Des vérités sur les « vaccins » anti-covid éclatent lors d’une réunion privée de santé publique

[Sources : Les 7 du quebec]






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur

[Source : lemediaen442.fr]

Pousser les Français à se faire vacciner en leur faisant peur de la mort, c’est la stratégie de dirigeants eux-mêmes dominés par la peur. Selon Marie-Estelle Dupont, psychologue, les marchands de peur comme Karine Lacombe sont les premiers à avoir peur. Leur personnalité leur dicte leur conduite.



La menace de la carotte et du bâton pour infantiliser, la maladie pour faire peur, le monde d’avant pour rassurer. Autant de dérivés de la méthode d’interrogatoire du méchant flic et du gentil flic qui donne une cigarette en échange d’aveux. Bon, ce n’est qu’une théorie, car quand ça ne marche désespérément pas, Big Pharma passe, avec ses médias, à la menace directe (Emmanuel Lechypre), aux insultes (Thomas Porcher). De la même façon, Emmanuel Macron est passé de l’enfumage médiatique à la répression sauvage contre les Gilets Jaunes, pour finir par totalement emprisonner (euh… confiner) la population.


[Voir : La clef de la libération – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?




L’oxyde de graphène présent dans tous les vaccins fait des vaccinés des bombes à retardement ambulantes

[Source : For life on Earth.weebly.com]

[Traduction : changera.blogspot.com]

Par Claire Edwards, 26 juillet 2021

Dans une nouvelle vidéo, La Quinta Columna révèle que de l’oxyde de graphène (GO) a été trouvé dans une solution saline et ils en déduisent que l’utilisation du GO est beaucoup, beaucoup plus répandue et a commencé bien plus tôt que les seuls vaccins « Covid ».(([1] Solution saline physiologique contenant du graphène : 
https://www.brighteon.com/36a8d0c6-0c43-4acc-b5ea-5d6cc642f97d)) On a constaté que les bébés sont magnétiques, et les personnes qui n’ont pas pris le vaccin « Covid » ou qui n’ont pas été testées par PCR ou qui n’ont pas porté de masques montrent également du magnétisme, donc cela doit venir d’ailleurs. Ils en déduisent que le GO est utilisé depuis quelques années dans tous les vaccins, y compris le tétanos, la méningite, les vaccins pour enfants, etc. La Quinta Columna affirme que le GO était aussi dans le vaccin contre la grippe de 2018 et que cela pourrait expliquer pourquoi des personnes présentent du magnétisme alors qu’elles n’ont pas eu le vaccin « Covid ». Cela pourrait également expliquer le nombre élevé de décès dus à la « grippe » après la campagne de vaccination contre la grippe de 2018. Cela explique aussi le fait que tant de personnes soient mortes à Wuhan. Le gouvernement chinois avait rendu le vaccin contre la grippe obligatoire pour la population juste avant d’allumer les dizaines de milliers d’antennes 5G flambant neuves à Wuhan.  De même, les personnes âgées décédées à Milan avaient également été vaccinées contre la grippe et il y avait un grand nombre d’antennes 5G à Milan (voir les cartes des installations d’antennes en Italie en mars/avril 2020, qui montrent que la région de Milan a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus »).  

Magda Havas a constaté que les cas de Covid-19 par million étaient supérieurs de 95% et les décès de Covid-19 par million étaient supérieurs de 126% dans les États américains dotés de la 5G. La Quinta Columna rappelle que la 4G LTE utilise également des ondes millimétriques et que la 5G n’est donc pas la seule à être impliquée. Bartomeu Payeras i Cifre a publié une étude sur la corrélation 5G-Covid en avril 2020. Il a souligné le fait que Saint-Marin a été le premier État européen doté de la technologie 5G et l’État qui a enregistré le plus grand nombre de cas de « coronavirus » pour 1.000 habitants, soit 4,07 fois plus de cas que l’Italie et 27 fois plus que la Croatie, qui ne disposait pas de la 5G à l’époque (voir la carte ci-dessous).

M. Payeras i Cifre a également observé que le « coronavirus » semblait peu enclin à franchir les frontières. Le nombre moyen d’infections pour les quatre États américains limitrophes du Mexique était de 0,242, soit plus de 2.000 % de plus que le Mexique. La moyenne pour l’ensemble des États-Unis était de 0,814, soit 7.000 % de plus qu’au Mexique (voir la carte ci-dessous). L' »effet frontière » entre le Mexique et les États-Unis

Données pour le 3 avril 2020 – infections pour 1.000 habitants

Californie Arizona Nouveau-Mexique Texas Mexique USA
0.28 0.31 0.20 0.18 0.012 0.814

Je me demande comment il se fait que toutes ces informations utiles émanent d’Espagne. Même Andreas Kalcker (basé en Espagne) est sur une vidéo discutant de GO en espagnol. Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, souligne que nous devrions prendre note du fait que chaque période de vaccination a été liée à un saut technologique. Le graphique ci-dessous illustre comment chaque expansion de l’utilisation des rayonnements électromagnétiques (EMR) et chaque nouvelle génération de technologie sans fil a été accompagnée d’une nouvelle maladie. 

On pourrait ajouter que la grippe dite espagnole est apparue six mois après que l’armée américaine a commencé à utiliser des émetteurs radio très puissants à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1917. La grippe asiatique s’est produite en 1957-1958 lorsqu’un puissant système de surveillance radar a été mis en service. La grippe de Hong Kong est apparue en 1968, lorsque 28 satellites militaires de surveillance de l’espace ont été mis en service. En 1997, lorsque les téléphones portables ont été utilisés en masse, on a constaté une augmentation de 31% du diabète aux États-Unis en un an. Au Royaume-Uni, entre 1994 et 2002, parallèlement à l’adoption soudaine de la technologie des téléphones portables, la population de moineaux domestiques a diminué de 75% et elle a été classée parmi les espèces en voie de disparition. Notons également qu’en octobre 2018, juste après que des centaines d’avions aient été équipés d’un tout nouveau WiFi embarqué venant directement du satellite, des cas massifs de « grippe » se sont déclarés à bord des vols et des ambulances ont dû être appelées et des vols détournés.

De même, alors que nous avons commencé à entendre parler de cas de « coronavirus » à bord de bateaux de croisière début 2020, nous avons appris simultanément que les paquebots venaient de déployer la 5G complète et la reconnaissance faciale à bord, tous les passagers étant irradiés avec des brassards et des pendentifs prêts pour la 5G. Ce sont deux médecins italiens, Montanari et Gatti, qui ont été les premiers à alerter sur les vaccins contenant mystérieusement des nanoparticules non déclarées dans un article publié début 2018. Ils ont notamment trouvé de l’acier inoxydable et du carbure de tungstène, hautement toxique, dans des vaccins. Pour leur peine, leurs domiciles ont été perquisitionnés par la police, qui leur a retiré toutes leurs données et ordinateurs. Dans une interview, les deux chercheurs ont expliqué qu’il est interdit que des nanoparticules se trouvent dans toute solution injectable car, contrairement aux autres nanoparticules auxquelles nous sommes exposés et que nous pouvons respirer et expulser en grande partie si nos poumons sont sains, les nanoparticules injectées restent piégées à jamais et peuvent circuler dans tout le corps, y compris dans le cerveau, provoquant des démences et des maladies comme le cancer et le diabète.
Si l’on ajoute à cela le fait que les téléphones portables ouvrent la barrière hémato-encéphalique pour laisser entrer les toxines, y compris les particules de l’air et les nanoparticules des vaccins, nous avons un mélange très dangereux de menaces.(([2] Le portail EMF de l’université d’Aix-la-Chapelle répertorie 34 études traitant de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique. Disponible sur 
www.emf-portal.org/en/article/overview/mobile-communications-med-bio/g-84/t-84003#level-3)) Je dis depuis le début de tout cela, fin 2019, qu’il n’y a pas de « Covid ». « Covid » est une désignation générale pour une collection de symptômes discrets, qui sont tous les mêmes que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques. Et, fait intéressant, nous apprenons que l’hôpital de Barcelone, en Espagne, a décidé de changer le nom du service où sont traitées les personnes réagissant à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques, dites « électrohypersensibles » ou EHS, en un service « post-Covid ». Comme c’est approprié !

Mais ce que je ne savais pas en 2020, c’est que cette exposition est massivement renforcée par l’implantation de nanoparticules métalliques dans l’organisme. C’est reconnu dans la littérature scientifique, même par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP ; pas internationale, pas une commission, et ne protégeant personne contre quoi que ce soit, sauf peut-être l’armée et les sociétés de télécommunications contre des poursuites pour des crimes contre l’humanité remontant à des décennies) qui déclare dans ses propres directives de « sécurité » sur l’exposition aux CEM que si vous avez du métal dans votre corps, il va agir avec les champs électromagnétiques (CEM) pour vous rendre malade(([3] Directives de l’ICNIRP pour limiter l’exposition aux champs électromagnétiques (100 kHz à 300 GHz). Health Phys. 118(5):483-524 ; 2020. Disponible à l’adresse
www.icnirp.org/cms/upload/publications/ICNIRPrfgdl2020.pdf)): 

« Les procédures médicales peuvent utiliser des CEM, et les implants métalliques peuvent modifier ou perturber les CEM dans le corps, qui à leur tour peuvent affecter le corps à la fois directement (via une interaction directe entre le champ et le tissu) et indirectement (via un objet conducteur intermédiaire). Par exemple, l’ablation par radiofréquence et l’hyperthermie sont toutes deux utilisées comme traitements médicaux, et les CEM de radiofréquence peuvent indirectement causer des dommages en interférant involontairement [je ne savais pas que les CEM possédaient une intention] avec des dispositifs médicaux implantables actifs (voir ISO 2012) ou en modifiant les CEM en raison de la présence d’implants conducteurs. » 

Les nanoparticules sont utilisées dans les traitements contre le cancer. Elles sont injectées dans la tumeur, puis un rayonnement électromagnétique est appliqué afin que chaque nanoparticule brûle les cellules cancéreuses adjacentes. C’est ce qu’on appelle la « thérapie par ablation thermique ».(([4] Ablation par radiofréquence (RFA) : Il s’agit probablement du type d’ablation thermique le plus couramment utilisé. La RFA utilise des ondes radio à haute énergie pour le traitement. Une fine sonde en forme d’aiguille est insérée dans la tumeur pendant une courte période, généralement de 10 à 30 minutes. La sonde est guidée en place à l’aide d’ultrasons, d’une IRM ou d’un scanner. L’extrémité de la sonde émet un courant à haute fréquence qui crée une chaleur très élevée et détruit les cellules dans une zone donnée. Les cellules mortes ne sont pas éliminées, mais deviennent des tissus cicatriciels et rétrécissent avec le temps. L’hyperthermie pour traiter le cancer.
www.cancer.org/treatment/treatments-and-side-effects/treatment-types/hyperthermia.html)) 

Que se passe-t-il donc lorsque vous remplissez tout le corps de nanoparticules d’oxyde de graphène et que vous exposez tout le monde aux rayonnements électromagnétiques inéluctables et omniprésents qui couvrent toute la planète, y compris depuis les satellites et les plates-formes de haute altitude (HAPS) telles que les planeurs et les drones dans la stratosphère ?(([5] « Des constellations massives de … satellites en orbite terrestre basse sont en cours de planification et de fabrication et … couvriront le globe d’une capacité à faible latence et à large bande passante » afin d’étendre la portée de l’Internet mondial aux zones rurales et reculées et de compléter les réseaux terrestres 5G. » Union internationale des télécommunications ; Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Commission du haut débit pour le développement durable. Groupe de travail sur les technologies dans l’espace et la haute atmosphère. Identifier le potentiel des nouvelles technologies de communication pour le développement durable. Septembre 2017. 
www.broadbandcommission.org/Documents/publications/WG-Technologies-in-Space-Report2017.pdf))

Ricardo Delgado, de La Quinta Columna, a la réponse : 

« Chaque personne qui a été inoculée avec cette nanotechnologie de l’oxyde de graphène a maintenant une mèche, de la dynamite, une bombe à retardement qui est prête à exploser par l’activation d’une micro-onde. » 

La réponse est que vous avez un génocide. C’est ce qu’a expliqué avec force détails graphiques un ingénieur français dans une vidéo de 2020 (supprimée depuis par Youtube), mais dont nous avons la transcription :

« Pour moi, ces nanoparticules font partie d’un système d’armes qui permettra la dépopulation sans résistance de masse. Si vous comparez cela à un système d’explosifs, la nanoparticule serait la barre de l’explosif plastique, c’est-à-dire la matière active qui va exploser. La deuxième chose qui serait nécessaire est un détonateur. Pour moi, c’est l’onde électromagnétique qui va faire vibrer la nanoparticule, et la troisième chose c’est le contrôle, je pense qu’on l’a trouvé maintenant, c’est l’idée de 2020 060606,(([6] Brevet Microsoft 060606 – Monnaie numérique à interface corporelle. 
www.disclose.tv/t/microsoft-patent-060606-body-interfaced-digital-currency/298))(([7] Pour une discussion détaillée du vaccin proposé, voir Rapport d’enquête des officiers de réserve de l’armée française sur la pandémie de Covid-19 et ses relations avec le SRAS-COV-2 et d’autres facteurs, chapitre 13 : Vaccin et puce électronique. 
French Army Reserve Officers’ Investigative Report on the Covid-19 Pandemic and its Relationship to SARS-COV-2 and Other Factors, chapter 13: Vaccine and electronic chip.)) c’est-à-dire la vaccination sous-cutanée que les maîtres du monde vont proposer pour qu’ils puissent savoir où nous sommes et puissent nous tracer avec la 5G. L’avantage de la 5G comme détonateur est qu’elle peut nous tracer. C’est une arme à énergie dirigée. Donc, on est tracé, ils savent où envoyer l’onde et ils savent qui ils vont chauffer. De quoi avez-vous besoin pour que ce système d’armement soit opérationnel ? Il faut être capable d’injecter les nanoparticules dans le corps. Le seul moyen qui semble cohérent au regard de l’histoire est de les mettre dans les vaccins. »

Ce que cela signifie, c’est que chaque adulte ou enfant qui a reçu les vaccins « Covid », et apparemment n’importe quel autre vaccin au cours des deux dernières années, est maintenant une antenne relais et risque de mourir à tout moment d’une exposition aux CEM, mais cela se manifestera par toute une série de maladies différentes.  N’oublions pas non plus que la géo-ingénierie qui se déroule au-dessus de nos têtes pendant tout ce temps est également pleine de nanoparticules, et inclut probablement aussi le GO.

Les canaris dans la mine de charbon à l’heure actuelle sont les pilotes qui ont été vaccinés. Les pilotes et le personnel navigant sont exposés professionnellement à des niveaux de radiation très élevés. Faut-il s’étonner, dès lors, que quatre pilotes de British Airways soient morts après avoir reçu les vaccins et cinq autres de Jet Blue Airlines ?  Un vol de Singapore Airlines a dû se dérouter vers l’aéroport de Moscou parce qu’une hôtesse de l’air a eu une attaque. D’autres rumeurs font état de décès de pilotes d’autres compagnies aériennes. 

Je pense que nous avons été la cible d’une énorme opération psychologique et que pratiquement tout le monde regarde dans la mauvaise direction.  Tout tourne autour des radiations électromagnétiques et c’est la clé.  Maintenant que tous ceux qui se sont fait piquer sont pleins d’oxyde de graphène, leur seul recours est de suivre les précautions que prennent les personnes dites électrohypersensibles (EHS) et de se débarrasser de leurs téléphones portables et de tous les appareils sans fil et de s’assurer qu’ils n’entrent jamais en contact avec une quelconque technologie sans fil. 

Et bien sûr, si les gouvernements ne désactivent pas immédiatement toutes les antennes partout dans le monde (et ils n’ont pas besoin de nous dire que c’est une notion ridicule alors qu’ils étaient tout à fait heureux de fermer l’économie mondiale entière pour le Covid inexistant), alors c’est une preuve prima facie d’intentions génocidaires, parce que la littérature scientifique est sans équivoque que les métaux dans le corps deviennent des antennes lorsqu’ils sont exposés aux EMR. Le pistolet fumant de la conspiration de Covid est les nanoparticules d’oxyde de graphène dans les vaccins. Maintenant que nous le savons, la priorité de chacun doit être d’éteindre toutes les technologies sans fil et toutes les antennes de la planète, ainsi que tous les satellites 5G. Ne pas le faire sera une condamnation à mort pour les vaccinés.


[Voir aussi :
Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]


RÉFÉRENCES




Dr Astrid Stuckelberger, le faux vaccin et l’oxyde de graphène

[Source : agoratv]



[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine
Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?
Que viennent faire les nanotechnologies dans les vaccins ?]




L’école à la maison, c’est fini

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La consultation sur le passe sanitaire, – et adoption finale -, à vitesse grand V  dans une Assemblée nationale et un Sénat aux ordres, a occulté  l’adoption d’une autre loi inique, liberticide : celle qui met fin à l’instruction à domicile. Pourtant, le 23 juillet dernier, les scellées ont été posées sur le cercueil de l’école à la maison. Et les Français ont perdu une autre de leur liberté : celle concernant leur choix éducatif pour leurs enfants.

Dans un communiqué, la Fondation pour l’école revient sur cette interdiction qui s’est faite « au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions » :

« Lors de son vote du 23 juillet 2021, l’Assemblée nationale a définitivement adopté la loi confortant le respect des principes de la République.

Cette adoption a pour conséquence la suppression du régime déclaratif de l’instruction en famille (IEF) institué depuis fort longtemps et pourtant garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme[1].

Il est dorénavant remplacé par un régime d’autorisation préalable, soumis à des conditions aussi strictes que subjectives, privant de facto 62 398 enfants[2] d’un mode d’instruction parfaitement légal et régulièrement contrôlé par les services de l’État.

Comme elle l’avait annoncé précédemment, la Fondation ne peut se résoudre à la suppression d’une telle liberté fondamentale, et entamera donc lundi 26 juillet une procédure dite de « la porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel.

Rappelons que cette adoption du 23 juillet s’est faite au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions. Ainsi :

un premier avis du Conseil d’État sur cette loi, modifié in extremis sur pression du gouvernement[3], s’est prononcé en nette défaveur de la suppression de l’IEF en décembre 2020 ;

la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), après avoir auditionné la Fondation pour l’école, at rendu un avis défavorable le 28 janvier 2021[4] sur le projet de loi ;

le Sénat, où la Fondation a également été auditionnée, a supprimé l’interdiction de l’IEF lors de son examen du 19 mars 2021[5] et a fait part de ses plus vives inquiétudes sur la dimension liberticide d’une telle loi ;

les travaux de la Commission mixte paritaire n’ont, par la suite, pas abouti ;

le Sénat avait ensuite renouvelé ses inquiétudes devant la volonté manifeste des députés d’un passage en force, et leur refus réitéré de tenir compte des dispositifs alternatifs proposés[6].

Rappelons également que :

l’étude d’impact du projet de loi remis par le Gouvernement n’a fourni aucun chiffre permettant de démontrer les dérives séparatistes massives prétendument issues de l’IEF ;

la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) a refusé de rendre publics et de communiquer à l’Assemblée deux rapports émis sur le sujet, obligeant ainsi les députés à voter « dans le noir »[7].

Ainsi, l’Assemblée nationale aura méprisé tous les avis rendus par les différentes institutions républicaines… au nom du respect des principes de la République : l’ironie de la situation n’échappera à personne.

Face à ce déni démocratique avéré, la Fondation pour l’école, associée aux collectifs L’école est la maison[8] et Liberté éducation[9], déposera une « contribution extérieure » communément appelée « porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel, par l’intermédiaire de son avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, Maître Guillaume Valdelièvre.

Cette procédure vise à rétablir l’IEF telle qu’elle était inscrite dans la loi française. Elle a également pour objectif de s’opposer aux nouveaux contrôles et sanctions visant les établissements scolaires indépendants (dits hors contrat). Face à ces attaques particulièrement graves de nos libertés fondamentales, nous attendons du Conseil constitutionnel qu’il réponde rapidement et favorablement à nos demandes en déclarant ces atteintes aux libertés d’instruction et d’enseignement comme étant contraires à la Constitution.

Il est inconcevable que la liberté de 67 millions de français soit ainsi piétinée par les dérives de quelques-uns[10]. »

L’étau visant à supprimer, petit à petit, la majeure partie de leurs libertés fondamentales, se resserre autour des Français.

La France bascule inexorablement dans un régime tyrannique à la chinoise.

Francesca de Villasmundo 


[1] Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, article 26 alinéa 3 : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

[2] https://www.liberteeducation.com/quelques-chiffres-sur-lecole-a-la-maison/

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/suppression-de-l-instruction-en-famille-comment-le-conseil-d-etat-a-declare-son-inconstitutionnalite-avant-de-se-retracter-20210601

[4] https://www.cncdh.fr/sites/default/files/a_-_2021_-_1_-_pjl_principes_de_la_republique_janv_2021.pdf

[5] http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210329/cult.html

[6] https://www.senat.fr/amendements/2020-2021/734/jeu_complet.html

[7] https://association-unie.fr/petition-nous-voulons-les-rapports-de-la-dgesco/

[8] https://lecoleestlamaison.blogspot.com/

[9] https://www.liberteeducation.com/

[10] Vademecum sur l’IEF de l’Éducation nationale, page 38 : « Les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l’occasion du contrôle de l’instruction au domicile familial sont exceptionnels. ». En 2019, 179 enfants suivis en CPRAF (cellule de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles) pour des motifs de radicalisation étaient effectivement déscolarisés ou instruits en famille.




Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, 4 doses de vaccin sont prévues pour chaque européen de l’Union Européenne

[Source : myessentielles via profession-gendarme.com]

https://twitter.com/_LE_GENERAL_OF/status/1417216021778378752?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1417216021778378752%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.profession-gendarme.com%2Falexandra-henrion-caude-balance-du-lourd-en-direct-y-a-4-doses-qui-sont-prevues-pour-chacun-dentre-nous-y-compris-bebes%2F



Selon l’avocat Reiner Fuellmich, le front des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres

L’avocat allemand, Reiner Fuellmich, a pris la parole par l’intermédiaire d’une vidéo préenregistrée lors de la manifestation pour la liberté qui se tint au Trafalgar Square de Westminster, à Londres. En effet, des milliers de personnes se sont rassemblées le samedi 24 juillet au Trafalgar Square pour protester contre les règles de verrouillage et les vaccinations COVID-19. Un large éventail d’intervenants ont participé à l’événement, dont Kate Shemirani, David Icke et Piers Corbyn qui se sont adressés à la foule. Les manifestants sont en colère contre la récente décision qui rendra les passeports vaccinaux obligatoires en Angleterre pour accéder aux boîtes de nuit et autres lieux bondés. Boris Johnson a déclaré que la nouvelle mesure entrerait en vigueur d’ici la fin septembre.

Des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs pays ont aussi protesté contre les mesures anti-COVID. En France, les citoyens sont descendus dans la rue pour protester à l’échelle nationale contre le laissez-passer sanitaire du président Emmanuel Macron qui réduira considérablement l’accès aux restaurants et aux espaces publics pour les personnes non vaccinées. « Liberté, liberté », scandaient des manifestants en France, portant des pancartes dénonçant « Macron, Tyran »« Big Pharma enchaîne la liberté » ou disant « Non à la passe de la honte ». Un programme similaire, appelé « laissez-passer vert », a déclenché des manifestations de colère dans toute l’Italie. Les habitants de Rome, Naples et Turin ont scandé « liberté » et « à bas la dictature » ​​contre les projets du soi-disant « pass vert ».

Vous remarquerez que dans son discours, Dr Reiner Fuellmich ne parle pas du tout d’un procès international de type « Nuremberg 2.0 » pour la simple et bonne raison qu’une telle procédure n’existe pas. L’avocat avait lui-même rétabli les faits auprès de FranceSoir concernant ce soi-disant « méga procès » qui n’est qu’une fausse rumeur propagée par des gens sans doute mal intentionnés, dans le but éventuel « de le discréditer » selon ses propres dires. C’est ce que j’avais moi-même révélé dans un article du 20 avril dernier dans lequel je faisais part d’une correspondance datant de la veille avec Me Reiner Fuellmich. Dans cette correspondance, l’avocat me confirmait que « malgré toutes les (fausses) rumeurs il n’a rien déposé auprès de la Cour pénale internationale ». Il espérait simplement rassembler les juristes de partout dans le monde qui remettent en question les mesures à la base : le test PCR Drosten. Le reste, dont le dépôt d’une plainte à la Cour pénale internationale, n’étant que des rumeurs.

Celles et ceux qui affirment qu’un procès de type « Nuremberg 2.0 » est en préparation mentent et profitent de la crédulité des gens, en propageant de faux espoirs parmi la population. Récemment, certaines personnes ont affirmé qu’elles organisaient un « Nuremberg 2.0 » devant le Palais de justice de Douglas sur l’île de Man. Elles disent avoir signifié cette procédure au procureur général John Quinn, au lieutenant gouverneur Richard Gozney et au greffier en chef Stuart Quayle. Selon cette rumeur, le rassemblement devrait avoir lieu le 1er septembre devant le tribunal de droit commun sur l’île de Man.

Je suis donc allé à la source et j’ai écrit au Palais de justice de l’île de Man pour leur demander si cette information était véridique ou non. Le directeur de la performance et des services judiciaires au Registre général, Colin Cowley. me répondit : « Cher Monsieur. Le greffe général n’a connaissance d’aucun document signifié comme indiqué et ne peut donc faire aucun commentaire à ce sujet. Salutations » Évidemment, certaines personnes diront que le procès Nuremberg 2.0 étant « secret » 🙂  le Tribunal de l’île de Man ne révélera aucune information à son sujet. Je laisse donc ce genre de commentaire aux adeptes des jeux de rôles et de fantaisie… Pour ma part, je reste dans le monde des adultes.

Colin Cowley - Isle of Man Courts of Justice

VEUILLEZ NOTER : Des dizaines de crimes contre l’humanité ont été perpétrés depuis très longtemps dans différentes régions du monde. Il n’y a qu’à regarder du côté des premiers mutants de l’espèce humaine, exposés pendant 40 ans aux essais nucléaires soviétiques, les habitants de la région du Kazakhstan ont servi de cobayes humains. La ville de Kourtchatov, base ultrasecrète où vivaient les scientifiques et techniciens avec leurs familles, n’était mentionnée sur aucune carte à l’époque. Aujourd’hui, elle abrite des êtres détruits : ils souffrent de cécité ou de faiblesse des os, ils ont parfois le visage complètement déformé. Le taux de cancer est 3 fois supérieur à la normale. Ici, les naissances monstrueuses sont légion depuis les années 50. Reconnues par l’État, ces victimes de l’atome touchent de modestes pensions. Mais les radiations ont marqué pour toujours leur patrimoine génétique.

Y a-t-il jamais eu un procès pour crimes contre l’humanité pour ces atrocités ? Non, jamais !

« C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création. »

Reiner Fuellmich



Le discours de l’avocat Reiner Fuellmich

Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle. Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus ? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie ? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde ? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi-artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4 %. Et en conséquence, Singapour est tombée d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.

Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections. Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100 % de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97 % de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).

Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures (la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc.) n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.

En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus. Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des États-Unis.

Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45 000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations. Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets, et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11 000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1 % et 10 % de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.

Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux États-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout à fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.

Entre-temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être. Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.

Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.

Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.

Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.

C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.




« Se croyant tout puissants, les comploteurs qui œuvrent sous le couvert du globalisme croient pouvoir soumettre toute l’humanité et la nature sous leur joug totalitaire, mais ils s’apercevront bientôt qu’ils ne sont pas les maîtres à bord et que leur imperium disparaîtra plus rapidement qu’il n’est apparu… »

Guy Boulianne




Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021

[Source : nicolasbonnal.com]

Totalitarisme fou et absolu. Les manifs ne les font surtout pas reculer [voir : Note sur les manifestations sous le règne du NOM] : manifestation obligatoire universelle pour septembre. Les enseignants doivent se vacciner. Aucune catastrophe sanitaire nulle part, déclare Florian qui rappelle que les libertés progressent ailleurs : il faudra donc se battre ou crever comme des rats numérotés. Râler et boycotter sont déjà dépassés.

Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

Blanquer annonce la vaccination obligatoire pour les enseignants – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

LA VACCINATION OBLIGATOIRE S’ÉTENDRA-T-ELLE AUX ENSEIGNANTS ? CETTE MESURE, QUI SERAIT LOGIQUE, MAIS QUI EST DIFFICILE À IMPOSER POLITIQUEMENT, SEMBLE ANNONCÉE PAR UNE MAIL ENVOYÉ PAR LE MINISTRE BLANQUER À TOUS LES PERSONNELS DANS UN MESSAGE QUE NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS. DANS LA PRATIQUE, IL EST TROP PROBABLE QUE, DÈS SEPTEMBRE, L’EDUCATION NATIONALE SOUMETTRA SES PERSONNELS À UNE OBLIGATION VACCINALE.

https://youtu.be/RJ9VvgRJFEI



France : votre maire est-il un collabo? Vérifiez dans cette liste de 382 noms!

[Source : FL24.net]

Par Pascal Tenno

Dans une lettre ouverte publiée par Le Journal Du Dimanche, 382 élus de différents partis, dont le PS et LR, Estrosi en tête, applaudissent la tyrannie sanitaire mise en place par Emmanuel Macron lundi dernier, et saluent avec force courbettes et prosternations “le courage des décisions prises”.

Cette lettre ouverte est une déclaration de soumission totale au pouvoir élyséen. Personne ne l’attendait, personne ne la demandait… excepté Macron lui-même, afin d’asseoir toujours davantage sa domination, et de faire croire que la Nation entière approuve la destruction pseudo-sanitaire de nos droits fondamentaux. Et, sans aucun doute, Estrosi, qui est désormais la tête de pont officielle de la macronisation des esprits hors des frontières de LREM.

Le texte de la lettre est honteusement lâche et obséquieux, scandaleusement arriviste et hypocrite. “Dans l’intérêt du pays comme dans celui de nos territoires, nous, maires et responsables de collectivités territoriales, avons choisi d’agir ensemble pour l’avenir. D’agir ensemble pour la France. Voilà pourquoi nous soutenons les actions que vient d’annoncer le Président Emmanuel Macron.” . Etc., etc., etc.

Mais l’initiative a au moins un intérêt majeur: fournir une liste des 382 élus les plus prosternés et les plus consternants de France. Une liste utile, qui vous permet de savoir si votre élu local est un collabo. Puisqu’ils se dénoncent eux-mêmes, il n’y a aucun mal à vérifier. À vous de jouer!

  • Houssamoudine ABDALLAH, Maire de Sada (Mayotte)
  • Mouslim ABOURAHAMA, Maire de Boueni (Mayotte)
  • Bruno ACCIAÏ, Maire de La Robine-Sur-Galabre (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Olivier ALLAIN, Maire de Corlay (Côtes-d’Armor)
  • Tearii ALPHA, Maire de Teva I Uta (Polynésie française)
  • Christian AMIRATI, maire de Gignac-La-Nerthe (Bouches-du-Rhône)
  • Mahfoud AOMAR, Maire de Valravillon (Yonne)
  • François ARIZZI, Maire de Bormes-les-Mimosas (Var)
  • Alexis ARMANGAU, Maire de Fitou (Aude)
  • Jean AUBOURG, Maire de Saint-Ouen-du-Tilleul (Eure)
  • Fabien AUFRECHTER, Maire de Verneuil Sur Seine (Yvelines)
  • Philippe AUGIER, Maire de Deauville (Calvados)
  • Pierre AVOYNE, Maire de Norolles (Calvados)
  • Bruno Nestor AZEROT, Maire de Sainte-Marie (Martinique)
  • Dominique BAERT, Maire de Wattrelos (Nord)
  • Rolland BALBIS, Maire de Villecroze (Var)
  • François BARBIER, Maire de Contamines (Haute-Savoie)
  • Frédéric BARON, maire de Etriac (Charente)
  • Philippe BARRE, Maire de Sainte-Hermine (Vendée)
  • Annick BARRE, Maire de Laz (Finistère)
  • Catherine BARTHELET, Maire de Pelousey (Doubs)
  • Pascal BAUDELOT, Maire de Lenax (Allier)
  • Jean-François BAUDRY, Maire de Féron (Nord)
  • Marcel BAUER, Maire de Sélestat (Bas-Rhin)
  • Stéphane BEAUDET, Maire d’Évry-Courcouronnes (Essonne )
  • Jean-Michel BEAUGER, Maire de Tharoiseau (Yonne)
  • Christophe BÉCHU, Maire d’Angers (Maine-et-Loire)
  • Doriane BECUE, Maire de Tourcoing (Nord)
  • Bertrand BELLANGER, Président du conseil départemental de la Seine-Maritime
  • Thierry BELLONI, Maire de Staffelfelden (Haut-Rhin)
  • Laïthidine BEN SAÏD, Maire de Mtsamboro (Mayotte)
  • Joris BENIER, Maire des Trois-Lacs (Eure)
  • Florent BENOIT, Maire de Vulbens (Haute-Savoie)
  • Samuel BENOUDIZ, Maire de Aigremont (Yvelines)
  • Fabrice BERGER, Maire de Challuy (Nièvre)
  • Gérard BERHAULT, Maire de Le Hinglé (Côtes-d’Armor)
  • Eric BERLIVET, Maire de Roche-La-Molière (Loire)
  • Raphael BERNARDIN, Maire de Saint-Sulpice-La-Pointe (Tarn)
  • Michel BERNOS, Maire de Jurançon (Pyrénées-Atlantiques)
  • André BERTERO, Maire d’Aurons (Bouches-du-Rhône)
  • Bruno BERTHELIER, Maire de Charlieu (Loire)
  • André BEVILLE, Maire de Saint-Jean-de-Thouars (Deux-Sèvres)
  • Louis BISCARRAT, Maire de Jonquieres (Vaucluse)
  • Yves BLEUNVEN, Maire de Grand-Champ (Morbihan)
  • Thomas BLONSKY, Maire de Chapelle-Royale (Eure-et-Loir)
  • Laurent BONNATERRE, Maire de Caudebec-Lès-Elbeuf (Seine-Maritime)
  • Jean-Luc BONNET, Maire de Le Vigen (Haute-Vienne)
  • Patrice BONVOISIN, Maire de Freneuse-sur-Risle (Eure)
  • Yannick BORDE, Maire de Saint-Berthevin (Mayenne)
  • Jean-Charles BORGHINI, Maire de La Brillanne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Jean-Baptiste BORSALI, Maire du Bourget (Seine-Saint-Denis)
  • Georges BOTELLA, Maire de Théoule-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Luc BOUARD, Maire de La Roche-sur-Yon (Vendée)
  • François BOUCHART, Maire de Roissy-en-Brie (Seinte-et-Marne)
  • Patrick BOUILLON, Maire de Lugny-Les-Charolles (Saône-et-Loire)
  • Laurent BOUQUET, Maire de Arrigny (Marne)
  • Monique BOURDIER, Maire de Bouleurs (Seine-et-Marne)
  • Arlette BRADAT, Maire de Welckolsheim (Haut-Rhin)
  • Didier BREMOND, Maire de Brignoles (Var)
  • Pierre BRETEAU, Maire de Saint-Grégoire (Ille-et-Vilaine)
  • Christian BRETIN, Maire de Cousance (Jura)
  • Christophe BRINGOUT, Maire de Labergement-lès-Auxonne (Côte-d’Or)
  • Thierry BRUN, Maire de Margency (Val-d’Oise)
  • Christophe BUHOT, Maire du Mesnil-Saint-Denis (Yvelines)
  • Michel BUILLARD, Maire de Papeete (Polynésie française)
  • Marc CAGNARD, Maire de Croissy-sur-Celle (Oise)
  • Christiane CAILLIAU-DELEU, Maire de Martrin (Aveyron)
  • Dominique CAP, Maire de Plougastel-Daoulas, Président de l’association des maires du Finistère et de Bretagne
  • Philippe CASTERAN, Maire de Sédeilhac (Haute-Garonne)
  • Jean-Michel CATELINOIS, Maire de Saint-Paul-Trois-Châteaux (Drôme)
  • Laurent CATHALA, Maire de Créteil (Val-de-Marne)
  • Hugo CAVAGNAC, Maire de Fronton (Haute-Garonne)
  • Francois CAVALLIER, Maire de Callian (Var)
  • Caroline CAYEUX, Maire de Beauvais (Oise)
  • Florence CAYLA, Maire de Sébazac-Concourès (Aveyron)
  • Claude CENTLIVRE, Maire de Eguisheim (Haut-Rhin)
  • Laurence CHABAUD-GEVA, Maire de Saumane-de-Vaucluse (Vaucluse)
  • Richard CHAMARET, Maire de Méral (Mayenne)
  • Julien CHAMBON, Maire de Houilles (Yvelines)
  • Jean-Yves CHAPELET, Maire de Bagnols-Sur-Cèze (Gard)
  • Dominique CHAPPUIT, Maire de Rosoy (Yonne)
  • Maurice CHAUTANT, Maire de La Roche-des-Arnauds (Hautes-Alpes)
  • Vincent CHAUVET, Maire d’Autun (Saône-et-Loire)
  • Brigitte CHEVROT, Maire de La Bâtie-des-Fonds (Drôme)
  • Christophe CHOSEROT, Maire de Maxéville (Meurthe-et-Moselle)
  • Alain CHRÉTIEN, Maire de Vesoul (Haute-Saône)
  • Daniel CHRISTEL, Maire de Saint-Désert (Saône-et-Loire)
  • Thierry CIPIERRE, Maire de Coulouniers-Chamiers (Dordogne)
  • Philippe CLAUDOTTE, Maire de Villiers-aux-Bois (Marne)
  • Dominique CLAVERIE, Maire de Martillac (Gironde)
  • Cédric CLECH, Maire de Tonnerre (Yonne)
  • Philippe COLLAS, Maire de Val d’Hazey (Eure)
  • Didier COMBIS, Maire de Magrie (Aude)
  • François COMMEINHES, Maire de Sète (Hérault)
  • Loïc COMMUN, Maire de Marcy L’Etoile (Rhône)
  • Bruno CORADETTI, Maire du Vésinet (Yvelines)
  • Joelle CORDELETTE, Maire de Mont-Louis (Pyrénées-Orientales)
  • Thierry CORNIOT, Maire de Seignelay (Yonne)
  • Sandrine COSSERAT, Maire de Volonne (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Cyril COTONAT, Maire de Ladevèze-Rivière (Gers)
  • Stéphane COTTY, Maire de Plounévézel (Finistère)
  • Bernard COUDRIAU, Maire de Saint-Lumine-de-Coutais (Loire-Atlantique)
  • Jean-Louis COUREAU, Maire de Puymirol (Lot-et-Garonne)
  • Xavier COURTOIS, Maire de Massangis (Yonne)
  • Jennifer COURTOIS-PERISSÉ, Maire de Rieumes (Haute-Garonne)
  • Yves COUSSAIN , Maire de Teissières-Lès-Bouliès (Cantal)
  • Yves CRISTIN, Maire de Lent (Ain)
  • Mathieu CUEL, Maire de Salles (Gironde)
  • Paulo DA SILVA MOREIRA, Maire de Treigny-Perreuse-Sainte-Colombe (Yonne)
  • Jean-François DARDENNE, Maire de Nogent-Sur-Oise (Oise)
  • Jean-Paul DAVID, Maire de Guillaumes (Alpes-Maritimes)
  • Manuel DE JESUS, Maire de Sermoise-sur-Loire (Nièvre)
  • Jean-Jacques DE PERETTI, Maire de Sarlat-La-Canéda (Dordogne)
  • Michel DEBOUVERIE, Maire de Combas (Gard)
  • Laurent DEGALLAIX, Maire de Valenciennes (Nord)
  • Patrick DEHEN, Maire de Sorle-le-Château (Nord)
  • Hervé DELAGE, Maire de Monsaguel (Dordogne)
  • Jean DELALANDRE, Maire de Duclair (Seine-Maritime)
  • Guillaume DELBAR, Maire de Roubaix (Nord)
  • MICHEL DELEPAUL, Maire de Bois-Grenier (Nord)
  • Richard DELEPIERRE, Maire du Chesnay (Yvelines)
  • Yves DELOT, Maire de Saint-Florentin (Yonne)
  • Jean-Michel DERREY-HUE, Maire de Crasville (Eure)
  • Jérôme DESNOUE, Maire de Champmotteux (Essonne)
  • Manuel DESVERGNE, Maire de Saint-Laurent de Céris (Charente)
  • Valentin DETHOU, Maire de Champigneulles (Meurthe-et-Moselle)
  • Michel DIAZ, Maire de Saint-Jean-de-Barrou (Aude)
  • Arnaud DIAZ, Maire de L’Hospitalet-près-d’Andorre (Ariège)
  • Jean DIONIS DU SEJOUR, Maire d’Agen (Lot-et-Garonne)
  • Marc DITLECADET, Maire de Saint-Germain-Les-Belles (Haute-Vienne)
  • Didier DOUSSET, Maire du Plessis-Trévise (Val-de-Marne)
  • Alexandre DROGOZ, Maire de Saint-Chef (Isère)
  • Yves DU BUIT, Maire de Plouzané (Finistère)
  • Frédéric DUCHE, Maire des Andelys (Eure)
  • Michel DUFRANC, Maire de La Brède (Gironde)
  • Sylvain DUMAS, Maire de Farges-lès-Chalon (Saône-et-Loire)
  • Gervais EGAULT, Maire de Louannec (Côtes-d’Armor)
  • Xavier ELBAZ, Maire de Villedieu-Sur-Indre (Indre)
  • Youssef ERRAMMACH, Maire de Bois-Le-Roi (Eure)
  • Didier ESCARTIN, Maire de Escarmain (Nord)
  • Christian ESTROSI, Maire de Nice (Alpes-Maritimes)
  • Jean-René ETCHEGARAY, Maire de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques)
  • Chantal EYMEOUD, Maire d’Embrun (Hautes-Alpes)
  • Hubert FALCO, Maire de Toulon (Var)
  • Dominique FAURE, Maire de Saint-Orens-De-Gameville (Haute-Garonne)
  • Sylvie FEREMANS, Maire de Cambremer (Calvados)
  • Thierry FEROTIN, Maire de Biviers (Isère)
  • Sébastien FINE, Maire de Villard-Saint-Pancrace (Hautes-Alpes)
  • Bernard FLORENCE, Maire de Hohrod (Haut-Rhin)
  • Franck FONTAINE, Maire de Mézières (Yvelines)
  • Christian FOURNIER, Maire de Saint-Martin-Valmeroux (Cantal)
  • Jérôme FRANÇOIS, Maire de Meriel (Val-d’Oise)
  • Joëlle FREBAULT, Maire de Hiva Oa (Polynésie française)
  • Dominique FREYSSENET, Maire de Sainte-Sigolène (Haute-Loire)
  • Nicolas FRICOTEAUX, Président du conseil départemental de l’Aisne
  • Christian FRIES, Maire de Garrebourg (Moselle)
  • Edouard FRITCH, Président de la Polynésie française et maire de Pirae
  • Jean-Luc FRUCHART, Maire de Bromont-Lamothe (Puy-de-Dôme)
  • Michel GABAS, Maire de Eauze (Gers)
  • Catherine GABRELLE, Maire de Royer (Saône-et-Loire)
  • Cécile GALLIEN, Maire de Vorey (Haute-Loire)
  • Dominique GAMBIER, Maire de Déville-Lès-Rouen (Seine-Maritime)
  • Vincent GASSMANN, Maire de Chavannes-Sur-L’Etang (Haut-Rhin)
  • Willy GATUHAU, Maire de Païta (Nouvelle-Calédonie)
  • Benoît GAUVAN, Maire d’Oraison (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Philippe GENTY, Maire de Saint-Maurice-L’Exil (Isère)
  • Jean-Philippe GERAULT, Maire de Bellegarde-Adoulins (Gers)
  • NICOLAS GIRARDIN, Maire de Solliès-Ville (Var)
  • Marc GIROUD, Maire de Vallangoujard (Val-d’Oise)
  • Nathalie GODET, Maire de Loperhet (Finistère)
  • Yves GOEPFERT, Maire de Wittelsheim (Haut-Rhin)
  • Vai GOODING, Maire de Gambier (Polynésie française)
  • Marc GOUA, Maire de Trélazé (Maine-et-Loire)
  • Bruno GRANCOING, Maire de Saint-Auvent (Haute-Vienne)
  • Christophe GRAZIANI, Maire de Bigorno (Haute-Corse)
  • Elisabeth GRESSIER, Maire de Strazeele (Nord)
  • Morgan GRIFFOND, Maire de Saint-Pierre-La-Palud (Rhône)
  • Dominique GRIMPRET, Maire de Ahuy (Côte-d’Or)
  • Olivier GRIOCHE, Maire de Passel (Oise)
  • Roger GUCCIARDI, Maire de Ryes (Calvados)
  • Philippe GUERRIOT, Maire de Pins-Justaret (Haute-Garonne)
  • Rémy GUILLOU, Maire de Plouisy (Côtes d’Armor)
  • Nicolas HABARE, Maire de Bourgogne-Fresne (Marne)
  • Jean-Baptiste HAMONIC, Maire de Villepreux (Yvelines)
  • Marib HANAFI, Maire d’Acoua (Mayotte)
  • Mirelle HAOATAI-LIZ, Maire de Manihi (Polynésie française)
  • Christian HENRIET, Maire de Saint-Pierre-Le-Vieux (Vendée)
  • christophe HIGUET, Maire de Ry (Seine-Maritime)
  • Jean-Marie HOMBERT, Maire de Saint-Romain-Au-Mont-D’Or (Rhône)
  • Thierry HORY, Maire de Marly (Moselle)
  • Achille HOURDÉ, Maire de Jaignes (Seine-et-Marne)
  • Marie-Lise HOUSSEAU, Maire de Sorèze (Tarn)
  • Pascal HUBER, Maire de Chesny (Moselle)
  • Fabrice HUGELE, Maire de Seyssins (Isère)
  • Hervé HUNKELER, Maire de Montérolier (Seine-Maritime)
  • Laurent ILTIS, Maire de Pact (Isère)
  • Yann JACCAZ, Maire de Praz-Sur-Arly (Haute-Savoie)
  • Bernard JACOTIN, Maire de Beautheil-Saints (Seine-et-Marne)
  • Philippe JANICOT, Maire de Boisseuil (Haute-Vienne)
  • Marie-Christine JAOUEN, Maire de Saint-Hernin (Finistère)
  • Marie-Claude JARROT, Maire de Montceau-Les-Mines (Saône-et-Loire)
  • Danielle JEANNE, Maire de Aulnay-Sur-Iton (Eure)
  • Cyril JOBIC, Maire de Calanhel (Côtes-d’Armor)
  • Pascal JOLLY, Maire de Gasny (Eure)
  • Emmanuel JOULIE, Maire de Labastide-Saint-Georges (Tarn)
  • Bernard JULLIEN, Maire de Valencin (Isère)
  • Sébastien KARCHER, Maire de Villeneuve-L’Archevêque (Yonne)
  • David KAUFFER, Maire de Saint-Romain-Les-Atheux (Loire)
  • Benoît KAUTAI, Maire de Nuku Hiva (Polynésie française)
  • Alain KELYOR, Maire d’Émerainville (Seine-et-Marne)
  • Olivier KLEIN, Maire de Clichy-Sous-Bois (Seine-Saint-Denis)
  • Jean LACHET, Maire de Camboulazet (Aveyron)
  • Philippe LACROIX, Maire d’Oadour-sur-Glane (Haute-Vienne)
  • Serge LADAN, Maire de Saint-Rémy (Calvados)
  • Sonia LAGARDE, Maire de Nouméa (Nouvelle-Calédonie)
  • Bernard LAMARY, Maire de Lorp-Sentaraille (Ariège)
  • Christophe LANGOUËT, Maire de Cossé-le-Vivien (Mayenne)
  • Roger LARS, Maire de Landévennec (Finistère)
  • Sylvain LAUNAY, Maire de Lonrai (Orne)
  • Thierry LAVIT, Maire de Lourdes (Hautes-Pyrénées)
  • Bruno LE BESCAUT, Maire de Loudéac (Côtes-d’Armor)
  • Thierry LE BIHAN, Maire de Mordelles (Ille-et-Vilaine)
  • Christophe LE BOULANGER, Maire de Caumont-Sur-Aure (Calvados)
  • Joël LE JEUNE, Maire de Trédrez-Locquémeau (Côtes-d’Armor)
  • Joseph LE MEROUR , Maire de Camaret-Sur-Mer (Finistère)
  • Frederic LE MEUR, Maire de Moustéru (Côtes-d’Armor)
  • Gwenn LE NAY, Maire de Plouay (Morbihan)
  • Olivier LE PICK, Maire de Carnac (Morbihan)
  • Jean Simon LEBLANC, Maire de Labastide-Monréjeau (Pyrénées-Atlantiques)
  • Alain LEBOUC, Maire de Amfreville-les-Champs (Seine-Maritime)
  • Nadine LEFEBVRE, Maire de Beuvry (Eure)
  • Nicolas LELEUX, Maire de Saint-Brice-sous-Forêt (Val-d’Oise)
  • Daniel LENOIR, Maire de Villaines-La-Juhel (Mayenne)
  • Franck LEROY, Maire d’Épernay (Marne)
  • Miguel LEROY, Maire de Auvillers-Les-Forges (Ardennes)
  • Jean-Philippe LHÔTELAIS, Maire de Crottet (Ain)
  • Gilles LIEBUS, Maire de Souillac (Lot)
  • Denis LINGLIN, Maire de Sergy (Ain)
  • Simplicio LISSANT, Maire de Punaauia (Polynésie française)
  • Ronan LOAS, Maire de Ploemeur (Morbihan)
  • Frédéric LOINARD, Maire de Colleville-Montgomery (Calvados)
  • Franck LONGO, Maire de Fontaine (Isère)
  • Jean-Luc LONGOUR, Maire du Cannet-des-Maures (Var)
  • Jean LOPES, Maire de Maizieres (Meurthe-et-Moselle)
  • Bruno LORENTZ, Maire de Sommerau (Bas-Rhin)
  • Guy LOSBAR, Président du conseil départemental de la Guadeloupe
  • Philippe LOYEZ, Maire de Noyelles-Sur-Escaut (Nord)
  • Michel LUCANTE, Maire de Coarraze (Pyrénées-Atlantiques)
  • Michèle LUTZ, Maire de Mulhouse (Haut-Rhin)
  • Mohamadi MADI OUSSENI, Maire de Chiconi (Mayotte)
  • Stéphane MAGUET, Maire de Janville-En-Beauce (Eure-et-Loir)
  • Chantal-Marie MALUS, Maire de Château-Chinon (Nièvre)
  • Christelle MANGE, Maire de Chéraute (Pyrénées-Atlantiques)
  • Tahuhu MARAEURA, Maire de Rangiroa (Polynésie française)
  • Laurent MARCANGELI, Maire d’Ajaccio (Corse)
  • Bruno MARIAGE, Maire de Warlus (Somme)
  • Jean-François MARY, Maire de Allaire (Morbihan)
  • René MAUTRAIT, Maire de Le Meix-Tiercelin (Marne)
  • Robert MEDINA, Maire de Mondouzil (Haute-Garonne)
  • Cyrille MELCHIOR, Président du conseil départemental de La Réunion
  • Eric MÉNASSI, Maire de Trèbes (Aude)
  • Nicolas METZDORF, Maire de La Foa (Nouvelle-Calédonie)
  • Jean-Paul MICHAUD, Maire de Thoraise (Doubs)
  • Vincent MINIER, Maire de Chanteloup (Ille-et-Vilaine)
  • Franz MOLET, Maire de Voulangis (Seine-et-Marne)
  • Damien MONNIER, Maire de Sathonay-Camp (Rhône)
  • Ralph MONPLAISIR, Maire de Case-Pilote (Martinique)
  • Raphaël MORETON, Maire de Viricelles (Loire)
  • Jean-Luc MOUDENC, Maire de Toulouse (Haute-Garonne)
  • Ali Moussa MOUSSA BEN, Maire de Bandrélé (Mayotte)
  • Yves MULLER, Maire de Marange-Silvange (Moselle)
  • David MUNIER, Maire de Chevry (Ain)
  • Philippe MURAT-DAVID, Maire de Vérignon (Var)
  • Ange MUSSO, Maire du Revest-Les-Eaux (Var)
  • Rémi MUZEAU, Maire de Clichy-la-Garenne (Hauts-de-Seine)
  • Louis NÈGRE, Maire de Cagnes-Sur-Mer (Alpes-Maritimes)
  • Jean-Lucien NETZER, Maire de Bischwiller (Bas-Rhin)
  • Raphaël NIVOIT, Maire de Gambais (Yvelines)
  • Karl OLIVE, Maire de Poissy (Yvelines)
  • Bertrand OLLIVIER, Maire de Joinville (Haute-Marne)
  • Said OMAR OILI, Maire de Dzaoudzi (Mayotte)
  • Jean-Charles ORSUCCI, Maire de Bonifacio (Corse)
  • François OUZILLEAU, Maire de Vernon (Eure)
  • Didier PAINEAU, Maire de Byans-sur-Doubs (Doubs)
  • Dominique PALLIER, Maire de Apprieu (Isère)
  • Patrice PANIS, Maire de Lédergues (Aveyron)
  • Elisa PANOFRÉ, Maire de Recurt (Hautes-Pyrénées)
  • Jacques PAUL, Maire de La Celle (Var)
  • Jean-Marc PEILLEX, Maire de Saint-Gervais-Les-Bains (Haute-Savoie)
  • Michel PELIEU, Président du conseil départemental des Hautes-Pyrénées
  • Cédric PEMBA MARINE, Maire du Port-Marly (Yvelines)
  • Alain PENOT, Maire de Saint Germain Les Vergnes (Corrèze)
  • Arnaud PERICARD, Maire de Saint-Germain-en-Laye (Yvelines)
  • Yannick PERON, Maire de Gargenville (Yvelines)
  • Jérôme PEYRAT, Maire de La Roque-Gageac (Dordogne)
  • Laurent PEYRONDET, Maire de Lacanau (Gironde)
  • Laurence PICARD, Maire de Coulommiers (Seine-et-Marne)
  • Laurent PIEN, Maire de Condé-Sur-Vire (Manche)
  • Christophe PIERRETON, Maire de Barby (Savoie)
  • Françoise PILLOY, Maire de Braye-En-Laonnois (Aisne)
  • Brigitte PISTRE, Maire de Frazé (Eure-et-Loir)
  • Franck POQUIN, Maire de Saint-Léger-de-Linières (Maine-et-Loire)
  • Daniel POUJAUD, Maire de Ports-sur-Vienne (Indre-et-Loire)
  • Dominique PROT, Maire de Junay (Yonne)
  • Jean-Luc QUEIRAS, Maire de Saint-Tulle (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascal RAGOT, Maire de Bonnieux (Vaucluse)
  • Georges RAMON, Maire de Belvis (Aude)
  • Christian RAPHA, Maire de Saint-Pierre (Martinique)
  • Monique RATINEAU, Maire de Brantôme (Dordogne)
  • François REBSAMEN, Maire de Dijon (Côte-d’Or)
  • Teddy REGNIER, Maire de Châteaubourg (Ille-et-Vilaine)
  • Hervé RENAULD, Maire de Grandchamp (Yvelines)
  • Bernard RENOY, Maire de Venterol (Alpes-de-Haute-Provence)
  • Pascale REQUENNA, Maire de Hagetmau (Landes)
  • Bernard REY, Maire de Saint-Bernard (Ain)
  • Jean-Pierre RICCO, Maire de Pérols (Hérault)
  • Jean-Michel RIGAULT, Maire de Druyes-Les-Belles-Fontaines (Yonne)
  • François RINGUET, Maire de Kourou, président de l’association des maires de Guyane (Guyane)
  • Gilles RIPERT, Maire de Caseneuve (Vaucluse)
  • Yves-Marie RIVEMAL, Maire de Verneuil-sur-Avre (Eure)
  • Frédéric RIVETA, Maire de Rurutu (Polynésie française)
  • Jacques ROBIN, Maire de Rospez (Côtes-d’Armor)
  • Arnaud ROBINET, Maire de Reims (Marne)
  • Ludovic ROCHETTE, Maire de Brognon et président de l’association des maires de Côte-d’Or
  • Pierre-Jean ROCHETTE, Maire de Boën-sur-Lignon (Loire)
  • Joëlle ROLLIN, Maire de Blaru (Yvelines)
  • Philippe RONDAT, Maire de Tronsanges (Nièvre)
  • Joel ROUDAIRE, Maire de Kembs (Haut-Rhin)
  • Michael ROUSSEAU, Maire de Jouy-Sur-Morin (Seine-et-Marne)
  • Daniel ROUSSEL, Maire de Saint-Samson (Calvados)
  • Frédéric ROUX, Maire de Mollans-Sur-Ouvèze (Drôme)
  • Catherine SADON, Maire de Semur-En-Auxois (Côte-d’Or)
  • Moudjibou SAIDI, Maire de Dembéni (Mayotte)
  • Jean Philippe SAULNIER ARRIGHI, Maire de Moulins-sur-Ouanne (Yonne)
  • Jean-Pierre SAVIGNAC, Maire de Cesson-Sévigné (Ille-et-Vilaine)
  • Laurent SCHEMBRI, Maire de Recey-Sur-Ource (Côte-d’Or)
  • Gilles SCHMITT, Maire de Joganville (Manche)
  • Muriel SCOLAN, Maire de Deuil-La-Barre (Val-d’Oise)
  • Joseph SEGURA, Maire de Saint-Laurent-du-Var (Alpes-Maritimes)
  • Yves SEJOURNE, Maire de Mirecourt (Vosges)
  • Emmanuel SERRE, Maire de Beaufin (Isère)
  • Jean-Pierre SERRUS, Maire de La Roque d’Anthéron (Bouches-du-Rhône)
  • Agnès SIMON PICQUET, Maire de Les Junies (Lot)
  • Sylvie SIRI, Maire de Saint-Tropez (Var)
  • Serge SMOCK, Maire de Matoury (Guyane)
  • Madi Madi SOUF, Maire de Pamandzi (Mayotte)
  • Claude SOULLIER, Maire de Brié-Et-Angonnes (Isère)
  • Ambdilwahedou SOUMAILA, Maire de Mamoudzou (Mayotte)
  • Patrick SOUTIF, Maire de Le Horps (Mayenne)
  • Daniel SPAGNOU, Maire de Sisteron et président de l’association des maires des Alpes de Haute-Provence
  • Michel TARTIE, Maire de Saint Paul-de-Jarrat (Ariège)
  • Vincent TERRAIL-NOVÈS, Maire de Balma (Haute-Garonne)
  • Jean-François THERET, Maire de Frévent (Pas-de-Calais)
  • Thierry THIBAUD, Maire de Savoillan (Vaucluse)
  • Véronique THIEUX LOUIT, Maire de Lupiac (Gers)
  • Denis THURIOT, Maire de Nevers (Nièvre)
  • Jean-Paul TISSOT, Maire de Veauchette (Loire)
  • Gaston TONG SANG, Maire de Bora-Bora (Polynésie française)
  • Francoise TRELAT, Maire de Chaumont-la-Ville (Haute-Marne)
  • Samir TRIKI, Maire de Lavault Sainte Anne (Allier)
  • Stéphane TRIQUART, Maire de Mussidan (Dordogne)
  • Vincent TURPINAT, Maire de Jarnages (Creuse)
  • David VALENCE, Maire de Saint-Dié-Des-Vosges (Vosges)
  • Sylvie VALLADE, Maire de Saint-Hilaire-les-Places (Haute-Vienne)
  • Frédéric VALLETOUX, Maire de Fontainebleau (Seine-et-Marne)
  • Bachil VALY, Maire de L’Entre-Deux (La Réunion)
  • David VARRONE, Maire d’Andon (Alpes-Maritimes)
  • Martine VASSAL, Présidente du conseil départemental des Bouches-du-Rhône
  • Jean-Marc VASSE, Maire de Terres-De-Caux (Seine-Maritime)
  • Joël VAUDEY, Maire de Verchaix (Haute-Savoie)
  • Bernard VERDIER, Maire de Castelnau-Magnoac (Hautes-Pyrénées)
  • Michel VERGOZ, Maire de Sainte-Rose (La Réunion)
  • Régis VIALLATTE, Maire de Clonas-Sur-Varèze (Isère)
  • Philippe VIGOUROUX, Maire de Coulangeron (Yonne)
  • Yannick VILLAIN, Maire de La Celle-Saint-Cyr (Yonne)
  • Marjorie VIORT, Maire du Thoronet (Var)
  • Louis VOGEL, Maire de Melun (Seine-et-Marne)
  • Martine VOIDEY, Maire de Voujeaucou rt (Doubs)
  • Christian VOLTZ, Maire de Fortschwihr (Haut-Rhin)
  • Benoît VUILLEMIN, Maire de Saône (Doubs)
  • François WERNER, Maire de Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle)
  • Florence ZITO, Maire de Saint-Nicolas-lès-Cîteaux (Côte-d’Or)

Source: Le Journal Du Dimanche




Sociétés secrètes, État profond, lobbies, Covid-19

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Aujourd’hui, partage d’informations sur un sujet qui me parait important et d’une actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’État profond aux USA, et ailleurs

La première vidéo proposée est un document d’archive de 5 minutes qui me paraît essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il s’agit d’un discours (sous titré en français) du président Kennedy prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat. Ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde. S’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de « sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait.

Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier.



Kennedy n’est pas le seul président US à avoir évoqué ces sociétés « secrètes », ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète.

Avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors : « le complexe militaro-industriel ».



Après lui, le président Trump a, lui aussi combattu ce qu’il a appelé : « l’État profond », contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée.

Pour les anglophones moins pressés, une émission télévisée d’enquête sur « l’État profond » ou « deep state » permet d’aller au fond des choses :

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de « complotisme » par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet « État profond » qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux.

Ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante. Il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde.

Le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et « tenues » par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité.

Aux USA, les évènements du 11 Septembre 2001 avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les médias, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure « Sécurité nationale » (Patriot Act). Prévues pour une durée initiale de 4 ans, nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui. …. vingt ans après.

En France, la « pandémie de la Covid-19 » constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les médias, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée « indocile ». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce « green pass » a duré trois mois avant d’être abandonné …) ; Et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées…

Le lecteur notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est évidemment pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des médias mainstream dans ces mêmes pays.

La bonne nouvelle, c’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française.

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier : 
Israël: À Partir Du 1er Juin Toutes Les Restrictions Liées Au Coronavirus Seront Levées Et Le Passeport Vert Sera Annulé – I24news

Le Royaume Uni a suivi le 19 juillet : 
Covid-19 : le Royaume-Uni se prépare à lever les dernières restrictions (francetvinfo.fr)

Quant aux USA, la quasi totalité des 50 États de l’Union s’opposent à l’instauration d’un pass sanitaire : 
Vaccine passports: 50 states with bans, limitations & green lights (beckershospitalreview.com)

Seul l’État de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat. Notons que cet État s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium US pour le taux de mortalité par million d’habitants…

S’agissant des grandes organisations internationales, l’OMS et le Conseil de l’Europe se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination.

En France, de nombreux vaccinés « sous contraintes gouvernementales » se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal. Ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en « sauveur de la patrie », dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux Benyamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Wait and See.

Dominique Delawarde




Retour sur les manifestations du 24 juillet en France (plus de 200) par LaUneTv

Source : LaUneTv






Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon (France)

[Source : nicolasbonnal.com)]

Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon… No comment (voyez à partir de la 28′)




Le bouclier du lanceur d’alerte

[Source : jbl1960blog]


[De la même source, piqûre de rappel sur l’inutilité des masques :
etude-denis-rancourt-sur-les-masques-faciaux-traduction-guy-boulianne-version-pdf-de-jbl-juin-2021.pdf
à voir aussi sur Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]




Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

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Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



Devinez qui dicte les ordres à vos autorités sanitaires…

[Source : lilianeheldkhawam.com via Sott.net]

Par LHK

Rome, le 27 janvier 2021 – Les membres du G20 ont convenu d’établir un groupe d’experts indépendant de haut niveau (HLIP) sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la riposte aux pandémies . La décision a été prise par les membres lors des premières réunions des Délégués des Finances et de la Banque centrale du G20, le mardi 26 janvier. La pandémie de Covid-19 a créé une crise sanitaire mondiale, qui entraîne des crises économiques et sociales à travers le monde. Malgré les réponses sanitaires et économiques rapides des pays, les coûts humains, économiques et sociaux restent sans précédent dans l’histoire récente.

Le monde dans lequel nous vivons est celui de la convergence. D’ailleurs, le concept transhumaniste fait lui-même converger différentes disciplines pour finir par déboucher un jour sur un produit high-tech dérivé de l’humain, et par extension de la société digitalisée.

Si quelqu’un essaie de vous faire croire que les industriels ont développé ces dernières semaines sous la pression d’un virus des produits basés sur la nanotechnologie/la biotechnologie/la technologie de l’information et de la communication/de la science cognitive, c’est que c’est un menteur. Ces différents domaines de la technoscience travaillent main dans la main depuis près de 100 ans. Et ce qu’ils font, c’est faire converger les connaissances pour:

  1. Apprivoiser la mort et s’offrir la vie éternelle pour les uns
  2. Améliorer les performances de ceux qui vont servir pour qu’ils donnent un maximum, en un minimum de temps, sans que la chose ne leur coûte trop en matière de soins, prise en charge des familles, etc. comme cela fut le cas du temps de l’esclavage. L’hygiène des pauvres n’étant pas extraordinaire, elle peut engendrer des épidémies qui remettraient en question le souci soulevé sous le point 1.

Pourtant le nouveau monde n’est pas que celui de la convergence technologique. Il est aussi celui du centrage et de l’ancrage de la société non plus sur une identité collective, une constitution nationale, une croyance théologique, ou autre, mais sur les flux financiers.

Le coeur du nouveau modèle de société est financier.

L’économiste, membre du Club de Rome, star de la planète médiatico-économique du moment Kate Raworth l’a magnifiquement représenté dans son célèbre beignet.

Les humains, tout comme les Etats, n’ont plus à posséder des biens (casés dans la catégorie commons) sont coincés entre les flux financiers, coeur du système, et l’économie . Ils ne sont que des ressources parmi d’autres livrés à la toute-puissance finance qui subitement détient un rôle essentiel, et même vital.

La haute finance est ainsi devenue l’Alpha et l’Omega d’une société dépossédée, démotivée, mais surtout déshumanisée. En voie de robotisation. Et la micro-élite financière compte bien mener à son terme cette transmutation de l’humanité.

Eugénisme actif mais requalifié, pour les besoins de la cause, de libéral.

C’est donc avec une envie d’exploser de rire, si cela n’avait été tragique, que j’ai découvert les têtes du panel indépendant de haut niveau sur le financement de la préparation et de la réponse à une pandémie mondiale. Voici les membres du panel. Si vous suivez ce blog, vous ne devriez pas être surpris de découvrir que les cordons de la bourse en matière de santé ont été centralisés et remis à des financiers. Ce petit monde de banquiers, banquiers centraux, ministres de la santé, et autres représentants des investisseurs se réjouit très certainement de ce nouveau jalon historique qui les rapproche tous les jours un peu plus de ce monde-entreprise préparé depuis de nombreuses décennies… Grand moment d’émotion donc.

Cette équipe a la charge de proposer des solutions concrètes pour combler ces lacunes de manière systématique et durable, et pour tirer le meilleur parti des ressources des secteurs public, privé et philanthropique et des institutions financières internationales.

Vous constaterez aussi au passage que le logo de cette aréopage inclut l’appellation « Commons » puisque le faux libéralisme n’est rien d’autre qu’un pillage généralisé des ressources qui doit se terminer lorsque ces personnages et leurs mandants auront mis la main sur les dernières miettes de propriétés encore privées. Et dans notre cas, il s’agit d e la santé de l’humanité, un bien commun indispensable à la Compagnie mondiale qui est en train de se mettre en place en lieu et place des États.

En mettant la main sur la santé de manière aussi ostentatoire, ces personnes vont pouvoir modifier la sphère médicale dans le sens de la nanomédecine et de l’hôpital du futur. Qui paie, commande…

L’enjeu ultime va être celui de transformer l’humanité non pas en un Common d’esclaves, mais en une machine humaine connectée en permanence à leur système « d’exploitation » grâce auquel ils peuvent la surveiller 24/24, 7 jours/7. Jacques Attali expliquait déjà fort bien certains aspects de la chose en 2008.



Merci à l’équipe de Nouveau-Monde d’avoir rappelé cet entretien…

LHK

Je vous laisse lire ce que mon ami Bruno Bertez a écrit sur le sujet :

https://brunobertez.com/2021/07/10/les-elites-fabiennes-semparent-de-la-sante-votre-sante-vers-une-refonte-majeure-de-linfrastructure-mondiale-de-gouvernance-de-la-sante-depossession/

LES ÉLITES FABIENNES S’EMPARENT DE LA SANTÉ, VOTRE SANTÉ! VERS UNE REFONTE MAJEURE DE L’INFRASTRUCTURE MONDIALE DE GOUVERNANCE DE LA SANTÉ. DÉPOSSESSION.

Les élites fabiennes, après avoir pris le contrôle de la finance mondiale en 2008 après la crise qu’ils ont eux même créée se proposent de prendre le contrôle de la santé mondiale après la crise sanitaire de 2020.

Les peuples et leur pseudo gouvernements démocratiques sont une nouvelle fois privés de leurs pouvoirs. Dépossession!

Un groupe d’experts mondial coprésidé par Larry Summers indique que d’autres pandémies suivront et que la communauté internationale doit se mobiliser maintenant.

Même si le monde lutte toujours pour vaincre la pandémie de COVID-19, il doit agir maintenant pour renforcer sa préparation aux pandémies à venir, selon un rapport publié vendredi par un groupe d’experts nommé par le groupe du G-20. nations riches et en développement.

Le panel, coprésidé par l’économiste de Harvard Larry Summers, professeur à l’Université Charles W. Eliot, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération. »

Le rapport du panel repose sur des bases effrayantes.

Premièrement, que la pandémie de COVID-19 représente « le plus grand revers en termes de vie et de moyens de subsistance dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale », replongeant des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, tuant environ 4 millions de personnes et entraînant des pertes cumulatives qui ont été prévues à 22 000 milliards de dollars.

Deuxièmement, que nous sommes entrés dans «l’ère des pandémies» et que des événements comme la pandémie actuelle pourraient se reproduire avec une régularité effrayante dans les années à venir.

Elle repose également sur l’impératif moral et pratique d’une action collective, aidant tous les pays, y compris les plus pauvres, à se défendre contre cette pandémie et les futures.

Le panel, composé principalement d’experts économiques et financiers, a été créé en janvier par le G-20 pour déterminer comment organiser au mieux les finances de la communauté internationale pour se préparer aux futures pandémies.v

Son rapport détaillé identifie quatre domaines majeurs de prévention, de préparation et de réponse qui doivent être abordés :

  • un réseau mondial de surveillance et de recherche pour prévenir et détecter les menaces futures ;
  • des systèmes de santé nationaux plus résilients ;
  • la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux, pour raccourcir radicalement le temps de réponse à une pandémie et offrir un accès mondial équitable ;
  • une gouvernance mondiale qui assure la coordination et un financement adéquat.

Le prix de 75 milliards de dollars ne représente qu’une petite fraction – 700 fois moins, selon l’estimation du panel – de ce que la pandémie a coûté aux gouvernements nationaux. Le panel suppose également que les investissements, initialement prévus sur une période de cinq ans, devraient se poursuivre.

Cet argent comprendrait un fonds annuel de 10 milliards de dollars pour les menaces pour la santé mondiale, plus 5 milliards de dollars supplémentaires par an en financement supplémentaire pour les institutions internationales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les organisations financières internationales, telles que la Banque mondiale, qui leur permettraient de débourser des fonds rapidement en cas de nouvelle pandémie.

La surveillance financière et une fonction de coordination clé seraient assurées par un Conseil des menaces pour la santé mondiale composé des ministres de la Santé et des Finances du G-20 et d’autres pays, ainsi que des chefs des principales organisations régionales. Il s’inspire du Conseil de stabilité financière, qui a été créé par le G-20 à la suite de la crise financière mondiale de 2008.

« Les investissements collectifs que nous proposons, avec des contributions équitables de toutes les nations, sont abordables », indique le rapport. « Ils sont également minuscules par rapport aux 10 000 milliards de dollars américains que les gouvernements ont déjà engagés dans la crise du COVID-19. Nous devons investir sans tarder. Ce sera une énorme erreur d’économiser à court terme et d’attendre encore une fois qu’il soit trop tard pour éviter qu’une pandémie ne nous submerge. La prochaine pandémie pourrait en effet être pire. »

Le panel comprend plus de 20 experts financiers et économiques ayant une expérience au sein du gouvernement, des organisations internationales et du secteur privé.

Summers a été secrétaire au Trésor des États-Unis sous le président Clinton et a dirigé le Conseil économique national du président Obama, et est Weil directeur du Mossavar-Rahmani Center for Business and Government à la Harvard Kennedy School. Les deux autres coprésidents sont Ngozi Okonjo-Iweala, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce et ancien Angelopoulos Global Public Leaders Fellow à la Harvard Kennedy School, et Tharman Shanmugaratnam, ministre principal et ancien vice-Premier ministre et ministre des Finances de Singapour.


Voici 2 extraits de Dépossession où nous retrouvons:

1.- M Summers qui lutte pour la suppression du Cash

L’alliance banco-financière veut, voire exige, la suppression du cash. Evalué à environ 10% de la masse monétaire en circulation. La suppression de la prérogative de battre monnaie rendra ainsi obsolète la principale raison d’être constitutionnelle des banques centrales nationales. Ça tombe bien, la technologie dite du « blockchain », qui a émergé de nulle part au lendemain de la crise des subprimes (notamment avec le bitcoin), ne nécessite pas de supervision par un « tiers de confiance ». Normalement, cette technologie devrait être amenée à remplacer, à terme, le système bancaire classique. Pour ce faire, la suppression du cash est indispensable.

En 2016[1], le thème du World Economic Forum (WEF)  portait sur la suppression du cash. Klaus Schwab, fondateur du WEF y avait fait référence à « la quatrième révolution industrielle », en parlant de la révolution digitale[2]… Mais c’est lapublication sur le site de l’organisation qui attire l’attention. Dans « Qui sera le roi de ce monde sans cash», un nouveau monde nous est présenté avec moult références à un roi, une couronne dormante, une révolution globale et un nouvel ordre mondial. Une terminologie qui a tout de même de quoi interpeller.Et l’article de nous faire entendre que les petits acteurs auraient une chance de remporter la mise… « La révolution sans cash est en marche. Les gouvernements, les entreprises, les start-ups et les consommateurs peuvent avoir des motivations différentes pour détrôner le cash mais le résultat final sera probablement le même. Mais avec la mondialisation où « gros » est traditionnellement « beau », ce sont les plus petits acteurs — start-ups, petites entreprises et consommateurs — qui vont en définitive façonner le nouvel ordre mondial. Et pour ceux qui aiment l’innovation et les idées nouvelles ce ne peut être qu’une bonne chose »[3]Le texte n’indiquait en revanche pas les sources de financement desdites startups…

Les plus grands acteurs de la haute finance internationale vont défiler lors de cette rencontre : Bill Gates (Microsoft), Blythe Masters (ex. JP Morgan et inventrice des produits dérivés qui sont à l’origine de la crise des subprimes, reconvertie depuis dans la promotion du Blockchain[4]), Michel Sapin (alors ministre de l’Économie), Christine Lagarde (FMI) ou William White (OCDE). Leurs discours étaient convergents et militaient en faveur de la société sans cash.

Mme Blythe Masters, qui prône la suppression du K, fut accusée par The Guardian d’être la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive, et même de manipulation des prix du marché de l’énergie. Son parcours est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle est une double ambassadrice du nouveau monde qui se met en place. Une fois en tant que militante de la suppression du cash, et une autre fois en tant que promotrice de la blockchain et des actifs digitalisés.

Blythe ne quitta la JP Morgan qu’en 2014, mettant un terme à 27 ans de carrière. La crise des subprimes à cause de laquelle, elle fut pointée du doigt, ne fut pas source de rupture de collaboration. En fait, JP Morgan devient un client de la nouvelle société Digital Asset dont elle est CEO depuis 2015.

Selon le site web de la société, la plateforme d’actifs digitalisés, que développe l’entreprise de Mme Blythe, serait la seule à avoir été développée en fonction des besoins de production des plus grandes institutions financières de la planète. Vous ne serez donc pas étonnées de trouver certaines références sur son site, telles que : Goldman Sachs, JP Morgan, Accenture, IBM, Santander, ABN_AMRO, Price Waterhouse Coopers (un des partenaires mondiaux). Le client IBM a par exemple dévoilé récemment son « Blockchain as a service » basé sur la technologie open source « Hyperledger fabric », qui a servi à développer la version 1.0 de Linux Foundation (Info Hightech). Dans ce monde si petit de la haute finance et de la haute technologie, nous découvrons que Mme Masters[5] est aussi présidente du conseil de Linux Foundation, dont les produits sont le fruit de l’open source,et donc de « l’économie de partage » prônée par l’élite de la finance internationale… C’est par cette technologie de la Blockchain que le cash devrait être remplacé.

Des économistes américains qui font autorité au sein du monde académique international, se joignent à ces voix du WEF pour imposer la suppression du cash. On peut compter sur l’ancien Secrétaire au Trésor américain [6], le professeur [7]Lawrence Summers et l’ancien économiste en chef du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff, qui préconisent le retrait progressif des grosses coupures. « Selon Rogoff, éliminer les gros billets pourrait également servir la politique monétaire : en période de déflation, les banques centrales auraient alors plus de latitude pour imposer des taux d’intérêt négatifs, puisque la menace d’une ruée vers les banques pour récupérer les dépôts en numéraire aurait ainsi disparu. » (Alan Wheatley[8]). Mais voilà que MM Summers et Rogoff sont des membres du G30, le think tank dont nous avons déjà parlé[9]. Ils siègent donc avec de nombreux banquiers centraux (y compris MM. Paul Volcker, Ben Bernanke, et Jean-Claude Trichet), certains patrons des grandes banques too-big-to-fail, ainsi que des principaux gestionnaires d’actifs concentrateurs des  richesses planétaires…

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

Le Fonds d’équipement des Nations Unies (United Nations Capital Development Fund, UNCDF), qui vise à accompagner la réalisation des « objectifs du Millénaire » des Nations-Unies dans les pays les moins avancés, sert de secrétariat à Better Than cash alliance. Le Fonds héberge d’ailleurs l’Alliance dans ses locaux de New York. Enfin, celle-ci travaille étroitement avec les organisations supranationales. Elle représente même un outil d’implémentation du G20 Global Partnership for Financial Inclusion.


2.- La menace que font courir les partenariats multipartites à la démocratie et aux États en général

Le puissant partenariat multipartite « banques-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » se retrouve dans le Group of Thirty, Groupe des Trente ou G30. Ce think tank est une organisation privée qui traite des affaires économiques internationales et monétaires. Il rassemble de prestigieux membres de la corporation « banquiers-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » sous la présidence d’une personnalité dont le CV est impressionnant. Nous en retiendrons juste que M Frenkel est à la fois président et CEO du G30, tout en étant président de la JP Morgan Chase International et qu’il est aussi un ancien banquier central.(([1] Gouverneur de la Banque d’Israël entre 1991 et 2000.))

A côté de lui, figurent des banquiers centraux tels que: MM Draghi et Trichet, actuel et ancien patron de la BCE ou M Dudley, patron de la Réserve fédérale de New York. Nous y trouvons un autre banquier central reconverti en banquier commercial présidant au sort d’UBS qui est M Weber. M P Hildebrand, ancien président de la banque centrale suisse, devenu vice-président de Blackrock, ainsi que M Fischer, ancien vice-président de la Réserve fédérale et ancien gouverneur de la Banque d’Israël font partie des trente. Relevons encore au passage la présence de professeurs d’économie, dont certains sont d’ardents défenseurs de la suppression du cash.

Nous voyons ainsi une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien-être sociétal. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement.(([2] L’article 99 de la Constitution suisse dit : « En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération. »))

Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financière et monétaire planétaire, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont concentrés entre les mains de finalement peu de personnes. La politique des banques centrales de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la haute finance de l’argent frais à profusion, ainsi que les garanties des États et de l’économie réelle. Partant de ce constat, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus !





L’épouse du Machiah sera une Française

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]

L’épouse du Machiah sera une Française — 20 juin 2021

En substance et résumé, notamment :

« Les Français referont la Révolution Française à l’envers, redonnant la couronne au Machiah fils de David alors que France et Israël seront réunis, ceci par le réveil du peuple et de la femme. »



[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La France revivra-t-elle?]




Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Je vous invite à regarder le reportage de Mathieu Laflamme réalisé en collaboration avec l’organisme Courage Québec / Fearless Canada, intitulé : « L’esprit d’un guerrier pacifique ». Brillant professeur de mathématiques, François Amalega Bitondo parle avec son cœur et explique pourquoi il a tout sacrifié pour défier la tyrannie. Il décrit comment il a dû quitter le Collège de Jean-de-Brébeuf (Montréal) et renoncer à sa profession pour assumer pleinement sa responsabilité sociale. Intègre, il défend pacifiquement la liberté de penser et ouvre courageusement la voie d’une désobéissance intelligente et pacifiste. Depuis des mois, il sensibilise les individus sur l’absurdité des mesures sanitaires, aux dépens de sa liberté et de sa vie : il dit être « prêt à mourir » pour assurer un monde plus juste et libre pour les générations futures.

Le 20 juillet 2021, lors d’une soirée sombre et tonitruante à Montréal, la légende locale et militant intransigeant François Amalega a rencontré Mathieu Laflamme de Courage Québec / Fearless Canada. Amalega a parlé des raisons pour lesquelles il a rejoint le mouvement de la résistance au Québec et précisément combien il a sacrifié pour rester fidèle à ses convictions les plus profondes.



À l’été 2020, alors que ses collègues tentaient en vain de le forcer au silence, Amalega a renoncé à son poste de professeur titulaire de mathématiques au Collège Brébeuf, à Montréal. Il a été confronté à ses positions, accusé d’épouser des croyances complotistes et on lui a demandé de fermer ses profils de médias sociaux s’il voulait conserver son emploi. Bien sûr, Amalega a refusé et a plutôt présenté sa démission. Depuis, il lutte sans relâche et de manière pacifique dans les rues de nombreuses villes du Québec contre les mesures de confinement inconstitutionnelles, contre l’obligation du port du masque et, plus récemment, contre les passeports vaccinaux discriminatoires et diviseurs.

Ayant reçu 37 constats à ce jour et ayant été arrêté à de nombreuses reprises, l’esprit guerrier pacifique d’Amalega l’oblige à continuer. Comme il l’explique dans l’interview, il préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides, en l’absence de tout débat, lorsqu’ils sont complètement déconnectés de la science et de la raison. Alors que ses positions sont principalement contre les mesures gouvernementales autoritaires, Amalega refuse également d’acquiescer à une société moralement et intellectuellement en faillite qui préfère accepter un mensonge que de débattre des faits et risquer d’arriver à une vérité plus que dérangeante.



Le 22 juillet 2021, François Amalega Bitondo s’est fait arrêter pour la seconde fois par les policiers lors d’une action devant le magasin Canadian Tire de Joliette. Il s’est rendu le lendemain au palais de justice de Joliette. Il devait comparaître pour quatre accusations déposées contre lui. 

« Il a été arrêté et libéré mercredi avec une promesse de comparaître et il a eu une accusation pour avoir troublé la paix. Jeudi, il a encore essayé de rentrer dans le Canadian Tire sans masque, alors qu’il n’avait pas le droit d’y retourner. Il a donc été arrêté une seconde fois », explique le lieutenant Benoît Richard, de la Sécurité du Québec (SQ).

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) confirme que François Amalega a été libéré le lendemain sous promesse de comparaître à nouveau le 15 septembre prochain.



Comme l’explique l’avocat André Lafrance : 

« Le sensationnalisme du Journal de Montréal, un journal abrutissant s’il en est. Au Québec il [François Amalega] est anti-masque, ailleurs il est un citoyen normal. Malheureusement, les règles sanitaires liberticides de Legault doivent être respectées même si elles ne font plus de sens, et surtout que l’efficacité de ce bidule a été remis en question par plusieurs experts internationaux. En fait, plusieurs provinces n’exige plus le port du masque de même que la presque totalité des États-Unis et la majorité des pays d’Europe. Cela veut dire que si Francois Amalega avait fait son geste en Colombie-Britannique, il aurait agit légalement. Le Journal de Montréal est pro dictature, point barre. »



Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs.
[8 juillet 1942] — Ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l’accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. Document ci-haut : Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs (mesures prises par le gouvernement de Vichy).

[Voir aussi :
Mourir libre ou vivre esclave et
La clef de la libération]




Google censure la vérité plandémique parce qu’il est fortement investi dans les « vaccins » Covid

[Source : NaturalNews.com]

Traduction : MIRASTNEW

Par Ethan Huff

L’une des principales raisons pour lesquelles Google, et par extension YouTube, censure agressivement toute la vérité sur la « pandémie » du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)] est que la société est directement investie dans l’injection de virus chinois d’AstraZeneca et de l’Université d’Oxford.    

En d’autres termes, Google profite directement de la vente de vaccins contre la grippe Fauci, ce qui explique pourquoi l’une des sociétés les plus diaboliques au monde supprime les vidéos YouTube et censure les résultats de recherche qui attirent l’attention sur toute la science démystifiant la plandémie en tant que fraude manufacturée.  

Le Dr Reiner Fuellmich de la commission d’enquête extraparlementaire allemande Corona (Außerparlamentarischer Corona Untersuchungsausschuss) s’est récemment entretenu avec la journaliste d’investigation indépendante Whitney Webb au sujet de la collusion entre Google et AstraZeneca, et de la façon dont le monde est trompé par celle-ci.

Malgré les affirmations selon lesquelles son jab est «à but non lucratif», AstraZeneca a développé son injection de virus chinois via Adrian Hill et Sarah Gilbert du Jenner Institute for Vaccine Research. Les brevets et les droits de redevance sont également détenus par une société privée connue sous le nom de Vaccitech, cofondée par Hill et Gilbert.

Parmi les investisseurs les plus importants de Vaccitech figurent Google Ventures, le Wellcome Trust, le gouvernement britannique, une société d’investissement en capital de la Deutsche Bank connue sous le nom de BRAAVOS et diverses sociétés chinoises communistes, dont Fosun Pharma.

« Tous ces investisseurs devraient profiter de ce « vaccin » à un moment donné dans un proche avenir, et Vaccitech a été assez ouvert sur le potentiel de profit futur avec ses actionnaires, notant que le vaccin COVID-19 deviendra très probablement un vaccin annuel qui est mis à jour chaque saison un peu comme le vaccin contre la grippe saisonnière », explique le Dr Joseph Mercola.

« Bien sûr, AstraZeneca a promis qu’il ne tirerait aucun profit de ce vaccin COVID-19, mais il y a une limite de temps pour cet engagement. Le vœu à but non lucratif expire une fois la pandémie terminée, et AstraZeneca elle-même peut décider à quel moment. »

Les mondialistes veulent un contrôle total de votre argent et de votre corps

En censurant toutes les informations et la vérité qui menacent la poussée d’injection du coronavirus de Wuhan [de la (Covid-19)], Google protège ses enjeux financiers, ainsi que ceux de ses alliés et partenaires.

Google essaie également de se plonger dans le secteur des soins de santé avec la création de nouveaux programmes de « télémédecine » et d’intelligence artificielle (IA) qui, espère-t-il, seront éventuellement mis en œuvre en remplacement des médecins humains.

« Ils ont commencé à réinventer en quelque sorte les soins de santé comme un moyen de prendre le contrôle de la vie des gens, en leur disant que c’est pour le bien du public, du collectif et aussi de leur santé personnelle, alors que c’est vraiment un moyen de mettre en œuvre ces technologies transhumanistes ou technocratiques sous le couvert d’une entreprise liée à la santé », déclare Webb à propos du programme.

Le but ultime est de supplanter toutes les formes traditionnelles de médecine et de les remplacer par un système centralisé, contrôlé par les mondialistes et géré par les grandes technologies, fondé sur l’asservissement total de l’humanité.

L’armée américaine serait impliquée dans l’opération, s’étant associée à Google pour agir en tant que force pour sa mise en œuvre – ce qui signifie une conversion obligatoire au culte du Covidisme sous la menace d’une arme.

Il semble y avoir un élément transhumaniste dans le complot d’injection de virus chinois, suggérant que quelque chose dans les flacons jette les bases de la «marque de la bête», qui transformera les corps humains créés à l’image de Dieu en corps transhumanistes recréés dans le image de Satan.

« La DARPA est fortement investie dans les technologies transhumanistes à utiliser chez les soldats, y compris les interfaces cerveau-machine et d’autres idées encore plus extrêmes », prévient Webb. « Ils se sont récemment associés au Wellcome Trust pour créer quelque chose appelé » Wellcome Leap « , un mouvement plutôt troublant pour inaugurer le transhumanisme. »

Plus d’informations sur le complot mondialiste visant à conquérir la planète et à injecter à tout le monde des coups mortels contre le virus chinois peuvent être trouvées sur Corruption.news.

Les sources de cet article incluent :

Mercola.com

NaturalNews.com




Combien de temps les vaccinés doivent-ils vivre ?

[Source : henrymakow.com]

Traduction : MIRASTNEWS

Par Steven Fishman

On me pose souvent la question : « Si j’ai pris le « vaccin », combien de temps vivrai-je ?

J’ai renvoyé cette question à un de mes amis, le Dr Mylo Canderian, Ph.D. [né Milos Iskanderianos, Corfou, Grèce, 1938], qui a développé le brevet pour l’oxyde de graphène à utiliser comme arme biologique hématologique en 2015.

En toute transparence, le Dr Canderian est ce que j’appellerais un « mondialiste génocidaire », qui suit le précepte dix des Georgia Guidestones, qui est très rarement discuté, déclarant « Ne soyez pas un cancer sur la Terre ; Laissez place à la nature. »

Le Dr Canderian est un contributeur médical de l’Organisation mondiale de la santé et soutient également Klaus Schwab et la « grande réinitialisation », inaugurant une monnaie numérique mondiale qui est un objectif secondaire de l’OMS pour 2022.

Le Dr Canderian est d’avis que 95 % de la population mondiale sont des « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés le plus rapidement possible.

« Regardez le centre-ville de Chicago, Baltimore ou Los Angeles », a-t-il déclaré, « et vous verrez clairement pourquoi les mangeurs inutiles doivent être réprimés comme des chiens enragés. »

Il a exprimé son dédain pour les « éducateurs infectieux » qui promeuvent la théorie critique de la race, et est convaincu que le « vaccin » mettra fin au « cancer humain sur la Terre ».

Le Dr Canderian est un ardent partisan du devoir et de l’obligation de la franc-maçonnerie de débarrasser le monde de la « peste de l’humanité ».

Pourtant sur le plan personnel, lui et moi partageons une passion pour le même plat exotique servi à L’émince de Veau à Genève : la Crème de Colibri suivi de Elk Tongue.

Nous sommes tous les deux fans du Chef Gaston Sere de Rivières, qui est un génie culinaire.

Alors, j’ai demandé à Mylo : « Comment les « vaccinés » peuvent-ils savoir avec certitude combien de temps ils doivent vivre une fois qu’ils ont été piqués ? »

Il m’a présenté l’information, appelée la «Formule de fin de cycle».

Il a expliqué à quel point il est facile de calculer.

« Le pouvoir de la simplicité », a-t-il déclaré. « Il y a un cycle maximum de dix ans entre l’injection et la fin du cycle », [ou la mort], a-t-il précisé. « Et c’est extrêmement facile à déterminer. »

Il a déclaré que tout hématologue peut le voir en quelques secondes au microscope, et encore plus facilement au microscope électronique. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l’oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle », a-t-il divulgué.

En d’autres termes, un « inoculé » [comme il appelle toute personne ayant reçu l’autorisation d’utilisation expérimentale de l’eugénisme pour l’injection mortelle par injection biologique] ayant une détérioration de 20 % d’oxyde de graphène dans son sang vivra, à l’exception de tout autre critère d’entrée, pendant 8 ans. [10 ans moins 20%].

Quelqu’un avec une détérioration de 70% d’oxyde de graphène ne vivra pas plus de 3 ans. [10 ans moins 70%].

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Le Dr Jane Ruby a récemment été interviewé par Stew Peters sur son podcast et a montré des exemples de ce à quoi ressemble le sang détérioré lorsqu’il est exposé à l’oxyde de graphène.

L’oxyde de graphène, pour ceux qui ne le savent pas, est le composant des protéines de pointe de l’ARN messager et des prions, qui est en guerre avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang pour l’oxygène.

L’oxyde de graphène est une éponge à oxygène qui prive le corps de l’oxygène nécessaire et provoque de nombreuses complications, y compris, mais sans s’y limiter, un choc anaphylactique, une coagulation sanguine toxique, une paralysie pulmonaire mortelle, un cancer mitochondrial et un cancer endothélial.

Le point de vue du Dr Mylo Canderian est à peu près le même que celui de Klaus Schwab, Bill Gates et du PDG de Big Pharma : LAISSEZ-LES TOUS MOURIR !

J’ai demandé à Mylo quel était l’effet des deuxième et troisième injections et des boosters et comment cela changeait le tableau de fin de cycle.

Mylo a répondu : « Tout est mesurable par des tests hématologiques. Plus les imbéciles reçoivent de piqûres et de boosters, plus leur sang sera mauvais au microscope, et plus vite ils se transformeront en engrais.

Enfin, je lui ai demandé comment le complot visant à tuer autant de milliards de personnes pouvait être tenu secret par un tel groupe d’élites.

Sa réponse fut : « Tu ne connais pas grand-chose à la franc-maçonnerie, n’est-ce pas, Steve ? Et voilà.


[Voir aussi :
Technologie de “neuromodulation” à base de graphène : des biocircuits contrôlent le cerveau à l’aide de graphène piloté par l’IA
Graphène et 5G
Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine]




Le directeur du programme de vaccination du Royaume-Uni reconnaît que le « vaccin » Pfizer affaiblit le système immunitaire inné

[Source : businessbourse.com]




Les vaccins Pfizer « Détruisent tous les systèmes du corps humain », avertissent des experts israéliens de la santé

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Le Comité du peuple israélien (IPC), un groupe d’experts israéliens de la santé dirigé par des citoyens, a publié son rapport d’avril émettant un avertissement urgent selon lequel le vaccin Pfizer / BioNTech endommage pratiquement tous les systèmes du corps.
Alors que la majeure partie de l’attention entourant le vaccin a été concentrée sur AstraZeneca, qui est lié à des caillots sanguins mortels, l’injection de Pfizer est en réalité encore beaucoup plus dangereuse, d’après les dernières données.

Pfizer: The Vaccine In Demand Will Be Available Through ...

Le rapport d’avril de l’IPC avertit que l’injection du vaccin Pfizer pourrait entraîner des problèmes de santé catastrophiques, comme en témoignent les innombrables vies israéliennes qui ont été endommagées par le vaccin.
Le rapport précise : « Jamais un vaccin n’a fait autant de blessés (effets secondaires néfastes)! Nous avons reçu 288 rapports de décès survenus à juste après la vaccination (90 % jusqu’à 10 jours après la vaccination), dont 64% sont des hommes. »

Cependant, les chiffres du ministère israélien de la Santé affirment que seulement 45 décès sont survenus juste après  la vaccination. Comme l’indique le rapport, cet « écran de fumée » gouvernemental, le manque de transparence et la tromperie ne font qu’indiquer que le nombre de morts est beaucoup plus élevé.
Si les chiffres contenus dans le rapport IPC sont valides, alors il y a plus d’Israéliens morts du vaccin Pfizer que  d’Européens morts par le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.

Le rapport met en garde : 

« Selon les données du Bureau central des statistiques (CBS), en janvier-février 2021, au milieu de l’opération de vaccination, il y a eu une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à la moyenne bimensuelle de mortalité de l’année précédente.
« En fait, la période de janvier-février 2021 est la plus meurtrière de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globaux les plus élevés, par rapport aux mois correspondants au cours des 10 dernières années. »

Le rapport souligne que les jeunes âgés de 20 à 29 ans semblent être le groupe démographique qui a connu l’augmentation la plus spectaculaire de la mortalité après le déploiement du vaccin Pfizer.

Dans ce groupe, la vaccination au cours de la même période, janvier-février 2021, il y a eu une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne bimensuelle en 2020.
L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinées aux informations du ministère de la Santé, conduit à la conclusion que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 pour 5000 (1 pour 13000 les 20-49 ans, 1pour 6000 pour les 50-69 ans, 1 pour 1600 pour les 70 ans et plus).

Sur la base de ces données, l’IPC estime que le nombre de décès survenus en Israël, juste après la piquouse du vaccin Pfizer, est d’environ 1 000 à 1 100 personnes. Le rapport indique que le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé que le risque de décès après la vaccination.

« Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour allant jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge.
« Pour les 20-49 ans – une plage de 9 jours à partir de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 50-69 ans – 5 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 70 ans et plus – 3 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès
. »

En publiant ce rapport, l’IPC espère que le gouvernement israélien et les gouvernements du monde entier reconnaîtront qu’« un manque de transparence tue des gens ».

L’IPC conclut que :

« La tromperie et la dissimulation conduisent les gens à l’invalidité et à la mort. Supprimer toute confidentialité, créer des mécanismes de signalement transparents et contrôlés ; Ce n’est qu’alors que des vies peuvent être sauvées et que d’autres dommages peuvent être évités grâce à l’outil même censé préserver la santé. »

« Est-ce un cas où le médicament est plus mortel que la maladie ? »

Source : Pfizer Covid Vaccines “Destroy Every System of the Human Body” Warns Israeli Health Experts




Les personnes ayant reçu un placebo lors d’essais de vaccins seront considérées comme « totalement vaccinées » par le gouvernement britannique

[Source : anguillesousroche.com]

[Ndlr : ceci tend à confirmer que la moitié de la population mondiale vaccinée aurait reçu en fait un placebo et expliquerait la disparité entre les personnes n’ayant ressenti absolument aucun symptôme et celles ayant eu des effets secondaires plus ou moins graves, en proportion des dizaines de fois plus importantes que lors des campagnes vaccinales réalisées avec de vrais vaccins. Nous rappelons que les prétendus « vaccins » anti-covid sont en réalité des thérapies géniques et qu’ils sont encore en phase d’essai. Or, lors d’essais médicamenteux et normalement aussi lors d’essais de vrais vaccins, il est d’usage d’avoir un groupe témoin qui reçoit un placebo au lieu du vrai médicament ou du vrai vaccin.]

Le ministre britannique des vaccins, Nadhim Zahawi, a déclaré : « En ce qui concerne le Royaume-Uni, ils seront considérés comme pleinement vaccinés, qu’ils aient reçu le placebo ou le vaccin. »




Outils juridiques contre les dispositions « anti covid »

Par Me DE ARAUJO-RECCHIA

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui serait rendue obligatoire dans le cadre du projet de loi en cours de discussion au Parlement.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés:

Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Netcomparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPEEN:

Une action soutenue par la LNPLV est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italien et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/? toc=OJ%3AL%3A2021%3A211%3ATOC&uri=uriserv%3AOJ.L_.2021.211.01.0001.01.FRA)

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)


(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. » 

– Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

– Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.

2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:

a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;

b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;

c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;

d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte

juridique, ils méritent un examen approfondi.

Article très instructif:

https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

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Le 23 juillet 2021

Me DE ARAUJO-RECCHIA

Avocat à la Cour de Paris




Pass sanitaire : message d’un habitant d’Israël

[Source : Michelle d’Astier de la Vigerie (michelledastier.com)]

À tous ceux qui sont résignés, qui ont peur et qui sont prêts à céder, à se résigner… Voici le message d’un Israélien:
Guillaume Saehr, [Jul 13, 2021].

« Je vous partage mon expérience du pass sanitaire que nous avons vécu en Israël avant vous :

  • C’est un moyen de pression pour vous décourager, vous angoisser, vous déprimer.
  • Le but est de créer du désespoir.
  • Ce désespoir amène à la colère.
  • Cette colère a pour but de créer de la haine, soit une haine vers ceux qui se sont fait vacciner ou alors si ce désespoir vous a poussés à faire la piqûre elle créera de la colère vers ceux qui ne se sont pas fait vacciner alors que vous étiez réveillés.
  • En réalité d’un point de vue juridique, ça ne peut pas tenir, comme en Israël.
  • En réalité la pression n’est pas sur vous mais sur ce gouvernement qui est en retard dans son timing. N’oubliez pas que la rhétorique covid est de plus en plus bancale et qu’elle dépend des saisons et d’autres événements à venir.
  • Vos gouvernements sont dans la merde alors ils essayent de vous créer le sentiment que vous êtes dans la merde.
  • Ici de plus en plus de gens se réveillent, nous avons refusé la vaccination pour les enfants et nous ne voulons pas de la 3e dose.
  • Ils ne veulent pas que vous sachiez.
  • Restez sereins, dans le dialogue , ne laissez pas la panique diriger vos conversations , il y aura toujours ceux qui feront les malins à vous provoquer soit dans votre famille ou amis ou collègues de travail : résistez !
  • Nous avons ici en Israël une épidémie de Myocardites, de crises cardiaques , mini AVC ou AVC, thromboses ou décès. Explication des médecins : le stress 🥶.

Les gens se réveillent.

Tenez bon ! Soyez Unis ! Buvez un petit coup ! Acceptez que les prochaines semaines soient plus compliquées ! Organisez-vous !

CA NE VA PAS DURER INDÉFINIMENT.

On doit tenir bon, ils mettent autant la pression parce qu’ils savent que leurs plans ne fonctionnent pas comme ils le voudraient. »




Les inondations, une fatalité ?

[Source : Investig’Action (investigaction.net)]

Par Michel Collon

Je reviens de Liège. Trois jours près de ma fille. Heureusement, elle habite en hauteur mais nombre de ses amis et collègues vivent près des rives. Trois jours d’émotions intenses à suivre anxieusement les messages et les réseaux, à réconforter et proposer des coups de main. « Fatalité imprévisible », disent nos responsables. Faux : dès 1990, le GIEC (groupe d’experts internationaux sur l’évolution du climat) annonçait un quadruplement des canicules et des « précipitations extrêmes ». Qu’a-t-on fait pour se préparer ?

Des pas de fourmis pour freiner la pollution par les entreprises. On continue d’abattre des forêts précieuses. On continue à développer le transport des marchandises par camions au lieu de favoriser le rail et le transport fluvial. Rien pour créer des zones inondables de protection, rien pour renforcer l’absorption des pluies par les sols. Le nord du pays a solennellement proclamé un « Béton stop » , mais on n’a jamais autant construit (y compris sur des terres agricoles) et c’est plutôt « Béton flop ». Et très peu de mesures protectrices dans les zones qu’on savait à risques.

 « On avait bien le temps » ? Que nos responsables osent aller le dire aux sinistrés. Pire : le gouvernement belge a démantelé la Protection civile, chargée des secours en cas de catastrophe. La Belgique comptait six casernes, il n’en reste que deux, le personnel a été réduit. Or, ces sauveteurs héroïques ont sauvé des vies mais le manque d’effectifs, et parfois d’équipements, n’a pas permis d’en sauver davantage. Le ministre Jan Jambon qui a imposé cette réforme et le gouvernement Charles Michel ont donc, littéralement, tué des gens. L’an passé, la même rage néolibérale contre les services publics coûtait la vie à de nombreux malades. Leur Covid n’a pu être soigné parce que nos divers gouvernements avaient supprimé des dizaines de milliers de lits d’hôpitaux (En France, 110.000 lits sous Sarkozy, Hollande et Macron).

 « Ce n’est pas l’heure de la polémique », écrivait hier le quotidien Le Soir. Mais bien sûr que c’est le moment de poser la question essentielle : « Aurions-nous pu diminuer fortement le nombre des victimes ? » C’est bien le moment de redire que, face au Covid, certains pays ont fait cent fois mieux que nous en termes de [faible nombre de] victimes grâce à un ensemble de mesures radicales et énergiques plaçant, dès le premier jour d’alerte, la protection des vies au centre des stratégies. Parmi ces mesures, des équipes sociales se rendant de maison en maison pour former aux gestes protecteurs, détecter les cas, assister les plus fragiles et limiter ainsi la propagation. Face aux inondations, de même, de telles équipes auraient pu sauver de nombreuses vies en passant de maison en maison dès que l’alerte fut donnée le mercredi 14, pour repérer les personnes fragiles et les protéger ou les évacuer ! Un des pays les plus riches du monde est-il incapable d’assurer un véritable service de protection sociale à ses vieux et ses handicapés ?

C’est aussi le moment de réfléchir avec le remarquable livre Quand le dernier arbre aura été abattu, nous mangerons notre argent, où Ludo De Witte démontre comment le système capitaliste, par sa soif de profit, mène au gaspillage, au pillage des ressources, à la destruction de la Nature et de nos conditions de vie. Inondations, virus ou autres catastrophes : ce n’est pas la Nature qui est violente mais cette société qui place l’argent au-dessus de tout.

Cependant, dans ce flot de souffrances, une grande lueur d’espoir. La solidarité admirable entre les habitants sinistrés et dans toute la région. Les sauvetages risqués, les dons de nourriture, de vêtements et de matériel, les hébergements, les coups de main pour déblayer les boues, les messages de sympathie. Comme lors de la première vague du Covid, la solidarité des simples citoyens a été magnifique et émouvante. L’homme n’est pas un loup pour l’homme.

Et donc les gens d’en bas méritent de meilleurs dirigeants. Et surtout un meilleur système économique où la santé et la vie l’emportent sur les profits d’une minorité. N’attendons pas la prochaine catastrophe pour imposer le changement.

Source : Investig’Action




France : bracelet électronique — comment le Sénat et l’Assemblée veulent nous pourrir la vie

[Source : lemediaen442.fr]

« Alors que la pandémie de Covid-19 n’est pas terminée, et qu’il est probable que celle-ci ne soit ni la dernière, ni la plus forte, il serait irresponsable de ne pas se saisir de telles possibilités. »

Rapport du Sénat du 21 juillet 2021

Le Pass, on ne s’en passera pas !

Nos sénateurs, pleins d’imagination, ont trouvé un autre prétexte au cas où l’épidémie viendrait à manquer : la chute de débris spatiaux. Fallait y penser ! Bref, on n’est jamais trop prudents, le Ciel peut nous tomber sur la tête. Parallèlement, nos députés ont rejeté un amendement qui envisageait de supprimer le Pass sanitaire dès que la circulation du virus ne représenterait plus de danger suffisamment grave ou que la population serait vaccinée à 80 %.

Le Pass à l’Assemblée ? Amendement rejeté !

Il est bien naturel que l’amendement suivant ait été rejeté : « Dans un souci d’exemplarité, il est normal que nous soyons également soumis aux mêmes règles que nos concitoyens. De plus, l’Assemblée Nationale étant un lieu de brassage de centaines de personnes venant de régions différentes, c’est un lieu particulièrement sensible à la contamination. »

Des sanctions pour une meilleure efficacité

Et nos charmants sénateurs d’imaginer un monde merveilleux de repérage des déplacements, des fréquentations, des transactions : « Et c’est précisément là que le numérique pourrait être le plus efficace. » Le tout payé par une hausse des cotisations sociales pour les contrevenants. Ce ne serait pas une sanction, mais une juste répartition des coûts « du fait de l’épidémie ». Ah ! on l’avait oubliée, celle-là.

Afin de repérer les dissidents, nos sénateurs envisagent le Safety Check de Facebook ou l’Amber Alert. Il suffit d’utiliser :

  • les données génétiques, les dossiers médicaux : un portique d’entrée dans le métro se mettrait à sonner très fort au passage d’une personne contagieuse ou censée être confinée,
  • les objets connectés : un boîtier connecté, porté autour du cou, qui sonnerait (avec un son de 85 décibels) en cas de non-respect des règles de distanciation par les salariés d’une entreprise— un smartphone peut faire la même chose avec son Bluetooth, et un son de 100 décibels , 
  • les données de mobilité pour aider la populace égarée à retrouver le droit chemin : en Corée du Sud, les habitants positifs d’un quartier pouvaient être géolocalisés sur une carte accessible à tous, et en Chine, on a vu d’honnêtes citoyens prendre eux-mêmes en charge la « police sanitaire » de leur immeuble.

Contrôler quoi ?

Nos sénateurs veulent tout connaître de vous : 

  • votre santé tout d’abord, que vous devrez obligatoirement contrôler avec des thermomètres connectés, des caméras thermiques détectant les symptômes fiévreux…
  • vos déplacements : avec un bracelet électronique pour vérifier le respect de la quarantaine, auparavant le pass pour les transports en commun aura été désactivé, avec des radars pour détecter votre plaque d’immatriculation, des portiques de contrôle dans les magasins, des caméras thermiques dans les restaurants. Tout est prévu !
  • vos fréquentations : par exemple aller voir un membre vulnérable de sa famille alors que vous êtes contagieux, ça va vous coûter cher ;
  • vos transactions commerciales avec amende automatique en cas d’achat à caractère médical (pouvant suggérer soit une contamination, soit un acte de contrebande en période de pénurie) ou en cas de poursuite illégale d’une activité professionnelle (commerce, etc.)  malgré des restrictions.

Le pouvoir d’interdire, c’est le Pass !

Dans la foulée, nos sénateurs avouent tout bonnement le but du Pass sanitaire :

« Même s’ils sont rarement présentés comme tels, des dispositifs tels que le pass sanitaire ou le passeport sanitaire relèvent bien de la catégorie des outils contraignants, car ils conditionnent, de facto ou de jure selon les cas, l’accès à certains lieux et à certaines activités. En soi, cela n’a rien d’exceptionnel : le “vrai” passeport, le carnet international de vaccination ou le permis de conduire font la même chose, c’est-à-dire autoriser ou interdire, soit l’une des fonctions principales de la puissance publique. »

Marcel n’aurait pas dit mieux !

Pendant ce temps-là, à l’Assemblée…

A l’assemblée, députés LREM et Cie s’efforcent de rendre l’abus de pouvoir légal, le coup d’État démocratique. Le Pass sanitaire sera obligatoire un peu partout, mais avec des nuances pour montrer qu’il ne s’agit pas d’un abus. Il sera cependant impossible de bouger une oreille sans pouivoir le présenter aux autorités. D’où un nouveau texte hallucinant qui nous le détaille, pour qu’on comprenne bien. Accrochez-vous ! Ça décoiffe ! Allez ! quelques exemples.

Une bonne nouvelle : les cimetières sont ouverts sans limitation de rassemblement

Les visites de biens pour l’achat ou la location d’une résidence principale sont autorisées, mais… la résidence secondaire ne pourra être visitée.
En intérieur comme en extérieur, les chorales professionnelles sont autorisées, mais… les chorales amateurs uniquement en extérieur.
A la maison, les règles barrières, dont le port du masque en intérieur, restent nécessaires après… la vaccination.
A partir de début août, et si cela est bien voté dans la loi, le seuil de 50 personnes sera supprimé, et le pass sanitaire s’appliquera dans les cafés, les restaurants, les centres commerciaux, ainsi que dans les hôpitaux, les maisons de retraite, les établissements médico-sociaux. Les déplacements pour les longs trajets en avion, train et car seront également concernés. Et tout cela y compris pour les 12-18 ans, mais… ils ne sont pas obligés de se faire vacciner.

Un rassurant effort pédagogique

« Les contrôles des mesures sanitaires sont assurés par les 250 000 policiers et gendarmes répartis sur l’ensemble du territoire national. Autant que de besoin, à la demande des préfets, des effectifs supplémentaires de forces mobiles seront déployés pour appuyer les forces locales dans cette mission spécifique. Les 24 000 policiers municipaux répartis dans 8 000 communes viennent appuyer l’action des forces de l’ordre. » 

On espère qu’ils seront assez nombreux. Ne faudrait-il pas augmenter les effectifs de police ? C’est une question.

Les lendemains ne chantent pas du tout

Au moment où la France macronienne va légaliser la distinction entre les bons citoyens (vaccinés) et les mauvais (non-vaccinés), les sénateurs préparent notre avenir. Ils nous dirigent vers une société qui semble de science-fiction, mais qui est très réelle. C’est la Chine qui leur sert de modèle. Ce pays où les habitants, contrôlés par des caméras à reconnaissance faciale, sont classés en fonction d’un permis de vivre à points. Le pays où les mauvais citoyens n’ont pas les mêmes droits que les bons, c’est l’avenir de la France en Marche !

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Bigard ne s’oppose plus au Pass sanitaire, les non-vaccinés seront refoulés à l’entrée de son spectacle

[Source : lemediaen442.fr]

Quand on investit dans la grande gueule et la bistouquette, faut avoir de la remorque et une bonne paire de baloches pour aller jusqu’au bout… Du coup BFMTV se fait un malin plaisir de titrer « Opposé au pass sanitaire, Jean-Marie Bigard l’accepte finalement pour se produire » et ils ont bien raison de se tirer sur le haricot face à l’humoriste qui ne voulait pas — à une époque — imposer à son public un protocole strict. Il déclarait sur Instagram le 7 juillet. « Moi, c’est le 23 juillet ! Et il n’y aura aucun pass sanitaire ! Je refuse catégoriquement ! »

Mais l’époque est à la soumission. « Avoir des couilles » n’est plus qu’une expression. Donc les non-vaccinés, ceux qui ont soutenu Jean-Marie et salué son courage jusqu’au bout lors des manifestations contre le pass sanitaire et autres restrictions, vont malheureusement être refoulés à la porte de son spectacle Bigard and Friends où le rire sera encadré, confiné.

« Les amis, je me suis battu jusqu’au dernier moment mais il y aura bien un test sanitaire le 23 juillet à Fréjus et le 24 juillet à la Comédie de Nice. J’en suis désolé. Je vous attends nombreux. »

Autre information, Jean Marie BIGARD nous  annonce l’annulation de son spectacle à Nice pour cause des manifestation contre le Pass Sanitaire… et son lot d’extrême droite et gauche qui pourrait venir perturber l’évènement.




France : l’Assemblée nationale vote l’extension du pass sanitaire et l’obligation vaccinale des soignants

[Source : RT en français]

L’Assemblée nationale a adopté ce 23 juillet en première lecture le nouveau projet de loi anti-Covid qui prévoit l’extension controversée du pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour les soignants au bout d’une nuit marquée par d’âpres débats.

Les députés ont voté dans la nuit du 22 au 23 juillet le controversé pass sanitaire, l’une des mesures phares du nouveau projet de loi anti-Covid dont l’examen a joué les prolongations. 

Peu avant 0h40, les députés ont adopté par 132 voix contre 106 l’article 1 du projet de loi gestion de la crise sanitaire qui étend le champ d’application de cet outil présenté par le gouvernement comme la meilleure arme face au rebond de l’épidémie du Covid-19.

Les débats qui se sont achevés vers 5h40 furent âpres et rugueux, avec des oppositions chauffées à blanc par un calendrier contraint. Près de 1 200 amendements ont été passés en revue depuis l’après-midi du 21 juillet.

Une «brutalité» et une «monstruosité» selon l’opposition

Les passes d’armes entre le gouvernement et les oppositions se sont poursuivies pendant toute la soirée du 22 juillet avec comme point d’orgue une disposition de ce neuvième texte «Covid» depuis mars 2020, ouvrant la voie à un licenciement pour des travailleurs d’établissement recevant du public qui refuseraient d’obtenir un pass sanitaire (parcours vaccinal complet ou test récent).

Un amendement du gouvernement avec l’objectif affiché d’adoucir cette disposition polémique n’a pas convaincu gauche et droite qui ont dénoncé une «brutalité» voire une «monstruosité». «L’esprit n’est pas de renvoyer les gens mais d’encourager à la vaccination», a justifié le ministre de la Santé Olivier Véran. 

Contre l’avis de l’exécutif et dans un scrutin serré, les députés s’étaient opposés dans l’après-midi au pass sanitaire pour l’ensemble des patients et visiteurs dans les hôpitaux et maisons de retraite. Le gouvernement est revenu sur ces amendements avec un nouveau vote qui a notamment remis l’obligation du passe sanitaire pour les patients non urgents ou les visiteurs dans les établissements de santé et les maisons de retraite.

Le groupe socialiste a également fait adopter peu avant minuit un amendement supprimant la peine sanctionnant l’utilisation frauduleuse du pass sanitaire de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende. Très pressé, le gouvernement veut faire adopter le pass sanitaire encore élargi et la vaccination obligatoire pour certaines professions d’ici à la fin du week-end du 25 juillet, après quatre jours de débat parlementaire. «Il y a une urgence à légiférer», a ainsi déclaré Olivier Véran.

Une opposition y compris au sein de la majorité

Mais dans un hémicycle où malgré l’heure tardive les bancs sont restés garnis, les discussions patinent. A l’inflexibilité du gouvernement, le regard fixé sur les courbes des contaminations, répond la pugnacité des oppositions qui défendent pied à pied leurs amendements.  

La majorité fait bloc mais des voix dissonantes se font entendre comme celles des marcheurs Pacôme Rupin ou Stella Dupont. Le 20 juillet, le député de Paris en charge de la coordination du groupe parlementaire LREM à la Commission des Lois avait estimé que le pass sanitaire allait «fracturer notre pays», et qu’il s’agissait d’une «atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé».

«Les mesures doivent s’accompagner de souplesse, de solidarité», a quant à elle déclaré la députée LREM le 22 juillet.

Le groupe Les Républicains – qui s’est majoritairement abstenu – n’a pas souhaité donner de «blanc-seing» et a mis en garde contre la volonté de mettre le «pays sous cloche» en regrettant que les débats n’aient pas permis de «lever les ambiguïtés» sur un pass sanitaire assimilable à «un passeport du quotidien», selon le député Philippe Gosselin.  

La session d’examen «fut une vaste blague», a estimé la socialiste Lamia El Aaraje. Celle-ci a plaidé en vain pour la vaccination obligatoire, tout en taclant le «retard permanent» du gouvernement. PS, LFI et PC ont voté contre le texte.  

Le pass sanitaire au cœur des critiques

Si l’obligation vaccinale étendue aux soignants, sapeurs-pompiers ou encore professionnels auprès des personnes âgées fait à peu près consensus, ce n’est pas le cas de l’extension du pass sanitaire, prévue pour début août dans les cafés-restaurants, objet de vives critiques de part et d’autre de l’hémicycle.

«Nous avons deux choix : réussir le pass, vite, très vite […] ou nous exposer au risque de devoir reconfiner notre pays», a justifié Olivier Véran devant la Commission des Lois du Sénat. «Les chiffres d’aujourd’hui ne sont pas bons», a poursuivi le ministre de la Santé. Près de 22 000 nouveaux cas ont été recensés en 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France publiés dans la soirée du 22 juillet, au plus haut depuis le 5 mai.

Devant les sénateurs le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy a déclaré craindre «une situation complexe, très complexe» dans les hôpitaux fin août.

En Martinique où la population est très peu vaccinée, les autorités sanitaires redoutent une «déferlante» dans les hôpitaux. Pour la Guadeloupe, où la situation est très dégradée, l’Assemblée a voté un amendement gouvernemental visant à réinstaurer l’état d’urgence sanitaire. Celui-ci devrait être mis en œuvre par décret d’ici la promulgation de la loi. 

De nouvelles mesures comme le retour au masque obligatoire en extérieur ont été prises pour des communes du Var, de Meurthe-et-Moselle, de l’Hérault et de Vendée. Dans les Pyrénées-Orientales, le port du masque sera même obligatoire à partir du 24 juillet dans les lieux assujettis à un pass sanitaire. 

Le taux d’incidence progresse surtout chez les 12-17 ans et les 18-29 ans, deux tranches d’âge où le nombre de vaccinés reste très faible. L’exécutif prévoit des campagnes de vaccination spécifiques pour les jeunes, notamment dans les établissements scolaires à la rentrée.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88944-assemblee-nationale-vote-extension-pass-sanitaire-obligation-vaccinale-des-soignants





Référé-Liberté de Me Krikorian : passe sanitaire, ou comment fracturer un peu plus la société française

[Source : francesoir.fr]

[Voir Philippe KRIKORIAN, Avocat à la Cour, a déposé un REFERÉ-LIBERTÉ auprès des juges des référés du Conseil d’État]

Auteur(s): FranceSoir

Me Krikorian a écouté l’allocution du président et comme beaucoup de Francais s’est interrogé sur la portée des décisions liberticides sur le passe sanitaire ou la vaccination obligatoire des soignants. Le projet de loi est en cours de discussion à l’Assemblée nationale et Me Krikorian a déposé sa requête hier afin d’obtenir réponse au plus vite. 

Il a répondu à nos questions :



Entretien

FS : Maître Krikorian, vous venez de déposer un référé-liberté devant le Conseil d’Etat par lequel vous demandez la suspension d’exécution de l’allocution télévisée du Président de la République en date du 12 juillet 2021 et une mesure d’injonction concernant le nouveau dispositif du passe sanitaire. Pourriez-vous nous en dire plus ? 

PK : Très volontiers ! Ce référé-liberté valeur de test démocratique. Il est fondé sur l’article L. 521-2 du Code de justice administrative ( CJA ) aux termes duquel : 

« Saisi d’une demande en ce sens justifiée par l’urgence, le juge des referes peut ordonner toutes mesures necessaires a la sauvegarde d’une liberte fondamentale a laquelle une personne morale de droit public ou un organisme de droit prive charge de la gestion d’un service public aurait porte, dans l’exercice d’un de ses pouvoirs, une atteinte grave et manifestement illegale. Le juge des referes se prononce dans un delai de quarante-huit heures. » 

Je considère, en effet, qu’en présentant le futur vote comme un fait irrévocablement acquis et en ne précisant pas, lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, que le dispositif dit passe sanitaire ne s’appliquerait pas aux situations suivantes : 

1) groupe familial au sein duquel l’un, au moins, des membres justifie d’une vaccination, d’un rétablissement ou d’un dépistage récent ne concluant pas à une contamination ;
2) réservation de l’activité par une ou plusieurs personnes avant l’entrée en vigueur du nouveau dispositif.
3) port du masque et respect de la distanciation physique par les personnes ne justifiant pas de l’une des trois modalités du passe sanitaire, 

Le Président de la République a d’ores et déjà, sans considération aucune du texte qui sera définitivement voté et promulgué, porté à la liberté d’aller et de venir ( articles 2 et 4 DDH ), ainsi qu’au droit au respect de la vie privée et familiale ( article 8 CEDH ), une atteinte grave et manifestement illégale, au sens et pour l’application de l’article L. 521-2 du Code de justice administrative.

Imaginez, en effet, une famille au sein de laquelle deux membres sont vaccinés et les deux autres ne le sont pas. Que devra faire le restaurateur auquel s’appliquerait le nouveau dispositif ? Leur refuser l’accès à son établissement ou admettre seulement les deux membres vaccinés, scindant en deux cette famille d’estivants ? 

Devrons-nous, dès lors, nous en remettre à la Providence en espérant que le Parlement rejettera le projet gouvernemental ou agir selon les voies de droit ? 

C’est cette seconde option que j’ai choisie. Mon recours part du principe que le Président de la République n’a pas voulu mal faire, mais que l’absence de précisions dans son message aux Français du 12 juillet 2021 porte immédiatement atteinte aux libertés fondamentales susvisées, sans qu’on ait besoin d’attendre le vote définitif de la loi prévu début août. 

S’agissant d’une décision d’une autorité de l’Etat, sa justiciabilité ne devrait pas faire difficulté. On peut, en effet, raisonnablement apprécier l’allocution télévisée comme le vecteur d’une véritable norme juridique, à valeur de décret. Le Chef de l’Etat entend, ainsi, conditionner les Français, les préparer à respecter docilement le nouveau dispositif que le Premier ministre est chargé de mettreen œuvre. 

S’il devait être interprété littéralement, le projet de loi déposé ce mardi 20 juillet 2021 heurterait de front les motifs de l’ordonnance rendue le 6 juillet 2021 dernier par le juge des référés du Conseil d’Etat. 

Ainsi, pour rejeter la demande de suspension de la mise en œuvre du passe sanitaire, le juge des référés du Conseil d’Etat a énoncé, dans son ordonnance du 6 juillet 2021 (n°453505 – pièce n°4 de mon référé-liberté ) : 

« ( … ) 

13. Enfin, le passe sanitaire est de nature a permettre, par la limitation des flux et croisements de personnes qu’il implique, de reduire la circulation du virus de la covid-19 dans le pays. Son usage a ete restreint aux deplacements avec l’etranger, la Corse et l’outre-mer, d’une part, et a l’accès a des lieux de loisirs, d’autre part, sans que soient concernees les activites quotidiennes ou l’exercice des libertes de culte, de reunion ou de manifestation. En outre, l’usage de l’application TousAntiCovid demeure facultatif, les justificatifs pouvant etre produits par voie papier ou sur tout autre support numerique, au choix de la personne concernee. ( … ) », prenant soin de préciser que ce dispositif n’était pas manifestement illégal « ( … ) à la date de la presente ordonnance ( … ) », réservant, ainsi, l’avenir. 

Auteur(s): FranceSoir




Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 JOEL SAGET]

Le projet de loi sur le pass sanitaire est actuellement examiné à l’Assemblée nationale. Et ce malgré les réserves de la CNIL et du Défenseur des droits. Pour l’avocat en santé publique Fabrice Di Vizio, très présent sur le front du mouvement anti-pass sanitaire, le gouvernement «assied un pouvoir totalitaire». Rien que cela.

300 amendements discutés en 10 heures de débat: à l’Assemblée nationale, les nuits sont courtes pour les députés chargés d’examiner en urgence le millier d’amendements déposés pour le projet de loi relatif à «la gestion de la crise sanitaire».

Un texte rédigé par le gouvernement dans la foulée de l’allocution d’Emmanuel Macron du 12 juillet. Il prévoit notamment l’obligation vaccinale pour les soignants et personnels d’établissements recevant du public, l’extension du pass sanitaire à ces mêmes lieux (cafés, restaurants, musées, etc.) et l’isolement forcé des cas positifs.

Ce mercredi 21 juillet, la présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été entendue par les membres de la commission des Lois du Sénat. De manière générale, Marie-Laure Denis invite les parlementaires à s’assurer que la restriction des libertés individuelles est «proportionnée». Une proportionnalité qui, selon la CNIL, dépend «grandement du caractère gratuit ou payant des tests de dépistage.» Or, le gouvernement avait déjà annoncé que les tests antigéniques et PCR allaient devenir payants à l’automne. Même son de cloche du côté du Défenseur des droits, Claire Hédon. Dans un avis rendu le 20 juillet dernier, celle-ci relève «dix points d’alerte» et s’interroge «tant sur la méthode que sur la proportionnalité de la plupart des dispositions et restrictions présentes dans le texte.»

«L’État de droit s’est éteint»

Pour l’avocat en droit de la santé publique Fabrice Di Vizio, en tête de cortège à Paris lors de la manifestation du 17 juillet dernier contre le pass sanitaire, l’heure est plus que jamais à la «mobilisation». Interview.

Sputnik: La présidente de la CNIL a estimé que le nouveau dispositif prévu par le gouvernement est une atteinte «particulièrement forte aux libertés et aux droits fondamentaux». Partagez-vous ce point de vue?

Fabrice Di Vizio: 

«Est-ce que la CNIL est complotiste et “antivax” quand elle dit cela? Cela fait un an et demi que l’on est nombreux à dire qu’il y a une inflation dans les mesures liberticides. 150.000 personnes à Paris [18.000 selon le ministère de l’Intérieur, ndlr] ont dit la même chose dans la manifestation du 17 juillet dernier. On se fait pointer du doigt comme des irresponsables. La CNIL et le Défenseur des droits s’inquiètent de cette atteinte particulièrement sévère aux libertés. J’aimerais bien que l’on me donne la définition d’un régime dans lequel les libertés sont à ce point menacées. Comme je suis soi-disant le fer de lance des “antivax”, je n’ai peut-être pas le droit de le dire. Pourquoi le ministre de la Santé n’a pas chassé cette dame qui a osé de venir traiter le gouvernement de liberticide devant les sénateurs? Et le Défenseur des droits, qu’attend-on pour le supprimer? Selon la logique du Président de la République, il faudrait chasser toutes ces voix discordantes!»

Contrôle des populations, «le rêve de la société moderne»

«Le gouvernement s’assied avec allégresse sur les institutions censées être gardiennes de l’équilibre des droits et des devoirs. Et ensuite, lorsque j’ose utiliser le terme de “tyrannie”, on me traite de tous les noms. Nous avons un renversement total des valeurs: l’État de droit s’est éteint. Le variant delta a été une circonstance bien commode pour venir asseoir un pouvoir totalitaire. Ceux qui ne sont pas d’accord n’ont qu’à reprendre le sens des mots! Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie.»

Sputnik: La CNIL recommande aussi aux parlementaires de contraindre le gouvernement à fournir une évaluation de l’efficacité des «différents dispositifs numériques» que celui-ci a mis en place pour lutter contre la pandémie. N’avez-vous pas le sentiment que l’on assiste plutôt à des lourdeurs bureaucratiques dont le sens échappe parfois aux citoyens?

Fabrice Di Vizio: 

«Les tyrannies technocratiques, ça existe aussi. La machine administrative, quand elle est au service d’une idéologie unique, fonde une tyrannie. Dans un État de droit, c’est le Parlement (donc la représentation nationale) qui décide. Dans la tyrannie, la bureaucratie nommée par le Prince s’auto-entretient sans aucun contrôle du Parlement et c’est elle qui décide de tout. N’est-ce pas ce qui se passe en ce moment?»

Sputnik: On pourrait vous rétorquer que le motif invoqué par le gouvernement est la santé publique et la protection de la population face à la pandémie.

Fabrice Di Vizio: 

«Quand on considère que les vaccinés ne sont plus cas contact, c’est encore de la santé publique? Face à un variant qu’on nous décrit comme plus contagieux, pour quelle raison les vaccinés seraient exonérés d’isolement s’ils sont cas contact? L’OMS et le CDC [agence gouvernementale américaine en matière de protection de la santé publique, ndlr] disent pourtant le contraire. Israël ferme ses frontières aux vaccinés et aux non-vaccinés, la quarantaine est obligatoire pour les gens qui arrivent en Angleterre en provenance de la France. Qui décide alors?

Ce n’est plus de la science, c’est de la tyrannie. Et la tyrannie naît quand la cause finale n’est plus la recherche du bien commun. Le pass sanitaire étendu à tous a-t-il jamais fait la preuve de son efficacité? A-t-on un exemple dans l’Histoire où une pandémie s’est arrêtée grâce à un dispositif pareil? Nous avons érigé le mensonge en règle de gouvernement. La vérité, c’est que la santé des Français est devenue une variable d’ajustement.»

Sputnik: L’Assemblée nationale a rejeté un amendement de la députée Emmanuelle Ménard qui visait à mettre fin au pass sanitaire une fois la pandémie sous contrôle. Pensez-vous vraiment que ce dispositif est voué à perdurer?

Fabrice Di Vizio: 

«Bien sûr. C’est le rêve de la société moderne que d’exercer un contrôle sur les populations! Connaissez-vous une mesure temporaire qui n’est pas devenue définitive avec le temps? Il suffit de voir le Patriot Act aux États-Unis [loi antiterroriste votée dans la foulée du 11 septembre 2001 et qui permet notamment aux autorités américaines de détenir sans limites et sans inculpation toute personne soupçonnée de projet terroriste, ndlr]. La loi était censée être temporaire et limitée aux seuls cas de terrorisme. En définitive, le Patriot Act a été utilisé par les Américains pour asseoir leur pouvoir dans le monde.»

Vers une société à deux vitesses?

«On nous parle de l’équilibre entre une société de droits et une société de devoirs. Sauf qu’aujourd’hui, des droits, j’en vois très peu. Le seul droit que les citoyens aient depuis un an et demi, c’est de se taire et de subir les vicissitudes de ce gouvernement incapable de gérer la crise. L’heure n’est plus à discuter, elle est à se mobiliser et à récupérer un pouvoir qui nous a été retiré depuis maintenant un an et demi. Nous allons lutter avec les armes du droit et de la démocratie.

Au titre de ces armes figure le fait de bloquer le pays, s’il le faut. Il y a une abdication totale des contre-pouvoirs et de toute forme d’opposition dans ce pays. Pardonnez mon indignation, mais il faut arrêter de faire de la liberté une discussion de salon. Des gens sont morts pour la liberté. La tyrannie prend toujours le même chemin: celui d’une abdication de l’opposition, du bon sens et de la critique du pouvoir.»

Sputnik: Pensez-vous que nous sommes à l’aube d’un nouveau mouvement social, de l’ampleur des Gilets jaunes, voire plus large encore?

Fabrice Di Vizio: 

«C’est aux Français de savoir dans quel monde eux et leurs enfants veulent vivre. J’en profite pour dire que le traitement médiatique de la manifestation du 17 juillet a été indigne.

Le problème, au fond, c’est que l’on va créer une société de classes. Vous pensez que les gens qui ont de l’argent vont se laisser intimider et pénaliser? Concrètement, ce sont ceux que l’on qualifie avec mépris de “petites gens” qui subissent la crise. C’est une lutte des classes, rien d’autre. On se demande encore ce qu’attendent les syndicats, visiblement apeurés à l’idée de froisser le pouvoir. Rappelez-vous Péguy: “Il faut toujours dire ce que l’on voit; il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit”. Est-ce qu’on ne voit pas que c’est une société à deux vitesses que l’on est en train de créer?»


[Voir aussi : Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !]




« C’est une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience » : Le député LREM Pacôme Rupin s’oppose au “pass sanitaire”

[Source : Olivier Demeulenaere – Regards sur l’économie]

Par Olivier Demeulenaere

« Je crois que le pass sanitaire va fracturer notre pays. C’est un changement majeur de société. Des millions de citoyens vont devoir surveiller le statut sanitaire de millions de citoyens. Les convictions différentes sur le vaccin vont partager les Français en deux, entre ceux qui auront des autorisations et ceux qui auront des interdictions pour aller et venir dans un certain nombre d’établissements recevant du public. Des milliers de citoyens vont potentiellement perdre leur emploi s’ils ne veulent pas se faire vacciner et je ne peux donc me résoudre à cet extrême qui créera un précédent qui est pour moi une atteinte majeure à la liberté d’aller et venir, à la liberté de conscience, au droit de refus de se soumettre à un traitement, à la vie privée et aux données personnelles de santé ».



pacome rupin