Un nouveau paradigme médical

[Source : quantiquemedia.com]

La médecine d’aujourd’hui se préoccupe d’éventuels dépistages précoces et dépense des millions d’euros pour éventuellement trouver un traitement pour tous les cancers ; pourtant, des millions de personnes meurent encore des cancers. Est-ce la bonne voie ? Ne devrions-nous pas plutôt nous préoccuper de comprendre pourquoi un cancer se déclenche ? Comment notre mode de vie est concerné ? Quel est le rôle de la génétique ? Pourquoi le cancer touche-t-il telles personnes et pas telles personnes ? Si une substance est cancérigène pourquoi ne tue-t-elle pas toutes les personnes en contact avec elle ? On comprend bien que le cancer est relié à l’histoire personnelle de l’individu. Elle touche tous les niveaux de son être : physiques, physiologiques et spirituelles. La médecine d’aujourd’hui ne peut répondre à cette nouvelle approche. Le Docteur Saputo nous proposera un nouveau modèle de médecine de santé. Il nous expliquera sa façon de travailler. On peut parler ici de nouveau paradigme médical.

[NDLR L’enregistrement date de plusieurs années, mais la problématique soulevée reste d’actualité.]


Note de Joseph Stroberg

La médecine allopathique, comme beaucoup d’autres réalisations humaines depuis plus de deux siècles, repose sur l’approche matérialiste et existentialiste selon laquelle la conscience naît seulement de la matière et s’éteint à la mort physique de l’individu. Ce dernier tend alors à vouloir jouir au plus vite et au maximum de ce qu’il appelle la vie, ceci sans considération des conséquences pour lui-même ni pour les autres et la planète. La conséquence logique est le chaos et la corruption dans tous les domaines de la société[1], la peur de la mort et la manipulation qu’elle permet[2], l’accaparement des ressources par les plus psychopathes[3] et le totalitarisme[4].

Cette médecine « moderne » ou conventionnelle repose bien sûr sur des fondements inversés par rapport à une vision traditionnelle multimillénaire selon laquelle la vie matérielle est subordonnée à celle de l’Esprit éternel et la conscience est immortelle, survivant à la mort charnelle. Elle confond donc le plus souvent, pour ne pas dire toujours, les causes et les conséquences. Elle vise en particulier à guérir les maladies en s’attaquant aux symptômes plutôt qu’à ses causes fondamentales qu’elle cherche par ailleurs rarement. Elle prend des « exosomes » et autres éléments cellulaires naturels ou résultants d’agressions diverses pour des « virus » pathogènes, alors que selon une vision innovante appuyée sur des faits et des expériences scientifiques rigoureuses, ils sont soit des auxiliaires avertissant d’un danger[5], soit des déchets génétiques (d’ADN endommagé ou d’ARN ayant terminé son travail) expulsés des cellules[6]. Elle croit que les bactéries sont des microbes nuisibles, malgré leur existence par milliards dans notre corps, en nombre même plus grand que celui de nos cellules, et que leur fonction observée est celle de minuscule usine chimique utilisant certaines substances dont elles se nourrissent pour les transformer en d’autres produits, dont nous et d’autres êtres vivants peuvent se nourrir à leur tour ou avoir l’utilité. Dans notre corps, elles permettent notamment d’assimiler des nutriments au niveau des parois intestinales et d’accomplir d’autres fonctions, comme le nettoyage de certains déchets ou de cellules mortes.[7]

Le nouveau paradigme médical existe déjà au moins partiellement au travers de différentes approches médicales assez récentes, comme celle de la médecine fonctionnelle (qui s’efforce de travailler sur les causes « racines » des maladies), de la médecine « holistique » (qui considère l’individu dans son intégralité, à savoir son corps, ses émotions, son mental, mais aussi son esprit), ou même de la naturopathie selon laquelle il y a au moins quatre piliers pour une bonne santé : environnement sain, nourriture saine, exercices physiques suffisants (mais modérés) et absence de stress.

Ce paradigme trouve cependant ses racines dans des pratiques beaucoup plus anciennes aussi bien que dans l’approche de Béchamp par opposition à celle de Pasteur[8]. Les maladies y sont alors vues comme le résultat d’un déséquilibre localisé ou général, sur un plan ou un autre de la vie individuelle comme collective. Et un tel déséquilibre peut être causé d’un côté par une déficience, un manque en certains « nutriments » (au sens général ou symbolique du terme, car il peut aussi bien s’agir de nourriture émotionnelle, mentale, psychique ou même spirituelle). Et d’un autre côté, il peut être causé par un excès de nutriments (toujours au sens général ou symbolique), de substances (celles-ci pouvant plus ou moins rapidement devenir toxiques) ou d’autres agents tels que des champs électriques, des champs magnétiques ou des ondes électromagnétiques, surtout sous des formes auxquelles le corps n’est pas habitué ou préparé. Quant aux apparentes épidémies et contagions, elles sont le plus souvent tout simplement le résultat d’une exposition simultanée aux mêmes facteurs nocifs ou aux mêmes déficiences nutritives, se traduisant en symptômes plus ou moins violents d’abord et plus rapidement chez les individus les plus fragiles et à la plus faible vitalité, puis en dernier chez ceux qui disposent d’un plus grand potentiel vital et d’un meilleur équilibre général. Ceux-ci peuvent même alors ne ressentir aucun symptôme.

Les maladies hivernales proviennent d’un manque d’exposition au Soleil et d’une trop vive ou trop longue exposition au froid, facteurs qui fragilisent l’organisme et le rendent donc plus propice à subir plus facilement les autres causes de déséquilibre.

Certaines maladies peuvent néanmoins se communiquer par contagion, par le biais des biophoton[9] (et non pas par de prétendus « virus » pathogènes ni par des bactéries), lorsqu’il existe un état propice entre plusieurs individus, et pas nécessairement par proximité physique (puisque les biophotons s’affranchissent des distances). La peur peut être un facteur facilitateur. Une forme de complicité énergétique (vitale, émotionnelle ou mentale, par exemple) également.