Téléphonie 5G : lettre d’un grand-père indigné

[Source : La Maison du 21e siècle]

Mon cher petit-fils,

Lorsque ton père a pris cette photo, j’étais un grand-père heureux. J’avais mes petits soucis, comme tout le monde. Mais vraiment, avec une amoureuse qui illumine ma vie, avec tes parents que j’adore, et avec toi, prunelle de mes yeux, j’étais un grand-père comblé.

Mais voilà, depuis un an, ma vie a basculé. Le virus de l’indignation s’est infiltré sous ma peau et s’est logé là où il aboutit le plus souvent, au creux du ventre. Mon cher petit, je suis devenu un grand-père indigné ! Je t’écris pour que plus tard, lorsque tu liras cette lettre, tu puisses comprendre mon tourment.

Il s’est d’abord manifesté par de l’étonnement. Je ne comprenais pas qu’on puisse permettre le déploiement du réseau de téléphonie 5G, avec ses fréquences millimétriques, sa forêt d’antennes et son parapluie de satellites, sans qu’aucune étude n’évalue les risques pour ma santé, la tienne et celle de tous les enfants qui auront à refaire ce monde déjà trop abimé.

En  1976, j’avais 30 ans. Ton père n’était pas encore né. Cette année-là, l’armée américaine a produit un rapport secret [NdNM : disponible aussi ici], aujourd’hui déclassifié, documentant les recherches de scientifiques russes qui révélaient en détail les dommages des ondes radio sur la santé humaine et animale. Bien sûr, comme à peu près tout le monde, je n’en ai rien su.

Une vingtaine d’années plus tard, au tournant de l’an 2000, j’ai reçu mon premier téléphone cellulaire, une gracieuseté de mon employeur. Depuis, la téléphonie sans fil a connu une expansion phénoménale : il y a actuellement sur la planète plus de 5 milliards de téléphone cellulaires en circulation. Et pour évaluer leur impact sanitaire, nos gouvernements se fient à des normes d’exposition aux ondes désuètes qui permettent aux compagnies de téléphonie sans fil de jouer à la roulette russe avec notre santé.

Éventuellement, le voyant rouge s’est allumé. Comme des milliers d’études, que l’industrie cherche à discréditer, nous avertissaient du danger, il a bien fallu trancher. Pendant 10 ans, avec un budget de 30 millions de dollars, les Américains ont entrepris les recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets sur la santé d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Une tâche cruciale confiée au très réputé National Toxicology Program (NTP). Publiées en 2018, ces recherches ont démontré hors de tout doute que le rayonnement des téléphones portables avait causé des tumeurs cancéreuses aux nerfs entourant le cœur de rongeurs et augmenté significativement leur risque de cancer du cerveau. Ce rayonnement avait aussi causé des lésions cardiaques et endommagé leur ADN. Mon cher petit-fils, crois-tu que cela a incité l’industrie du sans fil à plus de prudence ?

Au contraire, avec la complicité du gouvernement, cette industrie s’apprête à installer un réseau qui utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques, lesquelles pourraient tripler le rayonnement auquel toi et moi serons exposés, que nous utilisions ou non des appareils sans fil. Même si tes parents te donnent tout leur amour et te nourrissent sainement, tu devras peut-être bientôt vivre, manger, jouer et dormir à une quinzaine de mètres d’une antenne placée sur un poteau en face de ta maison. Pourquoi? Parce qu’éventuellement, presque tous les objets que nous achèterons, mobilier, brosses à dents, grille-pain, matelas, appareils électroménagers, même les jouets que je t’offrirai à Noël, contiendront une puce qui échangera des données avec un réseau très dense d’antennes placées un peu partout, le long des rues, sur les abribus, les feux de circulation, les clochers, les toitures des écoles et des gares, et même sur plusieurs immeubles où habitent des gens comme toi et moi. Rien qu’à Montréal, jusqu’à 60 000 antennes pourront communiquer avec un million d’objets au kilomètre carré. Pour que le litre de lait, au frigo, puisse nous signaler qu’il est vide. Pour que la couche de bébé, au berceau, puisse nous avertir qu’elle est pleine. Pour que notre vie quotidienne, transformée en données numériques, puisse se vendre au plus offrant. C’est la nouvelle puce aux œufs d’or. On lui a donné un nom savant : l’Internet des objets.

Tant pis pour les abeilles et les oiseaux qui ne pourront plus s’orienter et en mourront. Tant pis pour les arbres qu’on abattra parce que leurs feuilles bloquent les fréquences millimétriques. Tant pis pour la prévoyance, car pour permettre à ces milliards d’objets de communiquer, il faudra faire main basse sur les derniers gisements de métaux rares sur la planète. Tant pis pour notre sécurité, car la multiplication exponentielle des points d’accès de cette nouvelle technologie facilitera les vols d’identité, les vols de données personnelles et les cyberattaques. Tant pis aussi pour le climat, car il faudra émettre trois fois plus de gaz à effet de serre pour nourrir cet ogre numérique. À preuve, certaines villes de Chine coupent le courant de la 5G la nuit, tellement ce système est énergivore.

Sauf s’il n’y a pas d’antennes à moins de 500 mètres de ton école et sauf si sa direction a remplacé le Wi-Fi par des connections câblées, tu y trouveras le même brouillard électromagnétique qui crépite dans toute la ville. Il pourrait affecter ta mémoire et ta concentration. Ton corps qui grandit, comme celui de tes camarades de classe, absorbera deux fois plus de rayonnement que celui de tes enseignants. À court terme, mon pauvre amour, tu risques d’avoir des maux de tête, des nausées, des vertiges et des acouphènes. Au fil des années, jour après jour, cette soupe de radiofréquences risque de te causer un cancer, un problème cardiaque ou le diabète. Pire encore, tu risques de ne plus pouvoir concevoir d’enfants, de ne jamais devenir parent.

Ton grand-père n’est pas en reste. Ce foisonnement de signaux risque d’endommager mes yeuxJe crains qu’un voile me cache éventuellement l’éclat de ton visage. Ma mémoire aussi pourrait s’éroder plus vite. Moi qui ai contribué à bâtir ce pays, j’ai peur de perdre la trace de ton nom, d’être exilé au pays de l’oubli.

Voilà mon histoire, mon cher petit-fils. Une triste histoire de pirates qui veulent tuer la beauté du monde.

Mais laisse-moi maintenant te raconter mon rêve, mon espoir le plus vif. Quand tu seras grand, je crois que ce gâchis sera devenu de l’histoire ancienne. Que les gouvernements auront mis fin à l’aveuglement, comme pour le tabac, le DDT, le plomb ou l’amiante. Qu’ils auront aboli le droit de polluer et que notre santé sera devenue leur PIB. Quand tu auras 30 ans, les millions de micro-antennes qui défigurent le paysage auront été décrochées depuis longtemps. La téléphonie cellulaire sera beaucoup mieux conçue. La fibre optique apportera un signal Internet 10 fois plus puissant au cœur des maisons, des écoles et des lieux de travail, un baume pour la nature et les humains.

En attendant, chaque journée perdue, chaque excuse invoquée, chaque tactique inventée ne font qu’augmenter les dégâts pour la vie humaine, pour l’environnement et pour les générations qui devront réparer les pots cassés. Lorsque tu comprendras la cause de mon indignation, mon cher amour, souhaitons qu’il ne soit pas trop tard pour les abeilles, les arbres et les oiseaux. Et pour qu’ils puissent réinventer la suite du monde, souhaitons que les enfants puissent naître et grandir là où il n’y aura que du soleil, de la pluie, des nuages et du vent.


Vous aimeriez contribuer à changer les choses ? Voici quelques pistes qui peuvent faire une grande différence.

1. Protection : Dix moyens pour se protéger des ondes du cellulaire : bit.ly/3eYhysj

2. Information : maisonsaine.ca/electrosmog – stopponsla5g.ca – cqlpe.ca

3. Action : appel5gappeal.ca/fr/


AU SUJET DE L’AUTEUR

De 1984 à 2009, Pascal est réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte, de la Société Radio-Canada. Auparavant il avait réalisé Montréal-Blues, La turlute des années dures et Taire des hommes. En 2006 il réalise Le porteur d’eau, Grand prix et prix du public au FPPE en 2007. En 2009, il réalise un film sur son père, Gratien Gélinas, un géant aux pieds d’argile. En 2013, il signe Huguette Oligny, le goût de vivre. Puis en 2016, Un pont entre deux mondes, suite du film Le porteur d’eau.

FILMOGRAPHIE DU RÉALISATEUR

  • Un pont entre deux mondes (2016) Huguette Oligny,
  • le goût de vivre (2013) Gilles Pelletier,
  • un cœur de marin (2013) Gratien Gélinas,
  • un géant aux pieds d’argile (2009)
  • Terres à la dérive (2008)
  • Le porteur d’eau (2006)
  • La Turlute des années dures (1983)
  • Montréal Blues (1973)
  • Taire des Hommes (1968)
  • Émissions Découverte et Science-Réalité de Radio-Canada (1984 à 2009): 350 reportages et dossiers.



Covid-19: le G20 promet une distribution équitable du vaccin

[Source : Le Figaro]

[NdNM : Les êtres humains ont le choix : croire sur parole les médias dominants et se faire vacciner avec des vaccins non suffisamment testés qui de l’aveu même des fabricants et des experts ne sont pas du tout efficaces à 100 %, des vaccins aux nombreux effets secondaires possibles ; ou bien considérer que leur santé dépend avant tout d’eux-mêmes et de la manière dont ils traitent leur corps et leur personnalité — selon la manière dont ils se nourrissent, gèrent leur stress, s’exposent ou non à des éléments toxiques (dont les ondes électromagnétiques pulsées telles que celles émises par la 4G, la 5G et le Wi-Fi), entretiennent ou non des émotions négatives (telles que la colère et la peur), pratiquent ou non une activité physique en quantité et qualité modérée et suffisante…]

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer leur campagne de vaccination avant la mi-décembre.

Les dirigeants du G20 ont promis dimanche de «ne reculer devant aucun effort» pour garantir un accès équitable aux vaccins contre le Covid-19, selon la déclaration finale d’un sommet virtuel au ton résolument consensuel mais pauvre en détails concrets. «Nous ne reculerons devant aucun effort pour assurer l’accès abordable et équitable (aux vaccins, tests et traitements, NDLR) de tous», écrivent-ils.

Le sommet des vingt plus grandes puissances économiques mondiales se tient cette année sous un format virtuel qui lui enlève beaucoup de son éclat, et sous la présidence de l’Arabie saoudite, ce qui a suscité de vives critiques des organisations de défense des droits humains.

Alors que la pandémie a désormais tué près d’1,4 million de personnes dans le monde, les présidents ou chefs de gouvernement ont dit «soutenir pleinement» les dispositifs mis en place par l’Organisation mondiale de la santé pour assurer que les vaccins ne bénéficient pas qu’aux pays les plus riches. Les membres du G20 promettent de «combler les besoins de financement encore existants», au moment où eux-mêmes mettent déjà sur les rails des campagnes de vaccination à grande échelle.

Les Etats-Unis ont annoncé dimanche qu’ils espéraient commencer la leur avant la mi-décembre. Les laboratoires privés et les Etats du G20 rivalisent depuis plusieurs jours d’annonces sur l’état d’avancement de leurs futurs vaccins. Mais le G20 n’a pas mentionné explicitement le montant de 28 milliards de dollars (23,6 milliards d’euros), dont 4,2 milliards en urgence, réclamé par les Nations unies pour faire face à la pandémie.

[NdNM : la suite de l’article concerne d’autres sujets traités pendant ce G20, mais également : Emmanuel Macron appelle le G20 à garantir un vaccin contre le Covid-19 «dans les pays les plus pauvres».]




La face cachée du rapport Yale

[Source : PDF sur le site Coalition québécoise de lutte contre la pollution électromagnétique]

Par Pascal Gélinas,
Réalisateur aux émissions Science-Réalité et Découverte
(ICI Radio-Canada Télé) de 1984 à 2009.

« Collectivement, nous n’avons pas droit à l’échec : notre souveraineté culturelle et nationale, notre prospérité économique et nos valeurs démocratiques sont en jeu », indique d’entrée de jeu le comité d’experts qui a rédigé le rapport Yale. Ses 97 recommandations visent à conseiller le gouvernement sur la révision de trois lois adoptées il y a des décennies (Loi sur la radiodiffusion, Loi sur les télécommunications et Loi sur la radiocommunication).

Depuis longtemps le milieu culturel réclame des lois qui obligeraient les géants du Web (Netflix, Facebook, etc.) à financer la production culturelle et médiatique canadienne. Et il y a urgence pour les médias canadiens qui souffrent de l’accaparement des revenus publicitaires par Facebook et Google. En somme, on attend urgemment des mesures concrètes pour réglementer les géants du Web et pour soutenir le secteur de la culture et des médias. Plusieurs s’inquiètent aussi à juste titre de la pérennité de la radiodiffusion publique et du respect du droit d’auteur. C’est principalement en fonction de ces attentes que le milieu culturel a réagi au rapport Yale, déposé fin janvier 2020 par le Groupe d’examen du cadre législatif en matière de radiodiffusion et de télécommunications. Toute l’attention s’est donc portée sur ces points, largement débattus et commentés.

Entrée par effraction

Par contre, un aspect majeur du rapport Yale est littéralement passé sous silence, comme si sa légitimité relevait de l’évidence. Prétextant l’innovation, l’épanouissement des Canadiens et la compétitivité internationale, le comité Yale recommande au gouvernement de donner au CRTC les pleins pouvoirs pour décréter unilatéralement l’installation accélérée du système de téléphonie 5G à travers le pays. Vous ne connaissez pas bien le système de téléphonie 5G ? Qu’importe, on veut vous l’imposer de force ! En effet, plusieurs des recommandations de ce rapport visent à supprimer toute résistance au déploiement de la 5G et à affirmer la suprématie de l’industrie des télécommunications sur les lois et règlements du gouvernement. Faut-il s’en étonner puisque Janet Yale, la présidente du groupe, celle qui a donné son nom au rapport, a été vice-présidente de Telus Canada [NdNM : Société de télécommunications].

Chers lecteurs, la 5G n’est pas qu’une simple amélioration dans notre service cellulaire. Il s’agit d’une augmentation et d’une modification majeures du type de rayonnement auquel nous serons tous exposés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, que nous utilisions le service ou non. Ce fait me préoccupe grandement, et je vous remercie de prendre le temps de lire l’ensemble de ce texte.

Au chapitre « Libérer les réseaux évolués de demain », le rapport Yale déclare :

« Le déploiement efficace de réseaux évolués sûrs et sécuritaires, y compris la mise en œuvre des réseaux 5G, est crucial pour assurer la connectivité des Canadiens et des Canadiennes, et l’innovation par les entreprises canadiennes… Il faudrait donner accès à toutes les formes de propriété publique, comme les réverbères et les poteaux électriques, pour l’installation des infrastructures passives nécessaires au déploiement des réseaux. »

On l’aura compris, les télécoms veulent que ce soit le CRTC, perçu comme plus favorable à leurs demandes, qui encadre leurs activités. Le rapport Yale précise :

« Les connexions réseau, en particulier les connexions sans fil 5G, devraient se densifier et devenir omniprésentes : elles occuperont de l’espace sur les bâtiments, les abribus et d’autres éléments usuels du paysage urbain…

À l’heure actuelle, le CRTC a compétence sur l’accès aux poteaux, aux conduits et aux autres structures de soutènement des anciennes compagnies de services locaux monopolistiques… Cela voudrait dire rendre obligatoire un accès similaire aux structures de soutènement des réseaux de télécommunication, quel qu’en soit le propriétaire…

En élargissant la portée de l’accès à la propriété tel que décrit ci-dessus pour y inclure l’accès au déploiement d’installations de radiocommunication comme les antennes radio, le CRTC aurait le pouvoir d’ordonner l’accès à l’emplacement des antennes, sous réserve des conditions qu’il juge indiquées. »

Ordonner l’accès à l’emplacement, c’est légaliser l’entrée par effraction, rien de moins. Allons-y par la force, recommande candidement le rapport Yale! Sa recommandation #36 demande donc que « les pouvoirs du CRTC liés aux infrastructures passives comprennent expressément l’accès à toutes les propriétés publiques en mesure d’accueillir ces installations, comme le mobilier urbain » et que « la Loi sur les télécommunications soit modifiée afin de permettre au CRTC d’exiger l’accès au câblage intérieur et intra-muros, aux structures de soutènement et dans et sur les toits des immeubles à logements multiples, ainsi que la disponibilité de cet accès à tous les fournisseurs des services de communication électronique. »

Une forêt d’antennes

Pourquoi l’industrie du sans-fil demande-t-elle l’invraisemblable passe-droit de s’installer où elle le veut, quand elles le veut, en faisant fi du droit de propriété, des normes environnementales, esthétiques ou sanitaires? Parce qu’elle s’est donné la tâche colossale d’installer des millions de nouvelles antennes pour son futur réseau 5G. Dans son Annexe B, le point de vue du rapport Yale est très clair :

« Un accès inefficace peut augmenter considérablement le coût du déploiement ou l’empêcher complètement. »

Alors que les auteurs du rapport Yale clament que « nos valeurs démocratiques sont en jeu », ils trouvent du même souffle qu’il y a trop d’intervenants qui ont leur mot à dire, lorsqu’on érige une tour ou une antenne de télécommunication : le propriétaire du terrain, la compagnie qui possède les poteaux électriques, la municipalité qui gère le mobilier urbain, ou le conseil municipal qui peut manifester son opposition. Trop d’obstacles qui risquent de ralentir la marche triomphale du réseau sans fil de cinquième génération 5G.

Disons–le haut et fort, la 5G n’a pas causé l’apparition de l’épidémie de la Covid-19, et tout geste de destruction des installations de télécommunications est un acte criminel. Par contre, nos gouvernements ont trouvé dans l’actuelle pandémie l’alibi parfait pour donner carte blanche aux compagnies de téléphonie. En France, par exemple, le 25 mars dernier, à peine 10 jours après le décret de confinement généralisé, le gouvernement publiait une ordonnance donnant tout pouvoir aux opérateurs téléphoniques pour installer des antennes relais sur le territoire Cette même dynamique prévaut également au Canada. Ce que l’industrie met en place sans consultation aucune, c’est un réseau qui, à partir de 2022, utilisera pour la première fois des fréquences millimétriques. Parce qu’elles se propagent sur des distances beaucoup plus courtes que celles de la 4G, il faudrait installer au Canada plusieurs centaines de milliers d’antennes supplémentaires. Et abattre beaucoup d’arbres dont les feuilles gênent la propagation des fréquences millimétriques.

Dans les villes, il faudrait une antenne à tous les 150 mètres environ. Pour faire fonctionner le réseau 5G à Montréal, il en faudrait de 40 000 à 60 000, alors qu’il y en a 1 200 aujourd’hui. Elles envahiront nos rues et seront visibles partout autour de nous, fixées à des poteaux d’éclairage et de téléphone, sur les clochers d’église (déjà utilisés pour la 3G et la 4G), sur les toits des édifices élevés, des écoles, des gares et des immeubles à bureaux.

Suite à la campagne Stoppons la 5G, vivons sans danG, plus de 25 000 citoyens québécois ont signé une pétition réclamant l’arrêt de l’installation des 400 antennes du Laboratoire 5G à Montréal. Ce genre d’opposition se développe dans plusieurs pays. En Italie, plus de 500 municipalités ont adopté des résolutions pour s’opposer au déploiement de la 5G. La Suisse a imposé un moratoire sur la 5G tant qu’une étude n’aura pas évalué ses risques pour la santé humaine. C’est justement ce que veut éviter l’industrie. Elle a absolument besoin rapidement de ces milliards d’antennes et de ces hyperfréquences millimétriques ultracourtes pour faire transiter l’énorme volume de données que nécessitera l’Internet des objets.

La ruée vers l’or

Vous qui me lisez, rêvez-vous à l’Internet des objets ? Cela répond-il à un besoin pressant dans votre vie ? Avez-vous été consultés à ce sujet ? Pourtant le rapport Yale nous l’annonce : nos objets seront reliés en permanence par un réseau très dense d’antennes micro et macro cellulaires, dont les rayonnements probablement cancérogènes contamineront en permanence nos milieux de vie.

En contrepartie, l’industrie des télécommunications nous fait miroiter le rêve d’une ville intelligente qui se régente toute seule comme une grande pendant que nous allons jouer au golf dans une voiture sans chauffeur. Le rêve d’un film qu’on télécharge en quelques secondes, au lieu de l’interminable minute actuelle. Le rêve de dizaines de milliers de spectateurs, dans un stade en délire, qui peuvent simultanément utiliser leur portable. Le rêve du litre de lait, au frigo, qui vous avertit lorsqu’il est vide. Le rêve de la couche du bébé, au berceau, qui vous avertit lorsqu’elle est pleine.

Techniquement, ce rêve délirant de connecter en permanence des centaines de milliards d’objets nécessitera la production massive d’équipements électroniques. Des équipements qu’aujourd’hui on parvient difficilement à recycler. Or un épuisement des gisements de métaux rares est déjà annoncé pour la prochaine décennie. Ajoutons à cela les énormes émissions de gaz à effet de serre requises pour installer et faire fonctionner tout ca. L’IEEE, une association internationale d’ingénieurs en électricité, a constaté que la technologie sans fil consomme en moyenne dix fois plus d’énergie que les connexions câblées. Pour l’industrie des télécommunications, les préoccupations environnementales ne font clairement pas le poids devant le pactole que représente notre vie privée transformée en données numériques, que des millions d’antennes s’échangeront constamment. Une mine d’or pour qui saura les monnayer.

Le recours à la 5G aggravera aussi la menace des cyberattaques, des atteintes à la vie privée et du vol des renseignements personnels. Cette nouvelle technologie simplifiera la tâche aux pirates informatiques qui pourront beaucoup plus facilement l‘infiltrer en raison de la multiplication exponentielle des points d’accès. La partie n’est-elle pas déjà assez belle pour eux ?

Vous croyez pouvoir échapper à cette congestion de fréquences en vous réfugiant à la campagne, ou même dans une région sauvage ? Détrompez-vous. Pour l’industrie, the sky is no limit [NdNM : le ciel est sans limites]. Avec la bénédiction du gouvernement américain, Elon Musk, le propriétaire des compagnies Tesla et SpaceX, souhaite éventuellement ceinturer la Terre avec plus de 42 000 satellites. Chaque lancement de fusée transportant 320 satellites met en péril la couche d’ozone qui nous protège des rayons ultraviolets cancérigènes. Elon Musk espère à terme gagner 3 à 5 % du marché mondial de l’Internet. Mais sa contribution au cimetière de l’espace risque d’être beaucoup plus élevée. De quel droit le gouvernement américain peut-il imposer à tous les humains de la planète un ciel où il y aura plus de satellites visibles à l’œil nu que d’étoiles, au détriment de la recherche astronomique et de la précision des prévisions météorologiques? Depuis le 4 février 2020, plus de 2 000 astronomes du monde entier appellent à stopper le lancement des satellites de la constellation StarLink.

En attendant, retombons les pieds sur terre. Lorsqu’elle aura atteint sa pleine capacité, la 5G triplera l’exposition aux rayonnements radiofréquences (RF) pour chaque femme enceinte, chaque enfant et chaque adulte, qu’ils utilisent ou non des appareils 5G. Voilà toute la cause de mon indignation. Nulle part le rapport Yale ne mentionne que ce déploiement est déjà en train de se faire sans qu’aucune étude n’ait démontré que la technologie 5G est sans danger pour les humains et l’environnement. Son déploiement est donc un jeu de roulette russe où nous servons de cobayes à notre insu, sans notre consentement, et en violation de nos droits les plus fondamentaux tels que définis par le code de Nuremberg.

Les preuves du danger de l’exposition aux radiofréquences

Pourtant depuis plus de deux décennies de nombreuses recherches sur les impacts sanitaires de la 2, 3 et 4G révèlent leur ampleur. Bien avant qu’il soit question de la 5G, le rapport BioInitiative, produit et mis à jour depuis 2007 par un groupe de 14 chercheurs internationaux soutenus par une douzaine de réviseurs, a compilé plus de 1 800 articles révisés par des pairs démontrant les effets nocifs des rayonnements sans fil pour les humains et l’environnement. En plus de ses effets délétères sur les insectes, les plantes et les animaux, on note chez l’humain une augmentation des cancers, des troubles de la reproduction, des troubles de la mémoire et de l’apprentissage, en particulier chez les enfants, ainsi que des dommages à l’ADN, au système nerveux et aux cellules. Malgré ce constat accablant, cette notion de pollution électromagnétique ayant des impacts sur la santé est difficile à accepter parce qu’invisible. Les cancers n’apparaissent souvent qu’au bout de 20 ou 30 ans d’exposition. C’est ce délai de latence qui pose problème.

Mais il y a deux ans, un coup de massue a été assené au scepticisme ambiant et au déni officiel. Le 1er novembre 2018, le très réputé National Toxicology Program (NTP), programme gouvernemental de recherche américain en toxicologie, a publié les résultats d’études sur les effets des champs électromagnétiques de radiofréquences chez le rat et la souris. Il s’agit des recherches les plus complètes jamais réalisées pour évaluer les effets d’une exposition aux ondes de la téléphonie mobile. Elles ont été initiées en 2003 et réalisée avec un budget de 25 millions de dollars US, avec l’hypothèse de départ que les ondes étaient sans danger.

Le concepteur de cette étude, Ron Melnick, résume :

« Les études du NTP ont non seulement révélé que le rayonnement des téléphones portables augmentait les tumeurs dans le cœur et le cerveau, mais induisait également des lésions cardiaques (cardiomyopathie du ventricule droit chez les rats mâles et femelles) et des dommages à l’ADN dans les cellules cérébrales des rats et des souris… Les organismes de santé et de réglementation doivent avertir le public des effets sur la santé des rayonnements radiofréquences et fournir des informations claires sur la façon de réduire les expositions, en particulier pour les enfants et les femmes enceintes. »

La même année, le prestigieux Institut Ramazzini, de Bologne en Italie, a publié une étude à long terme sur les effets des rayonnements RF (simulant l’exposition au rayonnement d’antennes cellulaires) sur la santé de près de 500 rats. Tout comme l’étude du NTP, cette étude a clairement démontré que l’exposition chronique aux radiofréquences causent chez les rats les mêmes types de tumeurs que l’on constate chez certaines personnes qui parlent au cellulaire 30 minutes par jour pendant au moins dix ans ou qui habitent à moins de 500 m d’une antenne.

Fabiana Manservisi, biologiste et co-signataire de l’étude, précise :

« Les données de notre étude montrent la corrélation entre l’émission de radiofréquences et l’apparition des tumeurs de l’oreille, ainsi que des tumeurs multiformes du cerveau. Cela signifie que l’on pourrait faire le parallèle avec ce qui pourrait se passer chez l’humain. »

https://youtu.be/V6aO_4ioP1g

Puisque cette étude de l’institut Ramazzini a été menée avec des ondes 3G et 4G, elle ajoute :

« ce qui est sûr, c’est que notre expérimentation a démontré un risque. Et ce risque doit être pris en considération concernant des fréquences qui n’ont pas encore été testées. Ce que nous voulons dire, c’est : prudence! Il faut respecter le principe de précaution. Il faut explorer ces fréquences 5G avant que toute la population n’y soit exposée ».

Depuis 1933, la science a établi que les humains sont des organismes bioélectriques dont les cellules communiquent à l’aide de faibles impulsions électriques. Notre organisme capte les ondes comme une antenne. Les rayonnements des communications sans fil peuvent interférer avec le fonctionnement de nos cellules et l’altérer. Les effets non-thermiques des micro-ondes sur la santé humaine sont documentés par les militaires depuis plus de 70 ans.

La science ou l’industrie ?

Mais Santé Canada est là pour nous protéger, me direz-vous ! Hélas, Santé Canada continue de défendre l’idée absurde que le seul danger de tout rayonnement de micro-ondes est l’échauffement des tissus… un critère totalement arbitraire établi au début des années 1950 par les militaires américains et repris il y a 22 ans par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP), une organisation non gouvernementale privée basée en Allemagne (et principalement financée par ce pays). La plupart des membres de l’ICNIRP ont des liens avec l’industrie qui dépend de ses lignes directrices, ce qui les place en conflit d’intérêt. Des lignes directrices définies en accord avec l’industrie, et non pas en fonction de la science. Pourtant ces directives de l’ICNIRP, en niant les effets biologiques sous le seuil thermique des rayonnements RF, sont inadéquates (trois organismes fédéraux américains le dénonçaient en 1993, tout comme l’Académie américaine de pédiatrie en 2012) et menacent directement la santé publique. En se fiant à ces mêmes directives, le site Web de Radio-Canada affirmait récemment que la 5G serait sans danger pour la santé humaine. Si cela est vrai, pourquoi alors les compagnies d’assurance refusentelles catégoriquement depuis plus de 10 ans de couvrir les dommages reliés aux tours cellulaires et aux communications sans fil ?

Selon les recommandations de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe faites en 2011 à tous les pays de l’Union européenne, les humains ne devraient pas être exposés à plus de 0,6 volt par mètre (V/m) ou 1 000 microwatts par mètre carré (μ/m2) à l’intérieur de leur maison, et idéalement, pour plus de prudence, précisait-elle, ça ne devrait pas dépasser 0,2 V/m ou 100 microwatts par mètre carré (μ/m2). À de nombreux endroits au centre-ville de Montréal, les mesures prises en janvier dernier indiquaient un niveau dépassant largement 20 000 microwatts par mètre carré (μ/m2)! L’ajout du rayonnement des fréquences millimétriques de la 5G, à compter de 2022, va éventuellement faire tripler cette exposition, surtout quand il y aura dans nos villes, selon les dires de l’industrie, un million d’objets au kilomètre carré connectés à Internet via la 5G qui émettront de façon intermittente.

Cet énorme smog électromagnétique va accroitre les revenus des gouvernements et les profits des entreprises de télécommunications, mais aussi le cancer, les maladies cardiaques, le diabète, l’Alzheimer, l’infertilité, en plus d’une foule de symptômes handicapants tels que pertes de mémoire, insomnie, maux de tête, nausées, vertiges, acouphènes, confusion mentale et dépression. La situation est pire pour les enfants, dont le corps absorbe deux fois plus de radiations que celui des adultes. Et les femmes enceintes risquent d’accoucher de plus en plus souvent d’enfants souffrant de leucémie, d’autisme, ou du trouble du déficit de l’attention.

Rappelons qu’en 2011 l’OMS a classé ce type de rayonnement dans le Groupe 2B, « peut-être cancérogène pour l’homme », tout comme le plomb et le DDT. Tout indique qu’en raison de nombreuses études scientifiques récentes, dont 500 études probantes parues depuis août 2016, la classification des radiofréquences devrait en principe être prochainement révisée à la catégorie du Groupe 2A « probablement cancérogène pour l’homme », voire au Groupe 1 « cancérogène avéré pour l’homme », tel que le recommande un conseiller de l’OMS, le Dr Anthony B. Miller, professeur émérite de médecine à l’Université de Toronto et qui a dirigé pendant 15 ans l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer.

J’ai 74 ans et quatre petits-enfants. La rapidité et l’absence totale de consultation qui prévalent, durant ce déploiement de la 5G, m’indignent et me révoltent au plus haut point. Je ne peux accepter l’idée que les marchands de cellulaires, avec la complicité de Santé Canada, soient prêts à mettre la santé, la sécurité et l’avenir de la population en jeu pour engranger des profits. Et je suis loin d’être le seul. Cette préoccupation est mondiale.

La riposte

Le 25 janvier dernier, quatre jours avant la parution du rapport Yale, la Journée mondiale de protestation contre la 5G a donné lieu à l’organisation de 205 événements dans plus de 195 villes de 32 pays. Au Canada, une douzaine d’événements et manifestations ont eu lieu de Vancouver à Halifax en passant par Calgary, Winnipeg, Toronto et Montréal ! En 2017, plus de 250 scientifiques de 37 pays ont lancé un appel à l’OMS et aux Nations Unies, dénonçant les effets nocifs de la technologie sans fil et demandant un moratoire sur la technologie 5G jusqu’à ce que des études d’impacts sanitaires et environnementales sérieuses et indépendantes soient réalisées. Le 19 septembre 2019, pendant que les auteurs du rapport Yale achevaient leurs délibérations, un nouvel appel signé par 261 scientifiques de plus de 40 pays affirmait que la santé humaine, animale et végétale serait compromise par le déploiement du réseau sans fil de cinquième génération (5G). En Suisse, où les limites de rayonnement sont six fois plus basses que les nôtres, un moratoire est en cours. La Fédération suisse des médecins (FMH) explique que « tant qu’il ne sera pas prouvé scientifiquement qu’une augmentation des valeurs limites de rayonnement actuelles n’a aucun impact sur la santé, il faudrait renoncer à les augmenter ». Chypre vient de retirer le signal Wi-Fi de ses écoles élémentaires, et de limiter le signal à l’hôpital de l’Archevêque Makarios III. Le pays entreprend une campagne d’éducation populaire sur les risques d’une exposition aux radiofréquences. En France, plusieurs nouveaux maires écologistes s’opposent au déploiement du réseau 5G dans leur commune. L’opposition grandit dans de nombreux pays.

Professeur émérite en biochimie et sciences médicales fondamentales à l’Université d’État de Washington, Martin Pall affirme [NdNM : ou ici]:

« Déployer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test pour vérifier si c’est sans danger au plan biologique doit être l’idée la plus stupide que quiconque ait eue dans l’histoire du monde ».

Parmi de multiples atteintes à la santé, il constate une augmentation de quatre types de cécité associés à la technologie 5G : les cataractes, le détachement de la rétine, le glaucome et la dégénérescence maculaire. Leurs villes intelligentes pourraient donc nous rendre aveugles !

Notre nouveau ministre du Patrimoine, Steven Guilbeault, s’est engagé à déposer d’ici la fin 2020 un projet de loi qui prendra les mesures appropriées pour veiller à ce que les fournisseurs de contenu, y compris les géants du Web, offrent plus de contenu canadien dans leur répertoire, contribuent à la création de contenu canadien dans les deux langues officielles, fassent la promotion de ce contenu et le rendent facilement accessible sur leur plateforme. Ce sont des enjeux cruciaux pour la survie de notre culture. Plusieurs des recommandations qui lui sont soumises dans le rapport Yale vont dans ce sens. Mais les recommandations qui réclament une imposition forcée du réseau sans fil de cinquième génération (5G) doivent être totalement dénoncées et rejetées tant que la science n’aura pas fait la lumière sur ces enjeux de sécurité et de santé publique. Rappelons que dans le cas de l’amiante, du tabac, du bisphénol-A, de la thalidomide ou de l’urée formaldéhyde, les risques pour la santé publique ont été initialement ignorés. Il incombe maintenant à nos dirigeants de prendre des décisions qui visent à placer la sécurité des citoyens au-dessus des intérêts des entreprises de télécommunications.

Le fil d’Ariane

Le cellulaire a fait ses preuves comme outil de communication, mais nous devons maintenant apprendre à l’utiliser de façon plus sécuritaire. La technologie 5G tente de le transformer en centre d’amusement et de stimulation visuelle pour des motifs purement commerciaux. Puisque nous avons impérativement besoin d’Internet, il existe une solution toute simple et éprouvée pour éviter ces problèmes. Celle de favoriser les connexions par fibre optique et filaires. Elles n’émettent pas de rayonnements. Elles assurent une meilleure protection de la santé et de la vie privée. Mais surtout elles sont cent fois plus rapides et plus fiables que la 5G.

C’est ce que réclame l’Appel urgent au gouvernement du Canada. Fruit d’une concertation de scientifiques et de militants pour l’environnement de 4 provinces canadiennes, dont Frank Clegg, ex PDG de Microsoft Canada, cette plateforme formule des demandes précises et pertinentes pour mieux encadrer la prolifération des antennes 4G et 5G. Alors que le gouvernement fédéral se prépare à encaisser des milliards de dollars en vendant les droits d’utilisation du spectre des ondes, cet appel réclame un moratoire sur le déploiement de la 5G et sur la vente des licences d’utilisation des fréquences 5G, tant que leur innocuité n’aura pas été prouvée par des études indépendantes. Il demande aussi une analyse économique globale des revenus potentiels, mais aussi des coûts liés aux technologies sans fil, incluant l’augmentation des soins de santé, la perte de productivité, les atteintes à la vie privée et à la sécurité, ainsi que les impacts environnementaux. Lancé le 14 mai 2020, L’Appel urgent au gouvernement du Canada a déjà reçu l’appui de 17 800 personnes et d’une quarantaine d’organisations à travers le Canada.

Sur les panneaux publicitaires de nos villes, l’industrie de la téléphonie sans fil a commencé à nous vendre son nouveau rêve. Cet Appel urgent au gouvernement du Canada est la seule façon de lui dire: STOP! On a besoin des lumières de la science avant d’imposer aux humains et à l’environnement une technologie qui n’a jamais été évaluée. Et on a surtout besoin d’être nombreux, individus, regroupements, syndicats et organisations, à le faire. Je vous invite à prendre connaissance de cet appel, à le rendre accessible autour de vous, à le signer et à recommander à vos organisations d’en faire autant.

Depuis longtemps nous nous unissions pour défendre notre culture et notre identité. Ne devrions-nous pas aussi nous unir pour défendre notre santé, notre environnement et l’avenir de nos enfants ? Des scientifiques et des médecins du monde entier nous avertissent du danger de l’exposition aux radiofréquences. C’est le temps de les écouter, le temps d’agir* !

Pascal Gélinas

gelinas.realisateur@gmail.com

Note

*Titre du rapport Yale.


[Voir aussi : dossier 5G et ondes pulsées]




Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale

[Source : Les 7 du Québec à partir du Saker Francophone]

[Commentaires de] Robert Bibeau

Nous vous proposons aujourd’hui un texte que les hypocrites médias mainstream qualifie de « complotiste ». C’est qu’à travers quelques élucubrations sataniques (sic) l’auteur  présente une bonne synthèse de faits avérés concernant cette pandémie qui a les apparences d’un exercice en vue d’une guerre bactériologique en préparation. Laissons de coté les interprétations diaboliques de Grand Complot de l’Ordre Nouveau et examinons les données qu’il expose.  Pour ce qui est de l’idéologie du « conspirationnisme« , voici une citation de L’Idéologie allemande qui remet les choses en perspective:  «À toute époque, les idées de la classe dominante sont les idées socialement dominantes : autrement dit, la classe qui est la puissance matérielle dominante de la société est en même temps la puissance spirituelle dominante. La classe qui dispose des moyens de la production matérielle dispose en même temps, de ce fait, des moyens de la production intellectuelle, si bien qu’en général, elle exerce son pouvoir sur les idées de ceux à qui ces moyens font défautLes pensées dominantes ne sont rien d’autre que l’expression en idées des conditions matérielles dominantes, ce sont ces conditions conçues comme idées, donc l’expression des rapports sociaux qui font justement d’une seule classe la classe dominante, donc les idées de sa suprématie.»  

Robert Bibeau. Éditeur https://les7duquebec.net


Tout le monde a pu voir récemment un certain nombre de très grands médecins et de professeurs en infectiologie, immunologie, génétique ou virologie se succéder sur les plateaux de télévision et de radio pour expliquer qu’ils ne comprenaient rien à la gestion de cette crise de la Covid-19 et aux différentes situations politiques paradoxales qui se sont enchaînées dès l’apparition du SARS-COV2 dans le monde.

Le professeur Christian Peronne, brillant médecin-professeur français exerçant à l’hôpital de Garches en région parisienne est l’un d’entre eux. Apparaissant de plus en plus interloqué émission après émission, il vient de publier récemment un livre dans lequel il recense « les erreurs majeures» que le gouvernement français aurait commis durant cette crise.

Or Monsieur Peronne fait radicalement fausse route comme d’ailleurs la plupart «des gens normaux» qui pensent que Boris Johnson s’est retrouvé à côté de la plaque ou encore qu’Agnès Buzin et son Comité scientifique «se sont retrouvés dépassés».

Le souci c’est qu’en réalité, les gouvernements de la planète n’ont commis aucune erreur même si c’est ce que l’on voudrait bien nous faire croire. Ils n’ont fait que suivre les consignes qui leur étaient données par le Conseil Mondial lequel est sous l’emprise totale des eugénistes et malthusiens tels que Bill Gates ou David Rockfeller. (sic – le conspirationnisme pointe son nez. ndlr).

Au total, ce ne sont pas moins de 194 états dans le monde qui ont ratifié le Règlement Sanitaire International (RSI – 2005) de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Règlement, rappelons-le, qui prévoit qu’en cas de crise sanitaire majeure, tous les états membres s’engagent à respecter toutes les consignes émanent du Conseil Mondial et à faire en sorte que toutes ces consignes priment sur les lois et les codes juridiques des états.

Mais nous allons développer tout ceci un peu plus loin car c’est très important, d’autant plus que le Parlement Européen a fait promulguer une loi extrêmement dangereuse le 10 juillet 2020 afin de permettre la vaccination des individus et de leur inoculer des OGM dont on ne sait absolument rien.

Qu’il s’agisse de Christian Peronne en France, d’Alberto Zangrillo en Italie ou de Denis Rancourt au Canada, on est toujours dans le même cas de figure. Celui où des gens innocents, naïfs et fondamentalement bons ne voient jamais «le Mal» tel que l’on devrait le voir, c’est-à-dire dans son essence la plus absolue et la plus machiavélique qui soit. Ils en sont incapables car ils pensent que tout le monde est comme eux.

Ils ne voient que des imperfections, des incohérences, des incompétences et des erreurs commises. Et comme leur nature est intègre et qu’ils sont des gens fondamentalement honnêtes, ils sont incapables de percevoir et de comprendre que cette crise du COVID vient de très loin et qu’elle a été intégralement orchestrée de A à Z. (sic. disons que c’est une hypothèse de recherche. ndlr).

Est-ce que quelqu’un se rappelle de la cérémonie macabre de l’ouverture des Jeux Olympiques de Londres en 2012 ? Non ? Et bien il faut la revoir. Le thème tournait autour d’une pandémie et pour tous les passionnés d’eurythmie, l’événement était truffé d’images satanistes et maçonniques. (un autre petit coup de complotisme. NDLR)

Alors prémonition, prédiction ou hasard ?

En termes d’hypothèse tout est possible mais nous allons voir que rien n’est dû au hasard. Avec le recul, nous pouvons même penser que toutes ces histoires de nems de chauve-souris mal cuits et de pangolin mal grillé pour être revendu par un «Street cooker» dans un marché de Wuhan ne sont que des histoires pour enfants. Rien d’autre. (ici le conspirationniste renvoi les autres conspirationnistes à leurs marmites. ndlr).

La preuve est que nous sommes déjà à la mi-septembre et nous n’avons toujours pas trouvé de patient « zéro ». Tout nous laisse penser que nous le trouverons pas (exact. ndlr).

La réalité est bien plus scabreuse, bien plus machiavélique et bien plus maléfique que tout ce à quoi l’on veut nous faire croire.

Le hasard, comme le disait Einstein« c’est Dieu qui se promène incognito » et en arabe, ce terme désigne la chance ou le succès. C’est-à-dire, au sens probabiliste du terme, le fait qu’un événement considérablement improbable et incertain se réalise avec une précision divine.

Si tel est peut-être le cas dans le domaine de la physique quantique et relative ou encore dans le domaine des statistiques, c’est-à-dire dans ces domaines des sciences exactes où Dieu se promène partout entre la masse du proton, la fleur de vie et le nombre d’or, ce qui relève de la certitude, c’est que dans le domaine de la physique des affaires politiques, de l’ingénierie sociale et du contrôle des populations — et des pandémies évidemment —, Dieu n’y est pour rien.

L’homme en revanche y est quasiment pour tout et les crises ne sont bien souvent rien d’autres que des zones d’incertitudes, de risques et d’opportunités dans lesquelles ceux qui maîtrisent les événements et le temps, réalisent de formidables sauts qualitatifs. Ce qui veut bien dire que les crises sont délibérément organisées et déclenchées à des fins précises et aux moments voulus.

Dans la réflexion, la planification, l’organisation, le contrôle des médias, la manipulation génétique, la recherche d’armes biologiques et bactériologiques, la dissémination délibérée d’un virus ou derrière un lockstep [traduction compte tenu du contexte : verrouillage] économique et un lockdown [traduction : confinement] des populations, l’homme est partout. Il pense à tout.

Qu’il s’agisse du conditionnement éducatif de nos enfants, de la manipulation des foules, de la répression et de l’intimidation des groupes réactionnaires comme ce fut le cas en France avec les gilets jaunes ou qu’il s’agisse de terrorisme affectif, l’homme pense vraiment à tout.

Pour vous convaincre par les sentiments, par exemple, la fabrique du consentement vous répétera, jusqu’à ce que vous le répétiez vous-même à vos semblables, par mimétisme social ou par amour de la servitude volontaire, que vous ne devez surtout pas rendre visite à vos grands-parents dans leur maison de retraite au prétexte que vous pourriez les tuer en leur transmettant un virus mortel.

Adorable petite fille jouant avec le chapeau d’un homme âgé sur fond de nature. Le concept de deux générations différentes.

Un peu comme si Orwell vous disait que « la guerre c’est la paix, la liberté c’est l’esclavage, l’ignorance c’est la force ».

Sans doute est-ce là encore un non sens qui créé évidemment de la dissonance cognitive mais beaucoup le croient. La naïveté des hommes est sans limite.

Qu’importe que ceux qui nous aiment et qui ne vivent maintenant que pour voir leurs petits enfants grandir, meurent de solitude, de stress et d’angoisse, de soif, d’abandon ou de désespoir, l’important est que vous, vous ne soyez pas responsable de leur mort.

En France, le 27 mars 2020, le gouvernement n’a pas hésité à interdire le traitement des patients atteint de la COVID-19 par hydroxychloroquine, basant son décret sur l’étude truquée de la revue « The Lancet » et si les responsables de cette revue ont reconnu leur erreur, le gouvernement lui n’a pas changé d’avis.

Déclarant ainsi dangereuse, une molécule prescrite depuis plus de 60 ans à travers toute la planète et dont le Docteur Fauci disait, en 2005 dans un article, que cette molécule était d’une efficacité redoutable pour traiter le SARS-COV1 mais aussi tous les coronavirus.

Alors complot contre la santé ou hasard de calendrier ?

Il y a quelques jours, le New York Times publiait encore un article dans lequel l’auteur expliquait que le confinement avait tué 10 fois plus de gens que le virus lui-même mais cette information est passée totalement inaperçu dans les médias européens.

Par le terrorisme émotionnel, pour vous donner un autre exemple, la fabrique médiatique du consentement vous fera toujours croire que si vous ne voulez pas que votre bébé meure dans d’atroces souffrances, vous devez impérativement le vacciner contre une bonne douzaine de maladies et ce, avant même que son corps ait acquis sa propre immunité.

Qu’importe que votre enfant devienne plus tard autiste ou que les effets secondaires irréversibles de ces vaccins le rendent stérile ou développent chez lui, 30 ou 40 ans après, toutes sortes de maladies neuro-dégénératives qui seront beaucoup plus graves que les maladies contre lesquelles il est censé être immunisé.

L’important, pour tous ces ministres de la santé qui ne sont en réalité rien d’autres que les représentants commerciaux des grands firmes pharmaceutiques, est juste que vous injectiez toute une série de vaccins payants dans le corps de ce petit être encore fragile et innocent, cet incroyable miracle de la nature.

Seuls comptent pour eux le volume des ventes, la rentabilité des investissements consacrés à la recherche et au développement et la hausse du cours de l’action de la société.

L’homme de pouvoir et assoiffé de contrôle, a toujours la fâcheuse tendance à toujours vouloir se prendre pour le Créateur et à toujours vouloir tout manipuler et refaire à sa place et je ne parle pas là des chefs d’état et des gouvernements qui ne sont que de simples exécutants. Je parle de ceux qui ont réellement le pouvoir. Ceux qui financent les bourses d’études et les campagnes électorales de ceux-là mêmes qui deviendront ensuite leurs débiteurs. Ceux dont on ne parle jamais  (ou moins souvent disons. ndlr).

Pourtant ces acteurs de l’ombre impriment la monnaie et décident de votre paix si vous leur contractez un prêt ou installez une de leurs banques centrales sur votre territoire. Le cas échéant, comme ce fut le cas en Libye, ils décident de vous renvoyer à l’âge de pierre.

« Le monde », disait Nicholas Butler« se divise en 3 catégories : un très petit nombre qui fait se produire les événements, un groupe un peu plus important qui veille à leur exécution et les regarde s’accomplir, et enfin une vaste majorité qui ne sait jamais ce qui s’est produit en réalité ».

Ce que nous proposons ici est une grille d’analyse de la situation d’aujourd’hui car oui, l’homme de pouvoir et de contrôle souhaite tout contrôler et surtout quand il s’agit de contrôler l’avenir et l’évolution démographique et génétique de notre espèce.

L’opération COVID-19 est une pure opération d’ingénierie sociale et nous allons le voir.

Derrière la terreur et la psychose, plus de contrôle et encore moins de Liberté

Les eugénistes et les malthusiens disent souvent que rien n’est plus dangereux pour notre planète et notre avenir que la surpopulation.

À Alberton, dans l’état de Géorgie aux États-Unis, ces grands penseurs de l’avenir de l’humanité ont même gravé cette recommandation démographique dans le marbre et pour être bien sûr que personne ne l’oublie, ils l’ont faite graver et écrire en 8 langues sur 6 énormes blocs de marbre ne pesant pas moins de 108 tonnes.

Maintenez l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature.

Très bien et merci du conseil mais nous sommes actuellement 7,5 milliards d’individus et pour atteindre cet objectif, je pense que nous avons ici « un léger » problème. Alors comment faire…

John Holdren et Paul et Anne Ehrlich ont apporté des solutions. Ils les ont même écrites et publiées dans un livre qui s’appelle « ECOSCIENCE ». Un livre fou dans lequel on peut lire toute une série de mesures pour mener à bien cette opération de réduction de la population planétaire comme le fait d’« ajouter des stérilisants dans l’eau du robinet et les aliments de base, des perturbateurs endocriniens, de légaliser les drogues et les neurotoxiques » ou encore de « libérer des virus hautement pathogènes ». Voilà qui est intéressant.

Rien n’est inventé et tout est dans ce livre qui est « La référence et la bible » des mondialistes tels que Bill Gates ou David Rockfeller lequel disait encore il y a quelques années que « nous sommes à la veille d’une transformation globale et tout ce dont nous avons besoin, c’est d’une bonne crise majeure pour que les nations acceptent le Nouvel Ordre Mondial »  (une crise de complotisme. ndlr).

John Holdren a été un collaborateur particulier d’Obama et il est un ami proche des Clinton, de Bill et Melinda Gates et de David Rockfeller.

En mai 2010, la Fondation Rockfeller a publié un rapport extrêmement intéressant sur son site.

Il s’intitule : «Scenarios for the Future of Technology and International Development ». Ce rapport est public et tout comme dans ECOSCIENCE, on y trouve tout ce qu’il faut savoir sur les pandémies, les confinements et les vaccins. De plus en plus intéressant n’est-ce pas.

A la page 18 de ce rapport, on y trouve un chapitre intitulé « LOCKSTEP », c’est-à-dire la mise à l’arrêt ou le verrouillage économique mondial en cas de pandémie. Certes il ne s’agit que d’un scénario sous forme de dystopie mais aujourd’hui il est malheureusement bien réel et tout ce qui nous est arrivé y est décrit avec une précision inouïe.

Or on ne peut pas comprendre la crise de la COVID-19, comme c’est le cas pour les professeurs Perrone, Raoult, Henrion-Caude, Toubiana ou Toussaint, si l’on ne se donne pas la peine de contextualiser ce jalon sanitaire dans le temps long [long terme]. C’est-à-dire de le voir comme l’étape d’un programme mondialiste plus global et plus complexe.

Les auteurs de ce scénario morbide n’ont fait que se pencher sur la question du comment faire pour arrêter l’économie mondiale et imposer toutes sortes de restrictions et de mesures aux populations. Ils ne sont pas à l’origine de ce projet pour ce qui est de l’aspect économique, écologique et logistique, de l’exploitation et de la gestion de nos ressources. L’idée est née en 2005, dans le rapport Meadows réactualisé. C’est là où il était déjà question de LOCKSTEP à un horizon de 15 ans.

Il est intéressant de noter que le premier vice-président du Club de Rome a été David Rockfeller. Celui-là même qui a commandé le premier rapport Meadows et qui a été publié en 1972.

Dès l’antiquité les mésopotamiens, les égyptiens et les chinois recensaient leur population pour s’assurer un parfait contrôle démographique. Il s’agissait d’une question existentielle fondamentale car c’est de la bonne gestion des ressources caloriques et des effectifs humains aptes à défendre puis assurer la protection de l’espace vital, que dépendait la survie du groupe.

Cette question du recensement et de la maîtrise démographique des populations, à des fins martiales ou socio-économiques, pour le travail dans les champs puis dans les mines et les manufactures, a toujours obsédée les hommes et a toujours fait partie de notre histoire. C’est une question essentielle.

Ce qui vient bousculer cette question plutôt simple pour notre époque, c’est l’arrivée de l’intelligence artificielle.

Il n’y a pas de hasard rappelons-le. Tout est calculé et pensé plusieurs dizaines d’années à l’avance (ceci est absolument faux – et les prévisions sont toujours hight or low. ndlr [NdNM : la réalité est plus probablement située quelque part entre ces deux affirmations]).

En démographie, il est même très courant de faire des projections sur plusieurs centaines d’années (jamais confirmées. ndlr).

Bill Gates, dans une interview accordée à John Kennedy Junior et qui a été publié dans le magazine mensuel George en février 1997 sous-titrée « guide pour le futur 2020 », il dit exactement ceci : « je finance des projets d’éducation, je finance le contrôle de population, je suis très impliqué dans le programme United Way ». C’est à la page 101 du magazine pour ceux qui ont chez eux ce numéro qui se vend sur le marché des collectionneurs à plus de 5000$.

Pendant que la plupart d’entre nous avons le nez dans le guidon ou vivons comme les rats de Didier Desor, c’est-à-dire à essayer de survivre dans cette « rat race » perpétuelle sans comprendre réellement le sens du miracle de la vie, d’autres réfléchissent pour nous.

Ils pensent, prévoient et organisent nos vies, à tort ou à raison, jusqu’à décider de qui est utile sur cette planète et qui ne l’est plus.

S’il faut bien comprendre une chose aujourd’hui, c’est que l’accélération technologique et l’accélération de l’innovation, mais surtout la pénétration de l’intelligence artificielle dans tous les aspects de notre vie quotidienne, vont inéluctablement changer le monde pour toujours.

Il faut être vraiment naïf ou incroyablement rêveur pour croire que les fondations telles que la fondation Rockfeller ou la fondation Bill et Melinda Gates investissent des milliards de dollars dans la recherche biologique et bactériologique ou dans les vaccins pour le bien être de l’humanité (voici une vérité avérée. ndlr).

Comment peut-on croire naïvement un seul instant que ceux qui veulent nous sauver des virus et des pandémies  sont ceux-là même qui essaient de maîtriser et de réduire la population ? (Les mêmes qui financent la recherche sur ces virus létaux. ndlr).

Muammar Kadhafi, paix à son âme, dans son extraordinaire et mémorable discours du 23 septembre 2009 à l’ONU, disait que « les virus étaient créés et propagés dans le monde pour que les entreprises pharmaceutiques fassent des profits grâce à la vente des médicaments ».

Il ajoutait que « les médicaments et les vaccins ne devaient pas être vendus. Les médicaments ne se vendent pas. Annoncez la gratuité des médicaments et des vaccins dans le monde », disait-il «  et vous n’aurez plus jamais de virus en circulation car les virus sont créés pour que des vaccins soient mis au point pour que les grandes entreprises capitalistes en tirent profits » (Voilà deux autres vérités avérées que Kadhafi a osé répéter… il en est mort. ndlr).

 Kadhafi avait-il tort à ce sujet ? Rien n’est moins sûr. Mais attendez, tout n’est pas qu’une question de profit.

Il y a environ un peu plus de 2 ans et demi, le 11 janvier 2017 plus exactement, le docteur Antony Fauci que nous ne présentons plus, nous prophétisait avec une certaine audace et un aplomb dont lui seul a le secret, qu’il n’avait « aucun doute sur le fait que Donald Trump aurait à faire face à une pandémie avant la fin de son mandat ».  (???)

Événement incroyable mais vrai, Donald Trump et le monde entier affrontent aujourd’hui une pandémie.

Curieuse prédiction n’est-ce pas ? Surtout lorsque l’on sait que l’intégralité des médias de la planète à l’époque titrait quotidiennement que Donald Trump était un fou et un va-en-guerre et que nous étions tous les jours à 2 doigts de l’apocalypse ou d’une guerre atomique généralisée.

Rappelez-vous de ce qu’écrivait la presse française en 2017 même si le ton est toujours le même : Donald Trump veut la guerre contre « Rocket Man » et la Corée du Nord, Donald Trump peut déclarer la guerre à Rohani ou encore Donald Trump menace Maduro et les vénézuéliens.

Résultat après presque 4 ans de présidence : zéro guerre et plusieurs accords de paix signés grâce à son action. Alors virus de la nature ou virus délibérément propagé ?  (Question tout à fait pertinente. ndlr).

Dans un rapport de l’OMS publié en septembre 2019 et qui s’intitule Global Preparedness Monitoring Board et dont un des auteurs est Antony Fauci, il est exactement question de la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel à des fins d’exercice sur la période septembre 2019-septembre 2020.

Au paragraphe « Indicateurs de progrès », il est écrit :

Les Nations Unies (y compris l’OMS) organisent au moins deux exercices de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

L’OMS met au point des facteurs déclencheurs intermédiaires pour mobiliser une action nationale, internationale et multilatérale dès le début d’une flambée, afin de compléter les mécanismes existants pour les stades ultérieurs et plus avancés d’une épidémie dans le cadre du RSI (2005).

Le Secrétaire général de l’Organisation des Nations Unies convoque un dialogue de haut niveau avec les responsables de la santé, de la sécurité et des affaires étrangères pour déterminer comment le monde peut faire face à la menace d’une pandémie due à un agent pathogène respiratoire mortel, et pour gérer la préparation aux épidémies dans des situations complexes où règne l’insécurité.

The world looks wobbly" according to The World in 2019

Dans le magazine hebdomadaire The Economist et dans un des numéros paru en fin d’année 2018 et qui s’intitule « The World In 2019 », il était déjà question de la survenue d’un événement exceptionnel qui allait semer la mort et l’apocalypse à travers le monde.

Sur la première de couverture, où les fans de ce magazine y trouvent toujours une page entière consacrée à l’eurythmie où le jeu consiste à deviner (ou se préparer) pour tous les événements de l’année à venir, on peut y voir beaucoup de dessins comme notamment ceux du président chinois en Pinocchio (le menteur), un QR code sur un téléphone, un ARN incomplet ou encore une cigogne portant un bébé avec un code barre.

Mais les plus intéressants de tous ces dessins sont les figures représentant les 4 cavaliers de l’apocalypse, le panda fâché regardant Donald Trump et le pangolin.

Alors pour en revenir à nos probabilités et aux événements improbables et incertains, c’est-à-dire aux cygnes noirs, pourquoi diable les Rothschild, qui sont les propriétaires de ce magazine et les initiateurs de ce jeu annonciateurs pour initiés, ont-ils choisi le pangolin pour figurer sur cette première de couverture alors qu’il existe près de 8 millions d’espèces animales dans le monde ?

J’en avais déjà parlé dans un article paru en février 2019 intitulé « Vers davantage de contrôle et moins de liberté » mais je n’avais toutefois pas précisé que l’événement dont il était question et qui allait survenir en 2019, allait être une pandémie.

Il est vrai aussi que le fait de voir ce panda fâché dévisager Donald Trump et qui reste inflexible et déterminé peut nous laisser penser que l’apparition du SARS-COV2 dans le monde relève d’un début de guerre bactériologique entre la Chine et les États-Unis.

D’autant plus qu’il y a environ un peu plus d’un 1 an, le 5 août 2019, nous apprenions par l’intermédiaire du New York Times qui rapportait dans un de ses articles, que l’armée de terre américaine venait juste d’ordonner la fermeture du laboratoire militaire de Fort Detrick dans le Maryland. Laboratoire militaire de classe Pathogène 4 (P4) donc de très haute sécurité, rappelons-le, et dans lequel ne sont effectuées que des recherches au contact de virus exceptionnellement mortels à des fins de production d’armes biologiques et bactériologiques.

Il est important par ailleurs de noter que le laboratoire de Fort Detrick avait déjà été au cœur de plusieurs scandales aux États-Unis dont celui qui a donné lieu à l’affaire « Drop Kick », opération militaire durant laquelle l’armée américaine a délibérément relâché dans des zones civiles des centaines de milliers de moustiques porteurs de la malaria à des fins de tests.

Il s’agit juste d’une parenthèse importante pour bien faire comprendre aux lecteurs que quand une organisation militaire ou scientifique veut relâcher un virus dans la nature à des fins d’exercice ou de test, il ne s’agit pas de complotisme. Cela existe et l’opération « Drop Kick » n’a pas été une erreur et un cas isolé. (Voilà d’autres faits avérés. ndlr).

Si à cela on ajoute d’autres événements tels que l’assassinat étrange du chercheur sino-américain Bing Liu, la fuite rocambolesque de la chercheuse chinoise Juan Tang pour se réfugier dans l’ambassade chinoise de San Francisco et dans le même temps la fuite « à la Spy Game » de la chercheuse et spécialiste mondiale des coronavirus Li-Meng Yan vers les États-Unis, il y a vraiment de quoi être dérouté.

Cependant, après quelques mois de réflexion et un peu de recul, ce que nous trouvons sur le site du Forum Économique Mondial nous démontre bien que la première hypothèse est la bonne, la seconde est un leurre.

À savoir que nous sommes bien dans le cas où la dissémination délibérée d’un virus respiratoire mortel a pour objectif d’amener l’humanité à changer de paradigme.

Si vous vous rendez sur le site du Forum Économique Mondial et que vous vous allez sur l’onglet « platforms » et que vous cliquez ensuite sur « covid action platform » vous y lirez déjà des informations extrêmement intéressantes.

Déroulez ensuite votre curseur et cliquez après sur le graphique en forme de coronavirus tel que celui-ci-dessous. C’est le même. Il va s’afficher et devenir interactif.

Cliquez ensuite sur « Avoiding COVID-19 Infection and Spread ». C’est stupéfiant.

Vous y verrez clairement que si vous voulez sortir de cette pandémie et en éviter d’autres, la seule piste qui vous est proposée est celle du gouvernement mondial, de la transhumance [du transhumanisme] et la voie du vaccin.

Alors si nous savons déjà beaucoup de choses sur le gouvernement mondial, l’intelligence artificielle et l’homme augmenté, ce que nous savons moins en revanche et dont nous avons moins connaissance, ce sont toutes ces choses satellites au vaccin et c’est là, où les choses deviennent très intéressantes.

Dans le brevet qu’a déposé Microsoft le 26 mars 2020, il est écrit :

L’activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus de minage d’un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d’un utilisateur qui est couplé de manière à communiquer avec le serveur. Un capteur couplé de manière à communiquer avec un dispositif de l’utilisateur ou compris dans ce dernier peut détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Des données d’activité corporelle peuvent être générées sur la base de l’activité corporelle détectée de l’utilisateur. Le système de cryptomonnaie de la présente invention couplé de manière à communiquer avec le dispositif de l’utilisateur peut vérifier si les données d’activité corporelle satisfont une ou plusieurs conditions définies par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l’utilisateur dont les données d’activité corporelle sont vérifiées.

Alors quelques questions se posent et elles sont les suivantes :

  • Comment va-t-on équiper tous les êtres humains de censeurs qui pourront à la fois détecter le mouvement des bras et des jambes, la position assise ou couchée, l’activité physique de l’activité cérébrale ?
  • Quel est le rapport entre les cryptomonnaies, la 5G et les données d’activité corporelle ?
  • Est-ce que le futur vaccin contenant cet ARN génétiquement modifié et dont l’autorisation de mise sur le marché a été voté ce 10 juillet 2020 par le parlement européen n’a pas vocation à modifier notre ADN et le rendre facilement identifiable par un réseau d’intelligence artificielle ?

Même s’il est difficile de répondre à ces questions dans l’immédiat, il est très important de bien comprendre que l’ère dans laquelle nous entrons est inéluctablement celle de l’intelligence artificielle. Dans cette nouvelle ère, ce qui est également très probable est le fait que beaucoup d’êtres humains n’y trouveront sans doute plus leur place et deviendront obsolètes. (Un autre assertions très plausible en effet. ndlr).

Ils seront progressivement éliminés. (Ca c’est moins certain –  c’est le problème des complotistes – ils déifient leurs bourreaux et pensent que les péquenots victimes du système ne peuvent pas résister ni se révolter.  Erreur – Leurs crimes nous feront réagir à coup sur. ndlr [NdNM : la réalité pourrait, encore une fois, se situer plutôt entre ces deux affirmations.]).

De la même façon qu’aujourd’hui les chiens robots sont venus progressivement remplacer les soldats au devoir, à la surveillance frontalière ou en zone de guerre, il est évident que le Capital de demain ne pourra pas garder et payer les gens à la maison à ne rien faire car absolument tout sera remplacé par l’intelligence artificielle. Y compris la police et l’armée et ce n’est absolument pas une fiction. (Oui, beaucoup de fiction à mon avis. ndlr).

Quant aux autres, ceux qui resteront, les augmentés, ils seront tous inéluctablement tous bio-connectés à une intelligence artificielle qui les gérera ou les éliminera s’il y a lieu de le faire. Nous le répétons, ce n’est pas de la science fiction et nous ne sommes pas dans un film.

Tout ceci est la réalité mais il est encore très difficile de la saisir dans le temps présent alors que la compréhension de l’ensemble du projet s’inscrit, elle, dans le temps long [long terme].

Cette « pandémie » qui a été mise au point par tous ces gens machiavéliques qui décident de l’avenir des peuples et dirigent le monde, n’a rien d’un jeu pour enfant.

Comme l’explique l’OMS à travers ses publications et comme le publie également le Forum Économique Mondial sur son site, nous sommes en droit de nous demander quelle sera alors l’issue de cette partie finale qui se jouera entre ceux qui veulent nous contrôler et nous posséder d’une part et ceux qui ne veulent pas de ce projet d’autre part ? (Le prolétariat ne veut pas [et] ne peut pas tolérer ces projets et il sera acculé – obligé – de réagir pour ne pas périr. ndlr).

Pour répondre à ces nombreuses questions qui pointent du doigt les incompétences et les erreurs des gouvernements dans la gestion de cette crise et cet entretien de la terreur par les effets statistiques via la propagande médiatique, force est de constater qu’il ne s’agit pas d’erreur mais bien de stratégie.

Le 18 octobre 2019, au Johns Hopkins Center for Health Security à New York, il s’est sans doute tenu, concernant l’avenir du monde, la réunion la plus importante de toute l’année 2019.

Il s’agit de l’Event 201.

Cette réunion, organisée en partenariat entre le centre John Hopkins, la fondation Bill et Melinda Gates et le Forum Économique Mondial, avait pour objectif de préparer l’exercice dont parle l’OMS dans son Global Preparedness Monitoring Board de 2019. Elle s’est tenue en public avec des invités triés sur le volet et sous forme d’une pièce de théâtre où chacun avait un rôle bien précis. La simulation consistait à se préparer à la prochaine pandémie mondiale qui, selon les chiffres avancés lors de cette réunion, allait faire plus de 65 millions de morts sans compter les dégâts incommensurables qu’une telle catastrophe allait provoquer sur l’économie globale : soit une chute du PIB mondial de 11 points.

Ce qui est intéressant à savoir c’est que tous les gouvernements et la plupart des grands médias de la planète étaient au courant de cette réunion. Seulement personne n’en a parlé. La consigne était de ne pas en parler. Pourtant cet exercice n’était pas qu’une simulation, c’était une véritable préparation à la pandémie qui allait venir quelques semaines plus tard mais si vous répétez cela, vous serez désigné comme complotiste et vous serez discrédité à vie.

Si vous regardez bien le parcours professionnel des personnages politiques en fonction, vous verrez que la plupart des Ministres de la santé viennent presque tous du privé et ont tous des liens plus ou moins étroits avec les plus grandes entreprises pharmaceutiques de la planète (une autre vérité avérée. ndlr).

Et alors diront les libéraux dont je fais partie ? Est-ce interdit ? Bien sûr que non. Oui c’est légal et ce n’est pas mal en soi.

Mais comment ces gens, qui sont censés travailler pour le bien-être et l’intérêt des peuples et des nations, peuvent agir en même temps dans l’intérêt des entreprises pharmaceutiques, dont le seul objectif et unique est de rendre malade les peuples et les nations pour ensuite leur revendre des traitements sous licences afin de faire un maximum de profits ?

N’y a-t-il pas là un conflit d’intérêt ? Bien évidemment que oui.

Rappelez-vous, car nous l’avons vu plus haut, qu’en cas de crise sanitaire mondiale, comme c’est le cas avec la crise du COVID-19, tous les états membres doivent impérativement accepter de suivre les consignes du Conseil Mondial lequel est dirigé actuellement par Madame Gro Harlem Brundtland.

Une charmante dame très connue pour avoir échappé à la mort lors de la tuerie d’Utoya en Norvège et dont le père, Gudmund Harlem, était redevable à la fondation Rockfeller qui a bien voulu financer ses études de médecine.

La création et la présentation du Conseil Mondial a été officiellement annoncée par communiqué de presse par l’OMS le 24 mai 2018. Son rôle est, en cas de pandémie, de réunir tous les dirigeants du monde et de leur donner les consignes à suivre pour endiguer la pandémie en cours sur leur territoire. Sa création est le résultat d’un travail conjoint entre l’OMS et le Groupe de la Banque Mondiale.

Petit flashback intéressant concernant la Banque Mondiale.

Le 28 juin 2017, la Banque Mondiale, qui est une Banque censée aider les pays les plus pauvres de la planète, a eu l’incroyable idée d’émettre sur le marché des obligations des « Pandemic Bonds ». C’est-à-dire des bons obligataires à un horizon de 3 ans basés sur un risque de pandémie.
Une idée folle n’est-ce pas ? Pas tant que ça à vrai dire surtout si vous êtes une banque, un fond de pension ou un fond d’investissement et que vous êtes au courant, — et en droit financier cela s’appelle le délit d’initié —, qu’il va y avoir une pandémie.

A votre avis, combien de banques accepteraient de se lancer, — de façon hasardeuse —, dans l’émission de telles obligations sans avoir la certitude de ramasser le jackpot avant la fin du contrat ? Aucune.

Mais comment voulez-vous prévoir une pandémie ? C’est tout simplement impossible.

Alors en quoi consistent ces pandemics bonds ? C’est très simple.

La Banque Mondiale vend pour X millions de dollars de bons à des fonds, des sociétés ou des états en misant sur le fait qu’il y aura une pandémie avant le 15 juillet 2020. Ceux-ci fonctionnent comme des contrats d’assurance avec des rendements allant jusqu’à 12%. Si une pandémie est déclarée avant le 27 juin 2020, alors les acheteurs de ces contrats perdent leur mise et une partie de l’argent collecté est reversé aux pays les plus pauvres de la planète (75 états). S’il n’y a pas de pandémie, les investisseurs récupèrent leur mise de départ et les intérêts qui en découlent.

Aujourd’hui, toutes les structures qui ont investi dans les pandemics bonds disent qu’il y a anguille sous roche et ont perdu leur mise. Ce qui est intéressant également à noter c’est que les pays les plus pauvres de la planète n’ont toujours pas touché leurs aides. Ces contrats, en effet, qui prenaient en compte le virus concerné, le début de la pandémie, son évolution ou encore le nombre de morts, etc, étaient en réalité bien plus complexes qu’ils n’en avaient l’air.

Pour Arturo Bris, professeur de finance, il n’y a aucun doute :

« Les gens qui sont à l’origine de la création et de l’émission des pandemic bonds étaient au courant du fait qu’il allait y avoir une pandémie de coronavirus avant le 15 juillet 2020 ».

Ce sont de graves accusations mais sont-elles infondées et farfelues ? Pas si sûr.

A ce stade, il est maintenant très difficile de défendre l’idée que le SARS-COV2, qui provoque cette pathologie respiratoire dénommée la COVID-19, est un virus venu de la nature et que personne n’était au courant comme il est encore plus difficile de croire que tout le monde a été surpris et pris de court et que tous les gouvernements de la planète ont été des amateurs.

Peut-être que la Chine a menti, comme un Pinocchio sur une page de couverture, et peut-être même que l’état profond chinois a été complice dans la dissémination délibérée de ce virus et dans le lancement théâtral de cette pièce tragique et funeste. Nous ne le saurons peut-être jamais.

Mais ce qui est certain et que nous commençons à comprendre, c’est que dans cette ère où l’intelligence artificielle est censée remplacer l’homme, nous irons de surprise en surprise.

Le vaccin final et le projet « Trust Stamp » de Bill Gates

Le souhait de Bill Gates et des eugénistes, et qui est de vouloir coûte que coûte contrôler et vacciner toute la planète sous couvert d’avancées humanitaires et philanthropiques, ne date pas d’hier.

Comme le montre la photo ci-dessous, on peut y voir le père du créateur de Microsoft, en pose très confiante avec David Rockfeller et son petit fils. Il est au milieu et c’est très révélateur.

Le projet conjoint « Trust Stamp » de la fondation Bill et Melinda Gates, de la fondation Rockfeller et de Mastercard consiste à vacciner tous les êtres humains avec des alibis infantiles, comme par exemple la lutte contre le blanchiment ou la lutte contre le trafic d’être humains, comme on peut le lire sur l’onglet « humanitaire » du site.

La réalité est tout autre et d’ailleurs, les premières expériences sont déjà en cours en Afrique de l’Ouest. Intéressant de voir que c’est toujours en Afrique, en Inde ou dans les régions les plus pauvres de la planète que Bill Gates et ses amis philanthropes essaient toujours leurs dernières trouvailles (une autre vérité avérée. ndlr).

L’organisation « ID2020 », qui est également le nom d’un autre projet conjoint de vaccination planétaire piloté par Bill Gates et dont les principaux partenaires sont là encore les fondations Gates et Rockfeller, s’engagent à fournir une identité numérique aux milliards de sans papiers qui migrent à travers le monde.

S’agissant du vaccin, qui est déjà en train d’être massivement inoculé en Afrique et au Bangladesh et qui contient non seulement l’ARN capable de modifier notre génome en temps réel mais aussi les nanoparticules censées interagir avec les réseaux d’intelligence artificielle auquel tous les vaccinés seront connectés, il est impossible dans l’immédiat de prédire quels seront les effets premiers et les effets secondaires.

Du point de vue juridique, les citoyens vaccinés n’auront aucun recours possible pour se défendre car, comme vous le savez sans doute, aucune des sociétés qui développent et produisent des vaccins n’est passible de poursuite devant un tribunal de par le monde ni devant une quelconque juridiction. Dans ce domaine, les entreprises pharmaceutiques bénéficient d’une immunité judiciaire sans limite. (Voilà une autre vérité avérée et extrêmement dangereuse. ndlr).

Du point de vue technique et salutaire, dans le cas où tout le monde serait vacciné et répertorié selon le projet ID2020 étendu et où nous devrions évoluer dans un système verrouillé tombé aux mains de radicaux fous et totalitaires, il serait impossible de se défendre et de se retourner contre ceux qui n’auraient qu’un clic à effectuer pour nous ôter la vie au cas où il nous viendrait l’idée de vous révolter ou de vouloir contester un ordre.

La COVID-19 est bien la crise majeure dont parlait David Rockefeller il y a quelques années.

Les eugénistes-malthusiens-transhumanistes ont actuellement le pouvoir et il va être très difficile de leur ôter. L’argent est bien souvent le nerf de la guerre et ils en impriment à profusion. Ce sont eux qui ont le doigt sur l’imprimante et elle tourne à plein régime. (Non, c’est le Grand capital international qui possède tout le pouvoir — relire Marx ci-haut — les eugénistes reflètent les idées d’une faction des intellectuels au service de ces ploutocrates… comme d’autres idéologues qui décrivent le monde mais ne le dirigent pas. ndlr [NdNM : Bill Gates et les Rockefeller font partie du Grand capital international et en sont assez probablement au sommet avec les Rothschild et quelques autres familles]).

Dans un récent article publié sur le site de Futurama, qui présente la start-up « Neuralink » et ses travaux, les auteurs expliquent très bien la velléité du transhumanisme qui est de connecter l’homme à la machine, c’est-à-dire l’Humanité à l’intelligence artificielle, via un « neural lace », c’est-à-dire un implant greffé au cerveau.

Alors certes, les travaux de cette société appartenant au célèbre milliardaire Elon Musk en sont encore à implanter des puces sur les cerveaux des cochons mais les premiers résultats sont déjà là et ils sont prometteurs.

Derrière l’argument du progrès et de l’aide que va apporter ce nouveau système d’assistance neurologique aux paralysés, aux sourds et aux malentendants, aux aveugles, aux malades d’Alzheimer ou de Parkinson, il existe une autre réalité dans les coulisses du transhumanisme et celle-ci n’est jamais mise en avant. Elle réside dans la prise de pouvoir qui pourrait donner, à une seule personne, le contrôle de toutes ces intelligences artificielles et par là même le contrôle total sur une humanité connectée.

Car il n’y a aucun doute sur le fait qu’après avoir greffé les cochons ne vienne le moment de greffer les hommes. (C’est tout à fait plausible. ndlr).

Qu’en sera-t-il si vous ne contrôlez plus vos pensées, vos faits et vos gestes ? Qu’en sera-t-il si l’intelligence à laquelle vous êtes connecté subit un bug ?
Que pourrez-vous faire si vous n’avez plus le contrôle de votre vie, de votre corps, le contrôle sur vos enfants ? Que pourrez-vous faire si quelqu’un venait à pirater l’intelligence à laquelle vous êtes connecté et à en prendre le contrôle ?

Il n’est pas évident de répondre à toutes ces questions.

Pour vous donner un exemple de dérive, sachez qu’en ce moment même, si jamais vous sortez sans masque ou que vous refusez d’en porter un dans les rues de la région du Québec, et bien vous risquez de vous retrouver dans des camps pour détenus ayant peut-être la COVID pour une durée de 14 jours. Vous en sortez, vous rentrez chez vous et là, la police vous contrôle à nouveau. Vous repartez en camp pour détenus COVID et ainsi de suite tant que durera la situation d’urgence sanitaire. C’est en tout cas ce qu’expliquait le docteur Jacques Girard lors d’une intervention publique le 2 septembre dernier sans toutefois répondre à la question d’une journaliste qui lui demandait où étaient enfermés les dissidents à cette crise.

Vous l’avez compris, l’état de crise sanitaire dans lequel nous sommes plongés depuis déjà plus de 6 mois, autorise les autorités à arrêter quelqu’un sur une simple suspicion et à le détenir 14 jours.

À partir de là, personne n’est autorisé à savoir où l’interpellé est détenu ni à avoir la garantie qu’il ne mourra pas potentiellement de la COVID pour être ensuite incinéré comme le veut le protocole sanitaire.

Ce qui est plus facile également de comprendre en revanche, c’est que ceux qui pensent, décident et dirigent ce monde ont déjà commencé à jouer avec le feu et ils ne sont plus en mesure de le contrôler. Un peu comme si un joueur dans un casino n’arrivait plus à se contrôler et à s’arrêter.

L’OMS, dans son GPMB de 2019, parle bien de « deux exercices » de formation et de simulation à l’échelle du système, dont un couvrant la dissémination délibérée d’un agent pathogène respiratoire mortel.

Le premier, nous le connaissons. Il a consisté en la dissémination délibérée du SARS-COV2, à alerter les populations sur le danger mortel de contracter le virus, arrêter l’économie, confiner les populations et leur rendre une semi-liberté sous conditions. C’est-à-dire qu’elles portent le masque et qu’elles acceptent un ou des éventuels reconfinements jusqu’à ce que le Conseil Mondial ordonne la fin officielle de la pandémie ou fournisse une fausse solution : le vaccin.

Le second consistera probablement à vacciner toute la population mondiale et à lui inoculer tout ce dont nous avons parlé plus haut avec l’alibi de vouloir tous nous sauver de la COVID-19, cette maladie qu’ils ont en réalité eux-mêmes propagée. Maladie qui, au passage, est extrêmement dangereuse pour les familles qui veulent se promener sur la plage, mais qui est sans aucun danger pour les manifestations Black Lives Matter que les autorités du monde entier ont autorisées. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Voilà plus de 40 ans maintenant que les chercheurs de tous les pays essaient de développer un vaccin contre le virus qui provoque chez l’homme le Syndrome d’Immunodéficience Acquise (SIDA).

Y sont-ils arrivés malgré les budgets pharaoniques qui leur ont été attribués ? Non.

Et vous savez pourquoi ? Parce qu’il est impossible de se prémunir contre des virus qui s’adaptent et évoluent en passant d’un organisme vivant à un autre, d’un homme à un autre.

[NdNM : la théorie virale n’est qu’une théorie non pleinement démontrée. La théorie des exosomes semble expliquer mieux et plus complètement les phénomènes « épidémiques ». Voir : La théorie des exosomes contre celle des virus, Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus et 5G, virus et covid-19]

Les coronavirus sont une famille de rétrovirus à ARN très répandus et chaque année, dans tous les pays, les instituts d’infectiologie en dénombrent à chaque fois 4 ou 5 nouveaux plus ou moins coriaces. Tantôt ils sont bénins, tantôt ils peuvent provoquer des complications respiratoires sévères.

En France et dans le reste de l’Europe, ils sont très nombreux à circuler dans les cours d’école, dans les transports en commun ou dans tous les lieux publics.

Dès que nous approchons des moments de fortes amplitudes thermiques, dans les saisons où nous passons du chaud au froid ou du froid au chaud très rapidement, tous ces virus, qui sont dit saisonniers, se manifestent et s’installent. Ils nous rendent malade et puis disparaissent.

Un article publié sur le site Sciences et Avenir et dont le sujet est dans le titre : « et si on ne trouvait jamais de vaccin ? » explique plutôt bien et gentiment les dessous de la recherche vaccinale sur les virus à ARN.

A-t-on trouvé un vaccin contre SARS-COV1 ? Non. Il n’en existe pas et on en trouvera jamais, alors par quel miracle trouverons nous un vaccin contre le SARS-COV2 ?

C’est une foutaise et c’est la même foutaise que celle du trou dans la couche d’ozone. Rappelez-vous tout l’argent qu’ont prélevé les gouvernements via toutes sortes de taxes pour sauver le trou dans la couche d’ozone. Puis on n’en a plus parlé du jour au lendemain. (Une autre vérité avérée. ndlr).

Mais les humbles veillent et vous posent la question : où est passé le trou dans la couche d’ozone ?

Les véritables objectifs des dirigeants de ce monde ne sont pas de sauver l’humanité mais de lui donner le coup de grâce. Ce qu’ils veulent c’est lui imposer un contrôle total et totalitaire et réduire le nombre d’individus à un seuil gérable du point de vue démographique et politique, et de faire en sorte que sa mise en servitude soit définitive.

Il y a quelques jours à peine, le professeur Raoult de l’IHU de Marseille, dont nous ne sommes ni les contradicteurs ni les admirateurs, disait qu’il y avait en circulation sur le sol français, non pas une souche de coronavirus SARS-COV2 mais 7 différentes. Des souches mutantes. C’est-à-dire des souches ayant changé au fur et à mesure qu’elles passaient d’un hôte à un autre.

Ce qui est surtout intéressant de savoir concernant la souche originelle du SARS-COV2, c’est qu’il n’est absolument pas un virus provenant de la nature mais qu’il est issu d’un croisement, comme l’affirme la professeur Li-Meng Yang, une spécialiste mondiale des coronavirus. Elle est aujourd’hui réfugiée au États-Unis et protégée par le FBI.

Dans une interview accordée à la chaine NewsMax il y a environ 1 mois, elle expliquait que ce virus, sur lequel elle travaillait en particulier lorsqu’elle était en fonction au laboratoire P4 de Wuhan en Chine, n’a rien de naturel et qu’il est le croisement de deux coronavirus ; celui du pangolin et celui de la chauve-souris.

[NdNM : dans la théorie des exosomes, les prétendus « virus » seraient en fait des « exosomes » produits par nos propres cellules ou par celles des animaux, lorsqu’elles sont agressées d’une manière ou d’une autre — par déficience en nutriments, par des toxines ou des poisons divers (pesticides, additifs alimentaires, produits chimiques ménagers, polluants atmosphériques, etc.), par le froid, le manque de soleil, la peur et le stress ou même par des ondes électromagnétiques pulsées telles que celles du Wi-Fi, de la 4G et de la 5G. Les exosomes produits par nos cellules sont éjectés de notre corps en particulier par la sudation, favorisée par la fièvre en cas de besoin. S’ils se retrouvent en contact avec d’autres organismes, ils sont perçus comme des éléments étrangers et éjectés pareillement sans faire spécialement de dommages, mais surtout sans s’y multiplier, car ils ne sont que des conséquences des agressions subies par les cellules, pas les véritables causes. Les nombreuses prétendues « mutations » des virus ne sont que l’expression de la grande variété du matériel génétique humain et de l’adaptation partielle du corps à ces agressions. On peut ainsi déduire de cette théorie scientifique révolutionnaire que manipuler des virus en laboratoire P4, pour en faire de nouvelles sortes de virus supposément plus mortels, n’aura jamais les effets escomptés et ne produira jamais d’hécatombe. Il est pratiquement démontré que le SRAS-COV2 n’a pas produit de surmortalité par rapport aux années précédentes, et pour cause si cette théorie est avérée. À l’inverse, la peur, le stress, le port du masque, le confinement, les vaccins, le Wi-Fi, la 5G… agressent nos cellules et produisent des effets qui seront facilement perçus comme épidémiques, puisqu’ils sont produits en masse, grâce notamment aux propagandes de peur des médias mainstream, aux campagnes vaccinales contre la grippe et autres maladies et à l’expansion des réseaux de communication sans fil.]

Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine pour avoir découvert le virus du SIDA, a été quant à lui le premier francophone à dénoncer le fait incroyable et étrange que dans le génome du SARS-COV2, on y retrouvait des séquences génétiques du virus du SIDA.

Dans une interview accordée à la chaîne Thana TV, il explique cette manipulation, ces insertions et les dérives qui guettent l’humanité tout en s’inquiétant du fait que nous « vivons dans un monde de fous » pour reprendre ses termes.
(Voilà une autre vérité avérée. Je ne dirais pas un monde de fous – je dirais un monde capitaliste décadent rendu au bout de son destin et que le grand capital ne sait pas mieux faire que de tenter de le faire perdurer. Il faut l’abolir. ndlr [NdNM : le « grand capital » se partage facilement la vedette avec le communisme en ce qui concerne les conséquences négatives sur la vie humaine et planétaire. Plusieurs dizaines de millions de personnes ont été victimes de génocides sous des régimes communistes. Mao Zedong, Joseph Staline et Pol Pot sont parmi les principaux assassins.])

Alors qu’allons-nous dire à nos enfants lorsqu’ils ils nous demanderont pourquoi nous n’avons rien fait lorsqu’il était encore temps ?

À ce stade, il n’y a plus aucun doute que les mesures contradictoires et paradoxales prises par les autorités sanitaires durant la gestion de cette crise n’ont pas d’autres objectifs que de créer de la dissonance cognitive chez les individus afin de briser leur rationalité.

Cette dissonance nous empêche ainsi de réfléchir et d’en arriver à la conclusion que nous vivons une véritable manipulation. Comment se fait-il qu’aucun grand média mainstream n’apporte de contradiction ou ne remettent en question toutes les mesures sanitaires gouvernementales qui jusqu’ici n’ont été que des échecs ?

N’y a-t-il pas là une communication de programmation et de conditionnement ?

Joseph Goebbels disait : « un mensonge répété à quelqu’un restait toujours un mensonge mais un mensonge répété 1000 fois et partout devenait une vérité ». C’est terrible à dire mais malheureusement c’est exactement ce qui en train de se passer et c’est entre autre pour cette raison que Luc Montagnier dit que nous vivons dans un monde de fous.

Plus personne n’ose contester le port du masque alors que des centaines d’études à travers le monde ont démontré que, non seulement il était inefficace mais qu’il était également dangereux. On ne compte plus le nombre de personne ayant eu des troubles ou des accidents à cause du port prolongé du masque. Et la semaine passée, une fille de 13 ans est décédée en Allemagne après s’être évanouie dans le bus à son retour de l’école. Une autopsie est en cours.

Certains le portent par conviction, et là on ne peut rien faire pour eux, car une fois que l’on adhère au dogme politico-médiatique il est très difficile d’en sortir, sinon c’est le monde qui s’écroule et là, très peu de gens sont prêts pour ça. C’est-à-dire sortir de la Matrice et suivre le lapin blanc.

D’autres le portent par obligation, par peur du qu’en dira-t-on, par peur d’enfreindre la loi ou par peur de la verbalisation même s’ils sont convaincus de son inutilité. Et là c’est pire car c’est la voie toute tracée vers un totalitarisme nouveau, une dictature parfaite.

Aldous Huxley écrivait dans Le meilleur des mondes : 

« La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude ».

Nous y sommes non ?  (NON nous n’y sommes pas – dans l’énoncé précédent il est stipulé que les esclaves consomment et se divertissent – mais de fait, le confinement appauvrit tout le monde – tuent les pauvres et paupérises les petits-bourgeois. Le grand capital creuse sa tombe parmi les prolétaires enragés. Voilà ce qui nous oppose aux conspirationnistes qui croient que la game is over! ndlr [NdNM : capitalisme et communisme sont les deux idéologies majeures — et systèmes — sur lesquelles s’appuient les élites mondiales pour construire leur Nouvel Ordre Mondial qui en fait la synthèse. S’imaginer que l’un vaut mieux que l’autre est probablement illusoire.]).

Les gouvernements ne  font pas d’erreurs lorsqu’ils vous disent, au plus fort de la contagion, que les masques sont inutiles. Pas plus qu’ils n’en font lors des lendemains tranquilles, au plus fort de l’été lorsque les hôpitaux sont vides, lorsqu’ils vous disent le contraire. Qu’il faut porter le masque pour vous protéger et protéger les autres.

Ce n’est pas une erreur lorsqu’ils vous disent que vous devez porter le masque au travail entre collègues mais pas au restaurant avec les mêmes collègues.

En réalité, les gouvernements créent chez vous de la dissonance cognitive, c’est-à-dire une mise en situation dans laquelle tous vos jugements entre en contradiction les uns avec les autres et vous amènent à des situations de blocages et d’égarement. Vous êtes ainsi beaucoup plus vulnérable et beaucoup plus perméable à des consignes que vous n’auriez sûrement pas acceptées si votre raison fonctionnait normalement.

Ils nous rendent malade de stress et d’anxiété

Le fait de porter un masque nous entretient dans un climat de terreur qui repose sur une menace que nous ne voyons ni ne percevons. Ce qui amplifie nos angoisses et notre stress et impacte directement notre système immunitaire qui s’affaiblit à force d’anxiété. Du point de vue psychologique, nous savons que la peur est très mauvaise conseillère. Lorsque nous avons peur, nous sommes beaucoup plus enclins à accepter toutes sortes de mesures liberticides et contraignantes. Les ingénieurs sociaux le savent et la journaliste canadienne Naomie Klein a écrit un excellent ouvrage sur le sujet, « La stratégie du choc ».

Au-delà du fait qu’il s’agit d’un livre très critique sur les dérives de l’ultralibéralisme, l’ouvrage met surtout en lumière le fait que les gouvernements profitent de plus en plus fréquemment de certains événements majeurs, telles que les attaques terroristes (cas du 11 septembre 2001) ou les insurrections populaires (cas des gilets jaunes en France), https://les7duquebec.net/archives/253109  pour renforcer leur arsenal juridique (perquisitions sans commission rogatoire, restriction des libertés, assignation à résidence, fichage des individus, renforcement des contrôles, etc.) visant à restreindre les libertés individuelles de chacun sans toutefois apporter une réelle sécurité aux populations.

Est-ce que les états d’urgence qui ont été instaurés dans plusieurs États du monde ont été ensuite retirés ? Non et ils sont toujours en vigueur.

Est-ce que l’état d’urgence qui perdure en France depuis le massacre de l’équipe de Charlie Hebdo en 2015 a t-il empêché l’attentat de Nice ? Non. Absolument pas. Une des grandes entourloupes du gouvernement Valls a été de faire croire aux français qu’il allait lutter contre les injustices sociales et les idéologies radicales en installant partout des caméras et des portiques de sécurité.

L’état d’urgence, en réalité, n’a fait que renforcer les pouvoirs des forces de l’ordre établi et des gouvernements sous prétexte de lutter contre le terrorisme et les français l’ont accepté. La peur de mourir, égorgé par Mohamed le gérant de la petite épicerie du bas de l’immeuble ou par Youcef à coups de balai entre deux nettoyages de voirie était trop forte et allait bien au-delà de la raison.

Notre réalité dans ce monde ne se base et ne se construit qu’à partir de ce que nous renvoient nos sens et lorsqu’ils sont biaisés ou ne sont plus tout à fait fonctionnels, c’est tous les repères qui s’effondrent. Nous nous retrouvons là dans une position d’extrême vulnérabilité voire même de perdition. Comme des baleines dépourvues de leur système d’écholocation.

Nous perdons ainsi confiance en nous et dans les autres, tous nos repères et nos valeurs s’estompent et nous nous en remettons volontiers au bon vouloir de l’autorité.

C’est en quelque sorte un peu ce qui se passe lorsque nous tombons malades et que nous nous rendons chez le médecin. Pour guérir et recouvrer notre santé, nous ingurgitons tout ce qu’il nous donne et bien souvent sans lire attentivement la notice.

Nous nous retrouvons comme des enfants dans les mains de nos parents.

Les gouvernements, qui ont malheureusement bien compris cette mécanique anthropologique et ces leviers psychosociaux depuis très longtemps, concèdent des budgets considérables à l’ingénierie sociale. L’art de manipuler les masses.

Nous avons parlé un peu plus haut du laboratoire militaire P4 de Fort Detrik dans le Maryland, n’est-ce pas. Saviez-vous que ce laboratoire était également très connu pour avoir abrité durant plus d’un demi-siècle le plus grand centre de recherche mondial sur le contrôle mental ?

Il est vrai que c’est effrayant, mais ce n’est que la réalité. Si les structures supra-étatiques telles que l’OMS et le Conseil Mondial n’ont jamais eu autant de pouvoir, comme nous l’avons vu durant cette crise, le drame réside surtout dans le fait que ces organes ne sont absolument pas indépendants en toutes matières car elles dépendent elles aussi d’autres structures pour les financer.

Qu’il s’agisse de Madame Brundtland ou du controversé Monsieur Adhenom Ghebreyesus, tout nous laisse supposer aujourd’hui que ces acteurs internes ne sont que des femmes et des hommes de paille.

Le véritable chef d’orchestre est la main qui donne, jamais celle qui reçoit et depuis que les États-Unis ont annoncé qu’ils ne financeraient plus l’OMS, c’est la Fondation Bill et Melinda Gates qui est devenue le premier contributeur.

Or sans réel contre-pouvoir, les populations du monde sont à la merci totale de ces supra-structures qui gèrent les crises qu’elles ont elles-mêmes sans doute orchestrées et provoquées.

Tout le monde aujourd’hui comprend bien que quelque chose cloche, que l’on ne nous dit pas la vérité et que les chiffres sont truqués et manipulés et que surtout, plus rien ne sera comme avant.

Oui, il y a un plan de gouvernance mondiale et même un aveugle le verrait. De Georges Bush à Nicolas Sarkozy, toutes les grandes personnalités politiques n’ont eu cesse de le répéter et personne ne le nie. Ce n’est absolument pas du complotisme, « c’est notre projet » pour reprendre les termes exacts d’Emmanuel Macron car effectivement c’est un projet bien réel.

Nous avons tendance à oublier qu’il y a déjà une première ébauche de gouvernement mondial et elle s’appelle l’ONU. Que fait-elle ? Elle ne fait qu’adopter des résolutions qui ne servent à rien hormis brasser du vent.

Est-ce que l’ONU a aidé à ce que la souveraineté des états les plus pauvres de la planète soit respectée ? Non. L’ONU a-t-elle fait quelque chose pour les palestiniens ? Rien.

Le Proche et le Moyen-Orient aujourd’hui sont dans un chaos inédit.

Est-ce que l’ONU a empêché les bombardements de la Yougoslavie, de l’Irak, de la Libye ou de la Syrie ? La réponse est non.

Est-ce que les Américains ont apporté la démocratie et les droits de l’homme en Afghanistan depuis qu’ils y ont mis les pieds en 2001 ? Non. Sont-ils toujours là-bas ? Oui. 19 ans dans un pays pour rien.

La seule chose qui ait évolué en Afghanistan c’est la production d’héroïne et elle a explosé, entraînant par principe de cause à effet une hausse vertigineuse de sa consommation aux États-Unis pour atteindre un niveau alarmant.

On ne fait pas de guerre pour sauver les veuves et les orphelins et les milliardaires ne nous veulent pas du bien. Il faut arrêter de se leurrer. Ils ne sont intéressés que par leurs profits et leur salut.

C’est à nous de nous réveiller et d’arrêter de nous faire promener comme des enfants immatures et irresponsables et de concevoir un système pour décider tous ensemble de ce qui est bon pour notre avenir et notre planète.

La première chose à faire est déjà de nous déconnecter de tous ces instruments de conditionnement que sont les médias conventionnels qui ne font que servir la soupe à leurs propriétaires et leurs actionnaires principaux. Nous devons impérativement nous réapproprier les différents canaux d’information de grande écoute et participer à l’éducation des peuples afin qu’ils se réveillent et ne se fassent plus endormir comme des enfants.

La seconde est de veiller à ce que n’arrivent jamais au pouvoir des hommes et des femmes avides et cupides, et de créer un système de protection qui procure une immunité et une sécurité sans faille aux personnes vertueuses qui ont à cœur le bien être de l’humanité et de la nature.

A ce jour, ce sont plus de 655 000 américains qui ont déposé une pétition à la maison blanche pour que le gouvernement américain ouvre une enquête sur les objectifs cachés de la fondation Bill et Melinda Gates et sur le GAVI. Il n’y a aucun doute que nous entendrons parler, dès cet automne, des suites qui seront données à la pétition. Sûrement après les élections du 3 novembre.

Il est extrêmement important de faire la lumière sur les origines et les objectifs cachés de cette pandémie et de traduire en justice tous les différents protagonistes liés de près ou de loin à cet épisode funeste de l’histoire de l’humanité. (Un autre point qui nous différentie des complotistes. Nous ne faisons aucune confiance à l’État et à ses institutions corrompues et à ses ONG stipendiées et nous n’endossons aucune pétition ou appel à la « justice » des riches.  Ainsi, les laboratoires militaires P4 sont ceux-là même qui ont exfiltré et échappé ce SRAS Cov-2. Ces  45 laboratoires de guerre doivent être détruits. Seule la révolution nous permettra d’imposer cette sentence sans appel. ndlr).

Nous devons tout faire pour que cette pandémie nous serve de leçon et surtout qu’elle soit la première et la dernière.

Amar


Note du Saker Francophone

En ces temps troublés où le monde semble prêt à basculer d'un côté ou l'autre de la montagne, Amar vous propose sa vision des événements. Il s'appuie sur un certain nombre de faits en proposant une vision dystopique de l'avenir.

Rien n'est cependant écrit et même si la volonté de certains s'affiche clairement, la partie est en cours. Il est aussi possible de tirer d'autres conclusions et d'imaginer tout un ensemble de scénarios de prospective.



Dr Joseph Mercola : Une biopuce injectable pour la détection du SARS-CoV-2 sera prochainement approuvée par la Food and Drug Administration

[Source : Guy Boulianne]

[Voici un article du Dr Joseph Mercola] — La société de la Silicon Valley, Profusa, en partenariat avec la US Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) [1], a créé un biocapteur injectable capable de détecter la présence d’une infection dans votre corps. [2] Début août 2019, des mois avant que COVID-19 ne devienne un mot familier, la DARPA a accordé à Profusa un financement supplémentaire « pour développer un système d’identification précoce pour détecter les épidémies, les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. »

Comme discuté dans « Le nouveau vaccin COVID vous rendra-t-il transhumain? », nous semblons être à la porte d’un nouveau monde dans lequel l’homme est de plus en plus fusionné avec la technologie et l’intelligence artificielle, et COVID-19 pourrait bien être la clé qui ouvre cette porte, à plus d’un titre. Pour commencer, bon nombre des vaccins COVID-19 actuellement accélérés ne sont pas des vaccins conventionnels. Leur conception vise à manipuler votre propre biologie, en créant essentiellement des humains génétiquement modifiés. Combinés avec des biocapteurs d’hydrogel — qui ne souffrent pas de rejet en tant que corps étrangers comme les implants précédents, devenant plutôt un avec vos propres tissus [3] — nous pouvons également nous retrouver connectés en permanence au cloud Internet, pour le meilleur ou pour le pire.

La puce Hydrogel vous connectera à Internet

Hydrogel est une invention de DARPA qui implique la nanotechnologie et les nanobots. Cette « interface bioélectronique » fait partie du système d’administration des vaccins à ARNm COVID-19.

La biopuce développée par Profusa est similaire aux vaccins à ARNm COVID-19 proposés en ce qu’elle utilise de l’hydrogel. L’implant a la taille d’un grain de riz et se connecte à une base de données en ligne qui suivra les changements dans votre biochimie et un large éventail de données biométriques, telles que la fréquence cardiaque et respiratoire et bien plus encore.

La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. Un article de septembre 2019 décrit comment le capteur injectable peut aider à améliorer la surveillance de la maladie artérielle périphérique. [4] Cependant, bien que cela puisse être pratique, ce type de technologie aura également des ramifications immédiates pour notre vie privée. Qui collectera et aura accès à toutes ces données? Qui sera responsable de sa protection? Comment sera-t-il utilisé et quand? Comme indiqué dans un article de SteemKR sur les implants :

« Avec l’avènement des nanotechnologies corporelles et des capteurs qui lient le corps humain à une plateforme d’intelligence artificielle, les possibilités d’utilisation abusive par les gouvernements totalitaires n’ont pas été perdues pour les chiens de garde de la technologie. Avec des biocapteurs avancés, l’intelligence artificielle peut être capable de lire toutes les humeurs et activités du sujet, sa fréquence cardiaque, sa fréquence respiratoire, sa température corporelle et même son activité sexuelle. »


Comment fonctionne le biocapteur

Dans un article du 3 mars 2020, Defense One [5] explique les bases du fonctionnement du biocapteur :

« Le capteur comprend deux parties. L’un est une chaîne d’hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et d’autres implants. Insérée sous la peau avec une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l’extérieur du corps lorsque le corps commence à combattre une infection.

« L’autre partie est un composant électronique attaché à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, à un site Web, etc. C’est comme un laboratoire de sang sur la peau qui peut capter la réponse du corps à la maladie avant la présence d’autres symptômes, comme la toux. »

Donc, pour récapituler, la technologie se compose de trois composants : le capteur implanté, un lecteur placé à la surface de la peau, et le logiciel qui permet au lecteur d’envoyer les données collectées via Bluetooth à votre téléphone ou tablette, qui à son tour peut être connecté à d’autres sources en ligne telles que le site Web de votre médecin. [6]

Détecter les épidémies avant qu’elles ne se propagent

Tel que rapporté par la Defense One, La technologie soutenue par DARPA de Profusa sera en mesure de détecter la présence d’infections pseudo-grippales — y compris les infections au SRAS-CoV-2 — dans la population avant qu’ils ne deviennent symptomatiques. En tant que tels, les biocapteurs pourraient bien faire partie intégrante des futurs systèmes de détection de pandémie. Profusa espère obtenir l’approbation de la Food and Drug Administration au début de 2021.

Le 3 mars 2020, Profusa a annoncé le lancement d’une étude visant à enquêter sur l’efficacité de la technologie pour la détection précoce des épidémies de grippe. [7] Les collaborateurs comprennent l’Université Duke, l’Imperial College de Londres et RTI International, un institut de recherche à but non lucratif qui développe des algorithmes pour la détection des maladies. D’après le communiqué de presse :

« L’étude, menée à l’Imperial College de Londres, examinera comment les capteurs surveillant l’état physiologique, y compris la plate-forme d’oxygène Lumee qui mesure les niveaux d’oxygène dans les tissus, fournissent des indicateurs potentiels de la réponse humaine à l’infection ou à l’exposition à la maladie chez des volontaires sains. Le but de l’étude est de développer un système d’identification précoce pour détecter non seulement les épidémies, mais aussi les attaques biologiques et les pandémies jusqu’à trois semaines plus tôt que les méthodes actuelles. Les résultats de l’étude devraient être disponibles en 2021.

« « Cette recherche marque un pas en avant passionnant dans le développement de soins préventifs révolutionnaires », a déclaré Ben Hwang, président-directeur général de Profusa.

« La plate-forme d’oxygène Lumee peut potentiellement fonctionner comme une sorte de canari dans une mine de charbon pour les maladies infectieuses, car des changements subtils d’oxygène au niveau des tissus peuvent signaler des problèmes et peuvent aider les cliniciens à corriger rapidement le cours pour éviter les épidémies. »

Les questions de confidentialité restent sans réponse

De nombreuses questions demeurent cependant. Si votre téléphone portable peut recevoir des informations de votre corps, quelles informations votre corps peut-il en recevoir, ou d’autres sources, et quels effets de telles transmissions pourraient-elles avoir sur votre fonctionnement physique et votre santé psychologique? Jusqu’à présent, ces questions cruciales n’ont pas reçu de réponse, et elles doivent l’être, compte tenu des possibilités cauchemardesques.

Écrivant pour la revue technologique The New Atlantis [8], le critique technologique Adam Keiper souligne que : 

« Outre le potentiel des nanotechnologies en tant qu’arme de destruction massive, elles pourraient également rendre possibles des formes totalement nouvelles de violence et d’oppression. La nanotechnologie pourrait théoriquement être utilisée pour fabriquer des systèmes de contrôle de l’esprit, des dispositifs d’écoute invisibles et mobiles, ou des outils de torture incroyablement horribles. »

L’un des journalistes indépendants, Whitney Webb, a écrit un article à ce sujet : « Le coronavirus donne un coup de pouce dangereux au programme le plus sombre de la DARPA ». [9] Dans ce document, elle passe en revue certaines des possibilités les plus néfastes inhérentes à cette technologie :

« La technologie développée par la branche de recherche controversée du Pentagone reçoit un énorme coup de pouce au milieu de la crise actuelle des coronavirus, avec peu d’attention portée aux arrière-pensées de l’agence pour développer ces technologies, à leur potentiel de militarisation ou à leurs conséquences involontaires …

« Profusa, qui a reçu des millions et des millions de la DARPA ces dernières années, affirme que les informations générées par leur biocapteur injectable seraient « partagées en toute sécurité » et accessibles aux « individus, médecins et praticiens de la santé publique ».

« Cependant, la pression actuelle pour un système national de “recherche des contacts” basé sur les données de santé privées des citoyens est susceptible d’élargir ce partage de données, convenant parfaitement à l’objectif vieux de plusieurs années de la DARPA de créer une base de données nationale en ligne de diagnostics préventifs. Profusa est également soutenu par Google, qui est intimement impliqué dans ces nouvelles initiatives de “recherche des contacts” de surveillance de masse… »

Le ministère de la Défense investit profondément dans les nanotechnologies

Cela vaut la peine d’envisager la possibilité que le transfert de données puisse se faire dans les deux sens, car le ministère de la Défense travaille également sur les nanotechnologies visant à créer de véritables « super-soldats » dotés d’une conscience situationnelle augmentée et d’autres capacités de survie sur le champ de bataille. [10] [11] Ces technologies peuvent également inclure des armes génétiques conçues pour nuire à la santé et au bien-être de l’ennemi. [12] Dans « Le coronavirus donne un élan dangereux au programme le plus sombre de la DARPA », Webb passe en revue plusieurs initiatives de la DARPA qui poussent l’imagination :

« Un autre programme DARPA de longue date… est connu sous le nom de « Living Foundries » … Living Foundries vise à permettre la production adaptable, évolutive et à la demande de molécules [synthétiques] en programmant les processus métaboliques fondamentaux des systèmes biologiques pour générer un vaste nombre de molécules complexes qui ne sont pas autrement accessibles…

« Les types de recherche soutenus par ce programme « Fonderies vivantes » impliquent la création de « vie artificielle », y compris la création de matériel génétique artificiel… des chromosomes artificiels, la création « d’organismes entièrement nouveaux » et l’utilisation de matériel génétique artificiel pour « ajouter de nouvelles capacités aux êtres humains » (c’est-à-dire en modifiant génétiquement des êtres humains par l’insertion de matériel génétique synthétique)… [13]

« La DARPA a également un projet appelé « Outils avancés pour l’ingénierie du génome des mammifères », qui se concentre spécifiquement sur l’amélioration de « l’utilité des chromosomes artificiels humains (HAC) » [14] « Bien que les articles de recherche se concentrent souvent sur les HAC en tant qu’avancement médical révolutionnaire, ils sont également fréquemment promus comme un moyen « d’améliorer » les humains en leur conférant des caractéristiques non naturelles … [15]

« Les rapports sur ces programmes discutent également de l’autre utilisation très déconcertante de ces mêmes technologies, des « armes génétiques » qui « subvertiraient l’ADN » et « saperaient l’esprit et le corps des gens ».

Comme indiqué dans l’article de SteemKR, la surveillance de masse des données biologiques de chacun exigerait également « une bande passante considérablement accrue dans les réseaux de téléphonie mobile et Wi-Fi », et il est possible que cela explique en partie pourquoi les gouvernements du monde entier sont si déterminés à mettre en œuvre le réseau 5G à travers le monde sans donner une seconde pensée aux effets potentiellement négatifs.

Adjuvants nanotechnologiques dans les vaccins

Le département américain de la Défense envisage également d’utiliser des adjuvants basés sur les nanotechnologies dans les vaccins au lieu d’adjuvants conventionnels connus pour causer des problèmes de santé. Comme décrit sur le site internet de l’Institute for Soldier Nanotechnologies sous les domaines de recherche stratégique n ° 1 :

« Un autre projet se concentre sur de nouveaux moyens de protéger le soldat contre les infections. L’approche consiste à intervenir en toute sécurité dans le système immunitaire humain grâce à la conception de nouveaux nanomatériaux ciblant les lymphoïdes et les leucocytes qui concentrent les composés adjuvants et les immunomodulateurs dans les populations de cellules immunitaires pour améliorer respectivement les vaccins prophylactiques et les thérapies antimicrobiennes. » [16]

La page 1.6 du projet [17] expose plus en détail la recherche en indiquant :

« Les vaccins protéiques ne provoquent généralement pas de réponse immunitaire par eux-mêmes et doivent être combinés avec des adjuvants, des composés qui fournissent des signaux inflammatoires ou favorisent la réponse immunitaire à un antigène co-administré. La conception de l’adjuvant est rendue difficile par la nécessité de conduire fortement des aspects spécifiques de la réponse immunitaire tout en maintenant un profil d’innocuité rigoureux pour l’administration à des receveurs sains.

« Les approches basées sur la nanotechnologie qui ciblent les adjuvants de vaccins ou les immunomodulateurs sur les ganglions lymphatiques ont la capacité d’améliorer à la fois la puissance et la sécurité des vaccins, en concentrant l’activité adjuvante dans les tissus où les réponses immunitaires sont initiées et en évitant l’exposition systémique …

« Le projet 1.6 propose de développer deux technologies de plate-forme qui favorisent de manière sûre et efficace les réponses immunitaires dans les contextes de vaccination et thérapeutiques : les ganglions lymphatiques ciblant les adjuvants amphiphiles et les nanoparticules métalliques revêtues de ligands amphiphiles à ciblage immunitaire.

« Ces deux approches sont parfaitement adaptées pour cibler des composés adjuvants sur des tissus lymphoïdes et des immunomodulateurs sur des cellules immunitaires pendant l’infection, respectivement.

« Dans des études préliminaires réalisées avec des collègues de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine sur les maladies infectieuses (USAMRIID), des résultats prometteurs ont été obtenus dans des modèles murins d’infection par le virus Ebola utilisant des adjuvants ciblant les ganglions lymphatiques.

« Des adjuvants / immunomodulateurs basés sur la nanotechnologie, axés en particulier sur l’amélioration de la maturation d’affinité et l’induction des lymphocytes T cytotoxiques, seront développés, et l’équipe de recherche s’associera à USAMRIID pour appliquer ces technologies à Ebola et à d’autres vaccins. »

Bien qu’une grande partie de cela puisse sembler trop exagérée pour être compris par la personne moyenne, nous sommes maintenant à un point où nous devons faire face de front à l’agenda transhumaniste, car il est mis en œuvre, que nous en soyons conscients et d’accord, avec ses perspectives ou pas. Et les vaccins à ARNm contre le COVID-19 semblent être un moyen d’attraper une grande partie de la population mondiale dans le « filet ».

Une des façons dont vous pouvez vous armer est de vous inscrire à la cinquième Conférence publique internationale sur la vaccination : « Protéger la santé et l’autonomie au 21e siècle », qui se tiendra en ligne du 16 au 18 octobre 2020. Il y aura 40 orateurs, y compris moi [Dr Joseph Mercola], qui abordera ces problèmes, y compris les solutions. Le coût n’est que de 80 $ et comprendra également Andy Wakefield et Robert F. Kennedy Jr.


À propos du Dr Joseph Mercola

Le Dr Joseph Mercola est le fondateur de Mercola.com. Médecin ostéopathe, auteur à succès et récipiendaire de multiples prix dans le domaine de la santé naturelle, sa vision principale est de changer le paradigme de la santé moderne en fournissant aux gens une ressource précieuse pour les aider à prendre le contrôle de leur santé.

En raison de ses efforts inlassables pour diffuser des informations importantes sur la santé au public, le Dr Mercola a reçu de nombreux prix et distinctions. En 2009, il a été nommé le meilleur Ultimate Wellness Game Changer, qui récompense « 100 innovateurs, visionnaires et leaders dans 10 catégories qui exploitent le pouvoir des nouveaux médias pour remodeler leurs domaines et changer le monde ».

Il a également reçu des prix prestigieux d’Emord and Associates PC pour ses contributions à la médecine holistique, notamment le prix Sacred Fire of Liberty, le prix Excellence in Health Journalism Award et le Freedom of Informed Choice Award.

Le Dr Mercola a ouvert la voie à des changements révolutionnaires dans le domaine de la santé naturelle. Il est toujours en avance sur la courbe en matière d’information sanitaire innovante, dépassant les limites de la médecine conventionnelle pour apporter des conseils de santé fiables à son public.


RÉFÉRENCES :
  1. Profusa : Profusa and Partners Receive DARPA Award to Speed Detection of Disease Outbreaks. Cision, Aug 08, 2019.
  2. munkle : FDA Nears Approval of Injectable Biochip Implants for COVID Detection, Linked to Computers. SteemKR.
  3. News & Events : Injectable Body Sensors Take Personal Chemistry to a Cell Phone Closer to Reality. Profusa, March 19, 2018.
  4. SBIR Success Stories : Injectable oxygen sensor could improve monitoring for peripheral artery disease. The National Heart, Lung, and Blood Institute (NHLBI), September 09, 2019.
  5. Patrick Tucker : A Military-Funded Biosensor Could Be the Future of Pandemic Detection. Defense One, March 3, 2020.
  6. Susan Shepard : Early-Warning System for Detecting Infections Is Being Studied. Medical Device + Diagnostic Industry (MD+DI), Mar 26, 2020.
  7. News & Events : Profusa and Partners Announce Initiation of Study to Measure Early Signs of Influenza Through Biosensor Technology. Profusa, March 3, 2020.
  8. Adam Keiper : The Nanotechnology Revolution. The New Atlantis, Number 2, Summer 2003, pp. 17-34.
  9. Whitney Webb : Coronavirus Gives A Dangerous Boost To DARPA’s Darkest Agenda. The Last American Vagabonds, May 4, 2020.
  10. Sean Martin : REVEALED: US army’s plans to create a generation of SUPER SOLDIERS. Express, Aug 17, 2017.
  11. Joe Pappalardo : Short-Term Superhuman: If We Create Augmented Soldiers, Can We Turn Them Back?. Popular Mechanics, September 25, 2018.
  12. David Axe : This Scientist Wants Tomorrow’s Troops to Be Mutant-Powered. Wired, 12.26.12.
  13. George Dvorsky : DARPA’s New Biotech Division Wants To Create A Transhuman Future. Gizmodo, 4/02/14.
  14. Department of Defense : Advanced Tools for Mammalian Genome Engineering. Defense Advanced Research Projects Agency, September 25, 2013.
  15. George Dvorsky : How Artificial Chromosomes Could Transform Humanity. Gizmodo, 7/12/13.
  16. Strategic Research Areas : SRA 1: Soldier Protection, Battlefield Care, and Sensing. The Institute for Soldier Nanotechnologies.
  17. Strategic Research Areas : Project 1.6: Empowering Future Vaccines & Immunotherapies with Nanotech-based Adjuvants. The Institute for Soldier Nanotechnologies.



Pourquoi les malades et les femmes enceintes doivent éviter l’électrosmog

[Source : La Maison du 21e Siècle]

Auteur : André Fauteux

Dr Dietrich Klinghardt

Adapté de mercola.com

(Lire le commentaire de l’ingénieur Marc Robert à la toute fin)

Le
Dr Dietrich Klinghardt refuse de traiter les malades qui ne font pas
tout en leur pouvoir pour éviter les champs électromagnétiques (CEM) et
il soutient que les femmes devraient prendre des mesures draconiennes
pour réduire leur exposition aux CEM pendant la grossesse afin de
diminuer le risque d’avoir un enfant autiste. « Plus le patient est
malade, plus radicale doit être la protection », affirmait récemment le
médecin américain en entrevue avec le Dr Joseph Mercola. Et que la
personne soit consciemment sensible ou non aux CEM, les résultats sont
flagrants, car les CEM nourrissent la maladie, selon plusieurs experts. «
C’est presque le jour et la nuit », dit-il. Il voit ses patients
environ aux quatre mois et lorsqu’ils ne prennent pas du mieux, il leur
demande ce qu’ils ont fait pour se protéger. « Les gens qui vont mieux,
ils ont agi en ce sens, et leur amélioration s’avère proportionnelle aux
mesures de protection. »

Fondateur du Klinghardt Academy, au New Jersey, et du Sophia Health Institute, dans l’État de Washington, ce médecin d’origine allemande évalue ses patients notamment avec la kinésiologie, une technique qui teste leur force musculaire. Qu’ils se montrent électrosensibles ou non, ils deviennent tous affaiblis par les émissions de micro-ondes des téléphones cellulaires allumés et se retrouvant à environ 12 pieds de distance (des niveaux de champs nocifs sont typiquement mesurables jusqu’à 30 pieds, selon le Dr Mercola). « Les taux de cancer sont les mêmes, on constate la même incidence de maladies neurologiques et de cerveaux embrouillés que vous sentiez ou non que vous êtes électrosensibles », souligne le Dr Klinghardt.

Les médecins allemands utilisent des CEM pulsés à des
modulations, fréquences et doses bénéfiques depuis la fin des années
1800. Ils sont très conscients des maladies comme la leucémie infantile
et le cancer du cerveau causées par l’exposition chronique aux basses
fréquences (60 hertz) des lignes et appareils électriques, ainsi qu’aux
hautes fréquences (de milliers, millions ou milliards de hertz)
provenant des antennes et des appareils de télécommunication sans fil.
Dans les années 1960, son professeur de physique à l’école secondaire
disait qu’il ne fallait pas dormir à côté d’une prise électrique, d’une
lampe ou d’un réveil matin électriques. Il s’est souvenu de cela une
fois établi aux États-Unis. « Je regardais cette incroyable crise de
l’autisme et j’ai commencé à soigner les enfants autistes à la fin des
années 1990. Je suis allé aux réunions médicales pour étudier diverses
approches de traitement, et ce qui manquait totalement dans ces
conférences, c’était l’exposition des enfants aux CEM. »

Le Dr Klinghardt a donc dirigé une étude pilote, malheureusement jamais publiée, qui consistait à mesurer les CEM de basses et hautes fréquences présentes dans la chambre où des mères d’enfants autistes avaient dormi pendant leur grossesse, quitte à les reproduire au même endroit si elles avaient déménagé. « Nous avons découvert que l’exposition moyenne d’un enfant autiste était vingt fois supérieure à celle d’un enfant non autiste. » Or, une étude publiée a permis de découvrir que les niveaux de micro-ondes mesurables dans l’air ambiant sont vingt fois plus élevés dans l’utérus. Bref, la dose reçue par les enfants autistes était 400 fois plus élevée en moyenne! [Et les garçons sont plus sensibles à l’exposition in utero.]

Il
dit qu’il traite deux types d’enfants autistes : ceux qui s’améliorent
et ceux qui s’améliorent considérablement. « La différence est que
certains parents comprennent l’importance de minimiser l’exposition aux
CEM créés par l’homme. » Il souligne qu’en Chine les femmes enceintes
sont obligées de porter des vêtements tissés d’argent qui blindent
contre les champs électriques de basses fréquences et les
radiofréquences. « Quand on entend des histoires de futures mères qui se
font arrêter par la police à Pékin pour vérifier si elles portent des
vêtements protecteurs, je me dis que nous sommes encore loin de là chez
nous. »

Selon le Dr Klinghardt, la Russie et l’Iran ont certaines des règles les plus strictes régissant l’amplitude du rayonnement des téléphones portables. Son frère lui a envoyé une vidéo d’une conférence donnée par Vladimir Poutine. Un employé russe de Klinghardt l’a traduite. Poutine y a déclaré : « Nous n’avons pas besoin d’aller en guerre avec l’Amérique. Elle est en train de commettre un suicide collectif par la façon dont ils utilisent l’électricité, il suffit d’attendre qu’ils soient tous à l’hôpital psychiatrique. » [Lire sur un fusil à micro-ondes en développement en Russie : Putin targets foes with ‘zombie’ gun which attack victims’ central nervous system.] Selon Klinghardt, Poutine veut que la Russie redevienne une nation forte, et pour cela il réduit l’électrosmog

« pour créer une toute nouvelle génération d’enfants qui grandiront pour être intelligents, des leaders dans le monde, des scientifiques. Les États-Unis représentent une nation en voie de disparition, en raison de la façon dont nous fluorons l’eau, de la façon dont nous avons adapté le programme de vaccination, l’électrosmog. Nous avons créé une tempête parfaite pour rendre stupide toute la nation. »

Réelle menace d’extinction humaine 

Tout comme les pesticides et autres polluants chimiques, les CEM se trouvent notamment liés à l’infertilité croissante et à une foule de maladies neurologiques et psychiatriques, de l’alzheimer à la dépression, toutes des maladies dont l’incidence a bondi. Le Dr Klinghardt rappelle que Barrie Trower, physicien spécialisé en armes électromagnétiques pour la Marine royale britannique à partir de 1960, ne cesse de lancer l’alerte. « On estime que si l’exposition continue à ce même rayonnement et se poursuit sur deux ou trois générations, nous serons tous stériles et nous mourrons en tant qu’espèce », observe Dietrich Klinghardt.

Ce médecin erre toutefois en affirmant que Trower aurait volontairement exposé des orphelins et des psychiatrisés à des micro-ondes de 2,4 gigahertz (GHz) — la fréquence porteuse aujourd’hui utilisée par les services de téléphonie cellulaire et le Wi-Fi —, qui les auraient endormis et même stérilisés. M. Trower nous a précisé par courriel qu’il contactera Dr Klinghardt pour lui dire que cela est faux. « Ma religion perpétuelle interdirait l’expérimentation sur une seule mouche à fruits; c’est aussi simple que ça! » L’ingénieur britannique Alasdair Philips, webmestre du site powerwatch.org.uk et inventeur de l’Acoustimeter, populaire appareil de lecture de radiofréquences, nous a par ailleurs transmis cette citation de Trower que l’on peut lire sur plusieurs sites web :

« Durant les années 1950 et 1960, pendant la guerre froide, on réalisa que les micro-ondes étaient utilisées comme des armes furtives par les Soviétiques. Ceux-ci ont irradié l’ambassade américaine pendant la guerre froide et cela a donné le cancer [ou autres problèmes de santé, notamment de thyroïde] — des cancers du sein et des leucémies — à tout le monde qui a travaillé [plusieurs années] à l’ambassade. Nous avons réalisé que les micro-ondes de faible intensité étaient l’arme furtive idéale pour les groupes dissidents du monde entier, parce que vous pouviez rendre les dissidents malades, leur donner un cancer, changer leur vision de la vie à leur insu […]. J’ai passé onze ans à interroger des espions capturés… Une de mes tâches particulières consistait à apprendre les fréquences particulières de micro-ondes qu’ils utilisaient, sur quelles victimes particulières […] et quel a été le résultat […]. Je suis probablement la seule personne au monde avec la liste complète […]. J’ai construit un dossier sur quelles fréquences d’impulsion [ou modulations] de micro-ondes causent quels dommages psychologiques ou physiologiques à une personne. Les gouvernements et les sociétés de technologie doivent être tenus responsables d’avoir collaboré à l’empoisonnement de masse de l’humanité et de toutes les autres formes de vie. »

Tel que Barrie Trower le mentionne dans cette entrevue sur Youtube :

« Je crois que quiconque installe du Wi-Fi dans une école devrait être emprisonné pour le reste de sa vie…. car il n’a pas pris connaissance de la recherche. Peu importe ses motivations, ça ne vaut pas les problèmes génétiques que les [futurs] parents devront affronter quand leurs enfants seront nés. Et si vous pensez à un seul parent, une mère qui a un enfant malformé génétiquement, elle se sentira coupable et sera inquiète à chaque seconde de son existence… Vous condamnez à la fois les parents et les enfants à une vie d’enfer absolu. »

Le Dr Klinghardt cite également Olle Johansson, neuroscientifique suédois et longtemps professeur titulaire à l’Institut Karolinska, de Stockholm, qui décerne les prix Nobel. Il a découvert que les régions où l’incidence de la maladie d’Alzheimer se trouvait la plus élevée étaient celles où l’on recevait les plus fortes expositions aux champs électromagnétiques. Lanceur d’alerte depuis les années 1980, Johansson fut le premier à découvrir les problèmes d’électrohypersensibilité, notamment les problèmes de peau, chez les personnes surexposées aux émissions des écrans cathodiques. L’Institut Karolinska l’a récemment forcé à prendre sa retraite en fermant son laboratoire de dermatologie expérimentale. « L’industrie des téléphones portables a menacé de retirer son financement à l’Institut s’il restait », explique Klinghardt. Johansson demande actuellement des dons privés pour poursuivre son travail sur les CEM. L’industrie des télécommunications est estimée de cinq à six fois plus puissante que l’industrie pharmaceutique, alors aucun politicien ne peut budgéter sans en tenir compte, ce qui fait que la science [sur les méfaits des CEM] ne se traduit pas en politiques. » L’industrie finance d’ailleurs la vaste majorité des études qui concluent que les CEM sont sans effets néfastes et elle fait tout pour discréditer les études qui prouvent le contraire et pour que leurs auteurs perdent leur financement. C’est la stratégie scientifique classique des industries du tabac, commente le Dr Mercola. Il faut savoir que le fondateur de Microsoft Bill Gates a reçu un doctorat honorifique de l’Institut Karolinska dont il finance la recherche en santé publique. La Fondation Bill and Melinda Gates est aussi le principal donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, organisme qui affirme qu’il n’est pas prouvé que les CEM causent les symptômes d’électrohypersensibilité, condition pourtant reconnue par la Suède et autres pays nordiques en 2000 comme maladie professionnelle dont les « symptômes disparaissent dans les environnements non électriques »!

Résultats spectaculaires

La bonne nouvelle, c’est que des médecins comme le Dr Klinghardt obtiennent des résultats spectaculaires en demandant à leurs patients atteints de cancer, de sclérose en plaques et autres maladies de réduire leur exposition aux CEM. Et même pour la sclérose latérale amyotrophique (SLA), maladie dévastatrice autrefois rare mais aujourd’hui aussi répandue que la sclérose en plaques, dit-il. Cette dernière est une maladie devenue aujourd’hui contrôlable et l’espérance de vie est d’au moins vingt ans, notamment si on retire les amalgames au mercure de la bouche des patients, explique le médecin. « La plupart des gens atteints de SLA meurent en dedans de deux ans après avoir reçu leur diagnostic. Mais nous avons découvert des bienfaits formidables, et le premier traitement qui fonctionne contre la SLA est la protection radicale contre les CEM. »

Le Dr Klinghardt traite aussi la
plupart de ses patients avec de la vitamine C et du glutation par
intravéneuse, mais le traitement ne peut fonctionner qu’en réduisant
l’électrosmog. Il en va de même contre la maladie de Parkinson, liée
notamment à l’exposition aux herbicides, à la présence d’un microbe
intestinal ainsi que de mercure et de manganèse dans le corps du
patient.

Les champs électromagnétiques causent des dommages en raison d’un certain nombre de mécanismes différents. Le Dr Klinghardt explique que 98 % de notre ADN provient du microbiote et que ces microbes intestinaux sont extrêmement sensibles aux micro-ondes. Pour lui, les pathogènes n’existent pas, la nocivité des microbes dépend seulement de comment le corps communique avec eux.

« Nous savons que l’exposition aux micro-ondes a créé la plus grande confusion dans cette partie du corps, à tel point que les microbes ne savent plus qui ils sont, qui sont leurs amis et leurs ennemis. Ils se sentent constamment attaqués par les micro-ondes. Or, lorsqu’un microbe est attaqué, il change de l’état de bibitte symbiotique pour devenir un pathogène. Comme nous ne sommes que 2 % de l’équation génétique, imaginez si 98 % de nous est notre propre ennemi, celui que nous créons… Après le glafusay [sic], les CEM émergent comme le premier facteur convertissant les microbes symbiotiques en pathogènes agressifs qui travaillent contre nous. »

Parmi ses autres armes dans l’arsenal médical, le Dr Klinghart prescrit le thréonate de magnésium, forme hautement biodisponible qui traite les lésions cérébrales en traversant la barrière hématoencéphalique. Ce type de magnésium est très important car il combat l’ouverture des canaux de calcium, dans la membrane externe de nos cellules, ouverture déclenchée par le voltage. Comme l’ont démontré d’éminents chercheurs, tels le biologiste américain Martin Pall et le physicien québécois Paul Héroux, l’augmentation du calcium intracellulaire et l’augmentation concomitante de la signalisation du calcium semblent être responsables de la majorité des dommages causés par les CEM. Pour plus de détails, voir l’interview du Dr Mercola avec Martin Pall. Par ailleurs, le thréonate de magnésium représente aussi une arme de choix contre les rétrovirus impliqués dans de nombreuses maladies neurologiques et immunitaires comme l’autisme et le cancer. Le Dr Klinghardt affirme que l’on peut augmenter la dose tant qu’on ne souffre pas de diarrhée et il le combine toujours avec du phosphate de calcium 12X (calcium phosphorique), un médicament homéopathique qui permet de moduler les canaux calciques. Le thréonate de magnésium apparaît particulièrement bénéfique car il agit comme un puissant agent antirétroviral. Klinghardt recommande de le porter à la tolérance de l’intestin, ce qui signifie que vous augmentez la dose jusqu’à ce que vous perdiez légèrement les selles.

Stratégies pratiques de remédiation

L’essentiel des solutions recommandées par Klinghardt et Mercola proviennent de l’Institut allemand de baubiologie, qui recommande des limites d’exposition aux CEM basées sur les réactions biologiques. Elles ont été écrites par l’ancien journaliste Wolfgang Maes qui a développé de sérieux problèmes de santé. Après des années de souffrances (diabète, insomnie grave, problèmes neurologiques, cardiaques, etc.), sa condition s’est améliorée seulement le jour où un géobiologue lui a recommandé de se débarrasser des extensions électriques situées sous son lit parce qu’elles émettaient des champs électriques nocifs. Ceux-ci sont produits par tout appareil ou câble sous tension, même si l’appareil n’est pas allumé. Pensez à un boyau d’arrosage sous pression. Un champ magnétique n’est créé que lorsqu’un appareil est allumé et que le courant circule — quand on ouvre le « robinet » électrique, en quelque sorte. (Maes a fondé Gigahertz Solutions, le fabricant de lecteurs de CEM le plus réputé au monde, et a rédigé les valeurs indicatives SBM-2015 en baubiologie pour les zones de repos, en matière d’exposition aux radiations, moisissures et autres polluants domestiques.)

Gardez à l’esprit que si vous êtes malade, la
simple réduction de l’utilisation de votre téléphone portable à
quelques heures par jour ne risque pas de vous aider sufisamment. Vous
devrez vraiment prendre des mesures plus importantes pour limiter, et
idéalement éliminer complètement l’exposition aux CEM, au moins la nuit.
La chambre est la première pièce qu’il faut nettoyer, car la nuit
représente le moment le plus important pour votre cerveau. « C’est
pendant le sommeil profond que le système lymphatique de votre cerveau
est activé, que s’accumule l’acétylcholine, un neurotransmetteur de la
mémoire et de la pensée supérieure. » L’équilibre précaire du cerveau se
voit facilement perturbé par les CEM, ce qui l’empêche d’éliminer les
déchets accumulés, dont les protéines amyloïdes bêta qui, lorsqu’elles
se retrouvent en grand nombre, deviennent des indicateurs de la maladie
d’Alzheimer.

L’idéal est de vivre dans un immeuble doté de câblage électrique blindé (de type commercial, autrefois appelé BX) à l’aide d’une gaine d’aluminium qui bloque les champs électriques. Sinon, l’on peut débrancher les appareils autour du lit ou, encore mieux, mettre les circuits hors tension la nuit. Cela peut se faire automatiquement avec un interrupteur à distance comme celui vendu par em3e.com. Si vous êtes malade ou enceinte, il serait sage de suivre la recommandation plus stricte de Klinghardt, soit de couper l’électricité dans toute la maison — à l’exception d’appareils essentiels comme le réfrigérateur et le chauffage. Pourquoi pas seulement le circuit dans votre chambre? « Les champs électriques sont très drôles : vous pouvez éteindre le champ électrique dans votre chambre et l’avoir dans deux pièces, et par induction, le champ peut encore passer d’un circuit à l’autre. Vous vous retrouvez alors encore dans un champ nocif. Je parle du voltage corporel, il s’accumule lorsque vous êtes dans un champ de basse fréquence, le champ de 60 Hz de l’électricité domestique. » C’est pourquoi le Dr Klinghardt recommande à ses patients de se doter d’une lampe de poche la nuit.

Il recommande aussi aux malades de
déménager des immeubles multilogement, car leurs voisins immédiats les
exposent à leurs CEM de basses et hautes fréquences. « Sinon vous pouvez
créer un mur de protection simplement en utilisant une feuille
d’aluminium, le côté plus brillant vers le voisin. Le mur complet doit
être couvert et si nécessaire le plancher » (on recouvre idéalement
l’aluminium d’un autre revêtement de sol). Surtout, l’aluminium doit
être mis à la terre avec une pince alligator liée par un fil que l’on
branche dans la prise de terre murale. Cette mesure très abordable
fonctionne aussi magnifiquement contre les micro-ondes émises par les
téléphones, routeurs et autres appareils de télécommunication sans fil
de vos voisins d’à côté, en dessous et au-dessus de vous, fait-il
remarquer. Sinon, l’on peut se procurer de la peinture au graphite Y-Shield (vendue sur em3e.com) qui doit aussi être mise à la terre.

Les pires coupables se trouvent dans votre propre maison

Il ajoute : « Il est important de réaliser que si vous avez un routeur Wi-Fi, vous avez l’équivalent d’une tour de téléphonie cellulaire à l’intérieur de votre maison. Idéalement, vous éliminez le Wi-Fi en utilisant simplement une connexion internet filaire (par câble éthernet). Aujourd’hui, la plupart des commerces offrent le Wi-Fi gratuit (Free Wi-Fi), mais certains dotés de ces câbles se vantent d’être libres de Wi-Fi (Wi-Fi Free)! » Si vous devez absolument avoir un routeur, vous pouvez le placer dans un sac blindé lorsqu’il n’est pas utilisé. Vous pouvez trouver divers autres types de blindages en ligne (par exemple sur lessemf.com ou en créer avec tissu argenté de marque Swiss Shield, également vendu sur sur em3e.com.

Sachez que certaines autres formes de rayonnement nocif peuvent être très difficiles à blinder, incluant les fréquences « tetra » dans la gamme 400 000 Hz (400 kilohertz) que la police et les pompiers utilisent et que Klinghardt qualifie de « dévastatrice ». « Si une personne habite près d’un poste de police ou d’une caserne de pompiers et souffre de problèmes de santé, je recommande qu’elle déménage, car il est pratiquement impossible de bloquer cette fréquence avec une technologie connue. »
Pour la plupart des gens, cependant, la pire exposition provient des câbles et appareils domestiques, comme le téléphone sans fil, le routeur Wi-Fi et les ordinateurs (de bureau ou portable), les cellulaires et les tablettes (à moins de les mettre en mode Avion, ce qui éteint le mode Wi-Fi et prolonge la charge des batteries). Malheureusement, de plus en plus de gens sont accros au Wi-Fi, si bien que le Dr Klinghardt connaît des ados qui disent préférer que leur mère meurt du cancer du sein que de devoir se passer de leur connexion sans fil la nuit. Pourtant, il existe des adapteurs USB offrant une connexion filaire pour iPad.

L’atténuation diurne

Réduire votre exposition aux CEM pendant la journée s’avère plus difficile, car la plupart d’entre nous ont besoin d’utiliser l’électronique pendant la journée, et de se déplacer dans des zones dotées du Wi-Fi. Pour les patients gravement malades, Klinghardt recommande d’utiliser des « filtres » Graham-Stetzer pour réduire le niveau d’interférence électromagnétique (ou « électricité sale ») générée par les erreurs de filage ainsi que les appareils à commutation. En hachurant le courant, ces appareils génèrent des hautes fréquences transitoires (HFT) pulsées nocives, comme les ondes tetra. Selon l’épidémiologiste américain Sam Milham, les HFT seraient des cancérogènes universels (ciblant plusieurs organes). Heureusement, l’on peut utiliser ces filtres — en fait, des condensateurs — au travail. Stéphane Bélainsky, de EM3E, en vend, ainsi que ceux de marque Greenwave, mieux tolérés par certaines personnes hypersensibles. Bien que certains vendeurs recommandent d’en installer au moins une douzaine dans une maison, M. Bélainsky affirme qu’un seul par phase de 110 volts suffit si l’on mitige les autres sources de HFT — correction d’erreurs de câblage, évitement des rhéostats (« dimmers ») et des ampoules et tubes fluorescents (qui émettent des vapeurs de mercure toxiques si on les casse), etc. « Chaque ampoule fluocompacte est comme une petite tour de téléphonie cellulaire émettant des radiofréquences, ce qui est absolument dévastateur pour la santé des gens », soutient Klinghardt, qui recommande de les remplacer par des ampoules incandescentes classiques, bien que les diodes électroluminescentes (DEL) soient moins nocives que les fluocompactes.

Comme la densité du CEM diminue au carré de la distance, s’éloigner de quelques pieds des câbles et appareils électriques peut mener à un énorme changement. M. Bélainsky vend aussi des câbles blindés contre les champs électriques des ordinateurs et autres appareils à câble détachable. La nuit, les baubiologistes recommandent d’éviter de s’exposer à des champs électriques 60 hertz mesurant plus de 1 volt par mètre (V/m), à des champs magnétiques 60 hertz de plus de 20 nanotesla (0,2 milligauss ou 0,02 microtesla) et à des radiofréquences de plus de 0,006 V/m (ou 0,1 microwatt par mètre carré) la nuit.

Si vous devez utiliser un cellulaire, écourtez vos conversations et préférez les textos le plus souvent possible. Ne téléphonez pas lorsque la réception est faible (par exemple dans les transports) et ne posez pas de matière blindante sur le téléphone, car l’appareil émettra plus fort, ce qui augmentera votre exposition. Ne tenez jamais un cellulaire ou un appareil Wi-Fi contre votre corps. Utilisez un casque d’écoute de type stéthoscope tel le Blue Tube ou l’Air Tube. Les écouteurs classiques et Bluetooth sont une catastrophe, selon le Dr Klinghardt, car ils conduisent les CEM directement dans votre cerveau à travers vos oreilles.

« En général, les gens devraient revenir en arrière et insister pour avoir des lignes de téléphone terrestres à la maison et au travail et les utiliser autant que possible. N’utilisez le téléphone portable qu’en tant qu’appareil de secours ou pour envoyer des textos. »

Enfin, il existe des vêtements et sous-vêtements de protection filés d’argent vendus sur em3e.com et lessemf.com. À ses patients autistes et autres personnes atteintes de maladie neurologique, il recommande de porter un t-shirt blindé 24 heures par jour. « En protégeant votre plus grande partie du corps avec le t-shirt, vous bénéficiez de plus d’avantages pour votre cerveau que lorsque, par exemple, vous portez une casquette blindée. »

Impacts environnementaux des CEM

Le Dr Klinghardt note également que l’électrosmog joue un rôle important, avec certains pesticides, dans la disparition des abeilles et d’autres pollinisateurs cruciaux. Et, au fur et à mesure que les insectes bénéfiques meurent, les tiques porteuses de maladies deviennent plus fréquentes, car elles se révèlent plutôt insensibles au rayonnement des téléphones portables.

« Ce qui s’avère dévastateur réside dans le fait que ce sont les oiseaux qui autrefois contrôlaient les tiques. Les oiseaux mangent les tiques, mais ils doivent aussi manger d’autres insectes, alors il y a eu une disparition dramatique des oiseaux chanteurs et autres oiseaux par manque d’insectes, explique Klinghardt. Or, il y a une réduction spectaculaire des insectes seulement là où il y a une exposition élevée aux micro-ondes. Nous avons des images allemandes qui montrent des arbres, des forêts entières, qui meurent simplement parce qu’une tour de téléphonie cellulaire a été érigée. Le rayonnement du téléphone portable, dans son utilisation actuelle, est complètement contre la vie et est aggravé par les métaux lourds qui se retrouvent en nous, en particulier l’aluminium qui vient du ciel et de l’air que nous respirons. Nous savons que le glyphosate [Roundup], l’atrazine et autres pesticides, ainsi que les agents de conservation alimentaires, ont tous un effet cumulatif dans notre corps. Nous avons fondamentalement créé une tempête parfaite contre laquelle nous pouvons encore nous protéger en mangeant des aliments certifiés biologiques et en évitant certaines choses, certains environnements. »

Le Dr Klinghardt conclut que la réduction de l’exposition constante et incontrôlée aux CEM demeure notre première arme de défense contre la plupart des maladies chroniques, car elle entrave le rétablissement. Son expérience clinique confirme cela parce que ses patients guérissent rarement à moins qu’ils ne s’y attardent radicalement. Enfin, le médecin déconseille l’usage des dispositifs (autres que les filtres Graham-Stetzer) censés nettoyer ou harmoniser l’électricité. Une expérience faite sur des poules avec de tels dispositifs s’est avérée catastrophique.

« Au début, c’était fantastique, elles avaient l’air plus heureuses. Elles couraient partout. Elles pondaient deux fois plus d’œufs que l’autre groupe [contrôle, non « protégé »] qui se rassemblait dans les coins pour éviter l’éclairage électrique qui les éclairait 24 heures sur 24. Mais à la fin de l’étude, cinq ans plus tard, les poules exposées à l’électricité nettoyée ont vécu seulement la moitié de la durée de vie de l’autre groupe. Ce que je veux communiquer clairement, c’est que si vous utilisez des dispositifs pour vous faire sentir bien pendant que vous êtes dans des champs dévastateurs qui causent des maladies, vous aurez des taux de cancer plus élevés. Vous mourrez avant vos amis qui n’ont pas ces dispositifs et sentent de l’inconfort. Ils ont de l’insomnie la nuit quand leurs routeurs Wi-Fi sont allumés et jusqu’à ce qu’ils les éteignent. »

Commentaire de l’ingénieur québécois Marc Robert :

« J’ai lu attentivement ce texte. J’aime bien la notion de protection le jour versus la nuit. On mentionne également la perturbation du biotope, un point important trop négligé dans les études. C’est un bon document de synthèse. Toutefois ces deux messieurs sont des médecins et il ne faut pas prendre au pied de la lettre certaines affirmations techniques. Par exemple, dire que le Wi-Fi est comme avoir une tour de cellulaire dans sa résidence est nettement disproportionné en termes d’exposition. Les antennes cellulaires émettent à des puissances pouvant atteindre 250 watts (comme on peut voir lors de la recherche des émetteurs sur le web), alors que le Wi-Fi émet à moins de 200 milliwatts. Il serait plus exact de dire que le Wi-Fi qui est dans nos propres résidences et aussi dangereux que la tour de cellulaire qui est dans son quartier. L’idée que veulent exposer ces deux messieurs est qu’il faut, en priorité, porter attention aux sources d’émission d’onde qui sont les plus près de soi, notamment dans sa propre demeure, tel le Wi-Fi et le téléphone sans fil.

Je pense qu’il y a erreur à la page 9 où l’on mentionne le 400,000 Hz qui serait utilisé par les pompiers et policiers. Il faudrait écouter l’enregistrement. On veut probablement dire le 400 MHz qui est la bande fréquence dédiée à ces fonctions. Oui, c’est plus difficile à blinder que le Wi-Fi et le cellulaire, mais les bons produits pour le blindage sont aussi performants à cette fréquence. Il y a une légende urbaine au sujet de la pénétration de cette bande de fréquence qui prend origine au début de son utilisation à partir de 1979. Ces fréquences étaient également utilisées dans les tunnels et puits d’ascenseur pour les pagettes.

Enfin, l’application permettant de faire de son cellulaire un appareil de mesure des CEM n’est valable que pour les fréquences de cellulaire et rien d’autre. Elle est donc très limitée. »




Les risques de la 5G en valent-ils la chandelle ?

[Source : La maison du 21e siècle]

Antenne 5G installée devant une maison.
© https://scientists4wiredtech.com

Par Iishana Artra, EMF Safety for Vermont et The Together Project

Au cours des derniers mois, on a beaucoup parlé de la 5G – la prochaine génération de technologie sans fil. La 5G est considérée comme une étape nécessaire vers «l’Internet des objets» – un monde dans lequel nos réfrigérateurs nous alertent lorsque nous manquons de lait, les couches de bébé nous indiquent quand elles doivent être changées, et Netflix est disponible partout, tout le temps. Mais ce que nous n’entendons pas, c’est que des études factuelles dans le monde entier ont clairement démontré les effets néfastes de l’exposition humaine au rayonnement de radiofréquences (RF) pulsées émis par les tours de cellulaires, les téléphones portables et d’autres appareils sans fil – et que la 5G aggraverait considérablement le problème.

La plupart des gens pensent que la Federal Communications Commission (FCC – tout comme Santé Canada) évalue attentivement les risques pour la santé de ces technologies avant de les approuver. Mais dans une confirmation écrite obtenue par le sénateur Blumenthal du Connecticut, la FCC a admis qu’elle n’avait mené aucune étude établissant que la 5G ne pose aucun risque pour la santé humaine.

Les lobbyistes des télécommunications nous assurent que les lignes directrices déjà en place sont suffisantes pour protéger le public. Ces directives de sécurité reposent toutefois sur une étude réalisée en 1996 sur la capacité d’un téléphone portable de l’époque à chauffer la tête d’un mannequin en plastique de la taille d’un adulte. C’est problématique, pour au moins trois raisons :

  • Les organismes vivants sont constitués de cellules et de tissus hautement complexes et interdépendants, et non de plastique.
  • Les fœtus, les enfants, les plantes et les animaux sauvages, et pas seulement les hommes adultes, font partie des êtres vivants exposés au rayonnement RF.
  • La puissance des fréquences utilisées dans l’étude sur le mannequin étaient nettement inférieures aux niveaux d’exposition associéà la 5G.

Le rayonnement RF de la 5G utilise un «cocktail» de trois types de rayonnement, allant des ondes radio de relativement basse énergie, au rayonnement hyperfréquence avec beaucoup plus d’énergie et aux ondes millimétriques avec encore beaucoup plus d’énergie (voir le tableau ci-dessous). Le plus grand danger réside dans les fréquences extrêmement élevées de la 5G. Alors que les fréquences de la 4G atteignent 6 GHz, la 5G expose toute forme de vie à des signaux pulsés se situant entre 30 et 100 GHz. Le grand public n’a jamais été exposé à de telles fréquences pendant de longues périodes.

Ceci est une préoccupation majeure. Il se trouve que nos yeux et nos canaux sudoripares agissent comme des antennes pour l’absorption des ondes 5G de haute fréquence. [1] Et comme les distances que ces ondes à haute énergie peuvent parcourir sont relativement courtes, les émetteurs seront plus proches des maisons et des écoles que ceux des technologies sans fil antérieures : leur déploiement ajoutera l’équivalent d’une tour de téléphonie cellulaire toutes les 2 à 10 maisons.

Mais l’ancien président de la FCC, Tom Wheeler, a clairement indiqué que la FCC, dominée par les télécoms [tout comme l’est Santé Canada], ne mettait pas la santé au premier plan : «N’essayez pas d’empêcher le développement technologique», a-t-il déclaré. «Contrairement à certains pays, nous ne pensons pas que nous devrions passer les deux prochaines années à mener des études… Il est de loin préférable de laisser les innovateurs agir à leur guise que de laisser des comités et des régulateurs définir l’avenir. Nous n’attendrons pas que de nouvelles normes soit adoptées. » Répondant à des questions relatives à la santé, M. Wheeler a déclaré: « Parlez au personnel médical » [2].

Bonne idée.

Le «personnel médical» a mené plus de 2 000 études internationales fondées sur des preuves qui établissent un lien entre les effets sur la santé et le rayonnement pulsé émis par les tours de cellulaires, les routeurs Wi-Fi, les téléphones portables, les tablettes et autres appareils sans fil. Ces études nous disent que le rayonnement RF est nocif même avec des expositions de faible puissance et de courte durée, et qu’il affecte les enfants et les fœtus plus rapidement que les adultes. Parmi les résultats, citons le fait que le rayonnement RF est cancérogène, endommage l’ADN, affecte la fertilité et le système endocrinien et a des effets neurologiques. Il a également été démontré que les fréquences électromagnétiques pulsées étaient à l’origine de symptômes neurologiques tels dépression, anxiété, maux de tête, douleurs musculaires, déficit d’attention, insomnie, vertiges, acouphènes, picotements de la peau, perte d’appétit et nausées. [3]

Le gouvernement américain est au courant de ces risques depuis au moins 1971, date à laquelle le Commandement de la recherche et du développement médical dans la marine a publié une bibliographie de 3 700 références faisant état de 100 effets biologiques et cliniques attribués aux rayonnements hyperfréquences et radiofréquences.

Des découvertes récentes, telles que l’étude du programme national de toxicologie (NTP) aux États-Unis, réalisée au coût de 30 millions de dollars en 2018, ont corroboré les conclusions de toutes les études bien conçues sur le cœur et le cancer du cerveau de personnes exposées depuis au moins 10 ans au rayonnement cellulaire émis par des tours de téléphonie cellulaire. Elles arrivent toutes à la même conclusion : le rayonnement RF cause le cancer. [4]

Quelle a été la réaction face à ces conclusions ?

Les scientifiques demandent instamment à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de mettre à jour sa classification des RF pour la faire passer de la catégorie «Peut-être cancérogène pour l’homme» du Groupe 2B à «Agent cancérogène avéré» du Groupe 1, ce qui mettrait les radiofréquences dans la même catégorie que l’arsenic et l’amiante. Annie Sasco, ancienne chef de l’Unité de recherche épidémiologique pour la prévention du cancer de l’OMS, a déclaré : « Assez, c’est assez, combien de morts devra-t-il encore y avoir avant que des mesures sérieuses soient prises ? Les preuves continuent de s’accumuler. » 

Ronald Melnick, le concepteur de l’étude NTP, déclare que l’étude « montre clairement un lien de causalité entre le cancer et l’exposition aux signaux des téléphones mobiles sans fil ». Il ajoute qu’« une leçon importante à tirer des études de la NTP est que nous ne pouvons plus présumer que les technologies sans fil actuelles ou futures, y compris la 5G, sont sans danger sans qu’elles n’aient été d’abord adéquatement testées. » [5] Entre-temps, 231 scientifiques de 42 pays ont signé l’Appel sur la 5G, qui réclame de toute urgence un moratoire sur le déploiement de cette technologie. Des mesures sont prises pour ralentir le déploiement de la 5G en Italie, en Belgique, en Israël, en Suisse et aux Pays-Bas, ainsi que dans les États de Californie, du New Hampshire, du Massachusetts et de l’Oregon.

Mais jusqu’à présent, pas assez de dirigeants politiques ont été disposés à tenir compte des avertissements émis. Ou peut-être qu’ils s’en remettent au président Trump qui a déclaré que les antennes 5G « doivent couvrir toutes les communautés et qu’elles doivent être déployées dès que possible… Peu importe où vous vous trouvez, vous aurez la 5G et la vie sera différente. Je ne sais pas si ça sera mieux ainsi… mais je peux dire que sur le plan technologique, ce ne sera même pas proche. »[6]

La technologie sans fil est devenue tellement omniprésente que la plupart d’entre nous ont été amenés à croire qu’elle était sans danger. Maintenant, les risques sont sur le point de s’accroître de façon spectaculaire. Davantage de citoyens et de législateurs doivent rejoindre ceux qui s’opposent activement à la campagne téméraire en faveur de la 5G.

– Iishana Artra, Ph.D. est une spécialiste de la santé publique, de la sécurité et de l’étude des champs électromagnétiques à Brattleboro, dans le Vermont.

– Tiré de Is 5G Worth the Risks? https://www.counterpunch.org/2019/05/03/is-5g-worth-the-risks/

Traduction : Jean Hudon

NOTES:

1] « The Human Skin as a Sub-THz Receiver – Does 5G Pose a Danger to It or Not? »https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29459303 , and « The Modeling of the Absorbance of Sub-THz Radiation by Human Skin » (Betzalel 2017, Betzalel 2018) http://ieeexplore.ieee.org/stamp/stamp.jsp?tp=&arnumber=8016593&isnumber=5741778 –https://principia-scientific.org/study-human-sweat-ducts-act-as-antennas-for-5g-radiation/

[2] « 5G network being pushed on the public with zero concern for safety », Nexus https://nexusnewsfeed.com/article/human-rights/5g-network-being-pushed-on-the-public-with-zero-concern-for-safety

[3] « Electromagnetic and Radiofrequency Fields Effect on Human Health », American Academy of Environmental Medicine.https://www.aaemonline.org/emf_rf_position.php

[4] These peer-reviewed published papers are compiled in the BioInitiative Report, which you can view at BioInitiative.org.

[5] Melnick, Ronald, « There’s a clear cell phone-cancer link, but FDA is downplaying it », The Hill, Nov 13, 2018.https://thehill.com/opinion/healthcare/416515-theres-a-clear-cell-phone-cancer-link-but-fda-is-downplaying-it

[6] « Remarks: Donald Trump discusses deployment of 5G wireless networks », Factbase, April 12, 2019.https://factba.se/transcript/donald-trump-remarks-wireless-5g-network-april-12-2019

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AU SUJET DE L’AUTEUR

Docteure en psychologie transpersonnelle, Iishana est membre fondatrice de EMF Safety for Vermont et cofondatrice/codirectrice du projet Together. Cet organisme à but non lucratif rassemble les gens pour créer des liens significatifs visant à améliorer la santé et le bien-être, telles celes qui sont isolées pour des raisons telles que l’électrosensibilité, la fracture numérique, la dépendance numérique, la récupération de la consommation de substances, le deuil ou la vieillesse. Les expertises électromagnétiques et de cohérence cardiaque (HeartMath) sont devenues ses passions dans le cadre de sa propre guérison de la sensibilité aux CEM et du stress post-traumatique. « Il est profondément gratifiant lorsque mes clients me font part de l’amélioration de leur vie. J’espère pouvoir continuer ce travail pendant de nombreuses années », dit-elle.




L’empire mondial de la santé de Bill Gates, dernière partie

[Source : Entelekheia]

Ceci est la quatrième et dernière partie d’une série.
Dans la première partie, nous apprenons comment la Fondation Bill & Melinda Gates travaille à étendre l’influence de l’industrie pharmaceutique auprès de l’OMS, qu’elle contrôle, et des gouvernements du monde.
Dans la deuxième partie, nous voyons comment la Fondation Bill & Melinda Gates écoule dans les pays pauvres des traitements et des vaccins non approuvés dans les pays développés parce que dangereux, parfois avec des résultats désastreux. Nous verrons aussi que l’annonce de Trump selon laquelle les USA se « retirent » de l’OMS n’est rien d’autre que de la communication à destination de ses électeurs : en fait, les USA continuent de régner sur l’OMS à travers la Fondation Gates et l’agence fédérale américaine USAID.
Dans la troisième partie, nous apprenons que la Fondation Gates travaille à vendre non seulement les traitements et vaccins de l’industrie pharmaceutique, mais aussi des semences OGM, sur lesquelles elle travaille en partenariat avec Monsanto.
Dans cette dernière partie, nous verrons comment la Fondation Gates tente de faire tomber les garde-fous étatiques qui interdisent à l’industrie pharmaceutique occidentale de mettre des produits potentiellement dangereux sur le marché. Nous verrons aussi que l’administration Trump marche main dans la main avec Bill Gates.

Par Jeremy Loffredo and Michele Greenstein
Paru sur The Grayzone sous le titre Why the Bill Gates global health empire promises more empire and less public health


L’opération Warp Speed vaccine Big Pharma contre les poursuites judiciaires

À la mi-mai, l’administration Trump a dévoilé son nouveau projet de vaccin contre le coronavirus : l’opération Warp Speed. Le président Trump a annoncé le nouveau projet en se vantant de l’assouplissement, par son administration, de « toutes les formalités administratives pour parvenir au lancement le plus rapide, et de loin, d’un essai de vaccin ».

Comme l’administration Trump, Bill Gates plaide pour l’accélération du calendrier d’approbation du vaccin du Covid-19. Il écrit que « les gouvernements devront accélérer leurs processus habituels d’approbation des médicaments afin de fournir rapidement le vaccin à plus de 7 milliards de personnes ». Selon lui, « il n’y a tout simplement pas d’alternative » à ce programme.

En mars dernier, les États-Unis ont adopté une réglementation fédérale accordant une immunité contre d’éventuelles poursuites judiciaires aux firmes produisant des médicaments contre le coronavirus, y compris les vaccins. Ils ont également accordé une immunité à toute entité distribuant ces médicaments.

Avec plus de 100 vaccins du Covid-19 actuellement en cours de développement, cela signifie que ces produits seront indemnisés contre toutes possibilités de poursuites judiciaires, même dans les cas d’effets secondaires nocifs.

Si les fabricants de vaccins sont effectivement exemptés de sanctions légales par les gouvernements du monde, ces entreprises ne sont pas particulièrement incitées à protéger les gens contre d’éventuels effets secondaires nocifs. Comme par le passé, il semble que les citoyens des pays les plus pauvres soient sur le point de devenir des « cobayes pour les fabricants de médicaments ».

Le plaidoyer de Bill Gates pour l’immunité des fabricants de médicaments remonte au moins à 2015, lorsqu’il a déploré, lors de l’épidémie d’Ebola, l’absence de processus clair pour « fournir une exemption de responsabilité légale ». Il a suggéré qu’au cours d’une « épidémie mondiale », les entreprises pharmaceutiques devraient être protégées contre les actions en justice pour « éviter de longs retards ». Aujourd’hui, sa proposition est en train de se concrétiser.

Gates a justifié sa position par le fait que les entreprises devront produire des médicaments le plus rapidement possible pour sauver des vies, et que ces nouveaux médicaments ne seront pas toujours sûrs. « Comprendre la sécurité… est très, très difficile », a-t-il déclaré à CBS. « Il y aura un certain risque et une exemption de responsabilité sera nécessaire avant que l’on puisse décider [de sortir un vaccin] ».

Normalement, un médicament passe par une phase d’expérimentation animale avant d’être testé sur un petit nombre d’humains (phase I), un nombre plus étendu (phase II) et un grand nombre de personnes (phase III). Mais avec le Covid, Gates veut « gagner du temps » en effectuant des tests sur les humains et les animaux en même temps.

Aujourd’hui, les États-Unis « compriment ce qui représente généralement 10 ans de développement de vaccins », selon le directeur de l’Institut national de la santé (NIH).

Cela peut produire des effets dérangeants. D’une part, aucun vaccin efficace contre les coronavirus n’a encore été produit et un nouveau vaccin pourrait déclencher des réactions mortelles. Le Dr Peter Hotez, spécialiste des maladies tropicales, qui a travaillé sur un vaccin raté pour un autre coronavirus (SRAS), a déclaré que lors des tests expérimentaux du médicament, les animaux étaient victimes de ce qu’il appelle « Facilitation de l’infection par des anticorps ». Les animaux qui ont reçu la piqûre ont développé des formes plus graves (et souvent mortelles) du virus par rapport aux animaux non vaccinés.

Hotez a déclaré à Reuters : « La façon de réduire ce risque [pour les humains] est d’abord de démontrer qu’il ne se produit pas chez les animaux de laboratoire. L’expert médical a déclaré qu’il comprenait « l’importance d’accélérer les délais pour les vaccins en général, mais … ce n’est pas avec ce vaccin qu’on peut se le permettre ».

Sans effectuer la phase initiale de tests sur les animaux normalement requise pour mettre un vaccin sur le marché, une société de biotechnologie nommée Moderna mène actuellement des essais sur l’homme pour son vaccin du Covid-19. Le vaccin de Moderna est de type ARNm, qui n’ont jamais été approuvé par la FDA pour une utilisation sur les humains.

Cette technologie, qui contient des cellules génétiquement modifiées pouvant altérer de façon permanente l’ADN humain, a été développée grâce à des subventions de la Fondation Gates et de l’Agence des projets de recherche avancée de la défense du Pentagone (DARPA). Moderna affirme avoir une « alliance stratégique » avec la DARPA, qui a donné à la firme 25 millions de dollars au total.

La technologie ARNm de Moderna a été désignée par Bill Gates comme « l’une des options les plus prometteuses pour le COVID ». Gates a même un « accord-cadre de projet de santé mondiale » avec Moderna pour lui donner jusqu’à 100 millions de dollars pour le développement de sa technologie ARNm, en échange de l’obtention de « certaines licences non exclusives ».

Le co-fondateur de Moderna, Robert Langer, s’est associé à Gates dans le passé sur des projets tels que l’implant de micro-puces contraceptives activables sans fil.

Lorsque Moderna a annoncé l’achèvement de la phase 1 de son essai de sécurité le 18 mai, des médias grand public ont salué la « bonne nouvelle » de Moderna. Mais les petits caractères du communiqué ont révélé que trois des 15 participants auxquels on a injecté la plus forte dose du vaccin ont développé des symptômes systémiques de grade trois, que la FDA définit comme « graves », « invalidants » et nécessitant une « hospitalisation », bien que « ne mettant pas immédiatement leur vie en danger ».

Le 15 mai, le président Trump a nommé Moncef Slaoui, un membre du conseil d’administration de Moderna qui, jusqu’au 19 mai, détenait plus de 10,3 millions de dollars d’actions de la firme, comme responsable scientifique de l’effort national pour trouver un vaccin du Covid-19.

Slaoui, qui se dit « engagé dans le capital-risque », fait également partie du conseil d’administration de l’Initiative internationale pour un vaccin contre le sida (IAVI), une organisation de « partenariats public-privé » qui a reçu plus de 359 millions de dollars de la Fondation Gates.

Slaoui a également occupé des postes de direction chez GlaxoSmithKline (GSK). Alors qu’il dirigeait la recherche et le développement de l’entreprise, GSK a plaidé coupable et versé 3 milliards de dollars dans ce que le Département américain de la justice a qualifié de « plus forte somme versée en dommages-intérêts après une fraude dans le domaine de la santé de l’histoire des États-Unis ». La fraude comprenait la dissimulation du lien entre un médicament, le Paxil et des effets secondaires de dépression et idées suicidaires (principalement chez les enfants), la dissimulation du lien entre un médicament, l’Avandia et des effets secondaires sur le cœur, qui, selon la FDA, ont entraîné 83 000 crises cardiaques, ainsi que plusieurs accusations de corruption et de pots-de-vin illégaux.

Alors qu’il était président de GSK chargé des vaccins, M. Slaoui a supervisé le développement du vaccin contre la grippe porcine appelé Pandemrix, qui a été mis sur le marché sans avoir été testé correctement lors de l’épidémie de grippe porcine. Le résultat a été un vaccin dangereux qui a causé des lésions cérébrales chez au moins 800 personnes, dont 80 % d’enfants. Comme GSK n’a accepté de fournir le vaccin aux gouvernements qu’à la condition d’être dégagé de toute responsabilité légale, l’argent des contribuables britanniques a été utilisé pour payer des millions de livres sterling en compensation aux victimes.

Slaoui a été engagé pour être le « tsar du vaccin » de l’administration Trump en tant qu’entrepreneur privé, et non en tant qu’employé du gouvernement. Cela signifie, comme l’explique Public Citizen, que Slaoui peut « maintenir un vaste réseau d’intérêts financiers conflictuels sans avoir besoin de se défaire de ces intérêts, de se récuser ou même de les divulguer ».

Les médias grand public aiment à dépeindre la réponse au Covid-19 comme un bras de fer entre des fanfarons anti-science comme Donald Trump et des « champions de la science » comme Bill Gates. Cependant, la nomination de Slaoui à la codirection de l’opération « Warp Speed » indique qu’ici, l’administration Trump et la Fondation Gates font partie de la même équipe.

Après être entré dans son nouveau rôle dans l’administration Trump, Slaoui a déclaré que les données des essais cliniques de Moderna lui donnaient assez confiance pour annoncer, « nous serons en mesure de fournir quelques centaines de millions de doses de vaccin d’ici la fin de 2020 ».

Bien que le gouvernement américain ait choisi Moderna comme l’un des cinq « finalistes » de son vaccin contre le coronavirus, les mesures financières prises par certains dirigeants de l’entreprise laissent penser que les beaux jours de Moderna sont peut-être derrière elle.

Selon des documents déposés auprès de l’U.S. Securities and Exchange Commission (SEC), le directeur financier de la société, Lorence Kim, a vendu 214 000 actions de Moderna le jour du communiqué de presse, réalisant immédiatement un bénéfice de plus de 16 millions de dollars.

Thomas Lys, professeur de comptabilité à l’université Northwestern, a été cité par Stat News déclarant que cela pourrait simplement être une décision financière de Moderna pour obtenir des liquidités, mais qu’ « il y a toujours une autre possibilité – que ces gars savent en fait que tout cela est bidon et qu’ils vendent pendant que l’action est encore à bon prix ».

Le médecin en chef Tal Zaks, qui détenait près de 100 000 actions de Moderna au début de l’année, a commencé à vendre des actions quelques jours avant que Moderna n’annonce que son vaccin était prêt à être testé sur l’homme, avec un profit de plus de 18 millions de dollars en 2020. Il n’en possède plus aucune action.

Une réserve centralisée pour « rendre l’OMS dépendante du bon vouloir des grandes entreprises pharmaceutiques ».

En octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé l’ « Event 201 » [*] en partenariat avec le Forum économique mondial et la Fondation Gates.

Un ancien membre du Comité directeur du Johns Hopkins Center for Health Security [Robert Kadlec] est maintenant chef de la réserve de médicaments de l’administration Trump, et le PDG de Johns Hopkins Medicine fait également partie du conseil d’administration de la société pharmaceutique Merck.

L’Event 201 était un exercice de simulation d’une pandémie à nouveau coronavirus. Des représentants du Conseil national de sécurité des États-Unis y ont participé, ainsi que des dirigeants de sociétés pharmaceutiques comme Johnson & Johnson.

Si les similitudes entre la simulation de l’épidémie et la véritable épidémie ont suscité des théories infondées sur la « prédiction » du COVID 19 par Bill Gates, il est indéniable que les propositions politiques qui ont émergé de l’exercice sont mises en œuvre aujourd’hui.

À la suite de la simulation, complétée par des conférences de presse simulées d’un réalisme effrayant et des bulletins d’information diffusés par un réseau appelé GNN, les trois organisations ont émis des recommandations pour faire face à une « grave pandémie ». L’une des recommandations était de disposer d’une « solide réserve internationale » de mesures médicales telles que des vaccins.

Au cours de la simulation, le président de la Fondation Gates pour la santé mondiale, Chris Elias, a insisté sur la nécessité de constituer une réserve de ce type. Il a expliqué qu’ « un stock mondial contribuerait certainement à assurer une répartition rationnelle et stratégique », mais qu’une collaboration entre l’OMS et le secteur privé est nécessaire pour en assurer l’efficacité.

D’un point de vue objectif, un stock centralisé de mesures médicales peut être utile en cas de crise sanitaire. Mais la question de savoir qui la contrôle et la distribue soulève des problèmes importants.

Le Dr David Legge a déclaré à Grayzone que la suggestion d’Elias augmenterait encore l’influence des sociétés pharmaceutiques à but lucratif, car « sans aucun doute, un partenariat public-privé axé sur l’approvisionnement et la distribution impliquerait les grandes sociétés pharmaceutiques et rendrait l’OMS dépendante du bon vouloir de ces dernières ».

Gates pourrait faire valoir que le contrôle et la distribution de ces stocks devraient également être influencés par des institutions occidentales comme l’OTAN. En 2015, il a écrit qu’en cas de « grave épidémie », « une institution mondiale pourrait être habilitée et financée pour coordonner le système [de réponse à l’épidémie] », qu’il devrait y avoir une discussion sur le partage des pouvoirs entre l’OMS et « d’autres (y compris la Banque mondiale et les pays du G7) », et que « le débat devrait inclure des alliances militaires comme l’OTAN ».

Gates a également soutenu que « les pays à faible revenu devraient être parmi les premiers à recevoir » le vaccin du Covid-19. Si l’OTAN joue un rôle dans le contrôle et la distribution des vaccins, cette aide pourrait être utilisée pour faire progresser les programmes militaires occidentaux, étant donné que ces « aides » ont été utilisées dans le passé lors d’interventions humanitaires.

Gates a quasiment monopolisé le domaine de la politique de santé publique, tant au niveau national qu’international. « Fauci et moi sommes en contact permanent », a-t-il proclamé, en référence au visage de la réponse américaine au Covid, le directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, Anthony Fauci.

Dans le même temps, le méga-milliardaire s’entretient apparemment « tous les jours » avec des PDG de sociétés pharmaceutiques et des chefs de gouvernements.

En entretenant des relations avec des organisations gouvernementales et le secteur privé à but lucratif, la Fondation Gates est peut-être devenue l’acteur le plus influent de la réponse mondiale au Covid-19. Ainsi, si le travail de la fondation a favorisé les multinationales occidentales aux dépens de la santé publique dans le passé, comment s’attendre à un résultat différent cette fois-ci ?

L’histoire se répète

Au début juillet, l’Associated Press a rapporté que des Sud-Africains s’étaient réunis à Johannesburg pour protester contre l’essai clinique de phase III d’AstraZeneca en Afrique. La Fondation Gates a versé 750 millions de dollars à cet effort de vaccination le mois dernier, et les manifestants ont été photographiés tenant des banderoles sur lesquelles on pouvait lire « Nous ne sommes pas des cobayes » et « Non au poison de Gates ».

L’organisateur de la manifestation, Phapano Phasha, a déclaré à l’AP que des groupes vulnérables étaient manipulés pour qu’ils participent à l’essai sans possibilité de choix éclairé. « Je crois en la science », a déclaré Phasha. « Je ne suis pas contre les vaccins, je suis contre le profit. »

Les rapports indiquent que les vaccins de Moderna et d’AstraZeneca pourraient être disponibles pour une distribution publique d’ici la fin 2020.

The Grayzone a contacté la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation (GAVI) et le Programme pour les technologies appropriées dans le domaine de la santé (PATH) pour leur demander de commenter cet article, et n’a pas encore reçu de réponse.


Jeremy Loffredo est un journaliste basé à Washington D.C. Il a travaillé sur divers documentaires indépendants à New York et a participé à la production de plusieurs programmes d’information internationaux. Il prépare actuellement un documentaire sur le Green New Deal que vous pouvez soutenir à l’adresse https://www.gofundme.com/f/the-green-new-deal-explained-for-real

Michele Greenstein est une journaliste basée à Washington D.C. Ancienne correspondante de RT America, elle a produit une série sur la guerre technologique entre les États-Unis et la Chine et un documentaire de terrain sur le mouvement anti-gouvernemental de 2019 à Hong Kong.

Traduction Corinne Autey-Roussel pour Entelekheia
Illustration Miguel Á. Padriñán / Pixabay[*]
Note de la traduction: voir l’article de Cory Morningstar en français, 
Event 201, la simulation prophétique de pandémie à coronavirus du Forum économique mondial




DOSSIER 5G – Explications – Analyses et Tests

[Source : Silvano Trotta]

DOSSIER 5G – Explications – Analyses – Tests – Nicolas Negri

https://youtu.be/cCNpC_oeeIs

Prenez le temps de regarder cette vidéo car elle va vous expliquer, outre la 5G, mais aussi la 2G, 3G, 4G, Wifi, Bluetooth, l’électricité, les radars. Vous allez entendre le son des ondes, comment elles se propagent, et l’incident sur le vivant. Mon invité est un expert.

Sources :

La Chaîne de Nicolas :
https://www.youtube.com/channel/UCzRo…

https://livre.fnac.com/a2230573/Jean-…

https://www.antennesmobiles.fr/

https://www.cartoradio.fr/index.html#…

https://www.criirem.org/wp-content/up…

https://bioinitiative.org/table-of-co…

Scientifique  » ITZHAK BENTOV  » démontrant que pour deux donné la fréquences la plus basse se cale inévitablement sur la fréquences plus hautes (défaillance du coeur , cerveau etc)

https://www.fnac.com/ia1862263/Itzhak…




Réseaux 5G, un danger pour la santé publique ?

[Source : Le Stu-Dio]

Le Dr. Paul Héroux, PhD, est un scientifique qui a œuvré en génie électrique (15 ans) et dans les sciences de la santé (27 ans). Après avoir complété sa formation par des cours en Biologie et Médecine, il s’est intéressé aux problèmes de santé reliés aux champs électromagnétiques. Il est actuellement professeur associé à la Faculté de Médecine de McGill dans le programme de Santé au Travail, dont il est actuellement le directeur. Il enseigne la toxicologie, la protection auditive et les effets sur la santé de l’électromagnétisme aux étudiants en Santé professionnelle et de génie. Ses contributions de recherche incluent le design et la construction d’un dosimètre pour documenter l’exposition aux radiations électromagnétiques, une étude majeure sur la pathophysiologie des brûlures électriques, le développement d’une méthode diagnostique (Electrical Impedance Spectroscopy) basée sur les propriétés électriques des tissus biologiques, et un système de vision par ordinateur pour l’évaluation des effets de combinaisons de produits thérapeutiques et de l’environnement sur les cellules humaines en culture. Il a également développé un système d’exposition pour évaluer les impacts biologiques de divers protocoles de télécommunications (GSM, TDMA, etc.) sur les cellules vivantes à diverses fréquences micro-ondes.

https://youtu.be/T_Tyrr5MKx0



Lésions de l’ADN, cancers du cerveau : 434 médecins et 900 professionnels de la santé belges sonnent l’alerte sur la 5G

[Source : La Libre.be]

Une opinion signée par 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé (voir la liste des signataires au bas de l’article).

Face au déploiement massif et inconsidéré des technologies sans fil, nous, professionnels de la santé, demandons au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population et plus particulièrement les groupes les plus vulnérables dont font partie, notamment, les femmes enceintes et les enfants.

En pleine pandémie, alors que les citoyens sont confinés et que la société est mise à rude épreuve, Proximus a entamé ce 31 mars le déploiement de la future 5G dans 30 communes autour de Bruxelles.

Même s’il pourrait s’agir d’une simple coïncidence, ceci nous semble indécent à un moment où les Belges doivent lutter ensemble pour essayer de vaincre le drame humain qui nous préoccupe tous. Parallèlement, des organismes de défense des consommateurs se sont empressés de publier des articles pour affirmer la non-dangerosité de cette technologie.

L’exposition de la population aux rayonnements électromagnétiques de radiofréquences/micro-ondes (RF/MO) n’a cessé d’augmenter ces dernières décennies. Téléphones sans fil de maison (DECT), smartphones, tablettes en 3G puis 4G, Wi-Fi à la maison, au travail, dans les crèches, les écoles, les transports et les lieux publics…

Et maintenant, on assiste à l’arrivée de la 5G ou à tout le moins de la 4G+.

Pourtant, l’innocuité de cette exposition n’a jamais été démontrée. Au contraire, les preuves de sa nocivité s’accumulent. Depuis 2011 d’ailleurs, les rayonnements électromagnétiques de RF/MO des technologies sans fil sont considérés par l’OMS comme possiblement cancérigènes (classe 2B), en grande partie à cause des risques accrus de gliomes et de neurinomes acoustiques chez les utilisateurs de longue date de téléphones cellulaires.

Le Principe de Précaution n’a nullement été respecté lors du déploiement massif de ces technologies sans fil.

Or, lorsque des risques graves et possiblement irréversibles ont été identifiés, l’absence de certitude ne doit pas servir de prétexte à remettre à plus tard des mesures pour protéger l’environnement et la santé.

Nous avons revu la littérature scientifique indépendante et nous nous référons entre autres, à la Résolution 1815 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe. Nos conclusions rejoignent celles de spécialistes indépendants, et sont que le principe de précaution n’est actuellement pas appliqué et que la protection de la santé des citoyens, et des enfants en particulier, n’est pas assurée face à la surexposition à ces rayonnements électromagnétiques RF/MO.

Les normes censées protéger la population de l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO ne tiennent compte que de l’échauffement des tissus (effet thermique) lors d’une exposition de durée limitée.

Ces normes ne tiennent pas compte des expositions répétées et/ou prolongées, ni de tous les effets biologiques non thermiques qui surviennent à des valeurs nettement inférieures aux valeurs actuellement autorisées. Elles n’ont pas été conçues pour protéger les fœtus, les enfants, les adolescents, les personnes âgées…

Pour les enfants, les risques peuvent être accrus en raison des effets cumulatifs d’une exposition prolongée. Leurs cerveaux, organes et tissus en développement et immatures peuvent être plus sensibles à l’exposition. Et les rayonnements pénètrent proportionnellement plus en profondeur dans leurs organes que dans ceux des adultes puisque leurs dimensions sont plus petites.

Le déploiement généralisé des technologies sans fil comporte des risques sanitaires connus depuis plusieurs décennies.

De nombreuses études (études sur des cellules, des animaux, études épidémiologiques) confirment l’existence d’effets biologiques non thermiques induits par l’exposition à des rayonnements électromagnétiques RF/MO émis par les technologies sans fil. Ces effets biologiques sont, par exemple, des lésions de l’ADN (ruptures), des perturbations de la synthèse des protéines, des altérations des spermatozoïdes, des perturbations de la synthèse d’hormones.

On connait les conséquences des lésions de l’ADN, notamment leur lien avec la survenue de cancers. Les dernières études sur les rats menées en 2018 par deux instituts indépendants différents (NTP et Ramazzini) ont montré que l’exposition aux rayonnements électromagnétiques RF/MO augmente la survenue de tumeurs, notamment du cerveau. Suite à cela, en mars 2019, le Centre International de Recherche sur le Cancer a recommandé une réévaluation de la classification de ces rayonnements endéans les 4 ans.

En mai 2019, le Conseil Supérieur de la Santé belge reconnaît, dans un avis sur les rayonnements non-ionisants, l’existence des effets biologiques de ces rayonnements à des niveaux non-thermiques ; leur lien avec le développement de cancers (augmentations importantes et statistiquement significatives du risque de gliomes cérébraux et de neurinomes de l’acoustique homolatéraux); le lien entre l’exposition maternelle aux champs électromagnétiques des fréquences des téléphones mobiles et l’existence de troubles du comportement et du langage chez l’enfant.

Bien qu’il faille plus de 20 ans à certains cancers pour se développer, on constate déjà une augmentation des glioblastomes (cancers du cerveau) dans les populations de certains pays européens. Au vu de ces éléments, il deviendrait dès lors inconvenant, d’oser encore continuer à clamer que tout cela ne représente aucun danger pour la santé.

Et la 5G ?

L’installation de la 5G nécessitera un assouplissement important des normes déjà beaucoup trop élevées.

De plus, cette technologie, qui présente des spécificités techniques différentes des technologies de générations antérieures, n’a pas fait l’objet d’études sanitaires préliminaires. Certains scientifiques craignent une augmentation de survenue des cancers de la peau et des dommages oculaires liés à l’utilisation de fréquences porteuses plus élevées.

Par ailleurs, la multiplication du nombre d’antennes relais nécessaires à l’installation du réseau 5G et l’hyper-connectivité absolue dans laquelle elle précipitera la société imposera une augmentation généralisée et certaine des niveaux d’exposition des populations.

Cela équivaut à prévoir une situation où le risque sanitaire global serait augmenté par un facteur qu’il est impossible de déterminer à l’avance, avec des retombées sanitaires dont nous ne connaissons pas la nature et sur lesquelles nous n’aurions aucun contrôle.

Cela équivaudrait aussi à une infraction au code de Nuremberg puisqu’il s’agirait finalement d’une expérimentation sur l’humain sans son consentement, sans certitude que le bénéfice pour la société soit plus important que le risque encouru…

En tant que médecins, nous déplorons déjà de plus en plus de pathologies pouvant être en lien avec des composants environnementaux tels que cette exposition croissante de la population aux rayonnements électromagnétiques du sans-fil. Nous recevons aussi des témoignages et nous rencontrons de plus en plus de personnes souffrant de troubles physiques potentiellement liés à l’exposition aux rayonnements électromagnétiques comme des troubles du sommeil, des acouphènes, des palpitations, des maux de tête, des troubles de l’attention et de la concentration, de fortes douleurs…

Nous demandons, en référence à la Résolution 1815 de mai 2011 de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, ainsi que dans la lignée des dizaines d’appels de médecins et de scientifiques de par le monde, que les mandataires publics locaux, régionaux et fédéraux prennent leurs responsabilités et les mesures nécessaires afin d’obtenir :

  • L’application du Principe de Précaution en vue de protéger la population, surtout les plus jeunes, les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées,
  • Un moratoire sur le déploiement de la 5G en attendant des études d’impact sanitaire,
  • La sensibilisation des citoyens, en particulier des parents, des adolescents et des femmes enceintes à un usage raisonné et responsable des objets connectés sans fil,
  • L’établissement de normes d’exposition réellement protectrices basées sur les effets biologiques thermiques et non thermiques des champs et rayonnements électromagnétiques RF/MO,
  • La création d’un centre de vigilance ou d’un organisme de recensement de symptômes en lien avec cette exposition.

Par cette carte-blanche, nous rejoignons les milliers de médecins et de scientifiques, issus du monde entier, qui depuis l’année 2000 ont uni leurs voix dans des appels récurrents pour alerter les populations et les politiciens face aux dangers des technologies sans fil.

Aujourd’hui, nous sommes parmi les 434 médecins belges et 900 professionnels de la santé à signer l’ »Hippocrates Electrosmog Appeal » pour demander au gouvernement de faire appliquer le principe de précaution afin de protéger la population contre ces dangers. Vous trouverez sur notre site internet toutes les références relatives aux informations communiquées ci-dessus :
https://www.hippocrates-electrosmog-appeal.be/ 

L’actualité récente nous inquiète d’autant plus, mais gageons ensemble qu’elle puisse être l’occasion de nouvelles prises de conscience et d’avancées dans le domaine de la prévention, qui doit aujourd’hui et plus que jamais faire l’objet de toute notre attention.




5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom

[Source : Sott.net]

[Source originale :] Robert F. Kennedy – Children’s Health Defense

Robert F. Kennedy, Jr. a écrit la semaine dernière au sujet des contraventions de 1 000 dollars chacune que la police de Malibu a infligées aux surfeurs de Point Dume pour avoir profité de l’océan pendant le confinement. S’agissait-il simplement d’une décision policière outrancière dont nous rirons plus tard ? Ou quelqu’un d’autre a-t-il aussi le sentiment qu’il s’agit de la première vague d’un programme test visant à imposer conformité et obéissance en vue de mesures plus permanentes ? Les puissants États et les entreprises utilisent-ils la « crise » actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions en vue de promouvoir les vaccins et la surveillance ? Quelqu’un d’autre ressent-il l’obscurité étouffante de la tyrannie qui s’abat sur nous tous ? Et enfin, quelqu’un partage-t-il ma crainte que Bill Gates et son associé de longue date Tony Fauci dirige d’une manière ou d’une autre notre Meilleur des mondes ?

Surveillance selon Bill Gates

Imaginez un monde où le gouvernement n’a pas besoin de policiers pour appréhender ces surfers ou vous mettre une contravention lorsque vous violez la distanciation sociale avec votre petite amie. Supposez que les ordinateurs détectent votre sortie à la plage en suivant vos mouvements grâce à un flux d’informations provenant de votre téléphone portable, de votre voiture, de votre GPS, de la technologie de reconnaissance faciale intégrée à la surveillance en temps réel grâce aux satellites, aux caméras fixes et embarquées et aux puces implantées. Des procureurs ou des robots collés à leurs bureaux vous informeront de votre infraction par SMS tout en prélevant directement de votre salaire et de façon simultanée votre amende de 1 000 dollars en monnaie cryptographique. Bienvenue danslemondede Bill Gates. Il approche à grands pas.

Les stratégies de la 5G

Bill Gates a récemment annoncé son soutien financier d’un milliard de dollars en faveur d’un plan destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo. La société EarthNow lancera 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les « recoins » de la Terre, fournissant un retour vidéo instantané avec un délai d’une seconde seulement. Selon Wikipedia, la société s’attend à ce que « des gouvernements et des grandes entreprises » fassent partie de ses clients.

Les antennes 5G sont quant à elles déployées par le biais d’un vaste réseau terrestre d’antennes espions. Par l’intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, Gates a acheté 5,3 millions d’actions de Crown Castle dont la valeur totale atteint un milliard de dollars. Deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, Crown Castle possède des infrastructures 5G dans tous les secteurs majeurs du marché étatsunien. Il exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d’accès à un réseau de télécommunications mobiles qui constituent l’infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter les tours de téléphonie cellulaire 5G.

L’extraction de données

Big Telecom, Big Data et Bill Gates attirent les Étatsuniens dans un piège de tyrannie numérique avec des publicités télévisées à plusieurs millions de dollars qui prétendent que leur investissement de plusieurs milliards de dollars dans la 5G concerne des vitesses de téléchargement plus rapides pour les jeux vidéo et les films. Mais la 5G n’a presque rien à voir avec le fait d’améliorer votre vie ; il s’agit plutôt de contrôler votre vie, de commercialiser des produits et de récolter vos données à des fins d’intelligence artificielle.

L’« or noir » du XXIe siècle, ce sont les données. La 5G est l’infrastructure de l’« Internet des objets » de Gates un monde où des dizaines de milliards d’appareils « intelligents » comme les téléphones portables, les ordinateurs, les automobiles, les ouvre-portes de garage, les montres Apple, les couches pour bébés et même nos propres corps sont interconnectés sans fil pour permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles.

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Note du traducteur : Dans son livre, La Route du futur (publié en 1995 en anglais), Bill Gates se proposait globalement de « nous accompagner » et parlait de l'évolution de l'informatique personnelle :

« Nous surestimons toujours le changement qui se produira dans les deux prochaines années et nous sous-estimons celui qui se produira dans les dix prochaines. Ne vous laissez pas bercer par l’inaction. »

Lui, par contre, semblait déjà savoir où nous allions, puisque dans son livre on peut lire qu'il « détient les clefs de notre avenir », qu'à dix-neuf ans il a eu « une vision du futur » et qu'il s'est avéré « qu'il avait vu juste ».
Allez, encore un peu :

« Le réseau sera le nouveau terrain de jeux, le nouveau lieu de travail, la nouvelle salle de classe, de la société. Il remplacera le papier-monnaie […] Il sera notre album photo, notre journal, notre vidéocassette […] Bientôt, tout cela, et plus encore, tiendra dans un PC-portefeuille […] nous parlerons à notre télévision, à notre PC, aux extensions, à tous nos supports d’information […] les parents d’élèves pourront évaluer directement la qualité des cours et assurer un contrôle sur leur contenu […] ce qui nous apparaît aujourd’hui comme une sorte de Big Brother numérique pourrait devenir la norme si l’alternative est laissée à la merci des terroristes et des criminels. »

La plupart des technologies dont il parle ci-dessus nous étaient à l'époque (1995) inconnues. Aujourd'hui, nous comprenons tous exactement de quoi il parle, n'est-ce-pas ?

Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook et Telecom lancent les vaisseaux phares de la nouvelle ruée vers l’or, une flotte grouillante de 50 000 satellites et un réseau de 2 000 000 d’antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d’araignée émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie.

Gates récoltera, contrôlera, triera, caractérisera, analysera et vendra des millions de téraoctets d’informations personnelles provenant d’appareils intelligents données de santé privées, dossiers médicaux, nos habitudes d’achat, nos réponses biométriques et comportementales à la publicité, la capacité d’apprentissage de nos enfants, nos expressions faciales et les conversations entendues par Siri, Alexa et les micros ouverts de nos téléphones portables. Sa société et d’autres sociétés utiliseront ces analyses pour développer l’intelligence artificielle et faire de nous une machine de consommation prévisible et facile à manipuler.

La prochaine fois que vous achèterez un appareil « intelligent », souvenez-vous que l’appareil n’est pas le produit vous êtes le produit.

Surveillance gouvernementale et transhumanisme

Les entreprises utiliseront le système de surveillance 5G de Gates pour vendre leurs produits et augmenter la capacité de l’intelligence artificielle. Les gouvernements l’utiliseront pour faire passer le monde à une singularité totalitaire plus despotique encore que tout ce qu’a pu imaginer Orwell. Les titans de la Silicon Valley comme Elon Musk, Peter Thiel et l’ingénieur en chef de Google, Ray Kurzweil, parlent de « transhumanisme » avec délectation, un processus par lequel grâce au génie génétique et aux implants chirurgicaux les êtres humains seront transformés pour devenir mi-humains, mi-machines. Pour accélérer cette nouvelle réalité, Bill Gates investit massivement [« J’ai dépensé sans compter ! » – NdT]. Son ambition de marquer la totalité d’entre nous via des injections sous-cutanées de nano-puces électroniques enregistrant les données de vaccination semble n’être qu’un tremplin vers un Système de surveillance globale.

Commentaire : Et le hasard du calendrier faisant bien les choses, cette injection pourrait se produire en même temps que celle d'un vaccin obligatoire contre le Covid-19... Fin 2020 ? Début 2021 ? Ou d'autres événements viendront-ils bousculé leur Agenda ?

Récompenser la conformité

Microsoft a breveté une sinistre technologie qui utilise des capteurs implantés pour surveiller l’activité du corps et du cerveau. Elle récompensera les humains qui se conforment à la loi par des paiements en monnaie cryptée lorsqu’ils effectueront les activités qui leur sont assignées.

Le brevet WO |2020| 060606 a gagné en notoriété et a été surnommé « World Order 2020 666 ». Microsoft décrit ce dispositif comme un « Système de monnaie cryptée » et explique qu’il est « capable » d’utiliser les données d’activité du corps pour extraire des bitcoins en réponse à la conformité des tâches qui sont imparties au sujet.

Commentaire : Ce qui ressemble beaucoup  ce n'est que légèrement plus avancé  à ce qui est mis en place en Chine, et notamment dans la région autonome Ouigour du Xinjiang. Là-bas, et bientôt chez nous, le « crédit social » s'apparente à un jeu vidéo (il en est d'ailleurs issu) : vous perdez ou gagnez des points en fonction de votre comportement en tant que citoyen. Plus votre note est bonne, plus vous accès à des « facilités » ; au contraire, si votre note est mauvaise, vous perdez la possibilité d'accès à ces « facilités » ; vous devenez un paria. Ah ! oui. Ne pas oublier que dans « ce jeu », tout délateur gagne des points !

Les personnes qui acceptent d’installer les capteurs sans fil nuisibles de Microsoft recevront périodiquement depuis leur smartphone des instructions d’« obligation » de regarder une certaine publicité, d’écouter une chanson spécifique, de marcher dans une allée d’épicerie spécifique ou d’accepter l’injection d’un certain vaccin. Cette puce recueillera des données provenant de capteurs intégrés qui surveillent les ondes cérébrales, le flux sanguin et d’autres réactions du corps. Le système transférera la crypto-monnaie sur le compte du sujet après l’accomplissement de l’« obligation » qui lui aura été imposée.

Vue sous son aspect « positif », l’invention dystopique de Microsoft devrait être une source de revenus bienvenue pour les plus de 30 millions d’Américains mis au chômage par les quarantaines périodiques dus au Covid-19, par les voitures électroniques à conduite automatique de Musk, qui dépendent également du déploiement de la 5G, et par l’intelligence artificielle, y compris les robots. Bill Gates vendra-t-il les données que nous lui donnons gratuitement à des entreprises qui nous priveront de nos emplois ?

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Posséder des villes intelligentes

La maintenance et l’analyse des données collectées par une infrastructure 5G nécessitent des ordinateurs massifs logés dans de grands complexes de stockage de données. Pour garder le contrôle de cette infrastructure, Bill Gates est en train de construire sa propre « ville intelligente » en Arizona. Selon KPNX-TV, il a dépensé 80 millions de dollars pour un terrain de 10 000 hectares près de Phoenix dans le but d’en faire une « ville intelligente » où tout est interconnecté via un réseau sans fil, y compris des flottes de véhicules autonomes. Les 80 000 habitants de la ville de Gates travailleront principalement dans des centres de données.

Pour consolider son contrôle sur ce que les gens entendent, apprennent et pensent, Gates a acheté des actions de Liberty Global, l’une des plus grandes sociétés internationales de télévision et d’Internet, présente dans 30 pays et en pleine expansion. [Il en est l’un des principaux actionnaires – NdT]

Contrôle de la croissance de la population

Gates contrôlera même notre corps, notre chambre à coucher, notre armoire à pharmacie et même les cycles menstruels et d’ovulation des femmes. Il a investi environ 18 millions de dollars dans MicroCHIPS, une société qui, entre autres dispositifs à base de puces électroniques, développent des implants contraceptifs munies d’interrupteurs marche/arrêt sans fil et d’autres pour l’administration de médicaments qui permettent à un seul implant de stocker et d’administrer avec précision des centaines de doses thérapeutiques sur des mois ou des années. Pour délivrer les médicaments, les implants seront actionnés sans fil par le patient. Connaissant le zèle missionnaire de Gates pour le contrôle de la croissance de la population, certains usagers pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance.

Contrôler le climat par la géo-ingénierie

La conviction apparente de Gates selon laquelle Dieu lui a ordonné d’utiliser la technologie pour le salut de l’humanité est illustrée dans l’un de ses projets les plus ambitieux. Gates finance des scientifiques de Harvard pour qu’ils utilisent la géo-ingénierie afin de bloquer le Soleil pour inverser le « réchauffement de la planète » et agir sur le changement climatique.

Commentaire : Vu que nous nous dirigeons plutôt vers un refroidissement global, soit Gates le sait et utilise le prétexte-poule-aux-œufs-d'or du « réchauffement climatique » pour autre chose, soit il ne le sait pas, mais c'est douteux... Quant à l'hubris qui le caractérise, il se pourrait bien que le Cosmos toujours en recherche d'équilibre se rappelle à son  et notre  bon souvenir.
Voir L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans

Ce projet est un modèle à la fois d’orgueil, d’hypocrisie et de risque. L’expansion massive de l’utilisation du sans fil et le réseau sans fil de la 5G dont Gates est un acteur majeur est le facteur le plus important dans l’augmentation de la consommation d’énergie. L’expansion du réseau sans fil entre 2012-2015 équivaut à l’ajout de 4,9 millions de voitures sur les routes. La 5G devrait augmenter de manière exponentielle la consommation d’énergie de plus de 170 % d’ici 2026. Proposer d’utiliser le réseau « intelligent » sans fil pour lutter contre l’empreinte carbone grâce à la géo-technologie est une idée saugrenue, et non une solution au changement climatique.

Société sans cash

Pour consolider le contrôle mondial, Gates a déclaré la guerre à l’argent liquide, et les confinement dus au Covid-19 ont fourni aux gouvernements un prétexte pratique pour saborder l’argent liquide en tant que risque sanitaire. Gates et sa fondation sont le fer de lance de la transition mondiale d’une économie monétaire vers les transactions numériques. Gates et Microsoft sont parfaitement placés pour tirer profit d’un système de paiement numérique. En contrôlant les transactions numériques — et en supprimant l’argent liquide — Gates peut contrôler et surveiller tout le volet commercial des pays et des citoyens.

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Les institutions financières occidentales Mastercard, PayPal, Visa, eBay et Citi ont depuis longtemps fait pression pour un monde sans cash. La banque électronique permet aux banques et aux consortiums financiers de prélever des frais sur chaque transaction.

L’économie numérique permettra au gouvernement de surveiller et d’examinerchaque transaction, de geler les comptes numériques et de bloquer les « flux financiers » pour punir la désobéissance. Dans le cadre d’un partenariat public-privé avec le gouvernement, les milliardaires de la technologie contrôleront non seulement le pays, mais pourront également assurer la micro-gestion de la population mondiale. La monnaie numérisée est l’instrument ultime de contrôle social. Après tout, dans une société sans cash, la survie est impossible sans accès au système économique numérisé. Les pauvres — qui n’ont pas de compte bancaire — en souffriront de manière disproportionnée.

Le Borg trilliardaire

Si le confinement est un cataclysme pour l’économie mondiale, il constitue pour Bill Gates une opportunité. En achetant nos actifs dévalués à un centime de dollar, les 100 milliards de dollars de Gates pourraient faire de lui le premier trilliardaire du monde. Mais la quarantaine est aussi une opportunité d’élargir son pouvoir et sa domination. Sous la direction de Gates, Microsoft a été surnommé « The Borg » en raison de son appétit pour le contrôle total du marché. Aujourd’hui, Gates cherche à mettre toute l’humanité sous sa botte. Son culte de la technologie et sa mégalomanie menacent nos libertés, notre démocratie, notre biologie, notre planète, notre humanité et nos âmes.

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Le rayonnement micro-ondes utilisé pour la surveillance sans fil du monde entier n’est pas biologiquement tolérable, en particulier pour les enfants en plein développement. Des milliers d’études publiées, évaluées par des pairs, documentent abondamment les effets physiques profonds et néfastes de la technologie sans fil sur les humains, les animaux et les plantes. Les maladies et la dégradation de l’environnement dues à la technologie sans fil sont déjà très répandues. Le contrôle exercé par Big Telecom sur les agences de régulation et les médias mondiaux, et le contrôle financier de Gates sur l’Organisation mondiale de la santé ont permis à quelques milliardaires de propager le mensonge manifeste selon lequel le sans fil est sûr.

Les rêves technologiques de Gates ne sont pas viables d’un point de vue biologique. Sa tour de Babel est vouée à s’effondrer, avec un impact catastrophique pour les humains de moindre importance. Il est temps de démanteler la Tour avant qu’il ne soit trop tard.

Commentaire : Avec tout ça, on en viendrait à croire que Bill Gates est un sur-homme. Et pourtant, il ne l'est certainement pas. N'oublions pas que Gates est la face visible d'un consortium qui, lui, reste dans l'ombre, pendant que leur pantin prend la lumière...

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 mai 2020 :
Children’s Health Defense
Traduction : Sott.net




Les rayonnements électromagnétiques, le Wi-Fi, les cellulaires et la 5G… selon le Dr Paul Héroux

[Source : Christian Aubry]

Le Dr Paul Héroux présente les dangers de la 5G du point de vue de l’ingénierie chimique. Cette technologie de télécommunication sans fil est actuellement en instance de déploiement un peu partout dans le monde alors que la science démontre clairement ses effets nocifs sur l’environnement et les organismes naturels, incluant le génome humain. La révélation des mensonges des manufacturiers de tabac et de l’industrie pétrolière ne nous a donc rien appris, semble-t-il, puisque nos gouvernements s’apprêtent une fois de plus à mettre en péril l’avenir de l’humanité afin de laisser le champ libre à une poignée d’entreprises multinationales qui veulent nous imposer cette nouvelle dérive industrielle dont, au fond, nous n’avons nul besoin.


[Source : Sylvain Dubé]

Conférence sur les rayonnements électromagnétiques et la G5 présentée par Paul Héroux, Ph. D. Directeur du programme de santé au travail,
Département d’épidémiologie, biostatistiques et santé au travail,
Médecine, Université McGill, Montréal


[Source : La Maison du 21e siècle]

Conférences Foire Écosphère Montréal, 13 août 2016 :

Comment des champs électromagnétiques très faibles peuvent-ils influencer la biologie et la santé?, Paul Héroux Ph.D., Université McGill


[Source : Ouvrir les yeux Podcast]

Ouvrir Les Yeux #1 |

La 5G et Dr. Paul Héroux, Professeur de toxicologie et effets sur la santé de l’électromagnétisme à l’Université McGill

«Avec la 5G, nous allons devoir nous retrouver avec des antennes à chaque 5 maisons. nous On sait déjà de l’épidémiologie que si vous vivez à l’intérieur de 500m d’une antenne de cellulaire, votre santé est affectée. En d’autres termes, vous allez avoir plus de cancer, de symptômes neurologiques et on sait que ce n’est pas bon pour pour la santé.»

Dr. Paul Héroux

À propos de Dr. Paul Héroux

Le Dr. Paul Héroux est un scientifique possédant une expérience en physique (BSc, MSc et PhD), en génie (15 ans) et en sciences de la santé (30 ans). Il a commencé sa carrière de chercheur à l’Institut de Recherche d’Hydro-Québec à Varennes, Québec, un laboratoire d’électrotechnique de renommée internationale. Après avoir complété sa formation par des cours de biologie et de médecine, il s’est intéressé à la santé publique et a été nommé professeur agrégé à la Faculté de médecine de l’Université McGill, où il est actuellement directeur du programme de santé au travail, et également scientifique médical au Département de chirurgie. du Centre universitaire de santé McGill.

« Over 230 scientists from more than 40 countries have expressed their “serious concerns” regarding the ubiquitous and increasing exposure to EMF generated by electric and wireless devices already before the additional 5G roll-out. They refer to the fact that ”numerous recent scientific publications have shown that EMF affects living organisms at levels well below most international and national guidelines”. Effects include increased cancer risk, cellular stress, increase in harmful free radicals, genetic damages, structural and functional changes of the reproductive system, learning and memory deficits, neurological disorders, and negative impacts on general well-being in humans. Damage goes well beyond the human race, as there is growing evidence of harmful effects to both plants and animals. »

Scientist Appeal for 5G Moratorium


Pour écouter la version audio:
  1. sur la plateforme Balados d’Apple: https://podcasts.apple.com/ca/podcast…
  2. sur Spotify: https://open.spotify.com/episode/16Rk…

Études du Dr. Paul Héroux :
  1. Étude 1-Extra-low-frequency magnetic fields alter cancer cells through metabolic restriction https://www.tandfonline.com/doi/full/…
  2. Étude 2-Magnetic Fields Trump Oxygen in Controlling the Death of Erythro-Leukemia Cells https://www.mdpi.com/2076-3417/9/24/5…
Études référées et autres documents référés par Dr. Paul Héroux :
  1. Lettre ouverte destinée à l’Union Européenne https://www.jrseco.com/wp-content/upl…
  2. Études du National Toxicology Program-Cell Phone Radio Frequency Radiation https://ntp.niehs.nih.gov/whatwestudy…
  3. Étude de l’institut Ramazzini https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2…

[Voir aussi : dossier 5G et ondes pulsées]




L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie

[Image tirée de : http://www.astronoo.com/fr/articles/spectre-electromagnetique.html]

[Source de l’article : La Maison du 21e siècle]

Voici
une lecture pour les récalcitrants qui croient encore que seuls les
effets thermiques des ondes peuvent nuire à la santé. Il s’agit d’un
livre écrit par Arthur Firstenberg qui nous plonge dans l’histoire de
l’électricité et de la Vie depuis le 18ème siècle. Ce livre
nous dévoile que les scientifiques connaissent les effets biologiques
depuis plus de deux siècles! L’ingénieur en mécanique (spécialisé en
aéronautique) Sosthène Berger a réalisé un résumé fort utile de ce livre de 508 pages dont une bibliographie de 134 pages.

L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie par Arthur Firstenberg

(Titre d’origine en anglais:  The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life)


L’arc-en-ciel invisible – Résumé informatif

Introduction

Concernant l’auteur

Arthur Firstenberg
est un scientifique et journaliste à l’avant-garde de la démolition du
tabou concernant l’innocuité des champs électromagnétique sur le Vivant.
Il est diplômé en mathématique de l’Université de Cornell et a
fréquenté l’Université de Californie, Irvine School of Medicine, de 1978
à 1982, études qu’il a dû interrompre à cause de séquelles subséquentes
à une dose excessive de rayons-X. Depuis, il s’est consacré à la
recherche, à la consultation, comme auteur et comme orateur dans le
domaine des effets environnementaux des radiations électromagnétiques.

Concernant l’ouvrage

Ce
livre remarquablement documenté et bien référencé est une pierre
angulaire dans le sens qu’il retrace le déploiement de
l’électricité dans notre civilisation, sous le jour de son interaction
avec le matériel Vivant, depuis les tout débuts de sa découverte dans
les années 1750, jusqu’à nos jours comprenant même des projections dans
le futur. À noter que le titre se réfère à l’ensemble du spectre
électromagnétique comprenant les couleurs de l’arc-en-ciel, mais
également toutes les fréquences invisibles, comme le sont
les radiofréquence ou les champs générés autour des fils conducteurs.

1ère partie : l’électricité capturée dans une bouteille

En
1746, les premières découvertes liées à l’électricité virent le jour en
Europe. L’expérience de Leyde consistait à mettre en évidence le fluide
électrique grâce au frottement de la main sur un globe de verre mis en
rotation rapide. L’électricité statique produite faisait grande
impression dans les écoles, les foires et chez les privés qui
avaient les moyens financiers d’acquérir ce dispositif, en produisant
qui des arcs électriques, qui des électrocutions passagères. Le
phénomène de mode était tel qu’il était mal vu de penser que cette
électricité pouvait être dangereuse, même que les
électrocutions produisait céphalées, saignements de nez, fatigues chez
certains expérimentateurs ainsi que chez les animaux utilisés dans les
tests. La société était prise d’électromanie et les plus fervents à se
faire électrocuter en bonne compagnie, entre deux coupes de champagne
commencèrent à percevoir des symptômes néfastes. Malgré tout,
les établissements médicaux s’équipèrent de la fiole de Leyde (ancêtre
du condensateur) à des fins d’expérimentations médicales pour les
avortements ou d’autres applications. Ainsi naquit un tout nouveau
domaine de connaissances concernant les effets biologiques de
l’électricité sur les gens, les plantes, les animaux, connaissances qui
étaient alors bien plus vastes que celles de nos médecins contemporains
qui voient au quotidien des patients atteints des effets de
l’électricité sans même les reconnaître et qui pour la plupart ignorent
jusqu’à l’existence de ces connaissances.

Le sourd entend et le boiteux marche

Notant
les effets – rarement positifs – plus souvent négatifs de l’application
de tensions électriques aux organismes vivants, les chercheurs et
médecins en ont conclu que les organismes vivants fonctionnent en
conjonction avec l’électricité. Certaines guérisons ont été obtenues en
utilisant l’électricité, comme par exemple en 1851, le
neurologiste Duchenne qui traita la surdité de quelques dizaines de
patients au moyen d’impulsions électriques appliquées localement.
D’autres mises en évidence de la stimulation des systèmes nerveux,
cardiaque, cardiovasculaire, gustatif, sudatoire et autres,
par l’électricité produite dans des couples galvaniques furent
expérimentées, notamment par Volta en Italie, parmi d’autres chercheurs
en occident. Il fut constaté que le nombre des effets curatifs était
nettement moindre que les effets délétères dont on peut lire la liste
et qui comprennent les symptômes de l’électro-sensibilité (ES ) connus
aujourd’hui, comme céphalées, vertiges, nausées, confusion mentale,
fatigue, dépression, insomnie, etc.

Sensibilité électrique

Le
botaniste français Thomas-François Dalibard – qui a mené des
expériences électriques sur le Vivant – confie à Benjamin Franklin dans
une lettre datée de 1762 qu’il ne peut plus aller de l’avant pour cause
d’intolérance électrique de son organisme. C’est un des premiers
électro-hypersensibles (EHS) déclaré formellement. A en lire le
contenu, ce botaniste devait être fortement affecté. D’autres
professeurs et chercheurs font la même et triste expérience et doivent
cesser leurs travaux. Même le si renommé Benjamin Franklin fut atteint
d’une maladie neurologique chronique durant ses recherches sur
l’électricité, dès 1753, et les symptômes font largement penser à
de l’électro-hypersensibilité. Tant et si bien qu’à la fin du 18 ème
siècle, il fut de renommée populaire que l’électricité pouvait rendre
malade, selon le sexe, la morphologie et la condition physique des
individus. De même, on avait observé que certains individus réagissaient
fortement aux changements de météo, souvent corrélés à des
modifications électriques de l’atmosphère. Certains de ces sujets sont
connus jusqu’à nos jours, comme Christophe Colomb, Dante, Charles
Darwin, Benjamin Franklin, Goethe, Victor Hugo, Leonardo DaVinci, Martin
Luther, Michel-Ange, Mozart, Napoléon, Rousseau, et Voltaire.

La route délaissée

Durant
les années 1790, la science se trouva face à une crise d’identité quant
à l’interprétation et l’unification des quatre différents fluides que
sont l’électricité, la lumière, le magnétisme et la chaleur. Pour ce qui
est de l’électricité, on avait d’un côté la perception selon Luigi
Galvani qui considérait que l’électricité faisait partie intégrante
du Vivant et de l’autre Volta qui pensait que l’électricité n’était
qu’un effet « secondaire » des réactions chimiques internes au vivant.
Volta, inventeur de la pile électrique fort utile et pouvant
potentiellement être la source de retombées pécuniaires, eut gain de
cause contre la vision plus globale de l’interaction entre électricité
et vivant.

Maladie électrique chronique

Dès
la fin du 19 ème siècle, le paysage des villes fut métamorphosé par
l’installation de lignes de télégraphe partout dans les pays
industrialisés. Cette technologie utilisait des tensions de l’ordre de
80 volts sur un seul conducteur, le retour du signal se faisant par
la Terre. Alors naissent les premiers courants vagabonds auxquels le
Vivant fut exposé. On vit alors apparaître des maladies de civilisation
telle que la neurasthénie dont furent affectés Frank Lloyd Wright et
Theodore Roosevelt parmi d’autre personnalités. Notons au passage que la
neurasthénie s’apparente de très près à l’électro-hypersensibilité,
terme plus moderne pour désigner la même sensibilité à l’électricité.
Les télégraphistes employés à manipuler le courant électrique envoyé
dans les lignes, donc exposés à des champs électromagnétiques importants
furent frappés du mal télégraphique pour la moitié d’entre-eux environ.
Encore une fois, les symptômes étaient les mêmes que ceux de l’EHS.
Plus tard, vers 1915, ce furent les téléphonistes qui seront confrontés
aux même symptômes, car exposés durant de longues heures aux
champs électromagnétiques des communications, devant leur pupitre. En
1989, il fut noté qu’a Winnipeg, 47 % des opérateurs téléphoniques
étaient atteints des mêmes symptômes. 

Toutefois, en 1894, un
célèbre psychiatre viennois écrivit un article dont l’influence
fut grandement néfaste à tous les malheureux qui souffraient du mal
télégraphique, de neurasthénie, du syndrome des micro-ondes ou d’EHS. Au
lieu de voir la cause extérieure de la pollution électromagnétique, il
attribue ces symptômes à des pensées désordonnées ou à des émotions mal
contrôlées. Ainsi, on médicalise des millions de citoyens affectés par
le smog électronique au lieu de réduire leur exposition à ce polluant.
Sigmund Freud renomma la neurasthénie – dont on connaissait bien
l’origine électrique – en névrose d’angoisse ou attaque d’anxiété ou
encore attaque de panique. Ainsi, le déploiement sans précaution de
l’électrification put continuer sans entrave. A noter qu’en Russie, la
neurasthénie est listée comme maladie environnementale car la
redéfinition abusive de Freud fut refusée.

Le comportement des plantes

Sir
Jagadis Chunder Bose ainsi que d’autres chercheurs menèrent de
nombreuses expérimentations électriques sur les plantes et d’autres
organismes vivants, avec des résultat démontrant de nets effets. Il
découvrit que les nerfs végétaux ou animaux ont des comportements
variables et que la résistivité de ceux-ci peut fortement varier
en fonction du courant appliqué et de sa polarité. Aussi, il nota que
l’intensité de courant nécessaire à modifier la conductivité des nerfs,
respectivement la tension appliquées est infinitésimale, de l’ordre de
0,3 microampères (0,3*10-6 ). Il se trouve que ce courant
est nettement inférieur au courant induit par une conversation
téléphonique au moyen d’un cellulaire. Bose découvrit également que le
seuil de bio-activité d’un courant est de un femtoampère (1*10-15 )
! Comme ce chercheur étaient également versé dans les transmissions par
radiofréquences, il essaya de soumettre une plante à un signal radio
de 30 MHz à 200 mètres de distance et constata que la plante retarda sa
croissance durant le temps de l’émission. De même il démontra que la
circulation de la sève dans la plante était ralentie lorsque celle-ci
était irradiée par le même signal radio.

Maladie électrique aiguë

Dans
les années 1880, Londres fut alimentée en courant continu, mais
certains physiciens avaient découvert que la distribution du courant
alternatif générait moins de pertes ohmiques dans les fils. Il s’en
suivit une bataille des courants malgré que de nombreux scientifiques
dénonçaient les effets plus dangereux du courant alternatif,
dont Edison. D’ailleurs, ironiquement, c’est bel et bien du courant
alternatif qui est utilisé dans la chaise électrique, justement parce
qu’il est plus nocif. Tout le monde sait que le courant électrique de
secteur est… alternatif ! 

En 1889, l’électrification à grand
échelle débuta aux États-Unis et peu après en Europe. Cette même année,
comme par hasard, les médecins furent pris d’assaut par des malades de
la grippe qui jusque là n’apparaissait que rarement. Les symptômes
des victimes étaient bien plus neurologiques, du style neurasthénie, à
l’exclusion de troubles respiratoires. Cette pandémie dura quatre ans et
fit au moins un million de morts. 

En 2001, l’astronome canadien
Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies
grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur
un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines
épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste
quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de
proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à
la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus
ou autres procédés se révélèrent infructueuses. 

Depuis 1933 à nos
jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale
démontrant que la grippe se propage par contact normal entre
personnes. Toutes les tentatives ont échoué.

Le mystère de l’île de Wight

En
1904, les abeilles commencèrent à mourir sur l’île de Wight, suite à
l’installation d’émetteurs d’ondes radio par Marconi. Ces émetteurs
travaillent sur des fréquences proches du mégahertz. 

De l’autre
côté de la Manche, Jacques-Arsène d’Arsonval démontra que les
signaux électromagnétiques « pointus et crochus » sont beaucoup plus
toxiques que les signaux sinusoïdaux. 

En fait, Marconi, après un
an et demi d’expérimentation avec des émetteurs radio, en pleine santé à
22 ans, a commencé à développer des fièvres. Ces accès ne
disparurent pas jusqu’à la fin de sa vie. En 1904, alors qu’il était
occupé à réaliser un émetteur puissant pour des communications
transatlantiques, ces fièvres étaient si intenses qu’on a pensé à la
malaria. En 1905, il se maria à Beatrice O’Brien et après leur lune de
miel, ils s’installèrent sur l’île, à proximité d’un émetteur. Aussitôt
que Béatrice fut installée, elle nota des acouphènes. Après trois mois,
elle tomba malade d’une mauvaise jaunisse. Elle dut rentrer à Londres
pour donner naissance à un bébé qui ne vécut que quelques semaines et
mourut de « causes inconnues ». Dans le même laps de temps,
Marconi passa plusieurs mois dans la fièvre et le délire. Entre 1918 et
1921, il souffrit de dépression suicidaire, alors qu’il travaillait sur
un émetteur à ondes courtes. En 1927, alors qu’il était en voyage de
noce de son deuxième mariage, il s’effondra de douleurs thoraciques et
fut diagnostiqué de graves troubles cardiaques. Entre 1934 et 1937
alors qu’il développait la technologie micro-ondes, il subit neuf crises
cardiaques, la dernière le tua à l’age de 63 ans. 

Sur la même
île, à Osborn House, la reine Victoria fut atteinte
d’hémorragies cérébrales et mourut le soir du 22 janvier 1901, juste au
moment ou Marconi mit en marche un nouvel émetteur à moins de vingt
kilomètres de là. 

En 1901 il n’y avait « que » deux émetteurs
alors qu’en 1904, il y en avait quatre, faisant de ce cette île
l’endroit le plus irradié de la planète, ne laissant plus aucune
place aux abeilles pour survivre. En 1906, une enquête fut menée pour
constater que 90 % des abeilles avaient bel et bien disparu sans raison
apparente… De nouvelles colonies furent apportés sur l’île mais celle-ci
succombèrent également en une semaine. 

Cette épidémie se
propagea à travers l’Angleterre puis à travers le monde occidental pour
se stabiliser peu à peu, jusqu’à ce que les armées s’équipent de divers
émetteurs radio de haute puissance, vers la fin du premier conflit
mondial, en 1918, provoquant comme on l’a vu ci-dessus, la pandémie de
grippe espagnole qui en réalité débuta aux États-Unis, dans la Naval
Radio School de Cambridge, Massachusetts avec 400 cas. Cette épidémie se
propagea rapidement à 1 127 militaires au Camp Funston (Kansas), où
on avait introduit les connexions sans fil. Ce qui intrigua les médecins
fut que 15 % de la population civile était affectée de saignements de
nez alors que 40 % des marins de la US Navy en souffraient. D’autres
saignements apparurent également et un tiers des morts l’étaient par
hémorragie interne des poumons ou du cerveau. En fait, c’est la
composition du sang qui était modifiée, mesurée par le temps de
coagulation plus que doublé. Ces indications jurent avec les effets des
virus respiratoires de la grippe, mais sont totalement cohérents avec
les effets néfastes de l’électricité. Une autre incohérence était que
les victimes étaient pour deux tiers des jeunes en bonne santé. Encore
un symptôme atypique de la grippe, le pouls descendait à des valeurs de
36 à 48, alors que ce genre de situation sont courantes lorsqu’on est
exposés aux champs électromagnétiques. Aussi, certains purent être
soignés par des administrations massives de calcium. 

Le Dr.
Militaire George A. Soper, témoigna que le virus se propageait plus vite
que la vitesse de déplacement des personnes. Différentes expériences
furent menées pour contaminer des sujets de proche en proche, par
contact direct, ou inoculation de mucus ou de sang, sans pouvoir
démontrer la contamination. 

On observe que chaque nouvelle
pandémie de grippe correspond à une nouvelle avancée technologie
électrique, comme la grippe asiatique de 1957-58 subséquente
à l’installation d’un puissant système de surveillance par radars, la
grippe de Hong-Kong dès juillet 1968, subséquente à la mise en service
de 28 satellites militaires de surveillance spatiale à la hauteur des
ceintures de Van Allen nous protégeant des rayonnements cosmique.

L’enveloppe électrique de la Terre

La
Terre en rotation avec son centre constitué en majorité de fer,
protégée par, en premier lieu la ionosphère, puis la plasma-sphère –
délimitée par les ceintures de radiation de Van Allen entre 1 000 et 55
000 km d’altitude –, et sa traîne qu’est la magnétosphère, exposée aux
vents solaires en provenance de notre astre du jour, constitue une sorte
de dynamo, un système électrique complexe. Les échanges électriques
entre la croûte terrestre et l’atmosphère, voire la ionosphère sont
permanents et constants. Ils sont en équilibre précaire et une sorte de «
respiration » électrique, de tout le système a permis à la vie de se
développer sur notre planète chargée de ions négatif, par opposition à
la ionosphère chargée positivement. On note un champ électrique vertical
moyen de l’ordre de 130 volts par mètres, avec des valeurs
pouvant s’élever à 4 000 volts par mètre dans les orages par exemple. En
1953, on a aussi découvert un des paramètres primordiaux de cette
oscillation électrique de notre environnement, avec les fréquences de
Schumann (Winfried) respirant à 7,83 hertz, avec des harmoniques à 14,
20, 26, 32 Hz, appelées Très Basses Fréquences (TBF) ou Very Low
Frequencies (VLF).

Pas étonnant que les organismes vivant dans cet
environnement se soient imprégnés de ces valeurs physiques et que par
exemple nos rythmes cérébraux se situent dans ces plages de fréquences,
comme le rythme alpha entre 8 et 13 Hz. Si nous percevons les fréquences
visible – du bleu au rouge –, du spectre électromagnétique, certains
animaux sont en mesure de voir d’autres fréquences électromagnétiques,
comme les abeilles qui voient les ultra-violets ou ces salamandres ou
poissons-chat qui peuvent voir les basses fréquences électriques, alors
que les serpents voient les infra-rouges. 

Des expériences en
laboratoire sur les hamsters, par exemple, démontrèrent que la réduction
de la température et de la durée du jour ne suffisait pas à les mettre
en hibernation. De même, des hamsters élevés en cage de Faraday
refusaient d’hiberner même que les paramètres de lumière et de
température étaient hivernaux, jusqu’au moment où la protection de
Faraday fut supprimée. D’autres expériences furent menées, par exemple
en 1967, à l’institut Max Plank, par le physiologiste Rütger Wever,
en utilisant deux chambres enterrées, sans fenêtre ni contact extérieur,
l’une blindée électromagnétiquement, l’autre non. Il fut démontré que
dans la chambre blindée, les rythmes circadiens des sujets volontaires
se désynchronisaient et pouvaient varier entre 12 et 65 heures, avec des
troubles métabolique, alors que les sujets de la chambre immergée dans
les champs terrestres gardaient un rythme cohérent proche de 24
heures et que leur métabolisme continuait de fonctionner plus
normalement. On a démontré scientifiquement que le Vivant a besoin
d’être baigné dans le système électromagnétique de notre environnement
naturel pour bien fonctionner. 

D’ailleurs, l’acupuncture,
médecine traditionnelle millénaire chinoise utilise nos propriétés
électriques en modifiant les connexions des méridiens. Il fut
démontré récemment, dès les années 1950, que ces méridiens correspondent
bel et bien à des circuits électriques et que le Qi chinois correspond à
la notion d’électricité. Ces méridiens ont double fonctions, d’une part
ils transportent les informations et l’énergie interne à l’organisme
d’un organe à l’autre, mais encore, ils servent d’antennes pour capter
les flux électromagnétiques environnementaux. 

Au début des années
1970, les physiciens atmosphériques découvrirent que le
champ magnétique terrestre était passablement dérangé par l’activité
électrique humaine. En effet, en injectant un signal dans l’espace et en
captant son écho, on s’aperçut que le signal initial avait été modifié
par des multiples des 60 Hz du réseau électrique utilisé en Amérique du
Nord. 

Ceci n’empêcha pas de lancer le projet HAARP pour délibérément modifier les propriétés électromagnétiques de notre planète. 

De
même, les ceinture de Van Allen nous protégeant des rayons cosmiques,
ont été déjà altérées par notre activité électrique et il se pourrait
qu’initialement, ces ceintures double n’aient été qu’une ceinture simple
qui, face à l’émission de charges électriques humaines dans l’espace se
soient détériorées en son milieu. 

Des observations satellites
montrent que les rayonnements produits par les lignes de haute tensions
occultent souvent les rayonnements naturels des éclairs. 

Dans ce
contexte, il est logique de penser que les pandémies de grippes connues
ces dernière décennies soient liées à l’activité électrique humaine.

Porphyrines et la base de la Vie

Dans
toute transformation d’énergie dans le domaine biologique, les
porphyrines [pigments formés de quatre molécules de pyrrole] sont
impliquées. Si nos nerfs peuvent fournir leur office, c’est grâce entre
autre aux porphyrines qui sont impliquées dans le fonctionnement de nos
cellules. Ce sont des molécules spéciales qui sont l’interface
entre l’oxygène et la vie. Ces molécules sont hautement réactives et
elles interagissent avec les métaux toxiques ou les éléments
synthétiques issus du pétrole, les champs électromagnétiques, qui s’ils
sont en excès provoquent la porphyra, plus une
sensibilité environnementale qu’une maladie. 

Les recherches du Dr
William E. Morton démontrèrent que les personnes atteintes
de sensibilité chimique multiples (MCS) sont également à 90% déficientes
en l’une ou l’autre formes d’enzymes porphyriques, de même que pour les
personnes électro-hypersensible, ce qui signifie que les deux formes de
sensibilités ne sont que des manifestations différentes d’une même
cause. La porphyrie découverte en 1891 affecte environ 10% de la
population moderne et son apparition est concomitante avec
l’électrification générale de l’Occident dès 1889. 

Les
porphyrines sont centrales dans le smog électronique non pas seulement à
cause de l’EHS, la MCS ou la porphyrie, mais également en ce qui
concerne les maladies cardiovasculaires, le cancer, le diabète, du fait
qu’elles sont impliquées dans une multitude de processus énergétiques
biologiques. 

Le biologiste Allan Frey ainsi que Wlodzimierz
Sedlak démontrèrent dans les années 1960 que nos organismes ont bien une
composante bio-électronique et que certaines de nos cellules se
comportent tantôt comme des conducteurs, ou des capacitances, ou
des semi-conducteurs (transistors) comme les composant que nous trouvons
dans nos appareillages électroniques. Ainsi, il en va de la myéline
–gaine de nos nerfs–, qui contient de la porphyrine intriquée avec du
zinc. Si des poisons environnementaux comme les produits chimiques ou
métaux toxiques affectent cet équilibre, la gaine est altérée, ce qui
change l’excitabilité des nerfs qu’elle entoure. Le système nerveux
entier devient alors hyper-réactif au stimulus de toutes natures, comme
les champs électromagnétiques. Le système entre dans un état
d’instabilité divergente, l’effet devenant la cause. 

Contrairement
à la conception que les mitochondries sont les éléments de nos
cellules produisant l’énergie, l’idée que la gaine de myéline est une
mitochondrie géante voit le jour. 

La connexion entre porphyrie et
zinc a été découverte dans les années 1950 par Henry Peters à la
Medical Schoold du Wisconsin. Les patients souffrant de porphyrie et
de symptômes neurologiques excrétaient beaucoup de zinc dans les urine,
ainsi il lui vint à l’idée qu’une chélation du zinc pourrait améliorer
leur état. Il constata une amélioration, malgré l’idée répandue qu’une
carence en zinc est liée aux troubles cités. De même, certaines
expériences montrent que la chélation du zinc améliore la condition
d’Alzheimer. Une équipe médicale australienne démontra par autopsie que
les cerveaux de sujets atteints d’Alzheimer contenaient deux fois plus
de zinc que ceux de patient sains.

2e partie : au présent

Cœur irritable

En
1980, les arrêts cardiaques chez les jeunes athlètes étaient rares,
seulement neuf cas sur l’année. Á partir de cette date, les cas
augmentèrent constamment de 10% par année jusqu’en 1996 ou soudainement
ce taux doubla pour atteindre 64 cas puis, 66 l’année suivante et 76 la
dernière année de l’étude. La communauté médicale américaine n’avait pas
d’explication, tandis qu’en Europe, en 2002, un appel des
médecins environnementaux allemands demandait un moratoire sur les
antennes-relais car leurs ondes provoquaient des troubles
cardiovasculaires. C’était l’Appel de Fribourg

Le Dr Samuel Milham,
épidémiologiste du département de la santé américain, démontra dans ses
travaux que les maladies cardiovasculaires, le diabète et le
cancer sont largement, si pas entièrement provoqués par l’électricité. 

Paradoxalement,
les études sur le cholestérol datant du début du vingtième siècle
ne démontraient pas un risque plus élevé de maladies cardiovasculaires
corrélées au taux de cholestérol, contrairement à ce qui est communément
admis de nos jours. Une étude sur les animaux du zoo de Philadelphie
montre que de 1916 à 1964, le taux de cholestérol chez les mammifères et
les oiseaux augmenta d’un facteur 10 à 20, alors que leur régime
alimentaire était resté strictement le même ! Le paramètre qui
avait drastiquement changé était bien l’augmentation des
radiofréquences. 

Durant la seconde guerre mondiale, un certain
nombre de soldats se plaignit de symptômes similaires à la neurasthénie.
D’abord, on pensa selon la doctrine de Freud, qu’ils étaient affectés
de trouble anxieux, puis, une étude sur 144 cas fut menée par le Dr
Mandel Cohen. Cette étude révéla qu’effectivement, ces soldats
étaient physiologiquement moins résistants, avec un cœur irritable. Ils
souffraient d’une difficulté d’assimilation de l’oxygène et devaient
respirer deux fois plus que leurs collègues en meilleure santé pour
capter suffisamment d’oxygène. Il s’avéra que leurs
mitochondries étaient inefficientes. Au bout du compte, il fut démontré
que ces soldats étaient hypersensibles au sens général, mais en
particulier à l’électricité. 

En Union Soviétique, dès les années
1950, il fut aussi observé que les radiofréquences modifiaient les
électrocardiogrammes des personnes exposées, par la modification de
l’efficacité des mitochondries. (Lire l’article de Firstenberg sur l’histoire de l’électrohypersensibilité.)

Les diagrammes de Milham des statistiques
du nombre de morts par maladies cardiaques en fonction du degré
d’électrification des états américains en 1931 et 1940 sont en
outre également très explicites, ne laissant aucun doute quant à la
toxicité des champs électromagnétiques sur la cœur, innocentant le
cholestérol et l’alimentation jugée trop riche en graisses.

La transformation du diabète

Thomas
Edison, impliqué dans les découvertes liées à la technologie électrique
et donc baignait dans les champs électromagnétiques plus que le reste
de ses concitoyens de l’époque fut diagnostiqué d’une maladie fort rare
en 1882, le diabète. Un autre chercheur, Alexander Graham Bell, actif
dans le domaine de la télégraphie et inventeur du téléphone, était connu
pour ses plaintes incessantes concernant ses symptômes de
neurasthénie, appelés aujourd’hui EHS. En 1915, il fut diagnostiqué de
diabète également. 

En 1876, l’ouvrage Diseases of Modern Life
par Ward Richardson décrit le diabète comme une maladie moderne rare,
causée par l’épuisement aux travaux mentaux ou par choc du système
nerveux. 

Naturellement, l’apport excessif en sucre toxique et
addictif dans notre alimentation moderne a la part belle pour expliquer
qu’aujourd’hui, le diabète, incluant le pré-diabète, touche plus de la
moitié des américains. Mais l’explication est simpliste. 

Elliot Joslin
a montré qu’entre 1900 et 1917, l’apport en sucre avait augmenté de 17%
alors que la mortalité par diabète avait doublé. Plus tard, en 1987,
une étude sur les Amérindiens fut menée, démontrant des proportions
radicalement différentes de mort par diabète selon les territoires,
variant de 7 pour mille dans le nord-ouest à 380 pour mille en Arizona !
Durant ces années, ni le mode de vie ni le régime alimentaire
ne pouvaient justifier un pareil écart. Par contre un facteur
environnemental peut expliquer une telle différence. En effet,
l’électrification des réserves d’indiens fut inégalement menée et celles
du nord-ouest n’ont été électrifiées que bien plus tardivement.
Par contre, la réserve de l’Arizona est située aux abords immédiat de
Phoenix. Par ailleurs cette communauté indienne avait sa propre
installation électrique et son entreprise de télécommunication. 

Un
autre exemple étant la population brésilienne, gros producteur de sucre
depuis des siècles qui ne connaissait pas le diabète en 1870 alors
qu’il apparaissait déjà comme maladie de civilisation en Amérique du
Nord. Aujourd’hui encore, les Brésiliens consomment 70 kg de sucre
raffiné par an et par personnes, plus que les Nord-Américains, et malgré
cela, ils ont passé deux fois et demi moins de cas de diabète qu’aux
USA. 

Au Bhoutan, le diabète était pratiquement inexistant
jusqu’en 2002, après que l’électrification du pays ait commencé. En
2004, 634 nouveaux cas de diabète furent annoncés, en 2005 944, en 2006
1 470, en 2007 2 540 avec 15 morts. En 2012, on dénombra 91 morts et le
diabète était la huitième cause de mortalité dans le pays, malgré que le
régime alimentaire n’avait pas changé ! 

Le smog électronique
agissant sur les mitochondries, comme nous l’avons vu au chapitre
précédent, empêche une bonne utilisation du sucre absorbé, à savoir
la combustion du sucre. Celui-ci, ne pouvant pas être converti en
énergie mécanique est stocké sous forme de graisse par l’organisme. 

Les diagrammes des statistiques du nombre de morts par diabète
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur l’apparition du
diabète à grande échelle, innocentant la consommation de sucre, dans une
certaine mesure. 

En 1997, on note aux USA, une augmentation des
cas de diabète de 31 %, sur une année. Elle correspond exactement à
l’introduction massive des téléphones cellulaires dans ce pays. 

Cancer et le déficit de Vie

En 2005, la Cour suprême d’Italie condamna le Cardinal Roberto Tucci,
président sortant de Radio Vatican d’avoir créé par négligence, une
nuisance publique en polluant l’environnement de radiofréquences. En
effet, dans la période de 1997 à 2003, les enfants demeurant dans un
rayon de 12 kilomètres des antennes eurent des taux de leucémie,
lymphomes ou myélomes huit fois supérieurs à ceux qui résidaient à une
plus grande distance. Il en alla de même pour les adultes, avec un taux
sept fois supérieur. 

Otto Heinrich Warburg docteur et professeur
allemand, prix Nobel de médecine en 1931, démontra que le cancer est une
régression des cellules privées d’oxygène, les poussant à se multiplier
anarchiquement comme dans un monde primitif où l’oxygène n’était pas
présent tel qu’il l’est aujourd’hui. La privation d’oxygène initiale est
elle due à un dysfonctionnement des mitochondries, dont on a vu
ci-dessus qu’il peut être provoqué par les champs électromagnétiques ou
d’autres polluants comme la fumée, les pesticides, les additifs
alimentaires et la pollution de l’air. Le même principe de déficit
d’oxygène aux cellules est valable pour le diabète et c’est pourquoi, on
trouve un taux plus élevé de cancers chez les diabétiques que dans le
reste de la population. 

Au zoo de Philadelphie, dans la période
de 1901 à 1955, on nota une élévation du taux de tumeurs malignes chez
les mammifères variant entre 2 fois plus et 22 fois plus entre les deux
dates. 

Des statistiques de morts par cancer montrent une bonne
corrélation entre l’électrification des pays et le taux de cancers. Par
exemple aux USA, sur le période de 1841 à 1850, le taux était de 6,6
pour mille. Il fit plus que doubler pour la prochaine période de 1851 à
1860, avec un taux de 14 pour mille. L’explication est fournie par
le déploiement massif du télégraphe en 1854. 

En 1914, parmi les
63 000 Amérindiens vivant dans des réserves sans électrification, on
dénombra deux morts par cancer, alors que dans le reste du pays le taux
de mortalité par cancer était 25 fois plus élevé. 

Entre 1920 et
1921, la mortalité par cancer augmenta entre 3 et 10 % dans les
pays occidentaux, suite à l’introduction des premières stations
d’émission radio AM. 

Les chercheurs suédois Olle Johansson et Orjan Hallberg
démontrèrent une nette corrélation entre les taux de cancer du sein, de
la prostate et des poumons, avec l’exposition de la population aux
radiofréquences. Ils ont consigné une augmentation significative de ces
taux en 1920, 1955, 1969 et une diminution (!) en 1978, ce
qui correspond à l’évolution du smog provoqué par les radiofréquence,
respectivement l’introduction de la radio AM, celle de la radio FM et la
TV1, arrivée de la TV2 en couleur, puis cessation des émission en radio
AM. Ces même chercheurs ont également découvert une excellente
corrélation linéaire entre le nombre d’émetteurs radio FM par unité
de surface et l’incidence des mélanomes, les endroit exposés ayant 11
fois plus de mélanomes que les zone blanches. De plus, ils ont mis en
évidence que les mélanomes n’apparaissent que rarement sur les zones du
corps les plus exposées au soleil, comme le front, le nez, les épaules
et les pieds, mais plutôt aux endroits du corps habituellement protégés
du soleil. Qui plus est, la prolifération des cancers de la peau arriva
avant la mode des vacances balnéaires ou l’exposition solaire est
intense. La démonstration est faite que les mélanomes ne sont pas
l’objet principal du soleil, mais celui des radiofréquences. 

Les diagrammes des statistiques de la mortalité par cancer
en fonction du degré d’électrification des états américains en 1931 et
1940 sont en outre également très explicites, tels qu’ils le sont pour
le diabète et les maladies cardiovasculaires, ne laissant aucun doute
quant à l’implication des champs électromagnétiques sur la prolifération
des cancers. 

Les données honnêtes concernant les tumeurs du
cerveau sont rares car le lobby de la téléphonie mobile s’est infiltré
depuis des décennies dans ce milieu pour mandater des études biaisée.
L’une d’elle montrant même une diminution de l’incidence de
tumeurs corrélée à l’usage intensif du téléphone cellulaire! Toutefois,
un chercheur de l’Université de Calgary mit en évidence une augmentation de 30 % d’incidence de tumeur malignes du cerveau sur la période de 2012 à 2013 et Dr Lennart Hardell,
professeur d’oncologie à l’hôpital universitaire d’Orebro en Suède,
démontra que 2 000 heures d’usage d’un cellulaire augmente le risque de
tumeur d’un facteur compris entre trois et huit, dépendant de l’âge du
sujet et de ses habitudes téléphoniques. 

En 2000, Neil Cherry analysa les taux de cancer des enfants de San Francisco
en fonction de la distance entre leur résidence et l’émetteur
télévision et radio FM Sutro Tower. Les enfants vivant sur des collines
ou sur des crêtes furent plus touchés. Ceux qui vivaient à moins de un
kilomètre de l’antenne eurent des occurrences 9 fois supérieures de
leucémies, 15 fois plus pour le lymphome, 31 fois pour le cancer du
cerveau. Dans l’ensemble, un taux 18 fois supérieur à ceux qui vivaient
en dehors de ce rayon de un kilomètre.

Vie ralentie

Dans
le Traité pratique de l’épuisement nerveux de George Miller Beard,
électrothérapeute et ami de Thomas Edison, publié en 1880, on peut lire
une observation intrigante : Même si ces difficultés ne sont pas
directement fatales, qu’elles n’apparaissent pas directement dans les
tables de mortalité, au contraire, elles pourraient tendre à prolonger
la vie et à protéger l’organisme des maladies inflammatoires, il n’en
demeure pas moins que la souffrance est énorme. Ceux qui souffraient le
plus semblaient plutôt jeunes pour leur âge. Plus loin, Beard note
qu’une rare maladie semble plus volontiers habiter les sujets
neurasthéniques que le reste de la population, il s’agit du
diabète. Beard, avait déjà observé que l’extension de l’espérance de vie
n’allait pas de paire avec la qualité de celle-ci. La mystérieuse
corrélation entre les souffrances des neurasthéniques – dont les
symptômes sont les même que ceux des personnes électrohypersensibles
contemporaines –, et l’extension de leur vie montrait du doigt
un dysfonctionnement majeur. 

En outre, de longue date il a été
observé qu’un mode de vie ascétique, doté d’une alimentation pauvre en
calorie avait pour faculté de prolonger l’espérance de vie et la santé.
C’est par exemple le cas de la population d’Okinawa dont le nombre de
centenaires est quarante fois supérieur à la population des préfectures
plus riches, situées plus au nord. 

Des chercheurs dans le domaine
du vieillissement ont souligné que le moteur de notre vie est le
système de transport des électrons dans les mitochondries de
nos cellules. C’est là que se combinent l’air que nous respirons et ce
que nous mangeons, à une cadence qui détermine notre taux de
vieillissement, d’où notre espérance de vie. Si un ralentissement de la
combustion réalisé au sein de nos cellules en modérant la quantité
d’énergie acheminée peut être bénéfique, un autre mode de
ralentissement peut par contre lui être néfaste. C’est l’empoisonnement
de la chaîne de transport des électrons. Une des possibilités
d’empoisonnement est l’exposition chronique aux
champs électromagnétiques artificiels. Cette pollution qui ne cesse de
croître exerce des forces extérieures sur les électrons de nos
mitochondries, les ralentissant, privant nos cellules d’oxygène et
provoquant les symptômes de l’EHS.

Vous dites que vous pouvez entendre l’électricité ?

En
1962, une femme contacta l’université de Santa Barbara (CA, USA) pour
qu’on l’aide à trouver la source du son mystérieux qu’elle entendait
partout chez elle, dans un quartier pourtant calme. Cela l’empêchait de
dormir et nuisait à sa santé. Des mesures montrèrent effectivement des
champs électromagnétiques particulièrement forts émanent de tous les
conducteurs électriques, aussi bien du réseau que des radiateurs
ou autres éléments métalliques, mais le stéthoscope restait quant à lui,
silencieux. L’ingénieur se livra à une expérience, enregistrant sur
bande les champs mesurés et les diffusa à la femme affectée par ces
bruits. Elle confirma que c’est bien ce qu’elle entendait. Ainsi, cette
femme entendait les champs électromagnétiques de son environnement. Des
installations de mise à la terre et des filtres électroniques
furent installées afin de réduire les perturbations à un niveau
acceptable. 

Mais auparavant, entre autres chercheurs, Volta avait
déjà expérimenté la production de sons variés en appliquant une tension
au niveau des oreilles avec succès. Bien plus tard, dans les années
1960 également, le biologiste Allan Frey publia des articles sur la capacité de certains sujets à entendre les émissions d’une installation de radar. 

Le
modèle mécanique de fonctionnement de l’oreille tel qu’il est enseigné
dans les écoles ne permet pas d’expliquer ces phénomènes observés.
Constatant cela, le biochimiste Lionel Naftalin développa un nouveau
modèle de fonctionnement de l’oreille humaine, prenant en compte le
phénomène de piézo-électricité, bien connu et utilisé par les
électroniciens, qu’il découvrit dans le gel recouvrant les cils de
l’oreille interne. Dans ce gel trouvé nul part ailleurs dans le corps
humain et ayant des propriétés électriques très particulières, une
tension de 100 à 120 millivolts était présente, ce qui est beaucoup dans
le domaine de la bio-électronique. Ce gel piézo-électrique transforme
les ondes sonores en un signal électrique communiqué aux cils de
l’oreille interne. Ce nouveau modèle révisé du fonctionnement de
l’oreille humaine permet alors d’expliquer que, non seulement certains
sujets dans certaines conditions arrivent à entendre un
signal électromagnétique, mais également que tant de citoyens
contemporains souffrent d’acouphènes, ou encore que certains groupes de
citoyens entendent le bourdonnement (hum), un peu partout autour de la planète à raison de 2 à 11% de la population. 

Aujourd’hui,
environ 44 % des adultes américains ont des acouphènes à divers niveaux
d’intensité, alors qu’en Suède, le nombre de jeunes affectés était de
12 % en 1997 et de 42 % en 2006 ! Ces bruits parasites sont en grande
partie le résultat d’un environnement fortement pollué en champs
électromagnétiques artificiels de toutes natures.

Abeilles, oiseaux, arbres et humains

Alfonso
Balmori Marinez, biologiste espagnol, a corrélé la densité de
population de moineaux aux valeurs d’irradiations en radiofréquences de
leurs endroits de vie. Dans les lieux le plus irradiés, au-dessus de 3
V/m, les moineaux ne peuvent plus vivre, alors qu’ils sont encore 42
sujets par hectare si le niveau est de 0.1 V/m. Il a également observé
une nette modification du comportement des cigognes qui se battent au
sein du couple plutôt que de construire le nid ou couver les œufs, si
elle sont à proximité (200 m) d’une antenne-relais. 

Le
Royaume-Uni a classifié le moineau domestique comme espèce en voie
de disparition après que sa population ait décliné de 75 % entre 1994 et
2002, période qui coïncidence avec le déploiement de la téléphonie
mobile. 

Les éleveurs de pigeons voyageurs de plusieurs continent
constatent que jusqu’à 90 % des volatiles lâchés ne retrouvent pas le
chemin de retour au pigeonnier, alors que traditionnellement, cette
proportion était négligeable. En 2000, les éleveurs anglais tentèrent de
modifier le trajet de la course afin d’éviter les antenne-relais pour
laisser une meilleure chance aux pigeons. En 2004, ces mêmes éleveurs
mandatèrent de plus amples études sur l’impact des micro-ondes sur les
pigeons. 

En 2002, le US National Park Service diffusa une note
aux biologistes étudiant le comportement des animaux sauvages expliquant
que les puces RFID de localisation par radiofréquences attachées à ces
animaux peuvent radicalement modifier leur comportement du fait des
radiofréquences générées. 

Dans des milieux pollués par les champs
électromagnétiques, les pinsons n’arrivent pas à s’orienter pour la
migration, alors que s’ils sont dans une cage de Faraday, ils
y parviennent. 

Une expérience sur les têtards de crapaud élevés
dans deux bassins distincts, à 140 mètres d’une antenne-relais, l’un
sans blindage électromagnétique et l’autre avec, montra un taux de
mortalité de respectivement 90 % et 4 % ! 

On trouve le même genre
d’effets délétères chez les insectes, lorsqu’ils sont soumis au smog
électronique que nous rencontrons au quotidien, et le Dr Panagopoulous
ayant expérimenté sur les drosophiles, nous informe que les expositions
aux micro-ondes à des niveaux communs, ne serait-ce que quelques minutes
par jour durant quelques jours, sont le pire agent stressant dont nous
ayons connaissance dans nos vies courantes. Pire que les produits
chimiques ou les champs électromagnétiques basse fréquences. 

Les
abeilles sont également impactées comme nous l’avons vu au début de ce
résumé traitant de l’île de Wight. Le Dr Daniel Favre (Suisse) a
démontré qu’en présence de micro-ondes, les abeilles émettent le son
typique entendu lors de l’essaimage, ce qui porte à croire que les
insectes veulent fuir la source d’émission. Communément, on incrimine le
varroa dans le syndrome d’effondrement des colonies, mais on oublie
que cette mite a cohabité durant longtemps avec les abeilles. De plus,
on observe que même une colonie morte n’est aujourd’hui pas prise
d’assaut par les parasite, alors que c’était le cas « avant ». On
incrimine également les pesticides, mais comme on l’a vu plus haut, les
abeilles de l’île de Wight avaient bien disparu à 90 % sans que
l’endroit n’ait été traité aux pesticides. La véritable cause de
l’effondrement des colonies, ces sont les champs électromagnétiques
humains, spécialement la téléphonie mobile. 

Dans les années 1980,
un nouveau sujet d’actualité vit le jour : la mort des forêts. Le blâme
fut jeté sur les pluies acides, mais les régions les plus reculées,
baignées que dans de l’air pur furent touchées également. Des recherches
en Allemagne et en Suisse furent entreprises. Effectivement, le sol des
forêts touchées était acide, mais on détermina par observation et par
expérimentation que cette acidité peut également provenir
d’une électrolyse lente du sol via les arbres exposés à des ondes radar,
par exemple. D’ailleurs, les arbres des crêtes étaient plus touchés car
plus exposés par les nouveaux radars installés dans les années 1970. 

Une
autre observation fut faite lors de la chute du mur de Berlin. Les
gigantesques radars russes à Skruda qui irradiaient fortement toute la
région dans leur tâche de surveillance de l’ouest, avaient provoqué des
dégâts non seulement à la forêt, mais aux animaux et aux hommes
également. Après de multiples études, on trouva notamment que les
cercles de croissance des arbres durant les années de fonctionnement des
radars étaient nettement moins large qu’avant ou après celles-ci. 

A
Schwarzenbourg, en Suisse, une antenne de radio à ondes courtes fut
installée en 1939, puis la puissance d’émission fut augmentée à 450 kW
en 1954. S’en suivit une dégradation de la santé des habitants qui se
plaignaient des symptômes propres à l’EHS. Les enfants de ce village
avaient des difficultés à l’école et semblaient ne pas pouvoir accéder à
une formation supérieure contrairement aux enfants des villages voisins
moins exposés. Enfin, en 1992 une étude fut menée, confirmant que les
paramètres des analyses physiologiques des Hommes et des animaux du lieu
étaient anormales, ceci dans un rayon de 900 mètres autour de
l’antenne. Il fut également constaté que les anneaux de croissance des
arbres étaient compressés, mais seulement du côté d’où venaient les
radiations. Le 28 mars 1998, l’émetteur fut arrêté et une étude «
avant-après » fut réalisée, démontrant que le taux de mélatonine des 58
sujets testés remonta. Un villageois de 50 ans put enfin dormir une nuit
complète sans interruption, pour la première fois de sa vie. Le 29 mai
1996, Philippe Roch, directeur de l’Office de l’environnement déclara «
qu’une corrélation entre les troubles du sommeil et les opérations de
transmissions était prouvée ».

Au pays des aveugles

Combien
faudra-t-il encore attendre avant de pouvoir dire « ton cellulaire me
tue ! » plutôt que « Je suis électrohypersensible ». Et pourtant le
nombre de gens souffrant de céphalées à cause de l’usage de leurs
cellulaires est énorme. En 2010, deux tiers des étudiants à l’université
ukrainienne interrogés admirent le fait. La question étant qu’il n’est
pas socialement acceptable de l’admettre ouvertement. Madame Gro Harlem Brundtland
était EHS, alors qu’elle dirigeait l’Organisation mondiale de la
santé. Elle ne s’en cachait pas, mais un an plus tard, elle a dû laisser
sa place. Les autres personnages publiques de haut rang ne seront pas
aussi loquaces. 

Seule une minorité des personnes souffrant de la
pollution électromagnétique savent de quoi elles souffrent, alors qu’une
large majorité l’ignore. La population entière est électrocutée à
distance et l’on doit presque s’excuser d’être électrosensible ou
plus exactement électrohypersensible, comme si on devait s’excuser
d’être « cyanurehypersensible », car la vérité est que l’électricité
telle qu’utilisée actuellement est toxique. D’ailleurs, les graphes
statistiques montrent clairement une augmentation de la mortalité des
citoyens de neuf villes américaines, peu après la mise en service
des premières antenne-relais. Cette surmortalité va de 25 à plus 80 %. 

Une
enquête demandant aux New-Yorkais de s’annoncer si un certain nombre
de symptômes relatifs à l’EHS étaient apparus chez eux à partir du 15
novembre 1996, par le biais d’un journal quotidien, récolta des
centaines de témoignages, toutes classes raciales ou sociales
confondues. La date en question était celle de la mise en service
du premier réseau de téléphonie mobile cellulaire. 

L’organisation Cellular Phone Task Force
qu’Arthur Firstenberg a démarrée en 1996, croule sous les demandes
d’aides de personnes blessées par les radiofréquence micro-ondes. Il
semble qu’il n’y ait bientôt plus nulle part où aller tant les émetteurs
de toutes natures ont proliféré, tant WiFi, que WiMAX, stations radar
ou encore les irradiations venant du ciel, comme les satellites de
télécommunication. 

Pr Olle Johansson,
du célèbre institut Karolinska décernant les prix Nobel de médecine,
s’occupa dès 1977 de démontrer les effets du smog électronique sur le
Vivant. Le succès de ses études le marginalisa dans son institut, les
budgets pour ses recherches disparurent, il reçut des menaces de mort et
à une occasion, il échappa de peu à une tentative de meurtre par
sabotage de sa moto. Malgré tout, il continue d’informer le monde sur la
vérité pour défendre, entre autre, les EHS dont la vie est un enfer
sur Terre. Il est dégoûté de la façon dont les autorités de pays
soit-disant « démocratiques » laissent tomber les victimes des
radiofréquences. 

Dr Erica Mallery-Blythe
a la double nationalité anglaise et américaine, termina ses études en
1998. En 2007, suivant son mari pilote de F-16 aux USA, elle
devint sévèrement atteinte par l’EHS, à son insu. Ses recherches sur
internet lui permirent enfin de comprendre ce qui lui arrivait. Elle se
demanda en tant que médecin, comment une atteinte aussi profonde et
invalidante pouvait exister sans qu’elle n’en ait jamais entendu parler
dans sa profession. Par acquit de conscience, elle décida de se
soumettre à un IRM, afin d’éliminer tous risques de cancer du cerveau.
Elle crut que sa fin était imminente alors que les pulsations hautes
fréquence furent enclenchées. Elle retrouva toute sa santé et sa
vitalité à la Death Valley épargnée des radiofréquence. Désormais, elle
se consacre à informer et aider les au moins 5 % de personnes EHS,
totalement laissées pour compte par les autorités. 

Yury Grigoriev,
considéré comme le grand-père de la recherche sur le CEM en Russie, est
très inquiet pour les jeunes en particulier, tout en mentionnant que
c’est la première fois dans l’histoire de l’humanité que l’on expose
ouvertement son cerveau aux micro-ondes, ce qui est grave aux yeux d’un
radiobiologiste. Il cite notamment une étude coréenne démontrant que le
trouble du déficit de l’attention (ADHD) chez les enfants va de pair
avec l’usage du cellulaire connecté. 

Leif Salford,
un neurochirurgien suédois, et son équipe, prouva dans la fin des
années 1990 que le cellulaire rend perméable la barrière
hémato-encéphalique, provoquant la maladie d’Alzheimer. En 2003 ils
démontrèrent qu’une exposition unique de seulement deux heures laisse
des dommages permanents au cerveau. 

En 2015, des scientifiques
turcs irradièrent des rats, une heure par jour pendant un mois, au moyen
d’ondes typiques de téléphone cellulaire. Les rats irradiés avaient 10
% de moins de cellules cérébrales que ceux qui avaient été épargnés. La
même équipe expérimenta sur des rattes portantes, pendant 9 jours au
même taux de radiations. Leur descendance montrait des dégénérescences
de leur cerveau, moelle épinière, cœur, reins, foie, rate, thymus et
testicules. La même expérience répétée sur des jeunes rats provoqua une
atrophie de la moelle épinière avec diminution de la myéline, similaire à
ce que l’on observe dans la sclérose en plaque. 

En septembre
1998, les 66 premiers satellites de la téléphonie spatiale furent mis
en service, causant un accroissement de la mortalité nationale
américaine de près de 5 %, durant les deux semaines suivantes. Durant la
même période, on observa que les oiseaux ne volaient plus et les
personnes EHS étaient spécialement malades. Aujourd’hui, nous sommes
survolés par environ 1’100 satellites artificiels, mais plusieurs
entreprises projettent de lancer jusqu’à 4 600 nouveaux satellites de
communication chacune d’ici 2020, pour couvrir toute la planète en accès
internet rapide. Il s’agit de Google, Facebook, SpaceX, OneWeb et
Samsung. En 1968, même la première flottille de 28 satellites militaires
provoqua une pandémie de grippe mondiale. Contrairement
aux antenne-relais dont les radiations sont très atténuées en arrivant
dans la magnétosphère, les satellites agissent directement sur celle-ci,
selon des mécanismes encore mal compris, compromettant la Vie sur
Terre. Nous oublions les avertissements de Ross Adey, le grand-père de
la bio-électromagnétique et du physicien atmosphérique Neil Cherry
que nous sommes électriquement réglés pour le monde nous entourant et
que le niveau d’exposition en radiofréquences sûr est zéro. Le besoin
urgent d’agir contre cette initiative potentiellement catastrophique
peut être réalisé en s’approchant de l’association Global Union Against Radiation Deployment from Space (GUARDS)

En
2014, le médecin Tesuharu Shinjyo publia une étude « avant-après ». Il
évalua la santé de 122 habitants d’un immeuble sur lequel étaient
installées des antenne-relais. 21 souffraient de fatigue chronique, 14
de vertiges ou maladie de Ménière, 14 de céphalées, 17 de douleurs ou
infections oculaires, 14 d’insomnies, 10 de saignements de
nez chroniques. Cinq mois après que les antennes aient été éliminés, il
ne subsista que 2 cas d’insomnies, 1 cas de vertiges, 1 cas de céphalées

L’urgence en matière de droits humains qui touche des
centaines de millions de citoyens à l’échelle planétaire et l’urgence
environnementale menaçant d’extinction de si nombreuses espèces
végétales et animales doit être affrontée avec clairvoyance.


Pour sensibiliser les étudiants et les scientifiques, l’association ARA a fait don du livre “The Invisible Rainbow – A History of Electricity and Life” d’Arthur Firstenberg aux bibliothèques universitaires de Genève, Fribourg, Lausanne, Zürich, Berne et Bâle.
Le livre (ISBN 978-0-692-68301-9) est disponible en prêt via https://www.swissbib.ch




Existe-t-il un lien entre la 5G et CoVid-19 ?

[Source (anglais) : Dr. Magda Havas, PhD. ici]

21 mars 2020.  

Plusieurs personnes m’ont posé la question qui circule parmi les experts des CEM (champs électromagnétiques) : « Y a-t-il un lien entre le déclenchement du CoVid-19 et le déploiement des réseaux 5G dans le monde ? »

J’ai suivi les conversations à ce sujet et mon opinion est la suivante :

1. Affaiblissement du système immunitaire

La meilleure preuve scientifique dont nous disposons est que l’exposition à l’électrosmog (rayonnement non ionisant dans la gamme des micro-ondes [et des ondes radio]) altère le système immunitaire. Ceci est bien documenté dans la littérature scientifique. Si votre système immunitaire est compromis à cause de l’électrosmog ou à cause de certains médicaments que vous prenez ou parce que vous êtes âgé ou très jeune, vous êtes susceptible d’avoir une réponse plus sévère et/ou prolongée au CoVId-19. Le Dr Joel Moskowitz a un blog sur son site Web, Recherche sur les effets de l’exposition aux rayonnements sans fil sur le système immunitaire, que je vous recommande de lire. Voici le résumé d’une publication du Dr Stanislaw Szmigielski.

Szmigielski S. 2013. Réaction du système immunitaire aux expositions RF/MW de bas niveau. Science de l’environnement total.454-455: 393-400.(anglais)

Résumé
Le rayonnement radio fréquence (RF) et micro-ondes (MW) est utilisé dans le monde moderne depuis de nombreuses années. L’utilisation de plus en plus rapide des téléphones cellulaires au cours des dernières années a suscité un intérêt accru pour les effets possibles sur la santé de l’exposition aux rayonnements RF/MW. En 2011, un groupe d’experts internationaux organisé par le CIRC (Centre International de Recherche sur le Cancer à Lyon) a conclu que les radiations RF/MW devaient être répertoriées comme cancérigènes possibles (groupe 2B) pour l’homme. La connaissance incomplète des risques de cancer liés aux RF/MW a initié des recherches d’indicateurs biologiques suffisamment sensibles pour mesurer la « faible influence biologique » des RF/MW. L’un des principaux candidats est le système immunitaire, qui est capable de réagir de manière mesurable à des stimuli environnementaux discrets [= discontinus, pulsés].

Dans cette étude, les impacts des champs RF/MW faibles, y compris le rayonnement des téléphones portables, sur diverses fonctions immunitaires, à la fois in vitro [études sur cultures cellulaires] et in vivo [études sur des animaux vivants], sont discutés. La plupart des preuves disponibles indiquent clairement que divers changements dans le nombre et/ou l’activité des cellules immunocompétentes [cellules qui peuvent développer une réponse immunitaire] sont possibles, mais les résultats sont incohérents. Par exemple, un certain nombre de fonctions lymphocytaires [petits globules blancs particulièrement présents dans le système lymphatique] se sont révélées être améliorées et affaiblies au cours d’expériences uniques basées sur l’exposition à des intensités similaires de rayonnement MW.

Certaines prémisses existent qui indiquent qu’en général, une exposition de courte durée à un rayonnement MW faible peut temporairement stimuler certaines fonctions immunitaires humorales* ou cellulaires, tandis qu’une irradiation prolongée inhibe les mêmes fonctions.

Voici une excellente vidéo sur votre système immunitaire vu au microscope(anglais).

2. Variabilité de la fréquence cardiaque

Nous avons des preuves que certaines personnes ont une réponse du système nerveux autonome au rayonnement micro-ondes. Ils ont une fréquence cardiaque irrégulière ou rapide lorsqu’ils sont exposés aux micro-ondes. Nous avons publié [une étude] sur ce sujet et fournissons également une vidéo youtube sur les recherches menées.

Cela est connu depuis des décennies et on a recommandé à ceux qui travaillent avec le rayonnement micro-ondes de faire des examens cardiaques pour [détecter] toute anomalie, afin d’assurer leur sécurité. Si le cœur devient irrégulier, il a du mal à pomper suffisamment de sang vers toutes les parties du corps et comme le sang est ce qui apporte l’oxygène aux cellules, cela peut entraîner une anoxie (manque d’oxygène) et rendre la respiration plus difficile.

Havas M, Marrongelle J, Pollner B, Kelley E, Rees CRG et Tully L. 2010. Une étude de stimulation utilisant la variabilité de la fréquence cardiaque montre que le rayonnement micro-ondes d’un téléphone sans fil 2,4 GHz affecte le système nerveux autonome. Effets non thermiques et mécanismes d’interaction entre les champs électromagnétiques et la matière vivante Mattioli 1885, 2010: 273-300, ISBN 9788862611664

Résumé
Objectif : L’effet du rayonnement micro-ondes (MW) pulsé (100 Hz) sur la variabilité de la fréquence cardiaque (VRC [Variation du Rythme Cardiaque]) a été testé dans une étude en double aveugle.
Matériel et méthodes: Vingt-cinq sujets du Colorado âgés de 37 à 79 ans ont rempli un questionnaire d’électrohypersensibilité (EHS). Après avoir enregistré leur VRC orthostatique, nous avons effectué une surveillance continue en temps réel du VRC dans une étude de stimulation, où des sujets couchés ont été exposés pendant des intervalles de 3 minutes à des radiations générées par un téléphone sans fil à 2,4 GHz ou à une exposition fictive.
Résultats: Questionnaire: Sur la base des auto-évaluations, les participants se sont classés comme extrêmement sensibles électriquement (24%), modérément (16%), légèrement (16%), non sensibles (8%) ou sans opinion (36%) sur leur sensibilité. Les 10 principaux symptômes ressentis par ceux qui se disent sensibles comprennent des problèmes de mémoire, des difficultés de concentration, des problèmes oculaires, des troubles du sommeil, des malaises, des maux de tête, des étourdissements, des acouphènes, une fatigue chronique et des palpitations cardiaques. Les cinq objets les plus courants qui auraient provoqué une sensibilité étaient les lampes fluorescentes, les antennes, les téléphones portables, le Wi-Fi et les téléphones sans fil.
Expérience de stimulation: Quarante pour cent des sujets ont connu des changements dans leur VRC attribuables au rayonnement MW à impulsions numériques (100 Hz). Pour certains, la réponse a été extrême (tachycardie), pour d’autres modérée à légère (modifications du système nerveux sympathique et/ou du système nerveux parasympathique). et pour certains, il n’y a pas eu de réaction observable soit à cause de la capacité adaptative élevée, soit à cause de l’épuisement neurovégétatif systémique.
Conclusions: Le VRC orthostatique combiné à des tests de provocation peut fournir un test de diagnostic pour certaines personnes souffrant d’EHS lorsqu’elles sont exposées à des dispositifs émettant des [ondes] électromagnétiques. Il s’agit de la première étude qui documente des changements immédiats et spectaculaires à la fois de la fréquence cardiaque et de la variabilité de la fréquence cardiaque associés à l’exposition aux MW [micro-ondes] aux niveaux (18-havas : 18-havas 11-10-2010 9:14 Page 273) bien en dessous ( 0,5%) [de la norme] selon les directives fédérales au Canada et aux États-Unis (1 000 microW/cm 2).

Voici une autre étude documentant les changements dans la VRC (variabilité de la fréquence cardiaque) pour ceux qui sont exposés à un rayonnement électomagnétique de fréquence moyenne.

Bortkiewicz, A, E Gadzicka et M Zmysl. 1996. Variabilité de la fréquence cardiaque chez les travailleurs exposés à des champs électromagnétiques de moyenne fréquence. Journal du système nerveux autonome 59 (3): 91-7.

Résumé
Cette étude a été entreprise pour évaluer la régulation neurovégétative du cœur chez les travailleurs exposés professionnellement à des champs électromagnétiques (EM) à fréquence moyenne (MF). Les sujets étaient 71 travailleurs de stations de radiodiffusion MF, âgés de 20 à 68 ans (moyenne 47,1) avec une durée de travail sous exposition allant de 2 à 40 ans et 22 travailleurs de stations de liaison radio, âgés de 21 à 65 ans (moyenne 46,9) qui n’étaient pas exposés aux champs MF EM. La répartition de l’âge et de l’ancienneté dans les deux groupes ne différait pas de manière significative. La variabilité de la fréquence cardiaque (VRC) a été analysée sur la base de 512 évolutions cardiaques normales enregistrées au repos, à partir de la surface du corps, en utilisant le système Medea-HRV. L’analyse a porté sur les paramètres des domaines temporel et fréquentiel du VRC en utilisant une transformation de Fourier rapide. Le spectre de puissance dans les bandes de fréquences basses (0,05-0,15 Hz) et hautes (0,15-0,35 Hz) (LF et HF, respectivement) a été déterminé. Des différences statistiquement non significatives trouvées entre les groupes exposés et non exposés ont été trouvées soit dans les paramètres temporels ou fréquentiels du VRC. Aucune corrélation entre le spectre de puissance et l’âge des sujets n’a été notée. Une telle relation a toutefois pu être observée dans le groupe témoin. Dans le groupe d’étude, une corrélation négative statistiquement significative a été trouvée entre l’intensité maximale des champs électromagnétiques et le spectre de puissance HF. Ainsi, il a été conclu que l’exposition professionnelle aux champs électromagnétiques entraîne des altérations de la régulation neurovégétative de la fonction cardiovasculaire.

3.  Formation de rouleaux sanguins

Nous avons des preuves que certains individus développent des rouleaux [agglomération ou empilements] de leurs globules rouges. En d’autres termes, leurs globules rouges au lieu de se repousser commencent à coller ensemble, rendant le sang plus visqueux. Cela pourrait entraver l’apport d’oxygène aux cellules, rendant la respiration plus laborieuse. Nous avons également publié [une étude] à ce sujet. Voici une vidéo youtube “Dr. Magda Havas’ Live Blood & Electrosmog”. Havas, M.  2013.

Le rayonnement de la technologie sans fil affecte le sang, le cœur et le système nerveux autonome. Examens sur la santé environnementale 28 (2-3): 75-84.

Résumé
L’exposition à l’électrosmog généré par les technologies électriques, électroniques et sans fil s’accélère au point qu’une partie de la population subit des effets indésirables lorsqu’elle est exposée. Les symptômes de l’électrohypersensibilité (EHS), mieux décrits comme le syndrome de vieillissement rapide, ressentis par les adultes et les enfants ressemblent aux symptômes ressentis par les opérateurs radar dans les années 1940 à 1960 et sont bien décrits dans la littérature [NdNM : et à la neurasthénie (voir L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie)]. Une réponse de plus en plus courante comprend l’agglutination (formation de rouleaux) des globules rouges, les palpitations cardiaques, la douleur ou la pression dans la poitrine accompagnée d’anxiété, et une régulation à la hausse du système nerveux sympathique coïncidant avec une régulation à la baisse du système nerveux parasympathique typique du « lutte ou fuite ». Les études de stimulation présentées dans cet article démontrent que la réponse à l’électrosmog est physiologique et non psychosomatique. Ceux qui subissent une EHS grave et prolongée peuvent développer des problèmes psychologiques en raison de leur incapacité à travailler, de leur capacité limitée à voyager dans notre environnement hautement technologique et de la stigmatisation sociale voulant que leurs symptômes soient imaginés plutôt que réels.

4. 60 GHz et hypothèse d’absorption d’oxygène.

Certains affirment que l’épidémie de CoVic-19 est plus grave dans les zones qui ont déployé des ondes millimétriques 5G tôt et que, d’une manière ou d’une autre, ce rayonnement rend le virus plus infectieux ou que les gens réagissent aux ondes millimétriques plutôt qu’au virus. C’est une possibilité mais actuellement il n’y a aucune preuve pour étayer cette affirmation. Nous avons des preuves que certains agents infectieux sont devenus plus virulents suite au déploiement d’autres parties du spectre électromagnétique et un excellent livre à ce sujet est « The Invisible Rainbow » par Arthur Firstenberg [voir: L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]. C’est l’un des meilleurs livres détaillant l’histoire et les effets biologiques de la pollution électromagnétique. Vous pouvez l’acheter chez Chelsea Green Publishing.
L’une des affirmations est que des fréquences de 60 GHz sont utilisées dans la province de Wuhan et sur les Princess Cruise Lines et que les fréquences de 60 GHz sont absorbées par l’oxygène dans l’atmosphère. Si quelqu’un inhale de l’oxygène stimulé par cette fréquence, cela modifiera la qualité vibratoire des molécules d’oxygène et elles ne se lieront pas aussi facilement à l’hémoglobine, ce qui entraînera un déficit en oxygène. Nous avons des preuves que l’oxygène a un pic d’absorption à 60 GHz, mais les autres affirmations, à ma connaissance, ne sont pas étayées par des données scientifiques. De toute évidence, davantage de recherches sont nécessaires.

Mise à jour: 22 mars 2020


[Image d’entête provenant de : http://tapnewswire.com/2020/01/5g-causes-flu-like-symptoms-5g-launches-in-wuhan-weeks-before-coronavirus-outbreak/]




APPEL INTERNATIONAL – Stop à la 5G sur Terre et dans l’espace

[Source : BibiCabaya]

la 5g - l'internet des objets connectés

Le document original correspondant à la traduction ci-dessous comprend pléthore de liens vers des documents, études, directives internationales, etc. et vers des sites de langue anglaise. Afin de rendre la lecture plus aisée pour un public français, j’ai recherché les équivalents des documents en français, et chaque fois que j’en ai trouvé, je les ai remplacés. Vous les reconnaîtrez au signalement [FR]. Tous les nombreux autres liens ont été effacés (à l’exception d’un petit nombre d’entre eux). Pour les consulter, veuillez vous reporter à l’article original.


[PDF en français]

[Pétition en anglais]

[Voir aussi :


APPEL INTERNATIONAL

Arrêt de la 5G sur Terre et dans l’espace

À l’ONU, à l’OMS, à l’UE et au Conseil de l’Europe et aux gouvernements de toutes les nations

Nous soussignés, scientifiques, médecins, organisations de protection de l’environnement,
et citoyens de (__) pays, appelons de toute urgence l’arrêt du
déploiement du réseau sans fil 5G (cinquième génération), y compris la
5G depuis des satellites spatiaux. La 5G augmentera considérablement
l’exposition au rayonnement
de radio-fréquences(RF)en plus des réseaux 2G, 3G et 4G déjà en place pour les télécommunications. Le rayonnement RF s’est avéré nocif pour l’homme et l’environnement. Le déploiement de la 5G constitue une expérience sur l’humanité et sur l’environnement qualifié de crime par le droit international.

Résumé

Les
entreprises de télécommunications du monde entier, avec le soutien des
gouvernements, sont prêtes à déployer le réseau sans fil de cinquième
génération (5G) dans les deux prochaines années. Cela devrait permettre
de réaliser ce qui est reconnu comme un changement sociétal sans
précédent à l’échelle mondiale. Nous aurons des maisons “intelligentes”,
des entreprises “intelligentes”, des autoroutes “intelligentes”, des
villes “intelligentes” et des voitures autonomes. Pratiquement tout ce
que nous possédons et achetons, des réfrigérateurs et des machines à
laver aux cartons de lait, en passant par les brosses à cheveux et les
couches pour bébés, contiendra des antennes et des micro-puces et sera
connecté sans fil à Internet. Chaque personne sur Terre aura un accès
instantané à des communications sans fil à très haute vitesse et à
faible temps de latence depuis n’importe quel point de la planète, même
dans les forêts tropicales et au milieu de l’océan et de l’Antarctique.

Ce
qui n’est pas largement reconnu c’est que cela entraînera également des
changements environnementaux sans précédent à l’échelle mondiale. La
densité prévue d’émetteurs de radiofréquences est impossible à prévoir.
En outre, des millions de nouvelles bornes 5G sur Terre et 20 000
nouveaux satellites dans l’espace, 200 milliards d’objets émetteurs,
selon les estimations, feront partie de l’Internet des Objets (IdO)
d’ici 2020, et un billion d’objets quelques années plus tard. La 5G
commerciale à des fréquences plus basses et à des vitesses plus faibles a
été déployée au Qatar, en Finlande et en Estonie à la mi-2018. Le
déploiement de la 5G à des fréquences extrêmement élevées (onde
millimétrique) devrait commencer à la fin de 2018.

Malgré
le démenti généralisé, les preuves selon lesquelles le rayonnement de
radiofréquence est nocif pour la vie sont déjà accablantes. Les preuves
cliniques accumulées d’êtres humains malades et blessés, les preuves
expérimentales de dommages à l’ADN, aux cellules et aux systèmes
d’organes dans une grande variété de plantes et d’animaux, et la preuve
épidémiologique que les principales maladies de la civilisation moderne –
le cancer, les maladies cardiaques et le diabète – sont en grande
partie causée par la pollution électromagnétique, constitue une base
documentaire de plus de 10 000 études évaluées par des pairs.

Si
les projets de la 5G de l’industrie des télécommunications se
concrétisent, aucune personne, aucun animal, aucun oiseau, aucun insecte
ni aucune plante sur Terre ne pourra éviter l’exposition, 24 heures par
jour, 365 jours par an, à des niveaux de rayonnement RF qui sont des
dizaines à des centaines de fois plus grands que ce qui existe
aujourd’hui, sans aucune possibilité d’évasion où que ce soit sur la
planète. Ces plans de la 5G risquent de provoquer des effets graves et
irréversibles sur l’être humain ainsi que des dommages permanents à tous
les écosystèmes de la Terre.

Des
mesures immédiates doivent être prises pour protéger l’humanité et
l’environnement, conformément aux impératifs éthiques et aux accords
internationaux car la 5G entraînera une augmentation massive de
l’exposition inévitable et involontaire au rayonnement sans fil.

5G au sol

Afin
de transmettre les énormes quantités de données nécessaires à
l’Internet des objets, la technologie 5G, lorsqu’elle sera pleinement
déployée, utilisera des ondes millimétriques qui sont mal transmises à
travers des matériaux solides. Cela obligera chaque transporteur à
installer des stations de base tous les 100 mètres [1]
dans toutes les zones urbaines du monde. Contrairement aux générations
précédentes de technologie sans fil dans lesquelles une seule antenne
diffuse sur une zone étendue, les stations de base 5G et les appareils
5G disposeront de multiples antennes disposées en “tableaux à commande
de phase” [2],[3] qui fonctionnent ensemble pour émettre de manière focalisée, orientable des faisceaux de type laser qui se suivent.

Chaque
téléphone 5G contiendra des dizaines d’antennes minuscules travaillant
ensemble pour suivre et diriger un faisceau étroitement focalisé vers la
tour cellulaire la plus proche. La Federal Communications Commission
(FCC) des États-Unis a adopté des règles [4]
permettant à la puissance effective de ces faisceaux d’atteindre 20
watts, soit dix fois plus que les niveaux autorisés pour les téléphones
actuels.

Chaque
borne 5G contiendra des centaines ou des milliers d’antennes orientant
simultanément plusieurs faisceaux de type laser sur tous les téléphones
cellulaires et tous les appareils des utilisateurs de sa zone de
service. Cette technologie s’appelle “entrée multiple sortie multiple”
ou MIMO [Mutiple Input Multiple Output]. Les règles de la FCC permettent
que la puissance apparente rayonnée des faisceaux d’une borne 5G atteigne 30 000 watts
par 100 MHz de spectre [cf. note iv] ce qui équivaut à 300 000 watts
par GHz de spectre, des dizaines à des centaines de fois plus puissante
que les niveaux autorisés des bornes actuelles.

5G spatiale

Au moins cinq entreprises [5]
proposent de fournir la 5G depuis l’espace provenant de 20 000
satellites combinés en orbite terrestre basse et moyenne qui couvriront
la Terre de puissants faisceaux orientables émis de façon focalisée.
Chaque satellite émettra des ondes millimétriques d’une puissance
effective rayonnée allant jusqu’à 5 millions de watts [6]
émises par des milliers d’antennes disposées en réseau phasé. Bien que
l’énergie atteignant le sol par les satellites soit inférieure à celle
des antennes au sol, elle irradiera des zones de la Terre non atteintes
par d’autres émetteurs et s’ajoutera aux émissions 5G au sol émises par
des milliards d’objets de l’IdO. Plus important encore, les satellites
seront situés dans la magnétosphère de la Terre qui exerce une influence
considérable sur les propriétés électriques de l’atmosphère. L’altération
de l’environnement électromagnétique terrestre peut représenter une
menace encore plus grande pour la vie que les rayonnements émis par les
antennes au sol (voir ci-dessous)
.

Les effets nocifs du rayonnement radioélectrique sont déjà prouvés

Même avant que la 5G ne soit proposée, des dizaines de pétitions et d’appels [7] de scientifiques internationaux, y compris l’Appel de Fribourg [FR]
signé par plus de 3 000 médecins, ont appelé à un arrêt de l’expansion
de la technologie sans fil et à un moratoire sur les nouvelles bornes [8].

En 2015, 215 scientifiques de 41 pays [FR] ont communiqué leur alerte aux Nations Unies (ONU) et à l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). [9] Ils ont déclaré que «de
nombreuses publications scientifiques récentes ont montré que les
champs électromagnétiques (CEM) affectent les organismes vivants à des
niveaux bien inférieurs à la plupart des directives internationales et
nationales»
. Plus de 10 000 études scientifiques évaluées
par des pairs démontrent les effets nocifs du rayonnement RF sur la
santé humaine. [10] [11] Ces effets incluent :

  • Altération du rythme cardiaque [12]
  • Altération de l’expression des gènes [13]
  • Métabolisme altéré [14]
  • Développement altéré des cellules souches [15]
  • Cancers [16]
  • Maladie cardiovasculaire [17]
  • Déficience cognitive [18]
  • Dommages à l’ADN [19]
  • Impacts sur le bien-être général [20]
  • Augmentation des radicaux libres [21]
  • Déficits d’apprentissage et de mémoire [22]
  • Dysfonctionnement et qualité du sperme [23]
  • Fausse couche [24]
  • Lésion neurologique [25]
  • Obésité et diabète [26]
  • Stress oxydant [27]

Les effets chez les enfants incluent l’autisme [28], le trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) [29] [30] et l’asthme [31].

Les
dommages vont bien au-delà de l’espèce humaine car d’abondantes preuves
existent sur les dommages causés à la faune et la flore sauvages [32] [33] ainsi qu’aux animaux de laboratoire, y compris:

  • Fourmis [34]
  • Oiseaux [35] [36]
  • Forêts [37]
  • Grenouilles [38]
  • Mouches de fruits [39]
  • Abeilles [40]
  • Insectes [41]
  • Mammifères [42]
  • Souris [43] [44]
  • Plantes [45]
  • Rats [46]
  • Arbres [47]

Des effets microbiologiques négatifs [48] ont également été enregistrés.

Le
Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) de l’OMS a
conclu en 2011 que le rayonnement RF de fréquences comprises entre 30
kHz et 300 GHz étaient peut-être cancérogènes pour l’homme (groupe 2B) [FR] [49]
Cependant, des preuves récentes, y compris les dernières études sur
l’utilisation du téléphone cellulaire et les risques de cancer du
cerveau, indiquent que le rayonnement RF est véritablement cancérogène
pour l’homme [50] et qu’il devrait désormais être classé dans la catégorie “cancérogène du groupe 1” avec la fumée de tabac et l’amiante.

La
plupart des signaux sans fil contemporains sont modulés par impulsions.
Leurs dommages sont causés à la fois par l’onde porteuse de haute
fréquence et par les pulsations de basse fréquence [51].

Le déploiement de satellites 5G doit être interdit

La Terre, l’ionosphère et la basse atmosphère forment le circuit électrique global [52] dans lequel nous vivons. Il est bien établi que les rythmes biologiques — des humains [53] [54], des oiseaux [55], des hamsters [56] et des araignées [57] [58]
— sont contrôlés par l’environnement électromagnétique naturel de la
Terre, et que le bien-être de tous les organismes dépend de la stabilité
de cet environnement, y compris des propriétés électriques de l’atmosphère [FR] [59] [60] [61] [62]. Neil Cherry, dans un document révolutionnaire [63], a expliqué l’importance des résonances de Schumann [FR] [64] et pourquoi les perturbations ionosphériques peuvent modifier la pression artérielle et la mélatonine, et provoquer «des cancers, des maladies de la reproduction, des maladies cardiaques et neurologiques et la mort».

Ces
éléments de notre environnement électromagnétique ont déjà été modifiés
par le rayonnement des lignes électriques. Le rayonnement harmonique
des lignes électriques [65] atteint l’ionosphère et la magnétosphère de la Terre où il est amplifié par les interactions onde-particule [66] [67].
En 1985, le Dr Robert O. Becker a averti que le rayonnement harmonique
des lignes électriques avait déjà modifié la structure de la
magnétosphère et que l’expansion continue de cet effet «menaçait la viabilité de toute la vie sur Terre». [68]
L’emplacement de dizaines de milliers de satellites directement dans
l’ionosphère et la magnétosphère, émettant des signaux modulés à des
millions de watts et des millions de fréquences, est susceptible de
modifier notre environnement électromagnétique au-delà de notre capacité
d’adaptation [69].

Depuis
1998, une surveillance informelle a déjà fourni des preuves d’effets
graves sur les humains et les animaux provenant de la centaine de
satellites qui fournissent des services téléphoniques 2G et 3G depuis
une orbite basse. Ces effets ne peuvent être compris uniquement à la
lumière des faibles niveaux de rayonnement au sol. Les connaissances
provenant d’autres disciplines scientifiques pertinentes doivent être
prises en compte, y compris les domaines de la physique atmosphérique et
de l’acupuncture [70] [71] [72] [73]. L’ajout de 20 000 satellites 5G va davantage polluer le circuit électrique mondial [74] [75] et pourrait altérer les résonances de Schumann [76] avec lesquelles toute la vie sur Terre a évolué. Les effets seront universels et peuvent être profondément dommageables.

La 5G est qualitativement et quantitativement différente de la 4G

L’idée
selon laquelle nous tolérerons des dizaines, voire des centaines de
fois plus de radiations à des longueurs d’onde millimétriques repose sur
une modélisation erronée du corps humain sous la forme d’une coque
remplie d’un liquide homogène [77] [78]. L’hypothèse selon laquelle les ondes millimétriques ne pénètrent pas au-delà de la peau ignore complètement les nerfs [79], les vaisseaux sanguins [80] [81]
et les autres structures électro-conductrices capables de véhiculer des
courants de rayonnement induit profondément dans le corps [82] [83] [84].
Une autre erreur potentiellement plus grave est que les réseaux phasés
ne sont pas des antennes ordinaires. Lorsqu’un champ électromagnétique
ordinaire pénètre dans le corps, il provoque le déplacement des charges
et la circulation des courants. Mais lorsque des impulsions
électromagnétiques extrêmement courtes pénètrent dans le corps, quelque
chose d’autre se produit : les charges en mouvement deviennent
elles-mêmes de petites antennes qui retransmettent le champ
électromagnétique et l’envoient plus profondément dans le corps. Ces
ondes radiées à nouveau sont appelées précurseurs de Brillouin [85]. Elles deviennent importantes lorsque la puissance ou la phase des vagues change assez rapidement [86]. La 5G satisfera probablement les deux critères.

En
outre, une pénétration peu profonde constitue en soi un danger unique
pour les yeux et pour le plus grand organe du corps, la peau, ainsi que
pour les très petites créatures. Des études escientifiques ont récemment
été publiées, prédisant des brûlures thermiques de la peau [87] chez l’homme à partir du rayonnement 5G et de l’absorption résonnante par les insectes [88]
qui absorbent jusqu’à 100 fois plus de rayonnement à des longueurs
d’onde millimétriques comme ils le font aux longueurs d’onde
actuellement utilisées. Les populations d’insectes volants ayant diminué
de 75 à 80% depuis 1989, même dans les zones naturelles protégées [89],
le rayonnement 5G pourrait avoir des effets catastrophiques sur les
populations d’insectes à travers le monde. Une étude réalisée en 1986
par Om Gandhi a averti que les ondes millimétriques sont fortement
absorbées par la cornée de l’œil et que les vêtements ordinaires,
d’épaisseur millimétrique, augmentent l’absorption d’énergie par la peau
par un effet de type résonance [90]. Russell (2018) [FR]
examine les effets connus des ondes millimétriques sur la peau, les
yeux (y compris la cataracte), la fréquence cardiaque, le système
immunitaire et l’ADN. [91]

Les régulateurs ont délibérément exclu la preuve scientifique du préjudice

L’industrie
et les gouvernements ont jusqu’à présent pris part au développement de
la 5G, tandis que des scientifiques de renommée internationale — qui ont
documenté les effets biologiques sur les humains, les animaux, les
insectes et les plantes, ainsi que des effets alarmants sur la santé et
l’environnement dans des milliers d’études scientifiques — ont été
exclus. La raison de la faiblesse des directives de sécurité actuelles
vient du fait des conflits d’intérêts des organismes de normalisation
“en raison de leurs relations avec les entreprises de télécommunications
ou compagnies d’électricité qui nuisent à l’impartialité qui devrait
régir la réglementation des normes d’exposition publique relatives aux
rayonnements non ionisants” [92].
Le professeur émérite Martin L. Pall expose en détail les conflits
d’intérêts et les listes des études importantes qui ont été exclues dans
son analyse documentaire [93].

L’hypothèse thermique est obsolète — de nouvelles normes de sécurité sont nécessaires

Les
directives de sécurité actuelles reposent sur l’hypothèse obsolète
selon laquelle le chauffage est le seul effet nocif des champs
électromagnétiques. Comme Markov et Grigoriev l’ont déclaré, «les normes actuelles ne tiennent pas compte de la pollution réelle de l’environnement par des rayonnements non ionisants» [94].
Des centaines de scientifiques, y compris de nombreux signataires du
présent appel, ont prouvé que d’innombrables types de maladies et de
blessures aiguës et chroniques étaient causés sans réchauffement (“effet
non thermique”) à partir de niveaux de rayonnement bien inférieurs aux
recommandations internationales (cf. note 94).

Les
effets biologiques se produisent même à des niveaux de puissance
proches de zéro. Les effets constatés à 0,02 picowatts (billion de
watts) par centimètre carré ou moins incluent une modification de la
structure génétique de E. coli [95] et des rats [96], une modification de l’électro-encéphalogramme chez l’homme [97], une stimulation de la croissance chez le haricot [98], et la stimulation de l’ovulation chez les poulets [99].

Pour
se protéger des effets non thermiques, la durée d’exposition doit être
prise en compte. La 5G exposera tout le monde à de nombreuses autres
transmissions simultanément et en continu, jour et nuit, sans
interruption. De nouvelles normes de sécurité sont nécessaires et
devraient être basées sur l’exposition cumulative et non seulement sur
les niveaux de puissance, mais également sur la fréquence, la largeur de
bande, la modulation, la forme d’onde, la largeur d’impulsion et
d’autres propriétés importantes sur le plan biologique. Les antennes
doivent être confinées à des emplacements spécifiques identifiés
publiquement. Pour protéger les humains, les antennes doivent être
situées loin des lieux d’habitation et de travail, et doivent être
exclues des lieux de passage publics où les gens se promènent. Pour
protéger la faune et la flore, les antennes doivent être exclues des
sanctuaires de nature vierge et strictement minimisés dans les régions
isolées de la Terre. Pour protéger toute la vie, les satellites de
communication commerciale doivent être en nombre limité et interdits sur
les orbites terrestres basses et moyennes. Les réseaux phasés doivent
être interdits sur Terre et dans l’espace.

Le rayonnement RF a des effets aigus et chroniques

Le
rayonnement RF a des effets à la fois immédiats et à long terme. Le
cancer et les maladies cardiaques sont des exemples d’effets à long
terme. L’altération du rythme cardiaque [100] et les modifications du fonctionnement cérébral (EEG) [101] sont des exemples d’effets immédiats. Un syndrome appelé maladie des ondes radioélectriques [102] dans l’ex-Union soviétique et appelé hypersensibilité électromagnétique (EHS) dans le monde aujourd’hui [103]
peut être aigu ou chronique. Le professeur Karl Hecht a publié un
historique détaillé de ces syndromes, établi à partir d’une analyse de
plus de 1 500 articles scientifiques russes et des antécédents cliniques
de plus de 1 000 de ses propres patients en Allemagne. Les résultats
objectifs comprennent : troubles du sommeil, pression artérielle et
rythme cardiaque anormaux, troubles digestifs, perte de cheveux,
acouphènes et éruptions cutanées. Les symptômes subjectifs comprennent :
vertiges, nausées, maux de tête, perte de mémoire, incapacité de se
concentrer, fatigue, symptômes pseudo-grippaux et douleurs cardiaques [104].

La directive EUROPAEM de 2016 relative aux CEM [FR] stipule que l’EHS se développe lorsque les personnes sont «continuellement exposées dans leur vie quotidienne» à des niveaux croissants de CÉM, et que «la réduction et la prévention de l’exposition aux CÉM» sont nécessaires pour rétablir la santé de ces patients [105].
L’EHS ne devrait plus être considérée comme une maladie, mais comme une
blessure provoquée par un environnement toxique qui touche une partie
de plus en plus importante de la population, estimée à 100 millions de
personnes dans le monde [106] [107], et qui pourrait bientôt toucher tout le monde [FR] [108] si le déploiement mondial de la 5G est autorisé.

La Déclaration scientifique internationale sur l’EHS et la sensibilité aux produits chimiques multiples (MCS) [FR], Bruxelles, stipulait en 2015 que l’ «[in]action
comporte un coût pour la société et n’est plus une option… [Nous]
reconnaissons unanimement ce grave danger pour la santé publique … [qui
exige de manière urgente] que les principales mesures de prévention primaire soient adoptées et hiérarchisées afin de faire face à cette épidémie mondiale en perspective»
(soulignement ajouté) [109].

Les gouvernements du monde manquent à leur devoir de sollicitude envers les populations qu’ils gouvernent

Dans
leur hâte de mettre en œuvre la 5G et d’encourager une utilisation sans
contrainte de l’espace extra-atmosphérique, l’Union européenne, les
États-Unis et les gouvernements nationaux du monde entier prennent des
mesures pour assurer un environnement réglementaire “sans obstacles” [110]. Ils interdisent aux autorités locales de faire respecter les lois environnementales [111]
et “dans l’intérêt d’un déploiement rapide et rentable”, ils suppriment
“les fardeaux inutiles … tels que les procédures de planification
locales [et] les nombreuses limites spécifiques imposées aux émissions
du champ électromagnétique (CEM) ainsi que les méthodes requises pour
les agréger”. [112].

Les
gouvernements promulguent également des lois visant à rendre
l’utilisation des installations sans fil autorisée dans tous les lieux
de passage publics [113].
À ce jour, la plupart des installations sans fil ont été installées
dans des propriétés privées à une certaine distance des habitations et
des entreprises. Afin de pouvoir être espacés de moins de 100 mètres,
comme l’exige la 5G, ils seront désormais situés sur le trottoir devant
les maisons et les commerces et au-dessus de la tête des piétons, y
compris des mères avec des bébés.

Les
exigences relatives aux annonces publiques et aux audiences publiques
sont éliminées. Même s’il y avait une audience et que 100 experts
scientifiques devaient témoigner contre la 5G, des lois ont été adoptées qui rendent illégal
le fait pour les autorités locales de prendre en compte leur
témoignage. La loi américaine, par exemple, interdit aux gouvernements
locaux de réglementer la technologie sans fil «sur la base des effets environnementaux des rayonnements radioélectriques» [114],
et les tribunaux ont annulé des décisions réglementaires concernant
l’emplacement des tours de téléphonie simplement parce que la plupart
des témoignages publics portaient sur la santé [115]. Les assureurs ne fourniront aucune couverture contre les risques liés aux champs électromagnétiques [116],
et l’entité qui assumera la responsabilité juridique des dommages à la
vie, aux membres et aux biens résultant de l’exposition à la 5G (qu’elle
soit terrestre ou spatiale) n’est pas clairement définie. [117].

En
l’absence d’un régime juridique global convenu régissant les activités
dans l’espace, la responsabilité juridique de ces activités est
inexistante, en dépit du fait que des continents entiers, l’atmosphère
et les océans sont menacés par elles.

Les accords internationaux sont violés

Les enfants et la responsabilité morale

La Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant [FR] prévoit que «les États parties s’engagent à assurer à l’enfant la protection et les soins nécessaires à son bien-être» (Art. 3), «assurent … la survie et le développement de l’enfant» (Art. 6) et «prendre
les mesures appropriées pour lutter contre les maladies… en tenant
compte des dangers et des risques de pollution de l’environnement»
(Art. 24 c).

Le Code de Nuremberg (1947) [FR]
s’applique à toutes les expériences sur des humains, ce qui inclut le
déploiement de la 5G avec une nouvelle exposition à un rayonnement RF
plus élevée, qui n’a pas été testée avant la commercialisation pour la
sécurité. «Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel» (Art. 1). L’exposition à la 5G sera involontaire. «Aucune expérience ne devrait être menée s’il existe une raison a priori de croire à la mort ou à une blessure invalidante»
(Art. 5). Les résultats de plus de 10 000 études scientifiques et les
voix de centaines d’organisations internationales représentant des
centaines de milliers de membres qui ont subi des blessures invalidantes
et qui ont été déplacées de leurs foyers par des installations de
télécommunications sans fil déjà existantes sont des raisons «a priori de croire que la mort ou des dommages corporels invalidants se produiront».

Obligation d’informer et CEM

L’Assemblée mondiale de la normalisation des télécommunications (2012) [FR] de l’Union internationale des télécommunications (UIT) a déclaré qu’il était «nécessaire d’informer le public des effets potentiels de l’exposition aux champs électromagnétiques (CEM)» et a invité les États Membres «à
adopter les mesures appropriées pour assurer le respect des
recommandations internationales pertinentes en matière de protection de
la santé contre les effets néfastes des CEM»
.

L’évaluation de mi-parcours du plan d’action européen en faveur de l’environnement et de la santé 2004-2010 (2008) [FR] : «Le
Parlement européen […] constate que les limites d’exposition au public
appliquées aux champs électromagnétiques sont obsolètes,… évidemment. ne
tiennent pas compte de l’évolution des technologies de l’information et
de la communication, des recommandations de l’Agence européenne pour
l’environnement ou des normes plus strictes en matière d’émissions
adoptées, par exemple, par la Belgique, l’Italie et l’Autriche, et
n’abordent pas la question des groupes vulnérables, tels que les femmes
enceintes, les nouveau-nés et les enfants.»

La Résolution 1815 (Conseil de l’Europe, 2011) [FR] : «Prendre
toutes les mesures raisonnables pour réduire l’exposition aux champs
électromagnétiques, en particulier l’exposition aux radiofréquences des
téléphones portables, et l’exposition des enfants et des jeunes.»

Environnement

Le Rapport de la Conférence des Nations Unies sur l’Environnement Humain (1972) [FR] : «Les
rejets de matières toxiques… en des quantités ou… concentrations telles
que l’environnement ne puisse plus en neutraliser les effets doivent
être interrompus de façon à éviter que les écosystèmes ne subissent des
dommages graves ou irréversibles.»
(Principe 6).

La Charte Mondiale de la Nature (1982) [FR] : «Les
activités susceptibles de causer un préjudice irréversible à la nature
doivent être évitées… [Si les effets néfastes potentiels ne sont pas
pleinement compris, les activités ne doivent pas être menées à bien.»
(Art. 11)

Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement (1992) [FR] : «Les
États ont… le devoir de faire en sorte que les activités exercées dans
les limites de leur juridiction ou sous leur contrôle ne causent pas de
dommages à l’environnement dans d’autres États ou dans des zones ne
relevant d’aucune juridiction nationale.»
(Principe 2)

Sommet Mondial des Nations Unies sur le Développement Durable (2002) [FR] : «[Il
est urgent de… créer des réponses politiques nationales, régionales et
locales plus efficaces aux menaces environnementales pour la santé
humaine.]»
(clause 21, page 20).

Convention Africaine sur la Conservation de la Nature et des Ressources Naturelles (2017) [FR] : «Les
Parties… prennent toutes les mesures appropriées pour prévenir,
atténuer et éliminer, le plus possible, les effets nuisibles sur
l’environnement, notamment ceux causés par les substances radioactives,
toxiques et autres substances et déchets dangereux.»
(Article XIII, page 9).

Santé et droits de l’homme

La Déclaration universelle des droits de l’homme [FR] : «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.» (Article 3).

La Stratégie mondiale pour la santé des femmes, des enfants et des adolescents des Nations Unies (2016-2030) [FR]
a pour objectifs et cibles de «transformer» en développant des
environnements favorables; «survivre» en réduisant la mortalité
maternelle et néonatale; et «prospérer» en assurant la santé et le
bien-être et en réduisant le nombre de décès et de maladies liés à la
pollution.

Espace

Le Traité sur l’espace extra-atmosphérique (1967) [FR]
exige que l’utilisation de l’espace extra-atmosphérique soit conduite
“de manière à éviter sa contamination nocive ainsi que les modifications
néfastes de l’environnement de la Terre.” (Article IX).

Principes directeurs des Nations Unies pour la durabilité des activités spatiales (2018) [FR]
: «Les États et les organisations intergouvernementales internationales
devraient faire face aux… risques pour la santé, les biens, la santé
publique et l’environnement associés au lancement, au fonctionnement en
orbite et à la restauration. entrée d’objets spatiaux.» (directive 2.2
c)).

Les gouvernements du monde jouent aux dés avec la vie sur Terre

Albert Einstein a déclaré que «Dieu ne joue pas aux dés» [118].
Pourtant, en poursuivant la diffusion sur Terre et dans l’espace de la
5G, une technologie sans précédent d’ondes millimétriques autrefois
utilisées comme arme énergétique dans les opérations militaires et le
contrôle des foules [119], les gouvernements du monde jouent imprudemment des dés avec l’avenir de la vie sur Terre.

Refuser
d’accepter et d’appliquer des connaissances scientifiques pertinentes
et valides est éthiquement inacceptable. Les recherches existantes
montrent que la 5G, et en particulier la 5G spatiale, contrevient aux
principes consacrés dans de nombreux accords internationaux.

Nous appelons l’ONU, l’OMS, l’Union européenne, le Conseil de l’Europe et les gouvernements de toutes les nations,

a)
à prendre des mesures immédiates pour mettre fin au déploiement de la
5G sur Terre et dans l’espace afin de protéger l’ensemble de l’humanité,
en particulier les enfants à naître, les nourrissons, les enfants, les
adolescents et les femmes enceintes, ainsi que l’environnement [les
HOMMES aussi, quoi !];

(b) à suivre la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant [FR] et la Résolution 1815 du Conseil de l’Europe [FR]
en informant les citoyens, y compris les enseignants et les médecins,
des risques pour la santé (pour les adultes et les enfants) des
rayonnements RF, et pourquoi ils devraient et comment ils peuvent éviter
les communications sans fil et les bornes, en particulier dans ou à proximité des crèches, des écoles, des hôpitaux, des maisons et des lieux de travail ;

c) à favoriser et mettre en place des télécommunications filaires plutôt que sans fil ;

d)
à interdire l’industrie des télécommunications/du sans fil, par
l’intermédiaire de ses organisations de lobbying, de persuader les
fonctionnaires de prendre des décisions permettant d’accroître
l’expansion du rayonnement RF, y compris la 5G au sol et dans l’espace ;

e)
à désigner immédiatement – sans influence du secteur — des groupes
internationaux de spécialistes des champs électromagnétiques
indépendants et réellement impartiaux, ainsi que des scientifiques de la
santé ne présentant aucun conflit d’intérêts [120],
afin d’établir de nouvelles normes internationales de sécurité pour les
rayonnements RF qui ne reposent pas uniquement sur les degrés de
pouvoir, qui tiennent compte de l’exposition cumulative, et qui
protègent contre tous les effets sur la santé et l’environnement, pas
seulement les effets thermiques ni les seuls effets sur l’Homme ;

f)
à désigner immédiatement — hors de l’influence de l’industrie — des
groupes internationaux de scientifiques spécialisés dans les champs
électromagnétiques, la santé, la biologie et la physique de
l’atmosphère, afin de mettre en place un cadre réglementaire complet
garantissant que les utilisations de l’espace extra-atmosphérique sont
sûres pour l’Homme et l’environnement, en tenant compte des rayonnements
RF, des gaz d’échappement des fusées, de la suie noire et des débris
spatiaux et de leurs effets sur l’ozone [121], le réchauffement climatique [122] l’atmosphère et la préservation de la vie sur Terre. Les technologies terrestres mais aussi spatiales doivent être durables [123] pour les adultes et les enfants, les animaux et les plantes.

Veuillez répondre à l’administrateur d’appel indiqué ci-dessous,

détaillant
les mesures que vous avez l’intention de prendre pour protéger la
population mondiale contre l’exposition aux rayonnements RF, en
particulier le rayonnement 5G. Cet appel et votre réponse seront
accessibles au public sur www.5gSpaceAppeal.org.

Soumis avec respect,

Arthur Firstenberg, administrateur des appels, info@5gSpaceAppeal.org

Signataires initiaux

AFRIQUE

Lauraine
Margaret Helen Vivian, PhD, anthropologie et psychiatrie ; Associée de
recherche honoraire, Faculté de la santé et des sciences médicales,
Université de Copenhague, Danemark. Signataire pour l’Afrique du Sud

ASIE

Girish Kumar, PhD, professeur, département de génie électrique, Institut indien de technologie de Bombay, Powai, Mumbai, Inde

AUSTRALIE

Don Maisch, PhD, chercheur indépendant, auteur de “The Procrustean Approach”, Lindisfarne, Tasmanie, Australie

EUROPE

Alfonso Balmori, B.Sc., maître en éducation à l’environnement, biologiste. Valladolid, Espagne

Klaus
Buchner, Dr. rer. Nat., Professeur, député européen – Membre du
Parlement européen, Association pour la promotion de la jeunesse, Droits
de l’homme et droits de la vie, Munich, Allemagne

Daniel Favre, Dr. phil. nat., biologiste, A.R.A. (Association Romande Alerte aux Ondes Electromagnétiques), Suisse

Annie
Sasco, MD, DrPH, SM, HDR, ancienne chef de l’unité de recherche en
épidémiologie pour la prévention du cancer au Centre international de
recherche sur le cancer (CIRC), Lyon ; ancien chef par intérim du
Programme de lutte contre le cancer de l’Organisation mondiale de la
santé (OMS) ; ancien directeur de recherche à l’Institut national de la
santé et de la recherche médicale (INSERM) ; France

AMÉRIQUE DU NORD

Martin
Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales de base à
la Washington State University, demeurant à Portland, Oregon,
États-Unis

Kate
Showers, PhD, Science des sols, chercheuse principale, Centre pour
l’histoire mondiale de l’environnement, Université de Sussex, Falmer,
Brighton, Royaume-Uni, résidant à Bolton-Est, Québec, Canada

AMÉRIQUE DU SUD

Carlos Sosa, MD, Université d’Antioquia, Medellín, Colombie

SIGNEZ L’APPEL – INDIVIDU   —   SIGNEZ L’APPEL – ORGANISATION

Source : INTERNATIONAL APPEAL Stop 5G on Earth and in Space https://www.5gspaceappeal.org/the-appeal/#fn107b.

Traduction de l’anglais et recherche de documentation française par BibiCabaya (29 janvier 2019).


Autres liens :

NEXT-UP Organization : http://www.next-up.org/ et http://www.next-up.org/Newsoftheworld/2019.php

Robin des Toits (association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil) : 55 rue des Orteaux, 75020 Paris — Tél. : 33 1 47 00 96 33 — Courriel : contact@robindestoits.org — Site : http://www.robindestoits.org.


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[4] 47 CFR § 30.202 – Limites de puissance.

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[7] Gouvernements
et organisations qui interdisent ou mettent en garde contre les
technologies sans fil. Site Web du groupe de travail sur les téléphones
cellulaires. http://www.cellphonetaskforce.org/governments-and-organizations-that-ban-or-warn-against-wireless-technology/. Consulté le 10 juin 2018. Continuellement mis à jour.

[8] Appel interjeté par International Doctors (appel de Freiburger). http://freiburger-appell-2012.info/fr/home.php?lang=EN. Publié en 2012. Consulté le 10 juin 2018.

[9] Appel
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l’appel international des scientifiques de la FEM. https://emfscientist.org/index.php/emf-scientist-appeal.
Publié le 11 mai 2015. Consulté le 10 juin 2018. Au mois de mars 2018,
237 scientifiques de 41 pays dans le domaine des champs
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[72] Ćosić
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électrophysiologique humain à la résonance ELFSchumann et aux champs
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[73] Cohen
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d’acupuncture, les résonances Terre-ionosphère et l’activité cérébrale ?
Actes de la 2e Conférence internationale sur le bio-électromagnétisme,
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[74] Chevalier
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600-621. http://162.214.7.219/~earthio0/wp-content/uploads/2016/07/Effects-of-Earthing-on-Human-Physiology-Part-1.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Des
résultats extrêmement significatifs en EEG, EMG et BVP démontrent que
la restauration du potentiel électrique naturel de la Terre sur le corps
humain (mise à la terre) affecte rapidement les paramètres
électrophysiologiques et physiologiques de l’homme. La rapidité extrême
de ces changements indique un mécanisme physique / bioélectrique plutôt
qu’un changement biochimique.»

[75] Enveloppe
électrique Firstenberg A. Earth. In : The Invisible Rainbow: Une
histoire de l’électricité et de la vie. Santa Fe, NM : Presse AGB ; 2017
: 113-131.

[76] PS
Canon, Rycroft MJ. Variations de fréquence de résonance Schumann au
cours de perturbations ionosphériques soudaines. J Atmos Sol Terr Phys.
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[77] Rapport technique. Institut européen de normalisation des télécommunications; 2007: 7. https://www.etsi.org/deliver/etsi_tr/125900_125999/125914/07.00.00_60/tr_125914v070000p.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Le
mannequin anthropomorphique spécifique (SAM) est utilisé pour mesurer
les performances par rayonnement [et est] rempli de liquide simulant un
tissu.»

[78] Recherche
sur les technologies permettant d’évaluer la conformité aux directives
de protection RF. Laboratoire de compatibilité électromagnétique, Tokyo.
http://emc.nict.go.jp/bio/phantom/index_e.html. Consulté le 18 juillet 2018. «Le
SAR est mesuré en remplissant un liquide fantôme possédant les mêmes
propriétés électriques que celles du corps humain dans un récipient en
forme de corps humain, et en balayant l’intérieur à l’aide d’une sonde
SAR.»

[79] Becker RO, Marino AA. Electromagnétisme et Vie. Albany: Presses de l’Université d’État de New York; 1982: 39. «Les
preuves semblent assez concluantes à l’effet que des courants
électriques continus continus circulent à l’extérieur des neurones
proprement dits dans l’ensemble du système nerveux.»

[80] Nordenström B. Circuits électriques biologiquement fermés. Stockholm: Publications médicales nordiques; 1983.

[81] Nordenström
B. Impact des circuits électriques biologiquement fermés (BCEC) sur la
structure et la fonction. Integr Physiol Behav Sci. 1992; 27 (4):
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[83] ND
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[106] Schreier
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[107] Schroeder
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perspectives des parties prenantes sur le processus de révision de la
26ème ordonnance fédérale sur le contrôle des émissions: résultats de
l’enquête téléphonique menée par le gouvernement fédéral Protection
contre les radiations). Schr / bba 04.02.26536.020. Munich, Allemagne.
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[108] Hallberg
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[109] Déclaration
scientifique internationale de Bruxelles sur l’hypersensibilité
électromagnétique et la sensibilité chimique multiple. Institut ECRI. http://eceri-institute.org/fichiers/%201441982765_Statement_EN_DEFINITIF.pdf. Publié en 2015, consulté le 10 juin 2018.

[110] Suppression des barrières à l’entrée, 47 États-Unis d’Amérique. § 253. https://www.gpo.gov/fdsys/pkg/USCODE-2015-title47/pdf/USCODE-2015-title47-chap5-subchapII-partII-sec253.pdf ; 5G pour l’Europe: un plan d’action. Commission européenne; 2016. http://ec.europa.eu/newsroom/dae/document.cfm?doc_id=17131. Consulté le 10 juin 2018.

[111] Federal
Register – Règles et règlements. 47 CFR, partie 1 [Dossier WT n °
17–79; FCC 18–30] Accélérer le déploiement du haut débit sans fil en
éliminant les obstacles aux investissements dans l’infrastructure. 2018;
83 (86). Consulté le 10 juin 2018.

[112] 5G Pour l’Europe: Un plan d’action. Commission européenne; 2016. http://ec.europa.eu/newsroom/dae/document.cfm?doc_id=17131. Consulté le 10 juin 2018.

[113] PCIA
– The Wireless Infrastructure Association. Modèle d’ordonnance
d’implantation des installations de télécommunications sans fil. 2012.https://wia.org/wp-content/uploads/Advocacy_Docs/PCIA_Model_Zoning_Ordinance_June_2012.pdf. Consulté le 29 juin 2018.

[114] Services mobiles, 47 U.S.C. § 332 (c) (7) (B) (iv). https://www.gpo.gov/fdsys/pkg/USCODE-2016-title47/pdf/USCODE-2016-title47-chap5-subchapIII-partI-sec332.pdf : «Aucun
État ni gouvernement local ni aucun de leurs pouvoirs ne peuvent
réglementer des événements personnels installations de services sans fil
sur la base des effets environnementaux des émissions de fréquences
radioélectriques dans la mesure où ces installations sont conformes aux
règles de la Commission [Federal Communications] concernant ces
émissions»
.
Les tribunaux ont infirmé les décisions réglementaires en matière de
placement des tours de téléphonie simplement parce que la plupart des
témoignages publics était sur la santé.

[115] Cellular Telephone Company v. Ville d’Oyster Bay, 166 F.3d 490, 495 (2nd Cir. 1999). https://openjurist.org/166/f3d/490/cellular-telephone-company-at-v-town-of-oyster-bay. Consulté le 10 juin 2018 .; T-Mobile Northeast LLC c. Loudoun County Bd. of Sup’rs, 903 F.Supp.2d 385, 407 (E.D.Va. 2012). https://caselaw.findlaw.com/us-4th-circuit/1662394.html. Consulté le 10 juin 2018.

[116] Vogel G. Une tempête à venir pour le sans fil? TalkMarkets. Juillet 2017. http://talkmarkets.com/content/stocks–equities/a-coming-storm-for-wireless?post=143501&page=2. Consulté le 13 septembre 2018.

[117] Swiss Re: SONAR – Nouvelles perspectives sur les risques émergents. Juillet 2014: 22. http://media.swissre.com/documents/SONAR_2014.pdf. Consulté le 10 juin 2018. «Un
niveau croissant d’interconnectivité et la prévalence croissante des
systèmes de guidage et de retour numériques créent également de
nouvelles vulnérabilités. Celles-ci pourraient impliquer des effets en
cascade avec des dommages multiples ainsi que des interruptions durables
si les problèmes s’avéraient complexes et / ou difficiles à réparer.
L’interconnectivité et la génération permanente de données suscitent des
inquiétudes quant à la confidentialité des données, et l’exposition aux
champs électromagnétiques peut également augmenter.»

[118] Albert Einstein, lettre à Max Born, le 4 décembre 1926.

[119] Technologie de refus actif. Programme d’armes non létales. https://jnlwp.defense.gov/Press-Room/Fact-Sheets/Article-View-Fact-sheets/Article/577989/active-denial-technology/. Publié le 11 mai 2016. Consulté le 10 juin 2018.

[120] Les
conflits d’intérêts sont fréquents dans le passé. Par exemple, la
Commission européenne (2008/721 / CE) a nommé des membres du SCENIHR
soutenant le secteur, qui ont soumis à l’UE un rapport trompeur du
SCENIHR sur les risques pour la santé, qui donnait carte blanche à
l’industrie des télécommunications pour irradier les citoyens de l’UE.
Le rapport est maintenant cité par les agences de radioprotection de
l’UE. Un autre exemple est le programme américain de toxicologie
nationale qui a passé un contrat avec la Fondation IT’IS, financée par
l’ensemble du secteur des télécommunications, pour concevoir, construire
et surveiller l’installation d’exposition dans le cadre d’une étude de
25 millions de dollars réalisée sur deux ans. Téléphones. Il a par la
suite produit un rapport trompeur qui est maintenant cité par des
responsables de l’industrie aux États-Unis.

[121] Ross
M, Mills M, Toohey D. Impact potentiel sur le climat du carbone noir
émis par les roquettes. Geophys Res Lett. 2010 ; 37 : L24810. https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/pdf/10.1029/2010GL044548. Consulté le 17 juin 2018.

[122] Ross MN, PM Schaeffer. Forçage radiatif causé par les émissions des moteurs de fusée. L’avenir de la Terre. 2014 ; 2 : 177-196. https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/2013EF000160. Consulté le 17 juin 2018.

[123] Callicott
JB, Mumford K. La durabilité écologique en tant que concept de
conservation. Biologie de la conservation. 1997 ; 11 (1) : 32-40. https://www.sierraforestlegacy.org/Resources/Community/Sustainability/SY_CallicottMumford1997.pdf. Consulté le 20 juin 2018.




L’Esprit du Cœur et le Cœur de l’Esprit

[Source : Urantia Gaïa]

L’Esprit du Cœur et le Cœur à l’Esprit

Publié le 3 janvier 2019 par Le Passeur

Par Le Passeur.

Il
n’est pas toujours aisé d’avoir une lecture mentale claire de ce qui
est en train d’émerger, tant convergent en ce point précis de
l’espace-temps une multitude de chaînes de paramètres, dont certaines se
sont formées très loin dans le temps.

Tout nous
ramène donc en nous pour ressentir en profondeur que ce qui se joue
aujourd’hui en France a une dimension bien plus vaste que ce qu’il n’y
paraît encore. Et quelle que soit la vitesse de progression des
événements à venir, leurs temps d’arrêt, leurs soubresauts, leurs
changements de direction et leur apparente anarchie, quelle que soit
l’illusion des victoires des uns et des défaites des autres, il se lève
une lame de fond où il n’y aura plus ni victoire ni défaite, mais, dans
un moment assez proche, juste la Conscience dans sa pleine lucidité et
sa pleine intelligence. Après quoi, plus rien ne sera comme avant.

Ce
que nous en voyons pour le moment n’est que la petite partie visible
d’un changement de Conscience extrêmement profond qui remue les êtres
sans qu’ils aient forcément eux-mêmes la compréhension de ce qu’ils
vivent au fond d’eux. L’aspect social collectif noie d’ailleurs un peu
plus cette compréhension profonde et intime de ce qui s’éveille en
chacun. Cette confusion aura un temps, plus bref qu’on ne pourrait
croire, tant que l’Homme se contentera des apparences et incarnera le
conditionnement qu’il a reçu à croire que le pouvoir sur sa vie n’est
pas dans ses seules mains.

Pour mieux nous guider,
nous devons avoir à l’esprit les choses concrètes liées à ce qui est
encore, mais de moins en moins, dissimulé.

Les
puissances occultes dirigent ce monde, en aucun cas les valets à qui les
Hommes pensent confier leur pouvoir. N’entendez pas par là que la
puissance occulte ne se situe qu’en-dehors du monde matériel, encore que
les forces qui sourcent ces pouvoirs œuvrent, elles, bien en-dehors de
la densité. Le pouvoir dont je parle est celui de quelques initiés
humains et non-humains, regroupés en des dynasties, entourés de tribus
asservies mais profitant des privilèges qu’ils leur octroient.

Au
regard de l’humanité, cela représente bien peu de gens concentrant
beaucoup de pouvoir, mais tant que les Hommes n’auront pas compris que
ceux-là n’ont aucune bienveillance pour eux, ils auront tout pouvoir
d’exercer leur mainmise grâce à cette faiblesse. Parlons donc de choses
concrètes. Pour eux, la couleur politique des dirigeants ou des Nations
n’a aucune importance, ce n’est qu’un leurre pour donner aux populations
ignorantes l’impression qu’elles ont la décision, ils maîtrisent tout
des nations qui représentent un levier de pouvoir et exploitent sans
vergogne les autres.

Maîtriser tout des nations
riches et influentes signifie que rien n’y est laissé hors de contrôle.
On y détruit toute forme d’individuation en la diabolisant dans l’esprit
des gens puis en appliquant les mesures propres à l’annihiler. Ce au
niveau des Nations en détruisant politiquement, économiquement et
culturellement ce qui a fait leur substance et en les asservissant à des
organismes internationaux qui n’appartiennent qu’à quelques uns, mais
aussi au niveau des êtres humains en alimentant le stress permanent, la
confusion des genres et tout ce qui peut affaiblir l’identité et la
pensée par soi-même. On y pousse là à l’abêtissement organisé, via
l’éducation des enfants, l’abrutissement et le conditionnement par les
médias grand public, l’affaiblissement de la conscience via les ondes
(écrans, wi-fi, 3G, 4G, 5G, etc.), l’empoisonnement par adjuvants de
l’eau du robinet, de la chimie médicamenteuse, de la nourriture
industrielle et de l’air, par les épandages chimiques destinés aussi à
nous voiler de plus en plus la lumière solaire qui transmet massivement
en ce temps du cycle cosmique des particules propices à stimuler
l’Éveil.

Mais encore à travers le consumérisme
forcené qui est devenu une véritable hypnose collective et qui
entretient le système d’esclavage des nations pauvres, avec la
complicité d’êtres corrompus imposés à leur tête. Ainsi demandez-vous
par exemple d’où viennent les terres rares nécessaires aux batteries
perfectionnées du dernier smartphone tant attendu ? Qui va vouloir
savoir qui sont les enfants des pays d’Afrique qui extraient et portent
ces matériaux en mangeant un jour sur trois quand tout va bien ? Nations
pauvres où quelques pays riches créent et entretiennent les guerres,
les maladies, la misère, l’esclavage et les pires trafics, dans
l’ignorance choisie des populations qui n’ont plus la capacité de penser
par elles-mêmes ou n’ont plus la volonté de prendre leurs
responsabilités.

Loin
de moi l’idée de vouloir ici tenter de culpabiliser qui que ce soit, la
solution n’est pas là. La solution c’est de se réveiller du long
sommeil du théâtre de cette humanité qui n’en est pas encore une mais
qui va le devenir. Et dans un premier temps, prosaïquement, d’informer
tout autour de soi et de prendre conscience que le monde où nous vivons
est la proie de forces obscures agissant sur plusieurs dimensions,
d’informer autrui afin que l’ignorance se dissipe et, pleinement
conscient de cela, ce qui est capital, conserver la paix en soi, sans
aucune vindicte, sans aucune violence, mais en ouvrant son cœur à
l’Amour de la Vie qui vibre en chaque homme et en sachant encore voir et
soutenir en ces êtres sombres l’étincelle de lumière qui ne peut pas
par nature ne pas exister.

L’information est la
seule arme qu’ils craignent, car elle éveillera le cœur et le cœur de
l’Homme les dévastera, sans les tuer, mais en leur tendant la main.


est la véritable force de l’Homme, dans l’Amour dont il est capable, un
amour loin des considérations mielleuses et du déni de cette part
sombre qui cherche à détruire ce qu’il a de meilleur en lui.

Pour
répondre à certains qui s’en sont étonnés, c’est une des raisons pour
lesquelles je dénonce souvent le petit monde du new âge, qui au lieu de
nous asséner les canalisations du peuple des lombrics ou je ne sais
quelle autre plaisanterie astrale, ferait mieux de voir en face ce
qu’est le piège qui s’est tissé en ce monde dense et inciter chacun à
reprendre sa souveraineté, en connaissance de cause et dans la pleine
force de la paix et de l’amour qui règnent en-dehors des vicissitudes de
nos incarnations ici-bas et de nos désincarnations dans la matrice
astrale.

Nous sommes tous potentiellement des
êtres puissants. Mais voilà… potentiellement. Et comment ce potentiel
peut-il émerger dans nos réalités sans un maximum d’effort sur soi-même,
une véritable volonté de déconditionnement de soi et une vigilance
quotidiennement soutenue ? Certes nous avons le potentiel de déjouer les
pièges si nous sommes suffisamment honnêtes envers nous-mêmes, pour
autant sous-estimer leur redoutable efficacité serait une grave erreur.
Comme je l’ai déjà dit nous jouons dans cette matrice avec un adversaire
qui a plusieurs coups d’avance sur nous, pour la simple et bonne raison
qu’il a la connaissance occultée, qu’il a les moyens d’explorer le
futur, ou tout au moins les lignes du Temps possibles et qu’il a parmi
nous tous énormément d’alliés, conscients ou non, infiltrés au plus
près.

L’année 2019 va très certainement être
cruciale, à la fois difficile sous certains aspects, mais aussi,
épanouissante. Le mouvement social né en France et qui s’exporte au
moment où j’écris ces mots dans déjà une trentaine de pays, est à double
tranchant.

Il est à la fois légitime et porteur
d’un éveil attendu et nécessaire, mais il est aussi voulu et attendu par
les forces occultes qui ont pressé leurs bras armés d’accroître
toujours plus la pression sur le peuple gaulois pour l’amener à
s’insurger. Je l’ai dit, il y a un cycle planétaire qui a commencé ici
et qui doit s’achever ici.

A présent que cela a
commencé, malgré les déclarations hypocrites et les effets de manches,
les décisions prises au niveau de l’État vont pour l’instant toutes dans
le sens d’accroître la pression, que ce soit à travers la violence
policière disproportionnée, mais ordonnée, les peines judiciaires
prononcées par les tribunaux, les arrestations abusives, les multiples
viols de la Constitution. Les discours politiques jusqu’au plus haut
niveau et les dernières sanctions prises contre les chômeurs assimilés à
des délinquants, poussent clairement à un durcissement de la rébellion.
Attention à la façon de répondre à ces provocations.

Car
tout ceci n’est pas que le fruit d’une incompréhension ou d’une pulsion
totalitariste, tout ceci est ordonné pour conduire vers une guerre
civile si le peuple répond dans la violence, l’instauration de la loi
martiale et cimenter ainsi les fondations du Nouvel Ordre Mondial
totalitariste qu’ils ont organisé au plus haut niveau des États depuis
plusieurs décennies déjà.

Là où le pouvoir du
Maître ne s’exerce que dans la bienveillance et le respect du Vivant, le
pouvoir de l’ego est toujours plus avide de pouvoir pour la jouissance
du pouvoir et les richesses qu’elles lui octroient.

Pour ajouter à la confusion, des attentats à venir sous fausse bannière sont programmés, comme il y en a déjà eu tant, pour attiser comme jamais les peurs et diviser les populations, d’ailleurs certaines informations que je pense assez fiables sont consultables à ce sujet. D’autres événements, plus traumatiques encore, viendront probablement selon la réponse des peuples. Le quotidien, lui, est déjà ponctué partout dans le monde d’attentats perpétués par des individus solitaires sous contrôle mental (voir projets Montauk et Monarch).

La
confusion toujours, est largement alimentée par les combats inventés de
toutes pièces sur les questions écologiques. Sujet tabou. Tant de gens
s’émeuvent, se divisent et se mobilisent pour des causes justes à
travers des idées fausses que c’en est devenu, en plus d’une source de
richesses et d’énergie, un grand amusement pour ceux qui tirent les
ficelles.

Comment faut-il encore convaincre que
les changements climatiques à l’œuvre sont des cycles naturels en grande
partie liés à l’activité de notre soleil ? Qu’il n’y a contrairement à
ce que qu’en dit la presse, aucun consensus scientifique autour des
affirmations du GIEC quant au réchauffement climatique global, à la
responsabilité du CO2 et par voie de conséquence à la production de CO2
par l’homme ? Que bien au contraire, les preuves scientifiques
s’accumulent pour démontrer le très faible impact de l’homme sur la
production de CO2 dans l’atmosphère, qu’il n’y a pas de réchauffement
global mais un bouleversement des équilibres climatiques aux
conséquences locales différentes ? Que c’est l’ensemble du système
solaire qui est en proie à ces modifications climatiques… et j’en
passe ?

Mieux encore, Les observations et les
calculs des scientifiques Karl Zeller et Ned Nikolov, maintes fois
vérifiés par la communauté scientifique et donc confirmés à ce jour à
chaque nouvelle vérification, démontre que le dioxyde de carbone n’est
pour rien dans la chaleur d’une atmosphère, pas plus sur Terre que sur
Vénus. Qu’il n’y a donc pas d’effet de serre mais que c’est la
compression des gaz sous le poids de l’atmosphère qui détermine la
température ambiante. Autrement dit, le CO2 n’est pour rien dans la
température de notre climat.

Et si on pousse un
peu plus loin, on découvrira que la théorie des gaz à effet de serre,
qui date de 1986 et qui est devenue depuis une religion médiatique, n’a
elle-même jamais été scientifiquement validée… J’ajouterai enfin que les
climats et la sismologie sont de surcroît partiellement sous contrôle
des marionnettistes de ce monde.

Et pourtant
malgré tout cela, certains, animés de bons sentiments, mais naïfs et
servant malgré eux les intérêts financiers qui les manipulent, prônent
des technologies dont ils n’ont pas creusé la connaissance en ignorant
encore que leur mise en œuvre suscite toujours plus d’exploitation et de
destruction des ressources de la Terre.

Il n’y a
que l’énergie libre, qui est maîtrisée depuis plus d’un siècle dans le
cycle de notre histoire récente, qui est la solution à ces problèmes.
Encore un peu de patience, elle va se libérer des mains qui l’enferment.

En
attendant, ce sujet du climat, qu’il est tabou de remettre en question,
est une manipulation de plus propre à dresser les hommes les uns contre
les autres, à les affaiblir et à s’enrichir sur leur dos à force de
taxes et de marchés économiques fallacieux et corrompus.

Ce qui bien entendu, n’enlève rien à la profonde responsabilité que l’Homme doit avoir en chaque instant et en toute circonstance auprès du Vivant sous toutes ses formes. Par sa place et sa capacité destructrice, il a l’obligation sans compromis de préserver la Terre, ses océans, ses forêts et l’ensemble du Vivant qu’elle héberge. Ce qu’il est loin d’assumer à ce jour.

Toutes ces actions de
tromperie et de manipulation des Hommes, que je crois nécessaire de
citer à titre d’exemple, ne sont là que pour pousser le peuple à
incarner dans la haine et la violence le rite occulte souhaité par ceux
qui agissent dans l’ombre afin de l’asservir pleinement. Et la seule
bonne réponse du peuple, qui je le sais est véritablement possible, est
une réponse massive et déterminée, dans une totale non-violence quelles
que soient les provocations. Ce qui demande un dépassement de chacun,
dont chacun j’en suis sûr est capable.

Comme
l’aspect occulte échappe à la presque totalité de ceux et celles qui
aujourd’hui commencent à se lever, le danger est réel de servir le plan
occulte dans l’ignorance de l’existence de celui-ci.

Si quelques uns doutent, qu’ils se souviennent de ce que je disais récemment à propos du rite dont était lui-même victime le Président français, façonné par ceux qui l’ont mis en place. Et qu’ils stimulent leur perplexité en constatant ce qu’il faisait lors du premier week-end du soulèvement à Paris. Ils verront qu’il était à Bruxelles où la famille royale belge l’a emmené visiter la restauration d’une toile au Musée des Beaux Arts. Et quelle était cette toile ?.. L’Agneau mystique des frères Van Eyc… où l’agneau est sacrifié.

Certains n’y verront rien, d’autres une
coïncidence et d’autres percevront les concordances habituelles de la
sombre alchimie à l’œuvre. Je n’en ferai pas plus de commentaires.

Les mois et le peu d’années qui viennent sont ces temps tant attendus de la Fin des Temps, qui ouvriront un tout autre cycle. Je ne peux faire autrement que vous inviter à lire ou relire ces écrits de Bernard de Montréal que j’avais publiés en 2015, d’une actualité salutaire. Que chacun se souvienne que nous sommes la clé de ce que nous allons vivre, que nous ne sommes victimes de rien, si ce n’est nos peurs illusoires, que nous sommes souverains et que de là, de notre Vivant, nous n’avons rien à craindre et tout en nous à Réaliser.

Fraternellement,

© Le Passeur – 3 Janvier 2019 – http://www.urantia-gaia.info > Cet article est volontiers autorisé à la diffusion à la seule condition de ne pas l’associer à une démarche commerciale, de respecter l’intégralité du texte et de citer la source.

Cette série d’articles est réunie dans la rubrique « L’Eveil ».




Une conférence sur l’électrohypersensibilité truffée de sommités médicales

[Source : La maison du 21e siècle]

Auteur : André Fauteux

Lyn Patrick ND

Après de nombreuses années de pratique et d’enseignement de la médecine environnementale aux médecins allopathes, la docteure en naturopathie américaine Lyn Patrick ND est soudainement devenue un cas clinique lorsqu’elle a perdu sa tolérance aux champs électromagnétiques (CEM). Des picotements aux doigts, des acouphènes (bourdonnements dans les oreilles) et d’autres symptômes révélateurs l’ont soudainement sensibilisée à la question des CEM. C’est l’une des raisons pour lesquelles l’experte de la surcharge chimique, de l’intoxication par les moisissures et des maladies infectieuses est fière coprésidente — avec la Dre Lisa Nagy — de la conférence médicale Diagnosing and Treatment : Effects of Electromagnetic Fields Exposure (Diagnostic et traitement : effets de l’exposition aux champs électromagnétiques), qui aura lieu du 6 au 8 septembre 2019 à Santa Cruz, en Californie.

L’électrohypersensibilité s’améliore à 85 % avec un bon traitement axé d’abord sur la réduction de l’exposition aux ondes, a démontré le Dr WJ Rea dès les années 1990.

Cet événement truffé de sommités médicales est organisé en mémoire de son instigateur, le chirurgien cardiothoracique William (Bill) J. Rea, décédé en août dernier après une brillante carrière à l’Environmental Health Center – Dallas
(EHC-D), centre mondialement reconnu qu’il avait fondé en 1974. Tout a
commencé après que son fils et plus tard le Dr Rea lui-même ont été
empoisonnés par une surexposition à des pesticides. Ils furent traités
par le Dr Theron Randolph,
le célèbre allergologue qui a fondé l’Académie américaine de médecine
environnementale en 1965 et qui allait devenir son mentor. En 1991, le Journal of Bioelectricity publiait une étude historique de provocation (Electromagnetic Field Sensitivity ou Sensibilité
aux champs électromagnétiques) dirigée par le Dr Rea. Celle-ci
confirmait pour la première fois que l’électrohypersensibilité (EHS)
était un véritable problème de santé déclenché par les CEM.

5G : des conséquences dévastatrices

« En avril 2018, Bill Rea a prononcé un discours lors du symposium sur la santé environnementale que je dirige, a raconté la Dre Patrick dans une interview disponible sur notre chaîne YouTube. Il est venu vers moi et m’a dit : « J’ai vraiment besoin de ton aide pour organiser une conférence sur les CEM, car il y aura un déploiement de fréquences 5G [la technologie cellulaire de cinquième génération] et cela aura des conséquences dévastatrices sur la santé publique ». Bien sûr, j’ai été honorée et j’ai dit oui. Nous devons informer les prestataires de soins de santé à ce sujet. » [Lire Un futur sans fil 5G, signé par le médecin californien Cindy Russell.]

Cette
conférence réunira des sommités en matière de CEM et de santé, qui
enseigneront aux médecins l’art stratégique de détecter et de traiter
les effets des rayonnements électromagnétiques de basses et hautes
fréquences. Les CEM agissent en synergie avec les polluants biologiques
et chimiques, un facteur critique de maladie négligé par la plupart des
médecins et autres professionnels de la santé, selon la Dre Patrick.
« Je suis à jamais frustrée par les médecins qui donnent des produits
miracles de désintoxication à leurs patients, sans même comprendre
quelles sont les expositions que les gens doivent éviter; alors, ils
continuent simplement de s’exposer. C’est bon pour les médecins, non?
Ils gagnent beaucoup d’argent en traitant des personnes pendant de
longues périodes, sans faire de la médecine environnementale de manière
éthique. »

La Dre Stephanie McCarter, qui a travaillé pendant 15 ans avec le Dr Rea au sein de l’EHC-D, y poursuit son héritage avec son nouveau propriétaire, la Dre Elizabeth Seymour, spécialiste de la médecine familiale et fonctionnelle. Toutes deux compteront parmi les orateurs de classe mondiale présents à Santa Cruz. Elles parleront notamment de l’importance de faire l’historique de l’exposition environnementale de leurs patients et des outils de diagnostic et de traitement de pointe qu’elles utilisent. Un bon exemple est le test de provocation-neutralisation qui permet de détecter et de neutraliser les déclencheurs de multiples hypersensibilités alimentaires, microbiennes et chimiques, ainsi qu’aux pollens, moisissures, métaux et implants. Des conditions communes à la grande majorité de leurs patients.

La santé est environnementale à 75 %

La plupart des patients qui arrivent à EHC-D sont dans le même état critique que la Dre
McCarter a vécu en 2000, lorsqu’elle a consulté le Dr Rea après que 10
autres médecins n’eurent pas réussi à l’aider. Il découvrit rapidement
qu’elle avait été empoisonnée par des moisissures et des pesticides dans
ce qu’elle pensait être une maison de rêve, dans l’Indiana, sans parler
d’une mauvaise réaction aux anesthésiques utilisés lors d’un
accouchement par césarienne. « Je n’ai jamais appris cela à l’école de
médecine. Nous traitions seulement les symptômes avec des médicaments…
La première fois que je suis entrée dans sa clinique, mes symptômes
persistants ont commencé à disparaitre. Cela m’a aidé à comprendre une
des choses les plus importantes que Dr Rea enseignait, soit que 75 % du
traitement médical devrait être axé sur le contrôle de
l’environnement. »

Selon la Dre McCarter (visionnez notre entrevue sur YouTube), EHC-D est probablement la seule clinique au monde qui présente des niveaux de composés organiques volatils cinq fois plus faibles que la norme et une salle de provocation protégée des CEM où les patients peuvent être soumis à un test EHS et se remettre d’une surexposition aux radiations. La plupart des patients qu’elle voit sont tellement accablés par des années de lésions environnementales qu’il faut plusieurs jours pour que leurs symptômes immunitaires, neurologiques et autres se calment dans cet environnement vierge. Beaucoup ne peuvent même pas prendre de vitamines ni de suppléments, car ils y réagissent.

Lyn
Patrick explique : « Ils ont perdu leur capacité à différencier le
non-soi — ce qui ne fait pas partie du corps humain — qui est sans
danger de celui qui est dangereux. Comme Bill Rea le disait, cette perte
de tolérance représente une étape cruciale dans le développement des
maladies environnementales. Donc, ces personnes ont depuis longtemps
perdu leur tolérance. La guérison s’avère un processus très spécifique
consistant à les aider à commencer à se détoxifier dans un environnement
sûr et à tolérer lentement les intrants de nutrition et de botanique
ainsi que certains médicaments. »

La Dre Lisa Nagy,
coprésidente de l’EMF Conference, est une spécialiste en médecine
d’urgence qui pratique à Boston, dont le Dr Rea a également sauvé la
peau. « Elle se passionne pour la reconnaissance de
l’électrohypersensibilité et collabore avec des organismes fédéraux tels
que le ministère des Anciens Combattants et l’Institut national des
sciences de la santé environnementale (NIEHS), un sous-groupe des
Instituts nationaux de la santé. En fait, elle a aidé à mettre en place
une conférence avec le NIEHS que l’on peut visionner sur le Web. Elle est l’un de nos grands leaders. »

À
l’instar de la Dre McCarter et de nombreux autres patients atteints de
MCS et d’EHS, la Dre Nagy est devenue électrohypersensible après avoir
été affectée par la moisissure et le galvanisme oral (les plombages au
mercure et autres métalliques en bouche agissent comme des antennes et
peuvent libérer des poisons dans le corps). « D’après les recherches qui
seront présentées par nos collègues européens, nous savons que les
personnes exposées aux mycotoxines résultant de dégâts d’eau et de la
moisissure sont beaucoup plus à risque d’être sensibles à l’exposition
aux CEM », explique la Dre Patrick.

Un programme d’avant-garde

Les autres orateurs célèbres de l’EMF Conference seront :

  • La toxicologue canadienne Magda Havas PhD, dont les recherches novatrices portent notamment sur l’électrothérapie, l’électricité sale, les courants terrestres et d’autres types de champs électromagnétiques qu’elle a notamment associés à des risques accrus de maladies neurologiques et cardiaques ainsi qu’au diabète.
  • Erica Mallery-Blythe MD, urgentologue britannique et fondatrice de l’organisme Physicians’ Health Initiative for Radiation and Environment (Initiative de santé des médecins pour le rayonnement et l’environnement).
  • Le neuroscientifique suédois Olle Johansson PhD, auteur de plus de 600 communications scientifiques, qui a inventé le terme « dermatite de dépistage », une condition développée par des personnes qui avaient passé de longues heures devant des terminaux d’affichage vidéo ou qui avaient été exposées à des radars ou autres radiofréquences. Ses recherches ont permis à la Suède de reconnaître la déficience fonctionnelle EHS. De plus, en 2000, les pays nordiques ont classé ‘l’intolérance électromagnétique’ parmi les“conditions dont l’étiologie est attribuée à des facteurs environnementaux – mécanismes pas encore compris ». Contrairement à ce que l’Organisation mondiale de la santé a écrit en 2005, le Conseil nordique des ministres a déclaré que ses symptômes  « disparaissent dans des environnements non électriques ».
  • L’épidémiologiste américaine Devra Davis PhD, présidente de l’Environmental Health Trust et auteure à succès (The Secret History of the War on Cancer, When Smoke Ran Like Water et Disconnect: The Truth about Cell Phone Radiation). Conseillère auprès du président Clinton en matière de risques chimiques, elle fut directrice fondatrice du Conseil sur les études environnementales et la toxicologie, au Conseil national de recherche américain, ainsi que du Centre d’oncologie environmentale de l’Institut du cancer de l’Université de Pittsburgh.
  • Dr Dominique Belpomme MD, oncologue français, responsable de l’Association pour la recherche sur le traitement du cancer et de l’Institut européen de recherche sur le cancer et l’environnement. Depuis 2008, son équipe médicale a étudié plus de 700 patients européens atteints d’hypersensibilité électromagnétique et/ou chimique. Il a mis au point des méthodes de diagnostic de l’EHS (qu’il préfère désigner comme syndrome d’intolérance aux CEM) basées sur des tests sanguins et d’urine et une échographie Doppler pulsée du cerveau. Ses recherches ont montré que les personnes souffrant d’hypersensibilité chimique et électromagnétique avaient « des biomarqueurs très similaires dans le sang et dans l’urine, reflétant une très grave inflammation », a expliqué la Dre Lyn Patrick.
  • Dr Victoria Dunckley MD, pédopsychiatre intégrative américaine maintes fois primée. C’est une sommité de l’impact du temps passé devant un écran sur la santé et le développement du cerveau. Elle est une voix influente en ce qui concerne l’impact des écrans sur les troubles psychiatriques, la dépendance et la surmédication chez les enfants.
  • La professeure espagnole de médecine Pilar Muñoz-Calero, directrice médicale de l’hôpital ambulatoire Alborada et codirectrice de la Chaire de pathologie et de l’environnement de l’Université Complutense de Madrid. Spécialisée en pédiatrie, néonatologie, stomatologie et médecine de la toxicomanie, elle pratique également la médecine de l’environnement et est membre de l’International Lyme and Associated Diseases Society.
  • Dre Toril Jelter MD, pédiatre et médecin généraliste d’origine norvégienne. Dans le cadre de ses recherches sur les effets nocifs des rayonnements faites depuis plus de 30 ans, elle a mis au point le « Protocole No/Low EMR » visant à calmer le comportement des enfants atteints de TDAH ou d’autisme en réduisant leur exposition aux CEM. Ce protocole est disponible sur le site Web Electronic Silent Spring.
  • Dr Gunnar Heuser MD, toxicologue d’origine allemande, formé en médecine expérimentale et en chirurgie avec le pionnier du stress Hans Selye, à l’Université de Montréal, ainsi qu’en neurophysiologie et en médecine légale. Longtemps professeur de médecine à l’Université de la Californie à Los Angeles et membre de son Institut de recherche sur le cerveau, cet octogénère se spécialise désormais dans le traitement de patients sensibles aux champs électromagnétiques. Le Dr Heuser a publié de nombreux ouvrages sur les effets des produits chimiques toxiques et des CEM sur le cerveau et la fonction immunitaire.
  • Dre Sharon Goldberg MD est une spécialiste en médecine interne intégrative. Ancienne professeure de médecine à New York et à Miami, elle est spécialisée dans le traitement des maladies liées à l’environnement, y compris l’EHS, que les Soviétiques ont baptisé « syndrome des micro-ondes » dans les années 1960. Elle est membre du comité de rédaction de la revue scientifique Electromagnetic Biology and Medicine.
  • Dre Kalpana Patel MD est une légende américaine en médecine environnementale. Interniste et gastroentérologue, elle est fondatrice et directrice de l’Environmental Health Center-Buffalo et ancienne présidente de l’American Academy of Environmental Medicine. Elle a reçu le prix du médecin de l’année 2004 et de nombreux autres prix nationaux et internationaux, notamment pour ses travaux sur les effets dévastateurs sur la santé des habitants de Love Canal (New York), bâti sur une décharge de rebuts industriels toxiques et où 950 familles ont dû êtres évacuées en 1978.
  • Peter Sierck, hygiéniste industriel et baubiologue (biologiste du bâtiment) d’origine allemande, menant des enquêtes sur la qualité de l’air intérieur et l’environnement dans les bâtiments depuis 1986. Formé en Baubiologie en Allemagne, il a été l’un des premiers instructeurs américains en biologie du bâtiment, y compris les enquêtes de champ électromagnétique.

Enfin,
un panel d’intervenants sur les politiques publiques interviendra le
samedi 7 septembre. Il sera constitué de Cece Doucette, Theodora
Scarato, Elizabeth Kelley, la Dre Cindy Russell, la Dre Erica Mallery
Blythe et Peter Sullivan.

Je suis très impressionné par la qualité
de ces admirables conférenciers réunis par les organisateurs de la
conférence, dont la directrice Pam Chaloult, qui a produit et animé des
centaines de conférences sur le changement social.

Au plaisir de vous en parler dans notre numéro d’hiver 2020 ainsi que sur notre chaîne YouTube cet automne.

https://emfconference.com/




Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale

[Source : Bourgoin Blog]

A côté de la société de demain, le
cauchemar d’Orwell risque fort de ressembler à une aimable plaisanterie.
Dans l’indifférence générale, l’oligarchie est en train de dresser les
plans d’un monde totalement transparent où nul citoyen ne pourra
échapper au regard intrusif de l’État. Et ses deux piliers sont déjà en
place : la puce RFID sous-cutanée et le paiement digitalisé.

Vivre avec une puce électronique sous la
peau, c’est désormais possible et même recommandé à en croire ses
promoteurs. Le stockage de données personnelles  permettrait d’améliorer
nos capacités d’êtres humains par la biotechnologie et d’optimiser
notre rapport à l’environnement, en bref nous faciliter la vie et nous
rendre plus efficaces. Plus besoin de badge pour s’identifier, de code
pour déverrouiller son smartphone ou son ordinateur ni de carte bancaire
pour payer.

Le paiement sans contact qui acte de la
disparition programmée des espèces est vanté par des arguments du même
type : commodité et économie. Epargner les frais de la traque de la
fausse monnaie ou les coûts de fonctionnement des distributeurs de
liquidités, entraver les opérations illicites (drogue, prostitution,
commerce des armes, évasion fiscale et travail au noir) et faciliter les
paiements sont les principales raisons avancées par les décideurs
financiers et politiques.

Mais, dans les deux cas, il s’agit surtout de préparer les esprits à ce qui sera demain la norme quand les pouvoirs publics rendront le puçage obligatoire, interdiront tout paiement en liquide ou rendront impossible le stockage personnel d’espèces tandis que les établissements bancaires taxeront les dépôts ou ponctionneront les comptes des particuliers.

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Pratiqué aux Etats-Unis depuis une dizaine d’années, le puçage cutané s’étend rapidement en Europe. Certaines entreprises suédoises proposent déjà l’implant de puces à leurs employés afin de les rendre plus productifs et en Espagne elles servent de moyens de paiement dans certaines discothèques. Mais l’affichage promotionnel du procédé cache mal sa finalité réelle. Les volontaires de ce marquage électronique dernier cri sont en réalité les cobayes d’un projet d’envergure qui vise ni plus ni moins qu’à rendre l’individu totalement transparent et à le livrer pieds et poings liés aux dispositifs de surveillance et de contrôle.

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Identifier et suivre les objets

La technologie RFID (Radio Frequency Identification) permet d’identifier un objet ou un être vivant, d’en connaître les caractéristiques et d’en suivre le cheminement, le tout à distance et sans contact, grâce à une étiquette émettant des ondes radio, attachée ou incorporée à l’objet. Les informations sont stockées sur le produit où l’étiquette est collée ou implantée, et transmises au lecteur RFID par ondes radio. La RFID est utilisée pour la traçabilité de certains produits ou objets, l’identification des animaux d’élevage (remplaçant le tatouage) ou des individus (par stockage des données biométriques dans les badges électroniques, passeports, cartes d’identité, de paiement ou d’assurance maladie, titres de transport ou permis de conduire). De plus en plus présentes dans la vie quotidienne, leur usage est amené à s’étendre toujours plus car il est encouragé par les pouvoirs publics. Plusieurs pays européens imposent ainsi la pose de puces sous-cutanés pour l’identification des animaux domestiques et, en France, des maternités proposent des bracelets électroniques visant à prévenir l’enlèvement des nourrissons.

Une technologie à hauts risques

Certains dangers liés à l’usage de la RFID ont déjà été relevés. Si elle ne permet pas théoriquement la surveillance continue des individus, contrairement aux GPS dont sont pourvus les smartphones, l’ensemble des données à caractère personnel contenues dans les puces RFID que nous utilisons, souvent à notre insu, pourrait permettre par recoupement une identification à distance des personnes et de leur pratiques de consommation. De plus, le piratage est toujours possible : ces ondes étant rarement cryptées, il est très facile de les intercepter et même de les copier sur un autre support, et ainsi d’usurper l’identité d’autrui. Et rien n’interdit d’y placer des “cookies”, comme ceux qu’envoient les sites web, afin de suivre à la trace le trajet des objets ou des personnes ainsi identifiés. Le risque de traçabilité des individus et le faible niveau de protection de leurs données personnelles ont suscité l’inquiétude de la CNIL.

L’aspect sanitaire pose également problème, la dangerosité des ondes électromagnétiques émises par ce nouveau procédé s’ajoutant à celle des ondes déjà présentes dans la téléphonie mobile et les systèmes Wi-Fi. Ainsi, un rapport de l’AFSSET déconseille une exposition continue aux ondes de la RFID et préconise une distance minimale d’au moins 20 centimètres, deux recommandations bafouées par le procédé de l’implantation cutanée. De fait, de nombreuses études révèlent déjà un lien entre implant et survenue de cancers et au vu de leurs résultats on peut légitimement penser que cette nouvelle technique sera l’un des prochains scandales sanitaires.

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La société sous l’oeil des puces

Mais le danger principal est surtout d’offrir aux récents projets de surveillance généralisée des populations un outil parfaitement adapté et efficient. Implanté dans le corps de l’individu, la RFID devient l’instrument de contrôle social sans doute le plus redoutable jamais conçu. Le stockage quasi-illimité des données personnelles permet de l’identifier à distance, de savoir (presque) tout de lui et de le suivre dans tous ses déplacements. Le gouvernement anglais confronté à la surpopulation des prisons étudie la possibilité de remplacer le bracelet électronique, jugé encombrant, par un implant pour surveiller les personnes sous contrôle judiciaire. En France, la surveillance électronique par RFID viendra compléter les dispositifs de surveillance numérique prévus dans la loi sur le renseignement en facilitant le profilage électronique et la géolocalisation des personnes jugées à risque, ainsi que les dispositifs de surveillance de l’espace public, notamment l’usage de la vidéosurveillance intelligente permettant d’identifier les individus dans une foule par reconnaissance faciale et de repérer les comportements « suspects ».

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Soumission au lobby bancaire

Ce n’est évidemment pas le fuit du hasard si la Suède, le pays européen le plus avancé dans le projet d’implantation des puces sous-cutanées est aussi le premier à interdire le paiement en espèces.  Et ce n’est évidemment pas un cas isolé : à l’échelle de l’Europe, le paiement par le procédé du Near Field Communication (NFC) dérivé des puces RFID prend peu à peu le relais des transactions en espèce et de nombreux établissements commerciaux n’accepte,t plus le paiement en liquide. Même si 70% des paiements se font encore en espèces, il est fort probable que le cash disparaisse purement et simplement en Europe d’ici la prochaine décennie, entièrement remplacé par le paiement via smartphone ou carte bancaire. Au total, près de deux milliards de transactions sans contact ont été enregistrées en 2015 en Europe, où l’on compte désormais près de 3 millions de terminaux de paiement compatibles avec cette technologie, soit la moitié du parc total. En France, pas moins de 100 millions de transactions sans contact ont été enregistrées en 2015, soit 5 fois plus que l’année précédente, et plus de 30 millions de cartes sans contact sont en circulation. On recense désormais 500 000 terminaux compatibles avec la technologie sans contact dans l’hexagone, soit plus du tiers du parc total, et d’ici à 2020, la totalité du parc français devrait être compatible avec cette technologie. Et avec la généralisation du paiement sans contact, la société sans cash que le gratin de l’oligarchie appelle de ses voeux devient possible. Comme l’affirment les acteurs du paiement sans contact : « la révolution est en marche et rien ne saurait l’arrêter ».

Pourquoi cette fuite en avant ? La raison en est simple : il s’agit d’empêcher les ménages de retirer, de stocker et d’utiliser des espèces quand les établissements financiers taxeront les dépôts bancaires, voire ponctionneront les comptes des particuliers en ças de crise grave. C’est-à-dire très prochainement. En effet, la politique monétaire décidée par les banques centrales (faire baisser les taux d’intérêts à un niveau proche de zéro, voire négatif) conduit inéluctablement les établissements financiers à appliquer un taux d’intérêt négatif sur les dépôts bancaires des entreprises et des ménages. Les raisons avancées d’une telle politique sont connues : inciter ces agents à utiliser la monnaie disponible pour tenter de relancer la consommation et contenir la déflation rampante, l’austérité budgétaire érigée en dogme privant les États nationaux des autres leviers.

Supprimer les billets et les pièces tout en taxant les dépôts afin de doper la croissance réelle est la dernière folie imaginée par les banquiers centraux. Les conséquences pour les populations ainsi livrées pieds et poings liés au lobby bancaire et au regard intrusif des États nationaux seront dramatiques. La société sans cash qu’on nous promet grâce à la révolution numérique donnerait aux décideurs financiers  les moyens de contrôler tout le système au détriment des particuliers qui n’auraient alors plus aucune porte de sortie. Le verrouillage récent des retraits de cash en Grèce est un avant-goût de ce qui attend désormais les européens en cas de faillite bancaire.

La RFID et la fin du cash, armes de destruction massive des libertés

Puce RFID ou suppression du cash, l’objectif est le même : contraindre les populations à se soumettre aux diktats de la finance. Et le moyen aussi : leur laisser le moins de liberté possible, ce à quoi s’emploient activement les gouvernements successifs depuis une quinzaine d’années en promulguant une série ininterrompue de lois qui réduisent toujours plus les libertés publiques sous couvert de « guerre contre le terrorisme ». La RFID et le paiement électronique, comme les autres outils technologiques de surveillance, de contrôle et de traçabilité, servent le projet totalitaire d’une société d’individus dans laquelle toute notion de vie privée aura été abolie et placée sous la domination totale et permanente de l’appareil d’État et de l’oligarchie financière.


Voir aussi :




Champs électromagnétiques : douze façons de se protéger

[Source : La maison du 21e siècle]

Le 12 décembre dernier, l’Académie américaine de pédiatrie (AAP) a
fait l’histoire. Cet organisme à but non lucratif, qui représente plus
de 60 000 médecins, a donné son appui au projet de loi HA6358, The Cell Phone Right To Know Act
(Loi sur le droit à l’information au sujet du téléphone cellulaire)
déposé par le congressiste démocrate Dennis Kucinich. L’AAP est ainsi
devenue le premier corps médical américain d’importance à affirmer : «
Il est essentiel que toutes les nouvelles normes pour les téléphones
cellulaires et les autres appareils sans fil soient basés sur la
protection des populations les plus jeunes et les plus vulnérables afin
de s’assurer de leur sécurité tout au long de leur vie. »

Bien que
le Congrès à dominance républicaine ait laissé ce projet de loi mourir
au feuilleton, l’appui de l’AAP reflète néanmoins l’opinion médicale
grandissante à l’effet que les normes d’exposition pour les champs
électromagnétiques (CEM) de radiofréquences (RF)
émis par les appareils sans fil devraient être réexaminés pour tenir
compte de leurs effets non thermiques, comme le cancer. Selon l’AAP, les
élus américains devraient également imposer l’application d’étiquettes
d’avertissement sur les téléphones cellulaires afin d’indiquer la
quantité de radiation qu’ils émettent, en plus de financer un programme
national de recherche sur leurs conséquences pour la santé,
particulièrement chez les enfants et les femmes enceintes. « Les
nouveaux standards, écrivait le président le l’AAP Dr Thomas K. McInerny
au représentant Kucinich, vont permettre aux parents de mieux
comprendre les dangers potentiels de l’exposition à l’énergie des
radiofréquences et ainsi de protéger leurs enfants ».

La lettre de McInerny
ajoute de la crédibilité au nombre croissant d’études qui indiquent que
notre exposition croissante aux RF est un problème de santé publique
majeur. Elle constitue un contrepoids puissant aux attaques de l’industrie envers
la crédibilité de ces études et de leurs auteurs. Jusqu’à tout
récemment, les gouvernements ne tendaient pas à pécher par excès de
prudence en la matière. Pour leur part, la vaste majorité des médecins
se tiennent encore à l’écart du dossier des CEM, qu’ils connaissent peu,
se bornant à dire que les résultats des études sont contradictoires et
non concluants. Ce qu’ils ignorent, c’est que 70 % des études
scientifiques indépendantes ont démontré que l’exposition à de faibles
doses de RF peut effectivement présenter des risques à long ou moyen
terme pour la santé, notamment les cancers cérébraux, alors. C’est ce
qu’a découvert Henry Lai, professeur de bioingénierie à l’Université de Washington.
Le plus intéressant, c’est qu’il a remarqué que les deux-tiers des
études financées par l’industrie ont conclu que les RF étaient sans
danger ou même qu’elles auraient un effet protecteur!

Santé Canada minimise les risques
Les consommateurs sont souvent confondus par l’information
contradictoire qui circule au sujet de l’innocuité ou des risques des
CEM générés par différentes sources : les champs électriques (CE) et
magnétiques (CM) de fréquence extrêmement basse (60 Hz)
en provenance des lignes électriques ainsi que du filage et des
appareils domestiques; et le rayonnement de radiofréquences/micro-ondes
telles que les fréquences extrêmement élevées (300 megahertz à 3
gigahertz) utilisées par les satellites, les antennes de télévision, de
radio et de cellulaire, les téléphones sans-fil et cellulaires, les
émetteurs-récepteurs portatifs (walkie-talkies), les moniteurs pour bébé, les connexions internet sans fil (Wi-Fi) et autres technologies sans-fil.

Pour Santé Canada,
« il n’est pas nécessaire de chercher à vous protéger de l’exposition
quotidienne aux champs électriques et magnétiques de fréquence
extrêmement basse. Il n’y a aucune preuve concluante montrant que
l’exposition aux niveaux trouvés dans les maisons et les écoles du
Canada, y compris en bordure des corridors des lignes électriques, a un
effet nocif. »

Pourtant, en 2007, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirmait que « l’usage d’approches de précaution est justifié »
en matière de CEM de 60 Hz. C’est qu’en 2001, le Centre international
de recherche sur le cancer (CIRC) avait classé ce type de champs
magnétiques comme « peut-être cancérogènes » (groupe 2B) en raison du risque accru de leucémie chez les enfants surexposés. « Cette classification, affirme l’OMS
auquel le CIRC est rattaché, était basée sur des analyses groupées
d’études épidémiologiques démontrant un phénomène régulier de
multiplication par deux du nombre de leucémies infantiles associées à
une exposition moyenne à un champ magnétique du réseau dans les
habitations supérieur à 0,3-0,4 µT » (microteslas, équivalent à 3-4
milligauss).

Plus prudent face aux radiofréquences
Par
contre, en matière de micro-ondes et autres radiofréquences, Santé
Canada est plus proactif. C’est qu’en mai 2011, ce fut au tour de ces hautes fréquences d’être classées « peut-être cancérogènes » par le CIRC. Ceci
« sur la base d’un risque accru de gliome, un type de cancer malin du
cerveau, associé à l’utilisation du téléphone sans fil… Cette
possibilité a des implications potentielles dans le domaine de la santé
publique, notamment pour les utilisateurs de téléphones portables, leur
nombre étant en constante augmentation, surtout parmi les jeunes adultes
et les enfants. » C’est ce risque potentiel important qui a incité
Santé Canada à rappeler « aux usagers du cellulaire qu’ils peuvent
prendre des mesures pratiques pour réduire leur exposition aux RF, des
façons suivantes :

De plus en plus de jeunes sont opérés pour une tumeur au cerveau. Photo : next-up.org
  • en limitant la durée des appels sur le cellulaire;
  • en optant pour un appareil « mains libres »;
  • en remplaçant les appels sur le cellulaire par des textos.

Santé
Canada encourage les parents de prendre ces mesures afin de réduire
l’exposition de leurs enfants aux RF émises par les cellulaires, puisque
les enfants sont généralement plus sensibles à divers agents
environnementaux. »

Par ailleurs, le Ministère ajoute que « les
précautions prises pour limiter l’exposition à l’énergie RF émise par
les stations de base sont inutiles, car les niveaux d’exposition sont
normalement bien inférieurs à ceux précisés dans des normes d’exposition
axées sur la santé. » De même, en matière de Wi-Fi, Santé Canada
affirme « qu’aucune mesure de précaution n’est nécessaire, car les
niveaux d’exposition à l’énergie RF provenant de la technologie Wi-Fi
sont généralement bien inférieurs aux limites de sécurité canadiennes et
internationales ».

Or ces mêmes limites de sécurité sont désuètes
et mettent la santé publique en danger, selon des milliers de médecins
et autres scientifiques dont le Dr David O. Carpenter, professeur de
santé publique à l’Université d’Albany (New York). Il fait ainsi écho à
l’appel de l’Académie américaine de pédiatrie en faveur de l’adoption de
limites d’exposition plus sévères. « Il y a maintenant beaucoup plus de
preuves de risques à la santé pour des milliards de personnes à travers
le monde, affirme le Dr Carpenter, co-éditeur du fameux rapport BioInitiative de 2007 et de sa récente mise à jour en 2012. Le statu quo n’est pas acceptable à la lumière de l’évidence du préjudice. »

Le
risque à la santé dépend de la dose reçue, explique Santé Canada : «
Contrairement au téléphone cellulaire où l’émetteur se trouve à
proximité de la tête, de sorte qu’une grande partie de l’énergie RF
absorbée se dépose dans une région très localisée, l’énergie RF des
appareils Wi-Fi est habituellement transmise à une distance beaucoup
plus grande du corps. Cela entraîne des niveaux moyens d’absorption
d’énergie RF très faibles dans toutes les parties du corps, tout comme
l’exposition aux signaux de radiodiffusion AM/FM. »

Affirmation trompeuse, commente Katharina Gustavs, une consultante en biologie du bâtiment établie en Colombie-Brittanique : « Un coup d’œil rapide au Guide d’informations importantes du produit iPad WiFi + 3G
d’Apple révèle que son débit d’absorption spécifique maximal (DAS dans
le crâne) est de 1,19 watts par kilo pour la fréquence 2,4 gigahertz et
de 1,18 W/kg pour le réseau 1800/1900 mégahertz, ce qui est typique des
valeurs de DAS des téléphones portables. » Et dans une classe d’école,
les émissions des routeurs Wi-Fi sont des centaines de fois plus élevées
que celles des routeurs domestiques, fait remarquer l’Académie américaine de médecine environnementale.

Beaucoup d’électrosensibles doivent porter des vêtements qui les blindent contre les radiofréquences et certains déménagent même dans des cavernes.

L’électrosensibilité
Le groupe de travail BioInitiative est composé de 29 experts indépendants
qui ont passé en revue 1 800 études publiées depuis 2007 sur le rapport
entre les CEM et la santé. Ils affirment que la prépondérance de la
preuve indique que les expositions très en deçà des standards de
sécurité publique peuvent augmenter le risque de nombreuses maladies et
conditions, du cancer du cerveau et de la leucémie aux maladies cardiaques et neurologiques, en passant par l’infertilité, l’autisme et l’électrosensibilité,
en particulier chez les utilisateurs fréquents d’appareils sans-fil.
Par exemple, les standards sont de 1000 à 10 000 fois plus élevés que
les niveaux maintenant communément rapportés comme déclencheurs d’effets
biologiques, d’après le groupe BioInitiative dont fait partie
l’ingénieur électrique Yury Grigoriev, président du Comité national russe sur la protection des radiations non ionisantes.

La
médecine moderne est encore à débattre des origines des symptômes
d’électrosensibilité tels que les maux de tête, l’insomnie, les troubles
cutanés et les acouphènes (bourdonnements d’oreilles). L’Organisation
mondiale de la santé croit qu’il n’est pas prouvé que ces symptômes sont causés par l’exposition aux champs électromagnétiques
et n’exclut pas la possibilité qu’ils soient d’origine psychosomatique.
Quelques études, la plupart financées par l’industrie, en sont venues à
cette conclusion.

Mais d’autres études, par exemple celles du chirurgien cardiaque Dr William J. Rea, du Texas, de l’écotoxicologue Magda Havas Ph.D., professeure agrégée à l’université de Trent en Ontario, et du biophysicien Andrew Marino Ph.D.,
professeur de neurologie, de chirurgie orthopédique ainsi que de
biologie cellulaire et d’anatomie à l’Université de Louisiane, ont
conclu que les champs électromagnétiques sont effectivement des
déclencheurs de symptômes d’électrosensibilité.

Dr Roy Fox

« L’électrosensibilité n’est pas une phobie », nous a affirmé en entrevue le gastroentérologue Roy Fox,
professeur de gériatrie et expert en médecine environnementale à
l’Université de Dalhousie à Halifax, Nouvelle-Écosse. « Quand le système
nerveux est dans un état d’excitation élevée, en réaction à
l’environnement, on interprète cela comme de l’anxiété, relate le Dr
Fox, qui est directeur médical du Service de soins intégrés des maladies chroniques,
un centre financé par des fonds publics qui se spécialise dans le
traitement des patients souffrant des conditions chroniques complexes
telles que le syndrome de fatigue chronique et les sensibilités
environnementales. Mais lorsque vous tombez malades et que tout ce à
quoi vous êtes exposés aggrave votre condition, vous devez réduire vos
expositions environnementales de façon à ce que le corps puisse
récupérer. Nous enseignons à nos patients comment réduire les
expositions chimiques et électromagnétiques et alors leur état de santé
s’améliore. »

Certains médecins québécois sont conscients des
effets biologiques des CEM. « L’une de mes patientes souffrait de
rosacée sévère, la peau de son visage brûlait et pelait sans aucune
amélioration avec les médicaments ou les crèmes que je prescrivais,
raconte la dermatologue montréalaise June Irwin, qui pratique à
Pointe-Claire. Finalement, elle a découvert que c’est parce qu’elle
lisait beaucoup de livres sur une tablette iPad en ligne via le Wi-Fi,
et à cause de la crème à base de cortisone qu’elle utilisait.
Finalement, cinq ou six jours après avoir cessé d’utiliser le iPad, sa
condition cutanée s’est améliorée de 90 %. »

Le rapport BioInitiative conclut sans équivoque : « Un usage vigoureux du principe de précaution
et des avertissements clairs de santé publique sont nécessaires dans
l’immédiat pour prévenir une épidémie mondiale de tumeurs du cerveau due
à l’usage des appareils sans-fil. » En fait, l’épidémie a peut-être
déjà commencé, selon le London Daily Mail
du 24 avril 2012 : le taux des tumeurs du lobe temporal et frontal a
grimpé de 50 % (de 2 à 3 personnes par 100 000) entre 1999 et 2009,
selon l’Office britannique des statistiques nationales. De plus, « les
données de l’Université Segalen de Bordeaux démontrent une augmentation
annuelle de 1 à 2 % du cancer du cerveau chez les enfants ».

Des niveaux plus sûrs
C’est pourquoi le groupe de travail BioInitiative recommande
de limiter à 1 milligauss (mG) – ou 0,1 microtesla sur l’échelle
métrique – l’exposition moyenne sur 24 heures aux champs magnétiques de
60 Hz afin de protéger les enfants et les femmes enceintes. Santé Canada
adhère à la limite internationale de 1 000 mG qui ne considère que les
effets aigus et non les effets à long terme comme le cancer. En plus de
la leucémie, ces champs magnétiques sont aussi soupçonnés de causer des
maladies neurologiques ainsi que les cancers du cerveau et du sein. Ceci
notamment en stoppant la production par la glande pinéale de l’hormone
du sommeil, la mélatonine, un antioxydant très puissant qui freine la
croissance des tumeurs.

Aucune limite d’exposition internationale
n’a été établie pour les champs électriques (CÉ) de très basses
fréquences, car on les a peu étudiés. mais la surexposition a aussi été
reliée à des effets sur la santé, comme un risque accru de leucémie chez les enfants et les travailleurs de l’électricité, d’infections (aussi causées par l’électricité statique), les mutations, etc. Pour sa part, l’Institut de bau-biologie et d’écologie recommande de limiter à 1 volt par mètre l’exposition chronique aux Cé de 60 Hz.

Pour
le sans-fil, le groupe BioInitiative recommande une limite de 0,1
microwatt par centimètre carré ou 0,614 volt par mètre pour l’exposition
cumulative sur 24 heures aux radiofréquences pulsées à l’extérieur, ce
qui équivaut à une exposition à l’intérieur aussi basse que 0,01
microwatt par centimètre carré. Pour obtenir ce niveau d’exposition
cumulative, il faut éviter les équipements sans-fil autant que possible,
surtout la nuit quand le corps a besoin de reposer et de se régénérer.
Ainsi, le parlement européen recommande de réduire l’exposition aux CEM à des niveaux aussi bas qu’il est raisonnablement possible d’atteindre par des mesures simples et abordables, comme l’ont recommandé plusieurs pays. Par exemple, la Grande-Bretagne, l’Autriche et l’Allemagne
ont recommandé d’utiliser les connexions internet filaires au lieu du
Wi-Fi, de limiter aux urgences seulement l’usage du téléphone cellulaire
par les adolescents et d’interdire son usage aux enfants.

Magda Havas et le Dr Roy Fox seront conférenciers lors de la foire Projet ÉCOSPHÈRE Montréal, le 25 mai 2013 sur l’esplanade du Parc olympique. Peterborough.

Nous avons donc demandé à l’experte canadienne Magda Havas de nous décrire les mesures pratiques de protection à mettre en priorité. Cette professeure agrégée d’études environnementales enseigne et effectue des recherches sur les effets biologiques des contaminants environnementaux depuis plus de vingt ans à l’Université Trent, à

1. Mesurez
Commencez par mesurer les CEM d’extrêmement basse fréquence (60 Hz).
Les champs magnétiques sont créés par le courant durant la consommation.
Puisque leur niveau varie selon la quantité de courant électrique –
exprimé en ampères – qui circule dans les appareils, plus vous
économisez l’énergie, moins vous êtes exposés. Pour mesurer les pointes
d’émission de ces champs, mettez le chauffage électrique et les
principaux appareils en marche. Quant aux champs électriques, leur
intensité dépend de la tension, exprimée en voltage.

« D’abord,
dit Magda Havas, vous devez identifier à quoi vous êtes exposés à la
maison, particulièrement dans la chambre à coucher et les pièces où vous
passez le plus de temps, ainsi qu’au travail et à l’école. Pour ce
faire, vous devez soit engager un spécialiste en investigation des CEM
ou acheter un appareil pour mesurer les CEM. »

Le professeur Havas mentionne, par exemple, le populaire lecteur Tri-Field disponible
sur internet pour environ 200 $. « C’est un bon outil et je n’irais pas
beaucoup plus bas que ce montant. Par contre, il est modérément
efficace pour les champs magnétiques de très basse fréquence et pas
assez sensible pour la plupart des champs électriques de très basse
fréquence ni les radiofréquences auxquels vous serez exposés. » Pour des
appareils plus précis, il faudra visiter les sites des spécialistes
comme 3E, Essentia et Safe Living Technologies.

En
particulier, il faudra dépister les quatre sources de champs
magnétiques de 60 Hz très fortement soupçonnés de pouvoir causer la
leucémie infantile : les lignes à haute tension qui transportent le
courant produit dans les centrales, les lignes de distribution aérienne
et souterraine dans votre quartier et les transformateurs qui réduisent
sa tension. « Avec ces champs, dit Magda Havas, il n’y a pas grand chose
d’autre à faire que de déménager votre chambre à coucher le plus loin
possible. » Les lignes de transmission ou de distribution situées entre 7,6 et 15 mètres (25-50 pi) des
maisons émettent les champs les plus puissants. Par contre, l’incidence
de leucémie augmente jusqu’à 300 mètres des lignes de transmission les
plus puissantes (735 kilovolts), possiblement parce qu’elles attirent
les polluants atmosphériques en ionisant l’air Et n’oubliez pas de
mesurer les champs magnétiques sur le siège où vous installez votre
bébé. Certaines voitures (qu’elle soient à essence, hybrides ou électriques) affichent des niveaux très élevés.

2. Corrigez les erreurs de câblage
À moins que des lignes électriques soient très proches de votre maison,
les sources de champs magnétiques résidentiels les plus élevés sont
typiquement l’entrée électrique (dont il faut typiquement s’éloigner à
au moins 2 ou 3 m), les erreurs de câblage (non respect du Code de
l’électricité) ainsi que la mise à la terre de la boîte électrique sur
les tuyaux de plomberie en métal, conducteurs de ces champs. « Tout
électricien peut détecter et corriger les erreurs de câblage », dit le
Dr Havas. Si la mise à la terre est le problème, elle peut être
transférée à des tiges de métal enfouies dans le sol. Une section de la
plomberie en métal doit ensuite être remplacée par un tuyau de plastique
pour empêcher les champs magnétiques provenant de l’aqueduc de pénétrer
dans la maison par l’entrée d’eau.

mumetal.com

3. Tenez-vous à l’écart
Les champs magnétiques pénètrent la plupart des matériaux et les blinder coûte très cher. Le Metal est
un alliage utilisé comme blindage par diverses industries. Il est utile
pour des petites surfaces comme sous un siège de motocyclette, dont
l’exposition prolongée aux champs magnétiques émis par sa batterie est
soupçonnée de contribuer au cancer de la prostate.
Le fabricant MuShield Company, du New Hampshire, n’a pas voulu nous
citer de prix au téléphone car le produit est fabriqué sur mesure. Le
matériel comme tel est cinq fois plus dispendieux que l’acier.

Comme
le blindage des CM est coûteux, la meilleure solution pour réduire
votre exposition est d’éviter de passer beaucoup de temps près des
sources. La puissance des CM diminue en proportion inverse au carré de
la distance. Elle tombe généralement à zéro à une distance de quelque cm
à 2 m (6 pi) des sources intérieures majeures, comme l’entrée
électrique, et à 1 m (3 pi) des petits appareils (sur une table de nuit,
par exemple, vaut mieux utiliser un réveil-matin à pile que branché
dans le mur).

« Si les champs magnétiques sont élevés au milieu
d’une pièce, vous avez peut-être des erreurs de câblage », dit Magda
Havas. Cela peut par exemple être dû à du vieux câblage électrique sur
boutons et tubes, installé dans les bâtiments jusque dans les années
1930. Ils génèrent des champs élevés tout comme la plomberie de métal
car les deux sont des conducteurs simples : à l’inverse, quand le
courant circule dans des directions opposées dans des conducteurs en
paires parallèles ou en torsades, les deux champs qu’ils émettent
s’annulent mutuellement.

Rappelons que les champs magnétiques
traversent les matériaux de construction. Il faut donc éviter de placer
votre lit ou poste de travail près des sources majeures, comme le
câblage de 240 volts du système de chauffage, le panneau électrique
principal ou des fluorescents installés dans les murs, plafonds ou
planchers. Il est généralement suffisant de s’écarter de 2  m de ces
sources. « Le panneau électrique devrait être situé sur le mur opposé au
lit, explique Magda Havas. Dans certains cas, une distance de 3 ou 4
pieds [1 à 1,3 m] peut faire une grande différence. »

Certains
appareils électriques émettent des CM plus élevés que d’autres, tels les
cuisinières, fours à micro-ondes, aspirateurs, anciens écrans
cathodiques d’ordinateur et de télévision, séchoirs à cheveux et rasoirs
électriques. « Le temps consacré au rasage est assez limité et le corps
n’est pas exposé en totalité, dit-elle. Mais si vous réagissez déjà aux
CM, vous éviterez de préférence le rasoir électrique. »

4. Vérifier les courants telluriques
Les champs extérieurs peuvent entrer chez vous d’une autre manière
insoupçonnée : par des courants souterrains. C’est que les compagnies
d’électricité utilisent le sol pour renvoyer une bonne partie du courant
aux postes de transformation. « Peu d’experts savent comment mesurer
ces courants, dit Magda Havas. Cela nécessite de l’équipement
sophistiqué, comme un oscilloscope qui mesure les hautes fréquences
entre deux tiges de métal. Une autre méthode est la mesure sur la
plomberie en métal, qui est souvent reliée à la mise à la terre, ou sur
un évier de métal. » Pour en savoir davantage, consulter em3e.com et ecoledelaterre.

Câble armé de type BX.
bx-seatekco.com

5. Blindez-vous des champs électriques
Puis qu’ils sont créés par la tension qui est toujours aux alentours de
110 à 120 volts ou de 220 ou 240 volts, les champs électriques (CÉ)
résidentiels sont d’intensité stable qui chute radicalement à un ou deux
mètres des appareils et fils domestiques. Alors qu’ils sont plus élevés
en Europe où l’on utilise toujours la tension de 220/240 volts, les CÉ
peuvent aussi causer des ennuis en Amérique du Nord, affirme Dr Havas.
« À moins que vous n’ayez un problème de câblage, les niveaux devraient
être bas au milieu de la pièce. »

On élimine les CÉ émis par les
appareils et fils domestiques en les débranchant. Pour les câbles
circulant dans les murs, plafonds et planchers, c’est plus compliqué. On
peut mettre le circuit hors tension au panneau électrique, mais ce
n’est pas très pratique. Heureusement, ces champs peuvent être
facilement blindés par du métal. On peut par exemple les capturer et les
éliminer à l’aide d’une moustiquaire métallique mise à la terre. Les
câbles commerciaux (de type BX) sont dits armés car ils sont enrobés de
métal bloqueur de champs électriques. Ils constituent la meilleure
solution pour les personnes électrosensibles, comme les enfants. Si vous
rénovez, vous pourriez envisager de remplacer les vieux câbles non
blindés par du câble armé là où vous passez le plus de temps, soit
autour de votre lit et de votre poste de travail.

Commutateur de demande automatique.
Photo : slt.co

6. Installez un commutateur de demande automatique Une autre façon d’éliminer les champs électriques est d’installer un commutateur de demande automatique.
 Celui-ci met le câblage d’un circuit hors tension quand le dernier
appareil branché dans ce circuit est éteint. Il permet par exemple de
dormir dans un environnement exempt de CEM de 60 Hz par exemple en
éteignant la dernière lampe dans une chambre (à condition de ne pas
avoir de radio-réveil ou autre appareil en fonction). Le corps pourra
ainsi récupérer en maximisant sa production de mélatonine,
puissante hormone anti-cancer dont la sécrétion nocturne par la glande
pinéale est réduite ou carrément stoppée par l’exposition aux CEM et à
la lumière. Le commutateur de demande est d’autant plus utile que
la plupart des lampes n’ont pas de mise à la terre, ce qui explique
pourquoi elles génèrent beaucoup de CÉ, explique Magda Havas.

Un
commutateur de demande coûte 270$ et est installé par un électricien
dans le panneau électrique principal. Si les pièces à l’étage en-dessous
ou adjacentes à votre lit se trouvent sur des circuits différents, vous
devrez en installer un pour ces zones également.

Magda Havas
ajoute qu’on devrait éviter autant que possible d’avoir du métal dans et
autour du lit. « C’est très important car les ressorts et lits de métal
agissent comme des antenne qui captent et irradient les hautes
fréquences. » Le lit idéal est fait d’un cadre de bois supportant un matelas de latex naturel.

Elle
conseille aussi de vérifier que la tête de votre lit ne se trouve pas
contre un mur qui abrite du câblage électrique, surtout celui de 240
volts pour le chauffage. Assurez-vous que vous ne positionnez pas votre
lit au-dessus d’un luminaire sur le plafond en-dessous, qu’il n’y a pas
d’horloge électrique à moins de deux mètres et ne dormez pas sur un lit
d’eau (il contient un élément chauffant) ou avec une couverture
électrique. À tout le moins, il est primordial de les débrancher une
fois que le lit est chaud pour éliminer les CEM, mais il subsiste le
problème du métal qui capte et irradie les RF.

7. Mettez votre corps et vos appareils à la terre 
La mise à la terre est essentielle pour éliminer les CÉ et
l’accumulation de charges d’électricité statique. L’architecte et
scientifique de l’environnement britannique Isaac Jamieson
explique : « Les courants électriques de 50/60 Hz peuvent augmenter la
concentration locale de contaminants aériens (incluant les pathogènes)
et leur dépôt sur les surfaces avoisinantes et dans les poumons. » Selon
ce chercheur, les infections sont plus fréquentes dans les hôpitaux et
autres édifices où trois conditions sont réunies : en présence
d’appareils émettant des CÉ, quand l’humidité relative de l’air chute
sous 30 % et en présence de métaux et de matériaux synthétiques
accumulant les charges électriques.

Dans son article Building health : the need for electromagnetic hygiene, il recommande également l’usage de générateurs d’ions bipolaires (positifs et négatifs de petit diamètre) satisfaisant aux  exigences sanitaires et épidémiologiques russes SanPin,
de matériaux naturels (les édifices de béton et de métal bloquent les
‘’régimes électriques verticaux naturels’’ bénéfiques au système
immunitaire) ainsi que la mise à la terre des humains et des objets
conducteurs pour aider à neutraliser la charge excessive et les dépôts
de contaminants.

Tapis de mise à la terre vendu par earthing.com

Les scientifiques du Earthing Institute, basé en Californie, ont produit une douzaine d’articles publiés dans des revues scientifiques
et qui indiquent que la mise à la terre des personnes peut réduire
l’inflammation chronique qui conduit à de nombreux malaises et maladies.
« Il est très important d’effectuer une mise à la terre de votre corps,
estime Magda Havas. Une des raisons pour lesquelles les gens
développent une électrosensibilité est que le corps exposé à
l’électricité accumule une charge, par exemple au contact du clavier
d’ordinateur. Dans l’industrie, on recommande aux travailleurs de se
tenir, à la maison, pieds nus sur une feuille de métal pendant environ 2
à 5 minutes dans le but de drainer cet excès d’électrons. »

Encore
plus efficace, selon les recherches du Earthing Institute, serait de
travailler avec vos pieds sur un tapis de mise à la terre ou de dormir
dans les draps de coton à fin maillage d’argent, tous deux reliés à la
terre par le filage approprié. En plus de drainer les charges
électriques excessives, la mise à la terre du corps lui permet de
recevoir du sol les électrons libres anti-inflammatoires. La méthode
idéale et naturelle de se mettre à la terre est de marcher nu-pieds dans
la rosée du matin ou dans la mer, puisque le sel et les autres minéraux
combinés à l’humidité aident à acheminer ces électrons libres par la
plante de vos pieds. « Le sel d’Epsom rend l’eau du bain plus
conductrice et aide aussi à décharger les électrons en excès », explique
Mme Havas.

Jusqu’à quel point les tapis de mise à la terre
sont-ils bénéfiques pour la santé humaine? « Certaines personnes ont vu
une amélioration très importante de leur santé et d’autres sont devenues
plus malades. Cela dépend où il est branché », relate le professeur
Havas. En effet, les équipements (vendus par exemple par earthing.com)
sont reliés à la terre soit en étant branchés dans la mise à la terre
d’une prise électrique murale ou directement à l’extérieur dans le sol.

Avant
de ce faire, il faut s’assurer qu’aucun courant ne circule dans la
prise de terre murale ou le sol extérieur, pour éviter tout risque
d’électrocution ou de contact avec des micro-courants
subtils mais fortement soupçonnés d’être cancérogènes, notamment par
les chercheurs en électricité de l’Electric Power Research Institute.
 «
Votre prise de terre peut conduire du courant si le fil n’a pas été
installé correctement ou si vous vivez près d’un poste électrique ou
d’une usine utilisant le sol pour renvoyer les courants dans le réseau
électrique, explique Magda Havas. Je recommande habituellement de les
brancher à l’extérieur mais vous devez d’abord vous assurer que vous
n’avez pas de problèmes de courants souterrains. Vous devez quasiment
tester le sol au hasard, durant le jour ou la nuit. Utilisez un
multimètre pour vous assurer que le sol est sécuritaire. Le multimètre
devrait afficher zéro ou pas davantage que 0,1 volt. »

Par contre, l’épidémiologiste américain Sam Milham,
un pionnier des effets sur la santé des CEM, émet une sérieuse mise en
garde. « La majeure partie de l’électricité distribuée en Amérique du
Nord est maintenant renvoyée aux postes électriques par le sol.
Quiconque utilise un tapis de mise à la terre (MALT) risque de se
retrouver connecté au courant neutre principal – de retour de courant –
d’une centrale. Avec une MALT propre sur le plan électrique, je serais
heureux d’utiliser ces tapis, mais je suis très réticent à relier mon
corps au courant neutre de retour d’une centrale. »

Tapis ADR vendu par essentia.ca

Une autre option plus sécuritaire est le tapis ADR
(Advanced Dielectric Radiation Trap), qui a remporté neuf prix
internationaux d’invention. Ce tapis non métallique ne requiert pas de
mise à la terre et protège des champs électriques, statiques et de basse
fréquence (principalement 1 Hz à 100 kHz). Il les capture dans de l’eau
encapsulée dans une matrice de polymère. On peut le placer sur un siège
ou sous un matelas. Il est particulièrement bénéfique la nuit quand le
corps effectue la majorité de ses réparations génétiques. De différentes
grandeurs, il coûte de 32 $ à 224 $ et est vendu notamment par le
fournisseur Essentia, d’Ottawa.

Pour
vous protéger ainsi que vos appareils de la foudre, vous devriez aussi
faire vérifier votre système électrique pour vous assurer que la
résistance de sa MALT principale est sous les 500 ohms et idéalement
inférieure à 100 ohms. Mais pour neutraliser les champs électriques et
les courants souterrains, sa résistance ne devrait pas être de plus de
50 ohms, recommande l’électricien et expert des CEM français Claude Bossard dans son livre Guide de l’électricité biocompatible, publié aux Éditions Des Dessins et des Mots.

8. Réduisez l’interférence
Outre les CEM de 60 Hz, Magda Havas insiste sur la réduction des
micro-ondes et autres radiofréquences (RF) utilisées pour les
équipements sans-fil et les antennes. « Je pense que les hautes
fréquences sont potentiellement beaucoup plus dommageables » que celles
de 60 Hz, dit-elle.

Les hautes fréquences transitoires (HFT),
forme d’interférence électrique de RF communément appelée électricité
sale, tuerait bien des gens et des animaux, selon le médecin Sam Milham
qui les qualifient de « cancérogènes universels ». C’est qu’il les a
reliés à des incidences très élevées de différents cancers
(peau, utérus et thyroïde) chez des enseignants californiens fortement
exposés à ces HFT. Pour sa part, Magda Havas a aussi découvert que les
HFT affectent les taux de sucre de
façon significative ainsi que la qualité de vie des personnes aux
prises avec des désordres neurologiques comme la sclérose en plaque.

L’électricité
« sale » circule dans le sol à l’extérieur ainsi que dans le câblage
résidentiel. Ces hautes fréquences transitoires sont principalement
mesurées en kilohertz et parasitent le courant porteur de 60 Hz. Ces
décharges de hautes fréquences pulsées sont créées par la consommation
de courant non linéaire des équipements électroniques dotés d’une
alimentation électrique à découpage d’impulsions (switch-mode power supply), ainsi que par des branches d’arbres qui touchent aux lignes électriques.

L’éclairage fluorescent ainsi que les rhéostats des moteurs électroniques et les gradateurs de lumière (dimmers)
sont des sources typiques de HFT. « Certaines ampoules DEL [diodes
électroluminescentes] sont terribles et génèrent de très hauts niveaux
d’électricité sale, cela dépend de leur mode de fabrication. Même chose
avec les halogènes », dit Havas.

9. Filtrez l’électricité « sale »
Il
est impossible d’éliminer complètement les sources d’électricité sale
car le câblage domestique transporte les HFT générées par les commerces
et les usines avoisinants et distribuée à travers le réseau électrique.
Il est donc souhaitable de la filtrer, à l’instar des manufacturiers qui
éliminent l’interférence dans les télévisions et autres équipements
électroniques.

Le filtre Stetzer réduit les hautes fréquences transitoires, mesurées ici par un GS Microsurge meter.

«
Nous recommandons que les gouvernements appliquent des règlements sur
les interférences, mais jusqu’à ce que cela soit fait, il existe des
filtres que vous pouvez installer dans votre maison, dit Magda Havas.
Les seuls que j’ai testés sont les filtres Graham-Stetzer. Je m’attendais à ce qu’ils n’aient aucun effet. Or j’ai été très étonnée de constater qu’ils améliorent la santé des enseignants et le comportement des étudiantsdans
une étude que j’ai effectuée. J’étais convaincue qu’il y avait erreur!
Je ne pouvais croire que le simple fait de les brancher dans les prises
murales puisse être d’une aide quelconque, mais j’ai découvert qu’ils
réduisaient les spasmes chez environ le tiers des 30 patients affectés
de sclérose en plaque que j’ai étudiés. Ils ont même réduit les
symptômes de l’électrosensibilité.

Rayonance magnétique prise avant et après l’usage prolongé de filtres Graham-Stetzer par une personne atteinte de sclérose en plaques.

« Je suis maintenant totalement convaincue que l’électricité sale est
nuisible, ajoute professeur Havas. Des scanographies par imagerie de
résonance magnétique ont démontré que les personnes atteintes de
sclérose en plaque vivant dans des maisons où les CEM et spécialement
l’électricité sale ont été réduits ont obtenu une diminution majeure de
leurs symptômes sur une période de 7 ans. Malheureusement, ce ne sont
pas toutes les victimes de sclérose en plaque qui ont été aidées par la
filtration de l’électricité sale. »

Les filtres Graham-Stetzer
sont en fait des condensateurs qui éliminent les fréquences situées
entre 4 et 100 kHz. Magda Havas explique : « La recherche effectuée en
Russie ainsi que par le Dr Milham et moi-même sur des fermes a démontré
que lorsque l’on filtre les fréquences de 10 kHz, les vaches produisent
davantage de lait dans les 24 heures. »

Ces filtres coûtent 40$
chacun et une résidence peut en nécessiter jusqu’à une douzaine. Ils
sont vendus au Canada notamment par Pure Power Solutions, avec le GS Microsurge Meter
requis pour mesurer les niveaux de HFT. Même si elle fait une grande
promotion de ces produits, Dr Havas se défend d’être en conflit
d’intérêts avec leur manufacturier Dave Stetzer de la compagnie Stetzer Electric
basée au Wisconsin. « Stetzer ne m’a jamais fait de faveurs et n’a
jamais supporté ma recherche; et je ne vends pas de ses produits. »

Havas
ajoute que si vous réglez vos problèmes de câblage, vous abaisserez les
champs magnétiques de très basse fréquence mais nous ne vous pourrez
pas éliminer l’électricité sale générée par les appareils électroniques.
« Mais vous devez absolument corriger les erreurs de câblage d’abord
car si vous branchez un filtre dans un circuit défectueux, il peut
générer des champs magnétiques élevés à travers ce circuit qui distribue
l’électricité dans une ou plusieurs pièces. Notez également que si vous
installez un commutateur de demande automatique sur un circuit, vous
n’avez pas besoin d’y installer un filtre Graham-Stetzer puisque le
commutateur va éliminer l’électricité sale en coupant le courant lorsque
tous les appareils sont fermés. De plus le commutateur de demande ne
fonctionnerait avec un filtre Graham-Stetzer car celui-ci ne peut être
désactivé sans être débranché. »

Les onduleurs, qui convertissent
en courant alternatif (AC) le courant continu (CC ou DC en anglais pour
Direct Current) produit par les panneaux solaires et les éoliennes, sont
une autre source de HFT qui devrait être filtrée selon le professeur
Havas. Si possible, utiliser des équipements de 12 volts et des lumières
et éclairages qui peuvent fonctionner avec le CC, lequel produit peu
d’électrosmog.

Mise en garde importante : l’usage inapproprié des
filtres condensateurs risque de causer des incendies dus à la résonance
harmonique, écrit le biologiste du bâtiment Sal La Duca du New Jersey
sur son site EMF Relief
: « En règle générale l’installation d’un filtre condensateur n’est PAS
recommandée sans une évaluation approfondie du système électrique afin
d’identifier et éliminer toute erreur de câblage; elle n’est pas
recommandée si le courant du neutre emprunte des voies divergentes comme
dans une maison où l’approvisionnement électrique est à une extrémité
et où l’entrée d’eau est à l’autre extrémité; et elle n’est pas
recommandée s’il existe d’autres options pouvant éliminer le problème
(par exemple enlever les rhéostats, remplacer les fluorescents compacts
ou autres avec des ampoules incandescentes, réduire la quantité
d’appareils électroniques, etc.). »

Magda Havas commente : « Les
filtres Stetzer peuvent souvent être évités si vous corrigez les erreurs
de câblage et n’utilisez pas d’équipements électroniques dotés
d’alimentation à découpage qui génèrent de l’électricité sale [ce qui
est rare dans nos maisons modernes]. Les filtres génèrent également un
champ magnétique mais seulement à une distance de 2 pieds » (60 cm).

10. Évitez ou modérez votre usage d’appareils sans-fil
La meilleure chose à faire pour réduire votre exposition aux
radiofréquences, selon Magda Havas, est de remplacer vos équipements
sans-fil par la technologie filaire. Les sources de RF sont innombrables
: antennes de cellulaires et de rediffusion, dont celles situées sur
les toits d’édifices, les téléphones sans-fil et cellulaires, le Wi-Fi,
les moniteurs pour bébé, les jeux sans-fil, les imprimantes, etc. « Le
gouvernement est ridiculement permissif», déplore Magda Havas.

Après un récent témoignage dans un procès tenu à Montréal, celle-ci a rapporté que Santé Canada a admis
que la ligne directrice de son Code de sécurité 6 pour l’exposition aux
RF ne tient compte que des effets aigus résultant de l’échauffement des
tissus humains. Les impacts à long terme tels que le cancer du cerveau,
les problèmes de fertilité ou les maladies neurologiques et cardiaques
ne sont pas pris en considération. Les tests effectués pour établir le
Débit d’absorption spécifique (DAS) des RF en provenance des téléphones
cellulaires sont réalisés avec une tête en plexiglas, en simulant un
homme de 91 kilos (200 lbs), d’une taille de 1 m 80 (6 pi), pour 6
minutes d’utilisation.

Par ailleurs, notez que la plupart mais pas
tous les contrôles à distance de téléviseurs émettent des ondes
infrarouges plutôt que des RF. « Ils dégagent de la chaleur durant une
fraction de seconde, ce n’est pas un gros problème », explique Havas.

airtube_3e
Les écouteurs Air Tube transportent le son dans l’air comme un stéthoscope.

11. Minimisez et blindez les RF
À
défaut d’utiliser un téléphone filé, Magda Havas fait les
recommandations suivantes pour réduire votre exposition au rayonnement
d’un cellulaire : « La meilleure chose à faire est d’utiliser le mode
haut-parleur et de ne pas tenir l’appareil dans votre main. Je ne
recommande pas les écouteurs à fil car ils agissent comme des antennes
et irradient tout le long de votre corps. De plus, ils sont de mauvaise
qualité et brisent facilement. Le deuxième choix est l’écouteur Airtube
qui transmet le son dans l’air à travers un tube de caoutchouc. Quand
votre téléphone n’est pas en usage, le mode avion l’éteint et réduit les
émissions de RF au plus bas niveau accessible sans enlever la batterie
(chose souvent impossible). Autrement, un téléphone cellulaire
communique constamment avec les antennes environnantes. Ne le mettez
jamais dans votre poche, dans votre ceinture ou votre soutien-gorge. On
aurait trouvé davantage de tumeurs du sein chez les femmes qui le
rangent à cet endroit. »

La compagnie Less EMF vend divers appareils et matériaux similaires pour réduire son exposition, dont le film SKIN-BLOK pour les cellulaires.
Plusieurs autres matériaux bloquent efficacement les RF émises par vos
voisins et les antennes locales. Magda Havas fait aussi affaire avec le
fournisseur Safe Living Technologies, de Guelph en Ontario, et qui collabore avec la firme québécoise 3E.
Sa peinture Yshield, qui doit être mise à la terre, capte et élimine
bien les RF. On recommande d’appliquer trois couches pour une protection
efficace si vous êtes entouré de beaucoup de radiations. Vous choisirez
peut-être de l’utiliser seulement dans votre chambre à coucher car elle
est dispendieuse : 79 $ le litre ou 340 $ pour 5 litres. « Comme il
faut laisser les ondes s’échapper, vous ne devez pas peinturer tous les
murs, plafonds et planchers, explique Magda Havas. Par exemple, vous
pourriez peindre deux murs latéraux si vos voisins utilisateurs de Wi-Fi
sont situés à gauche et à droite de votre logement. »

Plusieurs personnes électrosensibles utilisent une solution simple pour se protéger durant la nuit : un voile de lit baldaquin
fabriqué à la main avec un tissu à maillage d’argent. Il coûte entre
972 $ et 1 775 $ selon les caractéristiques de blindage des RF. Ajoutez
152 $ à 218 $ pour un tapis de lit baldaquin. « Dans ce cas-ci, vous
devez couvrir le dessus, le dessous et tous les côtés du lit, précise
Magda Havas. Certains ne jurent que par ce produit et d’autres ne
peuvent le supporter, souvent en raison d’une mauvaise installation. »

Elle
ajoute que certains pare-vapeur d’aluminium réfléchissent efficacement
les sources extérieures de RF telles que les compteurs intelligents : «
Il faut les mettre à la terre. Mais ce n’est pas très recommandable car
si vous déménagez et que le prochain résidant utilise beaucoup
d’appareils sans-fil, il cuira littéralement chez lui car les matériaux
vont réfléchir les ondes qui rebondiront partout. Le papier mural en
aluminium peut avoir le même effet [tout comme la peinture] mais au
moins on peut l’enlever. Le vitrage de fenêtre à basse émissivité [Low-E
en anglais], qui réfléchit la chaleur radiante, constitue également un
bouclier efficace contre les radiofréquences. Si vous construisez ou
rénovez, je recommande le triple vitrage avec une ou deux couches Low-E.
La pellicule plastique à faible émissivité fabriquée par 3M et autres
manufacturiers, qui est transparente et ressemble au cellophane, peut
également être appliquée aux vitrages existants pour bloquer les RF. »

Plusieurs
personnes ont vu leurs symptômes d’électrosensibilité diminuer après
avoir recouvert leur compteur à radiofréquences d’environ 4 couches de
papier d’aluminium. Mais le biologiste du bâtiment Sal La Duca, qui est
un ancien opérateur de centrale nucléaire, croit que cette solution est
risquée : « L’aluminium est très conducteur. Si on le place à
l’intérieur d’un champ de courant alternatif [de 60 Hz ou de
radiofréquence], il développera ses propres voltages de courant et agira
comme une antenne secondaire. » De plus, il dit que sa mise à la terre
est impossible à réaliser car elle devrait être le quart de la longueur
d’onde de la fréquence que vous souhaitez bloquer.

La Duca
recommande donc d’utiliser un panneau de ciment ou du béton : « Enlevez
temporairement le compteur et son boîtier, installez une planche de
ciment – comme celles utilisées comme support pour les tuiles de bain –
sur l’attache du boîtier, et remettez en place le boîtier et le
compteur. Le ciment et le béton sont partiellement conducteurs et n’ont
pas besoin de mise à la terre; ils réduiront considérablement le signal
de radiofréquence. Si ni le compteur ni le boîtier ne peuvent être
enlevés, le panneau de ciment peut être installé de l’autre côté du mur,
mais la distance additionnelle entre le panneau et le compteur
rétrécira la zone de moindre intensité. Les solutions simples sont
largement inefficaces pour diverses raisons. »

Autre problème avec
les compteurs intelligents : ils génèrent des HFT parfois très
nuisibles, ce qui nous ramène à la question de la filtration déjà
mentionnée. C’est la raison pour laquelle plusieurs choisissent l’option
de retrait offerte par Hydro-Québec : un compteur non-émetteur
radiofréquence, à condition de payer 17$ par mois à vie, pour couvrir
les coûts de lecture humaine du compteur.

Qu’en est-il des puces
censées protéger leurs utilisateurs en harmonisant les ondes? « Je ne
les ai pas testées et elles ne changent rien au rayonnement. Cependant,
je connais des médecins qui les ont testées et cela ferait une
différence pour certaines personnes. » La naturopathe Claire Gagnon de Distribution Bioénergie, qui vend la plaquette de neutralisation Geobiotel,
précise que ce genre de produit ne bloque pas les ondes mais les rend
biocompatibles avec le corps. Il existe également des produits de
blindage utiles pour bloquer les ondes, tel le Lifewave qu’on colle à l’arrière d’un cellulaire.
« Le défaut de sa qualité, explique Mme Gagnon, c’est qu’il réduit la
qualité de la réception. Toutefois, il laisse passer une partie des
ondes car sinon vous ne pourriez pas recevoir d’appels. »

Par
ailleurs, depuis le début des années 1990, de nombreuses personnes dans
le monde ont bénéficié de la protection des dispositifs de protection
suisses EMF Bioshield inventés par l’ingénieur Jacques Surbeck. Lire à
ce sujet notre dossier Une bulle protectrice pour les électrohypersensibles.
Il en est de même pour les formes harmonisantes conçues par
l’architecte égyptien Ibrahim Karim, inventeur de la biogéométrie. Lire
notre dossier La biogéométrie, science des formes harmonisantes. Enfin, pour découvrir le Bio Harmoniseur Nanos inventé par l’infirmière américaine Rhoda Alale qui a également aidé beaucoup de gens, lire notre dossier  Comment se protéger des compteurs intelligents (réservé pour nos abonnés).

12. Désintoxiquez-vous
Finalement, un nombre croissant d’experts en CEM affirment que
l’électrosensibilité peut être déclenchée par les implants de métal et
l’empoisonnement aux métaux lourds. Le mercure dentaire peut même être libéré par les ondes émises par les cellulaires et les rayonances magnétiques, selon une étude iranienne publiée en 2008. « Le syndrome des amalgames dentaires est une cause majeure d’électrosensibilité, selon l’Australien Don Maisch Ph.D..
On a émis l’hypothèse que les amalgames de mercure agiraient comme des
micro-antennes ; quand l’utilisateur est assis devant un écran
cathodique, il se produit des altérations de courant électrique dans la
bouche (électrogalvanisme) qui peuvent nuire à la santé. On a démontré
que l’électrogalvanisme accélère la libération du mercure des amalgames.
»

Le mercure est non seulement émis par les cheminées industrielles mais aussi par les amalgames dentaires.

«
Les amalgames dentaires à base de mercure [à 50%] peuvent créer des
courants électrolytiques entre les obturations contenant différentes
mixtures de métaux ou entre les obturations et les tissus environnants,
explique le physicien britannique Cyril W. Smith, ex-conférencier sénior
à l’Université de Salford. On a vu des patients avec des taches noires
sur le palais causées par la migration du mercure. Les contacts
d’amalgame à tissus pourraient détecter des fréquences environnementales
telles que des transmissions radio, tout comme les postes à galène
(poste à cristal). On a même signalé le cas d’un dentiste qui a entendu
de la musique dans la bouche d’un patient! Les fréquences dues à la
toxicité du mercure et celles d’un téléphone mobile causent
malheureusement un stress à la branche parasympathique du système
nerveux autonome. »

C’est pourquoi Magda Havas dit qu’il est
prioritaire de simultanément réduire votre exposition aux CEM tout en
améliorant votre résistance corporelle. « Vous devez renforcer votre
système immunitaire en comblant vos besoins spécifiques. La
détoxification est également essentielle; il faut se débarrasser des
amalgames dentaires, de la nourriture toxique et des expositions au
travail. Tout comme les pesticides, les radiofréquences sont
neurotoxiques. »

Un mot de prudence : pour éviter d’être exposé
aux dangereuses vapeurs de mercure durant l’enlèvement des amalgames,
choisissez un dentiste ‘’biologique’’ formé et certifié par l’Académie internationale de médecine et toxicologie dentaire (IAOMT), recommande le médecin américain Joseph Mercola qui a subi de graves dommages rénaux aux mains d’un dentiste conventionnel.

L’IAOMT, qui fut présidée par le dentiste québécois Pierre Larose
en 2007-2008, explique sur son site web : « Les vapeurs de mercure se
dégagent continuellement des amalgames dentaires et s’accumulent dans le
corps avec le temps. Plusieurs études ont démontré que le mercure est
l’élément non-radioactif le plus toxique sur terre et qu’il peut causer
des effets physiques mesurables tels que les troubles d’apprentissage.
Les dentistes ne doivent enlever les amalgames dentaires qu’avec un
système de succion efficace, pour capturer les particules d’amalgames et
les vapeurs de mercure, tout en fournissant au patient et au personnel
une source d’air libre de mercure. »

« Les agents de chélation, le
sauna et les lavements du côlon sont efficaces pour la détoxification,
mais il faut aller en douceur, avec l’aide d’un professionnel de la
santé, pour minimiser les risques », insiste Magda Havas. Sur son site emfacts.com,
Don Maisch cite la psychiatre suédoise Ulrika Åberg : « Durant ma
pratique avec les patients sensibles à l’amalgame et électrosensibles,
j’ai rencontré environ 1200 patients et l’électrosensibilité était la
plainte principale de 300 à 400 d’entre eux. Environ 50 % de mes
patients se sentent mieux et plus résistants avec des injections de
vitamine B12 – le mercure perturbe le transport de la vitamine B12 du
sang vers le liquide céphalo-rachidien. Les patients électrosensibles
qui sont aussi sensibles à la lumière ou l’ont déjà été, peuvent faire
bon usage de PABA, acide para-aminobenzoïque. Durant la dernière année,
j’ai compris l’importance des infections cachées et des métaux
dissimulés dans les dents et les mâchoires pour la santé générale des
patients de cette catégorie. Traiter ces infections et enlever ces
métaux serait nécessaire à la guérison de ces personnes. »

Pour sa
part, la dentiste suédoise Karin Öckert a découvert que parmi 42
patients électrosensibles qui avaient fait enlever leurs amalgames, «
40% ont complètement récupéré, 24 % se sont améliorés, 26 % n’ont vu
aucun changement et 10 % sont pires qu’avant ». D’où l’importance de
faire affaire avec un dentiste « biologique » expérimenté.

Pour en savoir davantage
http://www.magdahavas.com/
http://www.earthinginstitute.net/
http://www.emfacts.com/

http://www.em3e.com
http://www.emfrelief.com/
http://www.essentia.ca/
http://www.getpurepower.ca/
http://iaomt.org http://sammilham.com/
http://slt.co/
http://stetzerelectric.com/

Les cellulaires qui émettent le moins de micro-ondes

Protocole révisé de détoxification de l’exposition au mercure

Électricité sale : Électrification et maladies de civilisation




10 produits cancérigènes à éliminer de votre maison et dangers du Wi-Fi

[Source anglaise : https://www.healthyandnaturalworld.com/cancer-causing-products-to-remove-from-your-home/]

Par Jenny Hills, nutritionniste et écrivain médical

En
tant que parent et conjoint, vous essayez de faire en sorte que votre
famille soit en bonne santé et heureuse et vous faites tout ce qui
est en votre pouvoir pour assurer sa sécurité. Vous ne pensez pas
que les produits que vous utilisez pour les protéger peuvent les
mettre en danger.

Lorsque
vous pensez à la santé et au bien-être, une nutrition adéquate et
des suppléments figurent souvent en tête de liste des moyens de
protéger votre famille. Vous n’envisagez pas, par exemple,
d’analyser les produits que vous utilisez pour le nettoyage.

La
vérité est qu’il existe dans notre maison un certain nombre de
substances cancérogènes connues qui se cachent sous la douche, dans
les toilettes, dans l’armoire de la cuisine et dans le reste de la
maison et qui sont susceptibles d’augmenter considérablement le
risque de cancer.

Voici
une liste des dangers potentiels, des désodorisants et des bougies
parfumées aux rideaux de douche, auxquels vous pouvez vous attendre
pour rendre votre maison plus sûre. À la fin de l’article, je
discuterai également des signes avant-coureurs que les rayonnements
Wi-Fi / cellulaires affectent votre santé et de la façon de réduire
les dangers du Wi-Fi.

1. Désodorisants

Selon un rapport publié par le Natural Resources Defense Council, de nombreux désodorisants que nous utilisons régulièrement chez nous contiennent des composés à potentiel cancérigène. La grande majorité des assainisseurs d’air, même certains marqués «tout naturel» ou «non parfumé», contiennent des composés appelés phtalates.

Différents
types de phtalates ont des conséquences différentes sur la santé,
bien que la majorité d’eux affecte la santé de la reproduction.
Beaucoup d’entre eux peuvent exacerber des problèmes respiratoires
tels que l’asthme.

Lorsque
les gens utilisent des assainisseurs d’air, les phtalates sont
libérés dans l’air où ils peuvent être inhalés ou peuvent se
poser sur la peau et être absorbés. Une fois que ces produits
chimiques pénètrent dans le sang, ils peuvent modifier les niveaux
d’hormones et causer d’autres problèmes de santé.

Un article paru dans le Journal of Environmental Health Perspectives mentionnait que l’exposition aux phtalates pouvait être liée à un risque accru de cancer du sein.

Un autre rapport médical suggère que les phtalates favorisent la prolifération des cellules cancéreuses de la prostate.

Les
assainisseurs d’air faits maison sont l’un des produits les plus
simples à fabriquer. L’eau distillée et quelques gouttes de vos
huiles essentielles préférées dans une bouteille de spritz, c’est
tout ce dont vous avez besoin pour que votre maison garde une bonne
odeur. Bien agiter avant chaque utilisation et vaporiser le
brouillard autour de votre maison lorsque vous souhaitez rafraîchir
l’air. Ou vous pouvez l’utiliser dans un diffuseur d’aromathérapie.

Si vous souhaitez en savoir plus sur les huiles essentielles, vous pouvez trouver des informations utiles dans mon e-book Magical Aromatherapy . Ce livre électronique vous aidera à découvrir le pouvoir des huiles essentielles et les moyens les plus efficaces de les utiliser.

Vous pouvez également utiliser ces 10 installations de filtrage d’air .

2. bougies

Selon
plusieurs études, les particules de bougies allumées sont
extrêmement dangereuses pour la santé.

Les particules de bougies allumées ont un effet plus puissant que les particules d’échappement de diesel

Une expérience scientifique sur des souris a révélé que des particules provenant de bougies allumées provoquaient des réactions inflammatoires dans les poumons et des cellules endommagées. Les chercheurs ont également constaté que les particules provenant de bougies allumées avaient un effet plus puissant que les particules d’échappement de diesel .

Le Dr Amid Hamidi de l’Université de Caroline du Sud, qui a dirigé l’étude, a déclaré qu’une exposition occasionnelle à une bougie à la paraffine et à ses émissions ne vous affectera probablement pas. Cependant, en éclairer un grand nombre tous les jours pendant des années, ou fréquemment dans une salle de bain non ventilée, par exemple, peut poser problème.

L’exposition aux particules de bougies allumées peut raccourcir la vie

Une autre étude scientifique sur des souris a révélé que l’exposition aux particules provenant de bougies allumées augmentait considérablement la progression des artères obstruées (athérosclérose). Les artères obstruées augmentent considérablement le risque de crise cardiaque, d’accident vasculaire cérébral et même de décès.

La même expérience a également révélé que l’exposition aux particules provenant de bougies allumées induisait le raccourcissement des télomères dans les poumons et la rate. Des études récentes indiquent que la longueur des télomères, qui peut être affectée par divers facteurs liés au mode de vie, peut influer sur le rythme du vieillissement et l’apparition de maladies associées à l’âge.

Les bougies peuvent contenir du plomb

Bien
que le Conseil américain des consommateurs ait interdit la vente de
bougies contenant des mèches en plomb, il est toujours judicieux de
vérifier vos bougies pour vous assurer qu’elles ne contiennent pas
cette substance potentiellement dangereuse. De nombreux produits
parfumés contiennent également des dizaines de toxines et de
substances cancérigènes nocives. Vérifiez donc les produits
chimiques utilisés pour créer les odeurs de vos produits.

Un
moyen simple de vérifier vos bougies consiste à utiliser un morceau
de papier. En tenant la mèche, essayez de tracer une ligne sur le
papier. S’il n’y a pas de ligne, la mèche ne contient probablement
pas de plomb. Vous pouvez également allumer la bougie et tenir le
papier bien au-dessus de la flamme. Si un résidu de suie grise se
forme, vos bougies peuvent contenir du plomb.

La US Environmental Protection Agency a constaté que les bougies parfumées dégagent plus de suie que les bougies non parfumées.

Toujours
brûler vos bougies dans un endroit bien ventilé.

Essayez
de choisir des bougies à base de cire d’abeille non toxique ( comme
celle-ci

). Une autre option pour apporter un parfum apaisant dans votre
maison consiste à utiliser cet
ensemble diffuseur d’aromathérapie et huiles essentielles

.

3. Rideaux de douche et autres plastiques

Le
prochain danger vient des toxines plastiques qui semblent être
partout dans la maison. Vous pouvez reconnaître le polychlorure de
vinyle par son abréviation: PVC. Le PVC est le troisième type de
plastique le plus produit au monde. Bien que le PVC puisse être sans
danger pour certaines applications, comme les canalisations d’égout
par exemple, mais lorsqu’il est utilisé dans des environnements
pouvant libérer des composés toxiques cancérigènes du PVC, ce
polymère plastique pourrait devenir une bombe à retardement.

Les rideaux de douche contiennent du PVC et d’autres composés toxiques qui peuvent être libérés sous la douche. Ces toxines peuvent affecter le système reproducteur, le système respiratoire et peuvent également être cancérigènes. Certains des produits en plastique utilisés dans la fabrication de jouets, de contenants et d’autres matières plastiques pour enfants peuvent également constituer un risque pour la santé (lisez mon article précédent sur 7 bonnes raisons de laisser tomber les contenants en plastique ).

Des
alternatives plus saines pour les rideaux de douche comprennent les
rideaux en coton naturel (comme celui-ci
) ou les rideaux en EVA (l’EVA est une alternative non toxique au
PVC) comme celui-ci
. Vérifiez les jouets de vos enfants et vos emballages en plastique
pour vous assurer qu’ils ne contiennent pas de PVC.

4. Nettoyants à tapis et shampooings textiles

De nombreux shampooings pour tapis et nettoyants pour tissus conçus pour offrir un pouvoir anti-taches supérieur utilisent un produit appelé perchloréthylène. Le perchloréthylène, également appelé tétrachloréthylène, a été associé à une augmentation des risques de cancer du poumon .

Les
produits de nettoyage pour tapis et les shampooings pour tissus
contiennent parfois un composé appelé naphtalène. Le naphtalène
est l’ingrédient principal des boules antimites et l’exposition
au naphtalène est liée à un risque accru de cancer de la gorge et
du poumon.

Le
bicarbonate de soude est un excellent désodorisant et le vinaigre
blanc est efficace pour enlever la saleté et les taches. Si vous
souhaitez vous débarrasser de votre shampooing pour tapis,
saupoudrez vos tapis de bicarbonate de soude, ajoutez du vinaigre à
votre eau pour shampooing, puis attendez que vos tapis soient secs.
Saupoudrez de nouveau du bicarbonate de soude si nécessaire, puis
aspirez la poudre restante.

Le nettoyage à la vapeur est une autre option saine pour garder vos tapis propres sans les produits chimiques contenus dans le shampooing pour tapis. Vous pouvez trouver plus d’utilisations du vinaigre blanc dans mon article sur les 10 utilisations surprenantes du vinaigre dans les ménages .

5. Produits de nettoyage à sec

Selon
l’American Cancer Society, un autre agent cancérigène dissimulé
dans vos armoires pourrait être le tétrachloréthylène ou le
perchloréthylène qui a été utilisé pour vos articles nettoyés à
sec. Ces produits chimiques sont souvent inclus en tant que solvants
dans des produits tels que les produits de nettoyage à sec.

Le
port de vêtements nettoyés à sec peut vous exposer
involontairement à ces substances nocives. Assurez-vous que votre
nettoyeur local n’utilise pas de perchloréthylène pour nettoyer vos
chiffons.

6. Insecticides et pesticides

Le terme famille s’applique généralement à nos amis à fourrure. On pourrait penser que les produits promus comme acceptant les animaux de compagnie seraient effectivement favorables aux animaux de compagnie et aux humains. Cependant, à l’instar de vos produits de nettoyage, de nombreux produits chimiques potentiellement cancérogènes sont également présents dans de nombreux produits de lutte contre les tiques, les puces et les poux.

Certains
produits contre les tiques et les puces contiennent des insecticides
organophosphatés, de la perméthrine et des carbamates. Ces produits
sont répertoriés comme susceptibles d’être cancérogènes pour
l’homme.

Vous pouvez utiliser des méthodes naturelles et obtenir plus d’informations dans mon article sur la façon de se débarrasser naturellement des puces de votre maison, de votre jardin et de vos animaux de compagnie . Vous pouvez également lire mes articles sur la façon de se débarrasser naturellement des araignées , des fourmis , des moustiques et des mouches .

7. Produits antibactériens

Nous
sommes souvent trompés en pensant que certains produits sont
automatiquement sûrs. Cela est particulièrement vrai des produits
tels que les produits antibactériens qui sont supposés être conçus
pour rendre nos environnements plus sûrs.

Les
préoccupations récentes concernant un ingrédient utilisé dans de
nombreux produits antibactériens ont conduit à une interdiction
d’utilisation de ce produit dans des régions telles que l’UE. Le
triclosan est un ingrédient antibactérien et antifongique présent
dans de nombreux produits cosmétiques, savons, détergents et même
dans les dentifrices (comme Colgate Total).

Les
preuves suggèrent que le triclosan peut être cancérogène. Bien
que les tests initiaux n’aient été effectués que sur des souris,
les inquiétudes étaient suffisantes pour interdire le produit dans
l’UE.

Des produits tels que l’argent ont été utilisés pour leurs propriétés antibactériennes et antimicrobiennes (par exemple, les biotechnologies avancées incorporent de l’argent ionisable dans les tissus à usage clinique afin de réduire le risque d’infections), et l’utilisation de l’argent ne semble pas poser de danger majeur pour l’homme. Cependant, à la maison, vous pouvez fabriquer votre propre savon antiseptique naturel ou votre propre nettoyant ménager naturel assainissant .

8. Déodorants

Certains
affirment que les déodorants pourraient vous être nocifs et même
causer le cancer.

Le Dr Philip Harvey, rédacteur en chef du Journal of Applied Toxicology, a examiné les interactions entre les cosmétiques et votre corps. Il dit qu’essuyer les produits chimiques trouvés dans les déodorants sous vos bras et sur les côtés de votre poitrine ou de vos seins «pourrait constituer une voie d’exposition presque directe au tissu sous-jacent contenant des récepteurs d’oestrogènes».

Cela est préoccupant, car les parabènes et l’aluminium, présents dans les déodorants, sont des produits chimiques «œstrogéniques», ce qui signifie qu’ils interagissent avec les hormones ou les cellules de votre corps de manière similaire à l’œstrogène. Selon le National Cancer Institute, un excès d’œstrogènes joue un rôle dans la croissance des cellules cancéreuses, ce qui est très préoccupant en raison de notre exposition quotidienne aux déodorants. Harvey dit que ses calculs suggèrent que ces produits chimiques cosmétiques peuvent «considérablement alourdir les charges œstrogéniques».

Il existe des points de vue opposés sur le lien entre l’utilisation de déodorants et le cancer. Une étude médicale n’a pas trouvé de corrélation entre l’utilisation d’anti-transpirants et le cancer du sein. La FDA a déclaré: «À l’heure actuelle, nous ne disposons pas d’informations indiquant que les parabens, tels qu’ils sont utilisés dans les cosmétiques, ont un effet sur la santé humaine. »

Mais le Dr Philip Harvey a déclaré que « l’absence de preuve n’est pas une preuve d’absence ».

Pourquoi prendre le risque? Au lieu d’utiliser des déodorants du commerce, vous pouvez facilement fabriquer un déodorant à l’huile de noix de coco ou un déodorant à la lavande naturelle .

9. Dentifrices contenant du triclosan

L’utilisation
d’un produit chimique appelé triclosan dans un dentifrice très
vendu, Colgate Total, a provoqué de nombreux débats par le passé.
Le dentifrice en question, fabriqué par Colgate-Palmolive Co., a été
approuvé par la Federal Drug Administration (FDA) en 1997.

À
la suite d’un procès en vertu de la loi sur la liberté
d’information (FOIA), l’agence a publié toutes les données de
sécurité qu’elle avait dissimulées sur ce produit. Il est apparu
qu’au cours des 18 dernières années, des millions de personnes ont
régulièrement mis dans la bouche une toxine potentiellement liée
au cancer, aux troubles endocriniens, à la stérilité et à
d’autres problèmes de santé.

Qu’est-ce que le triclosan?

Le
triclosan est un pesticide et ressemble à un composant majeur de
l’arme chimique Agent Orange pulvérisée pendant la guerre du
Vietnam. Il est également connu sous le nom de 5-chloro-2-
(2,4-dichlorophénoxy) phénol, et a été initialement utilisé dans
les exfoliants chirurgicaux pour les mains et autres désinfectants.
C’est un dérivé du 2,4-D, qui est un herbicide hautement toxique.
Pas exactement une substance que vous vous attendriez à trouver dans
votre dentifrice.

Colgate
affirme que son dentifrice est sans danger; une affirmation étayée
par plus de 80 études cliniques portant sur 19 000 personnes. Le
porte-parole de Colgate, Thomas DiPiazza, cite une étude
indépendante menée en 2013 par Cochrane, qui n’a révélé aucune
preuve d’effets nocifs associés à l’utilisation de Total.

Cependant,
le triclosan a été progressivement éliminé des autres produits de
soins personnels courants, à l’exception de ce dentifrice. De plus,
l’Union européenne a interdit le triclosan à tous les produits en
contact avec les aliments.

Cela
soulève des questions. La FDA elle-même n’était pas tellement
sûre de l’approbation du dentifrice en tant que médicament en
vente libre, et craignait que le produit chimique n’augmente le
risque de cancer. Pourtant, ça a marché et ça a marché.

La recherche sur le triclosan

Une
partie du problème réside dans le fait que, lorsque la FDA a pris
sa décision concernant Total, elle n’a examiné que les résultats
de la recherche provenant des laboratoires de Colgate. La société a
mené une étude sur le cancer, mais même la FDA admet qu’il est
difficile de savoir à quel point elle était complète.

Les
études montrant des malformations osseuses mortelles chez la souris
et le rat, susceptibles de signaler des perturbations du système
endocrinien, ont été écartées comme non pertinentes. Cependant,
les experts s’accordent à dire que lorsqu’un produit chimique est
considéré comme dangereux pour les animaux, il serait extrêmement
risqué de le transmettre à la population humaine.

Lorsqu’une étude présumée indépendante a montré que le triclosan n’avait aucun effet détectable sur la fonction thyroïdienne chez l’homme, il a été révélé que trois auteurs sur cinq avaient reçu une subvention de Colgate. L’un des auteurs affirme que la société n’a pas contribué à la collecte ou à l’analyse de données, mais les doutes ont néanmoins été soulevés.

Produits sans triclosan

D’autres
entreprises n’utilisent pas de triclosan dans leurs produits de soin
buccal. Comme le produit chimique est également utilisé dans une
gamme d’autres produits, à la suite du débat, de nombreuses
entreprises ont annoncé l’arrivée d’une gamme de produits sans
triclosan, tels que les distributeurs d’aliments pour animaux
domestiques.

Toutefois,
le fabricant de Total n’envisage pas de modifier la formule de son
dentifrice et continue de le commercialiser comme produit qui
favorise la santé de vos dents et de vos gencives. Tous avec les
bénédictions de la FDA.

10. Batterie de cuisine antiadhésive en téflon

Chimiquement,
le téflon est connu sous le nom de polytétrafluoroéthylène.
Il s’agissait à l’origine d’un sous-produit résiduaire de la
production de Fréon, nom commercial des liquides ou gaz
ininflammables moyennement toxiques qui sont utilisés comme
réfrigérants et comme propulseurs d’aérosols. Le fréon et le
téflon sont tous deux produits par la même société, DuPont.

Le
téflon est fabriqué à partir d’ acide
perfluorooctanoïque

(PFOA), associé à des tumeurs et à des problèmes de développement
chez les animaux.

Selon la London School of Hygiene and Tropical Medicine , un certain nombre de maladies sont liées à l’exposition à l’APFO:

  • Diabète
    (type 2)

  • Cancer

  • Faible
    poids de naissance

  • Puberté
    précoce

  • Infertilité
    et troubles de la reproduction

  • Troubles
    auto-immuns

  • Maladie
    du foie et des reins

  • Maladie
    thyroïdienne

  • Taux
    de cholestérol élevé

Que pouvez-vous faire pour réduire les risques associés au téflon?

  • Ne
    préchauffez jamais une casserole vide.

  • Si
    vous utilisez des casseroles antiadhésives, n’allez pas au-dessus
    de la chaleur moyenne.

  • Si
    vous voyez que votre casserole est déchiquetée ou endommagée,
    jetez-la. Les batteries de cuisine antiadhésives doivent être
    remplacées tous les deux ans pour éviter les fuites toxiques.

  • Utilisez
    uniquement des cuillères en bois pour mélanger les aliments et
    évitez les ustensiles en métal sur les casseroles antiadhésives.

  • Les
    batteries de cuisine plus lourdes sont généralement de meilleure
    qualité et chauffent un peu plus lentement, alors choisissez-les.

  • Utilisez
    une batterie de cuisine sans produits chimiques. Optez pour les
    ustensiles en verre et en argile, les casseroles en acier inoxydable
    et en cuivre, ainsi que les marmites en fonte. La fonte et l’acier
    inoxydable sont une bonne alternative aux casseroles antiadhésives
    et sont durables.

Alternatives au téflon

Verre

Le
verre convient parfaitement à la cuisson, comme les plats en pyrex.
Ils ne sont généralement pas conçus pour une utilisation sur une
cuisinière.

De
plus en plus de gens choisissent des pots en verre pour leur design
simple, leur couleur élégante et leur style élégant. De plus, la
surface lisse des pots en verre facilite leur nettoyage.

Fonte
de fer

La
fonte est parfaite pour une utilisation au four ou sur une
cuisinière. La fonte est ma préférée parce qu’elle est si
polyvalente. Bien que les ustensiles de cuisson en fonte ne
contiennent pas d’APDFO, il est important de s’assurer que les
ustensiles de cuisine que vous choisissez répondent à toutes les
réglementations en matière de niveaux de plomb et de cadmium.

Acier
inoxydable

Cela
peut être un peu délicat, car je trouve que la nourriture a
tendance à coller à ma batterie de cuisine en acier inoxydable,
mais beaucoup de gens préfèrent l’utiliser.

Bien
que des recherches soient nécessaires pour trouver les meilleures
alternatives non collantes à votre goût, je le recommande vivement.
Si vous préparez la plupart de vos repas à la maison, il est
important de ne pas vous exposer aux risques inhérents à la cuisson
avec un antiadhésif.

Ne prenez pas la sécurité pour acquis

La
liste de produits ci-dessus n’est qu’un échantillon des dangers
potentiels des produits que nous prenons pour acquis. Vous devez vous
intéresser activement aux produits sur lesquels vous comptez pour
assurer la sécurité de votre famille. Recherchez les produits que
vous utilisez régulièrement et recherchez les ingrédients.

La détoxification de votre maison fait partie intégrante du concept de désintoxication. Cela inclut non seulement la détoxification de votre corps, mais également la détoxification de votre esprit et des environnements les plus proches. Vous pouvez trouver plus d’informations sur ce concept dans mon livre électronique The Detox Guide ( Guide de désintoxication) , qui vous apprendra comment utiliser la détoxication pour purifier et dynamiser votre corps et votre esprit, et comment désintoxiquer votre maison.

Panneaux d’avertissement indiquant que le rayonnement Wi-Fi / cellulaire affecte votre santé et comment réduire les dangers du Wi-Fi

Il
est pompé dans nos ordinateurs, téléphones, ordinateurs portables
et tablettes. Il flotte autour de nos maisons, de notre lieu de
travail, de nos trains et même de nos avions. Depuis sa création au
début des années 90, le Wi-Fi fait désormais partie de notre
quotidien, mais devrions-nous lui faire aveuglément confiance? Le
Wi-Fi est-il mauvais pour la santé?

Bien
sûr, le Wi-Fi est une commodité miraculeuse pour la personne
moderne. Des centaines de millions de personnes l’utilisent
quotidiennement pour se connecter au Web. Cela nous aide à
travailler, à rester divertis et à communiquer avec les autres.
Mais est-ce bon pour notre santé?

Les
dangers du Wi-Fi font encore l’objet de spéculations dans le monde
médical car il est devenu trop commode de le remettre en question.
Le fait est que les champs électromagnétiques générés par notre
technologie ne sont pas naturellement conçus pour être absorbés
par notre corps. La question de l’impact des champs
électromagnétiques sur notre santé ne vient que récemment de
susciter l’inquiétude des experts médicaux.

Syndrome d’hypersensibilité électromagnétique (EHS)

Le
syndrome d’hypersensibilité électromagnétique, ou EMS, concerne
les personnes exposées à des champs électromagnétiques. Des
études montrent à présent que ce problème médical est beaucoup
plus crédible que nous l’aurions pensé.

Selon une étude , une station de base de téléphone sans fil placée à environ un mètre de votre tête et branchée pendant trois minutes à la fois peut perturber considérablement le rythme cardiaque. Cette étude est dirigée par Magda Havas, Ph.D., du département des études environnementales et des ressources de l’Université Trent, au Canada.

Jusqu’à
présent, les experts ont pu classer les personnes touchées en deux
groupes. Il y a les personnes qui souffrent de symptômes mineurs et
celles qui sont plus gravement touchées.

Le
docteur suisse Thomas Rau de la clinique Paracelsus a constaté que
dans les zones modernisées, près de 40% des patients avaient des
effets secondaires négatifs dus aux CÉM, tandis que 8% présentaient
des symptômes plus graves.

Symptômes mineurs d’EHS

Vous
êtes peut-être quelqu’un avec EHS et vous ne le réalisez même
pas. Se promener simplement dans les zones à fortes concentrations
de CEM peut aggraver les symptômes suivants:

  • Sensations
    de faiblesse, étourdissements ou vertiges

  • Sensations
    de démangeaisons et de brûlures sur votre peau

  • Maux
    de tête spontanés et obstinés

  • Douleur,
    inconfort et douleur dans les muscles

  • Sensation
    de nausée ou de maladie

  • Manque
    de concentration et de clarté

Des dangers plus graves d’EHS

Certains
médecins pensent que l’exposition aux champs électromagnétiques
peut également entraîner des problèmes plus graves chez les
personnes extrêmement sensibles. Selon le Dr Rau, l’exposition à
des charges électromagnétiques peut contribuer aux problèmes
médicaux suivants:

  • ADD et ADHD
  • Migraine chronique
  • Insomnie
  • la maladie de Parkinson
  • Mal de dos chronique
  • Arythmie
  • Cancer

Presque inévitable

Il
semble étrange qu’un problème médical ayant un potentiel négatif
aussi grave retienne si peu l’attention. Comment une partie aussi
commode de notre vie quotidienne peut-elle avoir ces effets négatifs?
Pourquoi n’y a-t-il pas plus de recherche en cours?

Les
entreprises qui économisent des millions de dollars grâce à leurs
services Wi-Fi ne veulent probablement pas répondre à cette
question autant qu’elles ne veulent pas que vous leur posiez la
question. Le Wi-Fi et les CEM connaissent une croissance
exponentielle et ne montrent aucun signe de ralentissement. Selon
certaines estimations, le nombre de points chauds devrait tripler
d’ici à 2015.

Vous
n’avez pas besoin d’être un expert en technologie pour être exposé
aux CEM tous les jours, ils vous trouveront quand même. Une forte
majorité des personnes autour de vous émettent des signaux
directement dans leurs poches et leurs sacs à dos.

Les
magasins et les restaurants exploitent le potentiel de revenus du
Wi-Fi et l’installent dans leurs établissements. Même si vous
n’avez pas du tout de téléphone portable, vous pouvez être une
victime.

Il
peut être difficile d’éviter de s’imprégner de notre culture
saturée de médias, mais cela ne signifie pas que vous ne pouvez pas
prendre de mesures pour réduire l’exposition. Quelques changements
mineurs dans la vie peuvent vous épargner le risque d’une absorption
excessive des CEM.

7 étapes pour réduire les dangers du Wi-Fi

Renforcez la force de votre système immunitaire. C’est le plan d’action le plus important car il permettra à votre corps de rejeter plus efficacement les effets des radiations. Un régime solide d’aliments biologiques, une grande quantité d’eau et une quantité adéquate de vitamines et de minéraux vous feront du bien. Vous pouvez également lire mon autre article sur la manière de renforcer votre système immunitaire naturellement .

Utilisez
des lignes fixes à la maison, au travail et partout où cela est
possible. Cela cause beaucoup moins d’exposition qu’un téléphone
cellulaire. Si possible, restez sur les téléphones avec fil – ils
constituent le moyen le plus sûr de communiquer sans pénétration
de CEM.

Ne
gardez pas votre téléphone dans vos poches, vos vêtements ou votre
ceinture. Essayez de le transporter quelque part en dehors de votre
corps, comme dans une valise ou un sac à main.

Gardez
les ordinateurs portables sur vos genoux. Je sais que le nom de
l’appareil contredit ce concept, mais les ordinateurs portables
reçoivent et émettent constamment des ondes électriques.

Si
vous devez utiliser un téléphone portable, faites de la messagerie
une priorité sur les appels. Non seulement il est plus pratique,
mais il est également moins dangereux que de placer le téléphone
directement à côté de votre cerveau.

Si
vous avez des enfants, éloignez-les des téléphones portables. Les
enfants ayant un corps en développement sont les plus vulnérables
aux effets mystérieux du Wi-Fi et des autres champs
électromagnétiques. Ils peuvent vous en vouloir, mais c’est pour le
mieux.

Apprenez
à utiliser le mode avion chaque fois que vous le pouvez avec vos
appareils. Il désactive les données Wi-Fi et cellulaires, ce qui
permettra également d’économiser une tonne de vie de la batterie.
Si vous ne vous attendez pas à donner ou à recevoir une
communication pendant la nuit, éteignez complètement votre
téléphone avant de vous coucher.

Notre
connaissance des champs électromagnétiques est encore limitée,
mais pourquoi le risquer? Avec la spéculation que cela pourrait agir
comme cancérigène et nuire à votre ADN, il est clair qu’il ne faut
pas en tenir compte. Si vous prenez les choses en main et tentez de
réduire l’exposition, vous pourriez vous préparer un avenir heureux
et plus sain. Ne croyez pas que le monde sera fini non plus – les
humains s’entendraient bien sans technologie pendant des milliers
d’années!

Articles Liés:

Resources

[1]Hidden Hazards of Air Fresheners
[2]http://www.cpsc.gov
[3]http://www.snopes.com/
[4]http://www.washington.edu/
[5]http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25015929
[6]http://www.epa.gov/
[7]http://www.cancer.org/
[8]http://www.humanesociety.org/
[9]http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16766878
[10]http://time.com/3922814/deodorant-cancer/
[11]http://www.bloomberg.com/news/2014-08-11/in-35-pages-buried-at-fda-worries-over-colgate-s-total.html
[12]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14639125
[13]https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12381712
[14]https://www.cancer.gov/about-cancer/causes-prevention/risk/myths/antiperspirants-fact-sheet
[15]https://www.cancer.org/cancer/cancer-causes/antiperspirants-and-breast-cancer-risk.html
[16]Lung inflammation and genotoxicity in mice lungs after pulmonary exposure to candle light combustion particles

Source URL – https://www.healthyandnaturalworld.com/cancer-causing-products-to-remove-from-your-home/




Technologie 5G : fuir ou combattre?

[Source : La maison du 21e siècle]

Technologie 5G : fuir ou combattre?

Auteur : Jean Hudon

Certaines analyses des réseaux 5G ont conclu que des antennes émettrices seront nécessaires à toutes les deux à dix maisons.
© http://scientists4wiredtech.com/2018/08/the-problem-with-5g/

Vidéo mise en ligne le 17 mars 2019 par à https://youtu.be/6EFXvbugLsE

Transcription traduite par Jean Hudon http://www.cqlpe.ca/#DR

La 5G est-elle le prochain scandale de l’amiante ? De nombreux scientifiques nous mettent en garde — dans cet appel — contre ses effets profondément négatifs. Mais qui les écoute ?

Reportage à la télé américaine : Une tour de téléphonie cellulaire est-elle en construction dans votre quartier ? Si ce n’est pas le cas maintenant, cela pourrait bientôt arriver. Les opérateurs de téléphonie mobile en installent des millions [de micro-cellules sur des poteaux et lampadaires, en fait] à travers le pays (partout en Amérique du Nord) pour activer la nouvelle technologie de téléphonie cellulaire 5G plus rapide. Mais ce soir, Julie Watts a posé la question que vous n’êtes pas supposés poser. Existe-t-il des inquiétudes légitimes en matière de santé ?

Question d’un membre du comité sénatorial : Pourriez-vous nous dire brièvement quelles sont vos références en lien avec l’Université McGill ?

Paul Héroux est chercheur en effets biologiques des champs électromagnétiques à la Faculté de médecine de l’Université McGill.

Dr Paul Héroux, témoin expert lors d’une audience devant un comité du Sénat américain : Je
suis membre de la Faculté de médecine. Je suis directeur du Programme
de santé au travail au sein du Département d’épidémiologie, de
biostatistique et de santé au travail. Je ne sais pas comment quiconque
peut soutenir le déploiement de la 5G, un nouveau système de téléphonie
cellulaire qui aggravera sérieusement l’exposition humaine au
rayonnement électromagnétique. Tous les cancers humains — leucémie,
cancers du côlon et du sein, cancer du poumon — réagissent à des niveaux
de rayonnement électromagnétique des centaines de fois inférieurs au
seuil maximum recommandé par la FCC [US Federal Communications
Commission]. En passant, la FCC n’a aucune expertise médicale et
biologique. Ils prennent leurs ordres de marche de l’Institut des
ingénieurs électroniciens.

© http://scientists4wiredtech.com/2018/08/the-problem-with-5g/

Question d’un membre du comité sénatorial : Vous pouvez mettre un de vos poteaux à un mètre de la maison de quelqu’un ?

Représentant de l’industrie des télécommunications : Correct.

À dix pieds de la maison de quelqu’un ?

Oui.

Et puis avec l’antenne émettant à 360 degrés, tout ce qui est émis va dans la maison de quelqu’un?

Nous
cherchons donc à les localiser principalement aux coins des rues afin
de pouvoir obtenir cette zone de couverture à 360 degrés. Cela nous
permet également d’éviter les arbres…

Mais il y a des maisons aux coins des rues

Et
certaines maisons s’y trouvent. Regardez, nous ne cherchons pas à
violer l’espace de quiconque. Nous tenons toujours compte de la
propriété des personnes quand nous déterminons où placer ces
équipements. Nous faisons donc de notre mieux en toutes circonstances
pour garder à l’esprit les préoccupations des résidents. Nous ne
cherchons pas à violer qui que ce soit…

moin expert lors d’une audience devant un comité du Sénat américain :
La fertilité est affectée et, comme je le dirai plus tard, nous avons
de graves problèmes. Nous constatons déjà d’énormes effets. Il y a aussi
des effets neurologiques et neuropsychiatriques, d’après les 25 études
examinées, et nous savons que ceux-ci sont causés par l’exposition aux
champs électromagnétiques.

http://scientists4wiredtech.com/2018/08/the-problem-with-5g/

Témoin expert à une audience devant un comité du Sénat américain :
Certaines analyses des réseaux 5G ont conclu que des antennes
émettrices seront nécessaires à toutes les deux à dix maisons.
Malheureusement, c’est la FCC qui définit le niveau sécuritaire
d’exposition aux rayonnements, et non la FDA [Food and Drug
Administration) ou le CDC [Centers for Disease Control and Prevention].

Témoin expert à une audience devant un comité du Sénat américain :
Tout le monde dans la salle doit comprendre que la FCC est composée
d’anciens membres de l’industrie des télécommunications. Ils sont
effectivement à l’abri au plan judiciaire contre les recours relatifs
aux effets nocifs sur la santé lorsque les limites recommandées sont
supérieures aux limites dont il a été démontré qu’elles causent en
réalité des effets nocifs sur la santé. Je suis un spécialiste certifié
de Microsoft pour les petites entreprises. J’ai travaillé sur la station
spatiale en concevant le système de câblage du module de sas où j’étais
responsable de l’analyse des CEM, qui est une interférence
électromagnétique.

Témoin expert à une audience devant un comité du Sénat américain :
On nous a induit en erreur et on nous a dit qu’il n’existait aucune
preuve scientifique, alors qu’il existe en fait des milliers d’études
montrant des effets à des niveaux inférieurs aux limites permises. En
fait, les États-Unis ont l’un des niveaux de radiofréquence admissibles
les plus élevés au monde. [NOTE : Ces normes sont pratiquement
identiques au Canada.]

Témoin expert à une audience devant un comité du Sénat américain :
À l’heure actuelle, l’armée américaine utilise un rayonnement
hyperfréquence de 95 gigahertz, soit à seulement cinq gigahertz du
spectre sans fil que permettront ces installations sans fil de
micro-cellules. L’armée américaine utilise ces rayons de 95 gigahertz
comme une arme biologique de contrôle des foules appelée « Active Denial
System ».

moin expert lors d’une audience devant un comité du Sénat américain :
Des milliers d’études ont démontré les effets nocifs suivants des
rayonnements sans fil sur la santé : cancer, dommages oxydatifs,
dommages à l’ADN, défaillance de l’ADN, arythmies cardiaques et autres
effets sur le muscle cardiaque, ainsi que effets vasculaires. Le TDAH
monte en flèche. Il y a aussi des troubles comportementaux, des troubles
du sommeil et des pertes de mémoire, un affaiblissement de la barrière
hémato-encéphalique et des effets sur les vitesses de décharge des
neurones dans les EEG, des perturbations de la fonction immunitaire et
des modifications des protéines de stress, des effets causant la
stérilité humaine.

Le sénateur Blumenthal :
En décembre 2017, j’ai envoyé une lettre au commissaire Carr de la FCC,
lui demandant de citer des études scientifiques récentes démontrant la
sécurité de cette technologie, quelles recherches ont été effectuées, où
elles ont été publiées et compilées. Il ne m’a jamais répondu. Combien
d’argent l’industrie s’est-elle engagée à investir dans de la recherche
indépendante supplémentaire ? J’insiste sur la « recherche
indépendante » et nous parlons de recherche sur les effets biologiques
de cette nouvelle technologie.

Brad Gillen de la CTIA, association qui représente le secteur des communications sans fil aux États-Unis : Merci.
Sénateur. Merci pour votre attention sur la question. La sécurité est
primordiale et, comme vous l’avez dit, nous nous fions à une agence
d’experts, nous nous fions aux conclusions de la FDA et d’autres entités
pour nous assurer de la sécurité de tous. À ma connaissance, il n’y a
pas d’études en cours soutenues par l’industrie. Heureux d’examiner avec
vous les opportunités qui vous paraissent devoir faire l’objet d’études
supplémentaires. Et nous sommes toujours pour davantage de science.
Nous nous appuyons également sur ce que les scientifiques nous disent.

Le sénateur Blumenthal : Donc, essentiellement, la réponse à ma question, « Combien d’argent l’industrie va-t-elle y investir » est « Pas un cent »!

Brad Gillen :
Je peux tout à fait faire un suivi auprès de vous, sénateur. À ma
connaissance, aucune étude en cours n’est soutenue par l’industrie
aujourd’hui.

Le sénateur Blumenthal : Quelqu’un d’autre connait-il l’existence d’engagements de l’industrie à…

Steve Berry, deuxième témoin de l’industrie: Non, je ne suis au courant d’aucun…

Le sénateur Blumenthal :
Il n’y a donc aucune recherche en cours. Nous volons un peu en aveugles
ici en ce qui concerne la santé et la sécurité… Merci Monsieur le
Président.

Youtubeur non identifié, créateur du canal Canadian Prepper :

Salut
tout le monde! Comme beaucoup d’entre vous le savent, je suis un grand
partisan de la technologie et de l’innovation modernes. J’aime mes
gadgets autant que le gars d’à côté. Même si je suis parfois
technophobe, j’aime toujours les trucs sympas et je suis très
enthousiasmé par toutes les possibilités offertes par ce que l’on
appelle l’Internet des objets – en dépit du niveau mondial de coercition
draconienne et orwellienne auquel nous serons probablement tous soumis.
J’avais encore de l’espoir…

Mais j’ai commencé à faire des
recherches à ce sujet et il s’avère que je n’arrive pas à trouver de
contrepoint légitime aux avertissements de beaucoup de personnes très
intelligentes qui disent que c’est mauvais pour votre santé. Les seuls
qui disent que ce n’est pas mauvais sont ceux qui en profitent. Je me
pose donc bien des questions – et je bénéficierai moi aussi de la 5G,
vous savez. Étant un youtubeur, je suis très fortement impliqué dans
Internet. Personnellement, j’étais très enthousiasmé par la 5G et
l’univers d’Internet et les gadgets intelligents, où tout posséderait un
capteur et interagirait avec tout le reste. Même chose pour la réalité
augmentée, et la réalité virtuelle, la robotique et l’automatisation,
l’impression 3D et tout le reste. Même la bio-fusion cybernétique de
l’homme et de la machine sonne plutôt cool à mes oreilles.

Eh
bien, ça a l’air cool jusqu’à ce que vous commenciez à faire de la
recherche sur les effets réels sur la santé, car nous devons nous
rappeler que nous sommes des organismes biologiques. Il y a tellement de
fréquences radio qui nous traversent déjà le corps en ce moment. Si
vous ajoutez la 5G à cela… La plupart des professionnels de la santé
réclament beaucoup plus de recherches et de précaution avant de déployer
la technologie 5G. Mais ça ne les arrête pas de la déployer, vous
savez. Des audiences publiques à ce sujet sont organisées dans certaines
villes. Mais évidememnt, ils vont la déployer immédiatement dans les
plus grandes villes.

Donc, je suis une personne qui veut croire en
la 5G et j’essaie de trouver des informations contraires à celles de
tous ces professionnels de la santé de haut niveau. Mais tout ce qu’il y
a, ce sont ces porte-paroles de la FCC et de l’industrie des
télécommunications qui disent « C’est sans danger». Ils ne vous
fournissent aucune recherche scientifique, ni aucune donnée qui le
prouve. Ils se contentent de dire, « Oh, la FCC a estimé que c’était
sans danger ». Mais pour autant que je sache, la FCC n’est pas un
organisme de réglementation composé de professionnels en épidémiologie
de la santé qui seraient au courant de ces informations. Alors, comment
le sauraient-ils ? Je me demande donc si la 5G sera le prochain scandale
de l’amiante. Parce qu’ils ne font que déployer cela à tout vitesse
comme si ça pressait. Tout le monde est excité à ce sujet.

Les
législateurs et les organismes gouvernementaux ne comprennent pas
vraiment cette technologie et ses effets secondaires potentiels. Je ne
pense pas que j’ai été affecté par les radiofréquences déjà présentes.
Vous savez, même s’ils vous disent techniquement que vous êtes censé
tenir votre téléphone portable à plus d’un centimètre de votre tête, que
vous n’êtes pas censé l’appuyer sur votre tête, peu de gens utilisent
leur téléphone comme ça de toute façon. Je ne suis pas censé le garder
près de mon corps, et tout cela … J’ai fait ça, et je n’ai remarqué
aucun effet sur ma santé — je touche du bois — pour l’instant, mais bon,
ça peut toujours finir par arriver, n’est-ce pas ?

Donc, je pense
qu’il est temps de décrocher du réseau et de fuir la ville. Nous avons
peut-être quelques années encore avant qu’ils déploient la 5G… Il leur
faudra probablement 10 ans pour l’étendre partout. Ils parlent de
couvrir la totalité du continent avec la 5G, ce qui semble absurde. Qui
est responsable à ce sujet ? À quoi pensent-ils ? Je veux dire, cela va
représenter un investissement de 300 milliards de dollars pour couvrir
tout le continent avec ces tours de cellulaires qui se retrouveront à
tous les trois cents mètres. Pouvez-vous croire ça ?

Nous avons
visité des gens, il y a probablement quatre ans, et j’ai alors vu qu’il y
avait une tour de cellulaire juste à côté de leur maison. Merde, me
suis-je dit, je ne m’approche pas de ça. Donc, voudriez-vous sciemment
aller vivre près d’une tour de cellulaire ? Et les personnes qui
poussent pour cela, comme dans le clip vidéo que j’ai montré, elles
ressemblent à une bande d’idiots. Je n’essaie pas de propager des
préjugés ni quoi que ce soit, mais ces individus ressemblent à des
personnes contrôlées à distance. Ils ont peut-être une formation
juridique ou quelque chose du genre, mais ceux qui font valoir ces
arguments semblent être des personnes sans âme. Et leurs arguments sont
strictement basés sur la loi. Tous leurs arguments sont essentiellement
les suivants : il s’agit de la loi, des exceptions nous ont été
accordées et, vous savez, nous allons respecter les directives et bla
bla bla. Ils ne tiennent jamais compte des effets potentiels sur la
santé.

Les ondes millimétriques, à des puissances élevées, sont
utilisées comme arme de contrôle des foules, comme système anti-émeute.
Ils pointent cela vers une foule et les gens ont alors l’impression que
leur peau est en feu et ils doivent prendre la fuite. Cette technologie
existe depuis environ 15 ans.

Or, une étude que j’ai lue explique
que la majorité du rayonnement 5G serait absorbé par la peau. Ça ne va
donc pas pénétrer dans vos organes. Mais qu’est-ce qui va arriver
alors ? Les taux de mélanome vont-ils augmenter ? Je ne sais pas. Tout
ce que je peux dire, c’est qu’ils vont nous exposer à tout cela, et même
si je vais aimer ces téléchargements à haute vitesse, si je suis
toujours en ville quand ça arrivera ici… Mais je vous le dis, ça ne me
semble pas bon, pas bon du tout!

Nous devons nous rappeler que
c’étaient ces mêmes grandes entreprises qui avaient des médecins dans
des publicités pour commercialiser les cigarettes. Cela ne remonte pas à
si longtemps! Et qu’est-ce qui a changé au fond ? Il y a des comités
d’éthique ; il y a plus de documentaires ; il y a divers exposés sur ce
genre de choses. Et quant à la raison pour laquelle nous devons utiliser
la 5G et pourquoi ils ne peuvent envisager aucune autre alternative, c’est parce que les gens ont à tout prix besoin de plus de données, nous disent-ils. Ils en ont besoin maintenant ! Nous devons les leur donner. Il y a une forte demande.

Mais
clairement, la demande est satisfaite. Les téléphones portables de tout
le monde fonctionnent bien, non ? Alors, ils essaient de créer
davantage d’externalités de réseau à partir de cette 5G, et ils se
servent de chevaux de Troie. Ils nous disent que les médecins vont s’en
servir pour opérer, pour faire des chirurgies à distance. Eh bien,
pourquoi ne pas simplement les mettre là, leurs équipements 5G, et
pourquoi ne pas simplement l’allumer quand on en a besoin ? Si c’est le
seul but ou si ce ne sont que les seules raisons qu’ils invoquent pour
nous vendre cela… et je comprends qu’ils veulent que nous ayons tous des
voitures autonomes, mais même cela, est-ce vraiment un besoin urgent
que nous ayons tout de suite des voitures autonomes ?

La plupart
des raisons avancées sont donc assez suspectes, et je n’essaie pas de
jouer aux adeptes du complot ici. On trouve beaucoup de cela sur
Internet. Mais ce que je peux dire en ce qui me concerne
personnellement, c’est pour moi le signe que je dois bientôt me tirer de
l’enfer de la ville. C’est un signe que je dois foutre le camp d’ici,
parce qu’ils vont déployer cela partout…

Heureusement, je vis dans une petite ville – je ne suis pas dans une grande ville. Donc, pour moi, la 5G sera probablement là dans trois ou quatre ans. Mais une fois que cela aura été déployé – et c’est sans compter tous les aspects de la technologie de surveillance panoptique : je ne parle même pas de cela. Je parle seulement des effets sur la santé. Beaucoup d’autres types du NWO parlent de tous les aspects de la surveillance. Et, même s’il y a là de quoi s’inquiéter, nous y sommes déjà plongés.

Mais
ce qui est possible avec la 5G, c’est le recours à une technologie
apparue il y a quelques années et qui permet de déterminer l’identité
d’une personne en examinant simplement sa démarche, sa façon de marcher.
Par conséquent, si vous intégriez cela à une sorte de, vous savez… La
5G va créer une belle image, probablement comme une image sonar. Vous
vous souvenez de ce film Batman où il a pu accéder à tous les
téléphones et il a été capable de déterminer qui était où et ainsi de
suite ? C’est probablement ce qu’ils pourront faire avec cette
technologie. Il va y avoir un moyen pour Google Maps d’intégrer cela et
ils vont avoir une géolocalisation en temps réel. Ceci est juste ma
théorie. Vous connaissez le Google Street View sur Google Maps. Je
suppose que cela ressemblera à un rendu Street View en 3D. Ça va vous
montrer qui marche là-bas. Maintenant, vous ne verrez peut-être pas les
gens, ce ne seront pas des caméras, ce sera une sorte de technologie de
sonar. Je ne sais pas de quoi je parle. Mais bon, si vous pouvez
l’imaginer, alors ils le peuvent eux aussi, et il y a des seigneurs
technocratiques qui vont vouloir cela… Ils pourront probablement le
créer. Et est-ce vraiment si exagéré de croire cela ?

Vous vous souvenez de ce film, Idiocracy,
où [le personnage principal] « Not Sure » tente d’échapper aux flics,
alors qu’il conduit un véhicule dans la rue et son code à barres est
scanné pendant qu’il passe ? Qu’arrivera-t-il s’ils ont une technologie
comme ça ? De toute évidence, ils auront la reconnaissance faciale et
tout le reste, mais s’ils pouvaient simplement scanner votre ADN de
loin ? Il y a des années, la machine utilisée pour décoder l’ADN avait
probablement de la taille d’une pièce. Maintenant, je suis sûr que c’est
beaucoup plus petit. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’ils
puissent réaliser cela avec une caméra haute définition, ou quelque
chose du genre. Je dis cela comme ça.

Regardez, tout ce que je
dis, c’est que la menace des problèmes de santé associés à la 5G me
donne envie de fuir la ville. Trouvez-moi quelque chose, une preuve
concluante qui dit que tout cela est exagéré, parce que cela ne semble
certainement pas être le cas. Lorsque des médecins gagnant probablement
beaucoup d’argent, et pas seulement des médecins mais des responsables
de divers départements, soulèvent de telles questions, et vous incitent à
y réfléchir, il faut que vous réalisiez que c’est un problème sérieux.
Mais pour la plupart des gens, c’est comme si ça tombe dans l’oreille
d’un sourd! Vous regardez sur YouTube, vous cherchez des vidéos sur la
5G, et tout ce que vous voyez, ce sont toutes les choses fantastiques
qu’elle va nous apporter.

Et encore une fois, c’est génial. Je
suis totalement emballé par l’avenir de l’Internet des objets. Mais je
ne suis pas naïf quant au marché faustien que nous devons faire avec ce
genre de choses : vous leur donnez un peu de vos données et ils prennent
un peu de votre âme – surtout quand c’est régi par tous ces réseaux de
télécoms! Je préférerais beaucoup que tout cela soit étroitement
supervisé par un organisme gouvernemental. Parce que lorsque vous
laissez cela entre leurs mains, ils essaient juste de gagner de
l’argent. Ils s’en moquent s’ils mettent cela devant la maison d’une
petite vieille dame et, tout à coup, quelques mois plus tard, elle
souffre d’un cancer au stade quatre. Ils ne se soucient pas de ce genre
de choses, n’est-ce pas ? Et ils sont protégés légalement pour agir
ainsi. Il est illégal pour vous y opposer. Ils ont tout ça écrit dans
les lois. C’est fou!

Comme je l’ai dit, je fais des recherches sur
Internet depuis une semaine afin de trouver des preuves que cela n’est
pas nocif pour les humains. Et chaque fois que je fais une recherche et
que je descends jusqu’à la deuxième page des résultats Google, ce que je
vois, ce sont des choses qui disent que c’est potentiellement
dangereux. Et les seules personnes qui disent que ce n’est pas
dangereux, ce sont les gens de la FCC que tous les législateurs écoutent
religieusement. Qu’est-ce qui se passe avec ça quand même ? Je pense
qu’il est temps de fuir les villes. Mais bon, c’est juste mon avis.
Faites-moi savoir ce que vous en pensez dans la section commentaire.

Note de Jean Hudon :
À peine deux semaines après sa mise en ligne, il y avait près de 2 000
commentaires sous cette vidéo. Déjà plus de 116 000 personnes l’ont
visionnée, ce qui est exceptionnel pour une vidéo dénonçant la 5G. Parmi
les commentaires, une personne souligne le fait que la fibre optique
permet des communications plus rapides. Ce qu’il faut savoir, c’est que
pour faire fonctionner la 5G, un câble de fibre optique devra se rendre
jusqu’à chaque site d’antennes qui seront installées partout sur des
poteaux, des lampadaires, etc. La fibre optique passera donc à proximité
de la plupart des maisons dans les grandes villes, mais personne ne
pourra s’y connecter directement. Toutes les entreprises fournissant un
modem pour se connecter chez soi à Internet et pour recevoir la télé ne
fourniront sous peu que des modems 5G. Il en sera de même pour tous les
téléphones intelligents et toutes les tablettes sur le marché. À moins
de trouver le moyen de stopper cela, tous les citadins seront donc
prisonniers d’un système extrêmement nocif pour la santé physique et
mentale. Pas surprenant que certains songent à fuir les villes…

Il
ne faut pas s’étonner que celui qui parle à la fin dans la vidéo dise
vouloir fuir la ville —adaptation de la vie hors réseau (off grid)
— et le recommande face à l’arrivée de la 5G, puisqu’il est un
survivaliste (écologiste extrême vivant en autarcie pour pouvoir
survivre à une éventuelle catastrophe planétaire) et a un site Web qui
vend du matériel de survie.

Ce n’est clairement pas une solution pour 99 % des gens. Vous êtes donc plutôt encouragés à vous mobiliser pour stopper la 5G plutôt que de croire pouvoir y échapper en vous sauvant dans les bois. De toute façon, avec les milliers de satellites (à elle seule SpaceX en prévoit 12 000) de communication 5G qui seront déployés d’ici quelques années, plus aucun endroit du globe ne sera bientôt à l’abri de la 5G. Alors, pour ne pas être les victimes collatérales de la folie technologique suicidaire qui se développe toujours plus rapidement, avec une totale absence d’encadrement réglementaire et de supervision gouvernementale, il est urgent de réagir en soutenant les rares groupes qui tentent d’alerter la population contre toutes les formes de pollution électromagnétique, comme la Coalition québécoise de lutte contre la pollution électromagnétique, le Rassemblement ÉlectroSensibilité Québec et Citoyens pour une technologie sécuritare.

Pour visionner l’audience du comité sénatorial américain à laquelle le sénateur Blumenthal a participé :

USA SENATE HEARING 2019 : 5G SAFETY RELIES SOLELY ON “LOW-POWER ASSUMPTION” : DÉJÀ VU ALL-OVER AGAIN

On peut dire NON à la 5G en signant à www.5gspaceappeal.org l’appel international lancé par des scientifiques, des médecins, des organisations environnementales et des citoyens du monde entier s’opposant notamment au projet de déployer des milliers de satellites 5G. La version française de cet Appel à signer et à diffuser largement se trouve à https://bit.ly/2K3YgWZ.

Pour en savoir plus sur les dangers de la 5G, voir…
La menace que la 5G pose à la santé humaine

Première mondiale, la 5G stoppée temporairement à Bruxelles : 
« La 5G? Les Bruxellois ne sont pas des souris de laboratoire » (Céline Fremault, ministre de l’Environnement)

Et les plus récents développements sur la 5G et la pollution électromagnétique : http://www.cqlpe.ca/#D

[Voir aussi :




Le réseau 5G périlleux – La vitesse au lieu de la sécurité

[Version française non corrigée : http://www.relaxation-sante.com/]

[Source : The Truth About Cancer — (La vérité sur le cancer)]

Le réseau 5G périlleux – La vitesse au lieu de la sécurité

Par Ty Bollinger

Close up of group of friends reading messages on smartphones and using wifi

Aujourd’hui, la plupart des Américains sont constamment connectés au monde de l’information numérique via les smartphones et autres appareils mobiles. On estime que 95% possèdent un type de téléphone portable, tandis que 77% possèdent un smartphone – qui fonctionne actuellement sur la technologie 4G.1,2

Selon des experts techniques, au moins une centaine d’opérateurs de télécommunication du monde entier se préparent à passer à la technologie 5G, qui devrait être pleinement déployée d’ici 2020. Il sera nécessaire de faire fonctionner les 28 milliards d’appareils en ligne estimés en ligne. avant 2021.2 Avant de poursuivre, comprenons ce que signifient tous ces «G» et ce à quoi la 5G est conçue.

Qu’est-ce que la 5G et que fera-t-il?

Le «G» en 3G, 4G et 5G signifie «génération». La première technologie de téléphonie sans fil a marqué l’apparition de la première génération. Plus tard, la 2G a commencé lorsque les gens ont pu envoyer des messages texte entre leurs téléphones.

L’avènement de la 3G a permis aux gens de passer des appels, envoyer des SMS et de naviguer sur Internet à l’aide de leur téléphone, tandis que la 4G offrait un accès sans fil plus rapide et une meilleure connectivité. L’évolution à long terme (LTE) a donné à la 4G un accès encore meilleur et des vitesses plus rapides.

La 5G a été conçue pour étendre considérablement la technologie 4G LTE afin d’augmenter considérablement la capacité de stockage, tout en augmentant les vitesses de connexion et de navigation.

À l’heure actuelle, les entreprises de sans fil en sont encore au stade des tests et des prototypes en ce qui concerne la technologie 5G. Cependant, la 5G est déjà en cours de déploiement dans plusieurs villes test, notamment Sacramento, Washington DC, Atlanta, Dallas, Miami et New York.3

Selon Verizon, lorsqu’elle se matérialisera enfin, la 5G fournira « environ 50 fois le débit de la 4G LTE actuelle, une latence de quelques millisecondes » et sera en mesure de «gérer de manière exponentielle davantage d’appareils connectés à Internet», ce qui devrait «prendre en charge la [… ] explosion de l’Internet of Everything ».2

La technologie 5G devrait avoir des effets positifs sur le support client, la productivité des employés et la qualité des produits. Les joueurs, qui dépendent des connexions hautes performances nécessaires pour jouer sur les réseaux mobiles, vont également adorer la 5G.

La 5G aura également un impact considérable sur ce qu’on appelle «l’Internet des objets» – le réseau d’appareils physiques, de véhicules et d’appareils ménagers contenant l’électronique et les logiciels qui leur permettront de se connecter efficacement les uns aux autres, tout en collectant des données. et échanger des informations.

Il ne fait aucun doute que le lancement de la 5G entraînera une augmentation spectaculaire de l’utilisation du téléphone portable, du nombre d’émetteurs, ainsi que du nombre et de la variété d’appareils compatibles avec Internet.

woman feeling pain from cell phone

C’est très excitant du point de vue technologique, mais que signifie la 5G pour notre santé et notre bien-être, d’autant plus qu’il a déjà été prouvé qu’une exposition à un rayonnement équivalent à celui d’une tour de téléphonie cellulaire provoquait le cancer chez des souris lors d’expériences en laboratoire?4

Voyons comment la 5G sera déployée pour comprendre les effets qu’elle est susceptible d’avoir sur notre santé.

Comment la 5G sera-t-elle déployée?

Pour permettre le déploiement 5G, les fournisseurs de services sans fil utiliseront des ondes submillimétriques et millimétriques dans des gammes de fréquences comprises entre 6 GHz et 100 GHz et au-delà, de sorte que davantage de données puissent être transmises dans le même délai.3,5

Cependant, ces ondes haute fréquence ne peuvent pas transporter de données très loin.Pour les utiliser, les entreprises de téléphonie mobile devront mettre en place une vaste infrastructure comprenant littéralement des milliers de petits émetteurs afin d’accroître la portée et la capacité du signal. On estime qu’un émetteur devra être placé tous les deux à dix maisons séparément.3

Pourquoi devrions-nous nous préoccuper de cela?

Les champs électromagnétiques (CEM) non ionisants sont générés par des appareils émettant des rayonnements RF, notamment des téléphones portables, des téléphones sans fil et leurs stations de base, une connexion Wi-Fi, des antennes de diffusion, des compteurs intelligents et même des moniteurs pour bébé. Les dispositifs et infrastructures électroniques utilisés pour fournir de l’électricité générant des champs électromagnétiques à très basse fréquence produisent également des champs électromagnétiques.

La proximité de ces appareils, des tours de téléphonie mobile et des émetteurs augmente le risque d’effets néfastes sur la santé du fait de l’exposition aux CEM. L’augmentation massive du nombre d’émetteurs requis pour permettre le déploiement de la 5G signifie qu’il peut devenir impossible d’éviter l’exposition.

cell phone tower

Malgré les protestations communautaires et les litiges municipaux, de nombreux gouvernements d’États, ainsi que le gouvernement fédéral, souhaitent autoriser l’installation d’émetteurs 5G devant les maisons sans le consentement des propriétaires.6

La perspective de tant d’émetteurs émettant des radiations a alarmé les experts de la santé qui s’inquiètent à juste titre de leurs éventuels effets néfastes sur notre santé, en particulier compte tenu des résultats préliminaires d’une étude du gouvernement fédéral.7

Le déploiement de la 5G entraînera des niveaux de RF supérieurs à ceux de la 3G et de la 4G

Les documents montrent que les entreprises sont conscientes du fait que le déploiement de la 5G entraînera des niveaux plus élevés de rayonnements radiofréquences nocifs à proximité des émetteurs 5G, par rapport aux 3G et 4G.8 Selon un expert de haut niveau dans le domaine des champs électromagnétiques et de la santé chez Ericsson Research, le déploiement proposé du réseau 5G présentera des défis difficiles – telles que des évaluations plus complexes de la conformité aux CEM et des exigences de conception de site, ainsi que des zones d’exclusion plus vastes.8

Des pays tels que la Chine, l’Inde, la Pologne, la Russie, l’Italie et la Suisse ont des limites de rayonnement inférieures à celles des États-Unis. Jusqu’à présent, ils ont refusé l’autorisation du déploiement de la 5G, car l’accroissement correspondant des niveaux de rayonnement dépasserait ces limites.

Selon Ericsson, si la limite nationale des champs électromagnétiques pour un pays donné est le dixième de la limite standard internationale proposée en 1998 par la Commission internationale de protection contre les rayonnements non ionisants (ICNIRP) 9, la taille de la zone out « très difficile ». Si la limite nationale était égale à un centième de celle de l’ICNIRP, la taille de la zone d’exclusion rendrait apparemment le déploiement de la 5G «un problème majeur, voire impossible».

La 5G affectera-t-elle notre santé?

Avant de discuter des ramifications de la 5G sur la santé, tenez compte de ceci: des preuves scientifiques publiées et examinées par des pairs indiquent que même les technologies sans fil actuelles d’exposition aux radiofréquences posent un risque grave pour la santé des êtres humains, des animaux, des plantes et de l’environnement.3

Par exemple, il a été démontré que les fréquences sans fil dans la plage millimétrique et submillimétrique interagissent directement avec notre peau, en particulier les glandes sudoripares. Notre peau est notre plus grand organe. L’ICNIRP, tout en élaborant des recommandations sur les limites d’exposition du public, semble envisager de classer notre peau comme une extrémité. En d’autres termes, notre peau serait classée dans la catégorie des membres plutôt que de la tête ou du torse, ce qui lui permettrait d’être exposée à plus de radiations que ce qui serait autrement autorisé.3

Dans son rapport «Un avenir sans fil 5G: cela nous donnera-t-il une nation intelligente ou contribuera-t-il à un pays insalubre?». Cindy Russell soulève d’autres préoccupations concernant la sécurité de base des technologies sans fil actuellement utilisées10. Elle souligne que les fréquences 5G proposées n’ont pas été testés pour la sécurité à court ou à long terme.

5G LTE

Le rapport de M. Russell, fondé sur un examen des dizaines d’études réalisé en 1998,11 explique les fondements scientifiques de l’électrosensibilité et des dommages biologiques causés par les CÉM. Il détaille en outre les nombreux effets indésirables des fréquences de la 5G, notamment les arythmies, la variabilité du rythme cardiaque, les effets bactériens, la résistance aux antibiotiques, les effets sur le système immunitaire, les effets de la chromatine, les effets tératogènes, la modification de l’expression des gènes et la cataracte.10,11

Le Dr. Russell prévient: « La possibilité d’induction d’effets néfastes sur la santé par une irradiation locale de faible intensité MMW (ondes millimétriques) est potentiellement importante pour la définition de normes de santé et de sécurité et requiert une attention particulière. »

Pour protéger la santé publique, le Dr Russell recommande, entre autres, les étapes suivantes :

  • Déploiement des technologies 5G uniquement après l’achèvement d’études sur leur impact sur la santé
  • Création d’une agence multidisciplinaire indépendante chargée de définir les règles de sécurité, les tests avant commercialisation et les besoins en matière de recherche dans un environnement transparent avec la participation du public
  • Étiquetage des informations sur les champs électromagnétiques sur les dispositifs, ainsi que des avertissements de précaution appropriés.

Il a également été démontré que les champs électromagnétiques déclenchent le stress oxydatif,10 défini comme un déséquilibre entre les radicaux libres et les espèces réactives de l’oxygène et leur élimination par des mécanismes de protection appelés antioxydants. Ce déséquilibre est connu pour déclencher de nombreuses maladies aiguës et chroniques.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) classe actuellement les champs électromagnétiques associés aux RF comme «potentiellement cancérogènes pour l’homme».3,5 Toutefois, selon une récente monographie publiée dans la revue Environmental Research, l’utilisation du téléphone portable est associée à un risque accru de lésions cérébrales, tumeurs du nerf vestibulaire et des glandes salivaires, ainsi qu’un risque potentiellement plus élevé de cancers du sein, des testicules et de la thyroïde.12

Sur la base de ces preuves, les auteurs de la monographie recommandent que la catégorisation actuelle du RFR par le CIRC en tant que cancérogène possible pour l’homme soit transformée en cancérogène pour l’homme.

Les champs électromagnétiques peuvent sérieusement compromettre notre santé. Malheureusement, comme il s’agit de la première génération à être exposée dès sa naissance à des niveaux de radiofréquences artificiels aussi élevés, il faudra des années, voire des décennies, pour que toutes les conséquences sur la santé soient connues.

Pour ces raisons, de nombreux experts recommandent vivement que des recherches sur les effets de la 5G sur la santé humaine soient menées et que les limites d’exposition existantes soient réexaminées et révisées afin de garantir la protection des personnes et de l’environnement.

Par exemple, M. Russell appelle les longueurs d’ondes RF auxquelles nous sommes actuellement exposés «une toxine pour les systèmes biologiques» et recommande un moratoire sur le déploiement de la 5G, ainsi que la création de conseils consultatifs indépendants sur la santé et l’environnement, composés de membres possédant une expertise spécifique des effets biologiques de Exposition RF.13

Les études du programme national de toxicologie

La FDA a chargé le National Toxicology Program (NTP) d’étudier l’exposition aux RF des téléphones portables car, comme nous l’avons déjà vu, la plupart des Américains l’utilisent. En outre, les directives de sécurité actuelles visent uniquement à protéger les utilisateurs contre les blessures graves en raison de la chaleur générée par les téléphones cellulaires, alors que les effets potentiels sur la santé d’une exposition à long terme au rayonnement des téléphones portables sont mal connus. Certaines études humaines ont montré des preuves limitées d’un risque accru de cancer lié à l’utilisation d’un téléphone cellulaire.

Pour ces études, les rats ont été exposés à des fréquences 2G et 3G de 900 et 1900 mégahertz – actuellement utilisées dans les appels vocaux et les textos aux États-Unis – pendant un total d’un peu plus de 9 heures par jour, pendant 10 minutes à 10 heures et 10 minutes. minute par incréments. Des résultats partiels, rapportés en mai 2016, ont révélé une faible incidence de tumeurs dans le cerveau et le cœur de rats mâles.7 Des tumeurs ont été rapportées ailleurs, chez des rats mâles et femelles, mais ces résultats ne sont pas encore concluants.14

microscope

Les résultats complets de ces études, attendus plus tard en 2018 ou début 2019, aideront le gouvernement fédéral à mieux comprendre les risques, pour la santé, de l’exposition aux rayonnements des téléphones cellulaires et joueront probablement un rôle important dans la détermination des futures politiques gouvernementales en matière de sécurité d’utilisation du téléphone cellulaire.

Un appel extraordinaire

Le numéro de décembre 2015 de l’European Journal of Oncology contient un document extraordinaire appelé «International EMF Scientist Appeal» (Appel international de scientifiques de la FEM), dans lequel plus de 240 scientifiques de 40 pays – qui sont eux-mêmes activement engagés dans l’étude des effets biologiques et sur la santé des substances non ionisantes. CEM – ont publié une déclaration selon laquelle le poids global des preuves rapportées dans les études scientifiques examinées par des pairs est fortement favorable à la prise de mesures de précaution supplémentaires pour réduire ou éliminer l’exposition.15

Cet appel a été soumis aux Nations Unies, à l’OMS et au Programme des Nations Unies pour l’environnement, ainsi qu’à tous les pays membres des Nations Unies.

Le paragraphe d’introduction dit :

De nombreuses publications scientifiques récentes ont montré que les CEM affectent les organismes vivants à des niveaux bien inférieurs à la plupart des directives internationales et nationales. Les effets incluent un risque accru de cancer, un stress cellulaire, une augmentation des radicaux libres nocifs, des dommages génétiques, des changements structurels et fonctionnels du système reproducteur, des déficits d’apprentissage et de mémoire, des troubles neurologiques et des effets négatifs sur le bien-être général de l’homme. Les dommages vont bien au-delà de la race humaine, car il existe de plus en plus de preuves d’effets nocifs sur la vie tant végétale qu’animale.

puppy smelling flower

Selon les scientifiques qui ont rédigé le présent appel, les agences responsables de la mise en place de normes de sécurité ont échoué à créer et à appliquer des directives appropriées pour protéger notre santé et notre bien-être, en particulier les enfants, qui sont plus sensibles aux CEM.

Par exemple, en 1998, l’ICNIRP a publié les «Lignes directrices pour limiter l’exposition aux champs électriques, magnétiques et électromagnétiques variables dans le temps (jusqu’à 300 GHz)».9 Ces lignes directrices sont acceptées par l’OMS et de nombreux pays. En fait, l’OMS a appelé toutes les nations à adopter ces directives afin d’encourager la normalisation mondiale des normes de sécurité relatives aux CEM.

En 2009, l’ICNIRP a publié un communiqué dans lequel elle affirmait réaffirmer ses principes directeurs de 1998, car apparemment, la littérature scientifique publiée depuis «ne fournit aucune preuve d’effets néfastes inférieurs aux restrictions de base et ne nécessite pas de révision immédiate de ses principes limiter l’exposition aux champs électromagnétiques à haute fréquence ».16

Plus de 240 scientifiques ayant signé l’appel sont en profond désaccord avec l’ICNIRP. Ils affirment que de plus en plus de preuves scientifiques contredisent les affirmations de la CIPRNI – autrement dit, que ces directives sont insuffisantes pour protéger la santé publique.

L’OMS a adopté la classification du CIRC des champs électromagnétiques à très basse fréquence en 2002 et la RF en 2011. Selon cette classification, les champs électromagnétiques sont un possible cancérigène pour l’homme, comme nous l’avons noté précédemment. Malgré cela, l’OMS maintient qu’il n’y a pas suffisamment de preuves pour justifier l’abaissement des limites d’exposition aux CEM.

Les signataires de l’appel ont recommandé que le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) finance un comité multidisciplinaire indépendant chargé d’explorer d’autres options permettant de réduire l’exposition humaine aux RF et aux champs électromagnétiques à très basse fréquence.

Les signataires déclarent en outre que, même s’il est essentiel que l’industrie soit impliquée et coopère dans ce processus, elle devrait être empêchée d’influencer de quelque manière que ce soit ses processus ou ses conclusions.

Enfin, les signataires de ce document ont également demandé collectivement que des mesures soient prises pour :

  • Protégez les enfants et les femmes enceintes
  • Renforcer les directives et les normes réglementaires
  • Encourager les fabricants à développer une technologie plus sûre
  • Maintenir une qualité d’alimentation adéquate et assurer un câblage électrique approprié dans les services publics responsables de la production, du transport, de la distribution et de la surveillance de l’électricité, afin de minimiser les courants de terre nocifs
  • Informer pleinement le public des risques potentiels pour la santé liés à l’énergie électromagnétique et enseigner les stratégies de réduction des méfaits
  • Sensibiliser les professionnels de la santé aux effets biologiques de l’énergie électromagnétique et les former à traiter les patients présentant une sensibilité électromagnétique
  • Persuader les gouvernements de financer la formation et la recherche sur les champs électromagnétiques et la santé indépendamment de l’industrie, tout en imposant une coopération entre l’industrie et les chercheurs
  • Veiller à ce que les médias divulguent les relations financières des experts avec l’industrie lorsqu’ils citent leurs opinions sur les aspects liés à la santé et à la sécurité des technologies d’émission de CEM
  • Établissez des zones exemptes de radiations, appelées zones blanches.

Que pouvez-vous faire pour réduire votre exposition aux champs électromagnétiques et à l’électricité sale?

Comme nous l’avons vu, de nombreux experts s’inquiètent des effets sur la santé de l’augmentation massive proposée des émetteurs nécessaires au déploiement de la 5G et s’efforcent de nous protéger de leurs effets nocifs. En attendant, nous devons nous protéger autant que possible en attendant que les limites d’exposition existantes soient révisées. Voici quelques recommandations pour réduire ou éliminer l’exposition aux CEM nocifs et à l’électricité sale:17,18

  1. Conservez tous les appareils dans une autre pièce la nuit. Portez-les dans un sac plutôt que dans des vêtements
  2. Essayez d’avoir des conversations téléphoniques sur une ligne fixe au lieu de mettre votre téléphone cellulaire à la tête pendant de longues périodes.
  3. Les écouteurs et les chargeurs peuvent augmenter l’exposition aux CEM des téléphones portables. Ne les utilisez donc pas pendant la charge.
  4. Évitez les casques traditionnels. Optez plutôt pour des oreillettes à tube à air qui produisent un son de qualité sans exposition aux champs électromagnétiques
  5. La mise en mode avion de votre téléphone cellulaire interrompt la connectivité avec les tours, minimisant ainsi l’exposition aux radiations.
  6. Débarrassez-vous des couvertures chauffantes, des matelas à eau et des coussins chauffants électriques
  7. Utilisez un étui de téléphone de qualité conçu pour bloquer diverses formes de rayonnement.
  8. Achetez des rallonges blindées et mises à la terre et des cordons d’alimentation pour un usage domestique
  9. Modifiez le disjoncteur de votre chambre pour exclure les détecteurs de fumée, les alarmes, etc., puis désactivez-le la nuit.
  10. Utilisez des réveils à piles
  11. Laissez au moins huit pouces d’espace entre votre lit et votre mur. Le câblage (même dans les murs) peut émettre un champ magnétique important
  12. Placez votre lit le plus loin possible des sources de champs magnétiques puissants, y compris le poteau électrique, le réfrigérateur et le centre de divertissement à domicile.
  13. Oubliez les casques Bluetooth. Utilisez le mode haut-parleur pour maintenir votre téléphone aussi loin que possible de votre corps.
  14. Si vous utilisez un ordinateur portable à la maison, évitez le Wi-Fi et optez pour des connexions Ethernet câblées.
  15. Achetez un compteur de fréquence radio qui vous permettra de localiser les points chauds EMF
  16. Réduisez ou supprimez les gradateurs de lumière, les produits sans fil, les imprimantes, les scanners, les ordinateurs, les téléviseurs et autres appareils permettant d’économiser de l’énergie.

Sources et Références




ALERTE DE SÉCURITÉ POUR LES FÊTES

[Source : Stoppons la 5G]

SmartPhones, montres «intelligentes» et jouets Wi-Fi exposent votre enfant aux rayonnements sans fil

Songez-vous à donner pour Noël à votre enfant son premier téléphone portable ? Ou bien un système de jeu de réalité virtuelle, une montre «intelligente» ou un jouet Wi-Fi cool? Ne faites pas cette erreur. Les téléphones intelligents et les jouets Wi-Fi présentent de graves risques pour la santé et la sécurité.

Alors que les jouets dotés du Wi-Fi, les montres «intelligentes» et certains téléphones portables sont commercialisés spécialement pour les enfants, les parents ignorent souvent que ces appareils émettent des rayonnements radiofréquences, également appelés micro-ondes. De nombreuses études ont démontré que les faibles niveaux de rayonnement sans fil non ionisant provenant des téléphones cellulaires et d’autres appareils Wi-Fi transmettant des micro-ondes peuvent avoir des effets nocifs, indiquant que les appareils sans fil présentent de graves risques pour la santé, en particulier pour les enfants.

LES EXEMPLES DE JOUETS POUR NOËL ÉMETTANT DES MICRO-ONDES COMPRENNENT…

Téléphones portables et smartphones … et oui, même les smartphones des enfants exposent les enfants aux rayonnements des micro-ondes. Les manuels d’instructions indiquent : « cet appareil génère, utilise et peut émettre de l’énergie radiofréquence ».

Montres intelligentes : l’Apple Watch porte un avertissement en petits caractères précisant que l’utilisateur doit garder une distance de 1 cm de l’antenne, alors que ce même appareil est présenté comme «portable». Mais quel parent donne à son enfant une Apple Watch et lui dit de ne pas se reposer la tête sur son bras – ce qui crée un contact corporel direct avec la montre?

Les casques de réalité virtuelle nécessitent souvent que l’utilisateur attache un téléphone mobile devant son visage, plaçant ainsi très proche de ses yeux un appareil émettant des rayonnements.

Les poupées connectées au Wi-Fi et au téléphone portable utilisent la technologie Wi-Fi et la reconnaissance vocale pour engager un dialogue bidirectionnel, mais comme cette fonction nécessite une connexion Internet sans fil, le nouvel ami de votre enfant est également un appareil radio émettant des micro-ondes qui peut enregistrer et renvoyer des informations à l’entreprise.

Les tablettes tactiles sont commercialisées auprès des enfants dès la petite enfance, mais les tablettes émettent des rayonnements micro-ondes lorsqu’elles sont connectées par voie sans fil à Internet. L’exposition peut être réduite en ne donnant la tablette aux enfants qu’en mode avion après avoir téléchargé des films ou des jeux.

Systèmes de jeux sans fil : les consoles de systèmes de jeux vidéo ont des antennes sans fil et la plupart des manuels d’instructions indiquent : « Cet équipement doit être installé et utilisé avec au moins 20 cm (8 pouces) et plus entre l’émetteur [la console] et le corps de la personne. »

Drones: les drones ont des antennes émettrices et utilisent parfois des smartphones pour communiquer.

Comme les smartphones, jouets intelligents et autres appareils intelligents pour la maison — contribuant à ce que l’on appelle l’Internet des objets — sont devenus omniprésents dans notre vie quotidienne, nous pensons rarement au fonctionnement de cette technologie. Mais cela n’a rien à voir avec la magie des fêtes : c’est un rayonnement micro-ondes. En fait, tous les appareils sans fil, des smartphones au Wi-Fi en passant par les animaux connectés, sont des radios micro-ondes bidirectionnelles qui envoient et reçoivent un type de rayonnement électromagnétique non ionisant également appelé rayonnement radiofréquence (RF) ou micro-ondes.

De nombreux médecins sont inquiets du fait que cette exposition quotidienne affectera la santé des enfants à long terme. Avant d’acheter à votre enfant un jouet Wi-Fi ou son premier téléphone portable à Noël, assurez-vous de connaître ces faits. Pour en savoir plus, visiter www.EHTrust.org.


FICHE D’INFORMATION SUR LE WI-FI ET LES TÉLÉPHONES INTELLIGENTS

1. De nouvelles études révèlent que le rayonnement micro-ondes des smartphones pourrait provoquer le cancer du cerveau

L’étude historique de 25 millions de dollars du Programme national de toxicologie du NIH/NIEHS aux États-Unis a révélé qu’une exposition quotidienne à long terme aux rayonnements des téléphones portables entraînait des cancers du cerveau et du nerf cardiaque chez les rats mâles, ainsi que des dommages à l’ADN. Des études sur des humains ayant utilisé des téléphones portables près de leur tête pendant plus de 10 ans montrent qu’ils développent les mêmes types de cancers.

2. Le rayonnement d’un smartphone est lié à des lésions cérébrales, au TDAH, à des problèmes de fertilité, etc.

Le respect des directives gouvernementales a généralement été présenté comme une protection suffisante et les téléphones portables, ainsi que les appareils sans fil sont donc considérés comme sans danger par le public. Cependant, des études révisées par des pairs montrent que de très faibles intensités de rayonnement, bien en deçà des limites réglementaires gouvernementales, peuvent gravement nuire à la santé. Même si ce rayonnement dégage moins d’énergie que les rayons X, il peut causer de nombreux problèmes de santé.

Une étude de la Yale University School of Medicine a révélé que les souris exposées aux radiofréquences avant la naissance présentaient une hyperactivité accrue, des troubles de la mémoire et un développement cérébral anormal. Cette étude est l’une des nombreuses qui ont lié le rayonnement sans fil à des impacts tels que des cellules cérébrales endommagées, une activité cérébrale altérée, des problèmes de mémoire, des maux de tête et des problèmes de sommeil. De nombreuses études indiquent que le téléphone portable et le rayonnement Wi-Fi endommagent le sperme. Les connexions entre l’exposition électromagnétique et l’autisme et le TDAH ont conduit les médecins à recommander de réduire l’exposition à ces rayonnements. Plus de 140 médecins, scientifiques et éducateurs ont signé la déclaration conjointe du projet BabySafe insistant sur la nécessité que les femmes enceintes réduisent leur exposition aux rayonnements des téléphones portables en raison des préoccupations liées aux effets de cette exposition sur le développement cérébral prénatal.

3. La réalité virtuelle avec les smartphones expose les yeux aux micro-ondes et est liée aux problèmes de vue et d’équilibre chez les enfants

Les smartphones sont placés dans un casque de réalité virtuelle (RV) pour emmener les enfants à l’aventure dans des endroits lointains, mais lorsque les chercheurs ont évalué l’exposition aux rayonnements sans fil, ils ont constaté que les intensités de rayonnement les plus élevées se trouvaient dans l’œil et le lobe frontal du cerveau alors que les téléphones étaient positionnés devant du visage. Des tests de sécurité n’ont jamais été effectués pour de telles expositions répétées aux yeux.

Même sans rayonnement d’un smartphone, la technologie RV est liée à des problèmes visuels chez les enfants en raison du placement du casque devant les yeux. Une étude récente de l’Université de Leeds a révélé qu’un jeu RV de 20 minutes a conduit à des problèmes de vue et d’équilibre chez les enfants. Comprenant que les yeux des enfants sont plus vulnérables, les instructions concernant les casques RV avertissent généralement que les casques ne doivent pas être utilisés par des enfants de moins de 13 ans, car «regarder des vidéos ou jouer à des jeux avec [un casque de réalité virtuelle] peut affecter le développement visuel des enfants. « Les ophtalmologistes et les scientifiques qui étudient le rayonnement des téléphones portables émettent aussi de tels avertissements.

4. Les téléphones portables n’ont jamais été testés pour la sécurité à long terme ni pour une utilisation par des enfants

Les téléphones portables n’ont jamais été testés avant leur mise en marché pour d’assurer de leur sécurité à long terme. Les limites de sécurité pour le rayonnement des téléphones portables ont été fixées il y a 20 ans, sur la base d’une science vieille de 30 ans, utilisant un modèle d’un grand homme adulte. Après qu’un rapport du Government Accountability Office ait recommandé un examen des lignes directrices américaines sur l’exposition humaine, la FCC a ouvert un dossier et de nombreux scientifiques ont soumis des commentaires d’experts qualifiant les normes actuelles d’«inadéquates» pour protéger les enfants. Les parents supposent qu’ils achètent des appareils et des jouets qui ont été jugés «sans danger», mais aucune agence de santé américaine n’a jamais effectué une évaluation systématique des risques pour la santé des rayonnements sans fil. Les sociétés de téléphonie cellulaire informent leurs actionnaires que les appareils sans fil peuvent présenter un risque financier, et la plupart des compagnies d’assurance excluent les dommages de responsabilité civile liés à l’exposition aux rayonnements des téléphones cellulaires en raison de leur évaluation de ce type de rayonnement comme étant à haut risque.

5. Les fabricants de jouets «intelligents», de gadgets sans fil portables et de téléphones intelligents émettent des avertissements en petits caractères qui sont impossibles à respecter

Tous les téléphones portables comportent des avertissements écrits qui indiquent aux utilisateurs de maintenir une distance minimale de séparation entre le téléphone et le corps. Les fabricants testent les rayonnements du téléphone à cette distance.

Par exemple, le manuel du Samsung LG G6 stipule à la page 158: «Pour se conformer aux exigences d’exposition RF de la FCC, une distance de séparation minimale de 0,39 pouces (1,0 cm) doit être maintenue entre le corps de l’utilisateur et l’arrière du téléphone.» Les enfants se souviennent-ils de placer leurs téléphones dans leurs poches avec l’arrière du téléphone tourné vers l’extérieur?

De nombreux jouets sans fil avertissent également de garder une distance de sécurité par rapport à l’appareil. Par exemple, il y a une montre connectée à Internet dont Verizon dit: «vous et votre enfant pouvez être heureux d’avoir cette montre». Mais seriez-vous heureux de sangler un appareil sur le poignet de votre enfant qui comporte un avertissement dans le manuel recommandant ceci : « Une distance de séparation minimale de 0,39 pouces (1 cm) doit être maintenue entre la bouche (le visage) de l’utilisateur et l’avant de l’appareil »? L’Apple Watch comporte également un avertissement précisant que l’utilisateur doit garder une distance de 1 cm de l’antenne, tandis que le même appareil est présenté comme étant «portable» directement sur la peau. Mais quel parent avertit son enfant en lui donnant une Apple Watch de ne pas poser sa tête sur son bras, car cela créerait un contact corporel avec la montre?

De nombreuses consoles de systèmes de jeux vidéo déclarent également aux utilisateurs: « Cet appareil doit être installé et utilisé avec au moins 20 cm (8 pouces) et plus entre l’émetteur et le corps de la personne. » De nombreux ordinateurs portables indiquent également que les antennes doivent être à environ 8 pouces du corps. Savez-vous où se trouve l’antenne sur l’appareil de votre enfant?

6. Lorsque les téléphones portables sont testés au contact du corps, le rayonnement viole les limites de sécurité du gouvernement

L’année dernière, la France a dévoilé les résultats de ses mesures de rayonnement portant sur des centaines de téléphones portables suite à la pression d’un médecin français faisant la une des journaux. Les résultats des tests ont révélé que lorsque les téléphones étaient testés dans des positions de contact avec le corps, jusqu’à 90% des téléphones dépassaient les limites de rayonnement, certains excédant plus de 3 fois les limites européennes et plus de 9 fois les limites américaines équivalentes. Cela signifie que la plupart des téléphones pourraient dépasser de 3 à 9 fois le niveau rayonnement autorisé dans votre corps. Les résultats des tests français s’appliquent aux téléphones vendus dans le monde entier car la situation est la même dans tous les pays. Les fabricants n’ont pas à tester les téléphones ou les appareils sans fil en position de contact corporel direct.

Ainsi, lorsqu’un enfant place un téléphone ou une tablette sur ses jambes pour regarder une vidéo, ou est couché au lit avec cet appareil sur sa poitrine à faire du streaming de musique, son corps peut absorber ces rayonnements à des niveaux bien supérieurs aux limites gouvernementales.

7. L’Organisation mondiale de la santé a classé le rayonnement micro-ondes des smartphones comme un cancérogène possible en 2011 et les preuves scientifiques actuelles indiquent qu’il s’agit en fait d’un agent cancérogène avéré pour l’homme

En 2011, le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé (OMS/CIRC) a classé les radiofréquences comme un agent possiblement cancérogène de classe 2B. Cependant, en raison des résultats récemment publiés du National Toxicology Program (NTP) américain et de plusieurs autres études publiées depuis lors, les conseillers de longue date de l’OMS et du CIRC concluent que ce rayonnement devrait être considéré comme un agent cancérogène pour l’homme causant le gliome – le même type de cerveau du cancer dont sont morts les sénateurs Ted Kennedy et John McCain.

Des chirurgiens ont publié des rapports de cas de cancers inhabituels chez de jeunes femmes ayant l’habitude de ranger leur téléphone portable dans leur soutien-gorge. Les tumeurs étaient situées directement sous les zones où les antennes des téléphones étaient positionnées.

8. L’American Academy of Pediatrics recommande aux familles de réduire l’exposition dux enfants aux radiofréquences et a demandé au gouvernement fédéral de rendre plus strictes les limites de rayonnement sans fil

Les enfants ont des crânes plus minces, des têtes plus petites et une teneur en eau plus élevée dans leurs tissus en développement. En conséquence, le rayonnement des téléphones portables pénètre plus profondément et plus intensément dans le cerveau d’un enfant par rapport à celui d’un adulte. Selon le Centre international de recherche sur le cancer de l’Organisation mondiale de la santé, « chez les enfants utilisant des téléphones portables, le dépôt moyen d’énergie RF peut être deux fois plus élevé dans le cerveau et jusqu’à dix fois plus élevé dans la moelle osseuse du crâne ». L’American Academy of Pediatrics a réitéré ce fait et la vulnérabilité unique des enfants dans leurs lettres appelant le gouvernement fédéral à renforcer les limites d’exposition aux rayonnements des téléphones portables.

Après que les résultats du National Toxicology Program ont été rendus publics, l’American Academy of Pediatrics a publié un communiqué de presse recommandant aux parents de « limiter l’utilisation des téléphones portables par les enfants et les adolescents » et a recommandé dix mesures au public pour réduire l’exposition aux rayonnements des téléphones portables.

9. Le Département de la Santé publique de la Californie vient de publier des conseils en matière de santé publique recommandant de réduire l’exposition aux rayonnements des téléphones portables

Les directives publiées par la Californie pour réduire l’exposition aux rayonnements radiofréquences des téléphones portables ont fait la une des journaux nationaux et ont mis en garde contre le fait que « les enfants peuvent être exposés à des risques plus élevés » car ils seront exposés aux rayonnements des téléphones portables pendant « toute leur vie ». Selon le Département, « des expériences de laboratoire et des études sur la santé humaine ont suggéré la possibilité que l’utilisation fréquente et à long terme des téléphones cellulaires soit liée à certains types de cancer et à d’autres effets sur la santé, notamment : le cancer du cerveau et les tumeurs du nerf acoustique et des glandes salivaires, une baisse de la qualité du sperme et des spermatozoïdes inactifs ou moins mobiles, des maux de tête et des effets sur l’apprentissage et la mémoire, l’ouïe, le comportement et le sommeil. »

Le Département de la santé publique du Connecticut a également émis des conseils pour réduire le rayonnement des téléphones portables, tout comme le magazine Consumer Reports. L’année dernière, le Maryland State Children’s Environmental Protection Council a émis des recommandations visant à réduire le rayonnement radiofréquence (du Wi-Fi) dans les salles de classe des écoles publiques. Plusieurs organisations médicales à l’échelle internationale et dans plus d’une douzaine de pays recommandent aux enfants de minimiser leur exposition aux téléphones sans fil.

10. Même lorsqu’ils sont en «veille», les smartphones, les jouets connectés et les montres émettent des rayonnements

Un téléphone peut être déposé sur votre table de chevet, placé dans votre poche ou niché dans la ceinture de votre pantalon de yoga, mais il rayonne toujours. Certaines applications peuvent être en cours de mise à jour, les SMS et les notifications arrivent. Le téléphone se connecte constamment à la tour cellulaire la plus proche en émettant des micro-ondes pulsées plusieurs fois par seconde. De même, les jouets Wi-Fi vérifient toujours leur connectivité avec le routeur Wi-Fi même lorsqu’ils ne sont pas utilisés. Chaque fois qu’un appareil établit cette connexion près de votre corps, vous êtes exposé à un rayonnement pulsé [que de nombreux experts scientifiques considèrent désormais comme un agent cancérogène avéré].

La réglementation sur les téléphones portables a été établie il y a des décennies et la façon dont les gens utilisent les téléphones a radicalement changé. À cette époque, les adultes utilisaient des téléphones avec des clips de ceinture et le Wi-Fi était inexistant. Aucun test de sécurité à long terme n’a été effectué. Aucune recherche pour évaluer les risques pour les enfants n’a été effectuée.


FICHE D’INFORMATION POUR LA FAMILLE

Réduire les expositions à la maison

1. Ne laissez pas votre enfant utiliser un téléphone cellulaire

Attendez le plus longtemps possible avant de permettre à votre enfant de se servir d’un téléphone portable ou sans fil. Envisagez plutôt de lui offrir un appareil photo numérique qui prend des vidéos. Si votre enfant aime parler au téléphone, choisissez pour lui un téléphone fixe filaire au lieu d’un téléphone portable. Si vous voulez vraiment le gâter, envisagez un cadeau dont il se rappelera, comme emmener votre enfant et ses meilleurs amis à un dîner spécial ou à un concert.

2. Adoptez des habitudes technologiques plus saines

Familiarisez-vous avec les recommandations de l’American Academy of Pediatrics sur la réduction des rayonnements des téléphones portables dans votre famille. Par exemple, éloignez le téléphone de votre tête en mettant le son sur le haut-parleur. N’utilisez pas et ne transportez pas de téléphones dans votre poche et tenez-les éloignés de votre corps. Faites attention quand un enfant est dans vos bras de ne pas utiliser de téléphone portable ou de tablette ou d’ordinateur sans fil près de son corps. Renseignez-vous sur les moments où l’intensité du rayonnement est la plus élevée, comme lors de la diffusion de vidéos, lorsque vous voyagez en voiture ou lorsque le signal de réception est faible. Minimisez l’utilisation d’un téléphone dans ces conditions et expliquez à vos enfants pourquoi c’est vraiment mieux ainsi.

3. Investissez dans un téléphone fixe filaire à domicile

Vos enfants peuvent passer des appels vocaux sur un téléphone fixe filaire. N’oubliez pas que même les téléphones fixes sans fil émettent des rayonnements, tout comme les téléphones portables. Une base de téléphone sans fil est toujours allumée et transmet sans arrêt, même lorsque vous ne passez pas d’appel. Remplacez votre téléphone sans fil par un téléphone fixe filaire. Transférez à votre domicile ou à votre bureau les appels reçus sur votre téléphone portable lorsque cela est possible.

4. Activez le mode avion et désactivez chaque fois que cela est possible le Wi-Fi et le Bluetooth

Le mode avion avec le Wi-Fi à OFF et le Bluetooth à OFF désactive les antennes à l’intérieur d’un appareil, arrêtant les transmissions micro-ondes. Chaque ordinateur, ordinateur portable, tablette ou périphérique de transmission sans fil possède une touche de fonction ou un commutateur dans les paramètres qui désactive les émetteurs Wi-Fi, et un autre qui désactive aussi le Bluetooth. Chaque fois que vous avez l’intention de remettre à un enfant un appareil compatible Wi-Fi ou Bluetooth, n’oubliez pas d’activer le mode avion et de désactiver séparément les connexions Wi-Fi et Bluetooth. Essayez de régler les appareils sur ces paramètres le plus possible et apprenez à vos enfants à le faire eux-mêmes.

5. Connectez votre smartphone et votre appareil sans fil avec un adaptateur pour cordon de connectivité

Vous pouvez facilement connecter de nombreux téléphones, tablettes et ordinateurs à Internet sans exposition aux micro-ondes. La plupart des appareils sans fil ont un port USB, Lightning ou Ethernet afin que vous puissiez le brancher pour accéder à Internet par câble. De nombreux appareils peuvent être câblés à Internet en obtenant simplement quelques accessoires et adaptateurs. Chaque fois que vous achetez des appareils électroniques, choisissez un appareil qui se connecte avec des fils, et non uniquement avec une connexion Wi-Fi.

6. Mise hors tension lorsqu’ils ne sont pas utilisés

N’oubliez pas: les appareils sans fil se connectent en permanence à leurs réseaux chaque fois qu’ils se branchent ou s’allument. Vous pouvez facilement réduire l’exposition de votre famille aux rayonnements secondaires en désactivant les réseaux [des routeurs Wi-Fi] et les appareils sans fil lorsque vous n’êtes pas en train de les utiliser, comme lorsque vous dormez. Pensez à éteindre les appareils sans fil et leurs équipements connexes – par exemple, les imprimantes, les jeux, les divertissements, les systèmes informatiques et les accessoires – lorsqu’ils ne sont pas utilisés en les éteignant ce qui permet également d’économiser beaucoup d’énergie et est tout à fait sensé. Branchez ces appareils sur un interrupteur d’alimentation pour pouvoir les éteindre facilement. Il s’agit souvent de la première étape que prennent les gens lorsqu’ils s’efforcent de remplacer le sans fil par des connexions filaires.

7. Sortez les appareils électroniques de la chambre

Ne laissez pas vos enfants utiliser un téléphone portable ou une tablette tactile au lit. Sachez que la lumière bleue des écrans et le rayonnement sans fil peuvent sérieusement affecter notre sommeil. Alors assurez-vous d’éteindre tous les écrans et appareils électroniques au moins une heure avant le coucher. De nombreux téléviseurs, systèmes de jeux et ordinateurs plus récents émettent également des rayonnements sans fil même si vous ne les utilisez pas, et il est donc préférable de les retirer de la chambre et de les déconnecter complètement de leur source d’alimentation. Gardez les écrans et les appareils électroniques dans les zones familiales. Au lieu de dormir avec votre téléphone portable, procurez-vous un réveil à pile pour votre table de nuit. Cela supprime la tentation de vérifier «rapidement» le téléphone.

Des incendies ont également été signalés suite à une explosion de composants électroniques et de téléphones portables sur la recharge. Les adolescents poseront des appareils électroniques sur leur lit, sans savoir que les coussins souples bloquent la circulation d’air sous la batterie et provoquent l’échauffement de l’appareil. Sachez que les chargeurs génèrent d’autres types de champs électromagnétiques qui sont également liés à des problèmes de santé. Chargez toujours les téléphones portables et les appareils technologiques à l’extérieur de la chambre, sur une table ou un comptoir.

8. Les enfants ne devraient jamais utiliser la réalité virtuelle avec des smartphones allumés

Le cerveau des enfants n’est pas complètement myélinisé et les yeux absorbent facilement le rayonnement en raison de leur forte teneur en eau. Il n’est pas recommandé de placer un appareil bidirectionnel rayonnant des micro-ondes directement devant les jeunes yeux. Compte tenu de la multitude de risques pour la sécurité que la réalité virtuelle pose aux enfants, envisagez des alternatives de divertissement comme regarder un film en famille sur un écran de télé sans Wi-Fi.

Ce document est tiré et traduit de HOLIDAY SAFETY ALERT où de nombreux compléments d’information scientifique sont disponibles, ainsi que des recommandations de cadeaux qui n’exposeront pas vos enfants à de tels risques mortels. Vous y trouverez également des liens intégrés dans le texte.

En complément, lire aussi sur le blog Stoppons la 5G…

Exposer des enfants aux rayonnements d’appareils sans fil : DANGER EXTRÊME !




Chronique de l’opposition mondiale à la 5G en 2019: Comment les télécoms sont en train de perdre la bataille pour imposer la 5G contre la volonté de la population

[Source : Mondialisation.ca]

Par Claire Edwards et Jean Hudon

Une série de photos du photographe américain Eric Pickersgill montre des gens regardant l’endroit où se trouve normalement leur téléphone
[Note de NM : Les liens présents dans le tableau plus bas ne sont pas fonctionnels et renvoient seulement sur des images partielles de celui-ci. La version anglaise de l'article comporte par contre des liens effectifs vers les vidéos ou les documents cités.]

Tous les faits consignés ici sont appuyés par des hyperliens vers les documents, articles ou vidéos d’origine, où les lecteurs peuvent vérifier les informations présentées et effectuer des recherches plus approfondies.

Les opérateurs de télécommunications et les médias traditionnels
voudraient vous faire croire que rien ne pourra arrêter la course au
déploiement de la 5G ; que vous n’êtes rien ni personne face à un
sinistre programme de centaines de milliards de dollars imposé par
certaines des entités les plus puissantes de la planète.

Ils pensaient que s’ils appelaient «5G» ou cinquième génération leur
prétendue nouvelle «technologie de communication», adaptée de la
technologie militaire Active Denial System (Système de Déni
Actif : système d’armes à énergie dirigée développé par l’armée
américaine pour disperser, par exemple, des manifestants), le public
supposerait simplement qu’elle est comparable à la 4G, 3G ou 2G ; et que
s’ils pouvaient caractériser son lancement comme une course, le public
n’aurait pas le temps de découvrir à quel point la technologie 5G peut
être mortelle. Comme ils avaient tort ! Le public a non seulement
découvert le pot aux roses, mais de plus en plus de gens savent
désormais à quel point les précédentes générations de technologies sans
fil, qui seront utilisées simultanément avec la 5G, sont également
mortelles.

Vous trouverez ci-dessous la preuve que dans nombre de pays les
contestations sont considérables et grandissantes. Les opérateurs de
téléphonie cellulaire ont perdu la guerre de la propagande, malgré le
contrôle qu’ils exercent sur les grands médias, qui gardent le silence
sur les dangers de la 5G, et sur les médias sociaux et YouTube, et qui
ont fait disparaître d’innombrables comptes afin de faire taire les
opposants.

Alors que cet article allait être publié, un soutien est arrivé d’une source inattendue. Dans un discours passionné prononcé devant l’Assemblée générale des Nations Unies le 24 septembre 2019, le Premier ministre britannique Boris Johnson a déclaré que l’autoritarisme numérique ne s’agit pas d’un fantasme dystopique, mais d’une réalité émergente. Il a qualifié l’Internet des objets, les villes «intelligentes» et l’intelligence artificielle d’immense nuage orageux qui s’assombrisse sur la race humaine at qui s’amoncèle pour redessiner l’avenir de l’humanité sans que celle-ci ne puisse le contrôler ni peut-être bientôt plus s’en cacher.

Il a demandé si l’on peut confier nos vies et nos espoirs à des algorithmes, et si l’on doit permettre aux machines de nous condamner à un avenir froid et cruel dans un monde orwellien conçu pour la censure, la répression et le contrôle. Il a rappelé la Déclaration universelle des droits de l’homme et a soutenu ses idéaux de défense de la liberté d’opinion et d’expression, de la protection du caractère privé du domicile et de la correspondance, ainsi que du droit de chercher et de communiquer des informations et des idées.

S’adressant aux comités académiques, aux conseils d’administration et
aux groupes de l’industrie responsables de l’élaboration des normes qui
sont actuellement en cours de définir les règlements qui régiront le
futur, d’émettre des jugements éthiques et de choisir ce qui sera rendu
possible ou non, il les a exhorté à trouver le juste équilibre entre
liberté et contrôle, entre innovation et réglementation, entre
l’entreprise privée et le contrôle du gouvernement. Il a insisté sur le
fait que les jugements éthiques inhérents à la conception de nouvelles
technologies doivent être rendus transparents pour tous et que des
efforts conjoints doivent être déployés pour convenir d’un ensemble
commun de principes mondiaux définissant les normes et les critères qui
guideront le développement des technologies émergentes.

Vous trouverez ci-dessous la liste des actions prises en 2019 visant à
mettre fin à la 5G, ainsi que des rapports et des plaintes discréditant
cette tentative machiavélique d’imposer au monde une technologie
désastreuse. Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive et je présente mes
excuses à tous ceux et celles dont j’ai peut-être négligé ici de
mentionner les efforts. J’aimerais aussi exprimer toute ma
reconnaissance envers tous ceux et celles qui ont contribué au succès de
cette contestation mondiale.

Cependant, nous ne pouvons pas nous permettre de sous-estimer
l’ampleur de ce défi et, en particulier, nous devons œuvrer ensemble
pour empêcher l’utilisation des orbites terrestres et de la stratosphère
pour saturer la Terre de rayonnements 5G, car cela mettrait en danger
l’ionosphère et la planète toute entière. Nous devons également veiller à
ce que l’installation des lampadaires à DEL émettant de la lumière
bleue dans le cadre de ce programme anti-vie soit rapidement inversée.

Les efforts entrepris pour arrêter la 5G continuent de prendre de
l’ampleur et nous devons continuer à travailler ensemble et sans relâche
pour protéger toute vie sur Terre jusqu’à ce que ce plan dément soit
relégué aux livres d’histoire en tant que complot le plus diabolique de
l’histoire de l’humanité.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Claire Edwards et Jean Hudon, Mondialisation.ca, 2019




L’intolérance aux ondes est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité

[Source : La maison du 21e siècle]

[Auteur :] Pierre Dubochet

L’auteur est un ingénieur radio suisse devenu expert en pollution électromagnétique après avoir été lui-même handicapé par les ondes. Son site : http://pierredubochet.ch/

Un cerveau humain traite chaque seconde des milliards et des milliards d’informations (plus exactement 1024 [1 suivi de 24 zéros]) sous forme d’impulsions électriques. C’est sans aucune comparaison possible avec les plus puissants supercalculateurs électroniques, misérables escargots.

L’organisme perçoit l’environnement de
différentes manières grâce à d’innombrables récepteurs sensoriels
généraux ou spécialisés adaptés pour traiter un stimulus propre, par
exemple la température, la pression, la vibration, la faim, la soif,
l’étirement, la lumière, l’équilibre, le son, le goût, l’odeur…

C’est
notamment grâce à la spécialisation de ses terminaisons nerveuses que
l’Homme a pu augmenter son efficacité et ses chances de survie.
  
Ces informations se propagent électriquement dans nos cellules jusqu’à
notre cerveau. Une partie de ces informations produisent des réponses
réflexes. D’autres informations sont traitées par l’inconscient. Une
toute petite partie devient notre perception consciente.

Affinités de la modulation numérique avec les transmissions nerveuses

Il
se trouve que la modulation numérique produite par les appareils sans
fil présente de fortes affinités avec certaines transmissions
électriques de nos tissus nerveux. Durant notre évolution, notre
organisme n’a pas conçu de protection contre cette électricité qui
dépasse maintenant des millions de millions de fois le rayonnement
naturel.
  
Lorsque nous sommes touchés par un environnement
hostile, par exemple une différence de température, un manque d’oxygène,
un empoisonnement ou l’exposition à ces rayonnements, notre corps
produit des protéines de stress. Ces protéines aident à l’autodéfense.
Elles activent un réflexe de vigilance qui permet d’échapper aux
attaques environnementales.

À courte durée, le stress est
bénéfique. Lorsqu’il devient chronique — ce qui est le cas quand nos
bureaux, nos habitats reçoivent constamment ces rayonnements — le stress
faire courir de nombreux risques sur les fonctions nerveuses,
cardiovasculaires et digestives. L’exposition chronique risque aussi
d’épuiser le système endocrinien et le système immunitaire.

Fatigabilité, état inflammatoire et intolérance aux rayonnements

Tout cela mène à diverses possibilités. Une fatigabilité accrue. Un état inflammatoire plus ou moins étendu, avec augmentation du risque de maladies chroniques. Une diminution de la tolérance aux rayonnements.

L’intolérance
aux rayonnements est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité,
ou EHS. Être intolérant aux ondes ne signifie pas qu’on les détecte. Un
sujet intolérant souffre de symptômes handicapants après un temps
variable, car son organisme ne parvient pas à gérer la présence d’un
élément physique, que ce soit un aliment, un produit chimique, ou un
rayonnement.

On parle d’électrohypersensibilité lorsque les rayonnements peuvent être perçus par les nocicepteurs, les récepteurs de la douleur.

Modification de l’équilibre énergétique 

L’exposition
à des rayonnements excite un nombre important de cellules qui
déclenchent des phénomènes indésirables. Cela nuit aux équilibres
biologiques. L’organisme compense ces réactions indésirables en
mobilisant d’autres cellules.

L’exposition chronique à des
rayonnements augmente donc la consommation d’énergie. Les besoins accrus
peuvent conduire à des carences en vitamines, en oligoéléments et en
aminoacides.

La présence de rayonnement contraint l’organisme à
modifier la consommation d’énergie. L’équilibre énergétique est
essentiel pour les enfants et plus encore pour les bébés. Le nourrisson
dort environ seize heures par jour. Ainsi, la majeure partie de son
énergie sert à sa croissance et un peu d’énergie seulement sert aux
muscles.

Toute exposition chronique aux rayonnements peut modifier
l’équilibre énergétique et entraîne des conséquences pour l’être en
devenir.

Notre personnalité, fruit d’infimes variations électriques

Encore
une chose. Notre cerveau est dans une logique d’adaptation constante.
Nos activités mentales, intellectuelles et physiques affectent à la fois
le nombre et la localisation des connexions entre les neurones.

Trois
exemples. Les chauffeurs de taxi utilisent constamment leur mémoire
vidéospatiale. Ils ont un hippocampe plus volumineux que la moyenne. Les
musiciens professionnels ont un cortex — zone qui contrôle les
mouvements des doigts — plus dense que la  normale. Celui qui médite
durant des années développe la région préfrontale gauche du cortex,
siège des émotions positives, et développe plus facilement des ondes
cérébrales gamma.

Les infimes variations  électriques naturelles
du cerveau s’ajustent constamment pour produire nos capacités
intellectuelles et notre personnalité.
  
Notre cerveau ne fait
pas la distinction entre les champs électriques internes naturels et des
champs électriques artificiels physiquement ressemblants. Le
rayonnement des appareils sans fil déstructure notre cerveau. 

Le rayonnement modifie des trajectoires de vie

Le
rayonnement des appareils sans fil modifie des trajectoires  de vie. Il
rend l’apprentissage plus difficile. Il transforme la personnalité. Il
épuise. Il favorise les maladies chroniques. Il favorise la
dégénérescence des tissus du cerveau. Il crée des variantes du
vieillissement normal. 

Aujourd’hui plus que jamais, nous avons
besoin de privilégier la vision scientifique de la médecine
environnementale et son approche préventive. 

Vous avez certainement des amis qui seraient intéressés de lire cet article. Ils apprécieront que vous partagiez maintenant le lien de cette page à votre réseau.


[Voir aussi sur La maison du 21e siècle :

Sur le blogue Nouveau Monde : dossier 5G et ondes pulsées]


Au sujet de l’auteur

Ingénieur suisse handicapé par le rayonnement électromagnétique, Pierre est conférencier, auteur et consultant en hygiène électromagnétique et chargé de cours en Haute École de la santé. En 2010, il constate qu’il a plus de difficultés à se concentrer et à maîtriser son état d’esprit selon les endroits. Petit à petit, d’autres symptômes apparaissent. Pressions derrière les yeux, douleurs articulaires, sensations de vertige, acouphènes, maux de tête, variations de température, troubles de la vision, de la concentration, d’idéation, etc. Il a perdu presque toute mémoire à court terme : il doit tout noter. À cette période, son organisme est tellement stressé qu’il lui est impossible de dormir plus de trois heures par jour durant près d’une année. Vingt années de recherches sur l’esprit lui servent à différencier effet physiologique et effet psychologique. Ses recherches poussées lui apprennent qu’il est exposé à un niveau extrêmement significatif de rayonnements non ionisants qui traversent ses murs. Après plus d’une année, il comprend le lien formel entre cette exposition et la sérieuse dégradation de sa qualité de vie. Pierre n’a pas été informé professionnellement des effets de l’exposition aux ondes, et la question ne l’avait pas effleuré. Pierre a relié l’exposition à des champs électriques à basse fréquence, des champs magnétiques à basse fréquence, au Wi-Fi, au DECT, à la téléphonie mobile, à différents effets dans ses cellules. Il a fait sa force de ces années de souffrance, qui lui ont donné un talent et une expérience uniques dans la création d’environnements sécuritaires qui accélèrent le rétablissement. Il conserve ce savoir à jour en entretenant des liens étroits avec les experts du monde entier. Pierre —souvent cité dans la littérature relative aux rayonnements non ionisants— a les compétences pour mesurer le rayonnement non ionisant et pour proposer des solutions d’atténuation et de blindage. Il se déplace sur site pour protéger les personnes des effets de l’exposition aux rayonnements non ionisants dans l’environnement privé et professionnel et pour les inciter à se protéger de toute exposition inutile. Enfant, Pierre est attiré par le son. En 1982, il s’oriente vers une profession spécialisée et devient ingénieur. Sollicité par le directeur d’une station de radio, il occupe le poste de chef technique, puis fonde une société qui introduit des services numériques révolutionnaires dans les années 1990. Il s’intéresse à la méditation qu’il pratique pour son bien-être.




Les preuves que les ondes radio sont cancérogènes

[Source : La maison du 21e siècle]

[Auteur :] André Fauteux

Conseiller de longue date de l’OMS et professeur émérite d’épidémiologie, le Dr Anthony B Miller a dirigé l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer pendant 15 ans.Les dernières données scientifiques prouvent que le rayonnement de radiofréquences (RF) est un cancérigène humain de classe 1 et que le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) devrait le désigner comme tel, a déclaré le Dr Anthony B Miller lors de cette conférence prononcée à la foire Écosphère Montréal le 14 septembre 2019 (téléchargez ses diapositives ici : https://maisonsaine.ca/wp-content/uploads/2019/09/rfr-miller.pdf).

Plusieurs études, notamment Interphone (impliquant plusieurs pays), CERENAT (en France) et celles dirigées par l’oncologue Lennart Hardell (en Suède) ont montré que le risque de gliome – le cancer du cerveau le plus mortel – double chez les utilisateurs à long terme de téléphones cellulaires et quintuple dans certaines situations, notamment si l’on commence à utiliser un cellulaire régulièrement avant l’âge de 21 ans.

Le rayonnement RF, aussi émis par les antennes, les moniteurs sans fil pour bébés, les téléphones sans fil ainsi que les dispositifs Bluetooth et Wi-Fi, est probablement aussi une cause évitable de cancer du sein, explique le Dr Miller qui s’oppose au déploiement de la technologie sans fil de 5e génération (5G) sans prendre en compte ses implications pour la santé publique.

Conseiller de longue date auprès de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et professeur émérite d’épidémiologie à l’École de santé publique de l’Université de Toronto, le Dr Miller a dirigé l’unité d’épidémiologie de l’Institut national du cancer du Canada pendant 15 ans. En 2011, il fut l’expert mandaté par le CIRC pour valider les références sur lesquelles l’organisme affilié à l’OMS avait fondé sa désignation du rayonnement RF en tant que « cancérogène possible» du groupe 2B.

Visionner sa conférence sur notre chaîne Youtube : 
https://www.youtube.com/maison21e




Fake News de la BBC sur la 5G décodés : Impacts sur la santé niés malgré des preuves scientifiques accablantes

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Claire Edwards

[Écouté sur] BBC radio : Under the Radar Episode 4 – 5G Friend or Foe? (La 5G : Ami ou ennemi ?, juillet 2019)


Lettre ouverte au producteur du programme « Under the Radar » de la BBC

J’espérais pouvoir laisser à d’autres le soin de réfuter les dernières fausses nouvelles sur la 5G publiées par la BBC, mais je me sens obligée d’intervenir avec les preuves puisque la BBC ne les fournit pas, étant peut-être corrompue comme d’autres par sa collaboration avec diverses sociétés de télécommunications selon une rumeur récente qui circule (Transparency International : Investigating Corruption in the Media and Telecoms Industries (Enquête sur la Corruption dans les Industries des médias et des télécommunications)).

Bien que je salue vos efforts pour attirer l’attention du public sur les questions concernant le déploiement de la 5G sans un seul test préalable pour vérifier ses implications pour la santé ou la sécurité, et votre succès à convaincre la BBC d’aborder finalement au moins certaines de ces questions, même si c’est à travers d’une émission de radio peu connue et brève plutôt que de rendre justice à cette urgence planétaire sans précédente en la traitant à travers d’un programme de télévision complet, vous semblez inconscient du biais évident dans la production du programme.

Examinons comment ce programme donne l’impression que ceux qui s’opposent à la 5G sont en quelque sorte des porteurs de chapeau en papier aluminium ignorants et stupides au lieu de ce qu’ils sont réellement : des personnes pleinement informées et intelligentes, qualifiées et expérimentées dans le domaine des champs électromagnétiques (CEM), vivement alarmées par les faits concernant la 5G et ses conséquences très réelles extrapolées de la science sur les conséquences désastreuses des générations sans-fil 14.

Tout d’abord, le présentateur nous informe que 230 scientifiques sont préoccupés par la mise en œuvre du programme 5G, alors qu’en fait, des milliers de scientifiques et de médecins ont exprimé leurs préoccupations jusqu’ici dans au moins 60 appels : Doctors & Scientists Appeals For Stronger Electromagnetic Radiation Regulations ; Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace – 134 458 signataires dans 198 pays (2 août 2019). Le présentateur dénigre délibérément les 230 scientifiques mentionnés en employant la phrase vernaculaire « Qu’est-ce qu’ils ont à rouspéter ? » de préférence à la phrase plus formelle et respectueuse « Pourquoi s’inquiètent-ils ? »

La Dr Erica Mallery-Blythe nous dit que les ondes millimétriques de la 5G interfèrent avec la biologie, que la recherche est incomplète et qu’il n’y a pas eu de consultation publique ni de tests de santé et de sécurité adéquats pour la 5G.

La science sur les rayonnements électromagnétiques

Il est à noter – bien que cela ne soit évidemment pas mentionné dans le programme – que les constatations de la Dr Mallery-Blythe sont étayées par l’étendue de la science qui a irréfutablement établi les effets biologiques des rayonnements électromagnétiques
(Irradié: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ;
le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études.
Il fut un temps où même la BBC était prête à remettre en question la sécurité du WiFi – oups ! – vous croyiez que nous avions oublié ? (BBC Panorama, 2007 : WiFi Warning Signal (Signal d’alarme sur le sans-fil), mais c’était probablement avant que la BBC elle-même s’est mise à s’acoquiner avec l’industrie des télécommunications, tout comme le New York Times (Who has NY Times in their pocket? (Qui a le NY Times dans sa poche ?) ; et NY Times 5G ties uncovered (Les liens 5G du NY Times découverts)).

Les informations de la Dr Mallery-Blythe sont immédiatement minées par le segment suivant, qui se déroule sur un circuit de course, où nous entendons, dans des tons enthousiastes qui rappellent les mecs du programme Top Gear (A vitesse supérieure), comment ils testent la capacité de la 5G de se connecter aux voitures à très haute vitesse. Cette recherche porte sur le développement de véhicules autonomes, mais nous n’en sommes pas informés.

Peter Claydon, directeur du projet AutoAir, nous dit que « l’organisation internationale » ICNIRP (Comité international des rayonnements non ionisants) remonte aux années 1960 et se compose d’un groupe d’experts médicaux et que le Royaume-Uni fonde les lignes directrices sur l’installation de la technologie sans-fil sur les recommandations de l’ICNIRP.

ICNIRP : statut réel et littérature abondante sur la corruption de l’ICNIRP

Le présentateur ne conteste pas Claydon sur l’inexactitude de ses affirmations. L’ICNIRP est en fait une ONG de droit allemand sans statut juridique international. Elle nomme ses propres membres, dont aucun n’est médecin, opère sans aucune transparence et n’a de comptes à rendre à personne. Elle décline toute responsabilité sur son site Web pour toute information qu’il contient, y compris ses propres lignes directrices, qui sont basées sur une science sélectionnée et qui est antérieure à l’avènement des téléphones portables. L’ICNIRP a été accusée de corruption par d’innombrables personnes pendant de nombreuses années, et plus récemment par
(1) Investigate Europe : The 5G Mass Experiment (L’expérience de masse 5G) and The ICNIRP Cartel: Who’s Who in the EMF Research World (Le cartel ICNIRP : Qui est qui dans le monde de la recherche sur les CEM) ;
(2) Dariusz Leszczynski, PhD : Is ICNIRP Reliable Enough to Dictate Meaning of Science to the Governmental Risk Regulators? (L’ ICNIRP est-elle suffisamment fiable pour dicter le sens de la science aux organismes gouvernementaux de réglementation des risques ? ;
(3) Joel M. Moskowitz, PhD : The ICNIRP Cartel and the 5G Mass Experiment  (Le cartel ICNIRP et l’expérience de masse 5G) ;
et (4) Professor Emérite Martin Pall, Response to 2018 ICNIRP Draft Guidelines and Appendices on Limiting Exposure to Time-Varying Electric, Magnetic and Electromagnetic Fields (100 kHz to 300 GHz) (Réponse au projet de lignes directrices et appendices visant à limiter l’exposition aux champs électrique, magnétique et électromagnétique variant dans le temps (de 100 kHz à 300 GHz) et Eight Repeatedly Documented Findings Each Show that EMF Safety Guidelines Do Not Predict Biological Effects and Are Therefore Fraudulent (Huit constatations étayées à maintes reprises montrent chacune que les lignes directrices en matière de sécurité ne prédisent pas des effets biologiques et sont donc frauduleuses).

Le présentateur invite Claydon, qui est clairement une personne purement techniquement qualifiée et ni scientifique des CEM ni médecin, à « rassurer fondamentalement ceux qui craignent que [la 5G] puisse affecter la santé humaine que vous ne pensez pas qu’elle le fera », bien que Claydon ne soit pas qualifié pour fournir un avis scientifique ou médical. Claydon répond avec obligeance : « Non… les recherches qui ont été faites depuis des décennies s’appliquent aussi bien à la 5G qu’à toute autre technologie sans fil dans le passé. »

Les conséquences dévastatrices sur la santé d’utilisation du téléphone portable pendant 20 ans

Fait significatif, Claydon ne fournit aucune assurance que la 5G est sûre. En fait, toute la technologie sans fil est dangereuse, et les résultats sur la santé qui se dégagent des 20 dernières années d’utilisation intensive des téléphones portables révèlent des effets dévastateurs sur la santé, notamment l’autisme, le TDAH, la baisse catastrophique de la fertilité, la démence précoce et une augmentation phénoménale des suicides (voir, par exemple, le rapport de l’Association américaine des compagnies d’assurance de personnes Blue Cross Blue Shield d’avril 2019, intitulé » The Health of Millennials » (Santé de la génération du Millénaire) et Are rises in Electro-Magnetic Field in the human environment, interacting with multiple environmental pollutions, the tripping point for increases in neurological deaths in the Western World? (Les augmentations des champs électromagnétiques dans l’environnement humain interagissant avec de multiples pollutions environnementales, sont-elles le point de basculement où des augmentations de décès neurologiques dans le monde occidental se produisent ?) dans Medical Hypotheses. Extrait :

Nous émettons l’hypothèse que la brusque montée relative de la morbidité neurologique dans le monde occidental (1989-2015) est due à l’augmentation des CEM de fond qui est devenue le point de basculement… Les taux de mortalité neurologique sans précédente, qui se sont produits tous en seulement 25 ans, exigent un réexamen de la sécurité à long terme des CEM par rapport [à l’impact] des augmentations dans les CEM de fond sur la santé humaine. Nous ne voulons pas « arrêter le monde moderne », seulement le rendre plus sûr.

Paul Brodeur, dans son livre intitulé The Zapping of America (Les Etats Unis Zappés), constate :

Le rayonnement micro-ondes peut vous aveugler, modifier votre comportement, causer des dommages génétiques et même vous tuer. Les risques vous ont été cachés par le Pentagone, le Département d’Etat et l’industrie électronique. Avec ce livre, la dissimulation des micro-ondes est terminée.

Ensuite, nous entendons très brièvement quelqu’un qui est décrit de
façon désobligeante comme « un soi-disant réfugié WiFi », qui n’est
alloué que quelques secondes pour nous parler de sa douleur cardiaque et
de ses maux de tête causés par la technologie sans fil.

Vient ensuite un segment plus long dans lequel nous entendons le
sénateur Richard Blumenthal établir, lors d’une audience du Sénat
américain en février 2019, que l’industrie des télécommunications a investi zéro dollar dans les tests de santé et de sécurité de la 5G, de sorte que Blumenthal conclut : « Nous avançons donc à l’aveuglette en matière de santé et de sécurité ».

Une fois de plus, les faits sont rapidement minés par le présentateur
qui nous assure avec insistance que Marc Allera, PDG de la grande
société de télécommunications EE (et donc très peu susceptible de donner
une opinion impartiale), « est convaincu que le nouveau service est
sûr ». Marc Allera est un homme d’affaires et non médecin, et son
assurance est évidemment intéressé et n’a aucun poids scientifique.
Allera parle des « rumeurs extrêmes… dont aucune n’est vraie. Nous
travaillons depuis plus de 30 ans avec des organismes comme l’OMS qui
créent des normes… ».

La corruption à l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

L’Organisation mondiale de la santé a commodément oublié qu’elle a co-organisé en 1973 un symposium intitulé « The Biologic Effects and Health Hazards of Microwave Radiation » (Les effets biologiques et les risques pour la santé du rayonnement micro-ondes). Elle n’a pas la prérogative d’approuver unilatéralement les lignes directrices produites par une ONG louche dans des circonstances non transparentes. L’OMS et son projet CEM – au sujet duquel Mike Repacholi, fondateur de l’ICNIRP et ancien directeur du projet CEM de l’OMS, a révélé que jusqu’à la moitié du financement du projet provenait de groupes industriels des services sans fil et électriques – a également été accusé à plusieurs reprises de corruption et de cooptation par l’industrie (Conseil des droits de l’homme de l’ONU, 22 février 2019 : 5G est traitement cruel, inhumain et dégradant selon la Résolution 39/46 ; La dissimulation de l’OMS qui nous coûtera la vie sur Terre ; WHO Watch : Mike Repacholi and the EMF Charade (Mike Repacholi et la Charade des CEM), Microwave News, 2005.

Donnant l’impression que les faits relatifs à la sécurité de la 5G ont maintenant été définitivement établis – par des déclarations péremptoires, erronées et non étayées – le présentateur s’émerveille d’un ton désobligeant : « Malgré les assurances de l’industrie que la 5G est aussi sûre que la 3G, la 4G et la technologie qui la précède, Dr Erica Mallery-Blythe n’est pas convaincue ». Le ton condescendant implique qu’elle ne peut pas être tout à fait saine d’esprit d’insister sur le fait que la 5G n’est pas sûre, bien qu’elle ait entendu les assurances de personnes [ne] possédant [en fait] aucune qualification médicales dans les CEM et préoccupées de leurs propres intérêts.

Le présentateur se met alors à parler très rapidement lorsqu’il admet « qu’aucun test spécifique sur les effets de la 5G sur la santé humaine ne semble avoir été effectué… ». Les qualificatifs « spécifique » et « semble » employés sont trompeurs et inexacts, car en fait aucun test sur les effets de la 5G sur la santé humaine n’a été effectué avant son déploiement sur Terre, dans l’espace et dans la stratosphère.

Avec un « Mais » rapide pour insinuer que cette absence totale des tests de santé et de sécurité de la 5G exigés par la loi est une question négligeable qui ne devrait pas nous préoccuper, il se précipite ensuite à introduire d’un ton confiant un sceptique américain qui ressemble au biologiste britannique Richard Dawkins (qui est systématiquement invité dans les médias britanniques pour débusquer les scientifiques de n’importe quel domaine scientifique dont les preuves contredisent l’orthodoxie des entreprises et leur réduisent les bénéfices). Le présentateur entend bien nous faire comprendre que cet « expert » réglera définitivement la question. Le Dr Steve Novella, professeur adjoint de neurologie à l’Université de Yale, nous informe de la manière suivante, qui fait autorité, comme point culminant du programme :

Le danger potentiel de la 5G est en fait très, très faible. C’est
un champ électromagnétique, mais c’est un rayonnement non ionisant
il n’est pas assez fort pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple [1].
Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques de la
radiofréquence, les ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus
[2].

Voilà tout. Il n’y a donc pas vraiment de raison de penser que l’exposition à la 5G par notre technologie est dangereuse. Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’il cause un préjudice réel [3].

Quand on y pense, on est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes tous les jours que
ce à quoi vous allez être exposé à travers le 5G !
[4]

Novella a tort à 100% : Voici d’innombrables raisons de penser que l’exposition à la 5G par la technologie sans fil est extrêmement dangereuse

1. « C’est un rayonnement non ionisant. Il n’est pas assez fort
pour briser les liaisons chimiques, endommager l’ADN, par exemple. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen, exemple de recherche documentaire sur les « dommages à l’ADN » : 623 articles ont été trouvés
; l’opérateur Swisscom a déposé en 2004 un brevet sur une méthode et un
système de réduction de l’électrosmog dans les réseaux locaux sans fil
qui constate clairement que le WiFi endommage l’ADN.

2. « Il y a beaucoup de recherches sur les effets biologiques des
radiofréquences, des ondes électromagnétiques et le seul effet
reproductible qui en résulte est un léger réchauffement des tissus. »

Irradié
: Une compilation et une analyse complètes de la littérature sur les
champs de radiofréquences et les impacts biologiques négatifs des champs
électromagnétiques non ionisants (en particulier les champs de
radiofréquences) sur les organismes biologiques (416 pages) ; le portail CEM de l’Université d’Aachen avec plus de 28.000 études. Même l’ICNIRP corrompue admet dans ses lignes directrices de 1998
que « par rapport au rayonnement à ondes continues (CW), les champs de
micro-ondes pulsées avec le même taux moyen de dépôt d’énergie dans les
tissus sont généralement plus efficaces pour produire une réponse
biologique, surtout lorsqu’il existe un seuil bien défini qui doit être
dépassé pour obtenir l’effet (ICNIRP, 1996).

3. « Il n’y a aucune preuve qu’il y ait un risque, qu’elle cause un préjudice réel. »

Portail EMF de l’Université d’Aachen : Le cœur du portail CEM est une vaste base de données bibliographiques avec un inventaire de 28.841 publications et 6.390 résumés d’études scientifiques individuelles sur les effets des champs électromagnétiques.

4. « On est baigné par le soleil avec des radiations
électromagnétiques plus intenses et plus fréquentes chaque jour que ce à
quoi vous allez être exposé à travers la 5G ! »

Selon le professeur Olle Johansson, récemment retraité de l’Institut Karolinska en Suède, l’exposition
actuelle du public au rayonnement sans fil (avant l’ajout de la 5G) est
environ un quintillion de fois (1 000 000 000 000 000 000 ou 18 zéros)
supérieure au rayonnement naturel
.

Le rayonnement de fond naturel n’est ni pulsé ni modulé, comme l’explique Arthur Firstenberg, scientifique et co-auteur de l’Appel international demandant l’arrêt du déploiement de la 5G sur Terre et dans l’espace

Le dommage n’a rien à voir avec les niveaux de puissance. C’est ce que personne ne comprend. Le niveau de puissance n’est pertinent que pour un seul type d’effet : le chauffage. Pour tous les autres effets, il est complètement hors de propos. Il y a des effets à puissance proche de zéro, et pour certains effets, il y a une relation de puissance inverse, c’est-à-dire que plus la puissance est faible, plus le dommage est grave. Le DAS [débit d’absorption spécifique, utilisé pour exprimer la puissance absorbée par masse de tissu] n’est absolument pas pertinent pour les effets non thermiques.

Ce n’est pas la puissance qui fait le mal. C’est le degré de cohérence, le type et la profondeur de la modulation, la longueur d’onde, le nombre de fréquences, le nombre de signaux, la largeur de bande, la forme des ondes, la hauteur et la largeur des impulsions, le temps de montée et de descente, et les autres propriétés du rayonnement. Le peu d’importance des niveaux de puissance pour les effets autres que la chaleur a été démontré à maintes reprises. Dans les études de Salford, ce sont les niveaux de puissance les plus faibles qui ont causé le plus de fuites dans la barrière hémato-encéphalique. Blackman, Bawin, Dutta, Schwartz et Kunjilwar, tous dans des laboratoires différents, ont constaté que le flux de calcium provenant des cellules neurales et cardiaques se produisait à des fréquences et à des niveaux d’exposition spécifiques et n’augmentait pas avec la puissance. Dans l’étude de Dutta, une diminution de 3 000 fois de la puissance a causé une augmentation de 4 fois du flux de calcium. Sadchikova et ses collègues soviétiques ont constaté que les employés exposés aux niveaux de puissance les plus bas souffraient plus souvent du mal des ondes radio. Belyaev a constaté que les effets génétiques se produisaient à des fréquences spécifiques et que l’ampleur de l’effet ne changeait pas avec un niveau de puissance supérieur à 16 ordres de grandeur. L’hypothèse selon laquelle la technologie sans fil peut être rendue sûre en réduisant la puissance a été démentie.

Le présentateur résume les conclusions du programme :

J’ai vu pourquoi les gens sont si enthousiastes à l’idée du
déploiement mondial de la 5G… Mais si beaucoup de gens pensent que la 5G
est la meilleure chose depuis le pain tranché, il y a encore ceux qui
croient que si la technologie continue à être déployée sans les tests
qu’ils exigent, nous pourrions bientôt tous être grillés !

Une distorsion sonore est appliquée derrière ces mots, à laquelle
s’ajoute la banalisation de « nous pourrions bientôt être grillés » et
l’intonation qui implique le ridicule de l’idée que les gens peuvent
vraiment être si mesquins qu’ils exigent le respect des lois nationales
et internationales exigeant des tests préalables, des études d’impact
sur l’environnement et l’application du principe de précaution.

Et voilà! Ce programme de la BBC admet en fait qu’aucun test de santé
ou de sécurité n’a été effectué sur la 5G, tout en omettant d’informer
le public que cela est en fait illégal en vertu du droit communautaire
et international et du code de Nuremberg et ignore complètement le
principe de précaution, qui est approuvé par l’UE dans sa résolution 1815 de 2011. Un avis juridique donné par un
cabinet d’avocats danois indique que le déploiement de la technologie
5G est illégal en vertu du droit communautaire et international
(75 pages) :

La conclusion de cet avis juridique est que l’établissement et l’activation d’un réseau 5G, tel qu’il est actuellement décrit, serait en contradiction avec les lois actuelles sur l’homme et l’environnement garantis par la Convention européenne des droits de l’homme, la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant, les réglementations européennes et les Conventions de Berne et de Bonn. … Cela s’applique également lorsque le rayonnement reste dans les limites recommandées par l’ICNIRP et actuellement utilisées au Danemark ainsi que dans l’ensemble de l’UE.

Les contributeurs au programme qui sont effectivement qualifiés et
justifiés d’exiger des tests de santé et de sécurité de la technologie
5G avant son déploiement en vertu (a) d’une qualification médicale et de
connaissances dans ce domaine de la médecine, (b) d’une expérience
personnelle des effets délétères de la technologie sans fil, et (c) de
connaissances juridiques, sont dépeints comme déraisonnables, insensés,
mesquins et extrêmes. Ils seront sans doute bientôt qualifiés de
terroristes – affaire [BBC] à suivre… !

En revanche, les intervenants pro-5G, qui possèdent des
qualifications techniques mais ni médicales dans le domaine des CEM ni
scientifiques, sont vivement encouragés à exposer leurs opinions vides
et sans valeur sur la sécurité de la 5G. Chacun parle après chaque
intervenant anti-5G afin de saper ce qu’il ou elle a dit, et ensemble on
leur accorde le double du temps accordé aux intervenants anti-5G. Des
indices subtils tels que le choix du registre de la langue, les phrases
vernaculaires, la banalisation et l’intonation désobligeante sont
également utilisés pour miner les intervenants anti-5G.

Comme l’a dit Gandhi : « D’abord ils vous ignorent, ensuite ils vous
raillent, ensuite ils vous combattent et enfin, vous gagnez. »  Les fake news
sur la 5G émanant des médias corrompus financées ou cooptés par
l’industrie des télécommunications sont exposées pour ce qu’elles sont :
une tentative maladroite, pitoyable et tardive d’une industrie des
télécommunications avide – qui pensait pouvoir lancer la 5G sur un
public peu méfiant sans se faire épinglée – d’accroître leur mépris pour
le public en le trompant une fois de plus à coup de mensonges et de
manipulation. Je vous préviens : ce génie ne rentrera pas dans la
bouteille.

Peu importe le nombre de fois que vous invitez vos contributeurs
sceptiques à réfuter les nombreuses preuves indiquant les conséquences
catastrophiques probables du déploiement de la 5G sur Terre, dans la
stratosphère et dans l’espace afin d’irradier chaque centimètre carré de
la planète sans que personne ne puisse s’échapper, quel que soit son
âge ou son état de santé, y compris les fœtus pas encore nés – un plan
qualifié par le Professeur Emérite Martin Pall en tant que « l’idée la
plus stupide de l’histoire de l’humanité » – et pour affirmer que cet
ensemble écrasant de preuves n’est pas « réel », « prouvé », « valide »,
« solide », « convaincant », « décisif » ou « établi », le public ne
vous croira pas.

Vous pouvez continuer à imputer le rejet absolu de la 5G par un
public consterné et indigné à la désinformation russe pour détourner
l’attention publique des criminels qui ont planifié son déploiement et
qui sont donc vraiment responsables de ce fiasco technologique
irréfléchi, mais vous foncez tout droit vers l’échec.

Les dirigeants, le personnel et les invités de la BBC devraient
bientôt commencer à respecter la loi et à dire la vérité, sinon ils
pourraient bientôt être tenus responsables d’un complot délibéré,
calculé et malveillant visant à aider et à encourager le génocide et
l’écocide. Des nazis de haut rang ont été pendus pour crimes contre
l’humanité après la tentative de génocide de la deuxième guerre
mondiale. À ma connaissance, personne n’a encore été jugé pour
conspiration en vue de commettre un omnicide. Espérons que vous cesserez
immédiatement de faire preuve d’arrogance et de l’orgueil insondable
dans votre détermination à être parmi les premiers.

Claire Edwards

Article original en anglais :

BBC Fake News on 5G Decoded: Health Impacts Denied Despite Overwhelming Scientific Evidence, publié le 25 août 2019

Traductrices : Dossano Elizabeth et Edwards Claire




Sommet sur la crise du 5G

[Source anglophone : https://the5gsummit.com/]

Vous avez peut-être entendu parler de la 5G, il s’agit du sans fil cellulaire de cinquième génération. Lors d’une audition devant le Sénat américain en février 2019, l’industrie du sans-fil a été forcée de reconnaître qu’elle n’avait pas d’étude de sécurité sur la 5G et qu’elle n’envisageait pas d’en faire. Entre-temps, des milliers d’études indépendantes concluent que les rayonnements sans fil causent des dommages biologiques.

Malgré cela, l’industrie du sans fil collabore avec le gouvernement pour déployer la 5G – c’est une expérience humaine mondiale, à but lucratif,… sans notre consentement.

Qu’est-ce que ça signifie? Des millions de «petites» tours relais seront ajoutées à chaque quartier (ce qui est un grave problème de confidentialité). Chaque tour émet des rayonnements à des niveaux connus pour causer le cancer, la stérilité, des dommages à l’ADN et d’autres dommages… particulièrement à nos enfants, qui sont les plus exposés.

Rejoignez-nous au sommet 5G Crisis: Awareness & Accountability [Crise de la 5G : Conscience et Responsabilité] pour découvrir :

  • Définition de la 5G : recherche, faits et sensibilisation
  • Science sur les dangers des rayonnements 5G et CEM
  • Sources de rayonnement sans fil et «électricité sale» dans votre maison
  • Lien entre la 5G, l’Intelligence Artificielle et la surveillance globale
  • Comment des groupes et des individus s’opposent avec succès à la 5G
  • Des actions simples et responsabilisantes que vous pouvez entreprendre, ici et maintenant
  • Solutions individuelles et technologies révolutionnaires et plus sûres
  • Et davantage !



La guerre de la 5G – L’homme vs la technologie

[Source : Dr. Mercola Fr via Sott]



En bref

  • La 5G fonctionne principalement avec des bandes d’ondes
    millimétriques, dont on sait qu’elles provoquent des sensations de
    brûlure douloureuses. Elles sont également associées à des troubles
    oculaires et cardiaques, à l’affaiblissement du système immunitaire, à
    des dommages génétiques ainsi qu’à des problèmes de fertilité
  • La FCC reconnait qu’aucune étude n’a été effectuée ni financée par
    l’agence ou par l’industrie des télécommunications, s’agissant de la
    sécurité de la 5G, et qu’aucune n’est programmée
  • La FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
    perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
    l’industrie du tabac

Dr. Mercola

L’exposition aux champs électromagnétiques (EMF) et aux rayonnements
radiofréquences (RF) représente dans notre monde moderne un danger de
plus en plus important pour la santé.

Le site internet ‘Cellular Phone Task Force’ (« Groupe d’étude sur
les téléphones portables ») possède une longue liste de gouvernements et
d’organisations qui ont émis des mises en garde ou interdit différents
types de technologies sans fil, dans différentes circonstances, depuis
1993.

Les nombreuses préoccupations soulevées par la 5G en matière de santé



(Vidéo en anglais)

Le magazine Fortune rapporte que Sunil Rajgopal, analyste de Wall
Street, a récemment signalé que les préoccupations de plus en plus
nombreuses en matière de santé risquaient de retarder l’implantation de
la 5G.

Certains pays ont déjà pris des mesures pour ralentir le déploiement
de la 5G en raison des risques qu’elle présente pour la santé, souligne
Sunil Rajgopal. La question est : peut-on la stopper ?

Les essais de 5G ont récemment été interrompus à Bruxelles, en
Belgique, et la Suisse a retardé le déploiement de sa 5G afin de créer
un système qui permette de contrôler les rayonnements.

La ville de Syracuse, dans l’état de New York, essaye également de
mettre en place des mesures de protection, et a « négocié le droit de
réaliser des inspections de sécurité des antennes 5G sur demande », afin
d’apaiser les inquiétudes de la population.

Quel niveau d’EMF l’Homme peut-il supporter ?

L’exposition aux EMF, à de nombreuses fréquences ayant des effets biologiques, telles que celles qu’utilisent les téléphones portables et les Wifi, a été multipliée par environ 1 quintillon en cent ans.

Malheureusement, l’exposition aux EMF est aujourd’hui si généralisée
qu’il est devenu pratiquement impossible de réaliser des études
démographiques contrôlées, car plus aucune population n’échappe
totalement aux rayonnements ni à leurs effets.

Du fait qu’il n’existe plus de groupe de contrôle, il est aujourd’hui très difficile de déterminer leurs effets réels.

Ceci étant dit, une étude d’exposition contrôlée a été réalisée,
révélant que les rayonnements ne sont pas aussi inoffensifs que le
pensent les gens, et de loin.

Au début du 20ème siècle, les États-Unis présentaient deux types de
population : la population rurale, et la population urbaine. Les régions
urbaines étaient généralement reliées aux réseaux électriques, tandis
que les zones rurales ne l’ont été qu’à partir des années 1950.

Les problèmes de santé liés à l’exposition à la 5G

Les préoccupations supplémentaires que font naître la 5G sont liées
aux ondes millimétriques (MMW). On sait que cette largeur de bande, qui
se situe essentiellement entre 30 gigahertz (GHz) et 300 GHz, peut
traverser la peau de l’Homme sur une profondeur allant jusqu’à 2
millimètres, provoquant une sensation de brûlure.

C’est précisément pour cette raison que les MMW ont été choisies
comme agent de lutte antiémeute (Active Denial System) par le
département américain de la défense. Les MMW sont également utilisées
dans les scanners corporels que l’on trouve dans les aéroports.

La recherche a montré que les canaux sudorifères présents dans la
peau agissent comme des récepteurs, ou des antennes, pour les
rayonnements de la 5G, et font ainsi pénétrer les rayonnements dans
l’organisme en provoquant une élévation de la température. Ceci explique
en partie l’effet douloureux.

Les MMW sont également associées à :

  • Des problèmes oculaires chez le rat, tels que l’opacité du
    cristallin, associée au développement de la cataracte, et à des dommages
    oculaires chez le lapin
  • Chez le rat, des effets sur la variabilité de la fréquence
    cardiaque, un indicateur de stress, et des modifications du rythme
    cardiaque (arythmie) chez la grenouille
  • Des douleurs
  • L’affaiblissement du système immunitaire
  • Une diminution de la croissance et à l’augmentation de la résistance des bactéries aux antibiotiques

Comprendre les mécanismes nuisibles des EMF

Ainsi qu’il est expliqué dans mon interview de 2017 du Dr. Martin Pall, professeur émérite de biochimie et de sciences médicales à l’université d’état de Washington, le principal danger des EMF en général est qu’elles provoquent un stress oxydatif excessif qui entraine un dysfonctionnement des mitochondries.

Selon Martin Pall, les CCVD sont 7,2 millions de fois plus sensibles
aux rayonnements micro-ondes que les particules chargées présentes à
l’intérieur et à l’extérieur de nos cellules, ce qui signifie que les
standards de sécurité pour cette exposition sont 7,2 millions de fois
trop élevés.

Les rayonnements micro-ondes basse fréquence ouvrent vos CCVD,
permettant un apport anormal d’ions calcium dans les cellules, ce qui
active l’oxyde nitrique (NO) et le superoxyde, qui réagissent presque
instantanément pour former du péroxynitrite.

Ceci entraîne la fabrication de radicaux libres carbonates, des
espèces réactives de l’oxygène parmi les plus nocives connues, dont on
pense qu’elles sont à l’origine de nombreuses maladies chroniques
actuelles.

Votre organisme est capable de réparer ces dommages grâce à une
famille de 17 enzymes différentes, que l’on appelle les poly
(ADP-ribose) polymérases (PARP).

Cependant, si les PARP fonctionnent bien, elles ont besoin de NAD+
comme carburant, et lorsqu’elles en manquent, elles cessent de réparer
votre ADN.

Le cancer n’est pas le principal danger que font courir les EMF

La tension électrique dans notre organisme joue un rôle important au
regard de la santé et des maladies. L’électricité produite par votre
corps permet à vos cellules de communiquer et d’exécuter les fonctions
biologiques de base qui sont nécessaires à votre survie.

Toutefois, votre organisme est conçu pour fonctionner à des niveaux et à des fréquences très spécifiques.

Il semble logique que le fait d’être entouré d’EMF d’origine humaine,
qui sont 1 quintillion de fois plus élevées que les EMF naturelles de
la Terre, puisse interférer avec la capacité de votre ADN à recevoir et à
transmettre des signaux biologiques.

Le risque de cancer du cerveau est probablement réel

Si les maladies cardiovasculaires, la démence et l’infertilité
surpassent le risque de cancer du cerveau, ce risque existe bien, et
pourrait être bien plus préoccupant que ce que nous imaginons pour les
jeunes enfants, qui grandissent en étant entourés de technologies sans
fil.

Le fait est que nous ne saurons que dans dix ou vingt ans, lorsque
les jeunes enfants d’aujourd’hui auront grandi, si leur exposition in
utéro et l’utilisation précoce de téléphones portables augmente
l’incidence du cancer du cerveau.

De plus en plus de recherches suggèrent que les rayonnements émis par
les téléphones portables influent certainement sur ce risque, et il est
difficile d’ignorer les nombreux rapports anecdotiques convaincants qui
existent à ce propos.

La FCC est la proie d’intérêts, et n’est pas une agence fiable

Le Dr. Davis souligne également un autre problème crucial, le fait
que la FCC a été ‘piégée’ par l’industrie des télécommunications, qui a
perfectionné les stratégies de désinformation employées avant elle par
l’industrie du tabac.

La 5G compromet les prévisions météorologiques

Fait intéressant, en dehors de ses répercussions potentielles sur la
santé, un réseau 5G mondial compromettrait également notre capacité à
établir des prévisions météorologiques ce qui, en plus de faire courir
des risques aux populations civiles, mettrait en péril les forces
navales.

Selon un article paru récemment dans la revue ‘Nature’, une
couverture étendue de la 5G empêcherait les satellites de détecter les
variations de vapeur d’eau, qui permettent aux météorologues de prévoir
les changements de météo et les orages.

Informez-vous à propos des dangers de la 5G pour la santé, et protégez votre famille de ses effets nocifs

J’écris actuellement un livre sur les dangers des EMF, qui sera une
source d’information complète sur les technologies actuelles.

En attendant, pour en savoir plus à propos de la 5G et vous aider à
informer votre entourage, vous pouvez télécharger une fiche
d’information de deux pages sur la 5G, sur le site de l’Environmental
Health Trust.

Vous trouverez également sur ce site une longue liste d’études
scientifiques publiées qui démontrent l’existence de sources
d’inquiétudes.

Pour réduire votre exposition aux EMF, consultez les conseils ci-dessous et appliquez-les au mieux, dans la mesure du possible.

Mesures de protection pour la nuit
Utilisez des filtres Stetzer ou Greenwave pour
éliminer les surtensions transitoires de votre réseau électrique, et
utilisez un appareil de mesure pour vérifier qu’elles se situent dans
les limites de sécurité.
Utilisez un réveil à pile, idéalement non lumineux.
J’utilise personnellement un réveil parlant, comme en utilisent les
malvoyants.
Envisagez de placer le lit de votre bébé dans votre
chambre au lieu d’utiliser un moniteur de surveillance. Vous pouvez
également choisir d’utiliser un moniteur câblé.
Si vous devez utiliser la Wifi, éteignez-là lorsque
vous ne l’utilisez pas, en particulier la nuit. L’idéal est de câbler
l’ensemble de votre maison pour pouvoir vous passer de la Wifi. Il est
important de comprendre que si vous avez un routeur Wifi, cela revient à
avoir une antenne relais dans votre maison. L’idéal est d’éliminer la
Wifi et d’utiliser une simple connexion câblée Ethernet.

Si vous avez absolument besoin d’un routeur, vous pouvez le placer
dans une housse de protection anti-rayonnements lorsque vous ne
l’utilisez pas. Vous trouverez des accessoires de protection en ligne,
mais vous pouvez en fabriquer vous-même avec du tissu de la marque Swiss
Shield.
Si votre ordinateur portable n’est pas équipé d’un port Ethernet,
un adaptateur Ethernet USB vous permettra de vous connecter à internet
via une connexion câblée.

Pour bénéficier d’une protection renforcée, vous
pouvez peindre les murs et le plafond de votre chambre avec une peinture
spéciale qui bloque les RF provenant de sources extérieures, telles que
les antennes relais, les compteurs intelligents et les antennes radio
et télé.
Les fenêtres peuvent être protégées par un écran ou un film
anti-ondes métallisé. Pour votre lit, vous pouvez opter pour un ciel de
lit de protection anti-ondes.
Méthodes pour réduire l’exposition superflue aux EMF dans la journée
Pour réduire votre exposition aux EMF dans la
journée, vous pouvez utiliser des filtres Stetzer pour réduire la
production d’électricité sale ou d’interférences électromagnétiques.
Vous pouvez également les emporter au travail ou lors de vos
déplacements.
Il s’agit sans doute de la meilleure méthode qui soit pour réduire
les dommages provoqués par l’exposition aux EMF, dont la plupart sont
générés par des fréquences que ces filtres parviennent à bloquer.
Utilisez un câble Ethernet pour connecter votre
ordinateur à internet, et veillez à placer votre ordinateur portable en
mode avion. Évitez également les claviers, boules de commande, souris,
systèmes de jeux, imprimantes et téléphones fixes sans fils. Optez pour
les versions filaires.
Évitez de porter votre téléphone portable sur vous à
moins qu’il ne soit en mode avion, et ne le laissez pas dans votre
chambre lorsque vous dormez, sauf également s’il est en mode avion. Les
téléphones portables peuvent émettre des signaux même lorsqu’ils sont en
mode avion, et c’est pourquoi je place le mien dans un sac de Faraday.
Ils sont vraiment très abordables et ne coûtent que 10 dollars les
deux. Je les ai testés et ils sont vraiment très efficaces pour bloquer
les rayonnements.
Lorsque vous utilisez votre téléphone portable,
servez-vous de la fonction haut-parleur et tenez-le au moins à 90 cm de
vous. Essayez de réduire au maximum le temps que vous passez au
téléphone.
J’utilise le mien généralement moins de 30 minutes par mois, et
principalement lorsque je suis en déplacement. Utilisez plutôt des
logiciels de VoIP qui permettent de téléphoner en vous connectant à
internet via un câble ou, mieux encore, utilisez un téléphone fixe.
Mesures de protection générales pour la maison
Si vous utilisez encore un four à micro-ondes, je
vous recommande de le remplacer par un four à convection vapeur, qui
réchauffera vos plats tout aussi rapidement, mais de façon bien plus
sûre.
Évitez d’utiliser des dispositifs « intelligents »
et des thermostats qui fonctionnent avec une signalisation sans fil.
Cela comprend toutes les nouvelles télévisions « intelligentes » (ou «
smart TV »).
Elles sont qualifiées d’intelligentes car elles émettent un signal
Wifi, et contrairement à ce que vous pouvez faire avec votre ordinateur,
il n’est pas possible d’éteindre ce signal. Envisagez d’utiliser un
grand écran d’ordinateur comme télévision, qui n’émet pas de signal
Wifi.
Remplacez les ampoules LFC par des ampoules à
incandescence. L’idéal est d’éliminer toutes les lampes fluorescentes de
votre maison. Elles émettent non seulement une lumière malsaine, mais
elles vous transmettent surtout du courant électrique lorsque vous vous
en approchez.
Les rhéostats sont une autre source d’électricité
sale, il vaut donc mieux installer des interrupteurs classiques on/off
que des rhéostats.
Refusez l’installation de compteurs intelligents
dans la mesure du possible, ou placez une protection sur les compteurs
intelligents déjà en place : il a été démontré que certaines protections
réduisent les rayonnements de 98 à 99 %.

[Voir aussi :




Premier procès en Grande-Bretagne contre le 5G – Et le peuple a gagné

[Source : Stop Mensonges]

Mark Steele, un militant 5G, a souligné
les dangers d’un déploiement 5G secret par le conseil municipal de
Gateshead où les résidents se plaignent de l’augmentation des maladies
et du cancer dans la zone touchée.

Il y a suffisamment de preuves pour
conclure que les nouveaux réseaux 5G intelligents sur le dessus des
nouveaux lampadaires à LED émettent des fréquences de rayonnement de
classe 1 et devraient être traités comme un danger pour le public.

Le Conseil Gateshead a réfuté par
ignorance des preuves claires et a créé de fausses allégations sur des
messages de médias sociaux et des dépliants imprimés affirmant que Mark
Steele répand Pseudo Science et que les réseaux ne sont pas dangereux ou
5G :

« Soyez assuré qu’il n’y a aucun fondement scientifique ou preuve crédible pour ces histoires alarmantes sur les lampadaires qui causent le cancer et d’autres maladies. »

Ils ont abusé des pouvoirs de la police pour bâillonner Mark Steele et hier, il a laissé un homme libre et le conseil municipal de Gateshead pour débourser 11 000 £ de l’argent des contribuables pour couvrir les frais de justice, ce qui équivaut à une triste ignorance.

Au tribunal, aucun des fonctionnaires du Conseil n’a pu expliquer ce qu’est le 5G et leur expert gouvernemental de premier plan a refusé d’assister à l’audience de la Cour. En conclusion, le juge a refusé de bâillonner Mark en déclarant :

« Le public a le droit de savoir. »



VEUILLEZ UTILISER LE MODÈLE DE DEMANDE D’ACCÈS À L’INFORMATION POUR CONTESTER LÉGALEMENT VOTRE CONSEIL MUNICIPAL AU SUJET DE 5G ET DES VILLES INTELLIGENTES : Smombiegate.org

La question secrète du déploiement de la
5G à Gateshead est maintenant officiellement d’intérêt public et sera
traitée comme une affaire marquante pour que d’autres personnes
commencent à utiliser la décision de la Cour pour contester leurs
conseils.

Nous savons que Surrey, Westminster et Luton ont tous ces réseaux de champs électromagnétiques micro-ondes toxiques installés sur leurs nouveaux lampadaires à LED. Nous savons maintenant que même si ces réseaux sont actuellement 2G, 3G ou 4G, ils peuvent être activés 5G en ajustant une « lentille » qui « focalise » la fréquence.

Le juge a déclaré que Mark Steele était
un expert et un ingénieur crédible sur les technologies EMF et GSM, ce
qui prouve que le Conseil de Gateshead est responsable de corruption,
induit le public en erreur, rend les gens malades et tente de
discréditer Mark Steele et tous les autres tels que Smombie Gate qui se
bat pour le déploiement des 5G.

Les conseils se débattent en ce moment,
plus de 50% sont presque en faillite parce que plus de la moitié de
leurs ressources sont consacrées à l’augmentation de l’aide sociale aux
adultes, donc toute proposition de fournisseur avec la promesse d’une augmentation des revenus est irrésistible.

SM : la création du manque d’abondance est à tous les niveaux, PROBLEME, RÉACTION, SOLUTION… le bon vieux modèle satanique…
[Note NM : de la « dialectique hégélienne »]
On appauvrit d’abord les municipalités pour qu’elles soient enclin a accepter l’inacceptable.
Si le problème n’avait pas été créé avant, jamais ces maires n’accepteraient l’appât du gain au détriment de la santé publique. Pareil pour les éoliennes qui sont une calamité écologique et financières à long terme… en plus d’être moches…

Les entreprises de Smart City
s’adressent aux conseils municipaux avec des présentations futuristes
étonnantes détaillant la première étape, qui est d’installer
l’infrastructure 5G, c’est-à-dire les lampadaires sur les rues et les
autoroutes.

Les avantages seront une surveillance policière 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, qui permet de voir à travers les murs,
des panneaux de signalisation intelligents, la diffusion en direct de 4
ko en déplacement, des véhicules et des transports publics sans
conducteur, la réalité virtuelle mobile, la réalité augmentée mobile et
une connexion rapide au nouvel implant cérébral d’Elon Musk, le
Neuralink, qui donne aux gens accès Internet à leur esprit.

Note SM : encore plus d’enfer-me-nent dans le monde cybernétique, une « sous-réalité » dans la « sous-réalité/matrice » du monde des objets séparés expérimentés en 3eme densité.

Toutes ces caractéristiques sont un rêve
mouillé pour les conseils municipaux qui seront les premiers à devenir
des comtés intelligents parce qu’ils seront en mesure d’augmenter les
taxes et que l’économie locale prospérera en théorie.

Note SM : Pure folie… « Père, Pardonne leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

En réalité, les preuves scientifiques
s’accumulent à travers la planète que les CEM, RF, 3G, 4G, 5G, WiFI et
WiGIG causent le cancer, tuent les abeilles, chassent la faune sauvage
et diminuent la qualité de vie des populations.

Georgia Guidestones – le plan d’extermination des humains gravé dans la pierre.

Tout cela parce que les grandes
entreprises disent que c’est bon pour les gens et qu’elles continuent de
nous induire en erreur sur les dangers d’une utilisation continue à
proximité et sur la peau, sans parler de ce qu’est réellement la 5G, qui
est une arme efficace sur le champ de bataille.

Nous savons que Gateshead n’est pas le
seul conseil qui induit le public en erreur au sujet du déploiement de
la 5G et cela semble durer depuis quelques années.

Luton, Surrey et Westminster sont les
prochains ainsi que tous les conseils qui ont installé ces tableaux qui
sont installés par des entreprises particulières (nous vous laisserons
faire votre propre travail sur la façon dont vous pensez que ces
entreprises sont !)

Qui paie pour ces déploiements 5G ? Qui a
donné son consentement au nom du peuple ? Qui a fait des recherches
pour prouver la sécurité de la nouvelle infrastructure ?

Comme d’habitude, ces questions
importantes sont dénigrées par les médias et les bénéficiaires des
grandes entreprises. Mais ils verront bientôt notre colère, comme nous
le voyons maintenant dans cette décision.

Tout
l’enfer va se déchaîner en Grande-Bretagne et nous allons leur livrer
bataille. Nous ne serons pas réduits au silence et vous n’empoisonnerez
pas volontairement notre corps et celui de nos familles avec des
radiations de classe 1 – NOUS NE CONSENTONS PAS.

Note SM : Le premier consentement tacite pour manipuler le Libre Arbitre de l’humanité est « l’Acte de Naissance » un contrat de droit maritime qui fait de vous des marchandises soumis à la loi du commerce (Maritime).

Toute la fraude part de là concernant la 3D. Pour le reste cela part du mensonge de l’égo. Et les 2 se rejoignent dans l’Acte de naissance, créant l’illusion d’un objet mortel bien défini (individualisé).

Êtes vous relatif ? Ou Absolu ?

Mark Steele de https://www.saveusnow.org.uk en a fait une grande partie de sa vie. Ce sont des gens comme Mark et vous tous qui s’impliquent qui font une différence dans nos vies.

N’hésitez pas à passer le mot et à
prendre contact avec nous si vous souhaitez obtenir des conseils sur la
façon d’aborder votre Conseil. Nous allons produire un kit de modèles
simple que vous pourrez envoyer à vos conseils très bientôt.

Les 6 liens ci-dessous sont une preuve
suffisante pour convaincre quiconque de ce qui se passe autour de nous
sans notre consentement.

1. Voir la preuve vidéo des signaux 5G toxiques de Gateshead :



2. 18 nouvelles études scientifiques à CE LIEN.

3. Cartographie 3D utilisant le WIFI et le 5G sur CE LIEN.

4. Plans de déploiement de Midlands 5G à CE LIEN.

5. Fuite d’une présentation d’entreprise sur les dangers des pylônes 5G, « Dans les pays où les limites des CEM sont nettement inférieures aux limites scientifiques internationales de l’ICNIRP, le déploiement des réseaux 5G sera un problème majeur » : ICI.

6. Elon Musk’s « 5G Umbrella » qui est prévu pour l’atmosphère terrestre sans notre consentement : ICI.

Sources et références :
Smombiegate.org;
YouTube.com
et vu sur http://humansarefree.com/2018/10/britains-first-court-case-against-5g.html


[Voir aussi :




Le réseau 5G utilise les mêmes ondes EMF que le «système de contrôle de foule» du Pentagone

Par Jonathan – octobre 7, 2018 Exoportail

Le
déploiement mondial de la 5G est en marche, et nous pourrions bientôt
voir de nouvelles petites tours de téléphonie cellulaire à proximité de
toutes les écoles, dans toutes les rues résidentielles, dispersées dans
l’environnement naturel et un peu partout. Mais la sécurité de cette
technologie est sérieusement remise en question, et il y a une bataille
acharnée pour arrêter la mise en œuvre de la 5G financée par les
contribuables : 

Des villes américaines bloquent la mise en service de la 5G sur les accusations que cela cause le cancer

Le nouveau réseau cellulaire utilise des ondes radiofréquence millimétriques à haute bande passante pour transmettre des données à tout appareil situé à portée de vue.

«Les
réseaux cellulaires et Wi-Fi d’aujourd’hui utilisent les micro-ondes –
un type de rayonnement électromagnétique qui utilise des fréquences
allant jusqu’à 6 gigahertz (GHz) pour transmettre sans fil de la voix ou
des données. Toutefois, les applications 5G nécessiteront le déverrouillage de nouvelles bandes de fréquences dans les gammes de fréquences supérieures à 6 GHz à 100 GHz et au-delà,
en utilisant des ondes submillimétriques et millimétriques – pour
permettre la transmission de débits de données très élevés dans le même
laps de temps que les déploiements précédents de rayonnement micro-ondes
.» [Source]
«L’une
des façons dont la technologie 5G permettra d’atteindre cet objectif
est d’exploiter de nouvelles bandes inutilisées dans la partie
supérieure du spectre radioélectrique. Ces bandes hautes sont connues
sous le nom d’ondes millimétriques (ondes millimétriques) et ont
récemment été ouvertes à l’octroi de licences par les organismes de
réglementation. Ils n’ont pratiquement pas été touchés par le public,
car l’équipement nécessaire pour les utiliser efficacement était
généralement coûteux et inaccessible
.» [Source]

Parmi les nombreux problèmes potentiels liés à l’exposition aux ondes radio 5G, il y a les problèmes cutanés, ce qui est intéressant quand on sait que cette technologie est déjà utilisée dans l’armée pour le contrôle des foules.

«Ce genre de technologie, qui se trouve dans bon nombre de nos maisons, interagit avec la peau et les yeux des humains. Ce résultat choquant a été rendu public par le biais d’études de recherche israéliennes qui ont été présentées lors d’une conférence internationale sur le sujet l’année dernière. Vous trouverez ci-dessous une conférence du Dr Ben-Ishai du Département de physique de l’Université hébraïque. Il explique comment les glandes sudoripares humaines agissent comme des antennes hélicoïdales lorsqu’elles sont exposées à ces longueurs d’ondes qui sont produites par les appareils qui utilisent la technologie 5G.» [Source]

L’armée américaine a mis au point un système d’armes non létales de contrôle des foules appelé Active Denial System (ADS). Il utilise des ondes radiofréquence millimétriques dans la gamme des 95GHz pour pénétrer la couche supérieure de 1/64 de pouce de la peau sur l’individu ciblé, produisant instantanément une sensation de chaleur insupportable qui fait fuir l’individu.

Cette
technologie devient omniprésente dans les plus grandes armées du monde,
ce qui montre à quel point cette énergie radiofréquence peut être
réellement efficace pour causer du tort aux humains et à tout le reste.

«Les agences de défense des États-Unis, de la Russie et de la Chine ont mis au point des armes qui s’appuient sur la capacité de cette technologie électromagnétique à créer des sensations de brûlure sur la peau, pour contrôler la foule. Les ondes sont des ondes millimétriques, également utilisées par l’armée américaine dans les canons de dispersion de la foule appelés Active Denial Systems.» [Source]

Conclusion : 

La
lutte pour la 5G s’intensifie au niveau communautaire, et la prise de
conscience de cette question importante se répand rapidement. Pour en
savoir plus sur la 5G, regardez le documentaire «Take Back Your Power»
(Reprenez votre pouvoir), mettant en vedette Tom Wheeler, ancien
président du conseil d’administration de FAC et lobbyiste d’entreprise,
qui prononce un discours plutôt intimidant et présomptueux pour louer
cette nouvelle technologie. La lutte pour la 5G s’intensifie au niveau
des collectivités, cependant, et le moment est venu de s’élever contre
elle.

Le documentaire «Take Back Your Power» : https://exoportail.com/documentaire-excellent-sur-les-compteurs-intelligents-take-back-your-power/

Source : https://www.wakingtimes.com/2018/10/05/5g-network-uses-same-emf-waves-as-pentagon-crowd-control-system/

Traduction + Ajouts : ExoPortail




Gilets jaunes : le dessous des cartes

La vidéo suivante  présente une perspective approfondie des tenants et aboutissants du mouvement des Gilets jaunes :

https://youtu.be/J18zukKyDZs

Le présent blogue a traité divers sujets en relation, de près ou de plus loin, avec le contenu de cette vidéo dans les articles suivants qui représentent un complément d’information ou de réflexion :




Un important professeur de biochimie met en garde: La 5G est « l’idée la plus stupide de l’histoire du monde »

[Source : Guy Fawkes News]

Le déploiement international de la technologie sans fil de cinquième génération (5G) est en cours malgré l’opposition de plus en plus vive des scientifiques et des professionnels de la santé, qui tentent désespérément de nous avertir des dangers bien documentés de la 5G. Le gouvernement et les industries impliquées dans le déploiement de la 5G n’ont aucune préoccupation pour la sécurité publique car cette technologie promet d’être exceptionnellement rentable, tout en précipitant tout le monde dans cette technocratie émergente.

S’ajoute à la dissidence, Martin L. Pall, docteur et professeur émérite de biochimie et de sciences médicales de base à la Washington State University. Dans une étude et une présentation, il examine de plus près la technologie 5G et lance un avertissement majeur pour nous tous. « Installer des dizaines de millions d’antennes 5G sans un seul test biologique de sécurité doit correspondre à l’idée la plus stupide que quelqu’un ait jamais eu dans l’histoire du monde. » – Martin L. Pall, PhD Le rapport propose 4 explications pour lesquelles la 5G est nettement plus dangereuse que les générations précédentes de technologie sans fil, signalant: « La 5G devrait être particulièrement dangereuse pour chacune des quatre raisons suivantes:

  1. Le nombre extraordinairement élevé d’antennes prévues.
  2. La très grande quantité d’énergie qui sera utilisées pour assurer la pénétration.
  3. Les niveaux de pulsation extraordinairement élevés.
  4. Les apparentes
    interactions de haut niveau de la fréquence 5G sur des groupes chargés
    comprenant probablement les groupes chargés du capteur de tension. »

Il
commence par parler des directives de sécurité actuelles pour les
technologies 2g / 3g / 4g, en soulignant à juste titre que les
directives approuvées par le gouvernement ignorent les effets
indésirables qui se produisent à des doses ou expositions inférieures
auxdites directives. En d’autres termes, comme le souligne Pall, ils
sont aberrant en matière de sécurité.

Il
discute ensuite de huit façons dont cette technologie nuit à la santé
humaine, en s’appuyant sur une documentation scientifique exhaustive:

  1. Fertilité réduite
  2. Effets neurologiques / neuropsychiatriques
  3. Dommages à l’ADN cellulaire
  4. Apoptose – Mort cellulaire programmée
  5. Stress oxydant et dommages des radicaux libres
  6. Effets endocriniens (hormonaux)
  7. Excès de calcium intracellulaire
  8. Cancer

Dans sa conclusion, Pall n’a pas mâché ses mots pour décrire la 5G: « Le déploiement de la 5G est absolument insensé. » La présentation qui suit est particulièrement utile pour quiconque souhaite mieux comprendre de quoi il s’agit et comment le combattre.

M. Pall n’est qu’un des nombreux professionnels émettant le même avertissement, mais le déploiement progresse sans retard.

Martin Blank, du Département de physiologie et de biophysique cellulaire de l’Université de Columbia, résume ici son évaluation :

« Nous avons créé quelque chose qui nous fait du mal et cela nous échappe. Avant l’ampoule d’Edison, il y avait très peu de rayonnement électromagnétique dans notre environnement. Les niveaux actuels sont plusieurs fois supérieurs aux niveaux de base naturels et augmentent rapidement en raison de tous les nouveaux appareils émettant ce rayonnement. En termes clairs, ils endommagent les cellules vivantes de notre corps et tuent beaucoup d’entre nous prématurément. »

Dr. Marin Blank

La docteure Sharon Goldberg, médecin et professeure, commente la 5G en s’adressant au Sénat américain :

« Le rayonnement sans fil a des effets biologiques. Point final. Ce n’est plus un sujet de débat lorsque vous consultez PubMed et la littérature examinée par des pairs. Ces effets sont visibles dans toutes les formes de vie; plantes, animaux, insectes, microbes. Chez l’homme, nous avons maintenant des preuves évidentes du cancer: il n’y a pas de doute que nous avons des preuves de dommages à l’ADN, de la cardiomyopathie, précurseur de l’insuffisance cardiaque congestive, des effets neuropsychiatriques… La 5G est une application non testée d’une technologie que nous savons nuisible; nous le savons de la science. Dans les universités, on appelle cela la recherche sur des sujets humains. »

Dr. Sharon Goldber [Vidéo]


La 5G est une « guerre contre l’humanité »

Enfin, Claire Edwards, membre du personnel de l’ONU, a lancé cet avertissement fort aux membres de haut rang des Nations Unies, qualifiant la 5G de « guerre contre l’humanité »:

Source: www.wakingtimes.com
Traduction: Santé Nutrition


La vérité sur la 5G