La députée européenne Christine Anderson contre l’OMS et les milliardaires misanthropes

[Source : Ciel Voilé]






Un cardiologue suisse : « Réveillez-vous ! L’OMS va prendre le contrôle du monde. Refusez les vax modifiés à ARN ! »

[Source : Quadrillage Traduction]

« Chers humains, je m’appelle Thomas Binder. J’ai étudié la médecine à Zurich, obtenu un doctorat en immunologie et en virologie, me suis spécialisé en médecine interne et en cardiologie, et les 35 années d’expérience dans le diagnostic et la thérapie des infections respiratoires aiguës dans les hôpitaux, les unités de soins intensifs et dans mon cabinet privé. Il n’y a jamais eu de pandémie d’un virus tueur. Il y a eu une pandémie de lâches et nous, médecins, assistons à une pandémie de maladies graves et de morts subites et inattendues dues à des crises cardiaques, des myocardites, des dissections aortiques, des accidents vasculaires cérébraux et des embolies pulmonaires.
Thrombose dans l’inflammation de tous les organes, en particulier du cerveau et de la moelle épinière, coagulation intravasculaire disséminée, augmentation des infections, y compris COVID en raison de l’immunosuppression, cancer, maladies auto-immunes, infertilité, fausses couches et bien d’autres encore.

Ce génocide d’ARN modifié est le plus grand crime médical de l’histoire de l’humanité, une catastrophe humanitaire d’une ampleur sans précédent. »



Source :

https://twitter.com/silvano_trotta/status/1698655487623925958
[ou https://twitter.com/CalliFanciulla/status/1698658542893355356]

[Le site du docteur Thomas Binder :
https://www.thomasbinder.ch/]




La « veuve noire » dans la « maison jaune » ukrainienne

[Source : politika.rs]

[Illustration : Soldats ukrainiens (Photo EPA-EFE/Philipp Guelland)]

Par Ištavan Dekanj (31/07/2023)

L’Ukraine a-t-elle sa « maison jaune » à l’instar du Kosovo où, durant le conflit de la fin des années quatre-vingt-dix, l’on extrayait aux combattants serbes blessés des organes pour les expédier vers les pays occidentaux, marché d’organes hautement lucratif en plein développement ?

Récemment notre compatriote, Goran B., qui vit et travaille depuis plus de deux décennies à Pittsburgh aux États-Unis et qui malheureusement souffre depuis plusieurs années d’insuffisances rénales et attendait une possible transplantation de cet organe essentiel, a reçu un avis lui indiquant l’existence d’organes pour la transplantation à des prix très nettement inférieurs à ceux qui lui étaient proposés jusqu’alors. La personne qui l’a contacté n’a pas voulu se présenter se contentant de lui indiquer que les organes venaient d’Ukraine, qu’ils émanaient de donneurs sains et qu’ils étaient, par conséquent, parfaitement adaptés à la transplantation. En fait, ce à quoi a eu affaire notre compatriote en Amérique n’est que le sommet de l’iceberg appelé le marché international de transplantations d’organes.

Les candidats à la transplantation d’organes, considérés globalement au niveau mondial, sont actuellement face à une situation où règne la confusion la plus totale. En effet, sur le marché d’organes l’offre s’est très rapidement accrue à la faveur de l’apparition d’importantes quantités d’organes en provenance d’Ukraine à des prix très nettement plus bas que ceux pratiqués au préalable.

De la même manière que du temps du conflit au Kosovo sont apparus sur le territoire de l’Ukraine des « transplanteurs au noir » à l’image de la fameuse et bien connue, l’abjecte doctoresse Elisabeth Debru qui, en compagnie de membres de la société militaire privée « Mozart » dont son fondateur Andrew Milburn, mais aussi John Wesly, Henri Rosenfeld se livrait cette infâme besogne sans être inquiétée le moins du monde, s’adonnent à présent à un véritable « organ harvesting » en pourvoyant à prix réduit des organes propres à la transplantation, effectuée la plupart du temps dans des structures ayant pignon sur rue et bénéficiant d’une bonne, sinon excellente réputation.

Le nom de cette femme chirurgienne est apparu agrémenté du surnom « la veuve noire » il y a presque dix ans lors du conflit dans le Donbass en 2014. C’est alors que les organes extraits des combattants blessés ou faits prisonniers étaient envoyés en Occident où le bizness de transplantation s’était développé, principalement aux États-Unis, en Allemagne et en Israël, comme l’a indiqué aux médias russes le colonel Vitaly Kiseliov de la police de la République populaire de Lougansk.

À l’image de ce qui s’est passé au Kosovo — moment inaugural de cette pratique inqualifiable —, puis après en Irak, les « transplanteurs au noir » se déplacent toujours vers les endroits où les combats sont les plus meurtriers, où les crimes de guerre sont les plus flagrants comme c’est le cas présentement en Ukraine autour de Bakhmout.

Les jeunes gens, sans préparation aucune, mais en bonne condition physique, sont envoyés au front comme des « pigeons d’argiles » prêts à être mutilés par des éclats d’obus, par des tirs directs, devenant de la sorte, transformés en gisements d’organes pour transplantation. Les familles des malheureux soldats sont averties que leurs fils, leurs époux, leurs pères sont disparus sans laisser de traces lors de combats.

À partir des pays occidentaux, on voit arriver actuellement en Ukraine des médecins-chirurgiens, attirés par la possibilité de gains substantiels. D’après l’expert russe, Alexeï Leonkov, les interventions chirurgicales suspectes ont lieu parfois dans les tranchées mêmes sur place en quelque sorte, parfois dans les hôpitaux du pays, mais aussi à l’étranger. Les organes sont, d’après ses dires, vendus aux grandes cliniques occidentales.

Dès lors, puisque les forces ukrainiennes sont en train de subir des pertes considérables en hommes sur le front autour de Bakhmout, il est complètement logique que l’offre d’organes sur marché mondial se soit considérablement accrue et que les prix aient baissé.

Le secrétaire du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, Nicolaï Patrouchev, a fait état officiellement d’informations selon lesquelles le régime kiévien utilisait ses combattants blessés comme du matériel biologique en procédant à des extractions clandestines d’organes aux fins de transplantation.

Les Ukrainiens ne sont pas utilisés uniquement comme « des suicidés volontaires » sur le champ de bataille où leurs pertes sont colossales, mais, d’après des informations qui parviennent en Russie, les combattants blessés des Forces armées de l’Ukraine font l’objet de traitements particuliers. « Considérés simple matériel biologique, ils sont soumis à des opérations chirurgicales conduisant à l’extraction d’organes destinés à la transplantation », a déclaré Nicolaï Patrouchev à Petrozavodsk lors d’une réunion consacrée aux questions de sécurité en Carélie.

Il a ajouté qu’il n’était guère étonnant, dans ce contexte, que Zelensky ait signé l’année passée une loi sur la transplantation d’organes stipulant que l’opération peut être effectuée sans l’accord des parties.

Auparavant, la porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Marija Zaharova, lors d’un briefing en marge du Forum économique international de Sankt Petersburg, a déclaré que l’Ukraine était disposée à payer l’aide militaire en monnayant la transplantation d’organes de ses citoyens.

Traduction A.J., 1er août 2023




La Persécution des Chrétiens en Inde

[Source : fr.gatestoneinstitute.org]

Traduction du texte original : Paraded Naked and Gang-Raped: The Persecution of Christians in India

[Illustration : les restes d’une église incendiée dans le village de Langching, dans l’État de Manipur, au nord-est de l’Inde, le 31 mai 2023.
(Photo de l’AFP via Getty Images)]

Par Raymond Ibrahim

Une atrocité récente, filmée qui plus est, a mis en lumière l’horrible situation des minorités chrétiennes en Inde.

Un article de presse décrit la vidéo ainsi :

« Cette vidéo virale montre l’épreuve déchirante infligée à deux chrétiennes du Manipur. Le 4 mai 2023, ces femmes ont été exhibées nues à une foule d’hommes qui les a agressées et battues sans pitié. La plus jeune des deux femmes, âgée de 19 ans seulement, a été brutalement violée par la foule en colère, composée de membres de la tribu Meitei [hindoue]. Pour ajouter à l’horreur, quatre policiers présents seraient demeurés passifs, refusant de stopper l’agression. 

Dans la vidéo, les hommes de la tribu Meitei crient : “à poil ou on vous tue.” Les femmes ont été pelotées, giflées et frappées en public. On les entend demander grâce, sangloter et gémir d’angoisse.

Les survivants ont accusé les policiers d’avoir activement participé ou facilité cette odieuse agression. Certains prétendent que les policiers ont livré les femmes à une foule de 800 à 1 000 hommes, d’autres qu’ils sont demeurés passifs tout au long de l’assaut. Ces violences tragiques se sont produites peu après que le village de ces femmes a été rasé par les hindous Meitei. S’étant réfugiées dans une forêt voisine en compagnie de trois autres personnes, ces femmes ont rencontré des policiers, qui ont proposé leur aide. Mais en réalité, ils les ont livrées à la foule violente.

Le frère et le père de la jeune femme qui a subi un viol collectif ont lutté pour la protéger. Mais les deux hommes ont été tués par la foule en furie…

Cet incident choquant s’est produit au milieu d’affrontements ethniques croissants entre les communautés Meitei (hindoue) et Kuki (chrétienne) à Manipur. »

Les émeutes ont commencé après que les Meitei, une population hindoue majoritaire dans l’État de Manipur, au nord-est de l’Inde, ont exigé le même statut et les mêmes avantages que ceux accordés par le gouvernement aux tribus minoritaires historiquement marginalisées de l’État, dont les chrétiens Kuki (Protestants, principalement baptistes). Le conflit s’est durci et des émeutes ont éclaté entre les tribus minoritaires et la majorité Meitei, culminant avec les émeutes hindoues dans tout le Manipur. En conséquence :

« Depuis le 3 mai, les violences ont entraîné la destruction d’au moins 317 bâtiments religieux, indiquent des sources locales. Plus de 160 personnes ont trouvé la mort, selon des estimations non officielles ; mais les chiffres officiels publiés le 2 juin ont fait état de 98 morts et 310 blessées. Selon des sources locales, la majorité d’entre eux étaient membres de tribus chrétiennes. »

Plusieurs chrétiens, dont un jeune enfant, ont été brûlés vifs. Les membres de la tribu hindoue « n’ont aucun respect pour les femmes et les enfants », a déclaré un habitant. « Une femme a été tuée à l’intérieur de l’église où elle priait ; ils sont impitoyables. »

Le gouvernement indien est resté étrangement silencieux quand les attaques des Meitei ont démarré début mai. Mais il est sorti de sa torpeur le 19 juillet, une fois que la vidéo des deux chrétiennes nues était devenue virale. Le 20 juillet, le Premier ministre indien Narendra Modi a clamé son « indignation » :

« J’affirme devant toute la nation qu’aucun coupable ne sera épargné. Des mesures seront prises conformément à la loi. Ce qui est arrivé aux filles de Manipur est impardonnable… J’ai le cœur rempli de douleur et de colère. L’incident du Manipur est honteux pour toute nation civilisée. Le pays tout entier a été humilié. »

Cependant, comme le souligne un média, « la première arrestation, 77 jours après l’incident, a été signalée aujourd’hui [20 juillet], soit un jour après que la vidéo soit devenue virale » et le jour même ou Modi a souligné la gravité des évènements de Manipur.

En conséquence :

« Le Premier ministre Narendra Modi et le gouvernement du Manipur ont été critiqués pour leur réponse tardive à l’incident. Le Premier ministre n’a abordé la question qu’une fois la vidéo du viol devenue virale. Du coup, les spéculations se sont donné libre cours sur ces réactions tardives. »

Le gouvernement hindou, comme la presse internationale d’ailleurs, s’est bien gardé d’évoquer l’identité religieuse des assaillants et a fortiori celle des victimes. Ils n’ont parlé que d’« affrontements sectaires » entre les Meitei (hindous) et les Kuki (chrétiens).

Il s’agit là d’une tactique familière. Elle est à l’œuvre quand les médias occidentaux évoquent les affrontements entre bergers peuls et agriculteurs au Nigeria. Personne ne dit que les Peuls sont des djihadistes génocidaires engagés dans un combat mortel contre les « agriculteurs » chrétiens.

Au Manipur, la religion encore — le puissant courant du nationalisme hindou considère les Indiens chrétiens comme des traîtres — semble être au cœur des affrontements. « Après avoir incendié les églises, les émeutiers ont hissé leur drapeau au sommet des églises », a déclaré un pasteur Kuki. « C’est comme s’ils voulaient montrer qu’ils avaient conquis l’église, le lieu religieux sacré de notre culte. »

Après avoir dénoncé la « complicité » du gouvernement et de la police du Manipur dans ces « violences odieuses », l’archevêque Joseph D’Souza de l’Église anglicane du Bon Pasteur de l’Inde et président du Conseil chrétien de toute l’Inde, a écrit :

« Qu’il s’agisse de l’Uttar Pradesh, du Madhya Pradesh ou d’autres États la situation des minorités chrétiennes est la même. Dans toute l’Inde, la police locale ne s’interpose pas entre les hindous extrémistes et les malheureux chrétiens Kuki.

L’identité chrétienne des victimes de violence au Manipur ne fait pas la une des journaux. Mais les autorités indiennes ne peuvent plus nier la réalité : il s’agit d’une attaque religieuse, autant que d’un nettoyage ethnique barbare…

Le Premier ministre du Manipur — qui sympathise avec les extrémistes hindous du Meitei — prétend que des centaines d’incidents similaires ont eu lieu. Les troubles surviennent des deux côtés explique-t-il, mais cette présentation des faits est trompeuse. Car nul ne mentionne jamais que les chrétiens Kuki représentent la grande majorité des victimes.

Le jour de sa démission, le vice-président du BJP (Bharatiya Janata Party) de l’État voisin du Mizoram a déclaré qu’à son humble avis, le BJP était devenu un parti antichrétien. L’Inde et le monde entier ont ainsi pris conscience que les viols et les meurtres de nombreuses femmes, ainsi que les incendies de maisons et d’églises, constituent des attaques volontaires et ciblées contre les chrétiens Kuki.

Aujourd’hui, l’évidence est là : des hindous radicalisés mènent une guerre à grande échelle contre les chrétiens Kuki avec la complicité de la police. Nul ne peut nier les destructions de centaines d’églises, les déplacements massifs de chrétiens Kuki, et le viol brutal de leurs femmes. »

L’archevêque Dominic Lumon d’Imphal a dénoncé lui aussi le fanatisme religieux antichrétien :

« La renaissance de la religion indigène et l’émergence de milices… pour protéger cette même religion traditionnelle (le sanamahisme) des [supposées] agressions du christianisme, passe totalement inaperçue en dehors de l’État de Manipur. Les chrétiens Meitei savent désormais ce qui les attend s’ils ne reviennent pas à leur religion d’origine. Certains pasteurs ont été invités à ne pas reconstruire les églises. Les minorités sont systématiquement réduites au silence. N’est-ce pas un autre “Ghar Wapsi” ? »

« Ghar Wapsi » signifie « rentrer chez soi ». Le terme fait référence au programme mis au point par diverses organisations nationalistes hindoues pour « convaincre » les hindous « dévoyés » convertis au christianisme ou à d’autres religions de revenir « chez eux », c’est-à-dire vers la religion d’État de l’hindouisme.

Les violences croissantes subies par les chrétiens a même propulsé l’Inde au onzième rang des pays persécuteurs de chrétiens. Selon le rapport de World Watch List :

« En 2023, certains États [en Inde] sont devenus des endroits effrayants pour les chrétiens.

Ces dernières années, l’Hindutva a pris un essor vigoureux : cette idéologie affirme que les hindous sont les seuls vrais Indiens et que les chrétiens, les musulmans et toutes les autres minorités religieuses doivent être expulsés en raison de leurs racines “étrangères”. Les extrémistes hindous semblent jouir d’une grande impunité dans leurs attaques, et dans certaines régions du pays, ils recourent à une violence extrême.

De plus en plus d’États votent des lois anti-conversion, censées empêcher les hindous d’être convertis de force à d’autres religions, mais en réalité, ces textes servent de paravent au harcèlement et à l’intimidation des chrétiens qui ne font que distribuer de l’aide ou organiser une prière collective. Ces lois ne protègent pas les chrétiens contre la contrainte de retourner à l’hindouisme.

Les chrétiens sont de plus en plus confrontés à l’exclusion sociale dans leurs villes et villages, à la discrimination sur le lieu de travail et doivent endurer de fausses accusations et des rumeurs.

Les chrétiens les plus menacés sont les hindous qui ont quitté leur foi d’origine. Dans certaines régions de l’Inde, les “incitations” à revenir à l’hindouisme passent par l’exclusion sociale, la discrimination au travail, des agressions physiques et même le meurtre. Les prêtres et pasteurs sont particulièrement vulnérables. Être pasteur est aujourd’hui l’une des vocations les plus risquées du pays. Eux-mêmes, leurs femmes et leurs enfants sont une cible, car à travers eux, les extrémistes hindous sèment la peur dans la communauté chrétienne. »

World Watch List classe les persécutions subies par les chrétiens en Inde dans la catégorie « extrême », au même titre que des pays comme la Corée du Nord, la Somalie et le Yémen. « Extrême » est la pire des catégories. Il n’en existe aucune autre au-dessus.

Déshabiller les femmes chrétiennes, les exhiber en public et les violer collectivement pourrait n’être qu’un début.

Raymond Ibrahim, auteur de Defenders of the West, Sword and Scimitar,Crucified Again et The Al Qaeda Reader, est Distinguished Senior Shillman Fellow du Gatestone Institute et Judith Rosen Friedman Fellow du Middle East Forum.



Tucker Carlson pessimiste sur l’avenir des États-Unis (et du monde)

[Source : @Cielvoile]






Mike Yeadon : « Il n’existe pas de virus respiratoires »

[Source : @TheAmir]






La révolution permanente du « zéro net » : une guerre contre la démocratie

[Source : reinformation.tv]

Par Jeanne Smits

Une intéressante chronique du Telegraph de Londres dénonce la guerre contre la démocratie que constitue la « révolution permanente du zéro net », cette obligation faite au Royaume-Uni (de la même manière qu’à l’Union européenne) d’arriver à des émissions de CO2 neutres dans un délai donné, sans le moindre égard pour la volonté des électeurs à ce sujet. Allister Heath y voit une nouvelle variante des fameux « plans quinquennaux » propres aux économies communistes planifiées, par lesquels des planificateurs centralisés imposent des objectifs et des moyens pour y parvenir, sans dire au public « l’horrible vérité » à leur sujet.

« Une nomenklatura “verte” dispose désormais d’un immense pouvoir », observe l’éditorialiste : au Royaume-Uni, tous les partis — conservateurs, travaillistes, « Lib Dems » — ont souscrit aux plans quinquennaux contraignants qui définissent les « budgets carbone » avec leurs émissions maximales, et au passage, font de l’ingénierie sociale à hautes doses.

« Savez-vous, cher lecteur, que nous sommes actuellement sous le régime de notre quatrième budget carbone de cette espèce, qui court de 2023 à 2027 ? Avez-vous conscience de ce que les deux suivants — qui nous mènent jusqu’en 2037 — sont déjà gravés dans le marbre de la loi, moyennant quoi les deux ou trois élections générales ne seront que des mascarades ? », écrit Allister Heath. Et tout écart par rapport à ces objectifs pourrait donner lieu à des procédures contre l’État de la part d’associations écologistes.

Le « zéro net » avec ou sans Brexit

Le Royaume-Uni a beau avoir quitté l’UE, les accords de Paris chapeautés par l’ONU s’appliquent aussi outre-Manche et aboutissent à des contraintes qui s’apparentent à celles mises en route dans l’Union. Ainsi, les Britanniques vont-ils comme nous être sévèrement bridés dans leurs choix de consommation, énergétiques notamment. D’ici à un an et demi, aucun logement neuf au Royaume-Uni ne pourra être équipé d’une chaudière à gaz. Dans 7 ans, il sera illégal d’acheter des véhicules à pétrole neufs. Dans douze ans, le remplacement d’une chaudière à gaz par un dispositif du même type sera à son tour prohibé.

Tout cela a été mis en place en 2008 par Ed Miliband, ministre de l’Énergie, avec une loi sur le « Changement climatique » votée par la quasi-totalité des membres du Parlement : « L’équivalent d’un nouveau traité de Maastricht, un bouleversement profond qui à terme, provoquera la réaction furieuse de l’électorat qui prendra conscience d’avoir perdu tout contrôle. » À l’origine, la baisse des émissions de CO2 devait atteindre 80 % en 2050 par rapport aux chiffres de 1990 ; en 2019, Theresa May a porté ce pourcentage à 100 %. Le tout selon un échéancier extrêmement strict.

Les trois premiers plans quinquennaux ont été respectés, note Alister Heath, entre 2008 et 2022, « sans trop d’efforts » : c’est la « combinaison d’une récession, de la désindustrialisation continue, de l’insuffisance de construction d’infrastructures et de logements neufs et du recours accru aux renouvelables » qui a rendu la chose possible.

Les nouveaux plans quinquennaux imposent la révolution contre la démocratie

Mais « la douleur s’installe », note le chroniqueur, alors que propriétaires et automobilistes sont de plus en plus frappés par les conséquences de cette politique. Au fur et à mesure que le pourcentage de coupes augmente, de nouveaux secteurs vont être touchés : l’aviation civile, le transport de marchandises, les obligations d’isolation par exemple. La « décarbonation » ne déplaît pas tant qu’elle ne touche pas visiblement au portefeuille des électeurs : une fois ce pas franchi, les électeurs s’y opposeront « avec fureur », prévoit Heath, et d’autant plus qu’ils comprendront que le législateur n’y pourra rien.

Le Climate Change Committee (CCC) qui pilote les plans et définit les arbitrages par secteur estime d’ailleurs que le recours aux nouvelles énergies et à d’autres moyens technologies ne suffira pas : « Les véhicules électriques ne suffiront pas, il faudra quand même rouler moins. Il nous faudra moins prendre l’avion, même en utilisant de l’énergie “durable”. Il nous faudra manger 20 à 35 % de viande et de produits laitiers en moins », avertit Allister Heath. Le CCC, précise-t-il, est une agence aux pouvoirs gigantesques, « que seule dépasse probablement la Banque d’Angleterre ».

La révolution du zéro net, une machine à appauvrir l’Occident

Ne pourrait-on pas nommer un président plus souple à l’heure où le CCC embauche son nouveau chef ? « De toute façon, le zéro net est sur pilotage automatique, et les échéances trop figées pour éviter des restrictions handicapantes, une très forte augmentation de la dette et des coupures d’énergie par roulement », constate le chroniqueur.

Décidément, la course vers le « net zéro » est une machine à appauvrir les pays développés. On le savait déjà, les politiques en place ne pouvaient l’ignorer : ce qui nous est imposé par l’Union européenne ou le CCC outre-Manche est ce qu’ils ont approuvé en toute connaissance de cause et complicité, contre les peuples.




La promotion de pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique et la surmédicalisation

[Source : tribunaldelinfaux.com]

Par Julie Levesque

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Connaissez-vous l’expression « disease mongering », le « façonnage de maladie » ?

Selon une édition spéciale de la revue médicale PLOS sur ce sujet en 2018, il s’agit de pratiques consistant à « “vendre des maladies” afin de promouvoir la vente de médicaments ».

Sur les comprimés :
Conquérez la timidité, améliorez votre mémoire, bonheur, meilleur sexe, pas de sautes d’humeur.

Dans l’article La stratégie de Knock, publié en 2017, le Collectif Formindep dénonce ces techniques lucratives qu’il décrit comme « un ensemble de pratiques destinées à accroître le marché d’un produit de santé par la création ou la modification d’entités nosographiques », ces dernières étant mieux connues sous le nom de « maladies ».

Créé en 2004, Formindep est une association française regroupant « des professionnels de santé, des patients et des citoyens soucieux de favoriser une formation professionnelle et une information, auprès du public, indépendantes, c’est-à-dire dégagées de toute influence d’organismes pouvant avoir d’autres finalités que l’intérêt seul des patients ».

Le Collectif ajoute dans l’article de 2017 :

« Ces pratiques visent à étendre le domaine de la maladie. Elles orientent les plans de recherche, soutiennent des actions de communication grand public, incitent les autorités sanitaires à lancer des campagnes de dépistage systématisé et biaisent la formation médicale continue et les recommandations de bonnes pratiques. » (Soulignements ajoutés)

Déjà-vu ?

Formindep écrit que ces pratiques prenaient une telle ampleur il y a une dizaine d’années que le Parlement européen a commandé un rapport à ce sujet en 2012 : Disease Mongering (Pseudo-Disease Promotion) (Le façonnage de maladie (la promotion de pseudo-maladies).

Voici le résumé du rapport :

« Le façonnage de maladies est la promotion des pseudo-maladies par l’industrie pharmaceutique dans le but d’en tirer des avantages économiques. Les fabricants d’équipement médical, les compagnies d’assurance, les médecins ou les groupes de patients peuvent également l’utiliser pour réaliser des gains monétaires ou exercer une influence.Cette pratique a augmenté parallèlement à la “médicalisation” de la société et à la croissance du complexe pharmaceutique. En raison des investissements massifs dans le marketing et le lobbying, de l’utilisation abondante d’Internet et des médias, et de l’émergence de nouveaux marchés, la question devient préoccupante, et les décideurs devraient être conscients de ses dangers et de ses conséquences. » (Soulignements ajoutés)

Par croissance du complexe pharmaceutique, on précise plus loin que cela comprend « son pouvoir et son influence ». Un exemple cité de pseudo-maladie est le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).

Les auteurs du rapport notent plus loin que ce phénomène date des années 1990 :

« Un nombre croissant de publications médicales et scientifiques (en grande partie datant du début des années 90, mais plus particulièrement des dix dernières années) prouve l’émergence de ce phénomène. » (Soulignements ajoutés)

Ils concluent :

« Le façonnage de maladie (promotion des pseudo-maladies) est une réalitécompte tenu de la littérature scientifique disponible, en particulier dans les économies développées, les États-Unis, l’Australie et l’UE. » (Soulignements ajoutés)

Chez nous, on le sait, l’industrie est vénérée et les pilules ont la cote.

En avril 2021, TVA rapportait que les Québécois sont « les champions des médicaments » au pays :

En 2019, un média de l’UQAM, Pourquoi. media affirmait que le Québec était surmédicamenté en ce qui a trait au TDAH :

« Le Québec est un champion incontesté en ce qui a trait à la proportion d’adolescents qui consomment des médicaments reliés au trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH). Dans les faits, le taux de prévalence de consommation au Québec est trois fois plus élevé que dans le reste du Canada.Le taux de prévalence du TDAH chez les adolescents québécois, lui, est de deux à trois fois plus élevé que celui observé dans la population mondiale. » (Soulignements ajoutés)

On explique ce phénomène, entre autres, par l’accès plus facile aux médicaments en raison des assurances et à « une panoplie de professionnels de la santé […] en droit de porter un diagnostic selon leur propre grille d’analyse ».

Parmi les types de façonnages de maladie, le Collectif Formindep cite ceux-ci :

  • « la transformation de facteurs de risque (hypercholestérolémie, hypertension artérielle, glycémie) en maladie définie par le franchissement de seuils de marqueurs (exemples : cholestérolémie, tension artérielle), indépendamment des caractéristiques cliniques du sujet. L’abaissement continu des valeurs considérées normales fait basculer mécaniquement un nombre croissant de personnes de l’état de santé à celui de malade et de client potentiel, et l’intensification des traitements accroît le marché par patient traité ;
  • l’élargissement de la définition des maladies par l’élargissement des critères diagnostiques, la création de pré-maladies (exemples : trouble cognitif léger, pré-diabète, ostéopénie) ;
  • la création de nouvelles entités nosographiques par le rassemblement de symptômes en syndromes et maladies (exemples : syndrome métabolique, fatigue chronique, fibromyalgie, maladie de Lyme chronique) ;
  • la pathologisation de conditions normales (exemple : ménopause, ostéoporose liée à l’âge, timidité, fluctuations de la libido). » (Soulignements ajoutés)

Les auteurs ajoutent que les campagnes de sensibilisation des maladies sont des campagnes de marketing déguisées, permettant « aux firmes pharmaceutiques d’atteindre directement le consommateur, contournant ainsi l’interdiction qui leur est faite de communiquer sur leurs produits ». C’est ainsi que, selon eux, le mois d’octobre est devenu le mois rose de la sensibilisation au cancer du sein et que novembre est devenu Movember, un mois bleu dédié à la santé masculine.

« Le message délivré suit un schéma invariable : il existe une maladie sournoise, avançant sans symptômes ou sous des symptômes anodins et peu spécifiques, beaucoup plus répandue et grave qu’on ne le croit, qu’il faut dépister et traiter tôt. Nombre de ces campagnes s’accompagnent de pseudo-tests (questionnaires) de dépistage qui se caractérisent par leur faible valeur prédictive positive, multipliant les faux positifs et alarmant à tort la population [4]

Si les bénéfices d’un dépistage et d’une prise en charge précoce sont indéniables dans certains cas, de nombreux travaux ont remis en question l’utilité de ces campagnes et ont permis de mettre en évidence les problèmes de santé publique liés au surdiagnostic, au surtraitement et à la iatrogénèse qu’elles entraînent [5].

Toutes ces pratiques concourent à multiplier le nombre de personnes étiquetées “malades”, la proportion des personnes à traiter parmi elles, et pour chacune à accroître l’intensité du traitement. Il s’agit d’un disease mongering à visée purement quantitative, jouant sur la définition des maladies pour accroître les volumes de ventes. » (Soulignements ajoutés)

On ne peut faire autrement que penser aux « malades asymptomatiques » à la lecture de ces pratiques de façonnage de maladies.

Ce phénomène, le Dr Sauveur Boukris l’avait déjà exploré dans son livre paru en 2013, La Fabrique de malades : Ces maladies qu’on nous invente.

Le résumé de ce livre regorge de parallèles avec la crise covid :

« Cholestérol, hypertension, cancer, dépression, ostéoporose, ménopause, etc. : et si l’on en faisait un peu trop ?L’excès de médecine nuirait-il à la santé ?

“Tout bien portant est un malade qui s’ignore”, disait le docteur Knock. Aujourd’hui, “tout bien portant est quelqu’un qui n’a pas eu de dépistage”. Des centaines de milliers de Français consultent à l’hôpital ou en cabinet pour pratiquer un bilan médical, radiologique ou biologique. Inquiets et prudents, ils pensent qu’il vaut mieux prévenir que guérir et comptent ainsi éviter une maladie silencieuse.

Dans ce livre, le docteur Boukris évoque la “médecine marketing” et montre comment on manipule médecins et malades en jouant sur les peurs, comment on médicalise nos vies pour pratiquer davantage d’examens biologiques, de radiographies et faire consommer toujours plus de médicaments.

Transformer des sujets bien portants en malades potentiels, tel est l’objectif de certains secteurs médicaux, privés ou publics, qui transmettent un message trompeur, lequel engendre de l’anxiété et génère un gâchis financier.

Surmédicalisation, surdiagnostic, surtraitement, ce document nous ouvre les yeux sur des pratiques du monde médico-industriel qui peuvent être nuisibles pour la santé et bouleverse de nombreuses idées reçues. » (Soulignements ajoutés)

Malgré toute la littérature pré-covid sur le façonnage de maladies, les journalistes n’ont pas abordé ce sujet pourtant révélateur des mécanismes trompeurs employés par une industrie qui commande la foi et envers laquelle trop de critiques sont qualifiées d’« antiscience » et de complotisme.

Douter des motivations profondes d’une industrie à but hautement lucratif n’a rien de complotiste. Au contraire, ces doutes sont fondés sur des phénomènes très bien documentés et répétitifs de manipulation, de fraude, de mensonges et de corruption, au point de satisfaire les critères du racket dans la loi américaine Racketeer Influenced and Corrupt Organizations Act (RICO) de 1970, comme l’explique Pete Gøtzsche dans Remèdes mortels et crime organisé. Comment l’industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé, un livre publié aux Presses de l’Université Laval :

« Le racket consiste à commettre un certain type d’offense à plus d’une reprise. La liste des offenses qui constituent du racket inclut l’extorsion, la fraude, les infractions fédérales liées à la drogue, la corruption, les détournements de fonds, l’obstruction de la justice, l’obstruction de l’application de la loi, la subornation de témoins et la corruption politique. Les grosses pharmaceutiques s’adonnent si souvent à tout cela constamment qu’il ne peut y avoir aucun doute que son modèle d’affaires satisfait aux critères du crime organisé. » (Soulignements ajoutés)

Dans sa recension du livre, publiée sur le site de L’association canadienne de justice pénale, partenaire de la Société de criminologie du Québec, André Normandeau, criminologue et professeur à l’Université de Montréal écrit :

« Un rare livre criminologique écrit à la fois de façon populaire tout en étant bien assis sur la recherche de la vérité. Un jour, nous aurons besoin d’un autre Peter Gotzsche pour faire le procès scientifique de la pandémie du coronavirus, dit le Covic-19 (sic), en pensant aux lacunes “peut-être de nature criminelle” du monde médical et du monde politique qui n’ont pas prévu de façon satisfaisante la crise sanitaire que nous avons vécu en 2020 et qui n’ont pas préparé la réponse médicale à cette crise de façon appropriée, me semble-t-il. »

(Soulignements ajoutés)

Alors que bon nombre de citoyens se retrouvent devant les tribunaux pour avoir désobéi aux règles arbitraires et antiscientifiques mises en place en 2020, l’industrie s’en tire avec des profits records et quelques questions embarrassantes sur leurs injections de la part de députés qui font leur travail, comme on l’a vu en Australie le 3 août dernier (audiences intégrales).

Les représentants de Pfizer n’ont jamais répondu à la question « Pfizer a-t-il testé l’efficacité de son vaccin covid pour arrêter ou baisser la transmission du virus ? » :

En 2023, le slogan « sûr et efficace » a perdu énormément de crédibilité et les représentants des pharmaceutiques ne font pas bonne figure lorsqu’ils tentent de le justifier… en répétant que leurs injections sont sûres et efficaces, malgré les preuves du contraire établies par de nombreux chercheurs indépendants qualifiés, comme le World Council for HealthDoctors for Covid Ethics et un groupe de chercheurs danois, ayant découvert des différences considérables dans l’incidence d’effets secondaires entre les lots d’injections, dont un provoquant des effets secondaires 1 fois sur 20.

Cette étude est bien vulgarisée par le Dr John Campbell dans cette vidéo :

Comme l’explique Lynn Payer dans un livre avant-gardiste sur le sujet publié en 1992, Disease-Mongers : How Doctors, Drug Companies, and Insurers Are Making You Feel Sick (Les façonneurs de maladies : Comment les médecins, les sociétés pharmaceutiques et les assureurs vous font sentir malade) :

“Essayer de convaincre les gens qu’ils sont malades ou ceux qui sont légèrement malades qu’ils sont très malades est très lucratif.”

Essayer de convaincre les gens qu’ils risquent d’être malades l’est peut-être encore plus.




L’UE soutient le plan de Bill Gates visant à lutter contre le réchauffement de la planète en bloquant le Soleil

[Source : aubedigitale.com]

Par Frank Bergman

L’Union européenne (UE) a apporté son soutien au projet radical du cofondateur de Microsoft, Bill Gates, de « lutter contre le réchauffement climatique » en bloquant la lumière du soleil pour faire baisser la température sur Terre.

L’UE se joindra à un effort international mondialiste visant à examiner l’efficacité du plan.

Les gouvernements de plusieurs pays se joignent à des agences bureaucratiques non élues pour déterminer si une intervention à grande échelle telle que la déviation des rayons du soleil ou la modification des schémas météorologiques de la Terre sont des options viables pour « lutter contre le changement climatique ».

Comme Slay News l’a précédemment rapporté, Bill Gates défend depuis longtemps le projet de lutte contre le « réchauffement climatique » en recourant à la géo-ingénierie expérimentale pour bloquer le soleil.

L’idée, défendue par Bill Gates et le milliardaire gauchiste George Soros, consiste à injecter des nuages blancs artificiels dans l’atmosphère afin de réfléchir la lumière du soleil loin de la surface de la planète.

Ce projet radical permettrait d’abaisser la température de la planète et de « lutter contre le réchauffement climatique ».

Soros prétend que cette technologie contribuera à empêcher la fonte des calottes glaciaires.

Selon lui, la fonte des calottes glaciaires du Groenland, en particulier, pourrait condamner la civilisation humaine.

« Notre civilisation risque de s’effondrer en raison de l’avancée inexorable du changement climatique », a déclaré Soros.

« La fonte de la calotte glaciaire du Groenland augmenterait le niveau des océans de sept mètres. »

« Cela menace la survie de notre civilisation », a-t-il affirmé.

La méthode préconisée par Bill Gates consiste à augmenter les concentrations d’aérosols dans la stratosphère afin de réfléchir le rayonnement solaire loin de la Terre.

Bill Gates a financé un important projet à Harvard utilisant des ballons pour déployer des aérosols.

Ce projet a toutefois été interrompu à la suite d’une levée de boucliers de la part de l’opinion publique.

Selon un projet de document consulté par Bloomberg, l’Union européenne évalue les conséquences du « réchauffement climatique » sur la sécurité, notamment le risque que la pénurie d’eau ou de nourriture ne déclenche des conflits et des migrations.

Une partie de cette évaluation comprend l’étude des dangers potentiels de la réingénierie de l’atmosphère.

« Ces technologies présentent de nouveaux risques pour les personnes et les écosystèmes, mais elles pourraient également accroître les déséquilibres de pouvoir entre les nations, déclencher des conflits et soulever une myriade de questions éthiques, juridiques, politiques et de gouvernance », selon le document, qui est susceptible d’être modifié.

En se lançant dans ces recherches, l’Union européenne se trouve au cœur du débat sur la question de savoir si la géo-ingénierie du climat est une bonne science ou si elle n’est qu’une distraction de science-fiction.

Ces projets de géo-ingénierie ont des conséquences potentiellement dangereuses pour la planète et son atmosphère.

L’Union européenne souhaiterait que des discussions internationales aient lieu sur l’élaboration de règles applicables à ce secteur naissant.

« L’UE soutiendra les efforts internationaux visant à évaluer de manière exhaustive les risques et les incertitudes liés aux interventions sur le climat, y compris la modification du rayonnement solaire », selon le document.

Ces interventions à grande échelle sont apparues parallèlement aux progrès scientifiques et à la crainte croissante que les pays ne dépassent l’objectif de l’agenda vert, qui est de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius.

Le blocage des rayons du soleil est désormais fréquemment présenté comme un moyen de lutter contre ce qu’on appelle la « crise climatique ».

Les critiques mettent toutefois en garde contre les effets secondaires imprévus de plans aussi radicaux, tels que l’altération de régimes pluviométriques vitaux ou un refroidissement excessif de la Terre qui entraînerait une ère glaciaire.

Certains scientifiques ont appelé à la conclusion d’un accord international de non-utilisation de ces solutions.

D’autres experts, quant à eux, affirment que les rapports faisant état d’une « crise climatique » sont un canular destiné à attiser la peur du public dans le but d’augmenter les impôts et de restreindre les libertés.

Comme Slay News l’a déjà rapporté, le célèbre écologiste Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace, avertit le public que le discours contre le dioxyde de carbone est une escroquerie.

Moore, écologiste et militant écologiste depuis plus de 50 ans, affirme que l’augmentation du taux de dioxyde de carbone dans l’atmosphère est bénéfique.

Selon lui, les affirmations selon lesquelles le changement climatique est « causé par l’homme » sont de la « propagande » qu’il qualifie de « dangereuse ».

Les commentaires de Moore, un expert de premier plan en matière d’environnementalisme, vont directement à l’encontre de l’agenda vert mis en avant par l’administration de Biden et les groupes mondialistes tels que l’Organisation des Nations unies (ONU) et le Forum économique mondial (FEM).

Selon Moore, l’environnementalisme a été détourné et le mouvement a « abandonné la science et la logique au profit de l’émotion et du sensationnel ».

« Lorsque Greenpeace a commencé, nous avions une forte orientation humanitaire, pour sauver la civilisation de la destruction par une guerre nucléaire totale », a déclaré Moore.

Au fil des ans, la « paix » de Greenpeace s’est progressivement perdue et mon organisation, comme une grande partie du mouvement écologiste, a dérivé vers la conviction que les humains sont les ennemis de la Terre.

Traduction de Slay News par Aube Digitale




L’inversion vaut aussi pour la drogue

[Source : reseauinternational.net]

Le succès massif de l’éradication de l’opium par les Taliban soulève des questions sur ce que faisaient vraiment les États-Unis (et l’OTAN) depuis le début

Par Alan MacLeod

Le gouvernement taliban d’Afghanistan — pays qui produisait jusqu’à récemment 90 % de l’héroïne mondiale — a considérablement réduit la culture de l’opium dans l’ensemble du pays. Des sources occidentales estiment que cette réduction peut atteindre 99 % dans certaines provinces. Cela soulève de sérieuses questions quant au sérieux des efforts d’éradication de la drogue déployés par les États-Unis dans le pays au cours des 20 dernières années. De plus, alors que les réserves mondiales d’héroïne se tarissent, les experts déclarent à MintPress News qu’ils craignent que cela n’entraîne une augmentation de l’utilisation du fentanyl — une drogue des dizaines de fois plus puissante que l’héroïne qui tue déjà plus de 100 000 Américains chaque année.

[NDLR Les États-Unis, bras armé du mondialisme, prétendent faire la guerre à la drogue alors que notamment via la CIA, ils sont les principaux trafiquants mondiaux, de la même manière qu’ils prétendent lutter contre le terrorisme, alors qu’ils ont notamment créé le réseau Gladio en Europe et ISIS/al-Qaïda en Syrie/Irak, qu’ils ont prétendu améliorer l’agriculture mondiale avec la Révolution verte, alors qu’ils ont contribué à largement appauvrir et empoisonner les sols et les variétés végétales dans tous les pays du monde où celle-ci s’est exportée, etc.. L’inversion n’est pas seulement celle des valeurs et du sens des mots. Elle tend à envahir toutes les dimensions de la vie humaine. Chaque fois que les élites mondialistes ou leurs serviteurs tels que les États-Unis (ou même certains mouvements de résistance en réalité contrôlés) prétendent quelque chose, on peut être pratiquement certain qu’ils font ou vont faire en réalité le contraire.]

Les Talibans font ce que les États-Unis n’ont pas fait

Elle a déjà été qualifiée d’« effort de lutte contre les stupéfiants le plus réussi de l’histoire de l’humanité ». Armées de simples bâtons, des équipes de brigades de lutte contre les stupéfiants parcourent le pays pour couper les champs de pavot de l’Afghanistan.

En avril de l’année dernière, le gouvernement taliban au pouvoir a annoncé l’interdiction de la culture du pavot, invoquant à la fois ses fortes convictions religieuses et les coûts sociaux extrêmement néfastes que l’héroïne et d’autres opioïdes — dérivés de la sève du pavot — ont engendrés dans tout l’Afghanistan.

Il n’y a pas eu que de l’esbroufe. De nouvelles recherches menées par la société de données géospatiales Alcis suggèrent que la production de pavot a déjà chuté d’environ 80 % depuis l’année dernière. En effet, l’imagerie satellite montre que dans la province de Helmand, la région qui produit plus de la moitié de la récolte, la production de pavot a chuté d’un pourcentage stupéfiant de 99 %. Il y a 12 mois à peine, les champs de pavot dominaient. Mais Alcis estime qu’il y a aujourd’hui moins de 1 000 hectares de pavot dans la province d’Helmand.

Au lieu de cela, les agriculteurs plantent du blé, ce qui permet d’éviter le pire de la famine que les sanctions américaines ont contribué à créer. L’Afghanistan reste toutefois dans une situation périlleuse, les Nations Unies estimant que six millions de personnes sont proches de la famine.

Les données d’Alcis montrent que la majorité des agriculteurs afghans sont passés de la culture du pavot à celle du blé en une seule année.

Les Talibans ont attendu 2022 pour imposer l’interdiction tant attendue, afin de ne pas interférer avec la saison de culture. Cela aurait provoqué des troubles au sein de la population rurale en éradiquant une récolte que les agriculteurs avaient mis des mois à cultiver. Entre 2020 et fin 2022, le prix de l’opium sur les marchés locaux a augmenté de 700 %. Pourtant, compte tenu de l’insistance des talibans — et de leur efficacité en matière d’éradication —, rares sont ceux qui ont été tentés de planter du pavot.

L’interdiction du pavot s’est accompagnée d’une campagne similaire contre l’industrie de la méthamphétamine, le gouvernement s’attaquant aux cultures d’éphédra et fermant des laboratoires d’éphédrine dans tout le pays.

Une catastrophe imminente

L’Afghanistan produit près de 90 % de l’héroïne mondiale. L’éradication de la culture de l’opium aura donc de profondes conséquences sur la consommation de drogues dans le monde entier. Les experts interrogés par MintPress ont averti qu’une pénurie d’héroïne entraînerait probablement une hausse considérable de la consommation d’opioïdes synthétiques tels que le fentanyl, une drogue que le Centre de contrôle des maladies estime être 50 fois plus puissante et qui est responsable de la mort de plus de 100 000 Américains chaque année.

« Il est important de tenir compte des périodes passées de pénurie d’héroïne et de l’impact qu’elles ont eu sur le marché européen de la drogue », a déclaré l’Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT) à MintPress, avant d’ajouter :

« Il est important de tenir compte des périodes passées de pénurie d’héroïne et de leur impact sur le marché européen de la drogue »

L’expérience des périodes précédentes de réduction de l’offre d’héroïne dans l’Union européenne suggère que cela peut entraîner des changements dans les schémas d’offre et de consommation de drogues. Il peut s’agir notamment d’une augmentation des taux de polyconsommation chez les consommateurs d’héroïne. Le remplacement de l’héroïne par des opioïdes synthétiques plus nocifs, y compris le fentanyl et ses dérivés et de nouveaux opioïdes benzimidazoles puissants, peut constituer un risque supplémentaire pour les consommateurs existants.

En d’autres termes, si l’héroïne n’est plus disponible, les consommateurs se tourneront vers des formes synthétiques de la drogue beaucoup plus mortelles. Un rapport des Nations Unies de 2022 est arrivé à une conclusion similaire, notant que la répression de la production d’héroïne pourrait conduire au « remplacement de l’héroïne ou de l’opium par d’autres substances […] telles que le fentanyl et ses analogues ».

« Il y a un danger au sens large : si l’on retire toute l’héroïne du marché, les gens vont se tourner vers d’autres produits », a déclaré Matthew Hoh à MintPress. M. Hoh est un ancien fonctionnaire du département d’État qui a démissionné de son poste dans la province de Zabul, en Afghanistan, en 2009. « Mais la réponse ne devrait pas être de réinvestir l’Afghanistan, de le réoccuper et de remettre les barons de la drogue au pouvoir, ce qui est essentiellement ce que les gens impliquent lorsqu’ils déplorent les conséquences de l’arrêt du commerce de la drogue par les talibans », a ajouté M. Hoh.

« La plupart des gens qui parlent ainsi et qui s’inquiètent à voix haute sont des gens qui veulent trouver une raison pour que les États-Unis aillent opérer un changement de régime en Afghanistan. »

Les sources américaines n’ont pas manqué de s’inquiéter. La revue Foreign Policy a écrit sur « la façon dont la “guerre contre la drogue” des talibans pourrait se retourner contre eux » ; la Radio Free Europe/Radio Liberty, financée par le gouvernement américain, a affirmé que les Talibans fermaient les yeux sur la production d’opium, malgré l’interdiction officielle. L’Institut de la paix des États-Unis, une institution créée par le Congrès qui « se consacre à la proposition qu’un monde sans conflits violents est possible », a déclaré catégoriquement que « l’interdiction réussie de l’opium par les Talibans est mauvaise pour les Afghans et pour le monde ».

Cette catastrophe imminente ne se produira toutefois pas immédiatement. Il existe encore d’importants stocks de drogues le long des itinéraires de trafic. Comme l’a déclaré l’OEDT à MintPress :

« Il peut s’écouler plus de 12 mois avant que la récolte d’opium n’apparaisse sur le marché européen de la drogue au détail sous forme d’héroïne — il est donc trop tôt pour prédire, à ce stade, l’impact futur de l’interdiction de la culture sur la disponibilité de l’héroïne en Europe. Néanmoins, si l’interdiction de la culture de l’opium est appliquée et maintenue, elle pourrait avoir un impact significatif sur la disponibilité de l’héroïne en Europe en 2024 ou 2025 ».

Pourtant, rien n’indique que les Talibans ne soient pas sérieux dans leur volonté d’éradiquer cette culture, ce qui laisse présager une pénurie d’héroïne.

Une tentative similaire d’élimination de la drogue par les Talibans a eu lieu en 2000, la dernière année complète où ils étaient au pouvoir. Elle a été extraordinairement réussie, la réduction de la production d’opium passant de 4 600 tonnes à 185 tonnes seulement. À l’époque, il a fallu environ 18 mois pour que les conséquences se fassent sentir en Occident. Au Royaume-Uni, la pureté moyenne de l’héroïne est passée de 55 % à 34 %, tandis que dans les États baltes d’Estonie, de Lettonie et de Lituanie, l’héroïne a été largement remplacée par le fentanyl. Toutefois, dès l’invasion des États-Unis en 2001, la culture du pavot a retrouvé son niveau antérieur et la chaîne d’approvisionnement a repris.

Complicité des États-Unis dans le trafic de drogue en Afghanistan

« La campagne réussie des Talibans pour éradiquer la production de drogue a jeté un doute sur l’efficacité des efforts déployés par les Américains pour parvenir au même résultat. Cela amène à se demander ce que nous avons réellement accompli là-bas », a fait remarquer M. Hoh, en soulignant que « les Talibans sont en train de se débarrasser de la drogue » :

« Cela remet en cause l’une des prémisses fondamentales de ces guerres : la prétendue association entre les Talibans et le trafic de drogue — un concept de lien narcoterroriste. Toutefois, cette notion est fallacieuse. En réalité, l’Afghanistan était à l’origine de 80 à 90 % de l’offre mondiale d’opiacés illicites. Les principaux responsables de ce commerce étaient le gouvernement et l’armée afghans, des entités que nous avons maintenues au pouvoir ».

À gauche, un Marine américain cueille une fleur
alors qu’il garde un champ de coquelicots en 2012 dans la province d’Helmand.
Photo : DVIDS.
À droite, un homme brise des tiges de pavot dans le cadre d’une campagne de 2023
visant à lutter contre les drogues illégales en Afghanistan.
Oriane Zerah | AP

Suzanna Reiss, universitaire à l’Université d’Hawaï à Manoa et auteur de « We Sell Drugs: The Alchemy of U.S. Empire », a fait preuve d’un point de vue encore plus cynique sur les efforts américains de lutte contre les stupéfiants, comme elle l’a indiqué à MintPress :

« Les États-Unis n’ont jamais vraiment cherché à réduire le trafic de drogue en Afghanistan (ou ailleurs d’ailleurs). Toute rhétorique noble mise à part, les États-Unis ont été heureux de travailler avec les trafiquants de drogue si cela permettait de promouvoir certains intérêts géopolitiques (et l’ont d’ailleurs fait, ou du moins ont fermé sciemment les yeux, lorsque des groupes comme l’Alliance du Nord s’appuyaient sur la drogue pour financer leur mouvement politique contre le régime) ».

La transformation de l’Afghanistan en un narco-État de premier plan doit beaucoup aux actions de Washington. Dans les années 1970, la culture du pavot était relativement limitée. Toutefois, le vent a tourné en 1979 avec le lancement de l’opération Cyclone, une injection massive de fonds dans les factions moudjahidines afghanes visant à épuiser l’armée soviétique et à mettre fin à sa présence en Afghanistan. Les États-Unis ont versé des milliards aux insurgés, mais leurs besoins financiers n’ont pas été satisfaits. Les moudjahidines se sont donc lancés dans le commerce illicite de la drogue. Au terme de l’opération Cyclone, la production d’opium en Afghanistan avait été multipliée par vingt. Le professeur Alfred McCoy, auteur acclamé de « The Politics of Heroin: CIA Complicity in the Global Drug Trade », a déclaré à MintPress qu’environ 75 % de la production illégale d’opium de la planète provenait désormais d’Afghanistan, et qu’une grande partie des recettes était reversée à des factions rebelles soutenues par les États-Unis.

La crise des opioïdes : une catastrophe imminente

La crise des opioïdes est la pire épidémie de toxicomanie de l’histoire des États-Unis. Au début de l’année, le secrétaire du ministère de la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas, a décrit le problème du fentanyl aux États-Unis comme « le plus grand défi auquel nous sommes confrontés en tant que pays ». Près de 110 000 Américains sont morts d’une overdose en 2021, le fentanyl étant de loin la principale cause. Entre 2015 et 2021, l’Institut national de la santé a enregistré une multiplication par près de 7,5 des décès par overdose. La revue médicale The Lancet prévoit que 1,2 million d’Américains mourront d’une overdose d’opioïdes d’ici 2029.

Les autorités américaines accusent les cartels mexicains de faire passer l’antidouleur synthétique par la frontière sud et la Chine de produire les produits chimiques nécessaires à la fabrication de la drogue.

Les Américains blancs sont plus susceptibles de faire un usage abusif de ces types de drogues que les autres races. Les adultes âgés de 35 à 44 ans enregistrent les taux de mortalité les plus élevés, bien que les décès chez les plus jeunes soient en augmentation. L’Amérique rurale a été particulièrement touchée ; une étude réalisée en 2017 par le National Farmers Union et l’American Farm Bureau Federation a révélé que 74 % des agriculteurs ont été directement touchés par l’épidémie d’opioïdes. La Virginie-Occidentale et le Tennessee sont les États les plus touchés.

Pour l’écrivain Chris Hedges, originaire du Maine rural, la crise du fentanyl est un exemple de l’une des nombreuses « maladies du désespoir » dont souffrent les États-Unis. Selon lui, elle est née d’un monde en décomposition où les opportunités, qui confèrent statut, estime de soi et dignité, se sont taries pour la plupart des Américains. Ils sont l’expression d’un désespoir et d’une morbidité aigus. En substance, lorsque le rêve américain s’est évanoui, il a été remplacé par un cauchemar américain. Le fait que les hommes blancs soient les premières victimes de ces maladies du désespoir est une conséquence ironique de notre système injuste. Comme l’explique Hedges :

« Les hommes blancs, plus facilement séduits par le mythe du rêve américain que les personnes de couleur qui comprennent à quel point le système capitaliste leur est défavorable, souffrent souvent d’un sentiment d’échec et de trahison, dans de nombreux cas lorsqu’ils sont dans la force de l’âge. Ils s’attendent, en raison des notions de suprématie blanche et des platitudes capitalistes sur le travail acharné menant à l’avancement, à être en pleine ascension. Ils croient au succès ».

En ce sens, il est important de replacer la crise de la dépendance aux opioïdes dans le contexte plus large du déclin américain, où les opportunités de réussite et de bonheur sont plus rares et plus éloignées que jamais, plutôt que de l’attribuer à des individus. Comme l’écrit le Lancet :

« Les approches punitives et stigmatisantes doivent cesser. La dépendance n’est pas une faute morale. Il s’agit d’un état pathologique qui constitue une menace constante pour la santé ».

Un problème exclusivement américain

Près de 10 millions d’Américains font un usage abusif d’opioïdes sur ordonnance chaque année, à un rythme bien supérieur à celui des pays développés comparables. Les décès par surdose d’opioïdes aux États-Unis sont dix fois plus fréquents par habitant qu’en Allemagne et plus de vingt fois plus fréquents qu’en Italie, par exemple.

Cela est dû en grande partie au système de santé à but lucratif des États-Unis. Les compagnies d’assurance privées américaines sont beaucoup plus enclines à prescrire des médicaments et des pilules que des thérapies plus coûteuses qui s’attaquent à la racine du problème à l’origine de l’addiction. C’est pourquoi la crise des opioïdes est communément qualifiée de « problème exclusivement américain ».

Si les médecins américains sont beaucoup plus enclins à administrer des analgésiques exceptionnellement puissants que leurs homologues européens, c’est en partie parce qu’ils ont fait l’objet d’une campagne de marketing hyperagressive de la part de Purdue Pharma, fabricant du puissant opioïde OxyContin. Purdue a lancé l’OxyContin en 1996 et ses agents ont envahi les cabinets médicaux pour promouvoir le nouveau « médicament miracle ».

Environ 1 million de faux comprimés contenant du fentanyl saisis le 5 juillet 2022 dans une maison d’Inglewood, en Californie. Photo : DEA via AP.

Pourtant, procès après procès, l’entreprise a été accusée de mentir sur l’efficacité et la dépendance de l’OxyContin, un médicament qui a rendu d’innombrables Américains dépendants des opioïdes. Et lorsque les opioïdes sur ordonnance, légaux, mais incroyablement addictifs, se sont taris, les Américains se sont tournés vers des substances illicites comme l’héroïne et le fentanyl pour les remplacer.

Les propriétaires de Purdue Pharma, la famille Sackler, ont régulièrement été décrits comme la famille la plus diabolique d’Amérique, beaucoup leur imputant la responsabilité des centaines de milliers de décès par overdose. En 2019, sous le poids de milliers de poursuites judiciaires, Purdue Pharma a déposé son bilan. Un an plus tard, elle a plaidé coupable à des accusations criminelles concernant la mauvaise commercialisation de l’OxyContin.

Néanmoins, les Sackler se sont enrichis comme des bandits grâce à leurs actions. Même après avoir été contraints l’année dernière de verser près de 6 milliards de dollars en espèces aux victimes de la crise des opioïdes, ils restent l’une des familles les plus riches du monde et ont refusé de s’excuser pour leur rôle dans la construction d’un empire de la douleur qui a causé des centaines de milliers de morts.

Au lieu de cela, la famille a tenté de blanchir son image par la philanthropie, en parrainant un grand nombre d’institutions artistiques et culturelles parmi les plus prestigieuses du monde. Il s’agit notamment du musée Guggenheim et du Metropolitan Museum of Art à New York, de l’université de Yale, du British Museum et de la Royal Academy à Londres.

Les anciens combattants constituent l’un des groupes les plus touchés par les opioïdes tels que l’OxyContin, l’héroïne et le fentanyl. Selon les National Institutes of Health, les anciens combattants sont deux fois plus susceptibles de mourir d’une overdose que le reste de la population. La bureaucratie est l’une des raisons de ce phénomène. « Au cours des dernières décennies, l’administration des vétérans a fait du très mauvais travail en matière de gestion de la douleur, en particulier en ce qui concerne le recours aux opioïdes », a déclaré M. Hoh, un ancien marine, à MintPress, précisant que l’administration des vétérans prescrivait des opioïdes dangereux à un taux plus élevé que les autres organismes de santé.

Les anciens soldats doivent souvent faire face à des douleurs chroniques et à des lésions cérébrales. M. Hoh note qu’environ un quart de millions de vétérans d’Afghanistan et d’Irak souffrent de lésions cérébrales traumatiques. À cela s’ajoutent les profondes lésions morales dont beaucoup ont souffert — des lésions qui ne sont généralement pas visibles. Comme l’a fait remarquer Hoh :

« Les vétérans se tournent vers [des opioïdes comme le fentanyl] pour faire face aux conséquences mentales, émotionnelles et spirituelles de la guerre. Ils les utilisent pour apaiser leur détresse, essayer de trouver un certain soulagement, échapper à la dépression et faire face aux démons qui reviennent chez les vétérans qui ont participé à ces guerres ».

Ainsi, si le programme d’éradication de l’opium des talibans se poursuit, il pourrait déclencher une crise du fentanyl qui pourrait tuer plus d’Américains que ne l’a fait l’occupation qui a duré 20 ans.

Société brisée

Si les maladies du désespoir sont courantes aux États-Unis, elles sévissent en Afghanistan même. Un rapport mondial publié en mars a révélé que les Afghans sont de loin les personnes les plus malheureuses de la planète. Les Afghans évaluent leur vie à 1,8 sur 10, ce qui les place en avant-dernière position, loin derrière les Finlandais (7,8 sur 10).

La dépendance à l’opium en Afghanistan est hors de contrôle, avec environ 9 % de la population adulte (et un nombre important d’enfants) dépendants. Entre 2005 et 2015, le nombre de toxicomanes adultes est passé de 900 000 à 2,4 millions, selon les Nations unies qui estiment que près d’un foyer sur trois est directement touché par la toxicomanie. L’opium étant fréquemment injecté, les maladies transmises par le sang, comme le VIH, sont également courantes.

Le problème des opioïdes s’est également étendu aux pays voisins, tels que l’Iran et le Pakistan. Un rapport des Nations unies de 2013 estimait que près de 2,5 millions de Pakistanais consommaient des opioïdes, dont 11 % dans la province du Khyber Pakhtunkhwa, au nord-ouest du pays. Environ 700 personnes meurent chaque jour d’overdoses.

L’empire de la drogue

Compte tenu de leur histoire, il est peut-être compréhensible que les pays asiatiques aient généralement pris des mesures beaucoup plus autoritaires pour lutter contre les problèmes de toxicomanie. Pendant des siècles, l’utilisation du commerce illégal de la drogue pour promouvoir des objectifs impériaux a été une tactique occidentale courante. Dans les années 1940 et 1950, les Français ont utilisé les cultures d’opium dans la région du « Triangle d’or » en Asie du Sud-Est afin de contrer le mouvement d’indépendance vietnamien en plein essor.

Un siècle auparavant, les Britanniques avaient utilisé l’opium pour écraser et conquérir une grande partie de la Chine. La soif insatiable de la Grande-Bretagne pour le thé chinois commençait à mettre le pays en faillite, car la Chine n’acceptait que de l’or ou de l’argent en échange. Les Britanniques ont donc utilisé la puissance de leur marine pour forcer la Chine à leur céder Hong Kong. De là, ils ont inondé la Chine continentale d’opium cultivé en Asie du Sud (y compris en Afghanistan).

Les effets de la guerre de l’opium ont été stupéfiants. En 1880, les Britanniques inondaient la Chine de plus de 6 500 tonnes d’opium par an, soit l’équivalent de plusieurs milliards de doses. La société chinoise s’est effondrée, incapable de faire face aux bouleversements sociaux et économiques que des millions d’opiomanes ont entraînés à l’échelle de l’empire. Aujourd’hui, les Chinois continuent d’appeler cette période le « siècle de l’humiliation ».

Pendant ce temps, en Asie du Sud, les Britanniques forcent les agriculteurs à planter des champs de pavot au lieu de cultures comestibles, provoquant des vagues de famines gigantesques, jamais vues auparavant ni depuis.

Dans les années 1980, en Amérique centrale, les États-Unis ont vendu des armes à l’Iran afin de financer les escadrons de la mort d’extrême droite des Contras. Les Contras étaient profondément impliqués dans le commerce de la cocaïne, alimentant leur sale guerre par la vente de crack aux États-Unis — une pratique que, selon le journaliste Gary Webb, la Central Intelligence Agency a facilitée.

L’impérialisme et les drogues illicites vont donc souvent de pair. Cependant, avec l’effort d’éradication de l’opium par les talibans, couplé au phénomène spécifiquement américain de la dépendance aux opioïdes, il est possible que les États-Unis subissent un contrecoup important dans les années à venir. L’épidémie mortelle de fentanyl ne fera probablement qu’empirer, emportant inutilement des centaines de milliers de vies américaines supplémentaires. Ainsi, alors même que l’Afghanistan tente de se débarrasser de son problème mortel de toxicomanie, ses actions pourraient précipiter une épidémie qui promet de tuer plus d’Américains que toutes les entreprises impériales de Washington à ce jour.

Source : The Alt Word




Jeux de la Francophonie 2023 : nouvelle censure intégrale des médias français « de France »

[Source : cermf.org]

[Transmis par Ilyes Zouari, Président du CERMF]

Contrairement aux Jeux du Commonwealth, largement relayés par les médias britanniques, et comme pour leur dernière édition de 2019, les Jeux de la Francophonie 2023 font l’objet d’une censure totale des grands médias hexagonaux destinés à la population française, qui se démarquent ainsi de ceux des autres pays francophones du monde, y compris outre-Atlantique. Au-delà des habituels beaux discours officiels, l’hostilité des milieux politiques et médiatiques français à l’égard de la vaste francophonie ne fait désormais plus aucun doute, et va même en s’aggravant parallèlement à une fuite en avant européiste et atlantiste.

Une censure totale et systématique

Depuis leur lancement il y a presque une semaine, le 28 juillet dernier, dans un stade réunissant près de 80 000 spectateurs à Kinshasa, aujourd’hui plus grande ville francophone du monde avec ses plus de 15 millions d’habitants, les Jeux de la Francophonie 2023 n’ont toujours pas bénéficié de la moindre couverture médiatique de la part de l’ensemble des grands médias nationaux français de la télévision (TF1, France 2, France 3, M6…), de la presse écrite (Le Figaro, Le Monde, Libération, Ouest-France…) et de la radio. Des médias à ne pas confondre avec ceux essentiellement destinés à l’étranger, comme France 24, TV5, RFI ou encore le Monde Afrique, dont le contenu diffère parfois considérablement de celui destiné à la population française, victime de nombreuses censures (Jeux de la Francophonie, sommets de la Francophonie, agression et pillage rwandais de l’est de la RDC, manœuvres militaires russes en Algérie, visite de chefs d’État africains en Russie, part écrasante des pays d’Europe de l’Est dans les aides françaises au développement…).

Ainsi, et sur les quelques dizaines d’heures de journaux télévisés accumulés depuis le 28 juillet dernier, et sur les centaines d’articles publiés par les grands quotidiens nationaux, aucune seconde ni aucune ligne n’a été consacrée à ce grand événement sportif francophone international, même pour les médailles remportées par des Français. Et ce, tout comme pour la précédente édition des Jeux de la Francophonie, organisée à Abidjan en 2019. Une censure qui est donc également appliquée par les chaînes de télévision publiques et les nombreuses chaînes de radio du groupe public Radio France. Ainsi, et au lieu de couvrir le lancement des Jeux, le 28 juillet dernier, le journal de 20 h de France 2 a préféré consacrer un long reportage de 4 minutes et 18 secondes à la très « intéressante » migration des sardines en Afrique du Sud. Incroyable mais vrai. Autre exemple : deux jours plus tard, la très ancienne et célèbre émission hebdomadaire sportive, Stade 2, diffusée sur France 3, n’a daigné accorder aucune seconde à ce grand événement francophone sur les 52 minutes et 54 secondes d’antenne !

Médias, aides au développement : une incontestable volonté politique de marginaliser le monde francophone

Cette censure totale et systématique des grands événements francophones, y compris par l’ensemble des médias publics, ne peut bien évidemment se faire sans l’approbation et l’encouragement des plus hautes autorités françaises. Une attitude qui s’inscrit dans le cadre d’une volonté politique incontestable de couper le peuple français du monde francophone, menée avec acharnement par les européistes et atlantistes qui dirigent le pays depuis bientôt 20 ans. Et ce, afin de dévaloriser la France aux yeux de la population française, en lui faisant oublier son appartenance à un vaste espace linguistique (qui a d’ailleurs récemment dépassé en population l’espace hispanophone ainsi que l’ensemble Union européenne–Royaume-Uni, avec une population de 555 millions d’habitants début 2023), dans le but de lui faire accepter le maintien du pays au sein de l’Union européenne et de l’alliance atlantique (l’OTAN, que la France avait pleinement réintégrée à l’époque du président Sarkozy, qui avait ainsi effacé l’héritage du général de Gaulle). Deux ensembles présentés alors comme nécessaires, et même vitaux, pour une pauvre France qui ne pourrait rien faire « seule ». Une France qui est pourtant, en réalité, globalement bien plus puissante que la Russie, à tous les niveaux… et qui est même 26 fois plus vaste que l’Allemagne, en tenant compte de son gigantesque espace maritime, le deuxième plus grand au monde.

Ainsi, la population française ne sait pratiquement rien du monde francophone, et en particulier des pays francophones du Sud, au sujet desquels les médias français n’alimentent qu’une image terriblement négative (avec l’appui, au passage, des associations de défense des immigrés et des clandestins…), résumant ce vaste ensemble à une accumulation de misère, de désolation, d’instabilité, ou encore à une espace abritant des animaux sauvages et connaissant parfois des manifestations anti-françaises (menées par une poignée de jeunes, certes patriotes, mais totalement manipulés par des puissances étrangères, et en particulier la Russie). La population française n’a ainsi jamais droit à des images montrant le dynamisme économique de ces pays, la modernité de grandes métropoles francophones africaines, les grandes infrastructures réalisées et celles en cours… Aujourd’hui, la quasi-totalité des Français ignore jusqu’à l’existence même de la Basilique Notre-Dame de la Paix de Yamoussoukro, le plus grand édifice chrétien au monde. Une incroyable ignorance qui concerne même l’écrasante majorité des plus fervents catholiques, et en particulier au sein de la nouvelle génération, constamment tenue à l’écart du monde francophone par les médias et l’Éducation nationale française.

Mais cette hostilité politico-médiatique à l’égard de la francophonie se manifeste également à travers la répartition des aides publiques françaises au développement, qui ne bénéficient que marginalement au Monde francophone, et ce au profit des pays d’Europe de l’Est membres de l’Union européenne, qui récoltent constamment la part du lion, contrairement à toute logique économique et géopolitique. Ainsi, et à partir des dernières données disponibles auprès de la Commission européenne et de l’OCDE, la part du monde francophone n’a été que de 15,4 % du total des aides françaises au développement versées en 2021 (soit 3,5 milliards d’euros, aides bilatérales et multilatérales confondues), contre non moins de 43,3 % pour l’Union européenne (9,9 milliards), presque intégralement destinés aux 13 petits pays d’Europe de l’Est et orientale, qui ne totalisent que 114 millions d’habitants, soit quatre fois moins que l’ensemble des 27 pays francophones du Sud (près de 450 millions début de 2021).

La situation est si absurde, qu’il n’y a qu’un seul et unique pays francophone parmi les 10 premiers pays bénéficiaires des aides françaises au développement (la Côte d’Ivoire, 8e). La Pologne, premier pays bénéficiaire, a reçu 9,3 trois fois plus d’aides que le Maroc, à la population quasi égale et grand allié de la France (2,565 milliards d’euros, contre 0,277 milliard). Et la minuscule Estonie, peuplée de seulement 1,3 million d’habitants, a reçu davantage d’aides que la vaste RDC, plus grand pays francophone du monde et qui vient de dépasser les 100 millions d’habitants (156 millions d’euros contre 147 millions). Là aussi, incroyable mais vrai… et totalement occulté par les médias.

Pourtant, cette politique d’aide au développement est contraire à toute logique économique ou géopolitique. D’un point de vue économique, d’abord parce que les pays d’Europe de l’Est et orientale membres de l’Union européenne s’orientent principalement et historiquement vers l’Allemagne, qui arrive très largement en tête des pays fournisseurs de la zone, avec une part de marché d’environ 20 % chaque année (19,5 % en 2019), contre toujours moins de 4 % pour la France, dont les aides massives reviennent donc quasiment à subventionner les exportations allemandes. Une politique que l’on pourrait résumer par la célèbre expression « travailler pour le roi de Prusse »…

Ensuite, parce que toutes les études économiques démontrent que les échanges peuvent être bien plus importants entre pays et peuples partageant une même langue. À ce sujet, un seul exemple suffit à prouver l’impact économique du lien linguistique : les touristes québécois sont proportionnellement quatre fois plus nombreux que les touristes américains à venir chaque année en France… et à y dépenser. En d’autres termes, toute richesse générée dans un pays francophone au profit de l’économie locale finit par être intégrée en bonne partie au circuit économique d’autres pays francophones, et ce, en vertu d’un mécanisme semblable à celui des vases communicants. D’où le concept de « zone de coprospérité », qui est d’ailleurs une des traductions possibles du terme Commonwealth. Ce lien linguistique explique également en bonne partie la position globalement encore assez bonne de la France en Afrique francophone (Maghreb inclus), dont elle demeure le second fournisseur en dépit de son manque d’intérêt, avec une part de marché globale estimée à 11,5 % en 2019, derrière la Chine, 15,6 %. Une part largement supérieure à celle de l’Allemagne, estimée à 3,9 %, et qui arrive même derrière l’Espagne (7,3 % et troisième fournisseur), l’Italie et les États-Unis (5,5 % respectivement).

Enfin, parce que c’est dans cette même Afrique francophone qu’il convient d’investir massivement, afin de tirer pleinement profit des opportunités et du dynamisme que l’on trouve dans ce vaste ensemble de 25 pays, partie globalement la plus dynamique économiquement du continent (l’Afrique subsaharienne francophone, composée de 22 pays, ayant notamment réalisé en 2022 les meilleures performances économiques pour la neuvième année consécutive et la dixième fois en onze ans, affichant ainsi une croissance annuelle de 3,5 % en moyenne sur la décennie 2013-2022 — et même 4,0 % hors cas très particulier de la Guinée équatoriale, contre seulement 2,2 % pour le reste de l’Afrique subsaharienne). Mais aussi la partie la moins endettée, la plus stable et la moins touchée par l’inflation et les violences sociales (criminalité, homicides, conflits interethniques, guerres civiles…).

Et pour ce qui est du niveau géopolitique, justement, le caractère irrationnel de la politique française d’aide au développement s’explique également par le fait que l’écrasante majorité des pays de l’UE, malgré les aides massives versées chaque année par le contribuable français, vote régulièrement contre les positions de la France au sein des grandes instances internationales, au profit des États-Unis (auprès desquels ils se fournissent d’ailleurs presque exclusivement en matière d’armements lourds, alors que les richissimes pays du Golfe et les grandes puissances émergentes préfèrent souvent acheter du matériel militaire français…).

Ainsi, et à partir du moment que la doctrine de la politique étrangère de la France semble être désormais de travailler et de s’épuiser financièrement au service des intérêts économiques allemands et des intérêts géopolitico-militaires des États-Unis, il ne faut donc guère s’étonner de la voir perdre de son prestige et de son influence à l’international, et notamment dans les pays francophones du continent africain, au profit de diverses puissances étrangères, bien heureuses de profiter d’une telle inconscience.

Victimes d’un environnement politico-médiatique incontestablement hostile en France, nos frères francophones du reste du monde, du Québec au Pacifique, et au nom de leurs propres intérêts, gagneraient à se faire davantage entendre, à se décomplexer et à ne plus hésiter à demander de claires explications à leurs confrères et homologues de France, en cas de double discours et d’attitude jugée néfaste au monde francophone, et donc aux intérêts de l’ensemble des pays et peuples francophones (dont le peuple français lui-même…).




Bill Gates finance un programme de largage massif de moustiques OGM

[Source : MPI]

[Texte sur l’illustration :
« Le World Mosquito Program contribue à protéger les communautés du monde entier contre les maladies transmises par les moustiques. »]

Par Pierre-Alain Depauw

Saviez-vous que depuis 2022, le World Mosquito Program, financé notamment par la Fondation Bill Gates, libère chaque semaine 30 millions de moustiques modifiés à travers onze pays, répartis sur plusieurs continents, dont les autorités ont accepté cette expérience ?

Voici ce qu’on peut lire sur le site internet du World Mosquito Program :

Comme avec les « vaccins » contre le Covid 19, on se retrouve une fois de plus dans un programme expérimental à grande échelle, dont les initiateurs vous assurent que normalement il ne devrait pas entraîner de conséquences pour l’homme. Mais au rythme de trente millions de moustiques libérés chaque semaine à raison d’une trentaine par rue, il sera bien trop tard pour faire marche arrière si des scientifiques libres s’aperçoivent que les conséquences se révèlent désastreuses pour l’homme ou pour la nature.

Un « livreur » du World Mosquito Program libère une trentaine de moustiques contenus dans un récipient,
puis repart faire la même chose quelques rues plus loin.

Une expérience aux conséquences inconnues

Ce programme expérimental n’est en tout cas pas du goût de tous.
« Les gens n’ont pas consenti à faire partie de cette expérience de biopesticide en plein air », souligne le co-directeur de Californians for Pesticide Reform.
La Californie ayant été sélectionnée pour participer à l’expérience, huit législateurs démocrates ont exigé que les autorités rejettent le projet sans un examen approfondi de ses impacts potentiels.

La société de biotechnologie Oxitec a fait de la Californie le deuxième État américain — après la Floride — à avoir une libération expérimentale de ses moustiques génétiquement modifiés et a demandé un permis pour mener des recherches avec son produit sur 48 sites d’essai dans le comté de Tulare.

La libération expérimentale utiliserait l’espèce de moustique Aedes aegypti et viserait à réduire sa population dans le comté de Tulare.

Selon le California Department of Pesticide Regulation (DPR), entre 5 000 et 30 000 moustiques modifiés seraient libérés chaque semaine sur chaque site et le permis serait effectif jusqu’au 30 avril 2024.

[Voir aussi :
La Malaria aux USA grâce à Bill Gates ?]

Expérience suspendue en Californie

Alors qu’Oxitec a déjà agité la conclusion de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) selon laquelle de tels rejets n’affectent pas négativement les humains ou l’environnement, plusieurs législateurs californiens ont considéré qu’un examen de la proposition par l’EPA n’était pas suffisant et ont suspendu l’expérimentation sur le territoire californien. Mais elle se poursuit en Floride et dans d’autres pays.

« Des recherches scientifiques importantes sont encore nécessaires pour comprendre les préoccupations potentielles en matière de santé publique et d’environnement associées à la libération de ce nouvel insecte avant toute approbation », ont écrit plusieurs élus californiens.

« Nous croyons comprendre que, bien que l’EPA des États-Unis ait approuvé la libération des moustiques génétiquement modifiés en Californie, l’agence n’a pas procédé à un examen scientifique approfondi des impacts de cet insecte sur la santé publique ou l’environnement. La Californie doit exiger des informations plus nombreuses et de meilleure qualité avant toute approbation. »

Les législateurs ont suggéré que la DPR procède à un examen public des données de Floride concernant la libération expérimentale de moustiques génétiquement modifiés par l’État, organise des réunions publiques où les membres de la communauté peuvent exprimer leurs préoccupations et entendre des experts indépendants, et établit un comité consultatif scientifique indépendant pour examiner la proposition d’Oxitec.

« Avant d’autoriser l’utilisation de moustiques génétiquement modifiés, le Département californien de la réglementation des pesticides devrait prévoir des règles claires et un examen des risques pour la santé publique et l’environnement liés à la libération des insectes dans le cadre d’un processus public », a déclaré Laura Friedman, membre de l’Assemblée qui représente Glendale.

« Il y a trop de facteurs inconnus sur la façon dont cela pourrait affecter notre biodiversité à long terme, y compris comment cela pourrait influencer les populations d’oiseaux, de chauves-souris, d’espèces de poissons et d’autres insectes. »

Rebecca Spector, directrice de la côte ouest au Center for Food Safety, a applaudi les législateurs pour avoir « pris des mesures pour protéger la santé publique et l’environnement des impacts inconnus des moustiques génétiquement modifiés ».

« Ils demandent à juste titre à DPR de mener un examen plus complet et des réunions publiques pour les résidents qui seront touchés, avant d’approuver ce permis », a déclaré M. Spector.

Angel Garcia, un résident du comté de Tulare qui est co-directeur de Californians for Pesticide Reform, considère qu’enquêter sur les effets de cette expérience est « une question de justice environnementale ».

La Fondation Bill Gates derrière le financement du World Mosquito Program

La Fondation Bill et Melinda Gates, en collaboration avec le Wellcome Trust, a accordé au World Mosquito Program 33,7 millions de dollars de fonds supplémentaires en septembre 2022.

Ces deux fondations ont déjà versé 124,6 millions de dollars américains depuis 2010 pour financer ce programme.




L’UNESCO met en garde contre l’utilisation des puces cérébrales comme « armes de modification de la personnalité »

[Source : cogiito.com]

Par Ramon Tomey

Une agence des Nations unies a mis en garde contre les implants cérébraux tels que le Neuralink d’Elon Musk, qui pourraient être utilisés comme « armes de modification de la personnalité ».

L’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) a lancé cet avertissement par l’intermédiaire de son Comité international de bioéthique (CIB). Selon le CIB, les neurotechnologies pourraient conduire à « de nouvelles possibilités de surveillance et de manipulation de l’esprit humain par le biais de la neuro-imagerie [et] de [programmes] d’altération de la personnalité ».

C’est pourquoi l’agence des Nations Unies élabore actuellement un « cadre éthique » mondial destiné à protéger l’humanité des abus potentiels de la technologie des puces cérébrales. L’UNESCO craint que ces abus ne soient accélérés par les progrès de l’intelligence artificielle (IA).

« Nous sommes sur la voie d’un monde dans lequel les algorithmes nous permettront de décoder les processus mentaux des gens »

a fait remarquer Gabriela Ramos, sous-directrice générale de l’UNESCO pour les sciences sociales et humaines. Elle a ajouté que les percées en neurotechnologie qui pourraient « manipuler directement les mécanismes cérébraux [des êtres humains], qui sous-tendent leurs intentions, leurs émotions et leurs décisions » ont des implications « considérables et potentiellement dangereuses ».

L’économiste Mariagrazia Squicciarini, qui dirige le bureau exécutif du secteur des sciences sociales et humaines de l’UNESCO, partage le même sentiment. Elle a fait remarquer que la capacité des algorithmes d’apprentissage automatique à extraire rapidement des modèles de données complexes (telles que celles des scanners cérébraux IRMf) accélérera l’accès des puces cérébrales à l’esprit humain.

« C’est comme si on mettait les neurotechnologies sous stéroïdes », a déclaré M. Squicciarini, spécialiste des questions liées à l’intelligence artificielle.

Le CIB de l’UNESCO a organisé une conférence le 13 juillet, à laquelle ont participé 1 000 personnes. Les résultats de la conférence ont été publiés dans un rapport de 91 pages le 18 juillet.

« Le développement spectaculaire des neurotechnologies — ainsi que des nouvelles biotechnologies, nanotechnologies et [technologies de l’information et de la communication] — rend les machines de plus en plus humanoïdes », indique le rapport. « Les gens sont de plus en plus connectés aux machines et à l’IA.

« Il est nécessaire d’anticiper les effets de la mise en œuvre des neurotechnologies. Il existe un lien direct entre la liberté de pensée, l’État de droit et la démocratie. »

Musk décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente »
Selon le rapport du CIB, les neurotechnologies remettent en cause « certains aspects fondamentaux de la dignité humaine, tels que la confidentialité de la vie mentale ou l’autonomie individuelle ». Pour y remédier, le comité a appelé à une plus grande transparence de la recherche en neurotechnologie dans l’industrie et le monde universitaire. Elle a également appelé à l’élaboration de « neurodroits » à inclure dans la législation internationale sur les droits de l’homme.

La mise en garde de l’UNESCO concernant les neurotechnologies fait suite à l’approbation fédérale accordée par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis à Neuralink de Musk pour la réalisation d’essais sur l’homme. Les implants Neuralink connecteront le cerveau au nuage par l’intermédiaire d’électrodes filiformes cousues dans certaines zones du cerveau. Ces électrodes communiqueront avec une puce pour lire les signaux produits par les neurones du cerveau. (Voir aussi : La FDA approuve les implants cérébraux Neuralink d’Elon Musk qui visent à CONTRÔLER l’esprit humain).

« Comme les signaux des neurones sont directement traduits en commandes motrices, Neuralink pourrait permettre aux humains de contrôler des technologies externes […] [et de retrouver] des fonctions corporelles ou des mouvements musculaires perdus grâce à leur esprit », note le Daily Mail.

Musk lui-même a décrit les implants comme une sorte de « remplacement d’un morceau de crâne par une montre intelligente ».

[Voir aussi :

Blackrock ou Rockfeller aux manettes de la fusion cerveau-cloud. Bientôt l’internet des pensées

Par SENTA DEPUYDT

Juin 2023, Precision Neuroscience lance sa 1ère étude sur le cerveau et la technologie d’interface neurale.

Article publié le JUILLET 31, 2023 par Liliane Held Khawam sur son blog que je vous conseille de visiter ! www.lilianeheldkhawam.com (ne manquez pas non plus son e-book « Dépossession » téléchargeable gratuitement en fin de post).

FIGURE 1. Représentation artistique des neurones (avec des processus bleus) et des cellules gliales (blanches).
[Crédit image : Yuriy Svidinenko, Nanobotmodels Company].

]

Alors que le magnat de la technologie s’est concentré sur les avantages potentiels de Neuralink, les autorités fédérales de réglementation des États-Unis ont mis l’accent sur sa capacité de nuisance. L’entreprise a fait l’objet d’une enquête de l’inspecteur général du ministère américain de l’Agriculture pour violation potentielle de la loi sur le bien-être des animaux (Animal Welfare Act). L’enquête, lancée à la demande d’un procureur fédéral, s’est concentrée sur les « souffrances extrêmes » subies par les singes sur lesquels les implants cérébraux ont été testés.

Le rapport du CIB attire particulièrement l’attention sur les risques posés par les technologies de puces cérébrales à « double usage », qui peuvent être facilement reprogrammées à des fins malveillantes. Selon le rapport, ces technologies ont « le potentiel d’aggraver les inégalités sociales, de porter atteinte à la vie privée des individus et de fournir des méthodes de manipulation des individus ».

« Les progrès révolutionnaires de la neurotechnologie offrent un potentiel sans précédent », a finalement fait remarquer M. Ramos.

« Mais nous devons rester conscients de ses effets négatifs si elle est utilisée à des fins malveillantes. Nous devons agir maintenant pour nous assurer qu’elles ne sont pas utilisées à mauvais escient et qu’elles ne menacent pas nos sociétés et nos démocraties. »

Visitez FutureTech.news pour d’autres articles sur les neurotechnologies sous forme d’implants cérébraux.

Regardez cette vidéo qui explique pourquoi la neurosurveillance et les armes de modification de la personnalité — sous forme d’implants cérébraux — inaugurent la prochaine étape du transhumanisme.



Cette vidéo provient de la chaîne RogueRunnerRanch sur Brighteon.com.

Des sujets en rapport :

Neuralink brain implants are ready for injection into humans, says Elon Musk.

Elon Musk’s Neuralink wants to start implanting their own brain chips in people.

Ethical questions raised after Elon Musk’s Neuralink company implants chip in monkey’s brain.

Sources:

GlobalResearch.ca

DailyMail.co.uk

Brighteon.com




1ᵉʳ août 2023 : les nouvelles mesures vexatoires du gouvernement français, pour remplacer celles d’avant

[Source : euro-synergies.hautetfort.com]

[Illustration : photo BERTRAND GUAY / AFP]

Par Pierre-Emile Blairon

Les nouvelles mesures gouvernementales sont édictées, comme d’habitude, en plein été, un 1ᵉʳ août, quand tout le monde est en vacances, s’apprête à y aller, ou sur la route, en chemin de retour, de telle manière que ces mesures impopulaires passent inaperçues.

Nous allons détailler ces nouvelles mesures, mais il en est une qui détermine le calendrier, dès l’abord, c’est la fin du pass sanitaire, mesure entérinée par le Parlement le 26 juillet 2023, le gouvernement se donnant toutefois la possibilité d’y recourir encore en cas d’émergence d’un nouveau variant, par exemple, on n’est jamais trop prudent.

Cependant, la suppression de cette contrainte n’a rien de réjouissant : elle annonce simplement que nos « élites » ont trouvé encore mieux pour nous « emmerder », comme dit si bien le président de ce qui reste de notre pays : il s’agit des mesures concernant le pseudo-réchauffement climatique, qui vient remplacer dans la panoplie des mesures liberticides celles qui concernaient la pseudo-pandémie et autres fariboles. Le dessin qui accompagne ce texte est tout à fait parlant : en 2020, la pseudo-pandémie, en 2021, les pseudo-vaccins, en 2022, la pseudo-invasion russe (en réalité, la guerre déclenchée en Ukraine par l’OTAN et ses vassaux européens) et, en 2023, le pseudo-réchauffement climatique. Tout est « pseudo », tout est mensonge !

Toutes les décisions vexatoires qui vont désormais restreindre encore les libertés fondamentales des Français seront produites par cette nouvelle manipulation.

Vous avez aimé le Covid, le vaccin, la guerre en Ukraine ? Vous allez adorer l’urgence climatique. On dit que le diable se cache dans les détails, le pseudo-réchauffement climatique se cache dans chacune de ces nouvelles dispositions édictées à la sauvette.

Augmentation du prix de l’électricité de 10 %

En 2019, la France était le premier exportateur d’électricité au monde (17,3 % des exportations mondiales) grâce à la production de ses 56 centrales nucléaires. En août de l’année dernière, elle n’avait plus que 30 réacteurs en état de marche, notre gouvernement ayant stupidement (ou, pire et plus probable, en toute connaissance de cause) cédé aux injonctions pseudo-écologistes européennes et surtout allemandes de désactiver 14 réacteurs d’ici à 2035, les deux réacteurs de la centrale de Fessenheim étant désormais fermés et les 14 autres étant inactifs pour cause de « maintenance ». C’est désormais la Suède, suivie de l’Allemagne (quelle coïncidence !), qui sont les plus importants producteurs européens d’électricité.

Les Espagnols et les Portugais, eux, se sont séparés du système européen pour devenir indépendants sur ce point en ayant pour objectif de réduire la facture électrique des ménages et des entreprises de 30 %.

Et en France ? Eh bien, la même facture qui va baisser pour la péninsule ibérique va augmenter en France de 10 % pour les ménages et les toutes petites entreprises, ce qui entraînera un coût supplémentaire annuel de 160 euros en moyenne par ménage ou TPE.

Comment EDF explique-t-elle une telle situation ? En partie, par « une moindre disponibilité en 2022 des moyens de production d’électricité en France en raison de deux principaux facteurs : la sécheresse qui impacte la capacité de production des centrales hydrauliques », et par les opérations de maintenance sur les réacteurs nucléaires « qui cumulent celles reportées à la suite des contraintes liées à la crise sanitaire Covid et les nouvelles opérations nécessaires apparues entre-temps ».

On voit que le rédacteur de ce texte évoque une sécheresse (à venir ?) qui est tout aussi « pseudo » que le reste, de même que la pseudo-« crise sanitaire Covid ».

En réalité, le PDG d’EDF en poste alors, Jean-Bernard Levy, a vivement critiqué le projet du gouvernement de démanteler la filière nucléaire, c’est pour cette prise de position qu’il a été « remercié » : « On n’a pas de problèmes d’expertise, les compétences, les experts, on les a […]. On a beaucoup de chantiers en parallèle et, d’une certaine manière, on manque de bras, parce qu’on n’a pas assez d’équipes formées […]. Un soudeur, un tuyauteur, il faut deux, trois ans pour le former », dit-il. « Et pourquoi on n’a pas assez d’équipes formées ? Parce que l’on nous a dit que le parc nucléaire va décliner, “préparez-vous à fermer des centrales”. Évidemment, on n’a pas embauché des gens pour en construire 12, on a embauché des gens pour en fermer 121 ».

Merci qui ? Merci, Macron !

La pseudo-sécheresse

Il a plu en Provence, fait exceptionnel, trois semaines durant, tous les jours, pendant une période à cheval entre mai et juin 2023. Nous sommes donc le 1ᵉʳ août 2023, et il pleut en France un peu partout comme vous le voyez sur cette capture d’image de Météo-France, sauf sur la Provence qui a déjà eu sa part. Rien de plus habituel. Mais la réalité importe peu à nos « élites » ; vous pouvez toujours prétendre que l’herbe est verte, vos dirigeants feront tout pour vous faire croire qu’elle est rouge.

J’ai vainement tenté de consulter les cartes proposées par le Ministère de la Transition écologique (propluvia.developpement-durable.gouv.fr) concernant l’emplacement géographique des restrictions d’eau et les arrêtés préfectoraux régissant ces restrictions, je tombe inévitablement sur le code 404 not found, ou sur les cartes éditées en 2022.

Beaucoup de fontaines en Provence ont été asséchées par décret préfectoral l’année dernière et leur débit n’a pas été rétabli alors que nos fontaines constituent un atout touristique indéniable dans le pays qui est le plus visité au monde.

Nombre de questions sur le sujet resteraient en suspens, et l’omerta gouvernementale aurait pu perdurer, si le sénateur Alain Houpert, au micro d’Alain Bercoff sur Sud-Radio le 12 avril 2023, ne nous avait alertés sur les raisons véritables de cette nouvelle manipulation. Il nous apprend, en effet, que le gouvernement français aurait signé un accord avec les pays du Golfe échangeant l’eau du territoire français contre des hydrocarbures à raison de 4 milliards de m³ par an, soit la totalité de la consommation des Français2. Cette eau serait acheminée par 66 tankers au départ de Fos et de Martigues, puisée dans la Durance et le Verdon via l’étang de Berre pour 800 millions de m³ et le reste… dans les nappes phréatiques ! alors, Français, évitez de vous doucher tous les jours, de laver votre voiture et d’arroser votre jardin pour que les magnats du pétrole puissent faire pousser des villes nouvelles dans le désert, comme ce projet titanesque dont les travaux ont déjà débuté, et dont Ouest-France du 14 janvier 2023 nous communique quelques caractéristiques :

« Imaginez un mélange des Los Angeles futuriste du film Blade Runner et de la Cité radieuse de Le Corbusier, en version écolo… “The Line”, un long immeuble monolithe recouvert de miroirs, large de 200 m et qui s’étire sur 170 km (et haut de 500 m, ndlr) abritant une ville futuriste, est le projet fou de Mohammed ben Salmane, dit “MBS”, prince héritier d’Arabie Saoudite3. »

[Voir aussi :
NEOM]

Mais on peut se demander, avec le sénateur Houpert, pourquoi Ben Salmane ne construit pas des usines de désalinisation à un prix bien inférieur à ce projet, au lieu de vouloir priver d’eau nos compatriotes, avec la complicité (pleine de duplicité) du gouvernement français ?

Les tickets de caisse supprimés

C’est le volet « amusant » de notre article par son absurdité et par son impréparation totale, si ce n’est que, depuis un an, les caissières de supermarché nous ont demandé systématiquement si nous voulions le ticket de caisse à la fin de nos achats. C’est comme pour un mariage : « oui, je le veux ». Les caissières ont bien appris de leurs supérieurs qu’il fallait promouvoir les mesures de « progrès », même si ça devait leur coûter leur emploi (là-dessus, leurs supérieurs sont restés muets) ; c’est ainsi qu’elles ont accepté avec enthousiasme de vous diriger vers les caisses automatiques qui constituent la mort certaine de leur activité au bénéfice des robots, mais surtout des patrons qui n’auront plus à gérer le personnel humain et ses inévitables complications.

Dans le même esprit, « par mesure d’économie », à partir de ce 1ᵉʳ août 2023, les tickets de caisse (ainsi que les reçus de carte bancaire) ne seront plus distribués automatiquement aux clients.

« À la caisse, il faudra dorénavant demander explicitement au vendeur l’impression du ticket de caisse pour tout achat. Cette mesure fait suite à la loi relative à la lutte contre le gaspillage votée en février 2020. Cette mesure doit permettre de faire des économies de papier, alors que 12 milliards de tickets de caisse sont imprimés chaque année dans l’Hexagone. »

(Les Échos, 29 juillet 2023.)

12 milliards de tickets, vu comme ça, ça paraît beaucoup. Mais mettons en parallèle ce nombre extravagant de 12 milliards avec la quantité de publicité papier déposé dans nos boîtes aux lettres, laquelle quantité ne souffre, elle, d’aucune restriction.

Il est distribué chaque année environ 1 million de tonnes de prospectus publicitaires dans les boîtes aux lettres françaises, au nombre d’environ 20 millions, ce qui correspond à 40 kg de prospectus par an et par boîte, soit 12 millions d’arbres abattus. Et savez-vous quelles entreprises distribuent massivement ces prospectus ? Oui, vous le savez : ce sont les super et hypermarchés à plus de 90 %. Comparez donc ces 40 kg de prospectus, c’est-à-dire 40 000 gr, dans votre boîte avec le poids de vos tickets de caisse pour une année, 100 gr, 150 gr, 200 gr ?

Voilà donc où se situe l’absurdité, on s’empressera de sourire, voire de rire franchement, sachant que le deuxième volet de cette loi permettra de « limiter l’exposition de la population aux substances dangereuses pour la santé présentes sur la majorité des tickets imprimés »

En revanche, vous pouvez manger sans problème les 40 kg de papier distribués dans votre boîte aux lettres pour les faire disparaître, tout comme il nous est recommandé de manger des insectes, ce qui n’est pas dangereux non plus ? À vrai dire, nos décideurs n’ont que faire de notre santé.

Et comment prouver, comme cela arrive très souvent, et toujours au bénéfice du vendeur, que vous avez acheté un produit qui s’avère défectueux, ou facturé à un prix qui ne correspond pas au prix vu sur l’étalage ? Eh bien, vous devrez laisser vos coordonnées, messagerie électronique, numéro de téléphone, et on vous enverra la note, si vous la demandez. Bien compliqué, n’est-ce pas ? Et, bien sûr, vos données personnelles seront « sauvegardées », ben voyons…

Enfin, et nous revenons au problème de l’eau, il faut savoir que la fabrication du papier est très consommatrice en eau puisqu’il faut environ 500 litres d’eau pour fabriquer 1 kg de papier. Là aussi, comparons les 40 000 gr de prospectus avec les 150 gr de tickets…

Il reste au consommateur un joker : nous pouvons demander à la caissière le ticket de caisse en papier, sur le champ, qui ne peut pas nous être refusé, même si l’on vous dit le contraire.

La chambre d’agriculture des Pyrénées-Orientales informe ainsi ses membres :

« Si le client en fait expressément la demande, vous ne pouvez pas refuser l’impression de son ticket, et ce, même si un ticket dématérialisé lui a été transmis. Vous n’avez pas, en tant que professionnel, l’obligation de demander formellement au client s’il souhaite ou non son ticket. C’est au consommateur qu’il revient de vous le réclamer. »

Tenez-vous le pour dit.

Déblocage du plan épargne logement

Dernière mesure édictée ce 1ᵉʳ août et qui ne semble pas concerner ce pseudo-réchauffement climatique, il s’agit de l’assouplissement des conditions d’usage du Plan d’épargne logement (PEL).

« Désormais, ce livret pourra être partiellement débloqué pour financer la rénovation thermique d’un logement. Jusqu’alors, le retrait des encours d’un PEL signifiait de facto la clôture du livret puisqu’il permettait uniquement l’achat d’un bien immobilier. Le gouvernement veut ainsi encourager la transition écologique au niveau des logements par la rénovation thermique, souvent très coûteuse, mais efficace en termes d’économies d’énergie. Grâce à ce mécanisme, les détenteurs d’un PEL pourront débloquer une partie des fonds pour financer des travaux thermiques sans clôturer le livret. » (Les Échos, 29 juillet 2023)

Eh bien oui, cette mesure concerne directement les « économies d’énergie » et va permettre la disparition plus rapide de nos villages. Il faut s’en reporter à notre article du 27 décembre 2022 sur ce même site : Comment faire disparaître radicalement le patrimoine français ?

Conclusion : Une pseudo-science journalistique massive

Il nous reste à conclure en citant les propos du prix Nobel de physique 2022, John Clauser (photo), qui lui a valu l’annulation de la conférence qu’il devait donner devant les membres du FMI, conférence intitulée Quelle confiance peut-on accorder aux prédictions climatiques du GIEC ? Parlons-en.

« Le narratif commun sur le changement climatique, explique-t-il, constitue une dangereuse corruption de la science qui menace l’économie mondiale et le bien-être de milliards de personnes. Une science climatique mal orientée s’est métastasée en une pseudoscience journalistique massive. À son tour, celle-ci s’est fait bouc émissaire de quantité de maux qui n’ont aucun rapport. »

Difficile d’être plus clair.

« Il n’y a pas de crise climatique », insiste le spécialiste mondial de l’intrication quantique, usant ainsi d’une formulation qui fait un écho (sans doute volontaire) à la déclaration Clintel du même nom, qui rassemble plus de 1500 signatures, dont celle d’un autre prix Nobel de physique, Ivar Giaever.

« En revanche, ajoute Clauser, il y a un problème bien réel celui-là, qui est de fournir un niveau de vie décent à une large part de la population mondiale ». Le scientifique conclut sa déclaration en soulignant que la crise énergétique actuelle est « inutilement exacerbée par ce qui, à mon sens, est une science climatique incorrecte. »

(Valeurs actuelles du 10 mai 2023.)

Notes :

1 La Dépêche du 7 septembre 2022

2 « La consommation d’eau en France — essentiellement pour l’agriculture et l’eau potable — s’établit à 4,1 milliards de m³ en moyenne par an sur la période 2010-2019, selon la nouvelle estimation publiée mercredi par le Service des données et études statistiques (SDES) du ministère de la Transition écologique. » (ICI, France bleu, 30 mars 2023).

3 « The Line », ville futuriste de 170 km de long, verra-t-elle le jour en Arabie saoudite ?




Enquête de Scott Ritter sur Volodymyr Zelensky

[Source : @FranceTraductions]

« En tant qu’ancien officier de renseignement, je me suis demandé pourquoi personne n’avait mené d’enquête sur Vladimir Zelensky, le président de l’Ukraine. Son accession au pouvoir représente, à mon avis, une incroyable manipulation de l’opinion mondiale qui restera dans l’histoire comme une étude de cas classique d’ingénierie psychologique sociale : un comédien ordinaire qui est arrivé au pouvoir parce qu’il avait promis une paix longtemps attendue, et qui a ensuite entraîné ses concitoyens dans une guerre sanglante qui ne peut être décrite que comme un massacre. Avec l’aide de collègues et d’experts ayant une connaissance directe de Zelensky, j’ai épluché des documents et des vidéos pour produire un film qui rende compte de cette enquête. Cette histoire est tellement riche en rebondissements que j’ai dû la diviser en 2 parties. Dans le premier épisode, présenté ici, je répondrai à la question de l’improbable ascension de Zelensky au pouvoir, et comment le président ukrainien a accumulé son immense fortune, une somme qui n’a fait que croître depuis le début de la guerre avec la Russie. Et, peut-être plus important encore, pourquoi j’ai décidé d’intituler ce film “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter

Enquête de Scott Ritter, ceci est la première partie, vidéo originale ici :
https://www.youtube.com/watch?v=HLeBb6hPUC8



« Dans le domaine du renseignement, chaque agent se voit confier des tâches par ses supérieurs. Dans le cas de l’agent Zelensky, j’ai identifié 10 obligations qui définissent sa relation avec ses maîtres du renseignement étranger. Une fois que vous avez examiné chacune de ces obligations, vous comprenez pourquoi Zelensky le comédien a dit une chose et Zelensky le président en a fait une autre. Quelles sont les véritables raisons de la situation actuelle en Ukraine ? Quel type d’opération la CIA mène-t-elle en Ukraine depuis de nombreuses années ? Vous trouverez les réponses à ces questions et à bien d’autres dans la deuxième partie de mon documentaire d’investigation, “Agent Zelensky”. »

Scott Ritter






Silence Radio, il a coulé ! Naufrage du Cargo « Felicity-Ace » Porte-Voitures Électriques

[Source : fr.linkedin.com]

Par Jean-Louis Blairvacq

Le 28 février 2022, ce cargo chargé de 4108 voitures des marques du Groupe VW a pris feu. Ce feu aurait pris parmi les 3000 voitures électriques de Luxe à son bord. Il a coulé le 1er mars par 3000 m de fond dans l’Atlantique ! … Vous en avez entendu parler ? Non ? Étrange ! C’est Le Canard enchaîné qui ose le dire !

Le Felicity Ace est un cargo porte-conteneurs-roulier panaméen appartenant à la compagnie Mitsui O.S.K. Lines. Mis en service en 2005, il subit un important incendie en février 2022 dans l’océan Atlantique avant son naufrage au large des Açores le 1er mars 2022.

Le navire reliait l’Allemagne aux États-Unis, il contenait notamment des véhicules de luxe, l’incendie est déclaré le 16 février 2022 et se serait déclenché sur des batteries lithium-ion présentes sur les véhicules. Les 22 membres d’équipage sont évacués du navire sains et saufs, la procédure de remorquage débute le 24 février, cependant le navire subit une gîte et coule le 1er mars 2022, il repose à environ 3 000 m de profondeur1.

Le Canard enchaîné, sous la plume de Jean-Luc Porquet, publie un article au vitriol sur l’absurdité des directions écologiques dans lesquelles s’est engagée la France. Il ne faut pas oublier en ligne de mire :

La voiture électrique censée être la solution d’avenir pour sauver la planète.2

On ne cesse de nous rabâcher que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir… et surtout la seule voie pour sauver la planète. À cette fin, la France s’est engouffrée tête baissée dans le Tout électrique, mais sans aucun discernement. Pourtant, nos gouvernants ont enjoint aux constructeurs automobiles de tout miser sur l’électrique. Soit ! Mais qu’est-ce que cela signifie ?

D’abord, l’installation de multiples bornes de recharge le long de nos routes, car les véhicules les plus performants à l’heure actuelle ne peuvent prétendre à une autonomie supérieure à 500 km. Et encore sans faire usage des phares, du chauffage, des essuie-glace, du dégivrage ou de la climatisation !

Ensuite, cela implique la conception de batteries capables de stocker cette énergie. Et là, il faut s’attarder un instant. À l’heure actuelle, les batteries équipant les véhicules sont très lourdes, très coûteuses et… bourrées de métaux rares.

Dans celle de la Tesla Model S par exemple, la plus performante du marché, on ne trouve pas moins de 16 kg de nickel. Or le nickel est plutôt rare sur notre terre. Ce qui fait dire au patron de Tesla France que « le goulet d’étranglement de la transition énergétique se fera sur le nickel ». Extraction du nickel à Goro en Nouvelle-Calédonie. Il sait parfaitement que le nickel est très difficile à trouver. Il faut aller le chercher en Indonésie ou en Nouvelle-Calédonie et son extraction est une vraie galère, car on ne le trouve jamais à l’état pur. Dans les minerais, il n’existe qu’en très faible proportion. Par conséquent, il faut creuser et creuser, encore, broyer, cribler, hydrocycloner3 pour un résultat tout juste à la hauteur des besoins. Or tout cela entraîne de colossales montagnes de résidus que l’on déverse la plupart du temps dans la mer ! Mais qu’importe la biodiversité pour les Khmers verts qui ne jurent que par la « mobilité verte », laquelle n’a pas de prix pour eux. Il n’y a pas que le nickel en jeu.

Il y a aussi le lithium. Extraction du lithium en Bolivie. Il en faut 15 kg par batterie (toujours pour la Tesla Model S). Celui-ci provient des hauts plateaux des Andes. Pour l’extraire, on pompe sous les salars (les lacs salés asséchés), ce qui entraîne une migration de l’eau douce vers les profondeurs. Une catastrophe écologique selon les autochtones qui souffrent déjà du manque d’eau.

Et puis, il y a le cobalt : 10 kg par batterie qu’on va chercher au Congo. Et là, on touche au travail des enfants qui creusent à mains nues dans des mines artisanales pour seulement 2 € par jour (les échos du 23/09/2020). Ça gêne un peu aux entournures nos constructeurs qui, néanmoins, veulent à tout prix rattraper la Chine, déjà championne du monde dans ce secteur. Alors, le travail des enfants, ça reste un détail ! …

Pour couronner le tout, les batteries étant terriblement lourdes (1/4 du poids de la Tesla Model S), il faut alléger au maximum le véhicule.

On fait donc des carrosseries en aluminium dont l’extraction génère ces terribles boues rouges, déchets insolubles (issus du traitement de l’alumine avec de la soude) et qui sont composés de plusieurs métaux lourds, tels que l’arsenic, le fer, le mercure, la silice, et le titane, que l’on déverse aussi, dans la mer, au mépris des questions d’environnement, comme à Gardanne dans les Bouches-du-Rhône.

Voilà ce qu’est le développement « durable » selon nos écologistes.





France — Les squatteurs autorisés à poursuivre les propriétaires

[Source : RL]

Par Bernard GERMAIN

Pas un domaine n’échappe au désastre qui est en train de frapper la France et son peuple. C’est une véritable guerre qui est déclarée contre le peuple. Prenons quelques exemples.

À cause des délires écologistes sur le soi-disant « dérèglement climatique », tout est mis cul par-dessus tête dans notre pays.

Notre territoire se couvre d’éoliennes et de méthaniseurs, qui coûtent une fortune et n’arriveront jamais à simplement égaler l’énergie nucléaire qui produit une électricité abondante et bon marché. À l’inverse, nous subissons une crise énergétique majeure à cause des décisions débiles de l’Europe qui lient le prix de l’électricité à celui du gaz pour satisfaire les intérêts économiques des Allemands, tout en ruinant notre pays et son peuple.

Toujours à cause des théories folles des écologistes, l’industrie automobile va être sacrifiée, provoquant des centaines de milliers de chômeurs dans notre pays, afin d’imposer l’utilisation de voitures électriques qu’une considérable partie de la population ne pourra pas s’offrir, car elle n’en aura pas les moyens. Comment vont faire ces Français, notamment dans les campagnes pour se déplacer ?

Non contente d’imposer cette catastrophe économique et sociale, l’Europe et les écologistes fous veulent aussi interdire dès 2025 (en plus des villes déjà frappées) l’accès aux villes de plus 125 000 habitants à tous les véhicules qui ne sont pas électriques (même les hybrides).

Comment vont faire nombre de Français pour se rendre à leur travail ou vivre tout simplement ?

Comment le cœur des villes va-t-il pouvoir être livré des marchandises attendues si les camions et camionnettes ne peuvent y accéder ?

Mais ce n’est pas tout, il y a aussi les récentes législations votées par l’Europe qui vont commencer à s’appliquer très rapidement concernant les logements.

Tout logement ne répondant pas aux normes exigées pour les économies d’énergies ne pourra être ni vendu ni loué.

Les projections faites annoncent, par exemple, que 30 % du parc immobilier locatif parisien devrait ainsi disparaître. Mais comment vont faire les gens pour se loger ?

Les prix sont déjà extrêmement élevés en région parisienne, si vous enlevez 30 % du parc immobilier nombre de personnes n’auront plus la possibilité de se loger et les prix vont exploser et atteindre d’incroyables sommets.

Tout cela au nom de la lutte contre le dérèglement climatique et afin de faire baisser la quantité de CO2 produite… alors que la production de CO2 en Europe ne représente que 9 % de la production mondiale et moins de 1 % en France.

Alors pourquoi cette politique complètement folle qui va agresser brutalement le peuple sans aucune justification sérieuse ? D’autant que de nombreux scientifiques disent que ce « dérèglement climatique » est tout sauf prouvé scientifiquement.

On peut sur ce plan juger du sérieux de ceux qui font la promotion de ces mesures en écoutant par exemple Mathilde Panot qui vient de déclarer :

« Nous avons connu sur le mois de juillet les 7 jours les plus chauds depuis 100 000 ans ».

Sans blague… il y a 100 000 ans, ils faisaient déjà des relevés de températures ?

Et la même d’ajouter à propos de la sécheresse consécutive à cette augmentation des températures (due à la quantité de CO2 excessive dans l’atmosphère) :

« Nous avons notamment une situation de sécheresse en France, mais également une situation de sécheresse dans les océans et dans les mers ce qui est extrêmement dramatique ».

Là c’est sûr, c’est extrêmement dramatique… mais le plus effrayant c’est qu’aucun journaliste n’a osé dire à la Mathilde qu’à l’évidence elle n’avait pas le gaz et l’électricité à tous les étages et qu’il fallait sans doute qu’elle pense à arrêter de fumer la moquette.

Par contre le peuple, lui c’est certain, va sérieusement dérouiller à cause de politiciens fous faisant la promotion de ces politiques qui sont autant d’actes de guerre contre le peuple.

Autre exemple de cette guerre déclarée au peuple : la liberté d’expression.

La « gauche » et les bien-pensants expliquent ni plus ni moins qu’ils sont les seuls à pouvoir informer la population.

Ainsi au JDD, depuis plus de 4 semaines, les journalistes sont en grève contre la venue de Geoffroy Lejeune, catalogué « extrême droite » par ces journaleux ultra sectaires, mais qui se considèrent comme des démocrates.

Leur revendication est des plus simples : l’assemblée des journalistes du journal doit pouvoir décider par un vote (alors qu’il s’agit d’un journal sous statut privé) qui va être le Directeur de la rédaction.

Ces gens sont impayables. Ils se croient encore en Union Soviétique en exigeant que le soviet du JDD et le commissaire politique local approuvent ou pas l’arrivée du nouveau Directeur de la rédaction.

Ça a peut-être l’air de rien comme cela, mais leur revendication est hallucinante.

Ils revendiquent le monopole de l’information de la population et refusent à quiconque n’a pas leur opinion de pouvoir le faire et même simplement de pouvoir y participer.

Donc seuls les bien-pensants et les « politiquement corrects » peuvent remplir cette fonction, les autres, c’est-à-dire « l’extrême droite » et « les fascistes », en étant obligatoirement écartés.

Ceux qui mettaient en œuvre ce type de méthodes étaient les sbires des régimes de Staline, Mao, Pol Pot, etc.

On se souviendra peut-être que ces régimes et leurs exécutants ont aussi fait des dizaines de millions de morts.

Mais en 2023, ces journalistes « démocrates » entendent remettre à l’honneur ces méthodes. Le plus incroyable étant que tant de gens ne soient pas choqués de cette volonté de mise en coupe réglée de l’information.

Et comme ces gens n’ont aucune limite, ils souhaitent même qu’une Loi officialise leurs volontés.

En attendant le jour de cet heureux événement, des « États généraux de l’information » doivent se tenir prochainement avec à leur tête Christophe Deloire, le patron de Reporters Sans Frontières, qualifié pour la circonstance de « personne neutre », mais qui passe sa vie à dénoncer l’empire Bolloré. Le reste des organisateurs dans cette commission étant constitué d’anciens de Libération et du Nouvel Obs, ainsi que quelques partisans de Macron. Des gens donc très objectifs et pas partisans pour un sou.

Le peuple français peut donc s’attendre à ce que des décisions sortent de ces États généraux lui assurant une information honnête et objective. Il n’y a absolument rien de négatif à redouter sur ce plan.

Un dernier exemple mérite d’être signalé en tant qu’acte de guerre contre le peuple : la dernière décision du Conseil constitutionnel concernant les squatteurs. Là, ça envoie du lourd, du très lourd.

Comme chacun le sait, tout propriétaire d’un bien immobilier redoute d’être victime de squatteurs. En effet, c’est un véritable parcours du combattant pour un propriétaire s’il est confronté à la confiscation de son bien par des squatteurs.

Il ne peut récupérer seul son bien et doit obligatoirement passer par le tribunal, qui met un temps infini à trancher le litige et lorsqu’au bout du parcours le propriétaire finit par retrouver son bien, il est invariablement dans un tel état qu’il lui faut dépenser des sommes considérables pour le remettre en état. Sans pouvoir se retourner contre les squatteurs qui sont insolvables dans la quasi-totalité des cas.

Donc une Loi a été votée récemment afin de faciliter pour les propriétaires victimes la récupération de leur bien, en pouvant expulser plus rapidement les squatteurs.

Mais il se trouve que le Conseil constitutionnel « dans sa grande sagesse » vient de censurer en partie cette Loi qui se fixait pour objectif d’être un peu plus protectrice pour le propriétaire des lieux.

Ainsi, invoquant l’article 1244 du Code civil qui prévoit que « le propriétaire d’un bâtiment est responsable du dommage causé par sa ruine, lorsqu’elle est arrivée par une suite du défaut d’entretien ou par le vice de sa construction » le Conseil constitutionnel a censuré en partie cette Loi.

Un squatteur pourrait être victime par exemple d’une blessure résultant d’un manque d’entretien du bâtiment qu’il squatte. Ce squatteur pourrait donc se retourner contre le propriétaire pour « défaut d’entretien de cette habitation » et même lui demander d’indemniser le préjudice.

On se pince pour y croire, mais c’est ce que vient de décider le Conseil constitutionnel à l’occasion de l’examen de la Loi « anti-squat » qui vient de lui être présentée.

Là où l’on se rend compte de la folie dans laquelle sont tombés ces « sages », c’est que si le propriétaire s’avise de pénétrer dans son logement, occupé par des squatteurs, pour y faire des réparations qui s’imposent, ce propriétaire peut se voir attaqué au tribunal par les squatteurs pour… violation de domicile.

Au lieu de défendre le propriétaire gravement spolié par le squatteur, le Conseil constitutionnel vient donc de prendre ouvertement le parti du squatteur contre le propriétaire. Tout cela est juste insensé.

Au moment de conclure cet article, je ne peux m’empêcher de lister les points sur lesquels le peuple français est attaqué.

Il y a la crise de l’énergie, la défiguration de nos campagnes avec éoliennes et méthanisations, les voitures, les habitations, l’accès aux villes, les possibilités de se déplacer notamment dans les campagnes, les restrictions d’eau, les limitations voire l’interdiction d’accéder à une information honnête, l’impossibilité de se défendre sérieusement contre les squatteurs.

Et je ne parle pas des problèmes d’insécurité, de vols ou d’agressions ainsi que de tant d’autres problèmes.

C’est indiscutable, notre société a vraiment déclaré la guerre au peuple français. Jusqu’à quand cela peut-il durer ?




L’Inquisition continue : l’Ordre des médecins veut « faire le tri » dans les médecines « non conventionnelles »

[Source : France-Soir via Sott.net]

« Les signalements pour dérives thérapeutiques deviennent une actualité de plus en plus importante », écrit le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) en introduction d’un rapport publié le 27 juin 2023. Ce texte, intitulé « Les pratiques de soins non conventionnelles et leurs dérives », vise à mieux encadrer les « médecines alternatives », « dans le seul but de pouvoir donner aux patients une information suffisamment éclairée afin qu’ils maîtrisent au mieux la prise en charge de leur santé. »

Francisco Goya, « Contre le bien commun. » 1863

Entre arguments justifiés et hypocrisie autoritaire, doit-on parler de bienveillance ou de croisade ?

De l’ostéopathie à la naturopathie, en passant par l’hypnose ou encore le jeûne, d’autres formes de médecines que ladite « médecine conventionnelle » se sont fait une place dans la société au cours des dernières années. Selon le rapport, ce phénomène s’explique à la fois par « la pénurie de l’offre de soins, l’influence de la crise sanitaire, la mouvance bio et l’offre des formations bien-être/développement personnel ». L’Ordre y voit un danger pour les patients. Ainsi, son objectif est de « faire le tri entre des pratiques dangereuses pour la santé des patients et celles qui peuvent présenter un intérêt dans l’accompagnement du malade, et les restreindre au seul domaine du bien-être. »

Définitions des « pratiques de soins non conventionnelles »

De quoi parle-t-on exactement ? Les « pratiques de soins non conventionnelles » (PSNC) englobent joyeusement toute forme de médecine qui n’a pas été tamisée par le processus canadien de « l’Evidence-Based Medicine (EBM) », alias la médecine fondée sur les preuves, la « médecine conventionnelle ». Cette dernière se fonde essentiellement sur les données de la recherche (essais randomisés, études de cas, niveau de preuves…) afin de réduire autant que faire se peut la subjectivité du médecin. Autrement dit, c’est la critique principale qui est faite à ce modèle, l’art médical basé sur le rapport médecin-patient et l’intelligence même du médecin sont mis au ban au profit de la statistique pure issue de l’expérimentation. Aujourd’hui, c’est le modèle largement majoritaire en Occident.

À ceci, le ministère de la Santé ajoute que « les PSNC ont pour point commun qu’elles ne sont ni reconnues, au plan scientifique, par la médecine conventionnelle, ni enseignées au cours de la formation initiale des professionnels de santé. »

Ainsi, le rapport de l’Ordre liste les PSNC suivantes :

ACCESS BARS CONSCIOUSNESS ; ACUPUNCTURE ; APITHÉRAPIE ; AROMATHÉRAPIE ; AURICULOTHÉRAPIE ; BIOLOGIE TOTALE ; CHONDROPRAXIE ; CONSTELLATIONS FAMILIALES ; ÉTIOPATHIE ; FLEURS DE BACH ; GEMMOTHÉRAPIE ; GÉOPHAGIE ; HAPTONOMIE ; HOMÉOPATHIE ; HYDROTHÉRAPIE DU CÔLON ; HYDROTOMIE PERCUTANÉE ; HYPNOSE ; IRIDOLOGIE ; JEUNE THÉRAPEUTIQUE ; KINÉSIOLOGIE ; LITHOTHÉRAPIE ; MÉDECINE ANTHROPOSOPHIQUE ; MÉDECINE HOLISTIQUE ; MÉDECINE QUANTIQUE ; NATUROPATHIE ; OSTÉOPATHIE ; SYLVOTHÉRAPIE ; VENTOUSOTHÉRAPIE.

Dans le lot, certaines sont très peu connues (constellations familiales ou fleurs de Bach), d’autres sont largement répandues (hypnose ou ostéopathie). Quoi qu’il en soit, l’Ordre des médecins considère qu’elles doivent être mieux définies, à commencer par le terme même de « médecine ». Le rapport préconise de modifier la loi pour que ce terme soit protégé, au même titre que celui de « médecin », afin que tout le monde ne puisse pas déclarer et pratiquer une activité de « médecine ».

Dans le même esprit, le rapport souligne que le terme de « Docteur » devrait obligatoirement être suivi de la science dans laquelle la thèse a été soutenue, afin qu’un docteur en droit ne puisse pas se présenter comme « Docteur exerçant la médecine chinoise », par exemple.

Du « bien-être » à la « dérive sectaire »

L’Ordre des médecins reconnaît que « certaines PSNC sont intégrées depuis plusieurs années déjà dans certaines approches thérapeutiques », notamment en cancérologie. Néanmoins, le rapport limite leur rôle à de « l’empowerment » pour le patient, uniquement complémentaire d’un traitement spécifique et reconnu.

En résumé, « si dans de nombreux centres de prise en charge des cancers les soins de support ont trouvé leur place et améliorent la qualité de la vie des patients, il faut rappeler qu’ils ne soignent pas. » Ils sont donc relégués au « bien-être », tout en étant particulièrement dangereux. Et pour cause !

Le rapport distingue trois dérives entraînées par la pratique de ces médecines : l’exercice illégal, les dérives thérapeutiques et les dérives sectaires.

Si le premier point semble évident à déceler, puisqu’il repose sur les diplômes et droits du pratiquant, les deux autres reposent davantage sur la subjectivité du médecin et de son patient, ou de ceux qui les surveillent. Le rapport explique qu’une « PSNC devient dérive thérapeutique dès lors qu’elle met en danger les patients, parce qu’elle n’est pas validée scientifiquement et/ou qu’elle est proposée en remplacement de la médecine conventionnelle. » L’Ordre semble partir du principe que ladite PSNC est dangereuse car « non validée » ; il semble presque dérisoire de savoir si in fine, le traitement a soigné ou pas.

Ensuite, le rapport met en garde : « Dès lors que ces “thérapies” cherchent à faire adhérer le malade à un nouveau mode de pensée ou croyance, il faut se méfier, car l’endoctrinement arrive progressivement. » Et d’ajouter : « Aujourd’hui, la santé et le bien-être constituent le premier domaine de risque de dérives sectaires. »

Difficile de leur donner tort sur ce point, tant on s’est aperçu, lors de la crise sanitaire du Covid-19, à quel point la santé pouvait être un levier de peur et de coercition. Les premières doses de vaccin ont d’ailleurs été administrées alors que ces derniers bénéficiaient uniquement d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, sans avoir achevé tous les tests habituellement nécessaires à « l’Evidence-Based Medicine ». Ceux qui les refusaient étaient ostracisés par la société. Est-il juste, alors, de parler de dérives thérapeutiques ou de dérives sectaires ? Pendant plus de deux ans, le corps médical lui-même s’est déchiré autour de ces questions. Des professeurs reconnus tels que le Pr Raoult, le Pr Perronne ou encore le Pr Trouillas, ont été incendiés par l’Ordre pour avoir cherché d’autres solutions et soigné avec des traitements précoces jugés inadaptés par la médecine conventionnelle.

Aujourd’hui encore, l’Ordre des médecins veut « protéger les patients » de ce qui n’est pas reconnu, proposant un certain nombre de mesures pour encadrer les PSNC.

Des informations et des formations

Pour contrôler le développement de ces PSNC et traiter les signalements, l’Ordre s’entoure de nombreuses institutions spécialisées, telles que MIVILUDES pour les dérives sectaires, la DGCCRF pour les fraudes ou la DRIEETS pour les formations.

Cette dernière sera par exemple chargée « d’intervenir en amont de l’enregistrement de la déclaration de formation », grâce à un guide établi par le Conseil national de l’Ordre des médecins. En plus d’éviter les « professionnels autoproclamés », l’objectif de cette intervention est présenté ainsi :

« Éviter que des professionnels, furent-ils médecins, ou autres professionnels de santé proposent l’enseignement de techniques thérapeutiques non validées scientifiquement, voire dangereuses pouvant parfois présenter un risque d’emprise. »

Concernant les institutions, le CNOM préconise aussi de remettre en place le « Groupe d’Appui Technique » (GAT PSNC), qui était chargé de repérer et classifier les PSNC dangereuses ou prometteuses. Il avait été créé en 2009, et supprimé en 2015.

À l’inverse, le CNOM a alerté le gouvernement quant à l’existence « inquiétante » de « l’Agence des Médecines Complémentaires et Alternatives », créée en 2020 par Véronique SUISSA, Serge GUÉRIN et Philippe DENORMANDIE.

Par ailleurs, c’est un travail d’informations que le rapport décrit. D’abord, le CNOM prévoit de s’associer à MIVILUDES et la DRIEETS pour convaincre Pôle Emploi de revoir son Répertoire Opérationnel des Métiers et des Emplois (ROME). C’est au travers de ce dernier que l’institution présente chaque métier, ses conditions d’accès et d’exercice, les compétences requises, etc. On y trouve notamment une rubrique « Développement personnel et bien-être de la personne » qui dérange l’Ordre des médecins, en ce sens que les formations qui y sont contenues « ne reposent en fait sur aucune réglementation ».

De son côté, l’Ordre des médecins rédige d’ores et déjà des fiches concernant chacune des PSNC.

Enfin, le CNOM communique directement auprès du public, présentant par exemple une liste de questions qu’il faudrait se poser avant d’avoir recours au PSNC. Parmi elles : « Quelles sont les qualifications du professionnel que je vais consulter ? Est-il inscrit au registre partagé des professionnels de santé (RPPS) ? Si c’est un médecin, est-il inscrit au tableau de l’ordre des médecins ? Avec quelle qualification ? » ; « Ai-je recours à ce traitement en raison d’un échec d’une médecine conventionnelle ? Me demande-t-on d’arrêter mon traitement conventionnel ? » ; « Quels sont tous les risques liés à ce traitement ? »

En somme, un travail d’enquête qui n’est pas souvent préconisé pour un rendez-vous médical classique, pour lequel on s’appuie sur le principe de confiance médecin-patient. Deux poids, deux mesures.

En conclusion, les auteurs du texte assurent que « si chacun est libre d’envisager la prise en charge de sa santé et de son bien-être, ce libre choix doit être éclairé et exercé en connaissance de cause. » Encore faut-il avoir le choix, car ce rapport qui « n’est qu’un point d’étape » laisse entendre que l’offre des médecines « non conventionnelles » risque d’accuser le coup. Le cas échéant, le public n’aura guère d’autre choix que de se tourner à nouveau vers la pharmacopée occidentale, ses médicaments et ses vaccins.




Coromanipulus : malgré les mensonges médiatiques, les choses avancent

[Source : serenite-patrimoniale.com]

Par Hubert Boeltz

Introduction :

Chers lecteurs, nous vivons une époque formidable☺. En effet, depuis l’épisode « Corona manipulus », nous sommes à même de voir et de comprendre ce qui se passe réellement, au niveau mondial, pour ce qui est du projet de société des mondialistes apatrides.

Faut-il, pour cela, avoir le courage de remettre en cause nos « certitudes » et notre « confort », façonnés par des décennies de manipulations. L’humanité, dans son ensemble, est victime du « syndrome de la grenouille ». Le sachant, il est plus facile de prendre conscience de l’Être que nous sommes vraiment et de nos réels pouvoirs, afin d’agir pour notre bien et celui de l’humanité. C’est l’ambition de mes différents écrits, de vous y aider.

De belles choses se passent… sous les radars médiatiques :

Dans mon billet de mardi dernier, j’évoquais le rôle « convenu » des syndicats des personnels de la banque de France. Il y a plus désolant. La Française Virginie JORON, députée européenne, membre de la « Commission spéciale sur la pandémie de COVID 19 », nous apprend que grâce aux votes de certains de ses collègues français et non des moindres, les laboratoires pharmaceutiques n’indemniseront pas les victimes des « injections forcées » de ces derniers mois.

Il est des faits à garder en mémoire… jusqu’aux prochaines élections !!!

Dans l’indifférence des élites mondiales, une « surmortalité inexpliquée » ne cesse d’augmenter. Nous sommes actuellement dans une situation, où d’une part, le syndrome de « la servitude volontaire » touche une grande partie de la population. D’autre part, beaucoup de médecins se rendant compte de leurs erreurs « d’appréciation Corocambolesques » n’osent pas publiquement le reconnaître.

Et pourtant… les effets secondaires existent officiellement. Une partie est même indemnisée… dans le silence assssourdissant des « merdias de grand chemin » !!!

Heureusement, certains résistent et n’hésitent pas à témoigner, tel le cardiologue Jean STEVENS… vacciné et victime d’effets indésirables. Tel aussi, le docteur Amine UMLIL, qui relaie des décisions de justice désavouant le ministre de la Santé sur certaines de ses décisions.

Du côté des militaires, l’Association Professionnelle Nationale de Militaires-Militaires libres (APNM) n’hésite pas à « ferrailler » avec le gouvernement, pour faire cesser les mesures illégales prises à l’encontre des militaires.

Cette vague de fond se développe partout dans le monde. J’ai déjà relaté aux abonnés aux « Rendez-vous d’Hubert », la naissance de « l’ordre universel des praticiens de la santé » (OUPS), en Belgique.

Aux pays bas, la Fondation Recht Oprecht a entamé des procédures judiciaires demandant des dommages et intérêts à seize personnalités politiques du gouvernement hollandais, ainsi qu’à Bill GATES et le PDG de Pfizer, Albert BOURLA !!!

Au Canada, ce sont plus de trois cents militaires qui assignent l’armée canadienne et le chef d’état-major de la défense pour « abus de pouvoir » de la part du commandement des forces armées canadiennes. Ils estiment avoir subi de « graves conséquences » comme la perte de leur carrière ainsi que leurs droits. Ils réclament un dédommagement à hauteur de… 500 millions de dollars !!!

En Autriche, un fonds d’indemnisation est en cours de mise en place pour « la compensation Corona » au profit des victimes de cette campagne. Un avocat se concentre sur la responsabilité des « médecins vaccinateurs ». Pas moins de 1 851 demandes d’indemnisation en raison des dommages causés par le vaccin corona ont été soumises au ministère autrichien de la Santé. Quatre-vingt-huit d’entre eux ont été reconnus à ce jour. Dans soixante-douze cas, il y a eu un paiement unique de deux mille euros, les seize personnes restantes reçoivent une pension mensuelle de 700 euros !!!

Comme vous le constatez, le temps travaille au bénéfice de la vérité.

« Toute vérité franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée.
Ensuite, elle subit une forte opposition.
Puis, elle est considérée comme ayant toujours été une évidence »
(Arthur Schopenhauer)

Chers lecteurs résistants, de la première heure ou plus tardivement rallié à cette noble cause, je vous aime et vous salue.




Le traité pandémies de l’OMS n’est pas fait pour améliorer la santé des populations, mais celle de Big Pharma

[Source : @Cielvoile]

Maria Zeee interviewe l’avocat Roguski sur le traité pandémies de l’OMS






Ondes : les guerres invisibles

[Source : @Roms17]

[Voir aussi :
dossier 5G et ondes pulsées.]






Le dossier des Interfaces Cerveau-Machine non thérapeutiques sur la table de vos dirigeants politiques

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

« Que nous croyons au ciel ou que nous n’y croyions pas, tout ne nous est pas pour autant permis (…) Et tant que nous conservons l’ombre du discernement éthique, l’emploi d’immenses pouvoirs à des fins indignes constituera l’équivalent moral de la sorcellerie ou de la simonie. »

Norbert Wiener, God & Golem

La guerre qui se déroule actuellement cible l’humanité dans son ensemble. Après avoir accaparé les ressources matérielles, la supra-élite s’en prend au vivant. L’idée que quelques ultra-puissants cherchent à se rendre propriétaires de l’humanité doit être prise au sérieux. Et pour ce faire, il faut la ramener plus bas que terre en la dénigrant tout en magnifiant de manière fallacieuse le matériel technologique. Lorsque le moral des uns et des autres est cassé, que la jeunesse se sent impuissante et privée d’avenir, c’est alors que les tenants du système viendront proposer des « solutions d’avenir ». Des technologies qui vont, en théorie, les « augmenter » pour les rendre plus performants et plus compétitifs face à l’IA divinisée.

La réalité est que le modèle qui s’appuie sur une machine planétaire à gouverner a besoin des cerveaux humains pour rendre, comme nous l’avons vu précédemment, la fameuse IA artificiellement exaltée intelligente. L’obsession des promoteurs de celle-ci [fait qu’ils] mènent une bataille de tous les instants pour qu’elle quitte enfin son état de machine, passif qui est collé à sa nourriture en data et en normes, pour entrer dans une phase proactive, consciente d’elle-même, intuitive, etc.

Pour faire simple, l’IA doit acquérir les capacités cognitives humaines pour espérer provoquer une Singularité ; ou plus modestement devenir une machine à gouverner universelle, capable d’anticipation, de raisonnement au-delà des normes codées, etc..

Vous avez compris que le champ de bataille est le cerveau humain. Et pour en acquérir les capacités vertigineuses, il faut se l’approprier.

Alors pendant que l’on divertit le peuple avec de la politique locale et internationale gangrénée par toutes sortes de déviances, les plus grosses entreprises de la terre sont dotées de sommes inimaginables pour développer logiciels, dispositifs matériels, et études qui convergent toutes vers le cerveau humain. Le contrôle du cerveau garantirait la suprématie des conquérants et l’esclavage éternel des contrôlés devenus entre deux des cyborgs. Forcément.

Pour que notre hypothèse soit défendable, il faut que l’on trouve des sources pour étayer ne serait-ce qu’une vague volonté politique… Eh bien, figurez-vous qu’il y a pas mal de documents qui traitent de la chose loin des médias grand public. En voici un qui est disponible sur le site du Sénat français.

Bien évidemment, ce qui importe dans notre démarche est l’application non médicale, à seule visée d’« augmenter » les capacités de l’individu… On y écrit :

« L’intérêt grandissant du secteur privé et la question des applications non médicales »

De plus en plus d’entreprises investissent le champ des neurotechnologies, faisant le pari de l’hybridation du cerveau avec l’intelligence artificielle (IA) (14), à l’instar de Neuralink, fondée par Elon Musk en 2017, qui s’est fixée pour objectif de faire marcher des personnes paralysées, de traiter les maladies neurologiques, mais aussi d’améliorer les capacités cognitives naturelles.

La dernière version de son implant de 23 mm de diamètre, 8 mm d’épaisseur, rechargé quotidiennement par induction et composé de 1 024 électrodes (des fils extrêmement fins proches de la taille d’un neurone) a été testée en 2020 sur des cochons (après des rats et un singe) et attend une autorisation pour débuter des essais cliniques sur l’homme (15).
L’intérêt croissant des entreprises pour le neurofeedback et les ICM (Interfaces Cerveau-Machine) s’accompagne d’investissements massifs dans la recherche, en vue d’applications surtout non médicales en dépit d’un cadre juridique restrictif (16).

Il s’agit par exemple de commercialiser des produits grand public à l’efficacité souvent incertaine, en matière de contrôle d’interfaces numériques par la pensée (transmission et réception d’informations vers et depuis un ordinateur, divertissement et jeux vidéo…), d’aide à la concentration, à la relaxation, au sommeil et plus généralement au bien-être, ou d’amélioration des performances cognitives et sportives.

Le potentiel de développement du neurofeedback par EEG en tant que dispositif « individuel » est grand, même si les résultats sont très variables et ont tendance à être surestimés, pas seulement en raison d’effets d’annonces (17).

Il peut aussi s’agir de détecter la perte d’attention en voiture, en classe ou au travail. En Chine, selon plusieurs experts auditionnés, des expériences seraient menées pour surveiller les ondes cérébrales des élèves et des ouvriers grâce à des ICM, de manière à lutter contre les états émotionnels défavorables à la concentration. »

https://www.senat.fr/rap/r21-376/r21-3761.pdf

Et voici qu’à la même date, un autre document, parfaitement en phase avec celui du Sénat, préparé par l’Organisation de coopération et de développement économiques, l’OCDE, organisation internationale d’études économiques, dont les pays membres — des pays développés pour la plupart — ont en commun un système de gouvernement démocratique et une économie de marché.

On y traite des INTERFACES CERVEAU-ORDINATEUR ET LE SYSTÈME DE GOUVERNANCE. Ce document sert de référence pour la Recommandation pour une gouvernance réglementaire agile permettant de tirer parti de l’innovation (OCDE, 2021), adoptée par le Conseil de l’OCDE au niveau des ministres le 6 octobre 2021. Vous constaterez le lien qui y est établi avec un système de gouvernance puisque ces produits dépassent largement le cadre du simple dispositif thérapeutique que géreraient les autorités de Santé publique.

On nous dit que le but de ce document est d’aider les gouvernements à « élaborer et mettre en œuvre des approches réglementaires agiles et résilientes et à faciliter la coopération institutionnelle en réponse à l’innovation et pour la stimuler davantage ».

Nous avons extrait une fois de plus une application non médicale du BCI (Brain Computer Interface). On peut lire :

« La technologie BCI pour les applications non médicales ne fait que récemment son entrée sur le marché des consommateurs, et l’on s’attend à une croissance supplémentaire dans divers domaines, du divertissement (par exemple, casques de jeu EEG) à la formation (par exemple, casques EEG pour améliorer la concentration) en passant par le neuromarketing (par exemple, BCI pour mesurer la réaction des consommateurs) (UK, 2020). »

La défense est un autre domaine dans lequel différents pays augmentent leurs investissements, par exemple pour17 étudierl’amélioration des compétences cognitives ou l’aide à la prise de décision des soldats.

Enfin, l’application de la loi est un autre domaine d’application, où les BCI sont utilisés pourla détection des mensonges ou l’application de la loi, par exemple (OCDE 2017 a ; Garden et al., 2019).

Il est raisonnable de penser qu’il existe une volonté politique de faire connecter à la machine les cerveaux humains, hormis probablement ceux des propriétaires des ressources de la planète, ainsi que leurs proches. Cette approche considère l’ordinateur comme une extension du cerveau, et vice-versa.

Le célèbre chimiste Joël de Rosnay nous explique que l’homme devrait être transformé progressivement pour finir par devenir un neurone de la Terre, positionné au sein du système nerveux qu’il a lui-même créé.

https://www.letemps.ch/sciences/joel-rosnay-lavenir-lhumanite-reside-lintelligence-collective-augmentee

Les thèses de Joël de Rosnay saluées à la RTS,
mais aussi dans le journal de l’Église réformée !
https://www.reformes.ch/spiritualites/2018/03/joel-de-rosnay-lhyper-humaniste-rosnay-humanisme-biologie-laicite

Ainsi, on travaille dur à fusionner la technosphère et la biosphère avec en arrière-pensée, tenue à l’écart des principaux concernés, la constitution du cerveau planétaire et de la société en temps réel. Le terrien normal n’a aucune idée de ce qui se trame dans les coulisses de ce monde.

Voici quelques extraits de l’introduction du document de l’OCDE : IMPORTANT

Les systèmes BCI — Brain Computer Interface ou Interface neuronale directe — sont définis par leurs différentes formes de connexion et de transfert de données ainsi que par leurs applications possibles, et ces classifications aident à déterminer lequel des nombreux cadres réglementaires et de gouvernance pourrait s’appliquer. En effet, un accord sur la définition et la catégorisation des systèmes BCI est essentiel pour harmoniser et créer un cadre réglementaire solide, mais flexible, capable de stimuler la technologie dans toutes ses variantes tout en protégeant l’utilisateur et la société de conséquences involontaires.

En termes généraux, les BCI sont « utilisés pour détecter et décoder les modèles d’activité neuronale par des dispositifs externes — reliant les commandes de la pensée à des dispositifs externes » (OCDE, 2016 b). Ainsi, un système BCI de base comprend un capteur pour capturer le signal cérébral, un ordinateur (qui convertit le signal en un algorithme) et un élément informatique pour contrôler un dispositif externe. Néanmoins, certains auteurs étendent la définition de la BCI à des dispositifs reliant d’autres parties du système neuronal (interfaces neurales) ou à des dispositifs qui stimulent (également) le cerveau (c’est-à-dire comprenant un quatrième élément de stimulation en retour) (UK, 2020).

Il existe plusieurs classifications des ICB qui ont des conséquences en matière de réglementation et de gouvernance.

Acquisition de signaux cérébraux Les systèmes BCI peuvent utiliser différentes méthodes pour acquérir le signal cérébral, des techniques les moins invasives aux plus invasives (tableaux 1 et 2) (Royal Society, 2019) :

Invasif : l’implant nécessite une intervention chirurgicale avec le risque d’éventuelles complications ultérieures pour l’utilisateur. Cependant, il permet une acquisition de haute qualité du signal cérébral. Le plus connu au monde est l’implant cochléaire, utilisé par plus de 700 000 personnes souffrant de troubles auditifs (NIH, 2021).

Non invasif : les capteurs sont placés à l’extérieur, à l’aide de techniques non invasives. Ils ne présentent aucun risque de chirurgie, mais le signal obtenu est plus faible. La technique la plus utilisée est l’électroencéphalographie (EEG). On peut également citer la magnétoencéphalographie (MEG) ou la stimulation électrique fonctionnelle (FES).

Partiellement invasif : l’implant permet une meilleure acquisition du signal cérébral que la technique non invasive, mais nécessite une intervention chirurgicale minimale. L’électrocorticographie (ECoG) en est un exemple.

Ailleurs, nous découvrons que ces extensions de la machine vers le cerveau humain dépassent allègrement le cadre strictement médical. Des problèmes de risques et de sécurité des dispositifs BCI sont posés. Selon le cas, l’utilisation des BCI peut avoir un impact sur le bien-être physique et psychologique de leurs utilisateurs. Et dans cette rubrique, nous découvrons avec stupeur qu’il y a absence de maintenance des appareils, par exemple lorsqu’une étude prend fin. Plus grave encore est le risque de « neuro-hacking » (Yuste et coll., 2017) est réel puisque selon les dispositifs, ils sont connectés à Internet et ne sont pas à l’abri d’actes malveillants.

Dans ce rapport, on nous explique qu’un objectif visé par le BCI est l’amélioration de la condition humaine, inégalités sociales. Et comme nous pouvions le supposer, la frontière entre l’amélioration humaine et la thérapie est notoirement vague, d’autant plus que des technologies sont actuellement développées pour des traitements expérimentaux (Baldwin et coll., 2013).

Plus loin dans le document commencent à émerger les velléités militaires avec l’intérêt d’agences gouvernementales, telles que la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) des États-Unis. Là, on cherche à accroître la capacité cognitive des soldats au travers des BCI.

https://lilianeheldkhawam.com/2023/07/07/la-poussiere-neurale-implantable-permet-un-enregistrement-sans-fil-precis-de-lactivite-nerveuse-compilation-de-publications-de-darpa/

Les interrogations sur les droits de propriété ne sont pas en reste !

L’utilisation des systèmes BCI soulève des questions ELSI sur la propriété des données et la propriété intellectuelle, sans parler de la propriété de l’appareil. La quantité de données générées et partagées par les dispositifs BCI augmente considérablement grâce à la commercialisation de nouveaux dispositifs connectés aux réseaux et aux plateformes numériques… Et à qui appartiennent-elles ? On n’en sait rien. On nous dit que l’on pourrait faire valoir que les patients ont un droit sur les données personnelles générées dans le cadre de leur traitement ou de leur étude (Naufel et Klein, 2020). Selon la formulation, la chose ne semble pas si sûre…

Dernier mot au sujet du BCI. Il peut être bidirectionnel. Cela signifie que les flux d’informations circulent dans les deux sens machine-humain et vice-versa. La machine étant un outil aux mains de collaborateurs, nous pouvons imaginer les conséquences que cela peut avoir en matière de contrôle de la pensée des populations.

De fait, une société cybernétique pourrait mettre un terme à la vie naturelle sur terre. Wiener ne pouvait l’ignorer :

« Dans le passé, une vision partielle et inadéquate du but humain n’a été relativement inoffensive que parce qu’elle s’est accompagnée de limitations techniques… Ce n’est qu’un des nombreux endroits où l’impuissance humaine nous a protégée de l’impact destructeur total de la folie humaine. [2] »

Nous sommes en plein dedans.

Non seulement la machine à gouverner est d’ores et déjà opérationnelle, mais en plus, elle semble avoir des velléités de phagocytage de l’humanité et de la nature qu’elle cherche à vampiriser avec la complicité des représentants politiques.

Nous finirons ce chapitre avec une structure qui représente la machinerie globale qui permet à la machine de gouverner avec, par, et pour l’élite financiarisée.

Nous nous bornerons à représenter trois niveaux de composants constitutifs et autant de sources de data.

Le 1er niveau est celui de la technosphère qui correspond à la base matérielle, représentant l’ensemble des outillages disponibles qu’ils soient électro-informatiques ou pas. Nous y retrouvons aussi toute la famille de matériel GSM. Grâce à ce niveau, tout objet, tout animal, tout être humain, toute ressource peuvent être directement reliés aux serveurs collectant les data, puis gérés, compilés et stockés dans les fondations du modèle. Ce niveau correspond au corps technosphérique.

Le 2e niveau est celui de la biosphère qui recense et relie toutes les ressources vivantes. L’ensemble des ressources et des activités se déroulant à ce niveau est répertorié dans un système digitalisé de la famille de la blockchain. Le corps vivant de l’organisme machine correspond à ce niveau.

Le 3e niveau qui est le top niveau qui précède le point de convergence tant recherché par les adeptes de la noosphère (point Oméga) ou par ceux de la Singularité correspond à la connexion généralisée des cerveaux autour de ce qui est communément appelé intelligence artificielle. Les cerveaux humains vont alimenter l’IA pour la rendre plus intelligente et plus humaine afin de lui offrir les bases pour sa déification. L’ensemble de ce niveau correspond au cerveau planétaire qui servira les élites qui auront échappé au cyberesclavage par l’interface cerveau-machine. D’ici jaillirait l’esprit global planétaire conformément au référentiel matérialiste des élites.

Les échanges qui se feraient entre le 2e et le 3e niveau passeraient par le métaverse. D’où l’importance de la virtualisation de la réalité.

Cet ensemble de trois étages est posé autour d’un axe alimenté par la lumière bleue de la fibre optique. Cet axe luminescent véhiculé par la fibre optique dont la gaine intérieure porte le nom d’âme pourrait par extension représenté l’âme de la planète-machine.

Question ultime ? Qui a préparé les 2 documents avant qu’ils n’atterrissent sur les tables des uns et des autres. Autre chose, nous ne doutons pas que des textes similaires ont fait le tour des États de la planète…




« Vaccins » covid : entre cons et complotistes, qui a raison ?

[Source : covid-factuel.fr]

Par Gérard Maudrux

« En matière de grande catastrophe publique (covid ?), il faut toujours privilégier la connerie au complot. La connerie est à la portée de tous, c’est donc assez largement répandu. Le complot nécessite beaucoup d’intelligence et d’organisation, c’est très rare ».

J’aime bien ce propos de Michel Rocard, datant d’avril 2016. Alors une fois n’est pas coutume ici, soyons complotistes pour ne pas être cons. Le complotiste, depuis 3 ans, se définit comme celui qui évoque des faits avérés conduisant à un discours que l’on ne doit pas entendre.

L’ICAN, Informed Consent Action Network, est une association créée aux États-Unis par des juristes en 2016 afin de faire respecter le droit au consentement éclairé, notion primordiale en matière de soins et de respect de la personne humaine. Elle a remporté avec succès nombre de poursuites dans le domaine de la santé contre les CDC (Centers for Disease Control), les NIH (National Institutes of Health) et la FDA (Food and Drug Administration). Après une victoire historique, la FDA a été contrainte de produire en juillet 2022 des dizaines de milliers de documents chaque mois concernant les vaccins covid-19 Pfizer. L’ICAN publie sur https://icandecide.org/about-us/.

LES DOSSIERS FOURNIS PAR PFIZER

L’ICAN vient de sortir son rapport sur la dernière fourniture de documents de la FDA de juillet 2023, composée des dossiers de 212 personnes qui ont participé à l’essai clinique de Pfizer. Voici quelques extraits, dont les conclusions peuvent être édifiantes.

Tous les événements indésirables (EI) reportés dans les dossiers Pfizer, tous consultables par les sceptiques, se sont produits après vaccination, soit dans le groupe de vaccinés d’origine, mais aussi de patients du groupe placebo d’origine qui ont finalement été vaccinés après la levée de l’aveugle. Le groupe placebo ayant été supprimé, il ne permet plus les comparaisons à moyen et long terme entre vaccinés et non vaccinés, ce qui est un premier scandale.

Dossier 11111016 : homme de 70 ans, hospitalisé pour thrombose au mollet droit, embolies pulmonaires et fibrillation auriculaire, 2 jours après sa première injection. Absence totale d’antécédents cardiovasculaires et médicaux comme confirmé dans le dossier de Pfizer. Conclusion Pfizer sur l’EI dans ce dossier de 224 pages : le vaccin n’est pas en cause, les problèmes sont dus à « un voyage prolongé en voiture ».

Dossier 11241106 : homme de 49 ans, avec comme seul antécédent un cholestérol élevé, hospitalisé pendant 16 jours pour un infarctus du myocarde causant un accident de vélo, 11 jours après sa deuxième dose. Dans le dossier Pfizer, l’infarctus est signalé comme « non lié » au vaccin, mais « lié à un risque cardiovasculaire » présent chez le patient ! Dans ce dossier l’ICAN déplore l’absence de report de ces EI dans le fichier de « réactogénicité » (EI des vaccins dans les essais cliniques), fichier prévu dans le protocole Pfizer et colligeant les EI.

Dossier 10281033 : homme de 48 ans, qui a déclaré que sa partenaire était enceinte deux mois et demi après sa deuxième dose, avec fausse couche trois semaines plus tard. Comme on peut le voir dans le dossier, la principale préoccupation de Pfizer semblait être de déterminer si la partenaire participait également à l’étude, et, dans l’affirmative, de s’assurer que cet événement indésirable n’était pas signalé deux fois. Non reporté dans le fichier de réactogénicité.

Dossier N° 10281283 : homme de 70 ans, avec antécédents cardiaques et rénaux, hospitalisé pour fibrillation auriculaire et insuffisance rénale aiguë 12 jours après sa deuxième dose. Édifiant : la personne qui saisit les informations sur l’EI admet que la cause de l’EI a été « inventée » lorsqu’on lui demande pourquoi la « déshydratation » était répertoriée comme la cause de l’insuffisance rénale aiguë. On apprend que cette déshydratation n’était qu’une hypothèse avancée par le médecin pour chercher à expliquer le problème rénal, hypothèse devenue un fait et la cause de l’EI, alors que cette déshydratationn’a jamais été démontrée, ne figurant pas dans le dossier médical et non signalée par le patient ! Aucune information dans le recueil de réactogénicité n’a été recueillie pour ce patient.

Dossier N° 10921015 : homme de 68 ans, hospitalisé pour fibrillation auriculaire une semaine après sa première dose. Il souffrait d’hypertension et de dyslipidémie (cholestérol élevé), mais aucun autre problème de santé connexe. Non rapporté.

Dossier N° 11351033 : homme de 68 ans, qui s’est suicidé 4 jours après avoir reçu sa première dose de vaccin, et après avoir reçu deux doses de placebo cinq mois plus tôt. Pfizer a vérifié ses antécédents pour « tentatives de suicide ou hospitalisation récente pour cause de dépression » et n’en a trouvé aucun.

Dossier N° 10391010 : homme de 85 ans ayant des antécédents cardiaques, son cœur a lâché deux mois après sa deuxième injection. Cafouillage entre employés dans le dossier, pour le classement entre degrés de toxicité, 4 ou 5, et aucun report de réactogénicité n’a été fait pour ce sujet.

Dossier N° 11311204 : homme de 85 ans avec entre autres antécédents cardiaques, hospitalisé pour une aggravation de la sténose aortique 15 jours après sa première injection et décédé d’un arrêt cardiaque 10 jours plus tard. Encore une fois, aucune information sur la réactogénicité n’a été recueillie pour ce sujet.

Dossier N° 10711023 : femme de 56 ans avec antécédents cardiaques, diabète et accident vasculaire cérébral en 2019, hospitalisée pour une aggravation de sa maladie coronarienne 11 jours après sa première dose. Sortie de l’étude le 28 août 2020, en raison d’un SAE (Serious Adverse Event) ne répondant plus aux critères d’éligibilité de l’inclusion, qui nécessitaient des « participants en bonne santé ». De toute évidence, l’accident vasculaire cérébral, le diabète et les antécédents d’insuffisance cardiaque de cette personne en 2019 n’ont pas été considérés comme suffisants pour la disqualifier comme en mauvaise santé, mais cela devient a posteriori un critère d’exclusion si cela ne va pas bien ! Comme on pouvait s’y attendre, son événement indésirable a été marqué « non lié » au vaccin, l’aggravation de sa maladie cardiaque étant causée par sa maladie cardiaque. Exclue de l’étude et de ses EI !

Dossier N° 10211127 : homme de 54 ans, hospitalisé pour insuffisance cardiaque 26 jours après sa deuxième dose. Il a récupéré, mais s’est retrouvé à l’hôpital six semaines plus tard, où il est finalement décédé d’une insuffisance cardiaque. Malgré les critères d’inclusion de l’essai qui exigeaient que les participants soient jugés « en bonne santé », la cause du décès n’a pas été mise sur le compte du vaccin, mais de son insuffisance cardiaque, comme pour le dossier précédent. Pages 144 et 145 on tergiverse : « L’aggravation de l’insuffisance cardiaque chronique (ICC) a entraîné la mort. Veuillez préciser pourquoi cela ne serait pas considéré comme un SAE (Événement indésirable grave = EIG) s’il entraînait la mort »… « à des fins administratives, veuillez soumettre un suivi SAE indiquant que l’événement aggravation de l’ICC n’est plus un SAE », et page 150 : « L’événement a entraîné la mort, mais il n’est pas nécessaire d’être retenu comme un SAE ».

On constate à la lecture de ces dossiers que tout a été fait pour ne pas retenir la responsabilité du vaccin dans nombre d’événements indésirables, même graves et pouvant conduire au décès. Certains patients ont même été sortis de l’étude pour en améliorer le bilan (Dossier N° 10711023).

On peut constater également que, bien que Pfizer ait sélectionné des bien portants, ceux avec comorbidités ne semblent pas avoir été protégés, mais parfois plutôt aggravés, alors que cela devait être la première cible pour l’indication vaccinale.

L’essai de Pfizer a inclus plus de 43 000 personnes, mais, à ce jour, la FDA n’a produit que 785 formulaires de rapports de cas, soit pour moins de 2 % des participants à l’essai. Le plus gros des dossiers ci-dessus fait 369 pages. Malheureusement, quantité ne rime pas avec qualité, et la quantité permet de noyer et de cacher le principal. Cela fait croire à un gros travail sérieux, c’est le contraire. J’ai épluché les 180 pages du dernier cas cité, le nombre de corrections et d’anomalies est impressionnant. J’ai déjà rempli des dossiers pour des études de phase 3, ici, cela a été fait par des amateurs, incapables de mettre une date, de répondre oui ou non à des questions simples.

CONCLUSIONS

Comme on le voit sur ces dossiers, Pfizer était parfaitement au courant de tous ces effets indésirables, notamment cardiovasculaires, et pouvant être mortels. Certains ont été supprimés, d’autres cachés, minimisés, tout comme a été caché le fait que le vaccin ne protégeait pas de la contamination ou de la transmission, afin de présenter un vaccin « efficace et sûr », ce qui est loin d’être le cas. Si je sais compter, 4 décès et 9 événements indésirables graves (EIG) sur ces 212 dossiers fournis par Pfizer, cela fait 4 % de EIG avec mortalité de 2 %, pour un vaccin censé lutter contre une maladie mortelle pour 0,2 % des malades ! Combien va-t-on en trouver sur les autres dossiers ? Plus ? Moins ? On comprend mieux que Pfizer et la FDA aient tout fait pour ne pas fournir ces documents. Si le vaccin est sans danger, pourquoi ne pas avoir donné les dossiers immédiatement ? Les auteurs de toutes les études observationnelles sur les traitements précoces ont toujours laissé un libre accès à leurs dossiers, Raoult le premier, n’ayant rien à cacher ni à se reprocher. Ici c’est le contraire.

N’oublions pas que la FDA avait accès à tous ces dossiers avant d’accorder l’autorisation d’utilisation, ainsi que toutes les agences de sécurité du médicament qui ont délivré leurs autorisations. Ces agences n’ont pas lu ces dossiers, et ont fait prendre des risques énormes aux patients en ne remplissant pas leur rôle. Elles ont fait confiance à un laboratoire pourtant multicondamné pour fraudes et dissimulations dans ses études. Si c’est le cas, leur responsabilité est énorme.

Les politiques ont couvert tout cela et continuent de le couvrir. Ce n’est pas sans raison que les laboratoires pharmaceutiques ont demandé à être déchargés des conséquences de ces effets secondaires. Ils savaient où ils allaient, ils savaient le risque énorme pour les patients, et ils ont refusé de l’assumer. Les politiques ont accepté ce risque en toute connaissance de cause. Pourquoi les politiques font-ils tout pour cacher les contrats, s’ils sont clairs et n’ont rien à cacher ? Pourquoi font-ils tout pour éviter que le PDG de Pfizer ne vienne s’expliquer devant des représentants du peuple ? Une question s’impose : est-ce que l’argent serait plus important que la santé des concitoyens ?

Si on regarde Wikipédia et non les sites « complotistes », on apprend que Pfizer a à son actif plus de 40 plaintes entre 1995 et 2009, avec 6,17 milliards de dollars acquittés d’amendes. Pour une affaire sanctionnée par 2,3 milliards de dollars d’amende, on peut lire sur le site du Département de la Justice américain qu’« il s’agit du plus grand règlement de fraude de l’histoire contre une société pharmaceutique ». Pfizer aurait « trompé les programmes d’assurance-maladie gouvernementaux et versé des commissions occultes à de nombreux professionnels de santé pour pouvoir étendre la commercialisation de ses médicaments ».

Pfizer est l’entreprise la plus condamnée au monde dans le domaine de la santé, nos dirigeants font affaire avec ces escrocs, qui récupèrent dans de nouvelles actions, aidées par les autorités, de quoi payer 10 fois les amendes de la précédente. On peut lire sur le site du Parlement Européen dans la rubrique des questions au parlement, celle de Mathilde Androuët, qui demande en janvier 2021 si la Commission a pris en compte le passif de Pfizer. La réponse de Mme Stella Kyriakides (commissaire européen à la santé) ne répond pas à la question, les antécédents de Pfizer ne sont pas un problème.

L’histoire se répète avec la complicité des autorités (et de la presse qui muselle ses journalistes d’investigation). Alors comme le dirait Michel Rocard, face à ce scandale (inter) national, ceux qui pensent que les dossiers fournis par Pfizer, les propos recueillis sur le site du département de la justice américaine, les questions au Parlement Européen, etc., sont authentiques, sont des complotistes, et ceux qui pensent que ce sont des faux, sont des cons. Je suis triste de cette évolution de la société qui a perdu toutes ses valeurs, et qui me conduit à être fier d’être complotiste, pour ne pas être un vrai con.

Pour les sceptiques, s’ils veulent bien enlever leurs œillères et consulter les dossiers de Pfizer, les originaux sont tous ici : https://icandecide.org/pfizer-documents/, et il y en a encore à venir. Je dois reconnaître à leur lecture, que c’est plus facile d’écouter Véran, Delfraissy, Fischer, Salomon ou Macron, et c’est plus facile d’être con qu’intelligent selon Rocard.




Davantage de chemtrails en perspective ?

[Source : Ciel Voilé]

Les États-Unis et la Commission Européenne appellent à un « cadre international » pour faire progresser la recherche en géo-ingénierie

Par Derrick Broze (le 7 juillet)

Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles.

Tard vendredi, la Maison-Blanche a publié un rapport soulignant l’ouverture de l’administration Biden à l’étude de la géo-ingénierie dans le cadre d’un effort visant à réduire la quantité de lumière solaire atteignant la planète. La géo-ingénierie est une science controversée de la manipulation du climat dans le but déclaré de lutter contre le changement climatique d’origine humaine. Il existe plusieurs types de géo-ingénierie, y compris la gestion du rayonnement solaire (GRS) ou la géo-ingénierie solaire. L’injection d’aérosols stratosphériques (ou IAS) est une pratique spécifique de géo-ingénierie solaire qui consiste à pulvériser des aérosols dans le ciel pour tenter de dévier les rayons du Soleil [ce qui crée des chemtrails]. Le Bureau de la politique scientifique et technologique de la Maison-Blanche élabore actuellement un plan de recherche quinquennal sur la géo-ingénierie solaire.

Le document de la Maison-Blanche se concentre sur les « approches atmosphériques » de GRS, en particulier l’IAS et l’éclaircissement des nuages marins (ENM). Le rapport s’est concentré sur ces approches spécifiques de géo-ingénierie en raison de leur « plus grande faisabilité à court terme » et des « plus grands défis de gouvernance des approches atmosphériques » liés aux « impacts transfrontaliers importants ». En d’autres termes, parce que ces méthodes impliquent la pulvérisation de particules à partir d’avions dans le ciel, elles auront un impact sur les gens, quel que soit l’endroit où les lignes sur la carte sont tracées.

La Maison-Blanche de Biden note que si les agences scientifiques américaines commençaient à soutenir un « programme à grande échelle » de GRS, elles « pourraient envisager de s’engager dans une coopération internationale appropriée ». Cette coopération internationale, selon la Maison-Blanche, pourrait promouvoir les connaissances, les besoins et les résultats de la recherche, les économies de ressources, les meilleures pratiques et réduire le risque d’expérimentation et/ou de déploiement irresponsables.

La Maison-Blanche note également que tout « programme de recherche fédéral multi-agences à grande échelle » sur la GRS serait coordonné par le Programme américain de recherche sur le changement mondial, qui se concentre sur « la compréhension des forces qui façonnent l’environnement mondial, à la fois humaines et naturelles, et leurs impacts sur la société ».

L’administration Biden reconnaît également que les gouvernements ou les acteurs non étatiques pourraient « agir indépendamment pour développer et déployer des technologies de GRS ». Le rapport appelle à « identifier des cadres internationaux optimaux pour la coopération, la surveillance, la dissuasion et la réponse ». Plus que probablement, un tel cadre viendrait des Nations Unies.

Dans l’ensemble, l’administrateur Biden appelle à d’autres recherches sur les implications scientifiques et sociétales de la GRS afin de mieux éclairer les décisions à venir. Cependant, la Maison-Blanche a également déclaré « qu’il n’y a pas de plans en cours pour établir un programme de recherche complet axé sur la modification du rayonnement solaire ».

Le propre rapport de la Maison-Blanche a été inspiré par le rapport 2021 des National Academies of Sciences, Engineering, and Medicine (NASEM), Reflecting Sunlight : Recommendations for Solar Geoengineering Research and Research Governance.

Ce rapport concluait ce qui suit :

« Le Comité est d’avis que, sous réserve d’une gouvernance et d’une surveillance appropriées, l’expérimentation en plein air pourrait être poursuivie de manière équilibrée », ce qui serait illicite « des observations critiques » mais serait « suffisamment petite pour limiter les impacts ».

Les auteurs du rapport NASEM affirment que de telles expériences « à petite échelle » produiraient des impacts réels à une échelle plus petite que d’autres « activités humaines délibérées librement entreprises par la société ». Les auteurs sont également conscients que l’avancement trop rapide des programmes de géo-ingénierie extérieure pourrait « induire des objections du public et des retards ou des restrictions subséquents ».

Pendant ce temps, le rapport de la Maison-Blanche a admis que « des recherches récentes ont soulevé des préoccupations quant aux changements possibles dans la coloration du ciel par l’IAS et aux impacts psychologiques qui en résultent, qui mériteraient d’être étudiés ». Ceci est une référence aux travaux de Ben Kravitz de la Carnegie Institution for Science qui ont montré que la libération d’aérosols sulfatés pourrait réduire de 20 % la quantité de lumière solaire qui frappe le sol et rendre le ciel plus brumeux. En fin de compte, cette brume pourrait entraîner la perte du ciel bleu.

Le rapport de la Maison-Blanche indique également qu’il est possible que la GRS soit « maintenue sur des échelles de temps de plusieurs décennies, voire de centuries ». Cela pourrait être une reconnaissance que, bien que les partisans de la géo-ingénierie la saluent comme la solution au changement climatique et au maintien de la vie, la recherche indique que la géo-ingénierie pourrait en fait avoir l’effet inverse du réchauffement de la Terre.

Selon une étude de 2013 publiée dans le Journal of Geophysical Research : Atmospheres, si des programmes de géo-ingénierie étaient lancés puis soudainement arrêtés, la planète pourrait voir une augmentation immédiate des températures, en particulier au-dessus des terres. L’étude, intitulée « L’impact de la suspension abrupte de la gestion du rayonnement solaire », semble indiquer qu’une fois que vous commencez la géo-ingénierie, vous ne pouvez pas suspendre les programmes sans causer le problème même que vous cherchiez à résoudre.

De plus, en février 2015, un comité international de scientifiques a publié un rapport indiquant que les techniques de géo-ingénierie ne sont pas une alternative viable à la réduction des émissions de gaz à effet de serre pour lutter contre les effets du changement climatique. Le rapport du comité a appelé à poursuivre la recherche et la compréhension de diverses techniques de géo-ingénierie, y compris les systèmes d’élimination du dioxyde de carbone et la gestion du rayonnement solaire avant la mise en œuvre.

Les scientifiques ont constaté que les techniques de géo-ingénierie solaire sont susceptibles de présenter,

« des risques environnementaux, sociaux et politiques graves connus et inconnus possibles, y compris la possibilité d’être déployé unilatéralement. »

L’Union européenne appelle à une gouvernance mondiale

Deux jours avant que la Maison-Blanche n’annonce son appel à davantage de recherche en géo-ingénierie, la Commission européenne a annoncé son soutien aux « efforts internationaux » pour évaluer les risques de la géo-ingénierie et son désir de promouvoir des discussions sur un « cadre international potentiel pour leur gouvernance ».

La Commission européenne a également déclaré que les tentatives de modifier le climat posaient des risques « inacceptables » et a appelé à des discussions internationales sur les dangers et la gouvernance de la géo-ingénierie.

« Personne ne devrait mener des expériences seul avec notre planète commune ». Le chef de la politique climatique de l’Union européenne, Frans Timmermans, a déclaré lors d’une conférence de presse. « Cela devrait être discuté dans le bon forum, au plus haut niveau international. »

La Commission européenne a également publié une déclaration selon laquelle la GRS dans sa forme actuelle « représente un niveau de risque inacceptable pour l’homme et l’environnement ».

Joanna Haigh, professeur émérite à l’Imperial College de Londres, a déclaré à Reuters que les modèles de gouvernance internationale sont nécessaires pour faire face aux expériences de géo-ingénierie. « La gouvernance de la géo-ingénierie sera extrêmement complexe, mais nécessaire pour réglementer toutes les futures technologies de géo-ingénierie qui pourraient faire baisser les températures moyennes mondiales », a-t-il ajouté.», a déclaré Haigh.

D’une manière ou d’une autre, la conversation sur la géo-ingénierie est utilisée pour promouvoir l’idée qu’il devrait y avoir un « cadre international » ou des « modèles de gouvernance mondiale » pour faire face aux réalités de cette technologie non testée. Bien qu’il semble logique de se demander si les gouvernements devraient coopérer s’ils prennent une mesure aussi conséquente, nous devrions également nous demander si nous pouvons même faire confiance à ces gouvernements pour « jouer à Dieu » en jouant avec le climat, ou même si cela devrait se produire.

Depuis 2017, j’ai averti que la promotion de la technologie connue sous le nom de géo-ingénierie serait une passerelle vers des systèmes de gouvernance mondiale qui sont eux-mêmes un tremplin vers un organe directeur unique et centralisé gérant les nations individuelles. Les déclarations prononcées la semaine dernière par le gouvernement américain et l’Union européenne représentent un pas de plus dans cette direction.

Bien que ces débats se soient principalement concentrés sur les pensées et les opinions des chefs de gouvernement et des experts politiques, la majorité du monde est exclue de ces discussions. Il est absolument vital que les élus discutent de questions d’une telle importance, mais nous ne pouvons pas permettre aux politiciens de dominer seuls la conversation. Qu’en est-il des pays en développement, des communautés autochtones et des populations locales ? Leurs voix doivent être entendues afin d’évaluer pleinement les risques de la géo-ingénierie.

Les gouvernements du monde se soucient-ils de la volonté du peuple, ou vont-ils faire avancer leur programme indépendamment de l’opinion ou de la préoccupation du public ? Ce sont des questions importantes qui doivent être prises en compte dans tout débat sur le potentiel de l’ingénierie du climat de notre planète. D’une manière ou d’une autre, nos vies et notre avenir dépendent de l’issue de ce débat scientifique.

Pour en savoir plus sur le complexe de manipulation renseignement-militaire-météo, veuillez lire ceci.

Pour un regard beaucoup plus approfondi sur l’histoire de l’ingénierie climatique et météorologique, veuillez lire ceci.




L’Allemagne se débarrasse des millions de vaxins qu’elle n’a pas pu fourguer

https://twitter.com/EricArchambaul7/status/1679976483291385858

L’Allemagne s’est débarrassée de 80 millions de doses de vaccins contre le Covid-19 pour cause de faible demande

L’Allemagne a jeté des millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros.

120 millions de doses supplémentaires bientôt périmées, d’une valeur de 4 milliards d’euros, sont sur le point d’être éliminées d’ici la fin de l’année, car la Commission européenne continue de ne pas être en mesure ou de ne pas vouloir réviser de manière significative ses contrats d’achat de vaccins.

L’Allemagne a jeté 83 millions de doses de vaccins contre le coronavirus, d’une valeur de 1,6 milliard d’euros, et est sur la bonne voie pour en jeter plus de cent millions de plus, a écrit Politico le mardi 11 juillet. Malgré la chute de la demande, le pays devrait recevoir encore plus de doses grâce à l’approvisionnement commun de l’UE.

(…)




France — Immobilier : VOUS ne POURREZ BIENTÔT PLUS être PROPRIÉTAIRE

[Source : PLACID]

Si vous pensiez investir dans l’immobilier en 2023, alors regardez attentivement cette vidéo ⚠️☝️. On y fait le point sur l’état du marché de l’immobilier et sur la fin des « petits » propriétaires. On vous explique aussi les raisons pour lesquelles investir dans l’immobilier en 2023 pourrait être votre plus GROSSE erreur…

[Voir aussi :
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Les Français dépossédés de leurs biens immobiliers ? Finie la propriété privée ?
Comment les Villes Intelligentes vont enfermer l’humanité dans des camps de concentration à ciel ouvert]




Selon l’avocat Philipp Kruse, l’OMS est une plus grande menace pour le monde que n’importe quelle pandémie

[Source : @Cielvoile]



[Voir aussi :
Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?]




Dr Vernon Coleman : l’OMS serait-elle le bras terroriste de l’ONU ?

[Source : cielvoile.fr]






Les microzymas, ces particules à la source de la vie

[Source : @Chloe_F]

Par Chloé Flammery

(Pardon pour les bruits de fourchette)

Brigitte Fau s’est plongée dans les travaux d’un médecin, pharnmacien, chimiste presque inconnu du grand public : Antoine Béchamp.

Elle en a fait la synthèse dans un petit livre de 120 pages : Antoine Béchamp, la compréhension du vivant.

Les microzymas sont le sujet central des travaux d’Antoime Béchamp. À l’origine, Béchamp croyait, comme son collègue biologiste Louis Pasteur et comme de nombreux autres scientifiques de la fin du XIXe siècle, que les microbes venaient de l’air et infectaient les corps. Pour valider cette hypothèse, Béchamp a fait une expérience : il a isolé un morceau de viande, le mettant totalement à l’abri de l’air et des « microbes » potentiels de l’air, croyant que la viande resterait intacte. Et là, surprise, le morceau de viande est entré en fermentation. Depuis le cœur de la chair vers la surface. La théorie du germe extérieur venait d’être contredite. Cette expérience a été le point de départ des découvertes colossales de Béchamp sur ce qu’il a appelé les « microzymas ». Pasteur, lui, a persévéré dans l’erreur, en continuant, malgré les résultats incontestables de l’expérience de Béchamp, à croire et à faire croire à la théorie du « microbe ». Cette théorie fausse perdure toujours aujourd’hui, elle figure dans tous les livres de médecine dite moderne.

Désolée pour les bruits de fond.

• Antoine Béchamp (1816-1908), pharmacien, médecin, chimiste, découvreur des microzymas, diffamé et ostracisé

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Antoine_B%C3%A9champ

[Voir aussi :
Mais qui est Antoine Béchamp ?]

• Louis Pasteur (1822-1895), chimiste et biologiste, défenseur de la théorie du germe, multi-récompensé

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Louis_Pasteur

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
La grande tromperie des vaccins depuis Pasteur l’imposteur, le pire étant le vaccin contre La Polio
Comment le corona a tué Pasteur]

• Le site de Brigitte Fau :
https://www.bonnes-habitudes.fr

• Présentation PowerPoint de Brigitte Fau sur les microzymas (30 pages)
Voir p.19 : l’œuf d’autruche secoué et bonus n° 2 : l’histoire du petit chat
https://www.bonnes-habitudes.fr/app/download/19681170825/lever+le+myste%CC%80re+des+microzymas+-+9.pdf?t=1685344832

• Commander le livre de Brigitte Fau, Antoine Béchamp, la compréhension du vivant
https://www.editionsmarcopietteur.com/home/354-antoine-bechamp-la-comprehension-du-vivant-9782872111923.html

• La théorie des microzymas, de Antoine Béchamp — 1867
Voir p.33 de l’Oeuvre de Béchamp, de Hector Grasset
https://www.bonnes-habitudes.fr/app/download/19659944025/Hector_Grasset-L_39_Oeuvre_de_B_233_champ.pdf?t=1685344836

• La découverte du « microbe », de Louis Pasteur — 1870
https://www.editionsladecouverte.fr/pasteur___guerre_et_paix_des_microbes-9782707170118

• La théorie d’Antoine Béchamp
(que Brigitte Fau a lue intégralement et synthétisée)
https://www.bonnes-habitudes.fr/comprendre/la-th%C3%A9orie-d-antoine-b%C3%A9champ

• L’ouvrage de Béchamp sur les microzymas (site de la BNF, 985 pages + annexes) — 1883
https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65140517/f9.item.r=.langFR

• Webinaire de synthèse de Brugitte sur les travaux d’Antoine Béchamp — 22.06.23 [39 min]

• Les 4 postulats de Koch, publiés en 1890 :

1. Le micro-organisme doit être présent en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais absent des organismes sains.

2. Le micro-organisme doit pouvoir être isolé et croître en milieu de culture pur (ne contenant que ce seul microbe).

3. Le micro-organisme cultivé doit déclencher la même maladie chez un animal de laboratoire sensible.

4. Le micro-organisme doit être à nouveau isolé du nouvel organisme hôte rendu malade puis identifié comme étant identique à l’agent infectieux original.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Postulats_de_Koch

[Voir aussi :
Déclaration sur l’isolement des virus]

• Les 3 postulats de Thomas Rivers (adaptés en 1937 des postulats de Koch, pour identifier un virus) :

1. L’agent est associé à la maladie avec une certaine régularité statistique.

2. On peut isoler cet agent, le cultiver en milieu approprié et reproduire la maladie avec une certaine régularité (dans un essai contrôlé).

3. Expérimentalement, même si la maladie n’apparaît pas, l’apparition des anticorps témoigne de l’action du virus.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Postulats_de_Koch

• La vidéo avec Raphi Deschamps, « Maladies hivernales, causes et remèdes des anciens médecins »
https://odysee.com/@Chloe_F:b/Maladies_hivernales_causes_et_remedes_des_anciens_medecins:4

• Émission LIBÉREZ L’INFO #6 avec Pierre Etchart et Eric Ancelet — 27.10.22

https://chloeframmery.ch/liberez-linfo-n6






France — SOS Éducation alerte le Conseil Supérieur des Programmes sur le programme « Éducation à la sexualité »

[Source : cielvoile.fr]

Par Sophie Audugé

Conseil Supérieur des Programmes
Monsieur le Président
Mark Sherringham
110 rue de Grenelle
75357 PARIS 07 SP

Paris, le 30 juin 2023

Objet : URGENT — programme « Éducation à la sexualité »

Cher Monsieur le Président, Cher Mark Sherringham,

Le ministre de l’Éducation nationale a annoncé à la presse, le 28 juin, avoir saisi le Conseil Supérieur des Programmes que vous présidez, pour l’élaboration d’un programme d’« enseignement à la sexualité » par niveau.

Cette annonce rappelle que les séances, au nombre de trois par an, imposées dès la primaire à tous les élèves, sont réalisées sans aucun cadre académique depuis des années, avec une accélération sans précédent des interventions depuis 2 ans.

Les circulaires publiées pour limiter les risques ne sont pas respectées, s’agissant :

  • des précautions à prendre sur les contenus,
  • de la présence d’au moins 2 intervenants, dont un personnel éducatif de l’établissement,
  • de la formation des intervenants sur le développement et la protection de l’enfant,
  • de la co-construction et de l’obligation d’information des parents au préalable,
  • des associations extérieures qui dispensent un contenu idéologique, etc.

Il est important de porter à votre connaissance les éléments factuels qui suivent et de vous informer que de nombreuses dérives ont été observées sur tout le territoire.

Au motif de cette soi-disant « éducation à la sexualité », des élèves ont été soumis à des contenus à caractère sexuel par une autorité, sans pouvoir s’y soustraire, c’est-à-dire sans pouvoir consentir.

Au niveau symbolique, la mise en œuvre actuelle de ces séances est une démonstration de ce qu’il ne faut surtout pas faire. Le mode opératoire est contraire aux principes de prévention qu’il convient justement de faire intégrer aux enfants. J’y reviendrai.

Mais surtout, certaines de ces séances constituent une effraction. OUI, une effraction !

Un cambriolage du « moi » intérieur. Une violation intimement ressentie. Un viol psychique.

Le traumatisme qui s’installe chez l’enfant prend la forme de la sidération, du sentiment d’être sali, d’une perte de confiance, de repères battus en brèche, de peur panique, etc.

Les conséquences se manifestent rapidement : mutisme, ou au contraire, logorrhée, dégoût de son corps, pleurs incontrôlés, énurésie, phobie scolaire, tristesse…

Les victimes sont des enfants à l’âge de l’innocence, scolarisés pour apprendre des savoirs académiques et non pour subir un viol psychique.

Concrètement, les enfants sont placés sous emprise de l’institution scolaire et se voient déverser des contenus inadaptés, établis par des associations idéologiques et diffusés par l’OMS dans ce document : Standards européens pour l’éducation à la sexualité.

Il est troublant que Pap Ndiaye sollicite le Conseil Supérieur des Programmes pour mettre en place ce que l’OMS appelle de ses vœux depuis 2013…

Faire de la sexualité un enseignement à part entière et prévoir des examens d’évaluation des élèves !

« L’éducation sexuelle n’est pratiquement jamais une branche d’examen, même si certains de ces éléments devraient ou pourraient l’être dès lors qu’ils sont traités dans le cadre de branches obligatoires comme la biologie. Pour être suffisamment valorisée, l’éducation sexuelle devrait devenir une branche d’examen. » page 16

« L’éducation sexuelle doit être participative. Les jeunes ne doivent pas être des récepteurs passifs, mais doivent au contraire jouer un rôle actif dans l’organisation, le déroulement et l’évaluation de l’éducation sexuelle. C’est le seul moyen de garantir que l’éducation sexuelle soit axée sur les besoins et les intérêts, et ne suive pas simplement un programme préétabli ou un agenda défini par l’enseignant/éducateur. » page 29 – 6.1 Dispenser l’éducation sexuelle cadre général et exigences de base

Il convient de porter à votre connaissance que ces standards ont été établis au départ par un groupe de travail dont 15 des 16 membres ont des liens avérés avec des associations militantes et lobbyistes actives des droits LGBTQI+. À l’évidence, la vigilance qui doit s’opérer pour constituer un groupe de travail d’experts sans conflit d’intérêts n’a pas été suivie.

Voyez-vous, Monsieur le Président, je crains que l’on vous fasse endosser le mauvais rôle, celui du petit soldat de l’OMS affecté à la déconstruction organisée de l’innocence et à l’effraction du développement de l’enfant.

Les risques sont réels. Une multitude de signalements nous sont parvenus.

Plusieurs courriers ont été adressés au ministre de l’Éducation nationale, avec l’exposé de faits graves qui se sont déroulés dans des écoles. Pap Ndiaye est resté sourd à nos alertes sur ces faits pourtant irréfutables. Il n’y a eu aucune réponse officielle, mais des intimidations ont été faites auprès des parents ayant alerté.

SOS Éducation prépare une note de synthèse sur les dangers de l’éducation à la sexualité pour les enfants. Nous avons rassemblé un comité d’experts émérites, composé de médecins, pédopsychiatres et psychologues, tous spécialistes de la protection de l’enfance.

Il est probable que la saisine du ministre soit un moyen de vous repasser la « patate chaude » et, par la même occasion, de transférer la responsabilité des dérives à venir sur votre institution.

Il faudra bien trouver quelqu’un pour assumer les enfances sacrifiées…

Vous pouvez mettre fin à cette mascarade éducative. Pour cela, il est primordial de vous informer auprès d’associations indépendantes, neutres et sans conflit d’intérêts.

SOS Éducation est une de ces associations. Je vous propose de nous rencontrer afin de vous transmettre toutes les données que nous avons pu rassembler sur ce sujet.

Le comité d’experts constitué par SOS Éducation sur le développement psychoaffectif de l’enfant sera également mis à votre disposition pour vous fournir toutes les bases scientifiques permettant de distinguer les bonnes pratiques en la matière et de connaître les risques de la transmission de contenu à caractère sexuel, en fonction de l’âge.

Si l’objectif est la prévention, alors 6 principes simples sont à enseigner aux enfants et à faire respecter scrupuleusement dans l’institution scolaire :

  • La sexualité est interdite entre un adulte et un enfant,
  • La sexualité est interdite entre des personnes de la même famille,
  • La sexualité sans consentement est un délit puni par la loi,
  • La sexualité relève de l’intime, chacun a son rythme,
  • La sexualité, c’est en privé ; en public, c’est un délit,
  • La majorité sexuelle (aptitude à consentir) est fixée en France à 15 ans.

Ce cadre législatif, rappelé en des termes et moyens éducatifs appropriés à l’âge, vise en premier lieu à protéger les enfants des risques d’abus sur eux-mêmes, par des mineurs et par des adultes. 10 % des enfants sont abusés sexuellement, soit 2 à 3 élèves par classe.

Si par contre, l’enjeu est de suivre les préconisations de l’OMS, alors l’éducation à la sexualité est une succession d’injonctions contradictoires à ces principes.

Selon les standards éducatifs de l’OMS, l’enfant est :

  • un sujet sexualisé à éduquer,
  • destinataire de contenus éducatifs à caractère sexuel,
  • par un adulte ayant autorité sur lui,
  • sans avoir consenti,
  • obligé d’y assister et de prendre part,
  • en public et ne pouvant s’y soustraire,

Il s’agit d’immerger l’enfant dans la sexualité adulte par effraction de son intimité psychique.

Les standards de l’OMS, adoptés par la France, ont dévoyé l’intention préventive des séances mises en place dans notre pays dans les années 2000.

L’opinion publique, les parents, les professeurs et le personnel de santé étaient favorables à cette sensibilisation puisqu’il s’agissait de protéger les enfants des abus sexuels et d’informer les adolescents des risques de MST, du sida, de grossesse, etc.

L’OMS a réfuté les programmes de prévention considérant qu’ils donnaient une vision négative de la sexualité. Depuis, l’OMS fait l’apologie du plaisir sexuel et met au second plan la prévention.

  • Et le plaisir sexuel, c’est dès la naissance. L’éducation à la sexualité commence au berceau.
  • Le crédo de l’OMS est simple : le sexe, c’est du plaisir et le plaisir, c’est bon pour la santé.
  • Pour l’OMS, le citoyen du futur est un humain augmenté qui jouit !

Le lien entre dogme du plaisir et consommation addictive n’est pas fortuit.

Monsieur le Président, cette éducation sexuelle fondée sur le plaisir, sur laquelle le ministre de l’Éducation nationale vous somme d’apposer le sceau du Conseil Supérieur des Programmes, est contraire :

  • à l’intérêt de l’enfant,
  • à la prévention contre les abus sexuels,
  • au respect des principes les plus élémentaires du consentement.

Trois préoccupations pourtant primordiales. Elles devraient diriger votre action d’élaboration du corpus pédagogique à déployer de l’école primaire au lycée.

C’est bien la prévention qu’il vous appartient de réhabiliter d’urgence.

L’apologie du plaisir sexuel n’a pas à être institutionnalisée dans l’École.

Les standards de l’OMS ont déjà suffisamment infiltré les administrations. Ils sont notamment la référence du site officiel « onsexprime.fr » de Santé Publique France, accrédité du logo de la République française et recommandé par Éduscol. L’Éducation nationale a participé à la rédaction des textes de ce site.

La saisine de Pap Ndiaye vous invite à vous y référer. Permettez-nous de vous dire que le site « onsexprime.fr » n’est pas un modèle à suivre si votre objectif est de préserver le développement psychoaffectif de l’enfant. En accès libre, les supports, textes et visuels se caractérisent par un langage direct et cru.

Le principe idéologique sous-jacent est celui prôné par l’OMS, d’une sexualité infantile source de plaisir à valoriser et à stimuler. L’enfant est sexualisé dès le plus jeune âge, et ces gestes sont interprétés comme des pulsions sexuelles.

L’enfant est présenté comme sujet et objet de désir sexuel.

Selon ces préceptes idéologiques, qu’aucune donnée scientifique ne confirme, l’enfant serait capable de consentir dès 4 ans.

Vous trouverez ci-dessous un extrait de la matrice pour le groupe d’âge 0-4 ans des standards de l’OMS pour l’éducation à la sexualité en Europe.

L’explicitation du plaisir au nouveau-né, l’éducation à la reconnaissance et à la recherche du plaisir par le toucher sur soi et sur les autres émanent des travaux d’Alfred Kinsey. Lequel, avec d’autres pseudoscientifiques, a cherché à déculpabiliser les adultes de pratiques clairement pédophiles. Il est essentiel de le rappeler !

Ces travaux sur la sexualisation des enfants vont de pair avec la déresponsabilisation des adultes pédophiles. Pour Kinsey et ses acolytes, le petit enfant a des désirs qu’il assume et assouvit en se masturbant. Selon ce principe, il est capable de consentir quel que soit l’âge.

Maurice Berger, médecin, pédopsychiatre et sommité française de la protection de l’enfance, explique parfaitement cette manipulation intellectuelle autant que sémantique :

« Un autre enjeu est plus sournois dans cet éveil précoce à la sexualité. Dans les textes définissant les droits sexuels et les Standards, qui sont cités sur les sites conseillés par les ministères, il est introduit de manière insidieuse l’idée que la sexualité des enfants peut être volontaire, de leur fait, et qu’il n’y a rien à reprocher à une activité sexuelle impliquant un enfant s’il est “consentant”. Un flou volontaire est entretenu en permanence dans ces textes grâce aux termes : “en tenant compte des capacités évolutives de l’enfant”, apparemment issus d’un rapport de l’UNICEF qui n’évoque pourtant le domaine de la sexualité qu’en termes de protection. » Maurice Berger

C’est donc bien un dogme pédophile que l’éducation à la sexualité-plaisir transmet aux enfants. C’est d’ailleurs l’argument que les agresseurs sexuels revendiquent pour leur défense : « Il ou elle m’a dit que cela lui faisait plaisir, qu’il ou elle voulait que je lui apprenne… ».

Les standards de l’OMS intègrent cette capacité à consentir de l’enfant dès 6 ans.

« Les bonnes et mauvaises expériences de son corps/qu’est ce qui provoque un bon ressenti/sensation ? (écouter son corps) le droit de refuser si l’expérience ou le ressenti n’est pas plaisant. » Page 41 — tableau du groupe 4-6 ans — domaine informer, informer l’enfant sur sexualité, santé et bien-être.

Mais ce n’est pas tout. Ce programme de sexualisation infantile perturbe le développement psychoaffectif de l’enfant en empêchant les mécanismes d’inhibition de se mettre en place.

Entre 5 et 10 ans, l’enfant est dans une phase fondamentale, dite de latence, pendant laquelle il élabore son aptitude à se réfréner, à inhiber ses pulsions, et se consacre aux apprentissages. « Un homme ça s’empêche », disait Camus. Et s’empêcher, ça s’apprend.

Pendant cette phase, le programme auquel le ministre de l’Éducation nationale invite le Conseil Supérieur des Programmes à se référer conduit l’enfant à une dissonance cognitive traumatique : l’excitation percute l’élaboration d’inhibition.

Cette plongée dans la sexualité adulte est violente et inadaptée. Permettez-moi un parallèle.

Il fut un temps où pour apprendre à nager, certains professeurs, mal inspirés, jetaient les enfants à l’eau. L’argument était que le bébé naît nageur. Et donc, poussé à l’eau, naturellement, il saurait nager !

C’est exactement ce qu’il se passe avec cette pseudo-éducation à la sexualité fondée sur le principe que le bébé naît sexualisé et apte à se donner et à recevoir du plaisir.

À la nuance près que la natation est une discipline officielle.

Vous mesurez, j’imagine, les risques de faire, avec l’aval de votre institution, de l’éducation à la sexualité une discipline officielle à enseigner à la manière de la natation.

Les enfants reçoivent « en pleine figure » le détail de pratiques sexuelles, abstraites pour eux. Ils sont immergés de force dans une sexualité adulte, qui ne les concerne pas et qui n’a rien à voir avec leurs propres pulsions.

Les enfants, aussi durement confrontés, n’ont pas d’autre choix que l’enfouissement traumatique ou l’expérimentation. Ce mécanisme est bien connu chez les consommateurs de pornographie. Les contenus à caractère sexuel/pornographique présentés dans le cadre scolaire produisent le même effet.

À la différence que le rôle de l’École est non pas de traumatiser ou d’exciter, mais bien d’instruire !

C’est le contrat moral passé avec les parents. Ils sont les premiers concernés et ils ne sont pas d’accord avec ce changement de cap : passer de la prévention à la sexualisation.

Ils confient leurs enfants à l’École pour qu’ils apprennent des savoirs académiques… Et ils les récupèrent profondément choqués, dans un état de profond mal-être.

Cette interférence dans la sphère éducative parentale, qui impacte la santé de l’enfant, crée une rupture de confiance entre l’école et la famille.

D’ailleurs, le personnel éducatif a beaucoup de mal à trouver les arguments pour justifier auprès des parents qu’un intervenant a :

  • expliqué à une classe de primaire (8 – 10 ans) le plaisir de la masturbation, la fellation, la sodomie, le cunnilingus…
  • supprimé la récréation, car le groupe des filles n’osait pas poser de questions, alors que la participation est obligatoire,
  • imposé au collège la pose d’un préservatif sur un sexe factice devant toute la classe,
  • empêché une élève, abusée enfant, de sortir avant qu’elle ait réalisé l’« exercice ».

Généralement, l’établissement scolaire adopte deux attitudes simultanément :

  1. la stratégie du « pas de vague » qui consiste à minimiser les conséquences traumatiques sur les enfants et à ne surtout pas ébruiter ce qui a été dit,
  2. il se cache derrière les programmes imposés par le ministre de l’Éducation nationale avec la formule célèbre « C’est pas nous, c’est dans le programme ! »

Mais voilà, Monsieur le Président du Conseil Supérieur des Programmes, demain, « la faute au programme », ce sera vous. C’est pourquoi votre mission est si importante.

Il faut réparer l’erreur originelle de ce marasme.

L’enfant n’a pas à être sexualisé. Ni à l’École ni ailleurs. ÉVIDEMMENT !

Il vous appartient, Monsieur le Président :

● de rappeler ce qui relève de l’instruction et ce qui est du registre de l’éducation,

● de distinguer un enseignement académique d’un discours idéologique.

Le Conseil Supérieur des Programmes statue sur l’élaboration pédagogique des enseignements académiques dont la valeur professorale est certifiée par un concours : CAPES ou agrégation.

L’éducation sexuelle sera-t-elle bientôt une matière académique au même titre que les mathématiques et le français ? Ce point mérite d’être précisé.

Les parents, le personnel de l’Éducation nationale et les équipes de santé scolaire attendent une réponse claire concernant le périmètre dévolu à l’École.

De nombreux professionnels de l’enfance, spécialistes du développement, référents des affaires d’abus sexuels, professeurs émérites de la protection des enfants et des adolescents, alertent depuis 2017. Ils n’ont pas été entendus. Ne faisons pas deux fois la même erreur.

Je réitère ma proposition. Notre comité d’experts se tient à votre disposition pour vous exposer les données scientifiques du développement psychoaffectif afin de mener votre mission à bien, en pleine conscience des besoins et des risques pour les enfants.

Il vous appartient de veiller à protéger dans l’école, les élèves, de l’hypersexualisation actuelle de la société, et ce, bien que des institutions internationales s’en fassent le funeste relais.

Il est essentiel de permettre aux enfants de grandir et de se développer de manière harmonieuse, à leur propre rythme. L’école doit rester un sanctuaire qui préserve cela.

Espérant que vous saisirez cette invitation à coopérer dans l’intérêt supérieur des enfants, nous vous prions de croire, cher Monsieur le Président, cher Monsieur Mark Sherringham, en l’assurance de notre considération la plus distinguée.

Sophie Audugé

Déléguée générale de SOS Éducation

https://soseducation.org/docs/mobilisations/education-sexualite/courrier-csp-06-2023.pdf




Des Nahel et de l’État davosien, qui nous menace le plus ?

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Modeste Schwartz

Au moment où on découvre que l’assassin de Nahel avait été décoré par le préfet Lallement pour son zèle dans les tabassages de Gilets Jaunes, on ne peut plus faire l’économie d’une clarification des principes : un libertarien peut-il applaudir la violence de l’État ?


Il y a des français qui pensent que Macron avait raison d’instituer, sur ordre de Davos, un « passe sanitaire », pour nous exposer à l’AVC climatique protéger de la grippe. Soyons clair : je n’écris pas plus pour eux que pour les raëliens. Qu’ils lisent Bouzou !

Mais que dire à ceux qui ont protesté contre le passe, et trouvent néanmoins normal que la police puisse tirer sur des prévenus qui ne la menacent pas ?

On pourrait, pragmatiquement, leur citer l’exemple des pays (avant tout : des USA) où les politiques de tolérance zéro — tout comme la catastrophique guerre contre la drogue ont systématiquement mené à des résultats diamétralement opposés à ceux que faisaient miroiter les démagogues sécuritaires.

Eric Verhaeghe a choisi la voie de la logique, en les appelant à faire preuve de cohérence dans l’application des principes. Mais sont-ils vraiment incohérents — ou simplement hypocrites ?

Qui nous protégera de nos protecteurs ?

Car il y a un énorme non-dit dans cette affaire — qui est un non-dit ethnique. Beaucoup de Gaulois, convaincus que le grand remplacement (qui est indéniable) est une invasion « arabo-islamique », considèrent que la « sévérité » policière dont ils font les frais (par exemple, sous leurs gilets jaunes) et un certain « laxisme » reproché aux mêmes administrations face « aux racailles » seraient les deux faces d’une même médaille.

On pourrait ergoter longtemps sur l’exactitude de cette perception de la situation politico-sociale.

Étant pour ma part — à partir de prémisses fort éloignées de celles d’un Zemmour — aussi arrivé à la conclusion que le mondialisme actuel veut la disparition des Blancs, j’éviterai d’ergoter, préférant raisonner ainsi, cyniquement :

Admettons qu’une communauté, post-nationale, ethnique — la nôtre — soit en proie à l’hostilité de diverses maffias : la plupart, locales, ethniques, désorganisées et peu armées ; et l’une d’entre elles, omniprésente, omnisciente et armée jusqu’aux dents : l’État. Je laisse à chaque gaulois doué de raison le soin de décider laquelle de ces maffias il souhaite désarmer en premier en vue de maximiser ses chances de survie.




Le Monde condamné : « Les fact-checkeurs ont été fact-checkés »

Décryptage de l’avocat de France-Soir, Me Arnaud Dimeglio

[Source : FranceSoir]

Débriefing avec Me Arnaud Dimeglio, avocat au barreau de Montpellier et de Paris, qui a défendu le site d’information généraliste France-Soir dans le cadre du procès face au journal Le Monde.

Me Dimeglio s’exprime sur cette décision de justice :

« France-Soir est reconnu comme un service de presse en ligne qui bénéficie d’un certificat d’information politique et générale. Donc, il y avait un décalage total entre la qualité professionnelle du service de presse en ligne de France-Soir et une information contraire diffusée par le journal Le Monde, [qui le décrivait comme] un “simple blog” qui diffuserait de “fausses informations”. […] La justice a statué que l’on ne peut pas dire que France-Soir diffuse de fausses informations. […] C’était une campagne de dénigrement, à un moment donné on dit stop, ça suffit. »

Arnaud Dimeglio a aussi défendu Xavier Azalbert, directeur de la publication de France-Soir face au médecin Matthias Wargon, il annonce que son client va faire appel de la décision de justice.



Voir : Le Monde condamné : dire que France-Soir est un « blog » et diffuserait de « fausses informations » constitue un acte de concurrence déloyale par dénigrement




La France en feu

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Sur Odysee : https://odysee.com/@Cielvoile:e/feu:7]





Elle se fait euthanasier plutôt que de subir les dommages du vax

« Bonjour, au cours des 10 derniers jours, je suis tombée gravement malade et je suis de nouveau confinée à la maison, incapable de faire quoi que ce soit. Mon corps est trop faible pour lutter contre cette maladie et je n’ai plus de force. J’ai donc pris la décision de mettre fin à mes jours à l’hôpital Pagasos en Suisse. On m’a diagnostiqué une maladie neurologique chronique incurable, l’EM/SFC, causée par une piqûre de rappel, en plus d’une suspicion de SLA respiratoire. Cette maladie m’a rendue handicapée, incapable de travailler ou d’avoir une vie sociale et incapable d’apprécier la vie tout court. La respiration est devenue de plus en plus difficile et douloureuse pour moi et ma fonction pulmonaire est en déclin. Je vous remercie pour votre amitié et votre soutien au cours de l’année écoulée. La piqûre de rappel que j’ai reçue il y a plus d’un an a complètement détruit ma santé, mon corps et ma vie. Il n’y a pas d’autre moyen de mettre fin à mes souffrances que la décision que j’ai prise. »