêtres les Gaulois l’avaient pressenti(([1] Les Gaulois estimaient qu’il existait trois mondes : celui d’en haut, celui d’en bas, et le monde des hommes. ; le principe de l’analogie et celui de la concordance constitue les principales caractéristiques de l’ésotérisme.)): le cosmos, l’Homme et la nature. Ceci permet de montrer que le concept de Tradition primordiale n’est pas une croyance, une théorie intellectuelle, ou une idée d’ordre philosophique mais qu’elle constitue l’origine concrète de ce qui est à la fois visible et invisible.Il existe en effet un rapport constant, sur le plan concret, mathématique, entre le cosmos, l‘homme et la nature ; l’Homme se situe originellement à l’intersection de ces trois mondes en tant que régulateur de la nature, et non pas en tant que prédateur.

La cyclologie est une simple mise en forme conceptuelle élaborée à partir de l’observation par les anciens du fonctionnement de la nature et du cosmos ; tout ce qui vit fonctionne d’une manière cyclique : les jours, les semaines, les mois, les années se suivent selon le même processus, la Terre tourne autour du Soleil, le Soleil se lève chaque matin, les fleurs repoussent au printemps, les marées sont dépendantes des mouvements lunaires et les femmes aussi. Le cycle basique : naissance, vie, mort, renaissance, vaut pour tout ce qui existe sur Terre, y compris les civilisations.

Le principe du cycle est toujours en involution comme tout ce qui vit sur Terre : on va toujours de la naissance à la mort, jamais de la mort à la naissance, ce qui serait une évolution, mais l’évolution appartient à l’au-delà ; sur Terre, tous les mouvements cycliques procèdent de l’involution ; c’est pourquoi le principe du « Progrès » n’existe pas, excepté d’ordre technique, matériel ; le progressisme est une utopie, une invention humaine.

Pour les hommes qui ont compris le fonctionnement cyclique du temps, revenir en arrière n’est pas retourner vers le passé, c’est, au contraire, retourner à la source, retrouver une nouvelle jeunesse en s’y abreuvant. Re-venir, c’est se donner un nouvel à‑venir. Le passé n’est pas un port où se réfugier et mourir, c’est un phare qui nous guide vers l’aventure du futur.

Rappelons une des règles fondamentales de la logique traditionnelle : plus une manifestation apparaît tardivement, plus elle est éloignée de la source originelle et, donc, plus elle est spirituellement dégradée. L’apparition de la civilisation américaine est un bon exemple de ce principe, laquelle est devenue civilisation sans passer par le stade culturel (parce que dépourvue de passé) selon la hiérarchie spenglérienne ; c’est sans surprise que l’on a vu apparaître à la fin du XIXe siècle à New-York et à Chicago les premiers gratte-ciels de l’Histoire qui sont des marqueurs du titanisme moderne.

Un autre exemple de cette règle nous est donné par Julius Evola à propos des « sauvages » (c’est le terme qu’il emploie, le politiquement correct n’existait pas encore à son époque) :

Les grands âges

« Dans la plupart des cas, les sauvages, tant sur le plan de la race au sens biologique que sur le plan de la culture, sont des résidus crépusculaires de cycles d’une humanité si ancienne que, souvent, d’elle-même, le nom et le souvenir ont été perdus. Les sauvages ne représentent donc pas le commencement, mais la fin d’un cycle ; non la jeunesse, mais la sénilité extrême. Ce sont d’ultimes ramifications en voie de dégénérescence, donc l’exact contraire des « primitifs » au sens de peuples originels. »Un grand cycle, à la fois chez les Indiens et chez les Grecs, comprend quatre âges qui vont du meilleur au pire.

Chez les anciens Grecs, l’Âge d’or est suivi par l’Âge d’argent, puis par l’Âge de bronze et se termine par l’Âge de fer ; l’Âge d’or est représenté par un métal incorruptible, brillant comme le soleil, alors que le fer disparaît en rouillant.

Un autre exemple pour montrer ce qu’est le système cyclique : la montre. Si vous avez une montre classique, ronde, avec trois aiguilles, vous verrez que le cycle commence au zénith, les trois aiguilles en haut, sur le 12, elles sont triomphantes, puis ça se gâte, en descendant l’arc de cercle ver le 6 ; les trois aiguilles ont alors la tête en bas, les valeurs de l’Âge d’or sont alors inversées ; nous sommes au nadir, les trois aiguilles se rejoignant forment alors le 666, le temps de l’Apocalypse chez les chrétiens, le temps du Grand retournement ; le temps de remonter : c’est l’Apocalypse, mais aussi la Révélation, et la remontée vers un nouvel Âge d’or.

La trilogie

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Le premier ouvrage de cette trilogie, La roue et le sablier, paru en 2015, donne une photographie du monde européen en ce début du XXIe siècle, tel qu’il en ressortait après des millénaires d’une histoire européenne toujours en train de se faire, et qui continuera à se faire : cet ouvrage explique les bases de la spiritualité indo-européenne.

Le titre de ce livre est tout à fait symbolique : le monde, comme la Terre elle-même, tourne comme une roue à la fois sur le plan spatial et sur le plan temporel. Au centre, au moyeu de la roue, est lové le dieu qui fait tourner la roue ; le moyeu est l’élément immobile de la roue qui tourne autour de lui et dont il constitue le pivot, impassible, permanent ; c’est le principe de la Tradition primordiale, principe transcendant, immuable, pérenne ; la roue représente la succession des cycles temporels ; il y a aussi un autre déplacement, plus symbolique dans le concept de la roue : plus on monte vers le moyeu, plus on monte vers la spiritualité, plus on descend les rayons de la roue et plus on descend vers la matérialité, vers le cercle métallique extérieur qui délimite la roue, qui l’enferme et qui est en contact direct avec le sol, la matière.

Sablier

Le deuxième terme de ce titre La Roue et le Sablier, le sablier, donc, m’a été inspiré par Georges Dumézil et le concept indo-européen des trois fonctions qu’il a redécouvert. Les trois fonctions sont :
• pour la première, celle des conducteurs, pouvoir sacerdotal et royal,
• la deuxième, celle des protecteurs : armée et police, qui sont là pour protéger le peuple et les frontières,
• la troisième, celle des producteurs, qui nourrissent, habillent, abritent les citoyens
En temps de Kali-Yuga, le sablier est retourné, la fonction productrice est au sommet, mais elle ne produit plus rien, on ne fait plus travailler que l’argent, la classe des conducteurs est en bas, désavoué, niée, condamnée à se taire ; et, au centre, au goulet du sablier, l’armée ou la police deviennent des milices au service du pouvoir d’en haut.Le projet de La Roue et le sablier était de faire la recension des valeurs qui avaient fait la force et le génie de notre Europe afin de les préserver dans la tourmente de l’Âge sombre, celle que nous vivons, pour qu’elles servent à nouveau de base au cycle futur, d’où le sous-titre de cet ouvrage : Bagages pour franchir le gué.

Enfin, je constate dans ce livre l’émergence d’une caste prométhéenne oligarchique et ploutocratique entièrement tournée vers la matière, atteinte par l’hubris, une vanité démesurée, dont le rêve est de remplacer Dieu ou les dieux, d’asservir le monde en transformant les hommes en robots ou en esclaves, et, surtout, de devenir matériellement immortelle ; le titre du livre du représentant de cette caste en France, le transhumaniste Laurent Alexandre, résume bien ce dernier projet : La Mort de la mort.

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Cette secte n’est pas née d’hier, il faut faire remonter ses origines au moins au mythe de Prométhée : le Titan Prométhée vole le feu aux dieux pour le donner aux hommes, ses créatures ; ce n’est pas tout , lors du partage d’un bœuf, il tente de rouler les dieux en leur donnant les plus bas morceaux ; le psychothérapeute Paul Diel dit de Prométhée que c’est un dieu à mètis, un roublard, un menteur qui veut essayer de posséder Zeus, de lui jouer un tour » ; alors qu’ Evola traite ce même Titan de « tordu », c’est le mot exact qu’il emploieDiel ajoute : « Zeus crée l’homme en tant qu’être spirituel, capable du choix juste, animé de l’élan évolutif, du désir essentiel ; le Titan crée l’homme en tant qu’être matériel, capable du choix faux, attaché à la Terre-mère, à la matière. »
« Les hommes, en tant que créatures de Prométhée, formés de boue et animés par le feu volé, réalisent la révolte du Titan et ne pourront que se pervertir. Guidés par la vanité de l’intellect révolté, fiers de leurs capacités d’invention et de leurs créations ingénieuses, les hommes s’imagineront être pareils aux dieux. La perversion des sentiments qui en résulte poussera les hommes à se disputer haineusement les biens matériels et fera ainsi régner la destruction »Le livre Chroniques d’une fin de cycle est le deuxième volet de cette trilogie ; il est paru fin 2019 ; il est essentiellement consacré à la manière dont cette caste mondiale désormais au pouvoir s’y prend pour saper les traditions des peuples et couper les hommes de leurs racines pour en faire des robots déboussolés, sans aucun repère.

Les enfers parodisiaques, c’est le sous-titre de ce livre qui rassemble une série d’articles qui décortique sur tous les sujets le fonctionnement du pouvoir mondial en place et dénonce ses mensonges ; une parodie de tous les instants que Guénon appelait « La Contre-Tradition ». La Contre-Tradition a l’apparence de la Tradition mais c’est un leurre ; une manifestation des forces négatives ; le diable sous l’apparence du pape, par exemple ; l’art, l’architecture, la mode, la langue, la gastronomie, etc. tous ces domaines sont touchés par cette volonté d’éradication ; 37 articles en tout qui montrent comment toutes les valeurs qui constituaient la base stable d’une société sont exactement inversées ou systématiquement détruites ; c’est le règne de la quantité, de la matérialité, de l’argent, du mensonge.

L’Iceberg, mon nouveau livre donc, reprend, dans le premier chapitre, sept articles de fond parus dans différents sites en 2020, articles consacrés à la manipulation mondiale sous couvert sanitaire qui a marqué toute cette année passée.

La secte maléfique est passée à l’offensive plus tôt que prévu en inventant cette pseudo-pandémie pour soumettre et robotiser la population mondiale.

Iceberg

Mon livre se veut de nature ésotérique et symbolique, le symbole étant le langage des dieux, donc un langage sacré, mais on va voir que ce langage s’applique tout aussi bien à des faits très concrets. Le titre et le sous-titre résument entièrement le livre.
J’ai choisi ce titre, L’Iceberg, pour plusieurs raisons symboliques.
D’abord comme tout ce qui est accessible à nos sens, on n’en voit que la partie apparente qui ne constitue que le dixième de la réalité, en tout cas pour l’iceberg, parce qu’il est l’exacte représentation d’un cycle hyperboréen, c’est-à-dire européen, dans sa totalité.Ensuite l’iceberg est une montagne de glace ; la montagne, lieu éminemment sacré chez les anciens Européens. Ceux-ci pensaient, comme pour l’arbre sacré Yggdrasyl, que cette élévation était un chemin vers les dieux, l’axe et le centre du monde.
La montagne est l’attribut symbolique par excellence de la Tradition primordiale parce qu’elle exprime l’immuabilité et la stabilité.
Puis l’iceberg représente le cycle : il est même emblématique de ce qu’est un cycle cosmique dans sa totalité, de sa naissance à sa fin, en parfaite involution, comme c’est le destin de tout ce qui vit sur la Terre
Enfin la couleur blanche, sacerdotale, symbole de pureté, et la glace des origines – l’Hyperborée, la civilisation primordiale, enfouie sous la banquise – mais aussi la lente dégradation (la fonte de la glace) et sa dérive finale, mot pris dans ses deux acceptions, physique et psychique, autrement dit le nomadisme, toutes conditions caractéristiques du Kali-Yuga.

De plus, l’iceberg peut se retourner comme un glaçon dans un verre et donc opérer le Grand retournement qui se manifeste à la fin du cycle ultime.

Naufrage Titanic

Le titre de ce livre m’a été inspiré, à l’origine, par un événement devenu mythique qui a marqué tous les esprits du XXe siècle : la collision d’un iceberg avec un bateau qui s’appelait le Titanic ; c’était en 1912, exactement le 15 avril 1912.

Rien ne pouvait être plus allégorique des deux forces qui s’affrontent en cette fin de cycle et qui a donné le sous-titre de ce livre : La Tradition primordiale contre le Titanisme.

Je fais remarquer au début de l’ouvrage que ce sont les forces traditionnelles qui battront les forces négatives, car c’est bien l’iceberg qui a coulé le Titanic et non l’inverse. Je vois dans cet événement une prémonition, d’autant plus que le naufrage du Titanic avait été exactement décrit par un roman prophétique : en 1898, donc 14 ans avant le naufrage du Titanic, Morgan Robertson, un écrivain new-yorkais, faisait paraître un roman qui s’intitulait The wreck of the Titan (Le naufrage du Titan). Ce livre racontait le naufrage d’un navire dénommé Titan qui coule en avril à la suite d’une collision avec un iceberg et il annonçait toutes les caractéristiques techniques du Titanic et les circonstances dans lesquelles il coulerait, incluant le nombre presque exact des disparus.

Notre-Dame-Paris-embrasée

Une autre catastrophe, dont on ne sait toujours pas si elle est d’origine criminelle ou pas, aura le même impact émotionnel sur les populations, un peu plus d’un siècle plus tard, c’est l’incendie de Notre-Dame de-Paris ; elle se produira le… 15 avril 2019, le même jour que le naufrage du Titanic. C’est peut-être une coïncidence, peut-être pas.

Je montre, dans ce livre, que les manifestations d’ordre sacré, symboles et nombres, peuvent être aussi vérifiées concrètement. Par exemple, 1 618, le nombre d’or, si bien nommé parce qu’il est la traduction mathématique de l’harmonie, la divine proportion, dans le domaine architectural ou musical notamment, mais aussi chez l’être humain : on constate que le rapport de la taille d’une personne avec la hauteur de son nombril est proche du nombre d’or. Il est aussi présent dans beaucoup d’éléments naturels, notamment d’ordre végétal : on le retrouve dans la logique d’agencement des parastiches du tournesol (les parastiches sont les réseaux de spirales qui constituent le cœur de la fleur de tournesol). Cette logique est transmise mathématiquement par la « suite de Fibonacci », qui est une extension des principes qui règlent l’application du « nombre d’or ». Fibonacci, savant médiéval qui a donné son nom à sa découverte, l’a ainsi énoncé : chacun des termes de la suite est égal à la somme des deux précédents : 1.1.2.3.5.8.13.21.34.55.89.144… Cette suite se retrouve aussi dans les écailles de pommes de pin, d’ananas, les coquilles d’escargot, dans les étamines de fleurs de magnolias, les cœurs de chardons ou d’artichauts…

Vibrations humaines

Autre exemple qui tend à prouver le lien réel qui existe entre les trois mondes précédemment cités : le nombre 25 920, qui est un nombre cosmique, donc sacré, est aussi présent dans plusieurs manifestations concrètes et même humaines : c’est d’abord le temps que dure l’Âge d’or selon la tradition indienne, mais ce nombre a aussi des applications plus courantes : faisons le calcul d’une journée, mais, cette fois, pour faire un mois : 60 secondes x 60 minutes = 3 600 x 24 heures = 86 400 secondes. En un mois, moyenne de 30 jours : 86 400 x 30 = 2 592 000 secondes.
On pourrait penser qu’il s’agit d’un hasard si je donne un autre calcul à faire : la vitesse de la lumière est de 300 000 km par seconde, comme il y a 86400 secondes en un jour, la lumière parcourt donc 25 920 millions de kilomètres par jour.
Encore une coïncidence ? La vitesse de la Terre autour du Soleil est de 30 km par seconde. Elle couvre donc 2 592 000 km par jour.
La Terre tourne sur elle-même et elle tourne autour du Soleil, mais un troisième mouvement l’anime, ce mouvement est connu par l’expression « précession des équinoxes ». L’axe de la Terre n’est pas fixe, il tourne lui-même selon un mouvement qu’on pourrait comparer à celui d’une toupie en bout de course ; le mouvement du pôle terrestre est cependant régulier et ne va pas s’arrêter, du moins pas avant quelques milliards d’années.
Ce mouvement met, vous l’avez deviné, 25 920 ans pour dessiner une révolution complète.
Ce nombre cosmique est pleinement analogique et prouve que l’Homme est un être cosmique, si l’on considère que le nombre moyen de respirations de l’être humain est de 18 par minute, soit, pour une journée : 25 920.

Sur le plan zodiacal, nous allons entrer dans l’ère du Verseau, qui succède à celle des Poissons. Chacune de ces ères compte 2 160 années. On définit approximativement l’ère des Poissons comme ayant commencé avec la naissance du Christ, voire quelques dizaines d’années auparavant, avec la naissance de Mithra dont le Christ est une sorte de calque. La totalité du cycle zodiacal compte 12 ères de 2 160 années chacune, soit… 25 920 ans.

L’iceberg est, par excellence, un symbole ésotérique qui cache 90 % de son essence, de sa vérité, les 10 % restants accessibles aux sens humains, ne constituant que la partie exotérique et superficielle de l’iceberg. « Le visible n’est que la trace de l’invisible », disait Léon Bloy. L’iceberg s’apparente alors à l’être humain, dont on ne voit que le corps physique mais qui est pourtant composé en outre de plusieurs corps dits subtils, invisibles pour le commun des mortels, qui manque de subtilité

L’iceberg, en tant que concept ou symbole, représente aussi la rupture provoquée par les hommes entre histoire et préhistoire, entre science profane et science sacrée, histoire et sciences des hommes versus histoire et science des dieux. L’immense partie immergée, donc cachée aux regards profanes, représente le monde des dieux, et sa partie émergée, celle que l’homme moderne peut appréhender avec ses sens atrophiés, le monde de l’humanité profane.

René Guénon avait posé les frontières entre ces deux mondes et, donc, aussi, entre l’intuition intellectuelle et la connaissance profane : « Cette perception directe de la vérité, cette intuition intellectuelle et supra-rationnelle dont les modernes semblent avoir perdu jusqu’à la simple notion, c’est véritablement la « connaissance du cœur ».

Julius Evola avait bien compris la nature de cette rupture lorsqu’il distinguait la Voie des Pères introduite par le Titan Prométhée qui donne le Pouvoir à l’Homme qui se survit à lui-même par la lignée, et la Voie des Dieux, ou Voie olympienne, où l’Homme admet et respecte la supériorité divine tout en s’efforçant d’atteindre à nouveau ce statut perdu.

Les transhumanistes pourront y consacrer tous les milliards du monde, ils pourront décortiquer le corps de tous les humains, le recomposer en pièces métalliques, ils n’accèderont jamais au mystère élucidé par les penseurs et les poètes, ils ne découvriront jamais le principe de régénération déclenché par la petite étincelle qui les anime car elle est de nature divine. La fin de mon livre explique ce combat final qui, donc, ne se fera pas sur un champ de bataille dans le sang, le bruit et la fureur, mais dans le silence des labos, qui est aussi celui des agneaux, ou… des moutons.

Pierre-Émile Blairon

Commandes aux Éditions du Lore :
Pour commander L’Iceberg
Pour commander Chroniques d’une fin de cycle


Notes :




Derrière la collapsologie (ou étude de l’effondrement des civilisation)

[Source reseauinternational.net]

Un exemple probable de fausse opposition idéologique : le collaptionisme

Par Tasio Retortillo Merino.

Un matin récent, dans le contexte d’une publication que j’avais posté sur les manipulations sémantiques opérées par les idéologues de la Droite mercantilo-industrielle, quelqu’un m’avait conseillé de m’intéresser à un auteur du nom de Pablo Servigne. Je voudrais commenter ici l’article de wikipedia qui lui est consacré. Dans un premier moment, ma réaction est plutôt enthousiaste : je vois des expressions comme « critique du darwinisme social, anti-productivisme, critique de l’idéologie de la croissance économique » qui correspondent à des idées que je juge très saines et pertinentes pour améliorer notre existence sur Terre. Puis on me dit qu’elles ont été regroupées sous le terme de « collapsologie » pour que cette connotation peu vendeuse évite qu’on ne puisse les travestir en des notions creuses favorisant telle ou telle niche commerciale. OK, je reprends ma lecture à froid quelques heures après.

À titre anecdotique, nous apprenons d’entrée que ce monsieur, l’un des fondateurs de la collapsologie, donc, a joué un rôle crucial dans la mise au point des programmes de la politique écologiste officielle. Pour de la contre-culture et du contre-pouvoir, ça commençait un peu mal. Mais j’avais encore bon espoir de me tromper, les choses n’étant pas noires ou blanches.

« Il est invité par l’ancien eurodéputé Yves Cochet à rédiger un rapport pour le groupe des Verts/Alliance libre européenne au Parlement européen sur l’avenir de l’agriculture en Europe. Ce rapport qui évoque la possibilité d’un effondrement imminent des systèmes alimentaires industriels en Europe, a été présenté publiquement au Parlement européen de Bruxelles le 17 octobre 2013 ».

Ainsi rentrais-je dans le vif du sujet, les idées pures et dures, de cette « collapsologie » : sur mes gardes, mais sans envies particulières de faire encore l’étalage de ma méfiance.

La première chose qui m’interpelle c’est leur concept de « résilience ». La « résilience » nous disent-ils, c’est l’attitude qui permet de changer la société. Ha : boycott = résilience ? Mais si tu regardes « résilience », tu te topes avec une notion de la psychologie clinique en rapport avec les traumatismes. Après, il ne faut pas s’étonner que les gens aient peur de boycotter les merdes que la publicité leur fait désirer, s’ils doivent pour cela se considérer comme traumatisés… C’est peut-être une grille interprétative féconde en psychologie sociale, mais pas forcément positive en politique… Et puis, une notion de la psychologie, en dehors du cadre de la psychologie, ça devient de la moraline, et il ne faut pas s’étonner que ça énerve certaines personnes. Peur, énervement… je commençais déjà à me poser la question de savoir si l’on veut ici nous rapprocher du changement par l’auto-responsabilisation, ou plutôt nous en éloigner.

Ensuite viennent quelques points qui derrière des apparence de modération ne font en fait que répandre certaines bases de l’idéologie dominante dont :

– un monde binaire, dans le cadre du (mal nommé) manichéisme existentiel servant à diviser les esprits : « Toutefois, Gauthier Chapelle et Pablo Servigne ne nient pas l’existence de la compétition qui est aussi indispensable pour poser des limites, un territoire ou lors de la reproduction ». Histoire de ne surtout pas s’attaquer à la source de l’individualisme, et encore moins de cautionner des « extrémismes » du genre « tout est amour », on ne sait jamais, des fois que le nombre de religieux sincères ou de hippies de bonne foi augmente ; ou qu’un grand nombre se mette à découvrir le mysticisme pour lequel nous sommes tous Un et toute compétition illusoire et irrationnelle. Parce que ça, ce serait un réel danger pour la civilisation mercantilo-industrielle.

– l’utilitarisme anglo-saxon : « Les deux montrent enfin que l’altruisme et l’entraide sont des éléments de cohésion sociale qui se développent spontanément chez les humains. Par exemple, les situations de catastrophes naturelles sont des évènements générant des comportements d’entraide, d’auto-organisation et de calme ». La coopération existe et est dominante, MAIS attention c’est parce qu’elle est utile à notre survie biologique. Histoire que l’on ne découvre pas trop le pouvoir de la gratuité. Pour une critique du darwinisme social, ça semble plutôt cuit.

L’article termine en présentant très sommairement deux critiques (supposément les défenseurs du système dominant) de la collapsologie. Malgré une exposition rapide et bâclée dans l’article de wikipedia, les deux critiques sont pertinentes.

La première dit que « bien qu’ils puissent s’appuyer au départ sur des données recueillies sérieusement, ces discours paraissent davantage relever du prophétisme que de la science ». En effet si la météorologie (qui est la discipline scientifique écologique – dans le sens scientifique du terme – la plus simple) se trompe souvent sur des prévisions portant sur quelques jours, imaginez quel sera le niveau de certitude en ce qui concerne des hypothèses concernant l’état global d’une planète entière avec tous ses aspects, dans dans des dizaines ou centaines d’années.

La seconde critique « officielle » s’exprime ainsi : « Alternatives économiques estime également que Servigne est trop ignorant de l’état actuel de la recherche en sciences sociales et qu’il établit de nombreux parallèles discutables comme celui entre l’effondrement d’une société et la disparition d’un être vivant ». En effet si la comparaison prétends à plus qu’une métaphore ou une analogie facilitant la compréhension de certains aspects communs entre les deux, elle ne me semble alors pas pertinente.

J’ai voulu ne pas en rester à des impressions, et suis parti sur la page de la notion centrale autour de laquelle gravite cette histoire de collapsologie : « l’effondrement environnemental » : 
wikipedia.orgRisques_d’effondrements_environnementaux_et_sociaux

Là nous apprenons que : « Alors que les effondrements de civilisations du passé ont été géographiquement limités à celles-ci, les analyses actuelles envisagent un bouleversement systémique qui pourrait être mondial. Elles n’envisagent pas nécessairement la fin de l’humanité mais plutôt celle de la société industrielle ».

Donc, en fait, ce qui est ici réalisé, c’est l’assimilation de la fin de la société industrielle à un événement absolu (car se produisant partout) et violent (car je remarque que le mot le plus récurrent est ici « effondrement » et qu’un effondrement doux que je sache ça n’a pas trop d’autre sens que poétique). Si l’on glisse dans les esprits que la fin de l’industrie, c’est absolument violent, il ne faut pas, là encore, s’étonner que les gens soient rétifs au changement.

Voilà que ça se concrétise un peu plus loin, dans la définition de l’effondrement en question : « un processus à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, mobilité, sécurité) ne sont plus fournis à une majorité de la population par des services encadrés par la loi ».

Enfin, ça fait plus que devenir concret, ça empire : non seulement la fin de l’industrie est un événement absolument violent, mais la raison de sa violence résiderait dans le prétendu fait que, sans l’industrie, et bien nous n’aurions pas de services publics et pas de loi : ce serait le chaos. Pris dans l’autre sens, ça présuppose que toute notre organisation collective est causée par et dépend de l’industrie. Mais c’est grave ça quand-même, comme manipulation.

Je continue cet article et je constate que les « collapsologues » semblent également se faire l’écho de certaines thèses sinistrement reliées à la matrice intellectuelle de la Droite et de sa justification idéologique des inégalités socio-économiques :

– la théorie de la surexploitation de matières premières critiques. Si l’on exploite trop, c’est qu’il n’y a pas assez de ressources pour tout le monde. Cela nous fait sentir privilégiés malgré nous, et c’est dans la nature humaine de vouloir conserver ses privilèges par peur du manque. La vérité que l’on veut ainsi noyer depuis longtemps, c’est que l’on n’exploite pas trop, mais mal. Nous sommes dans le cas où l’on exploite les ressources d’une façon qui permette de générer des fortunes privées colossales à partir du rationnement artificiel et criminel de ressources qui pourraient en fait s’avérer bien plus vastes que ce qui est sous-entendu ici. Mais l’abondance ne génère pas de conflits sociaux jouant sur la peur de manquer, qui à leur tour font stagner les inégalités ayant des causes politiques et économiques en focalisant l’attention sur des prétendues causes matérielles, physiques.

– ensuite Malthus, encore lui : « La croissance démographique, si elle se poursuivait de façon exponentielle, entraînerait une surpopulation. Cette surpopulation était déjà redoutée par Thomas Malthus au XVIIIe siècle, qui la théorisa notamment en prônant la restriction démographique. D’après l’Institut national d’Études démographiques, la population mondiale devrait atteindre un maximum à 10,9 milliards d’habitants un peu après 2100 ».

Cela fait littéralement des siècles que la gouvernance mercantile mondialiste de Droite nous paralyse avec cet argument qui fonctionne de la même manière que le précédent, en jouant sur la peur de manquer afin d’intimider notre capacité de développer notre responsabilité individuelle, alors qu’un tel développement constitue le but affiché des discours de la collapsologie. Au passage, de mémoire, j’ai en tête certaines spéculations d’après lesquelles la Terre, si les ressources sont gérées honnêtement et intelligemment, pourrait accueillir 50 millions d’humains ayant un niveau de vie agréable.

Encore un peu plus loin mes craintes se retrouvent finalement fondées : « Les phénomènes sous-jacents, qui selon ces théories pourraient conduire à un effondrement civilisationnel, s’appuient sur diverses études scientifiques et dont la réalité et la gravité est prise en considération par de nombreux organismes publics, parmi lesquels le Club de Rome, le GIEC, des autorités militaires internationales, la Banque mondiale et le Forum de Davos ».

Là à la limite le rideau tombe et l’on pourrait arrêter le commentaire. On nous dit clairement qui est derrière la collapsologie. Notez que toutes mes remarques précédentes ont été faites avant de tomber là-dessus. Je ne veux pas dire par là que je suis très intelligent, mais plutôt que le style et l’odeur des manipulations de la Droite mercantile se répète ; la répétition étant la marque d’un plan.

Cette phénoménale entreprise de création de confusion intellectuelle déborde bien-sur des auteurs qui ont crée le néologisme « collapsologie », et les précède. D’autre part, il se peut tout à fait que certains penseurs adhèrent à ces idées avec une bonne foi exemplaire, sans se rendre compte des implications concernant l’origine et la forme particulière de leur diffusion.


[Voir aussi :
Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe
L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là
L’effondrement politique qui vient
Note sur l’effondrement des civilisations
L’effondrement de l’empire américain
La guerre psychologique derrière l’effondrement économique
Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?]




L’empire chinois (eurasien) encercle l’empire américain (île lointaine entre deux océans)

[Source : Les 7 du quebec]

Par Pepe Escobar

Encore une fois Pepe Escobar voit plus loin que ses confrères. Là ou d’autres anticipent les manoeuvres de l’impérialisme Yankee pour encercler l’empire du milieu de l’Eurasie (le centre du monde disaient les empereurs chinois),  Pepe voit très bien les manigances du nouvel empire chinois (Chine-Russie-Iran-« Allemagne »(?)) pour encercler le vieil empire américain décadent, isolé sur son ile d’Amérique du Nord entre deux océans tourmentés. Lisez cette analyse d’un ami de la Chine impériale et vous comprendrez mieux que les choses changent dans ce monde en perpétuelle crise économique – politique – sociale – commerciale – militaire – diplomatique et pourquoi pas « sanitaire ». Ne soyez pas surpris que la crise pandémique du COVID ne soit même pas évoquée par le scribe. L’empire chinois, qui prépare sa guerre de conquête depuis des années, a évacué cet exercice militaire – sanitaire – depuis des mois, alors que l’Empire du chaos s’y empêtre chaque jour d’avantage… C’est l’avantage que procure un État totalitaire expérimenté, déjà bien implanté, versus un État totalitaire à consolider… n’est-ce pas messieurs Biden, Macron, Johnson, Trudeau et les autres !?… 
Robert Bibeau. Éditeur. 


Requiem pour un empire : une préquelle

Par Pepe Escobar

L’inexorable pourriture impériale se poursuivra, une affaire vulgaire sans aucun pathétique dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung.

31 juillet 2021 –  » Asia Times ‘ —- Agressé par une dissonance cognitive à tous les niveaux, l’ Empire du Chaos  se comporte désormais comme un détenu maniaco-dépressif, pourri jusqu’à l’âme – un destin plus rempli d’effroi que d’avoir à faire face à une révolte de les satrapies.

Seuls les zombies en état de mort cérébrale croient maintenant en sa mission universelle autoproclamée en tant que nouvelle Rome et nouvelle Jérusalem. Il n’y a pas de culture, d’économie ou de géographie unificatrices qui tissent le noyau à travers un «paysage politique aride, desséché, étouffant sous le soleil cuivré de la ratiocination apollinienne, dépourvu de passion, très masculin et vide d’empathie humaine».

Clueless Cold Warriors rêvent encore de l’époque où l’axe Allemagne-Japon menaçait de gouverner l’Eurasie et le Commonwealth mordait la poussière – offrant ainsi à Washington, craignant d’être contraint à l’île, l’occasion unique de profiter de la Seconde Guerre mondiale pour ériger lui-même en tant que Paradigme Mondial Suprême et sauveur du « monde libre ».

Et puis il y a eu les années 90 unilatérales, lorsque la Shining City on the Hill, une fois de plus autoproclamée, se prélassait dans des célébrations vulgaires de «fin de l’histoire» – tout comme des néoconservateurs toxiques, engendrés dans l’entre-deux-guerres via la cabale gnostique du trotskysme new-yorkais. , ont tracé leur prise de pouvoir.

Aujourd’hui, ce n’est plus l’Allemagne-Japon mais le spectre d’une entente Russie-Chine-Allemagne qui terrorise l’Hégémon comme le trio eurasien capable d’envoyer la domination mondiale américaine aux poubelles de l’Histoire.

Entrez dans la « stratégie » américaine. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est un prodige d’étroitesse d’esprit, n’aspirant même pas au statut d’exercice – infructueux – d’ironie ou de désespoir, cédant comme il l’est à la fondation piétonne Carnegie, avec son QG à Think Tank Row entre Dupont et Thomas Circle le long du Massachusetts. Avenue à Washington

Faire en sorte que la politique étrangère des États-Unis fonctionne mieux pour la classe moyenne est une sorte de rapport bipartite guidant l’administration actuelle et désorientée de Crash Test Dummy. L’un des 11 écrivains impliqués n’est autre que le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan. L’idée qu’une stratégie impériale mondiale et – dans ce cas – une classe moyenne profondément appauvrie et enragée partagent les mêmes intérêts n’est même pas qualifiée de mauvaise blague.

Avec des « penseurs » comme ceux-ci, l’Hégémon n’a même pas besoin de « menaces » eurasiennes.

Vous voulez parler à M. Kinzhal ?

Pendant ce temps, dans un scénario digne de Desolation Row de Dylan réécrit par The Three Stooges, les proverbiales chihuahuas atlantistes délirent que le Pentagone a ordonné la partition de l’OTAN : l’Europe occidentale contiendra la Chine et l’Europe orientale contiendra la Russie.

Pourtant, ce qui se passe réellement dans ces couloirs de la puissance européenne qui comptent vraiment – ​​non, bébé, ce n’est pas Varsovie – c’est que non seulement Berlin et Paris refusent de s’opposer à Pékin, mais réfléchissent à comment se rapprocher de Moscou sans enrager l’Hégémon.

Voilà pour les micro-ondes, Divide and Rule Kissingerian. L’une des rares choses que le célèbre criminel de guerre a vraiment compris, c’est lorsqu’il a noté, après l’implosion de l’URSS, que sans l’Europe « les États-Unis deviendraient une île lointaine sur le littoral de l’Eurasie»: ils habiteraient « dans la solitude, un statut mineur ».

La vie est un frein lorsque le déjeuner gratuit (mondial) est terminé et en plus de cela, vous devez faire face non seulement à l’émergence d’un « concurrent de pairs » en Eurasie (copyright Zbig « Grand échiquier » Brzezinski) mais aussi à un partenariat stratégique global. Vous craignez que la Chine ne mange votre déjeuner – et votre dîner, et votre dernier verre – mais vous avez toujours besoin de Moscou comme ennemi désigné de choix, car c’est ce qui légitime l’OTAN.

Appelez les trois Stooges ! Envoyons les Européens patrouiller en mer de Chine méridionale ! Allons chercher ces nullités baltes et des Polonais pathétiques pour faire respecter le nouveau rideau de fer ! Et déployons la russophobe Britannia Rules the Waves sur les deux fronts !

Contrôler l’Europe – ou faire faillite. D’où le Brave New NATO World : le fardeau de l’homme blanc revisité – contre la Russie-Chine.

Jusqu’à présent, la Russie-Chine avait fait preuve d’une patience taoïste infinie face à ces clowns. Plus maintenant.

Les acteurs clés du Heartland ont clairement vu à travers le brouillard de la propagande impériale ; la route sera longue et sinueuse, mais l’horizon finira par dévoiler une alliance Allemagne-Russie-Chine-Iran rééquilibrant l’échiquier mondial.

C’est le cauchemar ultime de la Nuit impériale des morts-vivants – d’où ces humbles émissaires américains se précipitant frénétiquement autour de plusieurs latitudes essayant de maintenir les satrapies en ligne.

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’étang, la Chine et la Russie construisent des sous-marins comme s’il n’y avait pas de lendemain équipés de missiles à la pointe de la technologie – et les Su-57 invitent les sages à une conversation étroite avec un hypersonique M. Kinzhal.

Sergueï Lavrov, tel un grand seigneur aristocratique , a pris la peine d’éclairer les clowns avec une distinction nette et érudite  entre l’état de droit et leur auto-défini « ordre international fondé sur des règles ».

C’est trop pour leur QI collectif. Ce qu’ils enregistreront peut-être, c’est que le traité russo-chinois de bon voisinage, d’amitié et de coopération, initialement signé le 16 juillet 2001, vient d’être prolongé de cinq ans par les présidents Poutine et Xi.

Alors que l’Empire du Chaos est progressivement et inexorablement expulsé du Heartland, la Russie et la Chine gèrent conjointement les affaires d’Asie centrale.

Lors de la conférence sur la connectivité en Asie centrale et du Sud à Tachkent , Lavrov a expliqué comment la Russie dirige « le Grand partenariat eurasien, un cadre unificateur et intégrateur entre les océans Atlantique et Pacifique qui est aussi libre pour la circulation des biens, des capitaux, du travail et des services. que possible et qui est ouvert à tous les pays du continent commun de l’Eurasie et aux syndicats d’intégration créés ici.

Ensuite, il y a la stratégie de sécurité nationale russe mise à jour , qui décrit clairement que la construction d’un partenariat avec les États-Unis et la réalisation d’une coopération gagnant-gagnant avec l’UE est une lutte difficile : « Les contradictions entre la Russie et l’Occident sont sérieuses et difficiles à résoudre. En revanche, la coopération stratégique avec la Chine et l’Inde sera élargie.

Un séisme géopolitique

Pourtant, la percée géopolitique déterminante au cours de la deuxième année des années folles pourrait bien être la Chine disant à l’Empire : « ça suffit ».

Tout a commencé il y a plus de deux mois à Anchorage, (la nouvelle phase du plan global du moins. NDÉ) lorsque le redoutable Yang Jiechi a préparé une soupe aux ailerons de requin  avec la délégation américaine impuissante. La pièce de résistance est arrivée cette semaine à Tianjin, où le vice-ministre des Affaires étrangères Xie Feng et son patron Wang Yi ont réduit la médiocre bureaucrate impériale Wendy Sherman au statut de boulette rassis.

Cette analyse fulgurante d’un groupe de réflexion chinois a passé en revue toutes les questions clés. Voici les faits saillants.

– Les Américains voulaient s’assurer que des « garde-fous et frontières » soient établis pour éviter une détérioration des relations américano-chinoises afin de « gérer » la relation de manière responsable. Cela n’a pas fonctionné, car leur approche était « terrible ».

– « Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Xie Feng a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré que la triade américaine «concurrence, coopération et confrontation» est un « bandeau sur les yeux » pour contenir et réprimer la Chine. La confrontation et le confinement sont essentiels, la coopération est opportune et la compétition est un piège à discours. Les États-Unis exigent la coopération lorsqu’ils ont besoin de la Chine, mais dans les domaines où ils pensent avoir un avantage, ils découplent et coupent les approvisionnements, les blocages et les sanctions, et sont prêts à affronter et confronter la Chine afin de la contenir.

– Xie Feng « a également présenté deux listes à la partie américaine, une liste de 16 éléments demandant à la partie américaine de corriger ses mauvaises politiques et paroles et actes envers la Chine, et une liste de 10 cas prioritaires préoccupant la Chine (…) si ces -Les problèmes de la Chine causés par le penchant des États-Unis ne sont pas résolus, de quoi peut-on parler entre la Chine et les États-Unis?»

– Et puis, le sorbet pour accompagner le cheesecake : les trois lignes de fond de Wang Yi à Washington. En un mot:

  1. « Les États-Unis ne doivent pas contester, dénigrer ou même tenter de subvertir la voie et le système socialistes aux caractéristiques chinoises. La route et le système de la Chine sont le choix de l’histoire et le choix du peuple, et ils concernent le bien-être à long terme de 1,4 milliard de Chinois et le destin futur de la nation chinoise, qui est l’intérêt central auquel la Chine doit adhérer.
  2. « Les États-Unis ne doivent pas essayer d’entraver ou même d’interrompre le processus de développement de la Chine. Le peuple chinois a certainement le droit à une vie meilleure, et la Chine a aussi le droit à la modernisation, qui n’est pas le monopole des États-Unis et implique la conscience fondamentale de l’humanité et de la justice internationale. La Chine exhorte la partie américaine à lever rapidement toutes les sanctions unilatérales, les tarifs douaniers élevés, la juridiction à bras long et le blocus scientifique et technologique imposé à la Chine. »
  3. « Les États-Unis ne doivent pas empiéter sur la souveraineté nationale de la Chine, et encore moins saper l’intégrité territoriale de la Chine. Les enjeux liés au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong ne concernent jamais les droits de l’homme ou la démocratie, mais plutôt les principaux droits et torts de la lutte contre « l’indépendance du Xinjiang », « l’indépendance du Tibet » et « l’indépendance de Hong Kong ». Aucun pays ne permettra que sa sécurité souveraine soit compromise. Quant à la question de Taïwan, c’est une priorité absolue (…) Si « l’indépendance de Taïwan » ose provoquer, la Chine a le droit de prendre tous les moyens nécessaires pour l’arrêter.

L’Empire du Chaos enregistrera-t-il tout ce qui précède ? Bien sûr que non. Ainsi se poursuivra l’inexorable pourriture impériale, une affaire vulgaire sans aucun pathos dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung, suscitant à peine un regard des dieux, « où ils sourient en secret, regardant les terres incultes / Fléau et famine, peste et tremblement de terre, abîmes rugissants et sables ardents, / Combats retentissants et villes en flammes, et navires coulant, et priant mains », comme Tennyson l’a immortalisé.

Pourtant, ce qui compte vraiment, dans notre royaume de realpolitik, c’est que Pékin ne s’en soucie même pas. Le point a été fait : « Les Chinois en ont depuis longtemps assez de l’arrogance américaine, et le temps où les États-Unis ont essayé d’intimider les Chinois est révolu.

Maintenant , c’est le début d’un nouveau monde géopolitique – et un prequel à un requiem impérial. De nombreuses suites suivront.


Pepe Escobar – Analyste géopolitique indépendant, écrivain et journaliste




Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.