Macron EST d’extrême droite (la « vraie », mais iel ne le sait pas)

[Illustration : Photo/Wikimedia Commons]

Par Lucien SA Oulahbib

Dans un miroir espagnol Macron se regarde et clame horrifié qu’il voit l’extrême droite, ce qui est vrai puisqu’il s’observe lui-même. Enfin un sursaut de bon sens. Ensuite il se demande pourquoi elle séduit. Il « nous manque des réponses », confie-t-il au miroir en se parlant ainsi à la première personne du pluriel, un miroir narcisse (médiatique) qui pourtant lui a donné déjà une réponse en le désignant lui-même comme étant non pas seulement d’extrême droite, mais en étant l’extrême droite elle-même : Macron EST l’extrême droite incarnée ; et c’est sans doute cela qu’il commente en se demandant, coquette, comment arrive-t-iel à séduire autant ?…

L’avatar IA de base haussera quelques pôles en guise d’épaules à cette annonce, tamponnant fièrement « FAUX », tout heureux de distribuer ensuite cette vérification à l’AFP et autres perroquets non encore remplacés comme lui par l’IA. Et pourtant !…

  • Qui refuse de réintégrer des milliers de soignants dits « suspendus » parce qu’ils ne veulent pas s’injecter quelque chose qui n’empêche rien, mais crée plutôt des effets dits « indésirables », du moins pour les personnes concernées, mais sans doute très « désirables » (me souffle un ami…) pour ceux qui se font par exemple courser à Davos pour répondre à quelques questions qu’ils ignorent pourtant superbement ?…
  • Qui refuse le débat sur cette injection ?… Et ce refus visant à isoler des gens et à les désigner comme étant une menace alors que c’est faux, n’est-ce pas précisément là ce qui définit « l’extrême droite » du moins dans l’imaginaire académique ?… Est en effet d’extrême droite celui qui discrimine sans aucune autre raison que son origine à savoir ici refuser de faire le salut d’allégeance telle que s’injecter une substance qui loin de soulager aggrave pour certains la situation immunologique…
  • Qui par ailleurs refuse de reconnaître que les services publics d’information et d’enseignement sont complètement imbibés d’une substance idéologique toxique, car à contenu unique falsifiant alors notre rapport « citoyen » aux faits ? N’est-ce pas ainsi dans cette intoxication propagandiste que l’on reconnaît « l’extrême droite » selon la définition officielle ?
  • Et qui menace les quelques rares chaînes d’information qui tentent d’opter pour une approche pluraliste du commentaire ? N’est-ce pas la ministre de la Culture de Mr Macron ? Or qui peut opérer un tel geste sinon quelqu’un d’extrême droite, selon la terminaison (goebbelsienne) accréditée ?…
  • Et qui décide d’aller en guerre contre la Russie sans le dire tout en énonçant même le contraire ? N’est-ce pas ce que fait l’extrême droite (la « vraie ») en cherchant à étendre son territoire otanesque ?…
  • Qui menace les frontières françaises en les effaçant de fait, tout en laissant l’étranger soit dans l’abandon s’il est seul, soit en le privilégiant au détriment des « natifs » s’il est accompagné ? N’est-ce pas « l’extrême centre » macronien s’avérant en fait d’extrême droite puisqu’il accentue la soumission du droit français à la nouvelle devise anticonstitutionnelle U.E über Alles ?…
  • Qui a détruit le système énergétique français, l’industrie française, l’agriculture française, la culture française (surtout en disant qu’elle était toujours « ouverte », mais jusqu’où et pour qui ?) ? Où sont cinéma, théâtre, littérature, sciences ?… Certes, un peu de chansons, de films, d’essais et de découvertes subsistent encore chez les artistes et les scientifiques non subventionnés, mais pour le reste comme pour la presse et les revues dites à « comité de lecture », l’argent étatiste coule à flots et s’ajoute aux milliards privés cherchant à s’acheter ces danseuses médiatiques pour pouvoir montrer patte blanche créole dans les salons de la Secte (SHAA). Rien de nouveau sous le soleil (de Satan)
  • Qui envoie au casse-pipe pompiers, postiers, médecins dans les « territoires conquis » désormais par une cinquième colonne dont il est pourtant interdit d’en donner la composition ?…
  • Qui par contre envoie des RoboCops sur des citoyens indignés tout en laissant la Milice Antifa faire le sale boulot qui vise à briser les manifs pacifiques ?…
  • Qui enfin poursuit quelques militants nationalistes exaspérés alors que jusqu’à preuve du contraire il n’y a guère eu pour l’instant de Bataclan en sens contraire comme le prédit pourtant l’auteur de Soumission ?…
  • Qui ne dit mot (consent) quant à la destruction systématique de la présence française en Afrique (du Nord) jusqu’à remettre en cause le lien civilisationnel entre celle-ci et la présence latine, grecque, juive d’autrefois parmi les natifs autochtones et rapportés…

Au fond, plus le Dictateur joue avec la Terre et se demande telle la Reine dans Blanche-Neige « qui est la plus belle ? », plus iel nous fera prendre des vessies pour des lanternes au sens de plus en plus brichelien.




Un « monde fragmenté » se dirige, tel un somnambule, vers la troisième guerre mondiale

[Source : lesakerfrancophone.fr]

Par Pepe Escobar

Les « élites » autoproclamées de Davos ont peur. Tellement peur. Lors des réunions du Forum économique mondial de cette semaine, Klaus Schwab, le maître à penser — qui a joué son rôle de méchant digne d’un James Bond — n’a cessé de répéter un impératif catégorique : nous avons besoin de « coopération dans un monde fragmenté ».

Bien que son diagnostic de la « fragmentation la plus critique » dans laquelle le monde est aujourd’hui embourbé soit, comme on pouvait s’y attendre, sombre, Herr Schwab maintient que « l’esprit de Davos est positif » et qu’au final, nous pourrons tous vivre heureux dans une « économie verte et durable ».

Ce que Davos a su faire cette semaine, c’est inonder l’opinion publique de nouveaux mantras. Il y a le « nouveau système » qui, compte tenu de l’échec lamentable de la grande réinitialisation tant vantée, ressemble maintenant à une mise à jour hâtive du système d’exploitation en cours, qui a été bien ébranlé.

Davos a besoin de nouveau matériel, de nouvelles compétences en programmation, voire d’un nouveau virus. Pourtant, pour l’instant, tout ce qui est disponible est une « polycrise » ou, en langage de Davos, un « ensemble de risques mondiaux liés entre eux et dont les effets s’aggravent ».

En clair : une tempête parfaite

Les ennuyeux insupportables de l’île du Divide and Rule, dans le nord de l’Europe, viennent de découvrir que la « géopolitique », hélas, n’est jamais vraiment entrée dans le tunnel de la « fin de l’histoire » : à leur grande surprise, elle est maintenant centrée — à nouveau — sur le Heartland, comme elle l’a été pendant la majeure partie de l’histoire.

Ils se plaignent d’une géopolitique « menaçante », ce qui est un code pour désigner la Russie et la Chine, avec l’Iran en plus.

Mais la cerise sur le gâteau alpin, c’est l’arrogance/la stupidité qui dévoile le jeu : la City de Londres et ses vassaux sont livides parce que le « monde créé par Davos » s’effondre rapidement.

Davos n’a pas « créé » de monde en dehors de son propre simulacre.

Davos n’a jamais rien compris, car ces « élites » sont toujours occupées à faire l’éloge de l’Empire du Chaos et de ses « aventures » meurtrières dans le Sud.

Non seulement Davos n’a pas su prévoir toutes les crises économiques majeures récentes, mais surtout la « tempête parfaite » actuelle, liée à la désindustrialisation de l’Occident collectif engendrée par le néolibéralisme.

Et, bien sûr, Davos n’a aucune idée de la véritable remise à zéro en cours qui nous dirige vers un monde multipolaire.

Les leaders d’opinion autoproclamés sont occupés à « redécouvrir » que La Montagne magique de Thomas Mann se déroulait à Davos — « avec pour toile de fond une maladie mortelle et une guerre mondiale imminente » — il y a près d’un siècle.

Eh bien, de nos jours, la « maladie » — entièrement bioweaponisée — n’est pas exactement mortelle en soi. Et la « guerre mondiale imminente » est en fait activement encouragée par une cabale de néo-cons et de néolibéraux américains straussiens : un État profond non élu, non responsable, bipartisan et même pas soumis à l’idéologie. Le criminel de guerre centenaire Henry Kissinger ne l’a toujours pas compris.

Le panel de Davos sur la démondialisation était truffé de non-séquences, mais le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a au moins apporté une dose de réalité.

Quant au vice-premier ministre chinois Liu He, avec sa vaste connaissance de la finance, de la science et de la technologie, il a au moins été très utile pour définir les cinq grandes lignes directrices de Pékin pour l’avenir prévisible — au-delà de la sinophobie impériale habituelle.

La Chine se concentrera sur l’expansion de la demande intérieure, le maintien de chaînes industrielles et d’approvisionnement « fluides », le « développement sain du secteur privé », l’approfondissement de la réforme des entreprises d’État et la recherche d’«attrayants investissements àl’étranger ».

Résistance russe, précipice américain

Emmanuel Todd n’était pas à Davos. Mais c’est l’anthropologue, historien, démographe et analyste géopolitique français qui a fini par hérisser tous les poils de l’Occident collectif ces derniers jours avec un objet anthropologique fascinant : une interview basée sur la réalité.

Todd s’est entretenu avec Le Figaro — le journal de prédilection de l’establishment et de la haute bourgeoisie française. L’interview a été publiée vendredi dernier à la page 22, entre les proverbiales tirades russophobes et avec une mention extrêmement brève en bas de première page. Les gens ont donc dû travailler dur pour la trouver.

Todd a plaisanté en disant qu’il avait la réputation — absurde — d’un « rebelle destroy » en France, alors qu’au Japon, il est respecté, fait l’objet d’articles dans les médias grand public et ses livres sont publiés avec grand succès, y compris le dernier (plus de 100 000 exemplaires vendus) intitulé : « La troisième guerre mondiale a déjà commencé ».

Il est significatif que ce best-seller japonais n’existe pas en français, étant donné que l’ensemble de l’industrie de l’édition parisienne ne fait que suivre la ligne UE/OTAN sur l’Ukraine.

Le fait que Todd ait raison sur plusieurs points est un petit miracle dans le paysage intellectuel européen actuel, d’une myopie abyssale (il existe d’autres analystes, notamment en Italie et en Allemagne, mais ils ont beaucoup moins de poids que Todd).

Voici donc le Greatest Hits concis de Todd :

— Une nouvelle guerre mondiale est en cours : En « passant d’une guerre territoriale limitée à un affrontement économique mondial, entre l’Occident collectif d’un côté et la Russie liée à la Chine de l’autre, cette guerre est devenue une guerre mondiale ».

— Selon Todd, le Kremlin a commis une erreur en calculant qu’une société ukrainienne décomposée s’effondrerait immédiatement. Bien entendu, il n’explique pas en détail comment l’Ukraine a été militarisée à outrance par l’alliance militaire de l’OTAN.

— Todd a raison lorsqu’il souligne que l’Allemagne et la France sont devenues des partenaires mineurs de l’OTAN et n’étaient pas au courant de ce qui se tramait en Ukraine sur le plan militaire : « Ils ne savaient pas que les Américains, les Britanniques et les Polonais allaient permettre à l’Ukraine de mener une guerre prolongée. L’axe fondamental de l’OTAN est désormais Washington-Londres-Varsovie-Kiev ».

— La principale révélation de Todd est meurtrière : « La résistance de l’économie russe conduit le système impérial américain au précipice. Personne n’avait prévu que l’économie russe tiendrait face à la “puissance économique” de l’OTAN ».

— En conséquence, « les contrôles monétaires et financiers américains sur le monde peuvent s’effondrer, et avec eux la possibilité pour les USA de financer pour rien leur énorme déficit commercial ».

— Et c’est pourquoi « nous sommes dans une guerre sans fin, dans un affrontement dont la conclusion est l’effondrement de l’un ou l’autre. »

— Sur la Chine, Todd pourrait ressembler à une version plus pugnace de Liu He à Davos : « C’est le dilemme fondamental de l’économie américaine : elle ne peut pas faire face à la concurrence chinoise sans importer une main-d’œuvre chinoise qualifiée. »

— Quant à l’économie russe, « elle accepte les règles du marché, mais avec un rôle important de l’État, et elle garde la flexibilité de former des ingénieurs qui permettent des adaptations, industrielles et militaires. »

— Et cela nous amène, une fois de plus, à la mondialisation, d’une manière que les tables rondes de Davos ont été incapables de comprendre : « Nous avons tellement délocalisé notre activité industrielle que nous ne savons pas si notre production de guerre peut être soutenue ».

— Dans une interprétation plus érudite de ce sophisme du « choc des civilisations », Todd s’intéresse au soft power et arrive à une conclusion surprenante : « Sur 75 % de la planète, l’organisation de la parentalité était patrilinéaire, et c’est pourquoi nous pouvons identifier une forte compréhension de la position russe. Pour le collectif non occidental, la Russie affirme un conservatisme moral rassurant. »

— Ainsi, ce que Moscou a réussi à faire, c’est de « se repositionner comme l’archétype d’une grande puissance, non seulement “anticolonialiste”, mais aussi patrilinéaire et conservatrice en termes de mœurs traditionnelles. »

Sur la base de tout ce qui précède, Todd brise le mythe vendu par les « élites » de l’UE/OTAN — Davos inclus — selon lequel la Russie est « isolée », en soulignant comment les votes à l’ONU et le sentiment général à travers le Sud global caractérisent la guerre, « décrite par les médias grand public comme un conflit de valeurs politiques, en fait, à un niveau plus profond, comme un conflit de valeurs anthropologiques. »

Entre lumière et obscurité

Se pourrait-il que la Russie — aux côtés du vrai Quad, tel que je l’ai défini (avec la Chine, l’Inde et l’Iran) — l’emporte sur les enjeux anthropologiques ?

Le vrai Quad a tout ce qu’il faut pour s’épanouir en un nouveau foyer interculturel d’espoir dans un « monde fragmenté ».

Mélangez la Chine confucéenne (non dualiste, sans divinité transcendante, mais avec le Tao qui coule à travers tout) avec la Russie (chrétienne orthodoxe, vénérant la divine Sophia) ; l’Inde polythéiste (roue de la renaissance, loi du karma) ; et l’Iran chiite (islam précédé par le zoroastrisme, l’éternelle bataille cosmique entre la Lumière et les Ténèbres).

Cette unité dans la diversité est certainement plus attrayante, et plus édifiante, que l’axe de la guerre éternelle.

Le monde en tirera-t-il une leçon ? Ou, pour citer Hegel — « ce que nous apprenons de l’histoire, c’est que personne n’apprend de l’histoire » — sommes-nous irrémédiablement condamnés ?

Pepe Escobar

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone




Jaurès, réveille-toi, ils sont devenus fous !

Par Lucien SA Oulahbib

Les va-t-en-guerre à Davos sont sans appel : le temps n’est pas à la négociation, mais à la guerre totale jusqu’à la reddition de Poutine, versus « la victoire finale de l’Ukraine », etc. Dans ces conditions l’envoi de chars lourds par centaines outre le personnel pour leur maniement va nécessiter de les protéger de façon aérienne. D’où, à terme, l’intervention officielle otanienne, et ensuite l’engrenage… qui est déjà là… À quand les premières frappes supersoniques sur la France ? Et l’envoi en prison (pour commencer) de ceux qui refuseront cet état de fait ?…

Les « nationalistes » français vont-ils faire la même erreur qu’en 1914 en soutenant (mais sans le dire) ce mouvement de guerre « patriotique européen » contre « l’ours/ogre russe » au lieu d’appeler à des négociations — seule solution au conflit, du moins du point de vue français ? Déjà beaucoup de ralliements guerriers à cet effet, nombre d’écrits allant objectivement dans le sens anglo-saxon/otanien (comme la revue Conflits, malgré quelques critiques convenues). Celui-ci considére maintenant et pratiquement comme acquis, à l’instar de la 1re ministre finlandaise à Davos, que Poutine se voit en Staline et Pierre Le Grand réunis, fantasmant pour une Grande Russie qui dominerait l’Europe et le monde. C’est également la thèse des BHL et Bruckner… D’où une sorte « d’union sacrée »… mais à l’envers, comme le Roi Dagobert version Marx : une tragédie la première fois, une farce ensuite…

Il y a en effet là une étrange, mais logique alliance entre profiteurs de désespoir. Les uns, les pseudo-nationalistes, se gavent de fromage bon marché, mais de bon aloi façon « anti-immigration et théorie du genre », mais tombent dans le panneau puisqu’ils savent bien (comble de l’absurde) que ce sont justement l’UE, la bande des quatre anglo-saxonne (USA, UK, Australie, NZ) et l’ONU qui poussent à la destruction des frontières et des différences nationales (au profit de l’Oumma consumériste pour les uns, djihadiste pour leurs alliés du Golfe) alors que la Russie de Poutine, telle qu’elle est et non pas telle que nous aimerions qu’elle soit, préconise à l’inverse une politique refusant en même temps la double destruction des spécificités nationales et de la nouvelle famille, favorisant natalité autochtone et égalité homme-femme (idem en Hongrie, Pologne, celle-ci étant de plus en plus écartelée entre atlantistes et patriotes).

Mais qu’à cela ne tienne, ces soi-disant patriotes iront en fait soutenir les autres dans leur diatribe anti-poutinienne, tout ce galimatias créolisé au sens négatif ou comment imposer un universalisme de pacotille sous les oripeaux de l’humanisme chic associant injonctions et injections en veux-tu en voilà à l’ombre du djihadisme en fleur ou la Sainte-Alliance, la Sainte Famille voyant des petits « libre penseurs » se mettre à la chasse des statues de la Vierge et des crèches tout en se taisant devant l’installation de 3000 mosquées alors qu’il est interdit de construire une seule église, synagogue, pagode, en terre dominée par les arabo-musulmans. Les faux nationalistes n’en disent mot, sinon dans un vague combat « pour les chrétiens d’orient », mais bien plus factice que réel, car autrement ils demanderaient la réciprocité dans la construction d’édifices religieux aux djihadistes chics, ce dont ils se gardent bien.

C’est que ces faux nationalistes en réalité sont bien plus paganisâtes que chrétiens (Jésus comme Dreyfus est « juif »… À la différence de Bandera glorifié malgré les protestations). Ils sont donc très heureux au fond — malgré leur protestation de façade contre l’immigration illégale (on n’a guère vu des RN, Patriotes ou Dieudonné à Callac) — que les fondamentalistes musulmans fassent le « sale boulot » en refusant l’idéologie queer d’une part et la spécificité féminine non réduite à son rôle de mère d’autre part (l’homme, courtoisement, au biberon pourquoi pas ?), les uns voulant la voiler, les autres, à la gaute de la Nupes, l’effaçant au profit du mixte « non binaire ». Les uns et les autres sont au fond comme les mosaïques multiples de la même médaille sectaire, scientiste et affairiste lancée en l’air par les docteurs Folamour anglo-saxons et néo-léninistes. Ils n’ont également rien fait ou si peu à l’encontre du totalitarisme hygiéniste et réchauffiste.

Donc la guerre. On peut reprocher beaucoup de choses à Jaurès, son « pacifisme » supposé, mais guère sa lucidité sur le fait que de toute manière la reprise de l’Alsace-Lorraine ne pouvait être possible qu’en sacrifiant des millions d’hommes (morts et blessés graves) et qu’il aurait sans doute mieux valu, déjà, ne pas tomber dans le piège autrichien à la gloire déchue en refusant l’automaticité des alliances, tout comme aujourd’hui cet empire anglo-saxon à la dérive (mais aux dents atomiques, rappelait Khrouchtchev à Mao lorsque ce dernier parlait de « tigre de papier » s’agissant du dit impérialisme US) qui imposent de plus en plus la logique infernale de l’automaticité organique…

À croire que d’aucuns aimeraient planter ces « dents atomiques », entre deux lignes d’amphé, de coke et trois soumissions (pas toutes très catholiques) dans l’échine des mêmes, le peuple, les sans dents, les riens, la piétaille sommée d’abandonner sa voiture thermique, tous ceux qui ne se connaissent pas, vivent chichement, mais observent à 20 heures le faste orgiaque de la Gentry (SHAA) s’encanailler pour « sauver la planète » (en jet set), faire bombance en « urgence » à Davos, et ailleurs, dans des endroits plus feutrés, « sobres », mais tout autant hypocrites…

Il serait bon que Molière se réveille aussi, et, pourquoi pas, Jeanne, ou Anne, sœur Anne, « ne vois-tu rien venir » ?…




La Russie réclame le jugement d’Angela Merkel et de François Hollande

[Source : voltairenet.org]

Le président de la Douma d’État russe, Viacheslav Volodine, a demandé la tenue d’un tribunal militaire international comparable à celui de Nuremberg pour juger l’ancienne chancelière allemande Merkel et l’ancien président français François Hollande.
 
« Les aveux faits par le représentant du régime de Kyiv et les anciens dirigeants de l’Allemagne et de la France devraient être utilisés comme preuves devant un tribunal militaire international. Ces dirigeants ont comploté pour déclencher une Guerre Mondiale aux conséquences prévisibles. Et ils méritent d’être punis pour leurs crimes », a-t-il déclaré

Angela Merkel avait assuré, lors d’un entretien à Die Zeit, avoir négocié et signé les Accords de Minsk non pas pour faire la paix en Ukraine, mais pour donner du temps à l’armée ukrainienne pour préparer la guerre actuelle [1]. François Hollande lui avait donné raison dans un entretien à Kyiv Independent [2].

Le Droit international considère les « crimes contre la paix » comme plus graves que les crimes contre l’humanité. Cependant, les Nations Unies n’ont jamais défini clairement ce qu’ils sont vraiment.

La non-application des Accords de Minsk a prolongé la guerre civile en Ukraine durant 8 ans faisant au moins 20 000 morts.

La Russie n’a pas envahi l’Ukraine, mais a lancé une opération militaire spéciale pour appliquer la résolution 2202 du Conseil de sécurité ; résolution qui valide les Accords de Minsk.




La Justice impérialiste s’effrite

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

En temps de paix autant qu’en temps de guerre, la domination occidentale sur le reste du monde, autant que celle des États-Unis sur leurs alliés, passe par l’instrumentation du Droit. Ainsi, les Tribunaux internationaux ne cherchent aucunement à rendre la justice, mais à confirmer l’ordre du monde et à châtier ceux qui le contestent. Le Droit états-unien et le Droit européen servent aussi à contraindre le reste du monde à respecter les politiques de Washington et de Bruxelles. Ce système commence à pâlir.

Depuis la dissolution de l’Union soviétique, les Occidentaux utilisent les tribunaux internationaux et la Justice états-unienne pour imposer leur loi. Ils font condamner ceux qu’ils combattent et ne jugent jamais leurs propres criminels. Cette conception de la justice est devenue l’exemple absolu de leur politique du « deux poids, deux mesures ». Pourtant, l’affaiblissement de la domination occidentale depuis la victoire de la Russie en Syrie et plus encore depuis la guerre en Ukraine commence à avoir des répercussions sur ce système.

LA FIN DE LA DOMINATION OCCIDENTALE A DÉBUTÉ EN 2016

Le 5 mai 2016, le président Vladimir Poutine proclamait la victoire de la civilisation sur la barbarie, c’est-à-dire de la Syrie et de la Russie sur les jihadistes armés et soutenus par l’Occident. Il organisait un concert symphonique télévisé dans les ruines de Palmyre, la cité antique où la reine Zénobie avait fait cohabiter toutes les religions en harmonie. Symboliquement, ce concert de l’orchestre de Mariinski de Saint-Pétersbourg était intitulé : « Prière pour la paix ». M. Poutine s’y exprimait en vidéoconférence.

Les peuples occidentaux n’ont pas compris ce qui se passait, car ils n’avaient pas conscience que les jihadistes n’étaient que des marionnettes de leurs services secrets. À leurs yeux, et surtout depuis les attentats du 11 septembre, ils étaient leurs ennemis. Ils ne comprenaient pas que les dégâts des jihadistes chez eux et dans le reste du monde n’avaient pas du tout la même ampleur. À titre d’exemple, les attentats du 11 septembre 2001 — attribués contre toute logique aux jihadistes — ont fait 2 977 morts, tandis que Daesh a tué des centaines de milliers d’Arabes et d’Africains.

LA FIN DE L’INSTRUMENTATION DE LA JUSTICE INTERNATIONALE

Le procès qui avait débuté à La Haye, en 2011, d’un dirigeant africain renversé par les Occidentaux changeait d’ambiance après le concert de Palmyre. Rappelons les faits : en 2000, Laurent Gbagbo était élu président de Côte d’Ivoire. L’homme est le candidat des États-Unis. Il instaure d’abord un régime autoritaire favorisant certaines ethnies au détriment d’autres. Puis, il se rend compte qu’il ne fait que s’enrichir grâce à son allié et décide de servir son pays. Immédiatement, les États-Unis et la France encouragent une rébellion contre lui en arguant des erreurs qu’ils lui ont fait commettre. En définitive, après intervention des Nations unies, l’armée française renverse le président Gbagbo, en 2011, et installe le président Alassane Ouattara, un ami personnel du président français Nicolas Sarkozy. Gbagbo déchu est arrêté pour être jugé par la Cour pénale internationale pour « génocide ». Cependant celle-ci voyant le vent tourner à l’international ne parviendra jamais à établir les faits. Elle acquitte Laurent Gbagbo, en 2019, puis en appel en 2020. Depuis, nous voyons la présence française en Afrique reculer inexorablement.

La Cour pénale internationale, contrairement au projet de ses fondateurs, était devenue un instrument de domination ne condamnant que des nationalistes africains. Jamais, elle n’a enquêté sur les crimes des présidents états-uniens, des Premiers ministres britanniques, ni des présidents français. Son caractère partial au service de l’impérialisme s’était manifesté lorsque son procureur, Luis Moreno Ocampo, prétendit mensongèrement détenir Saïf al-Islam Kadhafi afin de décourager les Libyens de résister à la guerre illégale de l’OTAN.

LE DÉBUT D’UNE JUSTICE INTERNATIONALE ÉGALE POUR TOUS

Identiquement, le 30 décembre 2022, l’Assemblée générale des Nations unies a adopté une résolution demandant à la Cour internationale de Justice, le tribunal interne de l’ONU, de juger l’occupation israélienne de la Palestine. Il s’agit d’un spectaculaire renversement de majorité puisque cette occupation dure depuis… 75 ans. À n’en pas douter, la Cour condamnera Israël, contraignant les 195 États membres des Nations unies à en tirer les conséquences.

Les États occidentaux tentent aujourd’hui de constituer un nouveau tribunal puisque ceux qui existent leur échappent. Ses promoteurs entendent « condamner Vladimir Poutine pour les crimes russes en Ukraine ». Il s’agit donc de faire oublier la responsabilité de la chancelière allemande Angela Merkel et du président français François Hollande qui ont cosigné les Accords de Minsk, sans jamais avoir l’intention de les appliquer, laissant assassiner 20 000 Ukrainiens. Il s’agit aussi de nier que, en vertu de la responsabilité de protéger, le président russe Vladimir Poutine soit intervenu militairement pour faire appliquer ces Accords, validés par la résolution 2202 du Conseil de Sécurité.

Toute opération militaire fait des victimes. Souvent injustement. C’est le propre des guerres, ce qui les différencie des actions de police. Le problème n’est pas de juger ceux qui font des guerres, mais de prévenir les recours à la guerre.
La Justice pénale internationale ne doit pas punir ceux qui doivent tuer pour défendre leur patrie, mais ceux qui créent artificiellement des conflits et ceux qui tuent sans raison. Ce n’est pas du tout pareil.

LA FIN DE L’INSTRUMENTATION DE LA JUSTICE OCCIDENTALE

Les États-Unis et l’Union européenne ont inventé une extra-territorialité de leurs lois locales. En totale contradiction avec la Charte des Nations unies, ils violent la souveraineté des autres États au nom de leur Droit national.

Depuis 1942, les États-Unis ont adopté quantité de lois extraterritoriales : Trading with the Enemy Act (1942), Foreign Corrupt Practices Act (1977), Cuban Liberty and Democratic Solidarity Act (dit Helms-Burton) (1996), Iran and Libya Sanctions Act (dit Amato-Kennedy) (1996), USA PATRIOT Act (2001), Public Company Accounting Reform and Investor Protection Act (dit Sarbanes-Oxley ou SarbOx) (2002), Foreign Account Tax Compliance Act (FACTA) (2010), CLOUD Act (2018).

Ce dispositif associe en permanence la Justice US et les services secrets US. Selon la DGSI (contre-espionnage français) : « L’extra-territorialité se traduit par une grande variété de lois et mécanismes juridiques conférant aux autorités américaines la capacité de soumettre des entreprises étrangères à leurs standards, mais également de capter leurs savoir-faire, d’entraver les efforts de développement des concurrents des entreprises états-uniennes, de contrôler ou surveiller des sociétés étrangères gênantes ou convoitées, et ce faisant de générer des revenus financiers importants »(([1] « Espionnage : les modes opératoires des États-Unis », Le Figaro, 13 novembre 2018.)).

Ce dispositif dissuade les entreprises étrangères travaillant aux USA ou utilisant n’importe où des dollars états-uniens de contrevenir à la politique de Washington. En outre, il légalise la guerre économique, mensongèrement qualifiée de « sanctions », alors que ces dispositions violent la Charte des Nations unies, car elles ne sont pas validées par le Conseil de Sécurité. Il est assez fort pour, par exemple, isoler totalement un État et affamer sa population, ce fut le cas en Iraq avec Bill Clinton, c’est aujourd’hui le cas en Syrie avec Joe Biden.

Suivant l’exemple états-unien, l’Union européenne se dote progressivement de ses propres lois extraterritoriales. En 2014, la Cour de Justice de l’Union européenne (dite Cour du Luxembourg) a jugé la maison-mère outre-Atlantique d’un moteur de recherche espagnol coupable de la violation des lois européennes par sa filiale.

Ce modèle occidental est en train lui aussi de voler en éclats. La guerre économique livrée par l’Occident à l’Iran, à l’occasion de l’agression occidentale en Syrie par jihadistes interposés, et à la Russie, à l’occasion de la mise en œuvre de la résolution 2202 par Moscou, est trop vaste pour être appliquée.

Des pétroliers n’hésitent plus à charger en mer du pétrole iranien ou russe par transbordement. Tout le monde le sait, mais feint de l’ignorer. Si le Pentagone n’hésite pas à faire couler des navires au large de la Syrie, il n’ose pas le faire au large de l’Union européenne après avoir saboté les pipe-lines Nord Stream 1 et Nord Stream 2. Cette fois, les contrevenants ne sont plus des « ennemis », mais des « alliés ». Ces guerres économiques ne sont impopulaires en Occident que lorsque les Occidentaux commencent à en payer le prix exorbitant.




Reset ou pas Reset ?

Par Joseph Stroberg

D’un côté, il y a des optimistes qui pensent que le Forum Économique Mondial ne parviendra pas à mettre en œuvre sa Grande Réinitialisation. C’est le cas de Roland Hureaux :

[Source : editions-harmattan.fr]

Depuis 1971, se réunissent à Davos, luxueuse station hivernale suisse, les hommes les plus riches et les puissants du monde. Le Forum de Davos a été fondé par Klaus Schwab qui le préside encore. Après le début de la crise du Covid, il a écrit, avec Thierry Malleret, un livre appelé Covid : La Grande réinitialisation (Forum Publishing) devenu la Bible des mondialistes.

Selon les auteurs, les mesures censées contrôler la pandémie, comme le confinement ou les autres restrictions des libertés ou de l’activité économique, ne sont qu’un galop d’essai avant les mesures encore plus radicales, qu’ils jugent nécessaires pour combattre le réchauffement climatique, réchauffement dont ils ne retiennent que les hypothèses les plus extrêmes et les plus controversées. Ce projet est le Great reset (réinitialisation) selon lequel il faut rebondir sur le Covid, pour révolutionner l’économie, la société et gouvernance du monde.

Comme, hors du monde occidental, personne ne prend au sérieux ces perspectives, c’est un véritable programme d’autodestruction que les auteurs veulent imposer à l’Europe. L’auteur s’attache à démonter une à une les hypothèses et les propositions de Davos, le principal danger qui menace aujourd’hui le monde.


De l’autre, il y a des personnes plus pessimistes qui pensent que le Forum Économique Mondial participe pleinement à la finalisation du Nouvel Ordre Mondial et implique la plupart des nations du monde.

Voici la liste des participants pour la réunion de Davos en 2023
[Source : https://dossier.substack.com/p/exclusive-the-dossier-acquires-confidential] :

Figures publiques
Participants

On peut noter que la Russie et l’Iran ne participent pas et que les pays participants couvrent tous les continents (sauf l’Antarctique). De nombreux chefs d’États ou de gouvernements y participent, ainsi que des têtes couronnées.

Et voici le conseil d’administration du Forum Économique Mondial

[Source : https://www.weforum.org/events/world-economic-forum-annual-meeting-2023]

Le Forum est présidé par le fondateur et président exécutif, le professeur Klaus Schwab. Il est guidé par un conseil d’administration, des personnes exceptionnelles qui agissent en tant que gardiens de sa mission et de ses valeurs, et supervisent le travail du Forum dans la promotion d’une véritable citoyenneté mondiale.

Mukesh D. Ambani Président et directeur général, Reliance Industries

Marc Benioff Président et co-chef de la direction, Salesforce
Peter Brabeck Letmathe Vice-président du conseil d’administration, Forum économique mondial
Thomas Buberl Président-directeur général, AXA
Laurence D. Fink Président-directeur général, BlackRock
Chrystia Freeland Vice-premier ministre et ministre des Finances, Cabinet du vice-premier ministre du Canada
Orit Gadiesh Président, Bain & Company
Kristalina Georgieva Directeur général, Fonds monétaire international (FMI)
Fabiola Gianotti Directeur général, Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN)
Al-Gore vice-président des États-Unis (1993-2001); Président et cofondateur, Generation Investment Management LLP
André Hoffmann
Président, Massellaz
Paula Ingabire Ministre des Technologies de l’Information, de la Communication et de l’Innovation, Ministère des Technologies de l’Information, de la Communication et de l’Innovation du Rwanda
Joe Kaeser Président du Conseil de surveillance, Siemens Energy
Christine Lagarde Président, Banque centrale européenne
Yo-Yo Ma Violoncelliste
Patrice Motsepe Fondateur et président exécutif, African Rainbow Minerals
Ngozi Okonjo-Iweala Directeur général, Organisation mondiale du commerce (OMC)
Lubna S.Olayan Président du comité exécutif, Groupe financier Olayan
Sa Majesté la Reine Rania Al Abdullah du Royaume Hachémite de Jordanie Reine du Royaume hachémite de Jordanie, Cabinet de Sa Majesté la Reine Rania Al Abdullah
L. Raphaël Reif Président, Massachusetts Institute of Technology
David M. Rubenstein Co-fondateur et co-président, Carlyle
Marc Schneider Président-directeur général, Nestlé
Klaus Schwab Fondateur et président exécutif, Forum économique mondial
Tharman Shanmugaratnam Ministre principal, Gouvernement de Singapour
Jim Hagemann Snabe Président, Siemens
Julie Douce Président et chef de la direction, Accenture
Feike Sybesma Président du Conseil de Surveillance, Royal Philips
Heizo Takenaka Professeur émérite, Université Keio
Zhu Min Président, Institut national de recherche financière



Christine Deviers-Joncour : « Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Son nom ne vous est pas inconnu, cette femme a défrayé la chronique de toute la presse française dans les années fin 90- début 2000.
Connue sous le sobriquet de « la putain de la République », Christine Deviers-Joncour réapparaît dans la lumière par le biais de l’écriture.
A l’occasion de la sortie de son dernier roman In silico, Christine, comme elle aime se faire appeler, nous a accordé un entretien sincère et émouvant laissant transparaître une femme forte, pleine de conviction et assoiffée de liberté. Une bouffée d’oxygène loin des médisances du passé !

[Voir aussi :
C. Deviers-Joncour : Aucune injustice ne peut durer pour l’éternité
Le pacte avec Satan : le pouvoir absolu sur l’humanité
Les mots de Christine Deviers Joncour sur Attali, le Covid et le plan de dépopulation
Lettre ouverte à Éric Zemmour
Nos bourreaux ne se cachent même plus !
La guerre du Bien contre le Mal
Les dessous nauséabonds de la République — L’indécente arrogance des riches et des puissants…]


« J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète » car, disaient-ils, le peuple pollue et pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». »

Le Média en 4-4-2 : Bonjour Christine et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Vous venez de publier votre dernier roman, In Silico, la cité des abysses, dont l’intrigue se déroule dans un monde de science-fiction pas si loin de la réalité…Votre héroïne, Elem, habite au 65e étage dans un 40 mètres carrés. Elle utilise sa carte de crédit et un lecteur d’empreintes pour y accéder. Dans son appartement, se trouve sur un mur « un orifice pour assurer sa protection et sa sécurité. » Il lui faut sa « carte magique » pour se doucher, utiliser sa cafetière. Cette carte fait également office de carte Vitale et lui est indispensable pour avoir « un toit, de l’eau et du confort ». Et pour couronner le tout, Elem a une puce implantée à son poignet pour avoir accès à son lieu de travail… On se croirait en plein 1984 de George Orwell ! Est-ce que, comme lui à son époque, vous voyez notre société plonger vers ce monde du tout-contrôle ? 

Christine Deviers-Joncour : Merci pour votre invitation. J’ai écrit ce livre en 2012. Et à cette époque je n’imaginais pas une seconde que nous allions vivre une période aussi sombre. Juste une précision : le terme in silico est un terme utilisé en informatique et bio-informatique. Je crois que c’est là mon vrai premier roman. Aucune référence à mon expérience personnelle passée, contrairement aux autres livres. Et c’est sans doute là que je me suis sentie le plus libre. Mais forte de mon expérience, de ce que j’ai vécu pendant quelques années si proche du pouvoir, il y avait des choses que je brûlais d’évoquer. Sous la forme de fiction ce fut plus facile et même assez grisant. Il est vrai qu’à une période de ma vie où j’ai dû côtoyer le pouvoir d’un peu trop près, j’assistais souvent à des discussions qui ne laissaient aucun doute sur leurs intentions. J’entendais leur mépris pour le peuple et leur fameux projet concernant une dépopulation à venir pour soi-disant « sauver la planète », car, disaient-ils, le peuple pollue et, pour la plupart, les citoyens sont des « inutiles ». Je ne pouvais imaginer à l’époque que cela deviendrait réalité. Mais je sentais bien que l’avenir s’assombrissait. Je n’avais pas lu 1984 de George Orwell à l’époque. J’ai depuis comblé cette lacune. Mais pour répondre à votre question : oui, il décrit ce monde du tout-contrôle dans sa fiction et en ce qui nous concerne ce n’est malheureusement plus de la fiction, mais une terrible réalité dans laquelle nous sommes en train de sombrer, si nous ne nous ne réagissons pas. Et il y a urgence !

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« Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! »

Le Média en 4-4-2 : Face à cette urgence, comment réagir ? Comment faire prendre conscience à nos concitoyens de cet immense danger ? Car, comme décrit dans votre roman, le pouvoir opère depuis très longtemps une manipulation de la masse, qui n’en est pas consciente.

Christine Deviers-Joncour : Oui, cette manipulation de masse a été sciemment mise en place depuis très longtemps. Au lieu de Grand Reset, je préfère Grand Réveil ! Peu à peu les gens s’informent et comprennent  que nous sommes sur un volcan. Nous n’avons plus besoin de livres d’Histoire. L’Histoire est un flux qui nous nourrit de vérités, de faussetés que nous trions comme d’antiques chercheurs d’or que les évènements rongent car, par tous les canaux, surtout par ceux d’une propagande excessive, ridicule, les réalités viennent à nous, jour après jour, comme autant de coups de boutoir, comme autant de vagues qui finissent par faire du sable des falaises les plus dures. Nous vivons comme les anciens dieux qui observaient les Grecs et les Troyens et intervenaient dans leurs combats. Nous aussi nous observons et nous intervenons. Le Net est un rugissement de révélations et de colères. Et il est difficile de gouverner en le négligeant. Cette poignée de psychopathes inhumains, avides de pouvoir et de richesse s’effondrera tôt ou tard ! Patience…. On dit que In silico est prophétique ! Alors lisez jusqu’au bout et vous verrez la fin de ce cauchemar dans la Cité des Abysses ! C’est la fin que je nous souhaite !

Le Média en 4-4-2 : Effectivement, c’est un roman plein d’espoir et nous n’allons pas dévoiler la fin inattendue de cette histoire. Mais vous qui avez été l’observatrice, l’objet voire la confidente de certains de ces psychopathes, ne pensez-vous pas que pour certains d’entre eux leur part d’humanité est tellement enfouie que c’est là la faille. Et qu’au lieu de s’en éloigner, il suffirait de rallumer cette flamme, comme pour Wendel !

Christine Deviers-Joncour : L’amour peut engendrer des miracles ! Rare, mais possible… (rires) ! Pour gagner l’estime et se battre dans l’arène, l’homme s’est détourné de sa vraie nature, de son essence profonde. En retrouvant cette essence, ses vraies richesses intérieures lui seraient révélées. Réconcilié avec lui-même, il y gagnerait une communication plus simple et plus humaine. Que chacun agisse en accord avec sa nature profonde, avec son âme et tout en restant soi-même, chacun danserait ainsi avec l’autre dans la créativité et dans un magnifique mouvement d’évolution. Malheureusement pour eux, ces gens de pouvoir sont infirmes, sans empathie, sans humanité et la frontière est fragile avec la criminalité. Cela devient flagrant ces dernières années Covid. Les citoyens se croyant protégés par leurs gouvernants réalisent aujourd’hui que ce sont leurs pires ennemis !

Le Média en 4-4-2 : Puisque nous évoquons la relation entre vos deux personnages principaux, pouvez-vous nous parler du choix de leurs prénoms ? Elem, prénom turc qui signifie Dieu, et Wendel, prénom allemand qui signifie « errer »…

Christine Deviers-Joncour : En ce qui concerne Elem, ce nom est tiré du dictionnaire elfique de Tolkien qui signifie : fine, délicate, élégante. Quant à Wendel, j’ai inventé ce prénom et je vous remercie de me donner son origine. Sans dévoiler qui est notre héros, « errer » lui convient parfaitement, mais je ne peux en dire davantage. Le lecteur comprendra ! Néanmoins, les prénoms n’avaient pas pour but de définir leurs caractères propres et leurs parcours. Mais en ce qui concerne Wendel, je suis très touchée par cette référence…

« Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre »

Le Média en 4-4-2 : Comme quoi, si le hasard existe, il fait bien les choses ! A la seconde lecture de votre roman, et en gardant en tête qui en est l’auteur, on se demande où est la frontière entre la fiction et la réalité, notamment en ce qui concerne le contrôle total de la population. On se doute que vous ne pouvez pas révéler tout ce que vous avez entendu en étant « si proche du pouvoir »… Avez-vous écrit une fiction pour être en quelque sorte « plus libre » ?

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Christine Deviers-Joncour : Probablement oui, on peut ainsi dire des vérités sans interdit, ni barrière ! Dans l’histoire, deux lieux se chevauchent : d’une part, une ville futuriste, inhumaine et expérimentale très cruelle pour les citoyens, non loin de ce que nous vivons depuis quelque temps, et de l’autre, le pays des rêves pour survivre pour inventer une autre vie possible dans une sorte de réel imaginaire. Effectivement, tout au long de l’histoire, on peut se demander où est le réel et où est l’imaginaire ? La plus parfaite illusion d’un monde vaut la réalité, mais à la condition d’en ignorer la nature. Voyez ce que nous sommes en train de vivre au quotidien : les libertés sont grignotées chaque jour davantage, notre constitution bafouée, les élections truquées, les interdictions en rafale. Le peuple devient du bétail manipulé, sans bientôt plus aucun libre arbitre. Covid et injections meurtrières, dépopulation, chômage et tout ce qui en découle ! Les angoisses et la tristesse, la peur du lendemain et d’un futur sombre, la peur pour nos enfants. Que nous reste-t-il ? Rêver ? Oui sans doute. Là on ne peut ni nous le prendre, ni le taxer, ni nous l’interdire ! Et c’est gratuit ! Chimère, utopie ? Gérard de Nerval disait : « Le rêve est une seconde vie …» Pourquoi pas ? Que risquons-nous ? Et souvent les rêves deviennent réalité. Dans tous les cas, c’est là quelque chose d’insondable qui imprègne toutes choses de sublime. Et quelquefois ce qui est de l’ordre du sublime devient visible.

« J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené »

Le Média en 4-4-2 : On sent dans vos réponses beaucoup de sagesse et de spiritualité, une Christine totalement éloignée de la Christine de la presse à scandale, « La putain de la République ». Pouvez-vous nous raconter l’histoire cachée de ce titre? Et comment passe-t-on de cette image publique peu flatteuse et lourde à porter à celle d’un écrivain plein de possibilités, libre si j’ose dire?

Christine Deviers-Joncour : Ce nom peu flatteur me fut donné par la juge Eva Joly des mois avant de me connaître ! A travers moi, elle voulait s’attaquer à Roland Dumas alors président du Conseil Constitutionnel, quatrième homme d’État. Grand bourgeois, grand érudit, et collectionneur il n’avait pas que des amis au sein du parti socialiste. Et de plus, on ne lui avait pas pardonné, du temps où il était au Quai-d’Orsay, sa politique pro-palestinienne, pro-russe, etc. Il savait tout cela et m’en parlait à l’époque. Et puis, ce fut le scandale de « l’affaire des frégates de Taïwan », baptisée JUDICIEUSEMENT : « Affaire Dumas-Deviers-Joncour ». Quatre milliards de francs de l’époque détournés sur un contrat d’État et une vingtaine de morts, malheureux témoins des détournements. Je fus le fusible désigné pour protéger cette corruption. Mais je n’ai pas baissé les bras et j’ai bataillé. J’ai appelé ça, ma « drôle de guerre à moi ». L’ennemi était de taille : politiques, presse, journalistes, juges, avocats véreux et la Justice … qui n’en avait que le nom ! Je fus la toute première en 2001 à oser dénoncer la corruption politique en France ! Prison, contrat sur ma vie, menaces. L’argent qui me fut reproché n’était pas pour moi… Je l’ai rendu en intégralité à la Justice. Je suis la dernière survivante de cette affaire que le juge Van Ruymbeke désigna comme le plus gros scandale de la 5e république en rétrocommissions et nombre de morts, malheureux témoins. Sachez que dans ces affaires, à ce niveau-là, il faut toujours des fusibles… je fus l’un d’eux. Ce malheureux titre dont on m’a affublée aurait dû être : « Putain de République » ! Trop compliqué et dangereux, je n’ai pas pu à l’époque pour de multiples raisons ! Mais le peuple commence enfin à ouvrir les yeux sur la corruption et les mensonges et manigances de leurs « élites » et ce, à tous les niveaux. Il était temps ! La vraie Christine est celle qui écrit. Et ce depuis toujours. Cela m’a aidée aussi à me défendre dans cette horrible période grâce à de nombreux essais. Libre ? Ô combien ! Quand vous avez passé cinq années dans Paris affublée d’un gilet pare-balles et sur un vélo en sens interdit pour me protéger… J’ai aujourd’hui gagné ma liberté et je suis fière du combat que j’ai mené. Libre oui ! Loin de tout… ce qui permet de les observer à la loupe bâtir d’improbables cathédrales sur des socles de poussière. Ils sont pathétiques. Alors j’ai continué à écrire et illustrer aussi… Et c’est dans l’écriture que j’ai trouvé mon second souffle, car écrire est une façon de hurler en silence et de chasser les démons.

Le Média en 4-4-2 : Et à quel prix ! Une liberté que vous avez arrachée du plus profond de vos tripes. Et en même temps, des décennies plus tard, lorsque vous évoquez Roland Dumas, on sent un profond respect, une admiration étouffée. Pour autant, il n’était pas un enfant de chœur, avocat reconnu, franc-maçon, membre du Grand Orient de France, sans compter son passé politique et il a été le bras droit de François Mitterrand. Êtes vous objective lorsqu’il s’agit de Roland Dumas ?

Christine Deviers-Joncour : Je garde de cet homme le meilleur : une immense et insatiable culture, l’esthète, le talentueux chanteur d’opéra ténor méconnu, le tribun hors norme, le passionné de musique et d’art, polyglotte, six langues et se mettait au persan, capable de parler par exemple l’allemand avec l’accent berlinois ou l’accent autrichien à Vienne. Intarissable sur l’Histoire de l’art ou de la littérature. Un des derniers meilleurs ministres des Affaires étrangères, et de loin ! Quand on voit ceux qui défilent sous les lambris du Quai-d’Orsay ces dernières années. Grandeur et décadence. Un personnage à multiples facettes. Pendant dix années j’ai côtoyé cet homme et tenté sans cesse de me mettre à niveau, consciente de mes lacunes. Il m’a appris et communiqué cet appétit de connaissance… dans tous les domaines. Et cela est précieux et je l’en remercie. Je fus aussi touchée par sa sensibilité extrême, mais troublée aussi par son implacable dureté. Un jour, il m’avoua que je fus la seule femme auprès de qui il n’avait ressenti ni ennui ni lassitude… Ce fut pour moi un magnifique compliment. Multiples facettes oui, ange et démon. Franc-maçon oui… comme tous ceux qui font carrière, ne soyons pas naïfs ! Et puis comme tout homme de pouvoir quand ils se sentent en danger, ils n’hésitent pas à pratiquer la politique de la terre brûlée pour se protéger. Il déclara sans vergogne qu’il ne me connaissait pas ou à peine. Brutal, injuste et douloureux. Il a 100 ans cette année. Laissons-le en paix. Dieu reconnaîtra les siens..

« Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! »

Le Média en 4-4-2 : En plus de l’écriture, vous vous engagez dans le milieu caritatif notamment auprès de Novopole, une association qui apporte son aide aux Russophones de la région du Donbass. Vous n’avez donc pas découvert il y a quelques mois les atrocités menées par le régime ukrainien dans cette région… Comment percevez-vous cette opération menée par Vladimir Poutine, notamment au niveau géopolitique ?

Christine Deviers-Joncour : En 2014 je fus mise en contact avec des gens qui se mobilisaient pour apporter une aide au peuple russophone de l’Est de l’Ukraine, le Donbass en particulier,  pilonné sans cesse par les ukro-nazis de Kiev. Touchée et émue par ce peuple en souffrance, je me suis approchée de tous ces gens de bonne volonté. N’ayant pas de moyens financiers, j’ai exécuté plusieurs illustrations sur ce drame qui furent mises aux enchères à Genève par une association ; les ventes ont permis de récolter un peu d’argent pour les aider. Vous pouvez les voir sur mon site internet. À cette époque, nous espérions en priant pour que la Russie vienne leur porter secours et stopper ce carnage aux portes de l’Europe. Les accords de Minsk n’étant pas respectés, nous étions très inquiets devant ces bombardements permanents, ces pilonnages et ces enfants massacrés et surtout ce silence radio assourdissant de tous les médias occidentaux ! Mais il a fallu du temps pour que cette aide tant espérée arrive enfin. En prévision de sanctions des États-Unis et de l’Union européenne inévitables, la Russie a dû s’y préparer durant ces huit années. Le 21 février 2022, trois jours avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, le président de la fédération de Russie, Vladimir Poutine, déclarait lors d’une allocution télévisée : « L’Ukraine, ce n’est pas seulement notre voisin mais c’est également une partie de notre histoire, de notre espace culturel ». Avant d’ajouter que « l’Ukraine contemporaine a été entièrement et complètement créée par la Russie, plus exactement par la Russie communiste, bolchévique ». Imaginez, juste un instant, les Russes installant des bases militaires aux frontières des États-Unis ! Il y aurait fort à débattre mais je ne suis pas experte en géopolitique et ce n’est pas le propos ici !

« J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! »

Le Média en 4-4-2 : En retraçant l’ensemble de votre parcours, avez-vous des regrets, des remords ? Auriez-vous fait des choses différemment ?

Christine Deviers-Joncour : Des regrets, oui, bien sûr. Qui n’en n’a pas… Des remords ? oui, d’avoir fait de mauvais choix : ainsi ma vie a été conduite pour l’amour de mes deux fils qui ont eu chacun des pères peu responsables et défaillants et qui eux aussi en ont souffert. J’ai dû alors prendre la relève. J’ai dû assumer les rôles de père et de mère. Je me suis donc battue. Seule. Donc mes regrets sont là : les mauvais choix quant à mes deux époux et pères de mes fils. Pour autant, j’ai eu une vie chaotique mais je ne regrette rien. Je me suis frottée à la vraie vie, aux combats, aux difficultés et j’ai réalisé depuis longtemps dans quel monde nous vivions avec ses injustices et ses dérives. Je suis  témoin de ce que sont vraiment nos gouvernants et du système qu’ils ont instauré. J’ai lourdement payé pour avoir vu de très près ! À refaire ? oui sans aucun doute. Pour le meilleur et pour le pire. Je ne suis pas ressortie de ce cauchemar indemne, c’est un fait, les cicatrices trop profondes ne se refermeront pas. Mais j’ai acquis une force qui me permet de regarder ce monde dans lequel nous vivons avec une grande lucidité et sans surprise, ni panique. Alors j’écris… Que mon expérience puisse aider les gens à ouvrir les yeux.

En fait, nous vivons deux apocalypses : tout d’abord celle de la fin d’un monde qui se détruit tout seul par ses excès, le fameux « hubris » qui est la faute fatale qui culbute les hommes qui s’y abandonnent, les empires qui s’étendent trop et deviennent ingérables. L’apocalypse où tombent les masques ! Et enfin l’apocalypse du renouveau que tous les enfants de ce siècle, qui part si mal, ont envie de créer ! « Les affaires, sont les affaires… », disent certains. L’harmonie universelle  leur est supérieure. Le choix est fait !

« Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés »

Le Média en 4-4-2 : Merci Christine pour le temps que vous nous avez consacré ! Merci pour cet émouvant et captivant entretien. Nous vous laissons le mot de la fin pour que vous puissiez par exemple nous dire ce qu’on peut vous souhaiter pour la suite.

Christine Deviers-Joncour : Mon souhait ? que les peuples retrouvent enfin un monde apaisé et la sérénité ! Que nos enfants soient protégés de ces satanistes qui opèrent et complotent depuis trop longtemps… Que justice soit faite contre ces criminels ! Quant à moi, que je puisse à travers l’écriture continuer ce combat avec tant d’autres qui se battent aussi. L’ordre mondial actuel ne peut plus se perpétuer de la sorte ! Il est un problème crucial pour l’humanité, un problème qui doit être impérativement et au plus vite résolu. Les peuples doivent impérativement continuer à se lever, réagir pour mettre fin à ce délire, à cet assassinat planétaire perpétré par une poignée de nuisibles, complètement fous et dégénérés.




Pour Kémi Séba, « les élites sont notre problème », quel que soit le pays

[Source : Club Infos]

Kémi Séba fait de très lourdes révélations.




Missile « russe » à Dnipro : manip erreur terreur… Davos ?

Par Lucien SA Oulahbib

Bizarre, avez-vous dit Bizarre ? Au moment même où le mixte OTAN-Zelensky subit quelques revers irréparables (toujours niés cependant par ce dernier) apparaît, de façon opportune et en cinq colonnes à la une, le bombardement immédiatement étiqueté « russe » d’un immeuble de civils, tout en oubliant d’indiquer qu’il n’y a pas de source indépendante venant confirmer ou infirmer cette « nouvelle » (voir ici à 51:58 l’idée d’un missile tiré plutôt par la DCA de Zelensky). Celle-ci s’apparente pour le moment et du fait même que ce n’est pas vérifié bien plus à de la propagande (façon 1984) bien connue par ailleurs à l’encontre de l’armée israélienne qui le subit en permanence…

La même désinformation se déploie donc de plus en plus et au fur et à mesure que la triste réalité émerge : l’OTAN anglo-saxonne perd à nouveau, et lourdement, mais tente de sauver la face en maintenant ses positions et même en les renforçant sur le plan médiatique.

Il était en fait important à la veille de l’ouverture de Davos qu’apparaisse une belle dichotomie qui ne peut que faire taire toutes les hésitations et pudeurs : La Russie de Poutine est un monstre, l’ultime preuve étant cet immeuble civil frappé lourdement alors qu’il n’avait aucun intérêt stratégique… D’où la nécessité d’armer lourdement les Zelensky boys et, à terme, d’entrer en guerre de plus en plus immersive (déjà des AWACS sont présents en Roumanie) contre cet ennemi du genre humain que serait devenu non seulement Poutine, mais tout le peuple russe qui au fond mériterait bien d’être nucléairement vitrifié comme le réclament de plus en plus certains illuminés.

Comme il a été dit antérieurement l’escalade s’accélère, il faut donc se demander non pas s’il y aura un point de non-retour, mais quand s’imposera-t-il à tous…




Bilan et perspectives de la Secte SHAA (Davos 2023)

Par Lucien SA Oulahbib

1) Définitions ; 2) Bilans ; 3) perspectives

1) SHAA : Secte Scientiste Hygiéniste Affairiste Alarmiste

1/a : Secte

À la différence de la Caste qui regroupe des individus cooptés selon divers critères, la Secte y ajoute le fait d’être ouverte à tous à partir du moment bien sûr où ses principes sont non seulement sus, mais crus (au sens d’être reliés — relegere — dans un ordre imposé, souverain, au sens de Carl Schmitt, sur [auf] toute vérité : césure ami/ennemi). Par contre il est interdit d’en sortir sous peine de perdre non seulement toutes ses positions, mais aussi d’être vilipendé, poursuivi, jusqu’à ce que mort sociale s’ensuive (voire suicide assisté), surtout si le « poste » occupé (le point d’intersection dans la Matrice) était important au sens de croiser plusieurs fils d’influence jusqu’à faire réseau ayant un poids donné. En un mot l’apostasie est interdite dans la Secte alors que sortir d’une caste marginalise seulement sans autre stigmatisation qu’une perte de privilèges.

1/b : Scientiste

Scientiste ne désigne pas le terme de « scientifique » comme dans sa traduction anglaise, mais plutôt l’idée, réductrice, que seul le consensus serait le critère abouti de vérité en matière de certitude logique (saisir la composition de tout réel — d’imaginaire à matériel), alors que le consensus n’en est qu’un des buts rationnels (donner plus de sens au monde et donc le partager) surtout à plus long terme, le temps que le filtre historique ait fait le tri. Ainsi du temps de Galilée il y avait « consensus » pour considérer que c’était plutôt le soleil qui tournait autour de la terre ; ou au XVIIe siècle que le « phlogistique » expliquerait le phénomène de la combustion…

Ce terme de scientisme désigne donc plutôt une confusion entre ce qui est devenu certain au fil du temps (où la Certitudo) et ce qui reste encore provisoire nécessitant débat entre opinions, points de vue, etc.) (où la Disputatio) ; aussi l’idée de « croire » à « la » Science, à « la » Médecine (comme dans Le malade imaginaire magistralement analysé par Molière – qui ne fait hélas toujours pas partie du Panthéon) s’avère être un oxymore en ce sens où il s’agit de prouver en science que  tel procédé à la fois fonctionne et prévoit que dans les mêmes conditions initiales le résultat attendu corresponde, et non pas que les prévisions, seules, fassent office de preuve : en un mot, seules les observations vérifiables comptent en dernière instance (climat compris) ; en aucun cas les modélisations seules, car celles-ci présupposent d’une part des moyennes qui, d’autre part, ne tiennent pas en compte d’éléments au départ epsilon mais qui tel le battement d’aile d’un papillon peut induire à terme (par addition incrémentale ou infinitésimale démultipliée) la catastrophe (au sens de René Thom). Ainsi qui aurait pu penser que l’assassinat de l’archiduc autrichien allait aboutir à la conflagration non seulement de 1914, mais aussi de 1939 jusqu’à sa résurgence actuelle dans le conflit OTAN-Russie (tout en sachant qu’il s’agit de gradations, intégrations par paliers et non pas de corrélations directes) ? Ou que la manipulation génique d’un « virus » en vue d’un gain de fonction ait pu créer les conditions d’un « Grand Reset » comme le déclament, eux-mêmes, certains membres de la Secte ?…

1/c : Hygiéniste

Prosaïquement, il s’agit de l’idée, scientiste (réductrice, supra) qu’en saisissant puis éradiquant un phénomène pathogène dans sa « racine » on puisse l’épurer, et ce de manière strictement exogène (politique du « zéro covid »), c’est-à-dire sans tenir compte des capacités intrinsèques de l’organisme touché par ce pathogène à réagir. Certes, cette  « idée » peut se comprendre d’une part lorsque l’élément pathogène est isolable et repérable et d’autre part lorsque l’organisme touché a besoin d’être aidé pour se défendre, d’où de plus en plus la constatation que c’est bien l’hygiène et non pas l’hygiénisme qui en écartant les éléments empoisonnant bien plus l’organisme que le fortifiant a permis d’asseoir sur de meilleures bases ce que Claude Bernard appelait « le silence des organes » même si cette formule doit être bien sûr complexifiée en musique des organes (ou la compréhension du biotope et de sa cosmologie, supra). Mais cela n’a aucun sens lorsque d’une part il serait prétendu qu’on puisse se substituer à cette capacité, naturelle, de défense et d’anticipation (bien savoir manger, se reposer, aimer) et que d’autre part il serait sous-estimé que ce phénomène pathogène est lui-même l’intersection d’autres phénomènes en inter-rétro-action avec tout un biotope, sans parler de son environnement strictement physico-chimique (et pour une grande part cosmique d’où l’influence — encore à découvrir — de notre univers en expansion sur la création atomique permanente composant nos cellules, ces microcosmes…). Pour preuves enfin, les approches délétères de ladite « crise sanitaire » d’aujourd’hui bien résumées par les analyses d’un Perronne et de diverses autorités interviewées dans le seul organe de presse encore lisible en France à savoir FranceSoir

1/d : Affairiste

Encore plus succinctement, se dit de toute activité humaine dont le but s’avère uniquement logiquement lucratif écartant tout côté rationnel c’est-à-dire faisant en sorte que les moyens justifient la « fin » pensée non plus en termes de bien commun public, etc., mais uniquement en termes de gain narcissique dépassant alors tout égocentrisme et égoïsme vers un égotisme exacerbé au sens non pas stendhalien, mais démesuré du terme : s’étalant  ainsi sans vergogne sur tous les étals des miroirs médiatiques et/ou des écuries d’Augias et autres salons bien plus épicés que feutrés, mais à la mode ; tout en sachant que certains vampires détestent la lumière, surtout lorsqu’ils sont dans leur état initial… Tout cela aboutissant à un pouvoir d’achat incommensurable, certains segments de la Secte dépassant de loin le budget annuel d’un État (en perdition) comme la France… Comment dans ces conditions ne pas comprendre, surtout en ces périodes de basse eau éthique (la croyance idéologique l’ayant remplacé définitivement) que des Dorian Gray pullulent partout, mais avec, de plus en plus, un visage d’ange ?…

1/e : Alarmiste

Relevons seulement (tant la « vraie » littérature sur ce sujet est de plus en plus abondante) l’énormité des catastrophes annoncées (des villes inondées, la biodiversité en péril, des morts par millions) et qui justifient l’actuelle campagne régressive/répressive à l’encontre du moteur thermique (alors que le moteur électrique est loin d’être « propre ») et sert bien plus à conditionner façon expérience de Milgram, à l’instar des catastrophes dites sanitaires (bien plus syndémiques et « plandémiques » qu’endémiques)… Avec comme conséquences l’accroissement de l’anxiété, le refus de procréer désormais en Occident, le suicide larvé en un mot posé comme plaisir ultime…

2) Bilans

Même s’il est toujours aléatoire d’établir des congruences vérifiables entre des séries d’événements qui semblent distincts les uns des autres, il s’avère qu’en situation systémique liée à l’intégration à la fois mondialiste (échanges divers depuis la Renaissance) et globaliste (division internationale du travail liée au poids grandissant du modèle de la Firme qui n’est pas seulement un concept des Guignols), les interactions coordonnées entre plaques financières, économiques et politiques sont décelables, déjà dans leur accélération, avec les sommes astronomiques en jeu, les effets de pouvoir et de prestige qui en résultent… avec les débordements occurrents, déductibles, malgré les bonnes volontés dites « anti-corruption », mais toujours contournées parce que l’eau affairiste arrive toujours à ses fins lorsque les limites eschatologiques traditionnelles (dont la probité éthique) se sont effondrées. Celles-ci sont remplacées maintenant par la croyance scientiste (supra) dans l’absolutisme totalitaire, mais maquillé et malaxé dans de l’eau de rose médiatique, ce qui a beaucoup de succès parce que tout un chacun reste obnubilé dans l’ensemble par les courbes esthétisées des prédictions multiformes et leurs contreparties boursières et/ou fiscales (la Présidente de la Commission européenne gagnant plus de 36 000 euros par… mois). Chaque élément de la blockchain mise en place espère pouvoir tirer son épingle numérique du jeu avant qu’il ne soit trop tard (trop star : étoile filante, supernova puis trou noir…).

D’où l’accord de principe à accélérer dans « l’horreur » affairiste (supra) via le démembrement des nations, genres, corps débités en segments cibles particules… Quitte à articuler les crises : sanitaire, climatique, guerrière, avec à chaque fois la montée aux extrêmes : effondrement du système immunitaire en vue, du système énergétique donc économique, enfin amorce vers la guerre totale au sens théorisé par Clausewitz…

3) Perspectives

Les courants idéologiques de la Secte SHAA (si rétrogrades dans leur agressivité à l’instar d’un Cohn-Bendit de plus en plus pathétique) entrecroisent encore dans leur apparence plastique tout un faux progressisme idéaliste et un pseudo libéralisme purement logique ou affairiste (supra) alors qu’ils ont désormais bel et bien failli (aucun intellectuel de renom pour le premier courant, hormis peut-être un Emmanuel Todd qui semble avoir découvert à nouveau l’eau tiède récemment ; ne parlons pas du second enferré dans ses chiffres et courbes…), mais telle la lumière des étoiles mortes qui nous arrive encore aujourd’hui, ces courants idéologiques, ayant abandonné l’esprit scientifique et créatif au sens goethien (articulant art et science) sont devenus, depuis longtemps au fond (depuis peut-être les années 30 avec la montée en puissance de la notion de propagande dans la communication) les courroies de transmission chics (soft et smart power) de la Secte SHAA tant celle-ci par les pouvoirs immenses et globaux, l’argent prodigieux, le prestige mondial qu’elle détient (tout en contrôlant nombre de places institutionnelles ou retraites dorées) apparaît comme ce dernier « horizon indépassable » que Sartre crut voir dans le marxisme-léninisme puis maoïste, ses descendants l’apercevant aujourd’hui dans cet entrecroisement hybride actuel entre ces deux courants autrefois ennemis aujourd’hui interchangeables celui du nihilisme antirationnel démembrant avec la froideur de « l’expert » policier l’intériorité singulière des corps (nations, genres, organes) tout en restaurant leur façade façon village « BFMkine ».

La perspective serait alors de contrecarrer leur nouvelle Tour de Babel… Comment ?… Surtout à l’ère du narcissisme affairiste exacerbé… Néanmoins une chose semble sûre :  la Secte aurait mangé tout son pain blanc.




Guerre de l’OTAN en Ukraine pro-russe : quitte ou double, rien ne va plus…

Par Lucien SA Oulahbib

Maintenant que la guerre s’avère bel et bien être , se dirigeant logiquement donc vers son versant total, il ne s’agit plus de se demander, du moins en priorité, ce qu’il en est de l’événement initial (autant seulement ressasser dans ce cas le pedigree de l’étudiant serbe panslave ayant assassiné l’archiduc autrichien à Sarajevo en juin 1914).

Aujourd’hui en effet la consolidation significative de l’avance russe sur des territoires qui auraient pu rester sous giron ukrainien — si les accords de Minsk n’avaient pas été violés par le régime installé à Kiev depuis le coup d’État de 2014 (viol assisté par Merkel et Hollande comme avoué, sans honte, récemment, identique à l’aveu également très récent d’une Dominique Voynet quant au sabotage de l’industrie française du nucléaire civil) — nécessite maintenant de monter d’un cran ou de se démettre comme en Afghanistan pour une OTAN sous commandement anglo-américain.

Ce dernier a, « on » le sait (un « on » regroupant les commentateurs, sérieux, de la question). tout fait pour déclencher l’opération préventive russe (préventive, car le nettoyage des régions russophiles devait se déclencher mi-mars par les forces de représailles néonazies encadrant la chair à canon d’appelés). Il suffit de se rappeler comment Biden (prononcez Biiden) annonçait dès juillet 2021 « l’attaque russe » tout en avertissant un an après que le sabotage du nouveau gazoduc reliant l’Allemagne et la Russie n’était qu’une question de temps…

En un mot, tout était préparé depuis juin 2014 pour lancer une vaste offensive anti-européenne bien plus qu’anti-russe afin d’empêcher qu’une jonction économique euro-russe consolide les bases d’une jonction spirituelle de plus en plus patente à la suite de l’intervention civilisationnelle de l’exécutif russe empêchant que la propagande queeriste néo-léniniste ne consolide déjà son emprise sur les LGBT lors des jeux de Sotchi en… février 2014… Avant de se répandre maintenant dans toute la gaute et la droiche globaliste comme matrice comportementale armant les gardes-chiourmes « intersectionnés », c’est-à-dire intervenant également sur des questions hygiénistes (pression monumentale pour faire injecter des substances expérimentales y compris chez les enfants) et sociétaux (pression racialiste cherchant à « créoliser » les autochtones d’Europe tout en détruisant la notion de citoyenneté).

Le décor étant posé. What next ? [Quoi ensuite ?]… Soit donc l’OTAN sous commandement anglo-saxon, mais bientôt sous option réaliste républicaine US rétrograde et pousse à la négociation reprenant dans ce cas ce que la mafia zélenskyste avait envisagé à Istanbul dès mars 2022 avant qu’un Johnson ne vienne la dissuader en miroitant des milliards en compensation claqués ces temps-ci par ses membres à Courchevel pendant que des gosses de 16 ans crèvent sur le front et que les armes vendues se retrouvent… au Nigéria

Soit la fuite en avant se déclenche, ce qui semble être pour l’instant le cas avec l’envoi non seulement de pièces d’artillerie, mais aussi de chars lourds américains, allemands et de chars légers français. Ce faisant, notons qu’un degré supérieur aura été franchi sans coup férir : en passant du stade de soutien passif (aides diverses) à soutien actif (envoi de munitions, logistique satellitaire, sanctions), puis dorénavant à participation de moins en moins indirecte (envoi d’équipements lourds et donc d’instructeurs ad hoc sans oublier les mercenaires), peu à peu le fait que des avions otaniens avec espace aérien garanti, puis des troupes au départ polonaises ou romaines encadrées par des « marines instructeurs » apparaissent sur les champs de bataille. Il y aura alors là un pas vers l’escalade qui peut être franchi d’ici peu au train où cela va, en attendant la suite : est-ce que la présence et aussi la destruction de ces troupes otaniennes, chars lourds, et bientôt avions, seront considérés comme un casus belli par les deux parties en joute ?… C’est possible…

Déjà parce que la guerre s’installe, depuis bientôt un an maintenant, sauf si dans les semaines qui viennent les troupes russes, aujourd’hui restructurées jusqu’au haut commandement afin d’être plus opératives arrivent à détruire toutes les lignes Maginot installées dans la région depuis 2014. Or ce n’est pas gagné, une situation larvée permettant alors à l’OTAN d’envoyer plus directement des troupes, en plus du matériel divers, mais qui, détruites, peuvent déclencher l’article 5 et donc nous faire entrer directement en guerre…

Le signe avant-coureur de cette escalade pourrait être le fait que sentant venir le coup, la Turquie d’Erdogan décide de se retirer de l’OTAN… Mais au fond peut-être n’aura-t-elle pas besoin d’aller aussi loin, ayant en effet déjà refusé d’envoyer des troupes en Afghanistan… Elle pourrait fort bien réagir aussi ainsi, surtout en face de Tchétchènes musulmans se battant pour la Fédération de la Russie…

En tout cas, la France, elle, sera entraînée dans l’affrontement de plus en plus « total », de même que l’Allemagne, la Pologne, ce qui implique d’être à portée de tir des missiles hypersoniques russes… Washington et Londres iront-ils jusque là ?… C’est possible, à partir du moment où leur propre territoire ne sera pas touché, que les Bourses continuent à s’emballer comme aujourd’hui (grâce à l’inflation sur les matières premières et le retour apaisé de la mafia chinoise dans le circuit affairiste-hygiéniste)… D’où l’idée poutinienne d’accélérer l’offensive avant que la décision fatale ne se cristallise chez les Anglo-saxons encore hésitants ou alors cherchant eux aussi à entrer en guerre de façon graduée en particulier les US à l’instar de ce qui s’est passé pour eux en 40…

Bref, « L’objectif est d’ôter à l’ennemi tout moyen de se défendre » (partie 4)

Puis l’option nucléaire « tactique »… Et l’irruption progressive d’un monde dans lequel un comportement Mad Max sera la norme progressiste… Fantasme de la Secte SHAA adepte des stratégies fatales déjà délimitées par Baudrillard (donner la mort étant la forme ultime de « plaisir » comme le concédaient Derrida et Foucault aujourd’hui les principaux prophètes de la Secte, avec Deleuze adepte, lui, du « désir » y compris religieux de « soumission »…).




Ce que l’Ukraine nous dit de la guerre qui vient

[Source : cf2r.org via arretsurinfo.ch]

[Crédit photo: DR]

« La conception braudélienne du temps est fondamentale à l’étudiant de la guerre car elle lui permet d’inscrire sa vision comme sa réflexion théorique dans le temps long, celui qui aide à accéder au temps de la guerre. Ce dernier s’oppose à l’homme du XXIe siècle, homme pressé dont l’horizon mental et temporel subit le diktat de l’instantanéité des analyses journalistiques, des médias de masses et des réseaux sociaux. »

Olivier Entraygues, Regards sur la guerre : l’école de la défaite (2020).

Par Bernard WichtPrivat-docent à l’Université de Lausanne (Suisse) et chargé de recherche au Conservatoire national des Arts et Métiers (CNAM, Paris)

Cf2r.org – TRIBUNE LIBRE N°118 / JANVIER 2023

Après l’acclamation du président Zelensky par le Congrès américain, la promesse publique du Premier ministre britannique d’un flot ininterrompu de munitions à destination de l’Ukraine en 2023 et, last but not least, la demande de l’Ukraine d’exclure la Russie de l’ONU, les médias parlent désormais d’une grande victoire ukrainienne, d’un tournant de la guerre et d’une probable défaite russe.

Face à cette surenchère médiatique, il convient, plus que jamais, de mettre en pratique le principe d’analyse élaboré par Fernand Braudel, « les événements ne sont que poussière, ils ne prennent sens que lorsqu’on les replace dans les rythmes et les cycles de la conjoncture et de la longue durée ».

Braudel entend par là qu’il importe d’abord d’appréhender le cadre macro-social-économique et politique ainsi que les tendances lourdes du temps long historique dans lesquels les événements prennent corps pour pouvoir, ensuite seulement, en saisir la portée ou, au contraire, la marginalité. Mutatis mutandis, on rejoint l’approche du prospectiviste Thierry Gaudin pour qui, « la reconnaissance précède la connaissance »(([1] Thierry Gaudin, Les voies de l’esprit : prospectives, Paris, Albin Michel, 2001.)). Dans le cas de la guerre en Ukraine, il faut ainsi avoir à l’esprit les paramètres suivants en termes de longue durée si l’on veut porter un regard un tant soit peu pertinent sur les événements :

– nous avons affaire à l’affrontement entre, d’un côté, une puissance hégémonique déclinante (les Etats-Unis) et, de l’autre, une puissance régionale émergente (la Russie) ;

– à la suite de la magistrale étude de Paul Kennedy(([2] Paul Kennedy, Naissance et déclin des grandes puissances : transformations économiques et conflits militaires entre 1500 et 2000, trad., Paris, Payot, rééd. 2004.)), on sait que les hégémonies sur le déclin sont particulièrement belliqueuses cherchant à compenser par la guerre leur effondrement progressif ;

– s’agissant de l’Europe, à partir de 1945 elle est devenue une dépendance de l’empire américain (Plan Marshall, OEEC/OCDE, OTAN et aujourd’hui l’UE), elle partage donc le destin de son tuteur – la force militaire en moins ;

– fait symptomatique, l’Arabie saoudite (allié fidèle des Etats-Unis, grande puissance pétrolière et protectrice des lieux saints de l’islam) prend désormais ses distances d’avec l’empire.

En conséquence, plutôt que de se demander, comme dans un bon vieux western, « qui sont les gentils et qui sont les méchants », il convient de mettre à profit ce « moment ukrainien » pour tenter de décrypter ce qui nous arrive et, si possible, prévoir une riposte adaptée. Car, il y a tout lieu de penser que c’est dans la matrice de cette guerre que le monde de demain est en train d’éclore.

C’est dans cette optique que je livre les réflexions ci-après :

1. L’Ukraine est au bord du gouffre. Depuis la fin des années 90 l’émigration lui a coûté plus de 20 millions d’habitants (sur les 51 qu’elle comptait lors de son accession à l’indépendance). Avec la guerre, son économie et ses infrastructures sont détruites, la génération des hommes de 18-35 ans a été saignée à blanc dans les combats (plus de 500 tués et blessés par jour depuis mai 2022). L’Ukraine a été sacrifiée par ses mentors : c’est dorénavant un État failli aux portes de l’Europe, une plate-forme idéale pour tous les trafics mafieux et l’économie grise.

2. De son côté, la Russie a le temps. Son économie est de type industriel et, contrairement à celle de la Chine, elle n’est pas financiarisée. Elle est donc relativement solide parce que peu dépendante des fluctuations du dollar et n’est pas non plus partie prenante à l’abyssale dette américaine. Elle est basée sur la vente de produits (gaz, pétrole, céréales, etc.) à des très grands pays (Chine, Inde, Pakistan, pour ne citer que les principaux). Cet élément est très important surtout si l’on admet que le but de guerre russe n’est pas principalement l’Ukraine, mais le système occidental et sa déstabilisation. Dès lors, la solidité économique de la Russie explique pourquoi celle-ci a le temps, pourquoi pour elle les gains territoriaux en Ukraine demeurent secondaires. D’ailleurs, concernant le fait d’« avoir le temps », rappelons également que la pensée stratégique russe est coutumière, au plus tard depuis les guerres napoléoniennes, de céder du terrain pour gagner du temps et, à terme, épuiser l’adversaire. Dans ces conditions, j’aimerais avancer les points suivants :

– Compte tenu de l’hémorragie des effectifs, il n‘y a plus beaucoup d’Ukrainiens dans les forces ukrainiennes. Ce sont majoritairement des mercenaires (Polonais, Slovaques et Allemands pour l’essentiel) qui sont, semble-t-il, dorénavant à la manœuvre.

– Côté russe, il ne devrait pas y avoir de grande offensive sur Kiev : pourquoi se mettre sur les bras d’immenses territoires ravagés dont les populations vous sont hostiles ?

– Pour le bloc occidental, la sortie de guerre devient de plus en plus pressante étant donné l’épuisement ukrainien et le coût croissant de la guerre pour ses arsenaux (sans oublier le financement du mercenariat). N’oublions pas que, d’une part, les Etats-Unis ne peuvent pas se permettre de se désarmer au moment où les tensions s’accroissent entre la Chine et Taïwan et, d’autre part, l’impression frénétique de monnaie depuis 2020(([3] En 2019, ce qui est appelé M1 (c’est-à-dire pièces et billets en circulation et dépôts à vue) correspond aux Etats-Unis à 4 247 milliards de dollars. En 2020 et 2021 cette même statistique s’élève à 18 004 et 20 675 milliards de dollars, respectivement. Cela représente une augmentation de 13 757 milliards de dollars entre 2019 et 2020 et une augmentation de 2 671 milliards de dollars entre 2020 et 2021. En comparaison, l’augmentation moyenne de M1 aux Etats-Unis entre 2009 et 2019 était de 229 milliards de dollars par année. Cumulé entre 2009 et 2019, M1 n’a augmenté que de 2 440 milliards de dollars. En conséquence, ces chiffres indiquent la création, depuis 2020, d’une masse monétaire sans précédent (https://fred.stlouisfed.org/series/WM1NS#0).)) laisse supposer que le dollar est leur dernier instrument de puissance : à savoir financer des guerres par procuration.

– Le principal obstacle à la sortie de la guerre : c’est le Président Zelensky qui, avec son incroyable flair politique, a sans doute compris que ses mentors le manipulaient et qui, en retour, fait monter les enchères en exigeant des centaines de milliards de dollars. Donc, sa mise à l’écart devient cruciale … mais hautement problématique. Il est intéressant de noter à ce propos que, depuis quelques temps, les presses russes et ukrainiennes bruissent (chacune à sa manière évidemment) de l’hypothèse d’un coup d’État militaire à Kiev.

3. L’Europe est sans défense. Tant à cause de son désarmement (abolition de la conscription, armées professionnelles à faibles effectifs orientées sur les opérations extérieures, recours au mercenariat, démantèlement des infrastructures logistiques) que de la suppression des frontières entre États (Grand marché, Espace Schengen, système Frontex), son espace géographique est à nouveau ouvert aux « grandes chevauchées »(([4] Cf. Gabriel Martinez-Gros, Brève histoire des empires : comment ils surgissent, comment ils s’effondrent, Paris, Seuil, 2014.))(comprendre grandes invasions). Faisons un retour dans l’histoire pour bien comprendre la signification d’un tel constat.
Les dernières vagues d’invasion se sont déroulées aux IXe et Xe siècles. Les raids des Vikings, des Sarrasins et des Magyars provoquent alors l’effondrement de l’Empire carolingien. Ensuite, à partir du XIe siècle, avec l’avènement de la féodalité, puis plus tard des États territoriaux, l’Europe occidentale se couvre d’un épais maillage de fortifications (châteaux, forteresses, villes de garnison) rendant quasiment impossible les grandes chevauchées barbares. Plus les pouvoirs territoriaux se renforcent, moins les chevauchées deviennent possibles. Aujourd’hui, ce glacis protecteur n’existe plus, le territoire européen est redevenu une « ville ouverte ». A cet égard, on peut d’ores et déjà mentionner les flux migratoires, le trafic de drogue et d’êtres humains qui traversent l’Europe de part en part, le tout constituant un aggloméré de mafias, de gangs et d’économie grise. L’État-failli ukrainien va d’ailleurs jouer un rôle démultiplicateur en la matière avec la quantité extravagante d’armes déversées dans le pays et qui commencent à se retrouver sur les marchés parallèles.

4. Dès lors, nous allons vers une nouvelle guerre … mais laquelle ? Tout porte à le dire et pourtant, c’est la question la plus difficile à laquelle répondre. En effet, il ne faut pas oublier deux leçons essentielles dans ce domaine : d’une part l’histoire ne repasse pas les plats, chaque époque accouchant de sa conflictualité propre ; d’autre part, une erreur courante consiste à envisager la prochaine guerre dans les termes de la précédente. Ces derniers temps l’évocation récurrente d’une troisième guerre mondiale est un exemple caractéristique de ce type d’erreur. Il faut donc se demander quels sont les principaux axes d’affrontements qui se dessinent.
Dans le contexte actuel, il est évidemment tentant d’évoquer l’hypothèse d’une attaque de la Russie contre ses voisins immédiats (Pologne, États baltes) dégénérant en un conflit plus large. S’il est évident que les états-majors de l’OTAN ne peuvent pas ignorer une telle éventualité, celle-ci semble néanmoins très peu probable : la Russie n’a ni les moyens militaires, ni la logistique d’une telle ambition. Rappelons par ailleurs que la fin de la Guerre froide voit le schème de la guerre inter-étatique remplacé par celui de la dialectique empire/barbares : à savoir les guerres américaines de la mondialisation et la montée concomitante de l’islamisme-djihadisme. Cette confrontation s’étale de la première guerre d’Irak (1991) à l’évacuation catastrophique de Kaboul en 2021. Plus de trente ans de guerre ou, en d’autres termes, une « guerre de trente ans » qui épuise définitivement l’État-nation occidental le transformant en État pénal-carcéral contrôlé par la finance globale. Aujourd’hui, la guerre en Ukraine laisse apparaître un nouveau schème qui n’annule pas le précédent, mais le supplante dans l’ordre des priorités : la dialectique entre une Europe désarmée et le retour des grandes chevauchées.

5. Europe désarmée vs retour des grandes chevauchées ? S’agissant des nouveaux axes d’affrontement, pour l’Europe c’est celui-ci qui doit d’abord être pris en considération. Et, j’ai envie d’ajouter qu’il n’est pas nécessaire d’« agiter l’épouvantail russe » pour imaginer une guerre en Europe ; la violence armée y est déjà bien présente avec les acteurs de l’économie mafieuse et les zones de non-droit dont les trafics de tous ordres font office de grandes chevauchées post-modernes. Les appareils étatiques peinent d’ailleurs de plus en plus à y faire face, comme l’indique les narco-menaces touchant actuellement la Belgique et les Pays-Bas en passe eux-mêmes de devenir des narco-États. A ce sujet, reprenons la comparaison avec la dernière vague d’invasions des IXe et Xe siècles. Les raids qui ont précipité la chute de l’Empire carolingien ne poursuivaient pas d’objectif politique. Leur but était le brigandage à grande échelle des territoires et des populations afin d’en ramener esclaves et butin. C’est l’intensité de ces attaques, leur caractère répétitif dans la durée et leur aptitude à frapper n’importe où et à l’improviste qui provoquent l’affaissement des sociétés carolingiennes. La paysannerie en particulier (colonne vertébrale des structures sociales de l’époque) se retrouve sans défense face à ces pillages. Par peur des révoltes en effet, la noblesse carolingienne est plus préoccupée de désarmer ses paysans que de les protéger. Les populations locales quittent les régions les plus menacées où églises, monastères et villages sont mis à sac … un peu à l’instar des classes populaires européennes qui aujourd’hui vivent dans la précarité et l’insécurité.

6. Effondrement carolingien = effondrement UE ?Certes, comparaison n’est pas raison, on ne peut cependant s’empêcher d’établir un parallèle entre le sort de la paysannerie de l’époque et la lente destruction des classes moyennes et populaires d’Europe occidentale dans la triple tourmente de la précarité, des inégalités et de l’insécurités, abandonnées par leurs élites politiques et désarmées par un État craignant les émeutes. Mutatis mutandis, on retrouve le type de situation qui a présidé à la chute de l’Empire carolingien. Un cycle de plus de mille ans se bouclerait ainsi : l’Europe est sans défense et les chevauchées migratoires ont pris leur envol !

Bernard Wicht

[À propos de l’auteur]

Bernard Wicht est chargé de cours à l’Université de Lausanne, où il enseigne la stratégie. Il intervient régulièrement dans des institutions militaires, dont l’Ecole de Guerre, et des think-tanks à l’étranger. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, dont Vers l’autodéfense : Le défi des guerres internes, Les loups et l’agneau-citoyen. Gangs militarisés, Etat policier et désarmement du peuple (The Wolves and the Citizen-Lamb : Gangs militarisés, Etat policier et désarmement du peuple) ; Citoyen-soldat 2.0, Mode d’emploi ; Europe Mad Max demain ? retour à la défense citoyenne ; Une nouvelle Guerre de Trente Ans ? Réflexion et hypothèse sur la crise actuelle ; L’OTAN attaque : la nouvelle donne stratégique ; L’Idée de milice et le modèle suisse dans la pensée de Machiavel.





Tout s’effondre mais rien ne bouge…

Par Lucien SA Oulahbib

En façade, cela tient et même se ravale en rafale jusqu’aux signatures de futures corvettes européennes pourtant inutiles puisqu’il n’y a plus de frontières (de facto) hormis celle de la « fraternité » avalisée par le C.C.F (antenne juridique locale située à Paris, comme la Banque de France, qui, elle, s’occupe seulement du surendettement). Ces corvettes ne sont plus que des intersections de segments multiformes de production dont l’objet final permet uniquement d’augmenter le PIB et de parader lors de divers raouts alors qu’il n’y a plus rien à défendre sinon épauler les bateaux des ONG occidentales, ces nouvelles armes stratégiques, par contre, de la » fraternité » — cette façade masquant avec brio la traite esclavagiste postmoderne permettant le Grand Effacement. Ou le devenir terrain vague depuis que la notion de citoyenneté et son drapeau ont été folklorisés ; un processus néanmoins interrompu parfois comme pour la tête de l’iceberg Callac, mais Gergovie n’a pas ralenti la défaite à Alésia, pas plus que la ligne Maginot celle de 1940…

Et cette totale mascarade s’amplifie sur tous les plans :

  1. énergétique avec l’accélération de la liquidation du nucléaire, mais maintenu là aussi en apparence puisqu’il faut bien attendre d’avoir une éolienne reliée au Gaz américain ou au Charbon allemand à chaque pâté ;
  2. géopolitique avec l’acharnement de l’ultra-gauche allemande pour effondrer encore plus leur pays en particulier et l’UE en général par leur appel permanent à la guerre lourde contre la Russie (envoi de chars Léopard emboîtant le pas à la Pologne) ;
  3. hygiéniste avec les dernières révélations sur la volonté opiniâtre visant à liquider l’immunité naturelle au profit de l’accoutumance addictive médicamenteuse appelée pompeusement « vaccin » ;
  4. enfin totalitaire visant à liquider Voltaire, la Renaissance, toute la philosophie politique ayant posé la notion de liberté au cœur du « connais-toi toi-même » en accentuant la chasse aux sorcières, le démantèlement de ce qui restait encore d’original dans l’entéléchie (la forme) européenne…

Ce qui permet d’indiquer qu’au fond le nazisme écrasé en 1945 se reconstitue (comme dans Terminator 3) un siècle plus tard ou quasiment, car ce qui fonde ce fanatisme d’effacement, traversant également toute sa réplique ultra européenne anglo-saxonne et nord-américaine, consiste moins dans le refus géostratégique « classique » des Anglo-saxons d’empêcher l’émergence euroasiatique d’un géant énergétique et culturel foncièrement tourné vers la Vie plutôt que la Mort programmée (au-delà de la question de la « retraite », les zombis du salariat se demandant à quel moment ils doivent se déclarer officiellement « morts ») que de surtout détruire et avec pugnacité, voire fureur, toute « volonté » (téléologie des moyens et des fins) autre que celle du « queerisme » intégral ; cette eschatologie propre à la Secte SHAA, visant à former, débiter la nouvelle entéléchie numérisée, celle de ces nouveaux corps marchandises, compatibles, interchangeables et interconnectés, déjà en fabrication avec les vagins et les pénis artificiels, les greffes de puces diverses, le devenir cyborg à crédit bitcoin UE en gestation pour « autrui ».

Étrange situation en vérité que de voir comment les idéologies les plus mortifères se métamorphosent en anamorphoses infinies (miroir du miroir du miroir) ou comment le « ceci n’est pas une pipe » se renverse en affichant qu’il en est bien une, en 3D, telles ces « personnes » à pénis ou à vulve dont le caractère « naturel » est désormais effacé comme l’immunité du même nom…

Mais comme le saupoudrage des aumônes (les « boucliers » financiers à l’algérienne pour faire taire la grogne) et la colle symbolique des identités forgées dans les séries sont devenus les deux seules vraies mamelles grésillantes de la feue truie romaine, il ne reste plus qu’un peu de gastronomie du bon vin et de l’excellent whisky (également japonais) pour attendre des jours peut-être meilleurs en cette période de basse eau…




L’ordre mondial a déjà basculé en 2022

[Source : voltairenet.org]

Par Thierry Meyssan

C’est une constante de l’Histoire : les changements sont rares, mais soudains. Ceux qui en font les frais sont généralement les derniers à les voir venir. Ils ne les perçoivent que trop tard. Contrairement à l’image statique qui règne en Occident, les relations internationales ont été bouleversées en 2022, principalement au détriment des États-Unis, du Royaume-Uni et de la France, souvent au profit de la Chine et de la Russie. Les yeux rivés sur l’Ukraine, les Occidentaux ne perçoivent pas la redistribution des cartes.

Il est rare que les relations internationales soient bouleversées comme elles l’ont été en 2022. Et ce n’est pas fini. Le processus qui a débuté ne s’arrêtera pas, même si des événements viennent le perturber et éventuellement l’interrompre quelques années. La domination de l’Occident, c’est-à-dire à la fois des États-Unis et des anciennes puissances coloniales européennes (principalement le Royaume-Uni, la France et l’Espagne) et asiatique (le Japon), touche à sa fin. Plus personne n’obéit à un chef, y compris les États qui restent vassaux de Washington. Chacun commence désormais à penser par lui-même. Nous ne sommes pas encore dans le monde multipolaire que la Russie et la Chine tentent de faire émerger, mais nous le voyons se construire.

Tout a commencé avec l’opération militaire russe pour faire appliquer la résolution 2202 du Conseil de Sécurité et protéger la population ukrainienne dans son ensemble de son gouvernement « nationaliste intégral ». Certes, cet événement n’est pas du tout celui qui est perçu aux États-Unis, dans l’Union européenne, en Australie et au Japon. Les Occidentaux sont persuadés que la Russie a envahi l’Ukraine pour en changer les frontières par la force. Pourtant ce n’est ni ce qu’a annoncé le président Vladimir Poutine, ni ce que l’armée russe a fait, ni la manière dont les événements se sont déroulés.

Laissons de côté la question de savoir qui a tort et qui a raison. Tout dépend de savoir si l’on a conscience de la guerre civile qui déchirait l’Ukraine depuis la déposition de son président démocratiquement élu, Viktor Ianoukovytch, en 2014. Les Occidentaux oubliant les 20 000 morts de cette guerre ne peuvent pas envisager que les Russes ont voulu stopper ce massacre. Comme ils ignorent les accords de Minsk, dont pourtant l’Allemagne et la France s’étaient portées garantes aux côtés de la Russie, ils ne peuvent envisager que la Russie ait mis en pratique la « responsabilité de protéger » que les Nations unies ont proclamé en 2005.

Pourtant l’ancienne chancelière allemande Angela Merkel(([1] « Hatten Sie gedacht, ich komme mit Pferdeschwanz ?« , Tina Hildebrandt und Giovanni di Lorenzo, Die Zeit, 7. Dezember 2022.)) et l’ancien président français François Hollande(([2] « Hollande : ‘There will only be a way out of the conflict when Russia fails on the ground’ », Theo Prouvost, The Kyiv Independant, December 28, 2022.)) ont tous deux publiquement affirmé qu’ils avaient signé les Accords de Minsk, non pas pour mettre fin à la guerre civile, mais au contraire pour gagner du temps et armer l’Ukraine. Ces deux personnalités se félicitent d’avoir piégé la Russie tout en l’accusant de porter seule la responsabilité de la guerre actuelle. Il n’est pas surprenant que ces deux anciens gouvernants s’enorgueillissent de leur duplicité devant leurs opinions publiques, toutefois leurs propos entendus dans d’autres régions du monde sonnent différemment. Pour la majorité de l’Humanité, les Occidentaux se montrent sous leur vrai jour : ils tentent toujours de diviser le reste du monde et de piéger ceux qui veulent être indépendants ; ils parlent de paix, mais fomentent des guerres.

Il est faux d’imaginer que le plus fort veut toujours imposer sa volonté aux autres. Cette attitude occidentale n’est que rarement partagée par les autres humains. La coopération a fait ses preuves bien plus que l’exploitation et les révolutions qu’elle suscite. C’est le message que les Chinois ont tenté de propager en évoquant des relations « gagnant-gagnant ». Il ne s’agissait pas pour eux de parler de relations commerciales équitables, mais de faire référence à la manière dont gouvernaient les empereurs de Chine : lorsqu’un empereur promulguait un décret, il devait veiller a être suivi par les gouverneurs de chaque province, y compris par ceux qui n’étaient pas concernés par cette décision. Il montrait à ces derniers qu’il ne les avaient pas oubliés en leur offrant à chacun un présent.

En dix mois, le reste du monde, c’est-à-dire son écrasante majorité, a ouvert les yeux. Si, le 13 octobre, ils étaient 143 États à suivre la narration occidentale et à condamner l’« agression » russe(([3] « Ukraine : UN General Assembly demands Russia reverse course on ‘attempted illegal annexation’ », UN News, October 13, 2022.)), ils ne seraient plus majoritaires à l’Assemblée générale des Nations unies à voter ainsi aujourd’hui. Le vote, le 30 décembre, d’une résolution demandant au tribunal interne de l’Onu, la Cour internationale de Justice, de déclarer l’occupation des Territoires palestiniens par Israël d’« occupation » en est la preuve. L’Assemblée générale ne se résigne plus devant le désordre occidental du monde.

11 États africains, jusque là dans l’orbite de la France, ont fait appel à l’armée russe ou à une société militaire privée russe pour assurer leur sécurité. Ils ne croient plus dans la sincérité de la France et des États-Unis. D’autres encore sont conscients que la protection occidentale contre les jihadistes va de pair avec le soutien occulte des Occidentaux aux jihadistes. Ils s’inquiètent publiquement du transfert massif d’armes destinées à l’Ukraine vers les jihadistes du Sahel ou vers Boko Haram(([4] « Buhari : les armes utilisées en Ukraine pénètrent dans les pays du bassin du lac Tchad », Tass, Alwihda Info, 8 Décembre 2022. « Le Sahel menacé par le djihadisme : une nouvelle Syrie », Leslie Varenne, Mondafrique, 15 décembre 2022.)) au point que le département US de la Défense a désigné une mission de suivi pour vérifier ce que deviennent les armes destinées à l’Ukraine ; une manière comme une autre pour enterrer le problème et prévenir une immixtion du Congrès dans ces sombres manigances.

Au Moyen-Orient, la Turquie, membre de l’Otan, joue un jeu subtil à mi-chemin entre son allié US et son partenaire russe. Ankara a compris depuis longtemps qu’il n’intégrerait jamais l’Union européenne et, plus récemment, qu’il n’était pas plus attendu pour restaurer son empire sur les Arabes. Il se tourne donc vers les États européens (comme les Bulgares, les Hongrois et les Kosovars) et asiatiques (comme l’Azerbaïdjan, le Turkménistan, l’Ouzbekistan, le Kazakhstan et le Kirgizistan) de culture turque (et non pas de langue turque comme les Ouigours chinois). Du coup, Ankara se réconcilie avec Damas et se prépare à quitter l’Ouest pour l’Est.

L’arrivée de la Chine dans le Golfe, à l’occasion du sommet de Riyad, a renversé la table dans cette région du monde. Les États arabes ont vu que Beijing était raisonnable, qu’il les aidait à faire la paix avec leurs voisins perses. Pourtant l’Iran est un allié millénaire de la Chine, mais celle-ci le défend sans lui laisser passer ses excès. Ils ont mesuré la différence avec les Occidentaux qui, au contraire, n’ont eu de cesse depuis 1979 de les diviser et de les opposer.

L’Inde et l’Iran mettent les bouchées doubles avec la Russie pour édifier un couloir de transport qui leur permette d’échanger malgré la guerre économique occidentale (présentée en Occident comme des « sanctions », bien que celles-ci soient illégales en Droit international). Déjà Mumbai est relié au Sud de la Russie et bientôt à Moscou et à Saint-Petersbourg. Cela rend la Russie et la Chine complémentaires. Beijing construit en Eurasie des routes de l’Est à l’Ouest, Moscou selon les longitudes.

La Chine, pour qui cette guerre est une catastrophe qui perturbe ses plans de construction des routes de la soie, n’a jamais adhéré à la narration occidentale. Elle est une ancienne victime de la Russie qui, au XIX° siècle, a participé à l’occupation de Tianjin et de Wuhan (Hankou), mais elle sait que les Occidentaux feront tout pour les exploiter toutes les deux. Elle se remémore son occupation passée pour avoir conscience que son destin est lié à celui de la Russie. Elle ne comprend pas grand chose aux affaires ukrainiennes, mais sait que sa vision de l’organisation des relations internationales ne pourra voir le jour que si la Russie triomphe. Elle n’a donc aucune envie de se battre aux côtés de la Russie, mais interviendra si celle-ci est menacée.

Cette réorientation du monde est très visible dans les institutions gouvernementales. Les Occidentaux ont humilié la Russie au Conseil de l’Europe jusqu’à ce que Moscou le quitte. À leur grande surprise, la Russie ne s’en tient pas là. Elle quitte un à un tous les accords conclus au sein du Conseil de l’Europe, dans toutes sortes de domaines, du Sport à la Culture. Les Occidentaux réalisent soudain qu’ils se sont privés d’un partenaire généreux et cultivé.

Elle devrait se poursuivre dans toutes les autres organisations intergouvernementales, à commencer par les Nations unies. C’est une vieille histoire des relations occidentalo-russes qui remonte à l’exclusion de Moscou de la Société des Nations, en 1939. À l’époque, les Soviétiques inquiets d’une possible attaque nazie contre Léningrad (Saint-Petersbourg) demandèrent à la Finlande de pouvoir louer le port d’Hanko, cependant les négociations trainant en longueur, ils envahirent la Finlande, non pas pour l’annexer, mais pour placer leur marine à Hanko. Ce précédent est enseigné aujourd’hui comme un exemple de l’impérialisme russe alors que le président finlandais Urho Kekkonen a lui-même reconnu que l’attitude des Soviétiques était « compréhensible ».

Revenons aux Nations unies. Exclure la Russie ne pourrait être possible qu’après avoir fait adopter une réforme de la Charte par l’Assemblée générale. C’était possible en octobre, mais plus aujourd’hui. Ce projet s’accompagne d’une réinterprétation de l’histoire et de la nature de l’Onu.

On assure qu’adhérer à l’Organisation interdit la guerre. C’est une absurdité. Adhérer à l’Onu oblige à « maintenir la paix et la sécurité internationales », mais les hommes étant ce qu’ils sont, autorise à faire usage de la force dans certaines conditions. Parfois même, cette autorisation devient une obligation en vertu de la « responsabilité de protéger ». C’est très exactement ce que fait la Russie pour les populations du Donbass et de la Novorussia. Notez bien que Moscou n’est pas aveugle et a fait marche arrière en ce qui concerne la rive droite (partie Nord) de la ville de Kershon. L’état-major russe s’est replié derrière une frontière naturelle, le fleuve Dniepr, considérant impossible de défendre l’autre partie de la ville face aux armées occidentales et ceci alors que la population de l’ensemble de la ville avait demandé par référendum son adhésion à la Fédération de Russie. Il n’y a jamais eu de défaite russe à Kershon, mais cela n’empêche pas les Occidentaux de parler de sa « reconquête » par le régime Zelensky.

Surtout, on obscurcit le fonctionnement de l’Onu en remettant en question le directoire du Conseil de Sécurité. Lorsque l’Organisation a été fondée, il s’agissait de reconnaître l’égalité entre chaque État au sein de l’Assemblée générale et de donner aux grandes puissances de l’époque la capacité de prévenir des conflits au sein du Conseil de Sécurité. Celui-ci n’est pas le lieu de la démocratie, mais du consensus : aucune décision ne peut y être prise sans l’accord de chacun de ses cinq membres permanents. On feint de s’étonner de ne pas pouvoir y condamner la Russie, mais s’est-on étonné de ne pas y avoir condamné les États-Unis, le Royaume-Uni et parfois la France pour leurs guerres illégales au Kosovo, en Afghanistan, en Iraq et en Libye ? Sans droit de veto, l’Onu deviendra une assemblée absolument inefficace. Pourtant cette idée fait son chemin en Occident.

Au demeurant, il serait absurde de penser que la Chine, première puissance commerciale du monde, restera dans une Onu dont la Russie, première puissance militaire mondiale, aurait été exclue. Beijing ne jouera pas la caution à une opération contre son allié, tant il est persuadé que sa mort sera le prélude de la sienne. C’est pourquoi les Russes et les Chinois préparent d’autres institutions qu’ils ne manifesteront que si l’Onu est dénaturée, si elle se transforme en une assemblée monochrome et perd ainsi sa capacité de prévenir des conflits.

Nous percevons que la seule issue possible est que les Occidentaux acceptent de n’être que ce qu’ils sont. Mais, pour le moment, ils n’en sont pas capables. Ils déforment la réalité en espèrent maintenir leurs siècles d’hégémonie. Ce jeu est terminé à la fois parce qu’ils sont fatigués et surtout parce que le reste du monde s’est transformé.





La Russie peut-elle être vaincue en Ukraine ?

[Source : lecridespeuples.fr]

Le légendaire fatalisme russe est peut-être bien vivant, mais il finira par avoir honte de ses doutes.

Par William Schryver

Source : imetatronink.substack.com, le 8 janvier 2023

Traduction : lecridespeuples.fr

« Nous souffrons plus souvent dans l’imagination que dans la réalité. » 

Sénèque

Depuis près d’un an, je m’efforce en vain de comprendre les craintes de défaite potentielle fréquemment exprimées par un grand nombre d’observateurs russes de cette guerre – comme s’ils étaient constamment hantés par le sentiment qu’une humiliation inévitable est tapie dans l’ombre juste devant eux, et qu’ils feraient mieux de se préparer en conséquence.

Les faits les plus manifestes de la guerre par procuration de l’OTAN contre la Russie, tels que j’ai pu les établir, sont que l’Ukraine a subi environ cinq cent mille pertes irrémédiables et a perdu la quasi-totalité de son matériel militaire d’origine, l’équivalent de TOUT le personnel et de l’équipement (d’active et de réserve) avec lesquels elle avait commencé ce conflit.

Leur force militaire a été partiellement reconstituée au cours de l’été 2022, avec les meilleurs équipements que l’OTAN pouvait mettre à disposition, mais tant en quantité qu’en qualité, celle-ci n’est tout simplement plus capables d’être reconstituée.



En plus de cette importante injection d’armements de l’OTAN, plusieurs milliers de soldats de l’OTAN ont insidieusement fait leur apparition sur le champ de bataille, principalement sous la forme de troupes de choc et de spécialistes techniques chargés de faire fonctionner et d’entretenir les systèmes les plus complexes tels que les obusiers M-777 et l’artillerie à roquettes HIMARS.

Cette armée partiellement reconstruite a été effectivement anéantie au cours des quatre derniers mois d’ « offensives » ukrainiennes futiles, voire suicidaires, contre les lignes défensives russes.

Nous savons que c’est vrai parce que le haut commandement ukrainien supplie désespérément l’Occident de lui fournir une troisième armée entièrement équipée pour faire face à la puissance de feu écrasante de la Russie.

Pendant ce temps, ici, au début de 2023, la force de combat russe est, selon presque tous les critères, beaucoup plus puissante qu’il y a un an.

De l’autre côté de la balance, l’OTAN n’a littéralement plus rien de significatif à offrir, à l’exception des quelques miettes restantes de leur équipement obsolète, de leurs munitions excédentaires et de leurs promesses vides de production future, qui ont très peu de chances de se concrétiser un jour.

Les évangélistes de l’Empire occidentaux qui se font passer pour des « analystes militaires » continuent de parler des extraordinaires prouesses militaires ukrainiennes et de leur étonnante série de « victoires » au cours de cette guerre. Ils supplient ensuite avec passion les gouvernements occidentaux d’augmenter considérablement les livraisons à l’Ukraine des moyens de lancer une offensive finale décisive qui chassera du Donbass et de la Crimée des Russes (prétendument) militairement éviscérés et abjectement humiliés.

En effet, dans leurs fantasmes les plus enfiévrés, ils parlent de marcher jusqu’à Moscou même, de procéder à un changement de régime par la force des armes, puis de diviser une fois pour toutes la Russie en de multiples États vassaux qui pourront ensuite être incorporés avec soumission dans le rapace « ordre international fondé sur des règles ».

Et, de manière incompréhensible, pour la classe des défaitistes russes perpétuellement fatalistes, il semble que nombre de ces chimères ridicules ne soient pas si éloignées du domaine du possible.

D’où vient cet irrépressible fatalisme slave et l’inexplicable complexe d’infériorité qui l’accompagne trop souvent ?

Je ne suis pas russe. Je ne parle pas couramment la langue russe. Je ne suis jamais allé en Russie. Je n’ai même jamais eu d’ami ou de connaissance russe. Mais je suis fasciné par la Russie depuis mon enfance et j’ai une connaissance modeste de l’histoire russe et des grandes réalisations du peuple russe au cours des siècles passés.

De mon point de vue distant, la Russie est une grande nation habitée par des gens extraordinairement intelligents et capables – bien qu’elle se soit laissée à plusieurs reprises tromper et abuser par ses cousins occidentaux, envers lesquels elle a nourri beaucoup trop d’envie pendant de trop nombreuses générations.

À mon avis, nous assistons actuellement à ce que les historiens ultérieurs qualifieront d’ « heure de gloire » de la Russie. Confrontés à la perspective de se soumettre et d’embrasser la décadence avilissante de la civilisation occidentale en déclin, un grand nombre de Russes ont cherché à rétablir l’orientation culturelle de leurs anciennes traditions orthodoxes, à remettre l’accent sur la famille en tant qu’unité fondamentale de la société, et à se démarquer audacieusement de la trajectoire sociale dégradante des « valeurs » occidentales sans ancrage.

De manière plus significative et pertinente, la Russie a courageusement choisi de « se dresser seule » face à ce que presque tout le monde sur la planète croyait être la puissance indomptable de l’Empire américain complètement corrompu. Oui, on peut peut-être soutenir que, à certains égards, les premiers pas de la Russie dans cette direction ont été quelque peu hésitants. Mais parce qu’elle a été assez audacieuse pour les faire, elle a maintenant attiré à sa cause non seulement le soutien moral, mais de plus en plus le soutien substantiel de nombreuses autres nations puissantes qui sont déterminées à résister à la poursuite et à l’expansion exploitante de l’hégémonie impériale dans leurs régions du globe.

Il a été dit que, plus qu’un combat physique, la guerre est un différend d’ordre moral. Je pense que cette idée est tout à fait justifiée. Vladimir Poutine, Sergey Lavrov, Dmitry Medvedev, Sergey Glazyev, Aleksandr Dugin et de nombreux autres Russes influents s’engagent dans cet argument moral depuis de nombreuses années maintenant.

Mais dans le contexte de la guerre actuelle entre l’OTAN et la Russie en Ukraine, je soutiens que la Russie l’emportera principalement parce que sa puissance militaire et son leadership sont manifestement supérieurs ; sa force et ses capacités sont plus grandes aujourd’hui qu’il y a un an, et elles augmentent de mois en mois ; sa compréhension des réalités en évolution rapide de la guerre au XXIe siècle a été grandement améliorée par les événements de l’année précédente – et, il ne faut pas le sous-estimer, je suis convaincu qu’elle sera soutenue dans une mesure toujours plus grande par la Chine et l’Iran, qui ont tous deux clairement compris que leur destin existentiel est inextricablement lié au triomphe final de la Russie dans la présente confrontation militaire.

Du point de vue de cet auteur et observateur des événements, et malgré les penchants fatalistes et souvent effrayants de beaucoup de ceux qui se disent Russes, la Russie ne peut tout simplement pas être et ne sera pas vaincue dans cette guerre. Bien au contraire, je suis convaincu qu’elle en sortira plus sûre d’elle, plus autonome et plus influente sur la scène mondiale qu’elle ne l’a jamais été.

Voir notre dossier sur la situation en Ukraine.




Heurs et malheurs de la France (Partie 1)

Par Bernard Thoorens

En 50 ans la France est passée du 2e au 7e rang de l’économie mondiale. L’influence française dans les affaires du monde, autrefois majeure, est aujourd’hui insignifiante. Le niveau de vie de la population s’est fortement dégradé. La France compte aujourd’hui 12 millions de pauvres, sous le seuil de pauvreté officiel (INSEE) de 1102 €. 1.5 millions de seniors vivent dans la précarité, pas encore retraités mais rejetés du marché du travail. 4 millions de personnes sont mal logées, 300 000 sans domicile.

Comment peut-on imaginer que depuis une cinquantaine d’années, les présidents successifs, qui tous nous présentaient des programmes de mandature prometteurs, n’ont réussi qu’à détériorer la situation de la France et à appauvrir les Français, à dégrader leurs conditions de vie ?

En égrenant les questions du « s’il était président », on se rend bien compte que pour traiter la majorité des problèmes que nous subissons, il suffirait de revenir à la situation antérieure.

Mais du même coup, ce constat pose la question de l’intention. Pourquoi, dans ce pays clamant les Liberté, Égalité, Fraternité, a-t-on pris des mesures privilégiant les riches et appauvrissant les classes moyennes et les pauvres ? S’il s’agissait d’améliorer nos conditions de vie, pourquoi nos dirigeants ont-ils persévéré à les dégrader ? Pourquoi, de droite comme de gauche ont-ils mené cette politique désastreuse pendant des décennies ?

À ces questions, on ne peut pas concevoir autre chose qu’une politique délibérée, menée au détriment des Français. Les mensonges et les manipulations de ces dernières années l’ont bien montré.

Il suffit de se rappeler certains discours présidentiels pour comprendre leur but : ce sont des politiciens élitistes, acquis aux thèses mondialistes, qui ne rêvent que de Nouvel Ordre Mondial et ne s’en cachent pas. Et l’on voit bien qu’avec l’Europe, même si celle-ci a été à l’origine de certaines avancées, la France a perdu une grande partie de sa souveraineté.

S’il était président…

« Il » est une personne quelconque, désignée, à la manière de la démocratie athénienne, pour diriger le pays. Douée de bon sens, d’empathie pour autrui, d’amour de la France et préoccupée du bien commun, elle n’aurait « fait » ni l’ENA ni aucune grande école où l’on apprend l’orgueil : être les meilleurs, réussir dans la vie, faire partie de l’élite. Elle serait détachée des honneurs et de l’argent qui corrompent. Ces seuls critères suffiraient à la désigner président(e).

  • Il rendrait à la France sa souveraineté en la faisant sortir de l’Union Européenne. Nos contributions à l’UE ont dépassé de très loin les bénéfices que nous en avons tirés, en particulier le développement économique (faiblesse des investissements, désindustrialisation, coût de l’énergie) et la paix ; nous nous trouvons embarqués dans un conflit que nous n’avons pas voulu, qui risque fort de nous mener à une guerre de haute intensité.
  • Il reconstruirait des relations internationales justes. Fini la Françafrique qui dure encore aujourd’hui, les accords multilatéraux en notre défaveur, les leçons de morale aux dirigeants étrangers, les accords avec les pays finançant le terrorisme.
  • Il ferait sortir la France de l’OTAN. S’abriter sous le parapluie d’une organisation américano-internationale qui mène une guerre contre la Russie par Ukraine interposée est dangereux. Surtout nous avons acquis notre indépendance stratégique grâce à la dissuasion nucléaire et cet argument se suffit à lui-même.
  • Il fixerait l’ensemble des mandats à 5 ans, non renouvelables afin de déprofessionnaliser la vie politique, assortis d’une procédure de destitution et rendus inamovibles par une inscription de ces règles dans la constitution.
  • Il ramènerait le train de vie de l’État à un niveau minimal et le soumettrait au vote parlementaire.
  • Il rendrait la vie publique irréprochable en supprimant les conflits d’intérêts, le pantouflage, le conseil par des organismes étrangers, les revolving doors, le clientélisme.
  • Il instituerait le Référendum d’Initiative Citoyenne.
  • Il relancerait le réacteur nucléaire de quatrième génération Astrid permettant de fermer le cycle de l’atome et d’éviter le stockage profond des déchets.
  • Il reconstruirait la Santé publique avec les hôpitaux, les Ehpads, la médecine de ville.
  • Il abolirait la financiarisation de l’hôpital. Le critère décisif est la santé du patient, pas le coût de journée.
  • Il rendrait la Sécurité sociale plus juste en revenant à une gestion paritaire, en assurant le financement des régimes spéciaux exclusivement par les bénéficiaires des régimes spéciaux, en lui permettant d’engager des poursuites en cas de fraude.
  • Il reconstruirait l’École publique en recentrant l’éducation sur les apprentissages de base et la citoyenneté. L’école prépare à mener sa vie d’adulte, elle doit apporter à chacun une profondeur de réflexion, une culture, une autonomie, une maturité physique, psychique et spirituelle.
  • Il reconstruirait la recherche publique. La recherche dont les bénéfices profitent aux Français ne doit pas être soumise à des intérêts privés.
  • Il rendrait sa liberté à l’École libre. Le choix d’élever ses enfants dans la religion doit être respecté.
  • Il reconstruirait une société civile morale et saine.
  • Il favoriserait l’égalité des sexes.
  • Il fixerait les droits et les devoirs des immigrés.
  • Il reconstruirait une Justice efficace, indépendante en supprimant le ministère de la Justice (séparation des pouvoirs), en la dotant des moyens nécessaires à sa mission.
  • Il rendrait aux représentants de la nation leur pouvoir législatif, supprimerait l’article 49.3 et supprimerait l’influence des lobbys.
  • Il renationaliserait les autoroutes, l’électricité, le gaz, l’eau, l’armement qui sont des biens publics et non et non soumis à des intérêts privés.
  • Il supprimerait l’utilisation des pesticides, favoriserait la culture bio non intensive et la biodiversité (agriculture, forêt, milieu aquatique).
  • Il reconstruirait l’industrialisation de la France. La qualité, l’innovation, l’autonomie ne peuvent pas être obtenues par de la sous-traitance low cost et en bradant notre savoir-faire.
  • Il rendrait la TVA variable en fonction de la valeur ajoutée des produits, de la nourriture, des équipements, des consommables. Ex. : légumes bio et locaux à 0 %, sodas à 80 %, produits ultra transformés à 100 %.
  • Il favoriserait la réduction de consommation d’énergie dans les transports, l’habitat et l’industrie.
  • Il restaurerait les critères essentiels de qualité des produits, de durabilité, de réemploi.
  • Il rendrait les transports collectifs de proximité gratuits (trajets pour se rendre au travail).
  • Il simplifierait le millefeuille administratif, générateur de lourdeurs et de gaspillage.
  • Il conduirait la décentralisation à son terme pour un rééquilibrage des territoires.
  • Il rendrait les médias indépendants des intérêts tant privés que publics pour une information transparente et libre d’accès.
  • Il fixerait une fiscalité juste (impôt sur le revenu pour tous, droits de succession supprimés pour les petites successions).
  • Il favoriserait l’accès au logement pour tous, en particulier au logement individuel et il supprimerait la spéculation immobilière.
  • Il lutterait réellement contre les trafics (humain, armes, drogue, animaux, organes, enfants).
  • Il proposerait un moratoire sur les sujets polémiques (éoliennes, bassines, urbanisation, 5G), commanderait les études scientifiques indépendantes nécessaires, les rendrait publiques et soumettrait les décisions au législateur.
  • Il réglerait par la concertation les nombreux problèmes relatifs au déploiement des thèmes cités ci-dessus.

En un mot il rendrait à la France sa grandeur et aux Français leur fierté.




Rencontre entre Guy Boulianne et le général Dominique Delawarde

[Source : Guy Boulianne]

Rencontre entre le journaliste indépendant Guy Boulianne et le général de l’armée française Dominique Delawarde. Cette conférence eut lieu samedi le 7 janvier 2023 à 11H (Montréal) — 17H (Paris).
Information : https://www.guyboulianne.info/?p=79933






Pierre de Gaulle pourfend la politique ukrainienne d’Emmanuel Macron

[Source : BV]

Personne ne peut dire si le général de Gaulle aurait ou non approuvé les propos qu’un de ses petits-fils, Pierre de Gaulle, quatrième fils de l’amiral Philippe de Gaulle, vient de tenir. Des propos à contre-courant du discours dominant aujourd’hui au sujet de la guerre en Ukraine et du soutien, notamment militaire, apporté par la France. Ce petit-fils du fondateur de la Ve République, le grand public ne le connaissait pas jusqu’à présent mais il fait parler de lui depuis plusieurs mois.

Ainsi, le 12 juin 2022, à l’occasion de la fête nationale russe, invité par l’ambassade de Russie à Paris, en se référant à son grand-père, il a déclaré que l’intérêt de la France est de garder les meilleures relations possibles avec Moscou, allant jusqu’à dénoncer « le rôle funeste de l’OTAN qui s’élargit sans cesse ainsi que la politique inconsidérée de l’Ukraine ». Il a même accusé les Occidentaux de n’avoir pas réagi aux bombardements ukrainiens sur le Donbass durant huit ans. Selon lui, Washington avait réussi à recréer la confrontation Est-Ouest dans le seul but de diviser les Européens en imposant leur économie et leur politique. Il estimait que « les Américains n’ont jamais accepté que la Russie, après 1991, se développe selon le modèle occidental »… Il en avait appelé à Emmanuel Macron pour qu’il ait le courage de se libérer de l’OTAN, soulignant une dépendance de plus en plus forte vis-à-vis des États-Unis.

Le 25 novembre dernier, interviewé par Le FigaroPierre de Gaulle avait qualifié de « grave erreur » la décision de « se couper des Russes, dont on ne peut nier l’importance économique, scientifique, politique et géostratégique », rappelant que, « tout au long de sa vie et fort de plus de trente années d’expérience des dirigeants soviétiques, même aux pires moments de la guerre froide, le général de Gaulle s’est toujours efforcé de garder une bonne relation de partenariat avec la Russie ».

Le 16 décembre dernier, Pierre de Gaulle accordait un entretien à Irina Dubois, présidente de l’association Dialogue franco-russe, diffusé sur YouTube par la chaîne congolaise TLR-TV, au cours duquel il déclare que « l’équilibre entre la France et la Russie est essentiel à la stabilité de l’Europe », estimant que « l’opinion publique commence à prendre conscience du jeu pervers et des mensonges américains et de l’OTAN » ainsi que leur volonté « d’utiliser cette crise ukrainienne pour déstabiliser l’Europe ». Il cite Mme Merkel qui, récemment, a déclaré qu’elle n’avait jamais eu l’intention d’appliquer les accords de Minsk, lesquels garantissaient la sécurité des habitants du Donbass. Et Pierre de Gaulle d’estimer que l’ancienne chancelière allemande « a tout fait pour poser les bases de ce conflit qui fait souffrir désormais des millions de personnes. Elle a permis à Kiev d’annihiler la culture russe, la langue des populations russophones. »

[Voir aussi (avec vidéos) :
Pierre de Gaulle : « Moins de 50% des aides arrivent aux ukrainiens »
et
Le petit fils de Gaulle sur l’existence d’un agenda américain en Ukraine : « Rôle funeste de l’OTAN »]

Pierre de Gaulle accuse aussi les Américains de profiter économiquement de ce conflit en nous vendant leur gaz quatre fois plus cher qu’à leur propre pays. Puis il s’en prend à Ursula von der Leyen, qui a laissé une ardoise de cent millions d’euros de frais inexpliqués lorsqu’elle était ministre de la Défense allemand et dont les liens avec l’industrie pharmaceutique via son mari et son fils ne sont pas clairs. Il regrette que Macron, qui n’est pas le leader politique charismatique dont nous aurions besoin, ne représente pas les valeurs patriotiques que défend Poutine, comme le lever du drapeau, la religion, les traditions, la famille.

À propos de l’Ukraine, Pierre de Gaulle poursuit en déclarant que « l’Ukraine est l’un des pays les plus corrompus au monde » et que « les pauvres Ukrainiens sont trompés par Washington qui pense que leur victoire est proche, mais le grand perdant de cette guerre sera l’Europe en s’engouffrant dans cette crise de par la volonté des politiques ».

Si certains passages de cet entretien sont sans doute sujets à caution, il n’empêche qu’il doit nous amener à nous poser cette question : que ferait aujourd’hui le général de Gaulle ? Tout le monde se réclamant du gaullisme aujourd’hui – même Emmanuel Macron -, il n’y a pas de raison que nous ne nous la posions pas nous-mêmes, cette question ! A fortiori, un des petits-fils de De Gaulle peut aussi se la poser…




Danger mondial — Franc-maçonnerie de haut grade

[Source : Kla.tv]

[ou sur YouTube :]

Dans cette émission, les énergies criminelles et les magouilles de la franc-maçonnerie de haut niveau sont mises en lumière. Il ne s’agit toutefois pas de remettre en question leur bienfaisance dans les trois grades symboliques de base.

Mais ces grades d’apprentis et compagnons, etc., incarnés par les petits frères des loges johanniques, du Rotary, du Lions Club, etc. remplissent, pour la franc-maçonnerie de haut niveau le même but que celui de la farine et de la craie pour le loup dans le conte avec les sept chevreaux.

Les explications suivantes sont nées en réponse à un cri de détresse des francs-maçons de haut niveau. Ceux-ci ont rompu leur secret, poussés par l’extrême urgence, pour lancer un avertissement urgent à la population mondiale. Avant de se retirer, ils ont compilé pendant des années, des milliers de documents explosifs comme preuves. Cela doit démontrer que ce qui n’était jusqu’à présent qu’une thèse pour les lanceurs d’alerte indépendants, n’est absolument pas qu’une thèse. Ils demandent donc à la communauté mondiale de stopper à temps les groupes secrets qu’ils ont dévoilés, car ils ont compris trop tard que ceux-ci travaillaient à une catastrophe mondiale cruelle et délibérément orchestrée, qui ne pourrait pas être plus sanglante.

Le but de cette catastrophe mondiale serait l’établissement d’une dictature mondiale extrêmement draconienne, qui convoite pour elle-même un reste de sujets humains complètement privés de droits et de pouvoir. Ce n’est qu’après d’extrêmes querelles internes, des divisions et des luttes de pouvoir, lorsque les repentis ont réalisé que l’aile du plus haut grade, sujette à un extrémisme malveillant, disposait désormais de tous les moyens nécessaires pour mettre en œuvre ce plan odieux, qu’ils ont commencé leur travail de dénonciation impitoyable. Ces francs-maçons de haut niveau qui se sont retirés garantissent à la communauté mondiale qu’il ne s’agit pas de simples théories du complot, mais bien de véritables faits de conspiration, qu’il faut absolument dévoiler en unissant nos forces – et des projets inimaginables, dangereux pour la société, omniprésents, à l’échelle mondiale ! Pour protéger leur recueil de faits, fruit de plusieurs années de travail, ils l’ont fait sceller partout dans le monde sous contrôle juridique et notarial. Aussi au cas où ils seraient poursuivis juridiquement pour leurs témoignages, ce qui n’est pas encore arrivé.

En clair, si on tatouait le symbole de la franc-maçonnerie sur le front de chaque franc-maçon qui se trouve à un levier de commande quelconque, oui, on pourrait rendre visibles les francs-maçons qui se sont infiltrés dans les hautes sphères de notre société. Les peuples seraient choqués alors de constater qu’ils se sont emparés de presque tous les leviers de commande. Ils ne maîtrisent pas seulement l’ensemble du système d’information, de communication et des finances, nos services secrets, nos armées et nos politiciens ; ils dominent également l’économie mondiale, le système de santé mondial, Big-Pharma ; les autorités de surveillance de toutes sortes, l’immense majorité des médias grand public, une grande partie de la culture, en particulier le cinéma, la musique et l’audiovisuel, la télévision, l’espace, etc. Grâce à leurs réseaux secrets et d’entraide mutuelle, ils ont pu s’enrichir en échappant à tous les services fiscaux et acquérir ainsi une telle position de toute-puissance qu’ils ont réussi à s’emparer de la totalité du complexe numérico-financier, c’est-à-dire des principaux flux du capital mondial, et à les soumettre à leur contrôle de fer. Par le biais d’innombrables crises financières manipulées, de dangers de toutes sortes dans un climat de panique simulé, de grands projets bidons et de milliers d’agissements hypocrites et apparemment désintéressés, ils ont pu engranger des bénéfices de crise insoupçonnés, se hisser à la tête de toutes les conquêtes techniques, scientifiques, militaires, etc. Comme les métastases mortelles d’un cancer, ils ont pu s’introduire jusqu’au plus profond des juridictions et de tout ce qui peut être appelé système de sécurité, etc., s’insinuer partout, sans failles !

L’infiltration est tellement avancée qu’il faut partir du principe que toutes les menaces récemment esquissées dans la panique ne sont qu’un jeu de dupes de ces frères de la loge mondiale, qui souhaitent par ce biais imposer leur nouvel ordre mondial, c’est-à-dire leur propre domination du monde. Pour ce faire, ils utilisent notamment les armes météorologiques désormais bien connues, ou les substances cultivées dans leurs propres laboratoires, qui sont à l’origine de toutes les épidémies. La peste porcine, la grippe aviaire, la maladie de la vache folle, la maladie de la langue bleue, la plandémie des chauves-souris appelée SARS-CoV-2 et la variole du singe, etc.

Cette étude fournit des preuves dramatiques qui appuient la thèse selon laquelle les hauts fonctionnaires de presque tous les pays du monde sont tous des membres de la même loge, d’un seul et même réseau de sociétés secrètes et qu’ils doivent donc obéir aux diktats de leurs maîtres suprêmes. Ce documentaire nous fait d’abord traverser les siècles pour que nous réalisions que la plupart de ce que nous avons compris jusqu’à présent comme l’histoire fatidique du monde, n’était probablement qu’un calcul planifié de bout en bout. De nos jours, la logique veut que le printemps arabe, qui vient de se terminer, ainsi que toutes les révolutions de couleur, les épidémies, etc., jusqu’à la guerre actuelle entre la Russie et l’Ukraine, ne sont au fond qu’un seul et même scénario. Il s’agit d’un spectacle stratégique visant à réaliser des objectifs bien plus ambitieux par le biais de tous ces scénarios d’horreur orientés. Quels sont ces objectifs ?

Par exemple, la réalisation, planifiée depuis des siècles, d’une expropriation et d’une soumission totales de toute l’humanité. Par exemple, la réalisation du chaos total planifié depuis longtemps, en vue de l’élimination stratégique de toutes les nationalités. Nous parlons actuellement de la mise en œuvre ciblée d’un plan de plus de 300 ans qui vise à éliminer toutes les monnaies, les religions, les idéologies, les libertés, etc. – un plan ancestral qui, à travers la crise totale, doit permettre son propre nouvel ordre mondial ou domination draconienne du monde. Mais une telle solution ne serait pas acceptée par les peuples sans méfiance, à moins que les menaces les plus fatales, telles que le terrorisme imprévisible, les épidémies, les pandémies, les catastrophes climatiques, les crises financières mondiales, les guerres, les guerres mondiales, etc. ne puissent apparemment être surmontées que par l’établissement d’une domination mondiale draconienne. Ce que le monde ne devrait évidemment jamais savoir, c’est que la quasi-totalité de la terreur a été organisée par ceux qui se présentent soudain comme la seule issue et le sauveur du monde. Parmi les innombrables mensonges et les sacrifices impitoyables, qui sont d’ailleurs monnaie courante dans la franc-maçonnerie de haut niveau, ce grand spectacle doit donc servir un seul grand but final : l’établissement de la domination mondiale de cette même société secrète qui, d’une main invisible, dirige tout depuis longtemps. Cette tactique de la direction politique des peuples par une seule main pour ainsi dire cachée, est d’ailleurs retenue symboliquement, comme nous le verrons abondamment par la suite, dans la franc-maçonnerie depuis Napoléon 1er. D’innombrables hommes d’État et hauts fonctionnaires se sont en effet fait dessiner, peindre ou photographier comme Napoléon, avec une main dans le gilet.

Il semble n’y avoir qu’un seul chemin pour venir à bout à temps de cette conspiration mondiale vieille de plusieurs siècles : La communauté mondiale trompée et pillée doit écrire les noms de tous ses pillards afin que ceux-ci puissent être jugés et privés de leur pouvoir lors d’un tribunal mondial décrété par le peuple – un Nuremberg 2.0 en quelque sorte. Avant que ces conspirateurs mondiaux ne puissent prochainement dépouiller les peuples de leurs derniers biens et de leurs dernières libertés, les peuples doivent confondre ces sournois prédateurs au sujet de leur banditisme, de sorte que tous les biens et terres qu’ils ont volés (en effet une grande partie de la surface du monde leur appartient déjà) et que tous leurs capitaux puissent être confisqués. Il est nécessaire de proclamer une annulation mondiale de la dette pour les peuples trompés. Toutes les dettes causées par cette injustice peuvent facilement être payées par les biens volés de ces pilleurs. Si les peuples ne le font pas très rapidement à leur encontre, ces conspirateurs le feront certainement encore de nos jours à l’encontre de tous les peuples !

Depuis que les milieux de l’information libre ont commencé à dévoiler ces réseaux maçonniques qui infiltrent tout sur la toile mondiale, d’innombrables preuves pertinentes sont constamment bannies d’Internet, effacées, censurées ! Il faut signaler ici que tous ces censeurs se rendent ainsi coupables de complicité de génocide. Ils seront certainement accusés de complicité lors des prochains procès Nuremberg 2.0.

En effet, chaque jour, des milliers d’informations pertinentes disparaissent de la toile à cause d’eux, et au lieu de preuves vitales sur ce complot réel, on trouve maintenant des textes et des vidéos qui minimisent systématiquement la franc-maçonnerie, la protègent, la justifient, et même la glorifient. Jetons donc un coup d’œil à quelques-uns de ces titres qui apparaissent en premier sur Google. Si on demande par exemple : « Quel est le danger de la franc-maçonnerie ? » Que se passe-t-il alors ?

Aussitôt, la Deutschlandfunk titre de manière extrêmement rassurante : « Les francs-maçons – des pierres pour un monde meilleur » – et puis cette même Deutschlandfunk associe intelligemment, dès le sous-titre, tout critique de la franc-maçonnerie aux nazis antisémites : « Donc, il a toujours été clair pour les nazis : les juifs et les francs-maçons, ils sont de mèche… »

Le magazine GEO Plus réhabilite lui aussi les sociétés secrètes dès son titre :
« Francs-maçons : une société secrète sans un seul secret »

Les francs-maçons pratiquants préfèrent s’auto-présenter avec ce slogan :
« Francs-maçons : le sens et le but est l’amélioration de soi »

Même les soi-disant experts en religion, qui stigmatisent habituellement toutes les sectes d’arrière-cour, même les plus inoffensives, enlèvent leur mise en garde contre la franc-maçonnerie en tant que secte et la minimisent considérablement dès le titre – et les experts en religion doivent bien le savoir.
« La franc-maçonnerie a perdu de son importance »

Le Centre fédéral pour l’éducation politique condamne également, dès son surtitre, toute référence à un réseau maçonnique influent comme un simple mythe. « Les francs-maçons – le mythe d’un réseau influent »

Et c’est avec cette petite sélection parmi d’innombrables autres dénigrements sur le web que nous nous lançons maintenant, dans la réalité ! Nous vérifions notamment si les réseaux maçonniques ne sont en fait qu’un mythe sans influence significative.
Nous nous intéressons tout particulièrement à la question de savoir si l’intérêt des francs-maçons pour la politique est vraiment aussi faible que ce qui est affirmé avec insistance sur toutes sortes de sites web maçonniques originaux comme celui qui suit – également dans son surtitre :
« La franc-maçonnerie n’est pas un mouvement politique et n’est pas un groupe de pression »
« Les loges et les grandes loges ne formulent pas de programmes et ne prennent pas part aux débats politiques partisans »

En outre, les francs-maçons de haut niveau aiment dissimuler la vérité en disant par exemple : « En fait, nous ne sommes pas des« loups déguisés en moutons », mais plutôt des « moutons déguisés en loups », dont la dangerosité est bien en deçà de l’image qu’en donnent la littérature et les médias.

Mais il est bien connu que l’on reconnaît chaque arbre à son fruit. La question est donc la suivante : Quels sont les fruits de la franc-maçonnerie ? En d’autres termes, quels francs-maçons ont incarné quelles œuvres dans l’histoire mondiale passée et présente ? Cela seul compte et est important !

Nous avons commencé nos recherches à partir du 18e siècle : Nous nous sommes d’abord intéressés à la question de savoir si les francs-maçons n’étaient effectivement pas actifs sur le plan politique, comme ils le prétendent toujours solennellement. Mais les premières enquêtes nous ont déjà prouvé le contraire : où que l’on cherche parmi les hauts fonctionnaires : francs-maçons, francs-maçons, francs-maçons ! Des francs-maçons sur tous les fronts politiques, militaires et juridiques : Ils ont mené de leurs propres mains des révolutions en première ligne, infiltrant les plus hauts postes politiques dans tous les pays que nous avons examinés. Voici quelques exemples pratiques :

Les renversements politiques suivants entre le 18e et le 20e siècle ont été directement inspirés et initiés par les francs-maçons :
1789: en France, par Mirabeau, Robespierre, Danton.
1812: Au Venezuela par Miranda
1821: En Colombie par Simón Bolívar. Bolívar est même surnommé aujourd’hui le « George Washington d’Amérique du Sud ».
Il faisait par exemple partie de la « Loge n°2 » au Pérou, appelée « Order and Liberty ».
1850: Renversement au Portugal par Magalhaes.
1860: En Italie par Mazzini et Garibaldi.
1896: Aux Philippines par José Rizal.
1918: En Hongrie par Bela Kun et Kossuth.
1923: En Turquie par Kemal Pacha Atatürk.
1926: Renversement au Portugal par Magalhaes.

Tous les subversifs que je viens de citer étaient effectivement des frères de loge !

Ce documentaire prouve que l’influence politique et générale de la franc-maçonnerie est très ancienne, qu’elle a déjà traversé nos siècles de manière atroce et qu’elle commence à porter ses fruits les plus meurtriers à l’heure actuelle. Avant de nous pencher sur leurs dérives récentes, regardons encore un peu autour de nous, du 17e au 19e siècle : par exemple, il est prouvé qu’au moins tous ces présidents américains étaient francs-maçons. Et comme on le sait, les présidents américains ont mené pas moins de 219 guerres d’agression et l’un deux – un franc-maçon – a largué les premières bombes atomiques du franc-maçon Alfred Einstein sur Hiroshima et Nagasaki.

Voir www.kla.tv/9250, 219 guerres américaines en comparaison de celles de la Russie, de la Chine, de l’Iran et de l’Allemagne

Sous leur photo, leur appartenance à une loge est chaque fois affichée – remarquez toujours la main cachée :

Des présidents des États-Unis francs-maçons

George Washington (1732-1799),
1er président des États-Unis
Maître de chaire de la « Alexandria Lodge ».
Il a prêté serment à la Constitution  sur la Bible de la « St. Johns Loge N° 1 » de New York.

James Monroe (1758-1831),
5e président des États-Unis
« Williamsburg Lodge n° 6 » en Virginie
Colonel pendant la guerre d’indépendance, ami de Jefferson, ambassadeur à Paris, Londres et Madrid

Andrew Jackson (1767-1845),
7e président des États-Unis
Grand Maître de la « Grande Loge du Tennessee »
Il a combattu les Anglais, les Indiens et les Espagnols
Il a soutenu le déplacement forcé des Indiens d’Amérique (en particulier des Cherokees) de leur pays d’origine.

James Knox Polk (1795-1849),
11e président des États-Unis
« Columbia Lodge n° 31” » à Columbia, Tennessee
Avocat
Il avait approuvé la guerre entre les États-Unis et le Mexique (1846-1848).

Pierce Franklin (1804-1869),
14e président des États-Unis
avec signe de la main d’appartenance à une loge maçonnique

James Buchanan (1791-1868),
15e président des États-Unis
« Lodge n° 23 » à Lancaster, Pennsylvanie
Avocat, sénateur

Andrew Johnson (1808-1875),
17e président des États-Unis
Franc-maçon 32e grade: il a été admis à l’âge de 43 ans dans la « Greenville Lodge n° 11 » au Tennessee
Membre honoraire de la Grande Loge de Floride
Il a gracié Albert Pike, le chef du rite maçonnique écossais, qui était recherché par le gouvernement américain pour haute trahison.

Rutherford B. Hayes (1822-1893),
19e président des États-Unis
Signe de main d’appartenance à la loge

James A. Garfield (1831-1881),
20e président des États-Unis
Franc-maçon 14e grade : membre de la « Magnolia Losge n° 20 » à Columbia (Ohio)
Général de division, avocat, sénateur, victime d’une tentative d’assassinat.

William McKinley (1843-1901),
25e président des États-Unis ‚Hiram Loge Nr. 21‘ in Winchester, Virginia
« Hiram Lodge n° 21 » à Winchester, Virginie
Avocat
Il a encouragé une politique qui a conduit l’Amérique à la guerre impérialiste hispano-américaine.

Theodore Roosevelt (1858-1919),
26e président des États-Unis
En tenue de franc-maçon
« Matinecock Lodge n° 806 » à Oyster Bay dans l’État de New York
Architecte de l’expansionnisme impérial américain.
Il a encouragé l’expansion japonaise en Asie.

William Howard Taft (1857-1930),
27e président des États-Unis
Membre de la « Kilwinning Lodge n° 356 » à Cincinnati
Il a joué un rôle important dans la militarisation et l’expansion du Japon impérial.

Warren G. Harding (1865-1923),
29e président des États-Unis
Membre de la « Marion Lodge n° 70 » à Marion (Ohio)

Franklin Delano Roosevelt (1882-1945),
32e président des États-Unis
Membre de la « Holland-Lodge n° 8 » à New York
Il a menti pour entraîner l’Amérique dans la Seconde Guerre mondiale.

Harry S. Truman (1884-1972),
33e président des États-Unis
Responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945
Membre de la « Belton Lodge no 450 » dans le Missouri
Fonda plus tard la « Grandview Lodge n°618 ».
Il a été promu Grand Maître du Missouri en 1940.
C’est la deuxième fois dans l’histoire des États-Unis qu’un ancien Grand Maître devient prési-dent ; le premier était Andrew Jackson plus d’un siècle auparavant.

Lyndon B. Johnson (1908-1973),
36e président des États-Unis
Johnson a été admis dans une loge au Texas en 1937.
Il a participé à la dissimulation des faits concernant « l’incident » de l’USS Liberty (1967).
Il a été impliqué dans l’assassinat de John F. Kennedy.

Gerald R. Ford (1913-2006),
38e président des États-Unis
« Malta Lodge no 465 » à Grand Rapids.
En 1975, il a été nommé Grand Maître honoraire de « l’Ordre maçonnique de Molay ».
Enseignant, député, sénateur
Il a joué un rôle crucial dans la dissimulation (des faits réels) de l’assassinat de John F. Ken-nedy.
En 1970, Newsweek a appelé Gerald Ford au Congrès « l’homme de la CIA »

George H. W. Bush (1924-2018),
41e président des États-Unis
Membre des super-loges HATHOR PENTALPHA et THREE EYES
Il a été directeur de la CIA de 1976 à 1977.
Il a armé Saddam Hussein jusqu’aux dents avec des armes chimiques qui ont été déversées en grande quantité sur le peuple iranien pendant la guerre imposée par les États-Unis dans les années 1980 (guerre Iran-Irak).

Bush a répété au moins cinq fois le mensonge des couveuses, qui a eu une grande influence sur l’opinion publique américaine et a conduit à ce que les Américains soutiennent largement la participation à la première guerre en Irak (également appelée deuxième guerre du Golfe).

Après ces preuves à peine effleurées « du peu d’influence directe des francs-maçons sur la politique », selon ce qu’ils affirment, on pourrait prétendre que ce n’est le cas qu’aux Etats-Unis et nulle part ailleurs.
Pour répondre à cette objection éventuelle, nous allons tout de suite faire un tour d’horizon international et constater depuis combien de temps des francs-maçons de haut niveau sont présidents d’autres pays. Ces constatations sont d’ailleurs importantes pour que nous puissions comprendre par la suite le sens et le but de cette divulgation. Depuis des siècles, un réseau international de chefs d’État issus de la franc-maçonnerie de haut niveau a pu se former, dont l’un des objectifs déclarés dès le début était le gouvernement mondial unique et donc l’abolition de tous les États-nations, mais aussi l’abolition de l’argent liquide, l’abolition de toutes les religions afin d’amener le monde à sa religion mondiale unique et bien d’autres choses encore. Mais revenons-en à la question :

Y a-t-il eu ou y a-t-il des francs-maçons de haut niveau en tant qu’hommes d’État, c’est-à-dire avec une influence politique directe, dans d’autres pays ?

Les hommes d’Etat francs-maçons dans d’autres pays :

Yat-sen Sun, de son vrai nom Sun Wen (1866-1925),médecin et homme d’État, leader de la révolution chinoise de 1911, 1er président de la République chinoise, fondateur et leader du Kuomintang (Parti du peuple). Membre de la société secrète « Hong » (Triade) et d’une loge maçonnique. (probablement américaine).

Chiang Kai-shek ou Jiang Jieshi (1887-1975)
dirigeant chinois du parti Kuomintang. S’est enfui à Taiwan avec le trésor national après sa défaite et y a gouverné la république de manière dictatoriale dans le but de reconquérir toute la Chine. Membre de la « Pagoda Lodge » dans le Massachusetts.

Sir Arthur Wellesley de Wellington (1769-1852), Premier ministre britannique, maréchal de camp, vainqueur à Waterloo (avec Blücher). A été admis dans une loge en Irlande, mais a ensuite renié son appartenance.

Jérôme Bonaparte (1784-1860),
roi de Westphalie.
Membre de la loge « La Paix » à Toulon.

Joseph Bonaparte, (1768-1844),
roi d’Espagne, frère de Napoléon Ier.
Grand Maître du Grand Orient.

Louis Bonaparte, (1778-1846), roi de Hollande.
Deuxième Grand Maître assigné du Grand Orient.

Joseph Jacques Césaire Joffre, (1852-1931), commandant en chef français pendant la Première Guerre mondiale, maréchal de France.
Membre de la loge « Alsace-Lorraine » à Paris.
Marquis de La Fayette (1757-1834), général français pendant la guerre d’indépendance américaine.
Membre d’une loge militaire à Morristown et de la loge « Contrat Social » en France.

Élie Decazes (1780-1860), Premier ministre de la France sous Louis XVIII, pair de France.
Il était grand commandeur de l’ordre maçonnique des hauts grades AASR.

Léon Victor Auguste Bourgeois (1851-1925), Premier ministre français, homme d’État, pacifiste, membre permanent de la Cour d’arbitrage de La Haye, premier président de la Société des Nations. Prix Nobel de la paix en 1920,
Membre de la loge « Sincérité » à Reims.

Manuel Valls, Premier ministre en France de 2012 à 2016.
Membre des loges« Grand Orient de France », « Edmund Burke », « CompassStar-Rose/Rosa-Stella Ventorum », « Der Ring ».

Alexandre Vassilievitch Souvorov (1729-1800), comte de Rimnikski, prince Italiski, généralissime russe (position de commandant en chef), a vaincu les Français en Italie du Nord, passage des Alpes avec des pertes, commémoré par le monument près du pont du Diable.
Membre de loges à Saint-Pétersbourg et Königsberg.

Abdelkader ibn Muhieddine (1808-1883), prince kabyle d’Algérie, émir arabe qui s’est distingué par son esprit chevaleresque lors des guerres coloniales contre la France et a sauvé des milliers de personnes lors des massacres de chrétiens à Damas.
Membre de la loge parisienne « Henri IV » et de la loge « Les Pyramides d’Egypte ».

Salvador Allende (1908-1973), président du Chili, il s’est suicidé lors du coup d’État du général Pinochet.

Emmanuel Grouchy, marquis de Grouchy (1766-1847), maréchal de France. Napoléon l’a rendu responsable de la défaite de Waterloo.

Eduard Beneš (1884-1948), cofondateur et ministre des Affaires étrangères de la République tchécoslovaque, Premier ministre, président de la République. A organisé la résistance contre l’Autriche avec Masaryk.
Membre de la loge « Pravda Vítezí ».

Joseph-Ignace Guillotin (1738-1814), médecin, inventeur de la guillotine.
Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ». (1778-1846)

Henri Lafontaine (1854-1943), vice-président du Sénat belge, l’un des fondateurs et président du Bureau international de la paix, prix Nobel de la paix en 1913.
Membre de la loge bruxelloise « Les Amis Philanthropes ».

Jakob Friedrich Fritsch (1731-1814), ministre d’État et président du Conseil privé à Weimar.
Commandeur de la maison (maître de chaire) de la loge « Amalia » sous la « Stricte Obser-vance ».
Frédéric II le Grand, roi de Prusse (1712-1786).
Il est devenu franc-maçon alors qu’il était prince héritier.

John Edgar Hoover (1895-1972), directeur du FBI.
Membre de la « Federal Lodge n° 1 » et de la « Justice Lodge n° 46 » à Washington D.C.

Sir Winston Churchill (1874-1965), homme d’État anglais, Premier ministre.

Richard Coudenhove-Kalergi (1894-1972), fondateur du mouvement Paneurope visant à la création d’une confédération européenne, a été admis dans une loge à Vienne en 1922.

Aleister Crowley de son vrai nom Edward Alexander. Sataniste suprême avoué, successeur de Reuss Chef de l’OTO, se faisait appeler « Baphomet », a écrit la « Messe gnostique » et de nombreux livres sur l’ésotérisme maçonnique, spiritualiste et magique.

Albert Pike (1809-1891), général de brigade des États du Sud pendant la guerre civile américaine.
Franc-maçon 33e grade et sataniste avoué. Grand commandant de la juridiction du sud. Chef de l’Ordre de haut rang AASR.

Giuseppe Garibaldi (1807-1882), homme d’État et révolutionnaire italien.
1er Grand Maître du rite de Memphis-Misraïm.

Giuseppe Mazzini (1805-1872), avocat, combattant italien de la liberté.
Co-compagnon d’armes de Garibaldi et destinataire de la lettre d’Albert Pike, dans laquelle ce dernier, en tant que Général d’armée, planifiait exactement trois guerres mondiales. Les deux premières guerres mondiales se sont déroulées exactement selon sa planification.
Mazzini était à la tête de l’Ordre des Illuminati depuis 1834, membre et membre d’honneur de nombreuses loges.
Lors de ses funérailles, des drapeaux maçonniques ont été portés pour la première fois dans les rues de Rome.

Camillo Benso, comte de Cavour (1810-1861), homme d’État italien, a soutenu le combat de Garibaldi, véritable créateur d’une Italie unie.
Francs-maçons, comme beaucoup de ses compagnons d’armes.

Enrico Fermi (1901-1954), physicien italien, co-développeur de la bombe atomique en Amérique, prix Nobel de physique en 1938.

Alexandre Gustave Eiffel (1832-1923), ingénieur français, constructeur de la Tour Eiffel (forme = obélisque maçonnique).

C’est par de telles sociétés secrètes que la communauté mondiale a été dominée en tout depuis des siècles, bien qu’elles prétendent dur comme fer que :
la franc-maçonnerie aurait fait son temps, n’existerait pour ainsi dire plus que sur le papier.

De plus, les francs-maçons et les médias publics affirment que l’ordre secret Skull & Bones n’est qu’une petite blague d’étudiants sans importance et que quiconque prétend le contraire est un dangereux complotiste. Voyons donc maintenant qui se trouve à peu près dans cette société secrète tout à fait inoffensive – par manque de temps, nous ne citons que quelques petits exemples représentatifs. Ces exemples suffisent toutefois amplement à démontrer le mensonge sous-jacent, toujours minimisé.

Membres avérés de la société secrète Skull & Bones

William Howard Taft
Entré en fonction en tant que président en 1909. 27e président des États-Unis,
Juge en chef des États-Unis, (Entré en fonction en 1921)
Secrétaire d’État américain à la guerre.

George Herbert Walker Bush
Entré en fonction en tant que président en 1989. 41e président des États-Unis,
Directeur de la CIA, (Entré en fonction en 1976)
Ambassadeur de l’ONU,
Ambassadeur des États-Unis en Chine.

George W. Bush
Entré en fonction en 2001. 43e président des États-Unis.

William M. Evarts
Entré en fonction en 1868. Ministre de la Justice des États-Unis, secrétaire d’État des États-Unis, sénateur des États-Unis.

Potter Stewart
Entré en fonction en1958. Juge à la Cour suprême des États-Unis.

Morrison R. Waite
Entré en fonction en 1874. Président de la Cour suprême des États-Unis.

Simeon Eben Baldwin
Entré en fonction en 1907. Juge en chef de l’État du Connecticut et gouverneur.

F. Trubee Davison
Entré en fonction en 1951. Directeur du personnel de la CIA.

Henry L. Stimson
Entré en fonction en 1911. Secrétaire d’État américain à la guerre, secrétaire d’État américain.

William Collins Whitney
Entré en fonction en 1885. Secrétaire de la marine américaine et financier de la ville de New York.

Prescott Bush
Entré en fonction en 1952. Sénateur américain du Connecticut et banquier.

John Kerry
Entrée en fonction en 1985. Sénateur américain et candidat du parti démocrate à la présidence des États-Unis en 2004.

John Sherman Cooper
Entré en fonction en 1946. Sénateur américain et membre de la Commission Warren.

Jonathan Brewster Bingham
Entré en fonction en 1965. Sénateur américain.

James L. Buckley
Entré en fonction en 1970. Sénateur américain.

John Chafee
Entré en fonction en tant que sénateur en 1976. Sénateur américain, Secrétaire à la Marine et gouverneur de Rhode Island ; père du sénateur américain Lincoln Chafee.

David Boren
Entré en fonction en 1979. Sénateur américain.

Timothy Dwight V
Entré en fonction en 1886. Président de l’Université de Yale.

Lord Winston
Entré en fonction en 1977. Président du Council on Foreign Relations.
Ambassadeur des États-Unis en Chine et assistant du secrétaire d’État américain.

Percy Avery Rockefeller
Débuts d’homme d’affaire en 1900. Directeur de Brown Brothers Harriman (Banque privée),
Standard Oil et Remington Arms.

Averell Harriman
Entré en fonction en1943. Ambassadeur des États-Unis et secrétaire américain au Commerce, gouverneur de New York, président et président du conseil d’administration de l’Union Pacific Railroad, de Brown Brothers Harriman et de la Southern Pacific Railroad.

Franklin MacVeagh
Entré en fonction en 1909. Secrétaire au Trésor américain sous la présidence de William Howard Taft.

Ce que peu de gens savent, c’est l’appartenance aux loges des révolutionnaires et assassins de masse suivants :

Napoleon Bonaparte (1769-1821)
Entré en 1798 dans la « Loge Philadelphe de l’Armée ».
Ses frères Joseph, Lucian, Louis et Jérôme étaient également francs-maçons. Cinq des six membres du Conseil suprême de l’Empire de Napoléon étaient francs-maçons, tout comme six des neuf officiers impériaux et 22 des 30 maréchaux de France. Les liens de Bonaparte avec la franc-maçonnerie ont toujours été minimisés dans les documents historiques.

Napoleon III (1808-1873)
Franc-maçon et empereur de France, 1852-70. Membre du Rite Écossais Ancien et Accepté de France.
Note : également connu sous le nom de Louis-Napoléon Bonaparte

Karl Marx (1818-1883)
Karl Marx, le fondateur du com¬munisme, était un franc-maçon 32e grade Grand Orient. Il a causé la mort de plus de 100 millions de personnes.

Josef Stalin (1878-1953),
Véritable nom : Joseph Vissarionovitch Djougachvili
Le règne de terreur de Staline à travers les « purges » a coûté la vie à plus de 20 millions de ses propres compatriotes. Il est souvent représenté sur les photos avec le geste de la main cachée. Aucun document officiel n’a pu être trouvé prouvant l’initiation de Staline à la franc-maçonnerie. Bien sûr, les dictateurs comme Staline contrôlaient strictement toutes les informations le concernant et concernant ses affaires, ce qui rend difficile de prouver quoi que ce soit.
Staline et Washington – deux idéologies opposées, un même geste de la main.

Vladimir Ilitch Lénine (1870-1924)
Précurseur de la sanglante révolution communiste russe de 1917. Selon l’historien Sergueï Volkov, les bolcheviks ont assassiné jusqu’à deux millions d’opposants après l’attentat manqué contre Lénine.
Loge : Joseph de Maistre, Art et Travail, Der Ring

Léon Trotski (1879-1940)
De son vrai nom = Leo Davidovich Bronstein : stratège de la guerre civile, criminel de guerre et meurtrier de masse.
Loge : Art et Travail

Tournons-nous encore un peu vers les temps modernes et examinons quelques noms connus de la politique de pointe. Pour chaque nom, il y aurait un registre de crimes si long qu’il n’y aurait pas assez de temps au monde pour en décrire tous les détails. Dans ce documentaire, il s’agit uniquement de prouver que la franc-maçonnerie n’est en aucun cas une société secrète sans intérêt politique et sans secret :

Francs-maçons à la tête des décennies passées jusqu’à aujourd’hui :

Gustav Walter Heinemann (1899-1976)
1969 Il était un franc-maçon actif
3e président de la République fédérale d’Allemagne.
Heinemann était également ministre de la Justice et exerçait en tant que tel une influence extrêmement pernicieuse : Il a par exemple aboli le paragraphe sur la pornographie dans sa forme existante et a ainsi libéralisé l’ensemble du droit pénal en matière sexuelle.Une vague d’impureté d’une ampleur sans précédent s’est alors déversée sur nos pays. Des centaines de millions de personnes ont perdu en peu de temps leur capacité naturelle à aimer, des dizaines de millions de relations amoureuses précieuses, de mariages et de familles ont volé en éclats. Des désirs animaux ont remplacé des relations auparavant pleines d’amour – une insensibilité inconcevable, la froideur, la haine ont remplacé une humanité responsable. Aujourd’hui, des centaines de millions d’enfants vulnérables de moins de 12 ans s’ébattent déjà régulièrement sur des sites pornographiques pernicieux sur Internet. Le bénéfice financier tiré par les exploitants de ces sites se chiffre chaque année en milliards de dollars. Il ne s’agit là que de la partie émergée de ce gigantesque iceberg. Les dommages réels causés dans le monde entier par ce seul franc-maçon ne pourraient pas être décrits de manière exhaustive pendant des jours.

Harry S. Truman, (1884-1972)
33e président des États-Unis, de 1945 à 1953.Il a porté la responsabilité du largage de la première bombe atomique en 1945. Rien qu’à cause de ce seul acte de ce franc-maçon de haut rang, des dizaines de milliers de civils sans défense ont été détruits instantanément. Il a détruit de façon définitive et impitoyable des centaines de milliers de familles sans défense. Dans les décennies qui ont suivi, des dizaines de milliers d’autres innocents ont été victimes de la contamination nucléaire.
Et tout cela après que les militaires américains et le président Truman avaient déjà été informés de l’incapacité de combattre du Japon et de sa volonté de capituler.
En effet, 60% des grandes villes japonaises étaient déjà détruites, de même que la majeure partie de la flotte et des forces aériennes. C’est pourquoi les Japonais ont demandé des négociations de paix. Les bombardements d’Hiroshima et de Nagasaki étaient donc totalement inutiles d’un point de vue militaire. Cela a également été confirmé par le général américain Curtis Le May, le commandant responsable des bombardements. Lors d’une conférence de presse le 20 septembre 1945, il a déclaré textuellement : « La guerre aurait pris fin en deux semaines, sans l’invasion des Russes et sans les bombes atomiques. Les bombes atomiques n’ont absolument rien à voir avec la fin de la guerre. » (https://www/kla.tv/13009)
Et voici d’autres exemples du passé récent.

Nicolas Sarkozy,
Président français (2007-2012)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah », « Atlantis-Aletheia », « Pan-Europa »,« Hathor Pentalpha ».

Wladimir Putin, Président russe
Appartenance à la Super-loge « Golden EURASIA »

Angela Merkel,
Chancelière allemande (2005-2021)
Appartenance aux loges « Golden EURASIA », « Valhalla », « Parsifal »

Condoleezza Rice,
Secrétaire d’État des États-Unis (1997-2001)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Hathor Pentalpha »

Madeleine Albright,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Leviathan » (SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE)

Tony Blair,
Premier ministre du Royaume-Uni (1997-2007)
Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Hathor Pentalpha »

David Cameron,
Premier ministre du Royaume-Uni (2010-2016) Appartenance aux loges « Edmund Burke », « Geburah ».

Abu Bakr al-Baghdadi – un chef de l’EI,
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha ».

Mariano Rajoy,
Premier ministre d’Espagne (2011-2018)
Appartenance aux loges « Pan-Europa », « Valhalla », « Parsifal ».

Antonis Samaras,
Premier ministre de la Grèce (2012-2015). Appartenance à la loge « Three Eyes »

Wolfgang Schäuble,
Ministre allemand des Finances (2009-2017). Appartenance à la loge Joseph de Maistre, fondée par Lénine, DER RING

Barack Obama, Président des États-Unis (2009-2017)
Appartenance à la loge « Maat » = Super-Loge de Zbiegniew Brzezinski fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Christine Lagarde,
Présidente de la Banque centrale européenne (BCE) et ancienne directrice du FMI Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

George W. Bush, jr.
Président des États-Unis (2001-2009)
Appartenance à la loge « Hathor Pentalpha »

Michael Ledeen,
Journaliste américain
Appartenance aux loges « Three Eyes », « Pan-Europa »

Bill Gates
Fondateur de Microsoft et de la Fondation Bill & Melinda Gates
Appartenance aux loges « White Eagle », « Hathor Pentalpha »

D’autres politiciens et personnalités de premier plan avec leur appartenance à des loges

David Rockefeller
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Henry Kissinger
THREE ARCHITECTS / THREE EYES

Zbigniew Brzeziński
LUX AD ORIENTEM
THREE ARCHITECTS / THREE EYES
Super-Loge fondée en tant que compromis entre les conservateurs et les progressistes francs-maçons.

Edmond Adolphe de Rothschild (1926-1997)
THREE EYES

Bill Clinton
MAAT
COMPASS STAR-ROSE

Gerhard Schröder
HATHOR PENTHALPHA
GOLDEN EURASIA
PARSIFAL
FERDINAND LASALLE

Max Warburg
PAN-EUROPA

Albert Einstein
PAN-EUROPA

Friedrich von Hayek
THREE EYES
EDMUND BURKE
WHITE EAGLE

William Egan Colby
THREE EYES

Alexander Meigs jr. Haig
THREE EYES
WHITE EAGLE

Paul Volcker
THREE EYES

William Hedgcock Webster
THREE EYES

Martin Winterkorn
THREE EYES
VALHALLA

Alexander Dubček (1921-1992)
GOLDEN EURASIA

Neil Armstrong
JANUS
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Otto Graf Lambsdorff
THREE EYES

Helmut Schmidt
FERDINAND LASSALLE

Olaf Scholz (*1958)
PARSIFAL
ATLANTIS-ALETHEIA

Philipp Rösler (*1973)
THREE EYES
PARSIFAL

Mario Draghi
DER RING

Dr. Jens Weidmann
DER RING

Bruno Bauer
Appartenant au communisme maçonnique.

Nikita Sergueïevitch Khrouchtchev
GOLDEN EURASIA

Václav Havel
GOLDEN EURASIA

Mikhaïl Gorbatchev
GOLDEN EURASIA

Helmut Kohl
Frère de haut rang
Konrad Adenauer
Frère de haut rang

Eduard Shevardnadze
GOLDEN EURASIA

Boris Eltsine
LUX AT ORIENTEM

Jegor Gaidar
LUX AD ORIENTEM
Oussama ben Laden
THREE EYES

Margaret Thatcher (1925-2013)
EDMUND BURKE

Philipp Hildebrand
HATHOR PENTALPHA

Jacques Chirac
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Robert Rubin
SUPER-LOGE OLIGARCHIQUE

Edward Kennedy
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

Yitzhak Rabin
SUPER-LOGE PROGRESSIVE

François Mitterrand
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Raúl Alfonsín
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Jacques Delors
SUPER-LOGE DÉMOCRATIQUE

Robert S. McNamara
JANUS

Lyndon B. Johnson
JANUS

Sultan d’Oman
HATHOR PENTALPHA

Emir de Bahrain
HATHOR PENTALPHA

Des princes saoudiens, membres de HATHOR PENTALPHA
Abd Allah bin Abdulaziz Al Saud
Salman bin Abdulaziz Al Saud
Muqrin bin Abdulaziz Al Saud
Khalid al Faisal Al Saud
Nawwaf bin Abdulaziz Al Saud
Muhammad bin Nayef bin Abdulaziz Al Saud

D’Iran, membres de HATHOR PENTALPHA
Ali Akbar Hāschemi Rafsandschāni
Mohammad Momen
Gholam-Hossein Mohseni-Ejei
Heydar Moslehi
Mahmoud Alavi
Valiollah Seif
Hamad bin Khalifa Al Thani, Emir von Qatar
HATHOR PENTALPHA
Tamim bin Hamad Al Thani, Sohn des Emirs von Qatar
HATHOR PENTALPHA
COMPASS STAR-ROSE

D’Israël, membres de HATHOR PENTALPHA
Ariel Sharon
David Klein
Stanley Fischer
Moshe Ya’alon

Jan Peter Balkenende
HATHOR PENTALPHA

José María Aznar
HATHOR PENTALPHA

Aleksander Kwaśniewski
HATHOR PENTALPHA

Marcello Pera
HATHOR PENTALPHA

Antonio Martino
HATHOR PENTALPHA

Recep Tayyip Erdogan
HATHOR PENTALPHA

Michael W. R. Dobson (*1952)
DER RING

Jean-Claude Trichet (*1942)
DER RING

Josef Ackermann (*1948)
DER RING

Ben van Beurden (*1958)
DER RING

Laurence (Larry) D. Fink (*1952)
DER RING
HATHOR PENTALPHA

Lloyd Blankfein (*1954)
DER RING

Alexandre Lamfalussy (*1929)
DER RING

Robert Zoellick (*1953)
DER RING

Étienne Davignon (*1932)
DER RING

Irene Rosenfeld (*1953)
DER RING

Peter Mandelson (*1953)
DER RING

Lord Jacob Rothschild
DER RING
EDMUND BURKE

Nathaniel Philip Rothschild (*1971)
DER RING
EDMUND BURKE

Nathan Mayer Rothschild
EDMUND BURKE

Premier groupe non officiel de la future Loge HATHOR PENTALPHA :
George H. W. Bush
Jeb Bush
Samuel P. Huntington
Donald Kagan
Robert Kagan
Douglas Feith
Richard «Dick» Cheney
Donald Rumsfeld
Irving Kristol
William Kristol
Dan Quayle
Paul Wolfowitz
Richard Perle
Karl Rove
Bill Bennett

Astronautes francs-maçons

Enfin, il convient également de constater que pas moins de 10 astronautes de renommée mondiale étaient des francs-maçons de haut niveau et des frères de loge.

Buzz Aldrin, Edwin E. (*1930), franc-maçon 32e grade
Astronaute américain (Gemini 12, Apollo 11, pilote de la capsule lunaire «Eagle»), premier homme a marché sur la Lune avec Neil Armstrong.
« Avant son vol sur la lune, Aldrin était déjà devenu franc-maçon, comme de nombreux astronautes américains avant lui, à la Montclair Lodge n° 144 dans le New Jersey. Plus tard, il s’est affilié à la Clear Lake Lodge n° 1417 à Seabrook, Texas ».

Glenn, John (*1921),
Astronaute (Mercury 6, 6, Première orbite autour de la Terre), Senator, STS-95
Concord Loge No. 688. New Concord, Ohio

Schirra, Walter M. (*1923),
Astronaute (Mercury 8, Gemini 6, Kdt. Apollo 7)
Canaveral Loge n°. 339 Cocoa Beach, Florida

Grissom, Virgil I. (1926-1967),
Astronaute (Mercury 4, Liberty Bell 7, Gemini 3)
Mitchell Lodge n°. 228 Mitchell, Indiana

Cooper, L. Gordon Jr. (*1927),
Astronaute (Mercury 9, Faith 7, Gemini V)
Membre de la «Carbondale Loge» n°.82 Colorado

Eisele, Donn F. (1930-1987),
Astronaute (Apollo 7)
Luthor B. Turner Loge n°. 732. Columbus, Ohio

Irwin, James B., (1930-1991),
Astronaute (Apollo 15)
Tejon Lodge n°. 104, Colorado Springs

Mitchell, Edgar Dean (*1930),
Astronaute Apollo 14)
Artesia Loge n°. 28 Artesia, New Mexico

Stafford, Thomas P. (*1930),
Astronaute (Gemini VII, Gemini IX-A, Apollo 10 + 18)
Western Star Loge n°. 138 Waterford, Oklahoma

Weitz, Paul J. (*1932),
Astronaute (Skylab 2, Challenger -STS-6)
Lawrence Lodge n°. 708 Erie, Pennsylvania

Sur la base de ce qui a déjà été dit et démontré, le thème de l’alunissage – a-t-il réellement eu lieu ? – et l’explosion de la navette spatiale Challenger 23 revêtent une toute nouvelle acuité. Car au moins six des sept membres de l’équipage de Challenger sont encore en vie, selon le documentaire de Kla.TV « Est-ce que la NASA nous tromperait ? », quatre d’entre eux sous le même nom. Enfin, nous recommandons de visionner les documentaires suivants de Kla.TV. Les peuples sont appelés à participer à des recherches continues sur le thème du complot maçonnique ici et maintenant. Nous vous remercions d’avance pour toute information.

Vidéos conseillées :

https://www.kla.tv/9095 Est-ce que la NASA nous tromperait ? – Quand des astronautes morts ressuscitent
https://www.kla.tv/14599 Mythos oder Wirklichkeit? – Vortrag von Jo Conrad (4. AZK – 27.06.2009) Mythe ou réalité ? – Conférence de Jo Conrad (4e AZK – 27.06.2009) (seulement en allemand)

de is.




« Asservissement » gratuit

[Source : LHK]

Par Liliane Held-Khawam

Le cadeau du Nouvel An : Asservissement en téléchargement gratuit !

Ses justifications « scientifiques » de la pédophilie (viol compris)
n’auront pas empêché le « père de la sexologie » Alfred Kinsey
de faire la Une du Time en août 1953
Avec cela vous comprenez mieux les décisions choquantes de modifications de certaines lois qui réduisent drastiquement les protections de nos mineurs.

Chères lectrices, chers lecteurs,

Je voudrais tout d’abord vous souhaiter une excellente année 2023!

J’espère que malgré tous les clignotants qui passent au rouge, vous trouverez bonheur, santé et paix intérieure.

A titre personnel, j’aime particulièrement le passage de Jean 14 qui dit: « Que votre coeur ne se trouble point. » C’est à mon avis LE conseil le plus utile en ces moments troubles.

Cela ne signifie nullement de faire l’autruche et de pratiquer ce que d’aucuns appellent le déni actif. Ignorer la réalité afin de veiller sur son coeur est pour le moins inutile.

La clé serait à mon sens de s’informer pour se faire une image, présente et future, du modèle organisationnel global. Puis, malgré les dangers potentiels réels qui guettent, empêcher son coeur de se troubler.

Dans le but d’informer au-delà de toutes relations commerciales, l’éditeur et Vincent Held ont décidé de mettre à disposition le PDF de Asservissement. Ainsi, personne ne pourra dire qu’il ne connaissait pas les concepts pathologiques, pour ne pas dire plus, de ce que certains ont prévu pour la société.

asservissement

Ces individus qui bénéficient de moyens historiques foulent au pied l’humanité, la vie qu’elle porte, et toutes formes de respect et de libertés.

De fait, quelques individus, légitimés par des pseudo-scientifiques financiarisés, se considèrent comme des dieux qui ont le droit de disposer des populations pour satisfaire leurs besoins personnels largement pathologiques et pervers.

Prendre en otage l’humanité entière pour pratiquer des expérimentations dangereuses n’a certainement pas à ce jour de qualificatifs dans le dictionnaire. Il faut bien se souvenir, qu’avant les expérimentations covidiennes, d’autres ont eu lieu. Exemple.

Au départ, il y a un professeur de psychologie, Helmut Kentler. Il travaille à Berlin dans un centre de recherche sur l’éducation et se spécialise sur la sexualité infantile. Dans les années 1970, c’est un chercheur respecté qui prône l’émancipation sexuelle dans ses livres et sur les plateaux de télévision allemands. À la même époque, c’est avec l’assentiment des autorités locales qu’il décide de mener à bien une expérience « scientifique » pour laquelle il décide de placer des enfants berlinois sans domicile fixe auprès de pédophiles. Certains « parents d’accueil » ont déjà un casier judiciaire, mais les autorités, là aussi, ferment les yeux. Helmut Kentler justifie son expérimentation par sa conviction que les enfants sont placés dans des familles aimantes et que les rapports sexuels entre enfants et adultes ne sont, selon lui, pas malsains. https://www.ladepeche.fr/2020/06/30/le-scandale-des-enfants-places-chez-des-pedophiles,8956682.php

De fait, nous vivons une situation historique que certains biblistes pourraient identifier en tant que « temps de la fin ». Car à tous les problèmes posés par le Nouveau Monde dont l’ordre se heurte de manière frontale à l’ordre divin, s’ajoutent des menaces tangibles provenant du Système solaire et de ses décharges considérables d’énergie…

https://video.wordpress.com/embed/2eXQ5ltG?cover=1&preloadContent=metadata&useAverageColor=1&hd=1Les ondes de choc solaires peuvent anéantir le monde moderne Suspicious0bservers

Et malgré tout ce qui précède et malgré certaines informations , difficiles à digérer, de Asservissement, je vous souhaite de continuer de bénéficier de votre Paix intérieure.

Avec mes cordiaux messages.

LHK




Soyons dignes de Soljenitsyne, dénonçons l’énorme machine totalitaire du mensonge

[Source : RL]

Par Bernard GERMAIN

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge. »

Ainsi s’exprimait Alexandre Soljenitsyne, célèbre opposant au régime stalinien de l’URSS.

Sa vie fut un exemple, du début à la fin.

Décoré pendant la Seconde Guerre mondiale pour son courage et sa bravoure au combat, il commit, après la fin du conflit, « l’erreur » de critiquer Staline dans une correspondance personnelle et fut condamné pour « activité contre-révolutionnaire » à huit ans de détention dans un camp de travail.

Libéré en 1953, il fut placé en relégation dans un village du Kazakhstan et ne put rentrer en Russie qu’en 1959, après avoir été réhabilité par la Cour Suprême.

Il publia en 1962 Une journée d’Ivan Denissovitch, racontant le quotidien des camps.

Ce livre fit l’effet d’une bombe car c’était le premier ouvrage révélant l’existence de ces camps dans la « patrie du socialisme ».

Malgré la « déstalinisation », il continua d’écrire, notamment sous la forme de « samizdats » (écrits interdits distribués sous le manteau en URSS).

Auteur des célèbres ouvrages Le pavillon des cancéreux et L’archipel du goulag, il reçu en 1970 le Prix Nobel de Littérature.

Déchu de sa nationalité par le régime, il fut obligé de s’exiler pendant 20 ans. D’abord en Europe, mais principalement aux USA, dans le Vermont.

Gorbatchev le réhabilita en 1994, lui permettant de revenir terminer sa vie dans sa patrie.

Il nous a quittés en 2008, laissant derrière lui l’image d’un homme droit et inflexible, inlassable combattant de la liberté et remarquable écrivain qui contribua à faire connaître et à dénoncer le système concentrationnaire de l’Union soviétique.

Certains lecteurs se demanderont peut-être pourquoi je parle de cela ?

La réponse est toute simple : parce que nous vivons dans une société où existe à nouveau « une énorme machine totalitaire du mensonge ».

Chaque jour nous en apporte la preuve :

  • L’essentiel de la presse est dans les mains de quelques milliardaires, tel Xavier Niel – mondialiste convaincu – qui ne cessent d’intoxiquer les citoyens avec les thèses issues de Davos dont l’objectif est indiscutablement de détruire nos nations européennes.
  • Cette même presse est aux ordres des thèses immigrationnistes, depuis les accords de Marrakech (2018), sommée qu’elle est d’avoir un discours pro-immigration sous peine de perdre ses subventions (nos impôts) qui sont les conditions de sa survie, car elle n’a plus que très peu de lecteurs.
  • L’essentiel des médias participent également à diffuser les mensonges d’État, comme c’est le cas avec la crise de l’énergie que nous vivons actuellement, dont les véritables raisons ainsi que les responsables sont soigneusement cachés à la population.
  • Enfin, ils dissimulent également toutes les agressions dont sont victimes nos concitoyens, jour après jour, sur l’ensemble du territoire. Il y a quelques temps, on nous endormait avec le « sentiment d’insécurité ». Mais l’extension du problème à l’ensemble du territoire national, en relation avec une immigration totalement incontrôlée, oblige à nier tout simplement l’existence de ces agressions qui se soldent par des morts et des blessés chaque jour qui passe. Ou à observer un silence absolu sur le sujet.

Quant aux partis politiques, aucun ne dénonce ces faits (sauf ceux « d’extrême droite », comme ils disent).

Enfin, les individus qui dénoncent courageusement cette situation du pays et les affres qu’il subit sont impitoyablement dénoncés, salis, traînés en justice et même violentés pour certains.

L’objectif est limpide : faire taire les opposants par tous les moyens.

Le dernier exemple en date étant Michel Houellebecq qui a osé dire tout haut ce que les Français pensent tout bas : ils souhaitent le départ des immigrés, notamment musulmans.

Pour avoir osé dire cela, plainte a été déposée contre Michel Houellebecq par la Grande Mosquée de Paris, à laquelle d’autres bien-pensants ne manqueront pas de venir s’ajouter.

Lorsque la curée s’annonce, la meute arrive…

Et si tout cela ne suffit pas, et que les Français descendent collectivement dans la rue pour protester, le régime allié à l’extrême gauche envoie ses milices antifas et autres black-blocs afin de terroriser ceux qui auront eu le courage de manifester.

Lorsque nous mettons tous ces éléments bout à bout, on ne peut qu’aboutir à la conclusion qu’une « énorme machine totalitaire du mensonge » existe bel et bien dans notre pays.

Il faut être aveugle ou complice pour le nier.

On me rétorquera peut-être qu’il n’y a pas de camp de travail ou de concentration dans notre beau pays de France et que mon propos est donc outrancier.

J’objecterai qu’il y en a déjà eu et qu’aucune garantie n’existe que cela ne se verra plus.

Par ailleurs, on peut briser la vie de quelqu’un en le tuant socialement.

Combien « d’opposants » ont déjà perdu ainsi travail, famille et réputation ?

Parmi les complices d’aujourd’hui, on retrouve ceux qui, hier, condamnaient Alexandre Soljenitsyne qui osa dénoncer la « patrie du socialisme » et sa « machine totalitaire du mensonge ».

Ceux-là sont d’ailleurs bien silencieux sur leurs positions d’hier.

Cela n’empêche nullement, aujourd’hui, les mêmes de nous dénoncer et vouloir nous détruire.

Alors faisons comme Soljenitsyne.

Même si nous sommes « petits » et avec « peu de force »… dénonçons inlassablement le système des bien-pensants, ainsi que leurs exactions, et « faisons en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge ».

Au reste, les mois qui viennent pourraient bien montrer que nous sommes nombreux à refuser d’être « des points de passage du mensonge ».

Les bien-pensants et les complices sont en droit de s’inquiéter…




Viginum : le plan de l’État français pour le flicage de la dissidence

[Source : jeune-nation.com]

Par Émile Mallien

L’affaire des « Twitter Files » nous démontre la forte collusion ou imbrication entre l’État profond américain et le réseau social Twitter (il en est vraisemblablement ainsi sur les autres plateformes) pour censurer ce que les « élites » et « oligarchies » ne veulent pas voir éclater outre-Atlantique en matière de politique intérieure ou d’affaires étrangères dans leur opinion publique et au-delà. Mais les États-Unis ne sont pas seuls concernés. En France, l’État s’est doté, très discrètement, récemment, d’une politique et d’un organisme qui est destiné à assurer la même veille sur les esprits,  Viginum, sous prétexte de lutte contre le « complotisme » ou les « fake news ».

Pendant que l’on nous abreuve de propos sur la liberté dont nous disposons et que le monde nous envie, le flicage de chacun d’entre nous devient une préoccupation majeure des gouvernements occidentaux, d’autant plus qu’ils sont sur la défensive.

Cela a été mis en place à partir d’une décision du G7, lors du Sommet de Charlevoix (Canada) en 2018, visant à « Relever les défis à la démocratie et à l’ordre international fondé sur des règles », ce qui « exige une coopération internationale » (site du gouvernement du Canada). Le Canada a été chargé par le G7 de coordonner un « mécanisme de réponse rapide » (G7 RRM). Ce RRM Canada est le secrétariat permanent du G7 RRM qui « renforce la coordination du G7 pour identifier et répondre aux menaces étrangères contre les démocraties… Ces menaces comprennent l’activité hostile de l’État ciblant les institutions et les processus démocratiques. Il comprend également l’environnement médiatique et informationnel, ainsi que l’exercice des droits de l’homme et des libertés fondamentales. » L’objectif est de lutter contre la « la désinformation parrainée par des États étrangers ».

Ne nous leurrons pas : derrière ce langage policé, c’est la Russie qui, en premier lieu, est visée, mais aussi tous ceux qui dénoncent la démocratie occidentale qui est le faux nez du pouvoir, chaque jour d’essence de plus en plus dictatoriale d’une oligarchie transnationale, apatride qui a confisqué le pouvoir dans la plupart des États dits Occidentaux. Et les moyens utilisés sont le développement « des outils et des méthodes d’analyse de données communs pour identifier les menaces étrangères » en vue de « renforcer la capacité du G7 RIVIM pour une réponse coordonnée aux menaces étrangères ».

En conséquence, sous prétexte d’éviter les influences étrangères qui pourraient menacer le débat démocratique – entendons l’expression d’opinions qui ne dérangent pas le système – le fichage des « mal-pensants », autrement dit de dissidents est devenu une activité industrielle inspirée du « modèle chinois ». Cela nécessite la mise sous surveillance de toute la population.

Viginum vous surveille

En France, cette opération est confiée à Viginum, une agence placée auprès du Secrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale, anciennement secrétariat général à la Défense nationale, le SGDSN, un organisme interministériel placé sous l’autorité du Premier ministre et créé en 1906.

Viginum a été créée par un décret du 13 juillet 2021 qui fonde un « service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères », au moment même où Macron ostracisait les opposants au piquage avec les produits géniques anti covid.

Les missions de ce service sont exposées par l’article 3 du décret : il doit notamment détecter sur Internet les activités « de nature à altérer l’information des citoyens pendant les périodes électorales », d’assister le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale dans sa mission d’animation et de coordination des travaux interministériels en matière de protection contre ces opérations, de « contribuer aux travaux européens et internationaux ». Nous noterons que ces objectifs sont très flous et permettent de nombreuses interprétations et surtout de nombreuses applications lesquelles, n’en doutons pas, seront de plus en plus intrusives. Viginum est donc l’outil de la propagande gouvernementale sur Internet avec, pour prétexte de faire la chasse aux internautes jugés pro-russes parce qu’ils diffusent une information non conforme à la doxa régimiste.

Nous sommes dans un système d’essence paranoïaque selon lequel celui qui ne partage pas le discours médiatique dominant est un ennemi dangereux.

Le décret établissant les modalités d’action et outils de Viginum a été publié le 9 décembre 2021 au Journal officiel. Il prévoit notamment que Viginum puisse travailler sur les plateformes nécessitant une inscription, comme Facebook, Instagram ou Twitter, Linkedin.

Le texte précise que Viginum « est autorisé à mettre en œuvre un traitement informatisé et automatisé de données à caractère personnel », un traitement qui « a pour finalités la détection et la caractérisation des opérations impliquant, de manière directe ou indirecte, un État étranger ou une entité non étatique étrangère, et visant à la diffusion artificielle ou automatisée, massive et délibérée (…) d’allégations ou imputations de faits manifestement inexactes ou trompeuses de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation, notamment lorsque ces opérations sont de nature à altérer l’information des citoyens pendant les périodes électorales. »

Mais sur quels critères juger que des allégations sont « manifestement inexactes ou trompeuses » ? Quant à « porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », lesquels sont-ils ? Il nous est précisé « notamment durant les périodes électorales ». Mais cela signifie que ce flicage est valable en tout temps, tout simplement. Et cela ouvre le vaste champ de la chasse à toute personne jugée (arbitrairement) dissidente.

De plus, ce flicage ne concerne pas que le diffuseur d’information mais tous ceux avec lesquels il est en contact. Ce travail est évidemment opéré par des systèmes automatiques, des mots clés.

La dynamique du flicage

Sous prétexte de lutter contre un présupposé démiurge russe maléfique, se met en place un flicage de tout opposant pour cause d’un délit d’opinion qui ne dit pas son nom.

La lecture de la Délibération n°2021-116 du 7 octobre 2021 de la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) nous instruit sur la dangerosité de ce qui s’annonce.

La CNIL (d’ordinaire assez timide) relève ainsi que le traitement envisagé nécessite la collecte automatisée de données publiées sur diverses plateformes (notamment les réseaux sociaux), en énorme quantité et à tout instant. Or les données collectées sont susceptibles de révéler nombre d’aspects de la vie privée des personnes surveillées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle, alors que de telles données bénéficient légalement d’une protection spécifique. Et cela, hors du cadre légal encadrant les procédures judiciaires et de la législation relative aux techniques de renseignement. De plus, la CNIL s’inquiète du « traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies et en limitant les périodes au cours desquelles ce traitement peut être mis en œuvre » en demandant que cela soit limité.

La CNIL s’inquiète aussi de ce que « Ces informations sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles, telles que les opinions politiques, les convictions religieuses ou philosophiques ainsi que l’état de santé ou l’orientation sexuelle ». Ainsi, celui qui qualifiera tel personnage de l’État de pédéraste, de dépravé sexuel, verra ses communications décortiquées jusqu’à la dernière avec beaucoup d’autres éléments jugés compromettants qui pourront être utilisés pour faire pression sur son auteur, le faire chanter.

La preuve ? On la trouve dans ce qui suit : « la collecte automatisée d’un grand nombre de données à partir des plateformes concernées, selon certains paramètres déterminés par avance (au sein des fiches dites de « traçabilité », implique la collecte et le traitement de données non pertinentes au regard des finalités poursuivies ». Cela signifie que l’on ne collectera pas seulement les données d’ordre politique mais toutes les autres, fichant ainsi tous les opposants, mieux que le faisait la Stasi ou le KGB.

D’ailleurs, la CNR, n’est pas dupe et écrit : « certaines données à caractère personnel, présentes dans les notes d’analyse précédemment évoquées, seront adressées à de multiples services étatiques et administrations ainsi qu’à des homologues étrangers ». En termes clairs ces collectes permettront des « notes d’analyse », c’est-à-dire de fiches de police constituées sur tout un chacun et utilisables par tout service de l’État qui le jugera utile à son action.

Certes, ce fichage n’empêchera pas que le système s’effondre tôt ou tard. Mais nous devons savoir ce qui se met en place et en tenir compte dans l’action politique.




Vers la guerre à haute intensité ?…

Par Lucien SA Oulahbib

Maintenant que les armes du soft et smart power ont donné ce qu’elles pouvaient (l’offensive sur le « genre » et sur le gain de fonction viral marque le pas) et il en est de même pour celles du hard power (le régime fantoche installé à Kiev chancelle malgré quelques massacres satellisés via l’OTAN), certains observateurs et acteurs (Philippot en France) se demandent si au vu des manœuvres géantes prévues par cette même OTAN — ce bras armé de la Secte SHAA (ces nouveaux Dévorants) — il ne serait pas question maintenant d’aller plus loin encore en empêchant pour de bon la constitution d’un « bloc » euroasiatique, cette tête de pont alternative qui anime également les BRICS s’étoffant de plus en plus ces temps-ci autour de pays refusant de se faire démembrer (déviriliser) ou de devenir néo-eunuque (onanisme sous sex toy et amphétamine en permanence) d’esclaves SM transis déambulant entre sans dents injectés et manants autochtones.

Comment aller « plus loin », (un pont) trop loin ? D’aucuns parlent d’activer l’animosité maoïste envers Taïwan, mais celui-ci vient de se doter d’un gouvernement plutôt conciliant… D’autres encore comme Asselineau indiquent qu’il existerait un « plan » américain visant à « démanteler » la Fédération de Russie… Ce qui nécessiterait d’entrer dans une guerre d’usure tout en armant nucléairement le régime néonazi installé à Kiev et soutenu par les néo-léninistes dont lesdits « écolos » et autres alter-djihadistes en particulier germaniques, ces nouveaux « miliciens » verts — pseudo anti-nazi — ou le revers de la même médaille (le tout au service de la Secte).

Mais tout cela se fait, pour l’instant, en arrière-fond. Pour l’instant, en effet, il n’est question que de banalités (du mal), et même en URSS, en Italie fasciste et en Allemagne nazie, il fallait s’occuper du quotidien, le prix des timbres, la logistique ferroviaire, le dernier Vaudeville. Les journaux soviétiques étaient emplis de réclamations sur le mauvais fonctionnement des « services publics ». Sartre publiait Être et Néant en… 1943… L’Académie des Sciences, l’Académie française, bref, l’Institut, fonctionnait tout à fait banalement (sauf, un peu, à la fin) en même temps que les chambres à gaz (mais qui « savait » réellement à l’époque ou, plutôt, s’en souciait, et, surtout, y croyait ?). Aujourd’hui le gouvernement français peut s’occuper du statut des autoentrepreneurs, du timbre « rouge », des petits oiseaux sous éoliennes, et même des « rats » ou du « bouclier énergie ». Qui pourrait « croire » dans ce contexte banal des « travaux et des jours » qu’il participe en sous-main au plus fantastique vol et à la plus grande mise en esclavage (doré) de tous les temps avec cette soumission au complexe hygiéniste et alarmiste (la fin du monde serait pour bientôt s’il n’y a pas de « transition écologique », clame également l’économiste de BFM qui voulait [et veut encore] injecter de force tout le monde, un certain Emmanuel Lechypre) ?…

Aussi les « événements » semblent bien se dérouler à plusieurs niveaux : au plus fort de la tempête, au milieu de vagues hautes de dix à vingt mètres (comme le récent massacre de recrues russes), il y a également des toutes petites vagues banales qui continuent leur bonhomme de chemin (à la façon du même Lechypre pouvant même disserter avec justesse sur la hausse ou la baisse des taux d’intérêt en lien avec la hausse ou la baisse des investissements et/ou de la consommation), alors qu’en arrière-fond non seulement se prépare, mais également se déroule une guerre de grande ampleur et de moins en moins feutrée.

S’agirait-il pour « eux » (« elleux », dit Obono de LFI) de passer à la vitesse supérieure et d’aller vraiment à la guerre jusqu’à risquer de raser Paris qu’un général allemand refusa autrefois de dynamiter ?… Les fous à lier qui nous gouvernent (mais au visage d’agent Smith impassible) iront-ils jusque là ? Se servant de la guerre comme outil ultime pour remettre les pendules à zéro, préparant « le monde d’après », un mixte de La route et New York 1997 avec Mad Max et Soleil vert, provoqué exprès, en arrière-fond ?…

Peu à peu les sédiments d’un monde de plus en plus en suspens épileptique se mettent en place, tout devient « fragile » (thème de la Biennale d’art contemporain à Lyon). Les ponts, les monuments, les voitures de policiers pompiers, tout semble en carton-pâte, et même les individus qui déambulent en leurs creux semblent être ou devenir des images de synthèse (les nouveaux rhinocéros de Ionesco) dont on attend à chaque instant le grésillement qui les effacera de l’écran du Réel, lui-même devenu décor du rien au lieu d’être celui de quelque chose…

Il y a bien une atmosphère d’irréalité qui s’installe, comme un brouillard fait en effets de souffle après un bombardement subliminal. Celui-ci a en effet bien eu lieu, nanobombes fractales perceptives, mais nous n’en sommes pas encore aperçus. Nous avons en effet bel et bien disparu, et seules nos apparences déambulent désormais comme dans 6e sens.

Du moins c’est ce qu’« ils » veulent nous faire croire. D’où la nécessité de les détromper. Et, par là, de ressusciter…




LA POLITIQUE, C’EST QUOI ?

[Source : santeglobale.world]

Jacob, un juif russe, a finalement été autorisé à émigrer en Israël.
À l’aéroport de Moscou, un inspecteur des douanes a trouvé une statue de Lénine dans ses bagages et a demandé :

— Qu’est-ce que c’est ?

— Mauvaise question, camarade, répondit Jacob… Vous auriez dû demander : « Qui est-ce ? ». C’est le camarade Lénine. Il a jeté les bases du socialisme et a créé la prospérité future du peuple russe. Je l’emporte avec moi en souvenir de notre grand héros.

Le douanier russe l’a laissé aller.
À l’aéroport de Tel-Aviv, un douanier israélien a demandé à Jacob :

— Qu’est-ce que c’est ?
— Mauvaise question, monsieur. Vous devriez vous demander : « Qui est-ce ? ». C’est Lénine, le bâtard qui m’a poussé, moi, un Juif, à quitter la Russie dans la honte. Je prends cette statue comme un rappel pour le maudire tous les jours.

Le responsable israélien l’a laissé entrer.
Dans sa nouvelle maison à Tel-Aviv, Jacob a placé la statue sur une table.
Le lendemain soir, il a invité des amis et des parents à dîner pour fêter sa nouvelle installation.
Repérant la statue, l’un de ses cousins a demandé :

— Qui est-ce ?
— Mauvaise question… Vous auriez dû demander : « Qu’est-ce que c’est ? ». Il s’agit de cinq kilogrammes d’or massif que j’ai réussi à ramener de Russie sans avoir à payer de droits de douane ni de taxes.

Morale :

« La politique, c’est quand vous pouvez raconter la même histoire de différentes manières pour tromper différentes personnes. »




GRAVES DANGERS DU MONDIALISME

[Source de l’illustration : casimages.com]

Par Colonel AMIOT Jacques

Je ne prétends pas avoir raison ; cet écrit, comme les autres, n’est qu’un résumé de mes réflexions. Il y a cependant une constante ; comme les précédents, il est en opposition totale à Macron, son gouvernement, les médias aux ordres, et à tous les traîtres qui détruisent la France. Ils devront un jour prochain répondre de leurs méfaits, car ils savent ce qu’ils font.

Il ne faut rien attendre des grands médias subventionnés, car ils appartiennent à ceux qui ont propulsé Macron au pouvoir.

Pour les internautes, notamment ceux qui font partie depuis peu de ma liste de diffusion, je joins deux écrits qu’ils pourront lire s’ils le souhaitent. Cependant il est possible de se contenter du présent document, qui est une synthèse de mes différents écrits. Elle présente l’évolution de ma réflexion, de plus en plus axée sur les menées nuisibles du mondialisme qui sont à la source de tous les graves problèmes subis par le monde occidental, et à l’origine de conflits.

Dans un premier temps (à partir de 2012), mes écrits se sont principalement rapportés aux dangers de l’immigration, notamment islamique.

J’en fais un résumé très succinct :

  • La laïcité chère au Français vole en éclats sous la pression de l’immigration incontrôlée, notamment islamique. L’Islam n’est pas qu’une religion ; c’est une idéologie totalitaire (loi islamique).
  • Progression rapide du nombre de musulmans en France (1,23 % de la population en 1968 et 11,94 % en 2009 ; chiffres officiels) ; depuis l’INSEE ne fait plus ce type de statistiques !
  • Naïveté du peuple et de nos dirigeants, principalement de gauche. Laxisme de ces derniers, malgré les alertes des services de renseignements et même de musulmans lucides, notamment des femmes.
  • Attitude incompréhensible de nos dirigeants, d’autant que les islamistes ne cachent pas leur volonté d’islamiser le monde.
  • Manipulation et fanatisation des jeunes par les imams et autres prédicateurs (large diffusion de versets vindicatifs du Coran, de sourates…). Rejet de la civilisation et des valeurs occidentales.
  • Importance des minorités agissantes capables de manipuler les masses (communisme, fascisme, et maintenant islamisme).
  • Tolérance inacceptable de l’implantation de « zones de non-droit », appelées pudiquement « zones sensibles ».

Je joins cependant ce premier écrit de 2012, pour ceux qui seraient intéressés :

Réflexions sur l’islamisme à l’intention des naïfs

Lorsqu’un problème me préoccupe, je mets généralement mes idées sur le papier afin de mieux les structurer. C’est ce que je fais ci-après de manière résumée à propos de l’islamisme, car je pense que la laïcité chère aux Français va voler en éclat sous la pression de cette idéologie dans les prochaines décennies en raison de la naïveté du peuple et surtout d’une grande partie des hommes politiques notamment de gauche qui porteront une lourde responsabilité.

Mon propos n’est pas guidé par des idées racistes ou d’ordre confessionnel. J’ai souvent voyagé et je respecte les religions, croyances, modes de vie des pays que j’ai visité : Afrique du Sud, Birmanie, Cambodge, Chine, Inde, Mexique Népal, Thaïlande, Vietnam… ainsi que de nombreux pays musulmans (Égypte, Jordanie, Maroc, Tunisie, Turquie…).

Ce que j’ai constaté dans beaucoup de ces pays c’est, qu’en temps qu’étranger, il était très prudent de respecter les règles et coutumes sinon on risquait de graves ennuis et je constate qu’en France comme dans beaucoup de pays occidentaux on peut par contre braver les règles, traditions et coutumes, fouler aux pieds les symboles sans beaucoup de risques. Cela me paraît très dangereux, car je pense qu’une nation ou une civilisation qui ne défend pas ses valeurs et ne fait pas respecter les règles qu’elle s’est données coure à sa perte.

La démocratie, la liberté d’expression, d’agir, de se comporter c’est bien, mais il y a de mon point de vue des limites à ne pas dépasser, car le laxisme à toujours conduit à de graves désillusions.

Je pense qu’en France on fait preuve de beaucoup de naïveté et je vais revenir un peu sur l’histoire récente pour étayer mon propos.

Dans les années 30 du siècle dernier, on pensait beaucoup au progrès social, je pourrais presque dire qu’une grande partie du peuple et beaucoup d’hommes politiques ne pensaient qu’à ça (Front populaire…). Pourtant les services de renseignement savaient que les troupes de l’Allemagne nazie allaient tôt ou tard déferler sur notre territoire ; ils en avaient informé nos dirigeants, mais ces derniers étaient bien trop occupés à essayer de satisfaire les aspirations sociales du peuple pour les écouter. Dans cette période le summum de la naïveté, de la bêtise et de la lâcheté a été incarné par Daladier lorsqu’il a signé bien inutilement les accords de Munich avec Hitler en automne 1938. On sait que Daladier a subi la pression de son homologue anglais Chamberlain, mais des hommes d’État dignes de ce nom devraient savoir prendre leurs responsabilités et écouter les agents payés pour les informer surtout quand il y a péril en la demeure comme c’était le cas. On connaît la suite et on ne s’en serait pas sorti sans l’intervention massive des forces alliées.

Pendant la Guerre froide, la naïveté d’une partie du peuple et des hommes politiques (principalement de gauche) a été au-delà du ridicule. Beaucoup croyaient au « petit jésus soviétique », de la volonté de paix des soviets à la réussite économique et sociale du régime. Dans les armées, on était un peu informé de la réalité des choses par les services de renseignement, que ce soit des plans d’invasion de l’Europe de l’Ouest à la pauvreté en passant par la répression, le goulag… Il a fallu attendre la chute du mur de Berlin pour que beaucoup comprennent ; et encore, ils n’ont pas tous compris !

Dans cette période de Guerre froide, nous avons eu la chance d’être protégés par le parapluie nucléaire de l’OTAN qui a réussi à dissuader les soviets. Sans lui notre invasion programmée serait rapidement devenue réalité.

Bref, j’ai le sentiment que l’histoire se renouvelle et qu’aujourd’hui une grande partie du peuple et beaucoup de dirigeants font preuve d’une grande naïveté par rapport à l’islamisme.

L’islamisme ce n’est pas une religion, ce n’est pas l’islam ; c’est une idéologie politique qui, comme toutes les idéologies, porte en elle la volonté de domination, d’occupation et qui de ce fait me paraît aussi dangereuse que le fascisme ou le communisme même si le mode d’invasion est différent. Comme le danger est différent puisqu’il est insidieux et surtout interne ce n’est ni une intervention extérieure ni l’OTAN qui pourra nous en préserver.

Pourtant il semble bien que les services de police et de renseignement avertissent les politiques. Par exemple on a pu voir circuler sur Internet une vidéo intitulée « rapport DGSE » tout à fait claire à ce sujet. Ce n’est pas un hoax (canular), car elle n’est pas répertoriée comme telle et on peut toujours la visionner en tapant : « rapport DGSE » sur Google. La personne qui parle se sachant filmée fait une présentation pondérée, mais j’aimerais en privé savoir ce qu’elle pense vraiment.

De nombreuses personnalités tirent également la sonnette d’alarme y compris des musulmans et notamment des femmes cultivées très réalistes par rapport à l’islamisme dont elles connaissent bien les dangers. L’intervention à l’automne de l’Iman de Drancy est très instructive à ce sujet on peut la trouver sur Internet en tapant sur Google « Iman de Drancy ».

Si on fait quelques recherches sur Internet, on s’aperçoit d’ailleurs que les islamistes ont clairement annoncé leur intention de dominer l’Europe, voire le monde.

Les radicaux utilisent les aspects guerriers et vindicatifs de nombreuses sourates du Coran et des hadiths pour fanatiser les masses musulmanes et provoquer le rejet et même la haine des « infidèles » occidentaux.

On me dit quelquefois que le christianisme a été aussi très agressif et très vindicatif. J’en conviens, qui n’a pas entendu parler des guerres de religion, des croisades, de l’inquisition ? Mais ce qui m’inquiète c’est le présent et surtout l’avenir et pas ce qui s’est passé il y a plusieurs siècles.

On me dit aussi que beaucoup de musulmans veulent vivre paisiblement ; c’est peut-être vrai, ceux qui sont venus il y a plus de cinquante ans en France avaient la volonté de s’intégrer (mon père en a embauché dans sa petite entreprise), mais il est certain que leurs petits enfants ne sont pas tous dans les mêmes dispositions d’esprit.

On me dit également que les islamistes radicaux sont en petit nombre ; oui, pour l’instant. Au début du 20siècle, les communistes étaient peu nombreux en Russie, mais en 1917 ils ont imposé un régime dictatorial qui a duré plus de 70 ans ; la première fois que le parti fasciste s’est présenté aux élections en Allemagne il a obtenu un peu plus de 2 % des voix. On connaît la suite.

Il me paraît particulièrement dangereux de minimiser voire d’ignorer la capacité de nuisance des activistes. On devrait se souvenir de ce qu’est capable de réaliser une petite minorité déterminée et agissante face à une masse passive. On sait très bien que dans les banlieues les radicaux sont très actifs notamment envers les jeunes qui depuis toujours ont été la cible privilégiée des idéologues (jeunesses communistes, jeunesses hitlériennes…). On entendra certainement un jour parler des jeunesses islamistes, d’ailleurs elles existent déjà dans certaines banlieues même si elles ne sont pas encore structurées et si les médias ignorent leur existence.

Il y a quelques années on n’entendait pas parler des revendications des musulmans, mais maintenant elles sont très nombreuses et le plus souvent à caractère religieux. Elles ne peuvent que s’accroître et devenir systématiques avec l’augmentation continue de la population musulmane et l’oreille attentive d’une partie des pouvoirs publics. La volonté, qui fait tache d’huile, manifestée par les musulmans radicaux de modifier les règles du jeu, notre culture et notre mode de vie est évidente. Il n’y a même pas besoin d’aller dans les banlieues chaudes pour s’en rendre compte. Cela ne me plaît pas et je fais le raisonnement, que certains trouveront peut-être basique, mais qui me paraît logique, que c’est à ceux qui viennent en France, souvent pour profiter d’avantages, de s’adapter à notre culture et pas l’inverse.

Je suis peu pratiquant, mais je constate que la France, comme beaucoup de pays d’Europe occidentale, a une culture façonnée depuis deux millénaires par l’influence du christianisme (la séparation de l’église et de l’état depuis plus d’un siècle n’y change rien), que ce soit au niveau du mode de vie, des traditions ou de l’architecture (églises, cathédrales, abbayes, monastères…) ; même dans la nature (que je fréquente beaucoup) on rencontre de multiples témoignages de notre passé chrétien (croix, calvaires, chemins de croix, chapelles,), au bord des chemins, au sommet des collines et même des montagnes… Il suffit de regarder une carte IGN au 1/25000 pour s’en rendre compte. Je m’estime tolérant, mais cependant je n’accepte pas l’idée d’une modification en profondeur de notre mode de vie, de notre patrimoine historique et en définitive de notre culture ; je pense que je ne suis pas le seul.

En France le laxisme des autorités me révolte. Les agressions de lieux de culte chrétiens, de cimetières… se multiplient sur notre propre territoire pratiquement dans l’indifférence. Sans beaucoup de réactions on peut brûler le drapeau, diffuser une photo (de plus primée par la FNAC) d’un énergumène se torchant avec, siffler l’hymne national, vendre des milliers de disques de rappeurs vomissant leur haine du pays où ils vivent, sans parler des casses, agressions multiples… qui sont presque toujours l’œuvre de populations issues de l’immigration principalement musulmane. Quand une nation laisse profaner ses symboles, il y a du souci à se faire. Dans beaucoup de pays étrangers, on emprisonne pour beaucoup moins que ça.

Toutes les exactions n’émeuvent pas beaucoup les médias qui systématiquement ignorent ou minimisent les forfaits commis. Ils sont beaucoup plus prompts à relayer les réactions d’indignation du MRAP, de SOS racisme et autres associations bienpensantes quand un « jeune » (fautif) est soi-disant agressé par la police, par exemple à l’occasion d’une course poursuite qui se termine mal pour le ou les fuyards.

Même si les médias n’en parlent pas on sait que la persécution des chrétiens dans le monde est en nette augmentation notamment dans les pays musulmans et il apparaît que ce sentiment antichrétien s’insinue dans la population musulmane vivant en France.

« L’invasion islamique » est de plus largement favorisée par le soutien de nombreux élus de gauche : Delanoë à Paris, Aubry à Lille, Ries à Strasbourg et tous les autres, sans parler de Vauzelle président de la région PACA qui se déclare fier d’être président d’une grande région musulmane ! On croit rêver. Que cherchent-ils ? L’anéantissement de notre civilisation ? Pour la remplacer par quoi ? Sans une vive réaction, un jour, peut être pas très éloigné, un énergumène de ce type pourra se dire fier d’être président d’une grande république islamique.

Il existe en France de vastes zones de non-droits où les forces de l’ordre ne peuvent pas pénétrer sauf en masse à l’occasion d’opérations trop rares et où se développe une économie souterraine florissante. Là aussi ces zones sont occupées pour une grande part par une population issue de l’immigration et les émeutes qui y éclatent régulièrement à propos de n’importe quel prétexte sont le résultat d’une tension constante générée par des populations non intégrées et qui pour beaucoup ne souhaitent pas l’être. J’estime que cela est inadmissible dans un état de droits et que c’est une preuve supplémentaire de notre incapacité à gérer un volume trop important d’immigrés.

Nous sommes de plus dans une situation économique difficile, nous avons un chômage trop élevé et certainement pas la capacité de donner du travail à une masse très importante d’immigrés souvent sans qualification attirés par nos avantages sociaux, la possibilité de se faire soigner et opérer gratuitement… ce qui représente un énorme gouffre financier. Tous les jeunes issus de l’immigration sans travail qui traînent dans les banlieues sont des proies faciles pour les islamistes radicaux.

Il n’existe pas de chiffres officiels, mais en 1968 les musulmans représentaient environ 1,2 % de la population, 3,6 % en 1988 et plus de 10 % en 2009. C’est une progression trop importante et si on trace une courbe sur un graphique on constate qu’elle est très ascendante ; elle ne peut continuer qu’à monter fortement en raison de deux facteurs qui se conjuguent : l’immigration et la natalité importante chez les musulmans ; en effet, même si cette dernière a un peu diminué elle reste beaucoup plus élevée que dans la population de souche. Le pourcentage de musulmans en France va donc devenir très important et dans quelques décennies il risque fort de dépasser les 50 %.

Or on sait très bien qu’au-delà d’un certain pourcentage il n’y a plus intégration, mais juxtaposition de cultures. Je ne suis pas historien, mais il me paraît clair que la juxtaposition de cultures sur un même territoire aboutit le plus souvent à des conflits graves d’autant qu’il y a d’un côté des islamistes activistes animés d’un esprit de domination et de l’autre des citoyens déterminés à ne pas se laisser submerger. Un sentiment hostile à l’Islam se développe en France en réaction à sa pénétration et on ne peut pas exclure sa radicalisation au détriment des musulmans qui souhaitent s’intégrer ; une action provoque toujours une réaction, c’est une loi générale.

Les mentalités des communautés sont beaucoup trop divergentes pour pouvoir espérer sur le long terme une coexistence pacifique. Certains leaders politiques d’autres pays ont eu le courage de déclarer que le multiculturalisme était un échec ; je partage cet avis.

Un des pays où les musulmans sont les plus nombreux est l’Inde (plus de 100 millions), mais il y a en face plus d’un milliard d’hindous et il est évident que les autorités indiennes n’ont pas du tout l’intention de se laisser déborder par leur minorité musulmane comme c’est le cas en occident.

Il y a eu en France dans un passé récent des flux migratoires importants notamment d’Italiens, mais la culture de ces populations est très proche de la nôtre et en une génération elles se sont totalement intégrées ; ce ne sera pas le cas des populations islamiques pour qui le religieux à une grande importance. À peine libérés de leurs dictateurs, les peuples du sud de la Méditerranée portent largement en tête des élections les partis islamistes et les futurs dirigeants déclarent vouloir gouverner selon la Charia, mode de gouvernance totalement opposée à notre conception laïque.

Comment en occident laïque et notamment en France concevoir l’existence d’un parti religieux ? C’est pourtant ce qui nous attend avant que ce parti, s’appuyant sur le nombre, devienne dominant parce que l’on n’aura pas su limiter l’immigration et obliger les populations issues de cette immigration à s’adapter à nos principes et valeurs et que par naïveté, faiblesse et bêtise on les aura laissés imposer leur culture, leur mode de vie et leur religion.

Pour éviter ce scénario pessimiste il faudrait prendre rapidement un certain nombre de mesures : limitation importante de l’immigration notamment en provenance d’Afrique ; imposer aux musulmans de s’adapter à nos règles et à notre mode de vie et pas l’inverse même si on peut accepter quelques adaptations ; faire preuve d’une très grande fermeté face aux exactions et provocations diverses, en particulier donner le choix à ceux qui manifestent leur haine de la France entre de sévères sanctions ou le départ vers des pays où ils se sentiront mieux ; surveiller étroitement les meneurs et prédicateurs islamistes et les sanctionner sans faiblesse où leur demander de faire le choix d’un autre pays ; ne plus accepter l’inacceptable c’est-à-dire l’existence de zones de non-droit « gouvernées » par des populations issues de l’immigration où la propagande bat son plein comme les trafics de toutes sortes…

En fait je ne crois pas à la volonté des politiques et surtout pas à ceux de gauche qui au contraire font tout pour accélérer le mouvement et qui feront preuve d’une grande complaisance avec l’Islam s’ils reviennent au pouvoir.

L’histoire se renouvelle et les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Dans les années 30 du siècle dernier, le peuple et nos dirigeants voulaient à tout prix la paix avec l’Allemagne, mais par naïveté et lâcheté on a eu la guerre. Aujourd’hui on ne veut pas froisser les musulmans, on ne veut pas enflammer les banlieues…, alors par naïveté et faiblesse on n’agit pas et on laisse la situation se dégrader. Cette attitude ne nous mettra pas à l’abri de graves difficultés, bien au contraire.

Comme on le voit, les données en ma possession ne m’incitent pas à l’optimisme pour l’avenir. Je souhaite me tromper et je suis preneur d’arguments crédibles et solides infirmant mon analyse, mais de grâce en évitant les affirmations lénifiantes et fallacieuses du « politiquement correct » que l’on entend trop souvent.

Début 2016 ma réflexion s’est modifiée sur un point essentiel, par la lecture d’un document de deux pages que j’ai souvent cité « l’heure de vérité » du père Henri Boulad. J’ai découvert que je faisais une grosse erreur en distinguant l’islamisme et l’Islam.

En effet, le père Henri Boulad souligne avec justesse que le problème se situe dans les fondamentaux de l’Islam. Je joins ce document, à relire éventuellement :

[Au lendemain des attentats de Paris du 13 novembre 2015]

L’HEURE DE VÉRITÉ

Lettre sereine aux musulmans ouverts, modérés et libéraux:

J’imagine votre embarras et votre confusion face à cette horreur, que vous condamnez sans doute du plus profond de vous-mêmes. Vous sentez bien cependant que c’est l’islam lui-même qui est incriminé, car c’est bien aux cris d’ «Allahou akbar» que s’est perpétuée cette tragique agression.

N’essayez surtout pas d’exonérer l’islam de ce qui s’est passé. Ne continuez pas à répéter ce refrain bien connu, suite à toutes les horreurs commises par les islamistes dans le monde : «Tout ça n’a rien à voir avec l’islam». Ne criez surtout pas à l’« amalgame », manière élégante de dédouaner l’islam des violences récurrentes perpétrées en son nom.

C’est incongru d’affirmer que tout ce qui se passe comme atrocités au nom de l’islam n’a rien à voir avec l’islam. Un certain occident « libéral » et une certaine Eglise catholique, tous deux partisans de l’ouverture et du dialogue, ne cessent de ressasser de tels slogans, sans chercher à aborder les vrais problèmes, dans un dialogue franc et ouvert.

L’« heure de vérité » a sonné, et il est grand temps de reconnaître que l’islam a un problème. Un problème qu’il doit avoir le courage de regarder en face et de tenter de résoudre en toute objectivité et lucidité. Ce n’est pas en enfouissant sa tête dans le sable qu’on peut espérer trouver une solution.

Je ne doute nullement de la sincérité et la bonne volonté des musulmans ouverts et modérés. Mais là n’est pas la question. On peut être pleinement sincère tout en étant dans l’erreur.

Il est trop facile pour les musulmans d’incriminer l’occident « corrompu » et «impérialiste» comme étant la source de tous leurs maux. Il est trop facile d’accuser ceux qui instrumentalisent l’islam pour leurs propres intérêts. C’est dans l’islam même que gît le problème. Les musulmans ont toujours eu tendance à chercher des boucs émissaires partout, sauf en eux-mêmes. Il est grand temps qu’ils se posent certaines questions cruciales et se rendent compte que «le ver est dans le fruit.» S’ils condamnent et rejettent ce radicalisme barbare qui les embarrasse, qu’ils fassent un petit effort pour en chercher la cause.

Ils découvriront alors que la cause se trouve dans les textes fondateurs de leur religion – Coran, Sunna, Hadiths – qui regorgent d’appels à l’intolérance, au meurtre et à la violence. Ces textes sont encore enseignés aujourd’hui à l’Azhar, la plus haute instance de l’islam sunnite, chargé de la formation des prédicateurs et ulémas à travers le monde. Cette doctrine atteint le petit peuple à travers les prêches du vendredi – souvent incendiaires – et rejoint les élèves via les manuels scolaires.

Vers le septième siècle, l’islam a eu le choix entre la voie mystique, modérée et ouverte, celle de La Mecque, et la voie violente, radicale et conquérante, celle de Médine. Il a malheureusement opté pour la seconde, en privilégiant les versets médinois aux mekkois, dans la fameuse doctrine de «l’abrogeant et de l’abrogé» (An nâsékh wal mansoukh).

Pour éviter alors que quiconque ne revienne sur cette décision, les ulémas de l’époque ont décrété que « la porte de l’ijtihad » était désormais close. Ce qui signifie que tout effort de réflexion critique susceptible de remettre en question une telle décision était pour toujours interdit.

Les nombreuses tentatives de réforme de l’islam, tout au long de son histoire, se sont heurtées à ce décret considéré comme immuable et irréversible. Le grand cheikh soudanais, Mahmoud Taha, pour avoir proposé d’inverser la doctrine de l’abrogeant et de l’abrogé, en privilégiant les versets mekkois aux médinois, a été pendu sur la grande place de Khartoum, le 18 janvier 1985.

L’islam est dans la souricière, une souricière dans laquelle il s’est lui-même mis. Une souricière dont il ne parvient pas à sortir. Tel est le drame qui met les musulmans dans une angoissante situation.

«Les nouveaux penseurs de l’islam» – comme on les appelle aujourd’hui – rêvent d’une réforme et d’un islam compatible avec la modernité. Les émouvantes tentatives d’un homme aussi brillant qu’Abdennour Bidar n’en sont qu’un exemple. Malheureusement, la pensée de ces hommes courageux ne fait pas le poids face à l’islam rigoureux et borné qui domine depuis quatorze siècles.

J’imagine à quel point cela doit être douloureux pour ces penseurs, qui aimeraient tant trouver une issue à l’impasse dans laquelle ils se trouvent.

L’Église est passée par la même crise. Mais elle est parvenue à la dépasser grâce au Concile Vatican II. Il est grand temps que l’islam en fasse autant et procède au même aggiornamento. Vœu pieux? Utopie, wishful thinking ?… L’islam peut-il se réformer sans se dénaturer ?

[NDLR Vatican II a cependant ouvert la porte à la Franc-Maçonnerie qui a depuis lors infiltré l’Église Catholique Romaine et contribué à détruire ses fondements et encore davantage l’enseignement du Christ.]

Je ne le pense pas. Mais c’est aux musulmans eux-mêmes de répondre.

Henri Boulad,
Le Caire, 14 novembre 2015

En particulier, il rappelle qu’il y a 14 siècles l’Islam a fait le choix de la voie Médinoise expansionniste et agressive au détriment de la voie Mecquoise pacifique, et qu’il n’est jamais revenu sur ce choix. 

Par ailleurs, il suffit de lire le Coran, même très superficiellement, pour se rendre compte que son contenu (versets, sourates…) est particulièrement agressif. Les égorgeurs musulmans, qui sévissent régulièrement dans notre pays, ne font qu’appliquer certains de ses préceptes ; ce que font semblant d’ignorer « nos élites politiques », les médias…

À partir de cette époque, j’ai approfondi mes connaissances, notamment par la lecture de plusieurs livres. Je cite les principaux :

« L’Islam à la conquête de l’Occident » de Jean-Frédéric Poisson qui traite principalement des organisations islamiques internationales comme l’OCI (l’Organisation de la Coopération Islamique), fondée en 1969 ; « Islam » d’Annie Laurent ; « soufi ou mufti » d’Anne-Marie Delcambre ; « décomposition française » de Malika Sorel ; « Le Projet des Frères Musulmans » d’Alexandre Del Valle et Emmanuel Razavi.

Un autre livre m’a paru d’un très grand intérêt : « L’Islam mis à nu par les siens ». Il s’agit de textes et de prises de position de nombreux érudits musulmans ou ex-musulmans (femmes et hommes), qui ont analysé en profondeur le Coran et la vie de Mahomet ; édifiant !

À cette époque j’ai aussi commencé à être sensibilisé au mondialisme par des échanges avec des internautes et la lecture d’autres livres, principalement : « la Super-classe mondiale contre les peuples » de Michel Geoffroy ; « de Tragédies en Espérances — nos illusions de Justice, de Liberté et de Démocratie » de Joseph Plummer.

Par toutes les informations que j’ai recueillies, j’ai (entre autres) découvert un fait très important : l’immigration de masse, notamment islamique, est une arme utilisée par les mondialistes pour détruire les nations souveraines, qui sont le principal obstacle à la mise en place d’une gouvernance mondiale.

Michel Geoffroy écrit : « L’immigration de peuplement est le brise-glace du mondialisme, car elle permet de disloquer les États-nations en s’attaquant à leur homogénéité et à leur identité ». La France en est l’exemple type.

Je suis toujours surpris quand j’entends dire que Macron est incompétent. Je pense personnellement qu’il est très compétent pour la mise en œuvre de la mission qui lui a été assignée par ses mentors : détruire la France en tant que nation souveraine. Macron n’aime pas la France, ses actes et ses paroles (souvent prononcées à l’étranger) le prouvent.

Par ailleurs on sait que le milliardaire Soros, mondialiste bien connu, finance largement les ONG qui transportent illégalement des migrants de l’Afrique vers l’Europe.

Après l’immigration je passe rapidement à un deuxième volet des menées mondialistes : le pseudo-réchauffement climatique.

Depuis plusieurs années, je suis des cours d’astronomie, ce qui me permet d’avoir quelques notions sur ce sujet :

Dans environ 5 milliards d’années, le soleil va exploser ; il ne restera que quelques résidus du système solaire dans notre univers ; nous ne sommes pas concernés ; (tout naît, tout vit, tout meurt).

Avant cela, dans quelques millions d’années, il fera très chaud sur la terre, il n’y aura plus de vie, sauf peut-être quelques bactéries ? Nous ne sommes pas concernés.

Nous sommes un peu concernés par le réchauffement du système solaire, inexorable, mais très lent, qui n’empêche pas les fluctuations climatiques de moyen terme d’une planète, dues à d’autres facteurs (par exemple pour la terre, variation de son ellipse autour du soleil, variation de son inclinaison, précession ; voir les paramètres de Milankovitch). Ainsi il y aura d’autres changements climatiques importants (glaciations, grandes périodes de réchauffement ; sans parler des cycles beaucoup plus courts qui ont toujours existé).

L’homme n’est rien par rapport aux forces de la nature ; aussi le GIEC est composé d’incompétents, manipulés par des lobbyistes (constructeurs d’éoliennes par exemple), qui distillent la peur pour mieux vendre leur « camelote », nuisible et très peu utile. Si un faible réchauffement provoqué par l’homme existe (ce qui est très contestable et contesté par de nombreux scientifiques), il est principalement provoqué par les activités de très grandes entreprises ; armateurs de tankers très pollueurs par exemple.

Je suis, par contre, préoccupé par les graves problèmes de pollution, surtout engendrés par la mondialisation ; pollution des terres, de l’air, des mers, des rivières. Mais c’est un autre débat.

J’en arrive à une partie très importante, particulièrement démonstrative des visées des mondialistes : la pseudo pandémie Covid 19, fabriquée de toutes pièces. Il y a beaucoup à dire et je vais essayer de résumer.

Dès le mois de janvier 2020, j’ai été surpris par la décision de madame Buzyn de classer l’hydroxychloroquine comme produit dangereux, alors que cette molécule est utilisée depuis des décennies, notamment en Afrique, comme traitement antipaludéen.

Au mois de mars, j’ai compris qu’il y avait « anguille sous roche » quand Véran a interdit aux médecins généralistes l’utilisation des soins précoces.

Dès lors, j’ai suivi les choses de près, notamment en étudiant les statistiques et principalement celles diffusées régulièrement par le général Delawarde.

Je ne vais pas revenir sur tous les aléas que nous avons subis (confinements inutiles, masques inutiles puis obligatoires… bref, le grand folklore macroniste).

Assez rapidement je me suis rendu compte de deux faits importants :

En premier lieu la faible mortalité au plan mondial ; les décès ne concernaient que des personnes âgées déjà affaiblies par des comorbidités, les jeunes n’étant pas touchés. Ceci malgré l’augmentation factice du nombre de décès ; on se souvient que beaucoup de malades décédés avec la Covid étaient classés décédés de la Covid ; c’est peut-être encore le cas.

Au final la mortalité n’a pas été plus importante que celle due à une mauvaise grippe, mais certains gouvernements, notamment celui de la France, faisaient tout pour faire peur à leur population afin de pouvoir la soumettre.

En second lieu, la différence très importante de mortalité entre les pays qui utilisaient les soins précoces et ceux, comme la France, qui les refusaient. Par exemple, à ce jour, on peut constater par une petite recherche sur Internet que les États-Unis ont un nombre de décès beaucoup plus élevé que celui de l’Inde alors qu’ils ont environ 4 fois moins d’habitants. Pourtant en Inde il y a une grande promiscuité et le système de santé n’est pas très performant ; mais ils ont utilisé largement l’Ivermectine. Je pourrais citer beaucoup d’autres exemples.

Le refus du gouvernement français d’utiliser les soins précoces me choquait, et j’ai commencé à en comprendre la raison quand j’ai appris qu’il ne pourrait pas imposer un « vaccin » s’il admettait l’existence d’une possibilité de soigner les malades en début de l’infection. À l’évidence l’obligation vaccinale était prévue dès le début 2020 ; il était donc nécessaire pour nos dirigeants d’affirmer qu’il n’existait pas de possibilités de soins.

Le 12 juillet 2021, Macron a prononcé une allocution à la télévision au cours de laquelle il a annoncé l’obligation vaccinale pour les soignants, les pompiers… et pratiquement toute la population, car sans « vaccin » on ne pouvait même pas aller boire un verre dans un café.

Cette allocution a provoqué ma colère et quelques jours après j’ai adressé un courrier à Macron, Castex et Véran en les accusant d’être des criminels.

Il est en effet évident que le refus de laisser les médecins prescrire les soins précoces a provoqué le décès d’un grand nombre de nos concitoyens. On peut retrouver cette lettre sur Internet (colonel Amiot Jacques Besançon).

Je sais que mon courrier est arrivé aux instances gouvernementales, car plus de 6 mois après j’ai été sanctionné par la ministre des armées (retrait de l’Honorariat). L’Honorariat est une distinction honorifique ; on ne m’enlevait donc rien d’important, mais j’ai cependant contesté la décision auprès du tribunal administratif de Paris. J’ai adressé mes arguments au mois de juillet 2022 et, à ce jour, il n’y a pas de réaction du ministère des armées.

La sanction pratiquement insignifiante au regard de la gravité de mes accusations, et le fait que le ministère n’ait pas encore réagi, pratiquement 6 mois après, me paraissent significatifs de l’embarras des autorités pour trouver des arguments à m’opposer ; d’autant qu’il est de plus en plus évident que les soins précoces sont sûrs et d’une grande efficacité. C’est maintenant une certitude.

Si j’avais à écrire ce courrier aujourd’hui, je serais encore plus virulent. Il me faudrait aborder la dangerosité des « vaccins » ; nous sommes malheureusement qu’au début des graves effets secondaires, que tentent de cacher le gouvernement et la plupart des médias. Mais la vérité finira par éclater.

Il me faudrait aussi aborder les liens étroits entre la Macronie et la société Mac Kinsey, elle-même en lien avec la société Pfizer… On nage en plein cloaque ; je sais bien qu’il y a peu d’enfants de chœur en politique, mais je crois que l’on atteint des sommets.

Malgré les graves effets secondaires engendrés par les « vaccins » le gouvernement continue à en faire la promotion ; on croit rêver. Il doit y avoir un gros stock de doses à écouler !

Le conflit en Ukraine est tout à fait révélateur de ce que beaucoup appellent la 3guerre mondiale ; celle des mondialistes contre les nations souveraines. Je vais beaucoup résumer, car j’ai récemment évoqué le sujet dans un écrit intitulé « évolution ».

Après la chute de l’URSS, on a cru à la paix mondiale, mais on se trompait lourdement, car les mondialistes étaient déjà à l’œuvre, notamment dans leur fief aux US.

Les promesses de l’Occident n’ont jamais été tenues, comme celle faite à Gorbatchev de ne pas étendre l’OTAN vers l’Est ; au contraire, les bases militaires de cette organisation encerclent pratiquement la Russie.

Les accords de Minsk signés en 2014, que l’Allemagne et la France devaient faire respecter, étaient un piège. Madame Merkel a admis récemment (début décembre 2022) qu’il n’était pas prévu par l’Occident que ces accords soient appliqués. De son propre aveu, ils ont été signés que dans le but de donner du temps à l’Ukraine pour se préparer à la guerre contre la Russie. Quelle duplicité de l’Occident ! On peut aisément vérifier sur Internet (Merkel accords de Minsk).

Hollande a récemment confirmé ces aveux. Tout se passe comme si l’Occident, principalement les US, mais aussi l’Allemagne, la France…, cherchait la confrontation. C’est très dangereux, car l’Occident ne me paraît pas en position de force, d’autant que sa politique provoque un rapprochement entre la Russie et la Chine.

Ce conflit profite aux US, mais est destructeur pour les pays européens, dont la bêtise est incompréhensible. Comment comprendre ce suicide de nations européennes si ce n’est en raison de l’adhésion au mondialisme de leurs dirigeants ?

Comme je l’ai déjà exprimé, le mondialisme est une « maladie » de l’occident où se trouvent les personnages les plus « vénéneux » de cette caste (Schwab, Soros, Gates, Fauci, Biden, Harari, Attali, Macron…). Il apparaît clairement que de nombreuses nations ont compris le danger mondialiste ; elles s’allient et se dressent pour y faire face (les « BRICS » et toutes les nations qui les rejoignent).

On vit une période très troublée, angoissante pour beaucoup, nous subissons des restrictions, une baisse de pouvoir d’achat et j’estime que les menées des mondialistes en sont les principales causes. À mon avis beaucoup de problèmes pourraient être réglés si l’Occident arrivait à se débarrasser du mondialisme.

Je pense par exemple que l’invasion islamique, qui présente un très grave danger pour l’avenir de notre pays, pourrait être combattue ; ce qui suppose bien sûr la disparition préalable de l’Union européenne telle qu’elle existe actuellement, mondialiste et corrompue.

À la place de Macron et de son gouvernement de traîtres, un président déterminé et bien entouré pourrait agir efficacement pour faire respecter notre identité.

Il ne s’agit pas dans mon esprit d’une « chasse aux sorcières », car il y a des musulmans qui souhaitent vivre en paix en France ; il s’agit de séparer le bon grain de l’Ivraie. Je l’ai déjà écrit, dans sa petite entreprise, mon père a employé dans les années 50 des Algériens qui ne posaient aucun problème. Dans son livre « Islam », Annie Laurent souligne le fait que de nombreux musulmans sont les victimes d’une idéologie.

Quelles dispositions faudrait-il prendre ? Je cite les principales : limiter drastiquement l’immigration notamment islamique ; réduire très fortement les prestations sociales pour les immigrés, car elles constituent un grand appel d’air (beaucoup ne vivent que de ces prestations) ; justices sévères pour les délinquants (prison ou exclusion) ; surveillance étroite des imams ; interdiction stricte de la charia (application de nos lois, règles et coutumes) ; « grand nettoyage » d’une ou deux « zones de non-droit », éventuellement par l’armée ; je pense que les autres auraient compris et se nettoieraient d’elles même, avec un peu d’aide si nécessaire…

La France est en déclin dans presque tous les domaines : économie, industrie, éducation, justice… ; le redressement sera difficile ; mais il est surtout urgent qu’elle retrouve sa souveraineté, son unité et son identité, sources de dynamisme.

Cependant rien ne pourra se faire tant qu’elle sera sous la coupe du mondialisme ; il faut donc s’en libérer. Le combat pour la survie est là.




Rockefeller, Rothschild, Morgan : le Deep State sort de l’ombre

[Source : zejournal.mobi]

Ce n’est que ces dernières années que parler de « l’État profond » et d’une organisation secrète dirigeant les États-Unis est devenu de mauvais goût pour les Américains. Avant cela, diverses tentatives ont été faites pour parler du rôle des Rockefeller, des Rothschild, des Morgan. Mais maintenant, les joueurs sont complètement sortis de l’ombre. Une tentative de comprendre les subtilités de la gouvernance américaine, en rappelant les concepts de base, a été effectuée par le politologue et publiciste Igor Pshenichnikov.

Cet article a été publié en deux parties que nous réunissons en un seul texte

La question de savoir s’il existe une sorte de pouvoir caché aux États-Unis dirigeant réellement le pays et en partie le monde entier, et celle de déterminer qui tire les ficelles de la gestion du président lui-même et du congrès, ont fait l’objet, dans les années 70 et 80 du siècle dernier, de nombreuses discussions dans les journaux américains. L’apogée de ces débats fut la publication en 1980 du livre – encore populaire à ce jour – des politologues américains, Leonard Silk et Mark Silk : « American Establishment », dans lequel les auteurs – père et fils -, s’efforcent de comprendre le mécanisme de prise de décision gouvernementale aux États-Unis.

La légende est ancienne mais les « haut-parleurs » sont nouveaux

C’est l’ancien président américain, Donald Trump, qui est devenu le principal défenseur de la théorie du complot de « l’État profond » des temps modernes. Et, soyons honnêtes, après les tentatives à grande échelle pour éliminer Trump, l’on n’a pas de mal à y croire. 

Mais revenons à l’essentiel. Le « deep state » (État profond, comme on l’appelle en Amérique), l’establishment libéral, l’élite mondialiste, le « marais de Washington » (selon les termes de Trump) sont toutes des définitions différentes d’un même thème et qui apparaît souvent sous ces définitions dans la presse actuelle.

Les auteurs du livre « The American Establishment » ont donc révélé au monde les cinq plus grandes « institutions » qui gouvernent selon eux l’Amérique : l’Université de Harvard ; le journal The New York Times – soit dit en passant, c’est le NYT qui a formé le régime de Kyiv aux relations presse ; la Fondation Ford ; le groupe de réflexion Brookings Institution ; le Council on Foreign Relations, une structure privée qui détermine de facto la politique étrangère des États-Unis. Remarque importante : Le Council on Foreign Relations entretient des liens étroits avec la fameuse « Commission trilatérale ». Celle-ci est une sorte de club rassemblant les plus grands banquiers et entrepreneurs, ainsi que les principaux politiciens des pays occidentaux. Elle vise à « rechercher des solutions aux problèmes mondiaux » …

Ainsi, il en ressort clairement que « l’État profond » consiste en un groupe de « citoyens » qui, ensemble se distinguent par de sérieuses capacités d’analyse et de prévision. Ce sont des « maîtres de l’argent » (les plus grands banquiers siègent à Wall Street à New York) et les propriétaires de sociétés transnationales (STN). Ces plus grands entrepreneurs ont le pouvoir politique ou ont un pouvoir réel sur ceux qui ont formellement le pouvoir politique. En outre, « l’État profond » regarde bien au-delà des frontières nationales des États-Unis.

Passons maintenant aux personnalités

De diverses sources, on peut recenser des informations sur les membres composant cet « État profond», même si, bien sûr, l’on doit s’attendre à ce que toutes ces personnalités soient les premières à nier l’existence d’une sorte de pouvoir secret et d’implication dans les affaires du pays. 

Les finances sont commandées par les familles qui ont créé le système de la réserve fédérale. Ce sont les « maîtres de l’argent » : les Rockefeller, les Rothschild et les Morgan. Parmi ces familles, les Rockefeller se distinguent particulièrement. Ils furent à l’origine de la création du « Club de Rome », qui tint ses premières réunions dans leur domaine familial à Bellagio en Italie. Et leur complexe de Pocantico Hills est devenu le « nid familial » de la « Commission trilatérale » déjà mentionnée.

En même temps, ces familles ne se contentent pas de gouverner les flux financiers mondiaux, Elles possèdent les plus grandes STN. Il est difficile pour un non-initié de trouver des informations dans l’imbrication du capital bancaire et industriel. Juste pour comprendre l’échelle mondiale des « intérêts » du clan Rockefeller, vous pouvez retenir les noms de certaines des entreprises qui sont sous son contrôle. Ce sont Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Pfizer, Motorola, Monsanto, General Aliments et bien d’autres.

Mais il serait incorrect de « raccrocher » aux familles citées uniquement la composante financière et industrielle de « l’État profond ». On sait qu’au fil des ans, des membres de la famille Rockefeller ont été à l’origine de la destitution et de la nomination de dirigeants de divers États, ainsi que de coups d’État anodins … L’un des membres les plus célèbres du clan, Nelson Rockefeller, qui a été vice-président des États-Unis en 1974-1977, dans une interview au magazine Playboy, avait décrit le credo de sa famille comme suit : « Je crois vraiment à la planification, à la planification économique, sociale, politique, militaire, mondiale ».

Avec une mise à niveau

De toute évidence, beaucoup de choses ont changé depuis la rédaction de « The American Establishment ». Certaines personnes sont parties, et de nouvelles sont arrivées. Et, probablement, tout n’est pas si plat et linéaire. La vérité, bien sûr, est beaucoup plus compliquée. Et plus effrayante. Les « institutions » ci-dessus ne se limitent pas aux forces qui souhaitent influencer la politique intérieure et étrangère des États-Unis. La présidence Trump a montré que les plus hauts gradés de l’armée et les dirigeants de la communauté du renseignement américain, qui ont activement participé à la lutte contre Trump aux côtés du Parti démocrate, font partie intégrante de « l’État profond ».

Trump lui-même a pointé du doigt des hauts responsables de la CIA, du FBI et du ministère de la Justice qui enquêtaient conjointement sur ses « liens » avec le Kremlin. Ils n’ont rien trouvé, ni présenté quoi que ce soit au public. Cependant, les « enquêteurs » ont réussi à réduire à néant les relations entre les États-Unis et la Russie. Dans le même temps, le caractère unilatéral des activités des services spéciaux était évident. Ils ont méprisé Trump, mais ont fermé les yeux sur les méfaits évidents d’Hillary Clinton liés à sa correspondance officielle. Comme il l’a indiqué, Trump a regretté que le « département de la justice de l’État profond » n’ait pas pris de mesures contre la « malhonnête Clinton ».

Dis que je suis parti

La discussion soulevée par Trump sur l’influence de « l’État profond », sur tout et tout le monde en Amérique, a suscité un énorme intérêt pour ce sujet dans la société américaine. Mais la presse libérale a commencé à réfuter l’existence de tout pouvoir secret.  Il est devenu clair que « l’État profond » était très inquiet. 

The National Interest, considéré comme un magazine libéral analytique, a organisé un symposium par correspondance sur le thème « L’État profond existe-t-il ? ». Cela a abouti à une série d’articles par des « experts et analystes » bien connus. La « mousse aux lèvres », ils ont réfuté la théorie de l’existence d’un « État profond » aux États-Unis …

Voici comment, par exemple, John Deutch, directeur du renseignement central américain sous le président Clinton, a commenté ce sujet : « Les partisans les plus paranoïaques du président Trump disent que le nouvel État profond est une résistance organisée des responsables du gouvernement fédéral qui sont déterminés à saper sa présidence. Pas étonnant que les employés fédéraux, principalement dans les agences civiles, n’aiment pas les politiques de Trump, en particulier celles qui nécessitent des coupes budgétaires et d’autres restrictions. Mais qualifier cette résistance d’organisée est exagéré. En effet, il est ridicule d’affirmer que l’escalade des fuites de fonctionnaires mécontents qui entendent influencer la politique est la principale preuve de l’existence de l’État profond… Voici mon conseil. Lorsque vous entendez le terme « gouvernement fantôme », changez de chaîne ou éteignez la radio, ou si vous voyez un article comme celui-ci, tournez la page ».

Seul consensus, et rien de plus

Les auteurs des articles de The National Interest ont fait valoir que les hauts fonctionnaires adhèrent à l’unanimité au « consensus général » sur ce que devrait être la politique du pays après la fin de la guerre froide. Par exemple, ce consensus unit tous les fonctionnaires, quelle que soit leur affiliation partisane, et il est à la base du fait que la classe politique américaine dirige le pays dans la même direction choisie depuis longtemps. Et, disent-ils, en cas d’échecs, cette classe politique, sur la base d’un consensus inébranlable, corrige les erreurs qui peuvent être commises au sein du pouvoir exécutif ou législatif. Et dans le cas de Trump, par exemple, c’est ce consensus des politiciens américains qui a freiné les initiatives du président, et pas du tout une sorte d’« État profond ». Emma Ashford, experte du Cato Institute, écrit : « Le problème n’est pas, comme le prétend Trump, que « l’État profond » fasse dérailler son agenda politique. Il s’appuie sur des conseillers qui s’accordent eux-mêmes sur un consensus de politique étrangère post-guerre froide. Et jusqu’à ce que ce consensus soit modifié, la politique étrangère américaine continuera de suivre la même voie cohérente, quelle que soit l’administration ».

Contre les travailleurs ?

Rejoignant la vague de dénégations de l’idée de l’existence de « l’Etat profond », un autre expert, professeur à l’université du Texas, Michael Lind, est même prêt à admettre qu’il existe une « conspiration des élites transatlantiques », mais selon lui, il n’y a pas d’« Etat profond » secret. Toujours dans The National Interest, il écrit qu’après la fin de la guerre froide, le grand capital des deux côtés de l’Atlantique, afin d’augmenter ses profits et de renforcer son contrôle, a tenté de freiner les travailleurs et leurs syndicats. A cette fin, « les élites transatlantiques… ont restructuré le système de gouvernance de la société afin de minimiser la responsabilité démocratique. Pour ce faire, ils ont déplacé la prise de décision du législatif vers l’exécutif et le judiciaire au sein de l’État-nation. Et ils ont créé les conditions pour diverses prises de décision au sein de l’État-nation, à travers des organisations telles que l’Union européenne, qui sont assez isolées des électeurs ».

Cette révolution oligarchique venue d’en haut après la fin de la guerre froide peut être qualifiée de conspiration, mais ce n’est pas une conspiration étatique profonde. « C’était un programme mené au grand jour par Bill Clinton, George W. Bush et Tony Blair en collaboration avec des dirigeants centristes européens. Ils ont réussi à atteindre leurs objectifs : affaiblir l’influence économique et le pouvoir politique de la majorité ouvrière aux États-Unis, en Grande-Bretagne et dans d’autres pays occidentaux », écrit Michael Lind. Une révélation intéressante. Mais cela ne fait rien pour réfuter l’existence d’un complot appelé « l’Etat profond ». De plus, cela prouve que cet « état profond » n’est pas américain, mais supranational.

Et alors ?

L’existence d’un « État profond » est unanimement réfutée par la presse libérale américaine, qui tente de ridiculiser ceux qui croient le contraire. Cet « État profond » essaie de toutes ses forces de prouver qu’il n’existe pas. 

Le premier problème urgent auquel est confronté ce conglomérat de forces – qui ne recherchent pas la lumière et la publicité, mais contrôlent toute la vie américaine et tentent de contrôler le monde entier – est de maintenir sa superstructure visible à la Maison Blanche : c’est-à-dire l’administration actuelle, que ce soit celle de Biden ou de quelqu’un d’autre.

Le deuxième problème non moins urgent de « l’État profond », c’est l’existence d’une Russie indépendante, qui défend les valeurs traditionnelles et qui est le fleuron de toutes les forces mondiales opposées à l’hégémon, lequel professe presque ouvertement le « satanisme » dans ses diverses manifestations. 

La bataille va donc s’engager. Mais pour ce faire, « l’État profond » devra agir et se montrer. Par conséquent, il ne pourra pas cacher ses « oreilles », peu importe ses efforts.  Ainsi, de temps en temps, nous aurons l’occasion de mieux le connaître.   

– Source : Tsargrad TV (Russie)




Pierre de Gaulle : « Moins de 50% des aides arrivent aux ukrainiens »




Ukraine/Russie : «Un génocide» ? De l’importance des mots – Le billet d’humeur d’Arno Klarsfeld

[Source : Radio J]

« Je ne veux pas au sein de l’Union européenne d’une Ukraine qui au lieu de condamner des crimes commis contre des dizaines de milliers de familles juives par les nationalistes ukrainiens et par une partie importante de la population ukrainienne, dresse des statues aux génocidaires comme Bandera et abat celles commémorant la victoire contre le nazisme.

Je ne veux pas d’une Europe qui risque de considérer dans l’histoire et dans l’avenir que la Russie était le véritable ennemi et que l’Allemagne nazie et les nationalistes ukrainiens défendaient la civilisation européenne. Cette tendance à sataniser la Russie existe déjà, non seulement dans les médias, mais aussi chez les responsables politiques européens qui disent ou laissent dire que la Russie commet un génocide à l’encontre du peuple ukrainien.

Si j’écris sur Twitter que la Russie commet des crimes de guerre mais ne commet pas un génocide, j’obtiens la réponse suivante de Nathalie Loiseau, responsable du parti centriste français au Parlement européen : et les atrocités, et les privations d’eau et d’électricité ?

Je venais pourtant de dire que la Russie commettait des crimes de guerre, mais cela ne suffit pas. Pour la doxa, il faut dire aussi que la Russie commet un génocide. Il faut noircir la Russie le plus possible quitte à tordre la vérité. »




Une enquête de l’Associated Press met la lumière sur l’usage des technologies anti-Covid à des fins de surveillance

[Source : FranceSoir]

Dans une enquête, l’Associated Press (AP) dévoile la manière par laquelle
des gouvernements à travers le monde exploitent les technologies créées
pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 à des fins de surveillance de leurs populations.
©Valery Hache/AFP

Dans une enquête publiée le 21 décembre, l’Associated Press (AP) dévoile la manière par laquelle des gouvernements à travers le monde exploitent les technologies créées pour lutter contre l’épidémie de Covid-19 à des fins de surveillance de leurs populations. L’AP s’intéresse aux procédés utilisés par des pays des cinq continents, considérés comme dictatoriaux ou démocratiques, pour prévenir ou réprimer toute forme de contestation, “harceler des communautés” minoritaires ou exploiter les informations sur la santé à des fins d’espionnage.

Cette enquête, menée pendant plus d’un an, fait partie d’une série intitulée « Tracked« , qui s’intéresse “au pouvoir” et aux “conséquences des décisions prises par des algorithmes sur la vie quotidienne des gens”. Dans cette partie, publiée par les journalistes de l’AP après avoir interviewé une multitude de “sources et consulté des milliers de documents”, il est expliqué “comment les technologies utilisées pour ‘aplanir la courbe’ des contaminations ont été utilisées à d’autres fins”.

“Tout comme l’équilibre entre la vie privée et la sécurité nationale a changé après les attentats terroristes du 11 septembre, le Covid-19 a donné aux autorités un argument pour intégrer des outils de surveillance de la société qui ont duré longtemps après les confinements”, résume l’AP, qui consacre également dans son enquête un encadré au projet « big data de la tranquillité publique » à Marseille, en France.

Les libertés individuelles suspendues à un QR Code

Cette enquête ne pouvait certainement pas faire l’impasse sur la Chine et sa politique “ultra-stricte” de zéro Covid. Les autorités chinoises, nationales comme locales, ont misé sur les confinements mais surtout les applications mobiles pour lutter contre l’épidémie. Les citoyens ont été obligés d’installer des programmes sur leurs smartphones pour pouvoir circuler librement entre les différents États chinois. À partir des données de santé et des résultats de tests PCR, ces applications génèrent des codes QR individuels, qui passent du vert au rouge, selon l’état de santé de chaque individu.

Pour circuler, embarquer sur des vols ou des trains, voire même accéder à un supermarché, à une salle de sport, un hôtel ou un restaurant, les citoyens chinois devaient naturellement présenter un QR Code vert. Toutefois, le QR code basculait vers le rouge dès que la personne est testée positive au coronavirus ou que les autorités locales imposent un confinement.

Mais il existe des preuves que ce système de QR code a été utilisé pour étouffer la dissidence” et les manifestations qui se sont déclenchées en 2022 dans les grandes villes du pays contre la politique “zéro covid”. L’AP relate des cas de citoyens qui ont vu leur code QR devenir subitement rouge afin d’être restreints sous prétexte de danger sanitaire. Une des méthodes employées consistait à déclarer l’existence de cas positifs dans la zone où se trouvaient des citoyens soupçonnés de vouloir participer aux manifestations, afin de les confiner. Interrogé par l’AP, Yang Jiahao, qui avait acheté un ticket de train vers Pékin pour manifester, a expliqué que son code devenait devenir orange après la “détection d’un cas dans la zone où il se trouvait la veille”, en attendant de présenter des tests afin de prouver sa non-contamination. Mais son code QR a subitement basculé vers le rouge.

D’autres ont essayé en juin de se rendre vers la province de Henan pour manifester contre leur banque car leurs comptes bancaires étaient inaccessibles depuis des mois. Interceptés par la police à la gare, ils étaient plus de 1 300, selon l’AP, à avoir vu leur QR code scannés, devenir à chaque fois rouges. Pourtant, les passagers avaient soumis les résultats négatifs des tests lorsqu’ils ont sollicité un code vert auprès de la province de Henan avant de s’y rendre.

« C’est un modèle de gouvernance, l’objectif est de renforcer le contrôle social grâce à la technologie. Il est renforcé par des applications de santé, et il va certainement se poursuivre après la pandémie de Covid, a déclaré Yaqiu Wang, chercheur et membre de Human Rights Watch. « Je pense que c’est très, très puissant”, a-t-il renchéri auprès de l’AP.

Des SMS pour menacer les citoyens

À Jérusalem, cette enquête s’est intéressée aux caméras de surveillance qui “bordent le labyrinthe de voies caverneuses” de cette vieille ville et “les technologies avancées” utilisées pour accroître la surveillance. L’agence de sécurité intérieure, le Shin Bet, utilise la technologie de surveillance de masse, acquise pour détecter des cas de coronavirus, contre les résidents en Israël et les citoyens israéliens “à des fins totalement étrangères au Covid-19”.

L’AP explique que “les Israéliens s’étaient habitués à ce que la police se présente chez eux pour vérifier s’ils observaient ou pas la quarantaine ». Ils savaient, grâce à la presse, que le “Shin Bet réutilisait la technologie de surveillance téléphonique, utilisée auparavant pour surveiller les militants palestiniens”.

Une année plus tard, cette agence de sécurité intérieure israélienne a eu recours aux mêmes technologies pour envoyer des menaces aux Arabes d’Israël et aux résidents que les autorités soupçonnaient d’avoir participé à de violentes manifestations. “Certains d’entre eux vivaient ou travaillaient dans la zone, ou étaient juste de passage”, explique AP, qui cite le cas de Majd Ramlawi, serveur dans un café à Jérusalem, qui a reçu un de ces SMS“C’est comme si le gouvernement était dans votre poche”, a-t-il déclaré.

Cette pratique a suscité un tollé en Israël. Le Shin Bet a justifié cette pratique en évoquant “un besoin clair en matière de sécurité d’envoyer un SMS urgent à un très grand nombre de personnes, qui avaient toutes des soupçons crédibles d’être impliquées dans la perpétration de crimes violents ». La démarche a vite été légitimée en février, lorsque le procureur général d’Israël a confirmé l’utilisation continue de la technologie hors covid, affirmant qu’il s’agissait d’un “outil de sécurité légitime”, tout en reconnaissant des problèmes dans le système. “La Cour suprême d’Israël examine actuellement la question”, note l’Associated Press.

Un système de surveillance à 360°

En Inde, c’est la reconnaissance faciale et l’intelligence artificielle qui est utilisée depuis l’arrivée au pouvoir du parti nationaliste hindou Bharatiya Janata du Premier ministre Narendra Modi en 2014, devenant un outil permettant à la police de surveiller les rassemblements de masse. “Le pays cherche à construire ce qui sera l’un des plus grands réseaux de reconnaissance faciale au monde”, affirme l’AP.

Au début de l’épidémie, dans la ville de Hyderabad, ces technologies étaient déployées pour photographier les personnes qui “portaient mal le masque ou qui ne le portaient pas du tout”. La ville a dépensé des centaines de millions de dollars ces dernières années pour des véhicules de patrouille, des caméras de surveillance, des applications de reconnaissance faciale et de géolocalisation ainsi que plusieurs centaines de caméras de reconnaissance faciale.

Le commissaire de la ville a justifié ces mesures par la volonté de “rassurer les entreprises qui investissent en examinant l’état de l’ordre public”. Et d’affirmer à l’AP : « Les gens ici sont conscients de ce que les technologies peuvent faire, et il y a un soutien pour cela”.

Cette enquête rapporte qu’en mai 2020, le chef de la police de l’État de Telangana a tweeté que son département déployait un logiciel basé sur l’IA, utilisant la vidéosurveillance pour cibler les personnes ne portant pas de masque. Une année plus tard, un autre tweet montrait les policiers scanner eux-mêmes à l’aide de tablettes portables les visages des personnes à l’aide d’une application de reconnaissance faciale. 

« Lorsqu’ils voient quelqu’un qui ne porte pas de masque, ils prennent une photo sur leur tablette, notent leurs coordonnées comme le numéro de téléphone et le nom”, expliquait à l’AP un responsable.

Il poursuit en soulignant que :

L’application sur la tablette vérifiera ensuite les données pour chercher un antécédent criminel de la personne scannée”.

Les autorités locales sont notamment soupçonnées d’avoir procédé à une gigantesque collecte de données de la population durant l’épidémie afin de se doter d’un “système de surveillance à 360°, qui liera plusieurs données sur le logement, l’aide sociale, la santé et d’autres types de données autour d’un profil”.

Les données de santé pour résoudre des crimes

Les pays jugés dictatoriaux ne sont pas les seuls à figurer dans cette enquête. L’Associated Press s’est également intéressé au cas de l’Australie, où les agences de renseignements ont été surprises en train de collecter des données depuis les applications Covid, qui servaient à informer les citoyens se trouvant à proximité d’une personne testée positive.

Ces applications servaient aussi à enregistrer leurs profils, via des codes QR, pour pouvoir être contactés en cas de flambée des cas. Les données ont été exploitées pour enquêter sur des crimes. La police locale à Perth, capitale de l’Australie-Occidentale, a accédé aux enregistrements des noms et numéros de téléphones de 2 439 personnes, des fans de courses de dragsters, pour enquêter sur le meurtre d’un chef de gang de motards.

Cette mesure allait à l’encontre de la promesse du Premier ministre d’Australie-Occidentale, Mark McGowan, selon laquelle les données liées au Covid-19 ne seraient accessibles qu’au personnel de recherche des contacts du ministère de la Santé.

Aux États-Unis, le gouvernement fédéral s’est doté d’une “boîte à outils de surveillance”, à travers, notamment, deux contrats en 2020 d’une valeur de 24,9 millions de dollars. Des documents auxquels l’AP a pu accéder ont montré que les fonctionnaires fédéraux étaient prêts à partager les données au-delà de leur usage dans la lutte contre l’épidémie de Covid-19.

L’objectif était, entre autres, de recourir à des “données identifiables sur les patients” telles que des informations sur leur santé mentale, la consommation de drogues et ou encore de données provenant de foyers de groupe, de refuges, de prisons, d’établissements de désintoxication et des écoles.

« La pandémie a fait exploser une industrie de collecte massive de données biométriques et biographiques« , a déclaré Paromita Shah, directrice exécutive de Just Futures Law, un groupe de défense des droits des immigrants qui a obtenu les documents dont l’AP a eu accès. L’enquête révèle que les CDC (Centers for Disease Control) des États-Unis ont acquis, l’année dernière, des données détaillées sur la localisation des téléphones portables révélant les allées et venues quotidiennes des personnes, dans tout le territoire américain.

La porte-parole du CDC, Kristen Nordlund, a déclaré que l’agence a acquis ces données “avec des protections étendues de la vie privée, pour la recherche en santé publique”.

La France épinglée pour le projet “Big data de la tranquillité publique”

Plusieurs pays ont été concernés par cette enquête, même lorsque les technologies utilisées sont antérieures à l’épidémie de covid. L’AP cite la Russie, qui a obligé ses citoyens testés positifs à télécharger une application pour s’assurer qu’ils soient en quarantaine en les traquant via un GPS. La Colombie est épinglée pour l’usage d’hélicoptères équipés de vision nocturne et de caméras de reconnaissance faciale pour réprimer des manifestations. En Afrique du Sud, l’agence de presse s’est intéressée à un outil de suivi en temps réel des cas contacts, qui a été développé à l’origine pour suivre les braconniers d’animaux sauvages, par la suite imposé aux citoyens après de violentes manifestations.

Cette enquête épingle notamment la France et son projet “Big data de la tranquillité publique” à Marseille. Officiellement, la mairie a suspendu ce projet de « vidéoprotection intelligente » lancé en 2017 par l’administration Jean-Claude Gaudin. Un document judiciaire, signé par un avocat de la ville, laisse entendre que le dispositif est toujours en cours de développement. Le projet a rapidement inquiété les défenseurs des libertés publiques, qui y voient un outil de surveillance.

« Toute intervention qui renforce le pouvoir de l’État pour surveiller les individus est de long terme », a déclaré John Scott-Railton, chercheur principal au Citizen Lab, un organisme de surveillance Internet basé à Toronto, à AP. « Une fois que vous l’obtenez, il est très probable qu’il ne disparaisse jamais”.




Dmitri Anatolievitch Medvedev plaint les peuples de l’UE victimes d’un IVe Reich

[Source : RL]

Par Valérie Bérenger

Il n’est pas tendre Dmitri Anatolievitch Medvedev, c’est le moins que l’on puisse dire. Ni tendre, ni patient. En tout cas beaucoup moins que Vladimir Poutine. Il est vrai que l’Occident lui a donné toutes les raisons valables pour ne pas l’être. Pourtant, voici quelques années, alors qu’il dirigeait la Fédération de Russie, il était enclin à s’entendre avec l’Occident. Il n’avait alors pas encore compris à quel point la confiance qu’il mettait dans ses interlocuteurs allait être trahie.

En effet, en 2010, lors de la réunion du Conseil Russie-OTAN à Lisbonne, à laquelle il participait en tant que président de la Fédération de Russie, les membres de l’alliance n’ont eu aucun mal à le convaincre que la Russie et eux ne se menaçaient pas mutuellement. Dmitri Anatolievitch Medvedev a cru alors que l’Occident et la Russie étaient prêts à travailler ensemble à la sécurité globale de la région euro-atlantique. Grave erreur !

Mais les Russes sont comme ça. Ils font confiance. Jusqu’à ce qu’ils comprennent qu’ils se sont fait blouser. Une fois… mais pas deux. Car, contrairement aux Occidentaux, ils ont de la mémoire et prennent en compte les événements historiques et les trahisons qui en ont découlé.

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Aujourd’hui vice-président du Conseil de sécurité de la Fédération de Russie, président du parti politique panrusse « United Russia », cet homme brillant et perspicace a eu en cette fin d’année une pensée miséricordieuse pour les peuples de l’Union Européenne en disant : « On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. »

Que voilà un homme lucide que l’on ne peut que remercier de vouloir différencier les fous génocidaires de l’Occident et les peuples qui en subissent le joug chaque jour un peu plus.

Pourtant pour Dmitri Anatolievitch Medvedev :

« Les illusions sont finies, aujourd’hui nous sommes séparés du monde occidental par bien plus que ce qui nous unit. (…) Il est tout à fait clair que dans la relation des États indépendants et souverains avec le monde anglo-saxon dans la configuration actuelle, on ne peut parler de confiance, d’espoir en la décence des partenaires, de leur fidélité en leur parole et même en leurs principes magnifiquement énoncés. Mais, hélas, maintenant nous n’avons personne avec qui parler et négocier en Occident. Il n’existe rien dans ce domaine, et il n’y a pas besoin de le faire. Ce sont les événements de l’année écoulée qui ont annulé la possibilité même d’un dialogue confidentiel et respectueux avec les représentants de ce « pôle » mondial. Il ne reste que l’étonnement : ces gens se considèrent-ils sérieusement comme des leaders mondiaux, revendiquent-ils quelque chose de global, rêvent-ils de dicter leur volonté aux autres ? Sur quelle base, s’ils se discréditent, signent-ils leur impuissance, mentent, s’enlisent-ils dans les problèmes ? ».

Fort d’une lucidité que nombre de dirigeants européens devraient cultiver, il a publié récemment sur son compte Twitter anglophone dix prédictions que la presse mainstream française et européenne a qualifié « d’apocalyptiques » pour l’année 2023. « Tout le monde fait des pronostics en ce moment, affirme-t-il dans son tweet qui a été lu plus de 28 millions de fois. Beaucoup émettent des hypothèses futuristes, comme s’il fallait trouver les plus folles, voire les plus absurdes ».

[Voir Prédictions apocalyptiques de Medvedev pour 2023]

Parmi ces affirmations, notons que le prix du pétrole atteindra 150 dollars le baril et que le prix du gaz dépassera 5 000 dollars pour 1 000 mètres cubes ; le Royaume-Uni rejoindra de nouveau l’Union européenne, laquelle devrait s’effondrer après ce retour. Mais le plus logique de ce discours est l’argument qui prétend que la Pologne et la Hongrie occuperont les régions occidentales de l’ancienne Ukraine. Ce qui n’aurait rien de surprenant lorsque l’on sait que la Pologne a déjà revendiqué auprès de Kiev ses territoires historiques.

Dmitri Anatolievitch Medvedev n’hésite pas à évoquer la création du IVReich, qui « englobera le territoire de l’Allemagne et de ses satellites, à savoir la Pologne, la Tchéquie, la Slovaquie, les États baltes, la République de Kiev et d’autres parias ».
Il soutient également qu’une guerre éclatera entre la France et l’Allemagne menant à la division de l’Europe. « L’euro et le dollar cesseront, eux, de circuler en tant que réserve mondiale après l’effondrement du système de gestion monétaire de Bretton Woods. »

Cerise sur le gâteau, il termine ses prédictions en souhaitant de « joyeuses fêtes à tout le monde, aux amis anglo-saxons et à leurs joyeux porcelets grognant ».

Nous pouvons supposer que les « joyeux porcelets grognant » sont les alliés – ou plutôt vassaux – de Washington, l’UE en tête. Saluons néanmoins l’humour dont fait preuve l’ancien président russe.

Si vous étudiez la géopolitique actuelle, vous vous rendrez compte que ces « prédictions » ne sont pas aussi vides de sens que l’on veut bien vous le dire. Le prix du pétrole à 150 dollars n’aurait rien d’étonnant. En 2013, l’institution américaine Bank of America Merrill Lynch indiquait dans une note s’attendre à ce que le baril de pétrole progresse à 140 dollars au cours de l’année ce qui amènerait, dans le cas où l’écart de prix demeurerait le même à un baril de pétrole Brent à 160 dollars. En janvier 2022 les prix du gaz en Europe dépassaient déjà 1 100 dollars pour 1 000 m3. Or, les stocks vont se vider très vite et sans le gaz russe il n’est pas du tout impossible de voir une nouvelle fois les prix s’envoler pour être multipliés par deux ou par trois, voire bien plus.

Lorsque, dans un article publié dans le magazine russe  Rossiyskaya Gazeta, Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme que :

« Le taux d’inflation aux États-Unis et dans la zone euro franchit littéralement le « plancher » des prévisions pessimistes : il est respectivement de 8 à 10 %, avec une croissance du PIB de 2 %. Sans parler de divers imbéciles d’Europe de l’Est ou des États baltes, où l’inflation a grimpé en flèche au-delà de 20 %.».

Il est en fait très en dessous de la vérité concernant la zone euro.

Il suffit pour en être persuadé de se rendre dans n’importe quelle grande surface alimentaire en France et s’apercevoir que certaines références ont vu leur prix multiplié par deux. Le prix d’une simple bouteille de gaz butane a pris en quelques mois +25 %, passant de 29,90 € à 39,90 €.

Quant au IVe Reich, soyons lucides, c’est une réalité. Il suffit de voir les symboles arborés par les combattants ukrainiens et certains mercenaires de l’UE ou des USA qui les ont rejoints pour être – hélas – fixé sur la question. Et la question qu’il pose avec une certaine logique trouve sa réponse dans les événements actuels :

« Qu’attendre de certains pays européens, qui à un moment donné ont donné naissance au national-socialisme et au fascisme ? Ce sont eux qui sont aujourd’hui responsables du renouveau de l’idéologie nazie. Apparemment, les douleurs fantômes de la grandeur perdue dans la classe politique de ces pays ne peuvent être supprimées par les médicaments du temps. Et bien que les forces dirigeantes se disent gauchistes ou chrétiennes, elles sont en fait les véritables héritières de la cause au Parti national-socialiste (NSDAP) et du Partito Nazionale Fascista (PNF). Et tôt ou tard, ils répondront de ceux qui ont été nourris de leurs propres mains. »

En cette fin d’année 2022, face à cette tragédie, quid de l’avenir du monde dit civilisé ?

Entre mensonges et trahisons de la part du monde occidental, la Russie n’a pas eu d’autre choix que de lancer son opération militaire spéciale. Angela Merkel a elle-même avoué que les accords de Minsk n’avaient eu pour but que de permettre à l’Ukraine de se préparer à une guerre et à l’Otan de l’armer. Ce que le clan occidental n’a pas encore compris – et gageons qu’ils ne le comprendront jamais – c’est que pour la Russie tout entière cette opération est une question de SURVIE. Il ne s’agit pas seulement de venir au secours des républiques du Donbass mais également de la souveraineté et de la survie du monde russe.

La faute à qui ? Fin 2021 l’Alliance de l’Atlantique Nord a refusé tout net de garantir à la Russie que l’Ukraine ne rejoindrait pas l’OTAN malgré toutes les promesses faites et non tenues depuis 20 ans. Kiev, de son côté, annonçait sa volonté de relancer un arsenal nucléaire visant sans conteste à détruire la Russie.

Il est navrant de constater que les leçons de la Seconde Guerre mondiale ont été complètement oubliées. Que la générosité et la grandeur de la Russie, qui a éreintée les armées allemandes au prix d’un lourd tribu, ont été effacées d’un simple coup de crayon au profit d’une hégémonie américaine nuisible qui n’a aucune justification.

Comment ne pas donner raison à cet homme lorsqu’il affirme :

« Au service de ses « maîtres » et en raison de sa stupidité, le régime de Kiev cherche désespérément à « interdire » non seulement tout contact de ses citoyens et entreprises avec la Russie, mais aussi tout « esprit russe », toute culture russe – même celle qui est devenue à juste titre un classique mondial. En Ukraine, les monuments aux écrivains et aux généraux russes sont démolis, et les rues Pouchkine portent le nom de l’ordure Bandera. Ils interdisent la langue russe dans les écoles et à la maison, ils mettent les livres russes au pilori. Que scénario familier – il ne manque plus que les camps de concentration et la Nuit de cristal. Gogol, Boulgakov, Malevitch, Akhmatova, Vernadski et même Lessia Ukrainka ou Taras Chevchenko doivent se retourner dans leurs tombes. Tout cela s’accompagne de convulsions hystériques de propagande et d’appels à « punir » la Russie obstinée par tous les moyens. »

La russophobie totalement irrationnelle a atteint cette année dans l’UE un niveau hallucinant. Après le Covid, les enfermements, l’isolement, la mise en esclavage des peuples, les injections inutiles et mortelles dont on découvre chaque jour la nuisance et la gravité des effets secondaires, les mensonges à répétition, l’autoritarisme des dictatures larvées qui s’est fait jour, c’est une nouvelle forme de lèpre qui vient nous envahir.

Ainsi, après l’effondrement idéologique et philosophique global du monde occidental, son remplacement est assuré par une perversité démoniaque et souterraine qui s’est répandue comme la peste noire en son temps, vitesse grand V. Ce monde est devenu fou et il est grand temps pour nous de sonner la fin de la récréation.

Continuant sur une logique imperturbable Dmitri Anatolievitch Medvedev affirme avec une générosité que l’Occident ne mérite certainement pas :

« On ne peut que compatir avec les citoyens ordinaires des pays de l’UE. Leurs slogans enflammés sur la solidarité avec l’Ukraine ne réchaufferont pas leurs maisons et ne rempliront pas le réservoir d’essence de leurs voitures. Toutes les « sanctions infernales », blocus et autres restrictions sont supportées par ceux qui doivent maintenant payer des factures insensées de services publics ou de carburant. Accueillir des réfugiés ukrainiens et leur donner du travail, endurer crise après crise par la faute de leurs propres politiciens qui ignorent la question : pourquoi tout ce supplice ? Qui est le plus mal loti à la fin ? Pourquoi, comme d’habitude, seule l’Amérique est-elle relativement gagnante ? Leurs citoyens comprennent que la pauvreté et l’incertitude sont des phénomènes à long terme. Et ce n’est pas une partie de plaisir : des reportages sur les manifestations de rue apparaissent quotidiennement sur les fils d’actualité en Europe. »

Tout est dit ! Les peuples européens payent et continueront de payer au centuple la facture que l’Amérique présente. Alors en cette fin d’année la seule question qui se pose est : voulons-nous continuer à servir d’esclaves aux USA où voulons-nous retrouver notre liberté et notre libre-arbitre et vivre mieux ?

Car, si les Russes savent être généreux, les Américains ne le sont pas. Gageons qu’ils nous sacrifieront jusqu’aux derniers vivants exactement comme ils le font avec les Ukrainiens. Si nous voulons retrouver notre liberté, notre fierté et notre pays tel que nous l’avons connu, il nous faut nous débarrasser une fois pour toutes de l’hégémonie américaine et, avec elle, de celle de l’UE pour nous rapprocher, comme le voulait le Général de Gaulle, du seul allié fiable que nous pourrions avoir : la Russie.

Ce n’est plus pour la France et les Français une question seulement économique ou politique, en 2023 il en ira de notre survie !




Zelensky : la vérité derrière la propagande

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]




La chance de l’humanité

[Source : Mondialisation.ca]

Par Dr Pascal Sacré

« À l’intérieur du corps existe un agent inconnu
Qui travaille pour le tout et pour les parties,
Qui est à la fois Un et Multiple »

Hippocrate

Nous sommes à l’acmé de cette époque au cours de laquelle toutes les vérités ont été falsifiées, carrément inversées.

Nous y sommes, arrivés au dernier sommet du Kilimandjaro du mensonge travesti en vérité.

Cela ne pouvait marcher qu’en allant de pair avec l’infantilisation extrême de l’être humain, avec son abêtissement progressif qui lui aussi atteint son point culminant.

Tout a concouru à cette destruction de l’intelligence humaine et toutes ses parties, physique, rationnelle, émotionnelle, spirituelle.

Des tirs croisés nourris de bêtises habillées en évidences, de culot, d’arrogance, de mépris, de violences, de distractions, de saturations, de paradoxes, de terreur, de mauvaise foi, de corruptions, de paresse, d’inertie, de stimulations incessantes et de bruits constants…

L’esprit humain est maintenu en ébullition.

Toutes les disciplines ont été contaminées par cette maladie qui consiste à corrompre la vérité, parfois de manière évidente, visible, plus souvent de manière subtile comme un cancer qui épuise aussi lentement que sûrement les capacités de guérison de l’organisme violé à son insu.

Il s’agit d’une vaste coalition de programmes et de décisions, étalée sur plusieurs générations, ce qui, à lui seul, démontre l’intention malveillante organisée derrière cette entreprise de démolition contrôlée du potentiel humain.

En ce sens, que faire ?

Déjà, remarquer puis accepter cette évidence.

Combien tombent encore dans le piège de maintenir un dialogue avec les diffuseurs d’illusions, ces personnes adoubées par le système, autoproclamées tenants de LA vérité, dénommées « experts ». 

Comprenez-bien ce dont il s’agit : « Les experts ne se sont jamais trompés. Ils ont toujours menti. » 

C’est une grosse différence, une importante nuance. Je ne parle pas à un menteur patenté comme je le ferais avec quelqu’un qui se serait juste trompé.

D’ailleurs, je ne parle pas à un menteur patenté. Je démonte ses mensonges et tente, avec tact et douceur, d’alerter mes concitoyens trompés.

Il ne faut pas nécessairement être l’instigateur malveillant du système pour le défendre becs et ongles. D’ailleurs, ceux-là restent souvent en retrait, peu visibles voire invisibles pour la majorité des humains. Ils ont donné leurs ordres, distribué récompenses ou menaces, et assistent ensuite au spectacle.

Beaucoup des défenseurs du système de l’Illusion sont des personnes honnêtes et bienveillantes, trompées ou accrochées à leurs croyances, sans se rendre compte qu’en faisant cela, elles servent involontairement le système qu’elles pensent combattre.

Juddi Krishnamurti(([2] Qui est Krishnamurti ? (krishnamurti-france.org) )) est un sage hindou qui prônait l’indépendance totale vis-à-vis de tout système de pensée qui, aussi valable fut-il pendant un temps, finissait par enfermer ses adeptes dans une vérité devenue obsolète. Tôt ou tard, les tenants de toute école préfèrent ignorer les faits contraires, éviter les débats contradictoires, se focaliser sur ce qui confirme leur vision des choses et basculent obstinément dans la défense de leurs idées, plutôt que de poursuivre la quête de la vérité.

Car la vérité est un objectif inatteignable. C’est une recherche permanente, une remise en question perpétuelle.

La vérité figée en idée, en système de pensées, est comme un ruisseau qui se serait arrêté de couler, transformé en mare stagnante, morte.

Pas d’école.

Pas de système.

Effectivement, quiconque adhère à une école, à un système de pensées, encore plus s’il en est un fondateur, s’accrochera à son école, à son système, même alors que l’évolution des connaissances et de la maturité humaine l’ont rendu caduque, mensonger ou limitant.

L’histoire humaine le prouve.

À moins d’un effort de lucidité et de volonté énorme, il est très difficile de renoncer à des idées auxquelles nous nous sommes identifiés toute notre vie, pour lesquelles nous avons consacré notre vie.

C’est encore plus vrai pour les fondateurs, pour ceux qui gagnent leur vie grâce au mode de pensée qu’ils défendent et vendent, pour ceux qui en retirent pouvoir, renommée, récompenses.

Toutes les écoles de pensées quel que fût leur bienfondé, au début, deviennent des systèmes finis, limitant la vérité qui évolue sans cesse, deviennent des carcans confortables mais trompeurs.

À côté de cela, nous trouvons les imposteurs, les menteurs patentés, ceux qui trafiquent leurs études, volent les travaux des autres.

Le prototype est certainement Louis Pasteur, l’usurpateur, et son antithèse est Antoine Béchamp, véritable chercheur honnête, intègre, passionné, répétant ses travaux des dizaines de fois dans toutes les conditions, sur des années, avant de tirer des conclusions et de les publier, prêt à se remettre en question, comme l’a prouvé sa vie entière.

Pourtant, si vous demandez autour de vous qui connaît Antoine Béchamp, même parmi les médecins que vous connaissez, très peu vous diront oui. Encore moins sauront ce que cet homme tout à la fois extraordinaire et modeste, humble et rigoureux, a mis en évidence.

[Voir aussi :
Pasteur versus Béchamp – La crise du coronavirus relance une controverse vieille de 150 ans
Le Covid à travers la théorie des germes, 150 ans d’escroquerie scientifique sur les virus ?
Dis Papy, ça sert à quoi les vaccins depuis 1885 ?
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
La théorie des germes : Une erreur fatale
Et si notre organisme n’était pas du tout stérile ? Un siècle d’erreurs scientifiques
Le mystère des microzymas et le polymorphisme microbien
Un nouveau paradigme médical
Les Racines de nos Maladies
Qu’est-ce qui nous rend réellement malades ?]

C’est bien simple.

Il vous invite à oublier complètement tout ce que vous avez cru savoir.

Il vous montre, vous prouve que la vie n’est pas du tout une guerre comme ces « experts » nous la présentent aujourd’hui, encore moins un conflit avec l’extérieur qui serait menaçant.

La vie est une harmonie puissante, yin et yang, entre l’interne et l’externe, maintenue depuis les tréfonds du corps humain lui-même.

Aujourd’hui, la crise du COVID, la guerre en Ukraine (éclipsant toutes les autres créées par l’Occident), les variations de climat utilisées comme alibi à plus de contrôle et d’austérité, les crises énergétiques fabriquées par certains hommes me font dire que si l’humanité ne saisit pas l’occasion, que si un nombre suffisant d’humains ne se lèvent pas non pas pour exiger la fin du système actuel (il se détruit de lui-même) mais pour reprendre le contrôle sur leur vie, leur santé, pour reprendre le chemin vers la vérité, alors, cette humanité aura laissé passer sa chance.

Repartons de vrais modèles de vertu, d’intégrité, de rigueur et de bienveillance.

Parmi ces modèles, Antoine Béchamp nous montre la voie.

Je suis confiant.

« Vous devez apprendre à désapprendre en permanence
tout ce que vous avez appris »

Dr Pascal Sacré

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Dr Pascal Sacré, Mondialisation.ca, 2022

Notes :




Comment les faussaires de gauche tuent l’information (Boutcha, Paris…)

Par Lucien SA Oulahbib

Qui se souvient de « Jayson Blair » ce journaliste du New York Times ayant plagié et inventé des évènements ? Ou encore de la manière dont ce même « journal » a par contre occulté les affaires sulfureuses du fils Biden sans oublier son rôle clé et encore actuel sur l’accusation contre Trump de collusion avec la Russie, sans parler de l’assaut du Capitole et de toute la mascarade Covid-19 ?…

Eh bien, ce même fleuron réitère en se targuant d’une enquête de « huit mois » sur ce qui se serait « vraiment » passé à Boutcha en s’appuyant sur des documents fournis par les services zélinskystes, tout en apportant l’ultime preuve :

« (…) à chaque fois, ou presque, qu’un civil meurt à Boutcha, son téléphone est utilisé pour passer des appels en Russie. Cela se passe dans les minutes qui suivent les meurtres. Et tous les coups de fil sont passés à des proches de membres du 234e régiment. Les soldats russes ont interdiction d’utiliser leurs téléphones personnels ou d’appeler leurs familles. Ils se sont donc servis des appareils de leurs victimes pour rassurer leurs femmes ou leurs parents. (…) »

Là, relevons quelques perles : généralement les téléphones ont un code d’accès, et surtout il aurait fallu indiquer à quelle date ces appels auraient été passés alors que l’on sait selon les dires mêmes du maire de Boutcha qu’il n’y avait pas de cadavres dans les rues lorsque les soldats russes se sont retirés (lire à ce propos la longue enquête effectuée à l’époque par FranceSoir sur cette question).

Mais comme l’OTAN s’enlise dans le Donbass, et que les affaires sulfureuses du fils et du clan Biden s’amplifient (en Ukraine y compris), sans oublier l’escroquerie à grande échelle d’une plateforme affairiste (FTX) très proche des démocrates (mais cela n’a pas empêché sa mise en valeur par le même NYT), il fallait bien allumer un contre-feu afin de détourner l’attention sur un média en perdition, quitte à alimenter la détestation antirusse. Celle-ci est assez semblable au fond à celle qui est toujours alimentée, y compris en France, autour d’Israël depuis sa création (Le Clézio en avait fait même ses choux gras distribués au bac de français ces derniers temps), ce qui accentue la division en France et débouche sur l’animosité à sens unique contre les Juifs de France et empêche ainsi toute intégration et assimilation d’une population d’origine musulmane élevée dans de tels mensonges.

Mensonges alimentés également par toute une gauche de plus en plus putride qui voile ses liens avec la vraie « extrême droite » palestinienne (dont un de ses membres a été accueilli en grande pompe récemment) qui a fricoté naguère avec le nazisme, puis avec le totalitarisme soviétique, ensuite khomeyniste (ces « amis » de Soral soutenant le Hamas et le Djihad islamique), et aujourd’hui néo-léniniste (Nupes). Et cette gauche totalitaire en vient maintenant à suspecter la moindre manipulation d’un « loup solitaire » versus celle des services secrets turcs (dernière en date trois assassinats de Kurdes en plein Paris, pourquoi Kurdes si le seul « racisme » était la motivation ?) la corrélant misérablement avec les souverainistes français, cette dite fameuse « extrême droite » que cette gauche fétide appelle sans cesse à dissoudre, alors que ses propres nervis dits « antifa » (ou nettoyeurs vérificateurs) au service de la macronie et de ce qui l’a précédée (l’affairisme sarkoziste sauce hollandaise) salissent, tabassent, détruisent non seulement des concepts, mais aussi des librairies à l’instar de leurs lointains prédécesseurs tchékistes.

Au fond, la vérité éclate sur cette « gauche » affairiste (dernier élément en date la corruption au Parlement européen), hygiéniste (le matraquage autour d’infections qui auraient pu être soignées précocement), au scientisme désormais illuminé (la moindre critique étant maraboutée « complotiste » c’est-à-dire « impure »), considérant la moindre injection et son flash comme la drogue underground du moment à ne pas rater, comme le révèle piteusement Onfray dans son dernier mea culpa ; ou encore véhiculant un prophétisme se métamorphosant en climatologie « people » à la moindre hausse ou baisse des températures (moins 55° actuellement aux USA) et alors que les observations (et non les projections spéculatives) montrent que la prudence doit rester de mise quant aux liens supposés « causaux » entre gaz à effet de serre, météo et climat.

Et plus le fracas sur le Réel (énergies, inflation…) provoqué par une gauche bien nourrie par les émoluments de la République française (si généreuse pour ses ennemis et les non-citoyens, tout en laissant ceux-ci mijoter dans l’injustice européenne et onusienne, les parquant en France avec l’aval du Conseil Constitutionnel français) est retentissant, plus il s’avère douloureux pour un peuple laissé à l’abandon. Celui-ci se clochardise de plus en plus aux dires des organismes de charité, tout en étant constamment harcelé, violé, massacré, et raillé également puisqu’il se laisse faire par tout un tas d’abrutis, à commencer par ce goal argentin qui n’a de cesse de traîner dans la boue l’avant-centre français Mbappé pendant que la gauche dite française n’en dit bien sûr pas un mot ou presque.

À vrai dire, « nous » avons en France et dans le monde ce que nous méritons : une élite médiocre sinon nulle. Mais très maligne, mesquine, nihiliste, cynique, qui peut mener à l’effondrement final comme en 40… Tant et si bien d’ailleurs qu’il ne s’agit même plus pour certains de se demander s’il va venir puisqu’il est déjà là, mais que cela ne se voit pas encore…




L’Italie et la Pologne déclarent la guerre à l’Union Européenne et dénoncent la « dictature des plus forts »

[Source : lecourrier-du-soir.com]

Dans une interview accordée au média italien La Stampa et relayée par Politico, le premier ministre polonais prévient que l’Italie et la Pologne se sont engagés à mettre fin aux diktats des États forts de l’Union Européenne, en l’occurrence l’Allemagne et la France, qui décident de tout comme bon leur semble sans consulter les autres.

[NDLR La France n’a guère plus de poids et n’est pas plus souveraine que l’Italie et que la Pologne dans l’Union Européenne.]

L’Union Européenne tiendra-t-elle longtemps ? La question se pose au moment où l’Union, très fragilisée par la pandémie à Coronavirus et la guerre en Ukraine, traverse une nouvelle crise marquée par un scandale de corruption qui risque, cette fois-ci, de ternir complètement son image. Et c’est dans ce contexte houleux que deux pays (la Pologne et l’Italie) décident de faire entendre leurs voix pour un changement radical du fonctionnement d’une Europe de plus en plus discréditée.

En effet, dans une interview accordée au média italien La Stampa et relayée par Politico, Mateusz Morawiecki, premier ministre de la Pologne, n’a pas manqué de dénoncer la bureaucratie européenne qui, selon lui, est devenue une plaie qui gangrène l’Union. Lors de cette interview, il a ainsi clairement fait savoir que l’Italie et la Pologne « en ont marre des diktats de la bureaucratie européenne ».

Dénonçant une Union entre les mains des États forts (la France et l’Allemagne), le premier ministre polonais ne mâche pas ses mots. « Les Polonais et les Italiens en ont marre des diktats de la bureaucratie européenne et veulent une vraie démocratie. Nous voulons faire renaître l’Europe à partir de ses principes de base », a-t-il fait savoir.

Dans l’interview, le chef de gouvernement polonais s’est durement attaqué à l’Allemagne, devenue la locomotive de la zone euro. « Nous payons déjà un lourd prix à cause principalement des erreurs des politiciens allemands. Mais, si Berlin devait décider de tout, le prix du gaz serait plus élevé », déplore-t-il.

Parlant de l’hégémonie du couple franco-allemand qui dictent leurs visions aux restes des membres, Mateusz Morawiecki prévient : « soit c’est la règle de l’unanimité ou sinon c’est la tyrannie du plus fort ». Pour rappel, les propos du premier ministre polonais sont tenus dans un contexte de crise marqué par la guerre en Ukraine qui a beaucoup fragilisé l’UE.

D’ailleurs, tout récemment, il a été révélé dans la presse que des poids lourds de l’UE ont accusé les États-Unis d’avoir trahie l’Union Européenne en s’enrichissant de la guerre en Ukraine. C’est du moins la révélation faite par le média Politico.com ce 24 novembre. En effet, d’après cette source, de hautes personnalités au sein de l’Union Européenne accusent, en coulisse, Joe Biden, président des États-Unis, de s’enrichir de la guerre pendant que l’Europe est au bord de l’implosion.

D’après la source, l’une des premières causes de cette colère européenne est due à la fameuse Inflation Reducation Act (IRA), ces subventions massives que les États-Unis ont récemment accordées aux entreprises présentes sur leur sol. Une décision américaine qui fait trembler l’Europe qui a peur de voir des centaines d’entreprises quitter le Vieux Continent pour s’installer au Pays de l’Oncle Sam.

Et ce n’est pas le seul problème soulevé par le média. À en croire Politico, de hautes personnalités politiques européennes ne digèrent pas non plus le fait de devoir acheter le gaz américain à un prix 4 fois plus cher que celui qu’ils achetaient à la Russie de Poutine. Si à cela s’ajoutent les coûteuses commandes d’armes américaines par l’Europe (dont les stocks d’armes sont presque vides), l’équation devient très difficile à résoudre.

La Russie semble avoir vu juste. En effet, fin octobre dernier, Sergey Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, avait pourtant clairement dévoilé la stratégie américaine, en accusant l’Oncle Sam de chercher, à travers la guerre en Ukraine, à « désindustrialiser l’Europe et l’inonder d’armes américaines ».

« De plus en plus d’économistes, non pas seulement en Russie mais en Occident, sont arrivés à la conclusion que les États-Unis cherchent à épuiser et désindustrialiser l’économie européenne », disait-il. Et d’ajouter : « les Allemands délocalisent une grande partie de leurs chaînes de production vers les États-Unis avec toutes les conséquences que cela implique pour l’Europe. Il est de l’intérêt de Washington d’affaiblir l’Europe sur le plan militaire, de l’obliger à rester sur le qui-vive, inonder l’Ukraine d’armes et remplir les stocks militaires européens d’armes américaines ».

Pour Lavrov, dans cette guerre qui oppose l’Ukraine à la Russie, les Européens sont les plus grands perdants. « Les Européens souffrent beaucoup plus que les États-Unis des sanctions économiques », affirme le chef de la diplomatie russe. Il convient de souligner que les propos de Lavrov étaient prononcés moins de trois jours après la sortie de Viktor Orban premier ministre hongrois (pays membre de l’UE) qui a avoué tout récemment que dans cette guerre contre la Russie, l’Europe est tombée dans son propre piège.