L’Allemagne se débarrasse des millions de vaxins qu’elle n’a pas pu fourguer

L’Allemagne s’est débarrassée de 80 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 pour cause de faible demande

L’Allemagne a jeté des millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros.

120 millions de doses supplémentaires bientôt périmées, d’une valeur de 4 milliards d’euros, sont sur le point d’être éliminées d’ici la fin de l’année, car la Commission européenne continue de ne pas être en mesure ou de ne pas vouloir réviser de manière significative ses contrats d’achat de vaccins.

L’Allemagne a jeté 83 millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros, et est sur la bonne voie pour en jeter plus de cent millions de plus, a écrit Politico le mardi 11 juillet. Malgré la chute de la demande, le pays devrait recevoir encore plus de doses grâce à l’approvisionnement commun de l’UE.

(…)




France — Immobilier : VOUS ne POURREZ BIENTÔT PLUS être PROPRIÉTAIRE

[Source : PLACID]

Si vous pensiez investir dans l’immobilier en 2023, alors regardez attentivement cette vidéo ⚠️☝️. On y fait le point sur l’état du marché de l’immobilier et sur la fin des « petits » propriétaires. On vous explique aussi les raisons pour lesquelles investir dans l’immobilier en 2023 pourrait être votre plus GROSSE erreur…

[Voir aussi :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les Français dépossédés de leurs biens immobiliers ? Finie la propriété privée ?
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert]




Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin

[Source : Health Impact News]

Par Brian Shilhavy

Hier soir, j’ai pu voir le film « Sound of Freedom », sorti récemment, dans un cinéma local qui, étonnamment, affichait complet pour une séance du lundi soir, plus d’une semaine après la sortie du film.

Le film met en scène Jim Caviezel dans le rôle de Tim Ballard, un ancien agent spécial du ministère de la Sécurité intérieure qui a été affecté au groupe de travail sur les crimes contre les enfants sur Internet (ICAC) et a créé sa propre organisation, Operation Underground Railroad, une association à but non lucratif qui se consacre au sauvetage des enfants victimes de la traite des êtres humains.

La production de ce film aurait commencé il y a plus de 5 ans, et depuis au moins 2021, j’ai vu de nombreuses interviews et articles sur Jim Caviezel parlant de ce film ainsi que de sujets tels que l’adrénochrome, les abus rituels sataniques, le prélèvement d’organes, et d’autres sujets sombres que nous avons couverts pendant la majeure partie d’une décennie ici à Health Impact News.

[Voir aussi :
Dossier adrénochrome
Adrénochrome et théorie du genre : les enfants cobayes
Sang d’enfants et adrénochrome : la parabiose hétérochronique est une pratique de gens riches
Le trafic sexuel mondial d’enfants rapporte des milliards de dollars
Les sacrifices humains de l’antiquité se poursuivent-ils aujourd’hui avec les mêmes rituels ?
Lumière sur les bals masqués de l’UNICEF pour « sauver » les enfants
La synagogue de Satan
et, du même auteur, l’article postérieur (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains ]

Bien qu’il s’agisse d’un bon film que je recommande à tous de regarder s’ils en ont l’occasion, sachez qu’aucun de ces sujets sombres n’est abordé dans ce film, et qu’il n’y a pas non plus de véritable appel à l’action avec des conseils pratiques sur la façon de mettre fin au trafic d’enfants.

Alors que j’étais sur le point de quitter la salle au moment où le générique commençait à défiler, l’écran a affiché un chronomètre indiquant qu’il y avait un « message spécial » de Jim Caviezel après le générique.

Ah, c’est peut-être là que Caviezel va aborder ces autres sujets, me suis-je dit, et donner des conseils pratiques sur la manière de mettre fin à tout cela.

Mais il ne l’a pas fait.

Le seul « appel à l’action » consistait à inciter un plus grand nombre de personnes à voir le film, en leur donnant la possibilité de scanner un code QR et de faire un don pour que d’autres puissent voir le film s’ils n’en ont pas les moyens.

Des copies de ce « message spécial » de Caviezel, d’une durée d’environ 2 minutes, sont disponibles sur l’Internet :



Il est vraiment regrettable que ce film soit présenté par les médias comme un film « chrétien conservateur de droite » (je ne pense pas que Caviezel ou Ballard le voient de cette façon), alors qu’il s’agit clairement d’une question non partisane qui touche tout le monde, quelles que soient les opinions politiques ou religieuses.

Caviezel déclare que le film a été réalisé pendant 5 ans « avec tous les obstacles imaginables ».

De nombreux médias alternatifs en ont déduit que les « élites » avaient fait tout ce qu’elles pouvaient pour empêcher le message de ce film d’être diffusé.

Mais le fait qu’il ne s’agisse manifestement pas d’un film à petit budget et qu’il soit déjà un énorme succès au box-office semble contredire ce point de vue. Les droits du film appartenaient à l’origine à la Fox, puis ont été rachetés par Disney, et Disney aurait décidé de ne pas le sortir.

Les studios Angel ont alors négocié l’achat des droits du film, qui est aujourd’hui dans tous les grands cinémas.

Ce type de retard n’est pas si rare dans l’industrie cinématographique, et si les « élites » ne voulaient vraiment pas que ce film sorte, je peux vous assurer que Disney n’aurait en premier lieu probablement pas vendu les droits du film.

Le fait que ce film soit aujourd’hui dans toutes les grandes salles de cinéma des États-Unis montre clairement que l’industrie cinématographique ne censure pas ce film.

Ils ont clairement le pouvoir de le faire.

Il suffit de demander à Del Bigtree, Polly Tomney et au Dr Andrew Wakefield qui ont produit le film VAXXED en 2016 et ont vu le film être interdit dans tous les festivals du film et ne jamais être présenté dans les grandes salles de cinéma.

De même, un documentaire de 1994 intitulé « Conspiracy of Silence », qui décrivait le réseau pédophile opérant à Boys Town, au Nebraska, a été financé à l’origine par Discovery Channel, mais a été mis de côté et n’a jamais été diffusé à la télévision. Voir :

Si l’industrie voulait empêcher Sound of Freedom d’apparaître sur le grand écran, elle l’aurait certainement fait, mais je pense qu’elle autorise la diffusion de ce film parce qu’il ne cite pas de noms, qu’il ne lance pas de véritable appel à l’action pour mettre fin à tout cela, et que les médias corporatifs de gauche peuvent facilement le rejeter en le qualifiant de « théories de conspiration Qanon ».

Ma critique de « Sound of Freedom »

Comme je l’ai écrit plus haut, je recommande de regarder ce film.

Mais en tant que personne qui couvre cette question depuis une dizaine d’années, je tiens également à souligner certains des problèmes que pose ce film.

Tout d’abord, il ne s’agit pas d’un documentaire, mais d’une dramatisation basée sur une « histoire vraie ». Quelques jours avant que le film ne sorte en salle, Tim Ballard a publié sur son site web une page indiquant quelles parties du film étaient vraies et lesquelles ne l’étaient pas.

Les spectateurs qui se pressent pour voir ce film savent-ils que des parties importantes du film sont fictives et n’ont jamais eu lieu ?

Cela soulève la question de savoir pourquoi l’histoire vraie n’était pas assez puissante en soi sans avoir à inventer des scènes qui n’ont jamais eu lieu.

Je soupçonne que la raison en est que les studios Fox ont commencé la production et ont estimé que c’était nécessaire, et qu’au moment où les studios Angel ont obtenu les droits, il était trop coûteux de recommencer.

Dans une scène qui m’a mis la puce à l’oreille, Caviezel se fait passer pour un médecin qui livre des vaccins « salvateurs » aux membres du cartel dans le but de sauver la petite fille qui faisait l’objet d’un trafic dans la jungle colombienne.

Les soldats du cartel fouillent son bateau et signalent qu’il ne transporte que des vaccins et que son voyage médical jusqu’à leur emplacement dans la jungle est probablement légitime.

Je ne crois pas qu’une telle chose puisse réellement se produire, car dans de nombreux autres endroits du monde, les forces rebelles antigouvernementales, telles que les talibans au Pakistan et en Afghanistan, ne font PAS confiance aux médecins et à leurs vaccins occidentaux, et empêchent en fait les Occidentaux d’injecter leurs enfants.

Tim Ballard cite cette scène comme étant fictive, mais il affirme également que son organisation s’est fait passer pour des médecins pour mener une mission en Haïti.

Tim s’est rendu seul dans la jungle colombienne pour sauver une petite fille. FAUX

Dans le film, Tim se fait passer pour un médecin et se rend dans la jungle, quelque part en Colombie, pour retrouver la sœur du petit garçon, peu après l’opération Triple Take.

Cela ne s’est pas produit.

Cependant, dans la vraie vie, Tim a conduit un groupe d’opérateurs de l’O.U.R., se faisant passer pour des médecins, dans une jungle à la frontière d’Haïti et de la République dominicaine, quelques années après l’opération Triple Take, à la recherche de Gardy.

Personne n’a été sauvé, mais l’opération a permis de faire avancer la recherche de Gardy, et les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin.
(Source.)

Des vaccins ont-ils été injectés à des enfants lors de leur opération en Haïti, où « les opérateurs ont pu fournir des soins médicaux à de nombreux enfants dans le besoin » ?

Par ailleurs, étant donné que Tim Ballard était à l’origine un agent d’une agence de renseignement du gouvernement américain, le mensonge semble être la norme et parfaitement acceptable, s’il permet d’atteindre l’objectif d’attraper des terroristes et des pédophiles.

Dans l’une des premières scènes, Tim Ballard se fait passer pour un pédophile (en mentant) afin de gagner la confiance d’un vrai pédophile pour l’arrêter.

Mais pour les personnes qui prétendent être des disciples de Jésus-Christ, le mensonge peut-il jamais être justifié ?

Jésus se présente comme « La Vérité » (Jean 14:6) et désigne les personnes qui prétendent le suivre, mais ne le suivent pas comme appartenant à leur père, le Diable, qui est « le Père du mensonge » (voir Jean chapitre 8).

Si vous êtes l’enfant ou l’épouse d’un homme qui ment pour gagner sa vie, pouvez-vous faire confiance à cette personne pour dire toujours la vérité lorsqu’elle ne remplit pas les fonctions de son travail, comme dans les agences de renseignement du gouvernement américain ?

La principale filière de trafic d’enfants est financée par le gouvernement américain

Le plus gros problème que j’ai avec le film « Sound of Freedom », c’est qu’il présente le trafic d’enfants comme un problème essentiellement international, sans exposer le fait que la plupart des enfants victimes de trafic aux États-Unis sont financés par notre propre gouvernement, principalement par le biais du système de protection de l’enfance, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Nous avons couvert cette question au cours de la dernière décennie, notamment en publiant des centaines d’histoires de familles qui se sont vu arracher leurs enfants par le gouvernement, qui a ensuite fait la traite des enfants par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption.

Voici quelques-uns des articles que nous avons publiés précédemment et qui exposent ce réseau de trafic d’enfants opérant aux États-Unis :

En 2009, Bill Bowen a diffusé la bande-annonce d’un documentaire qu’il produisait et qui dénonçait la corruption des services de protection de l’enfance aux États-Unis.

Le film s’intitule Innocence Destroyed (L’innocence détruite). Bill Bowen est décédé de manière inattendue l’année suivante, en 2010, apparemment d’une crise cardiaque, avant d’avoir pu terminer le film.

Les séquences achevées se trouvent maintenant sur YouTube, dans trois vidéos différentes, mais nous les avons combinées et mises en ligne sur Bitchute.

AVERTISSEMENT :
La vidéo contient des images qui ne conviennent pas aux enfants !
Réservé aux adultes.



Voici quelques informations sur Bill Bowen, y compris des citations qui lui sont directement attribuées, que nous avons pu trouver sur Internet.

À propos de Bill Bowen

Bill Bowen est un ancien pompier et enquêteur fédéral. Il est également connu pour avoir dénoncé le service des pompiers de la ville de New York dans un livre intitulé Radio Silence F.D.N.Y. The Betrayal of New York’s Bravest (Silence Radio F.D.N.Y. La trahison des plus braves de New York), qu’il a coécrit avec le chef de bataillon John Joyce. Ce livre décrit comment 125 pompiers de la ville de New York et de nombreux civils ont perdu la vie le 11 septembre à cause de problèmes liés à leurs radios bidirectionnelles.

Bien qu’il ait beaucoup de pain sur la planche, sa priorité absolue est de terminer Innocence Destroyed et d’aider les gens à engager des recours collectifs contre les agences des services de protection de l’enfance dans les cinquante États. (Source : Daniel Weaver — Albany CPS and Family Court Examiner, 10 septembre 2010.)

Plus d’informations :

Le cinéaste documentait les abus des services de protection de l’enfance et les enfants assassinés sous la garde de l’État avant sa mort

J’apprécie le fait que Jim Caviezel expose dans des interviews une grande partie de ce trafic sexuel d’enfants financé par le gouvernement, car ce sujet n’est PAS abordé dans le film Sound of Freedom. Il affirme que les agences de l’alphabet, telles que la CIA, financent une grande partie de ce trafic.

Mais ces informations sont accessibles au public depuis des décennies, notamment grâce aux présentations publiques de l’ancien directeur du FBI, Ted Gunderson, avant sa mort en 2011.

Ted Gunderson est né à Colorado Springs. Il est diplômé de l’université du Nebraska en 1950. Il a rejoint le Federal Bureau of Investigation (FBI) en décembre 1951, sous la direction de J. Edgar Hoover.

Il a travaillé dans les bureaux de Mobile, Knoxville, New York et Albuquerque. Il a occupé le poste d’agent spécial adjoint à New Haven et à Philadelphie. En 1973, il est devenu chef du FBI de Memphis, puis du FBI de Dallas en 1975. Ted Gunderson a été nommé à la tête du FBI de Los Angeles en 1977. En 1979, il fait partie des quelques candidats interviewés pour le poste de directeur du FBI, qui est finalement attribué à William H. Webster.

Après avoir pris sa retraite du FBI, Gunderson a créé une société d’enquêtes privées, Ted L. Gunderson and Associates, à Santa Monica. Lors d’une conférence donnée en 1995 à Dallas, Gunderson a mis en garde contre la prolifération de groupes sataniques secrets et le danger que représente le Nouvel Ordre Mondial, un gouvernement de l’ombre qui contrôle le gouvernement américain.

Il a également affirmé qu’une « vente aux enchères d’esclaves » au cours de laquelle des enfants étaient vendus à des hommes portant des turbans avait eu lieu à Las Vegas, que quatre mille sacrifices humains rituels étaient pratiqués chaque année à New York et que l’attentat à la bombe perpétré en 1995 contre le bâtiment fédéral Alfred P. Murrah à Oklahoma City avait été perpétré par le gouvernement américain.

Gunderson a découvert qu’il existe aux États-Unis un vaste réseau secret de groupes qui enlèvent des enfants et des nourrissons et les soumettent à des abus rituels sataniques suivis de sacrifices humains.

L’un de ces groupes s’appelle The Finders et, selon Gunderson, il est dirigé par la CIA.

M. Gunderson a parcouru le pays pour donner des conférences sur son travail, notamment sur les cas qui l’ont amené à découvrir les groupes cachés impliqués dans l’occultisme satanique, y compris les abus sexuels sur les enfants et les sacrifices d’enfants. Sa conférence générale durait environ 4 heures, mais il existe une conférence encore disponible aujourd’hui où il l’a condensée en un peu plus d’une heure.

À la fin de cette conférence, Gunderson demande à une femme nommée Linda Weigand de venir témoigner. Lorsqu’il l’a présentée, Gunderson a dit :

C’est l’un des exemples de corruption les plus classiques que j’aie jamais vus. Et croyez-moi, vous pouvez dire, d’après mon exposé, que j’ai vu des exemples de corruption assez terribles.

Comme son témoignage se trouve à la fin de sa conférence, nous l’avons extrait dans une vidéo séparée afin que vous puissiez choisir de le regarder en premier, si vous voulez avoir un avant-goût de ce dont il s’agit.

Mais je dois vous avertir que cette vidéo est très GRAPHIQUE et très maléfique. Elle vous perturbera.



Voici l’intégralité de la conférence de Ted Gunderson :

Une grande partie du travail de Gunderson reste en ligne ici (pour l’instant). Il serait judicieux de copier ses documents avant qu’ils ne disparaissent.

Voir aussi :

L’histoire de Jennifer Guskin, que nous venons de publier, est l’une des plus horribles qui soient sur la façon dont le système de placement familial a été utilisé pour faire du trafic sexuel d’enfants au profit des riches et des puissants de la région de Washington.

Nombre d’entre vous ne devraient probablement pas regarder cette vidéo, car elle pourrait vous causer un grave traumatisme émotionnel. Si vous avez regardé le documentaire publié par le producteur polonais Patryk Vega, intitulé « Eyes of the Devil », et que vous avez pu le supporter, sachez que l’histoire de Jennifer est bien pire.

AVERTISSEMENT : CONTENU GRAPHIQUE SUR DES SUJETS TELS QUE LE CANNIBALISME, LES RELATIONS SEXUELLES AVEC DES ENFANTS, LA TORTURE, LE MEURTRE, ETC. NE CONVIENT PAS AUX ENFANTS — DISCRÉTION CONSEILLÉE !

C’est sur notre chaîne Bitchute.



Regarder un film de fiction ne résoudra pas ce problème – Que peut-on faire pour aider les parents et les enfants ?

Le problème du trafic sexuel d’enfants aux États-Unis est si répandu que si l’on ne s’attaque pas au principal moyen de financement de ce système diabolique, à savoir le gouvernement américain et le système de protection de l’enfance, il n’y a guère d’espoir de changer quoi que ce soit.

Et non seulement l’organisation de Tim Ballard, Operation Underground Railroad, ne dénonce pas le trafic sexuel d’enfants dans le cadre du système national de protection de l’enfance financé par le gouvernement, par le biais du placement en famille d’accueil et de l’adoption, mais elle soutient en fait cette filière n° 1 pour le trafic sexuel d’enfants.

Lettre de Katherine Ballard, fondatrice de Children Need Families

Lorsque mon mari Tim et moi-même avons adopté nos deux enfants d’Haïti, nous avons fait l’expérience directe de tous les formulaires, des autorisations gouvernementales, des frais juridiques, du temps et de la patience qu’il a fallu pour les ramener enfin à la maison.

Ce fut un voyage long, frustrant, déroutant et coûteux. Je voulais que mes enfants soient en sécurité chez moi, mais notre famille ne pouvait rien faire d’autre que de suivre la procédure, de prier et d’attendre. Nous avons eu la chance d’avoir une famille et des amis généreux qui nous ont aidés financièrement et nous ont apporté un soutien général.

C’est à la suite de cette expérience que le projet Children Need Families (Les enfants ont besoin d’une famille) a vu le jour. J’ai senti que quelque chose devait et pouvait être fait pour aider d’autres familles à traverser le long et difficile processus d’adoption (jusqu’à trois ans dans de nombreux cas, comme le nôtre).(Article complet.)

Voir aussi :

Comment l’Église chrétienne et le gouvernement américain collaborent pour faire le trafic des enfants dans le monde entier par le biais du commerce lucratif de l’adoption

Pour être juste envers les Ballard, je crois qu’ils essaient d’abord de réunir ces enfants dans des endroits comme Haïti avec leurs familles biologiques, mais ce système ne pourra pas être réformé tant que les groupes et les organisations qui dénoncent le trafic sexuel d’enfants ne cesseront pas de travailler avec le gouvernement américain, qui est la principale source de financement du trafic d’enfants.

L’Arizona est l’un des endroits des États-Unis qui est clairement une plaque tournante de la traite sexuelle des enfants.

L’Arizona a toujours retiré les enfants à leurs parents par le biais du système de protection de l’enfance à un taux plus élevé que tous les autres États, et c’est aussi un endroit où de nombreux enfants sont amenés aux États-Unis pour le trafic sexuel à travers la frontière avec le Mexique.

Nous avons lancé MedicalKidnap.com en 2014 pour documenter la façon dont les enfants étaient victimes de la traite dans le cadre du système de protection de l’enfance, et l’Arizona est, de loin, l’État où nous avons réalisé le plus grand nombre d’articles sur la traite des enfants.

La situation est si grave en Arizona que nous avons acheté du temps d’antenne sur une station de radio locale basée à Phoenix et produit une série d’émissions en 2019 exposant le problème de la traite des enfants en Arizona en transmettant notre message directement à la population.

Avec la récente révélation du trafic sexuel d’enfants par le film Sound of Freedom, j’ai vu un clip d’une résidente de l’Arizona, Cindy McCain, épouse de l’ancien sénateur John McCain, qui avouait que tout le monde connaissait Jeffrey Epstein et son réseau de pédophiles.

Pendant des années, Cindy McCain a fait partie du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains, tout comme le gouverneur de l’époque, Doug Ducey.

Nous nous sommes donc intéressés au Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains de Cindy McCain dans l’une de nos émissions diffusées sur KFNX Talk Radio 1100, en interviewant Lori Ford, responsable de l’AZ DCS Oversight Group, un groupe de bénévoles qui assistent aux réunions concernant les questions relatives au Département des services à l’enfance de l’Arizona.

Le groupe compte également des « observateurs » qui assistent aux audiences du tribunal des dépendances en tant que défenseurs des parents et qui observent la façon dont ces parents sont traités au tribunal des dépendances.

Lori a déclaré que le groupe ne voulait PAS devenir une société à but non lucratif 501 c3, car il ne voulait pas tomber sous la « coupe du gouvernement ».

Lorsqu’on lui a demandé pourquoi les membres du groupe fournissaient gratuitement leurs services aux familles et à d’autres personnes, elle a répondu :

La raison pour laquelle nous faisons cela, c’est que c’est très important. Il s’agit de l’avenir de notre pays, de l’avenir de notre nation. Et la famille représente tout pour nous tous.

C’est pourquoi nous le faisons. Nous constatons que de nombreux droits sont violés dans ce système de tribunaux de la dépendance.

Nous avons interviewé Lori juste après qu’elle et son groupe aient assisté à l’une des réunions du Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains.

Lori s’est adressée au Conseil au cours de la section des commentaires publics, soulignant que si le Conseil avait dénoncé des sites Web qui pratiquaient la traite des enfants, tels que BackPage.com, qui a été fermé par le FBI en 2018, le Conseil n’avait pas abordé un autre site Web en Arizona qui pratiquait la traite des enfants, le site Web DCS .gov : « Children’s Heart Gallery ».

Ce site Web financé par les contribuables est destiné à recruter des parents adoptifs, mais il expose ces enfants à des prédateurs en publiant des photos et des descriptions d’enfants vivant actuellement dans des familles d’accueil.

Il n’y a aucune précaution à prendre pour accéder à ce site Web. Il n’est pas nécessaire de s’inscrire, il est simplement ouvert au monde.

Lorsqu’on lui a demandé si les enfants figurant sur le site Internet du DCS provenaient de parents qui avaient volontairement donné leurs enfants à l’adoption, Lori a répondu :

Les enfants qui figurent sur cette galerie du cœur, qui fait partie du site Web du DCS, sont des enfants qui sont sous la garde du DCS. Ce sont des enfants placés en famille d’accueil ou en foyer.

Il s’agit d’un site d’adoption forcée, d’un site de relogement forcé si vous voulez, d’enfants qui sont sous la garde du DCS.

Ils vendent des enfants en ligne.

Pourtant, si un parent qui se bat contre le système pour récupérer ses enfants met en ligne des photos de ses enfants placés en famille d’accueil, les juges du tribunal des dépendances de l’Arizona lui ordonnent systématiquement de retirer ses photos, et ont même menacé MedicalKidnap.com de mettre en ligne des photos que les parents ont fournies de leurs propres enfants, faisant ainsi pression sur les parents pour que Health Impact News retire leurs histoires et leurs photos (ce que nous n’avons JAMAIS fait).

Lorsqu’on lui a demandé ce que le Conseil de l’Arizona sur la traite des êtres humains avait réellement accompli, Lori a répondu :

Je ne sais pas ce qu’ils ont accompli, pour vous dire la vérité…. C’est un Conseil où des intervenants parlent de la traite des êtres humains… ils parlent de la traite des êtres humains.

D’après ce que j’ai vu de ce Conseil, je ne crois pas qu’il fasse quoi que ce soit pour empêcher la traite des êtres humains.

Écouter l’intégralité de l’entretien avec Lori Ford :

Lori et son groupe, l’AZ DCS Oversight Group, sont un exemple de ce qui peut être fait au niveau local pour dénoncer le trafic d’enfants par le biais du système de protection de l’enfance, en travaillant avec des parents dont les enfants ont été kidnappés par l’État, et en allant au tribunal avec eux en tant que « surveillants de tribunal » pour faire savoir aux criminels que les gens de leur communauté les surveillent et dénoncent leur trafic d’enfants sous le couvert de la loi.

Vous pouvez la trouver sur Twitter et Facebook sous le nom de « AZ DCS Warriors ».

Ce que ce groupe fait depuis de nombreuses années pour dénoncer le trafic d’enfants et aider les parents et les enfants devrait être un modèle pour TOUS les États des États-Unis.

Nous contactons Lori pour voir si nous pouvons l’aider à créer un site Web et à collecter des fonds pour aider d’autres personnes à travers les États-Unis à créer des groupes similaires dans d’autres États.

C’est ce type d’activisme, avec des « bottes sur le terrain », qui est nécessaire pour vraiment faire la différence dans le domaine de la traite sexuelle des enfants.

La frontière entre l’Arizona et le Mexique est un autre endroit où des bénévoles aident les victimes de la traite des enfants. J’ai récemment publié un rapport sur la façon dont les habitants de l’Arizona aident les enfants qui traversent la frontière. Voir :

En effet, ces bénévoles trouvent souvent des enfants seuls, abandonnés juste après avoir franchi la frontière dans le désert brûlant de l’Arizona, où ils risquent souvent de mourir de soif ou d’être ramassés par les cartels avant que les services de contrôle des frontières ne les trouvent et ne les traitent.

Certaines de ces personnes font cela à la frontière depuis des années.

Ainsi, bien que le film Sound of Freedom expose une partie de ce trafic d’enfants, le film lui-même ne présente aucune nouvelle information qui n’ait pas déjà été exposée par d’autres depuis de nombreuses années, et le simple fait de regarder un film dans un cinéma ne changera probablement pas grand-chose à ce trafic d’enfants financé et géré par le gouvernement.

Si vous voulez protéger les enfants de votre communauté contre la traite, vous devez vous solidariser avec les parents dont les enfants ont été enlevés par l’État, et la grande majorité d’entre eux sont des familles vivant dans la pauvreté qui aiment leurs enfants et feraient n’importe quoi pour les garder si les gens les aidaient.

C’est certainement vrai dans d’autres pays également, mais le secteur lucratif de l’adoption et du placement familial est tout simplement trop prospère et trop puissant pour permettre que cela se produise, car le gouvernement dépense d’énormes ressources financières pour que des parents sans enfants, y compris des pédophiles, accueillent et adoptent les enfants d’autres personnes, plutôt que de dépenser ces ressources pour que les enfants restent dans leur famille biologique.

Cet article a été écrit par un être humain, sans l’aide de l’IA



Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]




Ukraine : témoignage d’un journaliste américain contre son gouvernement au conseil de sécurité des Nations Unies

[Source : Le Saker Francophone]

[NDLR Le journaliste Max Blumenthal a été invité à s’exprimer par le représentant des Émirats Arabes Unis.(([1] https://youtu.be/Ddc1ix_9MII))]

Par Max Blumenthal – Le 29 juin 2023 — Source The Grayzone

Je remercie Wyatt Reed, Alex Rubinstein et Anya Parampil de m’avoir aidé à préparer cette présentation. Wyatt a une expérience directe du sujet en tant que journaliste dont l’hôtel à Donetsk a été la cible d’un obusier de fabrication américaine par l’armée ukrainienne en octobre 2022. Il se trouvait à 100 mètres de là lorsque la frappe a eu lieu et a failli être tué.

Mon ami Randy Credico, militant des droits civiques, est également présent aujourd’hui. Il était à Donetsk plus récemment et a pu assister à des attaques régulières de missiles HIMARS par l’armée ukrainienne sur des cibles civiles.

Je suis ici non seulement en tant que journaliste ayant plus de 20 ans d’expérience dans la couverture de la politique et des conflits sur plusieurs continents, mais aussi en tant qu’Américain contraint par son propre gouvernement à financer une guerre par procuration qui est devenue une menace pour la stabilité régionale et internationale, au détriment du bien-être de mes compatriotes.

Le 28 juin dernier, alors que les équipes d’urgence s’efforçaient de nettoyer un nouveau déraillement de train toxique aux États-Unis, cette fois sur la rivière Montana, un accident qui mettait encore en lumière le sous-financement chronique des infrastructures de notre pays et les menaces qu’il fait peser sur notre santé, le Pentagone a annoncé son intention d’envoyer une aide militaire supplémentaire de 500 millions de dollars à l’Ukraine.

Cette annonce est intervenue alors que l’armée ukrainienne entame la troisième semaine d’une contre-offensive dont CNN dit qu’elle « ne répond pas aux attentes » et dont Volodymyr Zelensky lui-même dit qu’elle « progresse plus que lentement prévu ».

L’armée ukrainienne n’ayant pas réussi à franchir la première ligne de défense russe, CNN a rapporté qu’au 12 juin, Kiev avait « perdu » 16 véhicules blindés de fabrication américaine envoyés dans le pays.

Qu’a fait le Pentagone ? Il a simplement répercuté cette facture sur les contribuables américains moyens comme moi, en nous faisant payer 325 millions de dollars supplémentaires pour remplacer le stock militaire gaspillé de l’Ukraine. Aucun effort n’a été fait pour consulter la position du public américain sur la question, et la grande majorité des Américains n’ont probablement même pas su que l’échange avait eu lieu.

La politique américaine que je viens de décrire — qui voit Washington donner la priorité au financement effréné d’une guerre par procuration avec une puissance nucléaire dans un pays étranger alors que notre propre infrastructure nationale s’effondre sous nos yeux — expose une dynamique inquiétante au cœur du conflit ukrainien : une chaîne de Ponzi internationale qui permet aux élites occidentales de s’emparer de la richesse durement gagnée des mains des citoyens américains moyens et de l’acheminer vers les coffres d’un gouvernement étranger que même l’organisation Transparency International, parrainée par l’Occident, classe parmi les plus corrompus d’Europe.

Le gouvernement américain n’a pas encore procédé à un audit officiel de ses financements en faveur de l’Ukraine. Le public américain n’a aucune idée de la destination de l’argent de ses impôts.

C’est pourquoi, cette semaine, The Grayzone a publié un audit indépendant de l’affectation de l’argent des contribuables américains à l’Ukraine au cours des exercices fiscaux 2022 et 2023. Notre enquête a été menée par Heather Kaiser, ancien officier du renseignement militaire et vétéran des guerres américaines en Afghanistan et en Irak.

Nous avons découvert un paiement de 4,48 millions de dollars de l’administration de la sécurité sociale américaine au gouvernement de Kiev.

Nous avons trouvé des paiements d’une valeur de 4,5 milliards de dollars effectués par l’Agence américaine pour le développement international pour rembourser la dette souveraine de l’Ukraine, dette en grande partie détenue par la société d’investissement mondiale BlackRock.

Ce montant représente à lui seul 30 dollars prélevés sur chaque citoyen américain, à une époque où 4 Américains sur 10 ne peuvent pas se permettre une dépense urgente de 400 dollars.

Nous avons découvert que l’argent des contribuables destiné à l’Ukraine alimentait les budgets d’une chaîne de télévision à Toronto, d’un groupe de réflexion pro-OTAN en Pologne et, croyez-le ou non, d’agriculteurs au Kenya.

Nous avons trouvé des dizaines de millions de dollars versés à des sociétés de capital-investissement, dont une en République de Géorgie, ainsi qu’un paiement d’un million de dollars à un entrepreneur privé à Kiev.

Notre audit a également révélé que le Pentagone avait conclu un contrat de 4,5 millions de dollars avec une société appelée « Atlantic Diving Supply » pour fournir à l’Ukraine des équipements explosifs non spécifiés. Il s’agit d’une société notoirement corrompue que Thom Tillis, le président de la commission des forces armées du Sénat, a déjà critiquée pour ses « antécédents de fraude ».

Pourtant, une fois de plus, le Congrès n’a pas veillé à ce que ces paiements douteux et ces contrats d’armement massifs fassent l’objet d’un suivi adéquat.

En fait, une grande partie de l’aide militaire et humanitaire envoyée à l’Ukraine s’est tout simplement volatilisée. L’année dernière, CBS News a cité le directeur d’une organisation à but non lucratif pro-Zelensky en Ukraine, qui a déclaré que seulement 30 % environ de l’aide parvenait aux lignes de front en Ukraine.

Le détournement de fonds et de fournitures est au moins aussi inquiétant que les conséquences potentielles du transfert et de la vente illicites d’armes de qualité militaire. En juin dernier, le chef d’Interpol avertissait que les transferts massifs d’armes vers l’Ukraine signifiaient que « nous pouvons nous attendre à un afflux d’armes en Europe et au-delà » et que « les criminels s’y intéressent déjà en ce moment même ».

En mai dernier, un groupe de néonazis russes anti-Kremlin, équipés de matériel fourni par le gouvernement ukrainien, a été salué par des politiciens occidentaux pour avoir mené des attaques terroristes sur le territoire russe en utilisant des Humvees de fabrication américaine. Bien que le groupe, appelé « Corps des volontaires russes », soit dirigé par un homme qui se fait appeler le « Roi blanc » et compte de nombreux admirateurs déclarés d’Adolf Hitler, l’armement occidental de cette milice contre les forces russes n’a suscité aucune protestation de la part du Congrès.

Et bien que l’administration Biden ait promis de surveiller les armes envoyées, un câble du département d’État divulgué en décembre dernier admettait que :

« L’activité cinétique et les combats actifs entre les forces ukrainiennes et russes créent un environnement dans lequel les mesures de vérification standard sont parfois impraticables ou impossibles ».

L’administration Biden sait non seulement qu’elle ne peut pas suivre les armes qu’elle expédie à l’Ukraine, mais elle sait aussi qu’elle intensifie une guerre par procuration contre la plus grande puissance nucléaire du monde et qu’elle la met au défi de répondre en retour.

Nous savons qu’ils le savent parce qu’en 2014, le président Barack Obama a rejeté les demandes d’envoi d’armes offensives létales à Kiev parce que, comme l’a dit le Wall Street Journal, il était « préoccupé depuis longtemps par le risque qu’armer l’Ukraine provoquerait Moscou dans une nouvelle escalade qui pourrait entraîner Washington dans une guerre par procuration ».

Lorsque Donald Trump est entré en fonction en 2017, il a tenté de s’en tenir à la politique d’Obama, mais il a rapidement été qualifié de marionnette russe par les médias de Washington et le Parti démocrate pour avoir refusé d’envoyer des missiles Javelin de Raytheon à l’armée ukrainienne. La réticence de Trump à envoyer les missiles Javelin a servi de base à sa destitution. Sans surprise, il a cédé.

Alors que les armes offensives fabriquées aux États-Unis commençaient à atteindre les lignes de front du Donbass, l’Occident collectif a exploité les accords de Minsk pour « donner à l’Ukraine le temps » de s’armer, comme l’a révélé l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel.

En janvier 2022, les États-Unis ont annoncé un programme d’armement de 200 millions de dollars pour l’Ukraine. Le 18 février, les observateurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe signalaient un doublement des violations du cessez-le-feu, les cartes de l’OSCE montrant que l’écrasante majorité des sites ciblés se trouvaient du côté de la population séparatiste pro-russe de Donetsk et de Lougansk. Cinq jours plus tard, la Russie envahissait l’Ukraine.

Depuis lors, les États-Unis et leurs alliés n’ont cessé de grimper sur l’échelle de l’escalade à chaque occasion.

« Les choses que nous ne pouvions pas donner en janvier parce que cela risquait une escalade ont été données en février », a commenté un ancien fonctionnaire du département d’État après une réunion avec ses homologues ukrainiens. « Et ce que nous ne pouvions pas donner en février, nous l’avons fait en avril. C’est ce qui s’est passé, à commencer par les Stingers » se référant aux missiles lancés depuis l’épaule.

Le président Joe Biden lui-même a déclaré en mars 2022 :

« L’idée que nous allons envoyer des équipements offensifs, des avions et des chars… ne vous faites pas d’illusions, quoi que vous disiez tous, cela s’appelle la Troisième Guerre mondiale ».

Un peu plus d’un an plus tard, Joe Biden a changé de discours, soutenant un projet de fourniture d’avions de chasse F-16 à l’Ukraine, et après avoir fait pression sur l’Allemagne pour qu’elle envoie les chars dont il craignait autrefois qu’ils ne provoquent la Troisième Guerre mondiale.

Il n’aura fallu que deux mois après avoir reçu les systèmes HIMARs des États-Unis pour que l’armée ukrainienne commence à cibler des infrastructures critiques, en les utilisant pour frapper le pont Antonovsky sur le fleuve Dniepr, puis, deux mois plus tard, lors d’une frappe test sur le barrage de Kakhovka « pour voir si l’eau du Dniepr pouvait être suffisamment élevée pour empêcher les Russes de traverser », comme l’a rapporté le Washington Post.

Il y a trois semaines, le barrage de Kakhovka a été détruit, déclenchant une catastrophe écologique majeure qui a entraîné des inondations massives et la contamination des réserves d’eau locales. L’Ukraine accuse bien sûr la Russie d’être responsable de cette attaque, mais n’a montré aucune preuve.

À peu près à la même époque, l’Ukraine accusait également sans fondement la Russie de préparer une provocation à la centrale nucléaire de Zaporizhzhia. Cela a déclenché une résolution des sénateurs Lindsey Graham et Richard Blumenthal (aucun lien de parenté avec moi) demandant à l’OTAN d’intervenir directement en Ukraine et d’attaquer la Russie si un tel incident se produisait.

L’initiative de Blumenthal et Graham a ainsi établi une ligne rouge de facto pour le déclenchement d’une action militaire américaine, à l’instar de celle fixée en Syrie qui, comme l’a fait remarquer un ancien diplomate américain au journaliste Charles Glass, « était une invitation ouverte à un faux drapeau. »

Assisterons-nous à une nouvelle tromperie comme à Douma, mais cette fois-ci à Zaporizhzhia ?

Pourquoi faisons-nous cela ? Pourquoi tentons-nous l’anéantissement nucléaire en inondant l’Ukraine d’armes de pointe et en sabotant les négociations à tout bout de champ ?

Des gens comme le sénateur Dick Durbin nous ont dit que l’Ukraine est « littéralement en train de se battre pour la liberté et la démocratie » et que nous devons donc lui fournir des armes « aussi longtemps qu’il le faudra », comme l’a dit le président Biden. Quiconque s’oppose à l’aide militaire à l’Ukraine s’oppose à la défense de la démocratie, selon cette logique.

Où est donc la démocratie dans la décision de Volodymyr Zelensky d’interdire les partis d’opposition, de criminaliser les médias de ses opposants politiques légitimes, d’emprisonner son principal rival politique, de protéger ses principaux députés, de faire des descentes dans les églises orthodoxes et d’arrêter des ecclésiastiques ?

Où est la démocratie dans l’emprisonnement par le gouvernement ukrainien de Gonzalo Lira, un citoyen américain, pour avoir remis en question le récit officiel de leur effort de guerre ?

Et où est la démocratie dans la récente décision de Zelensky de suspendre les élections en 2024 au motif que la loi martiale a été déclarée ? Il semble que la démocratie ukrainienne soit aussi difficile à trouver ces jours-ci que le commandant en chef de l’armée, Valeriy Zaluzhny, qui a soudainement disparu.

Le sénateur Graham a proposé une justification beaucoup plus sombre — et tout à fait pertinente — pour fournir à l’Ukraine des milliards d’euros d’armes. Comme le sénateur s’en est vanté lors d’une récente visite avec Zelensky à Kiev, « les Russes meurent… c’est le meilleur argent que nous ayons jamais dépensé ».

Graham, rappelons-le, a également déclaré que nous, les États-Unis, devions mener cette guerre jusqu’au dernier Ukrainien. Bien que le nombre officiel de victimes soit strictement confidentiel, nous devons craindre que l’Ukraine ne soit en passe de réaliser les fantasmes macabres du sénateur.

Comme un soldat ukrainien s’en est plaint ce mois-ci à Vice News, nous ne savons pas quels sont les « plans de Zelensky, mais cela ressemble à l’extermination de sa propre population — la population prête au combat et en âge de travailler. C’est tout ».

En effet, les cimetières militaires en Ukraine s’étendent presque aussi rapidement que les McMansions de Virginie du Nord et les propriétés en bord de mer des cadres de Lockheed Martin, Raytheon et autres entrepreneurs du Beltway qui bénéficient du deuxième plus haut niveau de dépenses militaires depuis la Seconde Guerre mondiale.

Ce sont les vrais gagnants de la guerre par procuration en Ukraine. Pas les Ukrainiens ou les Américains moyens. Ni les Russes, ni même les Européens de l’Ouest.

Les gagnants sont des gens comme le secrétaire d’État Tony Blinken, qui a passé son temps entre les administrations Obama et Biden à lancer une société de conseil appelée WestExec advisors, qui a obtenu des contrats gouvernementaux lucratifs pour des sociétés de renseignement et l’industrie de l’armement. Parmi les anciens partenaires de Blinken au sein de WestExec advisors, on trouve la directrice du renseignement national Avril Haines, le directeur adjoint de la CIA David Cohen, l’ancienne attachée de presse de la Maison Blanche Jen Psaki et près d’une douzaine de membres actuels et anciens de l’équipe de sécurité nationale de Biden.

Le secrétaire à la défense Lloyd Austin, quant à lui, est un ancien et peut-être futur membre du conseil d’administration de Raytheon et un ancien associé de la société d’investissement Pine Island Capital qui collabore avec WestExec et que Blinken a conseillée.

Par ailleurs, l’actuelle ambassadrice des États-Unis auprès des Nations unies, Linda Thomas Greenfield, figure sur la liste des conseillers principaux de l’Albright Stonebridge Group, une société qui se décrit elle-même comme une « entreprise commerciale de diplomatie » qui négocie également des contrats pour le secteur du renseignement et l’industrie de l’armement. Ce cabinet a été fondé par feu Madeleine Albright, qui a tristement déclaré que la mort d’un demi-million d’enfants irakiens sous le régime des sanctions américaines « en valait la peine ».

Ainsi, tandis que des Ukrainiens d’âge moyen sont arrachés à la rue par la police militaire et envoyés au front, les architectes de cette guerre par procuration, liés financièrement et politiquement, prévoient de passer par la porte tournante pour engranger des profits inimaginables une fois leur mandat au sein de l’administration Biden terminé.

Pour eux, un règlement négocié de ce différend territorial signifie la fin de la vache à lait que représente l’aide américaine à l’Ukraine, qui s’élève aujourd’hui à près de 150 milliards de dollars. [sans compter l’argent européen, NdT]

Lorsque les États-Unis, membre permanent de ce Conseil, sont tombés sous la coupe d’un gouvernement qui cherche à perpétuer une guerre par procuration « aussi longtemps qu’il le faudra », qui considère que la diplomatie est synonyme de mesures coercitives unilatérales pour « réduire le rouble en miettes », comme Biden s’est engagé à le faire, et dont les dirigeants subvertissent les négociations afin de rechercher le profit tout en refusant d’informer correctement leurs propres citoyens de ce qu’ils paient, et qui pousse les fils et les frères de ses supposés partenaires ukrainiens sur un champ de bataille afin de matraquer un rival géopolitique ; lorsque Zelensky et des membres du Congrès américain appellent à des frappes préventives sur la Russie qui contreviennent à l’esprit de l’article 51 de la charte des Nations unies, ce Conseil doit prendre des mesures pour faire respecter cette charte.

Les articles 33 à 38 du chapitre VI de cette charte indiquent clairement que le Conseil de sécurité doit user de son autorité pour garantir un règlement pacifique des différends, en particulier lorsqu’ils menacent la sécurité internationale. Cela ne devrait pas s’appliquer uniquement à la Russie et à l’Ukraine. Ce Conseil a l’obligation de surveiller et de restreindre strictement les États-Unis et la formation militaire illégale connue sous le nom d’OTAN.

Je vous remercie de votre attention.

Max Blumenthal

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone.




Le mensonge sur la maladie de Lyme

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Lorsqu’il s’agit de maladies redoutées, la maladie de Lyme se classe parmi les pires. Cependant, l’histoire du grand public pose un problème majeur. La « nouvelle » maladie n’est apparue que dans les années 1970, les tiques et les « germes » Borrelia ayant été accusés peu après.

Il est temps d’exposer les documents scientifiques sur lesquels repose toute cette histoire et de souligner un autre problème fondamental : comment cette « maladie » peut-elle être diagnostiquée ?

Il s’agit d’un sujet important, car les campagnes de marketing impliquant les tiques comme cause d’une grande épidémie et même comme « armes biologiques » potentielles ont déjà commencé…

[À partir de 1:45]



References




Dr Sam Bailey sur l’histoire du Shedding vaxinal

[Source : @TheAmir]

Par Sam Bailey

Si la quasi-totalité de la communauté des défenseurs de la liberté de la santé s’accorde à dire que les vaccins COVID-19 sont dangereux, de nombreux désaccords subsistent sur les raisons de cette dangerosité. Il y a aussi la question de savoir si l’excrétion de particules par les vaccinés peut rendre malades les non-vaccinés.

Le Dr Peter McCullough a réalisé un travail remarquable en 2021, en mettant en garde le monde contre les dangers des injections de COVID-19. Toutefois, en 2022, nous avons été déçus de le voir applaudir la pseudo-science des virologues. Malheureusement, il suscite aujourd’hui la peur en promouvant l’absurdité de l’excrétion vaccinale.

Examinons l’état des preuves scientifiques concernant le « shedding » et révélons les véritables origines de ce récit.

[À partir de 1:45]



Références




La machine de censure d’Internet de l’UE face aux victimes des vaxins

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Transcription

En ce moment même, des millions de victimes du vaccin Covid errent dans le monde entier à la recherche d’une aide, mais celle-ci ne leur est plus accordée par personne. Ni récemment par la commission STIKO, COMMISSION PERMANENTE DE VACCINATION ALLEMANDE, qui a publié de généreuses recommandations de vaccination pour l’ensemble de la population.
Le chef de la commission STIKO recommande justement à toutes les victimes de vaccinations de taire tout lien entre leur préjudice et les vaccins, afin de pouvoir les aider. Mais là encore, il ne s’agit que de théorie et de poudre aux yeux.
En effet il n’existe plus un seul point de contact pour les victimes de la vaccination. Elles doivent payer elles-mêmes tous les examens, car leurs lésions dues aux vaccins ne sont pas reconnues comme maladie. Le chef de la commission STIKO en personne affirme donc qu’il n’y a pas de problème pour les victimes de la vaccination uniquement si elles n’établissent aucun lien avec une vaccination. Quelle est l’honnêteté de cette affirmation ? Il révèle ainsi pourquoi si peu de dommages liés à la vaccination sont enregistrés. Et le ministre de la Santé justifie également l’absence de centres d’accueil pour les victimes de la vaccination.

C’est ainsi que des millions de personnes atteintes errent depuis deux ans à travers le système de santé. Elles voyagent d’une ville à l’autre parce qu’elles ne sont plus acceptées nulle part pour un traitement ou un diagnostic et parce que les caisses d’assurance maladie ne prennent pas en charge le traitement de la maladie non reconnue.
L’Institut Paul Ehrlich en Allemagne et l’EMA en Europe ne reconnaissent notamment pas les dommages causés par le vaccin Covid-19 comme une maladie en raison d’images cliniques diffuses. Tout le poids est maintenant mis sur les épaules des victimes et des médecins. Par exemple par Thomas Mertens, le chef de la commission STIKO en personne. Il rejette désormais toute la responsabilité du problème des personnes atteintes, qui ne sont pas aidées sur la médecine clinique. Celle-ci doit « créer une définition de cas ». Et c’est là que le bât blesse. Je le cite textuellement :

« Ce que je ne comprends pas bien, c’est pourquoi les coûts du traitement de cette maladie ne sont en principe pas pris en charge par l’assurance maladie. Si quelqu’un, si vous (dit-il à une personne concernée) étiez par exemple allé chez le médecin maintenant, et pas tout de suite en sachant qu’il s’agissait d’un trouble provoqué par un vaccin, alors ces traitements qui suivraient seraient certainement pris en charge par l’assurance maladie. »

On pouvait presque entendre, pendant la courte pause de réflexion, le mot hideux à éviter de « dommage vaccinal ». Avec cette recommandation, le chef de la commission STIKO admet qu’il existe une forte incitation, générée par la réglementation, pour les victimes de la vaccination à ne pas mettre leurs symptômes en relation avec une vaccination. Sinon, elles sont sanctionnées par un refus de prise en charge. Et c’est ainsi que des millions de personnes concernées dans le monde entier sont en train de sombrer dans un chaos délibérément planifié — sans aucune aide, sans aucun pouvoir, sans aucun droit.
Et c’est ainsi que la situation chaotique se développe actuellement dans les chiffres. Il convient toutefois de garder à l’esprit que ces chiffres sont, comme toujours, à comprendre sans aucun des cas non déclarés. Selon des expertises, c’est-à-dire des études spécifiques sur les cas non déclarés, il faudrait ajouter au moins un zéro aux chiffres suivants, voire deux zéros pour certains d’entre eux :

Des données officielles de l’OMS montrent une augmentation spectaculaire des maladies graves après la vaccination contre le Covid-19 : jusqu’à 4 600 %. La liste affichée derrière moi résume une évaluation systématique de la base de données de l’OMS.
Il s’agit de preuves qui résument actuellement environ 200 études. Plus de 200 études supplémentaires attendent d’être examinées et incluses. Celles qui ont déjà été évaluées témoignent d’un lien de causalité pour 53 maladies ou tableaux cliniques. Elles peuvent être consultées dans le cadre bleu sous l’émission, toutes, oui. Toutes les maladies graves se trouvent dans ce fichier, ainsi que les références des travaux scientifiques qui ont prouvé la causalité.

Le point de départ de cette analyse systématique des effets secondaires dont il est prouvé qu’ils sont provoqués par l’injection contre le Covid-19 est la base de données de l’OMS « VigiAccess ». Cette base de données recense une partie des événements sanitaires survenant effectivement après l’injection antiCovid-19, probablement quelque part entre 10 % et 15 %. La base de données de l’OMS a été utilisée comme base pour analyser l’ACCUMULATION de différentes maladies et classes de maladies causées par l’injection antiCovid-19. Nous sommes ainsi en mesure d’illustrer l’évolution des déclarations à la base de données de l’OMS d’« effets secondaires de la vaccination ». Et ce, pour la période du 3 mai 2021 au 3 mai 2023, c’est-à-dire pour deux années complètes.

La valeur qui en résulte est 6,03 fois supérieure : le nombre de notifications de maladies enregistrées dans la base de données de l’OMS est passé de près d’un million et demi de notifications au 3 mai 2021, à près de dix millions au 3 mai 2023. Ces deux chiffres concernent des maladies et non des malades individuels. Au 3 mai 2023, plus de cinq millions de notifications d’effets indésirables étaient enregistrées dans la base de données de l’OMS. Ces rapports couvrent donc, dans la plupart des cas, plus d’une maladie par personne. Cela permet de déterminer comment la fréquence de certaines maladies est influencée par l’injection antiCovid-19.

Si les injections antiCovid-19 n’avaient aucune conséquence sur la santé, les rapports reçus par l’OMS devraient se répartir de manière aléatoire. Il ne devrait y avoir aucune différence dans la croissance globale ou dans la croissance des différentes maladies. Cela signifie que les chiffres calculés mathématiquement dans la dernière colonne du tableau devraient se situer à 100.

Comme le montre le tableau, l’hypothèse n’est pas correcte, mais aussi fausse qu’elle peut l’être. Pour différentes maladies graves, on constate des différences exorbitantes, par exemple un nombre démesuré de + 1 670 % de déclarations pour le syndrome de Basedow, une maladie de la glande thyroïde, un nombre démesuré de + 1 460 % de déclarations pour la péricardite et de + 746 % pour la myocardite, un nombre démesuré de + 1 580 % pour les déclarations de cas d’hépatite auto-immune après l’injection et une augmentation exorbitante de 4 957 % pour le syndrome multi-inflammatoire, souvent mortel, et le cancer, avec une croissance de 493 %.
En parlant de cancer, des centaines de YouTubers qui ont fait la promotion des « vaccins » Covid pendant la pandémie souffrent également aujourd’hui d’un turbo-cancer. Beaucoup d’entre eux ont été payés par le gouvernement et Big Pharma pour convaincre leurs partisans que l’introduction du vaccin était une bonne chose. Regardez une 1re collection de ces influenceurs sociaux désormais en pleurs sur Pravda-TV ; tout l’argent du monde ne leur sert plus à rien et tout secours arrive trop tard pour eux.

Revenons à notre liste. Elle montre également un nombre démesuré de déclarations de mort de fœtus ou de bébés mort-nés, soit 446 % en pourcentage, puis la liste interminable des déclarations de fausses couches qui ont largement dépassé les 375 % de déclarations attendues — ils donnent également l’image effrayante d’une ingérence médicale qui fait des dégâts à grande échelle.
En fait, peu importe ce que l’on considère : le système lymphatique endommagé, les AVC, les maladies du système nerveux central, partout on trouve des feux rouges en mode clignotant permanent.

Mais toutes ces tragédies ne mènent à aucune aide réelle. Elles font partie d’une gestion volontaire du chaos, planifiée avec précision par des élites au pouvoir dénoncées depuis longtemps. Nous nous trouvons au bord du gouffre infernal d’un plan de destruction du monde qui est mis en œuvre de manière ciblée depuis plusieurs décennies. Le professeur Bhakdi et tous les autres l’ont annoncé en temps voulu. C’est maintenant chose faite ! Pourtant, la quasi-totalité des parquets du monde refusent toujours de prendre des plaintes, bien que des dizaines de milliers de plaintes pénales aient été déposées. La population mondiale doit découvrir ensemble pourquoi les variantes les plus diverses de génocides sont actuellement quasiment couvertes par les procureurs et les tribunaux. En effet ils refusent également de nombreuses autres poursuites pénales extrêmement graves. Et ce, malgré le fait que des millions de personnes souffrantes témoignent que les ondes de la téléphonie mobile (Wi-Fi, antennes 4G, 5G, etc.) ont endommagé leur santé. Ils n’ouvrent pas non plus de procédures pénales contre l’escroc Big-Pharma, bien que des milliers d’études spécialisées de haut niveau aient révélé ses œuvres meurtrières et exigé des poursuites. De même, les procureurs et la justice évitent catégoriquement d’engager des poursuites pénales contre les innombrables sectes sanguinaires et leurs meurtres rituels qui ont été découverts. Et ce, bien que d’innombrables victimes témoignent de l’existence de ces réseaux mondiaux de trafic d’enfants et que les réseaux d’agresseurs d’enfants atteignent les plus hauts étages des gouvernements et des hommes de pouvoir de toutes sortes. Aujourd’hui encore, ces mêmes magistrats condamnent de vieux soldats du Troisième Reich comme complices d’assassins du peuple, alors qu’ils n’ont fait qu’obéir à leurs supérieurs en pleine guerre. Ils auraient été des déserteurs s’ils ne l’avaient pas fait.

Mais le Japon a déjà ordonné une enquête sur les vaccins Covid, car le nombre de décès a tellement augmenté qu’on parle d’une crise nationale. C’est un cas prometteur, où la théorie du complot d’hier devient une réalité d’aujourd’hui : les médias grand public rapportent enfin ce que nous avons toujours su. Biden, Fauci et Gates nous ont nourris de désinformation. Il n’y a justement pas eu « de période noire avec des maladies graves et des décès » pour les personnes non vaccinées. En réalité, il s’agit d’une pandémie de personnes vaccinées.
De nouvelles données montrent que le nombre de décès au Japon a augmenté de 400 % depuis que Pfizer a mis sur le marché la troisième dose du vaccin de rappel l’année dernière. « Le nombre de décès excédentaires a été environ quatre fois plus élevé qu’en 2017, 2018, 2019 et 2021 », peut-on lire dans un rapport publié dans The Exposé. Ces statistiques ont ébranlé la classe dirigeante japonaise. Des enquêtes officielles sont donc en cours et des plaintes sont préparées. L’ensemble de la population mondiale doit s’unir de cette manière, en ce moment même. Elle doit appliquer les mêmes critères à tous les détenteurs de pouvoir dans le domaine de la justice et des autorités de surveillance, qui refusent toujours d’agir à l’heure actuelle.

Nous avons besoin de toute urgence d’instances judiciaires nouvelles et indépendantes qui sanctionnent de manière professionnelle toute couverture de génocides attestés et de bellicismes clandestins. Mais, et c’est peut-être la partie la plus grave de toute la tragédie, la plupart de nos contemporains sont comme plongés dans un profond sommeil hypnotique. Du matin au soir, ils fixent à chaque occasion l’écran maudit de leur téléphone portable, se déplaçant d’une zone de rayonnement à une autre. Ce faisant, leurs pensées et leurs émotions sont constamment diminuées par le WI-FI et les antennes de téléphonie mobile. Si cela continue, la plupart d’entre eux ne s’éveilleront que lorsque le chaos sournoisement planifié, les maladies diaboliquement suscitées, la ruine financière, etc. leur tomberont directement dessus. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’ils se rendront compte de ce qui se passe. Mais alors, il sera trop tard — il y aura du retard, mes chers amis.

Pour conclure, je vais donc vous montrer comment l’OMS et l’ONU s’efforcent de tirer profit de notre état d’esprit indifférent. En effet, ce sont justement ces institutions, responsables d’avoir causé de graves dommages à des millions de personnes dans le monde entier, qui tentent à présent de se hisser à la domination unique. Ainsi, au lieu de s’incliner devant les dizaines de milliers de professionnels indépendants, de reconnaître leurs erreurs et de se rendre comme des criminels pris en flagrant délit, ils ajoutent une couche par-dessus. Comme un tueur de masse qui menace tous les témoins et cherche à les tuer, les institutions suivantes menacent tous les témoins de la vérité. Elles le font en prenant des décisions visant à éliminer mentalement, en ligne et par tous les moyens, toutes les vraies voix spécialisées et tous les témoins compétents. De cette manière, elles espèrent échapper aux arrestations et aux lourdes condamnations demandées dans le monde entier. Notez leurs récents « plans d’évasion » en trois étapes :

Le premier a eu lieu le 31 janvier 2023. Dans un article du Foreign Affairs recommandé par l’OMS, des scientifiques de la santé et des fonctionnaires conseillent justement les gouvernements auxquels une grande partie de la population ne fait plus confiance depuis le Covid-19. Ils leur conseillent « d’investir » dans des institutions et des personnes dignes de confiance afin que celles-ci fassent la promotion des mesures en cas de pandémie. En bref, l’OMS incite justement les gouvernements qui ont perdu toute confiance à engager des individus fourbes. Ainsi, ils peuvent en quelque sorte détourner l’attention de tous les « cadavres dans le placard » — et tous les peuples trompés disent à haute voix à ce sujet : « Non, pas comme ça ! Non, pas comme ça ! » Ce dont l’OMS a besoin maintenant, ce n’est pas de candidats fourbes qui font aussi de nouvelles pubs pour elle. Ce qu’il faut maintenant, ce sont des armées entières de procureurs et de fonctionnaires de justice restante qui se dressent contre l’OMS et imposent enfin des poursuites pour les crimes de masse délibérés et dissimulés — il ne s’agit pas seulement de déposer une plainte pénale, mais de l’imposer — et de traîner l’OMS devant un tribunal équitable !

Le 31 mai 2023, soit exactement quatre mois plus tard, les membres de l’OMS ont fait un deuxième pas dans la mauvaise direction. Ils n’ont pu le faire que parce que l’OMS n’avait pas été retirée de la circulation professionnellement. C’est ainsi que les États membres ont adopté une résolution lors de l’Assemblée mondiale de la santé à Genève. Celle-ci demande à tous les gouvernements et à l’OMS de renforcer et d’utiliser systématiquement les sciences comportementales. Cela dans le but de contrecarrer « la désinformation et la mauvaise information liées à la santé » et de garantir ainsi la demande de vaccins, et non notre santé. En clair, cela signifie que des membres de l’OMS ont pris une décision de manipulation de l’opinion publique en toute connaissance de cause ! Et nous disons : c’est exactement le contraire qui doit avoir lieu ici ! L’opinion publique doit encore être totalement informée des crimes de l’OMS et de ses complices.

Mais comme cette nécessité n’a pas non plus été satisfaite à temps, ces destructeurs de peuple sont allés encore plus loin le 13 juin 2023. Ce jour-là, le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, a présenté un programme. Avec celui-ci, l’organisation mondiale veut veiller à ce que les contenus qui perturbent le « consensus empiriquement fondé sur les faits, la science et le savoir » disparaissent des plateformes en ligne et des médias. Car leur capacité à « saper par la désinformation les faits scientifiquement établis “constitue” un risque existentiel pour l’humanité ». En clair, cela signifie que l’ONU veut imposer l’approche européenne de la censure en ligne au monde entier ! Et la censure s’exerce bien entendu comme d’habitude uniquement contre tous les scientifiques réellement indépendants et les médias libres. C’est-à-dire contre ceux qui ont compris toute la tromperie mondiale de Big Pharma et de tout le système de vaccination et qui souhaitent enfin la dévoiler. Parce qu’ici aussi, le débat public exigé a été systématiquement refusé ou a eu lieu dans un cadre trop restreint, les assassins insolents tentent de se rendre intouchables et en même temps tout-puissants par une attaque générale. C’est pourquoi, là aussi, il faut faire exactement le contraire. Ces grands criminels doivent enfin être condamnés par tous les scientifiques véritablement indépendants. Il faut dévoiler la désinformation des véritables criminels grâce au consensus empirique de scientifiques authentiques et indépendants. Car ce sont bien les grands criminels de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS qui ont systématiquement sapé tous les faits authentiques et scientifiquement établis. Ceux qui ont martyrisé les peuples tout au long de la campagne Covid, qui ont causé de graves dommages à la classe moyenne, blessé des millions de personnes et tué des dizaines de milliers d’autres — ceux-là seuls représentent un risque existentiel pour l’humanité. Donc, si la population mondiale ne s’unit pas maintenant pour passer à l’action et mettre en place des tribunaux réellement indépendants, elle sera perdue à court terme. Il n’y a pas d’autre solution : toutes les lois et les institutions judiciaires qui n’ont pas fonctionné pendant la période de plandémie, parce que les signataires autorisés ne se sont souciés de rien, oui, ils n’ont pas bougé le petit doigt malgré des dizaines de milliers de plaintes pénales, doivent être retirés de leur position de pouvoir. Les peuples trompés doivent tous les déclarer démis de leurs fonctions pour haute trahison. Si nous ne le faisons pas, les forces des ténèbres poursuivront leurs plans de destruction totale de tous les lanceurs d’alerte libres et de toutes les vérités salutaires. Alors toute véritable science prendra fin. C’est exactement ce que nous voulons éviter ensemble, d’accord ? Quiconque souhaite apporter son soutien doit s’allier à tous les scientifiques libres, aux services juridiques et aux médias libres. C’est-à-dire avec ceux qui ont encore le courage de s’opposer à cette conspiration mondiale de la santé.

Il n’y a qu’un seul comportement pratique correct à avoir vis-à-vis de toutes ces calamités : prenez cette émission et diffusez-la partout où vous pouvez. Faites de même avec toutes nos émissions phares de Kla.TV. Dans nos douze rubriques, vous trouverez des révélations sur de nombreuses autres formes de ce chaos délibérément attisé. Engagez-vous d’une manière ou d’une autre, par exemple en vous inscrivant aujourd’hui même sur « Kla.TV — devenir actif ! » (www.kla.tv/aktiv-werden). Participez à cette lutte pour l’information tant que la censure totale n’est pas encore là — mais elle pourrait bien être une amère réalité dès demain, couverte par la loi. Ce serait alors notre problème.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

Vetopedia, l’encyclopédie libre des contre voix. Vetopedia établit une vue d’ensemble des cas de dommages liés à la vaccination. Il est ainsi possible de vérifier si ceux-ci sont effectivement aussi rares dans la réalité que ce qu’admettent les instances officielles.

Utilisez vous aussi la plate-forme de déclaration contradictoire Vetopedia.org pour signaler les cas de dommages dont vous avez connaissance. Faites connaître cette possibilité aux victimes de la vaccination, afin que les cas de dommages liés à la vaccination ne soient plus passés sous silence, mais qu’ils soient rendus publics.

de is.

Sources/Liens :




Le Nouvel Ordre Économique Mondial avec Philippe Béchade

[Source : Idriss J. Aberkane]

Monnaie digitale de banque centrale confiscable et périssable d’une part, monnaie de réserve internationale basée sur l’or pour les BRICS d’autre part, ETF de Blackrock sur le Bitcoin (et prise de contrôle prochaine du marché crypto ?), nous avons beaucoup d’événements majeurs et mineurs à analyser. L’économiste Philippe Béchade, membre fondateur des Econoclastes et de la Chronique Agora avec bientôt 40 ans d’expérience en finance, économie et gestion de patrimoine, nous vient nous former et nous informer.




Le plan des fascisto-mondialistes : nous exterminer !

[Source : RL]

Par Victor Hallidée

Si on veut comprendre le monde dans lequel on vit, il faut savoir ceci. Le but des fascisto-mondialistes est d’exterminer les 4/5 des habitants de la planète. À commencer par les populations occidentales, européennes et tout particulièrement française.

Après la piquouzerie généralisée, première phase du camp de concentration à ciel ouvert, dont le piquouzé paye l’entrée (ce faisant, les jouisseurs soixante-huitards ont fait plus fort qu’Adolf…), après les préparations de pénuries alimentaires (détruire le fin maillage économique, détruire notre production bon marché d’énergie nucléaire, zigouiller les vaches, brûler les fermes aux USA, supprimer les fermes hollandaises…). Ajoutez à cela le régime répugnant réservé aux gueux, pollué par des farines d’insectes. Mais il va sans dire que le plus efficace pour réduire drastiquement les populations a toujours été la guerre.

The Economist avait dit ça il y a 20 ans déjà, c’était dans l’air. Réduire la population qui prolifère comme vermine, menace inutilement l’espace vital des oligarchies, consume la nature et consomme l’énergie qui conditionne leur confort.

Ravis et sans complexe, les journaleux de The Economist faisaient un « éloge écologiste » de la guerre qui détruit les populations femmes, enfants et vieillards compris : « C’est fou comme la faune et la flore se portent mieux quand on exclut l’humain de l’équation », disaient-ils.

C’était prévu dès le covid, le Choupinet de l’Élysée a pilonné le cerveau des téléspectateurs aux heures de grande écoute pour les habituer à cette idée : « Nous sommes en guerre, nous sommes en guerre… ».

Un refrain étudié pour que « ça rentre », ça imprime.

Les oligarchies criminelles de la gouvernance Davos étaient en effet vraiment en guerre, non pas contre un pseudo-virus, mais contre nous, la population.

Ils ont dû bien rigoler de nous cracher le morceau dans le pif, via leur petit valet pestilentiel, au beau milieu de l’écran télé, mine de rien !

Et maintenant qu’ils ont testé avec succès la soumission des populations autochtones — comme les Juifs autrefois, celles-ci ne peuvent croire que le projet des dirigeants est de les sacrifier comme on le fait d’un troupeau de bestiaux — ils vont faire ce qu’il faut pour susciter contre la France la riposte des Russes, exactement comme ils l’ont fait en Ukraine.

Comme nous pouvons le constater, par les entretiens d’humoristes avec Attali et Hollande, les oligarchies fascisto-mondialistes ne veulent en aucun cas faire la paix avec les Russes. Au contraire, ils veulent approfondir, accentuer, accélérer les processus de guerre… jusqu’à l’emploi du nucléaire. Pousser les Russes à la riposte, pour qu’ils en endossent les responsabilités, qu’ils portent le chapeau si ça devait tourner mal.

Ces ordures mondialistes n’attendent que ça, la guerre, pour détruire les nations européennes. Comme ils l’ont fait pour la Yougoslavie. La guerre ethnique fait aussi partie du tableau. Sauf qu’en Europe il fallait la submersion migratoire pour obtenir ce poison propice à la guerre civile.

Diviser pour régner… il est facile d’imaginer l’opportunisme meurtrier et pillard des migrants et autres « racisés » si éclate une guerre de la France avec la Russie.

C’est précisément le moyen d’extermination des populations autochtones choisi par ces infâmes oligarchies. Celles-ci aiment tant l’argent, le pouvoir et le cul des petits enfants, s’approprier leurs organes et cellules souches, qu’il leur importe peu de vendre la corde pour pendre leurs propres père et mère, leurs enfants, leur civilisation.

Des ordures, des nuls, mais des criminels d’envergure. La seule chose qu’ils ont fait progresser, c’est le génocide. Leur ambition sur ce plan est mondiale. À côté d’eux, Hitler est une petite pointure.

Et ils sont pressés de passer à la phase suivante : la solution finale !

Celle qui leur permettra de jouir de leur statut de Maîtres du monde qui leur donnera tous les droits sans s’encombrer de faux-semblants.

Le problème est qu’ils sont très pressés, car le temps passe et nombre d’entre eux, vieux ou vieillissants, rêvent d’autant plus fort de devenir des Dieux grâce au transhumanisme qu’ils ne sont pas sûrs d’accéder assez vite à l’éternité.

L’ambition, l’avidité démesurées et la hâte, la précipitation inquiète sont mauvaises conseillères… La folie les guette au coin du bois.

Saisissons cette chance, nous savons ce qu’ils veulent faire, et ils savent que nous le savons.




Les mondialistes préparent un choc financier, en voici la preuve

[Source : birchgold.com]

[Photo : Talashow]

[NDLR Passages surlignés en jaune par le traducteur.]

Par Brandon Smith

À la fin du mois de juin, des chefs de gouvernement du monde entier se sont réunis à Paris à l’occasion du Sommet pour un nouveau pacte financier mondial. Parmi les participants figuraient le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, la secrétaire au Trésor américain, Janet Yellen, la directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, et le président de la Banque mondiale, Ajay Banga.

L’objectif supposé du sommet était de trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les « émissions qui réchauffent la planète ». Comme pour tous les événements liés au changement climatique, la discussion à Paris s’est inévitablement orientée vers la centralisation internationale du pouvoir et la formation d’un consortium mondial pour résoudre les problèmes que, selon eux, les nations souveraines ne peuvent ou ne veulent pas résoudre.

Cependant, ce que j’observe de plus en plus ces deux dernières années, c’est une convergence de récits…

Les banques centrales et les institutions financières mondiales sont soudain plus préoccupées par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation et la détérioration de l’économie. Probablement parce que c’était le but recherché depuis le début.

L’effondrement économique fait partie du plan.

Le « changement climatique » est un écran de fumée

Les mondialistes utilisent désormais la question du changement climatique comme un cheval de Troie pour leurs plans visant à accroître leur contrôle sur la finance internationale et l’autorité monétaire. En d’autres termes, ils ne cachent plus que l’agenda du changement climatique fait partie de l’agenda de la Grande Réinitialisation. Ils suggèrent même que la menace du changement climatique soit utilisée comme un tremplin pour donner aux banques mondiales encore plus de pouvoir pour contrôler la distribution des richesses et abattre le système existant afin de le remplacer par quelque chose d’autre.

Quelque chose de « meilleur » et de « plus juste ». Quelque chose qu’ils contrôlent encore plus complètement.

Le président français Emmanuel Macron a déclaré aux délégués du sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc financier public » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant une « équité » pour les nations moins riches. Il a également affirmé que le système actuel n’était pas adapté pour relever les défis mondiaux.

Les intervenants de l’événement ont suggéré que le cadre économique international avait été mis à mal par de multiples crises, notamment la pandémie et la guerre en Ukraine. Cependant, ils se sont concentrés sur « la spirale du coût des catastrophes climatiques intensifiée par le réchauffement climatique » pour expliquer la déstabilisation actuelle des systèmes financiers.

Il s’agit évidemment d’un non-sens, mais cela correspond au récit que les mondialistes tentent de mettre au point.

Cela donne à peu près ceci :

  • – L’objectif du système financier mondial est de redistribuer les richesses.
  • – L’un des aspects de chaque crise est la perte financière (à la fois directe, sur les victimes, et indirecte, y compris, par exemple, la baisse de la productivité ou l’augmentation des taux d’assurance).
  • – Les banques centrales, qui ne peuvent pas empêcher les tremblements de terre, peuvent remédier aux pertes financières, généralement par la planche à billets.
  • – Les banques centrales utilisent donc la réponse à la crise comme excuse pour s’engager dans l’inflation monétaire
  • – … ce qui rend les victimes de la crise plus dépendantes du gouvernement centralisé
  • – et donne aux banques centrales un argument convaincant pour accroître leur propre pouvoir.

Comme nous ne le savons que trop bien, en l’absence d’une crise médiatiquement acceptable, les mondialistes sont parfaitement heureux d’en inventer une.

Je pense qu’il n’y a pas de crise climatique d’origine humaine, pas de « réchauffement climatique anthropique », comme je l’ai décrit précédemment.

Mais combien de personnes peuvent être amenées à croire qu’il y a une crise climatique et qu’elle constitue une menace existentielle pour notre civilisation ? Comment exploiter cette peur hystérique ?

Ne jamais gaspiller une crise

Mia Mottley, Première ministre de la Barbade, a plaidé en faveur d’une réorganisation des rôles de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international pour faire face à la crise climatique. Elle affirme :

« Ce qui nous est demandé aujourd’hui, c’est une transformation absolue et non une réforme de nos institutions… »

Il s’agit d’un thème commun aux mondialistes. « Nos institutions dépassées n’ont pas le pouvoir de prévenir les catastrophes. »

En d’autres termes, [selon les mondialistes] les institutions financières mondialistes devraient se voir accorder un pouvoir absolu et être chargées de l’utiliser de manière responsable.

Antonio Guterres, chef de l’ONU, a déclaré que le système financier mondial actuel, conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre des accords de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il « perpétuait, voire aggravait, les inégalités ».

En d’autres termes, il plaide pour un nouvel ordre mondial.

« Nous pouvons prendre des mesures dès maintenant et faire un pas de géant vers la justice mondiale », a-t-il déclaré. Il a proposé une relance de 500 milliards de dollars par an pour des investissements dans le « développement durable » et « l’action climatique ». Il a également présenté un plan visant à utiliser les droits de tirage spéciaux (DTS) du FMI comme outil pour « stimuler la liquidité mondiale ».

Posez-vous la question : que s’est-il passé la dernière fois que les banques centrales ont décidé de stimuler la liquidité mondiale ?

C’est exact : la pire crise économique des cinquante dernières années.

Les banquiers centraux vous diront que ce n’est pas eux, mais la Covid, l’invasion de l’Ukraine et le changement climatique.

C’est absurde. Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché la plus forte inflation depuis une génération. Ce qui a conduit les banques centrales à augmenter les taux d’intérêt en période de faiblesse économique, ce qui a toujours provoqué l’explosion de la dette et des désastres économiques dans le passé.

Les banquiers et les mondialistes ont causé le problème ! Ils ne devraient pas être chargés de le résoudre.

Pourtant, ils sont là, cherchant à prendre le contrôle et à instituer un plan d’égalité mondiale de type Grande Réinitialisation pour résoudre la calamité qu’ils ont créée.

On pourrait considérer tout cela comme de simples intrigues de palais, des bureaucrates qui se battent pour obtenir des budgets plus importants et des mandats plus ambitieux. Je pense que cela mène à un endroit beaucoup plus sombre…

L’impôt mondial sur la fortune

L’année dernière, les Nations Unies ont proposé que les économies développées et émergentes, y compris les États-Unis et la Chine, paient une sorte de « taxe sur le succès » d’au moins 2,4 milliards de dollars par an, en raison de leurs émissions de carbone. Cette taxe permettrait de créer un fonds de lutte contre le changement climatique, dont l’argent serait redistribué aux pays les plus pauvres.

D’autres idées sur la table incluent la taxation des bénéfices tirés des combustibles fossiles et des transactions financières, dont les recettes iraient au fonds de lutte contre le changement climatique. (En d’autres termes, ils espèrent taxer les compagnies pétrolières et gazières jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le citoyen moyen ne peut plus se permettre de conduire.)

Le président français adore l’idée d’une taxe internationale sur les émissions de carbone provenant du transport maritime, censée rendre le fret outre-mer plus coûteux afin de réduire la demande en matière de fabrication et d’exportation.

Quel est le point commun de ces projets ?

Ils visent tous à gonfler les prix, ce qui a pour effet de réduire la consommation.
C’est l’objectif déclaré. Mais il s’agit d’un projet beaucoup plus vaste.

Il est important de comprendre que le changement climatique n’est rien d’autre qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle des institutions mondialistes existantes telles que le FMI, la BRI, la Banque mondiale et l’ONU.

Le versement annuel des nations les plus riches dans les coffres des institutions mondiales est un acte d’hommage, une preuve de fidélité. C’est aussi un moyen pour des groupes comme le FMI de créer un système de plus grande interdépendance.

Si d’importantes sommes d’argent transitent par les institutions mondialistes, celles-ci deviennent les arbitres de la redistribution de ces richesses. Elles peuvent facilement mettre en place un système de récompenses et de punitions.

Elles peuvent punir les pays qui ne suivent pas servilement leur diktat et s’occuper des pays qui se plient à leurs exigences.

Je soupçonne que tout cela aboutisse à une crise monétaire artificielle que les mondialistes utiliseront comme une occasion d’introduire enfin leur modèle de CBDC (Central Bank Digital Currency). Une fois les CBDC mises en place, le pouvoir des banquiers centraux de dominer le public sera complet. Un système sans argent liquide, sans confidentialité des transactions et avec la possibilité de fermer les comptes bancaires des individus et des groupes à volonté ?

C’est le scénario rêvé des totalitaires.

Ce n’est pas une erreur si le public est constamment bombardé de propagande sur le réchauffement climatique ces jours-ci — les pouvoirs en place ont besoin d’une crise existentielle comme générateur de peur. Lorsque les gens ont peur, ils ne réfléchissent pas rationnellement et se tournent souvent vers les pires dirigeants possibles pour les soulager. Et une menace mondiale exige une réponse mondiale, n’est-ce pas ?

La propagande catastrophiste sur le changement climatique, si elle est acceptée par le public, permettra un large éventail de changements systémiques qui n’ont rien à voir avec l’environnement et tout à voir avec la domination financière.

La taxation et la redistribution des richesses nationales. L’imposition du FMI et de la Banque mondiale en tant que médiateurs pour les fonds mondiaux. L’utilisation du panier de DTS du FMI comme monnaie globale de facto. L’introduction des CBDC et d’une société sans numéraire. Aucune de ces mesures n’aurait d’incidence sur le changement climatique, même s’il s’agissait d’une menace légitime, à moins bien sûr que l’intention ultime ne soit de détruire l’économie au point que l’industrie meure, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

Elles peuvent tourner cela comme ils veulent, mais lorsque les élites appellent à un « choc financier », elles appellent en réalité à un étranglement dramatique du système économique mondial, de sorte qu’il ne puisse plus répondre aux besoins du monde.

Lorsqu’elles réclament une taxation et un tribut à l’échelle mondiale au nom de l’« égalité », elles n’essaient pas de rendre tout le monde également riche, elles veulent que tout le monde soit également pauvre. Et lorsqu’elles réclament une surveillance centralisée des nations au nom de la sauvegarde de la planète, ce qu’elles veulent en réalité, c’est une gouvernance mondiale.

Une solution pour préserver votre liberté financière personnelle est de diversifier votre épargne avec des métaux précieux physiques. L’or et l’argent existent en dehors du système financier mondial. C’est l’une des rares formes d’argent à valeur universelle, respectueuse de la vie privée, qui ne peut être annulée en appuyant sur un bouton.

Si vous croyez, comme moi, à la liberté et à la responsabilité personnelle, vous savez probablement déjà que posséder de l’or et de l’argent est un moyen éprouvé de protéger vos économies durement gagnées contre les crises imaginaires et les mondialistes cupides.

[Note de Joseph : l’or et l’argent ne se mangent pas, mais se volent facilement. La Terre peut servir à cultiver, mais les élites travaillent à supprimer toute propriété privée pour ceux qui n’appartiennent pas à leur clan, ceci notamment en augmentant les taxes sur les propriétés foncières et en mettant en place des normes de plus en plus contraignantes et dispendieuses. La seule richesse qu’ils ne peuvent dérober est d’ordre intérieur. Nous nous trouvons probablement à l’apogée d’une guerre spirituelle multimillénaire et la pression exercée sur le plan matériel ne peut alors trouver d’exutoire véritable et viable sans une connexion suffisante aux plans psychique et spirituel pour y puiser les meilleures solutions concrètes ainsi que la force, le courage et la volonté de manifester adéquatement ces dernières, c’est-à-dire avec abnégation, intelligence, amour et sagesse.]




La Malaria aux USA grâce à Bill Gates ?




Thierry Breton, le néo-fascisme tranquille

[Source : vududroit.com]

Par Régis de Castelnau

La France traverse une crise politique majeure. L’État n’est plus en mesure de contrôler son territoire. Et que dire de l’économie. Les deux tiers des Français haïssent Emmanuel Macron. Qui piétine les libertés publiques et met en place un régime néofasciste. Et pour faire bon poids, il fournit à un régime en panique des missiles de croisière pour frapper le territoire de la Russie. C’est-à-dire que tranquillement il déclare la guerre à la première puissance nucléaire du monde. Le gouvernement est muet, l’ensemble de la classe politique représentée au Parlement fait de même. Pas un élu, à l’exception de Dupont Aignan, aucune autorité intellectuelle ou morale n’élève la voix pour s’inquiéter de l’abîme vers lequel cet homme emmène le pays.

Pour la mise en place de ce qui commence à ressembler à un régime néofasciste (même Julien Dray commence à s’inquiéter), Macron dispose d’hommes de main qui n’ont aucun scrupule. Il faut écouter l’effarant entretien donné par le commissaire européen Thierry Breton à France Télévisions, où l’intéressé vient annoncer triomphalement qu’il est arrivé à ses fins avec la mise en place d’une réglementation européenne de censure a priori sur les réseaux sociaux. Rappelons que ce personnage, quintessence du Capital endogame à la française, a été nommé à la Commission européenne en remplacement d’une autre haute fonctionnaire adepte du pantouflage gourmand, choisie par Macron, mais refusée par le Parlement européen pour cause de rapports jugés trop élastiques avec la morale publique.

Breton s’est récemment signalé par des vitupérations contre les réseaux sociaux, qu’il accuse à demi-mot de véhiculer une parole d’opposition politique aux oligarchies en place. Sous prétexte de lutter « contre la haine en ligne », il décrit un dispositif destiné en fait à bâillonner toute parole dissidente. Il n’a d’ailleurs pas hésité à citer comme devant être interdits les « appels à la révolte » ! La tentation néofasciste du personnage saute aux yeux, tant dans l’attitude que dans le choix des mots. Breton, donc, a fait adopter par le Parlement européen un texte qui reprend toutes les mesures proposées naguère par Emmanuel Macron, par l’intermédiaire de l’ex-députée Laetitia Avia et de la loi dite « Avia », votée par le Parlement-Playmobil du premier mandat — et quasi intégralement censurée par le Conseil constitutionnel puisque jugée attentatoire à la Constitution et notamment à la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Notre cour suprême, pourtant fort indulgente en général avec Macron, avait fait sortir l’horreur liberticide qu’était la loi Avia par la porte ; Thierry Breton la fait rentrer par la fenêtre. On en veut pour preuve cet hallucinant entretien passé à décrire tous les moyens administratifs qui permettraient d’instaurer une censure administrative a priori en piétinant tous nos principes.

[Voir aussi :
Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies]

La censure, nouvelle passion de la « gauche »

En France, une « gauche » minoritaire et paniquée nourrit une nouvelle passion pour la censure. Ces jours derniers plusieurs exemples de ce tropisme ont d’ailleurs fait réagir : citons la campagne contre le pluralisme avec l’affaire Geoffroy Lejeune au JDD, les déclarations de Pape Ndiaye sur Europe1 et CNews, médias « clairement d’extrême droite », ou encore les provocations du « philosophe » Geoffroy de Lagasnerie, qui affirme que la pensée de droite n’existe pas.

Il est malheureusement nécessaire une fois de plus de rappeler que la conflictualité est inhérente au politique et qu’elle s’exprime et se résout dans l’espace public. Le propre d’un cadre normatif dans un système démocratique est justement de permettre le débat et l’affrontement des opinions, le juge de paix étant l’élection. L’application de ces principes est de plus en plus problématique pour les blocs oligarchiques au pouvoir dans les pays occidentaux. On y revendique et brandit les « valeurs démocratiques » comme étant universelles, mais on s’efforce par tous les moyens de faire taire les paroles dissidentes. Une tâche rendue plus compliquée par l’existence des réseaux sociaux, plateformes qui ont réalisé une véritable révolution en donnant une parole en temps réel au plus grand nombre, ce qui est quand même, qu’on le veuille ou non, un progrès démocratique. Cette parole charrie comme toujours le pire et le meilleur, et il est quand même inquiétant de voir qu’en France, le pouvoir d’État réagisse comme il le fait avec une succession de lois liberticides. La loi Avia, à juste titre censurée, n’avait été qu’un avatar d’une entreprise d’encadrement mise en œuvre depuis l’arrivée d’Emmanuel Macron, dont l’absence de culture démocratique impose de rappeler que la démocratie est fondée sur l’égalité de n’importe qui avec n’importe qui. Et que l’accès à l’expression et au débat du plus grand nombre ne devrait pas être considéré comme un danger.

À la fin du XIXe siècle, lorsque la IIIe République fut suffisamment bien établie, et afin de garantir le respect de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen fut adoptée une loi de protection de la liberté d’expression. Parmi ses principes figurait celui que cette liberté fondamentale pouvait être limitée si nécessaire par la loi, mais dès lors que les restrictions étaient strictement proportionnées à l’objectif d’intérêt général poursuivi et que le contrôle de ce nécessaire équilibre n’appartenait qu’au Juge. La loi sur la presse de 1881 fonctionne depuis presque 140 ans, et jusqu’à présent, on pouvait considérer que la liberté d’expression existait dans notre pays. Malheureusement, depuis le mandat de François Hollande et maintenant d’Emmanuel Macron, la France a dégringolé dans les classements internationaux de la liberté de la presse, « la patrie des droits de l’homme » se trouvant aujourd’hui à la 34e place sur 180…

Thierry Breton, autocrate assumé

Après la Deuxième Guerre mondiale, un encadrement juridique destiné à garantir l’indépendance, le pluralisme et la transparence de la presse nationale avait été adopté. Il a été soigneusement détruit, et aujourd’hui la presse audiovisuelle et écrite est entièrement entre les mains de l’oligarchie. L’îlot du service public n’y échappe pas, puisqu’il est au service du pouvoir politique mis en place par cette même oligarchie avec le coup d’État judiciaire de 2017. L’existence d’une expression dissidente via les réseaux sociaux est donc considérée comme insupportable, et les agents du pouvoir multiplient les tentatives pour la faire taire.

Le texte présenté par Thierry Breton contient un certain nombre d’horreurs et la première d’entre elles est relative au fait que c’est l’autorité administrative qui désormais décidera de ce que l’on peut dire ou ne pas dire sur les réseaux. Une équipe de flics de la pensée aux ordres de ce nouveau ministre de la Vérité pourra sommer n’importe quel site, quelle que soit sa taille, de supprimer dans les 24 heures des textes qu’elle juge contraires à la loi. La défaillance dans la suppression immédiate pourra être sanctionnée, par l’interdiction dans le pays considéré et pour ce qui nous concerne la France. Il est clair que les grandes plates-formes comme Facebook, YouTube ou Twitter vont non seulement poursuivre leur censure a priori qui existe déjà, mais pourraient aussi, par précaution, déférer à toutes les demandes de suppression émanant des officines européennes opaques. Elon Musk souhaite faire de Twitter, qu’il a racheté, un espace de libre expression ; Thierry Breton, tout à sa pulsion néofasciste, en a fait une de ses cibles principales. Le système d’intimidation ainsi adopté n’est pas destiné à « lutter contre la haine », mais bien à réprimer la liberté d’expression en ligne. Le commissaire européen a tranquillement assimilé à des messages de haine les appels à la révolte. Rappelons encore une fois qu’il s’agit là des mesures contenues dans la loi Avia, démantibulée par la décision du Conseil constitutionnel, dont le projet de Breton est un décalque.

Toute cette entreprise n’est que le prétexte pour mettre les réseaux au pas. Et n’oublions pas que le pouvoir d’Emmanuel Macron est dès le départ un pouvoir minoritaire. Cette minorité est parfaitement assumée, mais a pour conséquence — indispensable à son propre maintien — d’avoir conduit à une dérive autoritaire qui a pris des proportions plus qu’inquiétantes. L’usage de la police et de la justice contre les Gilets jaunes et les autres mouvements sociaux, les grands médias complètement enrégimentés et la destruction méthodique de la liberté d’expression sont les armes utilisées par Emmanuel Macron pour mettre en œuvre sa feuille de route. Et cette fois-ci, face aux principes fondamentaux de la République française qui s’y opposent, on utilise l’Union Européenne et la violation de notre souveraineté pour les contourner et mettre en place un système autocratique dont Thierry Breton est l’un des gardes-chiourme.

S’y opposer est un devoir. Avant qu’il ne soit trop tard.




Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?

[Source : Conscience du peuple]

Comme je le martèle depuis la sortie du film « Sound of freedom », celui-ci sert à associer le trafic d’enfants (qui est bien réel) aux délires conspirationnistes Qanon et aux promoteurs du « great awakening ». C’est ça le but de l’opération psychologique !

On peut donc s’attendre que les mots-clés « trafic d’enfants », « traite humaine » seront ajoutés à la liste des motifs de censure et que les dénonciations de ces réseaux pédophiles seront perçues comme un DÉLIRE RELIGIEUX, une THÉORIE COMPLOTISTE et une MALADIE MENTALE !

Isabelle



Voilà le but… entre autres :






Gilles Ghesquière : le CNT, les Khazars & l’Intelligence Artificielle qui ne remplacera pas l’Humain

[Source : Tribune Libre via PG]

Pour Tribune Libre, le 4 juillet 2023, Stéphanie Reynaud interviewe Gilles Ghesquière, architecte, ingénieur logiciel spécialisé dans la 3D, l’IA, le Web, etc., mais également ingénieur mécanicien/métallurgiste ayant une bonne connaissance des process industriels. Gilet Jaune et membre du Conseil National de Transition (CNT), il nous parle des objectifs du CNT, de Démosophie, de l’empire Khazar, de l’Intelligence Artificielle au service de l’Humain et d’espoir.
➡ Pour consulter le site de Démosophie : https://www.demosophie.com

[NDLR Gilles Ghesquière semble particulièrement optimiste et confiant dans les capacités de ce CNT.]




Témoignage intense d’une Québécoise victime de pédophilie




L’Ukraine ne mérite aucun respect et n’a sa place ni dans l’OTAN ni dans l’UE !

[Source : ripostelaique.com]

Par Jacques Guillemain

Non, l’Ukraine ne mérite aucun respect et n’a sa place ni dans l’OTAN ni dans l’UE ! Ce n’est pas notre guerre et l’UE n’a nul besoin d’un énième boulet à traîner au détriment des pays contributeurs nets, dont la France.

Si nous voulons ruiner nos agriculteurs, intégrons l’Ukraine dans l’UE !

Déçu de voir la candidature de Kiev à rejoindre l’OTAN, rejetée lors du sommet de Vilnius, Zelensky étale son amertume.

En effet, le communiqué des alliés n’est pas exactement ce qu’attendait le chouchou des médias, qui pense que tout lui est dû.

« Nous serons en mesure d’adresser à l’Ukraine une invitation à rejoindre l’Alliance lorsque les alliés l’auront décidé et lorsque les conditions seront réunies. »

Difficile de faire plus flou pour dire non. S’il s’agit de combattre la corruption, Kiev peut attendre mille ans.

« Il semble qu’il n’y ait aucune volonté de faire de l’Ukraine un membre de l’Alliance », a déclaré celui qui se prend encore pour le Churchill ukrainien. Et d’ajouter : « L’Ukraine mérite le respect » !

Mais quel respect ?

  • Du respect pour un régime mis en place en 2014 par un coup d’État de la CIA ?
  • Du respect pour l’un des pays les plus mafieux et corrompus de la planète ?
  • Du respect pour un pouvoir qui revend sur le darknet les armes que lui livre l’Occident ?
  • Du respect pour une équipe qui a détourné 400 millions de dollars d’aide occidentale selon la CIA ?
  • Du respect pour un pays qui n’a jamais appliqué les accords de Minsk, lesquels auraient évité la guerre ?
  • Du respect pour un régime qui a persécuté les populations du Donbass pendant huit ans ?
  • Du respect pour des unités nazifiées qui ont commis les pires crimes de guerre et fait 15 000 victimes dans le Donbass ?
  • Du respect pour une armée qui a exécuté des prisonniers russes au mépris des lois de la guerre ?
  • Du respect pour un Zelensky qui voudrait utiliser l’arme atomique contre Moscou à titre préventif ?
  • Du respect pour un régime qui laisse massacrer son peuple selon le bon vouloir de Washington ?
  • Du respect pour un pouvoir qui monte des scènes de crimes de guerre pour diaboliser Poutine ?

Assez de mensonges, de turpitudes en tous genres et d’hypocrisie. L’Ukraine s’est mise elle-même dans le pétrin depuis 2014.

Dès lors que les Américains renversaient en 2014 un régime prorusse élu démocratiquement, tout en prétextant défendre la démocratie, Kiev ne pouvait que semer les germes d’un affrontement futur avec Moscou.

Poutine n’a jamais été l’agresseur puisqu’il est venu secourir, à leur demande, les populations du Donbass martyrisées par Kiev depuis huit ans.

La contre-offensive qui devait convaincre les Occidentaux du bien-fondé de leurs gigantesques investissements en Ukraine est un fiasco. Le ministre russe de la Défense Choïgu vient d’en faire le bilan. Un carnage sans fin. Pas une seule attaque ukrainienne n’a atteint la première ligne de défense russe.

https://fr.sputniknews.africa/20230712/cest-un-massacre-temoignage-dun-mercenaire-irlandais-sur-la-contre-offensive-de-kiev-1060482362.html

« Sergueï Choïgu a révélé mardi 11 juillet que 26 000 militaires ukrainiens avaient été tués et 3 000 unités d’équipement détruites depuis le début de la contre-offensive de Kiev le 4 juin dernier. Il a détaillé que l’armée ukrainienne avait perdu 21 avions, cinq hélicoptères, 1 244 chars et autres blindés, dont 17 Léopard et 12 Bradley, ainsi que 403 pièces d’artillerie et obusier, dont 43 systèmes américains M777 et 46 canons automoteurs livrés à Kiev par la Pologne, les États-Unis et la France. »

Marc Legrand donne les mêmes chiffres.

« Trente-huitième jour de contre-offensive infructueuse pour Kiev, dont les pertes, depuis le 4 juin, s’élèvent à plus de 25 950 tués… alors que l’armée ukrainienne s’accroche à la tête de pont établie de l’autre côté du Dniepr, au sud de Kherson. »

« Énième échec sur le saillant de Vremivka (Vremevka), tandis que l’armée ukrainienne subit de cruels revers dans le secteur de Liman et, plus encore, dans le Donbass… Ce mardi, Kiev a perdu 540 KIA (tués au combat) et 620 WIA (blessés au combat). »

Cela dit, si Biden fait tout pour prolonger l’agonie de l’Ukraine, en espérant tenir jusqu’aux élections américaines de 2024, l’Europe, saignée militairement et économiquement, serait bien avisée de calmer les ardeurs de Washington.

Évidemment, Macron, le valet le plus servile de Biden, attise les braises du conflit et veut que Kiev puisse frapper la Russie en profondeur, puisque les SCALP portent à 500 km. Ni le peuple ni le parlement français n’ont été consultés. Macron décide de tuer des Russes, donc de faire la guerre à la Russie, tel un dictateur. Une telle décision est gravissime, mais le pire, c’est que les Larcher, les Wauquiez, les Le Pen, les Mélenchon, laissent faire. Il n’y a plus d’opposition en France.

Macron mène tout seul sa guerre contre Poutine.

Il serait temps de comprendre que le potentiel russe est quasiment intact et que si les Occidentaux n’ont plus de munitions, les stocks russes sont encore colossaux. Et je ne crois pas que Pékin laisserait Moscou manquer de quoi que ce soit pour vaincre l’OTAN, qui rêve de s’installer en Asie pour contrer la Chine. L’artillerie russe ne manquera jamais d’obus.

Kiev a sans doute perdu 350 à 400 000 tués pour une population de 44 millions d’habitants.

Moscou a perdu dix fois moins de soldats pour une population de 144 millions d’habitants.

Proportionnellement à sa population, la Russie perd trente fois moins de soldats que Kiev.

L’OTAN peut bien promettre toute l’aide qu’elle veut à Kiev, jusqu’à la fin des temps, tout cela n’est que du vent et ne donnera jamais la victoire à l’Ukraine.

C’est Poutine et lui seul qui détient les clés du dossier ukrainien.

Prépare-t-il une offensive russe pour avaler Kharkov, Odessa et la Transnistrie ? A suivre. Mais les Russes ne pourront jamais protéger Sébastopol sans tenir toute la côte nord de la Mer Noire.

De toute façon, si les Russes lancent une vaste offensive, les Occidentaux n’auront d’autre choix que de laisser faire en aboyant de loin. Même si l’OTAN livre ses F-16, ses F-18 et ses Typhoon, les Sukhoï et les MIG russes de 5e génération les détruiront.

Les Américains ont une puissante aviation et une belle marine, mais ils n’ont pas de forces terrestres capables de vaincre l’armée russe. Ils n’enverront donc jamais leurs légions en Ukraine. Les mercenaires se font étriller, c’est suffisant.

Voilà 30 ans que l’Occident et surtout l’Europe récoltent les dividendes de la paix, pendant que Poutine reconstruisait son armée et donnait à ses généraux une avance technologique de dix ou 20 ans sur l’OTAN. Il fallait vraiment méconnaître le niveau des scientifiques russes pour parler comme nos généraux au début du conflit, qui ricanaient sur cette armée russe restée à l’ère soviétique et totalement dépassée. On les entend beaucoup moins ces bons à rien étoilés qui n’ont jamais fait la guerre.

Le problème d’une grande offensive russe est qu’elle sera très coûteuse en vies humaines, alors que Poutine préserve au maximum la vie de ses soldats, contrairement à Zelensky.

Par conséquent, aussi longtemps que l’Ukraine perd plus de 1000 combattants par jour, tués et blessés, les Russes peuvent faire le choix de rester sur leurs positions défensives jusqu’à l’usure des opinions occidentales. Car en Europe la rentrée sera dure.

Sur le plan économique, tout va bien en Russie et plus de 80 % des Russes soutiennent leur chef de guerre. Et les 3/4 de la planète également, Asie, Afrique, Moyen-Orient et Amérique latine. Ce qui n’empêche pas nos fins stratèges de nous dire depuis 16 mois que Poutine est isolé. Car chez nos médias, on adore faire dans le grotesque.




Peut-on encore sauver la France ?

[Source : Union Populaire Républicaine]

Quel que soit l’angle sous lequel on la considère, la situation de la France est catastrophique. Les promesses de prospérité, de paix et de liberté dont on nous rabâche les oreilles depuis bientôt 30 ans, depuis l’entrée en vigueur du Traité de Maastricht le 1er novembre 1993, se révèlent être une gigantesque arnaque.

Loin des lendemains qui chantent, que l’on nous annonce à chaque élection, la France plonge dans le désastre sous l’œil satisfait de l’Oncle Sam, et ceci dans tous absolument tous les secteurs :

  • – économie
  • – énergie
  • – démographie
  • – sécurité
  • – justice
  • – défense
  • – immigration
  • – budget
  • – agriculture
  • – industrie
  • – emploi
  • – instruction
  • – défense nationale
  • – diplomatie
  • – santé
  • – culture
  • – cohésion sociale

LA FRANCE EST EN DANGER DE MORT !

Tout ceci se déroule dans une indifférence générale entretenue par les médias oligarchiques et le service public de l’information.

Inlassablement, depuis plus de 16 ans, François Asselineau pointe les causes de ces malheurs qui s’abattent sur notre pays, il parcourt la France dans le but faire sortir les Français de cette léthargie délétère pour leur patrie, pour qu’ils se réveillent et réalisent le péril que l’on peut encore éviter.

Dans cette vidéo, François Asselineau pose la question ultime : peut-on encore sauver la France ?

Il apporte la réponse, oui, et c’est aux Français de réagir, ils ont le salut de la France entre leurs mains.

Le message est simple, Français redressez-vous, sans cela la France va mourir.

[Note de Joseph :
Pour réellement sauver la France, sortir de l’OTAN, de l’UE, de l’OMS, de l’OMC et d’autres organisations internationales de contrôle serait-il suffisant ?
Ne faudrait-il pas aussi sortir du Système, notamment celui de la « République » et de la prétendue « Démocratie » qui n’est pas « le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple », mais toujours celui d’une relative majorité sur le reste, une supposée majorité qui même dans la pratique électorale est toujours inférieure à la moitié de la population, compte tenu des personnes qui ne peuvent voter (notamment les plus jeunes) et des abstentions.
Voir Changer le Système ?]




Vers la chute de l’Empire

[Source : @Cercles-Nationalistes-Français-Philippe-Ploncard-d’Assac]

[À partir de 10:45]



Site internet: http://nationalisme-francais.com/




Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies

[Source : ripostelaique.com]

Par Bernard Germain

Thierry Breton est le prototype de ces individus « citoyens du monde », c’est-à-dire mondialiste pour qui défendre son pays est une injure et un gros mot.

Sans rentrer dans les détails de son parcours, il suffit de mentionner qu’il a commencé sa vie à l’école Alsacienne, comme les enfants de Pap Ndiaye, avant d’intégrer de prestigieuses écoles.

Devenu patron, il fut l’homme à la réputation de « killer » dont l’arrivée dans une entreprise signifiait qu’il allait rapidement y avoir du sang sur les murs afin que les comptes s’améliorent.

D’octobre 2002 à février 2005, il fut à la tête de France Télécom (donc mon « patron » puisque j’y étais salarié), nommé par le gouvernement avec pour mission de redresser les comptes de l’entreprise. Il y laissera un triste souvenir, car à l’initiative d’un plan de redressement, dont son successeur Didier Lombard récoltera les fruits, matérialisés d’une part, par des résultats économiques très favorables, et d’autre part, par une vague de suicides sans précédent, près de 40 salariés le payeront de leur vie en seulement quelques années du fait de la politique de gestion du personnel qu’il initia.

Thierry Breton laissera donc aux salariés de France Télécom le souvenir d’un patron ayant du cœur.

C’est cet individu charmant que l’on retrouve commissaire européen, nommé par Macron en 2019.

Il vient de se rappeler au bon souvenir des populations de l’Union européenne avec son récent discours sur les mesures qu’il entend imposer à tout le continent européen, contre les « discours de haine ou appelant à la révolte » en s’en prenant aux réseaux sociaux qui cautionneraient ces discours ou laisseraient prospérer ces discours sans réaction.

D’abord on pourra s’interroger sur ce que recouvrent les expressions « discours de haine » ou « discours appelant à la révolte ». Sous ces vocables, on peut mettre en cause presque tout.

Ainsi, si vous dites « il faut sauver la France de cette invasion migratoire incontrôlée », vous pouvez être mis en cause parce qu’auteur d’un « discours de haine » contre les migrants, ou comme « discours appelant à la révolte » pour sauver la France. Donc, tomber sous le coup de la Loi sans oublier que les réseaux sociaux publiant ces paroles devraient être coupés pour avoir accepté de vous diffuser.

En clair, vous ne pourrez quasiment plus rien dire si la « police » (des milliers de personnes scrutant les réseaux sociaux) mise en place par le commissaire Thierry Breton le décide. Donc une sacrée épée de Damoclès au-dessus de la tête des réseaux sociaux.

Inutile de tourner autour du pot, si ce que veut instituer Thierry Breton à compter du 25 août prochain devient une réalité, ce sera l’instauration d’une authentique dictature.

Et tous les pays de l’Union européenne seront tenus d’appliquer cette politique, car l’adhésion à l’UE des pays membres leur impose de les respecter, car supérieurs à toutes les législations nationales.

Mais est-ce bien étonnant ?

Pas du tout, car peut-être certains vont-ils le découvrir à cette occasion, mais l’Union européenne est une véritable dictature depuis sa création qui plonge ses racines dans le nazisme.

Tout d’abord, il nous faut rappeler ce que beaucoup de monde a oublié ou veut cacher, à savoir que le nazisme avait lui aussi comme projet la construction d’une « Nouvelle Europe ». Le 9 mai 1938, Adolf Hitler se rendit en Italie pour rencontrer Benito Mussolini afin de mettre sur pied les principes de cette nouvelle Europe, dictature placée sous contrôle allemand. À la suite de cette rencontre, du 21 au 25 juin 1938, le gouvernement nazi envoya à Rome des experts juridiques afin de jeter, avec l’Italie, les bases d’un cadre juridique de coopération pour la réalisation de ce projet.

Le journal italien La Stampa du 26 juin 1938 rendra compte de cet événement, indiquant que les deux experts allemands (juristes) qui firent le déplacement étaient les professeurs Klaising et Hallstein. Intéressons-nous à ce dernier, Walter Hallstein. C’était un professeur de droit, éminent juriste allemand. En 1936, il fut nommé doyen de la faculté de Rostock. Nazi convaincu, il fut le personnage essentiel pour la rédaction des textes qui définissaient l’Europe que souhaitait construire Hitler.

Une gigantesque campagne sera menée en Europe autour de ces thèmes afin de promouvoir le concept de « Das neue Europa ». Le journal français « Paris soir » titrera en première page, le 1er février 1941 : « 1941 sera l’année du grand regroupement de l’Europe, a déclaré le Führer à Berlin. » Le discours officiel de l’Allemagne n’était donc nullement d’humilier les vaincus, mais de leur tendre la main pour constituer et construire avec eux cette nouvelle Europe.

La France du Maréchal Pétain acceptera de « collaborer » à ce projet de construction européenne. Une exposition « La France Européenne » sera d’ailleurs inaugurée à Paris au Grand Palais, avec les nazis, le 6 juin 1941. On voudra bien relever au passage que le terme infamant de « collaboration » est utilisé de nos jours juste pour dire que les « collabos » étaient les complices des nazis.

Un pays vaincu, ou un gouvernement, ne « collabore » pas avec son vainqueur. Dit comme cela, ça n’a aucun sens.

Le Larousse donne cette définition au mot collaboration : « Action de collaborer, de participer à une œuvre avec d’autres ».

« Participer à une œuvre avec d’autres »… c’est cela le sens à prendre en compte. Et à quoi collaborait le gouvernement de Vichy ? À la construction de la « Neue Europa » voulue par Adolf Hitler. C’est notoirement oublié ou volontairement caché et le vocable « collaboration » est utilisé de manière particulièrement réductrice. La collaboration ne se limitait donc pas à la chasse aux Juifs avec l’Allemagne.

Pour preuve, 6 jours après la poignée de main à Hitler, le Maréchal Pétain prononcera un discours, le 30 octobre 1940, dans lequel il déclarera :

« C’est dans l’honneur et pour maintenir l’unité de la France — une unité de 10 siècles — dans le cadre d’une activité constructive du nouvel ordre européen que j’entre aujourd’hui dans la voie de la collaboration ».

À la fin du conflit, les USA vont récupérer de nombreux nazis (savants, militaires, hommes du renseignement, etc.), les « recycler » puis les renvoyer en Europe pour servir leurs intérêts. Parmi eux, Walter Hallstein, l’homme qu’Hitler avait envoyé en Italie pour jeter les bases juridiques de la « Neue Europa ». Officier nazi, intégré dans la Wehrmacht comme tout homme de 12 à 60 ans vers la fin du conflit, il fut capturé par les Américains, le 26 juin 1944 à Cherbourg.

Interrogés par les Américains, ces derniers se rendent rapidement compte de l’importance du personnage et l’exfiltrent vers les USA dans le cadre du programme « Paperclip ». Il sera emprisonné, dans le Mississippi, au « Camp Como » réservé aux prisonniers de guerre.

Puis dans le cadre de l’opération « Sunflower », il est transféré à Fort Getty (Rhode Island) pour y suivre une formation à la démocratie américaine. Formation destinée aux prisonniers de guerre allemands.

Il sera ensuite libéré et renvoyé en Allemagne où il exercera d’abord son métier de professeur de droit. Il entre en politique à la CDU et devient le Secrétaire d’État aux Affaires étrangères du chancelier Konrad Adenauer, en 1951. Seulement 6 ans après la fin de la guerre et malgré son lourd passé nazi !

À ce poste, il va élaborer la « Doctrine Hallstein » et négocier, au nom de la RFA (contrôlée par les Américains) les modalités de la construction européenne. Oui, vous avez bien lu. Le nazi Hallstein, qui avait conçu le projet européen d’Adolf Hitler est chargé, moins de 7 ans après la fin de la guerre, de mettre au point les modalités de la construction européenne. On croit rêver…

Hallstein va tout simplement ressortir son dossier de 1938, enlever ce qui fait mauvais genre (la race aryenne, l’épuration des Juifs…) et le réutiliser. En maintenant le côté « dictatorial » de ce projet à savoir une direction constituée de technocrates non élus qui imposeront leurs volontés aux États membres de cette Union européenne. Il va également préparer et cosigner, avec le chancelier Adenauer, le Traité de Rome le 25 mars 1957.

Dans sa première version, c’était l’Allemagne qui chapeautait le tout. Ce sont dorénavant les USA. Ceux qui tirent dans l’ombre les ficelles et qui sont les vrais pilotes du système. Il y a aussi ce que nous appellerons le secteur « privé ». Les grands groupes pétroliers et chimiques, les plus grandes banques et instituts financiers, qui exerceront un lobbying constant afin que les décisions prises aillent dans le sens de leurs intérêts. À cela s’ajoute un exécutif, non élu, constitué de la Commission européenne et d’un Président. Enfin, un Parlement européen qui est chargé de voter ce que souhaite la Commission européenne. Ce Parlement européen, sans aucun véritable pouvoir, sera élu par le peuple des différents pays.

C’est exactement ce qui fut mis en place et que nous pouvons constater de nos jours. Il s’agit donc d’un système parfaitement dictatorial avec un léger vernis démocratique constitué par l’élection des députés européens. Afin de sauver les apparences. Pour couronner le tout, Walter Hallstein fut le premier président de la Commission européenne de 1958 à 1967. Si vous avez la curiosité de vous rendre sur le site de l’Union européenne, vous ne trouverez aucune trace de ce qui précède. Pourtant ces faits sont avérés et vérifiables sans aucune difficulté.

Comme l’avait indiqué Viviane Reding (commissaire européenne), l’Union européenne réécrit son histoire au fur et à mesure « pour mieux répondre aux détracteurs ». À l’époque, gaullistes et communistes représentaient ensemble près de 60 % des électeurs. Les communistes, entre autres, ont dénoncé dans leur presse ces faits, notamment le « recyclage » d’anciens nazis ainsi que la domination américaine du système en train de se mettre en place. Pour toutes les générations ayant connu cette période, cette réalité était incontestable. Aujourd’hui, tout le monde a oublié et tout est fait pour cacher cette réalité historique aux nouvelles générations.

Ajoutons pour finir sur ce point qu’Hallstein présentera en 1965 un plan préconisant ouvertement une « Europe fédérale ». De Gaulle mettra immédiatement son veto à ce projet et engagera la « politique de la chaise vide ». Pour lui, préserver l’indépendance nationale de la France était la priorité absolue. Le général aura gain de cause et obtiendra par les Accords de Luxembourg l’instauration d’un droit de veto. Il obtiendra également le départ de Hallstein en 1967.

Mais dès le retrait de la vie politique de De Gaulle en 1969, cette position très réticente de la France cessera et la marche à la construction de l’Europe d’Hallstein reprendra son cours sans plus trouver aucun opposant en France.

La construction européenne se fait sur le principe d’une roue à cliquet. Chaque étape franchie rend impossible tout retour en arrière.

Depuis l’Europe de Maastricht en 1992, les États ont accepté de renoncer à leur indépendance nationale.

C’est l’Europe qui décide et impose à tous les États sa politique.

Dit autrement, les USA ont imposé la mise ne place d’un système dont ils sont les principaux bénéficiaires, authentique dictature, dont les membres non élus imposent aux populations des pays membres des politiques sur lesquelles ils n’ont plus aucun moyen d’agir.

Ainsi en est-il de la politique d’immigration, de la politique de l’énergie, des énergies renouvelables, de la politique de défense, etc.

Alors, oui, la politique qu’entend imposer Thierry Breton est un véritable scandale démocratique.

L’Union européenne déclare ouvertement qu’elle va contrôler ce qu’elle considère « politiquement correct » et quiconque osera s’élever contre ou promouvoir une politique contraire sera impitoyablement puni, voire détruit.

Seuls les naïfs peuvent s’étonner de cela. C’est l’essence même de l’Union européenne d’être ainsi.

La seule solution sérieuse est de sortir de ce système qui est une véritable dictature, notamment en activant l’article 50 du traité européen.

Vous verrez que l’an prochain… tous les candidats se présenteront à vos suffrages pour les élections européennes en déclarant : « Votez pour moi POUR UNE AUTRE EUROPE ».

Comme si cette Europe était modifiable, alors que c’est un piège mortel pour tous les pays membres.

Mais nous aurons le temps de reparler de tout cela…

Bernard GERMAIN




Il n’y a pas eu de pandémie

[Source : denisrancourt.ca via santeglobale.world]

Par Denis G. Rancourt, PhD

C’est radical.

L’essai est basé sur mon témoignage du 17 mai 2023 pour la National Citizens Inquiry (NCI) à Ottawa, Canada, mon livre de 894 pages d’expositions à l’appui de ce témoignage, et nos recherches continues.

Je suis un scientifique et physicien interdisciplinaire accompli, et un ancien professeur titulaire titulaire de physique et chercheur principal, à l’origine à l’Université d’Ottawa.

J’ai rédigé plus de 30 rapports scientifiques pertinents à la COVID, à compter du 18 avril 2020 pour l’Association des libertés civiles de l’Ontario (ocla.ca/covid) et récemment pour une nouvelle société à but non lucratif (correlationcanada.org/research). Présentement, tous mes travaux et entrevues au sujet de la COVID sont documentés sur mon site Web créé pour contourner le barrage de la censure (denisrancourt.ca).

Outre les revues critiques de la science publiée, la principale donnée que mes collaborateurs et moi analysons est la mortalité toutes causes confondues.

La mortalité toutes causes confondues par période (jour, semaine, mois, année, période), par juridiction (pays, état, province, comté) et par caractéristiques individuelles des personnes décédées (âge, sexe, race, logement) est la donnée la plus fiable pour détecter et caractériser épidémiologiquement les événements à l’origine des décès, et pour évaluer l’impact au niveau de la population d’une augmentation ou d’un effondrement des décès, quelle qu’en soit la cause.

Ces données ne sont pas susceptibles d’être biaisées par la déclaration ou par l’attribution des causes de décès. Nous les avons utilisées pour détecter et caractériser la saisonnalité, les vagues de chaleur, les tremblements de terre, les effondrements économiques, les guerres, le vieillissement de la population, le développement sociétal à long terme et les agressions sociétales telles que celles qui se sont produites au cours de la période COVID, dans de nombreux pays du monde et au cours de l’histoire récente, de 1900 à aujourd’hui.

Fait intéressant, aucune des pandémies de maladies respiratoires virales promues par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) après la Seconde Guerre mondiale (1957-58, « H2N2 » ; 1968, « H3N2 » ; 2009, « H1N1 à nouveau ») peut être détectée dans la mortalité toutes causes confondues de n’importe quel pays. Contrairement à toutes les autres causes de décès dont on sait qu’elles affectent la mortalité, ces soi-disant pandémies n’ont provoqué aucune augmentation détectable de la mortalité, où que ce soit.

Le grand événement de mortalité de 1918, dont on a été convaincu qu’il s’agissait d’une pandémie de maladie respiratoire virale (« H1N1 »), s’est produit avant l’invention des antibiotiques et du microscope électronique, dans des conditions horribles d’assainissement public et de stress économique après la guerre. Les décès de 1918 ont été prouvés par histopathologie du tissu pulmonaire préservé comme ayant été causés par une pneumonie bactérienne. Ceci est démontré dans plusieurs études publiées indépendantes et non contestées.

Mon premier rapport analysant la mortalité toutes causes confondues a été publié le 2 juin 2020, sur Research Gate, sujet à la censure, et s’intitulait « Mortalité toutes causes pendant la COVID-19 – Pas de peste et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement ». Il a montré que des points chauds de poussées soudaines de la mortalité toutes causes confondues ne se produisaient que dans des endroits spécifiques du monde occidental de l’hémisphère Nord, qui étaient synchrones avec la déclaration de pandémie du 11 mars 2020. Une telle synchronicité est impossible dans le cadre présumé d’une maladie respiratoire virale en propagation, avec ou sans avions, car le temps calculé entre l’ensemencement et la flambée de mortalité dépend fortement des circonstances sociétales locales, de plusieurs mois à plusieurs années. J’ai attribué les décès en excès à des mesures agressives et à des protocoles de traitement hospitalier connus pour avoir été appliqués soudainement à cette époque dans ces localités.

Le travail a été approfondi avec des collaborateurs pendant plusieurs années et se poursuit. Nous avons montré à maintes reprises que la surmortalité refusait le plus souvent de franchir les frontières nationales et les frontières interétatiques. Le virus invisible cible les pauvres et les handicapés et porte un passeport. Il ne tue jamais non plus jusqu’à ce que les gouvernements imposent des transformations socio-économiques et de la structure des soins aux groupes vulnérables au sein de la population nationale.

Voici mes conclusions, à partir de nos études détaillées sur la mortalité toutes causes confondues pendant la période COVID, en combinaison avec des données socio-économiques et de déploiement de vaccins :

  1. S’il n’y avait pas eu de propagande ou de coercition pandémique, et que les gouvernements et l’establishment médical avaient simplement continué comme si de rien n’était, il n’y aurait pas eu de surmortalité ;
  2. Il n’y a pas eu de pandémie causant une surmortalité ;
  3. Les mesures ont provoqué une surmortalité ;
  4. La vaccination contre le COVID-19 a causé une surmortalité.

En ce qui concerne les vaccins, nous avons quantifié de nombreux cas dans lesquels un déploiement rapide d’une dose dans le calendrier de vaccination imposé était synchrone avec un pic par ailleurs inattendu de la mortalité toutes causes confondues, parfois dans le cycle saisonnier et d’une ampleur jamais vue auparavant dans l’enregistrement historique de mortalité.

Nous avons ainsi montré que la campagne de vaccination en Inde a causé la mort de 3,7 millions de résidents fragiles. Dans les pays occidentaux, nous avons quantifié le taux moyen de mortalité tous âges confondus à 1 décès pour 2000 injections, à augmenter de façon exponentielle avec l’âge (doublement tous les 5 ans supplémentaires), jusqu’à atteindre 1 décès pour 100 injections chez les 80 ans et plus. Nous avons estimé que les vaccins avaient tué 13 millions de personnes dans le monde.

Si l’on accepte mes conclusions numérotées ci-dessus et les analyses que nous avons effectuées, alors il y a plusieurs implications sur la façon dont on perçoit la réalité concernant ce qui s’est réellement produit et ne s’est pas produit.

Premièrement, alors que les épidémies d’infections mortelles sont bien réelles dans les maisons de soins, les hôpitaux et les conditions de vie dégradées, le risque de pandémie respiratoire virale promu par l’industrie de la « réponse à la pandémie » dirigée par les États-Unis n’existe pas. Il est très probablement fabriqué et entretenu pour des motifs cachés, autres que le sauvetage de l’humanité.

Deuxièmement, en plus des événements naturels (vagues de chaleur, tremblements de terre, sécheresses prolongées à grande échelle), les événements importants qui affectent négativement la mortalité sont des agressions importantes contre les populations domestiques, affectant les résidents vulnérables, tels que :

  • détérioration économique soudaine et dévastatrice (la Grande Dépression, le bol de poussière, la dissolution de l’Union soviétique),
  • la guerre (y compris la restructuration des classes sociales),
  • l’occupation et l’exploitation impériales ou économiques (y compris l’exploitation à grande échelle des terres), et
  • les mesures bien documentées et la destruction appliquées pendant la période COVID.

Sinon, dans une société stable, la mortalité est extrêmement robuste et n’est pas sujette à de grands changements rapides. Il n’y a aucune preuve empirique que des changements importants dans la mortalité peuvent être induits par des apparitions soudaines de nouveaux agents pathogènes. À l’ère contemporaine de l’espèce humaine dominante, l’humanité est son pire ennemi, pas la nature.

Troisièmement, les mesures coercitives imposées pour réduire le risque de transmission (telles que la distanciation, les flèches directionnelles, le confinement, l’isolement, la quarantaine, les barrières en plexiglas, les écrans faciaux et les masques faciaux, les coups de coude, etc.) sont manifestement non scientifiques ; et la préoccupation sous-jacente elle-même concernant la « propagation » n’a jamais été justifiée et est irrationnelle, car il n’y a aucune preuve dans les données fiables sur la mortalité qu’il y ait jamais eu un agent pathogène particulièrement virulent.

En fait, la notion même de « propagation » pendant la période COVID est rigoureusement démentie par les variations temporelles et spatiales de la surmortalité toutes causes confondues, partout où elle est suffisamment quantifiée, dans le monde. Par exemple, le virus présumé qui a tué 1,3 million de résidents pauvres et handicapés des États-Unis n’a pas franchi la frontière terrestre de plus de mille kilomètres avec le Canada, malgré des échanges économiques continus et intenses. De même, le virus présumé qui a causé des points chauds de mortalité synchrones en mars-avril-mai 2020 (comme à New York, dans la région de Madrid, à Londres, à Stockholm et dans le nord de l’Italie) ne s’est pas propagé au-delà de ces points chauds.

Fait intéressant, à cet égard, les variations saisonnières historiques (période de 12 mois) de la mortalité toutes causes confondues, connues depuis plus de 100 ans, sont inversées dans les hémisphères nord et sud du globe et ne montrent aucune preuve de « propagation ». Au lieu de cela, ces modèles, dans un hémisphère donné, montrent des augmentations et des diminutions synchrones de la mortalité dans tout l’hémisphère. Est-ce que le ou les agents causals « en propagation » prendraient toujours exactement 6 mois pour passer dans l’autre hémisphère, où ils provoqueraient à nouveau des changements de mortalité synchrones dans tout l’hémisphère ? De nombreux épidémiologistes ont conclu depuis longtemps que la propagation des maladies respiratoires par «contact» de personne à personne ne peut pas expliquer et est réfutée par les tendances saisonnières de la mortalité toutes causes confondues. Pourquoi le CDC et compagnie ne sont pas systématiquement ridiculisés à cet égard dépasse l’entendement de ce scientifique.

Au lieu de cela, en dehors des conditions de vie extrêmement pauvres, nous devrions nous tourner vers l’ensemble des travaux du professeur Sheldon Cohen et de ses co-auteurs (États-Unis) qui ont établi que deux facteurs dominants contrôlent l’infection des étudiants intentionnellement handicapés et la gravité de la maladie respiratoire quand ils sont infectés :

  • le degré de stress psychologique ressenti ;
  • le degré d’isolement social.

L’impact négatif du stress psychologique ressenti sur le système immunitaire est un vaste domaine d’étude scientifique actuel et établi, consciencieusement ignoré par les intérêts des vaccins, et nous savons maintenant que ledit impact est considérablement plus important chez les personnes âgées, où la nutrition (écologie du microbiome intestinal) est un cofacteur important.

Bien sûr, je ne veux pas dire qu’il n’existe pas d’agents causals, tels que des bactéries, qui peuvent provoquer une pneumonie ; ni qu’il n’existe pas de concentrations environnementales dangereuses de tels agents causals à proximité d’individus fragiles, comme dans les hôpitaux et sur les mains des cliniciens, notoirement.

Quatrièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y ait eu un agent pathogène particulièrement virulent causant une mortalité excessive, le débat sur la recherche sur le gain de fonction et une arme biologique échappée n’est pas pertinent.

Je ne veux pas dire que le ministère de la Défense (DoD) ne finance pas la recherche sur le gain de fonction et les armes biologiques (à l’étranger, en particulier), je ne veux pas dire qu’il n’y a pas beaucoup de brevets américains pour des organismes microbiens génétiquement modifiés ayant des applications militaires potentielles, et je ne veux pas dire qu’il n’y a pas eu auparavant d’évasion ou de libération de vecteurs et d’agents pathogènes d’armes biologiques. Par exemple, la controverse sur la maladie de Lyme aux États-Unis peut être un exemple de fuite d’arme biologique (voir le livre de Kris Newby de 2019 « Bitten: The Secret History of Lyme Disease and Biological Weapons »).

Généralement, pour des raisons évidentes, tout agent pathogène extrêmement virulent ne sera pas également extrêmement contagieux. Il y a des milliards d’années de pressions évolutives cumulatives contre l’existence d’un tel agent pathogène, et ce résultat sera profondément encodé dans toutes les formes de vie.

De plus, il serait suicidaire pour n’importe quel régime de chercher avec véhémence à créer un tel agent pathogène. Les armes biologiques sont destinées à être livrées dans des zones cibles spécifiques, sauf dans la science-fiction où l’immunité contre une arme biologique à la fois extrêmement virulente et extrêmement contagieuse peut être délivrée de manière fiable à sa propre population et à ses soldats.

À mon avis, si la COVID est proche d’être une arme biologique, c’est par sa capacité militaire à déployer massivement et de manière répétée des injections individuelles, qui sont les vecteurs physiques des substances que le régime souhaite injecter de manière sélective dans des populations choisies, tout en imposant une conformité totale jusqu’à son propre corps, sous le couvert de la protection de la santé publique.

C’est le même régime qui pratique des guerres de destruction complète de la nation et d’anéantissement de la société, sous couvert de répandre la démocratie et les droits des femmes. Et je ne parle pas de la Chine.

Cinquièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’un agent pathogène particulièrement virulent soit à l’origine de la surmortalité, il n’est pas nécessaire de mettre en place des protocoles de traitement particuliers, au-delà des diagnostics habituels, réfléchis, au cas par cas, suivis de la meilleure approche choisie par le clinicien.

Au lieu de cela, de nouveaux protocoles vicieux ont tué des patients dans des points chauds qui appliquaient ces protocoles au cours des premiers mois de la pandémie déclarée.

Cela a été suivi dans de nombreux États par des mesures sociétales coercitives imposées, qui étaient contraires à la santé individuelle : peur, panique, paranoïa, stress psychologique induit, isolement social, autovictimisation, perte de travail et d’activité bénévole, perte de statut social, perte d’emploi, faillite d’entreprise, perte d’utilité, perte de gardiens, perte de lieux et de mobilité, suppression de la liberté d’expression, etc.

Seule la classe professionnelle a fait mieux, travaillant confortablement à domicile, près de sa famille, tout en étant prise en charge par une armée de services de livraison à domicile spécialisés.

Malheureusement, l’establishment médical ne s’est pas limité à agresser et isoler les patients vulnérables dans les hôpitaux et les établissements de soins. Il a aussi systématiquement retiré les soins normaux et attaqué les médecins qui refusaient de le faire.

Dans pratiquement tout le monde occidental, les prescriptions d’antibiotiques ont été réduites et maintenues à environ 50 % des taux pré-COVID. Cela aurait eu des effets dévastateurs aux USA, notamment, où :

  • les propres statistiques du CDC, basées sur les certificats de décès, comptent environ 50 % du million de décès associés au COVID ayant une pneumonie bactérienne comme comorbidité répertoriée (il y a eu une épidémie massive de pneumonie bactérienne aux États-Unis, dont personne n’a parlé) ;
  • les États pauvres du Sud ont historiquement des taux de prescription d’antibiotiques beaucoup plus élevés (cela implique une forte sensibilité à la pneumonie bactérienne) ;
  • la surmortalité pendant la période COVID est très fortement corrélée (r = +0,86) — en fait proportionnelle à — la pauvreté par état.

Sixièmement, puisque notre conclusion est qu’il n’y a aucune preuve qu’il y avait un agent pathogène particulièrement virulent causant une surmortalité, il n’y avait aucune raison de santé publique de développer et de déployer des vaccins ; pas même si l’on acceptait la proposition ténue selon laquelle n’importe quel vaccin a déjà été efficace contre une maladie respiratoire virale présumée.

Ajoutez à cela que tous les vaccins sont intrinsèquement dangereux et nos quantifications du taux de mortalité par dose de vaccin décrites ci-dessus, et nous devons reconnaître que les vaccins ont contribué de manière significative à la surmortalité partout où ils ont été imposés.

En conclusion, la surmortalité n’a été causée par aucun nouveau pathogène particulièrement virulent. La soi-disant réponse COVID était en effet une attaque étatique et iatrogène massive à plusieurs volets contre les populations et contre les structures de soutien de la société, qui a causé toute la surmortalité, dans toutes les juridictions.

Il est maintenant naturel de se demander « qu’est-ce qui a motivé cela ? », « qui en a profité ? » et « quels groupes subissaient des désavantages structurels permanents ? »

À mon avis, l’assaut COVID ne peut être compris que dans les contextes symbiotiques de la géopolitique et des transformations à grande échelle des classes sociales. La domination et l’exploitation en sont les moteurs. L’hégémonie mondiale défaillante centrée sur les États-Unis et ses machinations créent des conditions dangereuses pour pratiquement tout le monde.




CNews « clairement d’extrême droite » : Pap Ndiaye « salit et insulte » les journalistes, répond en direct Laurence Ferrari

Par SARITA MODMESAÏB

[Source : epochtimes.fr]

Ce dimanche, le ministre de l’Education nationale, Pap Ndiaye, avait tancé le groupe de médias appartenant à Vincent Bolloré, accusant la chaîne Cnews d’être « d’extrême-droite ».

Alors qu’il s’exprimait dimanche sur Radio J à propos de la grève menée par les journalistes du Journal du Dimanche, Pap Ndiaye s’en est pris à Vincent Bolloré, patron du groupe Vivendi qui détient, entre autres, la chaîne d’informations CNews.

« Je comprends bien qu’ils ne veulent pas entrer dans la galaxie des publications ou des médias contrôlés par un personnage qui est manifestement très proche de l’extrême droite la plus radicale », a-t-il fustigé, s’en prenant ensuite à CNews et Europe1.

« Quand vous regardez CNEWS et quand vous regardez ce qu’est devenu Europe 1, quand vous regardez cet ensemble-là, la conclusion s’impose», a ajouté Pap Ndiaye, ajoutant alors, « CNEWS, c’est très clairement d’extrême droite. »

« Je pense qu’ils font du mal à la démocratie, il n’y a aucun doute », a t-il conclu.

Il « dénigre, salit et insulte »

Ce lundi, Laurence Ferrari, journaliste présentatrice à Europe1 et à CNews, a tenu à répondre en direct aux propos de Pap Ndiaye lors de son émission Punchline de CNews.

« Un ministre de l’Éducation nationale se permet de jeter l’anathème sur deux rédactions indépendantes de 120 et 160 personnes », a-t-elle déclaré, précisant en outre que les propos du ministre étaient lancés sans le « moindre argument étayé ».

La journaliste a poursuivi ainsi :

« Cet employé de la République dénigre, salit et insulte l’intégralité de ces 280 journalistes dont je salue une fois de plus le travail irréprochable ».

Soutien des LR et RN à CNews

Le parti LR a tenu à réagir aux propos du ministre, appelant sur Twitter à « protéger la liberté d’expression ».

« Dans l’esprit étriqué des wokistes, la liberté d’expression exclut la liberté de penser. Nous apportons notre soutien inconditionnel aux rédactions de CNews et d’Europe 1 ! », a déclaré le parti des Républicains.

Des élus RN ont aussi réagi, à l’image d’Hélène Laporte. La vice-présidente de l’Assemblée nationale a ainsi tweeté :

« Propos honteux de Pap Ndiaye qui qualifie CNews et Europe 1 d’extrême droite. Au lieu de s’attaquer au pluralisme des médias, le ministre de l’Éducation nationale devrait travailler à enrayer la baisse constante du niveau scolaire ! »




L’Ukraine dans l’OTAN ?

[Source : Sud Radio]

Jacques Baud :

« C’est difficile d’accepter un pays qui a autant de casseroles. »




La Catastrophe Républicaine

[Source : AVATAR Media]





Le patron de la DGSI pointe du doigt trois menaces : le djihadisme, l’ultra-gauche et l’ultra-droite. L’AFP réécrit l’interview et n’en retient que l’ultra-droite

[Source : anguillesousroche.com]

Toute la presse reprend cette version.




Alexis Poulin : « Nous sommes déjà dans une société du crédit social qui ne dit pas son nom. »

[Source : businessbourse.com]

L’émission complète : https://www.youtube.com/watch?v=eGPOkJeqfyM




Le président Trump rencontre Mel Gibson pour discuter des moyens de mettre fin à la pédophilie des élites

[Source : aubedigitale.com]

Le président Trump a rencontré Mel Gibson samedi soir pour discuter d’une stratégie visant à mettre fin à la pédophilie des élites et au trafic d’enfants en Amérique.

Cette rencontre, qui s’est déroulée à l’UFC 290 samedi soir, fait suite à la sortie du film Sound of Freedom, qui lutte contre le trafic d’enfants. Gibson a été l’un des principaux promoteurs du film. « L’un des problèmes les plus inquiétants dans le monde d’aujourd’hui est le trafic d’êtres humains et en particulier le trafic d’enfants », a déclaré Gibson.

Le patron de l’UFC, Dana White, s’était engagé, quelques heures auparavant, à payer pour que tous ses employés puissent voir ce film novateur.

Thepostmillennial.com rapporte : La rencontre dans les coulisses de l’événement très attendu de l’UFC a fait le buzz parmi les participants et les médias. Avec Roger Stone, la réunion a rassemblé trois personnes connues pour leur forte personnalité et leur franc-parler, ce qui a donné lieu à un mélange captivant de politique, de divertissement et d’intrigue.

Le président Donald Trump est sorti des coulisses et a fait une apparition très remarquée dans la foule du T-Mobile arena samedi soir, accompagné du patron de l’UFC, Dana White. Trump a reçu un accueil électrique de la part d’une foule enthousiaste.

Sound of Freedom, sorti dans tout le pays le 4 juillet, a fait des débuts impressionnants en se plaçant en tête du box-office. La technologie innovante du film, développée par Angel Studios, a contribué à son succès. Distribué par Angel Studios aux États-Unis, Sound of Freedom a rapporté plus de 14 millions de dollars le premier jour, dépassant d’autres films en lice comme « Indiana Jones » de Disney, qui a ouvert le 30 juin et aurait rapporté 11,5 millions de dollars, selon Deadline.

L’approche unique du film en matière de vente de billets, qui utilise un modèle de paiement à l’avance en instance de brevet, a généré des recettes supplémentaires de 2,6 millions de dollars. Sound of Freedom a dépassé les prévisions de pré-lancement, qui estimaient les recettes entre 11 et 15 millions de dollars sur une période de six jours, en dépassant la marque en un seul jour.

Sound of Freedom est basé sur l’histoire vraie d’un ancien agent du gouvernement, Tim Ballard, qui a quitté son emploi pour sauver des enfants de trafiquants d’êtres humains et de pédophiles. Le film décrit les efforts de Ballard pour sauver deux enfants et un groupe de plus de 50 autres personnes, en se basant sur une mission réelle au cours de laquelle Ballard et son équipe ont sauvé un total de 123 personnes, dont 55 enfants.

Vers la fin du film, pendant le générique, l’acteur Jim Caviezel, qui incarne Ballard, adresse au public un message sincère. Caviezel reconnaît les obstacles rencontrés par le film au cours de sa production et souligne les crimes et les horreurs de l’industrie du trafic sexuel. Il encourage ensuite les spectateurs à scanner un code QR qui permettra de fournir des billets à ceux qui n’auraient pas les moyens de se les offrir.

Neal Harmon, PDG d’Angel Studios, s’est réjoui du succès du film en déclarant : « Ce film a maintenant pris une vie propre et est devenu quelque chose de plus que cela, un mouvement populaire ». Harmon a souligné l’importance du bouche-à-oreille et du soutien de fans passionnés et d’investisseurs pour que le film atteigne un public plus large.

Tim Ballard, PDG et fondateur d’Operation Underground Railroad, qui lutte contre la traite des êtres humains à l’échelle mondiale, est à l’origine de « Sound of Freedom », qui retrace les débuts de l’organisation.

Bien qu’il n’y ait pas encore de documentation sur ce dont le président Trump et Mel Gibson ont parlé, cela ajoute certainement une nouvelle couche d’intrigue à un week-end déjà riche en événements, mêlant la politique, le divertissement et le succès continu de Sound of Freedom.




Surtout, ne dites pas que les Palestiniens sont des non-juifs

[Source : investigaction.net]

Avant la création d’Israël, il y avait des Palestiniens musulmans et chrétiens, ainsi qu’une minorité de Palestiniens juifs (d’ailleurs tout aussi méfiants à l’égard du projet sioniste que leurs autres compatriotes). Mais depuis 1948, les colons sionistes sont parvenus à créer un amalgame entre les termes « juif » et « sioniste ». Depuis, ils poursuivent inlassablement leur projet de nettoyage ethnique à l’encontre des Palestiniens non juifs. Car c’est de cela qu’il s’agit. Et si le monde réalisait qu’Israël tue et déplace des gens uniquement parce qu’ils ne sont pas juifs, toute la propagande israélienne s’effondrerait. (IGA)

[Note de Joseph : que penser d’une Humanité qui se bat pour des considérations raciales ou pour des croyances ? Pourquoi certains êtres devraient-ils bénéficier davantage que d’autres de la Terre ? Parce qu’ils le mériteraient plus ? Selon quels critères ? Du fait de leur naissance ? De leur supposée supériorité raciale ? Intellectuelle ? Technologique ? Ou encore religieuse ? On a vu ce à quoi conduisent de telles suppositions : à l’extermination brutale ou progressive des autochtones par les nouveaux arrivants, toujours et partout, comme en Amérique lors de l’arrivée des populations européennes, finissant par parquer les survivants dans des réserves ou dans des bidons-villes lorsqu’il en survit encore.]

Par Thomas Suarez

Si Israël se voyait dépouillé de son récit particulièrement élaboré, il ne resterait plus que le remplacement violent d’une population indigène par une « tribu » juive importée.

C’est ce à quoi les partisans d’Israël doivent se confronter. Certes, des millions d’évangélistes de la fin des temps peuvent dire « Amen ! » à ça, mais un jour les apparences s’évaporeront, révélant ce que signifie réellement le « droit à l’existence » revendiqué par Israël.

Ce qui fait obstacle à cette prise de conscience, c’est le vocabulaire — le contrôle des mots utilisés pour expliquer le soi-disant conflit israélo-palestinien, en particulier le mot « conflit » lui-même. La manipulation du vocabulaire est la clé de l’impunité d’Israël et de l’assurance de la complicité du public occidental pour ses crimes. La critique de ce langage est donc une évidence pour ceux qui luttent pour la justice.

Pourtant, la construction linguistique la plus élémentaire qui empêche le public de saisir pleinement la nature des crimes d’Israël a échappé à un examen approprié : le terme même de « Palestiniens » en tant que cible des crimes d’Israël. Oui, ils sont tous Palestiniens, bien sûr, mais bien que le fait d’être Palestinien soit depuis longtemps synonyme de ce qui les place dans la ligne de mire d’Israël, cette équation masque une vérité profonde : leur « crime » n’est pas d’être Palestiniens, mais de ne pas être juifs. Cacher ce fait est essentiel pour la propagande israélienne.

L’objectif du sionisme, à savoir la création d’un État « juif » dans l’ensemble de la Palestine historique, a toujours nécessité l’expulsion des populations autochtones, à l’exception des Juifs originaires de Palestine. Lorsque les premiers colonisateurs sionistes sont arrivés en Palestine, ils ont trouvé une population palestinienne composée d’une petite minorité de Juifs, le reste étant musulman, ou chrétien. Aux yeux de ces colons, le fait que ces derniers ne soient pas juifs constituait un obstacle à l’objectif de « pureté » ethnique du sionisme.

De plus, les Juifs palestiniens n’étaient pas des convertis volontaires, comme l’a montré l’éminent historien Ilan Pappé. Ils étaient aussi méfiants à l’égard du sionisme que leurs compatriotes musulmans et chrétiens. Au fil du temps, cependant, les sionistes ont réussi à les intégrer dans leur projet messianique. Pourtant, en novembre 1945, les Britanniques signalaient encore que les Juifs originaires des États du Levant appréhendaient le sionisme et se montraient solidaires de la population arabe locale.

Le rêve sioniste : une terre ethniquement « pure »

Le terme « palestinien » suggère une association géographique — des personnes dont l’héritage et l’identité culturelle proviennent de la Palestine historique, qu’elles soient nées dans le pays ou qu’elles appartiennent à la diaspora. Lorsqu’un public déjà endoctriné par le discours israélien entend qu’il y a des problèmes entre Israël et « les Palestiniens », cela crée un sentiment erroné de marchandage territorial conventionnel, renforcé par le fantôme d’une Autorité « nationale » palestinienne.

Cette analyse trompeuse disparaît toutefois lorsque l’on remplace l’appellation « Palestiniens » par celle de « non-Juifs » ou « Palestiniens non-juifs ». Les Juifs palestiniens ne sont pas les seuls Juifs arabes que les sionistes ont intégrés dans leur projet colonial. Les sionistes ont travaillé dur, voire violemment, pour transplanter en Palestine des Juifs arabes du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, ce qui a profité au sionisme au-delà de ce qu’ils pouvaient apporter à Israël en tant que colons. Pendant la période du mandat britannique, les Juifs sionisés du Moyen-Orient (par exemple, les juifs yéménites) ont été particulièrement efficaces dans les campagnes de terreur des sionistes, du fait même qu’ils se fondaient dans les populations indigènes et pouvaient donc opérer partout, sans éveiller les soupçons.

Une fois que le mouvement sioniste a réussi à créer son soi-disant « État juif » en 1948, l’identité palestinienne elle-même est devenue un handicap, une preuve accablante à effacer. Aujourd’hui, la déshumanisation dont l’Occident fait preuve envers les Palestiniens au profit d’Israël est telle que la réponse du Congrès américain aux massacres d’Israël (comme lors de l’opération « Bordure protectrice » de 2014) consiste à augmenter le financement d’Israël.

Si on veut éveiller le public occidental au lent génocide des Palestiniens, il faut lui exposer les rouages du mécanisme qui a permis de l’en rendre complice par son soutien docile.

Israël se présente comme « l’État juif » afin d’appuyer ses prétentions messianiques et sa mainmise sur l’identité juive — en fait, pour parvenir à faire passer les propos contre l’État pour des propos contre les Juifs. Comme l’a dit Ben-Gourion lui-même lors d’une réunion organisée en 1941 pour planifier la prise de contrôle de la Palestine par les sionistes, il s’agit d’ » être un juif ».

C’est pour faire de la Palestine historique le foyer de cette « race » juive — une « nationalité » mondiale définie par la filiation par le sang, dont Israël est seul à dicter les paramètres, et pour laquelle les mariages mixtes entre Juifs et non-juifs sont interdits — qu’Israël a condamné des millions d’êtres humains à divers niveaux d’apartheid, confinés dans des bantoustans et des camps de réfugiés.

C’est pour cela que cet État tue si facilement, que les milices sionistes ont dépeuplé quelque 500 villages en 1948 et que des millions de personnes se désespèrent aujourd’hui dans des camps. S’ils avaient été juifs — qu’ils soient Palestiniens, Arabes ou autres —, ils auraient reçu une maison dont le propriétaire aurait fait l’objet d’un nettoyage ethnique parce qu’il n’était pas juif.

« Tués parce que non-juifs », les mots qui changent tout

Ainsi, l’identification précise des victimes du sionisme met en évidence non seulement le fascisme racial d’Israël à l’égard des Palestiniens, mais aussi son fascisme racial en tant que crime profond contre les Juifs, détournant l’identité juive pour servir son culte de la suprématie ethnique.

À mon avis, rien de ce qui se passe entre le Jourdain et la mer Méditerranée, ou dans les camps d’internement (« camps de réfugiés ») qui parsèment la région, ne peut être compris si l’on ne met pas cette question à l’avant-plan. L’État israélien exploitera le terme « juif » — par exemple, en contraignant les médias à qualifier les colonies d’apartheid de Cisjordanie de « districts juifs » afin d’instiller l’idée que si l’on s’oppose à ces derniers, c’est parce qu’ils sont juifs. Mais le public est délibérément laissé dans l’ignorance quant au fait que les véritables habitants dudit « district » sont ces enfants qui jettent des pierres et qui sont expulsés de force parce qu’ils ne sont pas juifs.

Si le public n’était pas maintenu dans l’ignorance, l’effet serait rapide et profond. Imaginez un reportage sur la Grande marche du retour d’il y a quelques années, lorsque les habitants de Gaza ont produit une démonstration purement symbolique du retour dans leurs propres maisons légales dont ils avaient été ethniquement nettoyés. On pourrait lire quelque chose comme : « Les personnes qui tentent de rentrer chez elles continuent d’être abattues par des snipers israéliens parce qu’elles ne sont pas juives. »

Ou encore, lorsque l’armée israélienne fait irruption dans un camp de réfugiés à 3 heures du matin et abat un jeune de 15 ans, nous pourrions avoir une description précise comme celle-ci : « Des soldats israéliens sont entrés dans le camp d’al-Arroub, l’un des camps d’internement dans lesquels Israël enferme les non-juifs, et ont exécuté un adolescent qui les avait défiés. »

Ou sur les bantoustans et le contrôle des déplacements : « Ce matin, une mère de trois enfants a perdu sa bataille contre le cancer, après qu’Israël l’eut empêchée à plusieurs reprises d’accéder à des soins médicaux, parce qu’elle n’était pas juive. »

Ou encore sur le nettoyage ethnique habituel : « Les forces israéliennes ont poursuivi leur chasse aux derniers non-juifs dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem-Est occupée, forçant aujourd’hui deux de ces familles à quitter leurs maisons pour les remplacer par des Juifs. »

Il n’y a là aucune tendance à l’interprétation dans la façon de rapporter ces faits. Il s’agit juste de résumés directs et factuels de ce qui se passe et des raisons qui sous-tendent ces faits.

Si les médias rendaient compte de la situation en Palestine avec une telle précision, l’ensemble du projet sioniste échouerait rapidement. Ils ne le feront pas – pas en premier lieu, pas tant que nous ne serons pas assez nombreux à le faire.

Thomas Suarez est un chercheur en Histoire basé à Londres. Il a notamment publié « Comment le terrorisme a créé Israël » aux éditions Investig’Action.

Source : The Electronic Intifada
Traduit de l’anglais par CV pour Investig’Action




La vérité brutale : contre le Forum Économique Mondial, l’Organisation Mafieuse de la Santé et le WOKISME…

[Source : Amelie Paul via les7duquebec.net]




Macron — la descente aux enfers

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

Par Alexandre Douguine

Source : https://www.geopolitika.ru/article/makron-spuskaetsya-v-ad

En regardant le comportement violent des Français en colère dans les rues, surtout quand on le voit pour la première fois, on pense immédiatement : voici la révolution ! Le régime ne tiendra pas le coup ! La France est finie. Le gouvernement va tomber. Peu importe que ce soit des adolescents arabes ou africains des banlieues, des Gilets Jaunes populistes, des agriculteurs mécontents, des partisans des minorités sexuelles, des opposants aux minorités sexuelles ou, au contraire, des partisans des valeurs familiales et traditionnelles, des nationalistes, des antifascistes, des anarchistes, des étudiants, des retraités, des cyclistes, des protecteurs des animaux, des syndicalistes (CGT), des écologistes ou des retraités. Ils sont nombreux, des milliers, des dizaines, des centaines de milliers, parfois des millions. Ils remplissent les rues des villes françaises, arrêtent la circulation, bloquent les gares et les aéroports, déclarent l’autonomie de certains établissements et écoles, brûlent de l’essence, renversent des voitures, crient sauvagement, brandissent des banderoles et mordent la police. Et puis… ils se calment, reprennent leurs esprits, prennent des calmants et retournent au travail, discutent des prix, de la vie, des voisins et de la politique à l’heure du déjeuner dans de petits restaurants, où ils crient à nouveau, mais beaucoup plus calmement, puis rentrent chez eux.

Après 1968, même les plus grandes manifestations de masse rassemblant des millions de personnes n’ont eu aucun effet. Le résultat a été nul. Toujours et en toutes circonstances. Si vous connaissez mieux la France, vous vous rendez compte qu’il s’agit tout simplement d’une nation de psychopathes. Et il ne s’agit pas du tout des migrants. Les autorités françaises se fichent éperdument des migrants, comme elles se fichent éperdument des Français de souche. Et c’est dans cette indifférence glaciale que les migrants deviennent à leur tour des psychopathes. C’est la nouvelle forme d’intégration sociale : on arrive dans une civilisation de psychopathes et on en devient un.

Jean Baudrillard pensait que les Français étaient une nation de parfaits crétins. Selon lui, ils sont incapables de comprendre quoi que ce soit à l’art et s’entassent par milliers au musée Beaubourg au risque qu’il s’effondre un jour sous le poids de ces idiots. Les engelures intérieures et les crises d’hystérie régulières remplacent la culture et la politique pour les Français. Si le général De Gaulle avait mieux connu son peuple, il n’aurait pas prêté attention, en 1968, à l’indignation des gauchistes dans les rues. Au bout d’un certain temps, ils auraient tout simplement disparu. Mais il les a pris au sérieux. Après lui, aucun autre président n’a commis la même erreur. Quoi qu’il se passe dans la rue, mais aussi dans l’économie, la politique, la société et les finances, le gouvernement français a toujours gardé son calme. Et un contrôle total de la presse. Régis Debray, conseiller de Mitterrand, a avoué que pendant toute la durée de sa présidence prétendument de gauche, lui et son patron n’ont rien pu faire, parce que leurs initiatives se heurtaient à chaque fois à une résistance invisible. Et comme ils étaient au sommet du pouvoir, ni Debray ni Mitterrand ne comprenaient d’où venait cette opposition. Ce n’est que plus tard que Debray a compris qu’il s’agissait de la presse. La presse est tout pour la France. Et les psychopathes de la rue, c’est-à-dire la population, ne sont rien. 

Lorsque Macron a été élu pour la première fois et que la candidate de droite — et beaucoup plus rationnelle — Marine Le Pen avait de bonnes chances de l’emporter, l’influent journal Libération a titré : « Faites ce que vous voulez, mais votez pour Macron ! ». Très français. Droite, gauche, pro-immigration, anti-immigration, pro-augmentation des impôts, anti-augmentation des impôts, peu importe. Votez, et c’est tout. Pour Macron. C’est un ordre qui ne se discute pas. Et aucune responsabilité après l’acte de vote n’est encourue par l’électeur. Par Macron non plus, et pourquoi serait-il responsable ?

Macron était déjà détesté lors de son premier mandat. Je ne sais plus pourquoi. Apparemment à cause de tout. Mais il fut élu à nouveau. Par les mêmes Français. Les Russes sont censés être imprévisibles — et c’est fou. Les Français sont prévisibles, mais c’est fou aussi. Choisir un perdant total une deuxième fois… Qui, dans son esprit, ferait cela ? Mais il a été réélu, et ils ont recommencé à protester, à renverser des voitures et à briser des vitrines. On pourrait rappeler Baudrillard : les Français sont des idiots, mais Macron est aussi français. Un équilibre a donc été trouvé.

L’ampleur des émeutes actuelles, l’exaspération des hordes d’adolescents immigrés (Macron a suggéré qu’ils ne faisaient que jouer démesurément aux jeux vidéo), l’effondrement de l’économie, l’augmentation des taux d’intérêt des obligations d’État, la récession, la perturbation des fêtes de fin d’année, les pertes énormes dues au vandalisme ne doivent pas nous tromper : les Français ont une paroisse.

Macron ne fera rien. Mais il n’a jamais rien fait. Il parlera de l’environnement, rencontrera Greta Thunberg au cas où, enverra une ou deux cargaisons d’armes en Ukraine, paiera une somme fabuleuse à un groupe de relations publiques américain de réputation internationale, mais totalement inefficace, affilié à la CIA, aura une conversation téléphonique avec Scholz, ira dans une discothèque gay, se regardera dans la glace. Puis il se regardera à nouveau dans le miroir. Et puis tout s’arrangera. C’est comme ça que ça s’est toujours passé. Ce n’est pas l’apocalypse, ce n’est pas la fin du monde. C’est juste la France.

Une chose reste à supposer : l’apocalypse a déjà eu lieu dans ce pays autrefois très attrayant et élégant. Et maintenant, ses rues, inondées d’on ne sait quoi, témoignent d’une hallucination collective.

Y a-t-il quelqu’un qui veuille ou puisse changer la situation ? Si l’on examine attentivement la culture française des 19e et 20e siècles, la conclusion est sans équivoque : l’esprit français, tel Orphée (avec Cocteau ou Blanchot, par exemple), ne voulait qu’une chose : descendre le plus bas possible aux enfers. Eh bien, il a réussi. Et c’est irréversible. Et combien de temps cela peut-il durer ? Nul ne le sait. La belle France, fille aînée de l’Église, comme l’appelaient les catholiques du brillant Moyen Âge, s’est irrémédiablement transformée en dépotoir, de l’âme aux rues et aux banlieues. Notre-Dame a brûlé. Tous les tableaux et sculptures susceptibles d’être abîmés par les immigrés et les féministes ont été retirés du Louvre.

Il n’y a plus que Macron et son miroir. Comme dans la pièce Orphée de Jean Cocteau avec les décors de Jean Hugo et les costumes de Coco Chanel.




Le pacte Russie-Chine et la conspiration Marx-Rothschild

[Source : kla.tv]

Par Ivo Sasek

Un pacte Russie-Chine d’envergure mondiale correspond exactement au plan ancestral de la haute finance maçonnique. Otto Kahn, l’un des banquiers et francs-maçons de haut grade les plus célèbres des États-Unis, l’a révélé ouvertement en 1919 :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle des richesses, et par le bas, via la révolution. »

Poutine est en train de mettre définitivement en œuvre ce plan ancestral, mais tout à fait comme il l’entend – et non comme le scénario le prévoit…

Transcription

Aucun gouvernement sous ce ciel n’est vraiment indépendant. Depuis des siècles, tout est infiltré de manière ciblée et stratégique par une haute finance parasitaire. Telle une tique, cette sangsue de la haute finance se niche secrètement dans les États-nations pour en faire des centres de direction stratégiques. L’objectif est toujours le nouvel ordre mondial de cette société secrète, parfois aussi appelée État profond. Si un « hôte » infiltré par cette tique tente de la secouer de sa fourrure, on lui coupe les vivres sur-le-champ. Si cette mesure ne suffit pas, il est soumis à la terreur, voire à la guerre ouverte, et ruiné — le printemps arabe nous en a donné une idée. Ces sangsues pensent et dirigent tout à l’échelle mondiale. Depuis longtemps déjà, les grands financiers qui gouvernent secrètement depuis la clandestinité s’efforcent de faire de la Chine leur prochain centre de domination mondiale. À cette fin, ils ont depuis longtemps érigé en Chine leurs bâtiments administratifs mondiaux sous forme de gigantesques gratte-ciel. Enfin, ceux-ci ne doivent plus rester vides. Le simple fait que la « Chine » ait été encensée pendant longtemps par nos médias financés par des redevances obligatoires montre que nous en sommes arrivés là. Mais de sérieux problèmes apparaissent à l’horizon. Nous verrons bientôt si ces problèmes se concrétisent ou pas. Pour nous, les peuples trompés, cela ne fera finalement aucune différence, comme je l’expliquerai plus tard. Pour l’instant, on constate en tout cas une fraternisation entre la détestée Russie de Poutine et la Chine. D’autre part, dès le début de l’année 2022, la Chine a déjà amassé des ressources essentielles partout dans le monde, comme jamais auparavant dans l’histoire. Comme, par exemple, 69 % de toutes les réserves mondiales de céréales, des matières premières allant du bois aux terres rares, des denrées alimentaires sans mesure.

La Russie aurait en effet dû devenir depuis longtemps le centre de direction de la haute finance qui gouverne secrètement l’Europe, ce qui a entraîné des problèmes de plus en plus importants. Mais la haute finance mondiale ne tolère plus des conditions moyenâgeuses. Elle veut tout le pouvoir et toutes les richesses pour elle seule et élimine tous les marginaux et les rivaux autocrates.

Rappelons qu’au haut Moyen-Âge, une période où l’argent circulait sans intérêts a conduit à une répartition si égale des richesses qu’il n’y avait presque plus de différences de fortune entre les classes laborieuses et la noblesse. Vers le milieu du 15e siècle, cette période s’est définitivement effondrée, si bien que le système monétaire à intérêts, inactif au Moyen-Âge, a été réactivé à la manière de la Rome antique. Une redistribution continue des richesses des travailleurs vers les prêteurs d’argent a repris pendant des siècles. La redistribution automatique par le biais d’un système monétaire basé sur des intérêts a ensuite conduit à la création de la Banque d’Angleterre en 1694 et en conséquence à la formation visible d’une nouvelle haute finance mondiale selon le modèle de la Rome antique.

Les fondateurs de la Bank of England privée ont pris le pouvoir sur l’Angleterre et le Commonwealth, c’est-à-dire sur cette communauté des Nations qui leur est soumise. Depuis cette date et jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, l’Angleterre a été le centre de direction de la haute finance mondiale. Le déclin économique de l’Angleterre après la Seconde Guerre mondiale montre à quel point un pays est rapidement mis hors-jeu lorsque la haute finance ne peut ou ne veut plus l’utiliser comme centre de direction mondial. C’est exactement le sort qui attend maintenant les États-Unis, car le centre de contrôle mondial a été déplacé en Chine. Dans les années 1780, la haute finance a réussi à développer son sinistre réseau de sociétés secrètes, de services secrets, d’adorateurs du diable et de criminalité organisée pour en faire un État profond mondial, par lequel elle contrôle et dirige l’Humanité depuis lors. Au cours du 18e siècle, elle a pris le contrôle de presque tous les États européens, ce qui, à l’époque du colonialisme, était synonyme de contrôle du monde. Il ne lui manquait alors que le contrôle de la Russie.

Comme nous l’avons déjà mentionné, la Russie, que la haute finance avait déjà infiltrée lors de la révolution russe, devait se transformer en un empire soviétique eurasien. Mais, comme nous pouvons le constater chaque jour, les choses ont mal tourné — car leur marionnette maçonnique Vladimir Poutine ne s’est pas montrée aussi loyale que prévu. Depuis longtemps, il s’est détaché de la laisse et veut décider lui-même où il veut aller. Peut-être que l’administration américaine elle aussi maçonnique et son Pentagone ont vraiment aiguisé l’appétit de Poutine avec ce qui s’est passé le 11 septembre. Avec la Chine en revanche, le plan de la haute finance souterraine semblait jusqu’à récemment se dérouler sans accroc. Ce n’est pas pour rien que les médias de masse, qui se trouvent tous sous la dictature de cette haute finance, ont de plus en plus vanté la Chine comme un grand modèle social. Mais pourquoi une élite de la haute finance devrait-elle faire l’éloge d’une dictature communiste ?

Il est urgent que nous apprenions à comprendre que la haute finance construit sa dictature mondiale sur la voie de la dialectique entre le capitalisme de haut niveau et le communisme. La dialectique signifie la tactique qui consiste à faire toujours deux pas en avant, puis un pas en arrière « dans un esprit de compromis, en quelque sorte ». La différence entre le capitalisme de haut niveau et le communisme est… qu’il n’y a pas de différence ! Car le capitalisme n’est que le début et le communisme la cible d’un seul et même agresseur. Le capitalisme est utilisé pour faire avancer le communisme. Et le communisme est utilisé pour faire avancer le capitalisme — mais l’objectif de cette approche dialectique est une dictature communiste mondiale. Mais pourquoi une telle dictature ? C’est la question que se posent tous ceux qui ont conservé l’innocence de leurs interrogations : Comment la haute finance peut-elle trouver faveur dans le communisme — ces contraires ne s’excluent-ils pas complètement ? Eh bien non, justement, parce que le capitalisme comporte une redistribution automatique des richesses des travailleurs vers les plus riches. Le communisme, tel que nous le connaissons dans les pays dévastés du bloc de l’Est, est toutefois une abomination pour une société prospère ; c’est pourquoi toutes les nations prospères doivent être au préalable subtilement plongées dans la misère et le chaos.

[Voir aussi :
Le Grand Réveil]

D’une part cela se fait systématiquement en transférant imperceptiblement de plus en plus de richesses nationales dans les mains de quelques rares super-riches, comme on l’a vu au cours des siècles passés. D’autre part, la misère peut également être provoquée par un terrorisme ciblé et des crises délibérément attisées. Nous y reviendrons plus tard.

C’est en tout cas ainsi que ces familles de l’élite ont successivement pris le pouvoir sur l’Humanité, car nous dépendons tous de leur argent. Et grâce à cette dépendance, un nombre incalculable de personnes sont devenues corruptibles et sujettes au chantage. En d’autres termes, en détruisant le capitalisme des classes moyennes, le capitalisme de la haute finance transfère systématiquement toute la richesse nationale entre les mains de quelques super-riches et, avec cette richesse nationale, tout le pouvoir. Le communisme est son meilleur allié. Dans un zèle aveugle, il conduit fidèlement à l’état final du capitalisme d’État par la voie la plus directe, en donnant à une petite élite tout le contrôle de la richesse nationale et donc le pouvoir sur l’Humanité entière.

Vous tous, les communistes, reconnaissez s’il vous plaît ce que je dis ici et voyez clair dans ce jeu malsain. Vous finirez par devenir des esclaves sans droits de cette haute finance, tout comme le reste du monde, si nous n’ouvrons pas maintenant de nouvelles voies. Vous en saurez plus à la fin de cet exposé. Croyez-le bien, personne d’autre que ces capitalistes de la haute finance ne sera finalement votre propriétaire et votre État communiste tant désiré. En tout cas, ils vous ont depuis longtemps instrumentalisés, vous les communistes, à leurs propres fins, tout comme le christianisme par exemple. Car tous les faux dévots, avec leurs églises et leurs communautés, et bien sûr tous les faux religieux, conduisent eux aussi à l’état final du communisme de la haute finance par la voie la plus directe, et ce par leur attitude fondamentalement mal comprise, soit passive, soit extrémiste. En fin de compte, le capitalisme et le communisme mènent tous deux à ce port d’arrivée où l’individu est non seulement totalement dépourvu de biens, mais aussi définitivement privé de droits et de pouvoir. Mais comme la haute finance est surtout intéressée par le pouvoir sur l’Humanité et pas seulement par sa fortune, le capitalisme ne sert que d’outil, le communisme, ou plutôt la dictature communiste mondiale étant le véritable objectif.

Pour ceux qui doutent encore, voici une citation du pape maçonnique de la haute finance Otto Kahn. Déjà en 1919, il disait textuellement dans une conférence à Budapest :

« Vous dites que le marxisme est l’ennemi le plus acharné du capitalisme, qui nous est sacré. Mais ce ne sont que des pôles opposés qui nous permettent d’être l’axe des pôles. Les deux pôles ont cependant le même objectif : le renouvellement du monde par le haut, via le contrôle de la richesse, et par le bas, via la révolution. »

En 1929, le franc-maçon de haut grade Blumenthal l’a exprimé de manière encore plus claire dans le journal suédois « Judisk Tidskrift » Écriture n° 57 :

« Ce n’est que récemment que notre race a donné au monde un nouveau prophète. Mais celui-ci a deux visages et porte deux noms : d’un côté, son nom est Rothschild, de l’autre Karl Marx. »

Aussi longtemps que cette haute finance mondiale fonctionnera, peu importe comment l’Humanité évoluera — quoi qu’il arrive — les élites tenteront toujours d’instaurer une dictature communiste mondiale, et ce, même si le fameux État profond n’existe plus. Le marxisme, le communisme et leur descendant, le socialisme, n’incarnent rien d’autre que le capitalisme d’État et la domination par une minorité privilégiée qui aspire à un contrôle despotique et total de l’Humanité et veut lui retirer non seulement tout droit, mais aussi toute propriété. On voit tout simplement partout comment le capitalisme et le communisme se servent l’un l’autre à merveille. Et nous retrouvons le même phénomène de la Chine à la Russie et à l’Europe : partout, les multimilliardaires rôdent et partout règne un État quasi omnipotent. Nous, dans l’espace germanophone, nous sommes, tout comme la Russie et la Chine, sur la bonne voie pour n’avoir plus que des groupes puissants et un pouvoir centralisé à Bruxelles sur nous, de sorte que l’individu se retrouve finalement sans aucun droit d’intervention, sans aucun pouvoir et sans aucun droit. En bref, le capitalisme et le communisme forment une équipe de haut niveau, qui est également puissamment favorisée chez nous en Europe. Il en va de même aux États-Unis, où le pouvoir est également entre les mains des multimilliardaires et au centre de Washington. Le capitalisme et le communisme vont toujours de pair et l’individu devient de plus en plus impuissant. De nos jours, nous pouvons le constater de nos propres yeux, nous nous dirigeons déjà tout droit vers une dictature communiste mondiale.

Ce n’est donc pas seulement depuis la Première Guerre mondiale que la haute finance maçonnique contrôle tous les gouvernements nationaux sans exception, mais aussi tous les principaux médias de masse de ce monde. Dans tous les domaines essentiels, il existe malheureusement une obligation d’exécuter leur volonté, de sorte que les évolutions positives en faveur de l’Humanité ne sont plus guère possibles. L’Humanité libre est fortement harcelée et opprimée à tous égards par cette haute finance mondiale secrète. Et ce, bien que cette dernière ne soit composée que d’un nombre raisonnable de familles de milliardaires. Pourtant, ces derniers contrôlent l’ensemble du système monétaire de la planète depuis 1913, c’est-à-dire depuis la création de leur système privé de réserves fédérales, appelé FED. Ils sont parvenus à nous rendre tous totalement dépendants de leur argent avec un système hallucinant d’intérêts et d’intérêts composés. C’est pour cette raison que cette élite secrète est appelée l’État profond mondial. Il s’agit donc, comme nous l’avons mentionné, d’un réseau de sociétés secrètes dont les chefs suprêmes sont tous, sans exception, des adorateurs du diable. Ceux-ci sont liés depuis bien plus de 200 ans aux services secrets et au crime organisé, etc. Il suffit de penser à leur guerre de l’opium, qui n’était que le premier maillon d’une gestion du chaos délibérément orchestrée pour prendre le contrôle de la Chine. Ils contrôlent de plus en plus tous les gouvernements, les médias d’information, les systèmes juridiques, les institutions d’enseignement, les sciences et autres choses similaires. En résumé, ils contrôlent l’ensemble de l’Humanité depuis l’ombre. Ils y parviennent parce qu’ils ont réussi à infiltrer habilement nos systèmes étatiques à tous les postes clés. Et au-dessus de chaque zone capturée où ils ont réussi à prendre le contrôle total de la planète, ils font comme les anciens pirates. Lorsque ces derniers s’étaient emparés d’un navire, ils hissaient leur drapeau avec une tête de mort et des os croisés. Les drapeaux des élites dirigeantes mondiales sont en revanche beaucoup plus discrets et accueillants. Regardons donc quelques-uns de ces drapeaux. Ils signalent tous la souveraineté absolue. Comme nous allons le voir, ils existent sous forme d’emblèmes de souveraineté sur la terre, l’air, l’eau et d’autres encore. Et nous n’avons même pas remarqué qu’il s’agit en fait toujours d’un seul et même signe de souveraineté.

Au centre se trouve la couronne de laurier. Depuis l’Antiquité, elle est considérée comme l’attribut du vainqueur, un porte-bonheur et un symbole de pouvoir. La couronne de feuilles de laurier pouvait être le trophée dans le sport, mais les empereurs romains la portaient également. Dans la mythologie antique, le dieu Apollon porte une couronne de laurier.

Là, il symbolise la suprématie sur les cieux

Apollo 11

Là, Apollo symbolise la souveraineté sur l’espace

Et de même que dans la Rome antique, un laurier était considéré comme sacré et ne pouvait donc être ni profané ni brûlé, de même toute organisation de souveraineté globale des élites est considérée par eux comme quasi sacrée et intouchable !

Organisation Mondiale de la Santé

Vous voyez cette couronne ? Une organisation maçonnique ! Souveraineté sur toute la santé des hommes.

Oui, et nous nous sommes heurtés à ce principe d’intangibilité, notamment lors de la campagne du Covid19. Et de nouveau ces jours-ci, parce que l’OMS vient d’élaborer, dans le cadre d’accords secrets, de nouvelles lois contraignantes à l’échelle mondiale, qui doivent lui conférer la suprématie sur l’ensemble du système de santé, c’est-à-dire en quelque sorte la domination mondiale cachée.

Au lieu de mettre sous les verrous ces personnes qui ont récemment causé des dommages au monde entier, elles planifient déjà en secret une prochaine campagne de domination mondiale.

Pour en venir tout de suite au fait : C’est précisément l’objectif déclaré de la franc-maçonnerie de haut grade depuis des siècles, c’est pourquoi derrière presque tous les logos de lauriers se trouvent des fondations, des organisations et des associations maçonniques. Pour n’en citer que quelques-unes :

Les Nations unies et toutes leurs organisations subsidiaires :

Remarquez toujours la couronne ! Nous n’aborderons pas aujourd’hui le fait que cette couronne tourne autour d’une « carte de terre plate ».

[Note de Joseph : il semble bien qu’Ivo Sasek se soit laissé avoir avec l’affaire de la prétendue « Terre plate ». À l’heure d’Internet, il existe pourtant une expérience simple et imparable pour démontrer que la Terre ne peut pas du tout avoir une géométrie plane. Deux personnes en contact par visioconférence (utilisant Skype, Zoom ou n’importe quel logiciel équivalent) peuvent facilement le vérifier si elles habitent en deux endroits éloignés de plusieurs milliers de kilomètres. Si la Terre était géométriquement plate, alors en tout lieu de la planète, le Soleil devrait descendre simultanément sous l’horizon, si on le voit le faire en un lieu donné. Par exemple, si le Soleil se couche à Paris, dans le même temps, il est six heures de moins à Montréal et on constate qu’il est encore bien haut dans le ciel au lieu d’être proche de tomber sous l’horizon.]

Organisation météorologique mondiale

(Organisation spéciale des Nations Unies)

Programme alimentaire mondial des Nations unies

Fonds des Nations unies pour l’enfance

Conseil des droits de l’homme des Nations unies

Organisation internationale du travail

(Organisation spéciale des Nations unies)

Organisation des Nations unies pour le développement industriel

(Organisation spéciale des Nations unies)

Programme des Nations unies sur le VIH/sida

Nous avons suffisamment dénoncé toute l’arnaque du VIH/sida avec l’AZK.

Organisation maritime internationale

Si tu veux savoir un peu plus précisément ce qui se passe en permanence au pôle Nord, par exemple, et que tu affrètes un bateau pour t’y rendre, tu seras intercepté très tôt par des navires de la souveraineté maritime et contraint de faire demi-tour. Si tu n’obéis pas, tu seras fortement menacé.

Et si tu affrètes un avion, par exemple un petit Cessna, et que tu te diriges vers le pôle Nord, les chasseurs à réaction de la souveraineté aérienne internationale t’intercepteront. À ta droite et à ta gauche, ils t’encadreront et te demanderont par radio de faire immédiatement demi-tour. Si tu n’obéis pas, ils t’abattront. Comprenez-vous ce que signifie cette couronne de lauriers omniprésente ?

Organisation de l’aviation civile internationale

Troupe de combat nord-polonaise

La même chose t’attend si tu ne te comportes pas correctement sur le territoire de la Pologne du Nord.

Agence internationale de l’énergie atomique

Vous voyez, et ainsi on pourrait encore énumérer beaucoup d’autres organisations et sous-organisations maçonniques. Vous n’arriveriez même pas à faire le tour de la NASA et de tous ses astronautes maçonniques. (www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ?)

Sans parler de la nouvelle religion maçonnique du climat, avec ses faux prophètes et ses grands prêtres qui effraient sans cesse les peuples avec leurs mensonges climatiques.

L’ange bleu — Jury du label écologique

Cour pénale internationale

Et celui qui pense qu’au moins la Cour pénale internationale a le même logo par simple hasard peut volontiers croire à nouveau au Père Noël. Même chose si, en tant que chrétien, on croit qu’Israël, fondé en 1948, a été reconstruit par Dieu et non par la franc-maçonnerie de haut niveau.

Modèle de logo universitaire

Regarde le logo de l’université comme modèle. Partout, tu trouveras cette couronne ! « Université » dit déjà tout. C’est le club qui a tout infiltré. Donc si tu as des doutes sur le fait que tout a été habilement infiltré, tu as ici des preuves.

Prochaine vague — Tatouages

Jusqu’aux universités constamment encensées et à l’addiction générale au tatouage, tout prend racine dans un seul et même marécage maçonnique. C’est pourquoi tu vois ici un spécimen comme celui-ci : « Prochaine vague — tatouages ».

Certaines choses ont été délibérément cachées de cette manière, comme c’est la coutume cynique des francs-maçons de haut grade depuis des siècles.

L’état actuel de notre monde montre que la haute finance mondiale est quasiment à un pas de l’objectif de l’instauration de sa dictature communiste mondiale. Mais elle doit encore lutter contre deux problèmes particulièrement tenaces. Comme nous l’avons déjà mentionné, l’élite maçonnique américaine veut maintenir son statut de parasite mondial et empêcher le transfert du centre de direction mondial de la cabale vers la Chine, ce qui retarde considérablement le plan de reformatage de la haute finance mondiale. Et deuxièmement, la population occidentale comprend de plus en plus les objectifs de la mise en place de cette dictature mondiale communiste et financière, c’est-à-dire de l’État profond, et elle devient de plus en plus consciente de sa propre perte de pouvoir en raison de la mise à nu et de la perte de pouvoir de l’élite américaine, qui deviennent visibles. De plus en plus de personnes cherchent donc le salut dans des mouvements patriotiques conservateurs.

Mais tout patriotisme assumé arrive trop tard. Car c’est précisément à cause de lui que les peuples et les États occidentaux sont affaiblis et détruits depuis des décennies par des migrations de masse systématiques. Chaque fois que la haute finance et ses principaux médias exaltent le patriotisme, c’est pour pouvoir ensuite mettre sur le dos du patriotisme ou du nationalisme les révoltes, les crises et les guerres sanglantes fomentées par la franc-maçonnerie, comme ce fut le cas autrefois avec Adolf Hitler ou actuellement avec Zelensky et Poutine. Comprenez-vous l’astuce ? C’est ainsi qu’on démantèle les nationalités. Tout patriotisme authentique est une épine dans le pied du communisme de la haute finance, car il possède la force potentielle de vaincre ce communisme de la haute finance — mais seulement si on se serre les coudes. C’est pourquoi le plan subtil de surpopulation étrangère d’Earnest Hooten détruit sous nos yeux toute velléité de patriotisme authentique. Depuis les années 60, le plan Hooten empêche systématiquement tout retour au patriotisme. Il brise dès le départ tout patriotisme authentique.

Sous le slogan « ça profite à notre économie », des travailleurs immigrés ont donc été introduits de manière ciblée et systématique dans nos pays. Au début, il ne s’agissait que d’amis « voisins », par exemple des travailleurs immigrés d’Italie, puis de Turquie, puis de plus en plus de travailleurs immigrés de tous les pays et enfin le chaos total planifié par des ruées vers l’asile à travers la Méditerranée. La migration de masse s’est ainsi révélée être de plus en plus une ruse de guerre marxiste contre nous, afin d’imposer la dictature communiste mondiale. L’ordre issu du chaos a toujours été le mot d’ordre des élites secrètes qui dirigent le monde. Le chaos total dans tous les sens du terme est leur principe de construction. Pour notre génération, cela commence par les hippies du mouvement de 68, avec l’introduction ciblée de drogues, de sexe, d’alcool — en passant par le nihilisme total — jusqu’à l’effondrement économique total de la classe moyenne, annoncé par les confinements de la plandémie. Oui, le déclin total de tous les peuples non encore communistes est la condition nécessaire à la haute finance secrète pour imposer sa domination mondiale.

Il n’y a aucune autre raison qui explique que nous nous trouvions maintenant dans un monde où les problèmes sont de plus en plus nombreux et où de moins en moins de personnes trouvent encore de l’aide après avoir été délibérément plongées dans des problèmes sans issue.

Je résume tout ce qui a été dit et j’en arrive à ce qui me semble être une solution viable pour sortir de cette crise mondiale :

• Aucun gouvernement au monde n’est vraiment autosuffisant, indépendant de la haute finance. Même les gouvernements qui souhaitent conserver ou rétablir leur indépendance ne le peuvent pas : ils sont écrasés par l’armée.

• La Chine et la Russie ont également été construites stratégiquement par la haute finance mondiale et attirées dans le piège de la dette, comme tous les autres pays du monde.

• Le communisme tout entier est un dispositif global et stratégique de la même haute finance, destiné à éliminer toute classe moyenne qui lui est rivale.

• Le principal point faible du complexe financier mondial, désormais numérique, réside dans la nécessaire administration étrangère. Tout comme les Américains dépendent de gouvernements fantoches appartenant aux États-Unis dans tous les territoires qu’ils occupent, la haute finance fait de même. C’est dans cette administration étrangère que se trouve le talon d’Achille, le point vulnérable de toutes les puissances d’infiltration.

• Après que la haute finance mondiale a construit, entre autres, des prisons de masse rentables, c’est-à-dire des camps de travail pour les travailleurs gratuits, en Russie et en Chine, et qu’elle a finalement pu révolutionner techniquement le marché mondial tout entier, il n’y a plus de retour en arrière possible.

• Mais certaines des principales marionnettes des États vassaux, qui ont été stratégiquement construites par la haute finance mondiale, ont entre-temps elles-mêmes « pris goût à la vie ».

• De même que les bandes de brigands ont toujours eu l’habitude de s’entre-tuer lorsqu’il s’agissait de se partager le gros du butin, il en va de même aujourd’hui. Mais pour nous, les peuples trompés, ce n’est pas une bonne nouvelle. Car que ce soit la haute finance mondiale avec ses militaires ou que ce soit ses vassaux déserteurs qui gagnent la bataille finale pour les peuples travailleurs bon marché, tous les peuples de cette terre finiront de toute façon sous surveillance totale dans les camps de rééducation et de travail prévus. Parce que ce concept est le plus lucratif pour tous les partis de pillards. Priez, si vous pouvez prier, pour que tous ces mafieux des sociétés secrètes s’éliminent mutuellement de leurs propres mains et qu’ils ne parviennent plus à abuser et à sacrifier des peuples innocents pour leurs révoltes et leurs guerres. Je vous invite à écouter à plusieurs reprises la deuxième et surtout la troisième partie de mon message de la Journée des Amis 2023 (https://www.kla.tv/Journéedesamis2023/26201). Vous ne trouverez nulle part ailleurs des solutions et des propositions plus puissantes.

Il n’y a qu’une seule issue pour les peuples : ils doivent devenir ce qu’on leur a fait croire pendant des siècles — ils doivent se défendre ensemble contre la haute finance mondiale rusée et contre son communisme dévoyé.

Mais ce n’est pas la forme puérile ou au mieux adolescente de la démocratie suisse qui nous sortira de l’ornière, car elle est basée sur l’égoïsme humain et donc sur la lutte éternelle des ego.

Ce dont ce monde a besoin, c’est de l’union de tous les peuples condamnés à l’esclavage sous cette loi agissante de l’esprit de vie, de paix et de force de navigation céleste qui sait guider même le « monde animal inculte ».

À ceux qui objectent ici qu’une telle navigation est impossible chez les humains, je renvoie sereinement à l’histoire de l’OCG, dont les organes issus de milliers d’horizons différents agissent harmonieusement comme un seul homme depuis des décennies — et construisent le nouveau monde sur cette voie synergique — et ce, bénévolement et avec une grande motivation. Les résultats ne sont pas seulement visibles dans les dizaines de milliers d’émissions gratuites de Kla.TV ou dans les centaines de milliers d’articles du journal gratuit V&CV. Vous trouverez ces mêmes résultats dans tous les produits de notre maison d’édition Elaion, sous la forme de dizaines de livres gratuits, de littérature spécifique sur le thème susmentionné. Sur le même thème spécifique de la force de navigation ontique mondiale, dans environ 2 000 conférences gratuites sur CD, ou dans de grands films, des oratorios, etc. Nous avons créé tous ces produits bénévolement, malgré les fronts furieux de la haute finance mondiale et du communisme agressif, entre lesquels nous sommes coincés depuis des décennies. Mais aussi en dépit de décennies de résistance de la part de tous les cartels exploiteurs avec leurs médias de masse à redevance obligatoire, etc. En tant qu’OCG, nous sommes devenus un organisme international vivant, en dépit des dizaines de milliers de divisions religieuses, politiques, économiques et autres. Vous voyez donc qu’il est possible de surmonter cela, avec un champ de force qui agit réellement depuis le ciel et qui est là pour tous. Rien de religieux — de la force ! Que pourrais-je encore énumérer ? Il y aurait encore beaucoup plus.

Mais non, l’OCG ne veut pas être lui-même le nouveau dirigeant mondial ou le dirigeant alternatif. Aucun Ivo Sasek ni aucun de ses milliers de collaborateurs bénévoles ne dirigera ce monde. Mais bien le principe de navigation qui agit partout dans l’air autour de nous, auquel nous nous sommes à nouveau fiés et qui nous a permis d’acquérir une qualité de vie totale et indescriptible.

L’OCG ne fait qu’offrir gratuitement ses services à tous les peuples menacés de cette Terre afin de construire parmi eux cette véritable démocratie dans laquelle il n’y a plus de lutte de pouvoir pour les 51 %, mais dans laquelle l’état normal est un accord à 100 % de l’intérieur sur toutes les questions essentielles de la cohabitation entre les peuples, qui s’écoule librement de chaque être humain. C’est le produit de cette navigation par le haut.

J’appelle ici tous les hommes de toutes les nations à l’engagement actif nécessaire ! Devenez avec nous cet organisme vivant ! Celui qui peut entendre mon discours et qui sent dans son cœur qu’une solution adaptée à notre époque s’offre ici — même si c’est à la dernière minute — pour tous les peuples du monde, qu’il s’inscrive à « Kla.TV — Devenir actif » et devienne engagé ! (https://www.kla.tv/aktiv-werden)

Nous sommes là pour toi et nous t’introduisons de manière pratique dans ce champ de force qui navigue de façon ontique.

Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 47 ans.

de is.

Sources/Liens :




Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS

[Source : information645.wordpress.com]

Lundi, un groupe d’avocats de dix pays a publié une déclaration exprimant son opposition au traité sur la pandémie proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), officiellement connu sous le nom de CA+ de l’OMS, et aux amendements au Règlement Sanitaire International (RSI).

Au cours du week-end du 30 juin au 2 juillet, le premier congrès international des avocats d’Anwälte für Aufklärung eV (avocats de traduction anglaise pour les Lumières eV) s’est tenu à Cologne, en Allemagne. Le congrès s’est concentré sur le RSI et le Traité sur la pandémie. Une alliance solide d’avocats de toute l’Europe, soutenue par des avocats du monde entier, se forme contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. « Nous, les juristes, disons : Non au totalitarisme. Des déclarations claires des avocats sur les plans visant à faire de l’OMS une sorte de “gouvernement mondial de la santé” : Nous disons NON ! », a tweeté dimanche le Dr Alexander Christ. Vous trouverez ci-dessous leur communiqué de presse à la fois les images tweetées telles que tweetées par Markus Haintz et le texte extrait des images. Lectures complémentaires d’Anwälte für Aufklärung eV (« AfA ») :

Communiqué de presse de Lawyers for Enlightenment eV Cologne, 3 juillet 2023

Des avocats de dix pays ont abordé les questions du traité de l’OMS sur les pandémies et de l’amendement prévu du Règlement sanitaire international lors d’un congrès international d’avocats qui s’est tenu ce week-end à Cologne. En tant qu’hôtes du congrès, nous, les Anwalte fur Aufklarung e. V. (Avocats pour les Lumières) d’Allemagne, avons invité à une conférence de presse aujourd’hui, à laquelle ont participé des avocats d’Autriche, de Suisse, du Liechtenstein, de France, d’Espagne, d’Italie, de la République tchèque, des Pays-Bas, d’Israël et d’Allemagne, entre autres.

Les principaux résultats de la réunion : Nous, avocats, rejetons le projet de rédaction d’un traité pandémique de l’Organisation mondiale de la santé OMS et de modification du règlement sanitaire RSI. En particulier, nous appelons les États européens à ne pas participer aux plans visant à conférer à l’avenir à l’OMS des droits étendus pour déclarer de futures pandémies ainsi qu’à établir des réglementations pour lutter contre ces pandémies, que les États membres devraient alors se conformer obligatoirement et sans autre possibilité d’intervention ou de révision nationale.

Afin de pouvoir réagir plus efficacement et plus clairement à l’avenir aux violations des droits humains fondamentaux et aux restrictions de la liberté et des droits fondamentaux des populations par les États démocratiques, les avocats réunis à Cologne se sont regroupés pour former une Association internationale des avocats, l’Association internationale des avocats pour les droits de l’homme (IAL). 27 signatures des premiers signataires figurent sur l’acte fondateur de l’association des avocats, qui s’étoffera de manière décisive dans les semaines à venir. Derrière la fondation se trouvent, entre autres, les Avocats pour les droits fondamentaux/Attorneys for Enlightenment Autriche, les Avocats pour les Lumières e. V. Allemagne, des membres du Comité des Avocats de Suisse, des avocats de l’association espagnole Units per la Veritat, pour n’en citer que quelques-uns à titre d’exemple.

La conférence sert à étendre la coopération internationale des juristes qui ont déjà abordé de manière critique l’illégalité des mesures étatiques et la fragilité de l’État de droit national au cours de la période Corona. Ces développements indésirables sont portés au niveau d’organisations supranationales telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui, à l’aide du traité sur les pandémies, devrait être en mesure de contourner les droits de souveraineté nationaux et européens en cas de pandémie future.

À cela s’opposent les juristes réunis à Cologne qui, en revanche, s’attachent au strict respect des droits de l’homme, des libertés et droits fondamentaux. Le principe fondamental ici est le suivant : la dignité humaine est inviolable. La Charte des Nations Unies, dont découle la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Pacte des Nations Unies relatif aux droits civils et politiques et aux droits économiques et sociaux, et la Convention européenne des droits de l’homme revendiquent tous une validité indispensable. Celles-ci ne peuvent en aucun cas être effectivement ou de facto invalidées par un traité pandémique de l’OMS, même et surtout pas en période de pandémie ou d’autres crises sanitaires.

Nous, avocats, défendons : la protection des principes fondamentaux de l’État de droit démocratique, une stricte séparation des pouvoirs au sens du principe de « freins et contrepoids », le principe de légalité, le droit à l’autodétermination des peuples, pour le principe selon lequel tout pouvoir doit émaner du peuple, pour la liberté d’information et surtout pour une interdiction totale de la censure dans tous les États.

Tous ces principes sont contredits par le contenu du soi-disant « WHO Pandemic Treaty », qui est en cours d’élaboration, et les modifications attendues de l’« International Health Regulations » (RSI), qui doivent être soumises pour décision à l’OMS. Assemblée générale en 2024. Selon l’état actuel des connaissances, consultable entre autres sur le site internet du Conseil européen, le traité pandémie et les amendements au RSI visent à faire entrer l’Organisation mondiale de la santé dans le rôle d’un « gouvernement mondial de la santé » en tant que super organisation supranationale et mondiale. À l’avenir, l’OMS sera notamment chargée des tâches suivantes :

  • détection précoce et prévention des pandémies, ce qui nécessite la mise en place d’un système mondial d’alerte précoce et de surveillance sans lien de cause à effet ;
  • création et renforcement de l’OMS en tant qu’autorité de coordination pour les questions de santé mondiale, ce qui aurait pour effet de déresponsabiliser les autorités sanitaires nationales et locales et donc de contredire fondamentalement le principe de subsidiarité ;
  • renforcement de la coopération internationale dans des domaines tels que la surveillance, les alertes et la réponse, ce qui reviendrait à établir un système mondial de surveillance des citoyens par les États, appliqué par l’OMS ;
  • et lutte contre la « désinformation » dans le monde entier, ce qui équivaudrait à instaurer la censure.

Du point de vue de nous, avocats, les quatre objectifs conduiraient à un système mondial de surveillance et de paternalisme de l’OMS d’une manière intolérable qui contredit fondamentalement les principes de l’État de droit. Parmi les principes qui revendiquent une validité indéfectible, le premier à mentionner est l’autodétermination individuelle, qui, surtout dans une crise telle qu’une véritable pandémie, doit toujours avoir la priorité sur le paternalisme étatique, voire supranational. Deuxièmement, il y a le principe de subsidiarité, selon lequel un état supérieur ou une unité sociale ne peut intervenir pour aider et reprendre des fonctions que si les forces de l’unité subordonnée ne sont pas suffisantes pour remplir la fonction nécessaire. Surtout en cas de pandémie, la priorité doit toujours être donnée à la prise de décision locale sur les mesures nécessaires.

Lors de la dernière pandémie de Corona, par exemple, l’OMS a montré, par un échec global, qu’elle n’était à aucun moment en mesure d’évaluer correctement la situation. Le transfert de pouvoir à une organisation anonyme, non légitimée démocratiquement, dotée de structures mafieuses, alimentée par des sources d’argent douteuses et proche du lobby pharmaceutique — pour ne pas dire plus — et qui, à l’avenir, sera en mesure de déterminer de manière incontrôlée quand une pandémie s’est déclarée, quand elle est terminée et comment les populations du monde entier doivent alors se comporter, doit être résolument rejeté.

Nous, juristes, disons : Non au traité pandémique de l’OMS et Non à l’amendement du Règlement sanitaire international !

Dr Alexander Christ, porte-parole AnwSite fur Aufldarung eV, Hohenzollerndamm 112, 14199 Berlin, kontaktaafaev.de vrww.afaev.de




Emeutes et affaire Nahel. Qui met le feu à la France ?

[Source : Youssef HINDI ou strategika.fr]