De nombreux enfants atteints de leucémie après s’être fait administrer les vaccins chinois

[Source : epochtimes.fr]

Par EVA FU

Après avoir reçu sa première dose du vaccin Covid‑19, la petite fille de 4 ans de Li Jun a eu de la fièvre et de la toux, qui ont rapidement disparu après une thérapie intraveineuse à l’hôpital. Mais après la deuxième injection, le père a compris que quelque chose n’allait pas.

Des gonflements sont apparus autour des yeux de sa fille et n’ont pas disparu. Pendant des semaines, la fillette s’est plainte de douleurs aux jambes. Là‑dessus, des ecchymoses ont commencé à apparaître, semblant sortir de nulle part. En janvier, quelques semaines après la deuxième dose, on a diagnostiqué une leucémie lymphoblastique aiguë chez la fillette de 4 ans.

« Mon bébé était en parfaite santé avant la dose de vaccin », a affirmé à Epoch Times Li Jun (un pseudonyme), originaire de la province du Gansu, dans le centre‑nord de la Chine. « Je l’ai emmenée faire un bilan de santé. Tout était normal. »

Il fait partie des centaines de Chinois qui appartiennent à un groupe de médias sociaux affirmant souffrir ou avoir un membre de leur famille souffrant de leucémie, développée après s’être fait administrer des vaccins chinois. Huit d’entre eux ont confirmé la situation lorsqu’ils ont été contactés par Epoch Times. Par mesure de sécurité, les noms des personnes interrogées n’ont pas été divulgués.

Les cas de leucémie concernent différents groupes d’âge et toutes les régions de Chine. Mais Li Jun et d’autres personnes ont souligné l’augmentation du nombre de patients dans la tranche d’âge la plus jeune au cours des derniers mois, coïncidant avec la campagne de vaccination des enfants âgés de 3 à 11 ans lancée par le régime en octobre dernier.

La fille de Li Jun a reçu sa première injection à la mi‑novembre, à la demande de son jardin d’enfants. Elle subit actuellement une chimiothérapie à l’hôpital populaire n°2 de Lanzhou, où au moins 20 enfants sont traités pour des symptômes similaires, la plupart âgés de 3 à 8 ans, selon Li Jun.

« Notre médecin de l’hôpital nous a dit que depuis novembre, le nombre d’enfants venant dans leur division d’hématologie pour traiter la leucémie a doublé par rapport aux années précédentes et qu’ils ont une pénurie de lits. »

Li Jun a affirmé qu’au moins huit enfants du district de Suzhou, où il vit, sont morts récemment de leucémie.

La division d’hématologie de l’hôpital n’a pas pu être jointe immédiatement pour des commentaires.

Pression nationale

Selon les derniers chiffres de la Commission nationale de la santé de Chine, environ 84,4 millions d’enfants âgés de 3 à 11 ans ont été vaccinés au 13 novembre, ce qui représente plus de la moitié de la population de cette tranche d’âge.

Les parents chinois ont manifesté une certaine résistance lors du lancement de la campagne de vaccination des enfants. Ils s’inquiétaient du manque de données sur les effets des vaccins chinois sur les jeunes. Les vaccins sont fournis par deux fabricants de médicaments chinois, Sinopharm et Sinovac, qui affichent un taux d’efficacité de 79 % et 50,4 %, respectivement, sur la base des données disponibles issues d’essais menés sur des adultes.

Il existe peu d’informations sur les effets de ces vaccins sur la santé des enfants, et l’Organisation mondiale de la santé a déclaré fin novembre qu’elle n’avait pas approuvé les deux vaccins pour une utilisation d’urgence chez les mineurs.

WUHAN, CHINA – NOVEMBER 18: (CHINA OUT) Children prepare to receive a vaccine against Des enfants se préparent à recevoir un vaccin contre le Covid-19 dans un site de vaccination à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine, le 18 novembre 2021.
(Getty Images)

Mais les parents qui hésitaient à faire vacciner leurs enfants ont subi des pressions pour s’y conformer. Certains ont perdu leurs primes de travail ou se sont faits sermonnés par leurs supérieurs. Dans d’autres cas, leurs enfants ont été punis, certains ont vu leurs résultats scolaires revus à la baisse, d’autre ont été interdit de fréquenter l’école, comme dans le cas du fils de Wang Long, âgé de 10 ans.

« L’année dernière, l’école nous a dit de l’emmener se faire vacciner à telle ou telle date, sinon il ne pourrait pas aller en classe », a raconté Wang Long, originaire de la province orientale du Shandong, à Epoch Times.

Le garçon a reçu sa deuxième dose le 4 décembre. Un mois plus tard, il a commencé à ressentir de la fatigue et une faible fièvre. Il est maintenant à l’hôpital Qilu de l’université de Shandong, où il est traité pour une leucémie aiguë, diagnostiquée le 18 janvier.

Censure

Sur WeChat, la plateforme chinoise de médias sociaux tout‑en‑un, Li Jun a fait la connaissance de plus de 500 patients ou membres de leur famille partageant la même situation difficile.

Le centre local de contrôle des maladies avait promis une enquête, alors qu’il était appelé par Li Jun et d’autres personnes. Mais ces enquêtes se sont invariablement soldées par des déclarations de responsables répétant que les cas de leucémie étaient « fortuits » et n’avaient donc aucun lien avec les vaccins.

Les autorités ont dit la même chose en 2013, après la mort de plus d’une douzaine de jeunes enfants après des injections contre l’hépatite B.

Mais Li Jun et d’autres dans une situation similaire sont loin d’être convaincus.

« J’ose dire qu’ils n’ont pas fait de vérification, mais qu’ils se sont contentés de faire semblant », explique Li Jun.

Li Jun soupçonne les autorités de lui donner des réponses évasives. Les fonctionnaires lui ont dit qu’un groupe d’experts allait ouvrir une enquête dans sa province, mais lorsqu’il a appelé l’agence de santé provinciale, celle‑ci a nié être au courant, affirmant que les rapports sur ces cas ne leur étaient jamais parvenus.

Li Jun et d’autres personnes qui souhaitent que cette question soit examinée de près avaient vraiment très peu de chances de se faire entendre dans la vaste machinerie de censure chinoise qui filtre constamment tout ce qui est jugé nuisible aux intérêts du régime communiste.

« L’information est bloquée dès l’instant où on essaie de mettre quelque chose en ligne. On ne peut pas l’envoyer », a déploré Li Jun.

Lorsque les deux plus hautes instances politiques de la Chine se sont réunies la semaine dernière pour leur plus importante rencontre annuelle, à l’occasion de ce que Pékin appelle les « Deux Sessions », Li Jun a lancé dans le groupe WeChat l’idée d’une pétition dans la capitale pour attirer l’attention des autorités.

Ce message a immédiatement attiré l’attention des autorités.

« La police nous a appelés un par un », a déclaré Li Jun. « Ils ont dit que nous avions inventé des choses et nous ont ordonné de nous retirer du groupe de discussion. »

Le groupe a rapidement été dissous. Une fiche d’information contenant les détails de plus de 200 patients atteints de leucémie, remplie par les membres du groupe, n’est plus accessible.

Selon Li Jun, certains signes indiquent que les autorités sont bien conscientes de ce problème. Les médecins, lorsqu’ils recevaient des patients présentant des symptômes similaires, leur demandaient d’abord s’ils avaient été vaccinés, citant des informations qu’il a apprises sur le groupe WeChat.

« C’est bon, disaient‑ils en réponse aux questions, et ça s’arrêtait là. »

Li Jun a fait face à la même réaction lorsqu’il a appelé la ligne d’assistance téléphonique de la télévision publique chinoise CCTV dans l’espoir d’obtenir une couverture médiatique.

« Dès que nous avons dit que les enfants avaient été vaccinés contre le Covid‑19, ils m’ont demandé s’ils avaient une leucémie. Ils le savaient », a expliqué Li Jun. « Ils ont dit qu’ils recevaient trop d’appels à cause de ça. »

Des habitants portent des masques alors qu’ils font la queue pour e faire vacciner contre le Covid-19 dans un site de vaccination à Wuhan, dans la province de Hubei, en Chine, le 18 novembre 2021.
(Getty Images)

Désespoir

Le coût du traitement est estimé à environ 400 000 à 500 000 yuans (env. 60 000 à 70 000 €), soit plus de 20 fois le revenu annuel moyen.

Wang Long, dont l’enfant de 10 ans a été diagnostiqué leucémique, est le seul soutien de sa famille et a déjà du mal à rembourser son prêt immobilier. Il n’a reçu que 1 000 yuans (144 €) environ par le biais du programme d’aide sociale de l’État pour l’aider à payer le traitement de son fils.

« Je suis resté à l’hôpital jusqu’à 4 heures du matin la nuit précédente », a déclaré Wang Long, ajoutant que la nouvelle accablante a totalement « brisé » la mère du garçon.

« S’il en avait hérité de la famille, nous l’aurions accepté comme notre lot », concède Wang Long. « Mais il est tombé malade à cause du vaccin. Je ne peux pas m’y faire. »

Li Jun, quant à lui, a emprunté de l’argent à ses proches pour payer les frais d’hospitalisation. Une partie de l’argent arrive en billets de 20 et 30 yuans, l’équivalent de quelques dollars, dit‑il.

Li Jun n’a reçu aucune réponse des autorités ou des médias.

Son ami qui travaille à la commission locale de la santé chargée de superviser la distribution des vaccins lui a dit de ne pas placer trop d’espoir dans cette affaire.

« Les responsables savaient que vous pouviez contracter une leucémie, mais le ‘bras n’est pas de taille face à la cuisse’ », lui a dit l’ami, en référence à une métaphore chinoise. « C’est un problème national. »

La Commission de la santé de la ville de Lanzhou, la Commission de la santé de la province du Gansu, le Centre provincial de contrôle et de prévention des maladies du Gansu, le Centre de prévention et de contrôle des maladies de Lanzhou, le Centre de prévention et de contrôle des maladies de la ville de Jiuquan, Sinopharm et Sinovac n’ont pas répondu aux multiples demandes de commentaires.

La Commission nationale de la santé, Sinopharm et Sinovac n’ont pas répondu aux questions posées par mail par Epoch Times dans l’immédiat.




De quel droit divin certains proviseurs et certains chefs d’entreprise se croient-ils autorisés à « conseiller » le port du masque ?

Par Nicole Delépine

BAS LES MASQUES ! (([1] Les références des articles cités figurent dans le livre « les enfants sacrifiés du covid » paru chez fauves en janvier 2022 par N et G Delépine
Et diaporama Stop aux masques chez les enfants ! inutiles et toxiques — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))

« Il est temps de retirer définitivement les masques à ces jeunes (pour les plus petits, l’urgence est absolue et la maltraitance avérée), et ce indépendamment de la petite musique qui retentit depuis quelques jours et laisse entrevoir une recrudescence des cas. La mécanique de peur est désormais bien rodée. »

Certains directeurs d’école se prendraient-ils pour des médecins ? Pourtant si les médecins se prennent parfois pour Dieu, ils ne se prennent jamais pour des directeurs d’école.

Les enseignants, les familles et tous ceux qui s’occupent d’enfants ont un grand rôle à jouer dans cette période de transition en rassurant les élèves, en leur expliquant que l’épidémie (le risque de maladies graves) est terminée, d’autant qu’il existe des traitements précoces et très efficaces pour leurs parents et grands-parents si un nouveau virus apparaissait. Eux ne risquent vraiment rien.

Comme chacun est différent, chaque enfant a vécu de façon diverse ces deux ans de peur effrénée entretenue en permanence par les médias et aura donc des réactions variées à cette décision d’enlever le masque.

D’autant qu’une nouvelle fois le ministre a rendu la chose complexe et discriminante. Invraisemblable mauvaise foi ou ignorance ? Selon que vous aurez porté le masque à l’école, la découverte d’un cas(([2] N’oublions pas que les « cas » sont repérés par des tests non fiables)) dans la classe, la mesure sera différente.

« Nouvelles mesures sanitaires à l’école, applicables dès le 14 mars

Le port du masque n’est plus obligatoire, mais :

Tous les élèves (non masqués), ainsi que le personnel encadrant, seront désormais cas contact si un camarade est contaminé dans la classe !!!!

En primaire, les élèves désignés cas contact n’auront pas à s’isoler, mais ils devront réaliser un autotest à J+2, qu’ils soient vaccinés ou non.

Au collège et au lycée, les cas contacts non vaccinés devront s’isoler 7 jours et réaliser un test de dépistage PCR ou antigénique avant de retourner en classe.

Pour ces cas contacts, le ministère recommande “fortement le port du masque en intérieur pendant 7 jours” !!

Les élèves vaccinés resteront en cours et devront s’autotester à J+2. »(([3] https://www.francebleu.fr/infos/education/covid-19-les-eleves-non-masques-seront-designes-cas-contacts-selon-le-nouveau-protocole-a-l-ecole-1646911723))

DISCRIMINATION INJUSTIFIÉE ET ABERRANTE

Dans un pays où depuis 40 ans on bannit officiellement toute discrimination, en multipliant les procès contre tous ceux qui auraient utilisé une expression malheureuse, on discrimine depuis plusieurs mois les citoyens en fonction de leur statut vaccinal et maintenant du port ou non du masque et pire encore de leurs origines russes. Où est passé l’enseignement des Lumières ?

TRAUMA POST-TRAUMATIQUE CHRONIQUE ET MODIFICATION DES MESURES

De fait il faut protéger les enfants des conséquences du stress post-traumatique chronique depuis deux ans et par le port du masque durant plusieurs mois. Des décisions brutales pourraient en braquer certains et il faudra donc comme pour tout traitement en médecine (normale !) adapter les soins au cas précis de chaque enfant, adolescent et adulte en fonction de son environnement et de son vécu direct.

La psychologue Yohanna partage une vidéo que je vous invite à écouter tant pour le diagnostic des troubles que peuvent présenter les enfants après ces deux ans, mais aussi des conseils judicieux qu’elle donne à chacun pour favoriser son retour à la vie « normale » sans aggraver le traumatisme.

« Anxiété chez les enfants. Après de fortes pressions et une culpabilisation permanente, plus de masque… Incompréhensible pour eux… »

N’aggravons pas la situation en voulant aller vite. On ne soigne pas un cancer en quelques jours et nos petits ont été victimes d’un cancer social dont il faudra supprimer les stigmates en douceur.

LE MASQUE INUTILE ET TOXIQUE

Au-delà des précautions indispensables au renoncement au masque, pour des raisons psychiatriques ou au minimum psychologiques, il est nécessaire de donner aux enseignants ou à tout citoyen des informations sur les avantages prétendus, les risques et inconvénients du masque, s’ils n’ont pas eu l’occasion ou le désir d’analyser les faits avérés.

Ce port généralisé du masque est bien démontré comme étant inutile contre un virus, mais pire encore toxique sur de nombreux points que nous devons répéter une nouvelle fois !

Enseigner, c’est répéter et cela doit s’appliquer aux enseignants. Nous allons donc répéter puisqu’il le faut.

Mais comment imaginer qu’en deux ans ils n’aient pas eu la curiosité de lire les nombreux articles démontrant l’inutilité et la toxicité du masque dénoncées tant par les médecins pédiatres et ORL, que les orthophonistes, les infirmières et nurses qui s’occupent quotidiennement des enfants et dans tous les pays.

Comment comprendre que des proviseurs, voire des professeurs, se transforment en médecins de plateau ou en infirmiers et/ou médecins scolaires ? L’exercice de la « médecine » qu’on pourrait quasiment ici qualifier d’illégal est devenu général pendant la crise du Covid avec des journalistes, des citoyens, des politiques devenus « grands spécialistes » du virus Sars cov2, avec toutes les conséquences catastrophiques que l’on sait (les mêmes sont aujourd’hui spécialistes chevronnés de géopolitique…).

REVENIR AUX FAITS AVÉRÉS

Après deux ans, il serait nécessaire que la raison surmonte l’émotion, et que les décisions, les conseils, les avis ne relèvent plus de la peur entretenue par une propagande mensongère ni de l’émotion qu’elle suscite, mais bien des faits avérés, et en matière de masque on n’en manque pas.

De tous les coins de France les mêmes témoignages, les enfants n’osent pas enlever cette muselière qu’ils croient protecteurs après le bourrage de crâne subi, y compris en milieu scolaire.

D’un lycée agricole du sud de la France à un collège de Franche-Comté ou un cours privé lillois, le récit est toujours le même. Les élèves encouragés par les enseignants « croient » au talisman, au grigri imposé par le pouvoir pour les conditionner à accepter la piqûre qui aurait dû les libérer. Alors qu’on devrait en discuter, expliquer.

Mais, miracle de l’intoxication médiatique, même injecté trois fois par ces médicaments expérimentaux prétendus efficaces à 97 %, il faudrait garder la muselière. Le bon sens a manifestement été réduit à zéro pendant cette pseudo pandémie, car les arguments inverses tombent, la pression continue et les gens se soumettent, y compris les jeunes.

Des réactions positives d’enseignants malheureusement trop rares à s’exprimer

Certains néanmoins ont ouvert les yeux, il y a plus ou moins longtemps, forts d’expériences antérieures comparables dans d’autres circonstances.

Une enseignante tente de partager sa joie avec ses élèves.

« La libération arrive, nous allons nous voir, lire vos émotions, vos ressentis sur votre visage, vous reconnaître enfin dans la rue. J’ai très hâte d’être lundi prochain, je vais enfin découvrir vos visages, et vous rencontrer pour de vrai ! »

Réponse de certains :

« Nous, nous allons garder notre masque de toute façon !
— Quoi ? Ne me dites pas que vous aimez porter un masque ?
— Non, mais on ne sait jamais, vaut mieux qu’on reste protégés ! »

Entendre dans la bouche d’adolescents de 14 -15 ans ce type de réponse est très inquiétant. Qui leur a incrusté dans la tête qu’ils couraient un risque et qu’avec un masque ils seraient protégés ?

L’adolescence a-t-elle cessé d’être l’âge de la révolte, de l’opposition aux parents, mais aussi aux règles en cours. De quoi cette soumission au masque, aux injections, aux privations inutiles est-elle le signe ? Les confinements suivis des couvre-feux alternés les ont — ils plongés pour une large proportion dans une dépression dont les psychiatres nous révèlent la fréquence, en particulier par l’engorgement des services ad hoc, mais des suicides devenus fréquents y compris chez les moins de neuf ans.

« Mais enfin ! vous êtes immunisés maintenant ! Et puis sincèrement, vous ne craignez rien, vous le savez ? — Oui, mais on préfère le garder, c’est tout. »

LE SILENCE, le repli sur soi une des conséquences prévisibles du stress post-traumatique qu’il faut reconnaître.

Cerise sur le gâteau :

« la prof principale nous a dit tout à l’heure que si on voulait le garder, on avait le droit, que ça restait recommandé. On a compté et on sera la moitié de la classe à continuer de le porter lundi. »

Qu’ils aient le droit, pourquoi pas, ils ont été tellement traumatisés par les fausses informations, les incitations, etc..

MAIS QUE LA PROF PRINCIPALE SE PERMETTE DE RECOMMANDER CE MASQUE MALGRÉ SON INEFFICACITÉ ET SES DANGERS EST INSUPPORTABLE. Elle devrait tenter au moins de comprendre et d’expliquer les évolutions de la situation.

Pédiatre cancérologue et ancienne chargée de cours à l’université, si demain je me permettais d’expliquer à ce professeur comment organiser son cours, aborder ses élèves, faire régner la discipline dans sa classe, etc., qu’en dirait-elle ? Occupez-vous de ce que vous connaissez et qui vous regarde, Madame.

Mais elle peut décider de ce qui est bien ou non en matière de masque et surtout de façon péremptoire, sans explication. Invraisemblable ingérence dans un domaine qu’elle ne domine pas.

La mathématicienne karen Brandin a tenté de réveiller les enseignants toujours murés dans un silence intersidéral :

« J’avais cru comprendre et osé me réjouir qu’il y aurait dès le lundi 14 mars 2022 une levée complète et sans condition des mesures dites sanitaires, lycées compris, mais France-Info a eu tôt fait jeudi matin de doucher cet espoir un peu naïf sans doute en rappelant qu’un nouveau protocole sanitaire sera présenté par Jean-Michel Blanquer en fin de semaine. Sous pression de qui ? Non pas du virus, maître pourtant incontesté des horloges comme on le sait désormais, mais des enseignants ou plutôt, de leurs syndicats dits majoritaires. Et la précision est importante. Nous avons entendu ces représentants dûment interrogés s’inquiéter comme un seul homme, de la rapidité (quelle rapidité ? On pense à une plaisanterie deux ans plus tard) de la levée des restrictions dans le cadre des établissements scolaires qu’ils estiment insuffisamment sécurisés. Les requêtes présentées sont que les enseignants qui le souhaitent puissent rester masqués indépendamment de l’enseignement dégradé que cela engendre, que des masques FFP2 pourtant terriblement occlusifs, soient fournis aux professeurs qui le désirent, avant de rappeler que ces derniers sont d’ores et déjà inquiets de la future gestion des cas contacts, ce qui n’est pourtant pas dans les attributions de l’enseignant ».(([4] https://nouveau-monde.ca/lettre-ouverte-aux-enseignants/))

Heureusement, certains collègues la remercient de dire « tout haut » ce que beaucoup pensent tout bas, notamment vis-à-vis de cette nouvelle dépendance au « capteur rouge ».

Car oui la grande revendication des enseignants serait de mettre des capteurs d’air dans les écoles. Savoir ouvrir les fenêtres n’est donc plus évident pour les humains du XXIe siècle.

Mais ailleurs dans une ville de Bretagne, en réunion de professeurs :

« Xa avait hier une réunion pédagogique et la proviseure leur a fortement conseillé de conserver le masque en cours. De quel droit ? En vertu de quelle autorité ? Je pense que Xa va respecter ce conseil. Le mimétisme est tellement fort et l’ambiance tellement décourageante dans ces salles de profs que… »

BAS LES MASQUES ! Et puisqu’il faut répéter les informations, répétons-les !

Les masques réalisent de fait une torture prolongée des enfants pour rien, puisque les enfants ne risquent rien du COVID et ne contaminent personne ni les enfants ni les adultes.

MASQUE CHEZ LES ENFANTS ET ADOLESCENTS : valse de l’obligation

Les masques inutiles sont devenus obligatoires puis facultatifs.

Le gouvernement a affirmé pendant deux mois qu’ils étaient inutiles et a interdit aux pharmacies d’en vendre et aux policiers d’en porter. S Diaye, le 20 mars 2020 sur l’antenne de RMC, affirmait : « le port du masque n’est pas nécessaire ». Elle nous a même expliqué qu’elle ne saurait le mettre correctement (elle n’avait pas tout à fait tort).

Puis le pouvoir a prétendu qu’ils devenaient indispensables (sans plus d’études randomisées) et il nous a obligés à vivre masqués pendant que tous les médias reprenaient en chœur « Sans masque, pas de salut. Les cas augmentent. Vous serez confinés de nouveau si vous n’êtes pas obéissants ». Puis il a forcé les enfants à se masquer à l’école.

Aucune étude scientifique n’a démontré l’utilité du port du masque obligatoire contre le covid dans la vraie vie

L’article de Yu I.T souvent cité date de 2004, bien avant le covid19 qu’il n’a donc pas pu étudier. Celui de Dyani Lewis parle de « preuve », mais n’en apporte aucune et se contente de formuler des hypothèses sur des éléments biologiques et non médicaux. Celui de Lidia Morawska relate des expériences de laboratoire.

Celui de John A. Lednicky étudie l’air de la chambre d’un patient hospitalisé et détecte des traces de virus, ce qui ne prouve absolument pas qu’un masque pourrait servir de protection.

La notion de « plausible » a justifié d’abîmer des enfants, des nourrissons, mais aussi des ados et étudiants pendant de longs mois

Jayaweera conclue que : « la transmission nosocomiale par des aérosols chargés de virus SARS-CoV-2 en suspension dans les établissements de santé peut être plausible. ». Il émet une hypothèse au conditionnel et en précisant qu’il ne la formule que pour des espaces médicaux !

La seule étude prospective randomisée publiée sur l’efficacité du masque contre le covid 19 (Danmask19)(([5] Henning Bundgaard et al Effectiveness of Adding a Mask Recommendation to Other Public Health Measures to Prevent SARS-CoV-2 Infection in Danish Mask WearersA Randomized Controlled Trial Ann Intern Med. Mar 2021;174(3):335-343. doi: 10.7326/M20-6817. Epub Nov 18, 2020
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33205991/)) n’a pas montré de diminution significative du risque d’infection
par le port du masque contrairement à ce qu’espéraient ses promoteurs.

La Suède a laissé ses écoles ouvertes et les enfants les fréquenter sans masques et n’a pas constaté de transmission scolaire par les enfants.(([6] Jonas Vlachosa et al The effects of school closures on SARS-CoV-2 among parents and teachers
https://www.medrxiv.org/content/medrxiv/early/2020/10/14/2020.10.13.20211359.full.pdf))(([7] Open Schools, Covid-19, and Child and Teacher Morbidity in Sweden February 18, 2021
N Engl J Med 2021; 384:669-671DOI: 10.1056/NEJMc2026670
https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMc2026670))

C’est donc uniquement sur des croyances sans preuve objective ou des simulations biaisées qu’ils nous ont bâillonnés partout et toujours, pour une maladie en voie de disparition en Europe, qu’ils ont sacrifié une génération, des nouveau-nés entourés de figures sans bouche ni nez (de quel animal s’agit-il ?) aux étudiants incapables de décoder les émotions, le langage non verbal de leurs camarades et de développer des relations amoureuses « normales » tellement importantes à ces âges.

« Instinctivement, il manque l’expression de la bouche, des joues, qui permettent de décoder l’émotion exprimée par notre interlocuteur. Avec les masques, la voix perçue est également modifiée. Le son est étouffé. Le timbre et le volume sont altérés par cette barrière non naturelle. En effet, la bouche est un des résonateurs qui permet au son émis de prendre son envol. Les couches de tissus filtrent une partie des paramètres.

La voix étant porteuse d’émotions, une autre partie du langage non verbal est déformée.

Pour s’adapter à ses modifications, il sera alors important d’être plus attentif aux mots exprimés, alors qu’ils ne représentent que 7 % de la transmission d’un message. »(([8] Langage non verbal masqué : ce qui change dans nos relations (coachrelax.fr) ))

Le masque ne diminue pas les contaminations. Il n’existe aucune justification médicale à imposer la muselière, quel que soit l’âge.

Les masques laissent passer les virus. Ils sont dangereux, car ils vous renvoient votre CO2, vos germes, vos champignons qu’ils cultivent en atmosphère humide.

Le port du masque a fortement perturbé notre respiration. Bien respirer par le nez pour alimenter notre corps et donc notre bouche en oxygène n’est plus une évidence. Nous sommes passés en respiration buccale, le flux d’air étant insuffisant par des narines couvertes.

Les conséquences néfastes sont nombreuses.(([9] Un dentiste Baulois interpelle l’Éducation nationale : le port du masque est néfaste pour les enfants ! – Ker news))

« L’air n’est plus suffisamment réchauffé et dépoussiéré comme il doit l’être lors du passage normal dans les fosses nasales avant d’arriver aux poumons.

Le sang chaud qui arrive du cerveau n’est plus refroidi au contact de cet air froid. Notre cerveau surchauffe et fatigue.

Nous nous auto-intoxiquons par le gaz carbonique que nous rejetons dans le masque via l’hypercapnie qui entraîne une dépression du système nerveux central, une élévation de la fréquence cardiaque, des sautes d’humeur et de fatigue, des nausées, des vomissements, parfois jusqu’à la perte de conscience.

Comme les symptômes apparaissent plus rapidement avec l’effort physique, le port du masque est fortement déconseillé en courant, à vélo, ou toute autre activité sportive.

La respiration buccale pose de nombreux problèmes, la respiration nasale étant interdite par le masque.

Conséquences :

abolition du rôle du nez dans le filtrage des virus et bactéries, sécheresse buccale, halitose (mauvaises odeurs) et caries, dysharmonie du développement de la mâchoire et du visage.

Le nez a pour rôle de retenir grâce à ses “poils” une grande partie des particules nocives contenues dans l’air : poussières, virus, bactéries…. Le fait que la bouche soit ouverte court-circuite le rôle de filtrage préventif du nez. »

Mais de plus « la respiration buccale a un retentissement sur la croissance de la sphère faciale. »

L’impact du masque sur l’intelligibilité de la parole est important(([10] Le port obligatoire du masque pour les enfants, c’est de la maltraitance ! (francesoir.fr)
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/retour-du-masque-a-l-ecole-ca-n-a-pas-de-sens-juge-la-societe-francaise-de-pediatrie-80aaf1c6-3cb0-11ec-b2dd-875829662230
L’appel des orthophonistes contre le retour du masque à l’école primaire » Par Tribune collective 15/11/2021 Figaro vox tribune
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4967384/))

L’enfant ne connaît pas toujours les termes utilisés, puisqu’il se trouve en plein apprentissage

il impacte de manière non négligeable les apprentissages du langage, de la lecture, la construction des émotions, les comportements des enfants, mais aussi la vue ou encore le développement des fonctions oro-myo-faciales.

L’APPRENTISSAGE DE LA LECTURE FORT PERTURBÉ

« En CP/CE1, au moment du début de la lecture, l’enseignant n’a aucun retour visuel sur la bouche de l’enfant qui est en train de lire des syllabes ou des petits mots et il va lui être difficile de s’apercevoir qu’il a bien dit “ba” et non “da” par exemple et de le corriger. »

La mémorisation grapho-phonémique se fait grâce à cet apprentissage qui est à la fois visuel (forme de la bouche/forme de la lettre), auditif (bruit de la lettre) et kinesthésique (ressenti corporel lors de la prononciation du phonème, sensation corporelle tronquée à cause du masque qui recouvre la bouche).

LE PORT DU MASQUE DIMINUE LE NIVEAU SONORE DE LA VOIX

Autre inconvénient majeur constaté quotidiennement dans les tentatives d’échange avec les commerçants, mais aussi dans les amphithéâtres universitaires et dans les collèges et lycées, il nuit à l’apprentissage, particulièrement à l’âge de celui de la lecture.

Le masque induit une perte de 5 à 10 dB du niveau sonore de la voix

et donc son impact sur l’intelligibilité de la parole est notable, d’autant plus que l’enfant ne connaît pas toujours les termes utilisés puisqu’il se trouve en plein apprentissage. Il doit donc soutenir un effort d’écoute et d’attention plus important.

SITUATION ANXIOGÈNE PERMANENTE

Dans la compréhension du langage oral, interfèrent d’autres paramètres comme la dépression qui impacte l’attention, la mémoire et les fonctions exécutives (planification, flexibilité mentale).

La présence du masque permanent rappelle en continu qu’il existe un danger entretenant la situation anxiogène actuelle, d’où effets pervers par augmentation de l’agitation, baisse de la motivation et de la concentration.

Tous ces effets négatifs ont été décrits dans toutes les tranches d’âge en particulier chez l’adolescent et le jeune adulte en début d’études universitaires : l’augmentation de la tristesse et de l’anxiété, entravant l’apprentissage, l’augmentation des décrochages scolaires allant jusqu’à la phobie scolaire.

TROUBLES ORGANIQUES INDUITS PAR LE MASQUE

Les troubles du sommeil, des conduites alimentaires, du transit, l’énurésie, l’apparition de céphalées, l’augmentation des tentatives de suicide chez les enfants même jeunes ont été repérés rapidement dès le premier confinement et pérennisés et entretenus par les mesures coercitives alternées, les discours contradictoires entraînant de la dissonance cognitive généralisée de l’angoisse, voire de la dépression chez toutes les couches de la société, quel que soit l’âge, des vieillards aux bébés perméables, éponges des adultes qui les entourent.(([11] https://www.mediscoop.net/neurologie/index.php?pageID=b645dfcec10643b62270147dd0aad9e1&id_newsletter=15651&liste=0&site_origine=revue_mediser))

Le port du masque impacte également le développement physiologique des enfants

« À un âge où la plasticité cérébrale est propice aux apprentissages, le port du masque en cachant une partie du visage empêche l’enfant d’élaborer des liens entre les mimiques et les émotions. »

LE LANGAGE NON VERBAL

Diminution brutale de la capacité à reconnaître et à classifier les émotions de leurs camarades, diminution des capacités de décodage du langage non verbal, difficulté supplémentaire pour l’enseignant à percevoir et à interpréter les émotions des enfants et par conséquent à ajuster et adapter son discours.

Combien d’enseignants ont — ils avoué ne pas « reconnaitre » leurs élèves après trois mois de cours et de respect scrupuleux de la plus absurde des « prescriptions » des docteurs Macron et Castex ?

Tous ces inconvénients conduisent à des troubles du comportement et à des pathologies psychiques de gravité variable, tant chez les enfants que chez les enseignants.

La sidération et l’hypnose de l’ensemble de la société via un message unique répété mille fois dans la journée par toutes les sources peuvent seulement expliquer que les familles, les enseignants et leurs syndicats aient livré depuis tant de mois les enfants à la destruction mentale, affective, cognitive de toute une génération.

Que dire des enfants plus ou moins mal voyants ?

La buée sur les verres de lunettes ! Problème récurrent dans les supermarchés où les vigiles robotisés n’ont cure de l’impossibilité de garder les lunettes pour voir les prix ou la qualité des produits.

Société soumise et aveuglée, aveugle…

Le port du masque rend difficile le port des lunettes à cause de la buée, et conduit parfois à l’abandon des lunettes, et parfois à la dégradation des troubles visuels existants.

« Le masque implique également une diminution du champ visuel, réel problème pour les enfants qui font des allers-retours incessants entre le plan horizontal où se trouvent leur cahier et le plan vertical du tableau ».

Comment ont été pesés ces drames quotidiens avant l’annonce triomphale d’un retour au masque en primaire par le Premier ministre en début novembre 2021 ? Pourtant les études multiples existent…

LA QUANTITÉ « NÉGLIGEABLE » DES PETITS TROUBLES QUI POURRISSENT LA VIE

Quant aux « petits » troubles, ils sont classés supportables ou négligeables par les adultes soumis, dont beaucoup trop de parents). Irritation cutanée du visage et du menton, devenus rouges, parfois cramoisis. Le muguet buccal,

la gêne respiratoire discrète ou handicapante (les certificats médicaux sont refusés dans les faits), les maux de tête, l’irritation oculaire, voire l’inflammation et l’infection.

Considérés comme négligeables et en tous cas négligés au sens fort du terme, par les membres de la secte covid qui interdisent toute critique des décisions autoritaires des pouvoirs en place.

La critique devient interdite, qualifiée de complotiste et quasi « blasphématoire ».

L’argument du « silence » des enfants sur le port du masque qui ne se plaindraient pas zappe complètement la sidération des enfants et l’impossibilité d’émettre toute critique sans se sentir chassé du groupe, ce qui est particulièrement fondamental chez les jeunes.

Ces « petits inconvénients » entraînent évidemment une plus grande distraction et fatigabilité qui diminuent la concentration.

Le gamin qui ne voit rien, celui qui se gratte en permanence le menton, celui qui n’arrive pas à respirer, mais se fait tancer par son enseignant s’il baisse son masque sous le nez, avec « mots » dans le carnet de correspondance pour les parents, celui dont l’œil le démange, celui qui baisse et remonte son masque vingt fois dans l’heure, etc..

Laissez-les vivre, laissez-les tranquilles, ils sont innocents du covid !

Les enfants ne doivent pas être sacrifiés aux angoisses des adultes qui devraient les protéger au lieu de s’en servir pour se rassurer !

Il faut les laisser évoluer librement tant à l’intérieur qu’à l’extérieur et multiplier les contacts directs, physiques avec leurs amis et camarades afin de se forger une carapace sociale.

L’ordinateur et le portable ne remplacent en aucun cas les parties de foot dehors avec les copains et les « anniversaires », le partage de gâteaux et d’émotions, les bagarres de cour d’école. LAISSEZ-LES VIVRE !

SORTONS DU TOTALITARISME MONDIALISTE QUE NOS DIRIGEANTS TENTENT DE NOUS IMPOSER !

« L’élevage » des enfants à l’instar des régimes totalitaires nazis ou soviétiques commence par l’apprentissage de l’obéissance à n’importe quel ordre fou. Qu’ils soient dressés à obéir sans réfléchir et le pouvoir sera content.

Défendons nos enfants et petits enfants, refusons ces ukases ubuesques et tentons de revenir à la Patrie de Descartes, Voltaire et Rousseau.





Note aux usagers des commerces et autres lieux clos. Un lâcher de moutons est programmé ce jour

Par Alain Tortosa

Nous sommes « libres » !

C’est avec stupéfaction, mais aussi une certaine forme d’angoisse que nous avons été informé qu’un lâcher de moutons serait organisé dès ce lundi 14 mars dans tout l’hexagone.

Rappelons qu’aucune opération de ce type n’avait été envisagée depuis deux ans, bien au contraire.

Certaines confédérations patronales se réjouissent de cette décision arguant que la qualité de la laine était impactée par ces différents confinements. Et de rajouter que le taux de parasites avait fortement augmenté.

Les autorités sanitaires avaient réagi avec « efficacité » et « bon sens » en mettant en œuvre une vaccination forcée tous les trois mois pour l’ensemble du cheptel afin de le maintenir en pleine forme.

Mais cette décision de lâcher massif est loin de faire l’unanimité des sociétés protectrices des animaux. Elles considèrent qu’une telle action, qui plus est sans préparation et du jour au lendemain, pourrait être source de tensions et même dangereuse pour l’ensemble du troupeau.

Les premiers résultats nous montrent déjà des animaux totalement désemparés, qui tournent en rond, et sont paniqués par l’absence (c’est ainsi qu’ils le voient) de barrières et de laisses.

Certaines bêtes vont même jusqu’à s’automutiler et s’infliger des coups pour tenter de calmer l’orage dans leur cerveau.

D’autres se retournent contre ceux de leur espèce qui se mettent à gambader en pleine insouciance comme si ces deux années n’avaient pas existé. Ils voient dans ces moutons « irresponsables » une menace pour leur sécurité et n’hésitent pas à les attaquer, paniqués à l’idée d’être tués par le loup qui, bien qu’invisible, rôde encore.

Leur propriétaire, un certain monsieur Seguin, n’a cessé de leur dire depuis des mois que le monde extérieur était dangereux, qu’il fallait absolument rester à l’intérieur pour échapper à la mort. Encore une fois, comprenez leur désarroi quand vous leur dites qu’ils peuvent sortir du jour au lendemain alors même que la menace plane encore.

Pas plus tard que vendredi dernier les autorités chinoises, dont la sagesse n’est plus à démontrer, ont décidé de protéger un énorme cheptel de plus de 18 millions de moutons, car des rumeurs circulaient sur la présence de la Bête dans les environs.

Cette information est bien sûr de nature à inquiéter les moutons les plus raisonnables.

Un assistant du propriétaire, un berger des Pyrénées un peu benêt, mais fidèle à son maître, nous a bien indiqué que c’était l’heure pour les moutons de plus de 80 ans de prendre leur rappel. Bon tout le monde sait que la vaccination protège efficacement la meute. Seuls un fou ou un irresponsable pourraient en douter au regard des résultats exceptionnels obtenus du fait de l’injection de tout le troupeau. Résultats sans lesquels ce lâcher n’aurait jamais pu avoir lieu !

Dont acte, mais le fait est que des moutons continuent à mourir tous les jours en France. Attention ! soyons raisonnables, ceux qui meurent sont pour leur immense majorité des moutons qui ont échappé à la piqûre ou qui ne sont pas à jour dans leur passeport vaccinal.

Mais il reste encore quelques rares bêtes isolées immunodéprimées qui sont tuées par le loup. C’est d’autant plus étonnant que nous vaccinons même les plus vieux moutons à qui il ne reste que quelques jours à vivre. C’est dire à quel point notre berger aime ses moutons ! Tant d’amour, tant de sacrifices personnels pour les protéger me donne la larme à l’œil…

Mais reconnaissez aussi que la décision de n’injecter que les moutons de plus de 80 ans ne peut qu’être anxiogène pour les plus jeunes et pour tous les bébés moutons si fragiles et impuissants face à la Bête Immonde qui fauche des vies au hasard de sa psychopathie délirante.

Pour leur remettre les idées en place, je leur rappelle que le temps n’est plus à l’égoïsme !

De même que pour la vaccination solidaire et désintéressée, nous avons TOUS arrêté notre chauffage au gaz et soutenu Total pour lutter contre l’Ogre de Leningrad et soutenir nos frères blancs d’Ukraine,

Tout ceci pour dire que nous pouvons bien être un peu solidaires avec nos anciens. Un agneau qui naît aujourd’hui pourra bénéficier de 340 injections durant toute sa vie à raison d’une tous les trois mois. Alors que nos aînés qui sont nés bien avant le Fléau n’auront pas cette chance.

J’entends qu’il est logique de se plaindre de cette priorisation, que le loup constitue une énorme menace, mais ne vous inquiétez pas, il y en aura pour tout le monde et en quantité, les commandes ont été passées.

Et puis faisons confiance à notre berger ! Je le répète, voire je le radote, mais on ne le remerciera jamais assez pour les sacrifices qu’il nous a imposés pour nous protéger malgré nous de ce loup cruel.

Cela fait deux ans qu’il veille jour et nuit, qu’il élabore des solutions plus efficaces les unes que les autres pour notre seul bénéfice. Nous sommes ses moutons, il est notre berger, ce n’est pas plus difficile, car il ne nous a JAMAIS trahis. Soyons humbles ! Reconnaissons qu’avec notre tout petit cerveau, notre QI de gueux, il ne nous soit pas possible de comprendre toutes les raisons qui animent notre bienfaiteur. Ayez au moins l’honnêteté de reconnaître que sans lui le troupeau aurait été décimé s’il n’avait pas pris toutes ces mesures courageuses qui ont sauvé l’ensemble du cheptel d’une mort affreuse.

Par le passé, il a parfois pris des décisions que nous n’avons pas compris, qui pouvaient nous sembler illogiques et même stupides, à nous, pauvres moutons ignorants, mais il s’est révélé par la suite que sa grande intuition et son intelligence hors du commun nous ont sauvés de l’apocalypse.

Alors même si aujourd’hui nous ne comprenons pas pourquoi il a décidé de libérer l’ensemble du troupeau… même si nous avons peur, nous pouvons lui faire confiance les yeux fermés. Il est notre guide notre lumière !

Et ne doutez pas une seconde que s’il pense que la menace se rapproche de nous, il nous enfermera à nouveau dans la grange sans la moindre hésitation pour nous protéger. Même si le loup est invisible, lui sait prévenir l’attaque et l’anticiper.

Je rappelle aussi que les moutons qui ont trop peur peuvent rester chez eux. Notre lumineux monarque étant bon par nature nous autorise à demeurer enfermés si on le désire.

Nous sommes libres ! C’est simple à comprendre, non ?

Alain Tortosa

14 mars 2022
https://7milliards.fr/tortosa20220314-lacher-de-moutons.pdf




Le Dr Ryan Cole à propos de Pfizer

[Source : Jocelyne Pauliac Traduction]

Le Dr Ryan Cole nous parle de la façon dont Pfizer a obtenu une autorisation puis une protection de responsabilité de façon frauduleuse.


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Dr Zelenko : « C’est l’heure du choix. »

[Source : @ExcaliburTraduction]






Déclaration de l’Alliance internationale des médecins et des scientifiques médicaux qui annonce son soutien à mettre fin à l’état d’urgence concernant la COVID-19






Crise sanitaire et stress post-traumatique chez les enfants : infos et conseils

[Source : Yoanna Micoud PRO]




Le Conseil de sécurité et les laboratoires biologiques ukrainiens

[Source : voltairenet.org]

Le Conseil de sécurité des Nations unies s’est réuni le 11 mars 2022, sur convocation de la Russie, pour délibérer sur les laboratoires biologiques militaires ukrainiens.

Le ministère chinois des Affaires étrangères avait déjà demandé aux États-Unis de s’expliquer sur les 33 laboratoires biologiques qu’ils entretiennent sous divers noms dans 30 pays.

Après avoir nié toute implication, la sous-secrétaire d’État Victoria Nuland a reconnu devant la commission sénatoriale des Affaires étrangères que son pays collaborait à de dangereuses recherches biologiques avec l’Ukraine et qu’ils craignaient que ces recherches soient récupérées par la Russie.

L’administration des Nations unies a témoigné ne jamais avoir été informée de l’existence de programmes biologiques militaires en Ukraine, pays signataire de la Convention des Nations unies sur l’interdiction des armes biologiques.

Les États-Unis et leurs alliés ont déploré que la Russie sonne l’alerte sans preuves. De nouveau, la France a accusé Moscou d’avoir utilisé une arme biologique contre Alexei Navalny et Sergeï Skripal. Les Occidentaux ont affirmé que Moscou prépare une opération biologique en Ukraine sous faux drapeau.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé avoir été informée, depuis 2005, de la collaboration civile entre les États-Unis et l’Ukraine sur de dangereux agents pathogènes. À une date non précisée, elle a demandé, par mail, à l’Ukraine de détruire précautionneusement les stocks d’agents pathogènes de ses laboratoires en raison des risques de dissémination.

Le ministère russe de la Défense a déclaré qu’il publierait les documents saisis dans les laboratoires ukrainiens ; qu’il avait lui-même détruit précautionneusement 320 conteneurs d’agents pathogènes ; et que parmi les recherches de ces laboratoires figuraient les coronavirus de chauve-souris.




Dogma #18. L’Hiver

[Source : dogma.lu]

Par Lucien Samir Oulahbib

La distinction entre croyance « supérieure » et « inférieure » peut-elle disparaître ?

Les notions dites « inférieure » et « supérieure » ont bien mauvaise presse pour des raisons historiques que l’on peut encore aisément deviner ; pourtant elles ont toujours pignon sur rue lorsqu’il s’agit de marquer une différence qualitative du « scientifique » sur la « croyance » en général (toujours affirmée par exemple en matière sociétale, climatique(([1] Ainsi contester ledit « changement climatique » ce « pléonasme » disait Marcel Leroux (climatologue :
https://www.youtube.com/watch?v=wVyeZXQCe2w) le tout dans une sorte d’errement épistémologique dont il faudra bien faire un jour le bilan (ce que Dogma cherche à faire d’ailleurs depuis quelques numéros).)) et désormais sanitaire(([2] On l’a vu lors de la crise dite « sanitaire » liée à C.19 lorsque d’aucuns se sont mis à dénigrer tels traitements dits précoces, ou la « supériorité » (justement) de traitements dits « vaccinaux » sur des protocoles plus empiriques (comme le repositionnement d’antiviraux et d’antibiotiques ou le recours à des traitements plus naturels, souvent mis à l’index comme l’ont démontré les professeurs de médecine Péronne et Raoult, sans conflit d’intérêt). Or loin de se contenter d’être un débat scientifique cette controverse a été immédiatement classée comme étant de type « conspirationniste » (parfois par des personnes non compétentes en matière de virologie) préconisés par des spécialistes reconnus sur la base de vérifications éprouvées, parce que tel dirigeant politique honni les avait mis aussi en avant, ou parce que le nombre d’articles dits « scientifiques » supportant la pratique des spécialistes en question semblait exagéré pour tel ou tel, le tout sans que l’on puisse établir une relation de cause à effet entre ces deux faits et l’efficacité effective de ces traitements (dont on peut voir ici l’application permanente : https://c19legacy.com/ ) et, surtout, sans que les éléments de base justifiant les injections censées « prévenir » C. 19 y compris dans ses formes graves aient été démontrées : Voir à ce propos l’analyse de l’experte en biostatistique, Christine Cotton, qui détaille certains essais cliniques rendus méthodologiquement incapables de prouver leur efficacité :
https://www.youtube.com/watch?v=YmO5Pde3Jak&t=2842s ;
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-essais-pfizer))). Elles consistaient (et consiste encore) à souligner que sous un angle dit « scientifique » s’exprimerait l’aspect le plus « achevé de la rationalité » comme l’écrit Dominique Terré.(([3] Les dérives de l’argumentation scientifique, Paris, PUF, 1998, p. 1.)) S’opposant à ce qui n’est même plus nommé « obscurantisme » comme autrefois mais « conspirationnisme », « complotisme », toute une dichotomie étrange qui range désormais la controverse au rang de curiosité épistémologique à l’heure pourtant où le LancetGate(([4] https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-societe-science-tech/lancetgate-ou-sciencegate)) (ce lyssenkisme contemporain) a frappé les esprits.

Il semble bien cependant qu’il faille préserver cette distinction entre « inférieur » et « supérieur » car s’il s’agit de distinguer les aspérités du réel comme ces différences d’angles de méthodes et d’imaginaire pour parler comme Georges Bertin (qui nous a hélas quitté)

il n’empêche que c’est bien parce que les Anciens distinguaient, mais ne séparaient pas, les branches de la Connaissance qu’ils ont pu devenir « modernes » au sens du libéralisme « ancien » a indiqué Leo Strauss lisant Maïmonide ou comment ne pas perdre de vue la vision d’ensemble (ou cosmique) ; ce que cherchait sans doute Marcel Mauss lorsque en travaillant sur le « don » il cherchait à cerner « l’homme total » ce qui n’est pas contradictoire avec le fait que « la » science découpe aussi ses « objets ».

Ainsi la fameuse approche multidisciplinaire serait non seulement de mise (vœu pieux) mais indispensable, surtout aujourd’hui lorsque l’on apprend le rôle crucial des interactions et de leurs rétroactions sur l’organisme humain dont le Bios n’est pas plus réductible à un complexe physico-chimique que psycho-social ou sociopolitique comme l’indiquera ici le docteur Isaure Lamoureux dans les bonnes feuilles de cet ouvrage qu’elle a dirigée

Comment se soigner et guérir aujourd’hui ?(([5] Exuvie Éditions.))

Or, c’était la force de la Connaissance d’autrefois (en particulier celle des Premières Lumières) que de pouvoir tenir ensemble ces diverses lignes de force, d’où sa supériorité sur les Secondes Lumières d’un Helvétius ou Condillac et leur associationnisme (voir même sur le Premier Romantisme allemand) mais aujourd’hui s’est plutôt répandu l’idée que tout s’est tellement « complexifié » et, partant, « spécialisé », qu’il n’est guère plus possible de jouer à Pic de la Mirandole ou à Goethe (même Husserl, Bergson, Changeux, Dehaene…) ou de récréer les conditions d’une réelle Encyclopédie au sens de comprendre comment une « cellule » s’établit comme « Soi », non, il vaut mieux « croire » que le processus historique triera le bon grain de l’ivraie à l’heure pourtant où le génome humain risque d’être breveté s’il est « inventé » (via une ARN inter-rétroagissant sur l’ADN ?).

Á Dogma « nous » pensons que cette attente naïve de la « bonne » science dénuée de conflits d’intérêts (et au fond historiciste) reste une « croyance » d’autant plus « inférieure » que rien ne dit que la Connaissance puisse mécaniquement s’auto-réguler ainsi, surtout en situation politique et financière défavorable (Socrate a bien dû boire la Ciguë, et les nouveaux Lyssenko sévissent encore jusqu’à créer des commissions ad hoc de sinistre mémoire) ; répétons-le, il semble bien qu’aujourd’hui le balancier a été beaucoup trop dans l’autre sens de l’hyper spécialisation et des conflits d’intérêts ; le tout faisant par ailleurs perdre l’appréhension de la « big Picture » alors qu’il conviendrait de garder un équilibre juste, une « médiété », entre un « excès et un défaut » comme observer et analyser les liens entre intentionnalités et conséquences dans l’action humaine au lieu de seulement les nier, quitte à redoubler les « biais » comme certains aspects de l’actuelle syndémie mondiale (depuis plus de deux ans maintenant) ainsi que le catastrophisme climatique peuvent l’indiquer.

C’est en sens que sera considérée comme « inférieure », conceptuellement s’entend, toute dite « théorie » prétendant relativiser ou au contraire surdéterminer toute observation qu’une modélisation prospectiviste aura arbitrairement amplifiée ou réduite sans tenir compte du fait qu’il y a toujours une différentiation conclusive à retenir selon les « objets » traités.

Ainsi une approche uniquement démographique des flux de populations humaines pourra toujours en relativiser les « soldes » sans se rendre compte que ces derniers sont composés de personnes humaines portant avec et en elles des comportements multiformes qui matérialisent leur imaginaire, c’est-à-dire leur manière d’être au monde ; ce qui fait que leur présence n’est pas seulement quantitative mais qualitative et donc civilisationnelle au sens de transformer le monde dans lequel elles s’installent, et partant « effondrent » pour avoir de la place, ce qui fait qu’elles ne font pas que seulement l’interpréter sans conséquences : elles y perpétuent des croyances dont le côté « inférieur » ou « supérieur » apparaît sans importance pour une vision démographique alors que cette distinction sera de la plus haute acuité pour une approche réellement républicaine : 

INFORMATION : dorénavant (depuis le numéro 16, été 21…) et suite à de nombreuses demandes, DOGMA sera enfin disponible en version papier, mais, pour le moment, uniquement sur le site d’Amazon.

CONTENU :

LA DISTINCTION ENTRE CROYANCE « SUPÉRIEURE » ET « INFÉRIEURE »
PEUT-ELLE DISPARAÎTRE ?
Dr. Lucien Samir Oulahbib, Dr. Isabelle Saillot

THÉRAPIE PSYCHO ÉMOTIONNELLES. EXTRAIT DU LIVRE « COMMENT SOIGNER ET GUÉRIR AUJOURD’HUI ? »
du docteur Isaure Lamoureux

THE NONDUAL MIND
By James H. Cumming

DÉMOCRATIE, FIN DE PARTIE. NOTES DE LECTURE AUTOUR DE : “ADIEU LA LIBERTÉ” DE MATHIEU SLAMA
Par Karen Brandin

REFUSONS LE TOTALITARISME ET PROTÉGEONS L’AVENIR DE NOS ENFANTS !
Par Nicole Delépine, Gérard Delépine

L’ENTERREMENT DE LA THÉORIE VIRALE
Par Joseph Stroberg

THE PHENOMENON OF MENTALITY IS A CENTRAL PARADIGM THAT CRITICALLY CHANGES HUMAN LIFE
by Oleg Maltsev

NUCLÉAIRE, INCOMPÉTENCE, ET POUVOIR
Par Michel Gay

L‘AFP, C’EST HUIT « FAKE NEWS » EN UNE SEULE DÉPÊCHE  CONTRE LE PR PERRONNE
Par le docteur Gérard Delépine

THE INCARNATION, JEWS, AND PHILOSOPHY: A LESSON FROM DANTE’S PARADISO VII
By Marco Antonio Andreacchio

LA FIN DE LA CHRÉTIENTÉ
Par Lucien Samir Oulahbib

BREAKING NEWS: MEN ARE DIFFERENT FROM WOMEN, WOMEN FROM MEN
By Pr. Philip Carl Salzman

LES FORMES DE LA CROYANCE
Par Lucien Samir Oulahbib

TÉMOIGNAGE. « JE DOIS ÊTRE LIBRE D’ÊTRE CE QUE JE VEUX ÊTRE » –
UN ÉTUDIANT S’EXPRIME FACE AUX RESTRICTIONS COVIDISTES
Publié par @global_meri

SUITE (D’AUTOMNE 21). PHILOSOPHIE DES RELATIONS INTERNATIONALES II :
LA PHILOSOPHIE DE LA « PLURALITÉ DU MONDE »
Par David Cumin

« TOUT EST BON… TANT QU’ON NE LE POSSÈDE PAS »
Par Rachel Viviane

QU’EST-CE QUE L’ÉDUCATION MORALE ?  / WHAT IS MORAL EDUCATION?
By Marco Antonio Andreacchio

UNIVERSITÉS EN PÉRIL
Par Klaus Kinzler

JEAN-MICHEL BLANQUER : UNE NOUVELLE VISION DE LA REMONTADA
Par Karen Brandin

« À LA RECHERCHE DU TRAIT D’ESPRIT NATIONAL ». SOME TRAITS OF NATIONAL MENTALITIES IN JOKES AND HUMOROUS ANECDOTES
by Elvira Groezinger

DIVERSION UKRAINIENNE
Par Teresita Dussart

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Références :




Pas de fleurs pour le sidarnarqueur

[Source : Néo Santé]

Par Yves Rasir

Depuis son décès, beaucoup d’entre vous me demandent pourquoi je ne me suis pas joint aux multiples et vibrants hommages rendus au Pr Luc Montagnier. Et depuis ma lettre du 26 février, certains lecteurs me suggèrent d’ajouter son nom  à la liste des morts suspectes survenues chez les opposants au covidisme et  chez les antivaxs inquiets de la présence éventuelle de graphène. Concernant cette deuxième réaction, je fais remarquer que le célèbre Prix Nobel de médecine 2008 était âgé de 89 ans  – un âge propice à un trépas naturel – et que, selon ce qu’on en sait, il s’est éteint paisiblement entouré des siens. Cela ne cadre pas beaucoup avec l’hypothèse d’un meurtre maquillé. À ce compte-là, je suis nettement  plus troublé par les récentes  disparitions successives de l’ex-député européen Paul Lannoye et du docteur en sciences Pierre Lutgen, qui venaient juste de faire cause commune pour dénoncer l’inefficacité et la dangerosité du nouveau vaccin antimalaria du laboratoire GSK.  Ces deux vieux amis de Néosanté avaient l’air  en bonne forme lors de leur conférence de presse du 28 octobre 2021, mais comme ils étaient tous deux octogénaires, il serait sot d’écarter une double perte attribuable aux rigueurs de l’hiver. Le complotisme et moi, ça ne fait toujours pas un, ou en tout cas pas toujours un. Concernant mon abstention à la glorification post-mortem du professeur Montagnier,  il me faut visiblement  rappeler que je n’ai jamais été son admirateur et que je me range au contraire parmi ses détracteurs impénitents. Comme je l’ai toujours critiqué de son vivant, il eût été hypocrite de ma part de pleurer son départ et de faire chorus aux éloges posthumes.

Une effroyable mystification

Attention : ma réticence à manier l’encensoir n’a évidemment rien à voir avec le méprisable mépris dont ont fait preuve l’establishment médical,  le monde politique et les médias à la botte de ces deux pouvoirs. Par leur silence  gêné et leur absence aux obsèques, ces trois composantes de la société ont véritablement craché sur le cercueil d’un homme qu’elles ont auparavant vénéré pour sa co-découverte du VIH. Elles ont brûlé le savant qu’elles avaient adoré au triple prétexte que celui-ci s’était égaré plus tard dans des recherches sur la mémoire de l’eau, qu’il avait proposé une explication peu conventionnelle à l’épidémie d’autisme (piste infectieuse sur fond de diverses pollutions) et  qu’il avait, à l’occasion de la crise covid, rejoint ouvertement les rangs des vaccinosceptiques. Pour ma part, ce sont au contraire ces trois « déviances » qui me faisaient garder de l’estime envers Luc Montagnier. J’ai notamment beaucoup aimé que ce nobélisé couvert d’honneurs sorte des sentiers  battus,  reprenne audacieusement les travaux de Jacques Benveniste sur les propriétés de l’eau et qu’il en explore à son tour  la mystérieuse capacité à conserver la trace électromagnétique de molécules pourtant physiquement éliminées par les hautes dilutions. Son rêve d’une médecine d’avenir basée sur la compréhension des énergies ondulatoires me semblait même visionnaire et très complémentaire des découvertes du Dr Hamer. Pour l’avoir rencontré à deux reprises, je peux également témoigner des qualités humaines du Pr Montagnier, personne affable et délicieusement courtoise,  toujours  ouverte à la conversation et ne prenant jamais de haut ses interlocuteurs. Mais comment voulez-vous que je participe au panégyrique  alors que je tiens le virologue pour co-responsable de la plus grande escroquerie médico-scientifique de tous les temps ? Pour moi, en effet, Luc Montagnier restera à jamais, avec son collègue  américain Robert Gallo, celui qui aura mystifié la planète en faisant d’un  innocent rétrovirus le coupable du syndrome d’immunodéficience acquise. Par respect envers la majorité des lecteurs qui suivent Néosanté depuis longtemps, je ne vais pas répéter ici tout ce que nous avons déjà écrit dans la lettre hebdomadaire et  publié dans notre mensuel. Je vous renvoie aux archives de la newsletter (notamment celle du 14 décembre 2014) et aux numéros de la revue (n°2, 6, 17, 28 et 53) qui abordent le thème du sida. En très résumé, cette maladie n’en est pas vraiment une, elle n’est pas d’origine virale et n’est donc pas sexuellement transmissible, comme en attestent notamment  la fausseté  systématique des prédictions pandémiques catastrophistes et l’impressionnant cantonnement du fléau aux hommes occidentaux. Ses vraies causes sont  un mode de vie délétère (usage de drogues dures ou récréatives mais très nocives, abus d’antibiotiques,  malnutrition, existence nocturne,  sexualité anale débridée…) et bien évidemment un terrain psychologique prédisposant aux comportements suicidaires. Pour ceux qui veulent se ré-informer sur le sujet, je conseille toujours le livre « L’invention du virus du sida » (éditions Marco Pietteur), du rétrovirologue américain   et célèbre «dissident »  Peter H. Duesberg. Dans l’édition française de cet ouvrage, plusieurs annexes démontent le mythe du sida africain et démontrent que cette épidémie frappant essentiellement les homosexuels toxicomanes a d’incontestables racines chimiques. La mystification opérée  par le duo Montagnier-Gallo a ceci d’effroyable qu’elle a  permis de recycler l’AZT, médicament anticancéreux abandonné en raison de sa toxicité, dans le traitement antiviral des sidéens. Avant sa dilution dans les trithérapies au milieu des années 90, ce redoutable poison immunodépresseur aura probablement tué des millions de patients !

Un revirement insuffisant

Ce que peu de gens savent, c’est que l’auteur principal de la théorie HIV/sida avait lui-même partiellement renié sa découverte. Assez rapidement, Luc Montagnier a réalisé que la piste virale était truffée de tellement d’anomalies et d’incohérences (malades sans virus, virus sans maladie, tableaux cliniques  par trop hétérogènes,  séropositifs invulnérables,  guérisons spontanées…) qu’elle ne tenait plus debout. Il a donc amorcé un virage en soutenant que le VIH était bien le coupable principal mais qu’il lui fallait nécessairement des complices, des « cofacteurs » sans lesquels les défenses immunitaires n’entraient pas en dépression. Dans certains cas, comme il l’avoue dans le chapitre « Pourquoi nous n’avons pas vaincu le sida » de son livre « Les Combats de la Vie », il est même évident que l’infection par le virus ne constitue elle-même qu’un facteur de risque et que le déclenchement de son agressivité dépend d’autres facteurs immunodéprimants. Aux yeux du  futur Prix Nobel de médecine, il était clair que l’effondrement de l’immunité était surtout imputable au stress oxydant, c’est-à-dire à l’oxydation cellulaire consécutive au stress psychologique et/ou à des nuisances environnementales comme  la malbouffe ou les radiations électromagnétiques. Pour lui, la première parade au sida devait être de réformer l’alimentation et de combler les carences vitaminiques.  Ça vaut la peine de relire son bouquin autobiographique car il permet de voir que l’ancien chercheur à l’Institut Pasteur avait considérablement évolué et qu’il accordait désormais une importance primordiale au terrain par rapport aux microbes. Ce livre paru en 2008 est d’ailleurs sous-titré « Mieux que guérir, prévenir ». À l’époque, sa lecture ne m’avait pas cependant  pas étonné car j’avais assisté, 5 ans plus tôt, au colloque  « Le sida en Afrique » organisé au parlement européen par  le regretté Paul Lannoye. Dans son intervention à ce congrès, le virologue insistait déjà beaucoup sur la nécessité  de combattre la malnutrition pour espérer vaincre l’épidémie. Ça vaut aussi la peine de relire les actes de ce colloque (publié par Marco Pietteur) car il y avait également  plusieurs orateurs « repenseurs » qui y prenaient la parole, comme le Pr Etienne de Harven, autre spécialiste des rétrovirus et co-auteur deux ans plus tard du livre « Les 10 plus gros mensonges sur le sida » (éditions Dangles). Aux cours des échanges, Montagnier a concédé que le VIH n’avait jamais été isolé ni purifié et qu’il n’y avait que des « preuves indirectes » de son implication causale dans l’écroulement immunitaire. À un moment  de la discussion, il a même admis que la charge virale ne voulait rien dire et que le dépistage moléculaire  était inapproprié pour mesurer le degré d’infectiosité. Pour rappel, l’inventeur de la technique PCR, le prix Nobel de Chimie Kary Mullis, était un fervent « dissident du sida » qui a d’ailleurs signé la préface du bouquin de Duesberg. Dans celle-ci et dans son autobiographie, il raconte comment il a vainement tenté d’obtenir de Montagnier la preuve scientifique  que le VIH était responsable du sida. Celui-ci s’est toujours accroché à ses « preuves indirectes » mais n’a jamais fourni ce qu’on lui demandait….

Une pitoyable courbe rentrante

Non content de balayer les critiques et de refuser à ses pairs les preuves réclamées, celui que sanctifient aujourd’hui les résistants au covidisme a commis pour moi un délit beaucoup moins pardonnable : le parjure. Il a en effet nié avoir tenu des propos qu’il avait bel et bien tenus mais qui lui valaient l’opprobre des gardiens de la doxa  sur le sida. Les faits remontent à 2009 : de manière assez surprenante, Luc Montagnier accepte d’être interviewé par le  jeune réalisateur américain Brent Leung pour son documentaire « House of Numbers » (*), un film qui ne fait  pas mystère de contester l’hypothèse HIV/sida et qui fera couler beaucoup d’encre. De manière encore plus surprenante, le professeur  se lâche durant l’entretien et affirme carrément que l’exposition au virus n’a guère d’importance et que le système immunitaire peut s’en débarrasser en quelques semaines moyennant de simples mesures d’hygiène. Comme le montre la séquence, le cinéaste  est tellement stupéfait qu’il fait répéter au virologue français ce qu’il vient de dire en anglais.  Montagnier persiste et déclare que le sida africain peut être efficacement combattu par une meilleure nutrition et par l’accès à l’eau propre (« l’eau est la clé », insiste-t-il), des mesures qui ne sont pas spectaculaires mais ne sont pas mises en œuvre parce qu’elles ne rapportent rien à l’industrie pharmaceutique. Plus tard,  sans doute impressionné par les levées de boucliers contre le film qualifié de « négationniste », Montagnier prétendra qu’il n’a pas vraiment dit ça et que le montage de l’interview avait déformé ses propos, ce qui n’est pas du tout le cas. À l’époque, cette courbe rentrante m’a tellement irrité que j’ai publié dans Néosanté la transcription exacte des paroles prononcées par Montagnier.  À ma connaissance, il ne les a jamais assumées  pleinement et n’a plus  jamais osé s’écarter à ce point de la théorie pasteurienne. Au contraire, il avait rejoint ces médecins obsédés par les germes et qui leur attribuent toutes sortes de responsabilités pathogènes par le mécanisme des « infections froides », un concept dont la solidité m’a toujours paru sujette à caution. Dans le dossier covid, j’ai évidemment apprécié son engagement aux côtés des « novaxs » décommandant de se soumettre aux injections expérimentales et alertant sur les phénomènes d’échappement immunitaire ou de facilitation des infections par la vaccination. À force d’espérer un vaccin antisida qui n’est jamais venu et dont l’impossibilité à le développer avait dû le faire réfléchir, l’homme était visiblement devenu un « vaccinoprudent », si pas un adversaire résolu de cette méthode qu’il rendait responsable de l’apparition de variants. En revanche, je prends avec des pincettes son ralliement empressé à l’hypothèse du coronavirus artificiel et à la théorie hyper-complotiste selon laquelle une séquence du VIH aurait été ajoutée au génome du sars-cov-2. Si je ne m’abuse, ce scénario d’épouvante repose sur une seule étude indienne rétractée et n’a jamais été confirmé par d’autres recherches. Et quand bien même on aurait bricolé du matériel coronaviral pour lui greffer des éléments rétroviraux, est-ce que cela justifie l’énorme effet nocebo que le cri d’alarme de Montagnier a pu ajouter à l’hystérie covidienne ? Avant de balancer sa bombe, le co-découvreur du VIH  aurait été bien inspiré de ressortir ses propos « rassuristes » sur l’immunodéficience humaine, ses causes réelles  et ses solutions naturelles.  La frayeur irrationnelle suscitée envers la grippe covid aurait alors été amoindrie au lieu d’être amplifiée. Comme il ne l’a pas fait, ne comptez pas sur moi pour m’associer au chœur des lanceurs de fleurs. Que le sidarnaqueur  repose désormais en paix et nous la fiche maintenant qu’il a rejoint son gourou Louis Pasteur et pris conscience de leurs communes et lamentables erreurs…


Documentaire House of Numbers

Documentaire SIDA : le doute

Émission Le SIDA — le plus gros mensonge du 21e siècle

Dossier SIDA : la fin de l’hypnose VIH

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
Repenser le SIDA
Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)]




L’OMS a demandé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haute menace » dans les laboratoires pour prévenir la propagation des maladies

[Source : Ciel Voilé]

Par Tyler Durden

https://www.zerohedge.com/geopolitical/who-told-ukraine-destroy-high-threat-pathogens-prevent-disease-spread

L’Organisation mondiale de la santé a conseillé à l’Ukraine de détruire les « agents pathogènes à haute menace » dans les laboratoires de santé publique du pays afin de prévenir « tout déversement potentiel » qui pourrait infecter la population pendant l’invasion russe, rapporte Reuters.

« Dans le cadre de ce travail, l’OMS a fortement recommandé au ministère de la Santé de l’Ukraine et à d’autres organismes responsables de détruire les agents pathogènes à haut risque afin de prévenir tout déversement potentiel », a déclaré l’agence des Nations Unies.

[Voir aussi :
Moscou accuse Kiev et Washington d’avoir mené des «programmes biologiques militaires» en Ukraine. Mise à jour]

Le rapport intervient après un va-et-vient tendu entre les responsables américains et russes sur les biolabs « dangereux » dans le pays – avec la Russie, puis la Chine, accusant l’armée américaine d’être impliquée dans les biolabs ukrainiens.

Mercredi, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a répété une affirmation de longue date selon laquelle les États-Unis exploitent un laboratoire de guerre biologique en Ukraine, une accusation qui a été niée à plusieurs reprises par Washington et Kiev.

Zakharova a déclaré que les documents découverts par les forces russes en Ukraine montraient « une tentative d’urgence d’effacer les preuves de programmes biologiques militaires » en détruisant des échantillons de laboratoire. -Reuters

Les États-Unis ont nié les allégations – publiant (entre autres) une déclaration jeudi selon laquelle « les États-Unis n’ont pas de laboratoires d’armes chimiques ou biologiques en Ukraine », ajoutant que l’Amérique « ne développe ni ne possède d’armes chimiques et biologiques nulle part ».

Mardi, la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland a reconnu que l’Ukraine « dispose d’installations de recherche biologique, dont nous sommes maintenant très préoccupés par les troupes russes, que les forces russes pourraient chercher à contrôler. Nous travaillons donc avec les Ukrainiens sur la façon dont ils peuvent empêcher que l’un de ces matériaux de recherche ne tombe entre les mains des forces russes s’ils s’approchent. »

La réponse de Nuland a clairement indiqué que tout ce qui se trouve à l’intérieur des biolabs ukrainiens est une grave préoccupation, mais il convient de noter qu’il n’y a aucune preuve publique d’armes biologiques, et la déclaration de l’OMS ne fait pas référence à la guerre biologique – qui est une question distincte de celle de savoir si les laboratoires contenaient, ou contiennent, des agents pathogènes dangereux qui pourraient être utilisés dans une arme biologique.

En réponse à l’affirmation de mercredi de la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, selon laquelle les États-Unis exploitent un laboratoire de guerre biologique en Ukraine, un porte-parole présidentiel ukrainien a déclaré: « L’Ukraine nie strictement une telle allégation ».

Le Conseil de sécurité de l’ONU se réunira vendredi à la demande de la Russie pour discuter des revendications.




Relation de cause à effet établie statistiquement entre les vaccins Covid-19 à ARN messager et la survenue de myocardite et péricardite chez les personnes de 12 à 50 ans en France

[Source : adoptetapolitiquesanitaire.fr]

Par Dr Denis AGRET

Dans cet excellent article produit par le gouvernement et les instances qui le servent — la CNAM (Caisse Nationale d’Assurance Maladie) et l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament), vous pourrez lire et constater l’association statistique prouvée entre les vaccins Covid-19 à ARN messager et la survenue de myocardite et péricardite chez les personnes de 12 à 50 ans en France.

Association entre les vaccins Covid-19 à ARN messager et la survenue de myocardite et péricardite chez les personnes de 12 à 50 ans en France | L’Assurance Maladie (ameli.fr)

Il s’agit d’une étude cas témoin sans précédent qui a été totalement cachée, enterrée par les médias.

La seule chose qui a été mise en avant est : « De façon rassurante, l’évolution clinique des cas de myocardite et de péricardite apparaît généralement favorable. Sur la période étudiée, aucun décès n’a été rapporté parmi les personnes hospitalisées pour une myocardite ou une péricardite suite à la vaccination. ».

Cette phrase est totalement fausse et ne fait aucunement état du détail de la relation de cause à effet largement établi statistiquement.

L’évolution de myocardite comme dans cet article est plus qu’incertaine à moyen et long terme et peut conduire à des aggravations cardiaques cliniques pouvant entraîner des handicaps majeurs voir des décès.

Par exemple des complications : insuffisance cardiaque gauche, arythmie fibrillation auriculaire ou ventriculaire, cardiomyopathie dilatée, voir décès par fibrillation ventriculaire ou insuffisance cardiaque

Myocarditis and inflammatory cardiomyopathy : current evidence and future directions — PubMed (nih.gov)

« Le nombre de cas apparaît peu fréquent au regard du nombre élevé de doses administrées ». Cette phrase est également fausse étant donné que le nombre de doses réellement administrées, le dénominateur, est faux.

En effet, de très nombreux médecins, pharmaciens, infirmiers ont faussement injectés les patients, soit en leur administrant pour protéger leurs patients du sérum physiologique, soit en renseignant simplement les patients (nom, prénom, date de naissance, numéro de sécurité social) dans le logiciel de l’Assurance Maladie https://vaccination-covid.ameli.fr/

Il conviendra demain de demander aux Français et aux médecins, sans risque de sanction, de faire une déclaration sur l’honneur qu’ils n’ont pas reçu le vrai produit, mais on bénéficiait d’un faux afin de rétablir les vraies données de personnes réellement injectées avec ARNm.

Pour 6 millions de personnes adultes de plus de 18 ans, chiffre publié par la DGS en décembre 2021, au moins deux fois plus de personnes ont bénéficié de fausse déclaration gratuite (y compris par des agents de la CNAM !) ou payante. Ceci nous amène à au moins 18 millions d’adultes ont reçu zéro dose.

Le nombre de moins de 18 ans en France est de 15 millions, il y a au maximum un million de mineurs vaccinés, ceci nous amène à 14 millions de zéro dose chez les moins de 18 ans.

Au total, au moins 32 millions de Français n’ont pas reçu d’injection à ARNm !

« Depuis juillet 2021, les myocardites et les péricardites sont considérées comme des effets indésirables pouvant survenir suite à une vaccination contre le COVID-19 par un vaccin à ARN messager ».

Bizarrement, c’est en juillet que j’ai fait la vidéo avec Céline Caron sur son fils victime d’une myocardite grave ! (20+) Facebook

La période de cette étude est très restreinte : entre le 12 mai et le 31 août 2021.

Parmi les 919 cas de myocardites, 32,9 % avaient été exposés à une vaccination récente par un vaccin à ARNm

Pour l’ensemble de la population, le risque de myocardite était augmenté dans les sept jours suivant la vaccination pour les deux vaccins (Tableau 2).

Dans les analyses multivariées, l’odds-ratio associé à l’administration du vaccin Pfizer-BioNTech est de 1,66 [intervalle de confiance à 95 % : 1,16-2,37] pour la première dose et 6.88 [5,28-8,96] pour la deuxième dose. L’odds-ratio associé à l’administration du vaccin Moderna est de 2,76 [1,26-6,04] pour la première dose et 25.8 [15,8-42,1] pour la deuxième dose.

Le risque de myocardite lié à la vaccination était particulièrement marqué chez les hommes de 12 à 29 ans (Tableau 4). Parmi eux, ce risque était augmenté dans les sept jours suivant les deux doses du vaccin PfizerBioNTech (OR = 2,1 [1,3-3,5] pour la dose 1 et 10,9 [7,6-15,8] pour la dose 2) et la deuxième dose du vaccin Moderna (OR = 79,8 [29,8-213,4]).

« Plusieurs arguments plaident en faveur de la nature causale de l’association entre l’exposition aux vaccins à ARNm et les risques de myocardite et péricardite. Premièrement, l’ampleur des mesures d’association apparaît élevée après ajustement sur les antécédents de chacune de ces pathologies et d’infection par le SARS-CoV-2. Deuxièmement, l’excès de cas intervient dans une période de faible circulation des virus respiratoires courants connus pour être associés au risque de myocardite. Troisièmement, pour les deux pathologies, le délai de survenue après l’exposition au vaccin est très court, notamment après la deuxième dose. Quatrièmement, dans la majorité des cas, l’association avec la pathologie n’est plus retrouvée passés sept jours après l’exposition. Enfin, nos résultats sont concordants avec ceux rapportés en France par le système de pharmacovigilance et dans d’autres pays à partir de sources de données variées, à la fois quant aux caractéristiques et à l’évolution des cas, aux catégories de population concernées et à la relation temporelle entre exposition et évènement, suggérant un mécanisme sous-jacent uniforme [10] ; et également quant au risque particulièrement marqué du vaccin Moderna. »

Les conclusions de cette étude qui date de novembre 2021 montrent un sur risque majeur lié à la vaccination que cela soit pour les myocardites ou les péricardites.

Ces conclusions auraient dû et devraient toujours entraîner l’activation du principe de précaution et l’arrêt de toute vaccination chez les populations de 12 à 50 ans !

Il est donc indispensable qu’à la lecture de ce texte et de ma vidéo, les responsables politiques députés, sénateurs demandent instamment l’arrêt en France de la totalité de ces vaccins et la démission des personnes responsables.

Il conviendra de refaire la même étude sur toute la période de la campagne de vaccination de janvier 2021 à décembre 2021 !

Il est indispensable de refaire la même étude sur l’Association entre les vaccins Covid-19 à ARN messager et la survenue de Décès chez les personnes de 12 à 50 ans en France !!!

Signé Dr Denis AGRET


[Voir aussi :]

L’armée américaine constate l’énorme augmentation des maladies après vaccination pour cette profession très surveillée au niveau santé, déclaration sous serment :

Navigants libres, des pilotes de ligne alertent sur les effets secondaires de la vaccination qui mettent en péril le personnel mais également les passagers :

https://www.francesoir.fr/videos-pause-interview/francois-navigants-libres

22 700 morts du vaccin en juillet 2021 eudravigilance par Vincent Pavant

https://crowdbunker.com/v/WAyfn2c46t



22 000 morts et 2 millions d’effets indésirables en Europe en aout 2021

Mucchielli : 3,5 morts pour 100 000 vaccinés en France et aux USA

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/laurent-mucchielli-alerte

Pharmacovigilance américaine VAERS : nombre de mort vaccins covid par rapport aux autres vaccins depuis 1990 : photo graphique

https://docteur.nicoledelepine.fr/injections-geniques-anticovid-effets-indesirables-catastrophiques-et-trop-meconnus/

Le nombre de décès post vaccination devrait être multiplié par 20 selon une étude : 36 000 morts en Europe x20 soit 720 000 morts au 21 janvier 2022

Pharmacovigilance vaccinale Surya Arby CSI 6 : challenge /dé-challenge /re-challenge :

https://crowdbunker.com/v/WrCQ1YBVNX



Comment les labos biaisent les données Surya Arby CSI 38 et 41 :



https://crowdbunker.com/v/A3DGOT3Aqc



https://crowdbunker.com/v/wfrSMuTSja



Pharmacovigilance passive seulement 1 à 10% de remontées

Pierre Chaillot csi 15

https://crowdbunker.com/v/BmuOfA3Xm9



Comparaison 2021 par rapport aux 20 années précédentes, Emmanuelle Darles CSI 2, Alarmant !

https://crowdbunker.com/v/JbbGxyje8u



Reportage la face cachée des vaccins :

https://crowdbunker.com/v/STy8gZn9Rc



Rapport explosif Christine Cotton analyse les essais Pfizer :

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-essais-pfizer

Le gouvernement a évoqué la fin du pass vaccinal pour fin mars-début avril. Mais en parallèle, il semble travailler sur un nouveau QR code qui permettrait de vérifier l’identité du porteur du pass vaccinal. Deux objectifs qui semblent contradictoires :

le professeur Luc Montagnier parle des risques de maladies à prions

https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/pr-luc-montagnier-vaccination-prions




Il faut impérativement sauver les enfants de l’injection inutile et dangereuse, et refuser les ukases de la CPAM

Par Nicole Delépine

Il ne faut pas se laisser endormir par la suspension transitoire du pass à l’occasion des élections. Le silence des médias sur le covid depuis la guerre Ukraine-Russie ne doit pas vous tromper. Vos enfants restent en danger par la volonté persistante du pouvoir de les injecter.

Même la suppression du masque à l’école reste floue laissant persister la peur chez les enseignants, leurs syndicats et les enfants eux-mêmes. Il est clair que le pouvoir laissera subsister le scénario tragique aussi longtemps qu’il le pourra, menaçant d’autres virus si la peur de sars cov2 tombe trop vite.

Tant que tous ne seront pas injectés, et que les rappels pluriannuels ne seront pas rentrés dans les mœurs, ce pouvoir mondialiste tentera de nous maintenir la tête sous l’eau via les films d’horreur dans un temps où la fiction et la réalité ne sont plus évidentes à distinguer pour chacun d’entre nous tant la désinformation tient le haut du pavé.

La CPAM a osé rappeler aux médecins généralistes leur « devoir » de « vacciner les enfants » !

Faut-il répéter une nouvelle fois que les enfants ne risquent rien du covid, ne contaminent personne, ni les autres enfants, ni les adultes.(([1] https://docteur.nicoledelepine.fr/wp-content/uploads/2022/03/enfants-et-covid-1-MARS-22.pdf avec le diaporama sur l’absence d’efficacité des masques et leurs nombreuses complications)) Faut-il rappeler que les « vaxxins ne protègent pas des contaminations ni des formes graves » ?

Comment accepter ce nouvel ukase ? Alors que l’on dénombre en France déjà 44 enfants décédés de cette injection expérimentale en fin février selon l’ANSM elle-même, et 241 en UE au 1er janvier 2022 selon l’Eudravigilance, site des accidents médicamenteux de l’agence européenne.

La CPAM obéit au gouvernement qui ne « connaît » pas ou ne veut pas connaître les données sur l’inutilité et la dangerosité de la vaccination des enfants. Il a déjà commandé des doses et maintient le mythe de la protection vaccinale en imposant le pass sanitaire à l’hôpital et la vaccination aux soignants. C’est insupportable et le pire est la soumission des patients, des soignants, des médecins, des citoyens. Encore aujourd’hui, vous serez rejeté de l’hôpital si vous accompagnez votre vieille maman pour une urgence médicale, et que vous n’êtes pas vacciné, alors que l’épidémie est terminée selon l’aveu même du pouvoir. Et si vous n’êtes pas injecté, on vous retirera la tutelle de votre proche handicapé qui se verra injecté sans plus de discussion. De quel droit ? De quel droit les handicapés placés sont-ils devenus une chair à canon pour l’expérimentation mondiale avec ces substances géniques en essai ?

Des morts, des enfants perdus pour leur avenir sportif après une atteinte cardiaque lors d’un effort pour ceux qui survivront, des enfants devenus aveugles… Tout ça pour ça…, pour ne pas dire qu’on s’est fourvoyé en mettant trop vite sur le marché une « sorte de médicament »,(([2] Selon l’expression récente du Pr Delfraissy)) une injection expérimentale.

Voici le courrier adressé aux médecins par la CPAM destiné à favoriser la vaccination des enfants dès l’âge de 5 ans ! Comment ne pas tenir compte des chiffres français et internationaux sur le danger de ces vaccins complètement inutiles chez l’enfant ? Ces médecins ou ces administratifs, voire des juges pour les handicapés sous tutelle, qui imposent la vax se rendent-ils compte de la responsabilité pénale qu’ils encourent pour mise en danger de la vie d’autrui en cas de complication, voire de décès de l’enfant injecté ?

Le docteur Denis Agret a rappelé les données publiées par l’ANSM, l’agence du médicament française, le 5 mars 2022 lors d’une manifestation à Montpellier. La vidéo a sauté.

Nous avons fait récemment le point des effets secondaires avoués par les agences des différents pays,(([3] https://docteur.nicoledelepine.fr/le-point-sur-les-complications-des-pseudovaccins-anticovid-au-4-mars-2022/)) bien inférieurs probablement à la réalité, mais quand l’UE reconnaît près de 40 000 décès liés aux injections, que faut-il de plus pour exiger un ARRÊT IMMÉDIAT des pseudovaccins sans utilité contre la pandémie, mais avec d’énormes risques de décès ou aussi de handicaps (pour certains définitifs). De nombreux articles fouillés démontrent que les effets secondaires que nous découvrons avec horreur jour après jour étaient connus d’emblée par Pfizer et que les agences ont néanmoins donné des autorisations « provisoires ».

Lisez la belle mise au point de Patrice Gibertie sur son blog et vous tremblerez. Ils savaient…(([4] https://pgibertie.com/2022/03/09/mise-en-danger-de-la-vie-dautrui-ils-savaient-et-pourtant-ils-ont-meme-pique-des-enfants-et-des-femmes-enceintes/)) Et ils continuent : « Le vaccin ARNm produit plus de spike qu’une grosse infection et on a plus de mal à soigner les effets secondaires graves (très nombreux) que le COVID, même avancé. Le scandale : les effets secondaires sont connus depuis longtemps, les risques pour l’ADN, les risques pour les enfants, tout était connu et ils ont recommandé les injections ».

Vous avez eu trois doses, pour de toutes nouvelles études les mécanismes de la protéine spike injectée sont en pire ceux de la maladie contractée, certains ont même contracté un covid vaccinal symptomatique avec des formes aussi graves que la maladie. »

Moratoire, arrêt immédiat : c’est ce qu’ont redemandé une nouvelle fois des médecins anglais(([5] Open Letter from the Children’s Covid Vaccines Advisory Group (CCVAG) to the JCVI: Pause vaccines for children pending urgent review — HART (hartgroup.org) )) et d’autres insistent sur les risques des femmes enceintes pourtant poussées encore récemment par la DGS à la vaccination !(([6] FOIA docs reveal Pfizer shot caused avalanche of miscarriages, stillborn babies—LifeSite (lifesitenews.com) ))

Et pourtant la pandémie si elle a eu lieu est bel et bien terminée. Les chiffres officiels publiés : https://covid.irsan.eu 21 malades/100 000 habitants le 5 mars 2022. L’IRSAN est dirigé par Laurent Toubiana. Le seuil épidémique est à 170 malades/100 000 h !

QUE FAUDRA-T-IL POUR FAIRE TOMBER LE MYTHE DE LA PANDÉMIE ET DE L’EFFICACITÉ DES INJECTIONS ?

Le mur de Berlin n’est tombé qu’en 1989 après construction et blocage des populations depuis 1961. Soyons patients ou mieux révoltés et informons malgré la redoutable efficacité des fabricants de mensonges tant sur les médias que sur les réseaux sociaux. Revenir aux messages papier, aux tracts, serait peut-être la meilleure solution. À chacun son idée, sa méthode, tout est bon à prendre sauf la soumission qui détruirait l’avenir de nos enfants.




Les Européens seront-ils esclaves dans quatre mois ?

[Source : ns2017 et courriel]

Par anne

LE MESSAGE SUIVANT VIENT D’UN POST HOLLANDAIS SUR TÉLÉGRAM…

Les citoyens serviles ont été trompés une fois de plus après l’annonce faite lors de la conférence de presse et sont heureux des « assouplissements ».

Ils ont encore une fois été distraits avec tact sur ce qui va vraiment arriver !

Après le 30 juin 2022

  • Le Conseil de l’Europe a modifié sa résolution 2361 et ne s’oppose plus à la vaccination obligatoire.
  • L’UE a annoncé une « législation » pour les certificats obligatoires EU COVID 19 à partir du 1er juillet 2022 qui supprimera toutes les libertés si vous n’avez pas de certificat QR covid.

Kuipers signera cette « loi » européenne en mai 2022. S’il y a une majorité d’États membres, la vaccination forcée sera introduite !

  • À la fin de 2022/2023, il y aura une monnaie numérique. Personne ne pourra alors récupérer son argent !
  • L’UE impose une carte d’identité numérique à chaque citoyen européen sans consultation.
    Il suffit de regarder dans « mon gouvernement, digiD », il est déjà là !
  • Tous les guichets automatiques seront remplacés par des guichets à code QR dans un avenir proche.
    La Belgique est déjà en train de les installer.
  • Lorsque ces machines à code QR seront intégrées, il ne sera plus possible de retirer des espèces dans les banques et ailleurs.
  • L’UE a pour objectif de rendre l’argent liquide complètement sans valeur d’ici un an et demi. Il n’y aura plus d’argent noir.
  • L’UE / le « gouvernement néerlandais » prépare un quota de CO2 climatique pour chaque citoyen !
    Vous avez consommé trop d’essence, alors vous ne conduirez pas pendant une semaine.
    Utilisé trop d’électricité ou mangé trop de viande etc. etc…
  • L’UE supprime l’intégrité physique de chaque être humain pour toujours !
  • Vaccinés, Big Pharma / UE est déjà le propriétaire de votre corps que vous l’acceptiez ou non !
    Nous sommes devenus des corps d’internet.
    Et ce n’est pas un mythe !
    Regardez le brevet établi par Big Pharma le 28 mars 2021 :
    https://patents.google.com/patent/US20210082583A1/en…
  • Alors ne prenez pas de rappels de mise à jour, car tous les droits expirent !

‼️ SI NOUS NE PRENONS PAS DE RÉELLES MESURES CONTRE CES CRIMINELS TRÈS BIENTÔT‼️.
alors d’ici deux ans, vaccinés ou non, nous serons tous enfermés dans le camp de concentration numérique de l’ UE ! !!

(Ce qui précède est basé sur des sources et des documents originaux de l’UE, du Conseil de l’Europe, du gouvernement néerlandais, du WEF, de l’OMS et des contrats de Big Pharma.
Ils sont publics et accessibles à tous)

JE viens de traduire ce texte le reste est visible sur le lien que je mettrais en fin de texte ….

Méthodes et systèmes permettant de donner la priorité aux traitements, aux vaccinations, aux tests et/ou aux activités tout en protégeant la vie privée des personnes.
Résumé
Un aspect de certains modes de réalisation de l’invention concerne un système et des méthodes pour sélectionner de manière anonyme des sujets pour un traitement contre une maladie infectieuse causée par un agent pathogène, comprenant : 1. une pluralité de dispositifs électroniques configurés avec des instructions pour générer un identifiant, lorsqu’ils sont à proximité d’un autre dispositif électronique de ce type, l’un ou les deux parmi la transmission dudit identifiant audit autre dispositif électronique et la réception d’un identifiant dudit autre dispositif électronique, la génération d’un score sur la base d’une pluralité de ces identifiants reçus, la réception d’informations d’un serveur, l’affichage d’instructions de traitement pertinentes pour lesdits sujets sur la base des informations reçues ; 2. au moins un serveur comprenant des instructions pour envoyer à ladite pluralité de dispositifs électroniques des informations pour afficher lesdites instructions de traitement pertinentes ; où ledit au moins un serveur ou lesdits dispositifs électroniques comprennent des instructions pour générer une prédiction de la probabilité qu’un sujet transmette ledit agent pathogène, sur la base d’un score du sujet.

https://patents.google.com/patent/US20210082583A1/en




Vous aviez raison, Président Thabo Mbeki

Par Hügo Krüger — 24 novembre 2021

Traduction : Jean Bitterlin

L’histoire du VIH/SIDA

« La vérité est la fille du temps, non celle de l’autorité. »

Sir Francis Bacon

Je suis persuadé par les arguments selon lesquels le VIH ne cause pas le SIDA et que, comme le Président Thabo Mbeki, j’ai fait l’effort indescriptible d’examiner les preuves pour ensuite décider de changer d’avis.

Le scandale a débuté le 23 avril 1984

1984 était une année d’élections et le président américain Ronald Reagan n’avait pas dit un mot sur le SIDA. Pour empêcher le Parti Démocrate de faire du SIDA un sujet de campagne, Margaret Heckler, Secrétaire d’État de la Santé et des Services à la Personne, a organisé une conférence de presse où elle a déclaré que la cause du SIDA avait été trouvée. Le coupable était un rétrovirus découvert par le Dr Robert Gallo. Ronald Reagan fut réélu.

L’histoire qui était « trop grosse pour échouer » était remplie de lacunes et cela devint clair lorsqu’en 1992 une Enquête Fédérale américaine a révélé que le Dr Robert Gallo avait commis une fraude scientifique.

Après trois années d’enquête, le Bureau Fédéral de l’Intégrité de la Recherche a découvert ce jour que le Dr Robert Gallo, le codécouvreur de la cause du SIDA avait commis une faute scientifique. Les enquêteurs ont dit qu’il avait « faussement rapporté » un fait critique dans l’article scientifique de 1984 dans lequel il décrivait l’isolation du virus qui cause le SIDA.

Le nouveau rapport disait que le Dr Gallo avait intentionnellement induit des collègues en erreur afin d’en tirer profit et de diminuer le mérite qui revenait à ses concurrents français. Le rapport disait également que sa fausse déclaration avait « entravé le potentiel progrès de la recherche sur le SIDA » en détournant les scientifiques d’un travail potentiellement fécond avec les chercheurs français.

Le SIDA en Afrique du Sud

Aucune maladie n’a autant secoué la psyché sud-africaine que le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA). Durant ma scolarité on disait que la pandémie se répandait dans tout le pays et cela emporta les médias, les ministères, les commerces et le système éducatif dans une frénésie — une situation qui est comparable à ce que nous vivons aujourd’hui avec le coronavirus. En Afrique du Sud des rubans rouges ont été placés sur chaque communication, les enfants ont dû apprendre les avantages des pratiques sexuelles sans risque et les églises avaient des prières d’ouverture et de fermeture (des offices — NdT) pour demander une bénédiction du Tout-Puissant pour ceux qui souffrent de la maladie mortelle. Dans son allocution sur « son plus grand regret lorsqu’il était en fonction » l’ancien président Nelson Mandela a passé ses années de retraite avec des influenceurs comme Bono, Oprah Winfrey et les Spice Girls pour sensibiliser sur les habitudes de vie dangereuses qui conduisent à l’infection au VIH et au développement du SIDA.

Et qui pourrait oublier le courageux Nkosi Johnson, l’orphelin du SIDA, qui s’est exprimé contre le Président Thabo Mbeki en 2000 lors de la conférence du SIDA à Durban et l’a supplié en public afin que d’autres enfants comme lui puissent avoir accès aux médicaments antirétroviraux. Puis il y a eu la ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang, étiquetée par le Mail et le Guardian comme « Dr Betterave » après qu’elle ait suggéré que la betterave et l’ail pouvaient traiter la maladie à la conférence Internationale sur le SIDA de Toronto en 2006. Lors d’une interview avec John Robbie le présentateur de Radio 702, on lui a demandé si elle croyait vraiment que le VIH cause le SIDA ? Robbie lui a dit en colère et probablement sans réfléchir « de partir » — suscitant une compréhensible accusation de racisme, car c’était souvent le ton de langage que la femme noire subissait sous l’Apartheid.

Dans les médias on disait que Thabo Mbeki s’associait avec des hurluberlus négationnistes du SIDA et qu’il était obstiné et irresponsable pour avoir retardé le déploiement des médicaments antirétroviraux chez les plus pauvres d’entre les pauvres. Au Parlement, lorsque Ryan Coetze, porte-parole de l’Alliance Démocratique, lui a demandé « s’il pensait vraiment que le VIH ne cause pas le SIDA » il en a résulté une autre accusation de racisme. En opposition aux mesures du gouvernement, une nouvelle forme d’activisme est née, appelée « Militants du SIDA » qui comprenait notamment Zachie Achmat, Nathan Geffen et Mark Heywood de la Treatment Action Campaign (association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zachie Achmat — NdT).

Le nombre de victimes causé par le négationnisme du Président Mbeki a été estimé être de l’ordre d’un quart de million de Sud-Africains, ce qui a conduit la Ligue de la Jeunesse du Parti Communiste à exiger qu’il soit jugé pour génocide. La négligence de Thabo Mbeki a contribué à sa défaite politique lors de la conférence Polokwane (réunion du Congrès National Africain ou ANC, parti de Nelson Mandela — NdT) et d’être destitué pendant son dernier mandat. Le Congrès National Africain (ANC) le remplaça par un président plus charismatique, Jacob Zuma dont le premier acte d’arrivée au pouvoir a été de prendre ses distances de « l’ère du déni » du pays. Jacob Zuma débuta un déploiement massif des antirétroviraux, et fait rare dans les dissensions des politiques sud-africaines, il a été temporairement loué par la leader du parti d’opposition Helen Zille. Zille se sentait très fortement concernée par le sujet du SIDA, si fortement que quelques années plus tard elle a préconisé la criminalisation de la transmission du VIH dans ce qu’un commentateur a désigné comme étant « une Gestapo du SIDA ».

Jusqu’à il y a deux ans, je ne pouvais pas comprendre la pandémie VIH/SIDA en Afrique du Sud et pour quelle raison Thabo Mbeki, qui était très intelligent, semblait si têtu sur la question. Comment se faisait-il que lui et son gouvernement étaient si sensibles aux critiques et recouraient souvent à des accusations infondées de racisme lorsqu’ils faisaient l’objet de pressions sur la question ? L’attitude m’a frappé comme étant absurde, mais c’était jusqu’à ce que je réalise que j’étais un de ceux qui assumaient simplement ce qu’il disait et qui n’écoutait pas ce qu’il disait.

Le mensonge VIH/SIDA remonte à la mauvaise interprétation de la tentative d’isolation initiale faite par le virologue français Luc Montagnier. Mon opinion se fonde sur les découvertes du Groupe de Perth en Australie, dont le travail est souvent cité dans le nouveau livre « Virus Mania » (coécrit par le journaliste allemand Torsten Engelbrecht — un livre à lire absolument — NdT). Le Groupe de Perth a convaincu le Président Thabo Mbeki que nous examinons la maladie VIH/SIDA à travers le mauvais paradigme et j’encourage ceux qui ne sont pas d’accord avec moi à au moins lire leur travail scientifique. Le Groupe de Perth a non seulement révélé que le VIH ne cause pas le SIDA, mais c’était le début du regain d’intérêt de la « Théorie écologique » de la maladie. L’idée que tout le fondement de la Théorie du Germe repose sur des bases fragiles et que les conditions environnementales jouent également un rôle important dans la progression de la maladie.

Mon voyage dans le SIDA

Durant la pandémie Covid-19, moi-même et de nombreux autres avons été atterrés lorsque des voix dissidentes provenant de scientifiques qui s’opposaient au confinement pour des raisons de santé publique ont été réduites au silence, et qu’on a découragé le recours à des médicaments hors homologation pour faire passer un vaccin à ARNm mis au point dans la précipitation sans disposer de données appropriées sur la sécurité à long terme. En niant la vérité, les autorités ont lancé une des campagnes de propagande médiatiques les plus sophistiquées de l’Histoire moderne de l’Humanité.

Comme l’ont montré récemment le physicien Denis Rancourt et ses collègues, les données ne suggèrent pas qu’il y a une dangereuse pandémie Covid-19 puisqu’il est évident que la mortalité toutes causes confondues aux États-Unis, en Europe et au Canada n’a que peu changé durant ces deux dernières années. En parcourant les données de mortalité, je suis surpris combien les médias et la population en général ne savent ni lire ni compter. Les humains ont tout simplement du mal à mettre les chiffres dans une perspective compréhensible surtout lorsqu’il y a une tentative délibérée des autorités de répandre la peur, d’induire en erreur et de monopoliser la vérité. Je ne peux que conclure qu’il n’y a qu’une pandémie de peur qui provient de la nature peu fiable du test PCR et de la non-spécificité des tests anticorps.

En faisant ma recherche et mes interviews sur le Covid-19, il devint évident que le Covid-19 n’était pas le premier des nombreux crimes commis par le Dr Fauci et que les techniques actuellement déployées pour manipuler le public à l’échelle mondiale ont été expérimentées durant la pandémie du SIDA.

L’AZT – Poison par prescription

Mon exploration dans la question VIH/SIDA est venue lorsque je suis tombé sur un article de l’épidémiologiste de Yale, le Dr Harvey Risch, qui rapportait le refus d’Anthony Fauci d’autoriser dans les années 1980 le médicament Bactrim aux homosexuels masculins. Le Bactrim, tout comme l’Ivermectine, était un médicament hors homologation qui aurait pu traiter la pneumonie à pneumocystis associée et que de nos jours les médecins utilisent couramment comme faisant partie du Protocole du SIDA HAART. Probablement pour apaiser ses amis de l’industrie pharmaceutique Anthony Fauci a décidé de bloquer le déploiement du médicament pendant près de deux ans et de promouvoir un médicament connu sous le nom d’AZT sans que des essais cliniques appropriés aient été faits. Tout comme pour le vaccin Covid-19, le groupe placébo a été délibérément cassé pour cacher les risques de fond et la criminalité n’a été révélée qu’après qu’un militant gay du nom de John Lauritsen ait enquêté sur le processus d’approbation de la FDA. Le Dr Risch a souligné que bien que le médicament AZT fonctionnait, il était très toxique aux doses initiales, mais comme j’en ai lu davantage sur la toxicité dans le livre de John (Lauritsen – NdT) « Le Poison par Prescription » tout le couvercle sur le VIH et le SIDA s’est soulevé. De plus, à la fin de l’an passé, Neville Hodgkinson, un ancien correspondant scientifique du Sunday Times a soulevé mes soupçons lorsqu’il a écrit que les supercheries Covid-19 avaient été expérimentées pendant la pandémie VIH/SIDA, ce qui m’a amené à poser la question simple :

« Que savait le Président Mbeki au sujet du VIH/SIDA ? »

Que disaient les dissidents et pourquoi avaient-ils tort ? Il s’avère que je suis maintenant d’avis que non seulement le Président Mbeki avait raison, mais qu’il avait raison de se poser des questions sur la toxicité des antirétroviraux et en particulier de l’AZT (plus tard appelé zidovudine). L’AZT — initialement conçu comme chimiothérapie anticancéreuse — cible la synthèse de l’ADN, la base de toute vie et après son utilisation généralisée, le taux de « décès SIDA » parmi les homosexuels masculins a été multiplié par 10. Récemment un ancien documentaire de la BBC intitulé « Les Enfants Cobayes » a refait surface, documentaire qui exposait comment on s’est servi d’enfants orphelins de New York dans les essais de l’AZT — la plupart d’entre eux en sont décédés.

Le médecin spécialiste du VIH/SIDA Joseph Sonnabend, né en Afrique du Sud, a qualifié l’AZT « d’incompatible avec la vie » — la définition même du poison. John Lauritsen a estimé que l’AZT a tué 330 000 homosexuels masculins aux États-Unis et à la Conférence de Vienne sur le SIDA il a prononcé un discours émouvant où il n’a pas hésité à utiliser le terme de « génocide gay » en l’honneur des jeunes hommes homosexuels qui ont pris le poison en pensant qu’il allait les guérir alors qu’en fait il les a emportés dans leurs tombes.

Pourtant c’était ce médicament que les militants de l’association Treatment Action Campaign (TAC – Campagne d’Action pour le Traitement, association sud-africaine contre le SIDA fondée par Zackie Achmat en 1998 – NdT – une façade de relations publiques pour Big Pharma) voulaient que le Président Thabo Mbeki importe en Afrique du Sud. Pendant la pandémie Covid-19, la TAC et Nathan Geffen en particulier ont écrit une série d’articles montés de toutes pièces sur l’association PANDA de Nick Hudson après qu’il ait remis en question les statistiques de vaccination du gouvernement de la Province du Cap Occidental. (PANDA est une association dont les membres sont des professionnels multidisciplinaires qui ont considéré que la réaction planétaire envers le Covid, et plus particulièrement les confinements, était exagérée – NdT). Les mêmes personnages qui avaient fait passer le profit avant les vies humaines durant la pandémie du SIDA refont la même chose avec la Covid-19.

En ce qui concerne l’Afrique du Sud, ce qui m’a encore davantage frappé c’étaient les paroles de Nkosi Johnson à la conférence de Durban sur le SIDA qui ont été publiées par les médias du Monde entier.

« Je déteste avoir le SIDA parce que je tombe très malade et je deviens très triste lorsque je pense à tous les autres enfants et nouveau-nés qui sont malades du SIDA. Je souhaite simplement que le gouvernement puisse commencer à donner l’AZT aux mères enceintes séropositives pour aider à empêcher la transmission du virus à leurs bébés ».

(Nkosi Johnson est né en 1989 et mort en 2001 ; il était né « avec le SIDA » et il est venu faire le discours ci-dessus à Durban en juillet 2000 — NdT)

L’histoire de Nkosi Johnson a-t-elle été utilisée par l’industrie pharmaceutique comme propagande émotionnelle pour vendre un médicament toxique, et quel était le médicament qu’il prenait avant de mourir ?

Le voyage de Mbeki — Débat sur le SIDA

Au cours de mon interview avec Anthony Brink, dissident du SIDA, il m’a raconté l’histoire comment Thabo Mbeki en vit à s’intéresser au débat, car, comme moi, cela a également commencé avec l’AZT. Brink était un avocat du barreau de Pietermaritzburg qui s’est intéressé à l’AZT après que la pression des médias ait commencé à pousser le gouvernement à prendre au sérieux la pandémie VIH/SIDA et à importer des (médicaments-NdT) antirétroviraux dans le pays. Sa femme l’a averti qu’il y avait sur Internet des discussions scientifiques au sujet de la toxicité des médicaments. Comme son intérêt sur le sujet grandissait, il a décidé d’écrire un livre de titre « Débats sur l’AZT » qui contenait toute la littérature médicale et scientifique sur la toxicité du médicament.

Brink m’a également mentionné qu’il connaissait un collègue avocat qui est décédé après avoir testé positif au VIH. Son partenaire juridique l’a informé qu’il prenait des antirétroviraux avant son décès. Brink a envoyé son manuscrit à la veuve et à sa grande horreur il a découvert que les symptômes étaient précisément ceux prédits par la littérature citée dans « Débats sur l’AZT ».

Brink a alerté la ministre de la Santé Nkosazana Dlamini-Zuma en envoyant à son bureau une copie de son livre, mais à ce moment-là Nelson Mandela était sur le point de quitter ses fonctions (de président de l’Afrique du Sud — NdT) et un de ses (à la ministre de la Santé – NdT) conseillers spéciaux, le Dr Ian Roberts, pensait qu’il valait mieux reporter le problème sur le prochain ministre de la Santé.

Immédiatement après avoir prêté serment, la première chose à l’ordre du jour du ministre de la Santé Manto Tshabalala-Msimang a été de passer en revue le livre d’Anthony Brink « Débat sur l’AZT ». Après avoir été informé des conclusions du livre, le Directeur Général à la Présidence de l’ANC, Smuts Ngonyama a appelé Brink et lui a demandé de rédiger la déclaration aux médias de l’ANC sur l’AZT. Mbeki a pris connaissance qu’il y avait un problème de toxicité avec les antirétroviraux et ceci l’a conduit à découvrir qu’il y avait autre chose que le virus du VIH dans le SIDA et que les médicaments eux-mêmes sont toxiques.

Comité consultatif

Débats sur le SIDA a déclenché une bombe en Afrique du Sud. Il a convaincu Mbeki d’écouter les arguments des dissidents du SIDA. Ils peuvent être trouvés sur le site Internet Virusmyth et dans le film documentaire « House of Numbers » (La Maison des Chiffres — visible, en anglais, sur le lien https://www.youtube.com/watch?v=qdJpBL6aBFQ — NdT). Les dissidents tout comme les scientifiques orthodoxes ont été invités à son Comité Consultatif sur le SIDA de mars 2000 qui s’est tenu à l’hôtel Sheraton à Prétoria. Parmi les participants à la première rencontre, il y avait des sceptiques du SIDA tels que le professeur Peter Duesberg, David Rasnick et le Professeur Sam Mhlongo de la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA pour Medical University of South Africa — NdT). Les scientifiques orthodoxes, parmi lesquels le Professeur Glenda Gray, le Professeur Salim S. Abdool-Karim, le Dr Malegapuru W. Makgoba et le découvreur du VIH le Dr Luc Montagnier, étaient également présents. Plus significatif encore, ce sont ceux qui n’ont pu participer qu’à la deuxième réunion, le Professeur Eleni Papadopoulos — Eleopoulos et le Dr Valander Turner connus sous le nom du « Groupe de Perth » (groupe de scientifiques de Perth en Australie – NdT). Brink m’a dit que Mbeki et Kgalema Motlanthe auraient finalement été persuadés par leurs arguments.

Le Rapport Consultatif Présidentiel donne le meilleur résumé des arguments pour ou contre l’hypothèse VIH/SIDA et c’est une tragédie pour l’Afrique du Sud que nos médias n’aient jamais correctement débattu des conclusions du rapport, car cela aurait dévoilé tout le scandale. Le rapport a une valeur considérable pour l’histoire de la médecine et pour la pandémie en Afrique du Sud. La Société de Télédiffusion sud-africaine a également refusé de diffuser les vidéos de l’événement, mais heureusement une partie du matériel a refait surface et est disponible grâce à des sources anonymes sur Odysee.

Il n’y a que peu d’interviews où l’on a donné à Thabo Mbeki une occasion honnête pour exprimer son opinion sur le SIDA, mais parmi celles-ci il y a un bon film « La Recherche de Solutions » qui a été diffusé par Carte blanche et télédiffusée qu’en Afrique.

Le seul débat honnête sur la toxicité de l’AZT a été diffusé en 2005 sur ETV. Il a présenté le Dr David Rasnick et le Dr Sam Mhlongo du côté opposé (à l’hypothèse orthodoxe — NdT) et le Dr Malegapuru W. Makgoba et le Professeur Ian Sanne (du côté orthodoxe — NdT).

Le Dr Sam Mhlongo était le chef du Département de Médecine Familiale et de Soins de Santé Médicale à la Faculté de Médecine d’Afrique du Sud (MEDUNSA). Durant des décennies le Dr Mhlongo a été exilé pour son opposition au régime d’apartheid. Après son retour en Afrique du Sud il a continué à combattre un nouvel ennemi : l’impact dévastateur du « commerce avec la maladie » de l’industrie pharmaceutique en Afrique du Sud.

Il était membre du Comité Consultatif Présidentiel sur le SIDA, où il a exploré et adopté des alternatives viables pour faire face à cette épidémie, en particulier pour les communautés pauvres et marginalisées. Le Dr Mhlongo est malheureusement décédé en 2006 dans un accident de voiture, ses réflexions sur le SIDA et sur les médicaments sont bien conservées en ligne.

L’hypothèse VIH — SIDA

Dans le rapport consultatif de Mbeki, je vais souligner quelques déclarations qui montrent les raisons pour lesquelles moi aussi je rejette l’hypothèse VIH et pour quelles raisons il contient des leçons pour le Covid-19.

Une préoccupation particulière soulevée par certains membres du comité était qu’après 15 années de recherches, il n’y avait pas d’« étalon d’or » (en anglais gold standard — référence absolue — NdT) pour mesurer la précision et la fiabilité des données générées à partir des méthodes généralement utilisées pour diagnostiquer de l’infection VIH.

Le test PCR

Les arguments contre l’utilisation de la PCR (polymerase chain reaction ou réaction de polymérisation en chaîne — NdT) sont que ce test est caractérisé par une grande variabilité et un manque de reproductibilité. En outre, la très grande variabilité peut conduire à une interprétation erronée des résultats, compromettant ainsi l’exactitude et la validité de la PCR. Le Dr Bialy avait souligné que le test de charge virale avec la PCR pourrait ne pas être une mesure légitime du virus infectieux. Cela démontre un niveau élevé de fluctuation, et la charge virale peut être augmentée non spécifiquement par d’autres infections virales et bactériennes (les infections opportunistes peuvent également augmenter la charge virale). Les résultats de la recherche indiquent qu’il se peut que le test de charge virale ne soit pas toujours un indicateur de la progression clinique du VIH vers le SIDA.

Le Dr Kary Mullis (hélas décédé le 7 août 2019 — NdT), l’inventeur de la PCR a dit en maintes occasions que les soi-disant tests PCR ne peuvent pas détecter une infection ou la présence du virus. Même la notice dit que les « tests » PCR ne peuvent pas être utilisés pour diagnostiquer le SIDA ou détecter la présence de VIH.

Il en va de même des tests anticorps notamment des tests Elisa et Western Blot. Ils ne vous disent rien sur un virus unique ou une infection.

Le test Elisa

L’absence de normalisation des résultats ELISA, tant à l’intérieur du pays qu’entre les pays, était une source de préoccupations majeures pour certains membres du comité consultatif. Les résultats des tests ELISA pouvaient être interprétés différemment au sein d’un même laboratoire, entre les laboratoires d’un même pays et entre les pays. Cela peut signifier qu’une personne testée positive dans un laboratoire d’Afrique du Sud pouvait être testée négative dans un autre laboratoire du même pays. En outre le manque de standardisation entre le pays pouvait entraîner qu’une personne soit positive dans un pays et négative dans un autre.

Le test Western Blot

Le Dr Papadopoulos-Eleopoulos a présenté une diapositive montrant les résultats d’un test Western Blot avec un certain nombre d’échantillons provenant de patients atteints de lèpre, de tuberculose et de SIDA. Il est apparu que les résultats du Western Blot des différents échantillons étaient indiscernables les uns des autres, montrant que le test Western Blot était non spécifique et non fiable. Tous les échantillons ont testé positif, même ceux des patients atteints de lèpre et de tuberculose. Au cours de délibérations ultérieures, le Dr Mark Smith a souligné que Max avait déjà démontré en 1994 les résultats indéterminés des tests Western Blot. Ce qui précède souligne le fait que le test Western Blot ne peut pas être utilisé comme outil de diagnostic déterminé.

Alors que fait-on d’un virus pour lequel il n’y a pas de test fiable qui indique sa présence ? Comment se fait-il que le grand public ait été entraîné dans une frénésie sur la base de résultats faux positifs ?

Comme me l’a confirmé un médecin, aujourd’hui la pratique consiste à utiliser à la fois les tests sanguins Elisa et western Blot ainsi que le test PCR pour mesurer une « charge virale » arbitraire et qui n’a aucune signification.

Mais si aucun des trois tests n’a de sens ? Quel est leur but lorsque les facteurs suivants sont connus pour causer des résultats de test anticorps au VIH qui sont de faux positifs ?

  • Les anticorps antiglucides (52, 19, 13)
  • Les anticorps apparaissant naturellement (5,19)
  • L’immunisation passive : réception de gammaglobuline ou d’immunoglobuline (en tant que prophylaxie contre l’infection qui contient des anticorps) (18, 26, 60, 4, 22, 42, 43, 13)
  • La lèpre (2, 25)
  • La tuberculose (25)
  • La Mycobacterium avium (25)
  • Le Lupus érythémateux disséminé (15, 23)
  • L’insuffisance rénale (48, 23, 13)
  • Hémodialyse/insuffisance rénale (56, 16, 41, 10, 49)
  • La thérapie par interféron alpha chez les patients hémodialysés (54)
  • La grippe (36)
  • La vaccination antigrippale (30, 11, 3, 20, 13, 43)
  • L’Herpès simplex I (27)
  • L’Herpès simplex II (11)
  • L’infection des voies respiratoires supérieures (rhume ou grippe) (11)
  • L’infection virale récente ou exposition à des vaccins viraux (11)
  • La grossesse chez les femmes multipares (58, 53, 13, 43, 36)
  • Le paludisme (ou malaria- -NdT) (6,12)
  • Des niveaux élevés de complexes immuns circulants (6, 33)
  • L’hypergammaglobulinémie (niveaux élevés d’anticorps) (40, 33)
  • Les faux positifs sur d’autres tests, parmi lesquels le test RPR (réactif au plasma rapide) pour la syphilis (17, 48, 33, 10, 49).
  • La polyarthrite rhumatoïde (36)
  • La vaccination Hépatite B (28, 21, 40, 43)
  • La vaccination antitétanique (40)
  • La transplantation d’organes (1, 36)
  • La transplantation rénale (35, 9, 48, 13, 56)
  • Les anticorps antilymphocytaires (56, 31)
  • Les anticorps anti-collagènes (trouvés chez des hommes gays, des hémophiles, des Africains des deux sexes et les personnes atteintes de la lèpre) (31)
  • Le sérum positif pour le facteur rhumatoïde, les anticorps antinucléaires (tous deux trouvés dans la polyarthrite rhumatoïde et dans d’autres auto-anticorps) (14, 62, 53)
  • Les maladies auto-immunes (44, 29, 10, 40, 49, 43) : Lupus érythémateux aigu disséminé, sclérodermie, maladie du tissu conjonctif, dermatomyosite.
  • Les infections virales aiguës, les infections virales à ADN (59, 48, 43, 53, 40, 13)
  • Les tumeurs malignes (cancers) (40)
  • L’hépatite alcoolique/maladie alcoolique du foie (32, 48, 40, 10, 13, 49, 43, 53)
  • L’angiocholite sclérosante primitive (48, 53)
  • L’Hépatite (54)
  • Le sang « collant » (chez les Africains) (38, 34, 40)
  • Les anticorps à haute affinité pour le polystyrène (utilisé dans les kits de test) (62, 40, 3)
  • Les transfusions sanguines, les multiples transfusions sanguines (63, 36, 13, 49, 43, 41)
  • Le myélome multiple (10, 43, 53)
  • Les anticorps HLA (aux antigènes leucocytaires de classe I et II) (7, 46, 63, 48, 10, 13, 49, 43, 53)
  • Les anticorps anti muscles lisses (48)
  • Les anticorps cellulaires antipariétaux (48)
  • Les IgM anti- hépatite A (anticorps) (48)
  • Les IgM anti-Hbc (48)
  • L’administration avant 1985 de préparation d’immunoglobulines humaines regroupées (10)
  • L’hémophilie (10, 49)
  • Les troubles malins hématologiques/lymphome (43, 53, 9, 48, 13)
  • La cirrhose biliaire primitive (43, 53, 9, 48, 13)
  • Le syndrome de Stevens-Johnson 9 (48, 13)
  • La fièvre Q avec hépatite associée (61)
  • Les spécimens traités thermiquement (51, 57, 24, 49, 48)
  • Le sérum lipidémique (sang avec des taux élevés de graisse ou de lipides) (49)
  • Le sérum hémolysé (sang où l’hémoglobine est séparée des globules rouges) (49)
  • L’hyperbilirubinémie (10, 13)
  • Les globulines produites lors des gammopathies polyclonales (que l’on peut observer dans les groupes à risques du SIDA) (10, 13, 48)
  • Les personnes en bonne santé suite à des réactions croisées mal comprises (10)
  • Les ribonucléoprotéines humaines normales (48, 13)
  • Les autres rétrovirus (8, 55, 14, 48, 13)
  • Les anticorps anti-mitochondriaux (48, 13)
  • Les anticorps antinucléaires (48, 13, 53)
  • Les anticorps anti-microsomiques (34)
  • Les anticorps antigéniques leucocytaires des lymphocytes T (48, 13)
  • Les protéines sur papier filtre (13)
  • Le virus Epstein Barr (37)
  • La leishmaniose viscérale (45)
  • Le sexe anal réceptif (39, 64)

L’expérience de Luc Montagnier

On dit que le virus de l’immunodéficience humaine a été découvert par le virologue français Luc Montagnier au début des années 1980. En 1990 à une conférence sur le SIDA à San Francisco Montagnier a exprimé son propre scepticisme envers l’hypothèse VIH.

« Le VIH n’est ni nécessaire ni suffisant pour causer le SIDA »

Luc Montagnier

Bien que ne s’éloignant jamais complètement de l’hypothèse VIH/SIDA, Montagnier, dans la série documentaire House of Numbers, a doublé la mise de son scepticisme, en particulier en ce qui concerne l’Afrique.

« Le SIDA ne conduit pas inévitablement à la mort, surtout si vous supprimez les cofacteurs qui soutiennent la maladie. Il est très important de dire cela aux personnes qui sont infectées, je pense que nous devrions accorder la même importance aux cofacteurs que nous en accordons au VIH. Les facteurs psychologiques sont essentiels dans le soutien de la fonction immunitaire. Si vous supprimez ce soutien psychologique en disant à quelqu’un qu’il est condamné à mourir, rien que vos seules paroles l’auront condamné ».

Luc Montagnier.

En 2000 lors du Comité Consultatif sur le SIDA de Mbeki, on a demandé à Montagnier s’il avait réellement « purifié » le VIH. Il a simplement dit qu’il s’agissait d’une vieille technique et qu’elle n’était plus valable. Le Groupe de Perth s’est élevé contre l’interprétation initiale de Montagnier.

Que le SIDA et tous les phénomènes interprétés comme « VIH » sont induits par des changements dans l’oxydoréduction provoqués par la nature oxydative des substances et des expositions communes à tous les groupes à risque du SIDA et aux cellules utilisées dans la « culture » et « l’isolation » du « VIH ».

Les problèmes avec l’isolation du VIH authentique sont bien présentés dans la longue l’interview de Bret Leung du Groupe de Perth dans le film House of Numbers et également sur le site Internet du Groupe de Perth.

Anthony Fauci

Aggravant la fraude de Gallo, Anthony Fauci a recyclé la hautement toxique chimiothérapie AZT comme médicament anti-VIH, qui selon John Lauritsen aurait tué 330 000 homosexuels masculins.

Fauci a promis qu’un vaccin contre le VIH serait disponible « dans les deux ans à venir ». 37 ans plus tard, nous attendons toujours. Depuis lors le gouvernement des États-Unis a dépensé plus de 600 milliards de dollars pour le SIDA et n’a pas sauvé une seule vie.

L’histoire comment le dogme du SIDA a débuté a été racontée dans le film de Joan Shenton « Positiveley False » (Carrément Faux, également titre du livre de Joan Shenton — NdT).

Donc, si le virus VIH n’a pas été isolé, qu’en est-il alors du SIDA ?

Le SIDA

Donc, si le virus n’a pas été isolé, qu’en est-il du SIDA ?

« Les morts manquants »

Durant la présidence de Thabo Mbeki, le journaliste Rian Malan, qui travaillait sous contrat avec le Magazine Rolling Stone, s’est penché sur la question du VIH/SIDA et a entrepris de trouver les 250 000 morts et les 20 millions de victimes que l’on disait qui mourraient de la maladie sur tout le continent. À son grand étonnement, il a constaté que « L’Afrique ne mourrait pas du SIDA » et que des villes dont on prévoyait qu’elles allaient mourir de la pandémie voyaient en réalité leurs populations augmenter. Après avoir examiné les rapports des médecins légistes et avoir visité dans toute l’Afrique du Sud les cliniques dédiées au SIDA, Malan n’a tout simplement pas pu trouver l’excès des décès.

« Une note sur le site web du MRC (Medical Research Council — Comité de la recherche Médicale — NdT) expliquait que la modélisation est une science inexacte, et que “le nombre de personnes mourant du SIDA ne fait que commencer à augmenter”. En outre, a déclaré le MRC, il y a un nouveau modèle en cours d’élaboration, un qui produira “probablement” “des estimations environ 10 % inférieures” à celles qui sont actuellement avancées. L’exercice n’était pas strictement valide, mais j’ai persuadé mon copain scientifique Rodney Richards de faire exécuter les données révisées sur son propre simulateur et de voir ce qu’il en sortirait pour 1999. La réponse, très grossièrement, était un nombre de morts du SIDA d’environ 65 000 — très loin des 250 000 initialement avancés par l’UNAIDS.

Sans prétendre savoir quoi que ce soit sur le VIH/SIDA, Rian Malan a simplement expliqué que les millions de personnes qui étaient censées mourir de ces maladies étaient le produit de modèles informatiques.

C’est quoi le SIDA ?

À l’origine le SIDA était limité aux hommes homosexuels d’Amérique qui utilisaient des poppers comme drogue récréative dont les effets secondaires donnaient des symptômes de type de ceux du SIDA. La population homosexuelle était fortement ciblée par le dépistage et étant donné le taux élevé de faux positifs, ils testaient positif en grand nombre. Au fil du temps le CDC a regroupé des maladies qui n’avaient rien à voir les unes avec les autres. Tout comme pour la Covid-19, la définition du SIDA a commencé à s’élargir en ajoutant de nouveaux symptômes à la maladie. Peut-être la plus grande absurdité est que le SIDA en Afrique et le SIDA en Amérique n’ont en commun que le nom. En Afrique c’est avant tout une maladie de la pauvreté et en Amérique c’est surtout une maladie liée à la consommation de drogues.

La liste du CDC des 26 maladies et affections définissant le SIDA qui ont peu ou rien à voir les unes avec les autres

  • Les infections bactériennes, multiples ou récurrentes
  • La candidose bronchique, de la trachée ou des poumons.
  • La candidose de l’œsophage
  • Carcinome cervical invasif
  • Coccidioïmycose
  • Cryptococcose extrapulmonaire
  • Cryptosporidiose intestinale chronique
  • Maladie à cytomégalovirus
  • Herpès simplex
  • Histoplasmose
  • Encéphalopathie à VIH (démence)
  • Syndrome du vieillissement pathologique du VIH
  • Isosporose
  • Sarcome de Kaposi
  • Pneumonie lymphoïde interstitielle
  • Lymphome de Burkitt
  • Lymphome immun blastique
  • Lymphome primaire du cerveau
  • Mycobactérium avium ou M. kansasii
  • Mycobactérium tuberculosis
  • Pneumonie à pneumocystis carinii
  • Pneumonie récurrente
  • Leucoencéphalopathie multifocale progressive
  • Septicémie à salmonelle
  • Toxoplasmose du cerveau
  • Immunosuppression sévère liée au VIH

Voici les définitions du SIDA en Afrique des Nations Unies

  1. Perte de poids
  2. Fièvre
  3. Diarrhée et
  4. Toux persistante
  5. Tuberculose
  6. Ganglions lymphatiques gonflés

Ces deux maladies sont tellement distinctes qu’il n’est pas possible qu’elles proviennent du même virus. Si vous deviez être diagnostiqué du SIDA en Afrique du Sud et vous vous envolez pour l’Amérique, selon la définition officielle seriez-vous guéri ? Comme me l’a dit David Rasnick dans une interview “Le VIH n’a que 3 gènes structurels et pourtant il sait si vous êtes Blanc ou Noir, homosexuel ou hétérosexuel, riche ou pauvre, et sur quel continent vous vivez”.

Le rapport du comité consultatif de Mbeki a également exprimé des préoccupations sur la définition de la construction du SIDA.

Pour quelle raison le VIH/SIDA est-il transmis de manière hétérosexuelle en Afrique tandis que dans le monde occidental on dit qu’il est surtout transmis de manière homosexuelle”.

Les Africains ne peuvent certainement pas être tellement différents pour souffrir de manière différente du même virus ? Face à cette anomalie, l’establishment du SIDA a décidé de requalifier ces deux maladies en VIH-1 et VIH-2.

[Voir aussi :
Fauci et la grande arnaque du SIDA
L’escroquerie du SIDA (sidasante.com)
Fausse science, données invalides : il n’y a pas de « cas Covid-19 confirmé » ; il n’y a pas de pandémie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

En résumé

  • Comme le montrent les travaux du Groupe de Perth, les preuves que le virus VIH a été purifié n’existent pas.
  • Comme le montrent les contradictions des méthodes de dépistage, aucun des tests VIH ne peut dire quoi que ce soit sur la présence du virus.
  • Comme le montre la découverte de Rian Malan, l’Afrique ne meurt pas d’une pandémie mortelle.
  • Comme le montre la définition du SIDA, les maladies du SIDA en Afrique sont largement liées à la malnutrition et à la pauvreté et aux États-Unis elles sont la conséquence du mode de vie et de la consommation de drogues.

Ce que j’attends que cet article génère c’est que nous commencions et ouvrions la discussion sur le VIH et le SIDA sur les points suivants.

  • La toxicité des antirétroviraux doit être ouvertement admise et les laboratoires pharmaceutiques et la FDA doivent être tenus pour responsables pour les innombrables décès qui sont de leur fait.
  • Les leçons de VIH/SIDA sont d’importance capitale si nous voulons en finir avec les crimes qui sont commis sous le nom de l’urgence sanitaire Covid-19 et si jamais nous voulons croire en la justice pour les centaines et milliers d’homosexuels et les millions d’Africains qui ont été soumis à cette expérimentation cruelle en leur donnant des médicaments sur la base d’un faux résultat positif.
  • Pour les Sud-Africains il est temps d’examiner objectivement les preuves détaillées qui sont dans le rapport du comité consultatif de Mbeki, puis que nous lui présentions tous des excuses.

Le Président Thabo Mbeki avait raison :

“Le VIH ne cause tout simplement pas le SIDA”

Références

Pour ceux qui sont intéressés par la question, des blogs, de bons vieux articles sur les arguments des dissidents peuvent être trouvés sur les sites web suivants :

  1. Virusmyth pour un recueil d’arguments sur les dissidents.
  2. Viroliegy pour une introduction sur la théorie du terrain.
  3. Treatment Information Group pour un recueil sur la toxicité des antirétroviraux.
  4. The Perth Group pour les opinions dissidentes auxquelles Mbeki a souscrit.
  5. Le site web de David Rasnick pour de bonnes références sur le SIDA. David a décidé de garder en ligne les réflexions de son ami le Dr Sam Mhlongo.

Livres sur le sujet :

  1. Virus Mania : Comment l’industrie médicale invente continuellement des épidémies, faisant des milliards de dollars de profits à nos dépens, 3e édition par Torsten Engelbrecht (auteur), Claus Köhnlein (auteur), Samantha Bailey (auteur) et Stefano Scoglio (auteur)
  2. Le poison par prescription — l’histoire de l’AZT par John Lauritsen.
  3. “Le SIDA : Le raté de la science contemporaine” par Neville Hodgkinson.
  4. “L’invention du virus de SIDA” par Peter Duesberg.
  5. “Débats sur l’AZT” par Anthony Brink.

Traduction Jean Bitterlin le 08 mars 2022.




Je n’oublie pas…

Par [Auteur inconnu]

Besoin de laisser une trace écrite de tout ce que je ressens, la suspension du pass approchant…

Je n’oublie pas…

La date du 12 juillet 2021 qui a marqué ma vie à jamais, qui a détruit ma confiance en mon pays, ma confiance en la démocratie.

Je n’oublie pas que la devise de la France « liberté égalité fraternité » s’est transformée en « quoi qu’il en coûte » oui, quoi qu’il en coûte des dégâts collatéraux…

Je n’oublie pas que la fin aura justifié tous les moyens, même les plus ignobles.

Je n’oublie pas que la « liberté » est devenue « condition »,

que « l’égalité » a disparu pour laisser place à la « discrimination »,

que la « fraternité » a volé en éclat et est devenue « division ».

Je n’oublie pas la fracture du peuple, les discussions houleuses, les amitiés brisées…

Je n’oublie pas les victimes du covid, je n’oublie pas non plus les victimes collatérales de certaines mesures : les suicides, les faillites, les enfants à qui on a volé l’insouciance et qu’on a culpabilisé les citoyens vaccinés sous la contrainte, dès 12 ans, contre leur volonté profonde.

Je n’oublie pas ma cousine, dans son centre de rééducation depuis 7 mois qui se bat pour tout réapprendre suite à sa deuxième injection Pfizer. J’espère la justice pour elle et les autres victimes des injections expérimentales qui sont trop nombreuses et qui sont les oubliées de cette crise, réduites au silence.

Je n’oublie pas les personnes âgées mortes de solitude pendant les confinements, enfermées pour certaines dans leur chambre en EPADH, les obsèques en comité restreint, l’impossibilité des proches de dire adieu à un défunt

Je n’oublie pas les soignants suspendus SANS SALAIRES depuis le 15 septembre 2021, avec la complicité des syndicats et des institutions, à qui on a même retiré le droit de démissionner, qu’on refuse de licencier, laissés SANS RESSOURCE, dans le mépris le plus total et l’indifférence générale, alors même qu’on les applaudissait tous les soirs pendant la première vague.

Ils sont 15 000 soignants et 5000 pompiers. En pleine crise sanitaire, comment accepter de se passer d’eux quand des soignants vaccinés positifs au covid, eux, peuvent exercer ?

Je n’oublie pas le masque sur le visage de mes enfants, 10 heures par jour, en intérieur comme en extérieur, y compris en cours de sport, dans l’indifférence des adultes, au mépris de leur santé mentale et de leur bien-être.

Je n’oublie pas les réprimandes subies par mon fils au collège, les mots dans le cahier de liaison, la punition qu’il a reçue pour avoir osé baisser son masque en classe pour respirer convenablement, le devoir de 3 pages qu’il a dû remplir pour démontrer « les bienfaits du port du masque » et la culpabilisation induite dans ce travail de vouloir contaminer ses petits camarades. Depuis, il ne baisse plus jamais son masque par peur de sanctions. Il est rentré dans le moule, il a abdiqué. Je ne peux pas m’en réjouir.

Je n’oublie pas la complicité des enseignants, des directeurs d’école, des institutions au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant. Non, respirer 10 heures par jour dans un masque n’est pas normal et n’a jamais empêché un virus de circuler, virus qui ne concerne d’ailleurs pas nos enfants…

Je n’oublie pas d’avoir été interdite d’accompagner mon fils à ses matchs de foot, même en extérieur, d’avoir été interdite de l’accompagner au guichet du cinéma pour acheter sa place pour qu’il profite d’un film avec un copain. Je n’oublie pas l’humiliation ressentie ce jour-là d’avoir dû rester dehors et veiller à ce qu’il achète bien son billet à travers la vitre.

Je n’oublie pas les médecins, soignants qui ont bafoué leur serment d’Hippocrate en Hypocrite en conditionnant l’accès aux soins, les refus d’opérer ou de prendre en charge des patients non injectés, la maltraitance physique et verbale (vécue par un proche avant une intervention chirurgicale, parce que non vacciné).

Je n’oublie pas que les riches se sont enrichis, les pauvres appauvris, les profits des labos, la corruption des États, les conflits d’intérêts, la censure des discours scientifiques contraires à la parole officielle, les traitements efficaces interdits encore aujourd’hui.

Je n’oublie pas la pression sociale, le mépris que j’ai ressenti, les regards accusateurs, les phrases assassines. Je n’oublie pas d’avoir été considérée comme une sous-citoyenne, irresponsable, égoïste et inconsciente, d’avoir été désignée comme une ennemie, un danger.

Je n’oublie pas qu’on m’a culpabilisée de réfléchir par moi-même, de douter, d’exercer mon libre arbitre et de faire appel à mon sens critique.

Je n’oublie pas d’avoir été traitée de complotiste.

Je n’oublie pas le pass sanitaire, le pass vaccinal, de constater avec désolation l’acceptation de la majorité, comme hypnotisée. Je n’oublie pas d’avoir été, moi et mes enfants, empêchés de vivre normalement, d’avoir été mis à l’isolement social.

Je n’oublie pas d’avoir été insultée par le président : « les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder… Et donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout » « Un irresponsable n’est plus un citoyen ».

Je n’oublie pas la guerre psychologique faite dans les médias, la manipulation par la peur, les propos honteux, les insultes de médecins, philosophes, politiques, journalistes, célébrités, dont voici quelques exemples : « il faut confiner les non -vaccinés », « les non -vaccinés ont du sang sur les mains », « faut-il soigner les non-vaccinés ? », « vu le nombre de gens qui se sont fait vacciner, même si on doit tous crever, je préfère, plutôt que de rester sur terre avec les pauvres connards qui ne se sont pas fait vacciner », « dites à vos amis non vaccinés qu’ils commencent à nous saouler ».

Je n’oublie pas que plus rien ne sera jamais comme avant, que la société est abimée, que je suis abimée, que ça m’a profondément changée.

Je n’oublie pas que le QR code a laissé place au bon sens et fera partie de nos vies. Une nouvelle vague, un nouveau virus, une guerre, une crise écologique… justifiera son retour.

Enfin, et je veux garder surtout ça au fond de moi : je n’oublie pas les manifestations dans la joie et la bonne humeur, les nouvelles amitiés, les valeurs partagées, le convoi de la liberté, les associations, la solidarité, les groupes d’entraide et tous les résistants ❤️.

Auteur inconnu




Ukraine : sous les bombes, le scandale de la GPA

[Source : genethique.org]

Alors que le conflit en Ukraine fait largement la une de tous les média internationaux, des Français qui ont pu fuir témoignent. Parmi eux, certains s’étaient rendus dans le pays pour « récupérer » un enfant né d’une mère porteuse ukrainienne.(([1] France Info,
Guerre en Ukraine : les derniers Français quittent Kiev 
(05/03/2022) )) Des personnes présentées comme ayant « bravé la guerre », et auxquelles il faudrait maintenant porter secours. En réalité, des commanditaires ayant eu recours à une pratique interdite en droit français, qui tentent parfois de se dédouaner en proposant à la mère porteuse de les accompagner en France. Une proposition qui peut se muer en pression quand l’enfant n’est pas encore né.

« Rapatrier les mères porteuses » ?

Avant que le conflit n’éclate, une mère porteuse avait contacté un avocat pour vérifier que les commanditaires ne pourraient pas la contraindre à quitter son pays, sa famille.(([2] The Times, Louise Callaghan,
Surrogate mothers fear pressure to flee Ukraine 
(20/02/2022) )) Le contrat qu’elle a signé allait-il jusque-là ? Car malgré le conflit, elles sont peu nombreuses à vouloir quitter leur pays, indiquent les avocats de commanditaires irlandais.(([3] The Times, Julieanne Corr,
Surrogate mothers choosing to stay in Ukraine 
(07/03/2022) ))

Et cette « solution » est parfois vite abandonnée par les commanditaires eux-mêmes : « Si elle accouche en France, nous n’avons aucun droit sur l’enfant. Ma mère porteuse est à terme et c’est dangereux », explique Youna.(([4] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022), le prénom a été changé))

Samedi 5 mars, La Manif pour Tous a dénoncé  lors d’un happening que des femmes ukrainiennes soient « coincées à Kiev et à Kharkiv par des ‘GPA commandées’ ». « Ces femmes sont séparées de leur famille, maintenues de force dans les hôpitaux en attendant d’accoucher, sans la possibilité de fuir », dénonce la présidente du mouvement, Ludovine de la Rochère.(([5] Valeurs actuelles,
“Exploitée, opprimée, invisibilisée” : à Paris, des militantes de la Manif pour tous dénoncent la GPA en Ukraine 
(05/03/2022) ))

Le business continue

Mais les guerres sont une occasion de s’enrichir. Et la société BioTexCom, le leader de la GPA en Ukraine qui n’en est plus à une provocation près (cf. Black Friday : des promos aussi sur la GPA !), ne se gêne pas. « Make babies not war », a-t-elle twitté le 23 février. Une « communication insupportable » dénoncée dans un tweet par la journaliste Céline Revel-Dumas, auteur de GPA Le Grand Bluff.

Inna Yefimovych, du département marketing de BioTexCom, explique que « beaucoup de clients dont le contrat est en cours affirment vouloir poursuivre les programmes de fécondation in vitro coûte que coûte ».(([6] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022) )) « Mi-février, la clinique prévoyait que vingt femmes soient inséminées par semaine. Dans les trois mois à venir, environ 200 bébés devraient voir le jour », uniquement par le biais de cette entreprise.

De son côté la clinique Feskov « assure ses clients de la continuité de ses “programmes” dont l’un prévoit de “garantir légalement à 100 % la naissance d’un enfant en bonne santé” grâce au tri d’embryons ». Vu le contexte, « le choix du sexe est offert par la maison », dénonce Céline Revel-Dumas.(([7] Le Figaro, Céline Revel-Dumas,
Marché de la GPA en Ukraine: «L’égoïste inquiétude des clients occidentaux face à la détresse des mères porteuses» 
(01/03/2022) ))

Birol Aydin, embryologiste et directeur du laboratoire IVMED, témoigne avoir transporté 17 réservoirs contenant 12 000 embryons et ovocytes hors d’Ukraine.(([8] TMZ,
IVF Clinics Under ThreatKYIV DOC TRYING TO SAVE EMBRYOS 
(05/03/2022) )) La « matière première » est précieuse.

Des clients inquiets

Car les clients sont préoccupés. « La clinique Surrogacy CMC n’a pas encore communiqué sur la conservation du matériel génétique, le déroulement des transferts, le fonctionnement des ambassades et de l’administration pour les actes de naissance », se révolte Théo sur un groupe Facebook dédié à la GPA.(([9] Marianne, Violaine des Courières,
GPA : l’Ukraine croule sous les bombes, ces clients français s’inquiètent… pour leur contrat 
(01/03/2022), le prénom a été changé)) Quand Hugo lui se désole : « Ce matin, nous avons appris par notre mère porteuse qu’elle avait fait une fausse couche… Certainement pour donner suite au stress… Nous sommes anéantis… Nous espérons que pour ceux qui sont en plein programme, cela se passe mieux pour vous ». De la santé de la mère porteuse, il ne sera pas question.

Avec ce conflit, « contre toute attente, la gestation pour autrui a révélé son véritable visage », souligne Céline Revel-Dumas : « celui d’un opportunisme commercial insensé satisfait par un égoïsme aveugle ».(([10] Le Figaro, Céline Revel-Dumas,
Marché de la GPA en Ukraine: «L’égoïste inquiétude des clients occidentaux face à la détresse des mères porteuses» 
(01/03/2022) ))

« La mécanique sous-jacente de la GPA, d’un cynisme implacable, apparaît désormais en pleine lumière, pointe la journaliste : elle révèle un marché sans foi ni loi, des femmes esclavagisées puis jetées, des couples nantis obsédés par leurs propres intérêts et des médias qui se saisissent d’une actualité tragique pour vendre leur programme politique, renonçant à toute déontologie. »
« Il n’y a plus qu’à espérer, aussi, une paix des ventres. »





Pr Christian Perronne : le but de la « pandémie » est de « prendre le contrôle mondial de la population »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr via Antidotes]

Le conseil de l’ordre n’était-il pas assez obéissant pour sanctionner les médecins indépendants ? toujours est-il que le 19 JUILLET 2021 un décret créait un conseil de certification des médecins et qu’aujourd’hui la première victime est un professeur respecté et connu internationalement le pour Perronne ! Les médecins français vont-ils enfin relever la tête et protester à large échelle contre cette mesure inique, injustifiée, dangereuse pour les patients, car qui osera soigner si cette mesure monstrueuse n’est pas rapidement levée. Nous avions protesté en 2016 en écrivant « soigner ou obéir » pour témoigner de la perte de la liberté de soigner. Aujourd’hui, il est non seulement interdit de respecter son serment d’Hippocrate en soignant les malades en fonction des meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science (arrêt Mercier, 1936) mais interdit de parler… Toutes nos libertés disparaissent en même temps que le pétrole augmente. Il serait temps de réagir.

Nicole Delépine

INTERVIEW EXCEPTIONNELLE A FAIRE LARGEMENT CIRCULER

Le brillant et courageux Professeur Christian Perronne a compris les véritables enjeux de cette fausse crise sanitaire. Ce que nous diffusons depuis près de deux ans sur ce blog commence à circuler un peu plus largement mais rien n’est encore gagné. Le combat pour l’information est quotidien. Si seulement 10% de nos concitoyens venaient à découvrir les dessous et enjeux de cette crise et à manifester un peu de courage, nous serions sauvés.

Arnaud de Brienne

Entretien avec le Professeur Christian Perronne par Nelly Fouks

Le Professeur Christian Perronne a été chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches. Pendant quinze ans il a été l’un des principaux conseillers en matière de santé publique de plusieurs gouvernements. Bien que faisant l’objet de plusieurs procédures administratives et judiciaires, il est toujours médecin et reste l’un des spécialistes reconnu des virus.

La plupart de nos libertés fondamentales sont bafouées, on cherche à injecter de force à toute la population, enfants compris, un pseudo vaccin inefficace contre une maladie relativement bénigne dont on interdit les traitements. D’après vous que se passe-t-il vraiment avec cette crise sanitaire ?

Il se passe quelque chose que je n’aurais pas deviné il y a deux ans, même si dès mars 2020 j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond. J’ai géré pendant une quinzaine d’années des épidémies et des crises sanitaires avec différents gouvernements, j’ai été à la tête de la politique vaccinale en France pendant plusieurs années, vice-président à l’OMS pour le groupe d’experts des vaccins pour l’Europe (ETAGE), j’ai baigné donc dans ce monde des vaccins, des infections, des épidémies, et j’ai tout de suite réalisé qu’on faisait n’importe quoi et qu’on affolait la population pour une maladie dont la mortalité était finalement très faible. Attention, je ne nie pas l’épidémie qui a malheureusement entraîné de trop nombreux morts. La première vague, la plus forte, a été suivie par des vaguelettes de moins en moins fortes, même si artificiellement gonflées.

Dans les premiers temps, je refusais d’admettre que tout cela puisse être prémédité, mais petit à petit, j’ai découvert, tout d’abord sans y croire, que le scénario était écrit depuis des années, qu’il s’applique jour après jour à la lettre et se déroule comme prévu ou presque. Je n’invente rien.

Attali l’a dit, Klaus Schwab l’a écrit, l’institut Rockefeller a rédigé un rapport que j’ai pu consulter. Bill Gates, lui, a carrément orchestré une répétition générale à New York juste avant que le virus ne sorte à Wuhan avec tous les acteurs américains et internationaux concernés pour montrer comment s’organiser face à la prochaine épidémie d’un nouveau coronavirus. Le contrôle de l’épidémie passait essentiellement par la suppression des libertés de la population, les traitements n’étaient pas évoqués. Je restais encore dubitatif. Au bout de quelques mois, une polémique s’est déclenchée sur le fait que le virus était fabriqué en laboratoire. Je pensais alors qu’il s’agissait de bêtises, je n’y croyais pas du tout. Mais aujourd’hui, plus un seul virologue digne de ce nom, y compris des prix Nobel et d’éminents scientifiques ne soutiennent une thèse contraire. Les journalistes eux-mêmes n’osent plus dire que le virus est naturel. Mais aucun n’évoque le but de toute cette mise en scène qui est de prendre le contrôle mondial de la population.

Pourquoi les médias ne réagissent-ils pas ?

Ce qui est dramatique, c’est que les auteurs de ce coup d’état sanitaire ont acheté tous les grands médias détenus tous ou presque par une poignée de milliardaires. Déjà en temps normal, le gouvernement leur distribue chaque année des dizaines de millions d’euros. Ils touchent en plus, pour certains dont Le Monde, des aides très conséquentes des fondations comme celle de Bill et Melinda Gates. L’industrie pharmaceutique est un sponsor  majeur de beaucoup de médias mainstream. Entre l’automne 2021 et janvier 2022,  Macron a annoncé trois subventions supplémentaires s’élevant au total à 3 milliards d’Euros pour gaver ces médias déjà très riches et garantir leur soutien indéfectible. Et ce, alors que les caisses de l’état sont vides, et qu’avec cette somme, on pourrait construire 6 hôpitaux et payer de nombreuses infirmières.

Qu’est-ce qui vous a alerté au début de la crise ?

Le B.A.BA de la gestion d’une épidémie consiste d’abord à isoler les malades. Au lieu de ça, on nous a dit « Restez chez vous, contaminez toute votre famille, contaminez vos voisins et comme les masques ne servent à rien, vous allez contaminer tout le quartier ». J’ai tout de suite dit « non, ce n’est pas ce qu’il faut faire. Lors d’une épidémie, on isole et s’il y a un traitement disponible, on traite. » Or, avant même que Raoult en parle, je m’étais intéressé à ce qui se passait en Chine et j’avais vu qu’il existait des essais y compris randomisés hydroxychloroquine contre placebo, montrant que l’hydroxychloroquine marchait. Et bien entendu, les médias français n’en ont jamais parlé.

Et ces essais étaient très probants ?

Leurs effectifs n’étaient pas très importants, mais ils existaient ainsi que  beaucoup d’autres études, pas forcément randomisées, qui allaient dans le même sens. Les Chinois ont très vite contrôlé l’épidémie en donnant de l’hydroxychloroquine à tout le monde. De plus, en Chine, les médecines traditionnelles à base de plantes sont très répandues et certaines ont donné de bons résultats. De ce fait, la première vague épidémique s’est éteinte assez vite. Les études lancées par le gouvernement chinois pour tester des médicaments, n’ayant pu être menées à terme faute de malades, n’ont pas été publiées, ce qui m’avait beaucoup intrigué. Des études avaient été publiées en chinois, langue que je ne parle pas. Les résultats de la première étude de Didier Raoult sur un nombre réduit de personnes, montraient très clairement que la prise simultanée d’hydroxychloroquine et d’azithromycine faisait chuter la charge virale. Ce fut le tollé de toute la communauté scientifique notamment française dénonçant le charlatanisme d’une étude avec aussi peu de malades. Ces gens n’ont aucune connaissance de la science car un résultat très significatif sur un petit effectif, a beaucoup plus de puissance statistique que sur un gros effectif. Après Didier Raoult a confirmé l’efficacité de l’association chloroquine/azithromycine sur des milliers de patients, mais on a continué à traiter de charlatan ce très grand chercheur que je connais et apprécie depuis longtemps. On lui reprochait de n’avoir pas fait d’étude randomisée sur des milliers de gens. C’est oublier un peu vite que l’OMS elle-même avait écrit qu’en phase épidémique on ne fait pas d’études contre placebo.  Mais les pouvoirs publics ont tout bloqué. Ils ont interdit la chloroquine et les antibiotiques. Macron avait proclamé avec Véran « il faut revenir à la science, nous allons faire l’étude Discovery, dans quelques semaines on aura les résultats et on pourra agir ». Mais l’étude n’a pas abouti. Ils ont utilisé des molécules qu’ils savaient totalement inefficaces. Des données scientifiques avec l’hydroxychloroquine avaient montré in vitro son efficacité  sur les coronavirus. Ces données publiées après l’épidémie de SRAS ont été occultées. Occulté aussi le fait que Fauci, directeur de l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID) et conseiller santé des présidents américains, avait déclaré dans un grand journal que le traitement d’avenir des coronavirus serait l’hydroxychloroquine. Qu’importe ! ce médicament a été diabolisé. Il était en vente libre depuis toujours, mais Agnès Buzyn a décidé que sa prescription se ferait sur ordonnance juste avant que le virus n’arrive en France. Un indice supplémentaire que la crise était programmée.

Quid des études gouvernementales sur l’hydroxychloroquine ?

Il y en a eu plusieurs : Discovery en France et Recovery en Grande Bretagne, ainsi qu’ Hycovid au CHU d’Angers sur l’instigation d’Olivier Véran. Quand ils se sont aperçus que dans tous ces essais, les groupes hydroxychloroquine ou hydroxychloroquine/azithromycine s’en sortaient beaucoup mieux que les autres, ils ont paniqué. Banco pour Olivier Véran, sortaient les études frauduleuses du New England Journal of Medicine et du Lancet montrant que l’hydroxychloroquine était soit-disant inefficace et dangereuse. Le ministre de la Santé a profité de l’aubaine en faisant interdire les groupes hydroxychloroquine et azithromycine dans tous les essais. Les médecins en charge des différents travaux ont, tous d’une même voix affirmé que, l’hydroxychloroquine ne marchant pas, ils avaient été contraints d’arrêter. Mais les diapositives des résultats intermédiaires montraient clairement qu’à l’arrêt de Discovery et Hycovid, les seuls patients sous hydroxychloroquine étaient nettement améliorés. Il est vrai que l’étude ayant été arrêté trop tôt, les différences n’étaient pas encore significatives. Donc l’hydroxychloroquine était en passe de démontrer son efficacité et prétendre le contraire était encore un mensonge. Le pire concerne l’étude anglaise Recovery soutenue par l’OMS. Quelques centres en France ont accepté de participer. Les investigateurs ont administré des surdosages énormes d’hydroxychloroquine,  proches de la dose mortelle. Malheureusement, beaucoup de personnes sont mortes. Mais les critères d’évaluation n’ont pas permis d’obtenir les dates de décès par rapport à la prise du médicament. Comment le comité d’éthique a-t-il pu laisser passer ces doses hyper-toxiques bien supérieures à la dose maximale autorisée ? Cette étude a montré une surmortalité mise sur le dos du Covid, alors qu’elle était provoquée probablement par  le traitement trop dosé. Vraiment tout a été fait pour casser la chloroquine et la détruire. Le virus de la première vague, plus virulent que tous les variants ultérieurs (en particulier Omicron, particulièrement bénin), avait provoqué beaucoup d’atteintes cardiaques chez des personnes fragiles telles que myocardites, troubles du rythme, infarctus du myocarde ou péricardite. C’était la conséquence de l’infection virale et ça n’avait rien à voir avec la prise de chloroquine, car ils étaient aussi fréquents chez les malades n’ayant reçu aucun traitement. Mais s’ils avaient pris un comprimé de chloroquine, c’était bien sûr à cause de ce médicament. Les atteintes cardiaques liées au seul virus n’étaient pas évoquées dans les médias et bien entendu, elles n’arrivaient pas à l’agence du médicament puisqu’elles n’étaient pas associées à une prise médicamenteuse.

Après l’hydroxychloroquine est arrivée l’ivermectine. Certains médecins dans le monde, notamment au Pakistan ont, un peu par hasard, découvert son efficacité.  Entre l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, nous disposons aujourd’hui de très nombreuses études publiées, dont un certain nombre sont randomisées. Et toutes vont dans le même sens, sauf celles menées avec une méthodologie franchement mauvaise, puisque les malades recevaient le traitement trop tard et souvent à la dernière minute avant de passer en réanimation, alors que l’hydroxychloroquine, l’azithomycine et l’ivermectine marchent beaucoup mieux lorsqu’on les prend très tôt, en médecine de ville.

Certains ont annoncé la semaine dernière que la vitamine D est dangereuse.  Qu’en pensez-vous ?

C’est le comble du comble ! Certaines autorités cherchent à diaboliser la vitamine D qui serait un perturbateur endocrinien. Cela ne m’étonne qu’à moitié puisque la vitamine D est dans le collimateur de Big Pharma depuis une dizaine d’années. Des études ont montré qu’elle augmente l’efficacité des traitements anti-tuberculeux ainsi que la destruction des bactéries dans les cellules. Ses propriétés anti-infectieuses sont connues depuis longtemps. Dans les maladies chroniques elle est reconnue pour être bénéfique dans certaines maladies auto-immunes. Autant de pertes de marché potentiel pour Big Pharma qui a besoin de malades pour vendre ses produits. Mais diaboliser la vitamine D en la présentant comme un perturbateur endocrinien ! Je pensais avoir tout vu. Il s’agit là d’une grande escroquerie . Les attaques contre la vitamine D ne datent pas d’hier. Ils ont déjà essayé de faire croire qu’elle ne sert à rien pour les jeunes et les adultes en bonne santé. Faux ! exceptés ceux qui vivent au soleil toute la journée, tous sont carencés comme les nourrissons et les personnes âgées. Certains experts prétendent que même pour les personnes âgées, elle est inutile. Si certains cherchent à l’interdire maintenant, c’est sans doute parce que des équipes dont celle de Didier Raoult ont montré que les patients carencés en vitamine D et en zinc faisaient des formes de Covid plus graves que les autres.

Les médicaments ont été diabolisés et les médecins mis hors-jeu ?

Il  aurait fallu dire aux médecins généralistes : « vous êtes en première ligne, vous devez traiter tout de suite dès les premiers symptômes même sans avoir la preuve  d’un test PCR qu’il s’agit bien d’un Covid  ». Mais on a complètement court-circuité le médecin généraliste en répétant, « n’appelez pas votre médecin, restez chez vous, prenez du Doliprane (alors qu’il peut être toxique ; à petites doses, ce n’est pas bien méchant mais à hautes doses sur un état inflammatoire c’est plutôt déconseillé) et si vous étouffez, que vous êtes en train de claquer, appelez le 15. »

A cause de ces consignes absurdes, on a vu des patients arriver à l’hôpital dans un état catastrophique. Les autorités ont pu dire, regardez, c’est terrible, tout le monde va mourir.

C’est vrai, il y a eu des morts dont beaucoup sont la conséquence de cette interdiction de soigner.

Aujourd’hui, nous avons la preuve que dans tous les pays qui ont traité, d’abord à l’hydroxychloroquine puis à l’ivermectine, associées à un antibiotique comme l’azithromycine, l’épidémie est parfaitement contrôlée et même quasiment terminée dans certains pays. Elle n’a pas totalement disparu, mais il y a peu de malades et presque plus de morts parce qu’on isole les malades et qu’on les traite. C’est la base du contrôle d’une épidémie.

Vous avez déclaré « si on me confiait la gestion de cette crise, elle serait terminée en 2 ou 3 mois ». Qu’auriez-vous fait ?

Il suffit d’isoler les malades, de les soigner et d’arrêter les tests PCR sauf pour les personnes qui ont des symptômes, que l’on testera avec des PCR à 25 cycles. Il faut interdire de tester les asymptomatiques, rétablir la liberté de circuler, la liberté de vie normale des bien portants. Il faut demander aux malades de rester chez eux, expliquer à leur famille de les laisser dans une pièce à part, de porter un masque en allant les voir et leur demander d’en porter lorsqu’ils ont des symptômes. L’isolement doit durer une ou deux semaines maximum. S’ils ont besoin d’être hospitalisés, il faudra bien les isoler à l’hôpital et surtout, les traiter tout de suite, sans attendre un résultat de test. Si vous isolez et que vous traitez précocement, l’épidémie s’arrête. Les masques sont réservés aux malades avec symptômes pendant quelques jours. Il faut aussi rappeler l’importance du lavage des mains, la désinfection avec le gel hydro-alcoolique dans les transports. Dans ces conditions l’épidémie se termine rapidement. Dans cette crise, tout a été fait pour qu’elle s’aggrave : interdiction des traitements qui marchent, attendre que les gens s’asphyxient pour les envoyer en réanimation. Pas de masque au début lorsqu’ils auraient été utiles. Mais maintenant ils sont imposés à tous alors qu’ils affaiblissent les muqueuses respiratoires et font baisser l’oxygène dans le sang.

Vous parlez d’arrêter les tests PCR systématiques. Pourquoi ?

Les PCR ont été inventés par le Dr Kary Mullis un Californien, lauréat du prix Nobel en 1993. Il avait alerté sur la multiplication des faux positifs en cas de dépistage systématique de personnes asymptomatiques, une pratique à laquelle il s’opposait. Lorsque j’étais directeur adjoint du Centre de Référence de la  tuberculose à Pasteur au début des années 90, les consignes étaient de ne jamais utiliser la PCR pour dépister le portage des microbes chez des personnes sans symptômes. Il y avait encore des épidémies de tuberculose dans les hôpitaux, et pour éviter l’apparition de cette maladie nosocomiale chez les immunodéprimés et les personnes atteintes de sida, des collègues avaient proposé de pratiquer des PCR à chaque patient afin de repérer d’emblée les tuberculeux. On aurait ainsi généré quotidiennement des centaines de faux positifs à la tuberculose. Faire des PCR chez des asymptomatiques est une aberration scientifique, de même qu’une amplification exagérée comme celle communément admise aujourd’hui.

Pourquoi ?

Le principe de la PCR repose sur une enzyme qui amplifie des millions de fois des petits fragments. Une pratique bien faite est généralement assez fiable, même si elle ne met pas à l’abri de quelques faux positifs et faux négatifs. Mais là, au lieu de faire 25 à 30 cycles maximum, on monte jusqu’à 45 voire plus c’est à dire qu’on amplifie des bribes de virus pas du tout contagieuses ce qui crée de fausses vagues épidémiques. C’est comme ça qu’ont été largement exagérées la 2e, la 3e, la 4e et la 5e vagues. Je ne dis pas qu’à chaque vaguelette réelle, il n’y a eu ni malades ni morts car l’épidémie n’était pas terminée, mais en gonflant artificiellement les chiffres, on a semé la panique. Beaucoup de personnes ne sont pas décédées du Covid, mais d’une autre maladie, avec un test Covid faussement positif. Le comble, c’est quand Véran a décrété que la PCR n’était valable que 24h, il y a chaque jour des queues interminables devant les pharmacies et les labos pour obtenir un test PCR et plus on fait de PCR, plus il y a des positifs du fait de leur amplification à 45 cycles.  Des milliers de cas quotidiens de cette énorme vague Omicron ne sont pas des cas, juste des tests faussement positifs.

J’ai cru aux chiffres de déclaration de maladie jusqu’en juin 2020 parce qu’il n’y avait pas encore de PCR systématique chez les cas contact bien portants. A l’hôpital elles servaient à conforter un diagnostic après un examen clinique, et radiologique.

Pour vous, la PCR n’a de sens que sur une personne symptomatique ?

Oui, c’est un argument biologique de plus dans le diagnostic du clinicien.

Mais tester des gens en bonne santé n’a pas de sens sauf pour créer des cas contact à la pelle. Imaginez un adolescent  qui joue  au foot. S’il est positif alors qu’il est en pleine forme, tous ses copains de classe vont être cas contact, les enseignants aussi et plusieurs d’entre eux seront positifs. C’est un moyen formidable pour créer de façon industrielle des épidémies gigantesques de façon à faire peur à tout le monde. Tout est fait pour créer la panique dans la population.

Les milliards dépensés dans ces tests ne servent donc à rien ?

Entre les tests, les aides à la presse et le coût des vaccins, le gouvernement jette l’argent par les fenêtres plutôt que de construire des hôpitaux et de recruter des soignants. Bien avant le Covid,  la loi HPST de Roselyne Bachelot pour l’hôpital a permis de supprimer des postes de médecins, d’infirmiers, de soignants pour embaucher des milliers de fonctionnaires qui ne servent à rien, qui sont des contrôleurs de gestion, des contrôleurs des contrôleurs et maintenant des agents de sécurité. L’hôpital n’est plus fait pour soigner, on ferme des lits sans arrêt, on supprime du personnel, les hôpitaux sont dans un état de délabrement insensé, rien n’est entretenu. Certains lobbys veulent la disparition de l’hôpital public. Ils sont en train de l’obtenir.

Que faut-il penser des masques que tout le monde, enfants compris, doit porter dans les endroits clos et en extérieur ?

Lorsqu’ils ont commencé à dire que les masques ne servaient à rien, j’ai halluciné, ce n’était pas possible ! Quand j’étais président de la commission des maladies transmissibles au Haut Conseil de la santé publique en juillet 2010, j’avais fourni au gouvernement un rapport sur comment gérer les stocks de masques. Tout y était : comment bien les gérer, comment les faire tourner. J’ai appris quelques mois plus tard, que le secrétariat général à la Défense Nationale avait conseillé que les stocks de masques étaient inutiles. Les stocks n’ont pas été entretenus, ils se sont périmés, une partie a été brûlée. Et l’épidémie est arrivée. S’ils étaient capables de savoir qu’il fallait restreindre la prescription de chloroquine, savaient-ils aussi qu’il fallait fragiliser les soignants et les populations concernées en les privant de masque ? Autant les masques sont parfaitement inutiles dans la rue, autant ils sont indispensables dans un espace clos en présence d’un malade symptomatique. Lorsqu’un malade tousse et crache il doit mettre un masque pour éviter de contaminer toute la pièce avec des particules virales. Et la personne qui rentre dans la pièce, famille, ami, soignant, doit également se protéger avec un masque pour éviter de prendre trop de virus. Un masque ne procure jamais 100 pour 100 de protection. Mais lorsqu’on limite le nombre de particules virales qui pénètrent dans l’organisme, on limite le risque de développer une infection.

Le masque est-il utile dans les grandes et moyennes surfaces et les transports en commun ?

En pleine période pandémique, il faut dire aux gens de ne pas prendre les transports s’ils ont de la fièvre ou des symptômes respiratoires. Il faut recommander aux personnes asymptomatiques fragiles de porter un masque sur la base du volontariat. Des obligations et des mesures excessives n’ont aucun sens pour une maladie qui a une mortalité extrêmement faible de l’ordre de  0,05 %. Par ailleurs, les gens contaminent et se contaminent beaucoup par les mains sales. Avoir un petit flacon de gel hydroalcoolique  dans le métro, c’est du bon sens, je le recommande et il faut le faire toute l’année pour se protéger des rhumes et des virus respiratoires. Mais imposer le masque, avec des amendes de 135 euros et 1500 euros en cas de récidive, cela n’a aucun sens. Une étude danoise randomisée de 2020 a montré qu’il n’y avait presque pas de différence entre le groupe qui portait un masque et celui qui n’en portait pas.

Alors quand le premier ministre et le ministre de la santé déclarent que l’épidémie repart et que nous devons tous remettre le masque, ce n’est certainement pas pour nous protéger.  Par contre c’est très utile pour nous opprimer, casser les rapports humains et déshumaniser la population. Ce que je trouve criminel, c’est d’imposer le masque à nos enfants dans les écoles. Les enfants dépriment, les pédopsychiatres signalent des suicides d’enfants autrefois inexistants. Les suicides d’adolescents se multiplient. De plus, le masque entraîne une perte d’acquisition et d’apprentissage de la parole. Il impose une distanciation sociale jusque dans les cours d’école. Ils ont osé redemander aux enfants de porter des masques pendant les récréations. C’est honteux, c’est de la barbarie ! Ces gens méritent d’être jugés pour imposer ces pratiques ignobles à nos enfants. Surtout que cela n’a aucun sens sur le plan de l’épidémie. En effet les enfants font très peu la maladie, s’ils la font, ils n’ont quasiment pas de symptômes et transmettent très peu mais c’est eux qu’on accuse aujourd’hui d’être responsables de la transmission. Si on veut protéger les personnes plus âgées qui sont plus à risque, il suffit qu’elles fassent attention, qu’elles s’isolent si quelqu’un tousse à côté d’elles. Si l’une d’elle tombe malade, qu’elle prenne tout de suite de l’ivermectine et de l’azithromycine et se supplémente en vitamine D, en vitamine C, en zinc, en sélénium.

Laissez les enfants tranquilles. On les martyrise pour rien.

Et pour conclure sur le masque, il donc est très utile pour les soignants ?

Oui pour les soignants en présence d’un malade symptomatique dans sa chambre. Cela n’a aucun intérêt dans le couloir ou à la cafétéria. Je me suis récemment fait traiter d’anti-masque ce qui est totalement faux. Lorsque j’étais jeune assistant dans les années 80, il y avait une épidémie de tuberculose à l’hôpital. A l’époque, les tuberculeux n’étaient pas isolés, ils se promenaient dans l’hôpital, ils toussaient, ils crachaient. Avec un petit groupe de travail au ministère, nous avions imposé des masques à l’hôpital pour les patients symptomatiques, les soignants et les visiteurs en disant aux malades de rester dans leur chambre plutôt que d’aller à la cafétéria. On les envoyait en radiologie, en fin de journée avec le masque, de façon à ce que les tuberculeux ne fassent plus la queue avec les autres sur leur brancard pour éviter de les contaminer.

Je me suis battu pour les masques qui doivent faire l’objet d’une prescription médicale. Les personnes qui ont un malade à domicile dans une chambre, doivent mettre un masque pour lui apporter à manger et lui faire sa toilette. Le masque et la désinfection des mains sont la base des précautions indispensables à prendre pour éviter la contamination. Mais ce qui est terrible c’est qu’on a soumis des milliards de gens dans le monde à un port de masque totalement inutile pour  briser leur moral, les détruire psychologiquement, casser les relations sociales et leur imposer l’acceptation de ces produits qu’on appelle à tort des vaccins.

Que sont exactement ces pseudos-vaccins ?

Ce sont des produits de thérapie génique qui peuvent modifier nos cellules. L’ARN messager fait fabriquer la protéine de pointe du coronavirus par nos cellules. Cette protéine du virus est censée stimuler une immunité. Malheureusement cette protéine, la protéine spike est produite en trop grande quantité. Une fois ces pseudos-vaccins injectés on ne sait pas comment arrêter la production. Chez certains, l’arrêt pourrait être effectif en quelques jours, d’autres vont peut-être continuer à la fabriquer pendant des mois et des années. La spike est la partie la plus toxique du virus. Produite en grandes quantités, elle déclenche les caillots, les thromboses, donne de la fièvre, de l’inflammation. Ce qui explique que souvent les inoculés souffrent de symptômes qui ressemblent beaucoup à la maladie Covid. C’est ce qu’on appelle le syndrome spike. Des personnes non inoculées qui restent aux côtés d’inoculés, peuvent ressentir de façon transitoire et brève, les mêmes symptômes spike.  Elles souffrent de maux de tête, de fièvre, de fatigue. Pour autant cette protéine n’est pas vraiment contagieuse. Elle peut être transmise à quelqu’un de l’entourage, mais, fort heureusement elle ne va pas disséminer.

Il est beaucoup question de passer de l’ARN à l’ADN avec ces produits. Qu’en pensez-vous ?

Oui, ce risque existe. J’avais été fusillé sur place l’an dernier pour avoir osé prononcer cette vérité peu rassurante.  Mais depuis, de grands journaux scientifiques l’ont publié, de grands chercheurs l’ont reconnu, des virologues et autres biologistes l’ont confirmé. Les enzymes (transcriptases inverses) capables de passer de l’ARN à l’ADN sont normalement inactivées, mais nous les possédons. Il faut savoir que nos chromosomes sont fait d’ADN mais que 10 à 20 % du matériel génétique est composé de rétro-virus, c’est à dire des virus qui comme celui du sida, marchent à l’envers et vont de l’ARN vers l’ADN. Lorsque le virus du sida se présente, il s’intègre tout de suite dans nos chromosomes. C’est pour cela qu’on ne peut pas guérir de la maladie, on peut juste la contrôler avec des médicaments. Il est impossible de se débarrasser du virus qui s’est intégré dans nos chromosomes. Nous hébergeons tous dans nos chromosomes des rétro-virus, d’origine animale, intégrés par les cellules humaines depuis des millénaires. Ils nous ont apporté des gènes qui nous ont probablement aidés à survivre car tous les virus ne sont pas méchants. Nous savons donc que l’homme possède le potentiel génétique pour transformer l’ARN en ADN dans ses cellules. Une étude in vitro, menée au printemps 2021, l’a confirmé en montrant qu’on pouvait retrouver dans les cellules humaines la copie ADN du SARS COV2.

Vous êtes très maltraité par les pouvoirs publics…

C’est normal. J’étais un homme du système et que je connais tout de l’intérieur. J’ai dénoncé dans les médias toutes les irrégularités, notamment du Haut Conseil de la Santé Publique. Les recommandations ont le plus souvent été effectuées dans des conditions anormales et même illégales. Je les dérange d’autant plus que j’avais des relations amicales  avec une partie de ceux qui sont au Conseil Scientifique et des experts présents dans les hautes instances. Avant la crise, ils m’aimaient bien, ils m’élisaient comme président de nombreuses commissions et quand j’étais professeur, j’ai piloté  des groupes de travail à l’agence du médicament. C’est ce qui m’a permis de voir tout de suite que ça n’allait pas. Je sais comment on gère une crise de cet ordre, et ce n’est certainement pas comme ça.

Encore une fois, ils n’ont pas réussi à vous prendre en défaut ?

Quand le gouvernement, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêt avec l’industrie et les journalistes aux ordres m’accusent de raconter n’importe quoi, j’aimerais qu’ils se renseignent d’abord sur le plan scientifique. Je n’ai jamais changé de discours et personne n’a jamais pu me mettre en défaut sur quelque chose que j’avais affirmé. Et d’ailleurs personne n’a osé m’attaquer sur le plan scientifique. Mes demandes au Conseil Scientifique d’un débat contradictoire où chacun apporterait ses billes et ses publications sont restées sans réponse. Leurs décisions sont prises sans aucun support. On l’a vu récemment quand Delfraissy a affirmé que 2 doses ne suffisaient pas, il faut booster avec 3 doses, voir 4 doses. Ca sort d’où ? Du chapeau ? Il n’y a aucune étude ! Et après ils osent dénigrer la chloroquine, malgré les centaines d’études même si elles ne sont pas parfaites. Il faut arrêter de se moquer du monde. Leur pseudo vaccin, lui, n’a fait l’objet d’aucune étude sérieuse contre placebo. Et les études préliminaires ont été anormalement courtes. Il faut 10 ans pour développer un vaccin. Là, il a été développé en quelques mois avant d’obtenir une AMM conditionnelle et non pas définitive. Or, il est parfaitement illégal de donner une AMM conditionnelle à un vaccin s’il existe un traitement efficace. C’est pour cette seule raison qu’ils ont diabolisé l’hydroxychloroquine, l’azithromycine et l’ivermectine. Veran est revenu à la charge pour presque  interdire l’azithromycine au mois de décembre 2021. Encore une attaque contre les produits qui marchent ! Donc la commercialisation de ces pseudos vaccins est parfaitement illégale.  Ces produits sont toujours en phase expérimentale, celle qu’on appelle la phase 3 qui sera terminée dans un an ou deux. Or, il est interdit d’imposer une quelconque obligation avec un produit en phase de test. Avant de l’injecter, il faut le consentement éclairé du patient. C’est ce que font les Japonais, qui n’ont aucune obligation vaccinale. Le gouvernement japonais a d’ailleurs mis en garde sur les nombreux effets secondaires, notamment des myocardites et autres accidents cardiaques en particulier chez les jeunes. Je tire mon chapeau à ces dirigeants, qui n’imposent aucune obligation et exigent un consentement éclairé.  Un sans faute. D’ailleurs, au Japon qui utilise largement l’ivermectine, comme l’Inde, l’épidémie est pratiquement terminée, il n’y a quasiment plus de morts.

Le Conseil de l’Ordre vous en veut également ?

Oui, j’ai été convoqué par le Conseil de l’Ordre qui m’a demandé de parler en mon nom et non pas comme praticien hospitalier et m’a aussi demandé de ne pas dire du mal des vaccins. Pourtant ma fonction de professeur des universités me confère normalement une totale liberté de parole.Je me sens parfaitement autorisé à dire du mal de ces produits car ce ne sont pas des vaccins. J’ai passé toute une partie de ma carrière à défendre les vaccins, je suis en faveur de la vaccination, je ne suis pas un anti-vaccin mais ce ne sont pas des vaccins ou alors qu’on me le démontre.

Mais est-ce que ces produits protègent au moins contre la maladie ?

Non, absolument pas. Les études affirmaient qu’ils protégeaient à 95 % mais leur méthodologie est déplorable. A pleurer. Sans rentrer dans les détails, sachez que les effectifs pour les comparaisons sont très très faibles et que les statistiques ne semblent pas très fiables. Fin novembre ou début décembre, une experte américaine qui travaillait chez un sous-traitant de Pfizer chargé de faire la méthodologie et l’analyse des données a fait une publication dans le British Medical Journal. Elle a tout balancé. Une partie de l’étude est frauduleuse et a été truquée. Aucun média français n’a relayé cette information d’un journal médical international sérieux, hormis un petit encart dans le Figaro. J’aurais été ministre de la santé, j’aurais tout arrêté et demandé un audit indépendant. Mais Véran s’en est bien gardé. Alors qu’il a été super réactif pour retirer l’hydroxychloroquine, là rien ne se passe. Ce qui veut dire que les décisions du ministre, du conseil scientifique, du conseil de défense ne sont basées sur aucune donnée scientifique. C’est très grave. Je n’ai aucune confiance dans les données des laboratoires fabricants. Cette lanceuse d’alerte parlait avec courage à visage découvert et pour moi, cela jette un doute sur toutes les études de ce fabricant. Qu’est-ce qui nous prouve qu’il n’y a pas eu de fraudes dans les autres vaccins ? Parce que lorsqu’on voit que Pfizer, un des principaux fabricants, s’est permis de manipuler les résultats en sa faveur, on peut imaginer que d’autres l’ont fait également. Et comme on ne pourra jamais vérifier les données, le doute persiste.

D’ailleurs, si c’était un vrai vaccin, surtout dans une situation épidémique dangereuse, il empêcherait de tomber malade ou du moins réduirait beaucoup les risques, il empêcherait de faire des formes graves et empêcherait la transmission. Mais ce produit n’empêche rien du tout. On s’aperçoit aujourd’hui que dans tous les pays qui ont vacciné massivement, la majorité des patients en réa sont des doubles et triples vaccinés. Bien sûr tous les vaccins ne sont pas efficaces à 100 %. Celui de la coqueluche n’empêche pas complètement la transmission et quelques vaccinés tombent malades, mais quand on vaccine tout le monde, l’épidémie s’arrête très vite. Je m’étonne que peu de gens réagissent quand les gouvernants, les politiques, les journalistes, accusent en France les non-vaccinés d’être des pestiférés alors que ce sont surtout les vaccinés qui tombent malades, qui transmettent et qu’il faut isoler. C’est très choquant. Au mois d’août dernier, j’avais prévenu : l’hiver prochain, il faudra isoler les vaccinés qui seront dangereux pour les autres. C’est ce qui s’est produit. Pendant les fêtes de Noël, pendant les réunions de famille, ce sont le plus souvent les vaccinés qui ont ramené le virus à la maison et les vaccinés encore qui ont fait les formes les plus sévères.

Pourtant, tous les intervenants des plateaux télé continuent de seriner que le vaccin protège des formes graves et beaucoup de gens les croient…

C’est faux. Il suffit de regarder les cartes du monde et les études pour s’en convaincre. Il y a peu, et cela m’a fait plaisir, Pujadas sur LCI a montré la carte du monde. Tout était noir dans les pays qui vaccinent comme l’Amérique du Nord, l’Europe Occidentale, l’Afrique du Sud, l’Australie et Israël.  C’était la cata, l’épidémie flambait, il continuait à y avoir des morts alors que dans le reste du monde qui n’a que très peu vacciné, tout était calme et l’épidémie s’était éteinte ou en voie d’extinction. A ce propos, ce qui m’a beaucoup perturbé lors de la première vague, c’est que la France comptait autant de morts que tout le continent africain où la moitié des morts étaient en Afrique du Sud, le pays africain le plus soumis à l’influence de l’industrie pharmaceutique. Les autres pays traitent avec l’hydrochloroquine, les plantes et les médecines traditionnelles. Dans ces pays, l’épidémie n’a pas flambé. Médias et dirigeants ont tenté de nous expliquer que c’était normal puisqu’en Afrique il fait chaud et que la population est jeune. Mais les comparaisons effectuées entre les pays africains et certains pays sud-américains bénéficiant du même climat et qui ont beaucoup vacciné, infirment cette hypothèse puisque les morts ont été nettement plus nombreux dans les pays qui ont vacciné en masse. Donc exit cette histoire de climat. D’autres éléments viennent conforter les méfaits vaccinaux. Dans de vastes pays très hétérogènes comme le Brésil ou les Etats-Unis, des régions ont beaucoup vacciné, d’autres non, des régions ont beaucoup prescrit la chloroquine, d’autres non. Que ce soit en Afrique, en Amérique du Sud, ou en Asie, les pays qui n’ont pas ou très peu vacciné ont eu d’excellents résultats et une mortalité très faible, mais ceux où Big Pharma a réussi à imposer ses vaccins, l’épidémie a flambé tout de suite. Les pro-vaxx me rétorqueront, comme la ministre de la Santé du Luxembourg la semaine dernière que ces pays d’Afrique et d’Asie n’ont pas un bon reporting des cas et des morts. Aussi lui ai-je répondu que lorsque l’épidémie flambe, personne ne conteste le reporting mais que dès qu’elle s’éteint, le reporting est la seule cause possible. A méthode de comptage identique, il y a quand même eu des pics dans les pays qui ont vacciné et ça s’est arrêté après. Ils continuent de nier l’évidence parce qu’ils ne veulent pas admettre la réalité.

Comment comprenez-vous la réaction des médecins, généralistes ou spécialistes, qui refusent de soigner les non vaccinés ?

Je crois que pour la plupart, ces médecins ne sont pas au courant. Ils regardent la télé le soir, écoutent les directives du gouvernement. Ils n’ont pas le loisir d’aller sur internet vérifier les bases de données et les publications. On leur dit que c’est un vaccin, que ça marche, que ça protège les plus fragiles, donc ils adhèrent au discours mainstream. Ils ne sont pas forcément de mauvaise foi, mais la non assistance à personne en danger et le refus de soin sont graves. J’avais dit dans les médias que le gouvernement va avoir sur la conscience des milliers et des milliers de morts dus à l’absence de traitements. Un patient en rétention d’urine, quelque chose de très douloureux, m’a raconté  avoir fait 120 km en VSL pour voir le chirurgien qui le suivait habituellement le virer comme un mal-propre faute de vaccin.  Rappelons aussi les  pertes de chances  des cancéreux lorsqu’on refuse leur chimio, les chirurgies qui sont repoussées, les atteintes cardiaques qui ne sont pas soignées, les coloscopies et tests de dépistages qui ne sont pas faits, les transplantations qui sont ajournées. Ils ont été jusqu’à virer des listes de transplantation des non-vaccinés qui attendaient leurs greffons depuis des années. Ce qui se passe est absolument horrible surtout pour une maladie qui ne tue pas beaucoup.

Et les vaccins tuent plus ?

Oui maintenant c’est clair. Récemment  Eudravigilance en Europe et le VAERS aux Etats-Unis rapportent des décès par dizaines de milliers. La liste des sportifs décédés s’allonge tous les jours et sans compter tous ceux qui ne peuvent plus participer aux compétitions car leur état physique est très dégradé. On nous dit qu’il n’existe pas de preuve que ces problèmes soient liés au vaccin. C’est une thèse que j’ai longtemps défendu lorsque je pilotais la vaccination en France et en Europe pour l’OMS. Quand des maladies étaient attribuées au vaccin comme la sclérose en plaque après la vaccination de l’hépatite B, nous avancions qu’il s’agissait peut-être d’une coïncidence. Effectivement, l’incidence annuelle de la sclérose plaque n’a pas augmenté avec la vaccination massive contre l’hépatite B. Lorsque les injections Covid provoquent des infarctus chez les personnes âgées, on incrimine l’âge, mais des enfants d’une vingtaine d’années ont souffert d’infarctus, embolie pulmonaire, AVC, rupture d’anévrisme, des maladies très rares chez les jeunes et qui explosent en ce moment. Les cas de thromboses se multiplient, mais les médias incriminent maintenant le réchauffement climatique. Idem pour les fausses couches, les malformations cardiaques des enfants de mère vaccinée pendant la grossesse. Ce qui se passe est d’autant plus ignoble que nous sommes toujours phase expérimentale. J’avais appris qu’une personne souffrant d’effets indésirables avec un traitement expérimental, devait profiter du bénéfice du doute, même en l’absence de preuve formelle de la responsabilité des produits. Mais là, il n’y a pas de preuve, donc circulez. Le comble du comble, c’est qu’apparemment, que des compagnies d’assurance ne versent plus les primes d’assurance vie, et ne prennent plus en charge les remboursements des crédits des personnes mortes à cause du vaccin. Et tous les fabricants ont obtenu la garantie de tous les gouvernements qu’ils ne seraient jamais poursuivis ! C’est à vomir. Les politiques de santé, en France sont maintenant entre les mains de Big Pharma qui ne cherche qu’à accroître ses profits

Et le vaccin chez les enfants ?

Le Covid ne tue pratiquement jamais les enfants. Les quelques enfants qui sont morts lors de la première vague souffraient de comorbidités. En France, les enfants ne meurent pas du Covid, mais de la bronchiolite et de virus respiratoires. Mais leurs PCR sont positives et ils sont étiquetés Covid.  A l’inverse, un certain nombre d’enfants sont déjà morts de la vaccination. Les fabricants eux-mêmes affirment que le taux d’effets secondaires sera probablement identique chez les enfants que chez les jeunes adultes. La vaccination de tous les enfants va entraîner des morts du vaccin. C’est scandaleux,  criminel. La maladie tuerait à 30 %, oui, on pourrait prendre le risque, mais avec une maladie dont la mortalité est extrêmement faible, qui ne tue ni les enfants, ni les grands-parents s’ils sont traités tôts, il n’y a d’autre justification que commerciale, ou de mise sous tutelle des populations. Ce mensonge sanitaire n’est en rien une politique de santé publique. Les résultats sur le terrain sont catastrophiques dans les pays qui vaccinent à tour de bras. En Israël, les retours sont mauvais alors qu’on avait montré le pays comme exemple mondial à suivre. Si c’était des vrais vaccins qui marchaient et qui étaient bien tolérés, évidemment que j’aurais envie d’en dire du bien, mais ce n’est pas le cas. Comment peut-on me reprocher d’essayer de sauver les enfants en disant qu’il ne faut surtout pas y toucher mais les laisser vivre normalement et ne pas les masquer pour qu’ils retrouvent la joie de vivre et d’apprendre.

On parle beaucoup de nouveaux traitements. Qu’en pensez-vous ?

Effectivement les labos vont peut-être arrêter le vaccin parce qu’ils commencent à déposer des études sur des médicaments extrêmement chers dont on n’a pas besoin parce que l’ivermectine marche très bien et ne coûte presque rien, comme la vitamine D qu’ils veulent diaboliser. Ils cherchent à nous fourguer des médicaments dont on ne connaît pas la toxicité. Avec une étude sur 1000 malades, seuls les effets secondaires les plus courants apparaissent. Mais lorsque le médicament est administré à des millions de patients, les effets indésirables plus rares commencent à émerger. Nous ne sommes pas à l’abri d’une nouvelle catastrophe avec ces produits dont on ne connaît pas encore la toxicité. C’est ce qui s’est passé avec le remdésivir qui avait obtenu une autorisation d’urgence en réanimation sans aucune étude, alors que la choloroquine était interdite. Lors de la première vague, une proportion importante des premiers patients de réanimation traités par le remdésivir ont développé une insuffisance rénale grave nécessitant l’hémodialyse. J’avais naïvement pensé que l’agence du médicament allait faire un warning sur la nocivité potentielle du remdésivir. Elle n’a pas bougé. Par contre, elle a signalé un mort américain qui avait avalé le liquide de lavage de son aquarium dans lequel il y avait un peu de choloroquine en avertissant : « la chloroquine tue ».

Au printemps 2020, le Haut Conseil de la santé publique n’a pas recommandé l’utilisation du remdésivir par manque de données convaincantes. Il avait rendu un avis public comme il est obligé de le faire. Mais beaucoup de phrases de la recommandation étaient illisibles, masquées en noir, car il s’agissait de données confidentielles Gilead. Par la Cada, un avocat a obtenu le texte dans son intégralité. On a alors découvert que la Direction Générale de la Santé  savait  déjà que le remdévisir pouvait provoquer non seulement des insuffisances rénales graves, mais aussi des atteintes hépatiques graves. J’étais au courant  pour les reins, pas pour le foie. C’était écrit en toutes lettres sur les données transmises au ministère qui s’est bien gardé de communiquer sur les dangers de ce médicament. Si j’avais été aux manettes, j’aurais interdit ce produit qui ne serait jamais sorti. Mais alors que le ministère connaissait ces dangers, il a laissé des médecins continuer à le prescrire ! Seule une longue procédure a permis d’accéder à ces données. Dans cette crise, vraiment, ce sont des experts bourrés de conflits d’intérêts qui ont conseillé les gouvernements. La corruption a pris le pas sur la santé des populations, rien n’est raisonnable.


https://twitter.com/Carterj37919661/status/1499016126788943876?s=20




Jour 3 – Grand Jury

[Source : @JeanneTraduction]




Grand Jury – Session 2

Grand Jury, jour 1 : extrait de la transcription écrite de l’intervention de Reiner Fuellmich, le résumé parfait de la pLandémie !




Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Par Gerhard ULRICH

Gerhard ULRICH
Morges, le 06.03.22
Avenue de Lonay 17
CH-1110 Morges

Président de la Confédération
Ignazio CASSIS
Via dei Lucchini 14
CH-6926 Montagnola

cc: 
Tedros Adhanom GHEBREYESUS, directeur général de l’OMS, Av. Appia 20, CH-1211 Genève 27
Antonio GUTERRES, Secrétaire général ONU, 405 East 42nd Street, New York NY 10017 USA
À qui de droit

Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Monsieur le Président de la Confédération,

Il semble que seule la Weltwoche du 04.03.22 ait rapporté la réunion des ministres de la santé des Etats membres de l’ONU à Genève la semaine dernière.

Titre pertinent : « Dans l’ombre de la guerre en Ukraine, l’OMS travaille à un pacte mondial contre la pandémie ».

Dans l’ombre de la guerre d’Ukraine, l’OMS planche sur un pacte pandémique mondial : les confinements transfrontaliers vont devenir le nouvel instrument de la politique internationale

Par Nicolas A. Rimoldi

Alors que le récit Covid-19 implose et que des pays du monde entier lèvent temporairement leurs mesures coercitives largement infondées, la prochaine attaque contre le modèle à succès de la Suisse se profile à l’horizon.

Inaperçue du public, l’OMS travaille actuellement sur un accord sur « la prévention, la préparation et la réponse à la pandémie ». La communauté internationale doit être « beaucoup mieux préparée à d’éventuelles futures pandémies et agir de manière plus coordonnée tout au long du cycle de détection, d’alerte et de réponse », selon le site officiel du Conseil européen et du Conseil de l’UE. Une première rencontre internationale a eu lieu le 1er mars 2022. Le programme devrait être en place d’ici 2023 et mis en œuvre en 2024. « Nous aurons une autre pandémie », a prédit Bill Gates lors de la Conférence de Munich sur la sécurité.

Cet accord sera contraignant en vertu du droit international. Ceci signifie que le Pacte pandémique de l’OMS sera au-dessus des constitutions nationales ! En conséquence, les États membres seront contraints de mettre en œuvre les mesures décidées par l’OMS. Par exemple, si l’OMS décidait des confinements, la Suisse devrait mettre en œuvre cette ordonnance. Une vaccination obligatoire pour l’ensemble de la population pourrait également être imposée de cette manière. Les États-nations ne pouvaient plus décider eux-mêmes des mesures de lutte contre la pandémie qu’ils souhaitaient mettre en place. La politique souveraine et scientifique, telle qu’on l’observe en Suède, par exemple, appartiendrait ainsi au passé. A l’avenir, la Suisse marchera au pas du reste du monde.

Ralf Dahrendorf mérite ici d’être rappelé :

« Quiconque renonce à l’État-nation perd la seule garantie effective de ses droits fondamentaux à ce jour. Quiconque considère que l’État-nation est dispensable aujourd’hui déclare – aussi involontairement soit-il – que les droits civils ne sont pas indispensables. »

Un déplacement inquiétant du pouvoir des États-nations vers les organisations supranationales peut déjà être observé au cours de la mondialisation. Mass-voll fera tout ce qui est en son pouvoir pour se défendre contre le pacte pandémique de l’OMS et prépare déjà aujourd’hui un référendum. En aucun cas, cette prise de pouvoir ne doit avoir lieu.

Nicolas A. Rimoldi est président du mouvement des droits civiques Mass-full !

Ce que l’ONU, sur ordre des mondialistes, a fait au cours des deux dernières années de la prétendue pandémie déclarée est un crime contre l’humanité. On veut maintenant parachever ce génocide et notre asservissement dans la peste de raccordement prédite par Bill GATES pour octobre de cette année. Car ce pacte de pandémie doit permettre d’atteindre encore plus rapidement les 3 objectifs de la cabale :

– Réduire la population mondiale,

– Pelleter le patrimoine vers le sommet de la pyramide,

– Introduire le transhumanisme.

La guerre en Ukraine n’est qu’une manœuvre de diversion. On le reconnaît au fait que les médias mainstream, dirigés par les oligarques, diffusent à nouveau docilement et simultanément des informations unilatérales dans l’ensemble du monde dominé par l’Occident. On n’y trouve pas un seul mot sur la maison de misère corrompu construite par la CIA, et harcelé par les gangs nazis dans l’Ukraine actuelle.

Que tous ceux qui sont capables de réfléchir se renseignent sur l’évolution historique contemporaine de ce pays avant de se laisser imprégner précipitamment par le lavage de cerveau des journaleux et des politiciens, notamment à l’aide des liens suivants :

Déjà pendant la plandémie, nos Chambres fédérales ont renoncé à notre indépendance et se sont vendues à Big Pharma.

Il est monstrueux de voir comment le Conseil fédéral, applaudi par la caste politique, s’est imprudemment soumis aux instructions des mondialistes et a abandonné notre neutralité séculaire qui a fait ses preuves. La Suisse s’expose ainsi au risque d’être impliquée dans des conflits armés internationaux.

Comme dans tous les pays, le système des partis est totalement délabré Chaque pays a besoin d’un Solon pour reconstruire des démocraties locales entièrement nouvelles.

Reconnaissez enfin qui sont les véritables ennemis de l’humanité, et c’est en prenant connaissance des auditions du Grand Jury que vous le comprendrez le mieux : www.grand-jury.net/
[Voir VF : Grand Jury – Session 2]

Que les institutions internationales chargées de l’eugénisme par les mondialistes, l’OMS, l’ONU et GAVI, aillent en enfer. Au diable le pacte de pandémie prévu par les mondialistes !

Avec mes compliments

Gerhard ULRICH




5G : les vérités qui dérangent sur la technologie sans fil

[Source : maisonsaine.ca]

Par : Carol Bedrosian

Publié le 24 août 2021 sur
https://www.spiritofchange.org/5g-the-inconvenient-truths-about-wireless-technology/

Bien que j’aie partagé des articles et des rapports pendant plusieurs années dans Spirit of Change sur les dangers de la technologie 5G, des compteurs intelligents et des téléphones cellulaires, je dois admettre que j’ai également entretenu ma part de scepticisme à ce sujet. Comment les téléphones portables et la mobilité sans fil peuvent-ils être une mauvaise chose ? Cependant, je ressens une profonde compassion pour ceux qui souffrent manifestement d’une agression invisible et inéluctable sous la forme d’une sensibilité aux rayonnements électromagnétiques – les canaris dans la mine de charbon – car la source de leur maladie reste un mystère pour le grand public.

J’ai été choquée de découvrir, en 2017, lorsque ma fille a été opérée pour retirer une tumeur cérébrale derrière son œil/oreille droit, qu’au moins une douzaine de ces méningiomes bénins (la majorité chez de jeunes adultes) étaient retirés chaque semaine dans ce seul hôpital ! Les tumeurs cérébrales n’étaient-elles pas autrefois un diagnostic rare ?

Les rapports selon lesquels les cellulaires provoquent le cancer du cerveau circulent depuis l’apparition des téléphones portables, et avec eux les démentis. La technologie sans fil a apporté une commodité, une communication et une mobilité inégalées dans nos vies. Personne ne veut y renoncer.

En même temps, sa présence dominante a émoussé notre conscience des personnes, des lieux et des choses qui dévoilent le côté sombre de ces appareils. Comme nous le découvrons aujourd’hui, le rayonnement électromagnétique émis par la technologie sans fil nuit à notre santé mentale et physique. Après tout, la connectivité 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 n’est peut-être pas si saine pour les humains, même si le déploiement de la 5G, dont on fait grand cas dans nos vies, est présenté comme la plus rapide, la plus claire et la meilleure super-autoroute de communication qui soit, ce qui est censé être une bonne chose, non ?

Dans les années 40, 50 ou 60, personne ne pouvait imaginer que la cigarette pouvait être mauvaise pour la santé. Les médecins fumaient, les dentistes fumaient, tout le monde fumait ! Ou dans les années 70 que le plomb dans les conduites d’eau, la peinture et l’essence pouvait être dangereux. Mais ils l’étaient. Les gens ont d’abord dû s’informer sur ces problèmes, puis choisir de nouveaux comportements.

C’est exactement ce type de moment décisif qui se présente à nous en ce qui concerne l’utilisation de la technologie sans fil dans nos vies. Devons-nous nous lancer à corps perdu dans la commodité qu’un avenir entièrement connecté peut nous offrir ou y a-t-il des vérités dérangeantes sur la 5G et la technologie sans fil que nous devons d’abord connaître ?

Cecelia (Cece) Doucette a passé huit ans à collecter des fonds pour introduire la technologie sans fil dans des écoles. Puis elle a appris qu’elle était nocive, a enquêté sur la science financée par l’industrie et a aidé les écoles de ses enfants du district scolaire d’Ashland, dans le Massachusetts, à devenir les premières du pays à prendre des mesures de précaution avec la technologie sans fil, en 2015.

Depuis lors, Cece a éduqué, contribué à légiférer et plaidé sans relâche pour mettre en lumière les dangers de la technologie sans fil en exposant les milliers d’études ignorées, les témoignages d’experts et les voix de ceux qui souffrent d’électrohypersensibilité (EHS). Elle a créé l’association Massachusetts for Safe Technology pour rassembler les communautés sur cette question vitale et travaille avec les écoles, les communautés, les municipalités et les corps législatifs pour aborder la question du rayonnement sans fil et de la santé publique.

Elle est également directrice des services éducatifs de l’organisation internationale à but non lucratif Wireless Education, qui propose des programmes de formation en ligne abordables de 30 minutes destinés spécifiquement aux écoles et aux familles, ainsi qu’une formation à la sécurité en entreprise. On a pu la voir sur Genius of WellnessBoston25 News, PBSO’Dwyer’s, EMF Warriors, ainsi que dans les films Generation Zapped et Wi-Fi Refugees.

Alliant ses compétences d’experte en rédaction technique à un dévouement passionné pour motiver les autres, Cece a réussi à mobiliser un mouvement de sensibilisation aux champs électromagnétiques (CEM) dans le discours public et dans les législatures de la Nouvelle-Angleterre. Comme pour le plomb, l’amiante, les cigarettes et les gras trans, nous avons encore le temps de protéger la santé publique, mais seulement si nous identifions dès maintenant la technologie sans fil comme un problème et prenons des mesures pour y remédier.

CAROL BEDROSIAN : Que sont les CEM de RF ? Qu’est-ce que la 5G ?

CECE DOUCETTE : En termes simples, ce sont les champs électromagnétiques de radiofréquence, c’est-à-dire le rayonnement qui émane de tous les appareils de communication sans fil. Certains trouvent qu’il est plus facile d’en parler en termes de rayonnement micro-ondes, ce qui est le cas. Bien que cela peut être surprenant pour ceux qui découvrent ce sujet, lorsque nous regardons ce que l’on appelle le spectre électromagnétique, qui nous montre les ondes et les longueurs d’onde qui transportent nos données dans les deux sens, toute cette technologie sans fil appartient au segment des micro-ondes du spectre électromagnétique. Sans être plus technique que nécessaire, cela montre simplement la vitesse et la longueur des ondes qui nous arrivent. À mesure que l’on monte dans la gamme de la 5G, qui signifie simplement technologie cellulaire de cinquième génération, ces longueurs d’ondes deviennent de plus en plus courtes, de sorte qu’elles nous arrivent sous forme d’impulsions de plus en plus rapides. Ce sont ces impulsions, ou modulations, qui, selon la science, sont vraiment biologiquement destructives.

CAROL BEDROSIAN : De quel genre de science parlez-vous ?

CECE DOUCETTE : Eh bien, peu de gens le savent, mais il y a littéralement des milliers d’études scientifiques publiées et évaluées par des pairs qui montrent un grand danger biologique. Je pense que si nous n’en entendons pas parler, c’est parce qu’il y avait autrefois une cinquantaine de grands médias aux États-Unis, mais que ces dernières années, de nombreuses sources pour les journalistes d’investigation ont été rachetées par les entreprises qui font la promotion de ces produits et infrastructures sans fil toxiques. Nous n’avons donc plus de véritable journalisme d’investigation sur cette question, car nos journalistes et les dirigeants de leurs réseaux ne peuvent pas se permettre de mordre la main qui les nourrit. Mais quand j’ai fouillé un peu, j’ai été complètement stupéfaite de trouver littéralement des milliers d’études évaluées par des pairs qui relient l’impulsion constante de ces rayonnements à des effets à long terme tels que les cancers et les dommages à l’ADN, cette feuille de route pour faire pousser n’importe quoi, des humains aux plantes, aux animaux. Cela ne concerne pas seulement nous, mais toutes les cellules vivantes de notre monde.

La neuropédiatre Dre Martha Herbert, qui a fondé le programme pour l’autisme à l’hôpital général du Massachusetts, a identifié d’énormes corrélations entre ce que nous savons scientifiquement se produire avec cette exposition aux micro-ondes et ce qu’elle voit chez les enfants autistes et les familles dont elle s’occupe. Le TDAH est lié à cela, et nous savons scientifiquement que les rayonnements électromagnétiques sont à la fois neurotoxiques et immunosuppresseurs. Alors que nous vivons maintenant à l’ère de la pandémie de COVID-19, il ne s’agit pas seulement de ce virus. Il s’agit de faire tout ce que nous pouvons en tant qu’individus pour renforcer notre propre système immunitaire et éliminer le rayonnement sans fil.

L’un des impacts à long terme qui a vraiment attiré mon attention, lorsque j’ai commencé à enquêter sur ce sujet vers 2012/2013, c’est lorsque j’ai commencé à lire les études sur la science de la reproduction. Ils ont pris du sperme humain mâle et l’ont exposé à un ordinateur portable avec les antennes allumées, et cela a changé l’ADN. Cela a ralenti la motilité, et cela a causé beaucoup moins de spermatozoïdes viables avec seulement quatre heures d’exposition sans fil. Et nous venions juste de donner à notre plus jeune fille un ordinateur portable pour aller à l’école secondaire. Bien sûr, où l’utilisait-elle, mais juste au-dessus de ses organes reproducteurs. (Voir ces études sur les risques durant la grossesse.)

C’est ce jour-là que j’ai trouvé ma voix et que j’ai commencé à parler à mes écoles. Les effets à long terme mis à part, la science montre également que de nombreuses personnes souffrent actuellement des symptômes du syndrome des micro-ondes, mais qu’elles ne pensent jamais à se demander si cela est lié à l’exposition à leur technologie sans fil. Cette maladie des micro-ondes est également appelée sensibilité électromagnétique ou l’EHS. Pour ceux qui pensent que tout cela est peut-être psychologique, notre propre gouvernement reconnaît déjà les sensibilités électriques par le biais de l’Americans With Disabilities Act, bien qu’il n’offre que peu de protection.

Parmi les symptômes que les gens ressentent en ce moment, parmi les plus importants concernent le sommeil. L’insomnie, les cauchemars, les terreurs nocturnes – rappelez-vous, il s’agit d’une neurotoxine. La science indique que cela affecte notre sommeil aux petites heures de l’obscurité. La glande pinéale dans le cerveau est censée libérer la mélatonine, qui régule notre sommeil. Elle aide également à évacuer les toxines de la journée hors de notre corps, par la circulation sanguine. Ce que la science nous montre, c’est que cette énergie lumineuse sous forme de rayonnement micro-ondes – elle est invisible – continue de pulser toute la nuit, et notre cerveau le perçoit. Le cerveau pense que les lumières sont allumées et qu’il n’y a pas d’obscurité jusqu’au petit matin, alors le cerveau ne libère pas la mélatonine de la glande pinéale. Il y a alors tout un effet en aval qui commence à se produire lorsque nous ne dormons pas bien.

L’une des autres choses que la science a indiquées comme mécanisme de nuisance est ce qu’on appelle l’effet Rouleaux. Je me souviens que lorsque j’étais enfant, j’adorais manger des bonbons appelés Rolos – ces petits chocolats au caramel qui sont empilés les uns sur les autres dans une pochette. Eh bien, c’est un peu ce qui se passe avec notre sang. Chez certaines personnes, lorsqu’elles sont exposées à ces rayonnements de radiofréquence et que l’on observe leur sang au microscope, les globules rouges qui sont censés flotter librement et oxygéner tous nos systèmes biologiques commencent à s’aimanter et à s’agglutiner comme une rangée de Rolos. Une fois que toute cette chaîne de collage s’est mise en place, les globules rouges ne peuvent plus atteindre les endroits qu’ils doivent oxygéner correctement. Il n’est pas étonnant que tant de gens aient des maux de tête, des saignements de nez, des nausées, des vertiges et de l’anxiété.

Un autre effet que nous voyons est dans un cadre médical contrôlé. Nous savons que nous pouvons utiliser cette technologie de rayonnement par radiofréquence d’une manière vraiment positive pour stimuler les cellules souches, pour stimuler la croissance des cellules osseuses. Mais dans le contexte actuel d’omniprésence de l’électrosmog dans notre société, nous n’avons aucun contrôle, nous n’avons aucun répit, à moins que nous ne sachions comment évaluer avec discernement les expositions dans notre environnement et supprimer ou réduire ces expositions. Cela permet à notre corps de faire une pause, en particulier pendant les heures de sommeil ; sinon, nous n’avons jamais la possibilité de récupérer et de réparer certains de ces symptômes – les maux de tête, l’insomnie, les saignements de nez, les nausées, les vertiges.

Le Dr Pal Pacher et certains de ses collègues ont réalisé des études qui montrent que nous avons des membranes dans notre corps, y compris dans notre cerveau, qui sont censées protéger les zones sensibles contre l’entrée des toxines lorsqu’elles sont évacuées du corps par le sang. La science montre que la barrière hémato-encéphalique est censée protéger le cerveau des toxines, mais que lorsque nous sommes exposés à ces micro-ondes à radiofréquence, elles peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique. Lorsque les toxines se déplacent dans notre sang pour sortir du corps, elles peuvent prendre un virage et aller dans les tissus sensibles de notre cerveau.

Avant même la pandémie, l’anxiété et la dépression atteignaient littéralement des proportions épidémiques dans notre pays, en particulier chez les enfants, rien de moins. Et qu’avons-nous fait pendant la pandémie ? Nous avons donné à chaque étudiant, chaque enfant, un appareil sans fil, sans aucune formation sur les technologies sûres. Si nous voyons ces chiffres augmenter, si nous voyons de plus en plus d’enfants souffrir d’anxiété, de dépression, d’attaques de panique et d’idées suicidaires, nous devons vraiment examiner de près ce que nous faisons à nos enfants.

En vieillissant, nos propres capacités cognitives commencent à décliner un peu. La science montre également que l’émission constante de micro-ondes entraîne des déficiences cognitives. Ainsi, à tout âge, nous devons être très prudents et opter pour une technologie sûre. Une technologie sûre, ce n’est pas sorcier. Nous l’avions il y a une dizaine d’années lorsque nous faisions passer tous nos signaux de données par des fils et des câbles.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est dect-1m-uw-m2-large.jpg.
Ce téléphone sans fil émet des pics de densité dépassant 1 million de microwatt par mètre carré alors que l’on ne devrait pas dépaser 10 μW/m2 dans les chambres, selon les valeurs indicatives de l’Institut de baubiologie. 
https://baubiologie.fr/Valeurs-indicatives-en-baubiologie-SBM-2015-pour-les-zones-de-repos.html

Comment réduire son exposition

Cece

Chez moi, par exemple, lorsque je suis tombé sur le pot au rose, je n’avais personne à qui parler. Et je ne voulais certainement pas croire qu’il y avait quelque chose de mal avec le sans fil, alors j’ai tourné en rond pendant quelques mois pendant que je faisais des recherches scientifiques. Mais une fois que j’ai vraiment regardé ce que ces radiations nous faisaient, j’ai trouvé assez de courage pour dire : « Pas chez moi. J’ai une famille et c’est mon travail de la protéger. » L’une des premières choses que j’ai faites a été de regarder tous ces téléphones sans fil – et j’en avais probablement cinq dans toute la maison – parce que j’avais appris que c’était comme votre propre petite tour de téléphonie cellulaire privée qui émettait des pulsations 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, toute la journée, toute la nuit. Combien d’entre nous ont ces téléphones sur leur table de nuit avec la station de base qui émet des pulsations toute la nuit ? J’ai fini par les remplacer par des appareils qui se branchent directement sur le téléphone et une prise dans le mur, et vous avez alors une ligne terrestre sûre.

Ensuite, j’ai commencé à examiner notre technologie informatique à la maison. Je suis rédactrice technique et mon outil de travail est mon PC. Heureusement, il était déjà câblé, il passait par un câble Ethernet et était branché dans la prise Ethernet du mur. Et mon imprimante était déjà reliée à mon ordinateur par un autre câble. Il m’a donc suffi d’aller dans les paramètres de l’imprimante et de désactiver toutes les antennes sans fil. Ensuite, je suis descendu dans une boîte que j’avais au sous-sol, où se trouvaient mon ancien clavier et ma vieille souris, et j’ai simplement branché mon ancien clavier et ma vieille souris filaires, et j’avais alors une technologie parfaitement sûre.

À un moment donné, mon ordinateur a dû subir une mise à jour logicielle et un petit signal Wi-Fi s’est affiché sur l’écran de mon ordinateur. Je suis donc allé dans les paramètres de mon ordinateur, j’ai trouvé d’où venait ce symbole sans fil et je l’ai désactivé. C’est un processus en deux étapes. Vous devez tout rebrancher pour le câbler, puis vous devez aller dans votre appareil et désactiver ces antennes sans fil.

Pour les personnes qui repartent à zéro, la première chose à faire est de se rendre à l’endroit où se trouve leur routeur et de regarder à l’arrière de celui-ci. Vous verrez qu’il y a des prises pour les câbles Ethernet ; c’est comme ça que vous commencez. Vous achetez des câbles Ethernet. Vous aurez peut-être besoin d’en acheter un gros et long. Mon routeur se trouve au sous-sol. Avec l’aide d’un électricien, vous ferez donc passer les câbles le long des murs jusqu’aux pièces où vous utilisez la technologie, puis vous installerez une prise dans le mur. Recherchez un câble Ethernet blindé, d’une longueur égale à celle dont vous avez besoin pour atteindre vos appareils. Je dis blindé car une autre forme de champ électromagnétique est l’électricité sale [l’interférence électromagnétique de hautes fréquences transitoires]. Dans nos codes de construction, ici aux États-Unis, lorsque vous construisez un bâtiment commercial, vous devez utiliser un câble Ethernet blindé, mais dans les zones résidentielles, ils ne sont pas obligés d’utiliser des câbles blindés, ce qui est regrettable.

Le blindage signifie qu’il y a une feuille d’aluminium à l’intérieur du câble Ethernet ; la feuille d’aluminium empêche le champ électrique et le champ magnétique de votre électricité et de votre technologie de se répandre dans la pièce. Les personnes sensibles à l’électricité peuvent souvent sentir le champ électromagnétique qui se dégage des fils de leur maison. Si vous achetez un câble Internet, prenez un câble Ethernet blindé.

Hardwire
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Lorsque ma fille est arrivée à l’âge de partir à l’université, en deuxième année, elle a pris un appartement et je lui ai envoyé un kit qui lui permettait de câbler son appartement. Je lui ai envoyé un câble Ethernet de 15 mètres et un boîtier de commutation Ethernet. Elle a branché le long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis deux câbles courts, tous deux blindés – un pour son téléphone portable et un pour son ordinateur portable. Vous pouvez acheter ces petits adaptateurs qui vous permettent de câbler votre téléphone portable, votre ordinateur portable, votre tablette ou tout autre appareil que vous utilisez. Je sais que ce n’est pas le colis typique que vous enverriez à votre étudiant, mais j’y ai mis aussi du chocolat.

J’ai dit : « Prends une photo et fais-moi savoir que tu l’as fait. » Elle a fait mieux que moi et a filmé depuis son salon où se trouvait le routeur. Elle m’a montré comment elle avait posé le long câble Ethernet du salon à la chambre en passant par la cuisine et le couloir. Elle m’a ensuite montré comment elle avait branché l’autre extrémité du long câble Ethernet au boîtier de commutation, puis branché les deux câbles courts pour ses appareils. Elle les a ensuite branchés à l’aide de ces petits adaptateurs. Une fois ses appareils câblés, elle s’est branchée sur son téléphone portable et son MacBook et a éteint toutes les antennes.

Quand je lui ai appris ça, elle était au secondaire et, vous savez, elle n’était pas folle d’entendre ça. Quand on a 15 ans, on veut être comme tous les autres enfants, et on ne veut certainement pas être l’enfant de la mère qui découvre que le sans fil est dangereux. Elle était un peu réticente à me suivre pendant que je comprenais tout ça. Mais nous étions là, à câbler son nouvel appartement. Après qu’elle soit allée dans ses paramètres et ait tout éteint, j’ai dit, « Ok, fais quelque chose et regarde si ça marche. » Et elle a dit, « Oh mon dieu, maman, c’est tellement plus rapide que le sans-fil! »

CAROL BEDROSIAN : Comment peut-on câbler un téléphone portable ? Cela ne signifie-t-il pas que vous ne pouvez pas vous éloigner de la prise ?

CECE DOUCETTE : C’est une excellente question, Carol, parce que l’une des choses que nous devons ajuster dans nos esprits est le facteur commodité. En ce moment, je vous parle sur une ligne terrestre. Je ne peux pas me lever et marcher dans toute la maison avec ça, alors j’ai ajusté mon comportement. Avec un téléphone portable, c’est vous qui choisissez : est-ce que je veux m’exposer à des radiations radioélectriques pour le confort de me promener avec, ou est-ce que je veux établir de nouveaux modèles de comportement où, peut-être dans mon salon, j’ai un câble Ethernet relié à l’adaptateur qui va à mon téléphone portable ?

Aujourd’hui, la plupart des activités des enfants sur leur téléphone ne consistent pas à passer des appels téléphoniques. La plupart du temps, ils se connectent à leurs amis et à leurs médias sociaux sur Internet. Et tout ce que vous pouvez faire sur Internet, vous pouvez le faire via une connexion câblée. Ce que vous pouvez également faire avec votre téléphone portable, c’est transférer vos appels vers une ligne terrestre, ou vous pouvez brancher votre téléphone directement et utiliser Internet par le biais d’un câble.

C’est libérateur de ne pas être attaché à son téléphone portable tout le temps. C’est tellement malsain pour notre système nerveux central d’être constamment à l’écoute de ce petit ping qui arrive : quelqu’un vous cherche, il veut quelque chose de vous et il le veut maintenant. Ce n’est pas une façon saine de vivre nos vies. Nous avons été dans cette lune de miel tout-WiFi-tout-le-temps que l’industrie a perpétué. Et maintenant, avec un peu d’éducation, nous pouvons dire : « Hmm, il y a des choix à faire ici. Est-ce que c’est vraiment bon pour moi d’être tout le temps sur un appareil devant un écran, ou sachant ce que je sais maintenant, est-ce que je veux commencer à reprendre ma vie en main et à contrôler ce qui est important pour moi dans ma vie, au lieu d’être tout le temps à l’écoute de cet appareil ? »

Je me rends compte que les dommages causés par les radiations sans fil sortent du champ de vision de la plupart des gens, surtout lorsque vous parlez à des professionnels comme les ingénieurs et les physiciens, même les médecins, les infirmières et les technologues. La plupart d’entre eux ont appris qu’il faut qu’un appareil échauffe vos tissus corporels pour qu’il y ait un risque biologique. C’est parce que lorsque la Commission fédérale des communications (FCC) a fixé les limites d’exposition du public aux rayonnements, elle les a fondées sur ce facteur thermique. Or, la science montre qu’il n’est pas nécessaire d’élever la température du corps pour lui nuire. Ainsi, nous avons ces limites de sécurité d’exposition aux rayonnements qui sont très élevées, et l’industrie peut continuer à produire toutes ces solutions d’infrastructure et ces appareils personnels qui émettent une quantité incroyable de ces impulsions de micro-ondes. Pourtant, la science montre que les dommages biologiques se produisent à des centaines de milliers de fois en dessous de ce que la FCC [ou Santé Canada] autorise comme étant sûr.

Un dossier fédéral a été ouvert en 2012 ou 2013, dans lequel le Government Accountability Office [Bureau de la responsabilité gouvernementale des États-Unis] a indiqué à la FCC que nous devions réévaluer nos limites d’exposition. La FCC a donc ouvert un dossier et les scientifiques, les médecins et le public qui sont tombés malades à cause de cela, ou qui ont perdu des êtres chers à cause des tumeurs cérébrales glioblastomes ou des neurinomes acoustiques ou des cancers de la thyroïde, ou qui souffrent tout simplement au jour le jour de maladies dues aux micro-ondes, ont tous apporté leur témoignage dans ce dossier, littéralement des centaines et des centaines. Ils ont laissé ce dossier ouvert pendant six ans, alors que le public était de plus en plus saturé par ces radiations micro-ondes. Et puis, à la fin de la journée, ils ont fermé leur dossier en 2019, et ont résumé que nous n’avons pas vraiment besoin de changer aucune de ces limites d’exposition aux rayonnements. Une fois que cette décision a été mise dans quelque chose appelé le registre fédéral, elle a été officiellement déposée, et les poursuites ont commencé.

Il y a un groupe incroyable de médecins et de scientifiques à l’Environmental Health Trust. Leur fondatrice, la Dre Devra Davis, est co-lauréate du prix Nobel de la paix en tant que membre du Groupe intergouvernemental sur l’évolution du climat. Elle s’occupe du problème du sans fil depuis des années et l’a bien compris. Elle et sa directrice exécutive, Theodora Scarato, ont poursuivi la FCC. Et au même moment, l’association Children’s Health Defense de Robert F. Kennedy Jr. a également poursuivi la FCC pour avoir négligé la science. Ces deux procès ont été combinés en cour fédérale et ils ont imprimé toutes ces preuves scientifiques qui ont été données à la FCC. Il y avait 11 000 pages de témoignages qui ont été remis à trois juges fédéraux dans 27 volumes de classeurs.

Les arguments oraux ont été présentés en janvier 2021 devant ces juges. Après que les personnes poursuivant l’industrie aient présenté leurs arguments oraux, la FCC a présenté les siens. L’un des juges a indiqué qu’il était enclin à se prononcer contre la FCC. Un juge ne dit presque jamais cela pendant les arguments oraux. Il a demandé aux avocats de la FCC quelle diligence raisonnable ils avaient exercée pour arriver à la conclusion que nous n’avions pas besoin de mettre à jour les limites d’exposition du public aux radiations. La FCC a dit que la Food and Drug Administration a dit que ces limites sont bonnes. Le juge a donc demandé quelle diligence raisonnable la FDA avait exercée pour arriver à cette conclusion.

Je pense qu’elle aura du mal à trouver quoi que ce soit, car il y a vingt ans, la FDA a demandé au programme national de toxicologie des États-Unis, qui fait partie des instituts nationaux de la santé, de réaliser une étude pour déterminer si les téléphones portables étaient dangereux. Il y a vingt ans, les téléphones cellulaires utilisaient la technologie 2G et 3G, c’est-à-dire la deuxième et la troisième génération. Pendant deux décennies, ils ont mené cette étude sur des rongeurs, puis ils ont procédé à un examen par les pairs sans précédent de trois jours aux National Institutes of Health avec des experts de renommée mondiale dont la vie est consacrée à l’étude des rayonnements micro-ondes.

À l’issue de cet examen par les pairs de trois jours, le National Toxicology Program (NTP) a rédigé son rapport final, dans lequel il conclut à l’existence de preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN. La preuve évidente est la plus haute des cinq catégories qu’ils peuvent attribuer à une enquête. On pourrait donc se demander si le NTP nous dit qu’il existe des preuves évidentes de tumeurs cancéreuses et de dommages à l’ADN, pourquoi il n’a pas pris cela et ne l’a pas traduit en politique publique pour protéger le public ?

Eh bien, il y a quelqu’un de nouveau à la tête de cette partie de la FDA, et c’est le Dr Jeffrey Shuren. En creusant un peu, on découvre que le Dr Shuren est marié à une femme qui est associée dans un cabinet d’avocats qui représente l’industrie du sans fil. Il y a un énorme conflit d’intérêts avec le Dr Jeffrey Shuren. Ajit Pai, qui était le président de la FCC au moment où cette étude du NTP a été publiée, était un avocat principal de Verizon.

Et son prédécesseur était Tom Wheeler. Tom Wheeler était à la tête de la Cellular Telephone Industry Association, qui a changé de nom pour s’appeler CTIA – la Wireless Association. Et avant cela, il était à la tête de l’association du câble. Dans les années 90, une femme est morte de tumeurs au cerveau, et son mari ou son oncologue est passé à l’émission « Larry King Live » pour décrire son cas unique parce que ses tumeurs se trouvaient sur le côté de son cerveau où elles s’alignaient avec les antennes de son téléphone portable au lieu de se développer quelque part au milieu du cerveau. Lorsque l’affaire a été révélée à « Larry King Live », elle est devenue un cauchemar de relations publiques pour l’industrie du sans fil. [L’affaire, Reynard v. NEC, a ensuite été rejetée en 1995 par la Cour.]

Alors, les leaders de l’industrie se sont levés et ont dit :  « C’est horrible. Nous avons les fonds nécessaires. Laissez-nous faire une étude et voir de quoi il s’agit. » Ils se sont associés à notre gouvernement et ont engagé le Dr George Carlo, qui a mis en place une équipe d’environ 200 scientifiques. Ils ont enquêté pendant deux ans, et à la fin de leur enquête, ils ont rapporté à la direction de l’industrie du sans fil que le téléphone cellulaire avait probablement tué cette femme, et que les enfants sont particulièrement vulnérables parce que leurs systèmes sont encore en développement.

Et à ce moment-là, dans les années 90, plutôt que d’invoquer le principe de précaution, qui nous amènerait à atteindre le niveau le plus bas possible pour tout type de rayonnement, ils ont enterré les conclusions du Dr Carlo. L’homme qui a commandé cette étude n’était autre que Tom Wheeler, qui est devenu des années plus tard le président de la FCC. Donc, nous avons un énorme conflit d’intérêts avec nos agences fédérales dans l’industrie. Et maintenant que l’industrie et ses sociétés mères ont racheté tous nos médias grand public, nous n’entendons plus parler des risques liés aux rayonnements sans fil. Mais il ne faut pas longtemps pour identifier les données scientifiques; elles sont facilement accessibles dès que l’on sait comment les chercher [par exemple, voir Effects categories dans la banque de données https://www.orsaa.org/orsaa-database.html].

Au cours de ce voyage dans le Massachusetts, j’ai eu le privilège d’entrer en contact avec d’autres personnes à travers l’État qui étaient également en train de comprendre cela, et qui avaient peut-être un être cher qui est tombé malade ou quelqu’un dans leur famille qui est mort de tumeurs cérébrales ou d’autres cancers qui se développent avec le temps. Nous avons donc créé une organisation sous l’égide d’un organisme à but non lucratif appelé Massachusetts for Safe Technology. Tout le monde est invité à se rendre sur le site www.ma4safetech.org et à y jeter un coup d’œil. Si vous vous inscrivez sur le site, vous recevrez des notifications lorsque des actions seront entreprises pour aider nos communautés à passer à des technologies sûres.

Au niveau de l’État, nous organisons des réunions avec le corps législatif. Nous avons 11 projets de loi qui sont directement parrainés par les législateurs cette session, et il y en a une poignée d’autres qui ont été introduits par les électeurs. Nous avons des projets de loi visant à former une commission pour réunir les bons esprits au niveau de l’État et enquêter sur cette question. Nous avons un projet de loi qui exigerait que chaque compagnie d’énergie donne aux contribuables le droit de refuser les compteurs intelligents, parce que ces compteurs qu’ils installent sur nos maisons pour l’eau, le gaz, l’électricité et maintenant l’énergie solaire, émettent des radiations dans nos maisons 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Toute personne se trouvant de l’autre côté de ce mur – une femme enceinte, un bébé ou un enfant, une personne âgée ou toute personne dont la santé est compromise – est particulièrement vulnérable.

Tous les autres sont également vulnérables à cette fréquence radio. Mais sans consentement éclairé, ils remplacent ces compteurs sur nos maisons qui avaient des compteurs analogiques sûrs et en état de marche, que les releveurs de compteurs venaient relever tous les mois, pour ensuite faire notre facturation. Nous n’avons pas besoin de ces nouveaux appareils qui émettent des impulsions des milliers de fois par jour; laissons-les émettre des impulsions une fois par mois pour le relevé.

Au lieu de cela, l’industrie fait de la collecte de données. Ils récoltent nos habitudes, et maintenant ils poussent la 5G [ou cinquième génération de technologie cellulaire] et l’Internet des objets pour que chaque produit que nous ramenons à la maison soit équipé d’un émetteur de radiofréquence. Ils récoltent nos données pour capturer nos schémas d’utilisation sur nos appareils personnels privés, ce qui, pour ceux qui se soucient de la vie privée, soulève un énorme drapeau rouge. Mais pour ceux qui se soucient également de notre santé, chaque fois que vous achetez un nouveau téléviseur ou un nouvel appareil ménager, il peut contenir une antenne sans fil. Ou encore, le siège de pot pour l’apprentissage de la propreté de votre enfant, on vous encourage maintenant à y brancher un iPad, pour que votre enfant puisse s’asseoir là, s’entraîner à la propreté et jouer sur un ordinateur qui l’irradie. Si nous voulons de la technologie, nous pouvons avoir toute la technologie que nous voulons, mais elle doit être câblée et ne pas être sans fil.

Nous avons un projet de loi qui existe depuis plusieurs sessions pour que notre ministère de l’Éducation primaire et secondaire commence à protéger les enfants à l’école. Nous avons également témoigné devant le Conseil de l’éducation élémentaire et secondaire à plusieurs reprises. Un jour, je me suis assise avec le commissaire intérimaire et je lui ai demandé : « Est-ce que vous faites quelque chose pour protéger nos enfants ? » Et il a répondu, « Nous attendons les autorités supérieures. » Et j’ai dit : « En fait, j’ai rédigé des fiches d’information sur les CEM avec notre département de la santé publique au niveau de l’État en 2016, et on m’a dit qu’elles seraient diffusées au public dans trois mois. » Nous voici en 2021, cinq ans plus tard, et elles n’ont jamais vu le jour!

Le Dr Joel Moskowitz est le directeur [du Centre de santé familiale et communautaire] de l’École de santé publique de l’Université de Californie à Berkeley, et il a essayé de faire publier cette fiche d’information également. Le département de la santé publique (DSP) n’a pas voulu la lui communiquer, alors il s’est adressé au rédacteur en chef du Boston Globe, qui en a parlé. Ensuite, au lieu de publier les conseils sur les CEM basés sur les faits, le DSP a mis en place une page CEM sur le site Web de l’État sur le contrôle des radiations pointant vers de fausses informations publiées par nos agences fédérales capturées par l’industrie. Plus tôt, le Dr Moskowitz a obtenu que des avocats de Berkeley fassent du travail bénévole pour lui afin de poursuivre le Département de la santé publique de Californie pour qu’il publie une fiche d’information de santé publique similaire, écrite en 2009. Ce procès a eu lieu en décembre 2017 [et il a eu gain de cause, on peut lire cette fiche ici]. Cela aurait dû faire la une des journaux dans le monde entier – les téléphones portables présentent des risques – et si certains médias locaux en Californie ont couvert l’affaire, elle a généralement été étouffée par les grands médias d’entreprise.

CAROL BEDROSIAN : C’est plus qu’un simple risque pour la santé. Il s’agit d’un énorme changement de comportement. Pensez à l’époque où les gens ont dû arrêter de fumer. Le tabagisme faisait partie intégrante de notre culture sociale. Il a fallu beaucoup de temps lorsqu’il a été présenté comme un risque pour la santé avant qu’il ne soit finalement reconnu comme tel et interdit dans certains endroits.

CECE DOUCETTE : C’est un excellent exemple, car nous savions depuis des décennies que fumer était dangereux, et ce n’est qu’en 1964, je crois, que notre directeur des services de santé a finalement tenu une conférence de presse indiquant que nous devions prendre des précautions autour des produits du tabac. C’est une autre question de droit de choisir, mais parce que nous ne donnons pas les faits au public, le public n’a aucune idée.

CAROL BEDROSIAN : Exact. Si les gens avaient cette information, ils seraient peut-être plus motivés pour changer, parce que beaucoup de gens n’aiment pas être esclaves de leurs appareils sans fil, et voudraient reprendre le contrôle de leur vie. Il y aurait plus de motivation.

CECE DOUCETTE : Je pense que beaucoup de gens sentent que quelque chose ne va pas ici, mais comme nous n’entendons que les messages de l’industrie – plus, mieux et plus vite – nous suivons le mouvement. Mais une fois que nous avons la possibilité d’être éduqués, nous pouvons prendre en charge notre propre utilisation.

Mikko Ahonen est docteur en sciences informatiques et un expert finlandais de l’électrosmog.

J’ai eu le privilège d’entrer en contact avec de nombreux scientifiques et médecins de renommée mondiale au cours de ce voyage. En Europe, un couple m’a été présenté, Brett et Lynn West, qui ont commencé à travailler sur cette question et ont reconnu que nous ne pouvons pas régler le problème parce que les gens ne le connaissent pas. Nous avons donc créé un petit organisme à but non lucratif appelé Wireless Education avec l’un des plus grands scientifiques bioélectromagnétiques du monde, le Dr Mikko Ahonen, de Finlande. Nous avons distillé cet énorme volume de science, les risques, ce que font les autres pays et les meilleures pratiques médicales dans des cours qui peuvent être suivis en une demi-heure environ en ligne.

Nous avons un cours pour les écoles et les familles, puis un cours d’initiation à la sécurité pour les entreprises. Après avoir suivi ce petit cours et répondu à quelques questions en cours de route pour renforcer des concepts importants, vous pourrez imprimer un certificat d’achèvement. Il vous permet également d’imprimer une fiche de conseils pratique à la fin du cours, avec des rappels sur les mesures à prendre pour créer un sanctuaire de sommeil à la maison et d’autres rappels de bon sens pour passer à une technologie sûre.

La seule lumière vraiment brillante que nous ayons ici aux États-Unis est venue d’une électrice, Deb Hodgdon, du New Hampshire. Elle s’est jointe à nous pour la projection dans le Massachusetts d’un film primé intitulé Generation Zapped, dans lequel nous entendons des scientifiques et des médecins éminents, ainsi que des personnes qui sont tombées malades à cause des CEM. Deb était tellement reconnaissante de se retrouver avec d’autres personnes pour parler des CEM, car elle en était arrivée à un point où elle était presque sur son lit de mort. Elle avait consulté ses médecins, qui n’arrivaient pas à comprendre ce qui n’allait pas. Elle a payé – comme la plupart des gens finissent par le faire – des milliers de dollars de sa poche pour aller voir des spécialistes qui ne pouvaient pas comprendre d’où venaient tous ces symptômes fous, jusqu’à ce que quelqu’un reconnaisse finalement qu’elle avait des symptômes de la maladie des micro-ondes.

Elle a donc pris toutes les mesures correctives nécessaires et a éliminé les micro-ondes de son espace de vie et de travail. Puis elle a commencé à réinoculer son système et à reconstituer tous les éléments sains qui avaient été épuisés. Lorsque le représentant de son État est venu frapper à sa porte pour demander sa réélection, elle l’a invité chez elle et lui a raconté ce qu’elle avait vécu. Le représentant du New Hampshire, Patrick Abrami, est ingénieur, et les ingénieurs font partie de ces groupes à qui l’on a appris qu’il faut qu’un appareil dégage beaucoup de chaleur pour qu’il y ait des dommages. Elle a partagé avec lui les preuves scientifiques non thermiques qui montrent des dommages, et le représentant Patrick Abrami est retourné en arrière et a réellement fait une plongée en profondeur. Il a commencé à lire la littérature scientifique évaluée par des pairs, au lieu de se contenter des messages que l’industrie lui avait transmis.

Finalement, il a eu ce grand moment de surprise, comme, « Wow, qu’est-ce qu’on fait ici ? », puis il a écrit un projet de loi pour commencer à aborder cette question. Après avoir passé un après-midi à la table de ma cuisine, je l’ai aidé à faire le lien entre les points, et il est revenu en arrière et a renforcé le langage de son projet de loi avec des questions très pointues. Par exemple, pourquoi les petits caractères juridiques de nos appareils nous disent-ils de ne pas les laisser sur notre corps ? Pourquoi la Lloyd’s de Londres, Swiss RE et d’autres grands assureurs ont-ils déjà reconnu qu’il s’agissait d’un risque majeur et ont-ils inclus dans leurs polices des exclusions stipulant qu’ils ne couvriraient pas les dommages causés par les radiofréquences ou les CEM ? Et puis, pourquoi la FCC ignore-t-elle la science au niveau non-thermique ? Et pourquoi autorise-t-elle plus de radiations, cent fois plus de radiations pour notre public, que ne le font certains autres pays ? Et pourquoi personne ne regarde l’effet cumulatif de tout cela ? Qu’arrive-t-il à nos enfants lorsque nous les plaçons dans une salle de classe avec 30 appareils, qui transmettent ces radiations à tous les enfants de la salle, en plus de leurs appareils personnels, de leurs dispositifs portables, et des points d’accès sans fil au plafond ? Personne ne regarde l’effet cumulatif.

Le représentant Abrami a présenté ce projet de loi, et il m’a demandé de venir témoigner avec un certain nombre de résidents du New Hampshire, qui comprenaient cette question. Un biologiste a témoigné pour parler de l’impact environnemental que cela a sur nos oiseaux, nos abeilles et nos plantes. Le Dr Paul Heroux est venu du Canada ; il enseigne l’électromagnétisme à la faculté de médecine de l’Université McGill.

Et puis il y a Frank Clegg. C’est le président retraité de Microsoft Canada. Il a pris l’avion sur son temps et son argent, et il a témoigné. Lorsqu’il a pris sa retraite, il avait suffisamment entendu parler de l’industrie pour savoir qu’il ne fallait pas avoir de sans-fil chez lui, mais il ne comprenait pas vraiment ce que cela signifiait. Il a donc commencé à rencontrer des scientifiques et des médecins de renommée mondiale et, à son retour, il a déclaré :  » Nos limites de rayonnement au Canada et aux États-Unis, ici en Amérique du Nord, ne sont pas sûres.  » Frank Clegg a formé Canadians For Safe Technology, et il est allé au Parlement pour essayer de faire ce que nous faisons ici aux États-Unis, c’est-à-dire obtenir une politique publique qui place les profits des entreprises derrière la santé publique. Parce qu’à l’heure actuelle, ce sont les profits des entreprises qui dominent ; ce qui se passe dans le domaine de la santé publique n’est même pas pris en compte.

CAROL BEDROSIAN : Vous avez mentionné que la 5G a une longueur d’onde plus courte. Ce que nous voyons avec l’installation de la 5G, c’est que les tours sont situées dans des quartiers résidentiels et qu’elles sont plus nombreuses. Pourquoi ont-elles besoin d’être aussi proches ? Est-ce que cela a quelque chose à voir avec les longueurs d’onde courtes ?

CECE DOUCETTE : La façon dont l’industrie conçoit la 5G, qui, soit dit en passant, n’a pas encore été définie techniquement – chaque fournisseur de services sans fil propose sa propre façon de faire – n’a pas encore été normalisée. Ils se contentent de la mettre en avant et de la vendre à tout va pour que tout le monde soit convaincu que la 5G est une excellente chose.

5G signifie simplement cinquième génération, mais il ne s’agit pas seulement d’une suite à la 3G et à la 4G. En fait, nous avons toujours besoin de la 4G parce qu’elle possède les grandes longueurs d’onde qui peuvent traverser un bâtiment et se connecter à vos appareils à l’intérieur. Toute cette infrastructure cellulaire que nous avons déjà, avec ces grandes antennes sur les tours cellulaires appelées antennes macrocellulaires qui ont commencé dans les parcs industriels à 300 pieds dans les airs, au fil des ans, nous les avons vues empiéter de plus en plus près de nos lieux de vie, de travail, de loisirs et d’études (et si vous pouvez la peindre de la même couleur qu’un bâtiment, ils donneront au propriétaire du bâtiment une ristourne pour installer une antenne juste sur un bâtiment où les gens sont de l’autre côté du mur ou sous les antennes de toit qui tombent malades).

Donc, toute cette infrastructure reste. C’est l’épine dorsale du sans fil, de la 5G. Avec la cinquième génération, tout ce qui reste des ondes, ce sont ces minables petites ondes millimétriques, et elles sont minuscules. L’industrie s’imagine qu’avec toutes ces nouvelles ondes millimétriques, nous serons en mesure de vous offrir des téléchargements plus rapides, un streaming plus rapide et des autoroutes intelligentes et superbes. Mais pour que la 5G fonctionne, ces petites ondes ne peuvent pas aller très loin et elles sont perturbées par tout ce qui se trouve sur leur chemin. Leur solution consiste à installer de nouvelles antennes, des antennes supplémentaires, toutes les deux à douze maisons dans nos quartiers, en bordure de nos voies d’accès publiques. Vous voyez ces choses apparaître sur des poteaux, littéralement juste devant les chambres des gens. Et nous voyons des gens qui tombent malades à cause de ça. Nous voyons des enfants qui tombent malades à cause de cela, et ils restent là à pulser 24/7.

Ce que l’industrie a fait avec la FCC, comme elle l’a dit à nos villes par le biais de nouvelles décisions qu’elle a prises, c’est que vous ne pouvez rien dire, vous ne pouvez rien faire, ça vient et vous n’avez aucun recours juridique – ce qui n’est pas vrai, mais nos villes se laissent faire. Les avocats de la ville ne sont pas des experts en droit des télécommunications. Mais si vous faites appel à un avocat expert en télécommunications, il vous indiquera 20 façons différentes dont votre ville peut renforcer ses règlements municipaux et les codifier afin que vous n’ayez pas à céder lorsque l’industrie arrive avec ces demandes.

Je vais vous donner un exemple ici même, à Burlington, dans le Massachusetts. Il y a environ trois ans, Verizon a déposé une demande pour sept antennes de petites cellules. La ville avait plus de questions que Verizon ne pouvait répondre, alors elle a formé un comité sur les petites cellules, et pendant un an environ, elle a enquêté. En plus de leur avocat, ils ont engagé un conseiller spécial spécialisé dans les télécommunications, afin d’être conseillés sur ce qu’ils pouvaient faire pour protéger leur communauté dans les limites de la loi actuelle.

Burlington a élaboré une politique relative aux petites cellules qui énonce des principes de bon sens, comme le fait que, si cette demande est autorisée, tout ce que l’industrie du sans fil met en place doit être conforme à la loi sur les Américains handicapés. Parce qu’ils appellent ces choses « petites cellules », l’industrie va dire que « c’est juste la taille d’un sac à dos sur un poteau ». Mais ce qu’ils ne vous disent pas, c’est qu’ils sont livrés avec une ou deux boîtes de la taille d’un réfrigérateur qui contiennent des ventilateurs de refroidissement, des batteries de secours et bien d’autres choses encore. Burlington a donc déclaré que l’industrie ne pouvait pas placer cet équipement là où il empêcherait une personne en fauteuil roulant de passer sur un trottoir. Et puis, ils ont dit que sur le plan esthétique, tout ce que vous installez doit s’intégrer à l’environnement.

Mais Burlington a ensuite établi que l’industrie ne peut pas simplement venir dans la communauté avec cet équipement sans fil et s’en aller. S’il approuve une demande d’installation de petites cellules, le fournisseur de services sans fil doit accepter de revenir chaque année et de payer pour faire certifier par un tiers indépendant que l’équipement respecte toujours les limites de la FCC en matière d’exposition du public aux rayonnements. Verizon ne voulait pas créer de précédent en matière de recertification annuelle et a donc retiré ses sept demandes de petites cellules. Nous avons constaté que si les citoyens s’adressent à leurs villes, travaillent avec elles et les orientent dans la bonne direction, et qu’une ville commence à renforcer ses règlements ou à mettre en place une politique, l’industrie s’en va souvent parce qu’elle ne veut pas dépenser l’argent et le temps nécessaires pour lutter contre ce que la ville fait pour se protéger.

Chacun d’entre nous dans nos villes devrait s’exprimer dans nos villes. Nous savons que ce n’est pas une mince affaire, car la plupart d’entre nous ne sont pas des experts en la matière, mais si vous allez sur le site www.americansforresponsibletech.org, ils ont rassemblé toutes les meilleures pratiques de tout le pays. Ils proposent un modèle de règlement que vous pouvez présenter à votre avocat et lui dire : « Écoutez, nous avons un gros problème ici. Et voici comment nous pouvons l’apprendre. Et voici ce que nos règlements doivent être modifiés pour inclure. »

Nous devons avoir des marges de recul afin qu’ils ne puissent pas mettre ces choses juste en face de nos maisons. Les études épidémiologiques qui examinent ce qui se passe réellement dans la société révèlent une augmentation des cancers, des troubles du sommeil, des problèmes neurologiques, de l’anxiété et de la dépression, etc. à moins de 500 mètres ou 1 640 pieds d’une tour de téléphonie cellulaire. Certaines villes précisent dans leurs arrêtés municipaux une distance de 1500 pieds de tout lieu de vie, d’hôpitaux et d’endroits où les enfants jouent. Ici, à Shelburne, dans le Massachusetts, je crois qu’ils ont une marge de recul de 1500 pieds pour les habitations, puis une marge de 3000 pieds pour les écoles.

[NDLR : L’article de maison saine s’arrête ici. Ce qui suit, à part la notice sur Carol Bedrosian, provient directement du site source en anglais]

Mais nous ne devons pas nous sentir vaincus car le sans fil est partout. Nous n’en sommes qu’à un moment donné et nous devons nous éduquer, puis regarder ce que les autres ont fait. Il n’est pas nécessaire de réinventer la roue, mais nous devons tous agir sur ce point, car avec ce procès en cours avec la FCC, l’industrie se déplace encore plus rapidement pour mettre en place son infrastructure sans fil pour la 5G avant qu’on lui dise qu’elle doit la réparer.

De plus, l’industrie a fait une autre manœuvre très habile à la fin du mois de mars. Auparavant, si vous vouliez avoir une antenne parabolique, il s’agissait simplement d’un signal unidirectionnel entre vous et le satellite, et vous pouviez la placer sur votre balcon ou votre toit. Cela était régi par une règle appelée OTARD, la règle du dispositif de réception par voie hertzienne, qui contrôlait ce signal unidirectionnel pour vous donner le signal d’un satellite. Maintenant, l’industrie et la FCC ont changé cette règle, de sorte que vous pouvez maintenant installer un émetteur bidirectionnel ou une antenne cellulaire sur votre propre propriété. En Arizona et au Nevada, des entreprises viennent déjà frapper à votre porte et vous disent : « Hé, nous allons vous offrir la meilleure technologie de pointe si vous nous laissez installer une antenne cellulaire sur votre propriété ». Cette antenne va rayonner et vous saturer, vous, vos proches, vos animaux domestiques, vos pollinisateurs et tous vos voisins, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Et ça n’a même pas besoin de passer par la ville. Ils enlèvent le contrôle local. L’industrie avance à toute allure avant de se faire prendre, il est donc impératif que nous commencions tous à nous renseigner sur ce sujet, puis que nous sortions de notre zone de confort et que nous nous exprimions. Parce que même si vous choisissez de tout câbler chez vous, lorsque votre voisin installe son antenne cellulaire sur son toit, vous serez exposé à courte distance, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7.

Des voix s’élèvent dans tout le pays. Il y a peut-être des groupes déjà formés là où vous êtes. Si vous vous rendez sur le site AmericansForResponsibleTech.org, vous pourrez peut-être simplement rejoindre un groupe qui est déjà en marche. S’il n’y en a pas près de chez vous, ils ont toute une boîte à outils pour vous aider à vous lancer, alors ne vous sentez pas obligé de le faire tout seul.

L’une des plus grandes leçons que j’ai apprises est qu’il ne faut pas se lancer seul. Commencez par informer tous ceux qui vous entourent. Utilisez le film « Generation Zapped » pour organiser une projection dans votre salon ou parlez-en à votre bibliothèque locale. Si votre bibliothèque est abonnée à Kanopy ou Hoopla, ce film fait partie de leur collection, et vous pouvez le regarder gratuitement par l’intermédiaire de votre bibliothèque locale. Demandez peut-être à votre bibliothèque d’organiser une projection et de sensibiliser les membres de votre communauté par la même occasion.

Une fois que vous aurez constitué un groupe de personnes désireuses de garantir la sécurité des technologies, adressez-vous aux conseils municipaux de zonage et d’urbanisme, aux conseils de sélection, aux conseils municipaux et à votre avocat local, mais ne faites pas cavalier seul, car une seule voix peut être très facilement écartée. Une fois que vous avez réuni un groupe de personnes qui ont fait leurs devoirs et qui comprennent vraiment que ce problème doit être abordé, parlez à vos écoles. Commencez à protéger les écoles en vous rendant sur TechSafeSchools.org, utilisez leur boîte à outils et entamez la conversation, car l’industrie a dit à nos écoles que nos enfants devaient posséder cette technologie pour réussir dans la vie.

C’est absolument faux. Le New York Times a publié un article sur les dirigeants de la Silicon Valley et a révélé qu’ils envoyaient leurs enfants dans des écoles sans technologie. En fait, ils font signer à leurs nounous des contrats stipulant qu’il n’y aura pas de technologie ni d’écrans autour de leurs enfants parce qu’ils savent le mal qu’ils font. Les enfants peuvent certainement utiliser la technologie, mais elle ne devrait pas être au cœur de la manière dont nous enseignons à nos enfants. Ils apprennent mieux de leurs enseignants, par le biais d’interactions interpersonnelles humaines, de leur environnement naturel et de leurs pairs, et non d’un écran.

CAROL BEDROSIAN : Quel est le statut de la législation dans le New Hampshire ?

En effet, à l’heure actuelle, l’industrie fait passer la fibre optique à haut débit le long de la route, ce qui est formidable, puis, au lieu de l’amener jusqu’au bâtiment et de la câbler, elle s’arrête sur le trottoir et installe toutes ces petites antennes sans fil bon marché et rapides à installer qui sont très, très nuisibles à toutes les cellules vivantes.

Les symptômes du mal des micro-ondes ou de la sensibilité aux CEM sont les suivants :
Maux de tête
Insomnie
Cauchemars
Saignements de nez
Vertiges
Anxiété
Nausées
Dépression
Douleurs fulgurantes
Bourdonnement dans les oreilles
Fatigue excessive
Altération du rythme cardiaque
Pertes de mémoire
Problèmes d’équilibre
Problèmes de concentration
Problèmes d’apprentissage
Irritation des yeux

CAROL BEDROSIAN : Quels sont les symptômes du mal des micro-ondes ?

CECE DOUCETTE : Les premiers symptômes se présentent souvent sous la forme d’une insomnie à sommeil irrégulier, pour certaines personnes ce sont des cauchemars ou des terreurs nocturnes. Un autre symptôme important est celui des maux de tête lancinants et brûlants, souvent des migraines que les gens n’arrivent pas à comprendre. Les saignements de nez sont fréquents, parfois les saignements d’oreille, et puis il y a des douleurs dans tout le corps de sources non identifiées. Les nausées sont fréquentes. Il y a aussi des vertiges, de l’anxiété et de la dépression. Un couple de New York m’a contacté. Ils avaient tous deux trouvé un emploi à New York, et un ami qui vivait au dernier étage d’un immeuble leur a proposé de leur donner une chambre pour dormir jusqu’à ce qu’ils s’installent. Une fois sur place, ils ont commencé à être très malades et à se sentir très anxieux et déprimés. Il s’est avéré qu’il y avait des antennes de téléphonie mobile juste sur le toit.

Le public doit se lever, s’exprimer et forcer un changement, car si rien ne change dans notre comportement, rien ne change au niveau politique. Donc oui, ce sont des symptômes très communs que les gens ressentent aujourd’hui. Et la bonne nouvelle, c’est que pour beaucoup de gens, juste en lisant cette interview, ils pourraient décider de tenter leur chance et de tout éteindre la nuit. Les gens me disent : « Je ne voulais pas y croire. Je ne voulais pas en entendre parler ou en savoir plus, mais j’ai reconnu certains de ces symptômes. » Et ils reviennent et disent : « Wow, ce mal de tête que j’avais a disparu », ou « Oh mon dieu, j’ai recommencé à dormir toute la nuit », ou « Les problèmes de comportement de mon enfant se sont calmés ».

Les médecins nous disent qu’avec une désintoxication numérique de deux semaines, ne serait-ce qu’en commençant par la nuit, certains enfants autistes qui connaissent des mutations de novo – ce qui signifie que cela ne vient pas de la génétique de maman ou papa, mais d’une manière ou d’une autre de l’environnement – que même les enfants qui n’avaient pas été verbaux, après quelques semaines de nettoyage du bombardement constant de radiofréquences, pouvaient se connecter.

Le Dr Toril Jelter donne l’exemple d’une famille dont elle s’occupe et qui a procédé à une désintoxication numérique. Après quelques semaines, ce petit garçon regarde sa mère et lui dit : « Maman, tu peux me passer ce… ? ». Elle n’avait jamais entendu sa voix auparavant, et lui non plus, et le voilà qui sort des phrases complètes. Ils ont tous été époustouflés par le fait qu’en supprimant simplement l’exposition aux radiations, on donne à notre corps une chance de se réparer, et à l’ADN des enfants de se réparer et de se régénérer, et de faire ce que notre corps est censé faire. Certaines personnes ont la chance de voir leurs symptômes s’atténuer parallèlement à l’élimination des radiations.

Il y a beaucoup d’espoir. Aussi lugubre que cela puisse paraître, je dis toujours aux gens qu’ils ont certainement le droit de paniquer pendant 10 minutes en commençant à remarquer où se trouvent toutes les expositions dans nos vies. Puis on revient en arrière et on apprend à remédier à celles sur lesquelles on a un contrôle. Pour les plus grandes expositions dans l’environnement, comme les compteurs intelligents, les petites et les grandes cellules, commençons à utiliser nos voix ensemble. Il y a déjà tellement de choses en mouvement que vous n’avez pas besoin de recommencer à zéro, mais vous devez trouver le courage de vous exprimer, car personne d’autre que vous ne va régler le problème dans votre ville. Rejoignez-nous au Massachusetts for Safe Technology et nous vous aiderons à démarrer.

[Voir aussi :
Dossier 5G et ondes pulsées]

Cece Doucette peut être contactée par le biais de Massachusetts for Safe Technology, www.ma4safetech.org.

Carol Bedrosian est l’éditrice du magazine Spirit of Change. www.spiritofchange.org.

Carol Bedrosian

Carol Bedrosian

Carol est éditrice, rédactrice en chef et cofondatrice de Spirit of Change, le plus grand magazine gratuit sur la vie holistique de la Nouvelle-Angleterre, avec plus de 100 000 lecteurs. Elle la lancé ce semestriel en 1987 avec des amis et il est écrit par des professionnels de la santé holistique, de la spiritualité, de la croissance personnelle, de la vie verte et de la transformation planétaire.




2 heures d’interviews avec les Drs Nicole et Gérard Delépine et le film « Cancer – Business mortel ? »

[Source : class.alternative-academy.net]

RENCONTRES REMARQUABLES 2

2 HEURES D’INTERVIEWS. DR NICOLE ET GERARD DELEPINE : LES ENFANTS SACRIFIÉS DU COVID 

ET LE FILM CANCER BUSINESS 

LIEN D’INSCRIPTION
https://bit.ly/3pAQF4e

Cette histoire commence dans les années 80 quand le Dr Gérard Delépine s’intéresse aux cancers des os avec l’équipe du Pr Georges Mathé pour éviter les amputations, puis les Drs N et G Delépine découvrent les travaux du Pr Gerald Rosen, États-Unis. Concernant le cancer des os, ses résultats sont excellents, 80% de chance de survie.
Dans l’ostéosarcome, le Pr Rosen utilise le méthotrexate à haute dose, un agent de la classe des antimétabolites, en adaptant ce traitement à chaque patient, en fonction de son âge et de sa maladie et en l’associant à d’autres drogues.

Une médecine individualisée, car chaque personne et chaque cancer sont différents.
Nicole et Gérard se plongent dans la littérature internationale et progressivement ils vont avec leurs équipes utiliser ces protocoles et le Dr Gérard Delépine va mettre au point les techniques de chirurgie conservatrice.

Gérard Delépine, un as de la chirurgie orthopédique, refuse l’amputation des enfants et va inventer une « prothèse de croissance  » munie d’une vis, elle permet de remplacer le morceau d’os atteint par le mal en respectant la croissance de l’enfant. Il évite ainsi l’amputation dans plus de 95% des cas.
Il faut rappeler qu’à cette époque, l’amputation se pratique quotidiennement dans la plupart des hôpitaux français.
Grâce à cette synergie chimio et chirurgie, les drs Delépine obtiennent d’excellents résultats avec un taux de guérison approchant 90% dans ce type de cancer.

Sauf que, leurs résultats ne plaisent pas à tout le monde…

Le service du Dr Nicole Delépine devient alors la dernière chance pour beaucoup de patients condamnés à une amputation ou à la mort.

Le combat continue pour eux aujourd’hui avec l’affaire covid.






Interruption momentanée du programme Covid pendant quelques semaines

Par Alain Tortosa

Le Premier ministre s’excuse et précise que tout est mis en œuvre pour le rétablir au plus vite !

Cela faisait quelques semaines que les caméras se désintéressaient du Covid.

Hélas ! la nouvelle est tombée hier, le pass vaccinal ainsi que le masque à l’intérieur (sauf quelques rares exceptions expliquées dans l’ouvrage à paraître de 972 pages) sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.

Les techniciens vont profiter de cette maintenance pour procéder aux élections « libres et démocratiques ». Le suspense est terrible, mais nous ne sommes pas à l’abri d’une panne de Macron, et c’est pourquoi un circuit de secours appelé « Pécresse » a été mis en œuvre. Il ne faudrait pas que les élections soient le fruit du hasard et, pire encore, des électeurs

Pour en revenir au Covid, cette maintenance est la bienvenue. Je vous rappelle que cela fait plus de deux ans qu’il est en service jour et nuit. Pas le moindre repos hormis quelques jours au bord de mer en été où, conscience professionnelle oblige, il n’a pu s’empêcher d’amener du travail pour préparer la rentrée.

Le produit a beau être d’une qualité exceptionnelle, fabrication chinoise, mais ingénieurs français et américains, il n’en demeure pas moins vrai qu’une maintenance IPER devenait indispensable afin de maintenir sa fiabilité pour les prochaines décennies.

Rappelons que le produit est construit pour durer et obtenir des mises à jour régulières nommées « variants ».

Je ne vous cacherais pas que dans les hautes sphères de l’État certains étaient fort inquiets de laisser le pays sans défense ni gestes barrières pendant plusieurs mois alors que le virus était en cale sèche pour sa grande révision.

Qu’allaient devenir les Français ? Ne risquaient-ils pas d’oublier la menace et reprendre de mauvaises habitudes de liberté ? Les interrogations et les craintes étaient légitimes…

Et c’est là que, par « chance » — un « pur hasard » du calendrier, M Poutine a décidé dans une bouffée délirante, sans la moindre raison ni préparation, d’envahir l’Ukraine sans que quiconque ait pu imaginer qu’il agisse ainsi. À la défense des Occidentaux, il ne nous avait alertés que depuis 8 ans, c’est dire que nous fûmes surpris.

Alors même que nos meilleurs stratèges réfléchissaient à divers scénarios pour empêcher les Français d’ouvrir les yeux et reprendre goût à une certaine liberté surveillée…

Certains envisageaient de reprendre l’émission d’Orson Welles pour nous annoncer l’attaque imminente d’extraterrestres inamicaux…

L’idée est pourtant bonne, mais l’extraterrestre est difficile à manier entre les incrédules et ceux qui pourraient se dire :

« mais pourquoi maintenant ? S’ils ont la technologie pour arriver jusqu’à nous, pourquoi n’ont-ils pas détruit l’humanité bien avant, voyant comment nous étions ? ».

Parce que là, on est entre nous, on rigole, on plaisante, mais je vous rappelle que même si le scénario de la dictature climatique est sur les rails, il n’est pas totalement finalisé !

Je vous rappelle que le succès d’une entreprise aussi grandiose repose principalement sur de bons préparatifs. Il serait stupide de gâcher un si bel outil qui sera en mesure de nous rendre esclaves, coupables et angoissés pendant des dizaines d’années ! Ne croyez pas qu’il soit possible de mettre en œuvre un projet aussi grandiose tous les ans. Le peuple est totalement stupide, nous le savons tous, mais ce n’est pas le genre de blagues que l’on peut lui sortir comme ça. Lorsqu’il aura compris qu’on s’est foutu de sa gueule pendant des années avec les pets de vache qui vont détruire l’humanité, il faudra des dizaines d’années, voire des centaines, avant de pouvoir lui resservir un scénario aussi délirant et grotesque ! Ce n’est pas tous les jours qu’on peut faire gober que le CO2, naturel et source de vie, est un ennemi mortel ! Bref ! il n’était pas raisonnable de commuter en pleine charge la dictature climatique…

Mais convenez que dans le même temps on ne pouvait pas laisser les peuples sans dictature au risque de les désorienter !

Comment peut-on envisager de vivre si l’on n’est pas terrorisé par une menace fantôme qui peut nous faucher à chaque instant ?

Alors quand nos maîtres ont appris l’invasion de l’Ukraine par Poutine… (Entre parenthèses, ce hasard est tellement merveilleux que j’en suis à me demander si Poutine ne serait pas dans le coup pour nous jouer une si belle pièce de théâtre. Encore plus belle que Saddam Hussein et sa 2e armée du monde prête à balayer les pays du globe. Belle histoire au demeurant même s’il y a eu plus d’un million de victimes, mais ce n’est qu’un détail sur lequel il est inutile de s’attarder.)

Voilà donc que Poutine attaque sur sa seule initiative (partons du principe que c’est un petit coquinou qui a décidé tout seul pour faire une surprise à nos maîtres).

Je ne vous dis pas la fête dans tous les cabinets avec les petits gars qui peinaient à trouver une solution amusante pour maintenir les moutons dans la peur pendant la maintenance Covid.

De mémoire de serpillière, je n’avais jamais connu autant de champagne, de cocaïne et de putes chez les grands de ce monde. Au point que s’ils avaient douté, ils avaient alors la preuve de l’existence de Dieu, c’était trop beau !

Le premier réflexe a été de dire :

« Avec Poutine, on va pouvoir maintenir le peuple dans la peur des chars russes sur les Champs et l’apocalypse nucléaire à nos portes ! »

Il faut dire que le scénario de l’apocalypse nucléaire avait super bien fonctionné après la Deuxième Guerre mondiale. En même temps, c’était facile avec la super fête d’adieu organisée par les Américains pour fêter la quille (la fin du service). Attendez, c’était tellement grandiose que ça sentait la merguez grillée à 500 km d’Hiroshima tant le feu d’artifice était hallucinant !

Bref ! il était facile de jouer ensuite sur la peur de l’arme nucléaire pendant les 30 ans qui avaient suivi l’inauguration en grande pompe du champignon atomique… Mais avouez qu’avec le temps, l’enthousiasme n’était plus là. On se lasse de tout comme des films hollywoodiens avec extraterrestres ou des hommes qui vont sur la lune.

Pour être honnête avec vous, on pensait que le coup de l’apocalypse ne ferait plus recette.

Mais là encore, c’était sans compter sur l’imagination de nos amis russes et de l’invention du missile hypersonique. A priori, les Russes pourraient détruire la plupart des pays avant même que ces derniers puissent riposter… c’est dire si on peut se permettre d’avoir encore plus peur de l’arme nucléaire ! Remarquez, avec un missile supersonique, et encore plus hypersonique, on n’a même pas l’occasion de l’entendre arriver qu’on est déjà transformé en ange dans le ciel, entouré d’Epstein. Et si en plus on pense à bien préciser que Poutine est un fou, il va être difficile de rester serein dans son fauteuil en écoutant les nouveaux philosophes de TPMP sur C8.

Dans ces circonstances anxiogènes, l’Occidental moyen est prêt à tout gober pour être rassuré. Il peut croire que les Ukrainiens pourraient gagner ou que les sanctions économiques seraient de nature à faire céder le fou… On a bien vu avec le Covid, que plus c’est gros, plus ça passe…

Mais attention, les stratèges ont vu que l’effet Poutine permettrait de résoudre aussi un problème de taille. Je vous rappelle qu’il en a fallu des milliards pour Big Pharma, pour arroser le corps médical afin qu’il ferme sa gueule sur l’escroquerie et qu’il piétine des années de serment d’Hippocrate. Sans compter les médias, les professionnels, restaurateurs, artistes, camionneurs et j’en passe, qu’il a fallu aussi arroser pour qu’ils la ferment.

Nous avions bien sûr une petite inflation, mais bon, pas de quoi remplir des chaussettes trouées. On a même réussi à nous faire le coup du litre d’essence à 2 euros avec un pétrole qui était loin d’être à son plus haut niveau ! Même les Gilets jaunes n’ont pas bougé le petit doigt, c’est dire l’efficacité de la peur et des virements. Donc tout ceci avait ses limites comme l’augmentation du prix du blé…

Donc MERCI POUTINE !

Car grâce à lui, pardon « grâce à la riposte courageuse et unanime des pays occidentaux » les prix explosent dans tous les domaines et on va pouvoir faire payer la facture du Covid par une inflation délirante !

Mais qu’est-ce que le prix d’une baguette de pain comparé au martyr des enfants de l’ouest de l’Ukraine (à l’est, les russophones on s’en tape) et au risque de guerre nucléaire déclenchée par le psychopathe du Kremlin ? Il faudrait quand même être stupide pour ne pas croire que plus on emmerde « Poutine le fou » et plus le risque de guerre nucléaire s’éloigne… Allons !… C’est logique !

Le plus « drôle » est que l’augmentation du prix de l’énergie et des matières premières permettrait à Poutine le Grand de compenser largement les conséquences des sanctions économiques, mais aussi probablement de lui payer sa guerre… Car évidemment il n’y aura jamais d’embargo sur le gaz, les céréales, les métaux précieux dont l’Occident a un besoin vital pour (sur)vivre. Et puis business is business. Apple a fermé ses boutiques en Russie et les a rouvertes le lendemain avec 30 % d’augmentation pour « compenser la chute du rouble ».

Bon, ne rêvons pas, on va se lasser très vite du conflit. Le seul suspense est de savoir si sur un plan géopolitique Poutine va gagner un peu ou beaucoup. Les Chinois débouchant le champagne en augmentant les échanges avec les Russes.

Mais à moins d’avoir la chance d’avoir un petit champignon pour nous rappeler le bon vieux temps, il y a peu de chance que le conflit nous maintienne en haleine jusqu’à l’anniversaire d’Hiroshima et Nagasaki au mois d’août… même si la fête eut été grandiose. Je donne trois mois à cette petite diversion, trois mois qui permettront de maintenir l’inflation pendant très longtemps, mais aussi de faire exploser les budgets militaires. Comprenez bien que si la France double le nombre de ses pétards mouillés et qu’elle remplace ses solex par des scooters, l’armée russe va fortement hésiter à nous faire du mal !

Et trois mois c’est bien ! Ça nous mène presque à la fin de l’opération de maintenance du virus qui pourrait reprendre du service au mieux à la fin juin, et si les travaux durent…, pour la rentrée en septembre.

Vous pourriez me dire « n’est-ce pas trop tard pour la péremption des vaccins déjà produits ? ». Cette question est naïve, mais je vais vous répondre alors même que nous disposons déjà des informations. Une étude a été menée conjointement par les autorités sanitaires ainsi que Pfizer et les résultats sont catégoriques (pour avoir déjà été fait).

Les conclusions de l’étude publiée dans le Lancet sont formelles :

« Si vous collez un sticker sur la date de péremption d’un lot, sticker indiquant une nouvelle date de péremption, alors la durée de validité du produit est automatiquement augmentée. »

Ah, je vois qu’il y a une autre question soulignant que j’ai affaire à un public de connaisseurs pointus :

« Que vont devenir les vaccins si à la rentrée c’est un nouveau variant ou pire un nouveau virus comme nous l’a annoncé notre ami Bill ? »

Bon, vous n’ignorez pas que le vaccin est parfaitement « efficace » avec les variants. Il n’est nullement remis en question « qu’il protège à 90 % des formes graves » que nous n’auriez pas faites. Mais aussi qu’il est totalement inefficace chez les vieux mourants qui pourraient en bénéficier, mais qui, de toutes les façons, vont y passer à brève échéance, ce qui nous arrange plutôt pour les retraites. Je vous rappelle que le « vaccin » a été conçu sur la souche du virus manufacturée en 2019 et qu’il était tout aussi « performant » pour la mise à jour du premier trimestre 2022, c’est dire l’incroyable flexibilité de ce médicament, pardon de ce « vaccin miracle ». Il n’y a donc pas de raisons de s’inquiéter des nouveaux variants à venir.

Quant à l’émergence possible d’un nouveau virus tout aussi « naturel » dont la commercialisation pourrait se faire vers la fin de l’année, les experts « indépendants » de toute indépendance sont formels :

« Les premières expériences faites sur des humains de laboratoire prouvent que le vaccin est parfaitement efficace contre le prochain virus dont nous ignorons tout ! »

Nous pouvons donc être rassurés, les milliards de doses en stock, dont plus personne ne veut, pourront être écoulées en temps et en heure.

Dernière nouvelle !

Il semblerait de plus que le « vaccin » ait un effet préventif protecteur contre les radiations. Les premiers tests effectués sur des enfants ukrainiens dont l’Institut Pasteur a financé une semaine de vacances à Pripiat sont très encourageants. Une deuxième semaine devrait leur être proposée à la mi-juin pour confirmer les données.

Je ne manquerai pas de revenir vers vous si j’ai d’autres nouvelles.

Merci

Alain Tortosa.

4 mars 2022… que le printemps s’annonce radieux…
https://7milliards.fr/tortosa20220304-maintenance-virus-pendant-guerre.pdf




Sabotage du système de Santé français

Par John Hunter

Vous avez depuis ce gouvernement une volonté omniprésente et programmée de saboter la Santé publique. On ne va pas parler du fiasco vaccinal, leur dernière invention. On va essayer de cerner les mesures que ce gouvernement impose.

Le coup de force McKinsey. Ce groupe a court-circuité l’ARS soutenue par le contribuable et se rémunère à coups d’enquêtes artificielles comme la dernière audition du Sénat l’a mis en lumière. Le déremboursement des médicaments, l’urgence désormais facturable, l’affaire de la diminution des lits d’hôpitaux, la révocation des soignants non vaccinés, ne représentent qu’un épisode de la saga. On voudrait traiter ici de la multiplication des sources de pollution de l’environnement.

La multiplication des sources de fréquences, ces radiations omniprésentes qui nous cernent de toutes parts.

C’est le rapport Bolen de l’armée de l’air américaine qui a le plus de chance de découvrir le cocktail explosif des radiations. Il suit le rapport Raines et comporte de nombreux graphiques. Une conversation avec Steven Cooper, l’acousticien d’Australie, m’a fait comprendre le problème. Les aviateurs de l US Air Force s’évanouissaient en vol et crashaient leur appareil à cause des infrasons générés par les moteurs puissants. Depuis ils ont perfectionné la combinaison pressurisée pour répartir la charge. Et commencé à investiguer sérieusement les fréquences pour maîtriser le problème.

Certains pilotes d’essai sont morts des fréquences absorbées qui parsèment le territoire d’éoliennes géantes encore plus nocives (Recherche Ceranna), car celles-ci émettent des fréquences ténues et en plus grosse quantité que les éoliennes moyennes.

La pénétration sur le vivant est chiffrée en milliwatts et cela donne mW/cm2. On distingue pénétration thermique et non thermique. L’ICNIRP ou l’ANSES ne reconnaissent pas les effets non thermiques ce qui a le mérite de laisser les industries adjacentes polluer le vivant à qui mieux mieux. L’ICNIRP vient encore de réfuter le Pr Frank de l’université d’Edinburgh pour son éclat contre la 5G. Quant à l’ANSES, c’est encore plus piteux puisqu’elle ose proclamer que les moindres fréquences sont si petites qu’elles sont inoffensives, à l’encontre de toutes les recherches internationales. Elle n’admet dans ses références que les chercheurs ayant conclu comme elle que les effets non thermiques n’existent pas. Comme la culture scientifique en France est en franche dégringolade, on laisse cet organisme dire des inepties. Les médecins ne sont pas formés dans ce domaine et se moquent ouvertement des victimes irradiées avec perte de sommeil et pathologies. En France le Dr Belpomme est le seul à être au courant. C est un miracle si l’Ordre ne lui est pas déjà tombé dessus.

En France le labo ToxSeek et la chercheuse Sioux Berget ont établi les faits. L’ANSES a entendu Sioux Berger venue parler au nom de la Fed qui regroupe les anti-éoliens. Quelle réaction ? Aucune bien entendu, et surtout pas une solution du procès qui opposait les éleveurs de Nozay et d’autres exploitations laitières cernées par les fréquences électromagnétiques des parcs éoliens.

La recherche Duchamp sur les décès en masse des visons de Norvège a été proposée à la FED qui n’a pas bougé non plus. Mais les dégâts sanitaires s’accumulent et le nombre des victimes augmente.

Le Linky fabrique les électrosensibles. Les éoliennes c’est des perturbations biologiques à vie. La 5G c’est l’arme du crime, car elle amplifie le covid. Les lignes haute tension amènent la leucémie. Les antennes pour portables pratiquement aussi nocives Une maison électrifiée produit de l’électricité sale, car il y a perte de courant. C’est systématique.

Tous ces facteurs non régulés le gouvernement les passe sous le tapis. ToxSeek et Berger ont fait un travail considérable en soulevant la poussière. Le sol français devient invivable. Les vers de terre meurent sous les éoliennes tellement les vibrations sont insoutenables. Les pesticides et le glyphosate sont permanents. Une étude récente à l étranger à analyse les urines des Français : du glyphosate à un taux incroyable comme nulle part ailleurs. Dr Seneff a montré que ce glyphosate inhibe des enzymes guérisseurs du covid.

Si nous sommes si empoisonnés par la main de ce gouvernement, nous allons non seulement périr de maladies (car Bolen souligne les anomalies chromosomiques et autres joyeusetés), mais c’est la génération future qui sera affectée, et l’affaiblissement de la santé publique pour les autres générations. Avec la dictature OMS, ce sera la dystopie totale. Des injections tous les jours, des puces et des microcircuits et encore plus de directives qui vont à l’envers de la Vie et du bon sens. Ne laissez pas les fréquences bouleverser insidieusement vos vies et lisez vite le livre d’Arthur Firstenberg « The invisible rainbow », un arc-en-ciel pas catholique du tout, mais le favori du gouvernement, car il laisse peu de traces.

Pour finir le chapitre, il faudrait présenter l’œuvre du radiesthésiste belge Roger Nollet qui dresse un constat accablant du génocide secret avec des détecteurs en unités Bovis, des radioactivités ahurissantes notamment par les terres rares. C’est évident que tout se tient actuellement. La dépopulation avance très bien pour les eugénistes et les gouvernements qui les soutiennent.




Flambée de décès d’enfants et de jeunes adultes au Royaume-Uni : enquête urgente exigée

[Source : covidhub.ch]

Par Jean-Dominique Michel, référent en santé publique de Covidhub.ch

L’augmentation observée est-elle un signal que les « vaccins » géniques contre le Covid-19 pourraient causer la mort massive d’enfants et de jeunes adultes ?

Face à ce risque, les auteurs de cette lettre viennent d’interpeler Sajid Javid – responsable de la santé du Royaume-Uni, Chris Whitty (ancien conseiller scientifique en chef du gouvernement britannique) et Patrick Vallance (conseiller scientifique en chef du gouvernement), ainsi que les organismes de santé publique concernés.

L’office des statistiques ne se précipite pas pour enquêter

Au cours des derniers mois, une tendance a été relevée dans les données de mortalité « toutes causes confondues » en Angleterre et au Pays de Galles, ce qui a sonné l’alarme.

Les jeunes hommes âgés de 15 à 19 ans ont en particulier affiché un taux de mortalité en forte hausse.

Les membres de HART (un réseau de conseil en santé et rétablissement) se sont joints à d’autres universitaires et professionnels de la santé pour demander une enquête immédiate sur ce phénomène.

Dans le même temps, une grande compagnie d’assurance aux États-Unis a signalé une augmentation générale significative des décès chez les moins de 40 ans.

  • Article « Life insurance deaths up 40% » sur Desert Review (en anglais) : cliquer ici.

Devant la Haute Cour le jeudi 13 janvier, l’ONS (Office for National Statistics) a confirmé qu’il y avait eu une augmentation significative du taux de mortalité chez les adolescents de sexe masculin au cours des huit derniers mois, par rapport à la même période de 2015-2019.

Le problème est que cette période de huit mois coïncide avec la campagne d’inoculations dans ce groupe d’âge, connu pour présenter un risque accru de myocardite (inflammation cardiaque) post-vaccinale, en particulier après la deuxième dose.

Loin de se précipiter pour enquêter sur ces décès au fur et à mesure qu’ils sont survenus, l’ONS a déclaré qu’il avait l’intention d’entreprendre ce travail « lorsque des données plus fiables seront disponibles« .

Les signataires demandent la suspension des injections sur les jeunes

L’association entre la myocardite et les vaccins à ARNm, en particulier chez les jeunes et chez les hommes, est déjà bien établie.

Il est donc particulièrement urgent, selon les signataires de la lettre ouverte, de suspendre les injections pour ces tranches d’âge.

En effet, la campagne d’injection des deuxièmes doses et des rappels en cours les expose peut-être à un risque encore plus élevé, alors que le variant Omicron est beaucoup moins pathogène.

Les signataires résument ainsi leur interpellation :

Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter.  Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

Nous re-publions ici le texte de la lettre ouverte, traduite par Covidhub.ch.

Pour lire la lettre ouverte en anglais sur le site du collectif HART : cliquer ici.


Lettre ouverte à la MHRA* concernant les données sur les décès d’enfants

*Note du traducteur : agence britannique de surveillance des médicaments)

Courrier daté du 19 janvier 2022

Adressé à :

  • Dr June Raine, directrice générale, MHRA
  • Professeur Lim, président de la sous-commission COVID-19 du JCVI
  • Honorable Sajid Javid, Secrétaire d’État à la santé et aux soins sociaux
  • Professeur Sir Chris Whitty, médecin en chef pour l’Angleterre
  • Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du gouvernement
  • Dr Jenny Harries OBE, Directrice générale, UKHSA

Chers Dr Raine, Professeur Lim, M. Javid, Professeur Whitty, Sir Patrick Vallance et Dr Harries,

Nous vous écrivons pour exiger une enquête immédiate et urgente afin de déterminer si les vaccins Covid-19 sont la cause d’un nombre important de décès observés récemment chez des enfants et des jeunes adultes de sexe masculin.

Nous demandons également que les données anonymes et les informations connues, montrant combien d’enfants sont décédés suite à un vaccin Covid-19 et en combien de jours, soient publiées pour une transparence totale, dans l’intérêt public.

Le jeudi 13 janvier 2022, lors d’une audience à la Haute Cour[1] de Londres, des preuves ont été présentées montrant une augmentation significative du nombre de décès de jeunes hommes suite au déploiement des vaccinations Covid-19 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes entre 2015 et 2019.  Il est important de considérer les décès masculins séparément, étant donné ce que l’on sait des risques plus élevés de myocardite chez les jeunes hommes.

Entre le 1er mai et le 24 décembre 2021, il y a eu dans la population âgée de 15 à 19 ans :

  • 402 décès enregistrés chez les hommes, soit 65 de plus que la moyenne sur cinq ans de 337.
  • En revanche, 163 décès ont été enregistrés chez les femmes, soit 12 de moins que la moyenne des cinq dernières années.
  • En combinant les deux sexes, 565 décès d’hommes et de femmes ont été enregistrés au total, soit 53 de plus que prévu.

L’Office for National Statistics a reconnu que l’augmentation du nombre de décès de jeunes hommes est statistiquement significative, le taux de mortalité se situant en dehors des intervalles de confiance attendus des données des années précédentes.

Ce qui est encore plus inquiétant, c’est que le nombre réel de décès de jeunes hommes au cours de cette période est probablement beaucoup plus élevé que celui des décès enregistrés.  En effet, l’ONS estime qu’en raison des délais d’enregistrement, les décès enregistrés au cours de cette période ne représentent en moyenne que 62% des décès réels.  Tout décès dont la cause est incertaine aura été transmis au coroner (équivalent du parquet, NdT) et l’enregistrement de tels décès peut prendre beaucoup de temps. Le fait qu’un signal soit déjà évident dans les décès enregistrés est donc très préoccupant.

En tenant compte de l’estimation de l’ONS, les 65 décès masculins en excès pourraient représenter 105 décès en excès de ces jeunes hommes, en supposant que la proportion de décès qui ont été référés au coroner est similaire à celle des années précédentes. S’il y a eu plus de signalement au coroner cette année, le chiffre pourrait être plus élevé.

Depuis au moins le 13 octobre 2021, le secrétaire d’État et le comité Covid-19 du JCVI ont été mis au courant de cette augmentation des décès masculins par le biais de leur représentants, informés par le département juridique du gouvernement dans les procédures de la Haute Cour. En outre, l’ONS a lui-même maintenant reconnu que davantage de travaux pourraient être entrepris pour examiner les taux de mortalité des jeunes en 2021 et a confirmé par écrit qu’il avait l’intention d’entreprendre ces travaux « lorsque des données plus fiables seront disponibles. »

Il existe déjà des signaux de risque

L’incidence d’une mortalité plus élevée chez les jeunes hommes en 2021, coïncidant avec le déploiement des vaccins Covid-19, ne peut pas être considérée comme une coïncidence, car il y a déjà eu des signaux d’alerte d’effets indésirables graves dans ce groupe d’âge. C’est pourquoi la décision de proposer le vaccin Covid-19 aux moins de 18 ans n’a pas été sans susciter la controverse.

Le JCVI a précédemment refusé de recommander que les vaccins Covid-19 soient administrés à des enfants de 12 à 15 ans en bonne santé, car le rapport bénéfice/risque n’était au mieux que marginal, compte tenu : du très faible risque de maladie grave ou de décès lié à la maladie du Covid-19 pour les enfants ; de l’incertitude considérable quant aux effets néfastes potentiels des vaccins Covid-19 ; des signaux connus d’effets néfastes des vaccins déjà identifiés et de l’absence de données d’innocuité complètes et à long terme – dans des circonstances où les vaccins comme on le sait ont été rapidement mis sur le marché, bien avant la fin des essais cliniques de phase III normalement utilisés pour évaluer l’innocuité. Le 3 septembre 2021, le JCVI a déclaré :

« Dans l’ensemble, le comité est d’avis que les avantages de la vaccination sont légèrement supérieurs aux inconvénients potentiels connus (tableaux 1 à 4), mais reconnaît qu’il existe une incertitude considérable quant à l’ampleur des inconvénients potentiels. La marge de bénéfice, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour soutenir une recommandation sur un programme universel de vaccination des enfants de 12 à 15 ans, par ailleurs en bonne santé, à l’heure actuelle. Au fur et à mesure que les données à plus long terme sur les effets indésirables potentiels s’accumulent, une plus grande certitude pourrait permettre de reconsidérer les avantages et les inconvénients. De telles données ne seront peut-être pas disponibles avant plusieurs mois. »

La décision du JCVI a été annulée par les quatre médecins en chef d’Angleterre, du Pays de Galles, d’Écosse et d’Irlande du Nord, non pas parce qu’ils ont constaté que les vaccins Covid-19 présentaient un avantage pour la santé des enfants, mais parce que, sur la base d’analyses de modélisation, ils ont conclu que les vaccins Covid-19 étaient susceptibles de réduire les absences scolaires. Même si, en théorie, la prévention de quelques jours d’absence pour des symptômes légers de type rhume ne peut raisonnablement justifier l’administration de vaccins dont les effets à long terme sont inconnus, c’est la justification donnée pour la vaccination des enfants d’âge scolaire. Depuis lors, des données ont dû être obtenues et auraient dû être recueillies et examinées pour déterminer si les vaccinations ont effectivement réduit les absences scolaires, et dans quelle mesure les absences se sont produites en raison (a) de l’administration du programme de vaccination et (b) des réactions indésirables aux vaccins.

En outre, le 4 août 2021, le JCVI a initialement recommandé l’administration d’une seule dose aux jeunes de 16 et 17 ans en bonne santé, reconnaissant qu’il existait un risque accru de myocardite chez les jeunes hommes avec les vaccins Covid-19, en particulier après l’administration d’une deuxième dose, comme l’ont identifié la FDA aux États-Unis et les données émergentes en Israël.  Il est remarquable que lorsque, en novembre 2021, le JCVI a conseillé d’administrer une seconde dose aux jeunes de 16-17 ans, il l’a fait sans inclure de déclaration expresse indiquant qu’il considérait que les avantages du vaccin Covid-19 l’emportaient sur les risques dans ce groupe d’âge.  Au lieu de cela, il a reconnu que les informations sur les risques à plus long terme (mois à années) de la myocardite n’étaient pas claires et ne seraient disponibles qu’avec le temps.

Le Secrétaire d’État et ceux qui le conseillent ont déclaré que le rapport risque/bénéfice du déploiement des vaccins chez les moins de 18 ans était finement équilibré.  Plusieurs mois se sont écoulés et les données relatives aux décès enregistrés et aux absences scolaires, ainsi que la réduction du risque grâce à Omicron, doivent amener à se demander si cet équilibre délicat n’a pas basculé en défaveur de la recommandation de la vaccination des jeunes.

Une enquête doit être menée

Compte tenu de l’augmentation du nombre de décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n’est pas suggéré que l’augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d’exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d’enquêter.  Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.

Le JCVI a le devoir permanent de revoir son avis en fonction de l’apparition de nouvelles données. Il a expressément déclaré à plusieurs reprises que des données supplémentaires étaient nécessaires ou attendues.

La MHRA est chargée de la surveillance des vaccins en temps réel et a le devoir de surveiller les données relatives aux vaccins Covid-19 pour détecter les signaux de sécurité.  Elle le fait par le biais du système de rapport Yellow Card, mais son rôle ne devrait pas être confiné à un seul système de surveillance passive. Le groupe de travail d’experts de la Commission des médicaments qui a été créé pour conseiller la MHRA sur sa stratégie de surveillance de la sécurité des vaccins Covid-19, reconnaît que la surveillance passive repose sur le fait qu’une personne soupçonne ou « établit un lien » entre le médicament ou le vaccin et une maladie inexpliquée, puis le signale, et qu’il est donc important d’inclure d’autres formes de vigilance pour compléter ce système.

Il ne fait donc aucun doute que la MHRA a le devoir d’enquêter sur l’incidence de la surmortalité chez les jeunes hommes dans les données détenues par l’ONS, que des rapports de carte jaune aient été soumis ou non.

Le Secrétaire d’État, en tant que responsable du programme de vaccination du gouvernement, a également le devoir primordial, dans l’intérêt public, de contrôler la sécurité et l’efficacité des vaccins Covid-19.

Les données sont disponibles et peuvent être facilement examinées

Il ne devrait pas être difficile d’enquêter sur ces préoccupations. L’ONS a confirmé (à la Cour) qu’il était en mesure de fournir des données anonymes précises, notamment le nombre de jours entre la vaccination et le décès.  Il n’a pas été suggéré que la collecte ou l’analyse de ces données présentait des difficultés.  Si, par exemple, les données révèlent une concentration de décès survenant à proximité de la date de vaccination, cela pourrait renforcer les craintes d’un lien de causalité positif (par exemple, selon les critères de Bradford Hill) et des enquêtes plus approfondies seraient nécessaires.  Une incidence plus élevée de mortalité chez les enfants après la vaccination est une cause majeure de préoccupation et pourrait indiquer la nécessité d’interrompre immédiatement le programme de vaccination. Si aucune indication de lien de causalité n’est apparente, cela peut contribuer à rassurer le public quant à la sécurité des vaccins.

Bien que l’arrêt du programme de vaccination des enfants par le Covid-19 soit l’objet d’un recours en justice devant la Haute Cour, les tribunaux ont jusqu’à présent considéré que le déploiement massif auprès des moins de 18 ans était une décision politique du Secrétaire d’État que le pouvoir judiciaire ne peut pas influencer. Ce point de vue de la cour, qui porte sur des principes juridiques particuliers du contrôle judiciaire, n’entrave en rien l’enquête que nous demandons.  En effet, l’honorable juge Jay a fait remarquer lors d’une audience, à laquelle le secrétaire d’État était représenté, qu’il s’attendait à ce que la JCVI « réclame à cor et à cri les données » relatives à l’incidence des décès après la vaccination.

Des informations ont déjà été demandées au Secrétaire d’État et promises par celui-ci

Cette demande d’informations concernant les décès consécutifs à une vaccination n’est pas nouvelle. Cette question a été soulevée à plusieurs reprises à la Chambre des communes.  Par exemple, le 25 mars 2021, en réponse aux questions de M. William Wragg MP et de Sir Christopher Chope MP sur l’incidence des décès dans les trois semaines suivant la vaccination contre le Covid-19, le secrétaire d’État de l’époque, Matt Hancock, a assuré au Parlement que c’était exactement le genre de choses qu’il examinait et que, s’il y avait des données non publiées, il chercherait à les publier parce que le gouvernement voulait être complètement ouvert et transparent pour rassurer les gens sur le fait que les risques sont extrêmement faibles.

Il est très inquiétant que les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 ne semblent pas avoir été collectées et analysées ou, si elles l’ont été, qu’il ait été décidé de ne pas les publier.  Malheureusement, l’impression donnée n’est pas celle de la transparence, mais plutôt celle de la dissimulation de l’information. L’impact à long terme sur la confiance dans les représentants élus et dans les organismes de réglementation qui les conseillent ne peut être sous-estimé. On ne peut pas non plus sous-estimer l’importance potentielle des signaux de données qui semblent émerger.

Notre demande et notre requête

Compte tenu de ce qui précède et de toutes les circonstances, je vous prie de bien vouloir confirmer par retour les éléments suivants :

  1. Que chacun d’entre vous enquête sur l’augmentation de la mortalité au cours de la période du 1er mai 2021 au 24 décembre 2021 (et au-delà) chez les jeunes hommes, telle qu’enregistrée par l’ONS, afin de déterminer la raison de cette augmentation et si un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 peut être raisonnablement exclu.
  2. Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour mener l’enquête requise et, si une telle enquête a déjà commencé, nous vous prions de confirmer quand elle a débuté, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.
  3. Vous allez maintenant chercher à obtenir de l’ONS, sans délai, les données suivantes pour tous les décès des 12-19 ans survenus à partir du 1er mai 2021 à ce jour :

a. Âge (dans le groupe d’âge 12-15 ans ou 16-19 ans)
b. Sexe
c. Si la personne a reçu la dose 1 d’un vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
d. Si la personne a reçu la dose 2 du vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer)
e. Le cas échéant, le délai (nombre de jours) après lequel le décès a suivi la dose 1 (si la dose 2 n’a pas été administrée) ou le nombre de jours après lesquels le décès a suivi la dose 2 (si elle a été administrée).

  1. Que le Secrétaire d’État publiera bel et bien les données obtenues ou qu’il fera en sorte que l’ONS publie ces données.
  2. Si vous avez conclu, et si oui quand et comment, qu’un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 pouvait être exclu ou considéré comme une possibilité négligeable, et sur quelle base.
  3. Ce que vous suggérez pourrait être l’explication de l’augmentation statistiquement significative des décès chez les jeunes hommes au cours de la période du 1er mai 2021 au 24t décembre 2021, autre qu’un éventuel lien de causalité avec les vaccins Covid-19.
  4. Que vous fournirez les principales sources de preuves sur lesquelles vous vous êtes appuyé, pour toute explication fournie, afin de soutenir et d’expliquer pourquoi cette augmentation n’a pas également été observée à d’autres périodes (par exemple, en 2020, lorsque la pandémie est apparue et que les décès de jeunes hommes étaient inférieurs à la moyenne).

Nonobstant le fait que nous n’acceptons pas que les données modélisées sur les absences aient pu justifier la décision d’étendre les vaccins aux enfants d’âge scolaire, veuillez également confirmer par retour :

  1. Que chacun d’entre vous prenne des mesures pour examiner les données disponibles depuis la décision du 13 septembre 2021, suivant l’avis des médecins-chefs, afin de déterminer (a) le niveau des absences scolaires, (b) si l’avantage modélisé d’éviter les absences scolaires a été atteint et (c) dans quelle mesure l’absence a été causée par (i) l’administration du programme de vaccination et (ii) les réactions indésirables au programme de vaccination.
  2. Quelles mesures ont été prises jusqu’à présent, le cas échéant, pour enquêter sur les données relatives aux absences scolaires depuis cette décision du 13 septembre 2021 et, si une telle enquête a déjà commencé, veuillez confirmer quand cette enquête a commencé, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n’a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.

Publication des données

Nous ne voyons pas d’obstacle à la publication des données demandées. L’ONS a exprimé des inquiétudes au tribunal quant au fait que la publication des données demandées pourrait être divulguée, dans la mesure où elle permettrait d’identifier les individus concernés lorsqu’elle est associée à de nouveaux rapports et autres informations du domaine public. Cependant, nous ne comprenons pas comment cela serait même conceptuellement possible étant donné la nature généralisée des données demandées. Nous notons également les données régionales et quotidiennes publiées par l’ONS concernant les décès impliquant le Covid-19.

Aucun nom, aucune donnée régionale, aucune date de naissance ou de décès ne sont demandés. Avec l’aide de l’ONS, veuillez fournir un exemple afin que nous et le public puissions comprendre pourquoi les données demandées pourraient être retenues au motif qu’elles pourraient être divulguées.

L’urgence absolue

Enfin, le message actuel du gouvernement aux enfants reste « faites-vous vacciner ». Avant, c’était « chaque vie compte ». Si la probabilité d’un lien de causalité était établie entre l’augmentation de l’incidence des décès et les vaccins Covid-19, ce serait une affaire très sérieuse. La mort d’un seul enfant à cause d’un vaccin Covid-19 serait une tragédie. Il va donc de soi qu’une enquête est de la plus haute urgence.

On ne peut ignorer que 65 décès chez les jeunes hommes au-dessus de la moyenne normale des décès équivaut à 2 décès par semaine chaque semaine entre le 1er mai et le 24 décembre 2021. Si l’on tient compte des 38% de décès non enregistrés, le chiffre réel pourrait être d’au moins 3 par semaine. Bien entendu, ce chiffre ne concerne que la tranche d’âge des 15-19 ans.  Au cours de la même période, seuls 2 décès enregistrés dans la même tranche d’âge ont été enregistrés comme « impliquant » le Covid.

Nous attendons votre réponse substantielle dans les meilleurs délais et, en tout état de cause, dans les 7 jours.

Cette lettre a été publiée ouvertement et nous espérons qu’elle sera largement partagée ainsi que toute réponse de votre part.

Bien à vous,

Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BM BCh FRCPath

Signataires membres du réseau HART :

  • Professor Richard Ennos, MA, PhD. Honorary Professorial Fellow, University of Edinburgh
  • John Collis, RN, Specialist Nurse Practitioner
  • Dr Elizabeth Evans, MA, MBBS, DRCOG, retired doctor
  • Dr John Flack, BPharm, PhD. Retired Director of Safety Evaluation at Beecham Pharmaceuticals 1980-1989 and Senior Vice-president for Drug Discovery 1990-92 SmithKline Beecham
  • Dr Ali Haggett, Mental health community work, 3rd sector, former lecturer in the history of medicine
  • Mr Anthony Hinton, MBChB, FRCS, Consultant ENT surgeon, London
  • Dr Keith Johnson, BA, D.Phil (Oxon), IP Consultant for Diagnostic Testing
  • Dr Rosamond Jones, MD, FRCPCH, retired consultant paediatrician
  • Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, Senior Lecturer in Biomedical Sciences
  • Mr Malcolm Loudon, MB ChB, MD, FRCSEd, FRCS (Gen Surg), MIHM, VR.  Consultant Surgeon
  • Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH (ret). Retired Consultant in Public Health Medicine & Epidemiology
  • Sue Parker Hall, CTA, MSc (Counselling & Supervision), MBACP, EMDR. Psychotherapist
  • Rev Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, Senior Minister The Tron Church, Glasgow, formerly physician specialising in cardiology
  • Dr Gerry Quinn, PhD, Microbiologist
  • Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), Retired General Practitioner
  • Natalie Stephenson, BSc (Hons) Paediatric Audiologist

Autres signataires :

  • Professor Anthony J Brookes, Professor of Genomics & Health Data Science, University of Leicester
  • Professor Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMedSci, Professor of Oncology, St George’s Hospital, London
  • Professor John A Fairclough, BM BS, BMed Sci, FRCS, FFSEM(UK), Professor Emeritus, Honorary Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Professor Martin Neil, BSc PhD, Professor of Computer Science and Statistics
  • Professor Keith Willison, PhD, Professor of Chemical Biology, Imperial, London
  • Lord Moonie, MBChB, MRCPsych, MFCM, MSc, House of Lords, former parliamentary under-secretary of state 2001-2003, former consultant in Public Health Medicine
  • Julie Annakin, RN, Immunisation Specialist Nurse
  • Dr Michael Bazlinton, MBCHB MRCGP DCH
  • Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP(UK)
  • Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP(UK), FRCEM, Consultant in Emergency Medicine, UK
  • Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, retired General Practitioner
  • Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, Retired Pharmaceutical Physician
  • Dr David Bramble, MBChB, MRCPsych, MD. Consultant Psychiatrist
  • Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, General Practitioner
  • Kim Bull, Foundation Degree in Paramedic Science, Paramedic
  • Dr Elizabeth Burton, MB ChB, Retired General Practitioner
  • Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, General Practitioner, Functional Medicine Practitioner, GP Trainer
  • Michael Cockayne MSc, PG Dip, SCPHNOH, BA, RN Occupational Health Practitioner
  • Mr Ian F Comaish, MA, BM BCh, FRCOphth, FRANZCO, Consultant ophthalmologist
  • James Cook, NHS Registered Nurse, Bachelor of Nursing (Hons), Master of Public Health (MPH)
  • Dr Zac Cox, BDS, LCPH, Dentist
  • Dr David Critchley, BSc, PhD, 32 years in pharmaceutical R&D as a clinical research scientist
  • Dr Damien Downing, MBBS, MRSB, private physician
  • Mr Christian Duncan, MB BCh, BAO, MPhil, FRCSI, FRCS (Plast), Consultant Plastic Surgeon
  • Dr Chris Exley, PhD FRSB, retired professor in Bioinorganic Chemistry
  • Dr Charles Forsyth, MBBS, BSEM, Independent Medical Practitioner
  • Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, Ecological Medicine
  • Dr Catherine Hatton, MBChB, General Practitioner
  • Dr Renee Hoenderkamp, General Practitioner
  • Dr Andrew Isaac, MB BCh, Physician, retired
  • Dr Pauline Jones MB BS retired general practitioner
  • Dr Charles Lane, Molecular Biologist
  • Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, Molecular Biologist
  • Dr Theresa Lawrie, MBBCh, PhD, Director, Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, Bath
  • Dr Jason Lester, MRCP, FRCR, Consultant Clinical Oncologist
  • Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, Doctor, Urgent Care, Research Fellow
  • Katherine MacGilchrist, BSc (Hons) Pharmacology, MSc Epidemiology, CEO, Systematic Review Director, Epidemica Ltd
  • Dr C Geoffrey Maidment, MD, FRCP, retired consultant physician
  • Mr Ahmad K Malik, FRCS (Tr & Orth), Dip Med Sport, Consultant Trauma & Orthopaedic Surgeon
  • Dr Kulvinder S. Manik MBChB, MRCGP, MA(Cantab), LLM, Gray’s Inn
  • Dr Dee Marshall, MBBS, MFHom, Nutritional Medicine
  • Dr Julie Maxwell, MBBCh, MRCPCH, Associate Specialist Community Paediatrician
  • Dr S McBride, BSc(Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP(UK), FRCEM, FRCP(Edinburgh). NHS Emergency Medicine & geriatrics
  • Mr Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Dr Niall McCrae RMN, PhD Mental Health Researcher and Officer of the Workers of England Union
  • Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, Nutritional, Environmental & Integrated Medicine
  • Dr. Scott Mitchell, MBChB, MRCS, Associate Specialist, Emergency Medicine
  • Dr David Morris, MBChB, MRCP (UK), General Practitioner
  • Dr Greta Mushet, retired Consultant Psychiatrist in Psychotherapy. MBChB, MRCPsych
  • Dr Sarah Myhill, MBBS, Dip NM, Retired GP, Independent Naturopathic Physician
  • Dr Christina Peers, MBBS, DRCOG, DFSRH, FFSRH, Menopause Specialist
  • Anna Phillips, RSCN, BSc Hons, Clinical Lead Trainer Clinical Systems (Paediatric Intensive Care)
  • Jessica Righart, BSc MSc, Senior Critical Care Scientist
  • Mr Angus Robertson, BSc, MB ChB, FRCSEd (Tr & Orth), Consultant Orthopaedic Surgeon
  • Dr Jessica Robinson, BSc(Hons), MBBS, MRCPsych, MFHom, Psychiatrist, Integrative Medicine Doctor
  • Mr James Royle, MBChB, FRCS, MMedEd, Colorectal Surgeon
  • Dr Rohaan Seth, Bsc (Hons), MBChB (Hons), MRCGP, Retired General Practitioner
  • Dr Noel Thomas, MA, MBChB, DObsRCOG, DTM&H, MFHom, Retired Doctor
  • Dr Julian Tompkins, MBChB, MRCGP, General Practitioner, GP trainer PCME
  • Dr Livia Tossici-Bolt, PhD, NHS Clinical Scientist
  • Dr Helen Westwood, MBChB (Hons), MRCGP, DCH, DRCOG, General Practitioner
  • Dr Carmen Wheatley, DPhil, Orthomolecular Oncology
  • Mr Lasantha Wijesinghe, FRCS, Consultant vascular surgeon
  • Dr Ruth Wilde, MB BCh, MRCEM, AFMCP, Integrative & Functional Medicine Doctor
  • Dr Stefanie Williams, Dermatologist
  • Gordon Wolffe, BDS (Hons), MSc, FDSRCS,  Consultant Periodontist (Retired), Director of Master’s Programme in Periodontology (Retired), University of Nijmegen the Netherlands.
  • Dr Holly Young, BSc, MBChB, MRCP, Consultant Palliative Care Medicine



Peut-on faire confiance aux AUTORITÉS DE SANTÉ sur les vaccins ? NON, et voici pourquoi

[Source : xavier-bazin.fr]

Par Xavier Bazin

L’Agence du médicament américaine (FDA) vient de faire une chose assez inouïe. Il y a plus d’un an, la FDA a accordé une « autorisation d’urgence » au vaccin Pfizer anti-covid. Sur la base de quoi ? De l’essai clinique et des informations fournies par le fabricant, Pfizer.

Mais jusqu’à présent, la plupart de ces données n’ont pas été rendues publiquesAlors qu’elles ont conduit à vacciner des dizaines de millions d’Américains, avec un produit expérimental.

Dans un monde normal, ces informations devraient être accessibles à tout le monde… surtout que l’efficacité annoncée de 95 % n’a jamais été observée dans la réalité.

Mais étrangement, la FDA a essayé de faire de la rétention de ces données.

Tenez-vous bien : elle a promis de les livrer en intégralité en l’an 2097… c’est-à-dire dans 75 ans ! Qu’a-t-elle à cacher ?

Il a fallu qu’une association porte plainte pour que la FDA soit contrainte par la Justice à livrer toutes les données de Pfizer d’ici la fin de l’année 2022 ! C’est une bonne nouvelle, mais attendez la suite.

La FDA a alors demandé publiquement l’aide de Pfizer pour caviarder le rapport (c’est à dire « masquer » certains passages), sous couvert de protéger des secrets industriels.

Résultat : nous risquons fort de recevoir un rapport contenant de nombreux passages « masqués », ce qui pourrait ressembler à ceci :

« Tout va bien, faites confiance à votre gouvernement »
Image humoristique illustrant le risque de publication d’un rapport totalement « caviardé » par la FDA

Cette affaire serait amusante si cela ne révélait pas un énorme problème avec nos autorités de santé. Les agences du médicament devraient être totalement transparentes à l’égard des citoyens.

Alors que se passe-t-il ?

L’argent et la corruption organisée par Big Pharma jouent un rôle énorme, évidemment.

Mais cela n’explique pas tout. Tout le monde n’est pas corrompu.

Dans ma dernière lettre (ici), j’ai commencé à expliquer pourquoi la majorité des médecins et experts se trompent sur la vaccination : par ignorance ou pour protéger leur réputation.

Mais il faut parler maintenant du problème spécifique des « autorités de santé ».

Ce sont elles qui définissent le « consensus scientifique », aux yeux des médecins et des médias. C’est sur leurs avis que les responsables politiques prennent leurs décisions.

Et pourtant vous allez voir pourquoi on ne peut pas leur faire confiance sur la vaccination. En commençant par le scandale incroyable du mercure dans les vaccins.

Mercure vaccinal et autisme : les autorités ont CAMOUFLÉ le lien !

L’affaire se passe aux États-Unis en 1999[1]. Depuis une dizaine d’années, les cas d’autisme et de troubles neurologiques sont en explosion – sans que personne ne sache pourquoi. Il se trouve qu’en 1989, le calendrier vaccinal des nouveau-nés a été fortement alourdi, avec notamment le vaccin contre l’hépatite B, injecté dès le premier mois.

Or ce vaccin contenait un « agent conservateur » appelé thiomersal – qui n’est rien d’autre que du mercure, un violent poison.

Il peut paraître étrange de placer du mercure dans une seringue destinée à des nouveau-nés, mais pour l’industrie pharmaceutique, le thiomersal avait l’avantage d’être bon marché et d’éliminer les microbes pouvant contaminer le vaccin.

Finalement, la principale autorité américaine sur les maladies infectieuses – le CDC – décide d’enquêter sur les effets de ce mercure vaccinal. Un épidémiologiste qui travaille au CDC, Thomas Verstraeten, découvre alors que le mercure du vaccin hépatite B est associé à une augmentation dramatique du risque d’autisme.

Les enfants qui avaient reçu les doses les plus importantes de mercure vaccinal avaient un risque d’autisme multiplié par 7 par rapport aux enfants qui n’avaient rien reçu – ainsi qu’un risque beaucoup plus élevé de troubles de l’attention et du sommeil.

Catastrophée, la hiérarchie de Thomas Verstraeten lui demande de vérifier ses chiffres. Mais il a beau refaire ses calculs dans tous les sens, il trouve toujours une augmentation de l’autisme liée au mercure vaccinal. Il va même jusqu’à écrire à sa hiérarchie que cette corrélation « ne veut juste pas partir » (« it just won’t go away »)[2].

Dans son rapport final, il va même jusqu’à trouver une multiplication par 11 (et non pas seulement par 7) du risque d’autisme lié aux plus fortes expositions au mercure vaccinal à l’âge d’un mois. Même lorsque l’injection du mercure avait lieu un peu plus tard, à l’âge de trois mois, il trouvait encore une multiplication par deux du risque d’autisme.

C’est alors le branle-bas de combat au CDC.

L’Agence convoque un séminaire secret de deux jours avec :

  • 52 représentants des plus gros acteurs de l’industrie pharmaceutique ;
  • Les plus grands chercheurs et experts des vaccins ;
  • Et toutes les autorités de santé concernées : la FDA, le NIH, l’OMS et même des agences européennes.

Par chance, le grand avocat et défenseur de l’environnement, Robert Kennedy, a réussi à mettre la main sur la retranscription de ce qui s’y est dit[3]… et ce n’est pas beau à voir.

Figurez-vous que ces « spécialistes » se sont rendu compte qu’ils avaient totalement négligé la dose cumulative de mercure injectée aux enfants. Les autorités ont donné leur feu vert à quantité de nouveaux vaccins infantiles… sans réaliser que les doses de mercure injectées avaient dépassé toutes les normes de sécurité !

Voici comment a réagi, horrifiée, le Dr Patriarca, alors directrice de la recherche sur les vaccins à la FDA :

« Calculer la dose de mercure relève de l’algèbre de collégien. Pourquoi la FDA a mis si longtemps à le faire ? »

Face à cette terrible découverte, il n’y avait qu’un seul choix honnête possible : tout avouer au public,

et faire amende honorable – c’est ce qu’a proposé la Dr Ruth Etzel, de l’Agence de l’environnement (EPA).

Mais ils ont décidé de faire le contraire.

Le Dr Patriarca a exprimé ses craintes que cette affaire n’endommage durablement la crédibilité des autorités de santé, qui seront accusées de s’être « endormies au volant » et d’avoir laissé passer un problème énorme. Le Dr Bob Chen, chef de la sécurité des vaccins au CDC, a ainsi exprimé son soulagement que, « vu le caractère sensible de ces informations, elles ne soient pas tombées dans des mains, disons, moins responsables » (sous-entendu, les méchants anti-vax qui auraient pu s’en servir).

Le Dr John Clements, conseiller sur les vaccins à l’Organisation mondiale de la santé, a sans doute exprimé le sentiment général en disant « peut-être que cette étude n’aurait pas dû être faite » !

Finalement, tous ces technocrates et représentants de Big Pharma ont fini par se convaincre qu’il était dans l’intérêt de tout le monde d’étouffer le scandale.

Alors, le CDC a supprimé le rapport de Verstraeten, et fait comme s’il n’avait jamais existé. Verstraeten, lui, a été engagé par le géant pharma GSK. Puis, pour éviter que d’autres chercheurs ne puissent retrouver ses résultats, le CDC a confié la base de données à une agence privée, non accessible aux chercheurs.

Enfin, le CDC a payé l’Institut de médecine pour qu’il refasse les calculs en s’assurant que le lien entre autisme et mercure disparaisse totalement des résultats (« le CDC veut que l’on conclue que les vaccins sont sans danger », avait déclaré la Dr. Marie McCormick).

Quand on connaît un peu les statistiques, on sait qu’il n’est pas difficile de trafiquer les chiffres pour atteindre le résultat désiré. Et c’est ainsi qu’en 2004, le rapport officiel de l’Institut de médecine conclut qu’il n’y a pas de lien apparent entre thiomersal et autisme. Et pour couronner le tout, il recommande de ne plus mener la moindre recherche sur cette question.

Vous comprenez, maintenant, comment ça se passe ?

Pour les autorités de santé : protéger leur crédibilité à tout prix

Il faut bien comprendre que le problème est structurel.

Les autorités de santé détestent reconnaître leur tort… en partie pour de « bonnes raisons » ! Les autorités craignent par-dessus tout qu’on leur dise : « Si vous avez eu tort sur ce point, pourquoi est-ce qu’on vous croirait sur le reste ? ».  Voilà pourquoi vous n’entendrez jamais les autorités de santé confesser qu’elles ont eu radicalement tort… Au contraire, elles feront tout pour modifier leurs conseils discrètement, petit à petit, en espérant que leur bévue ne sera pas repérée.

Prenez l’exemple du vaccin BCG, obligatoire jusqu’en 2007 en France. Quand une étude scientifique de grande ampleur a montré en 1999 que ce vaccin BCG n’avait aucune efficacité sur la tuberculose[4], qu’ont fait les autorités de santé ? Croyez-vous qu’elles ont immédiatement arrêté les frais, et demandé pardon de l’avoir imposé à tous les bébés pendant plus de 50 ans ?

Pas du tout !

D’abord, elles n’ont pas réagi. Puis, en 2005, Sanofi Pasteur a arrêté de produire son fameux vaccin BCG à « bagues multipoints » – celui qui causait la fameuse cicatrice sur les épaules ou chevilles de millions d’enfants. Il ne restait alors plus qu’un seul vaccin BCG disponible, un vaccin injectable (intradermique) et connu pour provoquer davantage d’effets indésirables.

Résultats : certains médecins ne voulaient plus donner le BCG aux enfants avec ce nouveau vaccin injectable, et le nombre de certificats de complaisance commençait à exploser.

Voilà pourquoi les autorités ont été obligées d’abandonner l’obligation vaccinale en 2007. Pour ne pas perdre la face, elles ont prétendu qu’il n’y avait plus beaucoup de tuberculose en France, ce qui était déjà le cas 10 ou 20 ans avant ! L’argument est d’autant plus fallacieux que ces autorités n’ont jamais demandé d’arrêter le vaccin DTP, alors que le tétanos ne cause presque plus de morts, et que le nombre de cas de polio ou de diphtérie est égal à zéro depuis des années.

Mais pour les autorités de santé, il fallait défendre leur réputation : elles devaient arrêter la vaccination du BCG… sans reconnaître qu’elles avaient eu tort de l’imposer pendant 50 ans. Le problème, c’est que cela conduit à faire perdurer des mythes et des mensonges. Si vous en doutez, regardez cet article à peine croyable de France Inter datant de 2021, qui prétend que le vaccin BCG, pourtant démontré comme inefficace, a sauvé 1 milliard de vies !

Un article aussi mensonger aurait été impossible si les autorités françaises avaient été honnêtes, au début des années 2000, sur l’efficacité réelle du BCG et les raisons d’arrêter ce vaccin. Mais il est très difficile pour les autorités gouvernementales de dire la vérité. De leur point de vue, tout paraît justifié, y compris des gros mensonges, pour éviter que les citoyens cessent de leur faire confiance.

Même quand les preuves de leur erreur sont évidentes, comme dans le cas de l’amiante, il leur a fallu des décennies pour le reconnaître publiquement et changer leurs recommandations. Il n’y a que lorsque le scandale est manifeste et médiatiquement « chaud » (comme dans le cas du Médiator) que les autorités sont obligées d’admettre publiquement qu’elles se sont trompées.

Quand on y réfléchit bien, c’est assez logique.

Le problème est structurel : que peut-on attendre de la part des autorités qui ont approuvé un médicament comme le Médiator… ou qui n’ont rien ditde leurs effets indésirables pendant des années ? Ces autorités-là seront toujours les dernières à reconnaître qu’elles ont fait une grosse erreur qui a coûté des milliers de morts ! Et c’est l’une des raisons qui expliquent que tout est fait pour masquer les effets indésirables des vaccins.

Le Pr Gherardi, qui a en France découvert la toxicité de l’aluminium des vaccins, en a fait les frais de manière éclatante. En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) a officiellement recommandé de stopper les recherches sur le lien de causalité entre l’aluminium et la myofasciite à macrophages (une maladie neurologique grave). C’était le meilleur moyen d’éviter que la vérité n’éclate sur la dangerosité de l’aluminium vaccinal.

Pourquoi l’Afssaps a fait cela ? Parce que les « experts » impliqués avaient des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique, bien sûr. Mais aussi parce qu’il est dans la logique des organisations qu’une institution comme l’Afssaps, qui a autorisé l’injection d’aluminium à des millions d’enfants, soit très réticente à reconnaître après coup que cela peut causer de graves dégâts !

Force est de constater que ce qu’a découvert le pauvre Pr Gherardi était terriblement banal :

« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique ».

Le Pr Gherardi ajoute que l’Afssaps, « financée à 80 % par l’industrie, est prioritairement un outil à son service. » Mais l’influence de Big Pharma n’explique pas tout : il est toujours calamiteux que les mêmes personnes ou structures soient « juges et parties » !

Ceux qui autorisent les médicaments ne peuvent pas être les mêmes qui en surveillent les effets indésirables, cela devrait être évident pour tout le monde ! Pour les vaccins Covid, c’était la même chose : il était clair qu’il aurait fallu donner à une autorité indépendante le soin d’examiner leurs effets indésirables.

Si vous donnez ce pouvoir à l’Agence du Médicament, qui a officiellement autorisé ces vaccins, elle fera tout pour minimiser les dégâts qu’ils provoquent, parce qu’elle en est en partie responsable !

Et voilà comment la désinformation sur l’intérêt réel de la vaccination en général est nourrie et entretenue par les autorités de santé :

  • Sur la base d’un mythe et d’un « pieux mensonge » : il faudrait cacher certaines vérités, car si la population commençait à se méfier des vaccins, ce serait une catastrophe de santé publique (ce qui est faux, voir ma lettre n°1) ;
  • Sur la base d’un biais psychologique des médecins et experts en maladies infectieuses, dont la réputation et le prestige sont fortement liés au mythe du « Dieu vaccin », sauveur de l’humanité (voir ma lettre n°3) ;
  • Et sur la base d’une logique administrative (cette lettre-ci !) : comme toute organisation, les autorités de santé cherchent toujours à protéger leur réputation et leur crédibilité – le problème est qu’elles sont aussi en position d’étouffer les preuves montrant qu’elles ont pu se tromper.

Dans la crise du Covid, on a vu que ce dernier problème, structurel, ne concerne pas que les vaccins :

  • Sur les confinements : on sait maintenant que les mêmes autorités qui ont recommandé les confinements se sont arrangées pour diaboliser les médecins et scientifiques qui s’y opposaient[5] ;
  • Sur l’origine du coronavirus : on sait désormais que les mêmes autorités qui ont financé des expérimentations dangereuses au laboratoire de Wuhan ont tout fait pour faire croire à l’origine naturelle du virus[6].

Et voilà comment, sous couvert de leur position « d’autorité », des organismes publics contribuent à la désinformation sanitaire.

Bonne santé,

Xavier Bazin




Première victoire de l’armée russe : liquidation totale des QR Codes à Moscou et d’autres restrictions globalistes

[Source : Russie politics]

Par Karine Bechet-Golovko

L’armée russe remporte une première véritable victoire intérieure dans ce combat contre la domination globale atlantiste, avec l’oukase de ce jour adopté par le maire de Moscou, qui annule les QR Codes dans toute la capitale et revient sur plusieurs restrictions importantes issues du régime global covidien. Le jour où le port du masque ne sera plus obligatoire, la population sera libérée. Ce jour viendra !

La Russie a fait son choix et manifestement il n’est plus de bon ton de jouer à SOS-Covid, à contraindre sa population en attendant la reconnaissance du vaccin russe et de pouvoir jouer dans la « cour des grands ». Le réveil de la Russie a inévitablement conduit à la remise en cause de mesures globalistes, il y a désormais d’autres priorités. 

Avant cet oukase, très rapidement, comme par magie, au début de l’opération militaire russe en Ukraine, il a déjà été annoncé que les soins courants hospitaliers, qui selon les dires de Sobianine avaient été réduit à 40%, étaient rétablis dans leur intégralité. Désormais, à compter du 3 mars, les QR Codes s’effondrent dans la capitale et les gens doivent sortir du distanciel pour revenir au travail, revenir dans le réel. Les personnes de plus de 60 ans ne sont plus soumises à un régime d’auto-isolement et peuvent reprendre une activité normale. Plus aucune limitation ne concerne les théâtres ou les cinémas, les bars et les restaurants, les événements sportifs et culturels ne sont plus l’objet d’aucunes limites.

Cet oukase entraîne de facto la chute de la vaccination obligatoire, qui était également de facto imposée.

Nous écrivions que cette guerre était lancée, certes en Ukraine, mais contre la domination globaliste, qui impose ses règles et son régime dans le monde. En voici une des confirmations. Et la Russie est amenée, si elle veut remporter ce combat, à nettoyer ses forces à l’intérieur, qui, comme nous le voyons, sont nombreuses à avoir suivi les sirènes du monde global et ne voudront à aucun prix y renoncer. Ces forces ont toujours préféré sacrifier leur pays, à leurs ambitions. Elles l’on déjà fait à deux reprises.

La population russe sera libérée de ce fléau, lorsque toutes les restrictions idéologiques adoptées sous couvert sanitaire en raison du Covid seront annulées. Ce jour viendra, la Russie n’a plus le choix, puisqu’elle est entrée de plein-pied dans le combat.




RENCONTRES REMARQUABLES 2 : LES ENFANTS

[Source : ACMÉ]

https://youtu.be/DQuN0NFEcD8

Vendredi 25 Février 22

Projection du film : « ICARE OU LA PULSION OCEANIQUE » avec le psychanalyste Willy Barral

(La question du suicide des enfants)

Rencontre avec le Pr Daniel Favre

L’Education, deux pédagogies se confrontent

Rencontre avec le Dre Antonella Verdiani

La question de la mort chez les enfants

Rencontre avec Abdennour Bidar

« Pour une école tisserande » ?

Samedi 26 février 22

Projection du film : « ENFANTS HYPERSENSIBLES, UN PRESENT POUR L’AVENIR »  de Nathalie Brochard

Emmanuel Bily, Christian Budex, Ilda Coppa, Dre Barbara Demeinex, Philippe Guillemant, Marion Kaplan, Dr Claude Lagarde, Frédéric Lenoir, Dre Fanny Nusbaum, Jean-Jacques Pignou, Blandine Pivan, Dr Dominic Sappey-Marinier,Jeanne Siaud-Facchin, Dr Claude Touzet, Marc Vella, Dr François Vialatte, Dre Jacqueline Warnet.

Rencontre avec Nathalie Brochard

L’hypersensibilité, génétique & Epigénétique !

Rencontre avec Jeanne Siaud-Facchin

Demain commence aujourd’hui, les enfants d’abord !

Rencontre avec Thomas d’Ansembourg, psychothérapeute

Notre façon d’être adulte fait-elle sens et envie pour les jeunes ?

Dimanche 27 février 22

Projection du film : « MUSIQUE & THERAPIE avec Marc Vella

Rencontre avec Marc Vella, pianiste, compositeur

Parents, enfants, chacun fait du mieux possible !

Rencontre avec Cathy Masseus-Vella, psychologue clinicienne, musicothérapeute

A la Rencontre de son enfant intérieur

Rencontre avec Isabelle Filliozat, psychothérapeute

La parentalité positive, un chemin d’apprentissage

Lundi 28 février 22

Projection du film : « LES SACRIFIES DES ONDES ». Une enquête de Maxence Layet

Avec la participation de : Pr Dominique Belpomme, Dr Jean-Paul Biberian, Dr Gérard Dieuzaide, Me Richard Forget, Dr Philippe Lebar, Pr Luc Montagnier, Dre Annie Sasco, Dr Pierre Souvet

Rencontre avec Maxence Layet, journaliste scientifique

Enfants :  exposition précoce et croissante aux miroirs du numérique

Projection du film : « LA NOUVELLE BIOLOGIE CELLULAIRE » par le Dr Bruce H. Lipton

Mardi 1er mars 22

Projection du film: « LA ROUTE DE LA CONSCIENCE » avec Philippe Guillemant   

Rencontre avec Philippe Guillemant, ingénieur physicien, chercheur CNRS

L’intelligence émotionnelle et le développement de l’intuition au regard d’un physicien.

TABLE RONDE : Rencontre avec Philippe Guillemant et Claude Touzet, Maître de conférence en SCIENCES COGNITIVES et Olivier Barbarroux, professeur de philosophie

Echange : Conjuguer l’intuition au présent et au futur

Projection du film :  » DE LA PSYCHOLOGIE A LA SPIRITUALITÉ  »  avec Thierry Janssen

Rencontre avec Thierry Janssen, psychothérapeute

« Sagesse et justesse. Aider nos enfants à avoir une vie intérieure.» 

Mercredi 2 mars 22

Projection du film :  » CROQUE LA VIE » avec Marion Kaplan

Rencontre avec Marion Kaplan, bionutritionniste

 » La nutrition & les émotions »

Rencontre avec le Dre Jacqueline Warnet, hépato-gastroentérologue

« L’intestin, notre deuxième cerveau »

Projection du film :  » VOYAGE AU COEUR DES FLEURS DE BACH » Avec  Dominick Léaud-Zachoval – Co-réalisation Ulrich Rampp

Projection du film :  »  SE SOIGNER AU QUOTIDIEN AVEC LES HUILES ESSENTIELLES » –
Conférence avec le Dr Dominique Baudoux

Jeudi 3 mars 22

Projection du film : « FREQUENCES ELECTROMAGNETIQUES DE L’ADN avec le
Pr Luc Montagnier. En mémoire du Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine.

Projection du film : « ENTRETIENS avec Willy Barral « 

Rencontre avec le Pr Christopher Exleychimiste bioinorganique

Autisme, l’impact de l’aluminium

Rencontre avec Alexandra Oakley, Présidente de Optim’Autime

Autisme : Raun Kaufmann, autiste, témoigne d’une approche d’accompagnement.

Rencontre avec Sonia Delahaigue

La Maltraitance chez les enfants

Vendredi 4 mars 22

Rencontre avec Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue

« Enfant, sujet ou objet ? »

Rencontre avec le Dr Boris Cyrulnik

Les 1000 premiers jours de l’enfant

Projection du film : Les étapes du développement de l’enfant et de l’adolescent
avec Nathalie Brochard

Samedi 5 mars 22

Projection du film : « Cancer, BUSINESS MORTEL » avec les docteurs
Nicole & Gérard Delépine

AVEC LA PARTICIPATION DE : Zana et Damien Adzic, Dre Salwa Alkhallaf, Mathilde et Romain Antoine, Dr Francois Bachelot, Laurent Baffie, Medhi Balamane, Kamel Bechir, Naïma Bentahar, Djémila Boucenna, Marc Borand, Orlane Bretonniere, Ali Chaib, Coralie Corbec, Carine Curtet, Dre Hélène Cornille, Dre Nicole Delépine, Dr Gérard Delépine, Dre Eléonore Djikeussi, Christine et Paul-Emmanuel Esquier, Violaine Ferrand, Dr Michaël Finaud, Bernard Frau, Alina Gabor, Dre Olivia Hicks-Garcia, Kimberley-Anne et Marie-France Joseph Julien, Alex Kamara, Jean-Christophe Lagarde, Magalie Lange, Dre Zahia Lankri, Cindy et Logan Leclerc, Virginie et Océane Lingois, Ottman Mansour, Peggy et Guillaume Martinez, Dr Jérôme Marty, Alain, Sophie et Hugo Masset, Christelle Mathillon-Delmarthy, Mohamed Moud-Ari, Pascal Olmeta, Nadia Plazenet, Ileane Radoi, Dr Pierre Sadoul, Sabrina et Llya Serandoure, Jérôme Serapiglia, Christelle Soudé, Astrid Veillon.

Rencontre avec le Dre Nicole Delépine – Pédiatre, oncologue

Effets secondaires du Covid pour les enfants. 

Rencontre avec le Dr Gérard Delépine – Chirurgien orthopédiste, oncologue

Quel avenir pour une société qui sacrifie délibérement ses enfants ? 




Crise de confiance entre les Français et le corps médical

[Source : RL]

Par Christophe Sévérac

Je suis Covid+. Grosse fièvre, fatigue, courbature, perte partielle du goût. Je ne suis pas vacciné, mais je suis en bonne santé et surtout, je sais à peu près comment me soigner. J’appelle mon docteur, lui explique mes symptômes. Il me demande si je suis vacciné… et me prépare une ordonnance pour un test PCR en labo. Avec une seule consigne : isolement, isolement, isolement. C’est beau la médecine en France en 2021. Ça sait remplir des papiers et vous coller l’ARS aux fesses.

Ils ont oublié leur mission qui était de soigner les gens. Les docteurs renvoient chez eux des milliers de personnes malades, sans traitements, sans soins, et quand leur état se détériore, direction les urgences et pour beaucoup (surtout au début), hélas, la morgue.

Comment appeler cela? Un crime de masse. L’état est le premier responsable qui a interdit pêle-mêle quasiment tous les traitements précoces. Mais on peut interroger néanmoins l’attitude pour le moins servile de la majorité des médecins.

Flavia Groșan, pneumologue roumaine affirme que c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades ! Ce qui compte selon elle, c’est un traitement précoce, elle a donné des antibiotiques comme la clarithromycine, utilisé pour les pneumonies. Elle n’a eu aucun décès dans ses patients, même parmi les personnes âgées. En France, le professeur Raoult a eu de trop bons résultats dans son hôpital, il est maintenant harcelé par la meute.

Comme ils n’ont rien côté remèdes précoces, les médecins matraquent côté vaccination.

Mon grand frère (54 ans) s’est fait vacciner deux  fois Moderna. Depuis sa vie a basculé dans l’horreur. Péricardites à répétition, douleurs cardiaques insupportables, impossibilité de réaliser le moindre effort, aucune amélioration depuis six mois. Les médecins ne comprennent pas, ils évoquent peut-être une péricardite auto-immune…

Il a voulu faire un signalement ANSM, les médecins ont cherché à l’en dissuader, puis devant son insistance, on lui a fait remplir un papier, depuis il n’a eu aucune nouvelle.

Les victimes d’effets indésirables du vaccin témoignent de la difficulté des médecins à les écouter et les prendre au sérieux…

Ça va du condescendant « c’est psychologique, vous êtes dépressif», en passant par l’agacement « vous deviez avoir ça avant, c’est le hasard » ou le scientifique « désolé, mais statistiquement c’est infime », pour finir par l’autoritaire «  il n’y a aucun rapport, le vaccin n’y est pour rien ».

Un ami infirmier me disait que ces personnes dérangent. Leurs souffrances dont le vaccin est responsable est une accusation silencieuse de tout le système médical. Celui-ci se protège en ignorant, minorant, en rejetant tout lien de causalité.

Pourtant les chiffres sont affolants, le nombre de signalements concernant ces vaccins est sans commune mesure avec ceux des autres vaccins ou médicaments, même sur des décennies !

Peut-on encore faire confiance à ce système médical ?

La médecine est censée être le fer de lance du progrès et de la science, en réalité elle a toujours été inféodée au pouvoir en place. La médecine n’est pas une science et elle n’est aucunement neutre. En France, elle est intrinsèquement lié aux groupes pharmaceutiques et aux puissances dirigeantes. Le conseil de l’ordre, sorte de chien de garde, se charge de ramener les rebelles dans le droit chemin ou de les expulser.

Il faudrait un article entier pour parler de toutes ces personnes, ostracisées pour avoir oser chercher et trouver des solutions hors du cadre fourni par l’institution.

Dès les premiers symptômes, puisque je savais que mon docteur ne me donnerait rien,  j’ai pris des antibiotiques et antiviraux naturels, des huiles essentielles. Le Ravintsara est pratique d’utilisation car même les enfants et femmes enceintes peuvent en prendre et j’ai complété avec du pin sylvestre, très efficace pour les voies respiratoires. Ce sont des substances puissantes, il faut toujours faire attention à la posologie et aux allergies éventuelles.

Les Français ne s’y trompent pas, la consommation d’huiles essentielles explose, +45 % en 6 ans (chiffres 2017).

L’industrie pharmaceutique ne pouvait pas rester sans réagir, le programme Reach de l’union européenne, qui a l’origine devait lutter contre les substances chimiques toxiques dans les produits de consommation, s’attaque aux huiles essentielles, en les considérant comme des produits industriels ! Elles risquent de disparaître. L’enjeu est crucial : la possibilité de se soigner quand le gouvernement vous prive des médicaments efficaces.

Le système médical s’est transformé en une espèce d’accélérateur de la numérisation de l’individu, compte virtuel, dossier médical numérique dès la naissance. On sent la nasse se refermer, ce mouvement de numérisation de notre santé et de nos identités est mondial. Pour ma part, j’ai refusé l’ouverture de ces comptes pour mes enfants et pour moi-même.

En prenant un peu de hauteur, on peut voir que le système de santé a été dévoyé de sa mission première qui est de soigner, pour vacciner et contrôler la population. Il a été déshabillé par des fermetures de lits, des manques de moyens, la maltraitance des soignants, la persécution de nombreux médecins et infirmiers.

Nous avons glissé en deux ans dans le monde merveilleux de Kafka.




France — Les publicités pour la « vaccination » anti-Covid sont illégales

[Source : Réaction19]




Gérard Delépine 🎯 Les enfants sacrifiés du Covid : Isolement, masques et vaccins

[Source : @AKINA]

Par @AKINA

Gérard DELÉPINE est chirurgien, oncologue et statisticien. Il n’a pas attendu l’épidémie du COVID-19 pour donner son point de vue tranché et divergeant sur les dérives du système de santé en France. Il se bat depuis plus de 40 ans pour améliorer la prise en charge des malades atteints du cancer et informer la population sur l’état actuel de la science en se basant sur les faits avérés, les registres nationaux des cancers et publications internationales.

Il est l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, la plupart du temps co-écrit avec sa femme, tel que « Soigner ou obéir ?: Premières mesures urgentes pour éviter le naufrage » en 2016, « Médicaments peu efficaces, souvent toxiques et hors de prix » en 2017 ou encore « Hystérie vaccinale : Vaccin Gardasil et cancer : un paradoxe » en 2018. Plus récemment, il a co-écrit « Le scandale des essais cliniques: Manque d’éthique, mensonges et manipulations » et « Autopsie d’un confinement aveugle » en 2020 pour lequel nous l’avions déjà reçu sur le Front Médiatique.

Gérard DELÉPINE dérange depuis plus de 20 ans. Déjà en Septembre 2000, l’Humanité relayé une dépêche intitulé « Deux médecins risques l’interdiction d’exercer. » La charge retenue contre lui et sa femme : « ils ont répondu à des interviews. » Non, je ne rigole pas ! Ils étaient poursuivis par le conseil de l’ordre des médecins, cette juridiction, créée par Vichy. Et cet ordre dispose de l’exorbitant pouvoir de décréter n’importe quelle sanction.

Il a été mis en avant plus récemment par toute la sphère des médias indépendants, car il fait partie des rares médecins à s’exprimer en dehors de la pensée unique sur ce sujet. Il a fait quelques passages exceptionnels sur les médias oligarchiques comme C8, dans l’émission Touche pas à mon poste, ou France 5 il y a quelques années. Il a rappelé, dès le début de cette crise, avec fermeté et preuve à l’appui, l’inutilité du confinement, des masques, des gestes barrières pour les enfants… qui nous sont imposés selon lui uniquement pour entretenir la peur du Coronavirus à des fins politiques et non pas sanitaire.

Nous avons aujourd’hui la chance de l’accueillir une seconde fois sur Le Front Médiatique pour parler de son dernier livre qui vient de sortir et qui est intitulé : « Les enfants sacrifiés du Covid ». Depuis deux ans se déroule – avec peu d’opposition – le scénario d’une pandémie mis au point par les puissants de ce monde, alimenté par la peur du SARS-CoV-2 et le matraquage quotidien d’un message unique, omniprésent dans tous les médias : « Le virus est dangereux et risque de vous tuer, le contact des autres vous met en danger. » L’hypnose générale a occulté les dangers des atteintes aux libertés fondamentales imposées par un totalitarisme rampant. Les enfants sont les premières victimes de cette guerre. Le confinement les a isolés du monde et de leurs camarades, remplaçant les échanges humains par des échanges virtuels. Les masques cachent le visage et les émotions d’autrui, le pass leur interdit les activités collectives salvatrices et, plus grave, la vaccination généralisée même aux tout-petits les menace. Quel avenir pour une société qui sacrie délibérément ses enfants ? Il est temps d’ouvrir les yeux et ne pas sacrifier, après nos aînés, notre jeunesse, avenir de l’Humanité.






Parlons contamination

[Source : RI]

par Edy Fernandez.

Votre croyance – par les influences de toutes sortes que vous subissez – en un « virus » défini comme étant un agent pathogène contagieux et dangereux crée chez vous des peurs, plus ou moins conscientes. Ces peurs créent des stress oxydatifs et des lésions invisibles de votre terrain, ce qui s’additionne aux effets des toxines déjà présentes en quantités plus ou moins importantes dans votre organisme.

Nous subissons en effet diverses pollutions et agressions de par notre environnement et tout ce que nous ingérons et inhalons, tant sur le plan physique que psychique, ce qui est générateur de quantité de toxines au niveau cellulaire.

« Le stress cellulaire dû à la charge toxique que nous subissons quotidiennement, qu’elle soit d’origine environnementale ou psychosomatique, exposition aux ondes électromagnétiques, pollutions chimiques, vaccins, alimentation malsaine, souffrance psychique et traumatismes divers, génère des vésicules extra cellulaires, des exosomes, qui contiennent des informations qui peuvent être alarmantes si on y est exposé, car elles avertissent les autres qu’ils doivent activer immédiatement leurs voies de détoxination, ces informations étant transférées au groupe afin qu’il puisse se créer une résistance au sein de la communauté.

Nous fonctionnons à ce niveau comme les plantes et les arbres, qui se transmettent des messages afin de résister à une agression.

Il s’avère malheureusement que l’exposition répétée à ces sources de pollution diminue graduellement la résistance du groupe, ce qui nous rend davantage sujets aux maladies ». (Informations extraites du film « Terrain », partie 2, qu’on peut visionner ici)

Ces différents stress et toxines sont alors générateurs de symptômes divers, qu’on appelle péjorativement maladie, mais qui ne sont en réalité qu’un processus naturel de nettoyage et de remise en état d’un terrain encrassé ou altéré. Un processus de guérison, certes non exempt de désagréments, dans lequel les bactéries interviennent systématiquement, leur rôle étant de nettoyer et réparer l’organisme et de rétablir la qualité du terrain.

Car le corps a besoin de se nettoyer périodiquement, et il est toujours préjudiciable d’entraver ce processus par la prise inappropriée de médicaments, ce qui est générateur de maladies chroniques.

Si une personne en bonne santé ne court guère de risques, il est cependant clair que ce processus de nettoyage peut s’avérer critique, voire fatal, en fonction d’une piètre qualité du terrain.

Comme le dit Jung :

« Nous ne sommes pas là pour guérir de nos maladies, mais nos maladies sont là pour nous guérir ».

Ou bien :

« La maladie est l’effort que fait la nature pour guérir l’homme ».

Vous le constatez, il n’est pas nécessaire qu’un virus existe réellement physiquement, sa seule représentation suffit à générer des symptômes en relation directe avec le potentiel morbide qu’on attribue au virus (foyers de Hamer).

Un virus est donc, avant tout, mental.

Pour le dire schématiquement, comme nous l’enseigne l’épigénétique (c’est à dire, globalement, l’influence de l’environnement sur la génétique), nos pensées, nos représentations mentales, nos croyances limitantes, créent nos maladies. Car les pensées, ainsi que les émotions, sont de puissantes énergies.

Je laisse volontairement ici de côté la question du sens des maladies et des messages qu’elles véhiculent à notre seule intention, sachant que tout est un et que le visible n’est que l’expression de l’invisible, toutes choses qui nous entraîneraient beaucoup trop loin.

« Les crises, les bouleversements et la maladie ne surgissent pas par hasard. Ils nous servent d’indicateurs pour rectifier une trajectoire, explorer de nouvelles orientations, expérimenter un autre chemin de vie. Si vous ne faites pas face à votre ombre, elle vous viendra sous la forme de votre destin ».

(Carl Gustav Jung)

Une fois vos symptômes déclarés, vous allez ensuite pouvoir « contaminer » votre entourage par un effet de mimétisme, c’est à dire par résonance vibratoire, par un échange de photons qui transportent une information (que nous le voulions ou non, nous sommes des êtres interconnectés et nous discutons en permanence avec tous les corps vivants que nous croisons ou rencontrons, par voie électromagnétique, par un échange de photons).
Quand l’organisme de votre proche voisin entre en résonance avec cette information, se met au diapason, il est alors susceptible de développer les mêmes symptômes, ou des symptômes similaires, s’il en a besoin ou si son terrain s’y prête.

La contagion peut être perçue comme :

« l’expression d’une toxicité qui se répand à travers le mycélium de l’interconnexion humaine afin d’inspirer, inciter ou soutenir un processus de détoxination chez d’autres personnes ».

(Dr Kelly Brogan)

On constate cela très facilement avec les maladies initiatiques de l’enfant, quand, par exemple, toute une fratrie ou toute une classe d’école déclare tout à coup les mêmes symptômes, par effet de mimétisme (rougeole, scarlatine, oreillons, varicelle…).

Ce qu’il est essentiel de comprendre est que ce n’est jamais une maladie (un « virus » contagieux) qui est transmise directement de personne à personne, mais UNE INFORMATION susceptible de provoquer des symptômes particuliers en fonction du terrain qui reçoit cette information.

Nous ne contaminons pas les autres en leur projetant des germes à la figure, nous ne sommes pas en lutte les uns avec les autres ou avec le vivant dans son ensemble, et l’autre n’est pas un potentiel danger, tout au moins dans le domaine de la santé. Tout ce que nous faisons est de transmettre des informations au groupe, de par nos permanentes et profondes interrelations. Nous dialoguons au niveau vibratoire et sur divers plans énergétiques. Et cela change tout, d’une part dans la conception de la maladie et, d’autre part, dans le rapport que nous avons à l’autre et à la nature.

Il est aisé de comprendre que tout ceci va totalement à l’encontre des intérêts mortifères du système et de Big Pharma, qui n’ont de cesse de nous diviser et de nous présenter la vie sous la forme d’une guerre incessante contre tout ce qui bouge et respire, et l’espace commun comme le lieu de tous les dangers.

La médecine du futur, qui est déjà là, sera une médecine informationnelle et holistique, qui utilisera pour soigner les formidables pouvoirs de l’eau (nous sommes constitués à 96 % de molécules d’eau), la lumière et les ondes sonores. Exit la chimie, et son cortège d’horreurs et de tromperies !


[Voir aussi :]

Terrain Le Film – Partie 1 : La Grippe Des Cigognes

TERRAIN expose le canular tyrannique de la pandémie mondiale, construite sur le modèle erroné de la maladie, connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé fonctionnant en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défaillant. TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement. La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations. (Vidéo 55 min)


Comment reconnaître que les virologues nous ont trompés ?

La question de l’existence de virus pathogènes reste importante, car la croyance en de tels virus mobilise des milliards de dollars de ressources et de fonds de recherche. Ces deux dernières années, nous avons également vu comment un prétendu virus peut être utilisé comme un outil politique pour mettre les populations au pas. Ce n’est pas la première fois que cela se produit : par exemple, la “découverte” du VIH dans les années 1980 a donné naissance à une industrie de plusieurs milliards de dollars et a également été utilisée à des fins politiques dans la plupart des régions du monde.


L’invention du SARS-CoV-2

Un mathématicien allemand travaillant avec le Dr Stefan Lanka vient de publier un rapport intitulé “Analyse structurelle des données de séquençage en virologie – Une approche élémentaire à l’aide de l’exemple du SARS-CoV-2FR“. Il fournit encore plus de preuves que les virologues sont pris dans un monde de simulations informatiques – des simulations qui ne sont pas fiables même selon leurs propres termes, sans compter qu’elles sont déconnectées de la réalité. Cette analyse est une contribution importante qui expose un autre élément de l’anti-science utilisée pour soutenir cette fausse pandémie. En outre, il s’agit d’un démantèlement technique de la manière dont tous les “virus” sont inventés et ensuite “trouvés”, dans un jeu de tromperie permanent.


L’enterrement de la théorie virale

Pour déterminer la validité d’une théorie scientifique touchant une discipline particulière, il est bien davantage utile de connaître la démarche scientifique et le propre de la science que d’être un expert du domaine en question. Le propre de la science est le doute, la remise en question des connaissances acquises à la lumière de nouvelles données ou informations, par exemple suite à l’exploration de nouvelles voies ou à l’observation du réel sous un nouvel angle de vue ou selon une nouvelle perspective. Une théorie explicative de phénomènes observés ne peut être véritablement d’ordre scientifique que si elle est contestable par l’argumentation ou l’expérimentation dans le cadre de la démarche scientifique. Si a contrario elle se pose en vérité absolue ou définitive, alors elle ne relève pas de science, mais de superstition ou de croyances religieusement ou affectivement entretenues. À la lumière de nombreux faits et constats, nous allons tenter de montrer ici en quoi la théorie virale ne relève pas de science, mais de scientisme et de croyances erronées.

Lettre ouverte aux services de police de l’Ontario, relative à l’absence de preuves de l’existence du SRAS-CoV-2

Procédure de violation, de responsabilité et mise en demeure, avec des preuves vérifiées, et avec un groupe de pairs la présente à la « commission des services de police de Peterborough. Bref exposé des faits « COVID-19 », incluant des transgressions et des responsabilités :


L’interprétation erronée du virus — 2e partie

Début et fin de la crise corona, par le Dr Stefan Lanka. (…) Un des deux faits décisifs pour le SARS et la crise corona c’est qu’au moins 20 à 30 % de toutes les pneumonies sont atypiques. Les causes de la pneumonie atypique sont clairement connues et par conséquent on ne doit PAS affirmer qu’elles sont dues à un nouveau virus. Cette information est censurée par les infectiologues et virologues et est le fondement des peur et panique actuelles, parce que l’on crée l’impression chez ceux qui sont affectés, dans le public et chez les responsables politiques que la pneumonie atypique serait particulièrement dangereuse et souvent fatale (…)


La fausse idée appelée virus — La rougeole à titre d’exemple

Contrairement à ce que croient la majorité des gens, il n’y a pas de virus pathogène. Les affirmations au sujet de l’existence des virus et des maladies virales sont basées sur de mauvaises interprétations historiques et non, comme on le pensait dans le passé, sur des fraudes ou des tromperies délibérées. Nous avons maintenant du mieux, dans le sens positif des découvertes « scientifiques » et des explications pour l’origine, la thérapie et la prévention des maladies, et pas seulement des maladies « virales ».


Ebola : briser les mensonges et la supercherie

Nous sommes avertis, de temps en temps, qu’une nouvelle épidémie d’Ebola (ou de Marburg) pourrait se propager. C’est l’une de ces attractions à venir dans le théâtre qui montre un film de virus après l’autre. (…) La campagne massive pour faire croire que le virus Ebola peut attaquer à tout moment, après le moindre contact, est plutôt réussie. (…) Pour ne pas résoudre les problèmes du peuple, une histoire servant de couverture est nécessaire, une histoire qui disculpe la structure du pouvoir.

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La fin de la virologie : la 3e phase des expériences témoins du SARS-CoV-2

Après les deux clous précédents enfoncés dans le cercueil de la théorie virale, dans cette troisième phase, le Dr Stefan Lanka montre qu’en appliquant la même technique que celle utilisée par les virologues, en utilisant les acides nucléiques qui ne proviennent pas de matériel supposé infectieux, mais de tissus humains, d’animaux et de plantes sains, vous pouvez construire le génome de n’importe quel « virus ». (Vidéo 8 min)


Dr. Andrew Kaufman – La théorie virale mise à mal

Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l’université de Caroline du Sud, puis s’est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l’université de Duke. Des virus aux injections et aux médicaments, cette vidéo (> 1 h 20) aborde les hypothèses de base qui sous-tendent l’ensemble du récit sur le covid.


L’effondrement de l’hypothèse virale

Urmie Ray est docteur puis chercheur en mathématiques de l’Université de Cambridge, ancienne professeur de mathématiques à l’université de Reims, et associée à diverses périodes avec l’Institut Max Planck de Bonn (Allemagne) notamment. Urmie a démissionné de son poste de professeur d’université afin de se consacrer pleinement à l’étude de questions culturelles et historiques et ainsi mieux comprendre l’époque actuelle. Après une analyse de la déformation de la science en dogme dans son dernier livre : « On Science : Concepts, Cultures, and Limits » (Routledge, 2021), elle s’est depuis 2020 intéressée notamment à « l’hypothèse virale », sur laquelle est basée toute la justification des mesures inédites actuelles. (Vidéo > 1 h 40)


La vérité sur la rage, le virus de la mosaïque du tabac, le graphène et les résultats de la 2e phase des expériences témoins
La fraude du Covid-19 et la guerre contre l’humanité
Un virus ? Quel virus ? – Dr Mark Bailey
Pourquoi il n’y a aucune preuve que le “SARS-CoV-2” soit contagieux et responsable d’une maladie
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
Le SIDA et la Renaissance de l’Hypothèse de Duesberg
Le SIDA depuis 1984 : Aucune preuve d’une nouvelle épidémie virale – même pas en Afrique
Fauci et la grande arnaque du SIDA

Et d’autres articles dans le dossier Vaccins et virus




Quand une menace virtuelle est remplacée par une autre menace virtuelle… Le Sars-cov-2 a encore muté et le nouveau variant s’appellerait Poutine

Par Alain Tortosa

Quiconque a étudié le sujet et lu ne serait-ce que les données officielles (qui plus est mensongères), comme les rapports d’hospitalisation et de décès, n’ignore pas que le Covid n’a été qu’une grippe, voire une grippette.

Je rappelle que le réseau Sentinelle utilisé depuis des dizaines d’années pour observer les épidémies en France a constaté que le Covid n’a jamais atteint le seuil épidémique, pas même en mars-avril 2020.

Tout ceci pour radoter et répéter que nous ignorerions, encore aujourd’hui, jusqu’à l’existence même de cette « épidémie » sans le concours actif des médias et de tous les corrompus.

Dans le même temps de nombreux Français continuent de vivre dans la terreur de mourir du virus alors même qu’ils utilisent un gel « efficace », un masque « efficace », un passe vaccinal « efficace » pour tenir à distance les pestiférés non vaccinés ainsi que trois doses d’une injection « efficace » et « inoffensive ».

Nous vivions donc dans un monde « normal » de risque mortel du Covid, mais dans une parenthèse, un œil du cyclone le temps des élections françaises et le retour probable du méchant virus début juillet.

Mais il eût été irresponsable de laisser les Français et la planète souffler un peu après deux ans de pandémie mondiale.

Omicron a donc totalement disparu de la scène médiatique du jour au lendemain.

Celui-ci a été remplacé par « le variant Poutine encore plus contagieux et mortel ».

Alors que le Sars-cov-2 était « diabolique(([1] https://www.bfmtv.com/sante/jean-francois-delfraissy-on-a-affaire-a-un-virus-diabolique-et-beaucoup-plus-intelligent-qu-on-ne-le-pense_VN-202101240184.html))» selon les affirmations du président du conseil scientifique aussi nommé « tribunal de l’Inquisition », le variant Poutine est quant à lui un « psychopathe » (à la différence de notre gentil Président), « fou » (à la différence de…), et ressemble à Staline (à la différence de…).

« Le variant Poutine est le Mal et nous, les Occidentaux, sommes le Bien ! »

Nul doute que nos démocraties occidentales sont attachées aux droits de l’homme, à la démocratie, au respect des minorités, et contre toute forme d’apartheid… « pas comme l’autre enculé en face ».

Rendez-vous compte que ces jours-ci l’odieux personnage va jusqu’à réprimer des manifestations populaires, c’est dire le profil de l’individu !

Ceci n’est qu’évidence, bien sûr, et il n’y aurait qu’un complotiste antivax et de surcroît antisémite pour suggérer que la France ou les autres « démocraties » occidentales auraient basculé ces derniers mois d’une dictature molle vers une dictature dure.

Alors que se passe-t-il en Ukraine ?

Il est bien difficile de le savoir au regard de la propagande, néanmoins :

Version occidentale

Le malade mental, le variant Poutine a envahi par surprise (donc sans prévenir) la gentille démocratie ukrainienne.

Il a agi sans la moindre raison dans l’unique but de recréer l’ex-URSS puis de conquérir le monde.

Il prend plaisir à terroriser et tuer des civils.

Il est à ce point taré qu’il n’est pas impossible qu’il veuille aussi envahir les États baltes, la Roumanie ou la Pologne…

Heureusement l’OTAN est là pour nous protéger et de nombreuses troupes ont été déployées dans ces pays pour les protéger de l’invasion russe et de leurs chars qui pourraient bientôt défiler sur les Champs-Élysées.

(Je n’exagère absolument pas et ne fais que traduire le discours des médias français et occidentaux.)

Il est donc raisonnable de paniquer, l’apocalypse nucléaire est à nos portes, Sting(([2] « I Hope The Russians Love Their Children Too »)) a oublié si les Russes aimaient leurs enfants ou pas, bref l’horreur !

Version russe

La Russie voit son empire grignoté depuis des années.

L’Europe et surtout l’OTAN gagnent du terrain.

Si l’Ukraine rejoint l’OTAN, il y aura des bases américaines et des missiles à la frontière de la Russie, mais surtout la Russie perdrait le port de Sébastopol qui lui permet d’avoir un port qui n’est pas pris par les glaces en hiver.

Le pays (fabriqué après la chute de l’URSS) est divisé en deux parties.

À l’ouest les pro-occidentaux armés par l’OTAN et à l’est, dont le Donbass, les pro-russes russophones et russophiles tournés vers la Russie.

Les pro-occidentaux considèrent les Russes comme des sous-hommes et des milices nazies (niées aujourd’hui par l’occident(([3] https://www.lefigaro.fr/international/2018/05/18/01003-20180518ARTFIG00007-ukraine-les-milices-extremistes-du-bataillon-azov.php))) les oppriment depuis des années.

(À titre personnel je croyais que les Russes en faisaient un peu trop en parlant de nazis,(([4] https://www.lapresse.ca/debats/chroniques/lysiane-gagnon/201505/01/01-4866065-aider-les-neonazis.php)) mais ces mouvements le sont vraiment.)

Sans compter le gazoduc russe qui passe par l’Ukraine, ce qui constitue un danger pour la Russie.

D’où la création de Nord Stream2 un gazoduc dont ne veulent pas les Américains qui ont menacé les pays qui l’utiliseraient de représailles et qui alimentera directement l’Allemagne.

Les Américains ne veulent pas pour des raisons économiques et géostratégiques que l’Europe soit dépendante du gaz russe.

Ils veulent que l’Europe commerce uniquement avec les USA et surtout pas l’empire russe.

Des faits

  • Il est un fait que Poutine a envahi l’Ukraine ce qui n’est pas légal… mais logique.
  • Il veut faire du pays une zone neutre démilitarisée dont la sécurité serait garantie et avec la certitude qu’elle ne rejoindra pas l’OTAN.
  • Il est un fait que Poutine veut récupérer l’est du pays dans la fédération comme le désirent les habitants russophones.
  • Il est un fait que l’OTAN est une menace pour la Russie. Imaginez l’implantation de bases russes demain matin au Mexique ! Imaginez le tollé occidental (à juste titre). La dernière fois, c’était à Cuba sous Khrouchtchev, et ça a failli mal tourner.
  • L’OTAN n’a jamais signé d’accords juridiques contraignants(([5] https://www.monde-diplomatique.fr/2018/09/DESCAMPS/59053)) de non-expansion, mais il n’en demeure pas moins vrai que des promesses n’ont pas été respectées.
  • Il est un fait que l’occident a armé des néonazis en Ukraine.
  • Il est un fait que l’Ukraine de l’Ouest mène une guerre dans le Donbass(([6] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1014582/6-points-pour-comprendre-guerre-ukraine-russie-crimee)) contre les pro-russes dans l’indifférence de l’occident.
  • Il est un fait que la Russie veut pouvoir écouler son gaz vers l’Europe et avoir des échanges commerciaux.

Il est donc légitime de poser la question quant à savoir qui est l’agresseur. (cf. base russe au Mexique).

À qui profite le crime ?

  • Poutine va sortir gagnant militairement, l’Ukraine ayant été trahie par les Occidentaux et les promesses d’intégrer l’OTAN. Elle a le champ libre pour faire de l’Ukraine ce qu’elle veut et personne ne lui mettra des bâtons dans les roues mis à part des fous de guerre comme Bernard Henry Lévy.
  • Les gouvernements occidentaux vont pouvoir nous maintenir dans la peur du variant Poutine pendant des années.
  • Les budgets militaires à l’est et à l’ouest vont pouvoir exploser.
  • La main mise des USA sur l’Europe (OTAN) va s’accroître. De là à ce que nous ayons des bases américaines sur notre sol (refusé par De Gaulle), il n’y a qu’un pas si le peuple français ne réclame pas son indépendance.
  • L’augmentation du prix de l’énergie va profiter notamment aux Américains et leur gaz de schistes qui coûte cher à l’extraction (et super écolo) qui n’était plus rentable avec un pétrole trop bas. De fait, la dépendance de l’Europe vis-à-vis des USA va s’accroître aussi bien économiquement que stratégiquement.
  • Beaucoup d’intervenants vont se faire des fortunes.
  • Les peuples vont payer la facture.

Mensonges

Qui peut croire que la Russie va payer économiquement pour son « crime » sans qu’il y ait de représailles de sa part ?

Les grands discours annoncent qu’elle va être isolée alors même que l’Inde et la Chine ont officiellement annoncé qu’ils étaient prêts à commercer avec elle.

Si vous additionnez les populations des pays pro-russes, de l’Inde et de la Chine, vous arrivez à plus de 3 milliards d’habitants !

Les menaces de sortie du système Swift sont du vent, la Russie ayant développé un autre système de liaison interbancaire qui lui permettra de contourner l’interdiction (peu probable).

Nos menteurs promettent aussi que la Russie ne pourra plus avoir accès à la haute technologie alors que cette technologie est en Chine.

Nos menteurs promettent que les Russes ne pourront plus (ou moins) vendre leur gaz alors même que l’Europe a une dépendance vitale au gaz russe et que les pays producteurs ne pourront ni fournir ni acheminer des quantités suffisantes.

Sans compter que les Russes peuvent fermer le gaz quand ils veulent.

Alors les menteurs parlent de geler les avoirs occidentaux de Poutine et autres, comme s’il n’avait pas pris les devants.

Sanction contre nous-mêmes

Si vous avez des enfants lisez l’album de Luky-Luke(([7] https://www.dupuis.com/lucky-luke/bd/lucky-luke-tome-19-les-rivaux-de-painful-gulch/640 )) « Les rivaux de Painful Gulch »

Dans celui-ci deux familles se détestent et se battent.

Au plus fort de leurs différents le patriarche d’une des familles demande que l’on sabote la laiterie, et la mère de répondre : « mais on boit du lait nous aussi ».

Ordre est quand même donné, puis un peu plus tard on entend une explosion.

Le patriarche se réjouit et le fils revient, la mine déconfite, en disant « les autres l’ont fait sauter avant nous ».

Ce qui le met en rage, car les autres ont osé faire sauter la laiterie avant…

Nous en sommes là…

Toutes les mesures dites de « représailles » contre les Russes vont se retourner directement contre nous, mais avec un effet boomerang.

Cela n’empêche pas des guignols politiques comme Bruno Lemaire de nous faire croire que les Russes vont payer, mais que nous serons épargnés.

À les écouter, la puissance militaire de la France permettrait de faire plier l’armée russe !

Mais « il en va de l’honneur du monde libre, de la lutte du bien contre le mal ». (fou rire dans la salle, comme si un dirigeant au monde en avait quelque chose à foutre des droits de l’homme.)

Personnellement, j’attends encore les décisions fortes contre le Qatar, l’Arabie Saoudite, la Corée du Nord ou contre la Chine pour défendre les droits de l’homme !

Il y aura bien des mesures, mais principalement pour la galerie…

Mais qui seront les victimes ? Les peuples bien évidemment !

Non seulement nos dirigeants n’en ont rien à foutre, mais en plus :

  • Ils vont gagner en crédibilité et stature de chefs d’État avec leur intransigeance de façade.
  • Ils vont pouvoir nous maintenir dans la peur pendant des années. Cela a été annoncé par le Président de la République nous indiquant qu’on va morfler pendant longtemps. Une majorité de Français s’apprête à revoter pour un président qui nous a donné de la souffrance et des larmes face au Covid et qui nous promet de la souffrance et des larmes face à Poutine.
  • Ils vont pouvoir créer de l’inflation et des impôts pour nous spolier un peu plus ou payer les intérêts de la dette.

Tout n’est que cirque médiatique, et l’Europe va continuer à acheter du gaz russe dont elle a un besoin vital.

Et on n’ira pas faire la guerre à une puissance nucléaire dont on dit que le dirigeant est un fou dangereux.

Le prix du gaz va exploser et donc celui de l’énergie (électricité…) aussi, ainsi que le prix du blé et d’autres matières premières pour notre plus grand malheur et le plus grand bonheur des entreprises du secteur et de nos dirigeants corrompus.

Nous serons les victimes comme le peuple russe sera aussi la victime subissant inflation, restrictions de libertés et angoisses.

Les « journalistes »

J’ai pris soin de regarder aussi bien les BFM et autres… que RT France (Russia Today), c’est dire à quel point je pourrais être condamné pour « intelligence avec l’ennemi ».

Il est intéressant de voir que la propagande occidentale n’est qu’à charge contre le variant russe.

Nous avons de nombreuses preuves que les journalistes présentent des fausses informations volontairement fabriquées afin de coller au récit.

Sur RT, où il y a bien sûr de la propagande, force est de constater que des pro-occidentaux ont aussi une libre parole.

Il est intéressant de voir que le niveau de mensonges de nos médias mainstream est au moins aussi délirant que pour la crise du Covid.

Le « journaliste » n’est qu’un pion actif au service de la propagande.

Nous sommes largement au-delà de l’incompétence, mais dans la fabrique du mensonge.

Conclusion ?

  • Oui, Poutine est un enculé, mais il fait bien le job et il a des raisons légitimes d’intervenir en Ukraine.
  • Les occidentaux, pour le coup, sont largement autant, voire plutôt plus, de sacrés enculés.

Comme pour le Covid, une majorité du peuple qui tire son savoir de l’AFP va gober et subir « avec joie » les mesures dictatoriales qui ne manqueront pas de surgir pour le « bien » de la nation et du « monde libre ».

Nombreux seront ceux, comme durant la guerre froide, qui vont avoir peur de voir des chars russes sur les Champs-Élysées.

Nous allons donc pouvoir continuer à vivre dans la peur d’un ennemi invisible… comme pour le Covid.

La question qui se pose est : comment allons-nous partager toutes ces peurs ?

Entre le Covid (ou son cousin) qui ne manquera pas de revenir, le « réchauffement climatique » qui menace la survie de l’espèce avec les « odieux humains qui expirent du CO2 » ainsi que le variant « Poutine le Barbare », nous sommes équipés pour un bon moment.

À la question « de qui avez-vous peur aujourd’hui entre Poutine et Macron » ?

Ma réponse est « Macron » sans hésiter (mais aussi les responsables de tous les partis présidentiables).

Merci.

Alain Tortosa

26 février 2022.
https://7milliards.fr/tortosa20220226-covid-nouveau-variant-poutine.pdf





Allemagne : 4 à 5 % des « vaccinés » anti-Covid seraient sous traitement suite aux effets secondaires

[Source : BusinessBourse]



[Note de Joseph : 5 % de 55 millions d’Allemands doublement vaccinés, cela représenterait 2 millions et 750 mille personnes avec des effets secondaires chroniques !]