L’ancien vice-président de Pfizer à l’AFLDS : « Il est tout à fait possible que cela soit utilisé pour une dépopulation à grande échelle »

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Mordechai Sones – Le 25 mars 2021

America’s Frontline Doctors (AFLDS) s’est entretenu avec l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Mike Yeadon, pour connaître son point de vue sur le vaccin COVID-19, l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, les autorités de réglementation, etc.

D’emblée, le Dr Yeadon a déclaré :

« Je suis bien conscient des crimes contre l’humanité perpétrés contre une grande partie de la population mondiale.

Je ressens une grande peur, mais je ne suis pas dissuadé de donner un témoignage d’expert à de multiples groupes d’avocats compétents comme Rocco Galati au Canada et Reiner Fuellmich en Allemagne.

Je n’ai absolument aucun doute sur le fait que nous sommes en présence de produits maléfiques (ce n’est pas une décision que j’ai déjà prise en 40 ans de carrière de chercheur) et dangereux.

Au Royaume-Uni, il est tout à fait clair que les autorités sont déterminées à administrer des « vaccins » au plus grand nombre possible de personnes. C’est de la folie, car même si ces agents étaient légitimes, la protection n’est nécessaire que pour les personnes présentant un risque particulièrement élevé de mourir du virus. Chez ces personnes, on pourrait même argumenter que les risques valent la peine d’être supportés. Et il y a certainement des risques qui sont ce que j’appelle « mécanistes », c’est-à-dire intégrés dans la façon dont ils fonctionnent.

Mais toutes les autres personnes, celles en bonne santé et âgées de moins de 60 ans, peut-être un peu plus, ne meurent pas du virus. Dans ce grand groupe, il est tout à fait contraire à l’éthique d’administrer quelque chose de nouveau et dont le potentiel d’effets indésirables après quelques mois n’est absolument pas déterminé.

Il ne serait sage à aucun moment de faire ce qu’ils ont déclaré avoir l’intention de réaliser.

Puisque je le sais avec certitude, et que je sais que ceux qui le dirigent le savent aussi, nous devons nous interroger : Quel est leur motif ?

Bien que je ne le sache pas, j’ai de fortes réponses théoriques, dont une seule est liée à l’argent et ce motif ne fonctionne pas, car on peut arriver au même quantum en doublant le coût unitaire et en donnant l’agent à deux fois moins de personnes. Dilemme résolu. Donc c’est autre chose.

Sachant que, par population entière, il est également prévu que les enfants mineurs et éventuellement les bébés soient inclus dans le filet, et c’est ce que j’interprète comme un acte maléfique.

Il n’y a aucune justification médicale à cela. Sachant comme je le sais que la conception de ces « vaccins » aboutit, dans le corps des destinataires, à l’expression de la protéine spike, qui a des effets biologiques indésirables propres qui, chez certaines personnes, sont nocifs (déclenchement de la coagulation du sang et activation du « système de complément » immunitaire), je suis déterminé à souligner que ceux qui ne sont pas à risque de ce virus ne devraient pas être exposés au risque d’effets indésirables de ces agents. »

AFLDS : La décision de la Cour suprême d’Israël de la semaine dernière annulant les restrictions de vol du COVID disait : « À l’avenir, toute nouvelle restriction sur les voyages à destination ou en provenance d’Israël doit, en termes juridiques, reposer sur une base complète, factuelle et fondée sur des données. »

Dans une conférence que vous avez donnée il y a quatre mois, vous avez dit que

« La durée la plus probable de l’immunité contre un virus respiratoire comme le SRAS-CoV-2 est de plusieurs années. Pourquoi est-ce que je dis cela ? Nous disposons en fait des données relatives à un virus qui a balayé certaines parties du monde il y a dix-sept ans, le SRAS, et souvenez-vous que le CoV-2 du SRAS est similaire à 80 % au SRAS, donc je pense que c’est la meilleure comparaison que l’on puisse fournir.

Les preuves sont claires : ces immunologistes cellulaires très intelligents ont étudié toutes les personnes qui avaient survécu au SRAS il y a 17 ans et sur lesquelles ils ont pu mettre la main. Ils ont prélevé un échantillon de sang et ont vérifié s’ils réagissaient ou non au SRAS original, et ils l’ont tous fait ; ils avaient tous une mémoire cellulaire T robuste et parfaitement normale. En fait, ils étaient également protégés contre le CoV-2 du SRAS, car ils sont très similaires ; c’est une immunité croisée.

Je dirais donc que les meilleures données existantes indiquent que l’immunité devrait être robuste pendant au moins 17 ans. Je pense qu’il est tout à fait possible qu’elle dure toute la vie. Le style des réponses des cellules T de ces personnes était le même que si vous aviez été vacciné et vous revenez des années plus tard pour voir si cette immunité s’est maintenue. Je pense donc que la preuve est vraiment forte que la durée de l’immunité sera de plusieurs années, voire de toute une vie. »

En d’autres termes, une exposition antérieure au SRAS – c’est-à-dire à une variante similaire au CoV-2 du SRAS – confère une immunité au CoV-2 du SRAS.

Le gouvernement israélien invoque de nouveaux variants pour justifier les confinements, les annulations de vols, les restrictions et la délivrance de passeports verts. Compte tenu du verdict de la Cour suprême, pensez-vous qu’il soit possible de prévenir les futures mesures gouvernementales en fournissant des informations précises sur les variants, l’immunité, l’immunité collective, etc. aux avocats qui contesteront ces futures mesures ?

Yeadon :

« Ce que j’ai décrit en ce qui concerne l’immunité contre le SRAS est précisément ce que nous observons avec le SRAS-CoV-2. L’étude provient de l’un des meilleurs laboratoires dans son domaine.

Donc, en théorie, les gens pourraient tester leur immunité aux cellules T en mesurant les réponses des cellules dans un petit échantillon de leur sang. De tels tests existent, ils ne sont pas « à haut débit » et ils sont susceptibles de coûter quelques centaines de dollars chacun à grande échelle. Mais pas des milliers. Le test dont j’ai connaissance n’est pas encore disponible dans le commerce, mais fait l’objet de recherches uniquement au Royaume-Uni.

Cependant, je pense que l’entreprise pourrait être incitée à fournir des kits de test « pour la recherche » à grande échelle, sous réserve d’un accord. Si vous deviez vous arranger pour tester quelques milliers d’Israéliens non vaccinés, cela pourrait être une arme à double tranchant. D’après l’expérience d’autres pays, 30 à 50 % des gens étaient déjà immunisés et environ 25 % ont été infectés et sont maintenant immunisés.

Personnellement, je ne voudrais pas avoir affaire aux autorités selon leurs propres termes : vous êtes soupçonné d’être une source d’infection jusqu’à preuve du contraire. Vous ne devriez pas avoir à prouver que vous ne représentez pas un risque pour la santé des autres. Ceux qui ne présentent pas de symptômes ne sont jamais une menace pour la santé des autres. Et dans tous les cas, une fois que ceux qui se sentent concernés par le virus sont vaccinés, il n’y a tout simplement aucun argument pour que quelqu’un d’autre ait besoin d’être vacciné. »

[AFLDS :] Ma compréhension d’un « vaccin fuyant » est qu’il ne fait qu’atténuer les symptômes chez les vaccinés, mais n’arrête pas la transmission ; il permet donc la propagation de ce qui devient alors un virus plus mortel.

Par exemple, en Chine, on utilise délibérément des vaccins non étanches contre la grippe aviaire pour éliminer rapidement les troupeaux de poulets, car les personnes non vaccinées meurent en trois jours. Dans le cas de la maladie de Marek, dont ils devaient sauver tous les poulets, la seule solution était de vacciner 100 % du troupeau, car tous les non-vaccinés couraient un risque élevé de mourir. L’utilisation d’une fuite de vaccin est donc dictée par l’intention, c’est-à-dire qu’il est possible que l’intention soit de causer un grand tort aux personnes non vaccinées.

Les souches les plus fortes ne se propagent généralement pas dans une population car elles tuent l’hôte trop rapidement, mais si les personnes vaccinées ne sont atteintes que de maladies moins graves, elles transmettent ces souches aux personnes non vaccinées qui contractent des maladies graves et meurent.

Êtes-vous d’accord avec cette évaluation ? De plus, êtes-vous d’accord avec le fait que si les non-vaccinés deviennent les personnes sensibles, la seule solution est une prophylaxie par HCQ [Hydroxychloroquine] pour ceux qui n’ont pas déjà eu le COVID-19 ?

Le protocole Zelenko fonctionnerait-il contre ces souches plus fortes si c’est le cas ?

Et si beaucoup de personnes ont déjà l’ancienne « immunité de 17 ans contre le SRAS » mentionnée plus haut, cela ne les protégerait-il pas contre un super-variant ?

[Yeadon :]

« Je pense que l’histoire de Gerrt Vanden Bossche est très suspecte. Il n’y a aucune preuve que la vaccination conduise ou conduira à des ‘variants dangereux’. Je crains qu’il ne s’agisse d’une sorte de ruse.

En règle générale, les variants se forment très souvent, régulièrement, et ont tendance à devenir moins dangereux et plus infectieux avec le temps, à mesure qu’ils s’équilibrent avec leur hôte humain. Les variants ne deviennent généralement pas plus dangereux.

Aucun variant ne diffère de la séquence originale de plus de 0,3 %. En d’autres termes, tous les variants sont identiques à 99,7 % au moins à la séquence de Wuhan.

C’est une fiction, et une fiction diabolique, que les variants soient susceptibles d' »échapper à l’immunité ».

Non seulement c’est intrinsèquement improbable — car ce degré de similitude entre les variants signifie qu’il n’y a aucune chance qu’une personne immunisée (que ce soit par une infection naturelle ou par la vaccination) soit rendue malade par un variant — mais c’est également soutenu empiriquement par des recherches de grande qualité.

Les recherches auxquelles je fais référence montrent que les personnes qui se remettent d’une infection ou qui ont été vaccinées possèdent TOUTES un large éventail de cellules immunitaires qui reconnaissent TOUS les variants.

Cet article montre que la reconnaissance moléculaire étendue par le système immunitaire rend les minuscules changements dans les variants non pertinents.

Je ne saurais trop insister : Les histoires autour des variants et du besoin de vaccins complémentaires sont FAUSSES. Je crains qu’il y ait une raison très maligne derrière tout cela. Elle n’est certainement pas étayée par les meilleures méthodes d’étude de l’immunité. Les affirmations manquent toujours de substance lorsqu’on les examine, et utilisent diverses astuces, comme la manipulation des conditions pour tester l’efficacité des anticorps. Les anticorps sont probablement assez peu importants dans la protection de l’hôte contre ce virus. Quelques « expériences naturelles » ont été réalisées sur des personnes qui ne peuvent malheureusement pas produire d’anticorps, mais qui parviennent à repousser le virus avec succès. Il est certain qu’elles se portent mieux avec des anticorps que sans. Je mentionne ces rares patients parce qu’ils montrent que les anticorps ne sont pas essentiels à l’immunité de l’hôte, de sorte qu’un test inventé dans un laboratoire sur les anticorps et les variants de virus modifiés ne justifie PAS le besoin de vaccins complémentaires.

Les seules personnes qui pourraient rester vulnérables et avoir besoin d’une prophylaxie ou d’un traitement sont celles qui sont âgées et/ou malades et qui ne souhaitent pas recevoir de vaccin (ce qui est leur droit).

La bonne nouvelle est qu’il existe de multiples choix possibles : l’hydroxychloroquine, l’Ivermectine, le budésonide (stéroïde inhalé utilisé chez les asthmatiques), et bien sûr la vitamine D orale, le zinc, l’azithromycine, etc. Ces traitements réduisent la gravité à tel point que ce virus n’aurait pas eu besoin de devenir une crise de santé publique. »

[AFLDS :] Pensez-vous que la FDA fait un bon travail de régulation des grandes entreprises pharmaceutiques ? De quelle manière les grandes entreprises pharmaceutiques contournent-elles l’autorité de réglementation ? Pensez-vous qu’elles l’ont fait pour l’injection d’ARNm ?

[Yeadon :]

« Jusqu’à récemment, j’avais une grande estime pour les régulateurs mondiaux des médicaments. Lorsque j’étais chez Pfizer, et plus tard PDG d’une biotech que j’ai fondée (Ziarco, rachetée plus tard par Novartis), nous avons eu des échanges respectueux avec la FDA, l’EMA et la MHRA du Royaume-Uni.

Des interactions toujours de bonne qualité.

Récemment, j’ai remarqué que la Fondation Bill & Melinda Gates (BMGF) avait accordé une subvention à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA) ! Est-ce que cela peut être approprié ? L’agence est financée par des fonds publics. Ils ne devraient jamais accepter de l’argent d’un organisme privé.

Voici donc un exemple où le régulateur britannique est en conflit d’intérêts.

L’Agence européenne des médicaments n’a pas exigé certaines choses, comme l’a révélé le « piratage » de ses dossiers lors de l’examen du vaccin Pfizer.

Vous pouvez trouver des exemples sur le « Comité Corona » de Reiner Fuellmich en ligne.

Je ne crois donc plus que les régulateurs soient capables de nous protéger. L »approbation’ n’a donc aucun sens.

Le Dr Wolfgang Wodarg et moi-même avons adressé une pétition à l’EMA le 1er décembre 2020 sur les vaccins génétiques. Ils nous ont ignorés.

Récemment, nous leur avons écrit en privé, les mettant en garde contre les caillots sanguins, ils nous ont ignorés. Lorsque nous avons rendu publique notre lettre, nous avons été complètement censurés. Quelques jours plus tard, plus de dix pays ont interrompu l’utilisation d’un vaccin en invoquant des caillots sanguins.

Je pense que les grosses sommes d’argent de l’industrie pharmaceutique et de la BMGF créent un environnement où dire non n’est pas une option pour l’organisme de réglementation.

Je dois revenir sur la question des « vaccins complémentaires » (piqûres de rappel) et je crains que tout ce récit ne soit exploité et utilisé pour acquérir un pouvoir inégalé sur nous.

S’IL VOUS PLAÎT, avertissez chaque personne de ne pas s’approcher des vaccins complémentaires. Ils ne sont absolument pas nécessaires.

Comme ils ne sont pas nécessaires, mais qu’ils sont fabriqués par des entreprises pharmaceutiques et que les autorités de réglementation se sont tenues à l’écart (pas de tests de sécurité), je ne peux que déduire qu’ils seront utilisés à des fins néfastes.

Par exemple, si quelqu’un souhaite blesser ou tuer une proportion importante de la population mondiale au cours des prochaines années, les systèmes mis en place actuellement le permettront.

Je pense qu’il est tout à fait possible que ces systèmes soient utilisés pour une dépopulation à grande échelle. »

https://www.americasfrontlinedoctors.com/exclusive-former-pfizer-vp-to-aflds-entirely-possible-this-will-be-used-for-massive-scale-depopulation/



Macron, Merkel et Johnson appellent formellement à la dictature sanitaire globale

[Source : Russie politics]

par Karine Bechet-Golovko

La France, La Grande-Bretagne et l’Allemagne sont lancées en première ligne pour tenter de mettre fin à l’organisation mondiale découlant de la Seconde Guerre mondiale, telle que nous la connaissons aujourd’hui. Or, pour détruire un système international, il faut généralement une grande guerre, qui met à plat les sociétés et les économies. Le Covid trouve ici toute son utilité : contre « la tentation du nationalisme », à l’heure d’une dévastation socio-économique et humaine comme l’on en n’a pas connue depuis 1945, il nous est intimé de repenser le système des relations internationales. La Première Guerre globale [Ndlr : des élites mondialistes contre l’Humanité ordinaire] doit permettre l’avènement d’un monde global, basé sur un principe primaire totalisant de « santé ». Toute vie, humaine ou animale, est assimilée et réduite à sa dimension biologique; les États ou les sociétés privées, au même niveau, sont gouvernés par des instances globales. Les États-Unis restent formellement en retrait, la Russie et la Chine n’ont pas signé cet appel, mais soyons certains que le front diplomatique va s’ouvrir. Cet appel « pour une architecture internationale sanitaire plus robuste » explique enfin pourquoi la gestion de cette crise sanitaire du Covid a été aussi désastreuse : elle permet de mettre en scène les conditions nécessaires à la tentative de ce qui ressemble à s’y méprendre à un coup d’État global, avec un changement formel du lieu et du fondement légitime de l’exercice du pouvoir.

La presse britannique diffuse un appel signé par 26 dirigeants de pays dont la France, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, l’Italie, le Portugal, l’Ukraine, la Thaïlande, l’Albanie, le Costa Rica, le Rwanda, le Kenya, etc. Parmi les États, qui doivent représenter tous les continents, l’on notera l’absence significative, d’une part des États-Unis, qui ne partent pas en première ligne, puisque leurs pays-satellites sont là pour prendre la responsabilité de ces combats. D’autre part, l’absence de la Russie est également notable, elle qui tente de ne pas dissoudre sa souveraineté dans cette vague covidienne globale. En ce sens, en plus des États, cet appel est signé par différents organes de la gouvernance globale, à savoir par le directeur général de l’OMS (organe, qui est devenu le centre de gouvernance, puisque le pouvoir est légitimé par la « santé ») et par le président du Conseil européen, Charles Michel, qui est à la pointe du combat idéologique dans la zone européenne, zone stratégique en raison de la nécessité de faire plier la Russie. 

Cet appel a été diffusé, en ce qui concerne la France, sur le site de Macron, mais étrangement en anglais, de l’Élysée — en anglais et en français, et évidemment par les institutions européennes, qui retrouvent ici un nouveau souffle, dans la destruction de l’ordre international issu de la Seconde Guerre mondiale.

Cet appel s’appuie sur la crise sanitaire pour tenter de reformater les relations entre les pays. Ce qui est posé dès le titre :

« Agir pour une architecture sanitaire internationale plus robuste »

La « crise » étant étiquetée sanitaire, toutes les réformes de l’organisation des relations internationales doivent être a priori justifiées par le facteur sanitaire, sans que cela ne se discute. Pourtant, les différentes pandémies, d’hépatites ou de SIDA par exemple, qui ont fait des millions de morts et qui sont toujours en cours, n’ont jamais nécessité de réformes de l’ordre international. Peu importe, le Covid doit le nécessiter. 

Historiquement, pour schématiser, les changements radicaux des rapports internationaux ont découlé des grands conflits. Nous vivons actuellement dans le système issu de la Seconde Guerre mondiale, qui avait mis fin au système des États nations, remplacé alors par celui des pôles de pouvoir, initialement deux, chacun dominé par un État central. Déjà, par ces mécanismes, les États furent attaqués et fragilisés. Lorsque l’URSS a été détruite comme pays, le bloc qu’elle dirigeait s’est écroulé avec elle, laissant flotter et dériver des pays, dont les structures politiques et étatiques étaient trop faibles pour assumer une véritable souveraineté. Ils furent absorbés sans aucune difficulté dans le bloc atlantiste. Nous sommes alors passés à un système global régionalisé, et l’UE a pris toute son importance pour aboutir le processus visant à évider les États de toute substance souveraine. Le retour de la Russie sur la scène internationale, tout d’abord sur le plan de la communication avec le fameux discours de Poutine à Munich, puis réellement avec la Crimée et la Syrie, a provoqué une rupture dans cette organisation lissée. À la différence de la Chine, la Russie a une dimension civilisationnelle et peut proposer un modèle qui soit acceptable en Occident, comme cela a déjà été le cas, elle présente donc un danger accru pour le monde global, qui ne peut avoir qu’un seul projet.

Or, les conflits militaires qui se développent aujourd’hui sous différentes étiquettes sur la planète, au nom de l’exportation démocratique, s’ils permettent un combat pour les ressources stratégiques, ne sont pas de dimension à justifier un changement des relations internationales, à justifier l’avènement d’une globalisation décomplexée, assumée, revendiquée, contre des États réduits aux slogans d’isolationnisme et de nationalisme.

Le Covid, avec tout le travail en amont de déstructuration des États, de destruction des économies nationales, d’écrasement des hommes et des sociétés, de négations des valeurs humanistes et libérales, a permis de mettre en scène une « Première Guerre globale », menée… contre nous, sous l’égide de structures globales (OMS, UE, ONU), faisant des dégâts socio-économiques comparables à ceux d’un conflit armé de grande ampleur, et, grâce à une statistique plus qu’inclusive venant en aide à une gestion manifestement volontairement catastrophique, des dégâts humains également significatifs.

Le moment est donc venu de cet appel pour un monde global sanitaire, ou plutôt pour une dictatude sanitaire globale :

La pandémie de Covid-19 représente le plus grand défi auquel la communauté mondiale est confrontée depuis les années 1940. À cette époque, les dirigeants politiques ont pris la mesure des ravages provoqués par les deux guerres mondiales et se sont retrouvés pour former le système multilatéral. Leurs objectifs étaient clairs : rassembler les pays, éloigner les tentations de l’isolationnisme et du nationalisme, et faire face aux enjeux pour lesquels une solution commune n’était possible que dans un esprit de solidarité et de coopération, à savoir la paix, la prospérité, la santé et la sécurité.

Il est donc demandé de revenir sur l’organisation des relations entre les pays, et ce de manière pérenne, puisque le risque sanitaire existera toujours – il y a toujours eu et il y aura toujours des virus :

Alors que nous luttons ensemble pour venir à bout de la pandémie de Covid-19, notre espoir est aujourd’hui le même de mettre en place une structure plus solide pour le secteur de la santé internationale afin de protéger les prochaines générations.

Il y aura d’autres pandémies et d’autres situations d’urgence sanitaire de grande ampleur. Aucun gouvernement ni aucun organisme multilatéral ne peut, seul, faire face à cette menace. La question n’est pas de savoir si cela aura lieu, mais quand.

L’avenir de la santé de l’humanité ne passe plus par les soins, mais par la vaccination, et sur cette base un nouvel accord global doit être conclu :

Dans cette optique, nous croyons que les pays devraient œuvrer ensemble à l’élaboration d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies.

Un tel engagement collectif renouvelé serait une étape importante pour consolider la préparation aux pandémies au plus haut niveau politique. La Constitution de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) lui servirait d’ancrage et il serait soutenu par d’autres organisations sans lesquelles cette entreprise — qui s’appuie sur le principe de santé pour tous — ne pourrait aboutir.

Et le système mis en place par le Règlement sanitaire international (voir notre texte ici) et qui met en place une architecture de soumission et de contrôle des États doit alors être renforcé et servir de base. Le nouveau principe de base de l’organisation des relations internationales, devenu en même temps principe de légitimation du pouvoir, est la « santé ». L’homme, dans ce nouveau monde, n’est plus appréhendé dans sa dimension humaine, spécifique, qui va bien au-delà de la vie biologique. Bien au contraire, il est réduit, à n’importe quelle forme de vie :

Ce traité ferait sien également le principe « une seule santé », qui relie la santé des humains, des animaux et de notre planète. 

Et la concentration du pouvoir, sous l’égide de l’OMS et de ses structures, qui gouvernent les autres « acteurs », mais de second rang. Ainsi, les États et les institutions publiques sont mis au même niveau que les ONG ou les entreprises.

Pour ce faire, nous travaillerons avec les chefs d’État et de gouvernement du monde entier et avec toutes les parties prenantes concernées, dont la société civile et le secteur privé

C’est la fin officielle de la souveraineté des États, qui ne sont que des structures vides d’exécution, au nom d’une conception totalitaire et primaire de la « santé » et de la « vie », réduite à sa plus petite dimension. Le moment est donc venu pour utiliser le Covid, afin de transformer en profondeur le système international :

Au moment où le Covid-19 tire parti de nos faiblesses et de nos divisions, nous devons saisir cette occasion pour nous rassembler en tant que communauté mondiale en faveur d’une coopération pacifique qui aille au-delà de cette crise. Le renforcement de nos capacités et de nos systèmes pour y parvenir prendra du temps et exigera un engagement soutenu pendant de nombreuses années d’un point de vue politique, financier et de la société en général. (…) La préparation aux pandémies a besoin d’un leadership mondial pour bâtir un système de santé mondial à la hauteur de ce millénaire.

Ce système de pouvoir global, basé sur le culte de la santé, s’accompagne d’une transformation puissante des économies, avec la montée en puissance, comme nous le voyons déjà, de certains secteurs liés à la santé et au numérique, au détriment de beaucoup d’autres. C’est aussi un enjeu de pouvoir. Le grand absent de ce nouvel ordre global, c’est l’homme. L’homme dans sa richesse, sa diversité, sa complexité. L’homme, son âme, son esprit. Sa culture, sa civilisation.




L’État belge condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

[Source : Le Soir]

Par Laurence Wauters

Info «Le Soir» – L’État condamné à lever toutes les mesures covid d’ici 30 jours

Le tribunal de première instance de Bruxelles a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours. Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision.

[NDLR Dans l’hypothèse où cette décision judiciaire serait effectivement suivie d’effets, elle n’est malheureusement pas obtenue par le biais des preuves existantes en matière médicale, mais pour des raisons procédurales et, de plus, l’État belge fera probablement appel.]

La Ligue des droits humains avait introduit, il y a trois semaines au nom de tous les Belges, une action en référé devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Celui-ci a ordonné à l’État, ce mercredi, de mettre fin aux mesures exceptionnelles prises dans le cadre de la pandémie, et ce dans les 30 jours, a appris « Le Soir ». Une astreinte de 5.000 euros par jour sera due si l’État ne se conforme pas à la décision. Le tribunal des référés a estimé que l’urgence invoquée par les demandeurs était établie par le fait de la prolongation jusqu’au 1er avril, par arrêté ministériel du 6 février dernier, des mesures querellées, et ce « sans qu’une réelle communication ait été faite sur le sujet ».

Les demandeurs mettaient en cause la responsabilité de l’État belge en ce qu’il aurait commis une faute en adoptant des mesures, par voie réglementaire, attentatoires aux libertés fondamentales « en méconnaissance des règles constitutionnelles et/ou légales qui lui imposent de s’abstenir ou d’agir dans un sens déterminé ». Aucune des trois lois invoquées par l’État belge pour restreindre les libertés des Belges, estimaient Me Despontin et Me Lackner pour la LDH, ne pouvaient servir de base sous-jacente à l’arrêté ministériel litigieux. L’arrêté ministériel, soulignaient les deux avocates, « viole le principe de subsidiarité du droit pénal, l’obligation de consultation du Conseil d’État et le principe de la sécurité juridique ».

https://www.ultimedia.com/deliver/generic/iframe/mdtk/01613302/zone/34/showtitle/1/src/q00kxur/?tagparamdecoded=News

Comme d’autres l’avaient fait avant, sans jusqu’ici obtenir gain de cause, la LDH soulignait que le défendeur, en l’occurrence l’État, « s’était abstenu de légiférer alors qu’il savait que l’arrêté ministériel était illégal » et que d’autre part, il a cautionné les poursuites et les sanctions pénales « illégales » liées à l’application de cet arrêté.

La principale loi sur laquelle se basait la ministre de l’Intérieur pour adopter les mesures « corona » est celle du 15 mai 2007 sur la société civile, qui concerne des mesures d’évacuation et qui a été adoptée suite à la catastrophe de Ghislenghien. Le tribunal de première instance constate, dans l’ordonnance rendue ce matin, que cette loi définit « de manière restrictive et prévisible les pouvoirs ainsi conférés à l’exécutif », et que la situation liée au covid-19 n’est pas visée par cette loi. « La fermeture des divers établissements (culturels, festifs, sportifs, récréatifs, événementiels, horeca, des professions de contacts), la suspension de l’obligation scolaire, la limitation des rassemblements publics ou privés, la limitation de circuler depuis et vers la Belgique échappent aux notions que le langage courant nous impose des termes « réquisition et évacuation », conclut l’ordonnance.

Il apparaît, dit le tribunal de première instance, que les mesures restrictives des libertés constitutionnelles et des droits de l’homme, édictées par l’arrêté ministériel du 28 octobre 2020 et ses arrêtés subséquents « ne reposent, en apparence, pas sur une base légale suffisante. »

Le montant d’astreinte fixé à 5.000 euros/jour ne pourra excéder un total de 200.000 euros. « Au regard des circonstances complexes liées à la crise sanitaire et sans les remettre en cause », le tribunal a accordé un délai de 30 jours calendrier à l’État pour se conformer à la décision. Il serait étonnant que l’État n’interjette pas appel de cette décision.

Notons que la loi « pandémie », destinée à mettre fin à ces problématiques, sera débattue ce mercredi après-midi en commission à la Chambre.

Au cabinet du Premier ministre, on ne réagit pas pour l’instant. On attend d’étudier le jugement du tribunal de première instance de Bruxelles.




Canada : Une famille enfermée et condamnée à une amende de 18 000 dollars pour avoir fourni des résultats de tests Covid « périmés » de 2 heures

[Source : Aube Digitale]

Le nombre d’histoires de folles dignes d’États policiers est trop élevé pour être compté. Il suffit d’en choisir quelques-unes pour se rendre compte qu’elles sont représentatives de ce qui se passe dans l’ensemble du monde occidental.

Via Life Site News :

Une mère canadienne, qui, avec ses quatre enfants et la grand-mère des enfants, a été condamnée à une amende de 3 000 dollars après que des agents frontaliers canadiens ont refusé d’accepter les résultats de leurs tests COVID – parce que les résultats étaient périmés depuis deux heures – va contester les accusations devant les tribunaux si elles ne sont pas abandonnées par la Couronne.

“Nous avons des droits en tant que Canadiens et ces droits sont violés. Je suis prête à mener le bon combat”, a déclaré à LifeSiteNews la mère, une infirmière autorisée (RNBN) qui travaille dans le domaine des soins chroniques, à condition que son nom ne soit pas publié par crainte de représailles.

“Si les accusations ne sont pas abandonnées par la Couronne, la prochaine étape consiste à fixer une date de procès. Notre date limite est le 2 avril 2021.”

LifeSiteNews a créé une page LifeFunder pour la famille afin de l’aider à couvrir les frais.

LifeSiteNews a rapporté le mois dernier comment la mère et sa famille revenaient des États-Unis au Manitoba après avoir assisté au rendez-vous médical de la grand-mère de 79 ans et rendu visite à sa famille.

Elles ont toutes reçu des tests négatifs du Covid avant de traverser la frontière en voiture pour rentrer chez elles. En raison d’un problème de voiture, lorsqu’ils ont atteint la frontière, les tests, qui ont une fenêtre de validité de 72 heures, étaient expirés depuis deux heures. Les agents frontaliers ont non seulement rejeté les tests, mais ont également infligé à la famille l’amende maximale pour ne pas avoir “respecté un ordre concernant [sic] une mesure de traitement visant à prévenir l’introduction et la propagation d’une maladie transmissible”.

La famille a ensuite été emmenée dans une installation de quarantaine COVID gérée par le gouvernement, où elle a été contrainte de rester jusqu’à ce qu’elle puisse subir d’autres tests COVID.

La mère a raconté à LifeSiteNews cette semaine les détails de leur séjour dans l’installation de mise en quarantaine.

“Nous sommes restées à l’hôtel, 3 jours et 2 nuits. Nous avons fait nos devoirs, prié, pris des leçons de danse via Zoom, et mangé nos repas”, a-t-elle déclaré.

“Nous étions escortées à l’extérieur une fois par jour pour une promenade autour de la propriété. Une infirmière est venue dans la chambre pour un contrôle de bien-être/symptômes tous les matins. Finalement, nous avons tous reçu nos résultats négatifs à 20 heures le mercredi 17 février. Nous devions attendre que l’agent de quarantaine envoie par courriel une note de sortie pour chacun d’entre nous, ce qui s’est fait rapidement.”

“Nous étions si heureuses de pouvoir rentrer à la maison. Nous étions tellement contentes de pouvoir rentrer chez nous, mais nous nous demandions encore pourquoi nous devions aller à l’hôtel en premier lieu”, a-t-elle ajouté.

Au cours des jours suivants, des agents du gouvernement, habilités par la loi sur la quarantaine, ont appelé la famille pour s’assurer qu’elle respectait les règles relatives à la mise en quarantaine à domicile.

“Ils appelaient 6 fois par jour”, a raconté la mère, “un appel pour chaque personne”.

“Ils étaient très préoccupés par l’endroit où le non-voyageur, mon mari, vivait dans la maison. Ils n’arrêtaient pas de demander comment nous faisions pour rester séparés, même si nous avions tous deux des tests négatifs. Ils ont aussi fait une visite à domicile où nous avons dû montrer une pièce d’identité et répondre à un tas de questions à nouveau.”

La mère n’est pas restée inactive à la maison. Elle a raconté comment elle a appelé les agents frontaliers à de nombreuses reprises, demandant pourquoi ses enfants avaient reçu une amende et comment ils étaient censés la payer.

“J’ai expliqué la situation, en insistant sur le fait que je ne comprenais pas comment mon enfant de 9 ans, ou de 12 ans, etc. devait payer cette amende. Dans la semaine qui a suivi, j’ai reçu une lettre envoyée par courrier recommandé par le Service des poursuites pénales du Canada, indiquant que “la Couronne ne poursuivra pas vos enfants”.

La mère a déclaré qu’elle aurait souhaité, au moment du passage de la frontière, en savoir plus sur ses droits en tant que citoyenne canadienne. Elle aurait insisté pour que les agents respectent ses droits.

Plus personne n’a de droits.




Maître Carlo Brusa dévoile toute la SUPERCHERIE du COVID !

[Source : Quartier Libre TV]






Le «vaccin» d’AstraZeneca change-t-il de nom pour continuer en douce ?

[Source : European Medicines Agency (Agence européenne des médicaments)]

Vaxxevria (anciennement Vaccin Covid-19 AstraZeneca)
[Dans le rectangle sur fond vert :]
AUTORISÉ
Ce médicament est autorisé pour utilisation dans l’Union Européenne

Formes autorisées

(Document COVID-19 Vaccine AstraZeneca, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

Numéro AMM UE Nom (de fantaisie) Dosage Forme Voie pharmaceutique d’administration primaire Conditionnement Contenu
(Concentration)
Présentation
EU/1/21/1529/001 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 4 ml (8 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (80 doses)
EU/1/21/1529/002 Vaxzevria –1 Suspension injectable Voie intramusculaire Flacon (verre) 5 ml (10 doses de 0,5 ml) 10 flacons multidoses (100 doses)

Extraits du document « Annexe I »

(Document Vaxzevria, COVID-19 Vaccine (ChAdOx1-S [recombinant]) (europa.eu))

[Les effets secondaires reconnus par le fabricant :]

Effets indésirables du médicament SOC MedDRA Fréquence Effets indésirables
Affections hématologiques et du système lymphatique Peu fréquent Lymphadénopathie
Troubles du métabolisme et de la nutrition Peu fréquent Diminution de l’appétit
Affections du système nerveux Très fréquent Céphalées
Peu fréquent Étourdissements
Somnolence
Affections gastro-intestinales Très fréquent Nausées
Fréquent Vomissements
Diarrhées
Affections de la peau et du tissu sous-cutané Peu fréquent Hyperhidrose
Prurit
Éruption cutanée
Affections musculosquelettiques et du tissu conjonctif Très fréquent Myalgies
Arthralgies
Troubles généraux et anomalies au site d’administration Très fréquent Sensibilité au site d’injection
Douleur au site d’injection
Chaleur au site d’injection
Prurit au site d’injection
Ecchymoses au site d’injection (a)
Fatigue
Malaise
État fébrile
Frissons
Fréquent Gonflement au site d’injection
Érythème au site d’injection
Fièvre (b)
(a) : Les ecchymoses au site d’injection incluent un hématome au site d’injection (peu fréquent)
(b) : Fièvre mesurée ≥ 38°C



Même le Pr Delfraissy déconseille confinement et politique de la peur

Par Dr Gérard Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Mais pourquoi le président Emmanuel Macron n’écoute-t-il plus le président du Comité scientifique ?  Et pourquoi certains réclament-ils un nouveau confinement ?

Il y a un an, on ne connaissait pas bien le Covid-19 et le Président a eu peur.

La peur, créée par la prophétie apocalyptique de Ferguson (500 000 morts en France) et amplifiée par la propagande terrorisante du gouvernement et des médias, lui a fait accepter un confinement aveugle [1] qui ne reposait sur aucun argument scientifique du monde réel, mais seulement sur un modèle mathématique imparfait, reposant sur des hypothèses fausses.

Le Président vraisemblablement subjugué par les modélisateurs du Comité scientifique et l’utilisation de modèle informatique, a préféré croire les prédictions d’un mathématicien au lieu de suivre la sagesse médicale traditionnelle, qui venait pourtant de faire ses preuves en Corée du Sud, Taïwan et au Japon.

Car comme le précise J.-P. Delfraissy, dans son article récent, [2] le confinement « est une mesure attirante pour les dirigeants politiques craignant une responsabilité juridique pour des réponses nationales lentes ou indécises ».

Espérant que le confinement masquerait l’état pitoyable de nos hôpitaux [3] affaiblis par 20 ans de gestion bureaucratique, nos gouvernants ont créé la pire crise sanitaire depuis plus d’un siècle et la pire crise économique depuis la dernière guerre. Macron a déclaré la guerre, mais sa stratégie du confinement aveugle (doublé d’une interdiction des traitements précoces sous l’influence des lobbies et de son gouvernement) nous a conduit à une cuisante défaite contre la maladie, tout en massacrant les forces vives de la nation.

Car la crise dramatique que nous subissons actuellement n’est pas due au Covid-19, mais aux mesures totalitaires scientifiquement infondées, disproportionnées et souvent stupides qu’ils nous ont imposées.

Bilan d’un an de confinement et de mesures prétendument sanitaires 

Sur le front du Covid-19, les résultats des confinements sont catastrophiques. Les confinements aveugles, expériences sociales inédites jusqu’ici, n’ont pas atteint leur objectif de diminuer le nombre des contaminations ou de ralentir leur rythme [4] [5] [6].

L’analyse des trajectoires des épidémies avant et après le verrouillage, par la recherche des points de rupture (break point analysis), ne montre aucun signe de discontinuité dans les tendances du taux de croissance, du temps de doublement et du nombre de reproduction.

En extrapolant les tendances des taux de croissance avant le verrouillage, il n’existe aucun élément de preuve que les confinements aveugles auraient sauvé des vies dans le monde réel, contrairement à ce que prétendent les études basées sur les modèles mathématiques des proches de Ferguson qui comparent des morts virtuelles attendues (estimations grossies de 1000 %) au nombre réellement observé [7].

Les rares succès apparents sont en fait liés aux reculs naturels de l’épidémie qui ont précédé le confinement comme en Grande-Bretagne, en Italie (ainsi que le montre la figure suivante) [8] ou en Norvège ainsi que l’a courageusement reconnu le Premier ministre norvégien Erna Solberg, lors d’un discours à la télévision nationale le 27 mai 2020 : « était-il nécessaire de fermer les écoles ? “Peut-être pasJ’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur ».

La comparaison du début des épidémies dans les différents pays montre même que le confinement aveugle enfermant ensemble malades et bien-portants augmente parfois la vitesse de propagation de l’épidémie, comme le prouve la comparaison de deux pays voisins (Belgique et Pays-Bas) aux populations très proches par leur âge, leur mode de vie et l’état de leurs hôpitaux.

Après un an d’épidémie et de mesures sanitaires sévères, au 26 mars 2021, la France avec 1 422 morts/million d’habitants trône sur le podium des 5 plus fortes mortalités européennes attribuées au Covid-19 avec les autres grands pays européens champions du confinement aveugle : la Belgique (1969/M), la Grande-Bretagne (1863/M), l’Italie (1766/M), l’Espagne (1592/M).

alors que ceux qui n’ont pas confiné à l’aveugle souffrent d’une mortalité Covid-19 plus faible, qu’il s’agisse des Pays-Bas (957/M), de la Finlande(148/M), de la Suède (1324/M) ou de la Biélorussie (231/M).

Comme le reconnaissent (enfin) J.-P. Delfraissy et ses coauteurs du Comité scientifique : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur, fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie ».

Mais le désastre sanitaire du confinement ne se limite pas au Covid-19

Les traitements médicaux sont d’autant plus efficaces qu’utilisés tôt et bien surveillés. Le confinement et le plan blanc ont entraîné des arrêts et/ou des retards de traitement de toutes les pathologies non Covid. Leur absence, leur retard ou leur mauvaise surveillance ont eu des conséquences critiques sur la vie des malades, sans compter l’angoisse générant des pathologies psychiatriques.

En France, on peut estimer qu’au moins 60 000 morts supplémentaires actuelles et/ou futures sont des victimes des retards et/ou défauts de soins et on ne peut que regretter le silence de la plupart des politiques et des médias pour ces victimes collatérales. Qu’il s’agisse de maladies aiguës (crises cardiaques, embolies, accidents vasculaires cérébraux) ou de malades chroniques abandonnées à cause du Plan blanc [9] ou des cancers non diagnostiqués.

Les jeunes qui ne craignent presque rien du Covid-19 ont vu leurs études massacrées et leurs relations sociales gravement perturbées à une période où elles sont essentielles à leur épanouissement personnel et social futur. La véritable menace sanitaire actuelle est celle des problèmes psychiatriques amplifiés ou créés par le confinement et qui se traduit dans la hausse des consultations psychiatriques, l’augmentation forte de la consommation des antidépresseurs et de la fréquence des suicides qui menacent maintenant même les enfants.

La précarité et les troubles psychiques chez les étudiants, secondaires à l’arrêt des cours “en présentiel”, ne pourront être qu’aggravés par un nouveau confinement.

Ainsi que le reconnaît Delfraissy :

« les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2. »

La courageuse prise de position du professeur Delfraissy et des autres membres du Conseil scientifique prouvent qu’ils ont conservé leur esprit scientifique et qu’ils ont capables d’analyser les faits, contrairement aux dirigeants politiques et aux représentants de commerce des firmes qui veulent nous maintenir en esclavage jusque nous acceptions de nous faire traiter ou vacciner avec des produits expérimentaux.

Inefficace ou délétère sur le Covid-19, catastrophique pour les autres pathologies, dramatiques pour les jeunes, responsable d’une crise économique [10] , d’un chômage record, le confinement est inefficace et totalement nuisible.

Et l’argument, on « ne peut rien faire d’autre car nos hôpitaux ne sont pas prêts » qui pouvait se discuter il y a un an, est aujourd’hui devenu scandaleux. En un an on a dépensé 120 milliards d’euros pour la crise, on pouvait largement augmenter les lits de réanimation en rouvrant les hôpitaux récemment fermés (à Paris comme l’Hôtel-Dieu ou le Val-de-Grâce que des gestionnaires envisagent de transformer en centres commerciaux ou hôtel de luxe. Et soulignons une nouvelle fois le traitement précoce qui diminue drastiquement le besoin de lits de réanimation.

L’expérience acquise depuis 1 an prouve sans équivoque que le confinement aveugle est sanitairement délétère, catastrophique pour les jeunes, l’éducation, les violences familiales, l’économie, la démocratie, la vie sociale, en un mot pour tout ce qui nous rend humain.

Même le professeur Delfraissy le reconnaît publiquement avec 4 autres membres du Comité scientifique. Comment certains ministres peuvent-ils encore oser en menacer le pays ? Comment peuvent-ils encore interdire aux médecins de traiter leurs malades en leur âme et conscience ? Et comment les journalistes peuvent-ils prétendre que ce confinement serait voulu par le Conseil scientifique ? en tous cas pas par tous ses membres. On choisit celui qui nous arrange !

Au classement mondial du bonheur 2020 [11], les pays européens qui n’ont pas confiné occupent 4 des 6 premières places : Finlande et Islande étant les champions suivis par les Pays-Bas (5e) et la Suède tandis que la Grande-Bretagne passe de la 13e à la 18e place et la France recule d’un rang (21e).

Le confinement, sanitairement désastreux ne fait pas le bonheur !  Stop confinement !

Dr Gérard Delépine


[1] ne séparant pas les malades des bien-portants. Voir Autopsie d’un confinement aveugle par N. et G. Delépine éditions Fauves septembre 2020

[2] JF Delfraissy and al  Lancet Public health, avril 21, 6,4

[3] Pourtant clamée haut et fort par les soignants lors des grèves et des manifestations durement réprimées

[4] Thomas Meunier Full lockdown policies in Western Europe countries have no évident impacts on the COVID-19 epidemic. https://doi.org/10.1101/2020.04.24.20078717

[5] E Bendavid, C Oh, J Bhattacharya, John P A Ioannidis Assessing mandatory stay-at-home and business closure effects on the spread of COVID-19 Eur J Clin Invest   2021 Jan 5 ; e13484. doi :10.1111/eci.13484.

[6] Wieland, T. Une approche phénoménologique pour évaluer l’efficacité des interventions non pharmaceutiques liées au Covid-19 en Allemagne. Saf. Sci. 131, 104924 (2020).

[7] l’article de Flexman prétend que le confinement aurait sauvé plus de 3 millions d’Européens ; il cite la Suède où le confinement a sauvé 26 OOO Suédois alors que la Suède n’a jamais confiné. Il affirme aussi que le confinement a sauvé 450 000 Allemands alors sur une période où l’Allemagne n’a pas confiné ! !

[8] Surjit S Bhalla Lockdowns and Closures vs COVID – 19 : COVID Wins Nov 1, 2020 https://ssbhalla.org/wp-content/uploads/2020/10/Lockdowns-Closures-vs.-COVID19-Covid-Wins-Nov-4.pdf

[9] L’Académie de chirurgie s’en est inquiétée dans son communiqué du 15 mai 2020 : « depuis la mise en place du Plan blanc le 13 mars, 85 % des 7,2 millions d’interventions chirurgicales programmées chaque année en France ont été reportées, soit près d’1,1million d’actes (CNAMTS, ATIH). Il en résulte des risques d’aggravation dus au retard de prise en charge, non seulement en oncologie, mais également dans les autres disciplines

[10] Déjà 120 milliards d’euros envolés

[11] world happiness report 2020 WHR+21.pd




Le plan de relance européen suspendu par Karlsruhe !

[Source : MINURNE-RÉSISTANCE]

Par Jean Goychman

La Cour constitutionnelle allemande a décidé de suspendre la ratification du plan de relance européen qui devait sceller la solidarité retrouvée des États-membres de la zone euro. Il était, du reste, assez étonnant qu’après avoir plusieurs fois alerté les instances européennes sur la non-conformité des actions entreprises par la BCE en regard des modalités définies dans les différents traités européens, la Cour de Karlsruhe ne se soit pas manifestée plus tôt.

UN PLAN DE RELANCE DE 750 MDS €

Ce programme de relance, porté par la BCE à hauteur de 750 milliards d’euros, est destiné à aider les pays qui ont vu leur situation financière dégradée par la crise du COVID.
Comme la BCE ne peut créer de la monnaie que sur des dettes, il faut donc que ce soit les Etats-membres qui empruntent de l’argent auprès des marchés financiers privés. Jusqu’à présent, un certain nombre de pays, dont l’Allemagne, avaient constamment refusé l’idée de la mise en commun des dettes publiques. Ils passaient pour des « radins » alors qu’ils voulaient simplement ne pas payer pour les autres, jugés trop « dispendieux ».

Compte-tenu de l’ampleur de la crise, Emmanuel Macron, avant tout partisan de la création d’une Europe fédérale, crut qu’il avait une opportunité de pousser ses idées. La rapide et énorme augmentation de la dette française, due au confinement généralisé sur le territoire, pouvant fragiliser la France et peut-être même la zone euro, ne pouvait laisser insensible la Chancelière allemande.

Celle-ci accepta sans entrain excessif le plan de la BCE poussé par Emmanuel Macron. Mais le plus dur restait à faire : convaincre les autres pays « dissidents » du bien-fondé de ce plan de relance qui passait par la mutualisation des dettes des États.

Les négociations s’engagèrent au sein du Conseil de l’Europe et furent longues et difficiles. Toutefois, un accord arriva le 20 juillet 2020 et, pour la 1ère fois, les États acceptèrent d’emprunter collectivement en déléguant les modalités à la Commission Européenne.

Pour entrer en vigueur, ce plan de relance doit toutefois être ratifié par chacun des Etats-membres.

COUP DE TONNERRE À BRUXELLES !

Le texte ayant été approuvé par les parlementaires européens le 12 février 2021, il convient maintenant le faire ratifier par les chefs d’État.

Et c’est là où la Cour Constitutionnelle allemande intervient en suspendant le processus en raison

« d’un recours contre ce mécanisme basé sur une dette commune.
L’instance suprême « a décidé que le texte de loi » sur ce plan, qui venait d’être approuvé par les parlementaires, « ne devait pas être paraphé par le chef de l’Etat » dans l’attente d’une décision sur ce recours en référé, selon un communiqué de la Cour 
».

Véritable « coup de tonnerre » dans le Landerneau bruxellois, cette demande en référé porte justement sur l’inconstitutionnalité de la mise en commun des dettes publiques. Les demandeurs estiment que la Constitution allemande ne permet pas à l’Allemagne de partager sa dette avec d’autres États, invoquant une sorte de transfert financier des pays « vertueux » vers ceux considérés comme « dépensiers »

De plus, se pose à nouveau le problème des financements des déficits publics par la BCE, ce qui lui est interdit par l’article 123 du traité de Lisbonne :

« Il est interdit à la Banque centrale européenne et aux banques centrales des États membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions, organes ou organismes de l’Union, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la Banque centrale européenne ou les banques centrales nationales des instruments de leur dette est également interdite ».

EST-CE UN MOMENT CRUCIAL POUR L’UNION EUROPÉENNE ?

C’est plus que probable, car la crise du COVID a agi comme un véritable révélateur de ce qu’était la réalité de l’Union Européenne. La concurrence entre les États et la défiance des uns envers les autres a pris des proportions alarmantes. De plus, les disparités économiques, déjà considérables, ont été amplifiées par la crise sanitaire qui risque de se prolonger par une crise sociale sans précédent.

Le jeu d’Emmanuel Macron, qui se voulait le champion de l’intégration européenne peut se retourner contre lui et contre Angela Merkel. La différence entre les deux est que Mme Merkel a prévu de quitter bientôt la scène politique, et que M Macron ne partage pas nécessairement ce dessein…

Jean Goychman




Révélations de l’économiste Gaël Giraud sur le système bancaire, le blanchiment d’argent, le chaos économique…

[Sources : Thinkerview et My Cost Killer]

Version complète :

Extrait sur le fonctionnement des banques :




La vérité contre la peur

[Source anglaise : LifeSite (lifesitenews.com)]

[Ndlr : Les notes et références ne font pas partie de lettre originale, mais sont ajoutées par Nouveau Monde.]

La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation

Par Mgr Carlo Maria Viganò

Cette lettre reflète dans une large mesure l’intervention que je vais donner aux participants du prochain sommet «La vérité contre la peur : Covid-19, le vaccin et la grande réinitialisation», du 30 avril au 1er mai 2021, organisé par Patrick Coffin. Cet événement vital met en vedette plus de 20 des meilleurs médecins, chercheurs et avocats du monde, et offrira une approche scientifique et sensée de la pseudo-pandémie. Tout le monde a droit au consentement éclairé.

Mgr Carlo Maria Viganò

25 mars 2021 (LifeSiteNews) — Ce que nous avons appris jusqu’à présent sur la pseudo-pandémie nous donne l’image d’une réalité inquiétante et d’une conspiration criminelle encore plus inquiétante ourdie par des esprits égarés. Cette réalité n’est cependant pas prise en considération par ceux qui, hypnotisés par l’endoctrinement médiatique, persistent à considérer une grippe saisonnière grave comme un fléau pandémique, les traitements connus comme inefficaces, et les prétendus vaccins reconnus inutiles et nocifs comme rien moins que miraculeux.

La réputation des entreprises pharmaceutiques

Nous savons que les géants de l’industrie pharmaceutique — AstraZeneca(([1] https://www.industriepharma.fr/amende-aux-etats-unis-pour-astrazeneca,35697)), Pfizer(([2] https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/445723/pfizer-entente,
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/200909/02/01-898108-pfizer-va-payer-une-amende-record-de-23-milliards.php)), Moderna, Johnson & Johnson(([3] https://www.lesechos.fr/industrie-services/pharmacie-sante/johnson-johnson-ecope-dune-amende-de-8-milliards-de-dollars-aux-etats-unis-1138460)) — non seulement n’ont pas suivi les protocoles ordinaires de test des médicaments, mais ont de plus un long historique de condamnations pour avoir précédemment causé de graves dommages à la population, en distribuant des vaccins dont il s’est avéré qu’ils provoquaient des maladies invalidantes.

Conflits d’intérêt

Nous connaissons les conflits d’intérêts(([4] http://agora.qc.ca/Documents/Conflit_dinterets–Medecine_et_conflits_dinterets_par_Josette_Lanteigne,
https://www.quechoisir.org/dossier-conflits-d-interets-en-medecine-t2687/,
https://formindep.fr/les-conflits-dinterets-en-medecine-quel-avenir-pour-la-sante-france-etats-unis-japon/
https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/)) macroscopiques qui existent entre les entreprises pharmaceutiques et les organismes chargés de leur contrôle : dans de nombreux cas, les employés de ces entreprises sont passés par les entités qui doivent approuver et autoriser l’utilisation des médicaments, et il est difficile d’imaginer qu’ils aient la liberté de faire une évaluation juste et prudente tout en continuant souvent à avoir des liens professionnels avec Big Pharma. En effet, nous venons de voir récemment avec le cas d’AstraZeneca en Europe que la nocivité évidente du soi-disant vaccin — qui a conduit certaines Nations à suspendre sa distribution(([5] https://www.rfi.fr/fr/europe/20210311-covid-19-plusieurs-pays-europ%C3%A9ens-suspendent-l-utilisation-du-vaccin-astrazeneca)) — n’est pas considérée comme une raison suffisante par l’EMA (Agence européenne des médicaments) pour en interdire l’adoption(([6] https://www.journaldemontreal.com/2021/03/18/le-vaccin-astrazeneca-est-sur-et-efficace)). Les récentes découvertes sur les effets secondaires(([7] https://www.fawkes-news.com/2020/12/la-fda-enumere-les-effets-secondaires.html)) graves ont été conçues pour exclure la majorité des cas et surtout pour ignorer délibérément la relation de cause à effet entre l’inoculation du vaccin et ses effets secondaires à court ou à long terme.

Déresponsabilisation contre les effets secondaires

Nous savons qu’au mépris de tout principe juridique et de la protection de la population les entreprises pharmaceutiques ont exigé d’être dégagées de toute responsabilité pour les dommages que pourraient subir les patients(([8] https://blogs.mediapart.fr/le-cri-des-peuples/blog/270820/vaccin-covid-19-les-laboratoires-ne-seront-pas-responsables-des-effets-secondaires (bien qu’officiellement ce ne soit pas le cas :
https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/vaccins-et-covid-en-cas-d-effets-indesirables-contre-qui-les-patients-pourront-ils-se-retourner-7074158
https://www.lci.fr/sante/vaccins-contre-le-covid-19-les-laboratoires-seront-ils-vraiment-decharges-de-toute-responsabilite-en-cas-d-effets-secondaires-2165265.html
https://www.leparisien.fr/societe/vaccins-une-clause-de-non-responsabilite-pour-les-labos-cinq-minutes-pour-comprendre-la-polemique-10-12-2020-8413532.php, mais :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194) )), à qui l’on demande de signer une décharge en même temps que leur consentement éclairé(([9] Cela dépend probablement des pays. Au Québec, le futur vacciné ne reçoit apparemment qu’un feuillet « Pour aider au consentement éclairé – Opération vaccination Covid-19 »
https://publications.msss.gouv.qc.ca/msss/fichiers/2020/20-279-23WF.pdf)). Ainsi, en plus des profits scandaleux tirés de la vente des vaccins, les multinationales pharmaceutiques garantissent leur propre impunité pour une opération criminelle, menée avec la complicité des institutions internationales et des gouvernements.

Le secret sur les clauses contractuelles

Nous savons que les termes contractuels des accords passés par les nations et par l’Union européenne avec ces entreprises pharmaceutiques sont inaccessibles et secrets : même les parlementaires et les représentants politiques ne sont pas autorisés à voir les clauses qu’ils ont dû approuver dans une boîte scellée.(([10] Cependant, certains documents ont pu partiellement fuiter :
https://www.humanite.fr/vaccins-decryptage-des-contrats-signes-entre-les-laboratoires-et-lunion-europeenne-700194)) Et nous savons que ces mêmes entreprises pharmaceutiques, non seulement n’assument aucune responsabilité quant aux effets secondaires, mais déclarent même ne pas garantir leur efficacité à immuniser contre le virus. (([11] Un vaccin procurant à coup sûr l’immunité aurait 100 % d’efficacité. Or, celui qui revendique le maximum d’efficacité ne serait efficace qu’à 95 %.
https://reinfocovid.fr/science/les-vaccins-efficaces-a-95-de-pfizer-et-moderna-nous-avons-besoin-de-plus-de-details-et-de-donnees/))

L’origine chinoise du virus

(([12] En toute rigueur, l’hypothèse n’est pas définitivement prouvée, même si plusieurs indices y concourent.
https://www.francesoir.fr/societe-sante/sars-cov-2-lhypothese-quil-proviendrait-dun-laboratoire-gagne-du-terrain))
Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 a, selon toute probabilité, été produit en laboratoire, avec la complicité de la dictature chinoise. La Chine étant l’un des principaux financiers de l’OMS après la Fondation Bill & Melinda Gates, elle a pu empêcher toute enquête sur l’origine du virus ou les premiers stades de sa propagation.(([13] https://siksik.org/qui-finance-loms/))

Complicité du personnel de santé

Nous savons que chaque nation, à de très rares exceptions près, a immédiatement adopté les protocoles sanitaires les plus absurdes émanant de l’OMS, à commencer par la décision malheureuse de ne pas traiter les malades dès l’apparition des premiers symptômes et de les soumettre à une ventilation profonde une fois que le syndrome grippal a dégénéré en pneumonie bilatérale aiguë. Et cela s’est produit avec l’exécrable complicité du personnel sanitaire — des médecins au personnel hospitalier — provoquant des milliers de décès non pas à cause de la COVID, comme nous le disent les grands médias, mais à cause d’un traitement incorrect.(([14] https://nouveau-monde.ca/flavia-grosan-pneumologue-roumaine-cest-le-protocole-covid-applique-dans-les-hopitaux-qui-tue-les-malades/))

Délégitimation et boycott des traitements disponibles

(([15] Et même souvent leur interdiction pure et simple.
https://www.gatsbyonline.com/ataraxie/ce-que-cache-l-interdiction-de-vente-de-lhydroxychloroquine-420416/))
Nous connaissons également la campagne furieuse contre l’efficacité des traitements déjà existants(([16]
https://nouveau-monde.ca/laissons-les-medecins-prescrire-la-resistance-des-medecins-liberaux-sorganise/)), depuis l’utilisation de plasma hyperimmun(([17] ou convalescent.)) jusqu’à l’utilisation de médicaments que de nombreux médecins, bien que violant les normes sanitaires imposées pendant ces mois, ont jugé de leur devoir d’administrer à leurs patients, avec succès.(([18] https://reinfocovid.fr/science/ivermectine/
[19] https://cv19.fr/2020/12/18/le-traitement-du-covid-existe-azithromycine-ivermectine-hydroxychloroquine-et-les-vaccins/)) Et il n’est pas difficile de comprendre que le faible coût des traitements, le fait que beaucoup d’entre eux ne sont pas soumis à des brevets, et surtout leur efficacité immédiate dans le traitement représentent pour les entreprises pharmaceutiques et leurs complices une raison plus que suffisante pour s’y opposer et les discréditer, jusqu’à en interdire l’usage.

Un projet planifié depuis des années

(([20] https://nouveau-monde.ca/preuves-que-la-pandemie-a-ete-planifiee/
https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-mondiale-le-veritable-objectif-de-loperation-covid-19/5653966))
Nous savons que pour mener à bien cette opération criminelle — puisqu’il faut parler de crime contre Dieu et contre l’humanité, et non d’un simple destin malheureux — il a fallu des années de planification, menées de manière systématique, afin d’affaiblir les plans nationaux de lutte contre les pandémies, de réduire drastiquement le nombre de lits dans les hôpitaux et les unités de soins intensifs(([21] https://nouveau-monde.ca/covid-et-saturation-des-hopitaux-les-plans-de-restructurations-de-lhopital-public-sur-le-banc-des-accuses/
https://www.belgiqueenbonnesante.be/fr/donnees-phares-dans-les-soins-de-sante/hopitaux-generaux/organisation-du-paysage-hospitalier/categorisation-des-activites-hospitalieres/l-evolution-du-nombre-de-lits-agrees-d-hospitalisation)), de créer une masse d’employés aveugles, sourds et muets, qui ne sont plus médecins et qui placent leur propre sécurité sur le lieu de travail avant leur devoir de soigner les malades. Le serment d’Hippocrate a été violé au nom du profit des entreprises pharmaceutiques et de la poursuite d’un projet d’ingénierie sociale.

Implication du système de santé

Nous savons que pour obtenir la complicité des médecins et des scientifiques, on a eu recours non seulement au système de corruption et de conflits d’intérêts qui existe depuis des décennies, mais aussi à la distribution de prix et de primes en espèces.(([22] https://nouveau-monde.ca/de-mediator-a-astrazeneca-mensonges-et-corruptions-au-sein-de-la-gouvernance-francaise-et-europeenne/
https://nouveau-monde.ca/quand-la-pensee-unique-la-quete-de-notoriete-une-betise-sans-limite-la-corruption-ou-pourquoi-pas-des-menaces-menent-a-limmonde/
https://nouveau-monde.ca/pourquoi-les-scientifiques-ne-font-pas-de-science-pourquoi-lobscurantisme-est-il-la-regle/)) Pour donner un exemple, en Italie, un médecin spécialiste reçoit 60 euros par heure pour administrer des vaccins dans les centres de vaccination ; les médecins généralistes reçoivent des primes pour chaque patient qu’ils ont vacciné ; un lit en soins intensifs est payé environ 3000 euros par jour par le service national de santé. Il est évident que ni les médecins généralistes, ni le personnel hospitalier, ni les agences régionales de santé n’ont intérêt à se priver d’énormes revenus, après que la santé publique ait été démolie au cours de la dernière décennie au nom de la réduction du gaspillage imposée par l’Union européenne. Pour donner une idée, l’Italie a reçu 72 invitations de Bruxelles à fermer tous les petits hôpitaux qui, aujourd’hui, sous le prétexte de la pandémie, ont été rouverts et financés avec des fonds que l’UE alloue à titre de prêt avec des contraintes et des conditionnalités qui, en d’autres moments, auraient été jugées inacceptables. Pourtant, ces hôpitaux ont bien fonctionné, permettant d’offrir un service étendu aux citoyens, et ils ont pu éviter la propagation des maladies.

Le rôle fondamental des médias

Nous savons que des nations ont accordé des financements aux médias, en guise de contribution à l’information sur le COVID. En Italie, le gouvernement de Giuseppe Conte a alloué des sommes importantes pour que le système d’information national donne une version alignée de la pandémie, et il a censuré toute voix dissidente. La diffusion des données sur les infections et les décès a été grossièrement manipulée, suggérant que toute personne ayant un résultat positif au test doit être considérée comme malade(([24] https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2020/04/06/coronavirus-reveillez-vous-on-se-fout-de-vous-il-y-a-des-directives-pour-surestimer-considerablement-le-nombre-de-deces-dans-tous-les-pays/
https://bam.news/tribune/lettre-ouverte-a-yves-coppieters/
https://www.francesoir.fr/societe-sante/transcription-de-la-conference-de-presse-scotus-des-medecins-de-premiere-ligne-de)), même si les asymptomatiques ne sont pas contagieux — de l’aveu même de l’OMS et des organismes analogues aux États-Unis, au Canada, en Australie, etc..(([25] https://nouveau-monde.ca/les-depistages-massifs-par-pcr-ne-servent-a-rien-stop-depistage/)) Et à côté de ces financements gouvernementaux, dans de nombreux cas, les conflits d’intérêt avec les entreprises pharmaceutiques ont pu également interférer dans les choix des diffuseurs et des journaux, d’une part parce que Big Pharma représente l’un des principaux acheteurs d’espaces publicitaires, et d’autre part parce qu’elle est présente dans le conseil d’administration des sociétés d’information. Il est difficile de croire que le rédacteur en chef d’un journal, même s’il est persuadé que la pandémie est une fraude, oserait aller à l’encontre du PDG ou priver le journal des bénéfices publicitaires de Pfizer ou Johnson & Johnson.(([26] https://nouveau-monde.ca/pourquoi-la-fondation-bill-melinda-gates-a-subventionne-le-journal-le-monde-a-hauteur-de-4-millions-de-dollars/
https://nouveau-monde.ca/covid-et-domination-planetaire-comment-bill-gates-et-ses-amis-milliardaires-se-sont-assures-le-soutien-des-medias/
https://observatoiredumensonge.com/2020/12/16/medias-francais-que-devient-lobjectivite/))

Responsabilité des médias sociaux

Nous savons qu’en plus de la complicité des médias, la machine infernale des médias sociaux, de Facebook à Twitter, de Google à YouTube, a mobilisé une opération de censure éhontée et scandaleuse, au point d’effacer les profils d’éminents scientifiques et de journalistes reconnus, pour la seule raison qu’ils n’obéissaient pas aux diktats de la narration du COVID. Même dans ce cas, il n’est pas surprenant de découvrir les relations économiques et de parenté existant entre ces multinationales colossales, qui sont devenues au fil du temps les propriétaires de l’information et les arbitres de qui a le droit à la liberté d’expression et qui ne l’a pas.(([27] Ces médias sont allés jusqu’à censurer complètement l’ancien Président des États-Unis, Donald Trump, parce qu’il ne s’alignait pas avec leur discours !))

Qui en bénéficie ?

Nous savons également qui sont les principaux bénéficiaires de la pandémie, en termes économiques : les usuriers des banques, qui ont le pouvoir de maintenir à flot les entreprises idéologiquement alignées, et en même temps de faire échouer les petites entreprises si elles constituent un obstacle gênant à l’établissement du Nouvel Ordre Mondial. Ces petites entreprises, répandues surtout sur le Vieux Continent et en particulier en Italie, constituent le tissu social et l’identité économique de nombreuses nations. Leur large diffusion dérange les multinationales de la grande distribution, d’Amazon à JustEat, qui, pendant la période de blocage, ont augmenté leurs profits de manière scandaleuse, au détriment des activités commerciales normales, car ce livre que nous avions l’habitude d’acheter à la librairie du coin doit maintenant être commandé en ligne, tout comme le déjeuner, le toner de l’imprimante et le détergent pour lave-vaisselle. Cette « nouvelle économie » s’est imposée avec arrogance en quelques semaines seulement l’année dernière, grâce à la fermeture simultanée des magasins et à l’obligation de rester à la maison qui ont été imposées aux citoyens.(([28] https://nouveau-monde.ca/la-covid-19-sourit-aux-milliardaires/))

L’éducation

Nous savons que la nécessité d’endoctriner les jeunes générations ne pouvait pas exclure de ce plan l’enseignement scolaire et universitaire, qui est aujourd’hui dispensé via « l’enseignement à distance » avec des conséquences psychologiques très graves pour les enfants et les jeunes. Cette opération jette aujourd’hui les bases pour qu’un jour l’enseignement offert via internet puisse être unifié, décidant quels professeurs sont autorisés à donner des cours et ce qu’ils doivent dire, et je ne serai pas surpris si bientôt cette forme d’enseignement aligné comprend un nombre de plus en plus restreint de professeurs : un seul professeur d’histoire pour tous les élèves d’une nation, avec un programme étroitement défini et contrôlé. Il ne s’agit pas d’une réalité lointaine, lorsque chaque élève sera obligé de se connecter en ligne et ne pourra plus faire appel à un professeur de sa propre école, mis à la retraite ou retiré de l’enseignement parce qu’il ne se conforme pas aux ordres du pouvoir. Nous ne pouvons pas non plus être surpris si les nouveaux enseignants sont des hologrammes qui élaborent des algorithmes, ou des intelligences artificielles inquiétantes qui endoctrinent des millions de jeunes dans la théorie du genre, la doctrine LGBT, et toutes les aberrations morales que nous avons anticipées ces dernières années.(([29] La technologie informatique actuelle rend ceci tout à fait possible :
https://www.etonnante-epoque.fr/deep-fake/))

Les promoteurs de la pandémie

Nous savons qui sont les théoriciens de la pandémie utilisée comme instrumentum regni (([30] un royaume d’outils)), de Bill Gates(([31] https://fr.sott.net/article/36020-Bill-Gates-dicte-aussi-et-en-toute-discretion-la-politique-alimentaire-mondiale-et-plus-encore)) à George Soros(([32] https://cogiito.com/a-la-une/les-mondialistes-utilisent-covid-19-pour-inaugurer-lagenda-2030-des-nations-unies-brave-new-world-avec-dix-ans-davance-sur-le-calendrier/)), dans un réseau de complicité d’intérêts si vaste et organisé(([33] https://nouveau-monde.ca/lagenda-2030-vert-de-lonu-est-derriere-la-grande-reinitialisation-du-forum-economique-mondial-suivez-la-piste-de-largent/)) que toute mesure d’opposition est pratiquement impossible. Avec eux, nous trouvons le répertoire le plus inquiétant d’organisations dites philanthropiques et de lobbies de pouvoir, comme le Forum économique mondial avec Klaus Schwab(([34] https://nouveau-monde.ca/le-%e2%80%89great-reset%e2%80%89-nest-pas-du-complotisme/)), l’OMS(([35] https://nouveau-monde.ca/loms-veut-immuniser-le-public-contre-la-desinformation-tous-les-moyens-de-controle-et-de-persuasion-sont-mis-en-oeuvre/)) et toutes ses branches nationales, la Commission trilatérale(([36] https://aphadolie.com/2019/06/13/commission-trilaterale-a-infiltre-les-gouvernements/)), le groupe Bildeberg(([37] https://blogs.mediapart.fr/candice-vacle/blog/160819/le-pouvoir-secret-du-groupe-bilderberg-0)), le Conseil pour le capitalisme inclusif dirigé par Lady Lynn Forester de Rothschild(([38] https://www.c2montreal.com/fr/speaker/lady-lynn-forester-de-rothschild/#/)) sous la direction spirituelle de Bergoglio(([39] Le pape François.)) et, plus généralement, la phalange de multinationales, de banques et de groupes de pouvoir qui font partie du sommet des conspirateurs. Ne soyez pas surpris si, en parfaite cohérence avec leurs plans, les sectes et les mouvements satanistes mondiaux se mobilisent également, à commencer par l’Église de Satan qui exalte l’avortement comme rituel propitiatoire pour la fin de la pandémie, exactement comme Big Pharma exige des pseudo-vaccins produits avec des fœtus avortés.

[…]

Si quelque chose ne fonctionne pas, on peut l’utiliser pour autre chose

Il faut reconnaître que l’illogisme apparent de ce que nous voyons se produire — le boycott des traitements préventifs, les thérapies erronées, les vaccins inefficaces, les confinements sans utilité(([40] https://nouveau-monde.ca/loms-confirme-que-le-test-covid-19-pcr-est-invalide-les-estimations-des-cas-positifs-sont-sans-fondement-le-confinement-na-aucune-base-scientifique/
https://nouveau-monde.ca/lechec-du-confinement-et-des-vaccins-reconnu-par-ceux-qui-les-ont-conseilles-le-pr-delfraissy-et-coll/
https://nouveau-monde.ca/les-confinements-sont-catastrophiques-partout-dans-le-monde/)), l’utilisation de masques absolument inutiles(([41] https://nouveau-monde.ca/masques-tests-vaccins-prevention-actions-et-recours/
https://lesakerfrancophone.fr/mise-a-jour-des-donnees-scientifiques-recentes-concernant-la-politique-covid-19
https://nouveau-monde.ca/le-masque-un-lent-assassinat-collectif-monte-sur-des-mensonges-une-museliere-anti-sociale-pour-esclaves-consentants/)) — prend tout son sens dès lors que l’on comprend que l’objectif déclaré — vaincre la prétendue pandémie — est un mensonge, et que le véritable objectif est la planification d’une crise économique, sociale et religieuse en utilisant comme outil une pseudo-pandémie habilement provoquée. Ce n’est qu’ainsi que l’on peut comprendre la simultanéité et l’univocité des dispositions adoptées par les différentes nations, la narration alignée des médias et le comportement des dirigeants politiques. Il y a un seul scénario sous une seule direction(([42] https://nouveau-monde.ca/les-acteurs-mondiaux-peuvent-utiliser-le-coronavirus-pour-remodeler-le-monde-sans-guerre-president-de-bielorussie/
https://valeriebugault.fr/de-letat-profond-au-gouvernement-mondial-avec-pierre-bergerault-tvl)), qui utilise la collaboration et la complicité des politiciens et des gouvernants, des médecins et des scientifiques, des évêques et des prêtres, des journalistes et des intellectuels, des acteurs et des influenceurs, des multinationales et des banquiers, des fonctionnaires et des spéculateurs. Les profits et les gains y contribuent, car ils achètent et assurent la loyauté des subordonnés, mais cette guerre — ne l’oublions jamais ! — est une guerre idéologique et religieuse.(([43] https://nouveau-monde.ca/covid-19-le-port-du-masque-le-lavage-des-mains-la-separation-sociale-et-le-verrouillage-sont-des-rituels-occultes-seculaires/))

Deux mondes opposés

Cette crise sert à créer les conditions nécessaires pour rendre inévitable la Grande Réinitialisation(([44] https://nouveau-monde.ca/du-confinement-a-la-grande-reinitialisation/)), c’est-à-dire le passage du monde basé sur la civilisation gréco-romaine et le christianisme à un monde sans âme, sans racines, sans idéaux. En pratique, c’est le passage du Royaume du Christ au Royaume de l’Antéchrist, d’une société vertueuse qui punit les méchants à la société impie et méchante qui punit les bons. Cette idée détestable d’« égalité » qui nous a été inculquée par les libres penseurs a été utilisée pour mettre sur un pied d’égalité le bien et le mal, le vrai et le faux, le beau et le laid, sous le prétexte de reconnaître la liberté d’expression. Aujourd’hui, elle sert à promouvoir le mal, l’injustice et le mauvais, et même à les rendre obligatoires, afin de délégitimer et d’interdire le bien, la justice et la beauté. […] Nous devons donc comprendre que, si nous n’assistons pas passivement aux changements en cours et si nous ne nous laissons pas imposer l’idéologie mondialiste dans toutes ses formes les plus abjectes, nous serons bientôt considérés comme des criminels, hostes publici(([45] ennemis publics.)) […]

Nul n’est prophète en son pays

Bien sûr, ce que nous voyons se produire aujourd’hui sous nos yeux aurait pu être compris et prédit depuis des années, si seulement nous avions prêté attention à ce que les théoriciens du Great Reset déclaraient en toute impunité. En réalité, ceux qui ont dénoncé ce plan, qui est actuellement en cours, ont été traités de théoriciens du complot, ridiculisés ou passés pour des fous, ostracisés par l’information grand public et criminalisés, chassés des chaires universitaires et de la communauté scientifique. Aujourd’hui, nous comprenons la clairvoyance des alarmes qui ont été lancées et la puissance du mécanisme d’organisation mis en place par nos adversaires. Au nom de la liberté, nous nous sommes habitués à nous voir privés du droit de parler et de penser, et l’effort de pathologisation de la dissidence(([46] https://nouveau-monde.ca/la-pathologisation-de-la-dissidence/)) afin de légitimer les camps de détention(([47] https://guyboulianne.com/2020/11/05/un-camp-secret-covid-19-capable-dheberger-pres-de-100-personnes-infectees-par-le-coronavirus-est-pret-a-lemploi-au-manitoba/
https://guyboulianne.com/2020/11/20/un-camp-covid-19-est-il-bati-sur-le-terrain-de-lhopital-hotel-dieu-de-saint-jerome-dans-la-region-des-laurentides-dossier-dinvestigation/
https://guyboulianne.com/2021/01/26/lallemagne-instaure-des-camps-de-detention-obligatoire-pour-les-individus-qui-enfreignent-a-plusieurs-reprises-les-mesures-de-quarantaine/)) et de limiter les mouvements sur la base du passeport sanitaire est déjà en cours.

[…]

L’Homme n’est pas un robot

Il y a cependant un élément que les conspirateurs n’ont pas pris en compte : la faiblesse humaine d’une part, et la puissance de Dieu d’autre part. La faiblesse humaine fera que certains des complices de cette conspiration ne seront pas totalement obéissants aux ordres qui leur ont été donnés, ou bien ils penseront qu’ils peuvent tirer un avantage personnel de la pseudo-pandémie en dénonçant la tricherie et la corruption. Certains penseront d’abord à leur propre intérêt, d’autres imposeront l’obligation du vaccin à n’importe qui, mais ils auront quelques scrupules lorsqu’il s’agira de vacciner leur propre enfant ou leur parent âgé. Certains craindront que la farce pandémique ne les implique d’une manière ou d’une autre dans le scandale, et ils commenceront à avouer et à parler, d’autres seront utilisés puis brutalement écartés, ce qui éveillera en eux le désir de vengeance et les conduira à révéler les dessous du plan. Petit à petit, ce colosse aux pieds d’argile s’effondrera, inexorablement, sur ses propres mensonges et ses propres crimes.

[…]

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque

25 mars 2021


Notes et références




Pourquoi les « scientifiques » ne font pas de science ? Pourquoi l’obscurantisme est-il la règle ?

Par Alain Tortosa

Ce texte vient compléter celui que j’ai écrit sur l’incapacité de l’être humain d’exister dans une vérité anxiogène et ainsi son besoin de la fuir. (Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »)

La corruption ne suffit pas à elle seule à expliquer le délabrement actuel de la science.

Traitements contre le Covid et corruption

En fait, je m’apprêtais à écrire un long dossier sur l’Ivermectine et les anticorps monoclonaux. D’un côté, une molécule quasi gratuite qui date de plus de quarante ans et dont la toxicité semble marginale. De l’autre côté, les anticorps monoclonaux dont le coût d’un traitement est de plusieurs milliers d’euros et dont la toxicité est avérée.
Nous revivons exactement l’épisode de l’hydroxychloroquine et du Remdesivir.
Tandis que tout est fait pour saborder le premier, le 2e est adoubé par l’agence européenne du médicament !

Une revue « Global trends in clinical studies of ivermectin in COVID-19 » après analyse de 42 études arrive à la conclusion que l’Ivermectine est efficace. Cette revue a été publiée dans un journal scientifique japonais de renom et cosignée par Satoshi Ōmura, prix Nobel de médecine en 2015.
Et le 22 mars l’Agence Européenne du Médicament met en garde contre l’utilisation de l’Ivermectine tandis que quelques jours auparavant, elle autorise les anticorps monoclonaux.
Dormez tranquille, c’est cette même agence européenne qui a validé les vaccigénies et les vaccins expérimentaux en ayant fait sauter bon nombre de sécurités pour leur commercialisation.

L’industrie pharmaceutique est une industrie

  • Il est un fait que l’industrie pharmaceutique est une industrie dont les profits dépassent ceux de l’industrie pétrolière.
  • Il est un fait qu’elle n’hésite pas à mentir, corrompre médecins, politiques, journalistes…
  • Selon l’ONG Transparency International, 30 % des membres du Parlement européen et 50 % des Commissaires européens qui ont quitté leur poste travaillent pour des lobbies ! (cf « 7milliards d’esclaves et demain ? »).
  • L’association Corporate European Observatory, qui lutte contre le lobbying indique dans sa publication « Petit guide de la lobbycratie à Bruxelles » :

«On estime à plus de 25 000 le nombre de lobbyistes travaillant dans cette capitale européenne. (,,,) 1,5 milliard d’euros sont dépensés chaque année pour faire pression sur la Commission européenne, le Parlement européen… »

Donc rien de nouveau sous le soleil. L’ultra-capitalisme est là pour faire du profit et n’en a que faire de l’humain… mais là n’est pas l’objet de mon texte…

Où sont passés les médecins et les scientifiques ?

Je ne parlerai pas ici de celles et ceux qui n’ont plus droit à la parole et qui sont même poursuivis par leur conseil de l’ordre parce qu’ils osent réfléchir ou soigner leurs patients !
Je vais m’intéresser à la masse de celles et ceux qui nous ont conduits dans la situation dramatique dans laquelle nous nous trouvons.

1) Le manque de formation. Une fabrique de petits soldats

Je crains que ce ne soit le nerf de la guerre.
Il me semble évident que la démarche scientifique n’est pas apprise dans nos universités sinon nous n’en serions pas là.
L’enseignement français ressemble à un gavage et un formatage des esprits.
Cette « vérité » se transmet de génération en génération. L’étudiant qui a appris d’un maître enseignera aux générations suivantes la même histoire une fois devenu professeur. Ce type d’enseignant devenu inutile pourra être remplacé prochainement par des ordinateurs.

2) La vérité est « pyramidale » et elle naît de la plus forte autorité

Le plus compétent est celui qui est le plus diplômé et le plus élevé dans la hiérarchie. Ni plus ni moins !
Il est de bon ton de se moquer du « complotiste » qui n’a de fait aucune « légitimité », car son curriculum vitae ne l’autorise pas à réfléchir.
Le jeune chercheur ou médecin sera à minima découragé dans ses tentatives de questionnement ou de remise en cause d’une « vérité ».
En revanche le professeur de médecine qui, toute sa vie, n’aura fait que répéter son formatage, sera quant à lui le « grand prêtre détenteur et défenseur de la foi et de la vérité ». Critiquer ses « vérités » est de l’ordre du blasphème et certains n’hésitent pas à qualifier l’entreprise de « criminelle ».
Toutes les personnes d’un rang inférieur approuveront naturellement ce « puits de science » sans jamais le remettre en question.

3) La vérité scientifique est statistique

Elle sera d’autant plus « vraie » qu’elle sera publiée, citée, dupliquée à l’infini pour en devenir une vérité non pas scientifique, mais statistique.
Plus une information est répétée et plus elle est vraie.
C’est ainsi que l’industrie du sucre, pour détourner l’attention, a mis en place une campagne afin de rendre la graisse responsable des maladies cardiaques. Des médecins et des scientifiques ont été achetés, des centaines et des milliers de publications ont eu lieu et ainsi le gras est devenu l’ennemi. Qui pense aujourd’hui que le mauvais cholestérol est un mythe ? Dans le cadre du Covid, les contre-vérités scientifiques se succèdent et sont répétées à l’infini… et elles deviennent de fait « La Vérité ».
Une autre illustration est la méta-étude ou méta-analyse. On analyse la littérature sur un sujet et si 82 % des études publiées affirment qu’une molécule est inefficace alors nous avons la « preuve » de son inefficacité !
Mais 82 % des études sont-elles bien menées, honnêtes, dénuées de conflits d’intérêts, dénuées de biais et financées par qui ?

4) Le biais inconscient

Inutile d’être corrompu pour faire de la fausse science. C’est la conséquence directe de la vérité statistique.
Il est très difficile de reprogrammer ses croyances et d’assumer ses erreurs…

  • Dès lors que la vérité officielle est qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid.
  • Que la vérité officielle est que l’unique solution est le vaccin.

Si vous étudiez une molécule, vous allez inconsciemment orienter vos résultats afin de ne pas risquer de mettre à mal vos croyances.
Et si par malheur une autorité a déjà émis une simple critique sur ladite molécule, alors votre recherche ne visera plus à déterminer si cette molécule fonctionne ou pas, mais à écarter toutes les données qui pourraient aller dans le sens de son efficacité.
Ce problème se produit dès lors que nos certitudes sont basées non pas sur des données scientifiques, mais sur des croyances.

5) La bêtise et la fainéantise

Le plus grand mal est sans doute la bêtise humaine. 90 % des médecins médiatiques ne sont que des porte-parole, mais ils l’ignorent.
Bien entendu, ils se croient supérieurement intelligents comme de très nombreux médecins. Ils n’ont pas lu la moindre étude sur le Covid, au mieux un petit résumé.
Ils n’ont jamais cherché à se faire leur propre opinion, mais se contentent de répéter. Ils n’ont jamais eu le moindre sens critique, le moindre questionnement.
Si demain on leur explique que le blocage du virus passe par une plume dans le cul (cf. mon texte), alors ils adhéreront comme ils ont adhéré à toutes les débilités précédentes.
Ils sont simplement complètement idiots, mais médiatisés, diplômés et donc « crédibles ».

6) La peur, les sanctions et les menaces

Si vous voulez faire carrière et grimper dans la hiérarchie, la voie royale est la prostitution. Nous avons vu ici comment des Peronne, Raoult et autres Toubiana ont été traînés dans la boue, menacés ou virés…
Dès lors que la vérité scientifique relève de la foi et que les tables de la loi sont écrites par l’industrie pharmaceutique, il devient important d’envoyer un signal fort à tout scientifique qui se permettrait de réfléchir, poser des questions ou de douter.
Combien de médecins ou de chercheurs vivent aujourd’hui dans la peur ? Le conseil de l’ordre des médecins n’est qu’une milice aux ordres de Vichy.
Alors « si vous voulez survivre, devenez une pute, asseyez-vous sur vos valeurs et priez pour que la science et la démocratie reviennent un jour ».
Et puis « masquez et vaccinez vos enfants » !
Ou « empochez 1500 euros le samedi pour leur injecter des potions expérimentales »

Nous voyons ici à quel point il est quasi impossible de disposer d’une information scientifique rigoureuse sur le Sars-Cov2. Tout est fait pour fabriquer des moutons et des crétins dès le plus jeune âge.
L’enseignement ne vise en rien l’épanouissement, la curiosité, l’apprentissage de la critique, le questionnement, mais uniquement à formater et (remplir) vider des cerveaux.
Et si le port du masque entraîne des retards d’apprentissage chez de jeunes enfants, cela ne pourra qu’être bénéfique dans une société qui vise à fabriquer des moutons dociles et terrorisés.
Nous avons la science, les médecins, les journalistes, les politiques, etc. que nous méritons.

Et j’en reviens toujours au même point.

Une autorité le dimanche nous disait que le masque était inutile et dangereux (ce qui est vrai).
Le lundi, cette même autorité nous a dit qu’ils étaient vitaux, inoffensifs et le monde « scientifique » a suivi dans un bellement à l’unisson.
Pour faire taire ceux qui auraient eu quelques doutes, on a fait croire que c’était une stratégie, car on manquait de masques…
De fait tout ce monde qui a perdu la capacité de réfléchir enlèvera son masque le jour où cette même autorité dira qu’ils ne sont plus utiles en se basant s’il le faut sur la taille des variants et les phases de la Lune…
Ils peuvent dire n’importe quoi, et cela ne sera jamais remis en cause par la masse.

La science est morte, vive la science !

Merci

Alain Tortosa 29 mars 2021.

« 7milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210329-antiscience-chez-les-scientifiques.pdf




Un cimetière d’abeilles sous les antennes 5G à Toulouse

[Source : Guy Fawkes News]

À Toulouse, dans ma résidence, des antennes 5G ont été installées sur le toit. Depuis, les cadavres d’abeilles s’accumulent sur le sol, juste en dessous des antennes 5G. Je suis effarée, effrayée, choquée! On va droit dans le mur. C’est un suicide collectif bien connecté! J’en appelle à nos politiques. Arrêtons ce massacre!
Source: Lune Troc



Le passeport vert européen et les QR codes d’ATOS

[Source : Ciel Voilé (cielvoile.fr)]

Le commissaire européen Thierry Breton nous annonce le passeport sanitaire européen pour le 15 juin. Or on savait qu’il y aurait conflit d’intérêts puisque par le plus grand des hasards sa société ATOS dont il a été le PDG de 2009 à 2019, est précisément spécialisée dans les QR codes, les contrôles aux frontières par le numérique et la digitalisation des données de santé. C’est du reste cette société ATOS qui gère les applications de QR code pour les voyages en Espagne. Edouard Philippe est devenu administrateur de cette société dont les principaux actionnaires sont Blackrock et Siemens. Une plainte d’anticor avait été déposée suite à du favoritisme dans des marchés publics pour la mise en place des radars automatiques alors que Thierry Breton était ministre. Vous avez compris la toile d’araignée? Alors qu’ils sont nommés dans le cadre d’un mandat politique ou européen, ils font leur business sur la mise en esclavage numérique des peuples européens avec des techniques de contrôle et surveillance digitales commercialisées par leurs propres boîtes.

https://www.lefigaro.fr/politique/covid-19-thierry-breton-annonce-l-arrivee-d-un-passeport-vaccinal-des-le-15-juin-20210328

https://www.bastamag.net/Thierry-Breton-audition-Commission-Europe-conflit-interets-PDG-Atos-Macron

https://www.leparisien.fr/politique/commission-europeenne-thierry-breton-cible-par-une-nouvelle-plainte-d-anticor-25-10-2019-8180385.php

https://www.zonebourse.com/cours/action/ATOS-SE-4612/actualite/ATOS-nbsp-va-gerer-les-formulaires-de-controle-sanitaires-des-voyageurs-vers-l-Espagne-31151155/

https://www.capital.fr/economie-politique/la-future-remuneration-dedouard-philippe-chez-atos-1381412
 Thierry Breton, PDG d’une multinationale financée par les fonds européens en voie de devenir commissaire… européen

par Rachel Knaebel 14 novembre 2019

Après le rejet de Sylvie Goulard par le Parlement européen, Emmanuel Macron a proposé Thierry Breton au poste de commissaire européen au Marché intérieur. Au vu du curriculum vitæ du personnage et des marchés sur lesquels intervient l’entreprise dont il était PDG, Atos, ce choix pose de sérieuses questions.

Le 12 novembre, le Parlement de Strasbourg a approuvé en commission la candidature de Thierry Breton au poste de commissaire européen. À 12 voix contre 11, les députés de la commission des Affaires juridiques ont estimé que le profil de l’ancien ministre de l’Économie français, Thierry Breton, ne présentait pas de conflits d’intérêts. L’ingénieur de formation a donc passé cette première étape de justesse. Il y a deux semaines, le Parlement européen avait rejeté la candidature de Sylvie Goulard, ancienne ministre de la Défense mise en cause dans une affaire d’emplois présumés fictifs d’assistants parlementaires.

Exempt de tout conflit d’intérêt, Thierry Breton, vraiment ? Si sa candidature est validée, le Français proposé par Emmanuel Macron pour le portefeuille du Marché intérieur arrivera directement à la Commission depuis sa position de… PDG de grande entreprise. De 2008 à octobre 2019, Thierry Breton a dirigé le groupe Atos. L’entreprise fournit des solutions en télécommunications et électronique, pour la défense ou l’aéronautique, ainsi que pour des fichiers administratifs. Le méga-fichier français TES (pour titres électroniques sécurisés) qui rassemble les données personnelles et biométriques des Français pour les cartes d’identité ou les passeports, c’est Atos.

L’entreprise est aussi active dans le secteur des services sociaux privatisés au Royaume Uni, où sa politique de réduction des dépenses sociales est très controversée (voir notre article). Thierry Breton a démissionné de son poste de PDG d’Atos le mois dernier dans la perspective de devenir commissaire européen, et renoncé à sa rémunération qui avoisinait les 6,1 millions d’euros en 2017 (salaire fixe, part variable et rémunérations en actions).

La suite sur Bastamag




La danse des mougeons

[Source : Exister en Liberté]




Pourquoi la condition humaine est-elle conditionnée par la peur et le refus de la vérité ? « Par pitié, mentez-moi ! »

Par Alain Tortosa

Le Covid est une nouvelle illustration de l’impossibilité pour l’homme de vivre dans la vérité.

Serait-elle à ce point insupportable qu’elle en deviendrait mortelle ?!

Devons-nous y renoncer afin de simplement pouvoir « vivre » ?

Peut-on exister, être heureux dans un monde réel et en avons-nous le droit moral ?

Dès lors qu’un enfant prend conscience de sa condition de mortel, il va mettre en place un processus permettant de l’occulter (plus ou moins) et nous, humains, vivons comme si nous étions immortels.

Dès lors qu’une réalité est trop angoissante, trop pleine d’incertitudes et qu’elle échappe à tout contrôle, tout est fait pour la balayer et l’extirper de son conscient.

Qui conscientise que notre confort d’occidentaux repose sur le sang d’autres êtres humains ?
Qui associe son smartphone à la mort factuelle d’enfants pour extraire des terres rares ?

Il en était de même pour les crimes d’Hitler ou Staline que le peuple ne voulait ou ne pouvait voir !

Alors quand on nous parle de Covid… Attention, je ne vous parle pas des têtes pensantes dont l’objectif est de faire de nous des esclaves lobotomisés, mais de vous et moi.

Quand on nous manipule tous les jours depuis un an pour nous faire croire en l’existence d’un virus mortel pour lequel il n’existerait pas de traitements et qui peut frapper quiconque…

Pensez-vous que cette angoisse soit supportable ?

Un discours de vérité scientifique qui vous dit :

  • Le confinement d’une population générale ne sert strictement à rien hormis créer de la misère, de la destruction du vivre ensemble, de la paranoïa, de la dépression et des suicides.
  • Le port du masque d’une population générale ne sert à rien hormis à mettre en danger votre santé, rendre visible une épidémie invisible et vous museler.
  • Les gestes barrières, le lavage des mains au gel, la distanciation, l’aération d’une pièce ne servent à rien pour une population en bonne santé… Et oui…

Et donc, que l’on ne contrôle absolument pas une épidémie !

Ces vérités scientifiques ne sont pas supportables.

Nous vivons au moyen-âge et le peuple a besoin de décideurs responsables, de sacrifices, de pattes de lapin pour se rassurer et surtout d’acquérir un statut d’irresponsable et surtout pas de décideur. Les humains, dans leur immense majorité, préfèrent ainsi vivre dans un maximum d’ignorance.

La folie est telle que des parents en sont à refuser de mesurer le taux d’oxygène de leurs enfants masqués, pour la simple raison qu’ils ne veulent surtout pas prendre le risque de découvrir la vérité. Il est tellement plus vivable, plus confortable d’être dans le mythe du masque protecteur et inoffensif que dans la réalité du masque patte de lapin, dangereux et maltraitant !

Bien entendu, il en est de même pour toutes les lois liberticides qui nous sont imposées.

Merci.

Alain Tortosa.

Auteur de « 7milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210327-mortelle-verite.pdf




Un passeport vert pour un État mondial numérisé

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam]

Le Programme de développement durable de l’Agenda 2030  » jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. » Ce texte a été écrit en 2019 quelques semaines avant la pandémie planétaire annoncée quelques semaines plus tard.

Le virus va permettre de faire vivre ces quelques mots quotidiennement grâce à une coordination médiatique planétaire pour le moins fascinante par le consensus dont elle fait l’objet.

À l’heure actuelle, il est question d’un passeport vaccinal. Or, plus je me documente sur le sujet, et plus je repense au Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030. J’avais présenté celui-ci dans Coup d’Etat planétaire en tant que nouvelle Constitution planétaire d’un territoire, de frontières et d’une économie atomisés et captés par la haute finance internationale.

Le Digital Green Pass peut être considéré comme la nouvelle carte d’identi(fication)té de citoyens numériques.

Ce document officiel est très intéressant et très important car il relègue à l’arrière-plan le passeport national.

Le passeport vert semble faire l’unanimité planétaire au niveau de gouvernants, tous signataires du Programme 2030. Dans les faits, il acte la fin des Etats-Nations.

Pourtant quelque chose de plus est en train de se passer. Les nouveaux documents « officiels » émis par des corporations globalisées signifient la fin des libertés individuelles au profit de l’humain en cours de normalisation et d’uniformisation.

Le Green pass n’est rien d’autres que la marche vers la définition de normes standardisées et universelles auxquelles le transhumain idéal devra répondre. La digitalisation fait que l’évaluation permanente (crédit social) sera facilitée d’autant grâce à une connectivité permanente sur fond d’hygiénisme surfait. Les résultats qu’elle indiquera lui permettra de recevoir sa pitance. Zéro carbone bien sûr.

Le Green Pass est le sésame qui fait entrer le terrien dans le monde de l’Agenda 2030, un monde atomisé et complexe, incompréhensible au terrien normal. Ce passeport le reliera au Green New Deal de la haute finance, dont l’Agenda 2030 est l’aboutissement d’un long processus démarré avec le président Roosevelt et la fondation de la structure supranationale, enfant de Bretton Woods.

Bref, à passeport universel, une citoyenneté universelle pour une gouvernance planétaire.

La couleur verte rappelle que l’homme ne doit plus trop bouger au nom d’une santé planétaire dorénavant gérée par ses pollueurs …

La digitalisation permet l’intrusion permanente de tiers au nom de la santé. Votre corps ne vous appartient plus

Je vous invite à lire ce petit chapitre qui explique certains mécanismes fondateurs de la citoyenneté universelle prévue de très longue date. Vos élus avaient juste oublié de vous en parler.

LHK

La Politique Commune des États. Coup d’État planétaire (Extrait)

« We the peoples of the United Nations». C’est par ces quelques mots que s’ouvre le préambule de la Charte des Nations Unies. Signée le 26 juin 1945 à San Francisco, cette assertion n’est pas sans rappeler les premiers mots de la Constitution américaine « We The People of the United States ».

De fait, l’ONU est non seulement un lieu de rassemblement supranational, mais aussi d’intégration des Etats et des peuples par une multitude de projets communs. En 2000, la Déclaration du Millénaire des Nations Unies, qui ressuscitait les valeurs des four freedoms, fut signée à New York par les 193 Etats-membres. Un consensus, une unanimité qui en fait une feuille de route à destination des Etats de la planète. Un texte fondamental, voire fondateur de la nouvelle gouvernance planétaire. Dans son préambule les quelques mots qui suivent donnent le ton pour un projet planétaire et universel : « Nous réaffirmons solennellement, en cette occasion historique, que l’Organisation des Nations Unies est le lieu de rassemblement indispensable de l’humanité tout entière où nous nous efforçons de concrétiser nos aspirations universelles à la paix, à la coopération et au développement. Nous nous engageons donc à accorder un soutien indéfectible à la réalisation de ces objectifs communs et nous nous déclarons résolus à les atteindre».

Ainsi, la dimension universelle de l’ONU est admise par l’ensemble des Etats signataires de la Déclaration, et on a le sentiment, que les aspects concernés sont si nombreux et si conséquents qu’aucun thème social, économique ou politique n’y échappe Cette réalité est porteuse de conséquences lorsque les mêmes signataires font de l’ONU le lieu de gestion de leurs nombreux objectifs communs. La Déclaration du Millénaire confirme la démarche communautariste quand elle demande de « renforcer davantage la coopération entre l’Organisation des Nations Unies et les parlements nationaux, représentés par leur organisation mondiale, l’Union interparlementaire, dans divers domaines, notamment la paix et la sécurité, le développement économique et social, le droit international et les droits de l’homme, la démocratie et la parité entre les sexes. » Une vaste entente entre les responsables de l’ensemble des secteurs qui régissent la planète doit tricoter le nouveau monde sur fond de promesses de droits de l’homme, sous l’égide de l’ONU et du droit international. C’est ainsi que les opposés s’allient sur fond de promesses de paix et de sécurité. Mais objectivement, nous peinons à voir la paix et la sécurité dans un monde marqué par la souffrance humaine.

Qu’est-ce que l’Union interparlementaire ? (Extraits du site ipu.org)

 « L’Union interparlementaire (UIP, en anglais IPU) est l’organisation mondiale des parlements des États souverains. Créée en 1889, elle est la plus ancienne des institutions internationales à caractère politique.
Désireuse de promouvoir la paix et le principe de l’arbitrage international, elle a jeté les bases de ce qui est aujourd’hui la coopération multilatérale institutionnelle et a plaidé pour la création d’institutions analogues au niveau gouvernemental, qui se sont concrétisées sous la forme de l’Organisation des Nations unies.
L’Union a également contribué à la création de ce qui est aujourd’hui la Cour permanente d’arbitrage de La Haye.
A l’origine, simple association de parlementaires, l’Union est devenue l’organisation internationale des Parlements des États souverains (Article 1er des Statuts de l’Union interparlementaire). Foyer de la concertation et de la diplomatie parlementaires entre législateurs de tous les systèmes politiques du monde, et réunissant en son sein des représentants de toutes les tendances politiques, l’Union constitue un exceptionnel poste d’observation de l’évolution de la pensée politique. En outre, les Assemblées statutaires et les réunions spécialisées de l’Union fournissent l’occasion de lancer des idées nouvelles ou des initiatives qui font avancer la cause de la paix et de la coopération internationale. » ( Histoire de l’IPU)
« L’Union œuvre en étroite collaboration avec l’Organisation des Nations Unies dont elle partage les objectifs et appuie les efforts. Elle coopère en outre avec les organisations interparlementaires régionales et les organisations internationales, intergouvernementales et non gouvernementales qui s’inspirent des mêmes idéaux. En octobre 2016, l’UIP a adopté sa stratégie 2017-2021 sous le titre général « De meilleurs parlements pour des démocraties plus fortes ». »

Si le rôle de l’ONU en tant que médiatrice de paix est connu du grand public, celui de plateforme de la mondialisation l’est nettement moins.

La Déclaration du millénaire précise : « Nous sommes convaincus que le principal défi que nous devons relever aujourd’hui est de faire en sorte que la mondialisation devienne une force positive pour l’humanité tout entière ». Le nouvel ordre du monde de Roosevelt et de Truman est bien ancré.

L’ONU est donc cet organe facilitateur du nouveau monde, en tant que pivot entre les Etats-membres d’une part et d’autre part, entre les Etats-membres et les multinationales.

L’ultralibéralisme de l’OMC y est cautionné[1]. L’ONU promeut un multilatéralisme planétaire doublé de partenariats publics-privés si forts, que sa référence semble être un modèle qui vise à collectiviser et organiser la gestion des ressources – y compris humaines- de la planète sous bannière privée.

Quinze ans après la signature de la Déclaration, un autre programme de communautarisation globale voit le jour. Tout le monde se souvient du jour où le pape François a ouvert en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies, qui fut célébré du 25 au 27 septembre 2015. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Ce programme jette les bases du nouveau monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution planétaire. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde.

D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme : « Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable ».Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons.

Les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des États, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Exemple. Alors que le Programme prône l’éradication de la famine, l’article 68 demande « (…) à tous les membres de l’Organisation mondiale du commerce de n’épargner aucun effort pour parachever rapidement les négociations du Programme de Doha pour le développement. (…) » 

Or, le cycle de Doha est piloté par l’OMC dans le but, entre aures, de libéraliser le commerce international et dont le Programme fait la promotion des produits agricoles des pays pauvres. Mais le cycle promeut aussi la libéralisation des services publics. Récemment, Pierre Moscovici, commissaire européen, confirmait sur France Inter que l’« On peut très bien avoir des services publics qui sont gérés par des entreprises privées. ».

Et si un État venait à refuser le fameux programme 2030 qui vise à transformer le monde ? Le point 30 du Programme y répond de manière très explicite « Il est demandé instamment aux États de s’abstenir d’adopter et d’appliquer des mesures économiques, financières ou commerciales unilatérales dérogeant au droit international ou à la Charte des Nations Unies et qui font obstacle à la pleine réalisation du développement économique et social, en particulier dans les pays en développement. » L’épée de Damoclès, due à l’endettement public détenue par le privé, se chargerait de rappeler à l’ordre les États récalcitrants.

Voici un exemple supplémentaire qui démontre la perte d’autonomie, voire de l’impuissance des Etats. Elle nous vient de l’UE et du pilotage et de la « surveillance multilatérale » que ses organes exercent sur les Etats. Le rôle de la Commission européenne -entité inscrite au Registre du Commerce belge, et donc de type commercial- y est central.

Il est dit : « Le Conseil, sur recommandation de la Commission, élabore un projet pour les grandes orientations des politiques économiques des États membres et de l’Union et en fait rapport au Conseil européen. [2]» Les Etats membres qui ont ratifié ce genre de traités considèrent dans le même texte « leurs politiques économiques comme une question d’intérêt commun », raison pour laquelle ils ont transféré leur souveraineté à la Commission européenne. Cette organisation va jouer un rôle essentiel pour assurer « (…) une coordination plus étroite des politiques économiques et une convergence soutenue des performances économiques des États membres, (…) ».

Puis intervient la surveillance de ce qui devient de fait une autorité de contrôle : « (…) le Conseil, sur la base de rapports présentés par la Commission, surveille l’évolution économique dans chacun des États membres et dans la Communauté, ainsi que la conformité des politiques économiques avec les grandes orientations visées au paragraphe 2, et procède régulièrement à une évaluation d’ensemble.
Pour les besoins de cette surveillance multilatérale, les États membres transmettent à la Commission des informations sur les mesures importantes qu’ils ont prises dans le domaine de leur politique économique et toute autre information qu’ils jugent nécessaire. »
Et enfin, qui dit contrôle, dit sanction. « 4. Lorsqu’il est constaté, (…) que les politiques économiques d’un État membre ne sont pas conformes aux grandes orientations visées au paragraphe 2 ou qu’elles risquent de compromettre le bon fonctionnement de l’Union économique et monétaire, la Commission peut adresser un avertissement à l’État membre concerné. (…). Dans le cadre du présent paragraphe, le Conseil statue sans tenir compte du vote du membre du Conseil représentant l’État membre concerné. (…) »Une perte d’indépendance déjà annoncée : « Dans les faits, les banquiers centraux, notamment sous la forte influence de l’aristocratie financière supranationale, ont tricoté un réseau systémique entre eux (…). Plus ils avancent dans le processus de multilatéralisation, et plus les États de la planète sont automatiquement rendus inopérants. (…) Quel gouvernement national, dépendant des primary dealers pour sa dette publique, pourrait s’opposer à une telle alliance banco-financière ? »[3]Toutes les voies mènent à l’ONU, FMI, OMC, et autre Banque mondiale, structure supranationale de l’après-guerre et relais de la finance globale.

Annexe : Extrait de l’inscription de la Commission européenne au registre des entreprises belges.


[1] « 68. Le commerce international est un moteur de la croissance économique pour tous et un moyen de réduire la pauvreté ; il contribue au développement durable. Nous continuerons à soutenir un système commercial multilatéral universel, fondé sur des règles, ouvert, transparent, prévisible, inclusif, non discriminatoire et équitable établi sous l’égide de l’Organisation mondiale du commerce, et nous sommes favorables à une véritable libéralisation des échanges. »

[2] TFUE ; Chapitre 1, article 121 (ex-Article 99 TCE)

[3] Dépossession, id.




Note sur le bouchon de Suez

Par Joseph Stroberg

Incident purement fortuit ou volontaire, à qui peut-il nuire et à qui peut-il profiter ?

Quelques éléments de réflexion :

Le navire porte-containers qui bouche le Canal de Suez appartient à une compagnie taïwanaise, sachant que Taïwan est alliée des États-Unis, mais fortement hostile à la Chine communiste.

La nouvelle route de la soie développée par la Chine peut devenir d’autant plus utile et nécessaire que le flux maritime est réduit.

Depuis plusieurs années, les mondialistes semblent favoriser la Chine au détriment des États-Unis dans le but de faire s’effondrer le dollar et de faciliter ainsi le Grand Reset.

Le Grand Reset s’inscrit dans la stratégie du chaos contrôlé.

La « plandémie » Covid-19 engendre le chaos économique.

Le bouchon du canal augmente ce chaos.




Stratégie du Chaos Contrôlé

[Source : krystalstarcenter.com]

[Ndlr : L’hypothèse d’une influence non humaine derrière une telle stratégie n’enlève pas pour autant à la pertinence de l’analyse.]

Par Lisa Renee

Aujourd’hui, trop de personnes de bon cœur dans le monde accordent à leurs dirigeants et décideurs corrompus le bénéfice du doute, en invoquant l’incompétence ou la compassion pathologique lorsqu’ils tentent d’expliquer la destruction et le déclin rapidement croissant de leur culture occidentale dans les grandes villes soumises au programme du Chaos Contrôlé. La destruction systématique et méthodique des ressources naturelles et des cadres culturels civilisés, la destruction ou la dissimulation de beaux chefs-d’œuvre de l’art et de la littérature, et la décimation intentionnelle d’artefacts et d’antiquités mettant en évidence les âges précédents d’une culture humaine éclairée n’est pas un accident. Le Chaos Contrôlé est basé sur la soumission des individus à des méthodes sophistiquées de Manipulation Psychologique globale conçues pour réformer et réprimer la conscience de masse, en Façonnant de Faux Récits qui détruisent l’Unité et l’Empathie au sein de l’humanité. Les stratégies de division et de domination encouragent les divisions, les conflits et le chaos entre les groupes opposés afin d’empêcher la formation d’alliances fortes et l’unification qui pourraient remettre en cause le pouvoir du Contrôleur ou du Dirigeant. Cela s’étend aux entités négatives, telles que les groupes Lucifériens ou Sataniques, qui exercent un contrôle supplémentaire sur leurs représentants humains qui ont été socialement conçus pour mener à bien leur programme de division et de conquête de la race humaine.

Comprendre les motivations de l’élite du pouvoir en place signifie comprendre leurs croyances spirituelles et idéologiques liées à l’utilisation du chaos contrôlé contre leur opposition, qui est essentiellement d’inciter continuellement au chaos et à la division afin de contrôler le reste des habitants de la terre. Le chaos contrôlé, c’est comprendre le rôle de la théorie du chaos qui est utilisée dans la prise de décision militaire, lors de la planification de tactiques de division et de conquête visant tout groupe, toute population ou toute nation. Le Chaos contrôlé est utilisé à la fois comme une stratégie de guerre spirituelle sur le front métaphysique par des forces obscures non physiques, et comme un outil de désinformation et une tactique d’affaiblissement basé sur la propagande et visant les masses du monde physique. Il s’agit d’une stratégie globale de domination de la Terre sur tout le spectre (full spectrum domination), menée par les forces des EANs [Ndlr: Entités Aliénigènes (ou non-humaines) Négatives, à l’image des « démons » ou des « Archontes » dans certaines traditions religieuses ou culturelles, ou encore des Reptiliens dans des théories plus récentes relevant du domaine ufologique.], qui utilisent des contrôleurs humains sur le terrain qui ont eu accès à des richesses et des ressources illimitées de la planète afin de gérer le reste d’entre nous dans un Chaos Contrôlé.

En détruisant méthodiquement la cohésion et l’unité qui existent au sein de tout groupe, organisation, État ou nation ciblé, le groupe est affaibli par la division interne et le chaos, ce qui fait que des forces organisées extérieures qui utilisent des tactiques de chaos contrôlé peuvent intercepter et imposer facilement le contrôle des ressources du groupe. Dans le cadre d’une étude de cas, la destruction d’un état puissant pourrait être souhaitée par des sociétés multinationales, des syndicats du crime et des institutions qui ont l’intention d’obtenir un contrôle agressif sur les ressources financières, militaires et informationnelles de cet état. Les stratégies consisteraient notamment à saturer la propagande de la culture de la mort dans la population en renforçant les comportements destructeurs, tels que l’augmentation du dénuement et du nombre de sans-abri, la distribution gratuite de seringues d’héroïne, la promotion de la misère sexuelle pour réduire le taux de natalité et augmenter le taux de mortalité. Lorsqu’il y a indifférence à la souffrance, à la misère et au dénuement des autres, les gens deviennent suicidaires et perdent leur volonté de vivre. Cela agit comme un mécanisme d’euthanasie générale pour faciliter une stratégie eugénique ou tuer dans la culture ciblée.

Une autre étude de cas permettant d’observer les stratégies de chaos contrôlé en action, comme l’utilisation de la modification du climat pour provoquer le chaos, est mise en évidence par l’activité récente de l’Ouragan Florence sur la côte est. Dane Wigington, de GeoengineeringWatch.org, a attiré l’attention du public sur ce sujet avec son récent article et la vidéo ci-dessous.

« L’ouragan Florence infligera-t-il le niveau de dommages catastrophiques prévu ? L’immobilisme « prévu » de Florence sera-t-il, dans une certaine mesure, parallèle au scénario de l’Ouragan Harvey ? Ou bien un changement de direction et un affaiblissement de la tempête au cours de la dernière heure diminueront-ils une partie ou une grande partie des impacts prévus ? Dans les deux cas, l’ingénierie climatique est la partie essentielle de l’équation qui n’est reconnue par aucune source officielle. Bien que la nature engendre de plus en plus d’ouragans / cyclones en raison du réchauffement rapide des mers, les opérations massives d’ingénierie climatique mondiale (et les technologies associées) sont de plus en plus capables de manipuler et de diriger de telles tempêtes. Dès le début, les météorologues savaient que l’Ouragan Florence suivrait une trajectoire presque rectiligne vers une région spécifique de la côte est des États-Unis. Comment le savaient-ils ? Parce qu’ils lisent un script qui leur est transmis de haut en bas de l’échelle. Un script qui, en fin de compte, provient de l’entrepreneur en génie climatique Raytheon, qui effectue toute la modélisation pour le National Weather Service (NWS) et la National Oceanic and Atmospheric Administration NOAA (les deux agences gouvernementales sont soumises à un bâillon fédéral illégal). Les guerres météorologiques continuent de s’intensifier dans le monde entier, l’Ouragan Florence n’est qu’un exemple de manipulation des ouragans et des cyclones. On prévoit que le Super-Typhon Mangkhut deviendra probablement la tempête la plus puissante depuis que l’on a commencé à tenir des registres. Mangkhut touchera les Philippines et même Hong Kong. Les grands médias Américains vont-ils même en parler ? Combien d’autres problèmes d’actualité mondiale seront omis en raison de la couverture de l’Ouragan Florence ? Cela fait-il partie de l’agenda mis en place ? Bien que d’innombrables formes d’activité humaine déciment et fassent dérailler le système climatique, les programmes de géo-ingénierie sont le plus grand facteur de perturbation du climat. La couverture continue des médias mainstream concernant les opérations illégales d’ingénérie climatique en fait des complices de ces crimes. Le reportage vidéo de 5 minutes ci-dessous fournit des informations sur l’Ouragan Florence et sur certains des programmes potentiels qui se cachent derrière la manipulation de cette tempête. L’Ouragan Florence, la Géo-Ingénierie de Destruction Massive et de Distraction (Dane Wigington) »

Instiguer et semer un chaos continu, particulièrement par le biais de catastrophes naturelles ou de situations d’urgence, dépasse la capacité de soutenir un mode de vie durable et perturbe la stabilité et la cohésion nécessaires pour rétablir l’ordre dans le désordre. Le déracinement des populations, la création de réfugiés et les migrations massives sont des outils de déstabilisation et de guerre psychologique, en prenant le contrôle de ces zones par l’incitation au chaos tout en détruisant la culture locale. Lorsque l’environnement naturel et la beauté de la terre sont détruits, tels que les arbres, les plantes et les animaux, cette décimation produit un effet de Déshumanisation et de démoralisation sur les personnes qui y vivent. Vivre dans une terre désolée et stérile à cause de la pauvreté abjecte, de la guerre et des événements cataclysmiques n’est pas très souhaitable pour faire évoluer la conscience et développer la culture locale, cela produit des valeurs primitives et de la barbarie. En conditionnant la propagande du chaos contrôlé continu comme un mode de vie semé comme la Culture de la Mort mondiale, elle atteint les objectifs des Contrôleurs de diverses manières.

  • Vivre sur le terrain de la guerre psychologique des stratégies de chaos mondial contrôlé freine la croissance de la conscience humaine, exploite les émotions négatives primitives et neutralise la volonté intérieure de créer et de se développer davantage de manière positive qui contribue à la société, personnellement et professionnellement. (invoque la peur, de la division à la confusion).
  • Il détruit le développement des liens de communication entre les personnes, augmentant la compartimentation et la déconnexion de la vision de la somme plus importante des parties mobiles, supprimant l’accès à l’information qui permet aux personnes et aux groupes de voir l’ensemble du tableau. (ignorance contre intelligence, semer la division et la confusion).
  • Elle réduit la capacité des gens ordinaires à influencer les événements dans les structures de pouvoir et de contrôle, en promouvant des valeurs barbares et primitives comme étant acceptables, tout en fermant les médias indépendants et alternatifs. (déshumanisation et démoralisation, ignorance contre intelligence).
  • Augmente la bureaucratie, répand le gaslighting par de faux récits, sème la croyance illusoire qu’il faut plus d’argent pour tout résoudre, augmente l’esclavage de la dette et favorise la corruption et les comportements criminels. (accablement et usure, démoralisation).
  • Détruit les progrès de l’enseignement supérieur et contrecarre les véritables découvertes scientifiques, élimine la possibilité de poursuivre les voies d’un développement supérieur de l’humanité vers des technologies libres et ouvertes qui élimineraient la guerre, le carburant et les économies basées sur les catastrophes. (ignorance contre intelligence, division contre confusion).
  • Cache un ciblage spirituel secret et une persécution qui vise à freiner l’expansion de la conscience, nous bombardant de négativité, tout en réprimant la vérité et les attributs Krystiques dans les personnes Eveillées, car tous les médias et les piliers de contrôle de la société sont utilisés pour nous soumettre spirituellement, 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. (invoquer la peur, semer la division et la confusion, la démoralisation).

Les stratégies du Chaos Contrôlé et l’incitation intentionnelle aux forces du chaos dans le monde en général sont également liées à l’Idéologie Satanique générale et à ses principes les plus élevés. Les individus qui sont des occultistes modérés ou extrêmes dans leurs différentes branches du système de croyance satanique pratiquent également les mêmes stratégies de division et de conquête afin de prendre l’avantage et d’opprimer les masses, par Manque d’Empathie et de compassion pour le sort des autres. Le Satanisme favorise la montée de maîtres manipulateurs et de personnalités sociopathes pour exploiter toute la faiblesse psychologique et émotionnelle de l’homme à des fins personnelles. Pour l’occultiste Satanique, l’attaque psychique et la Magie Noire sont conçues pour siphonner l’énergie de l’âme afin de produire une faiblesse spirituelle ainsi que la préméditation de stratégies complexes qui visent à détruire leur opposition à tout prix. C’est pourquoi de nombreux Satanistes sont des maîtres de la propagande, utilisant des tromperies complexes à des fins de manipulation psychologique pour tenter d’endoctriner le public dans diverses formes d’Idéologie Satanique de modéré à extrême au travers des médias mainstream contrôlés.

(Source: Propaganda, Hurricane Florence, Geoengineering Mass Destruction, Dane Wigington GeoengineeringWatch.org)

→ Voir Principes de base de la Guerre Psychologique.

Auteur : Lisa Renee, energeticsynthesis.com




Un passeport de liberté ou de détention…?

[Source : Voyage Forum via Profession Gendarme]

Bonjour à tous,

Avec la crise actuelle et l’arrivée à grands pas du passeport (ou « pass ») vaccinal obligatoire pour non seulement se déplacer entre les pays, mais aussi dans notre propre pays, tout l’univers du voyage risque de bientôt changer de manière très drastique. Nos différents gouvernements nous font miroiter que le passeport vaccinal en sera un de liberté. Mais est-ce vraiment le cas?

Personnellement, je n’y crois pas du tout (cliquez ici pour lire mon questionnement en septembre 2020 concernant cette crise). Nos gouvernements nous disent que, grâce à ce passeport vaccinal, nous pourrons retrouver une partie de notre vie d’avant, retourner au restaurant, revoir nos proches, voyager… Ce brin de liberté est très attirant pour bien des gens, mais une grosse partie de la population réalisera rapidement que ce passeport vaccinal et ses conditions sous-jacentes cachent en fait, entre autres, un système extrêmement sophistiqué de suivi et de surveillance gouvernementale de tous les déplacements et fréquentations de chaque citoyen (bien des dictateurs ont rêvé d’un tel système de surveillance…). Puis viendra le moment des rappels des vaccins à chaque quelques mois et de l’obligation de passer des tests covid pour diverses situations, sous peine de voir son passeport vaccinal être désactivé. Par la suite, nos gouvernements intégreront très certainement d’autres informations dans ce fameux passeport, de sorte qu’il se transformera en une identité numérique contenant bien plus que notre simple fiche vaccinale du covid. Dans un tel système, il est légitime de se demander aussi ce qu’il adviendra de ceux qui critiqueront le gouvernement: ces personnes auront-elles autant de liberté pour se déplacer et vaquer à leurs occupations dans la société que les autres personnes plus dociles et/ou apeurées? Jusqu’où les élites dirigeantes iront-elles pour garder le contrôle sur la population, sur nous: menaces de perdre notre revenu, notre emploi, notre statut, nos droits, nos libertés, nos possessions…? Ces menaces ont de toute évidence déjà commencé dans de nombreux pays par différents subterfuges. Et, tout cela est sans compter les immenses problèmes éthiques entourant le choix de se faire vacciner ou non sous de telles conditions.

Pour ma part, il est évident que nous nous dirigeons rapidement vers un système similaire au régime totalitaire chinois. Je vous invite fortement à écouter cette vidéo sur le crédit social en Chine. Souhaitons-nous vivre dans ce genre de monde? À la vue de tous les changements qu’il y a eus dans nos sociétés depuis un an (lois et mesures très liberticides et infondées, pensée unique dans les grands médias et dans le monde scientifique (du moins en apparence…), censure de tout ce qui est contraire à la version officielle médiatisée, censure ou discréditation infondée de traitements efficaces et peu coûteux, valeurs morales inversées à différents niveaux de la société, menaces de toute sorte si on critique les décisions gouvernementales, etc.), qui peut croire encore qu’il n’y a aucun risque que nous basculions, si ce n’est pas déjà fait, vers un régime totalitaire? Au nom de la sécurité médicale absolue et du risque zéro (le plus grand des leurres pour les hypocondriaques en herbe), au nom du pseudo altruisme (par exemple, se faire vacciner en pensant que c’est «pour les autres», alors que le vaccin n’empêche pas la contagion selon les données officielles des fabricants), combien de droits et libertés sommes-nous prêts à perdre? Et, une fois perdus, n’est-il pas extrêmement naïf de penser que nos gouvernements nous les redonneront un jour d’eux-mêmes?

En tant que Canadien, je suis d’autant plus inquiet lorsque je me rappelle que l’actuel premier ministre du Canada a déjà dit publiquement qu’il admire le régime dictatorial chinois…! 

Surpris

Ça explique probablement pourquoi il ne dénonce pas haut et fort et ne fait rien de concret pour contrer les camps de concentration des Ouïghours en Chine (vidéo)… 

Incertain

Je suis aussi inquiet de réaliser à quel point l’OMS semble très liée à la Chine et à quel point le directeur de cette organisation, en plus d’être soupçonné de très sérieux crimes (article1 et article2), semble apprécier lui aussi les régimes dictatoriaux (vidéo).

Les démocraties un peu partout dans le monde sont de plus en plus à l’agonie. En guise d’exemple, voici ce qui se passe en ce moment en Israël derrière le mur opaque des grands médias (ce scénario est fort probablement prévu pour les pays d’Europe et au Canada d’ici quelques mois…):
– Sonnette d’alarme sur ce qu’il se passe en Israël
– Une Israélienne lance un S.O.S

Et, à ceux qui crient derrière leur écran «complotiste!» en lisant ce message, je leur rappelle que ces fameux «complotistes» ont eu pratiquement tout bon depuis le début de cette crise. Ils ont en fait été vraiment excellents pour annoncer (dénoncer?) les événements un an ou quelques mois d’avance. Il serait peut-être temps de commencer à les écouter…

Concernant l’avenir de VoyageForum, dans la mesure où faire la promotion des voyages impliquera bientôt nécessairement de faire indirectement la promotion du vaccin, du passeport vaccinal ainsi que de tout le contrôle et la surveillance gouvernementale derrière ce passeport, je refuse catégoriquement de participer, d’alimenter ou de promouvoir une telle machination qui nous rendra encore plus esclaves de nos gouvernements et de leurs volontés. Continuer d’administrer VoyageForum dans de telles conditions impliquerait d’outrepasser mes valeurs les plus profondes, sans compter le fait que je suis totalement contre l’obligation de recevoir un vaccin entièrement expérimental et qui demeurera selon les fabricants en phase test jusqu’à la fin de 2022 (nous sommes littéralement des cobayes).

Qu’adviendra-t-il de VoyageForum? Honnêtement, je n’en ai aucune idée pour le moment et, bien franchement, cela devrait être ces temps-ci la dernière de nos préoccupations. Le temps n’est vraiment pas aux voyages, mais bien à la réflexion sur ce qui est en train de se passer dans nos sociétés et sur ce qu’on peut faire pacifiquement pour éviter le pire.

Pour départir le vrai du faux concernant cette crise, il devient aussi de plus en plus flagrant qu’il faille maintenant aller chercher l’information ailleurs que dans les grands médias (« médias mainstream »). Les principaux médias (qui prennent la majorité de leurs informations de seulement quatre agences de presse au niveau mondial), nos gouvernements, les quelques organisations mondiales ainsi que de grandes entreprises pharmaceutiques sont en effet devenus de toute évidence les différents visages d’une seule et même entité, pour ne pas dire d’une même «bête». Posons-nous sérieusement la question si cette entité, dont les ramifications financières et d’influences sont à tous les niveaux de notre société, souhaite vraiment notre bien. Est-ce que l’état providence existe toujours? C’est une question capitale sur laquelle il est très urgent que chaque personne réfléchisse.

J’en aurais tant à dire sur le sujet, mais je vais plutôt laisser parler des scientifiques et experts par l’intermédiaire de vidéos et articles ci-dessous. Cela aidera sûrement certains d’entre vous à avoir un aperçu plus juste de ce qui se passe derrière le mur de la « version officielle » des grands médias. Vous verrez que de très nombreux scientifiques, médecins et autres spécialistes sont loin d’être unanimes sur la gestion de cette crise, sur ce qui est vraiment en train de se passer à l’arrière-scène et sur les moyens pour remédier à cette crise.

Réveillons-nous, levons-nous et reprenons notre destin en main ainsi que nos droits et libertés. Mais surtout restons pacifiques et solidaires en tant que peuple (nous sommes 99,9% de la population et ils ont tellement peur que le peuple se réveille et se lève…). Prenez bien soin aussi de vous et de vos proches.
Une vidéo inspirante qui donne de l’espoir… Cultivons notre courage et unissons-nous…

Appel à la résistance civile et à l’éveil des consciences
Bien cordialement,
François Boucher, fondateur de VoyageForum

VoyageForum.com
VoyageRéseau Inc.



Flavia Groșan, pneumologue roumaine : c’est le protocole Covid appliqué dans les hôpitaux qui tue les malades !

[Source : Visegrád Post (visegradpost.com)]

Article paru le 19 mars 2021 sur le site Erdély Ma.

« Une pneumologue roumaine fait des miracles : elle a guéri 100% de ses malades du Covid » – C’est sous ce titre que vient de paraître un article assez long dans le quotidien roumain Național, vendu dans tout le pays. Le secret de cette femme médecin d’Oradea ? Pour guérir ses patients, elle n’applique pas le protocole médical dont l’usage est devenu obligatoire presque partout.

Couverture du Național du 18 mars 2021.

L’entretien publié par le Național a aussi été mis en ligne en langue hongroise sur ce site, qui reprend, concernant l’épidémie, diverses nouvelles alternatives que la presse de grand chemin refuse de publier. Nous ne sommes pas en mesure de vérifier la crédibilité des matériaux souvent touffus que reprend le site, mais nous pouvons, en revanche, évaluer celle de la traduction hongroise de l’entretien : le contenu de la traduction hongroise correspond bien à l’original. Voici donc cette traduction, à laquelle nous n’avons ajouté que d’infimes améliorations stylistiques :

« Le portail d’informations national.ro vient de publier un entretien intéressant, dans lequel une pneumologue d’Oradea nous explique que, décidant de ne pas tenir compte du protocole Covid officiellement en vigueur [en Roumanie], elle a préféré se baser sur sa propre expérience de la pneumologie pour traiter de façon traditionnelle ceux de ses patients atteints de pneumonie suite à une infection virale – y compris ceux qu’on dit « souffrant du Covid », méthode débouchant sur un succès impressionnant : pratiquement 100% de ses patients ont guéri sans le moindre soin hospitalier. D’après ce médecin, c’est en réalité le protocole Covid actuellement appliqué que tue les patients dans les hôpitaux.

Capture d’écran de l’article du Național en date du 17 mars 2021.

Le docteur Flavia Groșan, pneumologue à Oradea (département du Bihor). Elle est l’un de ces médecins qui ne sont pas d’accord avec le protocole de guérison actuellement prescrit par le ministère [roumain] de la Santé, et en fonction duquel sont censés être traités les malades infectés par le Covid-19. Laissant de côté cette prescription, elle guérit les patients infectés avec ses propres méthodes, en partant des connaissances qu’elle doit à son expérience de médecin, et tout semble indiquer qu’elle s’y prend très bien : son traitement a été appliqué à presque mille patients arrivant chez elle à des stades différents de la maladie causée par le SarS-CoV-2. 100% de ses patients ont guéri, sans la moindre prise en charge hospitalière.

Le docteur Groșan traite les conséquences de l’infection par le virus SARS-CoV-2 comme une pneumonie atypique. Elle a aussi déclaré que les hôpitaux commettent d’énormes erreurs, et que c’est en réalité le protocole Covid qui tue les patients.

« Le Covid est une pneumonie – certes atypique, mais une pneumonie – et doit être traité comme tel » – a-t-elle affirmé.

« Dès l’annonce de la pandémie, mon but a été qu’aucun patient ne finisse intubé, car c’est un procédé qui entraîne la mort. J’applique mes traitement classiques, médicamenteux, qui incluent la clarithromycine, un antibiotique de la famille des macrolides. Cette famille ne compte que trois antibiotiques : l’érythromycine, que tout le monde connaît, l’azithromycine et la clarithromycine. Je n’aime pas trop l’azithromycine, qui est une copie affaiblie de la clarithromycine. J’ai participé à des recherches cliniques très intéressantes sur les pneumonies, au cours desquelles j’ai pu constater le pouvoir qu’a la clarithromycine de réduire l’inflammation comme aucun autre antibiotique ne sait le faire. »

La pneumologue fait remarquer que les surdoses d’oxygène administrées en milieu hospitalier provoquent des œdèmes cérébraux, qui constituent l’une des causes de mortalité des patients.

À ce sujet, elle a tenu les propos suivants :

« Au-dessus de 80% de saturation, je n’administre que de très petites doses d’oxygène à mes patients, de l’ordre de 2-3 litres par minute, sous la forme d’administrations quotidiennes courtes, de 4 à 5 heures tout au plus. Il faut en effet savoir qu’un excès d’oxygène inhibe le cerveau, car en général, c’est le cerveau qui contrôle notre corps, et non un appareil. Sur ce point, j’ai été en total désaccord avec le protocole Covid en vigueur : les fortes doses d’oxygène qu’il prescrit, de l’ordre de 20 litres, conduisent à l’acidose, provoquant des œdèmes cérébraux chez les patients… lesquels, à leur tour, conduisent bien entendu à leur décès. »

Flavia Groșan voit comme une lourde erreur l’administration aux malades de Covid de Kaletra et de codéine, qui ne peuvent qu’aggraver les symptômes de la maladie.

« Heureusement, il y a eu quelques infirmières – celles que je considère comme de vraies héroïnes – qui ont observé les malades, et les ont avertis, leur conseillant de ne pas avaler le Kaletra et de jeter les médicaments. Après quoi, les médecins venant procéder à leur contrôle s’étonnaient de l’absence de diarrhée, et du fait qu’ils se sentent bien. La raison en était qu’ils n’avaient pas pris les médicaments prescrits par le protocole. C’est ainsi que ces soignantes ont véritablement sauvé la vie de leurs patients. »

« En cas d’utilisation de la codéine, la toux étant bloquée, le malade ne peut pas cracher les sécrétions qui se forment dans les poumons, et ce sont ces sécrétions qui l’étouffent – pas les caillots sanguins, mais l’accumulation des sécrétions. Arrivés à ce point, les malades, comme on pouvait s’y attendre, entrent en état de panique, car ils n’arrivent plus à respirer : du coup, on leur administre des calmants et on les place sur respirateur – à partir de là, il n’y a plus que la miséricorde divine pour les sauver ! »

Cette méthode couronnée de succès et cette attitude intrépide ont aussitôt assuré à cette pneumologue d’Oradea une popularité nationale. D’innombrables organes de presse ont rendu compte de la méthode qu’elle applique. Sur cette vidéo, elle répond aux questions d’une chaîne nationale basée à Bucarest, dont les journalistes adoptent à son égard un ton plutôt hostile et accusatoire, mais madame le docteur reste inébranlable. Voici un résumé de l’entretien télévisé :

Flavia Groşan

La pneumologue applique son propre protocole. Elle consulte en ligne, et traite ses patients en partant du principe qu’ils souffrent d’une pneumonie atypique. Elle a par exemple guéri les cinq membres d’une même famille, dont les âges allaient de 37 à 97 ans ; le traitement a eu tant de succès que cette famille a déjà pu fêter Noël réunie. Les malades ont très peur – affirme-t-elle –, tout le monde veut être hospitalisé, alors qu’on peut guérir en restant chez soi et en prenant des médicaments. Elle a déjà été dénoncée par l’un de ses collègues pour ne pas suivre le protocole prescrit, mais cela la laisse indifférente, car elle voit que le protocole prescrit n’est pas correct, et que son protocole à elle, en revanche, est le bon – le principe de ce dernier étant que, dès l’apparition des premiers symptômes, même avec une température de 37.1°, elle place ses patients sous clarithromycine. Elle se déclare perplexe en voyant les sommités médicales se succéder à la télévision pour effrayer la population, car pour elle, il était clair d’entrée de jeu qu’elle a à faire à une pneumonie, et que c’est cette constatation qui doit aussi déterminer la mise au point du traitement.

Traduit du hongrois par le Visegrád Post




Bill Gates et la fin de l’Amérique

[Source anglaise : Video Rebel’s Blog]

[Traduction : LA CAUSE DU PEUPLE]

Naomi Wolf a écrit Les dix étapes du fascisme  sous le régime Bush II dans le cadre de son livre de 2007 End of America: A Letter to a Young Patriot [Ndlr: Fin de l’Amérique : lettre à un jeune patriote]. À ce moment-là, elle a dit que nous avions déjà franchi les neuf premières étapes du fascisme. Et aussi à l’époque dans ses conférences, elle nous a promis qu’elle nous avertirait quand nous serions arrivés à l’étape 10 et au fascisme complet. Elle vient d’émettre son avertissement : Naomi Wolf croit maintenant que nous vivons tous sous le fascisme. Et elle dit que c’est la pandémie de covid qui nous a poussés par-dessus bord.

Elle a énuméré dix étapes que chaque coup d’État prend pour mettre en place une dictature. Elles sont :

1. Invoquer un terrifiant ennemi interne et externe.
2. Créer des prisons secrètes où la torture est pratiquée.
3. Développer une caste de voyous ou une force paramilitaire qui ne relève pas des citoyens.
4. Mettre en place un système de surveillance interne.
5. Infiltrer et harceler les groupes de citoyens.
6. Se livrer à la détention et à la libération arbitraires.
7. Cibler les personnes clés.
8. Contrôler la presse.
9. Qualifier la critique comme de l’espionnage et la dissidence comme une trahison.
10. Subvertir la primauté du droit.

Elle écrit maintenant son nouveau livre Step Ten [Ndlr: Étape 10] parce qu’elle croit que nous sommes dans la dernière étape, la transition vers le fascisme mondial. Nous vivons maintenant sous le fascisme parce qu’il n’y a pas d’État de droit avec les mesures d’urgence covid imposées à tous. Même le London Telegraph défend «No jab, No job» (Pas de piqûre, pas de job). Des passeports de vaccins sont en cours d’élaboration. Nous vivrons dans une société contrôlée. La Grande-Bretagne est dans une situation bien pire que l’Amérique. Je pense qu’il en est ainsi pour deux raisons, que Wolf, en tant qu’intellectuelle juive diplômée de Yale et d’Oxford et qui n’a résidé qu’à San Francisco et dans le nord-est des États-Unis, ne comprend pas.

Premièrement, l’Amérique est une nation fédéraliste. Nos gouverneurs d’État ont dit non aux verrouillages et aux masques. Le gouverneur républicain du Dakota du Sud a rejeté les confinements. De nombreux gouverneurs républicains suivent maintenant son exemple et rejettent même les obligations de masque.

Deuxièmement, nous avons un deuxième amendement qui garantit tous les autres. Le Guardian nous a dit que l’année dernière, les Américains possédaient 493 millions d’armes à feu. En raison de Covid et des émeutes du BLM et de l’ANTIFA, les ventes d’armes à feu ont augmenté. USA Today affirme que 40 millions d’armes à feu ont été légalement achetées en 2020 et 4 millions de plus en janvier 2021. Les libéraux ne semblent pas comprendre que si nous n’avions pas plus de 500 millions d’armes à feu, nous aurions perdu nos libertés depuis longtemps.

Un exemple serait le plan de l’administration Bush II pour arrêter 8 millions d’Américains figurant sur une liste principale de personnes à faire disparaître sans procès en cas d’urgence nationale. Cela signifie que si le dollar meurt à cause de la cupidité et de la stupidité des banquiers et de leurs politiciens ʺtoutous à sa mémèreʺ, ils prévoient d’arrêter 8 millions de personnes ʺdangereusesʺ car elles refusent les diktats de Wall Street, des créatures du marais de Washington DC et de Bill Gates.

Ce que Naomi Wolf ne peut pas voir, c’est que, selon cet article du Guardian, 7,1 millions d’Américains possèdent 40 armes ou plus. Que pensez-vous qu’il se passerait si quelqu’un à Washington donnait l’ordre à 20 ou même 30.000 agents fédéraux armés de faire du porte-à-porte et d’arrêter 8 millions d’Américains sans procès? Pensez-vous que quelques uns résisteraient à la torture et à la mort sans procès ? saisiraient-ils quelques unes de ces 500 millions d’armes à feu pour tirer sur des fédéraux? Ne pensez-vous pas que quelques millions d’Américains bien armés passeraient à l’offensive contre les mondialistes dès le 3ème ou 4ème jour des arrestations illégales?

Wolf omet également toute discussion sur les origines du covid en tant qu’arme biologique dans un laboratoire de l’Université de Caroline du Nord. Il a ensuite été perfectionné dans un laboratoire militaire à Wuhan en Chine avec 3,7 millions de dollars de subventions des NIH du Dr Fauci et du président Obama en 2014.

Elle dit qu’à l’étape 10, il n’y a pas de règle de droit. Pfizer et Moderna ont développé des traitements expérimentaux qui, selon la législation américaine, ne pouvaient pas être appelés vaccins. Ils sont probablement beaucoup plus dangereux que le covid. Le CDC, si vous croyez à ses mensonges, nous a dit que le port d’un masque pourrait réduire notre taux de mortalité covid à moins de 2% mais ne nous a pas dit combien d’entre nous mourraient d’infections bactériennes. Lors de l’épidémie de grippe espagnole, des millions de porteurs de masques sont morts d’infections et non de grippe. Une bien meilleure réponse serait de dire aux 70% d’Américains déficients en vitamine D de prendre des suppléments comme ils l’ont fait en Espagne. La région d’Andalousie a réduit son taux de mortalité covid de 82% avec des doses quotidiennes minimales de vitamine D-3.

Il n’est pas surprenant pour moi qu’en tant que démocrate, Wolf n’ait jamais mentionné le vol de l’élection présidentielle de 2020 comme exemple de la perte de l’état de droit. En 2016, malgré le vol par les démocrates de 8 millions de voix, l’Hillarante a quant même perdu. En 2020, ils ont probablement volé quelque 14 millions de voix et ont gagné parce qu’aucun tribunal n’a été disposé à prendre en compte les preuves documentées de vols massifs de votes. Un exemple serait celui de Milwaukee dans Wisconsin où les circonscriptions avec 1.000 électeurs ont enregistré 7.000 votes. Cela ne pourrait jamais arriver si nous avions la primauté du droit et une presse libre et responsable.

Si vous voulez savoir ce qu’est l’Amérique, jetez un œil à ses présidents

Brady Hartfield

Lorsque les menteurs guident, seuls les lâches, les complices et les esprits affaiblis suivent.

Auteur inconnu.

Cela nous indique tout ce que nous devons savoir sur la politique américaine à l’époque de Biden et Harris. Nous avons en Biden un leader corrompu, pervers, menteur, voleur et sénile. La presse et la plupart des gens sont d’accord avec cela.

Je dois souligner que je me suis opposé à de nombreuses politiques de Trump. Je me suis opposé à son sionisme et à son acceptation de l’escroquerie Covid et des vaccins. Mais il était entouré de créatures du marais et de sionistes à Washington.

Gates vs. the goon squad | The Seattle Times

Où se situe Bill Gates dans cette image?
Ces vaccins ont été jugés acceptables parce que nous étions censés être dans un état d’urgence, ce qui signifie qu’ils n’auraient jamais été mis en œuvre si nous avions encore la primauté du droit. M. Bill Gates a donné 750 millions de dollars à GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination) en 1999. C’est lui qui nous a donné les vaccins qui, selon le Dr Vernon Coleman, sont des armes de destruction massive.

M. Gates croit en la réduction de la population. Les Georgia Guidestones  nous disent que nous devons réduire la population mondiale à 500 millions. Certains disent que nos grands et glorieux dirigeants permettraient à un milliard d’entre nous, simples roturiers, de continuer à vivre. Bien sûr, cela signifie que 7 milliards ou plus de gens ordinaires devraient mourir.

Vous devez comprendre maintenant que les Boss croient que vous avez été créés pour améliorer la vie des super milliardaires.

Articles Liés

J’ai évoqué le plan d’arrestation et de torture de 8 millions d’Américains. Il a été discuté dans le Huffington Post et dans l’émission de radio Democracy Now.
Fuck Up: 8 millions d’Américains sont sur la liste des disparus https://vidrebel.wordpress.com/2014/02/02/screw-up-8-million-americans-are-on-the-list-to-be -disapparue.
J’ai mentionné le fait que les responsables veulent votre mort. J’ai écrit à ce sujet ici: David Rothkopf était le directeur général de Kissinger Associates dans les années 1990. Il a écrit le livre Superclass dans lequel il a dit que le monde était dirigé par 30 familles et leurs 6000 Minions. Les trente familles sont le nouvel ordre mondial. Cet article prouve également que covid a été créé dans un laboratoire en tant qu’arme biologique
Le patron veut que vous soyez mort (mis à jour) https://vidrebel.wordpress.com/2020/06/08/the-boss-wants-you-dead/.
J’ai mentionné Bill Gates. J’ai écrit plusieurs articles sur lui dont celui-ci:
Bill Gates Prédiction 1997: Extinction 2020 par le virus pulmonaire. https://vidrebel.wordpress.com/2020/04/17/bill-gates-1997-prediction-2020-extinction-by-lung-attacking-virus/.
Je pense que Kamala Harris, qui a des liens étroits avec George Soros et Warren Buffett, est encore plus dangereuse que Joe Biden.
Kamala Harris #PedoQueen # PedoDefender https://vidrebel.wordpress.com/2021/03/09/kamala-harris-pedoqueen-pedodefender/.
J’ai également dit que le Dr Vernon Coleman a dit que ces vaccins étaient des armes biologiques. Jugez par vous-même et regardez sa vidéo.
https://brandnewtube.com/watch/covid-19-vaccines-are-weapons-of-mass-destruction-and-could-wipe-out-the-human-race_GcjtJu9dY1RcSNh.html.

Source : Naomi Wolf, The End of America and Bill Gates




Macron utilise l’expérience de Asch pour maintenir les français dans la peur du Covid

[Source : Geopolintel]

L’expérience de Asch, publiée en 1951, est une expérience du psychologue Solomon Asch qui démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d’un individu au sein d’un groupe. Solomon Asch invita un groupe d’étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision. Tous les participants étaient complices avec l’expérimentateur, sauf un. L’expérience avait pour objet d’observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres.

Dans notre cas on va expérimenter le terme complotiste inventé par des psychologues de la CIA, pour forcer les gens à rentrer dans la pensée admise et non divergente.

Le ministère de la santé a expérimenté cette technique de conformité du groupe avec le port du masque et en faisant croire qu’un test PCR positif équivaut à avoir le Covid.
L’ effet de répétition des campagnes de sensibilisation permet une autohypnose où la force du groupe prime sur l’individu. Cette technique est idéale en dictature pour forcer les gens à renier leur propre opinion plutôt que de sortir du rang.

Autre phénomène utilisé par le gouvernement Macron et le cabinet de conseil McKinsey est la « pensée de groupe » (« groupthink »). Le terme a été inventé par le psychologue américain Irving Janis. C’est une dysfonction du groupe. Il mène les dissidents à taire leur opinion, par peur d’être exclus du groupe, isolés ou ridiculisés.
La distinction entre une parole dissidente mais crédible et une théorie fantaisiste peut être subtile et être instrumentalisée pour valider la pensée du groupe.
C’est pour cela que la presse continue à interviewer le professeur Didier Raoult.
Si on ne lui donne pas la parole on laisse le champ libre aux réseaux sociaux et au complotisme.
Se faire traiter de complotiste agit surtout dans la sphère familiale, depuis le premier confinement ceux qui ne portent pas le masque sont isolés et empêchés de voir leur proches. S’il veulent retrouver une vie familiale ils se résignent à écouter les paroles infantilisantes de l’idiot de Matignon qui préconisait de placer les grands parents dans la cuisine le jour de Noël pour manger la bûche.

Le discours de la « carotte » consiste à mélanger maintien sous contrôle du virus et le retour progressif à une vie normale avec le vaccin pour nous forcer à accepter la dictature sanitaire. Le véritable objectif de l’élite mondialiste est d’écrouler notre économie mais cette pensée est complotiste.

Ceux qui sont sortis du rang doivent assumer leur dissidence pour garder leur liberté.

L’expérience de Asch

Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d’affiches. À chaque fois, il fallait qu’ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l’unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l’unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l’évidence et leur propre vue (voir les expériences filmées), pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors que l’écart était très visible car de plus de 5 cm.

Lorsqu’il n’y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s’émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe ; Des sujets témoins qui n’étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n’eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l’annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ». Ceci rejoint dans une certaine mesure l’expérience de Milgram où le sujet accuse l’expérimentateur d’être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

L’effet Asch

Son hypothèse de départ est la suivante : Un individu est susceptible de faire sien un jugement qu’il sait contraire au bon sens, à la réalité et cela sans que quiconque n’ait à délivrer la moindre récompense ou punition. La situation est simple et ne présente aucune ambiguïté ; tous les Sujets sont capables de fournir la réponse exacte. En effet, les sujets devaient dire quelle baguette est équivalente à la baguette de présentation. Les erreurs doivent donc être quasi inexistantes ou marginales.

Les résultats sont les suivants :
Les Sujets naïfs, influencés par les compères vont donner en moyenne 36,8 % de réponses erronées. Pour pouvoir comparer ; l’expérimentateur avait constitué ce qu’on appelle un groupe contrôle qui ne comportait pas de sujets compères ; dans cette situation les erreurs sont effectivement marginales avec seulement 2 sujets sur 37 qui montraient une ou deux erreurs sur les 18 évaluations.
Asch observe également de grandes différences entre les sujets ; sur 123, 29 ne font aucune erreur et 39 font plus de 50 % d’erreurs en présence de compères. Le processus de conformité est ici mis à jour.

Dans cette expérience, on a :
Une dépendance ou Influence informationnelle induisant le conflit cognitif.

  • Importance numérique de la majorité
  • L’unanimité de la majorité
  • Support social ou consensus de la majorité Une dépendance ou Influence normative : Il y a conflit motivationnel, dans la mesure où le maintient réel ou symbolique dans le groupe est subordonné à l’adhésion aux Normes, aux règles de ce groupe.

Surmars




Barbier révèle enfin le complot Covid !

[Source : zonefr.com]

Eric Montana

Par Eric Montana

Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre « Les Tyrannies de l’épidémie » (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Dans l’article d’hier intitulé « Le Pouvoir redoute une explosion sociale« , ma consoeur Brigitte Bouzonnie comparait la situation sociale à une « cocotte minute qui bouillonnne ras la marmite. »

Et au risque de me tromper, je dirais que nous sommes plutôt proches d’une insurrection car les manifestations ne servent à rien, qu’elles sont interdites et violemment réprimées. Depuis 2 ans les défilés chantants n’ont produit que des blessés, des éborgnés, des mutilés. Pour rien !

Ce Pouvoir mafieux a réduit nos libertés au strict minimum, nous a conditionnés et manipulés avec une pandémie qu’il fait durer plutôt que de la traiter, privilégie la vaccination aux traitements préconisés par les plus grands virologues, tente de faire passer pour des charlatans tous les scientifiques, médecins, infectiologues qui décrivent la gestion du Covid comme absurde et infondée, ne tient même pas compte des mises en garde de l’ONU, fait le contraire de ce que préconise l’OMS et comble du cynisme,  continue à maintenir la population dans un climat de peur et de psychose digne des pires dictatures.

Alors on trompe l’opinion à coups de sondages truqués en tentant de faire croire qu’une majorité de Français serait favorable au confinement, au couvre feu, à la vaccination et à toutes les mesures décidées par ce gouvernement qui est sans doute le plus impopulaire que nous ayons eu depuis longtemps.

Jamais de mémoire d’homme, le parti d’un Président de la République n’a enregistré une telle claque dans des élections municipales où il a atteint péniblement, 2,6% des votes exprimés. Les chiffres en disent plus que les mots.

Qui peut croire que Macron dit la vérité ? Qui peut encore avaler la propagande mensongère des médias quand on sait qu’ils appartiennent tous à ceux qui ont financé sa campagne et l’ont mis au pouvoir ?

Des médias jusqu’à la censure des réseaux sociaux américains, nous sommes gavés de désinformation, gavés de mensonges, gavés de manipulations jusqu’à l’indécence. Et le résultat c’est que l’opinion publique est au bord de l’explosion, ce qui démontre que personne ne croit plus ni à la sincérité des médias et encore moins à l’honnêteté des politiques. Si les Français se plient aux mesures liberticides de ce gouvernement ce n’est pas par peur du virus mais par peur des amendes, des poursuites judiciaires, de la répression extrême que Macron exige.

Quelle est la réalité ? Dans un sondage paru en 2020 depuis disparu des radars de Google, la presse s’était faite écho d’un sondage qui a provoqué une onde de choc à l’Elysée : 91% des Français ne font plus confiance à ce gouvernement ! Macron a résolu le problème en faisant appel à un autre institut de sondage où le fils de son épouse Brigitte Trogneux est aux commandes. On n’est jamais mieux servi que par soi-même… mais les Français ne sont pas dupes… Ce président sait parfaitement que sans la police, il serait probablement lynché par le peuple et c’est la raison pour laquelle il accorde aux forces de la répression tout ce qu’elles demandent…

La vaccination est selon les propres aveux de la chaîne d’infos italienne RAI News, un échec total en France comme en Italie. Les gens ne sont pas stupides, ils s’informent sur les médias indépendants sur Internet et découvrent les conséquences tragiques de cette vaccination chez ceux qui étaient fiers d’être les « champions » : Israël, Royaume Uni, Chili. Le nombre de morts que l’on tente de minimiser et de faire passer en dégâts collatéraux, en pertes et profits, est infiniment supérieur aux morts que l’on attribue au virus lui-même puisque la moyenne est de 13 à 15% de décès et complications graves pour la vaccination contre 0,03% pour le Covid ! Ca fait une sacrée différence !

Et puis chaque jour qui passe apporte son lot de révélations. Bien sûr il y a le Grand Reset mais aussi la corruption habituelle mais révélée des instances européennes, des chantres de la vaccination liés aux labos, les témoignages bidonnés de médecins vendus, les faux chiffres des hospitalisés, les reportages truqués où on utilise des figurants jouant les malades du Covid pour les besoins de la propagande. Avec ce gouvernement, on assiste au pire !

Et même ce pauvre Christophe Barbier le « Conseiller médias » de Macron, dans un élan de sincérité lâche le morceau dans son dernier livre Les Tyrannies de l’épidémie (éditions Fayard) : « L’angoisse a été organisée par l’administration et le pouvoir politique pour que les gens se tiennent à carreaux. Et cela a marché ! »

Merci de cet aveu qui confirme tout ce que les complotistes s’échinent à dire depuis un an ! Nous méritons respect et reconnaissance.

Cette psychose collective a donc été organisée aussi pour mettre un terme aux Gilets Jaunes et éviter l’explosion sociale. Le Covid a servi d’alibi à ce pouvoir assassin pour mettre en oeuvre les mesures liberticides les plus abjectes qu’un gouvernement pouvait décréter. L’urgence sanitaire a servi d’excuse au pire crime contre l’humanité car nos anciens ont été euthanasiés et enterrés dans l’anonymat, les familles ne pouvant même pas organiser de funérailles pour leurs êtres chers, accusés d’être contaminés et dangereux.

C’est proprement dégueulasse ! Il n’y a pas de mots pour décrire le dégoût qu’inspire ce pouvoir criminel ! Il n’y a pas de mots pour décrire la rage que nous éprouvons tous.

Chaque jour nous apprenons que des plaintes sont déposées par des avocats pour homicide volontaire donc pour crime, pour assassinat ! Le nombre de victimes de cette campagne de vaccination menée à marche forcée est hallucinant et Macron ne pourra pas le dissimuler indéfiniment car il est le principal responsable, le vrai coupable de cette boucherie de masse.

Cela fait un an que je m’évertue à dire et à écrire que le virus est une arme biologique fabriquée en laboratoire et génétiquement modifiée donc l’opération Covid est criminelle, elle masque d’autres objectifs, elle est utilisée pour nous faire peur et nous réduire au silence ! Cela fait un an que je tente à ma modeste échelle d’avertir l’opinion publique, preuves à l’appui, avec tant d’autres journalistes indépendants et lanceurs d’alerte. Cela fait un an que je diffuse les messages d’alerte des esprits éveillés, des scientifiques, des virologues, de grands avocats comme Robert F. KennedyReiner FuellmichCarlo BrusaVirginie de Araujo-Recchia, Rocco Galati, Dominic Desjarlais, Fabrice Di Vizio.

[Ndlr : voir aussi sur Nouveau Monde, le dossier Avocats dans le menu en haut du site.]

Je ne sais plus comment faire pour que tous ensemble nous réagissions enfin et mettions un terme à ce cauchemar.
Je suis à bout de forces, j’ai fait ma part, j’ai pris tous les risques que l’on peut prendre en tant qu’être humain pour tenter d’informer du mieux que j’ai pu mes frères humains. A part des ennuis, je n’ai rien à gagner car personne ne me paye pour écrire ce que je publie. Je le fais car ne pas dire la vérité quand on la connait, serait un acte lâche.

J’ai au fond de moi la conviction que le futur de mes enfants sera atroce si je ne fais rien. C’est surtout pour eux et pour tous les enfants de France que je manifeste ma colère, mes indignations et que je suis prêt à mourir sur les barricades s’il le faut.

Si nous sommes des parents dignes de ce nom, si nous sommes des êtres humains dignes de notre humanité, si nous sommes un peuple attaché à la liberté et à la dignité, nous avons l’impérieux devoir de nous mobiliser, de nous unir et d’agir pour que ce pouvoir criminel soit stoppé et jugé dans un Nuremberg II !

Selon Macron « la vaccination est une priorité nationale »…

Les sondages sont catastrophiques ? Qu’à cela ne tienne, Macron a la solution

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Amazon.fr – Les tyrannies de l’épidémie – Barbier, Christophe – Livres




L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique

[Source : Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Prof Michel Chossudovsky

Le test du polymérase de transcription inverse en temps réel (rRT-PCR) fut appliqué par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en date du 23 janvier 2020 afin de détecter le virus SARS-COV-2, suivant les recommandations d’un groupe de recherche en virologie (basé à l’hôpital universitaire Charité de Berlin), soutenu par la Fondation Bill et Melinda Gates. (Pour plus de détails, voir l’étude Drosten).

Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas «Nous avons fait une erreur». La rétraction est soigneusement formulée. 

Alors que l’OMS ne nie pas la validité de ses « directives trompeuses » en date de janvier 2020, elle suggère néanmoins de « Retester », ce qui dans la pratique est une impossibilité.

La question litigieuse concerne le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al. :

Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles détecte uniquement les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire… (en anglais, Critique de l’étude Drosten)

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet implicitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification (Ct) de 35 cycles ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils ont recommandé au point de départ en janvier 2020, en liaison  avec l’équipe de virologie de l’hôpital Charité de Berlin.

Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui fut recommandé par l’OMS), les segments du virus SRAS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant «cas positifs» confirmés et enregistrés dans les bases de données au cours des 14 derniers mois sont erronés (n’ont aucune validité du point de vue scientifique ).

Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al., le Ct> 35 a été la norme «dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis».

Mea Culpa de l’OMS

Vous trouverez ci-dessous la «rétractation» soigneusement formulée par l’OMS. Le texte intégral avec le lien vers le document original est en annexe:

« Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.  (emphase ajoutée par l’auteur). »

Estimations Erronées 

Ce n’est pas une question de  «faibles positifs» ou de «risque de faux positifs». L’enjeu relève  au point de départ en janvier 2020 de la mise en application par l’OMS d’une méthodologie trompeuse et erronée qui conduit à des estimations qui n’ont aucune base scientifique. 

Ce que cette déclaration contradictoire de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation du covid positif à partir d’un test PCR (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est tout simplement invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de répéter le test PCR:   «il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test…».

« Retester, On s’est trompé… ».  Cette recommandation de RÉPÉTER LE TEST n’a aucun sense. C’est une impossibilité. Des millions de personnes dans le monde entier ont déjà été testées, à partir du début février 2020. Il s’agit néanmoins de conclure que la recommendation contradictoire de l’OMS de « retester » confirme sans équivoque QUE CES ESTIMATIONS PCR RELATIVES À LA COVID SONT TOUT SIMPLEMENT ERRONÉES.


Je dois mentionner qu’il existe plusieurs autres défauts concernant le test PCR qui ne sont pas abordés dans cet article. (Voir le livre électronique de Michel Chossudovsky :   The 2020 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the Great Reset  (Chapitre II). Egalement disponible en français.


Au point de départ en janvier 2020, le test PCR fut (de manière routinière) appliqué à un seuil d’amplification Ct de 35 ou plus, conformément aux recommandations de l’OMS. Cela signifie que la méthodologie PCR appliquée dans 193 pays membres des Nation Unies a mené au cours des 12 à 14 derniers mois à la compilation de statistiques Covid erronées et trompeuses.

Et ce sont ces statistiques (erronées) qui servent à mesurer l’évolution de la dite  «pandémie». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les segments du virus Par conséquent, ces chiffres n’ont aucun sens.

Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie.

Ce qui signifie également que le verrouillage (confinement) ainsi que les mesures économiques qui ont entraîné la panique sociale, l’extrême  pauvreté et le chômage (dont l’objectif annoncé par les gouvernements était de freiner la propagation du virus) n’ont aucune justification.

Selon l’avis scientifique Pieter Borger et al. :

« Si quelqu’un est testé par PCR positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme cela est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne est infectée est inférieure à 3% , la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%   (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al, Critique of Drosten Study )

Comme indiqué ci-dessus, « la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97% » : il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à « augmenter » le nombre de « faux positifs ».

Au moment d’écrire ces lignes (mi-mars 2021), malgré le mea culpa de l’OMS, le test PCR continue à être utilisé afin de faire augmenter les chiffres en flèche.
L’objectif consiste à  justifier les politiques de verrouillage en cours.

Ces estimations erronées sont à leur tour manipulées afin d’assurer une tendance à la hausse des positifs Covid. De plus, ces tests PCR ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical des patients testés.

Et maintenant, les gouvernements dans plusieurs pays ont émis des avertissements d’une « troisième vague » dans le cadre de leur campagne de propagande en faveur du vaccin Covid-19.

Et ces déclarations trompeuses se basent sur des statistiques qui sont le résultat d’une méthodologie totalement erronée. Par ailleurs, il n’y a absolument aucune base scientifique pour mettre en œuvre le vaccin Covid-19.

L’OMS et l’évaluation scientifique de Pieter Borger , et al. (cité ci-dessus) confirment sans équivoque que les tests RT-PCR adoptés par les gouvernements afin de justifier le verrouillage et la déstabilisation des économies nationales sont (selon l’OMS) totalement ERRONÉES. 

Il s’agit de comprendre qu’il y a un jeu de chiffres (basées sur des estimations qui au point de départ sont trompeuses). Ces chiffres sont cités sans relâche 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 par les médias et les gouvernements.

Il s’agit d’une vérité mensongère dont l’objectif est d’alimenter la campagne de la peur. L’ objectif est de «justifier»  TOUTES les politiques mises en avant par les gouvernements :

  • verrouillage, confinement,
  • fermeture de l’activité économique, chômage, pauvreté et banqueroutes,
  • distanciation sociale,
  • masque facial,
  • couvre-feu,
  • programme de vaccination.

Données et statistiques mensongères.
Réfléchissez avant de vous faire vacciner.
Et maintenant, nous sommes entrés dans une soi-disant «troisième vague». (où sont les données ??).
C’est «un paquet de mensonges». 
C’est un crime contre l’humanité. 

Michel Chossudovsky

Cet article a été publié initialement en anglais :

The WHO Confirms that the Covid-19 PCR Test is Flawed: Estimates of “Positive Cases” are Meaningless. The Lockdown Has No Scientific Basis, le 19 mars 2021.

Version française par l’auteur, Michel Chossudovsky.


A consulter :

Livre électronique de Michel Chossudovsky intitulé: (Dix chapitres)

La crise mondiale du coronavirus de 2020 : Détruire la société civile, la dépression économique, le coup d’État mondial et la « grande réinitialisation »

Voir Michel Chossudovsky, Note biographique

Articles de Michel Chossudovsky (en français)


Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 2021
English
français

Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

20 janvier 2021Alerte de produit médical

Type de produit : Tests d’amplification des acides nucléiques basés sur la méthode PCR (amplification en chaîne par polymérase) pour la détection du SARS-CoV-2

Date: 13 janvier 2021

Identifiant OMS : 2020/5, version 2

Public cible : Personnel de laboratoire et utilisateurs de dispositifs de diagnostic in vitro (DIV).

Objetif de cet avis : Apporter des précisions aux informations précédemment transmises par l’OMS. Cet avis remplace la version 1 de l’avis de l’OMS à l’attention des utilisateurs de tests de diagnostic in vitro 2020/5, publiée le 14 décembre 2020.

Description du problème : L’OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions fournies dans le mode d’emploi lors de l’interprétation des résultats obtenus pour les échantillons analysés par la méthode PCR.

Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement le mode d’emploi pour déterminer si un ajustement manuel du seuil de positivité de la PCR est recommandé par le fabricant.

Le document d’orientation de l’OMS sur les Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2 souligne que les résultats faiblement positifs doivent être interprétés avec prudence (1). La valeur de cycle seuil (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnelle à la charge virale du patient. Lorsque les résultats du test ne correspondent pas au tableau clinique, il convient de prélever un nouvel échantillon et de répéter le test en utilisant une méthode d’amplification des acides nucléiques identique ou différente.

L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence d’une maladie altère la valeur prédictive des résultats de test ; à mesure que la prévalence diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne ayant obtenu un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité déclarée du test.

La plupart des épreuves de PCR sont indiquées à titre d’aide au diagnostic et les prestataires de soins doivent donc examiner les résultats en tenant également compte de la date de prélèvement, du type d’échantillon, des caractéristiques spécifiques du test, des observations cliniques, des antécédents du patient, du statut confirmé des contacts éventuels et des informations épidémiologiques.

Conseils aux utilisateurs de DIV : 

  1. Veuillez lire attentivement le mode d’emploi dans son intégralité.
  2. Contactez votre représentant local si un élément quelconque du mode d’emploi vous paraît ambigu.
  3. Vérifiez le mode d’emploi de chaque lot entrant afin de repérer toute modification des instructions.
  4. Indiquez la valeur de Ct dans le rapport transmis au prestataire de soins ayant demandé l’analyse.

Personne à contacter pour toute information complémentaire :

Anita SANDS, Réglementation et préqualification, Organisation mondiale de la Santé, courriel : rapidalert@who.int

Références bibliographiques :

  1. Tests diagnostiques pour le dépistage du SARS-CoV-2. Genève, Organisation mondiale de la Santé, 2020, numéro de référence OMS : WHO/2019-nCoV/laboratory/2020.6.2. Altman DG, Bland JM. Diagnostic tests
  2. Predictive values. BMJ. 1994 Jul 9;309(6947):102. doi: 10.1136/bmj.309.6947.102.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Prof Michel Chossudovsky, Mondialisation.ca, 2021




Arrêt de la vaccination Pfizer à Hong Kong

[Source : L’Échelle de Jacob]

Les responsables de la santé de Hong Kong ont ARRÊTÉ les expéditions du vaccin Pfizer après que de multiples problèmes aient été identifiés et signalés. Le South China Morning Post rapporte que des travailleurs de santé de première ligne ont découvert plus de cinquante exemples de flacons fissurés et qui fuyaient. Comment Pfizer peut-il garantir la cohérence et la sécurité de la science de l’ARNm, s’ils ne peuvent pas garder les flacons intacts et correctement préservés?

Il n’existe aucun moyen pratique d’assurer la sécurité d’un vaccin expérimental qui doit être conservé à -93 degrés Fahrenheit. Le vaccin à ARNm Pfizer est expédié dans des boîtes qui ne peuvent être ouvertes que deux fois par jour pendant un maximum de 180 secondes. Si les nanoparticules de la préparation ne sont pas correctement conservées à cette température, elles deviennent dangereuses et inefficaces pour le système immunitaire humain. De plus, une prouesse de fabrication à cette échelle est naturellement sujette à de multiples erreurs.

Vingt et un centres de vaccination de Hong Kong suspendent les rendez-vous

Une fois les flacons qui fuyaient identifiés, les responsables de la santé de Hong Kong ont annulé les rendez-vous pour les vaccins dans les 21 centres de vaccination communautaires. Au moins 1.080 doses avaient déjà été administrées dans dix-neuf centres de vaccination le jour même où les doses ont été suspendues. Les citoyens qui devaient recevoir le vaccin Pfizer ce jour-là ont été informés qu’ils ne pouvaient pas recevoir le vaccin «jusqu’à nouvel ordre». Certains ont attendu en colère dans les centres de vaccination, exigeant leur dose.

Tout comme l’héroïnomane se précipite pour ressentir un sentiment d’exaltation et un sentiment de liberté, il en va de même pour les toxicomanes d’aujourd’hui, qui se précipitent pour avoir un sentiment d’exaltation et un sentiment psychologique de liberté. Les accros aux vaccins tirent un sentiment d’exaltation et de liberté grâce à une série de clichés. Bien qu’ils ne soient pas techniquement dépendants au niveau physiologique, leur cerveau est tout de même entraîné à dépendre des aiguilles. Peu importe d’où viennent les injections, si les flacons sont cassés ou si les aiguilles sont sales et dangereuses. Les accros aux vaccins ont besoin de leur injection.

Ce phénomène psychologique embarrassant se produit parce que les gouvernements continuent de retenir les gens, les obligeant à renoncer à leurs libertés, tout en leur faisant subir un lavage de cerveau en leur faisant croire qu’ils ne se porteront plus jamais bien s’ils ne s’enfoncent pas les aiguilles dans leurs bras. Les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques sont devenus comme des gangs et des trafiquants de drogue, contrôlant et ruinant la vie des gens. Ce n’est pas de la science, c’est de la coercition. Ce sont des gens avec de vrais PROBLÈMES et ils viendront bientôt pour vacciner chaque enfant, pour continuer le cycle et plonger plus d’aiguilles dans des bras.

Le fabricant cherche un alibi, mais n’a pas à s’inquiéter car il bénéficie de l’immunité face aux poursuites

Le programme de vaccination contre le covid-19 de Hong Kong avait précédemment traité huit incidents de flacons BioNTech fissurés et vingt-deux problèmes de pression atmosphérique entraînant des fuites. Ces problèmes de contrôle de la qualité remontaient tous au fabricant et n’étaient pas le résultat d’un sabotage tout au long du processus de distribution. Après seize autres rapports faisant état de fuites de flacons, le directeur de la santé de Hong Kong a dû enquêter. Il y avait onze flacons supplémentaires qui étaient tachés, avec des marques suspectes à l’extérieur des récipients en verre. Ces flacons remontaient au lot 210102, dont plus de cent cinquante mille doses avaient déjà été injectées dans des bras. Le directeur de la santé de Hong Kong se prépare à ouvrir le lot 210104, qui comprend sept cent cinquante-huit mille doses de réserve.

BioNTech, le fabricant, a lancé une enquête distincte sur les flacons bâclés, tachés et qui fuient. BioNTech a écrit aux responsables de la santé de Hong Kong, confirmant qu’il n’y avait aucun problème de sécurité avec le lot; cependant, BioNTech a demandé à Hong Kong d’arrêter d’utiliser des flacons de ce lot par prudence. BioNTech a écrit que les cent cinquante mille doses qui ont déjà été reçues de ce lot ne poseraient aucun risque pour la sécurité des personnes qui les ont reçues.

En fin de compte, Pfizer et BioNTech n’ont pas à s’inquiéter. Même si quelqu’un subit une réaction grave au vaccin, Pfizer est dédouané de toute poursuite civile ou pénale. Ces sociétés de vaccins exercent un pouvoir absolu sur les nations, subvertissant l’état de droit, tout en contraignant les gens à obéir, sans recours possibles.

Les sources comprennent :
Zerohedge.com
SCMP.com
NaturalNews.com
Vu ici




Vaccination Covid – L’illusion puis l’extorsion du consentement éclairé

Par Alain Tortosa

Les Français seraient soudainement devenus majoritairement favorables à la vaccination Anti-Covid ?
Je ne disserterai pas sur la réalité de cette affirmation étant donné que nous ne pourrons pas savoir si elle est mensongère ou pas.

Je vous rappelle que tout acte médical, d’autant plus pour un vaccin, doit donner lieu à un consentement libre et éclairé :

  • Libre de contraintes.
  • Éclairé sur la maladie et sa dangerosité.
  • Éclairé sur les traitements disponibles.
  • Éclairé sur l’innocuité du « vaccin ».
  • Éclairé sur l’objectif de cette thérapeutique.
  • Éclairé sur l’efficacité de la mesure face aux alternatives.
  • Éclairé sur le rapport bénéfice vs risque.

Examinons l’ensemble de ces points afin de déterminer si tout français dispose des informations nécessaires et suffisantes pour pouvoir donner un consentement libre et éclairé à sa vaccination.

–L’absence de contraintes.

Depuis plusieurs mois, médias, politiques, personnels médicaux médiatiques ne font que nous répéter que nous n’en sortirons que par le vaccin.

Nous entendons sans cesse que c’est le vaccin ou la prison.
Pour autant, il est dit aussi qu’une fois vaccinés, nous devrons continuer à porter un masque et respecter les gestes barrières, alors qu’il nous est matraqué quasi 24h sur 24 que ces fameux « vaccins » sont « les instruments de la liberté ».

Ceci sans parler du fameux passeport vaccinal qu’il faudra sans doute appeler « passe sanitaire » afin de ne pas heurter les sensibilités.

Passeport vaccinal présenté aussi comme un « instrument de la liberté » !
La France s’apprête ainsi à mettre en place des dizaines de milliers de postes-frontière au sein du territoire et on ose parler de « liberté » ?!

Nous sommes donc ici dans une extorsion assumée du consentement.

«Tu es libre de ne pas te vacciner, mais tu seras plus ou moins assigné à résidence et interdit d’activités. »

Le terme « sanitaire » est employé pour nous tromper et nous laisser entendre que la vaccination ne sera pas rendue obligatoire.
Il sera théoriquement possible, dans un premier temps, d’autoriser les personnes dites « guéries » et les personnes avec un test PCR négatif récent à pouvoir aussi accéder à une vie sous surveillance. Ne nous leurrons pas, cela ne durera qu’un temps… Trop compliqué, trop sujet à faux documents…

Et d’autant plus que la doxa affirme que le vaccin ne peut être faillible.

Tout cluster dans une assemblée comportant des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées sera automatiquement « causé » par les non-vaccinés qui seront désignés comme les « coupables ».
Le « passe sanitaire » deviendra de fait obligatoirement un « passe vaccinal » qui sera par la suite logiquement étendu pour tous les vaccins existants, voire même au patrimoine génétique.

Une autre forme de suppression de la liberté de choix porte sur la surreprésentation de la dangerosité supposée du virus et de l’absence supposée de traitements efficaces ou d’alternatives. Donc dès lors que vous dites à une personne que sa vie est menacée par un virus, qu’il n’y a pas de traitements, que c’est le vaccin ou la roulette russe de la mort… je ne vois guère de liberté.

Ici encore tous les jours les médias nous disent « vous rigolerez moins quand vous serez en réanimation » à propos de personnes « coupables » de ne pas respecter gestes barrières et autres pattes de lapin liberticides.

Il n’y a aucune liberté de consentement.
Nous vivons une extorsion totale de consentement basée sur le chantage à la mort et le chantage aux libertés.

–Éclairage sur la maladie et sa dangerosité

Il va de soi que je dois être parfaitement informé de la dangerosité de la maladie afin de pouvoir jauger du rapport bénéfice versus risque et prendre la décision de me vacciner ou pas.
Il ne s’agit pas de connaître la gravité générale de la maladie, en l’occurrence du Covid, mais de la dangerosité du Covid ME concernant.

Ici encore médecins médiatiques et journalistes ne font que décrire un tableau d’une noirceur extrême.
Sans compter que les données de taux d’incidence, d’hospitalisations, de réanimations et de décès fournis par Santé Publique France ne sont pas seulement erronées, mais des FAUX comme j’ai pu longuement l’exposer et le prouver dans mes précédents textes !

À les écouter, quiconque peut se retrouver en réanimation et mourir de cette maladie, quel que soit son état de santé.
Les chiffres de mortalité officiels, environ 100 000 en France, sont totalement déconnectés de la réalité.
De très nombreuses personnes décédées positives ou avec soupçon de Covid ont été étiquetées Covid sous recommandations de l’OMS.
Le pourcentage de personnes décédées du Covid et non décédées AVEC le sars-cov2 est probablement de moins de 5 000 en France.
L’âge médian des décès ne fait que reculer depuis le début de la crise passant de 82 ans à 85 ans au fil des mois, prouvant par la même l’absence de rajeunissement significatif des décès malgré les variants.
Les décès chez les moins de 65 ans sans comorbidités sont inférieurs à 2 000 (98% des personnes décédées de moins de 65 ans ont des comorbidités lourdes), ce qui veut dire que d’un point de vue statistique le risque de mourir du Covid chez une personne en bonne santé est NUL et moindre que de mourir en tombant d’un escalier ou de s’étouffer en mangeant !

Ainsi 99,9% de la population française a survécu à ce « fléau » et selon l’INSEE la mortalité des moins de 70 ans a été moindre en 2020 qu’en 2019.
Cette maladie ne tue quasiment pas, elle se contente de diminuer l’espérance de vie de personnes très âgées et/ou avec des comorbidités très graves.

Afin de nous manipuler encore plus, le compteur de décès n’a pas été réinitialisé (généralement en novembre) comme cela se fait chaque année pour la grippe…

Enfin, si l’on se réfère au réseau Sentinelle, il est possible de constater que le nombre de décès en 2020 de maladies respiratoires aiguës (IRA) est quasi identique au nombre de décès d’IRA en 2 019. Mais en 2020 toutes les IRA (et même d’autres pathologies) ont été qualifiées de Covid quand bien même elles n’étaient pas causées par le Sars-cov2 !

D’autre part, comme je vais le développer dans la suite de mon texte, la gravité d’une maladie doit toujours être mise en balance avec les traitements disponibles, et dans ce domaine la tromperie a été et est encore grandiose.

L’éclairage sur la maladie et sa dangerosité est totalement noirci et mensonger !

–Éclairage sur les traitements disponibles

Scandale international à lui tout seul !
Rendez-vous compte que nous commençons seulement aujourd’hui à évoquer les traitements en France.

Au mois de mars 2020 et encore à ce jour, le traitement officiel du Covid était le paracétamol !

Il faut que le patient soit hospitalisé et à l’article de la mort pour commencer une prise en charge sérieuse.

Quand bien même les antibiotiques ne seraient pas la panacée face à un virus comme cela nous est répété depuis des années…
Il n’en demeure pas moins vrai que si vous êtes médecin, que vous êtes en mars 2020 face à un virus inconnu (entre parenthèses il n’est pas du tout inconnu au mois de mars, les études chinoises sont déjà publiées depuis le mois de février ainsi que l’efficacité de l’hydroxychloroquine), allez-vous, comme demandé par les autorités de santé, dire à votre patient de rester chez lui, de prendre du paracétamol, puis se rendre aux urgences si son état de santé se dégrade vrai ment ?!
Ou allez-vous faire simplement votre métier et lui proposer un traitement, probablement en premier lieu un antibiotique à large spectre ?!

Je ne reviendrai pas non plus sur l’absence totale de politique préventive pour les personnes à risque.
Sans compter sur le scandale de l’hydroxychloroquine, devenue mortelle du jour au lendemain après 70 ans d’existence alors même que plus de 20 000 Français en consomment tous les jours !
Et ne parlons pas du Remdesivir à la toxicité connue qui lui, a été adoubé par les agences européennes et la France puis commandé en masse.
Tandis que Didier Raoult était menacé par le conseil de l’ordre, Karine Lacombe, financée en partie par Gilead, recevait quant à elle la Légion d’honneur !

Vitamine D, zinc, Azytromicine, Ivermectine… sont ignorés ou mis au placard tandis que les anticorps monoclonaux qui eux aussi sont expérimentaux, dangereux, et hors de prix, sont officiellement présentés comme une lueur d’espoir.

Alors même que la maladie ou le décès sont intimement liés aux défenses immunitaires, non seulement nous vivons l’absence totale de campagne visant à booster celles-ci, non seulement rien n’est prévu pour les personnes à risque, mais qui plus est, la solution la plus préconisée a été l’enfermement des personnes les plus faibles, l’interdiction de respirer (hormis derrière un masque en plastique) et l’interdiction de faire du sport !

Mais quel imbécile lobotomisé par la peur ou corrompu pourrait penser que l’objectif du gouvernement est ou était notre santé ?!

L’éclairage sur la prévention et les traitements disponibles est totalement prohibé,
voire pénalisé, par les autorités de santé.

–Éclairage sur l’innocuité du vaccin

Ici encore l’information est indispensable pour déterminer le rapport bénéfice versus risque et donc de la nécessité de se faire vacciner.

Le matraquage médiatique est totalement criminel !

Dans la réalité, une phase III de mise au point d’un vaccin a pour objectif d’augmenter petit à petit, de monter en puissance, pour mesurer les effets secondaires.
Pour un vaccin classique, celle-ci dure entre 5 et 10 ans avant de passer à la phase IV de commercialisation.
Les autorités de santé se sont assises sur cette donnée sous prétexte que nous étions dans une « urgence mortelle ».
Rappelez-les vous que ce Sars-cov2 est censé terrasser n’importe qui et qu’il est censé n’y avoir aucun traitement selon les autorités.

L’AMM [Autorisation de Mise sur le Marché] conditionnelle des vaccins Anti-Covid était précisément conditionnée à l’absence de traitements disponibles.
Ne vous étonnez donc pas qu’il n’y ait pas eu et qu’il n’y ait jamais le moindre traitement officiel, car cela tuerait la poule aux œufs d’or et empêcherait la création du passeport vaccinal puis du crédit social.

Alors pour nous « rassurer », il nous a été asséné jour après jour que les milliards injectés (goutte d’eau dans l’océan des bénéfices de l’industrie pharmaceutique) permettaient de faire plus de tests et donc d’accroître rapidement le degré de sécurité.

Je suis probablement très bête, mais je ne vois pas comment l’argent peut permettre de s’acheter du temps et d’autant plus pour déterminer l’innocuité d’un médicament à long terme, à 5 ou 10 ans et même plus.

Qui peut me garantir l’absence de maladie auto-immune ou de cancer et autres modifications de mon patrimoine génétique dans 10 ou 20 ans aussi bien pour moi-même que pour ma descendance ?

Le plus extraordinaire est que l’on demande ce temps pour des vaccins classiques, mais que celui-ci ne serait pas important pour des thérapies géniques expérimentales à ARN messager comme le Pfizer BioNTech ou l’AstraZeneca qui est un vaccin expérimental OGM.

Certains se réjouissent de la mise au point de la vaccigénie BioNTech en moins d’un an, mais dans les faits, les premiers essais sur l’homme ont eu lieu fin avril 2020, soit un mois après le début de la collaboration entre Pfizer et BioNTech !

Rions un peu…
Je suis néanmoins « heureux » de constater que les vaccins auront permis le retour des décès en France et dans le monde d’autres pathologies que le Covid.
Alors même qu’une personne décédée, écrasée par un camion, pouvait être étiquetée Covid et qu’il n’y avait que des décès du Covid depuis des mois, voici que la vaccination provoque par miracle l’effet inverse !

Désormais, toute personne vaccinée qui décède ne peut que mourir de vieillesse ou de comorbidités parce que les « vaccins sont sûrs ».
Le décès d’un jeune homme de 24 ans en pleine santé récemment ne peut PAS être causé par le vaccin AstraZeneca !

«Ne doutons pas de la sécurité de ces produits mis au point et commercialisés dans des délais records, pour lesquels la plupart des verrous de sécurité façonnés au fil des années ont sauté » !

L’autorisation de mise sur le marché des vaccins Covid en France est issue directement de l’autorisation de mise sur le marché en Europe ce qui pourrait faire rire ou pleurer.

Et l’Europe s’est basée UNIQUEMENT sur les données fournies par les industriels alors même qu’elle aurait très bien pu étudier les effets et l’efficacité des vaccins parallèle ment aux fabricants !

Je ne résiste pas au « plaisir » de rappeler que Pfizer a négocié en 2009 la somme de 2,3 milliards de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour publicité mensongère et corruption massive de médecins.
Pour AstraZeneca, c’est 500 millions de dollars d’indemnité pour éviter un procès pour avoir volontairement caché les effets secondaires d’un médicament qui augmentait les risques de diabète !
Et pour Johnson & Johnson c’est 8 milliards d’amende en 2019 pour avoir caché qu’un de ses médicaments pouvait faire pousser la poitrine chez les hommes !
Sanofi, 25 millions de dollars pour corruption en 2018 ! Je pourrais ainsi continuer pendant des pages !

Et il faudrait les croire lorsqu’ils affirment que les vaccins ne présentent pas de danger ??!!

Le dernier exemple d’effets secondaires avec le vaccin AstraZeneca pourrait faire sourire sinon grincer des dents.
Le « vaccin » pourrait engendrer des thromboses et des caillots de sang qui, mal situés, pourraient être mortels.
Plusieurs pays européens stoppent les vaccinations.
Après l’arrêt par l’Allemagne, la France a bien été obligée de suspendre aussi. Les médecins médiatiques crient alors à l’excès de prudence !!! Si, si !!!
Des enquêtes commencent à être menées sur les décès suspects et … deux jours après, alors même que les enquêtes sont encore en cours, l’agence européenne annonce que le vaccin ne présente aucun danger et que les vaccinations peuvent reprendre !
De qui se moque-t-on ?
C’est tout aussi ridicule que les annonces de Pfizer qui affirment l’efficacité de leur vaccigénie contre les variants avec quelques heures de recul.

En résumé toute personne qui se vaccine participe à un essai de phase III de produits commercialisés par des industries largement condamnées par le passé.

Il n’y a strictement aucun éclairage concernant l’innocuité des vaccins
aussi bien de la part des autorités sanitaires que des médecins médiatiques .

–Éclairage sur l’objectif de la thérapeutique vaccinale

Il est indispensable de savoir pourquoi se vacciner et les bénéfices attendus.
Les produits actuellement appelés « vaccins » contre le Covid, ne sont pas des vaccins, soit du fait de la technologie utilisée, soit parce qu’ils ne sont pas des vaccins au sens de « empêcher d’être malade » ou « bloquer la propagation d’un virus ».
Au point que pour Pfizer (et les autres aussi, il me semble), le blocage de la transmission du virus n’a même pas été évalué pour la mise sur le marché.

À la question « ces médicaments empêchent-ils de tomber malade ? » La réponse est non.
Au mieux, ils empêchent d’avoir une forme grave de Covid.
Cela peut éventuellement présenter un intérêt pour les profils qui font des formes graves, mais certainement pas pour les personnes en bonne santé dont le risque de faire une forme grave est quasi nul !
Plus grave encore, les vaccins contre le Covid mis au point pour les souches de l’année dernière engendreraient un risque d’anticorps facilitant.
De fait, les personnes vaccinées pourraient faire des formes plus graves que si elles ne l’étaient pas.

À la question « Ces médicaments bloquent-ils la propagation du virus ? »
La réponse est : Nous ne le savons pas et cela n’a pas été testé dans les études.
Un point qui tendrait à prouver l’inefficacité serait le nombre de personnes devenues positives au Covid alors qu’elles étaient vaccinées.
De plus, alors même que les essais sur l’homme ont débuté il y a plus de 10 mois, la réponse à cette question n’existe toujours pas !

Enfin, les vaccins favoriseraient les variants.
Les pays qui ont vu émerger le plus de variants semblent être les pays dans lesquels la vaccination a été la plus importante.
Ceci est totalement logique… les vaccins étant plus efficaces contre les premières souches, ils auront plus tendance à les bloquer que les mutations.
De fait, les personnes vaccinées auraient tendance à laisser plus passer les mutations, et ceci d’autant plus que ces produits ne bloqueraient pas les transmissions.
Phénomène qui a peu de chance de se produire avec les personnes immunisées naturellement pour lesquelles le système immunitaire a une bien plus grande flexibilité que le vaccin pour lutter contre les variants.

Il n’y a pas d’éclairage du public sur le fait que les vaccins n’empêchent pas de tomber malade, qu’ils empêchent peut-être de ne pas faire de formes graves pour les personnes qui n’en font pas, que les personnes à risque peuvent faire des formes plus graves qu’elles auraient eu et que les vaccins pourraient favoriser les mutations, raisons pour lesquelles il est d’usage de ne pas vacciner pendant une épidémie, mais avant, et enfin que rien ne prouve qu’ils bloquent la transmission du virus.

– Éclairage sur l’efficacité supérieure des vaccins face aux alternatives

Il ne s’agit pas uniquement de connaître le rapport bénéfice versus risque de la vaccination, mais d’évaluer non seulement l’efficacité de la vaccination, mais aussi d’évaluer l’efficacité par rapport aux alternatives.
Je n’ai pas connaissance de la moindre étude sur l’évaluation de la vaccination et de son efficacité dans la lutte contre l’épidémie et la mortalité.
Et ce d’autant plus que la plupart des personnes décédées du Covid le seraient même sans le Covid.

D’autre part, les « spécialistes » nous disent qu’il faudrait atteindre 70% d’immunité vaccinale pour bloquer l’épidémie.
Mais c’est tout simplement mathématiquement IMPOSSIBLE !
En imaginant une efficacité du vaccin à 90% ce qui est totalement ridicule, et en vaccinant 80% de tous les Français dès la naissance, nous arriverions péniblement à 72% d’immunité vaccinale.

80% de personnes vaccinées est d’autant plus utopique du fait des irréductibles et des personnes qui ne peuvent pas être vaccinées pour raisons médicales.
Donc, laisser croire que l’on pourra parvenir à une immunité vaccinale de masse, et d’autant plus que les variants se succèdent et vont se succéder, relève d’une manipulation de la population et d’un mensonge d’État.

Ajoutons que le discours officiel en vient toujours à affirmer l’efficacité vaccinale versus… rien du tout.
À la base, nous voyons bien que des pays comme la Suède qui n’ont pas tué les droits de l’homme et l’économie n’ont pas eu plus de morts par habitant que les pays qui ont le plus confiné et mis en place une dictature, comme la France.
Preuve en est de l’efficacité de l’immunité naturelle de masse que l’OMS a bizarrement supprimé de ses sites depuis le mois de novembre.
Donc « rien » est déjà peut-être plus efficace que la vaccination.

Enfin, il faudrait pouvoir évaluer l’efficacité de la mesure vaccinale de masse, aussi bien en termes d’hospitalisation que de mortalité, versus une politique de prévention et de traitement des personnes à risque, aussi bien d’un point de vue préventif que curatif.

Les études (honnêtes) sur l’efficacité vaccinale contre le Covid ne verront probablement jamais le jour parce que cela irait totalement à l’encontre des intérêts de l’industrie pharmaceutique et aussi de tous celles et ceux qui visent à limiter de plus en plus les droits de l’homme.

Il n’y a aucun éclairage sur le fait que la stratégie vaccinale est peut-être,
voire probablement, totalement inefficace pour lutter contre le Covid,
et que cela n’a jamais été étudié, ni comparé à d’autres stratégies.

–Éclairage sur le rapport bénéfice vs risque

Celui-ci est la synthèse des questions posées précédemment.

  • Mes droits seront-ils les mêmes que les personnes non vaccinées ?
  • Quelle est ma probabilité d’attraper le Covid ?
  • Quel est mon risque de faire un Covid grave ?
  • Quels sont les traitements possibles préventifs ?
  • Quels sont les traitements possibles curatifs et leur efficacité ?
  • Quels sont les dangers à court terme du vaccin ?
  • Quels sont les risques à long terme du vaccin ?
  • Mon vaccin sera-t-il solidaire pour prévenir la transmission ?
  • Mon vaccin sera-t-il à risque de faciliter les variants ?

À la lumière de toutes ces données, du chantage au vaccin qui est constant.
À la lumière de l’absence totale d’informations objectives sur la maladie, ses dangers, ses traitements.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur l’efficacité vaccinale.
À la lumière de l’absence totale d’informations sur les dangers des vaccins.

Je peux affirmer, sans risque d’erreurs, que personne sur la planète qui s’est fait vacciner n’a bénéficié des informations légitimes et d’un consentement libre et éclairé…

Merci

Alain Tortosa.

Auteur du livre « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

Le 25 mars 2021.

https://7milliards.fr/tortosa20210325-extorsion-consentement-vaccination.pdf

Autres textes sur https://7milliards.fr




La France revivra-t-elle?

Par Joseph Stroberg

Il y a plusieurs siècles et sur un plan occulte, la France était considérée comme la patrie de la Nouvelle Alliance du Christ. La royauté française recevait l’onction sacrée à Reims, comme descendant prétendument du roi David via les Mérovingiens. La France a ainsi été longtemps reconnue comme la fille aînée de l’Église, et son roi était le lieutenant du Christ (en théorie). Cependant, elle a subi de multiples invasions depuis l’époque romaine et les Celtes initiaux se sont dilués. Par analogie, la région géographique correspondante s’est retrouvée comme un corps malade dont les différents organes ne pouvaient plus fonctionner en harmonie. Les Bretons, les Bourguignons, les Normands, les Auvergnats, les Béarnais, les Provençaux, etc. représentaient autant d’organes disparates peu capables de se coordonner. La France était devenue dyspraxique.

Pour pouvoir retrouver un état fonctionnel, ce corps s’est alors doté d’un cerveau puissant : Paris, l’Île-de-France. Pour que son âme celte puisse réintégrer un jour pleinement le corps, la France est devenue une nation mentale, intellectuelle, regorgeant d’esprits forts et créatifs, artistes, inventeurs, penseurs… qui ont longtemps influencé le monde. Le problème est que la Révolution française l’a véritablement décapitée et sa voix s’est progressivement éteinte, n’étant plus qu’un écho de plus en plus lointain de ce qu’elle était originellement.

Le roi de France n’était pas le despote absolu que la propagande républicaine a voulu faire croire, mais avant tout le protecteur du peuple, même si dans la pratique tous les rois n’ont pas joué adéquatement ce rôle. Cette révolution a été le fer de lance du renversement, puis de l’inversion croissante des valeurs, des symboles et des principes immémoriaux pour aboutir à une société corrompue de la tête aux pieds. La République a prétendu se préoccuper du peuple, mais dans la pratique n’a jamais vraiment pris en compte ses intérêts vitaux, car dès le départ, elle a été sous la coupe de sociétés secrètes élitistes et de groupes aux objectifs et aux idéologies contraires. La démocratie a prétendu écouter la voix du peuple, mais dans la pratique, par le biais des systèmes représentatifs, ne lui a jamais laissé le moindre degré de souveraineté et de capacité de décision autonome. Et devant la multiplicité et la complexité croissante des lois, règles et règlements démocratiques ou républicains, les serfs du Moyen-âge se trouvaient en fait plus libres que l’individu de nos sociétés soi-disant développées. (voir La bureaucratie contre la liberté et Société libre ?).

En blessant mortellement l’Église, en décapitant la tête — le Roi, la Révolution a empêché que la France retrouve son âme. Depuis lors, celle-ci se comporte comme un mort-vivant de plus en plus zombifié. Même si le Catholicisme romain et plus récemment le Vatican se sont prétendus représenter l’Église du Christ, cette dernière est de nature nettement plus subtile que les pierres des cathédrales et des monastères. La France ne pourra pas retrouver sa grandeur et son âme sans reconnaître et retrouver son rôle chrétien fondamental, indépendamment de toute structure formelle contraignante, et sans se redonner un guide, sous forme d’un Grand Monarque ou d’autre chose, qui soit apte à la guider et à lui rendre sa lumière perdue. De manière imagée ou symbolique, la tête décapitée devra être replacée et recousue pour que le corps retrouve non seulement sa vitalité, mais aussi son âme. Le Grand Monarque fait partie des gènes de la France, à cause des grands rois qui ont marqué son histoire depuis ses origines. Elle ne pourra réellement revivre sans une figure équivalente, au moins pour le temps de sa convalescence et de sa régénération.

La crise de la Covid-19, largement aggravée, sinon créée, par une partie des élites mondiales et globalistes devrait permettre au peuple (lorsqu’il se réveillera de son coma et de l’anesthésie de l’opération subtile destinée à lui permettre de retrouver sa tête et son âme) de réaliser l’état avancé de la maladie mortelle dont il a été victime. La France ressuscitera au moment même où elle retrouvera sa conscience millénaire, son essence royale, et le sens de sa mission particulière parmi les nations en tant que fille aînée de l’Église du Christ, en tant que patrie de la Nouvelle Alliance et berceau de la Nouvelle Jérusalem. Envolée purement poétique? Ou bien réalité future possible? L’avenir que nous construisons est fortement conditionné par l’orientation de nos pensées et par l’énergie que nous leur fournissons, selon leur intensité, leur concentration, leur acuité et leur durée. Qui vivra verra.




« Demain, ça pourrait être quelqu’un d’autre » : Bernie Sanders se prononce contre l’interdiction de Trump sur Twitter

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le sénateur Bernie Sanders (Indépendant-Vermont) s’est prononcé hier contre l’interdiction de Twitter de l’ancien président Donald Trump. M. Sanders a exprimé son malaise face au rôle des grandes entreprises technologiques dans la censure des points de vue, ce qui le démarque nettement de ses collègues démocrates qui ont réclamé davantage de censure de la part des entreprises. Dans une interview accordée mardi au chroniqueur du New York Times Ezra Klein, M. Sanders a déclaré qu’il ne se sentait pas “particulièrement à l’aise” avec le bannissement malgré son opinion selon laquelle Trump est “un raciste, un sexiste, un xénophobe, un menteur pathologique, un autoritaire… un mauvais élément”. Il a déclaré : “Si vous me demandez si je me sens particulièrement à l’aise avec le fait que le président des États-Unis de l’époque ne pouvait pas exprimer ses opinions sur Twitter ? Je ne me sens pas à l’aise à ce sujet”.

J’ose espérer que Sanders adopterait le même point de vue qu’un président qui ne siège pas ou qu’un citoyen moyen. Ils devraient tous pouvoir s’exprimer librement. Sanders ne va pas jusqu’à cette position d’”originaliste de l’Internet”, mais il reconnaît au moins le danger d’une telle censure. Il a noté que “nous devons réfléchir, parce que si quelqu’un pense qu’hier c’était Donald Trump qui a été banni et demain cela pourrait être quelqu’un d’autre qui a un point de vue très différent.” Il a déclaré que c’est un risque d’avoir une “poignée de personnes à la pointe de la technologie” qui contrôlent la liberté d’expression en Amérique.

J’ai longtemps fait l’éloge de M. Sanders pour sa position de principe sur de nombreuses questions et cette opinion dissidente est très bien accueillie par les membres de la communauté de la liberté d’expression. Elle contraste fortement avec celle de ses collègues démocrates qui ont célébré l’interdiction et appelé à davantage de censure. L’une des principales voix de la censure au Sénat est le sénateur Richard Blumenthal (Démocrate-Connecticut) qui a fustigé les Big Tech pour avoir attendu si longtemps avant d’émettre de telles interdictions : “La question n’est pas de savoir pourquoi Facebook et Twitter ont agi, mais ce qui a pris tant de temps et pourquoi les autres ne l’ont pas fait”.

Comme nous l’avons déjà évoquéles démocrates ont abandonné les valeurs de longue date de la liberté d’expression en faveur de la censure des entreprises. Ils ont clairement une “zone de confort” différente de celle de Sanders. Ce qui met mal à l’aise de nombreux membres démocrates, c’est la capacité des gens à s’exprimer librement sur ces plateformes et à diffuser ce qu’ils considèrent comme de la “désinformation.”

Lorsque le PDG de Twitter, Jack Dorsey, s’est présenté devant le Sénat pour s’excuser d’avoir bloqué le reportage sur Hunter Biden avant l’élection, estimant qu’il s’agissait d’une erreur, les sénateurs l’ont pressé, lui et d’autres dirigeants des Big Tech, de renforcer la censure.

Lors de cette audition, des membres comme le sénateur Mazie Hirono (Démocrate-Hawaï) ont pressé des témoins comme Mark Zuckerberg et Jack Dorsey pour obtenir l’assurance que Trump resterait interdit de parole sur leurs plateformes : “Qu’êtes-vous tous deux prêts à faire concernant l’utilisation de vos plateformes par Donald Trump après qu’il aura cessé d’être président, sera-t-il toujours considéré comme digne d’être publié dans les journaux et pourra-t-il toujours utiliser vos plateformes pour diffuser des informations erronées ?”

Plutôt que d’aborder les dangers d’une telle censure des comptes d’actualités, le sénateur Chris Coons a pressé Dorsey d’élargir les catégories de matériel censuré pour empêcher les gens de partager toute opinion qu’il considère comme du “négationnisme climatique.” De même, le sénateur Richard Blumenthal a semblé prendre le sens inverse de Twitter, en admettant qu’il avait eu tort de censurer l’histoire de Biden. Blumenthal a déclaré qu’il était “préoccupé par le fait que vos deux entreprises sont, en fait, en train de reculer ou de se retrancher, que vous ne prenez pas de mesures contre la désinformation dangereuse.” En conséquence, il a exigé une réponse à cette question :

“Allez-vous vous engager à appliquer le même type de règles de modification robuste du contenu lors des prochaines élections, y compris la vérification des faits, l’étiquetage, la réduction de la diffusion de la désinformation et d’autres mesures, même pour les politiciens lors du second tour des élections à venir ?”

“La “modification robuste du contenu” a un certain attrait, comme un type de mise à niveau du logiciel. Ce n’est pas une modification de contenu. C’est de la censure. Si nos représentants veulent réprimer la liberté d’expression, ils devraient admettre qu’ils sont des partisans de la censure. En effet, des universitaires de premier plan ont eu l’intégrité de déclarer récemment qu’ils pensaient que “la Chine a raison” en matière de censure.

Sanders ne croit manifestement pas que “la Chine a raison”, du moins lorsqu’elle s’applique à un président en exercice. Il faut espérer que Sanders continuera à s’exprimer sur la liberté d’expression et qu’il étendra cette position de principe pour s’opposer aux pressions incessantes de Blumenthal et d’autres en faveur d’un contrôle des entreprises sur les discours sur Internet.

Traduction de Jonathan Turley par Aube Digitale




« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !

[Source : New Eastern Outlook (journal-neo.org)]

[Traduction : Le Grand Changement]

Par F. William Engdahl

La réorganisation descendante de l’économie mondiale par une cabale de technocrates corporatistes, dirigée par le groupe autour du Forum économique mondial de Davos – la soi-disant Grande Réinitialisation (Great Reset) ou l’Agenda 2030 de l’ONU – n’est pas une proposition future.
Elle est en bonne voie d’actualisation, alors que le monde reste enfermé dans un enfermement insensé pour un virus. Le domaine d’investissement le plus en vogue depuis le début des lockdowns [Ndlr : confinements et fermetures économiques] mondiaux du coronavirus est ce qu’on appelle l’investissement ESG [Ndlr : pour Environnement, valeurs Sociales et Gouvernance]. Ce jeu hautement subjectif et très contrôlé déplace de façon spectaculaire les flux de capitaux mondiaux vers un groupe restreint d’actions et d’obligations d’entreprises « approuvées ». Il fait notamment progresser le dystopique Agenda 2030 des Nations Unies ou le programme Great Reset du WEF. Cette évolution est l’un des changements les plus dangereux et les moins bien compris depuis au moins le siècle dernier. Le programme d' »économie durable » de l’ONU est réalisé en toute discrétion par les mêmes banques mondiales qui ont provoqué les crises financières de 2008. Cette fois-ci, elles préparent la grande réinitialisation du WEF de Klaus Schwab en orientant des centaines de milliards, et bientôt des milliers de milliards, d’investissements vers leurs entreprises « réveillées » triées sur le volet, au détriment de celles qui ne le sont pas, comme les compagnies pétrolières et gazières ou le charbon. Les banquiers et les fonds d’investissement géants comme BlackRock ont créé une nouvelle infrastructure d’investissement qui sélectionne les « gagnants » et les « perdants » en fonction du sérieux de l’entreprise en matière d’ESG (environnement, valeurs sociales et gouvernance). Par exemple, une entreprise obtient des notes positives pour le sérieux avec lequel elle embauche des cadres et des employés de sexe différent, ou prend des mesures pour éliminer son « empreinte » carbone en rendant ses sources d’énergie vertes ou durables pour utiliser le terme des Nations unies.

La façon dont les entreprises contribuent à une gouvernance mondiale durable est la plus vague des ESG, et pourrait inclure n’importe quoi, des dons d’entreprises à Black Lives Matter au soutien d’agences de l’ONU comme l’OMS. L’objectif central crucial des stratèges du GNE est de créer une transition vers des énergies alternatives inefficaces et coûteuses, l’utopie promise du zéro carbone. Les grandes institutions financières et les banques centrales du monde entier sont à l’origine de ce mouvement. Elles ont créé un éventail éblouissant d’organisations pour mener leur programme d’investissement vert.Plus de 100 articles scientifiques ont conclu : le CO2 a un Effet Minuscule sur le Climat !

En 2013, bien avant le coronavirus, la grande banque de Wall Street, Morgan Stanley, a créé son propre Institut pour l’investissement durable. Celui-ci s’est rapidement développé en 2015 lorsque Morgan Stanley a rejoint le comité directeur du Partnership for Carbon Accounting Financials (PCAF). Sur son site internet, ils déclarent , »Le PCAF se fonde sur la position de l’Accord de Paris sur le climat selon laquelle la communauté mondiale doit s’efforcer de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport aux niveaux préindustriels et la société doit se décarboniser et atteindre des émissions nettes nulles d’ici 2050. » En 2020, le PCAF comptait plus de 100 banques et institutions financières, dont ABN Amro, Nat West, Lloyds Bank, Barcylays, Bank of America, Citi Group, CIBC, Danske Bank et d’autres. Plusieurs des banques membres de la PCAF ont été inculpées dans des affaires de blanchiment d’argent. Elles se sentent maintenant investies d’un nouveau rôle de modèles de vertu pour changer l’économie mondiale, si l’on en croit la rhétorique. Notamment, l’ancien gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, est un « observateur » ou un consultant du PCAF. En août 2020, le PCAF a publié un projet de norme décrivant une proposition d’approche pour la comptabilité carbone mondiale. Cela signifie que les banquiers créent leurs propres règles comptables pour évaluer l’empreinte carbone ou le profil écologique d’une entreprise.

Mark Carney s’exprime à Mansion House (Reuters)

Le rôle central de Mark Carney : Mark Carney est au centre de la réorganisation de la finance mondiale pour soutenir l’agenda vert 2030 de l’ONU derrière la Grande Réinitialisation du Forum Économique Mondial de Davos, où il est membre du conseil d’administration. Il est également conseiller du secrétaire général des Nations unies en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique. Il a décrit le plan du PCAF comme suit : »Pour atteindre le zéro net, nous avons besoin d’une transition de l’ensemble de l’économie – chaque entreprise, chaque banque, chaque assureur et chaque investisseur devra ajuster ses modèles d’affaires, développer des plans crédibles pour la transition et les mettre en œuvre. Pour les entreprises financières, cela signifie qu’elles doivent examiner plus que les émissions générées par leur propre activité commerciale. »Elles doivent mesurer et déclarer les émissions générées par les entreprises dans lesquelles elles investissent et auxquelles elles prêtent. Le travail du PCAF pour standardiser l’approche de la mesure des émissions financées est une étape importante pour garantir que chaque décision financière tienne compte du changement climatique. » En tant que gouverneur de la Banque d’Angleterre, M. Carney a joué un rôle clé dans le soutien des banques centrales mondiales à l’Agenda Vert du programme 2030 des Nations unies.  Les principales banques centrales du monde, par l’intermédiaire de leur banque faîtière, la Banque des règlements internationaux (BRI) à Bâle, ont créé un élément clé de l’infrastructure mondiale croissante qui oriente les flux d’investissement vers les entreprises « durables » et les éloigne de celles, comme les entreprises pétrolières et gazières, qu’elle juge « non durables. » Lorsque Mark Carney, alors gouverneur de la Banque d’Angleterre, était à la tête du Conseil de stabilité financière (FSB) de la BRI, il a créé en 2015 un groupe de travail sur la communication financière relative au climat (TCFD). Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg, elle comprenait, outre BlackRock, JP MorganChase, Barclays Bank, HSBC, Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, la banque chinoise ICBC, Tata Steel, ENI Oil, Dow Chemical, le géant minier BHP et David Blood de Generation Investment LLC d’Al Gore.

Anne Finucane, vice-présidente de la Bank of America, membre à la fois du PCAF et de la TCFD, a fait remarquer : « Nous sommes déterminés à faire en sorte que les risques et les opportunités liés au climat soient correctement gérés au sein de notre entreprise et que nous collaborions avec les gouvernements et les marchés pour accélérer les changements nécessaires… le changement climatique présente des risques pour le monde des affaires, et il est important que les entreprises expliquent comment ces risques sont gérés. » Le vice-président de Bank of America décrit comment ils évaluent les risques dans leur portefeuille de prêts immobiliers en procédant à « une analyse des risques physiques aigus sur un portefeuille échantillon de prêts hypothécaires résidentiels de Bank of America à travers les États-Unis. Chaque propriété a reçu un score basé sur le niveau de risque associé à 12 dangers potentiels : tornade, tremblement de terre, cyclone tropical, tempête de grêle, incendie de forêt, inondation fluviale, inondation éclair, inondation côtière, foudre, tsunami, volcan et tempête d’hiver. » De même, le « risque » d’investissement des banques dans le pétrole et le gaz ainsi que dans d’autres secteurs industriels est examiné selon les critères de la TCFD de Carney. Tous les risques sont définis comme étant liés au CO2, malgré le fait qu’il n’existe aucune preuve scientifique concluante que l’émission de CO2 par l’homme est sur le point de détruire notre planète par le réchauffement climatique. Les preuves de l’activité solaire suggèrent plutôt que nous entrons dans une période de refroidissement instable, le Grand Minimum Solaire. Cela ne préoccupe pas les intérêts financiers qui vont récolter des billions de dollars au cours de la prochaine décennie. Un autre élément clé de la préparation financière de la Grande Réinitialisation, la transformation fondamentale d’une économie à forte intensité énergétique en une économie à faible intensité et économiquement inefficace, est le Conseil des normes comptables de durabilité (SASB). Le SASB affirme qu’il « fournit un ensemble de normes claires pour la communication d’informations sur la durabilité dans un large éventail de domaines… ». Cela semble rassurant jusqu’à ce que l’on regarde qui compose les membres du SASB qui donneront l’imprimatur favorable au climat.Parmi les membres figurent, outre le plus grand gestionnaire de fonds au monde, BlackRock (plus de 7.000 milliards de dollars sous gestion), les fonds Vanguard, Fidelity Investments, State Street Global, Goldman Sachs, Carlyle Group, Rockefeller Capital Management et de nombreuses grandes banques comme Bank of America et UBS.Beaucoup d’entre eux sont responsables de l’effondrement financier mondial de 2008. Que fait ce groupe-cadre ? Selon leur site web, « Depuis 2011, nous travaillons à un objectif ambitieux : développer et maintenir des normes comptables de durabilité pour 77 industries. » L’objectif est de créer un réseau d’entités financières mondiales qui contrôlent la richesse combinée, y compris les assurances et les fonds de pension, pour une valeur de 100.000 milliards de dollars. Elles fixent les règles et définiront une entreprise, voire un pays, en fonction du degré d’émission de carbone qu’elle crée. Si vous êtes propre et vert, vous pouvez potentiellement obtenir des investissements. Si vous êtes considéré comme un pollueur de carbone, comme c’est le cas aujourd’hui pour les industries du pétrole, du gaz et du charbon, les flux de capitaux mondiaux vous désinvestiront ou éviteront de vous financer. La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que le charbon.

Les hydrocarbures attaqués ! La cible immédiate de cette cabale financière est l’épine dorsale de l’économie mondiale, le secteur du pétrole, du charbon et du gaz naturel. Les analystes de l’industrie pétrolière prévoient qu’au cours des cinq prochaines années, voire moins, les flux d’investissement dans le plus grand secteur énergétique du monde vont chuter de façon spectaculaire. « Compte tenu de la place centrale qu’occupera la transition énergétique dans les perspectives de croissance de chaque entreprise, nous demandons aux entreprises de divulguer un plan expliquant comment leur modèle économique sera compatible avec une économie nette zéro », a écrit Larry Fink, président-directeur général de BlackRock, dans sa lettre aux PDG de 2021. Blackrock est le plus grand groupe d’investissement au monde, avec plus de 7.000 milliards de dollars à investir. Un autre dirigeant de BlackRock a déclaré lors d’une récente conférence sur l’énergie que « là où BlackRock va, les autres suivront ». « Pour continuer à attirer les capitaux, les portefeuilles doivent être construits autour d’actifs avantageux de base – des barils à faible coût, à longue durée de vie et à faible intensité de carbone », a déclaré Andrew Latham, vice-président de l’exploration mondiale chez WoodMac, une société de conseil en énergie. Le saviez-vous ? La mégacorporation BlackRock vient de prendre le contrôle du Trésor américain et de la Réserve fédérale. L’administration Biden tient déjà sa promesse d’éliminer progressivement le pétrole et le gaz en interdisant les nouvelles locations sur les terres fédérales et en mer, ainsi que l’oléoduc Keystone XL. Le secteur du pétrole et du gaz et ses dérivés tels que la pétrochimie sont au cœur de l’économie mondiale. Les 50 plus grandes entreprises pétrolières et gazières du monde, y compris les entreprises publiques et cotées en bourse, ont enregistré des revenus d’environ 5.400 milliards de dollars en 2015. Alors qu’une nouvelle administration Biden pousse son opposition idéologique aux soi-disant combustibles fossiles, le monde verra un déclin précipité des investissements dans le pétrole et le gaz. Le rôle des mondialistes de Davos et des acteurs financiers de l’ESG est de garantir cela.

Et les perdants seront nous. Les prix de l’énergie vont monter en flèche, comme ce fut le cas lors des récents blizzards au Texas. Le coût de l’électricité dans les pays industriels deviendra prohibitif pour l’industrie manufacturière. Mais soyez rassurés. Tout cela fait partie de la grande réinitialisation en cours et de sa nouvelle doctrine d’investissement ESG.En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat de l’ONU, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un interviewer : »…Il faut dire clairement que nous redistribuons de facto la richesse du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l’illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n’a presque plus rien à voir avec la politique environnementale… »Le Great Reset du WEF (Davos) n’est pas simplement une grande idée de Klaus Schwab réfléchissant aux ravages économiques du coronavirus. Elle a été planifiée depuis longtemps par les maîtres de l’argent.

F. William Engdahl, consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l’université de Princeton et auteur de best-sellers sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne « New Eastern Outlook ».




Une Policière Espagnole s’adresse aux Gendarmes et Policiers Français

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Une policière Espagnole s’adresse aux membres des Forces de l’ordre de France. La France, pays de la Révolution de 1789, pays des Droits de l’Homme, pays de Démocratie et de Liberté, qui affiche  au fronton de chacune de nos mairies  « Liberté, Égalité, Fraternité ».

De quelle manière nos camarades Gendarmes et collègues Policiers, en activité de service, recevront-ils ce message ? Savez-vous qu’une majorité de la population espagnole surnomment leurs « Flics » les Anges gardiens ? 

Nos voisins européens et en particulier Espagnols, vont-ils finir par nous donner des leçons de Démocratie ?

Sonia Vescovacci, 41 ans, policière et créatrice du mouvement « Policia Por la Libertad »



Source : Rumble

Quiénes somos. [Qui sommes-nous?]

La asociación “Policías por la Libertad” nace con el objetivo de unir a Policías y ciudadanos en estos momentos tan difíciles, tanto para los ciudadanos como para los miembros de las Fuerzas y Cuerpos de Seguridad y Vigilantes de Seguridad.
[L’association «Police pour la liberté» a été créée dans le but d’unir les policiers et les citoyens en ces temps difficiles, tant pour les citoyens que pour les membres des forces et corps de sécurité et des gardes de sécurité.]

Somos muchos los Compañeros de los distintos Cuerpos que queremos seguir desempeñando nuestra labor en base a nuestra ética personal y profesional, nuestros principios básicos de actuación y como marcan nuestros Códigos Deontológicos, sin dejarnos llevar por nuestros propios miedos y nuestras diferencias de opiniones.
“Prometimos PROTEGER Y SERVIR a los ciudadanos, NO METERLES MIEDO.”
[Nous sommes de nombreux collègues des différentes instances qui souhaitons continuer à mener notre travail sur la base de notre éthique personnelle et professionnelle, de nos principes d’action de base et de la façon dont l’indiquent nos Codes Déontologiques, sans nous laisser emporter par nos propres peurs et nos différences. d’opinions.
« Nous avons promis de PROTÉGER ET DE SERVIR les citoyens, PAS DE LES CRAINDRE. »]




Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Par Gérard Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

Un jeune médecin nantais de 24 ans, victime expiatoire de la folie vaccinale. À 24 ans, zéro risque du covid-19, et le vaccin ne protège pas les autres. Alors pourquoi lui a-t-on fait courir ce risque ?

Avec l’analyse des données publiées, on apprend que l’EMA a accordé l’autorisation « conditionnelle » sur l’examen intérimaire d’essais phase 3 portant sur seulement 5 800 sujets vaccinés.

Ouest-France rapporte dans son édition du 23/3/2021 la triste histoire de ce jeune interne en médecine nantais de 24 ans, en parfaite santé, brutalement décédé d’une thrombose 10 jours après vaccination par AstraZeneca. Au-delà de la compassion que nous éprouvons pour les proches de cet étudiant qui ne pourra jamais être médecin, c’est la colère qui nous submerge.

Colère que nous inspire le refus des autorités de santé européennes et françaises d’interdire ce vaccin, au moins jusqu’à ce que des études indépendantes sérieuses prouvent que le vaccin est innocent.

Colère devant leur propagande réitérée « la balance avantage/risque est favorable » alors qu’à 24 ans le risque du covid-19 sévère est infime (inférieur à celui d’une grippe) et que dans le monde, les accidents post-vaccinaux graves et parfois mortels se multiplient chez les jeunes. AVANTAGES ZÉRO, risque non négligeable d’incidents et accidents parfois mortels et aucune protection des autres, l’argument compassionnel exclu.

Colère contre l’Agence européenne du médicament qui a autorisé la mise sur le marché « conditionnelle » d’un vaccin dont l’essai phase 3 ne sera pas terminé avant le 15 février 2023, d’après le site américain officiel « clinical trials.gov » et a autorisé la reprise de cette vaccination expérimentale en se fiant au simple plaidoyer de l’entreprise pour innocenter le vaccin tueur.

Après la révélation de thromboses post-vaccinales mortelles par l’agence sanitaire danoise, puis de nombreuses autres agences européennes (néerlandaise, norvégienne, allemande) entraînant la suspension temporaire de 48 h de l’utilisation du vaccin, l’EMA s’est contenté de prétendre « qu’il n’y avait pas de lien établi entre les cas de thrombose signalés et le vaccin, les troubles de la coagulation ne faisant pas partie des effets secondaires reconnus, mais qu’elle n’excluait pas un lien de causalité entre vaccin et thrombose » et a autorisé la reprise de la vaccination sans entreprendre, ni demander immédiatement d’étude sur la responsabilité du vaccin AstraZeneca. Cette triste histoire montre que l’agence européenne fait passer, comme d’habitude, l’intérêt des firmes pharmaceutiques devant la sécurité sanitaire des populations.

Attitude confortée le lendemain par celle de l’OMS qui, elle non plus, n’a pas jugé utile de réclamer une étude indépendante sur le problème. Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Mais plusieurs pays scandinaves maintiennent actuellement l’interdiction d’utilisation

D’autant que des chercheurs norvégiens et allemands ont démontré le lien de causalité et mis en évidence son mécanisme immunologique, expliquant le caractère tout à fait exceptionnel du type de thromboses rencontrées.

En France, la Haute Autorité de santé, comme l’Agence allemande du médicament, avait attiré l’attention sur l’inefficacité de ce vaccin chez les plus de 65 ans et déconseillé son usage dans ce groupe d’âge. Après la révélation récente des morts post-vaccin AstraZeneca par thromboses, la HAS a demandé que ce vaccin ne soit plus administré aux moins de 55 ans.

Malheureusement pour ce jeune homme, cette mesure de prudence a été prodiguée trop tard. Actuellement l’agence ne conseille plus la vaccination AstraZeneca que pour la tranche d’âge 55-65 ans. Espérons que cette tranche d’âge protège vraiment des complications de ce vaccin tueur.

Manifestement nos autorités font preuve d’une foi sans limites en ce vaccin, puisqu’elles ont même utilisé à Blois(([1] La Nouvelle République Covid-19 : des vaccins du lot AstraZeneca retiré en Autriche ont été injectés à Blois
Publié le 12/03/2021)) le lot banni d’Autriche après qu’il a été jugé responsable de deux complications graves dont la mort d’une infirmière.

Qu’en pensent les citoyens qui découvrent cette pratique ?

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ?

Aux USA le vaccin n’est toujours pas autorisé à la vente, même sous conditions. Des dizaines de millions de doses de vaccins AstraZeneca restent bloqués comme réserve stratégique en attendant une éventuelle approbation par la FDA.

Le 22/3/2021 le laboratoire AstraZeneca avait défendu son vaccin, affirmant qu’il était efficace à 80 % contre le Covid chez les personnes âgées et n’augmentait pas le risque de caillots, après des essais cliniques de phase III menés aux États-Unis, avec 32 449 participants.

Mais un groupe de surveillance(([2] Rhys Blakely Des responsables américains se disent préoccupés par les données “incomplètes” sur le vaccin Oxford The Times 23 3 2021)) de l’Institut national des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), qui supervise des essais cliniques de vaccins. a exprimé(([3] communiqué publié lundi 22 mars dans la soirée et apporté par Le Figaro)) sa « préoccupation » : AstraZeneca « a pu utiliser des informations obsolètes lors de cet essai », « ce qui peut avoir abouti à une estimation incomplète de l’efficacité » « Nous exhortons la compagnie à travailler avec le Data and safety monitoring board (DSMB, comité de suivi de l’essai), pour évaluer l’efficacité des données et s’assurer que les données les plus précises, les plus récentes et les plus efficaces possibles soient rendues publiques au plus vite ».

Le célèbre DR Fauci a déclaré mardi à « Good Morning America » d’ABC News que le vaccin Oxford-AstraZeneca était « probablement un très bon vaccin ». Cependant, a-t-il ajouté, le DSMB s’est inquiété du fait que les données contenues dans la déclaration publique d’AstraZeneca « étaient quelque peu dépassées et pourraient, en fait, être un peu trompeuses »(([4] Sam Meredith AstraZeneca a peut-être inclus des informations obsolètes dans l’essai du vaccin Covid, selon l’agence américaine de la santé MAR.23 MARS 2021)). Les actions d’AstraZeneca ont glissé de près de 1 % lors de la séance du 23 mars à Londres et ont baissé de 2 % dans les négociations de pré-commercialisation à New York.

Le 24/3/2021 20 heures, la recherche sur Google et PubMed montre qu’il n’existe toujours aucune publication de cet essai qui permettrait d’analyser les données alléguées dans le communiqué de presse d’AstraZeneca.

Situation en Europe au 24/3/2021 : les études avant AMM conditionnelle plus que légères ! De l’AMM ultralight

L’agence européenne l’EMA a osé autoriser la mise sur le marché d’un vaccin sur un simple rapport intérimaire(([5] Merryn Voysey  et al Safety and efficacy of the ChAdOx1 nCoV-19 vaccine(AZD1222) against SARS-CoV-2: an interim analysis of four randomised controlled trials in Brazil, South Africa, and the UK www.thelancet.com Vol 397 January 9, 2021)) de la sommation de deux études, l’une de phase 3 et l’autre de phase 2/3 incluant un nombre très insuffisant de sujets (7 548 dans l’essai phase 2/3  COV002 mené au Royaume-Uni et 4 088 dans l’essai phase 3 COV003 réalisé au Brésil), dont au total de ces deux essais seulement 5 800 vaccinés avec un recul médian totalement insuffisant (3-4 mois) et de plus entachées d’erreurs de dose.

La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.(([6] AstraZeneca avait reconnu que c’était par erreur qu’une demi-dose seulement avait été administrée à certains sujets de l’essai))La Suisse considérant la faiblesse des données présentées refuse toujours la mise sur son marché de ce vaccin.

La vaccination AstraZeneca réalisée actuellement à marche forcée représente en réalité un véritable essai vaccinal à grande échelle sur des citoyens mal informés et transformés à leur insu en cobayes.

Combien faudra-t-il de morts pour interdire le vaccin AstraZeneca ? Les citoyens sont-ils si compliants et aveugles ?

Dr Gérard Delépine





Les Peuples et les États piétinés, les comploteurs ne se cachent même plus

Par Jean

Communiqué des Gilets Jaunes de la Victoire aux populations et aux politiques

De haut en bas et de gauche à droite quelques participants du complot avec le badge de l’Agenda 2030 de l’ONU :
►Enrico Giovannini, Ministre de l’infrastructure, Italie.
►Boris Johnson, Premier ministre du Royaume Uni.
►Tédros Addhamon Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS.
►Bill Gates, Fondation Bill et Mélinda Gates.
►Emmanuel Macron, Président de la République française.

Merci à Maurizio Blondet, https://www.maurizioblondet.it

Une Constitution universelle pour un État global, privatisé et financiarisé, sous les couleurs de l’Agenda 2030 de l’ONU

[Analyse de l’Agenda 2030 de l’ONU non expurgée par Liliane Held Khawam publiée le 25 septembre 2020, https://www.lilianeheldkhawam.com.]

Un jeu qui permet de prendre connaissance des transformations qui traversent notre monde
Fidèle à sa volonté de sensibiliser la population aux « objectifs de développement durable » (ODD) de l’ONU, l’association La Fonda vient de lancer « Faire ensemble 2030 », son nouveau jeu coopératif.
Il s’agit d’un outil ludique à visées pédagogiques fondé sur la résolution de défis en lien avec les ODD. L’idée consiste principalement à mettre en avant des solutions communes, des partenariats d’acteurs, dans l’esprit de l’ODD17 «  Partenariats pour la réalisation des objectifs »
Le Commissariat général au développement durable est heureux d’avoir été associé à l’élaboration de cet outil.

25 septembre 2015. Il y a tout juste 5 ans, le pape François ouvrait en personne un rassemblement historique de l’ONU à New York, qui devait marquer le 70ème anniversaire des Nations Unies. A cette occasion, l’Assemblée, forte de 160 représentants de pays, avait adopté à l’unanimité le projet de « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ».

Un Programme majeur pour un Nouveau Monde

Ce programme jette les bases du Nouveau Monde en proposant ce qui ressemble à une ébauche de Constitution universelle. Celle-ci exalte l’esprit d’universalité, et la nécessité d’un consensus – voire d’unanimité – entre les Etats, qui décident de s’unir pour gérer au mieux l’avenir du monde. D’ailleurs, cela est confirmé dès l’introduction du Programme :

« Ce Programme a une portée et une importance sans précédent. Il est accepté par tous les pays et applicable à tous, compte tenu des réalités, capacités et niveaux de développement de chacun et dans le respect des priorités et politiques nationales. Les objectifs et les cibles qui y sont énoncés ont un caractère universel et concernent le monde entier, pays développés comme pays en développement. Ils sont intégrés et indissociables et concilient les trois dimensions du développement durable».

Tout est acté au nom du développement durable et de ses déclinaisons. Pourtant, les contradictions abondent dans ce texte qui prône à la fois la politique ultralibérale de l’OMC et la redistribution des richesses, le multilatéralisme et la souveraineté des Etats, l’humanisme et le sponsoring par les firmes globales, l’accessibilité aux contrées reculées, aux biens élémentaires, sans parler de gratuité. La toute-puissance du marché unique mondial, de ses multinationales, de la finance en grand architecte, n’y est pas remise en question.

Une feuille de route pour TOUS les pays

« Le Programme de développement durable, [Agenda 2030] est un plan d’action pour l’humanité, la planète et la prospérité ». Cette première phrase du Préambule introduit un des programmes les plus déterminants du Nouveau Monde. La gestion de l’humanité et de la planète est associée à la prospérité.

Étrangement, bonheur et liberté sont présentés en tant que capacité à produire et à consommer suffisamment.

Faim, misère et désespoir doivent être combattus par la croissance du PIB des pays. 

Joseph Savès a appelé une vision économétrique du monde. Il rappelle que des régimes archaïques enrichis par de fortes rentrées liées à des particularités naturelles, telles que le pétrole, peuvent abriter des populations qui n’en bénéficient pas du tout. A l’inverse, des pays à faibles PIB comme l’Etat du Kérala en Inde du Sud, assurent à leurs populations une vie relativement équilibrée et saine.

Lecture indispensable pour comprendre les enjeux du Développement durable et sa portée sur le terrain :
https://lilianeheldkhawam.com/2020/07/10/vers-un-nouveau-paradigme-de-structure-coronale-liliane-held-khawam/

Qu’est- ce que l’Agenda 2030?

Liste des 17 objectifs ODD composent et structurent le Programme de Développement Durable de l’ONU pour 2030

  1. Mettre fin à la pauvreté, sous toutes ses formes, partout,
  2. Éradiquer la faim, garantir la sécurité alimentaire, améliorer la nutrition, promouvoir l’agriculture durable,
  3. Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies,
  4. Garantir une éducation de qualité, sans exclusion, équitable, avec possibilités d’apprentissage pour tous tout au long de la vie,
  5. Égalité des genres: parvenir à l’égalité des sexes et autonomiser toutes les femmes et les filles,
  6. Eau pure et hygiène: assurer la disponibilité et la gestion durable de l’eau et de l’assainissement pour       tous,
  7. Garantir l’accès à une énergie abordable, fiable, durable, moderne, pour tous,
  8. Travail de qualité et économie: promouvoir une croissance économique soutenue, sans exclusion, viable, le plein emploi productif, un travail décent pour tous,
  9. Innovation et infrastructures de qualité : construire des infrastructures résilientes, promouvoir l’industrialisation, sans exclusion, et durable, et encourager l’innovation,
  10. Réduire les inégalités, au sein des pays et d’un pays à l’autre,
  11. Villes et communautés durables : faire des villes et des établissements humains des endroits sans exclusion, sûrs, résilients et durables,
  12. Consommation responsable: garantir des modèles durables de consommation et de production,
  13. Agir d’urgence contre le changement climatique et ses impacts,
  14. Océans durables: préserver et utiliser de manière durable les océans, mers et ressources marines pour     le développement durable,
  15. Exploitation du sol durable : protéger, restaurer et promouvoir une utilisation durable des écosystèmes terrestres, gérer les forêts de manière durable, lutter contre la désertification, stopper et remédier à la   dégradation des terres, et mettre fin à la perte de la biodiversité,
  16. Paix et justice : promouvoir des sociétés pacifiques, sans exclusion, dans le cadre du développement durable, permettre un accès à la justice pour tous, et mettre en place des institutions efficaces,      responsables, et sans exclusion, à tous les niveaux,
  17. Renforcer les moyens de mise en œuvre et revitaliser le partenariat mondial pour le développement durable

Visuel des 17 buts

https://www.are.admin.ch/are/fr/home/developpement-durable/cooperation-internationale/agenda2030/_jcr_content/par/image/image.imagespooler.jpg/1531215589689/1024.2000/sdg_poster.png

Le visuel a muté récemment en couronne (ou coronal), coronavirus oblige

https://lilianeheldkhawam.files.wordpress.com/2020/09/dab07-sustainable_development_goals_tcm14-147225.jpg

Présentation stylisée par le Prince Charles et le World Economic Forum… (Article ici)

La globalisation de la Suisse actée par la présidente de la Suisse

Dans cette allocution de la présidente de la Suisse en faveur de l’Agenda 2030, nous retrouvons les mêmes arguments mis en avant par ses collègues du Conseil fédéral, soit la famine, la pauvreté, les conflits, les discriminations entre hommes et femmes, etc.

Ainsi, en 2018 déjà, son collègue Alain Berset avait appelé l’assemblée des Nations-Unies à une refonte de l’ordre mondial, qui est une invitation à remettre en question la planète définie par des Etats pour la voir comme un tout, une entité une et indivisible. Pourquoi? Pour mettre fin à la

M Berset invita l’assemblée à entrer dans le Nouveau Monde, que nous définissons comme globalisé, productif, soumis à la finance globale.

L’Agenda 2030 a été tricoté sur la base du Développement durable. Dans un rapport sur la mise en œuvre de l’Agenda 2030 par la Suisse, le Conseil fédéral écrit : 

« En Suisse, le développement durable est un objectif suprême de la Confédération et à ce titre, il est inscrit dans la Constitution fédérale. La réalisation de cet objectif passe par la promotion de la prospérité commune, de la cohésion interne et de la diversité culturelle du pays mais aussi par un engagement en faveur de la conservation durable des ressources naturelles et d’un ordre international juste et pacifique. À tous les niveaux, les autorités publiques doivent viser un juste équilibre, sur la durée, entre la capacité de régénération de l’environnement et son exploitation par l’humain. ».

Forts de ce qui précède, il ne faut pas s’étonner de retrouver une autre conseillère fédérale, Doris Leuthard, en juillet 2018 en train de remettre à l’ONU une sorte de reporting (compte-rendu) incroyablement détaillé sur la Suisse. (cf détail tout en bas)!

Les fidèles de l’Agenda 2030 récompensés par… (Vidéo ICI)

https://i.ytimg.com/vi/7nbYRFZsZ28/maxresdefault.jpg

L’insistance de la présidente suisse quant au rôle de l’OMS

Le discours de la présidente suisse met en avant le rôle central de l’OMS et sa volonté de la soutenir. La chose est d’autant plus étonnante que le monde entier est actuellement au courant de qui tient le pouvoir décisionnel de l’OMS. A relever au passage que l’actuel directeur n’est pas plus médecin (malgré son titre de docteur) que le financeur et donneur d’ordres.

https://www.who.int/images/default-source/funding/ac-and-vc-2018-2019.tmb-1920v.png?sfvrsn=823d03b4_1
On retrouve les Gates aussi bien au niveau de leur fondation que du GAVI.

L’objectif 3 de l’Agenda 2030

Garantir la bonne santé, promouvoir le bien-être de tous à tous les âges, éradiquer les principales maladies (But 3)

Les cibles de l’objectif 3
3.1: D’ici à 2030, faire passer le taux mondial de mortalité maternelle au-dessous de 70 pour 100 000 naissances vivantes
3.2: D’ici à 2030, éliminer les décès évitables de nouveau-nés et d’enfants de moins de 5 ans, tous les pays devant chercher à ramener la mortalité néonatale à 12 pour 1 000 naissances vivantes au plus et la mortalité des enfants de moins de 5 ans à 25 pour 1 000 naissances vivantes au plus
3.3: D’ici à 2030, mettre fin à l’épidémie de sida, à la tuberculose, au paludisme et aux maladies tropicales négligées et combattre l’hépatite, les maladies transmises par l’eau et autres maladies transmissibles
3.4: D’ici à 2030, réduire d’un tiers, par la prévention et le traitement, le taux de mortalité prématurée due à des maladies non transmissibles et promouvoir la santé mentale et le bien-être
3.5: Renforcer la prévention et le traitement de l’abus de substances psychoactives, notamment de stupéfiants et d’alcool
3.6: D’ici à 2020, diminuer de moitié à l’échelle mondiale le nombre de décès et de blessures dus à des accidents de la route
3.7: D’ici à 2030, assurer l’accès de tous à des services de soins de santé sexuelle et procréative, y compris à des fins de planification familiale, d’information et d’éducation, et la prise en compte de la santé procréative dans les stratégies et programmes nationaux
3.8: Faire en sorte que chacun bénéficie d’une assurance-santé, comprenant une protection contre les risques financiers et donnant accès à des services de santé essentiels de qualité et à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et d’un coût abordable
3.9: D’ici à 2030, réduire nettement le nombre de décès et de maladies dus à des substances chimiques dangereuses et à la pollution et à la contamination de l’air, de l’eau et du sol
3.a: Renforcer dans tous les pays, selon qu’il convient, l’application de la Convention-cadre de l’Organisation mondiale de la Santé pour la lutte antitabac

3.b: Appuyer la recherche et la mise au point de vaccins et de médicaments contre les maladies, transmissibles ou non, qui touchent principalement les habitants des pays en développement, donner accès, à un coût abordable, à des médicaments et vaccins essentiels, conformément à la Déclaration de Doha sur l’Accord sur les ADPIC et la santé publique, qui réaffirme le droit qu’ont les pays en développement, pour protéger la santé publique et, en particulier, assurer l’accès universel aux médicaments, de recourir pleinement aux dispositions de l’Accord sur les ADPIC qui ménagent une flexibilité à cet effet

3.c: Accroître considérablement le budget de la santé et le recrutement, le perfectionnement, la formation et le maintien en poste du personnel de santé dans les pays en développement, notamment dans les pays les moins avancés et les petits États insulaires en développement
3.d: Renforcer les moyens dont disposent tous les pays, en particulier les pays en développement, en matière d’alerte rapide, de réduction des risques et de gestion des risques sanitaires nationaux et mondiaux

La Suisse derrière la création d’une fondation dédiée à l’OMS. Cadeau de 3 milliards

L’ex-chef de l’Office fédéral de la santé publique Thomas Zeltner a présenté à Genève la WHO Foundation, qui prévoit d’apporter à l’Organisation mondiale de la santé près de 3 milliards de francs d’ici à 2023. https://www.letemps.ch/monde/une-fondation-suisse-secours-financier-loms

Nul besoin de grands discours pour savoir qui va profiter de l’argent des Suisses menés bien malgré eux à l’abattoir de la faillite généralisée… Au nom du big reset exigé par les promoteurs de l’Agenda 2030!

Les liaisons dangereuses vont jusqu’à nous faire assister au versement par Gates de quelques millions à Swissmedic, l’autorité particulièrement indépendante, responsable de la mise sur le marché des vaccins et des médicaments. On soutient avec des milliards les visions hautement discutables de ces personnes privées, puis on accepte quelques petits millions.

Où commencent et où finissent les abus d’autorité et autre corruption?

Eh bien tout ceci est parfaitement illégal en démocratie, mais tout aussi parfaitement légal et exigé dans le monde de l’Agenda 2030.

https://www.20min.ch/story/swissmedic-erhaelt-millionen-von-bill-gates-280633837943

Bref, l’adhésion inconditionnelle à l’Agenda 2030 explique à elle seule le soutien inconditionnel à l’OMS ainsi que les pré-commandes à milliards d’un vaccin anti-Covid avant même d’en avoir vu les premiers effets positifs.

Nous marchons à pas forcés vers un Etat planétaire non seulement unifié, mais globalisé, où les milieux de la haute finance occupent une place de choix dans la cogouvernance de l’humanité, d’ores et déjà en place.

LHK


Remarques complémentaires

Avec la création d’une gouvernance mondiale la démocratie va disparaître, puisque c’est une élite autoproclamée qui va prendre d’autorité les décisions, comme le font actuellement Macron en France, Johnson en Grande-Bretagne, Trudeau au Canada, Draghi en Italie… et Ursula von der Leyen à la Commission européenne.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, les individus ne seront plus que des pions.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la soumission des citoyens et des peuples sera permanente.

Avec la création d’une gouvernance mondiale, la dictature sera actée et définitive.

Avec la volonté de créer une gouvernance mondiale des financiers et des technocrates sans aucune conscience montrent à tous leur profond mépris de l’humanité.

La crise sanitaire n’est donc qu’un prétexte pour déclencher la phase finale de leur complot contre les Peuples et les États.

À la lumière de ce qui précède, il est facile de comprendre pour un esprit normalement constitué que se trame dans le dos de la population un gigantesque complot contre les Peuples et les États mené par la finance et ses complices. 

Cela ne peut pas être nié, puisque de ces manigances, les médias dominants aux ordres ne vous en ont jamais parlé.

Les synonymes de complot sont conspiration et intrigue. Il est bien évident que nous sommes en présence de personnes qui se croient au-dessus des lois et qui s’estiment intouchables.

La mafia

 Mafia (XIXe siècle), mot italien désignant une société secrète, issue du sicilien, mafia, « hardiesse, vantardise », d’origine obscure. Dictionnaire étymologique et historique de la langue française, Emmanuèle Baumgartner et Philippe Ménard, La Pochothèque, Paris, 1996, page 463.

Définition de la mafia : En Italie, la loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État.

La mafia comme délit :

La création, en 1982, du « délit d’association mafieuse » répond à la nécessité de fixer un phénomène social ambigu, objet d’une approche tantôt culturaliste (la mafia comme façon d’être, expression archétypale de l’être sicilien), tantôt criminologique (la mafia comme association de malfaiteurs sans rapports permanents entre eux). Or nous avons vu comment la difficulté de prouver le caractère durable du lien mafieux et de démontrer la conscience des associés quant au projet criminel de leur association rendait caduques les tentatives judiciaires d’imputer aux mafieux un délit associatif, tel que prévu par le Code Pénal. La loi Rognoni-La Torre, promulguée en 1982 pour définir l’association mafieuse dans sa spécificité (article 416bis du Code Pénal), est une extension de l’article 416 définissant l’association criminelle. Le législateur postule que ce qui caractérise l’association mafieuse par rapport à la simple association criminelle est ses méthodes et, notamment, trois d’entre elles : l’intimidation, l’omerta et la soumission. Dès lors, est désigné comme « mafieux » tout individu qui tire profit du pouvoir d’intimidation émanant du capital de violence inscrit dans son association — quand bien même cette violence n’est pas exercée de façon systématique —, qui protège son organisation par son silence et vit dans un rapport de soumission vis-à-vis de cette institution se superposant à l’État. Juger la mafia — Deborah Puccio-DenJuger la mafia, Deborah Puccio-Den  

À ces délits, nous ajoutons la corruption.

Le Nouvel Ordre Mondial est donc une bien une mafia, qui en dehors de tous les principes républicains et de tous les principes démocratiques veut se substituer aux États pour mettre en place un gouvernement mondial aux mains d’une élite autoproclamée.

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés. »

David Rockefeller. Discours à la Commission Trilatérale, en juin 1991 à Baden Baden, dans Matrix of Power : How the World Has Been Controlled by Powerful Men Without Your Knowledge, paru en 2000.

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète agissant contre les grands intérêts des États-Unis et ils représentent ma famille et moi comme des “internationalistes” ; ils vont jusqu’à prétendre que nous conspirons avec d’autres capitalistes dans le monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée — un seul monde, si vous voulez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable et j’en suis fier. »

David Rockefeller, Mémoires, Éditions de Fallois, Paris, 2006, page 475.

« Nous sommes à la veille d’une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial. »

David Rockefeller, All We Need is the Right Crisis and the People Will Accept the New World Order.– David Rockefeller, 1994, Dîner aux Nations Unies.

Conclusion

Cet Agenda 2030 de l’ONU est à mettre en relation avec plusieurs projets des mondialistes, la liste ci-dessous n’étant que très sommaire :

Banque européenne, Catherine Lagarde : 
https://finance.orange.fr/actualite-eco/article/covid-19-une-annulation-de-la-dette-est-inenvisageable-affirme-christine-lagarde-CNT000001wZxp0.html 

Commission européenne : 
https://www.touteleurope.eu/actualite/la-dette-publique-des-etats-de-l-union-europeenne.html
https://www.touteleurope.eu/actualite/margrethe-vestager-il-ne-s-agit-pas-de-reconstruire-le-monde-tel-qu-il-etait-avant-le-covid.html

Forum Économique Mondial, Klaus Schwab : 
D’ici 2030, nous n’aurons rien et nous en serons heureux – Nouveau Monde

Bill Gates :
https://reseauinternational.net/bill-gates-mecene-ou-arnaqueur/

Bonus :
https://nouveau-monde.ca/les-comploteurs-demasques-macron-cheval-de-troie-du-nouvel-ordre-mondial-et-de-la-finance/

Étant donné que dans les médias dominants, ces informations ne sont pas mises en relation, et que l’essentiel se trame en coulisses, caché aux yeux du grand public, nous voulons croire que la plupart des responsables politiques ne sont pas, eux aussi, au courant de ce plan machiavélique, élaboré par des suprématistes et qui signera l’arrêt de mort de la démocratie. Aussi nous demandons aux politiques, qu’ils soient maires, députés, sénateurs ou responsables de parti, de prendre leurs responsabilités sous peine de ne pas être réélus, et de se retrouver très prochainement à la rue…

Le signe de l’infamie



La vérité brutale #6

Par Amélie Paul



Les épisodes précédents :

#1 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-du:4

#2 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-2:3

#3 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-3:a

#4 https://odysee.com/@ameliepaul:8/les-nouvelles-de-la-v-rit-brutale-4:f

#5 https://odysee.com/@ameliepaul:8/laveritebrutale5:9




Dernier appel avant embarquement pour suicide collectif

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, après un an de dictature sanitaire et de mascarade généralisée, c’est bien d’un dernier appel dont il s’agit ici. Avant qu’il ne soit trop tard. Un dernier appel avant embarquement pour suicide collectif.

Cet appel, on pourrait même le qualifier d’alerte rouge, tellement il devient pressant, urgent de se bouger, de s’insurger, de se révolter pour se libérer. À l’heure où tout le monde reste encore bien sagement claquemuré chez soi en attendant le déluge.

Face à l’apathie générale et au renoncement de se battre pour s’extraire des griffes de la finance mondialiste afin de sauver nos libertés, qu’attendons-nous encore avant de nous révolter ?

Qu’il ne reste plus un seul commerce indépendant ouvert, ni une seule petite entreprise encore en état de fonctionner avant que toute notre économie soit définitivement parterre ?

Les financiers du Grand Reset du Forum de Davos qui n’ont d’autre but que de nous asservir, n’attendent plus qu’une chose : que nous soyons tous piqués comme des poulets OGM afin de tous nous contrôler pour mieux nous voler nos biens, une fois ruinés par l’arrêt total de l’économie, et nous exclamer béatement, selon le slogan cynique de leur film de propagande (([1] nouveau-monde.ca/dici-2030-nous-naurons-rien-et-nous-en-serons-heureux/)) :

« Vous ne posséderez plus rien, et vous serez heureux. »

Formidable, non ? Alors, qu’espérer encore ? Un sursis ? Un malheureux sursis ? Et après ?

« Encore quelques minutes, Monsieur le bourreau ! » Mais non, il n’y aura pas de sursis ! À part pour les quelques restaurateurs naïfs qui croient encore que les maigres subsides de l’État vont leur permettre de survivre. Mais pour combien de temps ? Car c’est bien un gigantesque suicide collectif de toute la classe moyenne qui se prépare, avec la complicité des États et de l’Union européenne à la solde de l’oligarchie financière mondialiste, orchestrée par les partenaires illuminés du Forum Économique Mondial, Klaus Schwab, Bill Gates et Jacques Attali, dont Macron, Merkel et von der Leyen ne sont que des marionnettes.

À gauche : Bill Gates, partenaire contributeur du Forum Économique Mondial :

« Les vaccins Covid19 ADN devraient nous donner un contrôle extrême sur toute la population mondiale. »

À droite : Peter Sellers dans Docteur Folamour, film du génial Stanley Kubrick décrivant un monde corrompu où toute dignité humaine est enterrée sous une pseudo-nécessité de survie, avec la volonté clairement affichée des dirigeants de préserver leur pouvoir pour se livrer ouvertement à leurs magouilles politiques, leur brutalité, leurs perversions et leurs instincts bestiaux sous l’excuse qu’ils agissent pour l’humanité. Le slogan des militaires américains « La paix est notre profession » résume assez bien l’hypocrisie générale des décideurs qui baigne ce film.

« Nos tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. »

La Boétie

Car il faut vraiment être à genoux pour accepter de voir l’œuvre de toute une vie ruinée par la fermeture de son commerce, de son restaurant, de son entreprise. À genoux aussi pour accepter la fermeture de tout ce qui fait le sel de la vie : théâtres, cinémas, opéras, salles de sport, bars, discothèques… Et combien d’autres rideaux qui se baissent jour après jour sur nos loisirs ?

Car il faut vraiment être à genoux, ensuite pour accepter sans broncher d’être bâillonnés du matin au soir, de s’asphyxier à petit feu en respirant toute la journée son propre gaz carbonique, y compris à l’extérieur, même au bord de la mer ou encore en forêt ! C’est hallucinant !

Il faut vraiment être à genoux pour accepter cet enfermement quasi permanent fait de confinements, de reconfinements et de couvre-feux, comme si nous étions en état de guerre. Mais nous ne sommes pas en guerre ! Qui peut croire encore que l’on peut faire la guerre à un virus ? Qui peut croire encore ces propos délirants de psychopathe ?

Mais le pire n’est même pas là.

Comment peut-on accepter de voir tous ces écoliers dès l’âge de 6 ans, bâillonnés avec ces abominables muselières qui ne sont rien d’autre qu’un plan machiavélique d’ingénierie sociale pour nous apprendre à devenir tous des esclaves dès le plus jeune âge ?

Qui sont ces parents assez fous, assez criminels pour accepter que leurs propres enfants s’asphyxient huit heures par jour à l’école avec ces bâillons mortifères ?

Sont-ils incapables à ce point de créer des collectifs de parents d’élèves résistants pour forcer ce gouvernement criminel à plier en retirant massivement leurs enfants de l’école et cesser du même coup d’être les victimes d’un chantage aberrant : le masque ou l’exclusion ?

Et qui sont tous ces profs pour accepter eux aussi cette mascarade mortifère ? Où sont les syndicats d’enseignants et de parents d’élèves pour défendre la bonne santé des écoliers et des élèves face à la pandémie imaginaire d’un virus dont la létalité de 0,05 % frappe principalement la population des Ephad à comorbidité âgée de plus de 80 ans ? (([2] Didier Raoult, Carnets de guerre Covid19, le plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle, Michel Lafon))

Ne savent-ils pas que non seulement ces masques ne protègent pas des virus (c’est écrit sur la boîte), mais en plus sont de véritables nids à miasmes, surtout si on les porte 8 heures par jour, a fortiori toute la semaine ? Tous ceux qui vous diront le contraire vous mentent. Ces masques n’ont pas été conçus pour l’usage que les pouvoirs occidentaux nous imposent, mais pour le personnel médical.

Ces parents et ces profs ont-ils perdu à ce point tout bon sens, pire : tout sentiment d’humanité, à force de lavages et rinçages de cerveaux successifs administrés par les infos anxiogènes débitées H24 par toutes les chaînes d’info continue pour leur dire quoi penser ?

Ont-ils peur à ce point de l’amende de 135 euros que le sinistre de l’intérieur ne manque jamais une occasion de leur rappeler ? Se sont-ils jamais posé la question de ne pas la payer parce qu’elle est totalement injustifiée, car le port du masque ne repose sur aucun fondement scientifique et qu’il a été décidé uniquement par un conseil qui n’a de scientifique que le nom ?

Savent-ils seulement qu’il y a pléthore d’avocats prêts à plaider leur cause via les collectifs citoyens initiés par des avocats tels Maître Brusa, Maître Di Vizio, Maître Jean-Pierre Joseph ou encore Maître de Araujo-Vecchia, pour ne citer que ceux-là ? (([3] reaction19.fr/,
divizio.fr/,
bonsens.info/,
legavox.fr/blog/maitre-de-araujo-recchia/rapport-dictature-2020-terrorisme-etat-29896.htm))

N’ont-ils pas encore compris que ce pouvoir inique qui nous enferme ne tient plus que par notre peur du virus pour nous imposer le chantage des masques et des vaccins pour mieux nous asservir ?

Sont-ils devenus à ce point des robots, incapables d’autre chose qu’obéir servilement sans réfléchir, à la moindre directive liberticide aussi absurde que criminelle, que le gouvernement et l’Union européenne tentent de nous imposer depuis maintenant un an?

N’ont-ils toujours pas compris qu’il est vital d’éteindre définitivement son téléviseur pour allumer enfin son cerveau afin de découvrir sur les médias alternatifs d’internet vers quelle abomination l’UE et nos gouvernants nous mènent à marche forcée ?

Quant à ces parents qui livrent leurs enfants aux mains des labos pharmaceutiques, tel Moderna aux USA, pour qu’ils servent de cobayes à des « vaccins » qui ne sont rien d’autre que des expériences géniques, ont-ils seulement entendu parler du Dr Mengele d’Auschwitz et de ses « expériences » sur les prisonniers ? Pourquoi a-t-on établi un code de Nuremberg en 1947 ? Pour des souris de laboratoire ? À l’heure où les déboires du vaccin Astra-Zeneca s’accumulent malgré l’autorisation provisoire de mise sur le marché de l’Agence Européenne du Médicament, (([4] francais.rt.com/international/84989-astrazeneca-information-obsolete-a-pu-fausser-essai-efficacite-vaccin-anti-covid,
francais.rt.com/france/84987-nantes-vaccin-astrazeneca-covid-etudiant-24-ans-meurt-thrombose-enquete-ouverte-)) le jour où l’UE nous intimera de piquer à notre tour nos enfants pour remplacer les souris, l’accepterons-nous bien docilement ?

« C’est parce qu’il y a des moutons qu’il y a des loups. »

C’est ainsi que Rainer Werner Fassbinder résumait son film « Le droit du plus fort ». Si le grand réalisateur allemand décédé il y a bientôt 40 ans revenait maintenant parmi nous, on pourrait aisément imaginer son effarement en constatant jusqu’à quel point la société d’aujourd’hui qui affiche un égalitarisme sans vergogne, est devenue paradoxalement la plus inégalitaire qui soit, à savoir l’incarnation même de sa mise en garde du siècle dernier !

Dans cette société soudainement devenue folle sous la pression d’une clique de mondialistes corrompus, il appartient à chacun d’entre nous de chasser dès maintenant par tous les moyens, les loups du pouvoir. Après tout, ils ne sont qu’une meute affamée de pouvoir et d’argent. Le jour où nous cesserons de leur donner nos vies à manger, ils mourront.