Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Messieurs, je ne vous salue pas car un militaire ne salue jamais des criminels

[Sources : NS2017, ripostelaique.com et profession-gendarme.com)]

Par Colonel Jacques Amiot

C’est la déclaration de guerre de Macron du 12 juillet qui a provoqué ma vive réaction.

Elle correspond en effet à une quasi-obligation vaccinale, ce qui n’était pas du tout annoncé par le pouvoir qui a menti une fois de plus.

Je refuse absolument l’injection, pour moi et mes proches, d’un produit en cours d’expérimentation pour lequel personne ne peut assurer qu’il ne comporte pas de graves dangers à moyen et long terme ; d’autant, qu’à court terme, il y a des décès et des effets indésirables lourds, certainement sous-évalués.

À l’évidence, on se rend compte que la volonté d’imposer la vaccination était en fait prévue depuis début 2020, et que c’est la raison qui a poussé le pouvoir à refuser aux médecins généralistes les possibilités de soins précoces. S’il avait admis qu’il y avait des possibilités de soins, il n’aurait pas pu imposer le vaccin ; ce qu’il tente sournoisement de faire actuellement.

Ce refus de laisser les médecins généralistes soigner leurs patients a provoqué de nombreux décès, abouti à l’engorgement des hôpitaux, provoqué l’effondrement de l’économie et ses séquelles. Je confirme donc que c’est une décision criminelle.  

Besançon le 28 juillet 2021

Monsieur le Président de la République,
Monsieur le Premier Ministre,
Monsieur le Ministre de la santé,

Quoi qu’il puisse m’en coûter je n’hésite pas à affirmer que vous êtes des criminels et j’associe à cette accusation tous ceux qui vous soutiennent dans votre funeste besogne : certains élus, journalistes, (je ne généralise pas).

Vos premiers crimes remontent au début de 2020 quand, par décret, vous avez refusé aux médecins généralistes la possibilité de soigner leurs patients sous des prétextes fallacieux. Depuis cette époque vous avez des dizaines de milliers de morts sur la conscience car beaucoup de nos concitoyens auraient pu être traités et sauvés.

Je vous défie de me prouver le contraire, car, partout dans le monde, des médicaments ont prouvé leur efficacité. Début 2020 on a aussi découvert que la Chloroquine, largement utilisée depuis plus de 70 ans notamment en Afrique, était mystérieusement devenue un produit dangereux.
Le seul but de cette décision totalement illogique et condamnable a été de pouvoir imposer un « vaccin » en tentant de justifier qu’il n’y avait pas d’autres solutions.
La vérité finira par éclater ; vous ne pourrez pas encore la cacher bien longtemps.

Depuis plus d’un an le général Delawarde fait des recherches minutieuses et publie des analyses approfondies par lesquelles il a démontré que les pays qui pratiquent les traitements précoces ont proportionnellement beaucoup moins de décès que la France ; bien tardivement l’Institut Pasteur vient d’ailleurs de confirmer l’intérêt de l’Ivermectine. Le général a également démontré que la « pandémie » était très largement surfaite et qu’elle pouvait être gérée de manière beaucoup moins destructrice. D’autres maladies sont beaucoup plus meurtrières mais on en parle très peu.

Vous êtes des criminels, car, toujours en raison de ce refus de soins, les hôpitaux ont été engorgés, des opérations et des soins urgents ont été repoussés avec pour conséquences de nombreux décès ; sans parler de « l’assassinat » de personnes âgées par le Rivotril par manque de moyens en raison de votre incurie.

Vous êtes des criminels, car, toujours pour cette raison, vous avez provoqué l’effondrement de l’économie avec pour conséquence un chômage de masse, des suicides…
Messieurs de l’exécutif je ne suis pas anti vaccin ; depuis des années, avec mon épouse, nous nous faisons vacciner contre la grippe et je ne critique pas ceux qui se font « vacciner », car c’est leur choix qui, souvent, a été largement provoqué par la propagande de médias aux ordres.
Il ne faut pas s’étonner de cette attitude de nombreux médias car beaucoup sont la propriété de ceux qui vous ont propulsé au pouvoir par effraction, avec l’aide efficace de la justice, qui a bien opportunément disqualifié monsieur Fillon.

Il est par contre monstrueux de vouloir injecter de force aux Français des produits, toujours en cours d’expérimentation et dont on ne connait absolument pas les effets notamment à moyen-long terme. Les Français, à vos yeux, ne sont rien d’autres que des cobayes soumis au bon vouloir de puissants laboratoires pharmaceutiques.
Manifestement vous accomplissez scrupuleusement la feuille de route prévue depuis longtemps par les mondialistes dont le seul souci est d’imposer un « vaccin » afin d’engranger des milliards de dollars.

Pour imposer cette feuille de route vous avez constamment menti aux français et gouverné par la peur, des cas, des hospitalisions, des décès largement surévalués.
Les mesures que vous avez décidées le 12 juillet sont le fruit de l’imagination de psychopathes tyranniques. Nous faisons partie des cinq pays du monde à être rentré dans une tyrannie plus que draconienne. Qu’est devenue la patrie des droits de l’homme ?
Par plusieurs lectures j’ai compris que pour imposer une gouvernance mondiale les mondialistes devaient préalablement éliminer les nations souveraines ; j’avais encore un léger doute, mais je n’en ai plus.

Messieurs Klaus Schwab, Jacques Attali, Georges Soros, Bill Gates, Anthony Faucy, et beaucoup d’autres ne s’en cachent pas ; pour s’en convaincre il suffit de retrouver les déclarations et écrits de ces oligarques qui se prennent déjà pour les maitres du monde.
Avec eux vous participez donc activement à la destruction de la France, et actuellement vous nous préparez le coup du variant Delta, certainement pas plus létal que les précédents, de manière à soumettre encore un peu plus le peuple.

Le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État démontrent que l’on ne peut rien attendre d’eux ; ils sont complices.
Nous avons bien compris que vous voulez culpabiliser les non « vaccinés » et, surtout, que votre principal but est de dresser les Français les uns contre les autres. J’espère qu’ils auront l’intelligence de ne pas tomber dans ce piège maléfique ; sans quoi tout peut arriver.
Pour moi il ne s’agit pas uniquement de liberté de choix, mais, surtout, de préserver mon intégrité physique et celle de mes proches. Affirmer que les « vaccins » ne présentent pas de risques graves relève de la « voyance » et non de la science.

À vos places je ne serais pas tranquille, car l’histoire a montré que les tyrans et leurs collaborateurs finissent en général très mal. Je comprends que des Français, peut-être naïfs et crédules pour certains, veuillent devenir députés (c’est une bonne place) ; je comprends que des journalistes veuillent préserver leur emploi, mais beaucoup devraient se méfier de ne pas trop collaborer avec un pouvoir devenu tyrannique, car ils risquent d’en payer le prix fort. On surveille, on note.
Je ne vous salue pas, car un militaire ne salue pas des criminels.

Colonel Jacques Amiot

Colonel Amiot
Lieutenant-colonel de l’Armée de l’Air



Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike

Par François Daubé (Directeur IPSE)

Bonjour à tous,

Voici la publication que nous publions sur le site de IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève) afin d’alerter les autorités sur les résultats récents de plusieurs études démontrant qu’il serait urgent de réévaluer le Bénéfice/Risque d’une campagne de vaccination de masse contre le SARS-Cov2. 

Le ton utilisé et les arguments techniques mentionnés sont basés sur l’intention de communiquer des faits, et non pas une opinion, sur une démonstration et non pas un débat, afin de conquérir l’audience des personnes qui ont peur, qui se vaccinent et qui pensent être solidaires en appliquant docilement les intimations des médias d’Etat. 

Je vous remercie de relayer cette publication par mail (voir lien ci-dessous) vers toutes les institutions de santé et d’éducation, vers tous les médias également, afin de semer le doute individuel contre la machination de l’intelligence artificielle déjà en service pour dérouler le plan Covid-19, et contre laquelle il semblerait que nous ayons toujours un temps de retard.  

Je vous remercie infiniment pour votre contribution.

Voici le lien pour signatures: https://www.ngo-ipse.ch/petition.php?id_sujet=7 

François Daubé

Directeur ONG IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève)




Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »
Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus
Complot, conspiration, plan : dix faits troublants
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
La guerre du Bien contre le Mal
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




Manifestations massives dans toute la France contre le pass sanitaire pour le troisième samedi consécutif

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire le 31 juillet 2021. (Photo ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)]

PAR AFP

La mobilisation contre l’extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire est très forte ce samedi dans toute la France. Les foules se sont rassemblées sur environ 200 points de manifestations dans plus de 150 villes dont Paris, Marseille, Toulon, Draguignan, Poitiers, Toulouse, Aix-en-Provence, Montpellier, Bordeaux, Nice, Metz, Nantes, Pau…

Selon les résultats d’une étude Harris Interactive x Euros Agency pour LCI publiée vendredi, près de la moitié des Français déclarent soutenir les manifestations contre l’instauration d’un pass sanitaire.

A Paris, deux manifestations sont particulièrement suivies. L’une d’elle est partie du métro Villiers (XVIIe) vers 14H00 en direction de la place de la Bastille (XIe). Une autre a démarré à 14H30 à proximité de la gare Montparnasse (VIe) pour un défilé en direction du ministère de la Santé (VIIe), à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot.

https://twitter.com/CharlesBaudry/status/1421445417825357830?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1421445417825357830%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.theepochtimes.com%2Fmanifestations-massives-dans-toute-la-france-contre-le-pass-sanitaire-pour-le-troisieme-samedi-consecutif-1804890.html

Le président du parti pro-Frexit UPR (Union populaire républicaine) François Asselineau a de son côté annoncé vendredi être positif au Covid-19, et donc empêché de manifester contre le pass sanitaire, qu’il juge « absurde, injuste et totalement liberticide ».

Un rassemblement, initialement prévu devant BFM-TV, a été interdit. Une vingtaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la chaîne, dans une rue bouclée par des dizaines de camions de police, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plus de 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour encadrer les manifestants et sécuriser les lieux sensibles, une semaine après que des manifestants ont été repoussés des Champs-Élysées.

Un  important dispositif policier était en place ce samedi matin sur la célèbre avenue parisienne, et ses principales entrées bouclées par des gardes mobiles, selon un photographe de l’AFP.

Regroupée autour des mots-dièses #manif31juillet et #PassDeLaHonte sur les réseaux sociaux, l’opposition aux mesures gouvernementales pour lutter contre le Covid-19 fédère des manifestants anti-pass sanitaire, anti-vaccins ou anti-confinement, aux revendications protéiformes.

Dans les cortèges, où figurent également de nombreux « gilets jaunes », les manifestants fustigent un pass sanitaire « liberticide » et affirment marcher « contre la dictature ».

Le pass sanitaire a été adopté définitivement dimanche soir, après six jours de débats houleux à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Déjà appliqué dans les lieux culturels et de loisirs depuis le 21 juillet, son extension pour les cafés, foires, salons, restaurants et trains est prévue le 9 août. Entre temps, le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi le 5 août.

La Guadeloupe vient de perdre un de ses artistes les plus renommés, Jacob Desvarieux, membre fondateur et pilier du groupe Kassav’, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid. Il avait reçu trois doses de vaccin mais il était aussi immunodéprimé depuis une greffe rénale.




Les USA sont en train de devenir une URSS 2.0, selon une ancienne du renseignement américain

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[© Photo : Pixabay / TheDigitAlartist]

Rebecca Koffler, ancienne officier des services américains, a mis en garde contre une dérive «soviétique» des États-Unis, entre atteintes aux libertés et règne du politiquement correct.

[Ndlr : il en est de même dans la plupart des pays occidentaux, et spécialement dans l’Union Européenne et au Canada.]

Alors qu’en France des débats sémantiques font rage autour du terme «dictature» dans le sillage des restrictions sanitaires, aux États-Unis une ex-officier du renseignement militaire a mis les pieds dans le plat. Dans un article pour Fox News, Rebecca Koffler a ainsi mis en garde contre une dérive totalitaire de son pays, qui lui rappelle de plus l’Union soviétique d’où elle a émigré.

L’ex-agent a notamment fustigé les opérations de surveillance de l’Agence nationale de la sécurité (NSA) et du Bureau fédéral d’enquête (FBI) à l’encontre de certains politiques. Elle a cité en exemple le cas de Carter Page, conseiller de campagne de Donald Trump, dont la mise sur écoute a fait polémique.

«Étant née et ayant grandi dans un État totalitaire, je suis familière des gouvernements qui espionnent les citoyens ordinaires. Les récentes révélations sur la surveillance par la NSA m’ont ramenée il y a 30 ans dans un endroit qui n’existe plus, mon pays natal, l’Union des républiques socialistes soviétiques», écrit ainsi Rebecca Koffler pour Fox News.

L’ancienne gradée a rappelé que l’espionnage de simples citoyens est l’une «des caractéristiques du totalitarisme», ajoutant que la mésaventure de Carter Page en disait long sur le sentiment d’impunité des «apparatchiks gouvernementaux».

«Cancel culture»

Rebecca Koffler se dit également inquiète de la «cancel culture», qui déborde des campus américains pour imposer le politiquement correct dans toute la société. Un conformisme de rigueur, qui lui rappelle celui de la société soviétique.

«En Amérique, il existe désormais des opinions « correctes », celles de la classe dirigeante […] et ce qu’on appelle en russe des opinions « incorrectes » (nekorrektnoye). Les Américains ayant des opinions contredisant l’orthodoxie idéologique des progressistes sont licenciés, « annulés » par des militants, interdits de parler sur les campus universitaires», explique-t-elle ainsi dans son article.

Des logiques que l’ancienne officier voit également à l’œuvre sur les réseaux sociaux où les géants de la technologie, surnommés Big Tech, traquent les opinions divergentes. Une allusion aux politiques de modération de certains réseaux sociaux qui ne cessent en effet d’interroger. Début juillet, Donald Trump avait d’ailleurs engagé une plainte collective pour «censure illégale» contre plusieurs réseaux sociaux ayant suspendu ses comptes.

Société à deux vitesses

Rebecca Koffler met également en garde contre les promesses de gratuité qui se multiplient aux États-Unis. Fin avril, Joe Biden avait notamment annoncé débloquer des fonds pour faciliter les gardes d’enfants ou mettre en place une université communautaire gratuite. Des promesses qui rappellent à l’ex-agent les systèmes socialistes, où tout était censé être fourni gratuitement par le gouvernement.

En réalité, le modèle soviétique a souvent débouché sur une société à deux vitesses, où la nomenklatura avait droit à tout, quand le peuple était forcé de «faire la queue pendant des heures pour obtenir des produits de base». Une logique que Rebecca Koffler croit déjà avoir vue à l’œuvre durant la pandémie.

«Le double standard que les Américains ont connu pendant les confinements m’a rappelé l’URSS: les politiciens sont allés dans des restaurants chers, se sont fait couper les cheveux et ont voyagé luxueusement, tandis que le reste d’entre nous a souffert, laissant pousser ses cheveux et essayant de calmer les enfants, intenables durant les cours à distance», résume-t-elle ainsi.

En France, des polémiques sur ces doubles standards avaient aussi vu le jour, à propos notamment des dîners clandestins. Plusieurs personnalités politiques avaient alors été soupçonnées de se rendre dans des restaurants, au mépris des mesures de confinement.




La planète des seringues et le Pass sanitaire !

[Source : docteur alwest via Sott.net]




Passe sanitaire : preuve que tout était déjà prévu avant janvier 2020 !

Par Claude Janvier

C’est bête de faire des erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport — Covid-19 : point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 —, le nombre total des décès dus au virus est publié page 41 : « Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43, tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès imputés au Covid-19, mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862 décès. Ah ! quand même… Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le bourrage de crâne politico/médico/médiatique.(([1] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021))

Que se passait-il en janvier 2020 ?

Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque mon épouse et moi avions décidé de nous prendre quelques jours de vacances en Bretagne, histoire de nous changer les idées face à la morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du passe sanitaire liberticide.

Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair, ce gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?

Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci : W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique.

En recherchant sur Google la référence ci-dessus et la date, je tombe directement sur Santé publique France. Organisme d’État. Notez au passage qu’ils ont reçu 3,831 milliards d’euros de subvention pour 2021 — oui, vous lisez bien — pour 625 agents. Déjà en 2020, cet organisme avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros.(([4] Tec hôpital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques » —… de caviar et de champagne peut-être, car à ce tarif-là…)) Tout cet argent pour pondre des rapports alarmants, soporifiques, souvent mensongers et des affiches Covid. Démentiel !

J’ai mis sur mon compte Twitter, https://twitter.com/JANVIERClaude1, ma photo de l’affiche. Beaucoup de rififi à ce propos sur le réseau, surtout de la part d’une quantité non négligeable de trolls macronistes.

Florilège :

  • C’est la loi concernant le fait de ne rien jeter sur la voie publique, loi 2003, modifiée en 2020.
  • C’est la référence d’un papier utilisé en imprimerie, et je cite un commentaire : « ce marquage/logo a été imprimé en 01/2020 et depuis, il sert pour chaque nouvelle impression. »
  • La photo est fausse.
  • Vous avez retouché la photo avec l’ordinateur.
  • Insultes diverses.

Sauf que, d’après mes recherches, cela ne correspond en rien :

Cette affiche a été conçue par Santé publique France le 20 janvier 2020. Pas de doute possible. Or, à cette date, personne n’avait entendu parler du passe sanitaire, ni des confinements, ni du masque obligatoire, etc. À chacun d’en tirer des conclusions.

Toute cette coronafolie était donc bien prévue avant janvier 2020. Dur à avaler certainement pour beaucoup, mais le fait est là. Tout ce cinéma infernal afin de permettre à quelques labos d’empiler des milliards d’euros. Répugnant.

Il est plus que temps de faire le ménage, d’établir une véritable démocratie et de retrouver notre souveraineté.

Claude Janvier
Ecrivain, polémiste.
Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes




PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Extrêmement contraignants pour les États qui les ont signés, les contrats Pfizer semblent les avoir ligotés. Quelques explications qui s’appuient sur les tweets de Marceau qui a traduit et commenté ces révélations faites sur Twitter.

Bien que les documents qui ont fuité soient en réalité des « drafts » du laboratoire, soit un brouillon, une version non finale, il y a fort à parier que les contrats y ressemblent comme deux gouttes d’eau. Pfizer s’est montré plutôt agressif en essayant de protéger les détails de leurs accords internationaux sur le vaccin COVID-19. Mais en voici une copie. Le document qui est ici épluché a été rendu public par l’Albanie en janvier 2021.

Voir aussi : le document complet en anglais

Tout d’abord, on note que le coût de développement des contrats est très élevé et prend beaucoup de temps (cycles de relectures juridiques). Pfizer, comme toutes les entreprises, développe un modèle d’accord standardisé et utilise ces accords avec des ajustements relativement mineurs dans différents pays. Ces accords sont supposés être confidentiels… Mais comme vous êtes sur le point de le voir, il y a une bonne raison pour laquelle Pfizer se battait pour en cacher les détails.

Pour commencer, parlons du produit : l’accord couvre non seulement la fabrication des vaccins contre le Sars-COV-2 et ses mutations, mais également tout « dispositif, technologie ou produit utilisé pour l’administration ou pour améliorer l’utilisation ou l’effet d’un tel vaccin ».

Si vous vous demandiez pourquoi l’ivermectine a été empêchée, eh bien, c’est simplement parce que l’accord conclu avec Pfizer ne leur permet pas d’échapper à leur contrat, qui stipule que même si un médicament efficace était trouvé pour traiter le Covid-19, le contrat ne peut pas être annulé. Difficile donc, de jouer sur deux tableaux. Vous imaginez les millions de doses payées et vouées à la destruction si un traitement efficace et peu cher devait exister ?

Approvisionnement en vaccins :

« Pfizer n’assumera aucune responsabilité en cas de non-livraison des doses conformément aux dates de livraisons estimées. Et un tel manquement ne donnera à l’acheteur aucun droit d’annuler les commandes pour toute quantité de produit »
« Pfizer décidera des ajustements nécessaires du nombre de doses contractuelles et du calendrier de livraison dus à l’acheteur (…) sur la base de principes à déterminer par Pfizer (…) l’acheteur sera dans l’obligation d’accepter toute révision »

Pour être clair, « l’acheteur renonce à tous les droits et recours qu’il peut avoir en vertu de la loi », et donc subira les conséquences de produits deffectueux et/ou manquants si cela venait à arriver. La seule façon d’obtenir un rappel est de prouver un défaut de fabrication.
« Pour plus de clarté, l’acheteur n’aura pas le droit de rejeter un produit sur la base de réclamations de service à moins qu’un produit ne soit matériellement conforme aux spécifications ou aux standards de fabrication ». Notons toutefois que c’est une preuve difficile à apporter puisque le procédé de fabrication n’est même pas encore stabilisé.

« Cet accord est au-dessus de toute loi locale de l’État ».

Étudions maintenant ce qui pourrait intéresser les avocats

« L’acheteur reconnaît que les effets à long terme et l’efficacité du vaccin ne sont actuellement pas connus et qu’il peut y avoir des effets indésirables du vaccin qui ne sont actuellement pas connus ».

Par ailleurs, il existe des clauses concernant la possibilité de résiliation, mais en tout état de cause, l’acheteur n’a presque rien qui puisse être considéré comme une violation substantielle (même en cas d’inefficacité des vaccins ou en cas d’effets secondaires grave/mortels), tandis que Pfizer peut facilement le faire s’il n’obtient pas son argent ou s’il le juge nécessaire. En d’autres termes, ça marche dans un sens mais pas dans l’autre…

L’acheteur accepte par la présente d’indemniser, de défendre et d’assumer toutes responsabilités incombants à Pfizer et ses filiales (…) suite à des poursuites, réclamations, actions en justices, pertes, dommages, responsabilité, pénalités, amendes, coûts et dépenses… Le monde à l’envers, vous dites ?

L’État acheteur doit défendre Pfizer :

« Pfizer informera l’acheteur des pertes pour lesquelles il demande une indemnisation. Dès cette notification, l’acheteur assumera rapidement la conduite et la défense de ces réclamations indemnisables au nom de « Pfizer ». Cependant, Pfizer aura le droit d’assurer sa défense et l’acheteur devra payer toutes pertes, y compris et sans limitation, les honoraires d’avocat et d’autres dépenses encourues.

Pfizer s’assure que le pays en question paiera pour tout :

« Les frais et dépenses, y compris les honoraires et décaissements des avocats, encourus lors d’une plainte pouvant donner droit à indemnisation, seront remboursés sur une base trimestrielle par l’acheteur. »

Le pays acheteur est presque entièrement responsable et renonce à tout droit d’immunité. Il doit fournir à Pfizer une immunité totale contre toutes les réclamations et toutes les pertes, doit la mettre en œuvre conformément aux exigences légales ou réglementaires, et seul Pfizer peut décider du niveau de protection qu’il juge suffisant.

Par ailleurs, à l’heure où les données de santé de l’individu s’apprêtent à être de plus en plus divulguées et étudiées, la confidentialité du côté des laboratoires ne perd pas de sa valeur. Ainsi, chaque destinataire est tenu de protéger les données et les contrats avec Pfizer, et « ne divulguera les informations confidentielles qu’à ceux de ses représentants qui ont besoin de connaître ces informations confidentielles pour remplir ses obligations en vertu du présent accord ». Le contrat doit théoriquement rester confidentiel pendant 10 ans. Ce qui laisse en théorie du temps pour voir venir les effets secondaires et pour s’en prémunir.

Commentaires de l’auteur : ce contrat est simplement terrifiant et met les États à la merci de Pfizer. Des milliards de doses commandées vont être livrées sans aucun moyen pour les États de stopper l’approvisionnement. Le seul moyen de rompre le contrat est de prouver le défaut de fabrication, ce qui est virtuellement impossible. Le processus de fabrication n’est pas stabilisé donc il est impossible de démontrer que les vaccins ne seraient pas conformes. Pfizer a une immunité totale et n’est même pas responsable pour la non-efficacité de ses vaccins ou de la survenue d’effets secondaires, à court ou long terme. Les montants en jeu sont tels et les risques pour les États tellement démesurés qu’il est à présent aisé de comprendre pourquoi il n’y a pas de pharmacovigilance. Mener d’importantes études sur les effets secondaires des vaccins reviendrait, pour les États, à se tirer une balle dans le pied, puisqu’ils devraient en payer toutes les conséquences.

L’État fera donc tout pour minimiser, cacher, nier tout effet secondaire afin d’éviter les poursuites et devoir payer pour Pfizer. Les États se sont clairement mis au service du laboratoire au détriment de la santé de leurs populations.

Deux questions subsistent :

  • Le gouvernement français, après avoir signé un tel contrat avec Pfizer, peut-il nous imposer la vaccination obligatoire pour écouler des livraisons continues de vaccins ?
  • Pourquoi les États acceptent-ils de signer de tels contrats ?

Le fil Twitter en français :

https://twitter.com/2020Marceau/status/1420017526977749004?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1420017526977749004%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.francesoir.fr%2Fsociete-sante%2Fpfizerleak-les-contrats-surprenants-vaccins-pfizer

Le récapitulatif en un lien : 
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html

Auteur(s): FranceSoir




Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

[Source : observatoiredumensonge.com]

Une ordonnance puis un décret, passés inaperçus dans les médias et aussi dans l’opposition, auront suffi pour la Macronie à prendre le contrôle du corps médical. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Haro sur les médecins non alignés derrière l’État-Macron !

Par Daniel Desurvire

L’ordonnance n° 2021-961 du 19 juillet 2021 relative à la certification périodique de certains professionnels de santé, fait apparaître la mainmise de l’État sur une corporation qui jusque-là jouissait d’une indépendance dans l’exercice de leur art, en regard des ingérences du pouvoir politique. Mais cette époque de liberté est désormais révolue, car la Haute Autorité de santé devra partager ses prérogatives avec l’Exécutif, en ce qui concerne le pilotage de ses actions menées pour surveiller, encadrer et actualiser les niveaux de compétences et la qualité des professionnels salariés, mais surtout de la médecine libérale (article L. 4022-3). Un Conseil national de certification, entièrement soumis à l’autorité politique, est constitué pour délivrer, reconduire ou retirer le droit d’exercer. Ces prérequis, à travers certaines contingences politico-sanitaires, fixent des objectifs et des obligations aux médecins.

Curieusement, cette ordonnance ne fait jamais apparaître l’existence du Conseil de l’Ordre corporatif des médecins, lui-même compartimenté par degrés de juridictions géographiques, comme s’il n’existait pas, ou que le Gouvernement méprisamment l’occulterait. Certes, ce Conseil administratif et juridictionnel de défense et de régulation est déjà placé sous la tutelle du ministère de la Santé, mais il conserve sa spécificité socio-médicale, avec sa déontologie, ses instances disciplinaires et ses activités formatrices. Dans un monde collectiviste où la corruption fait loi, l’argent et le pouvoir sont les deux mamelles de cette oligarchie dominante. Ces collaborateurs de la toute-puissance élyséenne ; la Haute Autorité de santé et le Conseil national de certification, tels deux gendarmes, seront désormais l’oreille et la voix de l’exécutif pour mieux contrôler le Conseil de l’Ordre des médecins. Cette institution de droit privé devra désormais se ranger à la politique inquisitoriale de l’Étaten dénonçant, en sanctionnant voire en révoquant les médecins qui refusent de relayer l’obligation vaccinale pour leurs patients et pour eux-mêmes, ou en récompensant les bons élèves qui savent piquer sans compter.

Un décret n° 2021-964 du 20 juillet 2021 porte la trace visible de ce changement de paradigme dont la profession toute entière est indéfectiblement liée au serment d’Hippocrate. Nous frôlons ici le syndrome du salut fasciste des forces de l’Axe après l’attentat du 20 juillet 1944 au QG Wolfsschanze en Allemagne nazie, pour exprimer une adhésion forcée des professionnels de santé à une autre idéologie : le ralliement politique. C’est ainsi que « La prime d’intéressement collectif lié à la qualité du service rendu » est devenu : « la prime d’engagement collectif ». En d’autres termes, il ne s’agit plus d’intéressement lié à la qualité de service ou d’un objectif de production, mais d’une incitation mentale, qui frappe du talon en résonnant au pas de l’oie, à obéir aveuglément aux directives politiques de l’autorité oligarchique en embuscade dans les couloirs des hôpitaux. La délation inquisitoriale n’est donc pas éloignée, mais elle se nourrira désormais de dénigrements, de rumeurs et de menaces. Exit la qualité des soins et l’indépendance des praticiens de l’une des plus nobles professions !

Dans le texte susvisé, « aux objectifs prioritaires et aux équipes porteuses d’un projet », sont ajoutés des « indicateurs de résultats avec des objectifs précis, mesurables, accessibles et adaptés… ». Nous plongeons en plein délire d’initiation à un ordre nouveau ! Le médecin interniste se verra harcelé sur la façon de rédiger une posologie de soins, et de se déplacer en rang d’oignon pour se ranger à un ordre établi, non plus en fonction de son diagnostic et du profil pathologique du patient. L’encadrement revêt ainsi l’uniforme politique du moment, et en bon soldat, le praticien se verra juger sur son comportement, d’où son engagement, non sur la qualité de service rendu.

Pourquoi publier un tel décret où il n’apparaît aucune volonté d’exprimer une orientation à caractère professionnel et/ou didactique ? Ni les mots « santé », « sanitaire » ou « déontologie » ne figurent dans ce texte, où seul un acharnement politique s’y exprime avec la force de mots qui impriment la persuasion par la dissuasion. L’accent comminatoire d’une confiscation de ladite prime sera la première sanction contre celui ou celle qui ne remplira pas les conditions ou les obligations « d’engagement » à l’idéologie politique assénée par le ministre de la Santé. Nous entrons dans une ère nouvelle, ou plutôt en réminiscence par une histoire de triste mémoire que l’on croyait ne jamais revenir en surface. Cette idéologie qui ne se cache même pas, fait résurgence d’une époque que l’on croyait révolue, mais qui renaît dans les esprits allumés de l’État-Macron, autant avec le « passe-sanitaire », le « QR code » et l’appli « TousAntiCovid ».

Ces indicateurs rappellent étrangement une discrimination entre les citoyens, non de confession, mais du libre choix de disposer de son corps et d’accepter ou refuser des thérapies). Cette liberté issue des droits naturels, est exprimée et inscrite de façon inaliénable par la Constitution française, qui prend sa source dans l’esprit et la lettre des Droits de l’homme. Si les Français ne comprennent pas le virage autoritaire et particulièrement liberticide de cette mandature qui gomme les derniers reliefs de notre démocratie à l’agonie, ce sera toute notre histoire révolutionnaire qui s’effondrera d’un seul bloc.

Mais cela ne suffit toujours pas à l’État-Macron qui veut imposer ses directives politiques, sans devoir en passer par l’esprit professionnel de cette catégorie médicale. Dans une logique spécieuse, la lutte contre l’épidémie, même s’il n’ait personne pour vérifier si elle est toujours présente ou si ce ne seraient que des tests positifs sur des porteurs sains passant pour être la maladie, doit en passer par la discrimination culpabilisante et pénalisante. De fait et pour l’époque présente, trop de médecins s’opposent à la vaccination obligatoire susmentionnée, voire ne sont pas eux-mêmes vaccinés contre la Covid. Devant les motifs professionnels légitimes et scientifiques de cette profession, l’oligarchie élyséenne vient à présent imposer son incontournable autorité en ordonnançant le droit à son avantage exclusif, en dépit de l’intérêt sanitaire national que les médecins ont ordinairement vocation à réserver en priorité à leurs patients.

Dans le rapport joint à cette ordonnance, il est prétendu qu’aucune opposition directe et générale n’a été formulée s’agissant d’une concertation, dont le rédacteur n’a laissé aucune indication de personnes, de lieu et de date pour discerner une trace lisible de ce forum fantôme. Quid de la composition d’acteurs qui auraient conduit à l’orientation de cette résolution ? Ici le mensonge est énorme et cette faconde transpire de mauvaise foi. De sorte que ce Gouvernement en aura déduit que le pilotage scientifique du dispositif lui serait confié, sous la bénédiction dudit Conseil national de la certification périodique qu’il préside.

Une fois encore et comme à son habitude, Emmanuel Macron s’accapare tous les pouvoirs, jusqu’à pénétrer les épidermes professionnels, la chair de nos institutions sociales et sanitaires, puis de tout ce qui bouge, soigne, fabrique et administre. L’histoire de la Covid suscite toutes les interrogations et les suspicions de fraudes, de prises illégales de pouvoir et d’enrichissements personnels exorbitants, dès lors que le Politique prend le pas sur les réalités.

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d’Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l’auteur de : « Le chaos culturel des civilisations » pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s’ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l’un des corollaires. L’auteur choisit d’opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères » (in, Les cahiers de Junius, tome III, “La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français” : Édilivre, 2016).

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Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: 
Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE




4e vague de Covid-19 à l’hôpital ? « Un mensonge d’État » selon le fondateur de la Société Française de Virologie

[Source : (breizh-info.com]

La vidéo de l’intervention de Jean-Michel Claverie, fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet sur BFMTV est rapidement devenue virale. Et pour cause : le virologue a qualifié de « mensonge d’État » l’hypothèse d’une 4e vague de Covid-19 à l’hôpital tandis que médias maistream et responsables politiques entretiennent un climat de peur afin de justifier l’instauration du pass sanitaire.

« De vraies bonnes raisons éthiques et scientifiques » de s’opposer au pass sanitaire

Sur BFMTV, chaîne particulièrement zélée et inféodée à la politique gouvernementale depuis le début de la pandémie de Covid-19, ce sont des mots très forts qui ont été prononcés par Jean-Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dimanche 25 juillet.

Interrogé en direct par le duo de présentateurs, ce dernier a fortement remis en cause la politique sanitaire de l’exécutif français ainsi que les prévisions alarmistes faites quelques jours auparavant par le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, lequel a redouté que la quatrième vague de coronavirus soit la plus puissante de toutes. Tout en ajoutant le 23 juillet, déjà sur BFMTV, que « le retour à la normale, c’est pas maintenant, c’est peut-être 2022 [ou] 2023 ».

Un constat que ne partage absolument pas Jean-Michel Claverie qui a démonté en quelques minutes plusieurs arguments martelés en boucle par le gouvernement et les principaux médias du pays afin de justifier la mise en œuvre du pass sanitaire.

Tout d’abord en apportant une précision salutaire sur le profil des très nombreux Français ayant pris part aux manifestations du 24 juillet contre le pass sanitaire : 

« Les gens qui sont dans la rue ne sont pas tous des gens qui pensent que la Terre est plate, ou des anti-vax, ou des extrémistes politiques. Il y a de vraies bonnes raisons à la fois éthiques et scientifiques à trouver que le pass sanitaire est quelque chose qui est à la fois inacceptable pas très efficace. »

Sur le plan éthique, le fondateur de la Société Française de Virologie a notamment fait référence aux 10 points d’alerte émis par la Défenseure des droits Claire Hédon le 20 juillet. Et de souligner à juste titre que ces alertes n’ont eu « aucun écho politique » ni « aucun écho médiatique ». CQFD…

4e vague à l’hôpital : « Un mensonge d’État » selon Jean-Michel Claverie

Dans un second temps, Jean-Michel Claverie évoque ensuite la question de la gestion du Covid-19 au plan scientifique. Et apporte un point de vue détonnant sur les chiffres des nombres de cas quotidiens positifs au coronavirus traités de manière alarmiste par une grande partie de la classe politique et médiatique française : 

« Il faut arrêter avec ces 20 000 cas dont on nous bassine tous les jours ; ces 20 000 cas ne sont pas des cas de gens malades mais de gens testés avec un PCR positif ».

Le virologue s’appuie également sur l’exemple de l’Angleterre où, 

« dans une population qui est vaccinée à peu près comme la nôtre, cette maladie fait extrêmement peu de cas graves ou de gens malades ».

Quant aux propos de Jean-François Delfraissy sur la virulence d’une « quatrième vague à l’hôpital », Jean-Michel Claverie utilise des mots lourds de sens : « Là, il y a un mensonge d’État ! »

Tentant par la suite de contredire le fondateur de la Société Française de Virologie, le présentateur BFMTV s’appuie alors sur des chiffres prétendument issus de l’outil CovidTracker. Une erreur que ne manque alors pas de corriger Jean-Michel Claverie, le reprenant alors sur les données des derniers jours. Avant d’interroger : 

« Est-ce que vous pensez que cela justifie de faire ces lois incroyablement liberticides sans aucune justification réelle clinique et sanitaire ? »

Pass sanitaire
Chiffres CovidTracker France au 25 juillet 2021. Source : covidtracker.fr

Vidéo de l’intervention du virologue Jean-Michel Claverie sur BFMTV :

https://www.youtube.com/embed/F551T8B5d2Y

[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Souvenirs de la montée du nazisme

[Source : Sott.net]

En passant… Et en lisant Sebastian Haffner – Allemagne, mars 1933

Source de la retranscription numérique

[Photo : Sebastian Haffner en 1984]

Voici un extrait « éclairant » du chapitre « La révolution », extrait de l’ouvrage de Sebastian HaffnerHistoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), paru aux Éditions Babel.


Qu’est-ce qu’une révolution ?

Les spécialistes du droit public répondent : la modification d’une constitution par d’autres moyens que ceux qu’elle prévoit. Si l’on souscrit à cette sèche définition, la « révolution » nazie de mars 1933 n’en était pas une. Car tout se passa dans la stricte légalité, avec les moyens prévus par la constitution : d’abord des « décrets-lois » du président et enfin une résolution qui transférait au gouvernement la totalité du pouvoir législatif, résolution votée par le Parlement à la majorité des deux tiers exigée pour les changements constitutionnels.

C’est là une imposture manifeste. Mais quand on voit les choses comme elles ont vraiment été, on peut encore se demander si ce qui s’est joué en mars mérite vraiment le nom de révolution. Pour le sens commun, l’essentiel d’une révolution semble résider dans le fait que des gens attaquent par la violence l’ordre existant et ses représentants : police, armée, etc., et l’emportent sur lui. Ce n’est pas toujours forcément magnifique et enthousiasmant, et cela peut fort bien être associé à des débordements, des violences, des brutalités de populace déchaînée ; on peut piller, tuer, brûler. Ce qu’on attend des gens qui se prétendent des révolutionnaires, c’est au moins qu’ils attaquent, fassent preuve de courage, mettent leur vie en jeu. Les barricades sont peut-être un peu démodées, mais une forme quelconque de spontanéité — insurrection, prise de risque, émeute — semble inhérente à l’essence de la révolution.

Rien de tel en mars 1933. Les événements étaient une décoction des ingrédients les plus bizarres, mais on aurait vainement attendu un acte de courage, de bravoure, d’audace de quelque côté que ce fût. Ce mois de mars produisit quatre choses qui auraient pour résultat final la domination incontestée des nazis : la terreur, des fêtes et des déclamations, la trahison, et pour finir un collapsus collectif — plusieurs millions d’individus s’effondrant simultanément. Beaucoup d’États européens, la plupart même, ont eu une naissance plus sanglante. Mais il n’en existe aucun dont la naissance eût été à ce point répugnante.

L’histoire européenne connaît deux formes de terreur : l’une est l’ivresse sanguinaire effrénée d’une masse révolutionnaire déchaînée, grisée par sa victoire ; l’autre est la cruauté froide, délibérée, d’un appareil étatique triomphant qui cherche à intimider, à manifester son pouvoir. Ces deux formes sont normalement réparties entre révolution et répression. La première est révolutionnaire ; elle s’excuse par l’émotion et la rage du moment, par l’emportement. La deuxième est répressive ; elle s’excuse par les représailles à l’encontre des atrocités de la révolution.

Les nazis ont eu le privilège de combiner les deux d’une façon qui n’admet aucune excuse. La terreur de 1933 fut bien exercée par une tourbe ivre de sang (à savoir les SA, les SS ne jouant pas encore le rôle qui serait le leur), mais les SA se présentaient comme une « police auxiliaire » ; ils agissaient sans la moindre émotion, sans la moindre spontanéité, et surtout sans prendre le moindre risque — mais bel et bien en toute sécurité, sur ordre et avec discipline. Le tableau externe était celui de la terreur révolutionnaire : populace hirsute pénétrant par effraction la nuit dans les maisons et traînant des gens sans défense dans une cave pour les torturer. Le processus interne était celui de la terreur répressive : gestion administrative froidement calculée, couverture policière et militaire totale. L’ensemble ne découlait pas de cette excitation qui suit la victoire, un grand danger auquel on a survécu — rien de tel ne s’était produit. Ce n’étaient pas non plus des représailles à l’encontre d’atrocités exercées par le parti adverse — il n’y en avait eu aucune. Ce qui se produisait, c’était l’inversion cauchemardesque des notions normales : brigands et assassins dans le rôle de la police, revêtus du pouvoir souverain ; leurs victimes traitées comme des criminels, proscrites, condamnées d’avance à mort. Un cas exemplaire, rendu public en raison des proportions prises : une nuit, un responsable syndical social-démocrate de Köpenick(([1] Faubourg de Berlin.)) se défendit, aidé de ses fils, contre une patrouille de SA qui avait pénétré chez lui et abattit, en état de légitime défense évidente, deux SA. Sur quoi, cette même nuit, ses fils et lui furent maîtrisés par une seconde patrouille plus nombreuse et pendus dans la remise de leur maison. Mais le jour suivant, en bon ordre, des SA en service commandé pénétrèrent chez tous les habitants de Köpenick connus pour être des sociaux-démocrates et les abattirent sur place. On n’a jamais su le nombre de morts.

Cette sorte de terreur avait un avantage : selon les cas, on pouvait hausser des épaules navrées en parlant des « inévitables conséquences fâcheuses de toute révolution » — c’était l’excuse de la terreur révolutionnaire — ou se référer à la rigueur de la discipline en démontrant que l’ordre et le calme régnaient, que seules avaient lieu les descentes de police indispensables, et que c’était précisément cela qui épargnait à l’Allemagne les troubles révolutionnaires — c’était l’excuse de la terreur répressive. Et les deux étaient effectivement invoquées à tour de rôle, suivant le public concerné.

Cette forme de publicité a contribué, et contribue toujours, à rendre la terreur nazie plus repoussante qu’aucune autre terreur connue dans l’histoire européenne. La cruauté elle-même peut avoir une ombre de grandeur quand elle s’affiche avec la grandiloquence d’une détermination suprême, quand ceux qui l’exercent revendiquent fougueusement leurs actes comme ce fut le cas lors de la Révolution française et des guerres civiles russe et espagnole. Les nazis, en revanche, n’ont jamais affiché autre chose que le rictus blême, lâche et craintif du meurtrier niant ses crimes. Tandis qu’ils torturaient et assassinaient systématiquement des êtres sans défense, ils affirmaient tous les jours avec des accents nobles et touchants qu’ils ne faisaient de mal à personne, et que jamais révolution ne s’était déroulée de façon aussi humaine et pacifique. Et quelques semaines après l’institution de l’épouvante, une loi menaçait d’une lourde peine quiconque affirmait, fût-ce entre ses quatre murs, qu’il se passait des choses atroces.

Il va de soi que cela n’avait pas pour but de tenir secrètes les horreurs. Car alors elles n’auraient pu atteindre leur but, qui était de provoquer chez tous crainte, effroi, soumission. Ce secret tendait au contraire à renforcer l’effet de la terreur par le danger qu’il y avait ne serait-ce qu’à en parler. L’exposition publique — par exemple à la tribune de l’orateur ou dans les journaux — de ce qui se passait dans les caves de la SA et dans les camps de concentration aurait peut-être pu provoquer même en Allemagne une riposte désespérée. Les nouvelles épouvantables chuchotées sous le manteau — « Faites bien attention, voisin ! Savez-vous ce qui est arrivé à X ? » — brisaient bien plus sûrement toutes les résistances.

D’autant plus qu’on était au même instant occupé et distrait par une série interminable de fêtes, de solennités, de célébrations nationales. On commença par fêter la victoire en grand avant les élections, le 4 mars, jour du « Réveil national ». Marches gigantesques et feux d’artifice, tambours, trompettes, orchestres et drapeaux dans toute l’Allemagne, des milliers de haut-parleurs diffusant la voix de Hitler, serments et promesses — et tout cela alors qu’il n’était pas certain que les nazis n’allaient pas prendre une veste électorale. De fait, c’est bien ce qui se produisit ces élections, les dernières à se dérouler en Allemagne, n’apportèrent aux nazis que quarante-quatre pour cent des voix (auparavant ils en avaient obtenu trente-sept) — la majorité votait toujours contre eux. Si l’on songe que la terreur battait déjà son plein, que les partis de gauche avaient été muselés dès la semaine décisive qui précédait le scrutin, il faut dire que le peuple allemand dans son ensemble s’est assez bien comporté. Mais les nazis n’en eurent cure. La défaite fut tout simplement célébrée comme une victoire, la terreur renforcée, les fêtes se multiplièrent. Quinze jours durant, les fenêtres restèrent pavoisées. Une semaine plus tard, Hindenburg abolissait les anciennes couleurs, et le drapeau à la croix gammée devenait, avec le noir-blanc-rouge, le « pavillon provisoire du Reich ». Et chaque jour des défilés, des célébrations géantes, des manifestations de gratitude pour la libération nationale, de la musique militaire du matin au soir, honneurs rendus aux héros, consécration des couleurs, enfin, pour couronner le tout, la mise en scène boursouflée de la « journée de Potsdam », avec ce vieux félon de Hindenburg se recueillant sur la tombe de Frédéric le Grand, Hitler jurant pour la énième fois fidélité à je ne sais quoi, cloches sonnant à toute volée, cortège solennel des députés vers l’église, parade militaire, sabres au clair, enfants agitant des petits drapeaux, retraites aux flambeaux.

L’ineptie, l’absurdité sans bornes de ces manifestations continuelles étaient, selon toute vraisemblance, parfaitement concertées. Il fallait habituer la population à se réjouir et à se « réveiller », même si elle n’en voyait pas vraiment la raison. Chaque jour, chaque nuit, des gens qui s’abstenaient trop ostensiblement de participer — chut ! — étaient torturés à mort à coups de drille ou de fouet d’acier, et c’était déjà une raison suffisante. Réjouissons-nous donc, et hurlons avec les loups, Heil, Heil ! Et on finissait par y trouver goût. En mars 1933, il faisait un temps magnifique. N’était-ce pas beau, sous le soleil printanier, de se mêler à une foule en liesse sur une place pavoisée, prêtant l’oreille. à des propos sublimes où revenaient les mots de patrie et de liberté, de réveil et d’engagement sacré ? (En tout cas, cela valait mieux que de se retrouver à huis clos dans une caserne de SA, à se faire remplir d’eau les intestins).

On se mit à participer — d’abord par crainte. Puis, s’étant mis à participer, on ne voulut plus que cela fût par crainte, motivation vile et méprisable. Si bien qu’on adopta après coup l’état d’esprit convenable. C’est là le schéma mental de la victoire de la révolution national-socialiste.
Pour la parachever, toutefois, une chose était indispensable : la lâche trahison de tous les chefs de partis et d’organisations auxquels s’étaient confiés les cinquante-six pour cent d’Allemands qui, le 5 mars 1933, avaient voté contre les nazis. Le monde n’a pratiquement pas pris conscience de cette évolution historique terrible et décisive. Les nazis n’avaient pas intérêt à la souligner, parce qu’elle ne pouvait que dévaluer considérablement leur « victoire » ; quant aux traîtres eux-mêmes, ils avaient tout intérêt à se taire. Pourtant, seule cette trahison explique le fait apparemment inexplicable qu’un grand peuple, qui ne se compose quand même pas exclusivement de poltrons, ait pu sombrer dans l’infamie sans résistance.

La trahison fut totale, générale et sans exception, de la gauche à la droite. J’ai déjà dit que les communistes, derrière les rodomontades de façade qui exaltaient leur « détermination » et mentionnaient des préparatifs de guerre civile, préparaient en vérité l’exil de leurs hauts fonctionnaires avant qu’il ne fût trop tard.

En ce qui concerne les cadres de la social-démocratie, à qui des millions de braves petites gens fidèles accordaient une confiance aveugle et loyale, ils avaient commencé de les trahir dès le 20 juillet 1932, quand Severing et Grzesinski s’étaient « inclinés devant la force ». Les sociaux-démocrates s’étaient déjà terriblement humiliés au cours de la campagne électorale de 1933 en courant après les slogans des nazis pour souligner qu’ils étaient, eux aussi, de bons « nationaux ». Le 4 mars, veille du scrutin, Otto Braun,(([2] Otto Braun (1872-1955), social-démocrate, à la tête du parti depuis 1911, ministre-président de Prusse entre 1925 et 1933.)) leur « homme fort », chef du gouvernement prussien, passa en automobile la frontière suisse ; il avait pris soin d’acquérir une maisonnette dans le Tessin. En mai, un mois avant la dissolution de leur parti, les députés sociaux-démocrates en étaient à accorder massivement leur confiance au gouvernement Hitler et à chanter le Horst-Wessel-Lied.(([3] Chant de marche de la SA écrit sur une mélodie existante par le jeune Sturmführer (lieutenant) Horst Wessel (1907-1930). Celui-ci ayant trouvé la mort au cours d’une bagarre avec des communistes dans des circonstances mal élucidées, les nazis firent de lui un martyr et de son œuvre l’hymne officiel du parti.)) (Le compte rendu des débats parlementaires note : « Applaudissements sans fin dans la salle et sur les tribunes. Le chancelier lui-même, tourné vers les sociaux-démocrates, applaudit »).

Le centre, ce grand parti bourgeois catholique qui, dans les dernières années, avait rallié une part de plus en plus importante de la bourgeoisie protestante, avait atteint ce stade dès le mois de mars. Ses voix assurèrent à Hitler la majorité des deux tiers qui lui confiait « légalement » la dictature. Il agissait sous la houlette de l’ancien chancelier Brüning. L’étranger l’a généralement oublié aujourd’hui, et Brüning y passe encore largement pour le possible successeur de Hitler. Mais qu’on me fasse confiance : les Allemands, eux, ne l’ont pas oublié. Un homme qui croyait encore, le 23 mars 1933, pouvoir inféoder à Hitler : dans un vote d’importance vitale, le parti qui lui était confié, n’aura plus jamais la moindre chance en Allemagne.

Enfin, le parti national, la droite conservatrice qui revendiquait carrément « l’honneur et l’héroïsme » comme programme — Dieu ! qu’il était lâche et déshonorant, le spectacle que ses chefs infligèrent à leurs partisans en 1933 et par la suite ! Une fois déçue leur attente du 30 janvier, alors qu’ils espéraient avoir « mis les nazis dans leur poche » pour les « empêcher de nuire », on attendait au moins qu’ils « freinent » pour « éviter le pire ». Que non ; ils participèrent à tout : à la terreur, aux pogromes, aux persécutions contre les chrétiens ; ils ne se laissèrent même pas émouvoir par l’interdiction de leur parti et l’arrestation de leurs partisans. Il est déjà navrant de voir des fonctionnaires socialistes s’enfuir en plantant là leurs électeurs et leurs sympathisants. Mais que dire d’officiers nobles qui, voyant fusiller leurs amis et leurs collaborateurs les plus proches — comme M. von Papen —, restent en place en criant Heil Hitler ? Tels partis, telles fédérations. Il existait une Fédération des anciens combattants communistes, et, en ce qui concernait le Parti démocratique allemand, une Reichsbanner schwarz-rot-gold, organisée militairement, non dépourvue d’armes, comptant des millions d’adhérents destinés expressément à tenir les SA en échec si le besoin s’en faisait sentir. Durant tout ce temps, on ne perçut rien de son existence, absolument rien, pas la moindre chose. Elle disparut sans laisser de trace, comme si elle n’avait jamais existé. Dans toute l’Allemagne, la résistance prenait tout au plus la forme d’un acte individuel désespéré — comme celui du syndicaliste de Köpenick. Les officiers de la Reichsbanner ne firent même pas mine de riposter quand les SA « reprirent » leurs locaux. Le Stahlhelm, l’armée des nationalistes, se laissa mettre au pas, puis dissoudre peu à peu, en récriminant, mais sans résister. Il n’y eut pas un seul exemple d’énergie défensive, de vaillance, de tenue. Il n’y eut que panique, fuite éperdue, apostasie. En mars 1933, des millions de personnes étaient encore prêtes au combat. Du jour au lendemain, elles se retrouvèrent sans chefs, sans armes, trahies. Une partie d’entre elles cherchèrent encore désespérément à rallier le Stahlhelm et les nationalistes quand il s’avéra que les autres ne se battaient pas. Le nombre de leurs adhérents enfla démesurément en l’espace de quelques semaines. Puis ils furent dissous eux aussi — et se rendirent sans combat.

Cette terrible capitulation morale des chefs de l’opposition est un trait fondamental de la « révolution » de mars 1933. Grâce à elle, les nazis eurent le triomphe facile. Il est vrai qu’en même temps elle remet en cause la valeur et la solidité de leur victoire. La croix gammée n’a pas été imprimée dans la masse allemande comme dans une matière récalcitrante, mais ferme et compacte. Elle l’a été comme dans une substance amorphe, élastique et pâteuse. Le jour venu, cette pâte est susceptible de prendre une autre forme, avec autant de facilité et sans plus de résistance. Il est vrai que depuis mars 1933 subsiste une question sans réponse : vaut-elle vraiment la peine d’être formée ? Car l’Allemagne a manifesté alors une faiblesse morale trop monstrueuse pour que l’histoire n’en tire pas un jour les conséquences.

Ailleurs, toute révolution, même si elle a laissé le peuple momentanément exsangue et affaibli, a toujours amené une remarquable potentialisation des énergies dans les deux camps en présence — aboutissant, à long terme, à l’émergence d’une nation considérablement plus forte. Qu’on considère la formidable quantité d’héroïsme, d’intrépidité, de grandeur humaine — mêlée sans doute à des débordements, des cruautés, des violences — qu’ont déployée dans la France révolutionnaire jacobins et royalistes, dans l’Espagne contemporaine franquistes et républicains ! Quelle que soit l’issue, la bravoure avec laquelle on a combattu demeure dans la conscience de la nation comme une inépuisable source d’énergie. À l’endroit où cette source devrait jaillir, les Allemands d’aujourd’hui n’ont que le souvenir de l’infamie, de la lâcheté, de la faiblesse. Cela ne peut manquer d’avoir des conséquences qui se manifesteront un jour, peut-être dans la dissolution de la nation allemande et de sa forme politique.

Le Troisième Reich est né de cette trahison de ses adversaires et du sentiment de désarroi, de faiblesse et de dégoût qu’elle a suscité. Le 5 mars, les nazis étaient encore minoritaires. Si de nouvelles élections avaient eu lieu trois semaines plus tard, ils auraient vraisemblablement eu la majorité. Ce n’était pas seulement l’effet de la terreur, ni de l’ivresse engendrée par les fêtes (les Allemands aiment à s’enivrer de fêtes patriotiques). L’élément décisif, c’est que la colère et le dégoût provoqués par la lâcheté et la traîtrise des chefs de l’opposition l’emportaient momentanément sur la colère et la haine à l’encontre du véritable ennemi. Dans le courant du mois de mars 1933, d’anciens opposants au parti nazi s’y rallièrent par centaines de milliers — les « victimes de mars », suspectées et méprisées par les nazis eux-mêmes. Surtout, pour la première fois, même des centaines de milliers d’ouvriers quittèrent leurs organisations sociales-démocrates ou communistes pour s’inscrire clans les « cellules » nazies ou s’enrôler dans la SA. Ils y étaient poussés par diverses raisons, et souvent plusieurs à la fois. Mais on aurait beau chercher longtemps, on n’en trouverait pas une seule dans le lot qui soit bonne, valable, inattaquable et positive — pas une seule de présentable. Le phénomène manifestait dans chaque cas particulier tous les symptômes d’une dépression brutale.

La raison la plus simple, qui s’avérait presque toujours, quand on creusait, la plus intime, c’était la peur. Frapper avec les bourreaux, pour ne pas être frappé. Ensuite, une ivresse mal définie, ivresse de l’unité, magnétisme de la masse. Puis, chez beaucoup, dégoût et ressentiment envers ceux qui les avaient laissés tomber. Puis un syllogisme étrange, typiquement allemand, qui déduisait : « Les adversaires des nazis se sont trompés dans toutes leurs prévisions. Ils ont affirmé que les nazis allaient perdre. Or, les nazis ont gagné. Donc, leurs adversaires avaient tort. Donc, les nazis ont raison. » Puis, chez quelques-uns (en particulier chez les intellectuels), la conviction de pouvoir encore changer le visage du parti nazi et l’infléchir dans leur direction en y adhérant eux-mêmes. Ensuite, bien entendu, la soumission pure et simple, l’opportunisme. Enfin, chez les plus primitifs, les plus frustes, dominés par l’instinct grégaire, un phénomène tel qu’il a pu s’en produire dans les temps mythologiques, quand une tribu vaincue abjurait son dieu tutélaire manifestement infidèle pour se mettre sous la protection du dieu de la tribu victorieuse. On avait cru en saint Marx, il n’avait pas secouru ses fidèles. Saint Hitler était manifestement plus puissant. Brisons donc les statues de saint Marx placées sur les autels pour consacrer ceux-ci à saint Hitler. Apprenons à prier : « C’est la faute aux juifs », au lieu de : « C’est la faute au capitalisme. » Peut-être est-ce là notre salut.

Comme on le voit, ce phénomène n’a rien que d’assez naturel ; il relève tout à fait du fonctionnement psychologique normal, et cela explique presque parfaitement ce qui semble inexplicable. La seule chose qui subsiste, c’est l’absence totale de ce qu’on nomme, chez un peuple comme chez un individu, de la « race » : à savoir un noyau dur, que les pressions et les tiraillements extérieurs ne parviennent pas à ébranler, une forme de noble fermeté, une réserve de fierté, de force d’âme, d’assurance, de dignité, cachée au plus intime de l’être et que l’on ne peut, précisément, mobiliser qu’à l’heure de l’épreuve. Cela, les Allemands ne le possèdent pas. Ils forment une nation inconstante, molle, dépourvue de squelette. Le mois de mars 1933 en a fourni la preuve. À l’instant du défi, quand les peuples de race se lèvent spontanément comme un seul homme, les Allemands, comme un seul homme, se sont effondrés ; ils ont molli, cédé, capitulé — bref : ils ont sombré par millions dans la dépression.
Le résultat de cette dépression généralisée fut le peuple uni, prêt à tout, qui est aujourd’hui le cauchemar du monde entier.

Tel est le processus évident, clair et bien délimité qui se présente aujourd’hui, avec le recul, à l’observateur. Tandis qu’il se déroulait, il m’était bien sûr impossible de le voir dans son ensemble. Je sentais bien, et c’était assez terrible, que tout cela était écœurant jusqu’à la nausée, mais j’étais incapable d’en saisir et d’en classer les éléments. Chaque fois qu’on essayait de comprendre, on voyait s’interposer comme un voile ces discussions infiniment oiseuses et stériles, toujours recommencées, au cours desquelles on s’efforçait de faire entrer les choses dans un système de notions politiques obsolètes qui ne leur était plus adapté. Comme ces discussions paraissent inconsistantes aujourd’hui, quand un caprice de la mémoire en fait remonter à la surface des bribes et des lambeaux ! Avec toute notre culture historique bourgeoise, nous étions intellectuellement démunis devant cette évolution qui ne s’était jamais produite dans tout ce que nous avions appris. Les explications étaient absurdes, les tentatives de justification parfaitement stupides — mais les constructions de fortune que la raison tentait d’édifier autour de ce sentiment d’effroi et de dégoût qui ne trompait pas étaient aussi désespérément superficielles. Tous les -ismes qu’on mobilisait étaient d’une inanité qui me fait frissonner quand j’y pense.

En outre, la vie quotidienne était un obstacle à l’analyse lucide — la vie qui continuait, encore que définitivement irréelle et spectrale, chaque jour tournée en dérision par les événements dans lesquels elle s’inscrivait. J’allais encore au tribunal, comme avant ; on y disait toujours le droit, comme si ce mot signifiait encore quelque chose, et le conseiller juif qui faisait partie de ma chambre siégeait toujours tranquillement en toge derrière la barre. Il est vrai que ses collègues le traitaient déjà avec cette délicatesse pleine de doigté qu’on témoigne aux grands malades. Je continuais d’appeler au téléphone mon amie Charlie, nous allions au cinéma, buvions du chianti dans un bistrot à vin, allions danser quelque part. Je continuais à voir des amis, à discuter avec des camarades, à fêter des anniversaires en famille — mais alors qu’en février on pouvait encore se demander si tout cela ne signifiait pas le triomphe de la vraie vie, de la réalité indestructible sur les agissements des nazis, on devait désormais admettre que ce n’était plus, au contraire, qu’un mécanisme automatique et creux qui démontrait à chaque instant le triomphe des puissances ennemies qui le submergeaient de toute part.

Et pourtant, curieusement, c’était entre autres choses la poursuite machinale de la vie quotidienne qui s’opposait à une quelconque réaction énergique et vitale contre la monstruosité. J’ai déjà dit comment la trahison et la lâcheté de leurs chefs avaient empêché les équipes des autres groupes politiques de se mobiliser contre les nazis. Cela n’explique pas pourquoi il n’y eut pas, ici, là ou ailleurs, un individu pour se dresser et se défendre spontanément, sinon contre l’ensemble, du moins contre quelque injustice particulière, quelque scandale survenu non loin de lui. (Je n’ignore pas que cette question inclut un reproche à l’égard de moi-même).

À cela s’opposait précisément le mécanisme de la vie courante. Il est probable que les révolutions, et l’histoire dans son ensemble, se dérouleraient bien différemment si les hommes étaient aujourd’hui encore ce qu’ils étaient peut-être dans l’antique cité d’Athènes : des êtres autonomes avec une relation à l’ensemble, au lieu d’être livrés pieds et poings liés à leur profession et à leur emploi du temps, dépendant d’une foule de choses qui les dépassent, éléments d’un mécanisme qu’ils ne contrôlent pas, marchant pour ainsi dire sur des rails et désemparés quand ils déraillent. La sécurité, la durée ne se trouvent que dans la routine quotidienne. A côté, c’est tout de suite la jungle. Tout Européen du XXe siècle le ressent confusément avec angoisse. C’est pourquoi il hésite à entreprendre quoi que ce soit qui pourrait le faire dérailler — une action hardie, inhabituelle, dont lui seul aurait pris l’initiative. D’où la possibilité de ces immenses catastrophes affectant la civilisation, telle que la domination nazie en Allemagne.

Certes, j’écumais de rage en ce mois de mars 1933. Certes, je faisais peur à ma famille avec des projets désordonnés : quitter la fonction publique, m’exiler, me convertir avec ostentation au judaïsme. Mais je me contentais de formuler ces intentions. Mon père, riche de l’expérience, point adaptée aux nouveaux événements, d’une vie qui s’était déroulée entre 1870 et 1933, minimisait, dédramatisait, tentait de contrer mes propos emphatiques par une discrète ironie. Il faut dire que j’étais habitué à son autorité, et pas encore très sûr de moi. En outre, le scepticisme tranquille m’a toujours convaincu davantage qu’une grandiloquence péremptoire ; j’ai mis longtemps à comprendre que dans ce cas particulier mon instinct de jeune homme avait effectivement raison contre la sagesse et l’expérience de mon père, et qu’il existe des choses que le scepticisme tranquille est impuissant à maîtriser. À l’époque, j’étais encore trop timide pour tirer les conséquences de mes intuitions.

Peut-être, n’est-ce pas, avais-je effectivement une vision déformée de la situation. Peut-être fallait-il l’endurer, laisser passer les choses. C’est seulement dans mon travail, protégé par les articles du Code civil et du Code de procédure civile, que je me sentais sûr de moi et mûr. Ces articles étaient toujours debout. Le palais de justice aussi. Son activité pouvait pour l’heure paraître vide de sens, mais elle ne s’était en rien modifiée. Peut-être qu’en fin de compte tout cela finirait par s’avérer durable et l’emporterait.

Donc, accomplir la routine quotidienne dans une expectative incertaine. Ravaler sa rage et son effroi ou les épancher à la table familiale en éclats stériles du plus haut comique. Vivant dans la même apathie que des millions d’autres individus, je laissais venir les choses.

Elles vinrent.

© Actes Sud

Voir aussi notre [de Sott.net] article « Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933) », de Sebastian Haffner ou quand l’histoire se répète… à l’échelle mondiale


[Voir aussi :
De la démocratie à la tyrannie
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]


Notes




Analyse d’un Coup d’État institutionnel

[Source : Ma France (by-jipp.blogspot.com)]

Par Olivier Demets, fonctionnaire d’État [français] et inspecteur des finances publiques et sapeur pompier volontaire.

A partager en masse.

Gardez confiance !
Soutenez les derniers remparts institutionnels que sont les vrais serviteurs de l’État. Aidez-les à prendre leurs responsabilités en respectant le sens de leur engagement !






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?




Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…

Par Lucien Samir Oulahbib

Cette question béotienne (comme on dit) peut encore prêter à sourire tant d’un côté l’évidence crie « oui », à voir la propagande hygiéniste et ses diverses obligations juridiques qui explosent (malgré l’effondrement des indicateurs : les malades de diarrhée étant plus importants que ceux de la C19) tandis que de l’autre les puissants de l’heure expliquent que « non » puisque vous pouvez encore vous poser la question sans être enfermé et qu’il existe des « lois ».

Ce dernier point peut prêter à sourire tant ces « puissants » oublient volontairement que sous Staline il y avait de la presse assez critique sur les dysfonctionnements du quotidien, que sous Hitler le droit était prolifique et se voulait même « moral », et qu’en règle générale il y a toujours eu des élections avec des candidats divers au sein des régimes dits pourtant non démocratiques…

Or, lorsque la presse est de plus en plus aux ordres, lorsqu’elle ment (confondant « cas » et « malades », par exemple, ou assénant qu’aucun traitement ne marche hormis l’injonction de l’injection expérimentale), de même lorsque le conseil d’État, le Parlement, et dans une certaine mesure le Conseil Constitutionnel adoubent toutes les décisions de fond du Pouvoir qui empiète pourtant les libertés fondamentales, mais ce au nom d’une supposée urgence « sanitaire » alors qu’elle est disproportionnée en réalité au vu des chiffres réels et non pas projetés) lorsqu’enfin toute critique de fond signifie mort médiatique puis sociale du « questionniste » (lorsqu’il n’est pas taxé de « rassuriste », « platiste », « complotiste »), quelle est la différence, dans les faits, entre ce que sont et/ou deviennent peu à peu aujourd’hui la France, les USA par exemple et les (anciennes) dictatures ?…

Car il est possible en effet d’avancer que deux différences cruciales restent toujours probantes : d’un côté l’existence de conflits permanents au sein du Pouvoir et de ses institutions qui laissent penser qu’une « balance des pouvoirs » existe encore, de l’autre l’absence d’une répression brutale et l’enfermement puis l’assassinat.

La première différence apparaît pourtant de moins en moins évidente (surtout avec un taux d’abstention de plus en plus important) d’autant plus que le conflit entre les instances ou en leur sein ne semble pas décisif, comme on le voit de mieux en mieux en France (de plus, la dernière loi d’urgence a été votée par une poignée de « députés ») ; par ailleurs, il y a toujours eu des conflits au sein des dictatures (d’où les purges permanentes).

La seconde différence s’exprime dans le fait que l’on peut toujours manifester ; certes, mais dans quelles conditions ? Tout dépend du moment et du degré de stupeur. Il y a eu aussi des manifestations sous Lénine et Trotsky, en 1968 en Tchécoslovaquie, Pologne en 1980, en 1989 sous le régime maoïste, en Égypte, Tunisie, en Algérie ces derniers temps… Observons la manière dont les manifestations des Gilets Jaunes première mouture ou de la « manif pour tous » ont été peu à peu brutalement dénigrées, voire réprimées au bout d’un certain moment (et celles aussi que le Pouvoir a laissées dégénérer par milices dites « antifa » interposées…). Rien ne dit que celles qui se déroulent actuellement contre un « pass » plus politique que « sanitaire » (les chiffres démentant le discours officiel au niveau des réanimations et de la mortalité) ne subiront pas le même sort à la rentrée de septembre (2021).

En un mot, passé le moment de sidération, pensant aussi que le « soufflet » de la contestation s’essoufflera comme toujours, le Pouvoir actuellement préserve toujours l’apparence d’une démocratie même si cela devient de plus en plus un village Potemkine du moins pour le peuple, car du point de vue des élites consentantes cela ne se voit pas du tout : leurs institutions supérieures fonctionnent normalement. Ainsi les Académies pérorent (mais sous l’Union Soviétique aussi), publient, soutiennent même la politique hygiéniste au nom de « la » Science alors que la controverse salutaire au sein de celle-ci est muselée, mais rien n’y fait : l’aveuglement est la norme, comme sous Lyssenko ou la pensée hygiéniste eugéniste à l’amorce du 20e siècle.

Tout cela sera bien entendu balayé d’un revers de main par les Suffisants bien assis sur leur certitude en argile pourtant.

Finalement qui a écrit : « La souveraineté nationale appartient au peuple » ?  Un populiste, voire un complotiste ? Un souverainiste extrémiste de droite ?…

Bonjour chez vous N°6


[Voir aussi :
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »]




Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, 4 doses de vaccin sont prévues pour chaque européen de l’Union Européenne

[Source : myessentielles via profession-gendarme.com]

https://twitter.com/_LE_GENERAL_OF/status/1417216021778378752?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1417216021778378752%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.profession-gendarme.com%2Falexandra-henrion-caude-balance-du-lourd-en-direct-y-a-4-doses-qui-sont-prevues-pour-chacun-dentre-nous-y-compris-bebes%2F



Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021

[Source : nicolasbonnal.com]

Totalitarisme fou et absolu. Les manifs ne les font surtout pas reculer [voir : Note sur les manifestations sous le règne du NOM] : manifestation obligatoire universelle pour septembre. Les enseignants doivent se vacciner. Aucune catastrophe sanitaire nulle part, déclare Florian qui rappelle que les libertés progressent ailleurs : il faudra donc se battre ou crever comme des rats numérotés. Râler et boycotter sont déjà dépassés.

Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

Blanquer annonce la vaccination obligatoire pour les enseignants – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

LA VACCINATION OBLIGATOIRE S’ÉTENDRA-T-ELLE AUX ENSEIGNANTS ? CETTE MESURE, QUI SERAIT LOGIQUE, MAIS QUI EST DIFFICILE À IMPOSER POLITIQUEMENT, SEMBLE ANNONCÉE PAR UNE MAIL ENVOYÉ PAR LE MINISTRE BLANQUER À TOUS LES PERSONNELS DANS UN MESSAGE QUE NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS. DANS LA PRATIQUE, IL EST TROP PROBABLE QUE, DÈS SEPTEMBRE, L’EDUCATION NATIONALE SOUMETTRA SES PERSONNELS À UNE OBLIGATION VACCINALE.

https://youtu.be/RJ9VvgRJFEI



Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





France : votre maire est-il un collabo? Vérifiez dans cette liste de 382 noms!

[Source : FL24.net]

Par Pascal Tenno

Dans une lettre ouverte publiée par Le Journal Du Dimanche, 382 élus de différents partis, dont le PS et LR, Estrosi en tête, applaudissent la tyrannie sanitaire mise en place par Emmanuel Macron lundi dernier, et saluent avec force courbettes et prosternations “le courage des décisions prises”.

Cette lettre ouverte est une déclaration de soumission totale au pouvoir élyséen. Personne ne l’attendait, personne ne la demandait… excepté Macron lui-même, afin d’asseoir toujours davantage sa domination, et de faire croire que la Nation entière approuve la destruction pseudo-sanitaire de nos droits fondamentaux. Et, sans aucun doute, Estrosi, qui est désormais la tête de pont officielle de la macronisation des esprits hors des frontières de LREM.

Le texte de la lettre est honteusement lâche et obséquieux, scandaleusement arriviste et hypocrite. “Dans l’intérêt du pays comme dans celui de nos territoires, nous, maires et responsables de collectivités territoriales, avons choisi d’agir ensemble pour l’avenir. D’agir ensemble pour la France. Voilà pourquoi nous soutenons les actions que vient d’annoncer le Président Emmanuel Macron.” . Etc., etc., etc.

Mais l’initiative a au moins un intérêt majeur: fournir une liste des 382 élus les plus prosternés et les plus consternants de France. Une liste utile, qui vous permet de savoir si votre élu local est un collabo. Puisqu’ils se dénoncent eux-mêmes, il n’y a aucun mal à vérifier. À vous de jouer!

  • Houssamoudine ABDALLAH, Maire de Sada (Mayotte)
  • Mouslim ABOURAHAMA, Maire de Boueni (Mayotte)
  • Bruno ACCIAÏ, Maire de La Robine-Sur-Galabre (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Olivier ALLAIN, Maire de Corlay (Côtes-d’Armor)
  • Tearii ALPHA, Maire de Teva I Uta (Polynésie française)
  • Christian AMIRATI, maire de Gignac-La-Nerthe (Bouches-du-Rhône)
  • Mahfoud AOMAR, Maire de Valravillon (Yonne)
  • François ARIZZI, Maire de Bormes-les-Mimosas (Var)
  • Alexis ARMANGAU, Maire de Fitou (Aude)
  • Jean AUBOURG, Maire de Saint-Ouen-du-Tilleul (Eure)
  • Fabien AUFRECHTER, Maire de Verneuil Sur Seine (Yvelines)
  • Philippe AUGIER, Maire de Deauville (Calvados)
  • Pierre AVOYNE, Maire de Norolles (Calvados)
  • Bruno Nestor AZEROT, Maire de Sainte-Marie (Martinique)
  • Dominique BAERT, Maire de Wattrelos (Nord)
  • Rolland BALBIS, Maire de Villecroze (Var)
  • François BARBIER, Maire de Contamines (Haute-Savoie)
  • Frédéric BARON, maire de Etriac (Charente)
  • Philippe BARRE, Maire de Sainte-Hermine (Vendée)
  • Annick BARRE, Maire de Laz (Finistère)
  • Catherine BARTHELET, Maire de Pelousey (Doubs)
  • Pascal BAUDELOT, Maire de Lenax (Allier)
  • Jean-François BAUDRY, Maire de Féron (Nord)
  • Marcel BAUER, Maire de Sélestat (Bas-Rhin)
  • Stéphane BEAUDET, Maire d’Évry-Courcouronnes (Essonne )
  • Jean-Michel BEAUGER, Maire de Tharoiseau (Yonne)
  • Christophe BÉCHU, Maire d’Angers (Maine-et-Loire)
  • Doriane BECUE, Maire de Tourcoing (Nord)
  • Bertrand BELLANGER, Président du conseil départemental de la Seine-Maritime
  • Thierry BELLONI, Maire de Staffelfelden (Haut-Rhin)
  • Laïthidine BEN SAÏD, Maire de Mtsamboro (Mayotte)
  • Joris BENIER, Maire des Trois-Lacs (Eure)
  • Florent BENOIT, Maire de Vulbens (Haute-Savoie)
  • Samuel BENOUDIZ, Maire de Aigremont (Yvelines)
  • Fabrice BERGER, Maire de Challuy (Nièvre)
  • Gérard BERHAULT, Maire de Le Hinglé (Côtes-d’Armor)
  • Eric BERLIVET, Maire de Roche-La-Molière (Loire)
  • Raphael BERNARDIN, Maire de Saint-Sulpice-La-Pointe (Tarn)
  • Michel BERNOS, Maire de Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)
  • André BERTERO, Maire d’Aurons (Bouches-du-Rhône)
  • Bruno BERTHELIER, Maire de Charlieu (Loire)
  • André BEVILLE, Maire de Saint-Jean-de-Thouars (Deux-Sèvres)
  • Louis BISCARRAT, Maire de Jonquieres (Vaucluse)
  • Yves BLEUNVEN, Maire de Grand-Champ (Morbihan)
  • Thomas BLONSKY, Maire de Chapelle-Royale (Eure-et-Loir)
  • Laurent BONNATERRE, Maire de Caudebec-Lès-Elbeuf (Seine-Maritime)
  • Jean-Luc BONNET, Maire de Le Vigen (Haute-Vienne)
  • Patrice BONVOISIN, Maire de Freneuse-sur-Risle (Eure)
  • Yannick BORDE, Maire de Saint-Berthevin (Mayenne)
  • Jean-Charles BORGHINI, Maire de La Brillanne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Jean-Baptiste BORSALI, Maire du Bourget (Seine-Saint-Denis)
  • Georges BOTELLA, Maire de Théoule-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Luc BOUARD, Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée)
  • François BOUCHART, Maire de Roissy-en-Brie (Seinte-et-Marne)
  • Patrick BOUILLON, Maire de Lugny-Les-Charolles (Saône-et-Loire)
  • Laurent BOUQUET, Maire de Arrigny (Marne)
  • Monique BOURDIER, Maire de Bouleurs (Seine-et-Marne)
  • Arlette BRADAT, Maire de Welckolsheim (Haut-Rhin)
  • Didier BREMOND, Maire de Brignoles (Var)
  • Pierre BRETEAU, Maire de Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
  • Christian BRETIN, Maire de Cousance (Jura)
  • Christophe BRINGOUT, Maire de Labergement-lès-Auxonne (Côte-d’Or)
  • Thierry BRUN, Maire de Margency (Val-d’Oise)
  • Christophe BUHOT, Maire du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines)
  • Michel BUILLARD, Maire de Papeete (Polynésie française)
  • Marc CAGNARD, Maire de Croissy-sur-Celle (Oise)
  • Christiane CAILLIAU-DELEU, Maire de Martrin (Aveyron)
  • Dominique CAP, Maire de Plougastel-Daoulas, Président de l’association des maires du Finistère et de Bretagne
  • Philippe CASTERAN, Maire de Sédeilhac (Haute-Garonne)
  • Jean-Michel CATELINOIS, Maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme)
  • Laurent CATHALA, Maire de Créteil (Val-de-Marne)
  • Hugo CAVAGNAC, Maire de Fronton (Haute-Garonne)
  • Francois CAVALLIER, Maire de Callian (Var)
  • Caroline CAYEUX, Maire de Beauvais (Oise)
  • Florence CAYLA, Maire de Sébazac-Concourès (Aveyron)
  • Claude CENTLIVRE, Maire de Eguisheim (Haut-Rhin)
  • Laurence CHABAUD-GEVA, Maire de Saumane-de-Vaucluse (Vaucluse)
  • Richard CHAMARET, Maire de Méral (Mayenne)
  • Julien CHAMBON, Maire de Houilles (Yvelines)
  • Jean-Yves CHAPELET, Maire de Bagnols-Sur-Cèze (Gard)
  • Dominique CHAPPUIT, Maire de Rosoy (Yonne)
  • Maurice CHAUTANT, Maire de La Roche-des-Arnauds (Hautes-Alpes)
  • Vincent CHAUVET, Maire d’Autun (Saône-et-Loire)
  • Brigitte CHEVROT, Maire de La Bâtie-des-Fonds (Drôme)
  • Christophe CHOSEROT, Maire de Maxéville (Meurthe-et-Moselle)
  • Alain CHRÉTIEN, Maire de Vesoul (Haute-Saône)
  • Daniel CHRISTEL, Maire de Saint-Désert (Saône-et-Loire)
  • Thierry CIPIERRE, Maire de Coulouniers-Chamiers (Dordogne)
  • Philippe CLAUDOTTE, Maire de Villiers-aux-Bois (Marne)
  • Dominique CLAVERIE, Maire de Martillac (Gironde)
  • Cédric CLECH, Maire de Tonnerre (Yonne)
  • Philippe COLLAS, Maire de Val d’Hazey (Eure)
  • Didier COMBIS, Maire de Magrie (Aude)
  • François COMMEINHES, Maire de Sète (Hérault)
  • Loïc COMMUN, Maire de Marcy L’Etoile (Rhône)
  • Bruno CORADETTI, Maire du Vésinet (Yvelines)
  • Joelle CORDELETTE, Maire de Mont-Louis (Pyrénées-Orientales)
  • Thierry CORNIOT, Maire de Seignelay (Yonne)
  • Sandrine COSSERAT, Maire de Volonne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Cyril COTONAT, Maire de Ladevèze-Rivière (Gers)
  • Stéphane COTTY, Maire de Plounévézel (Finistère)
  • Bernard COUDRIAU, Maire de Saint-Lumine-de-Coutais (Loire-Atlantique)
  • Jean-Louis COUREAU, Maire de Puymirol (Lot-et-Garonne)
  • Xavier COURTOIS, Maire de Massangis (Yonne)
  • Jennifer COURTOIS-PERISSÉ, Maire de Rieumes (Haute-Garonne)
  • Yves COUSSAIN , Maire de Teissières-Lès-Bouliès (Cantal)
  • Yves CRISTIN, Maire de Lent (Ain)
  • Mathieu CUEL, Maire de Salles (Gironde)
  • Paulo DA SILVA MOREIRA, Maire de Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe (Yonne)
  • Jean-François DARDENNE, Maire de Nogent-Sur-Oise (Oise)
  • Jean-Paul DAVID, Maire de Guillaumes (Alpes-Maritimes)
  • Manuel DE JESUS, Maire de Sermoise-sur-Loire (Nièvre)
  • Jean-Jacques DE PERETTI, Maire de Sarlat-La-Canéda (Dordogne)
  • Michel DEBOUVERIE, Maire de Combas (Gard)
  • Laurent DEGALLAIX, Maire de Valenciennes (Nord)
  • Patrick DEHEN, Maire de Sorle-le-Château (Nord)
  • Hervé DELAGE, Maire de Monsaguel (Dordogne)
  • Jean DELALANDRE, Maire de Duclair (Seine-Maritime)
  • Guillaume DELBAR, Maire de Roubaix (Nord)
  • MICHEL DELEPAUL, Maire de Bois-Grenier (Nord)
  • Richard DELEPIERRE, Maire du Chesnay (Yvelines)
  • Yves DELOT, Maire de Saint-Florentin (Yonne)
  • Jean-Michel DERREY-HUE, Maire de Crasville (Eure)
  • Jérôme DESNOUE, Maire de Champmotteux (Essonne)
  • Manuel DESVERGNE, Maire de Saint-Laurent de Céris (Charente)
  • Valentin DETHOU, Maire de Champigneulles (Meurthe-et-Moselle)
  • Michel DIAZ, Maire de Saint-Jean-de-Barrou (Aude)
  • Arnaud DIAZ, Maire de L’Hospitalet-près-d’Andorre (Ariège)
  • Jean DIONIS DU SEJOUR, Maire d’Agen (Lot-et-Garonne)
  • Marc DITLECADET, Maire de Saint-Germain-Les-Belles (Haute-Vienne)
  • Didier DOUSSET, Maire du Plessis-Trévise (Val-de-Marne)
  • Alexandre DROGOZ, Maire de Saint-Chef (Isère)
  • Yves DU BUIT, Maire de Plouzané (Finistère)
  • Frédéric DUCHE, Maire des Andelys (Eure)
  • Michel DUFRANC, Maire de La Brède (Gironde)
  • Sylvain DUMAS, Maire de Farges-lès-Chalon (Saône-et-Loire)
  • Gervais EGAULT, Maire de Louannec (Côtes-d’Armor)
  • Xavier ELBAZ, Maire de Villedieu-Sur-Indre (Indre)
  • Youssef ERRAMMACH, Maire de Bois-Le-Roi (Eure)
  • Didier ESCARTIN, Maire de Escarmain (Nord)
  • Christian ESTROSI, Maire de Nice (Alpes-Maritimes)
  • Jean-René ETCHEGARAY, Maire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
  • Chantal EYMEOUD, Maire d’Embrun (Hautes-Alpes)
  • Hubert FALCO, Maire de Toulon (Var)
  • Dominique FAURE, Maire de Saint-Orens-De-Gameville (Haute-Garonne)
  • Sylvie FEREMANS, Maire de Cambremer (Calvados)
  • Thierry FEROTIN, Maire de Biviers (Isère)
  • Sébastien FINE, Maire de Villard-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes)
  • Bernard FLORENCE, Maire de Hohrod (Haut-Rhin)
  • Franck FONTAINE, Maire de Mézières (Yvelines)
  • Christian FOURNIER, Maire de Saint-Martin-Valmeroux (Cantal)
  • Jérôme FRANÇOIS, Maire de Meriel (Val-d’Oise)
  • Joëlle FREBAULT, Maire de Hiva Oa (Polynésie française)
  • Dominique FREYSSENET, Maire de Sainte-Sigolène (Haute-Loire)
  • Nicolas FRICOTEAUX, Président du conseil départemental de l’Aisne
  • Christian FRIES, Maire de Garrebourg (Moselle)
  • Edouard FRITCH, Président de la Polynésie française et maire de Pirae
  • Jean-Luc FRUCHART, Maire de Bromont-Lamothe (Puy-de-Dôme)
  • Michel GABAS, Maire de Eauze (Gers)
  • Catherine GABRELLE, Maire de Royer (Saône-et-Loire)
  • Cécile GALLIEN, Maire de Vorey (Haute-Loire)
  • Dominique GAMBIER, Maire de Déville-Lès-Rouen (Seine-Maritime)
  • Vincent GASSMANN, Maire de Chavannes-Sur-L’Etang (Haut-Rhin)
  • Willy GATUHAU, Maire de Païta (Nouvelle-Calédonie)
  • Benoît GAUVAN, Maire d’Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Philippe GENTY, Maire de Saint-Maurice-L’Exil (Isère)
  • Jean-Philippe GERAULT, Maire de Bellegarde-Adoulins (Gers)
  • NICOLAS GIRARDIN, Maire de Solliès-Ville (Var)
  • Marc GIROUD, Maire de Vallangoujard (Val-d’Oise)
  • Nathalie GODET, Maire de Loperhet (Finistère)
  • Yves GOEPFERT, Maire de Wittelsheim (Haut-Rhin)
  • Vai GOODING, Maire de Gambier (Polynésie française)
  • Marc GOUA, Maire de Trélazé (Maine-et-Loire)
  • Bruno GRANCOING, Maire de Saint-Auvent (Haute-Vienne)
  • Christophe GRAZIANI, Maire de Bigorno (Haute-Corse)
  • Elisabeth GRESSIER, Maire de Strazeele (Nord)
  • Morgan GRIFFOND, Maire de Saint-Pierre-La-Palud (Rhône)
  • Dominique GRIMPRET, Maire de Ahuy (Côte-d’Or)
  • Olivier GRIOCHE, Maire de Passel (Oise)
  • Roger GUCCIARDI, Maire de Ryes (Calvados)
  • Philippe GUERRIOT, Maire de Pins-Justaret (Haute-Garonne)
  • Rémy GUILLOU, Maire de Plouisy (Côtes d’Armor)
  • Nicolas HABARE, Maire de Bourgogne-Fresne (Marne)
  • Jean-Baptiste HAMONIC, Maire de Villepreux (Yvelines)
  • Marib HANAFI, Maire d’Acoua (Mayotte)
  • Mirelle HAOATAI-LIZ, Maire de Manihi (Polynésie française)
  • Christian HENRIET, Maire de Saint-Pierre-Le-Vieux (Vendée)
  • christophe HIGUET, Maire de Ry (Seine-Maritime)
  • Jean-Marie HOMBERT, Maire de Saint-Romain-Au-Mont-D’Or (Rhône)
  • Thierry HORY, Maire de Marly (Moselle)
  • Achille HOURDÉ, Maire de Jaignes (Seine-et-Marne)
  • Marie-Lise HOUSSEAU, Maire de Sorèze (Tarn)
  • Pascal HUBER, Maire de Chesny (Moselle)
  • Fabrice HUGELE, Maire de Seyssins (Isère)
  • Hervé HUNKELER, Maire de Montérolier (Seine-Maritime)
  • Laurent ILTIS, Maire de Pact (Isère)
  • Yann JACCAZ, Maire de Praz-Sur-Arly (Haute-Savoie)
  • Bernard JACOTIN, Maire de Beautheil-Saints (Seine-et-Marne)
  • Philippe JANICOT, Maire de Boisseuil (Haute-Vienne)
  • Marie-Christine JAOUEN, Maire de Saint-Hernin (Finistère)
  • Marie-Claude JARROT, Maire de Montceau-Les-Mines (Saône-et-Loire)
  • Danielle JEANNE, Maire de Aulnay-Sur-Iton (Eure)
  • Cyril JOBIC, Maire de Calanhel (Côtes-d’Armor)
  • Pascal JOLLY, Maire de Gasny (Eure)
  • Emmanuel JOULIE, Maire de Labastide-Saint-Georges (Tarn)
  • Bernard JULLIEN, Maire de Valencin (Isère)
  • Sébastien KARCHER, Maire de Villeneuve-L’Archevêque (Yonne)
  • David KAUFFER, Maire de Saint-Romain-Les-Atheux (Loire)
  • Benoît KAUTAI, Maire de Nuku Hiva (Polynésie française)
  • Alain KELYOR, Maire d’Émerainville (Seine-et-Marne)
  • Olivier KLEIN, Maire de Clichy-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
  • Jean LACHET, Maire de Camboulazet (Aveyron)
  • Philippe LACROIX, Maire d’Oadour-sur-Glane (Haute-Vienne)
  • Serge LADAN, Maire de Saint-Rémy (Calvados)
  • Sonia LAGARDE, Maire de Nouméa (Nouvelle-Calédonie)
  • Bernard LAMARY, Maire de Lorp-Sentaraille (Ariège)
  • Christophe LANGOUËT, Maire de Cossé-le-Vivien (Mayenne)
  • Roger LARS, Maire de Landévennec (Finistère)
  • Sylvain LAUNAY, Maire de Lonrai (Orne)
  • Thierry LAVIT, Maire de Lourdes (Hautes-Pyrénées)
  • Bruno LE BESCAUT, Maire de Loudéac (Côtes-d’Armor)
  • Thierry LE BIHAN, Maire de Mordelles (Ille-et-Vilaine)
  • Christophe LE BOULANGER, Maire de Caumont-Sur-Aure (Calvados)
  • Joël LE JEUNE, Maire de Trédrez-Locquémeau (Côtes-d’Armor)
  • Joseph LE MEROUR , Maire de Camaret-Sur-Mer (Finistère)
  • Frederic LE MEUR, Maire de Moustéru (Côtes-d’Armor)
  • Gwenn LE NAY, Maire de Plouay (Morbihan)
  • Olivier LE PICK, Maire de Carnac (Morbihan)
  • Jean Simon LEBLANC, Maire de Labastide-Monréjeau (Pyrénées-Atlantiques)
  • Alain LEBOUC, Maire de Amfreville-les-Champs (Seine-Maritime)
  • Nadine LEFEBVRE, Maire de Beuvry (Eure)
  • Nicolas LELEUX, Maire de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d’Oise)
  • Daniel LENOIR, Maire de Villaines-La-Juhel (Mayenne)
  • Franck LEROY, Maire d’Épernay (Marne)
  • Miguel LEROY, Maire de Auvillers-Les-Forges (Ardennes)
  • Jean-Philippe LHÔTELAIS, Maire de Crottet (Ain)
  • Gilles LIEBUS, Maire de Souillac (Lot)
  • Denis LINGLIN, Maire de Sergy (Ain)
  • Simplicio LISSANT, Maire de Punaauia (Polynésie française)
  • Ronan LOAS, Maire de Ploemeur (Morbihan)
  • Frédéric LOINARD, Maire de Colleville-Montgomery (Calvados)
  • Franck LONGO, Maire de Fontaine (Isère)
  • Jean-Luc LONGOUR, Maire du Cannet-des-Maures (Var)
  • Jean LOPES, Maire de Maizieres (Meurthe-et-Moselle)
  • Bruno LORENTZ, Maire de Sommerau (Bas-Rhin)
  • Guy LOSBAR, Président du conseil départemental de la Guadeloupe
  • Philippe LOYEZ, Maire de Noyelles-Sur-Escaut (Nord)
  • Michel LUCANTE, Maire de Coarraze (Pyrénées-Atlantiques)
  • Michèle LUTZ, Maire de Mulhouse (Haut-Rhin)
  • Mohamadi MADI OUSSENI, Maire de Chiconi (Mayotte)
  • Stéphane MAGUET, Maire de Janville-En-Beauce (Eure-et-Loir)
  • Chantal-Marie MALUS, Maire de Château-Chinon (Nièvre)
  • Christelle MANGE, Maire de Chéraute (Pyrénées-Atlantiques)
  • Tahuhu MARAEURA, Maire de Rangiroa (Polynésie française)
  • Laurent MARCANGELI, Maire d’Ajaccio (Corse)
  • Bruno MARIAGE, Maire de Warlus (Somme)
  • Jean-François MARY, Maire de Allaire (Morbihan)
  • René MAUTRAIT, Maire de Le Meix-Tiercelin (Marne)
  • Robert MEDINA, Maire de Mondouzil (Haute-Garonne)
  • Cyrille MELCHIOR, Président du conseil départemental de La Réunion
  • Eric MÉNASSI, Maire de Trèbes (Aude)
  • Nicolas METZDORF, Maire de La Foa (Nouvelle-Calédonie)
  • Jean-Paul MICHAUD, Maire de Thoraise (Doubs)
  • Vincent MINIER, Maire de Chanteloup (Ille-et-Vilaine)
  • Franz MOLET, Maire de Voulangis (Seine-et-Marne)
  • Damien MONNIER, Maire de Sathonay-Camp (Rhône)
  • Ralph MONPLAISIR, Maire de Case-Pilote (Martinique)
  • Raphaël MORETON, Maire de Viricelles (Loire)
  • Jean-Luc MOUDENC, Maire de Toulouse (Haute-Garonne)
  • Ali Moussa MOUSSA BEN, Maire de Bandrélé (Mayotte)
  • Yves MULLER, Maire de Marange-Silvange (Moselle)
  • David MUNIER, Maire de Chevry (Ain)
  • Philippe MURAT-DAVID, Maire de Vérignon (Var)
  • Ange MUSSO, Maire du Revest-Les-Eaux (Var)
  • Rémi MUZEAU, Maire de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine)
  • Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Jean-Lucien NETZER, Maire de Bischwiller (Bas-Rhin)
  • Raphaël NIVOIT, Maire de Gambais (Yvelines)
  • Karl OLIVE, Maire de Poissy (Yvelines)
  • Bertrand OLLIVIER, Maire de Joinville (Haute-Marne)
  • Said OMAR OILI, Maire de Dzaoudzi (Mayotte)
  • Jean-Charles ORSUCCI, Maire de Bonifacio (Corse)
  • François OUZILLEAU, Maire de Vernon (Eure)
  • Didier PAINEAU, Maire de Byans-sur-Doubs (Doubs)
  • Dominique PALLIER, Maire de Apprieu (Isère)
  • Patrice PANIS, Maire de Lédergues (Aveyron)
  • Elisa PANOFRÉ, Maire de Recurt (Hautes-Pyrénées)
  • Jacques PAUL, Maire de La Celle (Var)
  • Jean-Marc PEILLEX, Maire de Saint-Gervais-Les-Bains (Haute-Savoie)
  • Michel PELIEU, Président du conseil départemental des Hautes-Pyrénées
  • Cédric PEMBA MARINE, Maire du Port-Marly (Yvelines)
  • Alain PENOT, Maire de Saint Germain Les Vergnes (Corrèze)
  • Arnaud PERICARD, Maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)
  • Yannick PERON, Maire de Gargenville (Yvelines)
  • Jérôme PEYRAT, Maire de La Roque-Gageac (Dordogne)
  • Laurent PEYRONDET, Maire de Lacanau (Gironde)
  • Laurence PICARD, Maire de Coulommiers (Seine-et-Marne)
  • Laurent PIEN, Maire de Condé-Sur-Vire (Manche)
  • Christophe PIERRETON, Maire de Barby (Savoie)
  • Françoise PILLOY, Maire de Braye-En-Laonnois (Aisne)
  • Brigitte PISTRE, Maire de Frazé (Eure-et-Loir)
  • Franck POQUIN, Maire de Saint-Léger-de-Linières (Maine-et-Loire)
  • Daniel POUJAUD, Maire de Ports-sur-Vienne (Indre-et-Loire)
  • Dominique PROT, Maire de Junay (Yonne)
  • Jean-Luc QUEIRAS, Maire de Saint-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascal RAGOT, Maire de Bonnieux (Vaucluse)
  • Georges RAMON, Maire de Belvis (Aude)
  • Christian RAPHA, Maire de Saint-Pierre (Martinique)
  • Monique RATINEAU, Maire de Brantôme (Dordogne)
  • François REBSAMEN, Maire de Dijon (Côte-d’Or)
  • Teddy REGNIER, Maire de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine)
  • Hervé RENAULD, Maire de Grandchamp (Yvelines)
  • Bernard RENOY, Maire de Venterol (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascale REQUENNA, Maire de Hagetmau (Landes)
  • Bernard REY, Maire de Saint-Bernard (Ain)
  • Jean-Pierre RICCO, Maire de Pérols (Hérault)
  • Jean-Michel RIGAULT, Maire de Druyes-Les-Belles-Fontaines (Yonne)
  • François RINGUET, Maire de Kourou, président de l’association des maires de Guyane (Guyane)
  • Gilles RIPERT, Maire de Caseneuve (Vaucluse)
  • Yves-Marie RIVEMAL, Maire de Verneuil-sur-Avre (Eure)
  • Frédéric RIVETA, Maire de Rurutu (Polynésie française)
  • Jacques ROBIN, Maire de Rospez (Côtes-d’Armor)
  • Arnaud ROBINET, Maire de Reims (Marne)
  • Ludovic ROCHETTE, Maire de Brognon et président de l’association des maires de Côte-d’Or
  • Pierre-Jean ROCHETTE, Maire de Boën-sur-Lignon (Loire)
  • Joëlle ROLLIN, Maire de Blaru (Yvelines)
  • Philippe RONDAT, Maire de Tronsanges (Nièvre)
  • Joel ROUDAIRE, Maire de Kembs (Haut-Rhin)
  • Michael ROUSSEAU, Maire de Jouy-Sur-Morin (Seine-et-Marne)
  • Daniel ROUSSEL, Maire de Saint-Samson (Calvados)
  • Frédéric ROUX, Maire de Mollans-Sur-Ouvèze (Drôme)
  • Catherine SADON, Maire de Semur-En-Auxois (Côte-d’Or)
  • Moudjibou SAIDI, Maire de Dembéni (Mayotte)
  • Jean Philippe SAULNIER ARRIGHI, Maire de Moulins-sur-Ouanne (Yonne)
  • Jean-Pierre SAVIGNAC, Maire de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
  • Laurent SCHEMBRI, Maire de Recey-Sur-Ource (Côte-d’Or)
  • Gilles SCHMITT, Maire de Joganville (Manche)
  • Muriel SCOLAN, Maire de Deuil-La-Barre (Val-d’Oise)
  • Joseph SEGURA, Maire de Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
  • Yves SEJOURNE, Maire de Mirecourt (Vosges)
  • Emmanuel SERRE, Maire de Beaufin (Isère)
  • Jean-Pierre SERRUS, Maire de La Roque d’Anthéron (Bouches-du-Rhône)
  • Agnès SIMON PICQUET, Maire de Les Junies (Lot)
  • Sylvie SIRI, Maire de Saint-Tropez (Var)
  • Serge SMOCK, Maire de Matoury (Guyane)
  • Madi Madi SOUF, Maire de Pamandzi (Mayotte)
  • Claude SOULLIER, Maire de Brié-Et-Angonnes (Isère)
  • Ambdilwahedou SOUMAILA, Maire de Mamoudzou (Mayotte)
  • Patrick SOUTIF, Maire de Le Horps (Mayenne)
  • Daniel SPAGNOU, Maire de Sisteron et président de l’association des maires des Alpes de Haute-Provence
  • Michel TARTIE, Maire de Saint Paul-de-Jarrat (Ariège)
  • Vincent TERRAIL-NOVÈS, Maire de Balma (Haute-Garonne)
  • Jean-François THERET, Maire de Frévent (Pas-de-Calais)
  • Thierry THIBAUD, Maire de Savoillan (Vaucluse)
  • Véronique THIEUX LOUIT, Maire de Lupiac (Gers)
  • Denis THURIOT, Maire de Nevers (Nièvre)
  • Jean-Paul TISSOT, Maire de Veauchette (Loire)
  • Gaston TONG SANG, Maire de Bora-Bora (Polynésie française)
  • Francoise TRELAT, Maire de Chaumont-la-Ville (Haute-Marne)
  • Samir TRIKI, Maire de Lavault Sainte Anne (Allier)
  • Stéphane TRIQUART, Maire de Mussidan (Dordogne)
  • Vincent TURPINAT, Maire de Jarnages (Creuse)
  • David VALENCE, Maire de Saint-Dié-Des-Vosges (Vosges)
  • Sylvie VALLADE, Maire de Saint-Hilaire-les-Places (Haute-Vienne)
  • Frédéric VALLETOUX, Maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne)
  • Bachil VALY, Maire de L’Entre-Deux (La Réunion)
  • David VARRONE, Maire d’Andon (Alpes-Maritimes)
  • Martine VASSAL, Présidente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône
  • Jean-Marc VASSE, Maire de Terres-De-Caux (Seine-Maritime)
  • Joël VAUDEY, Maire de Verchaix (Haute-Savoie)
  • Bernard VERDIER, Maire de Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées)
  • Michel VERGOZ, Maire de Sainte-Rose (La Réunion)
  • Régis VIALLATTE, Maire de Clonas-Sur-Varèze (Isère)
  • Philippe VIGOUROUX, Maire de Coulangeron (Yonne)
  • Yannick VILLAIN, Maire de La Celle-Saint-Cyr (Yonne)
  • Marjorie VIORT, Maire du Thoronet (Var)
  • Louis VOGEL, Maire de Melun (Seine-et-Marne)
  • Martine VOIDEY, Maire de Voujeaucou rt (Doubs)
  • Christian VOLTZ, Maire de Fortschwihr (Haut-Rhin)
  • Benoît VUILLEMIN, Maire de Saône (Doubs)
  • François WERNER, Maire de Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Florence ZITO, Maire de Saint-Nicolas-lès-Cîteaux (Côte-d’Or)

Source: Le Journal Du Dimanche




Manipulation au sommet de l’État — Macron pris en flagrant délit de mensonge

Par Les Gilets Jaunes de la Victoire

Quand on constate que sur le site de l’Élysée le premier responsable de l’État ose afficher ceci : « La vaccination : seule solution face à la Covid-19  », on peut se dire que seuls les débiles et les ignorants(([1] « Le plus con des veaux est celui qui court après le boucher. »)) ne peuvent se rendre compte que le dénommé Macron nous prend tous pour des imbéciles.

Il sait pertinemment que d’autres solutions existent. N’a-t-il pas été soigné en décembre avant que ne soit produit le « vaccin » ?!

Comment se fait-il que le Président de la République se permette une telle déclaration contraire à la vérité, si ce n’est parce qu’il se croit tout permis ?

Son affirmation est entièrement mensongère et, de plus, malveillante, comme le rappelle ce qui s’est passé en Inde(([2] extrait de N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )):

L’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Trois parmi les médicaments efficaces face à la covid-19 :

Hydroxychloroquine

Les scientifiques du monde entier contre l’escroquerie du Lancet, la macronie mise au pied du mur, doit retirer les mesures anti Raoult | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com)

Ivermectine

Le traitement du Covid existe 2) : Ivermectine, efficace à 100% ? – blog de Gérard Maudrux

Plitidepsine

Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Aucune voix dans son gouvernement n’a mis en doute l’affirmation de Macron selon laquelle la vaccination serait la seule solution contre ce virus. Cette contrevérité, sciemment dite et répétée, a des conséquences incalculables pour toute la population.

Surtout que les injections en question posent un grave problème. Ce ne sont pas des vaccins 
L’injection génique anti-Covid n’est pas un vaccin – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Encore plus grave, voici lautopsie d’un vacciné
Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : “ARN viral trouvé dans chaque organe du corps” – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Le mensonge de Macron « La vaccination est la seule solution. » est la preuve absolue d’une gigantesque manipulation.

C’est tenter le diable, car il n’est pas sans risques dans le pays de la Révolution française et des Droits de l’Homme, de se permettre de mentir aussi effrontément. 

C’est tenter le diable d’avoir des comportements qui vont à l’encontre du Bien commun, et de la devise républicaine Liberté – Égalité – Fraternité inscrite sur tous les bâtiments publics.


Ici, nous tenons à faire un rappel historique.

Extrait du discours de Robespierre prononcé à la Société des Amis de la Constitution, le 18 décembre 1791 :

« L’amour de la justice, de l’humanité, de la liberté est une passion comme une autre : quand elle est dominante, on lui sacrifie tout, quand on a ouvert son âme à des passions d’une autre espèce, comme la soif de l’or et des honneurs, on leur immole tout, et la gloire, et la justice, et l’humanité, et le peuple, et la patrie. Voilà le secret du cœur humain ; voilà toute la différence qui existe entre le crime et la probité, entre les tyrans et les bienfaiteurs de leur pays. »(([3] Voilà comment un média bien connu traite les informations qui ne font pas partie de sa ligne éditoriale : COVID: Sur BFMTV, Jean Michel Claverie, virologue et fondateur de la Société Française de Virologie dénonce un « Mensonge d’état »… Où est la Maladie ?))

Conclusion

Soyez en sûr, devant des manipulations aussi flagrantes et des mensonges aussi grossiers, la population de ce pays, quelle que soit son origine et ses idées politiques, va vous demander des comptes d’une manière ou d’une autre. C’est légitime, elle en a parfaitement le droit. Mais ce n’est pas tout : COMME TOUT EST LIÉ, TOUT VA EXPLOSER :
Automatiquement, le coronacircus allume la mèche qui va faire exploser Babylone – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)





Sociétés secrètes, État profond, lobbies, Covid-19

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Aujourd’hui, partage d’informations sur un sujet qui me parait important et d’une actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’État profond aux USA, et ailleurs

La première vidéo proposée est un document d’archive de 5 minutes qui me paraît essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il s’agit d’un discours (sous titré en français) du président Kennedy prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat. Ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde. S’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de « sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait.

Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier.



Kennedy n’est pas le seul président US à avoir évoqué ces sociétés « secrètes », ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète.

Avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors : « le complexe militaro-industriel ».



Après lui, le président Trump a, lui aussi combattu ce qu’il a appelé : « l’État profond », contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée.

Pour les anglophones moins pressés, une émission télévisée d’enquête sur « l’État profond » ou « deep state » permet d’aller au fond des choses :

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de « complotisme » par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet « État profond » qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux.

Ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante. Il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde.

Le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et « tenues » par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité.

Aux USA, les évènements du 11 Septembre 2001 avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les médias, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure « Sécurité nationale » (Patriot Act). Prévues pour une durée initiale de 4 ans, nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui. …. vingt ans après.

En France, la « pandémie de la Covid-19 » constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les médias, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée « indocile ». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce « green pass » a duré trois mois avant d’être abandonné …) ; Et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées…

Le lecteur notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est évidemment pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des médias mainstream dans ces mêmes pays.

La bonne nouvelle, c’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française.

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier : 
Israël: À Partir Du 1er Juin Toutes Les Restrictions Liées Au Coronavirus Seront Levées Et Le Passeport Vert Sera Annulé – I24news

Le Royaume Uni a suivi le 19 juillet : 
Covid-19 : le Royaume-Uni se prépare à lever les dernières restrictions (francetvinfo.fr)

Quant aux USA, la quasi totalité des 50 États de l’Union s’opposent à l’instauration d’un pass sanitaire : 
Vaccine passports: 50 states with bans, limitations & green lights (beckershospitalreview.com)

Seul l’État de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat. Notons que cet État s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium US pour le taux de mortalité par million d’habitants…

S’agissant des grandes organisations internationales, l’OMS et le Conseil de l’Europe se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination.

En France, de nombreux vaccinés « sous contraintes gouvernementales » se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal. Ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en « sauveur de la patrie », dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux Benyamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Wait and See.

Dominique Delawarde




Retour sur les manifestations du 24 juillet en France (plus de 200) par LaUneTv

Source : LaUneTv






Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

____________

Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



L’épouse du Machiah sera une Française

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]

L’épouse du Machiah sera une Française — 20 juin 2021

En substance et résumé, notamment :

« Les Français referont la Révolution Française à l’envers, redonnant la couronne au Machiah fils de David alors que France et Israël seront réunis, ceci par le réveil du peuple et de la femme. »



[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La France revivra-t-elle?]




Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Je vous invite à regarder le reportage de Mathieu Laflamme réalisé en collaboration avec l’organisme Courage Québec / Fearless Canada, intitulé : « L’esprit d’un guerrier pacifique ». Brillant professeur de mathématiques, François Amalega Bitondo parle avec son cœur et explique pourquoi il a tout sacrifié pour défier la tyrannie. Il décrit comment il a dû quitter le Collège de Jean-de-Brébeuf (Montréal) et renoncer à sa profession pour assumer pleinement sa responsabilité sociale. Intègre, il défend pacifiquement la liberté de penser et ouvre courageusement la voie d’une désobéissance intelligente et pacifiste. Depuis des mois, il sensibilise les individus sur l’absurdité des mesures sanitaires, aux dépens de sa liberté et de sa vie : il dit être « prêt à mourir » pour assurer un monde plus juste et libre pour les générations futures.

Le 20 juillet 2021, lors d’une soirée sombre et tonitruante à Montréal, la légende locale et militant intransigeant François Amalega a rencontré Mathieu Laflamme de Courage Québec / Fearless Canada. Amalega a parlé des raisons pour lesquelles il a rejoint le mouvement de la résistance au Québec et précisément combien il a sacrifié pour rester fidèle à ses convictions les plus profondes.



À l’été 2020, alors que ses collègues tentaient en vain de le forcer au silence, Amalega a renoncé à son poste de professeur titulaire de mathématiques au Collège Brébeuf, à Montréal. Il a été confronté à ses positions, accusé d’épouser des croyances complotistes et on lui a demandé de fermer ses profils de médias sociaux s’il voulait conserver son emploi. Bien sûr, Amalega a refusé et a plutôt présenté sa démission. Depuis, il lutte sans relâche et de manière pacifique dans les rues de nombreuses villes du Québec contre les mesures de confinement inconstitutionnelles, contre l’obligation du port du masque et, plus récemment, contre les passeports vaccinaux discriminatoires et diviseurs.

Ayant reçu 37 constats à ce jour et ayant été arrêté à de nombreuses reprises, l’esprit guerrier pacifique d’Amalega l’oblige à continuer. Comme il l’explique dans l’interview, il préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides, en l’absence de tout débat, lorsqu’ils sont complètement déconnectés de la science et de la raison. Alors que ses positions sont principalement contre les mesures gouvernementales autoritaires, Amalega refuse également d’acquiescer à une société moralement et intellectuellement en faillite qui préfère accepter un mensonge que de débattre des faits et risquer d’arriver à une vérité plus que dérangeante.



Le 22 juillet 2021, François Amalega Bitondo s’est fait arrêter pour la seconde fois par les policiers lors d’une action devant le magasin Canadian Tire de Joliette. Il s’est rendu le lendemain au palais de justice de Joliette. Il devait comparaître pour quatre accusations déposées contre lui. 

« Il a été arrêté et libéré mercredi avec une promesse de comparaître et il a eu une accusation pour avoir troublé la paix. Jeudi, il a encore essayé de rentrer dans le Canadian Tire sans masque, alors qu’il n’avait pas le droit d’y retourner. Il a donc été arrêté une seconde fois », explique le lieutenant Benoît Richard, de la Sécurité du Québec (SQ).

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) confirme que François Amalega a été libéré le lendemain sous promesse de comparaître à nouveau le 15 septembre prochain.



Comme l’explique l’avocat André Lafrance : 

« Le sensationnalisme du Journal de Montréal, un journal abrutissant s’il en est. Au Québec il [François Amalega] est anti-masque, ailleurs il est un citoyen normal. Malheureusement, les règles sanitaires liberticides de Legault doivent être respectées même si elles ne font plus de sens, et surtout que l’efficacité de ce bidule a été remis en question par plusieurs experts internationaux. En fait, plusieurs provinces n’exige plus le port du masque de même que la presque totalité des États-Unis et la majorité des pays d’Europe. Cela veut dire que si Francois Amalega avait fait son geste en Colombie-Britannique, il aurait agit légalement. Le Journal de Montréal est pro dictature, point barre. »



Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs.
[8 juillet 1942] — Ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l’accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. Document ci-haut : Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs (mesures prises par le gouvernement de Vichy).

[Voir aussi :
Mourir libre ou vivre esclave et
La clef de la libération]




Ce n’est pas de passe sanitaire ni de pseudo vaccins dont la France a besoin, mais de LIBERTÉ !

Par Gérard Delépine

Les pseudo vaccins actuels sont gravement inefficaces

Un « vrai vaccin » contient des antigènes spécifiques du virus ou de la bactérie suscitant une réaction immunitaire spécifique, et il est efficace. Les vaccinés contre la diphtérie ou la fièvre jaune sont protégés à vie de la maladie, ne peuvent donc pas la transmettre et n’ont aucun risque d’en mourir.

Mais ceux qui ont reçu les pseudo vaccins anti-covid peuvent attraper la maladie, la transmettre et en mourir.

Les données acquises de la science montrent que se « vacciner anticovid » ne protège ni de la maladie, ni du risque de faire une forme grave, ni d’en mourir.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la maladie

À Chavagnes-en-Paillers en Vendée,(([1] https://by-jipp.blogspot.com/2021/06/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute.html)) entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères, malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires.(([2] Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([3] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([4] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([5] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([6] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))

Quatre des neuf navires du groupe aéronaval de la Royal Navy dont le HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, ont été touchés par une épidémie de Covid(([7] https://www.lorientlejour.com/article/1268472/epidemie-sur-le-porte-avions-hms-queen-elizabeth-apres-une-escale-a-chypre.html)) avec plus de 100 cas, alors que tous les marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas,mais les décodeurs du monde ont le culot d’affirmer que c’est une bonne nouvelle.(([8] Gary Dagorn Covid-19 : les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël (et c’est une bonne nouvelle) le 02 juillet 2021)) « C’est pourtant là, chose tout à fait normale et attendue. » Craignait-il que les vaccins soient totalement inefficaces pour se réjouir d’un pareil échec ? Toute contamination d’un vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins classiques (qui n’existent pas pour le covid19 dans nos contrées).

Contrairement aux annonces des labos et de nos gouvernants, recevoir l’injection anticovid ne protège pas non plus des formes graves

Actuellement en Israël les vaccinés sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés.

Cela démontre de manière formelle que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la mort par Covid

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées ».(([9] https://www.gov.uk/government/publications/investigation-of-novel-sars-cov-2-variant-variant-of-concern-20201201))

Constatation confirmée par O. Véran dans sa réponse au Conseil d’État en mars 2021 : « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant ».

Un vrai vaccin efficace empêche d’être malade et encore plus de faire des formes graves et d’en mourir. Ce n’est pas le cas des injections géniques actuelles présentées comme de vrais vaccins.

Certains fastcheckers(([10] https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/plus-de-personnes-vaccinees-meurent-de-covid-en-angleterre-que-de-personnes-non-vaccinees-voici-pourquoi.html)) pour désamorcer la bombe que constituent ces faits établis n’hésitent pas à se ridiculiser en concluant : « le fait que plus de personnes vaccinées meurent que de personnes non vaccinées ne compromet en rien l’efficacité des vaccins. En fait, c’est exactement ce que l’on attend des excellents vaccins ».

Est-ce de l’humour noir qui a échappé aux correcteurs ? J’espère que l’auteur, Christian Yates, non-médecin, a quand même été payé pour proférer de pareilles stupidités dignes des pires antivax. Ont-ils oublié que les vaccins contre la variole, la fièvre jaune ou la diphtérie protègent tous les vaccinés à vie et complètement contre les maladies cibles ?

Alors, pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent de répéter la propagande des labos en prétendant que la vaccination protégerait à 95 % de la maladie et en particulier des formes graves ?

Les pseudo vaccins n’empêchent pas la transmission aux contacts ni la propagation de la maladie dans la population

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes — officiels — des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData, montre le contraire.

Les exemples — britannique, israélien et espagnol — montrent l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations ; ces champions des pseudos vaccins sont actuellement confrontés à une forte reprise de l’épidémie avec des variants dont ils ont favorisé l’émergence.

Et même Olivier Véran l’a d’ailleurs reconnu dans sa réponse au Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Alors pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent-ils de prétendre que la vaccination serait le meilleur moyen de lutte contre l’épidémie ?

Les pseudos vaccins actuels ne sont pas dépourvus de risques

Le site d’Eudravigilance comptabilise plusieurs centaines de milliers d’effets secondaires et près de 19 000 décès post injectons anti-covid.

La majorité des effets secondaires sont relativement bénins, mais imposent souvent des arrêts de travail de quelques jours du personnel des hôpitaux (au point de justifier la recommandation de la Haute Autorité de santé de ne pas vacciner en même temps les membres d’un même service).

Les myocardites et les péricardites (inflammation du cœur et de son enveloppe) post vaccination sont des complications sévères maintenant reconnues par la FDA qui touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les adolescents vaccinés.

Beaucoup de sportifs qui se vaccinent et voient ensuite leurs performances baisser de 10 % à 20 %. L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique. Elle a été relayée en France par Christophe Lemaitre, forfait pour les Championnats de France à Angers comme Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse non qualifiés pour les JO. Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue

Mais l’injection peut être aussi suivie de décès. Comme ce médecin âgé de 55 ans, sportif et alpiniste, mort d’une thrombose après une injection de Pfizer/BioNtech, ou cet agent hospitalier de 54 ans à La Garde ou Carole Petit, une assistante sociale de 38 ans qui travaillait à Albi, morte de thromboses cérébrales fin mars, à l’hôpital Purpan, trois semaines après vaccination.

Les décès n’épargnent pas les jeunes comme ce jeune interne en médecine nantais en excellente santé et sportif dont l’autopsie « indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents »

Les décès n’épargnent pas les sportifs de haut niveau. Ainsi Lise Vidal, double championne d’Europe de planche à voile, propagandiste de la vaccination est décédée brutalement à l’âge de 43 ans d’une hémorragie cérébrale après vaccination.

La ségrégation par le passe ne peut avoir aucun effet positif sur l’épidémie

Le passe constitue un moyen totalitaire de chantage brutal « vacciné ou enfermé » destiné à imposer l’injection par une voie détournée(([11] Imposer par la loi un médicament expérimental serait contraire au droit et en particulier à la convention d’Oviedo que la France a signée)) en nous promettant qu’ensuite nous retrouverons nos libertés scandaleusement confisquées. Mais quel crédit peut-on accorder à cette promesse compte tenu des reniements habituels des promesses de Macron ? D’autant que beaucoup des covid-terroristes font actuellement campagne dans les médias pour toujours plus d’enfermement.

Mais on ne voit pas comment l’obligation d’un pseudo vaccin (qui n’empêche pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni d’en mourir) pourrait améliorer la situation de l’épidémie. Les vaccins actuels sont tout bonnement trop inefficaces pour être utiles.

Et comme les titulaires de passe se croient protégés et prennent moins de précautions, on peut même craindre que l’instauration de passe entraîne une augmentation des contaminations.

C’est la tendance observée en Autriche qui a instauré ce système de ségrégation le 1/7/21 et qui se trouve depuis avec une forte poussée de nouvelles contaminations.

Les organisateurs du festival Verknipt à Utrecht en ont aussi fait la triste expérience. Ils croyaient protéger les participants en subordonnant l’entrée du festival à l’utilisation d’un passe sanitaire. Les visiteurs ont dû en effet démontrer, via l’application CoronaCheck, qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente.

Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus(([12] RTBF Malgré l’obligation d’un pass sanitaire, plus de 1000 participants à un festival contaminés par le Covid-19)) (dont une majorité de vaccinés !). La porte-parole des services de santé de la région d’Utrecht n’exclut pas la possibilité que le nombre d’infections augmente encore dans les prochains jours. « Nous espérons que le pic a été atteint, mais avec la variante delta plus contagieuse, ce n’est pas évident. » Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer encore des contraintes inefficaces ?

Pour une tout autre politique sanitaire

La politique totalitaire du mensonge-confinement-vaccination sans traitement a fait la preuve de sa nocivité sanitaire, sociale, économique et politique. Il est temps de suivre l’exemple des pays qui ont parié sur l’emploi de traitements précoces comme l’Inde et de nombreux pays africains qui comptent 5 à 10 fois de moins de morts par million d’habitants que nous. Et d’appliquer la recette du ministre de la santé de Taiwan qui a rappelé dès avril 2020 que la « démocratie et la transparence gouvernementale étaient essentielles pour vaincre l’épidémie. »

Stop au mensonge et à la dictature ! Libérons le pays.

Que le gouvernement cesse de nous mépriser en des termes orduriers tels que ceux qu’utilise G Attal :

« les non-vaccinés doivent se bouger le cul sinon ils auront une vie de merde »

ou Castaner :

« On va vraiment vous pourrir la vie »

Rassurons la population en rappelant que le variant delta ne nécessite qu’exceptionnellement l’hospitalisation et ne tue presque jamais et qu’il est de plus très sensible au traitement précoce par Ivermectine/chloroquine et antibiotiques, zinc et vitamines.

Reconstruisons l’hôpital en arrêtant les suppressions de lits qui se sont poursuivies durant la crise et en en créant de nouveaux.

Que le gouvernement arrête de menacer ceux qui sont en première ligne du combat, comme les pompiers ou les soignants dont trop envisagent de démissionner, alors que nous en manquons déjà si les menaces perdurent. Remotivons les soignants en ne leur imposant rien qui heurte leurs connaissances et leurs convictions, en les libérant du carcan administratif et en les payant mieux.

Encourageons enfin les médecins à utiliser les traitements précoces tellement efficaces, si une poussée entraînait des hospitalisations. Ils ont parfaitement le droit de les prescrire (en mettant hors AMM) tant que ce n’est pas le traitement « recommandé » par les instances. Mais en aucun cas ils ne sont interdits de prescription.

Si ceux qui sont censés nous représenter au parlement ne défendent plus nos libertés, faisons-le à leur place en manifestant partout et tous les jours et en organisant des grèves nationales jusqu’au retrait des mesures liberticides et à la démission des responsables.

Retrouvons nos racines du pays des lumières et des droits de l’homme. Donnons ainsi l’exemple du combat pour la liberté aux autres populations européennes qui commencent elles aussi à se réveiller telle qu’en Italie.





Les personnes ayant reçu un placebo lors d’essais de vaccins seront considérées comme « totalement vaccinées » par le gouvernement britannique

[Source : anguillesousroche.com]

[Ndlr : ceci tend à confirmer que la moitié de la population mondiale vaccinée aurait reçu en fait un placebo et expliquerait la disparité entre les personnes n’ayant ressenti absolument aucun symptôme et celles ayant eu des effets secondaires plus ou moins graves, en proportion des dizaines de fois plus importantes que lors des campagnes vaccinales réalisées avec de vrais vaccins. Nous rappelons que les prétendus « vaccins » anti-covid sont en réalité des thérapies géniques et qu’ils sont encore en phase d’essai. Or, lors d’essais médicamenteux et normalement aussi lors d’essais de vrais vaccins, il est d’usage d’avoir un groupe témoin qui reçoit un placebo au lieu du vrai médicament ou du vrai vaccin.]

Le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré : « En ce qui concerne le Royaume-Uni, ils seront considérés comme pleinement vaccinés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. »




France : bracelet électronique — comment le Sénat et l’Assemblée veulent nous pourrir la vie

[Source : lemediaen442.fr]

« Alors que la pandémie de Covid-19 n’est pas terminée, et qu’il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. »

Rapport du Sénat du 21 juillet 2021

Le Pass, on ne s’en passera pas !

Nos sénateurs, pleins d’imagination, ont trouvé un autre prétexte au cas où l’épidémie viendrait à manquer : la chute de débris spatiaux. Fallait y penser ! Bref, on n’est jamais trop prudents, le Ciel peut nous tomber sur la tête. Parallèlement, nos députés ont rejeté un amendement qui envisageait de supprimer le Pass sanitaire dès que la circulation du virus ne représenterait plus de danger suffisamment grave ou que la population serait vaccinée à 80 %.

Le Pass à l’Assemblée ? Amendement rejeté !

Il est bien naturel que l’amendement suivant ait été rejeté : « Dans un souci d’exemplarité, il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée Nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. »

Des sanctions pour une meilleure efficacité

Et nos charmants sénateurs d’imaginer un monde merveilleux de repérage des déplacements, des fréquentations, des transactions : « Et c’est précisément là que le numérique pourrait être le plus efficace. » Le tout payé par une hausse des cotisations sociales pour les contrevenants. Ce ne serait pas une sanction, mais une juste répartition des coûts « du fait de l’épidémie ». Ah ! on l’avait oubliée, celle-là.

Afin de repérer les dissidents, nos sénateurs envisagent le Safety Check de Facebook ou l’Amber Alert. Il suffit d’utiliser :

  • les données génétiques, les dossiers médicaux : un portique d’entrée dans le métro se mettrait à sonner très fort au passage d’une personne contagieuse ou censée être confinée,
  • les objets connectés : un boîtier connecté, porté autour du cou, qui sonnerait (avec un son de 85 décibels) en cas de non-respect des règles de distanciation par les salariés d’une entreprise— un smartphone peut faire la même chose avec son Bluetooth, et un son de 100 décibels , 
  • les données de mobilité pour aider la populace égarée à retrouver le droit chemin : en Corée du Sud, les habitants positifs d’un quartier pouvaient être géolocalisés sur une carte accessible à tous, et en Chine, on a vu d’honnêtes citoyens prendre eux-mêmes en charge la « police sanitaire » de leur immeuble.

Contrôler quoi ?

Nos sénateurs veulent tout connaître de vous : 

  • votre santé tout d’abord, que vous devrez obligatoirement contrôler avec des thermomètres connectés, des caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux…
  • vos déplacements : avec un bracelet électronique pour vérifier le respect de la quarantaine, auparavant le pass pour les transports en commun aura été désactivé, avec des radars pour détecter votre plaque d’immatriculation, des portiques de contrôle dans les magasins, des caméras thermiques dans les restaurants. Tout est prévu !
  • vos fréquentations : par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que vous êtes contagieux, ça va vous coûter cher ;
  • vos transactions commerciales avec amende automatique en cas d’achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie) ou en cas de poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.)  malgré des restrictions.

Le pouvoir d’interdire, c’est le Pass !

Dans la foulée, nos sénateurs avouent tout bonnement le but du Pass sanitaire :

« Même s’ils sont rarement présentés comme tels, des dispositifs tels que le pass sanitaire ou le passeport sanitaire relèvent bien de la catégorie des outils contraignants, car ils conditionnent, de facto ou de jure selon les cas, l’accès à certains lieux et à certaines activités. En soi, cela n’a rien d’exceptionnel : le “vrai” passeport, le carnet international de vaccination ou le permis de conduire font la même chose, c’est-à-dire autoriser ou interdire, soit l’une des fonctions principales de la puissance publique. »

Marcel n’aurait pas dit mieux !

Pendant ce temps-là, à l’Assemblée…

A l’assemblée, députés LREM et Cie s’efforcent de rendre l’abus de pouvoir légal, le coup d’État démocratique. Le Pass sanitaire sera obligatoire un peu partout, mais avec des nuances pour montrer qu’il ne s’agit pas d’un abus. Il sera cependant impossible de bouger une oreille sans pouivoir le présenter aux autorités. D’où un nouveau texte hallucinant qui nous le détaille, pour qu’on comprenne bien. Accrochez-vous ! Ça décoiffe ! Allez ! quelques exemples.

Une bonne nouvelle : les cimetières sont ouverts sans limitation de rassemblement

Les visites de biens pour l’achat ou la location d’une résidence principale sont autorisées, mais… la résidence secondaire ne pourra être visitée.
En intérieur comme en extérieur, les chorales professionnelles sont autorisées, mais… les chorales amateurs uniquement en extérieur.
A la maison, les règles barrières, dont le port du masque en intérieur, restent nécessaires après… la vaccination.
A partir de début août, et si cela est bien voté dans la loi, le seuil de 50 personnes sera supprimé, et le pass sanitaire s’appliquera dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux, ainsi que dans les hôpitaux, les maisons de retraite, les établissements médico-sociaux. Les déplacements pour les longs trajets en avion, train et car seront également concernés. Et tout cela y compris pour les 12-18 ans, mais… ils ne sont pas obligés de se faire vacciner.

Un rassurant effort pédagogique

« Les contrôles des mesures sanitaires sont assurés par les 250 000 policiers et gendarmes répartis sur l’ensemble du territoire national. Autant que de besoin, à la demande des préfets, des effectifs supplémentaires de forces mobiles seront déployés pour appuyer les forces locales dans cette mission spécifique. Les 24 000 policiers municipaux répartis dans 8 000 communes viennent appuyer l’action des forces de l’ordre. » 

On espère qu’ils seront assez nombreux. Ne faudrait-il pas augmenter les effectifs de police ? C’est une question.

Les lendemains ne chantent pas du tout

Au moment où la France macronienne va légaliser la distinction entre les bons citoyens (vaccinés) et les mauvais (non-vaccinés), les sénateurs préparent notre avenir. Ils nous dirigent vers une société qui semble de science-fiction, mais qui est très réelle. C’est la Chine qui leur sert de modèle. Ce pays où les habitants, contrôlés par des caméras à reconnaissance faciale, sont classés en fonction d’un permis de vivre à points. Le pays où les mauvais citoyens n’ont pas les mêmes droits que les bons, c’est l’avenir de la France en Marche !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




France : l’Assemblée nationale vote l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants

[Source : RT en français]

L’Assemblée nationale a adopté ce 23 juillet en première lecture le nouveau projet de loi anti-Covid qui prévoit l’extension controversée du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants au bout d’une nuit marquée par d’âpres débats.

Les députés ont voté dans la nuit du 22 au 23 juillet le controversé pass sanitaire, l’une des mesures phares du nouveau projet de loi anti-Covid dont l’examen a joué les prolongations. 

Peu avant 0h40, les députés ont adopté par 132 voix contre 106 l’article 1 du projet de loi gestion de la crise sanitaire qui étend le champ d’application de cet outil présenté par le gouvernement comme la meilleure arme face au rebond de l’épidémie du Covid-19.

Les débats qui se sont achevés vers 5h40 furent âpres et rugueux, avec des oppositions chauffées à blanc par un calendrier contraint. Près de 1 200 amendements ont été passés en revue depuis l’après-midi du 21 juillet.

Une «brutalité» et une «monstruosité» selon l’opposition

Les passes d’armes entre le gouvernement et les oppositions se sont poursuivies pendant toute la soirée du 22 juillet avec comme point d’orgue une disposition de ce neuvième texte «Covid» depuis mars 2020, ouvrant la voie à un licenciement pour des travailleurs d’établissement recevant du public qui refuseraient d’obtenir un pass sanitaire (parcours vaccinal complet ou test récent).

Un amendement du gouvernement avec l’objectif affiché d’adoucir cette disposition polémique n’a pas convaincu gauche et droite qui ont dénoncé une «brutalité» voire une «monstruosité». «L’esprit n’est pas de renvoyer les gens mais d’encourager à la vaccination», a justifié le ministre de la Santé Olivier Véran. 

Contre l’avis de l’exécutif et dans un scrutin serré, les députés s’étaient opposés dans l’après-midi au pass sanitaire pour l’ensemble des patients et visiteurs dans les hôpitaux et maisons de retraite. Le gouvernement est revenu sur ces amendements avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du passe sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et les maisons de retraite.

Le groupe socialiste a également fait adopter peu avant minuit un amendement supprimant la peine sanctionnant l’utilisation frauduleuse du pass sanitaire de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Très pressé, le gouvernement veut faire adopter le pass sanitaire encore élargi et la vaccination obligatoire pour certaines professions d’ici à la fin du week-end du 25 juillet, après quatre jours de débat parlementaire. «Il y a une urgence à légiférer», a ainsi déclaré Olivier Véran.

Une opposition y compris au sein de la majorité

Mais dans un hémicycle où malgré l’heure tardive les bancs sont restés garnis, les discussions patinent. A l’inflexibilité du gouvernement, le regard fixé sur les courbes des contaminations, répond la pugnacité des oppositions qui défendent pied à pied leurs amendements.  

La majorité fait bloc mais des voix dissonantes se font entendre comme celles des marcheurs Pacôme Rupin ou Stella Dupont. Le 20 juillet, le député de Paris en charge de la coordination du groupe parlementaire LREM à la Commission des Lois avait estimé que le pass sanitaire allait «fracturer notre pays», et qu’il s’agissait d’une «atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé».

«Les mesures doivent s’accompagner de souplesse, de solidarité», a quant à elle déclaré la députée LREM le 22 juillet.

Le groupe Les Républicains – qui s’est majoritairement abstenu – n’a pas souhaité donner de «blanc-seing» et a mis en garde contre la volonté de mettre le «pays sous cloche» en regrettant que les débats n’aient pas permis de «lever les ambiguïtés» sur un pass sanitaire assimilable à «un passeport du quotidien», selon le député Philippe Gosselin.  

La session d’examen «fut une vaste blague», a estimé la socialiste Lamia El Aaraje. Celle-ci a plaidé en vain pour la vaccination obligatoire, tout en taclant le «retard permanent» du gouvernement. PS, LFI et PC ont voté contre le texte.  

Le pass sanitaire au cœur des critiques

Si l’obligation vaccinale étendue aux soignants, sapeurs-pompiers ou encore professionnels auprès des personnes âgées fait à peu près consensus, ce n’est pas le cas de l’extension du pass sanitaire, prévue pour début août dans les cafés-restaurants, objet de vives critiques de part et d’autre de l’hémicycle.

«Nous avons deux choix : réussir le pass, vite, très vite […] ou nous exposer au risque de devoir reconfiner notre pays», a justifié Olivier Véran devant la Commission des Lois du Sénat. «Les chiffres d’aujourd’hui ne sont pas bons», a poursuivi le ministre de la Santé. Près de 22 000 nouveaux cas ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France publiés dans la soirée du 22 juillet, au plus haut depuis le 5 mai.

Devant les sénateurs le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a déclaré craindre «une situation complexe, très complexe» dans les hôpitaux fin août.

En Martinique où la population est très peu vaccinée, les autorités sanitaires redoutent une «déferlante» dans les hôpitaux. Pour la Guadeloupe, où la situation est très dégradée, l’Assemblée a voté un amendement gouvernemental visant à réinstaurer l’état d’urgence sanitaire. Celui-ci devrait être mis en œuvre par décret d’ici la promulgation de la loi. 

De nouvelles mesures comme le retour au masque obligatoire en extérieur ont été prises pour des communes du Var, de Meurthe-et-Moselle, de l’Hérault et de Vendée. Dans les Pyrénées-Orientales, le port du masque sera même obligatoire à partir du 24 juillet dans les lieux assujettis à un pass sanitaire. 

Le taux d’incidence progresse surtout chez les 12-17 ans et les 18-29 ans, deux tranches d’âge où le nombre de vaccinés reste très faible. L’exécutif prévoit des campagnes de vaccination spécifiques pour les jeunes, notamment dans les établissements scolaires à la rentrée.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88944-assemblee-nationale-vote-extension-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-des-soignants





Référé-Liberté de Me Krikorian : passe sanitaire, ou comment fracturer un peu plus la société française

[Source : francesoir.fr]

[Voir Philippe KRIKORIAN, Avocat à la Cour, a déposé un REFERÉ-LIBERTÉ auprès des juges des référés du Conseil d’État]

Auteur(s): FranceSoir

Me Krikorian a écouté l’allocution du président et comme beaucoup de Francais s’est interrogé sur la portée des décisions liberticides sur le passe sanitaire ou la vaccination obligatoire des soignants. Le projet de loi est en cours de discussion à l’Assemblée nationale et Me Krikorian a déposé sa requête hier afin d’obtenir réponse au plus vite. 

Il a répondu à nos questions :



Entretien

FS : Maître Krikorian, vous venez de déposer un référé-liberté devant le Conseil d’Etat par lequel vous demandez la suspension d’exécution de l’allocution télévisée du Président de la République en date du 12 juillet 2021 et une mesure d’injonction concernant le nouveau dispositif du passe sanitaire. Pourriez-vous nous en dire plus ? 

PK : Très volontiers ! Ce référé-liberté valeur de test démocratique. Il est fondé sur l’article L. 521-2 du Code de justice administrative ( CJA ) aux termes duquel : 

« Saisi d’une demande en ce sens justifiée par l’urgence, le juge des referes peut ordonner toutes mesures necessaires a la sauvegarde d’une liberte fondamentale a laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit prive charge de la gestion d’un service public aurait porte, dans l’exercice d’un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illegale. Le juge des referes se prononce dans un delai de quarante-huit heures. » 

Je considère, en effet, qu’en présentant le futur vote comme un fait irrévocablement acquis et en ne précisant pas, lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, que le dispositif dit passe sanitaire ne s’appliquerait pas aux situations suivantes : 

1) groupe familial au sein duquel l’un, au moins, des membres justifie d’une vaccination, d’un rétablissement ou d’un dépistage récent ne concluant pas à une contamination ;
2) réservation de l’activité par une ou plusieurs personnes avant l’entrée en vigueur du nouveau dispositif.
3) port du masque et respect de la distanciation physique par les personnes ne justifiant pas de l’une des trois modalités du passe sanitaire, 

Le Président de la République a d’ores et déjà, sans considération aucune du texte qui sera définitivement voté et promulgué, porté à la liberté d’aller et de venir ( articles 2 et 4 DDH ), ainsi qu’au droit au respect de la vie privée et familiale ( article 8 CEDH ), une atteinte grave et manifestement illégale, au sens et pour l’application de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.

Imaginez, en effet, une famille au sein de laquelle deux membres sont vaccinés et les deux autres ne le sont pas. Que devra faire le restaurateur auquel s’appliquerait le nouveau dispositif ? Leur refuser l’accès à son établissement ou admettre seulement les deux membres vaccinés, scindant en deux cette famille d’estivants ? 

Devrons-nous, dès lors, nous en remettre à la Providence en espérant que le Parlement rejettera le projet gouvernemental ou agir selon les voies de droit ? 

C’est cette seconde option que j’ai choisie. Mon recours part du principe que le Président de la République n’a pas voulu mal faire, mais que l’absence de précisions dans son message aux Français du 12 juillet 2021 porte immédiatement atteinte aux libertés fondamentales susvisées, sans qu’on ait besoin d’attendre le vote définitif de la loi prévu début août. 

S’agissant d’une décision d’une autorité de l’Etat, sa justiciabilité ne devrait pas faire difficulté. On peut, en effet, raisonnablement apprécier l’allocution télévisée comme le vecteur d’une véritable norme juridique, à valeur de décret. Le Chef de l’Etat entend, ainsi, conditionner les Français, les préparer à respecter docilement le nouveau dispositif que le Premier ministre est chargé de mettreen œuvre. 

S’il devait être interprété littéralement, le projet de loi déposé ce mardi 20 juillet 2021 heurterait de front les motifs de l’ordonnance rendue le 6 juillet 2021 dernier par le juge des référés du Conseil d’Etat. 

Ainsi, pour rejeter la demande de suspension de la mise en œuvre du passe sanitaire, le juge des référés du Conseil d’Etat a énoncé, dans son ordonnance du 6 juillet 2021 (n°453505 – pièce n°4 de mon référé-liberté ) : 

« ( … ) 

13. Enfin, le passe sanitaire est de nature a permettre, par la limitation des flux et croisements de personnes qu’il implique, de reduire la circulation du virus de la covid-19 dans le pays. Son usage a ete restreint aux deplacements avec l’etranger, la Corse et l’outre-mer, d’une part, et a l’accès a des lieux de loisirs, d’autre part, sans que soient concernees les activites quotidiennes ou l’exercice des libertes de culte, de reunion ou de manifestation. En outre, l’usage de l’application TousAntiCovid demeure facultatif, les justificatifs pouvant etre produits par voie papier ou sur tout autre support numerique, au choix de la personne concernee. ( … ) », prenant soin de préciser que ce dispositif n’était pas manifestement illégal « ( … ) à la date de la presente ordonnance ( … ) », réservant, ainsi, l’avenir. 

Auteur(s): FranceSoir




Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 JOEL SAGET]

Le projet de loi sur le pass sanitaire est actuellement examiné à l’Assemblée nationale. Et ce malgré les réserves de la CNIL et du Défenseur des droits. Pour l’avocat en santé publique Fabrice Di Vizio, très présent sur le front du mouvement anti-pass sanitaire, le gouvernement «assied un pouvoir totalitaire». Rien que cela.

300 amendements discutés en 10 heures de débat: à l’Assemblée nationale, les nuits sont courtes pour les députés chargés d’examiner en urgence le millier d’amendements déposés pour le projet de loi relatif à «la gestion de la crise sanitaire».

Un texte rédigé par le gouvernement dans la foulée de l’allocution d’Emmanuel Macron du 12 juillet. Il prévoit notamment l’obligation vaccinale pour les soignants et personnels d’établissements recevant du public, l’extension du pass sanitaire à ces mêmes lieux (cafés, restaurants, musées, etc.) et l’isolement forcé des cas positifs.

Ce mercredi 21 juillet, la présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été entendue par les membres de la commission des Lois du Sénat. De manière générale, Marie-Laure Denis invite les parlementaires à s’assurer que la restriction des libertés individuelles est «proportionnée». Une proportionnalité qui, selon la CNIL, dépend «grandement du caractère gratuit ou payant des tests de dépistage.» Or, le gouvernement avait déjà annoncé que les tests antigéniques et PCR allaient devenir payants à l’automne. Même son de cloche du côté du Défenseur des droits, Claire Hédon. Dans un avis rendu le 20 juillet dernier, celle-ci relève «dix points d’alerte» et s’interroge «tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte.»

«L’État de droit s’est éteint»

Pour l’avocat en droit de la santé publique Fabrice Di Vizio, en tête de cortège à Paris lors de la manifestation du 17 juillet dernier contre le pass sanitaire, l’heure est plus que jamais à la «mobilisation». Interview.

Sputnik: La présidente de la CNIL a estimé que le nouveau dispositif prévu par le gouvernement est une atteinte «particulièrement forte aux libertés et aux droits fondamentaux». Partagez-vous ce point de vue?

Fabrice Di Vizio: 

«Est-ce que la CNIL est complotiste et “antivax” quand elle dit cela? Cela fait un an et demi que l’on est nombreux à dire qu’il y a une inflation dans les mesures liberticides. 150.000 personnes à Paris [18.000 selon le ministère de l’Intérieur, ndlr] ont dit la même chose dans la manifestation du 17 juillet dernier. On se fait pointer du doigt comme des irresponsables. La CNIL et le Défenseur des droits s’inquiètent de cette atteinte particulièrement sévère aux libertés. J’aimerais bien que l’on me donne la définition d’un régime dans lequel les libertés sont à ce point menacées. Comme je suis soi-disant le fer de lance des “antivax”, je n’ai peut-être pas le droit de le dire. Pourquoi le ministre de la Santé n’a pas chassé cette dame qui a osé de venir traiter le gouvernement de liberticide devant les sénateurs? Et le Défenseur des droits, qu’attend-on pour le supprimer? Selon la logique du Président de la République, il faudrait chasser toutes ces voix discordantes!»

Contrôle des populations, «le rêve de la société moderne»

«Le gouvernement s’assied avec allégresse sur les institutions censées être gardiennes de l’équilibre des droits et des devoirs. Et ensuite, lorsque j’ose utiliser le terme de “tyrannie”, on me traite de tous les noms. Nous avons un renversement total des valeurs: l’État de droit s’est éteint. Le variant delta a été une circonstance bien commode pour venir asseoir un pouvoir totalitaire. Ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à reprendre le sens des mots! Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie.»

Sputnik: La CNIL recommande aussi aux parlementaires de contraindre le gouvernement à fournir une évaluation de l’efficacité des «différents dispositifs numériques» que celui-ci a mis en place pour lutter contre la pandémie. N’avez-vous pas le sentiment que l’on assiste plutôt à des lourdeurs bureaucratiques dont le sens échappe parfois aux citoyens?

Fabrice Di Vizio: 

«Les tyrannies technocratiques, ça existe aussi. La machine administrative, quand elle est au service d’une idéologie unique, fonde une tyrannie. Dans un État de droit, c’est le Parlement (donc la représentation nationale) qui décide. Dans la tyrannie, la bureaucratie nommée par le Prince s’auto-entretient sans aucun contrôle du Parlement et c’est elle qui décide de tout. N’est-ce pas ce qui se passe en ce moment?»

Sputnik: On pourrait vous rétorquer que le motif invoqué par le gouvernement est la santé publique et la protection de la population face à la pandémie.

Fabrice Di Vizio: 

«Quand on considère que les vaccinés ne sont plus cas contact, c’est encore de la santé publique? Face à un variant qu’on nous décrit comme plus contagieux, pour quelle raison les vaccinés seraient exonérés d’isolement s’ils sont cas contact? L’OMS et le CDC [agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé publique, ndlr] disent pourtant le contraire. Israël ferme ses frontières aux vaccinés et aux non-vaccinés, la quarantaine est obligatoire pour les gens qui arrivent en Angleterre en provenance de la France. Qui décide alors?

Ce n’est plus de la science, c’est de la tyrannie. Et la tyrannie naît quand la cause finale n’est plus la recherche du bien commun. Le pass sanitaire étendu à tous a-t-il jamais fait la preuve de son efficacité? A-t-on un exemple dans l’Histoire où une pandémie s’est arrêtée grâce à un dispositif pareil? Nous avons érigé le mensonge en règle de gouvernement. La vérité, c’est que la santé des Français est devenue une variable d’ajustement.»

Sputnik: L’Assemblée nationale a rejeté un amendement de la députée Emmanuelle Ménard qui visait à mettre fin au pass sanitaire une fois la pandémie sous contrôle. Pensez-vous vraiment que ce dispositif est voué à perdurer?

Fabrice Di Vizio: 

«Bien sûr. C’est le rêve de la société moderne que d’exercer un contrôle sur les populations! Connaissez-vous une mesure temporaire qui n’est pas devenue définitive avec le temps? Il suffit de voir le Patriot Act aux États-Unis [loi antiterroriste votée dans la foulée du 11 septembre 2001 et qui permet notamment aux autorités américaines de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste, ndlr]. La loi était censée être temporaire et limitée aux seuls cas de terrorisme. En définitive, le Patriot Act a été utilisé par les Américains pour asseoir leur pouvoir dans le monde.»

Vers une société à deux vitesses?

«On nous parle de l’équilibre entre une société de droits et une société de devoirs. Sauf qu’aujourd’hui, des droits, j’en vois très peu. Le seul droit que les citoyens aient depuis un an et demi, c’est de se taire et de subir les vicissitudes de ce gouvernement incapable de gérer la crise. L’heure n’est plus à discuter, elle est à se mobiliser et à récupérer un pouvoir qui nous a été retiré depuis maintenant un an et demi. Nous allons lutter avec les armes du droit et de la démocratie.

Au titre de ces armes figure le fait de bloquer le pays, s’il le faut. Il y a une abdication totale des contre-pouvoirs et de toute forme d’opposition dans ce pays. Pardonnez mon indignation, mais il faut arrêter de faire de la liberté une discussion de salon. Des gens sont morts pour la liberté. La tyrannie prend toujours le même chemin: celui d’une abdication de l’opposition, du bon sens et de la critique du pouvoir.»

Sputnik: Pensez-vous que nous sommes à l’aube d’un nouveau mouvement social, de l’ampleur des Gilets jaunes, voire plus large encore?

Fabrice Di Vizio: 

«C’est aux Français de savoir dans quel monde eux et leurs enfants veulent vivre. J’en profite pour dire que le traitement médiatique de la manifestation du 17 juillet a été indigne.

Le problème, au fond, c’est que l’on va créer une société de classes. Vous pensez que les gens qui ont de l’argent vont se laisser intimider et pénaliser? Concrètement, ce sont ceux que l’on qualifie avec mépris de “petites gens” qui subissent la crise. C’est une lutte des classes, rien d’autre. On se demande encore ce qu’attendent les syndicats, visiblement apeurés à l’idée de froisser le pouvoir. Rappelez-vous Péguy: “Il faut toujours dire ce que l’on voit; il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit”. Est-ce qu’on ne voit pas que c’est une société à deux vitesses que l’on est en train de créer?»


[Voir aussi : Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]




« C’est une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience » : Le député LREM Pacôme Rupin s’oppose au “pass sanitaire”

[Source : Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie]

Par Olivier Demeulenaere

« Je crois que le pass sanitaire va fracturer notre pays. C’est un changement majeur de société. Des millions de citoyens vont devoir surveiller le statut sanitaire de millions de citoyens. Les convictions différentes sur le vaccin vont partager les Français en deux, entre ceux qui auront des autorisations et ceux qui auront des interdictions pour aller et venir dans un certain nombre d’établissements recevant du public. Des milliers de citoyens vont potentiellement perdre leur emploi s’ils ne veulent pas se faire vacciner et je ne peux donc me résoudre à cet extrême qui créera un précédent qui est pour moi une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé ».



pacome rupin