L’ascension et la chute de la « diversité » dans les entreprises américaines

[Source : laselectiondujour.com]

Par Ludovic Lavaucelle

Il y a encore deux ans, la promotion de la « diversité » avait le vent en poupe au sein des multinationales américaines. Au point qu’un nouveau titre était créé pour refléter l’entrée dans une nouvelle ère où l’entreprise devenait militante. Le « Chief Diversity Officer » était la nouvelle star, prenant part aux comités de direction, mis en avant dans les communications de l’entreprise comme une caution face aux inquisiteurs du « wokisme ». Pour les jeunes diplômés sortant des grandes écoles, biberonnés au racialisme, c’était l’idéal : s’afficher socialement avec les attributs d’un grand prêtre, bénéficier de l’attention des médias et — accessoirement — engranger un salaire (hors primes) pouvant atteindre 330 000 dollars par an en Californie. La mort de George Floyd en mai 2020 a servi d’accélérateur : des milliards ont été dépensés pour soutenir la cause de la « diversité ». 12,7 milliards de dollars en dons en provenance d’ONG très engagées : on citera la Ford Foundation (3 milliards), JP Morgan Chase & Co. Contributions Program (2,1 milliards) et la Bill & Melinda Gates Foundation (1,1 milliard). La pression exercée par les 3 grandes firmes d’investissement BlackRock (voir LSDJ 1847), Vanguard et State Street (ces « Big Three » gèrent 22 000 milliards de dollars d’actifs) s’est en parallèle accentuée : « On est prêt à sauver votre entreprise, mais… où sont vos programmes de promotion de la “diversité ?” »… Selon le Wall Street Journal (voir l’article en lien), en 2018 moins de la moitié des entreprises faisant partie des S&P 500 avaient un « Chief Diversity Officer ». En 2022, trois sur quatre avaient créé un tel rôle.

Or, les très « wokistes » Netflix, Disney and Warner Bros. Discovery viennent d’annoncer le départ des têtes des départements « Diversité, Égalité, Inclusion ». Ce sont des milliers d’employés qui ont quitté leurs postes ces derniers mois alors que de plus en plus d’entreprises revoient à la baisse leurs engagements dans les causes sociales. Comment expliquer ce renversement de tendance ? Le rôle même de « Chief Diversity Officer » implique une forte empreinte idéologique qui ne se limite pas aisément aux fonctions de formation et de stratégie de recrutement. Non content de marcher sur les plates-bandes des Ressources Humaines, le « CDO » s’est impliqué dans le développement des produits, la stratégie marketing, etc. provoquant parfois des tensions. En outre, le zèle de certains chefs de départements à servir la cause « diversitaire » a conduit à des désastres. La jeune Vice-Présidente du marketing de Bud Light se sentait investie d’une mission : rendre cette bière populaire « inclusive ». La publicité sur les réseaux sociaux montrant un transsexuel se trémoussant dans la mousse de son bain avec une cannette de bière à son effigie a provoqué un boycott massif qui se poursuit (voir LSDJ 1877). Les ventes de cette bière aux États-Unis sont en baisse de 30 % mettant en péril la santé financière du puissant groupe. Les actionnaires s’inquiètent : à quoi servent les milliards des fondations et firmes financières si les clients rejettent la marque ? Les scandales entourant l’utilisation du trésor de guerre du mouvement Black Lives Matter ont jeté le discrédit sur les dons versés : on a découvert par exemple que des millions avaient disparu, d’autres avaient été investis par une responsable du chapitre californien pour s’offrir une luxueuse villa… Enfin, l’aspect idéologique divise de plus en plus les employés d’une même entreprise, les plus conservateurs se sentant discriminés par leur employeur. Et les plus « wokistes » exigeant toujours plus…

Les professionnels du recrutement parlent d’une chute de 75 % des recherches de « CDO » depuis le début de l’année. Un récent événement politique va exercer une pression supplémentaire sur les entreprises : la Cour Suprême vient de déclarer inconstitutionnel le principe de « discrimination positive » pour entrer dans les grandes universités. C’est un tournant après des décennies de débats : les sages ont voté à 6 contre 3 que cette politique était discriminatoire. Il est démontré (article du WSJ) que des candidats afro-américains avaient entre 4 et 10 fois plus de chances d’être admis dans une université d’élite que des candidats d’origine asiatique par exemple… Si une université risque dorénavant une lourde condamnation, les entreprises ont de quoi s’effrayer ! Un groupe de procureurs généraux républicains (sortes de ministres de la Justice d’État) a adressé une lettre d’avertissement à toutes les entreprises figurant sur la liste des Fortune 100 (Coca-Cola, Microsoft, etc.) : leurs politiques de recrutement allaient être scrutées… Sur un plan strictement légal, ces multinationales ne risquent sans doute pas grand-chose, car la décision de la Cour Suprême vise les universités. Mais la peur du procès, et au-delà de son coût, l’impact sur la réputation de l’entreprise terrifient les comités de direction. Les réseaux sociaux ont rendu dévastatrice l’arme du boycott…




Pascal Najadi témoigne des graves effets secondaires depuis ses injections Pfizer

[Source : JSF – TV – Mediapole]






Une jeune femme poursuit des médecins pour lui avoir retiré ses « seins en bonne santé » à l’âge de 18 ans

Par Zachary Stieber

[Source : epochtimes.fr]

Une Américaine a intenté un procès aux médecins qui lui ont prescrit de la testostérone alors qu’elle était mineure et qui lui ont enlevé les seins à l’âge de 18 ans.

Prisha Mosley, 25 ans, affirme que les médecins ont commis une escroquerie et une faute médicale avec ces actes, qui étaient fondés sur des affirmations selon lesquelles ils aideraient à résoudre des problèmes de santé mentale tels que la dépression.

« Les défendeurs ont menti à une jeune adolescente vulnérable, victime d’une agression sexuelle et souffrant d’une déficience et d’un handicap psychologiques graves, et ils lui ont caché des informations cruciales », peut-on lire dans la plainte déposée en Caroline du Nord.

« Au lieu de lui fournir un traitement compétent pour sa dépression, son anxiété, ses idées suicidaires, son automutilation et son trouble de la personnalité limite émergent, ils l’ont convaincue que le fait de changer son corps pour ressembler au sexe opposé résoudrait ses handicaps mentaux considérables qui la tourmentaient depuis des années. »

Les médecins ont maintenu Prisha Mosley sous testostérone alors que ses problèmes mentaux ne s’atténuaient pas. Des conseillers lui ont ensuite recommandé de subir une ablation des seins dans le cadre de ce qu’ils ont appelé son « chemin vers la réalisation de soi ».

Les seins de Prisha Mosley ont été enlevés par le Dr Eric Emerson, un chirurgien plasticien, en 2016.

Les documents qu’elle a signés indiquent qu’il s’agissait d’une « réduction mammaire » destinée aux femmes à forte poitrine, mais que les seins ont été entièrement enlevés. Aucun texte n’indiquait que l’intervention était irréversible.

Aujourd’hui, Prisha Mosley ne peut pas allaiter un enfant et risque de ne pas pouvoir tomber enceinte en raison des effets secondaires de la testostérone et de l’ablation des seins.

Selon Prisha Mosley, les défendeurs ont dissimulé des informations sur les effets secondaires possibles dans le but de gagner de l’argent et de renforcer leurs références. Le Dr Emerson, par exemple, a déclaré que sa première opération « d’affirmation du genre » avait été pratiquée sur Prisha Mosley. Peu après l’opération, il a participé à la création du Charlotte Transgender Healthcare Group.

L’action en justice vise à obtenir des dommages-intérêts compensatoires et punitifs qui seront déterminés lors d’un procès. Prisha Mosley a lancé séparément une collecte de fonds pour couvrir ses frais médicaux.

Cone Health, l’un des défendeurs, s’est refusé à tout commentaire. Les autres défendeurs n’ont pas répondu aux demandes de renseignements.

Ses batailles

Prisha Mosley, née Abigail Mosley, a souffert de problèmes mentaux pendant son enfance. Les choses ont empiré après une agression sexuelle commise par un homme plus âgé qu’elle à l’âge de 14 ans, qui s’est soldée par une fausse couche. L’année suivante, elle a été hospitalisée pour dépression et s’est vu prescrire des médicaments, dont un antipsychotique. Elle a tenté de se suicider.

Le chemin vers l’ablation des seins s’est accéléré lorsque Prisha Mosley a été orientée par son médecin traitant vers une diététicienne, qui l’a ensuite orientée vers le Dr Martha Fairbanks Perry.

Un interne supervisé par le Dr Martha Fairbanks Perry a noté, lors de la première visite de Prisha Mosley, que cette dernière souhaitait subir une ablation des seins et devenir un homme, en partie parce qu’elle pensait que son anorexie était due à son désir d’avoir des seins plus petits. Le résident a conclu, sur la base de cette seule visite, que Prisha Mosley traversait une « crise d’identité sexuelle » et que cette crise était « très probablement la cause sous-jacente de ses troubles alimentaires et de sa détresse émotionnelle ».

Le Dr Martha Fairbanks Perry a validé le diagnostic et a souligné l’importance de traiter les symptômes, y compris la dysphorie de genre, lors d’une rencontre peu après.

Prisha Mosley s’améliorait en suivant un programme alimentaire, mais le Dr Perry l’a quand même poussée à faire une transition, selon la plainte. À un moment donné, après que Prisha Mosley ait demandé au médecin si elle devait quitter la maison et vivre avec un ami adulte, le Dr Perry lui a dit « vous pouvez partir » et « vous allez vous en sortir et être capable de vivre comme la personne que vous devriez être. Je vous soutiens ».

Les parents de Prisha Mosley ont résisté à l’idée d’envoyer leur fille chez un thérapeute spécialisé dans les soins aux transsexuels, mais la mère a cédé après une discussion « approfondie », selon le résident.

Prescription de testostérone

Prisha Mosley a commencé à consulter des conseillers, notamment Shana Gordon et Brie Klein-Fowler. Après une brève séance, Shana Gordon a déterminé que Prisha Mosley était en fait un garçon et que le fait de changer de corps résoudrait bon nombre de ses problèmes, selon la plainte. Shana Gordon a fourni une lettre de recommandation pour les injections de testostérone qui citait les directives de la World Professional Association for Transgender Health (WPATH), bien que nombre d’entre elles ne soient pas respectées.

L’une d’entre elles, par exemple, stipule que les professionnels doivent proposer une évaluation et une formation approfondies sur les options thérapeutiques. Selon Prisha Mosley, cela n’a pas été le cas. Shana Gordon aurait également écrit à tort que Prisha Mosley n’avait pas de problèmes « liés à l’humeur » et qu’il n’y avait aucune preuve de « psychopathologie ou d’altération du jugement ».

Le Dr Martha Fairbanks Perry a prescrit de la testostérone sur la base de la recommandation de Shana Gordon, tout en étant consciente des problèmes mentaux de Prisha Mosley. Le Dr Perry a dit à Prisha, au moment de la prescription, que l’injection de testostérone dans son corps était « médicalement nécessaire et appropriée et qu’elle guérirait ses problèmes psychologiques, renforçant ainsi les fausses déclarations de la défenderesse Gordon et induisant Prisha encore plus en erreur », selon le procès.

Le Dr Martha Fairbanks Perry n’aurait pas informé Prisha Mosley, âgée de 17 ans à l’époque, des effets secondaires possibles, notamment l’atrophie vaginale et la perte de densité osseuse.

Après que Prisha Mosley a exprimé son inquiétude au sujet d’un écoulement étrange de son mamelon, le Dr Perry aurait déclaré : « Nous ré-induisons la puberté et vous aurez donc les mêmes symptômes qu’un homme qui commence la puberté. Un gonflement et une sensibilité des seins peuvent se produire. C’est normal. » On a également dit à Prisha Mosley qu’un pénis lui pousserait, selon la plainte.

Lors des visites de suivi, les problèmes mentaux de Prisha Mosley ne se sont pas atténués, mais le Dr Martha Fairbanks Perry n’a pas évoqué la possibilité d’arrêter le traitement à la testostérone.

Ablation des seins

Prisha Mosley se préparait à subir une ablation des seins. À cette fin, elle a demandé par écrit à Mme Klein-Fowler une lettre de recommandation. : « Tout ce que vous aurez à mentionner, c’est de préciser que vous êtes mon thérapeute, que vous me connaissez et que vous confirmez que je suis trans, que je souffre d’une dysphorie de genre sévère et que j’ai besoin d’une chirurgie du haut », souhaitait Prisha Mosley.

« J’aimerais que nous en parlions plus longuement et j’en écrirai une après notre entretien. J’espère pouvoir vous aider à obtenir ce dont vous avez besoin ! » a répondu Mme Klein-Fowler.

Le lendemain, après avoir vu Prisha Mosley, Mme Klein-Fowler a envoyé un projet de lettre, tout en reconnaissant qu’elle n’avait pas accès aux lignes directrices de la WPATH. Et comme Mme Gordon, Mme Klein-Fowler n’avait pas les qualifications requises pour émettre une telle recommandation, selon la plainte.

Mme Klein-Fowler a écrit que Prisha Mosley avait fait des recherches approfondies sur les options qui s’offraient à elle, qu’elle prenait cette décision en toute connaissance de cause et qu’elle avait bon espoir que Prisha puisse poursuivre son chemin vers la réalisation de soi avec l’aide de cette procédure. Les problèmes mentaux de Prisha Mosley n’ont pas été mentionnés.

Prisha Mosley a ensuite rencontré le Dr Eric Emerson qui a affirmé que l’ablation des seins aiderait la patiente. Il a « dissimulé » les problèmes que l’ablation entraînerait, comme la perte de la capacité d’allaiter un enfant, selon Prisha Mosley.

Le Dr Eric Emerson a pratiqué l’opération malgré les documents signés par Prisha Mosley, qui ne mentionnaient pas l’ablation, selon la plainte. Les documents indiquaient qu’il s’agissait d’une réduction mammaire.

Le Dr Eric Emerson aurait dit à Prisha Mosley qu’il voulait se lancer dans la chirurgie du genre et que cette opération serait sa première.




La propagande pour les trans par les « progressistes » leur nuit lourdement

Par les Drs Gérard et Nicole Delépine

La plupart des riches ont compris qu’ils ne doivent pas étaler leurs richesses pour ne pas exciter la convoitise des pauvres. Mais certains trans ignorent les avantages de la discrétion et s’étonnent de l’augmentation des actes transphobes depuis qu’ils affichent partout leur « fierté » et qu’elle s’adresse de surcroît aux enfants. Espérons que la modération future de leur affichage facilitera leur acceptation comme ont su le faire, avant eux, la plupart des homosexuels depuis des décennies. Faudrait-il que les progressistes idéologues, dont certains actuellement au pouvoir, cessent de les utiliser.

Faut-il être « d’extrême-droaaate » pour refuser qu’on soumette de jeunes enfants à des spectacles incompréhensibles pour leur âge et choquants, traumatisants pour leur psychisme, risquant d’être perturbés à long terme ? Tous ces donneurs de leçons ont-ils pesé ce qu’est l’éducation d’un bébé, puis d’un enfant et même d’un adolescent dont la sexualité selon tous les auteurs ont affirmé la phase silencieuse de la sexualité jusqu’aux débuts de la puberté ?

Les Français respectent les convictions politiques, religieuses et mœurs de chacun à condition qu’ils restent essentiellement dans la sphère privée et laissent de côté les enfants. « laissez nos enfants tranquilles » réclament des associations de parents, collectifs de tous pays du Canada et USA aux pays africains en passant par la France.

La multiplication des revendications trans via des manifestations de plus en plus gênantes (enfant fouettant un trans à quatre pattes quasiment nu) et la diffusion rapide des messages chez les enfants, couplées aux déclarations du ministre de l’éducation nationale « l’éducation sexuelle à l’école est ma priorité » ont entraîné une prise de conscience depuis quelques mois en France de faits dénoncés dans l’indifférence depuis plusieurs années1.2

« L’Éducation nationale entend aborder les stéréotypes de genre dès la maternelle, avec la même neutralité que les chercheurs qui cherchent à donner au genre un statut théorique dénué d’idéologie au sein des sciences humaines. Le ministre de l’Éducation nationale a expliqué que l’enseignement de la théorie du genre à l’école permettrait de lutter contre les discriminations, les violences sexuelles et sexistes, les LGBT phobies et d’atteindre une meilleure égalité entre filles et garçons. »3

Le ministre est-il sincère ou naïf ? En tous les cas, c’est l’inverse qui arrive évidemment.

L’organisation de collectifs régionaux afin de lutter contre les exhibitions de drag queen par exemple dans des jardins d’enfants ou dans des spectacles scolaires se développe rapidement : « laissez les enfants tranquilles ».

L’augmentation des actes transphobes est le revers de leur plus grande visibilité imposée partout

Depuis quelques années on assiste à une propagande permanente en faveur des minorités (dont les minorités sexuelles) dont certains membres sont persuadés que leur visibilité croissante leur permettra d’être mieux acceptés. Les médias aux ordres des politiques « progressistes » donc de la gauche au pouvoir imposent les figures trans à toute occasion, films, feuilletons, spot publicitaires, sujets des émissions d’échanges, comme si les trans (personnes respectables comme individus) représentaient une large communauté alors qu’ils ne sont que quelques milliers en France (0,03 à 0,1 % de la population selon le rapport de Dr Hervé PICARD et Simon JUTANT en janvier 2022), et que leurs problèmes ne résument pas les énormes sujets d’inquiétude des Français : (retraites, pouvoir d’achat, niveau scolaire, chômage, sécurité, immigration, etc.. ). La propagande trans est utilisée pour détourner l’attention de la population des vrais problèmes « parlez-moi d’autre chose »…

Pour l’essayiste Éric Naulleau, invité du « Figaro La Nuit », la pensée progressiste s’organise « autour de la figure du transsexuel ». « Le transsexuel et la drag queen sont passées de figures marginales à des figures presque centrales de l’imaginaire progressiste », relève-t-il. (tweet du 21 06 23). Adoption par la gauche des pires travers du capitalisme. On change de corps comme de forfait téléphonique. La vie liquide.

« Le transsexuel est devenu la grande idole du wokisme » vieux travers du progressisme de vouloir faire de la marge, le centre (d’où la fascination de la gauche pour les délinquants, exemple de Battisti).4

En les instrumentalisant pour des visées politiques et leur idéologie, les progressistes nuisent aux trans.

Les TRANS victimes de leur utilisation manipulatrice par les militants dits « progressistes »

Depuis que leur propagande se généralise, les actes, manifestations et les lois anti-trans se multiplient dans la plupart des pays du monde où elle a été active.

En France entre 2016 et 2022, les actes anti-LGBT+ ont connu une augmentation significative : +129 % pour les crimes et délits, et +115 % pour les contraventions. En 2018, le ministère de l’Intérieur avait recensé 1 380 infractions à caractère homophobe ou transphobe (soit une augmentation de 33 % par rapport à 2017). En 2019, 1 870 cas « C’est une hausse tendancielle et progressive, qu’on observe depuis trois ans ». En 2022, avec plus de 4000 faits le nombre de déclarations augmente en particulier pour les actes transphobes constituant « le revers de la plus grande visibilité des personnes trans »

Les guerres de religion nous ont appris que la tolérance sociétale pour les minorités va de pair avec leur discrétion publique et une pratique cantonnée à la sphère privée. On ne peut que conseiller aux trans sexuels d’adopter une pratique semblable pour être mieux inclus. Ils devraient résister aux politiques qui tentent de les utiliser.

Les associations féministes et homosexuelles se désolidarisent des manœuvres des extrémistes trans

De violentes polémiques dans le mouvement féministe mettent en lumière tensions et désaccords sur l’identité de genre. Ainsi le mouvement féministe #NousToutes cesse de relayer le décompte des féminicides conjugaux, car le collectif « Féminicides par compagnon ou ex » est accusé d’avoir tenu des propos transphobes, car il critiquait « les aspects toxiques » de la « masculinité antérieure » de certaines femmes transgenres.

Les féministes effacées

« Lisa », membre du groupe, précise « Ce n’est pas de la transphobie, c’est une réalité scientifique que les femmes trans étaient des hommes avant » et accusent les extrémistes trans de faire passer les personnes trans avant les femmes et d’invisibiliser ces dernières !

Des militantes féministes rapportent des faits de violence exercés par les extrémistes trans. « On a reçu des œufs dans le visage, on a été frappé parce qu’on tient cette position de dire qu’être une femme n’est pas un sentiment, c’est une réalité biologique matérielle », témoigne Marguerite Stern, créatrice des Collages contre les féminicides. Nos opposants nous qualifient d’« anti-trans », et détournent totalement notre pensée. Ils reposent sur des interprétations erronées de notre discours, nous qualifiant « d’essentialistes » et nous associant à l’extrême-droite, dans le but de compromettre notre réputation plutôt que de répondre à nos arguments.

« Nous ne sommes pas anti-trans, nous sommes pro-femmes. De la même façon que critiquer l’islam n’est pas islamophobe, critiquer l’idéologie transgenriste n’a rien de transphobe. Être transphobe, c’est le fait de discriminer ou d’appeler à la haine des personnes trans. Tel n’est pas notre cas. Dire que les femmes sont des femelles adultes humaines est incompatible avec l’essentialisme : c’est ce qu’on appelle philosophiquement du matérialisme. Nous disons que les femmes sont des femelles et qu’il n’y a pas de distinction entre les deux. Pour nous le mot femme décrit la sexuation ; le féminisme vise à ce que les spécificités biologiques des femmes soient reconnues dans la société. Nous ne résumons pas les femmes à leurs corps, mais disons que ce corps est ce qui permet de les définir. »

En Grande-Bretagne, certaines féministes traditionnelles, rebaptisées « Terfs » pour « Trans-Exclusionary Radical Feminists » (féminisme excluant les femmes trans), adoptent cette même position et se battent pour conserver l’indexation de la catégorie femme sur le sexe biologique, afin de « combattre efficacement le patriarcat »

J.K.Rowling, qui en fait partie est harcelée par les extrémistes trans depuis qu’elle s’est moquée du titre d’un article de devex.com : « Créer un monde post-Covid plus égalitaire pour les personnes ayant leurs règles ». « Cela avait un nom autrefois. Aidez-moi. Fummes ? Fommes ? Fammes ? », avait réagi l’auteur femme, « refusant de s’incliner devant un mouvement trans qui cause un tort aux luttes féministes en cherchant à effacer le mot « femme » en tant que classe politique et biologique, et en « offrant une couverture à ses prédateurs ».

Aux USA, l’association « Gays Against Groomers » est une coalition d’homosexuels qui s’opposent à la tendance récente d’endoctriner et de sexualiser les enfants sous le couvert de « LGBTQIA+ » et dénonce les pratiques « destructrices » de certains mouvements trans extrémistes qui utilisent la communauté LGBT comme bouclier pour encourager la « mutilation », la « stérilisation » et l’« endoctrinement » des mineurs.

David Leatherwood a expliqué le 21 février 2023 devant le Comité de la santé et des services sociaux de la Chambre des représentants de la Floride que la communauté LGBT a obtenu une certaine tolérance et acceptation dans la société américaine, mais que cette avancée est remise en question par des extrémistes trans qui portent préjudice aux gays.

Dans les compétitions sportives, l’équité prime maintenant sur l’inclusivité

Le sexe est déterminé dès la fécondation par la loterie génétique qui attribue à l’embryon deux chromosomes sexuels soit XX (caryotype féminin) ou la paire XY (caryotype masculin). Le caryotype dirige l’élaboration du phénotype, ensemble des caractères anatomiques, morphologiques, physiologiques et éthologiques des individus. À l’adolescence la sécrétion des hormones accentue chez l’individu de sexe masculin, les développements squelettique et musculaire conduisant à une différence de force physique entre hommes et femmes, l’élargissement des épaules, un poids moyen plus élevé et une différence de taille moyenne d’environ 10 %.

Cette musculation plus développée chez l’homme post pubertaire explique des performances sportives supérieures. La comparaison des records mondiaux des hommes et des femmes dans différentes disciplines l’illustre avec une différence moyenne de 10 % à 20 % en faveur des hommes : lancer de javelot (94 m/72 m), 50 m nage libre (46/51 s), sprint de 100 m (9”58/10”49), lancer de poids (23,37/22,63), course de 200 mètres (19,19 sec/21,34 sec), lever de poids (488 kg/332KG), marathon (2 h 1 min 9 s/2 h 14 min 4 s)…

Ces différences démentent l’idéologie du genre qui voudrait nous faire croire que le sexe serait un « construit social » qu’on peut changer selon son bon plaisir ou son « sentiment ». Elles imposent de séparer hommes et femmes lors des compétitions sportives de haut niveau.

Lorsque les personnes ayant fait leur puberté comme homme ont obtenu le droit de concourir avec les femmes en se déclarant femmes trans, elles ont bénéficié d’un avantage important en termes de performances, même si leur taux de testostérone était bas, l’ensemble des caractéristiques corporelles génétiques et acquises étant toujours présent.

L’exemple d’Halba Diouf qui, en se « déclarant » femme, est passé de la 980e place nationale à la 58e place mondiale est démonstratif. Mais aussi les cas de Valentina Petrillo, née Fabrizio, qui a remporté une course de 200 m pour femmes, du leveur de poids Laurel Hubbard, de la nageuse Liz Thomas…

L’inclusion des hommes trans (nées femmes) dans les compétitions masculines ne soulève pas de problème d’équité, vu les possibilités réelles inférieures des hommes trans nées femmes. De fait, les hommes trans ne veulent guère y participer.

Marguerite Stern, militante a résumé la question dans une tribune de Marianne :

« Sous couvert de lutte contre les discriminations, les différents amendements concernant l’identité de genre sont un crachat jeté au visage des femmes, car si j’en comprends bien le sens, ils sous-tendent la possibilité que sur simple déclaration des individus de sexe masculin puissent participer à des compétitions sportives féminines. ».

De nombreuses autres militantes féministes perçoivent l’intégration des personnes transgenres dans les espaces réservées aux femmes comme une nouvelle forme de l’oppression masculine systémique et de l’« invisibilisation des femmes ».

Martina Navratilova, militante de la première heure des droits des homosexuels, a aussi déclaré :

« Je suis heureuse de m’adresser à une personne transgenre de la manière qu’elle le souhaite, mais je n’aimerais pas avoir à concourir contre elle. Ce ne serait pas juste ».

Accepter l’inclusion des hommes qui s’affirment femmes dans les compétitions sportives féminines lèse gravement le respect de l’égalité femmes/hommes et l’équité générale, et les droits des sportives de haut niveau qui ont beaucoup travaillé pour y parvenir.  

Le 23 mars 2023, le président de la Fédération Internationale d’athlétisme (WA), Sébastian Coe, a annoncé l’exclusion des compétitions nationales et internationales des athlètes transgenres « qui ont connu une puberté masculine ». Sebastian Coe a expliqué vouloir privilégier « l’équité à l’inclusion » « Ma responsabilité est de protéger l’intégrité du sport féminin ».

Dans les compétitions sportives de haut niveau, l’équité pour les femmes prime maintenant sur l’inclusivité des trans.

Et pour ne pas brimer les trans qui veulent concourir, certaines fédérations sportives ont proposé d’organiser, en parallèle avec les compétitions féminines et masculines des compétitions ouvertes ou les trans pourront se mesurer aux cis. Pourquoi pas !

Dans les écoles

En France, comme dans de nombreux pays occidentaux la loi permet aux élèves trans de se faire appeler par le prénom qu’ils désirent sans même l’autorisation des parents. La circulaire de Jean-Michel Blanquer, parue au Bulletin officiel du 30 septembre 2021 demande aux enseignants de l’école maternelle jusqu’au lycée (premier et second degré), « d’écouter, accompagner et protéger les enfants transgenres ou qui s’interrogent sur leur identité de genre ». Elle ajoute qu’il est également pleinement envisageable d’accepter les élèves trans dans les vestiaires, dortoirs et autres équipements genrés, selon l’identité de genre de l’élève, y compris avant qu’il ait pu effectuer des changements sur son état civil ou suivi des traitements [elle prescrit donc d’admettre les hommes qui se prétendent femmes dans les vestiaires et dortoirs et toilettes des filles !]. Et le ministre de l’éducation actuel déclare en 2022, priorité nationale l’éducation sexuelle à l’école dès la maternelle et sous prétexte de « lutter contre les discriminations » et autorise des associations trans à faire leur propagande à l’école et à présenter aux enfants des spectacles de drag queens.

Lorsque l’école, socle de nos institutions, demande aux enseignants d’« accompagner » la démarche de transition des élèves, elle se fourvoie. Elle n’est ni dans son rôle ni dans sa mission. La démarche du Ministère a le tort d’imposer aux enfants qui ne peuvent pas en appréhender tous les aspects, un débat de société concernant les adultes et de fracturer inutilement la société et pire le cerveau des jeunes enfants soumis à propagande inintelligible pour leur degré de maturation.

En avril 2023, un atelier organisé par l’association OUTrans a fait scandale à l’École alsacienne de Paris. Selon le Figaro les intervenants, transsexuels, ont « accusé les enfants d’être transphobes » pour avoir protesté contre l’affirmation selon laquelle des hommes peuvent être « enceints ». Ils auraient de plus affirmé aux enfants que « si un adolescent n’est pas bien dans sa peau, c’est qu’il est peut-être trans » ou encore que « dire qu’il y a seulement deux sexes, c’est une représentation datée et c’est faux ».

Le Syndicat de la famille — a appelé au retrait immédiat des subventions publiques versées à OUTrans et HandsAway, et réclame que « ces associations ne puissent plus jamais intervenir dans les écoles, collèges et lycées. »

Le département d’île et Vilaine et la Région Bretagne ont subventionné une sortie scolaire pour faire assister, le 20 mars 2023, des enfants de l’école Jean Rostand de Rennes à « fille ou garçon », un spectacle vantant les transformations sexuelles, gaspillant ainsi impôts et temps scolaire pour propager une théorie qui menace gravement l’équilibre psychologique des enfants.

Plus récemment la volonté de projeter Tomboy film de 2011 retraçant l’histoire d’une petite fille de 10 ans, Laure, qui se fait passer pour un garçon auprès d’élèves de sixième du Séminaire des jeunes de Walbourg, a tourné à l’affrontement entre parents et direction.

Déprogrammé à la suite de plaintes de parents puis de l’évêché puis reprogrammé ; les parents en colère n’ont eu que la possibilité de garder leur enfant chez eux.

Et la pression du ministère étonne et scandalise :

Cf. bd Voltaire :

«les drags se présentent aux enfants sous une forme hypersexualisée, Monsieur Escots ne pourrait le nier. Par ailleurs, 60 000 euros de subventions ont été versés en deux ans au Girofard (un collectif de plusieurs associations LGBTI+). Le Girofard est un lieu d’accueil, de rencontre et d’échanges qui veut promouvoir la santé et le bien-être des personnes LGBT, mais aussi dénoncer toutes les discriminations et promouvoir la culture LGBT, par l’organisation, entre autres, de la Marche des fiertés de Bordeaux.»5

Pour les enfants, la difficulté réside dans la nature très partisane de l’information donnée, mais surtout dans leur difficulté à comprendre et évaluer ces informations et à concevoir la portée de décisions qui feront d’eux des patients prenant des médicaments à vie et sacrifiant leur fertilité avec des mutilations irréversibles de leur corps (émasculation, hystérectomie, ovariectomie).

Comme pédiatre, nous avons appris qu’après la petite enfance et la découverte des différences entre le corps du petit garçon et celui de la petite fille, venait une période dite de latence pendant laquelle les problèmes de sexe ne sont pas à l’ordre du jour, entre environ trois et douze ans. Et voilà que selon le bon vouloir de quelques activistes trans parvenus aux postes de responsabilité, ou de leurs affidés intéressés ou convaincus, il faudrait perturber cette période de construction silencieuse ?

En Amérique du Nord (USA et Canada) de nombreuses manifestations de parents ont régulièrement lieu pour protester et empêcher la propagande trans dans les écoles qu’essaient d’imposer les autorités.

Certains trans réclament « des toilettes non genrées » permettant aux garçons qui se déclarent filles d’accompagner aux toilettes les filles aux dépens de la sécurité sexuelle de ces dernières. Et si une adolescente dit qu’elle ne veut pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, elle se fait traiter de transphobe ! Pourtant le fait de s’affirmer femmes trans n’empêche pas les pulsions de viol ni le passage à l’acte comme l’a montré l’écossais « e » Isla Bryson. Combien faudra-t-il recenser de viols pour que ce risque soit pris en compte et que la sécurité de l’immense majorité des jeunes filles prime sur les désirs d’une infime minorité de trans qui se sent mal dans leur peau et se prétend traumatisée de devoir aller aux toilettes de leur sexe biologique ?

Dans les prisons

En France, d’après le ministère de la Justice, il y aurait une trentaine de personnes transgenres sur plus de72000 détenus (0,04 %). Elles doivent faire face à de nombreuses difficultés : placées à l’isolement, des relations tendues avec les surveillants, un accès difficile aux médecins. En 2021 Dominique Simonnot a déclaré :

« En cas d’incarcération, les personnes transgenres sont plus vulnérables que le reste des détenusinvitant à “adapter le principe général d’égal respect de la dignité à la situation particulière de ces personnes”. »

Mais l’inclusivité des femmes trans dans les prisons pour femmes a révélé ses limites dans les pays voisins qui avaient opté pour ce choix avant la France.

Au Danemark, la Haute Cour a estimé que la présence d’une détenue trans qui a fait modifier son état civil d’homme à femme pendant son incarcération pour un viol aggravé doit purger sa peine dans un établissement pour hommes. Son séjour dans une prison pour femmes « poserait un risque de sécurité non insignifiant pour les femmes détenues » et que le fait qu’elle soit « fouillée nue par des hommes » et doive « fournir un échantillon d’urine » sous la surveillance d’hommes n’enfreignait pas la loi sur l’exécution des peines, car la référence au genre dans la loi doit être « comprise en tant que sexe biologique. »

En Écosse, la loi écossaise Gender Recognition Reform Bill, votée fin 2022, permet de faciliter l’acquisition par des personnes trans d’un certificat de reconnaissance de genre établissant que leur genre « n’est pas celui qui [leur] a été assigné à la naissance. » Avant son adoption elle avait été combattue par beaucoup d’associations féministes qui craignaient qu’elle soit détournée par des prédateurs sexuels se déclarant femmes pour mieux approcher les femmes dans les espaces qui leur sont réservés — vestiaires, refuges, toilettes, prisons. L’incarcération temporaire de femmes trans condamnées pour viol dans des établissements pour femmes a suscité l’indignation dans la population et la classe politique écossaise et britannique obligeant les autorités à décider qu’elles purgeraient leur peine dans une prison pour hommes.

Une fois de plus, la sécurité de la majorité prime progressivement sur les désirs d’une infime minorité surreprésentée chez nos dirigeants ou du moins dans leurs décisions.

Pour les entreprises, la propagande pro trans se révèle souvent contre-productive

Aux USA, certaines entreprises grand public ont cru que la promotion transgenre augmenterait leur clientèle et s’en sont mordu les doigts.

Un des premiers exemples est celui de la bière Budweiser dont l’entreprise a lancé le 1er avril 2023 une campagne publicitaire avec une influenceuse transgenre Mulvaney déguisé(e) en Audrey Hepburn tenant une cannette à son effigie annonçant sur Instagram sa collaboration avec la marque Budweiser, pour promouvoir la Bud Light.

Après cette campagne de publicité, sur les réseaux sociaux, des insultes contre la marque ont fusé, des internautes se sont filmés en train de détruire des bières Budweiser, des packs de bières ont été détruits en masse et le Kid Rock dans une vidéo publiée le 4 avril 2023 a fusillé des packs entiers de Bud Light avec une mitraillette. Dans le mois qui a suivi cette campagne de publicité, les ventes de Bud Light ont chuté entre 11 et 26 %, Bud Light a perdu en mai sa place de leader des ventes aux États-Unis et son cours en bourse a chuté de 11 %.

La capitalisation boursière d’Anheuser-Busch, groupe gérant de Budweiser, est passée de 132,06 milliards de dollars à 108,96 milliards de dollars entre le 3 avril et le 2 juin 2023. La société mère de Bud Light a finalement préféré revendre la marque à ses fondateurs d’origine.

En juin 2023, mois des fiertés LGBT+, la société Target a sorti une collection aux couleurs arc-en-ciel qui a fortement déplu à sa clientèle. Celle-ci a boycotté l’enseigne, causant la chute brutale des ventes et provoquant l’arrêt de la commercialisation en ligne. Cette déroute commerciale a été suivie d’une chute drastique de la valorisation boursière de Target de 72,52 milliards de dollars à 58,61 milliards6 de dollars entre le 1er mai et le 10 juin 2023.

Netflix et Disney multiplient les projets avec des personnages trans en espérant ainsi augmenter leur audience et leur rapporter de l’argent. Si ce n’est pas le cas, voir même l’inverse, ils annuleront les films teintés de propagande trans.

Ce « pinkwashing » à visée mercantile pourrait être catastrophique sur le plan commercial et boursier si les opposants boycottent régulièrement les entreprises qui le pratiquent.

Dans de très nombreux pays, la propagande trans sans limites, suscite des lois finalement défavorables à leur communauté

En réponse à la propagande trans croissante de nombreux états américains (Floride, Texas, Oklahoma, Kansas, Missouri, Tennessee, Kentucky, Virginie occidentale…) ont récemment voté des lois, interdisant d’avoir une pièce d’identité avec un nom et sexe différent de celui de la naissance, d’aller dans des toilettes qui ne correspondent pas à leur genre de naissance, toute propagande trans à l’école et refusant la prise en charge par l’état des frais des traitements pour transformations sexuelles. À partir de septembre 2023, la Floride et le Texas interdiront de prescrire des médicaments bloquant les hormones ou d’effectuer des actes de chirurgie pour modifier la sexualité de toute personne de moins de 18 ans.

En Europe, les états scandinaves et la Grande-Bretagne, longtemps pionniers de la théorie du genre et des transformations trans faciles, ont fortement limité l’accès aux traitements destinés à la modification médicamenteuse et/ou chirurgicale sexuelle pour les mineurs. En février 2023, la Suède a décidé de bloquer la thérapie hormonale pour les personnes de moins de 18 ans, sauf dans de rares cas.

En Russie, le parlement a interdit la promotion de relations sexuelles non traditionnelles chez les jeunes, et vient d’interdire la chirurgie de modification sexuelle, sauf pour les enfants atteints d’anomalies congénitales.

À Singapour les magazines ont l’interdiction de promouvoir les « modes de vie alternatifs » ; le permis de publication du magazine Vogue lui a été retiré pour « avoir fait la promotion de familles non traditionnelles » et le Premier ministre a annoncé une prochaine modification de la constitution afin de « sauvegarder l’institution du mariage, union d’un homme et d’une femme. »

En Turquie, les manifestations des transsexuels sont interdites et certains manifestants qui ne respectaient pas l’interdiction ont été arrêtés.

Au Liban en 2022 une tentative de gay pride a été empêchée par des opposants et le Premier ministre le ministère de l’Intérieur a ordonné aux forces de sécurité de « prendre immédiatement les mesures nécessaires pour empêcher tout type de célébration, de réunion ou de rassemblement » de personnes de la communauté LGBT, car « le prétexte de la liberté d’expression ne suffit pas à justifier la promotion de ces activités contraires aux principes divins ».

En Afrique, la propagande trans a exacerbé l’intolérance envers ce groupe avec le vote à l’unanimité d’une loi ougandaise punissant jusqu’à dix ans de prison pour toute personne se livrant à des actes homosexuels ou se revendiquant comme LGBTQ+.

Le Cameroun vient de déclarer persona non grata Jean-Marc Berthon, nommé en octobre 2022 ambassadeur français pour les droits des personnes LGBT qui avait annoncé son arrivée à Yaoundé. Le ministre Lejeune Mbella Mbella a rappelé à cette occasion que « la position du gouvernement sur la question de définition du genre, de l’orientation et de l’identité sexuelle est claire et dénuée de tout débat au Cameroun » et que la promotion de la théorie du genre est « qualifiée de crime de droit commun ».

La généralisation de la propagande pour la théorie du genre et la promotion outrancière de la transsexualité dans les écoles, dans les films subventionnés (avec quota obligatoire de représentants des minorités sexuelles) entraînent partout des clivages violents dans l’opinion et suscitent dans de nombreux pays des lois nocives pour la majorité des trans. Les extrémistes trans devraient méditer le vieux proverbe « pour vivre heureux, vivons cachés » et laisser vivre tranquillement tous les citoyens, minorités et autres y compris trans, leurs outrances aboutissant à des violences jusqu’ici inconnues chez des homosexuels, lesbiennes ou trans qui avaient choisi de vivre leur vie, à l’abri de la propagande.

Et d’ailleurs, écoutons la parole d’une drag queen :7

« Pourquoi voudriez-vous confier vos enfants à des personnes qui font des performances sexuelles pour adultes, et qui pour la plupart se droguent backstage [dans les coulisses] ».

Enfin une Drag Queen honnête et courageuse !

« Sexualiser les enfants fait partie de l’agenda 2030. Envoyez nos dirigeants se faire foutre ». Tweet du Dr. Anastasia Maria Loupis 12 06 23 :





Des températures de 48°C en Europe qui n’ont jamais eu lieu

[Source : Association des climato-réalistes]

Article publié le 19 juillet 2023 par le site NoTricksZones. Traduit par la rédaction.


L’ESA (European Space Agency) et les médias vivement critiqués pour des reportages manipulateurs.

Par Pierre Gosselin

La semaine dernière, il s’est répandu dans les médias la nouvelle que les températures dans le sud de l’Europe montaient en flèche pour atteindre 48°C ! Or, il n’en était rien.

L’hystérie a commencé lorsque des médias à sensation en Allemagne et ailleurs, comme le Spiegel, ont cité sans réserve un rapport du 13 juillet 2023 bâclé et manipulateur de l’Agence Spatiale Européenne (ESA). [NDT : Les médias Français n’étaient pas en reste, lire ici l’Express du 14 juillet le tweet Sandrine Rousseau, évoquant une température de “60°C en Espagne]

Ce rapport faisait d’abord référence à la température de l’air :

Les températures s’emballent en Europe cette semaine dans le contexte d’une période de chaleur intense et prolongée. Et cela ne fait que commencer. L’Italie, l’Espagne, la France, l’Allemagne et la Pologne sont toutes confrontées à une vague de chaleur majeure avec des températures de l’air qui devraient grimper jusqu’à 48 °C sur les îles de Sicile et de Sardaigne. Potentiellement les températures les plus chaudes jamais enregistrées en Europe.

Le rapport original de l’ESA a été maintenu, une précision a été apportée ultérieurement que ce rapport faisait en fait référence à la température de surface [NDT : mesure par satellite de la température du sol, bien distincte d’une mesure de l’air ambiant].

L’animation ci-dessous utilise les données du radiomètre de la mission Copernicus Sentinel-3 qui montre la température de la surface terrestre à travers l’Italie entre le 9 et le 10 juillet. Comme le montre clairement l’image, dans certaines villes, la surface du sol dépassait 45°C, notamment à Rome, Naples, Tarente et Foggia. Le long des pentes orientales de l’Etna en Sicile, de nombreuses températures ont été enregistrées à plus de 50°C.

Carte des températures de surface : Agence spatiale européenne (ESA)

Il ne s’agissait pas ici des températures standard enregistrées à 2 mètres au-dessus du niveau du sol toujours utilisées dans les bulletins météorologiques quotidiens mais celles de la surface du sol qui sont beaucoup plus chaudes. Cette différence cruciale est passée totalement inaperçue des médias et des journalistes, qui ont fait état de nouveaux records de températures. Au moment où la manipulation a été éventée par des lecteurs attentifs, la nouvelle avait déjà fait le tour du monde.

Hier, l’ESA a publié une (vague) clarification expliquant la différence entre la température de surface et la température de l’air à 2 mètres au-dessus du sol, mais a persisté à induire ses lecteurs en erreur.

Température de surface et températures à 2 mètres du sol

La température de la surface terrestre  est la chaleur ressentie par la « surface » de la Terre au toucher. La température de l’air, donnée dans les prévisions météorologiques quotidiennes, est une mesure de la chaleur de l’air au-dessus du sol.

L’ESA n’a pas pris la peine de mentionner que la température de surface est beaucoup plus élevée que la température de l’air à 2 mètres.

[NDT Pour une bonne compréhension de ces 2 types de mesure, on pourra consulter cet article publié le CNRS et celui-là par la revue Earth and Space Science ].

Un mensonge climatique éhonté

« Ce que nous avons vécu au cours des derniers jours est le mensonge climatique le plus éhonté depuis le début des enregistrements de la température », a commenté l’Allemand Achtung Reichelt ici sur les implications du communiqué de presse de l’ESA et de la tempête médiatique qui s’en est suivie : « Le problème avec ce rapport est que rien de tout cela n’est vrai ».

En Sicile, la température n’a atteint que 32°C pendant le week-end, bien loin des 48°C, ce qui illustre la grande différence entre la température de surface du sol et les relevés effectués à 2 mètres au-dessus du sol.

Une fois la supercherie révélée, Spiegel a discrètement changé son article du 14 juillet :

Image créées par Achtung Reichelt . 

Spiegel a changé le texte de gauche où il était question de « beaucoup de morts à cause de la chaleur » par celui de droite qui précisait que « la mesure de 48°C n’étaient pas la température habituelle de l’air, qui peut être considérablement plus basse ».

Il est clair que les autorités et les médias se sont essayé à un exercice rapide de propagande à destination du public, mais qu’ils ont été rattrapés par des lecteurs attentifs.




Excellent témoignage d’un cardiologue vaxiné




Un Tweet adressé par un Suisse à Nathalie Loiseau

Par Pascal Najadi

@Najadi4Justice

Chère Nathalie,

Je crois vraiment que vous êtes soit payée pour écrire de telles accusations insensées ici sur Twitter, soit carrément pas intelligente ou, ce que j’espère sincèrement, mal informée, victime d’un lavage de cerveau.

Laisse-moi te le dire ici sans détour et sans prendre de courbes inutiles pour m’expliquer au bénéfice de ton intellect.

Je suis triplement Pfizer ARNm injecté, 2021, dernier booster décembre 2021.

Quand j’ai appris par Pfizer en octobre 2022 que leur soi-disant « vaccin » n’avait pas été testé avant d’être commercialisé, j’ai décidé de porter plainte contre le président suisse et le ministre de la Santé Alain Berset.

L’affaire a été rejetée fin avril 2023 par le procureur fédéral Nils Eckmann, à Berne.

J’ai ensuite, par l’intermédiaire de mon avocat expert en droit pénal, le Dr Walter Haefelin, poursuivi le procureur fédéral devant la Cour pénale fédérale de Suisse le 6 mai 2023 pour ne pas avoir ouvert une enquête criminelle contre Alain Berset pour abus de pouvoir et pour sa politique catastrophique et mortelle de mandat Covid Vacc et de coercition qu’il a exécutée en Suisse. 

Berset a soudainement et totalement démissionné de son poste de président suisse et de ministre de la Santé le 21 juin 2023.

Voilà où nous en sommes dans mon pays.

Je suis suisse avec aussi une citoyenneté britannique, mais je suis né et j’ai grandi en Suisse, un ancien officier de l’armée de l’air suisse et mon grand-oncle maternel Rudolf Minger était le président jusqu’à et pendant la Seconde Guerre mondiale et le fondateur de l’armée suisse moderne ainsi que le fondateur du plus grand parti politique, l’UDC.

Jusqu’aux opérations psychologiques de Covid, je n’ai jamais été antivaxx.

Mais depuis, mon opinion a changé de 180 degrés, en raison de ma triple maladie auto-immune diagnostiquée en phase terminale de l’ARNm de Pfizer et d’autres blessures graves de l’ARNm de Pfizer.

J’ai plus de 180 pg/ml de pics toxiques dans mon sang, mesurés en février 2023 par le professeur Dr König en Allemagne.

Je suis ton spécimen vivant de mort lente, exemple d’une des millions blessures ARNm ou pire, de morts subites.

Aujourd’hui, nous savons que des éléments malhonnêtes de la DARPA, l’armée américaine, ont conçu ces substances ARNm comme une arme biologique et ont pris le contrôle de leur développement et de leur déploiement dans le monde entier.

La guerre des labels Pfizer et Moderna n’a servi que d’agents de démonstration et d’exercice d’image de marque pour les labels.

Tu dois comprendre que ces soi-disant vaccins Covid n’ont jamais été conçus pour protéger de la Corona, mais pour nuire et tuer, c’est une arme biologique et la recherche sur la fonction spike protein a été menée par le Dr Fauci et le Dr Baric à Wuhan en Chine de 2012 à 2014 pendant les sanctions sur la recherche d’armes biologiques imposées aux États-Unis et au Canada, ce qui constitue déjà une violation flagrante de ces sanctions.

Nathalie, je suis en train de mourir au ralenti.

Je suis un banquier d’affaires international qui a conseillé des chefs d’États et des ministres dans des crises incluant le Continent africain, tout le Moyen-Orient, ex Iran, La Fédération de Russie, l’Asie centrale et l’Europe centrale de 1990 à 2008.

Je ne suis pas un manifestant alternatif, un anti-vaxx, un casseur ou quoi que ce soit de ce genre.

Je représente l’establishment, mais j’ai rompu avec eux, car ils ont manifestement et ouvertement attaqué l’humanité avec une exécution de dépopulation planifiée de la sorte la plus perverse et la plus odieuse depuis que l’humanité enregistre des temps.

Vous ne pouvez pas et ne devriez jamais nous accuser, nous les victimes et les scientifiques, d’être des complotistes ou quoi que ce soit d’approchant.

Nous sommes ici pour alerter l’humanité et, nous l’espérons, la sauver de la mort.

L’OMS, tous les éléments des gouvernements voyous et les millions de médecins criminels qui ont injecté 5,7 milliards d’humains avec intention seront traduits en justice.

Je vous le promets jusqu’à mon dernier souffle et aussi longtemps qu’il me sera permis d’exister dans cette dimension.

En fait, en tant que Russe orthodoxe et croyant, j’ai demandé à Dieu de prendre les choses en main et de ne pas attendre ma dernière heure d’inactivité après ce que j’ai dû apprendre à mes dépens.

L’humanité d’abord, Nathalie, c’est aussi ce que tu devrais promettre de ton vivant et si ce n’est pas le cas, que Dieu te vienne en aide.

Ton insulte à nous les victimes et aux scientifiques qui révèlent le plus grand génocide de tous les temps m’a blessé personnellement, mais je te pardonne et j’espère que tu te réveilleras.

Je termine cette lettre avec Platon : « Et la qualité d’un bon jugement est clairement une forme de connaissance et de compétence, car c’est grâce à la connaissance et non à l’ignorance que nous jugeons bien. »

Avec tous mes bons vœux,

Sincèrement, Pascal Najadi, Suisse




Gardasil : inutile, ruineux et dangereux !

[Source : @LeLibrePenseur.org]

Diffusion de la conférence du Dr Gérard Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Nicole Delépine, Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de l’utilité ou non du vaccin contre le cancer du col de l’utérus (Cervarix, Gardasil) qu’il estime « inutile, ruineux et dangereux » ! Les preuves sont nombreuses, elles sont toutes issues des chiffres épidémiologiques officiels de plusieurs pays occidentaux. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.



Diapositives de la conférence




Coût des émeutes en France

[Source : boursorama.com]

[Photo : un véhicule brûlé devant une école de Lormont, près de Bordeaux.
AFP/PHILIPPE LOPEZ]

Les violences urbaines en France de la fin juin ont entraîné des dégâts estimés à 650 millions d’euros, d’après la fédération des assureurs. La SMACL, le principal assureur de collectivités durement touchées, tire le signal d’alarme face à un risque « systémique ».

« Nous ne pouvons pas faire face seuls au risque d’émeutes ou de mouvements populaires ». Dans les colonnes des Échos, le directeur de la SMACL, principal assureur des collectivités locales, ne cache pas les difficultés connues par son groupe après la flambée de violences fin juin en France, qui devrait coûter 100 millions d’euros à l’assureur. Cette somme est cinq fois supérieure à celle ayant résulté des émeutes urbaines de 2005, rapporte les Échos.

« Le risque est systémique et couvre l’ensemble du territoire, contrairement aux tempêtes qui concernent quelques communes à la fois. Cela pose la question de l’assurabilité des collectivités locales sur ce risque », juge Patrick Blanchard, dans les colonnes du quotidien d’information économique, mardi 18 juillet.

Au total, la fédération France Assureurs avait estimé que les nuits de vandalisme ont causé des dégâts estimés à 650 millions d’euros. 481 collectivités ont déclaré avoir subi des dégradations ou des incendies sur leur mairie, école, ou bâtiment de police municipale. Parmi elles, les trois quarts sont assurées à la SMACL, rapporte Les Échos.

Pas de soutien de l’État en vue

« Après les sinistres climatiques exceptionnels de 2022, nous avions prévu un plan de retour à l’équilibre en 2024. Il est trop tôt pour savoir si cela sera possible, mais nous serons dans tous les cas déficitaires cette année », met-il en garde. De quoi s’interroger sur la solvabilité de l’assureur ? « La solution passera par une recapitalisation ou une autre voie, mais nous n’envisageons pas de soutien public », répond-il.

Dans un communiqué, la présidente de France assureurs Florence Lustman avait indiqué que les neuf dixièmes « du coût (…) concernent les 3 900 biens des professionnels et des collectivités locales sinistrés ». Le reste concerne essentiellement des dégâts subis par des particuliers, dont les véhicules notamment ont été dégradés. La fédération a décompté 11 300 déclarations de sinistres liées aux violences nocturnes.




Pour en finir avec les éoliennes — Partie 1 : des promesses aux réalités

[Source : Le Fil d’Actu – Officiel]




Opération Toussaint – Tim Ballard / Operation Underground Railroad

[Source : @JeanneTraduction ou @quantumleaptraduction]

💪 Tim Ballard a quitté son poste d’agent spécial du ministère américain de la sécurité intérieure pour fonder O.U.R. [Operation Underground Railroad]. Grâce à cette organisation, Tim et son équipe planifient des opérations d’infiltration pour sauver des enfants victimes de trafic sexuel dans le monde entier. À ce jour, ils ont sauvé des centaines d’enfants de conditions horribles, ce qu’il n’était pas en mesure de faire lorsqu’il était lié par des restrictions gouvernementales. Découvrez O.U.R. et sa mission de mettre fin à l’esclavage moderne en rejoignant Tim et son équipe de forces spéciales lors d’une mission secrète en Haïti, pour traduire en justice un réseau de trafiquants sexuels qui ont soudoyé les autorités pour échapper à la prison. L’opération Toussaint (2018).

[Note de Joseph : le film Sound of Freedom est basé en partie sur l’histoire de Tim Ballard, mais le reste est totalement fictif. Il semble y avoir un autre côté à la médaille ici aussi. Voir notamment :
Lien direct entre les fondations/organismes chargés de dénoncer la traite d’enfants et les SOCIÉTÉS PRIVÉES de « BIG DATA » ?
Plus on creuse et plus le trou est profond, ténébreux et crasseux…
Le film « Sound of Freedom » ne révèle pas qui sont les trafiquants d’enfants et comment y mettre fin
et sa suite (en anglais) :
Le film Sound of Freedom aurait été financé par des milliardaires philanthropes liés à la traite des êtres humains qui apporte des éléments probants et forts troublants concernant un lien entre les réseaux pédophiles et ceux qui financent certains mouvements (ou des organisations) prétendument destinés à lutter contre ces mêmes réseaux et qui ont également financé le film Sound of Freedom. Cela relève alors du même mécanisme que pour la fameuse « opposition contrôlée » dans la complosphère.
On peut toujours objecter que l’important est de dénoncer la pédophilie pour qu’un maximum de personnes en prenne conscience. Cependant, si on ne s’attaque pas au fond du problème et aux plus hauts responsables, cela ne dérangera pas vraiment les réseaux pédophiles qui remontent jusqu’au sommet des diverses hiérarchies et ont une extension mondiale. Ne s’en prendre qu’à des pions ou à des fusibles ne représente qu’une égratignure sur la peau de la pieuvre alors que ses divers tentacules et son cerveau restent intacts.
Pour l’instant, dès que des dénonciateurs fournissent trop de preuves et de noms, ils sont systématiquement éliminés, comme le montre « Suicidés ».
N’oublions pas non plus que les élites sont passées maîtres dans l’art de manipuler les individus en jouant notamment sur les émotions. Et le film Sound of Freedom, au dire des spectateurs, remue fortement les trippes.]

🤝 Participants à ce projet :

Quantum Leap Traduction : https://odysee.com/@quantumleaptraduction:2
Quadrillage Traduction : https://odysee.com/@QuadrillageTraduction:1
Le Déclencheur : https://odysee.com/@Q…uestions:6
Elo Trad : https://odysee.com/@Elo:84
Quartz Traduction : https://odysee.com/@Quartz:1
L’Aile à Stick : https://odysee.com/@laileastick:4
Vivre Sainement : https://odysee.com/@Vivresainement:f
Anais Tea : https://odysee.com/@anaïstea:0
Akina : https://odysee.com/@AKINA:7
Merci à Karoline pour le doublage !






Le journaliste Serge Garde s’exprime sur la difficulté de dénoncer la pédophilie en France

[Voir aussi :
https://pedopolis.com/category/les-sources/qui-ose-parler/serge-garde/,
https://www.decitre.fr/livres/le-livre-de-la-honte-9782862749167.html
et
Serge Garde, réalisateur du documentaire « Outreau, l’autre vérité »]




Conférence Dr Nicole Delépine : STOP au sabotage de l’école et à la sexualisation de l’enseignement

[Source : Salim Laïbi]

Conférence du Dr Nicole Delépine réalisée à Paris le 1er juillet dernier avec les Drs Gérard Delépine, J.-M. Sabatier, Alexandra Henrion-Caude ainsi que Salim Laïbi. Il sera question dans cette intervention de la dangereuse dérive de l’Éducation nationale, de l’école publique, qui perd le nord, qui ne remplit plus sa mission d’instruction publique auprès des nouvelles générations. C’est un véritable sabotage du pilier central de toute civilisation, l’enseignement des enfants, avec une chute spectaculaire du niveau scolaire et du classement international de l’école française. Et comme ce n’est pas suffisant, il fallait que les autorités politiques introduisent dans cette école en perdition l’enseignement de la sexualité aux plus jeunes ! Le Dr Nicole Delépine de sensibiliser la population sur le danger de cette dérive en l’informant et en la poussant à réagir. Merci de partager l’info puis la vidéo au plus grand nombre.

[Voir aussi :
Günther Anders et L’Obsolescence de l’homme
Gunther Anders et le virus de la télévision
Jean-Paul Brighelli sur l’école : de la fabrique du crétin au consommateur semi-illettré
Le déclin de l’intelligence et l’appauvrissement du langage
L’inculture organisée dès les années 60 et la tragédie de l’ignorance généralisée
Profs, parents, élèves, unissez-vous !]




France — ALERTE : la loi visant à protéger les mineurs risque d’être abrogée le 21 juillet 2023

[Source : @WendigoFuriosa]

La loi visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste du 21 avril 2021 est remise en question par la saisine du Conseil Constitutionnel avec 3 avocats qui remettent en question deux articles en particulier. Ceux-ci remettent sur le devant de la scène le débat sur le consentement ce qui est très dangereux. Et tout cela se passe dans l’indifférence totale puisque personne n’est au courant ! Le Conseil Constitutionnel rendra sa décision le 21 juillet 2023.

Source : https://www.conseil-constitutionnel.fr/decisions/affaires-instances affaire 2023-1058 QPC

Pédoland a déjà un fort pouvoir en France, le simple fait d’avoir la possibilité de plaider le retour du viol légal sur les mineurs dans un silence médiatique assourdissant, c’est une preuve d’influence notoire. L’influence se mesure à la possibilité de crier sur tous les toits de certains, ou d’autres à étouffer. Pédoland écrase par moment les journalistes, et les policiers qui enquêtent sur la pédophilie, en Angleterre, en France et ailleurs. Pour plus d’infos, il y a les vidéos de Sofzilog et du lapin du futur.

Commentaire de @julienmartin4908




L’Ukraine dans l’OTAN ?

[Source : Sud Radio]

Jacques Baud :

« C’est difficile d’accepter un pays qui a autant de casseroles. »




Un groupe international d’avocats s’oppose à la prise de pouvoir de l’OMS

[Source : information645.wordpress.com]

Lundi, un groupe d’avocats de dix pays a publié une déclaration exprimant son opposition au traité sur la pandémie proposé par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), officiellement connu sous le nom de CA+ de l’OMS, et aux amendements au Règlement Sanitaire International (RSI).

Au cours du week-end du 30 juin au 2 juillet, le premier congrès international des avocats d’Anwälte für Aufklärung eV (avocats de traduction anglaise pour les Lumières eV) s’est tenu à Cologne, en Allemagne. Le congrès s’est concentré sur le RSI et le Traité sur la pandémie. Une alliance solide d’avocats de toute l’Europe, soutenue par des avocats du monde entier, se forme contre le Traité de l’OMS sur la pandémie. « Nous, les juristes, disons : Non au totalitarisme. Des déclarations claires des avocats sur les plans visant à faire de l’OMS une sorte de “gouvernement mondial de la santé” : Nous disons NON ! », a tweeté dimanche le Dr Alexander Christ. Vous trouverez ci-dessous leur communiqué de presse à la fois les images tweetées telles que tweetées par Markus Haintz et le texte extrait des images. Lectures complémentaires d’Anwälte für Aufklärung eV (« AfA ») :

Communiqué de presse de Lawyers for Enlightenment eV Cologne, 3 juillet 2023

Des avocats de dix pays ont abordé les questions du traité de l’OMS sur les pandémies et de l’amendement prévu du Règlement sanitaire international lors d’un congrès international d’avocats qui s’est tenu ce week-end à Cologne. En tant qu’hôtes du congrès, nous, les Anwalte fur Aufklarung e. V. (Avocats pour les Lumières) d’Allemagne, avons invité à une conférence de presse aujourd’hui, à laquelle ont participé des avocats d’Autriche, de Suisse, du Liechtenstein, de France, d’Espagne, d’Italie, de la République tchèque, des Pays-Bas, d’Israël et d’Allemagne, entre autres.

Les principaux résultats de la réunion : Nous, avocats, rejetons le projet de rédaction d’un traité pandémique de l’Organisation mondiale de la santé OMS et de modification du règlement sanitaire RSI. En particulier, nous appelons les États européens à ne pas participer aux plans visant à conférer à l’avenir à l’OMS des droits étendus pour déclarer de futures pandémies ainsi qu’à établir des réglementations pour lutter contre ces pandémies, que les États membres devraient alors se conformer obligatoirement et sans autre possibilité d’intervention ou de révision nationale.

Afin de pouvoir réagir plus efficacement et plus clairement à l’avenir aux violations des droits humains fondamentaux et aux restrictions de la liberté et des droits fondamentaux des populations par les États démocratiques, les avocats réunis à Cologne se sont regroupés pour former une Association internationale des avocats, l’Association internationale des avocats pour les droits de l’homme (IAL). 27 signatures des premiers signataires figurent sur l’acte fondateur de l’association des avocats, qui s’étoffera de manière décisive dans les semaines à venir. Derrière la fondation se trouvent, entre autres, les Avocats pour les droits fondamentaux/Attorneys for Enlightenment Autriche, les Avocats pour les Lumières e. V. Allemagne, des membres du Comité des Avocats de Suisse, des avocats de l’association espagnole Units per la Veritat, pour n’en citer que quelques-uns à titre d’exemple.

La conférence sert à étendre la coopération internationale des juristes qui ont déjà abordé de manière critique l’illégalité des mesures étatiques et la fragilité de l’État de droit national au cours de la période Corona. Ces développements indésirables sont portés au niveau d’organisations supranationales telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui, à l’aide du traité sur les pandémies, devrait être en mesure de contourner les droits de souveraineté nationaux et européens en cas de pandémie future.

À cela s’opposent les juristes réunis à Cologne qui, en revanche, s’attachent au strict respect des droits de l’homme, des libertés et droits fondamentaux. Le principe fondamental ici est le suivant : la dignité humaine est inviolable. La Charte des Nations Unies, dont découle la Déclaration universelle des droits de l’homme, le Pacte des Nations Unies relatif aux droits civils et politiques et aux droits économiques et sociaux, et la Convention européenne des droits de l’homme revendiquent tous une validité indispensable. Celles-ci ne peuvent en aucun cas être effectivement ou de facto invalidées par un traité pandémique de l’OMS, même et surtout pas en période de pandémie ou d’autres crises sanitaires.

Nous, avocats, défendons : la protection des principes fondamentaux de l’État de droit démocratique, une stricte séparation des pouvoirs au sens du principe de « freins et contrepoids », le principe de légalité, le droit à l’autodétermination des peuples, pour le principe selon lequel tout pouvoir doit émaner du peuple, pour la liberté d’information et surtout pour une interdiction totale de la censure dans tous les États.

Tous ces principes sont contredits par le contenu du soi-disant « WHO Pandemic Treaty », qui est en cours d’élaboration, et les modifications attendues de l’« International Health Regulations » (RSI), qui doivent être soumises pour décision à l’OMS. Assemblée générale en 2024. Selon l’état actuel des connaissances, consultable entre autres sur le site internet du Conseil européen, le traité pandémie et les amendements au RSI visent à faire entrer l’Organisation mondiale de la santé dans le rôle d’un « gouvernement mondial de la santé » en tant que super organisation supranationale et mondiale. À l’avenir, l’OMS sera notamment chargée des tâches suivantes :

  • détection précoce et prévention des pandémies, ce qui nécessite la mise en place d’un système mondial d’alerte précoce et de surveillance sans lien de cause à effet ;
  • création et renforcement de l’OMS en tant qu’autorité de coordination pour les questions de santé mondiale, ce qui aurait pour effet de déresponsabiliser les autorités sanitaires nationales et locales et donc de contredire fondamentalement le principe de subsidiarité ;
  • renforcement de la coopération internationale dans des domaines tels que la surveillance, les alertes et la réponse, ce qui reviendrait à établir un système mondial de surveillance des citoyens par les États, appliqué par l’OMS ;
  • et lutte contre la « désinformation » dans le monde entier, ce qui équivaudrait à instaurer la censure.

Du point de vue de nous, avocats, les quatre objectifs conduiraient à un système mondial de surveillance et de paternalisme de l’OMS d’une manière intolérable qui contredit fondamentalement les principes de l’État de droit. Parmi les principes qui revendiquent une validité indéfectible, le premier à mentionner est l’autodétermination individuelle, qui, surtout dans une crise telle qu’une véritable pandémie, doit toujours avoir la priorité sur le paternalisme étatique, voire supranational. Deuxièmement, il y a le principe de subsidiarité, selon lequel un état supérieur ou une unité sociale ne peut intervenir pour aider et reprendre des fonctions que si les forces de l’unité subordonnée ne sont pas suffisantes pour remplir la fonction nécessaire. Surtout en cas de pandémie, la priorité doit toujours être donnée à la prise de décision locale sur les mesures nécessaires.

Lors de la dernière pandémie de Corona, par exemple, l’OMS a montré, par un échec global, qu’elle n’était à aucun moment en mesure d’évaluer correctement la situation. Le transfert de pouvoir à une organisation anonyme, non légitimée démocratiquement, dotée de structures mafieuses, alimentée par des sources d’argent douteuses et proche du lobby pharmaceutique — pour ne pas dire plus — et qui, à l’avenir, sera en mesure de déterminer de manière incontrôlée quand une pandémie s’est déclarée, quand elle est terminée et comment les populations du monde entier doivent alors se comporter, doit être résolument rejeté.

Nous, juristes, disons : Non au traité pandémique de l’OMS et Non à l’amendement du Règlement sanitaire international !

Dr Alexander Christ, porte-parole AnwSite fur Aufldarung eV, Hohenzollerndamm 112, 14199 Berlin, kontaktaafaev.de vrww.afaev.de




Ce n’est pas à l’État d’éduquer nos enfants ! Réactualisons l’autorité parentale

Par Nicole Delépine

Le rôle de l’éducation nationale est d’instruire les enfants, de leur apprendre à lire, compter, leur enseigner l’histoire, la géographie, les sciences et la morale en développant leur esprit critique et le goût du dialogue et le doute fertile.

Celui des familles est d’éduquer leurs enfants selon leurs valeurs philosophiques et religieuses propres dans le respect des autres. C’est ce qu’a récemment rappelé1 le maire de Nice (Christian Estrosi), comme bien d’autres.

Tout être humain est unique, tout être humain est différent. Il l’est dès la naissance du fait de la loterie chromosomique. Il enrichit sa singularité par l’éducation que lui procure sa famille et les expériences de sa vie.

Mais l’État veut uniformiser les enfants et les transformer en robots obéissants. Depuis des décennies, il empêche les familles d’exercer pleinement leur autorité éducative en obligeant les enfants à aller à l’école dès 3 ans, en décrédibilisant les valeurs familiales, en sapant l’autorité des pères, en rappelant sans cesse aux enfants leurs droits2 sans leur rappeler leurs devoirs et en les endoctrinant à l’école, que ce soit sur le réchauffement climatique [ou autre chose].

L’éducation sexuelle chez les plus jeunes, sous prétexte de faciliter l’inclusion d’infimes minorités sexuelles comme les trans (0,2 % de la population)…

L’État et les médias qu’il subventionne ont constamment dénigré et nié le rôle éducatif des pères que notre système politico-socio-judiciaire a transformé en spectateurs impuissants de la faillite de l’école et de la disparition des repères moraux. Le nombre de familles monoparentales a explosé, et cette situation grève les finances publiques par l’explosion du nombre de demandes de prestations sociales de mère supposée isolée, et aggrave la carence éducative et morale ambiante.

Mais en sapant l’autorité nécessaire à l’éducation, on crée des barbares qui brûlent écoles, bibliothèques et mairies.

« Deux claques et au lit »

(Hugues Moutouh préfet de l’Hérault)3

Bruno Beschizza, maire d’Aulnay-sous-Bois, se montre plutôt d’accord avec la « méthode »4 :

« Je suis moi-même papa de cinq enfants. Demain, pour une gifle, je suis convaincu que dans la bien-pensance ambiante, il y aura un voisin qui portera plainte contre moi pour maltraitance. Hier, on a critiqué un préfet qui a osé dire “deux baffes et tu rentres à la maison”. Je pense qu’il faut revenir à cela. Les papas étaient absents. J’ai des mamans qui me disaient : “Monsieur le maire, on a vu des images d’un papa qui est descendu, a mis son gosse dans le coffre, on rêve de pouvoir faire ça”. »

« On a tellement décrédibilisé et critiqué, l’autorité, la notion de famille même.

Aujourd’hui, le papa ne descend plus parce qu’il ne se considère même plus comme papa. La maman, elle vous dit : “Mais comment je fais ?”. Le prof, il dit : “Je ne peux plus engueuler mon élève parce que sinon, les parents vont venir et peut-être entamer une procédure contre moi”. Dans ces conditions, aucune loi ne peut être intégrée, sauf celle du plus fort.

Pour un parent, poser un interdit cohérent nécessite de souhaiter avoir un enfant aimable pour les personnes extérieures à la famille et qui ait envie d’être un citoyen, mais aussi d’accepter de ne pas être aimé temporairement par son enfant. À notre époque, les interdits ne sont plus “portés” par le groupe social, beaucoup de parents ne prennent plus en compte que le regard des autres qui souligne que “ça ne se fait pas”, qui aidait les parents à réguler les comportements de leurs enfants. D’autant que beaucoup de médias tournent systématiquement en dérision toute tentative de rétablissement des interdits nécessaires. »

Il est pourtant devenu indispensable de relégitimer un principe d’autorité très ferme à tous les niveaux (dans la famille, à l’école, envers la police, etc.) pour améliorer notre fonctionnement collectif et empêcher la perte de toute notion de « bien commun ».

Pour cela il faut reconnaître la légitimité du rôle éducatif des pères et leur autorité naturelle pour transmettre à leurs enfants les repères et les limites indispensables à la vie harmonieuse pour tous dans une société démocratique.

Sans apprentissage du bien commun par les enfants, on aboutit aux explosions nihilistes que nous devons affronter inutilement. La crise que nous venons de subir n’est pas uniquement liée à un conflit de civilisation entre Algériens d’origine et Français de souche : les jeunes de nos banlieues qui séjournent en Algérie où l’éducation des parents n’est pas entravée par les lois et qui s’y comportent comme en France sont rapidement rappelés à la raison par leurs proches.

Il faut rétablir l’autorité éducatrice des parents pour ne pas être contraint à utiliser la force de la police ou de l’armée comme derniers remparts de la démocratie.





Déficit de naissances en Australie






Censure aux USA : selon le gouvernement Biden, la liberté d’expression est « une idéologie conservatrice »

Bataille judiciaire sur fond de campagne électorale

[Source : sentadepuydt]

Par Senta Depuydt

À l’heure où Donald Trump et Robert F. Kennedy Jr, 2 candidats à la présidence sont encore censurés sur la plupart des chaînes mainstream et des réseaux sociaux, la censure et le contrôle de l’information revêtent plus que jamais une importance capitale. Nul besoin d’accuser les Russes dans la manipulation des élections, puisqu’il apparaît clairement que les démocrates installés à la Maison-Blanche sont à la manœuvre avec la complicité du FBI et qu’ils considèrent aujourd’hui la liberté d’expression comme « une idéologie conservatrice ».

D’après un article publié sur Children’s Health Defense le 6 juillet 2023

Un juge républicain interdit « la campagne de censure à grande échelle » du gouvernement Biden

Moins de 24 heures après qu’un juge fédéral ait prononcé une interdiction temporaire à plusieurs fonctionnaires clés de l’administration Biden et à des agences fédérales de communiquer avec des plateformes de médias sociaux, l’administration Biden a déclaré qu’elle ferait appel de la décision.

La décision rendue le 4 juillet par le juge Terry Doughty du tribunal fédéral de district pour le district occidental de Louisiane, division Monroe, indique qu’il existe des « preuves substantielles » que le gouvernement a violé le premier amendement en s’engageant dans une campagne de censure à grande échelle qui cible les contenus critiquant les récits de la doxa sur le COVID-19.

Cette interdiction temporaire s’inscrit dans le cadre d’une action en justice intentée en mai 2022 par les procureurs généraux du Missouri et de la Louisiane, ainsi que par plusieurs experts médicaux et journalistes, qui affirment que les plateformes de médias sociaux ont censuré leurs points de vue, qui allaient à l’encontre du discours officiel du gouvernement.

En réponse, le ministère américain de la Justice (DOJ) a déposé mercredi une motion d’appel.

Selon The Hill, « l’appel du ministère de la Justice sera porté devant la Cour d’appel du 5e circuit, basée à la Nouvelle-Orléans. Elle est principalement composée de juges nommés par le parti républicain ».

The Hill cite un fonctionnaire anonyme du ministère de la Justice qui a déclaré que l’agence « s’attend à demander un sursis à la décision du tribunal de district ».

La Maison-Blanche s’accroche aux justifications sanitaires

Répondant à une question d’un journaliste lors de la conférence de presse de mercredi à la Maison-Blanche, la secrétaire de presse de la Maison-Blanche, Karine Jean-Pierre, a déclaré : « Écoutez, nous ne sommes pas d’accord avec la décision, mais je m’en tiendrai là. »

Selon le Washington Post, Mme Jean-Pierre a déclaré que l’administration Biden avait été « cohérente » dans ses interactions avec les plateformes Big Tech, ajoutant qu’elle « continuerait à promouvoir des actions responsables pour favoriser la santé, la sûreté et la sécurité publiques face à des défis tels qu’une pandémie mortelle et des attaques étrangères contre nos élections ».

« Notre point de vue reste que les plateformes de médias sociaux ont la responsabilité essentielle de prendre des mesures ou de tenir compte des effets de leurs plateformes sur le peuple américain, mais de faire des choix indépendants quant aux informations qu’elles présentent », a ajouté Madame Jean-Pierre.

Le Washington Post a critiqué la décision de mardi, affirmant que « l’ordonnance est sur le point d’avoir un effet dissuasif sur les efforts des entreprises pour se prémunir contre la désinformation, alors qu’elles s’efforcent de déterminer quels types de partenariats sont autorisés ».

Yoel Roth, ancien responsable de la confiance et de la sécurité chez Twitter, a également critiqué la décision de mardi, déclarant au Post : « Il y a tellement de choses qui ne vont pas avec cette décision — notamment le fait qu’elle nous rendra moins sûrs à l’approche des élections de 2024. »

Roth a fait l’objet de plusieurs révélations sur les « dossiers Twitter », notamment des documents montrant qu’il a échangé plus de 150 courriels avec le FBI, et en particulier avec l’agent du bureau à San Francisco, Elvis Chan, entre janvier 2020 et novembre 2022, en référence aux demandes du FBI de « prendre des mesures » sur les messages hébergés sur cette plateforme.

Chan, l’un des accusés cités dans l’affaire Missouri v. Biden, a fait une déposition sous serment dans le cadre de cette affaire, déclarant que le FBI avait mis en place un poste de commandement avant les élections de 2020 et 2022, envoyant des messages liés aux élections sur Twitter et d’autres plateformes de médias sociaux.

Le Washington Post, ainsi que des médias tels que l’Associated Press, Reuters et la BBC, constituent la partie adverse du procès antitrust intenté par Children’s Health Defense, pour leur rôle présumé dans la censure de récits non officiels sur le COVID-19 et d’autres sujets, à travers leur participation à la Trusted News Initiative, un « partenariat industriel » comme ils se décrivent eux-mêmes.

La liberté d’expression une « idéologie politique conservatrice »

Le procès, intenté devant le même tribunal que celui qui a rendu la décision de mardi dans l’affaire Missouri v. Biden, a également été confié à M. Doughty.

L’analyste juridique de CNN, Elie Honig, a également critiqué l’injonction de mardi, affirmant que la liberté d’expression est « une idéologie politique conservatrice » et que les références de la décision « remettant en question les vaccins, remettant en question les masques » sont des « points de discussion conservateurs ».

M. Honig a qualifié la décision de M. Doughty de « contraire au conservatisme judiciaire », qui cherche au contraire à « microgérer l’ensemble du pouvoir exécutif […] et les principales entreprises de médias sociaux ».

« Il s’agit d’une opinion judiciaire très activiste », a ajouté M. Honig.

Les agences fédérales restent dans l’attente

Néanmoins, selon le Washington Post, certaines agences fédérales ont annulé des réunions prévues avec des entreprises de médias sociaux à la suite de l’injonction de mardi.

Le W. Post rapporte que des fonctionnaires du département d’État américain ont informé Facebook que les réunions mensuelles entre les deux sociétés ont été « annulées dans l’attente de nouvelles orientations », ajoutant que l’Agence pour la cybersécurité et la sécurité des infrastructures pourrait prendre la même mesure.

Toujours selon ce journal, « l’annulation des réunions régulières entre Meta, la société mère de Facebook — la plus grande entreprise de médias sociaux au monde — et les agences gouvernementales américaines montre l’impact immédiat de l’injonction de mardi ».




Entre cent et deux cent mille émeutiers en France – Un record depuis la Révolution ?

[Source : fdesouche.com]

[Photo : © Corentin Fohlen/ Divergence]

Pierre Brochand (ex-patron de la DGSE) sur les émeutes : « On peut évaluer entre 100 000 et 200 000 le nombre d’émeutiers » ; « Rien de comparable ne s’est produit dans les villes françaises depuis la Révolution de 1789 »

Après les émeutes, « le pronostic vital du pays est engagé », affirme l’ancien directeur général de la DGSE au Figaro Magazine.

Pierre BROCHAND : (…) « L’interdiction », à savoir la fermeture des frontières au nom du principe de précaution (la voie polonaise), n’a jamais été sérieusement envisagée chez nous, les frères jumeaux de l’humanisme et de l’économisme se donnant la main pour y veiller.

(…) En termes d’amplitude, les statistiques officielles donnent à penser — aux historiens de le vérifier — que rien de comparable ne s’est produit dans les villes françaises depuis la Révolution de 1789 ou, au minimum, les semaines ayant suivi la Libération. En particulier, on ne peut être qu’effaré par l’extraordinaire prolifération de la dimension délinquante, sorte de jaillissement paroxystique de la surcriminalité endémique des diasporas. Malheureusement, ces informations taisent le nombre de protagonistes, que l’on peut évaluer très approximativement entre 100.000 et 200 000 personnes (en appliquant le ratio optimiste de 1 % aux effectifs appréhendés chaque nuit). Estimation au doigt mouillé, mais qui permet, au moins, de mettre en doute le cliché rassurant de « l’infime minorité ».

(…) Un deuxième caractère inédit est la propagation des troubles dans les très petites villes de province, jusque-là tranquilles, reflet inquiétant de la dissémination de l’immigration sur l’ensemble du territoire, parfois à l’instigation des pouvoirs publics.

(…) Pour ma part, je qualifierai la présente catastrophe de « soulèvement ou révolte contre l’État national français, d’une partie significative de la jeunesse d’origine extra-européenne présente sur son territoire ». Avec, pour enjeu principal, le monopole de la violence légitime sur ce même espace. Formulation certes alambiquée, mais qui me paraît décrire, au plus près, le stade de décomposition auquel nous sommes parvenus. En attendant mieux.

(…) C’est pourquoi l’accusation de « racisme » est la clé de voûte du système, lequel se ramène à la mise en examen permanente du peuple français, que des « indices graves et concordants » chargent de tous les malheurs de la terre : guerres mondiales, colonisation, génocide juif, réchauffement climatique, indifférence aux noyades, etc.

Le but est de confiner les mentalités dans le très étroit couloir de pensée, défini par l’État de droit (autre appellation de la SDI), dont il est la condition nécessaire, encore qu’insuffisante, de la viabilité. Ainsi, pour empêcher les « dérapages » et les franchissements de lignes jaune ou rouge, hors du corridor, a été mise en place une peine de mort sociale, moins douloureuse que celle physique, mais tout aussi effective, infligée aux seuls réfractaires à la xénophilie obligatoire.

Car, nous en sommes là, pris au piège d’un simple mot — « racisme » —, détourné de son sens originel, pour englober tous ceux qui se posent la question de savoir si l’idéologie, que je viens de décrire, ne nous précipite pas dans un gouffre.

(…) J’ai représenté notre pays à Budapest, combien de fois n’y ai-je entendu « Nous avons le privilège de voir, en avant-première, les dégâts que l’immigration non européenne cause chez vous, nous ne voulons surtout pas vous imiter ». (…)

Lire l’intégralité de l’article dans Le Figaro




Médecine du Sens — Comprendre pour guérir

Un documentaire de Jean-Yves Bilien

À la mémoire du Dr Olivier Soulier

C’était l’anniversaire d’Olivier  mardi 4 juillet 2023, 67 ans…

J’ai rencontré Olivier la première fois au congrès du GNOMA  en 2004 où il donnait une conférence. 
 
Durant presque 10 ans nous avons partagé des rires, des larmes, des vacances, du travail… 
 
Puis nous  avons pris des chemins différents, c’est ainsi.
 
Il a rejoint notre ami, le psychanalyste Willy Barral, décédé lui aussi d’un arrêt cardiaque et pour qui Olivier éprouvait une affection immense, une passion intellectuelle et fraternelle. La disparition de Willy le marqua profondément. 
 
Olivier aura apporté une vraie réflexion authentique, nouvelle, sur cette fameuse question du sens et du décodage des maladies.
 
Je pense à son fils Louis.
 
Paix à son âme
 
Amicalement 
Jean-Yves Bilien

Lien du film réalisé en 2013 :

https://play.vod2.infomaniak.com/single/1jhvl2uqgrwax/1jhvl2uqfelke/1jhvl2uqgrwcp.mp4






Guerre aux pédophiles : Mel Gibson vous invite à voir « Sound of Freedom »

[Source : medias-presse.info]

Par Pierre-Alain Depauw

Le film Sound of Freedom qui sort aujourd’hui dans les salles de cinéma des États-Unis — raconte l’histoire courageuse de l’agent de sécurité Tim Ballard et son combat pour sauver les enfants des mains des trafiquants et prédateurs sexuels. L’acteur catholique Jim Caviezel, connu pour son rôle dans La Passion du Christ, assume le rôle principal dans ce film puissant.

Le célèbre interprète et cinéaste Mel Gibson a invité tout le monde à assister à la projection du nouveau film d’Eduardo Verástegui, intitulé Sound of Freedom, qui aborde le problème du trafic des enfants et des réseaux pédophiles.

Mel Gibson, qui possède une vaste expérience dans la réalisation de films catholiques tels que La Passion du Christ, a déclaré dans une vidéo diffusée sur le compte Instagram officiel d’Eduardo Verástegui que l’un des problèmes les plus préoccupants de notre monde aujourd’hui est le trafic sexuel des enfants.

« Notre avenir, ce sont les enfants. Maintenant, la première étape pour éradiquer ce crime est de prendre conscience. Allez voir Sound of Freedom », a ajouté Gibson.

Le film Sound of Freedom, produit par Angel Studios, raconte l’histoire de la première mission entreprise par l’agent de sécurité américain, Tim Ballard. Après avoir libéré un garçon des mains des trafiquants, il apprend que la sœur du petit garçon est toujours retenue en captivité.

Dans le film, l’ancien agent de sécurité prend la décision de quitter son emploi et de risquer sa propre vie en se lançant dans un périlleux voyage à travers la jungle colombienne afin de sauver la sœur du garçon.

En 2013, Tim Ballard et un groupe d’anciens agents gouvernementaux ont démissionné de leurs fonctions pour créer Operation Underground Railroad (OUR), une organisation qui opère à l’échelle mondiale en partenariat avec les forces de l’ordre pour libérer les enfants des situations d’esclavage et d’exploitation.

L’acteur Jim Caviezel, reconnu pour son interprétation de Jésus-Christ dans le film La Passion, assume le rôle de Ballard dans Sound of Freedom.




Gardasil — Laissons les enfants tranquilles

Gardasil, une vaccination dans les collèges qui fait débat

Le vaccin Gardasil ne protège pas des cancers et expose à des complications

Par Gérard Delépine




Seuls les barbares brûlent les livres, les bibliothèques ou les écoles

Par Gérard Delépine

Les livres conservent les savoirs de l’humanité et permettent leur transmission.

Les écoles en facilitent la diffusion. La destruction de la bibliothèque d’Alexandrie est partout considérée comme une perte inestimable pour l’humanité. Seuls les nazis et les barbares qu’ils ont imités étaient très fiers de réaliser des autodafés de livres.

LA BIBLIOTHÈQUE D’ALEXANDRIE : un antécédent lourd et tragique

Et voici qu’en France de 2023, qui offre des écoles et des bibliothèques gratuites à tous pour le bénéfice prioritaire des plus défavorisés, de nouveaux barbares dans une rage aveugle s’en prennent aux symboles du savoir et de la civilisation qui pourrait leur apporter ce qui leur manque.

Soixante-dix bibliothèques ont été incendiées en France entre 1996 et 2013, principalement dans des quartiers populaires. Sont-ils comme l’incendiaire d’une bibliothèque au cours des révoltes de la Commune de Paris qui ne savait pas lire1 ?

On peut comprendre l’insatisfaction de jeunes qui n’ont pas su ou voulu s’instruire à l’école et se retrouvent angoissés par leur avenir et les difficultés d’ascension sociale difficilement réalisables. Mais on ne scie pas une branche sur laquelle on peut s’asseoir. Réalisent-ils qu’ils sont de grands privilégiés si on les compare aux parents et enfants africains qui souffrent d’en manquer se battent pour obtenir des livres et aller à l’école ?

Rien, sinon l’ignorance et l’expression d’une rage qui se trompe totalement de cible peuvent expliquer des actes aussi stupides qui témoignent dramatiquement de la totale faillite de l’enseignement scolaire depuis plus de vingt ans.

Comme lieux de culte, les écoles, les bibliothèques et les hôpitaux constituent les symboles et les outils de la civilisation. Ne pas les respecter c’est refuser son humanité. Il faut à nouveau lutter et ramener à la raison les barbares !

Rappelons le poème de Victor Hugo écrit en 1872 :

À qui la faute
Tu viens d’incendier la Bibliothèque ?
– Oui. J’ai mis le feu là.

– Mais c’est un crime inouï !
Crime commis par toi contre toi-même, infâme !
Mais tu viens de tuer le rayon de ton âme !
C’est ton propre flambeau que tu viens de souffler !
Ce que ta rage impie et folle ose brûler,
C’est ton bien, ton trésor, ta dot, ton héritage
Le livre, hostile au maître, est à ton avantage.
Le livre a toujours pris fait et cause pour toi.
Une bibliothèque est un acte de foi
Des générations ténébreuses encore
Qui rendent dans la nuit témoignage à l’aurore.
Quoi ! dans ce vénérable amas des vérités,
Dans ces chefs-d’œuvre pleins de foudre et de clartés,
Dans ce tombeau des temps devenu répertoire,
Dans les siècles, dans l’homme antique, dans l’histoire,
Dans le passé, leçon qu’épelle l’avenir,
Dans ce qui commença pour ne jamais finir,
Dans les poètes ! quoi, dans ce gouffre des bibles,
Dans le divin monceau des Eschyles terribles,
Des Homères, des jobs, debout sur l’horizon,
Dans Molière, Voltaire et Kant, dans la raison,
Tu jettes, misérable, une torche enflammée !
De tout l’esprit humain tu fais de la fumée !
As-tu donc oublié que ton libérateur,
C’est le livre ? Le livre est là sur la hauteur ;
Il luit ; parce qu’il brille et qu’il les illumine,
Il détruit l’échafaud, la guerre, la famine
Il parle, plus d’esclave et plus de paria.
Ouvre un livre. Platon, Milton, Beccaria.
Lis ces prophètes, Dante, ou Shakespeare, ou Corneille
L’âme immense qu’ils ont en eux, en toi s’éveille ;
Ébloui, tu te sens le même homme qu’eux tous ;
Tu deviens en lisant grave, pensif et doux ;
Tu sens dans ton esprit tous ces grands hommes croître,
Ils t’enseignent ainsi que l’aube éclaire un cloître
À mesure qu’il plonge en ton cœur plus avant,
Leur chaud rayon t’apaise et te fait plus vivant ;
Ton âme interrogée est prête à leur répondre ;
Tu te reconnais bon, puis meilleur ; tu sens fondre,
Comme la neige au feu, ton orgueil, tes fureurs,
Le mal, les préjugés, les rois, les empereurs !
Car la science en l’homme arrive la première.
Puis vient la liberté. Toute cette lumière,
C’est à toi comprends donc, et c’est toi qui l’éteins !
Les buts rêvés par toi sont par le livre atteints.
Le livre en ta pensée entre, il défait en elle
Les liens que l’erreur à la vérité mêle,
Car toute conscience est un nœud gordien.
Il est ton médecin, ton guide, ton gardien.
Ta haine, il la guérit ; ta démence, il te l’ôte.
Voilà ce que tu perds, hélas, et par ta faute !
Le livre est ta richesse à toi ! c’est le savoir,
Le droit, la vérité, la vertu, le devoir,
Le progrès, la raison dissipant tout délire.
Et tu détruis cela, toi !

Je ne sais pas lire. »

1 Poème de Victor Hugo : « “À qui la faute ?” écrit en1872 sur l’incendie de la bibliothèque » des Tuileries.




Hétérogénéité des lots de Pfizer : 30 % sans danger et sans principe actif, 4 % surcontaminés ! Le secret des lots super tueurs enfin percé, mais l’ANSM ne veut pas que vous le sachiez

[Source : pgibertie.com]

Par pgibertie

Toujours pas d’effets secondaires : vous avez peut-être été vaccinés avec une simple solution saline. Encore un scandale, mais pour vous une sacrée chance… L’hétérogénéité des lots est aujourd’hui prouvée, non seulement au Danemark, mais également au Japon avec un nombre très inégal de décès associés.

Il n’y a pas de « placebo » au sens strict ! Le processus de fabrication en lots commerciaux n’est pas contrôlé (et différent du processus dans les essais cliniques). Ceci explique l’hétérogénéité des lots. Difficile d’homogénéiser le contenu de cuves de plusieurs litres de LNP+ARNm sans détruire 

(H Banoun)

De manière plus imagée M Nius :

La seule façon d’homogénéiser des lipides en phase aqueuse c’est la mayonnaise. Pas possible. Selon moi c’est un problème technique d’homogénéité. Simplement. Du grand bricolage.

En France, l’ANSM ne fournit pas de numéros de lots pour les déclarations d’effets indésirables ! Omerta complète ! TOUT LE MONDE S EN FOUT.

Nous avons pour le Japon les numéros de lot et les décès associés et la distribution semble assez similaire à ce que montre

@KimIversenShow

Japanese deaths and associates vaccine lot number, source on upper right twitter.com/Liquid33333/st…

SI LES MODALITÉS DE FABRICATION AVAIENT ÉTÉ VÉRIFIÉES, LE PIRE NE SERAIT PAS ARRIVÉ

Des scientifiques allemands et danois s’interrogent sur l’inégale dangerosité des lots de vaccccxxxins ARNm. Une étude prouve la très forte inégalité, certains très dosés et très dangereux et à l’opposé des lots inoffensifs… Problème, les lots inoffensifs n’ont pas été vérifiés par les autorités, comme si l’on savait à l’avance qu’ils ne représentaient aucun danger… des placébos.

Au total, 10 793 766 doses ont été administrées à 4 026 575 personnes avec l’utilisation de 52 lots de vaccin BNT162b2 différents (2 340 à 814 320 doses par lot) ce qui a donné un total de 66 587 effets indésirables EIG répartis entre les 52 lots. 

Les étiquettes de lot étaient incomplètement enregistrées ou manquantes pour 7,11 % des EIG, laissant 61 847 EIG identifiables par lot pour une analyse plus approfondie, dont 14 509 (23,5 %) ont été classés comme des EIG graves et 579 (0,9 %) étaient des décès liés à des EIG. 

Chaque point représente un seul lot de vaccin. Les lignes de tendance sont des lignes de régression linéaire. Les lots de vaccins représentant les lignes de tendance bleue, verte et jaune représentaient respectivement 4,22 %, 63,69 % et 32,09 % de toutes les doses de vaccin, avec 70,78 %, 27,49 % et 47,15 % (ligne de tendance bleue), 28,84 %, 71,50 % et 51,99 % (ligne verte). Courbe de tendance) et 0,38 %, 1,01 % et 0,86 % (ligne de tendance jaune) de tous les EIG, EIG graves et décès liés à un EIG, respectivement.

Le Dr Gerald Dyker, professeur de chimie organique à l’Université de la Ruhr à Bochum, et le Dr Jörg Matysik, professeur de chimie analytique à l’Université de Leipzig, sont récemment apparus sur le programme en ligne Punkt.Preradovic de la journaliste allemande Milena Preradovic pour discuter de la variabilité des lots. 

 C’est précisément l’agence de réglementation allemande, l’Institut Paul Ehrlich (PEI), qui est, en principe, responsable du contrôle de la qualité de tout l’approvisionnement en vaccins Pfizer-BioNTech dans l’UE

Dyker et Matysik ont ​​comparé les numéros de lot contenus dans l’étude danoise avec des informations accessibles au public sur les lots approuvés, et ils ont fait la découverte surprenante que presque aucun des lots inoffensifs, contrairement aux lots très mauvais et pas si mauvais, ne semble avoir fait l’objet d’aucun contrôle de qualité.

Les lots très dangereux en bleu représentent 4,22 % des doses, mais 70 % des effets indésirables et 47 % des décès. Tous ces lots ont été contrôlés par l’Institut.

Comme le note Dyker, pas plus de 80 000 doses de l’un des lots bleus ont été administrées au Danemark, ce qui suggère que ces lots particulièrement mauvais ont peut-être été discrètement retirés du marché par les autorités de santé publique.

Néanmoins, ces lots avaient jusqu’à 8 000 événements indésirables suspectés qui leur étaient associés. Huit mille doses sur 80 000 donneraient un taux de notification d’un événement indésirable suspecté pour 10 doses — et Dyker note que certains des lots bleus sont en effet associés à un taux de notification aussi élevé qu’un événement indésirable suspecté pour six doses !

Selon le calcul de Dyker, les lots bleus représentent moins de 5 % du nombre total de doses incluses dans l’étude danoise. Néanmoins, ils sont associés à près de 50 % des 579 décès recensés dans l’échantillon.

Les lots dangereux, ici en vert, représentent 64 % des doses, mais 71 % des effets secondaires et 52 % des décès. Tous ou presque ont été contrôlés par l’Institut.

Enfin, nous avons les « lots jaunes » regroupés autour de la ligne jaune. Selon le calcul de Dyker, les lots jaunes représentent environ 30 % du total. Dyker note qu’ils incluent des lots comprenant quelque 200 000 doses administrées qui sont associées à littéralement zéro événement indésirable suspecté. ILS N’ONT PAS ÉTÉ CONTRÔLÉS, comme si l’Institut savait qu’ils étaient inoffensifs.

Comme le dit Dyker, les observateurs « malveillants » pourraient noter que « c’est à cela que ressembleraient les placebos ».




La fuite en avant : le nouveau logiciel politique de la France ?

Par Jacques MYARD (https://www.nationetrepublique.org/)

Le dictionnaire nous donne du concept de la fuite en avant une définition limpide et précise : fait de fuir ses problèmes sans les résoudre ou poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences !

Il faut se poser la seule question qui vaille : la fuite en avant est-elle devenue le nouveau logiciel de la société, tout comme celui du gouvernement, la raison non rationnelle de ses décisions qui le pousse à aller de l’avant au mépris des réalités de tous ordres ? En avant, on verra bien !

Relevons au passage que les médias utilisent très souvent ce terme accusant les politiques, mais aussi les clubs ou associations de succomber à cette fuite.

Certes, nos concitoyens n’aiment pas l’immobilisme et le sur-place, ils se disent parfois : allons de l’avant, quoi qu’il arrive. Cette politique suiviste des événements n’est pas sans danger, car le propre d’une politique est de comprendre les tenants et aboutissants des événements sans succomber aux émotions du tout-venant.

Prenons quelques exemples pour illustrer cette dangereuse dérive :

— L’écologie, travestie en idéologie apocalyptique, fait feu de tout bois et s’acharne contre toute autorité, vociférant la menace de la fin du monde, à chaque occasion les Khmers écolos choisissent la fuite en avant dans la violence…

— Dans le même ordre d’idées, les délinquants règlent leurs différends avec des Kalachnikovs, fuite en avant des faibles qui seront rattrapés et exécutés par d’autres délinquants, scellant ainsi le cercle de la violence au quotidien ; police et justice sont devenues les simples comptables des assassinats en série…

— La France compte toujours 3 millions de chômeurs, nombre d’entreprises ne parviennent pas à recruter des saisonniers ou des employés pérennes, les marchands d’esclaves poussent le gouvernement à ouvrir les frontières, déjà fort perméables, afin de faire venir de nouveaux migrants, sous-payés et incapables à se loger ; voilà une superbe politique de gribouille, l’exemple parfait de la fuite en avant du gouvernement…

— Délivrance du permis à 17 ans : pourquoi pas ? disent les communicants de Macron-Jupiter, en quête d’une sympathie perdue par la saga des retraites, mais le gouvernement a-t-il mesuré les conséquences de cette proposition ? Non il a pris la décision et pour le reste, on verra après : jolie fuite, en avant surprise…

— Procédures judiciaires tatillonnes et dirimantes : il ne se passe de jours sans que des tribunaux annulent des procédures policières et obligent à remettre en liberté des malfrats, voire des assassins pour le plus grand plaisir des avocats qui ont manipulé le Parlement et complexifié les procédures afin de réussir les requêtes en annulation… cela pourrait presque apparaître comme une fuite en avant… juridico-complotiste…

— Le Président de la République a pris de multiples décisions en faveur de l’Ukraine, livraison d’armements, aides alimentaires, mais la France s’est toujours montrée très réservée, voire hostile à son entrée dans l’OTAN — refus français au Sommet OTAN de Bucarest en 2008 — ; quant à son adhésion à l’UE, nombre de pays s’inquiètent de la compatibilité de Kiev avec les principes de l’UE

Ô surprise, E. Macron laisse entendre que la France serait favorable à l’entrée de l’Ukraine dans l’OTAN, sans doute pour plaire aux ultras européens anti-russes, ou pour garantir la pérennité de cette guerre en Europe ; voilà une superbe fuite en avant qui cadre parfaitement avec la définition du dictionnaire « poursuivre une action problématique en négligeant ses conséquences » !

— Le français est la langue de la République, article 2 de la Constitution, visiblement Emmanuel Macron l’a oublié et sous l’effet d’un suivisme béat de l’empire américain, n’a de cesse de glorifier le « globish » anglo-saxon, pratiquant la plus belle fuite en avant suicidaire : c’est ainsi qu’à l’occasion du « Sommet de Paris pour un nouveau Pacte Financier Mondial », la Présidence de la République invite les chefs d’État à un dîner utilisant le Sabir globish et reléguant le français au second rang ; plus qu’une faute c’est une trahison culturelle !

Il est urgent que la France retrouve la cohérence de ses fondamentaux, son indépendance et la défense de ses intérêts.

Tout n’est pas perdu cependant !

— C’est avec délice que nous avons entendu le PDG de Dassault, Éric Trappier, fustiger la naïveté du gouvernement en matière d’armements européens, notamment sur le projet de l’avion SCAF, en dénonçant la subordination totale de nos partenaires européens aux Américains, il faut se féliciter qu’à nouveau Dassault aviation et Dassault Systèmes s’associent pour créer un système informatique indépendant de Washington, un Internet souverain dans les secteurs géostratégiques, BRAVO !

J’avais proposé de le faire il y a quelques années à l’Assemblée nationale, les bons esprits avaient ricané. Merci Dassault !

« Tout a sombré, rien n’est perdu,
Tout s’est englouti, rien n’a péri,
Tout s’est abimé, rien n’est mort,
Tout a disparu, tout reparaît »

Victor Hugo

Mais surtout, gardons en mémoire l’Appel du 18 juin de Charles de Gaulle

« Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la France. »

Tout est affaire de volonté, la volonté d’être nous-mêmes, d’être libre !




Hommage au Dr Olivier Soulier

[Source : arianebilheran.com]

Par Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran

C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès du Docteur Olivier Soulier, qui était homéopathe de profession et de ce fait, habitué depuis plus de trente-cinq ans à combattre les détracteurs des médecines alternatives.

Il s’est révélé force d’idées et de projets dans le cadre de cette crise, fut à l’origine du lancement du CSI, de Reinfoliberté, du groupe soignants de Reinfocovid et du SLS auprès d’autres de ses confrères.

C’était un être plein de vitalité, d’énergie, de paix intérieure, mais aussi un hypersensible qui souffrait en silence des discordes et des médisances.

Il s’impliquait avec humanité, générosité et loyauté dans les actions entreprises pour la défense de la médecine dans ses bases hippocratiques.

Il venait juste de recevoir le prix Humanity Award 2023 décerné par la World Academy of Biomedical Sciences and Technologies, des mains de son président le Professeur Joseph Tritto, un prix amplement mérité.

Son amitié, son sourire et son entrain nous manqueront beaucoup. Il était encore là à nos côtés pour nous soutenir lors du colloque intitulé « La dérive totalitaire sur les enfants » à Paris le 13 mai 2023.

Nous apportons notre profond soutien à sa famille, ses proches et à tous les membres de son équipe.

Que son âme repose en paix.

Virginie de Araujo-Recchia et Ariane Bilheran


[Source : pgibertie.com]

La mort d’un homme de bien, le Dr Olivier Soulier

Par Patrice Gibertie

Je connaissais Olivier et je l’appréciais, c’était un homme de bien, j’ignore ce qui lui est arrivé, je ne le savais pas malade. Dans ses derniers messages, je le sentais peiné par sa mise à l’écart du CSI qu’il avait contribué à lancer, mais il avait plein de projets…(([1] Concernant le CSI, voir
https://odysee.com/@laminutedericardo.com:f/CSI_de_Saintes_analyse_au_vitrio_Natacha:f))

Il était encore en ligne au téléphone hier soir à 23 h avec un membre de @Laissonslespre1 qui précise « Et il m a encore dit en rigolant… si on me retrouve mort cela ne sera pas un suicide »

Le Dr Olivier Soulier reçoit l’Humanity Award 2023 des mains du Pr Tritto à sienne pour avoir cofondé le @ConseilCsi et le @SyndicatSLS. Merci, Olivier, tu as fondé une vraie communauté soignante, éthique et solidaire.







LE TAUX DE DECES Covid des Amish est 90 fois plus faible que pour les Américains masqués, enfermés, injectés

[Source : pgibertie.com]

[Sur l’illustration :
« Pourquoi la Covid ne vous affecte-t-elle pas ? »
« Nous n’avons pas la télévision. »]

Par Patrice Gibertie

Les Amish sont morts du Covid à un taux 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique « J’ai fait le calcul », a témoigné @stkirsch devant le Sénat de l’État de Pennsylvanie. Étant donné que cinq Amish sont morts dans le pays de Lancaster, en Pennsylvanie, « les Amish sont morts à un taux 90 fois inférieur au taux de mortalité par infection des États-Unis d’Amérique ». « Maintenant, comment est-ce possible ? » a demandé @stkirsch. « C’est possible parce que les Amish ne sont pas vaccinés. Et parce que les Amish n’ont pas suivi une seule directive du CDC », a-t-il répondu. « Ils n’ont pas verrouillé, ils n’ont pas masqué. Ils n’ont pas fait de distance sociale, ils n’ont pas vacciné, et il n’y avait aucun mandat dans la communauté Amish pour se faire vacciner. Ils ont fondamentalement ignoré toutes les directives que le CDC nous a données. Ignorer ces directives signifiait un taux de mortalité 90 fois inférieur à celui du reste de l’Amérique.

[Note de Joseph : lorsque l’on sort du conte de fées qu’est devenue la théorie virale il y a 70 ans (au lieu d’être abandonnée en tant que théorie qui s’était alors réfutée elle-même devant l’absence de preuves de l’existence de virus pathogènes), ce constat est tout à fait compréhensible et il était même prévisible. Si en effet les maladies telles que la grippe rebaptisée en Covid-19 (mêmes symptômes) ne sont nullement causées par des virus (qui n’ont jamais été isolés, contrairement à ce que prétendent les virologues), alors une communauté qui vit sans la technologie électronique moderne, qui ne se confine pas, qui ne s’empoisonne pas avec des vaccins, qui ne porte pas de muselières nuisant à la respiration et qui ne se distancie pas socialement ne peut qu’être en bonne santé, puisque notamment la cause fondamentale des symptômes grippaux/covidiens a toutes les chances d’être plutôt l’existence des ondes électromagnétiques artificielles et des champs électriques émis par cette technologie dont eux se passent sans problème. Les Amish n’ont pas connu plus de grippe/Covid-19 que d’habitude, car ils n’utilisent pas ou peu d’appareils électriques et ne sont presque jamais exposés à des ondes électromagnétiques pulsées (Wi-Fi, 2G, 3G, 4G, 5G, Bluetooth…), sauf par les membres qui ont introduit en douce des smartphones.
Voir les dossiers 5G et ondes pulsées et Vaccins et virus et en particulier les articles suivants :
La virologie : pseudoscience au service de la domination
Confirmation écrite : les scientifiques ne peuvent apporter aucune preuve de l’existence d’un virus pathogène
À quel point les virus sont-ils morts ?
« Virus », des décennies d’escroqueries ?
Rappel — La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur
C’est l’heure du conte « Gain de Fiction »* avec RFK Jr. et ses amis !
Covid-Arnaque. L’HISTOIRE de la grippe. UNE HISTOIRE IMPORTANTE POUR EN PARLER AUTOUR DE VOUS
40 faits à connaître : la véritable histoire de la « Covid ».]




Les Choniques du Totalitarisme : la bureaucratie au pouvoir

[Source : @Kairospresse]

Nicole Delépine, pédiatre, oncologue, est notamment l’auteur, avec son époux, de « Les enfants sacrifiés du Covid » et « Soigner ou obéir ». Lucide depuis de nombreuses années, elle nous explique comment la soumission des médecins s’est installée dès les années 80 en France (et ailleurs…), expliquant leur féroce obéissance lors de l’événement Covid-19. Celle-ci s’est en partie faite par l’organisation bureaucratique des cancers en France : ils ont imposé des protocoles de soin et de traitement, chapeauté par une structure bureaucratique hors-sol, appuyé entre autres sur la diminution des coûts et l’augmentation des bénéfices des actionnaires. Tiens, cela nous rappelle l’enseignement, l’agriculture, l’urbanisme, les guerres, l’alimentation… posant la question essentielle : qui décide ? Pas les populations, c’est sûr.

[À partir de 0:45]






Deux France

La première est la normale et la seconde est l’anormale

[Source : observatoiredumensonge.com]

Par Mathilde Revenu

Désolée, mais pour ma part, je ne vois que deux France !
La première est la normale et la seconde est l’anormale, celle malheureusement dans laquelle nous vivons actuellement, régie par les anti-Français, le Wokisme, l’idéologie à deux balles de la bien-pensance, de gauche et qui ne cherche qu’à détruire ou « déconstruire » la première.

Dans la France normale où il faisait bon vivre, les gens étaient sereins, agréables, et même accueillants.
Les enfants pouvaient jouer dans la rue, les femmes se promener sans crainte d’être insultées ou agressées pour leur tenue. Il n’y avait pas de signes ostensibles religieux ni de haine raciale contre les Français.

Dans la France anormale, il faut combattre le racisme… des blancs uniquement, cela ne fonctionne pas dans l’autre sens.

Donc, tout va bien, tout va mieux en Macronie, puisque l’on peut se réunir et commémorer ! Quant au bilan, finalement, il n’est pas si dramatique… Encore un pas vers ce gouffre promis par la gauche et associés, et l’on nous dira que tout va mieux !!!
Surtout rien sur la réalité, c’est qu’il ne faut pas choquer les gogos et autres bobos dans leur digestion et leur sieste réparatrices…

Mais ce qui m’étonne le plus, c’est le silence des politiques face à tout ce que nous subissons depuis l’arrivée de Macron !

Le monde continue de danser sur un volcan en éruption sans même se soucier de ce qui va advenir !!!
Rien ne semble devoir arrêter cette spirale infernale :
– les guerres un peu partout dans le monde,
– les problèmes posés par les migrants qui déferlent sur l’Europe,
– l’insécurité qui a explosé,
– le terrorisme islamique partout,
– l’économie en faillite,
– le pouvoir d’achat qui s’est écroulé…

Il est clair que le pouvoir se moque bien du citoyen, relégué au mieux au grenier et au pire à la cave de la maison France.
Pendant que le gouvernement navigue à vue dans la tempête qu’il a lui-même créée, la France heurte tous les récifs, les uns après les autres.
Le naufrage est total.
Cependant, les médias subventionnés et aux ordres continuent de travestir la réalité, c’est qu’il ne faut pas affoler la ménagère de cinquante ans, idole des panels et du marketing.
Donc, Macron, l’illusionniste et télévangéliste continue d’occuper la scène médiatique, d’évoquer les millions par centaines qu’il se propose de distribuer ici et là, mais rarement où il le faudrait.
Pour certaines offres mirifiques, personne cependant n’en voit la couleur.
Par contre, les promesses des deux campagnes ne sont pas tenues.

Nous ne pourrons pas vivre ni cohabiter dans :

Deux France




Ce pays européen qui a choisi de fermer toutes ses maisons de retraite

[Source : objeko.com]

[Illustration : © Radio-Canada/Ivanoh Demers]

Par Franck Drouhin

Pour réduire les coûts liés au vieillissement de la population, ce pays européen a fermé ses maisons de retraite. Dix ans plus tard, cette décision a été efficace malgré quelques difficultés.

Maisons de retraite : dans une Europe vieillissante où la proportion de personnes âgées ne cesse d’augmenter, la dépendance des personnes âgées est un véritable enjeu de santé publique. En 2022,

le scandale Orpéa, qui a révélé des abus dans les maisons de retraite, a secoué l’ensemble du secteur des maisons de retraite, qu’elles soient privées ou publiques, en France. La question se pose : sommes-nous encore capables de prendre soin de nos aînés ?

Aux Pays-Bas, les maisons de retraite traditionnelles ont toutes fermé leurs portes depuis 2015. Le gouvernement néerlandais préfère investir massivement (deux fois plus que la France) dans l’autonomie des personnes âgées et leur capacité à rester à domicile. « Dans ce pays où 3,5 millions de personnes ont plus de 65 ans, soit 20 % de la population, les coûts liés au vieillissement démographique commençaient à devenir incontrôlables », explique Challenges.

Il y a dix ans, les Pays-Bas ont adopté une politique d’investissement massif dans les soins à domicile. Grâce à cette politique, les maisons de retraite, qui étaient mal soutenues par l’État, ont progressivement fermé jusqu’à disparaître définitivement en 2015, bien que certaines soient encore actives pour les patients en fin de vie.

Ce choix a profité aux deux parties, car le gouvernement néerlandais a réussi à contrôler les énormes coûts des maisons de retraite et les personnes âgées sont de plus en plus capables de vivre à domicile.

Moins de maisons de retraite, plus de soins à domicile

L’État prend en charge à 100 % les soins à domicile des personnes âgées qui en ont besoin, pour compenser la fin des maisons de retraite traditionnelles. Les Pays-Bas financent également des activités pour occuper les personnes âgées au lieu de les entasser devant la télévision dans des EHPAD surpeuplés.

Ce modèle original a cependant un coût : les Pays-Bas dépensent environ deux fois plus d’argent que la France sur le budget de l’autonomie.

Bien que les Néerlandais apprécient largement ce modèle, il présente également des défis. Dans un EHPAD, où tous les soins sont au même endroit, il n’est pas nécessaire de recruter autant de professionnels.

Mais aux Pays-Bas, les organismes qui gèrent la prise en charge des personnes âgées doivent recruter plus de personnel pour permettre à ce système de perdurer. Dans un pays souvent confronté à des pénuries de main-d’œuvre, le défi d’un pays sans maison de retraite s’annonce difficile à relever.




Contrôle de l’obligation vaccinale chez les libéraux de santé : Olivier Véran a outrepassé ses pouvoirs

[Source : francesoir.fr]

[Illustration : Le Conseil d’État a annulé une instruction interministérielle prise par Olivier Véran en octobre 2021.
 F. Froger / Z9, pour France-Soir]

DROIT — Le 13 juin 2023, le Conseil d’État a estimé qu’Olivier Véran est allé au-delà de ses pouvoirs lorsqu’il a organisé le contrôle de l’obligation vaccinale des professionnels de santé libéraux. L’ancien ministre de la Santé ne pouvait pas suspendre les remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné, ni interdire à ces professionnels de se faire remplacer pendant leur suspension, ou encore les contraindre à fermer leur officine. Et pourtant, plusieurs pharmaciens ont perdu leur travail et leur clientèle à cause de ces mesures.

Le 14 décembre 2021, un pharmacien libéral a saisi le Conseil d’État pour annuler une instruction interministérielle prise par Olivier Véran en octobre 2021. À préciser que la question de l’indemnisation du préjudice causé par l’ancien ministre de la Santé n’est pas abordée dans ce type de recours.

Les pharmaciens non vaccinés n’avaient d’autres choix que de fermer leurs officines

Avec son instruction interministérielle, le ministre de la Solidarité et de la Santé de l’époque a inéluctablement ordonné la fermeture des officines des pharmaciens non vaccinés contre le Covid-19.

En effet, une fois l’entrée en vigueur de la loi du 5 août 2021 effective, le document prévoit que « lorsque la situation de manquement à l’obligation vaccinale a été constatée (…) le directeur général de l’ARS informe le professionnel de santé de sa suspension par courrier ». Dès lors, le pharmacien suspendu ne peut plus exercer sa fonction, même de manière indirecte. Il lui est interdit de procéder à la téléconsultation, en suivant à distance les prescriptions médicales de ses clients, ou de se faire remplacer. « Par conséquent, l’officine de pharmacie doit être fermée », préconise l’acte administratif attaqué.

Le Conseil d’État estime qu’Olivier Véran n’avait pas la compétence pour fixer « une règle nouvelle », qui allait au-delà de ce qui était prévu par la loi du 5 août 2021. Pour la plus haute juridiction administrative, une autre mesure prévue dans l’instruction dépasse le pouvoir du ministre.

La suspension des remboursements par l’assurance maladie des médicaments dispensés par un pharmacien non vacciné est illégale

« Lorsqu’un praticien (…) continue d’exercer malgré l’interdiction temporaire d’exercer, il est tenu de rembourser à l’organisme de sécurité sociale le montant de toutes les prestations qu’il a effectuées », précise le document.

En d’autres termes, un pharmacien suspendu qui aurait continué d’exercer son activité devait lui-même rembourser à la caisse d’assurance maladie les médicaments délivrés sur prescription médicale.

Pour le Conseil d’État, Olivier a encore une fois « fixé une règle nouvelle entachée d’incompétence » qui n’était pas prévue par la loi.

Les mesures qui prévoient la suspension des remboursements des médicaments, l’interdiction de se faire remplacer ou l’obligation de fermeture des officines sont donc annulées. Elles sont en principe réputées ne jamais avoir existé. Il n’est pas encore clair à ce stade si cet arrêt concerne toutes les professions de santé libérales ou seulement l’activité de pharmacien.




Pourquoi demander une autopsie après le décès d’une personne vaccinée avec un « vaccin » à ARN messager anti-COVID-19 ?

Document à publier largement afin que les juristes puissent s’en servir si besoin.

Merci

Jean-Luc Duhamel




La viande produite en laboratoire subit un revers important grâce à de nouvelles découvertes scientifiques choquantes

[Source : dailysceptic.org]

La viande cultivée en laboratoire est jusqu’à 25 fois plus nocive pour l’environnement, car elle nécessite une production de qualité pharmaceutique pour être propre à la consommation humaine. Il faut notamment éliminer l’endotoxine du mélange cultivé, une substance qui, à des concentrations aussi faibles qu’un milliardième de gramme par millilitre, peut diviser par quatre le taux de réussite des grossesses par fécondation in vitro chez l’homme.

Chris Morrison

Pour résumer :

1) La viande synthétique n’a aucun avantage de coût environnemental sur la viande traditionnelle.
2) La viande synthétique comporte un risque sérieux de vous stériliser…

Et si le motif véritable pour développer cette industrie n’était pas environnemental, mais une logique d’eugénisme génocidaire ?

— Fabrice B.

Par Chris Morrison

Au début de l’année, la Grocery Gazette a rapporté que le Royaume-Uni était sur le point de devenir un leader mondial dans le développement de la viande cultivée en laboratoire. Récemment, George Monbiot, l’hystérique du climat du Guardian, a affirmé que les aliments cultivés en laboratoire « détruiront bientôt l’agriculture — et sauveront la planète ». Hélas, ce fanatisme est remis en question par des faits concrets. La viande cultivée en laboratoire est jusqu’à 25 fois plus nocive pour l’environnement, car elle nécessite une production de qualité pharmaceutique pour être propre à la consommation humaine. Il faut notamment éliminer l’endotoxine du mélange cultivé, une substance qui, à des concentrations aussi faibles qu’un milliardième de gramme par millilitre, peut diviser par quatre le taux de réussite des grossesses par fécondation in vitro chez l’homme.

Telles sont les conclusions surprenantes de travaux novateurs récemment publiés par un groupe de chimistes et de spécialistes de l’alimentation de l’Université de Californie. Il s’avère que la production de produits pharmaceutiques destinés à l’alimentation constitue un défi technologique de taille. Le principal problème de la viande de laboratoire est qu’elle utilise des organismes de croissance qui doivent être hautement purifiés pour aider les cellules animales à se multiplier. Si l’on considère les économies réalisées sur les sols, l’eau et les gaz à effet de serre, on constate que l’ensemble du processus biologique est supérieur de plusieurs ordres de grandeur à celui de l’élevage de l’animal.

« Nos résultats suggèrent que la viande cultivée n’est pas intrinsèquement meilleure pour l’environnement que le bœuf conventionnel. Ce n’est pas une panacée », a déclaré Edward Spang, coauteur de l’étude et professeur associé au département des sciences et technologies alimentaires. L’étude a révélé que même dans les scénarios utilisant des normes pharmaceutiques moins strictes, la production efficace de viande bovine est plus performante que la viande cultivée dans une fourchette de quatre à 25 fois. Cela suggère que les investissements visant à promouvoir une production de viande bovine plus « respectueuse du climat » pourraient entraîner des réductions plus importantes des émissions.

La route vers le nouveau zéro est parsemée de technologies improbables qui promettent beaucoup — et donnent des occasions infinies de faire des signes de vertu — mais qui ne donnent pas grand-chose. Alors que de nombreux pays poursuivent leurs plans de destruction de l’élevage conventionnel, les options pour de nouvelles façons de nourrir les populations semblent bien maigres. Pour être juste envers Monbiot, il s’est penché sur les problèmes de la viande de laboratoire, notant dans un récent billet de blog que « plus j’ai lu sur la viande et le poisson cultivés, et plus j’en suis venu à apprécier les phénoménales complexités impliquées… plus je doute que cette vision se concrétise ». Toujours inquiet, Monbiot pose la question suivante : « Quel est le meilleur moyen d’éviter une famine de masse » ? Ne pas supprimer les 337,18 millions de tonnes de la production mondiale de viande au profit de solutions industrielles douteuses pourrait être un début.

L’étude californienne pourrait donner un sérieux coup de frein au mouvement en faveur de la viande cultivée en laboratoire, qui, jusqu’à présent, a bénéficié d’une couverture médiatique largement dépourvue d’esprit critique. Le rapport d’encouragement de Grocery Gazette indique que le secteur devrait « augmenter rapidement sa part de marché dans l’industrie alimentaire ». Des recherches ont été citées, suggérant que la viande cultivée sur cellules devrait représenter près d’un quart de la consommation mondiale de viande d’ici à 2035.

Les auteurs californiens reconnaissent que les entreprises de viande cultivée en laboratoire ont attiré environ 2 milliards de dollars d’investissements à ce jour. Les premiers rapports sur la faisabilité étaient optimistes, certains prédisant un remplacement de 60 à 70 % du bœuf d’ici à 2030-2040. Mais dernièrement, le sentiment est retombé, des estimations plus prudentes faisant état d’une part de 0,5 % des produits carnés d’ici à 2030. Comme nous l’avons vu, l’énorme problème de la production de viande de laboratoire est la présence d’endotoxine, dont on dit qu’elle a toute une série d’effets secondaires, y compris des effets néfastes sur la fécondation in vitro. Dans les laboratoires pharmaceutiques, la culture de cellules animales se fait traditionnellement après élimination de l’endotoxine. Il existe de nombreuses façons d’éliminer la substance indésirable, mais l’utilisation de ces méthodes de raffinement « contribue de manière significative aux coûts économiques et environnementaux associés aux produits pharmaceutiques, car elles sont à la fois gourmandes en énergie et en ressources ».

L’étude met également en lumière les inquiétudes suscitées par l’examen scientifique antérieur de la viande cultivée en laboratoire. Il y aurait « de hauts niveaux d’incertitude dans leurs résultats et l’absence de prise en compte de l’élimination des endotoxines ». Il est également noté qu’en dépit du fait que les chercheurs « ont clairement fait état de niveaux élevés d’incertitude », les résultats ont souvent été cités comme une preuve évidente de la durabilité de la viande cultivée en laboratoire.

Ainsi, une solution alimentaire « Frankenstein vert » tant vantée — sans doute pour un problème qui n’est promu que dans les cercles alarmistes — semble mordre la poussière, balayant au passage un ou deux milliards de capitaux crédules. Comme le notent les auteurs, investir dans la mise à l’échelle de cette technologie « avant de résoudre des problèmes clés tels que le développement d’une méthode écologique d’élimination des endotoxines… irait à l’encontre des objectifs environnementaux que ce secteur a fait siens ».

Chris Morrison est le rédacteur en chef de l’environnement du Daily Sceptic.