Piqûre de rappel : UNCED, sommet pour la terre et Nouvel Ordre Mondial — George Hunt

[Source : Jeanne Traduction]






Victor : « Nous, les jeunes, avons été endormis par une société de service, de divertissement »

[Source : lemediaen442.fr]

Quand Marcel avait lancé sa sainte-colère sur le suicide des enfants, Victor nous avait envoyé sa vidéo « Leurs projets ». Bluffés par le talent de ce jeune homme de 18 ans [à l’époque], nous vous avions fait partager sa réalisation. Devant les très belles réactions qu’elle a suscitées, nous avons décidé de reprendre contact avec Victor pour vous le faire découvrir parce que, vous allez voir, ça vaut vraiment le coup d’en savoir plus sur lui !

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Victor et bienvenue sur Le Média en 4-4-2 ! Nous vous avons découvert tout début mai grâce à votre vidéo « Leurs projets ». Pouvez-vous brièvement vous présenter à nos lecteurs ?

Victor : Bonjour, et encore merci de me permettre cette prise de parole. Je m’appelle Victor et viens fraîchement d’acquérir mes 19 ans. Anciennement en série Littéraire au lycée, je me décide à m’orienter vers une faculté d’arts du spectacle afin d’approfondir mes connaissances, mon rapport au monde. Très vite, les cours en distanciel s’imposent et redessinent totalement mon rapport au savoir théorique de la fac. Alors qu’on nous apprenait les fondements des arts du spectacle, du cinéma, qu’on nous expliquait à quel point L’Homme est un être sociable, qui ne peut se passer de son voisin, alors qu’on passait des heures entières à analyser les œuvres de Fritz Lang, on nous apprend finalement que toute cette chaleur, toute cette théorie devait se soustraire aux cours en distanciel. Ma première incompréhension, ma première colère s’est tournée vers le système scolaire. Je prends donc la décision de ne plus rester quatre heures par cours devant mon écran d’ordinateur. La situation paradoxale que je vivais, les professeurs muets face à de telles decisions sanitaires, c’était glaçant. Je décide donc de me déscolariser. La première peur, de passer pour un branleur, de ne plus savoir où me placer, mais de savoir intimement que mon humanité, ainsi que ma curiosité, pouvait me permettre de comprendre, de dire ce que je ressens. Après tout ça, découlera quatre mois de solitude, de réflexion liées à la situation que nous traversons, consacrés à la création de mon nouveau projet : « Leurs projets ».

Le Média en 4-4-2 : On a constaté que la « crise du Covid » a accentué le phénomène de déscolarisation et vous êtes loin d’être le seul à regretter le manque de soutien des professeurs envers les élèves en difficulté dans ce contexte sanitaire. Selon vous, quel est l’impact de ces mesures prises par le système scolaire sur les jeunes de votre âge ?

Victor : Encore une fois, je voudrais préciser qu’à travers mes réponses, je n’engage que mon ressenti et ma vision personnelle de ce que je vois et entends. Lorsque j’aborde la question avec d’autres jeunes de mon âge, je suis confronté à deux types de réponses. D’une part, je retrouve des jeunes qui, comme moi, voient leur année compromise par les décisions, les restrictions sanitaires. Il est difficile de se plier aux restrictions, de supporter l’enseignement 2.0 (complètement numérique) que nous n’avons pas le choix de supporter. D’autre part, j’entends des jeunes qui ne sont pas trop dérangés par les cours en ligne, ils trouvent ça confortable. Je n’aimerais pas les caricaturer ou les blâmer, je ne sais ce qui les fait tenir. Par ignorance, par peur, par docilité ou par détermination, ces jeunes ne se questionnent même plus sur la situation, ils subissent sans réaction. Ils s’éloignent de nous, parce qu’on leur a demandé. Actuellement j’ai comme l’impression qu’une grande sélection s’est faite : les élèves un peu trop faibles pour ce nouveau système se sont fait éliminer. Personnellement je ne sais même pas quoi faire l’année prochaine. Je vais sûrement travailler en tant que caissier, à défaut de pouvoir supporter les nouvelles règles. On assiste à une véritable épuration dans le monde de l’enseignement. Ils tuent toute forme de résistance, de différence. Les élèves qui supportent tout ça, les bons petits soldats (en qui j’ai énormément de respect, ou de mépris) conservent leur place dans le grand voyage des études. En espérant qu’ils ne deviendront pas les nouveaux hommes robots de demain. J’ai toujours été dans ma scolarité ce jeune qui écoute attentivement et vient assaillir le professeur de tout un tas de questions. A défaut d’être un élève exemplaire dans mon travail personnel, je l’étais dans la vie de la classe. L’énergie de l’échange, la chaleur des idées du professeur… Je n’ai plus rien à faire à l’école, car il n’y a plus d’école. J’ai peur pour mes amis qui s’accrochent, pour moi qui me détache. Je donne toute ma force à ces jeunes qui supportent encore la grosse sélection que nous subissons actuellement. Accrochez-vous, vous aurez réussi et je ne serai rien lorsqu’on se croisera dans la gare du coin !

Le Média en 4-4-2 : Vos paroles sont bouleversantes contre ce système qui opère, selon vos mots, à une sélection, à une épuration. Cela nous fait penser à ce passage de votre vidéo : « Enfermés dans nos chambres, on éteint les lumières, contraints à s’épanouir dans le noir. »  Comment en est-on arrivé à un point où la jeunesse ne se rend même pas compte de cette situation et/ou l’accepte sans rechigner ? Une certaine forme de conditionnement n’en serait-elle pas en partie responsable ?

Victor : A mon avis nous avons, en particulier les jeunes, été endormis par une société de service, de divertissement. Tout est à portée de clic. Le confort matériel tout autour de nous formerait une sorte de carapace à l’épreuve des chocs émotionnels, des lacunes sentimentales. Ce que je raconte a déjà été prédit par tant de bouches. Je vous conseille notamment de vous plonger dans les films de Guy Debord qui m’ont aidé à comprendre en quoi le divertissement deviendrait un gouffre pour quiconque s’y aventurerait. Au fil du temps qui passe, je comprends que nous grandissons dans une violence, dans une négligence sans nom. Habitués au spectacle, à la démesure, ou à l’extrême, le rapport de forces, la méfiance et l’hostilité deviennent réflexes. Le cœur et l’esprit complètement anesthésiés cèdent la place à la compulsivité. Des esprits en perdition (je m’inclus dedans) qui ne sont parfois même plus en quête de sagesse. Bloqués à jamais sur la bande d’arrêt d’urgence. L’égo sous toutes ses facettes qu’il peut avoir de négatives vient bousiller nos relations. La sensibilité, la curiosité, la subtilité de certains finalement écrasées par le paraître ou le pouvoir d’autres. Il est donc plus évident de ranger sa personne tout au fond de soi, afin de ne pas se faire piétiner par l’époque. De nos jours tout se sait, pourquoi chercher à se battre, pourquoi chercher à chercher ? Pour une âme fatiguée, étouffée par son milieu, son époque, il devient évident de se soustraire et de suivre en silence.

Le Média en 4-4-2 : En parlant de société de divertissement qui « vous a éduqué » pour reprendre vos mots dans votre vidéo, quel est votre point de vue sur la vidéo de Mcfly et Carlito à l’Elysée avec Emmanuel Macron ? Vous serez sans doute d’accord avec nous sur le fait qu’ils participent (consciemment ?) à la campagne présidentielle du président sortant, la cible étant les jeunes. Pensez-vous que cela puissent redorer son image auprès de votre génération ?

Victor : Je suis sidéré de constater qu’il n’y ait plus de frontière entre nos divertissements et notre politique. Tout végète dans un jeu décadent mettant en scène des apparences, mais ne venant à aucun moment confronter les idées des participants, ni même insuffler quelconque forme de subtilité, profondeur. On stagne au stade de la grimace, de l’anecdotique. Sidéré de le voir se pavaner autour de ses deux bouffons. Ils n’ont rien en commun, si ce n’est cette forme de corruption à laquelle ils s’adonnent pour marquer, infantiliser, l’histoire. Pour rafler l’audience, l’égocentrisme atteint son paroxysme. Le sensationnel, dans cette époque, pour stimuler des jeunes consciences amorphes, avides d’expérience. Si le public demande du spectacle, ils vont nous en donner. Le président s’importe sur nos écrans. Il est évident que les plus influençables l’apprécieront, car sympathique. Deux bouffons au service du roi. Je ne peux prédire, ou parler au nom de ma jeunesse, mais j’espère qu’elle n’est pas aussi facile à piéger. J’espère qu’elle sait faire la distinction entre la réalité et le divertissement qui lui est adressé. Triste spectacle devant lequel je ne comprends plus la démesure de son absurdité. Macron devient son propre outil de propagande, il s’adapte à la jeunesse, à ses codes. Il tente de nous chercher dans les zones où se regroupe la masse. Il cible, il s’adapte et il tire. Méfions-nous de nos programmes !

Le Média en 4-4-2 : Vous évoquez ce « sentiment d’esclave, prisonnier dans la peur qu’on nous inculque, le temps qui passe, on coupe les ailes de la jeunesse ». Les jeunes ont-ils vraiment peur du Covid et de la société qu’on leur présente à travers leurs écrans, ou sont-ils simplement « endormis par une société de service, de divertissement » comme vous nous le disiez précédemment ?

Victor : Personnellement, je me sens prisonnier dans cette peur. Je pense que cette jeunesse malléable à souhait a accepté les restrictions de vie. Pour ressentir cette peur, dans laquelle je me trouve, encore faut-il réussir à ouvrir les yeux sur ce qui nous entoure. Les jeunes sont bien rangés, les jeunes sont bien rongés : tout dépend de leurs source d’inspiration, d’information. Les jeunes qui vivent dans la peur sont ces jeunes qui sont en quête de liberté, de vie. Lorsqu’à 23 heures je me promène en ville, j’ai la rage et la peur au ventre. Peur de faire face aux gardiens de la paix. Nous ne sortons plus, nous ne crions plus, nous ne dansons plus, par peur de se faire réprimander. Énormément de jeunes sont ignorants. Et acceptent comme s’il fallait rester sage. Ils s’en remettent à la sagesse des informations qu’il ne cherchent même plus à comprendre, ils se contentent d’appliquer. Il existe cependant une jeunesse qui se bat et respire fort. Elle court et laisse ses plumes au contact des forces de l’ordre. Elle est nourrie par la peur.

Le Média en 4-4-2 : La fin de votre vidéo offre un magnifique appel au réveil, à la mobilisation : « Va falloir frapper fort, retrouver la vérité, forger les plus éveillés, soyons des soldats de l’ombre, nous sommes en guerre, parce que c’est leurs projets ». Comment et de quelle manière voyez-vous cette prise de conscience de la jeunesse, mais pas que ?

Victor : J’appelle au réveil, au retour de la force, à bousculer les choses intelligemment, implicitement. Il faudrait réussir à parler aux gens. Je suis agacé de constater les barrières qui ne se franchiront peut-être jamais dans les discussions des passants dans la rue. Il est important de toucher les gens par notre authenticité, notre droiture d’esprit, notre charisme, notre bienveillance. J’aimerais retrouver la vitalité dont on nous éloigne. Leurs projets nous divisent. Ils nous infantilisent et nous privent de sortie. Même mes parents ne m’ont jamais puni aussi longtemps. J’espère retrouver la jeunesse cet été, dans l’amour et dans la fête. Je garde espoir en la tempête, mais j’en ai peur également. La violence, la bêtise, la haine qui nous rongent sans arrêt depuis un moment vont sûrement s’échapper de nos corps par inadvertance pour finalement se bousculer dans les rues. Nos énergies vont nous guider. Il reste à savoir comment cela se déroulera. Je ne sais prédire ou anticiper cette libération, bien que je m’inquiète de cette explosion.

Le Média en 4-4-2 : Et d’un point de vue strictement personnel, comment voyez-vous votre avenir proche dans ce monde en plein chamboulement ?

Victor : De mon côté, je garde confiance en moi, en la lumière que je garde tout au fond de moi. J’essaie de l’entretenir, de la nourrir d’expériences, qu’elles soient intérieures ou au contact du monde. Je trace mon petit chemin en espérant que le grand chamboulement ne vienne mettre sur mon sentier tout un tas d’obstacles. J’ai peur de l’inconnu qui guide mes journées. Je tente une école de cinéma pour la rentrée prochaine, mais pas de plan B en cas d’échec. J’irai sûrement travailler là où on voudra bien de moi. Je suis prêt à bouger, à rencontrer n’importe qui, n’importe où. J’ai peur que mon destin se trace trop vite, dans une boulangerie à la caisse du magasin ou à la caisse du Super U. J’ai besoin de trouver de nouvelles personnes, de nouvelles idées, de nouvelles destinations. Je dois l’avouer, si j’ai fait cette vidéo, c’était pour témoigner du flou qui vient perturber ma vision du chemin. Cependant, même si je n’ai encore rien d’acquis, de façon concrète, je suis vraiment fier, à vrai dire déboussolé, de constater la force que ma vidéo a reçue de la part de tout ce monde. Cela me donne confiance, en ma perception du jeu. J’espère que mon avenir se tracera grâce à ce que je développe lors de mes projets vidéo, grâce à ce qui se dessine aux côtés de ceux qui m’écoutent, grâce à ceux que j’écoute. J’aimerais prendre mon indépendance surtout financièrement, afin de pouvoir soulager le porte-monnaie de mes parents. Je tiens au passage à les remercier de tout mon cœur pour la liberté qu’ils m’accordent, pour leur confiance en mes projets. N’hésitez pas, vous qui me lisez à me soumettre propositions, projets, collaborations, emplois ! Je reste ouvert. Je garde confiance en mon authenticité, ma curiosité, et mon amour pour les autres.

Le Média en 4-4-2 : Merci Victor pour cet entretien très instructif ! Nous vous souhaitons bonne chance pour votre école de cinéma et espérons que votre vidéo sera la première d’une belle série. Nous vous laissons le mot de la fin !

Victor : Merci à vous ! Vous m’avez offert cette chance, de pouvoir parler. L’intérêt que vous avez porté à ma vision m’a profondément touché. Il m’a également permis de prendre confiance en moi, en cette marginalité qui habite mes idées ainsi que les vôtres. J’ai toujours composé l’ensemble de mes vidéos dans l’intimité. Grâce à vous, je me suis ouvert. J’espère très vite reprendre la parole, j’attends le bon moment. J’attends, comme à chaque fois, l’inspiration foudroyante. J’incite n’importe qui à prendre la parole, avec panache, style et passion. Ne cédons pas à la panique générale et restons confiants. Nos états d’âmes, nos sentiments nous aident à comprendre les embûches, les douleurs. Tentons de les déchiffrer pour y trouver la nature de nos névroses. A bientôt !

Propos recueillis par Yoann pour Le Média en 4-4-2




Tucker Carlson (de Fox News) suggère que le FBI a aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole

[Source : News 24 (news-24.fr)]

Tucker Carlson a suggéré ce soir [16 juin] que le FBI avait peut-être aidé à planifier et à participer à l’émeute du Capitole le 6 janvier de cette année via leur infiltration dans certains groupes. C’était son segment d’ouverture ce soir.

Regarder:



Je vais dire deux ou trois choses à ce sujet. Premièrement, ce que suggère Tucker est une possibilité distincte qui ne devrait pas être ignorée. Comme il l’a démontré, cela s’est déjà produit. Mais je noterai également qu’il ne s’agit que de spéculations. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le nom de quelqu’un a été légitimement omis dans les documents judiciaires et aucune accusation n’a été déposée. Il se pourrait simplement que le FBI soit encore en train de monter son dossier contre ces personnes. Ce n’est pas parce que quelqu’un n’a pas été inculpé et que son nom est omis qu’il s’agissait d’agents infiltrés.

Deuxièmement, j’ai trouvé étrange que Fox News ait choisi de ne pas publier son segment d’ouverture sur la page vidéo de Tucker ou sur Youtube. C’est pourquoi il m’a fallu si longtemps pour obtenir la vidéo et la publier. Je me demande si les patrons de Fox News de Tucker adhèrent à la caractérisation par la gauche du segment de Tucker et ont donc peur de la publier :

Soit dit en passant, Tucker n’a jamais utilisé les mots « faux drapeau » ou suggéré qu’il s’agissait d’une opération « faux drapeau ».

Quel que soit leur raisonnement pour ne pas le publier, nous l’avons pour vous ci-dessus. Et ci-dessous se trouve la suite de son segment avec son interview du chef de Revolver News Darren Beattie sur le sujet :



[Voir aussi : https://lesakerfrancophone.fr/des-documents-de-justice-implique-que-le-fbi-a-aide-a-organiser-lattaque-du-capitole]




Est-ce que les vaccinés sont vraiment magnétisés ?

[source : https://lilianeheldkhawam.com]

par Liliane Held-Khawam.

Expérience et fourniture de Spike couplée à des perles magnétiques

Une entreprise qui vend des Spike couplées à des nanoperles magnétiques:
MBS-K001
SARS-CoV-2 Spike S1-coupled Magnetic Beads
S1 protein antibody screening
 (cf détails tout en bas)
Order
MBS-K002
SARS-CoV-2 Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Spike protein RBD antibody screening
Order
MBS-K013
Human ACE2-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K014
Human Anti-SARS-CoV-2 Spike RBD Antibody-coupled Magnetic Beads
Virus capture
Order
MBS-K015
SARS-CoV-2 Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer antibody screening
Order
MBS-K016
SARS-CoV-2 Spike Trimer (D614G)-coupled Magnetic Beads
Spike protein trimer(D614G) antibody screening
Order
MBS-K017
SARS-CoV-2 Nucleocapsid Protein-coupled Magnetic Beads
Nucleocapsid protein antibody screening
Order
MBS-K018
SARS-CoV-2 Spike S2-coupled Magnetic Beads
Spike S2 antibody screening
Order
MBS-K019
SARS-CoV-2 Spike NTD-coupled Magnetic Beads
Spike NTD antibody screening
Order
MBS-K029
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K030
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K031
SARS-CoV-2 (P.1) Spike Trimer-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K032
SARS-CoV-2 (B.1.351) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K033
SARS-CoV-2 (P.1) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder
MBS-K034
SARS-CoV-2 (B.1.1.7) Spike RBD-coupled Magnetic Beads
Variant antibody screening
Preorder (cf ci-dessous)

Je vous invite à prendre très au sérieux l’histoire des vaccinés magnétisés. Ce n’est pas une blague, ni du conspirationnisme. C’est simplement tragique.

https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/
[ou : Santé : des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!]

Vous trouverez ci-dessous une étude qui a été menée sur des personnes qui venaient de se faire vacciner. Comme vous le verrez, cette micro-étude va confirmer la présence de champ magnétique. Les enquêteurs ont arrêté l’expérience compte tenu de la frayeur éprouvée par les « cobayes » lors de la découverte de la magnétisation de leur bras . Cette expérience a été menée par l’Association European Forum for Vaccine Vigilance (SITE ICI) qui a la gentillesse de nous mettre à disposition cette étude.

Avant de vous laisser lire le rapport de l’enquête, je vous présente quelques captures d’écran d’une entreprise qui a tout à fait les compétences pour fabriquer et délivrer du nanomatériel magnétisé.

Le site de Acro Biosystems est fabricant et fournisseur de ce qui semble fort bien être des nanoperles magnétiques qui se couplent à la protéine Spike du Sars Cov2. Vous voyez ci-dessus qu’il y a différents modèles de ce qu’ils appellent Magnetic Beads! (cf détails d’un des modèles tout en bas de la page).

S’ils les fabriquent, c’est qu’ils ont des clients qui en demandent. Cette entreprise vend des trésors à des fabricants de vaccins. Ainsi, vous trouvez entre autres:

https://www.acrobiosystems.com/A1111-SARS-CoV-2-Related-Products.html

Vous serez ravis de savoir que ces industriels des protéines emploient 100 000 scientifiques dans 60 pays! Et ils ont 5000 clients.

LHK


ÉTUDE SUR L’ELECTROMAGNÉTISME DES PERSONNES VACCINÉES AU LUXEMBOURG

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par l’association European Forum for Vaccine Vigilance

Mamer, le 06 juin 2021.

Image tirée du site http://www.siencedirect.com

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. C’est en tout cas ce que l’on peut observer.

Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant.

Est-ce que cet effet est donc réel ou n’est-ce juste qu’une élucubration ?

Cette enquête, à caractère statistique et sociologique portant sur cet effet d’électromagnétisme « supposé » et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui pourrait provoquer cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à l’un des membres de l’association. Il s’agit de la personne chargée de traiter des questions démographiques et sociologiques.

Présentation des paramètres de l’enquête :

À des fins d’une réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes : le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.

NB : Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seuls les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.

Présentation de la méthode d’approche et de réalisation de l’enquête :

  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association, puis présente l’enquête :

« Bonjour Madame ou monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « Il s’agit d’une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinés pourraient présenter des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir si c’est bien la réalité observée ».

  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer de leur gré à l’enquête.

« Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».

  • L’enquêteur explique ensuite aux individus interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qu’il accroche, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite aux personnes interrogées que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenus prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison justement du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur son épaule, à l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule pour savoir si l’adhésion ne trouve pas son explication dans une concentration ferrique locale (implant, effet de l’injection, etc).
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.

Présentation synthétique des résultats pour la semaine d’étude du 1er juin au 5 juin 2021 :

  • Seules 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
  • Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
  • Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté. Toutes, ce sont fait vacciner en vaccinodrome.

NB : La 30ème personne, qui ne présente pas d’accroche à l’aimant, ne s’est pas faite vacciner en vaccinodrome comme toutes les autres. Elle s’est faite vacciner par une infirmière avec qui elle travaille depuis de nombreuses années.

  • Sur ces 29 individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.

Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.

  • Dans ce groupe dit des vaccinés, domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
  • 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
  • 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
  • 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
  • 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
  • 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
  • 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • 2 des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de son épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation sous l’effet de la panique.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
  • Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhère plus vite et tient beaucoup mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les gens interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhèrent également. Ce n’est pas faisable en espace public.

Conclusion :

  • Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation, qui ne relève uniquement que de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule, devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise, sur un plus grand nombre de personnes et avec des appareils beaucoup plus précis.
  • Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience assez déstabilisante.
  • Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis, quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux pour ne pas dire qu’ils semblent être complètement sous le choc.
  • Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment il est possible qu’un aimant puisse adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.
  • Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication physique ou biologique. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter à des fins de compréhension.
  • Une dame a même pleuré en disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte par son employeur qui l’y a obligé au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.
  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, ni par conviction ou par peur de la maladie mais plus souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant après coup qu’ils sont pris en otages dans un engrenage politico-psychosocial. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles (selon la convention d’Oviedo), c’est-à-dire un éclairage du point de vue de la balance bénéfices-risques et de l’information explicite quant à la composition même des fioles servant aux injections. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage ».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient très souvent dans les témoignages et les notes.

Il conviendrait là encore de mener une enquête psychosociale beaucoup plus approfondie sur les motivations réelles qui ont menées ces individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations, les interviews et les échanges spontanés avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

  • L’enquête est arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont les visages se pétrifient lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.
  • L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive.

Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses. Elles se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses.

Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement palpable et mesurable.

Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable.

L’acte de vaccination étant, cela va de soi, un acte irréversible.

En résumé :

À la question, est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? La réponse est affirmative. Effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.

À la question, qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ?

Nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garantes de la santé publique et de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui, en amont, ont pris la décision lourde de « vacciner » des populations en bonne santé à l’aide de « vaccins » encore au stade expérimental et dont, lors des essais cliniques, tous les hamsters sont morts.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules superparamagnétiques (magnetic beads) sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, à titre expérimental ou pour quelque raison que ce soit, alors que jusque-là celles-ci n’étaient réservées qu’aux thérapies anticancéreuses, alors il est urgent de demander une mise au point, dans les plus brefs délais, aux laboratoires pharmaceutiques et aux autorités de santé qui elles, ont donné leur autorisation pour la mise sur le marché de ces injections.

C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction observés sur les sujets vaccinés et c’est aux hommes politiques, garants de la santé des citoyens de ce pays, de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête approfondie et publique sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

PS : 2 sites et 1 document de travail intéressants à consulter qui traitent des solutions nanos et des ferrofluides :


Exemple de nanoprotéines Spike couplée à des perles magnétiques

lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2021/06/sars-cov-2-antibodies-sars-cov-2-recombinant-proteins-kits-beads-magnetisme


[Voir aussi :
Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses
Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm]




« Cette crise peut changer l’histoire de l’humanité », selon Philippe Guillemant

[Source : PLANETES360]

https://youtu.be/oOpwc8c_oAY

Philippe Guillemant est ingénieur physicien, diplômé de l’École Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Docteur en Physique, il travaille au CNRS sur le site de l’université d’Aix-Marseille en tant qu’ingénieur de recherche hors classe.




Comment la démocratie a été détournée de son but

Comment la démocratie a été détournée de son but par des salopards (en étant gentil)

Par Alain Nicolaï

En république, les élections présidentielles donnent l’occasion au peuple d’élire le chef de l’état pour une période déterminée. En théorie, celui-ci doit en retour œuvrer pour le bien de tous. Le coronacircus a démontré aux yeux des personnes sensées, des personnes qui réfléchissent en mettant les faits en connexion rationnellement que ce n’était malheureusement pas le cas.

Voici ce que dit à ce propos Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer :



Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement. Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose. Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Voir aussi :

▪ Mike Yeadon sonne l’alerte du pass sanitaire : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonSenta:d
▪ « Si j’ai raison, nous sommes en pleine 3ème guerre mondiale » : 
https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/YeadonFS:a
▪ L’ancien vice-président de Pfizer déclare à RFK Jr. que les jeunes gens en bonne santé ne devraient pas être contraints de prendre des vaccins  » expérimentaux  » : 
https://childrenshealthdefense.org/defender/dr-mike-yeadon-rfk-jr-the-defender-podcast-safety-mrna-vaccine-technology/

Nous sommes face à une attaque d’une ampleur inégalée, nous avons donné le pouvoir à des personnes qui nous trahissent pour des intérêts privés. Nous avons donné le pouvoir à des personnes qui préfèrent œuvrer pour les profits des multinationales et de la finance : nous nourrissons en notre sein des vipères.

[Illustration : Allégorie révolutionnaire montrant Voltaire et Rousseau sous l’œil de Dieu (1794)]




Poutine donne une leçon à un journaliste et autres infos sur le vol Ryanair 4978

[Source : Le Saker Francophone]

[Illustration : Wikimedia Commons]

Par Moon of Alabama

Il y a quelques nouveaux éléments concernant le vol Ryanair 4978 qui, le 23 mai, a atterri en Biélorussie après avoir reçu une alerte à la bombe. Récapitulons :

Le 23 mai, une alerte à la bombe contre un vol Ryanair reliant la Grèce à la Lituanie a été envoyée par courriel aux aéroports et aux autorités de Lituanie, de Biélorussie et de Grèce. On ne sait pas qui a envoyé le courriel. ...

Le contrôle du trafic aérien du Belarus, dans l'espace aérien duquel l'avion volait à ce moment-là, a contacté le pilote, l'a informé de la menace et lui a recommandé d'atterrir à Minsk. Le pilote a contacté la direction de Ryanair et a ensuite décidé de suivre le conseil. L'avion a atterri à 10:15 utc (13:15 heure biélorusse), les passagers ont débarqué et une longue fouille a été effectuée. Aucune bombe n'a été trouvée. ...

Les passagers ont dû passer par le contrôle des passeports. Deux passagers faisant l'objet de mandats d'arrêt non exécutés ont été placés en détention. Les autres passagers ont repris l'avion vers leur destination initiale. ...

Une heure après l'atterrissage de l'avion, [l'activiste cherchant à changer le régime] Frank Viacorka, qui est suivi par de nombreux "blueticks" sur Twitter, a présenté un récit de l'incident qui s'éloignait fortement de la réalité, mais qui a permis de relancer le programme de changement de régime qui était au point mort. ...

Le tweet largement partagé et ceux qui l'ont suivi impliquaient que le gouvernement bélarusse avait détourné l'avion pour arrêter un autre activiste cherchant à changer le régime, Protasevich.

Lorsque l'on examine les détails de l'affaire, il devient vite évident que ce récit est faux.

Les médias « occidentaux » continuent de raconter ce faux récit. Il a conduit, comme l’espéraient ses initiateurs, à l’introduction de nouvelles sanctions contre le Bélarus.

L’affaire est revenue sur le tapis lors d’une récente interview du président russe par la NBC. La transcription et la vidéo sont disponibles ici :

Keir Simmons : Passons à la Biélorussie et à l'Ukraine, deux questions qui seront certainement abordées lors de votre sommet avec le président Biden. Saviez-vous à l'avance qu'un avion de ligne serait contraint d'atterrir en Biélorussie et qu'un journaliste serait arrêté ?

Vladimir Poutine : Non, je n'étais pas au courant. Je ne savais rien d'aucun avion de ligne. Je n'étais pas au courant des personnes qui ont été détenues là-bas par la suite. Je l'ai appris par les médias. Je ne savais pas, je n'avais pas la moindre idée des personnes détenues. Je n'en sais rien. Cela ne nous intéresse pas.

Keir Simmons : Vous semblez l'avoir approuvé à en juger par votre rencontre avec le président Lukashenko peu après.

Vladimir Poutine : Non pas que je l'approuve. Non pas que je la condamne. Mais, bon, c'est arrivé. Je l'ai dit récemment lors d'une conversation avec un collègue européen, la version de M. Loukachenko est que des informations leur avaient été données selon lesquelles il y avait un engin explosif à bord de l'avion. Ils ont informé...

Keir Simmons : Et vous croyez ça ?

Vladimir Poutine : ...le pilote sans le forcer à atterrir. Et le pilote a pris la décision d'atterrir à Minsk. C'est tout. Pourquoi ne devrais-je pas le croire ? Demandez au pilote. C'est la chose la plus simple. Demandez au capitaine de bord. Demandez au commandant de l'avion. Lui avez-vous demandé s'il a été forcé d'atterrir ? Parce que je n'ai pas entendu ni vu d'interview avec le commandant de l'avion qui a atterri à Minsk. Pourquoi ne pas lui demander ? Pourquoi ne pas lui demander s'il a été forcé d'atterrir ? Pourquoi ne pas lui demander ? En fait, c'est même étrange. Tout le monde accuse Lukashenko, mais le pilote n'a pas été interrogé. ...

Vladimir Poutine : Oui. Ecoutez, je vais vous le répéter. Ce que le président Loukachenko m'a dit, je n'ai aucune raison de ne pas le croire. Pour la troisième fois, je vous le dis : Demandez au pilote. Pourquoi ne pas demander au pilote. Était-il...

Keir Simmons : Mais vous...

Vladimir Poutine : ...avait-il peur ? Était-il menacé ? A-t-il été contraint ? Le fait que des informations soient apparues selon lesquelles il y avait une bombe dans l'avion, que des individus, des personnes qui n'avaient rien à voir, qui étaient des passagers, qui n'avaient rien à voir avec la politique ou tout type de conflits intérieurs, qu'ils puissent le percevoir négativement, s'en inquiéter, bien sûr que c'est une mauvaise chose. Il n'y a rien de bon dans tout cela. Et évidemment, nous condamnons tout ce qui a trait à cela, et au terrorisme international, et à l'utilisation d'avions. Bien sûr, nous sommes contre cela. ...

Poutine a raison de souligner que les médias « occidentaux » n’ont fait aucun effort pour examiner réellement l’affaire. Ils pourraient s’adresser au pilote et au copilote ainsi qu’à Ryanair et leur demander ce qui s’est réellement passé.

Mais Poutine se trompe en suggérant que les pilotes n’ont pas été interrogés du tout. Après l’atterrissage de l’avion à Vilnius, le pilote a été interrogé par la police lituanienne :

Parmi les personnes interrogées figure le commandant de bord de l'avion qui "a pris la décision [de changer de cap vers Minsk] après avoir consulté la direction de Ryanair", selon [Rolandas Kiškis, chef du bureau de la police criminelle].

La transcription incontestée du trafic radio entre le pilote et le contrôle du trafic aérien bélarusse prouve qu’il n’y a eu aucune menace ou ordre des autorités de faire atterrir l’avion. La tour de contrôle a recommandé de se dérouter vers Minsk en raison de l’alerte à la bombe. Le pilote a communiqué avec sa compagnie aérienne et a ensuite suivi les conseils de la tour.

Le fait que celui qui interroge Poutine sur NBC ne soit pas au courant de ces faits le disqualifie en tant que journaliste.

Deux activistes « occidentaux » rémunérés qui avaient œuvré pour un changement de régime au Bélarus se trouvaient sur le vol Ryanair. Roman Protasevich et sa petite amie Sofia Sapega étaient sous le coup de mandats d’arrêt. Ils ont été arrêtés après l’atterrissage de l’avion à Minsk. Une chaîne de télévision bélarusse a réalisé un documentaire (vidéo) sur l’affaire des alertes à la bombe. On y voit que ces deux personnes ont quitté l’avion comme tous les autres passagers et n’ont été arrêtés qu’au moment de passer le contrôle douanier. On y voit également le premier entretien de Protasevich avec la police. Dans une autre interview de 90 minutes (vidéo) de Protasevich avec un journaliste de la télévision bélarusse, il crache le morceau sur l’opposition financée par l’« Occident ».

Hier, le ministère des affaires étrangères du Bélarus a donné une conférence de presse sur le sujet. Protasevich était également présent pour répondre aux questions. Sa partie est à la 45eme minutes dans la vidéo de la conférence de presse.

Les journalistes de la BBC présents à la conférence de presse ont quitté la salle car ils ont supposé que la présence de Protasevich n’était pas volontaire. Protasevich lui-même conteste fortement cette affirmation. Comme dans les précédentes vidéos de lui, il n’y a aucun signe dans son attitude ou son engagement qui me ferait croire qu’il a été contraint.

La conférence de presse avait pour but de clarifier plusieurs affirmations erronées trouvées dans les médias « occidentaux ». L’une d’entre elles était la suivante :

Asta Skaisgirytė, principal conseiller en politique étrangère du président lituanien Gitanas Nauseda, a déclaré dimanche que la Biélorussie avait fait décoller deux avions militaires - un avion de chasse MiG-29 et un hélicoptère Mi-24 - pour détourner l'avion civil de passagers vers Minsk.

Lors de la conférence de presse, le porte-parole militaire explique que l’hélicoptère n’avait rien à voir avec le vol Ryanair, car il volait beaucoup plus bas et plus lentement et n’avait aucune chance de s’en approcher. Le MIG-29 n’a décollé qu’après que le vol Ryanair a lancé un MAYDAY et décidé d’atterrir à Minsk. Le MIG se trouvait à ce moment-là à des centaines de kilomètres de l’avion de Ryanair et la distance la plus proche qu’il ait pu franchir était de 55 kilomètres lorsque l’avion de Ryanair a atterri à Minsk.

Suit une partie sur un conflit frontalier autour de l’immigration illégale entre le Belarus et la Lituanie. Après cela, l’enquêteur principal de l’affaire discute des crimes dont Protasevich et Sapega sont accusés. Il indique également que Protonmail, la société suisse par laquelle le courriel d’alerte à la bombe a été envoyé, n’a pas coopéré avec les autorités biélorusses dans cette affaire et dans les affaires précédentes.

Suivent ensuite des questions adressées à Protasevich lui-même. La première question porte sur l’affirmation d’une chaîne d’opposition sur Telegram selon laquelle le président Loukachenko serait apparu dans sa prison et aurait personnellement battu Protasevitch.

Protasevich répond que ce n’est pas sérieux. Il explique les marques sur ses poignets que l’on pouvait voir lors de sa dernière interview. Il explique que lorsqu’il a été arrêté, la police de l’aéroport n’avait pas de menottes et a utilisé des serre-câbles en plastique à la place. Celles-ci lui ont entaillé la peau.

Il affirme qu’il n’a pas été blessé du tout et qu’il est en pleine santé. Il demande à ses anciens camarades de l’opposition biélorusse de ne pas répandre de rumeurs à son sujet. Il craint que ses parents, qui se trouvent en Pologne, ne soient induits en erreur sur sa situation. Lorsqu’on l’interroge sur l’oligarque russe qui, selon lui, a financé une partie de l’opposition, il répond qu’il ne se souvient pas du nom de cet homme.

Merci à Elena Evdokimova d’avoir traduit les détails ci-dessus.

Dans son article sur l’apparition de Protasevich à la conférence de presse, le New York Times fait plusieurs affirmations erronées. Il affirme que Protasevich « a été traîné hors d’un vol Ryanair avec sa petite amie, Sofia Sapega, il y a trois semaines par des agents de sécurité biélorusses ».

Le documentaire sur le vol montre, à 20:20 min et à 25:45 min, que ce ne fut pas le cas. Aucune police n’est montée à bord. Les passagers, dont Protasevich et Sapega, quittent l’avion un par un avec leurs bagages à main. Des chiens renifleurs de bombes contrôlent ensuite les bagages et les passagers montent dans un bus pour être conduits au terminal.

26:53 min le documentaire montre Protasevich avec un masque noir et un sac à dos militaire dans le terminal en train d’attendre pour passer le contrôle des passeports.

Le New York Times affirme également :

Les autorités biélorusses avaient promis de fournir de nouveaux détails dans leur histoire sur comment et pourquoi le vol Ryanair a été forcé à atterrir après avoir pénétré dans l'espace aérien du pays lors d'un vol vers la Lituanie depuis la Grèce.

Le vol Ryanair n’a pas été « forcé à atterrir » et à aucun moment les autorités biélorusses n’ont proposé de fournir des détails sur un tel événement. Elles ont fourni des détails sur un avion qui a fait l’objet d’une alerte à la bombe et qui s’est dérouté vers Minsk après que le pilote a volontairement décidé de le faire.

L’émission de la BBC sur la conférence de presse est également rempli de contre-vérités et de propagande :

Contredisant carrément les comptes-rendus indépendants de ce qui s'est passé, le chef de l'armée de l'air biélorusse, Igor Golub, a déclaré lors de la conférence de presse : "Il n'y a pas eu d'interception, pas de détournement forcé vers la frontière de l'État ni d'atterrissage forcé de l'avion de Ryanair."

Que sont, s’il vous plaît, ces « récits indépendants de ce qui s’est passé » à part quelques tweets sans fondements publiés par des activistes qui veulent changer le régime, comme Frank Viacorka ; tweets complètement contredits par les preuves et les faits bien documentés ?

Moon of Alabama

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

« J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.

Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque. » Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.

J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque.

Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail…

J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos.

J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.

Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses.

Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM, etc., pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.

Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.

C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives…

Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent?

Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?

Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !

Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.

Dans notre pays des « Droits de l’Homme » il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.

Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.

C’est pour quand la découpe façon abattoir? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !

Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?

Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !

Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.

Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?

La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.

La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « plandémie Covid » en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.

Leurs « plandémies » et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier… croyez-moi !

Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.

Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.

Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.

Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.

Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c’est la spiritualité individuelle. Il n’y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.

Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.

Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent…

Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : « Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent »… Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.

Levons-nous !

Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com




Ottawa enfin «plus sensible» à la survie du français au Canada?

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

[Photo : © AFP 2021 GEOFF ROBINS]

Au Canada a lieu actuellement le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont le but est de trouver de nouveaux moyens pour préserver le français. Plusieurs observateurs prédisent un rapide déclin des communautés francophones hors du Québec, mais le sociologue Joseph Yvon Thériault, lui, est plus optimiste. Entrevue.

Quel sera l’avenir des francophones du Canada, alors que l’anglais est depuis longtemps largement majoritaire en Amérique du Nord? Cette question est au cœur de la vie politique du Canada depuis la fondation de la fédération, en 1867.

Pour poursuivre la réflexion se tient actuellement, en mode virtuel, le Sommet sur le rapprochement des francophonies canadiennes, dont l’un des premiers objectifs est de «trouver les meilleures solutions pour faire progresser la francophonie et la langue française au Canada». Le sommet vise aussi, voire surtout, à renforcer les liens entre les communautés francophones du Canada anglais et le Québec, seule province où le français est majoritaire. Le Premier ministre québécois, François Legault, assistera à la conférence de clôture, le 17 juin.

La langue de Molière : un déclin inéluctable?

«Faire progresser la francophonie»: l’intention est louable, mais ne s’agirait-il pas plutôt d’en freiner le déclin? Depuis plusieurs années, de nombreux observateurs et organismes s’inquiètent de la perte de vitesse du français, qui est pourtant l’une des deux langues officielles du pays de l’Érable. Selon l’agence publique Statistique Canada, en 2011, la proportion de francophones au Canada était de 3,8% sans le Québec, et cette proportion est appelée à passer à 2,8% en 2036.

Sociologue invité comme panéliste au sommet, Joseph Yvon Thériault se veut beaucoup moins alarmiste que certains chroniqueurs nationalistes québécois, pour qui l’avenir du français se joue uniquement au Québec. En 2019, la journaliste Denise Bombardier avait soulevé un tollé partout au pays en affirmant: «À travers le Canada, toutes les communautés francophones ont à peu près disparu.» Des propos tenus lors d’une émission de grande écoute sur les ondes de Radio-Canada. Lui-même issu d’une communauté francophone hors Québec –le peuple acadien–, Joseph Yvon Thériault déplore une certaine méconnaissance des francophones minoritaires:

«La survie de la francophonie hors Québec aura un avenir parce qu’il y a un afflux d’immigration en provenance du Québec dans les communautés concernées. En 1930, on prédisait déjà la fin des francophones de l’Ouest. On oublie souvent qu’il y a toujours une immigration d’Est en Ouest au Canada. Les francophones hors Québec réussissent donc à se maintenir», analyse l’auteur de ‘‘Sept leçons sur le cosmopolitisme’’ (éd. Québec Amérique, 2019).

Le 14 juin dernier, la ministre fédérale du Développement économique et des Langues officielles, Mélanie Joly, a fait savoir qu’Ottawa s’apprêtait à reconnaître le français comme langue officielle du Québec. Ce changement législatif coïncidera avec la réforme de la loi sur les langues officielles qu’elle pilote. Il s’agit d’un geste sans précédent de la part du gouvernement fédéral.

Meilleure protection du français : Ottawa ne dit pas non

Selon Joseph Yvon Thériault, les Libéraux du Premier ministre fédéral, Justin Trudeau, se montrent «plus sensibles à cette question» depuis quelques mois. Le geste surprend, compte tenu du rapport souvent jugé conflictuel au français et au Québec qu’a longtemps entretenu ce parti. Une ouverture annonçant des temps nouveaux?

«Il se passe quelque chose à Ottawa. Pour la première fois, le fédéral semble accepter une logique d’asymétrie, alors qu’il avait toujours insisté sur le bilinguisme officiel. Cette dernière approche ne considérait pas la francophonie comme une communauté minoritaire ayant besoin de protection. […] C’est une nette évolution par rapport à l’ancienne manière de concevoir les deux langues au Canada», constate le sociologue.

Concernant la relation du Québec aux autres francophones du Canada, Joseph Yvon Thériault rappelle que «de nombreuses tentatives de rapprochement ont eu lieu dans l’histoire, et qu’elles n’ont pas toutes été très concluantes». Positif, il estime que la tentative actuelle est probablement celle «qui a le plus de chances de réussir» en raison de la conjoncture politique. À la mi-mai 2021, le gouvernement Legault a dévoilé un important projet de loi visant à renforcer le texte majeur protégeant le français au Québec, c’est-à-dire la Charte de la langue française. Un projet qui s’inscrit dans une démarche apparentée à celle d’Ottawa, observe le sociologue, pour qui le Québec entend maintenant remplir le rôle qui lui a toujours incombé:

«Le gouvernement de François Legault paraît plus prédisposé que les précédents à assumer que le Québec doit rester en quelque sorte le phare de la francophonie canadienne. Le fait que ce gouvernement ne cherche pas à réaliser l’indépendance du Québec contribue au retour de l’idée d’un destin partagé entre tous les francophones du pays […]. Il y a un retour de l’idée du Québec comme foyer et défenseur principal du français dans l’ensemble canadien», se réjouit Joseph Yvon Thériault.




Résultat des législatives en Algérie

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Les élections législatives ont abouti à une assemblée quasi identique à celle dissoute par le Président Abdelmadjid Tebboune au mois de février dernier. Des résultats donnent, dans le peloton de tête, les trois partis qui formaient l’Alliance présidentielle d’Abdelaziz Bouteflika. Une situation qui pourrait compliquer la formation du gouvernement.

On prend (toujours) les mêmes et on recommence. Les élections législatives du 12 juin ont livré une configuration de l’Assemblée populaire nationale (APN) semblable à la précédente. Mardi 15 juin, les résultats annoncés par Mohamed Charfi, le président de l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE), donnent le Front de libération nationale (FLN) en tête avec 105 sièges, 57 pour le Rassemblement national démocratique (RND) et 64 pour le Mouvement de la société pour la paix (MSP). Soit un total de 226 sièges sur les 407 que compte l’Assemblée. Il se trouve que le trio gagnant formait l’Alliance présidentielle, consortium politique qui s’était mis à la disposition du Président Abdelaziz Bouteflika.

Voir la suite sur Sputnik France




Tirs groupés contre l’Algérie, à la veille des élections législatives

Par Ahmed Bensaada

C’est devenu une tradition. Depuis le début du Hirak, tout rendez-vous électoral est systématiquement précédé par des salves médiatiques étrangères, agressives contre l’Algérie. En fait, c’est le choix de la voie constitutionnelle de sortie de crise qui est attaquée, car elle ne représente pas ce qui a été concocté par les « druides » occidentaux et leurs serviteurs locaux. Ces « grands » démocrates, spécialistes des potions magiques qui détruisent des pays entiers en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, penchent plutôt pour une « phase de transition » avec comme leitmotiv « Yetnahaw Gaa! » (Ils doivent tous partir!). Une idée géniale pour mettre en selle des « ténors autoproclamés du Hirak » adoubés par leurs soins et choisis non seulement pour leur allégeance, mais aussi pour leur connivence avec des groupes douteux avec lesquels ils ont autant d’affinités que les pôles identiques de deux aimants. La « phase de transition » à la sauce algérienne mijotée dans le « chaudron » démocratique avec ketchup et mayonnaise? Le moyen le plus efficace pour que l’Algérie rejoigne la Libye, la Syrie et autres pays jouissant actuellement d’une démocratie exemplaire!

Au sujet de ces attaques, rappelons tout de même qu’un média américain majeur avait appelé au boycott de l’élection présidentielle du 12 décembre 2019, à peine deux semaines avant l’échéance électorale (lire mon article à ce sujet). En effet, le professeur Robert Zaretsky écrivait, le 26 novembre 2019, dans la célèbre revue Foreign Affairs un article sur l’Algérie au titre éloquent: « An Election’s Failure Will Be a Democratic Success » (L’échec de l’élection sera un succès démocratique). De la part d’un professeur versé dans la chose politique, il y a de quoi se poser de sérieuses questions concernant le concept même de démocratie. On attend d’ailleurs toujours un article de M. Zaretsky pour nous expliquer ce concept à travers la mascarade électorale qui a eu lieu lors des dernières présidentielles américaines, un scrutin digne d’une vulgaire république bananière et dont le résultat restera à jamais entaché de doutes.

Le nombre d’articles occidentaux à charge contre l’Algérie étant énorme, nous allons nous focaliser sur deux d’entre eux qui ont été publiés le 11 juin 2021, c’est-à-dire la veille des élections législatives.

Le premier a été publié par le célébrissime Washington Post, excusez du peu. En pleine période très riche en évènements politiques majeurs (sommets du G7 et de l’Otan, rencontre Biden-Poutine) le WaPo reprend un article de l’Associated Press intitulé « Two Algerian opposition figures arrested ahead of elections » (Deux personnalités de l’opposition algérienne arrêtées avant les élections). Ces deux personnes sont bien évidemment Karim Tabbou (ténor autoproclamé du Hirak et accessoirement des cimetières) et Ihsane El Kadi (plus connu sous le sobriquet de « barbouze »).

Ce qui surprend dans cet article c’est, bien sûr, la célébrité du média qui publie une information, somme toute, d’importance relativement faible comparativement à l’actualité et aux sujets traditionnellement traités par ce journal. Mais, ce qui est encore plus étonnant c’est la célérité avec laquelle la nouvelle a été publiée : moins de 24h après les faits!

La renommée du média, la rapidité de la publication et le timing choisi indiquent un évident intérêt de l’administration américaine, mais surtout, une intervention de haut niveau pour publiciser cet évènement. La proximité entre aussi bien Ihsane El Kadi que Karim Tabbou avec l’ambassade des États-Unis à Alger ne doit pas être étrangère à cette publication.

Le second article est signé Michaël Béchir Ayari, analyste senior à l’International Crisis Group (ICG). Lui aussi publié le 11 juin 2021, il porte le titre : « L’Algérie de retour aux urnes ».

Intéressons-nous tout d’abord à l’ICG. Ce dernier est un think tank américain basé à Washington dans lequel sont impliqués de nombreux politiciens de premier plan. L’ICG dispose annuellement d’un budget de plusieurs millions de dollars, dont presque la moitié provient de subventions octroyées par des gouvernements exclusivement occidentaux (exception faite du…Qatar!). En 2020, l’Open Society de George Soros a financé l’ICG avec une contribution de plus de 4 millions de $.

Dans le conseil d’administration de l’ICG, on retrouve évidemment George Soros, mais aussi son fils, Alexander. La liste contient également le nom de Tzipi Livni, ancienne ministre des Affaires étrangères et vice-premier ministre de l’État hébreu. On se souvient que c’est elle qui était en poste lors du massacre des Palestiniens sous les bombardements israéliens sur Gaza, fin 2008 – début 2009.

Parmi les personnalités américaines les plus en vue du Conseil d’administration de l’ICG figure le nom de Morton Isaac Abramowitz, ancien Secrétaire d’État adjoint chargé du renseignement et de la recherche dans l’administration Reagan. Il est aussi intéressant de mentionner qu’Abramowitz a été un membre influent du Conseil d’administration de la National Endowment for Democracy (NED) et ce, pendant neuf ans. En 2007, la NED l’a honoré en lui décernant la « Democracy Service Medal », en reconnaissance de « sa contribution exceptionnelle à l’avancement des droits de l’homme et de la démocratie dans le monde ».

Après cette succincte présentation de l’ICG, voyons ce que Michaël Béchir Ayari a pondu dans son article sur la situation algérienne.

Dans l’ensemble, on croirait entendre MM. Tabbou ou Al Kadi pour ne citer que ces deux vedettes du WaPo. En guise d’analyse, il s’agit d’un point de vue complètement biaisé où le mot « système » se dispute la place au mot « pouvoir ». D’après lui, « selon un scénario probable, les forces politiques issues de ce scrutin pourraient se regrouper et former une coalition dont l’objectif serait de perpétuer le système ». Et, au sujet d’une éventuelle phase d’instabilité post-électorale, il y alla d’une prédiction digne d’un réel augure : « A la suite de ce regain de tensions sociales, les conflits portant sur la gestion de ces tensions pourraient s’accroitre au sein de la hiérarchie militaire et des services de renseignements ».

En définitive, il ne lui manquait que le slogan « Madaniya, Machi Askaria » (« Civil et non militaire », slogan des partisans de la phase de transition), pour boucler la boucle.

Je me souviens d’un ouvrage de Michaël Béchir Ayari (co-écrit avec Vincent Geisser), édité en octobre 2011 dans lequel cet « expert » subjugué par le « printemps » arabe avait attaqué en règle mon livre « Arabesque américaine». En effet, en page 55, on peut lire : « Au Canada, l’ouvrage d’un chercheur algérien renommé, Ahmed Bensaada, a lui aussi contribué à populariser les thèses conspirationnistes auprès du grand public ».
Cette sentence de ce « savant » du dimanche a été prononcée sans citer une seule phrase de mon livre et sans en démentir une seule information. Et dire que ce monsieur est « docteur » en sciences politiques!

Le temps étant impartial, c’est plutôt lui qui porte maintenant l’habit de l’expert conspirationniste. Il fait partie de cette « école » qui a vendu à l’opinion publique arabe et internationale que ces « regime change » accompagnés de mort, de destruction, de désolation et de chaos étaient un « printemps » radieux durant lequel fleuriront la démocratie et les libertés individuelles.

Où est passée cette démocratie, M. Ayari? Moi, je ne vois que de la fumée émanant des ruines et je ne sens qu’une odeur fétide de cadavres!

Où est-elle passée, M. Ayari? Moi je ne vois que les larmes de ces réfugiés fuyant leurs maisons et je n’entends que le bruit des bombes qui broient les corps et déchiquètent les esprits!

Alors, de grâce M. Ayari, laissez l’Algérie tranquille et changez de métier. L’analyse politique nécessite une pincée de modestie, une dose d’honnêteté, un zeste de probité ainsi qu’une rasade d’humanisme qui manquent cruellement à votre éducation et à celle de ceux qui vous emploient.

https://www.ahmedbensaada.com/index.php?option=com_content&view=article&id=562:2021-06-15-00-54-54&catid=46:qprintemps-arabeq&Itemid=119




Le système Macron est un simulacre

[Source : Vu du Droit]

Par Régis de Castelnau

La République est donc en danger, la France d’en haut nous le serine sans désemparer depuis quelques jours. En cause évidemment l’incident survenu à Tain-l’Hermitage où devant des caméras, Emmanuel Macron a été l’objet d’une tentative de gifle. Il faut rappeler que celui-ci est en tournée électorale a priori illégale pour soutenir les candidats de son pauvre parti aux élections régionales et départementales, dont on sait bien qu’elles risquent pour eux d’être cuisantes. De façon tout à fait calculée il s’est précipité tout sourire, affichant un salut bouddhiste et en bras de chemise, pour une séance de serrage de main des populations rassemblées pour l’acclamer. Comme d’habitude, les angles de prise de vue ont été choisis pour transformer visuellement une poignée de spectateurs en foule délirante. Il s’est alors malheureusement trouvé un hurluberlu pour vaguement souffleter le bateleur en inscrivant dans la réalité une envie qui démange au moins la moitié des Français, qui fort heureusement savent très bien qu’il ne faut surtout pas passer à l’acte. C’est alors que le bloc élitaire s’est précipité avec une jubilation trop visible sur cet incident pour annoncer les barbares aux portes et la République en danger. Le spectacle des informations télévisées témoignait de façon caricaturale l’homogénéité de ce bloc, où l’on voyait quelles que soient leurs tendances, politiques, journalistes, intellectuels tout occupés à rendre crédible un récit entretenant portant des rapports fort lointains avec la réalité. Séquence très intéressante dans la mesure où se déployait le paroxysme du simulacre auquel la France est confrontée depuis l’élection d’Emmanuel Macron. L’arrivée de celui-ci à la magistrature suprême de la Ve République n’a pu se réaliser que grâce à une opération s’apparentant à une forme de coup d’État au cours duquel toutes les règles garantissant la sincérité d’un scrutin ont été violées et où la justice est directement intervenue dans le processus électoral pour le fausser. Dès le départ la légitimité juridique et politique d’Emmanuel Macron était faible, et malheureusement son exercice du pouvoir n’a fait qu’aggraver cette situation problématique pour une démocratie comme la France. On a naturellement parlé de la théorie des deux corps du Roi et du comportement de Macron passant son temps à désacraliser sa fonction. Cela étant, il n’est pas le premier, Nicolas Sarkozy l’a abaissé, François Hollande l’a avili, mais Emmanuel Macron lui a fait les deux. Et si cela ne justifie pas de le frapper, cela explique pourquoi les réactions outrées et souvent ridicules du mainstream n’ont pas trouvé grand écho sur les réseaux, où l’on ressentait, mon dieu quelle horreur, une certaine joie mauvaise voire parfois de la jubilation.

La question du simulacre s’est posée face à cette volonté unanime des commentateurs de la France d’en haut de dramatiser ce qui était répétons-le un incident, certes déplorable, mais un incident. Avec cette volonté de le transformer en un horrible attentat visant quasiment à renverser la république. Or ce qui caractérise le mandat d’Emmanuel Macron c’est que nous sommes en présence d’un mensonge. Non pas que celui-ci soit lui-même un imposteur, mais c’est tout son système qui est une imposture. Parfait inconnu sorti de nulle part, candidat choisi par la haute fonction publique d’État, adoubé par l’oligarchie, il n’avait absolument rien fait de significatif dans sa vie d’avant. Il a pourtant été propulsé à la tête de l’État par un concours de circonstances et depuis ce moment toutes les élites s’ingénient à faire comme si.

 Comme si la France avait à sa tête un vrai chef d’État, on commente doctement ses prises de position contradictoires, on lui prête des pensées et une réflexion que manifestement il n’a pas. On décrit ses actions, aussi avilissantes soient-elles, comme autant d’opérations de communication maîtrisées, et on commente ses incontinences verbales à l’égal de sentences philosophiques. Ne parlons pas de son premier ministre et de ses efforts désespérés et infructueux pour échapper au ridicule, ou de ces membres du gouvernement proférant de façon métronomique âneries sur âneries. Avec naturellement une mention spéciale pour Dupond Moretti et Darmanin ministres d’État chargés des fonctions régaliennes démontrant avoir perdu tout sens de la réalité. Épargnons la pauvre Marlène Schiappa à qui on ne peut pas reprocher d’avoir perdu le sens du ridicule, elle ne l’a jamais eu.

Malgré cela, on fait semblant, comme si la France disposait d’un chef de l’État digne de ce nom. Prosternation, dramatisation, solennité, appels furieux à la répression, le traitement de la séquence de Tain-l’Hermitage par les hommes politiques, les grands médias et les commentateurs a atteint un sommet.

Sur ce point, mention particulière pour Jean-Luc Mélenchon, embarrassé par des collections de déclarations hors-sol, et exploitant sans vergogne sur la diversion provoquée par le geste imbécile.

Le patron de la France insoumise n’a pas été le dernier à hurler avec les loups : « Les barbares sont aux portes ! Intolérable violence ! La république en danger ! No pasaran ! » Entre autres inepties, il s’est fendu d’un tweet où tout est catastrophique : « cette fois-ci vous commencez à comprendre que les violents passent à l’acte ? Je suis solidaire du président ». Texte calamiteux, avec l’invention d’un danger fasciste, ce que son patron Lionel Jospin qualifiait de « théâtre », et le ralliement soi-disant républicain au fake-président. Il faut dire qu’il en avait grand besoin de cette diversion, après l’interview à France Inter, plus que maladroite avec ses parallèles hasardeux, voire pour certain carrément indécents. À laquelle est venu s’ajouter une déclaration sur sa chaîne YouTube. Dans laquelle il prétendait que la panne géante sur les serveurs Orange qui avait perturbé l’utilisation entre autres, des numéros d’urgence, était probablement volontaire et destinée à justifier la privatisation de la société Orange ! Société déjà complètement privée depuis 2004, à la fin d’un processus enclenché par Lionel Jospin dont Jean-Luc Mélenchon était un des ministres ! Pour tenter de faire oublier ces impairs, première diversion avec la dénonciation d’une vidéo humoristique débile, prétendant y voir un appel au meurtre de sa personne. Ensuite ce sera la transformation de l’incident de Tain l’Hermitage en tentative de coup d’État fasciste. Cette surestimation de la violence est quand même un peu étrange pour quelqu’un qui n’a que Robespierre et la grande Révolution Française à la bouche. Dont on n’a pourtant pas le souvenir que sections parisiennes et sans-culottes furent d’une tendresse particulière avec leurs adversaires. J’ai eu le privilège de bien connaître d’abord des résistants à l’occupation nazie et ensuite de vrais révolutionnaires latino-américains dont certains y ont laissé leur peau, et avec lesquels Jean-Luc Mélenchon prétend une proximité. Sans vouloir faire parler les morts, j’imagine pourtant ce qu’ils auraient pensé de cette débauche de qualificatifs pour dénoncer ce qui n’est qu’un incident passablement ridicule. Et de cette façon de faire allégeance à un système et à son chef que l’on prétend combattre.

Mais finalement le plus dérisoire, c’est de voir Jean-Luc Mélenchon faire exactement ce qu’il reprochait au « système », c’est-à-dire utiliser et instrumentaliser incidents et faits divers (Merah !) à des fins électorales. Le voilà qui s’empare et monte en épingle ce qui n’est cette fois-ci réellement qu’un incident, pour le transformer en drame national, essayer de se retaper au plan électoral en faisant oublier ses interviews calamiteuses et se posant en victime.

Après Macron le fake président, Mélenchon le fake opposant ?




Magnétisme vaccinal : complément d’informations et d’hypothèses

[Source : Neuf de cœur]



[Voir aussi :
Nanoparticules d’hydrogel et nanocomposites pour l’administration nasale de médicaments / vaccins
Ce que cache le test PCR ?
L’opération Coronavirus travaille main dans la main avec l’Agenda des nanotechnologies
Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?]




AstraZeneca annonce que son traitement anti-Covid est inefficace

[Source : LCI via qactus.fr]

[Illustration : Vue générale des bureaux du laboratoire anglo-suédois AstraZeneca à Macclesfield, au nord-ouest de l’Angleterre. − Andrew YATES / AFP]

Par La rédaction de LCI

Nouveau revers pour AstraZeneca. Après que de nombreux pays se sont partiellement ou totalement détournés de son vaccin anti-covid, le groupe pharmaceutique anglo-suédois a annoncé ce mardi que le traitement contre le coronavirus qu’il développe actuellement n’a pas prouvé son efficacité sur les personnes exposées au virus.

« L’essai n’a pas atteint le but principal de prévenir les cas de Covid-19 symptomatique après exposition » au virus, explique AstraZeneca dans un communiqué.

Une réduction des symptômes de seulement 33%

Le traitement par anticorps, dont le nom de code est AZD7442, devait permettre à la fois de prévenir et de traiter la maladie. Il était en phase 3 de développement, c’est-à-dire en essais cliniques de grande ampleur afin de mesurer sa sûreté et son efficacité.

Les 1121 participants étaient des adultes de plus de 18 ans qui n’étaient pas vaccinés et qui ont été exposés à une personne contaminée au cours des huit jours précédents. Le traitement n’a permis de réduire le risque de développer un Covid-19 avec symptômes que de 33%. Des essais se poursuivent pour évaluer le remède sur des patients avant exposition au virus, et pour ceux qui ont développé des formes sévères.

L’important investissement des États-Unis

Le développement de ce traitement est financé par le gouvernement américain, qui en retour avait conclu des accords avec AstraZeneca pour recevoir jusqu’à 700.000 doses cette année. Au total, la valeur des accords avec les États-Unis pour le développement du traitement et les doses en 2021 atteint 726 millions de dollars.

Dans son communiqué, AstraZeneca indique que des discussions sont en cours « concernant les prochaines étapes avec le gouvernement américain ».

Si les espoirs vis-à-vis du traitement développé par AstraZeneca sont douchés, les regards se tournent désormais vers l’Institut Pasteur de Lille. Il vient d’obtenir le feu vert de l’Agence nationale de sécurité du médicament pour tester sur des patients un traitement par suppositoires contre le Covid-19. En octobre, l’Institut avait annoncé avoir reçu un don de cinq millions d’euros du géant du luxe LVMH pour financer l’essai clinique d’une molécule qui, testée in vitro, s’avérait « particulièrement efficace face au virus SARS-Cov-2 ».




Confirmation d’un composant magnétique dans les « vaccins » à ARNm

[Source anglophone : redvoicemedia.com via https://qactus.fr/]

Le magnétisme ajouté intentionnellement au  » vaccin  » lui permet de forcer sa diffusion dans l’ensemble du corps (et donc dans tous les organes).

Partout, dans le monde, sont évoqués ces champs magnétiques « SPION » liés aux vaccins anticovid (au moins à certains d’entre eux, dont Moderna et Pfizer, semble-t-il).

Dans la vidéo suivante, en anglais, la Dre Jane Ruby révèle que les vidéos montrant des personnes se collant des objets métalliques (dont des cuillères) à l’emplacement de l’injection vaccinale correspondent à des faits réels.

La Dre Ruby affirme que le CDC ment lorsqu’il prétend le contraire, et elle fournit des preuves de ses dires.



ACTUALITÉ ! Le Dr Jane Ruby a rejoint Stew Peters avec une révélation concernant les vidéos de « magnétisme » qui circulent dans le monde des médias sociaux dans des vidéos auto-enregistrées de personnes se collant des objets métalliques.




La psychologie inquiétante derrière le vaccin Covid : HYPNOSE DE MASSE et CULTE du SUICIDE

Source : NaturalNews.com

[Traduction : numidia-liberum.blogspot.com]

Par : Mike Adams

Le culte mondial du suicide par vaccin est bien réel, et c’est un produit de l’hypnose de masse combinée à un désir généralisé d’auto-annihilation. Poussés jusqu’à la folie par la culture folle et le terrorisme psychologique des médias grand public, de nombreuses personnes cherchent maintenant, consciemment ou inconsciemment, à mettre fin à leurs propres vies — les suicides dans le monde ont monté en flèche depuis le début des blocages de covid — et maintenant ils sont tombés sur leur solution finale : Le vaccin covid.

Heaven’s Gate était une secte californienne qui a pris fin dans les années 1990 lorsque presque tous ses membres se sont suicidés après avoir cru que leur chef — un homme nommé Applewhite — les amènerait au salut.

De la même manière que les membres de la secte de Heaven’s Gate pensaient qu’ils pourraient atteindre l’ascension et s’élever au-dessus de l’humanité en consommant du poison qui, selon eux, les téléporterait vers un « vaisseau mère extraterrestre » qui les attendait de l’autre côté de la comète de Haley, les sectateurs du vaccin-suicide d’aujourd’hui croient qu’ils peuvent atteindre l’ascension en s’injectant une arme biologique mortelle qui les transformera en un être humain « libre » et leur donnera un statut VIP dans la société (grâce à leurs passeports vaccinaux).

De la même manière que les cultistes de Heaven’s Gate se sont suicidés à la recherche d’une ascension vers un faux dieu, les adorateurs des vaccins d’aujourd’hui se tuent en rendant hommage au faux dieu de la « science ». Et le résultat sera le même : mort de masse et illusions brisées.

Je crois que la plupart des gens qui prennent le vaccin, à un certain niveau, savent qu’il est potentiellement mortel, mais ils accueillent favorablement la possibilité d’auto-annihilation parce que c’est bien mieux que l’alternative, qui est d’être ostracisé par la société et rejeté par leurs pairs. La plupart des gens préfèrent mourir que d’être rejetés, et les propagandistes du vaccin paient donc les « influenceurs » des médias sociaux, les célébrités et les fausses figures d’autorité pour tenter d’assimiler l’obéissance au vaccin à l’acceptation sociale.

Cela s’attaque aux faibles qui définissent leur propre valeur par la façon dont les autres les voient (ou les acceptent). Rejeter le vaccin aujourd’hui, au milieu de toute la propagande et de la coercition, demande un acte de réelle réalisation de soi, de courage.

Ainsi, ceux qui prennent le vaccin participent littéralement à un grand culte mondial du suicide qui se déroule avec l’hypnose de masse, le lavage de cerveau et l’ingénierie sociale. Tout comme les cultistes de Heaven’s Gate, ces personnes sont plus qu’heureuses de prendre le poison et de mettre fin à leurs propres vies tant que cela signifie qu’elles ont été « acceptées » par la société dans le processus.

La raison pour laquelle je mentionne tout cela est que nous devons comprendre la psychologie tordue de ces sectateurs afin de survivre à leur suicide de masse, ce qui aura un impact même sur ceux d’entre nous qui évitent les injections d’armes biologiques. Alors que la mort massive balaie les économies et les nations, elle aura des conséquences horribles sur le fonctionnement de la société, notamment l’effondrement des lignes d’approvisionnement et des perturbations extrêmes du personnel dans des secteurs comme la finance, l’énergie, les télécommunications et l’agriculture.

Regardez cette courte vidéo [en anglais] choquante d’un professionnel des ressources humaines du secteur de l’énergie, mettant en garde contre la façon dont les grandes entreprises pétrolières envisagent déjà des stratégies de « remplacement » pour remplacer leurs propres cadres qui ont été vaccinés. « Planification de la relève » est ce qu’on appelle, et selon cette femme, les dirigeants du secteur pétrolier s’attendent à ce qu’environ la moitié de ceux qui ont pris le vaccin meurent dans les années à venir.




[Voir aussi :
Ingénierie sociale – Le monde est sous hypnose
Le contrôle mental au temps du Covid
Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid
Le documentaire Hold-Up et l’interview d’Ariane Bilheran à propos de la crise mondiale Covid-19
Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif
Témoignage de Brian Gerrish à Reiner Füllmich : La « pandémie » que l’on nous a lancée pour nous effrayer pourrait en fait être la chose qui nous fera redevenir plus humain
Covid et destruction psychique: SOS psychiatres !
Des études montrent que la religion et la spiritualité sont positivement liées à une bonne santé mentale. La nouvelle science de la neurothéologie]




« Vaccin » anti-C-19 : maintenant castrer les (très) jeunes

Par Lucien Samir Oulahbib


À écouter ces deux docteurs/chercheurs israéliens interviewés par France Soir expliquant certains effets (très) nocifs de cette espèce de camisole chimique appliquée aux jeunes afin de « protéger les plus de 84 ans » il s’agit bel et bien d’amenuiser leur capacité de transmettre (alors que rien ne prouve qu’ils le fassent) ce qui n’est pas sans penser à une sorte de castration — mais nommée « médicament expérimental avec autorisation provisoire » qui fait suite au fait de masquer le visage, ce qui n’est pas également sans rappeler ces esclaves castrés et ces femmes voilées de la domination arabo-musulmane (voir le génocide voilé de Tidiane N’Diaye à ce sujet).

Le propos, encore une fois, peut paraître excessif, mais il n’empêche qu’au-delà des mots cela revient bien à cela : sous le prétexte de vouloir atteindre une « immunité collective » de 80 à 90 % (un chiffre sorti de nulle part sinon d’amener « 80 % » d’une classe d’âge au « bac ») il s’agit d’amener le « jeune » à l’aiguille, de shooter la très grande majorité de la population pour protéger une infime minorité de « vieux » alors que ces derniers pourraient être soignés par les traitements adéquats comme l’indiquent et le prouvent Didier Raoult et d’autres de plus en plus nombreux, mais il vaut mieux traîner ce dernier dans la boue quitte à lui envoyer la police, ce qui, au 20 h des médias aux ordres, incitera les « vieux » à ne pas le prendre au sérieux et à sagement servir de cobayes tout en acquiesçant à cette volonté de placer les jeunes sous camisole chimique.

Cette soumission sanitaire fait ainsi pendant à la soumission mentale et politique en marche.

Pourtant, de plus en plus d’effets secondaires sont relatés ici et là, même si la majorité d’entre eux se révéleront sans doute bien plus tard (d’où la prudence naguère d’étaler sur dix ans la fabrication d’un médicament vaccinal) ou alors et heureusement n’apparaîtront pas parce que le corps aura « digéré » cette camisole, qu’il la prendra comme un « placebo » étatiste de plus, même si cela peut l’affaiblir voire plus comme l’expliquent ces deux docteurs/chercheurs israéliens (l’un d’entre-eux expliquant qu’il n’en a pas dormi de la nuit lorsqu’il a remarqué diverses anomalies qu’il s’agira évidemment de confirmer par d’autres études comme l’indique le directeur de France Soir l’interviewant).

En tout cas, et comme il a été déjà souligné, nous régressons à nouveau vers une société renversée dans laquelle les jeunes sont sommés de servir de chair fraîche (de nouveau, chair à canon chimique miniaturisé) pour ces vieux baby-boomers avides de tenir de s’accrocher à leur monde (refusant leur destin Rolling Stones) sans morale ni pitié, piètre pâture si attentive à la prescription de ses crimes (familia grande).


Dernier livre paru : 
https://www.librairie-de-paris.fr/livre/9782343233161-rhombe-les-nouvelles-eve-marie-mrianne-les-nouveaux-adam-moise-jacob-lucien-samir-oulahbib/




L’Empire des clowns contre le Péril jaune

[Source : reseauinternational.net]

par Pepe Escobar.

Le Sud global ne sera pas impressionné par le nouveau projet d’infrastructure B3W financé par des intérêts occidentaux privés qui ne cherchent que le profit à court terme.

Il faut faire preuve d’une grande incrédulité pour considérer que le G7, le club le plus exclusif des démocraties, est pertinent pour les Raging Twenties. Dans la réalité, même en tenant compte de l’inégalité structurelle inhérente au système mondial actuel, la production économique du G7 représente à peine 30% du total mondial.

Cornouailles a été, au mieux, un spectacle embarrassant, avec une troupe de médiocres se faisant passer pour des « leaders » posant pour des séances de photos masqués coude à coude – alors que lors d’une fête privée avec la reine d’Angleterre, âgée de 95 ans, tout le monde était sans masque et se mêlait joyeusement dans une apothéose de « valeurs partagées » et de « droits de l’homme ».

La quarantaine à l’arrivée, les masques imposés 24/7 et la distanciation sociale, bien sûr, c’est seulement pour la plèbe.

Le communiqué final du G7 est l’habituel océan jonché de platitudes et de promesses. Mais il contient quelques pépites. Commencez par « Build Back Better » – ou B3 – qui apparaît dans le titre. B3 est désormais le code officiel de la Grande Réinitialisation et du Green New Deal.

Ensuite, il y a le remix du Péril jaune, avec les troupes de choc « nos valeurs » qui « appellent la Chine à respecter les droits de l’homme et les libertés fondamentales », avec un accent particulier sur le Xinjiang et Hong Kong.

L’histoire derrière tout cela m’a été confirmée par une source diplomatique de l’UE, une réaliste. (Oui, il y en a à Bruxelles).

L’enfer s’est déchaîné à l’intérieur de la salle – exclusive – du G7 lorsque l’axe anglo-américain, soutenu par un Canada mou, a essayé de pousser l’UE-3 et le Japon à condamner explicitement la Chine dans le communiqué final au sujet des violations des droits de l’homme qui auraient été commises au Xinjiang.

Contrairement aux accusations politisées de « crimes contre l’humanité » à l’encontre de la population musulmane ouïghoure du Xinjiang, la meilleure analyse de ce qui s’y passe réellement a été publiée par le collectif Qiao, qui se décrit comme un collectif de médias chinois de la diaspora contestant l’agression américaine contre la Chine.

L’Allemagne, la France et l’Italie – le Japon était presque invisible – ont au moins montré un peu de cran. L’internet a été coupé dans la salle pendant le « dialogue » très dur. En parlant de réalisme, on peut dire qu’il s’agit d’une véritable représentation des « leaders » qui vocifèrent à l’intérieur d’une bulle.

La dispute a essentiellement opposé Biden – en fait ses manipulateurs – à Macron, qui a insisté pour que l’UE-3 ne soit pas entraînée dans la logique d’une Guerre froide 2.0. C’est un point sur lequel Merkel et Mario « Goldman Sachs » Draghi pouvaient facilement s’accorder.

En fin de compte, la table divisée du G7 a choisi de se mettre d’accord sur une « initiative » intitulée « Build Back Better World » – ou B3W – pour contrer l’Initiative Ceinture et Route (BRI) pilotée par la Chine.

Réinitialisation ou autre chose

Comme on pouvait s’y attendre, la Maison Blanche a préempté le communiqué final du G7. Une déclaration retirée ultérieurement de son site web, remplacée par le communiqué officiel, assure que « les États-Unis et nos partenaires du G7 restent profondément préoccupés par l’utilisation de toutes les formes de travail forcé dans les chaînes d’approvisionnement mondiales, notamment le travail forcé des groupes et minorités vulnérables parrainé par l’État et les chaînes d’approvisionnement des secteurs de l’agriculture, de l’énergie solaire et de l’habillement – les principales chaînes d’approvisionnement concernées au Xinjiang ».

« Le travail forcé » est le nouveau mantra reliant habilement la diabolisation superposée à la fois du Xinjiang et de l’Initiative Ceinture et Route. Le Xinjiang est la plaque tournante cruciale qui relie la Ceinture et la Route à l’Asie centrale et au-delà. Le nouveau mantra sur le « travail forcé » ouvre la voie à l’entrée du B3W dans l’arène en tant que paquet « sauveur » des droits de l’homme.

Nous avons ici un G7 bienveillant qui « offre » au monde en développement un vague plan d’infrastructure reflétant les « valeurs », les « normes élevées » et la façon de faire des affaires du groupe, en opposition avec la marque de fabrique du Péril jaune, son manque de transparence, ses pratiques horribles en matière de travail et d’environnement ainsi que ses méthodes de coercition.

Traduction : près de huit ans après l’annonce de l’Initiative Ceinture et Route par le président Xi Jinping, années pendant lesquelles l’initiative chinoise a été ignorée et/ou diabolisée 24/7, le Sud global est censé s’émerveiller devant une vague « initiative » financée par des intérêts privés occidentaux dont la priorité est le profit à court terme.

Comme si le Sud global allait se laisser prendre à ce gouffre à dettes remixé du FMI et de la Banque mondiale. Comme si « l’Occident » avait la vision, l’attrait, la portée et les fonds nécessaires pour faire de ce projet une véritable « alternative ».

Il y a peu de détails sur le fonctionnement du B3W, ses priorités et la provenance des capitaux. Les idéalisateurs du B3W feraient mieux de s’inspirer de la Ceinture et la Route elle-même, via le professeur Wang Yiwei.

Le B3W n’a rien à voir avec une stratégie de commerce et de développement durable destinée aux pays du Sud global. Il s’agit d’une carotte illusoire que l’on fait miroiter à ceux qui sont assez fous pour croire à la notion d’un monde divisé entre « nos valeurs » et les « autocraties ».

Nous revenons au même vieux thème : armé de l’arrogance de l’ignorance, « l’Occident » n’a aucune idée de la manière de comprendre les valeurs chinoises. Le biais de confirmation s’applique. D’où la Chine comme « menace pour l’Occident ».

Nous sommes des bâtisseurs de choix

Plus inquiétant encore, le B3W est un autre bras de la Grande Réinitialisation. Pour approfondir le sujet, il suffit d’examiner « Building a Better World For All » (Construire un meilleur monde pour tous) de Mark Carney.

Carney occupe une position unique : ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, envoyé spécial de l’ONU pour l’action climatique et la finance, conseiller du premier ministre Boris « Global Britain » Johnson et du premier ministre canadien Justin Trudeau et administrateur du Forum économique mondial. Traduction : un grand idéologue de la Grande Réinitialisation, du Green New Deal et du B3W.

Son livre – qui devrait être lu en tandem avec l’opus de Klaus Schwab sur le Covid-19 – prêche le contrôle total des libertés individuelles ainsi qu’une réinitialisation de l’industrie et du financement des entreprises. Carney et Schwab qualifient le Covid-19 comme « l’opportunité » parfaite pour la réinitialisation, dont l’aspect bénin et altruiste met l’accent sur une simple « régulation » du climat, des affaires et des relations sociales.

Ce Brave New World éveillé qui vous est présenté par une alliance de technocrates et de banquiers – du Forum économique mondial et de l’ONU aux manipulateurs de l’hologramme Biden – semblait jusqu’à récemment avoir le vent en poupe. Mais des signes à l’horizon révèlent que c’est loin d’être une affaire réglée.

Les propos tenus par Tony Blair, l’un des piliers du B3W, en janvier dernier, sont révélateurs : « Plus tôt nous le comprendrons et plus tôt nous commencerons à mettre en place les décisions nécessaires pour avoir un impact profond au cours des prochaines années, mieux ce sera ».

Blair, dans un lapsus freudien, non seulement dévoile le jeu (« impact profond au cours des prochaines années », « monde nouveau ») mais révèle également son exaspération : les moutons ne sont pas rassemblés aussi rapidement que nécessaire.

Tony sait qu’il y a toujours la bonne vieille punition : si vous refusez le vaccin, vous devez rester enfermé.

Le B3W représente d’ailleurs une catégorie hétérodoxe de films pornographiques. Le B3W peut finalement se révéler n’être qu’un porno social toxique.

Pepe Escobar


source : https://asiatimes.com

traduit par Réseau International




Biden pire que Kim : « “Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue [que les États-Unis] »

[Source : Dedefensa.org via nicolasbonnal.com]

• Une jeune fille, enfuie en 2007, à 13 ans, de Corée du Nord, s’est installée aux USA et a achevé son “éducation” dans une des plus grandes universités US.
• Son témoignage est stupéfiant : le degré d’endoctrinement et de lavage de cerveau est au moins équivalent, sinon pire, aux USA qu’en Corée du Nord.
• Un témoignage effrayant sur l’extraordinaire effondrement du climat de la pensée US dans l’abrutissement et l’asservissement d’extrême-gauche grâce au wokenisme.

• Contributions : dedefensa.org et Art Moore.

Le témoignage de Yeonmi Park n’est pas une surprise à proprement parler, mais il est symboliquement stupéfiant, et extraordinairement “parlant” par la situation évoquée. Park avait 13 ans en 2007, en Corée du Nord. Elle parvint à quitter ce pays avec sa mère, connut des vicissitudes terribles et parvint enfin aux USA : la quête de l’American Dream était enfin rencontrée. L’achèvement en fut l’entrée à Columbia, l’un des universités les plus prestigieuses des USA, comme partie de l’“Ivy League” qui regroupe les grandes universités US de la Côte Est. Et là commença le calvaire dont elle nous instruit.

Park décrit sa vie à Columbia, l’atmosphère incroyablement oppressante qui y règne, la terreur du Politiquement Correct, le constant lavage de cerveau, les pressions menaçantes constamment exercées sur elle, toutes les facettes du wokenisme et de sa religion d’extrême gauche, de sa folie sociétale, de sa haine de l’Occident et de tout ce que représentent les États-Unis et l’américanisme. Elle n’a qu’un mot : démence, ou folie, à un point qui dépasse même le “modèle” nord-coréen de Kim Jong-un… Biden contre Kim ? L’histoire métaphysique a déjà tranché.

« “Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue [que les États-Unis]”, a-t-elle déclaré. “La Corée du Nord était déjà assez folle, mais pas à ce point”. »

On a ainsi, à la fois d’une façon réaliste et d’une façon symbolique, – la Corée du Nord restant le dernier État d’un communisme pur et dur en existence, une sorte d’Albanie de l’après-1989, – une mesure assez puissante de l’extraordinaire et ultra-rapide transformation des USA, dans le sens d’une déconstruction catastrophique des conceptions et de la psychologie américanistes. On ne peut trouver meilleur exemple, dans la mesure où les universités de l’“Ivy League” constituèrent le creuset des cadres de haut niveau, des chefs d’entreprise, des cadres de la sécurité nationale, des intellectuels de l’américanisme depuis l’origine. Cela est d’autant plus remarquable avec l’“Ivy League” que les universités prestigieuses de la Côte Est, sans être en aucune mesure conservatrices, ont toujours été beaucoup moins “révolutionnaire” (façon-américaniste) que celles de la Côte Ouest, et notamment de la Californie.

On voit que la capacité transformiste du wokenisme a, outre sa radicalité d’extrême-gauche bien entendu, un caractère extraordinaire de rapidité dans sa dynamique d’implantation. Il est certain que ce mouvement, en cours depuis les années 1970, s’est considérablement accéléré ces dernières années jusqu’à son complet et bruyant épanouissement depuis 2020. Pour notre compte, cette accélération exponentielle n’est nullement le fait d’une sorte d’“effet de conviction”, comme une sorte de magie de cette idéologie à la fois nihiliste et totalitaire (drôle d’assemblage : totalitaire sans idéologie autre que la déconstruction), mais bien plutôt un signe de l’extraordinaire affaiblissement de l’américanisme qui n’offre plus aucune capacité de résistance contre des virus armée de démence de la sorte du wokenisme. L’extraordinaire médiocrisation et la corruption des cadres et dirigeants US et de la politique américaniste depuis trente ans exactement témoigne de cette évolution. Cet affaiblissement catastrophique de l’américanisme comme posture psychologique de conviction d’une très grande force à l’origine accompagne évidemment ce que nous identifions comme la pente fatale de l’effondrement des États-Unis.

C’est paradoxalement dire combien nous ne croyons nullement au triomphe psychologique du wokenisme, ne serait-ce que parce que cette “idéologie”, véritable non-idéologie finalement, n’a comme seule capacité que celle de la destruction. Le wokenisme détruit l’américanisme en liquidant ce qu’il y avait de résilience dans cette psychologie, et par conséquent ne lui substitue aucunement un corpus psychologique solide puisqu’il détruit d’abord la psychologie. En ce sens, bien entendu, le wokenisme est un virus autodestructeur du Système engagé dans  son processus d’autodestruction, et entraînant sa principale courroie de transmission et bras armé dans l’activation de la politiqueSystème qu’est l’américanisme.

Le témoignage de Park, pris sur le vif, venu directement de l’expérience vécue à partir de la référence de la Corée du Nord, – incroyable référence pour définir les USA dans leur état actuel, – est une très sérieuse et symbolique confirmation de la puissance destructrice de l’ouragan qui frappe de plein fouet la psychologie et l’esprit de l’américanisme.

Il faut par ailleurs savoir différencier ce phénomène des équivalents européens, subissant le même traitement mais y réagissant de façon assez différente. Il y a toujours eu, aux USA, dans l’éducation et la formation des cadres, un aspect hystériquement moutonnier caractérisant la psychologie américaniste, développée depuis l’origine dans un formatage impératif à la mesure de la doctrine, – ce fut l’américanisme, c’est le wokenisme. Mais le wokenisme étant totalement mortifère et déconstructeur, à la différence de l’américanisme qui présentait une réelle structuration (au service du Système), n’a strictement aucune structure de remplacement à offrir. Il est là pour détruire, dans une formidable débauche d’intolérance, de terrorisation intellectuelle, et là-dessus une écrasante chape de sottise. Tactiquement c’est une horreur, stratégiquement il remplit son rôle historique de destructeur de l’américanisme : contradiction désormais habituelle tactique-stratégie.

Cela n’arrangera pas, pour l’instant, les affaires de la pauvre Park. Elle a néanmoins eu son diplôme parce qu’elle a compris qu’il fallait manœuvrer et simuler, encore plus qu’en Corée du Nord, mais nous gagerions bien qu’elle ne se fait aucune illusion sur l’avenir des États-Unis d’Amérique… Comme nous.

« Au début, elle s’est défendue, se disputant avec les professeurs et les étudiants. Mais elle a fini par “apprendre à se taire” afin de maintenir une bonne moyenne et d’obtenir son diplôme. »

« “Vous avez perdu le sens commun à un degré que je ne peux même pas comprendre en tant que Nord-Coréenne”, a-t-elle déclaré. »

La gentille Yeonmi Park, une de ces Asiatiques-Américaines dont les autres minorités “racisées” ne supportent pas les capacités intellectuelles d’éducation, nous donne un témoignage sur une situation qu’ignore la plupart des chroniqueurs et d’intellectuels, en Europe bien sûr, à Paris surtout où l’on s’ébroue dans une pseudo-“américanisation” complètement fantasmée et où « ils passent la majeure partie de leur temps d’antenne à comparer la France aux autres pays européens [et aux USA], invariablement dans le but de la déprécier » (Houellebecq). Park a été interviewée par FoxNew (retranscription par “WorldNetDaily”).

dedefensa.org


« La Corée du Nord n’est pas aussi dingue ! »

Après avoir fréquenté une des grandes universités de l’Ivy League, une transfuge de Corée du Nord avertit les Américains que s’ils continuent sur la voie actuelle, leur avenir est “aussi sombre que la situation de la Corée du Nord”.

Le sentiment anti-occidental, la culpabilité collective et le politiquement correct étouffant de l’université de Columbia étaient profondément troublants, a déclaré Yeonmi Park dans une interview accordée à Fox News.

“Même la Corée du Nord n’est pas aussi dingue”, a-t-elle déclaré. “La Corée du Nord était déjà assez folle, mais pas à ce point”.

Park, 27 ans, a déclaré qu’elle s’attendait à ce qu’en échange du temps consacré, des efforts déployés et de la “fortune” qu’elle a donnés pour pouvoir travailler dans cette prestigieuse université, on lui apprenne à penser par elle-même et librement. “Mais ils vous forcent à penser de la manière dont ils veulent que vous pensiez”.

“Incroyable ! J’ai réalisé que c’était complètement insensé. Je pensai  que l’Amérique était différente, mais dès mon arrivée j’ai reconnu tellement de similitudes avec ce que je connaissais de la Corée du Nord que j’ai commencé à m’inquiéter.”

Park dit avoir vu des drapeaux rouges dès son transfert à Columbia depuis une université sud-coréenne en 2016. Un membre du personnel l’a admonestée pendant les tests d’orientation pour avoir admis qu’elle aimait la littérature occidentale classique et des auteurs tels que Jane Austen.

Park se souvient que cette personne lui a dit : “Saviez-vous que ces écrivains avaient une mentalité coloniale ? Ils étaient racistes et bigots et leur lecture équivaut à un lavage de cerveau.”

La situation n’a cessé de s’aggraver car chaque cours était truffé du genre de cette propagande anti-américaine au milieu de laquelle elle a grandi en Corée du Nord.

Au début, elle s’est défendue, se disputant avec les professeurs et les étudiants. Mais elle a fini par “apprendre à se taire” afin de maintenir une bonne moyenne et d’obtenir son diplôme.

Dans cet État communiste isolé frustre qu’est la Corée du Nord, Park a grandi sans connaître des concepts tels que l’amour et la liberté. Elle se rappelle avoir vu des gens mourir de faim. J’ai vécu dans l’oppression, je sais à quoi cela ressemble”, a-t-elle déclaré.

Mais ses camarades de classe ne cessent de dire « à quel point ils sont opprimés, combien d’injustices ils ont subies”. “Ils ne savent pas combien il est difficile d’être libre, a déclaré Park. Ils ont complètement perdu la capacité de penser librement et de manière critique”.

En 2007, à l’âge de 13 ans, elle et sa mère se sont enfuies, traversant le fleuve Yalu gelé jusqu’en Chine, où elles ont été capturées par des trafiquants d’êtres humains et vendues comme esclaves. Des missionnaires chrétiens les ont aidées à fuir vers la Mongolie, où elles ont traversé à pied le désert de Gobi et ont finalement trouvé refuge en Corée du Sud.

En Corée du Nord, dit-elle, les gens sont trompés par la propagande parce qu’on ne leur apprend pas à avoir un esprit critique. “C’est ce qui se passe en Amérique”, a-t-elle dit. “Les gens voient des choses mais ils ont complètement perdu la capacité de penser de manière critique”.

Contrairement à la Corée du Nord, aux États-Unis les Américains ont accès à de grands penseurs, mais ils “choisissent le lavage de cerveau”. Elle se dit très déçue après être venue aux États-Unis avec de grandes attentes. “Vous avez perdu le sens commun à un degré que je ne peux même pas comprendre en tant que Nord-Coréenne”, a-t-elle déclaré.

Park a souligné l’érosion de l’État de droit et de la moralité. “Je suppose que c’est ce qu’ils veulent”, a-t-elle dit à propos des propagandistes progressistes [du wokenisme] de la nation : “détruire chaque chose et reconstruire un paradis communiste”.

Art Moore




Israël : fin de l’obligation du port du masque dans les lieux publics fermés

[Source : BFMTV via yahoo.com]

[Illustration : Des touristes vaccinés arrivent à l’aéroport de Tel-Aviv, le 23 mai 2021 en Israël – JACK GUEZ © 2019 AFP]

À partir de mardi, l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés va être levée en Israël.

Israël a annoncé lundi soir la fin imminente de l’obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés, une des dernières mesures en vigueur dans l’Etat hébreu dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19.

« L’obligation de porter un masque est annulée à partir du mardi 15 juin », a annoncé le ministère de la Santé dans un communiqué.

Israël a assoupli début juin les restrictions sanitaires pour ses habitants mais maintient encore des mesures drastiques pour les visiteurs arrivant de l’étranger.

Les restrictions déjà assouplies dans le pays

L’Etat hébreu reste fermé aux non-ressortissants, à l’exception de ceux disposant de dérogations pour motif professionnel ou familial impérieux. 

Une quatorzaine, qui peut toutefois prendre fin dès le résultat d’un test sérologique prouvant vaccination ou immunité suffisante, est imposée à tout voyageur arrivant dans le pays.

Israël a lancé fin décembre une vaste campagne de vaccination à la faveur d’un accord avec le géant pharmaceutique Pfizer qui lui a livré des millions de doses en échange de données sur les effets de la vaccination dans ce pays qui dispose de banques de données médicales numérisées sur sa population.

55% de la population complètement vaccinée

Plus de cinq des 9,3 millions d’Israéliens (55% de la population) ont reçu les deux doses du vaccin.

Plus de 839.000 personnes ont été contaminées en Israël depuis le début de la pandémie, dont seulement trois ces dernières 24h, et 6.428 sont décédées, selon les chiffres du ministère de la Santé. Actuellement, 205 Israéliens sont malades dont 53 sont hospitalisés.




Ces médecins et scientifiques devenus milliardaires grâce au COVID-19

[Source : Strategika]

Par Giacomo Tognini

source : forbes.fr – en illustration : Stéphane Bancel, Sergio Stevanato et Uğur Şahin. Image réalisée par Forbes ; BERTRAND GUAY/AFP/GETTY IMAGES; STEVANATO GROUP; ANDREAS ARNOLD/DPA/GETTY IMAGES

En 2020, de nouveaux milliardaires ont émergé, leur fortune propulsée par une hausse des marchés boursiers.

Au total, Forbes a trouvé 50 nouveaux milliardaires dans le secteur de la santé en 2020. Les nouveaux milliardaires les plus remarquables de l’année sont les scientifiques à l’origine des deux vaccins les plus efficaces contre le coronavirus – l’un mis au point par Pfizer et la société allemande de biotechnologie BioNTech, l’autre par la société Moderna, basée dans le Massachusetts – qui ont vu leurs avoirs nets monter en flèche depuis janvier : Uğur Şahin et Stéphane Bancel.

Pratiquement inconnus au début de l’année 2020, ces deux hommes sont aujourd’hui milliardaires. Le PDG de BioNTech Uğur Şahin, qui a cofondé l’entreprise avec Özlem Türeci, son épouse et le médecin-chef de l’entreprise, possède aujourd’hui une fortune de 4,2 milliards de dollars (plus de 3,3 milliards d’euros) ; son homologue français chez Moderna, Stéphane Bancel, a uOKne fortune presque égale, dépassant légèrement les 3,3 milliards d’euros également. L’ascension fulgurante de Moderna a également entraîné l’arrivée de deux autres milliardaires parmi ses premiers investisseurs, le professeur Timothy Springer de Harvard et le scientifique Robert Langer du MIT. Ces vaccins nécessiteront des milliards de flacons en verre pour être transportés en toute sécurité – entrez dans le monde de l’Italien Sergio Stevanato, nouveau milliardaire et actionnaire majoritaire du groupe privé Stevanato, qui fabrique des flacons en verre pour plusieurs dizaines de projets de vaccins dans le monde.

Il ne s’agit pas seulement de vaccins : les entreprises qui développent des traitements à base d’anticorps et des médicaments pour aider les médecins à combattre le virus ont également bénéficié de la frénésie du marché. Carl Hansen, PDG de la société canadienne de biotechnologie AbCellera, a aujourd’hui une fortune élevée à 2,9 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros) suite à l’entrée en bourse de sa société le 11 décembre, soutenue par la Food and Drug Administration, le mois dernier, pour son traitement à base d’anticorps développé avec le géant pharmaceutique Eli Lilly. Même les sociétés qui travaillent dans l’ombre pour aider les grandes entreprises à tester de nouveaux médicaments et appareils ont vu le cours de leurs actions atteindre de nouveaux sommets. August Troendle, fondateur et PDG de Medpace, société de recherche sous contrat basée à Cincinnati, voit désormais sa fortune s’élever à 1,3 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros) grâce à une hausse de près de 70 % des actions de la société depuis le début de l’année.

Les nouveaux magnats sont originaires de 11 pays différents, mais la majorité d’entre eux vivent en Chine, l’épicentre de la Covid-19, qui accueille aujourd’hui une trentaine de nouveaux milliardaires du secteur de la santé, dont le principal est Hu Kun, le président du fabricant d’équipements médicaux Contec Medical Systems, qui est entré en bourse à Shenzhen en août. Les actions de la société ont augmenté de près de 150 % depuis son introduction en bourse, grâce aux fortes ventes à l’étranger de produits allant des oxymètres de pouls aux appareils pulmonaires, tous devenus plus nécessaires avec la propagation de la Covid-19 dans le monde entier.

Voici les 10 nouveaux milliardaires les plus remarquables en lien avec la lutte contre la pandémie, suivis par les 40 autres milliardaires de la santé qui ont fait leur apparition en 2020 :

Uğur Şahin

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Uğur Şahin. DPA/Picture Alliance via Getty Images

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : allemande

Source de richesse : BioNTech

Ce médecin d’origine turque a fondé BioNTech à Mayence en 2008 avec son épouse, Özlem Türeci, qui est la directrice médicale de la société. Uğur Şahin détient environ 17% des actions de la société. Les actions de BioNTech ont augmenté de 160% depuis janvier grâce au succès de son vaccin contre la Covid-19, développé en partenariat avec Pfizer, déclaré par la FDA américaine comme étant efficace à 95%. Les premières doses ont été mises en circulation au Royaume-Uni le 8 décembre et aux États-Unis le 14 décembre, d’autres doses étant réservées à l’Union européenne, au Japon et au Canada, entre autres. Avant de lancer BioNTech, Uğur Şahin et son épouse ont fondé la société biopharmaceutique Ganymed Pharmaceuticals en 2001, qu’ils ont vendue à la société japonaise Astellas Pharma pour environ 460 millions de dollars (373 millions d’euros) en 2016.

Stéphane Bancel

Covid-19
Stéphane Bancel. Getty Images

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : française

Source de richesse : Moderna

La français Stéphane Bancel est devenu PDG de la société Moderna, basée dans le Massachusetts, en 2011, après avoir quitté son précédent poste de PDG de la société française de diagnostic BioMérieux. Il détient actuellement environ 6 % de Moderna, contre environ 9 % lorsqu’il est devenu milliardaire en mars, après avoir vendu plus d’un million d’actions, le titre de la société ayant augmenté de plus de 550 % depuis le début de l’année. Le 18 décembre, le vaccin Covid-19 de Moderna, avec une efficacité à 95 %, a été le deuxième à être approuvé par les autorités de réglementation aux États-Unis après le vaccin Pfizer-BioNTech. Les États-Unis ont commandé 200 millions de doses avec une option pour 300 millions de doses supplémentaires.

Yuan Liping

Valeur nette : 4,1 milliards de dollars (3,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yuan Liping possède 24% de parts de l’un des principaux producteurs de vaccins chinois, Shenzhen Kangtai Biological Products, après son divorce du président (et camarade milliardaire) de la société Du Weimin en juin. La scission a instantanément fait de la résidente de Shenzhen la femme la plus riche du Canada. Les actions de Kangtai ont augmenté de 90 % depuis le début de l’année 2020. Elle a travaillé dans l’entreprise de 2012 à 2015 en tant que manager et directrice et est directrice d’une filiale de Kangtai, Beijing Minhai Biotechnology, depuis mars 2017. Kangtai est le fabricant chinois exclusif du vaccin développé par AstraZeneca et l’Université d’Oxford, avec un accord pour produire 200 millions de doses, mais la société a un passé mouvementé : en 2013, son vaccin contre l’hépatite B a été lié à la mort de 17 nourrissons, mais une enquête gouvernementale n’a pas abouti et les critiques auraient fait pression pour que les articles négatifs soient retirés.

Hu Kun

Valeur nette : 3,9 milliards de dollars (3,2 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Hu Kun est le président de Contec Medical Systems, un fabricant d’équipements médicaux basé dans la ville portuaire de Qinhuangdao, au nord-est de la Chine. Il a fait entrer la société à la bourse de Shenzhen en août et possède près de la moitié des actions, qui ont augmenté de près de 150 % depuis l’introduction en bourse. La société tire plus de 70 % de ses revenus de l’étranger et fabrique une gamme de produits médicaux pour les hôpitaux, notamment des nébuliseurs, des stéthoscopes et des tensiomètres.

Carl Hansen

Valeur nette : 2,9 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Nationalité : canadienne

Source de richesse : AbCellera

Carl Hansen est le PDG et le cofondateur d’AbCellera, une entreprise de biotechnologie basée à Vancouver qui utilise l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique pour identifier les traitements par anticorps les plus prometteurs. Il a fondé la société en 2012. Jusqu’en 2019, il a également travaillé comme professeur à l’université de Colombie-Britannique, mais s’est consacré à plein temps à AbCellera. Cette décision semble avoir porté ses fruits, et les 23 % de parts détenues par Carl Hansen lui ont valu une place dans le club des milliardaires après l’introduction réussie d’AbCellera au Nasdaq le 11 décembre. Le gouvernement américain a commandé 300 000 doses de bamlanivimab, un anticorps qu’AbCellera a découvert en partenariat avec Eli Lilly et qui a reçu l’approbation de la FDA comme traitement Covid-19 en novembre.

Timothy Springer

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Timothy Springer. © 2018 BLOOMBERG FINANCE LP

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Moderna

Immunologiste et professeur de chimie biologique et de pharmacologie moléculaire à l’université de Harvard, Timothy Springer a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 lorsqu’il a investi environ 5 millions de dollars dans la jeune entreprise. Aujourd’hui, une décennie plus tard, sa participation de 3,5 % vaut environ 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros). Il est un investisseur actif dans la biotechnologie, avec de petites participations dans les sociétés cotées en bourse Scholar Rock et Morphic Therapeutic, qui sont nées de ses recherches avec des étudiants postdoctoraux de son laboratoire à Harvard. Il a gagné son premier gros salaire en 1999 lorsqu’il a vendu LeukoSite, une entreprise de biotechnologie qu’il a fondée en 1993 et qui est entrée en bourse cinq ans plus tard, à Millennium Therapeutics pour 635 millions de dollars (516 millions d’euros).

Sergio Stevanato

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Nationalité : italienne

Source de richesse : Emballages médicaux

Sergio Stevanato est le président de la société italienne d’emballage médical Stevanato Group, le deuxième producteur mondial de flacons en verre et un fournisseur important de flacons pour plus de quarante vaccins Covid-19. Fondée dans la banlieue de Venise en 1949 par Giovanni, le père de Sergio, la société est aujourd’hui dirigée par les enfants de Sergio, Franco et Marco, qui en sont respectivement le PDG et le vice-président. La société, dont le chiffre d’affaires s’élève à 700 millions de dollars (567 millions d’euros), est également le plus grand producteur mondial de stylos à insuline et fabrique des machines qui permettent de fabriquer, de stériliser et d’emballer des milliards de flacons, seringues et autres produits en verre. En juin, Sergio Stevanato a signé un accord avec la Coalition pour la préparation aux épidémies et les innovations, soutenue par la Fondation Gates, pour fournir 100 millions de flacons pour neuf vaccins Covid-19 différents. Depuis lors, la société a conclu des accords supplémentaires avec plusieurs autres fabricants de vaccins qu’elle ne peut pas divulguer publiquement.

Robert Langer

Robert Langer. Boston Globe via Getty Images

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

 Source de richesse : Moderna

Connu sous le nom de « Edison of Medicine » pour son travail de pionnier dans le domaine du génie biomédical, Langer est professeur de génie chimique au Massachusetts Institute of Technology. Il a été l’un des investisseurs fondateurs de Moderna en 2010 et n’a jamais vendu une seule action ; ses 3 % de parts valent aujourd’hui environ 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros). Il détient des participations plus modestes dans les start-ups biotechnologiques cotées en bourse SQZ Biotechnologies et Frequency Therapeutics, toutes deux fondées par des étudiants postdoctoraux de son laboratoire, et il détient plus de 1 400 brevets qui ont été licenciés plus de 400 fois à des entreprises pharmaceutiques et médicales.

Premchand Godha

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Nationalité : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Premchand Godha a commencé comme comptable agréé avant d’entrer dans le secteur pharmaceutique en 1975, lorsqu’il a racheté le fabricant de médicaments Ipca Labs, basé à Mumbai, en partenariat avec la famille de la superstar de Bollywood Amitabh Bachchan. La société, qui fabrique des médicaments génériques et des ingrédients pharmaceutiques, a vu son cours de bourse presque doubler cette année, en partie en raison de l’augmentation de la production et des ventes de l’hydroxychloroquine, un médicament antipaludique controversé, qui a été présenté comme un remède potentiel au début de la pandémie avant que son utilisation ne soit découragée par l’Organisation mondiale de la santé pour son faible effet sur la réduction de la mortalité due à la Covid-19.

Août Troendle

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Services pharmaceutiques

Août Troendle est le PDG et le fondateur de la société Medpace, basée à Cincinnati, qui réalise des travaux sous contrat et des essais cliniques pour des entreprises pharmaceutiques développant des médicaments et des dispositifs médicaux. Avant de fonder Medpace en 1992 et de la rendre publique en 2016, ce médecin formé à l’université du Maryland a travaillé au développement clinique du géant pharmaceutique suisse Novartis et comme médecin examinateur à la FDA. Les laboratoires de Medpace offrent toute une gamme de services pharmaceutiques, allant de la réalisation de tests par écouvillonnage et de tests d’anticorps pour la Covid-19 pour des cliniques externes à la réalisation d’essais cliniques complexes pour des fabricants de médicaments travaillant sur de nouveaux vaccins et traitements. Forbes estime que ce milliardaire, qui possède environ 21 % des actions de Medpace, possède aujourd’hui une fortune d’environ 1,3 milliard de dollars (un peu plus d’1 milliard d’euros), ce qui fait de lui le dernier entrepreneur du secteur de la santé à rejoindre le club des milliardaires en 2020.

 Li Juanquan & sa famille

Valeur nette : 7,9 milliards de dollars (6,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits chirurgicaux

Jian Jun

Valeur nette : 4,4 milliards de dollars (3,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Biotech

Ye Xiaoping

Valeur nette : 4,2 milliards de dollars (3,4 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Hao Hong

Valeur nette : 3,4 milliards de dollars (2,7 milliards d’euros)

Nationalité : américaine

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Jin Lei

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Fangyi

Valeur nette : 3,2 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lv Jianming

Valeur nette : 3,1 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros)

Nationalité : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Gan Zhongru

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Weng Xianding

Valeur nette : 2,8 milliards de dollars (2,3 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Chen Xiao Ying

Valeur nette : 2,7 milliards de dollars (2,2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Informations sur la santé

Xie Juhua et sa famille

Valeur nette : 2,6 milliards de dollars (2,1 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Dai Lizhong

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Tests médicaux

Miao Yongjun

Valeur nette : 2,5 milliards de dollars (2 milliards d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Diagnostic clinique

Hu Gengxi & sa famille

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biopharma

Li Zhibiao

Valeur nette : 2,3 milliards de dollars (1,9 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits de soins personnels

Lin Zhixiong & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alberto Siccardi & sa famille

Valeur nette : 2,1 milliards de dollars (1,7 milliard d’euros)

Citoyenneté : suisse

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Gao Yi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Lin Zhijun

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Xie Liangzhi & sa famille

Valeur nette : 2 milliards de dollars (1,6 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Biotech

Chen Baohua

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Zhu Yiwen & sa famille

Valeur nette : 1,8 milliard de dollars (1,5 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Services de santé

Li Wenmei & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Lin Jie & sa famille

Valeur nette : 1,7 milliard de dollars (1,4 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Liu Xiucai & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Produits chimiques

Pu Zhongjie & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Équipement médical

Rao Wei & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Ren Jinsheng & sa famille

Valeur nette : 1,6 milliard de dollars (1,3 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Xiong Jun & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Yi Xianzhong & sa famille

Valeur nette : 1,5 milliard de dollars (1,2 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Felix Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Julian Baker

Valeur nette : 1,4 milliard de dollars (1,1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Investissements dans les biotechnologies

Rajendra Agarwal

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)  

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Banwarilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Girdharilal Bawri

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : indienne

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Benedicte Find

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : danoise

Source de richesse : Dispositifs médicaux

Alan Miller & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : américaine

Source de richesse : Services de santé

Zhong Ming & sa famille

Valeur nette : 1,3 milliard de dollars (1 milliard d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Instruments médicaux

Yuan Jiandong & sa famille

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Fan Minhua

Valeur nette : 1,1 milliard de dollars (900 millions d’euros)

Citoyenneté : chinoise

Source de richesse : Produits pharmaceutiques

Article traduit de Forbes US – Auteur : Giacomo Tognini




Mila ou l’exigence de sacrifice humain

Par Lucien Samir Oulahbib

[Photo : ©️ Francois Mori/AP/SIPA]

« La » gauche, a fortiori celle de Mélenchon et de Plenel (mais aussi celle de Morin ayant signé un livre avec Ramadan), a renoué, de fait, avec le sacrifice humain inauguré par le communisme léniniste et trotskyste, Staline a poursuivi et Mao l’a finalisé (et cela continue…). Sartre soutenait les égorgeurs du FLN (Harkis, démocrates algériens, pluralistes également). Lyotard les justifiait (tuer le « colon » parce qu’il a contaminé avec sa langue, sa présence — je le montre dans Éthique et épistémologie du nihilisme, les meurtriers du sens). Foucault était fasciné par Sade, suivant ici Bataille (fasciné, lui, par les sacrifices aztèques et l’esthétique fasciste jusqu’à en inquiéter Walter Benjamin). Aussi le fait que cette « gauche » soutienne par ses manifestations et ses leçons de morale les actuels adorateurs déviants d’Abraham qui désirent égorger Mila ne doit pas étonner.

[Ndlr : combien de politiciens sont-ils au service du peuple et non à celui d’idéologies ou d’intérêts privés qui ne font que diviser les nations ? Un prétendu représentant politique devrait représenter non pas juste un courant politique, socioculturel ou religieux, mais l’ensemble des citoyens de la nation, du moins de ceux qui acceptent de s’y intégrer, car les autres se sont probablement trompés de pays.]

Il y a bel et bien un lien entre la démesure d’un Mélenchon aboyant ses saloperies « antifascistes » contre un amuseur et le fait qu’il ne dise rien ou si peu sur les menaces de mort qui deviennent parfois réalité — pardonnez cette litote tant le déséquilibre est patent dans le passif et l’actif propres à cette comptabilité macabre.

S’il arrive malheur à cette jeune fille, si un seul de ses cheveux est touché, cette (fausse) gauche devra en répondre (ne parlons pas de la droite qui se soumet, elle, et de plus en plus, se coulant dans le silence moelleux des draps soyeux wahhabites), telle cette Clémentine Autin de plus en plus sourde et aveugle, volontairement, ce qui est une insulte envers les handicapés de ces deux infirmités qui ont au moins pour eux le fait de n’y être pour rien. Pas elle qui a défendu les propos odieux de Mélenchon dernièrement, n’oublions pas ses remarques infâmes sur les viols de Cologne.

Il est de plus en plus fatiguant d’entendre tous ces pseudo couturiers faire dans la nuance, la dentelle certes, alors que non !!! Ces (petits) spadassins ne méritent que le mépris, eux qui arment les tueurs comme ils l’ont fait pour Samuel Paty qui a été enfoncé, défoncé par tous ces électeurs de Mélenchon, ce crocodile invétéré qui n’a même pas le toupet de la fermer, de tourner la page. Non, il reste tant il en bave d’être Ayatollah.

« Tout ce qui est extrême est insignifiant » ? Oui au sens de sortir du cadre assigné, ici la compréhension benoîte envers les réactions suscitées par les propos de Mila. Hormis le fait que ces derniers, au départ, concernaient uniquement ceux qui harcelaient sa sexualité au nom de leur religion prétendue, d’où sa colère stipulant que s’il en est ainsi alors celle-ci ne serait que de la ‘merde’ au sens bien français de signifier que cela ne vaut rien puisque cela empêche les gens de vivre ce qu’ils sont. C’est tout. Pas plus, pas moins non plus. Et ceux qui ne sont pas contents au lieu de la menacer feraient mieux de partir et de déchirer leurs papiers de ‘Français’, car ils n’ont rien compris à ce que cela veut signifier justement, donc, chut ! Changez de ‘nation’ : le Qatar vous tend les bras, ou l’Iran (et Soral vous fera même une lettre de recommandation), car il ne faut pas l’oublier la soumission n’est pas que l’apanage de la (fausse) gauche, les faux patriotes eux aussi sont de la partie…

Toute cette classe politico-médiatique est de plus en plus à vomir, ainsi que leurs ‘intellectuels’ qui ne font que redécouvrir le fil à couper le beurre (pasteurisé ces temps-ci) même pas une ‘note de bas de page’ de n’importe quel philosophe ancien ou… moderne, d’ailleurs.




Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

La sénatrice Marsha Blackburn, entourée des sénateurs Mike Braun, Roger Marshall, Ron Johnson et Roger Wicker.
Texte traduit de cette intervention ici.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFWAM ↔ Fauci ↔ Jean-François Delfraissy ↔ Conseil scientifique ↔ Gouvernement

Le patron de Facebook à sa sortie de l’Élysée, le 10 mai 2019

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

Alexandra Henrion-Caudee
Alexandra Henrion-Caude - Censure Wikipedia

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. »

(Victor Hugo)


Bonus :

Pendant que le Sénat américain affronte la manipulation des GAFWAM, nos députés portent la muselière :

Illustration extraite du site de Marianne Dubois, députée LR

Traduction de l’intervention des sénateurs :

( traduction assurée par @JeanneTraduction )

Merci à tous d’être parmi nous aujourd’hui, vous savez qu’il y a eu beaucoup de vagues à propos de la censure des géants de la technologie, de ce qui s’est passé autour des origines du virus du covid 19, et d’où cela vient, comment il s’est transformé en pandémie, et il y a aussi des questions sur la nature des informations qui ont été révélés ou non aux américains et sur comment elles ont évolué en fonction de l’avancée de la pandémie.
Nous savons que facebook a récemment inversé ses décisions, de retirer tout type d’information disant que le virus vient du laboratoire de Wuhan, que Pékin devrait rendre des comptes, youtube avait précédemment annoncé qu’il allait censurer tout contenu qui contredirait l’organisation mondiale de la santé dirigée par Pékin et financée par la Chine, youtube a même retiré une vidéo de certains médecins qui remettaient en cause la valeur de ces confinements, et remettaient en question ce qu’il fait à la population et surtout ce que cela fait à nos enfants.
Twitter, ils ont fermé le compte d’un virologue, un virologue chinois, qui disait « c’est ce qu’ils font, de la recherche sur le gain de fonction, c’est ce qu’ils font à l’institut de virologie de Wuhan », il demandait des comptes au parti communiste chinois.
Je vais vous dire que ces géants de la technologie ont vraiment franchi le pas, ils ont franchi la ligne rouge sur cette affaire.
Nous avons tous des suggestions sur la façon dont nous, en tant que Sénat, devrions gérer cela, et les choses que nous devrions faire pour nous assurer cela n’arrive jamais plus au peuple américain. Sénateur Braun.

Merci.
Je vais vous dire par où nous devons commencer. Une chose unique est arrivée, je pense la semaine dernière, où par consentement unanime, qui n’arrive presque jamais sur une question critique à moins que vous soyez peut-être en train de renommer un bureau de poste ou quelque chose du genre, nous avons obtenu par le sénat de demander à nos propres agences de renseignement, de divulguer les informations que nous hébergeons, car cela a occasionné bien des ravages, non seulement pour notre propre pays, mais à travers le monde.
Pourquoi nous ne commencerions pas par là avec le président Biden, qui a parlé au secrétaire Blinken, demandez-lui, il a dit « Aviez-vous une bonne raison pour laquelle vous ne divulguez pas les informations ?« 
Nous devons commencer par là pour aller au fond des choses, et quand vous parlez des géants de la technologie, qui ont contrôlé le sujet, en gros, quand tous les sénateurs américains veulent au moins commencer par là, nous avons des responsabilités.
Et je pense que c’est à eux de progresser, et de mener la charge.
Ils représentent l’endroit que les gens regardent, écoutent, et nous devons commencer par là, tenons nos propres agences de renseignement responsables afin qu’elles déclassifient cette information.

Sénateur Marshall.

Sénatrice Blackburn merci beaucoup de nous avoir donné une chance de nous tenir ici et de parler de la fuite du laboratoire de Wuhan, ainsi que sa dissimulation.
Nous nous y référons par le terme de « cas chauve-souris ».
Vous savez, cela m’est venu à l’esprit alors que j’étais en train de lire les e‑mails du Dr. Fauci récemment, disant tout ce que j’ai appris en sciences de 10e année, tout ce que j’ai appris en tant que médecin sur la méthode scientifique, sur les hypothèses et les théories en développement, nous venons de tout jeter par la fenêtre.
Vous savez, j’ai été choqué en passant en revue certaines des lettres qui ont été écrites, mais vraiment ce qui a suscité mes soupçons, est un événement de janvier 2020.
Et les chinois disaient qu’il n’y avait pas de transmission de personne à personne, l’OMC a acquiescé, et le CDC ne s’est pas opposé à elle.
Et cela m’a amené à avoir un appel téléphonique avec le CDC, et tous les journalistes nationaux ont rapportés que les scientifiques des États-Unis enquêtaient sur ce nouveau virus. Et quand j’ai parlé au CDC, ils ont dit « Eh bien, nous avons des scientifiques à Pékin, mais ils sont à des milliers de miles de Wuhan donc nous n’avons vraiment rien à vous dire« 
La prochaine chose que j’ai remarqué était une lettre, signée par un groupe de scientifiques qui ont ignoré la possibilité même que ce virus ait pu provenir du laboratoire, ils l’ont totalement ignoré, ils ont rejeté cette hypothèse scientifique disant que cela était même réalisable.
Et nous en sommes par la suite venus à découvrir que la plupart de ces scientifiques, sinon tous, recevaient un certain type de financement dans la passé comme dans le présent du NIH, et notre CDC n’a fait que hocher la tête pour approuver.
Et puis, les journalistes nationaux, les grandes entreprises technologiques, ils ont travaillé ensemble pour supprimer cette histoire, ils ont travaillé ensemble pour censurer ceux d’entre nous qui pensaient que ce virus peut être originaire de là.
Et non seulement ils ont réprimé, ils ont fait honte aux gens qui pensaient que cela pourrait provenir d’un laboratoire.
Finalement, nous voyons dans les e‑mails du Dr Fauci, une collusion entre le Dr. Fauci et les géants de la techonologie travaillant ensemble, pour supprimer cette histoire. Vous savez, nous voilà ici, 17 mois plus tard, nous ne savons toujours rien de plus sur ce virus, je pense que nous devons tenir le parti communiste chinois responsable, et si les États-Unis sont en aucune façon responsables, s’ils ont aidé à financer le laboratoire qui a conduit au développement de ce virus, alors nous devons également être tenus pour responsables, et nous devons approfondir le sujet des règles de recherche sur le gain de fonction également.
Nous n’arriverons jamais au fond de cette affaire, à moins que nous arrêtions cette dissimulation de la fuite du laboratoire de Wuhan, jusqu’à ce que nous arrêtions le « cas chauve-souris ».
Merci Marsha.

Sénateur Johnson.

Je tiens à souligner que les preuves d’un potentielle théorie de fuite du laboratoire se cache à la vue de tous depuis des mois.
Le fait que nos agences fédérales, sous la direction d’Anthony Fauci, ont financé ce type de recherche pendant des années, était à la fois exposé et caché pendant des mois.
Honte aux médias, honte aux médias sociaux, de ne pas y avoir prêté attention, de l’avoir ignoré complètement.
Le résultat de ce décalage de 18 mois, d’exploration de la véritable origine du virus du covid, signifie probablement que nous n’aurons jamais le fin mot de cette histoire. La Chine a eu 18 mois, pour détruire ces preuves.
Mais n’en doutez pas, la Chine est responsable, ils sont coupables.
Ils savaient qu’ils avaient un coronavirus, ils savaient qu’ils avaient un virus mortel qui pouvait provoquer une pandémie à Wuhan.
Ils n’ont pas autorisé les vols au départ de Wuhan dans le reste de la Chine, mais ils ont laissé ce virus infecter le monde entier.
Donc nous savons déjà que la Chine est coupable, nous savons déjà qu’ils devaient être tenus reponsables.
Je pense que nous devons également tenir pour réponsables les médias et les médias sociaux, ce n’est pas le seul sujet censuré. Je pourrais dresser une longue liste, de faux récits, de fausses histoires, que les médias et les médias sociaux promeuvent, et ne corrigent jamais vraiment.
Mais quand il s’agit du covid, j’ai l’expérience personnelle, de la censure et de la suppression et cela a coûté la vie à des dizaines de milliers d’Américains.
Les directives du NIH, en ce qui concerne le traitement du covid restent, restent des directives impitoyables, qui disent en gros de ne rien faire, de rentrer à la maison s’isoler, d’avoir peur, et s’il vous arrive de tomber assez malade vous devez vous faire tester à l’hôpital, testez-vous à l’hôpital et peut-être que nous allons pouvoir sauver votre vie !
J’ai tenu deux audiences sur le traitement précoce, le Dr. Peter McCulloch a exposé les quatre piliers de la réponse à la pandémie.
Le premier est d’essayer d’arrêter la propagation et la Chine ne l’a pas fait. Le deuxième pilier est le traitement précoce, en gros la façon dont nous appliquons la médecine à toutes les autres maladie, détection précoce, traitement précoce, puis hospitalisation et enfin vaccin.
Pourquoi nos agences de santé, pourquoi Anthony Fauci, pourquoi les médias grands publics répriment et censurent, les médecins qui ont eu le courage et la compassion de traiter les patients tôt avec des génériques bon marché, des médicaments repositionnés, pourquoi cela s’est-il produit ?
Il y a de plus en plus de preuves, qui se sont pas rapportées par les médias. Le Méxique connaît un grand succès avec l’ivermectine, certaines provinces de l’Inde connaissent un grand succès avec l’ivermectine, où sont les rapports à ce sujet ?
Nous avons vu des études où 50 à 85% des vies pourraient avoir été sauvées, cela pouvait empêcher tellement de morts. Appliquez ce pourcentage aux 600 000 américains qui ont perdu la vie. C’est pourquoi je pense que les médias n’admettront jamais leur complicité, et pourquoi ils n’admettront jamais qu’ils ont eu tort.
Mais il n’est pas trop tard, des vies peuvent être sauvées, nous aurons encore besoin des traitements précoces, quelle que soit l’efficacité du vaccin, quelle que soit l’immunité après avoir été infecté est, d’autres personnes seront infectées, d’autres personnes vont avoir besoin d’un traitement précoce.
Alors je supplie les médias, prêtez attention au Dr. Korry, au Dr. Peter McCullough, les autres médecins qui ont le courage et la compassion de traiter les patients, il n’est pas trop tard, nous devons commencer et explorer les traitements précoces dès maintenant.

Et enfin le sénateur Wicker qui se joint à moi pour tenir les géants de la technologie responsables, et afin de traiter avec la censure.

Merci à la sénatrice Blackburn et aux autres.
Le dernier quart de siècle a vu une croissance énorme dans le domaine d’internet. Cela a en grande partie été positif, comme nous le savons tous.
Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées.
Il n’y a pas que le virus Wuhan, qui est un scandale, comme mes collègues viennent de décrire, nous pourrions citer des chapitres et des chapitres, maintes et maintes fois, sur ces grandes plates-formes décidant de ce que nous pouvons entendre et ce que nous ne pouvons pas entendre.
Alors laissez-moi juste… laissez-moi juste contribuer en disant que le sénateur Johnson a raison, et je vais citer quelques exemples :
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.
Comment se fait-il qu’une plate-forme Internet richissime et puissante prenne cette décision ?
Et je pourrais continuer encore et encore, c’est pourquoi je me suis joins avec des sénateurs comme la sénatrice Blackburn, en essayant de corriger les deux tiers des lacunes de la section 230. Mais je suis également là pour faire l’introduction, d’un projet de loi pour préciser, que ces grandes plates-formes technologiques Internet ne peuvent pas discriminer sur la base de leurs propres opinions et sur la base de ce qu’ils pensent que le public devrait et ne devrait pas être autorisé à entendre.
Il s’agit d’une menace sérieuse et grave, pour la liberté, et l’échange ouvert d’idées en vertu de notre constitution, et je suis heureux d’oeuvrer pour ça avec d’autres membres du Sénat.

Merci à tous. Comme vous pouvez le voir, c’est quelque chose qui va s’étendre sur plusieurs comités ici au sénat américain. C’est notre travail d’aller au fond de ce qu’il s’est passé, puis d’apporter des solutions, comme le sénateur Wicker vient d’exposer.
Vous avez une question ?

Merci, donc l’UE et le G7 ont appelé à une enquête visant à déterminer s’il s’agissait ou non d’une fuite de laboratoire. Je me demande si vous pensez qu’une approche internationale est la meilleure façon d’enquêter sur cette question à l’avenir ?

Je pense que les comités permanents du Sénat devraient prendre l’initiative, nous sommes heureux que nos alliés se joignent également à nous, en disant que cela doit être étudié, il est évident que quelque chose n’était pas juste. Nous sommes préocupés par la décision de l’OMS de laisser la parti communiste chinois, leur dire quand et comment ils pourraient approcher de ce laboratoire, et que nous avons dû attendre des mois.

Egalement, j’ai vu votre discours hier à propos de virer le Dr. Fauci, pouvez-vous juste parler un peu de ce sujet ?

Bien sûr, je pense qu’il est approprié que les responsabilités du Dr. Fauci à la NIAID lui soit retirées, et qu’il se rende disponible au congrès, pour savoir exactement comment était-il de mèche avec Mark Zuckerberg et les géants de la technologie, ce qui s’est réellement passé.
Le peuple américain a‑t-il entendu une partie de la vérité ? Mais pas toute la vérité ou rien que la vérité ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu un respect des délais dans la reconnaissance des inquiétudes autour du laboratoire ? Pourquoi n’y a‑t-il pas eu plus d’inquiétude autour de Wuhan disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine » ou le parti communiste chinois disant « vous ne pouvez aller nulle part ailleurs en Chine, si vous venez de la province d’Hubei, ou si vous venez de Wuhan, mais vous pouvez parcourir le globe, partout sauf en Chine« 
Ce sont des choses qui semblent… Ecoutez, nous avons 3 millions et demi de personnes qui ont perdu la vie, 3 millions et demi de personnes.
Nous avons des centaines de milliers de familles américaines, qui ont ont eu des pertes dans leur famille, leurs proches, leurs amis.
Nous avons subi la perte des moyens de subsistance pour des centaines de millions de gens. Nous avons des enfants, précieux enfants qui viennent de vivre une perte d’apprentissage pendant un an, une perte de socialisation, qui témoignent de problèmes émotionnels.
Et le Dr. Fauci, est financé par le contribuable américain, et le contribuable dit « qu’avez-vous fait de nos dollars ? » Merci beaucoup à tous.




Premier cas d’étude post-mortem d’un patient vacciné contre le SRAS-CoV-2 : « ARN viral trouvé dans chaque organe du corps »

[Source anglophone : Hal Turner Radio Show]

La toute première autopsie d’une personne vaccinée contre le COVID-19, qui a été testée négative 18 jours plus tard lors de son admission à l’hôpital, mais 24 jours après le vaccin, a révélé que l’ARN viral était présent dans presque tous les organes du corps. Le vaccin, tout en déclenchant une réponse immunitaire, n’a PAS empêché le virus de pénétrer dans tous les organes du corps.

L’ARN viral a été trouvé dans presque tous les organes du corps, ce qui signifie que les protéines Spike aussi.

Il existe des anticorps (comme ceux que le « vaccin » est censé créer), mais ils ne sont pas pertinents car, d’après une étude japonaise, nous savons maintenant que c’est la protéine spike S1 qui cause les dommages.

Nous avons parlé à un spécialiste des maladies infectieuses d’un hôpital du New Jersey ce matin. Nous lui avons envoyé les résultats de l’autopsie et lui avons demandé son avis.

Lorsqu’il nous a rappelés un peu plus tard, il était clairement secoué. Il nous a dit : « Vous ne pouvez pas me citer par mon nom, je serai renvoyé par l’hôpital si vous le faites ». Nous avons accepté de dissimuler son identité.

Il nous a ensuite dit :

« Les gens pensent que seule une minorité de personnes subissent des effets indésirables du vaccin.

D’après ces nouvelles recherches, cela signifie que tout le monde – finalement – aura des effets indésirables, car ces protéines Spike se lieront aux récepteurs ACE2 partout dans le corps.

Cet ARNm était censé rester sur le site d’injection, mais ce n’est pas le cas. Cela signifie que les protéines Spike créées par l’ARNm se retrouveront également dans tous les organes, et nous savons maintenant que ce sont les protéines Spike qui causent les dommages.

Pire encore, la présence de l’ARN viral dans tous les organes, malgré un vaccin, indique :
1) Soit que le vaccin ne fonctionne pas du tout ;
2) Soit que le virus bénéficie d’un renforcement dépendant des anticorps (ADE), ce qui signifie qu’il se propage plus rapidement chez les personnes vaccinées.

Il s’agit d’une bombe à retardement mondiale ».

Selon le rapport d’autopsie publié, l’homme vacciné était âgé de 86 ans et a été testé NÉGATIF pour le COVID-19 lorsqu’il a été admis à l’hôpital pour de graves troubles gastro-intestinaux et des difficultés respiratoires. Voici ce que décrit le rapport :

Nous rapportons le cas d’un homme de 86 ans résidant dans une maison de retraite qui a reçu le vaccin contre le SRAS-CoV-2. Ses antécédents médicaux comprenaient une hypertension artérielle systémique, une insuffisance veineuse chronique, une démence et un carcinome de la prostate. Le 9 janvier 2021, l’homme a reçu le vaccin BNT162b2 à ARN modifié par des nucléosides, sous forme de nanoparticules lipidiques, en une dose de 30 μg. Ce jour-là et au cours des 2 semaines suivantes, il n’a présenté aucun symptôme clinique (tableau 1). Le jour 18, il a été admis à l’hôpital pour une diarrhée qui s’est aggravée. Comme il ne présentait aucun signe clinique de COVID-19, l’isolement dans un cadre spécifique n’a pas eu lieu. Les tests de laboratoire ont révélé une anémie hypochrome et une augmentation des taux sériques de créatinine. Le test d’antigène et la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour le SRAS-CoV-2 se sont révélés négatifs.

Le rapport de l’autopsie précise que les tests n’ont montré « aucun changement morphologique associé au COVID » dans ses organes.

« Morphologique » signifie structurel. On sait maintenant que l’infection par le COVID provoque des changements structurels très spécifiques aux endroits qu’elle infecte. CES CHANGEMENTS N’ÉTAIENT PAS apparus chez l’homme vacciné avant sa mort.

L’homme vacciné maintenant décédé se trouvait dans une chambre où un autre patient a finalement été testé POSITIF pour le COVID, et le rapport indique qu’ils pensent que l’homme vacciné décédé a attrapé le COVID après avoir été admis, par l’autre patient dans la même chambre.

Les dommages causés aux organes de l’homme vacciné aujourd’hui décédé ont donc eu lieu AVANT qu’il ne soit infecté par le COVID par l’autre patient de la chambre d’hôpital.

Pire, une fois que l’homme vacciné a effectivement été infecté par le COVID, celui-ci s’est propagé si rapidement dans son corps qu’il n’a apparemment eu aucune chance. Voici des images de tissus :

Le rapport post-mortem complet est publié sur ScienceDirect.com (ICI)




France : pour ou contre un général comme prochain Président ?

Par Joseph Stroberg

Le journaliste Richard Boutry vient de lancer un sondage sur cette question, via Twitter :

Cependant :

Un général remplit essentiellement un rôle militaire, offensif et/ou défensif et s’il intervient dans le gouvernement d’une nation, deux directions principales s’offrent à lui :

  • Comme dans le cas du Général de Gaulle, il peut intervenir pour redresser le pays ou en défendre la souveraineté (par exemple face à l’OTAN) ;
  • Comme dans le cas de Napoléon Bonaparte, il peut se lancer dans des actions de conquête et d’offensives contre d’autres nations, au risque d’entraîner finalement la nation à sa perte.

Jeanne d’Arc n’était pas un général, mais elle a joué un rôle déterminant dans la restauration de la France en mettant en branle le processus qui a permis ensuite de bouter les Anglais hors du royaume de France.

Charles Martel n’était au départ qu’un maire de palais, et donc remplissait un rôle essentiellement administratif. Il a cependant contribué à chasser presque totalement les musulmans hors de la Gaule.

Si une nation (([1] Habituellement : groupe humain partageant une même culture, une même histoire et une même langue. Cependant, par nation nous entendons plutôt ici un ensemble d’individus qui partagent une même vibration fondamentale sur le plan de la conscience (ou des âmes), de l’approche mentale et des égrégores affectifs et émotionnels le plus souvent liés à un territoire particulier aux frontières floues. La nation française, selon cette nouvelle notion, n’est alors pas spécifiquement liée à la langue française, mais est héritée de la Gaule et des Celtes qui étaient présents sur le territoire approximatif de la France actuelle et d’une partie de la Belgique, au moins.)) ne doit pas mourir ou doit ressusciter (comme la Pologne à la suite de ses partitions), elle trouvera toujours une femme ou un homme providentiel pour l’incarner et lui redonner sa grandeur ou la ramener à la vie. Ce peut aussi bien être un soldat, qu’une pucelle ou même qu’un poète ou qu’un homme de religion. D’une certaine manière, la nation (ou, derrière elle, la nature) trouve toujours une voie et celle-ci semble finalement suivre la loi d’Économie (([2] Celle qui permet la plus petite dépense d’énergie pour le résultat optimal ou maximal, du moins lorsque l’ambition personnelle (comme dans le cas d’un Napoléon) ne vient pas interférer)).

Les plus grands restaurateurs de nations ont généralement été aussi les plus humbles serviteurs de ces dernières, car lorsque l’ambition ou la mégalomanie interviennent au contraire, la nation voit son parcours de redressement infléchi plus ou moins fortement vers la route du chaos et de la destruction partielle ou complète. Pour l’avenir de la France, ce qu’il convient de rechercher n’est pas une fonction spécifique qu’elle soit militaire ou d’une autre nature, mais des capacités particulières qui soient utilisées avec réelle humilité (et donc notamment non accompagnée de déclarations telles que « En toute humilité, je… »). Ces capacités gagnent bien entendu à être celles nécessaires pour faire face à la situation vécue par la nation.

La France est actuellement plongée dans une situation chaotique du fait d’élites corrompues et de sa participation à l’entreprise totalitaire qu’est l’Union Européenne (un genre d’avatar de l’URSS, à la différence que les goulags s’y trouvent sur le plan mental et dans l’univers émotionnel, par le biais de la pensée unique et de la bien-pensance). Elle est profondément divisée en communautés actuellement peu compatibles et par de multiples courants idéologiques plus ou moins fanatiques et extrémistes. Elle a perdu pratiquement toutes ses racines profondes (religieuses, politiques, économiques, sociales, culturelles, artisanales, agricoles et artistiques…) au mauvais profit du matérialisme, d’une prétendue démocratie, du « woke », d’industries étrangères, d’agriculture industrielle, et de décadence… La pierre angulaire qui a été supprimée est celle représentée par la religion traditionnelle du pays depuis la gaule jusqu’à la période révolutionnaire : le christianisme. De la destruction de cette pierre, de cette « Église » (([3] non pas « Catholique Romaine » faussement universelle, mais simplement humaine. Simon Pierre n’était pas fait de roches, mais de chair et de sang. « Église » signifie originellement l’ensemble des fidèles du Christ)), découlent toutes les autres destructions, décadences et dégradations qui sont intervenues dans les différents secteurs de la vie de la nation.

Pour restaurer la France, mais pas du tout nécessairement dans le maintien d’une Cinquième République ni dans la création d’une Sixième, les capacités qui semblent indispensables sont probablement au moins les suivantes :

  • capacité à stimuler l’âme française, franque, gauloise ou celte en chacun des habitants du pays, à part éventuellement ceux qui se sentent trop étrangers à cet esprit et préféreront revenir à leurs propres racines, distinctes;
  • capacité à unir les partisans de la restauration malgré leurs divergences d’opinions et de goûts;
  • capacité à s’effacer devant les souhaits exprimés du plus grand nombre;
  • capacité à révéler ce qui était caché et à fonctionner lui-même en transparence, avec honnêteté et franchise;
  • capacité à se satisfaire de peu dans la vie concrète (afin de ne pas chercher à amasser des fortunes personnelles sur les dos des membres de la nation);
  • capacité à arbitrer les conflits pour amener des solutions qui puissent satisfaire toutes les parties impliquées;
  • capacité à reconnaître et à stimuler les aptitudes des partisans de la restauration, autant dans son entourage proche que plus lointain;
  • capacité à percevoir et à accueillir différents points de vue (et différentes croyances) et à en tirer la synthèse ou la substance essentielle;
  • capacité à s’entourer de conseillers désintéressés, efficaces, intelligents et sages dans les domaines qu’il ne maîtrise pas ou connaît peu;

Est-ce qu’un général français possède actuellement de telles capacités ?


Voir aussi : La France revivra-t-elle?





Échappatoire immunitaire : vaccination de masse & confinements, des remèdes bien pires que le mal selon le conseil scientifique covid-19 français

[Source : Association Victimes Coronavirus Covid-19 France
(association-victimes-coronavirus-france.org)]

Immunité collective vaccinale, confinements et couvre-feux sont devenus les maîtres-mots des stratégies de la plupart des gouvernements et de nombreux scientifiques médiatiques. MAIS une nouvelle donne remet en question ces approches présentées comme des solutions incontournables à l’épidémie Covid-19 : l’échappatoire immunitaire.

[Ndlr : cette notion d’échappatoire immunitaire représente une nouvelle rustine sur la théorie branlante (aux fondements jamais réellement démontrés), comparable à une chambre à air pleine de trous, qu’est la théorie virale. Une approche basée sur le « terrain » fournit une tout autre explication à l’absence relative d’efficacité de certaines méthodes de protection face à une contagion.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Voici ce que nous apprend un papier publié le 18 février dans The Lancet et co-écrit par les membres du Comité Scientifique Covid-19 français : Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy (Copyright © 2021 The Author(s). Publié par Elsevier Ltd., article en accès libre sous la licence CC BY-NC-ND 4.0)

Vaccination de masse : terrain propice à l’émergence de variants résistants rendant impossible l’immunité collective

La quête de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, pourrait être remise en question à cause d’un phénomène propre aux virus mutants et adaptables : l’échappatoire immunitaire.

Le SRAS-Cov2 semble bénéficier de cette caractéristique d’adaptation aux réponses immunitaires des organismes infectés. Cela nécessite une réévaluation urgente des stratégies de santé publique. Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS Cov2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste suite :

  • aux premières expositions aux virus antérieurs (naturels)
  • à la vaccination de masse

La dynamique de l’immunité collective, naturelle ou vaccinale, dans les régions où ces variants sont apparus semble même exercer une pression considérable sur l’écosystème viral, facilitant ainsi l’émergence de variants à transmissibilité accrue et résistants à l’immunité naturelle et vaccinale. La vaccination de masse contre le SRAS-Cov2 pourrait induire une sélection virale et être même à l’origine de l’échappatoire immunitaire rendant ainsi impossible l’obtention d’une immunité collective.

Il faut ABANDONNER les stratégies de la PEUR, les confinements et CIBLER les mesures.

Selon le Conseil scientifique Covid-19 français, il est grand temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, les confinements généralisés et aléatoires comme principales réponses à la pandémie.

Il faut arrêter de compter sur la patience des citoyens qui attendent que les capacités en réanimation/soins intensifs soient renforcées, que la vaccination soit complète et que l’immunité collective soit atteinte.

Jusqu’à présent, les populations ont été relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles et les mouvements de protestation de plus en nombreux dans plusieurs pays.

L’impact de l’isolement général sur des économies entières a été dévastateur, et les niveaux de chômage et d’endettement national sont encore pires. Les conséquences sociales et sanitaires (physiques et psychiques) sont colossales, en particulier pour les jeunes générations qui pourtant présentent peu de facteurs de risques et chez qui la Covid-19 a très peu sévi.

Les gouvernements doivent appliquer des mesures beaucoup plus ciblées et adaptées aux différentes catégories de la population. En effet, toutes les générations n’ont pas été touchées de la même façon : entre mars et juin 2020, 96% des patients étaient âgés de plus de 70 ans.

Il n’est plus possible d’utiliser l’isolement général en mode stop & go comme principale réponse à la pandémie de Covid-19. Considérée séduisante par de nombreux scientifiques et dirigeants politiques, qui en font une mesure par défaut craignant de voir leur responsabilité légale engagée en cas d’hésitations et réponses tardives, cette solution doit être remise en question et utilisée qu’en tout dernier recours.

Les scientifiques qui travaillent contre le COVID-19 doivent avoir le courage de s’adresser aux dirigeants au pouvoir responsables ultimes des choix politiques et de leurs conséquences. Rester dans le déni aura de très lourdes conséquences. Nous ferons inévitablement les comptes et ils seront alors terribles.

NDLR : A noter que si le Comité scientifique Covid-19 français relève des points d’une importance capitale, déjà signalées par le Pr Raoult, il omet toujours un point crucial : TRAITER au plus vite. Le nerf de la guerre est de soigner et détruire les charges virales au plus tôt. Nous reviendrons plus en détail sur cette essentielle question du traitement.

ARRÊTONS D’AVOIR PEUR, RÉCLAMONS DES MESURES CIBLÉES, DES TRAITEMENTS ADAPTÉS ET REFUSONS LE « TOUT VACCIN » AINSI QUE CONFINEMENTS ET COUVRE-FEU

SOURCE : https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0




La 1ère preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN. Et ça change tout !

[Source : lilianeheldkhawam.com]

Par LHK

[Rappel]

14 mars 2021 :

« Je vous présente ce soir quelque chose d’absolument extraordinaire! Voici 3 données qui confirment ce que nous disons ici depuis un an, à savoir que même le vaccin dit vaccin à ARN messager induit effectivement une réécriture du code génétique dans le but de transformer la cellule en machine à fabriquer des protéines. Démontrer ceci revient à démontrer que le vaccin à ARN messager modifie le patrimoine génétique humain et en fait un Humain Génétiquement Modifié. Et cela sort de la bouche du scientifique en chef de Moderna Therapeutics, un des fournisseurs officiels de vaccins contre le SARS CoV 2. On ne peut faire mieux. » 

https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/14/bricolage-de-lhumain-le-vaccin-a-arn-messager-est-une-reecriture-du-code-genetique-selon-le-chef-de-moderna-therapeutics-ted-x/.

Ce soir, je vous présente l’étude qui confirme qu’il peut y avoir transcription inverse sans rétrovirus. La chose que l’on injecte va donc très probablement modifier le génome des receveurs.

Une nouvelle découverte montre que les cellules humaines peuvent écrire des séquences d’ARN dans l’ADN.
Phys-org

Les cellules contiennent des machines qui dupliquent l’ADN dans un nouvel ensemble qui entre dans une cellule nouvellement formée. Cette même classe de machines, appelées polymérases, crée également des messages d’ARN, qui sont comme des notes copiées à partir du référentiel central de recettes d’ADN, afin qu’elles puissent être lues plus efficacement en protéines. Mais on pensait que les polymérases ne fonctionnaient que dans un seul sens de l’ADN en ADN ou ARN. Cela empêche les messages d’ARN d’être réécrits dans le livre de recettes principal de l’ADN génomique.

Maintenant, les chercheurs de l’Université Thomas Jefferson fournissent la première preuve que les segments d’ARN peuvent être réécrits dans l’ADN, ce qui remet potentiellement en question le dogme central de la biologie et pourrait avoir de vastes implications affectant de nombreux domaines de la biologie.

« Ce travail ouvre la porte à de nombreuses autres études qui nous aideront à comprendre l’importance d’avoir un mécanisme pour convertir les messages d’ARN en ADN dans nos propres cellules », déclare Richard Pomerantz, Ph.D., professeur agrégé de biochimie et de biologie moléculaire à Université Thomas Jefferson. « La réalité selon laquelle une polymérase humaine peut le faire avec une grande efficacité soulève de nombreuses questions. » Par exemple, cette découverte suggère que les messages d’ARN peuvent être utilisés comme modèles pour réparer ou réécrire l’ADN génomique.

Les travaux ont été publiés le 11 juin dans la revue Science Advances.

En collaboration avec le premier auteur Gurushankar Chandramouly et d’autres collaborateurs, l’équipe du Dr Pomerantz a commencé par étudier une polymérase très inhabituelle, appelée polymérase thêta. Sur les 14 ADN polymérases dans les cellules de mammifères, seuls trois d’entre eux font l’essentiel du travail de duplication de l’ensemble du génome pour préparer la division cellulaire. Les 11 autres sont principalement impliqués dans la détection et la réparation en cas de rupture ou d’erreur dans les brins d’ADN. La polymérase thêta répare l’ADN, mais est très sujette aux erreurs et provoque de nombreuses erreurs ou mutations. Les chercheurs ont donc remarqué que certaines des « mauvaises » qualités de la polymérase thêta étaient celles qu’elle partageait avec une autre machine cellulaire, bien qu’une plus courante dans les virus – la transcriptase inverse. Comme Pol theta, la transcriptase inverse du VIH agit comme une ADN polymérase, mais peut également se lier à l’ARN et relire l’ARN dans un brin d’ADN.

Dans une série d’expériences ingénieuses, les chercheurs ont testé la polymérase thêta contre la transcriptase inverse du VIH, qui est l’une des mieux étudiées en son genre. Ils ont montré que la polymérase thêta était capable de convertir les messages d’ARN en ADN, ce qu’elle faisait aussi bien que la transcriptase inverse du VIH, et qu’elle faisait en fait un meilleur travail que lors de la duplication d’ADN en ADN. La polymérase thêta était plus efficace et introduisait moins d’erreurs lors de l’utilisation d’une matrice d’ARN pour écrire de nouveaux messages d’ADN que lors de la duplication d’ADN en ADN, ce qui suggère que cette fonction pourrait être son objectif principal dans la cellule.

Le groupe a collaboré avec le laboratoire du Dr Xiaojiang S. Chen à l’USC et a utilisé la cristallographie aux rayons X pour définir la structure et a découvert que cette molécule était capable de changer de forme afin de s’adapter à la molécule d’ARN plus volumineuse – un exploit unique parmi les polymérases.

« Notre recherche suggère que la fonction principale de la polymérase thêta est d’agir comme une transcriptase inverse », explique le Dr Pomerantz. « Dans les cellules saines, le but de cette molécule peut être la réparation de l’ADN par l’ARN. Dans les cellules malsaines, telles que les cellules cancéreuses, la polymérase thêta est fortement exprimée et favorise la croissance des cellules cancéreuses et la résistance aux médicaments. Il sera passionnant de mieux comprendre comment L’activité de la polymérase thêta sur l’ARN contribue à la réparation de l’ADN et à la prolifération des cellules cancéreuses. »

https://phys.org/news/2021-06-discovery-human-cells-rna-sequences.html

L’étude

Polθ reverse transcribes RNA and promotes RNA-templated DNA repair

larn-peut-retranscrire-dans-ladn.-et-ca-change-tout.-science-advances

https://advances.sciencemag.org/content/7/24/eabf1771




Des sénateurs veulent utiliser le COVID pour nous surveiller massivement

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Des sénateurs de la « délégation à la prospective » ont publié un rapport glaçant intitulé « CRISES SANITAIRES ET OUTILS NUMÉRIQUES : RÉPONDRE AVEC EFFICACITÉ POUR RETROUVER NOS LIBERTÉS ». Ce rapport vaut vraiment le détour, puisqu’il est probablement le premier document officiel proposant d’adopter en France de façon explicite les mesures liberticides pratiquées en Chine en matière de surveillance de masse et largement développées et revendiquées dans le Great Reset de Klaus Schwbab et du Forum de Davos. Je vous livre ici un panorama complet sur une ténébreuse affaire qui témoigne d’une banalisation croissante du capitalisme de surveillance dans les démocraties libérales.

https://youtu.be/q9spfCZv2Ow

Quand ce sont des sénateurs qui demandent une surveillance massive de la population au nom de la « protection » de la population, de la santé, et des libertés, on se dit collectivement que notre société est fondamentalement fourvoyée sur de mauvais rails. Plus que jamais, nos libertés sont battues par les flots. 

Pour la petite histoire, les rédacteurs du rapport sont deux médecins, l’une radicale de gauche, Véronique Guillotin, l’autre républicain, René-Paul Savary, et une jeune ingénieure républicaine, Christine Lavarde, dont il sera intéressant d’approfondir les CV. 

Voici le texte qu’ils ont pondu :

On y relèvera quelques passages particulièrement savoureux comme celui-ci :

Le présent rapport propose donc de recourir bien plus fortement aux outils numériques dans le cadre de la gestion des crises sanitaires ou des crises comparables (catastrophe naturelle, industrielle etc.), notamment en vue de contrôler au niveau individuel le respect des mesures imposées par la situation, et y compris si cela implique d’exploiter des données de manière intrusive et dérogatoire.

Contrôler de manière numérique le respect des règles, y compris en agissant « de manière intrusive et dérogatoire ». Que ces mots doivent sonner doux aux oreilles de tous les dictateurs en ce bas monde. 

Pour ceux qui n’en croiraient pas leurs oreilles, nous leur conseillons de lire attentivement les propos tenus  par l’une des personnes auditionnées, Séverine Arsène, sur tous ces sujets. Séverine Arsène est une sinologue de Sciences-Po, enseignante à l’université chinoise de Hong-Kong, qui a parfaitement accompli le fantasme d’un grand remplacement de la conscience morale par l’expertise technique. Un cerveau d’avenir dans le système totalitaire dont elle doit rêver chaque nuit. 

[Voir aussi : Covid et dictature : l’incroyable rapport de trois illuminés du sénat français !]




France : pourquoi le général Lecointre quitte le commandement des armées

[Source : RFI via yahoo.com]

En fonction depuis quatre ans, le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre, va quitter ses fonctions et être remplacé par l’actuel chef d’état-major de l’armée de Terre, le général Thierry Burkhard, a annoncé dimanche l’Élysée. Une décision dont Emmanuel Macron se serait bien passé à moins d’un an de l’élection présidentielle.

Le chef d’état-major des armées, le général François Lecointre en poste depuis quatre ans, a annoncé ce dimanche matin 13 juin dans l’émission le grand Jury sur RTL qu’il quittait ses fonctions. Il ne souhaitait pas une « politisation de la fonction de chef d’état-major des armées ». Il ne voulait pas partir « à l’issue du mandat » du président Emmanuel Macron, afin de ne pas etre « associé à un politique », a-t-il précisé.

Toujours est-il qu’à quelques mois de la présidentielle, Emmanuel Macron se serait bien passé du départ du général Lecointre. Les deux hommes entretenaient une relation de confiance. C’était sans compter la détermination du chef d’état-major à quitter son poste. Après trente sept ans sous les drapeaux dont quatre années passées au sommet de l’armée française, François Lecointre a laissé entendre qu’il était éprouvé par ses responsabilités.

Dernier assaut à la baïonnette

Issu des troupes de Marine, le général Lecointre est entré dans l’histoire militaire en commandant le dernier assaut à la baïonnette, lors de la prise du pont de Verbania en Bosnie en 1995. À la tête des armées, il a mis en œuvre l’ambitieuse loi de programmation militaire du 14 juillet 2018 et supervisé la complexe opération Barkhane.

Ces dernières semaines encore, il a dû donner de la voix et prononcer « la mise à la retraite d’office » des officiers auteurs d’une tribune polémique.

(…) le général Lecointre veut désormais prendre du champ.




Rémy Daillet et sa famille expulsés de Malaisie

[Source : francesoir.fr]

Par M. Jegathesan – Kuala Lumpur (AFP)

Le Français Rémy Daillet et sa famille ont été expulsés dimanche de Malaisie en direction de la France où le complotiste, soupçonné d’avoir contribué à l’enlèvement de la petite Mia, fait l’objet d’un mandat d’arrêt.

Rémy Daillet, sa compagne Léonie Bardet et ses trois enfants de 17, 9 et 2 ans, ont été arrêtés fin mai sur l’île touristique malaisienne de Langkawi où ils résidaient parce que leurs visas avaient expiré. Une procédure d’extradition dans le cadre de l’affaire de l’enlèvement aurait été beaucoup plus longue qu’une expulsion pour séjour irrégulier.

Rémy Daillet et sa famille se trouvent actuellement en escale à Singapour « où sa compagne, enceinte, a été prise en charge pour un problème de santé », selon une source française proche du dossier.

Ils devaient ensuite prendre un vol pour Paris où ils sont attendus lundi matin.

Mais les autorités attendent maintenant de savoir « s’il pourront poursuivre le voyage jusqu’à Paris ou non ».

Selon une source proche du dossier française, ils n’avaient pas encore été remis aux autorités françaises et n’étaient pas sous escorte policière pendant le vol, contrairement a ce qui avait été indiqué initialement côté malaisien.

Rémy Daillet, 54 ans, a entamé une grève de la faim pour protester contre son arrestation tandis que sa compagne enceinte craignait des complications, voire de perdre son enfant si elle prenait l’avion, selon des proches.

Mme Bardet présente « un état de grossesse à risque incompatible avec un transfert en avion », attesté par des experts médicaux, selon son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi, qui a fait appel de la décision d’expulsion.

« Cette expulsion forcée est illégale puisque mise en oeuvre au mépris de l’immigration act » de la loi malaisienne, « au mépris des conventions internationales, au mépris des règles de procédure et surtout au mépris de l’appel », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Si l’expulsion se déroule comme prévu, à l’arrivée de Rémy Daillet sur le sol français, le juge d’instruction de la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Nancy, dans l’est de la France, qui a émis le mandat d’arrêt aura « deux possibilités », a indiqué à l’AFP le procureur de la République de Nancy, François Pérain.

Il pourra soit « le faire présenter immédiatement à Nancy en vue de sa mise en examen », soit décider de « le faire présenter devant le juge des libertés et de la détention » de Bobigny « pour une incarcération provisoire ». Dans ce cas, M. Daillet devra ensuite être présenté au juge d’instruction « dans un délai de quatre jours », a précisé le procureur.

– Vidéo pour se défendre –
[Ndlr : ses vidéos sont accessibles sur sa chaîne Odysee]

Rémy Daillet, exclu du parti centriste Modem en 2010, est devenu une figure du mouvement complotiste.

Il est soupçonné d’avoir joué un rôle important dans l’organisation de l’enlèvement de Mia.

La petite fille de 8 ans avait été enlevée mi-avril à la demande de sa mère par plusieurs hommes alors qu’elle était hébergée chez sa grand-mère dans un village des Vosges.

Sa mère n’avait alors plus le droit de la voir seule, ni de lui parler au téléphone.

Dans une vidéo mise en ligne après l’enlèvement de la fillette, Rémy Daillet avait tenté de se défendre. Sans évoquer nommément Mia, il réfutait le terme d’enlèvement.

Dans d’autres vidéos plus anciennes, il défendait l’idée d’un coup d’État populaire et se disait opposé aux impôts, aux vaccins, aux masques ou à la 5G. Il prônait par ailleurs l’éducation des enfants par leurs parents à la maison.

Dans le cadre de l’affaire Mia, neuf personnes au total, dont la mère de la fillette, proches de la mouvance anti-système et complotiste, ont déjà été mises en examen, et huit d’entre elles ont été placées en détention provisoire.

La justice française s’interroge aussi sur le rôle de Rémy Daillet dans une autre affaire dans le Doubs, celle d’un couple qui vivait en vase clos et s’était retranché à son domicile en novembre, refusant de confier ses quatre enfants aux assistantes sociales comme le demandait un juge.

C’est à son contact qu’ils auraient décidé de déscolariser leurs enfants puis de se couper du monde.




Comment les fanatiques du confinement ont conquis le monde

[Source : Aube Digitale]

par Jeffrey Tucker

Au début de la « pandémie », j’écrivais furieusement des articles sur les confinements. Mon téléphone a sonné avec un appel d’un homme nommé Dr Rajeev Venkayya. Il est à la tête d’une entreprise de vaccins mais s’est présenté comme l’ancien responsable de la politique de lutte contre la « pandémie » pour la Fondation Gates.

Je l’ai écouté.

Je ne le savais pas à l’époque, mais j’ai appris depuis, grâce au livre (pour la plupart terrible) de Michael Lewis, The Premonition, que Venkayya était en fait le père fondateur des confinements. Alors qu’il travaillait pour la Maison-Blanche de George W. Bush en 2005, il a dirigé un groupe d’étude sur le bioterrorisme. Du haut de son influence — au service d’un président apocalyptique — il a été le moteur d’un changement radical de la politique américaine en cas de pandémie.

Il a littéralement ouvert les portes de l’enfer.

C’était il y a 15 ans. À l’époque, j’ai écrit sur les changements dont j’étais témoin, m’inquiétant du fait que les nouvelles directives de la Maison Blanche (jamais votées par le Congrès) permettaient au gouvernement de mettre les Américains en quarantaine tout en fermant leurs écoles, leurs entreprises et leurs églises, le tout au nom de l’endiguement de la maladie.

Je n’ai jamais cru que cela se produirait dans la vraie vie ; il y aurait sûrement une révolte de la population. J’étais loin de me douter que nous allions vivre une folle aventure…

L’homme qui a allumé l’allumette

L’année dernière, Venkayya et moi avons eu une conversation de 30 minutes ; en fait, c’était surtout une dispute. Il était convaincu que le confinement était la seule façon de faire face à un virus. J’ai rétorqué que cela bousculait les droits, détruisait les entreprises et perturbait la santé publique. Il a dit que c’était notre seul choix parce que nous devions attendre un vaccin. J’ai parlé de l’immunité naturelle, qu’il a qualifiée de brutale. Et ainsi de suite.

La question la plus intéressante que je me posais à l’époque était de savoir pourquoi ce gros Bill certifié perdait son temps à essayer de convaincre un pauvre gribouilleur comme moi. Quelle raison pouvait-il y avoir ?

La réponse, je le réalise maintenant, est que de février à avril 2020, j’étais l’une des rares personnes (avec une équipe de chercheurs) qui s’opposait ouvertement et agressivement à ce qui se passait.

Il y avait un soupçon d’insécurité et même de peur dans la voix de Venkayya. Il voyait la chose impressionnante qu’il avait déclenchée dans le monde entier et était impatient d’étouffer toute velléité d’opposition. Il essayait de me faire taire. Lui et d’autres étaient déterminés à écraser toute dissidence.

C’est ainsi que les choses se sont passées pendant la plus grande partie des 15 derniers mois, avec les médias sociaux et YouTube supprimant les vidéos qui contestent le verrouillage. C’est de la censure depuis le début.

Malgré tous les problèmes que pose le livre de Lewis, et il y en a beaucoup, il a bien compris toute cette histoire. Bush est venu voir ses spécialistes du bioterrorisme et a exigé un énorme plan pour faire face à une calamité imaginée. Lorsque Bush a vu le plan conventionnel — faire une évaluation de la menace, distribuer des produits thérapeutiques, travailler à la mise au point d’un vaccin — il était furieux.

« C’est des conneries », a crié le président.

« Nous avons besoin d’un plan pour l’ensemble de la société. Qu’allez-vous faire au sujet des frontières étrangères ? Et des voyages ? Et le commerce ? »

Hé, si le président veut un plan, il aura un plan.

« Nous voulons utiliser tous les instruments de la puissance nationale pour faire face à cette menace », rapporte Venkayya, qui a dit à ses collègues.

« Nous allions inventer la planification en cas de pandémie ».

C’était en octobre 2005, la naissance de l’idée du confinement.

Le Dr Venkayya a commencé à chercher des personnes capables de mettre au point l’équivalent national de l’opération Tempête du désert pour faire face à un nouveau virus. Il n’a trouvé aucun épidémiologiste sérieux pour l’aider. Ils étaient trop intelligents pour y croire. Il finit par tomber sur le véritable innovateur en matière de verrouillage, qui travaille aux laboratoires nationaux Sandia, au Nouveau-Mexique.

Manivelles, ordinateurs et poux

Il s’agit de Robert Glass, un informaticien sans formation médicale et encore moins de connaissances sur les virus. Glass a été inspiré par un projet de foire scientifique sur lequel travaillait sa fille de 14 ans.

Elle avait théorisé (comme le jeu des poux de l’école primaire) que si les écoliers pouvaient s’espacer davantage ou même ne pas être à l’école du tout, ils arrêteraient de se rendre malades. Glass a repris l’idée et a élaboré un modèle de contrôle des maladies basé sur des ordres de rester à la maison, des restrictions de voyage, des fermetures d’entreprises et une séparation humaine forcée.

C’est fou, non ? Personne dans le domaine de la santé publique n’était d’accord avec lui, mais comme tout excentrique classique, cela a convaincu Glass encore plus. Je me suis demandé, « Pourquoi ces épidémiologistes ne l’ont-ils pas compris ? » Ils ne l’ont pas compris parce qu’ils n’avaient pas d’outils axés sur le problème. Ils avaient des outils pour comprendre le mouvement des maladies infectieuses sans chercher à les arrêter.

Génial, non ? Glass s’imaginait être plus intelligent que 100 ans d’expérience en santé publique. Un gars avec un ordinateur sophistiqué allait tout résoudre ! Eh bien, il a réussi à convaincre certaines personnes, y compris une autre personne qui traînait à la Maison Blanche, Carter Mecher, qui est devenu l’apôtre de Glass.

Veuillez considérer la citation suivante du Dr Mecher dans le livre de Lewis : « Si vous preniez tout le monde, que vous les enfermiez chacun dans leur chambre et que vous ne les laissiez parler à personne, vous n’auriez aucune maladie ».

Enfin, un intellectuel a un plan pour abolir la maladie – et la vie humaine telle que nous la connaissons aussi ! Aussi grotesque et terrifiant que cela puisse être — une société entière non seulement en prison mais en isolement — cela résume toute la vision de Mecher sur la maladie. C’est aussi complètement faux.

Les agents pathogènes font partie de notre monde ; ils sont générés par le contact humain. Nous nous les transmettons les uns aux autres au prix de la civilisation, mais nous avons également développé des systèmes immunitaires pour y faire face. C’est de la biologie de troisième, mais Mecher n’en avait aucune idée.
[Ndlr : de plus, ceci vaut surtout dans le cadre de la théorie des germes qui est remise en question par quelques pionniers.
Voir Le culte de la virologie – Documentaire et ses liens annexes.]

Les fanatiques gagnent la journée

Avancez jusqu’au 12 mars 2020. Qui a exercé une influence majeure sur la décision de fermer les écoles, même si l’on savait à l’époque que le SARS-CoV-2 présentait un risque quasi nul pour les personnes de moins de 20 ans ? Il y avait même des preuves que le COVID-19 ne se propageait pas sérieusement aux adultes.

Cela n’avait pas d’importance. Les modèles de Mecher — développés avec Glass et d’autres — n’ont cessé de débiter une conclusion selon laquelle la fermeture des écoles réduirait la transmission du virus de 80 %. J’ai lu ses mémos de cette période — dont certains ne sont toujours pas publics — et ce que vous observez n’est pas de la science mais du fanatisme idéologique en jeu.

D’après l’horodatage et la longueur des courriels, il est clair qu’il ne dormait pas beaucoup. En fait, il était Lénine à la veille de la révolution bolchevique. Comment est-il parvenu à ses fins ?

Il y avait trois éléments clés : la peur du public, l’assentiment des médias et des experts, et la réalité bien ancrée que la fermeture des écoles faisait partie de la « planification de la pandémie » depuis près de 15 ans. Essentiellement, les pro-confinement, au cours de ces 15 années, ont épuisé l’opposition. Le financement généreux, l’attrition de la sagesse au sein de la santé publique et le fanatisme idéologique ont prévalu.

Comprendre comment nos attentes d’une vie normale ont été si violemment contrecarrées, comment nos vies heureuses ont été brutalement écrasées, occupera les intellectuels sérieux pendant de nombreuses années. Mais au moins, nous avons maintenant une première ébauche de scénario historique.

Comme pour presque toutes les révolutions de l’histoire, une petite minorité de fous animés par une cause l’a emporté sur la rationalité humaine des multitudes. Quand les gens comprendront, les feux de la vengeance brûleront très fort.

Il s’agit maintenant de reconstruire une vie civilisée qui ne soit plus fragile au point de permettre à des fous de détruire tout ce que l’humanité a eu tant de mal à construire.

Traduction du Daily Reckoning par Aube Digitale




Les cloches du Covid

[Source et auteur : Gérard Maudrux]

Les épidémies virales sont en général caractérisées par des courbes d’évolution en cloche, avec le développement, le pic, puis la décroissance. Est-ce que la forme de la cloche permet de juger de l’efficacité d’un traitement ? La réponse est non, par contre le contenu : oui.

Voici 4 cloches épidémiques :

Si je vous dis que la première concerne un pays où rien n’a été fait, la seconde un pays qui a confiné sans traitement, la troisième un pays qui a traité précocement, la quatrième un pays qui a vacciné, vous vous dites que ce n’est pas possible, qu’il y a anguille sous cloche. Et pourtant ce sont bien des courbes réelles, qui permettent au premier de dire que quoi qu’on fasse, le résultat est le même, au second que le confinement marche, au troisième que le traitement précoce marche, au quatrième que c’est le vaccin qui a marché. Comment se faire une opinion avec ces différents sons de cloches ? Il faut savoir que deux cloches identiques n’ont jamais le même son.

Alors qui a tort, qui a raison ? Pour le savoir, il faut regarder ce qu’il y a dedans, car ce n’est pas la forme, mais ce qu’il y a sous la cloche qui est important. Petite démonstration avec deux gros Etats indiens, l’Uttar Pradesh et le Tamil Nadu.

Il y a 3 semaines, on vous montrait les courbes de ces deux Etats, le premier traitant à l’Ivermectine, le second ne traitant pas. Voici ces courbes, éloquentes. Le premier en avait terminé avec l’épidémie, alors que le second était en pleine crise, n’en voyant pas le bout. CQFD, l’ivermectine est le produit miracle qui a mis fin à cette vague, là où on traitait.

Maintenant, le 10 juin, on va vous dire que c’est faux. “Regardez, le Tamil Nadu est en train de régler le problème, sans un gramme d‘ivermectine, ce n’est donc pas l’ivermectine qui a réglé le problème dans l’Uttar Pradesh, car il s’est passé la même chose dans le Tamil Nadu. Vous n’auriez pas donné d’ivermectine au premier, l’évolution aurait été la même”. La preuve ? Voici les courbes mises à jour :

On a bientôt la même courbe pour les deux. Alors ? Déception pour l’ivermectine ? Non, le résultat reste indiscutable, car il ne faut pas regarder la forme de la courbe, qui effectivement avec le temps sera très souvent plus ou moins la même, mais il faut regarder ce qu’il y a dedans, c’est à dire les chiffres. La courbe peut faire illusion, pas les chiffres. Ces courbes doivent s’interpréter en regardant l’intensité, la durée, et rapporter à la population, et quand on compare les décès, tenir compte de l’âge médian et des conditions sanitaires.

Ces deux Etats sont parfaits pour comparer les résultats de politiques différentes. La population est identique, les conditions sanitaires peu éloignées, les populations sont importantes et significatives, 204,2 M pour l’Uttar Pradesh et 67,8 M pour le Tamil Nadu, et l’un a massivement traité, l’autre pas (sinon confinement). Conditions parfaites pour voir ce qui marche.

Superposons les 2 courbes, à échelle temps identique, et regardons les chiffres en les rapportant à population identique (Il s’agit ici du nombre de cas par jour, moyenne sur 7 jours) :

On constate que l’épidémie a commencé exactement en même temps, autour du premier avril. L’épidémie semble s’être développé plus vite dans l’Uttar Pradesh, mais ce n’est pas le cas : elle ne s’est pas développé plus vite (ascension de la courbe), car 3 fois plus peuplé, il est normal que le nombre de cas grimpe 3 fois plus vite. 

Par contre en traitant, le premier a stoppé deux fois plus vite la croissance, les pics étant atteints le 24 avril pour l’Uttar Pradesh, le 21 mai pour le Tamil Nadu. Le premier a également eu 3 fois moins de cas. En effet, les pics sont identiques, autour de 37 000 cas, mais la population du premier étant trois fois plus importante, il aurait dû avoir trois fois plus de cas.

Enfin en ayant démarré tous deux le même jour, l’Uttar Pradesh avait réduit de 95% ses cas journaliers le 30 mai (1 850 cas/jour au lieu de 37 000), alors qu’à la même date, le Tamil Nadu en était à 29 000 cas/ 36 000, soit 12% de réduction. Au 10 juin le premier en est à 98% depuis quelques jours, le second en est à 50%. Au rythme actuel, cela devrait se terminer dernière semaine de juin, soit une évolution naturelle de 3 mois, contre 2 mois, et 3 fois moins de cas avec traitement.

Et si on prend comme échelle nombre de cas/million d’habitants, voici ce que cela donne : même ascension, pic 3 fois inférieur, vague terminée contre 50% encore à parcourir pour le dernier.

Et ce n’est pas tout, après la durée et le nombre de cas, regardons la gravité de l’épidémie, avec les décès : 

Moyenne de 330 décès/jour au pic pour l’Uttar Pradesh, contre 480 décès/jour, soit 4,4 fois plus de décès à population égale au Tamil Nadu. Ce chiffre n’est pas anodin, et il était prévisible. Il est en effet très logique et cohérent puisque toutes les méta analyses depuis des mois montrent que l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité. Ce qui est montré dans les études portant sur près de 20 000 cas, se vérifie sur une population de 272 millions d’habitants, 4 fois la France. Rappelez-vous la conclusion d’Andrew Hill dans son rapport pour l’OMS : mortalité réduite de 83%.

Petit exercice comparatif pour terminer, entre l’Inde, qui a traité (pas partout toutefois), et la France, qui a choisi l’option tout vaccins et confinement. Prenons comme un point de départ identique au 1er janvier, date des premiers vaccins. A cette date il y avait en France 195 nouveaux cas/jour par million d’habitants. A cette date l’Inde n’avait pas d’épidémie, 12 cas/jour par million. Faisons démarrer la comparaison avec une vague au même stade, j’ai positionné l’Inde avec 195 cas/jour avec la France à 195 cas/jour. C’est le point de départ des courbes, épidémie d’importance identique, l’un traite, l’autre pas. Au 20-25 février, l’Inde avait fini, nous nous montions encore (comme le Tamil Nadu).

Vous me direz, oui, mais l’Inde ne déclare pas tout. Je répondrai, d’une part qu’en comparant deux Etats indiens, le problème ne se pose pas, et d’autre part que c’est sans importance pour suivre l’évolution et comparer, si les conditions de recueil des données ne changent pas. Si c’est sous-estimé dans les mêmes proportions au départ, au pic, et à la fin, la courbe est la même. Démonstration : doublons les cas en Inde. On arrive à un pic égal en nombre de cas à la France, mais le résultat du traitement reste le même. En effet, si vous réduisez de 95% les cas avec le traitement, que ce soit sur 1 000, 10 000 ou 100 000 cas, 95% resteront toujours 95%, et la proportion de 4 fois moins de morts restera toujours la même, même s’il y a deux fois plus de morts.

Conclusion : que l’on compare l’Uttar Pradesh (ou un autre Etat qui a traité comme Goa ou Dehli) avec un autre Etat indien qui n’a pas traité, ou avec un autre pays, sous ivermectine + macrolide, l’épidémie cède le pas deux fois plus vite, avec quatre fois moins de morts. Ces chiffres, constatés grandeur nature, sont identiques à ceux des études publiées, les faits démontrant que les critiques de ces études sont mal fondées.

P.S : pour répondre à une demande fréquente, où trouve t-on ces courbes :

Voici mes sources pour les obtenir rapidement et simplement, sans avoir à retenir l’adresse d’un site. Allez sur Google et tapez « chiffres Covid ». Vous avez un onglet pour choisir « cas » ou « décès », et un autre pour faire défiler les pays, même des très petits. En faisant aller le curseur latéralement, vous avez tous les chiffres, jour par jour, avec la moyenne sur 7 jours, ce qui évite les creux de WE. Si vous sélectionnez un grand pays comme l’Inde ou le Brésil, vous avez un onglet pour faire défiler les Etats ou régions.

Pour avoir la superposition de pays, je vais sur ourworldindata : 
https://ourworldindata.org/explorers/coronavirus-data-explorer?zoomToSelection=true&time=2021-01-01 
(si vous avez des barres au lieu de courbes, cliquez sur la date du jour en bas à droite).
À gauche sélectionnez ou supprimez des pays, en haut choisissez cas, décès, vaccins, etc.
Les sources sont Johns Hopkins University, référence depuis le début de l’épidémie.




Finissons-en avec ce faux vaccin anti-covid !

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Enterrons vite le vaccin covid dans toutes ses fausses indications.

Je respecte nos lecteurs, nos contributeurs et leurs croyances, comme le droit pour ceux qui veulent se vacciner de le faire, mais un article récent de RL(([1] N’enterrons pas le vaccin qui nous évite des tragédies)) m’a fait bondir, tant il paraît ignorer les faits réels en se contentant d’exprimer une foi. J’en appelle ici à la raison, à l’examen des faits objectifs en vie réelle, publiés par l’OMS et certaines agences sanitaires.

L’indication d’un nouveau traitement, quel qu’il soit, doit reposer uniquement sur l’évaluation de sa balance avantages/risques. En cas de traitement d’une maladie grave évolutive (exemple cancer évolutif) il peut être licite de prendre quelque risque car la maladie est réellement menaçante, mais en cas de traitement préventif (de personnes saines) le principe de précaution s’impose, exprimé par la maxime « d’abord ne pas nuire » qui guide la pratique médicale depuis l’origine.

Mais reprenons l’article incriminé argument par argument

Les « vaccins Covid » ne sont pas des vaccins au sens propre

Pasteur et ses contemporains ont conçu les vaccins en injectant des antigènes pour stimuler la fonction immunitaire tant cellulaire qu’humorale (anticorps). Les meilleurs antigènes étant l’ensemble de l’agent infectieux (virus ou bactérie ou toxine) inactivé. L’organisme créant alors une série de défenses portant sur de nombreuses cibles de l’agent pathogène assurant ainsi une immunité solide.

Les pseudo-vaccins Covid ne comportent aucun antigène.

Il ne s’agit donc pas de vaccin mais bien de techniques jamais utilisées chez l’homme en pathologie infectieuse et donc parfaitement expérimentales et dont aucun essai phase 3 ne sera terminé avant janvier 2023.

Utiliser le terme de vaccin pour ces traitements et/ou prétendre qu’ils ont terminé leurs essais constitue un mensonge total, une escroquerie de propagande marchande.

Les prétendus vaccins anti-Covid n’ont évité aucune tragédie mais en ont créé ou aggravé plusieurs(([2] Mike Whitney La vaccination de masse déclenche un pic de cas Covid-19 et des décès
Mondialisation.ca, 30 mai 2021 
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051))(([3] Gabriel Faugloire et Frédéric Gobert : Depuis qu’on vaccine, la mortalité moyenne quotidienne Covid-19 a été multipliée par deux dans le monde Mondialisation.ca, 05 juin 2021 
https://www.mondialisation.ca/depuis-quon-vaccine-la-mortalite-moyenne-quotidienne-covid-19-a-ete-multipliee-par-deux-dans-le-monde/5657176))

Rappelons quelques exemples à l’aide des courbes officielles de l’OMS sur lesquelles nous avons ajouté nos commentaires en rouge.

Et de pareilles évolutions post-vaccinales catastrophiques ont touché plus de trente pays

Plus jamais ça !

L’auteur de ce credo vaccinal s’insurge à juste titre du scandale ignoble qu’a constitué le tri des malades à l’entrée des hôpitaux, mais il se trompe totalement sur les causes de ce tri.

Si nos hôpitaux ont été débordés en mars, c’est qu’ils ont été progressivement détruits par nos dirigeants depuis 20 ans et que le gouvernement a interdit aux médecins de traiter. En 2000, l’OMS nous sacrait meilleur système de santé mondial. En 2020 nous sommes descendus au 21e rang mondial du fait de l’emprise bureaucratique et des réductions de lits et de personnel qu’elle a imposées. Rappelez-vous qu’avant la crise Covid, les urgences étaient en grève depuis plus d’un an et que la seule réponse du gouvernement Macron a été policiers et lanceurs de balles !

Rappelez -vous aussi qu’en début de crise, le ministre de la Santé a restreint puis interdit l’usage de la chloroquine puis tout traitement actif (même les antibiotiques) et imposé le traitement par Doliprane, et demandé au Conseil de l’Ordre de sanctionner les médecins qui traitaient leur malade. C’était la première fois au monde qu’un gouvernement dictait leurs ordonnances aux médecins et faisait sanctionner les médecins qui traitaient (avec succès) les malades.

Si les hôpitaux ont été débordés ce n’est pas la faute du Covid, mais totalement celle de nos gouvernants qui ont empêché les médecins de traiter et leur a même interdit de parler à l’exception des médecins représentants des laboratoires qui pouvaient vanter sur les télés, les journaux et les autres médias le remdésivir et les autres molécules nouvelles hors de prix et discréditer le Pr Raoult et les autres donneurs d’alerte.

La Suède, dont le système de santé n’était guère plus brillant que le nôtre mais dont la population et ses médecins sont restés libres de leurs décisions n’a jamais confiné, et ses hôpitaux n’ont pas été débordés et les Suédois pleurent moins (- 20 %) de morts attribués au covid que nous par million d’habitants.

C’est la dictature sanitaire qui a été responsable
de cette médecine de l’épouvante qu’on a subie en avril 2020.
Pourquoi Jacques Guillemain ne l’a-t-il pas précisé ?

La « victoire à la Pyrrhus » de la Grande-Bretagne

Les médias et Jacques Guillemain prétendent que la Grande-Bretagne constituerait un succès de la vaccination en ne parlant que du taux actuel de nouveaux cas « en faisant du passé table rase ». Mais un traitement ne doit pas se juger sur un instantané transitoirement favorable, mais sur l’ensemble de l’évolution sanitaire depuis l’instauration du nouveau traitement. Et si on le fait on se rend compte que la vaccination a été suivie d’une poussée d’infections et d’une hécatombe record.(([4] G. Delépine : Oui, Mme Kadri, une hécatombe post-vaccinale a bien eu lieu en Grande-Bretagne Riposte laïque le 29 mai 2021 https://ripostelaique.com/oui-mme-kadri-une-hecatombe-post-vaccinale-a-bien-eu-lieu-en-grande-bretagne.html))

Après la vaccination, les mois de janvier et février 2021 ont établi les records de contaminations et de mortalité mensuelle totalisant près du quart de la mortalité britannique attribuée au Covid depuis le début de l’épidémie. 

Le faible taux de contamination dont se sont flattés hâtivement les responsables de la vaccination et le gouvernement anglais ne signifie pas que la vaccination a été efficace car l’épidémie a également très fortement reculé dans toute l’Europe (- 85 % depuis avril 2021) dans les pays vaccinés comme dans les pays très peu vaccinés.

D’autant que malgré son taux record de vaccinés, une nouvelle augmentation des contaminations journalières est observée par l’agence gouvernementale(([5] https://coronavstats.co.uk/)) britannique depuis trois semaines, prouvant que les vaccins actuels sont incapables de stopper l’épidémie. 7 312 nouveaux cas en GB contre 4 475 en France le 11 juin 2021 et certains prétendent que la vaccination est un succès et que la France serait en retard !

Oui, le nombre de morts et les bénéfices des actionnaires sont moindres en France, moins vaccinée qu’en Grande-Bretagne mais pour les Français cela me paraît avantageux.

La Grande-Bretagne se place dans le peloton record des mortalités européennes avec 1 900 morts par million d’habitants malgré ses confinements multiples et ses vaccins. Les responsables de la vaccination accusent les variants de leur échec (aujourd’hui le variant delta) et ne s’interrogent pas sur la responsabilité de la vaccination dans l’émergence des variants, alors qu’il s’agit d’un fait de plus en plus observé.

Quant à la menace que feraient peser les variants sur notre avenir, sachons raison garder :  l’évolution virale se fait presque toujours vers une plus forte contagiosité et une plus faible gravité. Rien ne laisse supposer que cela puisse changer. L’évolution Covid ressemble de plus en plus à celle de la grippe saisonnière : à chaque poussée, un nouveau virus qui rend inefficace le vaccin de l’année précédente, mais une agressivité relativement faible. Le covid n’est pas la peste !

Oui, le vaccin AstraZeneca est dangereux et on aurait dû l’interdire

Jacques Guillemain accuse le professeur Delfraissy d’avoir précipité l’abandon du vaccin AstraZeneca en France, alors que ce vaccin a été interdit dans de nombreux pays et/ou son usage de plus en plus limité à cause des complications graves et souvent mortelles qui suivaient son administration.(([6] L’Italie vient de l’interdire ce jour à la suite d’un décès d’une jeune fille de 18 ans se rajoutant aux précédents décès post-vaccinaux dans ce pays))

Rappelons(([7] Delépine : Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? 24 mars 2021 Riposte laïque https://ripostelaique.com/combien-faudra-t-il-de-morts-pour-interdire-le-vaccin-astrazeneca.html)) qu’après une alerte de l’agence sanitaire norvégienne à l’OMS à la suite de morts suspectes de grands vieillards dans les établissements de retraite, il a d’abord été abandonné pour inefficacité en Afrique du Sud, puis abandonné au Danemark, puis en Norvège, puis dans de nombreux autres pays européens, que notre Haute Autorité de santé l’a jugé dangereux pour les moins de 30 ans, puis les moins de quarante ans, puis les moins de cinquante ans… Dans cette affaire, le professeur Delfraissy a seulement diffusé les inquiétudes légitimes que soulevaient les complications graves (risque de thrombose associée aux vaccins à adénovirus) et les morts post-vaccinales rapportées dans tous les pays, y compris en France chez les sujets jeunes. Grâce lui en soit rendue !

L’immunité collective ne sera jamais atteinte par les vaccins covid

Le concept d’immunité personnelle est vérifié en clinique après guérison des infections virales. On ne peut faire la rougeole, la rubéole, les oreillons, (comme après la quasi-totalité des infections virales) qu’une fois dans sa vie et les guéris de ces maladies forment un rempart contre la transmission de la maladie.

Mais la protection post-vaccinale est souvent courte (nécessitant des rappels) et son efficacité beaucoup plus faible que celle obtenue naturellement. Aux USA, la résurgence de flambées de rougeole malgré une couverture vaccinale supérieure à 95 % le démontre régulièrement et ces poussées touchent les vaccinés.

Les exemples des pays qui ont atteint des couvertures vaccinales proches ou supérieures à 70 % montrent que ce concept purement théorique qui n’a de confirmation que virtuelle est inopérant pour le covid dans le monde réel.

Les Seychelles sont un petit pays d’environ 100 000 habitants dont la ressource principale est le tourisme. Ils avaient été relativement épargnés par l’épidémie et ne comptaient, après 9 mois d’épidémie, que 502 cas confirmés et un décès. La vaccination a commencé début janvier 2021 et après l’injection de près de 140 millions de doses le taux de couverture vaccinal global dépasse les 70 % et atteint 90 % chez les adultes.

Mais 6 mois après le début de la vaccination, le bilan est passé à 12 466 cas confirmés (+2 500 %) et 42 morts et le nombre de nouvelles contaminations hebdomadaires reste deux fois plus élevé qu’avant vaccination.

Gibraltar (34 000 habitants) a commencé la vaccination en décembre alors que l’agence sanitaire locale recensait seulement 1 040 cas confirmés et 5 morts. Après une campagne de vaccination éclair et très complète, obtenant une couverture vaccinale de 115 % (la vaccination a été étendue à de nombreux visiteurs espagnols) le nombre de nouvelles contaminations a été multiplié par 4 (passant à 4 302) et celui des morts par 19 (atteignant 95). Pourtant les responsables de la vaccination nient tout lien causal.

Les Émirats arabes unis sont les champions arabes de la vaccination anticovid qui a été généreuse et autoritaire. Ce pays de 10,5 millions d’habitants accueille neuf millions d’étrangers, dont une majorité de petits employés et de cols bleus, des Philippines ou du sous-continent indien. Officiellement la vaccination n’est pas obligatoire. Mais en réalité, cette population précaire n’est pas en position de refuser un vaccin proposé par l’employeur.

Entre début janvier et le 6 juin les 13 315 751 de doses injectées assurent une couverture vaccinale globale proche de 62 % et de 80 % chez les adultes. Mais depuis la vaccination, le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination

Mais depuis la vaccination le nombre total de cas confirmés a triplé, le nombre de morts attribuées au covid a augmenté de 180 % et le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes reste nettement plus élevé qu’avant la vaccination.

Ces exemples du monde réel montrent clairement qu’un taux de vaccination anti-Covid très élevé ne protège pas des transmissions, rappelant ce qu’a affirmé O. Véran devant le Conseil d’État « même vacciné on peut transmettre le Covid et même des formes graves ».

Reste-t-il des indications aux vaccins anti-covid actuels ?

Aucune indication chez les enfants qui ne risquent rien du covid et ne le transmettent pas et qui sont, comme les autres, exposés aux complications post-vaccinales dont des myocardites.

Aucune indication chez les moins de 65 ans qui risquent peu du covid et au total moins que des vaccins actuels.

L’indication se discute chez les personnes âgées avec comorbidité lourde qui constituent les cibles du Covid. Mais encore faudrait-il que les vaccins aient fait leurs preuves d’efficacité et d’absence de toxicité. Or les essais ont très peu inclus cette population et ne sont pas terminés.

La vaccination est donc encore plus expérimentale chez eux que chez leurs cadets. Et les vaccinations ont été suivies chez eux de nombreuses morts qui ont motivé une alerte précise de l’agence sanitaire norvégienne appelant à ne pas vacciner les « trop vieux, trop malades » : disparition post- vaccinale de nombreux doyens de région – dont l’ancien cycliste qui faisait encore ses 100 km, morts d’un tiers des prêtres d’une maison de retraite vaccinés en Charente-Maritime, mort du prince Philip quatre semaines après sa vaccination.

Dans l’immédiat, quand on est âgé, il est prudent d’attendre avant de se vacciner contre le Covid.

J’ai 75 ans, je suis médecin et j’attends de pouvoir analyser les données brutes de ces pseudo-vaccins expérimentaux mis trop hâtivement sur le marché pour décider éventuellement de me faire injecter un médicament génique s’il se révélait efficace (on sait dès maintenant qu’ils le sont insuffisamment) et moins dangereux que la maladie. En attendant je donne ma dose à ceux qui veulent jouer à la roulette russe.

Gérard Delépine





La destruction de la destruction en marche

Par Lucien Samir Oulahbib

Mélenchon, LR, le RN, les éléphants dem [démocrates] aux USA, les Verts de tous les pays, tous, sont les bras armés ou les complices de la destruction l’implosion de ce qui est foncièrement humain tout en préservant la façade : à l’instar de ces rénovations qui maintiennent debout le devant et installent leur verroterie derrière façon labos de choc dans lesquels mijotent les essais de ces nouveaux produits à fabriquer (nous).

Bien sûr, « Méluch » essaye, pour masquer sa complicité, de nous rejouer la scène des années 30 avec lui comme « rempart » contre le RN, unique frontière qu’il se permet de défendre alors qu’il pousse au métissage, obligatoire, à fond (y compris bientôt avec l’hybridation animale chère au transhumanisme) sauf, cependant et bien sûr, avec ceux qui préfèrent la singularité, la particularité du « souverainisme ». Ceux-ci sont évidemment à bannir ou… à encenser s’ils sont contre Charles Martel, ou s’ils sont membres de sa Secte hygiéniste.

Mais dans l’ensemble tout ce beau monde partage la même hystérie hygiéniste, aidé en ce sens par une Lacombe, un Fauci et un Cohen, vent debout « au nom » de « la » Science contre ceux qui refusent leur mensonge stipulant qu’il n’y aurait pas d’autres traitements que leur médicament ARN ou OGM et qu’au fond l’être humain ne serait qu’une machine comme une autre qu’il est possible de monter et démonter à sa guise ; le tout en gonflant les chiffres (amalgame entre « mort avec » et « mort de ») ou les dégonflant (effets secondaires, morts post injection) [selon la période et l’objectif], en se moquant d’un Raoult et de son histoire de nombre d’accidentés en trottinette (([1] « Concrètement, si vous ramenez les morts chinois infectés par le coronavirus à la taille de la population de 1,6 milliard, il y a probablement plus de gens qui sont tués en trottinette en Chine que par le virus. »)) qui aurait été supérieur à celui de Covid-19 alors qu’il n’avait pas tort s’il s’agit d’authentifier ce chiffre uniquement chez les jeunes, guère touchés par cette maladie, mais que la Secte hygiéniste cherche pourtant elle aussi à marquer [à l’aide du « vaccin » anticovid].

La bascule d’un extrême à l’autre fait qu’à la fin les deux se touchent, hygiénistes de tous bords unissez vous ! D’où l’émergence des similitudes dans leur totalitarisme, avec toujours ce débat en filigrane (byzantin par excellence) : la chambre à gaz est-elle plus horrible que le Goulag par moins 35 °C avec les humiliations, les coups, les v(i)ols à répétition (à Cologne récemment également) ? Le camp de redressement est-il plus liberticide que le dépeçage mental permanent fait par les médias et les enseignants (votant Méluch) cherchant à amalgamer comme dans les années 30 libéralisme et nazisme (leurs ennemis faisant l’inverse : liberté=individualisme anti-altruiste) ?…

Généralement la réponse, ouatée, aura été de dire dans l’ensemble que les deux sont à bannir, mais que le premier volet est bien plus génocidaire, il faudrait donc bien distinguer camp de la mort et camp de travail, insistait Raymond Aron. Cependant, au-delà de ce « débat », il s’avère, d’une part, que l’assassinat à petit feu en camp de travail n’a toujours pas été sanctionné : où est le procès façon Nuremberg du Goulag (et de ses copies contemporaines en Chine post-maoïste actuelle, à Gaza, en Algérie, au Venezuela…) ?…

D’autre part, il s’ensuivit que prétextant de l’existence du premier (le camp de la mort), certains (par exemple Jean-François Lyotard, ce pape du « postmodernisme ») se sont mis à mettre en cause non pas l’hégémonisme germaniste purificateur, mais le seul christianisme occidental blanc et mâle posé comme source de tout le « mal », ce qui donne aujourd’hui cette diatribe « anti-néolibérale » aisée qui permet à tous les extrêmes de se rencontrer, de se mixer, y compris les plus récalcitrants : Onfray était pro Raoult il y a un an et demi, dans un an il n’est pas sûr qu’il ne fasse pas mea-culpa et ne voie pas à nouveau dans Mélenchon une solution sinon salutaire du moins sanitaire face à un Macron micronisé…

Ainsi tous sont d’accord pour marquer les populations avec un médicament inutile et coûteux (n’ayant en plus qu’une autorisation provisoire) et bardé d’effets secondaires de plus en plus nombreux sans compter ceux visibles uniquement sur le long terme (chose que l’on a reprochée à l’hydroxychloroquine pour la marginaliser et de même aujourd’hui pour l’ivermectinealors que leurs effets secondaires sont quasi inexistants et que ces médicaments s’avèrent efficaces s’ils sont pris à temps et combinés [à d’autres substances] (([2] Ndlr : surtout dans le cas de l’hydroxychloroquine qui nécessite l’usage combiné du zinc et d’un antibiotique adéquat tel que l’azithromycine pour avoir un effet plus notable))), sans oublier tout ce qui permet de renforcer naturellement le système immunitaire, les uns demandant seulement que ces variants russes, voire chinois, soient aussi accessibles. C’est bien là le sommet de l’ignorance crasse de la part d’une classe politique et médiatique qui en fait néanmoins une vertu et qui excommunie tous ceux (pourtant spécialistes) qui recommandent plutôt de soigner de façon précoce. Ces derniers demandent aussi, par exemple, de ne pas de surcroît rendre les jeunes coupables d’une maladie qui ne les concernent pas et qu’ils ne transmettent pas — selon les dernières études à disposition qu’un Anthony Fauci connaissait, mais a contribué à enfouir en vain (de même que pour les traitements précoces).

Tous ces destructeurs, réunis en Secte — se chamaillant sur les écrans, s’acoquinant dans les coulisses — vont se retrouver dans les poubelles de l’Histoire (qui — du moins quelqu’un de sensé — peut encore les voir et les entendre sans dégoût ?). Entre-temps, bonjour les dégâts…

Le 13/06/2021

Dernier ouvrage paru : Rhombe