Scandale de la crise covid-19 : un panorama des liens et possibles conflits d’intérêt

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Pixabay FranceSoir]

Auteur(s): FranceSoir

Une enquête en immersion dans la « fricosphère »

La bulle science est-elle bien couverte ? Pure et sans tache, exempte d’éléments matériels froids, métalliques, pouvant la salir ? Debout ! Tournez donc le dos aux conflits d’intérêt nuisant à l’intérêt du patient ! Au garde-à-vous devant la Vertu ! Les médecins auraient-ils étudié la médecine seulement pour l’argent, ou plutôt, nous l’espérons, pour soigner nos semblables ?

Trois panoramas ont déjà été publiés évoquant tour à tour :

  • le panorama de l’escroquerie (diagnostic, traitement et vaccin) – le Pr Buzyn et le Pr Karine Lacombe ont été mises en examen quelques jours après.
  • celui du harcèlement organisé contre l’IHU et le Professeur Raoult – que le Pr Raoult n’a pas hésité à dénoncer comme de la « délinquance antiélitisme ». Des plaintes ont été constituées ou vont l’être.
  • Et pour finir celui autour de RéInfoCovid, le collectif créé par le Dr Fouché et plus particulièrement de l’association RéInfo Liberté – pour lequel l’avocat Me Heringuez a dû se fendre d’un courrier de mise en demeure au journal « le Monde » pour avoir enfreint le code de déontologie journalistique à plusieurs reprises.

Quelques pépites dans ces enquêtes. Voici aujourd’hui, la suite sur les conflits d’intérêts et comment se plonger dans l’analyse et leur identification. Remontant la chaine des liens éventuels à partir d’ exemples concrets. « Qui est le jouet des apparences se laisse séduire par des mensonges ». écrivait Anatole France en 1901 . 

Avant-propos

Inutile de revenir en longueur sur ce qu’a déjà mis en lumière FranceSoir quant aux conflits d’intérêts de l’OMS ou aux conflits d’intérêt financiers des médecins plateaux TV parmi lesquels le Professeur Lacombe reléguée au pied du podium – un petit rappel suffit :

Pas plus qu’il n’est utile de revenir sur les essais cliniques randomisés que le chercheur Valère Lounnas décrivait comme « la nouvelle arme médiatique des laboratoires pharmaceutiques ».

Voici un petit exemple pratique autour d’un article scientifique pouvant mettre le lecteur sur la voie et faire comprendre comment un article peut être entaché de liens d’intérêts modifiant ses conclusions. Et faire taire ceux qui se mettent à hurler sur les réseaux sociaux dès que leurs turpitudes sont mises à jour. L’inélégance du hérisson urticant (@Sonic_Urticant identifié dans la harcelosphère contre l’IHU) ou le spécialiste du publireportage Pokemon @Willvs (alias William Audureau du Monde).

Le commencement passe par une analyse méthodique. Pour cela nous ferons appel à la méthode des « no Fake med » (groupe s’étant violement opposé à la recherche de l’IHU du Pr Didier Raoult pour des raisons de faiblesses méthodologiques !). Deux groupes sont nécessaire.

  • Un contrôle et
  • un soumis au dictat des intérêts matériels.

Le groupe contrôle

Pour commencer nous prenons l’étude italienne sur 3500 patients qui concluait à un bénéfice significatif du traitement des patients hospitalisés covid-19 avec l’hydroxychloroquine. Résultat : une baisse significative statistiquement de la mortalité de 30%.

Ce résultat correspond à celui observé à l’IHU du Pr Raoult sur la cohorte de 2000 patients hospitalisés (30% de baisse du risque de décès).

La réplicabilité des résultats est retrouvée dans deux autres études avec des cohortes similaires. En Italie, l’étude Di Castelnuovo sur 4000 patients – avec un bénéfice confirmé chez les patients à risque faible avant traitement. Cateau et al en Belgique reproduit aussi le bénéfice pour l’hydroxychloroquine. Autant pour les « no fake med » qui disent que le consensus scientifique conclut que l’hydroxychloroquine ne marche pas.

Le groupe à analyser

En continuant le parallèle, il est important de regarder le groupe à analyser. En l’occurrence les études ne reproduisant pas les résultats ci-dessus. Sands et al 2021 montre qu’il n’y a pas de bénéfice clinique chez les patients hospitalisés. Essayons de comprendre pourquoi ?

Le premier réflexe est de chercher les différences dans les conditions expérimentales ou des biais systématiques – suspecter un conflit d’intérêt.

Pourquoi tant de discordance et un effet diamétralement opposé ?

D’un côté un effet bénéfique prouvé dans de nombreux articles et de l’autre un effet délétère ? Ceci défie toute logique, y compris celle affectée des No Fake med.

Analysons ! Quels sont les biais ? Recherchons les conflits d’intérêt. A première vue, tout va bien, les auteurs ne déclarant pas de conflit d’intérêt.

Analysons plus en détail. Y aurait t-il (ô subtilité !) un lien d’intérêt ? Oui, la recherche a été financée par « HCA health system ». C’est le second réflexe à avoir – demander qui paie la recherche et les auteurs ?

Dans le cas présent, bien que les auteurs n’aient pas été payés directement par HCA health system, ceci constitue sans aucun doute un paramètre à prendre en compte. Il faut aussi bien regarder les affiliations des auteurs.
Et, oui les auteurs, employés HCA health system, doivent leur poste et leur travail à qui les emploie.

Les auteurs sont payés par le financeur de la recherche exposée dans l’article.

Cependant il faut chercher plus loin pour comprendre. A commencer par la taille des enjeux financiers. Oui, le pouvoir et l’argent mènent ce monde étranger à ses origines, depuis la chute des valeurs ou perte de bien des repères.

Qui est HCA health system ?

Le plus grand groupe hospitalier privé au monde avec 50 milliards de dollars de chiffres d’affaire en 2020. Le réflexe 2 est donc d’analyser la taille des enjeux financiers. 50 milliards ce n’est pas une paille.

Comprenons que HCA health system a une vocation lucrative et non pas humaniste et académique. Le bien-être du patient ne serait ainsi pas, pour cette corporation, une priorité !

Continuons par paraphraser Monsieur Philippe de Villiers, nous dirons que nous avons tiré sur le fil du conflit d’intérêt et tout est venu.

Le réflexe 4 est donc de clarifier les financeurs du financeur de la recherche. Regardons les actionnaires de la société HCA. Vanguard, un financier américain, truste sept des quinze premières places en terme d’actionnariat.

Continuons à tirer sur le fil de la pelote en remontant les actionnaires. Les médias mainstream diraient-ils que nous complotons?

Non, nous enquêtons – Vanguard Blackrock serait un financeur majeur en lien avec HCA health system.

Et nous associons et synthétisons nos découvertes.

Nous découvrons, ô hasard, que Vanguard Blackrock est un financeur indirect d’Elsevier, la maison d’édition du fameux (fake) article concluant en la nocivité de l’hydroxychloroquine.

Et nous tombons aussitôt sur les liens unissant SPILF – ELSEVIER- et le Dr Nathan Peiffer Smadja qui a été un des « négationnistes de l’efficacité de l’hydroxychloroquine » et un « promoteur du Remdesivir » (section plus bas dans l’article). A commencer par sa fameuse méta-analyse qu’il n’a sans doute pas écrite (contrairement à ce qu’il a affirmé par écrit sur l’article) car il n’était pas auteur dans la prépublication, et par des colloques SPILF.

https://www.elsevier.com/fr-fr/clinical-solutions/evenements/serie-infectio-le-point-sur

Parallèlement le Professeur Karine Lacombe tente de faire la promotion de ce traitement sur des critères intermédiaires (durée d’hospitalisation diminuée grâce à ce traitement, sans jamais mentionner les effets indésirables ni l’absence d’impact sur la mortalité).

Parallèlement, nous remarquons que le journal dans lequel est paru l’article incriminé est celui d’une société savante « International Society for Infectious disease (ISID) »… financée par… Pfizer.

Tirons la pelote. Les « No fake med » opposants affichés à l’IHU vont-ils apprécier ? Ils devraient puisqu’ils sont les champions du monde de l’intégrité !

Tirons la pelote et apparaît encore Vanguard Blackrock, financeur de Pfizer.

Patience, tirons encore un peu sur le fil ! Soyez attentifs, lecteurs, journalistes et médecins des plateaux TV !

Il ne reste plus qu’à reconstituer le puzzle et regarder tous ces liens pouvant entacher l’intégrité scientifique.

Pfizer et le vaccin d’un côté, Gilead et le Remdesivir de l’autre

Rappelons le LIEN d’intérêt unissant le jeune Docteur Nathan Peiffer Smadja avec la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF), et son mentor le Professeur Yasdan Yasdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. L’association savante des infectiologues français a des liens si étroits avec Gilead que le laboratoire américain sponsorise les badges de leur colloque annuel

Rappelons (nous l’avions mentionné en début d’article) que François-Xavier Lescure de Paris – Bichat (qui a reçu de l’argent de Gilead) est l’adjoint du Pr Yazdan Yazdanpanah. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine.

Peut-être est ce pour cette raison que le jeune Nathan a recommandé le Remdesivir dans un « élan fougueux ». Cela a déjà été écrit mais rappelons les faits : https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-19-diagnostic-traitements-vaccin-panorama-dune-escroquerie

Son thread fait croire que le HCSP a recommandé, en mars 2020, des thérapies cliniques alors que ce n’est pas sa mission. L’avis disait à Mr Véran de prendre un arrêté pour usage compassionnel du #remdesivir, ce qu’il n’a pas fait.

Attention, les conséquences sont concrètes ; cet article relate la toxicité de ce médicament utilisé à l’hôpital Bichât chez François-Xavier Lescure, Yazdan Yazdanpanah (et donc chez le Dr Nathan Peiffer-Smadja).

Sur cinq patients, quatre effets indésirables hépatiques et/ou rénaux, dont deux patients en dialyse !

Mais, intérêt oblige le délire continue ! https://twitter.com/VirusWar/status/1439159792921190405?s=20

Autorisation en décembre 2020

Autorisation en juin 2021 !

Et pourtant une nouvelle étude parue dans le Lancet confirme l’absence d’intérêt du Remdesivir :

Attention, concernant la malhonnêteté, il y a des cas particuliers…

Il ne reste plus qu’à finir l’analyse par une bonne méthodologie pour faire plaisir aux « No Fake Med » que certains n’hésitent pas à décrire comme des « scientistes étroits ». Le « cas contrôle » n’avait pas de liens financiers pouvant influencer ses conclusions.

Pour conclure, quand vous lisez un article scientifique, n’hésitez pas à remonter le fil des financements et des liens d’intérêt; reconstituez vous-même le puzzle !

Rappelons que certains avocats ont déjà déposé des plaintes à la Cour pénale internationale et n’hésitent plus à le comparer au procès dit de Nuremberg.

Si vous êtes arrivés jusqu’ici, ne croyez pas un mot de ce qui est écrit, vérifiez par vous-même.

Enquête réalisée par la rédaction de FranceSoir avec le Collectif Citoyen.

Auteur(s): FranceSoir




Une ex-employée de Facebook fait trembler le géant américain avec ses révélations

[Source : sputniknews.com]

[Photo : © REUTERS / Stephen Lam]

Par Julia Belyakova

Une série de révélations a été faite grâce à des documents connus sous le nom de Facebook Files, transmis à la Security and Exchange Commission par une lanceuse d’alertes. Selon le Wall Street Journal, qui a pu consulter des documents, le fonctionnement de l’entreprise semble ne toujours pas correspondre au discours public de la direction.Est-ce que des temps difficiles attendent l’entreprise Facebook et sa direction? Une lanceuse d’alertes qui avait déjà révélé une partie des documents portant sur des règlements intérieurs de travail du réseau social, donnant la base à une série de publications par le Wall Street Journal qui a pu les consulter, aurait promis de sortir de l’ombre ce dimanche 3 octobre dans l’émission 60 Minutes de la chaîne CBS.

Toutefois, elle avait déjà transmis certains documents, connus sous le nom de Facebook Files, pour une étude à la Security and Exchange Commission (SEC), l’organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Et selon les investigations menées par le Wall Street Journal, parmi les révélations faites par cette lanceuse d’alertes, il y a l’effet négatif d’Instagram sur les jeunes, jamais communiqué par Facebook, alors qu’il s’agit de résultats d’une étude interne, la censure manuelle des comptes de personnalités et influenceurs, ce qui prouverait l’implication du facteur humain dans cette censure qui comme il s’avère n’est pas faite par des robots.

L’influence négative d’Instagram

Les chercheurs d’Instagram, qui appartient à Facebook, étudient depuis des années comment l’application de partage de photos touche des millions de jeunes utilisateurs. À plusieurs reprises, la société a constaté qu’Instagram était nuisible pour un pourcentage important d’entre eux, en particulier les adolescentes, plus que d’autres plateformes de réseaux sociaux. En public, Facebook a constamment minimisé les effets négatifs de l’application, y compris dans les déclarations au Congrès, et n’a pas rendu sa recherche publique ou disponible pour les universitaires ou les législateurs qui l’ont demandée. En réponse, Facebook dit que les effets négatifs ne sont pas répandus, que la recherche en santé mentale est précieuse et que certains des aspects nocifs ne sont pas faciles à traiter, précise le Wall Street Journal dans sa publication.

Les comptes privilégiés

Mark Zuckerberg a publiquement déclaré que Facebook permettait à ses plus de trois milliards d’utilisateurs de parler sur un pied d’égalité avec les élites de la politique, de la culture et du journalisme, et que ses normes de comportement s’appliquent à tous, peu importe leur statut ou leur renommée, rappelle le média. En privé, l’entreprise a conçu un programme, connu sous le nom de « vérification croisée » ou « XCheck », créé comme une mesure de contrôle de la qualité pour les comptes de haut niveau. Aujourd’hui, il protège des millions de comptes privilégiés, montrent les documents. Beaucoup abusent de ce privilège, publiant des images relevant du harcèlement et de l’incitation à la violence qui conduiraient généralement à des sanctions. Les comptes de personnalités faisant partie de ces listes « privilégiées » sont traités manuellement, ainsi cela prend plus de temps et la modération n’est pas exempte d’un facteur et jugement humains. Cela concerne presque six millions de comptes (5,8 millions à en croire les documents dévoilés). Parfois, XCheck avait protégé des personnalités publiques dont les messages contiennent du harcèlement ou de l’incitation à la violence, violations qui généralement conduiraient à des sanctions pour les utilisateurs réguliers. En 2019, il a permis à la star internationale du football Neymar de montrer des photos nues d’une femme, qui l’avait accusé de viol, à des dizaines de millions de ses fans avant que le contenu ne soit supprimé par Facebook, démontrent les documents.

L’un des documents internes consultés explique aux employés ce qu’est le programme XCheck de la manière suivante:

« Cela signifie que, pour un petit nombre de membres de notre communauté, nous n’appliquons pas nos politiques et nos normes. Contrairement au reste de notre communauté, ces personnes peuvent violer nos normes sans aucune conséquence », indique le Wall Street Journal, citant l’une des notes il a pu consulter.

Facebook a répondu pour sa part que critiquer ce programme était justifié, qu’il a été conçu pour un bon but et que l’entreprise travaillait à le corriger.

Le trafic d’organes humains, la pornographie et les cartels de la drogue

De nombreux documents Facebook examinés par le Wall Street Journal montrent des employés s’alarmant de la façon dont la plateforme est utilisée dans les pays en développement, où sa base d’utilisateurs est énorme et en expansion. Des employés ont signalé que les trafiquants d’êtres humains au Moyen-Orient utilisaient le site pour attirer les femmes. Ils ont averti que les groupes armés éthiopiens utilisaient le site pour inciter à la violence contre les minorités ethniques. Ils ont envoyé des alertes à leurs patrons sur la vente d’organes, la pornographie et l’action du gouvernement contre la dissidence politique, selon les documents. Ils montrent également la réaction de l’entreprise, qui dans de nombreux cas est inadéquate ou reste sans réponse.

Notamment, en janvier 2021, un ancien policier devenu enquêteur pour Facebook a publié une note de service pour tout le personnel sur le tableau des messages internes où il a détaillé un nouvel ensemble de ce qu’il a appelé « les apprentissages ». Le plus important d’entre eux était celui qui portait sur un cartel mexicain de la drogue utilisant Facebook pour recruter, former et payer les tueurs à gages, donne comme exemple le Wall Street Journal, en se référant aux documents révélés. Le comportement était choquant dans nombre de cas rapportés et en violation flagrante des règles de Facebook. Mais l’entreprise n’a pas empêché le cartel de publier sur Facebook ou Instagram.

Un porte-parole de Facebook a déclaré que l’entreprise avait déployé des équipes à travers le monde, des partenariats locaux et des vérificateurs de faits tiers pour augmenter la sécurité des utilisateurs.

L’impact de Facebook dans la campagne vaccinale

Facebook a pesé de tout son poids dans la promotion des vaccins contre le Covid-19, « une priorité de compagnie supérieure », souligne une note interne, dans une démonstration de Mark Zuckerberg pour faire valoir que sa création est une force pour le bien dans le monde. Il a fini par démontrer des lacunes entre ses aspirations et la réalité de la plus grande plateforme sociale du monde. Les activistes ont inondé le réseau, selon les notes internes consultées par le quotidien. Ils ont utilisé les outils de Facebook pour semer le doute sur la gravité de la menace de la pandémie et la sécurité de la principale arme des autorités pour la combattre. Les problèmes liés au Covid-19 ont créé des difficultés pour la direction de Facebook. Même quand il fixait un objectif, le chef de l’exécutif ne pouvait pas diriger la plateforme comme il le voulait. Un porte-parole de Facebook a déclaré dans un communiqué que les données montrent que l’hésitation vaccinale des gens aux États-Unis sur Facebook a diminué d’environ 50% depuis janvier, et que les documents montrent le « processus de routine de l’entreprise pour faire face à des défis difficiles ».

Une fuite précédente liée à Cambridge Analytica

Il ne s’agit pas de la première fuite géante chez Facebook. En 2018, le scandale autour du cabinet britannique Cambridge Analytica, qui avait récupéré les données de 87 millions d’utilisateurs à des fins de propagande politique, avait porté un coup dur à la réputation du réseau social qui compte actuellement près de 2,8 milliards d’usagers mensuels.

En octobre 2020, une association de consommateurs a annoncé lancer une action en justice au Royaume-Uni contre Facebook pour l’utilisation illégale de données d’utilisateurs en Angleterre et au pays de Galles, à la suite de l’affaire Cambridge Analytica. Précédemment, Facebook avait accepté de payer une amende de 500.000 livres sterling (585.000 euros) au Royaume-Uni.




Camps de détention du COVID-19 : Les rafles gouvernementales des résistants sont-elles notre avenir ?

[Source : Aube Digitale]

Par JADE

« Sans doute les camps de concentration étaient-ils un moyen, une menace utilisée pour maintenir l’ordre. »

Albert Speer, procès de Nuremberg

Il ne s’agit plus de savoir si le gouvernement enfermera les Américains pour avoir défié ses mandats, mais quand.

Voici ce que nous savons : le gouvernement a les moyens, les muscles et la motivation pour détenir les individus qui résistent à ses ordres et ne se conforment pas à ses mandats dans un vaste éventail de prisons, de centres de détention et de camps de concentration de la FEMA payés avec l’argent des contribuables.

Ce n’est qu’une question de temps.

La question la plus brûlante n’a plus d’importance (les vaccins obligatoires, l’immigration, les droits des armes à feu, l’avortement, le mariage homosexuel, les soins de santé, la critique du gouvernement, la protestation contre les résultats des élections, etc.

Le travail préparatoire a déjà été effectué

En vertu de la disposition relative à la détention indéfinie de la loi sur l’autorisation de la défense nationale (NDAA), le président et l’armée peuvent détenir et emprisonner des citoyens américains sans accès à leurs amis, à leur famille ou aux tribunaux si le gouvernement les considère comme des terroristes.

Il n’est donc pas surprenant que le simple fait de critiquer le gouvernement ou de s’opposer à la vaccination contre le COVID-19 puisse vous faire qualifier de terroriste.

Après tout, il suffit de peu de choses pour être considéré comme un terroriste, d’autant plus que le gouvernement aime utiliser indifféremment les mots « anti-gouvernemental », « extrémiste » et « terroriste ».

Par exemple, le département de la sécurité intérieure définit les extrémistes comme des individus, des vétérans militaires et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale ».

Les vétérans militaires revenant d’Irak et d’Afghanistan peuvent également être qualifiés d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles par le gouvernement, car ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre. »

En effet, si vous croyez en vos droits constitutionnels et les exercez (à savoir, votre droit de parler librement, de pratiquer librement votre culte, de vous associer à des personnes partageant vos opinions politiques, de critiquer le gouvernement, de posséder une arme, d’exiger un mandat avant d’être interrogé ou fouillé, ou toute autre activité considérée comme potentiellement anti-gouvernementale, raciste, bigote, anarchique ou souveraine), vous pourriez figurer en tête de la liste de surveillance du gouvernement en matière de terrorisme.

En outre, comme le souligne un éditorial du New York Times, vous pouvez être un extrémiste antigouvernemental (alias terroriste domestique) aux yeux de la police si vous craignez que le gouvernement ne complote pour confisquer vos armes à feu, si vous pensez que l’économie est sur le point de s’effondrer et que le gouvernement va bientôt déclarer la loi martiale, ou si vous affichez un nombre inhabituel d’autocollants politiques et/ou idéologiques sur votre voiture.

Selon le FBI, vous pourriez également être classé comme une menace de terrorisme intérieur si vous adhérez à des théories du complot ou osez souscrire à des opinions contraires à celles du gouvernement.

Le gouvernement dispose également d’une liste de plus en plus longue, partagée avec les centres de fusion et les services répressifs, d’idéologies, de comportements, d’affiliations et d’autres caractéristiques susceptibles de signaler une personne comme suspecte et de la faire passer pour un ennemi potentiel de l’État.

C’est ce qui se passe lorsque l’on confie non seulement le pouvoir de déterminer qui est un danger potentiel aux agences gouvernementales, aux tribunaux et à la police, mais que l’on donne également à ces agences l’autorité libérale d’enfermer des individus pour des méfaits perçus.

C’est un système qui ne demande qu’à être abusé par des bureaucrates assoiffés de pouvoir et désireux de conserver leur pouvoir à tout prix.

Cela s’est déjà produit auparavant.

Comme le montre l’histoire, le gouvernement américain n’hésite pas à enfermer ses propres citoyens à ses propres fins

Il suffit de remonter aux années 1940, lorsque le gouvernement fédéral a proclamé que les Américains d’origine japonaise, qualifiés de dissidents potentiels, pouvaient être placés dans des camps de concentration (ou d’internement) sur la seule base de leur origine ethnique, pour voir jusqu’où le gouvernement fédéral est prêt à aller pour maintenir « l’ordre » dans son pays.

La Cour suprême des États-Unis a validé le programme de détention dans l’affaire Korematsu v. US (1944), concluant que la nécessité pour le gouvernement d’assurer la sécurité du pays l’emportait sur les libertés individuelles.

Bien que cette décision Korematsu n’ait jamais été formellement annulée, le juge en chef Roberts a opiné dans l’affaire Trump v. Hawaii (2018) que

« la relocalisation forcée de citoyens américains dans des camps de concentration, uniquement et explicitement sur la base de la race, est objectivement illégale et en dehors de la portée de l’autorité présidentielle. »

Les déclarations de Roberts n’offrent guère d’assurance en matière de sécurité, compte tenu de la tendance du gouvernement à contourner la règle de droit lorsque cela satisfait ses objectifs. Soulignant que de telles détentions manifestement illégales pourraient se reproduire – avec la bénédiction des tribunaux – le juge Scalia a un jour averti :

« En temps de guerre, les lois se taisent. »

En fait, la création de camps de détention au niveau national fait depuis longtemps partie du budget et des opérations du gouvernement, relevant de la FEMA, l’Agence fédérale de gestion des urgences.

L’histoire trouble de la FEMA remonte aux années 1970, lorsque le président Carter l’a créée par le biais d’un décret fusionnant plusieurs agences gouvernementales d’aide en cas de catastrophe en une seule grande agence.

Dans les années 1980, cependant, des rapports ont commencé à faire état d’exercices secrets d’entraînement de type militaire menés par la FEMA et le ministère de la Défense. Sous le nom de code Rex-84, 34 agences fédérales, dont la CIA et les services secrets, ont été formées à la gestion des troubles civils intérieurs.

Le rôle de la FEMA dans la création de camps d’internement américains top-secret est bien documenté

Mais faites attention à qui vous partagez cette information : il s’avère que le fait de s’inquiéter de l’existence des camps de détention de la FEMA fait partie de la liste croissante d’opinions et d’activités qui peuvent amener un agent fédéral ou un fonctionnaire à penser que vous êtes un extrémiste (alias un terroriste) ou que vous êtes favorable à des activités terroristes, et que vous pouvez donc être placé en détention pour une durée indéterminée en vertu de la NDAA. Cette liste de points de vue « dangereux » comprend également la défense des droits de l’État, la conviction que l’État n’est pas nécessaire ou est indésirable, la « théorie de la conspiration », les préoccupations concernant les camps de la FEMA, l’opposition à la guerre, l’organisation pour la « justice économique », la frustration à l’égard des « idéologies dominantes », l’opposition à l’avortement, l’opposition à la mondialisation et le stockage de munitions.

Si vous voulez avoir des camps d’internement sur le sol américain, il faut bien que quelqu’un les construise.

Ainsi, en 2006, il a été annoncé que Kellogg Brown and Root, une filiale de Halliburton, avait obtenu un contrat de 385 millions de dollars pour construire des centres de détention américains. Bien que le gouvernement et Halliburton n’aient pas précisé où et quand ces centres de détention nationaux seraient construits, ils en ont justifié la nécessité en cas « d’afflux urgent d’immigrants, ou pour soutenir le développement rapide de nouveaux programmes » en cas d’autres urgences telles que des « catastrophes naturelles. »

Bien entendu, ces camps de détention devront être utilisés pour toute personne considérée comme une menace pour le gouvernement, et cela inclut les dissidents politiques.

Ce n’est donc pas une coïncidence si le gouvernement américain a, depuis les années 1980, acquis et maintenu, sans mandat ni ordonnance du tribunal, une base de données de noms et d’informations sur des Américains considérés comme des menaces pour la nation.

Comme le rapporte Salon, cette base de données, qui aurait été baptisée « Main Core », doit être utilisée par l’armée et la FEMA en cas d’urgence nationale ou de loi martiale pour localiser et rassembler les Américains considérés comme des menaces pour la sécurité nationale. Il y a au moins 8 millions d’Américains dans la base de données Main Core.

Avance rapide jusqu’en 2009, lorsque le département de la sécurité intérieure (DHS) a publié deux rapports, l’un sur l’ »extrémisme de droite », qui définit largement les extrémistes de droite comme des individus et des groupes « qui sont principalement anti-gouvernementaux, rejetant l’autorité fédérale en faveur de l’autorité étatique ou locale, ou rejetant entièrement l’autorité gouvernementale », et l’autre sur l’ »extrémisme de gauche », qui qualifie d’extrémistes les groupes de défense de l’environnement et des droits des animaux.

Chose incroyable, les deux rapports utilisent indifféremment les mots terroriste et extrémiste.

La même année, le DHS a lancé l’opération Vigilant Eagle, qui prévoit la surveillance des vétérans de l’armée revenant d’Irak, d’Afghanistan et d’autres pays lointains, les qualifiant d’extrémistes et de menaces terroristes intérieures potentielles parce qu’ils peuvent être « mécontents, désillusionnés ou souffrir des effets psychologiques de la guerre ».

Ces rapports indiquent que pour le gouvernement, ce que l’on appelle l’extrémisme n’est pas une question partisane. Toute personne perçue comme s’opposant au gouvernement – qu’elle soit de gauche, de droite ou quelque part entre les deux – est une cible, ce qui nous ramène, en boucle, à la question de savoir si le gouvernement exercera le pouvoir qu’il prétend posséder pour détenir toute personne perçue comme une menace, c’est-à-dire toute personne critiquant le gouvernement.

La réponse courte est : oui.

La réponse plus longue est plus compliquée.

Malgré ce que certains peuvent penser, la Constitution n’est pas une incantation magique contre les méfaits du gouvernement. En effet, son efficacité dépend de ceux qui la respectent.

Toutefois, en l’absence de tribunaux disposés à faire respecter les dispositions de la Constitution lorsque des représentants du gouvernement n’en tiennent pas compte et en l’absence de citoyens suffisamment informés pour être indignés lorsque ces dispositions sont remises en cause, la Constitution n’offre que peu ou pas de protection contre les raids des équipes d’intervention, la surveillance domestique, les tirs de la police sur des citoyens non armés, les détentions illimitées, etc.

Pour être franc, les tribunaux et la police ont tellement harmonisé leur façon de penser que tout est permis quand c’est fait au nom de la sécurité nationale, de la lutte contre la criminalité et du terrorisme.

Par conséquent, l’Amérique ne fonctionne plus dans le cadre d’un système de justice caractérisé par une procédure régulière, la présomption d’innocence, une cause probable et des interdictions claires concernant les excès du gouvernement et les abus de la police. Au lieu de cela, nos cours de justice ont été transformées en cours d’ordre, défendant les intérêts du gouvernement plutôt que les droits des citoyens, tels qu’ils sont inscrits dans la Constitution.

Nous semblons boucler la boucle sur de nombreux fronts

Il y a vingt ans, nous débattions de la question de savoir si les non-citoyens – par exemple, les soi-disant combattants ennemis détenus à Guantanamo Bay et les Américains musulmans raflés à la suite des attentats du 11 septembre – avaient droit aux protections prévues par la Constitution, notamment en ce qui concerne la détention indéfinie. À l’époque, les Américains ne se préoccupaient pas outre mesure des droits des non-citoyens, et aujourd’hui, c’est nous qui sommes dans la position peu enviable d’être ciblés par notre propre gouvernement pour une détention indéfinie.

De même, la plupart des Américains ne se sont pas inquiétés outre mesure lorsque la Cour suprême des États-Unis a donné aux policiers de l’Arizona le feu vert pour arrêter, fouiller et interroger quiconque – vraisemblablement ceux qui correspondent à un profil racial particulier – qu’ils soupçonnent d’être un immigrant illégal. Dix ans plus tard, les flics ont largement carte blanche pour arrêter tout individu, citoyen ou non, qu’ils soupçonnent de faire quelque chose d’illégal (attention, à notre époque de surcriminalisation, cela peut aller de donner à manger aux oiseaux à la culture d’orchidées exotiques).

De même, il existe encore aujourd’hui une partie non négligeable de la population qui ne se préoccupe pas de la pratique du gouvernement consistant à espionner les Américains, car on leur a lavé le cerveau en leur faisant croire que si vous ne faites rien de mal, vous n’avez rien à craindre.

Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils n’apprennent à leurs dépens que dans un État policier, peu importe qui vous êtes ou à quel point vous prétendez être vertueux, car finalement, vous serez mis dans le même sac que tous les autres et tout ce que vous ferez sera « mauvais » et suspect.

C’est d’ailleurs ce qui se passe déjà, la police s’appuyant sur des logiciels de surveillance tels que ShadowDragon pour observer l’activité des gens sur les médias sociaux et sur d’autres sites Web, qu’ils soient ou non soupçonnés d’un crime, et les utiliser potentiellement contre eux en cas de besoin.

Il s’avère que nous sommes dans Soleil Vert, cannibalisés par un gouvernement qui cherche à nous soutirer jusqu’à la dernière goutte.

Le film Soleil Vert (Soylent Green) de 1973, avec Charlton Heston et Edward G. Robinson, se déroule en 2022 dans une ville de New York surpeuplée, polluée et affamée, dont les habitants dépendent des aliments synthétiques fabriqués par la Soylent Corporation pour survivre.

Heston joue le rôle d’un policier qui enquête sur un meurtre et découvre l’effroyable vérité sur l’ingrédient principal du biscuit, Soleil Vert, qui constitue la principale source d’alimentation d’une population affamée. « Ce sont les gens. Soleil Vert c’est de la chaire humaine », déclare le personnage de Heston. « Ils fabriquent notre nourriture à partir de personnes. Bientôt, ils nous élèveront comme du bétail pour nous nourrir. »

Oh, comme il avait raison.

Soleil Vert est en effet constitué de personnes ou, dans notre cas, Soleil Vert est constitué de nos propres données personnelles, reprises, reconditionnées et utilisées par les entreprises et le gouvernement pour nous piéger dans des prisons de notre propre fabrication.

Sans protections constitutionnelles en place pour se prémunir contre les empiètements sur nos droits lorsque le pouvoir, la technologie et la gouvernance militariste convergent, il ne faudra pas longtemps avant que nous nous retrouvions, un peu comme le personnage d’Edward G. Robinson dans Soleil Vert. Robinson dans Soylent Green, à regarder le passé avec nostalgie, à revenir à une époque où nous pouvions parler à qui nous voulions, acheter ce que nous voulions, penser ce que nous voulions et aller où nous voulions sans que ces pensées, ces mots et ces mouvements ne soient suivis, traités et stockés par des géants industriels comme Google, vendus à des agences gouvernementales comme la NSA et la CIA, et utilisés contre nous par une police militarisée avec son armée de technologies futuristes.

Nous n’en sommes pas encore là, mais comme je l’explique clairement dans mon livre 
Battlefield America : The War on the American People et dans son pendant fictionnel 
The Erik Blair Diariesce moment décisif se rapproche à chaque minute.

Traduction du Rutherford Institute par Aube Digitale




Le commissaire de police en chef australien refuse d’appliquer le décret du passeport vaccinal

[Source : Aube Digitale]

La révolte grandit après des manifestations sauvages.

Le commissaire de police de la Nouvelle-Galles du Sud a refusé de faire respecter le passeport vaccinal imposé par l’État, révélant que les agents ne vérifieront pas le statut vaccinal des personnes dans les restaurants, les clubs et les bars.

Le gouvernement s’apprête à faire passer un décret qui interdira à toute personne non vaccinée d’entrer dans de nombreux lieux jusqu’au 1er décembre au moins, reprenant ainsi le système de ségrégation adopté dans de nombreux pays occidentaux.

Toutefois, après que des questions aient commencé à se poser quant à savoir si les entreprises seraient contraintes d’imposer ces mesures à leurs clients, le commissaire de la police de Nouvelle-Galles du Sud, Mick Fuller, a précisé que ses agents ne patrouilleraient pas.

« Le rôle de la police en termes de passeports vaccinaux, nous ne nous promènerons pas dans les restaurants, les cafés et les pubs pour vérifier si les gens sont doublement vaccinés », a-t-il déclaré.

« [Mais] nous aiderons certainement les propriétaires de restaurants et de magasins s’ils refusent l’entrée à quelqu’un – nous répondrons certainement pour aider ces personnes. »

Le ministre de la Santé, Brad Hazzard, a affirmé que ce serait à la police de faire respecter les mesures, mais cela ne semble pas devoir se produire.

Contrairement à ce qui se passe dans certains pays, les entreprises ne risquent pas d’amende si elles laissent entrer des personnes non vaccinées, ce qui rend l’ensemble du dispositif plutôt inutile.

Comme nous l’avons déjà souligné, de nombreuses entreprises en France n’appliquent pas le passeport vaccinal, pourtant prévu par la loi.

Depuis le début de la semaine dernière, Melbourne est secouée par des manifestations indisciplinées après qu’un syndicat d’ouvriers du bâtiment a exigé que ses employés se fassent vacciner ou perdent leur emploi.

Après que les travailleurs de la construction ont organisé une manifestation devant le siège du syndicat, le gouvernement a annoncé qu’il arrêterait tout travail lié à l’industrie pendant deux semaines à titre de sanction.

Cela a conduit à de nouveaux affrontements entre la police et les manifestants, avec des flics anti-émeute et des unités spéciales normalement réservées aux opérations anti-terroristes lâchées sur les Australiens.

Pendant ce temps, le Dr Kerry Chant, responsable de la santé en Nouvelle-Galles du Sud, a révélé la vérité hier en laissant entendre que les mesures de confinement du COVID resteront en place même si les gens se font vacciner.




Plus d’un million d’Israéliens qui n’ont pas reçu de 3e dose ont perdu le pass sanitaire dimanche

[Source : resistance-mondiale.com]

Beaucoup ne pourront pas accéder à certains lieux publics et rassemblements sans un test de virus négatif après un changement de politique nécessitant un rappel six mois après le 2e vaccin COVID-19.

À partir de dimanche, plus d’un million d’Israéliens perdront leur Green Pass (pass sanitaire) après qu’un changement de politique ait dicté qu’un rappel de COVID-19 soit requis six mois après avoir reçu les deux premières doses.

Les données du ministère de la Santé lundi ont montré que 4 710 716 Israéliens ont été vaccinés avec deux doses il y a six mois, mais seulement 3 243 641 d’entre eux ont reçu une dose de rappel.

Même en soustrayant les centaines de milliers de personnes infectées par COVID-19 au cours des six derniers mois, ce qui signifie qu’elles n’auraient pas besoin de la troisième dose de vaccin, le nombre de personnes qui n’auront plus un soi-disant Green Pass dépasse le million.

Le pass n’est valable qu’une semaine après avoir reçu la dernière dose requise, et pendant six mois après. Le document, détenu par ceux qui sont vaccinés ou qui se sont rétablis du COVID-19, permet d’accéder à de nombreux lieux et événements publics, y compris les restaurants et les musées.

Un laissez-passer vert temporaire peut être obtenu grâce à un test de dépistage du virus négatif, qui doit être payé sauf si la personne n’est pas admissible à la vaccination.

Par ailleurs, le ministère a annoncé cette semaine que les patients guéris du COVID-19 devront recevoir une seule dose de vaccin contre le coronavirus après avoir été diagnostiqués, afin de rester éligibles pour recevoir un Green Pass. Auparavant, toutes les personnes récupérées étaient éligibles.

Des enfants montrent leur Green Pass alors qu’ils font la queue à l’entrée du Science Museum de Jérusalem, le 19 août 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

De plus, à partir de dimanche, les personnes infectées après avoir reçu un vaccin ne conserveront leur laissez-passer que six mois supplémentaires. Ensuite, le ministère réexaminera ces cas, a-t-il déclaré.

Israël – le premier pays à offrir officiellement une troisième dose – a commencé sa campagne de rappel COVID-19 le 1er août, en l’étendant initialement aux personnes de plus de 60 ans. Il a ensuite progressivement baissé l’âge d’éligibilité, pour finalement l’étendre à toute personne âgée de 12 ans. et plus qui ont reçu la deuxième injection il y a au moins cinq mois.

Une enseignante reçoit une dose du vaccin COVID-19 dans un centre de vaccination à Jérusalem, le 24 août 2021. (Yonatan Sindel/Flash90)

Le cabinet de haut niveau sur les coronavirus se réunira également dimanche pour la première fois en un mois, le Premier ministre Naftali Bennett étant censé résister à l’imposition de nouvelles restrictions sur les coronavirus malgré des centaines de nouveaux décès dus au COVID.

Depuis la dernière réunion du cabinet du coronavirus, plus de 600 Israéliens sont morts du COVID-19. Le nombre de cas graves dans l’ensemble est légèrement inférieur à ce qu’il était alors, avec 760 enregistrés le 30 août, contre 641 lundi.

Lundi, les chiffres du gouvernement plaçaient le taux de reproduction de base du virus, qui mesure la transmission, à 0,78. Tout nombre supérieur à 1 indique que les infections sont en augmentation, tandis qu’un chiffre en dessous indique qu’une épidémie diminue.

Alors que la quatrième vague d’infections en Israël a enregistré un nombre record de cas quotidiens, le nombre de patients nécessitant une hospitalisation est resté inférieur aux épisodes précédents, ce que les experts attribuent aux taux de vaccination élevés du pays.

Un travailleur de la santé effectue un test rapide d’antigène COVID-19 à Jérusalem, le 26 septembre 2021 (Olivier Fitoussi/Flash90)

Le nombre de morts depuis le début de la pandémie est passé lundi à 7 684. Septembre est le deuxième mois consécutif où Israël a enregistré au moins 500 décès, après qu’août ait vu 609 décès attribués au COVID-19.

Dans le même temps, les chiffres du ministère ont montré 3 819 nouvelles infections dimanche, poursuivant une lente tendance à la baisse, bien que les tests aient tendance à baisser fortement au cours des week-ends. Le taux de positivité des tests dimanche était en baisse à 4,19 %.

Traduction de l’article :
Over 1 million Israelis who haven’t had 3rd dose to lose Green Pass on Sunday | The Times of Israel




Carine Montaner, députée du parlement Andorran, prévient que les responsables devront rendre des comptes

[Source : Ma France]



La vérité
Kearunn Mc EIRE

Carine Montaner, parlement Andorre

On aimerait entendre le même discours en France




France — Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de « vaxx oblig »

Par Syndicat « Enseignement Recherche Liberté ! »

La « Lettre ouverte aux sénateurs contre le projet de loi de vaccination obligatoire » rédigée par le syndicat « Enseignement Recherche Libertés! » ayant le mérite d’exister, chacun peut l’envoyer avec un petit mot d’accompagnement…

Cet envoi paraît d’autant plus utile que la vaccination obligatoire est censée compléter la surveillance numérique totale à la chinoise recommandée par le rapport n°673 du sénat.

Jean Happel


Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

Lettre ouverte à Mesdames et Messieurs les Sénateurs

Mesdames et Messieurs les Sénateurs,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné votre proposition de loi relative à la vaccination obligatoire, prévue à la discussion courant octobre 2021.

Outre l’idée, irrationnelle, d’imposer à l’ensemble de la population une injection sous AMM provisoire et conditionnelle et qui est toujours en phase III des essais cliniques, notre syndicat dénonce les contre-vérités nombreuses que comporte l’« Exposé des motifs » censé justifier cette proposition de loi.

Nous rappelons en préambule qu’un vaccin, comme tout traitement médical, doit présenter plus de bénéfices que de risques, protéger le sujet d’une maladie potentiellement grave pour laquelle n’existe aucun traitement et réduire la propagation de l’épidémie. Un vaccin n’est cependant jamais une panacée : 
https://reinfocovid.fr/science/la-vaccination-est-une-excellente-solution-contre-certaines-maladies/

Si notre syndicat fait, comme vous, confiance aux scientifiques, cette confiance ne se confond en aucun cas avec une « croyance » (cf. « Exposé des motifs ») : cela relèverait d’une démarche irrationnelle et conduirait à exposer la population à des dangers plus grands que la maladie dont on prétend la protéger.

  1. Sur la gravité de la COVID-19

Il est connu depuis mars 2020 que les principales victimes de la COVID-19 sont des sujets âgés, obèses et diabétiques présentant généralement des facteurs de risques sanitaires importants. Selon le site
https://geodes.santepubliquefrance.fr/, il est attesté que la population jeune et en bonne santé générale ne risque pas de mourir de la COVID 19. Les chiffres donnés par Géodes indiquent que les décès pour la population en dessous de 20 ans sont plus qu’exceptionnels. On sait aussi que sur l’année 2020, la surmortalité fut identique à celle de 2015, et a surtout concerné des personnes de plus de 80 ans :
https://colab.research.google.com/drive/1TGhYXE7F9LnXavVcvgSa7_PyXGa-lElF

  1. Sur le taux d’incidence de la COVID-19 en septembre 2021

En se penchant par ailleurs sur le taux d’incidence de la COVID-19 sur le territoire français métropolitain, on s’aperçoit qu’il est actuellement très bas (6 cas pour 100 000 habitants). En d’autres termes, nous ne sommes pas, en septembre-octobre 2021, en épidémie :
http://www.sentiweb.fr/france/fr/?page=maladies&mal=25.

  1. Sur la vaccination « altruiste », la protection collective et les variants

Les pays qui mènent des campagnes vaccinales massives contre la Covid sont victimes de vagues d’infections massives (voir Israël). Le vaccin contre la Covid n’empêche ni de développer la maladie ni de la transmettre. D’après des données du CDC (Center for Disease Control and Prevention) rendues publiques en juillet 2021, plus de 70 % des personnes malades de la Covid aux États-Unis étaient doublement vaccinées :
https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/70/wr/pdfs/mm7031e2-H.pdf

Croire à une protection générale (cf. « Exposé des motifs ») par la vaccination universelle est donc une chimère, les personnes vaccinées continuant d’être porteuses, malades et vectrices du virus.

Ainsi, votre affirmation « Nous avons la chance de bénéficier de vaccins qui, collectivement, nous protègent et nous permettent de renouer avec un quotidien apaisé, de limiter les restrictions et les privations de liberté, de mettre fin à la situation que nous connaissons depuis trop longtemps, faite de craintes pour nos familles, pour nos emplois, pour la scolarité de nos jeunes » relève du vœu pieux.

  1. Sur la vaccination obligatoire et le danger des vaccins anti-COVID-19

Ces produits, en phase III d’expérimentation et sous AMM provisoire et conditionnelle, ne peuvent de surcroît pas être légalement imposés. Contraindre la population à participer à une telle expérimentation médicale enfreint l’article 223-8 du Code Pénal.

Vous ne pouvez non plus ignorer le très récent règlement européen, adopté le 14 juin 2021 (Règlement 2021/953 du 14/6/2021)1 qui prévoit notamment qu’il y a lieu « d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, quelle qu’en soit la raison, y compris lorsque ces personnes ne souhaitent pas se soumettre à ces injections ».

Vous osez pourtant le parallèle avec des obligations vaccinales décrétées précédemment pour enrayer des maladies gravement incapacitantes comme la tuberculose, la variole ou la poliomyélite (cf. « Exposé des motifs »). Mais la Covid 19, affection virale grippale pulmonaire classée par le Réseau Sentinelles INSERM dans les infections respiratoires aiguës (IRA), ne correspond pas à ce type de maladie. Au surplus, les vaccins antituberculeux, antivariolique ou antipoliomyélitique ont été rendus obligatoires après une très longue période probatoire, ce qui n’est pas le cas des vaccins contre la Covid, expérimentaux, dont on ne sait rien des effets secondaires à moyen et à long terme, mais dont on connaît bien, en revanche, les effets secondaires immédiats, qui sont nombreux, dont la mort :
https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2021-06/03-COVID-Shimabukuro-508.pdf

Pourtant, vous affirmez encore dans votre « Exposé des motifs » que « la vaccination obligatoire (…) est la manifestation de la primauté de l’intérêt général (…) ». Rien ne saurait être plus faux ! La vaccination expérimentale contre la Covid n’offre qu’un espoir, entièrement hypothétique, de « protection générale ». Cela relève en effet, comme vous l’admettez à juste titre, de la « croyance » (cf. « Exposé des motifs »).

En réalité, cette « obligation vaccinale » que vous entendez promouvoir, déraisonnable, contraire à l’intérêt général, illégale, serait pour vous un moyen de vous dispenser de la fastidieuse chasse à ceux des Français qui s’obstineraient, malgré toute la « pédagogie » (si on peut se risquer à l’emploi d’un tel terme…) du gouvernement, à refuser ces injections.

Pour l’ensemble de ces raisons, le syndicat « Enseignement Recherche Libertés ! » combattra cette proposition de loi, et a d’ores et déjà saisi tous les parlementaires pour les persuader de la rejeter.

Avec nos salutations.

Enseignement, Recherche, Libertés !


Emails/courriels des sénateurs

(Réf. www.voxpublic.org)




Attention, covid : le nouveau virus informatique

Par Diane Vincero

Début 2020, le monde était, aux dires des dirigeants, attaqué par un virus nommé covid.

On a vu défiler les mesures liberticides, telles que :

  • le port du masque, obligatoire alors qu’il laisse passer toutes les particules inférieures à 0,6 µm, le SARS-CoV-2 mesurant à peine de 0,06 à 0,14 µm, c’est-à-dire environ 4 fois plus petit que les mailles des masques
  • le confinement et le couvre-feu,
  • l’interdiction d’accès aux zones de distraction (cafés, restaurants, cinémas, tourisme, etc.)                                 
  • l’obligation du passe sanitaire,

puis le début de la vaccination obligatoire le 15 septembre dernier.

Parallèlement, a été menée la chasse aux médecins non vaccinés en salariat, avec suspension du contrat de travail et du salaire depuis le 15 septembre, et aussi la chasse aux médecins en cabinet libéral, par la suppression du remboursement de leurs consultations pour leurs patients. Ceux-ci sont obligés d’aller consulter un médecin vacciné et le médecin non vacciné voit la disparition pure et simple de ses revenus. Mais, ses cotisations URSSAF, caisse de retraite des médecins, etc. continuent (qui représentent environ la moitié des honoraires versés par les patients, soit en volume, 6 mois de travail sur une année…). La chute assurée, avec parallèlement non seulement l’absence de revenus, mais aussi la constitution de dettes faramineuses auprès des différentes caisses qui savent se montrer très présentes quand il s’agit de réclamer ce qu’elles estiment être leur dû…

Et, comme si ce n’était pas suffisant, cerise sur le gâteau, en cas d’interruption d’exercice pendant plus d’un mois (qui signifie respect de l’interdiction d’exercer par le médecin…), l’ARS signale ce dernier au conseil de l’ordre qui va pouvoir le sanctionner !!!!!!

Mais, et nous en arrivons au titre de ce texte, la folie ne s’arrête pas là !

Il existe un système de téléconsultations, porté par des plateformes comme LIVI et QARE. Les échanges entre les médecins et les patients se passent à distance par visioconférence, système particulièrement bien adapté aux consultations des psychiatres.

QARE a décidé « d’appliquer la loi », loi qui l’obligerait à refuser les médecins salariés non vaccinés, même s’ils ne consultent que par visioconférence !!! 

Faut-il imaginer qu’à l’insu de tous (personne n’en avait jamais parlé !!!…), le virus du covid peut attaquer en passant par….. internet !!!!!               

Même les informaticiens n’étaient pas au courant !!! Il va falloir prévenir les fabricants d’antivirus, non ??!!                 

Si ce n’était pas aussi dramatique, cela pourrait prêter à sourire….

On marche sur la tête !!!

Mais, chose curieuse, QARE n’applique pas cette loi pour ses médecins libéraux, consultant pourtant également par visioconférence !!!!

Reste à vérifier si les autres plateformes (LIVI, etc.) ont aussi perdu la raison??

Ne vivons-nous pas là une époque où la raison et la logique laissent totalement place à la folie ???

Résultat : on met les médecins face à un « choix » terriblement cruel :

  • soit ils se vaccinent et prennent alors le risque de mourir ou de développer une pathologie handicapante, et ils ne pourront plus subvenir aux besoins de leur famille,
  • soit ils ne se font pas vacciner et se retrouvent sans travail et sans ressource, et ils ne pourront plus subvenir aux besoins de leur famille…

Est-ce vraiment un CHOIX ???!!!

À DIFFUSER LARGEMENT, y compris aux différentes associations, différents collectifs, etc., etc.




Le train est en marche

Par Diane Vincero

[Photo : bahnbilder.ch]

Sachant que le monde entier se retrouve actuellement soumis au pouvoir infini et écrasant des GAFA (Google, Apple, Facebook et Amazon), des grands lobbies pharmaceutiques (Pfizer etc.) et chimiques (Monsanto etc.), l’action doit se porter directement au niveau de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) — dépassées par — soumises aux grands lobbies.

En ce sens, le CSAPE, syndicat anti-corruption, a pris maintenant une position de force à l’échelle mondiale en rassemblant des acteurs de tous les pays :

CSAPE SYNDICATS ET ASSOCIATIONS anti-corruption

Plainte personnalisée CSAPE

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LE TRAIN EST LANCÉ : 7,8 milliards d’habitants face à… une poignée de possédants (politiques et lobbyistes)…

Cette poignée de dirigeants table sur l’asservissement, à son unique profit, de l’armée, de la gendarmerie et de la police, pour détruire l’Humanité et engranger toujours plus de richesses. 

Projet manifestement totalement délirant et machiavélique puisque dores et déjà, 1 % de l’Humanité détient… 99 % des richesses!! 

Ce besoin pathologique d’asservir le monde entier, est en fait, une position de faiblesse de la part de cette poignée de dirigeants. 

En effet, quand on est normalement constitué, on n’a nul besoin d’asservir qui que ce soit …

Mais, ce besoin coûte que coûte d’asservir et de manipuler l’armée, la gendarmerie et la police… montre également et surtout, une peur intense des 7,8 milliards de membres de l’Humanité que nous sommes.

Des milliers de personnes sont mortes du Covid à la suite d’un refus de traitement précoce salvateur.
La Déclaration ci-dessous est un cri de guerre des médecins qui se battent quotidiennement pour le droit de traiter leurs patients et le droit des patients de recevoir ces traitements — sans crainte d’ingérence, de représailles ou de censure de la part du gouvernement, des instances ordinales (conseils de l’ordre des médecins, des avocats, etc.), des pharmacies, des sociétés pharmaceutiques et des grandes technologies.

Si vous êtes médecin ou scientifique et que vous souhaitez signer la déclaration :

https://doctorsandscientistsdeclaration.org/ (traduction en français : Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19).

En n’oubliant pas que l’action du CSAPE sera celle qui prévaudra sur l’ensemble, d’où l’intérêt que toutes ces différentes actions et groupements ci-dessus et ci-dessous se fédèrent. 

Lettre pour les médecins de l’enfant – Collectif de santé pédiatrique (collectifdesantepediatrique.fr)

LETTRE OUVERTE A NOS CONSOEURS ET CONFRERES MEDECINS DE L’ENFANT, Pédiatres, Généralistes, Médecins Scolaires, Médecins de PMI, Pédopsychiatres…
Cher(è)s Collègues, Nous sommes à l’aube d’une vaccination de masse des enfants contre une maladie qui ne les concerne quasiment pas, qu’ils transmettent peu et cela avec une technique expérimentale dont les […]

Hallucinant! Qui sont les victimes ? Les parents et ceux décédés après vaccin : Mélanie Macip 15 ans, Maxime Beltra 22 ans, Anthony Rio 24 ans? Ou bien, ces messieurs en costume qui refusent de discuter? Je n’ai jamais menacé. Ils ont peur de la vérité.

Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

Pause avec Olivier Soulier, venu nous présenter le Syndicat Liberté Santé :

« En 2021, la médecine est passée totalement sous le joug de l’industrie pharmaceutique […] asservie à des objectifs qui ne sont plus la santé. »

Article :

« On nous ment encore sur les chiffres des soignants non-vaccinés » Olivier Soulier (francesoir.fr)

🧭 Après l’obligation vaccinale, le retour du confinement et l’arrestation du Dr Théron [Voir La Gestapo 2.0 : un médecin arrêté pour avoir traité ses patients contre la Covid], entretien avec RéinfoCovid Nouvelle-Calédonie pour faire un point sur la situation sanitaire : « Que le monde ouvre l’œil » 👇

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » alors que l’obligation vaccinale a été votée début septembre en Nouvelle-Calédonie et que l’actualité s’y montre dense depuis.

Nouvelle-Calédonie : « l’île va être un théâtre expérimental surprenant » (francesoir.fr)

Une fois de plus, il faut que toutes ces actions, collectifs, associations, se fédèrent et rejoignent le CSAPE pour avoir enfin LE poids indispensable et qu’elles portent ainsi leur action au niveau suprême de la Cour pénale internationale (CPI) pour dépasser les instances mineures (nationales et européennes) soumises aux GAFA, Big Pharma, Monsanto, etc.

UNE CHOSE IMPORTANTE ENFIN : 

la poignée de dirigeants fonctionne sur le mode de la manipulation perverse : ils tablent entre autres, sur de la violence de la part des peuples, pour justifier du lancement de l’armée, de la gendarmerie et de la police contre eux. 

Ces dirigeants n’hésiteront pas non plus à payer des individus pour semer le début de la violence, comme une sorte de détonateur…

Coupons-leur l’herbe sous les pieds : ne marchons pas dans leur stratagème. Et si par malheur, quelques personnes commencent à faire preuve de violence, la règle d’or sera alors de s’en écarter immédiatement, pour bien scinder les choses et éviter l’amalgame…

En termes de manipulation, n’oublions jamais que le principe est de mettre en avant un « beau principe » (« prendre telle décision pour soi-disant le bien du peuple »), pour mieux cacher derrière, des actions destructrices et financières… 

N’oublions jamais que les états ne sont pas philanthropes (ils ne sont pas là dans l’intérêt des peuples), c’est même écrit dans les manuels scolaires de philo!!!…

Voici un exemple de l’absence de philanthropie, parmi tant d’autres, à réfléchir : pourquoi et de quel droit, un agriculteur n’a-t-il pas le droit de vendre des semences originelles de fruits et de légumes (!!!!), alors qu’en Norvège, dans un bunker, toutes les semences originelles sont stockées, ne laissant aux peuples que les semences OGM qui détruisent la santé de milliards d’individus et les rendent tributaires de Big Pharma ?? 

Où est le lézard ??? Etc., etc.

DIFFUSEZ LARGEMENT


Site pour l’organisation de mobilisations

Les clés de la mobilisation citoyenne (accelerateurdelamobilisation.org)




Appel solennel de survivants de l’Holocauste à la Cour Pénale Internationale pour un arrêt de la « vaccination » anticovid

Publié par CSAPE

Des survivants de l’Holocauste se joignent aux avocats, au Dr Fleming et au professeur Luc Montagnier pour exiger que la Cour pénale internationale inculpe les gouvernements du monde de crimes contre l’humanité, de génocide et de violations du Code de Nuremberg.

Le 26 septembre 2021

Les survivants des camps de concentration nazis ont envoyé une lettre à la Cour pénale internationale pour une « demande d’enquête » conjointe à celle d’avocats qui ont soumis des preuves, ainsi que les déclarations sous serment du professeur Luc Montagnier et du Dr Richard Fleming, alléguant que les gouvernements du monde entier et leurs conseillers sont complices de génocide, de crimes contre l’humanité et d’infractions au Code de Nuremberg.

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont soumis une « demande d’enquête » de 27 pages à la Cour pénale internationale (CPI) à La Haye en avril 2021, alléguant que le gouvernement britannique et ses conseillers étaient complices de crimes contre l’humanité au nom du Covid-19.

Le CSAPE en France a porté plainte à la CPI.(([1] Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens
Secrétaire général Tel : 33 (0)6 12 55 63 20 — Directeur juridique Tel : 33 (0)6 79 61 44 22
Nous contacter : csape.sg@hotmail.com — site : www.csape.international))(([2] Compte rendu sur la plainte à la CPI pour génocide et crimes contre l’humanité à partir d’armes biologiques concernant SARS-CoV-2 et le vaccin covid19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) août 2021))(([3] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) 2 juillet 2021))(([4] Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Une nouvelle demande depuis l’été soumise à la CPI en raison de la grande quantité de nouvelles preuves et d’informations révélées au cours des derniers mois. Les avocats disposent désormais de preuves convaincantes que « le virus SRAS — CoV-2 et les “vaccins” Covid-19 sont des armes biologiques délibérément envisagées lancées en deux phases sur des peuples du monde sans méfiance ».

L’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum ont confirmé qu’elles étaient désormais jointes par des avocats qui ont déposé des demandes d’enquêtes similaires auprès de la Cour pénale internationale, en France, en République tchèque et en Slovaquie.

L’équipe d’avocats et d’experts a reçu le soutien des survivants de l’holocauste,

Ceux-ci ont adressé une lettre à la CPI décrivant leurs graves préoccupations concernant la réponse mondiale à Covid-19 et les dangers des injections expérimentales de Covid-19 utilisées pour prétendument combattre le virus.

La lettre envoyée est signée par trois des très rares survivants des camps de concentration nazis, qui ont vécu de première main les horreurs de l’Holocauste, choqués et consternés par le mal qu’ils voient se dérouler une fois de plus, cette fois dans le monde entier — et en particulier, le mépris total apparent pour le Code de Nuremberg.

Ces mêmes survivants ont déjà remis une lettre à l’Agence européenne des médicaments (EMA) et au régulateur britannique des médicaments (MHRA) exigeant l’arrêt du déploiement du vaccin Covid-19 par suite de la décision de la FDA d’accorder l’approbation complète des nouveaux lots de vaccins Pfizer Covid-19

Les survivants ont accusé les autorités de ne pas avoir correctement informé les populations des risques liés aux vaccins et d’avoir violé le droit au consentement libre et éclairé en vertu du Code de Nuremberg.

Dans leur lettre à la CPI, les survivants de l’Holocauste, Vera Sharov,(([5] Voir aussi Israeli Holocaust Survivor Vera Sharav and Dr Reiner Fuellmich on “Global Genocide” — Bible Science Forum))(([6] Israeli holocaust survivor Vera Sharav (public advocate for human rights and the founder and president of the Alliance for Human Research Protection (AHRP)).)) Moshe Brown et Hillel Handler ont réitéré les appels lancés par l’avocate Melinda C. Mayne et Kaira S. McCallum pour que le programme de « vaccins » COVID— 19 soit arrêté avec effet immédiat, afin de mettre fin au très grand nombre d’événements indésirables souvent graves qui apparaissent.

Les survivants de l’Holocauste ont ainsi conclu leur lettre :

« Nous, en tant que survivants des camps de concentration, avons été témoins de nombreuses atrocités commises pendant la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait plus jamais, mais pourtant cela se reproduit. Quelle prise de conscience accablante : combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur de prendre le “vaccin” ?

Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ? Combien ont-elles survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont-elles pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête urgente sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code par de nombreux responsables, qui ont déclenché tant de morts inutiles et d’accidents graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que tribunal de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes les plus odieux et de traduire les auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des motifs formels. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lus.

Nous savons que vous êtes conscients, à cause de ces affirmations, que des millions de personnes sont accidentés et handicapés et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats irlandais ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis lors, davantage de personnes sont décédées, sont tombées malades en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus).

Et vous n’êtes pas intervenus. Vous êtes averti en outre du fait que les enfants sont désormais de plus en plus parmi les victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique,

chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons la fin immédiate de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves que vous ne pouvez pas ignorer.

Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faire le bon choix.

L’histoire ne vous regarde pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous appartient. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir. »

VERSION INTÉGRALE DE LA LETTRE DES SURVIVANTS

« À Monsieur le Procureur de la Cour pénale internationale, M. Karim Khan

Nous soussignés, en tant que survivants des camps de concentration nazis ayant subi des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous nous sentons obligés de suivre notre conscience et d’écrire cette lettre pour soutenir la « demande d’enquête » conjointe soumise à la Cour pénale internationale au nom du Royaume-Uni (143.21), de la Slovaquie (133.21), de la France (271/21) et de la République tchèque (326/21) le 12 août 2021.

Le contenu de la « demande » comprend des déclarations sous serment de témoins experts, le Dr Richard Fleming, le professeur Luc Montagnier et le Dr Kevin McCairn. Il est évident pour nous qu’une autre série d’événements horribles, touchant cette fois tous les peuples du monde, se déroule sous nos yeux.

Cependant, la majorité de la population mondiale ne se rend pas encore compte de ce qui se passe, car l’ampleur d’un crime organisé tel que celui-ci dépasse leur champ d’expérience.

Nous, cependant, nous savons.

Nous nous souvenons du nom de Josef Mengele. Certains d’entre nous ont des souvenirs personnels. Nous avons une impression de déjà-vu qui est si horrible que nous nous levons pour protéger nos pauvres semblables. Les innocents menacés comprennent maintenant des enfants, et même des nourrissons.

En quatre mois seulement, les « vaccins » COVID-19 ont tué plus de personnes que tous les vaccins disponibles réunis entre la mi-1997 et la fin 2013, soit une période de 15,5 ans.

Et les personnes âgées de 18 à 64 ans qui étaient à peine menacées par le COVID-19 et qui, par conséquent, n’apparaissaient pas dans les statistiques de mortalité sur ou avec le COVID-19 représentent jusqu’à 80 % des enregistrements en tant que victimes de la « vaccination ».

La base de données EudraVigilance rapporte que jusqu’au 18 septembre 2021, 24 863 décès et 3 691 366 blessures ont été signalés à la suite d’injections de quatre prétendus vaccins expérimentaux COVID-19.

En ce qui concerne les chiffres réels, le célèbre rapport Lazarus de Harvard Pilgrim Health Care Inc., publié en 2009, a révélé qu’en général, seul 1 % des effets indésirables des vaccins est signalé :

Les effets indésirables des médicaments et des vaccins sont fréquents, mais peu signalés. Bien que 25 % des patients ambulatoires subissent un événement indésirable lié à un médicament, moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des effets indésirables des vaccins sont signalés.”

Nous vous demandons d’aider à arrêter immédiatement cette expérience médicale impie et criminelle sur l’humanité.

Ce que l’on appelle « vaccination » contre le virus SRAS-CoV-2 est en réalité un empiétement blasphématoire sur la nature. Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’a été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain.

Il s’agit d’une expérience médicale à laquelle le code de Nuremberg doit être appliqué.

Les 10 principes éthiques contenus dans ce document représentent un code fondamental d’éthique médicale qui a été formulé lors du procès des médecins de Nuremberg afin de garantir que les êtres humains ne seraient plus jamais soumis à des expériences et procédures médicales involontaires, mais c’est pourtant exactement ce qui se passe actuellement dans le monde.

Nous vous rappelons ce qui suit.

Principe 1 du Codex de Nuremberg :

(a) “Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement ; qu’elle doit être dans une situation telle qu’elle puisse exercer le libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, de surenchère ou de toute autre forme de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision compréhensible et éclairée.

(b) Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, celui-ci soit informé de la nature, de la durée et du but de l’expérience, de la méthode et des moyens par lesquels elle sera menée, de tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre, et des effets sur sa santé ou sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

(c) Le devoir et la responsabilité de s’assurer de la qualité du consentement incombent à chaque individu qui initie, dirige ou s’engage dans l’expérience. Il s’agit d’un devoir et d’une responsabilité personnels qui ne peuvent pas être délégués à une autre personne en toute impunité.

Re. (a) : Il n’est pas question d’une décision libre. Les gouvernements et les médias répandent la peur et la panique et utilisent la règle de la propagande de Goebbels en répétant des contre-vérités jusqu’à ce qu’elles soient crues.

Depuis des semaines, ils appellent à l’ostracisme des personnes non vaccinées. S’il y a 80 ans, les Juifs étaient diabolisés en tant que propagateurs de maladies infectieuses, aujourd’hui, ce sont les non-vaccinés qui sont accusés de propager le virus.

L’intégrité physique, la liberté de voyager, la liberté de travailler, toute coexistence ont été retirées aux gens afin de leur imposer la vaccination

On incite les enfants à se faire vacciner contre l’avis de leurs parents.

Re (b) : Les 22 terribles effets secondaires déjà énumérés dans l’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA n’ont pas été divulgués aux sujets de l’essai expérimental.

Ils sont les suivants :

  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Myélite transverse Encéphalite/encéphalomyélite/méningo-encéphalite/méningite/encépholapathie
  • Convulsions/épilepsies
  • Accident vasculaire cérébral
  • Narcolepsie et cataplexie
  • Anaphylaxie
  • Infarctus myocardique aigu
  • Myocardite/péricardite
  • Maladie auto-immune, Décès, Problèmes lors de la grossesse et de l’accouchement, Autres maladies démyélinisantes aiguës
  • Réactions allergiques non anaphylactiques
  • Thrombocytopénie
  • Coagulation intravasculaire disséminée
  • Thromboembolie veineuse
  • Arthrite et arthralgie/douleurs articulaires
  • Maladie de Kawasaki Syndrome inflammatoire multisystémique chez l’ENFANT
  • Maladie renforcée par un vaccin.

Par définition, il n’y a jamais eu de consentement éclairé.

Entre-temps, des milliers d’effets secondaires sont enregistrés dans de nombreuses bases de données.

Tandis que les soi-disant numéros de cas (positifs de covid) sont diffusés dans des intervalles de 30 minutes par tous les médias, il n’y a aucune mention des effets secondaires graves ni de la manière et du lieu où ils doivent être signalés. Pour autant que nous le sachions, même les décès et les effets indésirables enregistrés ont été supprimés à grande échelle dans certaines bases de données.

Le principe 6 du Code de Nuremberg exige :

Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience”.

La “vaccination” contre le COVID-19 s’est avérée plus dangereuse que la maladie COVID-19 pour environ 99% des humains.

Comme l’a démontré Johns Hopkins, dans une étude portant sur 48 000 enfants, les enfants ne courent aucun risque face au virus. Les données montrent que des enfants qui ne courent aucun risque avec le virus ont eu des crises cardiaques après avoir été vaccinés ; en attendant la mise à jour depuis août 2021, plus de 15 000 ont subi des événements indésirables — dont plus de 900 événements graves.

Au moins 16 adolescents sont morts après avoir été vaccinés aux États-Unis. Et les chiffres augmentent rapidement au moment où nous écrivons ces lignes.

Pourtant, le principe 10 du Code dit :

Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a des raisons probables de croire, dans l’exercice de la bonne foi, de la compétence supérieure et du jugement prudent qui sont exigés de lui, que la poursuite de l’expérience risque d’entraîner une blessure, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.”

Selon les allégations, environ 52% de la population mondiale a reçu au moins une injection. La divulgation honnête du nombre réel de personnes blessées par les vaccins, de personnes en phase terminale et de personnes décédées dans le monde aurait dû être faite depuis longtemps.

Nous craignons qu’ils soient déjà des millions. En tant que survivants des camps de concentration, nous avons été témoins de nombreuses atrocités commises au cours de la Seconde Guerre mondiale et on nous a dit que cela ne se reproduirait jamais, pourtant cela se reproduit.

Quelle constatation accablante : Combien de personnes âgées ont été contraintes par la peur à prendre le “vaccin” et n’ont pas survécu ? Combien ont survécu à l’Holocauste, mais n’ont pas survécu à l’injection de COVID-19 ?

Combien ont survécu aux expériences médicales d’Auschwitz et de Birkenau, mais n’ont pas survécu à cette expérience médicale contemporaine ?

Nous vous implorons donc d’accepter la “demande d’enquête” conjointe du Royaume-Uni, de la Slovaquie, de la France et de la République tchèque et d’ouvrir immédiatement et sans plus tarder une enquête sur les crimes contre l’humanité, le génocide et les violations du Code de Nuremberg par de nombreux auteurs, qui ont causé tant de morts inutiles et de blessures graves et continuent de le faire quotidiennement.

La Cour pénale internationale, en tant que juridiction de dernier recours, a le devoir d’enquêter sur ces crimes, les plus odieux, et de traduire leurs auteurs en justice.

Il est en votre pouvoir de sauver des vies.

Nous savons que plusieurs accusations criminelles ont été rejetées par vous pour des raisons formelles. Indépendamment des détails techniques, vous les avez lues. Nous savons que vous êtes conscient, en raison de ces accusations, que des millions de personnes sont blessées et meurent à cause de la soi-disant vaccination.

Par exemple, les avocats israéliens ont fourni les chiffres des victimes en Israël et l’accès à la base de données de l’EMA sur les effets secondaires. C’était il y a plus de trois mois. Depuis, d’autres personnes sont mortes, sont tombées en phase terminale ou ont été blessées (voir ci-dessus). Et vous n’êtes pas intervenu. Vous cautionnez en outre le fait que les enfants font désormais de plus en plus partie des victimes de la “vaccination”.

C’est à vous de punir les actes délibérés contre la vie et l’intégrité physique, et non de vous porter volontaire en acceptant de manière approbatrice l’atteinte à la vie humaine.

Chaque jour que vous gaspillez sans rien faire, des vies humaines sont détruites, des vies d’enfants.

Nous exigeons l’arrêt immédiat de la campagne de vaccination et une enquête immédiate sur les preuves dont vous disposez. Les gens pardonneront une erreur. Un meurtre délibéré de leurs enfants — non.

Faites ce qui est juste. L’histoire ne vous verra pas d’un bon œil si vous manquez à votre devoir de le faire. Sachez que nos yeux et ceux des peuples du monde sont braqués sur vous — la responsabilité vous incombe. Vous savez ce qui se passe, vous avez les preuves et maintenant vous devez agir.

Nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de nos sentiments distingués.

Signé Moshe Brown ; Hillel Handler ; Vera Sharav Survivants des camps de concentration nazis


Chers lecteurs, ne restez pas passifs après cette lecture si émouvante et douloureuse, dont on imagine l’effort des auteurs pour se replonger dans ces horreurs qu’ils espéraient ne plus voir.

Diffusez cette lettre et en même temps ces plaintes auxquelles vous pouvez vous joindre par l’intermédiaire de la CSAPE et informez vos élus, désinformés comme beaucoup de français par la propagande quotidienne. Informez !

Et écrivez aux sénateurs, qui peut-être faute d’informations risquent de voter une obligation vaccinale pour tous les Français.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr)





France : 3 piqûres anti-covid prochainement obligatoires ?




Le temps des sociologues « marrons »

Par Lucien Samir Oulahbib

« Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence (criminelle) contre le COVID-19 », titre Le Courrier des Stratèges, ce qui va sans doute donner quelque peu du travail à cette nouvelle commission « marron » (puisque mise en place par ces « incompétents criminels ») chargée, paraît-il, de traquer le « complotisme ».

Comment en sont-ils tous arrivés là ? Tous ? Tous, à commencer par les membres de cette commission qui, au mépris de l’état actuel des connaissances liées en médecine aux résultats effectifs de la pratique, récusent toute autre alternative que cette IGE (injection génique expérimentale), alors que les chiffres montrent — y compris pour les personnes à risque — qu’il convient bien mieux de les traiter de toute manière aussi de façon précoce avec des médicaments d’autant plus éprouvés maintenant que nous avons quasiment dépassé deux ans de vérifications validées mondialement.

L’analyse peut déjà repérer que la vanité, la jalousie et l’envie sont des moteurs puissants, naturels permettant d’imposer son propre réel à celui déjà là. Ce qui revient à nier bien sûr ce dernier, donc à le détruire pour s’y substituer. Mais il y a chez certaines personnes, pour des raisons à étudier, de façon évidemment singulière une tendance à exagérer vers l’extrême la puissance de ces moteurs. Ainsi plus la réalité à détruire résiste, plus émerge une méticulosité féroce à pourchasser, harceler le réel récalcitrant, ou les symptômes « classiques » de la psychose paranoïaque.

Ainsi plus les projections et modélisations sont infirmées (pire que la peste noire, vous dis-je, le variant D au-dessus des autres, vous allez alors voir que la majorité désormais des réas sont des personnes à risque et pour beaucoup sous IGE, sans parler des effets secondaires dont certains de plus en plus létaux. Voir sur ce point le CSI du 30/09/21, lui-même harcelé), plus les orcs de la Secte s’énervent, éructent, s’affublent de « Science », bientôt de « Voie », à la façon du fou poursuivant Tintin avec une aiguille, image prémonitoire.

Comment déjouer cette mise en abîme ?… En montrant de manière durable que leur visage d’ange masque celui de la monstruosité humaine, trop humaine, renforcée par son institutionnalisation globalisée qui détruit nations, corps et âmes, chairs à canon, matières premières, tout en jouant de la lyre (et de la planche à billets).




Dr Zelenko — l’interview qui révèle tout

[Source : @Vivresainement]

Une interview explosive pleine de révélations (à partir de 9 min).






Le coup d’État trop pressé du système financier numérique

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Ceci est la suite et fin de la conférence donnée dans le cadre des auditions de l’avocat Reiner Fuellmich en vue du procès des responsables de la crise covidienne. Cette publication est une exclusivité Antipresse/Le Courrier des Stratèges. Nous remercions François Stecher pour son remarquable effort.

[NDLR Pour voir la première partie avec la vidéo complète sous-titrée en Français :
Une Conférence d’Ernst Wolff – La logique destructrice qui se cache derrière le “Great Reset]

Vers la monnaie programmable

Et à quoi ce système doit-il ressembler, nous le savons déjà. Il s’agit de la disparition complète de l’argent liquide, des banques dans leur forme actuelle, et de l’introduction de monnaie numérique de banque centrale. L’objectif final prévoit que chacun d’entre nous ne détienne plus qu’un unique compte en banque, par lequel s’effectueront toutes les transactions. Ce compte ne sera plus tenu par une banque commerciale, mais par la banque centrale. La raison profonde de ce plan est la suivante: la monnaie numérique de banque centrale est programmable (18:44). Comme une banque centrale peut créer de la monnaie sans limites, on peut ainsi, par le fait, introduire des taux négatifs sans détruire le système. Mais cela n’est pas, loin s’en faut, la seule propriété que possède la monnaie numérique de banque centrale. Elle permettrait à l’État de surveiller toutes les transactions (19:12), de nous appliquer des taux d’imposition différenciés, et de nous infliger individuellement des sanctions pécuniaires. L’État pourrait lier certaines sommes à une date de péremption, nous contraindre à dépenser certaines sommes dans une période déterminée (19:33). Il pourrait également donner cet argent pour un but fixé, et nous imposer d’utiliser certains montants uniquement pour l’achat de certains biens, ou de dépenser seulement dans certaines régions. Mais avant tout, il lui serait possible, d’un simple clic, de nous couper de tous les flux de transactions, et ainsi de nous débrancher financièrement (20:04). La monnaie numérique de banque centrale serait le mécanisme de contrôle social le plus efficace qu’on ait jamais eu dans l’histoire de l’humanité, et par là, ni plus ni moins que l’achèvement d’une dictature universelle obtenue par le moyen de l’argent (20:25).

La tactique du renversement

Tout cela est cependant soumis à une énorme hypothèque: la résistance à laquelle il faut s’attendre de la part de la population. Il faut très sûrement compter avec le fait qu’une grande partie des gens n’accepterait pas cette forme de paiement, et que l’introduction de la monnaie numérique de banque centrale provoquerait de graves troubles sociaux. Et c’est précisément cette difficulté qui a très clairement conduit le complexe financier digital à imaginer de renverser la problématique de l’introduction de cette monnaie (21:07). Plutôt que d’introduire cette monnaie numérique de banque centrale progressivement, et risquer ainsi de provoquer une grosse résistance, procéder à l’inverse, c’est-à-dire faire sombrer la société dans le chaos, afin de faire apparaître la monnaie numérique de banque centrale comme la solution pour régler tous les problèmes, à savoir sous la forme du revenu universel de base (21:35).

Celui qui pense maintenant qu’il s’agit encore d’une théorie du complot tombée de nulle part, je lui recommande de se remémorer très précisément tout ce que nous avons vécu au cours des dix-huit derniers mois. Sous le prétexte de combattre une maladie, on a provoqué des dommages dévastateurs et irréversibles, qu’ils soient sanitaires, économiques ou financiers, dont nous n’avons encore perçu les effets qu’à la marge (22:09). En même temps, on travaille chaque jour à aggraver ces dommages. En parallèle, on s’emploie à creuser de manière systématique les divisions au sein de la société, en enfonçant toujours plus de division entre les gens. Tout cela nous conduit, conformément au but, dans une seule direction: celle des troubles sociaux, jusqu’à la guerre civile, dans le monde entier. Et tout cela, c’est exactement ce qui est voulu, selon toutes les informations dont je dispose (22:46).

Ce que nous vivons actuellement, c’est que l’on essaye, par la mise en œuvre de tous les moyens imaginables, de provoquer le chaos social le plus énorme, d’attendre que le chaos ait atteint son intensité maximale, et, alors à l’aide d’une panacée nommée «revenu universel de base», de passer d’une situation de chaos maximal à celle d’un contrôle total (23:12). Il y a du reste encore une deuxième raison pour laquelle le revenu universel, du point de vue des puissants, doit arriver. Nous sommes en plein dans la quatrième révolution universelle, et nous allons vivre, dans la période qui s’étend devant nous, la perte de millions et de millions d’emplois, par le recours à l’intelligence artificielle. En d’autres termes, des millions de consommateurs vont faire défaut, la demande de biens de consommation va se réduire de plus en plus fortement. Comme le modèle économique actuel repose sur la consommation, il faut, pour le maintenir en vie, bloquer la descente sur cette pente fatale. Et cela ne peut fonctionner que si l’on distribue de l’argent aux chômeurs-consommateurs même s’ils sont sans emploi (24:09).

Une apocalypse préparée et agendée

Nous voyons donc que ce que nous avons vécu ces dix-huit derniers mois, et ce que nous vivons actuellement, suit manifestement un plan; et ce plan peut s’énoncer ainsi: démontage du système actuel au bénéfice de l’élite, instigation d’un chaos économique et social maximal, et établissement d’un nouveau système au bénéfice de l’élite, sous le prétexte de vouloir apporter une assistance humanitaire (24:42). Ce plan, on peut d’ailleurs le trouver dans les deux ouvrages, La Quatrième révolution industrielle et Le Grand Reset de Klaus Schwab, dont le World Economic Forum joue un rôle clef dans l’élaboration et la mise en œuvre de cet agenda. Le WEF a réussi à devenir au cours des 50 dernières années l’une des plus importantes plateformes du complexe financier digital, en mettant en relation, d’abord des dirigeants d’entreprises, ensuite des politiciens, puis des représentants des médias, plus tard encore de la haute aristocratie et du monde du spectacle, et en les soumettant en outre à partir des années 90 à une formation dédiée (25:33).

Nous savons aujourd’hui qu’à partir de 1992 les «Global Leaders of Tomorrow», et depuis 2005 les «Young Global Leaders» ont été soumis à une formation systématique et toujours plus approfondie, et que ce sont précisément ces personnes-là qui se trouvent placées aujourd’hui aux leviers de commande du pouvoir. Qu’il s’agisse de Bill Gates, Jeff Bezos ou Jack Ma, du secteur du numérique, qu’il s’agisse du patron de BlackRock Larry Fink, de la patronne du FMI Kristalina Georgiewa, ou de l’ex-directeur de la Bank of England Mark Carney, pour la finance, ou encore d’Emmanuel Macron, de Sebastian Kurz ou bien d’Angela Merkel pour la politique: tous, ils ont été formés par le WEF ou bien siègent dans ses instances dirigeantes (26:38).

Et ce ne sont pas seulement les 1.300 membres de cette petite élite dirigeante étroitement connectée qui tirent les ficelles à travers le monde. Depuis 1992, ce sont encore 10’000 «Global Shapers» de moins de 30 ans qui ont également été réunis et mis en relation par le WEF, et s’emploient désormais à influer sur la marche du monde dans le sens qui lui convient (27:08). À qui veut savoir à quoi cette marche du monde devrait ressembler, il faut recommander la lecture des œuvres du fondateur du WEF, Klaus Schwab. Et celui qui, parvenu à ce point, ne serait toujours pas convaincu que ce que nous avons vécu et vivons encore suit un plan devrait jeter un œil à la date de publication du «Great Reset» de Schwab: le livre est paru le 9 juillet 2020, soit à peine quatre mois après le confinement mondial, et donne déjà les instructions précises expliquant comment utiliser le COVID-19 afin de, selon les propres mots de Schwab, «détruire le monde de manière créative et construire un nouveau monde», où il laisse transparaître une vision de l’homme qui renvoie aux temps les plus sombres du national-socialisme (28:02).

Je sais, tout cela est terrifiant, comme une apocalypse préparée de manière minutieuse. Et de fait l’agenda qui est poursuivi ici n’est pas seulement planifié, visiblement, mais c’est à peine s’il peut, de surcroît, être dépassé en malignité et en sournoiserie. Qui aurait jamais imaginé que l’on fasse s’effondrer l’économie mondiale sous le prétexte de protéger les gens des effets d’une maladie, que l’on retire aux gens la liberté de voyager, de se rassembler, de parler et d’exprimer librement leurs opinions, et que l’on condamne encore plus de 100 millions d’entre eux à la famine, tout cela soi-disant pour la protection de leur propre santé. Et qui aurait pensé qu’un eugéniste déclaré du nom de Klaus Schwab pourrait se retrouver en situation, non seulement de répandre à travers le monde son infernale vision de la fusion entre l’homme et l’intelligence artificielle, mais encore de trouver 10’000 aides pour la faire avancer (29:18). Tout cela, ce sont des événements bouleversants au plus haut point, avec lesquels nous devons vivre actuellement, dont nous devons souffrir, et dont les détails devraient glacer le sang de tout être humain pensant et sentant normalement.

La déraison conduit à l’échec

Mais – et j’en viens maintenant au message le plus important que je veux délivrer ce soir – tout cela a un autre aspect, un tout autre aspect, un aspect qui doit nous donner une énorme impulsion et des forces à profusion pour les tâches qui nous attendent. Les plans de l’élite, et la vision de Klaus Schwab, sont en effet voués à l’échec, et cela pour plusieurs raisons (30:11). La raison principale réside dans le fait que le narratif d’un virus mortel, qui menacerait l’humanité dans son existence même, ne pourra pas tenir dans la durée. Nous voyons déjà comment l’échafaudage de mensonges s’effondre sous nos yeux, et comment, pour le justifier, on a recours à des argumentations toujours plus absurdes et à des diffamations toujours plus furieuses (30:39).

Arrivée à ce point, il est important de comprendre que la véhémence que les médias mettent en branle n’est pas un signe de force mais bien de faiblesse. Celui qui, avec une insistance toujours plus forte, répand des mensonges toujours plus grotesques tel que celui de «la pandémie des non-vaccinés», celui qui déclare que les personnes en bonne santé représentent le facteur de risque numéro 1 au sein de la société, celui qui à cause d’une poignée de malades ou de testés positifs met un pays tout entier à l’arrêt, celui-là n’agit ainsi que parce qu’il est à bout d’arguments et que, dans son désespoir, il frappe à l’aveugle autour de lui (31:21).

Abraham Lincoln a déclaré: «on peut mentir tout le temps à une partie des gens; on peut mentir à tout le monde une partie du temps; mais on ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde». C’est exactement cela qui se vérifie en notre temps. Et cela a pour nous, naturellement, une immense signification. Car cela ouvre, de manière ironique, ce que Klaus Schwab appelle «a window of opportunity», une fenêtre d’opportunité – à ceci près qu’elle s’ouvre avec une dynamique exactement inverse (32:07). En effet, grâce à la désintégration du narratif, la crédibilité de ceux qui nous ont amenés à cette situation est chaque jour plus profondément sapée, nous ouvrant à tous une fenêtre temporelle pour une campagne d’éclaircissements puissante et de grande envergure. Les conditions objectives pour éclairer les gens sur les véritables faits derrière la soi-disant pandémie, sur les relations de pouvoir réelles dans le monde et sur les vraies menaces auxquelles nous sommes confrontés n’ont jamais été meilleures qu’aujourd’hui (32:51). Et elles s’améliorent de jour en jour, parce que le camp d’en face doit s’empêtrer chaque jour davantage dans des mensonges toujours moins crédibles.

Et même si le complexe financier digital devait parvenir à introduire la nouvelle monnaie, cela ne serait pas encore la fin du monde. En effet, la monnaie numérique de banque centrale ne peut fonctionner qu’adossée à un système de contraintes complet. Il faudra introduire sans cesse de nouveaux contrôles des prix, augmenter constamment le revenu universel de base, et générer avec vigueur une inflation permanente, ce qui conduira en retour à un appauvrissement continu de la population et à un conflit permanent avec l’État et les autorités (33:49).

Ce que nous devons savoir est la chose suivante: nous nous trouvons en toute certitude au seuil d’une période de turbulences et de dangers. Mais nous avons en main un atout historique : il tient au fait que ceux d’en face n’agissent pas conformément aux lois de la raison, mais poussés par des mobiles comme la cupidité et la soif de pouvoir, et ne peuvent, pour cette raison, rien faire d’autre que de se mettre toujours plus inextricablement en difficulté (34:21). De cela, précisément, nous devons profiter, et garder ceci présent à l’esprit : le camp d’en face peut bien disposer de plus d’argent, de plus de biens, et en plus de toutes les armes du monde; son pouvoir ne réside ni dans son argent, ni dans ses biens, ni même dans ses armes, mais repose sur un seul et unique facteur: l’ignorance de la majorité des gens, ou pour le dire autrement, le fait que la majorité ne voit pas clair dans le jeu que la minorité joue avec elle (35:01).

Quelle que soit l’atrocité de ce que le complexe financier digital a commis au cours des dix-huit derniers mois et continue à commettre avec ses suppôts, il s’est enfermé dans une situation dont il ne pourra pas s’extirper, et dans laquelle il doit, dans son désespoir, franchir de plus en plus de lignes rouges (35:25). Pour nous tous, cela signifie que nous devrions dans cette situation exceptionnelle, tout simplement: conserver notre calme, démasquer résolument les mensonges, et montrer ainsi aux gens, pièce par pièce, pourquoi et par qui ils se font berner. Si nous faisons cela, et qu’en le faisant nous nous souvenons de la force de nos arguments, alors nous pourrons, non seulement résoudre les problèmes actuels, mais peut-être réussir quelque chose de beaucoup plus grand, à savoir : utiliser l’une des crises les plus profondes qu’ait affrontées l’humanité pour redresser la barre de l’histoire du monde, et ouvrir ainsi d’un coup la porte sur une ère nouvelle. Je vous remercie.





La disparition voulue de Poutine

[Source : Entre La Plume et l’Enclume]

Par Israël Adam Shamir

Le président Poutine s’est caché. Enfin, en quelque sorte. Le 14 septembre, il a déclaré que de nombreuses personnes (« des dizaines ») de son cercle intime avaient été testées positives au virus et qu’il devait donc s’isoler. Sa soudaine réclusion a suscité des vagues d’angoisse à travers cet immense pays. Son explication a été accueillie avec incrédulité. Tout le monde autour de Poutine est vacciné et Poutine l’est aussi, du moins l’a-t-il affirmé.

Pourquoi aurait-il besoin de s’isoler ; et comment toutes ces personnes vaccinées pourraient-elles tomber malades ? Le vaccin est-il un faux ? Ou devons-nous chercher une autre explication. Est-il tombé, ou a-t-il été poussé ? Va-t-il revenir ? Est-ce la fin de l’ère de Poutine ? Poutine est-il malade, ou a-t-il été contraint à l’isolement ? S’agit-il d’une conspiration ? Le gouvernement russe est, et a toujours été, de type manuel et non automatique ; l’absence du dirigeant à la barre du puissant navire qu’est l’État russe pourrait être synonyme de problèmes. Les Russes ne croient pas à la version officielle, mais où est la vérité ?

Une semaine avant son annonce, le 8 septembre, un ami proche de Poutine et son ancien garde du corps, l’homme considéré comme un successeur probable, le ministre des Urgences, M. Evgueni Zinichev, est décédé dans des circonstances inhabituelles lors d’un exercice dans l’Arctique. Selon la directrice de RT, Margarita Simonyan, il est mort en essayant de sauver un caméraman tombé d’une falaise. Les rumeurs disent qu’il avait peut-être été ciblé en tant que successeur de Poutine. Juste avant cela, le 7 septembre, Poutine s’était rendu dans une retraite en Sibérie avec son ministre de la Défense, M. Choïgou. De quoi ont-ils discuté, loin des oreilles indiscrètes ? Selon certaines rumeurs, Poutine aurait soupçonné ou découvert un complot contre lui et aurait préféré minimiser ses contacts avec le monde extérieur et même avec ses propres gardes du corps. Homme très prudent, le président Poutine sait que nombreuses sont les personnes et organisations puissantes qui aimeraient le voir mort et il ne veut pas leur donner cette satisfaction. C’est pour cette raison que ses ennemis l’appellent « le vieil homme dans le bunker ». Cependant, Poutine est apparu à la télévision depuis sa cachette.

Par ailleurs, il existe des précédents de dirigeants invoquant un cas de force majeure pour manquer un événement ou éviter une réunion.

Le président Gorbatchev avait appris l’existence d’un complot ourdi par les partisans de la ligne dure soviétique et avait décidé de rester à l’écart, espérant profiter de ses avantages en cas de réussite du complot et avoir un alibi en cas d’échec. Il s’est rendu dans son palais de Crimée-Phoros au cours d’un mois d’août 1991 tumultueux et a prétendu être détenu par des comploteurs ; le complot a échoué, il est retourné dans la capitale, mais il n’a jamais retrouvé ses pouvoirs.

De même, le dernier empereur russe, le tsar Nicolas II, avait appris que des paysans et des ouvriers avaient l’intention de venir au Palais d’hiver pour implorer le tsar. Il décida de se tenir à l’écart des problèmes éventuels et se rendit dans sa résidence de campagne de Tsarskoe Selo. Ses fonctionnaires mitraillèrent les plaideurs lors du dimanche sanglant. C’est ce massacre qui provoqua la première révolution russe de 1905-07, et l’absence du tsar ne le servit aucunement. À une autre échelle, le président Trump est allé jouer au golf pendant que ses partisans se rassemblaient à la Maison Blanche. Cela ne l’a pas aidé : il avait perdu la Maison Blanche et il s’est retrouvé accusé d’actions illégales. Bref, rester à l’écart n’est pas le bon choix pour un dirigeant, mais cela se fait, parfois.

Considérons cette possibilité. Qu’est-ce qui pourrait pousser Poutine à réaliser un Phoros-2 ? La période actuelle est très mouvementée et un Poutine en bonne santé devrait se rendre à Douchanbé et s’occuper des élections législatives russes, entre autres choses.

Le Sommet de Douchanbé

Les 16 et 17 septembre, le double sommet de l’OCS et de l’OTSC s’est tenu à Douchanbé. L’OCS et l’OTSC sont deux organisations internationales différentes, bien que leurs membres coïncident en partie. M. Poutine était censé venir en personne et s’occuper des dispositions relatives à l’après-Afghanistan, même si cela pouvait se traiter à distance. Mais il devait également rencontrer les dirigeants de la Chine, de l’Inde et de l’Iran. Le sommet prévu avec le président Xi était particulièrement important, car les deux dirigeants ne se sont pas rencontrés en personne depuis longtemps. Des rumeurs circulent à Moscou selon lesquelles Poutine éviterait de rencontrer le dirigeant chinois, alors que cette rencontre était prévue immédiatement après le sommet de Genève avec Joe Biden. Le sommet Poutine – Xi avait été prévu encore plus tôt, pour coïncider avec le 20ème anniversaire du traité d’amitié russo-chinois ; il a ensuite été reporté à cause du sommet de Genève, puis tout simplement annulé. Xi était censé venir à Douchanbé pour le sommet de l’OCS. Lorsqu’il a appris que Poutine ne viendrait pas, il est également resté chez lui. Ainsi, ce sommet très important entre deux dirigeants ne s’est pas concrétisé. Se pourrait-il que Poutine ne veuille pas être vu comme se rangeant du côté de la Chine, dans le contexte du triangle fatidique Washington-Moscou-Pékin ? Peut-être. Les élites russes sont divisées : certains préfèrent des relations étroites avec la Chine, d’autres veulent que la Russie se range du côté de l’Occident. Poutine cherche à équilibrer ces deux groupes. Qui sera le premier à conclure un accord avec Biden, Poutine ou Xi ? Peut-être Poutine préfère-t-il ne pas intervenir et laisser Xi s’y essayer le premier, lors du prochain sommet du G2.

La place physique de Poutine à Douchanbé a été prise par Alexandre Loukachenko, le solide président du Belarus, et il a visiblement apprécié cette tâche. Il y a quelques années, après que le Belarus et la Russie eurent conclu l’accord sur l’État de l’Union, les gens pensaient que Loukachenko dirigerait les deux États, ou au moins qu’il s’occuperait aussi des affaires intérieures russes. On avait le sentiment que Loukachenko serait le meilleur pour l’économie, l’agriculture, l’industrie et la structure sociale que Poutine, qui s’occupait davantage des affaires étrangères. Si la Russie et le Belarus votaient pour un président, les Biélorusses voteraient pour Poutine, tandis que les Russes voteraient pour Loukachenko, disait-on en plaisantant. Cependant, cela ne s’est pas produit. Loukachenko a très bien géré la session de Douchanbé et Poutine s’est entretenu avec eux par liaison vidéo.

Il semble qu’ils n’aient pas réussi à faire entendre raison à l’obstination de M. Rahmon, même s’ils ont essayé. La Russie est prête à défendre le Tadjikistan en cas d’offensive ou d’infiltration des Taliban. Mais le président tadjik a des projets beaucoup plus audacieux. Il s’élève contre l’ingérence des Taliban au Tadjikistan, mais espère ressusciter l’Alliance du Nord, le groupe des chefs de guerre du Nord, ennemis des Taliban. Il s’agit principalement de membres de groupes ethniques minoritaires, dont beaucoup de Tadjiks, le deuxième groupe ethnique le plus important (après les Pachtounes) d’Afghanistan. Il semble que Rahmon souhaiterait briser l’Afghanistan et y créer un deuxième État tadjik, ce qui signifierait un nouvel épisode de guerre civile, ce que personne ne souhaite.

Il a été rapporté que Rahmon a reçu et amusé Ahmad Massoud, le « rebelle du Panchir », et l’ancien vice-président de l’Afghanistan Amrullah Saleh (qui s’est déclaré « président par intérim de l’Afghanistan », après la fuite de Ghani). Il n’est pas certain qu’une telle réunion ait réellement eu lieu. Il ne s’agit peut-être que de l’un des nombreux exemples de fausses nouvelles en provenance d’Afghanistan produites par les usines à fausses nouvelles indiennes. Si celle-ci était vraie, cela franchirait la ligne rouge dans les relations entre les deux pays voisins.

La Russie n’apprécierait pas non plus : La Russie a établi des relations de travail avec les Taliban ; les Taliban ont demandé à la Russie de les aider à retrouver leur siège légitime à l’ONU ; ils ont proposé une visite d’État à Moscou. La « résistance du Panchir » a été vaincue sans combat. Certains des « résistants » errent dans les montagnes et font appel au soutien de politiciens américains belliqueux, mais pour le reste, ils ont perdu leur guerre. Apparemment, Massoud et Saleh ont trouvé un refuge au Tadjikistan ; ce pourrait donner lieu à un geste humanitaire, à moins que l’ambitieux Rahmon ne transforme son pays en base dans la guerre civile afghane.

Toutefois, cette évolution ne justifierait pas que Poutine les héberge, à moins qu’il n’y ait des problèmes de sécurité.

Les élections parlementaires russes

La Russie va « rattraper et dépasser l’Amérique », déclarait Nikita Khrouchtchev en 1957. Les récentes élections parlementaires (17-19 septembre 2021) pourraient être considérées comme une nouvelle tentative pour faire mieux que la fraude électorale américaine. Mais les Russes n’ont pas pu dépasser la Cité brillante sur la colline : les dernières élections présidentielles américaines étaient si profondément malhonnêtes que personne n’a pu les battre. N’empêche que les Russes ont bel et bien essayé.

La Russie a un système mixte pour l’élection des membres du Parlement : certains sont élus par une liste de parti et d’autres par un système majoritaire. Dans les endroits où les gens ont été autorisés à voter librement et où leurs voix ont été décemment comptées, – principalement en Sibérie – les communistes ont gagné. Ailleurs, le parti au pouvoir, Russie Unie, a obtenu les sièges. Ils ont utilisé toutes les méthodes appliquées avec succès par les démocrates américains. Les gens ont été autorisés à voter à domicile et les équipes de collecte ont récolté de nombreux votes. Il y a eu plus de votants que d’inscrits. L’opposition a été tenue à l’écart du dépouillement. Les scellés des urnes étaient souvent brisés. Mais la meilleure méthode reste le vote numérique, autorisé dans quelques villes dont Moscou.

Comme le vote par correspondance à Detroit, le vote numérique à Moscou était en totale contradiction avec le vrai vote papier. Voici l’image du vote de Moscou, à gauche – le vote réel seulement, à droite – le vote réel et numérique ; vert pour l’opposition (principalement communiste), bleu pour les candidats du gouvernement. Le vote numérique à Moscou présentait une caractéristique inhabituelle : les électeurs étaient autorisés à changer d’avis et à voter à nouveau. Le gouvernement pouvait donc voir les résultats et faire « re-voter » autant qu’il le voulait.

La « démocratie » russe est aussi limitée que partout ailleurs. Le processus politique est contrôlé par un organe directeur appelé AP (Administration du Président) ; il n’est même pas mentionné dans la constitution, mais c’est lui qui décide qui peut participer aux élections et qui sera élu au parlement. Ils font aussi des coups bas, en créant des partis dissidents pour voler des voix à l’opposition. L’AP a décidé que les communistes ne devaient pas obtenir plus de 20% des voix, tandis que le parti au pouvoir, Russie Unie, devait en obtenir environ 50%. Telles étaient les instructions données aux chefs locaux et ils n’ont fait que suivre les ordres. Dans quelques districts où les patrons locaux ont décidé d’ignorer les ordres de l’AP, les communistes ont obtenu jusqu’à 30%, et Russie Unie moins de 30%. Avec les socialistes, les Rouges russes pourraient former le nouveau gouvernement. Ils seraient heureux de servir sous les ordres de Poutine.

Les Rouges russes ne ressemblent pas à la gauche américaine (et européenne). Ils sont contre la politique des minorités, contre le discours sur le genre et la race, ils aiment le Christ et Staline. Les Rouges russes diffèrent de la droite américaine (et européenne), car ils sont favorables à une nationalisation massive, à un service de santé complet et à une éducation gratuite ; ils sont contre les oligarques et n’aiment pas l’immigration. En bref, ils sont beaucoup plus poutinistes que Poutine. Et ils ne sont pas favorables à l’Occident. Leur ascension changerait les choses à l’échelle mondiale. Aujourd’hui, pour la première fois depuis 1996, ils sont devenus populaires parmi les jeunes ainsi que parmi les citoyens plus âgés. Bien qu’ils soient très différents de l’opposition libérale pro-occidentale, ils ont appris à faire les choses ensemble contre le diktat de l’AP. Le CPRF est fondamentalement un parti social-démocrate, parfaitement apte à gouverner, mais l’AP le considère comme trop indépendant.

Les communistes ont rejeté les résultats du vote numérique ; le gouvernement a répondu par la force. De nombreux candidats communistes et leur personnel ont été arrêtés. Le gouvernement a interdit les manifestations et les rassemblements de protestation, sous le prétexte du Coronavirus. Que feraient-ils sans le Corona, je me le demande ! L’Occident a accusé à juste titre les autorités russes de manipuler les résultats des élections ; à tort, il a attribué le succès de l’opposition à Navalny et à ses libéraux pro-occidentaux. Mais les Rouges sont assez timides, pour deux raisons : ils sont plutôt favorables à Poutine et à sa politique étrangère, et ils ont peur d’être mis hors la loi et interdits, comme cela s’était produit sous Eltsine. Les libéraux avaient renversé les communistes et bombardé le parlement dans les années 1990, et ils ne vont pas permettre le retour des rouges, m’a dit un membre du parlement russe, la Douma.

En outre, la population a bien digéré les résultats. Il n’y a pas eu de grands rassemblements ou de manifestations ; certes, ils étaient interdits, mais les gens ont accepté l’interdiction plutôt docilement. Il n’y a pas de révolution à venir, ni même de grandes manifestations. Apparemment, les Russes se sont réconciliés avec cette « démocratie limitée ». Comme nous tous : de l’Australie aux États-Unis, de la France à l’Allemagne, la vraie démocratie est morte. Au lieu de cela, nous avons une tyrannie sanitaire avec quelques « élections » pour sauver la face, corrigées par une fraude électorale massive.

Les Russes pensent qu’ils vont bien. Les gens ont leurs salaires, leurs voitures, leurs maisons de campagne ; les villes sont en bon état, il n’y a pas beaucoup de chômage. Avant les élections, le Covid obéissant a presque disparu ; maintenant il risque de réapparaître, mais c’est le cas partout dans le monde. Il n’y a donc pas de motifs forts de protestation, comme c’était le cas en 1991 ou même en 2011. De plus en plus de gens arrivent à la conclusion que les élections ne sont qu’une farce. Mais cela ne suffit pas à pousser les gens à la révolution.

J’ai parlé à des personnes proches du Kremlin ; elles m’ont dit qu’elles pensaient que Poutine s’était caché à cause des élections, car ses services de sécurité n’étaient pas certains de la façon dont les masses allaient réagir à la fraude électorale. On aurait pu avoir une répétition de 1991, lorsque des masses énormes de personnes avaient renversé le pouvoir soviétique. Nous voyons maintenant que cela ne s’est pas produit. Les gens ont pris tout cela de haut. Mais la sécurité aime jouer la carte de la surenchère. À Washington, Londres et Moscou, il y a plus de policiers que de manifestants dans pratiquement tous les rassemblements.

Une semaine après les élections, elles ont été totalement oubliées. Le jour de la publication des résultats, il y a eu une fusillade de masse ; un jeune homme de 18 ans a pris un fusil de chasse et a abattu six élèves dans son école. Ces attaques terroristes surviennent opportunément lorsqu’il est nécessaire de changer radicalement l’ordre du jour, et il y a suffisamment d’hommes mentalement perturbés pour commettre un massacre si on ne les arrête pas à l’avance.

Conclusion

Nous ne savons pas avec certitude pourquoi Poutine a décidé d’affirmer qu’il devait s’auto-isoler. Il n’est pas totalement impossible (bien que peu probable) qu’il y ait effectivement une épidémie de Covid. Sinon, cela pourrait être lié à l’incertitude des élections ou à l’imminence du sommet Poutine-Xi, ou, effectivement, il y aurait eu un complot qui a été découvert. Poutine sortira très probablement de son abri le 29 septembre, pour son sommet avec le président Erdogan, car ils ont beaucoup de choses à se dire. Mais sa réclusion ne lui fera pas gagner des points aux yeux des Russes.

Traduit par Maria Poumier
– Source : The Unz Review (Etats-Unis)




Pierre Gentillet : « On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire… On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! »

[Source : businessbourse.com]

« On nous a menti sur tout, le masque et le Pass Sanitaire…On va aller jusqu’où dans le mensonge ? On se moque de nous ! Je ne comprensds pas comment Olivier Verran peut rester ministre après ça ? »

« C’est extraordinaire à quel point la parole politique a été discréditée…Nous devions passés dans un état temporaire, mais cet état est en train de devenir un état permanent ! Dès que le gouvernement nous promet quelque chose, systématiquement c’est l’inverse qui se produit… »




L’acteur Keanu Reeves dit prier pour « que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre »

[Source : ]

L’acteur américain Keanu Reeves, qui a le courage de témoigner sa foi, a publié sur son compte Telegram un message intéressant :

« Beaucoup de gens ont essayé de me poignarder dans le dos au moment où j’ai décidé de dire la vérité ! Il est même impossible de visualiser les sombres secrets qu’ils nous cachent. Lorsque vous êtes dans la bonne direction, vous devez être prudent et dur en même temps car les requins n’attendent qu’une goutte de sang et ils viendront droit sur vous, impitoyablement motivés pour vous déchirer. Juste parce que vous avez découvert la VÉRITÉ.

Ma prière est que nos enfants ne soient pas instruits et guidés par la propagande polluée que la mafia Big Tech essaie de nous vendre, nous devons leur montrer le bon chemin ! Il faut se battre et ne pas reculer ! »




Haute trahison ? Bradage de la souveraineté de la France ?

[Source : reseauinternational.net]

Par Dominique Delawarde.

Trois courtes vidéos qui montrent, une fois de plus, la duplicité de ceux qui nous gouvernent.

1 – Dans un extrait d’interview de 2 minutes sur une chaîne inattaquable, du 26 Septembre 2021, Arnaud Montebourg aborde le problème du dépeçage de la France et affirme très clairement : 

« dans cette affaire, Macron n’est pas complice, il est auteur ».

https://youtu.be/5w1RqBeQjVg

2 – Dans le cadre de l’émission bien connue « C dans l’air », sur RTL matin, Olivier Marleix, président de la commission d’enquête sur l’affaire Alstom fait apparaître la duplicité de l’exécutif et le rôle trouble joué par Monsieur Macron dans la catastrophe Alstom. L’émission démontre, au passage, l’importance d’Alstom dans la sécurité énergétique nationale …. Cette vidéo date un peu, mais reste pourtant d’une actualité brulante.

https://youtu.be/BsPOfDAMIcI

3 – Dans sa dernière vidéo postée hier, Raoult revient sur le harcèlement « institutionnel » permanent dont il a été l’objet depuis 18 mois … Il revient également sur la baisse progressive de la létalité des variants Covid et explique les principales raisons de cette baisse.

En dépit des apparences, ces vidéos vont dans le même sens en faisant apparaître des méthodes mafieuses utilisées par un exécutif que les électeurs français, manipulés par une meute médiatique instrumentalisée, ont porté au pouvoir en 2017.

Bonne ré-information

Dominique Delawarde




New York lance la loi martiale médicale avec des troupes pour prendre le contrôle des hôpitaux où des travailleurs de la santé non vaxés sont licenciés en masse

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

La prise de contrôle de la société par la loi martiale a commencé à New York, où le gouverneur Kathy Hochul a annoncé le licenciement massif d’agents de santé non vaccinés, qui seront remplacés par des travailleurs étrangers et des troupes de la Garde nationale.

Ce même modèle de remplacement des travailleurs civils par des troupes militaires sera reproduit dans les forces de l’ordre, les ambulanciers paramédicaux, les pompiers, les chauffeurs de camion, les ouvriers d’usine et d’autres secteurs de l’économie qui s’effondrent rapidement en raison des restrictions de verrouillage de la covid. Le résultat est que nous assistons à une prise de contrôle militaire rapide de la société sous le couvert d’un «état d’urgence» à la suite de pénuries de personnel qui sont en fait causées par les propres politiques du gouvernement.

[Ndlr : lorsqu’un pays expérimente une mesure, une tactique ou une stratégie liberticide supplémentaire au cours de cette plandémie Covid, on peut s’attendre à ce que les autres gouvernements s’en inspirent au cours des semaines ou des mois suivants.]

La seule raison pour laquelle les hôpitaux de New York manquent désespérément de travailleurs de la santé, bien sûr, c’est parce que des dirigeants gouvernementaux corrompus ont veillé à ce que tous les travailleurs non vaxxés soient licenciés. Ce sont les mêmes travailleurs qui ont survécu à 2020 sans vaccins contre le covid, travaillant en première ligne de la « plandémie »  causée artificiellement par des protéines de pointe et du graphène, mais maintenant ils sont jetés dans la rue parce qu’ils ne prendront pas de vaccin en 2021.

« La Gouv. Kathy Hochul a déclaré samedi qu’elle était prête à déclarer l’état d’urgence si le mandat de vaccination de l’État pour l’industrie des soins de santé entraînait une pénurie ingérable de travailleurs lorsque la règle entrera en vigueur lundi », a rapporté WSKG.org ce week-end.

New York annonce également l’utilisation de troupes de la Garde nationale et une prise de contrôle fédérale des soins de santé locaux. Comme le rapporte WSKG :

L’État envisage également d’activer des membres de la Garde nationale formés médicalement pour combler les lacunes dans les effectifs de la santé, et pourrait travailler avec le gouvernement fédéral pour faire venir des équipes de travailleurs médicaux pour aider les établissements de santé locaux.

C’est la phase d’ouverture de la prise de contrôle de la loi martiale médicale sur l’Amérique, et si elle n’est pas stoppée, elle risque de se transformer rapidement en manœuvres de plus en plus totalitaires de la part du régime :

  • Postes de contrôle des vaccins militaires sur les routes et les autoroutes.
  • Des troupes militaires assurent les livraisons de nourriture et de carburant, contrôlant les infrastructures critiques.
  • La militarisation de la nourriture, de l’essence, des fournitures médicales et d’autres articles essentiels, les empêchant d’entrer dans les États rouges qui refusent de pousser les vaccins obligatoires.
  • Les troupes militaires gardant les entrées des épiceries, des églises, des centres commerciaux et d’autres bâtiments, exigeant des passeports vaccinaux « Den Ausweis, bitte» avant d’autoriser les gens à entrer.
  • Des troupes militaires extrayant involontairement des personnes de leurs maisons sous la menace d’une arme et les emmenant dans des camps de la mort dirigés par le CDC. [1]

Voici une carte des camps de la mort de covid actuellement en activité par le CDC. Vous pouvez confirmer cette carte sur le site Web du CDC.

New York crée sa propre « crise » du personnel, puis utilise la crise qu’elle a créée pour déployer la loi martiale médicale

New York a créé cette crise en licenciant des travailleurs de la santé en premier lieu. Puis, au fur et à mesure que cette «crise du personnel» se déroule, New York utilise la crise pour déployer des migrants de remplacement (pour remplacer tous les malades sur le point de mourir qui ont subi un lavage de cerveau suffisant pour qu’ils acceptent la piquouse qui les achève) et installer des troupes militaires dans des postes d’infrastructure clés. .

Une partie de cette opération psychologique consiste à habituer le peuple américain à voir des troupes tout gérer : hôpitaux, transports, usines, forces de l’ordre, etc. Une fois que toutes les troupes sont en place, Biden invoquera simplement l’Insurrection Act, et déclarera que tous les anti-vaxxers sont engagé dans une « insurrection », puis dépêchera les troupes pour rassembler et/ou exécuter tous ses ennemis politiques. Cette liste d’exécution comprendra des chrétiens, des pasteurs, des médecins au franc-parler, etc.

Je couvre tout cela dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui, qui expose le programme génocidaire de l’industrie des vaccins et le régime criminel de Biden :

Brighteon.com/ce8bdd6d-8aab-48ef-b23c-82d2f73937bf

Mardi 28 septembre 2021 par Mike Adams Source




Passe sanitaire : le recours devant la CEDH est possible

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : CEDH Pixabay / FS]

Auteur(s): FranceSoir

Face à la loi qui a instauré le passe sanitaire, Guillaume Zambrano, maître de conférences en droit privé à l’université de Nîmes, a lancé une requête collective auprès de la Cour européenne des droits de l’homme. Opposé au passe sanitaire – mais pas à la vaccination, il nous explique dans une vidéo et un document qui se présente sous forme de questions-réponses, comment chaque personne peut déposer une requête auprès de la CEDH, une démarche dont il s’est expliqué dans un entretien donné au journal Reporterre.

Explication de cette requête

La Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) condamne toutes les violations aux droits fondamentaux commises par les États européens. Ainsi, dans le cadre du passe sanitaire, chaque particulier qui estime avoir subi un préjudice par l’instauration de cette loi, peut la saisir et attaquer le gouvernement français en envoyant une requête par la poste. C’est ensuite au gouvernement français de prouver que la personne ne possède pas la qualité de victime.

Si, en règle générale, il faut avoir épuisé toutes les voies de recours internes, le passe sanitaire constitue une exception qui permet de passer outre lorsque la violation résulte de l’existence de la loi elle-même et que le Conseil constitutionnel a déclaré cette loi conforme. Guillaume Zambrano rappelle également que le Conseil constitutionnel ne peut être saisi qu’en soulevant une question prioritaire de constitutionalité (QPC), ce qui ne peut pas être entrepris par un simple particulier.

Le passe sanitaire : une sanction pénale sans jugement

Pour le juriste, ce passe porte atteinte aux droits fondamentaux, puisque son instauration constitue une véritable exclusion de la vie sociale. Sa mise en place constitue une « sanction extrajudiciaire » puisqu’il échappe à notre tradition juridique, fondée sur le principe de l’habeas corpus qui permet à toute personne privée de liberté de passer devant un juge.

À titre d’exemple, il cite le cas des personnes assignées à résidence ou condamnées à porter un bracelet électronique et rappelle que ce genre de mesures ne peuvent être appliquées que dans le cadre d’un procès, et avec l’approbation d’un juge au préalable.

Le droit peut-il condamner par omission ?

En règle générale, le droit dit qu’une personne est condamnée « pour avoir fait quelque chose, et non pour ne pas avoir fait quelque chose ». Or, le fait de ne pouvoir présenter un QR code à l’entrée des lieux publics ne peut constituer une infraction puisque le droit ne peut condamner pour omission. Par ailleurs, s’il existe le délit de non-assistance à personne en danger, son application est très restrictive.

Afin de montrer à quel point le passe sanitaire ne peut entrer dans ce cadre d’exception, il prend comme exemple le cas de personnes qui ont été condamnées pour avoir transmis le Sida, le juge ayant retenu le caractère intentionnel de ces personnes qui se savaient malades et qui ont reconnu avoir voulu contaminer d’autres personnes.

L’atteinte aux libertés fondamentales

La liberté, premier principe de la devise républicaine est un droit fondamental, inaliénable et naturel qui ne peut faire l’objet de restrictions que dans des cas particuliers et des circonstances exceptionnelles.

Pour être mises en place, ces mesures doivent répondre à trois conditions :

Le test « d’aptitude », c’est-à-dire la possibilité « d’atteindre l’objectif fixé ». Dans le cadre de l’épidémie, il s’agit de démontrer que ces mesures permettent de lutter contre la propagation du virus. La question se pose surtout depuis que l’on sait que les double-vaccinés peuvent contracter le virus et que le vaccin n’empêche pas la contagion.

Le test de « nécessité », soit la possibilité « d’un grand nombre de morts » si les mesures de restrictions n’étaient pas mises en place. À cela, le juriste répond par la négative, citant des pays comme l’Angleterre ou encore la Suède qui n’ont pas eu recours à ce passe.

Le test de « substitution » étudie la possibilité de mettre en place « des mesures alternatives moins restrictives qui permettraient de lutter contre les effets de l’épidémie ». Sur ce dernier point, Guillaume Zambrano donne une série de dispositions que le gouvernement aurait pu prendre. Parmi elles, l’ouverture de lits de réanimation, la création d’hôpitaux de campagne ou encore la possibilité aux soignants de se tester régulièrement, ce qui aurait été plus efficace que la mise en place de l’obligation vaccinale.

L’obligation vaccinale est-elle contraire au droit ?

Très encadrées par le législateur, les obligations à des actes médicaux doivent êtres effectuées dans le cadre d’un consentement libre et éclairé et répondre aux besoins d’intérêt général. Dans le cas contraire, elles peuvent être considérées comme préjudiciables à l’intégrité du corps humain.

Ce principe posé, il s’agit de se demander si la vaccination contre le SARS-CoV-2 doit être rendue obligatoire et pour quel public. Pour les enfants et les adolescents, ceux-ci ne souffrant presque jamais d’une forme grave, l’intérêt médical n’est pas prouvé. Par ailleurs, le fait que la technologie soit nouvelle et que les risques à long terme ne soient pas connus ne penche pas en faveur de l’obligation.

Chaque citoyen peut devenir juge

En principe, la loi interdit que l’on fasse justice soi-même, et le seul détenteur est le pouvoir judiciaire. Ce principe protège à la fois l’individu, l’ordre juridique et la fonction judiciaire.

Dans une logique de « répression massive », le gouvernement permet aujourd’hui « des sanctions extrajudiciaires » et confie à la population toute entière la possibilité de jouer au juge en appliquant des sanctions. Désormais, ceux qui feront office de juge seront à l’entrée des hôpitaux, des bibliothèques, des cinémas, des musées ou des centres commerciaux. Pour le juriste, le seul point de comparaison est le crédit social en Chine, qui a institué bien avant l’épidémie de coronavirus des mesures de ce type extrêmement liberticides.

Les droits de l’homme au-dessus des lois nationales

Institués afin d’éviter que des gouvernements ne sortent de l’État de droit et « ne fassent basculer un pays dans la dictature », les droits de l’homme sont les libertés fondamentales qui ont un caractère essentiel pour l’individu. S’ils sont en principe garantis par un État de droit et une démocratie, ils ont reçu une consécration normative en étant inscrits dans les juridictions internationales comme la Cour européenne des droits de l’homme et les Constitutions, ce qui les place au plus haut dans la hiérarchie des normes et par conséquent au-dessus des lois nationales.

Cette requête collective portée devant la CEDH, Guillaume Zambrano l’espère la plus large possible. Offerte aux personnes de plus de 12 ans, une saisie par des milliers de personnes obligerait la Cour à écouter les arguments de ceux qui ont fait cette démarche et qui vise à éviter que le passe sanitaire soit prolongé au-delà du 15 novembre 2021 par l’adoption d’une nouvelle loi.

Auteur(s): FranceSoir




Les simulations, alibi pseudo-scientifique de la vaccination des enfants

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir

TRIBUNE – Volet II de l’analyse des simulations-prédictions au cours de la crise covid-19.

[NDLR Volet I : Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la plandémie Covid]

Le scandale de la fermeture des écoles et des dommages infligés aux enfants

Depuis plus de 18 mois, la politique sanitaire française ne s’appuie pas sur les faits constatés dans le monde réel, mais uniquement sur des simulations mathématiques très majoritairement fausses, et faussées, pour justifier les décisions autoritaires de l’exécutif, nous faire accepter la perte de nos libertés et nous imposer les pseudo vaccins.

Dans un article précédent, nous avons démontré les erreurs (ou trucages ?) invraisemblables du rapport 9 de Ferguson (Imperial college) de mars 2020 qui a servi de prétexte aux confinements, et des articles fallacieux écrits ultérieurement pour les justifier [1].

Dans ce second volet, nous rappellerons les données de la littérature internationale qui montrent que l’enfant ne participe pas à la transmission du covid-19 et que toutes les mesures qui lui nuisent sont inutiles sur la maladie.

Les enfants sont innocents et ne transmettent pas la maladie

La fermeture des écoles imposée par la majorité des gouvernements de la planète, en particulier occidentaux, repose seulement sur la foi et/ou l’obéissance en des simulations dont le modèle a été élaboré pour la grippe (où les enfants représentent effectivement un vecteur important de transmission).

Mais pour le covid-19, la littérature internationale montre que l’enfant est complètement innocent de la transmission.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie prouvent qu’il est rarement atteint, que lorsque cela arrive c’est à domicile par l’intermédiaire d’un parent proche, qu’il fait des formes bénignes [2-3], et qu’il ne transmet pas la maladie [4-17], sauf exceptionnellement à ses parents, à domicile.

Le professeur Robert Cohen, pédiatre très « pro vaccin » précise :

« les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Il n’y a donc aucune raison scientifique de conseiller la vaccination des enfants dans l’espoir de protéger la population plus âgée, d’autant plus que les vaccins actuels n’empêchent pas les transmissions, que l’immunité obtenue après une guérison naturelle est beaucoup plus efficace et durable que celle post injection, et qu’il n’y a plus aucun scientifique indépendant pour croire encore que l’immunité collective puisse être obtenue par la vaccination.

Les écoles ne jouent aucun rôle prouvé dans la transmission du covid-19

Dans sa note du 20 avril 2020, le conseil scientifique reconnaissait :

« Il n’y a pas eu d’épidémie documentée dans les crèches, écoles, collèges, lycées ou universités à ce jour, en l’état des connaissances actuelles, sauf une dans un lycée en France où le virus a touché 38% des lycéens, 43% des enseignants, et 59% des personnels travaillant dans l’établissement scolaire (Crépy-en-Valois). »

Or, la transmission de l’épidémie de Crépy en Valois a été analysée par l’institut Pasteur [18] sans qu’aucune contamination par les enfants n’ait pu être mise en évidence « no secondary cases in the following 14 days among pupils, teachers and non-teaching staff of the same schools ».

Au 17 septembre 2021, malgré 226 844 344 cas confirmés par l’OMS, aucune étude épidémiologique n’a mis en évidence de transmission par des élèves à l’école et partout où les écoles sont restées ouvertes les autorités sanitaires ont constaté qu’il n’y a pas eu de transmission des écoles vers les communautés [19-22].

De plus, si les adultes qui travaillent dans les écoles peuvent être atteints et transmettre la maladie (via d’autres adultes), ils sont moins souvent atteints que les autres professions :

« les enseignants ont montré un risque plus faible d’hospitalisation avec covid-19 et de covid-19 sévère que la population générale [23].

Travailler en milieu scolaire a plutôt un effet protecteur contre le risque covid-19.

Les données de surveillance nationale au Royaume-Uni ont montré que le personnel scolaire est moins exposé au risque d’infection en milieu scolaire que la population adulte en général [24].

Une autre étude, portant sur 57 000 personnes s’occupant d’enfants dans des crèches aux États-Unis, a également montré qu’il n’y avait pas de risque accru d’infection pour les personnes s’occupant d’enfants. 

La fermeture des écoles et les mesures prétendument sanitaires qui ont été imposées aux enfants n’ont donc jamais eu aucune justification scientifique dans le monde réel.

Le statisticien Ola Rosling a déclaré au podcast « More or Less » de la BBC en juillet 2020 :

« Nous avons gardé nos écoles ouvertes et je pense vraiment que tous les pays du monde peuvent le faire ».

Le 27 mai 2020, le Premier ministre norvégien Erna Solberg à la télévision, a regretté le coût excessif du confinement pour son pays et s’est demandé si elle n’aurait pas mieux fait de suivre l’exemple de la Suède : « il n’était peut-être pas nécessaire de fermer les écoles ». « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur« , a-t-elle ajouté.

En juillet 2020, l’Agence suédoise de la santé publique et l’Institut finlandais de la santé et du bien-être ont publié une étude conjointe avec, révélant un taux similaire de cas de coronavirus chez les enfants en Suède, qui a maintenu les écoles ouvertes (et n’a pas imposé de masque), et en Finlande, qui les a fermées.

Les écoliers suédois peuvent remercier chaleureusement A. Tegnell et son équipe pour les décisions qui ont sauvé leur année scolaire 2020 et leur équilibre psychologique. Cet épidémiologiste a revu les prédictions de Ferguson, ne les a pas confirmées et son gouvernement l’a suivi à juste raison.

La réouverture des écoles n’a nulle part été suivie par une reprise de l’épidémie que ce soit en Italie, en Irlande, en Grande-Bretagne, en Corée du Sud, ou en Israël, contrairement à ce que prévoyaient les simulations et les déclarations alarmantes des covido-terrorisants diffusées en France avant chaque rentrée scolaire [25-29].

La simulation alarmiste de l’institut Pasteur est totalement biaisée

La rentrée scolaire actuelle est à nouveau la cible de déclarations alarmistes par Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, le conseil scientifique, B. Lina, ou Vittoria Colizza, co auteure d’une simulation Pasteur aussi fausse que les précédentes [30-34].

Tenir compte des chiffres réels et non d’hypothèses

Dans cette simulation mathématique, les auteurs ont pris comme hypothèse que les enfants de moins de 14 ans regrouperaient 30 % des contaminés alors qu’en réalité ils ne représentaient que 5 % des contaminés de la première vague [35] et ne dépassent pas 10 % des contaminés début septembre 2020.

Cette même simulation est basée sur l’hypothèse que les enfants seraient à l’origine de la moitié des transmissions virales, ce qui est totalement contraire à toutes les analyses des faits avérés et constitue une colossale surestimation.

Rappelons tout particulièrement l’étude épidémiologique menée par l’Institut Pasteur lui-même dans des écoles de Creil sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. Les modélisateurs de l’institut Pasteur lisent-ils les enquêtes épidémiologiques de leurs collèges ?

Quant au ratio de transmission R, la simulation le fixe à sept, ce qui est également notablement plus élevé que ceux observés à l’étranger même pour le variant delta.

La surestimation systématique invraisemblable des trois facteurs clefs de la simulation montre qu’elle a été conçue par ses auteurs pour persuader nos dirigeants que les enfants représenteraient un facteur important de transmission, et que leur vaccination pourrait diminuer ce risque.

Ce n’est pas une étude scientifique mais un pur article de propagande covid terrorisante, destinée à faire injecter des vaccins aux enfants, qui ne peuvent en aucun cas en tirer un bénéfice personnel alors qu’ils peuvent souffrir de graves complications post vaccinales, dont les myocardites.

Cette prépublication de l’institut Pasteur, à ce jour toujours non examinée par des pairs, a pourtant inspiré à nouveau les décisions du conseil scientifique et de nos gouvernants.

Le Pasteur Gate

Pour juger de la valeur de cette profession de foi catastrophe qui constitue un véritable « Pasteur Gate », il suffit de comparer sa prédiction (un pic de 5 200 hospitalisations quotidiennes, bien au-delà de la première ou de la seconde vagueà la situation réelle actuelle d’une moyenne de 350 hospitalisations quotidiennes et en baisse constante depuis un mois. Quinze fois plus !

Cette publication et la médiatisation dont elle a immédiatement bénéficié [36] constituent une illustration du phénomène des propagandistes professionnels, déguisés en leur rôle de scientifiques pour servir la fonction de fabrication du consentement pour les politiques gouvernementales. De la même manière, tout au long de la pandémie, les médias grand public alarmistes ont généralement fait du plaidoyer politique plutôt que du journalisme.

La situation sanitaire actuelle ne justifie aucune des mesures qui briment les enfants et induisent de nombreux troubles physiques et psychologiques

La situation sanitaire globale est en effet en constante amélioration en France depuis août, avec un nombre de nouveaux cas quotidiens actuels inférieur à 7 000, soit huit fois moins par million d’habitant qu’en Israël, et quatre fois moins qu’en Grande-Bretagne, champions historiques de la pseudo vaccination massive.

Et cette amélioration globale se marque aussi sur le nombre d’hospitalisations quotidiennes actuelles inférieure à 350, (soit quatre fois moins par million d’habitants qu’en Israël et deux fois moins qu’en Grande-Bretagne), et sur le nombre quotidien d’admissions en soins intensifs (- 50 % en un mois) qui est très proche de celui d’Israël, à la population huit fois moins élevée.

Cette amélioration globale se ressent tout particulièrement chez les enfants, que le covid-19 a totalement abandonnés, ainsi que le montre le dernier graphique du réseau sentinelle :« La semaine dernière (2021s36), le taux de positivité au SARS-CoV-2 des patients de 0-14 ans consultant pour une insuffisance respiratoire aigüe était de 0 % »

Les restrictions des activités scolaires et le port obligatoire du masque par les enfants, ainsi que les menaces d’obligation vaccinale des enfants en France, constituent donc bien des brimades dogmatiques contraires à l’état actuel de la science basé sur les faits avérés. Les dégâts qui en résultent sont malheureusement bien réels et considérables.

Voir aussi : Faire vacciner les enfants, vraiment ?

Les mesures sanitaires ont infligé des dommages considérables aux enfants

Difficultés d’apprentissage du langage dues au masque, décrochages scolaires massifs, en particulier des enfants défavorisés, démotivation des élèves et des enseignants, problèmes psychiques parfois très graves, confirmés dans de nombreux services d’urgences pédopsychiatriques (dont des suicides d’enfants très jeunes inconnus jusqu’ici).

« L’école à distance a provoqué beaucoup de dégâts en termes de santé mentale » dit le pédiatre François Angoulvant. Il ne fait d’ailleurs que répéter ce que toutes les sociétés de pédiatrie affirment depuis le premier confinement.

Didier Jourdan, titulaire de la chaire UNESCO et directeur du centre collaborateur OMS Éducation et Santé constate [37] :

« la fermeture des écoles dans le cadre du confinement a eu un impact sur la santé mentale et physique des enfants, principalement pour les plus vulnérables d’entre eux car fermer les écoles c’est limiter l’accès à des repas équilibrés, à des services sociaux et sanitaires etc. Le confinement influence également l’éducation en termes de pertes d’apprentissage pour les enfants et d’accroissement des inégalités… »

La poursuite d’études après le secondaire aux États-Unis a baissé de 6,8 % du fait de la crise sanitaire, mais avec des écarts majeurs en fonction du niveau socioéconomique. La baisse est de 11,4 % pour les plus vulnérables contre 2,9 % pour les plus favorisés. En tout état de cause, la fermeture des écoles aura un impact durable sur les enfants.

L’agence statistique norvégienne a été la première au monde à souligner les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles [38-39] :

« chaque semaine de fermeture des classe freine les chances de vie et réduit de façon permanente le potentiel futur de revenus ».

La Royal Society a estimé que

« les enfants britanniques pourraient perdre 40000 £ de leurs gains potentiels à vie, à moins que les gouvernements britanniques ne puissent réparer les lacunes d’apprentissage causées par la fermeture des écoles » [40].

Après avoir nuit aux enfants par des mesures scientifiquement et médicalement injustifiées, les lobbyistes des marchands de pseudo vaccins veulent les exposer aux complications de leurs injections expérimentales, qui ne peuvent leur apporter aucun bénéfice individuel (ni collectif), avec pour seul argument des simulations mathématiques truquées.

Battons-nous pour les protéger de cette ignominie.


Références :

[1] Retour sur la manipulation via des simulations au cours de la « plandémie » covid-19 – Docteur Nicole Delépine

[2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020.

[3] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China – the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9.

[4] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648.

[5] Liu Y, Yan L-M, Wan L, et al. Viral dynamics in mild and severe cases of COVID-19. Lancet Infect Dis. 2020. https://doi.org/10.1016/ S1473 -3099(20)30232 -2.

[6] Weiyong Liu .et al : Detection of Covid-19 in Children in Early January 2020 in Wuhan, China N Engl J Med. 2020 2 avril ; 382 (14) : 1370-1371.

[7] Ya-Nan Han et al A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics en 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020.

[8] Wen Yan Jiao et al Behavioral and Emotional Disorders in Children during the COVID-19 Epidemic THE JOURNAL OF PEDIATRICS 2020 www.jpeds.com.

[9] Posfay-Barbe KM, Wagner N, Gauthey M, et al. COVID-19 in Children and the Dynamics of Infection in Families. Pediatrics. 2020 ;146(2).

[10] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198.

[11] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020 004879 ; DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879.

[12] Kostas DANIS et al pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America.

[13] A Fontanet et al SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020.

[14] Christèle Gras-Le Guen

[15] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.

[16] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles – L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation ; 2020.

[17] Francesco Nunziata Aucune propagation du SRAS-CoV-2 des enfants symptomatiques infectés aux parents : une étude de cohorte prospective dans un milieu hospitalier contrôlé Pédiatre 3 août 2021 ; 9 : 720084.doi : 10.3389/fped.2021.720084. Collection électronique 2021.

[18] Ibid 13

[19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19.

[20] FR24 Seulement 0,01 % des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers. 24 aout 2020.

[21] Tadatsugu Imamura. Rôles des enfants et des adolescents dans la transmission du COVID-19 dans la communauté : une analyse rétrospective des données nationales au Japon Pédiatr. 10 août 2021.

[22] https://www.theguardian.com/education/2020/aug/23/covid-outbreaks-in-english-schools-uncommon-says-phe

[23] Fenton L, Gribben C, Caldwell D, Colville S, Bishop J, Reid M, White J, Campbell M, Hutchinson S, Robertson C, Colhoun HM, Wood R, McKeigue PM, McAllister DA. Risk of hospital admission with covid-19 among teachers compared with healthcare workers and other adults of working age in Scotland, March 2020 to July 2021 : population based case-control study. BMJ. 2021 Sep 1 ;374 : n2060. doi : 10.1136/BMJ. e2020. PMID : 34470747 ; PM CID : PMC8408959.

[24] ONU info

[25] Lucie Barcellini La réouverture des écoles affecte-t-elle la séroprévalence du SRAS-CoV-2 chez les enfants d’âge scolaire à Milan ? PLoS Un 2 sept. 2021 ; 16 (9) : e0257046. doi : 10.1371/journal.pone.0257046. Collection électronique 2021.

[26] Dong Y, Mo X, Hu Y, Qi X, Jiang F, Jiang Z, et al. Épidémiologie du COVID-19 chez les enfants en Chine. Pédiatrie. (2020) 145 : e20200702. doi : 10.1542/peds.2020-0702.

[27] Un rapport du gouvernement britannique a révélé que lorsque les écoles ont rouvert en Angleterre et au Pays de Galles pendant l’été, les taux d’infection parmi les élèves n’ont pas augmenté par rapport au taux de la population existante.

[28] Une étude menée en Corée du Sud a montré aussi qu’il n’y avait pas eu d’augmentation des cas de Covid-19 dans les deux mois ayant suivi la reprise des cours en mai 2020.

[29] Shirley Shapiro Ben David COVID-19 chez les enfants et effet de la réouverture des écoles sur la transmission potentielle aux membres du ménage Acta Pédiatre septembre 2021 ;110(9) :2567-2573. doi : 10.1111/apa.15962. Publication en ligne du 22 juin 2021.

[30] https://www.france24.com/fr/france/20210902-covid-19-faut-il-s-attendre-%C3%A0-une-flamb%C3%A9e-des-cas-avec-la-rentr%C3%A9e-scolaire

[31] https://www.leparisien.fr/societe/covid-19-pourquoi-la-rentree-scolaire-fait-craindre-une-reprise-epidemique-01-09-2021-6T3MMDOOIZDJTDYJEOJBVGK35Q.php

[32] Le professeur Bruno Lina, virologue, membre du conseil scientifique, affirme jeudi 2 septembre sur France Info que la rentrée scolaire « amène un risque supplémentaire de reprise épidémique ».

[33] « les mineurs pourraient représenter presque 50% des cas en septembre ».

[34] P Bosetti1, C Tran Kiem, A Andronico, V Colizza, Y Yazdanpanah, A Fontanet D Benamouzig, S Cauchemez Epidemiology and control of SARS-CoV-2 epidemics in partially vaccinated populations : a modeling study applied to France 2021.

[35] D’après un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies.

[36] M. Blachier : La 4ème vague va arriver (C News) basée sur la simulation de Pasteur.

[37] https://www.thinktankcraps.fr/la-fermeture-des-ecoles-a-un-impact-durable-sur-les-enfants/

[38] https://fr.businessam.be/norvege-le-confinement-netait-pas-necessaire-pour-gerer-le-covid-19/

[39] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai 2020.

[40] https://www.fr24news.com/fr/a/2020/07/les-enfants-britanniques-pourraient-perdre-3-de-leurs-revenus-a-vie-en-raison-des-fermetures-decoles

Auteur(s): Dr Gérard Delépine, pour FranceSoir




« Liberté » : le film manifeste de Magà Ettori contre le passe sanitaire

[Source : Magà Ettori]

Comme son titre l’indique, le sujet du documentaire, c’est la liberté : « La liberté, c’est de pouvoir s’exprimer, la liberté, c’est de pouvoir aider ». C’est aussi la liberté de refuser un vaccin qui est toujours en phase expérimentale, sans pour autant être chassé de son travail, ou encore celle de dénoncer l’infâme passe sanitaire et la ségrégation qu’il instaure dans une société qui n’a jamais été autant divisée.

Farouche adversaire de la politique autoritaire mise en place par le gouvernement, le réalisateur Magà Ettori a choisi de donner la parole à plusieurs autres opposants au passe sanitaire ou à la vaccination obligatoire. Le film se présente comme un outil de contre-pensée politique et scientifique, permettant à ceux que l’on n’entend jamais dans les médias « mainstream » de s’exprimer.




Pour respecter le serment d’Hippocrate, un médecin démissionne de l’ordre des médecins et de son statut de praticien hospitalier

[Sources : @LaUneTV2 et Docteur Yoga Denis]

https://youtu.be/Vdg4vVmFy5g






Plus de 5000 médecins et scientifiques accusent les gouvernements d’incompétence criminelle contre le COVID-19

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

[Photo : Robert Malone]

Ils sont déjà plus de 5000. Ils ont constitué une « Alliance Internationale des médecins et des chercheurs en médecine. Et ils ont signé l’appel de Rome, lancé à l’occasion d’un Global Covid Summit qui s’est tenu du 12 au 14 septembre à Rome. Parmi les premiers signataires, on compte Robert Malone, l’un des inventeurs du vaccin à ARN messager, Peter McCullough , cardiologue américain qui est intervenu précocement pour prévenir des dangers de vaccins encore insuffisamment testés, Geert Vanden Bossche, spécialiste mondialement reconnu de la recherche sur les vaccins. Ils rappellent ce qu’implique le serment d’Hippocrate, avertissent les gouvernements sur les dangers qu’ils courent à ne pas laisser les médecins prescrire et expérimenter librement des traitements. Et ils demandent que l’on « restaure confiance, intégrité et professionnalisme dans l’exercice de la médecine ». Le Courrier des Stratèges vous propose la traduction française de ce texte, qui rappelle l’appel de Great Barrington lancé en 2020 et que vous pourrez aussi consulter dans la version anglaise :

DÉCLARATION DES MÉDECINS
SOMMET MONDIAL DU COVID – ROME, ITALIE

Alliance Internationale des Médecins et des Scientifiques Médicaux

Septembre 2021

Nous, médecins du monde, unis et fidèles au serment d’Hippocrate, reconnaissant que la profession de médecin telle que nous la connaissons est à la croisée des chemins, sommes contraints de déclarer ce qui suit :

  • ATTENDU QU’il est de notre plus grande responsabilité et de notre plus grand devoir de maintenir et de restaurer la dignité, l’intégrité, l’art et la science de la médecine ;
  • ATTENDU QUE notre capacité à prendre soin de nos patients fait l’objet d’une attaque sans précédent ;
  • ATTENDU QUE les décideurs publics ont choisi d’imposer une stratégie de traitement “taille unique”, entraînant des maladies et des décès inutiles, plutôt que de défendre les concepts fondamentaux de l’approche individualisée et personnalisée des soins aux patients, qui s’est avérée sûre et plus efficace ;
  • ATTENDU QUE les médecins et les autres fournisseurs de soins de santé qui travaillent en première ligne, en utilisant leurs connaissances en épidémiologie, en pathophysiologie et en pharmacologie, sont souvent les premiers à identifier de nouveaux traitements susceptibles de sauver des vies ;
  • CONSIDÉRANT que les médecins sont de plus en plus découragés de s’engager dans un discours professionnel ouvert et d’échanger des idées sur les maladies nouvelles et émergentes, ce qui met en danger non seulement l’essence de la profession médicale, mais surtout, plus tragiquement, la vie de nos patients ;
  • CONSIDÉRANT que des milliers de médecins sont empêchés de fournir un traitement à leurs patients, en raison des barrières érigées par les pharmacies, les hôpitaux et les agences de santé publique, ce qui rend la grande majorité des prestataires de soins de santé impuissants à protéger leurs patients face à la maladie. Les médecins conseillent maintenant à leurs patients de simplement rentrer chez eux (permettant ainsi au virus de se répliquer) et de revenir lorsque leur maladie s’aggrave, ce qui entraîne des centaines de milliers de décès inutiles de patients, en raison de l’absence de traitement ;
  • CONSIDÉRANT que ceci n’est pas de la médecine. Ce ne sont pas des soins. Ces politiques peuvent en fait constituer des crimes contre l’humanité.

PAR CONSÉQUENT, IL EST

  • RÉSOLU que la relation médecin-patient doit être restaurée. Le cœur même de la médecine est cette relation, qui permet aux médecins de mieux comprendre leurs patients et leurs maladies, de formuler des traitements qui donnent les meilleures chances de succès, tandis que le patient est un participant actif à ses soins.
  • RÉSOLU que l’intrusion politique dans la pratique de la médecine et la relation médecin/patient doit cesser. Les médecins, et tous les prestataires de soins de santé, doivent être libres de pratiquer l’art et la science de la médecine sans crainte de représailles, de censure, de calomnie ou de mesures disciplinaires, y compris la perte éventuelle de l’autorisation d’exercer et des privilèges hospitaliers, la perte des contrats d’assurance et l’ingérence des entités et organisations gouvernementales – qui nous empêchent encore davantage de soigner les patients dans le besoin. Plus que jamais, le droit et la capacité d’échanger des résultats scientifiques objectifs, qui font progresser notre compréhension des maladies, doivent être protégés.
  • RÉSOLU que les médecins doivent défendre leur droit de prescrire des traitements, en respectant le principe “D’ABORD, NE PAS NUIRE”. Les médecins ne doivent pas être empêchés de prescrire des traitements sûrs et efficaces. Ces restrictions continuent de provoquer des maladies et des décès inutiles. Les droits des patients, après avoir été pleinement informés des risques et des avantages de chaque option, doivent être rétablis pour recevoir ces traitements.
  • RÉSOLU que nous invitons les médecins du monde entier et tous les prestataires de soins de santé à nous rejoindre dans cette noble cause, alors que nous nous efforçons de restaurer la confiance, l’intégrité et le professionnalisme dans la pratique de la médecine.
  • RÉSOLU que nous invitons les scientifiques du monde entier, qui sont compétents en matière de recherche biomédicale et qui respectent les normes éthiques et morales les plus élevées, à insister sur leur capacité à mener et à publier des recherches objectives et empiriques sans craindre de représailles sur leur carrière, leur réputation et leurs moyens de subsistance.
  • RÉSOLU que nous invitons les patients, qui croient en l’importance de la relation médecin-patient et en la possibilité de participer activement à leurs soins, à exiger l’accès à des soins médicaux fondés sur la science.

EN FOI DE QUOI, le soussigné a signé la présente déclaration à la date indiquée en premier lieu.

Signer la déclaration




3e dose vaccinale appelée « booster »

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous, comme ici derrière moi, la maison brûle. En novembre 2021, vous aurez le droit à la troisième dose, plus la quatrième et bien sûr, sûrement la cinquième ! La personne et son corps vont devenir une véritable éponge. Il y a aussi cette autre injection contre la grippe qui va devenir obligatoire ! Il faudra en plus faire un test tous les trois jours, un test de 75 euros, bien sûr, payant ! Mais au delà de ça, ils veulent nous faire ce que les médecins appellent une explosion sur le plan immunitaire. En gros, m’a confirmé un médecin de Marseille tout à l’heure au téléphone, on n’aura plus les moyens de se défendre contre toute agression autre que le Covid, staphylocoque, tumeurs et autres. Bref, le corps ne pourra pas lutter. Alors, ceux qui ont peur des doses vont être considérés comme hors la loi. La répression est en train de s’organiser ! Elle va, croyez moi, être violente ! On rentre maintenant dans le dur ! En Israël, la quatrième dose est votée !

Avec Natacha, nous avons rencontré une représentante de Pfizer en Europe en toute confidentialité. Elle nous confirme trois choses: 1 – Les vaccins vont être remplacés par des pilules testées en Belgique à l’heure actuelle et qui vont donc remplacer la piqûre. 2 – On ne pourra plus sortir du pays sans la troisième dose qui rendra caduques les deux premières, ce qui sera le cas en Grande-Bretagne dans les jours qui viennent. 3 – Et puis cette terrible information: savez vous comment ils appellent la troisième dose chez Pfizer ? Ils appellent ça le booster ! Cette troisième dose a pour objet de vous surcharger pendant cinq ans, ! Un booster, si vous voulez encore vous faire piquer, libre à vous, ce sera sans moi et on se battra, croyez moi, jusqu’au bout. C’est quoi tout cela ? En fait, c’est une forme d’euthanasie sans son propre consentement !






CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin », dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin, homme politique et philosophe français

[Illustration : Wikipedia]

L’académie des sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle
Département d’Histoire Nouvelle et plus Récente
Centre d’Histoire des Idées Historiques

Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie
Faculté des Relations Internationales
Département d’Histoire Mondiale et Nationale

CONFÉRENCE INTERNATIONALE « L’univers de Jean Bodin »,
dédiée au 490e anniversaire de la naissance de Jean Bodin,
homme politique et philosophe français.

PROGRAMME

04 OCTOBRE (LUNDI)
Institut d’État des Relations Internationales de Moscou (Université)
du Ministère des Affaires Étrangères de la Russie

10.00 – 14.00
Session plénière du matin

Ouverture de la conférence.

Ukolova Victoria I. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’écriture historique dans une perspective synchrone.

Bobkova Marina S. (Docteur en sciences historiques, Chercheur principal, Chef du Centre d’histoire des idées historiques de l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
La réception des idées de Jean Bodin en Russie.

Rogozhin Alexander A. (docteur en histoire, chargé de cours, Collège musical Oryol)
L’idée de « suvrantia » dans les opinions politiques du diplomate russe Prince B.I. Kurakina (1676-1727) : le problème de l’influence de Bodin et de « l’assimilation » du concept européen dans la culture politique russe au début du XVIIIe siècle.

Doronin Andrey V. (docteur en histoire, chercheur à l’Institut historique allemand de Moscou)
Le discours de la Renaissance sur l’origine des peuples et les critères de Jean Bodin.

Pause café

Brown Elena D. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire générale de STEPS, RANEPA)
Prophéties, malédictions et punition de Dieu. Le traitement mystique des guerres des Roses dans l’historiographie Tudor.

Togoeva Olga I. (docteur en sciences historiques, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Jean Bodin et la démonologie anglaise des 16e-17e siècles.

Sakharchuk Ivan A. (auteur, traducteur, éditeur Maison d’édition CHAOSSS / PRESS)
La « démonomanie des sorciers » : Une peur ancienne ou un esprit des temps nouveaux ?

Tretyakova Marina V.(docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire et de sciences sociales, Université nationale de recherche d’État de Nijni Novgorod)
Jean Bodin vs Giacomo Soranzo : deux points de vue de contemporains sur la réforme du XVIe siècle.

Discussion

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 17.00
Session plénière de l’après-midi

Yona Claire Dureau (Maître de conférences Qualifiée aux fonctions de professeur à l’Université de Lyon) Zoom
Bodin et Shakespeare : analyser l’influence des idées de Bodin dans les pièces du grand dramaturge.

Chernikova Tatyana V. (Docteur en sciences historiques, Professeur du MGIMO (Université) du Ministère des Affaires étrangères de Russie)
L’évaluation par Fletcher de la structure politique de la Moscovie et le concept d’Etat de Jean Bodin.

Mityureva Daria S. (Assistante du Département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’Etat de Tyumen)
Quelques caractéristiques de la citation de Jean Bodin en Angleterre au XVIIe siècle.

Discussion

Pause café

17.15 – 19.30
Séance plénière du soir

Lucien Oulahbib (CLESID Lyon3, Collège Supérieur, Lyon)
La théorie de la souveraineté de Bodin et son actualisation Zoom.

Vin Yuri Ya. (Docteur en histoire, chercheur principal à l’Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Le concept de « Res publica » et sa réception en droit byzantin.

Sophie Nicholls (PhD Histoire, St Hugh’s College Université d’Oxford) Zoom
La métamorphose des Six Livres de la République de Jean Bodin (1576)

Zakharova Elizaveta S. (Assistante de recherche, Center for Financial Research, Higher School of Economics)
Des chapitres politiques de « Méthode … » aux « Six livres de l’État » : du constitutionnaliste à l’absolutiste.

Discussion

05 OCTOBRE (MARDI)
L’académie des Sciences de Russie
Institut d’Histoire Universelle

10.00 – 14.00
Séance plénière du matin

Guyot Adrian (École Normale Supérieure de Lyon) Zoom
Une version  » catholiquement amendée  » des six livres de la République : atténuations, modifications et suppressions dans la traduction espagnole de Gaspar de Añastro Ysunza du traité de Jean Bodin (1590).

Bayazitova Gulnara I. (docteur en histoire, chef du département d’histoire moderne et de politique mondiale, Université d’État de Tioumen)
La traduction par Johann Oswald des Six livres de la République en Allemagne : texte et contexte.

Tsivaty Vyacheslav G. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire moderne et contemporaine des pays étrangers, Université nationale Taras Shevchenko de Kiev) Zoom
Interprétations mentales et sémantiques des concepts « guerre » et « paix » dans la théorie de la souveraineté de Jean Bodin (1529/1530 – 1596) : discours politiques, diplomatiques et institutionnels. Zoom

Kaufman Igor Samuilovich (Docteur en philosophie, Université d’État de Saint-Pétersbourg)
Bodin, Spinoza et la théologie politique.

Discussion

Pause café

Dmitry Samotovinsky (Docteur en histoire, professeur associé, Université d’État de technologie chimique d’Ivanovo)
Jean Bodin et Louis Le Roy : le problème de l’influence mutuelle.

Aizenshtat Marina Pavlovna (docteur en sciences historiques, chercheur principal, Institut d’histoire universelle de l’Académie des sciences de Russie)
Henry Bolingbroke sur la méthode de Bodin.

Andreas Buller (Docteur, Allemagne, Stuttgart)
Jean Bodin et Wilhelm von Humboldt sur la « forme de l’histoire ». Zoom

14.00 – 15.00 Déjeuner

15.00 – 18.00
Session plénière de l’après-midi

Landina Larisa V. (docteur en histoire, professeur associé du département d’histoire de la Biélorussie et des études muséales de l’Université d’État de la culture et des arts de Biélorussie)
Bona Sforza (1494-1557) – le souverain-praticien de l’époque de la formation des monarchies absolues.

Kuzmichev Valery Vasilievich (employé de la branche moscovite du Centre d’information orthodoxe russe de St. Vladimir)
Charles Fontaine et la Pléiade : une « guerre littéraire » acharnée de personnes partageant les mêmes idées.

Aurov Oleg Valentinovich (docteur en histoire, professeur associé, chercheur principal à l’École de recherche humanitaire contemporaine, Institut des sciences sociales)
Juan de Mariana (1536-1624) : aux origines de l’historiographie espagnole moderne.

Discussion

Résultats de la conférence




Lettre ouverte aux assassins d’enfants

Par Alain Tortosa

À partir de jeudi ce n’est plus « la bourse ou la vie », mais « la santé ou la vie » pour les enfants français de 12 à 17 ans.

Pass sanitaire obligatoire pour vivre, aller à la piscine, au cinéma ou au restaurant…

Officiellement, tout enfant de 12 ans ou plus devra être vacciné pour pouvoir avoir une vie d’ado.

J’imagine que quelques crétins manipulateurs, corrompus ou de mauvaise foi pourraient rajouter « mais non ils peuvent faire un test PCR ! » Un test PCR invasif et dangereux toutes les 48 heures et qui sera facturé 44 euros dès le 15 octobre, vous appelez cela un choix ?!

Notez que je n’aborderai pas ici l’aspect légal ou illégal de la vomissure (il n’y a pas de décret d’application pour les mineurs à ce jour, mais cela n’empêche pas la propagande).

Pourquoi obligez-vous la « vaccination » des enfants ?

Si l’on en croit votre incessante propagande que vous matraquez depuis des mois, c’est pour mettre fin à la fameuse « pandémie ».

Il existe bien encore ici et là parmi vous quelques pourritures pour faire croire que le Covid peut toucher n’importe qui et que des enfants peuvent être hospitalisés… Certains osent même parler de « Covid long » pour une population qui généralement ne fait que des Covid asymptomatiques. Notons que vous avez réussi à inventer depuis l’année dernière la « maladie sans symptômes et sans risque » ce qui d’un point de vue marketing est assez « merveilleux ».

Bref, il est quand même majoritairement reconnu, même dans la sphère des plus corrompus, que le Sars-cov2 et ses variants sont totalement inoffensifs pour les enfants.

Donc vous actez sans sourciller que :

« La vaccination des enfants est uniquement un acte SO-LI-DAI-RE ».

« Les enfants DOIVENT se vacciner pour sauver des personnes âgées en fin de vie ou des malades, »

Sur le papier cela pourrait presque se défendre, si…

Et c’est bien là le problème, les « SI » sont délirants dans cette affaire.

Vous, âmes damnées, reconnaissez que le risque lié aux injections n’est pas NUL.
Vous allez jusqu’à trouver publiquement acceptable, quand bien même le risque serait de 1 sur 1 million, que des enfants aient des séquelles à vie ou meurent pour espérer sauver… des vieux !

C’est acté.
Dans votre « nouveau monde », la « solidarité » veut que l’on puisse sacrifier quelques enfants au bénéfice hypothétique d’adultes en fin de vie interdits de traitements.

La publicité gouvernementale que vous cautionnez ne se cache même pas pour dire aux enfants qu’ils doivent protéger « papi ou mamie » avec des masques ou des injections.

Comment font papi et Mamie pour l’accepter ?
Comment font papi et Mamie pour ne pas être dans la rue et dire NON ?
Comment font papi et Mamie pour se regarder encore dans un miroir  ?

Le bénéfice du doute que l’on aurait pu vous accorder au début a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps. Votre propagande nous a convaincus qu’un ARN messager expérimental était ce qu’il y avait de plus sûr pour les injections y compris pour des enfants ! Que l’on était « certain » de son « innocuité », car injecté à plus d’un milliard d’humains !

Mais aujourd’hui et à la veille de la mise en œuvre de cette loi inique et criminelle…
Criminelle, car elle conduit inexorablement à TUER sciemment des enfants pour un dessein que j’ignore.

  • Vous SAVEZ que « l’injection » massive n’est PAS de nature à stopper la contamination.
  • Vous SAVEZ que l’immunité de masse est un leurre ou une tromperie.

Votre entreprise est d’autant plus criminelle et préméditée que vous savez que la « vaccination » des enfants n’a RIEN de solidaire et qu’elle ne permettra pas d’arrêter l’épidémie.

Pire encore :

  • Vous SAVEZ que ces injections sont potentiellement mortelles à court terme.
  • Vous SAVEZ que des enfants sont déjà morts de ces injections.
  • Vous SAVEZ qu’il y a notamment des problèmes menstruels chez les jeunes filles.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques sur la fertilité.
  • Vous SAVEZ qu’il y a des risques à long terme que nous ne maîtrisons pas !

Des parents incitent leurs enfants ou cèdent à leurs demandes d’injection.

Telle une loterie macabre leurs enfants seront peut-être les « heureux » gagnants dont le premier prix est la MORT et le prix de consolation un handicap à vie !

Et pour quoi ?

  • Pour aller à la piscine avec les copains ?
  • Pour aller au cinéma avec les copains ?
  • Pour aller au restaurant avec les copains ?

Et c’est là que l’on touche du doigt votre cynisme et votre absence totale d’humanité ou d’empathie, vous les décideurs. Vous savez à quel point il est important à l’adolescence de faire partie du groupe et à quel point le rejet est difficile à vivre à une période de la vie où l’on se cherche.

Vous FORCEZ les enfants à jouer à la roulette russe pour pouvoir vivre leur vie d’ado et en plus vous les habituez à présenter un QR-code pour ce qui touche au quotidien.

Vous les tuez DEUX FOIS :

  • Une fois par l’injection d’un poison.
  • Et une autre fois par l’annihilation du sentiment ou de la conscience de la liberté.

Vous êtes à vomir, vous les décideurs, vous les politiques, vous les médecins complices et vous les médias à la botte.

Tous sans exception, vous avez du sang d’enfants sur les mains et ce n’est pas avec du gel hydroalcoolique que vous pourrez l’enlever.

Alain Tortosa.

28 septembre 2021.
https://7milliards.fr/tortosa20210928-lettre-ouverte-aux-assassins-d-enfants.pdf




Bayonne — des soignants virés témoignent




Tous vaccinés, tous menacés

[Source : ripostelaique.com]

Par Laurent Droit

« Tous vaccinés, tous condamnés !! »

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Sur les chaînes de télévision, l’État continue de diffuser toute la journée des spots publicitaires du genre « lutte contre le sida » dans le but de faire « vacciner » un maximum de gens contre le Coronavirus, quels que soient ses autres noms.

Sous le titre/thème « Spot TV sur la vaccination – le débat » celui-ci met en scène une famille ou une bande d’amis à table qui débattent sur l’intérêt ou non du vaccin. Débat, donc avis différents.
Ce qui est clair, c’est que cela représente la grande masse des Français peu instruits de ces choses et en ignorant à peu près tout.
Leur discussion est donc assez stérile.
Voir le spot : https://www.dailymotion.com/video/x83jaht

Cela se termine par un texte froid de l’autorité publique :

– « On peut débattre de tout… sauf des chiffres »
– « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »
– « Tous vaccinés, tous protégés. »
– « Plus d’informations sur les lieux de vaccination sur www.sante.fr »

Et la fin traditionnelle des communications gouvernementales :

À noter qu’aujourd’hui la santé passe après les « solidarités » dans un ministère fourre-tout où on considère que la santé a peu d’importance et passe largement après les solidarités (qui restent à définir et à préciser)…!
C’est totalement stupide comme ordre des priorités…

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Je souhaite maintenant revenir sur la dialectique de ce message de fin.

Primo, « on peut débattre de tout sauf des chiffres. »

Je me demande bien ce que peuvent faire tous nos fantastiques scientifiques qui débattent sans arrêt entre eux de choses chiffrées d’un très haut niveau pour nous apporter tout ce dont nous avons besoin dans nos vies, dans le monde entier.
On peut parfaitement débattre des chiffres sur leur précision, mais lorsque la démonstration de l’exactitude d’un chiffre a été faite et reconnue par la communauté scientifique, il devient assez difficile de le contester, sauf à apporter une autre démonstration tout aussi exacte mais différente.
Cette formule est donc fausse.
C’est un mensonge.
C’est une « fake-news » d’État !
Elle est faite pour endormir les naïfs et les crédules dans le but de les contraindre mentalement et de les culpabiliser à se faire vacciner.
Pourquoi ? Parce que Macron est le manipulateur en chef de toutes les manipulations de masse en France et que Macron et ses subalternes ont pour mission de faire injecter à tous les Français une substance nocive, dangereuse et à terme mortelle afin de faire diminuer la population française de souche d’origine, dans le cadre du Grand Remplacement et du Great Reset mondial décidé par les mondialistes.
À noter que les immigrés ne sont pas invités au bal des injections.

Secundo, « Aujourd’hui, en France, 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause du covid ne sont pas vaccinées. »

Cette allégation gratuite est parfaitement mensongère aujourd’hui. C’est en effet tout le contraire qui se passe, car la vérité démontrée et dénoncée par d’innombrables médecins, biologistes et scientifiques non soumis au diktat de la doxa macronienne qui l’ont exprimée de nombreuses fois et de nombreuses manières :
En France et dans le monde, aujourd’hui, 8 personnes sur 10 hospitalisées dans des états désespérés ont déjà reçu une ou deux doses d’un des vaccins.
Et leur état désespéré est précisément lié aux effets secondaires dramatiques des pseudo-vaccins de grande toxicité.
J’en ai parlé suffisamment longuement dans mon livre avec tous les liens nécessaires pour en faire une preuve indiscutable : http://cabalard.free.fr/1zemmour.html

Mais je vous ai quand même noté quelques liens importants à la fin de cet article.

Par ailleurs, on ne doit pas dire « le covid », mais « la covid-19 » car il s’agit de LA maladie covid identifiée en 2019.

Tercio, enfin, ce slogan qui fleure bon le dentifrice ou la lessive miracle :
« Tous vaccinés, tous protégés. » est également l’exact contraire de la réalité démontrée dans le paragraphe précédent, c’est-à-dire que les vaccins sont très dangereux et introduisent dans l’organisme humain de nombreuses substances nocives, toxiques pouvant apporter des pathologies nombreuses et très graves susceptibles d’entraîner la mort dans des délais qui vont de quelques minutes après l’injection à plusieurs mois ou plusieurs années, sans plus de précisions, car nous n’avons pas encore assez de recul pour en juger (il faudrait au moins 5 ans).

La seule vérité c’est que « tous vaccinés » signifie en réalité « tous condamnés à mort » dans des délais inconnus, mais sans doute pas très longs. Mais en aucun cas protégés.

Je souhaite aussi préciser que ces substances hautement toxiques fabriquées et vendues par l’industrie pharmaceutique sont tout sauf des vaccins, comme je l’ai aussi déjà expliqué en long et en large dans mon livre et dans des articles, avec tous les témoignages de nombreux scientifiques non politisés dont la sincérité et l’honnêteté ne peuvent pas être mises en doute.

Nous vivons malheureusement une période extrêmement grave et pénible sur le plan sanitaire où, en plus, l’État Macron totalitaire s’ingénie à mentir au peuple français à longueur de temps dans des buts qui sont aujourd’hui connus de tous, même si beaucoup en doutent encore, tant cela peut paraître incroyable.
Mais des choses encore plus incroyables se sont produites tout au cours notre histoire et il faut quand même que les Français ouvrent un peu les yeux…

Attention, des articles prétendant démentir que les vaccins n’ont pas d’effets secondaires dangereux et que le rapport bénéfice/risque est largement favorable, courent sur le web. Ce sont des mensonges.
Ne les croyez pas !!!
L’État Macron fait tout pour vous cacher la vérité.

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Ne croyez jamais ce gouvernement de menteurs professionnels, mettez en doute toutes leurs déclarations concernant cette crise sanitaire, éloignez-vous de ces vaccins, refusez-les et avertissez vos amis et votre famille de leurs dangers mortels et aussi exigez que soient largement vendus et distribués les vrais traitements curatifs anciens, connus et efficaces qui ont déjà sauvé des centaines de milliers de personnes atteintes de la Covid-19. Chloroquine et Ivermectine associées à des antibiotiques qui éviteront les complications comme l’azithromycine ou la clarithromycine.

Cela dit, je ne vais pas refaire mon livre ici. Vous n’avez qu’à le lire, il est gratuit et en ligne.

Laurent Droit

Tous vaccinés, tous contaminés !!
Tous vaccinés, tous condamnés à mort !!

Liens :

Vidéo récente qui semble montrer que Pfizer refuse d’endosser toute responsabilité devant les États quant aux effets secondaires probablement nombreux et létaux de leurs « vaccins. »
Chacun en tirera ses propres conclusions…
« La députée @MicheleRivasi au CSI : beaucoup de pays africains et d’Amérique latine refusent les vaccins Pfizer car le laboratoire demande à ces pays d’hypothéquer une partie de leurs richesses nationales pour faire face à d’éventuels procès suite à d’éventuels effets secondaires. »
https://twitter.com/boutaour/status/1441354445980258311

« Film Covid, 26 raisons pour refuser les vaccins » 
https://odysee.com/@Vivresainement:f/film-covid-26-raisons-pour-refuser-les-vaccins:8

« Dr Zelenko nous dit tout sur le Covid et l’acharnement vaccinal. Accrochez-vous, c’est dur !! »
https://rumble.com/vky0dy-dr-zelenko-nous-dit-tout-sur-le-covid-et-lacharnement-vaccinal.-accrochez-v.html

« Décrypter le coup du passe sanitaire et la stratégie de la caste mondialisée »
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/08/11/decrypter-le-coup-du-passe-sanitaire-et-la-strategie-de-la-caste-mondialisee/

« Les vaccins et le confinement sont-ils efficaces ? » 
https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q

« Covid-19 : la stratégie d’immunité collective par la vaccination est-elle remise en cause en Islande ? »
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-la-strategie-d-immunite-collective-par-la-vaccination-est-elle-remise-en-cause-en-islande-20210811

« La dangerosité des nouveaux vaccins anti-covid est un fait historique » 
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-dangerosite-des-nouveaux-vaccins-anti-covid-est-un-fait-historique

« 57 scientifiques et médecins demandent l’arrêt immédiat de toutes les “vaccinations” Covid-19 »
https://www.francesoir.fr/societe-sante/57-scientifiques-et-medecins-demandent-larret-immediat-de-toutes-les-vaccinations

« TRIBUNE – Un aperçu sur le scandale du vaccin COVID-19 et du passe sanitaire »
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/covid-le-regne-de-la-cupidite-et-la-chute-de-la-medecine-occidentale-moderne

« Alerte ! Une ancienne employée de Pfizer confirme la présence d’oxyde de graphène (très dangereux) dans les injections Covid et leur létalité » Vidéo très importante en anglais sous-titré de 22’49. 
https://odysee.com/@reseau-influence:a/Alerte-!-Une-ancienne-employ%C3%A9e-de-Pfizer-confirme-la-pr%C3%A9sence-d’oxyde-de-graph%C3%A8ne-dans-les-injections-Covid-et-leur-l%C3%A9talit%C3%A9.:c

Docteur Nicole Delépine : « Tous vaccinés, mais pas protégés ! » 
https://ripostelaique.com/tous-vaccines-mais-pas-proteges.html
et aussi :
« Sortir du délire : les thérapies géniques ne sont pas des vaccins » 
https://ripostelaique.com/sortir-du-delire-les-therapies-geniques-ne-sont-pas-des-vaccins.html

Docteur Nicole Delépine : « Des témoignages personnels dramatiques avec l’injection génique se multiplient »
https://ripostelaique.com/des-temoignages-personnels-dramatiques-avec-linjection-genique-se-multiplient.html

Docteur Nicole Delépine, encore une excellente étude de sa part sur le scandale de la vaccination des enfants :
« Il faut stopper la publicité à la vaccination des enfants » 
https://ripostelaique.com/il-faut-stopper-la-publicite-a-la-vaccination-des-enfants.html

« Le Dr. Laurent Montesino Réanimateur – à coeur ouvert »
La vérité sur les traitements, les tests et procédures, sur l’efficacité des injections.
https://rumble.com/vkybzq-le-dr.-laurent-montesino-ranimateur-coeur-ouvert.html

Le témoignage de cet homme, directeur d’une entreprise de pompes funèbres australienne, est tout aussi important que courageux.
« Le témoignage capital d’un directeur des pompes funèbres » 
https://reseauinternational.net/un-temoignage-capital/
Autre source :
http://www.urantia-gaia.info/2021/09/21/un-temoignage-capital/#more-9853

« Les surprises d’analyses de sang de personnes vaccinées » Observations par plusieurs personnes, dans un laboratoire, d’anomalies sanguines dangereuses, sur une vidéo de microbiologie. Commenté en français.
La conclusion est qu’il s’agit d’un crime à grande échelle, de l’euthanasie collective.
https://rumble.com/vluavl-les-surprises-danalyses-de-sang-de-personne-vaccines.html




“Si t’es pas d’accord t’es d’extrême droite”

Par Lucien-Samir Oulahbib

  • Tu vois, tous les anti-passe sont d’extrême droite… Ne parlons même pas des antivax bien sûr…
  • Ah oui ? Pourquoi ?
  • Parce que je le dis, et toi aussi d’ailleurs tu m’as l’air infecté…
  • Pourquoi ?
  • Parce que tu dis « pourquoi ».
  • On peut pas se poser des questions ?
  • Non « les chiffres cela ne se discutent pas » dit la pub et elle a raison, ou alors t’es platiste.
  • Ou complotiste.
  • Mais je préfère d’extrême droite…
  • Il y a des gens qu’on dit d’extrême droite qui sont ni pour ni contre bien au contraire.
  • Ils se masquent. N’oublie pas que Mussolini et Hitler étaient socialistes à la base.
  • Déjà le point Godwin…
  • Non c’est pas ça, mais tu sais bien que l’extrême droite se fait la gueule de mère-grand sauf que c’est la bête tu vois…
  • Immonde disait Brecht…
  • Oui.
  • Mais dis-moi toi qui est très savant, c’est quoi l’extrême droite à la base ?
  • Ben… Justement les partisans de Benito et d’Adolf.
  • Pas de Joseph, Léon, Vladimir ?
  • Mais non !
  • Pourquoi ? Flûte j’ai dit « pourquoi » désolé… Soyons précis… Zemmour est donc d’extrême droite ?
  • Ben oui.
  • Marine Le Pen ?
  • Évidemment.
  • Marion Maréchal ?
  • Quelle question !
  • Sonia Mabrouk aussi ?
  • Bien sûr…
  • Macron ?
  • C’est un libéral allié objectif de l’extrême droite comme sous Hitler qui était soutenu par le « grand capital ».
  • Mais Hitler peu à peu remplaçait ses patrons par des hommes à lui…
  • Peu importe, je n’ai pas dit qu’il y a qu’une seule extrême droite, attention. Il y a plusieurs courants bien sûr.
  • Donc Zemmour, Marine Le Pen, Marion Maréchal, Sonia Mabrouk, Macron ont du sang sur les mains ?
  • Je n’ai pas dit ça !
  • Tu as dit quoi alors ? C’est quoi l’extrême droite ?
  • Le racisme.
  • C’est quoi le racisme ?
  • Si tu ne sais pas cela, c’est que tu es d’extrême droite…
  • Tu sais bien que non.
  • Mais quand même, fais attention.
  • Je me fais l’avocat du diable, mettons que je sois en CE2 : « c’est quoi le racisme, monsieur ».
  • Déjà en me désignant par mon genre…
  • Ah ?…
  • Oui, demain je peux vouloir qu’on m’appelle Madame…
  • Oui c’est vrai…
  • Ou rien du tout…
  • Oui…
  • Donc appelle-moi par…
  • Un prénom ?
  • Non cela essentialise… Zemmourise…
  • Ah…
  • Oui…
  • Par quoi alors ?
  • Une lettre, un chiffre. Delta c’est bien, par exemple.
  • Mais c’est déjà pris…
  • C’est vrai, Alpha aussi, Bêta aussi et puis c’est connoté… Appelle-moi « L »… Cela sonne bien « l », « elle, aile » c’est poétique…
  • OK « L » ! C’est quoi le racisme ?
  • Préférer soi-même à autrui, or « je est un autre »
  • Ah…
  • Le racisme c’est égoïste…
  • Aime ton prochain à la place de toi-même alors ?
  • Voilà !
  • Encore mieux que le christianisme qui dit « aime ton prochain comme toi même ».
  • Mais oui le christianisme est une religion d’égoïstes en fait… Mais le nouveau Pape s’en est rendu compte, tant mieux !
  • Mais c’est pas un peu esclavagiste ?
  • Euh non, je ne vois pas.
  • Si tu aimes d’abord l’autre et pas toi, c’est que tu fais passer ses désirs avant les tiens comme l’Esclave qui se sacrifie pour le Maître…
  • Mais non ! Par exemple si ton enfant a faim tu lui donnes à manger avant toi.
  • Mais autrui n’est pas mon enfant.
  • Voilà l’égoïsme.
  • C’est cela le racisme alors ?
  • Pareil, si c’est tout pour ta gueule eh bien tu te mets en avant donc au-dessus alors qu’il faut te mettre derrière.
  • Par-derrière ?
  • En plus tu joues à l’homophobe ?!!!…
  • Par-derrière, j’ai dit en général. Cela ne concerne pas seulement les homos…
  • Fais attention à ta langue…
  • Pourtant je lèche bien comme il faut non ?
  • Tu persifles, ma parole !!!
  • Donc l’humour est d’extrême droite aussi ?
  • Sur ces choses-là oui aussi. Je te dis seulement qu’il faut que tu te places derrière…
  • C’est bien ce que je dis… Tu te places derrière… autrui… Pour mieux le…
  • T’es bête ou quoi ?
  • C’est pas raciste ça de cataloguer l’intelligence des gens ?…
  • Tu ne comprends pas, c’est moi qui décide ce qui est raciste ou pas.
  • Explique…
  • Je suis scientifique, c’est la Science.
  • Ah ?…
  • Oui la Science dit qu’il n’y a pas de race, mais l’extrême droite ne le voit pas comme ça et donc te dépeint quand même d’après la couleur de ta peau ils te désignent ainsi donc tu deviens « racisé, genré » il faut se battre contre ça…
  • Contre le fait d’être blanc noir jaune homme femme ?…
  • Voilà !
  • Comment ?…
  • Tu remplaces le pourquoi par le comment maintenant ?
  • Donc les gens d’extrême droite te désignent par ta couleur et ton genre.
  • Voilà…
  • Mais ils le nient, par exemple Sonia Mabrouk, Marine Le Pen, Zemmour, tu leur dis ça ils vont nier…
  • Bien sûr ! C’est ça leur ruse.
  • Ben… Comment on fait alors ?
  • Encore ton « comment » !…
  • Oui, désolé…
  • On les montre du doigt, c’est tout. Ils sont d’extrême droite point barre !
  • Même s’ils le nient ?…
  • Oui…
  • Mais ils vont dire que tu les essentialises aussi…
  • C’est une ruse de théologiens…
  • Même s’ils n’ont pas de sang sur les mains ? Alors que nous quand on a quand même soutenu Lénine, Trotski, Staline Mao Castro les FLN et FNL Pol Pot, Kadhafi, Mugabe, Chavez, Maduro, on a quand même du sang sur les mains non ?…
  • Tu sais bien que c’est du sang de tsariste blanc colonialiste impérialiste ce n’est pas pareil.
  • Le sang vendéen lyonnais celui des Chouans « mauvais sang » ?
  • Voilà… Tu as donc le bon sang et le mauvais sang.
  • Bon sang, mais c’est bien sûr ! Comme au temps de l’aristocratie au bon sang bleu ?
  • Ton humour à deux balles…
  • Désolé…
  • Donc l’extrême droite c’est le mauvais sang qui a répandu le bon sang, la chambre à gaz, le four crématoire quand même…
  • Le camp de travail le Goulag non ce n’était pas du mauvais sang ?…
  • Pas pareil… Tu te fais du mauvais sang là ! Là c’est le bon sang qui a répandu le mauvais sang…
  • Tu défends donc toujours le Goulag ?…
  • Non bien sûr. Mais nous on a répandu le mauvais sang pour la bonne Cause…
  • Les autres disent la même chose aussi…
  • Pas pareil encore une fois, nous on a tué pour sauver l’Humanité, eux ils ont tué pour la purifier…
  • Sauver, purifier…
  • Ce n’est pas pareil…
  • J’ai brusquement envie de voir Godot apparaître tout d’un coup, mais dis-moi, est-ce que sauver ce n’est pas purifier aussi ?…
  • Non, parce que nous on sauve au nom du Progrès, de l’Avenir alors que les autres purifient au nom de la Conservation du Passé.
  • Mais aujourd’hui quand on te dit qu’il faut t’injecter pour sauver autrui et aussi te purifier pour y arriver on n’a pas réconcilié les deux tendances ?
  • Là je ne te suis vraiment pas ! Tu frises le conspirationnisme en plus du complotisme !
  • Tu dis que le clivage entre disons « les » extrême droite et les antiracistes si tu veux c’est que les premiers veulent purifier et les seconds sauver c’est bien ça ? Si oui et dans ce cas aujourd’hui avec l’obligation « injectale » si tu veux on fait bien les deux non, sauver ET purifier ?…
  • Oui, mais c’est un secret, faut pas le dire…
  • Faut pas dire quoi ?
  • Tu veux que je te le dise ?
  • Ben oui.
  • Tu n’as pas lu « L’instant de ma mort » de Blanchot ?
  • Euh non…
  • Mais après faudra que je te tue.
  • Pourquoi ?
  • T’as dit pourquoi…
  • Désolé
  • Tu veux vraiment que je te le dise ?…
  • Oui…
  • Mais tu vas mourir…
  • Je suis déjà mort…
  • C’est vrai… J’oubliais (donc t’as lu Blanchot ? Cachotier va !) Eh bien je vais te le dire : le système immunitaire dit naturel EST d’extrême droite…
  • Quoi ?!!!
  • Tu penses que tu as un système immunitaire ?
  • Ben oui, il paraît…
  • Mais ce système c’est l’égoïsme lui-même !
  • Ah bon ?…
  • Oui ! Il filtre, catégorise, colonise et tue… C’est le suc de l’égoïsme… Il faut le déconstruire…
  • Ah oui « l’homme déconstruit » !
  • Voilà !
  • Mais déconstruire c’est pas un peu détruire aussi ?
  • Mais non Gaston ! On t’injecte de bons trucs, qui vont susciter une réaction de ta part pour te mettre en alerte.
  • Ah oui comme sœur Anne !
  • Voilà !
  • Et si rien ne vient ?…
  • T’inquiète ! les méchants virus attaquent comme l’extrême droite, mais heureusement que les bons anticorps que la Science a fabriqués pour toi viennent te défendre. Tu n’as plus besoin de tes anciens anticorps, vieillots, racistes, et puis la propriété, le propre, c’est dépassé.
  • Ah ?
  • Mais oui ! Tes anticorps, ton corps, ta femme, ta voiture, ton appartement : fini, tout ça. Vois cela comme une immense partouze ou une chaîne de montage sans début ni fin, sans envers ni endroit. Tout est remplaçable, déplaçable : monsieur/madame, vie privée/vie publique, intérieur/extérieur, fini ; c’est l’extrême droite, cela, tu vois.
  • Oui…
  • Bon, tu l’auras voulu alors !
  • Pitié !
  • Bon OK, mais fini les pourquoi, comment, etc. d’accord ? Plus de questions !
  • C’est quoi une question ?
  • L’extrême droite.
  • Compris…



Médiapart, Attal & Co marchepieds de la Secte Affairiste-Hygiéniste-Scientiste

Par Lucien Samir Oulahbib

« Médiapart » vient encore une fois d’enlever un article sur son site relatant les « risques » liés à la prise de ces injections expérimentales (([1] « Ce billet a été dépublié par la rédaction de Mediapart, car il ne respecte pas notre Charte de participation »)) appelées pompeusement d’un nom qu’ils n’ont pas à s’affubler tant qu’elles restent encore sous « AMM conditionnelle valable un an »(([2] Injections au statut désormais inconnu aux dernières nouvelles, ayant en effet dépassé cette date butoir d’un an)) et tout en considérant que cette « autorisation de médicaments » réponde encore « à un besoin médical non satisfait », ce qui n’est pas le cas comme on le sait de mieux en mieux. D’où l’obsession systématique à dénigrer tous les autres traitements (dernier en date l’ivermectine), alors que d’innombrables témoignages et les chiffres comparatifs montrent leur efficacité, surtout couplés à un renforcement du système immunitaire naturel bien plus efficace que son remplaçant injecté actuellement, comme nombre d’études le prouvent amplement.

Mais que nenni bien sûr, « journalistes », « savants » et « soignants » (aux ordres, tel Médiapart ci-dessus) viennent donc ânonner l’injonction paradoxale : comme en effet pour la très grande majorité des malades ce virus reste « bénin », alors on peut en être guéri avec n’importe quoi (donc les traitements vantés ne servent à rien) ; mais par contre (achtung!) pour les « formes graves », l’injection « est  « préférable ». Ceci n’est pourtant toujours pas démontré, contrairement aux propos de plateau média (nouveaux racontars de bistrot). Il est cependant possible d’avoir également de bons résultats avec les traitements dénigrés pris précocement (Raoult l’a démontré d’où son éviction) et d’autre part la plupart de ceux qui font des formes graves ont plutôt des comorbidités ou des prédispositions génétiques défavorables inconnues des patients (idem pour les non-vaccinés et… aujourd’hui aussi les vaccinés par exemple en Israël, en UK, USA, etc.).

Attal, dans ce contexte si fallacieux (pour être mesuré…) et alors que les chiffres divers sont partout à la baisse (([3] comme en septembre 2020 en fait et alors qu’il n’y avait pas d’injections et ceci y compris en Guyane…)), ce triste sire aura beau jeu de faire le beau (façon Dorian Gray) tout en jouant le rôle du grand savant qui sait tout (en avançant de manière péremptoire que « le passe serait prolongé jusqu’à l’été prochain »). Et pourtant il a de plus en plus de mal à cacher que non seulement il ne peut pas prédire ce qui se passera version virus, mais surtout qu’en réalité ce « passe » sert à tout autre chose…

En particulier à la mise en place d’un contrôle générique associant environnement, injections, « droits » divers (ou la fusion, à terme, entre la carte de la SS et ce PaSS) permettant bonus et malus à la façon — on l’aura reconnu — du passe maoïste. C’est le dévoilement, mais sans le dire, de la connexion désormais fatale entre toutes les castes formant la Secte, au sens de s’affubler d’une légitimation (santé, climat, protections diverses) et de recruter massivement n’importe qui (principe de toute Secte) du moment qu’il adopte le catéchisme et ses rituels jusqu’à ses rictus (Médiapart par exemple) afin de fomenter ce nouveau Moyen-âge bioélectronique avec le corps humain comme matière première principale à fabriquer, recycler (jusqu’au « compost » façon Soleil vert de plus en plus prémonitoire).

Que des anciens léninistes se recyclent dans cet affairisme scientiste sans scrupules n’étonnera guère (Staline et Lénine y avaient pris leur part), mais que des académiciens, universitaires, intellectuels, journalistes, politiques, artistes qui autrefois avaient un certain cachet critique prennent part à l’actuelle mystification, voilà qui sans aucun doute ne peut qu’interpeller le futur tribunal international. Il faut espérer que celui-ci punira durement tous les acteurs et complices de cette sinistre affaire de plus en plus criminelle tant non seulement des vies auraient pu être sauvées, mais aujourd’hui des médecins, infirmiers, soignants, pompiers sont radiés pour une maladie de plus en plus soignable quand bien même serait-elle « inconnue » en tout cas bien moins que ces injonctions aux effets plus « inconnus » encore….

P.S. Dommage que cet énorme enjeu soit passé à l’as lors du « débat » M&Z (une causerie plutôt) alors qu’il est de plus en plus central, voire « civilisationnel »…




Parodies vaccinales

Par Frédéric H.

2 vidéos parodiques en réaction au clip de propagande vaccinale actuel (« on peut débattre de tout, sauf des chiffres ») :

Le seul vaccin disponible, c’est notre IMMUNITÉ naturelle Cultivons la, préservons la :




Effondrement prévisible du système de santé du Québec ?

[Source : samizdat.qc.ca]

Paul Gosselin (23/9/2021)

À ce stade de la crise du Covid, on a probablement tous entendu parler, entre les branches, de personnes devenues gravement malades, voire décédées suite à suite de son vaccin. Dans mon cas, un beau-frère est décédé dans son sommeil une semaine après son vaccin. Puisqu’on n’a pas fait d’autopsie, alors ça évite d’établir la cause. Je me doute que pour ces cas le système médical québécois recommande fortement aux familles de ne pas demander d’autopsie, si ce n’est de REFUSER toute demande d’autopsie (même de la part des membres des familles directement concernés). Mais avec un laps de temps aussi court, il est LOGIQUE de faire ce lien et poser des questions sérieuses.

Un contact québécois m’a parlé d’un père de famille qu’il connaît, un gars super-athlète, probablement dans le top 5 % des Québécois pour la forme physique (faisant la traversée à la nage du Lac St-Jean), mais qui est décédé deux semaines après sa double dose du vaccin anti-Covid. Il avait des enfants… Évidemment certains n’ont pas été exposés à de telles choses et peuvent penser que ça ne peut t’être que de quelques cas isolés, car après tout: « On nous dit que les vaccins anti-Covid sont efficaces et sécuritaires ». À ceux-là, je vous invite à lire l’article de Hartnett dans les références.

Mais là, non seulement le premier ministre du Québec François Legault met de plus en plus de pression sur la population en général pour imposer le vaccin, mais le 7 septembre il a annoncé qu’à partir du 15 octobre, que tout le personnel médical du Québec doit être vacciné. Cela implique la perte d’emploi pour ceux qui osent refuser. Quel chantage extraordinaire pour imposer le vaccin !! Et le écise que cette exigence vise les organismes suivants :

  • les centres locaux de services communautaires;
  • les centres hospitaliers;
  • les centres d’hébergement et de soins de longue durée, publics, privés non conventionnés et conventionnés;
  • les centres de protection de l’enfance et de la jeunesse;
  • les centres de réadaptation;
  • les établissements privés conventionnés autres que les CHSLD;
  • les ressources intermédiaires et de type familial (RI-RTF);
  • les résidences privées pour aînés;
  • les groupes de médecine familiale (GMF);
  • les titulaires de permis d’exploitation de services ambulanciers et la Corporation d’Urgences-santé;
  • les laboratoires d’imagerie médicale offrant des services publics;
  • les entreprises d’économie sociale en aide à domicile;
  • certains groupes communautaires et acteurs qui offrent des services aux personnes vulnérables.

C’est d’ailleurs le même scénario en France où officiellement que c’est 3,000 membres du personnel médical du système médical français qui seront mis à pied. Mais cette infirmière française rejette ces chiffres et affirme que c’est plutôt 300,000 membres du personnel médical qui seront mis à pied !

UNE INFIRMIÈRE parle vrai :

« Vous pensez vraiment qu’il n’y a que 3 000 soignants mis à la porte ? Les vrais chiffres sont 300 000 !! […] »

(Laurent Du Mcse – VK – 7 minutes – 16/9/2021)



Au Québec, il ne faut pas se leurrer, il est probable que les conséquences du geste irresponsable de François Legault touchant l’imposition du vaccin anti-Covid sur le personnel médical seront EXACTEMENT les mêmes que celles prévues par cette infirmière, c’est-à-dire d’exclure du système de santé un grand nombre de personnes compétentes à un moment où il en faudrait justement plus de personnel. À ce sujet, récemment un autre contact ayant longtemps travaillé dans le système de santé québécois m’a avoué

Je sais de sources sures que le système de santé du Québec s’effondre d’ici quelques mois, un an tout au plus…

Et si on entend parler de plus en plus des conséquences dramatiques des vaccins sur la population en générale, qu’en est-il du personnel médical vacciné ? Un de me contacts m’a raconté l’anecdote (histoire vraie) suivante :

Je connais un gars travaillant dans un CHSLD, un gars en forme, actif, svelte. Un gars jamais malade, pas de diabète, pas de boisson ni de drogue. Quelques jours après son 2e “ vaccin ”, il éprouve une forte douleur dans l’un de ses pieds. Plusieurs médicaments antidouleurs plus tard, il passe une très mauvaise nuit. Le lendemain la douleur est trop forte malgré les analgésiques, il va à l’hôpital et les médecins lui apprennent que son pied est comblé de caillots sanguins et qu’ils doivent l’amputer… Et c’est ce qu’ils ont fait.

Mais ce n’est qu’un cas connu. Et si effectivement au Québec dans les prochaines semaines et mois on commence à faire face de plus en plus aux conséquences dramatiques des vaccins anti-Covid sur le personnel médical vacciné, logiquement on va faire face à événement dramatique et sans précédent, c’est-à-dire une implosion du système de santé. Le premier coup de démolition du système de santé ce sera l’exclusion du personnel médical non-vacciné, mais le deuxième premier coup de démolition du système sera le personnel vacciné qui commencera à tomber suite aux répercussions toxiques du vaccin à l’ARNm… Et à moins de voir reculer le gouvernement sur l’exclusion du personnel médical non vacciné alors il ne faut pas s’étonner que le gouvernement soit pris pour traiter avec une crise de grande envergure. Comment s’en sortiront-ils sans subir (eux-mêmes…) trop de répercussions directes ? À vrai dire le hargne que le gouvernement met pour imposer, par toutes sortes de moyens (et par la menace essentiellement…), le vaccin expose le fait que les Legault et Arruda savent bien qu’il leur reste peu de temps avant que les retombés catastrophiques du vaccin deviennent évidentes aux yeux de toute la population.

On peut s’attendre à quel genre de réaction du gouvernement ?

Que va faire le gouvernement Legault lorsque les conséquences de ses décisions de saboter le système de santé seront manifestes aux yeux de tous ? Que va-t-il se passer quand les gens vont hurler qu’ils paient leurs taxes pour avoir accès au système de santé et que (faute de personnel adéquat) on leur REFUSE les services auxquels ils ont droit ?

Mais on voit une constante dans la gestion gouvernementale, il y a toujours une porte de sortie pour les menteurs et les manipulateurs… Dans ce cas-ci, il faudra créer des coupables. Et ces coupables sont là, tout prêts. Eh oui, vous l’avez deviné, ce sont les non—vaccinés. Ainsi lorsque la crise du système de santé deviendra INDÉNIABLE, Legault et Dubé vont trouver quelques cas de personnes non-vaccinés qui auraient contaminé le personnel médical vacciné. Ah quel horreur ?? Mais, vous vous demandez peut-être comment des personnes vaccinées peuvent attraper le Covid s’ils sont vaccinés ?? Sans doute on vous dira que vous vous posez trop de questions, taisez-vous… Mais enfin, voyant tout le blabla débile sur les variants Delta, Epsilon, etc. il ne sera PAS étonnant qu’on met de l’avant un truc manipulateur du genre : “ On vient de découvrir que chez les non-vaccinés, le Covid fait des mutations multiples qui mettent en danger TOUTE la population. Ainsi pour leur bien (et le bien de la population en général), il faut mettre en isolation obligatoire les non-vaccinés, les mettre en quarantaine, les interner dans des camps(([1] – Et NON, ce n’est pas une blague ou “fake news”. En octobre l’an dernier, le député ontarien Randy Hillier a osé poser des questions à ce sujet, mais on lui a RAPIDEMENT coupé la parole…
Doug Ford gov’t won’t deny COVID-19 quarantine camps are coming to Ontario
(YouTube – 5 minutes – 9/10/2020) )) (ou, si nécessaire, les exterminer)… ” Évidemment l’avenir seulement diras si ces spéculations seront complètement réfutées et à coté de la plaque ou s’ils seront dépassées par la réalité des événements…

Évidemment ça peut sembler complètement farfelu, si ce n’est irresponsable, de se permettre de telles spéculations, mais faisons face à la dure réalité actuelle. Cher lecteur/lectrice, si tu pouvais reculer dans le temps et raconter à ton moi du premier janvier 2020 TOUTES les restrictions, violations de liberté et changements de comportement que tu as déjà vus, ne penses-tu pas que ton moi du début 2020 ne trouverais pas complètement farfelues tes affirmations et te demanderait pas si tu as (peut-être) fait des abus de substances hallucinogènes, si ce n’est de te traiter de complètement dérangé, cinglé et irrationnel ??

Comment on construit un bouc émissaire commode

Voyons le cas du Mega Fitness Gym à Saint-Romuald. (avril 2021). Ce qui est un fait est qu’un client du gym, Étienne Desrochers-Jean est décédé à cette époque. La journaliste de RadioCan Marie Maude Pontbriand (7/4/2021) précise au sujet de Desrochers-Jean que

Il avait auparavant reçu un résultat positif à un test de dépistage de la COVID-19, mais rien ne permet d’affirmer qu’il a contracté le virus au Mega Fitness Gym.

Est-ce que l’on peut prouver que le Covid a vraiment tué cet homme ? Je me le demande… Enfin, si la famille de Étienne Desrochers-Jean a toutes mes sympathies les plus sincères, évidemment pour le gouvernement ce décès est TRÈS commode et ce n’est pas un hasard non plus que les grands médias leur ont donné toute cette attention à ce cas de décès particulier (et pas à d’autres).(([2] – Tout en ignorant totalement les pertes d’emploi et suicides résultant des politiques de restrictions et isolement qu’a mis en place le régime de Legault.)) Dans un article par le journaliste Alain Rochefort (RadioCan – 7/4/2021), le Mathieu Boivin, le porte-parole du CIUSSS de la Capitale-Nationale, fit ces commentaires :

Bien sûr, dans le contexte épidémiologique actuel, nous n’hésiterons pas à utiliser tous les moyens et leviers à notre disposition pour contrer toute menace à la santé et la sécurité de la population de la Capitale-Nationale. C’est ce que nous avons fait dans cet établissement, ajoute M. Boivin.

Et le titre cet article ultra-culpabilisant de Rochefort fait valoir que 419 cas de covid sont liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. Oh, encore des cas, c’est-à-dire des positifs au test PCR que tous savent ne signifient rien… En général les gens classés positifs au test PCR ne sont pas malades, c’est-à-dire n’ont pas de symptômes de Covid. Et Rochefort va plus loin en insinuant (à mots couverts) que la troisième vague de Covid dans la région de Québec (et TOUTES les restrictions qui suivent) soit de la faute du Mega Fitness Gym.

L’éclosion dans ce gym, propriété de Daniel Marino, qui a  défié la santé publique à quelques reprises, ne peut cependant être considérée comme la cause unique de la troisième vague à Québec, insiste la santé publique.

Et dans le dossier du Mega Fitness Gym on a même vu RadioCan (Marie Maude Pontbriand – 5/4/2021) donner la parole au maire de la ville de Québec afin qu’il s’en prenne au poste Radio X qui avait un moment appuyé le Mega Fitness Gym. Dans l’article de Pontbriand, Labeaume a d’ailleurs traité RadioX de dangereux et les proprios du gym, d’irresponsables. Dans un autre article par Sébastien Tanguay (RadioCan – 3/4/2021) on a encore donné la parole au maire Labeaume qui a proféré la menace légale suivante (pas très voilée) à l’égard du proprio du gym, menace qui évidemment vise tout autre commerce osant braver les restrictions.

Selon le maire de Québec, autant le Mega Fitness Gym que le [bar] Kirouac sont bien chanceux qu’au point de vue légal, la loi ne puisse pas les rejoindre.

Et dans le même article de Tanguay, Labeaume en rajoute du guilt-mongering au sujet du proprio du gym :

C’est le cas parfait. Le gars, grand génie, contestait les mesures sanitaires et ironiquement, ironiquement, ce grand monsieur-là, tout d’un coup, a fait que la pandémie déferle en ville. Il en est grandement responsable. 

Récemment un copain m’écrivait disant :

Plus le temps passe et plus l’on est enclin à penser que plusieurs États et gouvernements profitent d’un maintien de la crise à des fins autres (politiques). Il est étonnant de constater le silence généralisé des ordres professionnels du milieu de la santé, des syndicats, des partis d’opposition, etc. Avec l’expérience on apprend que quand tous les médias disent de regarder quelque part, l’action véritable se passe souvent ailleurs. Peut-on suggérer par exemple, des objectifs tels que la mort planifiée des États-Nations souverains, la disparition des classes moyennes instruites avec un retour vers une prochaine génération moins (ou mal) instruite et dont le principal caractéristique serait la docilité ?

Un autre contact m’a souligné qu’au Québec, les partis de l’opposition politique ne sont pas silencieux, mais en fait sont manifestement tout à fait complices du néo-totalitarisme que l’on installe au Québec, décret par décret, loi spéciale, par loi spéciale… Voici une nouvelle (offert par les journalistes Vincent Larin et Geneviève Lajoie de TVA – 23/9/2021) qui offre un élément de preuve de plus de cette tendance, soit l’adoption par l’Assemblée nationale du Québec d’une loi interdisant aux “ antivaccins ” de manifester à moins de 50 mètres des garderies, écoles, hôpitaux ou de centres de vaccination et de dépistage. Larin et Lajoie observent :

“ Si la version initiale du projet de loi du gouvernement prévoyait déjà des amendes salées, de 1000 à 6000 $ pour les manifestations et de 2000 à 12 000 $ pour les menaces ou l’intimidation, elles ont finalement été doublées. (…) Geneviève Guilbault a toutefois rejeté la demande du Parti libéral du Québec de permettre aux tribunaux d’emprisonner jusqu’à six mois les multirécidivistes, une mesure qu’elle juge “excessive”. ”

On constate ici que la supposée « opposition » est en fait un acteur très important pour aider à maintenir une dictature, car ils demandent toujours pire que ce que la CAQ finit par appliquer. Quelle folie! Et les journalistes Larin et Lajoie citent la ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault qui dit :

« Geneviève Guilbault voit aussi “un lien manifeste” entre les critiques contre les mesures sanitaires et celles contre le gouvernement. C’est pourquoi “si quelqu’un, sur Facebook, écrivait « le gouvernement, dictature, blablabla, allons protester […] devant telle école », le policier pourrait déjà interdire”, dit-elle.  »

C’est curieux comment cette classe dirigeante tolère si peu les critiques. Mais s’ils n’aiment pas se faire traiter de totalitaires, la solution est pourtant simple. Ils n’ont qu’à commencer à montrer du respect de la Charte des droits ainsi que du respect envers le peuple. Et qui sait? Et si cette nouvelle loi anti-manifestations n’est justement pour but de se protéger des effets qu’ils ont prévus de l’effondrement du système de santé du Québec suite à leur exclusion du personnel médical refusant le vaccin? Une telle loi laisse bien entendre que l’effondrement du système de santé est non pas un accident, mais voulu…

Il est donc clair que cette classe dirigeante a un mépris très profond des droits du peuple. La liberté d’expression ? Oui, on veut bien vous accorder ce privilège, mais à la condition que vous pensez exactement (et servilement) comme nous… On se retrouve donc avec un régime tout à fait comparable aux régimes islamiques. Sous un régime islamique intégriste, où règne la Charia, puisque l’État est considéré “ défenseur de l’Islam ”, alors un critique contre l’État (ou ses dirigeants) est alors considéré intolérable, car implicitement une critique contre l’Islam. Ainsi, au Québec avec le parti de François Legault on se retrouve avec un régime intégriste, totalitaire où le covidisme devient Vérité (ou religion) d’État et ainsi la critique contre le covidisme est désormais considérée une hérésie qu’il faut chasser. On a donc affaire à une nouvelle Inquisition High Tech. Qu’auraient fait les inquisiteurs du Âge avec le contact-tracing je me le demande ? On peu supposer que ça leur aurait grandement facilité leur travail…


Ressources

Le fanatisme religieux Covidien /Covidian Religious Fanaticism.


Références

John Gideon Hartnett (2021) Les injections anti-COVID tuent un grand nombre de personnes, prévient le docteur COVID de haut niveau Peter McCullough. (Samizdat)

Lance D Johnson – Canadian government erecting a network of covid detainment camps and “isolation” sites to incarcerate those who don’t cooperate with medical tyranny. (JellyFIsh News – 16/410/2020)

Vincent Larin et Geneviève Lajoie – La loi pour repousser les manifestations en lien avec les mesures sanitaires adoptée. (TVA Nouvelles – 23/9/2021)

François Legault – Pandémie de COVID-19 – Le gouvernement du Québec annonce la vaccination obligatoire des intervenants de la santé et des services sociaux. (Publié par : Cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux ; En collaboration avec : Cabinet du premier ministre) – 7 septembre 2021, 17 h 23

François Legault – CONCERNANT l’ordonnance de mesures visant à protéger la santé de la population dans la situation de pandémie de la COVID-19. [la version administrative du décret numéro 1276-2021 du 24 septembre 2021] -> loi anti-manifestations

Marie Maude Pontbriand – COVID-19 : le coroner enquête sur la mort d’un membre du Mega Fitness Gym. (RadioCan –7/4/2021)

Alain Rochefort – 419 cas liés à l’éclosion du Mega Fitness Gym. (RadioCan – 7/4/2021)

Marie Maude Pontbriand – Régis Labeaume s’en prend à Dan Marino et aux propriétaires de CHOI. (RadioCan – 5/4/2021)

Sébastien Tanguay – Le maire Labeaume vitriolique envers le Mega Fitness Gym. (RadioCan – 3/4/2021)


Notes




URGENT : Véran rétropédale sur les sanctions aux soignants non-vaccinés en arrêt-maladie

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Après avoir annoncé en toute illégalité l’interruption des versements maladies pour les soignants non-vaccinés, Olivier Véran a bien dû manger son chapeau. Alors que, depuis plusieurs semaines, les directeurs d’hôpitaux avaient affirmé aux non-vaccinés que, même en arrêt-maladie, ils ne percevraient aucun revenu, une circulaire diffusée par les ARS aux chefs d’établissement a finalement rétabli le droit. On y verra un signe supplémentaire de la « légèreté » avec laquelle l’équipe actuellement au pouvoir traite les dossiers du pays.

Les soignants non-vaccinés ont fait l’objet, depuis le mois d’août, d’un déferlement de violence managériale sans égal, dans l’indifférence générale des organisations syndicales représentatives dont il faudra se souvenir le jour J.

Cette violence inouïe d’une institution vis-à-vis de ses salariés ne s’est pas seulement déployée dans des comportements de harcèlement ponctuel (nous avons reçu des témoignages accablants sur des chefs d’équipe interpellant des collaborateurs en réunion pour les interroger sur leur statut vaccinal et les humilier sans complexe sur leur refus du vaccin). Elle s’est aussi traduite par un harcèlement institutionnel, avec une multitude de mails, de SMS, de courriers recommandés ou non, contenant des menaces et des intimidations. 

Dans la panoplie de ce harcèlement, les hôpitaux ont utilisé une arme absolument illégale, qui a beaucoup inquiété les soignants : l’interruption des indemnités maladie pour les soignants non-vaccinés. Beaucoup ont en effet légitimement craqué sous la pression haineuse qui s’est exercée sur eux au mois d’août, et ont souvent plongé dans un désespoir et une angoisse qui les ont obligés à s’arrêter avant le 15 septembre. 

Une menace illégale des hôpitaux

Nous avons eu l’occasion à plusieurs reprises, depuis le mois d’août, de rappeler que l’interruption des versements maladie était illégale en cas de suspension de l’agent. La règle est simple : un agent malade peut être suspendu (sans traitement) durant sa maladie, mais l’interruption de traitement ne commence qu’à la fin de l’arrêt-maladie

Cette règle vaut pour les suspensions intervenues après le début de l’arrêt-maladie, mais aussi pour les arrêts maladie qui interviennent pendant la suspension. Une jurisprudence constante prévoit qu’un agent suspendu bénéficie d’une indemnisation de sa maladie. Comme on le voit dans la capture d’écran ci-dessus : le ministère de la Santé a fait un premier pas en appliquant la règle du maintien de l’indemnisation maladie commencé avant la suspension. Reste à franchir la deuxième étape, qui est de reconnaître clairement qu’un agent suspendu qui tombe malade doit être indemnisé. 

Une violence patronale rare

Il faudra quand même un jour tirer le bilan des six semaines qui viennent de s’écouler, en documentant les fautes commises par le gouvernement relevant de la correctionnelle (et incontestablement, menacer illégalement des fonctionnaires a participé à un harcèlement moral qui relève du code pénal), et mener les procédures utiles pour obtenir réparation de ces fautes.

Dans la pratique, le discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet a donné le signal d’un déferlement de haine contre les non-vaccinés que certains affidés se sont chargés de propager. On pense au président de la Fédération Hospitalière Française (FHF), Frédéric Valletoux, accessoirement maire de Fontainebleau, qui a consciencieusement adopté les lignes les plus extrémistes, violant la loi au passage, contre les soignants résistants. 

Il en est ressorti une violence patronale dans les hôpitaux qui méritera d’être réparée comme il se devra.