Lia Thomas, nageur transgenre, accuse ses anciennes coéquipières de transphobie sous couvert de féminisme

[Source : lemediaen442.fr]

L’ancien nageur de Pennsylvanie, Lia Thomas, un homme trans vivant en tant que femme, a vivement critiqué les femmes qu’il accuse d’utiliser le féminisme pour promouvoir la transphobie. Rappelons que Lia a des capacités physiques qui lui permettent de pulvériser tous les records en section féminine. À l’époque, Lia se nommait Will Thomas et était un nageur de niveau moyen qui n’avait jamais affolé les chronos lors des compétitions universitaires.


S’adressant à son collègue nageur transgenre Schuyler Bailar, Lia Thomas a déclaré que certaines de ses coéquipières étaient profondément transphobes puisqu’elles ont demandé à la NCAA (National Collegiate Athletic Association) de l’empêcher de concourir aux côtés des femmes.

Elles disent : « Oh, nous respectons Lia en tant que femme, en tant que femme transgenre, nous respectons son identité, nous ne pensons simplement pas que ce soit juste. On ne peut pas vraiment avoir ce genre de demi-soutien », a déclaré Thomas dans le podcast de Schuyler Bailar. « Elles utilisent le féminisme pour promouvoir des croyances transphobes. Je pense que beaucoup de gens dans ce camp ont un préjugé implicite contre les personnes transgenres, mais elles ne veulent pas le manifester ou l’exprimer pleinement. », a ajouté Thomas.

Lia Thomas ne reconnaît pas que ses capacités physiques avantageuses puissent être un problème. Selon le nageur transgenre, ce sont les femmes qui seraient transphobes.

Des propos qui ont agacé Riley Gaines, la nageuse du Kentucky, qui a fait match nul avec l’athlète transgenre Lia Thomas lors de l’épreuve du 200 mètres nage libre féminin aux championnats NCAA, elle a répondu à Lia Thomas en l’invectivant d’égoïste.

« Sous couvert d’équité sportive ? Essaies-tu de dire que tu aurais pu remporter un titre national contre les hommes ? Cela ne vous brise-t-il pas le cœur de voir des femmes perdre ces opportunités ? Le projet de loi proposé par l’administration Biden nie la science, la vérité et le bon sens », a tweeté Gaines. « Cette prise de position est égoïste et montre un mépris total pour les femmes. Lia Thomas n’est pas une femme courageuse qui a GAGNÉ un titre national. C’est un tricheur arrogant qui a VOLÉ un titre national à une femme travailleuse et méritante. », a-t-elle ajouté.






Immigration : ce sujet « clivant » sur lequel 82 % des Français sont d’accord

[Source : bvoltaire.fr]

Par Arnaud Florac

Ils ont tout tenté, parce que quand les Français ne comprennent pas, c’est qu’on leur a mal expliqué. Les Français ont le droit de vote, mais ce sont des imbéciles. Allez comprendre la logique démocratique du gouvernement. Malgré la pédagogie, un sondage CSA pour CNews confirme ce que l’on sait depuis bien longtemps déjà : 82 % des sondés sont en faveur d’une loi sur l’immigration qui faciliterait les expulsions. Ce n’est pas rien, mais on s’en fiche pas mal, en Macronie. Ainsi, Gérald Darmanin, qui avait annoncé le 4 août 2022 sur Twitter, sa détermination face à un sujet aussi crucial, vient-il de reculer. Trop clivant : pensez donc, 82 % seulement, ce n’est pas assez.

Finalement, on ne sait pas trop à quoi servent les sondages. Plus des trois quarts de la population sont contre la réforme des retraites, mais le gouvernement l’a fait adopter aux forceps en méprisant l’avis de la population. Plus des trois quarts de la population sont contre l’immigration incontrôlée, mais on ne touchera pas au sujet. Au fond, on se demande bien à quoi sert de demander leur avis aux gens, puisque, de toute façon, ça n’intéresse pas le pouvoir.

À rebours de ce que semble penser Gérald Darmanin, dont le reste de crédibilité vient de s’effondrer, les gens ne sont pas des imbéciles. Ils ont des yeux pour voir le Grand Remplacement, des oreilles pour entendre ce que nos hôtes pensent de nous. Ils ont des enfants qui se font agresser et des amis dont la maison est squattée. Ils font leurs courses dans des quartiers presque entièrement africanisés et, malgré la présence constante de la propagande télévisuelle dans leur maison, à la manière du télécran d’Orwell qu’il est interdit d’éteindre, ils ont bien conscience que l’invasion progressive de leur pays n’est pas tout à fait la chance qu’on leur avait promise. Les neurochirurgiens du Wakanda tardent à débarquer sur nos côtes. Les amoureux de Hugo, dont parlait Yann Moix chez Ruquier il y a quelques années, ne sont finalement pas légion à bord des Zodiac™ méditerranéens. Alors, forcément, parce que le réel est fasciste, ils en ont marre qu’on leur raconte des craques. C’est plutôt normal, et même assez estimable.

Il n’y aura, évidemment, pas de loi sur l’immigration (sans même oser parler de loi « contre » l’immigration). Toute opposition à la suppression programmée de la France se heurtera aux discours des belles âmes : pays des Lumières contre discours de haine, passions tristes contre générosité et bienveillance. Marine Le Pen fait 42 % au second tour avec un discours ferme sur le sujet, mais on peut sans complexe mépriser tous ces sales nazis. Seraient-ils 82 % que cela ne changerait rien ; on en a la preuve avec ce sondage. Même s’il ne restait que quelques centaines de hauts fonctionnaires hors-sol pour dire que l’immigration est une richesse, ce seraient eux qui auraient raison.

Combien de temps le peuple supportera-t-il de se laisser ainsi ignorer et mépriser ? Combien de temps pourra-t-on cracher sur la France et torturer les Français impunément ? À vue humaine, ça semble mal barré. N’ayons cependant pas d’amertume : si nous avions été français en 1427, quand la moitié du pays était sous domination anglaise, quand le petit roi de Bourges, terré dans des palais miniatures au milieu d’une cour de pacotille, hésitait à reprendre le pouvoir, nous n’aurions pas eu beaucoup de raisons d’espérer. Deux ans plus tard, Jeanne d’Arc reprenait Orléans et faisait sacrer Charles VII à Reims. La France est le pays qui se réveille à minuit moins deux avant l’apocalypse. C’est, historiquement, comme cela que nous avons survécu. Prenons donc patience et courage, face aux renoncements toujours plus odieux d’un pouvoir qui n’en fait qu’à sa tête. Gardons l’espérance — même si l’heure tourne. 82 % de lucidité, ce n’est déjà pas si mal. Politiquement, on vient d’apprendre que ce n’était rien.






Étienne Chouard : « Une bonne constitution devrait empêcher l’accaparement des médias par les plus riches »

[Source : FranceSoir]

DEBRIEFING – Retraites, monnaie, finance, indépendance des pouvoirs et de la presse : Étienne Chouard revient dans cet entretien sur les sujets et les enjeux profonds qui agitent la France.

La question de la liberté d’expression est abordée : comment lui permettre de survivre ? Les médias, hélas, ne semblent plus garantir son exercice : “au lieu de médiatiser, ils censurent et ne font passer que la propagande du pouvoir”, selon le professeur d’économie et de droit à la retraite.

Chouard évoque par ailleurs la charte de Munich et le devenir du métier de journaliste. Peut-on imaginer la mise au point d’une “protection constitutionnelle” pour ce dernier, “d’origine citoyenne” ?

L’objectif serait de permettre aux journalistes d’exercer leurs enquêtes et autres fonctions en toute sérénité et de se tenir à l’écart de l’influence ou de la domination des intérêts financiers et politiques.



“Maximiser la vertu et minimiser le vice”, qui “existent en tout individu”, est toujours possible, selon Chouard. Est-ce là un espoir réduit à peau de chagrin de nos jours, en ce qui concerne les dérives inquiétantes de la sphère médiatique (invisibilisation de certaines thématiques, censures…) ?

Afin de garder l’espoir d’une évolution favorable à l’avenir, l’auteur de « Écrire nous-mêmes la constitution » (aux éditions Talma) cite Étienne de la Boétie : “Soyez donc résolus à ne plus servir et vous serez libre.”

  • Ce nouveau débriefing avec Étienne Chouard ouvre une série de plusieurs entretiens à venir en sa compagnie.

Les temps forts de l’entretien : 








Message important de Tucker Carlson après son départ de Fox News






La DARPA à l’origine des premiers essais de vaccins anticovid

[Source : FranceSoir]

La DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency) est une agence américaine qui travaille sur des projets de défense militaire.

Par Olivier Frot

JUSTICE/ANALYSE — La lanceuse d’alerte Brook Jacksonemployée de la société Ventavia, sous-traitante de Pfizer pour la réalisation d’essais cliniques relatifs au vaccin à ARN anti-Covid 19, a fait état dans les médias des conditions frauduleuses dans lesquelles ces études ont été effectuées.  

Elle a présenté une requête en première instance devant le juge du District Court, Eastern district of Texas (l’un des tribunaux texans, NDLR), contre le contrat d’achat des doses Pfizer par le gouvernement fédéral américain, au motif que ce contrat n’avait pas respecté les règles relatives aux marchés publics et à la réglementation concernant les médicaments.

Des essais financés par Pfizer

Dans un arrêt du 31 mars 2023, le juge de première instance a rejeté la requête de Brook Jackson. Le juge motive sa décision sur le fait que le contrat a été attribué par le ministère de la Défense (Department of Défense = DoD) sous l’empire des « Other Transaction Authority » (OTA), une réglementation dérogatoire spécifique à l’armée permettant d’acquérir de l’armement en s’exonérant des règles fédérales de droit commun, en gré à gré avec le fournisseur de son choix.

Se basant sur un arrêt de la Cour suprême, le juge considère qu’il n’est pas de son ressort de juger de la pertinence du choix du DoD du recours à cette procédure dérogatoire, « pendant une urgence nationale ».

Le recours à ce type de contrat dérogatoire exonère le contractant des règles normalement en vigueur. De ce fait, les protocoles usuels d’essais cliniques, non visés par le contrat, n’ont pas à être respectés. De plus, ces essais n’étant pas financés par le gouvernement, mais par Pfizer lui-même, la réglementation FDA (la Food and Drug Administration américaine) ne s’impose pas pour leur conduite. Le cahier des charges ne conditionne pas le paiement au respect du protocole d’essais cliniques ou à la réglementation.

Dès lors que la FDA a approuvé le produit et n’a pas retiré son autorisation, les conditions de préparation et d’essais du produit sont « hors champ ». Donc même si les protocoles d’essais cliniques n’ont pas été respectés, le juge décide que l’on ne peut pas parler de fraude, car il n’existait aucune obligation de les respecter et, la FDA ayant accordé son autorisation au vaccin Pfizer, la requête est simplement rejetée. Mme Jackson aurait l’intention d’interjeter appel de cette décision.

Des éléments confirmés par des déclarations de la DARPA

La DARPA, la « Defense Advanced Research Projects Agency », est une agence américaine qui travaille sur un grand nombre de projets de défense militaire, dont l’objet est de « créer des technologies et capacités révolutionnaires pour la sécurité nationale ».

La DARPA travaille avec le ministère de la Défense américaine (DoD) et d’autres agences gouvernementales, ainsi qu’avec des partenaires industriels et universitaires. Sur le site de la DARPA, il est précisé : 

« Dans le cadre du programme ADEPT (programme de Diagnostic Autonome pour la Prevention et l’approche thérapeutique) en 2011, la DARPA a commencé à investir dans des vaccins à base d’acide nucléique. L’hypothèse était que plutôt que de délivrer des antigènes au système immunitaire, nous pourrions délivrer des gènes qui codent l’antigène et permettre au corps humain de produire l’antigène à partir de ses propres cellules, déclenchant une réponse immunitaire protectrice. Après avoir participé au programme ADPET, le vaccin à ARN de Moderna, a reçu l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de la FDA pour la prévention du Covid-19 en décembre 2020. »

Le recours au Pentagone, et à un contrat OTA, assimile le vaccin Pfizer non pas à un vaccin ni même à un médicament, mais à une contre-mesure « de nature militaire ».

Le recours par le gouvernement américain à un contrat dérogatoire piloté par le Pentagone assimile une question de santé publique à un problème militaire, comme si le sujet portait sur « un système d’armes » et sa « militarisation ». Cela fait écho à la situation française et au fameux « nous sommes en guerre » répété, du discours du président de la République de mars 2020, sa gestion de la crise par la réunion du Conseil de défense et le classement « Secret défense » de cette gestion. Mais s’il y a une guerre alors, contre qui ? Quels en sont réellement les protagonistes ?

À propos de l’auteur 

Olivier Frot est diplômé de Saint-Cyr et docteur en droit.






Opioïdes : la France vraiment à l’abri ? Pas si sûr…

[Publication initiale : https://www.sante-sans-filtre.com]

L’hécatombe est dramatique : depuis 1999, un demi-million d’Américains sont morts à cause des opioïdes, des médicaments antidouleurs particulièrement addictifs. Jusqu’à quand la France sera-t-elle épargnée ? Avec 12 millions de consommateurs, le risque d’une crise n’est pas loin. Décryptage des ingrédients du scandale par Nicole Delépine…

Par Nicole Delépine






Baby crash : demain, un monde sans bébés ?

[Publication initiale :
https://www.sante-sans-filtre.com]

Par Nicole Delépine

Médecin hospitalier, pédiatre et oncologue, Nicole Delépine se bat, depuis 40 ans, pour une meilleure prise en charge des malades à l’hôpital. Reconnue au niveau international pour sa connaissance du cancer, elle a notamment dénoncé les paradoxes du Gardasil, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Elle vient de publier Les Enfants sacrifiés du Covid (Fauves).

Alors que 30 % des Françaises en âge de procréer ne souhaitent pas avoir d’enfants pour « sauver la planète bleue », l’avenir de l’humanité ne serait-il pas déjà compromis par la baisse de la fertilité qui s’observe depuis plusieurs décennies ? Ajoutez à cela les effets des injections géniques anti-Covid 19, et vous pouvez sérieusement douter des statistiques annonçant 10 milliards d’êtres humains en 2050 !

La baisse de la concentration de spermatozoïdes chez l’humain est connue depuis de nombreuses années et la synthèse récente de la revue de référence Human Reproduction Update montreune chute encore plus vertigineuse depuis une quarantaine d’années1. Surtout, elle souligne le déclin rapide de la fertilité masculine. Cette publication, de grande ampleur, est fondée sur des centaines d’études publiées sur le sujet et rassemble les données couvrant la période 1973-2018 disponibles dans plus d’une cinquantaine de pays.

Ainsi, en 45 ans, la concentration moyenne de gamètes dans le sperme de la population masculine générale est passée de 101 millions par millilitre (M/ml) à 49 M/ml, soit moitié moins ! En outre, comme le rappelle l’urologue française Valentine Frydman, « 20 % de l’infertilité est d’origine masculine stricte ». Pas étonnant, rien qu’avecce premier constat, que la fécondité chute partout dans le monde.

En France, près de 3,3 millions de personnes, soit environ 1 couple sur 6, sont directement touchées par un problème d’infertilité. Un phénomène qui ne cesse d’augmenter depuis une vingtaine d’années selon les professionnels du secteur, comme le Pr Jean-Marc Ayoubi2.

Le canari dans la mine

Ce déclin rapide de la fertilité masculine ne concerne pas seulement les pays du Nord, mais le monde entier. Le pire, c’est que, loin de ralentir pour se stabiliser, le phénomène est en forte accélération.

« En incluant toutes les données postérieures à 1973, le taux moyen de la chute est de 1,16 % par an au niveau mondial. Ce rythme a plus que doublé depuis le début du XXIsiècle, passant à un déclin de 2,64 % par an sur la période 2000 -2018. » Une accélération qualifiée d’« alarmante » par les auteurs de cette étude. « Nos résultats sont comme le canari dans la mine, déclare M. Levine. Nous avons entre les mains un problème grave qui, s’il n’est pas maîtrisé, pourrait menacer la survie de l’humanité. » Ces tendances concernent également les pays d’Afrique et d’Amérique du Sud3, pays qui n’avaient jamais connu un tel phénomène jusqu’alors.

Avant 2020, d’autres causes

Face à des changements inédits, comme la féminisation du sexe des poissons, de nombreuses études ont occupé des unités de recherche dans le monde.

Les experts évoquent, pêle-mêle, de possibles facteurs : d’abord les causes individuelles liées au mode de vie (tabagisme, sédentarité, alimentation, surconsommation médicamenteuse, etc.), mais aussi les causes globales, notamment environnementales (pesticides et produits de synthèse, pollution, etc.).

Tous les perturbateurs endocriniens4, 5 contenus dans le moindre de nos cosmétiques ou aliments industriels sont des molécules qui agissent directement sur notre système hormonal et qui peuvent engendrer, du fait de leur accumulation (le fameux « effet cocktail »), divers dysfonctionnements : insuffisance ovarienne, spermatogenèse défectueuse, fausses couches, grossesses pathologiques…

La donne change avec le Covid

L’arrivée du Covid a rebattu un peu les cartes. Si les premières mesures coercitives ont conduit certains à évoquer un probable baby-boom dans les neuf mois suivants, sous l’effet de la consolation de la couette, manifestement, il n’en fut rien.

La dépression collective induite par la succession de peurs inoculées, répétées comme un mantra par le pouvoir chaque heure de la journée, n’y est sûrement pas étrangère. La terreur d’une guerre nucléaire potentielle, d’un réchauffement climatique culpabilisant (dont le rôle humain reste à démontrer), les pénuries bien organisées (pas d’huile ni de moutarde en France et les rayons pleins en Italie), l’explosion du prix de l’essence, la menace de coupures d’électricité : bref le pouvoir passe son temps à nous menacer du pire… Ajoutez à cela la dépendance aux écrans, qui remplacent de plus en plus les relations humaines. Et vous comprenez assez aisément pourquoi le baby-boom tant annoncé n’a pas eu lieu.

La vaccination a-t-elle accéléré le déclin ?

En France, l’Insee confirme l’effondrement de la natalité depuis le début de la pseudo-vaccination.

« En 2022, la natalité connaît un décrochage historique, avec des chiffres jamais connus jusqu’ici. Cette tendance, qui a commencé à s’affirmer en juin 2022, c’est-à-dire 9 mois après l’atteinte de taux de vaccination de 85 % dans la population, s’est aggravée depuis le mois d’août, c’est-à-dire après la troisième dose. Pour l’instant, l’Insee ne donne aucune explication à cette baisse inquiétante pour l’avenir démographique du pays6. »

Les naissances repartaient en effet à la baisse dès mars 2022, avec un peu moins de naissances entre mars et juillet 2022 qu’entre mars et juillet 2020. En août 2022, il y a eu en revanche un peu plus de naissances qu’en août 2020. Mais en septembre 2022, les naissances repartent à la baisse, avec 4 % de bébés en moins qu’en septembre 2020, quand l’évolution des naissances n’était pas encore affectée par la pandémie de Covid-19.

La baisse s’intensifie en octobre, avec 6 % de bébés en moins qu’en octobre 2020. Près de 2 300 enfants sont nés chaque jour en France en septembre 2017. Ils n’étaient plus que 2 100 en 2020, quelques mois après le tout début de l’épidémie de Covid. Ils n’ont été que 2 000 en septembre 2022, 9 mois après le passage à la 3e dose… Le phénomène est très inquiétant…

Ailleurs dans le monde, même refrain ?

L’Australie a elle aussi enregistré une baisse de 63 % des naissances après l’introduction des « vaccins » covidés78. D’octobre à novembre 2021, le nombre de naissances a diminué de 21 % par rapport à la moyenne sur une période de 10 ans. Le mois suivant, de novembre à décembre, le nombre de naissances a diminué de 63 %.

« Décembre tombait environ neuf mois après le lancement des vaccins Covid », note D. James de Life-SiteNews à propos de cette période charnière qu’est la grossesse.

Le Dr L. McLindon, spécialiste de la fertilité, affirme avoir observé une augmentation massive des fausses couches chez ses propres patientes après l’introduction des vaccins. Avant l’opération Warp Speed9, le taux de fausses couches chez les patientes de McLindon était de 12 à 15 %. Aujourd’hui, parmi ses patientes vaccinées, il a atteint 74 %.

Taïwan a également connu une chute similaire de 23 % des naissances après le lancement de l’opération Warp Speed.

Aux États-Unis, ces 3 phénomènes inédits

Selon Brighteon.TV, les chercheurs N. Wolf et coll. ont identifié une longue liste de résultats négatifs associés aux vaccins, au-delà même du simple échec de la reproduction.

Ils incluent des problèmes de fertilité masculine affectant le sperme et la fonction prostatique, et de fertilité féminine. La Food and Drug Administration a même été informée à ce sujet dès le 1er avril 2021, sans aucune réaction. Des échographies ont révélé une inflammation et des calcifications anormales chez les fœtus environ huit semaines après l’injection, de même que des anomalies du pénis reconnues par Pfizer dans ses documents internes. Un taux actuel de 87,5 % de fausses couches a été révélé sur le VAERS10. La FOIA (agence américaine pour la liberté d’information11) révèle que Pfizer et les agences de régulation ont caché (ou en tout cas largement minoré) les dangers réels de l’injection contre le Covid pendant la grossesse, alors qu’ils avaient conscience que cela augmentait le risque de malformations congénitales et d’infertilité.

Cette fraude et cette tromperie auraient causé au moins 4 113 décès fœtaux dus à la vaccination contre le Covid-19 rien qu’aux États-Unis contre 2 239 décès fœtaux signalés au VAERS au cours des 30 années précédant les injections contre le Covid-19…12 Rappelons que le VAERS ne représente que 1, 2 ou 3 % des cas réels — en raison des non ou sous-déclarations. Si l’on multiplie le chiffre officiel par 40, qui est le facteur de sous-déclaration le plus souvent utilisé, il s’agirait probablement de 140 000 morts fœtales13.

Quant à l’allaitement des bébés par des mères vaccinées, il pourrait également aggraver le risque de mortalité périnatale. « De faibles niveaux transitoires d’ARNm du vaccin ont été détectés dans le sérum des mères vaccinées avec un transfert occasionnel dans leur lait maternel14. » Or, depuis au moins 2015, la FDA sait que les produits géniques sont excrétés15.

Pfizer et les agences savaient également que l’étude limitée sur les animaux montrait un risque important pour le fœtus en développement, mais ils ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

Cette information a été révélée grâce à une demande d’accès à l’information américaine (FOI) adressée au Government Department of Health par la Therapeutic Goods Administration (TGA) du gouvernement australien.

Alors corrélation, causalité ou simple coïncidence ?

Bien sûr, les premières interprétations furent traitées de « complotistes » — comme si on pouvait légitimement faire confiance aveuglément à ces castes corrompues. Une analyse plus fine des données semble malheureusement conforter l’idée du rôle causal des injections géniques dans la baisse de la natalité des pays injectés et singulièrement en Suisse.

« Tout d’abord, on observe que la forte baisse du nombre de naissances vivantes intervient précisément neuf mois après l’ouverture de la vaccination à toutes les personnes âgées de 20 à 49 ans. » Ensuite, en comparant entre les régions, « on constate qu’il y a une corrélation entre le recul des naissances et la couverture vaccinale. En Suisse orientale (couverture vaccinale : 49,7 %), les naissances ont reculé de 8,6 % contre 18 % à Zurich (couverture vaccinale : 63,9 %)16. »

Un avocat suisse demande d’ailleurs la suspension définitive de cette injection génique au regard des dégâts notoires chez les enfants17.

Et maintenant ?

Le rôle de la pseudo-vaccination anti-Covid dans la baisse de la natalité et la mortalité néonatale semble statistiquement démontré à travers cette analyse qui ne saurait être exhaustive pour les besoins d’un court article. Toutefois, une analyse des données sur les taux de natalité dans les pays européens montre une baisse significative (pouvant atteindre 19 %) des naissances vivantes chez les 18-49 ans neuf mois après le début des vaccinations Covid, tout particulièrement dans les pays à taux de vaccination élevés.

En tant que pédiatre, permettez-moi d’être particulièrement inquiète. Il faut stopper toutes ces injections au plus vite, non seulement celles contre le Covid, mais aussi celles contre la rougeole, la grippe ou le cancer qui seraient basées sur la technologie ARNm.







L’Éducation nationale fabrique des consommateurs

[Source : Livre Noir]

Essayiste, spécialiste de l’éducation et auteur de « La fabrique du crétin », Jean-Paul Brighelli revient sur la faillite de l’Éducation nationale en France et propose quelques pistes.

[Voir aussi :
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
et
La fabrique des zombies]






Affaire Ursula von der Leyen : quand les médias français méprisent le devoir d’informer

[Source : FranceSoir]

Par Chloé Lommisan

JUSTICE – Après une plainte pénale déposée en Belgique contre la présidente de la Commission européenne, l’affaire dite des SMS prend une nouvelle tournure. Le juge chargé de l’instruction devra maintenant avoir accès aux messages échangés en catimini entre Ursula von der Leyen et Albert Bourla, le PDG de Pfizer. Du fait d’une suspicion de négociation “hors cadre” d’un méga-contrat d’achat de vaccins, ne pas livrer ces SMS considérés comme des documents administratifs constituerait une infraction pénale. Dans le cas de leur destruction, la présidente von der Leyen, en tant que dépositaire de l’autorité publique, devra s’expliquer devant la justice. Le rebond de cette affaire, qui pourrait révéler l’existence “d’un pacte de corruption”, selon l’avocate française Diane Protat, n’est aucunement évoqué dans la presse française, à de rares exceptions près dont France-Soir et l’Humanité. Mais où est passé le devoir d’informer ? 

Certes, les contrats sur les vaccins négociés par SMS interposés entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne et Albert Bourla, président du géant pharmaceutique Pfizer, ont fait couler beaucoup d’encre.  

Plusieurs articles se sont préoccupés de détailler les méandres administratifs du dossier, lorsque des députés européens ont invité, à deux reprises et sans succès, le PDG de Pfizer à venir s’expliquer devant le parlement européen. 

Conflits d’intérêt ? Corruption ?

Depuis octobre 2022, une enquête est en cours au sein même des instances européennes. Par la suite, en décembre, l’association BonSens a initié une procédure devant la Cour de l’État de New York afin d’obtenir la publication des fameux SMS, qui alimentent de lourds soupçons de conflits d’intérêts, voire de corruption à l’encontre de la présidente de la Commission européenne. 

En effet, aucun document officiel ne relate exactement les conditions officielles de la négociation du gigantesque troisième contrat d’achat de vaccins Pfizer, portant sur 1,8 milliard de doses, pour un montant supérieur à 70 milliards d’euros.

Si cette démarche n’a pas été beaucoup relayée par la presse, le 25 janvier 2023, le New York Times  (NYT) attaquait en justice à son tour la Commission européenne, dans un objectif comparable.  

Le 5 avril 2023, le lobbyiste Frédéric Baldan a déposé une nouvelle plainte, cette fois au pénal en Belgique, devant le juge d’instruction Frenay à Liège. Sa plainte concerne directement la question du troisième contrat d’achat de vaccins et le fait que, de façon manifeste, sa négociation a été menée en dehors du cadre habituel de négociation de ce type de contrat, en court-circuitant un comité de pilotage chargé d’évaluer les offres. Or, Ursula von der Leyen ne dispose d’aucun mandat qui l’autorise à intervenir dans ce type de marché.  

Le droit belge bénéficie d’une particularité. Un dépositaire de l’autorité publique qui porte atteinte à un droit garanti par la constitution de façon arbitraire risque une peine de prison (article 151 du code pénal). En l’occurrence, le droit de laisser tout citoyen accéder à des documents administratifs. 

Une plainte avec constitution de partie civile automatique (contrairement à la France, la décision d’une saisie du parquet par le juge n’est pas à attendre) est par conséquent enregistrée pour usurpation de fonctions, usurpation de titre, destruction de documents publics, prise illégale d’intérêts et corruption.  

Cette affaire est un véritable séisme sur la scène politique européenne, déjà impactée par des soupçons de corruption à l’encontre de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakidou et le scandale du QatarGate

Gabegie

Alors que les instances européennes n’ont pas voulu permettre aux citoyens de faire la lumière sur les conditions d’achat dispendieuses de vaccins, une solution judiciaire pourrait donc avoir été trouvée à l’échelle d’un Etat et de sa juridiction, en l’occurrence la Belgique.  

Par ailleurs, une dizaine d’États européens, dont la Pologne et la Bulgarie, se questionnent désormais sur le prix d’achat des doses et s’inquiètent quant à l’obligation de devoir recommander des produits qui, au-delà de leur efficacité réelle ou non, ne servent plus à rien alors que le phénomène épidémique de la Covid-19 est terminé. 

En France, 46 millions de doses restent sur les bras de l’administration de santé et vont être gaspillées. Ce sont plus de 30 millions de doses en Italie et plus de 10 millions en Belgique. Une vraie gabegie. Comment soutenir – ou avoir pu soutenir l’idée – de devoir alors racheter des doses supplémentaires sous peine d’être poursuivi pour non-respect d’un contrat commercial… que personne ne peut consulter ? Ou, pire, qui tiendrait d’un accord aussi secret que complice conclu au détour d’un envoi de SMS ? 

Cette situation, tout à l’avantage de l’industrie pharmaceutique, et principalement de Pfizer qui a fait la razzia sur plus des trois quarts des contrats de vente, fait dire à la députée européenne Europe Ecologie-Les Verts (EELV) Michèle Rivasi :

“On dirait que ce sont les laboratoires pharmaceutiques qui ont tenu la plume au niveau de la Commission européenne”. 

La députée a pu s’exprimer et détailler l’affaire chez nos confrères de l’Humanité, qui mène notamment l’enquête sur leur chaîne YouTube depuis plusieurs semaines. Valeurs actuelles a abordé le sujet, dans une chronique de Patricia de Sagazan. Le site d’actualités européennes Euractiv a traité l’information. Sud-Radio a couvert cette actualité grâce à André Bercoff, en laissant la parole à Maître Protat et Frédéric Baldan. 

Et c’est à peu près tout, à l’exception de France-Soir, bien évidemment, qui suit ce feuilleton judiciaire depuis le début.

Un silence désastreux pour la démocratie

Un feuilleton qui pourrait devenir un scandale judiciaire et politique majeur. En effet, la présidente de la Commission européenne, qui a déjà un passé agité avec la justice allemande lorsqu’elle était ministre de la Défense, a montré de nombreux signes d’amitié troublants envers Albert Bourla.  

La nature des SMS échangés doit être exposée au public de façon à ne pas discréditer davantage les institutions européennes, court-circuitées par la seule volonté de von der Leyen à traiter unilatéralement cette affaire. Des institutions européennes qui souffrent manifestement d’un point faible structurel inquiétant, celui d’être trop exposées à la puissance des lobbys industriels et financiers. 

Depuis le début de la crise sanitaire en 2020, les médias français montrent une désarmante inactivité sur ces dossiers. La déontologie relative à la charte de Munich, qui doit garantir aux citoyens une information objective et factuelle quant aux périls qui menacent la chose publique et l’intérêt commun, est oubliée. 

Ce silence est grave pour la démocratie et la stabilité de la sphère politique en Europe. Alors que la défiance des citoyens envers les médias ne cesse d’augmenter en France, cette situation fâcheuse nuit aussi à l’image de la France, sans réaction face aux manquements des institutions supranationales qui la régissent désormais en grande partie.







Lancement du processus de déploiement de l’euro numérique






Les ministres français poursuivis par des casseroles






HYSTÉRIE VACCINALE
Gardasil et cancer : un paradoxe

Par Nicole et Gérard Delépine

À paraître le 2 mai 2023

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a pour objectif officiel de diminuer la fréquence des cancers du col utérin dans les populations vaccinées. Pourtant, ce cancer est rare (moins de 3000 par an en France, pour 1000 décès) et prévenu à plus de 80% par le dépistage.

Quand aucune urgence de santé publique n’existe, pourquoi les agences du médicament accordent-elles des autorisations à toute allure, comme s’il s’agissait de maladies gravissimes ? Pourquoi le Gardasil a-t-il été traité comme un produit d’urgence vitale et bénéficié d’une publicité et d’un soutien massif des sociétés savantes, des experts et des gouvernants ? Pourquoi chaque jour apporte un nouvel article publicitaire trompeur dans les grands médias ? Et, surtout, pourquoi le gouvernement a t-il annoncé une campagne de vaccination dès la rentrée 2023 pour tous les élèves de 5e – filles et garçons – au collège ?

La première édition de ce livre révélait le paradoxe entre le Gardasil et la fréquence des cancers du col de l’utérus. Cette nouvelle édition revue et augmentée confirme les constatations publiées en 2018 : le Gardasil est efficace contre les infections bénignes, mais rien ne démontre un quelconque rôle préventif des cancers invasifs du col de l’utérus, qu’il paraît même parfois favoriser dans les populations vaccinées. Contrairement à ce qu’on voudrait croire, il ne s’agit donc pas d’un problème prioritaire de santé publique.

un livre de données factuelles, pour informer tous les Français des résultats réels du Gardasil, basés sur les courbes d’évolution d’incidence publiés par les agences sanitaires officielles.

https://www.fauves-editions.fr/livre-hysterie_vaccinale_gardasil_et_cancer_un_paradoxe_gerard_delepine_nicole_delepine-9791030204841-76856.html






Le mari d’une animatrice à la BBC décédée suite au vaxin Covid intente une action en justice

[Source : encause.fr]

[Illustration : Lisa, la femme de Gareth Eve, est décédée en mai 2021 peu après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca.]

Par Melissa Undor

Le mari de la présentatrice de la BBC Lisa Shaw, décédée après avoir reçu sa première piqûre de Covid, a déclaré qu’il intentait une action en justice.

Lisa est décédée en mai 2021, une semaine après avoir reçu l’injection. Dans les jours qui ont précédé sa mort, l’animatrice de BBC Radio Newcastle a souffert de violents maux de tête, qui se sont révélés être une hémorragie cérébrale.

Après avoir été admise à l’hôpital, elle a embrassé une dernière fois son mari Gareth Eve et lui a dit « Je suis fatiguée » avant de mourir tragiquement.

Il s’est maintenant exprimé en admettant qu’il n’avait « pas d’autre choix » que d’intenter une action en justice, car il envisage de poursuivre les fabricants du vaccin Oxford-AstraZeneca après n’avoir pas réussi à obtenir de réponses ailleurs.

Il fait partie d’un groupe d’environ 75 plaignants, dont certains ont perdu des membres de leur famille et d’autres ont survécu avec des blessures.

S’adressant à la BBC, il a déclaré :

« Il n’est pas dans mes habitudes de me retourner et de dire que je veux poursuivre quelqu’un en justice, mais pendant presque deux ans, nous avons essayé de nous engager avec le gouvernement et les députés depuis la mort de Lisa et aucun d’entre eux ne nous a contactés ou ne s’est engagé avec nous de quelque manière que ce soit. »

« C’est la raison pour laquelle nous n’avons pas d’autre choix – si le gouvernement ou AstraZeneca ne veulent pas dialoguer avec nous, que pouvons-nous faire d’autre ? »

Gareth a déclaré que tout ce qu’il voulait, c’était « une sorte de reconnaissance de ces décès ».

Il poursuit :

« Nous ne sommes pas des fous ou des théoriciens du complot, nous sommes des époux et des membres de familles qui ont perdu quelqu’un. »

« Ces choses sont arrivées à trop de gens et on nous fait sentir que c’est un sale secret, que nous parlons de quelque chose dont nous ne devrions pas parler. »

« Il est établi que le vaccin Covid d’AstaZeneca en est la cause – il ne s’agit pas de Covid, il ne s’agit pas du nombre de vies sauvées par le vaccin Covid, il s’agit de ce que ce vaccin a fait à Lisa et à d’autres familles, il ne s’agit pas de savoir s’il a été efficace ou si quelqu’un est anti-vaccin ».

Il a ajouté :

« Quel que soit l’argent, il ne ramènera pas la mère de mon fils ».

En août 2021, Karen Dilks, coroner de Newcastle, a conclu que Lisa était décédée d’une très rare « thrombocytopénie thrombotique induite par le vaccin », une maladie qui entraîne des gonflements et des hémorragies cérébrales.

Le vaccin d’AstraZeneca a été le premier à être approuvé au Royaume-Uni en décembre 2020 et a permis [soi-disant] de sauver des milliers de vies.

Un porte-parole du ministère de la santé a déclaré que tous les vaccins avaient fait l’objet d’essais rigoureux avant d’être distribués.

AstraZeneca a déclaré : « Nous ne sommes pas en mesure de commenter les affaires juridiques en cours. La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation la plus sûre possible de tous les médicaments, y compris les vaccins. Nous exprimons notre sympathie à tous ceux qui ont signalé des problèmes de santé ».

Le week-end dernier, le 1er avril, Gareth a tweeté : « Je t’aimerai toujours Lisa ».

Il élève désormais seul leur fils de huit ans, Zachary.

[Source anglaise : https://www.bbc.com/news/uk-england-tyne-65187992]






GARE À LA ROBOT-MÉDECINE

[Source : drschmitz.lettre-medecin-sante.com]

Par Dr Thierry Schmitz

Chère lectrice, cher lecteur,

Récemment, une intelligence artificielle, dit-on, aurait révolutionné internet, sinon le savoir tout entier.

Son nom, ridicule entre tous : ChatGPT.

Chat GPT prétend vous donner une réponse argumentée sur n’importe quel sujet.

Si vous ne faites pas preuve d’esprit critique ou que vous ne connaissez rien au sujet en question, la réponse du logiciel peut faire illusion.

La crainte, c’est que l’on prenne ces réponses pour argent comptant. C’est déjà ce que font bon nombre de nos amis avec Google.

Si Google le dit (entendez, le premier résultat sur la première page, celui qui a payé pour être mis en avant), c’est la vérité, non ?

Contrairement à Google, ChatGPT ne s’embarrasse pas à vous donner plusieurs résultats ou plusieurs points de vue : il vous donne une réponse.

Cette réponse est approximative, juste bonne à couvrir le sujet comme n’importe quel journaliste fainéant ou sous-payé, mais ça suffit pour le monde dans lequel nous vivons.

Et c’est extrêmement dangereux, car les conséquences sur votre santé ne se feront pas attendre.

Une inquiétante révolution

ChatGPT a été interdit pour les examens de la célèbre école qui forme toutes les « élites » françaises, Sciences Po Paris.1

C’est le téléphone portable qui aurait dû être interdit, me direz-vous, mais ce serait comme amputer la jeunesse de son « second cerveau »!

Ce qui est dangereux pour ces écoles, ou plutôt ces usines à élites préfabriquées, c’est qu’elles fonctionnent depuis longtemps comme ce robot.

Vous le voyez avec les politiques sur les plateaux de télévision : ils ne servent qu’à débiter un discours à toute vitesse, et qui a l’apparence de la cohérence.

Un discours qui dissimule les intérêts de l’orateur, qui prétend à une objectivité qu’il n’a pas — un discours fallacieux.

Je vous dirais bien que si l’Occident a dominé le monde, c’est grâce à sa philosophie, qui se donnait le temps de la réflexion, qui pesait les enjeux.

Vous ririez bien, et je vous comprends. Cette époque est depuis longtemps révolue.

Et peut-être qu’il n’est pas si dommage que les politiques et les journalistes — pour ce qu’ils sont devenus — soient remplacés par des robots.

Mais le problème est que beaucoup d’autres métiers risquent de l’être aussi. Tous les métiers de bureau sont déjà menacés aux États-Unis par ce logiciel.

Pourquoi avoir encore besoin d’un comptable, par exemple, si le logiciel peut le faire ?

Pourquoi garder des gens derrière un écran, quand l’écran fait le travail tout seul ?

Le très gros problème que ça pose, c’est que ça s’applique directement à la médecine, et donc à votre santé.

Le poison de la télémédecine

En 2020, l’eurodéputé Martin Schirdewan s’était insurgé : la Commission européenne avait demandé à 63 reprises aux États de réduire leurs dépenses de santé.2

Les dépenses de santé sont trop élevées pour les créanciers de nos États, et la Commission européenne se fait l’écho de leurs récriminations.

On a vu ce démantèlement à l’œuvre à l’hôpital, et le Professeur Perronne l’a détaillé lors d’une conférence à laquelle j’ai eu la chance d’assister.

La prochaine étape, c’est la télémédecine, c’est-à-dire la consultation du médecin à travers un écran, sans examen physique.

Ce n’est déjà plus de la médecine, mais cela a été largement expérimenté pendant la « pandémie », car cela a un avantage extraordinaire pour le système de santé : la réduction des coûts.

Plus besoin de salle d’attente, plus besoin d’avoir même des médecins en ville.

Il suffit de créer des « séances » qui coupent automatiquement une fois le temps imparti, quitte à réduire d’année en année ce temps d’examen…

Alors, plus encore que maintenant, le public cherchera à se soigner lui-même.

Des mutuelles sans bienveillance

À l’avenir, il y a de grandes chances que nous cherchions à nous soigner nous-mêmes, car le coût de nos mutuelles, déjà opaque, risque de beaucoup augmenter.

En 2021, les données médicales de 500 000 patients français avaient déjà été piratées à leur insu. C’est un média d’État, France Info, qui a relayé la nouvelle.3

Ces données intéressent directement les mutuelles, qui les paient à qui veut les leur vendre…

Donc, ne vous étonnez pas si votre cotisation, d’ici 3 ou 4 ans, risque d’être calculée à partir des données piratées sur votre montre connectée — ou mieux encore, sur l’application « santé » de votre téléphone portable.

Votre cotisation augmentera aussi à chaque consultation, puisque votre mutuelle en est directement informée.

Ainsi, il en ira de votre mutuelle comme de votre assurance auto.

Chaque rendez-vous chez votre médecin sera comme un contrôle technique, chaque passage à l’hôpital, comme un accident.

La robot-médecine ? Un cauchemar éveillé

Il y aura donc deux sortes de malades à l’avenir :

Ceux qui chercheront des solutions par eux-mêmes, et ceux, ne sachant même pas comment faire, qui interrogeront l’intelligence artificielle « compétente ».

Entendez : l’intelligence artificielle (IA) qui sera à la solde des laboratoires pharmaceutiques.

Or ceux-ci auront payé pour que l’IA donne un médicament précis comme solution, celui que les labos auront mis en avant.

Bien sûr, la plupart des gens vous diront que si l’IA était « mal intentionnée », « cela se saurait », qu’elle « aurait été remplacée ».

On vous a déjà fait le coup : remettre en question l’impartialité d’une telle merveille ne pourrait être que « complotiste ».

Et puis un jour, vous vous rendrez compte que vous n’avez pas un médecin derrière votre écran, mais un robot.

Il vous invitera à vous rendre dans le dispensaire le plus proche. Là-bas, un échantillon de sang pris par un autre robot lui tiendra lieu de diagnostic.

À moins qu’il n’ait déjà toutes les informations nécessaires, grâce à votre montre connectée, votre portable, ou la « poussière intelligente » injectée dans votre dernier « vaccin ».

À ce moment-là, vous êtes coincé.

Prendre le médicament qu’on vous impose fera probablement de vous un cobaye ; ne pas le prendre fera exploser le prix de votre mutuelle et vous ruinera.

Mais n’est-ce pas le « sens de l’histoire » après tout ? C’est du moins ce que TOUS les dirigeants occidentaux voudraient nous faire croire.

Vous êtes la graine de l’avenir

Aujourd’hui, l’information, c’est le pouvoir. Et c’est vrai : savoir bien s’informer, c’est devenu vital.

Devant cet enjeu de société, qui s’est révélé ces 20 dernières années, on peut dire que nous avons vécu un vrai progrès : bien vous informer ne coûte presque rien.

Mais à l’avenir, le vrai pouvoir, ce sera d’avoir des compétences tangibles.

D’où l’importance, si vous avez du temps devant vous, de vous instruire et de transmettre.

Aujourd’hui, les formations pullulent. Tous les enseignements ne se valent pas, mais c’est en les confrontant qu’on devient meilleur.

Cela ne concerne pas seulement le soin. Vous pouvez vous instruire et transmettre sur n’importe quel sujet, n’importe quel savoir-faire.

La société de demain commence par vous. Par l’approfondissement de votre savoir et votre volonté de le transmettre

Ce n’est que comme ça que nous échapperons à la tyrannie des robots et à ceux qui les dirigent.

Chacun d’entre nous porte en lui la graine d’un avenir meilleur, et vous en premier.







763 célébrités mortes après la vaccination au Covid ! Combien alors dans la population ?

[Source : Kla.tv]



Transcription

« Je veux que vous sachiez que j’ai eu 2 vaccins et le rappel ! J’ai voyagé, je suis allée deux fois au Mexique, j’ai participé à des expositions, j’ai rencontré et accueilli des gens, et je n’ai jamais contracté le Covid – bien sûr ! Jésus m’aime plus que tout ! Vraiment ! Si beau, si beau… ! »

S’effondre et meure en direct après les inoculations géniques mortelles

Un footballeur de 21 ans meurt sur le terrain. Une nouvelle victime de la vaccination meurtrière par ARNm.

Un joueur de kabaddi de 22 ans meurt d’une crise cardiaque pendant un match. Une autre victime des vaccins toxiques.

Un sportif de 24 ans meurt subitement après s’être effondré pendant un match à cause des vaccins.

Un jeune kickboxeur s’effondre sur le ring après avoir reçu une injection génique et meurt.

Une danseuse de 20 ans meurt d’une crise cardiaque sur scène, une autre victime tragique de la vaccination

Joueur de hockey sur glace de 20 ans, meurt pendant un tournoi des effets secondaires du vaccin.

Un joueur de hockey sur glace meurt en plein match d’un arrêt cardiaque dû au vaccin.

Un footballeur de 20 ans s’effondre sur le terrain et meurt des effets secondaires mortels du vaccin.

Un danseur s’effondre sur scène et meurt à cause de la vaccination mortelle

Un sportif meurt d’un « arrêt cardiaque » lors d’une course cycliste, après les vaccinations

Un marathonien de 32 ans décède juste avant la ligne d’arrivée d’une crise cardiaque provoquée par la vaccination

Un magicien meurt sur scène pendant un spectacle, victime tragique des vaccinations.

Un animateur radio meurt en direct d’une crise cardiaque, un effet typique de la vaccination.

L’entraîneur meurt d’une crise cardiaque causée par les vaccins pendant une séance d’entraînement.

Un coureur meurt lors du marathon de Kuala Lumpur après avoir été vacciné .

Un footballeur meurt d’une crise cardiaque sur le terrain, comme de nombreux autres sportifs après avoir été vaccinés.

Un joueur de handball meurt en plein match, et un autre à l’hôpital, après avoir subi un arrêt cardiaque dû à une vaccination.

Un milieu de terrain de 22 ans meurt d’une crise cardiaque après s’être effondré à l’entraînement. Une autre mort subite, d’un sportif en bonne santé, après avoir été vacciné.

« Et tout cela après l’injection d’une arme biologique dont nous savons avec une certitude absolue qu’elle provoque des myocardites et d’autres problèmes cardiaques chez les jeunes gens en bonne santé qui en reçoivent ! Ne laissez pas les médias vous faire douter et vous faire croire qu’il est normal et courant que des sportifs tombent raides morts. Ce n’est pas le cas et ça ne l’a jamais été, du moins jusqu’à il y a quelques années. »

Ces images et ces enregistrements ne mentent pas. Des décès et des dommages vaccinaux causés par la vaccination Covid, dont l’ampleur mondiale est dissimulée par les médias. Des victimes qui, selon les promesses et les déclarations de nombreux médias, de politiciens de premier plan et de leurs experts, ne devraient pas exister. Dans le monde entier, ils ont appelé à la vaccination Covid ! Partout, les personnes non vaccinées ont été exclues et discriminées…

Kla.TV dispose de 17 heures de film qui documentent un énorme crime vaccinal. Il met en évidence les nombreux décès et dommages causés par le vaccin Covid à des personnalités du monde entier. Quelle est l’ampleur des décès et des dommages causés par les vaccins, proportionnellement à la population ? Car cette vaste documentation ne liste qu’une partie de ces cas. Les médias ont dû en parler, car il s’agit de personnalités célèbres !

Toute tentative de montrer à la population les innombrables morts dues au vaccin Covid et les victimes de la vaccination, parfois même dans les grandes lignes, s’est aussitôt soldée par un dénigrement et un mépris de la part des médias dominants. L’une de ces victimes médiatiques est l’initiateur de la « Galerie des horreurs », Peter Ganz. Son exposition, qui présente plus de 3 500 destins personnels en lien avec la vaccination Covid, a été installée publiquement dans de nombreuses villes d’Allemagne. Elle a manifestement été une épine dans le pied des défenseurs de la politique Covid des producteurs de vaccins. Conséquence : cette vaste documentation a été en grande partie confisquée lors de perquisitions.

Dans le monde entier, outre Peter Ganz, de nombreux médias indépendants, virologues, épidémiologistes, plates-formes et initiatives soucieuses de vérité ont documenté de nombreux décès et d’énormes dommages liés à la vaccination, survenus peu après le lancement de la vaccination Covid. Ils voulaient ainsi mettre en garde la population inconsciente contre les dangers et les conséquences de la vaccination. Voici quelques appels à la prudence :

[ !] France, décembre 2022 : De nombreuses photos alignées de personnes mortes du vaccin Covid, jeunes pour la plupart, ont glacé les gens dans plusieurs villes françaises !

[ !] Allemagne, janvier 2023 : Une action de lits de camps devant le Bundestag allemand a pour but de faire prendre conscience à la population et aux politiques des énormes dégâts causés par la vaccination Covid.

[ !] Cri d’alarme en provenance d’Israël : Des citoyens israéliens désespérés ont témoigné devant la caméra comment ils souffrent d’effets secondaires très graves et de décès dans leur entourage après avoir reçu le vaccin Covid.

[ !] Avril 2021 : Le documentaire de Kla.TV « Appel au réveil urgent : Des décès par milliers après la vaccination Covid19 » a fourni les chiffres très alarmants des décès survenus dans les maisons de retraite allemandes juste après le début de la vaccination.

[ !] Dans le monde entier, de vastes bases de données témoignent du sort d’innombrables sportifs de haut niveau qui se sont soudainement effondrés et sont même souvent morts immédiatement après avoir été vaccinés.

Kla.TV a mis en garde de toute urgence contre cette évolution au cours de plus de 100 émissions. De nombreux experts, spécialistes et virologues ont montré à temps l’énorme danger et les conséquences imprévisibles liés à la technologie expérimentale de vaccination.

De tels avertissements et appels désespérés ont été passés sous silence, diffamés au plus haut point et censurés par les médias dominants. Les médias libres qui ont donné la parole à la population lésée ont été immédiatement dénigrés par les médias dominants et souvent qualifiés de dangereux pour la population. (!) Maintenant que l’ampleur des décès et des dommages liés à la vaccination Covid19 ne peut plus être niée et que les médias ne peuvent plus éviter de parler des victimes de la vaccination et des destins de célébrités, ces cas sont en général habilement présentés par les médias grand public comme des « destins individuels ». De nombreux décès et dommages liés à la vaccination sont en outre dissimulés par les médias et les institutions publiques sous le nom de cas Covid ou Covid long. C’est le cas du colonel italien Gagliano, qui est mort peu après avoir été vacciné. Son ami a témoigné dans une vidéo émouvante que celui-ci avait été forcé de se faire vacciner contre le Covid. Lorsqu’il est décédé quelques jours après la vaccination, le commandement de la police italienne a indiqué comme cause officielle de sa mort qu’il était mort des suites du Covid. Son ami est très en colère et veut faire savoir partout qu’il est mort à cause de la vaccination.

Il semble également significatif que plusieurs défenseurs de la vaccination soient décédés après avoir été vaccinés. Parmi eux, le développeur de l’application de vaccination Covid du CDC, le compositeur de la chanson publicitaire « Trouver le vaccin » et l’homme de 38 ans qui a demandé l’incarcération des personnes non vaccinées sont morts d’une insuffisance cardiaque aiguë. La fille unique d’Elvis Presley est également décédée subitement d’une crise cardiaque. Elle était une fervente partisane de la vaccination et en faisait même la promotion. (petite impression de défenseurs de la vaccination décédés) D’autres défenseurs de la vaccination souffrent d’effets secondaires… (petite impression)

Kla.TV a rassemblé pour vous ces 17 heures d’images. La liste suivante montre [en raison de l’énorme quantité], toutes les secondes, 763 décès de célébrités dus à la vaccination Covid et, en accéléré, des centaines de célébrités victimes de la vaccination. Nous nous souvenons ici du discours d’Ivo Sasek, fondateur de Kla.TV, lorsqu’il a résumé juste avant que le vaccin Covid « sauveur » ne soit inoculé dans le monde entier : (Ivo) «Toutes les listes de décès dans le monde à ce jour prouvent que jusqu’au 30 décembre 2020, le taux de mortalité n’a pas été plus élevé que lors des années normales de grippe, voire plus bas, pour autant que je sache.» Ce qui s’est passé APRÈS la vaccination – vous pouvez maintenant le constater par vous-même :

Célébrités décédées à cause de la vaccination

Une dresseuse de chevaux de 23 ans est morte après que son patron lui a ordonné de se faire vacciner.

« Je suis la mère de Caitlin Gotze. Il y a 12 semaines, le 17 novembre 2021, elle est tombée raide morte au travail. Dans le mail qu’elle m’a envoyé, elle a dit qu’elle avait l’impression de mourir après la deuxième vaccination. C’est ma petite fille, et elle aurait dû vivre encore 75 ans ! Elle étudiait, elle voulait être vétérinaire. »

Une star de téléréalité meurt à 30 ans d’un cancer provoqué par les vaccinations.

Une ballerine de 20 ans meurt d’une « mort cardiaque subite » après avoir été vaccinée.

Un joueur de hurling de 29 ans meurt dans un tragique accident suite à un effondrement dû à la vaccination.

Le roi de la musique pop colombienne meurt subitement après avoir reçu sa troisième dose de vaccin.

Le chanteur de country meurt des effets secondaires de la vaccination quelques heures après son mariage.

Le musicien de jazz Ronald McFadden meurt de manière inattendue après un concert, des suites de vaccins toxiques.

Un footballeur de 23 ans meurt 3 jours après avoir reçu le vaccin Covid de Janssen.

En fait, cet homme ne voulait pas se faire vacciner. Monsieur le ministre Donnelly, je vous demande très sérieusement de mettre fin à ce programme de vaccination avant que d’autres jeunes ne meurent. On vous a prévenu que ce serait le résultat. Je vous ai prévenu que ce serait le résultat ! Vos mains sont tachées de sang et chacun d’entre vous devrait être condamné pour meurtre.

Kla.TV a averti !

De nombreux pilotes, agents de bord et copilotes meurent pendant ou après le vol, doivent atterrir d’urgence ou faire demi-tour. Greg Pearson, pilote de ligne, affirme que ses collègues « meurent comme des mouches » après avoir été vaccinés contre le Covid. Marco Tosatti rapporte en outre des lésions dues à la vaccination chez les pilotes : myocardite, péricardite, infarctus du myocarde, attaque cérébrale, cécité. Kla.TV possède 100 autres témoignages de célébrités victimes de la vaccination. Nous résumons en bref 17 heures de film :

Célébrités lésées par la vaccination

Un basketteur de 26 ans est victime d’une thrombose peu après la vaccination Covid-19 :

« Tout cela s’est passé en l’espace d’un mois. Jusqu’à ce que je sois vaccinée, j’allais bien ! Et on m’a dit de n’en parler à personne. Oui, la vaccination a mis fin à ma saison à 1000%. »

Monique, 28 ans, une star de la télévision, parle de sa péricardite due à une injection de Pfizer.

« Le cœur bat comme lors d’une crise cardiaque, chez quelqu’un qui est en bonne santé et qui a moins de 30 ans. Je ne bois pas, je ne prends pas de drogues, même pas de caféine. J’ai jamais eu de problèmes cardiaques ou d’antécédents médicaux dans ma vie. Ce n’est pas moi qui dis que c’est à cause de la vaccination. Il est confirmé que c’est à cause de la vaccination. »

Une triathlète souffre de douleurs constantes et extrêmes après avoir été vaccinée contre le Covid :

« Le 13 avril, j’ai reçu avec enthousiasme ma deuxième injection de Pfizer. À ce moment-là, toute ma vie a changé. Nous sommes une vérité qui dérange, les vaccinations causent de graves dommages qui changent la vie. »

Le basketteur ne voulait pas se faire vacciner, mais il y a été contraint (pause dans le discours, phrase suivante un peu plus lente) et maintenant sa carrière est terminée.

Un mannequin de 29 ans souffre de convulsions persistantes après la 2e vaccination ARNm de Pfizer.

Un mannequin de 20 ans doublement vacciné développe une myocardite, est victime d’une crise cardiaque et doit se faire amputer des deux jambes.

« Tout cela se passe alors que le CDC admet ouvertement que les vaccinations provoquent des myocardites dans ce groupe d’âge. »

La cavalière australienne star est hospitalisée pour des thromboses après avoir été vaccinée par Pfizer

On m’a dit : pas de vaccination, pas de travail. J’ai donc fait ce que j’avais à faire. J’étais une jeune fille de 19 ans parfaitement saine et normale, super active, et je n’avais jamais été hospitalisée.

Une chanteuse espagnole raconte qu’elle a failli mourir quelques jours après avoir été vaccinée.

L’injection lui a fait perdre un doigt et ses pieds sont devenus noirs.

Un boxeur de 36 ans est cloué au lit et incapable de travailler depuis sa 3e dose du « vaccin » Pfizer.

Je veux juste me remettre sur pied, me lever de mon lit et que mon rythme cardiaque redevienne normal !

Le musicien et guitariste perd 8 doigts après le vaccin Johnson & Johnson en raison de thromboses.

« J’ai reçu le vaccin Covid le 9 juillet. Je suis sorti du coma et j’ai appris que j’avais été amputé de huit doigts. Je considère que ce qui s’est passé et ce qui se passe maintenant est un crime. Les gens doivent être tenus responsables de ce qui s’est passé. Cela doit définitivement être mis en avant, ça doit être révélé et certaines personnes doivent être tenues responsables de ce qui s’est passé. »

L’athlète olympique de 24 ans a du mal à se débrouiller seule après avoir reçu le vaccin de Pfizer et a voulu mettre fin à ses jours.

« Avant, j’étais dans l’équipe olympique de natation synchronisée et je m’entraînais six jours par semaine, dix heures par jour. J’étais incroyablement hyperactive, j’étais toujours connue comme celle qui courait sur le plateau et faisait des choses stupides, comme faire des culbutes quand je n’aurais pas dû, et ce genre de choses. On m’a demandé de me faire vacciner deux fois pour pouvoir travailler dans le cinéma, et je l’ai tout de suite regretté, car dès qu’ils me l’ont injecté dans le bras, je me suis dit : Qu’est-ce que j’ai fait ? Je ne peux pas décrire à quel point c’était horrible, j’avais la tête qui tournait et je rampais littéralement ! Je pensais que ma vie était finie parce que je n’étais même plus capable de cuisiner, de me lever ou de m’occuper de moi. Ma mère venait me voir, deux fois par semaine je crois, pour changer les draps, faire les courses et nettoyer mon appartement. »

L’animatrice de télévision Xara Triferi raconte la souffrance cruelle que lui a causée la vaccination. Elle lance un appel à tous les êtres humains :

Et s’il vous plaît, du fond du cœur, ne permettez pas aux gens de s’injecter ce produit toxique. Cette injection a provoqué chez moi, comme chez beaucoup d’autres personnes qui ne le disent pas par peur, tous ces dégâts. Chaque jour, elle détruit un peu plus mon corps. Je vois flou…. chaque jour un peu plus. C’est dommage que tant de gens soient morts injustement à cause de cela. En fin de compte, les personnes qui se font vacciner ne sont en aucun cas sauvées. Tôt ou tard, il y aura un dommage.

Sources / Liens :

Medienverunglimpfung von Peter Ganz

https://www.zvw.de/stuttgart-region/am-gedenktag-9-november-querdenker-zeigen-impfopfer-ausstellung-in-stuttgart_arid-576641

https://www.regensburg-digital.de/jubel-fuer-hoecke-fan-und-seine-galerie-des-grauens/08042022

3.500 Impf-Schicksale – Gallerie des Grauens von Peter Ganz

https://corona-blog.net/2022/02/23/der-unermuedliche-peter-ganz-der-mit-einer-grossartigen-aktion-auf-die-impfopfer-aufmerksam-macht-die-galerie-des-grauens

https://www.galeriedesgrauens.org

Foto-Aktion von Impf-Todesfällen in Frankreich

https://odysee.com/@D%C3%A9p%C3%AAchesCitoyennes:e/New-compil-extra-short-10-de%CC%81cembre—SD-480%C2%A0p:5

Feldbetten-Aktion vor dem Deutschen Bundestag

https://www.swr.de/swr1/swr1leute/kardiologe-bernhard-schieffer-post-vac-syndrom-100.html

https://nichtgenesenkids.de

Warnruf aus Israel: Schwerste Nebenwirkungen und Todesfälle nach Corona-Impfung

https://www.vaxtestimonies.org/de

Spitzensportler kollabieren und sterben nach der Impfung

https://www.wochenblick.at/corona/tragische-haeufung-ueber-100-sportler-kollabierten-im-november-viele-tot

Etliche Todesfälle als Covid und Long-Covid vertuscht

https://www.t-online.de/nachrichten/deutschland/gesellschaft/id_100146026/katrin-goering-eckardt-ueber-long-covid-fehler-sollten-wir-nicht-wiederholen-.html

https://www.tagesschau.de/wissen/gesundheit/studie-long-covid-101.html

https://www.berliner-zeitung.de/gesundheit-oekologie/eine-impfpflicht-wuerde-das-tor-zum-missbrauch-weit-oeffnen-li.219816?pid=truel

Oberst Gagliano stirbt kurz nach der Impfung

https://www.bitchute.com/video/jUA21UhjSdK0

Piloten, Flugbegleiter und Copiloten sterben

https://www.bitchute.com/video/8HbpfrULOcIc

763 prominente Covid-Impftodesfälle und hunderte prominente Impfgeschädigte

PROMINENTE AUS ALLEN BEREICHEN LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG

https://www.bitchute.com/video/Gf0cyI0KUxIB

TEIL II PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG

https://www.bitchute.com/video/r3zoqhLDtky6

TEIL III – PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG

https://www.bitchute.com/video/wm5ECErGH2Di

TEIL IV – PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG

https://www.bitchute.com/video/Z6HJ7phw6sCS

TEIL V – PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG

https://www.bitchute.com/video/d4h9T0HbODx4

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL VI

https://www.bitchute.com/video/nRYrMXqg06LH

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL VII

https://www.bitchute.com/video/G6gSW5cl3vso

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL VIII

https://www.bitchute.com/video/jUA21UhjSdK0

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL X

https://www.bitchute.com/video/kIxyfKMHcetw

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XII

https://www.bitchute.com/video/MJmUJe5NAmS6

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XIV

https://www.bitchute.com/video/9Vf3WuqQdEJT

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XVI

https://www.bitchute.com/video/6hMaoDe6OqyF

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XVIII

https://www.bitchute.com/video/zBvbiC5vZC5l

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XX

https://www.bitchute.com/video/mKYdKTgZRVO9

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XXII

https://www.bitchute.com/video/EcBYXcXVEViN

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXIII

https://www.bitchute.com/video/r46jYKLAodhY

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXV

https://www.bitchute.com/video/b07zj9xc3Pc3

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXVIII

https://www.bitchute.com/video/29nxGHBWJ1s9

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXXI

https://www.bitchute.com/video/82yMnPP3Lqca

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXXIV

https://www.bitchute.com/video/CgM8o7vQOpNG

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XXXVII

https://www.bitchute.com/video/A8O5LHZhCBcC

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DER IMPFUNG. TEIL XL

https://www.bitchute.com/video/GJcgp3sbb7AR

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XLIV

https://www.bitchute.com/video/A2jNhIjRo9mM

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XLVII

https://www.bitchute.com/video/S6xWx6wsWQj8

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LI

https://www.bitchute.com/video/ksuqf5KmALcM

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LIV

https://www.bitchute.com/video/kftHINE3pcou

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LVIII

https://www.bitchute.com/video/y4SZVzFjvQ0U

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXI

https://www.bitchute.com/video/IUI6btH8Egnl

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL 66

https://www.bitchute.com/video/foWF5S6zibuv

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL 68

https://www.bitchute.com/video/2zu8C88qQh6d

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXII – 68

https://www.bitchute.com/video/7SoHenfMseNA

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXV- 75

https://www.bitchute.com/video/pb2Gt94KAcF8

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXV- 79

https://www.bitchute.com/video/2hsfSa84LMRv

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXXI – 81

https://www.bitchute.com/video/UZLLkhR5zuW0

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXXIV – 84

https://www.bitchute.com/video/9CxJcPIRJqxB

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL LXXXVI – 86

https://www.bitchute.com/video/8rYgKoEv9hSh

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XC – 90

https://www.bitchute.com/video/fVEYn27Hbi0j

PROMINENTE LEIDEN UNTER NEBENWIRKUNGEN UND STERBEN NACH DEN IMPFUNGEN. TEIL XCV – 95

https://www.bitchute.com/video/fHTumoWRj7vC




« Complotisme » et « écoterrorisme » : deux enfumages de la technocratie dirigeante

[Source : piecesetmaindoeuvre.com]

[Illustration : Des activistes de Sea Shepherd abordent un baleinier japonais, en février 2012. (Sipa)]

« Complotistes » (alias « conspirationnistes »), et « écoterroristes » figurent parmi les pires méchants de l’heure, en compagnie des « populistes », des « radicalisés », et de toute la séquelle des « phobes » — des « transphobes » aux « islamophobes »1.

Vous pouvez vérifier sur Gougueule : « Complotisme », 16 pages de références.

« Écoterrorisme », également 16 pages (« Afin d’afficher les résultats les plus pertinents, nous avons omis quelques entrées qui sont très similaires aux 157 entrées actuelles »). 16 pages,157 entrées, à multiplier par des dizaines de livres et des milliers d’unités de bruit médiatique.

« Un mensonge répété mille fois se transforme en vérité »

(punchline attribuée à Joseph Goebbels, le communicant d’Hitler).

Le renouveau de cette « menace complotiste » (après le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy, etc.), est évidemment concomitant de l’épidémie de Covid-19, quand partout dans le monde de simples Terriens (et même des scientifiques), s’avisèrent :

  • de discuter l’explication officielle de l’origine du virus (chauve-souris + pangolin + marché populaire de Wuhan) ;
  • de critiquer les mesures dictatoriales prises pour le combattre (conseil de défense, assignation de populations à résidence, interdiction de soins des médecins généralistes, obligation vaccinale, etc.) ;
  • voire, de dénoncer l’emballement techno-totalitaire qui s’engouffrait dans l’occasion (télétravail, télé-enseignement, QR-codes…).

Les curieux peuvent lire Le règne machinal (la crise sanitaire et au-delà)2, une enquête qui a dit sur le vif ce qu’il y avait à dire là-dessus, à telle enseigne que paraissent avec plus ou moins de retard des hommages plus ou moins appuyés, du copiage littéral au pastiche sournois. Ainsi va le ruissellement des idées.

Que toute critique véridique de la technocratie dirigeante soit disqualifiée comme « complotiste » par ses agents (Rudy Reichstadt, Tristan Mendès-France, Antoine Bristielle), et ses agences (« les décodeurs » du Monde, « le vrai du faux » de France-info, Conspiracy Watch) ; que ces idéologues à gages et à subventions s’obsèdent de sectes délirantes et/ou judéophobes afin de dissimuler et de discréditer la critique radicale, voilà un lieu commun par lequel nous sommes passés en 2007 dans « L’invention de la “théorie du complot” », premier chapitre de Terreur et Possession. Enquête sur la police des populations à l’ère technologique3. Livre toujours en librairie.
Chapitre toujours en ligne.
Avec la citation culte de Michel Destot, alors ingénieur-maire de Grenoble :

« Faire croire que l’on imposerait un “nanomonde” totalitaire à la population sans débat préalable relève non seulement de la propagande mensongère, mais aussi d’une forme de paranoïa politique bien connue, qui s’appuie sur la théorie du complot, la haine des élites, des élus, des responsables4. »

Le peu de débats qu’il y eut sur l’avènement de ce nanomonde, ou monde-machine, c’est celui que nous avons imposé par nos enquêtes et nos actions depuis l’automne 2000, avec des brûlots tels que Le Laboratoire grenoblois (mars 2002)5, ou Nanotechnologies/Maxiservitude (janvier 2003)6 — d’abord diffusés en tracts et toujours en ligne. Ces brûlots ont servi de texte aux quelques actions menées avec l’aide rechignée et sporadique de quelques jeunes gens qui nous trouvaient bien catastrophistes, ou citoyennistes, ou… etc. Bref, bien rétifs aux diktats du milieu ; mais surtout trop (re) connus pour ce tas de mots par nous édifié et jeté à la face du technogratin, dans toutes les réunions officielles et publiques où nous intervenions, seuls contre la salle. Tu te souviens, Pimprenelle ?

Nous n’avons cessé que lorsque nos esclandres sont devenus une routine attendue et excitante pour les spectateurs qui se poussaient du coude (– Y’a PMO, il va se passer quelque chose !), cependant que nos anarchistes et révolutionnaires de camarades se tassaient et se taisaient dans leurs fauteuils. S’ils nous avaient accompagnés, bien sûr.

Quant aux effets concrets et conclusions de ce débat — ou des opérations de communication qui en furent le contrefeu et la contrefaçon officielle — chacun peut voir par lui-même, vingt ans après, si le progrès du monde-machine en fut retardé d’un instant7. Cependant que les candidats à la cogestion « citoyenne » et « alternative » d’Internet, du nucléaire et de la technopolice (de l’organisation technologique de la cité), continuent de réclamer sempiternellement à l’État ce qu’ils n’ont jamais été capables d’imposer : un vrai débat.

Mais que pourrait être ce « vrai débat » sinon un référendum posé en termes clairs (« Êtes-vous pour ou contre le développement d’une industrie nucléaire ? » — ou de « l’organisation informatique de la société ? », ou de « l’organisation scientifique du monde ? ») — et précédé d’une campagne à égalité de moyens entre opposants et partisans.

Où l’on verrait peut-être « la population » répondre par un oui franc et massif à un projet de « nanomonde totalitaire », conforme aux objectifs, aux intérêts et aux plans de la technocratie dirigeante, qui n’a jamais eu besoin de « comploter » pour les imposer, mais seulement de faire des commissions, des programmes, des budgets et des lois, au vu et au su de tous ceux qui se donnaient la peine de lire les rapports officiels ou les comptes-rendus du Monde. La « théorie du complot », c’est — une fois pour toutes — celle que les idéologues policiers de la technocratie ont inventée, afin d’en accuser la critique radicale, écologiste et anti-industrielle.

Nous voici donc, nous Pièces et main d’œuvre, et tous ceux qui partagent nos idées issues de l’enquête critique8, désignés comme « complotistes », et par suite comme « écoterroristes » potentiels par ceux qui détiennent le monopole légal de la parole autorisée et du « faux sans réplique » (oui, Debord. Commentaires sur la société du spectacle, 1988). Le monopole légal des fake news pour reprendre leur vocabulaire. Car le mauvais n’est pas la confection et la propagation de faussetés, mais l’usurpation en la matière des prérogatives du sociologue Gérald Bronner ou des spécialistes de l’Association française pour l’information scientifique (Afis)9.

Si le « complotiste » pense mal, l’« écoterroriste » agit mal. A fortiori s’ils sont réunis dans la même personne qui, s’étant persuadée de la nuisance radicale du smartphone, s’en va incendier une antenne de téléphonie mobile.

Ce n’est pas non plus d’aujourd’hui qu’un ministre de l’intérieur et son chœur de haut-parleurs éructent à tous les échos cette accusation d’« écoterrorisme » contre des manifestants décidés à occuper le site d’une future centrale nucléaire (Malville, 31 juillet 1977), ou d’un futur pillage d’eau. Ici, l’accusation s’inverse d’elle-même et joue comme un aveu. On ne voit guère de pires « écoterroristes » que ceux qui assèchent la terre et y répandent la radioactivité.

Il est donc logique que dans le monde réellement renversé, les machinistes fassent pendre les briseurs de machines, comme en Angleterre lors du mouvement luddite (1811-1812)10 ; que les nucléaristes dénoncent les écosaboteurs Françoise d’Eaubonne et Gérard Hof, après l’attentat contre la centrale de Fessenheim, le 3 mai 197511 ; que les technologistes et les industrialistes invectivent les membres du Gang de la clé à molette (Edward Abbey, 1975)12, tous ces adeptes de l’action directe et de la légitime défense qui firent sauter tant de machines et de locaux dans le sillage du mouvement antinucléaire13 ; avant que les activistes d’Earth First, aux États-Unis, ne passent à leur tour à l’écosabotage (1980), suscitant la traque et de grandiloquentes alarmes du FBI.

C’est de quoi nous avons traité en janvier 2009 dans À la recherche du nouvel ennemi14, quand huit ans après la World War on Terrorism, « les attentats à l’anthrax » commis par un scientifique de Fort Detrick et les alertes au « bioterrorisme », en France même, on vit l’écrivassier Jean-Christophe Rufin (Le Parfum d’Adam), et la journaliste du Monde Isabelle Mandraud, construire la figure de « l’écoterroriste » à l’aide de « récits bien documentés15 ».

C’est que « les ingénieurs de la survie » comme dit Charbonneau (Le feu vert, 1980), les technocrates du Green New Deal et de « la transition écologiste », ne peuvent tolérer d’opposition effective au redéveloppement du nucléaire, ni au rationnement des « ressources ». Chacun le sait depuis la mort de Rémi Fraisse à Sivens (26 octobre 2014), sinon depuis celle de Vital Michalon à Malville (31 juillet 1977) sous un déluge de 3000 grenades OF. Tout le monde le sait sauf les chefs, les organisateurs, toujours avides de puissance et d’exhibition. De défier l’État et son armée sur son terrain, en manœuvrant leur contre-armée sous la direction de leur contre-État, au moyen de leurs derniers joujoux de contre-technologie numérique (smartphones et messageries cryptées). Faut que ça saigne. Rien de tel qu’un martyr pour susciter l’union sacrée autour de ceux qui l’ont envoyé « au casse-pipe », comme il se dit autour de Sainte-Soline. Et d’autant mieux si le martyr était volontaire et « savait ce qu’il faisait ». La puissance et la gloire de l’Organisation, sa mainmise sur le mouvement écologiste, exigent des sacrifices humains. Mais il est vrai que ces « écologistes » — là ne sont pas « technophobes », ni anti-industriels. Ils veulent juste une autre machine.

« Eh bien, oui, je le répète à la face du monde ; toute “organisation” ne profite et ne profitera jamais qu’aux organisateurs ! Voilà ce que je veux “conter” encore avant de mourir. Tous ceux qui veulent faire de l’homme la bête d’un troupeau, sont ses assassins. »

Panaït Istrati, Vers l’autre flamme16

Pièces et main d’œuvre
Grenopolis, le 12 avril 2023







Ce que dit l’affaire des casseroles contre Macron

[Source : RL]

Par P.-A. Pontoizeau

On apprend qu’aujourd’hui [le 20 avril], un préfet interdit les objets bruyants aux abords du Président pour qu’il ne soit pas confronté aux perturbations sonores des casseroles. On voit là toute l’ouverture d’esprit et la sollicitude du chef de l’État pour les Français. Non seulement, il n’écoute pas, mais il ne veut même pas les entendre lui exprimer leur mécontentement. Cela en dit long sur sa surdité. Je ne veux pas vous écouter, je ne veux pas dialoguer, je ne veux pas entendre vos plaintes. La souffrance ne l’intéresse pas, les plaintes n’ont pas voix au chapitre, la misère n’existe pas. Il répond que le tableau budgétaire vaut bien quelques années de vie : monstre cynique et froid et menteur. Écartez-moi ces gueux et leur vacarme. Tout cela n’existe pas.

A-t-il compris le sens de ce gentil vacarme bruyant où l’on tape le cul de la casserole ? A-t-il vu les différentes significations d’une telle manifestation ?

Il y a évidemment l’idée de faire du bruit, de se manifester pour être entendu comme les Gilets jaunes portaient leur gilet pour être vus, sortir de leur invisibilité.  On tape la casserole pour espérer se faire entendre, se faire voir. Nous existons.

Il y a aussi le jeu de ne plus vouloir l’entendre lui, lors de son intervention ou lors de ses visites. C’est la deuxième raison. Si tu ne veux pas nous entendre, nous ne voulons pas t’entendre. C’est le préambule à une rupture, comme dans un divorce. Je ne t’écoute plus parce que tu ne m’écoutes pas. Qui fera l’effort ? Ou quand allons-nous nous séparer ?

Il y a aussi la violence simulée de taper sur un objet à défaut de taper sur celui qui est visé. La casserole ne souffre pas, mais elle reçoit des coups de trique bruyants. On bat la casserole, on exécute un geste de punition, comme on bat les boucliers pour faire du bruit, faire peur et indiquer que la phase suivante, c’est de frapper sur le bouclier de l’ennemi puis de le frapper lui.

Il y a enfin taper le cul de la casserole comme on botte le cul d’un importun. Macron comprend-il le sens de cette affaire des casseroles ?

Il y répond par le déni. Il insulte le peuple. Même le pacifique leader de la CFDT a réagi immédiatement à cet insupportable mépris des batteurs de casserole. Le lendemain, c’est-à-dire aujourd’hui, son préfet a interdit les casseroles. Comment peut-il nous faire croire qu’il peut dialoguer ?

Oui, il y a un roi des casseroles dans ce pays des casseroles, et nous pensons à toutes leurs casseroles : détournements financiers, magouilles, corruptions qui ont déjà touché la moitié de ses proches.

Pierre-Antoine Pontoizeau






L’Italie demande à l’UE que les labos paient les indemnités des effets secondaires du vaccin Covid-19

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Par Cheikh Dieng

Une information dont les médias ne veulent surtout pas parler.

Dans un discours prononcé devant ses pairs européens, le ministre italien de la Santé, Orazio Schillaci, a demandé à l’Union Européenne de renégocier les contrats de vaccins signés avec les laboratoires pharmaceutiques et a exigé un changement des clauses afin que les indemnités, les compensations des effets secondaires et les frais de justice ne soient plus à la charge des États, mais plutôt des fabricants de vaccins

Un vent de révolte est-il en train de voir le jour au sein de l’Union Européenne ? Allez savoir ! En tout cas, en pleine pandémie à Coronavirus, le gouvernement italien, dirigé par Giorgio Meloni, demande à l’UE de renégocier les contrats de vaccins signés avec les laboratoires pharmaceutiques.

C’est l’information que Lecourrier-du-soir.com a obtenue, en décembre dernier, de plusieurs sources italiennes fiables, dont l’agence de presse italienne AGI. D’après la source, la proposition de renégocier les contrats a été formulée par Orazio Schillaci, ministre italien de la Santé, lors de son intervention en marge d’une session organisée par le Conseil européen de la Santé.

Face à son auditoire, le ministre italien n’a pas mâché ses mots. « J’estime nécessaire de renégocier les contrats avec les laboratoires pharmaceutiques, les contrats non encore exécutés ou seulement partiellement exécutés, en prévoyant la possibilité de réduire les achats envisagés en fonction du besoin réel des États “en doses de vaccins anti-Covid” et, en tout état de cause, un report des paiements et des doses acquis sur plusieurs années, au moins quatre, adaptant ces dernières à l’évolution épidémiologique du virus », a-t-il déclaré.

Et d’ajouter :

« il est indispensable que la Commission européenne, lors de la renégociation des contrats d’achat, revoie la clause des APP ou contrats d’achat anticipés, qui font payer aux États membres la compensation et/ou l’indemnité due pour les dommages causés par les vaccins ainsi que les frais de justice encourus par les fabricants de produits pharmaceutiques dans les procédures individuelles puisqu’il n’est pas raisonnable qu’ils pèsent sur les États membres, en particulier après l’autorisation de mise sur le marché ordinaire des différents vaccins, comme l’a également relevé la Cour des comptes européenne ».






Comme Macron-Jupiter est en visite dans le département de l’Hérault, les gendarmes y sont chargés de saisir les casseroles

Les casseroles des manifestants ont été saisies ce jeudi matin en marge du déplacement d’Emmanuel Macron à Ganges, dans l’Hérault. Dans le cadre de l’arrêté préfectoral encadrant la venue du président de la République, « l’usage de dispositifs sonores portatifs » est interdit. Et visiblement, les casseroles en font partie.

(([1] https://rmc.bfmtv.com/actualites/economie/travail/emmanuel-macron-dans-l-herault-les-manifestants-prives-de-casseroles-saisies-par-les-gendarmes_AP-202304200430.html))

Emmanuel Macron est donc en visite à Ganges, dans l’Hérault, ce jeudi 20 avril dès la fin de matinée. Un déplacement qui nécessite évidemment un dispositif policier particulièrement bien huilé. Comme l’a documenté LCI, les gendarmes confisquent aux manifestants qui veulent entrer dans le village… les casseroles qu’ils transportaient pour exprimer leur mécontentement. Et la maréchaussée de se prévaloir d’un arrêté préfectoral leur en donnant l’autorisation. Dans l’arrêté en question, sont interdits les «objets susceptibles de constituer une arme [par destination] ou pouvant servir de projectile présentant un danger». Mais aussi, beaucoup plus surprenant, «l’usage de dispositifs sonores portatifs». D’où l’illégalité des casseroles ? Méfiance aussi pour tous ceux qui se promènent munis d’un dangereux kazoo, de castagnettes et autres vuvuzelas : ils sont hors-la-loi…

(([2] https://www.liberation.fr/politique/macron-dans-lherault-les-gendarmes-confisquent-les-casseroles-des-manifestants-20230420_MQ6YMBX4RNFH7PHFFQDNWS7VPE/))




France — Le Dr Umlil est révoqué de l’hôpital de Cholet et interdit de faire appel pour avoir contesté les mesures sanitaires covidiennes !

[Source : resistancerepublicaine.com]

[Illustration : Docteur Umlil, directeur directeur du Centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques du centre hospitalier de Cholet, qui a passé 2 années à protester, enquêter, mettre en doute une politique sanitaire abominable et sans aucun sens.]

Par Christine Tasin

Rappel du combat incessant du Docteur Umlil contre l’imposture vaxxinale

Il avait fait des pieds et des mains pour être entendu au Sénat, épouvanté par la vaxxination des enfants, faite avant même l’autorisation de mise sur le marché !

Les premiers mots de sa déposition disaient tout :

« On ne serait pas là si ce débat avait eu lieu depuis plusieurs mois. »

Déposition choc au Sénat du Docteur Amine Umlil : 22 000 enfants ont été vaccinés avant l’autorisation de mise sur le marché !

Mais Macron et ses séides ont tous les moyens de briser ceux qui osent dire non, ceux qui osent parler de raison, de vraie science, d’imposture Covid.

– Les soignants non vaxxinés ont payé très cher leur insoumission. Et continuent de payer, attendant le décret de réintégration… Si c’est comme le héros du Rivage des Syrtes, ils sont voués à attendre jusqu’à la mort… Ils étaient 15 000, ils ne sont plus que 2 000… les 13 000 restants ont changé de métier, abandonnant les urgences, les hôpitaux qui ferment, les services qui ferment, les gens qui meurent dans les couloirs. C’est abominable, c’est la faute à Macron, pas aux soignants.

Il fallait briser tous ceux qui mettaient en échec le but de Macron et ses amis comme Bill Gates, vaxxiner tout le monde, histoire de nous faire disparaître… Ne manquez pas le lien que Paco a déniché, lisez…

https://resistancerepublicaine.com/2023/04/19/pfizernocide/

– Il fallait briser Raoult… trop gros morceau pour Macron. Il n’a pas pu le faire taire, pas plus que Perronne ou Henrion-Caude, mais il a tout fait pour les salir, aidé par des journaleux complaisants et haineux. Et Macron, en manœuvrant pour que Raoult prenne sa retraite plus vite que prévu nous a privés, délibérément d’un des plus grands médecins du monde entier. Minable Macron, tu mériterais de finir comme le Chevalier de la Barre qui était innocent, lui…

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait notamment courageusement et publiquement exigé la démission de Véran.

https://resistancerepublicaine.com/2021/07/11/vaccins-contre-la-covid-19-je-demande-jexige-la-demission-immediate-du-ministre-de-la-sante-veran/

– Il fallait aussi briser le docteur Umlil qui avait transmis au Sénat un rapport de 92 pages dont les données étaient tirées des organismes officiels de santé de la France, de l’UE… et notamment celles qui montrent que les injections Pfizer faites ont une autre composition que celles qui ont servi à l’étude randomisée !!!! Il a fait un livre de ce rapport, plus qu’explosif : Vaccins contre la Covid-19 : L’impossible consentement. 

92 pages d’analyses, de témoignages… au vitriol :

« Malgré l’absence de données, on a injecté ce produit, y compris aux plus de 75 ans, aux immunodéprimés, aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent, aux enfants. Le 21 avril 2021, on reçoit un mail de la DGS urgent qui nous demande de prescrire trois doses chez les immunodéprimés. Or dans les documents de Pfizer pour l’AMM conditionnelle, cette population figure dans une mise en garde spéciale. Il s’agit donc d’une mauvaise pratique. L’urgence ne justifie pas tout. On n’exige pas autant de précautions pour les vaccins que pour les vieilles molécules comme l’hydroxychloroquine. »

Je vous invite à lire l’article et à visionner l’entretien entre Bercoff et Umlil. J’en ai transcrit une partie.

Qu’arriva-t-il ? Enquête ? Mise en accusation de Véran-Macron et toute la clique ? Vous n’y pensez pas ! Ils ont carrément révoqué le docteur UMLIL, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance de ses fonctions !

Le 27 janvier 2023, le Dr Umlil, pharmacien et spécialiste de pharmacovigilance, a été révoqué de ses fonctions de pharmacien de l’hôpital de Cholet. Carrément.

Mais ce n’est pas fini, il fallait l’achever en l’empêchant même de faire appel ! Macron qui n’a que les mots « droit » et « démocratie » à la bouche interdit aux citoyens qui ne pensent pas comme lui d’utiliser les recours prévus par la loi.

« Le Dr Umlil et son avocat, Me Thomas Benages, ont fait un recours contre cette révocation. L’audience du référé suspension s’est tenue le 7 avril 2023 à Nantes. Ce 14 avril 2023, Me Benages a informé que « la décision du référé est tombée, le tribunal n’a pas donné droit au recours du docteur Umlil de suspendre la décision de révocation au motif que la réintégration immédiate du Dr Umlil ferait peser un risque pour le bon fonctionnement du service public hospitalier. »

C’est une décision surprenante, que Maître Thomas Benages a commentée dans ce débriefing. Le Dr Umlil envisage d’ores et déjà de faire appel devant le Conseil d’État.

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/suspension-du-dr-umlil-le-tribunal-rejette-son-droit-au-recours

Vous avez dit « dictature » ? Vous avez dit Macron-Ceaucescu ?






La corruption d’Ursula von der Leyen






Un nouveau concert pour Macron

[Voir aussi :
Quelles actions résistantes mener en 2022 ? (ce qui vaut aussi probablement pour 2023)
et
Mettre fin à la dictature des ultra-riches grâce à la révolution non violente]







Exemple d’incurie politique avec le rappel de l’affaire du sang contaminé

[Source : afrik.com]

La France a transfusé l’Afrique avec du sang contaminé

Par  Habibou Bangré
Publié le 7 septembre 2004 à 20h09

Le scandale du sang contaminé français a éclaboussé l’Afrique. Selon le Dr Claude Samuel, qui a révélé l’affaire en France, les autorités françaises ont sciemment laissé exporter vers le Continent du sang infecté par le virus du VIH/sida. Interview.

Avec la collaboration de John Dossavi

Le scandale du sang contaminé ne s’est pas limité aux frontières de l’Hexagone. Dans les années 80 en France, des milliers de patients avaient été transfusés avec du sang qui était infecté par le virus du VIH/sida. C’est le Dr Claude Samuel qui avait révélé l’affaire. Ce qui lui a valu d’être radié à vie de l’ordre des chirurgiens dentistes et maintes fois menacé de mort pour avoir fait éclater le scandale en France et dans le monde. Aujourd’hui président fondateur de Dentistes sans frontières et de l’Association de défense des victimes de l’affaire du sang contaminé, il affirme que du sang contaminé a été sciemment envoyé en Afrique, surtout du Nord.

Afrik : Quels sont les pays africains où la France a exporté du sang contaminé ?

Claude Samuel : De part les informations dont je dispose, on peut dire que les exportations ont surtout concerné l’Afrique du Nord, comme la Tunisie, la Libye et peut-être l’Algérie. Pour ce qui est de la Tunisie, de hauts responsables du corps médical français et tunisiens savaient depuis longtemps que les concentrés (mélange d’extraits de sang de plusieurs milliers de donneurs) vendus à prix d’or pour soigner les hémophiles étaient contaminés.

Afrik : Du sang contaminé a-t-il été exporté en Afrique noire ?

Claude Samuel : C’est possible, mais je n’ai pas de preuves pour l’affirmer. En revanche, un professeur agrégé de médecine a déclaré lors d’une émission télévisée, il y a une dizaine d’années, que des expérimentations humaines étaient faites sur une partie de la population d’un hôpital de la République Démocratique du Congo. Selon lui, des équipes médicales sont venues injecter du sang infecté, peut-être pour étudier comment la maladie se développait chez l’être humain. Les expérimentations humaines sont une spécialité française. La France en a notamment fait pour l’hépatite C et pour la mise au point du vaccin contre l’hépatite B.

Afrik : Comment expliquer que certains pays africains aient eu besoin d’importer du sang ?

Claude Samuel : Ils importaient surtout des concentrés, un sang qui est très difficile à obtenir en raison des étapes d’extraction qui sont complexes. S’ils se sont retrouvés à en importer, c’est probablement parce qu’ils n’avaient pas les équipements nécessaires pour les fabriquer.

Afrik : Des familles de victimes de sang contaminé exporté ont-elles porté plainte ?

Claude Samuel : Plusieurs plaintes ont été déposées, mais jusqu’à présent, elles dorment. Nous invitons nos frères africains qui seraient concernés à nous contacter.

Afrik : Les autorités des pays concernés ont-elles réagi face à cet « empoisonnement » ?

Claude Samuel : Si les autorités ont découvert ce qui se passait, elles ont étouffé l’affaire pour ne pas nuire à leurs relations avec la France. Les hauts dirigeants africains n’étaient probablement pas au courant, mais de hauts conseillers médicaux étaient au courant. De hauts responsables de la Croix rouge et du Croissant rouge aussi étaient au courant, à l’inverse d’une partie du personnel qui traitaient les malades sur place.

Afrik : Comment des personnels de santé, sensés avoir pour unique préoccupation le bien-être de leurs patients, peuvent-ils les empoisonner ?

Claude Samuel : En France, des « blouses blanches » (personnel de santé, ndlr), et notamment avec le soutien de hauts conseillers ministériels, ont contaminé en pleine connaissance de cause et sciemment donc empoisonnés des patients français ou résidents ; alors pour des habitants d’un autre pays, pour des anciennes colonies… Il est impossible de savoir combien d’Africains en France, ou de passage en France, ont été contaminés par transfusion et, ne se doutant de rien, ont involontairement contaminés leur conjoint ou leur 2ème bureau (la maîtresse d’un homme, ndlr).

Afrik : Quand les exportations de sang contaminé de la France vers l’Afrique ont-elles cessé ?

Claude Samuel : Elles ont dû s’arrêter, espérons-le, au plus tard en 1987. Mais lorsque la distribution a été interdite en France, elle se poursuivait vers l’Afrique. Le sang représente une très importante manne. Pour en savoir plus il faut notamment interroger l’Association française des donneurs de sang bénévoles et la Fédération internationale des donneurs de sang bénévoles.

Afrik : La France est-elle la seule à avoir exporté du sang contaminé en Afrique ?

Claude Samuel : La France est un cas particulier, car en général ce sont des firmes pharmaceutiques qui fabriquent et vendent les dérivés du sang. Et certaines ont continué à exporter du sang qu’elles savaient contaminé par le VIH/sida.


[Voir aussi : https://www.linternaute.fr/actualite/guide-histoire/2653960-affaire-du-sang-contamine-resume-et-chiffres-du-scandale/]








France – La réforme approuvée par le Conseil constitutionnel ET MAINTENANT ????

Mise à jour :


https://twitter.com/avecrtfrance2/status/1646924577262428170?s=43






Opposition contrôlée et les nouveaux inquisiteurs

[Source : marcha3200]

Par Martina Charbonnel

Pour être honnête, il faut admettre que nous sommes nombreux à nous être posé la question de savoir si des leaders d’opposition étaient contrôlés par le pouvoir.

Il est parfois difficile de faire entendre notre voix au milieu des collabos médicaux affirmés, des syndicats complices et des opposants politiques qui regardent ailleurs quand des gens meurent des suites des injections à ARNm expérimentales.

À présent, il faut composer avec les résistants suspectés de faire partie de l’opposition contrôlée, mais aussi avec leurs Inquisiteurs, ce qui complique la tâche.

[Voir aussi :
L’opposition contrôlée, selon Stanislas Berton
Opposition contrôlée et infiltration : comment les reconnaître ?
L’illusion du choix et de la liberté — L’opposition contrôlée est un mouvement de protestation dirigé par des agents du gouvernement]

Concernant les dirigeants politiques et syndicaux, l’opposition contrôlée n’est pas un mythe. Elle n’est pas non plus désintéressée. Entre le lobbying de Big Pharma et la peur de perdre sa place dans la petite élite politique, les opposants à Macron se taisent à propos des scandales les plus criants.

Mais qu’en est-il de l’accusation de faire partie de l’opposition contrôlée lorsqu’elle désigne des résistants avec lesquels nous nous battons depuis trois ans ?

Oui, Maître Brusa et Maître Di Vizio ont montré leurs limites. Mais peut-on vraiment attendre que deux avocats portent sur leurs épaules notre soif de justice et de réparation pour tous les préjudices que nous subissons depuis trois ans ? À chacun de les suivre pour ce qu’ils apportent à notre réflexion commune en restant lucide lorsque que leurs prises positions semblent en contradiction avec celles qu’ils ont précédemment défendues.

Parmi les internautes pionniers dans cette résistance, certains ont des réactions évoquant un peu le « syndrome de Stalec ». Fin 2020, ce fan du Professeur Raoult était devenu une référence sur Twitter. Du jour au lendemain il a totalement retourné sa veste ce qui a suscité beaucoup d’interrogations. Prenant un nouveau pseudo, il s’est fait le promoteur du discours de la secte des Nofakemed remettant en cause toutes ses anciennes affirmations.

Quoique moins radicale, la polémique actuelle sur la présence ou l’absence de graphène dans les produits injectés prend un peu cette tournure. Cette polémique est inutile lorsqu’elle n’est pas portée par des experts munis de leurs microscopes et des études qui étaient leurs propos. Sinon, ça revient à un débat pour ou contre sur un sujet que nous ne maîtrisons pas.

Nous assistons désormais à des procès d’intention et une chasse aux sorcières supposées faire partie de l’opposition contrôlée. Ça ressemble à L’Inquisition ou encore des procès staliniens. Sous la Terreur, la guillotine envers les supposés traîtres aurait réglé la question des suspects..

J’ai reproché au Professeur Raoult d’avoir voulu réserver ce vaccin-poison aux plus âgés et aux plus fragiles. Très déçue, je n’ai pourtant pas parlé d’opposition contrôlée. Il était évident qu’il cherchait un compromis pour son maintien à l’IHU de Marseille ou pour la survie de l’IHU et de son équipe. On aime ou pas cette attitude, mais elle est humaine.

Dernièrement, j’ai vu s’amorcer une campagne de dénigrement d’Alexandra Henrion Caude après le succès de son livre : « Les apprentis sorciers ». Des rumeurs détestables allant fouiner dans ses tweets passés, des supposées raisons de suspicion. Alexandra a pris le risque de compromettre sa carrière et ruiner sa réputation auprès de ses pairs. Certains se font une joie de taper sur une consœur tant le milieu de la recherche est encore un peu trop sous la domination masculine.

Je regrette qu’Alexandra n’ait pas persévéré dans le fait d’affirmer que ces produits à ARNm ne sont pas des vaccins. C’est dommage, mais je ne la juge pas. Pourquoi des personnes aussi exposées depuis trois ans devraient-elles être les seules à prendre les coups (parfois bien pire que les coups) ?

Pourquoi vouloir que les personnes qui ont combattu avec dès le début de la guerre du Covid aient un CV limpide et « complotissement correct » ?

Il y a quelque chose de malsain à vouloir mettre en évidence leurs relations privées ou de les assimiler à un membre de leur famille. Fouiner jusqu’au nauséabond pour salir des personnes exemplaires me fait penser aux concierges qui sous l’Occupation épluchaient le courrier des locataires pour dénoncer ceux qui leur paraissaient suspects.

Martine Wonner était députée LREM. Si elle n’avait pas bougé, elle aurait pu confortablement se faire réélire en 2022. Par son engagement, elle a tout perdu : sa place de députée et le droit d’exercer sa profession de psychiatre pour refus de l’injection expérimentale. Elle a été poursuivie par l’Ordre des médecins pour ses prises de position en tant que députée.

Louis Fouché réunit toute la gauche contre lui. Il n’exerce plus la médecine, mais on lui prête encore des intentions inavouables. Il est l’homme à abattre. Pourquoi ?

Qui sommes-nous pour juger du passé, des liens d’amitié des gens qui combattent avec nous ? Lorsque l’on n’a même pas le dixième du courage de ces personnes qui s’engagent totalement, il n’y a aucun mérite à accuser, dénigrer, faire courir des rumeurs.

Il n’y a pas de profil type du héros. Du jour au lendemain, n’importe lequel d’entre nous peut devenir un héros ou un salaud. Les périodes de crise nous révèlent.

Un repenti de Pfizer démontrant le danger des injections peut être plus utile à notre cause que des gens qui sur Twitter se contentent d’accuser les opposants contrôlés.

Mais alors, l’opposition contrôlée n’existe pas ? Je penserais plutôt à une opposition autorisée. Autorisée par qui ? Dans quelles limites ?

Des pressions existent pour limiter les propos dangereux pour le pouvoir en place. Ceci signifie que les gouvernants permettent à une partie de la vérité d’émerger comme on laisse un filet de vapeur s’échapper d’une cocotte minute.

Un certain nombre de choses ne peuvent pas être dites notamment si elles sont prouvées et diffusées largement, car trop déstabilisantes pour le pouvoir. Il y a un point de bascule qui semble difficile à franchir : par exemple, la vérité sur nombre de victimes des injections, la véritable contenance des flacons), la contrainte de l’injection d’un produit en phase d’essai devenu « vaccin » par une pirouette sémantique. Si toute la population connaissait ces informations, elle exigerait la démission et le jugement des coupables. Les plans du Nouvel Ordre Mondial s’effondreraient, car les gens prendraient conscience des intentions criminelles de l’élite mondialiste.

Pourquoi les gens les plus en vue hésitent-ils parfois devant ce point de bascule ? L’autocensure nous permet d’intérioriser la censure des réseaux sociaux avec pour conséquence le risque d’autocontrôle de nos pensées. La peur d’être assimilés à des complotistes, antisémites ou fachos entretient la plus sournoise de la censure.

Si nous modérons nos propos sur les réseaux sociaux pour ne pas risquer la suspension de notre compte, comment ne pas comprendre la retenue partielle des personnes les plus exposées ? Il n’existe pas de sauveur providentiel. C’est à chacun de nous qu’il incombe de partager les informations que nous avons et de contribuer l’émergence de la vérité et de la justice.






Spectaculaire tribune anti covidiste dans Marianne : « Il est plus que temps de réintégrer les soignants non-vaccinés »

[Source : LLP]

Par Le Libre Penseur

Il faut le voir pour le croire, le lire pour en être persuadé. Que se passe-t-il dans les médias parisiens depuis quelques semaines ? La publication de cette tribune est une anomalie, surtout chez Marianne ou autres semblables ! Pourquoi ? Lisez-la immédiatement. C’est vraiment spectaculaire et très courageux. Nous en profitons pour féliciter leurs auteurs, messieurs Nicolas Védrines, kinésithérapeute, et le chercheur au CNRS, monsieur Frédéric Pierru. Les auteurs osent parler de « propagande » pro vaccinale de la part de militants qu’ils qualifient de « covidistes » ! Une première. Les mots sont très forts puisqu’il est question de qualifier également la loi du 5 août 2021 de loi inique qui n’est rien d’autre qu’un « chantage à la vie » et un « viol au consentement ». Ils ont également rappelé que l’interdiction de la téléconsultation du remplacement démontre que cette loi n’a rien de scientifique, qu’elle est idéologique.

Les auteurs de la tribune reviennent aussi sur les lourdes contradictions autour de la Doxa Covid-19 comme, par exemple, l’absence de vaccination des professionnels de santé concernant la 4e dose, ce qui les met exactement au même statut que les non-vaccinés. Et sur la négation de l’immunité naturelle qui est un non-sens scientifique, une véritable hérésie. Ils reviennent sur la gravité des effets indésirables chez des tranches d’âge non concernées par le Covid-19. Ils reprennent encore la position intenable de l’Académie de Médecine qui ne veut pas revenir sur l’obligation vaccinale alors que la planète entière l’a fait, cela n’est rien d’autre qu’un extrémisme dogmatique dangereux aucunement scientifique.

Reste à savoir comment cette tribune sera reçue par la secte covidiste qui n’hésitera pas à traiter ses auteurs de « complotistes », « antivax » bla bla bla, ne répondant jamais sur le fond avec des arguments, mais pratiquant toutes les stratégies les plus abjectes, les plus indignes pour discréditer l’adversaire.


Dans une tribune, le kinésithérapeute Nicolas Védrines et le sociologue spécialiste des questions de santé (CNRS-Arènes) Frédéric Pierru défendent la réintégration des soignants non vaccinés et s’insurgent contre « le caractère inique de la loi du 5 août 2021 » contraire au droit et pouvant mener à des drames.

L’obligation vaccinale contre le Covid-19 des professionnels de santé ne peut se justifier ni par le peu d’ampleur résiduelle de l’épidémie sur une population largement immunisée, ni par l’efficacité vaccinale aujourd’hui incertaine, marginale et éphémère sur l’infection et plus encore sur la transmission. Il s’agit d’un consensus scientifique admis au niveau mondial. La Haute Autorité de Santé (HAS) a donc publié le jeudi 30 mars 2023 un avis favorable à la réintégration des suspendus : l’État devra réintégrer les suspendus. Cependant, afin de pouvoir rétablir cette obligation, il n’abrogera certainement pas cette loi. Alors, n’oublions pas la grave disproportion des mesures liées à la loi du 5 août 2021, coûteuse tant pour les suspendus (parmi lesquels nous déplorons même des suicides) que pour notre système de soin et pour la société dans son ensemble, avec des défauts de prise en charge et des décès. Une récente proposition de loi préconise d’abroger cette obligation vaccinale ; il faut donc espérer son adoption pour en finir avec le risque d’un retour de telles suspensions.

L’avis favorable de la HAS a suscité une violente campagne d’injures, relayée par quelques militants connus pour leurs positions « covidistes » (pro-confinement, pro-zéro covid, pro-masque pour les enfants…). Ces attaques malveillantes font suite à une longue dynamique de propagande pro-vaccinale, où les institutions ont, par stratégie, stigmatisé les suspendus en leur donnant une figure démoniaque. « Antivax », « complotiste », « antiscience », « d’extrême droite », « d’extrême gauche » : par une inversion accusatoire, cette violence des mots cache le caractère inique de la loi du 5 août 2021 allant à l’encontre des règles fondamentales du droit de la fonction publique et du droit social français, menant à une mort professionnelle, économique et sociale, et à des drames. Cette obligation correspond à un chantage à la vie, menant à un viol d’un consentement. Y céder ne saurait être exemplaire, cela ne peut mener à un changement de convictions et entraîne au contraire une perte de motivation professionnelle.

Ceux qui y ont résisté ont manifesté force et droiture (refusant par exemple de faire des faux malgré, certainement, des possibilités). Ces professionnels avaient proposé des alternatives scientifiquement fiables selon les autorités, telles que le masque FFP2 ou le dépistage (protocole réaliste puisqu’utilisé en septembre 2021), alors que la loi du 5 août, interdisant le télétravail ou la possibilité d’être remplacé, illustre clairement qu’il ne s’agit plus de science ou de santé, mais de soumission. Redisons ici la violence de cette loi ne permettant ni chômage, ni indemnités de congé, ni toute autre indemnité, ni arrêt de travail, ni un autre travail, ni une aide à la reconversion… un piège irrespectueux et cruel.

UNE LOI INDÉFENDABLE

Pourtant, cette loi concerne des professionnels dévoués à l’aide envers autrui, et ils l’ont été, en première ligne au printemps 2020 face à un virus inconnu. Si le système sanitaire explose aujourd’hui, ces professionnels ont travaillé dans un milieu où pèse un manque de moyens humains et financiers depuis des années ; le manque d’attractivité est connu et ancien. Le ras-le-bol d’une déshumanisation, aggravée par une telle obligation, n’arrange rien. La population s’en offusque. Et on comprendra que cette loi fasse fuir de potentiels étudiants en école de soins infirmiers.

Si les professionnels de santé sont plus vaccinés que la population générale, concernant le Covid, certains veulent respecter les usages habituels de la science, à savoir un retour sur l’efficacité et la toxicité sur le long terme. C’est la première fois que l’on rend obligatoire un vaccin en phase 3, en AMM conditionnelle. Et c’est la première fois que l’on développe un vaccin ARNm, qui plus est pour un type de virus ayant jusqu’ici toujours fait échec à la vaccination. Concernant les risques, ces professionnels ont compris dès 2020 qu’ils n’étaient que peu ou pas concernés par les risques du Covid, la médiane des décès en 2020 étant de 85 ans.

Ils ont pu constater depuis fin 2021 et Omicron que le vaccin n’est pas efficace contre l’infection, et que les risques du Covid sont encore plus faibles qu’avant. Ils ont pu remarquer que les jeunes sont concernés par des risques d’effet secondaire du vaccin comme les myopéricardites, ou le dérèglement des menstruations (signal en cours d’analyse). Le doute est aussi compréhensible compte tenu des nombreux scandales sanitaires en lien avec l’industrie pharmaceutique, malgré les autorités de contrôle.

Enfin, cette loi a été associée à de nombreux discrédits scientifiques. Ceux qui bénéficiaient d’une immunité post-infection ont été injustement discriminés, puisque celle-ci est aussi voire davantage protectrice que la vaccination (constat habituel dans les autres maladies). De plus, alors qu’il était martelé « une infection = une injection », trois certificats de rétablissement n’équivalent pas à un schéma vaccinal complet, car l’objectif n’est pas l’immunité, mais de vacciner, ce qui tient du dogme. Aussi ces professionnels non contagieux ont-ils pu constater que des collègues positifs pouvaient travailler : quel bel esprit scientifique ! On a aussi eu des étrangers non soumis à l’obligation qui ont pu venir travailler en France ! Et alors que le vaccin bivalent est disponible depuis octobre 2022, seuls 14 % des soignants avaient reçu cette quatrième dose au 13 mars 2023. Plus de 86 % ayant une vaccination datant de plus de trois mois, leur risque d’infection n’est pas inférieur à celui des suspendus. Or, on ne traite pas ces soignants d’« anti-vax »…

UNE OBLIGATION VACCINALE NI SCIENTIFIQUE NI ÉTHIQUE

S’ajoutent à tout cela les discrédits politiques. La santé publique ne peut être ni martyrologie, ni un dogme intangible, ni une affaire de calculs politiciens. Par exemple, que penser de l’obstruction éhontée par le parti présidentiel faite à la proposition de loi de Madame Fiat visant à la réintégration des suspendus ? Est-ce là également une notion d’exemplarité ?

De plus, il n’est ni scientifique ni éthique de dire qu’un problème ne devrait pas être évalué, car il concernerait peu de personnes. Ces professionnels qui aiment leur travail voulaient aider leurs collègues, surchargés, parfois ne pouvant plus soigner. Si toute aide est essentielle, car utile, ne pas vouloir lutter contre une seule discrimination est un fait grave. Cela correspond à un extrémisme dangereux.

Selon l’Académie de médecine, « Il n’y a aucune raison d’arrêter l’obligation vaccinale » : ce grave déni explique que la France soit le dernier pays au monde à maintenir cette obligation. Ces propos ressemblent à un dogme menant les autorités sanitaires à une perte de crédibilité. De manière pédante, ce pseudo-consensus serait supérieur à la HAS et aux autres autorités des pays du monde entier… Et selon les « covidistes », ces dernières seraient toutes d’extrême droite ou d’extrême gauche. Quel esprit complotiste !

LIBERTÉ MENACÉE

La science est parfois biaisée. Mais de nombreux réseaux scientistes sont remplis de certitudes : tout avis divergent est une hérésie. Cela permet d’éviter toute critique, tout débat… ce qui est le contraire de la science. Concernant l’hygiénisme actuel ambiant, il néglige toute approche basée sur la santé publique globale, sur le coût et l’intérêt bio-psycho-social pour la société. On en arrive à des soignants déshumanisés, transformés en objets dociles, dépouillés de leur conscience, de leur libre arbitre et de leur responsabilité…

Enfin, avec une condamnation morale, c’est notre liberté à tous qui est menacée. Si nous ne revenons pas sur cette forfaiture, à qui le tour ? Les obèses ? Les non-sportifs ? L’avocat François Sureau alerte depuis des années sur une inquiétante dérive vers la « démocrature ». Afin de revenir à une confraternité et une solidarité vertueuse et non violente,cette loi du 5 août 2021 doit être abrogée.






La liberté d’expression selon Musk vs selon la BBC






France — Hospitalisation des personnes âgées : a-t-on trié les patients cet hiver ? 52 % de décès en plus en EHPAD ! Effet de la 5e dose (et plus) ?

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Au pire moment de la crise Covid 2020 on comptait trois décès en hôpital pour un en EHPAD, au début de cette année on comptait deux décès en hôpital pour un en EHPAD. Que s’est-il passé ?

Les derniers chiffres de l’INSEE interpellent. Les Français meurent majoritairement chez eux et surtout dans l’EHPAD qui les héberge. Ainsi le 27 mars dernier 70 Français sont décédés en hôpital ou clinique (-21 % en un an) contre 34 en EHPAD (+52,6 %) et 45 à domicile (+5 %).

Cette explosion des décès en EHPAD intervient à partir de décembre 2022 ; le ratio était traditionnellement de 4,5 décès en hôpital ou clinique pour un décès en EHPAD, le ratio est tombé à 2… Il se passe quelque chose !

Merci à @felicittina

En calculant le rapport entre décès des hôpitaux et ceux des établissements pour personnes âgées, on constate une anomalie qui commence dès décembre. Bien plus importante que celles déjà connues pour les confinements de 2020. Pourquoi dès décembre ? … /…

… On pouvait penser à un changement de mode de décompte en 2023, mais alors pourquoi cette anomalie commence-t-elle à se manifester début décembre 2022 pour s’amplifier à compter du 17 décembre ? Le mystère s’épaissit…

Quelques possibilités :

  • une erreur de l’INSEE
  • Une surmortalité dans les EHPAD, seuls lieux en France où l’on injecte encore les produits Covid. En France, la mortalité globale reculerait au rythme de la chute des injections.
  • Un tri pire qu’en 2020

Malheureusement, le délai entre deux injections est de 3 mois pour les personnes de 80 ans et plus, et pour les résidents en EHPAD 

La cinquième dose est la règle…

Bonne nouvelle, pour les autres Français, plus on s’éloigne des piqûres, plus la mortalité redevient normale…

https://www.pour-les-personnes-agees.gouv.fr/actualites/lancement-dune-nouvelle-campagne-de-vaccination-contre-la-covid-19






L’essai Pfizer se serait-il très mal passé pour 301 cobayes mystérieusement… disparus ? On en apprend toujours plus sur le scandale du siècle

[Source : pgibertie.com via openvaet-substack-com]

Par JOSH GUETZKOW

111 disparus rien qu’en Argentine — le sujet #12312982 nous montre pourquoi il est peu probable que ce soit « juste une erreur ».

Introduction

Le logiciel qui a attribué les numéros d’identification des sujets pour l’essai clinique Pfizer/BioNTech génère des numéros d’identification séquentiels, qui sont attribués aux volontaires lorsqu’ils sont sélectionnés pour être inclus dans l’étude. Nous avons trouvé 301 « lacunes » dans les numéros d’identification des sujets (numéros manquants là où il devrait y en avoir un), et dans plus de quelques cas, plusieurs numéros d’identification séquentiels consécutifs sont manquants.

Ci-dessous, nous commençons notre enquête approfondie sur cette anomalie en examinant comment le logiciel supervisant l’essai fonctionnait lorsqu’un nouveau sujet était inscrit (« L’inscription » était l’étape précédant le dépistage, où le sujet était inscrit par le site d’essai, après le rendez-vous de dépistage avait été coordonné par le sous-traitant de Pfizer, ICON).1

Ensuite, nous soulignons pourquoi la compréhension de ce détail insignifiant est importante pour établir un problème des plus préoccupants : les données de nombreux sujets inscrits à l’essai semblent manquer et peuvent avoir été supprimées.

Nous sommes allés en profondeur pour vérifier si l’erreur que nous soulignons était techniquement faisable et si elle pouvait avoir une explication innocente.

Nous devons remercier Christine Cotton2, biostatisticienne et parmi les premières à dénoncer l’essai, pour le temps considérable qu’elle a consacré à passer en revue ces préoccupations avec nous et à nous aider à garantir l’exactitude des données présentées ci-dessous.

Inscription d’un sujet

ICON a « présélectionné » les sujets d’essai potentiels avant qu’ils ne se présentent sur un site d’essai physique3, en saisissant des données de base telles que l’âge, la race, le poids et la taille, etc. Plus tard dans l’essai, des volontaires pourraient également être recrutés sur les sites d’essai.

Lorsqu’un sujet était inscrit, le logiciel ICON (« Firecrest », une interface synchronisée par une base de données centrale alimentée par Oracle4) a attribué à ce sujet un identifiant de sujet unique et, surtout, dans les fichiers. XPT :

  • Les 4 premiers chiffres désignaient l’identifiant du site d’essai et étaient toujours les mêmes pour tous les sujets de ce même site. (Dans certains cas, les sujets se sont déplacés entre les sites d’essai au cours de l’étude, de sorte que l’identifiant unique complet du sujet a fourni des informations sur le site « actuel » et « d’origine ».)
  • Les 4 derniers chiffres désignaient l’ordre d’enregistrement, commençant à 1001. Le sujet suivant enregistré sur un site d’essai donné était alors numéroté 1002, puis 1003, etc.

Entouré en bleu est « l’identifiant de l’étude » (toujours C4591001), encerclé en vert est l’identifiant du site actuel (ici, 1016). Encerclé en jaune est le site d’enregistrement d’origine. Encerclé en rouge est l’identifiant de sujet supplémentaire pour ce site donné.

Vous pouvez vérifier ce phénomène dans cet « extrait d’une page » d’un export de randomisation soumis à la FDA.5

Des erreurs humaines auraient pu se produire ici et là (par exemple, l’investigateur initiant d’une manière ou d’une autre un nouveau sujet deux fois sur une seule personne en cours de dépistage).

Ces erreurs exceptionnelles pourraient alors être rectifiées, soit par demande directe au « gestionnaire de données » (ICON), soit directement par un chercheur principal sur place, qui aurait probablement eu des « privilèges d’administration de données » suffisants qui lui auraient été délégués par le gestionnaire de données.

Une façon plus courante de traiter de tels problèmes aurait été, sur place, de définir le sujet comme « Échec de l’écran » — bien qu’il existe d’autres raisons pour lesquelles les sujets ont échoué à l’examen. Les fichiers de données XPT au niveau du sujet publiés dans le vidage de données de Pfizer incluent 1 295 sujets marqués comme « échecs d’écran ». Il s’agissait de personnes qui ont finalement échoué au dépistage pour une raison ou une autre, même si la plupart avaient vraisemblablement été présélectionnées par ICON.

Sujets disparus

Lorsque nous examinons tous les sujets inscrits à l’essai Pfizer/BioNTech pour les 3 phases âgés de 12 ans et plus, nous nous attendrions alors à ce que les numéros d’identification des sujets soient séquentiels au sein de chaque site. Ainsi, pour chaque site, les numéros d’identification doivent commencer à 1001 et continuer de manière séquentielle (1002, 1003, 1004… etc.). Il ne devrait pas y avoir de lacunes. Mais il y a ! Il y a 301 identifiants de sujet manquants, en supposant que chaque site a commencé à recruter à 1001 jusqu’au dernier identifiant de sujet enregistré sur le site.

Alors, naturellement, nous devons nous demander pourquoi ces identifiants de sujet sont manquants ? Était-ce en quelque sorte le résultat d’une erreur humaine ou informatique, ou est-ce une indication que ces sujets et leurs données ont été supprimés de l’étude pour une raison quelconque ? Quelques numéros d’identification manquants isolés pourraient être attribués à une erreur humaine ou informatique, mais il n’y a aucune raison pour que cela se produise comme ils le font « par erreur », bien qu’en théorie, cela soit possible et si quelqu’un a un innocent explication nous aimerions l’entendre.

Mais certains aspects de ces numéros manquants nous font suspecter une suppression intentionnelle. Pour commencer, si cela était simplement dû à une erreur, nous nous attendrions à ce que la numérotation des sujets saute un sujet à la fois ici et là. Et cela se produit dans de nombreux cas, mais dans d’autres, les chiffres « sautent » par incréments plus importants.

Pour être plus précis, il y a 202 sauts simples dans les données, 22 fois où deux ID d’affilée ont été ignorés, cinq fois où 3 ont été ignorés, deux fois où 4 ont été ignorés, trois fois où 5 ont été ignorés et une fois chacun où 8 et 9 numéros d’identification consécutifs sont manquants.

Pour donner un sens à ce modèle d’identifiants de sujet ignorés, nous devons croire que :

  1. Un ordinateur qui se comportait très mal a décidé de sauter soudainement plusieurs numéros ici et là pour faire le décompte tout seul.
  2. Ou certains êtres humains très mal comportés ont supprimé des données.

Nous croyons que les preuves et la logique pointent vers la deuxième hypothèse, mais nous sommes ouverts à d’autres explications.

Ces décalages plutôt anormaux sont illustrés dans les captures d’écran ci-dessous. Les plus anormaux se trouvent sur le tristement célèbre site 1231 avec ses site 1231 « données parfaites » (autoproclamées par le chercheur principal).

Comment parfait ? Il y a 111 identifiants de sujets manquants sur le site 1231 (dont 11 sur le pseudo-site 4444). Le site 1231 comptait 5 896 sujets, soit 12,4 % des sujets de l’essai, mais 36,9 % de tous les identifiants de sujets ignorés. Une autre façon de voir les choses est que, si nous ajoutons les identifiants manquants au nombre total de sujets, il manque 1,8 % des identifiants de sujets en Argentine, contre 0,45 % des sites restants. En d’autres termes, le taux de sujets manquants en Argentine est 4 fois supérieur au taux de tous les autres sites réunis. (Évidemment, cette différence est statistiquement très significative.)

Sujets disparus

L’IP du site — Fernando Polack — a fini par devenir l’auteur principal de « l’étude du siècle » du NEJM — le visage public de cette gigantesque fraude — grâce à son degré exceptionnel de compétence médicale en matière de corruption,

Augusto Roux6, participant à ce procès blessé et incendié par Fernando Polack, s’est rendu trop visible pour être « juste réprimé » et a eu le mauvais goût de survivre à ses blessures. Il nous a fourni des informations importantes sur la manière dont les choses étaient (mal) gérées sur le site argentin.7

Pourquoi l’histoire d’Augusto Roux est-elle si importante ici ?

Eh bien, comme on peut le voir dans la capture d’écran du milieu ci-dessus, 17 sujets ont « disparu » en une seule journée, le 21 août 2020. C’est de loin le plus grand nombre d’ID de sujet manquants sur n’importe quel site et n’importe quel jour. C’est aussi le même jour qu’Augusto Roux a été projeté.

Étant donné que presque tous les sujets sur le site d’Argentine ont reçu leur première dose le jour même du dépistage (s’ils ont réussi le dépistage), tous les sujets ayant reçu la première dose ce jour-là auraient été programmés pour recevoir leur deuxième dose trois semaines plus tard, le à la même date qu’Augusto a reçu le sien, ce qui lui a causé un préjudice important — peut-être en raison d’un mauvais lot.

Augusto Roux a survécu et n’a pas été effacé de l’étude. Y en a-t-il eu d’autres, moins chanceux, qui ont été complètement effacés des procès-verbaux ? Ou effacé pour dissimuler un problème ? C’est possible. Et il ne serait pas exagéré de penser que quelque chose a pu mal tourner et affecter 17 sujets le même jour, voire 9 d’affilée. Une autre anomalie majeure s’est produite sur le site argentin deux jours plus tard, le 23 août : 52 sujets ont reçu ce jour-là des doses plus importantes en raison d’une erreur de préparation et ont ensuite été levés en aveugle une semaine plus tard, le 31 août. Dans l’ensemble de données d’écart de protocole8, la raison donnée est « Erreur de dosage/d’administration, le sujet n’a pas reçu la bonne dose de vaccin. » Dans d’autres dossiers, d’autres raisons sont données, mais elles sont toutes liées au produit. Nous savons d’après les dossiers de l’essai que 31 d’entre eux n’ont pas reçu la deuxième dose, et sur les 23 qui l’ont fait, quatre d’entre eux ont eu des événements indésirables importants enregistrés au cours de la période de suivi après la deuxième dose. Nous savons donc qu’il y a eu un problème sur ce site qui a provoqué la levée de l’aveugle de 52 sujets consécutifs, ce qui est une erreur majeure et très anormale. Nous savons également que les effets secondaires d’Augusto Roux ont été étrangement redéfinis (c’est-à-dire masqués).9

À la lumière de tout cela, il est raisonnable d’être méfiant quand on voit cette énorme anomalie de tant de sujets manquants le jour même où Augusto a reçu sa première dose.

Le tableau complet de 48 392 sujets (48 091 identifiants de sujets qui sont restés et les 301 sujets « simplement supprimés ») peut être consulté (trié par site et identifiant de sujet) sur la feuille de calcul Google suivante (avec leurs dates de randomisation et leur bras de traitement, quand disponible).10

Notez qu’il pourrait très bien y avoir plus de sujets qui ont « disparu » (si par exemple le dernier sujet d’un site est 1198, mais que 1199 et 1200 ont été supprimés, nous n’aurions aucun moyen de le savoir à ce stade).

Comment les sujets pourraient-ils être effacés ?

On peut penser à 3 manières dont ces sujets auraient pu être effacés :

  1. Directement dans la base de données supervisant l’essai

Quelqu’un avec des informations d’identification de base de données (serveur, port, identifiant, mot de passe) pourrait avoir obtenu l’accès, avec ou sans le consentement d’ICON. Avoir un tel accès aurait permis la modification de toutes les données de l’essai (résultats des tests, modification ou effacement des données des sujets, etc.) directement dans la base de données.

  1. Lors de l’exportation de l’instantané

De la même manière, mais en laissant les « données source brutes inchangées », les exportations de fichiers de données. XPT ou les « instantanés » auraient pu être modifiés, afin de correspondre à un « résultat prédéterminé ». Cela serait plus facile à détecter avec un audit de la « base de données centrale » qu’avec la méthode 1, mais aucun audit de ce type n’a jamais été réalisé à notre connaissance.

  1. Via une demande du site d’essai au sponsor de l’étude

Vous trouverez ci-dessous une capture d’écran d’une demande (expurgée) adressée à Pfizer pour supprimer un numéro d’identification de sujet provenant d’un site d’essai, qui nous a été fourni par le dénonciateur de Pfizer, Brook Jackson. Ceci est tiré de l’étude de rappel, C4591031. À notre connaissance, cette demande a été acceptée. La raison donnée est : « Le statut SSID a été mis à jour sur SF [Screen Failure], mais aucun sujet n’est associé à ce numéro de sujet. » On ne sait pas comment cela a pu se produire. Il est également possible que ce soit une excuse utilisée pour supprimer un sujet avec des données problématiques. Nous ne savons pas. Nous ne savons pas non plus si le SSID aurait été réutilisé en étant attribué à un autre sujet. Mais ceci est un exemple du type d’erreur qui pourrait produire une poignée de suppressions isolées et uniformément réparties.

  1. Via le logiciel de gestion

Le chercheur principal sur place aurait pu se voir déléguer des « privilèges élevés » lui permettant de supprimer des symptômes ou des ensembles entiers de données sur le sujet. Si de tels privilèges avaient été accordés par ICON aux employés de Pfizer ou aux PI du site, les seuls endroits où nous pourrions trouver des preuves des modifications seraient les journaux de la base de données et la piste d’audit accessible via le logiciel de gestion. Cela constitue, à notre avis, l’hypothèse la plus probable, surtout au vu du grand nombre de suppressions en Argentine.

Sites d’essai où les sujets ont disparu

La plupart des identifiants de sujet ignorés sont parsemés ici et là individuellement, et seuls 10 sites d’essai en ont plus de 4 :

  • 9 sujets au site 1005 avec 442 sujets au total, Rochester Clinical Research, Inc. (Rochester, New York, États-Unis), chercheur principal Matthew Davis.
  • 5 sujets au site 1039 avec 334 sujets au total, Arc Clinical Research à Wilson Parke (Austin, Texas, USA), dirigé par Gretchen Crook
  • 5 sujets au site 1090 avec 561 sujets au total, M3 Wake Research, Inc (Raleigh, Caroline du Nord, États-Unis), dirigé par Lisa Cohen
  • 6 sujets au site 1109 avec 557 sujets au total, DeLand Clinical Research Unit (DeLand, Floride, États-Unis), dirigée par Bruce Rankin
  • 6 sujets sur le site 1142 avec 390 sujets au total, University of Texas Medical Branch (Galveston, Texas, USA), dirigé par Richard Rupp
  • 5 sujets au site 1146 avec 395 sujets au total, Amici Clinical Research (Rajitan, New York, USA)
  • 8 sujets au site 1147 avec 340 sujets au total, Ochsner Clinic Foundation (Nouvelle-Orléans, Louisiane, États-Unis), dirigée par Julia Garcia-Diaz
  • 5 sujets au site 1166 avec 107 sujets au total, Rapid Medical Research, Inc. (Cleveland, Ohio, USA), dirigé par Mary Beth Manning
  • 5 sujets au site 1170 avec 496 sujets au total, North Texas Infectious Deseases Consultants, PA (Dallas, Texas, USA), dirigé par Mezgebe Berhe
  • 111 sujets (100 sujets au site 1231 avec 4585 sujets au total et 11 au site 4444 avec 1311 sujets au total), Hospital Militar Central (Caba, Argentine), dirigé par Fernando Polack (100 subjects

De telles anomalies devraient se produire extrêmement rarement, voire pas du tout. Et, si le problème était dû à une erreur, nous nous attendrions à une répartition assez uniforme ou entre les sites. Mais ici, nous voyons 55 % des suppressions sur 10 sites où seulement 20 % environ de tous les sujets de l’essai étaient inscrits. Et comme nous l’avons vu précédemment, 37 % de tous les sujets supprimés se trouvaient sur un seul site [Argentine] qui n’a recruté que 12 % des sujets de l’essai. La probabilité que de telles suppressions disproportionnées se produisent par hasard est extrêmement faible, bien inférieure à 1 sur un million.

Le code utilisé pour générer cette première analyse est accessible sur GitHub on GitHub..

Mais attendez, il y a plus !

Un document PDF obtenu via FOI [ASK-99541] auprès de l’Agence Européenne du Médicament [EMA], étiqueté « c4591001-interim-mth6-investigators.pdf », et créé par Pfizer à partir d’un extrait daté du 29 mars 2021, propose un autre très intéressant aperçu du recrutement et de la randomisation par siteA PDF11. Un exemple de page est présenté ci-dessous.

Nous avons comparé les sujets dépistés & randomisés, par sites, selon le fichier ADSL [Subject level data12] par rapport à ces « valeurs attendues ». Les résultats sont accessibles dans la feuille de calcul Google suivante).13

Comme illustré dans le bref échantillon ci-dessus (axé sur les compensations de filtrage), il existe souvent des écarts entre les totaux par site, selon ces données, et les totaux reflétés par le fichier ADSL actuel.

Le total des sujets est très proche (48 092 documentés dans ce PDF vs 48 091 dans le fichier ADSL. Mais peu importe si on teste par site d’origine du sujet [offset de 61]si on teste par site actuel, des différences importantes sont observées entre les sites entre les valeurs de dépistage attendues et observées [par décalages absolus].

Les décalages de randomisation sont encore plus importants, mais secondaires par rapport au problème actuel des « sujets disparus » — et ils seront explorés plus en détail dans un prochain article.

Cela constitue une preuve supplémentaire — à partir des propres extraits des sponsors — que le nombre de sujets a été manipulé.

Le code utilisé pour générer cette dernière analyse est accessible sur GitHub on GitHub..

Ces différents éléments nous conduisent à la conclusion qu’il est urgent que les pistes d’audit — contenant la documentation des opérations d’exportation utilisées pour créer ces fichiers — soient publiées et que des mesures légales soient prises pour sécuriser et enquêter sur les données du serveur de base de données. Nous avons envoyé à la FDA une enquête demandant une explication de ces anomalies et avons reçu une notification indiquant qu’ils allaient l’examiner, mais nous n’avons encore rien entendu. Nous mettrons à jour si nous le faisons.







Campagne d’Emmanuel Macron : McKinsey la main dans le sac ?

[Source : bvoltaire.fr]

Par Clémence de Longraye

Énième rebondissement dans le feuilleton McKinsey. Cinq mois après l’ouverture de deux informations judiciaires pour soupçons de financement illégal des campagnes électorales d’Emmanuel Macron et favoritisme présumé, une enquête journalistique menée par la cellule investigation de Radio France vient apporter de nouveaux éléments. Sur fond de témoignages, les journalistes du service public révèlent que des consultants du désormais célèbre cabinet de conseil auraient participé de façon « active », si ce n’est « intrusive », à la campagne d’Emmanuel Macron. Et ce, sans facturer la moindre prestation.

Le bénévolat de McKinsey

Cinq mois d’enquête et les perquisitions s’enchaînent. Le 22 mars dernier, la police a perquisitionné le domicile de Clarisse Magnin-Mallez, directrice associée senior et directrice générale de McKinsey France, et celui d’un ancien collaborateur du chef de l’État. Après les révélations du rapport sénatorial de mars 2022 sur l’influence croissante des cabinets de conseil sur les politiques publiques, la Justice cherche à savoir si des consultants de McKinsey n’auraient pas fourni gratuitement des prestations qui auraient, en réalité, dû être comptabilisées dans les comptes de campagnes d’En marche ! Les enquêteurs vérifient également si, en échange de ce « bénévolat », le cabinet n’aurait pas, par la suite, bénéficié d’un certain favoritisme de la part du gouvernement dans l’attribution des marchés publics.

Il faut dire que les liens entre McKinsey et les campagnes d’Emmanuel Macron sont étroits, sinon troubles. Dès 2016, d’après un témoignage recueilli par Radio France, une dizaine de consultants viennent grossir les équipes du candidat. « On essayait d’avoir le moins d’interactions possible avec eux, explique à nos confrères un ancien conseiller du Président. Mais certains étaient très intrusifs. » Ces nouveaux arrivants « brillants », « au cerveau ultra-rapide », sont vite préférés par le candidat Macron et réalisent alors diverses prestations. Karim Tadjeddine, alors directeur associé senior de McKinsey, aidé de deux autres consultants, participe ainsi au lancement de la plate-forme Au service de tous qui se voulait être un site de recueil des doléances des citoyens. Son collègue, Guillaume de Ranieri, directeur associé du cabinet en charge du secteur aérospatial et défense, produit, de son côté, une note « Projet défense et sécurité » pour les équipes du candidat. Toutes ces prestations qui auraient pu être facturées plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été réalisées à titre individuel et bénévole.

Une zone grise

Mais c’est là que le bât blesse. Où est la frontière entre une prestation professionnelle de conseil et un travail bénévole individuel ? Devant les sénateurs, en janvier 2022, Karim Tadjeddine est formel : McKinsey « ne sert pas les partis ou les personnalités publiques ; ses statuts l’interdisent » (page 164 du rapport). Cependant, à y regarder de plus près, la réalité semble plus difficile à décrypter. La note produite par Guillaume de Ranieri, par exemple, a demandé un important investissement : diagnostic de « la Grande Marche », benchmark des positions des autres candidats, positionnement d’Emmanuel Macron, premiers éléments d’orientation… Le résultat final s’apparente en tous points à un « livrable » digne d’un cabinet de conseil. Une analyse partagée par une ancienne consultante interrogée par Radio France pour qui cette note adopte « vraiment la charte graphique de McKinsey et leur genre de typographie ». Or, le Code électoral interdit formellement aux entreprises de participer à une campagne électorale.

À cela s’ajoute la question des horaires. Si certains assurent avoir travaillé pour Emmanuel Macron seulement pendant leur temps libre (soirée et week-ends), d’autres témoignages indiquent que des consultants auraient également participé à des réunions « en journée ». Et, il y a enfin la question des adresses mail professionnelles utilisées par certains membres de McKinsey. Une « erreur », concède Karim Tadjeddine, mais qui pourrait peser dans la balance lors de l’enquête. La Justice devra ensuite déterminer s’il y a eu favoritisme et recel de favoritisme en faveur de McKinsey, dont certains consultants ont obtenu des postes au sein du parti présidentiel ou du gouvernement après l’élection d’Emmanuel Macron.






Les Français, ces sans-papiers de l’intérieur

[Source : bvoltaire.fr]

Par Gabrielle Cluzel

C’est Denis Payre qui a jeté le pavé dans la mare sur Twitter, il y a deux jours : « J’ai besoin de refaire une carte d’identité, un acte régalien élémentaire, et je ne parviens pas à trouver de rendez-vous à 60 kilomètres autour du centre de Paris d’ici le 20 juin… en payant les impôts les plus élevés au monde… où va l’argent ? » Ce tweet, liké 3 740 fois, retweeté 1 171 fois, a fait l’objet de près de 900 commentaires.

Car la situation est la même dans toute la France. Grande métropole ou petite ville rurale. Refaire une CNI ou un passeport est devenu un parcours du combattant, une course d’endurance comprenant deux épreuves : d’abord décrocher un rendez-vous en mairie, puis attendre la fabrication par la préfecture. Sur la plupart des sites municipaux, le premier créneau est disponible dans trois mois. Rappelons que les papiers d’identité à jour ne sont pas simplement nécessaires pour les touristes souhaitant aller à l’étranger, ils sont également indispensables pour les candidats aux examens.

Si ce goulot d’étranglement était récent, les Français pourraient éventuellement prendre leur mal en patience. Mais « l’allongement vertigineux des délais d’obtention », selon l’expression de 20 Minutes, dure depuis… 2021.

Déjà en octobre 2021, Capital titrait : « Les délais pour refaire ses papiers d’identité explosent. » La faute au Covid, à l’interruption des services publics pendant le confinement et à la suspension des voyages. Une fois les restrictions levées, la demande avait été trop forte pour être absorbée. Sauf que nous sommes en 2023 et rien n’est réglé. Une défaillance conjoncturelle des services publics est devenue structurelle.

En mai dernier, Gabriel Attal avait reconnu que les délais d’attente pouvaient dépasser 100 jours dans certains départements, contre 20 habituellement. En janvier, le ministre délégué aux Collectivités Dominique Faure avait annoncé en fanfare 500 nouveaux guichets et 20 millions d’euros. Sans résultats probants. Les rendez-vous sont toujours distribués sur Internet au compte-gouttes, les horaires d’ouverture des services dédiés dans les mairies n’ont pas été élargis. Sans doute veut-on éviter que les fonctionnaires municipaux se surmènent.

Sur le modèle de Vite ma dose, le site Vite mon passeport — à quand « Vite mon médecin », puisqu’à chaque pénurie correspond un site dédié — permet d’essayer de trouver à l’arrache un rendez-vous… souvent à l’autre bout de la France dans un délai de quelques heures. Quand on s’est organisé, il a déjà disparu.

La France aime tellement les sans-papiers qu’elle s’emploie à en générer chaque jour parmi ses propres ressortissants. Nos frontières sont béantes, mais à sens unique : on rentre chez nous comme dans un moulin ; en revanche, les Français sont empêchés de sortir, faute de documents d’identité.

Nos services publics ne sont plus qu’un champ de ruines. Denis Payre a raison : où donc peuvent bien aller nos impôts ?






France — Un rapport accablant dénonce des maltraitances dans les crèches

[Source : lesechos.fr]

L’Inspection générale des affaires sociales a interrogé plusieurs milliers de professionnels travaillant dans des crèches et dresse un constat accablant.

Par Sarah Dumeau

Des enfants laissés toute la journée dans la même couche « parce qu’ils ne pleuraient pas et n’étaient pas prioritaires », privés de sieste faute de lits, « des bébés de 4 mois qui hurlent de faim, de sommeil, besoin d’être rassurés et doivent attendre, en silence si possible »… Dans un rapport affligeant publié ce mardi, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) dénonce des maltraitances sur les enfants dans les crèches.

Les inspecteurs – qui ont été missionnés par le gouvernement après la mort en juin dernier d’un bébé de 11 mois dans une crèche privée à Lyon – ont visité 36 établissements et ont interrogé environ 5.000 directeurs, 12.000 salariés de crèches et 27.000 parents. Parmi les répondants , un quart estime avoir déjà travaillé dans un établissement qu’il considérait comme « maltraitant à l’égard des enfants », indique le document.

Ces données ne sont pas représentatives, donc ces résultats « ne signifient pas qu’un quart des établissements connaîtraient des faits de maltraitance : une telle interprétation serait abusive et erronée », tempère le rapport. Néanmoins, l’Igas pointe une qualité d’accueil « très disparate » en fonction des établissements et s’alarme de l’existence de crèches « de qualité très dégradée » ce qui peut entraîner « des carences dans la sécurisation affective et dans l’éveil » des tout-petits.

Humiliations et manque de soins

Les témoignages anonymes collectés par les inspecteurs à l’aide d’un questionnaire font état d’un manque de soins apporté aux enfants, ou d’humiliations. « Oublier de nourrir un bébé une journée entière », « ne pas donner à boire comme ça on change moins les couches », « enfant insulté, ‘tu chouines pour rien’, ‘tu sens mauvais’, ‘tes parents sont trop riches’ », énumère le rapport. « La directrice la forçait à manger jusqu’à la faire vomir, j’ai vu la directrice lui redonner son vomi », écrit un interrogé. Des punitions humiliantes sont rapportées : « enfermer un enfant seul dans un dortoir parce qu’il ne voulait pas manger dans son assiette ».

Pour limiter ces abus, l’institut recommande de renforcer les contrôles, de relever le taux d’encadrement et le niveau de qualification des professionnels et enfin de conditionner le financement de ces établissements à un objectif de qualité. Les rapporteurs soulignent la nécessité de remédier au manque d’attractivité des métiers de la petite enfance, « facteur aggravant autant que symptôme » des difficultés à bien accueillir les enfants.

Dans les témoignages, les professionnels du secteur décrivent leur désarroi de ne pas pouvoir faire correctement leur travail, faute de moyens : « nous ne répondions qu’aux besoins primaires et souvent nous finissions la journée en pleurs, en train de donner un biberon à un enfant par frustration de mal faire notre travail », d’autres racontent devoir « accueillir 23 enfants, à deux, de 7 h 30 à 9 h 45, sans aucune aide ».

« Agir rapidement »

Sur Twitter, la secrétaire d’Etat chargée de l’Enfance, Charlotte Caubel, a réagit en comparant les conclusions du rapport à la crise qui avait secoué le secteur de la dépendance, après la publication du livre-enquête « Les fossoyeurs », de Victor Castanet, révélant des maltraitances dans les Ephad du groupe Orpea . « Pas question de vivre une crise des EHPAD 2.0 », a-t-elle affirmé.

Face à ces constats, « l’ensemble des recommandations » de ce document seront prises en compte, a assuré ce mardi dans un communiqué le ministre des Solidarités, Jean-Christophe Combe, qui souhaite « agir rapidement ». Le ministre devrait annoncer des mesures dans le courant du printemps, dans le cadre du « service public de la petite enfance » promis par le président Macron : ce chantier a une dimension quantitative, avec la création nécessaire de davantage de places, mais aussi une dimension qualitative, a souligné l’entourage du ministre.

Avec AFP
Sarah Dumeau






Le bilan de 28 mois de plandémie COVID pour les enfants en France

[Source : conseil-scientifique-independant.org]

Points à retenir :

Seulement 4 enfants seraient décédés du COVID en plus de 2 ans.
Les hospitalisations depuis décembre 2021 sont surtout de moins de 3 jours et « pour surveiller ».
272 PIMS et 0 décès sur les 11 derniers mois depuis le rapport étudié ici.

La santé des enfants est une préoccupation naturelle. Les protéger est un devoir.

Mais il faut adapter les mesures de protection à la dangerosité du problème considéré. Sans quoi, on risque de choisir de les enfermer pour limiter les risques. De les priver d’école, de sport, de leur famille, de vie sociale… Entraînant alors des conséquences dramatiques (doublement de l’obésité chez les enfants, hausse des suicides chez les enfants et les adolescents).

Après 28 mois (mars 2020- juillet 2022) de « crise » COVID, il semble utile de faire un retour sur le cas particulier des enfants en examinant les chiffres officiels, donnés par les structures sanitaires officielles (Santé Publique France).

Voir le détail sur :






R. Fuellmich : « La 5G peut détruire n’importe quel pays en 1 an, les antennes doivent être enlevées »

[Source : Infos et Culture]

[Voir aussi :
Très important — Émissions de rayonnements à énergie dirigée de cinquième génération (5G) dans le contexte des vaccins Covid-19 à nanométaux contaminés avec des antennes en oxyde de graphène ferreux
► le dossier 5G et ondes pulsées et notamment :
Premières victimes reconnues des antennes 5G
Preuve d’un lien entre la Covid-19 et l’exposition aux rayonnements radiofréquences des communications sans fil, y compris la 5G
5G Apocalypse, film documentaire de Sacha Stone
Cuisson lente, thermostat 5G — Conférence sur les effets des champs électromagnétiques artificiels sur le vivant
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
Appel urgent : des milliers d’oiseaux sont-ils morts à cause des ondes 4G/5G ?
« Le ciel nous tombe sur la tête ! Le ciel nous tombe sur la tête ! »]