France : Plainte contre Emmanuel Lechypre et avertissement aux grands médias. Mise à jour

[Source : Ligue Nationale Pour la Liberté des Vaccinations (infovaccin.fr)]

[Mise à jour : fichier de la plainte officielle.]

Communiqué de presse 12 juillet 2021

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations (LNPLV) porte plainte auprès du Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA), contre Emmanuel LECHYPRE, journaliste, éditorialiste économique français officiant sur BFM TV, BFM Business, RMC et RMC Story.

Ce journaliste a tenu sur RMC Story des propos menaçants susceptibles de poursuites pénales :

« On vous vaccinera de force, moi je vous ferai emmener par deux policiers au centre de vaccination. Faut aller les chercher avec les dents et avec les menottes s’il le faut […] Les non-vaccinés, ce sont des dangers publics, j’ai une démarche très claire : je fais tout pour en faire des parias de la société ! »

Ce journaliste porte atteinte à la dignité de la personne humaine à la liberté d’autrui, à l’ordre public en incitant publiquement à la haine, à la violence et à la discrimination d’un nouveau genre à l’égard des Français refusant de se voir injecter un médicament expérimental.

De tels propos doivent être sanctionnés rapidement. Ils sont le reflet d’un mode de pensée totalitaire et d’une régression de l’expression démocratique sans précédent depuis la Libération.

Nous rappelons le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946 :

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ainsi, nul ne peut être discriminé, maltraité ou exclu en fonction d’un quelconque statut sanitaire qui doit par ailleurs rester protégé par le secret médical.

Nous demandons à M. Lechypre et à tous les journalistes des grands médias :

1. de respecter le Code de déontologie des Journalistes (Charte de Munich) : « Ne jamais confondre le métier de journaliste avec celui du publicitaire ou du propagandiste ; n’accepter aucune consigne, directe ou indirecte, des annonceurs » (point 9).

2. de mener des investigations indispensables pour délivrer des informations objectives et claires. Nous avons besoin de débats véritablement contradictoires et non d’une diversité d’intervenants peu qualifiés qui ne font que masquer une consanguinité de la pensée, mortifère pour la santé des Français et la démocratie. Les Français sont las du matraquage et des discours culpabilisants. Beaucoup ont coupé le poste pour préserver leur santé mentale. Nous invitons les journalistes à sortir de la communication institutionnelle, du sensationnalisme et de l’alarmisme pour chercher à connaître la vérité des faits et informer de manière objective.

La Ligue nationale pour la Liberté des Vaccinations www.infovaccin.fr/
Contact : lnplv.adm@orange.fr

[Mise à jour :]

Plainte officielle :




Les aveugles guident les ignorants

[Source : Aube Digitale]

La plupart d’entre nous regardent la télévision. En partie, nous cherchons à nous divertir, mais, en plus, nous cherchons souvent à être éclairés sur « ce qui se passe ». Dans une époque difficile comme celle que nous vivons actuellement, où certains des pays les plus en vue connaissent un début de crise économique, où des personnages de dessins animés virtuels s’affrontent dans des concours politiques, où les gouvernements deviennent de plus en plus rapaces et où un État policier se développe rapidement, il n’est pas surprenant que la personne moyenne se demande « Mais à quoi pensent-ils ? ».

Eh bien, ce n’est pas l’exposition médiatique qui manque pour répondre à cette question. Aujourd’hui, il existe une multitude de chaînes proposant des « informations » 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, à partir desquelles nous pouvons espérer glaner quelques informations sur ce que pensent les dirigeants du monde. Pourtant, malgré l’interminable dépliant offert, la vision des dirigeants reste aussi claire que la boue.

Ils ne veulent pas de guerre, mais envahissent plus de pays que jamais dans l’histoire. Les candidats politiques sont pour le moins vagues quant à leurs propositions de programmes d’action, mais ils s’attaquent les uns aux autres comme s’ils étaient des journalistes de la presse à scandale. Les gouvernements parlent continuellement de leur souhait d’alléger la charge de l’homme ordinaire, tout en l’accablant de lois, de réglementations, d’amendes et de taxes comme jamais auparavant, et tout en versant des milliards de dollars d’impôts à leurs copains de l’industrie financière. Ils prétendent rechercher une plus grande sécurité pour tous, mais au lieu de cela, ils créent un flux sans fin d’agences qui ont le pouvoir d’ignorer les droits fondamentaux et se comportent davantage comme des opérateurs de racket de la mafia que comme des agents chargés de faire respecter la loi. Les gouvernements prétendent poursuivre une économie plus saine, mais ont créé un niveau d’endettement sans précédent, qui promet d’écraser les économies de plusieurs des pays les plus importants du monde dans un avenir très proche.

Ainsi, de nombreuses personnes se tournent vers les médias pour trouver des réponses. En général, un programme d’information présente un « panel d’experts » qui débat des dernières questions. Ils parviennent rarement à une conclusion, mais réussissent à créer l’impression générale qu’un parti politique est en train de détruire le pays et que l’autre (qu’ils représentent) est en train de le sauver.

(Gregory Mankiw, professeur d’économie à Harvard, interviewe Janet Yellen).

Outre les panels, les médias vont souvent directement à la source, en interviewant des dirigeants politiques et financiers. La liste des questions est invariablement préparée longtemps à l’avance et la personne interrogée n’est jamais prise au dépourvu. Ses manipulateurs ont préparé ses réponses pour lui et, à chaque fois, un plat complet de rhétorique prévisible et réchauffée est servi au téléspectateur pour sa consommation.

Dans ces réparties, l’intervieweur est censé paraître sympathique tout en étant indiscret, mais les questions posées sont invariablement assez fades pour que l’interviewé puisse les écarter ou fournir une réponse facile. L’interviewé doit donner l’impression d’informer le public de politiques et de procédures qui, bien que trop compliquées pour que le téléspectateur les saisisse pleinement, sont bien en place et apporteront des solutions dans un avenir proche. Soyez patient.

Le fait que ces solutions ne semblent jamais arriver semble être moins important que le fait qu’une nouvelle solution est en cours. De cette manière, le téléspectateur, quel que soit l’impact de sa vie, continue à rester assis et à garder espoir, car des jours meilleurs sont sûrement à portée de main.

Incroyablement, le téléspectateur moyen semble être capable de consommer des quantités infinies de cette propagande, année après année, sans jamais se dire : « Quelque chose ne tourne pas rond ici ».

S’il éteignait réellement la télévision pendant une semaine ou deux, prenait du recul et évaluait la propagande dans son ensemble, il pourrait conclure qu’en fait, les médias agissent sur ordre des dirigeants économiques et politiques, pour propager leur message. Les « débats » et les « questions urgentes » sont au mieux mous et ne conduisent jamais à un changement ou à une amélioration significative. Et ce n’est pas leur but. Ils ne sont que des sucettes.

Pire encore, les dirigeants eux-mêmes continuent non seulement à décevoir le public, mais aussi à faire évoluer les systèmes gouvernementaux, économiques et sociaux dans une direction qui mènera inévitablement à une mauvaise fin.

Il est vrai, bien sûr, que les citoyens de ces grandes nations deviennent de plus en plus cyniques à l’égard de leurs dirigeants et de leur propre avenir, mais leur réaction à ce pablum, après avoir bien râlé, tend à être « d’espérer que la prochaine administration sera meilleure ». C’est vraiment très imprudent. (Une fois que la pomme est complètement pourrie, attendez-vous à ne voir que des vers l’habiter).

Mais ceux qui ont le sentiment d’être lésés doivent se défouler d’une manière ou d’une autre. Et, pour cela, nous avons les partis politiques. Que notre pays ait des démocrates et des républicains, des conservateurs et des travaillistes, ou tout autre groupement de ce type, ceux qui sont élus n’ont pas l’illusion qu’ils existent pour servir ceux qui les ont élus ; ils existent pour servir les grands donateurs qui paient les élections. Et les grands donateurs contribuent aux deux partis, afin de s’assurer que leurs objectifs sont réalisés par les candidats qui réussissent, quel que soit leur parti. Le plan d’ensemble se poursuivra, à toute vapeur, peu importe qui est au pouvoir.

Mais les partis fournissent à l’électorat des cibles sur lesquelles il peut diriger ses flèches à pointe en caoutchouc. Quel que soit le parti au pouvoir, les électeurs libéraux se plaindront que l’on ne fait pas assez pour leurs causes et les électeurs conservateurs feront de même.

L’un d’eux finira-t-il par l’emporter sur l’autre ? Incontestablement non. Le système est conçu pour rester tel quel – avec des chamailleries sans fin encouragées, mais aucun progrès réel prévu.

Les pays les plus importants du monde sont à l’aube d’une crise économique majeure. Elle s’accompagnera de crises politiques et sociales et, très certainement, d’une guerre. Le téléspectateur, s’il l’accepte, dira : « Cela leur apprendra. Ils devront alors admettre que notre camp avait raison. »

Malheureusement, non. Après les inévitables krachs économiques, après des années de guerre inutile, après la montée du totalitarisme chez nous, il y aura une fin éventuelle à la lutte. Lorsque la poussière commencera à retomber, le citoyen moyen allumera sa télévision, espérant voir que des réponses ont été apportées.

Au lieu de cela, ce qu’il verra, s’il allume une chaîne libérale, ce seront des experts déclarant que, si seulement il y avait eu plus d’assouplissement quantitatif et plus de droits, tout aurait pu s’arranger, mais qu’au lieu de cela, il y a eu un désastre, à cause des conservateurs.

De même, les experts de la station conservatrice expliqueront que toutes les souffrances auraient pu être évitées si les droits avaient été contrôlés et si les bombes avaient pu être lâchées sur l’ennemi plus tôt. Les libéraux et les conservateurs retourneront dans leur coin pour panser leurs plaies et se préparer au prochain cycle de polarisation les uns contre les autres.

Alors, qui devons-nous blâmer pour les débâcles de l’humanité ? Nous avons certainement été trompés par les dirigeants – les politiciens, les banquiers centraux, les dirigeants des grandes industries, etc. Ou est-ce les médias qui ont fait un tel travail de propagande que nous n’avons pas su voir la forêt pour les arbres ?

Peu importe, car rien ne sera appris et nous recommencerons le jeu. Mais si c’est une véritable solution que nous recherchons, oui, c’est possible. Mais cette solution dépend de notre volonté de ne plus permettre aux médias de raisonner à notre place.

Nous devons être prêts à étudier les actions de nos dirigeants, à être prêts à être contrariants et, surtout, à tout remettre en question. Sinon, nous faisons partie des aveugles et des désemparés et nous pouvons nous attendre à un cycle sans fin du même spectacle de chiens et de poneys.

Traduction de International Man par Aube Digitale




LE RÉSUMÉ DES ANNONCES D’EMMANUEL MACRON CE 12 JUILLET

[Source : numerama.com]

  • Les soignants et soignantes auront l’obligation de se faire vacciner  (ils auront jusqu’au 15 septembre) ;
  • Le pass sanitaire devient obligatoire dès août dans de nombreux lieux culturels et sociaux (restaurants, cafés, trains, hôpitaux) ;
  • État d’urgence et couvre-feu ont été instaurés pour la Martinique et la Réunion ;
  • Les tests PCR vont devenir payants à partir de l’automne 2021 ;
  • Des campagnes de vaccinations spécifiques pour les collégiens et lycéens seront organisées à la rentrée



La Secte « en marche » joue son va-tout

Par Lucien Samir Oulahbib

C’est ainsi, la Section française de la Secte Hygiéniste-affairiste (S.F.S.H.A) avance rageusement son tapis en accélérant le flicage et marquage du troupeau (jusqu’aux « centres commerciaux ») alors qu’aucun élément, aucun, peut légitimer cette hystérie hygiéniste au vu des chiffres à disposition de la syndémie C-19. Mais comme il s’agit de programmer les peuples, il faut d’abord « affaiblir » leurs fonctions immunitaires : c’est évident maintenant. Le Premier ministre français l’a même constaté et propose ainsi une troisième dose au lieu de traitements précoces et de vitamines adaptées.

Pour ce faire, il faut continuer de bombarder à l’artillerie lourde (par les médias dominants) la moindre fenêtre d’espérance, envoyer des snipers et coupe-jarrets pour ensuite nettoyer le terrain.

Raoult a été ainsi mis au pas. De même que Mila qui s’affiche en brandissant même l’un de leurs livres. Désormais la Secte se sert ainsi de groupes sectaires pour s’imposer. Comme en Iran avec le résultat que l’on sait. Afghanistan, idem.

Le troupeau se transforme en rhinocéros tout en le niant. « Vaccin marcht frei », écrivent en encre empathique en haut des vaccinodromes les nouveaux kapos aux aguets.

Nier cette situation est possible, mais cela relève dans ce cas de la tératologie qui a ainsi de beaux jours devant elle.




Pierre Jovanovic | Futur terrifiant ?

[Source : NTD Français]

« Donc nous sommes dans le même état que la Grèce en 2009. Donc on sait qu’à partir des élections présidentielles, c’est-à-dire après 2022, après le mois de mai 2022, il y aura une politique d’austérité qui va s’abattre sur la France qui va être terrifiante, mais littéralement terrifiante. On rentre dans une nouvelle ère, qui sans doute va être …. tout le monde va être mis en esclavage, voilà ! »

Pierre Jovanovic, journaliste & écrivain




Pénuries alimentaires en vue ?

[Source : urantia-gaia.info]






[Voir : Pénuries massives et généralisées à tous les secteurs : pourquoi ?]

[Source : Quantum Leap]





[Voir aussi : L’asservissement des peuples par le contrôle des ressources]




La chute du Dr Peter Daszak, évincé de l’enquête sur la pandémie diligentée par l’ONU

[Source : francesoir.fr]

[Photo : Peter Daszak
EcoHealthAlliance]

Auteur(s): FranceSoir

Depuis le début de la pandémie de Sars-CoV2, le revue médicale The Lancet, jadis réputée comme sérieuse, s’illustre dans des publications très douteuses. 

En mai 2020, le monde entier découvrait avec stupéfaction l’étude sur l’hydroxychloroquine. Et suite à l’énorme scandale de cette affaire désormais appelée « Lancet Gate » et aux critiques des scientifiques du monde entier, la revue avait été forcée de retirer son étude qualifiée de frauduleuse.

Cependant, quelques mois plus tôt, en février 2020, la revue médicale britannique s’était déjà tristement illustrée en publiant une lettre cosignée par 27 scientifiques réunis par le médecin britannique Peter Daszak dans laquelle la théorie de la fuite du laboratoire de Wuhan était réfutée.

Dans la lettre, on pouvait lire ces mots :

« Nous sommes solidaires pour condamner fermement les théories du complot suggérant que le Covid-19 n’a pas d’origine naturelle » ou encore « les théories du complot ne font que créer de la peur, des rumeurs et des préjugés qui mettent en péril notre collaboration mondiale dans la lutte contre ce virus ». Quiconque doutait de la version officielle était traité de complotiste, nouvelle insulte à la mode qui a permis pendant des mois de ne pas ouvrir officiellement le débat, disqualifiant au passage les plus grands scientifiques comme le Professeur Luc Montagner, qui avait osé affirmer le contraire en analysant le génome du virus qui ne pouvait pas selon lui être d’origine naturelle.

Mais les faits sont têtus, et 18 mois après que le virus a été détecté à Wuhan et depuis la publication des emails d’Antony Fauci, la thèse de l’origine du laboratoire désormais dominante n’est plus considérée comme une théorie conspirationniste.

En revenant sur le profil du Dr Daszak, on apprend qu’il est le président de l’EcoHealth Alliance, une organisation basée aux Etats-Unis et financée par l’Institut Antony Fauci. On découvre également qu’il entretient des relations étroites avec le chef du laboratoire de Virologie de Wuhan (WIV), le Dr Shi Zhengli dont il a financé des recherches sur le gain de fonction des coronavirus venant des chauves-souris.

Depuis quelques jours, le docteur Daszak qui faisait partie des 28 experts du monde entier pour analyser les origines du virus est accusé de conflits d’intérêts avec l’Institut de virologie de Wuhan. Devant les soupçons qui pèsent sur lui, il a été évincé de l’enquête du journal The Lancet, soutenue par l’ONU, enquêtant sur les origines du virus.

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier mais finit toujours par triompher.

Auteur(s): FranceSoir




Pourquoi un tel silence sur la Plitidepsine ?

[Source : UPR TV via Les 7 du quebec]




No limit ! « Le président Macron nous remercie vivement pour notre incapacité à faire “non” et notre absence de courage ! ». « Pour cette occasion et pour nous récompenser, un tirage au sort est organisé ce lundi 12 juillet 2021 à 19 h ! »

Par Alain Tortosa

No Limit [= « Aucune limite »]

« Le président Macron nous remercie vivement pour notre incapacité à faire “non” et notre absence de courage ! »

« Pour cette occasion et pour nous récompenser, un tirage au sort est organisé ce lundi 12 juillet 2021 à 19 h ! »

Plusieurs lots sont à gagner…

  • Une vaccination expérimentale obligatoire pour tous les soignants.
  • Une vaccination expérimentale obligatoire pour toutes les personnes en contact avec le public.

Et le maxi lot…

  • Une vaccination expérimentale pour tous y compris les enfants dès la naissance !

Vous pourriez vous demander…

« Mais pourquoi tant de générosité, tant de sollicitude à notre égard ? »

Ne nous dénigrons pas, c’est largement mérité, fruit d’un travail collectif d’acceptation ! Rendez-vous compte que depuis plus d’un an…

  • Vous avez accepté d’être confiné, assigné à résidence, même plusieurs fois…
  • Vous avez accepté de porter un masque à l’intérieur comme à l’extérieur.
  • Vous avez osé accepter de masquer vos enfants.
  • Vous avez accepté des tests PCR.
  • Vous avez accepté le pass sanitaire.
  • Et nous n’avons pas dit « Non ! », massivement, dans la rue et dans nos actes !

Nous méritons amplement le cadeau de la vaccination obligatoire….

Ne manquons pas le tirage de ce soir pour connaître les heureux gagnants !

Au cas où vous ne seriez pas désigné gagnant dès ce soir, ne désespérez pas, il y aura d’autres tirages, nous le méritons bien…

Sachez que de nombreux autres lots sont en préparation au-delà de l’obligation vaccinale comme le passeport vaccinal, le crédit social, l’obligation de puçage, la suppression de l’argent liquide…, etc.

Soyons patients, tout arrive… Je sais que vous réclamez la suppression la plus large possible de vos libertés et le plus vite possible… et c’est en court !

Merci à nous tous pour votre inaction !

Merci à nous tous pour notre manque de courage !

Merci à nous tous pour la fin complète et définitive de tous nos droits ! Merci.

Merci.

Alain Tortosa

Esclave passif, auteur de «7milliardsd’esclavesetdemain!»

Le 12 juillet 2021 https://7milliards.fr/tortosa20210712-nous-avons-merite-la-vaccination-obligatoire.pdf




Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.

Par Nicole Delépine

[Illustration tirée de XAVIER DELUCQ]

Recueil de données officielles disponibles

UNION EUROPEENNE

Pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre(([1] SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#))

SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

MARCHE À SUIVRE

Si vous voulez effectuer la recherche : une fois cette page ouverte

recherchez « covid ». Vous trouverez les quatre vaccins.

Sur chacune des pages du vaccin, cliquez sur l’avant-dernier onglet (« Number of Individual Cases for a selected Reaction »). Le nombre d’effets secondaires se trouve en bas à droite pour chacun des groupes de pathologies répertoriés dans la colonne de gauche.

Pour trouver le nombre total d’effets secondaires, pour chaque vaccin, il faut additionner le nombre d’effets secondaires trouvé pour chacun des groupes de pathologies (c’est-à-dire, par vaccin, plusieurs dizaines de pages dans la liste de la colonne de gauche).

Dernier comptage disponible(([2] 16.500 décès susceptibles d’être causés par les « vaccins » anti-covid dans l’UE (au 26 juin 2021) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en UE avec les pathologies associées.

CHIFFRES GLOBAUX UE

17 503 décès comptabilisés de gens bien portants qui ont suivi les conseils télévisés des médias, n’est-ce pas énorme ? Et le nombre d’accidents répertoriés dont 50 % sont graves ne sont pas assez soulignés, car la vie de ceux-là sera perturbée pendant des décennies s’ils survivent aux complications tardives possibles (cancer, maladie auto-immune, etc.).

Ceci est un comptage minimum, car les soignants sont invités à ne pas parler d’effets secondaires et à expliquer que malheureusement « c’est le hasard ».

Les morts ne sont comptabilisés que durant les trente jours suivants la piqûre et les morts subites du deuxième mois sont volontairement oubliées. Quant aux accidents cardiaques fréquents, ils sont pour l’instant supposés être le fait de pure coïncidence et non comptabilisés. Gageons que les cardiologues vont faire fortune, l’injection génique source de fabrication de protéine Spike étant particulièrement toxique pour les vaisseaux et en particulier les vaisseaux usés des gens âgés qu’on s’est précipité à injecter.

Qu’importe de l’exactitude des chiffres qui sont de toute façon tellement élevés, même si des millions de gens sont vaccinés comme les fanatiques du vaccin nous le répètent.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins tellement répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite aux États-Unis, comme en Chine, et qui n’ont jamais donné une mortalité comparable. Pourquoi est-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

Rappelons que le vaccin H1N1 avait été retiré après une cinquantaine de décès de même que celui de la grippe aviaire en 1976 et que de façon générale, un essai thérapeutique d’une nouvelle drogue est stoppé au-delà d’une trentaine de décès. Le nouveau monde est bien là, oubliant le consentement éclairé, le principe de précaution et la valeur de la vie, d’une vie.

Un moratoire pour avoir le temps d’analyser les données déjà disponibles serait la moindre des choses si le sort des citoyens était en cause, après des millions de gens vaccinés.

Soit 16 432 décès signalés et acceptés par l’EMA comme possiblement liés et suspects fin juin 2021 avec le détail.

Et si vous souhaitez avoir une idée de l’évolution du nombre de décès depuis avril par exemple :

  • Pour le détail à la date du 19 juin 2021 par type de pseudovaccin :
  • Pfizer 7420 décès 560 000 effets adverses d’intérêt
  • Moderna 4147 décès 122 643 effets adverses d’intérêt
  • Astra Zeneca 3364 décès et 793 036 effets adverses d’intérêts
  • Jansen 541 décès
  • UE : 15 472 décès au 19 juin + 1.5 M effets adverses

Depuis le 3 avril 2021, on dénombre dans l’UE en moyenne CHAQUE JOUR 120 décès suspectés d’être dus aux quatre « vaccins » anticovid dans l’Union européenne sont signalés.

USA

VAERS au 25 JUIN 2021

Entre le 14 décembre 2020 et le 25 juin 2021, un total de 411 931 événements indésirables au total a été signalé au VAERS, dont 6985 décès, soit une augmentation de 872 décès par rapport à la semaine précédente.

Il y a eu 34 065 signalements de complications graves, en hausse de 2825 par rapport à la semaine précédente »

Les analystes des conséquences des vaccins anticovid aux USA sont interloqués par la haute fréquence des complications vaccinales en comparaison avec l’ensemble des complications des autres vaccins des deux décennies précédentes.

Aux USA en 16 mois. chez les 0-17 ans (74,2 millions) 396 morts attribuées au covid Et augmentation majeure du nombre d’accidents vaccinaux depuis 1990

Aux USA depuis mars, chez les mineurs âgés de 12 à 18 ans

Il y a eu plus de 300 décès après injection de la substance génique. Acceptable ?

Royaume-Uni(([5] ONS finally admits the Covid Vaccines have caused multiple deaths; contradicting claims made by the MHRA – Daily Expose))

Le nombre total de morts reportés par le MHRA (système carte jaune) est de 1403 reconnus, liés aux injections de vaccins anticovid. Chacun sait que les effets secondaires sont sous-déclarés 1 à 10 %.

Le UK Gouvernement via son agence de santé MHRA a rapporté un total de 1 007 253 réactions négatives, surdité, troubles visuels, convulsions, paralysies, perte de connaissance, arrêt cardiaque, crise cardiaque, et mort subite entre autres

L’Insee anglais (ONS) admet dans son décompte de la mortalité, la mort par effet secondaire des vaccins, contredisant ainsi de fait les labos et politiques qui rechignent à admettre la vérité par souci d’imposer leur pass vaccination

ÉCOSSE

Le site « Public Health » écossais a noté depuis le 26 février, 2207 morts dans les 28 jours suivant la vaccination et dans un autre rapport entre le 8 décembre date de début de la campagne d’injection et le 28 mai un total de 3752 décès suivant l’injection

FRANCE

Pour l’ANSM, agence du médicament française, il n’y a que 6 établissements qui font le recensement d’effets secondaires sur 1356 établissements et les chiffres sont sous-estimés.

Récemment : les sites de pharmacovigilance complètement débordés ont demandé de ne signaler que les cas très graves.

Le Site de l’ANSM est un peu difficile à consulter, car pour l’instant, il ne compte pas les décès en l’absence de certitudes de la relation de cause à effet.

Les effets secondaires qui remontent à l’ANSM sont des effets qui se sont déroulés dans les heures, la semaine ou les 10 jours qui ont suivi.

Quelques chiffres accessibles sont rapportés dans les tableaux suivants.

Au premier mars 2021, l’ANSM recensait 169 morts post vaccination du vaccin Pfizer, parmi plus de 5000 cas d’effet secondaires dont 25 % graves.

Un tableau à la même date donne une idée du type d’effets indésirables constatés et signalés et donc possibles pour les nouveaux vaccinés (la deuxième dose paraissant toujours plus à risque que la première). Vous remarquerez la fréquence des complications vasculaires et cardiologiques dues à la toxicité maintenant reconnue de la protéine Spike fabriquée par les organismes vaccinés.

Larbi Meftahi fait part de ses difficultés pour produire son tableau récapitulatif hebdomadaire des effets secondaires de la vaccination Covid-19 (cf. ci-dessous). Les CRPV sont sous l’eau et l’ANSM peine à produire ses rapports détaillés hebdo.

Chiffres ANSM au 20/05/2021. Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi

« Plus de 37 000 cas d’effets secondaires sur 27 millions de vaccinés d’après l’ANSM au 13 mai 2021, dont plus de 9600 cas graves. C’est sur le site. Rien d’anodin. Ça fait autour d’un cas d’effet secondaire sur 750 vaccinations et 1 cas grave toutes les 2800 vaccinations quand même. »(([6] dixit la grosse fouine sur twitter.))

Ainsi en France on estime à 1 personne sur 100 entre 16 et 49 ans souffrant d’effet secondaire grave. Avec sous-déclaration des effets secondaires (ANSM AZ rapport n°12) à prendre en compte.

Par ailleurs, on remarque auprès des collègues, amis, et proches vaccinés que les événements survenus dans les semaines qui ont suivi la vaccination, comme infarctus, accident vasculaire cérébral ou perte de mémoire (petits emboles vasculaires cérébraux), restent considérés comme des coïncidences. Jusqu’à quand et combien de victimes ?

En tout cas, les responsables de l’ANSM ne cachent plus leur volonté de dissimuler l’info. En effet, sur les quatre dernières périodes (un mois), l’ANSM ne produit plus de rapports hebdomadaires sur les effets secondaires des vaccins Covid-19.(([7] « Manifestement le site de l’ANSM ne joue plus la transparence » : Selon Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi le 6 juil.))

ET chez les enfants ?

Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L’Agence européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. Le vaccin peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.

Covid-19 : pourquoi plus de 5000 enfants de moins de 12 ans ont-ils été vaccinés en France ?

Les données de Santé publique France font apparaître plusieurs milliers de jeunes enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin, hors autorisation de mise sur le marché.

Plus de 5000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France(([8] Par Nicolas Berrod. Le 2 juillet 2021))

Plus de 5 000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France (Illustration). LP/Clivier Corsan
(Illustration : LP/Clivier Corsan)

Au 30 juin, il apparaît que 5272 garçons et filles de moins de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin – 2264 âgés de 0 à 4 ans, 1086 de 5 à 9 ans, et 1922 de 10 ou 11 ans.

972 d’entre eux sont complètement vaccinés.

Pourtant, aucun vaccin n’a reçu d’autorisation de mise sur le marché pour les moins de 12 ans.

Seul Pfizer l’est, pour le moment, pour les 12-17 ans (Moderna pourrait être validé à son tour en juillet).

Santé publique France confirme que ces chiffres « reflètent la réalité » et ne sont pas dus à des erreurs de saisie.

« Il y a la possibilité de vacciner, y compris hors autorisation de mise sur le marché, de jeunes enfants qui présenteraient des facteurs de risques de forme très sévère [de Covid-19]. On n’a pas l’information enfant par enfant, mais la très grande majorité correspond très vraisemblablement à ce genre de décision individuelle », explique Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste à l’agence sanitaire.

Plusieurs pathologies sont concernées.

Dans un avis publié le 24 mars 2021 sur son site, la Société française de pédiatrie notait déjà qu’« un très petit nombre d’enfants à très haut risque de Covid-19 sévère pourrait être vacciné selon le même schéma que les adultes, dès que possible, malgré l’absence d’AMM ».

Sont notamment concernés ceux atteints de polyendocrinopathie auto-immune, ou ceux présentant une prédisposition génétique aux encéphalopathies virales.

Ce nombre de 5272 reste faible, par rapport aux 10 millions d’enfants âgés de moins de 12 ans en France. La couverture vaccinale avec au moins une dose s’élève donc à moins de 0,1 % dans cette tranche d’âge.

Chez les 12-17 ans, elle est passée de moins de 1 % à 13,4 % en trois semaines. (estimation au 2 juillet)

En comparaison, le Covid a fait zéro mort chez les moins de 19 ans sains. En 2020 il n’a été observé que trois décès associés au virus, et tous chez des enfants immunodéprimés graves.

ISRAËL

En Israël aussi les médecins se demandent pourquoi cette folie de vouloir absolument vacciner les enfants.(([9] Andrew Bostom, MD, MS @andrewbostom 5 juil.))

Le Covid-19 n’est pas une maladie de l’enfant et sur plus de 6400 décès répertoriés de covid seulement 9 concernaient des enfants, et la plupart sont atteints de maladies graves sous-jacentes : « nous ne savons pas vraiment si ce vaccin est sans risque pour les adolescents ».(([10] https://jpost.com/health-science/why-is-israel-mass-vaccinating-teens-when-who-says-not-to-analysis-672854))

Pourtant selon une étude des autorités sanitaires israéliennes,(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html)) 275 cas de myocardite ont été identifiés entre décembre 2020 (soit la date du début de la campagne de vaccination) et mai 2021, et surtout chez les jeunes.

DANGER MAJEUR DE L’INJECTION GÉNIQUE CHEZ LES JEUNES ADULTES ET ADOLESCENTS, LES MYOCARDITES DANS TOUS LES PAYS VACCINES

Chez les jeunes, les pseudovaccins anticovid semblent d’autant plus toxiques que les citoyens sont plus jeunes, en particulier sur les conséquences cardiaques.

En Israël, cent quarante-huit myocardites sont apparues dans le mois suivant la vaccination dont 27 cas après la première dose, et 121 après la deuxième dose. Et les autorités sanitaires ont découvert un « lien probable » entre les deux.(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html))

La plupart des cas sont survenus chez de jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 19 ans. Les patients ont majoritairement été hospitalisés pendant quatre jours ou moins.

Aux États-Unis une étude souligne le possible lien entre les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardite détectés chez certains jeunes vaccinés. Leurs conclusions sont similaires à celles tirées par l’État hébreu.

Pendant plusieurs semaines, un groupe de sécurité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a étudié les cas d’inflammation cardiaque survenus après des injections de vaccins Pfizer et Moderna.

Ils ont expliqué avoir recensé un peu plus de 12 000 cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou de péricardite (inflammation de la membrane qui entoure le cœur). Ceux-ci sont principalement survenus chez des personnes de moins de 30 ans plus souvent chez les hommes que chez les femmes. D’après les scientifiques américains, le lien entre les vaccins et ces problèmes de santé est « probable ».

Quelle fréquence ?

Voici les chiffres américains, en détail, arrêtés au 11 juin 2021

  • 267 cas de myocardite ou de péricardite signalés après l’administration d’une première dose d’un vaccin à ARNm.
  • 827 cas après l’administration d’une deuxième dose d’un vaccin à ARNm.
  • 132 cas signalés sans que le nombre de doses soit connu.

« Il s’agit encore d’un événement rare », a commenté le Dr Tom Shimabukuro. « Pour les deux vaccins combinés, on a enregistré 12,6 cas d’inflammation cardiaque par million de doses. Les cas étaient plus fréquents chez les personnes ayant reçu le vaccin Moderna, soit 19,8 cas par million, contre 8 cas par million pour le vaccin Pfizer », a-t-il précisé.

Cet effet secondaire rare a été ajouté dans la liste des avertissements présents dans les fiches d’information sur les vaccins à ARNm, selon la Food and Drug Administration (FDA).

« Sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation», a déclaré Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, cité par Politico.

Les symptômes de ces inflammations cardiaques consistent en des douleurs thoraciques et en un essoufflement. Ils apparaissent surtout dans la semaine qui suit la vaccination, principalement au quatrième jour suivant l’injection.

Si une personne soupçonne qu’elle souffre d’une myocardite ou d’une péricardite, il lui est conseillé de se rendre chez son médecin ou aux urgences. Des examens permettront d’établir un diagnostic. Si l’inflammation est survenue par suite de l’injection de la première dose, il serait prudent de ne pas recevoir la seconde.

EN CONCLUSION 

COMBIEN D’ENFANTS SONT-ILS MORTS DU VACCIN ? BEAUCOUP TROP, PUISQU’ILS NE RISQUAIENT RIEN DU COVID

Les injections géniques expérimentales ne protègent pas ceux qui les reçoivent ni leurs contacts, du coronavirus ni de ses variants, et exposent à de trop nombreux effets indésirables immédiats et à moyen terme, et inconnus à long terme. Leur administration doit être stoppée en urgence.

Et si vous voulez mieux connaître les laboratoires qui commercialisent ces injections géniques :





La Covid et la mort de la pensée indépendante

[Source : Le-Blog-Sam-La-Touch via reseauinternational.net]

Article originel : Covid and the death of independent thought
Conservative Woman, 10.07.21

La chose la plus déprimante au sujet des 17 derniers mois n’est pas ce que nos gouvernements ont fait. J’ai toujours attendu que les gouvernements soient corrompus et incompétents. Ils agissent simplement en personnages. Non, ce qui est vraiment déprimant au sujet des 17 derniers mois, c’est la façon dont les gens ont agi, en particulier ma famille et mes amis.

Mes parents pratiquant avec une foi chrétienne qui ont marché contre la guerre du Vietnam et ont été arrêtés pour avoir protesté sur des bases de sous-marins nucléaires. Ils m’ont fait croire que les élites contrôlaient le monde et agissaient par l’intermédiaire d’agences de renseignement comme la CIA. Ils considèrent qu’il va de soi que des acteurs d’un « état profond » ont tué John F Kennedy, Robert Kennedy et Martin Luther King. Mes frères et sœurs et moi avons tous absorbé l’idée que la plus haute vocation dans la vie était de combattre la tyrannie des riches sur les gens ordinaires.

J’ai pris cette vision du monde avec moi. J’ai cherché des amis qui semblaient partager ces valeurs et dont j’ai respecté l’intellect. Nous avons passé d’innombrables nuits, alimentées de grandes quantités de bière, essayant de regarder derrière le rideau pour comprendre exactement qui a mené le spectacle. Nous sommes allés à New York pour participer à une manifestation No Nukes (« Pas d’armes nucléaires »). Je me souviens d’avoir regardé mes amis dans le train sur le chemin de la maison. Je m’étais dit : « Nous sommes le peuple. » Je me suis senti chanceux d’avoir de si bons alliés dans ce monde. J’étais sûr qu’ils seraient à mes côtés dans les tranchées si jamais notre pays était menacé par la tyrannie.

Cela dit, je n’étais ni naïf ni trop idéaliste. Au contraire, en tant qu’adulte, j’étais profondément cynique, du moins au sujet des institutions mondiales. Mais j’avais foi en la bonté inhérente des gens, la durabilité du bon sens, et la sagesse de mes amis et de ma famille, et de mon peuple en général.

Au cours de la dernière année et demie, cette foi en l’humanité a été complètement brisée, et cela m’a profondément ébranlé.

Mes parents ont bu profondément au puits de la propagande gouvernementale. Malgré le fait que l’entreprise de leur fils (la mienne) a été détruite et que l’éducation et la vie sociale de leurs petits-enfants ont été ruinées, ils ne peuvent pas se résoudre à proférer un cri de protestation. Ils ont accepté la fermeture des églises avec une parfaite équanimité, apparemment ignorant que si les premiers chrétiens avaient été si lâches dans leur foi, le christianisme n’aurait jamais survécu assez longtemps pour qu’ils deviennent chrétiens. Ils ont consenti au sacrifice (« vaccination ») des enfants pour « protéger » les personnes âgées.

Lorsqu’on leur présente des faits et des données qui contredisent le discours traditionnel, mes parents et mes frères et sœurs réagissent avec une colère réelle. Ils refusent d’en discuter. Il y a des années, même si nous étions en désaccord sur un sujet, nous pourrions en discuter sans que cela menace notre relation. Plus maintenant. Ils ne veulent rien entendre qui aille à l’encontre du discours des médias.

Pour ce qui est de mon groupe d’une vingtaine d’amis proches, la plupart d’entre eux appuient ardemment le discours dominant ou ne se donnent tout simplement pas la peine de s’y opposer. Ils n’ont pas seulement accepté le vol de leurs libertés les plus fondamentales, ils défendent ce vol.

Ces mêmes gens qui avaient l’habitude de traiter les médias traditionnels avec des soupçons sains maintenant reprennent tel des perroquets leurs points de discussion sans un soupçon d’ironie. Ils semblent complètement inconscients que les médias grand public ont subi une transformation radicale au cours des cinq dernières années, le passage des sources d’information aux organes de propagande stridents diffusant un récit régulier de points de discussion clivants conçus pour diviser les masses en groupes belliqueux, tandis qu’une infime élite solidifie leur contrôle des richesses du monde. Ils sont passés de la dérision des médias traditionnels en tant qu’organes de fabrication de consentement de la Machine à avoir une foi enfantine dans les dernières déclarations de Big Brother.

Les gens que j’ai connus pour être remplis de curiosité et avides de connaissances affichent maintenant une sorte de réaction allergique à toute nouvelle information. Face à quelque chose de l’extérieur du récit principal, leur réaction va de l’ennui à l’indignation.

Seulement trois de mes amis proches ont résisté au récit de la COVID-19. Nous nous sommes engagés dans une bataille avec notre groupe au sujet de la dernière abomination commise au nom de la lutte contre la COVID-19, mais nous n’avons fait aucun progrès. Nous en sommes finalement arrivés à la conclusion qu’aucun argument, aussi intelligent soit-il, et aucun ensemble de données, aussi révélateur soit-il, ne les ferait changer d’avis. Ils sont hors de portée.

On revient sans cesse sur la métaphore de l’Invasion des profanateurs, un film de science-fiction de 1956 refait en 1978 dans lequel la race humaine est envahie par un virus interstellaire : les gens autour de nous se ressemblent, mais quelque chose est différent. Ils ne sont plus là; les lumières se sont éteintes. Là où le bon sens et la raison prévalaient autrefois, il n’y a plus que des répétitions stupides de points de discussion des médias grand public. Qu’est-il arrivé à ces gens ?

La chose la plus déprimante est la saleté totale du mensonge qui a trompé mes amis, ma famille et mes compatriotes. Satan est souvent dépeint comme attrayant, urbain et intelligent. Il serait naturel que les gens soient menées par une telle personnalité séduisante. Nous pourrions pardonner aux gens de tomber pour ses insinuations, mais de les voir bernés par une bande de charlatans de si bas niveau est vraiment ahurissant. Je veux dire, regardez-les : cet effrayant cadavre cireux, Joe Biden ; le méchant homunculus, Anthony Fauci ; ce garçon d’école tordu, Matt Hancock ; et cet acte soigneusement calculé de Boris Johnson. Le plus joyeux aperçu de n’importe lequel d’entre eux fait déclencher mes alarmes contre la « connerie ».

Et l’histoire qu’ils ont avalée ! Quelques vidéos à petit budget en provenance de Chine de gens qui s’effondrent dans les rues et recyclent sans cesse des images d’ambulances et d’Unités de soins intensifs bondés. Les gens ont complètement ignoré leur propre expérience. Est-ce que cela ressemble à une pandémie? Où sont les hôpitaux de campagne bondés de morts et de mourants? Où sont les fosses communes? Où sont les camions qui nous demandent de « sortir les morts » ? Sans Internet et les médias de masse, il n’y aurait pas une âme sur terre qui penserait que quelque chose d’inhabituel se passe.

J’ai toujours attribué à l’humanité une certaine intelligence animale et une certaine force de caractère. Mais face à une production de propagande de troisième ordre livrée par une troupe de charlatans bâclée, notre peuple le plus « éduqué » a fait preuve de tout le discernement et de toute l’acuité mentale des voyous sordides lors d’un match de lutte professionnel. Ils ont renoncé à leurs libertés les plus importantes et ont permis à leurs propres enfants d’être torturés, blessés et tués sans lever le petit doigt pour se défendre.

La réalisation la plus révélatrice des 17 derniers mois est la suivante : il est incroyablement facile de laver le cerveau et d’influencer au travers de la propagande la population. En effet, ils semblent en avoir faim, même au détriment de leur propre vie et de celle de leurs enfants.

Je pensais honnêtement que nous étions de meilleures personnes. Je pensais que le bon sens, le fair-play et l’humanité étaient nos paramètres par défaut. Je ne pensais pas que l’obéissance et la lâcheté comme des moutons étaient nos traits les plus profonds. Mais, les 17 derniers mois m’ont désabusé de cette croyance. Et je ne me remettrai jamais de cette perte.

Maintenant, face à des médias toujours plus immersifs et à des technologies plus addictives et manipulatrices, toutes contrôlées et possédées par des milliardaires sociopathes, je désespère vraiment pour notre avenir. Je n’arrête pas de penser au refrain de Neil Young de l’Ohio : « Nous nous retrouvons finalement seuls. »

Traduction SLT




La farce de la Nasa et la vraie mission des cosmonautes

[Source : nicolasbonnal.com]

Par Nicolas Bonnal

[© Photo / Capture d’écran: Youtube]

Beaucoup de gens doutent de l’alunissage de 1969, autre opération de l’État US.

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[Voir aussi : L’alunissage : Un canular géant pour l’humanité ?]
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Star Wars Episode IV (1977)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBEStar Wars Episode IV (1977)

En réalité il n’y a jamais eu de conquête spatiale, ni même de volonté de conquête spatiale. Et la soi-disant conquête spatiale n’avait que deux missions : contrôler l’espace proche de la terre transformé aujourd’hui en poubelle bourrée de satellites de surveillance et d’armes de destruction démocratique ; préparer notre vie à tous dans le monde simulateur du XXIe siècle. Mais si la conquête spatiale initiée par les nazis et poursuivie du fait de la guerre froide, cette guerre froide avec le monde qui n’en finit pas, et qui risque de nous coûter finalement cher, n’a pas servi à conquérir les galaxies et à exploiter les pétroles vénusiens en guerroyant avec les Aliens et les hommes verts, à quoi aura-t-elle donc servi ?

À nous conditionner et à nous préparer à des temps moins marrants, digne de la dystopie présente.

Oubliez les résultats inexistants de la pseudo-conquête et revoyez 2001 l’odyssée de l’espace, ou bien l’Étoffe des héros, ou bien même Solaris, et comparez votre vie urbaine et celle à venir de vos enfants avec celle d’un cosmonaute. Revoyez tous ces films de science-fiction et vous verrez que tout cela n’avait que ce seul but : nous préparer à vivre comme des cosmonautes, mais sans jamais aller dans l’espace. La simulation de vol spatial et de conquête des étoiles est allée de pair avec un contrôle mental et surtout, finalement, physique sans précédent dans l’histoire de notre occident vieillissant.

2001, l'Odyssée de l'espace
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE 2001, l’Odyssée de l’espace

Car, et réfléchissez bien, en quoi consiste la vie d’un cosmonaute ? Revoyez 2001, pas la Guerre des étoiles, qui sert à vendre des jeux vidéo. J’ai évoqué ce thème dans mon long livre sur Kubrick.

• Un cosmonaute passe sa vie devant des écrans, comme nos contemporains. Il a toujours un problème technique. Il est toujours dans un moyen de transport quelconque.

• Un cosmonaute a peu d’espace pour vivre. Pensez au parisien ou au newyorkais pauvre.

• Un cosmonaute se tient toujours dans la dépendance d’un moyen technologique. Il passe son temps à envoyer des messages codés et à se plaindre d’avoir un problème (Houston…). Il passe son temps à pousser des boutons et, s’il n’est pas très calé en réparations (et qui va réparer un gadget Apple ?), il se tient bien tranquille.

• Il est gros consommateur d’énergie et il ne se sert plus de son corps. Il en grignote, des friandises, comme dans un conte de fées ! Combien vous dites, un milliard trois d’obèses dans le monde ? Wall-E représente d’ailleurs un vaisseau d’obèses en lévitation permanente. Seuls les pouces travaillent sur le smartphone.

• Un cosmonaute est tenu de lire tout le temps des modes d’emploi et des règlements. Revoyez la pause-pipi, un des moments marrants de 2001 l’odyssée de l’espace. Et pensez au tableau de bord de votre BMW ou à votre vie quotidienne contrôlée par les ordinateurs et les clones d’Hal 9000.

Gravity (2013)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Gravity (2013)

Mais surtout, le cosmonaute annonce le troupeau mondialisé du citoyen anonyme et sans honneur.

• Le cosmonaute est sans racines. Il n’y a pas plus de terre, il n’y a plus de nation dans l’espace. Il n’y a que des vaisseaux et que des bases US, des stations, stations qui n’ont rien de christique. Dans l’espace, personne ne vous entendra prier ! Et pensez au temps que nous devons passer dans des endroits aseptisés (aéroports, hubs, échangeurs, supermarchés, stations-services, centres commerciaux, etc.). Le film Gravity avec Bullock et Clooney le montre bien d’ailleurs.

• Un cosmonaute plane, il est cool, il fait des voyages dans l’astral. Suspendu les quatre fers en l’air, il a perdu la notion du temps et de… l’espace. On avait comparé la vision ultime de 2001 à l’absorption de LSD. Le cosmonaute annonce l’individu blasé et déphasé, nourri aux benzodiazépines…

Solaris (2002)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Solaris (2002)

• Il perd aussi la notion de nourriture, en suçant à petites gorgées tout un tas de cochonneries baptisées « Science Food » par la fondation Rockefeller. On voit les enfants du monde se précipiter dessus, sur ces poisons chimiques et ces venins en plastique. Pensez aussi à la corvée du repas dans 2001 et à la méditation de Bruce Dern dans le très beau Silent running (Nietzsche pronostiquait un retour à l’enfance, il a été servi).

• En parlant de ce film, je dois rajouter qu’il est écologiste et que l’écologie est apparue avec la conquête spatiale, comme forme silencieuse et sophistiquée de notre eschatologique dictature humanitaire. Il faut défendre la « planète bleue » en contrôlant les populations et leur consommation. Qui devra-t-on sacrifier ? Un ou deux membres de l’équipage ! Voyez l’album d’Hergé : lui avait résolu le problème !

Alien (1979)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE Alien (1979)

• Le cosmonaute est évidemment unisexe. Habillé en uniforme, éternel enfant en état d’apesanteur, il perdu toute virilité, toute féminité, ne rêvant comme dans Alien ou Species que de s’accoupler avec des incubes ou des succubes (les ET sont les simples démons de notre tradition chrétienne). Sa vie sexuelle est virtuelle et pornographique, ne dépendant que des fantasmes. Et cette révolution sexuelle est en cours : voyez les émissions du câble la nuit, vous comprendrez où l’avant-garde culturelle américaine veut nous mener. Les sorcières de Shakespeare et le bon Dracula n’ont qu’à bien se tenir.

• Condamné à une fausse vie, une existence minimale et formelle (le mètre carré est bien trop cher, comme à Paris, Séoul ou Manhattan), le cosmonaute compétent doit passer sa vie à se former, se recycler, et s’entraîner. Mais dans Wall-E, ce sont les robots qui ont ce beau rôle, comme dans Terminator et finalement dans 2001 ou I robot: à la fin de l’Histoire, l’ordinateur est le seul être libre.

I robot (2004)
© PHOTO / CAPTURE D’ÉCRAN: YOUTUBE I robot (2004)

• Le cosmonaute est aussi condamné à s’ennuyer, faire des jeux vidéo, à contrôler son mental et son diabète sous le regard sévère du complexe militaro-médical et psychiatrique qui a pris le contrôle de nos identités bien menacées. Dans cette vie vidée d’essence, on le remplit de faux souvenirs comme dans une mauvaise nouvelle de Philip K. Dick (voyez Total recall, le meilleur Schwarzenegger). Vis-je, ou rêvé-je ma vie si vide ?

• La cybernétique a pris le contrôle de nos sociétés avec la guerre, la recherche nazie, soviétique, américaine. Lisez Chris Gray (le Cyborg Handbook) ou le chercheur soviétique, moins connu bien sûr, Slava Gerovitch (New soviet man) qui explique comment le programme d’entraînement des cosmonautes était sous le contrôle des centres de recherche cybernétique.

Pas très capable de nous envoyer dans l’espace, pas très capable de nous promettre la lune, la farce médiatique de la conquête spatiale et du cosmonaute US a permis la transformation des humains en transhumains. Presque tous les grands écrivains de SF américains, y compris le fondateur de la scientologie venaient de l’intelligence navale et militaire. Je vous laisserai vérifier.


Livres




Êtes-vous sûr de vouloir vous faire vacciner ?

[Source : VK (9 ce cœur)]

[Source image : midilibre.fr. Exemples de paralysie faciale suite à la « vaccination » anti-covid]






L’avocat Me Etienne Boittin a plus de 20 dossiers de décès après la vaccination anti-Covid

[Source : lemediaen442.fr]

La question que nous nous posons à la rédaction, c’est : comment un avocat, Me Etienne Boittin, peut-il avoir plus de vingt dossiers sur les bras à lui tout seul, concernant le décès d’hommes et de femmes après la vaccination anti-Covid, sans que les journalistes de plateau n’en fassent guère mention ?

C’est une situation surréaliste à laquelle nous assistons. Var-Matin nous apprend, en déambulant sur les réseaux-sociaux par le plus grand des hasards, que l’avocat Etienne Boittin est saisi d’une vingtaine de dossiers dans toute la France, dont quatre dans la région Sud, pour des décès qui ont suivi de quelques jours , ou quelques semaines, une vaccination anti-covid.

« Trois hommes sont morts, de 54, 56 et 70 ans, après une vaccination anti-Covid. Un quatrième à Aix. Les familles veulent comprendre ce qui s’est passé. L’avocat a plus vingt dossiers sur les bras concernant [notamment] deux autres hommes, de 24, 39 ans, et une femme de 38 ans. »

Que veut dire ce silence assourdissant des médias mainstream ? Les décès par le vaccin doivent absolument être cachés ? Une chose est certaine, le jeune âge des victimes devrait nous interpeller.




Une mise au point sur les masques & lettre adressée au président du Sénat

[Source : profession-gendarme.com]

Le Docteur Sylvain. ….., fidèle lecteur de Profession-Gendarme nous adresse la photographie ci-dessous ainsi que copie d’une lettre adressée le 04 novembre 2020 au président du Sénat, mais restée sans réponse….

Dr Sylvain …………… le 04/11/2020

à l’attention de monsieur le président LARCHER

Copie : Vincent Delahaye, Mathieu Darnaud

Objet : le Sénat, dernier bastion contre une dérive totalitaire ????

Cher confrère et président, c’est le désespoir des PME et des jeunes entrepreneurs qui sont au cœur de la dynamique économique et des innovations de notre pays, qui me poussent à vous adresser ce cri d’alarme.

Vous me connaissez sans me connaitre, ayant eu le plaisir de fréquenter le cabinet de dentiste d’une certaine Madame Larcher Vaysse, à l’époque où je résidais à Igny, jeune chercheur en écologie et génétique microbienne à Jouy.

Pour compléter ma présentation, formé sur les bancs de l’école de Marcy, après 4 années de clientèle dans le charolais, je me suis tourné vers les filières agroalimentaires après avoir effectué une thèse de doctorat en Ecologie Microbienne et Génétique Microbienne dans l’équipe de Raibaud et Ducluzeau. Mon parcours dans les multinationales de l’agroalimentaire (Perrier sous les ordres de Jacques Bombal, Carrefour et Danone) m’a placé très tôt en première ligne dans les grandes crises sanitaires de la filière en tant que gestionnaire de crise et porte-parole (Listeria, Vache Folle, Salmonelle, Grippe Aviaire, Grippe porcine, Botulisme, Sakazaki et j’en passe). J’ai eu l’honneur et la chance de participer aux travaux de différentes instances consultatives (Conseil Supérieur d’Hygiène à l’invitation de mon ami Jean Louis Jouve et de Michel Catteau de Pasteur Lille, Conseil National de l’Alimentation, Conseil National de la Consommation). J’ai pu aussi siéger dans plusieurs Fédérations Professionnelles françaises et européennes pour participer activement aux tasks forces sécurité-environnement comme simple membre au début, puis président. Mon respect pour l’intérêt collectif doublé d’une crédibilité scientifique et d’une approche bénéfice-risque m’ont permis de contribuer efficacement à l’établissement de normes sanitaires « raisonnables » permettant de protéger les intérêts de nos filières françaises (produits au lait cru) et de l’ensemble des opérateurs du babyfood, malgré les pressions de quelques opérateurs internationaux souhaitant profiter de la peur sanitaire pour imposer des normes inacceptables pour la majorité des intervenants. Fatigué des pressions et de l’exposition personnelle liées à cette position de gestionnaire de crise, j’ai quitté il y a quelques années les multinationales pour me consacrer à un projet écologique porteur de sens dans mon domaine ardéchois, soutenir des jeunes porteurs de projet tout en continuant à apporter mon soutien d’expert auprès des PME dans les domaines de la gestion de crise et de la RSE. Pardonnez-moi la longueur de cette présentation qui a pour but de justifier ma prise de recul indépendante et mon expertise face à la situation que nous vivons.

Le traitement opportuniste évident de la crise COVID me laisse pantois autant sur les mensonges scientifiques que sur la manipulation extrême des citoyens par la peur, la privation progressive de nos droits fondamentaux et, insulte suprême aux praticiens, la violation du serment d’Hippocrate en interdisant aux médecins l’utilisation de traitements.

Je ne suis pas dupe d’une volonté de quelques acteurs internationaux de profiter d’une crise sanitaire (certains diront provoquée, mais ça ne change rien à la situation), ayant suffisamment fréquenté les couloirs de Bruxelles et du Ministère de la Santé. J’ai été moi-même en position de jouer à ce jeu, pour asseoir des stratégies de développement dans certaines filières, mais j’en connais les limites et les dangers.

A titre d’illustration, je ne citerai que quelques exemples majeurs de dysfonctionnement en terme de gestion de crise sanitaire

  • Confinement : la pratique courante de la prévention et de la gestion des épidémies animales (beaucoup plus nombreuses vous le savez que les épidémies humaines) nous apprend « qu’il ne faut pas laisser rentrer le loup dans la bergerie » (souvenir de nos cours de MRLC). Quelque soit la taille de la bergerie, confiner revient à faire tourner en boucle la contamination virale et favoriser son développement, particulièrement quand la contamination est présente en France depuis le mois de novembre (des amis japonais en voyage en France au mois de janvier étaient sidérés de la désinformation des français sur le début de l’épidémie chinoise, dont ils situaient le démarrage en août) ce qui situe probablement le pic de propagation en France fin février début mars.
  • Distanciation sociale : quelle plaisanterie quand certains cours nous apprenaient que la distance de diffusion des maladies virales animales se comptait en centaines de mètres !
  • Le port du masque grand public : je conviens que cette mesure moyenâgeuse soit la seule mesure socialement acceptable (inconscient collectif) qui permette de maintenir la peur et la soumission. N’importe quel hygiéniste honnête ayant pratiqué l’analyse microbiologique en routine montrera l’inefficacité et les dangers d’un port de masque chirurgical prolongé. Je compte par centaines de milliers les analyses microbiologiques que j’ai fait réaliser au cours de ma carrière dans différents environnements pour valider les mesures de prévention et de contrôle des contaminations. Assurément, le port du masque chirurgical ne fait pas partie de ces mesures, s’agissant de contamination virale, ni même pour la plupart des contaminations bactériennes aéroportées dans des environnements de vie conventionnels. J’ai même été amené à faire supprimer le port du masque dans certains ateliers sensibles compte tenu de l’incidence néfaste sur la santé des opérateurs et le risque de contamination de l’ambiance de travail… Pour avoir interrogé récemment quelques médecins, les conséquences du port du masque permanent sur la santé physique et psychologique représentent jusqu’à 20% des consultations.. Sans parler des troubles cognitifs chez les enfants qui en subiront plus tard les conséquences
  • Tests PCR : il m’a été donné de participer aux balbutiements de la technologie PCR (INRA) puis à son développement pour permettre d’identifier des contaminations dans les filière agroalimentaires et tracer leur origine. Utiliser un test PCR pour pratiquer un dépistage de masse est considéré comme une faute professionnelle par les analystes sérieux. Sa seule utilité est de confirmer rapidement un diagnostic et d’établir éventuellement un lien avec des sources de contamination……dans la limite de la spécificité du test. J’ai eu l’occasion d’interdire l’utilisation de test PCR dans des campagnes de surveillance de contaminations en usine et dans les aliments…

Il apparait évident que le nombre de « cas » communiqués par les voies officielles n’a rien à voir avec le nombre de malades potentiellement infectants, et traduit tout au plus la présence de traces d’un coronavirus (lequel ????) au fond des fosses nasales là où il est plus que probable d’en trouver. Les données d’écologie microbienne nous apprennent qu’un mètre cube d’air inspiré (20 minutes de respiration au repos) contient entre 1,7 et 40 millions de virus en suspension et que nous hébergeons en permanence entre 20 et 90 espèces de virus différentes….Une autre raison scientifique de sourire face aux mesures de port de masque et de distanciation

  • Communication : mensonge sur les chiffres

La consultation du processus de transmission des informations au ministère de la santé, l’analyse des courbes épidémiques des différentes années, les témoignages de plus en plus nombreux des soignants obligés d’inscrire COVID sur le bulletin des patients, indépendamment de la cause de la maladie ….ou du décès, doit nous alerter sur les pratiques de notre gouvernement pour manipuler l’opinion. J’ai toujours pratiqué la transparence des chiffres dans les différentes crises dont je fus le gestionnaire et le porte parole. Il y a manifestement un besoin de clarification officielle entre le nombre de décès « dus au COVID », le nombre de décès « avec présence avérée d’ARN de COVID » et le nombre de décès « déclarés COVID ». Il me semble même qu’une enquête judiciaire soit nécessaire s’il n’est pas trop tard pour se prémunir contre les fausses déclarations que ce soit au niveau de l’état ou de la presse.

  • La gestion des crises par la peur a toujours provoqué des catastrophes économiques. Sans parler des dégâts psychologiques auxquels je suis confronté régulièrement dans une activité de soutien que je mène en parallèle en équicoaching avec des praticiens.

Je vois que le Sénat commence à réagir et j’espère ardemment que cette institution proche au quotidien de nos concitoyens puisse survivre et faire entendre sa voix dans la tourmente, par quelque moyen que ce soit, mue par le souci et le devoir de préserver les droits constitutionnels et la survie des citoyens… Je vous fais parvenir ce courrier soit par un ami d’enfance, Vincent Delahaye, soit par notre sénateur Mathieu Darnaud que je mets en copie

Restant à votre disposition pour toute contribution ou autre témoignage nécessaire au maintien de notre économie et de la démocratie, veuillez agréer l’expression de mes salutations très confraternelles

Dr Sylvain




Le monde de Xi Jinping | ARTE

[Source : ARTE]

Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

Disponible jusqu’au 12/08/2021

https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



Le camp Républicain passe de la défensive à l’offensive à propos du scandale du COVID

[Source : Les 7 du quebec]






Dr Geert Vanden Bossche : « La vaccination va rendre le virus si infectieux que nous ne pourrons plus le contrôler »

[Source : Guy Fawkes News (fawkes-news.com)]

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[Ndlr : dans le cadre de la version courante ou qui semble la plus consensuelle de la théorie virale, un virus est cependant d’autant moins virulent et mortel qu’il est plus infectieux.
En d’autres termes et schématiquement :
Infectieux = Se propage facilement = Peu dangereux.]

« Chaque personne qui se vaccine est en train de détruire son système immunitaire inné ».

Dr Geert Vanden Bossche






L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

Par Gérard Delépine

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Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

[Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

« Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

« Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

Conclusions

Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

« Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





François Asselineau : Pass sanitaire, Obligation vaccinale – l’irresponsabilité du gouvernement

[Source : Upr via Sott.net]

[Voir aussi : La CNIL valide la transmission de la liste des non-vaccinés aux médecins traitants – Nexus]




Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

[Source : breizh-info.com]

Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

Des effets néfastes sur la santé ?

De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




France : Le Dr Amine Umlil demande la démission du ministre de la Santé

[Source : francesoir.fr]

Par le Dr Amine Umlil pour FranceSoir

Vaccins contre la Covid-19 : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre la Santé Véran

TRIBUNE : Dans une lettre adressée à Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON, le Dr Umlil n’ayant pas eu de réponse à sa demande de débat avec le ministre de la Santé Olivier Véran demande et exige la démission de ce denier suite aux diverses communications erronées de ce dernier.  Rappelons que même les décodeurs du Monde ont pris le ministre Véran en flagrant délit de mensonges au sujet de la phase de test des vaccins : Mr Véran ayant annoncé que les thérapies géniques utilisées actuellement n’étaient plus en phase 3 (phase de test) alors que ces derniers les sont pour la plupart jusqu’en 2022 [au moins].

Une tribune du Collectif Citoyen avait identifié les nombreuses erreurs de Mr Véran pendant la gestion de la crise, le Dr Umlil dans une tribune complète va plus loin par respect de son serment professionnel. Cette lettre est reproduite intégralement ci-dessous :

« LETTRE OUVERTE. Vaccins contre la Covid-19. Monsieur le Président de la République : je demande, j’exige la démission immédiate du Ministre des solidarités et de la santé, Monsieur Olivier VÉRAN »

Copie de la lettre est adressée au Premier ministre, Jean CASTEX, Ministre des solidarités et de la santé, Olivier VÉRAN, à l’Assemblée nationale, au Sénat, à la la haute autorité de santé (HAS) et à l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).  

« Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

« Vaccination. COVID19. Si vous avez des courbatures après le vaccin, pas d’inquiétude… c’est que vous avez trop pédalé ! Prenez rdv dès maintenant (…) » (Olivier Véran, 9 juillet 2021, 21h08, sur le réseau social Tweeter).

À nouveau, Monsieur Olivier VÉRAN, Ministre des solidarités et de la santé, vient donc de récidiver. Sa communication sur le rapport bénéfice/risque des vaccins contre la Covid-19, à destination du public, heurte plusieurs dispositions de la loi (au sens large) ; dont le Code de la santé publique. Il est, pour le moins, insupportable de voir un Ministre de la santé continuer de tenir des affirmations inexactes auprès d’un public vulnérable.

C’est donc avec urgence et gravité que j’ai l’honneur de saisir votre bienveillance en vous adressant la présente lettre ouverte en ma qualité de pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier et juriste (droit de la santé) ; responsable de la pharmacovigilance, de la coordination des vigilances sanitaires et du CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques) au centre hospitalier de Cholet dans lequel j’exerce depuis 2002.

Et avant tout, cette nouvelle alerte vous est également transmise en ma qualité de citoyen français.

Depuis plusieurs mois, le CTIAP vous a proposé ses analyses, documentées et vérifiables sur pièces, concernant notamment les vaccins contre la Covid-19. Ces preuves émanent des écritures des autorités ad hoc elles-mêmes telles que l’agence européenne du médicament (EMA), l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), la haute autorité de santé (HAS), le ministère des solidarités et de la santé, le Conseil d’État, etc. Ces preuves sont disponibles sur le présent site internet.

Récemment, dans une revue juridique, un professeur de droit public à l’Université de Perpignan est venu, lui aussi, confirmer le bien-fondé de ces analyses proposées au public.

Mais, depuis l’attribution des autorisations de mise sur le marché (AMM) « conditionnelles », temporaires et dont la durée n’excède pas un an, aux quatre vaccins commercialisés en France, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé a, publiquement et à plusieurs reprises, tenu des affirmations, pour le moins, inexactes.

Par exemple, récemment et selon des médias, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait affirmé ceci : « Parmi les fake news qu’on entend, il y aurait celle qui consiste à dire que le vaccin sera encore en cours d’expérimentation. C’est absolument faux, la phase 3 est terminée depuis des mois. Elle est validée. Trois milliards d’injection ont été validées sur la planète Terre. Les choses se déroulent au mieux. Vous pouvez y aller, il n’y aucune inquiétude à avoir ».

Avec certitude, le Ministre des solidarités et de la santé aurait donc affirmé que ledit vaccin n’est plus « en cours d’expérimentation » puisque, selon lui, la « phase 3 » des essais cliniques (menés chez l’Homme) « est terminée depuis des mois ». Selon lui, cette phase 3 expérimentale « est validée ».

Il aurait ajouté qu’« il n’y a aucune inquiétude à avoir » et inviterait les gens à « y aller ». Autrement dit, ce vaccin ne présente, selon le Ministre des solidarités et de la santé, aucun risque d’effets indésirables, notamment graves.

Or, en réalité, même le journal Le Monde constate ceci : « Il est vrai que les essais de phase 3 sont toujours en cours… En affirmant de manière catégorique que la phase 3 des essais des vaccins déployés en France est « terminée », Olivier Véran se méprend. Contacté par Le Monde, le laboratoire Pfizer assure bien que son « essai de phase 3 se poursuit ».

Le fabricant, lui-même, met donc en évidence les affirmations inexactes que le Ministre des solidarités et de la santé aurait tenues.

Ledit Professeur de droit public, lui aussi, relève que « la formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque ». Il soutient : « Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute ». Il affirme qu’il s’agit d’« une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine ».

Mais, Monsieur le ministre des solidarités et de la santé aurait récidivé en tenant de nouvelles affirmations inexactes et en usant d’un vocabulaire qui interroge. En s’adressant à des jeunes dont il aurait tenté d’extirper le consentement, il semble persister dans cette voie :

« Il ne faut pas avoir peur de ça, je vous assure. Lisez les revues scientifiques, les choses comme ça. N’allez pas sur les blogs ou les trucs des rageux qui vous racontent n’importe quoi. Moi j’entends tout le temps le vaccin : il est encore en développement, il n’a pas fini sa phase expérimentale. Pardon, c’est des… c’est vraiment n’importe quoi. On n’a jamais eu quasiment autant de recul pour un vaccin que celui-ci vu le nombre de vaccinations qu’on a faites. »

Inacceptable. Condamnable. Fautif. Voire répréhensible.

Ces nombreuses « vaccinations faites » pourraient s’avérer être la conséquence d’un consentement vicié des personnes.

Si ces affirmations relatées par ces médias sont exactes, alors l’attitude du Ministre des solidarités et de la santé ne peut que heurter plusieurs dispositions de la loi (au sens large) qui encadrent notamment la communication sur le rapport bénéfice/risque d’un médicament tel que le vaccin.

Or, toute personne a le droit à une information claire, loyale et appropriée. Cette information conditionne la validité du consentement libre et éclairé. Ce consentement est une liberté fondamentale. Heurter l’autonomie de la personne revient à porter atteinte à la dignité de la personne humaine.

Ne pas pouvoir accéder à cette information indépendante est la première des pauvretés, des inégalités et des vulnérabilités.

Les maladies inscrites sur la liste des maladies à déclaration obligatoire, elles, ne sont soumises à aucun « passe sanitaire ».

Mais, ce « passe sanitaire » est imposé à la Covid-19 ; alors que cette maladie, elle, n’est pas inscrite sur ladite liste des maladies à déclaration obligatoire.

Le droit a conduit à la suspension de l’obligation de la vaccination (contre la grippe) ; alors que ce vaccin bénéficie, lui, d’une AMM standard.

Mais, Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé menace de rendre la vaccination (contre la Covid-19) obligatoire pour notamment les « soignants » ; alors que ces vaccins, eux, ne bénéficient que d’une AMM « conditionnelle », temporaire (dont la durée n’excède pas un an) ; et dont le rapport bénéfice/risque est peu connu.

De nombreuses personnes, dont des « soignants », ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19. Publiquement, elles sont devenues, sous vos yeux, la cible de comportements inqualifiables, potentiellement fautifs et répréhensibles.

Ces personnes ont choisi la prudence eu égard aux incertitudes et des questions en suspens. Ces personnes ont peur de voir venir notamment des hospitalisations, des séquelles, des malformations congénitales. Elles semblent percevoir la mort au bout de la seringue remplie de ce vaccin (contre la Covid-19). C’est si difficile à comprendre ?

Le ressenti d’un patient, de toute personne, compte. La prise de décision dépend du rapport aux risques de cette personne. Cette décision est le fruit d’une expérience de vie ; peut-être d’un parcours accidenté.

Nous savons qu’il est difficile d’établir la certitude du lien de causalité entre les effets indésirables et tel ou tel médicament présumé à l’origine de ces dommages corporels. Mais, ne pas pouvoir établir cette preuve de façon certaine ne signifie pas, nécessairement et systématiquement, que ce lien de causalité n’existe pas. Le juge civil a d’ailleurs assoupli sa position sur ce point depuis plusieurs années.

Les décideurs ne devraient pas profiter de cette incertitude qui jaillit du régime probatoire pour « inciter »« encourager »« contraindre » les personnes à se vacciner ; pour extirper leur consentement par notamment le dol ou la violence.

En général, qu’il s’agisse du bénéfice ou du risque, le doute semble toujours profiter aux produits pharmaceutiques et à leurs fabricants. Et après, certains semblent étonnés lorsque, quelques années plus tard, des drames sont constatés.

Mais là, nous sommes face à une situation inédite dans l’histoire de la médecine, celle d’une expérimentation vaccinale à grande échelle. Il serait vain et illusoire de vouloir occulter une telle évidence.

Dans le cadre de la gestion de cette Covid-19, ce n’est pas la première fois que Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé tient des affirmations inexactes. Il y a lieu de rappeler, en effet et par exemple, une décision qu’il aurait prise en se fondant sur un article publié dans une revue ; article qui a été ensuite retiré suite aux critiques formulées par des personnes qualifiées et indépendantes.

Monsieur le Ministre des solidarités et de la santé est également Docteur en médecine. À ce titre, il a aussi des devoirs à respecter ; comme tout médecin ou autre professionnel de santé.

L’attitude de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé est, pour le moins, incompréhensible. Le CTIAP lui a soumis de nombreux éléments utiles qui auraient pu l’aider dans ses décisions. Je lui ai adressé des alertes. Je lui ai proposé un face-à-face télévisé, en direct, afin d’offrir à nos concitoyens un débat public, contradictoire, utile et de qualité. En vain.

À ce jour, je n’ai reçu aucune réponse à mes propositions.

Comme le disent souvent les juges, la contradiction des motifs équivaut à leur absence. Et l’appréciation des faits relève toujours de la décision souveraine des juges.

Les multiples contradictions de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, ses nombreuses affirmations inexactes seraient-elles la matérialisation d’une incompétence, ou l’expression d’une mauvaise foi, ou le reflet d’un sentiment d’impunité notamment ? Ou tout à la fois ? Ce comportement, constaté par tout le monde, ne semble pas respectueux des prérogatives de sa charge et de son honorable fonction. Ce hiatus ne peut que porter atteinte à la crédibilité des institutions et à la politique de santé publique. Ces distorsions ne peuvent aboutir qu’au délabrement de la confiance accordée au système de soins ; elles ne peuvent conduire qu’à l’exacerbation de la défiance envers les (autres) vaccins qui, eux, ont apporté la preuve d’un rapport bénéfice/risque favorable.

La communication de Monsieur le ministre des solidarités et de la santé semble devenir dangereuse. Face à cette situation, et à leurs tours, nombreux professionnels de santé – lesdits « soignants » – menacent de démissionner. Et je tiens à vous rassurer, je n’en fais pas partie ; tout comme je souhaite rappeler que mes réflexions ne présument pas de ma décision personnelle de se vacciner ou non.

Les établissements de santé ont davantage besoin de « soignants » que d’un Ministre

Par ces motifs non exhaustifs, que je pourrais parfaire, et sous toutes réserves, je ne peux donc que me résoudre à suggérer à Monsieur le ministre des solidarités et de la santé de tirer toutes les conséquences utiles de ce constat ; en envisageant, notamment et a minima, de présenter sa démission du gouvernement ; dans les plus brefs délais eu égard à l’urgence et à la gravité de la situation.

Je demande sa démission immédiate. Je l’exige.

De même, je suggère à notamment tous les détenteurs de l’autorité et tous les soi-disant « représentants » des soignants, qui ont soutenu Monsieur le ministre des solidarités et de la santé sur ce point, de suivre la même voie.

Le 8 juillet 2021, à travers un retour d’expériences (des exemples du terrain), le CTIAP vous a également alerté sur le risque de « violence sur les soignants » et de « violation du secret professionnel médical ». Cet article a été relayé par le journal FranceSoir. Dès le lendemain, et publiquement, j’ai fait l’objet d’« attaques » et de « menaces », écrites, de la part de quatre personnes exerçant au centre hospitalier de Cholet. À mon égard, l’un de ces agresseurs recommande même ceci à l’ensemble des médecins et au directeur de l’hôpital : « Si quelqu’un a un traitement de choc, c’est le moment ou jamais ». Cet agresseur serait l’une des personnes impliquées dans le « traitement de choc » qui aurait été réservé à la présidente de la commission médicale d’établissement (CME) de l’hôpital. Cette présidente aurait porté plainte pour « faux, usage de faux et séquestration ». Cette « affaire » a été révélée, en décembre 2020, par le journal le Courrier de l’Ouest. Cette « affaire » était l’un des arguments, utilisés par le maire de Cholet, pour annoncer son retrait du conseil de surveillance du centre hospitalier (CH).

Simultanément, parallèlement et publiquement, ce 9 juillet 2021, je reçois aussi ce nouvel appel à l’aide émanant d’une femme qui serait une aide-soignante :

« Dr, le couperet arrive pour les soignants help ! »

Par ailleurs, je suis informé de ceci : 

« le syndicat (…) du CH de Cholet a déposé un recours à la CNIL [commission nationale de l’informatique et des libertés] concernant la vaccination du personnel. En effet, pourquoi est-ce un directeur administratif qui est en possession de toutes les identités des vaccinés COVID de l’hôpital ? ».

La protection du secret professionnel médical semble s’effriter. D’un signalement et/ou d’une notification d’une maladie, un nouveau régime d’exception semble s’orienter vers une surveillance des personnes (cf. l’article du CTIAP en date du 6 mai 2021).

Il est, pour le moins, insupportable de continuer de voir nos vies, nos droits et libertés fondamentaux, piétinés à ce point. Et en toute impunité.

Dans un pays civilisé, les rapports entre les individus sont régulés par le Droit. Or, et selon le même Professeur de droit public : 

« Que le Premier ministre puisse envisager une obligation vaccinale étendue à partir de techniques médicales aussi incertaines traduit un effondrement des principes éthiques et politiques qui fondent notre système juridique depuis 1789 ».

La paix sociale serait menacée. Les valeurs, inscrites sur les frontons des institutions de la République, seraient en danger.

En pareilles circonstances, une hypothétique loi consacrant une « obligation » vaccinale pourrait se révéler être de nature fautive, délictuelle, voire criminelle.

C’est au pouvoir de continuer d’arrêter le pouvoir.

Enfin, concernant la sortie de cette situation inéditedes idées sont disponibles et des solutions sont possibles. Elles sont, naturellement, à la disposition des gouvernants qui le souhaitent.

Et pour ma part et à titre subsidiaire, je vous rappelle que je ne suis pas prêt de revenir dans un bureau de vote ; jusqu’à nouvel ordre. Les pratiques politiques me contraignent à m’éloigner le plus loin possible de ce monde, pour le moins, obscure.

De même, une question fondamentale mérite d’être soulevée : quelle serait la nature de la relation des Hommes (femmes et hommes) au pouvoir ? Pourquoi des Hommes oublient leurs valeurs une fois investis de ce pouvoir ? Que reste-t-il à un Homme une fois son honneur perdu : une fois sa parole et son engagement trahi ?

Au peuple français, et solennellement, vous avez donné votre parole. Vous avez pris l’engagement de ne jamais rendre cette vaccinale (contre la Covid-19) obligatoire.

« Patere legem quam fecisti » (respecte la règle que tu as faite).

En vous remerciant de l’intérêt que vous pourriez porter à ces quelques lignes, en restant à votre disposition pour toute information complémentaire ou pièce utile, et sous réserve de pouvoir parfaire mes écritures,

Je vous prie de bien vouloir recevoir, Monsieur le Président de la République, Monsieur Emmanuel MACRON, l’expression de mon profond respect.

Docteur Amine UMLIL, Citoyen français, Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, Juriste (droit de la santé), Extrait du Curriculum vitae (C.V.)

Auteur(s): Dr Amine Umlil pour FranceSoir




Note sur le tri du bon grain et de l’ivraie

Par Joseph Stroberg

Dans son article Pandémie : trier le bon grain de l’ivraie, Éric Montana écrit notamment ceci :

Nous, les éveillés, nous les « complotistes » qui avons devant les yeux les preuves de tout ce que nous dénonçons depuis le début de l’opération Covid, nous serons la légion qui combattra pour la justice et la vérité, quel qu’en soit le prix à payer. Nous ne laisserons aucun répit à ces démons qui veulent réduire l’humanité.

Nous établissons la liste noire de ceux qu’il faudra juger, ceux qui de près ou de loin ont participé au plus grand crime de l’Histoire. Politiciens, médecins, journalistes, leurs noms figurent sur cette liste actualisée jour après jour. Cette guerre qui a été déclarée aux peuples verra certainement beaucoup des nôtres menacés, intimidés, arrêtés, emprisonnés et même tués, mais ils ne pourront pas nous détruire tous. D’autres se lèveront et continueront le combat jusqu’à ce que nous recouvrions nos libertés et nos droits. Cette guerre est biblique. Elle oppose les forces obscures aux forces de la lumière, les légions du Diable aux légions de Dieu et nous savons qui sera le vainqueur.

Et nous vaincrons, car nous n’avons pas peur de mourir. C’est l’épreuve ultime, celle qui consiste à se prouver à soi-même et à Dieu que nous sommes capables de sacrifier nos vies pour sauver la multitude de nos frères et sœurs humains.

Cela soulève quelques questionnements.

Si l’on part de l’hypothèse ou de la croyance que Dieu (ou l’Univers, ou un principe supérieur…) est le juge ultime, celui qui, d’après certains textes bibliques (dans le Nouveau Testament) viendrait d’une manière ou d’une autre juger les vivants et les morts, est-ce que l’Homme doit s’occuper d’établir lui-même une liste de ceux qu’il faudrait juger ?

Est-ce que le combat de l’être humain doit l’être contre ses frères, que leur esprit soit ou non « obscurci », ou doit-il l’être contre ses propres démons intérieurs, contre ses propres faiblesses ?

Dans une guerre d’ordre spirituel, le combat n’est-il pas automatiquement et par définition d’ordre intérieur, l’Esprit de vie habitant chaque être ?

S’il y a bien une guerre contre l’Humanité, celle-ci l’est alors contre chaque individu. Dans ces conditions n’est-ce pas à chacun d’accepter ou non le combat, non pas contre ses frères, mais contre l’influence qui l’assaille intérieurement, qui cherche à étouffer sa conscience ou à la détruire ?

Est-ce qu’il revient à l’Homme de sauver les âmes de ses frères ? Est-ce lui le Sauveur ? Ou bien ne lui faut-il pas juste poser les actes qui l’amèneront à être sauvé ?

L’une des premières choses qui soient utiles dans un tel combat, n’est-il pas l’acquisition, puis le maintien ferme de l’humilité ?

Est-ce que le choix de la vaccination revient aux autres ou à soi-même ?

Voir aussi :




Étude sur la vaccination des enfants : les effets secondaires graves sont dissimulés

[Source : Medien-Klagemauer.TV]

08.07.2021 | www.kla.tv/19196

Pas moins de 93 médecins israéliens ont signé une lettre demandant que les vaccins Covid ne soient pas administrés aux enfants. Les médecins soulignent que l’opinion scientifique dominante est que le vaccin ne peut pas conduire à une immunité collective. Selon eux, on ne sait toujours pas si le vaccin empêchera la propagation du virus et pendant combien de temps il assurera une protection. Des nouveaux variants du virus pourraient être résistants au vaccin, et nous ne connaissons pas encore les effets sur la croissance, le système reproductif ou la fertilité.

« Nous ne devrions pas mettre les enfants en danger par une vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux », écrivent les 93 médecins. Selon eux, les enfants devraient pouvoir retrouver rapidement une vie normale et les tests et l’isolement fréquents devraient cesser. Les médecins déclarent qu’il ne faut pas se précipiter pour les vacciner tant qu’on n’a pas toutes les assurances/, car le Covid ne présente aucun danger pour les enfants.

Malgré les avertissements de différents experts du monde entier, les politiciens et les médias en Allemagne font une grosse publicité pour que les enfants soient vaccinés aussi vite que possible, bien que les chiffres officiels de l’étude actuelle sur la vaccination des enfants de 12 à 17 ans parlent un langage clair. La fiche actuelle de données des sociétés pharmaceutiques Pfizer et BioNTech montre qu’environ 80 % des 1 097 enfants qui ont participé au test vaccinal se sont plaints d’effets secondaires. Chez 393 participants, soit plus d’un tiers, ces effets secondaires étaient « moyennement graves ». Et chez sept enfants, les groupes pharmaceutiques eux-mêmes ont qualifié les effets secondaires de graves. Cela représente environ 0,6 %. Dans le document, Pfizer et BioNTech ont donné le terme « grave » à des réactions qui provoquent « une incapacité prolongée ou substantielle » ou « entraînent la mort ».

Or, compte tenu de ces résultats, si on vaccinait effectivement un million d’enfants, au moins 6 000 d’entre eux subiraient un dommage grave. Et très probablement, certains de ces enfants mourraient. Selon les informations publiées par l’Institut Paul Ehrlich, il y a jusqu’à présent dans le cadre de la campagne de vaccination, un décès pour 56 400 personnes vaccinées. Cela signifie que, même selon les chiffres officiels, les enfants et les jeunes gens ont trois fois plus de risques de mourir de la vaccination que de la maladie. Face à ces faits révélateurs, les médias et les politiciens non critiques qui font la promotion du vaccin Covid depuis des mois, semblent ignorer toute éthique et toute responsabilité. Acceptent-ils sciemment de faire du mal à de nombreux enfants en bonne santé ? Et est-ce possible qu’un cartel politico-pharmaceutique soit littéralement prêt à marcher sur des cadavres ?

Tant que ces crimes ne cesseront pas, il est de la responsabilité de chaque individu de devenir lui-même actif, d’éclairer et de dénoncer cette prétendue attention portée à nos enfants pour ce qu’elle est : un crime !



de ah./rw.

Sources / Liens :

Brief israelische Ärzte:
https://uncutnews.ch/93-israelische-aerzte-appellieren-eindringlich-geben-sie-kindern-keinen-corona-impfstoff/
Lettre de médecins israèliens :
https://de.rt.com/meinung/118163-ignorant-und-gefahrlich-politiker-trommeln/
https://de.rt.com/meinung/118201-ein-haesslicher-herbst-kinderimpfung-und-die-moeglichen-folgen/




Devant la menace de démantèlement de l’IHU Raoult a donc cédé

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : L’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection (IHU) de Marseille (GILLES BADER / MAXPPP)]

Dans un entretien très récent Didier Raoult avait annoncé très explicitement (6 juillet, à 0.55) qu’il est question pour l’IRSEM de démanteler l’I.H.U (l’organisme a démenti sur le champ bien entendu) afin d’empêcher la constitution d’un pôle de prudence et de vérité comme le demandait d’ailleurs il y a quelques mois le professeur Caumes (avant de se rétracter bien sûr et vouloir piquer jusqu’aux enfants déjà affaiblis par le confinement comme l’indique la professeure Martine Duclos) on voit donc que cette Secte H.A! (hygiéniste-affairiste) est prête à tout casser (la “déconstruction” en temps réel) pour arriver à ses fins. C’est évidemment ignoble, minable, dangereux.

Ignoble, car au lieu de laisser les médecins prescrire des traitements ayant des centaines d’études positives derrière eux maintenant (et surtout des millions de personnes guéries au contraire de ce que prétendent les faux vérificateurs à la solde de la Secte), ces scientistes démiurges, assoiffés de puissance par définition, persistent et signent, balayant toute idée alternative (comme l’indique pourtant l’ISERM dans ce schéma en 3.3) qui remettrait en cause leur stratégie hygiéniste-affairiste disproportionnée par rapport à la menace réelle de cette syndémie très peu létale en réalité pour la très grande majorité des… malades (surtout s’ils sont soignés de manière précoce). Ne parlons pas des… 7 milliards d’humains guère touchés par elle en comparaison à d’autres maladies dites “chroniques”, en réalité très mal soignées (car seule l’approche allopathique est privilégiée) et qui causent, elles, des millions de morts.

Minable, puisqu’ils sont obligés de détruire toute opposition avec leur rouleau compresseur alors qu’ils se targuent de faire de la pédagogie et de la persuasion, mais leur impatience est telle que même leurs coupe-jarrets montrent leurs dagues de façon de plus en plus évidente, comme il a été vu avec tous ces seconds couteaux venant harceler, menacer, enfin assaillir ceux qui refusent d’être les cobayes de cet “essai clinique” toujours en cours (malgré les dires fallacieux du “ministre” français de la Santé).

Dangereux: au lieu de tout faire pour renforcer les fonctions immunitaires par diverses méthodes bien connues des naturopathes (dont les vitamines D et C aux effets secondaires bien moindres que ceux de ces injections, bien sûr, dont en plus on ne connaît pas les effets à plus long terme…) l’on voit un 1er Ministre déclamer qu’en raison de leur “affaiblissement” il faudrait une “troisième dose” (officiellement pour les “personnes vulnérables”, alors que nous avons des traitements aussi pour elles), comme s’il s’agissait en fait de remplacer à terme nos fonctions immunitaires par l’artifice génique ou le cyborg en perspective.

Mais en croyant battre en retraite (alors que pour ses ennemis il se rend (tel Vercingétorix) avec armes et bagages), Didier Raoult pense certes pouvoir limiter les dégâts, sauf qu’il les renforce. Car forts de cette victoire, ses ennemis voudront aussi sa tête (celle de Jean-Baptiste). C’est ainsi. Jamais des ennemis de cette trempe (un nihilisme de très haut degré) ne feront quartier. Aucune clémence n’est à attendre venant d’eux, tant les enjeux sont immenses. Aussi, cet éminent chercheur et médecin pourrait encore dévoiler le pot aux roses plus explicitement. Ce n’est pas trop tard et cela aurait même plus de force, d’ailleurs, afin qu’un vaste front de résistance puisse se constituer et passer enfin à l’offensive en créant par exemple une association d’amis de l’IHU qui prendrait rapidement des décisions (comme créer une chaîne d’alerte lorsque les menaces de l’IRSEM deviendront réalité) avant de former un cordon humain 24 heures sur 24 autour des bâtiments de l’IHU, ce Fort Alamo, cet Alésia en apparence, cette Angleterre sous le feu en 40 en réalité, et qui sut tenir et ensuite contre-attaquer victorieusement, n’en déplaise à certains [Ndlr : grâce aux Américains et au sacrifice des Russes. Quel est l’équivalent de ces derniers, de nos jours ? Existe-t-il encore beaucoup d’êtres humains, surtout en Occident, capables de se sacrifier, d’abandonner leur confort (matériel, intellectuel, moral…) et leur illusoire sécurité pour sauver ne serait-ce que leur nation, à défaut de l’Humanité ? Car oui, nous sommes en guerre, mais pas contre un virus. Nous le sommes contre les ennemis de l’Humain. Une guerre aux proportions épiques, aux dimensions bibliques].




Le professeur Didier Raoult est-il vraiment un dissident des autorités et mesures sanitaires ?

[Source : Conscience du peuple]

[Photo : Le professeur Didier Raoult
au déjeuner, en l’honneur du professeur D.Raoult, du Chinese Business Club
à l’hôtel L’InterContinental Paris le Grand à Paris, France, le 8 juillet 2021.
© Coadic Guirec/Bestimage]

Et si l’hydroxychloroquine était l’arbre qui cache la forêt…

Le professeur Didier Raoult n’a qu’une épine dans le pied, une seule… 


[Source : La Minute de Ricardo]






L’histoire macabre des pensionnats autochtones au Canada : Une conséquence de la 3e conquête britannique en Amérique

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Robin Philpot

Image en vedette : murale, Canada. Source : Pixabay.com

En faisant tomber le monument à la Reine Victoria devant l’Assemblée législative à Winnipeg à la suite de la découverte de plus de mille corps d’enfants autochtones autour de 3 pensionnats, les Premières nations du Manitoba ont choisi la bonne cible.  Leur action a résonné un peu partout sur la planète, car ce qu’ils ont subi au nom de la Reine Victoria est exactement ce qu’ont subi d’autres peuples, souvent à la même époque et aux mains des mêmes militaires britanniques : conquête militaire, répression sanglante, colonisation massive et domination raciste. 

Au cimetière de la Première nation Cowessess, en Saskatchewan, où 751 corps de jeunes autochtones ont été identifiés, le premier enterrement a eu lieu en 1885. C’était l’année de la célèbre conférence de Berlin où les empires européens se sont rencontrés pour partager et diviser l’Afrique en vue de la colonisation. 

L’année 1885, loin d’être anodine, est aussi une date charnière dans l’histoire de l’Empire britannique et son nouveau dominion, l’Amérique du Nord britannique ou le Canada. C’est l’année où cet Empire scelle sa 3e conquête en terres d’Amérique, après celle de 1759-60 (appelée aussi Guerre de 7 ans ou French and Indian War), et celle de 1837-38, où il a maté la révolte les Patriotes républicains québécois.

Portrait de Louis Riel. Auteur inconnu.  
Crédit / Source Notman Studio.
Library and Archives Canada, PA-139073. 
Flickr.com

Le 16 novembre 1885, le gouvernement du Canada sous John A. MacDonald pend Louis Riel dans les quartiers de la North-west Mounted Police (ancêtre de la GRC), sous les applaudissements nourris du tout Toronto, dominé par les Orangistes, mais sous la condamnation bruyante et massive du Québec, y compris de son premier ministre Honoré Mercie

Le crime de Riel : avoir tenté de fédérer les Métis et des peuples autochtones sous un gouvernement provisoire opposé à la prise des terres et la colonisation des territoires du Nord-Ouest que peuples autochtones occupaient depuis toujours. 

Onze jours plus tard, Le 27 novembre 1885, le même gouvernement pend en public 6 guerriers cris et 2 guerriers nakotas à Battleford, en Saskatchewan. Ce sont Kah – Paypamahchukways (Wandering Spirit), Pah Pah-Me-Kee-Sick (Walking the Sky), Manchoose (Bad Arrow), Kit-Ahwah-Ke-Ni (Miserable Man), Nahpase (Iron Body), A-Pis-Chas-Koos (Little Bear), Itka (Crooked Leg), Waywahnitch (Man Without Blood). La pendaison publique et l’enterrement dans une fosse commune suivaient de quelques semaines des procès expéditifs devant un jury composé de colons anglo-protestants et un juge du nom de Charles Rouleau dont le conflit d’intérêts était flagrant : sa maison avait brûlée lors du conflit.

Pour enfoncer le message, on fait venir des membres des nations dont les guerriers sont issus pour qu’ils n’oublient jamais. Dans une lettre confidentielle écrite le 20 novembre, le premier ministre John A. MacDonald écrit : « les exécutions … devraient convaincre l’homme rouge que c’est l’homme blanc qui gouverne. » Ce message suivait de peu sa déclaration que « Louis Riel serait pendu même si tous les chiens du Québec aboient en sa faveur. »

Il s’agissait de la deuxième grande intervention militaire visant à imposer la souveraineté britannique sur les Territoires du Nord-Ouest. La première, celle de 1870, avait pour objectif d’éliminer le premier gouvernement provisoire du Manitoba dirigé aussi par Louis Riel. 

Une conquête coloniale parmi d’autres

Aux commandes des troupes britanniques en 1870, on trouve le maréchal Garnet Wolseley. Wolseley n’est pas un quidam. Il est le grand symbole de l’expansion planétaire, et sanglante, de l’Empire britannique au 18e siècle. Nommé Vicomte Sir Wolseley en 1885 par la Reine Victoria, Wolseley, avant sa confrontation avec Louis Riel, avait gagné ses galons aux guerres coloniales meurtrières en Inde en 1857 et en Chine en 1860, dont le pillage et la destruction du magnifique Palais d’été de Beijing, cette « merveille du monde », selon Victor Hugo. 

Après Riel, à titre de gouverneur de la Gold Coast (aujourd’hui le Ghana), il dirige les troupes britanniques dans la prise de la capitale du royaume Ashanti, Kumasi, qu’il incendie; il commande les troupes contre une rébellion en Égypte et à Khartoum et en Afrique du Sud. Ardent défenseur du général esclavagiste Robert E. Lee, Wolseley est toujours honoré par le Canada où des rues de Montréal-Ouest, de Toronto, de Thunder Bay, de Winnipeg portent son nom de même qu’une petite ville de la Saskatchewan … tout près de la Première nation Cowessess.

En 1885, c’est le Major-général britannique Frederick Middleton, autre vétéran des guerres coloniales britanniques, qui est aux commandes des troupes envoyées pour mater la résistance des Métis et des nations autochtones. Comme Wolseley, Middleton avait participé à titre d’officier à la répression de la révolte en Inde en 1857, mais aussi dans la guerre contre les Maoris en Nouvelle-Zélande. Écraser la résistance de peuples autochtones est dans ses cordes. En 1885, ses troupes sont composées de paramilitaires de la NWMP, de milices volontaires, surtout orangistes de l’Ontario. La Couronne britannique voulait éviter de provoquer la plus puissante armée du monde en y déployant l’armée britanniques. 

Sans saisir la nature et le contexte de cette 3e conquête britannique, on ne peut comprendre ce qui s’ensuit, de l’imposition des traités de dépossession – pudiquement qualifiés de traités numérotés – et de la Loi sur les Indiens jusqu’à la désolante situation actuelle où le gouvernement du Canada parle de « réconciliation » tandis que des dirigeants autochtones réclament justice.

« Frapper l’organisation tribale en plein cœur »

Comme dans toute conquête, tous les moyens sont bons pour faire en sorte que les peuples conquis ne se relèvent pas : déportation (comme les Acadiens dans le prélude de la première conquête), confinement dans des réserves, assujettissement, assimilation, ou un peu de tout ça. Les Britanniques s’y connaissent. 

Nous nous souvenons de la pendaison de Louis Riel en 1885, beaucoup moins de la pendaison publique des huit guerriers autochtones. Ces pendaisons sont des symboles incontournables à la compréhension de l’histoire du Canada, mais elles ne sont que la pointe de l’iceberg de la politique de conquérant pratiquée par l’Empire britannique et son rejeton l’État canadien.

À la suite de l’intervention militaire de 1870, on pourchasse les Métis du Manitoba, qui, avant l’arrivée de Wolseley, comptaient pour environ 80% de la population; on inonde la région de colons de l’Ontario ou des « Îles britanniques », dont un grand nombre sont des Orangistes, en leur donnant des terres en les refusant aux Métis. On impose rapidement des traités de dépossession – 7 traités en l’espace de 6 ans (1871-1877) couvrant presque tout le territoire de ce qui deviendra le Manitoba, la Saskatchewan et l’Alberta. Et on fait bien savoir aux nations autochtones que même si les chefs ne signent pas, le gouvernement canadien ira de l’avant sans leur accord.

En 1876, on adopte l’inique Loi sur les Indiens qui impose le statut de « pupilles de l’État fédéral » à tous les autochtones. Cette loi donne un pouvoir inouï aux fonctionnaires/agents sur la vie et la mort de milliers d’autochtones, mais aussi à la North-West Mounted Police. Et dans les années 1880, on commence à déployer sérieusement la politique des pensionnats, appelés aussi écoles résidentielles ou industrielles. 

À cette époque, le Commissaire aux Affaires indiennes et Lieutenant-gouverneur des territoires du Nord-Ouest, Edgar Dewdney, est l’homme de confiance de John A. MacDonald (il sera l’un de ses exécuteurs testamentaires) en plus d’être un « homme profondément attaché à l’Empire et à la tradition monarchique » selon le Dictionnaire biographique du Canada

Dès sa nomination en 1879, Dewedney se donne comme mission de « frapper l’organisation tribale en plein cœur » notamment en ouvrant rapidement davantage d’écoles industrielles ou techniques (pensionnats) et ainsi mettre fin à toute agitation des nations autochtones visant à obtenir plus d’autonomie et des améliorations aux termes des traités qui avaient été signés. Il y réussit … pour un certain temps. 

La petite loterie : « loyal » ou « disloyal »

Dès le 20 juillet 1885, quelques mois après l’arrestation de Riel, le Commissaire adjoint aux Affaires indiennes, Hayter Reed, soumet un rapport en 15 points sur « The Future Management of Indians ». Aussi, il soumet une liste de toutes les nations/bandes autochtones en les qualifiant de « loyal » ou « disloyal » avec force détails sur les chefs et les membres soupçonnés d’avoir participé de près ou de loin à la résistance. Son rapport devient la base de la politique canadienne à l’égard des premières nations pour les années à venir. 

Tout y est : peines exemplaires aux résistants (d’où les pendaisons); châtiments collectifs sévères, notamment par privation de nourriture et d’autres nécessités pour tous ceux qui, selon les agents, auraient manqué de fidélité à la reine; confiscation des chevaux, des armes, des outils des autochtones « non loyaux »; confinement aux réserves à moins d’avoir la permission écrite d’un agent du Ministère des affaires indiennes; séparation nécessaire des Métis et des nations autochtones et interdiction de communiquer entre eux, et la même chose avec les « Canadiens » résistants; distinction de « bons » Indiens (loyal), qui mériteraient des récompenses et des cadeaux, et des Indiens « mauvais et paresseux » (bad and lazy), qui méritent de perdre leur réserve. 

Cette « petite loterie » utilisée pour contrôler les Premières nations ressemble beaucoup à celle déployée avec un certain succès par la Couronne britannique après la répression des Patriotes québécois. L’objectif est de coopter une certaine élite canadienne-française avec des émoluments, des récompenses, des nominations et autres miettes. La petite loterie réussit à transformer un certain nombre de révolutionnaires patriotes en collaborateurs bien apprivoisés du nouveau régime. 

Quel rôle pour les églises ?

Dans toute conquête coloniale, les églises jouent un rôle important d’appui au pouvoir militaire et politique. C’est le cas en Afrique, en Asie, en Amérique latine et en Amérique du Nord. Dans le cas de l’Amérique du Nord britannique, l’Église anglicane est la préférée de la Couronne car le roi ou la reine est le gouverneur suprême de cette Église (toujours le cas en 2021). 

Mais l’Église catholique n’est pas en reste; elle s’accorde très bien avec cet Empire : lors de la révolte de 1837-38 dans le Bas Canada, l’Église catholique se range du côté des Britanniques en refusant aux Patriotes le droit d’être enterrés dans les cimetières catholiques, en les menaçant d’excommunication et en les ordonnant de se plier aux directives du gouvernement. 

C’est à ce titre que les églises sont amenées à réaliser pour l’État canadien sa promesse, écrite dans les traités de dépossession, de fournir des écoles aux nations autochtones. Les églises viendront en appui à une politique conçue par et pour la puissance conquérante, l’Empire britannique et son nouveau Dominion du Canada. L’État canadien doit en assurer le financement, mais il réduit constamment et arbitrairement le financement accordé, ce qui oblige les religieux de se débrouiller sans les fonds minimaux requis. 

Pour remplir ces pensionnats, ça prend une loi obligeant les familles autochtones à envoyer leurs enfants aux pensionnats. Le gouvernement autorise, par la loi, les agents des Indiens à prendre tout enfant d’âge scolaire et à l’envoyer aux pensionnats. Si les parents s’y opposent, les agents ont le pouvoir de leur couper leurs allocations. On rapporte aussi qu’on menaçait de mettre les parent récalcitrants en prison.

Ça prend aussi une force policière pour appliquer la loi. Ce rôle reviendra à la NWMP (aujourd’hui la GRC). Les témoignages sur le travail de la police sont ahurissants : 

« des enfants qui étaient attirés dans des bateaux et des avions à l’insu des parents, et qui, parfois, disparaissaient à jamais. Des agents de la GRC en uniforme arrachaient les enfants des bras de leur mère. De nombreux survivants ont décrit les camions à bétail et les wagons où ils étaient tassés chaque automne. Des coups à la porte la nuit, la maison envahie par des étrangers à la recherche d’enfants en fugue, tout cela évoque la guerre » 

« [les agents de la GRC] encerclaient les réserves pour empêcher les enfants de se sauver, et allaient de porte à porte pour prendre les enfants, faisant fi des protestations des parents et des enfants eux-mêmes. Les enfants étaient enfermés dans des postes de police locaux ou des enclos à bestiaux jusqu’à ce que le rassemblement soit terminé, puis on les conduisait à l’école en train » (Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011)

En somme, le Canada délègue aux Églises la responsabilité d’ouvrir des pensionnats; il les finance; ses agents des Indiens et sa police sont investis par la du pouvoir de contraindre les parents à envoyer les enfants à ces pensionnats sous des menaces de toutes sortes. 

Et le Canada a le pouvoir de mettre fin à ce système. Ce qu’il ne fait pas pendant environ 100 ans même s’il sait fort bien, parce qu’il en est informé par certains fonctionnaires, que ce régime est criminel.

L’État canadien savait tout

Le docteur P. H. Bryce est médecin en chef du Ministère des affaires indiennes de 1904 à 1921, année où on le contraint à prendre sa retraite. Lançeur d’alerte sur les conditions sanitaires des enfants autochtones dans les pensionnats, il publie, après son renvoi, un petit livre intitulé : The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War (James Hope, 1922, Ottawa).

Chaque année Dr. Bryce soumet à ses supérieurs, y compris au ministre responsable des Affaires indiennes, un rapport accablant sur les conditions de vie des autochtones, et surtout celles des enfants dans les pensionnats. Il y fait des recommandations urgentes pour y remédier, mais sans réponse.

La tuberculose est très grave à cette époque, le Dr. Bryce compare notamment le taux de mortalité des villes comme Hamilton et Ottawa à celui des réserves de l’Ouest. Alors que dans le premier cas le taux de mortalité baisse constamment, dans les réserves (y compris chez les enfants en pensionnat, ce taux est effarant. La population autochtone diminue constamment d’année en année en raison de la tuberculose. Chaque rapport de ce médecin est étouffé. Pire encore, des représentants du ministère font tout pour empêcher ce spécialiste de la tuberculose de parler en public, notamment à l’assemblée annuelle de la National Tuberculosis Association.

Biblioarchives : Écoliers et responsables à l’extérieur du Pensionnat indien [catholique] de Fort Providence, Fort Providence (Territoires du Nord-Ouest), vers 1920. Créateur :  F. H. Kitto. Prise vers 1920. F. H. Kitto. Library and Archives Canada, PA-101545. Source internet : Flickr.com

Et le Québec dans cette tragédie

Dans le débat qui suit la découverte des corps d’enfants sur les lieux des pensionnats, on s’interroge sur le rôle du Québec. D’aucuns y voient un lien par le biais de l’Église catholique ou des congrégations religieuses dont la maison mère est au Québec. D’autres pointent du doigt des politiciens ou des fonctionnaires québécois qui ont pris part aux décisions de l’État canadien ou des autorités britanniques ou qui ont participé à leur application ou encore des deux bataillions québécois envoyés dans l’ouest en 1885. 

Dans la mesure où des individus, des membres de partis politiques, ou des institutions ont souscrit à l’ordre britannique établi au Canada à la suite des deux premières conquêtes militaires et à la marche impériale et coloniale britannique vers l’ouest, ils en portent une responsabilité évidente. 

Toutefois, cet ordre a été contesté souvent et vivement par beaucoup de Québécois et de Canadiens français, tout au long de l’histoire. 

À titre d’exemple, la Déclaration de l’indépendance du Bas-Canada écrite en 1838 par le patriote Robert Nelson dit ceci au troisième article :

« Que sous le gouvernement libre du Bas-Canada, tous les individus jouiront des mêmes droits : les sauvages ne seront plus soumis à aucune disqualification civile, mais jouiront des mêmes droits que tous les autres citoyens du Bas-Canada. »

Il en est de même pour l’Église catholique. Adoubée par la Couronne et associée aux autorités britanniques et canadiennes dans l’espoir d’enrayer au Canada les idées républicaines inspirées de la France révolutionnaire, elle aussi a été vivement contestée.

En ce qui concerne les deux bataillons de Québec envoyés sous les ordres du Major-général Middleton pour mater la résistance en 1885, le naturel britannique est revenu au galop. Se méfiant de la loyauté de ces troupes devant des Métis qui parlaient le français, les autoritaires s militaires les ont éloignés du combat en les envoyant en Alberta. Les troupes québécoises ont vite compris qu’ils étaient encore et toujours des membres de deuxième ordre des institutions de l’Amérique du Nord britannique. Cette histoire se répéterait. 

Faire du Canada un pays anglais

À mesure que le Dominion du Canada impose sa souveraineté dans l’ouest après les deux interventions militaires, il fait disparaître la langue française de la carte politique et culturelle avec presqu’autant de zèle que dans le combat contre les langues et cultures autochtones. 

En 1890, le Manitoba abolit le français comme langue officielle et peu après l’éducation en français a été interdite. (Gabrielle Roy, née à Saint-Boniface, Manitoba, rappelle dans Détresse et enchantement comment les sœurs francophones à son école catholique enseignaient en anglais, mais parfois, en cachette, elles sortaient des livres en français, loin des yeux des inspecteurs gouvernementaux.)

En 1905, la Saskatchewan et l’Alberta deviennent des provinces du Canada mais on a éliminé le statut bilingue qu’avaient les Territoires du Nord-Ouest. Quelques années plus tard, l’utilisation du français au gouvernement, devant les tribunaux et à l’école est interdite. 

Carte du Canada (2001)

Plus ça change…

Dans leurs combats contre l’Empire britannique, les Premières nations du Canada et les Métis n’étaient pas seuls; les Canadiens-français/Québécois non plus. Pour les puissances européennes qui étendaient leur empire partout au monde, ils représentaient tous un obstacle au projet impérial. En cela, ils faisaient effectivement cause commune avec les Chinois, les peuples de l’Inde et des autres pays du sud asiatique, les Maoris en Nouvelle-Zélande, les peuples autochtones de l’Australie ou des États-Unis, les nations africaines. 

Cent cinquante ans plus tard, les mêmes puissances européennes et nord-américaines tentent, tant bien que mal, de rétablir leur hégémonie, notamment en faisant la morale, en imposant des sanctions et en menaçant militairement des pays et des peuples qui choisissent la voie de l’indépendance politique et économique. 

Aujourd’hui, comme hier, elles n’ont ni le droit ni l’autorité morale, mais cela ne les arrêtera pas. 

Si on tire une seule leçon de l’histoire macabre des pensionnats au Canada, ce serait de se garder de se faire embrigader aujourd’hui dans des interventions militaires ou autres campagnes impériales contre des pays étrangers.

Robin Philpot

Quelques sources

Bryce, P.H. The Story of A National Crime, An Appeal for Justices to the Indians of Canada, The Wards of the Nation: Our Allies in the Revolutionary War: Our Brothers-in-Arms in the Great War. James Hope, 1922.

Dictionnaire biographique du Canada.

LeBeuf, Marcel-Eugène. Au nom de la GRC. Le rôle de la Gendarmerie royales du Canada sous le régime des pensionnats indiens, rapport réalisé dans le cadre de la CVR, 2011

Momudu, Samuel. « The Anglo-Ashanti Wars (1823-1900). Black Past. 24 mars 2018.
https://www.blackpast.org/global-african-history/anglo-ashanti-wars-1823-1900/

Morton, Desmond. A Military History of Canada, From Champlain to Kosovo, Fourth Edition. M&S, 1999.

Ogg, Arden. An infamous anniversary: 130 years since Canada’s Largest Mass Hanging 27 November 1885. Cree Literacy Network.
https://creeliteracy.org/2015/11/26/130th-anniversary-of-infamy-canadas-largest-mass-hanging-27-november-1885/

Reed, Hayter. Memorandum for the Hon(ourable) the Indian Commissioner Relative to the Future Management of the Indians. 20 July 1885.  http://iportal.usask.ca/index.php?sid=168308311&id=33613&t=details

Stonechild, Blair; Waiser, Bill. Loyal Till Death, Indians and the North-West Rebellion. Fifth House Publishers, 2010

Wolseley, Garnet. “General Lee”. Lee Family Digital Archive.
https://leefamilyarchive.org/reference/misc/wolseley/index.html


La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Robin Philpot, Mondialisation.ca, 2021




Le Bélarus face à la haine occidentale

[Source : Le Courrier]

[Photo : urbanisme à Minsk, la capitale biélorusse. M. GERBER]

[Voir aussi : 22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste]

« Alexandre Loukachenko est taxé de dictateur depuis vingt-cinq ans, soit depuis qu’il a envoyé paître le FMI et la Banque mondiale. » Pour Marcel Gerber, bon connaisseur du Bélarus, le petit pays européen est voué aux gémonies occidentales du fait qu’il est le seul État issu de l’ex-URSS à « n’avoir pas été « démocratisé » par un passage brutal au capitalisme ».

« L’évolution du Belarus a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les États-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays »

Marcel Gerber

Par MARCEL GERBER

La nuit du 8 décembre 1991, trois personnes sont réunies dans une datcha perdue de la forêt biélorusse. Ce sont Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie, Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique de Biélorussie, et Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d’Ukraine. A la fin d’une soirée bien arrosée, les trois protagonistes décident démocratiquement, par trois voix sans opposition, de mettre fin à l’existence de l’URSS, malgré le vote récent de la population soviétique du 17 mars 1991, laquelle a voté à 78% le maintien de l’URSS avec 80% de participation. La Biélorussie, une des quinze républiques formant l’URSS, devient pour la première fois de son histoire un pays réellement indépendant. Anciennement agricole, le pays était devenu la partie la plus développée de l’URSS sur les plans agro-alimentaire, de la métallurgie, de la chimie, de la production de machines et de véhicules utilitaires, avec un niveau éducatif élevé. Pays plat, couvert de forêts et sans grandes ressources naturelles, il était aussi largement dépendant des échanges avec les autres républiques soviétiques.

La suite est connue. La « nomenklatura » corrompue des autres ex-républiques soviétiques, les organisations mafieuses et les prédateurs occidentaux se partagèrent l’essentiel les richesses créées par l’ensemble des citoyens, entraînant une grande baisse de la production et une chute du niveau de vie. Ce qui explique que la nostalgie de l’URSS est largement présente dans ces pays.

Itinéraire d’un « dictateur »

L’actuel président biélorusse Alexandre Loukachenko est né le 30 août 1954. Après sa scolarité, il étudie à la faculté d’histoire de l’Institut pédagogique de Moguilev, dont il est diplômé en 1975. Il adhère au Parti communiste en 1979. Il obtient un diplôme de l’Académie agricole de Biélorussie en 1985. Il prend en 1987 la direction d’une ferme collective jusqu’en juin 1993. En 1990, Alexandre Loukachenko se lance en politique et est élu député au Parlement de la République soviétique biélorusse. Il crée au sein de celui-ci un groupe intitulé « Communistes pour la démocratie », proposant une décentralisation du pouvoir et une plus grande autonomie de la Biélorussie par rapport aux dirigeants moscovites. Après la fin de l’URSS, Alexandre Loukachenko s’oppose publiquement à l’évolution capitaliste du pays. Il est élu en 1993 président du Comité anti-corruption du Parlement biélorusse, un emploi à plein temps. La lutte qu’il mène alors contre la corruption et les privilèges des dirigeants « historiques » accusés de détournements lui assure une grande popularité.

En 1994 a lieu la première élection présidentielle du nouvel Etat, avec six candidats, dont les hommes au pouvoir depuis l’époque soviétique. Alexandre Loukachenko est candidat avec un programme de conservation des principaux acquis issus du pouvoir soviétique – la santé, l’éducation, le plein-emploi, les services sociaux, la propriété étatique des grandes entreprises et de la terre. Il arrive en tête du premier tour avec 45% des voix et remporte le second tour avec plus de 80%. A 40 ans, il est le premier président élu démocratiquement du nouvel État biélorusse.

Président avec des pouvoirs limités face à l’ancien appareil d’État hostile au programme pour lequel il est élu, Alexandre Loukachenko propose en 1996 une nouvelle Constitution renforçant les pouvoirs présidentiels. Elle est approuvée par 70% des votants avec une participation de plus de 80%. Le pays s’appelle dorénavant République du Belarus et a un nouveau drapeau rouge et vert. Alexandre Loukachenko applique alors avec autorité et détermination le programme pour lequel il a été élu, soit la réalisation d’un « socialisme de marché » qui permet l’existence d’une économie privée, avec cependant des limitations empêchant la création d’une couche de grands capitalistes.

Par cette politique la nouvelle République du Belarus a été sortie en quelques années du marasme et est devenue rapidement un pays développé à tous points de vue – industriel, agricole, nouvelles technologies – tout en améliorant les services publics, l’éducation et la santé en priorité. Selon la Banque mondiale, le Belarus a le taux de pauvreté le plus faible d’Europe. Comme dans l’ex-URSS, le travail est garanti à chaque citoyen. La Banque mondiale estime le taux de chômage en Biélorussie à 0,5% en 2015.

L’offensive occidentale

L’évolution du Belarus, soit la seule continuité réussie de l’URSS, a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les Etats-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays ou qui, comme l’OTAN, veulent le contrôler pour se rapprocher militairement de Moscou. Ce sont les raisons principales de la haine contre le Belarus. Les actions pour le « démocratiser » n’ont pas fait dans la dentelle. Il a même été déclaré comme faisant partie de l’« axe du mal » par l’administration Bush. Cette offensive existe de manière permanente et des structures d’intervention ont été mises en place, y compris par la création de pseudo organisations non-gouvernementales. Le Congrès américain a même voté, le 20 octobre 2004, une loi spécifique visant à « établir la démocratie au Belarus » (le Belarus Democracy Act of 2004). Cette loi budgète des dizaines de millions de dollars annuels afin de créer et soutenir une opposition en mesure de prendre le pouvoir à Minsk.

De même, l’argent coule à flots depuis diverses organismes étatiques – l’USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international), la NED (National Endowment for Democracy [présentée comme une organisation « privée non gouvernementale » mais quasi entièrement financée par Washington]), l’Union européenne, etc. – ou privés – comme les réseaux de George Soros ou des deux partis étasuniens. Ces « aides » sont d’ailleurs publiées sur internet sous couvert d’« actions pour la démocratie ».

Faire croire que les Bélarusses vivent sous la terreur est un autre axe de la désinformation. Ce peuple a de grandes qualités d’accueil et connaît très bien la situation des pays environnants, avec un enseignement des langues étrangères développé. Le niveau de vie est relativement élevé, sans misère apparente comme dans nos sociétés occidentales. Une société « apaisée », des gens détendus et souriants. Sans s’attarder sur ce que l’on peut ressentir là-bas, on est très loin de l’image donnée de ce pays, dont on ne montre pratiquement rien en dehors de manifestants pro-occidentaux,(([1] Rare exception, un petit reportage breton (septembre 2019) réalisé en dehors des médias dominants: https://www.tebeo.bzh/replay/587-bretons-dailleurs-en-bielorussie/10554946)) lesquels n’osent pas présenter ouvertement leur programme de privatisation générale avec adhésion à l’UE et à l’OTAN.

Pourtant les prédateurs occidentaux prêts à dépecer le Belarus savent ce qu’il y a à saisir dans ce pays, comme le souligne un rapport pour initiés d’Anders Aslund, l’un des auteurs de cette « thérapie de choc » qui a ravagé les autres pays de l’ex-bloc soviétique:

« Les touristes visitant la Biélorussie sont surpris. C’est la dernière économie soviétique qui fonctionne réellement. […] Cette économie industrialisée est dominée par une quarantaine d’entreprises publiques, notamment dans l’industrie lourde. Ils fabriquent toujours des produits […] soviétiques, mais ce sont les meilleurs produits soviétiques que vous n’ayez jamais vus. […] Les problèmes macroéconomiques sont minimes. L’inflation est sous contrôle et avoisine les 5%. Le déficit budgétaire officiel est minime et la dette publique totale est plafonnée à 35% du PIB. […] Dans l’ensemble, la structure de l’administration publique est en bon état, peut-être la meilleure de toute l’ex-URSS. […] Il n’y a pas de grands entrepreneurs ou oligarques privés en Biélorussie. La corruption est encore étonnamment rare… »(([2] A. Aslund, M. Haring, J.E. Herbst, A. Vershbow, « Biden and Belarus: A strategy for the new administration », Atlantic Council, 27 janvier 2021, accès: https://bit.ly/3xa9gWB))

La seule crainte pour les prédateurs occidentaux est la concurrence des oligarques russes, tout aussi rapaces, mais mieux placés si le système actuel était remplacé. Le Belarus subit ainsi une guerre souterraine qui peut un jour se transformer en guerre réelle, les pays voisins, Lituanie, Pologne ou Ukraine étant de plus en plus armés pour cela en prétextant la « menace russe ».

Pourquoi la population soutient-elle majoritairement Alexandre Loukachenko à chaque élection? Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, les Bélarusses ont pour la première fois de l’histoire une nation indépendante. Ensuite, ayant connu dans le passé une vie difficile, ils savent à qui ils doivent leur situation actuelle. Enfin, ils vivent dans une société sans problème sociaux importants.

Comment caractériser le système en vigueur au Belarus? Alexandre Loukachenko agit en fonction des droits qui lui sont conférés par une Constitution adoptée à une large majorité et par ses réélections successives. Il applique la politique pour laquelle il est élu en contrôlant étroitement son application, qu’il détaille très souvent sur les chaînes d’État – trop, pour certains. Il est possible de caractériser le système bélarusse comme « social-populiste », social par la conservation des aspects positifs de l’ex-URSS et populiste parce que le président se comporte comme « le père de la nation ». Mais le Belarus n’est pas un État socialiste au sens strict du terme, basé une démocratie directe telle celle pratiquée par la Commune de Paris.

Comme dans l’ex-URSS, existe au Belarus un appareil d’Etat qui a ses propres intérêts et qui pourrait s’opposer à des revendications allant dans un sens réellement socialiste, avec un pouvoir aux mains des travailleurs et travailleuses dans le cadre d’un Etat basé sur l’éco-socialisme. La pratique d’Alexandre Loukachenko est autoritaire dans le sens où il impose sa conception de l’évolution du pays, comme pour les agrovilles créées pour diminuer le fossé ville-campagne.

L’avenir du Belarus

Sachant qu’il n’est pas éternel, Alexandre Loukachenko a proposé l’automne dernier qu’une nouvelle Constitution remplaçant le régime présidentiel par un régime basé sur la prédominance de l’Assemblée nationale soit discutée et soumise à votation. Le Belarus pourra-t-il continuer à se développer en résistant aux offensives hostiles, alors que la base du soutien majoritaire au président, soit la génération qui a connu les problèmes des dernières décennies du siècle passé, est remplacée graduellement par une jeunesse qui pourrait être moins insensible aux sirènes occidentales? L’avenir du Belarus est donc incertain.

À propos de l’auteur

Ingénieur en électronique et horlogerie, Marcel Gerber a effectué 25 séjours au Bélarus depuis 2002.

NOTES





La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

[Source : cv19.fr]

Par le Dr. Ron Brown

Vous pensez que le coronavirus s’est échappé d’un laboratoire de Wuhan ? Vous pourriez souffrir de microbiophobie. Espérez-vous qu’un vaccin vous protégera contre le coronavirus ? Vous êtes probablement microbiophobe. Vous sentez-vous à l’abri du coronavirus en portant un masque, en vous isolant et en gardant une distance sociale ? Vous êtes certainement atteint de microbiophobie. La microbiophobie rampante – qui perturbe nos vies en raison de peurs irrationnelles des micro-organismes tels que les virus – est hors de contrôle dans nos sociétés ! Mais que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

La métagénomique et les perspectives futures de la découverte de virus – ScienceDirect.

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Si vous avez l’intention de chercher des réponses à ces questions en interrogeant un coronavirus, il vaut mieux vous donner beaucoup de temps pour le traquer et l’emmener pour le questionner. Ce sont des petites créatures très occupées, qui élèvent des familles de descendants, s’échappent audacieusement des laboratoires, passent les frontières en contrebande, brandissent des protéines en forme de pointes acérées comme des épées pour tuer les cellules ciblées, sautent d’un seul bond entre des humains en contact étroit avec eux, manœuvrent autour des masques faciaux, attendant patiemment que vos mains frottées se salissent à nouveau, détournant l’ADN des cellules et les rançonnant, disparaissant de la circulation pendant l’été pour passer des vacances dans des cachettes secrètes, modifiant leur apparence pour se dissimuler des vaccins, et bien sûr, rendant les gens malades et commettant des homicides.

Nous savons que ces choses sont vraies parce que des gens appelés scientifiques nous l’ont dit. Sauf que certaines de ces personnes ne sont pas du tout des scientifiques. Prenez le Dr Anthony S. Fauci, par exemple, médecin de formation et bureaucrate du gouvernement qui dirige l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses des États-Unis. Le Dr Fauci se met souvent dans des situations difficiles en faisant toutes sortes de déclarations non étayées sur la pandémie de coronavirus. Lorsque les données changent et qu’il est contraint de revenir sur ses déclarations, Fauci rejette la faute sur la science, en s’excusant et en expliquant que c’est ainsi que la science fonctionne.

La science ne fonctionne pas du tout de cette façon. La plupart des vrais scientifiques sont suffisamment expérimentés pour éviter de faire des déclarations à la Fauci qui ne sont pas fondées sur des connaissances et des faits incontestables. Néanmoins, sans se laisser décourager par son manque de sens scientifique, le Dr Fauci continue à faire toutes sortes de déclarations sur les vaccins, les masques, les confinements et les virus. Combien de temps encore devrons-nous continuer à croire Fauci qui affirme que les virus sont de vrais méchants sans preuve irréfutable, au-delà du doute raisonnable ? Par exemple, le Dr Fauci a déclaré au Congrès américain le 11 mars 2020 que le coronavirus “EST dix fois plus mortel que la grippe”, et non qu’il POURRAIT ÊTRE plus mortel que la grippe. Par rapport aux 80 000 décès survenus pendant la grippe saisonnière 2017-2018, la mortalité annuelle due au coronavirus est loin d’être dix fois plus élevée, soit 800 000 décès par an, même en tenant compte des mesures de mitigation pour “arrêter la propagation.” Fauci a également co-écrit un éditorial dans le New England Journal of Medicine déclarant que le taux de létalité de la grippe saisonnière est de 0,1%. En réalité, 0,1 % est le taux de létalité de l’infection de la grippe, bien souvent inférieur, et non le taux de létalité. Le taux de létalité de la grippe en 1918 était de 2 à 3 %, comme celui du coronavirus lorsqu’il est apparu en Chine. 

Leçons de santé publique tirées des biais dans la surestimation de la mortalité due au coronavirus (cambridge.org).

Les débuts de la virologie

Pour découvrir la véritable nature des virus et, espérons-le, nous aider à surmonter notre microbiophobie, nous devons écouter de vrais scientifiques spécialisés en virologie. Le premier grand virologue dont vous n’avez probablement jamais entendu parler est le Dr Robert Doerr, qui a dirigé les Archives of Virology pendant une grande partie du 20e siècle. 

(PDF) When did virology start ?, ASM News 62 (March) (1996), 142-5 | Ton van Helvoort – Academia.edu.

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Il y a 60 ans, Francis Crick a changé la logique de la biologie (nih.gov).

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Réplication virale – ScienceDirect.

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Activités biologiques des particules du virus de la grippe A “non infectieux” (nih.gov).

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet. 

Les exosomes sécrétés par les cellules humaines transportent en grande partie des fragments d’ARNm qui sont enrichis dans les régions 3′ non-traduites | Biology Direct | Full Text (biomedcentral.com).

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Nul autre que le docteur VIH lui-même, Robert C. Gallo, a cosigné un récent article de perspective décrivant les similitudes entre les virus et les exosomes qui contiennent des déchets d’ARNm fragmentés. 

Vésicules extracellulaires et virus : Sont-ils de proches parents ? (nih.gov)

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La taille du protéome humain : La largeur et la profondeur (nih.gov)

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

pubhealthreporig00014-0071.pdf (nih.gov).

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.


Dr-Ron-Brown
Ronald B. Brown, PhD, est l’auteur de plus d’une douzaine d’articles évalués par des pairs et publiés dans la U.S. National Library of Medicine of the National Institutes of Health ; ainsi que d’un chapitre sur la synthèse des connaissances de pointe dans Contemporary Natural Philosophy and Philosophies. Outre ses recherches épidémiologiques et de santé publique sur les maladies infectieuses et les vaccins pendant la pandémie de COVID-19, ses domaines de recherche actuels comprennent la prévention du cancer, des maladies cardiovasculaires, de la démence et d’autres maladies chroniques.


Source : https://trialsitenews.com/rampant-microbiophobia-is-out-of-control-new-insights-on-the-true-nature-of-viruses/
Traduction https://cv19.fr


[Voir aussi :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Déclaration sur l’isolement des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Citations médicales sur les vaccinations
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des exosomes contre celle des virus]




Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
Le Forum économique mondial publie un guide sur la façon de contraindre et de manipuler le public pour imposer le vaccin Covid-19
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
Après les tests PCR, le principe du confinement condamné par la justice
Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Garçon, la carte s’il vous plaît !

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Michel Lebon

Le retour à la vie normale, comme avant ? Non, rien ne sera plus jamais comme avant.

La dictature sanitaire s’installe à tous les coins de table

Avant, attablé en bonne compagnie, le rituel de la lecture commentée du menu alimentait la conversation de mise en bouche. Maintenant, chaque convive aura le nez rivé sur son téléphone portable. Terminée la carte des entrées, des plats et des vins. On passe au QR code, Quick Response code.

Les codes QR, ou QR codes, pour « Quick Response » ne sont pas une invention récente. Leur origine remonte à 1994, avec la création du premier système de code QR. Son invention revient à un industriel japonais, Denso Wave, filiale de Toyota.
À la différence des codes-barres traditionnels, le QR code permet donc de stocker une plus grande quantité d’informations. La raison est simple. Le premier se lit dans un sens unique (haut en bas). Le QR code est quant à lui bidimensionnel, ce qui lui vaut cette appellation de code-barre bidimensionnel, et une capacité plus grande à encoder des données. [source : ZDnet]

Ce lundi, sortant du cinéma, je décide de m’attabler dans un restaurant niçois. Je demande bêtement la carte. Le serveur m’invite à saisir le QR code sérigraphié sur la table bistrot. Je refuse indiquant que je ne souhaite pas être pisté sur mon téléphone. (Déjeunant avec ma maîtresse, je ne souhaite pas avoir d’explications à donner. Par exemple, bien sûr). Le serveur insiste, lourdement. Je ne cède pas et menace de partir. Maugréant, il m’apporte ronchonnant la relique cartonnée d’un fond de tiroir… caisse.

QRCode restaurant
QRCode restaurant

Arrivé chez moi, par curiosité, je scanne ce QR code : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1Il m’aurait donc fallu renseigner ce document avant d’accéder au menu : https://app.aji-code.com/place/11757?slugged=1

Mais puisqu’on vous dit que « c’est le Progrès ».

Il ne s’agit là, vous l’aurez compris, ni plus ni moins que d’un « pass sanitaire » avec flicage

Pour aller au troquet, prendre l’avion, utiliser les pissotières, etc.

Vous ne pourrez plus rien faire sans votre téléphone mouchard.

Géolocalisation permanente et intrusive, paiement sans contact, disparition des espèces, etc.

Cette dictature prétendument sanitaire se met en place, pied à pied

Rappel à lire : Le jour d’après se dévoile peu à peu du 15 avril 2020. Oui, 2020 ! On a vous avait prévenus.

Et si vous pouvez encore sortir aujourd’hui sans votre smart-phone cafteur, demain le QR code tatoué sur le front et la puce RFID sous la peau achèveront votre résidu de liberté.




Déclaration sur l’isolement des virus

[Source anglophone : andrewkaufmanmd.com]

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([1] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([2] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([3] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.

Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Nous avons raison. Le virus SRAS-CoV2 n’existe pas.

Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD





L’Originale K : « Je refuse les concerts devant des gens masqués… »

[Source : (lemediaen442.fr]

Lucie, alias L’Originale K, est une maman rapeuse qui a remporté son combat pour l’inclusion scolaire en obtenant une place dans une classe spécialisée pour son fils devenu autiste sévère à cause des vaccins. Cette artiste engagée dénonce aussi les mesures gouvernementales prises depuis l’arrivée du covid-19 dans notre pays. Rencontre en 4-4-2 avec Lucie, personnalité touchante et forcément « originale » qui se bat quotidiennement pour son fils, mais pas que !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Lucie et merci d’avoir accepté de répondre aux questions du Média en 4-4-2. Certains d’entre nous vous ont découvert il y a trois ans avec votre clip « #inclusionfermata****** » où vous vous adressez directement à Emmanuel Macron, car votre fils handicapé n’avait pas de place à l’école. Pouvez-vous revenir brièvement, pour ceux qui ne vous connaissent pas encore, sur cette chanson qui a fait le buzz et sur votre parcours si particulier ?

L’Originale K : Bonjour le média en 4-4-2 et merci pour l’intérêt que vous portez à mon parcours. En 2018, encore dans la promo de l’album MC Maman Courage et toujours au combat pour faire respecter les droits de mon enfant handicapé (mais ça, je crois que c’est un combat à vie en France), après que mon fils a été congédié de l’école de la République et que cet essai d’inclusion pour mon fils qui n’a été, bien que bref, que de la matraitance au final, car accueilli seulement une heure par semaine avec une AESH contrairement aux douze heures obtenues par le tribunal. J’ai fait le bilan de la situation à travers le titre « #inclusionfermeta***** », fait en collaboration avec d’autres mamans pour dénoncer le non-respect des droits et le manque scandaleux de formation et de place pour nos enfants. J’ai eu l’idée d’y ajouter les belles promesses en l’air faites par notre président et ce morceau a fait l’effet d’une bombe. En effet, à lui tout seul, il prouve les mensonges de l’inclusion à la française. Cinq mois après avoir sorti ce titre, mon fils Malone a obtenu grâce à lui une place en sureffectif dans l’école que je demandais pour lui depuis plus de quatre ans, sans avoir le droit d’être sur la liste d’attente car épileptique ! Eh oui ! j’ai obtenu sans monter en haut d’une grue le respect de ses droits et je suis la première à l’avoir fait en rap. La route est encore longue, car il n’existe que neuf écoles de ce genre en France (qui respectent les bonnes pratiques de la Haute autorité de santé envers les enfants autistes). L’envers du décor est pavé de scandale et j’ai choisi de prendre le risque d’utiliser ma musique pour éveiller les consciences.

« La musique est ma corde de secours, sans elle je tombe »

Le Média en 4-4-2 : Vous prenez « Maman courage » comme pseudonyme sur les réseaux sociaux. Comment se passe votre vie de tous les jours ? Comment faites-vous pour être rappeuse engagée ET maman à temps plein d’un enfant autiste ?

L’Originale K : « Maman Courage » est un terme que j’ai créé en 2015 pour définir une maman comme moi… C’est devenu un collectif et une association officielle qui s’appelle « Les Mamans Courage », c’est le titre de mon album 2017 « MC Maman Courage », le premier album témoignage du combat d’une maman d’enfant handicapé. Ma vie est une succession de montagnes russes avec un avenir incertain, un combat de tous les jours, autant dans l’amour pur et véritable que dans la souffrance insurmontable. La musique est ma corde de secours, je suis accrochée à la falaise au-dessus du précipice. Elle me permet d’extérioriser et d’être utile, malgré ma situation hardcore, en faisant entendre la voix de ces milliers de mamans comme moi. Sans elle, je tombe. Elle est le lien entre nos âmes. Maman Courage et rappeuse, c’est L’originale K.

Le Média en 4-4-2 : Cette « originalité malgré vous » fait que vous êtes solicitée pour en parler, notamment depuis l’étranger. Est-ce une indiscrétion de révéler que vous avez ajouté à la dernière minute une chanson à votre prochain album qui parlera justement de ce que vous ressentez personnellement et des difficultés que vous rencontrez pour reconstruire votre vie ?

L’Originale K : En effet j’ai des interviews régulièrement et même de l’étranger ! Cette semaine j’ai une demande du Brésil… Beaucoup de pays s’intéressent à la Maman Courage rappeuse que je suis. C’est aussi pour cela que j’ai fait la fameuse chanson sur l’autisme entièrement en anglais en collaboration avec Céline Dominik-Wicker. Certains fans me demandent de chanter en anglais pour qu’ils puissent comprendre mes paroles. J’ai annoncé en effet avoir repoussé la sortie de l’album « Monde de fous » pour y ajouter une chanson qui me tient beaucoup à cœur. Toutes mes chansons viennent du cœur, elles sont son expression, elle laissent une trace de ce que je vis. Cette dernière chanson est un message… Ma situation me condamne sentimentalement à être seule, car la souffrance ne se divise jamais, elle se multiplie et contamine mes proches malgré moi. Je pense que la vie est un enchaînement d’épreuves et plus tu atteins la conscience, plus les épreuves sont difficiles… J’ai été heureuse malgré la colère, j’ai goûté au paradis prisonnière de l’enfer, j’ai vu l’arc-en-ciel pendant l’orage, j’ai trouvé de l’eau dans le désert… Il y a des blessures bien profondes dont on ne guérira jamais, elles sont le moteur d’un nouveau combat. Pour trouver la paix, j’ai besoin de mettre des mots sur mes maux.https://www.youtube.com/embed/uA46vlazq2M?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : On vous connaît aussi grâce à votre titre « Monde de fous » qui est passé au Festival de Cannes. Et dans cette chanson, vous parliez des vaccins et de « ton médecin qui te soigne avec du poison ». Cette chanson n’est-elle pas plus que jamais d’actualité ?

L’Originale K : En effet, en tant que maman « victime collatérale » de dommage vaccinaux sur un de mes enfants, je défends de nombreuses causes et dénonce de nombreuses injustices telles que la non-reconnaissance des victimes et la désinformation dans le domaine, si ce n’est pas clairement ce que l’on peut qualifier de mensonges par peur du scandale, et quel scandale ! J’espère sincèrement qu’un jour elle ne sera plus d’actualité, mais en effet elle l’est encore plus aujourd’hui au vu des événements récents.

Le Média en 4-4-2 : De par votre expérience, on vous imagine méfiante vis à vis des vaccins contre le covid… Vous ont-ils d’ailleurs inspiré de nouveaux textes ?

L’Originale K : Si demain vous achetez des meubles chez Ikea pour la chambre de votre bébé et que vous découvrez finalement que la colle utilisée pour la fabrication de ces meubles est cancérigène, mais que c’est trop tard… rachèteriez-vous des meubles chez Ikea ? Et commencerez-vous à vous méfier chez les autres fabricants ? Bien sûr que ça n’arrive pas qu’aux autres et ça ne sera plus jamais pareil, car une fois qu’on a ouvert les yeux, on voit. Les inspirations pour de nouveaux textes ne manquent pas en effet…

Le Média en 4-4-2 : Justement, pouvez-vous nous dire quels seront les thèmes liés à cette « crise sanitaire » qui seront abordés dans votre prochain album ? Album qui sortira à la fin de l’été si nos informations sont bonnes…

L’Originale K : En fait quand on y réfléchit tout est lié… l’album s’appelle « Monde de fous » !

Le Média en 4-4-2 : Allez-vous y évoquer les confinements, la perte progressive de nos libertés, les vaccins covid, le Pass sanitaire… Les sujets ne manquent pas !

L’Originale K : Oui, j’aborde tous ces points en effet, plus ou moins tout y est et je vais même plus loin… L’album « Monde de fous » comprend seize titres. La date de sortie est pour début septembre. Il sortira en CD et en version numérique partout… comme les deux qui le précèdent, j’ai confié les masterings au grand Antoine Chabert. La qualité est importante pour moi, je suis très perfectionniste… il y a six beatmakers qui ont travaillé pour moi sur ce projet. Jim Walter et LaBoucleDor pour la majorité des morceaux, Dyna, karina Houston, Maté beats et Dralok. Plusieurs featurings aussi, Apa. H Toulouse, Dralok, Paul élixir, Jonathan Marion, guiggaz M power (Mozambique), MulecaXIII (Brésil), Hefzi-ba (Cuba). Deux auteurs ont travaillé sur une chanson chacun. Céline Dominik-Wicker et Eléa Doo. Deux célébrités y participent, Roch Sauquere et Emmanuel Macron. Ils y sont malgré eux et Roch est plutôt content d’ailleurs ! Il a même décidé de faire de la chanson « Le lapin blanc » le générique de fin de sa séries d’épisodes.https://www.youtube.com/embed/wj1rlcdqDyU?feature=oembed

Le Média en 4-4-2 : Dans cette chanson, « Le lapin blanc », vous évoquez la matrice dans laquelle on vit : nous sommes « des rêveurs et nous marchons dans le rêve d’autres rêveurs », dans un « monde d’illusions construit par des mensonges ». Quand et dans quelles circonstances avez-vous décidé de prendre la pilule rouge et de descendre avec le lapin blanc au fond du gouffre ?

L’Originale K : Quand j’ai perdu toute confiance en cette société en découvrant qu’on ne pouvait pas faire confiance au système de santé prêt à détruire des vies pour de l’argent… Le jour où mon fils est devenu handicapé et que la société m’a abandonnée parce qu’il a eu des dommages vaccinaux. Quand j’ai compris que je n’avais pas le droit de dire la vérité et qu’on essayait de me faire taire et surtout que personne ne chercherait à soigner mon enfant.

Le Média en 4-4-2 : Vous avez subi des pressions ? De quelles sortes ? Elles ne semblent pas en tout cas vous intimider !

L’Originale K : Il existe beaucoup de preuves aujourd’hui que toute « la mascarade » et son organisation ne sont pas une seconde le fruit du hasard… J’ai été dénigrée dans un reportage d’Arte… La journaliste hyper triste m’a prise dans ses bras les larmes aux yeux lors d’un rendez-vous à Paris en me disant que jamais en vingt ans de carrière elle n’avait vu cela… La chaîne a transformé le reportage et a essayé de me faire passer pour une femme avide, stupide et on m’a traitée d’antivax. J’ai été énormément choquée et déçue, je trouvais cela incroyablement ignoble… Le reportage a été interdit de diffusion pour atteinte à mon image d’artiste… Je suis régulièrement censurée sur les réseaux.

« La plus grosse menace c’est la puissance des 1 % qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment »

Le Média en 4-4-2 : « Le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » Dans « Confinés », vous allez même plus loin en expliquant que « pendant que les gens sont confinés et contaminés, ils n’ont pas conscience qu’il y en a bien plus des dangers ». Quelle est pour vous la plus grosse menace qui plane sur le peuple endormi et souvent confiné ?

L’Originale K : « À partir du moment où il est néfaste pour la santé, le virus est pour moi le gouvernement tout entier. » La plus grosse menace c’est la puissance des un pour cent qui détiennent l’argent et décident de notre sort à notre plus grand détriment… Les menteurs et les manipulateurs, le gouverne-ment.

Le Média en 4-4-2 : Dans « MC révolutionnaire », vous écrivez : « Des masques, des barrières, des tests : ils nous ont mis la fièvre. La voix du peuple gronde aux quatre coins du monde. Le point de non retour est proche. » La fin du coronacircus passe-t-elle par le réveil et une révolution du peuple ?

L’Originale K : Notre société est face au mur… Il est grand temps de l’anéantir, elle est corrompue jusqu’à la moelle. Le peuple se divise entre moutons dociles et moutons récalcitrants… Pour faire une révolution il faut des guerriers : où sont-ils ? Sûrement devant des sites douteux… C’est la réalité de notre société, le peuple n’est pas prêt pour la révolution… l’idiocratie est en place…

« Certains ne survivront pas au réveil… Car il peut être brutal… La propagande est partout… “Nous sommes en guerre” est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite »

Le Média en 4-4-2 : Pourtant dans « Peuple de France », vous appelez celui-ci à ne pas abandonner notre pays. C’est que vous gardez quand même l’espoir d’un réveil prochain ?

L’Originale K : « Sans espoir il n’y a pas de vie sans courage pas de survie », c’est dans une autre chanson… Il y a beaucoup de travail pour réveiller les gens et certains ne survivront pas au réveil… car il peut être brutal… La propagande est partout… Nous sommes en guerre est peut-être la seule vérité que Macron nous a dite. De toute façon le système est mort… Il y a manifestement de plus en plus de personnes qui se réveillent… Une révolution, ça s’organise !

« Je refuse les concerts devant des gens masqués »

Le Média en 4-4-2 : Le Pass sanitaire vient d’être mis en place pour les évènements de plus de mille personnes. On espère que tu seras confrontée à ce dilemme prochainement : accepteras-tu de te produire, si les spectateurs doivent être vaccinés ou testés depuis moins de 72 heures ? En sachant que cette contrainte ne s’applique pas aux artistes…

L’Originale K : Bien sûr que je ne participerai jamais à l’atteinte des droits humains. Je me bats pour que nos droits soient respectés. Déjà que je refuse les concerts devant des gens masqués…

Le Média en 4-4-2 : Il n’y a que très peu d’artistes musicaux qui se positionnent comme vous contre ce Pass sanitaire. La plupart semblent fermer les yeux pour ne pas compromettre leur carrière… Comme personnalité de premier plan, il n’y a que HK qui a affirmé publiquement son boycott des concerts et festivals qui réclament ce Pass (il nous l’avait expliqué récemment dans une interview en 4-4-2). Comment expliquez-vous ce manque de courage ou cette absence de prise de conscience ?

L’Originale K : J’ai moi-même annoncé avant l’obligation du masque que je ne chanterais pas devant des gens masqués. Le manque de courage est dans tous les domaines, les artistes n’en sont pas épargnés, surtout ceux qui le font pour des raison purement pécuniaires… Comme je le dis dans « Victoire » : on comprend peu par la peur mais beaucoup par la souffrance. On apprend mieux dans sa sueur à force de persévérance, la motivation n’est pas une tâche mais un devoir et se battre pour une cause juste est déjà une victoire. Il faut du courage pour chanter avec conscience.

Le Média en 4-4-2 : Le Média en 4-4-2 vous avait rencontrée avec Les Masques Blancs nantais début mai dernier. Y a-t-il une ou des collaborations de prévues ?

L’Originale K : En effet j’ai été à la rencontre des Masques Blancs nantais, j’ai répondu avec plaisir à l’invitation, pour leur dire tous mon soutien et leur faire part de certains de mes projets avec eux. J’espère qu’ils pourront aboutir. En attendant j’ai donné l’autorisation aux Masques Blancsd’utiliser mes titres lors de leur prestations avec un grand honneur. Je suis à leur disposition pour venir me représenter à leurs côtés, dès que je trouverai un peu de temps, ce qui n’est pas évident dans ma situation.

Le Média en 4-4-2 : Merci Lucie pour vos réponses ! Nous avons hâte de découvrir votre nouvel album… Le mot de la fin est à vous !

L’Originale K : Pour le mot de la fin, je vous partage une partie des paroles d’une des chansons du nouvel album « Monde de fous » qui s’appelle « Je rêve » :

Construire un monde meilleur
sans peine et sans peur
ou l’amour nourrirait l’envie
pour nous tous
vivre dans le plus grand respect
loin de cette folie
un monde où notre cœur
rendrait à la vie
son sens et sa valeur

Je rêve d’un monde meilleur
le bon sens est de rigueur
quand le moment est venu
de dire stop !
un droit ce n’est pas une faveur
la conscience est la ferveur
en heure et en temps voulus
de dire stop !
je rêve d’un monde meilleur

Le besoin de changer de vie
avant que la vie ne nous change
passe par le voyage intérieur
tout en suivant son cœur
ce ne sont pas les choses extérieures
mais ton attitude
et ce que tu penses qui t’aideront
à trouver le bonheur

La vie n’a de sens que celui
du partage de l’amour
c’est ainsi que tu seras vraiment toi-même
sois le changement que tu veux voir
dans ce monde de fous
et commence par toi-même.

Merci




Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons

[Source : cv19.fr]

Par Sally Fallon Morell

L’anthrax est officiellement une infection causée par la bactérie Bacillus anthracis. Elle peut se manifester sous quatre formes : cutanée, pulmonaire, intestinale et par injection. Les symptômes commencent entre un jour et plus de deux mois après que la personne ait contracté l’infection.

La forme cutanée se présente sous la forme d’une vésicule noire caractéristique. La forme par inhalation se manifeste par de la fièvre, des douleurs thoraciques et un essoufflement. La forme intestinale se manifeste par une diarrhée (qui peut contenir du sang), des douleurs abdominales, des nausées et des vomissements. La forme injectable se manifeste par de la fièvre et un abcès au point d’injection du médicament.

L’HISTOIRE OFFICIELLE

Bacillus anthracis est une bactérie anaérobie facultative en forme de bâtonnet, à Gram positif, d’une taille d’environ 1 sur 9 μm. La bactérie repose normalement sous forme de spores dans le sol et peut survivre pendant des décennies dans cet état.

L’anthrax se propage par contact avec les spores de la bactérie. Les spores de l’anthrax apparaissent souvent dans les produits animaux infectieux. Le contact se fait par la respiration, l’alimentation ou par une zone de peau lésée. En général, l’anthrax ne se propage pas directement entre les personnes ou les animaux – en d’autres termes, il n’est pas contagieux.

Spores de Bacillus anthracis

Bien qu’il s’agisse d’une maladie rare, l’anthrax humain, lorsqu’il se manifeste, est plus fréquent en Afrique et en Asie centrale et méridionale. L’infection de la peau par l’anthrax est connue sous le nom de “maladie du porteur de laine”. Historiquement, l’anthrax inhalé était appelé “maladie du trieur de laine” car il s’agissait d’un risque professionnel pour les personnes qui triaient la laine. Aujourd’hui, cette forme d’infection est extrêmement rare dans les pays développés, car il ne reste pratiquement plus d’animaux infectés. En 2008, au Royaume-Uni, un fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux non traitées est mort de la maladie du charbon par inhalation [1].

Bien qu’elle soit rare aujourd’hui, la maladie du charbon a posé un problème économique et sanitaire majeur en France et ailleurs au cours du XIXe siècle. Les moutons étaient particulièrement vulnérables, et des fonds nationaux ont été mis de côté pour étudier la production d’un vaccin. Louis Pasteur a consacré plusieurs années à cette quête après que Robert Koch, son rival allemand, ait revendiqué la découverte de l’agent responsable, le Bacillus anthracis. Les efforts déployés pour trouver un vaccin ont incité non seulement Pasteur mais aussi d’autres scientifiques de son époque à se lancer dans une course féroce pour la gloire et l’or.

En 1881, Pasteur réalise une expérience publique à Pouilly-le-Fort pour démontrer son concept de vaccination. Il prépare deux groupes de vingt-cinq moutons, une chèvre et plusieurs bovins. Les animaux d’un groupe reçoivent deux injections d’un vaccin contre la maladie du charbon préparé par Pasteur, à quinze jours d’intervalle ; le groupe témoin n’est pas vacciné. Trente jours après la première injection, on a injecté aux deux groupes une culture de bactéries vivantes de la maladie du charbon. Tous les animaux du groupe non vacciné sont morts, tandis que tous les animaux du groupe vacciné ont survécu.

L’expérience publique de Pasteur à Pouilly-le-Fort

Ce triomphe apparent, largement rapporté dans la presse locale, nationale et internationale, a fait de Pasteur un héros national et a assuré la reconnaissance de la vaccination dans la pratique médicale.

“Le bon Pasteur” – 1882

C’est en tout cas l’histoire officielle. Maintenant, examinons-la de plus près.

PUBLIC CONTRE PRIVÉ

Les triomphes publics de Pasteur sont différents si l’on compare les articles de presse élogieux de l’époque aux carnets privés de Pasteur, analysés par Gerald L. Geison dans son livre The Private Science of Louis Pasteur [2].

Pasteur a promu la théorie, largement contestée à l’époque, selon laquelle les microbes étaient à l’origine de la plupart des maladies, voire de toutes. La théorie des germes a permis aux scientifiques d’envisager un remède rapide à la maladie grâce à un vaccin contenant une forme affaiblie ou atténuée de la bactérie, un peu comme l’idée alors répandue qu’un peu de poison pouvait vous immuniser contre une dose plus importante.

La lecture de ces premières tentatives de découverte d’un vaccin contre l’anthrax évoque des images de Monty Python et du ministère de la science idiote. Certains scientifiques ont tenté une “atténuation” en soumettant le microbe à un poison, le bichromate de potassium, ou à l’acide carbolique, un désinfectant. Un autre scientifique pensait pouvoir créer un vaccin atténué en chauffant le sang d’animaux infectés et en l’injectant à des animaux non infectés. Certains préféraient faire bouillir la bactérie dans du bouillon de volaille, d’autres dans de l’urine. Un collègue de Pasteur a essayé d’”affaiblir” des cultures d’anthrax en les exposant à des vapeurs d’essence. Pasteur a tenté de détruire la virulence du bacille de l’anthrax en le soumettant à de l’”oxygène atmosphérique”, c’est-à-dire de l’air en langage scientifique – toutes ces théories ont été poursuivies avec un sérieux digne de John Cleese.

Malheureusement pour ces héros en puissance, aucune de leurs idées ne fonctionne très bien. Par exemple, lorsque le rival de Pasteur, un vétérinaire du nom de Toussaint, s’est concentré sur le sang chauffé, qui, selon lui, pouvait servir de vaccin efficace, il a constaté par la suite que les résultats étaient incohérents, allant jusqu’à tuer les animaux de laboratoire. Il a commencé à ajouter de l’acide carbolique, qui n’a pas non plus répondu aux attentes.

Dans ses carnets, Pasteur exprime sa frustration de voir que ses propres expériences sur des lapins, des cochons d’Inde, des singes et des chiens donnent des résultats aussi peu concluants. Le vaccin magique était insaisissable et, selon Geison, Pasteur avait “une base expérimentale exceptionnellement faible pour annoncer la “découverte” d’un vaccin contre la maladie du charbon en janvier 1880″. [2] Pasteur fait une annonce similaire en février 1881 et, en mars, il fait état de résultats concluants lors de tests préliminaires sur des moutons. Comme le raconte Geison, “le ton audacieusement confiant des rapports publics de Pasteur exagérait les résultats réels de ses expériences avec le nouveau vaccin. En fait, les résultats de ses tests demeuraient décidément peu concluants”. [2]

Lésion cutanée noire attribuée à une infection à l’anthrax

Un autre problème rencontré par Pasteur était qu’il ne parvenait pas à rendre les animaux malades en leur injectant le microbe qu’il associait à la maladie qu’il étudiait, comme l’anthrax ou la rage. Dans le cas de l’anthrax, pour que des animaux sains tombent malades et meurent, il devait leur injecter de l’”anthrax virulent”. Pasteur rendait les microbes “pathogènes” plus virulents par ce qu’il appelait le “passage en série” de l’organisme à travers d’autres animaux. Dans le cas de l’anthrax, il utilisait des cobayes, leur injectait le micro-organisme qu’il associait à l’anthrax, puis sacrifiait l’animal et injectait son sang ou ses tissus – éventuellement mélangés à des poisons tels que l’acide carbolique ou le bichromate de potassium – à un autre animal ; ce processus était répété sur plusieurs cobayes. C’est ainsi qu’il a obtenu ce qu’il a appelé “l’anthrax virulent”.

Pour la rage, Pasteur a pu produire les symptômes de la maladie en injectant “de la matière cérébrale. extraite d’un chien enragé dans des conditions stériles [c’est-à-dire empoisonnées], puis inoculée directement à la surface du cerveau d’un chien sain par un trou percé dans son crâne”. Ce traitement faisait parfois écumer la bouche des chiens et les faisait mourir. [2]

Au milieu de ses expériences frustrantes sur l’anthrax, Pasteur est convaincu par l’Académie de médecine de faire la célèbre démonstration de Pouilly-le-Fort. Avec son rival Toussaint (un simple vétérinaire, même pas un vrai scientifique !) sur le dos, ses ennemis lui font signer le protocole d’une expérience qu’ils jugent impossible à réussir. Pasteur, à la consternation de ses collègues, accepte “impulsivement” le défi de Pouilly-le-Fort et signe le protocole d’expériences détaillé et astreignant le 28 avril 1881.

UNE EXPÉRIENCE TROMPEUSE ?

Geison insiste sur le fait que Pasteur a délibérément trompé le public sur la nature du vaccin qu’il a utilisé à Pouilly-le-Fort, bien qu’il n’y ait aucune raison particulière de le faire. Les protocoles ne spécifiaient pas le type de vaccin que Pasteur devait inoculer aux animaux. Au début de sa carrière, Pasteur était tout aussi méfiant quant aux détails de la fabrication de son vaccin contre le choléra des poules.

Le point essentiel : contrairement à toutes ses premières expériences, les essais de Pouilly-le-Fort ont parfaitement fonctionné ! Tous les moutons vaccinés ont vécu, et tous les moutons non vaccinés sont morts. Un triomphe !

Cependant, on est en droit de se demander si Pasteur a triché. Après tout, l’enjeu était de taille : toute sa carrière et l’avenir de la théorie des germes étaient en jeu. Les carnets de Pasteur indiquent qu’il était parfois malhonnête, voire peu recommandable. Il était également extrêmement agressif dans la défense de ses intérêts, ayant détruit plusieurs adversaires par la manipulation et une rhétorique acérée.

La mort de tous les moutons non vaccinés est facile à expliquer. Pasteur a utilisé de l’”anthrax virulent” ; en d’autres termes, il les a empoisonnés. Qu’en est-il des moutons vaccinés – tous les moutons – qui ont survécu ? Leur a-t-il injecté de l’”anthrax virulent” ou simplement de l’anthrax, avec lequel il n’avait jamais réussi à tuer d’animaux ? Comme le diraient les Français, “Il y avait quelque chose de louche”.

Après l’expérience, les demandes de vaccins contre l’anthrax inondent le laboratoire de Pasteur. Le laboratoire acquiert bientôt le monopole de la fabrication des vaccins commerciaux contre l’anthrax, et Pasteur poursuit agressivement les ventes à l’étranger. Au milieu des années 1880, Pasteur et son laboratoire tirent un bénéfice annuel net de 130 000 francs de la vente de vaccins contre l’anthrax. Mais Pasteur et ses assistants sont restés étonnamment réticents à divulguer tout détail sur le type de vaccin qu’ils utilisaient.

Rapidement, des problèmes sont apparus, fournissant une autre raison de soupçonner Pasteur d’avoir triché : le vaccin contre l’anthrax n’a pas fonctionné. Dans Pasteur: Plagiarist, Imposter! l’auteur R.B. Pearson note que Pasteur a commencé à recevoir des lettres de plainte de villes de France et d’aussi loin que la Hongrie, décrivant des champs jonchés de moutons morts, vaccinés la veille. [3] Selon le gouvernement hongrois, “les pires maladies, pneumonie, fièvre catarrhale, etc. ont exclusivement frappé les animaux soumis à l’injection”. Un essai réalisé en 1882 à Turin a conclu à l’inutilité de la vaccination. Dans le sud de la Russie, les vaccins contre l’anthrax ont tué 81 % des moutons qui les avaient reçus [3].

EMPOISONNEMENT À L’ARSENIC

Petit à petit, l’utilisation du vaccin contre l’anthrax a diminué. … mais le plus mystérieux, c’est que l’apparition de l’anthrax a également diminué. Aujourd’hui, c’est une maladie rare. Alors, qu’est-ce qui a causé la mort de tant d’animaux, principalement des moutons, au cours du XIXe siècle, et pourquoi les moutons ne meurent-ils pas de la maladie du charbon aujourd’hui ?

Prenons l’exemple de la solution de trempage pour moutons (une préparation liquide destinée à débarrasser les moutons des parasites). Le premier bain pour moutons au monde, inventé et produit par George Wilson de Coldstream, en Écosse, en 1830, était à base de poudre d’arsenic. L’une des marques les plus populaires était Cooper’s Dip, développée en 1852 par le vétérinaire et industriel britannique William Cooper. Le Cooper’s Dip contenait de la poudre d’arsenic et du soufre. La poudre devait être mélangée à de l’eau, si bien que les ouvriers agricoles – sans parler des moutons plongés dans la solution d’arsenic – étaient parfois empoisonnés.

Les symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic sont remarquablement similaires à ceux de l’”anthrax”, notamment l’apparition de lésions cutanées noires. Comme l’anthrax, l’arsenic peut empoisonner par contact avec la peau, par inhalation et par le tube digestif. Si une injection contient de l’arsenic, elle provoquera une lésion au niveau du site.

Aujourd’hui, les bains pour moutons ne contiennent plus d’arsenic, de sorte que l’anthrax a disparu – sauf dans les pays en développement où il est encore utilisé dans des processus industriels comme le tannage – d’où le décès en 2008 du fabricant de tambours qui travaillait avec des peaux d’animaux importées [1].

Le véritable mystère est de savoir pourquoi les scientifiques de l’époque n’ont pas fait le lien entre l’anthrax et l’arsenic. Après tout, les Français connaissaient une chose ou deux sur l’arsenic. Tous les médecins et pharmaciens stockaient de la poudre d’arsenic, et dans le roman à succès de Flaubert du milieu du siècle dernier, Madame Bovary, son héroïne se tue en avalant une poignée d’arsenic. Flaubert décrit de manière imagée les lésions noires qui marquent la belle Madame Bovary au moment de sa mort – tous les Français savaient à quoi ressemblait un empoisonnement à l’arsenic. Il semble que les scientifiques, les vétérinaires et les médecins aient été tellement éblouis par la nouvelle théorie des germes qu’ils n’ont pas pu faire le lien entre le poison et la maladie.

Pasteur meurt en 1895 et prend immédiatement sa place en tant que premier saint de la médecine. La presse publie des gravures empestant la vieille dentelle, le montrant comme un objet d’adulation, ses flacons et ses gobelets posés sur un autel, un admirateur reconnaissant agenouillé devant eux. La science était devenue la nouvelle religion. Une description moderne appelle Pasteur “l’homme qui a sauvé des milliards de vies”.

NOUVELLE ALERTE À L’ANTHRAX

L’anthrax a disparu de l’esprit du public et les vaccins contre l’anthrax ont langui jusqu’aux célèbres lettres envoyées à des membres connus des médias et à deux sénateurs quelques semaines après le 11 septembre. Au moins vingt-deux personnes sont tombées malades et cinq sont décédées. [4] Les tests génétiques (et non l’isolement de la bactérie) ont révélé la présence de spores d’anthrax, mais personne n’a testé la présence d’arsenic dans les poudres.

Les attentats ont ravivé l’intérêt pour le vaccin contre l’anthrax. Très peu utilisé pendant des décennies, le vaccin a été dépoussiéré pour être utilisé chez les personnes considérées comme étant dans une catégorie “à risque”, comme les membres de l’armée. Les soldats reçoivent le vaccin en cinq doses consécutives, avec un rappel chaque année [5].

Même selon les sources conventionnelles, tous les vaccins contre l’anthrax actuellement utilisés provoquent des réactions, telles que des éruptions cutanées, des douleurs et de la fièvre, et des réactions indésirables graves se produisent chez environ 1 % des personnes vaccinées. [6] En 2004, une injonction légale contestant la sécurité et l’efficacité du vaccin a mis fin aux vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour les membres de l’armée, mais après qu’un rapport de la FDA en 2005 ait affirmé que le vaccin était sûr, [7] le ministère de la Défense a rétabli les vaccinations obligatoires contre l’anthrax pour plus de deux cent mille soldats et employés du secteur de la défense. [8]

LA SOLUTION DE LA NATURE

Une dernière réflexion : Les scientifiques ont découvert que certaines bactéries peuvent “biorémédier” l’arsenic dans le sol. [9] Ces bactéries résistantes à l’arsenic ou accumulant l’arsenic “sont répandues dans les sols pollués et sont des candidats précieux pour la biorémédiation des écosystèmes contaminés par l’arsenic”. La nature a toujours une solution, et dans le cas de l’arsenic, la solution est constituée de certaines bactéries du sol omniprésentes. Nous devons envisager la possibilité que la bactérie “hostile” de l’anthrax, isolée pour la première fois par Robert Koch, soit en fait un organisme de remédiation utile qui apparaît sur la scène (ou dans le corps) chaque fois qu’un animal ou un humain rencontre le poison appelé arsenic.

Par Sally Fallon Morell, auteure du best-seller de cuisine Nourishing Traditions et présidente fondatrice de la Weston A. Price Foundation.

Cet article est paru dans Wise Traditions in Food, Farming and the Healing Arts, la revue trimestrielle de la Weston A. Price Foundation, automne 2020.

Source : https://www.westonaprice.org/health-topics/anthrax-arsenic-and-old-lace/
Traduction https://cv19.fr


[Voir aussi :
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Déclaration sur l’isolement des virus
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le culte de la virologie – Documentaire
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies
La théorie des germes : Une erreur fatale
Virus fantôme : à la recherche du SARS-CoV-2
Citations médicales sur les vaccinations
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
La théorie des exosomes contre celle des virus]


RÉFÉRENCES

  1. https://www.telegraph.co.uk/news/uknews/4942456/Drum-maker-died-from-anthrax.html.
  2. Geison GL. The Private Science of Louis Pasteur. Prince-ton University Press, 1995, pages 167-170.
  3. Pearson RB. Pasteur: Plagiarist, Imposter! The Germ Theory Exploded! Dr William von Peters, 2002.
  4. Landers J. The anthrax letters that terrorized a na­tion are now decontaminated and on public view. Smithsonian Magazine, September 12, 2016.
  5. https://www.healthline.com/health/anthrax-vaccine-side-effects#dosage.
  6. https://en.wikipedia.org/wiki/Anthrax_vaccines.
  7. Roos R. FDA seeks comments on controversial anthrax vaccine. CIDRAP, January 13, 2005.
  8. Air Force Special Operations Command. Anthrax vaccine mandatory again. https://www.afsoc.af.mil/News/Article-Display/Article/163403/anthrax-vaccine-mandatory-again/.
  9. Ghodsi H, Hoodaji M, Tahmourespour A, Gheisar MM. Investigation of bioremediation of arsenic by bacteria isolated from contaminated soil. African Journal of Microbiology Research. 2012;5(32):5889-5895.