Quand la classe politique française tourne un remake du Titanic

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

La classe politique française est en train de tourner un remake de « Titanic ». Elle est dans un déni complet de la réalité. Durant la soirée électorale du second tour des élections régionales, on a eu droit à « On a gagné » (LR), « Ce n’était pas notre élection » (LREM) et « la démocratie est en crise » (RN). Mais jamais: nous devons écouter le terrible désaveu que nous infligent les Français. Une classe politique de plus en plus sourde aux messages des Français fait comme ce déni de réalité pouvait durer indéfiniment. Le réveil sera dur et il pourrait bien survenir dès l’élection présidentielle.

A quelques détails près, la soirée électorale des élections régionales aurait pu se tenir en 2015, 2010 ou 2004. Qui aurait pu deviner, arrivant de l’extérieur et entendant, par exemple, Brice Hortefeux, fidèle de Nicolas Sarkozy, faire la leçon à Philippe Ballard du Rassemblement National, que les présidents de conseils régionaux LR (ou apparentés) sortants et réélus ont atteint leur objectif avec à peine plus de 15% des électeurs inscrits et l’abstention de deux électeurs sur trois? Qui aurait pu se douter que nous avions affaire aux membres d’un gouvernement qui a porté la dette publique du pays à 120% du PIB lorsque nous entendions des ministres, sur les plateaux, deviser aimablement sur leur découverte de la vie politique de terrain et le fait que LREM soit un parti encore jeune, « pas encore enraciné »? Qui se douterait que le Rassemblement National est plongé dans une crise terrible lorsqu’on entendait ses représentants disserter sur la crise de la démocratie comme s’ils en étaient spectateurs?  

Deux Français sur trois, ça vous rappelle quelque chose?

Au commencement, il y avait le rêve giscardien de rassembler « deux Français sur trois » dans une « démocratie apaisée ».  Malgré sa défaite à l’élection présidentielle de 1981, l’ancien président en fit même la théorie dans un livre paru en 1984. Le monde était à cette époque en train de basculer dans la « révolution libérale » des années 1980. Ni Giscard, confronté aux chocs pétroliers, ni ses deux successeurs, François Mitterrand (1981-1995) et Jacques Chirac (1995-2007) ne comprirent dans quelle mutation le monde était plongé. Tous les trois prétendirent faire adhérer la France à une Europe plus intégrée et l’ouvrir au monde sans encourager une révolution entrepreneuriale à l’intérieur ni investir massivement dans l’éducation. Au contraire, ils cassèrent avec obstination, à partir de la réforme Haby, le système français d’enseignement secondaire. Ils choisirent, plutôt que l’investissement massif dans l’informatique et la robotique, la solution de facilité de l’immigration de masse ou les délocalisations d’usines. Et le pays commença à se défaire. 

Pendant longtemps la montée du Front (aujourd’hui Rassemblement) National fut le thermomètre de la crise toujours plus profonde du pays. En 2002 eut lieu un terrible choc pour la classe politique: Jean-Marie Le Pen était passé devant le candidat socialiste. Jacques Chirac en ayant profité pour être triomphalement réélu, le déni de réalité reprit; un temps troublé, il est vrai, par l’énergie de Nicolas Sarkozy, qui eut des velléités de changer les choses. Mais le successeur de Jacques Chirac n’eut pas le courage de braver l’impopularité médiatique et il abandonna ses objectifs ambitieux de contrôle de l’immigration. Ce qui suivit, nous le connaissons bien: nouvelle montée en puissance du Front/Rassemblement National sous l’impulsion de Marine Le Pen, l’héritière. Réédition burlesque et brève, avec François Hollande, du mitterrandisme;  puis chant du cygne du giscardisme réincarné en Emmanuel Macron, « libéral, centriste et européen ». 

Entretemps, le tissu social est de plus en plus déchiré. La part de l’industrie dans la population active française est tombée à 10% (la moitié de l’Allemagne). Emmanuel Macron a bien réalisé le rêve giscardien d’être « élu au centre » par « deux Français sur trois »; sauf qu’il y eut au second tour de l’élection présidentielle de 2017, un Français sur trois à ne pas voter. Et que l’actuel président a en fait été élu par un Français sur trois.   Son quinquennat a été si chaotique qu’à moins d’un an de son éventuelle campagne pour une réélection, le président Macron doit constater que c’est maintenant toute la classe politique qui se partage les suffrages d’un tiers des votants, son propre parti n’attirant, à ce scrutin régional, que 3% des inscrits. 

L’erreur capitale de Marine Le Pen a fait glisser du vote protestataire à l’abstention

Pendant longtemps, le Front/Rassemblement National était traité par le reste de la classe politique comme un bouc émissaire mais il assumait bien son rôle de rassembleur du vote protestataire. Marine Le Pen, constatant que son père n’avait jamais dépassé 20% des suffrages, a jugé utile de proposer au système politico-médiatique une « dédiabolisation » de son parti. C’est une erreur capitale: l’establishment continue à utiliser le Rassemblement National comme un repoussoir.  Toute l’énergie que la présidente du parti met à adopter les codes d’une tribu qui la déteste, elle ne la passe pas à travailler pour la France qui crée de la richesse et qui est accablée de règlements et d’impôts. Et elle  n’est plus le porte-voix des petits, des laissés-pour-compte,  de cette France populaire qui n’est plus protégée depuis quatre décennies. Elle perd donc sur tous les tableaux et confirme qu’il est improbable qu’elle puisse un jour gouverner. Ce faisant, Marine Le Pen a contribué, elle aussi, à l’abstention. On est même dans une situation absurde où des gens qui se disent de droite, comme Xavier Bertrand ou Renaud Muselier sont prêts à s’allier au pire gauchisme pourvu qu’ils puissent être reconduits dans leurs fonctions. Et pour autant, le Rassemblement National perd des électeurs ou ne les mobilise plus. 

La démocratie ne peut fonctionner qu’avec une « droite » et une « gauche » qui ne soient pas de simples étiquettes. Avec des hommes politiques qui fassent ce qu’ils disent et qui disent ce qu’ils font. Avec un pouvoir protecteur des petits et des humbles et  sans complaisance pour les puissants qui cherchent à le confisquer à leur profit. Mais il semble bien que la classe politique française de 2021 ait passé le stade de se réformer elle-même. 

Le Titanic continue sa course vers l’iceberg de la réalité. 




COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5




Le complexe industriel des virus pandémiques est la plus grande menace mondiale

[Source anglophone : mercola.com]

[Illustration : image du jeu Big-Pharma]

Analyse du Dr Joseph Mercola

Résumé

►Le complexe industriel du virus pandémique — un terme inventé par Jonathan Latham, docteur en médecine — est un ensemble imbriqué de sociétés et d’autres institutions qui se nourrissent et se soutiennent mutuellement avec des biens et des services de manière auto-renforcée. Il s’agit d’une entreprise qui utilise l’argent public pour le profit privé.

►Il comprend des organisations philanthropiques qui agissent comme des tireurs de ficelles, des influenceurs et des centres de profit, le ministère de la Défense, qui est à la fois une vache à lait et un provocateur, les universitaires, qui assurent les relations publiques, et les organisations universitaires à but non lucratif qui agissent comme des blanchisseurs d’argent.

►Le complexe industriel du virus pandémique est censé être bénéfique et transparent. En tant que tel, il a une image de respectabilité qui doit être maintenue, c’est pourquoi les universitaires et les organisations philanthropiques et à but non lucratif jouent un rôle si important dans ce système. Ensemble, ils contribuent à masquer le véritable programme sous un vernis de respectabilité et de bien public.

►L’une des dernières tactiques de propagande utilisées pour façonner l’opinion publique et décourager la curiosité consiste à accuser toutes les demandes de renseignements d’être « anti-science ».

►Lorsqu’une science dangereuse a le potentiel d’anéantir l’humanité, il y a lieu de s’inquiéter pour les personnes réfléchies de tous bords politiques. Ce n’est pas de l’anti-science. C’est de l’anti-imprudence, et pour éviter une autre catastrophe, les responsables doivent être tenus de rendre compte de leurs actions.

Dans la conférence ci-dessus du 22 janvier 2021, Jonathan Latham, Ph.D., discute de ce qu’il a appelé le complexe industriel des virus pandémiques — ce qu’ils sont, comment ils fonctionnent et interagissent avec des éléments au sein des complexes académiques, militaires et commerciaux, et comment ils ont essayé d’obscurcir les faits qui indiquent que le SRAS-CoV-2 est un virus fabriqué par l’homme et provenant d’un laboratoire.

J’ai déjà interviewé Latham à plusieurs reprises. Il est l’éditeur d’Independent Science News, un site web qui fournit des commentaires critiques sur l’alimentation, l’agriculture et la biotechnologie. Ce site fait partie du Bioscience Resource Project, un groupe d’intérêt public éducatif à but non lucratif, cofondé par Latham et Allison Wilson, qui fournit des recherches et des analyses indépendantes sur le génie génétique et ses risques.

M. Latham souligne qu’il n’existe actuellement aucune donnée suggérant une origine zoonotique naturelle du SRAS-CoV-2. En revanche, de nombreuses preuves et données suggèrent que le virus a été manipulé génétiquement à l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) en Chine. Une grande partie des recherches correspondantes ont été effectuées par un scientifique du nom de Shi Zheng-Li, docteur en médecine.

« Le complexe industriel des virus pandémiques est un ensemble imbriqué de sociétés et d’autres institutions qui se nourrissent et se soutiennent mutuellement en fournissant des biens et des services de manière auto-renforcée. »

Jonathan Latham, Ph.D.

Il poursuit en résumant la théorie du passage des mineurs de Mojiang. Cette théorie postule que le virus a évolué à l’intérieur des corps de six mineurs qui sont tombés malades avec une infection suspectée d’être un nouveau coronavirus en 2012. Certains des mineurs ont été malades pendant plusieurs semaines — un laps de temps suffisant pour que le virus mute, selon M. Latham.

Des échantillons viraux provenant des mineurs ont été envoyés au WIV. Latham et Wilson pensent que c’est la recherche sur ces échantillons qui a conduit à une libération accidentelle du virus fin 2019.

Le complexe industriel des virus pandémiques

Latham décrit le complexe industriel du virus pandémique comme « un ensemble imbriqué de sociétés et d’autres institutions qui se nourrissent et se soutiennent mutuellement en fournissant des biens et des services de manière auto-renforcée ». Il s’agit d’une entreprise qui utilise l’argent public pour des profits privés. Il note également que nombre de ces participants jouent des rôles inattendus. Par exemple :

Les organisations philanthropiques agissent comme des tireurs de ficelles, des influenceurs et des centres de profit le ministère de la Défense est à la fois une vache à lait et un provocateur

Les milieux universitaires assurent les relations publiques par le biais de médias traditionnels contrôlés par des organisations philanthropiques et l’industrie pharmaceutique.

Les organisations académiques à but non lucratif servent de blanchisseurs d’argent

« Ces rôles non traditionnels sont destinés à confondre et à camoufler les différentes parties mobiles de ce qui est une situation complexe », explique Latham, « protégeant ainsi l’ensemble de l’examen. » S’il existe de nombreuses similitudes entre le complexe militaro-industriel et le complexe industriel des virus pandémiques, il existe une différence importante entre les deux.

Le complexe industriel du virus pandémique est tourné vers le public, et on attend de lui qu’il soit bénéfique et transparent. En tant que tel, il a une image de respectabilité qui doit être maintenue, et c’est pourquoi les universitaires et les organisations philanthropiques et à but non lucratif jouent un rôle si important dans ce projet.

Ensemble, ils contribuent à masquer le véritable programme sous un vernis de respectabilité et de bien public. En fait, ils entretiennent l’illusion que tout ce qui se passe est destiné à l’amélioration de l’humanité, alors qu’il s’agit en réalité d’un projet lucratif.

Latham pense que le complexe industriel du virus de la pandémie a joué un rôle décisif dans l’effort visant à occulter l’origine probable de la pandémie. Il pense également que c’est le cadre manquant qui permet d’expliquer la politisation de la pandémie.

Tentatives d’obstruction précédentes des épidémies d’origine humaine

Dans sa conférence, Latham passe en revue une partie de l’histoire de ce complexe industriel de pandémie virale. En 2014, une épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest a été imputée de manière décisive à un transfert zoonotique à partir de chauves-souris infectées. Selon un rapport publié dans EMBO Molecular Medicine,(([1]EMBO Molecular Medicine 2015 ; 7 :17-23(PDF) )) un garçon de 2 ans jouant avec des chauves-souris dans une souche d’arbre était le patient zéro.

Cependant, bien que le journal n’ait pas réussi à produire des preuves concluantes pour étayer sa conclusion, les médias occidentaux ont repris cette histoire. En Afrique de l’Ouest, cependant, la rumeur voulait que la véritable source de l’épidémie soit un hôpital de la Sierra Leone, qui abritait un laboratoire biologique où se déroulaient des recherches sur Ebola et les virus apparentés, comme celui de la fièvre de Lassa.

Cette recherche a été largement financée par le ministère de la Défense des États-Unis. Ce financement s’explique par le fait que les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont récemment classé le virus de la fièvre de Lassa parmi les substances infectieuses de catégorie A, c’est-à-dire parmi les agents pathogènes susceptibles d’être utilisés comme armes biologiques par des terroristes. Les recherches ont été menées sous les auspices du Consortium sur la fièvre hémorragique virale, dirigé par l’université de Harvard.

Le Consortium est également lié à d’autres institutions universitaires, dont l’université de Tulane, le Scripps Research Institute, l’université de Californie à San Diego, le Broad Institute de Boston et l’université du Texas, ainsi qu’à un certain nombre de sociétés pharmaceutiques privées.

Selon M. Latham, les déclarations faites par certaines des personnes impliquées dans la recherche suggèrent qu’elles profitaient des normes de biosécurité laxistes et inférieures de l’Afrique de l’Ouest.

Dans son livre intitulé « The Ebola Outbreak in West Africa : Corporate Gangsters, Multinationals & Rogue Politicians », Chernoh Bah fournit des preuves démontrant que l’histoire du Patient Zéro était une fraude. Le jeune garçon est mort à l’âge de 18 mois, bien trop jeune pour jouer avec des chauves-souris, et on ne lui a jamais diagnostiqué d’Ebola. Aucun membre de sa famille ne l’a été non plus. Le premier cas d’Ebola enregistré a en fait été découvert en Guinée, environ trois mois après la mort du petit garçon.

Bah a également découvert d’autres trous béants dans le récit. Par exemple, en dépit d’un échantillonnage à grande échelle, aucun virus Ebola n’a jamais été trouvé dans un animal, et aucune mortalité animale n’a eu lieu avant l’épidémie, ce qui est généralement le cas dans les cas de zoonoses naturelles.

Malgré les problèmes évidents que pose le récit officiel, aucune enquête formelle sur la théorie de la fuite du laboratoire n’a jamais été menée.

Suivez l’argent

Selon Latham, nous pouvons tirer un certain nombre d’enseignements de cette histoire. Tout d’abord, les évasions de laboratoires sont probablement plus fréquentes que nous ne le pensons, et des épidémies largement considérées comme zoonotiques peuvent ne pas être du tout d’origine zoonotique. Un autre exemple est l’épidémie de SIDA, que vous pouvez découvrir dans le livre « The River : Un voyage à la source du VIH et du sida ».

La deuxième chose que nous pouvons apprendre de l’histoire d’Ebola en Afrique de l’Ouest concerne la piste de l’argent. Le ministère américain de la Défense a financé les recherches menées par le Consortium sur la fièvre hémorragique virale. D’autres sources alternatives souvent utilisées sont le financement de la santé publique et l’aide internationale. Quoi qu’il en soit, qu’il s’agisse de biodéfense, de financement de la santé publique ou d’aide humanitaire, l’argent vient de We the People [= Nous le peuple].

Troisièmement, les entreprises membres du Consortium avaient un modèle commercial spécifique en tête, et il n’avait rien à voir avec la protection des Africains vulnérables contre lassa ou Ebola. L’objectif des entreprises pharmaceutiques est de vendre des vaccins, des médicaments et des outils de diagnostic, principalement aux armées américaines ou européennes.

Le fait que le récit de l’épidémie d’Ebola de 2014 n’ait pas été contesté témoigne d’un manque inquiétant de rigueur académique, et ce n’était certainement pas la première fois. Comme l’a noté Latham, les scientifiques ne remplissent pas leur rôle de recherche et de diffusion de la connaissance et de la compréhension.

« Au lieu de cela, de plus en plus souvent, le monde universitaire crée des fictions », dit-il. Ils créent des « récits commodes et intéressés ». Les médias traditionnels travaillent main dans la main avec ces universitaires, servant de porte-voix à leurs affirmations scientifiques douteuses.

La science utilisée à des fins de relations publiques

Un exemple de la façon dont les entreprises utilisent les universitaires pour façonner un récit et manipuler l’opinion publique a été lorsque, en mai 2020, 77 lauréats du prix Nobel ont signé une lettre publique exhortant le gouvernement américain à rétablir le financement d’EcoHealth Alliance, qui a sous-traité la recherche sur les gains de fonction sur les coronavirus au WIV. Plus tôt dans l’année, le président Trump avait ordonné aux National Institutes of Health d’annuler ce financement.

La lettre a été organisée par Sir Richard Roberts, biologiste moléculaire et lauréat du prix Nobel, qui se trouve également être un cadre supérieur de New England Biolabs, un fabricant d’équipements et de réactifs de laboratoire.

« Réduire les fonds pour la recherche sur les virus biotechnologiques menace leur activité principale », dit Latham. Alors, Roberts est-il vraiment une partie désintéressée ? Ou bien a-t-il un intérêt très vif à ce que la recherche sur les gains de fonction dangereux se poursuive, quels que soient les risques ?

En 2016, Roberts a organisé une campagne similaire, dans laquelle 107 lauréats du prix Nobel ont attaqué Greenpeace pour avoir soi-disant bloqué l’approbation du riz doré OGM.

Le National Press Club de Washington D.C. a attiré l’attention du pays sur cette lettre en organisant une conférence de presse officielle. L’un des organisateurs de cette conférence de presse était un ancien responsable des relations publiques de Monsanto, et le site web créé pour promouvoir la campagne a été retracé jusqu’à l’industrie biotechnologique.

« Le fait est que ces lettres n’ont rien de spontané », dit Latham. « Ce sont des manœuvres de relations publiques soigneusement chorégraphiées… Ce qui est réellement défendu, c’est le chevauchement des intérêts de sociétés comme New England Biolabs et Monsanto. Dans ce monde, la science et les scientifiques sont des pions utiles avec lesquels on peut façonner l’opinion publique. »

La propagande provient désormais des sources les plus improbables

L’une des dernières tactiques de propagande employées pour façonner l’opinion publique et décourager la curiosité consiste à dire que si vous vous préoccupez des fuites potentielles dans les laboratoires, vous êtes anti-science et un pro-Trumper raciste.

Si vous déposez des demandes de liberté d’information (FOIA) auprès de scientifiques, vous êtes anti-science. Si vous interrogez le Dr Anthony Fauci, vous êtes anti-science.(([2]New York Post 9 juin 2021))(([3] New York Post 21 juin 2021)) Si vous êtes contre les OGM, vous êtes anti-science. Si vous êtes contre la recherche sur le gain de fonction, vous êtes anti-science. Si vous êtes contre l’énergie nucléaire, vous êtes anti-science. C’est un stratagème et rien d’autre. Malheureusement, cette propagande est maintenant vomie par les sources les plus improbables, comme Mother Jones.

Le 14 juin 2021, Mother Jones a publié un article à charge sur le Center for Food Safety, rédigé par Kiera Butler.(([4] Mother Jones 14 juin 2021)) En mai 2021, le Center for Food Safety a intenté un procès au NIH dans le but de forcer l’agence à révéler son financement de la recherche sur les gains de fonction.

« Les virologues affirment que ce type de recherche est vital et a conduit à de nombreuses découvertes médicales importantes, notamment pendant la pandémie de COVID-19. Mais le Center for Food Safety soutient que la recherche sur le gain de fonction est trop dangereuse pour être poursuivie », écrit Butler.

« Pourquoi ce groupe de gauche, spécialisé dans l’alimentation et l’agriculture, s’oppose-t-il à la recherche virologique de haut niveau ? La clé de la réponse est liée à l’opposition de longue date du Center for Food Safety à la pratique du génie génétique. Lors d’un récent appel téléphonique, j’ai parlé à M. Kimbrell du CFS, qui m’a expliqué ce qu’il considère comme le lien.

« Vous manipulez génétiquement des bactéries et des plantes, puis des animaux, puis des embryons — tout cela s’est produit, avec quelques promesses, mais aussi beaucoup de dangers et de menaces », a-t-il déclaré.

« Les virus ne sont pas techniquement des organismes, mais ce sont des éléments biologiques vivants. Donc, ils s’intègrent parfaitement dans ce récit : Ce n’est pas parce que nous pouvons faire quelque chose que nous devons le faire.« 

M. Kimbrell a déclaré qu’il pensait “absolument” que la pandémie était le résultat d’une dissémination accidentelle en laboratoire. Selon lui, des scientifiques de l’Institut de virologie de Wuhan ont utilisé un gain de fonction pour améliorer un coronavirus. Le virus s’est ensuite échappé du laboratoire, s’est répandu de manière incontrôlée et a provoqué la pandémie de COVID-19. Donc, en fait, la recherche sur le gain de fonction a provoqué la pandémie. »

M. Butler évoque également l’Organic Consumers Association, l’U.S. Right to Know, l’International Center for Technology Assessment et la Children’s Health Defense, qui ont tous soulevé des questions et des inquiétudes au sujet de ce type de recherches dangereuses sur les agents pathogènes. Selon Butler, ils n’ont pas à remettre en question ce type de recherche, et leur implication pourrait nous mettre tous en danger.

« Avec des dizaines de milliers d’adeptes sur les médias sociaux, les groupes anti-OGM ont la possibilité de renverser le cours de l’opinion publique ; dans la balance se trouve une science qui pourrait potentiellement aider à prévenir la prochaine pandémie », écrit-elle.

Butler accusé de faute professionnelle journalistique

Fidèle à son habitude de propagandiste, Butler poursuit en réfutant les préoccupations relatives au gain de fonction par un commentaire du président de l’Alliance EcoHealth, Peter Daszak Ph.D., l’un des individus les plus conflictuels que l’on puisse trouver. En effet, ses conflits d’intérêts sont devenus si connus qu’il a récemment été écarté de la commission du Lancet chargée d’enquêter sur l’origine du COVID-19 pour cette raison.(([5] Newsbinding.com 21 juin 2021))(([6] Fox News 21 juin 2021))

Il cite le Dr Peter Hotez, un autre acteur hautement compromis financé par l’industrie qui a publiquement appelé à des attaques de cyber guerre contre les citoyens américains qui ne sont pas d’accord avec les récits officiels du COVID.

Dans une réfutation cinglante, Andrew Kimbrell, avocat fondateur du Center for Food Safety, accuse Butler de « faute professionnelle journalistique »,(([7] GMWatch 17 juin 2021)) et à juste titre, à mon avis. Elle tente clairement de semer la confusion dans l’esprit des lecteurs en soulignant que le terme ‘gain de fonction’ est une définition large et qu’une grande partie de la recherche sur le gain de fonction est à la fois inoffensive et précieuse.

Cependant, ce n’est pas le genre de recherche qui préoccupe le Center for Food Safety ou quiconque. L’action en justice du Center for Food Safety porte spécifiquement sur la manipulation d’agents pathogènes afin de les rendre plus virulents et dangereux pour l’homme, et elle n’a pas interrogé un seul scientifique conventionnel qui ait mis en garde contre les dangers associés à cette pratique, même s’il en existe des dizaines.

Dans l’ensemble, l’article de Butler ressemble à de la propagande classique, créée par ceux-là mêmes qui ont quelque chose à cacher. Comme l’a noté GM Watch :(([7] GMWatch 17 juin 2021))

« L’Alliance for Science, financée par Gates, a rapidement fait la promotion de l’article de Butler. Il s’agit d’une campagne de relations publiques basée à Cornell qui met en avant les points de vue de l’industrie agrochimique et tente de saper les critiques de l’industrie, en particulier ceux qui s’inquiètent des OGM.

Dans le cadre de cet effort, l’Alliance for Science s’est présentée comme un organisme expert en matière de mythes sur la pandémie, alors qu’elle n’a aucune compétence en la matière. L’un des premiers exemples est un article publié par Mark Lynas, son employé, qui a qualifié GMWatch, entre autres, de théoricien de la conspiration pour avoir affirmé que le virus avait pu fuir accidentellement d’un laboratoire.

Sur Twitter, Mary Mangan, qui siège au conseil consultatif de l’Alliance, a suivi de près et commenté les « groupes anti-OGM » qui ont demandé que l’hypothèse de la fuite du laboratoire soit prise au sérieux…

Il est intéressant de noter qu’une journaliste a déclaré au HuffPost, à propos d’une affaire judiciaire impliquant Monsanto, qu’elle pensait que Mangan avait essayé de la ‘jouer’ pour faire un coup bas à l’un des témoins experts critiquant l’herbicide Roundup de la société. Se pourrait-il que Mme Butler ne soit pas aussi résistante à l’idée d’être manipulée ? »

La recherche par gain de fonction constitue une menace très réelle

Un autre article de propagande clair a été publié par Hotez dans The Daily Beast, le 21 juin 2021.(([8] Daily Beast)) Ces dernières semaines, le rôle de Fauci dans la pandémie est devenu de plus en plus clair, et il est loin d’être flatteur. Il a financé des recherches dangereuses qui pourraient en fait avoir entraîné une épidémie mondiale. Aujourd’hui, il tente de détourner le blâme en disant que les attaques personnelles à son encontre ‘représentent un assaut contre la science américaine’, et Hotez fait tout ce qu’il peut pour renforcer cette notion ridicule.

Pour ce faire, Hotez va un peu plus loin, en liant les attaques contre Fauci à des attaques non seulement contre la science, mais aussi contre le fondement même de la démocratie. Selon Hotez, ‘la morale

Le courage et la défense des valeurs démocratiques exigent que le peuple américain apporte son soutien total aux scientifiques et aux institutions scientifiques. Agir autrement, c’est capituler devant les forces de l’insurrection(([8] Daily Beast))

Comme Butler, Hotez passe un temps fou à essayer de dépeindre les préoccupations concernant les recherches dangereuses sur des agents pathogènes qui ont le potentiel de nous tuer tous comme un problème d’extrême droite, raciste, anti-science, anti-démocratie, alors qu’il n’en est rien.

Lorsqu’une science dangereuse a le potentiel d’anéantir l’humanité, il y a lieu de s’inquiéter pour les personnes réfléchies de tous bords politiques. Ce n’est pas de l’anti-science. C’est de l’anti-imprudence, et pour éviter une autre catastrophe, les responsables doivent être tenus de rendre compte de leurs actes. Il est clair que toutes les sciences ne sont pas dangereuses. Être contre la science imprudemment dangereuse ne signifie pas que vous êtes contre toute la science ou la science en général.

Si nous voulons éviter qu’une autre pandémie de ce type ne se produise à l’avenir, nous devons d’abord déterminer l’origine du SRAS-CoV-2 et la manière dont il s’est retrouvé dans la population. S’il peut être prouvé qu’il provient d’un laboratoire, nous devons alors identifier les personnes responsables de sa création et de sa diffusion et les tenir pour responsables de leurs actions et/ou de leur négligence. Enfin, nous devons empêcher qu’une telle situation ne se reproduise en interdisant les recherches dans lesquelles les agents pathogènes sont manipulés à dessein pour les rendre plus dangereux.

Pour aller au fond des choses, nous devons examiner le complexe industriel des virus pandémiques. Nous devons disséquer son fonctionnement et la manière dont ses membres sont liés et travaillent ensemble pour masquer la vérité.

Sources et références




Vaccinés ré-infectés, fichés, infantilisés… le lourd prix de la docilité

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Le secrétaire d’État au numérique Cédric O montrant l’application StopCovid
(LUDOVIC MARIN/AFP via Getty Images)]

Les pays qui nous ont été donnés comme modèles à suivre, à la fois pour l’organisation des campagnes de vaccination et pour le civisme de leurs nationaux, ces pays qui ne subissent pas comme la France l’affreux tempérament râleur des Gaulois, ont du mal aujourd’hui à dissimuler leur « gueule de bois ».

Dur lendemain d’une ivresse de confiance : en Israël, laboratoire grandeur nature des campagnes de vaccinations, entre 40 et 50% des nouveaux cas du mois de juin sont des personnes déjà vaccinées, re-contaminées par le Covid-19. Quarante à cinquante pour cent, alors que les deux tiers de la population israélienne a reçu les deux doses de vaccin ! Si les analyses détaillées confirment ces chiffres, cela signifiera qu’il y a autant, voire plus de contaminations chez les vaccinés que dans le reste de la population. Déjà en mai on avait découvert l’explosion en France des infections Covid chez les personnes ayant reçu une première injection du vaccin, interprétée comme due à un relâchement de vigilance de ces personnes.

Même tendance au Royaume-Uni, dont 80% de la population est vaccinée et qui constate cette fin juin, d’après le journal The Hill« le plus grand nombre de cas Covid-19 depuis février. » Les deux pays-modèles remettent donc leur population sous cloche avec port de masque obligatoire et restrictions aux déplacements, pendant que la presse rassurante s’empare du sujet avec de grandes rames pour expliquer que, contrairement aux apparences, ce phénomène est tout ce qu’il y a de plus normal. Les experts qui martelaient le principe d’immunité collective comme un fait scientifique indiscutable justifiant les vaccinations massives, se font experts en gymnastique pour affirmer maintenant que les vaccins ont seulement un effet « statistique » pour limiter les formes graves des maladies. Et qu’il faut accélérer les campagnes pour éviter une nouvelle vague à la rentrée.

La vérité qui pointe le bout de son nez est malheureusement un peu plus rude que cette nouvelle potion de sommeil qu’on tente d’administrer à l’opinion publique.  Au printemps, on avait déjà observé que tous les pays avec de forts taux de couverture vaccinale vivaient le même phénomène de ré-infections : Seychelles, Indonésie, Chili…. La première interprétation avait été que ceci était le reflet de l’inefficacité du vaccin chinois Sinovac, mis sur le marché sans essais cliniques contrôlés et avec comme d’habitude une absence totale de transparence sur les résultats obtenus et les effets secondaires observés. Le président Macron lui-même craignait alors que le Sinovac fût responsable de l’apparition de variants plus contagieux et dangereux de Covid-19.

Mais les données fournies par Israël décrivent l’effet des vaccins à ARN messagers de Pfizer et BioNTech. On ne peut donc que conclure aussi directement que pour le Sinovac que ces coûteux produits n’ont pas l’efficacité qu’ils promettaient. On doit aussi, même si c’est désagréable, s’interroger sur le rôle que ceux-ci pourraient avoir eu dans l’accélération de la diffusion du variant Delta, seul à bord maintenant avec nos organismes comme terrain de jeu.

Voici donc le résultat de la dure confrontation entre la réalité observée et les bonnes intentions de départ : ces nouveaux vaccins de haute technologie, qui rapportent des dizaines de milliards d’euros à leurs vendeurs, que la pression sociale, médiatique, politique impose à tous d’accepter pour faire partie des citoyens éclairés par la science plutôt que du détestable contingent des rétrogrades, ces vaccins donc, ne semblent pas capables de maîtriser l’épidémie. La diminution du nombre de contaminations en juin 2021 ne diffère pas de celle de juin 2020 et peut-être faudra-t-il bientôt affronter le fait que les efforts consentis par tous et toutes pour atteindre « l’immunité collective », en acceptant d’être fichés, suivis, classés, en étant restreints dans nos mouvements, n’ont pas servi à éradiquer la pandémie.

En dessous de 50 ans, les données rassemblées par les équipes de l’Université de Cambridge et publiées dans la revue Nature montrent que (hors personnes âgées et à risque), moins de 0,1% des cas d’infections par Covid-19 conduisent à un décès. En dessous de 30 ans, dix fois moins. À 15 ans, cent fois moins. Sur la dernière année et demie, le risque d’être contaminé par les premières formes de Covid a été de moins de 9% d’après Santé Publique France. Mais à côté de cela, les dernières analyses des données européennes font apparaître  4 décès et 16 effets indésirables graves pour 100 000 vaccinations,. Même si ces vaccins high-tech ne portaient pas de risques d’effets secondaires à long terme, ces chiffres indiquent qu’ils sont potentiellement plus dangereux que le Covid-19 lui-même pour les jeunes de moins de 30 ans, sont légèrement bénéfiques arrivés à la cinquantaine, deviennent importants à l’entrée dans le 3e âge et probablement essentiels dans les EHPAD où la mortalité dépasse 20% des personnes infectées.

La politique actuelle du tout-vaccinal impose donc, soutenue par le classement social qu’opère l’application « Tous AntiCovid », d’accepter des vaccins souvent inutiles à titre individuel mais aussi à titre collectif puisque, si les chiffres récents sont confirmés, ils n’empêchent pas d’être réinfecté et donc de contaminer ensuite des personnes fragiles. Si le principe de vaccination solidaire ne tient plus,  il va être temps de cesser cette politique coûteuse qui fait rentrer petit à petit dans la normalité de nos vies le traçage et le fichage des individus, dont l’idée initiale ne vient pas du gouvernement français mais du modèle chinois de contrôle des populations.




Les relations troubles entre les journalistes et la CIA

[Source : Geopolintel via reseauinternational.net]

Pendant la crise du Covid bon nombre de spectateurs se sont interrogés sur les conflits d’intérêts des journalistes et des médecins avec les laboratoires pharmaceutiques.

BFM TV (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD ont en commun de nombreux actionnaires.

Posons-nous la question de savoir si cette propagande anti-Raoult fait partie du Projet Mockingbird, liant à la fois les rédactions et les laboratoires à la CIA.

Officiellement, le Projet Mockingbird n’existe plus mais il semble que ce réseau soit toujours actif dans toutes les rédactions du monde.

La création du Projet « MOCKINGBIRD »

En 1948, l’agent de la CIA Frank Gardiner Wisner a été nommé directeur du Bureau des projets spéciaux pour créer le Projet Mockingbird (« oiseau-moqueur »), un programme visant à influencer les médias américains.

Wisner reçut l’ordre de créer une organisation dont l’un des objectifs principaux serait de créer la propagande.

L’OPC était financé par le détournement de fonds qui étaient destinés au « Plan Marshall ».

Une partie de cet argent fût utilisé pour soudoyer et corrompre les journalistes et les éditeurs.

Frank G. Wisner II (son fils) s’est marié en 1976 avec Christine de Ganay, divorcée de Pal Sarközy de Nagy-Bocsa. Elle est la mère d’Olivier Sarkozy (demi-frère du président Nicolas Sarkozy).

Olivier Sarkozy, banquier d’affaires vedette d’UBS, débauché par Carlyle :

Olivier Sarkozy, demi-frère de Nicolas Sarkozy, président de la république française, a rejoint une des plus grosses sociétés mondiales d’investissement, le groupe Carlyle…

« J’ai hâte de participer à cette aventure, et de faire de Carlyle un acteur de référence dans ce secteur d’investissement de plus en plus important », avance Olivier Sarkozy.

Carlyle doit son succès aux personnalités influentes comme James Baker, ancien secrétaire d’État de George Bush père, ou Frank C. Carlucci, ancien directeur adjoint de la CIA.

« Jusqu’en 1998, le Carlyle Group était inconnu en France. Il y contrôle pourtant une grande partie de la presse professionnelle.

À ces trois secteurs éminemment stratégiques sont venues se greffer les nouvelles technologies de l’information, les biotechnologies et l’industrie pharmaceutique »

Pascal Dallecoste Chercheur au LAREGE


Journalistes Occidentaux & CIA : « La CIA contrôle tout ! »

par Udo Ulfkotte.

Les révélations fracassantes d’un ancien rédacteur en chef allemand sur ses liens et ceux de la plupart des journalistes occidentaux avec la CIA.

Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung (l’un des plus grands quotidiens allemands), révèle qu’il a travaillé pour la CIA. Il affirme que tous les médias les plus importants sont contrôlés par la CIA et que celle-ci œuvre à une guerre avec la Russie… Fatigué de tromper ses lecteurs et effrayé par la guerre qui s’annonce, il a décidé de parler.



Udo Ulfkotte, un ancien rédacteur en chef d’un des plus grands quotidien allemand de grand tirage Frankfurter Allgemeine Zeitung, admet qu’il a travaillé pour la CIA.

« Je suis journalise depuis environ 25 ans et on m’a appris à mentir, à trahir et à ne pas dire la vérité au public », a dit Ulfkotte dans un entretien avec la chaîne Russia Today (RT). « J’ai été soutenu par la CIA, pourquoi ? Parce que je suis pro-américain ».

Il a décidé de dire la vérité au sujet des médias de masse complètement contrôlés par la classe financière parce qu’il a peur d’une guerre en Europe.

« Les médias allemands et américains essaient d’amener la guerre aux gens en Europe, d’amener la guerre en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, de construire une propagande contre la Russie ».

Ulfkotte a dit que la plupart des journalistes de la corporation médiatique aux États-Unis et en Europe sont « soi-disant des couvertures non-officielles », ils travaillent pour une agence de renseignement.

« Je pense que c’est particulièrement le cas pour les journalistes britanniques, parce qu’ils ont une relation bien plus étroite (avec leur service de renseignement). C’est très certainement le cas avec les journalistes israéliens et bien sûr les journalistes français… C’est également le cas avec les journalistes australiens, néo-zéalndais, taïwanais, bref, de beaucoup de pays ».

Operation Mockingbird (Opération « oiseau moqueur »)

La subversion par la CIA des médias de masse est très bien documentée. Dès 1948, l’ancien avocat de Wall Street Frank Wisner (NdT : le père du beau-père de Sarkozy…) a établi l’opération Mockingbird quand il était directeur de l’OSP (Office of Special Projects), qui allait devenir par la suite un département de la CIA. Cette opération avait pour but de convertir les médias en outil de propagande pour l’élite financière. Wisner engagea Philip Graham du Washington Post pour diriger l’opération et recruter des journalistes, beaucoup d’entre eux avaient travaillé pour le renseignement militaire durant la Seconde Guerre mondiale.

« Vers la fin des années 1950, Wisner ‘possédait’ des membres respectés du New York Times, de Newsweek, de CBS et autres véhicules de communication », écrit Deborah Davis dans son livre « Katharine the Great : Katharine Graham and the Washington Post ».

De 1953, l’opération fut dirigée par le directeur de la CIA Allen Dulles et balayait virtuellement toutes les grosses entreprises médiatiques incluant le New York Times (NdT : Nous avons dit sur ce blog depuis très longtemps que le New York Times était « la voix de la CIA »…), les magazines Time et Life, les équipes de journaux télévisés, particulièrement CBS News sous Philip Paley, en plus des journaux et chaînes de télévision d’information, la CIA contrôlait aussi Hollywood et la production des films.

« Les fichiers de la CIA documentent des arrangements de couverture additionnels avec ces organisations de presse entre autres : Le New York Herald Tribune, Saturday Evening Post, Scripps-Howard Newspapers, Hearst Newspapers, Associated Press (AP), United Press International (UPI), the Mutual Broadcasting System (MBS), Reuters, the Miami Herald », a écrit Carl Bernstein le célèbre journaliste de l’affaire du Watergate dans un article paru dans la revue Rolling Stone en 1977.

Des preuves de l’existence du réseau de la propagande de la CIA, son « puissant Wurlitzer » comme l’appelait Wisner, avaient été révélées dans les années 1970 suite aux révélations du comité d’enquête du sénateur Church (Church Committee). « La CIA entretient couramment un réseau de plusieurs centaines d’individus étrangers à travers le monde qui fournissent des renseignements à la CIA et parfois essaient d’influencer les opinions publiques au travers de l’utilisation de propagande cachée. Ces individus donnent à la CIA un accès direct à un grand nombre de journaux, magazines et périodiques, un grand nombre d’agences de presse, de stations de radios et de télévisions, d’entreprises de publication de livres, maisons d’édition et autres fonctions médiatiques étrangères », citait un rapport du comité du Congrès en 1976.

Comme le documente Alex Constantine, l’opération Mockingbird est toujours opérationnelle aujourd’hui sous une grande variété de déguisements. Un de ses plus grands géniteurs, Richard Mellon Scaife, vient juste de décéder.

CIA Media pousse pour une guerre catastrophique avec la Russie

Udo Ulfkotte s’est dévoilé parce qu’il a peur d’une guerre entre les États-Unis, l’Europe et la Russie.

« Les médias américains et allemands essaient d’amener la guerre en Europe, en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, construire une propagande contre la Russie. Ce n’est pas juste ce que mes collègues font également, ce qu’ils ont fait dans le passé, parce qu’ils sont corrompus pour trahir le peuple, pas seulement en Allemagne, mais partout en Europe… J’ai très peur d’une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas avoir une fois de plus cette situation se produire, car une guerre ne vient jamais toute seule, il y a toujours des gens qui poussent à la guerre et ce ne sont pas seulement les politiciens, ce sont les journalistes également… Nous avons trahi notre lectorat, nous avons juste toujours poussé pour la guerre… J’en ai assez, j’en ai ras le bol de toute cette propagande. Nous vivons dans une république bananière et non pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse ».

Pour l’élite gouvernante, l’oligarchie financière en contrôle des États-Unis, la guerre est un outil fait sur mesure pour maintenir et centraliser le pouvoir ainsi qu’établir un ordre monétaire mondial. Aveuglée par son arrogance démesurée, l’élite croit qu’une guerre avec la Russie va mettre en échec les aspirations géopolitiques de cette nation, qu’ils perçoivent comme une menace, comme celles de la chine. Mettre en échec et défier la Russie est l’objectif de cette guerre en Ukraine, qui s’est mise en sourdine depuis quelques temps.

La Russie est parfaitement au courant de ce qui se trame et se prépare maintenant pour l’inévitable : une guerre thermonucléaire. Impensable il y a encore 2 ou 3 ans, la Russie est maintenant en train de considérer une refonte à très grande échelle de sa position militaire et de considérer (NdT : comme l’ont déjà fait les États-Unis…) la possibilité d’une première frappe nucléaire contre l’OTAN et les États-Unis.

« À mon avis, notre ennemi principal sont les États-Unis et l’OTAN », a dit le mois dernier le général Youri Yakoubov, vétéran du Ministère de la Défense russe.

Yakoubov a dit que la Russie avait fusionné ses forces aériennes et spatiales avec ses forces nucléaires aériennes, terrestres et maritimes.

« De plus, il est nécessaire de finement détailler les conditions sous lesquelles la Russie pourrait mener une frappe préemptive avec ses forces balistiques stratégiques », a-t’il dit.


Un journaliste allemand qui a dénoncé la CIA retrouvé mort

Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux allemands, le Frankfurter Allgemeine Zeitung, lorsqu’il a publié son bestseller « Journalistes qui s’achètent » révélant comment la CIA contrôlait les médias allemands, un livre qui lui a coûté sa carrière – et peut-être sa vie.

L’ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung, l’écrivain Udo Ulfkotte est décédé à l’âge de 56 ans. Alors qu’il avait été interdit aux médias allemands d’évoquer sa personne ces dernières années, ils ont été obligés maintenant de constater que le journaliste avait succombé à une « crise cardiaque ».

Sa mort éveille d’autant plus de questions parce qu’il était surtout connu pour son livre-dénonciateur « Journalistes qui s’achètent » (« Gekaufte Journalisten »). Là, Udo Ulfkotte a dévoilé comment la CIA payait des journalistes en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour qu’ils publient de fausses informations.

Le journaliste connaissait bien les menaces qu’il affrontait, mais croyait qu’il était mieux placé que la plupart des journalistes pour exposer la vérité puisqu’il n’avait pas d’enfants qui pourraient courir un risque. Dans un entretien au journal russe Russian Insider, le journaliste avait partagé :

« Quand j’ai exprimé au Frankfurter Allgemeine Zeitung mon intention de publier le livre, leurs juristes m’ont envoyé une lettre de menaces contenant toutes les conséquences légales dans le cas où je publierais certains noms ou secrets – mais moi, je n’ai pas eu peur. Vous comprenez, je n’ai pas d’enfants que je dois choyer ».

Craignant une guerre en Europe, il a pris la décision de dévoiler la vérité quant aux médias contrôlés par les services secrets.

« J’ai été journaliste pendant presque 25 ans, on m’a appris à mentir, à trahir, à ne pas dire la vérité au public », avait indiqué M. Ulfkotte à RT. « La CIA me soutenait, pourquoi ? Parce que j’étais pro-américain ».

Selon l’écrivain, les médias allemands et américains tentent d’amener la guerre en Europe mais aussi en Russie. C’est contre cette propagande médiatique qu’il s’est dressé avec son « Journalistes qui s’achètent » qui est devenu un bestseller. Un livre qu’il était interdit de mentionner dans les médias allemands.

M. Ulfkotte a lui-même contribué à la presse « achetée ». Par exemple, il a écrit une fausse histoire parlant du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui aurait construit des usines de gaz toxique en 2011.


Communiqué de presse

Jeu, 20 Décembre 2007

Altice et Cinven accueillent Carlyle comme nouvel actionnaire de Numericable et Completel
2007-153

Paris – The Carlyle Group, Cinven et Altice ont annoncé aujourd’hui que la société mondiale de capital-investissement The Carlyle Group allait devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel. The Carlyle Group et Cinven détiendront chacun 35% des deux sociétés et Altice 30%. Les détails financiers n’ont pas été divulgués.

Numericable exploite le premier réseau alternatif haut débit en France, couvrant près de 10 millions de foyers et fournissant des services de télévision haute définition, de vidéo à la demande, d’internet très haut débit et de téléphonie. Numericable est le premier opérateur à avoir déployé massivement son réseau de fibre optique en France. Ce réseau unique en fibre optique équipe déjà 2 millions de foyers et sera étendu à 8 millions de foyers d’ici 2010.

Completel offre des services différenciés aux entreprises en utilisant le plus grand réseau alternatif métropolitain d’accès en fibre optique et le troisième réseau DSL de France.

Patrick Drahi, Altice :

« Depuis 2002, grâce au soutien de ses actionnaires initiaux Pechel, SGCE et ING, au soutien exceptionnel de Cinven et de son équipe, ainsi qu’à l’expertise et au dévouement sans faille de ses employés, le groupe Numericable a pu construire une plateforme de services à la pointe des normes internationales de la technologie du câble. L’ensemble des résultats prometteurs que nous avons obtenus nous a permis d’accueillir à nos côtés l’un des fonds d’investissement les plus prestigieux de notre secteur, ce qui donnera à notre groupe un nouvel élan pour se positionner comme l’un des acteurs majeurs de la consolidation de l’industrie européenne du câble ».

Benoît Colas, directeur général de The Carlyle Group :

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel aux côtés d’Altice et de Cinven. Numericable et Completel ont de formidables opportunités de croissance sur les marchés résidentiels et d’entreprise grâce aux services uniques que leurs réseaux de fibre optique peuvent offrir. La profonde expertise de Carlyle dans le secteur des télécommunications et sa solidité financière seront des ressources importantes pour le développement futur du premier réseau à très haut débit en France ».

Nicolas Paulmier, Cinven :

« Cinven soutient Altice depuis 2004, période pendant laquelle le secteur français du câble s’est rapidement consolidé et a évolué. Nous sommes très heureux d’accueillir Carlyle à cette nouvelle étape du développement des télécommunications françaises, alors que le marché passe du haut débit au très haut débit, en avance sur tous les autres pays européens. Avec un actionnariat encore plus fort, Numericable est bien positionné pour poursuivre la consolidation du secteur français et européen des télécommunications ».

La transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires et devrait être finalisée au premier trimestre 2008.


À propos d’Altice

Altice est un investisseur européen dans les médias et les télécommunications. À travers ses investissements, il détient des participations indirectes notamment dans Numericable, Est Videocom, Coditel et Completel. Fondé en 2002 par un groupe d’experts en télécoms, Altice est soutenu dans ses investissements par des fonds de private equity (Pechel SGCE, ING Belgique) et un groupe d’investisseurs privés.

À propos de Cinven

Cinven est l’un des investisseurs les plus importants et les plus performants sur le marché européen du rachat d’entreprises. Il a mené des transactions d’une valeur supérieure à 60 milliards d’euros. Depuis ses bureaux de Francfort, Londres, Milan et Paris, Cinven se concentre exclusivement sur la création de valeur dans des entreprises ayant leur siège en Europe, dont la valeur d’entreprise est d’au moins 500 millions d’euros et qui sont leaders sur leur marché ou ont un tel potentiel. Créée en 1977, la société est une entreprise totalement indépendante depuis 1995. Le quatrième fonds Cinven, qui a clôturé à 6,5 milliards d’euros en juin 2006, est à ce jour la plus grande source de capitaux privés dédiée uniquement aux rachats d’entreprises en Europe. Les investissements récents de Cinven comprennent Coor (540 millions d’euros), USP Hospitales (675 millions d’euros), Spire Healthcare (2 130 millions d’euros), Gondola (1 335 millions d’euros), Camaieu (1 500 millions d’euros), Phadia (1 285 millions d’euros), Avio (2 570 millions d’euros), Dutch Cable (5 450 millions d’euros) et Ahlsell (1 200 millions d’euros). Parmi les sorties récentes, citons Klöckner Pentaplast (1 300 millions €), United Biscuits (2 400 millions €) et MediMedia (1 100 millions €).


L’investisseur américain Carlyle a un œil sur la presse européenne

par Marc Roche.

Publié le 12 juin 1999

« Grâce à ses contacts politiques au plus haut niveau, Carlyle excelle dans les secteurs industriels dans lesquels les pouvoirs publics jouent un rôle de réglementation non négligeable », indique un analyste new-yorkais à propos du groupe d’investissement américain Carlyle, candidat à la recapitalisation du Figaro.

Fondée en 1987, cette société de capital-risque s’était jusque-là distinguée en prenant des participations majoritaires dans des compagnies généralement non cotées dont l’activité est souvent à la frontière du négoce et de la politique : aéronautique, défense, pétrole, télécoms et santé.

La « banque de la CIA »

Cela tient sans doute au profil des associés, des banquiers ou avocats du secteur privé passés au service public avant de se reconvertir dans la haute finance, aussi à l’aise dans les entreprises que dans les ministères. À l’instar de son président, Frank Carlucci, ancien secrétaire à la défense, de James Baker, ancien secrétaire d’État au Trésor, ou de Richard Darman, ex-directeur du budget.

Pour ses détracteurs, ce rôle de premier plan dans un milieu militaro-industriel washingtonien, où tout le monde se connaît et où la complicité est ancienne, a valu à Carlyle le surnom de « banque de la CIA ».

Si l’établissement de Pennsylvania Avenue, au cœur de la capitale fédérale, se veut politiquement neutre, son profil est plutôt conservateur, à voir les liens avec la dynastie financière Mellon et les membres de la famille royale saoudienne. Les personnalités de droite modérée dominent son conseil international, à l’exemple de l’ancien président Bush, de l’ex-premier ministre britannique John Major ou du vicomte Étienne Davignon, patron de la Société générale de Belgique. « Aux Etats-Unis, Carlyle s’est montré aventureux en s’intéressant aux compagnies de haute technologie au potentiel intéressant. Mais en Europe, il n’est pas question de prendre des risques. La banque a assuré aux investisseurs dans son fonds européen qu’elle se cantonnera à des participations dans les entreprises réputées », assure un expert londonien très au fait de la stratégie du Carlyle European Partners, le fonds européen lancé il y a un an et doté de 1 milliard d’euros de fonds propres.




La France n’est plus une démocratie représentative

[Source : Vu du Droit]

FRANCE : FEUE LA DÉMOCRATIE REPRÉSENTATIVE

Par Régis de Castelnau

Le désastre démocratique des élections régionales et départementales succédant au désastre démocratique des élections municipales impose de regarder les choses en face. Sans trop s’attarder sur le comportement invraisemblable d’Emmanuel Macron dont le parti, malgré son investissement (illégal) dans la campagne avec sa fameuse « tournée des régions » complaisamment et largement médiatisée, a réuni moins de 3 % des électeurs inscrits. Il a fallu attendre trois jours pour obtenir un commentaire répété par Gabriel Attal, perroquet attitré. Et assister à une pantalonnade musicale obscène dans la cour de l’Élysée pendant que sa police coursait par les villes et par les champs une jeunesse qui avait l’outrecuidance, après un an d’enfermement de vouloir s’amuser un peu. Ou bien cet homme ne se rend compte de rien, ou bien il s’en moque ce qui en dirait long sur le mépris qu’il porte au peuple français.

Autre motif d’effarement, la façon dont le mainstream politico-médiatique donnait à voir un simulacre, en tirant doctement les enseignements politiques d’un scrutin qui n’en a produit qu’un seul : la France n’est plus une république de démocratie représentative. Lorsque les jeunes de 18 à 25 ans refusent catégoriquement de s’impliquer dans cette forme de vie de la cité, lorsque l’abstention monte dans les villes les plus pauvres jusqu’à 95 % (!), rétablissant une forme de suffrage censitaire, lorsque des exécutifs locaux vont se retrouver confiés à des gens représentant moins de 10 % de la population, qui peut parler sérieusement d’une démocratie représentative fonctionnelle ? Il y a déjà de nombreuses années et en particulier depuis la forfaiture liée au référendum trahi de mai 2005 que la désaffection démocratique prenait de l’ampleur. Le point où nous en sommes arrivés a un caractère insupportable, car il fausse tout et prive l’ensemble des institutions de leur légitimité et par conséquent de leur autorité. Et l’institution d’un quorum (c’est comme ça que cela s’appelle) pour valider une élection proposée par Jean-Luc Mélenchon, ou l’instauration du vote obligatoire, autant de pansements sur une jambe de bois, n’y changeront rien.

La légitimité démocratique disparue

Revenons-en une fois encore à Max Weber qui a défini la dimension politique de cette légitimité. Pour lui, le concept se rapporte à la notion de reconnaissance sociale. C’est socialement, et non juridiquement, que se définit la légitimité. Même si dans une démocratie, le pouvoir (Macht) réside dans la domination (Herrschaft) rationnelle et légale, la légitimité vient d’abord du respect de la loi, c’est une condition première, nécessaire, mais pas suffisante. Or, dans les faits, le régime Macron est terriblement éloigné de cette exigence. Inconstitutionnalité et illégalité à tous les étages, et les psalmodies régulières de ses soutiens passant leur temps à invoquer la soi-disant légalité formelle de son arrivée au pouvoir n’y changeront rien. D’abord parce que c’est faux, puisque cette élection a été manipulée et truffée d’atteintes au droit. Et en particulier, avec la touche finale apportée par la justice liquidant judiciairement le favori pour permettre l’accession de Macron à l’Élysée alors qu’il avait recueilli 16 % des inscrits au premier tour. Et les Français clairement ou confusément le savent, ce qui explique leur rejet largement majoritaire du locataire de l’Élysée, souvent assorti d’une haine sans précédent. Mais ensuite ce rejet provient aussi de ce qu’après l’élection, la légitimité démocratique doit se valider jour après jour par un exercice du pouvoir régulé et contrôlé, dans un dispositif institutionnel fonctionnant normalement. Or, ce n’est clairement pas le cas du système Macron. Ce qui empêche la reconnaissance sociale de ce pouvoir minoritaire, comme les élections régionales et départementales viennent encore de le démontrer.

Parce que régulation et contrôle sont un des piliers de la démocratie représentative, celle dont Churchill disait que c’était le pire des systèmes à l’exception de tous les autres. Il s’agit d’un dispositif institutionnel minutieux et pragmatique qui doit organiser une domination de la majorité, fût-elle étroite, qui doit être acceptée par la minorité. Quelles sont les conditions impératives de cette acceptation ? D’abord, nous l’avons vu, que les représentants de la majorité prennent le pouvoir après une élection régulière dont la sincérité ne peut être mise en doute. Ensuite que ce pouvoir ait une durée limitée, pour que ce qui a été fait durant le mandat puisse être remis en cause après l’élection suivante en cas de changement. Et enfin que le pouvoir s’exerce dans un cadre strict qui est celui d’une Constitution et d’une organisation des pouvoirs publics qui prévoient séparation, équilibres et contrôles. Évitant ainsi les excès et validant en continu l’acceptation de la minorité battue lors du scrutin. Élaborée par Locke et Montesquieu, la théorie de la séparation des pouvoirs vise donc à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. C’est cette organisation des pouvoirs publics qui s’applique chez nous depuis l’avènement de la IIIe République.

Donc pour qu’elle puisse imposer son point de vue à la minorité, il est nécessaire que les représentants élus parviennent au pouvoir dans des conditions régulières et après un scrutin que l’on peut qualifier incontestablement de « sincère ». Et que cela soit reconnu comme tel par le corps social. C’est ce qui construit la première branche de la « légitimité » des gouvernants. Nous avons vu ce que l’on pouvait penser de l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, mais les scrutins suivants (du fait d’une organisation chaotique comme l’ont été les municipales avec les deux tours éloignés de plusieurs mois, et maintenant régionales et départementales, et surtout d’une abstention qui les prive de sens) ne peuvent pas être considérés comme des scrutins sincères.

Donc pour gouverner après l’élection régulière, il existe une deuxième branche de la légitimité. Même si l’on est régulièrement parvenu au sommet de l’État, il doit exister pendant la durée du mandat un système de check and balance, c’est-à-dire de contrôle en continu pour la préserver avec celle de tout le dispositif dans lequel on exerce le pouvoir. Cette deuxième branche est désormais inexistante dans le système Macron.

Nous allons voir que de la même façon que son arrivée au pouvoir était illégale et par conséquent illégitime, Macron exerce celui-ci dans un cadre qui n’a plus grand-chose à voir avec la légalité institutionnelle d’une démocratie représentative.

Une Constitution en lambeaux

Ayant perdu toute sa cohérence, la pauvre Constitution du 4 octobre 1958 est dans un triste état. Amoindrissement drastique de la souveraineté du pays au profit de l’UE, révisions (près de 30 !) visant systématiquement à en trahir l’esprit, volonté permanente de modifier notre texte fondamental qui est pourtant l’outil fondamental du fonctionnement de nos institutions, c’est une surenchère permanente. Notre Constitution est devenue un vague torchon que la classe politique considère comme le réceptacle de toutes ses démagogies et les gouvernants comme un colifichet inutile. Des 92 articles initiaux, il n’en reste aujourd’hui que 30 dans une Constitution qui en compte désormais 108. L’abaissement drastique de la valeur normative de la Constitution a ainsi permis à Emmanuel Macron de mettre en place un système à valeur de nouveau régime qui entretient des rapports très lointains avec un système légitime de démocratie représentative.

Le « pouvoir législatif » incarné par un parlement croupion enrégimenté par le pouvoir exécutif

La catastrophe institutionnelle provoquée par l’adoption du quinquennat voulue par Jacques Chirac combinée avec l’inversion du calendrier décidée par Lionel Jospin a complètement transformé le pouvoir législatif en France. Les élections législatives de juin 2017 ont vu un taux d’abstention colossal de près de 60 % des inscrits. L’Assemblée nationale n’a donc plus aucune représentativité politique, sociologique, sociale et économique digne de ce nom. Deux exemples qui démontrent l’inanité du système : les ouvriers et les salariés d’exécution des services sont autour de 40 % de la population active de notre pays ils ont… zéro représentant à l’Assemblée.

Ce parlement croupion, humiliant pour la France, est fort utile à Emmanuel Macron qui l’a complètement enrégimenté. Il n’est que de voir comment sont fixés les ordres du jour, proposés des textes liberticides adoptés sans aucune discussion véritable pour mesurer l’ampleur du désastre. Législatif et exécutif ne sont plus séparés dans notre pays.

Le ralliement à l’exécutif du pouvoir judiciaire

La question du « troisième pouvoir » se complique un peu en France dans la mesure où le « pouvoir judiciaire » le troisième de la trilogie de la séparation, s’exerce chez nous au travers de quatre ordres de juridictions constitutionnel, judiciaire, administratif, et financier. Coiffés chacun par une forme de Cour suprême. Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué…

C’est le seul « ordre judiciaire » celui coiffé par la Cour de cassation qui est qualifié dans la Constitution « d’Autorité judiciaire ». Mais ce sont les quatre qui exercent chacun pour sa part la mission de contrôle global que l’on peut qualifier de « pouvoir judiciaire ». Qui est là justement pour assurer les équilibres voulus par le principe de séparation des pouvoirs. Et c’est le ralliement de ces quatre ordres de juridiction, constitutionnel, judiciaire, administratif et financier au macronisme qui pose désormais un problème considérable.

La question du quatrième pouvoir, celui de la presse

La presse est considérée depuis fort longtemps comme un contre-pouvoir dans une démocratie représentative. C’est la raison pour laquelle sa liberté et ses privilèges sont protégés. Cela explique aussi le statut qui fut mis en place à la libération pour la faire échapper à l’emprise des grands pouvoirs économiques. Cette période est définitivement terminée. La grande presse française est entre les mains de neuf oligarques qui tiennent la presse écrite et audiovisuelle. Le rôle qu’ils ont joué à son avènement d’Emmanuel Macron est suffisamment clair pour que personne ne puisse avoir de doute concernant leur soutien à celui qui est directement leur représentant.

Toutes les études démontrent l’aversion et la défiance de l’opinion publique populaire pour cette presse, considérée comme aux ordres du pouvoir. Son attitude pendant la crise des Gilets jaunes et au moment des luttes contre la réforme de la retraite n’a pas été susceptible de les faire changer d’avis.

Et comme au ralliement de tous les organes juridictionnels de contrôle s’est ajouté celui des plus importantes Autorités administratives indépendantes et en particulier du CSA chargé du contrôle de l’audiovisuel. Qui ne voit aucun inconvénient par exemple à ce qu’en violation de la loi, le service public refuse le pluralisme pour relayer servilement la propagande de l’exécutif. Il n’y a plus en France de quatrième pouvoir digne de ce nom. Scrutins insincères sans valeur démocratique, pouvoirs séparés et institutions de contrôle ne fonctionnant plus (s’étant ralliées ou étant contrôlées par le pouvoir exécutif), on ne peut plus sérieusement prétendre que la République française est un système de démocratie représentative régulier.

Régis de Castelnau




Rémi Tell, fondateur du collectif « Peuple libre », se fait censurer par LCI

[Source : lemediaen442.fr]






Un Américain survit à la détention et à la torture du régime communiste chinois

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

PAR ILENE ENG

SANTA CLARA, Californie – Steven Schaerer, originaire de la baie de San Francisco, est le survivant de cette histoire d’horreur.

Après avoir obtenu son diplôme universitaire, il a travaillé à Pékin pendant cinq ans et y a fondé une société de conseil en éducation, alors qu’il n’était que dans la vingtaine. En octobre 2016, toujours en Chine, il a été accusé à tort de travail illégal et a été arrêté et jeté en prison, alors que lui et ses employés étaient tous employés légalement avec des visas. Selon lui, le régime chinois considère souvent les étrangers comme une menace, surtout s’ils ont du succès.

« La plupart des ‘lois sur la sécurité’ chinoises sont incroyablement vagues, elles ne signifient pas grand-chose et vous ne savez pas de quoi il s’agit », a déclaré M. Schaerer, auteur et expert en politique chinoise, lors de son passage sur NTD télévision.

« Lorsque j’étais en interrogatoire pendant des heures avec des policiers chinois, l’une des premières questions, l’une des questions qu’ils posent systématiquement, était  : « Savez-vous combien d’argent nous gagnons ? » Et ils regardaient mes documents fiscaux, et ils disaient  : « Savez-vous combien vous gagnez ? Vous gagnez plus que nous », laissant entendre en quelque sorte que c’était en soi illégal. En tant qu’étranger, je ne devrais pas gagner plus d’argent en Chine que les policiers. »

M. Schaerer a été emprisonné dans ce qu’il décrit comme un centre de détention complet de type militaire, avec des murs métalliques de 9 mètres de haut et des gardes armés autour du périmètre. Les prisonniers subissaient des prises de sang, étaient déshabillés, passaient au détecteur de métaux et se voyaient confisquer tous leurs effets personnels. Les conditions de détention dans les cellules sont inimaginables pour les personnes vivant à l’étranger.https://fc4738f2694bf311a00f77aa23b36b90.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

« Vous partagez cette unique toilette de squatter, moisie et dégoûtante, avec 17 détenus, enfermés là 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Vous mangez dans une auge commune… ils versent une sorte de boue jaune dans un seau, par un entonnoir dans la porte. Dix-sept détenus essaient juste de se précipiter et de manger ça dans un seau. » M. Schaerer a dit. « Les conditions sont horribles ; elles sont conçues pour vous tuer. Il y a des signes d’avertissement de suicide plâtrés sur les murs. »

Ils dormaient avec des couvertures tachées de sang sur des planches de bois gelées, avec des lumières fluorescentes brillantes qui les éclairaient tout le temps. Ils restaient debout à tour de rôle pour monter la garde et s’assurer que les détenus ne s’entretuaient pas. On leur disait aussi constamment qu’ils ne pouvaient contacter personne dans le monde extérieur. Il a été emprisonné pendant un peu moins d’un mois.

Lorsque M. Schaerer a finalement été expulsé et est revenu sain et sauf à San Francisco, il était mal nourri, manquait de sommeil et était malade. Il a dû suivre une thérapie pour se réadapter à une vie normale.

M. Schaerer a écrit un livre détaillant toute son expérience, dont le titre peut se traduire par « survivre à la détention communiste chinoise » (Surviving Chinese Communist Detention). Il a été publié en mai de cette année.

Il y raconte les histoires d’autres groupes de personnes qui ont été détenues, torturées et exécutées pour leurs croyances : des pratiquants de Falun Gong, des musulmans, des Ouïghours, des chrétiens chinois, des bouddhistes tibétains, des avocats spécialisés dans les droits de l’homme et des dissidents politiques.

Son expérience lui a permis d’acquérir une nouvelle appréciation de la Constitution américaine et des droits qui protègent les personnes aux États-Unis.

« C’est en quelque sorte l’une des choses qui vous motivent chaque jour à partager votre histoire, à partager mon histoire, à partager cette histoire, avec le reste du monde et à mettre en garde les gens en leur disant : ‘Écoutez, nous ne voulons pas de l’influence du PCC ici en Occident’ », a déclaré M. Schaerer.

« Je me donne beaucoup de mal pour décrire la différence entre le peuple chinois et le Parti communiste chinois dans mon livre et pour dire que ce n’est pas une attaque contre le peuple chinois. Ce n’est pas un affront aux Américains d’origine chinoise qui sont sans doute mes plus fervents supporters et qui, dans la plupart des cas, m’ont dit de continuer à parler, à raconter [mon] histoire. »

Il s’est vu imposer une interdiction de voyager pendant trois ans et de rentrer en Chine. Il n’a pas l’intention d’y retourner de sitôt, tant que le pays sera communiste.

M. Schaerer travaille aujourd’hui dans la technologie et partage son histoire sur de multiples plateformes.




Le tribunal de Lisbonne juge que seulement 0,9 % des « cas vérifiés » sont morts du COVID, soit 152, et non 17 000 comme cela a été affirmé

[Source : anguillesousroche.com]

Suite à la pétition d’un citoyen, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité liée au COVID-19, rapporte AndreDias.net.

Selon le jugement, le nombre de décès vérifiés dus au COVID-19 entre janvier 2020 et avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères.

Tous les « autres » sont morts pour diverses raisons, bien que leur test PCR ait été positif.

« Nous vivons dans une fraude d’une ampleur sans précédent », écrit Dias.

« Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO), le seul système de ce type au Portugal. La référence à 152 certificats de décès délivrés “sous la supervision du ministère de la justice” est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la justice, qui est la seule institution à les délivrer. »

« En réponse à un procès populaire, il a fallu une ordonnance du tribunal pour que le ministère réponde, désespérant de ne pas dénoncer la fraude. »

« Tous les responsables du traitement des données des “cas” et des “décès” ne peuvent, par la suite, qu’être jugés pour le crime s’il reste un peu de dignité à l’État de droit », poursuit-il.

« Si ces chiffres sont du même ordre de grandeur pour d’autres pays également, et il n’y a aucune raison de supposer le contraire, alors l’épidémie est une tromperie d’une ampleur sans précédent et des crimes commis contre l’humanité à grande échelle ont été commis ici. »




“Un plan simple pour éradiquer le nouveau coronavirus de Belgique ” (Marc Wathelet)

[Source : Le Spécialiste (lespecialiste.be)]

par Marc Wathelet, docteur en sciences

Dans un courrier envoyé au Premier Ministre et au Ministre de la Santé publique, Marc Wathelet, le virologue bien connu comme lanceur d’alerte, propose “un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines” Il recommande la prescription de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19.


Monsieur le Premier Ministre, 

Monsieur le Ministre de la Santé publique,

Tout d’abord, je voudrais vous remercier d’avoir maintenu les mesures sanitaires nécessaires et de ne pas avoir succombé aux diverses pressions pour rouvrir prématurément.

Deuxièmement, je voudrais vous remercier de m’avoir mis en contact avec M. Frank Hulstaert du KCE. Cet excellent homme m’a invité à participer à une réunion avec d’autres chercheurs et cliniciens ayant pour objet la sélection des molécules à tester prochainement pour évaluer leur efficacité contre le SARS-CoV-2 chez les patients souffrant de la COVID-19.

Lors de cette réunion, j’ai présenté le cas de l’Ivermectine, le médicament que j’ai porté à votre attention le 16 novembre, et une décision sera prise lors de la prochaine réunion à l’initiative du KCE. Si l’Ivermectine devait être sélectionné pour le prochain lot d’essais commençant au début de 2021, nous pourrions obtenir des résultats peut-être déjà fin février. La réutilisation des médicaments existants est une stratégie intéressante car le profil d’innocuité de ces médicaments est déjà bien établi. Bien que le KCE soit l’organe approprié pour évaluer les médicaments repositionnables, il manque de financement, de temps et d’autorité en cette période de crise.

Éradiquons le virus de Belgique.

J’appartiens à un groupe de scientifiques et de médecins comptant plus de 7.000 membres dans le monde, demandant simplement aux autorités sanitaires de chaque pays d’examiner les données existantes indiquant que l’Ivermectine est efficace à la fois en mode prophylactique, pour prévenir la transmission du virus, et comme traitement curatif pour les patients COVID-19.

Je propose donc un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines, ce qui serait extrêmement bénéfique à tous les niveaux: sanitaire, économique, social, psychologique et politique! Nous pourrions reprendre toutes les activités économiques et scolaires trois semaines après son initiation et le port du masque deviendrait inutile dans la plupart des contextes dès la sixième semaine.

Ce plan nécessite de voir l’opportunité que présente l’Ivermectine, et la volonté politique de prendre les décisions nécessaires pour transformer cette opportunité en réalité pour la Belgique. Il faudra, pour ce faire, un “leadership” sans faille au plus haut niveau.

Les preuves en faveur de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir la transmission et l’apparition de symptômes de la COVID-19 ainsi que pour en traiter les formes modérées et sévères ne cessent de s’accumuler, toutes les études sont uniformément positives et la réalité de la situation sanitaire a dépassé le stade où serait raisonnable d’attendre davantage de données encore avant d’agir, alors même que de trop nombreuses personnes continuent jour après jour à mourir de cette maladie en Belgique.

L’Ivermectine est très différente de l’hydroxychloroquine : c’est une molécule beaucoup plus efficace et, par ailleurs, déjà utilisée dans certains pays à la fois à titre préventif et comme norme de soins pour les formes modérées et graves de la maladie.

Aux États-Unis, le Dr Pierre Kory a récemment témoigné devant le Comité sénatorial de la sécurité intérieure, au nom d’un groupe de médecins de grand renom, de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir et traiter la COVID-19 https://tinyurl.com/y6ah7u5d. Ils sont les auteurs d’un manuscrit passant en revue tous les essais cliniques terminés https://tinyurl.com/yyqbq8gw et d’une méta-analyse de toutes les études sur l’Ivermectine https://ivmmeta.com.

Je recommande dès lors, la conduite d’un essai clinique de toute urgence portant sur l’Ivermectine, à la fois comme méthode prophylactique et pour le traitement des formes sévères de la COVID-19. Indéniablement, ce médicament représente une opportunité exceptionnelle de délivrer la Belgique et le monde du SARS-CoV-2. Ne la gaspillons pas ; ne manquons pas cette opportunité offerte par une molécule présentant un profil de sécurité aussi exemplaire. Et puis même s’il devait s’avérer que ce médicament est inefficace contre la COVID-19, ce qui paraît extrêmement improbable compte tenu des preuves existantes, aucun préjudice significatif n’aura été occasionné.

Le rapport bénéfices / risques de l’utilisation de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19 est largement supérieur à celui de tout autre candidat médicament.

Le Ministre de la Santé publique a le pouvoir de mobiliser et de fédérer tous les acteurs concernés autour du plan ici proposé afin de lever tous les obstacles à sa mise en œuvre rapide. Ayons l’intelligence de reconnaître que parier sur l’Ivermectine est de loin l’option la meilleure et la plus sûre. Ayons le courage de notre conviction. Ne manquons pas cette occasion de montrer comment la Belgique peut s’unir pour le plus grand bien de chacun et, à travers les études proposées, ouvrir la voie à l’utilisation généralisée et rationnelle de l’Ivermectine, en Europe et dans le reste du monde, pour l’éradication du SARS-CoV-2.

Le plan d’action que je recommande et sa justification sont détaillés ci-dessous. En voici le résumé :

1) Le médicament lui-même doit être largement disponible dans toutes nos pharmacies et toute entrave administrative qui retarderait la distribution rapide de l’Ivermectine sous sa forme pour administration orale doit être supprimée sans délai.

2) Les autorités compétentes de tous les hôpitaux du pays doivent être impliquées pour l’organisation rapide de l’essai clinique de prophylaxie parmi leur personnel soignant et de l’essai thérapeutique pour les cas graves. Les critères de randomisation, incluant notamment les activités spécifiques de ces travailleurs, doivent être définis et la distribution randomisée des médicaments doivent être mise en œuvre sans délai. Plus vite nous agirons, plus vite nous pourrons mener une vie libérée de ce virus.

3) Un registre doit être ouvert pour collecter des données sur l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

4) Le nombre de tests doit être augmenté pour parvenir à un taux de positivité inférieur à 3%. Les foyers d’infection doivent être retracés rapidement et l’Ivermectine doit être administrée sans tarder aux personnes infectées et à leurs contacts quotidiens. Des équipes dédiées doivent être prêtes pour ce faire.

Indépendamment de l’Ivermectine, les groupes d’individus les plus à risque de développer une forme sévère, en raison de leur âge ou de leurs comorbidités, auraient intérêt à compléter leur alimentation par un apport de vitamine D (2000 à 5000 UI par jour), de vitamine C (500 mg par jour) et de zinc (50 mg par jour). Cette recommandation devrait faire l’objet d’une communication claire et répétée à destination des personnes concernées et de ceux qui les soignent.

Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos demandes d’informations complémentaires et, le cas échéant, pour prendre part activement à la mise en œuvre de ce plan.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé publique, l’expression de mes salutations distinguées.

Marc Wathelet, docteur en sciences

Annexes

Plan spécifique pour éradiquer le SARS-CoV-2 de Belgique en 6 semaines.




La comédie de la « théorie du complot »

[Source : Aube Digitale]

Le rapport de Biden sur la « Stratégie nationale de lutte contre le terrorisme intérieur », publié la semaine dernière, déclare que pour « renforcer la foi dans la démocratie américaine », il faut « trouver des moyens de contrer l’influence et l’impact des dangereuses théories du complot ». Au cours des dernières décennies, les théories du complot se sont multipliées presque aussi vite que les mensonges et les dissimulations des gouvernements. Bien que de nombreuses allégations soient ridiculement farfelues, l’establishment politique et les médias apposent systématiquement l’étiquette « théorie du complot » à toute remise en cause de leur domination.

Selon Cass Sunstein, professeur de droit à Harvard et tsar de la réglementation d’Obama, une théorie du complot est « un effort pour expliquer un événement ou une pratique en faisant référence aux machinations de personnes puissantes, qui ont également réussi à dissimuler leur rôle ». Les citoyens raisonnables sont censés présumer que le gouvernement crée des milliers de milliards de pages de nouveaux secrets chaque année pour leur propre bien, et non pour cacher quoi que ce soit au public.

Au début des années 1960, les théories du complot étaient pratiquement un non-sujet, car 75 % des Américains faisaient confiance au gouvernement fédéral. Une telle crédulité n’a pas survécu à l’assassinat de John F. Kennedy. Sept jours après que Kennedy a été abattu le 22 novembre 1963, le président Lyndon Johnson a créé une commission (connue plus tard sous le nom de Commission Warren) pour supprimer la controverse sur l’assassinat. Johnson et le chef du FBI, J. Edgar Hoover, ont intimidé les membres de la commission pour qu’ils publient rapidement un rapport approuvant la version de l’assassinat selon laquelle il s’agissait d’un tireur isolé et fou. Le leader de la minorité de la Chambre des représentants, Gerald Ford, membre de la commission, a révisé le rapport final du personnel pour modifier l’endroit où la balle a pénétré dans le corps de Kennedy, sauvant ainsi la théorie de la « balle magique » de Hoover. Après que les conclusions de la Commission Warren ont été ridiculisées comme étant un blanchiment, Johnson a ordonné au FBI de mettre sur écoute les critiques du rapport. Pour protéger l’histoire officielle, la commission a scellé les dossiers clés pendant 75 ans. La vérité n’éclaterait qu’une fois que toutes les personnes impliquées dans la dissimulation auraient obtenu leur pension et seraient mortes.

La controverse entourant la Commission Warren a incité la CIA à s’attaquer officiellement à la notion de théorie du complot. Dans une alerte adressée en 1967 à ses stations et bases à l’étranger, la CIA déclare que le fait que près de la moitié des Américains ne croient pas qu’Oswald a agi seul « est un sujet de préoccupation pour le gouvernement américain, y compris pour notre organisation » et met en danger « toute la réputation du gouvernement américain ». Le mémo demandait aux destinataires d’ « employer des moyens de propagande » et d’exploiter « les contacts amis de l’élite (en particulier les politiciens et les éditeurs), en soulignant… certaines parties du discours sur la conspiration semblent être délibérément générées par des propagandistes communistes. » La preuve ultime de l’innocence du gouvernement : « Une conspiration à l’échelle souvent suggérée serait impossible à dissimuler aux États-Unis. »

La CIA a toutefois dissimulé un large éventail d’assassinats et de coups d’État étrangers qu’elle a menés jusqu’à ce que des enquêtes du Congrès, au milieu des années 1970, ne lèvent le voile. Le New York Times, qui a révélé le mémo de la CIA en 1977, a noté que la CIA « a réuni sa machine de propagande pour soutenir une question qui préoccupe beaucoup plus les Américains, et la CIA elle-même, que les citoyens d’autres pays ». Selon l’historien Lance deHaven-Smith, auteur de Conspiracy Theory in America, « la campagne de la CIA visant à populariser le terme « théorie du complot » et à faire de la croyance au complot une cible de ridicule et d’hostilité doit être créditée… d’être l’une des initiatives de propagande les plus réussies de tous les temps. » (En 2014, la CIA a publié un rapport fortement expurgéadmettant qu’elle avait été « complice » d’une « dissimulation » de JFK en retenant des informations « incendiaires » à la Commission Warren).

L’administration Johnson a également cherché à dépeindre les critiques de sa politique de guerre au Vietnam comme des fous du complot, du moins quand elle ne les dépeignait pas comme des laquais communistes. Au cours des audiences du Sénat de 1968 sur l’incident du golfe du Tonkin, le secrétaire à la Défense Robert McNamara a dénoncé les « insinuations monstrueuses » selon lesquelles les États-Unis avaient cherché à provoquer une attaque nord-vietnamienne et a déclaré qu’il était « inconcevable que quiconque connaissant un tant soit peu notre société et notre système de gouvernement puisse soupçonner l’existence d’une conspiration » visant à conduire la nation à la guerre sous de faux prétextes. Trois ans plus tard, la divulgation des Pentagon Papers a démoli la crédibilité de McNamara et d’autres hauts fonctionnaires de l’administration Johnson qui avaient effectivement entraîné l’Amérique dans la guerre du Viêt Nam sous de faux prétextes.

Les condamnations des théories du complot sont devenues une marque de fabrique de l’administration Clinton. En 1995, le président Bill Clinton a affirmé que les personnes qui pensaient que le gouvernement menaçait leur droit constitutionnel étaient des ingrats dérangés : « Si vous dites que le gouvernement est en train de conspirer pour vous priver de votre liberté, vous vous trompez tout simplement….. Comment osez-vous vous prétendre patriotes et héros ! » La même année, la Maison Blanche a compilé un rapport enfiévré de 331 pages intitulé « Communication Stream of Conspiracy Commerce », attaquant les magazines, les groupes de réflexion et autres qui avaient critiqué le président Clinton. Dans les années qui ont suivi, de nombreuses organisations condamnées dans le rapport de la Maison Blanche ont été la cible d’audits de l’IRS, notamment la Heritage Foundation et le magazine American Spectator, ainsi que près d’une douzaine d’accusateurs individuels très médiatisés de Clinton, dont Paula Jones et Gennifer Flowers. Malgré les protestations de Clinton selon lesquelles il ne représentait aucune menace pour la liberté, même l’ACLU a admis en 1998 que l’administration Clinton s’était « engagée dans la surveillance subreptice, comme les écoutes téléphoniques, à une échelle bien plus grande que jamais auparavant… L’administration utilise des tactiques de peur pour acquérir de vastes nouveaux pouvoirs pour espionner tous les Américains. »

Certaines allégations relatives à la « théorie du complot » exposent de manière comique la naïveté des responsables officiels de la surveillance. En avril 2016, l’université Chapman a mené une enquête auprès des Américains et a annoncé que « la théorie du complot la plus répandue aux États-Unis est que le gouvernement dissimule des informations sur les attentats du 11 septembre, un peu plus de la moitié des Américains ayant cette conviction. » Ce sondage ne demandait pas si les gens croyaient que les World Trade Centers avaient été détruits par un travail de l’intérieur ou que le président George W. Bush avait secrètement organisé les attaques. Au lieu de cela, on a simplement demandé aux gens si « le gouvernement dissimule des informations » sur les attaques. Seul un idiot du village, un professeur d’université ou un éditorialiste pourrait supposer que le gouvernement a fait toute la lumière. Trois mois après la réalisation de l’enquête de l’université Chapman, l’administration Obama a finalement publié 28 pages d’un rapport du Congrès de 2003 qui révélait que des responsables du gouvernement saoudien avaient directement financé certains des pirates de l’air du 11 septembre en Amérique. Cette révélation a fait voler en éclats le scénario soigneusement construit par l’administration Bush, la Commission du 11 septembre et les légions de médias complices. (Les poursuites se poursuivent devant les tribunaux fédéraux pour obliger le gouvernement américain à divulguer davantage d’informations sur le rôle du gouvernement saoudien dans les attentats).

« La théorie du complot » est souvent un drapeau de complaisance pour les médias. En 2018, le New York Times a affirmé que l’utilisation par Trump de l’expression « Deep State » (Etat Profond, ndlr) et d’une rhétorique similaire « attisait les craintes qu’il érode la confiance du public dans les institutions, sapant l’idée de vérité objective et semant des soupçons généralisés sur le gouvernement et les médias d’information. » Cependant, après que les allégations de responsables gouvernementaux anonymes ont suscité la première destitution de Trump en 2019, le chroniqueur du New York Times James Stewart s’est réjoui : « Il y a un État profond, il y a une bureaucratie dans notre pays qui s’est engagée à respecter la Constitution, à respecter l’État de droit… Ils travaillent pour le peuple américain. » L’éditorialiste du New York Times Michelle Cottle a proclamé : « L’État profond est bien vivant » et l’a salué comme « une collection de fonctionnaires patriotes. » Presque immédiatement après que son existence n’a plus été niée, l’État profond est devenu l’incarnation de la vertu à Washington.

L’élite médiatique peut fabriquer des désignations de « théorie du complot » presque en un clin d’œil. Une semaine après le jour des élections de 2020, le New York Times a publié un gros titre en haut de la première page : « Les officiels des élections dans tout le pays n’ont trouvé aucune fraude. » Comment le Times l’a-t-il su ? Ses journalistes ont appelé chaque État et ont demandé : « Avez-vous constaté des fraudes ? ». Les fonctionnaires électoraux ont répondu « non », prouvant ainsi que quiconque remettait en question la victoire de Biden faisait la promotion d’une conspiration sans fondement. Alors que les principaux politiciens libéraux ont dénoncé les sociétés de vote électronique pour leur totale impunité et leur malhonnêteté en 2019, tous les doutes concernant ces sociétés sont devenus des « conspirations » après ce titre du Times. Le Times a contribué à stimuler une cacophonie médiatique noyant toute personne se plaignant de la récolte des bulletins de vote, de l’envoi massif illégal de bulletins de vote par correspondance ou des échecs généralisés de vérification de l’identification des électeurs.

En fait, les accusations de « théorie du complot » ont aidé Biden à remporter l’élection présidentielle de 2020. Comme l’a récemment fait remarquer le sénateur Lindsey Graham (R-SC), si les Américains croyaient que le virus COVID-19 avait été créé dans un laboratoire du gouvernement chinois, Trump aurait probablement remporté l’élection, car les électeurs auraient cherché un dirigeant capable de se montrer ferme envers la Chine. Mais l’explication de l’origine du laboratoire a rapidement été qualifiée d’hérésie pro-Trump. Le Washington Post a dénoncé le sénateur Tom Cotton (R-AR,) pour avoir suggéré que le virus provenait du laboratoire, ce qui était soi-disant une « théorie du complot déjà démystifiée. » Vingt-sept éminents scientifiques ont signé une lettre dans le Lancet : « Nous nous unissons pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas une origine naturelle… Les théories du complot ne font rien d’autre que de susciter la peur, les rumeurs et les préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus. » The Lancet n’a révélé que la semaine dernière que l’un des signataires et la personne qui a organisé la campagne de signature de la lettredirigeaient une organisation qui recevait des subventions du gouvernement américain pour ses travaux au laboratoire de l’Institut de virologie de Wuhan. Le président Biden a ordonné aux agences de renseignement américaines de réexaminer la situation pour tenter de déterminer l’origine du COVID-19.

Les accusations de « théoriciens du complot » vont-elles permettre au FBI et à d’autres agences fédérales de s’en tirer à bon compte en ce qui concerne l’affrontement du 6 janvier au Capitole ? Après que Tucker Carlson, de Fox News, a présenté des allégations selon lesquelles des informateurs ou des agents du FBI auraient été à l’origine de l’émeute, le Washington Post a rapidement dénoncé sa « théorie sauvage et sans fondement », tandis que le Huffington Post a dénoncé sa « ridicule théorie du complot ». Peu importe combien de fois le FBI a été l’instigateur de complots terroristes ou de violences politiques au cours des 60 dernières années (y compris le complot visant à kidnapper la gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, en novembre dernier). Au lieu de cela, les gens décents ne doivent rien faire qui serait susceptible de mettre en péril le récit officiel du 6 janvier présenté comme une horrible attaque terroriste intérieure du même niveau que la guerre de 1812, Pearl Harbor et les attentats du 11 septembre.

La « théorie du complot » est une phrase magique qui efface tous les abus fédéraux antérieurs. De nombreux libéraux qui invoquent cette phrase citent aussi rituellement un livre de 1965 de l’ancien communiste Richard Hofstadter, The Paranoid Style in American Politics. Hofstadter décrivait la méfiance à l’égard du gouvernement comme une maladie mentale par procuration, un paradigme qui accorde à la personnalité des critiques plus d’importance que la conduite des agences gouvernementales. Pour Hofstadter, c’était une vérité évidente que le gouvernement était digne de confiance parce que la politique américaine avait « une sorte de code professionnel… incarnant la sagesse pratique de générations de politiciens ».

Une grande partie de la rage de l’establishment contre les « théories du complot » a été motivée par la notion selon laquelle on doit aux dirigeants une obéissance intellectuelle passive. Le même état d’esprit de lèse-majesté a été largement adopté pour brouiller l’histoire américaine. Arthur Schlesinger Jr, l’historien de la cour du président John F. Kennedy et intellectuel libéral vénéré, a déclaré en 2004 dans un article de Playboy : « Les historiens d’aujourd’hui concluent que les colons ont été poussés à la révolte en 1776 en raison de la fausse conviction qu’ils étaient confrontés à une conspiration britannique visant à détruire leur liberté ». L’imposition par les Britanniques de la loi martiale, la confiscation des armes à feu, les blocus militaires, la suspension de l’habeas corpus et la censure étaient-ils simplement un fantasme dérangé de Thomas Jefferson ? L’idée que les Britanniques ne conspireraient jamais pour détruire la liberté n’est pas très populaire à Dublin. Pourquoi faire confiance à des universitaires autrefois aveugles aux menaces britanniques dans les années 1770 pour juger avec exactitude les périls qui menacent aujourd’hui la liberté ?

Comment l’administration Biden entend-elle lutter contre les « théories du complot » ? Le rapport Biden sur le terrorisme préconise de « renforcer la confiance dans le gouvernement » en « accélérant le travail pour faire face à un environnement d’information qui met au défi un discours démocratique sain ». L’équipe de Biden s’appuiera-t-elle sur la « solution » suggérée par Cass Sunstein : « l’infiltration cognitive des groupes extrémistes » par des agents et des informateurs du gouvernement pour les « miner » de l’intérieur ? Un rapport du Sénat de 1976 sur le programme COINTELPRO du FBI exigeait des garanties qu’une agence fédérale ne serait plus jamais « autorisée à mener une guerre secrète contre les citoyens qu’elle considère comme des menaces pour l’ordre établi ». En réalité, le FBI et d’autres agences ont continué à mener une guerre secrète contre les « menaces » et des légions d’informateurs sont probablement occupés à « infiltrer cognitivement » en ce moment même.

La « théorie du complot » restera un des sujets de moquerie favoris de l’élite politico-médiatique. Rien ne peut remplacer le fait que les Américains développent de meilleurs détecteurs de bobards pour les affirmations gouvernementales et les balivernes individuelles. En attendant, il y a toujours le remède qu’un article du Washington Post sur la santé a vanté à la fin de l’année dernière : « Essayez l’imagerie guidée. La visualisation de résultats positifs peut aider à maîtriser les émotions intenses qui pourraient vous rendre plus vulnérable aux théories du complot nuisibles. »

Traduction de Jim Bovard par Aube Digitale




Le dépeuplement et le vaccin à ARNm

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Le New York Times prévoit une réduction massive de la population

Étonnamment, le New York Times – 22 mai 2021 – prévoit une réduction massive de la population au cours des prochaines décennies.

« Les cris de bébés sont de la partie.
Plus de maisons abandonnées.
Vers le milieu de ce siècle, alors que les décès commenceront à dépasser les naissances, des changements difficiles à comprendre viendront. »

Capture d’écran de l’article du NYT

Et –

« Partout dans le monde, les pays sont confrontés à la stagnation démographique et à un effondrement de la fécondité, un renversement vertigineux inégalé dans l’histoire enregistrée qui rendra les fêtes de premier anniversaire plus rares que les funérailles, et les maisons vides une plaie oculaire commune. »

Et il continue,

« Les maisons de maternité ferment déjà en Italie. Des villes fantômes apparaissent dans le nord-est de la Chine. Les universités de Corée du Sud ne trouvent pas assez d’étudiants, et en Allemagne, des centaines de milliers de propriétés ont été rasées, et la terre a été transformée en parcs. »

Est-ce que tout cela est vrai ? Cela reste à vérifier. Un oubli ?

À aucun moment, l’article ne mentionne la nature eugéniste de la réduction délibérée de la population, en relation avec la pandémie de covidés, la campagne de vaccination forcée et, par de nombreux témoignages, toxique, avec un non-vaccin, mais plutôt une nouvelle « thérapie génique » de type ARNm totalement non testée que les CDC américains ont autorisée à appliquer comme « mesure d’urgence » dans ces circonstances désastreuses d’une pandémie, qui manque en fait toutes les caractéristiques d’une pandémie, mais doit être pompée pour la faire apparaître comme une pandémie – avec littéralement presque tous les décès provenant de toutes les causes – même les accidents de voiture – peuvent être – et « doit » être classé comme décès par covidé.

Aux États-Unis, les hôpitaux sont payés 13 000 dollars pour chaque patient diagnostiqué par covidé et 39 000 dollars pour chaque « patient covidé » mis sur un ventilateur. Plus tôt cette année, les médecins de New York sont arrivés à la conclusion que plus de 80 % des patients souffrant de ventilateur ne survivent pas au ventilateur. Voyez ceci.

Mais, quoi qu’il en soit – l’ « assouplissement » actuel des restrictions sur les covidés que connaissent les États-Unis et de nombreux pays européens, fait ressortir le bonheur, les sourires, la pensée festive et le sentiment joyeux de la population – dans l’espoir ferme que la pandémie est terminée. Ce n’est peut-être qu’une ruse et un prélude à bien pire à venir. J’espère que ce soupçon est faux.

Bien qu’il n’y ait pas de preuve concrète, on a l’impression qu’avec l’arrivée tardive de l’automne dans l’hémisphère nord, nous allons être frappés par une « nouvelle » variante fabriquée en laboratoire – beaucoup plus forte, qui nécessite des mesures gouvernementales de plus en plus oppressives et dictatoriales, davantage de vaccinations forcées avec une thérapie génique qui pourrait affecter le système neurologique de l’humanité. (Pour plus de détails, voir Confirmation que le vaccin Pfizer cause des maladies neurodégénératives)

Le NYT s’efforce d’expliquer pourquoi la population mondiale entre en recul et en déclin pur et simple, sans jamais mentionner la Covid et le programme mortel infâme.

« Bien que certains pays continuent de voir leur population augmenter, en particulier en Afrique, les taux de fécondité diminuent presque partout ailleurs. Les démographes prédisent maintenant que d’ici la seconde moitié du siècle ou peut-être plus tôt, la population mondiale entrera dans un déclin soutenu pour la première fois. »

Pourquoi le taux de fécondité diminuerait-il soudainement dans les pays « développés » ? Parce que les gens se rendent compte que pour sauver la planète, le monde a besoin de moins, beaucoup moins de « mangeurs » et de consommateurs ? – Ou plutôt a-t-il quelque chose à voir avec les faux « vaccins » Covid-19 largement contraints ? – voir Dr. La vidéo de Mercola ci-dessous.

N’est-ce pas précisément ce que le clan Gates-Rockefellers-Kissinger et al a à l’esprit ?

Est-ce la raison pour laquelle les injections de type ARNm – l’approbation d’urgence des CDC en tant que « thérapie génique » – comprennent des composants antifertilité et stérilisation ?

Et – pouvez-vous l’imaginer – les CDC ont récemment recommandé d’administrer cette « injection de génique non éprouvée et non testée aux femmes enceintes, alors que jamais auparavant et en aucun cas les femmes enceintes ne devraient recevoir de médicament « expérimental » non testé.

En fait, le taux d’avortement des femmes enceintes recevant l’inoculation de type ARNm peut atteindre 30 % – probablement considérablement plus élevé si l’on tient compte des cas non déclarés. Écoutez le Dr. Joseph Mercola.[en anglais]

Il y a la notion générale que le covid n’est pas une question de santé ou d’immunité, mais plutôt de dépeupler le monde ; un programme eugéniste, si vous préférez. Mike Whitney exprime une vision claire dans quelle direction va cette campagne inutile de vaccination contre la Covid-19. Cela n’a rien à voir avec la protection de la santé de la population. Au contraire. Il s’agit de dépeuplement. Ces deux citations disent tout.

« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie… Vous ne vaccinez pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une maladie. Vous ne prévoyez pas non plus de vacciner des millions de personnes en forme et en bonne santé avec un vaccin [expérimental] qui n’a pas été largement testé sur des sujets humains. »

Le Dr. Mike Yeadon PhD, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires. 

« Ce que nous savons sur le coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, c’est-à-dire que toute tentative de fabrication du vaccin a abouti à la création d’une classe d’anticorps qui rendent réellement les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles souffrent finalement d’une exposition au virus en question. » 

Robert F. Kennedy Jr.

Le NYT cite Frank Swiaczny, un démographe allemand qui était chef des tendances et de l’analyse démographiques pour les Nations Unies jusqu’à l’année dernière :

« Un changement de paradigme est nécessaire. Les pays doivent apprendre à vivre avec [un déclin démographique] et à s’y adapter. »

Pour renforcer ce changement de paradigme – et le faire apparaître – et vous convaincre, le lecteur, qu’il s’agit d’un phénomène normal et imparable, le NYT vous prédit, ou plutôt vous effraie, en spéculant / anticipant,

« Les ramifications et les réponses ont déjà commencé à apparaître, en particulier en Asie de l’Est et en Europe. De la Hongrie à la Chine, de la Suède au Japon, les gouvernements luttent pour équilibrer les demandes d’une cohorte vieillissante en plein essor avec les besoins des jeunes dont les décisions les plus intimes en matière de procréation sont façonnées par des facteurs à la fois positifs (plus de possibilités d’emploi pour les femmes) et négatifs (inégalité persistante entre les sexes et coût élevé de la vie). »

Nous savons qu’il s’agit d’un faux prétexte, et c’est un argument totalement fabriqué pour vous faire regarder dans l’autre direction, alors que dans deux à trois ans, vous pourrez voir mourir massivement de personnes bien en deçà de l’espérance de vie statistique moyenne.

Nous le savons tous, l’inégalité entre les sexes persiste dans l’Ouest depuis au moins 2000 ans. Et, bien que le coût de la vie n’ait cessé d’augmenter au cours des 50 premières années après la Seconde Guerre mondiale dans les pays industrialisés, il a plutôt stagné au cours des deux dernières décennies. Au contraire, dans certains cas – États-Unis, Europe – une tendance plutôt déflationniste est apparue. Un signe clair pour cela, ce sont les taux d’intérêt négatifs dans de nombreux pays industrialisés. Donc, le NYT essaie de vous faire croire ce qui est faux – tout cela pour justifier sa « prédiction » d’une réduction massive de la population ; pour vous habituer au diabolique plan Covid – et peut-être pour semer juste un peu de peur.

Comme les « vaccins » de l’ARNm sont expérimentaux, il n’y a pas d’antécédents sur la capacité du corps de se débarrasser des effets secondaires désastreux, comme la coagulation sanguine, conduisant à la thrombose, à une éventuelle paralysie et à la mort.

Selon les prévisions scientifiques, les injections d’ARNm affectent le génome humain et il est fort probable que le corps ne se désintoxique jamais de ce qui affecte l’ADN.

Si cette hypothèse est correcte, cela signifie, en bref, que vous ne serez plus jamais la même personne et que votre santé peut être affectée négativement pour le reste de votre vie. Il s’agit, sans aucun doute, d’un crime de génocide de masse contre l’humanité.  Cela coïncide avec les vues du Dr Joseph Mercola – voir ci-dessus, ainsi qu’avec celles du Dr. Sucharit Bhakdi sur la coagulation sanguine et ses conséquences désastreuses pour la santé, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner des attaques cérébrales, des paralysies et la mort.

Dans le même ordre d’idées Vaccine Impact du 23 mai 2021 fait référence à cinq médecins réputés, qui discutent de la transmission du virus entre les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm et celles qui n’ont pas été vaccinées. Ces scientifiques sont tous d’accord pour dire que si l’on ne réalise pas que ces vaccins sont conçus comme des armes biologiques dans le but de réduire la population mondiale, on ne comprendra jamais complètement ce que ces vaccins et Big Pharma sont capables de faire et comment prendre des mesures pour se protéger.

Le NYT nous prépare doucement à ce crime, qualifiant ce prochain « dépeuplement » de phénomène naturel, en raison d’un changement démographique – auquel on peut s’attendre en raison de notre « style de vie abondant » occidental, et du changement climatique causé par l’homme (mea-culpa, mea-culpa), entraînant une réduction des récoltes – famine – dans le monde en développement ou dans les pays du Sud global.

« Il s’agit d’une guerre mondiale intentionnelle contre le sang humain », selon le Dr. Sherri Tenpenny et la lauréate du prix Nobel, le Dr. Luc Montagnier, ainsi que le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et chef de Pfizer Science – et d’autres.

« Les injections tueront et n’arrêteront jamais de tuer. »

Le Dr. Montagnier, parmi les meilleurs virologues du monde, prévoit une espérance de vie considérablement réduite pour beaucoup de ceux qui ont pris l’ »injection mortelle ».

Voir les dernières données officielles sur les décès et blessures [séquelles] par vaccin pour l’UE (de la fin décembre 2020 au 22 mai 2021)

Il y a des raisons et des causes à la fois médicales et économiques pour une population mondiale considérable sur lesquelles le NYT nous alerte.

Pourquoi feraient-ils cela ?

Pour nous préparer à l’un des crimes les plus horribles de l’histoire moderne de l’humanité. : Inventer (c’est-à-dire d’origine humaine) un coronavirus  invincible.

Après une décision du Forum économique mondial (FEM), en janvier 2020, l’OMS a appelé le virus en janvier 2020 d’abord le SRAS-CoV-2 – du nom du virus du SRAS qui a frappé la Chine à partir de 2002-2003, puis, quelques semaines plus tard, l’OMS a rebaptisé cette « bête » invisible – instrument de fabrication de la peur – Covid-19.

Le choc soudain d’être exposé à une épidémie mondiale et à une pandémie (selon les nouveaux critères soudains de l’OMS) a créé une pandémie de peur en vertu de laquelle les gens sont vulnérables et acceptent tout – pratiquement dans l’espoir que le danger mortel disparaisse.

C’est ainsi qu’en vertu d’une décision du FEM, l’OMS a déclaré cette maladie, en fait mineure, le 11 mars 2020 comme une pandémie, alors qu’il n’y avait que dans le monde entier, selon les statistiques de l’OMS, que 44 279 cas positifs et 1 440 décès en dehors de la Chine. La peur a augmenté et la « doctrine du choc » a fonctionné. Les 193 pays membres de l’ONU ont accepté le verrouillage total de la mi-mars 2020 – et ce sans justification médicale. 

« The Shock Doctrine » (2007), de Naomi Klein, décrivant comment le capitalisme du désastre profite des situations de choc, naturelles ou provoquées par le mandat, pour mettre en œuvre de nouvelles règles et réglementations, qui autrement n’auraient pas été facilement acceptées.

Un autre exemple est le Patriot Act américain qui était en préparation depuis des années, bien avant le 11 septembre ; il n’attendait qu’une catastrophe – c’est-à-dire le 11 septembre – pour être adopté à la hâte et accepté par le Congrès américain. Il a supprimé environ 80 % des libertés des personnes et a converti les lois du pays en une loi martiale permanente – et il est toujours applicable aujourd’hui, même avec quelques ajouts pratiques pour l’élite financière régnante.

Imaginez ! Les 193 pays membres de l’ONU à la fois – une impossibilité épidémiologique. Pourtant, les gens du monde entier ont accepté la nouvelle règle – qui a finalement détruit l’économie mondiale, l’a décimée au point où les petites et moyennes entreprises ont été littéralement anéanties, mettant les chômeurs dans la rue, se débrouillant pour survivre, augmentant les taux de pauvreté dans le monde de manière exponentielle.

Le chômage et la famine ont explosé.

La conséquence, en particulier dans les pays du Sud global, le désespoir, la souffrance d’être sans abri, sans nourriture – conduisant souvent au suicide et, sinon à la mort par famine. Cependant, ces quelques milliardaires au sommet, qui prétendent bientôt gouverner l’Ordre mondial unique, ont augmenté leur fortune combinée en quelques mois seulement de quelque 200 milliards de dollars.

Le Programme alimentaire mondial – le PAM a estimé que la population totale souffrant d’une famine aiguë était de plus d’un quart de milliard (265 millions) d’ici la fin de 2020, environ la moitié d’entre eux sont liés aux covidés – et augmentent régulièrement. « Ces nouveaux chiffres montrent l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés », déclare le PAM. Beaucoup d’entre eux ne survivront pas, mais les chiffres précis ne sont pas connus. Au fil du temps, ils deviendront catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de décès. C’est le résultat de la criminalité élevée de la supra-cabale diabolique qui a inventé l’Agenda ID2020, l’Agenda 2030 de l’ONU, la Grande Réinitialisation [The Great Reset] – une souffrance mondiale criminelle, en particulier pour les personnes déjà pauvres et vulnérables.

Selon le Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste allemand, et comme le rapporte The New American le 16 avril 2021 dans un article intitulé « Covid shots to Decimate the World Population ».

Le Dr Bhakdi avertit que l’hystérie du COVID est basée sur des mensonges et que les « vaccins » COVID, en particulier le type ARNm, sont prêts à provoquer une catastrophe mondiale et une possible décimation de la population humaine.

Le Dr Bhakdi explique tout d’abord que le test PCR a été utilisé de manière abusive pour susciter la peur d’une manière non scientifique..

Ensuite, il explique ce que les vaccins à ARNm vont faire au corps humain.

Il s’attend notamment à une coagulation sanguine mortelle massive [déjà survenant] ainsi qu’à des réponses du système immunitaire qui détruiront le corps humain.

Enfin, Bhakdi, qui a nous mis en garde contre une « catastrophe » imminente lors d’une interview de Fox News, vidéo qui est devenue virale. Il en appelle à des poursuites pénales contre les responsables et à l’arrêt immédiat de cette expérience mondiale. Voir ce qui suit.

Cela fournit un certain contexte pour l’article du NYT – contexte que, bien sûr, le New York Times ne mentionne pas. Il semble que le souci du Times soit avant tout d’avertir et de préparer les gens à ce qui pourrait arriver, mais aussi de répandre la peur, de rendre les gens plus vulnérables, plus faibles, de briser encore plus le système d’autodéfense humain. Le type de langage utilisé dans l’article du NYT laisse un lecteur innocent sans défense, dans la crainte de « céder à ce qui pourrait arriver ». C’est précisément ce qu’ils veulent

Une perspective positive

Cependant, il y a de l’espoir. L’article du NYT ne mentionne pas l’ »Espoir ». La meilleure façon pour l’humanité de répondre à la menace planétaire Covid est de résister collectivement par tous les moyens à la vaccination et de s’opposer activement à la numérisation de vos données personnelles ainsi que de votre argent.

Vous résisterez ainsi à l’emprise de l’intelligence artificielle et à l’asservissement par une super élite financière.

Nous avons clairement en nous le pouvoir de vaincre cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans exception. Il s’agit de croire en nous-mêmes, en la force de la pensée collective positive et aimante – et en la puissance de la solidarité.

Nous avons clairement le pouvoir en nous de surmonter cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans faute. Il s’agit de croire en nous-mêmes, collectivement, en la force de la pensée positive et de l’amour  – et en la puissance de la solidarité.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Depopulation and the mRNA Vaccinele 15 juin 2021. Publié pour la première fois le 28 mai 2021.

Traduction par Maya pour Mondialisation.ca

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et coauteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sternues: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1 novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021




Présidentielle américaine : la progression à marche lente de la vérité

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Protestations des supporters de Donald Trump à Washington, le 14 novembre 2020
OLIVIER DOULIERY/AFP]

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir

Comme l’affirmait l’auteur du Meilleur des Mondes Aldous Huxley, « les faits ne cessent pas d’exister parce qu’on les ignore ». Dans son ouvrage prémonitoire, l’enseignement de l’histoire a disparu, jugée inutile tant le conditionnement des masses via les présélections, les traitements embryonnaires et les drogues est abouti. Nous n’en sommes pas encore là, même si les révélations actuelles attestent que le contrôle global est en route via cette politique mondiale de vaccination généralisée et la mise en place d’un pass sanitaire avec un QR code individuel.

Nouvelles du 6 janvier

Au beau milieu de cette crise sanitaire déclenchée par un virus modifié par gain de fonction échappé du laboratoire de Wuhan — les faits désormais établis grâce à la divulgation des mails du docteur Anthony Fauci début juin — la vérité se fait jour, en prenant les escaliers certes, mais elle progresse sur tous les fronts. Aux États-Unis, la dimension politique de cette crise se révèle six mois après les évènements du 6 janvier 2021, date à laquelle allait se jouer devant les chambres du Congrès la dernière étape du processus de validation des résultats de l’élection présidentielle. Le choix n’était pas aussi patent que le laissaient croire les représentants de l’État profond, élus démocrates et médias dominants en tête.

Nous l’avions évoqué sur France Soir : plusieurs États-clés avaient déposé des listes de choix alternatifs de leurs grands électeurs au vu des soupçons de fraudes rapportés via les témoignages publics organisés dans ces différents États dès la fin novembre, et une centaine de représentants du Congrès et de sénateurs avaient affirmé publiquement vouloir contester ces résultats. Le processus démocratique prévu par la Constitution américaine allait engendrer des débats houleux sous la direction du vice-président Mike Pence qui auraient pu s’étendre sur plusieurs jours et peser sur les résultats. Mais voilà : ce même jour, un assaut a bouleversé le calendrier, forçant l’évacuation des élus suite à l’envahissement du Capitole par des émeutiers. Tard dans la nuit, les résultats de l’élection ont été hâtivement entérinés sans qu’aucun débat n’ait lieu.

Grâce au travail remarquable du journaliste Darren Beattie, il semble de plus en plus avéré que le FBI ait largement contribué à organiser cet assaut opportun. Alors que la propagande médiatique poussait des cris d’orfraie face à cette intrusion immédiatement attribuée aux supporters de Donald Trump, la qualifiant d’assaut contre la démocratie, les soupçons étaient déjà patents d’une manifestation orchestrée pour garantir la mise sur le devant de la scène politique du duo Biden-Harris. Le 15 juin, Tucker Carlson, journaliste phare de Fox News, a été un des rares à interviewer D. Beattie à propos de son article expliquant l’infiltration par des agents du FBI des groupes extrémistes « antifa » et BLM (Black Lives Matter) ayant participé à l’effraction — et ce n’est pas la première fois —, des forces de l’ordre cagoulées incitant les manifestants à pénétrer dans le Capitole, corroborée par la non-divulgation de l’identité de ces agents. Christopher Wray, directeur du FBI, a esquivé la question lors de son audition au Sénat, alors que 14 000 heures d’enregistrement vidéo durant l’assaut sont en possession du FBI et n’ont pas été rendues publiques. Dans le langage du renseignement militaire, on qualifie cette tactique d’opération sous faux drapeau, menée en l’occurrence contre le choix électoral du peuple américain.

Avancée des audits

Le sondage du 23 juin effectué par Rasmussen, un des rares instituts indépendants, atteste que 55 % des Américains souhaitent des audits judiciaires complets pour vérifier la validité des résultats électoraux, tandis que 41 % pensent que Biden est un président illégitime.

Les coups bas du Deep State pour tenter par tous les moyens de faire cesser ces vérifications ne connaissent plus de limites. L’avocat Rudy Giuliani, figure publique américaine très appréciée, ancien procureur général associé et qui a gagné sa réputation d’incorruptible lorsqu’il était maire de New York, vient de voir sa licence suspendue par la cour, procédure normalement utilisée contre les avocats ayant négligé les affaires de leurs clients ou leur ayant extorqué des fonds. À nouveau les faits invoqués concernent les élections, la cour assurant que Rudy Giuliani aurait évoqué de faux témoignages dans sa mission de représentation du Président Trump pour démontrer les fraudes dans les États clés. Une procédure humiliante pour l’avocat, visiblement harcelé par une justice politisée qui utilise tous les moyens pour lui imposer le silence, et par ce biais attaquer Donald Trump. Le 28 avril dernier, des agents du FBI munis d’un mandat avaient déjà débarqué chez lui à 6 h du matin et saisi ses ordinateurs, smartphones et disques durs. Interviewé sur NewsMax, Rudy Giuliani a confirmé qu’il lui est en fait reproché d’avoir défendu son client Donald Trump. En près de 50 ans de carrière, il a ajouté n’avoir jamais connu un système judiciaire aussi biaisé et rappelé que les audits sont parfaitement légaux. Son avocat John Leventhal, ancien juge de la Cour suprême de New York, va faire appel.

L’audit en cours dans le comté de Maricopa représente de ce fait un enjeu majeur et là aussi les attaques pour empêcher son déroulement se sont multipliées : que ce soit de la part du shérif local ou de l’équipe des fonctionnaires en charge de l’organisation des élections. Les représentants de l’État de l’Arizona ont annoncé que l’audit devrait se terminer fin juin. Les auditeurs, conscients que leur travail doit être incontestable, prennent le temps nécessaire. Une fois le processus terminé, d’autres travaux concernant la vérification des machines de vote et des tabulateurs seront effectués en juillet et un rapport final publié courant août. D’après différentes sources, le nombre de bulletins frauduleux, invalides ou manquants est colossal. Une fois publié le rapport d’audit de l’Arizona dont plusieurs élus crédibles ont validé la qualité et la pertinence, il sera difficile de ne pas dé-certifier l’élection.

Michael McDonald, chef du parti républicain du Nevada, un autre État-clé, a rendu visite au site de l’audit à Phoenix le 8 juin et annoncé à la presse que son État devrait mener un audit similaire des résultats à Las Vegas, comté le plus peuplé, alors que Biden a remporté le Nevada avec une marge de 33 000 votes. La demande de McDonald a cependant peu de chances d’aboutir, le Sénat étant à majorité démocrate.

Simultanément dans l’État du Michigan, les patriotes réclament avec insistance un audit judiciaire complet, après celui conduit par l’avocat Matthew Deperno et son équipe dans le comté d’Antrim et qui a renversé les résultats. Un de leurs experts a examiné les machines de vote, leur software et les tabulateurs qui scannent les bulletins de vote. Il a montré devant les caméras d’OAN comment les votes sont intervertis de Trump à Biden par la machine.  Mais les représentants de l’État n’ont visiblement pas envie de répondre favorablement à la demande des citoyens. Les élus républicains ont produit un rapport affirmant qu’ils n’avaient pas trouvé de bulletins illégitimes, rapport bâclé qualifié de honteux par les commentateurs.

L’État de Géorgie est une fois de plus sur la sellette après la publication d’un nouveau rapport par Carter Jones, contractuel ayant observé les fonctionnaires du bureau électoral du comté de Fulton scannant les mêmes bulletins de vote deux à trois fois de suite. Ces manœuvres ont eu lieu après 22 heures, après avoir sommé les observateurs de quitter les lieux, prétendant suspendre la validation des bulletins jusqu’au lendemain matin. Ce rapport vient entériner les enregistrements vidéo en temps réel déjà présentés lors des auditions publiques du mois de décembre 2020. Il est incompréhensible que les autorités n’aient pas dé certifié les résultats avec de telles preuves. Dans cet État aussi, une campagne d’intimidation se déroule via les médias locaux. L’enjeu est d’autant plus important que l’élection présidentielle a été suivie d’une élection sénatoriale le 5 janvier qui a donné une courte victoire aux candidats démocrates, faisant perdre la majorité au Sénat aux républicains.

L’ancien commissaire de police de New York Bernie Kerik, spécialiste de la surveillance des casinos, a comparé l’excellence de l’audit mené en Arizona au degré d’expertise appliqué dans sa profession pour confondre les tricheurs. Il appelle à des audits judiciaires similaires en Géorgie et en Pennsylvanie où les fraudes ont été massives. Il a déclaré d’une part que le gouverneur Brian Kemp et Brad Raffensperger le secrétaire d’État ont certifié les élections en Géorgie alors qu’ils savaient fort bien que ces résultats étaient erronés, ce qui est criminel.  Quant à la Pennsylvanie, d’après ses informations, Trump a gagné de plus d’un million de voix. Et les évidences font le prouver.

Prochain événement organisé par Mike Lindell

A ce stade des enquêtes, il est possible d’affirmer que Trump a remporté largement les 5 États clés et aurait dû gagner l’élection présidentielle. Les faits ne vont pas disparaître parce que les médias les ignorent, les travestissent ou même les combattent. Les audits judiciaires prennent du temps, mais vont le prouver. Mike Lindell, l’entrepreneur moqué par la presse et ignoré des commentateurs de la vie politique, organise courant juillet une journée ouverte aux spécialistes, du moment qu’ils prouvent leur habilitation, pour leur exposer les analyses des cyberattaques et les résultats qu’il a présentés dans ses documentaires. Ces experts pourront examiner en direct les fameux pcaps ou packet captures retraçant dans le détail les attaques informatiques menées le 3 novembre et les deux jours suivants et qui ont converti les votes de Trump vers Biden. La conférence sera retransmise en vidéo.

Trump a affirmé à plusieurs reprises qu’il fallait « assécher le marais » : manifestement, les protagonistes résistent de toutes leurs forces. Ces vérités vont ébranler les fondements mêmes de la démocratie américaine. Alors, conséquences objectives de la véracité des faits ou contrôle accru des masses : l’avenir nous le dira.

Auteur(s): Elisabeth Dancet, journaliste pour FranceSoir




Incroyable : l’Europe et Biden lancent en catimini un nouveau projet contre les peuples !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

Retenez bien ce nom de « CCT » entre l’UE et l’Amérique de Biden ! Retour du TAFTA, censure des réseaux sociaux. L’oligarchie se dévoile ! À nous de nous battre.

Florian Philippot




Les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

[Source : Le Saker Francophone]

De Russell et Hilbert à Wiener et Harari : les inquiétantes origines de la cybernétique et du transhumanisme

Par Matthew Ehret – Le 31 mai 2021 − Source Strategic Culture

Comme je l’ai souligné dans mon précédent article sur le choc de deux systèmes, la fin du 19e siècle a vu un affrontement majeur entre deux paradigmes opposés de l’économie politique, affrontement qui a été largement gommé des livres d’histoire.

Tout comme aujourd’hui, deux systèmes opposés se caractérisaient, d’une part, par une demande de contrôle centralisé du monde par une élite unipolaire désireuse de s’élever au-dessus de l’influence des États-nations souverains, tels des dieux modernes de l’Olympe, tandis que l’autre était fondé sur une conception « multipolaire » d’une communauté d’États-nations souverains travaillant ensemble sur des infrastructures et des progrès technologiques à grande échelle. L’un était fondé sur des normes économiques malthusiennes de système fermé, s’adaptant à des rendements décroissants, tandis que l’autre était fondé sur des normes de progrès scientifique continu générant des sauts créatifs hors des contraintes de ressources limitées.

Dans cette troisième partie, je continuerai à suivre les racines des idées toxiques qui caractérisent le paradigme unipolaire d’aujourd’hui, celui qui se cache derrière le « Grand reset » de la civilisation mondiale écrite par des milliardaires. Dans ce Reset, des gens comme Klaus Schwab nous disent qu’une « quatrième révolution industrielle » entraînera non seulement une vaste automatisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle à tous les niveaux de la société, mais aussi une fusion de l’humanité avec les machines. Des personnalités comme Elon Musk et Ray Kurzweil de Google, affirment que cette fusion est nécessaire pour « rester pertinent » dans la prochaine phase de notre évolution. L’homme de Davos, Yuval Harari, s’est fait l’écho du fait que les leviers de l’évolution seront désormais déplacés du caractère aléatoire de la nature vers les nouveaux dieux qui dirigent Google, Facebook et le World Economic Forum.

Cette foi déterministe de type Borg dans la synthèse homme-machine qui imprègne la pensée de tous les transhumanistes modernes est à la fois cultuelle, effrayante et tout simplement erronée. Cependant, sans une évaluation correcte des racines historiques de ces idées qui menacent de faire dérailler la civilisation mondiale en un effondrement dystopique, il est impossible de comprendre quoi que ce soit de fondamental sur les 120 dernières années d’expérience humaine, et encore moins de voir où se trouvent les failles fatales du système d’exploitation du Great Reset / Transhumanisme.

Dans la première partie de notre série, nous avons exploré en détail les racines eugéniques du transhumanisme en nous concentrant sur la création de l’UNESCO par Julian Huxley, où le mandat de « rendre l’impensable pensable » a guidé la restauration d’un nouvel eugénisme pendant la guerre froide.

Dans la deuxième partie, nous avons exploré la montée en puissance des groupes de réflexion britanniques du 19e siècle, conçus pour perturber l’évolution naturelle d’un nouveau système de coopération gagnant-gagnant mis en place à la fin du 19e siècle. Ce nouveau grand dessein a été innové par le X Club de Thomas Huxley afin de rétablir l’Empire britannique comme seule puissance unipolaire sur la planète. La conception de Huxley a tenté non seulement d’unifier toutes les branches des sciences sous un modèle descriptif dépourvu de toute découverte créative réelle, mais aussi d’utiliser une nouvelle définition de la « loi naturelle scientifique » pour imposer agressivement l’économie politique impériale sur le monde.

La danse des mathématiques et de la physique : Qui mène et qui suit ?

Au cours des premiers mois du nouveau siècle, un événement majeur a eu lieu qui a largement contribué à la mission de Huxley. La Conférence sur l’avenir des mathématiques, qui s’est tenue en août 1900, fut un événement mondial attirant plus de 160 des plus grands mathématiciens qui souhaitaient s’attaquer aux problèmes de pointe de la science et traiter de la relation entre la physique et les mathématiques. De toute évidence, ces deux domaines dansaient ensemble, mais la question demeurait : lequel mènerait et lequel suivrait ?

Compte tenu qu’à cette époque la population mondiale était encore bien inférieure à deux milliards d’habitants, la densité des découvertes scientifiques dans tous les domaines se produisait à un rythme jamais vu dans l’histoire de l’humanité. Qu’il s’agisse de nouvelles découvertes en biologie, en embryologie, en physique atomique, en électromagnétisme, en aérodynamique ou en chimie, la réponse à la question « maths contre physique » devenait de plus en plus évidente. Le fait est que la croissance des connaissances humaines dépassait rapidement les limites du langage mathématique utilisé par les scientifiques. Avec le temps, de nouveaux systèmes mathématiques seraient développés pour décrire les nouvelles découvertes, mais personne ne pouvait nier que la pensée créative menait la danse. Ce qui était également indéniable, c’était l’avantage que ces nouvelles idées avaient apporté en améliorant les conditions de vie d’innombrables personnes, grâce aux bonds en avant scientifiques et technologiques.

Hilbert et Russell façonnent un nouveau paradigme

Deux figures particulièrement importantes, Lord Bertrand Russell et le mathématicien de Gottingen, David Hilbert, ont joué un rôle de premier plan dans le sabotage de la science lors de la conférence de Paris de 1900 et dont les idées sont inextricablement liées à l’évolution ultérieure de l’eugénisme, de la cybernétique et du transhumanisme sont l’apôtre de Cambridge.

Le duo ne visait rien de moins que la réduction de l’univers entier à une série de propositions et d’axiomes mathématiques finis et cohérents.

Au cours de cette conférence, Hilbert a annoncé ses 23 problèmes pour les mathématiques qui devraient être résolus par les mathématiciens du 20e siècle. Si beaucoup de ces problèmes étaient réellement importants, les plus destructeurs, pour l’objet de cet article, tournaient autour de la nécessité de « prouver que tous les axiomes de l’arithmétique sont cohérents » [problème 2] et d’« axiomatiser les sciences physiques dans lesquelles les mathématiques jouent un rôle important » [problème 6].

Il a fallu 13 ans à Russell pour atteindre cet objectif sous la forme de ses Principia Mathematica (coécrites avec son ancien instructeur et apôtre de Cambridge, Alfred North Whitehead).

Le nom « Principia Mathematica » a été choisi explicitement comme un hommage aux « Principia Mathematica » de Newton, publiées 200 ans plus tôt. Au moment du lancement du projet Russell-Hilbert, en 1900, les interprétations plates de l’espace-temps physique d’Euclide et de Newton s’effondraient rapidement avec l’arrivée des nouvelles découvertes de Riemann, Curie, Weber, Planck et Einstein qui démontraient toutes que la forme de l’espace-temps physique avait un caractère vivant et créatif. Avec chaque découverte créative, une interconnexion réciproque entre l’espace intérieur « subjectif » de la cognition humaine et l’espace extérieur « objectif » de l’univers découvrable était de plus en plus fermement établie.

Exemplaire de cette belle perspicacité et de cette passion pour la recherche de l’inconnu qui était commune aux grands scientifiques durant cette période révolutionnaire fertile, Einstein déclarait : « Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde. Je ne suis pas intéressé par tel ou tel phénomène, par le spectre de tel ou tel élément. Je veux connaître Ses pensées ; le reste n’est que détails ».

Reflétant à sa manière ce même point de vue, Max Planck déclarait : « La science rehausse la valeur morale de la vie, parce qu’elle favorise l’amour de la vérité et la révérence – l’amour de la vérité se manifestant dans l’effort constant pour parvenir à une connaissance plus exacte du monde de l’esprit et de la matière qui nous entoure, et la révérence, parce que chaque progrès de la connaissance nous met face au mystère de notre propre être ».

L’entropie en système fermé doit définir l’univers !

Les mathématiques entropiques en système fermé de Russell étaient le reflet direct de sa vision misanthropique d’une humanité vouée à l’entropie, ce que l’on peut voir explicitement dans sa déclaration de 1903 :

Que l’homme est le produit de causes qui n’avaient aucune prévision de la fin qu’elles atteignaient ; que son origine, sa croissance, ses espoirs et ses craintes, ses amours et ses croyances, ne sont que le résultat de collocations accidentelles d’atomes ; qu’aucun feu, aucun héroïsme, aucune intensité de pensée et de sentiment, ne peut préserver la vie individuelle au-delà de la tombe ; que tous les travaux des âges, toute la dévotion, toute l’inspiration, tout l’éclat de midi du génie humain, sont destinés à s’éteindre dans la vaste mort du système solaire, et que tout le temple de l’accomplissement de l’homme doit inévitablement être enterré sous les débris d’un univers en ruines – toutes ces choses, si elles ne sont pas tout à fait incontestables, sont cependant si presque certaines qu’aucune philosophie qui les rejette ne peut espérer tenir… Ce n’est qu’à l’intérieur de l’échafaudage de ces vérités, que sur les fondations solides d’un désespoir inflexible, que la demeure de l’âme peut désormais être construite en toute sécurité.

Lorsque l’on se demande quel ensemble de vues métaphysiques a la plus grande prétention à la vérité, il convient de se poser la question suivante : Qui a réellement fait des découvertes démontrables sur la création et qui s’est contenté de formuler des modèles genre tour d’ivoire dépourvus de tout élément réel de découverte ?

Dans l’esprit de Russell, la formule du succès reposait en partie sur son obsession de l’équilibre mathématique en toutes choses. Appliqué à la société, il n’est pas étonnant que Russell ait été un fervent malthusien et un promoteur à vie de l’eugénisme et du contrôle de la population. L’une des nombreuses démonstrations de ce point de vue dégoûtant a été faite en 1923 dans son ouvrage « Prospects of Industrial Civilization », où l’ingénieur social déclare :

Le socialisme, en particulier le socialisme international, n’est possible en tant que système stable que si la population est stationnaire ou presque. On peut faire face à une augmentation lente en améliorant les méthodes agricoles, mais une augmentation rapide doit à la fin réduire toute la population à la pénurie… la population blanche du monde cessera bientôt d’augmenter. Les races asiatiques mettront plus longtemps, et les nègres encore plus longtemps, avant que leur taux de natalité ne diminue suffisamment pour rendre leur nombre stable sans l’aide de la guerre et de la peste… Jusqu’à ce que cela arrive, les avantages visés par le socialisme ne peuvent être que partiellement réalisés et les races moins prolifiques devront se défendre contre les plus prolifiques par des méthodes qui sont dégoûtantes même si elles sont nécessaires.

Les écrits ultérieurs de Russell dans « The Scientific Outlook » (1930) étendent sa vision d’une société mondiale stationnaire à la réforme de l’éducation, où il définit la nécessité d’avoir non pas un, mais deux modes d’éducation distincts : un pour la classe des maîtres qui deviendront les dirigeants et un pour la classe inférieure des esclaves. Russell décrit les deux castes dans les termes suivants, pleins de sang-froid :

Les dirigeants scientifiques fourniront un type d’éducation pour les hommes et les femmes ordinaires, et un autre pour ceux qui doivent devenir les détenteurs du pouvoir scientifique. On attendra des hommes et des femmes ordinaires qu’ils soient dociles, industrieux, ponctuels, insouciants et satisfaits. Parmi ces qualités, le contentement sera probablement considéré comme la plus importante. Pour le produire, tous les chercheurs de la psychanalyse, de l’étude du comportement et de la biochimie seront réunis sur le site ….. Tous les garçons et les filles apprendront dès leur plus jeune âge à être ce que l’on appelle « coopératifs », c’est-à-dire à faire exactement ce que tout le monde fait. L’initiative sera découragée chez ces enfants, et l’insubordination, sans être punie, sera scientifiquement éduquée chez eux.

Pour la classe dirigeante : 

« Sauf pour la seule question de la loyauté envers l’État mondial et envers leur propre ordre, explique Russell, les membres de la classe dirigeante seront encouragés à être aventureux et pleins d’initiative. Il sera reconnu que c’est leur affaire d’améliorer la technique scientifique et de maintenir les travailleurs manuels satisfaits au moyen de nouveaux amusements continus. »

Tous les écrits ultérieurs de Russell prônant des bombardements nucléaires préventifs de la Russie, un gouvernement mondial dirigé par une dictature scientifique et l’enseignement aux enfants de la croyance que « la neige est noire » doivent être lus en gardant à l’esprit sa vision philosophique raciste du monde.

Norbert Wiener et l’essor de la cybernétique

En 1913, alors que le troisième et dernier volume des Principia Mathematica de Russell était en cours d’impression, un jeune mathématicien arrive à Cambridge, en provenance des États-Unis, avec une bourse d’études. Cet adolescent s’appelait Norbert Wiener et il s’est rapidement retrouvé dans un petit groupe de garçons encadrés de près par Bertrand Russell et David Hilbert. Sous la direction de Russell, Wiener apprend la logique et la philosophie, tandis que Hilbert lui enseigne les équations différentielles. En parlant de Russell, Wiener a dit : « Lorsque je suis venu étudier auprès de Bertrand Russell en Angleterre, j’ai appris que j’avais raté presque toutes les questions d’une véritable importance philosophique ». Il a qualifié Hilbert de « seul génie vraiment universel des mathématiques ».

Tout au long de sa vie, Wiener a été possédé par l’obsession d’exprimer le système logique fermé de Russell de manière pratique.

Malgré le fait qu’un jeune génie leibnizien du nom de Kurt Gödel ait mis un frein majeur au programme des Principia de Russell en démontrant brillamment, en 1931, qu’aucun système logique ne pourrait jamais être vraiment cohérent avec lui-même en raison de la nature autoréflexive de tous les systèmes existants, Russell a poussé son projet à fond et Wiener en a été le principal apôtre.

Parmi les autres « Russellites » sur les théories sur l’apprentissage automatique, on comptait Alan Turing, Oskar Morgenstern, Claude Shannon et John von Neumann. Si chaque mathématicien avait sa propre innovation à offrir, ils étaient tous unis par la foi inébranlable que l’esprit humain était un mélange d’impulsions bestiales guidées par une logique de machine en système fermé, et rien de plus. Dans un ordinateur, le tout n’est que la somme des parties, et il doit en être de même dans tous les systèmes d’information, y compris les cerveaux humains, les écosystèmes et l’univers dans son ensemble. Les principes « métaphysiques » tels que l’âme, le but, Dieu, la justice et le libre arbitre n’avaient pas leur place dans l’esprit de ces froids calculateurs humains.

À la fin de la Seconde Guerre mondiale, les travaux de Wiener sur les boucles de rétroaction dans l’aéronautique et les radars ont conduit le mathématicien à concevoir un nouveau langage pour la gestion des systèmes humains complexes, dont il a rapidement découvert qu’il avait des applications dans le commerce et les affaires militaires de nations entières. Le terme qu’il a donné à ce nouvel outil de contrôle est « cybernétique ». En décrivant son invention, Weiner a déclaré :

Cybernétique, que j’ai dérivé du mot grec Kubernetes, ou steersman, le même mot grec qui nous a donné le mot de gouverneur.

En s’appuyant sur des machines informatiques binaires à système fermé comme modèle pour les esprits humains, Weiner a exigé que les concepts métaphysiques soient supposés n’avoir aucune existence au-delà des caractéristiques purement physiques des propriétés électrochimiques mesurables du cerveau. En décrivant cet analogie ordinateur-esprit, Weiner déclarait : « Il nous est apparu clairement que la machine à calculer ultra rapide, dépendant comme elle le fait de dispositifs de commutation consécutifs, doit représenter un modèle presque idéal des problèmes qui se posent dans le système nerveux » et que « le problème de l’interprétation de la nature et des variétés de la mémoire chez l’animal a son parallèle dans le problème de la construction de mémoires artificielles pour la machine ».

La cybernétique au service de la gouvernance mondiale

Prévoyant l’inévitabilité de systèmes de contrôle global de l’information (et donc de contrôle politique total par une classe dirigeante semblable à un dieu) ainsi que de l’intelligence artificielle, Weiner a écrit : « Là où va la parole d’un homme et là où va son pouvoir de perception, à ce point son contrôle, et en un sens son existence physique, sont étendus. Voir et donner des ordres au monde entier revient presque à être partout. »

La clé pour comprendre l’attrait de la cybernétique pour une dictature scientifique désireuse d’une omniscience et d’une omnipotence totales est la suivante : Dans le contexte d’un grand bateau, seul le timonier doit avoir une idée de l’ensemble. Tous les autres ne doivent comprendre que leur rôle local compartimenté.

Avec l’application de la cybernétique à l’organisation des systèmes économiques (telle qu’elle a été réalisée par Sir Alexander King de l’Organisation de coopération et de développement économiques et appliquée dans les gouvernements transatlantiques au cours des années 1960 et 1970), de vastes bureaucraties complexes ont émergé avec seulement de petits nœuds de « timoniers » intégrés dans le nouveau complexe de l’État profond qui avaient accès à une vision d’ensemble. C’était le système d’exploitation parfait pour une technocratie supranationale à utiliser pour contrôler les leviers du Nouvel Ordre Mondial.

L’un des praticiens les plus enthousiastes de ce nouveau système au cours de cette période de transformation a été Pierre Elliot Trudeau (le premier ministre du Canada nouvellement imposé) qui a façonné une vaste révolution cybernétique du gouvernement canadien entre 1968 et 1972 sous le contrôle du Bureau du Conseil privé. Au cours d’une conférence sur la cybernétique dans le gouvernement, en novembre 1969, Trudeau déclarait : 

« Nous sommes conscients que les nombreuses techniques de la cybernétique, en transformant la fonction de contrôle et la manipulation de l’information, vont transformer toute notre société. Avec cette connaissance, nous sommes bien éveillés, alertes, capables d’agir ; nous ne sommes plus des aveugles, des puissances inertes du destin. »

Trudeau a travaillé en étroite collaboration avec Sir Alexander King à la formation d’une nouvelle organisation, le Club de Rome, qui a eu un impact profond sur la gouvernance mondiale, de 1968 à aujourd’hui. Trudeau était un fervent partisan de cette nouvelle organisation qui est devenue un centre de revivification néo-malthusien au début des années 1970. Trudeau a même présidé le Club de Rome canadien et a alloué des fonds pour financer l’étude du Club de Rome au MIT, intitulée « Limits to Growth », qui est devenue la bible de l’organisation environnementale moderne.

Alexander King, et le modèle informatique rendu célèbre par Limits to Growth, a imposé un nouveau schisme entre le désir de l’humanité de se développer et le désir supposé de la nature de se conserver par équilibre mathématique.

Contrairement à Russell qui niait tous les cas d’anti-entropie, Weiner admettait l’existence d’îlots isolés d’anti-entropie limitée, dans le cas de la biologie et des systèmes humains qui avaient tendance à fonctionner de manière à voir l’entropie (alias : la tendance des systèmes à s’effondrer en équilibre) diminuer. Cependant, tout comme Russell, Wiener pensait que la cybernétique et la théorie de l’information étaient entièrement façonnées par l’entropie, affirmant :

La notion de quantité d’information s’attache très naturellement à une notion classique de la mécanique statistique : celle d’entropie. [alias : la deuxième loi de la thermodynamique].

Dans l’esprit de Wiener, la loi dominante de l’univers comme un lieu fini en décomposition façonné par la mort qui détruirait inévitablement les états limités de vie anti-entropique qui se produisait purement par hasard dans des parties aléatoires de « l’espace » et dans « le temps » lui faisait dire, en 1954 :

Il est très probable que tout l’univers qui nous entoure mourra de mort thermique, et que le monde sera réduit à un vaste équilibre de température dans lequel rien de vraiment nouveau ne se produira jamais. Il ne restera rien d’autre qu’une morne uniformité.

L’entropie d’un système fermé ne peut que croître

Les conférences Macy sur la cybernétique

De 1943 à 1953, la cybernétique de Wiener et son corollaire, la théorie de l’information, sont devenus le point de ralliement d’un nouveau sacerdoce scientifique qui rassemblerait les principaux penseurs de toutes les branches de la connaissance, dans le même effort que celui déployé précédemment par le timonier du XIXe siècle Thomas Huxley et son Royal Society X Club.

Ces conférences étaient financées par la Fondation Josiah Macy, créée par le général Marlborough Churchill (un cousin de Winston Churchill) en 1930, dans le but premier de canaliser des fonds vers la recherche eugénique aux États-Unis et en Allemagne, parallèlement à son organisation sœur, la Fondation Rockefeller. Cette dernière financera l’eugéniste nazi, Ernst Rudin, de 1928 à 1930, tout en parrainant les recherches menées par les sociétés eugénistes britannique et américaine.

Comme le souligne Anton Chaitkin dans son ouvrage « British Psychiatry from Eugenics to Assassination », le fondateur et contrôleur de la Fondation Macy, le général Marlborough, avait auparavant dirigé la Chambre noire des services secrets militaires de 1919 jusqu’à sa dissolution en 1929. La Chambre noire était en étroite relation avec les services de renseignement britanniques et a servi de prédécesseur à ce qui deviendrait plus tard la National Security Agency (NSA).

Débutant en 1945 et ayant désespérément besoin d’empêcher la propagation du système américain d’économie politique et d’un New Deal international mis en place par le président anti-impérialiste Franklin D. Roosevelt, les conférences de Macy sur la cybernétique ont commencé à se réunir tous les six mois, rassemblant des psychiatres, des biologistes, des neurologues, des ingénieurs informatiques, des sociologues, des économistes, des mathématiciens et même des théologiens, tous liés à l’institut Tavistock. Wiener a décrit ces conférences qui ont façonné le cours des 75 années suivantes en disant : « pour l’organisation humaine, nous avons demandé l’aide des anthropologues Docteurs [Gregory] Bateson et Margaret Mead, tandis que le Dr [Oskar] Morgenstern de l’Institute of Advanced Study était notre conseiller dans le domaine important de l’organisation sociale appartenant à la théorie économique… Le Dr [Kurt] Lewin représentait les travaux les plus récents sur l’opinion de l’échantillonnage de l’opinion et la pratique de la prise d’opinion ».

L’ingénierie sociale au service de l’après-guerre

Pour ceux qui l’ignorent, le Dr Bateson était l’un des principaux contrôleurs du programme MK Ultra de la CIA, qui s’est déroulé de 1952 à 1973 sous la forme d’une opération secrète de plusieurs milliards de dollars destinée à étudier les effets de la « dépatternisation » [briser les schémas mentaux qui structure le psychisme, NdT] des individus et des groupes à l’aide d’un mélange d’électrochocs, de torture et de drogues. Oskar Morgenstern est l’innovateur de la « théorie des jeux », qui a joué un rôle dominant dans la planification militaire de la guerre du Viêt Nam et dans les systèmes économiques pendant les 70 années suivantes. Le Dr Kurt Lewin, un éminent psychiatre de la clinique Tavistock de Londres et membre de l’école de Francfort, a organisé un programme concerté visant à éliminer la maladie qu’est le patriotisme national, la croyance en la vérité et l’amour de la famille, pendant toute la période de la guerre froide.

Un membre éminent de la conférence et planificateur de cette opération s’appelait Sir Julian Huxley – un eugéniste de premier plan et un grand stratège impérial qui travaillait en étroite collaboration avec son collègue Bertrand Russell, un dirigeant de la Fabian Society. Huxley partageait la croyance dévote de Russell et Wiener en l’entropie universelle, déclarant en 1953 :

On ne trouve nulle part, dans toute cette vaste étendue, la moindre trace d’un but, ou même d’une signification prospective. Tout est mené par des forces physiques aveugles, une gigantesque danse de jazz de particules et de radiations dans laquelle la seule tendance générale que nous ayons pu détecter jusqu’à présent est celle résumée dans la deuxième loi de la thermodynamique – la tendance à l’épuisement.

Alors qu’il commençait à formuler son concept de « transhumanisme » et qu’il organisait les conférences cybernétiques de Macy, Julian a trouvé le temps de créer l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) en 1946 en rédigeant son manifeste fondateur. Sa vision entropique de la biologie et de la physique s’exprime clairement dans ses opinions politiques, qui font froid dans le dos :

La morale de l’UNESCO est claire. La tâche qui lui a été confiée de promouvoir la paix et la sécurité ne pourra jamais être entièrement réalisée par les moyens qui lui ont été assignés – éducation, science et culture. Elle doit envisager une certaine forme d’unité politique mondiale, que ce soit par le biais d’un gouvernement mondial unique ou autrement, comme le seul moyen certain d’éviter la guerre… dans son programme éducatif, elle peut souligner la nécessité ultime d’une unité politique mondiale et familiariser tous les peuples avec les implications du transfert de la pleine souveraineté de nations séparées à une organisation mondiale.

Travaillant en tandem avec l’Organisation Mondiale de la Santé, elle-même créée par un psychiatre de Tavistock nommé G. Brock Chrisholm, et entièrement financée par la Fondation Macy, Huxley organisa la création de la Fédération Mondiale de la Santé Mentale (WFMH) supervisée par Montagu Norman de la Banque d’Angleterre et dirigée par le chef de la Clinique Tavistock de Londres, le Major Général John Rawlings Rees, que Montagu nomma directement.

Chaitkin souligne que parmi les premiers projets organisés conjointement par la WFMH et la Fondation Macy figurent les « Conférences sur les problèmes de santé et de relations humaines en Allemagne » en 1949-1950, qui ont permis d’ancrer la thèse de la personnalité autoritaire, venant de l’école de Francfort, dans l’esprit de tous les enfants allemands. Le but était de persuader le peuple allemand que la faute de l’ascension d’Hitler au pouvoir n’était pas à chercher dans les conspirations internationales ou les manipulations de la City de Londres/Wall Street… mais plutôt dans la disposition « psychologique-génétique autoritaire » du peuple allemand lui-même. Ce programme était supervisé par le directeur de Tavistock, Kurt Lewin, qui était devenu à cette époque une figure de proue de l’École de Francfort et l’innovateur d’une nouvelle technique de lavage de cerveau appelée « formation à la sensibilité », qui reposait largement sur l’utilisation de complexes de culpabilité et de pression de groupe pour briser la volonté d’un groupe cible, soit dans une salle de classe, soit sur le lieu de travail, et forcer tout penseur original à absorber la pensée de groupe. Le travail de Lewin avec le WFMH et Tavistock est également devenu le fondement des doctrines de la théorie critique d’aujourd’hui qui menacent de saper toute la portée de la civilisation occidentale.

Dans la mesure où les individus pensent par eux-mêmes et sont dirigés intérieurement par les facteurs 1) de la raison créatrice et 2) de la conscience, les systèmes de pensée collective ne se comportent plus selon le type de règles d’entropie et d’équilibre statistiquement prévisibles que les oligarques et les technocrates avides de contrôle exigent. En effaçant ce facteur d’« imprévisibilité » par l’argument selon lequel tous les dirigeants qui professent la vérité sont simplement des « personnalités autoritaires » et de « nouveaux Hitler », la vertu des foules a été élevée au-dessus de la vertu du génie et de l’initiative individuels, ce qui continue de plomber le monde à ce jour.

Les conférences sur la cybernétique ont évolué tout au long des années 1960-1970, se retrouvant de plus en plus intégrées à des organisations internationales comme les Nations Unies, l’Organisation mondiale de la santé, l’OTAN et l’OCDE. Au fur et à mesure de cette intégration, les nouveaux technocrates sont devenus de plus en plus influents dans la définition des normes du nouveau système d’exploitation mondial. Pendant ce temps, les gouvernements nationaux ont été de plus en plus débarrassés des leaders moraux nationalistes comme John F. Kennedy, Charles De Gaulle, Enrico Mattei et John Diefenbaker, ce qui a entraîné l’intégration de l’analyse des systèmes et de la cybernétique dans le cadre de gouvernance du nouvel État profond international.

Alors que Julian Huxley a inventé le terme « transhumanisme » en 1957, le culte de l’intelligence artificielle guidé par la croyance en la fusion inévitable de l’homme et de la machine s’est développé de plus en plus avec des événements majeurs tels que la thèse de la symbiose homme-ordinateur de J.C.R Licklider de 1960 et l’application de ces systèmes dans des programmes du ministère de la défense comme les systèmes de commandement des wargames, le SAGE (Semi Automatic Ground Environment) et les réseaux d’avions à réaction sans pilote. Les dyades ordinateur-soldat à cognition augmentée de la DARPA sont une autre expression de cette idée perverse, avec des centaines de millions de dollars dépensés pour la création de soldats cyborgs améliorés.

Au fil des ans, les adeptes de ce nouveau culte se sont rapidement retrouvés à la barre du nouveau navire mondial qu’est la Terre, donnant naissance à une nouvelle classe élitiste mondiale de technocrates et d’oligarques uniquement fidèles à leur caste et à leur idéologie, s’efforçant de façonner leur esprit toujours plus étroitement au modèle de machines informatiques, capables de logique mais pas d’amour ni de créativité. Plus ces technocrates cultes comme Yuval Harari, Ray Kurzweil, Bill Gates ou Klaus Schwab pensent comme des ordinateurs froids, tout en amenant les masses de la terre à faire de même, plus la thèse selon laquelle « les ordinateurs doivent évidemment remplacer la pensée humaine » peut être maintenue.

Matthew Ehret

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone


[Voir aussi :
Vie et mort des systèmes
La loi de dégradation ou d’augmentation du désordre et du chaos
Note sur la respiration de l’Humanité
Note sur l’illusion de l’« information »
Vers l’IA ou vers l’Humanité
Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle
Tous surhumains demain?
Le cerveau électronique]




L’Angleterre s’apprête à abandonner les règles relatives aux masques faciaux après la révélation d’un énorme impact économique

[Source : Aube Digitale]

L’Angleterre s’apprête à abandonner toutes les règles relatives aux masques faciaux le 19 juillet après qu’il a été révélé que le maintien de ces restrictions coûte des milliards à l’économie et obligera de nombreuses entreprises à fermer.

« L’obligation de porter des masques dans les transports publics et dans les magasins sera remplacée par des conseils sur le port de masques dans certaines circonstances, plutôt que de les imposer », rapporte le Times.

Cette décision fait suite aux conclusions d’une évaluation interne de l’impact économique produite par le programme de recherche sur les événements du gouvernement, qui détaillait l’impact massif des mesures de distanciation sociale sur les entreprises.

Politico Playbook révèle que « le maintien de toute mesure coûterait des milliards à l’économie et entraînerait la fermeture de nombreuses entreprises ».

Plus précisément, les lieux couverts où l’on peut s’asseoir, comme les arts, les cinémas et les événements commerciaux, ne réaliseraient que 59 % de leur chiffre d’affaires de 2019 si les restrictions étaient maintenues, ce qui leur coûterait la somme énorme de 4,88 milliards de livres sterling au cours de l’année prochaine.

Même si la seule restriction maintenue est celle des masques faciaux, « l’ensemble du secteur des événements n’atteindrait que 82 % de son chiffre d’affaires de 2019. Les sites intérieurs avec sièges n’obtiendraient que 72 %. Les lieux intérieurs sans places assises seulement 65 %. Les sites extérieurs sans sièges n’atteindraient que 82 % de leur chiffre de 2019. »

Le secteur de l’événementiel dans son ensemble ne rapporte que 60 pour cent des recettes normales dans le cadre des restrictions actuelles, qui se poursuivront probablement jusqu’au 19 juillet.

Cependant, avec certains conseillers du gouvernement (à savoir un ancien communiste) poussant pour que les restrictions se poursuivent littéralement pour toujours, ne soyez pas surpris de voir certaines d’entre elles réintroduites en hiver.

Mais avec les passeports vaccinaux pour les pubs encore à l’étude, tout retour des restrictions n’affectera probablement que ceux qui n’ont pas été vaccinés.

Cela créera alors une société à deux vitesses où ceux qui, pour une raison ou une autre, n’ont pas été vaccinés, seront confrontés à la discrimination et à un confinement de facto pour les années à venir.




L’arrivée d’un messie extraterrestre : tromperie ou séduction diabolique ?

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

  • Un avènement extraterrestre est-il au programme?​
  • Existe-t-il un lien possible entre des rituels occultes, maçonniques, et l’apparition d’êtres « d’un autre monde »?​
  • Comment des scientifiques, comme l’astrophysicien Jacques Vallée, se positionnent-ils sur la question des OVNIS et des « enlèvements extraterrestres »?​
  • Quelle est la position du Vatican concernant la question extraterrestre? Une position plutôt surprenante et choquante…
  • Comment les autorités politiques, soit la gouvernance mondiale, risquent-elles de réagir face à un avènement extraterrestre?​
  • Les pièges du Nouvel Âge…
  • Est-ce que les Écritures bibliques nous parlent d’extraterrestres ou de créatures « d’un autre monde »?​ Doivent-elles revenir à la Fin des Temps?
  • Qui sont les réelles puissances qui sont aux commandes ? Laisseront-elles des personnes ou un groupe de personnes faire dévier leur projet ?

Cette vidéo expose un point de vue sur les visées occultes de la gouvernance mondiale, révélées et marquées par les Pères fondateurs sur le dollar américain. Selon elle, ces symboles maçonniques sont disséminés partout, spécialement à Washington DC.




Après une augmentation des cas, la FDA va ajouter une mise en garde contre les inflammations cardiaques suite aux vaccins COVID-19

[Source anglophone : Lifesitenews]

[Photo : Shutterstock]

24 juin 2021 (LifeSiteNews) – La Food and Drug Administration (FDA) placera une étiquette de mise en garde contre l’inflammation cardiaque sur les fiches d’information des vaccins COVID-19 fabriqués par Pfizer/BioNTech et Moderna, a annoncé l’agence mercredi.

Le Dr Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, a déclaré à un groupe d’experts des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) que la FDA prévoyait d' »agir rapidement » pour ajouter les nouveaux avertissements à la lumière de l’augmentation des rapports de problèmes cardiaques post-vaccinaux.

Le Comité consultatif sur les pratiques de vaccination (ACIP) des CDC s’est réuni mercredi pour examiner les données relatives à des cas plus élevés que prévu d’inflammation cardiaque chez les personnes ayant reçu des doses des vaccins Pfizer ou Moderna, qui reposent tous deux sur la technologie de l’ARN messager. Le CDC avait prévu une réunion d’urgence pour examiner ces rapports la semaine dernière, mais cette réunion a été annulée en raison du 19 juin.

« Nous sommes d’accord sur le fait que, sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation », a déclaré M. Fink. « Nous prévoyons qu’après la réunion de l’ACIP d’aujourd’hui, nous agirons rapidement pour mettre à jour les fiches d’information avec cette information », a-t-il ajouté.

Les avertissements « incluraient probablement des informations indiquant que ces événements se sont produits chez certains vaccinés, en particulier après la deuxième dose de vaccins à ARNm, et que l’apparition des symptômes a généralement eu lieu de plusieurs jours à une semaine après la vaccination », a poursuivi M. Fink. Bien que « la plupart des cas semblent avoir été associés à une résolution des symptômes », « peu d’informations sont disponibles sur les complications potentielles à long terme », a-t-il noté.

Les CDC ont annoncé lors de la réunion de l’ACIP que plus de 1 200 cas d’inflammation cardiaque après la vaccination par le COVID-19 avaient été signalés aux autorités fédérales au 11 juin. Selon les CDC, les 1 226 rapports concernent des myocardites, un type d’inflammation du muscle cardiaque, et des péricardites, une inflammation de la membrane qui entoure le cœur. Les symptômes les plus courants sont les douleurs thoraciques, l’essoufflement et les palpitations cardiaques.

Plus de 800 cas d’inflammation cardiaque sont survenus chez des patients ayant reçu une deuxième dose du vaccin COVID-19 de Pfizer ou Moderna, tandis que 267 cas ont été signalés après une première dose. Les hommes représentaient la grande majorité des patients, dont 79 % après la deuxième dose, selon les données présentées par le Dr Tom Shimabukuro, directeur adjoint du bureau de la sécurité des vaccins du CDC.

La plupart des cas ont suivi l’utilisation du vaccin Pfizer, qui a reçu une autorisation d’urgence de la FDA pour les enfants de plus de 12 ans. Environ 39% de tous les cas concernent des personnes de moins de 30 ans, a relaté la présentation de Shimabukuro. Parmi les rapports concernant des jeunes, le CDC en a identifié 323 qui répondent à la définition de cas de l’agence. Presque tous ces cas ont nécessité une hospitalisation, et neuf patients sont toujours à l’hôpital.

Les rapports ont été soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System, un programme de suivi des blessures liées aux vaccins géré par la FDA et les CDC. Les experts ont signalé à plusieurs reprises que le VAERS, un système de surveillance passive, sous-estime considérablement le nombre de blessures, comme l’ont souligné les commentateurs publics lors de la réunion de l’ACIP.

Le Dr Grace Lee, qui copréside le groupe de travail technique sur la sécurité du vaccin COVID-19 des CDC, a évoqué une « association probable » entre la myocardite et les vaccins à ARNm COVID-19. « Les données disponibles à ce jour suggèrent une association probable de la myocardite avec la vaccination à ARNm chez les adolescents et les jeunes adultes », a-t-elle déclaré mercredi, faisant écho aux conclusions similaires des autorités israéliennes.

« La présentation clinique des cas de myocardite après la vaccination a été distincte, se produisant le plus souvent dans la semaine suivant l’administration de la deuxième dose, avec une douleur thoracique comme présentation la plus fréquente », a ajouté Lee.

Les nouvelles données dévoilées hier par les CDC représentent une forte augmentation des cas signalés d’inflammation cardiaque post-vaccination par rapport à il y a deux semaines seulement, lorsque les CDC ont annoncé que près de 800 cas de myocardite ou de péricardite avaient été soumis au VAERS jusqu’au 31 mai.

Malgré le lien « probable » entre l’inflammation cardiaque et les vaccins à ARNm, l’ACIP a déclaré que la politique vaccinale actuelle ne changerait pas, même pour les jeunes, affirmant qu’une analyse des risques et des avantages favorisait toujours les vaccins. Les enfants et les jeunes adultes ont un taux de mortalité lié au COVID-19 aussi bas que 0,1 %, voire moins, selon les estimations des CDC.

En avril, la FDA a recommandé une pause sur le vaccin COVID-19 fabriqué par Johnson & Johnson en réponse à six cas de coagulation du sang. Le CDC a déclaré que le vaccin de Johnson & Johnson, qui est particulièrement lié à l’avortement, ne présente pas un « schéma de déclaration similaire » concernant l’inflammation cardiaque.




Crise financière de 2008, covid-19, « great reset » et contrôle des populations : la grande manipulation

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir

TRIBUNE – Après la crise financière internationale de 2008 qui a laissé les présumés coupables continuer leurs activités en toute impunité, voici le covid-19 qui précède le « Great Reset » en instrumentalisant la peur et l’appauvrissement, le tout combiné à une administration de thérapies géniques expérimentales à la population mondiale.

La crise financière internationale de 2008 et les non-dits

Une analyse est apparue en France en mars 2008 à l’occasion de différents travaux qui présageaient la crise qui allait s’abattre à l’automne de cette même année. La France a été un mini creuset de ce qui se préparait à l’échelle mondiale, ce qui a facilité les investigations. En juillet 2008, une déclaration a été adressée à Tracfin pointant trois pistes d’enquêtes à poursuivre, menant toutes aux États-Unis. Cette déclaration n’a jamais été enregistrée ni suivie d’effet. Des conflits d’intérêt et menaces indirectes sont apparus au plus haut niveau et ces pistes n’ont pas fini d’être explorées. À ce stade, il a été prouvé que les présumés coupables avaient une immunité judiciaire planétaire et pouvaient poursuivre leurs funestes projets : la théorie du « ruissellement » (les classes dirigeantes faisant ruisseler une partie des profits vers les salariés, opération bénéficiant à tout le monde) serait remplacée par la théorie de la « captation » (toutes les richesses appartenant à une minorité, le retour à une sorte d’esclavagisme de masse). Il est à noter qu’à la suite de cette crise financière internationale de 2008, les banques ont été sauvées par l’argent des contribuables sans aucune résistance ni investigation poussée de leur part, ce signal a été décisif. Les serviteurs des États ne réagissaient pas, baignés dans leurs avantages confortables, et ces États pouvaient apparaître comme « privatisables » et les peuples apparaissaient être asservis.

Le Covid-19 et le « Great Reset »/Grande Réinitialisation

La crise du covid-19 intervient à la fin d’un cycle issu de la crise de 2008. Le « quantitative easing », adopté au lendemain de cette crise de 2008 par les banques centrales, consistant à acheter des titres plus ou moins douteux des banques pour les inciter à prêter davantage sans création de valeur en face, combiné avec un déficit public abyssal, arrivait à un point que ces bulles d’endettement allaient exploser au niveau mondial. Coïncidence ou pas, on laissera le lecteur se faire sa propre opinion.

La théorie développée au forum de Davos vient compléter cette analyse, le « Great Reset », avec sa volonté de dominer, contrôler et manipuler les populations. Cette théorie, combinée avec d’autres puissantes forces mondiales, a instrumentalisé le covid en développant la peur, en propageant des thérapies géniques expérimentales, en généralisant l’appauvrissement mondialement.

Des données fausses et anxiogènes

L’OMS a confirmé que le test covid-19 est invalide et que les estimations des « cas positifs » sont sans fondement, menant à ce que le confinement n’ait aucune base scientifique (janvier 2021). En effet, les tests RT-PCR sont trop sensibles. Le nombre de cycles d’amplification devrait être inférieur à 35, de préférence 25-30 cycles. Si les cycles sont supérieurs à 35, la probabilité que le résultat soit un faux positif est de 97% (selon l’avis scientifique de Pieter Borger). Dans un article publié par le New York Times du 29 août 2020, des experts américains de l’université d’Harvard s’étonnaient déjà que les tests RT-PCR tels qu’ils sont pratiqués puissent servir de tests de contagiosité, encore plus comme preuves de progression pandémique, dans le cas de l’infection par le SRAS-CoV-2.

On peut également se demander pourquoi les gouvernements de l’Union européenne souhaitent mettre en place un passeport vaccinal qui s’oppose aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS, déclaration du 19 avril 2021). L’OMS rappelle que « les preuves sont limitées concernant la performance des vaccins sur la réduction de la transmission » et que « la preuve de vaccination peut favoriser une liberté de circuler différenciée ».

Des thérapies géniques expérimentales

On note une censure, sur les réseaux sociaux, de plusieurs lanceurs d’alerte qui sont ou relaient les propos de grands scientifiques indépendants tels que le Pr Montagnier (prix Nobel), Alexandra Henrion-Caude (généticienne) et Jean-Bernard Fourtillan qui ont démontré la dangerosité de ces thérapies géniques expérimentales (notamment de la protéine Spike contenue dans ces « vaccins »). On peut également rappeler quelques difficultés rencontrées suivantes :

  1. Le Moderna contient l’ingrédient listé sous sa dénomination commerciale, le SM-102, qui est un produit qui n’est pas destiné à un usage humain ou vétérinaire selon la page de description du produit ou l’on trouve cet avertissement.
  2. L’AstraZeneca et le Johnson & Johnson ont généré une multiplication de cas de thromboses ce qui a poussé certains pays européens à les exclure
  3. Le Pfizer ne serait pas non plus anodin avec des mises en garde sur la nécessité de prise simultanée de contraceptifs ou de relations protégées 

Prisonniers de dettes irremboursables — paupérisation

Suite à la pandémie de Covid-19 et aux mesures liberticides prises par les différents États, les leviers de la dette publique et privée ont été actionnés. Selon les données du FMI, l’endettement public mondial devrait atteindre 100 % du PIB mondial fin 2021. En France, le montant de la dette publique atteindra 2 675 milliards d’euros à la fin de cette année, plus que la richesse nationale. Olivier Dussopt, le ministre délégué en charge des Comptes publics a annoncé une dégradation massive du déficit budgétaire de l’État français cette année à 220 milliards d’euros, soit 47 milliards de plus que prévu. Il s’agirait d’un nouveau record depuis 1945. La hausse de la facture du « quoi qu’il en coûte » est en cause. Ces endettements publics ont, entre autres, aidé à financer également un gigantesque plan de relance de 2 200 milliards de dollars qui a été adopté fin mars 2021 par le Congrès US et le Next Generation EU, de 750 milliards d’euros, convenu à l’été 2020 pour faire face aux conséquences des restrictions liées au Covid-19. Cette frénésie de dette publique ne semble pas s’arrêter avec un budget de 6 000 milliards de dollars pour l’année fiscale 2022 proposé par Joe Biden au Congrès, soit un déficit budgétaire de 1 800 milliards de dollars en 2022.

Quant à la dette privée, la BCE, dans son dernier rapport semestriel sur la stabilité financière publié en mai 2021, met en garde les États et les banques face au risque d’insolvabilité des entreprises. Selon une récente étude d’Allianz, le nombre de défaillances d’entreprises pourrait augmenter de 32 % cette année en Europe. En effet, dans le cadre de la lutte contre le Covid-19, les gouvernements ont favorisé l’endettement des entreprises en ne distinguant pas les entreprises « zombies », qui n’auraient jamais dû être sauvées, de celles viables qu’il aurait fallu certainement mieux accompagner. Or, pour la France, les Prêts Garantis par État (PGE) sont couverts à 90 % pour les entreprises qui ont un chiffre d’affaires inférieur à 1,5 milliard d’euros et entre 70 à 80% pour les autres. Or, s’il y a défaut de paiement sur ces prêts, c’est le contribuable qui paie. La BCE s’inquiète également de la « remarquable exubérance » des marchés financiers liée aux politiques ultra-accommandantes et de la trajectoire du bitcoin (actif intrinsèquement sans valeur), objets de spéculation qui pourraient mener à la ruine des petits épargnants non avertis. Cette tendance est également observée outre-Atlantique avec une déconnexion entre Wall Street et l’économie réelle. Cet appauvrissement des peuples vise leur soumission.

Conclusion : depuis 2008, le monde est en danger face à des grands donneurs d’ordre qui sont hors de contrôle des gouvernements et qui représentent un énorme risque pour la démocratie et la liberté. En réponse, que font les « politiques » et à quand un grand réveil « citoyen » ?

Sources :

Les Echos / Essai de Jean-Marc Daniel,
Mondialisation.ca / Dr Michel Bugnon-Mordant,
Les Echos / Nouriel Roubini,
Mondialisation.ca / Philippe Huysmans,
Sputniknews / Dmitri Bassenko /
Mondialisation.ca / Michel Chossudovsky / Dr Pascal Sacré,
Les Echos / Renaud Honoré,
Les Echos / Daniel Fortin, Jean-Marc Daniel,
Les Echos / Marion Heilmann, Thibaut Madelin,
Le Figaro / AFP,
BusinessBourse, OFCE /Jérôme Creel, Christophe Blot, Xavier Ragot,
Les Echos / Guillaume de Calignon, Fabien Buzzanca,
Les Echos/ Richard Hiault 

Auteur(s): Anne Philippe, pour FranceSoir




Dr Henrion Caude : « Personne ne peut vous dire exactement ce qui va se passer avec ce new code génétique d’ARN messager »

[Source : L’Échelle de Jacob (echelledejacob.blogspot.com)]






En Belgique aussi, les athlètes se préparant aux Jeux olympiques constatent que leurs performances sont en baisse depuis leur vaccination

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Le cas du sprinter médaillé français Christophe Lemaître dont les performances sportives ont chuté depuis sa vaccination anti-Covid – au point de probablement lui faire perdre la possibilité de représenter la France aux prochains Jeux olympiques – est loin d’être un phénomène isolé. En Belgique, c’est Jacques Borlée, coach des Belgian Tornados, qui tire la sonnette d’alarme depuis plusieurs semaines.

“On a des gros problèmes avec la vaccination. Sur le premier vaccin, pendant dix jours, on est en perte de puissance entre 10 et 20% et pour la deuxième dose, on a aussi une perte de puissance plus longue, on parle de 21 jours. C’est une grande difficulté par rapport aux athlètes. Et on voit vraiment une perte de puissance chez tous les athlètes qui ont été vaccinés. Nous n’avions pas du tout été informés qu’une baisse de performances accompagnait le processus de vaccination.”, déclarait Jacques Borlée à la mi-mai sur le plateau de la chaîne de télévision belge LN24, déplorant les baisses de performances de ses athlètes après la vaccination et le manque d’information à ce propos.

Une semaine plus tard, Jacques Borlée, était présent sur le plateau de “C’est pas tous les jours dimanche” pour renouveler son inquiétude concernant la vaccination des sportifs.

Marc Francaux, professeur de physiologie de l’exercice à l’UCL, confirmait également cette possibilité: “Il n’y aucune étude scientifique qui prouve cela de manière irréfutable mais un nombre d’observations laissent à penser que certains athlètes sont impactés“, explique-t-il. “Cela n’est pas étonnant au vu du fonctionnement des vaccins. Ce qui l’est plus, c’est la durée sur laquelle ces athlètes voient leurs performances diminuer”, ajoute-t-il. “Nous n’avons pas de données chiffrées mais a priori cela peut aller jusqu’à 4 jours”. Pour le professeur, ces contre-performances ne sont pas dans la tête des athlètes: “C’est trop systématique”, affirme-t-il.

De son côté, le porte-parole interfédéral Yves Van Laethem reconnaît qu’il s’agit d’une situation inédite: “On découvre un nouveau monde. Nous n’avons jamais eu une vaccination massive d’autant d’individus et on sait que cela peut altérer les performances“, déclare-t-il.




Stanislas Berton : « Les peuples occidentaux sont soumis à la volonté des élites mondialistes »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Stanislas Berton a relevé le défi ! Entrepreneur, auteur de « la France retrouvée« , il décrypte la guerre faite par « les mondialistes » aux peuples. Analysant les ressorts de cette « sécession des élites ». dans ses différentes dimensions : culturelle, économique, sanitaire… Son essai ne se contente pas de diagnostiquer cette idéologie faussement présentée selon lui comme la seule voie, mais recense aussi de nombreuses propositions en un véritable programme politique.



Fascination des élites françaises pour de prétendus modèles étrangers, différence entre la prétention à l’universalisme et le mondialisme ; le mode de vie simple, voire frugal, qui devrait s’imposer à nous, loin des mirages du « développement durable », par la « contraction énergétique », ou pourquoi la décroissance a déjà lieu ; L’État, impuissant sur l’essentiel, qui bascule dans l’autoritarisme sur l’accessoire ; l’explosion de la dette à des niveaux inédits dans l’histoire de l’humanité ; quelques-uns des sujets au menu de ce Défi de la vérité.

Auteur(s) : FranceSoir




Vaccins et consentement « éclairé »

[Source : francesoir.fr]

En droit de la santé, le consentement libre et éclairé impose au médecin de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Le consentement doit être libre, c’est-à-dire en l’absence de contrainte, et éclairé, c’est-à-dire précédé par une information.

Nous venons de voir que, pour la vaccination des enfants pour le Sars-Cov-2, il faut trois consentements : les deux parents, et l’enfant qui doit s’exprimer librement. Que cache cette insistance ? C’est très simple, mais bien peu de gens sont capables de le comprendre vu le peu de culture juridique, de jugement, de bon sens et d’anticipation de l’avenir enseignés à nos concitoyens.

Le message est très clair : 

« Si demain il y a problème, c’est vous le responsable. Vous avez été informés, vous avez signé, nous n’y sommes pour rien. Vous avez pris vos responsabilités ». 

Si le consentement éclairé est sans objet quand c’est obligatoire, est-ce qu’on demande un consentement éclairé pour vous vacciner contre le tétanos ? Tout autre traitement ? Est-ce qu’on exige de signer un consentement éclairé pour toute prescription hors AMM (20% des prescriptions) ? Non.

Le consentement éclairé, s’est développé surtout dans deux domaines : les expérimentations, et la chirurgie, c’est à dire les domaines à risques avérés, non prévisibles et pouvant être graves, voire mortels. En chirurgie c’est devenu une obligation depuis 20 ans, suite à de nombreuses condamnations de praticiens, le patient (ou la famille) disant « je n’avais pas été prévenu du risque, si j’aurais su j’aurais pas venu », le praticien devant apporter la preuve du contraire. 

Notre Ministre de la Santé, dans une lettre au président du CNOM, décharge les médecins de bien informer les patients des risques de la vaccination. Je le cite : 

« La responsabilité des médecins ne pourra être engagée au motif qu’ils auraient délivré une information insuffisante aux patients sur les effets indésirables méconnus à la date de vaccination ».

Que penser de la connaissance des médecins sur le sujet, quand ils n’ont droit qu’à une seule source d’information, l’officielle, toute autre étant méchamment vilipendée ou censurée. L’information officielle ? Celle des seuls laboratoires déjà multi condamnés pour avoir caché leurs effets secondaires dans d’autres affaires. De plus, l’information est édulcorée par les autorités. Un exemple : l’ARN messager reste dans le muscle deltoïde, dixit l’Inserm et les autorités. Qu’ont écrit Pfizer et Moderna dans leurs études que les autorités ont occultés ? 

« Nous avons retrouvé nos billes dans tous les organes, y compris reproducteurs ». 

Alors, bien « éclairé » le consentement ? Quand un vaccinateur dit aux patients que les vaccins sont sans risques, fabriqués comme les autres à partir de virus atténués, le responsable qui doit éclairer les autres est-il lui-même bien éclairé ?

Notre Ministre, le même, vient de menacer les soignants dans les ehpads de rendre leur vaccination obligatoire s’ils ne se vaccinaient pas plus. Dans le « consentement éclairé », il y a le mot « consentement ». Qu’est-ce qu’un consentement sous la menace, sous un chantage ? Est-ce un consentement ? De plus quelle justification scientifique et médicale à ce chantage quand 90% des pensionnaires sont vaccinés, donc protégés ? (Rappelons que le vaccin est efficace à 98%…  )

Sommes-nous dans l’esprit du code de Nuremberg ? Il précise dans son premier article que : 

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ».

Toujours dans sa lettre évoquée plus haut, le Ministre parle de l’indemnisation des victimes du vaccin anti-covid. Habituellement, c’est le laboratoire qui est responsable des conséquences de ce qu’il commercialise, il fait donc attention avant de lancer son produit sur le marché. Ici, l’État a passé contrat avec les laboratoires, en « prenant à sa charge » la responsabilité et l’indemnisation des éventuelles conséquences. Les laboratoires ont donc moins de précautions à respecter, leur portefeuille n’en souffrira pas en cas d’insuffisances. Ils ont déjà été condamnés à des milliards d’euros d’amendes ces dernières années, pour avoir caché des informations et des défauts, ce qui n’empêche pas nos autorités, non seulement de leur faire confiance les yeux fermés, mais en plus de les décharger de leurs responsabilités.

On se décharge donc du pénal avec le consentement éclairé, mais pour l’indemnisation, qui prend en charge et comment, si ce n’est pas les laboratoires ? Est-ce l’État ? Comme l’écrit le Ministre, c’est l’ONIAM, Office National d’Indemnisation des Accidents Médicaux, des Affections Iatrogènes et des Infections Nosocomiales. C’est un établissement public créé par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, qui a pour mission d’organiser le dispositif d’indemnisation « amiable, rapide et gratuit » (selon le site) des victimes d’accidents médicaux.

Les victimes de la campagne de vaccination du H1N1, ont pu toucher du doigt les qualités de cet organisme. En effet, ce vaccin a été à l’origine de plus de 2 000 narcolepsies en Europe. 12 ans après, une bonne partie des victimes, porteur d’une maladie invalidante et incurable, sont toujours au tribunal pour obtenir gain de cause, et ceux qui ont été indemnisés l’ont été à des tarifs dérisoires comparés aux indemnités habituellement attribués par les tribunaux.

Cerise sur le gâteau, savez-vous qui finance cet ONIAM ? Le financement de l’organisme est assuré par les cotisations sociales, c’est à dire par les victimes. C’est beau non ? L’État s’arrange avec les labos pour faire supporter leur responsabilité par les victimes potentielles. Dans cette affaire, ni les labos, ni l’État ne prennent aucune responsabilité. Coupables, mais pas responsables.

Article paru initialement sur le blog du Dr Maudrux et repris avec son aimable autorisation.

Auteur(s): Gérard Maudrux, pour FranceSoir


À propos de l’auteur

1975 : Interne des hôpitaux de Grenoble

1980 : Assistant Chef de clinique service d’urologie – transplantations

1981 : Thèse sur la chirurgie abdominale du vieillard

1983 : Installation en libéral à Grenoble comme chirurgien urologue.

1991 : Crée Action Santé pour s’opposer à la politique Evin et met en novembre 300 000 professionnels de santé dans la rue

1995 : Crée le Syndicat Unifié des Chirurgiens de France en réunissant 10 syndicats de spécialités chirurgicales. Devenu l’UCDF puis UCF, puis Le Bloc.

1997 : Élu président de la Caisse de Retraite des Médecins de France, sans étiquette, contre l’ensemble des syndicats. Réélu tous les 3 ans jusqu’en 2016. Président honoraire.

2000 : Livre : “Retraites : le mensonge permanent”. Édition Les Belles Lettres. Prix Turgot 2001 délivré par l’Association des Élèves et Anciens Élèves de l’Institut des Hautes Études Financières. Prix Renaissance 2005.

2006 : Élu président de la Caisse Maladie des Professions Libérale de Province, plus grosse des 30 caisses du RSI. Démissionne après 18 mois, critiquant le manque d’autonomie des caisses face à la tutelle, prévoyant l’issue fatale de ce régime. Président honoraire.

2009 : Troque le bistouri pour les métiers de maçon, tailleur de pierre, menuisier, charpentier, plombier, électricien, peintre, ferronnier, fabricant de roue à aube (5 m), pour retaper seul pendant 4 ans un moulin du 12e siècle.




Fauci, OMS, Wuhan… la télévision australienne crève l’abcès

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Sky News Australia]

Auteur(s) : FranceSoir

Dans une nouvelle vidéo, Sky News Australia fournit de nouvelles informations sur l’origine du virus, brisant les mensonges jusqu’alors proférés par les principaux acteurs concernés par cette question : 

  • Le laboratoire de Wuhan était à l’origine un centre de coopération internationale mais les français ont rapidement été mis à la porte, une fois la construction du laboratoire achevée. Les Chinois ont donc mené leur recherche à l’abris des regards du gouvernement et des services de renseignements français.  
  • Le manque de sécurité du laboratoire était connu. Le directeur adjoint du laboratoire, Song Donglin, a d’ailleurs admis n’avoir aucune expérience dans le domaine de la biosécurité. 
  • Il y avait effectivement des chauves-souris vivantes dans le laboratoire, comme le montrent les images dans la vidéo. Pourtant, Peter Daszak, zoologiste britannique qui faisait partie du groupe des dix experts, a nié ces faits : « C’est une théorie du complot largement répandue. […] Il n’y a pas de chauves-souris vivantes ou mortes à l’intérieur. Il n’y a aucune preuve nulle part que cela soit arrivé. C’est une erreur qui, je l’espère, sera corrigée. » 
  • Des expériences, appelées « gain de fonction », étaient menées dans le laboratoire pour rendre les virus plus infectieux et plus virulents. Celles-ci avaient pour objecitf de prévoir lesquels pourraient causer une pandémie. 
  • L’implication de Daszak dans l’enquête de l’OMS pour connaître l’origine du virus est un conflit d’intérêt puisqu’il a organisé, rédigé et signé la lettre du Lancet affirmant que l’idée d’une fuite du laboratoire était une théorie conspirationniste. L’OMS est donc à l’origine de la désinformation sur la fuite du laboratoire.

Pour en savoir plus, regardez la vidéo de Sky News Australia, traduite en français par Jeanne, bien connue de nos lecteurs :



Auteur(s) : FranceSoir




Selon un fonctionnaire de l’OMS, le port du masque et la distanciation sociale doivent se poursuivre indéfiniment

[Source : Aube Digitale]

Les commentaires ont été faits sur Sky News par l’envoyé spécial sur le Covid pour l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). le Dr David Nabarro.

Nabarro a suggéré qu’il y aurait une longue liste de mutations de la variante indienne qui, dans certains cas, échapperait à la protection offerte par les vaccins.

« Nous allons passer de Delta à Lambda, puis aux autres lettres grecques, c’est inévitable, et certaines de ces variants seront gênants », a-t-il déclaré.

« Je dis essentiellement que les variants vont continuer à apparaître. Cela fait partie de la vie, nous devons les détecter rapidement, nous devons agir vite si nous les voyons dans un certain endroit, nous devons intégrer la gestion des variants dans ce que nous appelons notre stratégie ‘parés-pour-le-Covid’, qui sera le modèle dans un avenir proche », a-t-il ajouté.

Selon Nabarro, les obligations de port de masque et la distanciation sociale doivent rester en place dans un avenir prévisible « dans le cadre de notre défense » contre le COVID, en particulier dans les régions qui ont des taux d’infection élevés.

Comme nous l’avons souligné précédemment, l’Angleterre est prête à abandonner toutes les règles relatives aux masques faciaux le 19 juillet après avoir constaté qu’elles avaient un impact négatif considérable sur les entreprises et faisaient perdre des milliards à l’économie.

Plusieurs conseillers du gouvernement ont demandé que les restrictions relatives aux coronavirus soient maintenues à jamais, non seulement pour se défendre contre le COVID, mais aussi pour lutter contre la grippe.

Susan Michie, ancienne membre du Parti communiste et conseillère du groupe SAGE, a déclaré au début du mois que le port du masque et la distanciation sociale devraient se poursuivre « pour toujours » et que les gens devraient adopter ce comportement comme ils l’ont fait pour le port de la ceinture de sécurité.

C’est sans fin.

[Ndlr : cela fait de nombreux mois que des médias alternatifs, des lanceurs d’alertes et autres « complotistes » ont averti que le projet élitiste mondialiste consistait à vacciner le monde entier et à poursuivre indéfiniment les mesures esclavagistes prétendument sanitaires, malgré la thérapie génique appelée faussement « vaccin ». Le passeport vaccinal et ses différentes variantes ne procureront qu’une illusion de liberté analogue à ce que vivent déjà les Chinois, surveillés en permanence et soumis au système du « Crédit Social ».]




La responsable des droits de l’homme en Russie dénonce le caractère « malhonnête » des programmes russes de vaccination obligatoire contre le virus Covid-19, avertissant que les gens ne devraient pas être contraints de se faire vacciner

[Source : Aube Digitale]

Par Jade

Via RT :

La commissaire aux droits de l’homme de Russie a déclaré qu’elle recevait un grand nombre d’appels de citoyens concernant les nouvelles règles exigeant que de nombreux travailleurs occupant des emplois publics se fassent vacciner contre le coronavirus, dans le cadre d’un nouveau pic d’infections.

L’Ombudsman Tatiana Moskalkova, gardienne des libertés civiles du pays, a déclaré mardi aux auditeurs de la station de radio Vesti FM qu’elle était préoccupée par les mesures qui ont été imposées à Moscou, St Petersbourg et dans un certain nombre d’autres régions. Dans la capitale russe, 60 % des employés travaillant dans des secteurs tels que l’hôtellerie, les transports et les lieux de divertissement devront avoir reçu le vaccin.

« Je pense que le fait de promouvoir les vaccinations de cette manière est un jeu malhonnête – une action malhonnête », a-t-elle déclaré. « Bien sûr, l’idée en soi est correcte, il s’agit de protéger la société », a ajouté Mme Moskalkova, avertissant toutefois que « les mécanismes par lesquels elle est mise en œuvre donnent lieu à une psychose de masse et font craindre la coercition. »

« Surtout, a-t-elle ajouté, on ne voit pas pourquoi ceux qui ne se font pas vacciner devraient être discriminés, parce qu’ils ont des anticorps – ils ont déjà été malades – ou qu’ils ne peuvent pas le faire pour des raisons médicales. »

Moskalkova a donné l’exemple du géant minier Norilsk Nickel, l’une des plus grandes entreprises de Russie. « Tous leurs employés ont été informés que s’ils ne se font pas vacciner, ils ne pourront jamais partir en vacances d’été et ils peuvent oublier leurs primes. Il y a un grand nombre de menaces, [notamment] qu’ils seront licenciés », a-t-elle déclaré.

Les autorités de Moscou ont publié l’ordonnance la semaine dernière, alors que la ville établissait un record pour le nombre quotidien maximum de cas de Covid-19 enregistrés depuis le début de la pandémie. Qualifiant la situation épidémiologique de « défavorable », la principale médecin des services sanitaires de la ville, Elena Andreeva, a mis en garde contre « l’augmentation du nombre de personnes qui se rendent activement dans des lieux publics alors qu’elles sont malades », en fréquentant des lieux de spectacle et en utilisant les transports en commun.

Elle s’est opposée au maire pro-vaccination de Moscou, qui tente d’obliger tous les habitants de la ville à se faire vaxxer jusqu’en enfer.

Défendant l’obligation pour les personnes au service du public d’être vaccinées, le maire de Moscou, Sergey Sobyanin, a déclaré que « finalement, c’est à chacun de se faire vacciner ou non ». « Vous pouvez vous protéger ou espérer que tout s’arrange… C’est une affaire personnelle… tant que vous êtes assis chez vous ou à la campagne ».

« Mais lorsque vous sortez dans des lieux publics et que vous entrez en contact avec d’autres personnes, volontairement ou non, vous devenez complice du processus épidémiologique. C’est le maillon de la chaîne de propagation d’un virus dangereux », a déclaré le maire.

La question sous-jacente ici est que les valeurs de Moscou ne sont pas très différentes de celles de New York, Paris ou Berlin.




Selon Martine Wonner, un Rapport américain révèle qu’en l’espace de 4 mois il y a eu autant de déclaration de décès post-vax que dans les 15 ans passés

[Source : businessbourse.com]

Martine Wonner :

Un rapport américain révèle qu’en l’espace de 4 mois (décembre 2020 à mars 2021) il y a eu autant de déclarations de décès post-vax que dans les 15 ans passés dans la pharmacovigilance du pays étudié.

https://twitter.com/Infirmier_Off/status/1407278980336607233



Les 13 étapes machiavéliques !

[Source : La Minute de Ricardo]

Le journaliste Richard Boutry avait déjà présenté ce scénario l’année dernière (voir Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré), notamment pour la transcription écrite). À chacun d’estimer si ceci relève juste de complotisme infondé ou bien s’inscrit effectivement dans la matière et continue de se dérouler sous nos yeux.






“L’homme le plus intelligent du monde” analyse le programme de vaccination de l’élite mondiale

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’une des personnes les plus intelligentes au monde s’élève contre la vaccination Covid-19, affirmant que l’élite mondiale à l’origine de la campagne de vaccination n’a probablement pas à cœur les intérêts de l’humanité.

La plupart des gens ignorent tout de l’éleveur de chevaux du Missouri Christopher Langan, 69 ans, qui a travaillé comme ouvrier du bâtiment et videur dans un bar pendant près de 20 ans.

Cependant, un article paru dans Esquire en 1999 a rendu Langan célèbre, en le décrivant à l’époque comme “l’homme le plus intelligent d’Amérique”, avec un QI d’environ 200.

Une interview de Lagan réalisée en 2019 par “Spike Jonze” (Adam Spiegel) vous permettra de comprendre à quel niveau se situe cet homme.



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Depuis, M. Langan a fait l’objet d’un reportage dans l’émission “20/20” d’ABC, et son intelligence a été largement documentée compte tenu de son passé inhabituel.

Actuellement, il s’est lancé dans un projet baptisé “Modèle cognitivo-théorique de l’univers (CTMU)”, qui tente de mettre en évidence le “lien entre l’esprit et la réalité” et d’expliquer l’existence de Dieu par les mathématiques.

C’est dans un groupe Facebook consacré au CTMU que M. Langan a démoli la semaine dernière la campagne mondiale de vaccination contre le virus Covid-19 comme seul un génie pouvait le faire.

Selon Langan, le plan de vaccination de l’élite mondiale n’est probablement pas une élimination (immédiate), mais une stérilisation progressive de la population afin de maintenir la supériorité de la classe dirigeante sur les masses abruties.

Lisez la discussion de Langan avec les membres du groupe CTMU ci-dessous, transcrite à partir de captures d’écran Facebook :

Commentaire : “Je me suis demandé s’il n’y avait pas une motivation négative derrière le V@x. Si j’étais un oligarque sociopathe et que je pensais que l’humanité devait être réduite massivement pour protéger la Terre, est-ce que j’utiliserais le vax pour provoquer une mort massive ou une stérilisation massive ? L’une ou l’autre de ces approches provoquerait d’énormes bouleversements, mais la stérilisation de masse serait celle qui causerait le moins de perturbations.”

Réponse : Premièrement, selon la définition habituelle du terme “vaccin”, les injections actuelles ne sont pas des “vaccins”. Elles ne sont qu’une autre souche de technologie dangereuse que la superclasse parasitaire finance et utilise dans le but de dominer et de contrôler le monde.

Une extinction massive de la population humaine serait traumatisante et menacerait le statu quo. Si la population humaine s’effondre et que l’économie suit le mouvement, l’élite n’aura rien, aucune supériorité innée ou capacité d’adaptation, qui pourrait la protéger et contribuer à sa survie. C’est pourquoi elle préfère la stérilisation de masse et un déclin démographique plus lent (mais toujours rapide).

Évidemment, la superclasse parasitaire s’inquiète de la destruction de son environnement par la surpopulation humaine. Malheureusement, elle a raison sur ce point : alors que la Terre et ses ressources sont limitées, la croissance démographique est exponentielle. Mais il y a au moins trois problèmes majeurs dans leur approche.

(1) Au lieu d’aborder le contrôle de la population de la bonne manière, en améliorant la population par l’éducation et l’hygiène génétique, en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans l’espèce humaine et en la convainquant de contrôler son propre comportement reproductif pour son propre bien et celui de la Terre, ils préfèrent mentir et se faufiler dans le dos de tout le monde, en nous escroquant et en nous menaçant de nous faire “vacciner” sous de faux prétextes. D’où leur négligence flagrante du Logos. Au lieu d’améliorer l’humanité, ils la dégradent, en s’appuyant sur une combinaison d’ignorance publique, de confiance mal placée, et d’idées et d’idéologies sans issue comme l’athéisme, le matérialisme, le communisme, le multiculturalisme et la “diversification” ethnique forcée, la “gouvernance mondiale” tyrannique pour amener l’humanité à se conformer.

(2) Alors que l’élite mondiale veut désespérément le contrôle total de la planète et de sa population humaine, elle n’est ni assez intelligente ni assez bonne moralement pour le mériter, et n’a aucune idée de la manière de l’utiliser correctement à l’avantage de l’espèce humaine et de la planète dans son ensemble.

(3) Cela se reflète dans le fait que leur programme de contrôle se limite au contrôle de la quantité et exclut totalement le contrôle de la qualité. Ils supposent que toute la véritable richesse génétique de l’humanité réside en eux, malgré leur manque flagrant de mérite (génie, rectitude morale). Souscrivant à une idée dépassée appelée “darwinisme social”, ils supposent simplement que tous les autres, même s’ils sont meilleurs et plus intelligents, sont inférieurs et remplaçables et devraient être soit éliminés, soit stérilisés, soit descendus, déracinés et fondus dans une vaste race d’esclaves de couleur moka pour la commodité de l’élite.

En bref, en se remplissant les poches et en bousculant tout le monde, l’élite se considère comme une “race maîtresse”, une sorte d’association mondiale d’élevage pour laquelle le reste de l’espèce n’est rien d’autre qu’un troupeau de bovins dociles à élever pour la servilité et tout juste assez d’intelligence pour suivre les ordres. Cela a été clairement et irréfutablement documenté, par exemple, par le programme de “génocide des Blancs” décrit il y a un siècle par R.N. Coudenhove-Kalergi, financé à l’origine par les Rothschild, les Warburg et d’autres banquiers internationaux, et qui fait maintenant l’objet d’une politique internationale dans tout le monde occidental.

Il est facile de voir où cela mène, et ce n’est bon nulle part. Personnellement, je suis prêt, si nécessaire, à infliger des blessures physiques graves à toute personne qui tenterait de me faire subir une de ces injections, et il devrait en être de même pour toute autre personne qui se respecte.

Q : “Pourquoi les propriétaires de la Plantation Mondiale voudraient-ils tuer ou réduire la fertilité de leurs sujets les plus soumis et les plus obéissants ?”

R : Vous ne comprenez peut-être pas tout à fait. Résister au “vaccin” permet à l’élite de vous identifier comme quelqu’un qu’il vaut mieux tuer et qui est donc éligible à la “vaccination prioritaire.” 😉

De plus, ils pensent qu’ils peuvent forcer tout le monde à prendre le “vaccin”, donc c’est discutable. Prenez-le maintenant, et vous pourrez être zombifié et asservi en tant que cyborg chimique ; ne le prenez pas, et vous serez prêt à être abattu, sans avoir besoin de “vaccin”. Tous les esclaves “valables” qui meurent immédiatement sont des dommages collatéraux acceptables ; de plus, chaque mort sert l’agenda de la dépopulation. (Ne supposez jamais que ces accros du contrôle n’ont pas calculé chaque mouvement qu’ils font pour sa valeur “pile nous gagnons, face vous perdez”. Même lorsqu’ils ne savent pas distinguer leur cul de leur coude, ce qui est assez souvent le cas, c’est leur principal critère politique).

Rappelez-vous, l’élite suppose qu’elle est la crème-de-la-crème génétique, et suppose que tous les autres sont des déchets génétiquement inférieurs et donc finalement sensibles à leurs techniques de contrôle mental. Il s’agit d’une opération de masse dans laquelle l’erreur humaine rend impossible une sélection efficace de la “qualité”, que celle-ci soit définie par le mérite objectif ou par la possibilité de servir la classe supérieure parasitaire.

Dans la vision élitaire du monde, seule l’élite est “élite”. Tous les autres sont de la merde et donc sacrifiables.

Le “darwinisme social” est leur justification absolue de leur propre pouvoir, et ils croient nécessairement qu’aucune personne assez stupide pour prendre ce faux vaccin contre le coronavirus ne peut être digne d’être préservée, tandis qu’ils pensent également que toute personne qui refuse le vaccin mérite d’être raflée et tuée.

Pile, je gagne, face tu perds.


Sources
https://www.newswars.com/smartest-man-in-america-breaks-down-global-elites-vaccine-sterilization-agenda/
https://www.youtube.com/watch?v=sKB4wAqMKRQ

Traduction et sous-titres : https://cv19.fr


[Voir aussi :
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard et liens annexes]




La guerre du Bien contre le Mal

[Source : zonefr.com]

par Christine Deviers-Joncour

Consciente depuis le début des années 90 de ce qui se préparait, rien de ce qui arrive aujourd’hui, hélas, ne me surprend. Dans un de mes articles précédents, j’ai mentionné des rencontres, des dîners à cette époque avec le sieur Attali, éminence grise toxique, sherpa de nos présidents.

J’entendais ce mot terrible : DÉPOPULATION.  

Je croyais innocemment à une galéjade. 

Ce texte, prétendument issu d’un entretien de Jacques Attali avec le journaliste et médecin Michel Salomon publié dans son ouvrage L’Avenir de la vie, paru en 1981 : 

« Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui ciblera certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont. »

Et de conclure par une allusion à la vaccination : 

« Nous aurons pris soin d’avoir prévu […] un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

Froid dans le dos !

J’ai récemment découvert cet article sur une prévision du développement démographique prévu jusqu’en 2025 de Deagel : Deagel, une véritable organisation de renseignement pour le gouvernement américain, prédit une dépopulation mondiale massive (50-80 %) d’ici 2025.

[Ndlr : cette partie a été supprimée du site http://www.deagel.com/ depuis au moins plusieurs mois.]

Parlons-en de ce vaccin mortifère : La majorité des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été protégées contre le Covid, c’est une fraude.

L’automne prochain sera meurtrier : en raison de l’épidémie de maladies et de décès qui se produira, les gouvernements commenceront à promouvoir la prochaine série de vaccination, car ils ont toujours prévu de mettre ces décès sur le compte de « variants », nouvelles versions du Covid !

En vaccinant des millions de personnes, ils poussent le virus à muter et à devenir plus fort et plus mortel (surtout s’ils imposent des mesures de confinement !) Résultat désastreux est que le système immunitaire naturel de centaines de millions de vaccinés est effectivement détruit !

[Ndlr : dans le cadre de la théorie virale, un virus virulent se propage peu, car il tue trop rapidement son hôte, alors qu’un virus qui se propage efficacement n’est pas dangereux. Si les vaccins forcent les virus à muter, alors une mutation a autant de chances de l’affaiblir que de le rendre plus mortel. Cependant, cette théorie est remise en question par des pionniers qui reviennent aux sources à la lumière des moyens modernes d’observation et d’expérimentation (voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.). Dans cette nouvelle approche, les vaccins ont pour seul rôle d’empoisonner l’organisme, d’intoxiquer diverses cellules et de leur faire produire en particulier ce qui a été appelé un jour « virus », ceci en tant que déchet et/ou de moyen de réparation, selon la nature du virus.]

La fausse pandémie de Covid-19 aurait-elle été créée, en partie, pour trouver un prétexte à la vaccination de masse, afin que le vaccin soit proposé comme solution à la prétendue menace posée par le Covid-19 ?                                                

Normalement, pour obtenir un vaccin efficace, non toxique et utilisable, cela prend entre 15 et 20 ans. Il faut d’abord mettre au point une formule possédant les prérequis chimiques et pharmaceutiques, mener des études d’immunogénicité chez l’animal, évaluer la toxicité du vaccin chez l’animal, puis chez l’Homme, et enfin, tester son efficacité à grande échelle. Mais il y avait urgence et Big Pharma a vu là la bonne aubaine pour s’enrichir un peu plus.

Je me souviens lorsque l’on m’avait donné comme mission de débloquer le véto mis par Mitterrand pour cette vente des Frégates à Taiwan, je m’étais rebellée. Vendre des armes sûrement pas !!! Alors je reçus cette réponse :

« Ce ne sont pas les marchands d’armes les plus dangereux, ce sont les laboratoires pharmaceutiques ! »

Un vaccin n’est pas anodin : il s’agit le plus souvent d’un virus désactivé ou affaibli, et peut dans certains cas aggraver la maladie qu’il est censé prévenir. Peter Hottez, doyen de l’École nationale de médecine tropicale du Baylor College of Medicine et qui a travaillé sur l’épidémie de SRAS en 2003, a ainsi constaté que certains animaux vaccinés développaient des symptômes encore plus graves lorsqu’ils étaient exposés au virus en raison d’un affaiblissement du système immunitaire. C’est ce que l’on appelle une « facilitation de l’infection par des anticorps » (Antibody-dependant enhancement ou ADE en anglais).

Les accidents se multiplient partout dans le monde et la plupart des personnes vaccinées pensent qu’elles ont été vaccinées contre l’infection : c’est une autre fraude !

Le nombre de décès aux États-Unis est 40 fois plus important depuis plus de vingt ans, suite à la campagne de vaccination ! Quand cette information sera connue par un grand nombre d’entre nous, des têtes vont commencer à tomber aux USA, mais aussi en Europe.

Et les morts s’accumulent un peu partout sur la planète. Les gens pleurent leurs proches disparus. Motus sur les médias mainstream.

Et puis ceci : Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques.

Les médias hurlent au fake sur tous les supports !

Mais de nombreux scientifiques tentent d’y répondre.

Dans mon entourage amical, combien de personnes avouent qu’ils ont jugé bon de se faire vacciner, alors que je n’ai cessé durant ces derniers mois de les mettre en garde et de les dissuader ? Non, rien n’y a fait. Penauds, ils se dédouanent : « Les vacances arrivent, nous voulons bouger et voyager ! »

Quelle inconscience !

Certains me traitent de complotiste. Mais qui sont les complotistes ???

Complot Qui fomente les complots ? Le peuple ? Non ! Ce sont eux les politiques et les médias aux ordres les vrais comploteurs… complotistes.

Tous, présidents, ministres, députés, sénateurs, conseillers d’État, les « sages » du Conseil Constitutionnel… Les entendez-vous dénoncer l’horreur que l’on fait subir au peuple et ce qu’on leur prépare comme avenir ? Seraient-ils tous corrompus pour se taire et laisser faire, en manque de probité, d’honneur, menacés ou complètement dépassés ?

Ne craignent-ils pas un jour la vindicte du peuple ?

La Guerre des mondes de HG Wells a bel et bien débuté. La plupart des gens ne sont pas conscients qu’ils sont sur le bord de l’extinction, sinon du contrôle total sur leur vie.

Malgré toutes les manifestations, malgré tous les discours, malgré toutes les pétitions, les politiciens et les médias continuent à se vautrer sans vergogne dans le mensonge, la perfidie et la trahison envers leur population. Leur lâcheté ou compromission sont inacceptables. Nous assistons à un génocide programmé sur tout la planète !

Les scientifiques honnêtes alertent, partagent leurs études scientifiques, quelques médecins intègres eux aussi montent au créneau et mettent en garde contre ces tests PCR et Vaccins, et les autorités les bâillonnent, les détractent, les insultent, censurent et les bannissent quand on ne les enferme pas dans des asiles psychiatriques.

Il ne s’agit pas ici de pessimisme, comme certaines personnes pourraient le croire, mais bien d’hyper réalisme. Les cabalistes et les comploteurs ont pour finalité de détruire la société actuelle, pour en rebâtir une nouvelle selon de nouvelles normes qui ne seront évidemment pas conçues pour le bien-être de l’humanité.    

Le Forum Économique Mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEMKlaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset » — un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

Allez chercher des infos sur leur dernière trouvaille : « Cyberpolygon », dirigé par le FEM en juillet dernier. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays : 

https://lesakerfrancophone.fr/cyber-polygon-le-prochain-jeu-de-guerre-globaliste-conduira-t-il-a-une-autre-catastrophe-bien-commode [ou ici : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?]

Ils sont une poignée de malfaisants, de fous génocidaires qui ont organisé toute cette fraude et qui nous entraînent dans l’Armageddon ! Mais nous sommes huit milliards sur cette planète. Rien n’est perdu.

Rien n’est définitif. Apocalypse = Révélation.

Ils ont leur Grand Reset et nous le Grand Réveil.

Depuis tant d’années, je sais. Depuis tant d’années je fus témoin de leurs honteuses manipulations et mises en place de ce que nous vivons aujourd’hui ! Le premier choc fut le 11 septembre 2001. Ce fut leur coup d’envoi ! Par un des plus grands hasards, je fus un petit témoin de cette opération, deux mois auparavant, en juillet, à Washington.

Quand les tours du World Trade Center se sont effondrées, en recoupant tout ce que j’avais vu et entendu deux mois auparavant, cela fut une évidence… Dans les mois qui suivirent, je savais la vérité et ne pouvais rien dire sans passer pour une démente. Un jour je raconterai si Dieu me prête vie. Mais, depuis quelques années, peu à peu, le voile se lève ! Et ils sont à vue. D’ailleurs maintenant ils ne se cachent même plus, sûrs d’eux !

Leur « plan » semble fonctionner et ils se frottent les mains ! Mais trop vite, trop loin ils sont allés et de petits cailloux vont enrayer leur machination infernale et leur projet démoniaque et sataniste de contrôle planétaire. Et quelques voix se lèvent. Ainsi ce courageux député finlandais Ano Turtiainen [Voir : Finlande — Vaccination Covid : des parlementaires seront accusés de génocide] monte au créneau :

« Alors, je vous demande à tous : combien de personnes doivent encore mourir ou être blessées avant que nous n’arrêtions ce massacre ? Chers collègues, vous êtes désormais conscients de la menace extrême et grave qui pèse sur la sécurité de notre nation, et que les inconvénients des injections sont plus importants que les avantages. Vous n’avez plus de raison de ne pas agir pour sauver notre nation. Enfin si vous continuez à tromper nos citoyens, en leur racontant par exemple des contes de fées selon lesquels les vaccins sont sûrs et ont une licence de commercialisation. Vous êtes intentionnellement impliqués dans plusieurs crimes, le plus grave d’entre eux pouvant même être un génocide. Une fois de plus je vous rappelle à tous ici : un crime devient intentionnel lorsqu’il est commis en connaissance de cause. Maintenant vous êtes tous conscients, merci. »

J’ai tellement de rancune accumulée devant tant de cruauté, de mensonges, lâcheté, perversion et d’injustices… Mais l’instant n’a de place qu’étroite entre l’espoir et le regret et c’est la place de la vie. Il m’a fallu du temps pour tenter de transformer ces ressentiments, pour éprouver moins d’amertume, pour ne plus goûter ce fiel qui souvent m’envahissait jusqu’à l’écœurement et l’envie de vomir. Je tente d’éprouver de la compassion pour certains, infirmes du cœur et inachevés, mais je n’en aurai jamais pour cette poignée de salopards diaboliques qui nous entraînent en enfer.

Soudain je reprends espoir en venant librement ici balancer certaines vérités sans être bannie. Merci à MediaZone de m’avoir accueillie !

On va se battre encore et encore. C’est une « guerre contre les peuples », comme ils disent : c’est une sacrée guerre du Bien contre le Mal !  Mais les peuples s’éveillent et j’aperçois enfin une petite lumière au bout du tunnel. Serrons les coudes tous ensemble et résistons! Luttons fièrement, pour nos enfants, pour notre terre, pour l’amour, pour la vie ! Que Dieu nous vienne en aide !

Quand le pouvoir de l’amour l’emportera sur l’amour du pouvoir alors le monde connaîtra la paix.

(Jimi Hendrix)

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s) : Christophe Lemardelé, pour FranceSoir

TRIBUNE – Les collapsologues envisagent de nombreux scénarios d’effondrement planétaire, en particulier ceux résultant du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources causé par une humanité trop nombreuse et insouciante. Ils ignorent le plus souvent un scénario bien plus plausible qui rendra nul à terme un certain nombre de leurs hypothèses les plus pessimistes. Car la population ne va pas exploser – c’est déjà fait ! –, elle va imploser.

On se targue de science aujourd’hui tout en délaissant la démographie. Un ancien président comme Nicolas Sarkozy pense pouvoir parler démographie sans en connaître les données et, surtout, un outil conceptuel central : la transition démographique. Pendant des siècles et même des millénaires, la population mondiale a peu augmenté, la mortalité, notamment infantile, était trop élevée. L’explosion démographique a commencé en Europe au XIXe siècle non parce que la natalité aurait augmenté, mais parce que la mortalité, notamment infantile, a baissé. Il en a été de même ensuite en Asie, en Amérique et, finalement, en Afrique. 

Passant de 1 milliard d’habitants en 1800 à 9 ou 10 milliards vers 2050 – plus de 7 milliards aujourd’hui –, la population mondiale aura explosé à cause du développement économique, sanitaire et éducationnel touchant peu ou prou les diverses régions du monde, même les plus périphériques. L’explosion démographique ne s’explique que par un décalage dans le temps entre la baisse de la mortalité et la baisse de la natalité. Dans une société où la vie est fragile, les gens ont beaucoup d’enfants afin d’assurer en moyenne la survie à vingt ans de deux enfants sur quatre. Quand la mortalité infantile baisse, il leur faut un certain temps avant de réaliser qu’il n’est plus utile d’assurer l’avenir en ayant une progéniture fournie de l’ordre de 7 à 8 enfants par couple. De meilleures conditions de vie et l’accès à l’éducation conduit alors les couples à maîtriser les naissances par une contraception au départ naturelle et rudimentaire.

La France fut le premier pays au monde à limiter ainsi les naissances peu avant la révolution française. D’avoir été le premier pays à entrer dans la transition démographique fit que ce pays fut toujours en léger décalage avec ses voisins : moins nataliste qu’eux un siècle plus tard, moins dénataliste qu’eux deux siècles plus tard… Mais cette exception française semble relever du passé car l’indice de fécondité est désormais inférieur à 2,1 enfants par femme, en dessous donc du seuil de renouvellement naturel d’une population. Avec 1,8 enfants par femme, la France n’est donc pas plus nataliste que le reste de l’Europe (moyenne de 1,6 enfants par femme) mais moins dénataliste… 

Au niveau mondial, l’indice de fécondité est de 2,4 enfants par femme (chiffre de l’Institut National des Études Démographiques en 2019). Dès lors, l’augmentation encore forte de la population mondiale ne s’explique pas par la forte natalité mais par la progression de l’espérance de vie dans presque tous les pays du monde : les enfants survivent mieux, les jeunes aussi, et de plus en plus d’adultes parviennent à un âge avancé. Quand on observe cet indice au niveau continental et à l’échelle sous-continentale, on en déduit que la natalité est en berne presque partout à l’exception de l’Afrique subsaharienne qui n’est entrée dans la troisième phase de la transition démographique – baisse de la natalité – que récemment. En Amérique du Nord et du Sud, l’indice de fécondité est bas : 1,7 au Brésil. En Extrême-Orient, la situation est même catastrophique : 1,1 en Corée du Sud. L’Europe, première région du monde à avoir explosé démographiquement et donc à migrer en masse en Amérique du Nord, est un sous-continent dénataliste au nord comme au sud, à l’est comme à l’ouest. 

Le concept de transition démographique comporte deux étapes intermédiaires permettant de passer d’un régime démographique ancien à un régime démographique moderne, ce qui nous fait la présenter en 4 temps forts : 1) natalité élevée/mortalité élevée ; 2) natalité élevée/baisse de la mortalité ; 3) mortalité faible/baisse de la natalité ; 4) mortalité faible/natalité faible.  

 Mais il nous faut ajouter un temps 5 : mortalité très faible/natalité insuffisante. Alors que l’on pensait que l’adoption d’un régime démographique moderne permettrait de retrouver un équilibre, une stabilité, il n’en est rien. Comme l’écrivent Darrel Bricker et John Ibbitson : « Aujourd’hui, la population est déjà en diminution dans plus d’une vingtaine de pays. En 2050, une trentaine de nations seront concernées. Certaines des plus riches voient leurs effectifs baisser chaque année : le Japon, la Corée, l’Espagne, l’Italie, une grande partie de l’Europe de l’Est » (Planète vide. Le choc de la décroissance démographique mondiale, éd. Les Arènes, 2020, p. 11). 

Il semble donc qu’inconsciemment et pour des raisons diverses difficiles à identifier précisément, le développement des sociétés, plus urbaines que rurales, conduit les couples à limiter drastiquement les naissances, voire à ne plus envisager de descendance. Les malthusiens de tous ordres devraient donc être rassurés car le pire scénario pour eux est désormais un pur fantasme qui n’a eu de réalité que dans les deux derniers siècles. Envisager une dépopulation à terme et au cours de notre présent siècle induit de nombreuses interrogations. D’abord à long terme et d’un point de vue anthropologique (philosophique, si l’on veut) : comment et pourquoi une espèce peut prendre le risque de ne plus se perpétuer ? Une espèce comme un individu se devant naturellement, selon les termes de Spinoza, de persévérer dans son être… Ensuite à court terme et d’un point de vue sociologique (sociétal même) : comment une société ne se régénérant plus peut-elle envisager son avenir et affronter sereinement les crises ? 

Dans un régime démographique ancien, les enfants sont les individus les plus fragiles. Dans un régime démographique « postmoderne », dans lequel la part des personnes âgées l’emporte sur celle des plus jeunes, les progrès en espérance de vie étant privilégiés par rapport à un regain de natalité, les gens très âgés deviennent de fait les plus fragiles. Il n’est plus besoin de lutter contre la mortalité infantile mais de repousser le plus loin possible la fin de vie… Mais comme on ne vit pas éternellement, la mortalité finit quand même par peser, les progrès de l’espérance de vie ayant différé le départ des anciens. Dès lors, le « temps 5 » doit être affiné car le vieillissement d’une population finit par entraîner une augmentation de la mortalité.

Dans un article de 2016, dans la revue de l’INED Population & Sociétés, les démographes Gilles Pison et Laurent Toulemon écrivaient : « Même dans un scénario improbable où des innovations majeures en matière de lutte contre le vieillissement biologique permettraient à l’espérance de vie de faire un bond rapide de 10 à 20 ans, on n’échapperait pas à une forte hausse du nombre de décès quand viendrait le moment de la mort pour les baby-boomers, leurs propres décès n’étant alors retardé que d’une à deux décennies ». Or, il a suffi qu’un coronavirus plus virulent que d’autres survienne pour que dans les pays vieillissants de l’Occident les services hospitaliers soient débordés – gouverner un pays vieillissant sans renforcer l’hôpital public est une faute politique ! Gouverner c’est prévoir… – et pour que l’on sacralise la vie au point de considérer qu’une vie est une vie quel que soit l’âge. 

Dans une conférence de 2014 sur le vieillissement, le démographe Emmanuel Todd avait conclu ainsi : « Ce qui rend une espèce animale compétitive dans l’histoire de la biologie de la planète, c’est qu’elle s’occupe de ses enfants, et pas de ses parents. Les sociétés occidentales sont en ce moment à l’heure du choix : est-ce qu’on s’occupe des jeunes ou est-ce qu’on s’occupe des vieux ? ». Il semble bien que le choix ait été fait et c’est un choix intenable car la gestion néolibérale de l’hôpital a conduit et conduit encore à supprimer des lits, ce qui entraîne des mesures de confinement coûteuses économiquement – faillites, chômage, précarité des jeunes, suicides, endettement des particuliers et de l’État, etc. – en cas de pandémie. Choix irraisonné pouvant s’avérer même funeste quand on considère que pour maintenir une société ouverte il faille en passer par la vaccination des plus jeunes sans garantie sur des effets secondaires à long terme. Pour sauver ce qui reste d’un présent qui nous fait voir une forme de déclin, on semble prêt à compromettre un avenir…

Article original publié sur le blog Ethique… et toc ! et écrit par Christophe Lemardelé, enseignant, licencié d’histoire, docteur en sciences religieuses, auteur de nombreux articles scientifiques en histoire des religions et en anthropologie sociale.

Auteur(s): Christophe Lemardelé, pour FranceSoir




L’inventeur de l’ARNm interrogé sur les dangers de l’injection

[Source anglophone : mercola.com]

Analyse du Dr Joseph Mercola

RÉSUMÉ

►Le Dr Robert Malone est l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN. Il est très préoccupé par le manque de transparence des effets secondaires, la censure de la discussion et l’absence de consentement éclairé qu’entraînent ces vaccins.

►La protéine libre de la pointe du SRAS-CoV-2 est biologiquement active — contrairement aux hypothèses initiales — et provoque de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés dans le COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.
Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre impressionnant de personnes qui ont reçu le « vaccin » COVID-19.

►La protéine de pointe présente également une toxicité pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Les données indiquent que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.

►Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés présentent un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois supérieur à la normale.

►Les injections de COVID-19 n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence, qui ne peut être accordée que s’il n’existe pas de remèdes sûrs et efficaces. De tels remèdes existent, mais ils ont été activement censurés et supprimés.

Dans la vidéo ci-dessus [Voir ici], l’animateur du podcast Dark Horse, Bret Weinstein, docteur en biologie évolutionniste, s’entretient avec le Dr Robert Malone, l’inventeur de la plate-forme technologique de base des vaccins à ARNm et à ADN,(([1] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) et Steve Kirsch, un entrepreneur qui a mené des recherches sur les effets indésirables des thérapies géniques COVID-19.

Je me rends compte qu’il s’agit d’une interview de trois heures absolument épique, mais si vous attachez de l’importance à ce que j’ai enseigné, vous devez au minimum lire très attentivement l’intégralité de cet article.

M. Malone est le scientifique qui a inventé la technologie permettant de réaliser le test COVID et il révèle comment cette introduction a été compromise sur le plan éthique pour rendre le consentement éclairé absolument impossible pour le citoyen moyen. Regardez l’interview si votre emploi du temps le permet, mais lisez attentivement cet article à coup sûr.

Kirsch a récemment publié l’article « Should You Get Vaccinated ? » dans lequel il explique comment et pourquoi il a changé d’avis sur les « vaccins » COVID-19. Et ce, après avoir reçu les deux doses du vaccin Moderna, comme l’ont fait ses trois filles.

Si vous ou l’un de vos proches avez des doutes sur le test COVID, alors vous devez absolument lire l’article de Kirsh, car il s’agit clairement de l’un des meilleurs articles sur le sujet et il présente l’autre côté de l’histoire, qui n’est JAMAIS présenté dans les médias grand public.

N’oubliez pas que sans une divulgation complète des risques liés au vaccin, il est impossible d’obtenir un consentement éclairé.(([2] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) Si vous lisez l’article de Kirsch, vous obtiendrez, de manière très détaillée, l’autre côté que les médias conventionnels refusent de partager. Il écrit :

« J’ai récemment appris que ces vaccins ont probablement tué plus de 25 800 Américains (ce que j’ai confirmé de 3 façons différentes) et handicapé au moins 1 000 000 d’autres. Et nous ne sommes qu’à mi-chemin de la ligne d’arrivée. Nous devons suspendre ces vaccins MAINTENANT avant que d’autres personnes ne soient tuées.

Sur la base de ce que je sais aujourd’hui des avantages minuscules des vaccins (environ 0,3 % de réduction du risque absolu), des effets secondaires (y compris la mort), des taux actuels de COVID et du taux de réussite des protocoles de traitement précoce, la réponse que je donnerais aujourd’hui à toute personne me demandant conseil sur l’opportunité de prendre l’un des vaccins actuels serait : « Dites simplement NON ».

Les vaccins actuels sont particulièrement contre-indiqués si vous avez déjà été infecté par le COVID ou si vous avez moins de 20 ans. Pour ces personnes, je dirais « NON ! NON ! NON ! »

Dans cet article, je vais vous expliquer ce que j’ai appris depuis que je suis vacciné et qui m’a totalement fait changer d’avis. Vous apprendrez comment ces vaccins fonctionnent et les raccourcis qui ont conduit aux erreurs commises.

Vous comprendrez pourquoi il y a tant d’effets secondaires, pourquoi ils sont si variés et pourquoi ils surviennent généralement dans les 30 jours suivant la vaccination. Vous comprendrez pourquoi les enfants ont des problèmes cardiaques (pour lesquels il n’existe aucun traitement), perdent temporairement la vue et la capacité de parler. Vous comprendrez pourquoi jusqu’à 3 % d’entre eux peuvent être gravement handicapés par le vaccin. »

La protéine Spike est une cytotoxine bioactive

Comme l’explique Malone, il y a plusieurs mois, il a averti la Food and Drug Administration américaine que la protéine Spike — que les « vaccins » COVID-19 demandent à vos cellules de fabriquer — pouvait être dangereuse. La FDA a rejeté ses inquiétudes, affirmant qu’elle ne pensait pas que la protéine Spike était biologiquement active. En outre, les fabricants de vaccins ont spécifiquement conçu les injections de manière à ce que la protéine Spike soit collée et ne flotte pas librement.

Eh bien, ils avaient tort sur les deux points. Il a depuis été bien établi qu’en effet, la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 se libère, qu’elle est biologiquement active et qu’elle cause de graves problèmes. Elle est responsable des effets les plus graves observés chez COVID-19, tels que des troubles de la coagulation, des caillots sanguins dans tout le corps et des problèmes cardiaques.

Ce sont les mêmes problèmes que nous constatons aujourd’hui chez un nombre stupéfiant de personnes ayant reçu une ou deux injections du « vaccin » COVID-19. Pour des informations plus approfondies sur la façon dont la protéine Spike cause ces problèmes, veuillez consulter mon interview avec Stephanie Seneff, Ph.D. et Judy Mikovits, Ph.D.

L’utilisation du mot « vaccin » n’est pas vraiment appropriée ici, et je ne veux pas contribuer à l’utilisation abusive de ce mot. Ces injections ne sont clairement pas des vaccins. Elles ne fonctionnent pas comme les vaccins conventionnels précédents. Comme le dit clairement l’inventeur des vaccins à ARNm dans l’interview, il s’agit de thérapie génique. Comprenez donc que lorsque je parle de vaccin ou de vaccination, je parle en réalité de thérapie génique.

La protéine de pointe se dissémine dans tout votre corps

Dans un récent entretien(([3] Newzworldtoday.com 2 juin 2021)) avec Alex Pierson, Byram Bridle, docteur en immunologie et chercheur canadien sur les vaccins, a parlé de recherches inédites obtenues auprès de l’organisme de réglementation japonais grâce à une demande de loi sur la liberté d’information.

Il s’agissait d’une étude de biodistribution réalisée par Pfizer, qui a montré que l’ARNm du vaccin ne reste pas dans et autour du site de vaccination, mais est largement distribué dans le corps, tout comme la protéine de pointe.(([4] Nouvelles du site du procès 6 juin 2021))

Il s’agit d’un problème grave, car il a été démontré que la protéine de pointe est une toxine qui provoque des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Une fois dans la circulation sanguine, la protéine Spike se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Dans ce cas, elle peut provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins, et/ou provoquer des saignements anormaux. J’ai détaillé ces résultats et d’autres dans « Chercheur : ‘Nous avons fait une grosse erreur’ sur le vaccin COVID-19 ».

On a arrondi les angles*

[Ndlr : *Pour éviter d’exposer des données problématiques]

La protéine Spike est également toxique pour la reproduction, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’elle s’accumule dans les ovaires des femmes. Kirsch cite des données suggérant que le taux de fausses couches chez les femmes qui reçoivent le « vaccin » COVID au cours des 20 premières semaines de grossesse est de 82 %.(([5] Lettre au rédacteur, commentaire sur la sécurité du vaccin ARNm COVID-19 chez les femmes en ceintes (PDF) )) Le taux normal est de 10 %, il ne s’agit donc pas d’une hausse mineure. Kirsch écrit(([6] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)):

« Il est déconcertant que le CDC affirme que le vaccin est sûr pour les femmes enceintes alors qu’il est si clair que ce n’est pas le cas. Par exemple, l’une de nos amies de la famille en est victime. Elle a fait une fausse couche à 25 semaines… Elle a reçu sa première injection il y a 7 semaines, et sa deuxième il y a 4 semaines.

Le bébé présentait une grave hémorragie cérébrale et d’autres défigurations. Son gynécologue n’avait jamais vu une telle chose de sa vie. Ils ont fait appel à un spécialiste qui a dit qu’il s’agissait probablement d’un défaut génétique (parce que tout le monde croit au récit selon lequel le vaccin est sûr, il est toujours exclu comme cause possible).

Pas de rapport VAERS. Pas de rapport du CDC. Pourtant, les médecins à qui j’ai parlé disent qu’il est certain à plus de 99 % que c’était le vaccin. La famille ne veut pas d’autopsie de peur que leur fille ne découvre que c’était le vaccin. C’est un exemple parfait de la façon dont ces effets secondaires horribles ne sont jamais signalés nulle part. »

Il est inquiétant de constater que les données de biodistribution de Pfizer révèlent que l’on a pris des raccourcis dans l’intérêt de la rapidité, et que l’un des aspects de la recherche qui a été ignoré est la toxicologie de la reproduction. Pourtant, malgré l’absence d’une enquête initiale sur la toxicologie de la reproduction et un nombre croissant de rapports de fausses couches (qui est probablement un sous-dénombrement important), les Centers for Disease Control and Prevention continuent d’exhorter les femmes enceintes à se faire vacciner. Pourquoi cela ?

Y a-t-il une suppression intentionnelle des données VAERS ?

De plus, comme nous l’avons évoqué dans l’interview, il semble que les données du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) soient manipulées, car des rapports qui avaient été déposés ont disparu. Pourquoi ont-ils été supprimés ? Et sans le consentement des déclarants ?

« Les données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux de myocardite (inflammation du cœur) 25 fois plus élevé que la normale. »

Même avec cette manipulation, le nombre de décès signalés après la vaccination contre le COVID-19 dépasse tout ce que nous avons jamais vu. D’après Kirsch, le taux de mortalité lié aux injections de COVID-19 dépasse celui de plus de 70 vaccins combinés au cours des 30 dernières années, et il est environ 500 fois plus mortel que le vaccin contre la grippe saisonnière (([7] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021)) qui a toujours été le plus dangereux.

D’autres effets graves sont également hors normes. Par exemple, des données israéliennes montrent que les garçons et les hommes âgés de 16 à 24 ans qui ont été vaccinés ont un taux 25 fois plus élevé de myocardite (inflammation du cœur) que la normale.(([8] Ottawa Citizen 4 juin 2021)) De plus, de nombreux jeunes gens meurent actuellement des suites de cette myocardite.(([9] Le Défenseur 15 juin 2021))

M. Malone souligne qu’en relisant la version la plus récente de l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) qui régit ces injections de COVID, il a découvert que la FDA a choisi de ne pas exiger une collecte et une évaluation rigoureuses des données post-vaccinales, alors qu’elle avait toute latitude pour le faire.

Comme l’a noté Weinstein, il s’agit d’une autre anomalie qui nécessite une réponse. Pourquoi ont-ils opté pour une saisie de données aussi laxiste, car sans elle, il n’y a aucun moyen d’évaluer la sécurité de ces produits. Vous ne pouvez pas identifier les signaux de danger si vous n’avez pas de processus pour capturer les données sur les effets et les évaluer toutes.

« Toute la logique de l’EUA consiste à substituer la saisie en temps réel d’informations clés à la saisie prospective de ces mêmes informations », explique M. Malone. « Mais pour ce faire, vous devez obtenir les informations et elles doivent être rigoureuses. »

Autres anomalies

En outre, comme l’a fait remarquer M. Weinstein, si vous diffusez un vaccin dans le cadre d’une utilisation d’urgence — parce que vous dites qu’il y a une urgence sanitaire sans précédent et qu’il n’y a pas d’autres options, et qu’il vaut donc la peine de prendre un risque supérieur à la normale — vous ne le donnerez toujours pas aux personnes qui ne courent aucun risque ou un risque faible de contracter la maladie en question.

Cela inclut les enfants, les adolescents et les personnes en bonne santé de moins de 40 ans, au strict minimum. Les enfants semblent naturellement immunisés contre le COVID-19(([10] Science 14 mai 2021 ; 372(6543) :738-741)) et il a été démontré qu’ils ne sont pas des vecteurs de la maladie,(([11] Archives of Disease in Childhood 2020;105:618-619)) et les personnes de moins de 40 ans ont un taux de létalité de l’infection de seulement 0,01 %.(([12] Annals of Internal Medicine 2 septembre 2020 DOI:10.7326/M20-5352)) Cela signifie que leurs chances de survie sont de 99,99 %, ce qui est aussi bon que possible.

Les femmes enceintes seraient également exclues, car elles constituent une catégorie à haut risque pour toute expérimentation, et toute personne ayant guéri du COVID serait exclue, car elle possède désormais une immunité naturelle et n’a pas besoin d’un quelconque vaccin. En fait, une récente

Une étude de la Cleveland Clinic(([13] medRxiv 5 juin 2021 DOI :10.1101/2021.06.01.21258176))(([14] Nouvelles médicales Sciences de la vie 8 juin 2021)) a révélé que les personnes dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 avait été positif au moins 42 jours avant la vaccination ne tiraient aucun bénéfice supplémentaire des vaccins.

Pourtant, tous ces groupes à risque incroyablement faible sont exhortés et même incités de manière inappropriée à se faire vacciner, ce qui constitue également un comportement anormal. L’analyse des risques et des avantages ne tient pas seulement compte du risque d’effets graves et de décès liés à la maladie, mais aussi de la disponibilité de traitements alternatifs, ce qui constitue une troisième anomalie majeure.

Nous avons assisté à une suppression claire des informations montrant qu’il n’existe pas un seul, mais plusieurs remèdes efficaces qui pourraient réduire à pratiquement zéro le risque de COVID-19 pour un certain nombre de groupes de personnes. Les exemples incluent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, qui sont tous deux utilisés en toute sécurité depuis des décennies par des millions de personnes dans le monde.

Le principe de précaution veut que tant qu’un médicament ou une stratégie de traitement n’est pas nuisible, même si l’effet positif peut être faible, il doit être utilisé jusqu’à ce que de meilleures données ou de meilleurs traitements soient disponibles. C’est la logique qu’ils ont utilisée pour les masques (même si les données n’ont montré aucun avantage statistique et qu’il existe un certain nombre d’inconvénients potentiels).

Mais lorsqu’il s’agit d’hydroxychloroquine et d’ivermectine, ils ont supprimé l’utilisation de ces médicaments alors qu’ils sont extrêmement sûrs lorsqu’ils sont utilisés aux doses appropriées et qu’il a été démontré qu’ils fonctionnent vraiment bien dans plusieurs dizaines d’études. Comme le note Kirsch dans son article :(([15] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))

« Les médicaments reproposés [comme l’hydroxychloroquine et l’ivermectine] sont plus sûrs et plus efficaces que les vaccins actuels. En général, un traitement précoce avec un protocole efficace réduit de plus de 100 fois le risque de décès. Ainsi, au lieu de 600 000 décès, nous aurions moins de 6 000 décès. REMARQUE : le vaccin a déjà tué plus de 6 000 personnes et ce chiffre ne concerne que le vaccin (et ne tient pas compte des décès dus à une percée). »

Les médecins sont également muselés et leurs avertissements supprimés et censurés. Le Dr Charles Hoffe a administré le « vaccin » COVID-19 de Moderna à 900 de ses patients.

Trois d’entre eux sont désormais handicapés à vie et un est décédé. Après avoir écrit une lettre ouverte au Dr Bonnie Henry, responsable provincial de la santé en Colombie-Britannique, dans laquelle il déclarait être « très alarmé par le taux élevé d’effets secondaires graves de ce nouveau traitement « ,(([16] Lettre ouverte du Dr Charles Hoffe 5 avril 2021)) ses privilèges hospitaliers lui ont été retirés.

Les lois de bioéthique sont manifestement violées

Dans un essai du 30 mai 2021,(([17] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021)) Malone a examiné l’importance du consentement éclairé, concluant à juste titre que la censure fait en sorte que le consentement éclairé ne peut tout simplement pas être donné. Le consentement éclairé n’est pas seulement une belle idée ou un idéal. C’est la loi, tant au niveau national qu’international. L’actuelle campagne de vaccination viole également les principes bioéthiques en général.

« À titre d’information, sachez que je suis un spécialiste et un défenseur des vaccins, ainsi que l’inventeur original de la plate-forme technologique du vaccin à ARNm (et du vaccin à ADN). Mais j’ai également reçu une formation approfondie en bioéthique de l’Université du Maryland, du Walter Reed Army Institute of Research et de la Harvard Medical School, et le développement clinique avancé et les affaires réglementaires sont des compétences essentielles pour moi », écrit M. Malone.

« Pourquoi est-il nécessaire de supprimer la discussion et la divulgation complète des informations concernant la réactogénicité et les risques de sécurité des ARNm ? Analysons rigoureusement les données sur les événements indésirables liés aux vaccins. Peut-on trouver des informations ou des schémas, comme la découverte récente des signaux de cardiomyopathie, ou les signaux de réactivation du virus latent ?

Nous devrions faire appel aux meilleurs experts en biostatistique et en apprentissage automatique pour examiner ces données, et les résultats devraient — non doivent — être mis à la disposition du public rapidement. Suivez-moi et prenez un moment pour examiner avec moi la bioéthique sous-jacente à cette situation…

La suppression de l’information, la discussion et la censure pure et simple concernant les vaccins actuels de COVID, qui sont basés sur les technologies de thérapie génique, jettent une mauvaise lumière sur l’ensemble de l’entreprise des vaccins. Je pense que le public adulte peut gérer l’information et les discussions ouvertes. En outre, nous devons divulguer entièrement tous les risques associés à ces produits de recherche expérimentale.

Dans ce contexte, le public adulte est essentiellement un sujet de recherche qui n’est pas tenu de signer un consentement éclairé en raison de la dérogation de l’EUA. Mais cela ne signifie pas qu’ils ne méritent pas la divulgation complète des risques que l’on exige normalement dans un document de consentement éclairé pour un essai clinique.

Et maintenant, certaines autorités nationales demandent le déploiement des vaccins EUA chez les adolescents et les jeunes, qui, par définition, ne sont pas en mesure de fournir directement un consentement éclairé pour participer à une recherche clinique — écrit ou non.

Le point essentiel ici est que ce qui est fait en supprimant la divulgation et le débat ouverts concernant le profil des effets indésirables associés à ces vaccins viole les principes bioéthiques fondamentaux de la recherche clinique. Cela remonte à la convention de Genève et à la déclaration d’Helsinki.(([18] Association médicale mondiale AMM Déclaration d’Helsinki)) Il doit y avoir un consentement éclairé pour l’expérimentation sur des sujets humains ».

L’expérimentation sans consentement éclairé approprié viole également le Code de Nuremberg,(([19] Code de Nuremberg de 1947)) qui énonce un ensemble de principes d’éthique de la recherche pour l’expérimentation humaine. Cet ensemble de principes a été élaboré pour garantir que les horreurs médicales découvertes lors des procès de Nuremberg à la fin de la Seconde Guerre mondiale ne se reproduisent plus jamais.

Des lignes ont été franchies qui ne doivent jamais l’être

Aux États-Unis, nous avons également le rapport Belmont,(([20] HHS.gov Le rapport Belmont)) cité dans l’essai de Malone, qui énonce les principes éthiques et les lignes directrices pour la protection des sujets humains de la recherche, couverts par le Code of Federal Regulations 45 CFR 46 (sous-partie A). Le rapport Belmont décrit le consentement éclairé comme suit :

« Le respect des personnes exige que les sujets, dans la mesure de leurs capacités, aient la possibilité de choisir ce qui doit ou ne doit pas leur arriver. Cette possibilité est offerte lorsque les normes adéquates de consentement éclairé sont respectées.

Si l’importance du consentement éclairé est incontestable, la nature et la possibilité d’un tel consentement font l’objet de controverses. Néanmoins, il est largement admis que le processus de consentement peut être analysé comme contenant trois éléments : l’information, la compréhension et le caractère volontaire. »

Les Américains, et même les peuples de la terre entière, sont empêchés d’accéder librement à l’information sur ces thérapies géniques et de la partager. Pire encore, nous sommes induits en erreur par les vérificateurs de faits et les plates-formes Big Tech qui interdisent ou apposent des étiquettes de désinformation sur toute personne et tout ce qui en discute de manière critique ou interrogative. Cette même censure empêche également la compréhension des risques.

Enfin, le gouvernement et un grand nombre d’acteurs du secteur des vaccins encouragent les entreprises et les écoles à rendre ces injections expérimentales obligatoires, ce qui viole la règle du volontariat. Le gouvernement et les entreprises privées créent également des incitations massives à participer à cette expérience, notamment des loteries d’un million de dollars et des bourses universitaires complètes. Rien de tout cela n’est éthique ni même légal. Comme l’a noté Malone:(([21] Nouvelles du site du procès 30 mai 2021))

« … comme ces vaccins ne sont pas encore autorisés sur le marché (homologués), il est spécifiquement interdit de contraindre des sujets humains à participer à une expérimentation médicale. Par conséquent, les politiques de santé publique qui répondent aux critères généralement admis de coercition pour participer à la recherche clinique sont interdites.

Par exemple, si je proposais un essai clinique impliquant des enfants et que j’incitais la participation en distribuant des glaces à ceux qui étaient prêts à participer, n’importe quel comité de sécurité des sujets humains (IRB) institutionnel aux États-Unis rejetterait ce protocole.

Si je devais proposer un protocole de recherche clinique dans lequel la population d’une région géographique perdrait ses libertés individuelles à moins que 70 % de la population ne participe à mon étude, une fois encore, ce protocole serait rejeté par n’importe quel IRB américain pour cause de coercition à la participation des sujets. Aucune coercition pour participer à l’étude n’est autorisée.

Dans la recherche clinique sur les sujets humains, dans la plupart des pays du monde, cette exigence est considérée comme une ligne de démarcation à ne pas franchir. Et maintenant, on nous dit de renoncer à cette exigence sans même qu’une discussion publique ouverte soit autorisée ? En conclusion, j’espère que vous vous joindrez à moi, que vous prendrez un moment pour réfléchir par vous-même à ce qui se passe. La logique me semble claire.

1. Un produit médical non autorisé déployé dans le cadre d’une autorisation d’utilisation en urgence (EUA) reste un produit expérimental en cours de développement de recherche clinique.
2. L’AUE autorisée par les autorités nationales accorde essentiellement un droit à court terme d’administrer le produit de la recherche à des sujets humains sans consentement éclairé écrit.
3. La Convention de Genève, la déclaration d’Helsinki et l’ensemble de la structure qui soutient la recherche éthique sur les sujets humains exigent que les sujets de recherche soient pleinement informés des risques et qu’ils consentent à participer sans contrainte. »

Encore une fois, si votre emploi du temps le permet, j’espère sincèrement que vous prendrez le temps d’écouter l’interview de Weinstein avec Malone et Kirsch. Oui, c’est très long — environ 3 ½ heures — mais ils sont tous astucieux dans leurs observations, ce qui rend la conversation éclairante. Et n’oubliez pas de lire et de partager largement l’article de Kirsch, « Should You Get Vaccinated ? ”(([22] Nouvelles du site du procès 25 mai 2021))


[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé. En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award. Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.

Le Dr Robert Malone a inventé la technologie de thérapie génique par ARNm et a averti la FDA que les vaccins sont dangereux. La FDA l’a-t-elle écouté ? Non. Au lieu de cela, il a été censuré par Big Pharma et la FDA a obtenu l’autorisation d’utilisation d’urgence qui a entraîné des centaines de milliers de blessures. Lisez l’intégralité de cet article et — si vous le pouvez — écoutez attentivement l’entrevue vidéo.


Sources et références




Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ?

[Source : Cyber Polygon : Le prochain jeu de guerre globaliste conduira-t-il à une autre catastrophe bien commode ? – Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 3 juin 2021 − Source Alt-Market

En avril dernier, j’ai publié un article intitulé « Les globalistes auront besoin d’une autre crise en Amérique alors que leur programme de Grand Reset échoue ». J’y notais une tendance étrange dont beaucoup d’entre nous, dans les médias libertariens, ont pris conscience au fil des ans – Presque toutes les catastrophes majeures causées par l’homme aux États-Unis et dans de nombreuses autres parties du monde au cours des deux dernières décennies ont été précédées d’un  « exercice »  gouvernemental ou globaliste. Ces exercices et jeux de guerre ont tendance à imiter la catastrophe exacte qui frappera finalement le public quelques jours ou semaines plus tard. Parfois, les exercices de simulation de catastrophe et les événements réels se produisent en même temps.

La pandémie de Covid-19 n’a pas fait exception. C’est assez miraculeux…

J’ai spécifiquement souligné la « coïncidence » bizarre de l’exercice Event 201 du Forum économique global, un jeu de guerre cofinancé par Bill Gates et l’Université Johns Hopkins et lancé en octobre 2019. Event 201 simulait une nouvelle pandémie globale de coronavirus zoonotique (censée se propager des chauves-souris à l’homme) qui « nécessitait » une réponse globale de confinement. Seulement deux mois plus tard, la vraie chose s’est réellement produite. Presque tous les aspects de l’événement Covid se sont déroulés exactement comme cela avait été prévu lors du jeu de guerre du Forum économique mondial.

Un élément très inquiétant de la réponse à la Covid-19 a été la campagne de suppression coordonnée par les plateformes Big Tech, de YouTube à Facebook et Twitter. Cette campagne a cherché à saper ou à détruire tous les faits, données et opinions qui vont à l’encontre du discours gouvernemental sur la Covid-19, même si le discours officiel sur la Covid-19 finit par être complètement faux. La stratégie a été décrite en détail lors de l’« Event 201 » et elle a été exécutée avec une extrême efficacité parmi des entreprises et des gouvernements supposés déconnectés dans le monde entier. C’est presque comme s’ils SAVAIENT qu’une pandémie de coronavirus était sur le point de se produire et qu’ils avaient déjà mis en place une stratégie pour contrôler la réaction du public bien à l’avance.

Et soyons clairs, car je ne veux pas paraître ambigu : le Forum économique mondial et ses partenaires globalistes ont été les premiers bénéficiaires de la pandémie. Comme le chef du FEM, Klaus Schwab, l’a fait remarquer avec enthousiasme à maintes reprises, la pandémie est une « occasion » parfaite pour les globalistes d’accélérer ce qu’ils appellent le programme du « Grand Reset »  – un plan visant à démanteler complètement le cadre politique et économique actuel du monde et à le reconstruire en une civilisation socialiste hautement centralisée dans laquelle ils ont un contrôle total et où la liberté individuelle n’est plus qu’un vague souvenir.

C’est pourquoi les récentes révélations sur les origines probables de la Covid d’un laboratoire ne sont pas du tout surprenantes. Le simple fait de mentionner cette idée il y a un an dans les médias sociaux suffisait à vous faire bannir. Et, si vous voulez savoir où trouver la vérité, regardez toujours en premier lieu les sujets dont vous n’êtes pas autorisé à discuter. Comme je l’ai déclaré dans mon article « Comment la pandémie virale profite à l’agenda globaliste », publié en janvier 2020 au tout début de l’épidémie :

J’ai du mal à ignorer l’étrange  « coïncidence » des laboratoires de haut niveau en matière de risques biologiques à Wuhan en faveur de l’idée que le virus a été lancé par hasard en raison des régimes alimentaires bizarres des Chinois du centre. Au vu des preuves, il semble que le coronavirus ait été mis en gestation dans un laboratoire, et non dans la soupe de chauve-souris et de serpent de quelqu’un. En 2017, des scientifiques extérieurs à la Chine ont averti que ces laboratoires n’étaient pas sécurisés et qu’un virus pouvait s’échapper de l’une des installations… J’utiliserais le terme « échapper » de manière vague, car il est possible que cet événement ait été créé intentionnellement…

Des élites comme le Dr Anthony Fauci (un proche associé de Bill Gates et Bill Gates SR.) ont directement financé des études au laboratoire de Wuhan par le biais du NIAID depuis 2015, et ont spécifiquement financé l’étude du transfert infectieux des coronavirus des chauves-souris vers d’autres mammifères, y compris les humains. Et oui, le NIAID était en fait impliqué dans des expériences de « gain de fonction » utilisant des variantes du SRAS et du coronavirus à cette époque, malgré les affirmations contraires d’Anthony Fauci. Le site Web de l’Institut national de la santé le confirme.

Tous ces faits étayent l’argument selon lequel la Covid-19 est une arme biologique créée en laboratoire et, selon moi, d’après les preuves recueillies jusqu’à présent, il a été diffusé délibérément en étroite collaboration avec le gouvernement chinois. Fauci a même en quelque sorte « prédit » en 2017 que Donald Trump serait confronté à une « épidémie surprise de maladie infectieuse » pendant sa présidence, déclarant que « Nous serons certainement surpris dans les prochaines années… »

Le stratagème a certainement fonctionné dans une certaine mesure. Dans une grande partie de l’Europe, de l’Asie et de l’Australie, le FEM obtient ce qu’il a toujours voulu.

Cela dit, certaines choses ne se sont pas déroulées comme prévu. Par exemple, l’« Event 201 » prévoyait la mort de 65 millions de personnes au cours de la première année de la pandémie ; cela ne s’est pas produit, et ce n’est pas parce que les gouvernements ont sauvé des vies. En fait, les confinements et les restrictions gouvernementales n’ont rien fait pour empêcher la propagation de la Covid-19 et des études indépendantes ont prouvé que les mandats de masquage étaient totalement inefficaces pour arrêter le virus. Le nombre relativement faible de victimes s’explique par le fait que le taux de mortalité de la Covid-19 n’est que de 0,26 % chez les personnes en bonne santé. Le seul endroit où la Covid-19 représente une véritable menace est dans les maisons de retraite, chez les personnes âgées souffrant de maladies préexistantes.

En raison des erreurs de calcul des élites, le programme de Reset semble échouer dans certaines parties du monde. Aux États-Unis, la résistance aux mesures de confinement et aux vaccins expérimentaux s’est développée de manière exponentielle, au point que des dizaines d’États ont adopté des lois interdisant l’application des restrictions sur les malades de la Covid-19 et les « passeports médicaux ».

Les médias alternatifs ont également prouvé leur résistance à la censure et à la suppression de l’information, et il a été prouvé que nous avions raison à maintes reprises. Nous avons été les premiers à avertir que le taux de mortalité de la Covid-19 était exagéré (l’OMS et d’autres institutions de l’establishment avaient prédit un taux de mortalité d’au moins 3 %, bien au-dessus de la réalité). Nous avons été les premières personnes à avertir que les mesures de confinement et les règles relatives aux masques n’ont rien fait pour arrêter la propagation (les États qui ont supprimé les restrictions ont vu le nombre d’infections et de décès chuter). Nous avons été les premiers à signaler que le virus se comportait davantage comme une arme biologique et que son origine était plus vraisemblablement le laboratoire de niveau 4 de Wuhan, en Chine, situé juste à côté du marché aux animaux qui, selon le gouvernement chinois, était à l’origine de l’épidémie.

Nous avons également été les premiers à avertir que la pandémie serait utilisée pour justifier l’application des passeports vaccinaux, ce qui créerait une société à deux vitesses conçue pour forcer les personnes qui ne veulent pas prendre les vaccins à ARNm à se conformer. Nous avons eu raison une fois de plus puisque l’État de l’Oregon est devenu le premier aux États-Unis à exiger une preuve de vaccination (un passeport) avant que les résidents puissent entrer dans n’importe quel commerce ou établissement.

Tout au long de cet événement, nous avons été traités de « théoriciens de la conspiration » par les bureaucrates du gouvernement et les médias. Mais nous avions raison sur presque tout, et les grands médias ont eu tort sur presque tout. Soit cela, soit ils ont sciemment menti sur presque tout.

Il est important de comprendre cette dynamique car je pense que la situation est loin d’être terminée et que d’autres événements de crise sont sur le point de se produire (ou qu’ils se produiront comme par magie par coïncidence).

Ce qui me préoccupe le plus en ce moment, c’est le prochain exercice « Cyberpolygon » dirigé par le FEM en juillet. Ce jeu de guerre est censé « simuler » une cyberattaque contre des infrastructures vitales qui entraînerait l’arrêt de la chaîne d’approvisionnement globale, ou du moins des chaînes d’approvisionnement de certains pays. Comme je l’ai signalé en avril, le calendrier du Cyberpolygon est suspect. Comme le programme de confinement des malades de la Covid-19 est en train de s’effondrer aux États-Unis et que les passeports vaccinaux ne remportent pas la faveur d’un grand pourcentage d’Américains, les globalistes auront besoin d’une autre crise, s’ils espèrent atteindre leurs objectifs pour leur Grand Reset.

[Voir aussi : La quatrième phase de Schwab]

Quelques semaines seulement après que j’ai publié mes premières inquiétudes concernant le Cyberpolygon, une cyberattaque massive a été signalée, qui a frappé le Colonial Pipeline, long de 5 500 miles. Ce pipeline fournit de l’essence à la majeure partie de la côte est et, après une semaine de fermeture, de nombreux États ont signalé des pénuries d’essence. L’histoire s’est depuis tranquillement effacée des grands cycles d’information.

Ces derniers jours, une autre cyberattaque majeure a été signalée contre JBS, une entreprise de viande qui fournit environ 23 % de l’ensemble du bœuf et du porc américains. La production de JBS s’est arrêtée, et il y a maintenant une possibilité de pénurie de viande dans tout le pays si les problèmes ne sont pas résolus rapidement.

Encore une fois, est-ce une coïncidence que ces cyberattaques de grande envergure se produisent plus fréquemment à l’approche de la simulation Cyberpolygon du FEM ? Ou bien, Cyberpolygon est-il un autre Event 201 ? S’agit-il d’un test bêta pour une catastrophe prévue dans un avenir proche ? Le FEM compare ouvertement les futures cyberattaques à des épidémies de Covid-19, je suis donc enclin à soupçonner la seconde hypothèse :

La question de la chaîne d’approvisionnement est passée au premier plan dans le sillage de la pandémie, car les détaillants ont dû faire face à des pénuries intermittentes et les fabricants à un manque de composants. En outre, les problèmes d’inflation pèsent également sur les approvisionnements. Cela dit, une cyberattaque est une toute autre affaire ; que l’événement soit réel ou non, la chaîne d’approvisionnement est fragile en raison de l’interdépendance globale. Aux États-Unis, de nombreux produits de première nécessité dépendent de fabricants étrangers ou du système de fret « juste à temps ». La préparation et le stockage à long terme ne font pas partie du vocabulaire de l’entreprise américaine commune.

Je ne sais pas vraiment si la chaîne d’approvisionnement pourrait être complètement interrompue par une cyberattaque, mais en combinaison avec l’inflation et des restrictions draconiennes en cas de pandémie, il est possible de perturber le flux de marchandises pendant des semaines. Il est également impossible de prévoir combien de personnes sont préparées à une telle calamité. J’espère que plus de 30 % des Américains ont au moins commencé à se préparer, mais il ne fait aucun doute que la majorité du pays ne l’est pas. Il suffirait de quelques semaines de pénurie ou d’un scénario de panne de réseau pour que la plupart des gens soient confrontés à la famine, entre autres choses.

Si l’Event 201 est une indication, nous devons rester vigilants et surveiller attentivement une autre cyberattaque majeure affectant la chaîne d’approvisionnement dans les deux mois suivant l’exercice Cyberpolygon du FEM en juillet.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Origine du virus : FAUCI passe aux aveux et ça éclabousse tout le monde !

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]