Lettre d’informations sur les actions juridiques menées contre les mesures sanitaires par Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris

par Florence Wurtz

Dans l’urgence des événements, nous avons édité cette lettre d’informations
très courte, mais dans laquelle nous donnons des actions juridiques, par notre
avocate Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris.

Nous ne pouvons répondre individuellement à la masse de demandes que nous
recevons, nous en sommes désolés, mais nous œuvrons jour après jour pour
défendre nos libertés.

Bien solidairement

Florence Wurtz
service Média LNPLV




Appel aux autorités sanitaires et politiques à reconsidérer la vaccination de masse au vu des observations scientifiques récentes sur le SARS-CoV-2 et la protéine Spike

Par François Daubé (Directeur IPSE)

Bonjour à tous,

Voici la publication que nous publions sur le site de IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève) afin d’alerter les autorités sur les résultats récents de plusieurs études démontrant qu’il serait urgent de réévaluer le Bénéfice/Risque d’une campagne de vaccination de masse contre le SARS-Cov2. 

Le ton utilisé et les arguments techniques mentionnés sont basés sur l’intention de communiquer des faits, et non pas une opinion, sur une démonstration et non pas un débat, afin de conquérir l’audience des personnes qui ont peur, qui se vaccinent et qui pensent être solidaires en appliquant docilement les intimations des médias d’Etat. 

Je vous remercie de relayer cette publication par mail (voir lien ci-dessous) vers toutes les institutions de santé et d’éducation, vers tous les médias également, afin de semer le doute individuel contre la machination de l’intelligence artificielle déjà en service pour dérouler le plan Covid-19, et contre laquelle il semblerait que nous ayons toujours un temps de retard.  

Je vous remercie infiniment pour votre contribution.

Voici le lien pour signatures: https://www.ngo-ipse.ch/petition.php?id_sujet=7 

François Daubé

Directeur ONG IPSE (International Political & Scientific Ethics – Genève)




« Corruption silencieuse » à l’ONU : le nouveau rapport de l’ECLJ

[Source : European Center for Law and Justice | ECLJ]

L’ECLJ a publié un nouveau rapport prouvant des atteintes à l’indépendance de nombreux experts de cette institution internationale.

La principale conclusion de ce rapport est que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées (comme la Fondation Ford et l’Open Society Foundations). Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU, et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.




La crise mondiale du transport maritime est bien plus grave qu’on ne l’imagine

[Source : Les 7 du quebec]

[Commentaires en rouge : Robert Bibeau]

Par F. William Engdahl –  juillet 2021 – Source New Eastern Outlook

Au cours des dernières décennies, le commerce maritime mondial s’est développé de manière presque exponentielle, à mesure que la sous- traitance des activités de fabrication des sociétés américaines et européennes se développait, sous l’effet de la mondialisation économique. En conséquence, l’Asie, et plus particulièrement la Chine, est devenue la source essentielle de fabrication de tout, des iPhone aux antibiotiques et de tout ce qui se trouve entre les deux. L’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui a imposé de nouvelles règles au commerce en a été le moteur essentiel. Elle a également rendu les chaînes d’approvisionnement mondiales pour la livraison des marchandises plus fragiles que jamais dans l’histoire. L’augmentation du coût du transport maritime par conteneurs témoigne de cette fragilité. À cette augmentation des prix s’ajoutent d’énormes pénuries de main-d’œuvre dues aux mesures mondiales prises contre la COVID.

Les origines de la crise

Selon le département de recherche de Statista, basé en Allemagne, environ 80 % de toutes les marchandises sont transportées par voie maritime, notamment le pétrole, le charbon et les céréales. Sur ce total, en termes de valeur, le commerce maritime mondial de conteneurs représente quelque 60 % de l’ensemble du commerce maritime, évalué à environ 14 000 milliards de dollars US en 2019. Ce transport maritime est devenu le pivot de l’économie mondiale, pour le meilleur et pour le pire.

Il s’agit d’une conséquence directe de la création de l’OMC dans les années 1990, avec de nouvelles règles favorisant l’externalisation de la fabrication vers des pays où la production était bien moins chère, tant que le transport maritime était bon marché. Après son adhésion à l’OMC en 2001, la Chine, appelée « l’atelier du monde », est devenue la plus grande bénéficiaire de ces nouvelles règles. Des industries entières telles que l’électronique, les produits pharmaceutiques, les textiles, les produits chimiques ainsi que les plastiques ont été transférées en Chine, où les salaires étaient alors les plus bas au monde, pour y être assemblées en usine. Cela a fonctionné, car le coût de l’expédition vers les marchés occidentaux était comparativement faible. (Dans ce paragraphe, l’auteur — idéaliste métaphysicien — inverse l’ordre des choses et il laisse croire que L’OMC a été créée fortuitement, par on ne sait qui, puis que les fonctionnaires de l’OMC désœuvrés se sont trouvé une activité — celle d’imposer des règles favorisant la délocalisation des industries et le développement du commerce-transport international d’où aurait émergé la Mondialisation (oh ! surprise !). C’est exactement le contraire qui s’est produit. Les forces intrinsèques du développement économique capitaliste réclamaient — exigeaient — la refonte des lois et des règles de fonctionnement de la production-commercialisation-distribution du capital-marchandise (y compris des règles régissant la marchandise/force de travail) afin de maintenir le procès de valorisation du capital ; d’où la création de l’OMC ayant pour fonction de rédiger et d’imposer les lois du nouveau capitalisme — de ses puissances impériales hégémoniques — à toutes les entreprises et à tous les pays du monde. Ces nouvelles lois ont été bénéfiques aux puissances émergentes (Chine et Inde notamment) disposant de grandes quantités de capital humain qualifié et peu dispendieux. Et depuis la guerre commerciale est en cours entre ces différentes puissances. NDÉ)

Au fur et à mesure de la croissance de sa production économique, la Chine est elle-même devenue un géant mondial du transport maritime, expédiant ses marchandises à bas prix vers des endroits tels que Long Beach ou Los Angeles, en Californie, aux États-Unis, ou Rotterdam, en Europe (VIA Les Nouvelles Routes de la Soie. NDÉ) 

Résultats de recherche pour « routes de la soie » — les 7 du Québec 
et https://les7duquebec.net/?s=routes+de+la+soie 

Le géant du commerce de détail Walmart a été le destinataire d’une part considérable des marchandises chinoises, puisque 80 % de ses produits sont d’origine chinoise. Ce n’est pas de la petite bière comme on dit au Texas. Walmart est la plus grande entreprise au monde en termes de chiffre d’affaires, avec des ventes annuelles de 549 milliards de dollars. Aujourd’hui, grâce à cette mondialisation, la Chine dispose de 8 des 17 plus grands ports du monde en termes de volumes de transport pour gérer ses exportations. (Pour qui souhaite analyser le monde politique et sociologique et sanitaire contemporain, et comprendre les forces en jeux vers la guerre mondiale en préparation — ces données sont bien plus importantes que le nombre de nouveaux cas de Covid-Delta dans un village du Canada… NDÉ)

L’expansion du transport maritime chinois, combinée à celui du Japon et de la Corée du Sud, constitue le principal trafic maritime de conteneurs dans le monde. Ce flux économique vital est aujourd’hui soumis à une pression sans précédent, qui pourrait bientôt avoir des conséquences économiques mondiales catastrophiques sur les chaînes d’approvisionnement en marchandises.

Lorsque ce que l’OMS a qualifié de nouveau coronavirus, apparu pour la première fois à Wuhan, a été déclaré pandémie mondiale en mars 2020, l’impact sur le commerce mondial a été immédiat et énorme, les pays verrouillant leurs économies, ce qui est sans précédent en temps de paix. (Preuve s’il en était besoin que cette annonce hystérique d’une pandémie bidon était bien une déclaration de guerre nouveau genre — virale et mondiale émanant d’un organisme international — NDÉ). Les commandes de produits en provenance de Chine et d’autres producteurs asiatiques ont été gelées par les acheteurs occidentaux. Les porte-conteneurs ont été annulés partout en 2020. Puis, maintenant que les gouvernements des États-Unis et de l’Union européenne débloquent des milliers de milliards de dollars de mesures pour une relance sans précédent, la demande de conteneurs en provenance d’Asie et à destination de l’Occident a explosé en termes relatifs, par rapport à l’offre, car les gens ont commencé à utiliser les mesures de relance, en particulier aux États-Unis, pour acheter en ligne des produits dont la plupart étaient toujours « Made in China ».

DÉAPPROVISIONNEMENT INDUSTRIEL ET NOUVELLE VAGUE : REPRISE DE LA CRISE ET EXACERBATION DU NATIONALISME ÉCONOMIQUE — les 7 du Québec 
https://les7duquebec.net/archives/266001 

Cela a eu un impact perturbateur sérieux sur ce qui était autrefois un coût mineur — le transport maritime par conteneurs. Les ports à conteneurs, en particulier ceux de Chine, sont ultramodernes, automatisés, chargeant des milliers de conteneurs par jour au moyen de grues automatisées. Dans les ports de destination tels que Long Beach ou Hambourg, les conteneurs sont ensuite déchargés dans des camions ou des trains et acheminés vers leur ville de destination avant d’être renvoyés au port pour être réexpédiés. C’est cette chaîne d’approvisionnement complexe qui est aujourd’hui en crise… (conséquence directe des mesures de confinement — couvre-feux – lock-out des économies nationales. Les travailleurs et les paysans et les chômeurs et les pauvres sont les premières victimes de cet exercice de guerre sanitaire mondialisé… la go-gauche devrait le comprendre. Voilà pourquoi nous au 7duquebec.net nous dénonçons cet exercice militaire orchestré par le grand capital mondialisé. NÉ)

En 2019, avant la crise de la pandémie, le coût de l’expédition par voie maritime d’un conteneur de 40 pieds de long, de la Chine vers l’Europe, se situait entre 800 et 2500 USD. Pour l’essentiel des produits tels que les textiles, les produits pharmaceutiques ou les smartphones, les conteneurs maritimes étaient clairement la meilleure option à faible coût pour le commerce Asie-Europe, malgré la possibilité du rail. Pour le commerce entre l’Asie et l’Amérique du Nord, c’est quasiment la seule option, l’avion étant une alternative coûteuse. Aujourd’hui, avec une réduction de 50 % des voyages aériens liée à l’effet corona, les porte-conteneurs sont pratiquement la seule option sur les longues distances.

Aujourd’hui, les tarifs de port à port, par exemple de Shanghai, le plus grand port à conteneurs de Chine, à Los Angeles, ont explosé, passant d’environ 1 500 dollars par conteneur de 40 pieds juste avant la pandémie de l’OMS au début de 2020 (NON pas à cause de la pandémie, MAIS à cause des mesures politiques de CONFINEMENTS — non nécessaires et inappropriées. NDÉ) à 4 000 dollars en septembre 2020, et à 9 631 dollars au jour du 8 juillet 2021, selon Drewry Supply Chain Advisors. Il s’agit d’une augmentation de plus de 600 % par rapport au début de 2020, avant la pandémie. Et ce n’est là qu’une des origines de l’inflation mondiale que nous voyons maintenant arriver. (L’inflation = la dépréciation de la monnaie — de nos épargnes et de notre pouvoir d’achat — sera la façon par laquelle le grand capital (les 2 000 milliardaires de la terre) transféreront le fardeau de la crise qu’ils ont provoqués sur le dos du prolétariat.

[Ndlr : ce ne sera pas seulement sur le dos du prolétariat, mais sur la plupart des non milliardaires de la planète, patrons et ex-patrons de PME ou de PMI inclus.]

C’est la raison pour laquelle nous disons que cette guerre nouveau genre oppose directement le capital mondial et leurs États totalitaires au prolétariat international sans autres intermédiaires. NDÉ)

Les émeutes covidales — les 7 du quebechttps://les7duquebec.net/archives/265963

Ce n’est pas le pire. Selon Drewry, « Nous avons entendu des rapports faisant état de 15 000 dollars de la Chine vers la côte ouest et nous savons que les transporteurs facturent des primes supplémentaires en plus pour donner la priorité au chargement d’une réservation tardive avant les cargaisons normales au tarif FAK [Freight All Kinds]. » Passer de 1 500 à 15 000 dollars en deux ans représente une multiplication par dix. Et les tarifs de Shanghai à Rotterdam ont également explosé, passant de moins de 2 000 dollars début 2020, à plus de 12 000 dollars en juillet, soit 600 %.

Pour citer un produit qui a connu des achats de panique au début de la pandémie, la Chine est le leader mondial des exportations de papier toilette, avec 11 % de l’offre mondiale. Une augmentation de 600 % du coût du fret maritime rend inévitable une hausse significative du prix d’un produit aussi ordinaire que le papier toilette, ou alors une pénurie dans des endroits clés du monde. Lorsque de telles pressions s’exercent sur l’ensemble de la gamme de produits, les tarifs des conteneurs maritimes deviennent un facteur important de l’inflation générale.

Des goulots d’étranglement de conteneurs

Au début de l’année 2020, alors que les nations du monde entier se sont confinées dans une panique sans précédent par crainte des coronavirus, le transport maritime mondial s’est paralysé. Les usines ont été fermées partout. Plus tard en 2020, les flux ont lentement repris avec l’ouverture de la Chine. Lorsqu’il est devenu évident, à la fin de l’année 2020, que les diverses mesures de relance économique mises en place par les gouvernements allaient relancer la demande de produits asiatiques, notamment via des plateformes de commerce électronique comme Amazon, une pénurie dramatique de conteneurs disponibles s’est développée. Rien qu’aux États-Unis, un total combiné de9 000 milliards de dollars de mesures de relance budgétaire et monétaire a été débloqué depuis le début de 2020. C’est un record mondial. (Ce que l’auteur ne dit pas c’est que cet argent (9000 milliards USD) a été créé ex nihilo — et ne représente pas de nouvelles marchandises ce qui signifie que cet argent va provoqué l’hyperinflation et le krach boursier et la dépression dont le prolétariat sera la victime impuissante. NDÉ) 

Résultats de recherche pour « inflation » — les 7 du Québec  
https://les7duquebec.net/?s=inflation

Les flux commerciaux mondiaux peuvent être comparés au système de circulation sanguine du corps humain. Lorsque des goulets d’étranglement se développent avec la congestion des ports, ou le blocage du canal de Suez, cela fait comme des caillots de sang pour le système de circulation sanguine. En mars 2021, le blocage dans le canal de Suez du porte-conteneurs géant Ever Given appartenant à la société taïwanaise Evergreen Co a interrompu le trafic maritime pendant près d’une semaine sur l’une des principales voies navigables du monde entre la Chine et l’Europe, provoquant des goulets d’étranglement dans les livraisons de conteneurs qui ne sont pas encore complètement résolus. Ensuite, en Chine, de nouveaux cas de corona dans le grand port à conteneurs de Yantian — qui fait partie du quatrième port à conteneurs du monde, Shenzhen — ont provoqué de nouvelles perturbations majeures du transport maritime, aggravant encore la hausse des tarifs. Ces perturbations sont susceptibles de se poursuivre.

Lorsque les confinements ont touché le monde entier en avril 2020, des millions de conteneurs se sont soudainement retrouvés bloqués dans divers ports, incapables de retourner en Chine. Ces boîtes vides ont été laissées dans des endroits où elles n’étaient pas nécessaires, et aucun repositionnement n’a été prévu. Les perturbations massives de la main-d’œuvre dues aux confinements à travers les États-Unis en 2020 et en 2021 ont affecté non seulement les ports, mais aussi les dépôts de cargaisons de conteneurs de tout le pays ainsi que les lignes de transport intérieures. Il n’y avait aucun moyen de ramener les conteneurs en Chine lorsque celle-ci a commencé à relancer l’industrie. De plus, comme les transporteurs ont introduit des « traversées à vide », ou ont sauté des escales, l’inadéquation entre l’offre et la demande de conteneurs vides a été exacerbée, car ces boîtes vides ont été laissées derrière et n’ont pas pu être repositionnées vers les ports chinois. Des « caillots de transport » mondiaux sont apparus.

La société de conseil danoise Sea-Intelligence estime que pas moins de 60 % du déséquilibre en conteneurs en Asie est dû à l’Amérique du Nord (principal client mondial — suivi de l’Europe de l’Ouest), la plupart en raison du manque d’investissements en Californie et dans d’autres ports de la côte ouest qui connaissent les pires problèmes de congestion portuaire.

Une société de conseil japonaise a estimé que la productivité des terminaux en Amérique du Nord était jusqu’à 50 % inférieure à celle de ses homologues asiatiques, en partie à cause de la réduction du nombre d’heures de travail et de l’opposition des syndicats à une automatisation accrue qui leur ferait perdre des emplois. La déclaration selon laquelle l’autorité de régulation américaine, la Federal Maritime Commission« examine » la question de la disponibilité des équipements dans le cadre d’une vaste enquête sur le chaos de la chaîne d’approvisionnement qui a frappé les ports, les détaillants et les exportateurs du pays au cours des huit derniers mois, n’est guère rassurante. Les problèmes de goulots d’étranglement dans les ports à conteneurs américains sont chroniques et graves depuis au moins 2015. Le travail de la Commission maritime est de surveiller justement ces goulots d’étranglement avant qu’ils ne deviennent problématiques. Elle n’y arrive manifestement pas.

La solution à la crise fabriquée du Covid n’est pas médicale, mais POLITIQUE — les 7 du Québec 
https://les7duquebec.net/archives/265768

Lorsque la demande de produits en provenance de Chine a repris fin 2020, tout cela a eu un impact sur les taux de conteneurs. Aux pénuries de conteneurs se sont ajoutés les blocages au niveau mondial qui ont gelé d’énormes pans du commerce mondial. La construction des nouveaux conteneurs nécessaires est également fortement limitée en raison despénuries d’acier et de bois de construction ainsi que de main-d’œuvre, en raison des mesures de lutte contre la pandémie.

DÉAPPROVISIONNEMENT INDUSTRIEL ET NOUVELLE VAGUE : REPRISE DE LA CRISE ET EXACERBATION DU NATIONALISME ÉCONOMIQUE — les 7 du Québec 
et https://les7duquebec.net/archives/266001

(Ces données sont autant d’indices que cette pandémie est un exercice militaire grandeur réelle visant à analyser tous les vecteurs d’une guerre bactériologique mondiale de façon à anticiper les problèmes inédits que posera une guerre réellement mondiale et où la population civile (7,7 milliards d’individus) deviendra la principale variable stratégique et tactique. Nous comprenons mieux la nécessité pour les États bourgeois pseudo-libéraux de se transformer en États totalitaires dirigistes. NDÉ) 

Une énième vague de coups d’État sanitaires déferle sur le camp atlantiste — les 7 du Québec 
et https://les7duquebec.net/archives/265924

La dépendance mondiale écrasante à l’égard des marchandises expédiées par la Chine ces dernières années est devenue un talon d’Achille flagrant de l’économie mondiale dans le contexte de ces blocages (en fait, le talon d’Achille de l’Alliance concurrente — OTAN — vis-à-vis l’Alliance de Shanghai. NDÉ) 

La guerre inévitable entre le roi déclinant et l’ambitieux prince héritier — les 7 du Québec 
et https://les7duquebec.net/archives/265603.

Une telle interdépendance mondiale n’a pas été un facteur de la dépression mondiale des années 1930, contrairement au mythe économique selon lequel la loi sur les tarifs douaniers Smoot-Hawley en était la cause principale. Il s’agissait alors des structures de la dette internationale centrées sur les banques de New York.

Crise de la main-d’œuvre maritime

La crise de la disponibilité des conteneurs et les embouteillages dans les principaux ports mondiaux sont aggravés par une crise croissante de la main-d’œuvre maritime. La plupart des marins non officiers qui travaillent pour le transport de conteneurs sont recrutés en Asie. Selon la Chambre internationale de la marine marchande, les Philippines sont le plus grand fournisseur de marins qualifiés, suivies par la Chine, l’Indonésie, la Fédération de Russie et l’Ukraine. Les confinements mondiaux et, plus récemment, l’inquiétude suscitée par le variant dite « indien » ou « Delta »malgré le manque de données sur sa létalité, ont augmenté la catastrophique situation de la main-d’œuvre des navires. Avant la déclaration de la pandémie de corona en 2020, l’offre de main-d’œuvre des navires était déjà très restreinte. Ce problème de main-d’œuvre a également un impact sur les taux de fret des navires.

En juillet, on estime que 9 %, soit 100 000 marins travaillant à bord de porte-conteneurs et d’autres navires, sont restés bloqués sur les navires au-delà de la durée légale de leur contrat, car des pays, de la Chine aux États-Unis, leur interdisent de descendre à terre en raison de restrictions liées à la peur du coronavirus. Cela signifie que les changements d’équipage n’ont pas lieu et que les équipages bloqués en mer sont soumis à un stress psychologique et physique croissant, pouvant même conduire à des suicides. Ensuite, on estime que 100 000 marins supplémentaires, voire plus, sont bloqués à terre dans divers pays en raison des restrictions liées à la pandémie, sans pouvoir travailler. La durée maximale autorisée d’un contrat est de 11 mois, comme le stipule une convention maritime des Nations unies. Normalement, il y a une rotation de quelque 50 000 marins par mois sur et hors des navires. Aujourd’hui, il n’y en a plus qu’une fraction. Selon le syndicat de la Fédération internationale des transports, il y a jusqu’à 25 % de marins en moins sur les navires qu’avant la pandémie. Le secrétaire général du syndicat a déclaré : « Nous avons prévenu que les marques mondiales doivent être prêtes pour le moment où certaines de ces personnes fatiguées et épuisées finiront par craquer. »

À terre, alors que les confinements, en particulier en Californie, ont tenu des milliers de travailleurs éloignés des principaux ports américano-asiatiques de Los Angeles et de Long Beach, il n’a pas été possible de résorber le très important arriéré de conteneurs avant que d’autres ne commencent à arriver. L’Amérique du Nord est actuellement confrontée à un déséquilibre de 60 %, ce qui signifie que sur 100 conteneurs qui arrivent, seuls 40 repartent. Soixante conteneurs sur 100 continuent de s’accumuler.

Drewry estime que ces facteurs négatifs entraîneront également une pénurie d’officiers par rapport aux équipages dans la flotte marchande mondiale au cours des prochaines années. Tout cela souligne à quel point le système de livraison des chaînes d’approvisionnement mondialisées est aujourd’hui extrêmement fragile et au bord de la fracture. Les blocages mondiaux dus à la COVID (non pas dus à la COVID, mais dus à la fermeture des économies — dus aux prises de décisions des gouvernants incapables, lâches et ignorants dont le prolétariat fait les frais. NDÉ) ont des impacts à long terme bien plus graves que la plupart des gens ne le savent. L’économie mondiale est un réseau interconnecté dynamique et très complexe qui ne peut pas s’éteindre et s’allumer avec une simple pression sur un interrupteur.

États-Unis/Otan contre Russie/Chine/Iran. Le début d’une guerre hybride à mort — les 7 du Québec 
et https://les7duquebec.net/archives/263153

William Engdahl




Le Dr R. Malone, inventeur des vaccins à ARNm et ADN : « C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire »

[Source : Quantum Leap — InfoVF]

« Si vous vous éloignez de la thèse officielle, vous disparaissez !
Il y a toute une série de choses qui sont absurdes dans cette affaire.
Il y a la croyance que si nous donnons au public de vraies informations sur la nature de la technologie et les risques qui y sont associés dans cette série actuelle de vaccins, il n’acceptera pas le vaccin…!
C’est vrai, je suis en train d’être effacé de l’histoire.
Ce qui se passe ici est différent. C’est fondamentalement différent et ce n’est pas bien, ce n’est pas correct, ce n’est pas juste, ce n’est pas conforme aux règles.
Et puis nous avons la Welcome Trust et la fondation Bill & Melinda Gates qui financent maintenant ces opérations de fact checkers qui apparaissent de nulle part et qui sont payées, des gens qui se font passer pour des journalistes, mais qui n’ont aucune formation préalable, écrivent soudainement des articles d’attaque sur moi et sur tout le monde dans le but de nous rendre illégitimes.
J’ai traversé épidémie après épidémie, je n’ai jamais rien vu de tel.
Il s’agit d’opérations psychologiques appliquées pour contrôler les gens et leur comportement afin qu’ils acceptent ces produits qui sont encore expérimentaux, basés sur une technologie qui n’a jamais été déployée à ce niveau, et au fur et à mesure que les données sortent, il devient de plus en plus clair que ces produits ne sont pas totalement sûrs ».

Le Dr Malone est l’inventeur des vaccins à ARNm (et des vaccins à ADN). Il a également découvert les technologies de transfection à médiation lipidique et à ARN nu.

Site du Dr Malone : www.rwmalonemd.com.




Plus de 1500 à Lyon : un bon début pour cette belle au bois dormant

Par Lucien-Samir Oulahbib

Rassemblement statique place Carnot près de la gare Perrache, puis cortège spontané dense et très hétérogène avec deux mots d’ordre « liberté » et « Macron ton passe on n’en veut pas ».

mais des hésitations le long de la Saône devant des cordons de police avant de longer place Bellecour. » la police avec nous », scandent quelques manifestants. Une bobo au balcon met son pouce en bas. Des gens dans la foule lui font un doigt. Tout est dit de cette « France (?) d’en haut », arrogante et suffisante, mais personne ne l’insulte. Foule bon enfant, sur un nuage, pour aller vers le Rhône et prendre le pont de la Guillotière, avant d’hésiter encore, d’aucun voulant taquiner les cordons qui à gauche empêchent d’aller vers la place Bellecour. Reste plus que prendre le pont pour aller vers la Préfecture ?

J’esquisse cette idée, mais rien. Non, cela se scinde. Dommage. Puis cela reprend et tourne à droite, en partie le long des Universités, de la piscine du Rhône. J’en profite pour demander que l’on me rembourse ma carte. Le vigile rigole et me sort qu’il connaît des gens morts du virus, je lui réponds que la grippe tue aussi et beaucoup selon les années, bien plus de jeunes aussi. Or ici, à ce que je vois dans les bassins extérieurs, ce sont plutôt ces tranches d’âge et moins les personnes très âgées qui viennent, mais rien n’y fait bien sûr. Je ne serais pas remboursé, vient-il tout de même me répondre après avoir été demandé [à son patron]. Je lui parle des traitements dont on n’a pas besoin, du passe qui trépassera…

Retour à la manif. Toujours ce flottement d’un mouvement sans direction déjà perçu dans les premières manifs de GJ, mais quelque chose de puissant en attente, une soif de justice, une fibre a été touchée, des gens de tous les horizons, une atmosphère des Trois Glorieuses peut-être. Ils étaient en tout cas bien plus nombreux que les samedis précédents aux dires de certains. N’oublions que Lyon est une ville cossue qui se vide durant les W.E en été, et nous sommes en pleines vacances.




Dans le viseur de l’État

[Source : revue-ballast.fr via legrandsoir.info]

Discussion entre Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber

Nous retrouvons Vanessa Codaccioni et Eléonore Weber dans un café. La première est historienne et politologue, spécialiste de la justice pénale et de la répression ; la seconde autrice, metteuse en scène et réalisatrice. Toutes deux observent les mécanismes de répression, de surveillance et de délation à l’œuvre au plus haut niveau des États : qui nous surveille ? selon quels procédés ? avec quels objectifs ? Le dernier film d’Eléonore Weber, Il n’y aura plus de nuit, est un montage de vidéos de frappes américaine et française sur des zones de guerre impérialiste (Afghanistan, Irak, Pakistan), enregistrées par les caméras infrarouges d’hélicoptères. Le spectateur voit ainsi ce que voit le soldat, avant de mettre à mort un ensemble de pixels. Le dernier ouvrage de Vanessa Codaccioni, La Société de vigilance, est sous-titré  » Auto-surveillance, délation et haines sécuritaires  » : il éclaire l’avènement de nos sociétés de contrôle permanent. Traçage, fichage, vidéosurveillance, signalements à grande échelle : la résistance est faible. Nous tenions à les faire se rencontrer.


Les images du film Il n’y aura plus de nuit proviennent d’Internet et sont en libre accès. Que nous disent-elles de l’appareil d’État ?

Vanessa Codaccioni : L’État veut voir des corps menaçants, des corps dangereux, et il veut aussi montrer qu’il les voit, qu’il les surveille et qu’il peut les éliminer. Autrement dit, à travers ces images, on voit la puissance de l’État et sa capacité à surveiller, à sécuriser et à tuer. Les agents de l’État construisent des menaces rien qu’en regardant, en contrôlant, en perquisitionnant, en arrêtant dans la rue. C’est une manière d’attirer l’œil et le regard citoyen sur des corps devenus dès lors dangereux. Dans le film, on ne les voit même pas, ces corps : on les devine talibans, on les devine dangereux, on les devine terroristes : mais en réalité on n’en sait rien. Que les pilotes regardent ces corps suffit à en faire des corps dangereux — et donc tuables. On sait aussi très bien que l’État choisit de visibiliser certaines actions de répression plutôt que d’autres. Pourquoi certaines sont-elles accessibles ? Pourquoi d’autres ne le sont pas ? Sans doute parce qu’il s’agit de faire croire que l’État est transparent alors que nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font, notamment en matière de lutte antiterroriste. Il est intéressant de rappeler que le 30 juin 2021, une loi a été votée au Sénat : les archives — notamment celles des services de renseignement — ne seront plus accessibles. Ce qui montre que nous sommes dans un contexte où, précisément, on peut de moins en moins voir ce que font les agents de l’État en matière de punition et de répression — que ce soit l’armée, la police ou les services de renseignement. Les images, comme celles d’Il n’y aura plus de nuit, nous semblent donc extraordinaires, interdites, secrètes — alors qu’il devrait être normal d’y avoir accès.

« Nous sommes dans un moment où les gouvernements veulent de plus en plus invisibiliser la répression et nous empêcher de regarder ce qu’ils font. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Ces images ont été publiées par des soldats et non par les armées. Ils ont l’obligation d’enregistrer sur une clé USB chacune de leurs missions : il leur est très facile de les publier ensuite. Ils le font en toute illégalité. Je ne suis pas allée fouiller dans des archives inaccessibles pour trouver ces images. C’est un spectacle qui existait déjà sur Internet : je n’ai fait que le déplacer, le montrer autrement. L’hypothèse du pilote avec lequel j’ai discuté1, c’est qu’après l’affaire Wikileaks révélant la fameuse bavure en Irak2, l’armée américaine s’est dit qu’il fallait quand même montrer qu’elle tuait de « vrais » terroristes, et pas seulement des civils. L’armée aurait montré une certaine tolérance concernant la publication de ces images classées secret-défense : en quelque sorte, ça l’arrangeait. C’est une forme de propagande indirecte. Je suis d’accord sur le fait que l’enjeu est double : le pouvoir a à la fois besoin de montrer et de cacher ces images.

Vanessa Codaccioni : C’est l’inverse des actions menées par le lanceur d’alerte, qui ont pour but de faire voir ce qu’on ne veut pas montrer. Ici, il s’agit au contraire de montrer ce qu’ils jugent être bien.

Eléonore Weber : À vrai dire, je n’ai pas eu de scrupule moral à montrer moi-même ces images du fait qu’elle étaient déjà largement diffusées sur le Net. J’en aurais eu davantage si j’avais directement eu accès à des images de l’armée, dont la vocation n’est en effet pas d’être regardée comme on regarde des images de cinéma. Il me semble par ailleurs que leur violence tient précisément au fait qu’elles mettent à distance la violence. Ce qui est violent, c’est qu’il soit supportable de les regarder.

Vanessa Codaccioni : C’est tout l’enjeu de ton film, qui peut se regarder comme un jeu vidéo. Il y a une telle déréalisation des corps, de la mort, de la guerre, comme le dit Grégoire Chamayou dans Théorie du drone… Tu ne sais plus où tu es, si tu es dans un film de science-fiction, dans un jeu vidéo… Et puis, petit à petit, tu réalises.

Eléonore Weber : Ça montre aussi à quel point la guerre est elle-même porteuse d’un projet esthétique. En regardant ces images, on voit comment le pouvoir se représente lui-même et comment il représente le monde.

Vanessa Codaccioni : Ces images peuvent fasciner pour ce qu’elles ne sont pas. Elles peuvent fasciner car elles ont une esthétique qui ne montre précisément pas la mort.

Éléonore Weber : Je pense que le désir de voir la mort est très largement partagé même s’il est plus ou moins assumé. Il y a une séquence dans le film où suite à l’explosion d’une mine, les corps sont littéralement volatilisés et les pilotes continuent de regarder alors qu’il n’y a plus rien à voir. Ils tournent longuement autour de ce vide, eux-mêmes sidérés. C’est l’un des moments où la caméra se détache du viseur…

Dans votre film, Eléonore, le soldat scrute les mouvements des corps. L’observation est un préalable à l’exécution : un seul regard a donc le pouvoir de tuer ? 

Eléonore Weber : En principe, tuer par le regard relève de l’impossible. Mais c’est néanmoins un vieux fantasme que la sophistication de ces technologies de guerre est quasiment parvenue à réaliser : celui de l’œil qui tue. La caméra et le viseur sont en effet une seule et même chose dans le dispositif que nos démocraties ont inventé pour faire la guerre. Ce qui pose des questions vertigineuses sur la fonction du regard. C’est d’ailleurs ce qui m’a poussée à faire ce film.

Vanessa Codaccioni : Elle est complexe, cette question. L’acte de regarder peut avoir des conséquences répressives qui peuvent aller jusqu’à faire tuer. Je ne dirais pas « tuer » ; j’insiste sur le « faire tuer ». Regarder l’autre, c’est déjà possiblement en faire un suspect, le considérer comme une menace, comme un corps dangereux. Regarder peut également amener à dénoncer, à signaler un comportement aux autorités, et donc, aboutir à l’intervention des appareils répressifs : perquisition, arrestation, garde à vue, procès, voire exécution extrajudiciaire ou actes de torture peuvent s’ensuivre. Comme c’est le cas au camp de Guantánamo, dans lequel se trouvent, ou se sont trouvés, emprisonnés des gens dénoncés. L’œil peut ainsi être le préalable à des formes de répression extrêmement graves qui peuvent aller jusqu’à la mort.

« C’est Obama qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : Sauf que sur le terrain de la guerre, ce n’est précisément pas un simple préalable. Il y a une jonction étroite tête-caméra-canon, et donc un lien presque instantané entre voir et tuer. Mais je te rejoins quand tu dis que filmer quelqu’un, le surveiller, fait d’emblée de lui une menace potentielle. Il y a aussi cette notion de légitime défense différée, très utilisée dans ces guerres-là : elle permet de considérer que l’on est autorisé à tirer sur un individu de manière préventive, avant même qu’il ne constitue une menace réelle. C’est ainsi que les soldats israéliens ont justifié le fait de tirer sur de simples manifestants, en prévision d’une hypothétique attaque terroriste.

Vanessa Codaccioni : Cette notion de légitime défense, appliquée à la lutte antiterroriste, est très intéressante. Les USA ont fait un coup spectaculaire en inventant une riposte défensive contre des groupes terroristes — ce qui n’existait pas auparavant en droit international —, qui leur permet d’intervenir militairement un peu partout au nom de la légitime défense. On leur a accordé un droit de tuer en son nom.

Eléonore Weber : C’est toute la doxa forgée sous Obama. C’est lui qui a imposé l’idée selon laquelle, puisqu’il est trop compliqué de faire des prisonniers, il vaut mieux les tuer. Avant ça, rappelons qu’il y a eu Abou Ghraib3 ! Le scandale qu’ont suscité les exactions commises dans cette prison a participé au développement de cette nouvelle idéologie des armées occidentales, cette licence to kill.

Vanessa Codaccioni : Ça montre deux choses fondamentales. Premièrement, qu’on a de nouvelles interactions entre des États qui veulent tuer et des terroristes dits islamistes qui souvent ne veulent pas être pris, et qui se font donc mourir. Deuxièmement, que les modalités et les formes de la répression changent : dans ce cadre-là, il n’y a plus de procès. En tout cas, les procès d’ennemis intérieurs deviennent de moins en moins importants. Surtout, ce qui prime désormais, c’est l’invisibilisation : Abou Ghraib, Guantánamo et les exécutions extralégales participent de la disparition des corps ennemis, mais aussi de la moindre visibilité de la violence étatique.

Faire la guerre « d’en haut » avec des drones, avions ou hélicoptères, est-ce considéré par l’armée comme plus « éthique » qu’un conflit sur le terrain ? 

Eléonore Weber : Les gens se demandent ce qu’est une « guerre juste », si tant est qu’une guerre puisse l’être. Dans le cas de soldats qui visent d’en haut et bombardent des cibles désarmées ou peu armées, nous ne sommes en effet plus dans un contexte de guerre classique où deux armées se font face, ce qui entraîne un grand flou juridique. La Convention de Genève n’est la plupart du temps pas applicable, car les talibans, les « insurgés » ou les groupes islamistes ne l’ont évidemment pas signée, n’étant pas habilités à le faire. Du coup, les démocraties sont en quelque sorte condamnées à définir elles-mêmes ce qu’il est ou non possible de faire. La puissance se donne ses propres limites : autant dire que dans ces conditions, elle ne s’en donne pas… Aucune convention ne l’y oblige. Dans mon film, on voit régulièrement des hélicoptères s’acharner sur des blessés, leur tirer plusieurs fois dessus. Cette grande asymétrie n’est pas sans poser question aux états-majors occidentaux, qui semblent n’avoir aujourd’hui qu’un seul principe éthique : celui de l’immunité de leurs propres soldats. Ceux-ci sont désormais hors d’atteinte et l’objectif des armées est le suivant : « Zéro mort chez nous. »

Vanessa Codaccioni : Sans qu’ils considèrent ceux qui sont en face comme des humains.

Eléonore Weber : Oui, cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. C’est d’ailleurs sensible dans les images que je montre : on ne voit pas les visages, on n’entend pas les voix. L’autre n’est plus qu’une figurine luminescente condamnée au silence.

« Cette manière de mener la guerre s’accompagne d’une négation radicale de l’autre, qui est destitué de son humanité. [Eléonore Weber] »

Vanessa Codaccioni : « Les terroristes ne sont pas des hommes : ce sont des bêtes », voilà un argumentaire qui vise à dénier à ceux soupçonnés de l’être la possibilité de bénéficier de droits et de garanties fondamentales. « Ce sont des bêtes » à qui on peut tout faire : à qui on peut donner la mort, bien sûr, mais qu’on peut aussi torturer. Et toutes les justifications de la torture aux USA vont précisément passer par ce genre de rhétorique.

Eléonore Weber : Grâce à ces justifications, l’État et le gouvernement peuvent eux-mêmes commettre des actes atroces.

Vanessa Codaccioni : Ils commettent des exactions. C’est ce que Jacques Derrida appelle l’auto-immunisation : on va s’injecter un peu de la violence des ennemis à combattre pour y faire face. On peut évoquer une sorte de symétrisation des violences : à la violence, à la barbarie et aux exactions, parfois seulement supposées, vont répondre la barbarie et la violence étatiques, légitimées et légalisées.

Eléonore Weber : Et ça, c’est bien une trace, le reste d’une logique qui voudrait que l’on applique une règle commune à ce qu’on peut faire ou non à l’autre. Et comme dans ce cas il n’y a pas de règles communes et qu’il est complètement impossible de placer de limites, alors l’horreur peut commencer.

Le spectateur, dans Il n’y aura plus de nuit, est confronté à des images de guerre vues d’en haut ; il regarde ces images du point de vue du soldat qui les filme. Que voit le spectateur que le soldat ne voit pas, lorsqu’il regarde le film ? 

Eléonore Weber : Le spectateur voit comment le soldat regarde. Et peut-être qu’à force d’être confronté à ces images, il finit aussi par se voir les regardant. La voix off ouvre un espace de pensée : je l’ai écrite afin qu’elle permette au spectateur de ne pas être assigné à la place du tueur. Le soldat, lui, est englouti dans sa propre pulsion insatiable. Il ne se voit pas agir car aucun regard ne se porte sur lui. Je crois que le spectateur voit, au bout du compte, ce que c’est que voir, il est aux prises avec sa propre pulsion scopique.

Vanessa Codaccioni : Il y a quand même un piège dans ces images. D’une part la déréalisation, et d’autre part le fait de s’assimiler à celui qui regarde, qui va tirer ou qui cible. C’est un danger dans une société où on nous incite justement à développer un regard et un œil sécuritaires.

Eléonore Weber : C’est pour ça que j’ai fait ce film, pour ajouter un autre terme à ce regard appareillé, à cet œil-machine. Cet autre terme, c’est le regard du spectateur — à commencer par le mien. C’est aussi pour moi une manière de contredire l’ambition de ces technologies, qui est d’annihiler toute forme de subjectivité. Dans le film, à certains moments, le spectateur peut en effet aller jusqu’à ressentir lui-même l’envie de tirer. Mais je pense qu’il a ensuite l’espace pour se ressaisir et avoir un rapport réflexif vis-à-vis de sa propre position.

Vanessa Codaccioni : Heureusement qu’il y a tout un travail de détournement de ces images — et la voix off qui les accompagne participe de ce détournement. Mais si tu prends les images brutes de ces missions, il y a un risque d’assimilation : d’où la nécessité de recontextualiser. Après, si on coupe le son, chacune et chacun peut les regarder de façon totalement différente : de manière totalement outragée, alarmiste, inquiète, ou d’autres manières. Quelqu’un qui est fasciné par la mort, ou par le pouvoir d’État précisément, peut y trouver un objet de satisfaction — et même de plaisir.

Eléonore Weber : Le risque en effet serait de penser en voyant ce film que l’État est décidément tout-puissant, et d’en être rassuré. Aucun spectateur ne m’a fait ce retour, à vrai dire, et je ne crois pas que le film suscite ce type de réaction…

En octobre 2019, Emmanuel Macron a appelé la nation à se mobiliser pour faire face à « l’hydre islamiste » : « une société de vigilance, voilà ce qu’il nous revient de bâtir4 ». 

Vanessa Codaccioni : La vigilance, c’est un joli terme. Le philosophe Frédéric Gros parle d’ailleurs de la vigilance comme étant une manifestation de la bienveillance. Être vigilant, c’est demander à l’autre comment il va, ce qu’il a fait de sa journée, s’assurer que tout va bien. Le problème est que sa définition a changé et que nous vivons dans une société d’injonctions à la vigilance sécuritaire : se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. Et quand Emmanuel Macron prononce cette phrase, il participe activement à cet appel à la vigilance sécuritaire, à l’autosurveillance, et même à la délation. D’ailleurs, à cette phrase, il ajoute qu’il faut « repérer les petits riens » qui signalent un éloignement d’avec la République.

« Se surveiller les uns les autres, regarder l’autre, l’espionner, voire le harceler, voilà ce qu’on nous demande de faire. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : C’est terrible, cet emploi de l’expression « les petits riens »…

Vanessa Codaccioni : Oui. Cette prise de parole, qui s’adressait en particulier aux fonctionnaires, a fait scandale. Trois jours après — lien ou pas —, les membres de la communauté universitaire de Cergy-Pontoise ont reçu une grille de signes de radicalisation qu’ils devaient dénoncer : le port de la barbe sans moustache, d’une djellaba, l’absentéisme aux heures de prière, etc. Les critiques ont été telles qu’ils ont retiré cette grille de comportements devant être considérés comme suspects.

Dans Il n’y aura plus de nuitles corps qui apparaissent à l’écran ne peuvent être vus en détail selon une telle grille. Ils représentent simplement des corps et, parce que les soldats les visent, ils relèvent de la menace…

Eléonore Weber : Plus que « simplement des corps », ils représentent un agrégat de pixels. Les spectatrices et les spectateurs ont très peu renvoyé ces silhouettes fantomatiques à leurs identités particulières. Ce qui n’est pas si surprenant, car ces images ont pour effet de déréaliser les corps et les paysages. Si j’ai moi-même choisi de mettre hors champ la dimension géopolitique, de ne donner aucun repère concernant le pays ou l’année de l’intervention, c’est pour renforcer encore cet effet de lissage. Je voulais montrer à quel point ce système de surveillance homogénéise le paysage, le terrain de guerre et…

Vanessa Codaccioni : Et les corps !

Eléonore Weber : Et les corps, oui. Il y a presque une contradiction entre la stratégie de la vigilance dont tu parles, consistant à déceler « les petits riens » qui identifieraient une personne, et un système de surveillance qui désincarne et déshumanise suffisamment les corps pour qu’aucune particularité, ou presque, ne soit repérable. Sur le théâtre des opérations, le soldat doit malgré tout opérer des distinctions, entre le port d’un objet inoffensif et celui d’une kalachnikov, par exemple. Mais on s’aperçoit que plus ils cherchent à savoir et à voir, plus ils commettent des erreurs.

Vanessa Codaccioni : Je ne pense pas qu’il y ait de contradiction fondamentale : ces deux volets se complètent. D’un côté, il y a la surveillance de l’État et de ses institutions répressives, qui est massive, englobante et fonctionne sur la présomption de culpabilité. De l’autre, il y a l’œil du citoyen qui, lui, doit fouiller, chercher et trier entre le bon et le mauvais musulman : dans la rue, le centre commercial, le métro, etc. Ce qui est vrai en revanche, c’est qu’il ne s’agit pas des mêmes formes de répression. L’une renvoie au fait de surveiller, de débusquer, tandis que l’autre, à laquelle fait écho ton film, renvoie aux exécutions extralégales et au « faire mourir ». Et « faire mourir » — selon une expression de Michel Foucault —, ce n’est évidemment pas la même chose que surveiller, débusquer.

Qu’est-ce qui est le plus dangereux : la technologie qui tue ou celui qui la manie ? 

Vanessa Codaccioni : J’aurais tendance à dire que les deux sont très dangereux, que ça dépend des formes et des niveaux de répression exercés. S’il s’agit de répression étatique, les hommes sont interchangeables : l’homme derrière la machine peut être éjecté et remplacé à tout-va. Ainsi, peu importe celui qui est derrière la caméra de reconnaissance faciale ou derrière le drone : les hommes changeront, la machine restera. C’est comme une institution, au sens qu’en donne le sociologue Émile Durkheim : quelque chose qui survit à l’homme. La machine aussi survit à l’homme, bien qu’elle soit créée et utilisée par lui. La véritable question est celle de l’autonomie et des ressources dont dispose, non pas celui qui construit et pense la machine, mais celui qui la fait fonctionner contre des cibles qui lui ont été désignées. Et il y a aussi des formes de répression privées, exercées par des citoyens contre d’autres citoyens. Ceux qui patrouillent armés dans les rues aux États-Unis par exemple, mais aussi ceux qui participent à la surveillance latérale. Là il n’y a pas de machine, ni de technologie : l’œil seul suffit, et ce sont nos propres organes qui servent de surveillance. C’est tout aussi dangereux ; mais il me semble qu’ici la variable humaine réintroduit de l’aléatoire.

« En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? [Éléonore Weber] »

Eléonore Weber : J’ai une position assez différente. On parle beaucoup d’une autonomisation de la machine, et particulièrement de la machine de guerre, grâce à la technologie. On fantasme sur le fait que des drones totalement autonomes — il est vrai qu’ils existent — finiront par remplacer les hélicoptères et les drones pilotés par des humains. Or, en réalité, chaque fois qu’on a fantasmé sur tout ça — les soldats-robots et autres —, ça ne s’est jamais vraiment réalisé. Je pense au contraire qu’à mesure que ces technologies se développent, elles ont de plus en plus besoin qu’il y ait quelqu’un derrière la caméra. Les caméras dont sont dotés les hélicoptères ont aujourd’hui une « puissance de voir » bien plus intense que celles qu’on utilise au cinéma. Et cette puissance de voir sollicite un regard qui cadre et qui scrute, pour deux raisons : d’abord parce qu’elle procure une forme de plaisir ou de jouissance, liée précisément au désir de voir, à la pulsion scopique. Et il faut bien que quelqu’un puisse jouir de cette position de toute-puissance. Ensuite, parce qu’il n’y a aucune raison de se passer d’un sujet humain pour exercer ce type de cruauté. Le désir de voir — pulsion très humaine — qui est en jeu dans cette manière de faire la guerre est au contraire mis au service du projet de mort. D’ailleurs, si ces images étaient « purement opératoires », comme disait Farocki, si elles n’avaient aucun lien avec le cinéma, il n’aurait pas été possible d’en faire un film. Les spectateurs n’auraient pas pu les regarder durant une heure quinze. Cette passion de voir est, je crois, commune au pilote, au cinéaste et au spectateur. Et puis les pilotes doutent, ils ne sont jamais sûrs de ce qu’ils voient. Ce qui ne les empêche d’ailleurs pas de tirer. Celui avec qui j’ai discuté parle même d’une « culture du doute ». Le doute est pour moi le signe qu’il y a bien quelqu’un derrière la caméra. Et l’ambition de supprimer tout aléa humain, ambition qui se trouve au cœur de toute cette entreprise technologique, est selon moi vouée à l’échec, pour le moment en tout cas.

Vanessa Codaccioni : Bien sûr, on sait que les soldats doutent, hésitent, peuvent résister… mais je crois beaucoup, malgré tout, à l’interchangeabilité des hommes qui sont derrière la machine.

Eléonore Weber : Il ne faut pas oublier que les pilotes subissent aussi des traumatismes liés à ce qu’ils ont vu. Il leur arrive de suivre quelqu’un pendant des jours et des jours pour ensuite devoir le tuer…

Vanessa Codaccioni : Ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas d’expérience vécue de la surveillance, qu’elle soit exercée ou qu’elle soit subie. Ce que je veux dire, c’est que même si le pilote d’un drone est en situation de détresse psychologique, il va être remplacé et son désespoir n’aura rien changé, ou très peu.

Eléonore Weber : Le soldat ne fait qu’exécuter les ordres et à ce titre, il est éminemment remplaçable. Les citoyens ont au moins la possibilité de résister à l’arbitraire. Cela dit, les penses-tu tout à fait libres d’inventer et d’exercer cette résistance ? En tant que citoyens, en tant que consommateurs surtout, ne sommes-nous pas également toutes et tous interchangeables ? Nos choix sont loin d’être majoritairement le fruit du libre arbitre.

Vanessa Codaccioni : Oui et non. Il y a un système de violence d’État, un système de répression qui utilise à la fois des dispositifs, ou des technologies, de pouvoir et des sujets citoyens. Il y a plusieurs rapports en jeu à l’intérieur de ce système de répression : le penser, le faire appliquer, le subir, l’observer ou le critiquer. Dans ce dernier cas, on peut écrire, manifester, saisir le droit, mais ce n’est souvent pas suffisant. Ce qu’il faut, c’est supprimer les dispositifs et ce qui les rend possibles, c’est-à-dire soit modifier la pensée répressive d’État, soit légiférer — comme l’a fait Badinter avec la peine de mort. Mais ça, c’est être au pouvoir. Servir le pouvoir limite considérablement les possibilités de résistance : c’est le cas du pilote de drone.

Eléonore Weber : Bien sûr, mais tu es d’accord pour dire qu’ici, c’est davantage idéologique que « machinique ». Par ailleurs, dans des endroits comme Abou Ghraib, certains actes n’ont-ils pas été accomplis par des humains qui y trouvaient leur compte ? C’est-à-dire qui ne se contentaient pas d’exécuter des ordres ?

Vanessa Codaccioni : Il y a une réappropriation personnelle de la pensée répressive et punitive d’État. Selon la trajectoire des individus, leur passé et histoire, leurs ressources, leur adéquation ou non à l’idéologie, il va y avoir des actes plus ou moins violents. Certaines personnes vont se contenter d’appliquer les ordres, d’autres le feront avec bien plus de zèle, voire de monstruosité, puisqu’on parle d’Abou Ghraib. Mais le gardien de prison sera toujours le gardien de prison. Le pilote du drone restera toujours le pilote du drone. Bien sûr qu’il y a du libre arbitre, bien sûr qu’il peut y avoir des décisions personnelles, des résistances, des refus — rares et individuels : mais si on lui demande de tirer, le pilote, dans la plupart des cas, tirera. C’est qu’il y a des ordres, des individus qui les exécutent, et un système qui permet les ordres.

Dans le film, le viseur du soldat évoque le panoptique de Bentham. Il semble omniscient : il voit tout mais personne ne le voit. À la fin, l’objet filmique se retourne et on voit la famille d’un soldat faire des signes à la caméra dans le ciel. Le viseur est vu par ce qui pourrait être sa cible. Le panoptique se brise-t-il à ce moment-là ? 

Eléonore Weber : C’est le seul contrechamp du film. Si je l’ai mis, c’est précisément pour qu’on se saisisse du fait qu’il n’y en a pas le reste du temps. Ce sont des enfants américains qui filment, du sol, leur père alors que son hélicoptère part s’entraîner. On n’est donc pas au Moyen-Orient, et il ne s’agit pas d’une opération de guerre. Le sens politique et esthétique de cet ultime retournement est en réalité de montrer que les images du pouvoir sont, par définition, sans contrechamp, comme le remarquait déjà Serge Daney5 lors de la première guerre en Irak.

Vanessa Codaccioni : Est-ce que le panoptique se brise à ce moment-là ? Je n’en suis pas certaine.

« Nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. [Vanessa Codaccioni] »

Eléonore Weber : Non, parce que c’est une image qui fait exception. On est aux États-Unis, ces enfants filment leur père et ça n’a rien à voir avec la guerre. Le panoptique se brise à un autre moment selon moi, quand des civils jouent avec des lasers. C’est une pratique assez répandue dans d’autres pays que le nôtre : projeter des faisceaux laser sur les hélicoptères ou les immeubles pour faire croire à une attaque, et duper les forces de l’ordre. J’ai trouvé un certain nombre de séquences de ce type. On voit ensuite la police arrêter toute une famille alors qu’il s’agissait d’un simple jeu, d’une anodine provocation. Pour moi, c’est une petite insolence, une manière de dire « On voit que tu nous vois ». Ça perturbe un instant le dispositif de surveillance, qui repose sur le fait qu’aucun regard ne se porte jamais sur l’œil du pouvoir.

Vanessa Codaccioni : Je ne crois pas que le panoptique se brise, car le panoptique permet de voir sans être vu, ce qui est le cas de l’État. Mais du côté de la population surveillée — selon les théories de Bentham, reprises par Foucault —, ses membres vont modifier leur comportement, se sachant peut-être surveillés. C’est la fonction disciplinaire du panoptique : une personne va éviter de faire certaines choses par peur d’être arrêtée mais elle va aussi, peut-être, montrer qu’elle se sait surveillée. Dans tous les cas, elle accomplit des gestes en raison de la surveillance subie. La surveillance est gagnante ici, donc le panoptique n’est pas renversé. Par ailleurs, je pense qu’on évolue dans une société où le panoptique est complètement élargi : nous sommes aujourd’hui à la fois les prisonniers de la prison de Bentham et à la fois ses surveillants. C’est plutôt dans un panoptique total que nous vivons, et sa fonction disciplinaire n’a jamais été aussi forte : non seulement on se sait surveillés, mais en plus, désormais, on nous demande de surveiller les autres ou de nous surveiller entre nous. Il y a un renforcement total de la société et de la gouvernance panoptiques.

Eléonore Weber : Mais ne peut-on pas dire que lorsque des citoyennes et citoyens filment les forces de l’ordre en manifestation, il y a une inversion du panoptique ?

Vanessa Codaccioni : Non, ce n’est pas une inversion du panoptique. C’est une réaction, une résistance, mais ça ne le retourne pas. On y reste, car il s’agit d’une autre forme de surveillance de l’autre, qui s’exerce parallèlement. Un lanceur d’alerte comme Snowden surveille l’État : même s’il s’agit d’une surveillance du bas vers le haut — regarder ce que font les agents de l’État — et non d’une surveillance descendante, il s’agit toujours d’une forme de surveillance, en réaction à cette dernière. Nous sommes dans le panoptique mais nous pouvons utiliser d’autres types de surveillance pour y résister.

Vanessa Codaccioni, vous écrivez : « Les appels aux injonctions sécuritaires s’ancrent dans une politique de détournement du regard. » Et vous ajoutez que, « Néanmoins, s’il faut bien voir, il ne s’agit pas de regarder ailleurs ». Comment être confronté aux images dans une politique de détournement du regard ?

Vanessa Codaccioni : C’est là que c’est très compliqué. L’État, les gouvernements, les systèmes de répression orientent notre regard et en ont une captation sécuritaire. Nous sommes censés regarder l’autre à travers une lorgnette extrêmement étroite : certaines institutions, certaines activités sociales, certains corps. Comment détourner ce regard-là ? comment regarder ce que l’on n’est pas censé voir ? Ici, c’est toute la question de l’image qui se pose : pouvoir filmer la police, avoir accès aux informations des services de renseignement, avoir accès aux archives. Comment faire pour maintenir notre droit minimum de regard sur l’État dans ces conditions ? comment regarder ailleurs ? d’autres cibles que celles que nous montre l’État ? Je pense qu’effectivement, il faut regarder là où on ne veut pas que l’on regarde. Mais c’est difficile, si on t’empêche de le faire. Il existe quand même des formes d’espoir. Je pense aux colleuses féministes qui incarnent un exemple intéressant de captation militante du regard, et nous incitent à regarder des faits que l’État ne veut pas que l’on voie et sur lesquels les pouvoirs publics n’investissent pas, à savoir les violences conjugales et les féminicides. Leur démarche du collage dans la rue est intéressante parce que ça attire notre regard, ça capte notre attention et ça nous détourne précisément de ce que l’État veut que nous voyions. Ce n’est pas pour rien que j’ai terminé mon livre là-dessus, sur cette réappropriation citoyenne du regard. Les colleuses féministes sont nécessaires dans une société où notre attention est complètement captée par le démarchage, les publicités, nos smartphones, les campagnes politiques, etc.

« L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques. [Eléonore Weber] »

Eléonore Weber : L’affichage est une pratique révolutionnaire. C’est intéressant parce que ça utilise des moyens presque archaïques, des choses très simples, qui se font dans la rue. Peut-être qu’il faut justement différencier le fait de regarder et celui de surveiller : surveiller son enfant, par exemple, ce n’est pas le regarder. Ces collages ne détournent pas le regard, mais nous font regarder les choses autrement.

Le titre Il n’y aura plus de nuit évoque quelque chose de très pessimiste…

Vanessa Codaccioni : Je reste persuadée qu’il y a des tentatives multiples de tuer la nuit. Comme tu le montres bien dans ton film, même la nuit, la surveillance ne s’arrête pas. On cherche des corps dans la nuit, qui y deviennent visibles.

Eléonore Weber : Il n’y aura plus de nuit, c’est un clin d’œil, une référence au premier verset de l’Apocalypse, à la folle ambition de ces technologies qui se mesurent à la puissance divine. Mais, en réalité, le film n’est pas si pessimiste. Il montre que ce fantasme de tout voir et de faire jour sur toutes choses est voué à l’échec. On ne pourra pas supprimer la nuit. Le faux jour que les caméras les plus récentes parviennent à recréer ne supprime pas la nuit : les étoiles continuent de briller dans l’image.


Photographies de bannière et de vignette : NnoMan | Ballast


  1. Dans Il n’y aura plus de nuit, une voix off raconte l’histoire d’un soldat, témoignage anonyme recueilli par la réalisatrice.
  2. En octobre 2010, Wikileaks publie près de 400 000 documents secrets de l’armée américaine sur la guerre en Irak et révèle que la coalition internationale a torturé des prisonniers irakiens et fermé les yeux sur des exactions commises par les forces irakiennes.
  3. Le scandale d’Abou Ghraib est une affaire durant laquelle des militaires de l’armée américaine et des agents de la CIA ont été accusés de violation des droits de l’Homme à l’encontre de prisonniers, entre 2003 et 2004, lors de la guerre en Irak, dans la prison d’Abou Ghraib. Ces prisonniers ont été physiquement et sexuellement abusés, torturés, violés et exécutés.
  4. Attentat à la préfecture de police : Macron appelle la nation à se mobiliser face à « l’hydre islamiste »Le Monde, 8 octobre 2019.
  5. « La Guerre invisible »Serge Daney, Libération, 25 janvier 2013.

REBONDS

☰ Lire notre entretien avec David Dufresne : « En critiquant la police, on s’en prend plein la gueule », 18 septembre 2020
☰ Lire notre entretien avec Renaud Garcia : « La technologie est devenue l’objet d’un culte », juin 2019
☰ Lire notre entretien avec Laure Ortiz : « La sécurité a absorbé toutes les libertés », 8 janvier 2018
☰ Lire notre article « Israël : la mort vue du ciel », Shimrit Lee, 23 juillet 2015




Manifestations massives dans toute la France contre le pass sanitaire pour le troisième samedi consécutif

[Source : Epoch Times (theepochtimes.com)]

[Photo : Manifestation à Paris contre le pass sanitaire le 31 juillet 2021. (Photo ALAIN JOCARD/AFP via Getty Images)]

PAR AFP

La mobilisation contre l’extension du pass sanitaire et la vaccination obligatoire est très forte ce samedi dans toute la France. Les foules se sont rassemblées sur environ 200 points de manifestations dans plus de 150 villes dont Paris, Marseille, Toulon, Draguignan, Poitiers, Toulouse, Aix-en-Provence, Montpellier, Bordeaux, Nice, Metz, Nantes, Pau…

Selon les résultats d’une étude Harris Interactive x Euros Agency pour LCI publiée vendredi, près de la moitié des Français déclarent soutenir les manifestations contre l’instauration d’un pass sanitaire.

A Paris, deux manifestations sont particulièrement suivies. L’une d’elle est partie du métro Villiers (XVIIe) vers 14H00 en direction de la place de la Bastille (XIe). Une autre a démarré à 14H30 à proximité de la gare Montparnasse (VIe) pour un défilé en direction du ministère de la Santé (VIIe), à l’appel du président des Patriotes Florian Philippot.

https://twitter.com/CharlesBaudry/status/1421445417825357830?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1421445417825357830%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Ffr.theepochtimes.com%2Fmanifestations-massives-dans-toute-la-france-contre-le-pass-sanitaire-pour-le-troisieme-samedi-consecutif-1804890.html

Le président du parti pro-Frexit UPR (Union populaire républicaine) François Asselineau a de son côté annoncé vendredi être positif au Covid-19, et donc empêché de manifester contre le pass sanitaire, qu’il juge « absurde, injuste et totalement liberticide ».

Un rassemblement, initialement prévu devant BFM-TV, a été interdit. Une vingtaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la chaîne, dans une rue bouclée par des dizaines de camions de police, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Plus de 3.000 policiers et gendarmes seront mobilisés pour encadrer les manifestants et sécuriser les lieux sensibles, une semaine après que des manifestants ont été repoussés des Champs-Élysées.

Un  important dispositif policier était en place ce samedi matin sur la célèbre avenue parisienne, et ses principales entrées bouclées par des gardes mobiles, selon un photographe de l’AFP.

Regroupée autour des mots-dièses #manif31juillet et #PassDeLaHonte sur les réseaux sociaux, l’opposition aux mesures gouvernementales pour lutter contre le Covid-19 fédère des manifestants anti-pass sanitaire, anti-vaccins ou anti-confinement, aux revendications protéiformes.

Dans les cortèges, où figurent également de nombreux « gilets jaunes », les manifestants fustigent un pass sanitaire « liberticide » et affirment marcher « contre la dictature ».

Le pass sanitaire a été adopté définitivement dimanche soir, après six jours de débats houleux à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Déjà appliqué dans les lieux culturels et de loisirs depuis le 21 juillet, son extension pour les cafés, foires, salons, restaurants et trains est prévue le 9 août. Entre temps, le Conseil constitutionnel rendra sa décision sur la loi le 5 août.

La Guadeloupe vient de perdre un de ses artistes les plus renommés, Jacob Desvarieux, membre fondateur et pilier du groupe Kassav’, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid. Il avait reçu trois doses de vaccin mais il était aussi immunodéprimé depuis une greffe rénale.




« Vaccins » anti-covid : témoignage d’une pédiatre texane devant le Sénat US

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Témoignage d’Angelina Farina, pédiatre au Texas, devant la Commission sénatoriale américaine. La vaccination de nos enfants n’est pas acceptable.

– Merci de m’avoir invitée. Je suis la Dr Angelina Farella, pédiatre indépendante au Texas.
– Je suis là aujourd’hui pour protéger nos enfants du Texas.
– La situation est très inquiétante. Je veux évoquer 2 ou 3 choses : un peu d’Histoire.
– Jamais dans l’Histoire, nous n’avons donné des médicaments non autorisés par la FDA à des personnes qui ne faisaient pas initialement partie des tests.
– Il n’y a pas eu de patients de moins de 18 ans soumis aux expérimentations.
– Dans les tests, il n’y avait pas de patients qui avaient été exposés, ou qui avaient eu le Covid. Ce sont 2 points très importants.
– L’autre point concerne la sécurité. J’ai administré des milliers de vaccins dans mon cabinet, je ne suis pas une anti-vax.
– En fait, je suis une vraie pro-vax, sauf quand il s’agit du vaccin contre le Covid,si on peut l’appeler ainsi.
– Un des gros problèmes est le profil de sécurité. La sécurité et les recommandations concernant les effets secondaires à travers l’ACIP, le Comité consultatif des pratiques d’immunisation. Ils ont émis des recommandations à propos du vaccin contre le Covid.
– Une des choses extrêmement préoccupantes — et c’est dans leur guide ACIP —, pour le vaccin Pfizer en particulier, est que la recommandation sur la sécurité… et sur les effets indésirables sortira après l’autorisation.
– Après l’autorisation. Cela pose un problème très inquiétant.
– Nous devons connaître les données de sécurité avant de soumettre les gens à cette chose.
– Nous permettons aux enfants de 16 ou 17 ans de se soumettre à ce vaccin, mais ils n’ont jamais fait partie d’aucune étude.
– On extrapole les données des adultes aux enfants et aux adolescents. Ce n’est pas acceptable.
– Les enfants ne sont pas de petits adultes. Ce n’est absolument pas acceptable.
– Les enfants ont un taux de survie au Covid de 99,997 %. Je répète : 99,997 %, pour que vous compreniez bien. Les enfants sont en effet des accumulateurs (buffers).
– Cela signifie que ces enfants, qui sait pourquoi, ne diffusent pas la maladie. Les enfants ne sont pas des super-diffuseurs.
– Donc, ce que nous leur faisons est vraiment criminel. Nous les isolons, nous leur mettons un masque, ce qui est cliniquement dangereux. Nous leur disons aussi que (du point de vue psychologique) s’ils apportent le Covid à la maison, ils tueront les grands-parents, tonton, tata, maman et papa.
– C’est une situation horrible que nous leur faisons vivre.
– Laissez-moi revenir sur le vaccin contre le rotavirus en 1999… Il a été retiré du marché à l’époque, à cause de 15 cas d’intussusception. Ce n’est pas forcément mortel, mais le vaccin a été retiré immédiatement du marché, et nous avons arrêté de l’administrer à nos enfants.
– Et ce qui se produit avec ce vaccin en particulier m’interpelle. Il y a plus de 4000 morts, et ce machin n’a pas encore été retiré. C’est absolument inacceptable.
– En plus, il y a quelques années, vous ne vous le rappelez peut-être pas, mais en 2017, nous avons eu une pandémie de grippe qui a tué 95 000 Américains, malgré le fait qu’on avait alors un traitement précoce et efficace contre la grippe.
– OK ? Nous avons maintenant un traitement précoce et efficace contre le Covid-19. Nous l’avons depuis longtemps.
– En tant que pédiatre, je me suis mise en avant pour aider les adultes texans, car les médecins de ma communauté ont fermé leur porte, ont verrouillé leur porte et se sont refusé de traiter leurs patients.
– J’ai vu des centaines d’adultes atteints de Covid. J’ai aussi traité des problèmes post-vaccinaux chez des adultes.
– Et me revoici sur le terrain de bataille. Pourtant, je suis très vulnérable, étant pédiatre, je suis hors de mon domaine, qui reste celui des maladies infectieuses. Je vois beaucoup de petits enfants. Ce sont des pipettes de labos (?). Pourquoi sont-ils des accumulateurs ? C’est exactement pour ça. Ils ont une chose appelée le thymus. Cela les aide pour l’immunité des cellules T. C’est un autre point à prendre en compte.
– Merci de m’avoir permis de m’exprimer.

Elle répond ensuite aux questions de 2 Sénateurs. C’est le dialogue avec le Sénateur Hall (Q) qui est le plus intéressant :

Q. Avec votre expérience, qui apparemment remonte à 1999 ou peut-être avant, y en a-t-il eu un autre (« vaccin ») qui a eu la même forte incidence au niveau des hospitalisations et des morts que celui-ci ?
R. Non. Pas à ce point, absolument pas. Même de loin.
Q. Tout autre vaccin aurait été retiré du marché ?
R. Absolument, et dès les premiers jours, comme nous l’avons vu par le passé.
Q. Et avez-vous vu un autre vaccin être mis sur le marché en ayant évité les tests sur les animaux ?
R. Jamais auparavant. Spécialement s’il s’agit d’enfants.
Q. Et d’après ce que j’ai lu, ils ont commencé les tests sur les animaux, et comme les animaux mouraient, ils ont arrêté les tests.
R. C’est exact.
Q. Messieurs, je pense que c’est important de comprendre que nous disons ici que le peuple américain sert actuellement de cobaye. Voilà le programme de test en cours. Ils n’ont pas fait de tests sur les êtres humains et ils ont stoppé les tests sur les animaux, car les animaux mouraient. Et ensuite, ils l’ont mis à disposition du public. Et nous avons maintenant devant nous des entreprises qui veulent imposer que ce vaccin expérimental soit donné aux gens, comme condition pour leur travail. Et nous avons encore ce nombre de morts qui augmente et qui est complètement ignoré. Voilà ! Vous êtes d’accord avec ce que j’ai dit ?
R. Absolument.
Q. Merci pour votre travail. Merci à vous.

(Transcription : Pierre Delmotte)

La source originale de cet article est IlFattoQuotidiano Fr
Copyright © Dre Angelina Farina, IlFattoQuotidiano Fr, 2021




Prosternez-vous devant le Dieu Vaccin

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Dr Pascal Sacré

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Nous sommes dans une phase de totalitarisme intégriste à caractère religieux.

Dans cette phase qui atteint son paroxysme hystérique, le Vaccin est le nouveau Dieu. Le parallèle avec les religions dans ce qu’elles ont toutes eu d’extrême est saisissant. 

Je ne parle pas des religions au sens original, dont l’une des étymologies admises est religare, relier.(([1] Il y a deux sources étymologiques du mot « religion » : relegere (cueillir, rassembler) et religare (lier, relier) – [Tete de Haspinger (Egger Lienz-Albin, 1908)] (idixa.net) )) Toutes les religions ont été utilisées par une partie de leur hiérarchie pour contrôler, dominer, séparer, exterminer, détournant le message religieux de son ambition originelle qui est rassembler, expliquer, rassurer, inclure, protéger et donner un sens à nos existences.

Derrière ce spectre de l’intégrisme vaccinal se cachent des personnes cyniques, qui vont jusqu’à faire croire qu’elles sont concernées par votre bien-être. Il y en a toujours eu, y compris derrière les religions qui prônaient le pardon, l’inclusion, la justice, la bonté en paroles mais qui dans les faits, tuaient, séparaient, jugeaient, emprisonnaient et exterminaient au moyen d’exécutants zélés sadiques, psychopathes, fanatiques.

Pour autant que les gens veuillent des gouvernants dignes de confiance, des politiques honnêtes, ils devraient toujours juger les gouvernants, les élites financières, les politiques à leurs actes plutôt qu’à leurs paroles.

Un exemple démonstratif en Belgique fut la nomination en 2020, au poste de ministre de la santé d’une personne qui avait pourtant déjà fraudé, menti, trahi(([2] Les pots-de-vin d’Agusta font chuter le ministre des Affaires étrangères belge – Libération (liberation.fr) )) des années plus tôt. 

À la décharge du peuple, il faut dire qu’en Belgique, élections ou pas, les citoyens n’ont aucun contrôle sur les nominations ministérielles.

De même, en France, le ministre de la Justice est … mis en examen tout en conservant son poste.(([3] Affaire Dupond-Moretti : « Un ministre de la Justice mis en examen, c’est inimaginable » (france24.com) )) Il garde évidemment le soutien de son gouvernement.

Poursuivons le parallèle entre le Vaccin et Dieu.

Dans cette histoire de Vaccin Tout-Puissant, il y a également un grand nombre de croyants sincères. Certains sont même les fanatiques, les extrémistes de service. 

Ils croient.

Quoi que vous disiez, études sérieuses ou raisonnements solides à l’appui, ça n’y changera rien.

Un ministre français l’a dit dans ces termes intégristes en 2015, « la vaccination, ça ne se discute pas ».(([4] La vaccination, ça se discute (lemonde.fr)  ))

Je vous l’ai dit, beaucoup des croyants sont sincères. L’Enfer n’est-il pas pavé de bonnes intentions ?

Pour le Dieu Vaccin, ils ne demandent pas de preuves.

« On » a dit que la Vaccination avait sauvé l’humanité, qu’elle avait éradiqué la polio, cela suffit, pas besoin de chercher ni lire les études, les rapports originaux qui le prouvent. En fait, ils n’existent pas ou ont été tronqués (cf. les travaux du docteur Edward H. Kass de Harvard : 
Enquête Choc — Les vaccins ont-ils vraiment sauvé l’humanité ? — Santé et Bien-être — Sott.net
ou ici).

[Voir aussi : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Peu importe.

Confiance aveugle.

Par contre, pour des médicaments qui ont fait leurs preuves, 70 années d’utilisation pour l’hydroxychloroquine, plus de quarante années pour l’ivermectine considérée comme essentielle par l’organisation mondiale de la santé, plus de quarante années pour l’azithromycine, molécules défendues dans le traitement du COVID-19 par des scientifiques renommés fiables, et utilisées sur le terrain par de nombreux médecins avec succès, méfiance maximale.

Rien n’y fait.

Le croyant ne tolère aucune entorse à sa foi. 

C’est même sur cette caractéristique qu’on l’identifie, qu’on distingue un croyant d’un véritable scientifique qui doute, qui s’appuie sur une vérité provisoire pour avancer, de question en question, jamais satisfait des réponses toutes faites.

Pour le « Vaccin » ARN/ADN, toutes les indulgences sont permises alors que, si la technologie est étudiée depuis plusieurs années, ces produits sont inconnus en thérapeutique humaine à large échelle, les études des firmes pharmaceutiques sont en phase III,(([5] Oui, les vaccins contre la Covid 19 sont expérimentaux ! Dr Gérard Delépine, revue Sapiens numéro 9, mai 2021, pages 14-20
[ou Oui, les vaccins sont expérimentaux contrairement à ce que l’AFP et J. Mansour affirment dans leur « fast check »])) leur autorisation de mise sur le marché est conditionnelle et les effets secondaires, voire décès, s’accumulent.(([6] https://www.google.be/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwjw9-Kz0IjyAhWSy6QKHRM1D_k4ChAWMAZ6BAgKEAM&url=https%3A%2F%2Fwww.ronjohnson.senate.gov%2Fservices%2Ffiles%2FA4A76F9A-9B29-4CF9-B987-F9097A3F4CB7&usg=AOvVaw1A5Y8Ie2O_-S6RTE0ucAPp )) Même cela est contesté par les croyants et tous les vérificateurs de faits sont sur le coup. Vérificateurs de faits payés par qui ?

Pour un médicament aussi essentiel que l’ivermectine, avec aujourd’hui une accumulation de preuves sur son bénéfice dans le traitement du COVID(([7] The FDA-approved drug ivermectin inhibits the replication of SARS-CoV-2 in vitro – ScienceDirect))(([8] Lab experiments show anti-parasitic drug, Ivermectin, eliminates SARS-CoV-2 in cells in 48 hours – Monash Biomedicine Discovery Institute))(([9] Ivermectine contre vaccins : devinez qui GAGNE le match par KO ? – Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com) ))(([10] L’ivermectine atténue les symptômes de la Covid-19 dans un modèle animal (pasteur.fr) )), à tous ses stades, le nombre d’études randomisées double aveugle avec revue par des pairs ne sera jamais assez élevé pour le croyant du Vaccin. 

Jamais aucun article, aucun scientifique même Nobélisé cinq fois ne convaincra le croyant du Vaccin.

Par contre, pour le Dieu Vaccin, toute information contradictoire sera fake new, désinformation, automatiquement démolie par les vérificateurs de faits, avant même d’être analysée, ce qu’elle ne sera de toute façon jamais par les croyants du Vaccin.

La religion Vaccination se nourrit de l’aura scientifique, se drape dans l’objectivité, la rationalité mais dans le cas de la Vaccination, ce ne sont que ça, des haillons, de l’apparence, du brouillard. En réalité, la croyance en la Vaccination n’est que subjectivité, qu’émotivité, que Foi.

La « science » de la Vaccination, telle qu’elle est répandue parmi l’intégrisme actuel, est un parasite de la véritable Science, une tumeur envahissant la véritable médecine.

Ce que je dis des intégristes de la Vaccination, d’autres pourraient le dire des antivax et c’est vrai, pour certains.

Les intégristes de la Vaccination comme religion exclusive ont beau jeu de faire des amalgames, de mettre tous leurs opposants dans le même panier, le panier le plus facile à critiquer.

Pour ma part, je considère la vaccination, même cette manipulation génétique ARN/ADN comme une option, pourquoi pas, à condition de respecter toutes les phases d’autorisation, de tenir compte des signaux d’alerte et de prendre le temps de la sécurité.

La question, pour moi, n’est pas de diaboliser la vaccination comme les intégristes de celle-ci diabolisent toute alternative à leur Dieu, généralement en s’attaquant aux gens qui osent en parler. 

La question, pour moi, est de dire la vérité aux gens :

Il y a des alternatives plus sûres, plus efficaces et moins dangereuses pour trouver la porte de sortie de cette crise.

Ces alternatives ne rapporteront pas d’argent aux grands laboratoires dont les actions boursières ont monté en flèche grâce au Dieu Vaccin, elles ne permettront pas aux gouvernants tentés par une prise de pouvoir absolu sur nos vies de parvenir à leurs fins.

Mais ces alternatives plus sûres, plus efficaces, moins dangereuses marcheront, elles écarteront le danger, y compris des variants, sans exposer une partie de l’humanité à des effets secondaires inadmissibles,(([11] Sur CNews, Brigitte Milhau : « 1 enfant sur 5 000 aura un problème cardiaque » (lemediaen442.fr) )) à des décès inacceptables,(([12] Maxime Beltra, 22 ans, meurt suite à la vaccination anti-covid. Son père raconte (lemediaen442.fr) )) à un verrouillage irréversible de nos libertés.

Ces notions sont essentielles pour comprendre comment combattre ce fanatisme, comment sortir de ce cauchemar sanitaire et de ce totalitarisme qui a pour Dieu le Vaccin et qui se sert de ça pour arriver à ses fins.

Il est tout à fait acceptable pour les croyants du Vaccin de sacrifier des ouailles au bien commun, y compris des jeunes en bonne santé qui donnent leur vie pour que le nouveau Dieu puisse sauver l’humanité.

Ce qui choquerait n’importe qui d’esprit sain, est vu comme sanctification par les croyants du Vaccin.

Nous ne pouvons nous adresser de la même manière aux cyniques, à ceux qui ne font qu’utiliser cette situation pour leurs profits (politiques, financiers, narcissiques), et aux vrais croyants, ceux qui ont la Foi, ceux qui croient sincèrement dans leur nouveau Dieu dénommé Vaccin, même si en l’occurrence, il n’en pas vraiment un.

Les premiers, lâches comme d’habitude, se cachent derrière les seconds.

Les premiers ne méritent ni dialogue, ni pardon. Nous devons nous en occuper comme un corps humain en bonne santé s’occupe d’un parasite, d’une cellule cancéreuse ou d’un pathogène.

Les seconds doivent être abordés en tenant compte de leur Foi sincère. Se vacciner est leur droit, mais peut-être qu’en apprenant qu’il y a des alternatives plus efficaces et moins dangereuses, ils finiraient par entendre raison.

Quant aux éléments les plus fanatiques qui ne seraient pas des cyniques opportunistes déguisés en croyants, pour ceux-là qui veulent que tout le monde soit vacciné, aucune issue n’est possible, aucune issue autre que celle de nous en protéger, pour le bien commun, en les éloignant et en les aidant psychologiquement.

L’humanité est réellement en danger aujourd’hui, pas en raison de ce que la plupart des gens croient.

Pas en raison d’un virus.

En raison de la psychopathie cynique de quelques-uns, de la Foi aveugle de certains, de la croyance basée sur la tromperie d’un grand nombre et de la passivité spectatrice de la majorité.

Quelle que soit la catégorie dans laquelle vous êtes, vous serez responsables du destin de l’humanité.

Vous pouvez encore agir, choisir.

Dr Pascal Sacré

30 juillet 2021

Images : Pixabay.com

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2021


Notes / Sources :




Les USA sont en train de devenir une URSS 2.0, selon une ancienne du renseignement américain

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[© Photo : Pixabay / TheDigitAlartist]

Rebecca Koffler, ancienne officier des services américains, a mis en garde contre une dérive «soviétique» des États-Unis, entre atteintes aux libertés et règne du politiquement correct.

[Ndlr : il en est de même dans la plupart des pays occidentaux, et spécialement dans l’Union Européenne et au Canada.]

Alors qu’en France des débats sémantiques font rage autour du terme «dictature» dans le sillage des restrictions sanitaires, aux États-Unis une ex-officier du renseignement militaire a mis les pieds dans le plat. Dans un article pour Fox News, Rebecca Koffler a ainsi mis en garde contre une dérive totalitaire de son pays, qui lui rappelle de plus l’Union soviétique d’où elle a émigré.

L’ex-agent a notamment fustigé les opérations de surveillance de l’Agence nationale de la sécurité (NSA) et du Bureau fédéral d’enquête (FBI) à l’encontre de certains politiques. Elle a cité en exemple le cas de Carter Page, conseiller de campagne de Donald Trump, dont la mise sur écoute a fait polémique.

«Étant née et ayant grandi dans un État totalitaire, je suis familière des gouvernements qui espionnent les citoyens ordinaires. Les récentes révélations sur la surveillance par la NSA m’ont ramenée il y a 30 ans dans un endroit qui n’existe plus, mon pays natal, l’Union des républiques socialistes soviétiques», écrit ainsi Rebecca Koffler pour Fox News.

L’ancienne gradée a rappelé que l’espionnage de simples citoyens est l’une «des caractéristiques du totalitarisme», ajoutant que la mésaventure de Carter Page en disait long sur le sentiment d’impunité des «apparatchiks gouvernementaux».

«Cancel culture»

Rebecca Koffler se dit également inquiète de la «cancel culture», qui déborde des campus américains pour imposer le politiquement correct dans toute la société. Un conformisme de rigueur, qui lui rappelle celui de la société soviétique.

«En Amérique, il existe désormais des opinions « correctes », celles de la classe dirigeante […] et ce qu’on appelle en russe des opinions « incorrectes » (nekorrektnoye). Les Américains ayant des opinions contredisant l’orthodoxie idéologique des progressistes sont licenciés, « annulés » par des militants, interdits de parler sur les campus universitaires», explique-t-elle ainsi dans son article.

Des logiques que l’ancienne officier voit également à l’œuvre sur les réseaux sociaux où les géants de la technologie, surnommés Big Tech, traquent les opinions divergentes. Une allusion aux politiques de modération de certains réseaux sociaux qui ne cessent en effet d’interroger. Début juillet, Donald Trump avait d’ailleurs engagé une plainte collective pour «censure illégale» contre plusieurs réseaux sociaux ayant suspendu ses comptes.

Société à deux vitesses

Rebecca Koffler met également en garde contre les promesses de gratuité qui se multiplient aux États-Unis. Fin avril, Joe Biden avait notamment annoncé débloquer des fonds pour faciliter les gardes d’enfants ou mettre en place une université communautaire gratuite. Des promesses qui rappellent à l’ex-agent les systèmes socialistes, où tout était censé être fourni gratuitement par le gouvernement.

En réalité, le modèle soviétique a souvent débouché sur une société à deux vitesses, où la nomenklatura avait droit à tout, quand le peuple était forcé de «faire la queue pendant des heures pour obtenir des produits de base». Une logique que Rebecca Koffler croit déjà avoir vue à l’œuvre durant la pandémie.

«Le double standard que les Américains ont connu pendant les confinements m’a rappelé l’URSS: les politiciens sont allés dans des restaurants chers, se sont fait couper les cheveux et ont voyagé luxueusement, tandis que le reste d’entre nous a souffert, laissant pousser ses cheveux et essayant de calmer les enfants, intenables durant les cours à distance», résume-t-elle ainsi.

En France, des polémiques sur ces doubles standards avaient aussi vu le jour, à propos notamment des dîners clandestins. Plusieurs personnalités politiques avaient alors été soupçonnées de se rendre dans des restaurants, au mépris des mesures de confinement.




La planète des seringues et le Pass sanitaire !

[Source : docteur alwest via Sott.net]




87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Une personne saine d’esprit mélangerait-elle l’échantillon d’un patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contenait un virus particulier) avec des cellules rénales de singe, du sérum bovin fœtal et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est un “isolat du SARS-COV-2” et l’expédierait à l’étranger pour qu’il soit utilisé dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?

Parce que c’est le genre de travaux frauduleux que des équipes de recherche du monde entier font passer pour “l’isolement du virus”.

En date du 27 juillet 2021 :

87 institutions scientifiques et de santé du monde entier n’ont pas réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul rapport d’isolement/purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, à aucun moment. Vous trouverez ci-dessous la liste de ces institutions.

Ci-dessous toutes les demandes d’informations et leurs réponses archivées sur cv19.fr, voir les procédures complètes de chaque demande détaillée sur cette page : fluoridefreepeel.ca [archive]

1 Australia University of Western Australia – home of Gates-funded researcher Christine Carson
2 Australia ACT Government (Government of the Australian Capital Territory) / Canberra Health Services (CHS)
3 Australia Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation – CSIRO
4 Australia Department of Health
5 Australia Peter Doherty Institute for Infection and Immunity
6 Britain Health and Safety Executive
7 Canada Aylmer Police Services
8 Canada Centre for Disease Control, British Columbia
9 Canada City of Toronto, Ontario
10 Canada Department of Health & Community Services, Newfoundland Labrador
11 Canada Health Canada
12 Canada Institut National de Sante Publique du Quebec
13 Canada Institutes of Health Research
14 Canada Kingston, Frontenac, Lennox and Addington Public Health, Ontario (re “any variant”)
15 Canada McGill University
16 Canada Ministry of Health, British Columbia
17 Canada Ministry of Health, Ontario
18 Canada Mount Sinai Hospital, Toronto, Ontario
19 Canada National Research Council, [2]
20 Canada Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada
21 Canada Peterborough Police Service
22 Canada Peterborough Public Health
23 Canada Provincial Health Services Authority, British Columbia
24 Canada Region of Peel, Ontario, [2]
25 Canada Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario
26 Canada Toronto Police Service
27 Canada University of Toronto
28 Canada Vancouver Coastal Health Authority, British Columbia (re “the UK variant”)
29 Canada Grey Bruce Health Services
30 Canada McMaster University
31 Canada Public Health Agency of Canada[2]
32 Canada Vaccine and Infectious Disease Organization-International Vaccine Centre (VIDO-InterVac) at University of Saskatchewan
33 Czech Republic Ministry of Health
34 Czech Republic Univerzita Karlova
35 Denmark Statens Serum Institut
36 England Public Health England[2][3][4]
37 Europe Centre for Disease Prevention and Control
38 India Indian Council of Medical Research[2]
39 Isle of Man Department of Health and Social Care
40 Netherlands Ministry of Health, Welfare and Sport[2]
41 New Zealand Associate Minister of Health Hon Jenny Salesa
42 New Zealand Associate Minister of Health Hon Peeni Henare
43 New Zealand Associate Minister of Health Julie Anne Genter
44 New Zealand Bay of Plenty District Board
45 New Zealand Department of the Prime Minister and Cabinet
46 New Zealand Institute of Environmental Science and Research – ESR[2]
47 New Zealand Ministry of Health
48 New Zealand University of Auckland
49 New Zealand University of Otago
50 Norway Norwegian Ministry of Health and Cares Services & subordinate agency the Directorate of Health
51 Portugal Ministry of Health (jugement du tribunal formalisant que le ministère ne dispose d’aucune donnée ou référence sur l’existence du virus)
52 Republic of Africa Governmental COVID-19 Advisory Committee (jugement Afrique du Sud, en savoir plus)
53 Republic of Africa Minister of Co-operative Governance and Traditional Affairs
54 Republic of Africa National Department of Health
55 Republic of Africa National Institute for Communicable Diseases
56 Republic of Africa President
57 Republic of Columbia Ministry of Health & Social Protection
58 Republic of Ireland National Virus Reference Laboratory, University College Dublin
59 Scotland Public Health Scotland
60 Slovenia Department of Health
61 Slovenia Faculty of Medicine and Institute of Microbiology and Immunology, University of Ljubljana
62 Slovenia National Laboratory for Health, Environment and Food (Nacionalnega laboratorija za zdravje, okolje in hrano – NLZOH)
63 Spain Ministry of Health
64 United Kingdom Cabinet Office[2]
65 United Kingdom Department of Health and Social Care
66 United Kingdom Government Office for Science
67 United Kingdom House of Commons
68 United Kingdom House of Lords
69 United Kingdom Imperial College London
70 United Kingdom Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
71 United Kingdom Prime Minister’s Officelien vers cette réponse
72 United Kingdom University of Warwick
73 United States of America Agency for Toxic Substances and Disease Registry[2]
74 United States of America Centers for Disease Control and Prevention[2]
75 United States of America National Institute of Allergy and Infectious Diseases – NIAID, [2]
76 United States of America Oregon Health Authority
77 Uruguay Clemente Stable Biological Research Institute, Ministry of Education and Culture
78 Uruguay University of the Republic (UdelaR) Faculty of Chemistry
79 Uruguay Ministry of Public Health
80 Wales Public Health Wales[2]
81 Canada Hastings Prince Edward Public Health (Ontario)
82 Ukraine Ministry of Health
83 Australia Western Australia Minister & Department of Health
84 Australia South Australia Minister for Health and Wellbeing
85 Australia New South Wales Ministry of Health, Australia
86 England Pennine Acute National Health Service Trust
87 England Salford Royal National Health Service Foundation Trust

Certaines des réponses à ces demandes d’informations mentionnent le fait que l’isolement/purification du SARS-CoV-2 ne peut être effectué de la manière demandée, et que “l’isolement” mentionné dans les publications scientifiques réfère à la culture en cellule de prélèvement démontrant un effet cytopathique, mais aucune expérience témoin n’a été effectuée pour démontrer que cet effet cytopathique est présent ou non avec les mêmes procédures sur une culture saine ou stérile (voir FOI des pays-bas).

Voir aussi : Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Articles originaux :
https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars-cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/
https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

Télécharger tous les documents de demandes d’informations : https://files.catbox.moe/8gx9ft.zip


[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les références et liens contenus dont plusieurs proviennent du travail de recherche effectué
par Recherches Covid-19 (cv19.fr)]




Où allons-nous avec le pass ?

Par JE. Chabert

👁 L’humanité sous surveillance part1 : 

Les parlementaires français ont voté contre l’arrêt du Pass sanitaire une fois ladite crise passée ! Quelle sera donc l’évolution de ce pass ? Le contrôle total par des outils numériques de toute la population, ou que vous soyez, même dans l’intimité ? 

1️⃣ère vidéo : ARTE, « Crédit social en Chine : comment le gouvernement contrôle sa population avec un système de notation » 

https://www.arte.tv/fr/videos/097011-000-A/chine-le-monde-d-apres/

2️⃣ème vidéo : France 24, « Avec le crédit social, la Chine classe les « bons » et les « mauvais » citoyens » 

3️⃣ème vidéo : France 2 / Envoyé spécial, « Le système de crédit social testé en Chine « existe » déjà en France » 

https://www.francetvinfo.fr/monde/chine/video-le-systeme-de-credit-social-teste-en-chine-existe-deja-en-france-selon-ce-chercheur-en-intelligence-artificielle_3653119.html

⚠️ Des centaines de millions sont actuellement investis pour mettre en place la reconnaissance faciale. Nous comptons sur vous pour partager cette publication afin que plus prennent conscience de ce qui se prépare pour un futur proche voire très proche. Afin de contrer cette société que nous ne voulons pas !




Un pasteur du Tennessee déclare que les masques ne sont pas autorisés dans son église

[Source : RT USA News]

[Traduction : Aube Digitale]

Alors que les obligations de port de masque continuent d’être débattus à travers les Etats-Unis, un pasteur du Tennessee, connu pour son opposition aux confinements et à la vaccination de masse, a clairement indiqué que les porteurs de masque seront renvoyés de son église.

S’adressant à sa congrégation dimanche, le pasteur controversé a déclaré qu’il était opposé à ce que les comtés réimposent le port du masque pour freiner l’augmentation des cas de coronavirus. Si Mount Juliet, Tennessee, où se trouve l’église Global Vision Bible Church, subit la même régression de politique, le pasteur Greg Locke a affirmé qu’il ne suivrait pas les directives rétablies.

« S’ils passent par le deuxième tour et que vous commencez à vous montrer (avec) tous ces masques et toutes ces bêtises, je vous demanderai de partir », a déclaré Locke sous les acclamations de sa congrégation. « Je vous demanderai de partir. Je ne joue pas à ces jeux démocrates dans cette église. Si vous voulez une distance sociale, allez à la First Baptist Church, mais n’allez pas dans celle-ci », a ajouté le pasteur, sous les applaudissements nourris de l’assemblée réunie sous une tente géante.

Au cours d’une messe diffusée en direct sur Facebook, M. Locke a ensuite critiqué ses collègues pasteurs qui refusent d’organiser des services tels que des baptêmes par crainte du virus et de sa variante Delta qui se propage rapidement.

« Je ne joue pas à ces jeux stupides », a-t-il déclaré. « Une bande de pasteurs qui disent à quel point ils veulent voir les gens guérir et qui ont peur de baptiser les gens à cause du variant Delta – j’en ai marre. »

Locke a déclaré qu’il n’a pas l’intention de fermer même si on lui ordonne de le faire.

« Ils serviront des Frosty’s en enfer avant de fermer cet endroit », a-t-il promis.

Locke a attiré l’attention nationale l’année dernière pendant le confinement du Tennessee lorsqu’il a continué à tenir des services en personne alors que la plupart des autres églises se sont tournées vers des alternatives à distance.

Son mandat anti-masque a, comme on pouvait s’y attendre, provoqué des remous chez les utilisateurs de tendance libérale sur les médias sociaux. Certains ont prédit que Locke et ses partisans allaient inévitablement attraper le Covid-19, un commentateur allant jusqu’à suggérer que le pasteur allait mourir du virus.

[Ndlr : à côté de cet exemple, le Pape fait pâle figure en appuyant les mesures sanitaires et la vaccination. Ce n’est pas étonnant, puisqu’il est depuis le début un ardent promoteur du Nouvel Ordre Mondial.]




Souvenirs de la montée du nazisme

[Source : Sott.net]

En passant… Et en lisant Sebastian Haffner – Allemagne, mars 1933

Source de la retranscription numérique

[Photo : Sebastian Haffner en 1984]

Voici un extrait « éclairant » du chapitre « La révolution », extrait de l’ouvrage de Sebastian HaffnerHistoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933), paru aux Éditions Babel.


Qu’est-ce qu’une révolution ?

Les spécialistes du droit public répondent : la modification d’une constitution par d’autres moyens que ceux qu’elle prévoit. Si l’on souscrit à cette sèche définition, la « révolution » nazie de mars 1933 n’en était pas une. Car tout se passa dans la stricte légalité, avec les moyens prévus par la constitution : d’abord des « décrets-lois » du président et enfin une résolution qui transférait au gouvernement la totalité du pouvoir législatif, résolution votée par le Parlement à la majorité des deux tiers exigée pour les changements constitutionnels.

C’est là une imposture manifeste. Mais quand on voit les choses comme elles ont vraiment été, on peut encore se demander si ce qui s’est joué en mars mérite vraiment le nom de révolution. Pour le sens commun, l’essentiel d’une révolution semble résider dans le fait que des gens attaquent par la violence l’ordre existant et ses représentants : police, armée, etc., et l’emportent sur lui. Ce n’est pas toujours forcément magnifique et enthousiasmant, et cela peut fort bien être associé à des débordements, des violences, des brutalités de populace déchaînée ; on peut piller, tuer, brûler. Ce qu’on attend des gens qui se prétendent des révolutionnaires, c’est au moins qu’ils attaquent, fassent preuve de courage, mettent leur vie en jeu. Les barricades sont peut-être un peu démodées, mais une forme quelconque de spontanéité — insurrection, prise de risque, émeute — semble inhérente à l’essence de la révolution.

Rien de tel en mars 1933. Les événements étaient une décoction des ingrédients les plus bizarres, mais on aurait vainement attendu un acte de courage, de bravoure, d’audace de quelque côté que ce fût. Ce mois de mars produisit quatre choses qui auraient pour résultat final la domination incontestée des nazis : la terreur, des fêtes et des déclamations, la trahison, et pour finir un collapsus collectif — plusieurs millions d’individus s’effondrant simultanément. Beaucoup d’États européens, la plupart même, ont eu une naissance plus sanglante. Mais il n’en existe aucun dont la naissance eût été à ce point répugnante.

L’histoire européenne connaît deux formes de terreur : l’une est l’ivresse sanguinaire effrénée d’une masse révolutionnaire déchaînée, grisée par sa victoire ; l’autre est la cruauté froide, délibérée, d’un appareil étatique triomphant qui cherche à intimider, à manifester son pouvoir. Ces deux formes sont normalement réparties entre révolution et répression. La première est révolutionnaire ; elle s’excuse par l’émotion et la rage du moment, par l’emportement. La deuxième est répressive ; elle s’excuse par les représailles à l’encontre des atrocités de la révolution.

Les nazis ont eu le privilège de combiner les deux d’une façon qui n’admet aucune excuse. La terreur de 1933 fut bien exercée par une tourbe ivre de sang (à savoir les SA, les SS ne jouant pas encore le rôle qui serait le leur), mais les SA se présentaient comme une « police auxiliaire » ; ils agissaient sans la moindre émotion, sans la moindre spontanéité, et surtout sans prendre le moindre risque — mais bel et bien en toute sécurité, sur ordre et avec discipline. Le tableau externe était celui de la terreur révolutionnaire : populace hirsute pénétrant par effraction la nuit dans les maisons et traînant des gens sans défense dans une cave pour les torturer. Le processus interne était celui de la terreur répressive : gestion administrative froidement calculée, couverture policière et militaire totale. L’ensemble ne découlait pas de cette excitation qui suit la victoire, un grand danger auquel on a survécu — rien de tel ne s’était produit. Ce n’étaient pas non plus des représailles à l’encontre d’atrocités exercées par le parti adverse — il n’y en avait eu aucune. Ce qui se produisait, c’était l’inversion cauchemardesque des notions normales : brigands et assassins dans le rôle de la police, revêtus du pouvoir souverain ; leurs victimes traitées comme des criminels, proscrites, condamnées d’avance à mort. Un cas exemplaire, rendu public en raison des proportions prises : une nuit, un responsable syndical social-démocrate de Köpenick(([1] Faubourg de Berlin.)) se défendit, aidé de ses fils, contre une patrouille de SA qui avait pénétré chez lui et abattit, en état de légitime défense évidente, deux SA. Sur quoi, cette même nuit, ses fils et lui furent maîtrisés par une seconde patrouille plus nombreuse et pendus dans la remise de leur maison. Mais le jour suivant, en bon ordre, des SA en service commandé pénétrèrent chez tous les habitants de Köpenick connus pour être des sociaux-démocrates et les abattirent sur place. On n’a jamais su le nombre de morts.

Cette sorte de terreur avait un avantage : selon les cas, on pouvait hausser des épaules navrées en parlant des « inévitables conséquences fâcheuses de toute révolution » — c’était l’excuse de la terreur révolutionnaire — ou se référer à la rigueur de la discipline en démontrant que l’ordre et le calme régnaient, que seules avaient lieu les descentes de police indispensables, et que c’était précisément cela qui épargnait à l’Allemagne les troubles révolutionnaires — c’était l’excuse de la terreur répressive. Et les deux étaient effectivement invoquées à tour de rôle, suivant le public concerné.

Cette forme de publicité a contribué, et contribue toujours, à rendre la terreur nazie plus repoussante qu’aucune autre terreur connue dans l’histoire européenne. La cruauté elle-même peut avoir une ombre de grandeur quand elle s’affiche avec la grandiloquence d’une détermination suprême, quand ceux qui l’exercent revendiquent fougueusement leurs actes comme ce fut le cas lors de la Révolution française et des guerres civiles russe et espagnole. Les nazis, en revanche, n’ont jamais affiché autre chose que le rictus blême, lâche et craintif du meurtrier niant ses crimes. Tandis qu’ils torturaient et assassinaient systématiquement des êtres sans défense, ils affirmaient tous les jours avec des accents nobles et touchants qu’ils ne faisaient de mal à personne, et que jamais révolution ne s’était déroulée de façon aussi humaine et pacifique. Et quelques semaines après l’institution de l’épouvante, une loi menaçait d’une lourde peine quiconque affirmait, fût-ce entre ses quatre murs, qu’il se passait des choses atroces.

Il va de soi que cela n’avait pas pour but de tenir secrètes les horreurs. Car alors elles n’auraient pu atteindre leur but, qui était de provoquer chez tous crainte, effroi, soumission. Ce secret tendait au contraire à renforcer l’effet de la terreur par le danger qu’il y avait ne serait-ce qu’à en parler. L’exposition publique — par exemple à la tribune de l’orateur ou dans les journaux — de ce qui se passait dans les caves de la SA et dans les camps de concentration aurait peut-être pu provoquer même en Allemagne une riposte désespérée. Les nouvelles épouvantables chuchotées sous le manteau — « Faites bien attention, voisin ! Savez-vous ce qui est arrivé à X ? » — brisaient bien plus sûrement toutes les résistances.

D’autant plus qu’on était au même instant occupé et distrait par une série interminable de fêtes, de solennités, de célébrations nationales. On commença par fêter la victoire en grand avant les élections, le 4 mars, jour du « Réveil national ». Marches gigantesques et feux d’artifice, tambours, trompettes, orchestres et drapeaux dans toute l’Allemagne, des milliers de haut-parleurs diffusant la voix de Hitler, serments et promesses — et tout cela alors qu’il n’était pas certain que les nazis n’allaient pas prendre une veste électorale. De fait, c’est bien ce qui se produisit ces élections, les dernières à se dérouler en Allemagne, n’apportèrent aux nazis que quarante-quatre pour cent des voix (auparavant ils en avaient obtenu trente-sept) — la majorité votait toujours contre eux. Si l’on songe que la terreur battait déjà son plein, que les partis de gauche avaient été muselés dès la semaine décisive qui précédait le scrutin, il faut dire que le peuple allemand dans son ensemble s’est assez bien comporté. Mais les nazis n’en eurent cure. La défaite fut tout simplement célébrée comme une victoire, la terreur renforcée, les fêtes se multiplièrent. Quinze jours durant, les fenêtres restèrent pavoisées. Une semaine plus tard, Hindenburg abolissait les anciennes couleurs, et le drapeau à la croix gammée devenait, avec le noir-blanc-rouge, le « pavillon provisoire du Reich ». Et chaque jour des défilés, des célébrations géantes, des manifestations de gratitude pour la libération nationale, de la musique militaire du matin au soir, honneurs rendus aux héros, consécration des couleurs, enfin, pour couronner le tout, la mise en scène boursouflée de la « journée de Potsdam », avec ce vieux félon de Hindenburg se recueillant sur la tombe de Frédéric le Grand, Hitler jurant pour la énième fois fidélité à je ne sais quoi, cloches sonnant à toute volée, cortège solennel des députés vers l’église, parade militaire, sabres au clair, enfants agitant des petits drapeaux, retraites aux flambeaux.

L’ineptie, l’absurdité sans bornes de ces manifestations continuelles étaient, selon toute vraisemblance, parfaitement concertées. Il fallait habituer la population à se réjouir et à se « réveiller », même si elle n’en voyait pas vraiment la raison. Chaque jour, chaque nuit, des gens qui s’abstenaient trop ostensiblement de participer — chut ! — étaient torturés à mort à coups de drille ou de fouet d’acier, et c’était déjà une raison suffisante. Réjouissons-nous donc, et hurlons avec les loups, Heil, Heil ! Et on finissait par y trouver goût. En mars 1933, il faisait un temps magnifique. N’était-ce pas beau, sous le soleil printanier, de se mêler à une foule en liesse sur une place pavoisée, prêtant l’oreille. à des propos sublimes où revenaient les mots de patrie et de liberté, de réveil et d’engagement sacré ? (En tout cas, cela valait mieux que de se retrouver à huis clos dans une caserne de SA, à se faire remplir d’eau les intestins).

On se mit à participer — d’abord par crainte. Puis, s’étant mis à participer, on ne voulut plus que cela fût par crainte, motivation vile et méprisable. Si bien qu’on adopta après coup l’état d’esprit convenable. C’est là le schéma mental de la victoire de la révolution national-socialiste.
Pour la parachever, toutefois, une chose était indispensable : la lâche trahison de tous les chefs de partis et d’organisations auxquels s’étaient confiés les cinquante-six pour cent d’Allemands qui, le 5 mars 1933, avaient voté contre les nazis. Le monde n’a pratiquement pas pris conscience de cette évolution historique terrible et décisive. Les nazis n’avaient pas intérêt à la souligner, parce qu’elle ne pouvait que dévaluer considérablement leur « victoire » ; quant aux traîtres eux-mêmes, ils avaient tout intérêt à se taire. Pourtant, seule cette trahison explique le fait apparemment inexplicable qu’un grand peuple, qui ne se compose quand même pas exclusivement de poltrons, ait pu sombrer dans l’infamie sans résistance.

La trahison fut totale, générale et sans exception, de la gauche à la droite. J’ai déjà dit que les communistes, derrière les rodomontades de façade qui exaltaient leur « détermination » et mentionnaient des préparatifs de guerre civile, préparaient en vérité l’exil de leurs hauts fonctionnaires avant qu’il ne fût trop tard.

En ce qui concerne les cadres de la social-démocratie, à qui des millions de braves petites gens fidèles accordaient une confiance aveugle et loyale, ils avaient commencé de les trahir dès le 20 juillet 1932, quand Severing et Grzesinski s’étaient « inclinés devant la force ». Les sociaux-démocrates s’étaient déjà terriblement humiliés au cours de la campagne électorale de 1933 en courant après les slogans des nazis pour souligner qu’ils étaient, eux aussi, de bons « nationaux ». Le 4 mars, veille du scrutin, Otto Braun,(([2] Otto Braun (1872-1955), social-démocrate, à la tête du parti depuis 1911, ministre-président de Prusse entre 1925 et 1933.)) leur « homme fort », chef du gouvernement prussien, passa en automobile la frontière suisse ; il avait pris soin d’acquérir une maisonnette dans le Tessin. En mai, un mois avant la dissolution de leur parti, les députés sociaux-démocrates en étaient à accorder massivement leur confiance au gouvernement Hitler et à chanter le Horst-Wessel-Lied.(([3] Chant de marche de la SA écrit sur une mélodie existante par le jeune Sturmführer (lieutenant) Horst Wessel (1907-1930). Celui-ci ayant trouvé la mort au cours d’une bagarre avec des communistes dans des circonstances mal élucidées, les nazis firent de lui un martyr et de son œuvre l’hymne officiel du parti.)) (Le compte rendu des débats parlementaires note : « Applaudissements sans fin dans la salle et sur les tribunes. Le chancelier lui-même, tourné vers les sociaux-démocrates, applaudit »).

Le centre, ce grand parti bourgeois catholique qui, dans les dernières années, avait rallié une part de plus en plus importante de la bourgeoisie protestante, avait atteint ce stade dès le mois de mars. Ses voix assurèrent à Hitler la majorité des deux tiers qui lui confiait « légalement » la dictature. Il agissait sous la houlette de l’ancien chancelier Brüning. L’étranger l’a généralement oublié aujourd’hui, et Brüning y passe encore largement pour le possible successeur de Hitler. Mais qu’on me fasse confiance : les Allemands, eux, ne l’ont pas oublié. Un homme qui croyait encore, le 23 mars 1933, pouvoir inféoder à Hitler : dans un vote d’importance vitale, le parti qui lui était confié, n’aura plus jamais la moindre chance en Allemagne.

Enfin, le parti national, la droite conservatrice qui revendiquait carrément « l’honneur et l’héroïsme » comme programme — Dieu ! qu’il était lâche et déshonorant, le spectacle que ses chefs infligèrent à leurs partisans en 1933 et par la suite ! Une fois déçue leur attente du 30 janvier, alors qu’ils espéraient avoir « mis les nazis dans leur poche » pour les « empêcher de nuire », on attendait au moins qu’ils « freinent » pour « éviter le pire ». Que non ; ils participèrent à tout : à la terreur, aux pogromes, aux persécutions contre les chrétiens ; ils ne se laissèrent même pas émouvoir par l’interdiction de leur parti et l’arrestation de leurs partisans. Il est déjà navrant de voir des fonctionnaires socialistes s’enfuir en plantant là leurs électeurs et leurs sympathisants. Mais que dire d’officiers nobles qui, voyant fusiller leurs amis et leurs collaborateurs les plus proches — comme M. von Papen —, restent en place en criant Heil Hitler ? Tels partis, telles fédérations. Il existait une Fédération des anciens combattants communistes, et, en ce qui concernait le Parti démocratique allemand, une Reichsbanner schwarz-rot-gold, organisée militairement, non dépourvue d’armes, comptant des millions d’adhérents destinés expressément à tenir les SA en échec si le besoin s’en faisait sentir. Durant tout ce temps, on ne perçut rien de son existence, absolument rien, pas la moindre chose. Elle disparut sans laisser de trace, comme si elle n’avait jamais existé. Dans toute l’Allemagne, la résistance prenait tout au plus la forme d’un acte individuel désespéré — comme celui du syndicaliste de Köpenick. Les officiers de la Reichsbanner ne firent même pas mine de riposter quand les SA « reprirent » leurs locaux. Le Stahlhelm, l’armée des nationalistes, se laissa mettre au pas, puis dissoudre peu à peu, en récriminant, mais sans résister. Il n’y eut pas un seul exemple d’énergie défensive, de vaillance, de tenue. Il n’y eut que panique, fuite éperdue, apostasie. En mars 1933, des millions de personnes étaient encore prêtes au combat. Du jour au lendemain, elles se retrouvèrent sans chefs, sans armes, trahies. Une partie d’entre elles cherchèrent encore désespérément à rallier le Stahlhelm et les nationalistes quand il s’avéra que les autres ne se battaient pas. Le nombre de leurs adhérents enfla démesurément en l’espace de quelques semaines. Puis ils furent dissous eux aussi — et se rendirent sans combat.

Cette terrible capitulation morale des chefs de l’opposition est un trait fondamental de la « révolution » de mars 1933. Grâce à elle, les nazis eurent le triomphe facile. Il est vrai qu’en même temps elle remet en cause la valeur et la solidité de leur victoire. La croix gammée n’a pas été imprimée dans la masse allemande comme dans une matière récalcitrante, mais ferme et compacte. Elle l’a été comme dans une substance amorphe, élastique et pâteuse. Le jour venu, cette pâte est susceptible de prendre une autre forme, avec autant de facilité et sans plus de résistance. Il est vrai que depuis mars 1933 subsiste une question sans réponse : vaut-elle vraiment la peine d’être formée ? Car l’Allemagne a manifesté alors une faiblesse morale trop monstrueuse pour que l’histoire n’en tire pas un jour les conséquences.

Ailleurs, toute révolution, même si elle a laissé le peuple momentanément exsangue et affaibli, a toujours amené une remarquable potentialisation des énergies dans les deux camps en présence — aboutissant, à long terme, à l’émergence d’une nation considérablement plus forte. Qu’on considère la formidable quantité d’héroïsme, d’intrépidité, de grandeur humaine — mêlée sans doute à des débordements, des cruautés, des violences — qu’ont déployée dans la France révolutionnaire jacobins et royalistes, dans l’Espagne contemporaine franquistes et républicains ! Quelle que soit l’issue, la bravoure avec laquelle on a combattu demeure dans la conscience de la nation comme une inépuisable source d’énergie. À l’endroit où cette source devrait jaillir, les Allemands d’aujourd’hui n’ont que le souvenir de l’infamie, de la lâcheté, de la faiblesse. Cela ne peut manquer d’avoir des conséquences qui se manifesteront un jour, peut-être dans la dissolution de la nation allemande et de sa forme politique.

Le Troisième Reich est né de cette trahison de ses adversaires et du sentiment de désarroi, de faiblesse et de dégoût qu’elle a suscité. Le 5 mars, les nazis étaient encore minoritaires. Si de nouvelles élections avaient eu lieu trois semaines plus tard, ils auraient vraisemblablement eu la majorité. Ce n’était pas seulement l’effet de la terreur, ni de l’ivresse engendrée par les fêtes (les Allemands aiment à s’enivrer de fêtes patriotiques). L’élément décisif, c’est que la colère et le dégoût provoqués par la lâcheté et la traîtrise des chefs de l’opposition l’emportaient momentanément sur la colère et la haine à l’encontre du véritable ennemi. Dans le courant du mois de mars 1933, d’anciens opposants au parti nazi s’y rallièrent par centaines de milliers — les « victimes de mars », suspectées et méprisées par les nazis eux-mêmes. Surtout, pour la première fois, même des centaines de milliers d’ouvriers quittèrent leurs organisations sociales-démocrates ou communistes pour s’inscrire clans les « cellules » nazies ou s’enrôler dans la SA. Ils y étaient poussés par diverses raisons, et souvent plusieurs à la fois. Mais on aurait beau chercher longtemps, on n’en trouverait pas une seule dans le lot qui soit bonne, valable, inattaquable et positive — pas une seule de présentable. Le phénomène manifestait dans chaque cas particulier tous les symptômes d’une dépression brutale.

La raison la plus simple, qui s’avérait presque toujours, quand on creusait, la plus intime, c’était la peur. Frapper avec les bourreaux, pour ne pas être frappé. Ensuite, une ivresse mal définie, ivresse de l’unité, magnétisme de la masse. Puis, chez beaucoup, dégoût et ressentiment envers ceux qui les avaient laissés tomber. Puis un syllogisme étrange, typiquement allemand, qui déduisait : « Les adversaires des nazis se sont trompés dans toutes leurs prévisions. Ils ont affirmé que les nazis allaient perdre. Or, les nazis ont gagné. Donc, leurs adversaires avaient tort. Donc, les nazis ont raison. » Puis, chez quelques-uns (en particulier chez les intellectuels), la conviction de pouvoir encore changer le visage du parti nazi et l’infléchir dans leur direction en y adhérant eux-mêmes. Ensuite, bien entendu, la soumission pure et simple, l’opportunisme. Enfin, chez les plus primitifs, les plus frustes, dominés par l’instinct grégaire, un phénomène tel qu’il a pu s’en produire dans les temps mythologiques, quand une tribu vaincue abjurait son dieu tutélaire manifestement infidèle pour se mettre sous la protection du dieu de la tribu victorieuse. On avait cru en saint Marx, il n’avait pas secouru ses fidèles. Saint Hitler était manifestement plus puissant. Brisons donc les statues de saint Marx placées sur les autels pour consacrer ceux-ci à saint Hitler. Apprenons à prier : « C’est la faute aux juifs », au lieu de : « C’est la faute au capitalisme. » Peut-être est-ce là notre salut.

Comme on le voit, ce phénomène n’a rien que d’assez naturel ; il relève tout à fait du fonctionnement psychologique normal, et cela explique presque parfaitement ce qui semble inexplicable. La seule chose qui subsiste, c’est l’absence totale de ce qu’on nomme, chez un peuple comme chez un individu, de la « race » : à savoir un noyau dur, que les pressions et les tiraillements extérieurs ne parviennent pas à ébranler, une forme de noble fermeté, une réserve de fierté, de force d’âme, d’assurance, de dignité, cachée au plus intime de l’être et que l’on ne peut, précisément, mobiliser qu’à l’heure de l’épreuve. Cela, les Allemands ne le possèdent pas. Ils forment une nation inconstante, molle, dépourvue de squelette. Le mois de mars 1933 en a fourni la preuve. À l’instant du défi, quand les peuples de race se lèvent spontanément comme un seul homme, les Allemands, comme un seul homme, se sont effondrés ; ils ont molli, cédé, capitulé — bref : ils ont sombré par millions dans la dépression.
Le résultat de cette dépression généralisée fut le peuple uni, prêt à tout, qui est aujourd’hui le cauchemar du monde entier.

Tel est le processus évident, clair et bien délimité qui se présente aujourd’hui, avec le recul, à l’observateur. Tandis qu’il se déroulait, il m’était bien sûr impossible de le voir dans son ensemble. Je sentais bien, et c’était assez terrible, que tout cela était écœurant jusqu’à la nausée, mais j’étais incapable d’en saisir et d’en classer les éléments. Chaque fois qu’on essayait de comprendre, on voyait s’interposer comme un voile ces discussions infiniment oiseuses et stériles, toujours recommencées, au cours desquelles on s’efforçait de faire entrer les choses dans un système de notions politiques obsolètes qui ne leur était plus adapté. Comme ces discussions paraissent inconsistantes aujourd’hui, quand un caprice de la mémoire en fait remonter à la surface des bribes et des lambeaux ! Avec toute notre culture historique bourgeoise, nous étions intellectuellement démunis devant cette évolution qui ne s’était jamais produite dans tout ce que nous avions appris. Les explications étaient absurdes, les tentatives de justification parfaitement stupides — mais les constructions de fortune que la raison tentait d’édifier autour de ce sentiment d’effroi et de dégoût qui ne trompait pas étaient aussi désespérément superficielles. Tous les -ismes qu’on mobilisait étaient d’une inanité qui me fait frissonner quand j’y pense.

En outre, la vie quotidienne était un obstacle à l’analyse lucide — la vie qui continuait, encore que définitivement irréelle et spectrale, chaque jour tournée en dérision par les événements dans lesquels elle s’inscrivait. J’allais encore au tribunal, comme avant ; on y disait toujours le droit, comme si ce mot signifiait encore quelque chose, et le conseiller juif qui faisait partie de ma chambre siégeait toujours tranquillement en toge derrière la barre. Il est vrai que ses collègues le traitaient déjà avec cette délicatesse pleine de doigté qu’on témoigne aux grands malades. Je continuais d’appeler au téléphone mon amie Charlie, nous allions au cinéma, buvions du chianti dans un bistrot à vin, allions danser quelque part. Je continuais à voir des amis, à discuter avec des camarades, à fêter des anniversaires en famille — mais alors qu’en février on pouvait encore se demander si tout cela ne signifiait pas le triomphe de la vraie vie, de la réalité indestructible sur les agissements des nazis, on devait désormais admettre que ce n’était plus, au contraire, qu’un mécanisme automatique et creux qui démontrait à chaque instant le triomphe des puissances ennemies qui le submergeaient de toute part.

Et pourtant, curieusement, c’était entre autres choses la poursuite machinale de la vie quotidienne qui s’opposait à une quelconque réaction énergique et vitale contre la monstruosité. J’ai déjà dit comment la trahison et la lâcheté de leurs chefs avaient empêché les équipes des autres groupes politiques de se mobiliser contre les nazis. Cela n’explique pas pourquoi il n’y eut pas, ici, là ou ailleurs, un individu pour se dresser et se défendre spontanément, sinon contre l’ensemble, du moins contre quelque injustice particulière, quelque scandale survenu non loin de lui. (Je n’ignore pas que cette question inclut un reproche à l’égard de moi-même).

À cela s’opposait précisément le mécanisme de la vie courante. Il est probable que les révolutions, et l’histoire dans son ensemble, se dérouleraient bien différemment si les hommes étaient aujourd’hui encore ce qu’ils étaient peut-être dans l’antique cité d’Athènes : des êtres autonomes avec une relation à l’ensemble, au lieu d’être livrés pieds et poings liés à leur profession et à leur emploi du temps, dépendant d’une foule de choses qui les dépassent, éléments d’un mécanisme qu’ils ne contrôlent pas, marchant pour ainsi dire sur des rails et désemparés quand ils déraillent. La sécurité, la durée ne se trouvent que dans la routine quotidienne. A côté, c’est tout de suite la jungle. Tout Européen du XXe siècle le ressent confusément avec angoisse. C’est pourquoi il hésite à entreprendre quoi que ce soit qui pourrait le faire dérailler — une action hardie, inhabituelle, dont lui seul aurait pris l’initiative. D’où la possibilité de ces immenses catastrophes affectant la civilisation, telle que la domination nazie en Allemagne.

Certes, j’écumais de rage en ce mois de mars 1933. Certes, je faisais peur à ma famille avec des projets désordonnés : quitter la fonction publique, m’exiler, me convertir avec ostentation au judaïsme. Mais je me contentais de formuler ces intentions. Mon père, riche de l’expérience, point adaptée aux nouveaux événements, d’une vie qui s’était déroulée entre 1870 et 1933, minimisait, dédramatisait, tentait de contrer mes propos emphatiques par une discrète ironie. Il faut dire que j’étais habitué à son autorité, et pas encore très sûr de moi. En outre, le scepticisme tranquille m’a toujours convaincu davantage qu’une grandiloquence péremptoire ; j’ai mis longtemps à comprendre que dans ce cas particulier mon instinct de jeune homme avait effectivement raison contre la sagesse et l’expérience de mon père, et qu’il existe des choses que le scepticisme tranquille est impuissant à maîtriser. À l’époque, j’étais encore trop timide pour tirer les conséquences de mes intuitions.

Peut-être, n’est-ce pas, avais-je effectivement une vision déformée de la situation. Peut-être fallait-il l’endurer, laisser passer les choses. C’est seulement dans mon travail, protégé par les articles du Code civil et du Code de procédure civile, que je me sentais sûr de moi et mûr. Ces articles étaient toujours debout. Le palais de justice aussi. Son activité pouvait pour l’heure paraître vide de sens, mais elle ne s’était en rien modifiée. Peut-être qu’en fin de compte tout cela finirait par s’avérer durable et l’emporterait.

Donc, accomplir la routine quotidienne dans une expectative incertaine. Ravaler sa rage et son effroi ou les épancher à la table familiale en éclats stériles du plus haut comique. Vivant dans la même apathie que des millions d’autres individus, je laissais venir les choses.

Elles vinrent.

© Actes Sud

Voir aussi notre [de Sott.net] article « Histoire d’un Allemand — Souvenirs (1914-1933) », de Sebastian Haffner ou quand l’histoire se répète… à l’échelle mondiale


[Voir aussi :
De la démocratie à la tyrannie
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]


Notes




Encore un « Fact Checker » (Vérificateur de fait) pris à désinformer

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Libé, CheckNews et l’ivermectine : non seulement partisans mais désinformateurs

Dans un article récent, M. Gouthière, qui se présente comme un journaliste scientifique, « fact-checker » de Libération, commet pas moins de six affirmations trompeuses sur l’ivermectine.

Il avait déjà été pris en défaut à plusieurs reprises, pour désinformation sélective sur l’hydroxychloroquine et l’étude Recovery. 

Les six affirmations suivantes sont inexactes :

  • Au-delà des études scientifiques, on notera que plusieurs pays ayant donné sa chance à l’ivermectine se sont ravisés. Ainsi, le Pérou, qui a recommandé ce médicament de mai 2020 à mars 2021 dans les mêmes usages que l’Inde, n’a pas évité les vagues épidémiques d’août 2020 et février 2021. 
    Outre le fait que les comparaisons semblent permises dans un sens mais pas dans l’autre, et que cela relève du sophisme – personne n’a jamais prétendu que l’ivermectine permettait d’éviter une vague épidémique (au Pérou, elle n’était pas prescrite en prophylaxie, seulement à des personnes malades), cette affirmation occulte le fait qu’en Inde et dans d’autres pays : ArgentineMexiqueBrésilEtats-Unis, de nombreux médecins ont constaté une baisse de l’épidémie avec l’utilisation systématique de l’ivermectine.
    Au Pérou, cette étude (preprint) montre que Lima, sans ivermectine pendant les premiers mois de l’épidémie initiale (déploiement seulement quatre mois plus tard), a eu de moins bons résultats que les autres régions. L’arrêt est lié à l’arrivée d’un nouveau Premier ministre mais aussi à des pressions.
     
  • L’Inde a recommandé l’ivermectine… et s’est ravisée. Et quarante jours seulement après l’avoir ajouté sur la fameuse liste, le ministère l’en a finalement retiré.
    Ceci est faux, l’ivermectine est toujours recommandée par l’Indian Council of Medical Research et le ministère de la Santé. Me Dipali Ojha, avocate explique bien dans son debriefing le jeu d’une des agences du ministère de la Santé indien, la DGHS, qui n’a jamais fait de recommandation auparavant. M. Gouthière aurait pu simplement se renseigner avant de contribuer à la désinformation ambiante.



  • Quid de la récente étude de Pasteur ? Toutefois, comme on l’a dit, les données sur l’homme ne sont toujours pas, à ce jour, en faveur d’un intérêt clinique notable. 
    Faux, de nombreuses études ont montré l’efficacité de ce traitement sur l’homme – c’est ici un « cherry-picking ».
    L’étude Shouman en prophylaxie, ou Niaee en traitement, ont été publiées et sont extrêmement positives. L’étude Kroweliecki publiée dans le Lancet, de même que l’étude Chaccour, montrent un effet positif modeste, cette dernière retrouvant d’ailleurs les mêmes effets que dans l’étude de Pasteur sur les hamsters. 

    Voir aussi : Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel
     

  • Les études les plus solides échouent à identifier un intérêt clinique – Pour l’heure, et sur la base des meilleures données disponibles, il reste donc hasardeux de conclure que l’ivermectine pourrait avoir un intérêt thérapeutique contre le Covid-19, et ce, quels que soient le stade de la maladie ou la gravité des symptômes.
    Encore une fois faux, les études sont largement en faveur de l’ivermectine avec une efficacité importante dans des méta-analyses publiées.
    Le rédacteur a un parti pris important ici en ne mentionnant pas de manière neutre les résultats de toutes les études.
     
  • L’étude la plus favorable à l’ivermectine rétractée – Incomplet
    Il s’agissait d’un preprint, effectivement retiré, cette étude (Elgazzar) représente une pondération de 4.3% dans une des méta-analyses et de 14% dans la seconde dont l’auteur principal Andrew Hill fait l’objet d’une plainte pour fraude à la science avec interférence sérieuse d’un auteur externe dans une étude : une suspicion porte sur l’implication de Dominique Costagliola
     
  • Un engouement né sur des bases fragiles
    Faux – le Dr Pierre Kory, auditionné au Sénat américain sous serment, a fait une méta-analyse revue par les pairs qui est sérieuse et dont Libé ne parle même pas, pas plus qu’il n’évoque les expériences réussies dans le Chiappa au Mexique, les milliers de personnes soignées en Inde ou le succès au Sénégal ou Nigéria.
    Parti pris, incompétence ? Laurent Mucchielli l’a explicité clairement dans un article sur les journalistes, dans lequel les autoproclamés « fact-checkers » comme M Gouthirère en prennent pour leur grade : sans légitimité, ni réelle expertise, le plus souvent sans contact avec la réalité, ils se font les arbitres du vrai et du faux et c’est une dérive du journalisme qu’attaque le sociologue.

Ce qu’omet également de mentionner Libé, ce sont les nombreuses pressions subies dans les pays qui ont fait usage de l’ivermectine, décrites par le Dr Carvallo en Argentine ou le Dr Babalola au Nigéria, où le laboratoire Merck a essayé d’influencer le ministère de la Santé.

En Inde, le ministre de la Santé de l’état de Goa a défendu le traitement précoce au tribunal contre un groupe d’avocats aux commanditaires non identifiés mais suspectés d’être proche des laboratoires pharmaceutiques et l’India Bar Association a engagé un bras de fer avec l’OMS. Rappelons que Merck a deux médicaments nouveaux en développement.

Sollicités au sujet de leurs affirmations, M. Gouthière et Libération n’ont pas répondu à nos questions.
 

Le docteur Gérard Guillaume, que nous avons reçu récemment pour un Entretien essentiel, nous confie à la lecture de cet article :

« Comment ne pas se sentir offusqué par un tel article, qui n’est qu’un tissu de contre-vérités. Libération se faisant le chantre de la désinformation, bafouant l’éthique du journalisme.

Des milliers de médecins, en France, peuvent témoigner par leur expérience de l’efficacité de l’Ivermectine, tant en prescription préventive que curative.

Deux Ehpad ont été victimes d’épidémie de gale, en Seine-et-Marne et en Charente-Maritime. En Seine-et-Marne, tous les cas observés de COVID-19 «traités» par ivermectine étaient mineurs, sans décès durant la période d’étude, alors que les résidents des Ehpad « contrôles » (sans ivermectine), appariés selon âge, effectif et niveau socio-économique, ont montré une fréquence de COVID-19 et une mortalité plus élevées.* Cette expérience s’est renouvelée en Charente-Maritime avec les mêmes constatations. Il est vrai que l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a refusé de délivrer une autorisation temporaire à l’ivermectine contre le covid-19.

J’ai du mal à comprendre la politique de désinformation du journal Libération, sinon qu’elle ne fait qu’accréditer la politique d’un gouvernement qui a érigé le mensonge en principe de gouvernement. »

*C. Bernigaud et col : Ann Dermatol Venereol. 2020 Dec; 147(12): A194 Bénéfice de l’ivermectine : de la gale à la COVID-19, un exemple de sérendipité

 

A noter également :

Auteur(s): FranceSoir




De la démocratie à la tyrannie

[Source : Contrepoints]

[Illustration : Tocqueville by Hohenfels (CC BY-NC 2.0) — Hohenfels, CC-BY]

Le passe-temps populaire des démocraties modernes  punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers  est cultivé via l’État.

Par Erik von Kuehnelt-Leddihn.
Un article de Mises.org

Dans La République, Platon nous dit que la tyrannie naît, en règle générale, de la démocratie. Historiquement, ce processus s’est déroulé de trois manières très différentes. Avant de décrire ces différents modèles de changement social, précisons ce que nous entendons par démocratie.

À la question « Qui devrait gouverner ? », le démocrate répond : « la majorité des citoyens politiquement égaux, soit en personne, soit par l’intermédiaire de leurs représentants ». En d’autres termes, l’égalité et la règle de la majorité sont les deux principes fondamentaux de la démocratie. Une démocratie peut être libérale ou illibérale.

Le libéralisme authentique est la réponse à une question tout à fait différente : comment le gouvernement doit-il être exercé ? La réponse qu’il apporte est la suivante : quel que soit celui qui gouverne, le gouvernement doit être exercé de manière que chacun jouisse de la plus grande liberté compatible avec le bien commun.

Une monarchie absolue pourrait être libérale (mais peu démocratique) et une démocratie pourrait être totalitaire, illibérale et tyrannique, avec une majorité persécutant brutalement les minorités. (Nous utilisons, bien sûr, le terme « libéral » dans son acception mondiale et non dans le sens américain, qui depuis le New Deal a été totalement perverti.)

Comment une démocratie, même libérale au départ, pourrait-elle évoluer vers une tyrannie totalitaire ? Comme nous l’avons dit au début, il y a trois voies d’approche, et dans chaque cas l’évolution serait de nature organique. La tyrannie évoluerait à partir du caractère même d’une démocratie libérale parce que, dès le début, il y a un ver dans le fruit : la liberté et l’égalité ne se mélangent pas, elles s’excluent pratiquement.

L’égalité n’existe pas dans la nature et ne peut donc être établie que par la force. Celui qui veut l’égalité géographique doit dynamiter les montagnes et combler les vallées. Pour obtenir une haie de hauteur uniforme, il faut utiliser des sécateurs. Pour atteindre des niveaux scolaires égaux, il faudrait faire pression sur certains élèves pour qu’ils travaillent très dur tout en empêchant les autres de le faire.

La première voie vers la tyrannie totalitaire (bien qu’elle ne soit pas la plus fréquemment utilisée) est le renversement par la force d’une démocratie libérale par le biais d’un mouvement révolutionnaire, en règle générale un parti prônant la tyrannie mais incapable de gagner le soutien nécessaire dans des élections libres. Le décor est planté pour une telle violence si les partis représentent des philosophies si différentes qu’elles rendent impossibles le dialogue et le compromis.

Clausewitz a dit que les guerres sont la continuation de la diplomatie par d’autres moyens, et dans les nations idéologiquement divisées, les révolutions sont vraiment la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens. Le résultat est la domination absolue d’un « parti » qui a finalement obtenu un contrôle total.

Un cas typique est l’octobre rouge de 1917. L’aile bolchevique du Parti ouvrier social-démocrate russe n’avait pas pu remporter les élections dans la République russe démocratique d’Alexandre Kerenski et a donc organisé un coup d’État avec l’aide d’une armée et d’une marine vaincues et en maraude, et a ainsi établi une solide tyrannie socialiste.

De nombreuses démocraties libérales sont affaiblies par les conflits entre partis à un point tel que des organisations révolutionnaires peuvent facilement s’emparer du pouvoir. Et il arrive que pendant un certain temps les citoyens semblent heureux que le chaos ait pris fin.

En Italie, la Marche sur Rome des fascistes en a fait les dirigeants du pays. Mussolini, un ancien socialiste, avait appris la technique de la conquête politique auprès de ses amis socialistes internationaux et, sans surprise, l’Italie fasciste fut la deuxième puissance européenne à reconnaître le régime soviétique, après la Grande-Bretagne travailliste, et bien avant les États-Unis.

La deuxième voie vers la tyrannie totalitaire est celle des « élections libres ». Il peut arriver qu’un parti totalitaire jouissant d’une grande popularité gagne un tel élan et tant de voix qu’il devienne légalement et démocratiquement le maître d’un pays. C’est ce qui s’est passé en Allemagne en 1932, lorsque pas moins de 60 % de l’électorat a voté pour le despotisme totalitaire : pour deux national-socialistes, il y avait un socialiste international sous la forme d’un communiste marxiste et un autre sous la forme d’un social-démocrate un peu moins marxiste.

Dans ces conditions, la démocratie libérale était condamnée puisqu’elle n’avait plus de majorité au Reichstag. Cette évolution n’aurait pu être stoppée que par une dictature militaire (comme envisagé par le général von Schleicher qui fut plus tard assassiné par les nazis) ou par une restauration des Hohenzollern (comme planifié par Bruning). Mais dans le cadre démocratique et constitutionnel, les national-socialistes étaient voués à l’emporter.

Comment les « nazis » ont-ils réussi à gagner de cette manière ? La réponse est simple : étant un mouvement de masse tentant d’obtenir une majorité parlementaire, ils ont visé les minorités impopulaires (plus elles étaient petites, mieux ça valait) et ont ensuite monté l’opinion publique contre elles.

Le Parti National-Socialiste des Travailleurs était « un mouvement populaire basé sur la science exacte » (les propres mots d’Hitler), militant contre des minorités détestées : les Juifs, la noblesse, les riches, le clergé, les artistes modernes, les « intellectuels », catégories qui se recouvrent fréquemment, et enfin contre les handicapés mentaux et les Tsiganes.

Le national-socialisme était la « révolte légale » de l’homme ordinaire contre ceux qui sortent de l’ordinaire, du « peuple » (Volk) contre les groupes privilégiés et donc enviés et détestés. Rappelez-vous que Lénine, Mussolini et Hitler ont qualifié leur régime de « démocratique » – demokratiya po novomu, democrazia organizzata, deutsche Demokratie – mais ils n’ont jamais osé l’appeler « libéral » au sens mondial (non américain).

Carl Schmitt, dans sa 93e année, a analysé cette évolution dans un célèbre essai intitulé La révolution juridique mondiale. Ce genre de révolution – la révolution allemande de 1933 – se produit simplement par le biais des bulletins de vote et peut se produire dans n’importe quel pays où un parti qui veut établir un régime totalitaire obtient une majorité relative ou absolue et prend ainsi le pouvoir « démocratiquement ».

Platon a rendu compte d’une telle procédure qui correspond, aussi fidèlement qu’une photocopie, à la transition constitutionnelle en Allemagne : il y a le « leader populaire » qui prend à cœur l’intérêt du « peuple de base », des « braves gens ordinaires » contre les riches roublards. Il est largement acclamé par le plus grand nombre et se constitue une garde personnelle uniquement pour se protéger et, bien sûr, protéger les intérêts du « peuple ».

AU NOM DU PEUPLE

Pensez à Hitler, à ses SA et SS, et aussi à la tendance à appliquer autant que possible le préfixe Volk (peuple) : Volkswagen (voiture du peuple), Volksempfänger (station de radio du peuple), des gesunde Volksempfinden (les sentiments sains du peuple), Volksgericht (tribunal du peuple). Inutile de dire que cette politique verbale s’est poursuivie dans la « République Démocratique allemande » où nous voyons une « police populaire », une « armée populaire », tandis que les États satellites de Moscou étaient appelés « démocraties populaires ».

Tout cela implique qu’autrefois, seules les élites avaient une chance de gouverner et que maintenant, enfin, l’homme de la rue est maître de son destin et capable de jouir des bonnes choses de la vie ! Peu importe que les réalités soient tout à fait différentes. Un très haut responsable soviétique déclarait récemment à un prince européen : 

« Vos ancêtres ont exploité le peuple en prétendant qu’ils gouvernaient par la grâce de Dieu, mais nous faisons beaucoup mieux, nous exploitons le peuple au nom du peuple. »

Ensuite, il y a la troisième voie par laquelle une démocratie se transforme en une tyrannie totalitaire. Le premier analyste politique à prévoir cette évolution jusque-là jamais expérimentée fut Alexis de Tocqueville. Il a dessiné une image exacte et effrayante de notre État-prestataire (appelé à tort État-providence) dans le deuxième volume de sa Démocratie en Amérique, publié en 1835 ; il y parlait longuement d’une forme de tyrannie qu’il ne pouvait que décrire, mais pas nommer, parce qu’elle n’avait pas de précédent historique. Il est vrai qu’il a fallu plusieurs générations pour que la vision de Tocqueville devienne réalité.

Il envisageait un gouvernement démocratique dans lequel presque toutes les affaires humaines seraient réglementées par un gouvernement doux, « bienveillant » mais déterminé, sous lequel les citoyens pratiqueraient leur quête du bonheur comme des « animaux craintifs », perdant toute initiative et toute liberté. Les empereurs romains, disait-il, pouvaient diriger leur colère contre les individus, mais sous leur règne il était hors de question de contrôler toutes les formes de vie.

Ajoutons qu’à l’époque de Tocqueville, la technologie qui permet une telle surveillance et une telle réglementation n’était pas suffisamment développée. L’ordinateur n’avait pas été inventé et donc ses avertissements ont trouvé peu d’écho au siècle dernier.

Tocqueville, libéral authentique et légitimiste, s’était rendu en Amérique non seulement parce qu’il était préoccupé par les tendances aux États-Unis, mais aussi en raison de la victoire électorale d’Andrew Jackson, le premier démocrate à la Maison Blanche et l’homme qui a introduit le très démocratique système des dépouilles, une véritable invitation à la corruption.

Les Pères Fondateurs, comme l’a souligné Charles Beard, détestaient la démocratie plus que le péché originel. Mais maintenant, une idéologie française, trop familière à Tocqueville, avait commencé à conquérir l’Amérique.

Cette évolution de mauvais augure a attiré l’aristocrate français dans le Nouveau Monde où il voulait observer l’avancée mondiale du « démocratisme », à son avis (et à sa consternation) voué à pénétrer partout et à se terminer par l’anarchie ou la Nouvelle Tyrannie – qu’il nommait « despotisme démocratique ».

Le chemin de l’anarchie est plus susceptible d’être emprunté par les Sud-Européens et les Sud-Américains (et il se termine généralement par des dictatures militaires afin d’empêcher la dissolution totale), tandis que les nations nordiques, tout en gardant toutes les apparences démocratiques, ont tendance à échouer dans la bureaucratie sociale totalitaire.

L’absence d’une philosophie politique commune est plus propice au développement de révolutions pures et simples dans le Sud, où les guerres civiles ont tendance à être « la continuation du parlementarisme avec d’autres moyens (et plus violents) », tandis que le Nord est plutôt voué à des processus évolutifs, à une augmentation rampante de l’esclavage et à une diminution de la liberté et de l’initiative personnelles.

Ce processus peut être beaucoup plus paralysant qu’une simple dictature personnelle, militaire ou autre, sans caractère idéologique et totalitaire. Les régimes de Franco et de Salazar et certains gouvernements autoritaires latino-américains, tous adoucis au cours des années, en sont de bons exemples.

TOMBER EN SERVITUDE

Tocqueville ne nous a pas dit exactement comment peut s’effectuer le changement graduel vers la servitude totalitaire. Mais il y a 150 ans, il ne pouvait pas exactement prévoir que la scène parlementaire produirait deux principaux types de partis : les partis Père Noël, principalement à gauche, et les partis Serrage de Ceinture, plus ou moins à droite.

Les partis Père Noël, avec des cadeaux pour le plus grand nombre, prennent normalement à certaines personnes pour les donner à d’autres : ils fonctionnent avec des largesses, pour utiliser le terme de John Adams. Le socialisme, qu’il soit national ou international, agira au nom de la « justice distributive », ainsi que de la « justice sociale » et du « progrès », et gagnera ainsi en popularité. Après tout, vous ne tirez pas sur le Père Noël. En conséquence, ces partis gagnent normalement les élections, et les politiciens qui utilisent leurs slogans engrangent les votes.

Les partis Serrage de Ceinture, s’ils prennent le pouvoir de manière inattendue, agissent généralement plus sagement, mais ils ont rarement le courage de défaire les politiques des partis Père Noël. Les masses qui votent, souvent favorables aux partis Père Noël, retireraient leur soutien si les partis Serrage de Ceinture agissaient de manière radicale et cohérente.

Les prodigues sont généralement plus populaires que les avares. En fait, les partis Père Noël sont rarement complètement battus, mais ils se battent parfois eux-mêmes en présentant des candidats nuls ou en provoquant des troubles politiques ou un désastre économique.

Un Saint Nicolas politisé est un triste maître. Il est impossible de distribuer des cadeaux sans une réglementation bureaucratique, l’enregistrement et l’enrégimentement de l’ensemble du pays. D’innombrables conditions sont attachées aux cadeaux reçus d’en haut. L’État s’ingère dans tous les domaines de l’existence humaine : éducation, santé, transports, communications, divertissement, alimentation, commerce, industrie, agriculture, construction, emploi, héritage, vie sociale, naissance et mort.

Cette ingérence à grande échelle a deux aspects : l’étatisme et l’égalitarisme, qui sont intrinsèquement liés puisque pour régimenter parfaitement la société, il faut réduire les gens à un niveau identique. Ainsi, une « société sans classes » devient le véritable objectif, et toute forme de discrimination doit cesser. Mais la discrimination est partie intégrante d’une vie libre, car la liberté de volonté et de choix est une caractéristique de l’homme et de sa personnalité.

Si j’épouse Marie au lieu de Brigitte, je discrimine évidemment contre Brigitte ; si j’emploie le Dr Nishiyama comme professeur de japonais au lieu du Dr O’Hanrahan, je discrimine ce dernier, et ainsi de suite. Et il ne faut plus s’étonner qu’un opéra qui rejetterait un chanteur bantou de 1 mètre 20 pour le rôle de Siegfried dans Ring de Wagner soit accusé de racisme !

En fait, il n’y a qu’une discrimination juste ou injuste. Pourtant, la démocratie égalitaire reste inflexible dans sa politique totalitaire. Le passe-temps populaire des démocraties modernes – punir les diligents et les économes, tout en récompensant les paresseux, les imprudents et les dépensiers –  est cultivé via l’État, remplissant un programme démo-égalitaire basé sur une idéologie démo-totalitaire.

La tyrannie démocratique, évoluant en catimini comme une corruption lente et subtile conduisant au contrôle total de l’État, est donc la troisième voie, et en aucune façon la plus rare, vers la forme la plus moderne d’esclavage.

Traduction Gérard Dréan pour Contrepoints.

Source en anglais


[Voir aussi :
La bureaucratie contre la liberté
Fabrice Di Vizio: « Un gouvernement qui utilise un pouvoir arbitraire et absolu, ça s’appelle une tyrannie »
Surveillance, numérisation et traçage permanent
Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !
Société libre ?
De la servitude moderne
Pass politico-sanitaire obligé : sommes-nous/glissons-nous en dictature ou pas du tout ?…
Le Forum Économique mondial de Davos promeut un contrôle total de l’information mondiale par les Big Tech
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme
En France, les libertés associatives de plus en plus entravées]




Grande-Bretagne : des journalistes désillusionnés forment une alliance contre la censure de points de vue alternatif sur le coronavirus

[Source : anguillesousroche.com]

Ces journalistes affirment que les médias traditionnels ne remettent pas suffisamment en question les récits du gouvernement.

Un groupe de 26 journalistes s’est réuni pour dénoncer l’alarmisme du COVID-19 et la censure des points de vue alternatifs par les grands médias et les plateformes Big Tech depuis le début de la pandémie.

Selon le groupe, le résultat de cet alarmisme et de cette censure est que le public reçoit une « vision déformée de la vérité ».

Le groupe s’appelle « Holding the Line: Journalists Against COVID Censorship » (Tenir la ligne : Les journalistes contre la censure du COVID).

Il se compose principalement de journalistes basés au Royaume-Uni qui travaillent pour des journaux, des radiodiffuseurs et des sociétés de relations publiques en tant que salariés ou indépendants.

Les membres ont été interrogés par Press Gazette, la plupart préférant rester anonymes par crainte de représailles de la part de leurs employeurs.

Toutefois, certains étaient plus qu’heureux d’être nommés, notamment Sonia Elijah et Karen Harradine, journalistes d’investigation pour The Conservative Woman, Tony Gosling, ancien journaliste de la BBC, et Laura Berril, journaliste spécialisée dans les relations publiques et la technologie.

La mission du groupe est de promouvoir un environnement « sans préjugés » dans lequel les journalistes peuvent exprimer leurs préoccupations et sensibiliser le public à des questions moins connues.

Pour eux, les médias font un « travail incroyable ». Mais il existe des lacunes, notamment en ce qui concerne les reportages sur le COVID, telles que « le manque de contexte pour les statistiques, la couverture adéquate des traitements alternatifs, l’examen minutieux des tests PCR, l’attention portée aux effets indésirables des vaccins ou l’examen équilibré des coûts du confinement« .

Le groupe a accusé les médias britanniques de publier souvent des rapports « induisant la peur et parfois inexacts », qui créent à leur tour une hostilité envers ceux qui préféreraient ne pas recevoir les vaccins.

« C’est sans précédent la façon dont le COVID-19 a été rapporté au Royaume-Uni, mais pas seulement au Royaume-Uni, dans le monde entier », a déclaré Sonia Elijah, l’un des membres du groupe qui a autorisé Press Gazette à mentionner son nom.

« Il n’y a eu qu’un seul récit officiel dans les médias grand public et cela n’a pas changé avec le temps.

Il n’y a eu qu’une seule ‘vérité scientifique’ autorisée à être discutée : celle approuvée par les organismes de réglementation gouvernementaux du monde entier, et même cela a été très sélectif. Cela a donné au public une vision déformée de la vérité qui a été très préjudiciable. »

Elijah a exprimé son inquiétude quant à la censure des informations qui contredisent le récit fourni par la Trusted News Initiative.

« Pendant longtemps, nous avons été dans cette ère sombre de la censure qui a été incarnée par l’initiative Trusted News qui traverse les grandes technologies et tous les médias grand public », a-t-elle déclaré.

« Elle s’est articulée autour de cette guerre contre la désinformation ou la mésinformation, où tout ce qui allait à l’encontre du récit officiel n’était pas seulement vérifié, mais supprimé ou supprimé. »

Selon M. Gosling, le groupe se fait le champion d’un débat équilibré.

Gosling a déclaré : 

« Notre principale préoccupation est qu’il y a un lobby très puissant derrière beaucoup de ces mesures du COVID, y compris le traitement, l’absence de traitement et les vaccins, évidemment, mais il n’y a pas beaucoup de lobby dans l’autre sens. Et je pense que la plupart d’entre nous ont le sentiment que nos employeurs de toutes sortes n’ont pas représenté les deux côtés. »

Gosling a fait retirer par YouTube deux de ses interviews présentant des médecins prônant un traitement précoce après le diagnostic, l’efficacité de l’ivermectine et les dangers des vaccins « expérimentaux ».

Pour illustrer la couverture « parfois inexacte », il a cité un reportage de la BBC dans lequel le collaborateur affirme que le vaccin Pfizer est « 100 % sûr » pour les enfants âgés de 12 à 15 ans. Ce n’est qu’après sa plainte que la BBC a supprimé l’affirmation « choquante » et « dégoûtante » et a fourni une correction.

Gosling a ajouté : 

« Mon objectif est d’apporter un équilibre, c’est tout. Et aussi de faire remarquer au public que les journalistes ne choisissent pas toujours ce qui est publié. »

« Ce sont les propriétaires et les rédacteurs en chef qui ont le dernier mot. Nous sommes donc tous d’accord pour dire que nous aimerions voir plus de journalistes devenir rédacteurs en chef et avoir leur propre journal, leur propre chaîne de télévision ou de radio, mais c’est très, très rare. Il y a toujours un rédacteur en chef quelque part qui dit non, je ne veux pas de ça, et c’est ce qui s’est passé, en particulier pendant cette pandémie. »

Source : Reclaim The Net – Traduit par Anguille sous roche




Des vérités sur les « vaccins » anti-covid éclatent lors d’une réunion privée de santé publique

[Sources : Les 7 du quebec]






France : les syndicats de sapeurs-pompiers unis pour rejeter la volonté de Macron d’imposer la vaccination à l’ensemble des pompiers

[Source : medias-presse.info]

 Par Pierre-Alain Depauw

le communiqué “non à la vaccination obligatoire pour les sapeurs-pompiers”



Selon une psychologue, faire peur est l’arme des gens qui ont peur

[Source : lemediaen442.fr]

Pousser les Français à se faire vacciner en leur faisant peur de la mort, c’est la stratégie de dirigeants eux-mêmes dominés par la peur. Selon Marie-Estelle Dupont, psychologue, les marchands de peur comme Karine Lacombe sont les premiers à avoir peur. Leur personnalité leur dicte leur conduite.



La menace de la carotte et du bâton pour infantiliser, la maladie pour faire peur, le monde d’avant pour rassurer. Autant de dérivés de la méthode d’interrogatoire du méchant flic et du gentil flic qui donne une cigarette en échange d’aveux. Bon, ce n’est qu’une théorie, car quand ça ne marche désespérément pas, Big Pharma passe, avec ses médias, à la menace directe (Emmanuel Lechypre), aux insultes (Thomas Porcher). De la même façon, Emmanuel Macron est passé de l’enfumage médiatique à la répression sauvage contre les Gilets Jaunes, pour finir par totalement emprisonner (euh… confiner) la population.


[Voir : La clef de la libération – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)]




Pour les non-vaccinés qui espèrent le rester

[Source : lezarceleurs.blogspot.com]

On peut d’abord rappeler le niveau de vulgarité menaçante qui prévaut au gouvernement avec ceci : 

Les non vaccinés doivent « se bouger le cul », sinon ils auront « une vie de merde » : il faut voir comment ils nous parlent !

et de menace perverse avec encore ceci :

« Pas de pass sanitaire dans les écoles,
mais nous allons mettre le paquet pour vacciner »

ce qui amène nos voisins anglais  à conclure ainsi : 

Les liens ci-après sont destinés à aider dans toutes les situations difficiles que le non-vaccinés vont devoir gérer :

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7aa23a_contre-attaque-juridique.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_2ac940_courrier-exemple-engagement-vaccinal.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_9efc4e_declaration-dengagement-pour-les-vacci.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_250963_lettre-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_7b932f_note-juridique-2021-07b-vaccination.pdf

https://data.over-blog-kiwi.com/1/41/69/90/20210725/ob_bd62f5_tract-verso-vaccination-au-travail.pdf

et




Pegasus, RSF et les journalistes « autoproclamés » du Hirak algérien

[Source : ahmedbensaada.com]

Par Ahmed Bensaada

Selon la mythologie grecque, Pegasus (Pégase en français) est un cheval ailé qui était chargé d’acheminer le tonnerre et les éclairs sur l’Olympe. Il avait aussi comme pouvoir de faire jaillir les sources d’un coup de sabot. Et comme son homologue mythologique, le pauvre hongre sorti des laboratoires de l’entreprise israélienne NSO a non seulement réussi à faire tomber la foudre et le tonnerre sur la tête de certains pays, en particulier le Maroc, mais a aussi permis de confirmer la compromission de certains « journalistes autoproclamés du Hirak » et de leurs employeurs et soutiens étrangers.

L’enquête sur la gigantesque affaire d’espionnage du logiciel Pegasus a montré que plus de 50 000 personnes ont été ciblées à travers le monde. Activistes, journalistes, avocats et politiciens ont été électroniquement espionnés par, au moins, les onze pays suivants : Arabie Saoudite, Azerbaïdjan, Bahreïn, Émirats Arabes Unis, Hongrie, Inde, Kazakhstan, Maroc, Mexique, Rwanda et Togo. Il est très important de noter que NSO, la firme qui commercialise le logiciel ne peut vendre son produit sans l’aval du Ministère de la défense israélien, ce qui en dit long sur les méthodes et l’éthique de l’entité sioniste.

Ce vaste scandale, aussi néfaste soit-il, a permis de mettre la lumière sur deux aspects importants de la géopolitique et des relations internationales. Primo, il a démontré que l’ingérence étrangère, si décriée à l’occasion du Hirak (et bien avant), n’est pas uniquement une vue de l’esprit mais belle et bien réelle. Secundo, il a confirmé que les relations sécuritaires, commerciales et politiques entre l’État hébreu et certains pays arabes ne datent pas d’hier et ont précédé les récentes normalisations (Maroc et Émirats) ou celles pressenties dans le futur (Arabie Saoudite).

Le Maroc, à lui seul, a ciblé plus de 10 000 numéros de téléphone, soit près du cinquième du total. 60% de ces cibles (6000) ont été localisées en Algérie, montrant à quel point le considérable espionnage du Royaume chérifien est focalisé vers l’Algérie dévoilant les intentions belliqueuses de ce pays envers son voisin.

L’exposition de l’Algérie à cette cybercriminalité a été souvent évoquée par le Ministre de la Communication, M. Ammar Belhimer, dans l’incrédulité (la mauvaise foi?) ambiante de celles et ceux qui ont allégrement surfé sur le Hirak. Différents articles et interviews y ont été consacrés indiquant la perspicacité de son analyse. Certaines déclarations ont été même très largement reprises par la chaine israélienne I24.

C’est au milieu de ce tintamarre médiatique provoqué par cette gigantesque affaire d’espionnage, que Reporters Sans Frontières (RSF), rebaptisé Ragotards Sans Foi (ni loi), tenta de poursuivre sa mission de dénigrement de l’Algérie. Rappelons que depuis le début du Hirak, elle n’a cessé d’user de médisance, de dénigrement et de diffamation contre l’Algérie. On se souviendra de son implication dans la résolution de l’Union européenne fin novembre 2020 et de ses nombreuses déclarations incendiaires concernant l’Algérie.

Toute honte bue, RSF publia un article dans lequel elle accusa nommément l’Algérie d’être un client de NSO et donc un utilisateur du logiciel espion Pegasus.

Khaled Drareni, journaliste « autoproclamé » du Hirak et, accessoirement correspondant de RSF, relaya évidemment cet article, comme tout employé au service de son employeur.

Celui qui a été présenté comme un « grand » et « éminent » journaliste devant l’éternel n’a pas essayé de lire toutes les multiples enquêtes (pour une fois!) bien documentées publiées par les médias, en particulier anglosaxons, dans lesquelles l’Algérie a été présentée comme une victime de l’espionnage marocain et non coupable. Il a dû jubiler à l’idée que l’Algérie soit impliquée dans l’espionnage des « démocrates » ongistes, des islamawistes offshore ou des makistes séparatistes qu’il défend bec et ongles. Il a dû fouiner longtemps à la recherche de son numéro dans la liste de ceux qui ont été espionnés pour donner de l’eau au moulin aux flots de bobards de RSF.

Les commentaires des internautes ne se firent pas attendre.

Un autre fait qui confirme l’instrumentalisation de Khaled Drareni par RSF contre l’Algérie : l’histoire de sa banderole. Alors que le journaliste « autoproclamé » du Hirak a été libéré en février 2021, la « publicité » de son incarcération est encore visible aujourd’hui à Paris.

Banderole géante de Khaled Drareni sponsorisée par RSF

Photos prises par B. Snaoui, le 26 juillet 2021 vers 23h au 25 Quai d’Ivry, Paris (75013)

Est-ce que RSF peut nous expliquer ce que fait une telle propagande mensongère dans les rues de Paris? Le hashtag #Freekhaled serait-il encore d’actualité et nous ne serions pas au courant? Ou est-ce juste une autre façon de baver son venin sur l’Algérie?

Drareni n’a évidemment pas été le seul dans cette entreprise de calomnie. Son acolyte Hamdi Baala est venu à la rescousse, demandant à RSF (sic!) si leur information était correcte alors qu’elle était contraire à l’ensemble de ce qui avait été publié par les médias internationaux!

Hé! M. Baala, si RSF le dit, c’est que c’est vrai, non?

Et vous, RSF, confirmez-lui la nouvelle pour qu’il puisse s’en donner à cœur-joie et se rouler dans la fange de la compromission qu’il semble affectionner tout particulièrement!

Mais la réponse n’était pas à la hauteur des espérances. Zut, alors!

Comme expliqué dans des articles précédents, Hamdi Baala et Khaled Drareni sont tous deux collaborateurs de Radio M, média barbouze financé par le Quai d’Orsay et ont des relations privilégiées avec CFI (Canal France International), un organisme lui aussi financé par le ministère des Affaires étrangères français. On comprend bien alors pourquoi ils s’entendent comme larrons en foire.

L’article a donc été modifié par RSF et l’Algérie a été retirée de la liste des clients de NSO au grand regret du « larron » Baala.

La tentation était si forte que des journaleux comme Drareni ou Baala ne purent y résister. La ficelle était exagérément grosse, mais le mal a été fait. Il faut dire que la haine est trop viscérale et ne peut que consumer de l’intérieur. De temps à autre, elle perce et projette des fumerolles aux relents de soufre, l’odeur fétide de Satan.

Un internaute n’a pas hésité à les confronter avec la réalité en les accusant d’avoir détourné une information erronée pour leurs desseins idéologiques.

Le 23 juillet 2021, l’ambassadeur d’Algérie en France a déposé une plainte pour diffamation à l’encontre de RSF. On pouvait y lire :

« Outre le caractère diffamatoire et mensonger, ces allégations inadmissibles relèvent de la manipulation de RSF connue pour son acharnement vis-à-vis de l’Algérie ».

De quel bord se placeront les « larrons » Drareni et Baala? Du côté légal de l’Algérie ou de celui calomnieux de RSF?

Mais poser la question, c’est y répondre, n’est-ce pas?




L’école à la maison, c’est fini

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

La consultation sur le passe sanitaire, – et adoption finale -, à vitesse grand V  dans une Assemblée nationale et un Sénat aux ordres, a occulté  l’adoption d’une autre loi inique, liberticide : celle qui met fin à l’instruction à domicile. Pourtant, le 23 juillet dernier, les scellées ont été posées sur le cercueil de l’école à la maison. Et les Français ont perdu une autre de leur liberté : celle concernant leur choix éducatif pour leurs enfants.

Dans un communiqué, la Fondation pour l’école revient sur cette interdiction qui s’est faite « au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions » :

« Lors de son vote du 23 juillet 2021, l’Assemblée nationale a définitivement adopté la loi confortant le respect des principes de la République.

Cette adoption a pour conséquence la suppression du régime déclaratif de l’instruction en famille (IEF) institué depuis fort longtemps et pourtant garanti par la Déclaration universelle des droits de l’homme[1].

Il est dorénavant remplacé par un régime d’autorisation préalable, soumis à des conditions aussi strictes que subjectives, privant de facto 62 398 enfants[2] d’un mode d’instruction parfaitement légal et régulièrement contrôlé par les services de l’État.

Comme elle l’avait annoncé précédemment, la Fondation ne peut se résoudre à la suppression d’une telle liberté fondamentale, et entamera donc lundi 26 juillet une procédure dite de « la porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel.

Rappelons que cette adoption du 23 juillet s’est faite au mépris des nombreuses alertes et objections de la part de nos institutions. Ainsi :

un premier avis du Conseil d’État sur cette loi, modifié in extremis sur pression du gouvernement[3], s’est prononcé en nette défaveur de la suppression de l’IEF en décembre 2020 ;

la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), après avoir auditionné la Fondation pour l’école, at rendu un avis défavorable le 28 janvier 2021[4] sur le projet de loi ;

le Sénat, où la Fondation a également été auditionnée, a supprimé l’interdiction de l’IEF lors de son examen du 19 mars 2021[5] et a fait part de ses plus vives inquiétudes sur la dimension liberticide d’une telle loi ;

les travaux de la Commission mixte paritaire n’ont, par la suite, pas abouti ;

le Sénat avait ensuite renouvelé ses inquiétudes devant la volonté manifeste des députés d’un passage en force, et leur refus réitéré de tenir compte des dispositifs alternatifs proposés[6].

Rappelons également que :

l’étude d’impact du projet de loi remis par le Gouvernement n’a fourni aucun chiffre permettant de démontrer les dérives séparatistes massives prétendument issues de l’IEF ;

la Direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO) a refusé de rendre publics et de communiquer à l’Assemblée deux rapports émis sur le sujet, obligeant ainsi les députés à voter « dans le noir »[7].

Ainsi, l’Assemblée nationale aura méprisé tous les avis rendus par les différentes institutions républicaines… au nom du respect des principes de la République : l’ironie de la situation n’échappera à personne.

Face à ce déni démocratique avéré, la Fondation pour l’école, associée aux collectifs L’école est la maison[8] et Liberté éducation[9], déposera une « contribution extérieure » communément appelée « porte étroite » auprès du Conseil constitutionnel, par l’intermédiaire de son avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation, Maître Guillaume Valdelièvre.

Cette procédure vise à rétablir l’IEF telle qu’elle était inscrite dans la loi française. Elle a également pour objectif de s’opposer aux nouveaux contrôles et sanctions visant les établissements scolaires indépendants (dits hors contrat). Face à ces attaques particulièrement graves de nos libertés fondamentales, nous attendons du Conseil constitutionnel qu’il réponde rapidement et favorablement à nos demandes en déclarant ces atteintes aux libertés d’instruction et d’enseignement comme étant contraires à la Constitution.

Il est inconcevable que la liberté de 67 millions de français soit ainsi piétinée par les dérives de quelques-uns[10]. »

L’étau visant à supprimer, petit à petit, la majeure partie de leurs libertés fondamentales, se resserre autour des Français.

La France bascule inexorablement dans un régime tyrannique à la chinoise.

Francesca de Villasmundo 


[1] Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948, article 26 alinéa 3 : https://www.un.org/fr/universal-declaration-human-rights/

[2] https://www.liberteeducation.com/quelques-chiffres-sur-lecole-a-la-maison/

[3] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/suppression-de-l-instruction-en-famille-comment-le-conseil-d-etat-a-declare-son-inconstitutionnalite-avant-de-se-retracter-20210601

[4] https://www.cncdh.fr/sites/default/files/a_-_2021_-_1_-_pjl_principes_de_la_republique_janv_2021.pdf

[5] http://www.senat.fr/compte-rendu-commissions/20210329/cult.html

[6] https://www.senat.fr/amendements/2020-2021/734/jeu_complet.html

[7] https://association-unie.fr/petition-nous-voulons-les-rapports-de-la-dgesco/

[8] https://lecoleestlamaison.blogspot.com/

[9] https://www.liberteeducation.com/

[10] Vademecum sur l’IEF de l’Éducation nationale, page 38 : « Les cas d’enfants exposés à un risque de radicalisation et repérés à l’occasion du contrôle de l’instruction au domicile familial sont exceptionnels. ». En 2019, 179 enfants suivis en CPRAF (cellule de prévention de la radicalisation et d’accompagnement des familles) pour des motifs de radicalisation étaient effectivement déscolarisés ou instruits en famille.




Selon la généticienne Alexandra Henrion-Caude, 4 doses de vaccin sont prévues pour chaque européen de l’Union Européenne

[Source : myessentielles via profession-gendarme.com]

https://twitter.com/_LE_GENERAL_OF/status/1417216021778378752?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1417216021778378752%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fwww.profession-gendarme.com%2Falexandra-henrion-caude-balance-du-lourd-en-direct-y-a-4-doses-qui-sont-prevues-pour-chacun-dentre-nous-y-compris-bebes%2F



Selon l’avocat Reiner Fuellmich, le front des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre

[Source : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

L’avocat Reiner Fuellmich a pris la parole le 24 juillet lors de la manifestation pour la liberté au Trafalgar Square de Westminster, à Londres

L’avocat allemand, Reiner Fuellmich, a pris la parole par l’intermédiaire d’une vidéo préenregistrée lors de la manifestation pour la liberté qui se tint au Trafalgar Square de Westminster, à Londres. En effet, des milliers de personnes se sont rassemblées le samedi 24 juillet au Trafalgar Square pour protester contre les règles de verrouillage et les vaccinations COVID-19. Un large éventail d’intervenants ont participé à l’événement, dont Kate Shemirani, David Icke et Piers Corbyn qui se sont adressés à la foule. Les manifestants sont en colère contre la récente décision qui rendra les passeports vaccinaux obligatoires en Angleterre pour accéder aux boîtes de nuit et autres lieux bondés. Boris Johnson a déclaré que la nouvelle mesure entrerait en vigueur d’ici la fin septembre.

Des dizaines de milliers de personnes dans plusieurs pays ont aussi protesté contre les mesures anti-COVID. En France, les citoyens sont descendus dans la rue pour protester à l’échelle nationale contre le laissez-passer sanitaire du président Emmanuel Macron qui réduira considérablement l’accès aux restaurants et aux espaces publics pour les personnes non vaccinées. « Liberté, liberté », scandaient des manifestants en France, portant des pancartes dénonçant « Macron, Tyran »« Big Pharma enchaîne la liberté » ou disant « Non à la passe de la honte ». Un programme similaire, appelé « laissez-passer vert », a déclenché des manifestations de colère dans toute l’Italie. Les habitants de Rome, Naples et Turin ont scandé « liberté » et « à bas la dictature » ​​contre les projets du soi-disant « pass vert ».

Vous remarquerez que dans son discours, Dr Reiner Fuellmich ne parle pas du tout d’un procès international de type « Nuremberg 2.0 » pour la simple et bonne raison qu’une telle procédure n’existe pas. L’avocat avait lui-même rétabli les faits auprès de FranceSoir concernant ce soi-disant « méga procès » qui n’est qu’une fausse rumeur propagée par des gens sans doute mal intentionnés, dans le but éventuel « de le discréditer » selon ses propres dires. C’est ce que j’avais moi-même révélé dans un article du 20 avril dernier dans lequel je faisais part d’une correspondance datant de la veille avec Me Reiner Fuellmich. Dans cette correspondance, l’avocat me confirmait que « malgré toutes les (fausses) rumeurs il n’a rien déposé auprès de la Cour pénale internationale ». Il espérait simplement rassembler les juristes de partout dans le monde qui remettent en question les mesures à la base : le test PCR Drosten. Le reste, dont le dépôt d’une plainte à la Cour pénale internationale, n’étant que des rumeurs.

Celles et ceux qui affirment qu’un procès de type « Nuremberg 2.0 » est en préparation mentent et profitent de la crédulité des gens, en propageant de faux espoirs parmi la population. Récemment, certaines personnes ont affirmé qu’elles organisaient un « Nuremberg 2.0 » devant le Palais de justice de Douglas sur l’île de Man. Elles disent avoir signifié cette procédure au procureur général John Quinn, au lieutenant gouverneur Richard Gozney et au greffier en chef Stuart Quayle. Selon cette rumeur, le rassemblement devrait avoir lieu le 1er septembre devant le tribunal de droit commun sur l’île de Man.

Je suis donc allé à la source et j’ai écrit au Palais de justice de l’île de Man pour leur demander si cette information était véridique ou non. Le directeur de la performance et des services judiciaires au Registre général, Colin Cowley. me répondit : « Cher Monsieur. Le greffe général n’a connaissance d’aucun document signifié comme indiqué et ne peut donc faire aucun commentaire à ce sujet. Salutations » Évidemment, certaines personnes diront que le procès Nuremberg 2.0 étant « secret » 🙂  le Tribunal de l’île de Man ne révélera aucune information à son sujet. Je laisse donc ce genre de commentaire aux adeptes des jeux de rôles et de fantaisie… Pour ma part, je reste dans le monde des adultes.

Colin Cowley - Isle of Man Courts of Justice

VEUILLEZ NOTER : Des dizaines de crimes contre l’humanité ont été perpétrés depuis très longtemps dans différentes régions du monde. Il n’y a qu’à regarder du côté des premiers mutants de l’espèce humaine, exposés pendant 40 ans aux essais nucléaires soviétiques, les habitants de la région du Kazakhstan ont servi de cobayes humains. La ville de Kourtchatov, base ultrasecrète où vivaient les scientifiques et techniciens avec leurs familles, n’était mentionnée sur aucune carte à l’époque. Aujourd’hui, elle abrite des êtres détruits : ils souffrent de cécité ou de faiblesse des os, ils ont parfois le visage complètement déformé. Le taux de cancer est 3 fois supérieur à la normale. Ici, les naissances monstrueuses sont légion depuis les années 50. Reconnues par l’État, ces victimes de l’atome touchent de modestes pensions. Mais les radiations ont marqué pour toujours leur patrimoine génétique.

Y a-t-il jamais eu un procès pour crimes contre l’humanité pour ces atrocités ? Non, jamais !

« C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création. »

Reiner Fuellmich



Le discours de l’avocat Reiner Fuellmich

Chers amis, il se passe quelque chose. Le front retranché des fabricants du Corona est en train de s’effriter et de se dissoudre. Et cela, parce que notre pouvoir, le pouvoir de l’humanité, est plus grand que le pouvoir de ceux qui sont de l’autre côté. Mais chez les humains, l’humanité avec ses émotions l’emportera toujours sur la numérisation et l’intelligence artificielle. Je dis cela après que le Comité d’enquête sur le corona de Berlin (Comité Corona), et ce depuis sa création le 10 juillet, a entendu les témoignages de plus de 110 experts très respectés du monde entier sur les questions suivantes. Quel est le danger du virus ? Quel est le danger des mesures anti corona pour la vie et la santé humaine et pour l’économie ? Et quelle est la fiabilité du test PCR de Drosten qui sous-tend toutes ces mesures dans le monde ? Eh bien, entre temps, même l’OMS a concédé que le virus, qu’il soit entièrement ou semi-artificiel ou naturel, n’est pas plus dangereux que la grippe ordinaire, avec un taux de mortalité par infection de 1,4 %. Et en conséquence, Singapour est tombée d’accord et a supprimé toutes les mesures. Ces mesures sont aussi mortelles et destructrices que le serait une Troisième Guerre mondiale. Et le test PCR de Drosten, qui a été déclaré par l’OMS, qui est sous le contrôle de Bill Gates et des Chinois, comme étant l’étalon d’or pour détecter les infections, est une fraude scandaleuse.

Premièrement, un test PCR ne peut pas détecter les infections. Deuxièmement, le test PCR de Drosten, avec 45 cycles d’amplification, aurait donné 100 % de faux positifs pour les cas dits de Corona. Car à partir de 24 cycles, le test n’a rien de scientifique, et à 35 cycles il produit au moins 97 % de faux positifs, selon le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer. Ce ne sont que ces soi-disant cas qui ont en réalité été truqués avec le test — à l’aide de ce test — qui ont servi de base à la détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale en février 2020. L’acronyme, d’ailleurs, de Public Health Emergency of International Concern est PHEIC, prononcé « feik » (fake / faux).

Cette détermination d’une urgence de santé publique de portée internationale était à son tour nécessaire à l’Alliance mondiale des industries pharmaceutiques et technologiques afin d’atteindre l’objectif des soi-disant vaccinations qui étaient leurs véritables intentions déclarées dès le début. Uniquement sur la base de cette urgence de santé publique de portée internationale qui est à la base de cet état d’urgence, il est possible, selon les règles de l’OMS, d’utiliser des médicaments non testés sur des humains par le biais de cette approbation d’urgence. Toutes les autres mesures (la distanciation sociale, le confinement, le port du masque, etc.) n’ont servi qu’à donner à la population, d’une part, une raison visible à une panique par ailleurs illusoire, créée uniquement par des opérations psychologiques, et d’autre part à la subjuguer pour qu’elle accepte finalement même les soi-disant vaccinations.

En réalité, bien sûr, ces vaccinations sont des thérapies géniques expérimentales, sans aucune étude scientifique à la base. Elles n’ont aucune raison d’être et ne sont même pas nécessaires. Tout d’abord, il n’existe aucune preuve d’une pandémie. Seul le faux test PCR de Drosten, avec ses faux positifs, est responsable de l’urgence de santé publique de portée internationale, comme expliqué ci-dessus. Deuxièmement, il existe des méthodes de traitement alternatives, efficaces et, en règle générale, sur le système immunitaire humain et très bien équipé pour combattre les virus, même ceux créés par l’homme. En dehors de cela, les vaccinations manquent d’efficacité, comme vient de le prouver une étude très récente de dossier scientifique concernant Pfizer Biotech. Et pour couronner le tout, ces vaccins sont extrêmement dangereux, comme le prouvent les derniers chiffres officiels des États-Unis.

Selon le VAERS, le registre officiel des événements indésirables après vaccination, 45 000 personnes sont mortes après une vaccination en 180 jours depuis le début de ces soi-disant vaccinations. Cependant, comme notre collègue Tom Renz l’a appris d’un lanceur d’alerte, ces chiffres ont été tenus secrets, et de faux chiffres ont été donnés, à savoir seulement environ 11 000 décès après vaccination. Pire encore. En temps normal, on peut supposer qu’au maximum, entre 1 % et 10 % de tous les événements indésirables réels liés à la vaccination sont signalés. Mais nous ne sommes pas en temps normal.

Les médias grand public et les politiciens, qui sont tous deux sous le contrôle des entreprises mondiales et des ONG mondiales, font tout ce qui est en leur pouvoir pour rendre l’enregistrement des événements indésirables liés à la vaccination aussi difficile que possible, de sorte qu’en réalité, il est fort probable que nous soyons confrontés à environ 500 000 morts après la vaccination, aux États-Unis seulement.

Cela fait paniquer l’autre camp, car cela ne fait pas partie de son plan. C’est pourquoi cet autre côté, sans empathie ni émotion, fait maintenant tomber tous les masques. En France, par exemple, le gouvernement menace de rendre la vaccination essentielle et d’introduire la vaccination obligatoire, et aux États-Unis le président veut censurer même les communications privées, même s’il s’agit de déclarations tout à fait correctes, dont le seul problème est qu’elles ne correspondent pas à la ligne officielle frauduleuse annoncée par le gouvernement.

Entre-temps, en Inde et en Afrique du Sud, aux États-Unis et au Canada, ainsi qu’en France, de très importantes batailles juridiques ont été engagées ou sont en train de l’être. Au Portugal, en Autriche et en Allemagne, d’excellentes décisions de justice ont été rendues stipulant que le test de Drosten et le test PCR, totalement inadaptés, ne peuvent servir de base à aucune mesure anti corona.

Le Comité d’enquête Corona de Berlin a déjà accumulé des preuves extrêmement incriminantes qui prouvent qu’il n’a jamais été question de santé, mais que « Monsieur Global », comme l’ancienne banquière d’affaires et secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis, Catherine Austin Fitts, appelle les entreprises mondiales, les ONG et leurs bailleurs de fonds. Monsieur Global poursuit exclusivement ses objectifs avec ces mesures. La destruction des économies régionales pour rendre la population mondiale dépendante des chaînes d’approvisionnement mondiales. En déplaçant la richesse de la population mondiale du bas vers le haut, c’est-à-dire vers les super riches. Réduction de la population, ce qui signifie génocide. Et l’obtention d’un contrôle total sur la population restante.

Il est évident que nous avons affaire ici à des psychopathes et des sociopathes mégalomanes qui auraient dû être arrêtés il y a longtemps, mais le moment est venu de le faire. C’est pourquoi des millions de personnes manifestent aujourd’hui dans le monde entier.

Un autre aspect doit être souligné. En plus de notre travail juridique et de nos efforts pour mettre en lumière ces sombres vérités, il existe un troisième niveau, à savoir le niveau spirituel, religieux ou cosmique. Appelez-le comme vous voulez. Et ce niveau est crucial. C’est ce que nous montre une histoire qu’un médecin allemand nous a raconté la semaine dernière. Il voulait retirer de l’argent à un distributeur automatique de billets et s’est rendu dans le hall d’une banque à cette fin. Il y avait là une femme âgée portant un masque qui a reculé craintivement devant lui parce qu’il ne portait pas de masque. Elle a dit qu’il devait porter un masque parce que sinon, elle avait peur de se contaminer, ainsi que son mari. Le médecin lui a alors dit qu’elle ne devait pas avoir peur. Il s’est approché d’elle, a enlevé son masque et l’a prise dans ses bras. La femme s’est mise à pleurer et a dit que personne ne l’avait prise dans ses bras depuis plus d’un an. C’est de cela qu’il s’agit.

C’est l’humanité contre l’inhumanité. Nous sommes humains, oui — oui, nous pouvons rire, pleurer, chanter, danser et nous embrasser. L’autre côté ne le peut pas, parce que l’autre côté n’a pas accès au côté spirituel. Par conséquent, sans aucun doute, l’autre côté sombre perdra cette bataille inhumaine contre la vie et la création.




« Se croyant tout puissants, les comploteurs qui œuvrent sous le couvert du globalisme croient pouvoir soumettre toute l’humanité et la nature sous leur joug totalitaire, mais ils s’apercevront bientôt qu’ils ne sont pas les maîtres à bord et que leur imperium disparaîtra plus rapidement qu’il n’est apparu… »

Guy Boulianne




Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021

[Source : nicolasbonnal.com]

Totalitarisme fou et absolu. Les manifs ne les font surtout pas reculer [voir : Note sur les manifestations sous le règne du NOM] : manifestation obligatoire universelle pour septembre. Les enseignants doivent se vacciner. Aucune catastrophe sanitaire nulle part, déclare Florian qui rappelle que les libertés progressent ailleurs : il faudra donc se battre ou crever comme des rats numérotés. Râler et boycotter sont déjà dépassés.

Notez bien ce que je vous annonce en ce jour du 26/07/2021. Une source proche du cabinet ministériel du premier ministre @JeanCASTEX affirme que la vaccination deviendra officiellement obligatoire, pour tous, courant du mois de septembre 2021.

Blanquer annonce la vaccination obligatoire pour les enseignants – Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)

LA VACCINATION OBLIGATOIRE S’ÉTENDRA-T-ELLE AUX ENSEIGNANTS ? CETTE MESURE, QUI SERAIT LOGIQUE, MAIS QUI EST DIFFICILE À IMPOSER POLITIQUEMENT, SEMBLE ANNONCÉE PAR UNE MAIL ENVOYÉ PAR LE MINISTRE BLANQUER À TOUS LES PERSONNELS DANS UN MESSAGE QUE NOUS REPRODUISONS CI-DESSOUS. DANS LA PRATIQUE, IL EST TROP PROBABLE QUE, DÈS SEPTEMBRE, L’EDUCATION NATIONALE SOUMETTRA SES PERSONNELS À UNE OBLIGATION VACCINALE.

https://youtu.be/RJ9VvgRJFEI



Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





Retour sur les manifestations du 24 juillet en France (plus de 200) par LaUneTv

Source : LaUneTv






Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon (France)

[Source : nicolasbonnal.com)]

Gendarmes et policiers enlèvent leur casque à Besançon… No comment (voyez à partir de la 28′)




Le bouclier du lanceur d’alerte

[Source : jbl1960blog]


[De la même source, piqûre de rappel sur l’inutilité des masques :
etude-denis-rancourt-sur-les-masques-faciaux-traduction-guy-boulianne-version-pdf-de-jbl-juin-2021.pdf
à voir aussi sur Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]




Devinez qui dicte les ordres à vos autorités sanitaires…

[Source : lilianeheldkhawam.com via Sott.net]

Par LHK

Rome, le 27 janvier 2021 – Les membres du G20 ont convenu d’établir un groupe d’experts indépendant de haut niveau (HLIP) sur le financement des biens communs mondiaux pour la préparation et la riposte aux pandémies . La décision a été prise par les membres lors des premières réunions des Délégués des Finances et de la Banque centrale du G20, le mardi 26 janvier. La pandémie de Covid-19 a créé une crise sanitaire mondiale, qui entraîne des crises économiques et sociales à travers le monde. Malgré les réponses sanitaires et économiques rapides des pays, les coûts humains, économiques et sociaux restent sans précédent dans l’histoire récente.

Le monde dans lequel nous vivons est celui de la convergence. D’ailleurs, le concept transhumaniste fait lui-même converger différentes disciplines pour finir par déboucher un jour sur un produit high-tech dérivé de l’humain, et par extension de la société digitalisée.

Si quelqu’un essaie de vous faire croire que les industriels ont développé ces dernières semaines sous la pression d’un virus des produits basés sur la nanotechnologie/la biotechnologie/la technologie de l’information et de la communication/de la science cognitive, c’est que c’est un menteur. Ces différents domaines de la technoscience travaillent main dans la main depuis près de 100 ans. Et ce qu’ils font, c’est faire converger les connaissances pour:

  1. Apprivoiser la mort et s’offrir la vie éternelle pour les uns
  2. Améliorer les performances de ceux qui vont servir pour qu’ils donnent un maximum, en un minimum de temps, sans que la chose ne leur coûte trop en matière de soins, prise en charge des familles, etc. comme cela fut le cas du temps de l’esclavage. L’hygiène des pauvres n’étant pas extraordinaire, elle peut engendrer des épidémies qui remettraient en question le souci soulevé sous le point 1.

Pourtant le nouveau monde n’est pas que celui de la convergence technologique. Il est aussi celui du centrage et de l’ancrage de la société non plus sur une identité collective, une constitution nationale, une croyance théologique, ou autre, mais sur les flux financiers.

Le coeur du nouveau modèle de société est financier.

L’économiste, membre du Club de Rome, star de la planète médiatico-économique du moment Kate Raworth l’a magnifiquement représenté dans son célèbre beignet.

Les humains, tout comme les Etats, n’ont plus à posséder des biens (casés dans la catégorie commons) sont coincés entre les flux financiers, coeur du système, et l’économie . Ils ne sont que des ressources parmi d’autres livrés à la toute-puissance finance qui subitement détient un rôle essentiel, et même vital.

La haute finance est ainsi devenue l’Alpha et l’Omega d’une société dépossédée, démotivée, mais surtout déshumanisée. En voie de robotisation. Et la micro-élite financière compte bien mener à son terme cette transmutation de l’humanité.

Eugénisme actif mais requalifié, pour les besoins de la cause, de libéral.

C’est donc avec une envie d’exploser de rire, si cela n’avait été tragique, que j’ai découvert les têtes du panel indépendant de haut niveau sur le financement de la préparation et de la réponse à une pandémie mondiale. Voici les membres du panel. Si vous suivez ce blog, vous ne devriez pas être surpris de découvrir que les cordons de la bourse en matière de santé ont été centralisés et remis à des financiers. Ce petit monde de banquiers, banquiers centraux, ministres de la santé, et autres représentants des investisseurs se réjouit très certainement de ce nouveau jalon historique qui les rapproche tous les jours un peu plus de ce monde-entreprise préparé depuis de nombreuses décennies… Grand moment d’émotion donc.

Cette équipe a la charge de proposer des solutions concrètes pour combler ces lacunes de manière systématique et durable, et pour tirer le meilleur parti des ressources des secteurs public, privé et philanthropique et des institutions financières internationales.

Vous constaterez aussi au passage que le logo de cette aréopage inclut l’appellation « Commons » puisque le faux libéralisme n’est rien d’autre qu’un pillage généralisé des ressources qui doit se terminer lorsque ces personnages et leurs mandants auront mis la main sur les dernières miettes de propriétés encore privées. Et dans notre cas, il s’agit d e la santé de l’humanité, un bien commun indispensable à la Compagnie mondiale qui est en train de se mettre en place en lieu et place des États.

En mettant la main sur la santé de manière aussi ostentatoire, ces personnes vont pouvoir modifier la sphère médicale dans le sens de la nanomédecine et de l’hôpital du futur. Qui paie, commande…

L’enjeu ultime va être celui de transformer l’humanité non pas en un Common d’esclaves, mais en une machine humaine connectée en permanence à leur système « d’exploitation » grâce auquel ils peuvent la surveiller 24/24, 7 jours/7. Jacques Attali expliquait déjà fort bien certains aspects de la chose en 2008.



Merci à l’équipe de Nouveau-Monde d’avoir rappelé cet entretien…

LHK

Je vous laisse lire ce que mon ami Bruno Bertez a écrit sur le sujet :

https://brunobertez.com/2021/07/10/les-elites-fabiennes-semparent-de-la-sante-votre-sante-vers-une-refonte-majeure-de-linfrastructure-mondiale-de-gouvernance-de-la-sante-depossession/

LES ÉLITES FABIENNES S’EMPARENT DE LA SANTÉ, VOTRE SANTÉ! VERS UNE REFONTE MAJEURE DE L’INFRASTRUCTURE MONDIALE DE GOUVERNANCE DE LA SANTÉ. DÉPOSSESSION.

Les élites fabiennes, après avoir pris le contrôle de la finance mondiale en 2008 après la crise qu’ils ont eux même créée se proposent de prendre le contrôle de la santé mondiale après la crise sanitaire de 2020.

Les peuples et leur pseudo gouvernements démocratiques sont une nouvelle fois privés de leurs pouvoirs. Dépossession!

Un groupe d’experts mondial coprésidé par Larry Summers indique que d’autres pandémies suivront et que la communauté internationale doit se mobiliser maintenant.

Même si le monde lutte toujours pour vaincre la pandémie de COVID-19, il doit agir maintenant pour renforcer sa préparation aux pandémies à venir, selon un rapport publié vendredi par un groupe d’experts nommé par le groupe du G-20. nations riches et en développement.

Le panel, coprésidé par l’économiste de Harvard Larry Summers, professeur à l’Université Charles W. Eliot, appelle la communauté internationale à investir 15 milliards de dollars par an dans des fonds supplémentaires et pour une refonte majeure de l’infrastructure mondiale de gouvernance de la santé.

« C’est un moment profond dans les relations internationales et dans la politique étrangère », a déclaré Summers plus tôt cette semaine. « Pour la première fois dans l’histoire, la sécurité de la plupart des peuples du monde dépendra moins de la résistance aux adversaires étrangers et de l’équilibre des pouvoirs que de la réponse à des menaces communes et de la promotion de la coopération. »

Le rapport du panel repose sur des bases effrayantes.

Premièrement, que la pandémie de COVID-19 représente « le plus grand revers en termes de vie et de moyens de subsistance dans le monde depuis la Seconde Guerre mondiale », replongeant des centaines de millions de personnes dans la pauvreté, tuant environ 4 millions de personnes et entraînant des pertes cumulatives qui ont été prévues à 22 000 milliards de dollars.

Deuxièmement, que nous sommes entrés dans «l’ère des pandémies» et que des événements comme la pandémie actuelle pourraient se reproduire avec une régularité effrayante dans les années à venir.

Elle repose également sur l’impératif moral et pratique d’une action collective, aidant tous les pays, y compris les plus pauvres, à se défendre contre cette pandémie et les futures.

Le panel, composé principalement d’experts économiques et financiers, a été créé en janvier par le G-20 pour déterminer comment organiser au mieux les finances de la communauté internationale pour se préparer aux futures pandémies.v

Son rapport détaillé identifie quatre domaines majeurs de prévention, de préparation et de réponse qui doivent être abordés :

  • un réseau mondial de surveillance et de recherche pour prévenir et détecter les menaces futures ;
  • des systèmes de santé nationaux plus résilients ;
  • la fourniture de contre-mesures et d’outils médicaux, pour raccourcir radicalement le temps de réponse à une pandémie et offrir un accès mondial équitable ;
  • une gouvernance mondiale qui assure la coordination et un financement adéquat.

Le prix de 75 milliards de dollars ne représente qu’une petite fraction – 700 fois moins, selon l’estimation du panel – de ce que la pandémie a coûté aux gouvernements nationaux. Le panel suppose également que les investissements, initialement prévus sur une période de cinq ans, devraient se poursuivre.

Cet argent comprendrait un fonds annuel de 10 milliards de dollars pour les menaces pour la santé mondiale, plus 5 milliards de dollars supplémentaires par an en financement supplémentaire pour les institutions internationales, y compris l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les organisations financières internationales, telles que la Banque mondiale, qui leur permettraient de débourser des fonds rapidement en cas de nouvelle pandémie.

La surveillance financière et une fonction de coordination clé seraient assurées par un Conseil des menaces pour la santé mondiale composé des ministres de la Santé et des Finances du G-20 et d’autres pays, ainsi que des chefs des principales organisations régionales. Il s’inspire du Conseil de stabilité financière, qui a été créé par le G-20 à la suite de la crise financière mondiale de 2008.

« Les investissements collectifs que nous proposons, avec des contributions équitables de toutes les nations, sont abordables », indique le rapport. « Ils sont également minuscules par rapport aux 10 000 milliards de dollars américains que les gouvernements ont déjà engagés dans la crise du COVID-19. Nous devons investir sans tarder. Ce sera une énorme erreur d’économiser à court terme et d’attendre encore une fois qu’il soit trop tard pour éviter qu’une pandémie ne nous submerge. La prochaine pandémie pourrait en effet être pire. »

Le panel comprend plus de 20 experts financiers et économiques ayant une expérience au sein du gouvernement, des organisations internationales et du secteur privé.

Summers a été secrétaire au Trésor des États-Unis sous le président Clinton et a dirigé le Conseil économique national du président Obama, et est Weil directeur du Mossavar-Rahmani Center for Business and Government à la Harvard Kennedy School. Les deux autres coprésidents sont Ngozi Okonjo-Iweala, directeur général de l’Organisation mondiale du commerce et ancien Angelopoulos Global Public Leaders Fellow à la Harvard Kennedy School, et Tharman Shanmugaratnam, ministre principal et ancien vice-Premier ministre et ministre des Finances de Singapour.


Voici 2 extraits de Dépossession où nous retrouvons:

1.- M Summers qui lutte pour la suppression du Cash

L’alliance banco-financière veut, voire exige, la suppression du cash. Evalué à environ 10% de la masse monétaire en circulation. La suppression de la prérogative de battre monnaie rendra ainsi obsolète la principale raison d’être constitutionnelle des banques centrales nationales. Ça tombe bien, la technologie dite du « blockchain », qui a émergé de nulle part au lendemain de la crise des subprimes (notamment avec le bitcoin), ne nécessite pas de supervision par un « tiers de confiance ». Normalement, cette technologie devrait être amenée à remplacer, à terme, le système bancaire classique. Pour ce faire, la suppression du cash est indispensable.

En 2016[1], le thème du World Economic Forum (WEF)  portait sur la suppression du cash. Klaus Schwab, fondateur du WEF y avait fait référence à « la quatrième révolution industrielle », en parlant de la révolution digitale[2]… Mais c’est lapublication sur le site de l’organisation qui attire l’attention. Dans « Qui sera le roi de ce monde sans cash», un nouveau monde nous est présenté avec moult références à un roi, une couronne dormante, une révolution globale et un nouvel ordre mondial. Une terminologie qui a tout de même de quoi interpeller.Et l’article de nous faire entendre que les petits acteurs auraient une chance de remporter la mise… « La révolution sans cash est en marche. Les gouvernements, les entreprises, les start-ups et les consommateurs peuvent avoir des motivations différentes pour détrôner le cash mais le résultat final sera probablement le même. Mais avec la mondialisation où « gros » est traditionnellement « beau », ce sont les plus petits acteurs — start-ups, petites entreprises et consommateurs — qui vont en définitive façonner le nouvel ordre mondial. Et pour ceux qui aiment l’innovation et les idées nouvelles ce ne peut être qu’une bonne chose »[3]Le texte n’indiquait en revanche pas les sources de financement desdites startups…

Les plus grands acteurs de la haute finance internationale vont défiler lors de cette rencontre : Bill Gates (Microsoft), Blythe Masters (ex. JP Morgan et inventrice des produits dérivés qui sont à l’origine de la crise des subprimes, reconvertie depuis dans la promotion du Blockchain[4]), Michel Sapin (alors ministre de l’Économie), Christine Lagarde (FMI) ou William White (OCDE). Leurs discours étaient convergents et militaient en faveur de la société sans cash.

Mme Blythe Masters, qui prône la suppression du K, fut accusée par The Guardian d’être la femme qui a inventé les armes financières de destruction massive, et même de manipulation des prix du marché de l’énergie. Son parcours est d’autant plus intéressant pour nous qu’elle est une double ambassadrice du nouveau monde qui se met en place. Une fois en tant que militante de la suppression du cash, et une autre fois en tant que promotrice de la blockchain et des actifs digitalisés.

Blythe ne quitta la JP Morgan qu’en 2014, mettant un terme à 27 ans de carrière. La crise des subprimes à cause de laquelle, elle fut pointée du doigt, ne fut pas source de rupture de collaboration. En fait, JP Morgan devient un client de la nouvelle société Digital Asset dont elle est CEO depuis 2015.

Selon le site web de la société, la plateforme d’actifs digitalisés, que développe l’entreprise de Mme Blythe, serait la seule à avoir été développée en fonction des besoins de production des plus grandes institutions financières de la planète. Vous ne serez donc pas étonnées de trouver certaines références sur son site, telles que : Goldman Sachs, JP Morgan, Accenture, IBM, Santander, ABN_AMRO, Price Waterhouse Coopers (un des partenaires mondiaux). Le client IBM a par exemple dévoilé récemment son « Blockchain as a service » basé sur la technologie open source « Hyperledger fabric », qui a servi à développer la version 1.0 de Linux Foundation (Info Hightech). Dans ce monde si petit de la haute finance et de la haute technologie, nous découvrons que Mme Masters[5] est aussi présidente du conseil de Linux Foundation, dont les produits sont le fruit de l’open source,et donc de « l’économie de partage » prônée par l’élite de la finance internationale… C’est par cette technologie de la Blockchain que le cash devrait être remplacé.

Des économistes américains qui font autorité au sein du monde académique international, se joignent à ces voix du WEF pour imposer la suppression du cash. On peut compter sur l’ancien Secrétaire au Trésor américain [6], le professeur [7]Lawrence Summers et l’ancien économiste en chef du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff, qui préconisent le retrait progressif des grosses coupures. « Selon Rogoff, éliminer les gros billets pourrait également servir la politique monétaire : en période de déflation, les banques centrales auraient alors plus de latitude pour imposer des taux d’intérêt négatifs, puisque la menace d’une ruée vers les banques pour récupérer les dépôts en numéraire aurait ainsi disparu. » (Alan Wheatley[8]). Mais voilà que MM Summers et Rogoff sont des membres du G30, le think tank dont nous avons déjà parlé[9]. Ils siègent donc avec de nombreux banquiers centraux (y compris MM. Paul Volcker, Ben Bernanke, et Jean-Claude Trichet), certains patrons des grandes banques too-big-to-fail, ainsi que des principaux gestionnaires d’actifs concentrateurs des  richesses planétaires…

Dans les faits, une méga alliance qui regroupe des gouvernements, des entreprises et des fondations globales a vu le jour. Better than cash alliance fut fondée par Bill& Melinda Gates Foundation (parmi les principaux promoteurs et sponsors avec la Citi et Omidyar net.), Citibank, Mastercard, Omidyar Network de Pierre Omidyar du fondateur de eBay, USAID et Visa Inc. Une série d’organisations internationales en sont membres. On y compte la Catholic Relief Services, Care, la World Food Program, World Savings Banks Institute (Institut de l’épargne bancaire mondiale), ou la Clinton Development Initiative…

Le Fonds d’équipement des Nations Unies (United Nations Capital Development Fund, UNCDF), qui vise à accompagner la réalisation des « objectifs du Millénaire » des Nations-Unies dans les pays les moins avancés, sert de secrétariat à Better Than cash alliance. Le Fonds héberge d’ailleurs l’Alliance dans ses locaux de New York. Enfin, celle-ci travaille étroitement avec les organisations supranationales. Elle représente même un outil d’implémentation du G20 Global Partnership for Financial Inclusion.


2.- La menace que font courir les partenariats multipartites à la démocratie et aux États en général

Le puissant partenariat multipartite « banques-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » se retrouve dans le Group of Thirty, Groupe des Trente ou G30. Ce think tank est une organisation privée qui traite des affaires économiques internationales et monétaires. Il rassemble de prestigieux membres de la corporation « banquiers-banquiers centraux-gestionnaires d’actifs » sous la présidence d’une personnalité dont le CV est impressionnant. Nous en retiendrons juste que M Frenkel est à la fois président et CEO du G30, tout en étant président de la JP Morgan Chase International et qu’il est aussi un ancien banquier central.(([1] Gouverneur de la Banque d’Israël entre 1991 et 2000.))

A côté de lui, figurent des banquiers centraux tels que: MM Draghi et Trichet, actuel et ancien patron de la BCE ou M Dudley, patron de la Réserve fédérale de New York. Nous y trouvons un autre banquier central reconverti en banquier commercial présidant au sort d’UBS qui est M Weber. M P Hildebrand, ancien président de la banque centrale suisse, devenu vice-président de Blackrock, ainsi que M Fischer, ancien vice-président de la Réserve fédérale et ancien gouverneur de la Banque d’Israël font partie des trente. Relevons encore au passage la présence de professeurs d’économie, dont certains sont d’ardents défenseurs de la suppression du cash.

Nous voyons ainsi une plus grande proximité entre les banquiers centraux et leurs pairs des banques commerciales et des gérants d’actifs qu’avec les citoyens qui les ont chargés constitutionnellement de défendre la politique monétaire, pilier existentiel des États et du bien-être sociétal. Ce faisant, le principe de fonctionnement d’une banque centrale nationale est dévié de sa mission de base qui suppose une indépendance sous le contrôle de son gouvernement.(([2] L’article 99 de la Constitution suisse dit : « En sa qualité de banque centrale indépendante, la Banque nationale suisse mène une politique monétaire servant les intérêts généraux du pays; elle est administrée avec le concours et sous la surveillance de la Confédération. »))

Cette proximité interroge à plus d’un titre dont le plus important est que le processus complet de la politique et de la gestion financière et monétaire planétaire, en passant par la création de la monnaie et l’administration des richesses, sont concentrés entre les mains de finalement peu de personnes. La politique des banques centrales de ces dernières années a apporté au reste des partenaires de la haute finance de l’argent frais à profusion, ainsi que les garanties des États et de l’économie réelle. Partant de ce constat, aucun État, aucune entreprise, aucun individu, ne peut plus fonctionner en dehors de la gestion de ce processus financier et monétaire global. Par conséquent, ceci confère une puissance hors normes au groupe de personnes qui dirige ledit processus !





L’épouse du Machiah sera une Française

[Source : Site du Rav Haim Dynovisz (ravdynovisz.tv)]

L’épouse du Machiah sera une Française — 20 juin 2021

En substance et résumé, notamment :

« Les Français referont la Révolution Française à l’envers, redonnant la couronne au Machiah fils de David alors que France et Israël seront réunis, ceci par le réveil du peuple et de la femme. »



[Voir aussi :
Rav dynovisz : la délivrance finale viendra de France
La France revivra-t-elle?]