Piqûre de rappel : UNCED, sommet pour la terre et Nouvel Ordre Mondial — George Hunt

[Source : Jeanne Traduction]






Victor : « Nous, les jeunes, avons été endormis par une société de service, de divertissement »

[Source : lemediaen442.fr]

Quand Marcel avait lancé sa sainte-colère sur le suicide des enfants, Victor nous avait envoyé sa vidéo « Leurs projets ». Bluffés par le talent de ce jeune homme de 18 ans [à l’époque], nous vous avions fait partager sa réalisation. Devant les très belles réactions qu’elle a suscitées, nous avons décidé de reprendre contact avec Victor pour vous le faire découvrir parce que, vous allez voir, ça vaut vraiment le coup d’en savoir plus sur lui !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Victor et bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Nous vous avons découvert tout début mai grâce à votre vidéo « Leurs projets ». Pouvez-vous brièvement vous présenter à nos lecteurs ?

Victor : Bonjour, et encore merci de me permettre cette prise de parole. Je m’appelle Victor et viens fraîchement d’acquérir mes 19 ans. Anciennement en série Littéraire au lycée, je me décide à m’orienter vers une faculté d’arts du spectacle afin d’approfondir mes connaissances, mon rapport au monde. Très vite, les cours en distanciel s’imposent et redessinent totalement mon rapport au savoir théorique de la fac. Alors qu’on nous apprenait les fondements des arts du spectacle, du cinéma, qu’on nous expliquait à quel point L’Homme est un être sociable, qui ne peut se passer de son voisin, alors qu’on passait des heures entières à analyser les œuvres de Fritz Lang, on nous apprend finalement que toute cette chaleur, toute cette théorie devait se soustraire aux cours en distanciel. Ma première incompréhension, ma première colère s’est tournée vers le système scolaire. Je prends donc la décision de ne plus rester quatre heures par cours devant mon écran d’ordinateur. La situation paradoxale que je vivais, les professeurs muets face à de telles decisions sanitaires, c’était glaçant. Je décide donc de me déscolariser. La première peur, de passer pour un branleur, de ne plus savoir où me placer, mais de savoir intimement que mon humanité, ainsi que ma curiosité, pouvait me permettre de comprendre, de dire ce que je ressens. Après tout ça, découlera quatre mois de solitude, de réflexion liées à la situation que nous traversons, consacrés à la création de mon nouveau projet : « Leurs projets ».

Le Média en 4-4-2 : On a constaté que la « crise du Covid » a accentué le phénomène de déscolarisation et vous êtes loin d’être le seul à regretter le manque de soutien des professeurs envers les élèves en difficulté dans ce contexte sanitaire. Selon vous, quel est l’impact de ces mesures prises par le système scolaire sur les jeunes de votre âge ?

Victor : Encore une fois, je voudrais préciser qu’à travers mes réponses, je n’engage que mon ressenti et ma vision personnelle de ce que je vois et entends. Lorsque j’aborde la question avec d’autres jeunes de mon âge, je suis confronté à deux types de réponses. D’une part, je retrouve des jeunes qui, comme moi, voient leur année compromise par les décisions, les restrictions sanitaires. Il est difficile de se plier aux restrictions, de supporter l’enseignement 2.0 (complètement numérique) que nous n’avons pas le choix de supporter. D’autre part, j’entends des jeunes qui ne sont pas trop dérangés par les cours en ligne, ils trouvent ça confortable. Je n’aimerais pas les caricaturer ou les blâmer, je ne sais ce qui les fait tenir. Par ignorance, par peur, par docilité ou par détermination, ces jeunes ne se questionnent même plus sur la situation, ils subissent sans réaction. Ils s’éloignent de nous, parce qu’on leur a demandé. Actuellement j’ai comme l’impression qu’une grande sélection s’est faite : les élèves un peu trop faibles pour ce nouveau système se sont fait éliminer. Personnellement je ne sais même pas quoi faire l’année prochaine. Je vais sûrement travailler en tant que caissier, à défaut de pouvoir supporter les nouvelles règles. On assiste à une véritable épuration dans le monde de l’enseignement. Ils tuent toute forme de résistance, de différence. Les élèves qui supportent tout ça, les bons petits soldats (en qui j’ai énormément de respect, ou de mépris) conservent leur place dans le grand voyage des études. En espérant qu’ils ne deviendront pas les nouveaux hommes robots de demain. J’ai toujours été dans ma scolarité ce jeune qui écoute attentivement et vient assaillir le professeur de tout un tas de questions. A défaut d’être un élève exemplaire dans mon travail personnel, je l’étais dans la vie de la classe. L’énergie de l’échange, la chaleur des idées du professeur… Je n’ai plus rien à faire à l’école, car il n’y a plus d’école. J’ai peur pour mes amis qui s’accrochent, pour moi qui me détache. Je donne toute ma force à ces jeunes qui supportent encore la grosse sélection que nous subissons actuellement. Accrochez-vous, vous aurez réussi et je ne serai rien lorsqu’on se croisera dans la gare du coin !

Le Média en 4-4-2 : Vos paroles sont bouleversantes contre ce système qui opère, selon vos mots, à une sélection, à une épuration. Cela nous fait penser à ce passage de votre vidéo : « Enfermés dans nos chambres, on éteint les lumières, contraints à s’épanouir dans le noir. »  Comment en est-on arrivé à un point où la jeunesse ne se rend même pas compte de cette situation et/ou l’accepte sans rechigner ? Une certaine forme de conditionnement n’en serait-elle pas en partie responsable ?

Victor : A mon avis nous avons, en particulier les jeunes, été endormis par une société de service, de divertissement. Tout est à portée de clic. Le confort matériel tout autour de nous formerait une sorte de carapace à l’épreuve des chocs émotionnels, des lacunes sentimentales. Ce que je raconte a déjà été prédit par tant de bouches. Je vous conseille notamment de vous plonger dans les films de Guy Debord qui m’ont aidé à comprendre en quoi le divertissement deviendrait un gouffre pour quiconque s’y aventurerait. Au fil du temps qui passe, je comprends que nous grandissons dans une violence, dans une négligence sans nom. Habitués au spectacle, à la démesure, ou à l’extrême, le rapport de forces, la méfiance et l’hostilité deviennent réflexes. Le cœur et l’esprit complètement anesthésiés cèdent la place à la compulsivité. Des esprits en perdition (je m’inclus dedans) qui ne sont parfois même plus en quête de sagesse. Bloqués à jamais sur la bande d’arrêt d’urgence. L’égo sous toutes ses facettes qu’il peut avoir de négatives vient bousiller nos relations. La sensibilité, la curiosité, la subtilité de certains finalement écrasées par le paraître ou le pouvoir d’autres. Il est donc plus évident de ranger sa personne tout au fond de soi, afin de ne pas se faire piétiner par l’époque. De nos jours tout se sait, pourquoi chercher à se battre, pourquoi chercher à chercher ? Pour une âme fatiguée, étouffée par son milieu, son époque, il devient évident de se soustraire et de suivre en silence.

Le Média en 4-4-2 : En parlant de société de divertissement qui « vous a éduqué » pour reprendre vos mots dans votre vidéo, quel est votre point de vue sur la vidéo de Mcfly et Carlito à l’Elysée avec Emmanuel Macron ? Vous serez sans doute d’accord avec nous sur le fait qu’ils participent (consciemment ?) à la campagne présidentielle du président sortant, la cible étant les jeunes. Pensez-vous que cela puissent redorer son image auprès de votre génération ?

Victor : Je suis sidéré de constater qu’il n’y ait plus de frontière entre nos divertissements et notre politique. Tout végète dans un jeu décadent mettant en scène des apparences, mais ne venant à aucun moment confronter les idées des participants, ni même insuffler quelconque forme de subtilité, profondeur. On stagne au stade de la grimace, de l’anecdotique. Sidéré de le voir se pavaner autour de ses deux bouffons. Ils n’ont rien en commun, si ce n’est cette forme de corruption à laquelle ils s’adonnent pour marquer, infantiliser, l’histoire. Pour rafler l’audience, l’égocentrisme atteint son paroxysme. Le sensationnel, dans cette époque, pour stimuler des jeunes consciences amorphes, avides d’expérience. Si le public demande du spectacle, ils vont nous en donner. Le président s’importe sur nos écrans. Il est évident que les plus influençables l’apprécieront, car sympathique. Deux bouffons au service du roi. Je ne peux prédire, ou parler au nom de ma jeunesse, mais j’espère qu’elle n’est pas aussi facile à piéger. J’espère qu’elle sait faire la distinction entre la réalité et le divertissement qui lui est adressé. Triste spectacle devant lequel je ne comprends plus la démesure de son absurdité. Macron devient son propre outil de propagande, il s’adapte à la jeunesse, à ses codes. Il tente de nous chercher dans les zones où se regroupe la masse. Il cible, il s’adapte et il tire. Méfions-nous de nos programmes !

Le Média en 4-4-2 : Vous évoquez ce « sentiment d’esclave, prisonnier dans la peur qu’on nous inculque, le temps qui passe, on coupe les ailes de la jeunesse ». Les jeunes ont-ils vraiment peur du Covid et de la société qu’on leur présente à travers leurs écrans, ou sont-ils simplement « endormis par une société de service, de divertissement » comme vous nous le disiez précédemment ?

Victor : Personnellement, je me sens prisonnier dans cette peur. Je pense que cette jeunesse malléable à souhait a accepté les restrictions de vie. Pour ressentir cette peur, dans laquelle je me trouve, encore faut-il réussir à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure. Les jeunes sont bien rangés, les jeunes sont bien rongés : tout dépend de leurs source d’inspiration, d’information. Les jeunes qui vivent dans la peur sont ces jeunes qui sont en quête de liberté, de vie. Lorsqu’à 23 heures je me promène en ville, j’ai la rage et la peur au ventre. Peur de faire face aux gardiens de la paix. Nous ne sortons plus, nous ne crions plus, nous ne dansons plus, par peur de se faire réprimander. Énormément de jeunes sont ignorants. Et acceptent comme s’il fallait rester sage. Ils s’en remettent à la sagesse des informations qu’il ne cherchent même plus à comprendre, ils se contentent d’appliquer. Il existe cependant une jeunesse qui se bat et respire fort. Elle court et laisse ses plumes au contact des forces de l’ordre. Elle est nourrie par la peur.

Le Média en 4-4-2 : La fin de votre vidéo offre un magnifique appel au réveil, à la mobilisation : « Va falloir frapper fort, retrouver la vérité, forger les plus éveillés, soyons des soldats de l’ombre, nous sommes en guerre, parce que c’est leurs projets ». Comment et de quelle manière voyez-vous cette prise de conscience de la jeunesse, mais pas que ?

Victor : J’appelle au réveil, au retour de la force, à bousculer les choses intelligemment, implicitement. Il faudrait réussir à parler aux gens. Je suis agacé de constater les barrières qui ne se franchiront peut-être jamais dans les discussions des passants dans la rue. Il est important de toucher les gens par notre authenticité, notre droiture d’esprit, notre charisme, notre bienveillance. J’aimerais retrouver la vitalité dont on nous éloigne. Leurs projets nous divisent. Ils nous infantilisent et nous privent de sortie. Même mes parents ne m’ont jamais puni aussi longtemps. J’espère retrouver la jeunesse cet été, dans l’amour et dans la fête. Je garde espoir en la tempête, mais j’en ai peur également. La violence, la bêtise, la haine qui nous rongent sans arrêt depuis un moment vont sûrement s’échapper de nos corps par inadvertance pour finalement se bousculer dans les rues. Nos énergies vont nous guider. Il reste à savoir comment cela se déroulera. Je ne sais prédire ou anticiper cette libération, bien que je m’inquiète de cette explosion.

Le Média en 4-4-2 : Et d’un point de vue strictement personnel, comment voyez-vous votre avenir proche dans ce monde en plein chamboulement ?

Victor : De mon côté, je garde confiance en moi, en la lumière que je garde tout au fond de moi. J’essaie de l’entretenir, de la nourrir d’expériences, qu’elles soient intérieures ou au contact du monde. Je trace mon petit chemin en espérant que le grand chamboulement ne vienne mettre sur mon sentier tout un tas d’obstacles. J’ai peur de l’inconnu qui guide mes journées. Je tente une école de cinéma pour la rentrée prochaine, mais pas de plan B en cas d’échec. J’irai sûrement travailler là où on voudra bien de moi. Je suis prêt à bouger, à rencontrer n’importe qui, n’importe où. J’ai peur que mon destin se trace trop vite, dans une boulangerie à la caisse du magasin ou à la caisse du Super U. J’ai besoin de trouver de nouvelles personnes, de nouvelles idées, de nouvelles destinations. Je dois l’avouer, si j’ai fait cette vidéo, c’était pour témoigner du flou qui vient perturber ma vision du chemin. Cependant, même si je n’ai encore rien d’acquis, de façon concrète, je suis vraiment fier, à vrai dire déboussolé, de constater la force que ma vidéo a reçue de la part de tout ce monde. Cela me donne confiance, en ma perception du jeu. J’espère que mon avenir se tracera grâce à ce que je développe lors de mes projets vidéo, grâce à ce qui se dessine aux côtés de ceux qui m’écoutent, grâce à ceux que j’écoute. J’aimerais prendre mon indépendance surtout financièrement, afin de pouvoir soulager le porte-monnaie de mes parents. Je tiens au passage à les remercier de tout mon cœur pour la liberté qu’ils m’accordent, pour leur confiance en mes projets. N’hésitez pas, vous qui me lisez à me soumettre propositions, projets, collaborations, emplois ! Je reste ouvert. Je garde confiance en mon authenticité, ma curiosité, et mon amour pour les autres.

Le Média en 4-4-2 : Merci Victor pour cet entretien très instructif ! Nous vous souhaitons bonne chance pour votre école de cinéma et espérons que votre vidéo sera la première d’une belle série. Nous vous laissons le mot de la fin !

Victor : Merci à vous ! Vous m’avez offert cette chance, de pouvoir parler. L’intérêt que vous avez porté à ma vision m’a profondément touché. Il m’a également permis de prendre confiance en moi, en cette marginalité qui habite mes idées ainsi que les vôtres. J’ai toujours composé l’ensemble de mes vidéos dans l’intimité. Grâce à vous, je me suis ouvert. J’espère très vite reprendre la parole, j’attends le bon moment. J’attends, comme à chaque fois, l’inspiration foudroyante. J’incite n’importe qui à prendre la parole, avec panache, style et passion. Ne cédons pas à la panique générale et restons confiants. Nos états d’âmes, nos sentiments nous aident à comprendre les embûches, les douleurs. Tentons de les déchiffrer pour y trouver la nature de nos névroses. A bientôt !

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Tucker Carlson (de Fox News) suggère que le FBI a aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole

[Source : News 24 (news-24.fr)]

Tucker Carlson a suggéré ce soir [16 juin] que le FBI avait peut-être aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole le 6 janvier de cette année via leur infiltration dans certains groupes. C’était son segment d’ouverture ce soir.

Regarder:



Je vais dire deux ou trois choses à ce sujet. Premièrement, ce que suggère Tucker est une possibilité distincte qui ne devrait pas être ignorée. Comme il l’a démontré, cela s’est déjà produit. Mais je noterai également qu’il ne s’agit que de spéculations. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le nom de quelqu’un a été légitimement omis dans les documents judiciaires et aucune accusation n’a été déposée. Il se pourrait simplement que le FBI soit encore en train de monter son dossier contre ces personnes. Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a pas été inculpé et que son nom est omis qu’il s’agissait d’agents infiltrés.

Deuxièmement, j’ai trouvé étrange que Fox News ait choisi de ne pas publier son segment d’ouverture sur la page vidéo de Tucker ou sur Youtube. C’est pourquoi il m’a fallu si longtemps pour obtenir la vidéo et la publier. Je me demande si les patrons de Fox News de Tucker adhèrent à la caractérisation par la gauche du segment de Tucker et ont donc peur de la publier :

Soit dit en passant, Tucker n’a jamais utilisé les mots « faux drapeau » ou suggéré qu’il s’agissait d’une opération « faux drapeau ».

Quel que soit leur raisonnement pour ne pas le publier, nous l’avons pour vous ci-dessus. Et ci-dessous se trouve la suite de son segment avec son interview du chef de Revolver News Darren Beattie sur le sujet :



[Voir aussi : https://lesakerfrancophone.fr/des-documents-de-justice-implique-que-le-fbi-a-aide-a-organiser-lattaque-du-capitole]




Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




« Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe Guillemant

[Source : PLANETES360]

https://youtu.be/oOpwc8c_oAY

Philippe Guillemant est ingénieur physicien, diplômé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Docteur en Physique, il travaille au CNRS sur le site de l’université d’Aix-Marseille en tant qu’ingénieur de recherche hors classe.




Comment la démocratie a été détournée de son but

Comment la démocratie a été détournée de son but par des salopards (en étant gentil)

Par Alain Nicolaï

En république, les élections présidentielles donnent l’occasion au peuple d’élire le chef de l’état pour une période déterminée. En théorie, celui-ci doit en retour œuvrer pour le bien de tous. Le coronacircus a démontré aux yeux des personnes sensées, des personnes qui réfléchissent en mettant les faits en connexion rationnellement que ce n’était malheureusement pas le cas.

Voici ce que dit à ce propos Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer :



Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement. Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose. Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Voir aussi :

▪ Mike Yeadon sonne l’alerte du pass sanitaire : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonSenta:d
▪ « Si j’ai raison, nous sommes en pleine 3ème guerre mondiale » : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonFS:a
▪ L’ancien vice-président de Pfizer déclare à RFK Jr. que les jeunes gens en bonne santé ne devraient pas être contraints de prendre des vaccins  » expérimentaux  » : 
https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-mike-yeadon-rfk-jr-the-defender-podcast-safety-mrna-vaccine-technology/

Nous sommes face à une attaque d’une ampleur inégalée, nous avons donné le pouvoir à des personnes qui nous trahissent pour des intérêts privés. Nous avons donné le pouvoir à des personnes qui préfèrent œuvrer pour les profits des multinationales et de la finance : nous nourrissons en notre sein des vipères.

[Illustration : Allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)]




Poutine donne une leçon à un journaliste et autres infos sur le vol Ryanair 4978

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Wikimedia Commons]

Par Moon of Alabama

Il y a quelques nouveaux éléments concernant le vol Ryanair 4978 qui, le 23 mai, a atterri en Biélorussie après avoir reçu une alerte à la bombe. Récapitulons :

Le 23 mai, une alerte à la bombe contre un vol Ryanair reliant la Grèce à la Lituanie a été envoyée par courriel aux aéroports et aux autorités de Lituanie, de Biélorussie et de Grèce. On ne sait pas qui a envoyé le courriel. ...

Le contrôle du trafic aérien du Belarus, dans l'espace aérien duquel l'avion volait à ce moment-là, a contacté le pilote, l'a informé de la menace et lui a recommandé d'atterrir à Minsk. Le pilote a contacté la direction de Ryanair et a ensuite décidé de suivre le conseil. L'avion a atterri à 10:15 utc (13:15 heure biélorusse), les passagers ont débarqué et une longue fouille a été effectuée. Aucune bombe n'a été trouvée. ...

Les passagers ont dû passer par le contrôle des passeports. Deux passagers faisant l'objet de mandats d'arrêt non exécutés ont été placés en détention. Les autres passagers ont repris l'avion vers leur destination initiale. ...

Une heure après l'atterrissage de l'avion, [l'activiste cherchant à changer le régime] Frank Viacorka, qui est suivi par de nombreux "blueticks" sur Twitter, a présenté un récit de l'incident qui s'éloignait fortement de la réalité, mais qui a permis de relancer le programme de changement de régime qui était au point mort. ...

Le tweet largement partagé et ceux qui l'ont suivi impliquaient que le gouvernement bélarusse avait détourné l'avion pour arrêter un autre activiste cherchant à changer le régime, Protasevich.

Lorsque l'on examine les détails de l'affaire, il devient vite évident que ce récit est faux.

Les médias « occidentaux » continuent de raconter ce faux récit. Il a conduit, comme l’espéraient ses initiateurs, à l’introduction de nouvelles sanctions contre le Bélarus.

L’affaire est revenue sur le tapis lors d’une récente interview du président russe par la NBC. La transcription et la vidéo sont disponibles ici :

Keir Simmons : Passons à la Biélorussie et à l'Ukraine, deux questions qui seront certainement abordées lors de votre sommet avec le président Biden. Saviez-vous à l'avance qu'un avion de ligne serait contraint d'atterrir en Biélorussie et qu'un journaliste serait arrêté ?

Vladimir Poutine : Non, je n'étais pas au courant. Je ne savais rien d'aucun avion de ligne. Je n'étais pas au courant des personnes qui ont été détenues là-bas par la suite. Je l'ai appris par les médias. Je ne savais pas, je n'avais pas la moindre idée des personnes détenues. Je n'en sais rien. Cela ne nous intéresse pas.

Keir Simmons : Vous semblez l'avoir approuvé à en juger par votre rencontre avec le président Lukashenko peu après.

Vladimir Poutine : Non pas que je l'approuve. Non pas que je la condamne. Mais, bon, c'est arrivé. Je l'ai dit récemment lors d'une conversation avec un collègue européen, la version de M. Loukachenko est que des informations leur avaient été données selon lesquelles il y avait un engin explosif à bord de l'avion. Ils ont informé...

Keir Simmons : Et vous croyez ça ?

Vladimir Poutine : ...le pilote sans le forcer à atterrir. Et le pilote a pris la décision d'atterrir à Minsk. C'est tout. Pourquoi ne devrais-je pas le croire ? Demandez au pilote. C'est la chose la plus simple. Demandez au capitaine de bord. Demandez au commandant de l'avion. Lui avez-vous demandé s'il a été forcé d'atterrir ? Parce que je n'ai pas entendu ni vu d'interview avec le commandant de l'avion qui a atterri à Minsk. Pourquoi ne pas lui demander ? Pourquoi ne pas lui demander s'il a été forcé d'atterrir ? Pourquoi ne pas lui demander ? En fait, c'est même étrange. Tout le monde accuse Lukashenko, mais le pilote n'a pas été interrogé. ...

Vladimir Poutine : Oui. Ecoutez, je vais vous le répéter. Ce que le président Loukachenko m'a dit, je n'ai aucune raison de ne pas le croire. Pour la troisième fois, je vous le dis : Demandez au pilote. Pourquoi ne pas demander au pilote. Était-il...

Keir Simmons : Mais vous...

Vladimir Poutine : ...avait-il peur ? Était-il menacé ? A-t-il été contraint ? Le fait que des informations soient apparues selon lesquelles il y avait une bombe dans l'avion, que des individus, des personnes qui n'avaient rien à voir, qui étaient des passagers, qui n'avaient rien à voir avec la politique ou tout type de conflits intérieurs, qu'ils puissent le percevoir négativement, s'en inquiéter, bien sûr que c'est une mauvaise chose. Il n'y a rien de bon dans tout cela. Et évidemment, nous condamnons tout ce qui a trait à cela, et au terrorisme international, et à l'utilisation d'avions. Bien sûr, nous sommes contre cela. ...

Poutine a raison de souligner que les médias « occidentaux » n’ont fait aucun effort pour examiner réellement l’affaire. Ils pourraient s’adresser au pilote et au copilote ainsi qu’à Ryanair et leur demander ce qui s’est réellement passé.

Mais Poutine se trompe en suggérant que les pilotes n’ont pas été interrogés du tout. Après l’atterrissage de l’avion à Vilnius, le pilote a été interrogé par la police lituanienne :

Parmi les personnes interrogées figure le commandant de bord de l'avion qui "a pris la décision [de changer de cap vers Minsk] après avoir consulté la direction de Ryanair", selon [Rolandas Kiškis, chef du bureau de la police criminelle].

La transcription incontestée du trafic radio entre le pilote et le contrôle du trafic aérien bélarusse prouve qu’il n’y a eu aucune menace ou ordre des autorités de faire atterrir l’avion. La tour de contrôle a recommandé de se dérouter vers Minsk en raison de l’alerte à la bombe. Le pilote a communiqué avec sa compagnie aérienne et a ensuite suivi les conseils de la tour.

Le fait que celui qui interroge Poutine sur NBC ne soit pas au courant de ces faits le disqualifie en tant que journaliste.

Deux activistes « occidentaux » rémunérés qui avaient œuvré pour un changement de régime au Bélarus se trouvaient sur le vol Ryanair. Roman Protasevich et sa petite amie Sofia Sapega étaient sous le coup de mandats d’arrêt. Ils ont été arrêtés après l’atterrissage de l’avion à Minsk. Une chaîne de télévision bélarusse a réalisé un documentaire (vidéo) sur l’affaire des alertes à la bombe. On y voit que ces deux personnes ont quitté l’avion comme tous les autres passagers et n’ont été arrêtés qu’au moment de passer le contrôle douanier. On y voit également le premier entretien de Protasevich avec la police. Dans une autre interview de 90 minutes (vidéo) de Protasevich avec un journaliste de la télévision bélarusse, il crache le morceau sur l’opposition financée par l’« Occident ».

Hier, le ministère des affaires étrangères du Bélarus a donné une conférence de presse sur le sujet. Protasevich était également présent pour répondre aux questions. Sa partie est à la 45eme minutes dans la vidéo de la conférence de presse.

Les journalistes de la BBC présents à la conférence de presse ont quitté la salle car ils ont supposé que la présence de Protasevich n’était pas volontaire. Protasevich lui-même conteste fortement cette affirmation. Comme dans les précédentes vidéos de lui, il n’y a aucun signe dans son attitude ou son engagement qui me ferait croire qu’il a été contraint.

La conférence de presse avait pour but de clarifier plusieurs affirmations erronées trouvées dans les médias « occidentaux ». L’une d’entre elles était la suivante :

Asta Skaisgirytė, principal conseiller en politique étrangère du président lituanien Gitanas Nauseda, a déclaré dimanche que la Biélorussie avait fait décoller deux avions militaires - un avion de chasse MiG-29 et un hélicoptère Mi-24 - pour détourner l'avion civil de passagers vers Minsk.

Lors de la conférence de presse, le porte-parole militaire explique que l’hélicoptère n’avait rien à voir avec le vol Ryanair, car il volait beaucoup plus bas et plus lentement et n’avait aucune chance de s’en approcher. Le MIG-29 n’a décollé qu’après que le vol Ryanair a lancé un MAYDAY et décidé d’atterrir à Minsk. Le MIG se trouvait à ce moment-là à des centaines de kilomètres de l’avion de Ryanair et la distance la plus proche qu’il ait pu franchir était de 55 kilomètres lorsque l’avion de Ryanair a atterri à Minsk.

Suit une partie sur un conflit frontalier autour de l’immigration illégale entre le Belarus et la Lituanie. Après cela, l’enquêteur principal de l’affaire discute des crimes dont Protasevich et Sapega sont accusés. Il indique également que Protonmail, la société suisse par laquelle le courriel d’alerte à la bombe a été envoyé, n’a pas coopéré avec les autorités biélorusses dans cette affaire et dans les affaires précédentes.

Suivent ensuite des questions adressées à Protasevich lui-même. La première question porte sur l’affirmation d’une chaîne d’opposition sur Telegram selon laquelle le président Loukachenko serait apparu dans sa prison et aurait personnellement battu Protasevitch.

Protasevich répond que ce n’est pas sérieux. Il explique les marques sur ses poignets que l’on pouvait voir lors de sa dernière interview. Il explique que lorsqu’il a été arrêté, la police de l’aéroport n’avait pas de menottes et a utilisé des serre-câbles en plastique à la place. Celles-ci lui ont entaillé la peau.

Il affirme qu’il n’a pas été blessé du tout et qu’il est en pleine santé. Il demande à ses anciens camarades de l’opposition biélorusse de ne pas répandre de rumeurs à son sujet. Il craint que ses parents, qui se trouvent en Pologne, ne soient induits en erreur sur sa situation. Lorsqu’on l’interroge sur l’oligarque russe qui, selon lui, a financé une partie de l’opposition, il répond qu’il ne se souvient pas du nom de cet homme.

Merci à Elena Evdokimova d’avoir traduit les détails ci-dessus.

Dans son article sur l’apparition de Protasevich à la conférence de presse, le New York Times fait plusieurs affirmations erronées. Il affirme que Protasevich « a été traîné hors d’un vol Ryanair avec sa petite amie, Sofia Sapega, il y a trois semaines par des agents de sécurité biélorusses ».

Le documentaire sur le vol montre, à 20:20 min et à 25:45 min, que ce ne fut pas le cas. Aucune police n’est montée à bord. Les passagers, dont Protasevich et Sapega, quittent l’avion un par un avec leurs bagages à main. Des chiens renifleurs de bombes contrôlent ensuite les bagages et les passagers montent dans un bus pour être conduits au terminal.

26:53 min le documentaire montre Protasevich avec un masque noir et un sac à dos militaire dans le terminal en train d’attendre pour passer le contrôle des passeports.

Le New York Times affirme également :

Les autorités biélorusses avaient promis de fournir de nouveaux détails dans leur histoire sur comment et pourquoi le vol Ryanair a été forcé à atterrir après avoir pénétré dans l'espace aérien du pays lors d'un vol vers la Lituanie depuis la Grèce.

Le vol Ryanair n’a pas été « forcé à atterrir » et à aucun moment les autorités biélorusses n’ont proposé de fournir des détails sur un tel événement. Elles ont fourni des détails sur un avion qui a fait l’objet d’une alerte à la bombe et qui s’est dérouté vers Minsk après que le pilote a volontairement décidé de le faire.

L’émission de la BBC sur la conférence de presse est également rempli de contre-vérités et de propagande :

Contredisant carrément les comptes-rendus indépendants de ce qui s'est passé, le chef de l'armée de l'air biélorusse, Igor Golub, a déclaré lors de la conférence de presse : "Il n'y a pas eu d'interception, pas de détournement forcé vers la frontière de l'État ni d'atterrissage forcé de l'avion de Ryanair."

Que sont, s’il vous plaît, ces « récits indépendants de ce qui s’est passé » à part quelques tweets sans fondements publiés par des activistes qui veulent changer le régime, comme Frank Viacorka ; tweets complètement contredits par les preuves et les faits bien documentés ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

« J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.

Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque. » Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.

Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.

Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM, etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.

C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…

Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent?

Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?

Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !

Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.

Dans notre pays des « Droits de l’Homme » il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.

Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.

C’est pour quand la découpe façon abattoir? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !

Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?

Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.

Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?

La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie Covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.

Leurs « plandémies » et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier… croyez-moi !

Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.

Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.

Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.

Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent…

Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.

Levons-nous !

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Ottawa enfin «plus sensible» à la survie du français au Canada?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 GEOFF ROBINS]

Au Canada a lieu actuellement le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont le but est de trouver de nouveaux moyens pour préserver le français. Plusieurs observateurs prédisent un rapide déclin des communautés francophones hors du Québec, mais le sociologue Joseph Yvon Thériault, lui, est plus optimiste. Entrevue.

Quel sera l’avenir des francophones du Canada, alors que l’anglais est depuis longtemps largement majoritaire en Amérique du Nord? Cette question est au cœur de la vie politique du Canada depuis la fondation de la fédération, en 1867.

Pour poursuivre la réflexion se tient actuellement, en mode virtuel, le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont l’un des premiers objectifs est de «trouver les meilleures solutions pour faire progresser la francophonie et la langue française au Canada». Le sommet vise aussi, voire surtout, à renforcer les liens entre les communautés francophones du Canada anglais et le Québec, seule province où le français est majoritaire. Le Premier ministre québécois, François Legault, assistera à la conférence de clôture, le 17 juin.

La langue de Molière : un déclin inéluctable?

«Faire progresser la francophonie»: l’intention est louable, mais ne s’agirait-il pas plutôt d’en freiner le déclin? Depuis plusieurs années, de nombreux observateurs et organismes s’inquiètent de la perte de vitesse du français, qui est pourtant l’une des deux langues officielles du pays de l’Érable. Selon l’agence publique Statistique Canada, en 2011, la proportion de francophones au Canada était de 3,8% sans le Québec, et cette proportion est appelée à passer à 2,8% en 2036.

Sociologue invité comme panéliste au sommet, Joseph Yvon Thériault se veut beaucoup moins alarmiste que certains chroniqueurs nationalistes québécois, pour qui l’avenir du français se joue uniquement au Québec. En 2019, la journaliste Denise Bombardier avait soulevé un tollé partout au pays en affirmant: «À travers le Canada, toutes les communautés francophones ont à peu près disparu.» Des propos tenus lors d’une émission de grande écoute sur les ondes de Radio-Canada. Lui-même issu d’une communauté francophone hors Québec –le peuple acadien–, Joseph Yvon Thériault déplore une certaine méconnaissance des francophones minoritaires:

«La survie de la francophonie hors Québec aura un avenir parce qu’il y a un afflux d’immigration en provenance du Québec dans les communautés concernées. En 1930, on prédisait déjà la fin des francophones de l’Ouest. On oublie souvent qu’il y a toujours une immigration d’Est en Ouest au Canada. Les francophones hors Québec réussissent donc à se maintenir», analyse l’auteur de ‘‘Sept leçons sur le cosmopolitisme’’ (éd. Québec Amérique, 2019).

Le 14 juin dernier, la ministre fédérale du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, a fait savoir qu’Ottawa s’apprêtait à reconnaître le français comme langue officielle du Québec. Ce changement législatif coïncidera avec la réforme de la loi sur les langues officielles qu’elle pilote. Il s’agit d’un geste sans précédent de la part du gouvernement fédéral.

Meilleure protection du français : Ottawa ne dit pas non

Selon Joseph Yvon Thériault, les Libéraux du Premier ministre fédéral, Justin Trudeau, se montrent «plus sensibles à cette question» depuis quelques mois. Le geste surprend, compte tenu du rapport souvent jugé conflictuel au français et au Québec qu’a longtemps entretenu ce parti. Une ouverture annonçant des temps nouveaux?

«Il se passe quelque chose à Ottawa. Pour la première fois, le fédéral semble accepter une logique d’asymétrie, alors qu’il avait toujours insisté sur le bilinguisme officiel. Cette dernière approche ne considérait pas la francophonie comme une communauté minoritaire ayant besoin de protection. […] C’est une nette évolution par rapport à l’ancienne manière de concevoir les deux langues au Canada», constate le sociologue.

Concernant la relation du Québec aux autres francophones du Canada, Joseph Yvon Thériault rappelle que «de nombreuses tentatives de rapprochement ont eu lieu dans l’histoire, et qu’elles n’ont pas toutes été très concluantes». Positif, il estime que la tentative actuelle est probablement celle «qui a le plus de chances de réussir» en raison de la conjoncture politique. À la mi-mai 2021, le gouvernement Legault a dévoilé un important projet de loi visant à renforcer le texte majeur protégeant le français au Québec, c’est-à-dire la Charte de la langue française. Un projet qui s’inscrit dans une démarche apparentée à celle d’Ottawa, observe le sociologue, pour qui le Québec entend maintenant remplir le rôle qui lui a toujours incombé:

«Le gouvernement de François Legault paraît plus prédisposé que les précédents à assumer que le Québec doit rester en quelque sorte le phare de la francophonie canadienne. Le fait que ce gouvernement ne cherche pas à réaliser l’indépendance du Québec contribue au retour de l’idée d’un destin partagé entre tous les francophones du pays […]. Il y a un retour de l’idée du Québec comme foyer et défenseur principal du français dans l’ensemble canadien», se réjouit Joseph Yvon Thériault.




Résultat des législatives en Algérie

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Les élections législatives ont abouti à une assemblée quasi identique à celle dissoute par le Président Abdelmadjid Tebboune au mois de février dernier. Des résultats donnent, dans le peloton de tête, les trois partis qui formaient l’Alliance présidentielle d’Abdelaziz Bouteflika. Une situation qui pourrait compliquer la formation du gouvernement.

On prend (toujours) les mêmes et on recommence. Les élections législatives du 12 juin ont livré une configuration de l’Assemblée populaire nationale (APN) semblable à la précédente. Mardi 15 juin, les résultats annoncés par Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), donnent le Front de libération nationale (FLN) en tête avec 105 sièges, 57 pour le Rassemblement national démocratique (RND) et 64 pour le Mouvement de la société pour la paix (MSP). Soit un total de 226 sièges sur les 407 que compte l’Assemblée. Il se trouve que le trio gagnant formait l’Alliance présidentielle, consortium politique qui s’était mis à la disposition du Président Abdelaziz Bouteflika.

Voir la suite sur Sputnik France




Tirs groupés contre l’Algérie, à la veille des élections législatives

Par Ahmed Bensaada

C’est devenu une tradition. Depuis le début du Hirak, tout rendez-vous électoral est systématiquement précédé par des salves médiatiques étrangères, agressives contre l’Algérie. En fait, c’est le choix de la voie constitutionnelle de sortie de crise qui est attaquée, car elle ne représente pas ce qui a été concocté par les « druides » occidentaux et leurs serviteurs locaux. Ces « grands » démocrates, spécialistes des potions magiques qui détruisent des pays entiers en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, penchent plutôt pour une « phase de transition » avec comme leitmotiv « Yetnahaw Gaa! » (Ils doivent tous partir!). Une idée géniale pour mettre en selle des « ténors autoproclamés du Hirak » adoubés par leurs soins et choisis non seulement pour leur allégeance, mais aussi pour leur connivence avec des groupes douteux avec lesquels ils ont autant d’affinités que les pôles identiques de deux aimants. La « phase de transition » à la sauce algérienne mijotée dans le « chaudron » démocratique avec ketchup et mayonnaise? Le moyen le plus efficace pour que l’Algérie rejoigne la Libye, la Syrie et autres pays jouissant actuellement d’une démocratie exemplaire!

Au sujet de ces attaques, rappelons tout de même qu’un média américain majeur avait appelé au boycott de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019, à peine deux semaines avant l’échéance électorale (lire mon article à ce sujet). En effet, le professeur Robert Zaretsky écrivait, le 26 novembre 2019, dans la célèbre revue Foreign Affairs un article sur l’Algérie au titre éloquent: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique). De la part d’un professeur versé dans la chose politique, il y a de quoi se poser de sérieuses questions concernant le concept même de démocratie. On attend d’ailleurs toujours un article de M. Zaretsky pour nous expliquer ce concept à travers la mascarade électorale qui a eu lieu lors des dernières présidentielles américaines, un scrutin digne d’une vulgaire république bananière et dont le résultat restera à jamais entaché de doutes.

Le nombre d’articles occidentaux à charge contre l’Algérie étant énorme, nous allons nous focaliser sur deux d’entre eux qui ont été publiés le 11 juin 2021, c’est-à-dire la veille des élections législatives.

Le premier a été publié par le célébrissime Washington Post, excusez du peu. En pleine période très riche en évènements politiques majeurs (sommets du G7 et de l’Otan, rencontre Biden-Poutine) le WaPo reprend un article de l’Associated Press intitulé « Two Algerian opposition figures arrested ahead of elections » (Deux personnalités de l’opposition algérienne arrêtées avant les élections). Ces deux personnes sont bien évidemment Karim Tabbou (ténor autoproclamé du Hirak et accessoirement des cimetières) et Ihsane El Kadi (plus connu sous le sobriquet de « barbouze »).

Ce qui surprend dans cet article c’est, bien sûr, la célébrité du média qui publie une information, somme toute, d’importance relativement faible comparativement à l’actualité et aux sujets traditionnellement traités par ce journal. Mais, ce qui est encore plus étonnant c’est la célérité avec laquelle la nouvelle a été publiée : moins de 24h après les faits!

La renommée du média, la rapidité de la publication et le timing choisi indiquent un évident intérêt de l’administration américaine, mais surtout, une intervention de haut niveau pour publiciser cet évènement. La proximité entre aussi bien Ihsane El Kadi que Karim Tabbou avec l’ambassade des États-Unis à Alger ne doit pas être étrangère à cette publication.

Le second article est signé Michaël Béchir Ayari, analyste senior à l’International Crisis Group (ICG). Lui aussi publié le 11 juin 2021, il porte le titre : « L’Algérie de retour aux urnes ».

Intéressons-nous tout d’abord à l’ICG. Ce dernier est un think tank américain basé à Washington dans lequel sont impliqués de nombreux politiciens de premier plan. L’ICG dispose annuellement d’un budget de plusieurs millions de dollars, dont presque la moitié provient de subventions octroyées par des gouvernements exclusivement occidentaux (exception faite du…Qatar!). En 2020, l’Open Society de George Soros a financé l’ICG avec une contribution de plus de 4 millions de $.

Dans le conseil d’administration de l’ICG, on retrouve évidemment George Soros, mais aussi son fils, Alexander. La liste contient également le nom de Tzipi Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères et vice-premier ministre de l’État hébreu. On se souvient que c’est elle qui était en poste lors du massacre des Palestiniens sous les bombardements israéliens sur Gaza, fin 2008 – début 2009.

Parmi les personnalités américaines les plus en vue du Conseil d’administration de l’ICG figure le nom de Morton Isaac Abramowitz, ancien Secrétaire d’État adjoint chargé du renseignement et de la recherche dans l’administration Reagan. Il est aussi intéressant de mentionner qu’Abramowitz a été un membre influent du Conseil d’administration de la National Endowment for Democracy (NED) et ce, pendant neuf ans. En 2007, la NED l’a honoré en lui décernant la « Democracy Service Medal », en reconnaissance de « sa contribution exceptionnelle à l’avancement des droits de l’homme et de la démocratie dans le monde ».

Après cette succincte présentation de l’ICG, voyons ce que Michaël Béchir Ayari a pondu dans son article sur la situation algérienne.

Dans l’ensemble, on croirait entendre MM. Tabbou ou Al Kadi pour ne citer que ces deux vedettes du WaPo. En guise d’analyse, il s’agit d’un point de vue complètement biaisé où le mot « système » se dispute la place au mot « pouvoir ». D’après lui, « selon un scénario probable, les forces politiques issues de ce scrutin pourraient se regrouper et former une coalition dont l’objectif serait de perpétuer le système ». Et, au sujet d’une éventuelle phase d’instabilité post-électorale, il y alla d’une prédiction digne d’un réel augure : « A la suite de ce regain de tensions sociales, les conflits portant sur la gestion de ces tensions pourraient s’accroitre au sein de la hiérarchie militaire et des services de renseignements ».

En définitive, il ne lui manquait que le slogan « Madaniya, Machi Askaria » (« Civil et non militaire », slogan des partisans de la phase de transition), pour boucler la boucle.

Je me souviens d’un ouvrage de Michaël Béchir Ayari (co-écrit avec Vincent Geisser), édité en octobre 2011 dans lequel cet « expert » subjugué par le « printemps » arabe avait attaqué en règle mon livre « Arabesque américaine». En effet, en page 55, on peut lire : « Au Canada, l’ouvrage d’un chercheur algérien renommé, Ahmed Bensaada, a lui aussi contribué à populariser les thèses conspirationnistes auprès du grand public ».
Cette sentence de ce « savant » du dimanche a été prononcée sans citer une seule phrase de mon livre et sans en démentir une seule information. Et dire que ce monsieur est « docteur » en sciences politiques!

Le temps étant impartial, c’est plutôt lui qui porte maintenant l’habit de l’expert conspirationniste. Il fait partie de cette « école » qui a vendu à l’opinion publique arabe et internationale que ces « regime change » accompagnés de mort, de destruction, de désolation et de chaos étaient un « printemps » radieux durant lequel fleuriront la démocratie et les libertés individuelles.

Où est passée cette démocratie, M. Ayari? Moi, je ne vois que de la fumée émanant des ruines et je ne sens qu’une odeur fétide de cadavres!

Où est-elle passée, M. Ayari? Moi je ne vois que les larmes de ces réfugiés fuyant leurs maisons et je n’entends que le bruit des bombes qui broient les corps et déchiquètent les esprits!

Alors, de grâce M. Ayari, laissez l’Algérie tranquille et changez de métier. L’analyse politique nécessite une pincée de modestie, une dose d’honnêteté, un zeste de probité ainsi qu’une rasade d’humanisme qui manquent cruellement à votre éducation et à celle de ceux qui vous emploient.

https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=562:2021-06-15-00-54-54&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119




Le système Macron est un simulacre

[Source : Vu du Droit]

Par Régis de Castelnau

La République est donc en danger, la France d’en haut nous le serine sans désemparer depuis quelques jours. En cause évidemment l’incident survenu à Tain-l’Hermitage où devant des caméras, Emmanuel Macron a été l’objet d’une tentative de gifle. Il faut rappeler que celui-ci est en tournée électorale a priori illégale pour soutenir les candidats de son pauvre parti aux élections régionales et départementales, dont on sait bien qu’elles risquent pour eux d’être cuisantes. De façon tout à fait calculée il s’est précipité tout sourire, affichant un salut bouddhiste et en bras de chemise, pour une séance de serrage de main des populations rassemblées pour l’acclamer. Comme d’habitude, les angles de prise de vue ont été choisis pour transformer visuellement une poignée de spectateurs en foule délirante. Il s’est alors malheureusement trouvé un hurluberlu pour vaguement souffleter le bateleur en inscrivant dans la réalité une envie qui démange au moins la moitié des Français, qui fort heureusement savent très bien qu’il ne faut surtout pas passer à l’acte. C’est alors que le bloc élitaire s’est précipité avec une jubilation trop visible sur cet incident pour annoncer les barbares aux portes et la République en danger. Le spectacle des informations télévisées témoignait de façon caricaturale l’homogénéité de ce bloc, où l’on voyait quelles que soient leurs tendances, politiques, journalistes, intellectuels tout occupés à rendre crédible un récit entretenant portant des rapports fort lointains avec la réalité. Séquence très intéressante dans la mesure où se déployait le paroxysme du simulacre auquel la France est confrontée depuis l’élection d’Emmanuel Macron. L’arrivée de celui-ci à la magistrature suprême de la Ve République n’a pu se réaliser que grâce à une opération s’apparentant à une forme de coup d’État au cours duquel toutes les règles garantissant la sincérité d’un scrutin ont été violées et où la justice est directement intervenue dans le processus électoral pour le fausser. Dès le départ la légitimité juridique et politique d’Emmanuel Macron était faible, et malheureusement son exercice du pouvoir n’a fait qu’aggraver cette situation problématique pour une démocratie comme la France. On a naturellement parlé de la théorie des deux corps du Roi et du comportement de Macron passant son temps à désacraliser sa fonction. Cela étant, il n’est pas le premier, Nicolas Sarkozy l’a abaissé, François Hollande l’a avili, mais Emmanuel Macron lui a fait les deux. Et si cela ne justifie pas de le frapper, cela explique pourquoi les réactions outrées et souvent ridicules du mainstream n’ont pas trouvé grand écho sur les réseaux, où l’on ressentait, mon dieu quelle horreur, une certaine joie mauvaise voire parfois de la jubilation.

La question du simulacre s’est posée face à cette volonté unanime des commentateurs de la France d’en haut de dramatiser ce qui était répétons-le un incident, certes déplorable, mais un incident. Avec cette volonté de le transformer en un horrible attentat visant quasiment à renverser la république. Or ce qui caractérise le mandat d’Emmanuel Macron c’est que nous sommes en présence d’un mensonge. Non pas que celui-ci soit lui-même un imposteur, mais c’est tout son système qui est une imposture. Parfait inconnu sorti de nulle part, candidat choisi par la haute fonction publique d’État, adoubé par l’oligarchie, il n’avait absolument rien fait de significatif dans sa vie d’avant. Il a pourtant été propulsé à la tête de l’État par un concours de circonstances et depuis ce moment toutes les élites s’ingénient à faire comme si.

 Comme si la France avait à sa tête un vrai chef d’État, on commente doctement ses prises de position contradictoires, on lui prête des pensées et une réflexion que manifestement il n’a pas. On décrit ses actions, aussi avilissantes soient-elles, comme autant d’opérations de communication maîtrisées, et on commente ses incontinences verbales à l’égal de sentences philosophiques. Ne parlons pas de son premier ministre et de ses efforts désespérés et infructueux pour échapper au ridicule, ou de ces membres du gouvernement proférant de façon métronomique âneries sur âneries. Avec naturellement une mention spéciale pour Dupond Moretti et Darmanin ministres d’État chargés des fonctions régaliennes démontrant avoir perdu tout sens de la réalité. Épargnons la pauvre Marlène Schiappa à qui on ne peut pas reprocher d’avoir perdu le sens du ridicule, elle ne l’a jamais eu.

Malgré cela, on fait semblant, comme si la France disposait d’un chef de l’État digne de ce nom. Prosternation, dramatisation, solennité, appels furieux à la répression, le traitement de la séquence de Tain-l’Hermitage par les hommes politiques, les grands médias et les commentateurs a atteint un sommet.

Sur ce point, mention particulière pour Jean-Luc Mélenchon, embarrassé par des collections de déclarations hors-sol, et exploitant sans vergogne sur la diversion provoquée par le geste imbécile.

Le patron de la France insoumise n’a pas été le dernier à hurler avec les loups : « Les barbares sont aux portes ! Intolérable violence ! La république en danger ! No pasaran ! » Entre autres inepties, il s’est fendu d’un tweet où tout est catastrophique : « cette fois-ci vous commencez à comprendre que les violents passent à l’acte ? Je suis solidaire du président ». Texte calamiteux, avec l’invention d’un danger fasciste, ce que son patron Lionel Jospin qualifiait de « théâtre », et le ralliement soi-disant républicain au fake-président. Il faut dire qu’il en avait grand besoin de cette diversion, après l’interview à France Inter, plus que maladroite avec ses parallèles hasardeux, voire pour certain carrément indécents. À laquelle est venu s’ajouter une déclaration sur sa chaîne YouTube. Dans laquelle il prétendait que la panne géante sur les serveurs Orange qui avait perturbé l’utilisation entre autres, des numéros d’urgence, était probablement volontaire et destinée à justifier la privatisation de la société Orange ! Société déjà complètement privée depuis 2004, à la fin d’un processus enclenché par Lionel Jospin dont Jean-Luc Mélenchon était un des ministres ! Pour tenter de faire oublier ces impairs, première diversion avec la dénonciation d’une vidéo humoristique débile, prétendant y voir un appel au meurtre de sa personne. Ensuite ce sera la transformation de l’incident de Tain l’Hermitage en tentative de coup d’État fasciste. Cette surestimation de la violence est quand même un peu étrange pour quelqu’un qui n’a que Robespierre et la grande Révolution Française à la bouche. Dont on n’a pourtant pas le souvenir que sections parisiennes et sans-culottes furent d’une tendresse particulière avec leurs adversaires. J’ai eu le privilège de bien connaître d’abord des résistants à l’occupation nazie et ensuite de vrais révolutionnaires latino-américains dont certains y ont laissé leur peau, et avec lesquels Jean-Luc Mélenchon prétend une proximité. Sans vouloir faire parler les morts, j’imagine pourtant ce qu’ils auraient pensé de cette débauche de qualificatifs pour dénoncer ce qui n’est qu’un incident passablement ridicule. Et de cette façon de faire allégeance à un système et à son chef que l’on prétend combattre.

Mais finalement le plus dérisoire, c’est de voir Jean-Luc Mélenchon faire exactement ce qu’il reprochait au « système », c’est-à-dire utiliser et instrumentaliser incidents et faits divers (Merah !) à des fins électorales. Le voilà qui s’empare et monte en épingle ce qui n’est cette fois-ci réellement qu’un incident, pour le transformer en drame national, essayer de se retaper au plan électoral en faisant oublier ses interviews calamiteuses et se posant en victime.

Après Macron le fake président, Mélenchon le fake opposant ?




Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses

[Source : Neuf de cœur]



[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm

[Source anglophone : redvoicemedia.com via https://qactus.fr/]

Le magnétisme ajouté intentionnellement au  » vaccin  » lui permet de forcer sa diffusion dans l’ensemble du corps (et donc dans tous les organes).

Partout, dans le monde, sont évoqués ces champs magnétiques « SPION » liés aux vaccins anticovid (au moins à certains d’entre eux, dont Moderna et Pfizer, semble-t-il).

Dans la vidéo suivante, en anglais, la Dre Jane Ruby révèle que les vidéos montrant des personnes se collant des objets métalliques (dont des cuillères) à l’emplacement de l’injection vaccinale correspondent à des faits réels.

La Dre Ruby affirme que le CDC ment lorsqu’il prétend le contraire, et elle fournit des preuves de ses dires.



ACTUALITÉ ! Le Dr Jane Ruby a rejoint Stew Peters avec une révélation concernant les vidéos de « magnétisme » qui circulent dans le monde des médias sociaux dans des vidéos auto-enregistrées de personnes se collant des objets métalliques.




L’Empire des clowns contre le Péril jaune

[Source : reseauinternational.net]

par Pepe Escobar.

Le Sud global ne sera pas impressionné par le nouveau projet d’infrastructure B3W financé par des intérêts occidentaux privés qui ne cherchent que le profit à court terme.

Il faut faire preuve d’une grande incrédulité pour considérer que le G7, le club le plus exclusif des démocraties, est pertinent pour les Raging Twenties. Dans la réalité, même en tenant compte de l’inégalité structurelle inhérente au système mondial actuel, la production économique du G7 représente à peine 30% du total mondial.

Cornouailles a été, au mieux, un spectacle embarrassant, avec une troupe de médiocres se faisant passer pour des « leaders » posant pour des séances de photos masqués coude à coude – alors que lors d’une fête privée avec la reine d’Angleterre, âgée de 95 ans, tout le monde était sans masque et se mêlait joyeusement dans une apothéose de « valeurs partagées » et de « droits de l’homme ».

La quarantaine à l’arrivée, les masques imposés 24/7 et la distanciation sociale, bien sûr, c’est seulement pour la plèbe.

Le communiqué final du G7 est l’habituel océan jonché de platitudes et de promesses. Mais il contient quelques pépites. Commencez par « Build Back Better » – ou B3 – qui apparaît dans le titre. B3 est désormais le code officiel de la Grande Réinitialisation et du Green New Deal.

Ensuite, il y a le remix du Péril jaune, avec les troupes de choc « nos valeurs » qui « appellent la Chine à respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales », avec un accent particulier sur le Xinjiang et Hong Kong.

L’histoire derrière tout cela m’a été confirmée par une source diplomatique de l’UE, une réaliste. (Oui, il y en a à Bruxelles).

L’enfer s’est déchaîné à l’intérieur de la salle – exclusive – du G7 lorsque l’axe anglo-américain, soutenu par un Canada mou, a essayé de pousser l’UE-3 et le Japon à condamner explicitement la Chine dans le communiqué final au sujet des violations des droits de l’homme qui auraient été commises au Xinjiang.

Contrairement aux accusations politisées de « crimes contre l’humanité » à l’encontre de la population musulmane ouïghoure du Xinjiang, la meilleure analyse de ce qui s’y passe réellement a été publiée par le collectif Qiao, qui se décrit comme un collectif de médias chinois de la diaspora contestant l’agression américaine contre la Chine.

L’Allemagne, la France et l’Italie – le Japon était presque invisible – ont au moins montré un peu de cran. L’internet a été coupé dans la salle pendant le « dialogue » très dur. En parlant de réalisme, on peut dire qu’il s’agit d’une véritable représentation des « leaders » qui vocifèrent à l’intérieur d’une bulle.

La dispute a essentiellement opposé Biden – en fait ses manipulateurs – à Macron, qui a insisté pour que l’UE-3 ne soit pas entraînée dans la logique d’une Guerre froide 2.0. C’est un point sur lequel Merkel et Mario « Goldman Sachs » Draghi pouvaient facilement s’accorder.

En fin de compte, la table divisée du G7 a choisi de se mettre d’accord sur une « initiative » intitulée « Build Back Better World » – ou B3W – pour contrer l’Initiative Ceinture et Route (BRI) pilotée par la Chine.

Réinitialisation ou autre chose

Comme on pouvait s’y attendre, la Maison Blanche a préempté le communiqué final du G7. Une déclaration retirée ultérieurement de son site web, remplacée par le communiqué officiel, assure que « les États-Unis et nos partenaires du G7 restent profondément préoccupés par l’utilisation de toutes les formes de travail forcé dans les chaînes d’approvisionnement mondiales, notamment le travail forcé des groupes et minorités vulnérables parrainé par l’État et les chaînes d’approvisionnement des secteurs de l’agriculture, de l’énergie solaire et de l’habillement – les principales chaînes d’approvisionnement concernées au Xinjiang ».

« Le travail forcé » est le nouveau mantra reliant habilement la diabolisation superposée à la fois du Xinjiang et de l’Initiative Ceinture et Route. Le Xinjiang est la plaque tournante cruciale qui relie la Ceinture et la Route à l’Asie centrale et au-delà. Le nouveau mantra sur le « travail forcé » ouvre la voie à l’entrée du B3W dans l’arène en tant que paquet « sauveur » des droits de l’homme.

Nous avons ici un G7 bienveillant qui « offre » au monde en développement un vague plan d’infrastructure reflétant les « valeurs », les « normes élevées » et la façon de faire des affaires du groupe, en opposition avec la marque de fabrique du Péril jaune, son manque de transparence, ses pratiques horribles en matière de travail et d’environnement ainsi que ses méthodes de coercition.

Traduction : près de huit ans après l’annonce de l’Initiative Ceinture et Route par le président Xi Jinping, années pendant lesquelles l’initiative chinoise a été ignorée et/ou diabolisée 24/7, le Sud global est censé s’émerveiller devant une vague « initiative » financée par des intérêts privés occidentaux dont la priorité est le profit à court terme.

Comme si le Sud global allait se laisser prendre à ce gouffre à dettes remixé du FMI et de la Banque mondiale. Comme si « l’Occident » avait la vision, l’attrait, la portée et les fonds nécessaires pour faire de ce projet une véritable « alternative ».

Il y a peu de détails sur le fonctionnement du B3W, ses priorités et la provenance des capitaux. Les idéalisateurs du B3W feraient mieux de s’inspirer de la Ceinture et la Route elle-même, via le professeur Wang Yiwei.

Le B3W n’a rien à voir avec une stratégie de commerce et de développement durable destinée aux pays du Sud global. Il s’agit d’une carotte illusoire que l’on fait miroiter à ceux qui sont assez fous pour croire à la notion d’un monde divisé entre « nos valeurs » et les « autocraties ».

Nous revenons au même vieux thème : armé de l’arrogance de l’ignorance, « l’Occident » n’a aucune idée de la manière de comprendre les valeurs chinoises. Le biais de confirmation s’applique. D’où la Chine comme « menace pour l’Occident ».

Nous sommes des bâtisseurs de choix

Plus inquiétant encore, le B3W est un autre bras de la Grande Réinitialisation. Pour approfondir le sujet, il suffit d’examiner « Building a Better World For All » (Construire un meilleur monde pour tous) de Mark Carney.

Carney occupe une position unique : ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, envoyé spécial de l’ONU pour l’action climatique et la finance, conseiller du premier ministre Boris « Global Britain » Johnson et du premier ministre canadien Justin Trudeau et administrateur du Forum économique mondial. Traduction : un grand idéologue de la Grande Réinitialisation, du Green New Deal et du B3W.

Son livre – qui devrait être lu en tandem avec l’opus de Klaus Schwab sur le Covid-19 – prêche le contrôle total des libertés individuelles ainsi qu’une réinitialisation de l’industrie et du financement des entreprises. Carney et Schwab qualifient le Covid-19 comme « l’opportunité » parfaite pour la réinitialisation, dont l’aspect bénin et altruiste met l’accent sur une simple « régulation » du climat, des affaires et des relations sociales.

Ce Brave New World éveillé qui vous est présenté par une alliance de technocrates et de banquiers – du Forum économique mondial et de l’ONU aux manipulateurs de l’hologramme Biden – semblait jusqu’à récemment avoir le vent en poupe. Mais des signes à l’horizon révèlent que c’est loin d’être une affaire réglée.

Les propos tenus par Tony Blair, l’un des piliers du B3W, en janvier dernier, sont révélateurs : « Plus tôt nous le comprendrons et plus tôt nous commencerons à mettre en place les décisions nécessaires pour avoir un impact profond au cours des prochaines années, mieux ce sera ».

Blair, dans un lapsus freudien, non seulement dévoile le jeu (« impact profond au cours des prochaines années », « monde nouveau ») mais révèle également son exaspération : les moutons ne sont pas rassemblés aussi rapidement que nécessaire.

Tony sait qu’il y a toujours la bonne vieille punition : si vous refusez le vaccin, vous devez rester enfermé.

Le B3W représente d’ailleurs une catégorie hétérodoxe de films pornographiques. Le B3W peut finalement se révéler n’être qu’un porno social toxique.

Pepe Escobar


source : https://asiatimes.com

traduit par Réseau International




Biden pire que Kim : « “Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue [que les États-Unis] »

[Source : Dedefensa.org via nicolasbonnal.com]

• Une jeune fille, enfuie en 2007, à 13 ans, de Corée du Nord, s’est installée aux USA et a achevé son “éducation” dans une des plus grandes universités US.
• Son témoignage est stupéfiant : le degré d’endoctrinement et de lavage de cerveau est au moins équivalent, sinon pire, aux USA qu’en Corée du Nord.
• Un témoignage effrayant sur l’extraordinaire effondrement du climat de la pensée US dans l’abrutissement et l’asservissement d’extrême-gauche grâce au wokenisme.

• Contributions : dedefensa.org et Art Moore.

Le témoignage de Yeonmi Park n’est pas une surprise à proprement parler, mais il est symboliquement stupéfiant, et extraordinairement “parlant” par la situation évoquée. Park avait 13 ans en 2007, en Corée du Nord. Elle parvint à quitter ce pays avec sa mère, connut des vicissitudes terribles et parvint enfin aux USA : la quête de l’American Dream était enfin rencontrée. L’achèvement en fut l’entrée à Columbia, l’un des universités les plus prestigieuses des USA, comme partie de l’“Ivy League” qui regroupe les grandes universités US de la Côte Est. Et là commença le calvaire dont elle nous instruit.

Park décrit sa vie à Columbia, l’atmosphère incroyablement oppressante qui y règne, la terreur du Politiquement Correct, le constant lavage de cerveau, les pressions menaçantes constamment exercées sur elle, toutes les facettes du wokenisme et de sa religion d’extrême gauche, de sa folie sociétale, de sa haine de l’Occident et de tout ce que représentent les États-Unis et l’américanisme. Elle n’a qu’un mot : démence, ou folie, à un point qui dépasse même le “modèle” nord-coréen de Kim Jong-un… Biden contre Kim ? L’histoire métaphysique a déjà tranché.

« “Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue [que les États-Unis]”, a-t-elle déclaré. “La Corée du Nord était déjà assez folle, mais pas à ce point”. »

On a ainsi, à la fois d’une façon réaliste et d’une façon symbolique, – la Corée du Nord restant le dernier État d’un communisme pur et dur en existence, une sorte d’Albanie de l’après-1989, – une mesure assez puissante de l’extraordinaire et ultra-rapide transformation des USA, dans le sens d’une déconstruction catastrophique des conceptions et de la psychologie américanistes. On ne peut trouver meilleur exemple, dans la mesure où les universités de l’“Ivy League” constituèrent le creuset des cadres de haut niveau, des chefs d’entreprise, des cadres de la sécurité nationale, des intellectuels de l’américanisme depuis l’origine. Cela est d’autant plus remarquable avec l’“Ivy League” que les universités prestigieuses de la Côte Est, sans être en aucune mesure conservatrices, ont toujours été beaucoup moins “révolutionnaire” (façon-américaniste) que celles de la Côte Ouest, et notamment de la Californie.

On voit que la capacité transformiste du wokenisme a, outre sa radicalité d’extrême-gauche bien entendu, un caractère extraordinaire de rapidité dans sa dynamique d’implantation. Il est certain que ce mouvement, en cours depuis les années 1970, s’est considérablement accéléré ces dernières années jusqu’à son complet et bruyant épanouissement depuis 2020. Pour notre compte, cette accélération exponentielle n’est nullement le fait d’une sorte d’“effet de conviction”, comme une sorte de magie de cette idéologie à la fois nihiliste et totalitaire (drôle d’assemblage : totalitaire sans idéologie autre que la déconstruction), mais bien plutôt un signe de l’extraordinaire affaiblissement de l’américanisme qui n’offre plus aucune capacité de résistance contre des virus armée de démence de la sorte du wokenisme. L’extraordinaire médiocrisation et la corruption des cadres et dirigeants US et de la politique américaniste depuis trente ans exactement témoigne de cette évolution. Cet affaiblissement catastrophique de l’américanisme comme posture psychologique de conviction d’une très grande force à l’origine accompagne évidemment ce que nous identifions comme la pente fatale de l’effondrement des États-Unis.

C’est paradoxalement dire combien nous ne croyons nullement au triomphe psychologique du wokenisme, ne serait-ce que parce que cette “idéologie”, véritable non-idéologie finalement, n’a comme seule capacité que celle de la destruction. Le wokenisme détruit l’américanisme en liquidant ce qu’il y avait de résilience dans cette psychologie, et par conséquent ne lui substitue aucunement un corpus psychologique solide puisqu’il détruit d’abord la psychologie. En ce sens, bien entendu, le wokenisme est un virus autodestructeur du Système engagé dans  son processus d’autodestruction, et entraînant sa principale courroie de transmission et bras armé dans l’activation de la politiqueSystème qu’est l’américanisme.

Le témoignage de Park, pris sur le vif, venu directement de l’expérience vécue à partir de la référence de la Corée du Nord, – incroyable référence pour définir les USA dans leur état actuel, – est une très sérieuse et symbolique confirmation de la puissance destructrice de l’ouragan qui frappe de plein fouet la psychologie et l’esprit de l’américanisme.

Il faut par ailleurs savoir différencier ce phénomène des équivalents européens, subissant le même traitement mais y réagissant de façon assez différente. Il y a toujours eu, aux USA, dans l’éducation et la formation des cadres, un aspect hystériquement moutonnier caractérisant la psychologie américaniste, développée depuis l’origine dans un formatage impératif à la mesure de la doctrine, – ce fut l’américanisme, c’est le wokenisme. Mais le wokenisme étant totalement mortifère et déconstructeur, à la différence de l’américanisme qui présentait une réelle structuration (au service du Système), n’a strictement aucune structure de remplacement à offrir. Il est là pour détruire, dans une formidable débauche d’intolérance, de terrorisation intellectuelle, et là-dessus une écrasante chape de sottise. Tactiquement c’est une horreur, stratégiquement il remplit son rôle historique de destructeur de l’américanisme : contradiction désormais habituelle tactique-stratégie.

Cela n’arrangera pas, pour l’instant, les affaires de la pauvre Park. Elle a néanmoins eu son diplôme parce qu’elle a compris qu’il fallait manœuvrer et simuler, encore plus qu’en Corée du Nord, mais nous gagerions bien qu’elle ne se fait aucune illusion sur l’avenir des États-Unis d’Amérique… Comme nous.

« Au début, elle s’est défendue, se disputant avec les professeurs et les étudiants. Mais elle a fini par “apprendre à se taire” afin de maintenir une bonne moyenne et d’obtenir son diplôme. »

« “Vous avez perdu le sens commun à un degré que je ne peux même pas comprendre en tant que Nord-Coréenne”, a-t-elle déclaré. »

La gentille Yeonmi Park, une de ces Asiatiques-Américaines dont les autres minorités “racisées” ne supportent pas les capacités intellectuelles d’éducation, nous donne un témoignage sur une situation qu’ignore la plupart des chroniqueurs et d’intellectuels, en Europe bien sûr, à Paris surtout où l’on s’ébroue dans une pseudo-“américanisation” complètement fantasmée et où « ils passent la majeure partie de leur temps d’antenne à comparer la France aux autres pays européens [et aux USA], invariablement dans le but de la déprécier » (Houellebecq). Park a été interviewée par FoxNew (retranscription par “WorldNetDaily”).

dedefensa.org


« La Corée du Nord n’est pas aussi dingue ! »

Après avoir fréquenté une des grandes universités de l’Ivy League, une transfuge de Corée du Nord avertit les Américains que s’ils continuent sur la voie actuelle, leur avenir est “aussi sombre que la situation de la Corée du Nord”.

Le sentiment anti-occidental, la culpabilité collective et le politiquement correct étouffant de l’université de Columbia étaient profondément troublants, a déclaré Yeonmi Park dans une interview accordée à Fox News.

“Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue”, a-t-elle déclaré. “La Corée du Nord était déjà assez folle, mais pas à ce point”.

Park, 27 ans, a déclaré qu’elle s’attendait à ce qu’en échange du temps consacré, des efforts déployés et de la “fortune” qu’elle a donnés pour pouvoir travailler dans cette prestigieuse université, on lui apprenne à penser par elle-même et librement. “Mais ils vous forcent à penser de la manière dont ils veulent que vous pensiez”.

“Incroyable ! J’ai réalisé que c’était complètement insensé. Je pensai  que l’Amérique était différente, mais dès mon arrivée j’ai reconnu tellement de similitudes avec ce que je connaissais de la Corée du Nord que j’ai commencé à m’inquiéter.”

Park dit avoir vu des drapeaux rouges dès son transfert à Columbia depuis une université sud-coréenne en 2016. Un membre du personnel l’a admonestée pendant les tests d’orientation pour avoir admis qu’elle aimait la littérature occidentale classique et des auteurs tels que Jane Austen.

Park se souvient que cette personne lui a dit : “Saviez-vous que ces écrivains avaient une mentalité coloniale ? Ils étaient racistes et bigots et leur lecture équivaut à un lavage de cerveau.”

La situation n’a cessé de s’aggraver car chaque cours était truffé du genre de cette propagande anti-américaine au milieu de laquelle elle a grandi en Corée du Nord.

Au début, elle s’est défendue, se disputant avec les professeurs et les étudiants. Mais elle a fini par “apprendre à se taire” afin de maintenir une bonne moyenne et d’obtenir son diplôme.

Dans cet État communiste isolé frustre qu’est la Corée du Nord, Park a grandi sans connaître des concepts tels que l’amour et la liberté. Elle se rappelle avoir vu des gens mourir de faim. J’ai vécu dans l’oppression, je sais à quoi cela ressemble”, a-t-elle déclaré.

Mais ses camarades de classe ne cessent de dire « à quel point ils sont opprimés, combien d’injustices ils ont subies”. “Ils ne savent pas combien il est difficile d’être libre, a déclaré Park. Ils ont complètement perdu la capacité de penser librement et de manière critique”.

En 2007, à l’âge de 13 ans, elle et sa mère se sont enfuies, traversant le fleuve Yalu gelé jusqu’en Chine, où elles ont été capturées par des trafiquants d’êtres humains et vendues comme esclaves. Des missionnaires chrétiens les ont aidées à fuir vers la Mongolie, où elles ont traversé à pied le désert de Gobi et ont finalement trouvé refuge en Corée du Sud.

En Corée du Nord, dit-elle, les gens sont trompés par la propagande parce qu’on ne leur apprend pas à avoir un esprit critique. “C’est ce qui se passe en Amérique”, a-t-elle dit. “Les gens voient des choses mais ils ont complètement perdu la capacité de penser de manière critique”.

Contrairement à la Corée du Nord, aux États-Unis les Américains ont accès à de grands penseurs, mais ils “choisissent le lavage de cerveau”. Elle se dit très déçue après être venue aux États-Unis avec de grandes attentes. “Vous avez perdu le sens commun à un degré que je ne peux même pas comprendre en tant que Nord-Coréenne”, a-t-elle déclaré.

Park a souligné l’érosion de l’État de droit et de la moralité. “Je suppose que c’est ce qu’ils veulent”, a-t-elle dit à propos des propagandistes progressistes [du wokenisme] de la nation : “détruire chaque chose et reconstruire un paradis communiste”.

Art Moore




Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

[Rappel]

14 mars 2021 :

« Je vous présente ce soir quelque chose d’absolument extraordinaire! Voici 3 données qui confirment ce que nous disons ici depuis un an, à savoir que même le vaccin dit vaccin à ARN messager induit effectivement une réécriture du code génétique dans le but de transformer la cellule en machine à fabriquer des protéines. Démontrer ceci revient à démontrer que le vaccin à ARN messager modifie le patrimoine génétique humain et en fait un Humain Génétiquement Modifié. Et cela sort de la bouche du scientifique en chef de Moderna Therapeutics, un des fournisseurs officiels de vaccins contre le SARS CoV 2. On ne peut faire mieux. » 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/.

Ce soir, je vous présente l’étude qui confirme qu’il peut y avoir transcription inverse sans rétrovirus. La chose que l’on injecte va donc très probablement modifier le génome des receveurs.

Une nouvelle découverte montre que les cellules humaines peuvent écrire des séquences d’ARN dans l’ADN.
Phys-org

Les cellules contiennent des machines qui dupliquent l’ADN dans un nouvel ensemble qui entre dans une cellule nouvellement formée. Cette même classe de machines, appelées polymérases, crée également des messages d’ARN, qui sont comme des notes copiées à partir du référentiel central de recettes d’ADN, afin qu’elles puissent être lues plus efficacement en protéines. Mais on pensait que les polymérases ne fonctionnaient que dans un seul sens de l’ADN en ADN ou ARN. Cela empêche les messages d’ARN d’être réécrits dans le livre de recettes principal de l’ADN génomique.

Maintenant, les chercheurs de l’Université Thomas Jefferson fournissent la première preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN, ce qui remet potentiellement en question le dogme central de la biologie et pourrait avoir de vastes implications affectant de nombreux domaines de la biologie.

« Ce travail ouvre la porte à de nombreuses autres études qui nous aideront à comprendre l’importance d’avoir un mécanisme pour convertir les messages d’ARN en ADN dans nos propres cellules », déclare Richard Pomerantz, Ph.D., professeur agrégé de biochimie et de biologie moléculaire à Université Thomas Jefferson. « La réalité selon laquelle une polymérase humaine peut le faire avec une grande efficacité soulève de nombreuses questions. » Par exemple, cette découverte suggère que les messages d’ARN peuvent être utilisés comme modèles pour réparer ou réécrire l’ADN génomique.

Les travaux ont été publiés le 11 juin dans la revue Science Advances.

En collaboration avec le premier auteur Gurushankar Chandramouly et d’autres collaborateurs, l’équipe du Dr Pomerantz a commencé par étudier une polymérase très inhabituelle, appelée polymérase thêta. Sur les 14 ADN polymérases dans les cellules de mammifères, seuls trois d’entre eux font l’essentiel du travail de duplication de l’ensemble du génome pour préparer la division cellulaire. Les 11 autres sont principalement impliqués dans la détection et la réparation en cas de rupture ou d’erreur dans les brins d’ADN. La polymérase thêta répare l’ADN, mais est très sujette aux erreurs et provoque de nombreuses erreurs ou mutations. Les chercheurs ont donc remarqué que certaines des « mauvaises » qualités de la polymérase thêta étaient celles qu’elle partageait avec une autre machine cellulaire, bien qu’une plus courante dans les virus – la transcriptase inverse. Comme Pol theta, la transcriptase inverse du VIH agit comme une ADN polymérase, mais peut également se lier à l’ARN et relire l’ARN dans un brin d’ADN.

Dans une série d’expériences ingénieuses, les chercheurs ont testé la polymérase thêta contre la transcriptase inverse du VIH, qui est l’une des mieux étudiées en son genre. Ils ont montré que la polymérase thêta était capable de convertir les messages d’ARN en ADN, ce qu’elle faisait aussi bien que la transcriptase inverse du VIH, et qu’elle faisait en fait un meilleur travail que lors de la duplication d’ADN en ADN. La polymérase thêta était plus efficace et introduisait moins d’erreurs lors de l’utilisation d’une matrice d’ARN pour écrire de nouveaux messages d’ADN que lors de la duplication d’ADN en ADN, ce qui suggère que cette fonction pourrait être son objectif principal dans la cellule.

Le groupe a collaboré avec le laboratoire du Dr Xiaojiang S. Chen à l’USC et a utilisé la cristallographie aux rayons X pour définir la structure et a découvert que cette molécule était capable de changer de forme afin de s’adapter à la molécule d’ARN plus volumineuse – un exploit unique parmi les polymérases.

« Notre recherche suggère que la fonction principale de la polymérase thêta est d’agir comme une transcriptase inverse », explique le Dr Pomerantz. « Dans les cellules saines, le but de cette molécule peut être la réparation de l’ADN par l’ARN. Dans les cellules malsaines, telles que les cellules cancéreuses, la polymérase thêta est fortement exprimée et favorise la croissance des cellules cancéreuses et la résistance aux médicaments. Il sera passionnant de mieux comprendre comment L’activité de la polymérase thêta sur l’ARN contribue à la réparation de l’ADN et à la prolifération des cellules cancéreuses. »

https://phys.org/news/2021-06-discovery-human-cells-rna-sequences.html

L’étude

Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair

larn-peut-retranscrire-dans-ladn.-et-ca-change-tout.-science-advances

https://advances.sciencemag.org/content/7/24/eabf1771




Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




France : pourquoi le général Lecointre quitte le commandement des armées

[Source : RFI via yahoo.com]

En fonction depuis quatre ans, le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, va quitter ses fonctions et être remplacé par l’actuel chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Thierry Burkhard, a annoncé dimanche l’Élysée. Une décision dont Emmanuel Macron se serait bien passé à moins d’un an de l’élection présidentielle.

Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre en poste depuis quatre ans, a annoncé ce dimanche matin 13 juin dans l’émission le grand Jury sur RTL qu’il quittait ses fonctions. Il ne souhaitait pas une « politisation de la fonction de chef d’état-major des armées ». Il ne voulait pas partir « à l’issue du mandat » du président Emmanuel Macron, afin de ne pas etre « associé à un politique », a-t-il précisé.

Toujours est-il qu’à quelques mois de la présidentielle, Emmanuel Macron se serait bien passé du départ du général Lecointre. Les deux hommes entretenaient une relation de confiance. C’était sans compter la détermination du chef d’état-major à quitter son poste. Après trente sept ans sous les drapeaux dont quatre années passées au sommet de l’armée française, François Lecointre a laissé entendre qu’il était éprouvé par ses responsabilités.

Dernier assaut à la baïonnette

Issu des troupes de Marine, le général Lecointre est entré dans l’histoire militaire en commandant le dernier assaut à la baïonnette, lors de la prise du pont de Verbania en Bosnie en 1995. À la tête des armées, il a mis en œuvre l’ambitieuse loi de programmation militaire du 14 juillet 2018 et supervisé la complexe opération Barkhane.

Ces dernières semaines encore, il a dû donner de la voix et prononcer « la mise à la retraite d’office » des officiers auteurs d’une tribune polémique.

(…) le général Lecointre veut désormais prendre du champ.




Rémy Daillet et sa famille expulsés de Malaisie

[Source : francesoir.fr]

Par M. Jegathesan – Kuala Lumpur (AFP)

Le Français Rémy Daillet et sa famille ont été expulsés dimanche de Malaisie en direction de la France où le complotiste, soupçonné d’avoir contribué à l’enlèvement de la petite Mia, fait l’objet d’un mandat d’arrêt.

Rémy Daillet, sa compagne Léonie Bardet et ses trois enfants de 17, 9 et 2 ans, ont été arrêtés fin mai sur l’île touristique malaisienne de Langkawi où ils résidaient parce que leurs visas avaient expiré. Une procédure d’extradition dans le cadre de l’affaire de l’enlèvement aurait été beaucoup plus longue qu’une expulsion pour séjour irrégulier.

Rémy Daillet et sa famille se trouvent actuellement en escale à Singapour « où sa compagne, enceinte, a été prise en charge pour un problème de santé », selon une source française proche du dossier.

Ils devaient ensuite prendre un vol pour Paris où ils sont attendus lundi matin.

Mais les autorités attendent maintenant de savoir « s’il pourront poursuivre le voyage jusqu’à Paris ou non ».

Selon une source proche du dossier française, ils n’avaient pas encore été remis aux autorités françaises et n’étaient pas sous escorte policière pendant le vol, contrairement a ce qui avait été indiqué initialement côté malaisien.

Rémy Daillet, 54 ans, a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation tandis que sa compagne enceinte craignait des complications, voire de perdre son enfant si elle prenait l’avion, selon des proches.

Mme Bardet présente « un état de grossesse à risque incompatible avec un transfert en avion », attesté par des experts médicaux, selon son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi, qui a fait appel de la décision d’expulsion.

« Cette expulsion forcée est illégale puisque mise en oeuvre au mépris de l’immigration act » de la loi malaisienne, « au mépris des conventions internationales, au mépris des règles de procédure et surtout au mépris de l’appel », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Si l’expulsion se déroule comme prévu, à l’arrivée de Rémy Daillet sur le sol français, le juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, dans l’est de la France, qui a émis le mandat d’arrêt aura « deux possibilités », a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Nancy, François Pérain.

Il pourra soit « le faire présenter immédiatement à Nancy en vue de sa mise en examen », soit décider de « le faire présenter devant le juge des libertés et de la détention » de Bobigny « pour une incarcération provisoire ». Dans ce cas, M. Daillet devra ensuite être présenté au juge d’instruction « dans un délai de quatre jours », a précisé le procureur.

– Vidéo pour se défendre –
[Ndlr : ses vidéos sont accessibles sur sa chaîne Odysee]

Rémy Daillet, exclu du parti centriste Modem en 2010, est devenu une figure du mouvement complotiste.

Il est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Mia.

La petite fille de 8 ans avait été enlevée mi-avril à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors qu’elle était hébergée chez sa grand-mère dans un village des Vosges.

Sa mère n’avait alors plus le droit de la voir seule, ni de lui parler au téléphone.

Dans une vidéo mise en ligne après l’enlèvement de la fillette, Rémy Daillet avait tenté de se défendre. Sans évoquer nommément Mia, il réfutait le terme d’enlèvement.

Dans d’autres vidéos plus anciennes, il défendait l’idée d’un coup d’État populaire et se disait opposé aux impôts, aux vaccins, aux masques ou à la 5G. Il prônait par ailleurs l’éducation des enfants par leurs parents à la maison.

Dans le cadre de l’affaire Mia, neuf personnes au total, dont la mère de la fillette, proches de la mouvance anti-système et complotiste, ont déjà été mises en examen, et huit d’entre elles ont été placées en détention provisoire.

La justice française s’interroge aussi sur le rôle de Rémy Daillet dans une autre affaire dans le Doubs, celle d’un couple qui vivait en vase clos et s’était retranché à son domicile en novembre, refusant de confier ses quatre enfants aux assistantes sociales comme le demandait un juge.

C’est à son contact qu’ils auraient décidé de déscolariser leurs enfants puis de se couper du monde.




Les cloches du Covid

[Source et auteur : Gérard Maudrux]

Les épidémies virales sont en général caractérisées par des courbes d’évolution en cloche, avec le développement, le pic, puis la décroissance. Est-ce que la forme de la cloche permet de juger de l’efficacité d’un traitement ? La réponse est non, par contre le contenu : oui.

Voici 4 cloches épidémiques :

Si je vous dis que la première concerne un pays où rien n’a été fait, la seconde un pays qui a confiné sans traitement, la troisième un pays qui a traité précocement, la quatrième un pays qui a vacciné, vous vous dites que ce n’est pas possible, qu’il y a anguille sous cloche. Et pourtant ce sont bien des courbes réelles, qui permettent au premier de dire que quoi qu’on fasse, le résultat est le même, au second que le confinement marche, au troisième que le traitement précoce marche, au quatrième que c’est le vaccin qui a marché. Comment se faire une opinion avec ces différents sons de cloches ? Il faut savoir que deux cloches identiques n’ont jamais le même son.

Alors qui a tort, qui a raison ? Pour le savoir, il faut regarder ce qu’il y a dedans, car ce n’est pas la forme, mais ce qu’il y a sous la cloche qui est important. Petite démonstration avec deux gros Etats indiens, l’Uttar Pradesh et le Tamil Nadu.

Il y a 3 semaines, on vous montrait les courbes de ces deux Etats, le premier traitant à l’Ivermectine, le second ne traitant pas. Voici ces courbes, éloquentes. Le premier en avait terminé avec l’épidémie, alors que le second était en pleine crise, n’en voyant pas le bout. CQFD, l’ivermectine est le produit miracle qui a mis fin à cette vague, là où on traitait.

Maintenant, le 10 juin, on va vous dire que c’est faux. “Regardez, le Tamil Nadu est en train de régler le problème, sans un gramme d‘ivermectine, ce n’est donc pas l’ivermectine qui a réglé le problème dans l’Uttar Pradesh, car il s’est passé la même chose dans le Tamil Nadu. Vous n’auriez pas donné d’ivermectine au premier, l’évolution aurait été la même”. La preuve ? Voici les courbes mises à jour :

On a bientôt la même courbe pour les deux. Alors ? Déception pour l’ivermectine ? Non, le résultat reste indiscutable, car il ne faut pas regarder la forme de la courbe, qui effectivement avec le temps sera très souvent plus ou moins la même, mais il faut regarder ce qu’il y a dedans, c’est à dire les chiffres. La courbe peut faire illusion, pas les chiffres. Ces courbes doivent s’interpréter en regardant l’intensité, la durée, et rapporter à la population, et quand on compare les décès, tenir compte de l’âge médian et des conditions sanitaires.

Ces deux Etats sont parfaits pour comparer les résultats de politiques différentes. La population est identique, les conditions sanitaires peu éloignées, les populations sont importantes et significatives, 204,2 M pour l’Uttar Pradesh et 67,8 M pour le Tamil Nadu, et l’un a massivement traité, l’autre pas (sinon confinement). Conditions parfaites pour voir ce qui marche.

Superposons les 2 courbes, à échelle temps identique, et regardons les chiffres en les rapportant à population identique (Il s’agit ici du nombre de cas par jour, moyenne sur 7 jours) :

On constate que l’épidémie a commencé exactement en même temps, autour du premier avril. L’épidémie semble s’être développé plus vite dans l’Uttar Pradesh, mais ce n’est pas le cas : elle ne s’est pas développé plus vite (ascension de la courbe), car 3 fois plus peuplé, il est normal que le nombre de cas grimpe 3 fois plus vite. 

Par contre en traitant, le premier a stoppé deux fois plus vite la croissance, les pics étant atteints le 24 avril pour l’Uttar Pradesh, le 21 mai pour le Tamil Nadu. Le premier a également eu 3 fois moins de cas. En effet, les pics sont identiques, autour de 37 000 cas, mais la population du premier étant trois fois plus importante, il aurait dû avoir trois fois plus de cas.

Enfin en ayant démarré tous deux le même jour, l’Uttar Pradesh avait réduit de 95% ses cas journaliers le 30 mai (1 850 cas/jour au lieu de 37 000), alors qu’à la même date, le Tamil Nadu en était à 29 000 cas/ 36 000, soit 12% de réduction. Au 10 juin le premier en est à 98% depuis quelques jours, le second en est à 50%. Au rythme actuel, cela devrait se terminer dernière semaine de juin, soit une évolution naturelle de 3 mois, contre 2 mois, et 3 fois moins de cas avec traitement.

Et si on prend comme échelle nombre de cas/million d’habitants, voici ce que cela donne : même ascension, pic 3 fois inférieur, vague terminée contre 50% encore à parcourir pour le dernier.

Et ce n’est pas tout, après la durée et le nombre de cas, regardons la gravité de l’épidémie, avec les décès : 

Moyenne de 330 décès/jour au pic pour l’Uttar Pradesh, contre 480 décès/jour, soit 4,4 fois plus de décès à population égale au Tamil Nadu. Ce chiffre n’est pas anodin, et il était prévisible. Il est en effet très logique et cohérent puisque toutes les méta analyses depuis des mois montrent que l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité. Ce qui est montré dans les études portant sur près de 20 000 cas, se vérifie sur une population de 272 millions d’habitants, 4 fois la France. Rappelez-vous la conclusion d’Andrew Hill dans son rapport pour l’OMS : mortalité réduite de 83%.

Petit exercice comparatif pour terminer, entre l’Inde, qui a traité (pas partout toutefois), et la France, qui a choisi l’option tout vaccins et confinement. Prenons comme un point de départ identique au 1er janvier, date des premiers vaccins. A cette date il y avait en France 195 nouveaux cas/jour par million d’habitants. A cette date l’Inde n’avait pas d’épidémie, 12 cas/jour par million. Faisons démarrer la comparaison avec une vague au même stade, j’ai positionné l’Inde avec 195 cas/jour avec la France à 195 cas/jour. C’est le point de départ des courbes, épidémie d’importance identique, l’un traite, l’autre pas. Au 20-25 février, l’Inde avait fini, nous nous montions encore (comme le Tamil Nadu).

Vous me direz, oui, mais l’Inde ne déclare pas tout. Je répondrai, d’une part qu’en comparant deux Etats indiens, le problème ne se pose pas, et d’autre part que c’est sans importance pour suivre l’évolution et comparer, si les conditions de recueil des données ne changent pas. Si c’est sous-estimé dans les mêmes proportions au départ, au pic, et à la fin, la courbe est la même. Démonstration : doublons les cas en Inde. On arrive à un pic égal en nombre de cas à la France, mais le résultat du traitement reste le même. En effet, si vous réduisez de 95% les cas avec le traitement, que ce soit sur 1 000, 10 000 ou 100 000 cas, 95% resteront toujours 95%, et la proportion de 4 fois moins de morts restera toujours la même, même s’il y a deux fois plus de morts.

Conclusion : que l’on compare l’Uttar Pradesh (ou un autre Etat qui a traité comme Goa ou Dehli) avec un autre Etat indien qui n’a pas traité, ou avec un autre pays, sous ivermectine + macrolide, l’épidémie cède le pas deux fois plus vite, avec quatre fois moins de morts. Ces chiffres, constatés grandeur nature, sont identiques à ceux des études publiées, les faits démontrant que les critiques de ces études sont mal fondées.

P.S : pour répondre à une demande fréquente, où trouve t-on ces courbes :

Voici mes sources pour les obtenir rapidement et simplement, sans avoir à retenir l’adresse d’un site. Allez sur Google et tapez « chiffres Covid ». Vous avez un onglet pour choisir « cas » ou « décès », et un autre pour faire défiler les pays, même des très petits. En faisant aller le curseur latéralement, vous avez tous les chiffres, jour par jour, avec la moyenne sur 7 jours, ce qui évite les creux de WE. Si vous sélectionnez un grand pays comme l’Inde ou le Brésil, vous avez un onglet pour faire défiler les Etats ou régions.

Pour avoir la superposition de pays, je vais sur ourworldindata : 
https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=2021-01-01 
(si vous avez des barres au lieu de courbes, cliquez sur la date du jour en bas à droite).
À gauche sélectionnez ou supprimez des pays, en haut choisissez cas, décès, vaccins, etc.
Les sources sont Johns Hopkins University, référence depuis le début de l’épidémie.




Pierre Jovanovic : Mes nouvelles accusations contre Bill Gates

[Source : Chaîne officielle TVLibertés]

Après un retentissent entretien « J’accuse Bill Gates », vu par plus de 700 000 téléspectateurs, le journaliste et lanceur d’alerte, Pierre Jovanovic, avance de nouvelles accusations contre William Henry Gates III, dit Bill Gates. Et derrière le portrait idyllique construit par la presse progressiste se profile les visages de Melinda Gates, Leon Black et Epstein. Embourbé dans les révélations scabreuses et les attitudes inappropriées, lâché par une partie des médias américains, le milliardaire informaticien va-t-il tomber de son piédestal ? Si tel est le cas, Pierre Jovanovic aura réussi, par son obstination et son travail, à établir la vérité sur celui que Le Monde présentait comme un « philanthrope » désintéressé, à la tête d’une fondation sans histoire.

[À partir de la 4e minute :]




Entre Macron et sa baffe, où est la vraie violence ?

[Source : Le Media Pour Tous]

MACRON : L’ULTRA BAFFE ?

Vincent Lapierre réagit à la tarte à Tain qu’a dégustée Macron.




L’environnement urbain moderne cache un lourd secret qui explique sa laideur

[Source : entelekheia.fr]

[Photo : Une école à Washington conçue par l’architecte post-moderne Michael Graves]

Traduction : Corinne Autey-Roussel


Par James Howard Kunstler
Paru sur The American Conservative sous le titre The Heart Of The Matter


Il y a quelques années, j’ai lancé mes explorations du paysage américain dans le supplément dominical du New York Times, qui était à l’époque un organe sain et digne du discours public, avec un article dont le titre provisoire était « Pourquoi l’Amérique est-elle si moche, [bip] ? » C’était sur la banlieue, et tous ses accessoires et meubles nauséeux. En fin de compte, c’était trop pour eux, c’est-à-dire pour leur comité éditorial poussiéreux, et ils ont rejeté le projet, que j’ai rapidement transformé en proposition de livre et vendu à Simon & Schuster pour une somme bien plus importante que les taux minables payés à contrecœur (et toujours avec des mois de retard, après beaucoup de relances) par le NYT. C’est devenu un livre à succès intitulé The Geography of Nowhere (La Géographie de nulle part). Ok, bien pour moi.

McDonalds par Robert Venturi et Denise Scott Brown, Lake Buena Vista, Floride.

Mais cette question fondamentale — pourquoi l’Amérique est-elle si laide, [bip] — s’est avérée très difficile à comprendre. Il fallait dépasser la laideur superficielle du derby de démolition national pour atteindre le cœur de la question. Mes premières recherches m’ont amené dans l’orbite de postmodernistes célèbres tels que Robert Venturi et sa femme/partenaire en architecture, Denise Scott-Brown, qui avaient eux-mêmes publié dans les années 1970 un livre universitaire-pop intitulé Learning From Las Vegas (Apprenons de Las Vegas), un endroit qu’ils trouvaient charmant, principalement pour des raisons ironiques. Grosse erreur d’aller les voir. En fait, l’interview dans leur salle de conférence de Philadelphie a été un désastre, qui a culminé avec Mme Scott-Brown me criant : « Si l’Amérique est trop désordonnée pour vous, déménagez en Suisse ! » (Bruit de porte qui claque…)

Siège de Robert Venturi pour Knoll, 1984

J’ai pris d’autres mauvais virages dans mes recherches (Michael Graves, Peter Eisenman) mais je suis finalement tombé sur de l’or pur avec les New Urbanists, qui, par un coup de chance, venaient juste de se regrouper cette année-là (1993) dans une confrérie officielle appelée « Congress for the New Urbanism » (« Congrès pour le nouvel urbanisme ») dotée d’un grand élan réformiste. Ils avaient analysé la crise du développement des banlieues en long, en large, en travers et sur la tranche. Ils savaient exactement ce qui n’allait pas dans l’habitat humain de m…  que nous avons réussi à répandre dans le paysage, d’une côte à l’autre, jusqu’aux ratios des bordures des carrefours à six voies et aux fenêtres ridicules du ranch surélevé archétypal, avec ses volets en plastique.

Un « ranch surélevé » typique. S’il présente cette configuration incongrue, c’est sans aucune nécessité, uniquement pour avoir l’air imposant.

Ma rencontre avec ces personnes des N.U. — Andres Duany, Lizz Plater-Zyberk, Peter Calthorpe, Stefanos Polyzoides, Peter Katz, Dan Solomon, Vincent Scully, et bien d’autres — m’a poussé à terminer le livre que je devais à Simon & Schuster. Mais leurs connaissances techniques étaient loin d’expliquer la profonde déchéance spirituelle induite par notre mode de vie. Ces lieux donnaient aux gens un sentiment de malaise, de désespoir, de perte de liens, d’anomie paralysante. Finalement, ai-je découvert, il fallait trouver l’explication à tout cela dans la physique.

Ce n’est pas seulement que notre monde quotidien est mal conçu. Il possède une qualité démoniaque qui ne peut être expliquée que par les principes fondamentaux de l’univers : sa laideur immersive, jusqu’aux éléments vivants, respirants, gazeux, délaminants et oxydants de sa composition, équivaut à une expression visible de l’entropie.

[Voir : La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos]

C’est une violation flagrante de l’ordre fondamental de l’univers. C’est pour ça que les gens la trouvent repoussante. Si l’art humain consiste à imprégner le monde matériel d’un sens palpable de vitalité, de vie, alors la dernière chose à faire est de le saturer avec la force de la nature qui conduit à l’anéantissement, ce qui est exactement la définition de l’entropie — ce n’est pas quelque chose avec quoi il faille s’amuser. Le fiasco des banlieues ne se caractérise pas seulement par l’absence d’art, et de la grâce que son application apporte à la sensibilité humaine, mais plutôt par un anti-art satanique, une inversion qui cherche agressivement à vaincre tout ce qui, dans l’esprit humain, nous rapproche de la résonance avec notre nature, en particulier le lien avec nos semblables. D’où le cri de deuil commun sur la perte du sens de la communauté, ce qui était à peu près la seule façon pour les citoyens ordinaires d’exprimer leur détresse, en plus de reconnaître la laideur évidente des autoroutes et la monotonie étouffante des lotissements urbains.

[Voir : Effets de l’art moderne]

Les Nouveaux urbanistes ont fait un effort pour changer ce voyage dans les ténèbres, mais le modèle de construction de tout ce qui est nouveau en Amérique est tellement verrouillé [tout comme en France, NdT] par des réglementations et des habitudes mentales tragiquement mauvaises que leur lutte a été sisyphéenne. Même aujourd’hui, le besoin démoniaque de parachever l’œuvre de destruction persiste. Il est également tragiquement ironique que la fin de tout cela semble s’accompagner de la fin de la nation elle-même telle que nous l’avons connue, avec la bataille colossale actuelle entre les partisans de la liberté et les commissaires de la coercition.

Dans l’ombre du COVID-19, une nouvelle disposition des choses lutte pour naître. Comme toute chose dans cet univers de déséquilibre dynamique, le système passe d’un état à l’autre, cherchant toujours à retrouver l’équilibre. Pour l’instant, il semble n’y avoir que le flux du désordre autour de nous, la confusion partout : dans le travail, la politique, le business, le sexe, l’art. Nous dépasserons cette période d’assujettissement aux forces démoniaques, parce qu’il y a une force bénéfique égale qui nous tire vers le haut. À mesure du déploiement de son action, nous nous entourerons de plus en plus de bâtiments et de meubles qui exprimeront notre gratitude d’être de ce monde. N’abandonnez pas. Ne désespérez pas.





Audit électoral aux États-Unis : dénouement en vue ?

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sidney Powell interviewée au rassemblement des patriotes à Dallas, Texas pour le Memorial Day WEGateway pundit]

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir

Une majorité d’Américains commence à s’impatienter : si, comme un faisceau de preuves le démontre, Biden est un président qui n’a pas été élu par le peuple, il est donc illégitime et doit être destitué. La procédure est sans précédent, mais comme l’a affirmé publiquement l’avocate fédérale Sidney Powell au cours du rassemblement organisé fin mai par les patriotes à Dallas, Texas, « c’est la première fois qu’une fraude aussi abjecte a été perpétrée dans notre pays. Trump devrait simplement être réinstallé en fixant une nouvelle journée d’inauguration. » 

L’audit électoral du comté de Maricopa complété à 80%

Dans notre dernier article, nous avons montré le tableau récapitulatif des fraudes potentielles établi par l’ex-conseiller au commerce Peter Navarro pour les six États clés qui devrait consacrer la victoire de Trump dans chacun de ces États, du moment que des audits judiciaires complètes sont conduites. Trump a de fait été élu démocratiquement, avec une large majorité des grands électeurs, et pratiquement 80 millions d’électeurs. La vérité se rapproche, puisque les résultats de la première phase de l’audit en Arizona, à savoir la vérification et le recomptage des bulletins de vote du comté de Maricopa devraient être annoncés le 14 juin. L’acharnement médiatique et légale, doublé de menaces et tentatives de coercition de tous ordres n’ont pas réussi à faire stopper les actions en cours. Beaucoup de volontaires, habitants du comté, patriotes et citoyens – parmi eux des démocrates – contribuent à l’opération, aujourd’hui complétée à 80% : soit en venant physiquement à Phoenix – rappelons qu’il y a plus de deux millions de bulletins à contrôler – pour aider à scanner les bulletins de votes ou à titre de simples observateurs, soit en participant au financement de l’audit.  

La sécurité des élections en question

Aux États-Unis, les élections rythment la vie politique tous les deux ans, que ce soit pour élire les sénateurs, les représentants au Congrès, les gouverneurs des États et bien sûr le Président. Cet audit a le mérite de rappeler à des millions d’Américains qu’élus démocrates comme républicains ont alerté publiquement et à plusieurs reprises ces dernières années sur le manque de sécurité des machines de vote, les risques avérés de piratage localement et via Internet et l’impact sur les résultats. Ron Widen, sénateur démocrate de l’Oregon, a déclaré devant la commission du Sénat sur la sécurité des élections : « ces machines de vote ont des accès illicites permettant de les pirater facilement », Amy Klobuchar, sénatrice démocrate du Minnesota : « il n’y a que trois entreprises qui contrôlent ces machines, et elles sont faciles à pirater », la plus révélatrice étant l’intervention de Kamala Harris devant le Sénat le 12 juin 2018 alors qu’elle était sénatrice de Californie : « nous avons organisé une démonstration ici au Capitole pour nos collègues, avec des gens qui ont piraté devant nos yeux les machines de vote ». Certains élus ont aussi dénoncé les contrats non conformes passés par les États avec ces fabricants privés (Dominion, Smartmatic) qui interdisent aux fonctionnaires responsables de l’organisation des élections l’accès au code informatique et donc le contrôle factuel des résultats. En montrant aux citoyens que ces critiques répétées n’ont pas été adressées, les audits en cours et à venir poussent à une remise à plat complète du système électoral prenant en compte les risques associées à la cyber -écurité, et aboutiront peut-être au retour du bulletin papier et à la présentation d’une pièce d’identité pour restaurer la confiance. 

Les preuves absolues des cyber-attaques

Après les révélations exposées dans ses documentaires « Absolute Interference » et « Absolute Proof » visionnés à ce jour par plus de 150 millions de personnes dans le monde, Mike Lindell a fait réaliser une analyse systématique de 20 cyberattaques conduites dans cinq États-clés – sur un total de près de 3000 attaques commises durant l’élection. Cet entrepreneur passionné et son équipe d’avocats ont atteint un tel point de certitude quant aux preuves et évidences de ces cyber-attaques perpétrées par des hackers en provenance de Chine, qu’ils poursuivent Dominion et Smartmatic en justice pour un montant de plus de 2 milliards de dollards, pour conspiration contre lui, son entreprise et avoir rendu possible ces fraudes. Son dernier documentaire montre l’analyse détaillée des manipulations de données par des experts travaillant pour les agences de renseignement gouvernementales de ces 20 attaques en provenance de Chine et qui retournent les résultats dans cinq États clés au profit de Trump. Il a fait réaliser cette validation par une équipe de cyber-experts : ceux-ci ont analysé les pcaps ou packet capture ayant transité sur les réseaux informatiques le jour de l’élection et durant les deux jours qui ont suivi. Ces interfaces de programmation, inviolables et codées en dur au fur et à mesure des mouvements, enregistrées en temps réel, permettent de capturer les données brutes du trafic réseau. Ce qui fait dire à l’un des experts : « ces preuves sont irréfutables et au-delà de toute considération partisane, comparables à un enregistrement vidéo en temps réel de malfaiteurs en train de braquer une banque. » Curieusement, Mike Lindell qui pendant des semaines, a été moqué et attaqué avec violence par les médias mainstream, reçoit à nouveau des appels de journalistes de CNN et MSNBC : à temps pour pouvoir retourner leur veste le moment venu ? 

L’effet domino se poursuit

Seth Keshel, analyste du renseignement militaire, attend avec impatience les résultats de l’audit en Arizona. Pour effectuer ses calculs, cet expert examine l’historique des résultats des élections présidentielles en fonction de l’évolution du nombre d’électeurs des deux principaux partis dans les différents comtés. Le comté de Maricopa inclut pratiquement les deux tiers des votes de l’État, a toujours voté pour le candidat républicain, et ce depuis 1948. L’audit devrait expliquer d’où viennent ces voix attribuées à Joe Biden dans un des États les plus républicains du pays. Un audit qui, selon S. Keshel, devrait entrainer la dé-certification des votes de l’Arizona – un précédent, et booster les mêmes démarches dans ces États où les résultats sont inexplicables face aux tendances de l’électorat et aux courbes d’évolution statistiques, comme la Pennsylvanie, la Géorgie, le Michigan. Comme annoncé, l’audit en Arizona attire d’autres élus ou candidats d’États dans lesquels les élections sont remises en question depuis l’annonce des résultats début novembre. Une délégation de législateurs républicains de Pennsylvanie s’est rendue à Phoenix le 2 juin pour faire le tour du site de l’audit et ont été favorablement impressionnés par les actions menées sur place, notamment l’analyse des ruptures dans les chaines de contrôle durant les élections. Plusieurs d’entre eux, les sénateurs Cris Dush et Doug Mastriano, le membre du Congrès Rob Kauffman vont dans le sens des électeurs et se sont officiellement déclarés favorables à la conduite d’un audit similaire dans leur État.

 Vernon Jones, lors de l’annonce de sa candidature pour le poste de gouverneur de Géorgie, a demandé formellement un audit judiciaire des élections. Il vient de se rendre lui aussi en Arizona cette semaine : il déclare être inspiré par la transparence, la qualité de l’audit et des procédures et déclaré qu’il faut faire la même chose en Géorgie. L’ancien commissaire de police Bernie Kerik est formel : dans le comté de Fulton qui inclut la capitale Atlanta, les élections ont été volées, le secrétaire d’État Brad Raffensperger a annoncé la certification des votes alors qu’il manquait 17 400 bulletins. Des assignations à comparaître ont été délivrées par le juge et des dépositions de témoins sont en cours… la pression monte pour démarrer cet audit. L’avocate Sidney Powell ainsi qu’une poignée de patriotes ont décidé de poursuivre la vérité quoiqu’il en coute. Elle a compris dès le mois de novembre la faillite des institutions censées faire appliquer la loi. Constatant que ces fonctionnaires du FBI, du DHS, du DOJ supposés assurer la transparence des élections, responsables de l’État de droit et de protéger la Constitution américaine ont failli à leurs devoirs, elle confirme la montagne d’évidences qui prouvent le vol des élections. Il ne s’agit pas de Donald Trump, il s’agit de la République américaine et de restaurer son fonctionnement démocratique. Si comme les signes le montrent et malgré les obstacles, la vérité éclate enfin, l’Amérique et We The People auront donné une leçon de démocratie au reste du monde libre.

Auteur(s) : Elisabeth Dancet, pour FranceSoir




Pass sanitaire, ou comment s’asseoir sur l’éthique

[Source : Contrepoints]

Par Patrick de Casanove

Le pass sanitaire est une atteinte aux droits naturels.

Le gouvernement a fini par réussir à imposer le pass sanitaire. En transformant le  passeport vaccinal en pass sanitaire, moins fermé, il tient formellement parole sur  la non-obligation vaccinale. Pour cela il intègre d’emblée la guérison naturelle de l’infection et la possibilité d’un test négatif.

Grâce à cela, il court-circuite le débat sur l’éthique de la vaccination de masse que le pass implique, et il essaie d’éviter de braquer ceux qui ne veulent pas être vaccinés.

Pour la vaccination, il agira par d’autres voies. En créant un seuil à partir duquel le pass sera obligatoire, il ne serre pas trop le nœud coulant pour éviter que les personnes ne se rebiffent. Serrer viendra plus tard.

Si les Français avaient compris le passeport vaccinal comme non éthique, cela aurait suffi pour le disqualifier. Il fallait l’éviter. Dans les médias, les argumentations contre le dispositif tournaient donc essentiellement autour de questions technologiques liées à la vaccination, voire simplement logistiques, comme la possibilité offerte à toute la population de se faire vacciner.

Cela impliquait que sa mise en place ne dépendait que de la levée des réserves technologiques et logistiques, alors que le problème est moral. Si le débat avait été trop long l’opposition éthique aurait pu retrouver de la vigueur.

Au final, nous nous retrouvons aujourd’hui avec une vaccination de masse qui n’est pas éthique et un pass sanitaire qui ne l’est pas non plus.

LE PASS EST LIBERTICIDE

L’argument pour le pass consiste à dire qu’il autorise un « retour à la vie normale ». Il repose sur l’émotionnel. Une vie de soumission ne saurait être normale. Le pass est présenté comme une libération bien que son instauration s’accompagne de menace et de chantage. S’il était une libération, s’il était utile et moral, il serait adopté spontanément, sans coercition ni manipulation.

Affirmer que les gens seront libres avec le pass, ou qu’il permettra leur libération est une perversion des mots qui perdent leur sens.

Affirmer que les individus seront libres avec le pass sanitaire, mais que s’ils le refusent ils ne pourront pas avoir de vie sociale et que par conséquent ce refus de vie sociale est leur libre choix, est un sophisme.

Imposer le pass sanitaire au nom d’une prétendue libération est immoral. Un droit naturel ne peut être prétexté pour détruire un droit naturel. Dans le même registre, imposer l’obligation vaccinale anti-Covid, au motif que d’autres vaccins sont obligatoires pour d’autres pathologies n’est pas valable. Une atteinte à la liberté ne peut justifier une autre atteinte à la liberté.

Le pass sanitaire n’est en rien sanitaire. Il ne garantit pas aux Français de rester en bonne santé. Il leur garantit une liberté conditionnelle, un ersatz de liberté surveillée et étriquée, qu’il ne faut pas confondre avec la liberté. Cet ersatz est tellement étriqué qu’il ne dispense pas des gestes barrières ni de la distanciation sociale, ces fameuses jauges.

Le pass sanitaire ne rend pas plus libre que la chaîne au cou du chien.

LA LIBERTÉ EST UN PRINCIPE

La liberté n’a pas de contrepartie. Elle est un principe, qui plus est fondateur de la France moderne. L’article 2 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 dit énonce :

Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l’Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l’oppression.

Il ne faut pas reculer sur la liberté. Elle implique la responsabilité individuelle,  nécessite un combat inlassable et quotidien. Elle se mérite. Elle est ou elle n’est pas. Elle est consubstantielle de l’Homme. « Personnalité, Liberté, Propriété, — voilà l’homme. » Frédéric BastiatLa Loi (1848). Détruire la liberté détruit l’Homme.

LE PASS PORTE ATTEINTE À L’ÉCHANGE

L’échange, c’est l’économie politique, c’est la société tout entière ; car il est impossible de concevoir la société sans échange, ni l’échange sans société – Frédéric Bastiat, Échange (1850)

L’échange est un droit naturel comme la propriété.[…] priver [ tout citoyen] de cette faculté, quand il n’en fait aucun usage contraire à l’ordre public et aux bonnes meurs […] c’est légitimer une spoliation, c’est blesser la loi de la justice – Frédéric Bastiat – Association pour la liberté des échanges (1846)

Le pass est un contrôle des échanges inter-humains. Une partie de la population est privée de cette liberté, ses échanges sont limités.

LE PASS EST DISCRIMINATOIRE

L’étatisme parque les gens dans des cases. En attendant mieux, ou pire… il crée deux catégories de citoyens. Le gouvernement prétend lutter et légiférer contre la discrimination. Du défenseur des Droits au ministère chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes, de la diversité et de l’égalité des chances, tout l’appareil étatique est mobilisé. Mais il ordonne la discrimination.

Même l’ONU est mobilisée contre la discrimination en attendant un ausweis mondial qui est bien parti.

Il est interdit à un professionnel de discriminer ses clients, ses employés sur leur race, leur religion, leur couleur de peau, mais la discrimination par la Covid est désormais légale aujourd’hui dès l’instant où mille personnes peuvent se rassembler.

Mais demain ? Il sera facile de durcir et multiplier les critères d’application.

SON OBJECTIF EST LE CONTRÔLE DES POPULATIONS

La violence légale est politique. La contrainte légale est politique. Un ausweis est toujours politique, jamais médical. Il faut noter que les personnes peuvent voyager et avoir une vie sociale en étant porteuses d’autres maladies infectieuses mais elles sont privées de ces libertés si elles ne peuvent pas prouver qu’elles n’ont pas la Covid. Il s’agit bien de politique.

Pour l’État, l’important n’est pas le contrôle de la Covid. Le contrôle d’une épidémie est une affaire médicale. Son objectif est le contrôle des populations. Il lui fallait agir vite.

L’Europe a été son alibi et son bouclier. La décision européenne d’imposer un pass sanitaire sert de justificatif à un comportement moutonnier d’abdication des dirigeants nationaux. Le panurgisme est une forme de gouvernement qui ne fait pas appel à la raison. Une fois de plus l’Europe trahit ainsi ses textes fondateurs et sa philosophie d’être un espace de libre circulation pour les biens et les personnes, ce qui confirme une fois encore que l’Europe qui se construit est un monstre totalitaire, centralisateur et technocratique.

Ne croyez pas que les politiciens subissent l’Europe. Ils la créent et la désirent, nous la subissons.

Le pass sanitaire, peu sévère aujourd’hui, est une porte ouverte à un contrôle accru et de plus en plus strict. Il existe des risques que ce pass finisse par ne pas concerner uniquement la Covid.

Rien n’empêchera l’État d’inclure d’autres critères tels que le comportement citoyen des individus, écoresponsables comme il se doit, le comportement des entreprises citoyennes, elles aussi écoresponsables et solidaires, le comportement routier, piéton, la fréquentation des sites politiquement incorrects, complotistes, conspirationnistes.

C’est la porte ouverte au crédit social. Si les Français ne peuvent plus se rendre en Chine, la Chine viendra à eux. Avec une différence toutefois : les Chinois ne se mêlent pas de politique, ils s’enrichissent et la Chine est prospère. Que les Français se mêlent ou non de politique ils s’appauvrissent, et la France tombe en ruines.

Il suffira au gouvernement de trouver une bonne raison pour faire gober l’élargissement du pass. Il suffit de constater que les « bonnes raisons » ne manquent pas pour le pass sanitaire : reprendre une vie sociale, culturelle, voyager. Toutes les mesures coercitives sont faites pour imposer le bonheur aux Français… malgré eux.

À côté du pass lui-même plusieurs mesures périphériques ont vu le jour, ainsi en Israël, le bracelet électronique. Il faut cependant saluer ce pays qui a supprimé son  passeport vert mais qui a maintenu les mesures de restrictions strictes pour les voyageurs se rendant en Israël.

Bien des gens sont tellement effrayés, épuisés par un an de crise qu’ils sont prêts à accepter n’importe quoi. Leur soumission est totale. Plusieurs victimes de la coercition réclament leur oppression et celle de leurs concitoyens. Après la délation encouragée pour non-respect des gestes barrières, certains se font les auxiliaires de cette coercition. La pression de la communauté s’exerce pour la vaccination des récalcitrants. Ce n’est plus « restez chez vous ! », c’est « vaccinez vous ! » 

C’est le nec plus ultra du totalitarisme.

Mais la peur, ou une autre motivation, peut pousser de zélés zélotes à exiger ce pass ou un équivalent sans directive étatique. Ainsi un employeur, un familier, un parent pourrait l’exiger. Dans une société libre n’importe qui peut demander n’importe quoi, même de farfelu, pour accéder à sa propriété. La concurrence qui est libre choix, la responsabilité personnelle, le coût à supporter sont de bons régulateurs. Mais nous ne sommes pas dans une société libre.

LA CAPTATION D’INFORMATIONS

Israël a montré le chemin. Il faut être complètement naïf pour faire confiance à l’État pour protéger notre vie privée. Il est le premier à y porter atteinte. Comment pourrait-il protéger les personnes à partir du moment où son intérêt est l’intrusion dans cette vie privée ? Totalitaire par essence l’étatisme ne reconnaît pas la vie privée, comment pourrait-il la défendre ?

La crise que nous vivons a mis en lumière la collusion entre le capitalisme de connivence et l’État. Toutes les informations ont de la valeur, en particulier celles qui concernent la santé. Soyons sûrs que l’un comme l’autre sauront en tirer profit.

OUVRIR LES YEUX

Nous avons vu que le pass est une atteinte aux droits naturels qui s’ajoute à d’autres. Il ne faut pas croire qu’il n’est qu’une petite atteinte. Le niveau de résilience ou la capacité d’encaissement, de soumission des populations peut varier en fonction du poids de la spoliation légale que l’État leur inflige.

Ce n’est pas parce qu’une population encaisse, ni même accepte, que porter atteinte à un droit naturel n’est pas délétère ou grave. Toute atteinte à un droit naturel est grave. Toute atteinte à un droit naturel les détruit tous.

Les droits naturels sont propres à l’être humain. La société c’est l’échange, l’économie c’est l’échange, l’Humanité c’est l’échange. La liberté c’est l’Homme. Détruire ses droits naturels c’est nier son humanité, les anéantir réifie. La Grèce, Rome et le christianisme avaient fait de l’individu une personne, c’est fini.

S’il en fallait des preuves, on les trouvera dans la manière indigne et inhumaine avec laquelle des malades ont été privés de soins, sont morts abandonnés. Leurs proches ont été privés des rites funéraires propres à l’Homme à cause de réglementations étatiques délibérées.

En ce sens la crise créée par les politiques est un bouleversement extrêmement profond, social, économique, humain, jusqu’à la conception même de l’Homme dans les sociétés occidentales.

Cela traduit bien un changement absolu de notre société, dans ses fondations, ses racines, dans l’exigence de confiance minimale indispensable à son fonctionnement harmonieux. C’est un changement civilisationnel.




Une vidéo explosive et inédite montre Peter Daszak décrivant des « collègues chinois » développant des coronavirus « tueurs »

[Source : Actu Intel]

Le président d’EcoHealth Alliance, Peter Daszak, qui a collaboré avec le Wuhan Institute of Virology dans le cadre de recherches financées par le National Institute of Allergy and Infectious Disease du Dr Anthony Fauci, semble se vanter de la manipulation de coronavirus « tueurs » de type SRAS effectuée par ses « collègues chinois » dans un clip découvert par The National Pulse.

NDLR : quelqu’un a dit « gain de fonction » ?

Par NATALIE WINTERS

Source : The National Pulse

Daszak a fait cet aveu lors d’un forum de 2016 consacré aux « maladies infectieuses émergentes et à la prochaine pandémie », ce qui semble être en contradiction avec le refus répété de Fauci de financer la recherche sur les gains de fonction à l’Institut de virologie de Wuhan.

Tout en décrivant comment son organisation séquence les virus mortels, Daszak décrit le processus d’ »insertion de protéines en pointe » dans les virus pour voir si elles peuvent « se lier aux cellules humaines » comme étant effectué par ses « collègues en Chine » :

« Ensuite, lorsque vous obtenez une séquence d’un virus, et qu’elle ressemble à un parent d’un pathogène méchant connu, comme nous l’avons fait avec le SRAS. Nous avons trouvé d’autres coronavirus chez les chauves-souris, toute une série, dont certains ressemblaient beaucoup au SRAS. On a donc séquencé la protéine spike, celle qui s’attache aux cellules. Puis nous… Ce n’est pas moi qui ai fait ce travail, mais mes collègues en Chine. Vous créez des pseudo particules, vous insérez les protéines spike de ces virus, vous voyez si elles se fixent aux cellules humaines. À chaque étape, on se rapproche de plus en plus de ce virus qui pourrait vraiment devenir pathogène pour l’homme. »

« On se retrouve avec un petit nombre de virus qui ressemblent vraiment à des tueurs », ajoute-t-il.

Ces commentaires font suite à des preuves de plus en plus nombreuses que le NIAID de Fauci a des liens financiers et personnels profonds avec l’Institut de virologie de Wuhan – et que l’alliance EcoHealth de Daszak était l’un des principaux mandataires qui acheminaient l’argent vers le laboratoire du Parti communiste chinois.

Plus d’une douzaine de documents de recherche réalisés dans le cadre d’une subvention de 3,7 millions de dollars de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) mentionnent Shi Zhengli, directeur du Centre des maladies infectieuses émergentes du laboratoire de Wuhan, comme coauteur aux côtés de Daszak. Shi a inclus ces subventions soutenues par Fauci dans son CV.

Le laboratoire de Wuhan a également mentionné les National Institutes of Health (NIH) comme l’un de ses « partenaires », mais a secrètement effacé cette mention en mars 2021 (NDLR : on vous avait traduit l’article ici).




Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

[Illustration :  Le sénat français et ses trois auteurs du pire texte liberticide jamais écrit :
Véronique Guillotin (Radicale),
René-Paul Savary (LR),
Christine Lavarde (LR)]


[Ndlr : Il s’agirait d’un texte élaboré par des sénateurs membres de la délégation sénatoriale à la prospective, « chargée de réfléchir aux transformations de la société et de l’économie en vue d’informer le Sénat« . Ses travaux n’ont pas de valeur législative et le rapport en question ne serait donc pas un projet de loi qui aurait été adopté. (Voir ici). Cependant, qu’est-ce qui empêcherait un gouvernement de s’en inspirer pour établir ensuite de nouvelles lois ?]






Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain

[Source : Children’s Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

par Brian Gerrish

Le 28 mai 2021, Brian Gerrish a témoigné lors de la 54e session du Stiftung Corona Ausschuss, l’enquête extraparlementaire menée par des avocats en Allemagne sur la gestion de la crise du Covid par le corps médical et les décideurs publics au niveau international. Le thème de la journée de la 54e session était « Coincé entre le nudging et les effets secondaires ». Vous trouverez ci-dessous la transcription du témoignage de Brian Gerrish.

Reiner Füllmich : Brian, je m’excuse de vous avoir fait attendre pendant une vingtaine de minutes.

Brian Gerrish : Pas de souci. Je voudrais juste mentionner que je ne parle pas allemand, et que c’était fascinant de vous observer et de vous écouter, et aussi  merveilleux de vous voir commencer à rire, parce que vous aviez l’air très sérieux dans la plupart des dialogues que j’ai écoutés.

Il y a un mot que j’ai relevé et que j’ai trouvé très intéressant, c’est Wahnsinn, qui est apparu plusieurs fois, en particulier lorsque Bianca [directrice d’une école primaire persécutée] parlait.

Reiner Füllmich : Vous savez ce que ça veut dire, non ?

Brian Gerrish : Oui, « Folie ». Et je voudrais dire la chose suivante : ce n’est absolument pas de la folie. Ce à quoi nous sommes confrontés est calculé, et c’est une erreur de l’appeler « folie », parce que tout est très précis et calculé. C’est fondamental de comprendre cela pour être en mesure de faire face à ce que nous affrontons.

Reiner Füllmich : C’est très intéressant à entendre, car nous sommes arrivés à la conclusion que « l’autre côté », comme nous l’appelons, utilise deux outils majeurs. L’un est bien sûr la psychologie, les opérations psychologiques ; et l’autre outil indispensable est les médias grand public, qui sont les canaux qui véhiculent ces opérations psychologiques.

Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?

Brian Gerrish : Eh bien, j’ai été militaire dans la Royal Navy pendant vingt et un ans. J’ai ensuite travaillé dans l’industrie essentiellement, et après quelques années, j’ai commencé à comprendre que les choses allaient mal au Royaume-Uni et à enquêter.

Cela m’a conduit à faire équipe avec Mike Robinson, pendant près de vingt ans, et depuis quatorze ans maintenant, nous dirigeons tous les deux un média appelé UK Column, où je suis ravi de dire que nous sommes en expansion, et il est clair que nos téléspectateurs et nos auditeurs ne sont plus seulement au Royaume-Uni, mais dans le monde entier.

Reiner Füllmich : excellent ! Et maintenant, bien sûr, vous êtes occupé à couvrir le Coronavirus et toutes ses ramifications.

Brian Gerrish : Eh bien, le point essentiel est que nous avons commencé par examiner certaines des questions que vous venez de mentionner. Nous nous sommes penchés sur la façon dont la propagande était entrée dans le pays ; nous avons examiné l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée par le gouvernement ; et nous nous sommes penchés sur des changements que nous considérions comme très sérieux qui affectaient particulièrement le style de la démocratie, et nos droits constitutionnels.

C’est dans ce contexte de reportage que nous nous sommes intéressés au coronavirus. Je vous dirais donc que notre analyse de ce qui s’est passé avec le coronavirus s’inscrit dans le contexte de ce qui se passait au niveau politique, et en particulier de l’utilisation de la psychologie comportementale appliquée et de la propagande.

Viviane Fischer : Alors, que pensez-vous de la « folie calculée » ? La « folie » [description] est plutôt notre jugement lorsque nous regardons ce qui était l’état normal des choses auparavant. Personne n’aurait pensé, si vous nous aviez posé la question il y a un an, que cela aurait pu se produire, du moins, pas nous, je suppose.

Et aussi, nous avons été vraiment surpris de voir comment le système juridique s’est détérioré, ou du moins, comment il est devenu évident qu’il est vraiment en mauvais état. Mais nous avons aussi le sentiment, en même temps, que ce qui se passe est très orchestré : c’est comme un puzzle. Ils déplacent cette pièce et cette autre, et l’image de ce qui se passe devient de plus en plus claire. Quelles sont vos expériences ou votre analyse de la situation ?

Brian Gerrish : Tout d’abord, je suis d’accord avec vous pour dire que la « pandémie » de coronavirus, si l’on peut l’appeler ainsi entre guillemets, a pris tout le monde par surprise. Je ne pense pas que nous l’ayons vue venir, et elle s’est produite très rapidement. Je suis donc tout à fait d’accord avec vous sur ce point.

Mais je reviendrai sur le fait que nous avons commencé à voir des choses très, très graves se produire au Royaume-Uni. Si je me concentre immédiatement sur l’utilisation par le gouvernement de la psychologie comportementale appliquée : en 2010 et 2011, le UK Column a été averti que le gouvernement avait mis en place une équipe appelée Behavioural Insights Team [note : l’ancienne adresse de page d’accueil « behaviouralinsights.co.uk » est maintenant redirigée vers le consciemment mondialiste « bi.team »]. Il s’agissait d’une équipe de psychologues qui travaillait directement avec non seulement l’appareil politique, mais aussi l’appareil d’élaboration des politiques au sein du gouvernement britannique.

Un document critique que nous avons trouvé en 2010 s’appelait Mindspace (vous pouvez le trouver très facilement en le recherchant en ligne sous forme de document PDF). Dans ce document, le gouvernement admettait qu’il utilisait la psychologie comportementale appliquée pour influencer la manière dont il concevait et mettait en œuvre ses politiques.

À un moment particulier de ce document — en fait, c’est au bas de la page 66, si je me souviens bien — le gouvernement se vante de pouvoir changer la façon dont les gens pensent et se comportent, et que les gens ne seront pas conscients que cela leur a été fait. Et il ajoute la mise en garde suivante : même s’ils se rendent compte que leur comportement a changé, ils seront incapables de savoir comment il a été modifié.

À la lecture de ce document, nous avons été choqués, et avons alors commencé à faire des recherches plus approfondies. Nous avons découvert qu’à cette époque, et bien sûr un peu plus tôt, le gouvernement britannique avait organisé des réunions avec les Français, au cours desquelles des équipes de psychologie politique  élaboraient des plans communs entre les deux pays. Le principal Français présent à ces réunions s’appelait Olivier Ouillier, et il travaillait à l’époque directement pour le cabinet privé de Sarkozy.

Toutes ces réunions se sont essentiellement tenues en secret. Nous avons pu découvrir qu’elles avaient eu lieu, mais nous n’avons pu le faire qu’en effectuant des recherches minutieuses en utilisant des voies spécifiques qui nous semblaient importantes. Par exemple, la plupart de ces réunions ont été menées sous le couvert d’une association caritative, le Conseil franco-britannique, qui disait avoir été créée simplement pour améliorer les relations entre la Grande-Bretagne et la France.

Ces réunions ont donc eu lieu, et il est apparu très clairement qu’il y avait un effort concerté pour étendre l’utilisation de ces techniques : non seulement de la part de la Grande-Bretagne et de la France, mais l’implication à ce moment-là était que ces techniques allaient être utilisées à travers la base de pouvoir plus large de l’Union européenne.

Et je vais juste répéter que le document Mindspace se vantait que pour la première fois, le gouvernement serait capable d’utiliser des techniques appliquées où les gens verraient leur comportement modifié — c’est-à-dire que leurs pensées seraient modifiées et qu’ils ne s’en rendraient même pas compte.

Reiner Füllmich : Dans quel but ?

Brian Gerrish : Eh bien, si vous voulez exécuter le pouvoir, vous pouvez essayer d’utiliser une politique normale et démocratique, ou vous pouvez essayer d’utiliser la force, ou vous allez essayer d’utiliser d’autres moyens.

Et donc je classe ces techniques dans cette catégorie « autres moyens ». Je dois dire que lorsque j’ai vu à quel point c’était cynique à travers mon expérience militaire, à quel point c’était calculé, j’ai compris qu’il s’agissait d’une utilisation brute du pouvoir.

Maintenant, si je fais un bond en avant dans les événements autour de la Covid : très tôt dans la pandémie de Covid (je l’ai appelée « pandémie » ; bien sûr, je ne crois pas que ce soit ce qu’elle est, mais c’est ainsi qu’elle a été rapportée), il a été porté à notre attention que le groupe consultatif scientifique du gouvernement, SAGE, avait eu une entrevue avec des membres de l’équipe Behavioural Insights du gouvernement.

L’homme clé concerné par cette question était un homme appelé Dr David Halpern. Cette réunion n’a pas fait l’objet d’un compte-rendu officiel, mais une fiche d’information a été publiée à l’issue de la réunion. Dans ce document, daté, je pense, du 22 mars 2020, il est admis que l’équipe SAGE et la politique du gouvernement sur le coronavirus allaient utiliser la psychologie appliquée afin d’accroître la peur dans la population, afin que celle-ci adhère plus étroitement à la politique du gouvernement en réponse au coronavirus. Nous avons ce document ; nous pouvons vous fournir une copie de ce document.

Reiner Füllmich : Oui, s’il vous plaît, parce que nous avons le même genre. Il s’agit d’un document qui a fait l’objet d’une fuite de la part du secrétaire [fédéral] de l’Intérieur, et qui est maintenant appelé le Panic Paper.

Brian Gerrish : Oui, j’ai entendu parler de ce document en Allemagne. Je ne l’ai pas vu ou je n’ai pas pu le lire en anglais. Je vais vous suggérer que ce document allemand est issu des discussions spécifiques auxquelles je viens de faire référence. Lorsque nous avons commencé à voir que le gouvernement britannique tenait ces réunions secrètes avec des experts français en psychologie comportementale appliquée, il était clair pour nous que cela allait être déployé dans d’autres pays européens. Je n’ai donc pas été surpris lorsque j’ai entendu parler de ce document allemand.

Dans le document du SAGE, outre le fait qu’ils allaient accroître la peur, il y avait quelque chose de très intéressant. Il est dit [aux paragraphes 6-8 de la page 2] qu’au sein des communautés [locales], les membres au sein de la communauté seront utilisés pour faire en sorte qu’on se dénonce les uns contre les autres. Les gens allaient donc être utilisés pour faire pression sur leurs voisins, par exemple, pour qu’ils portent un masque, pour qu’ils respectent la distanciation sociale.

Il était donc très clair dans leurs propos qu’ils allaient utiliser cette psychologie appliquée secrète pour pousser les citoyens à faire pression sur leurs pairs. Et, fait significatif, ils ont également dit que cela devait être fait avec une certaine prudence, car ils pensaient qu’il était possible que cette situation devienne incontrôlable. En clair, ce qu’ils entendaient par là, c’est qu’au lieu que quelqu’un dise à quelqu’un d’autre « Tu devrais porter un masque ! » cette exigence pourrait se traduire par de la violence.

Après vous avoir parlé de ce document — très clair, très précis — je reviens maintenant à ce que disait Bianca qui parlait il y a quelques minutes, parce que j’ai pu comprendre qu’elle parlait d’angoisse et de stress.

Bien entendu, les techniques utilisées sur les adultes — ces techniques psychologiques visant à provoquer le stress et la peur — sont également utilisées sur les enfants. Je n’ai pu comprendre qu’une infime partie de ce dont elle parlait, mais j’en ai compris suffisamment pour saisir — corrigez-moi si je me trompe — que les règles changent, et donc qu’elle ne sait jamais quelles sont les règles à suivre.

Reiner Füllmich : Exactement, oui. Chaque semaine, ils changeaient les règles [pour les écoles], de sorte qu’elle devait travailler le week-end pour essayer de comprendre comment faire fonctionner les choses.

Brian Gerrish : Oui. Et l’incertitude et le changement des règles : cela fait partie de l’attaque psychologique. Parce que l’incertitude met immédiatement les gens dans une position de stress, d’anxiété et de confusion. Et si nous retournons dans le monde professionnel de la psychologie appliquée, les personnes qui sont dans un état de détresse et de confusion sont très sensibles aux autres messages et instructions. S’il y a un incendie dans un bâtiment et que les gens commencent à paniquer, la première personne qui commence à donner des ordres clairs aux gens, ces ordres seront suivis. Et cela est dû à l’état psychologique dans lequel se trouve le groupe.

Je n’ai pas de formation professionnelle en psychologie, mais je connais un certain nombre de choses que j’ai appris grâce aux enquêtes que je mène.

L’autre point que je souhaite aborder est qu’il y a de nombreuses années, nous avons commencé à nous intéresser de près à une organisation caritative appelée Common Purpose. Common Purpose, en tant qu’organisation caritative, déclarait avoir pour but de créer des « futurs leaders dans la société ».

C’était en fait une sorte de pieuvre, qui, grâce à ses tentacules, s’est introduite dans le système hospitalier, dans la police, dans l’armée, dans les écoles, et une fois à l’intérieur de ces organisations, répandait  une nouvelle philosophie applicable dans de nombreux domaines.

Tout ce que je vous dis est parfaitement documenté. J’ai un site web qui regorge de documents sur ce que faisait cette organisation. Elle s’adressait en particulier aux enfants. Au début, elle s’adressait aux enfants de 11 à 14 ans, mais elle s’intéressa aussi aux étudiants universitaires.

Outre le fait que les personnes qui suivaient les cours étaient sélectionnées, ils étaient également désireux de faire participer des plus jeunes à leurs soi-disant formations.

Lorsque j’ai enquêté sur cette organisation, parce que j’étais extrêmement méfiant quant à ce qu’elle faisait (sa mission déclarée était de « choisir les futurs dirigeants » qui allaient « diriger au-delà de l’autorité » !), j’ai découvert que la formation était clairement conçue pour produire des personnes travaillant dans une organisation, mais qui ne travaillerait pas dans la culture normale de l’organisation. Common Purpose leur inculquait un nouvel ensemble de valeurs.

Lorsque j’ai pris l’avis d’un expert sur la façon dont ils s’y prenaient, c’est la première fois que l’on m’a parlé de la technique de la programmation neurolinguistique. La PNL est en fait une forme d’hypnose. Vous pouvez chercher sur Internet et vous trouverez de nombreux cabinets de conseil proposant des formations à la PNL, et vous trouverez de nombreuses personnes proposant des formations qui affirment que cette technique a une [valeur] thérapeutique, qu’elle peut être utilisée pour soigner et aider les gens.

En substance, c’est vrai ; mais ce qui nous intéressait au fond, c’est de savoir où nous avons commencé à voir l’utilisation de la neurolinguistique dans la politique gouvernementale.

Pour cela [nous devons] réunir ces deux éléments avérés :

  • C’est un fait que le gouvernement britannique a mis en place une équipe spécifique de psychologie appliquée.
  • C’est un fait que cette équipe promouvait des idées pour rendre la population craintive autour de la pandémie.

Et à une échelle beaucoup plus grande, cette équipe utilisait, entre autres, la PNL pour influencer pratiquement tous les documents produits par le gouvernement.

Je ne sais pas si certains membres de votre équipe ont déjà entendu parler de la PNL, mais je dirai que c’est un secret de polichinelle (vous pouvez faire des recherches à ce sujet, et de nombreux professionnels l’enseignent) qu’il s’agit essentiellement d’une forme d’hypnose. Cela signifie que vous pouvez transmettre aux gens des idées et des concepts qui ne passent pas nécessairement par leur esprit conscient. C’est un fait, ce n’est pas de la fiction.

Maintenant, lorsque vous commencez à voir la PNL utilisée pour des objectifs politiques, bien sûr, le grand public est très, très vulnérable, parce qu’à moins d’avoir un peu de formation ou de connaissance de la PNL, vous ne vous rendrez même pas compte qu’elle est utilisée sur vous, et elle peut être utilisée dans un sens verbal, mais elle peut aussi être utilisée par écrit.

Ainsi, par exemple, vous pouvez avoir un document devant vous : vous remarquez souvent un point à la fin d’une phrase ; ce marqueur n’est pas au bon endroit et vous pensez que quelqu’un a fait une erreur en tapant.

Mais ce n’est pas ce que la PNL peut faire, car lorsque vous lisez la phrase et que vous arrivez au point, votre esprit conscient prend une décision, mais votre esprit subconscient en prend une autre. Et il est tout à fait possible de rédiger des documents dans lesquels il semble qu’un message soit transmis, mais en réalité un message complètement différent est transmis au public.

Si je ramène cela au domaine de la réaction au coronavirus, nous constatons maintenant que chaque déclaration faite par le gouvernement, chaque document qui sort, est invariablement très soigneusement rédigé, il est très soigneusement assemblé, et je peux voir que dans une grande partie de cette documentation, la psychologie comportementale est soigneusement appliquée dans le texte.

Pour étayer cette affirmation, pour la renforcer : nous disposons également d’un document gouvernemental dans lequel le gouvernement se vante spécifiquement de pouvoir utiliser la psychologie dans les documents écrits.

Viviane Fischer : Vous pensez donc que les documents qui ont fait l’objet de fuites [en Allemagne], comme par exemple ce document de panique qui a été divulgué par quelqu’un, ou du moins qui n’a pas été publié officiellement, ont généré beaucoup de peur. Certaines personnes ont pu lire à travers les lignes et comprendre toute la narration même le simple fait qu’il ait été publié, et que certaines personnes l’aient lu ou en aient entendu parler, les ont bloquées dans la peur voire même renforcé leur peur, et a servi le but pour lequel cela a été conçu.

Beaucoup de gens ont été contrariés que le gouvernement utilise cette photo de votre grand-mère en train d’être étouffée par vous, l’enfant qui l’a infectée avec le coronavirus ; mais une fois que cette photo est en quelque sorte dans le domaine officiel, certaines personnes l’entendent et ont alors ces fantasmes dans leur tête, et ont encore plus peur.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est tout à fait exact. Nous pouvons voir ici, au Royaume-Uni, que la BBC, en particulier, a utilisé la psychologie appliquée de cette manière : des photographies très émotives et bouleversantes avec très peu de reportages factuels pour soutenir l’image, l’idée donnée par la photographie.

C’est délibéré. C’est calculé.

Dans le contexte de tout ce qui s’est passé avec la « pandémie », nous savons que chaque discours qui est prononcé, chaque document qui est diffusé, est susceptible de contenir un message psychologique de renforcement.

Mais l’autre chose qui me semble importante, du moins au Royaume-Uni, c’est que si nous revenons à 2010, lorsque le document Mindspace a été publié, nous avons commencé à voir les premiers exercices de préparation à une pandémie dans l’année qui a suivi.

En 2016 [N.B. : dans la vidéo, Brian dit » 2011 » par erreur, qui était l’année du précédent document sur la préparation à la pandémie], nous avons eu un truc appelé exercice Cygnus, qui était le plan britannique de préparation à la pandémie de grippe.

Ce document a été suivi par d’autres documents officiels parlant d’une éventuelle future pandémie, puis en 2017, il y a eu un document très important intitulé Préparation, résilience et réponse aux situations d’urgence [N.B. : Brian a généralisé le nom en disant « Préparation à la prochaine pandémie »].

Ce qui était, et ce qui est, intéressant dans la lecture de ces documents, c’est que certains d’entre eux — pas tous, mais certains d’entre eux — qualifient le document en disant : « Eh bien, nous ne pouvons pas prédire qu’une pandémie va se produire : nous pouvons regarder sur le long terme ce qui s’est passé dans le monde ; nous pouvons regarder ce qui s’est passé en 2018 et la pandémie de grippe et les dégâts ; mais nous ne pouvons pas être certains de quand il y aura une autre pandémie. »

Et soudain, en l’espace de quelques années, nous pouvons voir une avalanche d’articles au Royaume-Uni — et là encore, nous pouvons les mettre à votre disposition — où, soudain, les gens parlent tous de « la pandémie à venir ».

Il s’agit de documents publics politiques britanniques. Ils ne sont même pas au niveau des documents de type SPARS sur la pandémie, où de grands exercices ont été menés en Amérique et ailleurs, pour étudier la possibilité d’une pandémie. Il s’agit d’un ensemble de documents et de recherches supposées au Royaume-Uni.

Est-ce une coïncidence si, en quelques années, les articles se succèdent pour nous avertir de l’arrivée d’une pandémie ? Ce que je constate en lisant ces articles, c’est qu’il y a très peu de faits, mais beaucoup de langage émotif.

Et, bien sûr, les personnes qui avaient un emploi dans le secteur public, dans le système gouvernemental inférieur, étaient très susceptibles de lire ce matériel et de penser ensuite, « Mon Dieu, nous devons nous préparer localement à cela ! »

En regardant ces documents, je suis assez convaincu que ce que nous voyons est l’ensemencement des idées d’une pandémie à venir.

Bien sûr, ces graines ont été placées dans l’esprit des gens, et dès que nous avons commencé à recevoir des rapports sur l’arrivée d’une pandémie — en particulier, pour nous [en Grande-Bretagne], de la BBC — les gens auraient commencé à s’inquiéter, ou auraient commencé à penser à ce matériel et auraient commencé à réagir de la manière souhaitée par le gouvernement.

Nous avons donc des preuves substantielles montrant que le gouvernement britannique utilise et utilisera la psychologie appliquée pour faire passer ses politiques, ces preuves substantielles indiquant qu’ils vont aller jusqu’à rendre les gens craintifs.

Et j’ajouterai que si vous rendez les gens stressés et craintifs, vous allez aussi leur causer des problèmes de santé mentale, et nous vivons maintenant dans un pays où il y a une énorme augmentation des dépressions et de suicides, dont la presse grand public ne parle pas, parce que l’augmentation de ces effets négatifs sur la santé mentale a été si énorme depuis que les politiques de verrouillage ont été mises en place ; c’est un éléphant dans le salon au Royaume-Uni.

Nous avons la preuve dans les documents de l’existence de la psychologie appliquée calculée et destructrice. Si vous parlez aux gens dans les services publics, aux médecins, aux infirmières et au service hospitalier du NHS, ils nous disent qu’ils ont également été témoins de l’inondation soudaine de ces documents, les préparant effectivement à une pandémie qui était à venir. Pourtant, il s’agissait d’une pandémie qui, selon les journaux, ne pouvait pas être prédite !

Reiner Füllmich : Brian, au début de la session d’aujourd’hui, le Dr Wolfgang Wodarg et moi avons discuté du fait qu’un nouveau récit a été diffusé dans les médias grand public, probablement en commençant aux États-Unis avec Fox News. L’hôte Tucker Carlson a expliqué dans l’une de ses émissions d’information que la justice allait enfin être rendue, car[Anthony] Fauci a été pris en flagrant délit de mensonge au sujet de sa participation au laboratoire de virologie de Wuhan et de la manière dont il y avait mené des expériences de gain de fonction, financées dans le dos du contribuable américain et contre la volonté du gouvernement [américain], avec l’argent des contribuables américains.

Mais le vrai message n’était pas « On va avoir Fauci ». Le vrai message était : « Fauci ne nous a pas dit qu’un dangereux virus s’était échappé du labo de Wuhan ». « Entre-temps, nous savons qu’il y a probablement eu un accident au laboratoire de Wuhan, mais qu’il n’a pas causé de réels dommages. Cependant, ces personnes qui semblent avoir préparé le déploiement de cet agenda (comme vous venez de l’expliquer, et comme d’autres nous l’ont expliqué auparavant) — ces personnes ont saisi cette opportunité et l’ont utilisée comme un tremplin afin de commencer à déployer la  « pandémie » qui est en réalité une plandémie, et qui n’est en réalité qu’une pandémie de tests PCR.

Êtes-vous d’accord avec cela, qu’en réalité — et c’est vraiment important — nous n’avons pas un virus dangereux, parce que l’OMS, conformément à ce que dit John Ioannidis, a évalué le danger de cette pandémie à peu près au niveau d’une grippe ordinaire : 0,14 ou 0,15 % de taux d’infection et de mortalité ; donc, êtes-vous d’accord pour dire qu’il ne s’agit pas vraiment d’une pandémie, mais d’un effort coordonné ?

Comme vous l’avez dit lorsque vous avez commencé à nous parler, ce n’est pas de la folie, c’est un effort calculé qui utilise la psychologie, la PNL, afin de maintenir les gens dans la peur, afin de leur faire faire des choses qu’ils ne feraient pas autrement ?

Brian Gerrish : Je le crois certainement. Il y a un certain nombre de points qui sont impliqués dans ce que vous venez de me dire.

Le premier point important est le suivant : toutes les preuves qui nous sont parvenues par le biais de UK Column et de notre analyse ont montré que même les propres statistiques du gouvernement ont prouvé que ce qui se passe correspond en fait à une saison de grippe normale. Et bien qu’ils aient essayé de manipuler et de déformer les statistiques, l’Office national des statistiques du Royaume-Uni a fait son travail : les statistiques que ce centre a diffusées au public étaient correctes et montraient qu’il n’y avait pas de pandémie. Mais l’interprétation du gouvernement était une déformation flagrante des faits et des informations.

Reiner Füllmich : La même chose s’est produite ici en Allemagne.

Brian Gerrish : Oui, et je peux renforcer cette affirmation en vous disant que nous avons maintenant un grand nombre de personnes qui viennent nous voir — médecins et infirmières — pour nous dire qu’à l’époque où le gouvernement britannique prétendait que les hôpitaux étaient pleins de patients Covid, ils ne l’étaient pas.

Même les installations spécialisées créées dans les hôpitaux n’ont jamais accueilli un seul patient, sans parler du grand centre créé à Londres pour des milliers de patients qui s’est retrouvé, je crois, avec environ 63 patients dans une installation de plusieurs milliers de lits !

Dans les hôpitaux, des consultants [médecins traitants expérimentés] nous ont dit qu’ils avaient été responsables de la création de services spécialisés Covid, ce qu’ils ont fait, et lorsque ces services étaient créés, ils n’ont jamais accueilli un seul patient Covid.

Et pendant ce temps, le gouvernement britannique a renvoyé des personnes âgées, qui avaient manifestement la grippe — elles étaient dans les hôpitaux et étaient bien malades — le gouvernement a renvoyé ces personnes âgées par milliers dans les maisons de soins et de résidence, où, dans un environnement fermé, l’infection s’est bien sûr propagée.

Même la presse au sens large — en particulier les journaux britanniques : le Daily Express, le Daily Mail, le Daily Telegraph et le Guardian — ont tous rapporté à un moment donné que des dizaines de milliers de personnes âgées étaient mortes inutilement. Aujourd’hui, les experts qui nous parlent à UK Column disent que le chiffre n’est pas de quelques dizaines de milliers, mais de centaines de milliers.

Ainsi, on nous a menti sur le fait qu’il s’agissait d’une pandémie, et l’une des astuces utilisées par le gouvernement britannique et la BBC est qu’ils parlent des statistiques relatives à la Covid-19 dans un sens cumulatif. Ils ne cessent d’additionner les chiffres. Mais, bien sûr, la grippe est toujours enregistrée comme un événement saisonnier.

Une saison de grippe arrive, les gens attrapent la grippe, certaines personnes meurent — c’est toujours le cas — puis, lorsque le temps s’améliore, la grippe disparaît. Et puis, l’hiver suivant, c’est une nouvelle saison de grippe, et les statistiques recommencent. Mais avec la Covid, les statistiques ont été additionnées sur les deux saisons.

La manipulation psychologique de l’esprit des gens est absolument flagrante.

Vous avez mentionné Fauci. Je crois que ce que vous voyez en ce moment est un écran de fumée. Oui, il faut se poser des questions sur ce qui se passait dans le laboratoire de Wuhan, et nous savons certainement qu’il est de règle depuis de nombreuses années que, si un vaccin doit être créé, les entreprises pharmaceutiques améliorent une souche virale dans le cadre de leurs techniques de production d’un nouveau virus ; nous pouvons donc imaginer que, dans n’importe quel laboratoire, des virus dangereux améliorés peuvent être créés.

Nous savons donc que les laboratoires effectuent un travail essentiellement dangereux sur l’amélioration des virus, il est donc bien sûr possible que quelque chose se soit échappé.

Mais je pense que le moment où l’attention s’est soudainement tournée vers Fauci est très intéressant, car il a été soigneusement choisi, parce qu’ils savent que le grand public commence à poser les bonnes questions sur la politique de vaccination Covid-19. Et donc, pour essayer de détourner l’attention des gens des questions clés sur la vaccination, ils reviennent maintenant à Fauci.

L’autre homme qui a soudainement disparu de la scène publique est Bill Gates. Pourquoi Bill Gates a-t-il disparu ? Eh bien, il y a un certain nombre de questions intéressantes, mais le premier problème auquel il a été confronté est qu’il est devenu connu qu’il avait une amitié avec Epstein. Ainsi, tout d’un coup, M. Bill Gates est passé du statut d’homme d’affaires philanthropique, propre et bien élevé à celui d’homme d’affaires souillé par le fait qu’il avait une amitié très douteuse avec [Jeffrey] Epstein. Et Melinda Gates a maintenant déclaré qu’elle avait averti son mari de cette relation il y a de nombreuses années.

Soudainement, Bill Gates a été exposé dans les grands médias. Ensuite, l’attention se porte à nouveau sur Fauci. Mon sentiment est que les responsables de ce plan ignoble réalisent que le public commence à regarder dans la bonne direction et qu’ils ont donc besoin de quelque chose pour les distraire.

Et je pense que nous allons assister à une recrudescence des accusations selon lesquelles ce sont les Chinois qui ont produit une arme biologique, et que Fauci était impliqué. Il s’agit là de propos médiatiques à caractère émotif et non d’une analyse correcte de ce qui s’est passé. C’est mon opinion personnelle ; je peux me tromper.

Reiner Füllmich : Je pense que nous sommes d’accord avec ça, et tous ceux à qui nous avons parlé sont d’accord avec ça. Il semble que les responsables de cet agenda commencent à jeter des gens sous le bus, mais — manifestement — uniquement dans un but précis : détourner l’attention du grand public de ce qu’ils font.

Dans une certaine mesure, je pense que cela montre qu’ils perdent le contrôle. Ils ne perdent pas complètement le contrôle, mais ils le perdent. Qu’est-ce que tu penses de ça ?

Brian Gerrish : Je suis d’accord, et si nous voulons introduire quelques bonnes nouvelles dans notre discussion, les gens contre qui nous nous battons sont des menteurs invétérés. Ils disent des mensonges, ils ne disent pas la vérité. Et leur problème est qu’ils finissent par être pris au piège par leurs propres mensonges. Je pense que c’est une grande partie ce qui a commencé à se produire.

Je peux vous donner un autre exemple, au Royaume-Uni, où nous constatons qu’il y a soudainement une certaine crainte émergente dans le système. L’agence britannique responsable de la sécurité et de la réglementation des médicaments s’appelle la MHRA (Medicines and Healthcare products Regulatory Agency). C’est l’organisation qui a recueilli les données sur les effets indésirables des vaccins, et pour vous et tous ceux qui regardent ou écoutent, leurs derniers rapports indiquent qu’au Royaume-Uni, il y a eu 859 481 réactions indésirables…

Reiner Füllmich : Vous avez dit 850 000 !

Brian Gerrish : 859,481. Et 1 213 décès. Ces statistiques sont celles du gouvernement britannique ; elles ne viennent pas de moi, mais du système de carton jaune de la MHRA. Ce système de sécurité est le suivant : quiconque entre en contact avec une réaction indésirable à un vaccin — qu’il s’agisse d’une réaction que vous avez vécue vous-même ou dont vous avez été témoin en tant que membre de la famille ou ami, ou même si vous êtes membre de la profession médicale — doit déclarer la réaction indésirable due à un vaccin sous forme de carton jaune, et c’est la MHRA qui détient cette base de données.

Maintenant, dans la propre documentation de la MHRA, ils ont déclaré en 2018 qu’à leur connaissance, pour tout médicament, y compris les vaccins, moins de 10% des effets indésirables graves ont été enregistrés. Moins de 10 % ! Et pour les effets indésirables plus mineurs des vaccins, ils ont dit que le chiffre enregistré se situerait entre 2 % et 4 % [du total réel].

Si l’on compare cette déclaration aux 859 000 effets indésirables et aux 1 213 décès enregistrés, on peut considérer que 12 000 personnes sont mortes.

Dans UK Column, nous avons beaucoup parlé de ces données, et sur le site ukcolumn.org, mon collègue, Mike Robinson, a mis en place un moteur de recherche qui permet de consulter les données de la MHRA. Et c’est un fantastique outil, car, sur le site Web de la MHRA, vous ne pouvez pas rechercher dans les données, ce qui est très déroutant et trompeur pour le public.

La mise en garde selon laquelle seuls 10 % des effets graves ont été enregistrés est très importante. Au cours des deux dernières semaines, la MHRA a ajouté un nouveau paragraphe en rapport avec cette mise en garde concernant le faible taux de signalement des effets indésirables dans lequel ils déclarent : « Le chiffre de 10% par rapport au 2-4% ne s’applique pas aux rapports du système carton jaune sur les effets indésirables du vaccin Covid-19. »

Ainsi, dès que UK Column a commencé à attirer l’attention du public sur le fait que la MHRA avait déjà enregistré 859 000 effets indésirables et 1 200 décès, et que cela pourrait ne représenter qu’une très faible proportion du nombre total d’effets indésirables, la MHRA a tenté de tromper le public en affichant un avis disant que cette règle de 10 % ne s’appliquait pas aux effets indésirables résultant de la vaccination Covid-19.

Viviane Fischer : Mais est-ce que quelqu’un peut croire ça ?

Brian Gerrish : Eh bien, certaines personnes oui inévitablement, car les membres du public qui lisent ces informations sans avoir une compréhension plus complète sont toujours dans la posture psychologique de croire ce que le gouvernement leur dit, ce qui est une très grosse erreur, bien sûr.

En tant que médias, nous avons fortement contesté cette décision, puis quelque chose de très intéressant s’est produit : la MHRA a soudainement annoncé, ces derniers jours, qu’elle allait lancer une initiative spéciale pour l’information et la sécurité des patients. Et quand vous regardez les documents produits, vous réalisez vite qu’ils ne disent pas réellement ce qu’ils vont faire pour améliorer la sécurité des patients.

L’autre partie de l’histoire de ce qui se passe au Royaume-Uni est la suivante : la MHRA a la responsabilité générale de consigner les effets indésirables des vaccins, mais ce qu’elle ne fait pas, c’est enquêter pour produire la conclusion finale sur le fait qu’un effet a bien été créé par un vaccin ou non.

Viviane Fischer : C’est la même chose ici.

Brian Gerrish : Et si c’est la même chose en Allemagne, alors nous commençons à voir qu’il y a un modèle qui émerge. Cela ne peut pas être un accident, cela ne peut pas être une coïncidence.

Viviane Fischer : Et c’est étonnant : nous en avons discuté plus tôt dans cette session, ils ne font pas d’autopsies. Ils refusent vraiment : soit cela vient des procureurs de l’État, soit cela est entravé d’une manière ou d’une autre dans les coulisses, par des décisions politiques, peu importe. Ils ne pratiquent aucune autopsie sur les personnes qui ont été enregistrées ou qui ont déclaré par leurs proches qu’il pourrait y avoir un lien de causalité avec les vaccins. Ils ne l’examinent pas, et s’ils le font, ce sera une inspection mineure, superficielle, à l’issue de laquelle ils affirment : « Oh, il n’y a pas de lien, c’est impossible ». »

Brian Gerrish : Eh bien, cela se produit également au Royaume-Uni, où les autopsies ne sont pas effectuées. Nous avons même vu — c’est un fait, car nous avons interrogé la famille concernée — [un cas] où le père d’une famille est décédé d’une crise cardiaque très peu de temps après avoir reçu une injection, et l’hôpital n’a pas soumis de rapport de carton jaune, et plus tard, lorsque la famille a soumis ce carton jaune, rien ne s’est passé. Six semaines et demie se sont écoulées.

Ils se sont alors tournés vers la MHRA et ont demandé, « Que faites-vous pour enquêter sur la mort de notre proche ? ». Et la première chose que la MHRA leur a demandée, c’est : « Y a-t-il eu une autopsie ? ». Comme vous l’imaginez, la responsabilité de faire une autopsie incombe à l’équipe médicale, qui aurait dû décider que le décès pouvait être lié au vaccin, [et que] par conséquent, une autopsie était nécessaire. Mais lorsqu’il était trop tard, et après que la personne soit enterrée, la MHRA répond :  « eh bien, il n’y a pas eu d’autopsie ».

Il y a environ deux ans, une autre chose s’est produite au Royaume-Uni. À l’origine, les certificats de décès devaient être signés par deux médecins. Or, au cours de la « pandémie », cela a été changé pour qu’il n’y ait qu’une seule signature. Constamment, sur les certificats de décès, « Covid » était enregistré même lorsque les membres de la famille déclaraient : « Mais mon père, ma mère, mon frère sont morts du cancer ! » Mais comme ils avaient soi-disant été testés positifs au Covid-19, c’était en fait enregistré comme la cause du décès.

Il s’agit donc de la falsification officielle de statistiques, avec un impact direct sur la santé de la nation. C’est calculé. Et c’est pourquoi je reviens à l’affirmation que ce n’est pas de la folie ; si vous analysez très attentivement les décisions politiques, les politiques, les documents, ce que nous regardons est un génocide. C’est planifié. C’est prémédité.

Un haut responsable du National Health Service — qui nous a parlé en tant que dénonciateur — a même utilisé ce terme. Elle a dit : « Ce que j’ai vu se dérouler au sein des services de santé du Royaume-Uni est un génocide. »

Reiner Füllmich : Était-ce un membre de la communauté médicale ?

Brian Gerrish : C’était un membre du conseil d’administration d’un des conseils du NHS. Des infirmières viennent nous voir en employant le même terme « génocide ». J’ai des médecins qui utilisent aussi ce terme, mais ils ne l’utilisent pas à la légère. C’est un mot qui ressort lorsque vous les interrogez sur leurs expériences et ce qu’ils ont vu.

Viviane Fischer : Que pensez-vous de l’empressement à vacciner les enfants ? Le gouvernement [allemand] a déclaré qu’à partir du 7 juin, les enfants devaient être vaccinés, et que tout devait être terminé avant la prochaine année scolaire. Cela semble donc assez scandaleux ; de toute évidence, beaucoup de gens sont très mécontents de cette nouvelle mesure.

Ils disent que ce ne sera pas obligatoire, mais avec la pression des pairs, et avec le fait qu’ils disent que vous ne pouvez retourner à l’école qu’avec des tests ou la vaccination, il y a bien sûr une pression ; c’est fondamentalement obligatoire, ou ça va le devenir.

Je me demande si vous pensez qu’ils accélèrent le processus parce qu’ils voient que les effets secondaires des vaccins vont devenir de plus en plus évidents.

Peut-être que s’ils introduisaient cette mesure plus tard dans l’année, un certain nombre de parents pourraient hésiter à se faire vacciner, alors que maintenant, c’est encore entre deux, et peut-être qu’avec la possibilité de partir en vacances, c’est une bonne idée d’attirer les gens ou de les inciter à faire vacciner leurs enfants maintenant ? Qu’en pensez-vous ?

Brian Gerrish : Je suis tout à fait d’accord avec votre analyse. Il est très clair qu’il y a maintenant une urgence massive à vacciner les enfants, et nous pouvons le voir dans les déclarations ouvertes des politiciens. Un homme politique, [l’ancien ministre de la Santé] Jeremy Hunt, s’est levé à Westminster il y a quelques jours et a déclaré en substance qu’il était vital que nous commencions à vacciner les écoliers.

Nous pouvons donc voir des déclarations ouvertes, mais aussi d’autres documents qui circulent où, une fois de plus, il y a cette utilisation malveillante de la psychologie : on dit aux enseignants que s’ils rencontrent des parents qui sont réticents à faire vacciner leurs enfants, ces parents seront répertoriés comme extrémistes.

Nous voyons donc à nouveau apparaître ce clivage psychologique, qui vise à éloigner les gens de leurs enfants. Bien sûr, si vous éloignez les parents des enfants, alors le gouvernement peut faire ce qu’il veut des enfants.

Il y a vingt ans, je lisais un livre politique très instructif intitulé The European Union Collective : Enemy of its Member States [par Christopher Story], et dans ce livre il y avait un tableau qui prétendait être un tableau sur l’attaque psychologique contre les nations occidentales. Il s’agissait d’une période de démoralisation, d’une période de déstabilisation et, au bout de cinq ans, d’un chaos et d’un effondrement complet.

Et lorsque j’ai lu ce tableau — je n’avais pas encore quitté l’armée depuis longtemps — mon esprit s’est dit : « Certaines de ces choses se produisent ici et maintenant. J’ai plein d’exemples en tête ! » J’ai donc fait des conférences publiques sur l’idée — j’appellerai cela une « idée » — qu’une attaque psychologique, une attaque démoralisante, est en train d’être déclenchée sur nos nations respectives. Je crois que c’est le cas.

Et je crois que lorsque vous voyez comment la politique de cette escroquerie Covid, ce mensonge, se reflète au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, et dans tous les autres pays, alors nous pouvons voir que clairement, la base de pouvoir qui injecte cela n’a rien de démocratique. Elle nous est hostile.

J’ajouterai juste que Bill Gates a soutenu une organisation appelée CEPI : la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations. La Fondation Bill et Melinda Gates a versé plusieurs centaines de millions de dollars à cette organisation.

Eh bien, par « miracle », le CEPI a fini par financer le laboratoire de tests biologiques que la MHRA au Royaume-Uni allait utiliser, et utilise toujours, pour nous dire si les vaccins sont sûrs ! Donc Bill Gates a soutenu financièrement le CEPI, le laboratoire utilisé pour nous dire que les vaccins sont sûrs, alors qu’ils ont officiellement enregistré 860 000 effets secondaires !

Mais ils n’ont pas établi de corrélation pour savoir s’il existe un lien de causalité avec les vaccins eux-mêmes. Cette recherche n’a pas été faite.

Il est donc évident que vous avez un système qui a été mis en place pour tromper le public sur ce qui se passe réellement avec ces vaccins. Et je pense qu’ils veulent les enfants parce qu’ils sont maintenant assez effrayés de voir que les bonnes questions sont posées, et ils savent que s’ils veulent faire vacciner les enfants, ils doivent se dépêcher.

Viviane Fischer : J’ai encore une question. Nous examinons toutes les mesures : les masques, ces tests bizarres, maintenant la vaccination, et la distanciation sociale. Pensez-vous que ces mesures ont avant tout un aspect psychologique, le fait d’être victime d’un coup de force ou de devoir faire preuve d’obéissance ?

Pensez-vous que tous ces éléments technologiques, pharmacologiques ont le même but : vous rendre malade ?

Comme nous savons que les tests sont nocifs, les masques font que les gens soient infectés plus facilement par un virus ou la grippe, se pourrait-il que ce soit aussi élégamment orchestré sur une base médicale ?

Brian Gerrish : Oui. Je pense que ce que vous dites est correct. C’est difficile pour les gens [d’imaginer cela]. Si nous disons que nous sommes des gens raisonnables — nous, les personnes réunies ici aujourd’hui, ne sommes pas parfaits, mais nous sommes des gens raisonnables et nous nous préoccupons de notre prochain, homme ou femme ; c’est ce que nous avons dans la tête — lorsque vous avez cela dans la tête, il est très difficile pour vous de regarder quelqu’un qui déchaîne un plan totalement brutal sur les gens.

Si des dizaines de milliers de personnes âgées ont été délibérément tuées au Royaume-Uni (et je pense que les preuves en sont accablantes), alors les personnes qui ont pris la décision de tuer ces personnes âgées sont également capables de prendre la décision de tuer d’autres membres de la société qu’elles ne considèrent pas comme valables.

Pour en revenir à la psychologie et aux documents : je possède un document du National Health Service qui parle de la sécurité des patients, et qui dit :  « Si nous faisions ceci ou cela, nous pourrions peut-être sauver la vie de 160 personnes par an. Cela vaudrait 23 millions de livres sterling. »

Chaque fois que le document du NHS parle de la protection des êtres humains, il lui attribue une valeur financière. Et quand je vois ces phrases, je sais que la personne qui a écrit ce document ne pense pas de la manière dont nous pensons tous.

Ainsi, ce qu’ils font aux enfants avec les masques et la distanciation sociale — et en leur donnant des leçons sur « la dangerosité du virus » est une attaque psychologique sur leur esprit, et les personnes qui font cela savent très bien que cela va entraîner toutes sortes de problèmes de santé mentale chez les enfants.

Il y a un document très important qui s’appelle le tableau de coercition de Biderman. Il s’agit d’un document reconnu par l’Organisation mondiale de la santé sur les techniques de torture non physiques.

Avant ce direct avec vous, une dame très bien informée m’a envoyé un document où il est dit que désormais, au Royaume-Uni, si un bébé naît et que l’on soupçonne que cet enfant peut être testé positif au Covid, il ne faut pas qu’il ait de contact avec la peau.

Viviane Fischer : Cela devient vraiment incontrôlable. Pensez-vous que le fil conducteur de toute cette affaire est écrit en Angleterre ? Pensez-vous que [le Royaume-Uni] est vraiment l’araignée dans la toile ? Pourriez-vous découvrir [cela], avec les Français ? S’agit-il d’un scénario américain ? L’organisation doit être centralisée d’une manière ou d’une autre.

Brian Gerrish : Eh bien, c’est bien sûr une question très intéressante, car lorsque j’ai parlé du tableau de déstabilisation [dans le livre de Christopher Story], cela faisait prétendument partie d’un plan communiste pour déstabiliser l’Occident.

Mais je pense que si nous adoptons une vision plus mature de la situation, si nous examinons la base du pouvoir (et pour l’instant, nous nous concentrons sur la base du pouvoir des entreprises pharmaceutiques), la base du pouvoir se trouve dans les réseaux de ces entreprises. Et, bien sûr, ces entreprises ne peuvent fonctionner qu’avec les personnes qui contrôlent leurs milliards de dollars de fonds de roulement et de bénéfices.

Donc, pour moi, il est très facile de dire que si vous voulez commencer à déterminer qui fait cela, alors vous devez regarder qui contrôle réellement l’argent.

Et cela peut être assez émouvant, selon la façon dont vous présentez cet argument, mais au Royaume-Uni, le gouvernement — qui n’a pas été capable de construire des hôpitaux, qui n’a pas les moyens de boucher les trous dans les routes, ne peut pas investir dans les écoles — annonce soudainement que nous avons 800 milliards de livres sterling qui sont apparues de nulle part afin de lutter contre la Covid. Eh bien, cela dévoile quelque chose de très important.

L’autre élément qui me semble important à l’heure actuelle est le suivant : on aurait pu penser il y a quelques années que si une telle pandémie se produisait, alors que l’économie est si durement touchée, on entendrait les banques se plaindre ; on entendrait les banques dire : « C’est désastreux, car l’économie britannique a diminué de 30 à 40 %. Les banques ne peuvent pas fonctionner. »

Mais en fait, les banques sont silencieuses. Et cela me dit que les banques sont heureuses. Elles doivent être heureuses, car elles sont silencieuses.

Reiner Füllmich : D’après ce que nous avons appris jusqu’à présent, ce sont les banques. C’est la haute finance qui profite de tout cela, à travers ses investissements dans l’industrie pharmaceutique et technologique.

Mais l’essentiel de tout cela, si c’est un programme (et je n’ai aucun doute que ce soit un programme, un effort calculé), c’est que le meurtre de la classe moyenne, des petites et moyennes entreprises que l’on pousse à la faillite, et le meurtre réel de personnes, n’est pas un dommage collatéral ; c’est un dommage voulu, n’est-ce pas ?

Brian Gerrish : C’est prévu, et il y a environ neuf mois (je ne peux pas l’étayer davantage, car il s’agit d’une dénonciation), un dénonciateur qui avait manifestement participé à des réunions de relativement haut niveau au sein du gouvernement britannique nous a dit qu’il était choqué qu’à un moment donné, ils aient discuté de la nécessité de détruire les petites et moyennes entreprises.

Il a dit qu’on en avait discuté d’une manière si froide que cela l’a vraiment troublé. Lorsqu’il est sorti de la réunion, il ne pouvait pas croire ce qu’il venait d’entendre.

Le précédent gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, a annoncé publiquement à plusieurs reprises que les entreprises qui n’adhéraient pas au nouveau programme vert relatif au « changement climatique » seraient punies. Elles seraient mises en faillite. Il a dit cela publiquement, et toute personne exploitant une petite entreprise aurait vraiment dû prêter attention à ce que cet homme disait.

Et, bien sûr, si vous empêchez les petites entreprises de travailler, vous empêchez les gens de gagner leur vie ; et lorsqu’ils ne peuvent pas gagner leur vie pour vivre, manger, vous augmentez également les problèmes de santé mentale.

Le mot anglais pour cela est « malevolent » : c’est un programme empoisonné, délibéré, parce que c’est discuté au Parlement et cela apparaît dans les documents qui sont publiés.

Viviane Fischer : Quel était le pseudo-argument utilisé par les membres du gouvernement lorsqu’ils parlaient de la nécessité de sortir les petites et moyennes entreprises ? Le changement climatique ?

Brian Gerrish : Eh bien, bien sûr, ils vendent au grand public qu’il y a un problème de changement climatique, et qu’il est désespérément important que nous prenions toutes les mesures pour traiter le problème climatique ; et si cela signifie que quelques centaines de milliers de petites entreprises vont être détruites, eh bien, c’est ce qui doit arriver.

Le facteur peur est donc constant : la psychologie est basée sur la peur et le contrôle. Nous devons avoir peur, car la fin du monde est imminente à cause du changement climatique. Nous devons avoir peur d’une pandémie. Nous devons avoir peur d’une guerre avec la Chine et la Russie. C’est de la psychologie délibérée et calculée.

Et, à mon avis, c’est pourquoi, si nous voulons lutter contre ce qui se passe avec la Covid et la vaccination, nous devons également aborder cette question. Lorsque nous pouvons prouver que nos gouvernements mentent et font de la propagande, il faut frapper aussi fort et dire au public : « Nous pouvons vous montrer que les vaccins sont dangereux, en raison des statistiques sur les réactions indésirables ». « Nous devons faire les deux choses simultanément. »

L’une des ironies est que le lockdown a été très bénéfique pour UK Column, car beaucoup, beaucoup plus de personnes viennent nous voir, et chaque semaine, nous recevons probablement six, sept, huit courriels de personnes qui nous disent : « Nous aimerions vous remercier de nous avoir permis de rester sains d’esprit. Vos informations, les faits que vous présentez, vos analyses nous ont aidés à rester sains d’esprit, car nous étions en détresse ; nous étions anxieux. »

Et c’est un énorme compliment pour nous, quelque chose de très spécial. Mais, bien sûr, ils nous parlent aussi de la puissance de l’effet sur l’esprit du public.

Viviane Fischer : J’ai une dernière question. Nous avons l’impression — et c’est peut-être lié à ce que vous avez dit sur la programmation neurolinguistique — que les gens sont sous une sorte de charme. Nous en avons discuté avec de nombreux psychologues.

Brian Gerrish : Eh bien, nous le croyons aussi. C’est la conclusion à laquelle nous sommes arrivés. Nous pouvons dire que les gens sont sous le charme, et la meilleure description, selon nous, est qu’ils ont été hypnotisés.

Viviane Fischer : Oui, hypnotisé. Mais comment pensez-vous que nous puissions briser ce charme ? Y a-t-il un moyen ?

Reiner Füllmich : L’information. Nous devons diffuser l’information, car la connaissance est ce qui tue l’illusion. La vraie connaissance tue l’illusion qu’ils ont créée.

Brian Gerrish : C’est vrai, mais nous devons aussi être réalistes : si vous regardez ce qui se passe lorsque vous essayez d’hypnotiser un groupe de personnes, vous obtenez une distribution en courbe en cloche. Certaines personnes y sont très sensibles et seront extrêmement hypnotisées ; d’autres peuvent être légèrement affectées ; et certaines personnes sont très difficiles à hypnotiser.

Donc, dans l’ensemble de la population, je crois qu’il faut y penser d’une manière un peu plus mesurée : vous allez avoir des gens que je pense, probablement, que nous ne pourrons pas atteindre. Ils sont partis. Ils ne peuvent pas penser par eux-mêmes. Et vous aurez d’autres personnes — vous en faites clairement partie et j’espère moi aussi — qui voient clair dans ce qui se passe. Peu importe ce qu’ils disent ou nous « montrent », nous pouvons voir la vérité.

Donc, en l’exposant et en diffusant nous-mêmes les informations correctes, nous brisons cette hypnose. Et, pour être positif, je pense que cela s’accélère. Le gouvernement britannique vient d’annoncer qu’il dépensait 1,6 milliard de livres pour l’interface avec les entreprises médiatiques ! 1,6 milliard de livres. Le budget de la BBC est de 5 milliards de livres à elle seule.

Ainsi, la BBC au budget de 5 milliards de livres [ce qui ne suffit manifestement pas] est la plus grande machine de propagande que le monde ait jamais vue. C’est l’organisation la plus dangereuse. Vous ne devriez pas croire ce que dit la BBC sans le vérifier auprès d’une autre source. Je pourrais vous parler pendant une heure de ce qu’est réellement la BBC.

Reiner Füllmich : Oui, eh bien, nous avons le même problème avec nos stations de radio et de télévision publiques nationales, je crois. Mais c’est peut-être pire en Grande-Bretagne, car je pense que votre histoire avec ce genre de propagande est beaucoup plus ancienne !

Brian Gerrish : Je suis désolé, je n’ai pas répondu complètement à la question de Viviane sur le fait de savoir si je pensais que le siège se trouvait au Royaume-Uni. Je suis très embarrassé de dire que je pense que oui, c’est au Royaume-Uni. Nous sommes face à une base de pouvoir qui est un mélange entre le pouvoir monétaire de la City de Londres, et ce qui est très clair dans la documentation, est que ce pouvoir monétaire travaille maintenant en symbiose avec les services de sécurité au sens large.

Cela fait partie de ce que l’on appelle au Royaume-Uni la Doctrine de la Fusion. C’est une autre discussion, mais en quelques mots, nous pouvons voir que la base du pouvoir monétaire contrôle maintenant à la fois les réseaux de renseignement, comme le GCHQ [équivalent du BND allemand], mais aussi les services secrets. Ils agissent de concert.

C’est un fait, je vous l’assure, car il a été annoncé publiquement (mais très discrètement !) que Google et le GCHQ, l’organisation britannique de renseignement et de cybersécurité, travaillent désormais au sein du National Health Service. C’est scandaleux.

Reiner Füllmich : Mais au fur et à mesure que le tableau se dessine, il devient de plus en plus clair pour un nombre croissant de personnes. C’est pourquoi ils poussent si fort, parce qu’ils comprennent que quelque chose est en train de dérailler.

Brian Gerrish : Oui, ils comprennent que les gens se réveillent, et nous le voyons. Je pense qu’il y a eu une grande… Les médias sociaux se sont stabilisés. Je pense qu’à de nombreux endroits sur les médias sociaux, on constate une énorme amélioration de la qualité et de la précision des informations qui sortent, et je ne pense pas qu’ils aient jamais réalisé que les gens utiliseraient les médias sociaux pour des analyses et des rapports professionnels, comme vous le faites aujourd’hui. Cela les effraie beaucoup.

Reiner Füllmich : Bien.

Brian Gerrish : Donc je pense que nous devons exposer ce qui se passe. L’autre chose que nous avons apprise en dix ans, c’est qu’il est toujours préférable de sous-estimer légèrement ce dont on parle.

Si vous le racontez raisonnablement en douceur, vous pouvez toujours revenir et recommencer ; mais si vous êtes trop agressif, si vous êtes trop énergique, si vous effrayez les gens, vous les perdez. Nous avons donc essayé de toujours parler de ce qui se passe très calmement, de manière mesurée, et nous ne couvrons pas non plus toutes les choses que nous observons.

Pour prendre un exemple, les gens parlent d’aimants qui se collent à vous après une injection. Je ne sais pas si c’est vrai ou non ; je suis intéressé de suivre ceci, mais je ne vais pas en parler, parce que jusqu’à ce que je puisse le prouver, je ne veux pas dire quelque chose qui pourrait saper ce dont nous parlons.

Je pense donc que l’approche consistant à ne pas être trop franc et agressif aide les gens à venir nous voir et à absorber les informations.

Si vous voulez terminer sur une note vraiment positive, j’ai décidé de mettre un peu de verdure derrière moi aujourd’hui, car j’ai pensé qu’un peu de soleil et un peu de verdure pourraient nous remonter le moral. Je crois que quelque chose de très intéressant s’est produit au cours des quatre ou cinq derniers mois : les professionnels commencent à poser les bonnes questions.

Je pense que la vitesse à laquelle cela se produit est à l’origine de toutes ces décisions étranges prises par l’establishment : le sacrifice de Fauci, l’empressement à faire vacciner les enfants alors même que le reste de la politique n’a pas encore été mis en œuvre — tout cela me semble indiquer qu’ils sont très effrayés.

La dernière chose dont j’aimerai parler — et je dois sourire en en parlant — c’est qu’il y avait un activiste à Chicago appelé Saul Alinsky, auteur d’un très bon livre intitulé Rules for Radicals. Dans ce livre, il parle essentiellement de techniques pour renverser le gouvernement, mais l’une d’elles est de « Toujours rendre l’argument personnel ».

Reiner Füllmich : C’est ce que nous faisons, oui.

Brian Gerrish : Et donc il ne suffit pas de parler de « la BBC » ; nous devons parler de Tim Davie, le directeur général de la BBC. Il ne me suffit pas de parler de « la MHRA » ; je dois parler du Dr June Raine, le directeur général de la MHRA.

L’autre petite chose que vous pourriez faire (ou vous en moquer, je ne vous en voudrai pas !) est qu’en écrivant à certains de ces fonctionnaires, vous mettiez leur photo dans la lettre ou l’e-mail que vous leur envoyez. En faisant cela, vous leur faites bien comprendre que ce n’est pas une communication sèche, mais que vous les considérez comme un individu.

Et donc, vous utilisez la psychologie appliquée. Si les mauvaises personnes l’utilisent sur nous, je pense que nous pouvons en utiliser un peu sur eux.

Reiner Füllmich : Eh bien, c’est ce que nous faisons, en fait. Nous en faisons une affaire personnelle. Nous nous attaquons à ces personnes personnellement, pas aux institutions. Brian, merci beaucoup, beaucoup.

C’était extrêmement intéressant et très important, et je pense que nous allons échanger davantage, parce que nous devons rester en contact maintenant que nous réalisons ce que nous soupçonnions depuis le début, c’est-à-dire qu’il s’agit d’un effort international concerté par certaines personnes très, très malveillantes.

Brian Gerrish : Oui, et quelle merveilleuse opportunité cela représente, parce que quoi que ces gens fassent, ils opposent constamment les nations entre elles. Si nous prenons un peu de recul et que nous regardons les guerres et les problèmes, c’est ce type de personnes qui en sont la cause, et je pense que nous avons une merveilleuse opportunité ici et maintenant.

La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain, quelle que soit notre nationalité, notre religion ou la couleur de notre peau. Je pense que nous avons là une opportunité très excitante.

Reiner Füllmich : Nous sommes d’accord. C’est un réel plaisir, Brian. Merci beaucoup. À bientôt.

Originellement publié dans UK Column.




Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007)

[Source : Sciences et Avenir]

Par Cécile Dumas (23/11/2007)

Tous ceux qui cherchent à comprendre comment la vie a commencé sur Terre, comment elle a émergé de la soupe primitive de molécules organiques, seront sûrement captivés par ces magnifiques clichés, publiés cette semaine dans la revue Science. Pas (seulement) pour leur esthétique mais parce qu’ils signifient que de tous petits fragments d’ADN sont capables de s’assembler pour former des cristaux liquides dans une solution.

Jusqu’à présent, on savait que de larges fragments d’ADN pouvaient s’assembler pour former ces cristaux liquides, plus connus pour équipés nos écrans de montres ou de télévisions. Pour la première fois, une équipe de chercheurs américains et italiens a montré que l’état liquide-cristallin, où se conjugue à la fois des propriétés des solides et des liquides, pouvait être atteint avec de très courts fragments d’ADN.

Dans les écrans, les cristaux liquides sont généralement des molécules allongées, en forme de bâtonnets par exemple, qui sont en mouvement mais peuvent s’aligner dans une même direction en fonction de différents paramètres (température, voltage…). De même, les longues chaînes de molécules d’ADN s’alignent facilement, un peu comme des spaghettis jetés dans une boîte qui vont se ranger parallèlement si on les secoue un peu, explique l’un des auteurs, Noel Clark (University of Colorado at Boulder, USA).

Qu’en est-il des touts petits bouts d’ADN ? Les chercheurs de l’université de Boulder et de l’université de Milan ont découvert que lorsqu’un fragment d’ADN de seulement six bases (ou nucléotides) se liait à un segment complémentaire afin de former petit élément de deux nanomètres de long et de large, il pouvait entrer dans un état liquide-cristallin et se comporter comme un plus long segment.

Ces toutes petites molécules sont donc capables de trouver le bon partenaire puis de s’organiser toutes seules au sein de gouttes. Ces gouttes facilitent ensuite la formation de plus larges molécules, expliquent les chercheurs.

Pour expliquer l’émergence de la vie à partir de la soupe prébiotique, l’ADN et l’ARN sont à l’heure actuelle les deux meilleurs candidats, chacun ayant ses avantages et ses inconvénients. Les résultats publiés aujourd’hui dans Science apportent un argument de plus en faveur de l’ADN. A suivre.

Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/11/07)




Êtes-vous des cobayes ou des robots ?

Source : Magazine N°35 « VOTRE SANTÉ » Août 2002

Par Sylvie SIMON

« Les Français sont des bœufs »

Charles De Gaulle

Surtout n’oubliez-pas de faire vacciner vos nounours ! Et si l’injection vaccinale n’était que le moyen technique d’implanter dans le corps des cristaux liquides(([1] Voir : Un tout petit peu d’ADN suffit pour faire des cristaux liquides (2007) )) qui, comme la puce, permettent le contrôle permanent de chaque individu ?

La pression vaccinale des autorités est devenue telle qu’on est obligé de s’interroger sur les buts réels de la vaccination.

II y a quelques années, certains scientifiques avaient suggéré qu’on pourrait, un jour, mettre au point plusieurs vaccins combinés qu’on injecterait au nouveau-né. En même temps, on introduirait dans son corps une puce électronique qui permettrait un suivi très précis de sa santé. Lorsqu’ils ont fait cette proposition, avec le plus grand sérieux, on peut se demander si ces scientifiques étaient conscients que leur suggestion dépassait de très loin tout ce qu’avaient imaginé Aldous Huxley dans le Meilleur des mondes, ou George Orwell dans 1984, ou d’autres écrivains de science-fiction.

Une invasion de puces

Or, depuis quelque temps, la réalité dépasse la fiction. Nous avons ainsi appris par la télévision que l’on commence a injecter des puces à des enfants ou à des vieillards atteints de la maladie d’Alzheimer afin de pouvoir mieux les surveiller lorsqu’ils risquent de s’éloigner de la vue de leurs proches. Cette technique est également utilisée par la médecine vétérinaire pour identifier les animaux. Une multinationale, Texas Instruments, a mis au point des transpondeurs, c ‘est -à-dire des micro-ordinateurs qu’on a injectés à des milliers d’animaux à travers la planète. Jusqu’à présent, ces puces étaient utilisées pour retracer, contrôler et identifier toutes sortes d’animaux comme tous produits manufacturés. Le Dr de Brouwer (Vaccinations : erreur médicale du siècle, Louise Courteau, 1997) explique :

« Ces transpondeurs, à partir d ‘une influence magnétique extérieure, permettent d’agir à l’échelle cellulaire, c’est-à-dire inconsciente, soit avec des émetteurs, soit des antennes télé, soit des satellites. Si de tels transpondeurs étaient injectés à des humains, il serait possible d’agir sur les gens avec une antenne cellulaire qui court-circuite la conscience individuelle. »

Nous n’en sommes plus a l’heure de faire des suppositions mais à celle de nous inquiéter vivement pour une situation déjà établie et qui ne peut que s’aggraver dans le futur . De son côté, le Dr Jose Delgado, pionnier de la stimulation électronique du cerveau et auteur du Contrôle physique de la pensée, paru en 1969, déclarait dans son ouvrage :

« Les transmetteurs cérébraux peuvent demeurer dans le cerveau d’un sujet à vie. L’énergie qui actionne le transmetteur est transmise par des fréquences radio. […] L’une des possibilités des transmetteurs cérébraux est d’influencer les gens afin qu’ils se conforment aux systèmes politiques. Les comportements individuels et sociaux, les réactions émotionnelles et mentales peuvent être provoquées, maintenues, modifiées ou inhibées, chez les animaux comme chez l’homme, par la stimulation des structures cérébrales spécifiques. Le contrôle physique de plusieurs fonctions cérébrales est un fait établi. Il est même possible de suivre les intentions, le développement des pensées et les expériences visuelles.« 

La réalité dépasse la fiction :

Les premiers implants étaient petits, mais encore visibles, tandis que les nouvelles versions à cristaux liquides peuvent être directement injectées dans le sang pour se loger dans certaines régions du cerveau et influencer le comportement d’un individu. Si l’ on se réfère à Tim Willard, éditeur du magazine américain Future Society, la technologie cachée derrière le nouveau Micro-Chip humain n ‘est pas très compliquée, et pourrait être appliquée dans une large variété d’activités humaines.

Dans le Belleville News Democrat du 28 décembre 1997, Rod Hafemeister signalait que des puces allaient être utilisées sur des soldats. En effet, pour les immuniser contre l’ anthrax avec les rappels nécessaires, il faut un suivi de plusieurs années.

« Le Pentagone estime qu’il faudra près de six ans pour immuniser tous ceux qui portent l’uniforme.[…]

Ce programme n’aurait pas été possible il y a quelques années, mais la mise sur ordinateur du suivi médical et la puce qui peut le contenir, portée par le soldat, devrait tout changer.  »

Dans le même article, le journaliste signale que Paul Sullivan, directeur exécutif du National Gulf War Resource Center, accuse le Pentagone d’utiliser les troupes sans leur consentement pour tester des médicaments qui n’avaient pas l’approbation définitive de la FDA :

« Le Pentagone a été sévèrement critiqué pour avoir commis la même faute en Bosnie« , ajoute-t-il. Ces tests ne comportent pas l’injection de puces, mais se réfèrent à la même volonté de pouvoir sur les citoyens, otages d’un système corrompu qui relève plus du nazisme que de la démocratie.

Big Brother est là!

Récemment, le Pr Kevin Warwick, de l’université de Reading, en Grande-Bretagne, s’est fait insérer sous l’épiderme un microprocesseur afin de démontrer les nombreux abus qui pourraient découler de l’utilisation de ce genre d’appareil capable d’allumer les lumières et de souhaiter la bienvenue d’une voix caverneuse. Introduit sous anesthésie locale, l’appareil contenait soixante-quatre informations sur le professeur de cybernétique que sa secrétaire pouvait ainsi suivre en permanence. « C’est vraiment Big Brother, ce n’est plus de la science-fiction…« , a-t-il déclaré (Libération du 29 août 1998). Ce genre de puce peut contenir toutes sortes d’informations des plus variées : numéro de sécurité sociale, groupe sanguin, carnet de santé, convictions religieuses, qualifications professionnelles. En effet, Big Brother évoqué par George Orwell est à notre porte. Kevin Warwick dénonce :

« L’être humain est menacé par l’ordinateur sapiens dont l’ intelligence ne tardera pas a dépasser celle de son créateur. »

(Le Monde, 25 septembre 1998.)

Carl W. Sanders est un ingénieur électronicien qui a passé plus de trente ans a mettre au point des puces électroniques pour IBM, General Electic, Honeywell et Teledyne, mais aussi pour diverses organisations gouvernementales. L’un des projets sur lequel il a travaillé s’appelait Phoenix et concernait les vétérans du Vietnam. Une puce électronique, appelée Rambo, permettait de faire monter leur taux d’adrénaline. Carl W. Sanders a déclaré au journal Nexus de juin-juillet 1994 que, lors des discussions sur le contrôle électronique avec la CIA auxquelles il a assisté, on parlait des citoyens comme d’un troupeau.

« Lorsque la discussion parvint au stade de l’identification par puce, ils précisèrent leurs objectifs : le nom et la photo, le numéro de sécurité sociale, l’empreinte digitale, la description physique, le contexte familial, le métier, les informations administratives, les impôts et le casier judiciaire. »

À cette époque, il avait alors assisté à dix-sept réunions de ce genre.

« Récemment, ils ont abordé le Health Care Program, un suivi du ventre maternel à la tombe« .

Des projets ont été soumis au Congrès afin de permettre d’injecter une puce à votre enfant dès la naissance.

Et, évidemment, les vaccins !!

En 1995, aux Etats-Unis,

Donna Shalala, responsable du DHHS (Départment of Health and Human Services) a suggéré de donner un numéro de sécurité sociale dès la naissance, afin d’y inscrire l’état vaccinal de chacun. En 1996, le HIP AA (Health Insurance Portability and Accountability) émit le projet d’un numéro d’identification de soins de santé qui pourrait remplacer le numéro de sécurité sociale et qui serait attribué dès la naissance à chaque citoyen, relié à un moniteur électronique qui enregistrerait au fur et à mesure les soins médicaux et les vaccinations. En 1998, le CDC a commencé a mettre en oeuvre un registre d’État des vaccinations qui serait un premier pas vers le développement d’enregistrements électroniques sous le prétexte de suivre la santé des individus. Ces enregistrements comprendraient le nom, l’adresse, le numéro de téléphone, le numéro de sécurité sociale, la date de naissance, le sexe, la race, la langue principale, le nom de la mère et son nom de jeune fille, le nom du père, et les numéros de sécurité sociale des deux parents (The Vaccine Reaction, publie par le NVIC, National Vaccine Information Center, numéro spécial de septembre 1998).

Dans l’État du Texas, Prove, une association de parents, conduite par Dawn Richardson, milite contre le fait que des enfants sont inscrits sur des registres de vaccination sans le consentement écrit de leurs parents. Sans doute font-ils partie d’une secte !

À la lecture de ces procédés dignes de l’Inquisition, il est permis de se demander s’il s’agit, dans ce pays, seulement de la santé publique ou d’une forme de mise en carte de tous les citoyens. Un journaliste canadien, Serge Monast, a mené une enquête sur les cristaux liquides, les vaccins et la médecine militaire expérimentale. En 1992, fut pratiquée au Québec une vaccination de masse contre la méningite, à la grande surprise des médecins qui savaient qu’aucune épidémie n’était en vue. Cette décision avait été prise par des fonctionnaires du gouvernement à l’encontre de l’avis de la plupart des membres du corps médical. Le Dr Christiane Laberge déclara alors aux médias que sa fille de cinq ans courait autant de risques d’attraper la méningite que de se faire heurter par un train. Le Dr Gilles Delage évoqua, lui aussi officiellement, les risques encourus par les nourrissons vaccinés à cause de la réduction appréciable de tolérance immunitaire chez ces enfants. Des spécialistes du monde médical firent connaitre leurs préoccupations à ce sujet dans un article paru dans le Journal de la presse du mardi 4 février 1992, mais le gouvernement passa outre. Serge Monast fit alors ressortir que, dans certaines régions, les vaccins étaient différents de celui que recevaient les enfants d’autres régions à la même époque.

Cristaux liquides :

Contrôle des individus

Dans une conférence débat du 10 février 1996, près de périgueux, qui réunissait des médecins et des biologistes remettant en question notre médecine de troupeau, le Dr Guy Londechamp, auteur de l’Homme vibratoire, paru en 1993 et réédité en 1998, attira l’attention, lui aussi, sur les cristaux liquides et posa la question :

« N’est-ce pas l’installation d’une antenne à l’intérieur de notre organisme, programmable de l’extérieur, malléable ? […] Ce peut-être de la science-fiction, à moins que la science-fiction ne soit déjà très en dessous de la réalité !« 

Et, commentant la campagne de vaccination canadienne avec protocole particulier, il poursuivit :

« S’il s’agit d’une vaccination si anodine, pourquoi a-t-on demandé à ces centres d’avoir des conditions si rigoureuses, ces mesures de sécurité et d’observation exceptionnelles? Il faut signaler, par ailleurs, que l’on a vacciné de force contre l’hépatite B des populations entières au Nord Canada, sans explication, sans même l’autorisation des parents. Il y a eu un certain nombre de morts parmi les enfants, mais on n’ a fourni aucune explication… Viols délibérés de la liberté individuelle, atteintes corporelles avec des décès, mais aucune justification des besoins ni explications. […] Alors, n est-on pas en train d’injecter aux gens – avec le vaccin contre l’hépatite B – non seulement les protéines de la capsule du virus, mais aussi d’autres informations, probablement des cristaux liquides (boucles d’ADN de synthèse), permettant de programmer toutes les personnes de l’extérieur, à un moment donné, pas forcément tout de suite ? Mais le dispositif serait en place… Le problème est de savoir si les avancées technologiques sont suffisantes pour avoir une connaissance précise du modèle ADN à injecter, afin de contrôler les consciences. Il est bien difficile de savoir exactement ce qu’il y a dans ces vaccins. »

Pure science-fiction ?

Certains, plus avertis des manipulations pseudo scientifiques dont nous sommes victimes et de tout ce que l’on nous cache, ne s’en étonnent pas. Les pressions vaccinales sur les populations sont devenues telles que nous sommes obligés de nous interroger sur les buts réels de la vaccination. S’il ne s’agissait que de santé, la contrainte n’aurait pas lieu d’être, la persécution des non-vaccinés serait dénoncée comme toute violation des droits fondamentaux, enfin les campagnes vaccinales systématiques apparaitraient comme une aberration. Plutôt que de santé, ne pourrait -il être question de contrôle mondial de la population ? L’identification des chiens et des chats grâce à ce procédé a été mise en place en France par un arrêté du 1er octobre 1997. Il semblerait qu’il soit désormais possible d’injecter, par le biais d’un vaccin, un implant électronique servant à l’ identification personnelle. Ce serait la normalisation à outrance des conduites par le truchement des vaccinations.

Sylvie SIMON