Le rêve des uns et le cauchemar des autres

[Source : Afrique-Asie]

Publié par : Michel Raimbaud

Il est dans l’air du temps de considérer les épisodes
troubles que nous vivons aujourd’hui comme une réplique à ce que furent
hier les « années folles » de l’entre-deux guerres. Ce n’est pas une
perspective encourageante, car cet entracte convulsif de vingt ans tout
juste (1919/1939), loin d’être seulement une explosion des libertés, un
foisonnement des innovations, une envolée du progrès, allait déboucher
sur le festival de boucherie et d’horreur que nous savons, suite logique
de son échec. Peut-on recréer un ordre universel, alors que la moitié
de la planète reste sous le joug colonial ? Rétablir la stabilité alors
que quatre empires viennent de disparaître, deux d’entre eux, Russie et
Allemagne, ne se voyant nullement comme des vaincus, et que le statut
des deux « superpuissances » coloniales est ébranlé par l’ascension de
l’Amérique ? Quand cette dernière refuse d’adhérer à la Société des
Nations qu’elle a patronnée, comment donc garantir la paix ?

La démocratie américaine à l’œuvre

Folles ou non, les présentes années sont écervelées, ou décervelées.
Mais en 2020, l’heure n’est plus à renifler un séisme attendu, car
celui-ci gronde déjà de toutes parts. Pourtant, si le monde revisité est
bien devenu universel, l’Occident préfère s’identifier à une «
communauté internationale » qui ne l’est pas. Le refus de prendre en
compte cette « fracture » est à l’origine de la rage et/ou de la démence
de ses élites pensantes, dirigeantes et rugissantes.

Pour ne parler que de nos bons maîtres, nous dispensant ainsi de
parler de ses vassaux, aimeriez-vous rencontrer au fond d’une ruelle
John Bolton, le schtroumpf grognon, partir en croisière avec Pompeo, le
père fouettard de la diplomatie étatsunienne, discuter des droits de
l’homme avec Nikkie Halley, la harpie du Conseil de Sécurité ? Que
feriez-vous si Trump vous proposait de parler dans un coin tranquille de
la gestion de votre plan d’épargne ? Ou d’écrire l’histoire du
Moyen-Orient avec Wolfowitz ? Auriez-vous envie d’évoquer l’Irak avec
Mme Albright ou Dick Cheney, ou la Palestine avec Jared Kushner ?

De l’Irak à la Syrie, de Bush à Trump, la mission achevée de l’Amérique

Pour comprendre comment on en est arrivé à cette folie, il est
essentiel de répondre, quitte à enfoncer les portes ouvertes, à
l’interrogation historique du génie qui savait poser les bonnes
questions, ce George W. Bush, qui allait imprimer sa marque indélébile à
la Maison-Blanche, de 2001 à 2009.

Tandis que Bill, son frivole prédécesseur, avait fait du bureau ovale
un jardin secret, et que Barack allait en faire une chaire d’où il
prêcherait la paix des Nobel tout en faisant la guerre – par derrière –
mieux que quiconque, notre Debeliou (c’est le nom de scène de Bush fils)
transformera les lieux en oratoire où l’on marmonne entre bigots de
pieuses oraisons avant de prendre les décisions mettant à sac la
planète. Bien qu’il n’ait ni découvert l’Amérique ni inventé la poudre,
il endossera la géostratégie néoconservatrice du début de millénaire, et
le rôle de chef de file des « grandes démocraties ».

Rattrapé sur ses vieux jours par Alzheimer, Ronald Reagan, premier à
déclarer « la guerre contre la terreur », ne se souvenait plus avoir été
Président. Retiré dans son ranch, Debeliou, lui, consacre ses loisirs à
peindre de blancs moutons. C’est un sain divertissement, dont le choix
témoigne d’une heureuse nature. Ce « good guy » a manifestement la
conscience tranquille : n’a-t-il pas accompli la mission qui lui avait
été confiée par le Ciel de guider l’Axe du Bien au milieu de la cohorte
des « parias » ? Dans son cocon paisible, comment aurait-il pris la
mesure des crimes qu’il a ordonnés et couverts, à l’abri de toute
poursuite de la Cour Pénale Internationale ou de ses avatars, le « monde
civilisé » et ses succursales n’étant pas de leur compétence. ? Il
n’aura jamais soupçonné, même en cauchemar, la haine dont son Amérique
est l’objet, de l’arrière-cour latino-américaine à l’Asie éternelle, en
passant par la complaisante Europe et ce Grand-Moyen-Orient qui s’étend
désormais de la Mauritanie au Pacifique et du sud de la Moscovie à
l’équateur africain ? Il mourra sans savoir que l’Amérique est devenue
sous son règne l’Etat-voyou par excellence avant de sombrer dans le
banditisme « from behind » d’Obama, puis carrément dans le gangstérisme
international de l’oncle Donald.

USA Über Alles

Notre propos d’aujourd’hui n’est pas de faire, comme le veut la mode,
une lettre ouverte qu’ils ne liront pas à G. W. Bush et ses
ex-acolytes, ses prédécesseurs ou ses successeurs. Il n’est même pas de
passer en revue les fioretti du pape de l’Axe du Bien et les florilèges
de ses conseillers neocons, dont le cynisme et l’arrogance dépassent
l’entendement. Laissant Debeliou à ses petits moutons, on essaiera de
répondre in absentia à l’angoisse métaphysique qui le tenaille en 2001
alors qu’il s’apprête à venger les attentats du 11 septembre en semant
mort, destruction et chaos dans les sept pays programmés : l’Irak ; la
Syrie, le Liban, la Libye, la Somalie, l’Afghanistan, le Soudan.

C’est durant cette phase particulièrement fébrile de sa vie
intellectuelle, le 20 septembre 2001, que Debeliou, s’adressant au
Congrès sérieux comme un Pape, lance à la ville et au monde la question «
des Américains » : « Pourquoi des gens peuvent-ils nous haïr, alors que
nous sommes si bons ? ». Il fallait y penser et aussi l’oser, mais l’on
sait depuis Audiard que c’est à cela que l’on reconnaît les gens que
rien n’arrête. Puisqu’aux Etats-Unis on est démocrate même quand on est
républicain, car c’est à peu près la même chose, notre tribun répond,
sûr de son fait : « Ils haïssent ce qu’ils voient dans cette salle : un
gouvernement élu démocratiquement. Leurs chefs sont auto-désignés. Ils
haïssent nos libertés, de religion, d’expression, notre droit de voter,
de nous rassembler et d’exprimer nos désaccords ».

Sans queue ni tête, cet amalgame entre les « terroristes » du 11
septembre (saoudiens pour la plupart) et les sept pays précédemment
mentionnés, est évidemment arbitraire, visant à justifier la « pensée
stratégique » qui va inspirer Debeliou dans sa « guerre contre la
terreur ». On peut toutefois se demander si, visant les « Etats
préoccupants », il n’est pas en train de dénoncer ses propres impostures
: « Nous ne sommes pas dupes de leur feinte piété (…). Ce sont les
héritiers de toutes les idéologies sanglantes du XXème siècle. (…) Ils
marchent dans la foulée du fascisme, du nazisme et du totalitarisme. Ils
suivront ce chemin jusqu’à sa fin, dans la tombe anonyme des mensonges
répudiés de l’Histoire ». Ne dirait-on pas une condamnation des menées
néoconservatrices, dont la ceinture verte arabo-musulmane est le théâtre
privilégié depuis un quart de siècle ? Signe des temps et du ciel, des
Israéliens se poseront la même question, comme Rishon Lezion dans le
Yediot Aharonot du 26 juillet 2006 : Pourquoi nous haïssent-ils tant ?

On ne peut s’empêcher de rappeler l’anecdote rapportée en 2007 à la
revue Democracy Now par le Général Wesley Clark, ex-commandant en chef
des troupes de l’Otan en 1999 en Yougoslavie, lors de la dislocation de
celle-ci par les Occidentaux. Quelques jours après le 11 septembre, ce
haut responsable se rend au Pentagone, où sévissent alors Donald
Rumsfeld et Paul Wolfowitz. Il rapporte un intéressant et surprenant
dialogue :
– Nous avons décidé de partir en guerre contre l’Irak, lui dit-on.
– En guerre contre l’Irak, mais pourquoi ? demande W. Clark
– Je ne sais pas. Je pense qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.
– A-t-on trouvé un lien entre Saddam et Al Qaeda ?
– Non…Rien de neuf…Ils ont juste pris la décision de faire la guerre
contre l’Irak. Sans doute parce qu’on ne sait pas quoi faire des
terroristes. Mais nous avons de bons militaires et nous pouvons
renverser des gouvernements…

Trois semaines après, on bombarde l’Afghanistan, et le dialogue
reprend : Toujours une guerre en Irak ? Réplique : C’est bien pire que
ça. Voici un papier expliquant comment nous allons nous emparer de sept
pays en cinq ans, l’Irak d’abord, puis la Syrie, le Liban, la Libye, la
Somalie, le Soudan et, pour finir, l’Iran. C’est ce programme qui est
suivi depuis vingt ans.

Paul Craig Roberts, journaliste, ancien Secrétaire-adjoint au Trésor
de Ronald Reagan, économiste inventeur de la Reaganomics, l’affirme en
janvier 2016 : « Le gouvernement des Etats-Unis est l’organisation
criminelle la plus achevée de l’histoire humaine ». Robert Mac Namara
parlera d’un « Etat voyou »…Par leur présence militaire (de 750 à 1200
bases dans tous les recoins du monde), leurs implications officielles
passées (en Corée, au Vietnam, en Yougoslavie, en Afghanistan, en Irak)
ou présentes (Irak, Afghanistan, Pakistan, Somalie, Yémen, Syrie), par
leurs ingérences et leurs intimidations secrètes ou avouées (au
Moyen-Orient, en Amérique Latine, en Europe, en Asie), ils constituent
la plus grande menace contre la paix et la sécurité. Sous la présidence
de G. W. Bush, les forces d’opérations spéciales sévissaient dans 66
pays. En 2010, ce nombre était passé à 75 selon le Washington Post, et à
120 en 2011, selon le Commandement de ces forces. En 2013, on en
comptait 134, hormis les guerres

Hiroshima, « chef d’œuvre » de la puissance américaine

conventionnelles et les opérations par drones (de plus en plus
fréquentes), le pacifique Obama ayant à son actif une progression de
123%. En 2019/2020, les dépenses militaires US devraient friser les 750
milliards de dollars, soit environ 37 % du total mondial : énorme mais,
comme dirait Picsou, « des cacahuètes » pour un pays qui imprime
lui-même ses billets !

Les opérations ne sont pas forcément défensives (face à des menaces
contre la présence et les intérêts de l’Amérique), ou ponctuellement
offensives (pour le contrôle du pouvoir et l’accès gratuit ou bon marché
aux ressources, pétrole en premier). Il s’agit de plus en plus souvent,
au Grand Moyen-Orient notamment, de plans d’action préventive, mis en
œuvre avec la couverture de médias aux ordres qui se chargent de
justifier des crimes de guerre dûment programmés en servant des
narratives ad hoc et des infos truquées. Ajoutons à ce bilan les «
sanctions » qui arrosent tous les « régimes » qui déplaisent à
Washington, soit environ 120 pays de la « communauté internationale ».
C’est beaucoup pour un axe du Bien.

Des millions de victimes, de blessés, de réfugiés et déplacés, des
trillions de dollars dépensés pour tuer ou détruire, le résultat est
accablant, mais il permet de répondre à la question surréaliste de
Debeliou. Voilà pourquoi ils vous haïssent tant, Mr Bush and Co.

L’invention de l’Amérique

C’est par hasard que Christophe Colomb débarque le 12 octobre 1492
sur une plage des Caraïbes (dans les actuelles Bahamas, paradis fiscal
et centre de blanchiments divers). Il pense être aux Indes, mais on dira
après coup qu’il a découvert l’Amérique. Or, c’est déjà fait, des
Vikings ayant abordé et exploré ses marges nordiques sept ou huit
siècles plus tôt. Et ce « nouveau monde » est loin d’avoir une
population clairsemée ou d’implantation récente. Les Amérindiens ont
pour ancêtres des vagues de migrants venus d’Asie… quelques dizaines de
millénaires plus tôt. Il faudra attendre le 20ème siècle pour que l’on
admette qu’à la fin du 15ème les Amériques comptent entre 45 et 80
millions d’habitants, autant que l’Europe (environ 15% du total
mondial). Les autochtones seront moins de cinq millions un siècle plus
tard, rhume de cerveau et varicelle ayant le dos très large. Qu’est-ce
donc si ce n’est pas un génocide, le plus grand de l’histoire ? Centre
et sud confondus, c’est mal parti pour les Amérindiens. Avant de n’y
voir qu’une lointaine réminiscence, il faudrait interroger les
descendants des survivants, là où ils sont encore en nombres
conséquents, demander par exemple à Evo Morales ce qu’il en pense…

L’Ambassadeur Michel Raimbaud

On dira « oui mais le Nord, ce n’est pas pareil ». En fait un bon
siècle plus tard, ce sera le même scénario. Lorsque le « Mayflower » et
120 colons guidés par les « Pères pèlerins » venus d’Europe y touchent
terre en novembre 1620, le territoire est habité. Si la prise de contact
est pacifique, la prise de possession ressemblera assez vite à un
western grandeur nature, où le tir à l’indien sera le sport favori des «
gardiens de vaches », pour la distraction des générations futures. Qui
d’entre nous, tapi dans l’anonymat des salles obscures, n’a pas applaudi
frénétiquement les courageux cow-boys quand ils abattaient à la chaîne
des Indiens emplumés tournicotant autour de leurs chariots ?

Indomptables ou denrée rare, les aborigènes seront bientôt remplacés
par des esclaves venus d’Afrique. Pour ces derniers, les décennies de
supplice seront oubliées sinon absoutes, grâce à la case de l’Oncle Tom
et au rêve de Martin Luther King. La ségrégation est-elle pourtant si
ancienne qu’il faille l’oublier ?

Bref, le « rêve américain » des immigrants européens se traduira par
un cauchemar pour les Amérindiens comme pour les Africains asservis.

L’Amérique n’existerait pas sans ce double cauchemar.

Le rêve américain et le mythe de l’Amérique si bonne

Intervenue dans le cadre du rezzou de l’Occident sur la planète,
l’ascension irrésistible de l’Amérique, dont le nom usuel illustre
l’annexion intellectuelle de deux continents, a fait oublier qu’elle
devait son existence au génocide et à la spoliation des Amérindiens, sa
prospérité en partie à l’esclavage, puis au pillage des ressources
d’autrui. Qu’ils remontent à quatre siècles ou à quarante ans, ces «
souvenirs » ne sont plus guère rappelés. Classés parmi les faits
accomplis selon la volonté divine ou les miracles de la civilisation
européenne, il ne fait pas bon les mentionner, sous peine d’être tenu
pour un redoutable pisse-vinaigre.

La diffusion invasive du « rêve américain », génération après
génération, est l’un des résultats de l’accession de cette fille de
l’Europe au rang de puissance dès la grande guerre. Dans la mythologie,
sinon dans la réalité, et à en croire certains historiens,
l’intervention de l’Amérique aurait été décisive dans la victoire de
1918, puis dans l’organisation de la paix, avec la création en 1920 de
la Société des Nations, ancêtre de l’ONU, grâce au Président Woodrow
Wilson.

Mais c’est surtout à la faveur du second conflit mondial que les
Etats-Unis sont promus au rang de superpuissance, libératrice, amicale,
ouverte et généreuse. Ce cliché aura la vie dure, jusqu’à aujourd’hui,
bien qu’il soit battu en brèche. Il fera oublier ce qui doit l’être :
-L’Amérique bonne et pacifique reste le seul pays à avoir trucidé à
l’arme atomique trois centaines de milliers de civils, japonais en
l’occurrence.
-Elle a une tendance fâcheuse à bombarder avant de libérer ou
vice-versa, qu’il s’agisse de l’Allemagne nazie ou des pays amis comme
la France.
-Elle est impitoyable pour les vaincus ou ceux tenus comme tels, voués à
devenir des AMGOT (Territoires Occupés par le Gouvernement Américain).
Notre pays devra au Général De Gaulle d’avoir échappé à ce statut peu
flatteur.
-Elle est volontiers hégémonique : après l’Amérique (de l’Alaska à la
Terre de Feu) aux Américains de Monroe, ce sera bientôt le Plan Marshall
de l’après-guerre, qui impose la suzeraineté de Washington sur l’Europe
occidentale. Au prétexte d’aider à la reconstruction, des armées de
fonctionnaires US établiront une tutelle de facto sur l’ensemble des
administrations du vieux continent. L’euphorie de l’époque et la crainte
du communisme feront gober cette sujétion à notre Quatrième République…

Bien qu’elle se soit présentée comme vertueuse et protectrice face à
l’URSS et au bloc communiste, l’Amérique de la guerre froide avait
pourtant dévoilé certains faux-semblants, une démocratie en trompe-l’œil
malgré les alternances, blanc bonnet et bonnet blanc, autoritaire,
oppressive et répressive, n’ayant pas d’amis mais des intérêts, pas de
partenaires mais des vassaux, une Amérique qui considère le monde comme
son arrière-cour. Mais elle préservait l’essentiel de son aura, ses
défaillances restant des tabous.

L’accession à l’hyper-puissance en 1991, à la fin de la guerre
froide, allait tétaniser la planète, contraignant peuples et Etats à un «
choix » lapidaire entre la soumission ou la destruction, la prétention à
l’hégémonie globale débouchant sur un cauchemar pour ceux qui
refuseraient l’ordre imposé par Washington et ses alliés…Voici donc le «
moment unipolaire américain » qui durant vingt ans repoussera les
limites de l’arrogance et du cynisme.

Les guerres de Syrie, de Michel Raimbaud

Dès la chute de l’URSS, on ne peut que noter ce mépris croissant des
institutions internationales, du multilatéralisme, des compromis, et
cette tendance à peine voilée à faire prévaloir la constitution et les
lois étatsuniennes sur la légalité onusienne, des comportements tels
qu’on les dénonce sur les rives du Potomac. Le vocabulaire travestissant
les mots et les concepts, les narratives contrefaisant systématiquement
faits et réalités achèveront de rendre tout dialogue insensé et toute
diplomatie illusoire. Simple exemple parmi d’autres, la notion de Rogue
State qui, selon Avraham Shlaim, l’un des « nouveaux historiens »
israéliens, professeur à l’Université d’Oxford, se définit par les trois
critères suivants : (1) Violer régulièrement la légalité
internationale, (2) Détenir des armes de destruction massive, (3)
Utiliser le terrorisme pour terroriser les populations civiles. Destiné à
cibler Moscou ou Téhéran ou Damas, ce logiciel dévoyé ne conduirait-il
pas à Washington, à Tel-Aviv, ou à telle capitale « civilisée » ?

Dès la seconde guerre d’Irak, les « grandes démocraties » entameront
leur longue dérive vers une diplomatie du mensonge de plus en plus
insolente, prenant des libertés avec règles et principes, en osmose avec
leur idole américaine et son cœur battant israélien. Merci pour ce
moment, dirait un auteur contemporain.

Pourtant, à ce stade, la pétulance de Bill, la pieuse candeur de
Debeliou, l’élégance nobélienne de Barack ont un effet anesthésiant sur
les partenaires occidentaux ou autres, réticents à voir de la vilénie
dans les postures de leur bon suzerain. L’Amérique, Etat mafieux,
comploteur, peu fiable ? Tout mais pas ça…On a pu se leurrer quant à
l’ADN du système américain, où se côtoient l’esprit pionnier, la culture
cow-boy, le messianisme militant, le culte de la réussite, les
néoconservateurs américano-israéliens étant les gâte-sauces de ce
cocktail détonnant, degré zéro de la politique et de la diplomatie.
L’arrivée de l’oncle Picsou aux affaires a eu le mérite de lever le
masque.

Pour l’Amérique first, tout se vend tout s’achète, rien n’est
gratuit. Plus de désinvolture, plus de discours bien balancés, plus
d’invocations célestes. Mais des décisions brutales, un mépris total de
ce qui est autre, une ignorance crasse des réalités du monde, une
approche éléphantesque, plus de circonlocutions diplomatiques, plus
d’engagements internationaux, plus de traités, mais des tweets
provocateurs, des pluies de menaces, des sanctions à tous vents, des
insultes à tout va.

Plus rien à attendre de bon de l’Amérique si bonne. Nixon doit se
retourner dans sa tombe : la théorie du fou est mise en pratique, non
plus comme un leurre, mais comme une politique en soi, imprévisible,
insensée, violente, brutale. Ce n’est plus un simple Etat sans-gêne,
avec des manières de mauvais garçons, mais un Etat gangster, d’autant
plus brutal et menaçant qu’il n’a plus la maitrise des situations.
Chahuté et contesté, le maître du monde ne sait plus où donner de la
tête, de la Syrie à l’Irak et l’Iran et à la Russie, à la Chine, du
Venezuela à la Corée du Nord, de la Turquie à l’Arabie et au Yémen.

Sommes-nous tous des Américains ?

Raison de plus pour apostropher les innombrables propagandistes du «
rêve américain », pour interpeller les multiples adeptes et apôtres de
cette « dame bêtise », Mère des gens sans inquiétude, Mère de ceux que
l’on dit forts, Mère des saintes habitudes, Princesse des gens sans
remords, que stigmatise Jacques Brel : Salut à toi Dame bêtise, toi dont
le règne est méconnu, Mais dis-le moi, comment fais-tu, Pour avoir tant
d’amants, et tant de fiancés, Tant de représentants et tant de
prisonniers, Pour tisser de tes mains tant de malentendus, et faire
croire aux crétins que nous sommes vaincus.

On n’arrête pas ce qui est en marche, qu’il s’agisse de la république
ou de la civilisation. Cinq siècles et des poussières après la
découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, un certain Colombani
allait découvrir que « nous sommes tous des Américains », assertion
relevant de la méthode Coué, aurait-on dit jadis. Il n’en est rien.
Malgré les efforts ardents des beautiful people qui gouvernent notre
vieux pays, c’est toujours du wishful thinking…

D’ailleurs, serait-il vraiment sage pour un pays aussi cartésien que
la France de faire comme si nous étions tous des compatriotes de
Debeliou, de Donald Trump, John Bolton, Rumsfeld, Pence ou Pompeo ? Si
tel n’est pas le cas, quoi qu’en pensent nos élites vol-au-vent, de quel
droit un gouvernement s’engage-t-il au nom du peuple français, mais
sans son accord, dans des aventures dangereuses. Pourquoi s’enferre-t-il
sur des positions injustes et illégales, au mépris du droit
international, des principes de la charte onusienne, violant les
principes dont notre pays, membre permanent du Conseil de Sécurité, est
censé être le gardien ?

Est-il nécessaire de manifester une solidarité sans faille aux pays
agresseurs, l’Amérique et ses complices orientaux, adeptes des « frappes
punitives », des crimes de guerre, des occupations illégales de
territoires (syriens, irakiens ou autres), des sanctions inhumaines ?
Est-il compréhensible que, dans l’affrontement actuel entre Washington
et Téhéran, l’on choisisse d’appeler à la retenue et au retour à la
négociation la partie, déjà sous blocus et sous sanctions, dont un
officiel vient d’être assassiné ? Est-il honorable que l’on marque sa
solidarité avec un Etat qui viole systématiquement lois internationales
et souverainetés, vole ouvertement le pétrole syrien et pratique
l’assassinat ciblé au nom d’une « doctrine Bethlehem d’autodéfense
préventive » ?

Non, décidément, face aux évènements dramatiques qui menacent à tout
instant de faire exploser la poudrière du Moyen-Orient, mettant en péril
une paix mondiale plus fragile que jamais, la France n’a rien à gagner à
s’aligner systématiquement sur des gouvernements sans foi ni loi ni
vergogne. Vingt ans après la question idiote de Debeliou, dans nos pays
où l’on s’arroge « le droit de dire le droit », tout se passe comme si
penseurs et décideurs n’avaient pas encore saisi « pourquoi ils nous
haïssent tant ». A l’heure de tous les dangers, ne serait-il pas urgent
d’accélérer la réflexion et surtout d’en tirer les leçons ?

Michel Raimbaud, le 20 janvier 2020


Michel Raimbaud est ancien ambassadeur de France, professeur au Centre d’études diplomatiques et stratégiques, officier de l’ordre national du Mérite, chevalier de la Légion d’honneur.

Derniers livres parus :

  • Tempête sur le Grand Moyen-Orient, aux éditions Ellipse.
  • Les guerres de Syrie, aux éditions Glyphe.



Tour de Contrôle à Planète en Confinement : Ce n’est qu’un test

[Source : Réseau International]

par Pepe Escobar.

Autant le Covid-19 est un disjoncteur, une bombe à retardement et une véritable arme de destruction massive (ADM), un débat acharné fait rage dans le monde entier sur le bien-fondé d’une quarantaine de masse appliquée à des villes, des États et des nations entières.

Ceux qui s’y opposent affirment que le confinement de la planète non seulement n’arrête pas la propagation du Covid-19, mais qu’il a également fait basculer l’économie mondiale dans un état de cryogénie – avec des conséquences imprévues et désastreuses. Ainsi, la quarantaine devrait s’appliquer essentiellement à la population présentant le plus grand risque de décès : les personnes âgées.

Avec le confinement de la planète stupéfiée par les rapports déchirants de la ligne de front du Covid-19, il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une affirmation incendiaire.

En parallèle, une prise de contrôle totale des médias corporatifs insinue que si les chiffres ne diminuent pas substantiellement, le Confinement de la Planète – un euphémisme pour dire « assignation à résidence » – sera maintenu, indéfiniment.

Michael Levitt, Prix Nobel de Chimie 2013 et Biophysicien de Stanford, était dans le vrai lorsqu’il a calculé que la Chine allait passer le pire du Covid-19 bien avant que des foules d’experts de la santé ne le pensaient, et que « ce dont nous avons besoin, c’est de contrôler la panique ».

Passons en revue les faits et les opinions dissidentes, afin de favoriser un débat éclairé.

Le rapport « Covid-19 – Navigating the Uncharted » a été co-écrit par le Dr Anthony Fauci – le visage de la lutte de la Maison Blanche -, H. Clifford Lane, et le Directeur du CDC Robert R. Redfield. Il vient donc du cœur de l’establishment américain de la santé.

Le rapport indique explicitement que « les conséquences cliniques globales du Covid-19 pourraient finalement s’apparenter davantage à celles d’une grippe saisonnière grave (qui a un taux de létalité d’environ 0,1%) ou d’une grippe pandémique (semblable à celles de 1957 et 1968) plutôt qu’à une maladie semblable au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10% et 36%, respectivement ».

Le 19 mars, quatre jours avant que Downing Street n’ordonne le confinement britannique, le Covid-19 a été déclassé du statut de « Maladie Infectieuse à Hautes Conséquences ».

John Lee, Professeur de Pathologie récemment retraité et ancien Pathologiste consultant du NHS, a récemment déclaré : « les 18 944 décès par coronavirus dans le monde représentent 0,14% du total. Ces chiffres pourraient augmenter, mais ils sont, à l’heure actuelle, inférieurs à ceux d’autres maladies infectieuses avec lesquelles nous vivons (comme la grippe) ».

Il recommande « de maintenir un certain degré de distanciation sociale pendant un certain temps, en particulier pour les personnes âgées et les personnes immunodéprimées. Mais lorsque des mesures drastiques sont introduites, elles doivent être basées sur des preuves claires. Dans le cas de Covid-19, les preuves ne sont pas claires ».

C’est essentiellement le même point développé par un analyste des renseignements militaires russes.

Pas moins de 22 scientifiques – voir ici et ici – ont développé leurs doutes sur la stratégie occidentale.

Le Dr Sucharit Bhakdi, Professeur émérite de Microbiologie Médicale à l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, a provoqué une immense controverse avec sa lettre ouverte à la Chancelière Merkel, soulignant les « conséquences complètement imprévisibles des mesures de confinement drastiques qui sont actuellement appliquées dans de grandes parties de l’Europe ».

Même le Gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a reconnu officiellement l’erreur de mettre en quarantaine les personnes âgées malades aux côtés de la population jeune en bonne santé.

La question absolument essentielle est de savoir comment l’Occident a été pris au dépourvu dans la propagation du Covid-19 – même après avoir bénéficié d’une avance de deux mois grâce à la Chine, et avoir eu le temps d’étudier différentes stratégies efficaces appliquées à travers l’Asie.

Le succès du modèle sud-coréen n’a de secret pour personne.

La Corée du Sud produisait déjà des kits de test début janvier et, en mars, elle testait 100 000 personnes par jour, après avoir établi un contrôle strict de toute la population – sous les cris occidentaux de « pas de protection de la vie privée ». C’était avant que l’Occident ne se lance dans le mode « Planète en Confinement ».

En Corée du Sud, il s’agissait de procéder à des tests précoces, fréquents et sûrs – en parallèle avec une recherche rapide et approfondie des contacts, l’isolement et la surveillance.

Les porteurs du Covid-19 sont surveillés à l’aide de caméras de vidéosurveillance, des achats par carte de crédit, des enregistrements de smartphones. Ajoutez à cela des SMS envoyés à tout le monde lorsqu’un nouveau cas est détecté près de chez eux ou de leur lieu de travail. Les personnes en auto-isolement ont besoin d’une application pour être constamment surveillées ; le non-respect de cette règle entraîne une amende équivalant à 2 800 $.

Démolition contrôlée en vigueur

Début mars, le Chinese Journal of Infectious Diseases, hébergé par l’Association Médicale de Shanghai, a pré-publié un Consensus d’Expert sur le Traitement du Coronavirus à Shanghai. Les recommandations de traitement comprenaient « fortes doses de vitamine C… injectées par voie intraveineuse à une dose de 100 à 200 mg/kg par jour. L’utilisation continue doit permettre d’améliorer significativement l’indice d’oxygénation ».

C’est la raison pour laquelle 50 tonnes de vitamine C ont été expédiées dans la province de Hubei au début du mois de février. C’est un exemple frappant de solution simple « d’atténuation » capable de minimiser la catastrophe économique.

En revanche, c’est comme si le contrecoup de la « guerre du peuple » chinoise brutalement rapide contre le Covid-19 avait pris Washington totalement au dépourvu. Les rumeurs persistantes sur le réseau chinois indiquent que Pékin a déjà étudié toutes les pistes plausibles concernant l’origine du virus Sars-Cov-2 – une information vitale qui sera certainement utilisée comme arme, à la Sun Tzu, au bon moment.

En l’état actuel des choses, la durabilité du projet complexe d’intégration eurasiatique n’a pas été substantiellement compromise. Alors que l’UE a fourni à l’ensemble de la planète une preuve flagrante de son impuissance et de son ignorance, le partenariat stratégique entre la Russie et la Chine se renforce de jour en jour, misant de plus en plus sur le « soft power » et faisant progresser le dialogue pan-euroasiatique qui inclut, de manière cruciale, l’aide médicale.

Face à ce processus, le plus haut diplomate de l’UE, Joseph Borrell, semble en effet si impuissant : « Il y a une bataille mondiale de récits dans laquelle le timing est un facteur crucial. […] La Chine a ramené le nombre de nouvelles infections locales à un seul chiffre – et elle envoie maintenant du matériel et des médecins en Europe, comme d’autres le font également. La Chine s’efforce de faire passer le message que, contrairement aux États-Unis, elle est un partenaire responsable et fiable. Dans la bataille des récits, nous avons également vu des tentatives pour discréditer l’UE (…) Nous devons être conscients qu’il y a une composante géopolitique comprenant une lutte d’influence par le biais de la filature et de la « politique de générosité ». Armés de faits, nous devons défendre l’Europe contre ses détracteurs ».

Cela nous entraîne sur un territoire véritablement explosif. Une critique de la stratégie Planète en Confinement soulève inévitablement de sérieuses questions qui pointent vers une démolition contrôlée de l’économie mondiale. Ce qui est déjà en vigueur, ce sont les myriades de déclinaisons de la loi martiale, le contrôle sévère des médias sociaux en mode « Ministère de la Vérité » et le retour de contrôles stricts aux frontières.

Ce sont là les marques sans équivoque d’un projet massif de restructuration sociale, avec une surveillance complète, un contrôle de la population et une distanciation sociale promue comme la nouvelle norme.

Cela reviendrait à pousser à l’extrême la déclaration du Secrétaire d’État Mike « nous mentons, nous trichons, nous volons » Pompeo, selon laquelle le Covid-19 est un exercice militaire en temps réel : « Cette affaire va de l’avant – nous sommes dans un exercice en temps réel ici pour faire les choses bien ».

Tous saluent BlackRock

Alors que nous sommes confrontés à une Nouvelle Grande Dépression, des étapes menant à un Nouveau Monde Meilleur sont déjà perceptibles. Cela va bien au-delà d’un simple Bretton Woods 2.0, de la manière dont Pam et Russ Martens ont superbement déconstruit le récent plan de relance de l’économie américaine de 2 000 milliards de dollars approuvé par Capitol Hill.

Essentiellement, la Fed va « transformer la caisse noire de fonds de sauvetage de 454 millions de dollars du projet de loi en 4,5 billions de dollars ». Et aucune question n’est autorisée sur l’identité de la personne qui recevra l’argent, car le projet de loi annule simplement la Loi sur la Liberté de l’Information pour la Fed.

L’entrepreneur privé privilégié de la caisse noire n’est autre que BlackRock. Voici la version extrêmement courte de l’ensemble du projet, étonnant, magistralement détaillé ici.

Wall Street a transformé la Fed en un fonds spéculatif. La Fed va détenir au moins deux tiers de tous les bons du Trésor américain qui se retrouvent sur le marché avant la fin de l’année.

Le Trésor américain achètera tous les titres et prêts en vue, tandis que la Fed sera le banquier – finançant l’ensemble du projet.

Il s’agit donc essentiellement d’une fusion entre la Fed et le Trésor. Un mastodonte qui distribue des tonnes d’argent hélicoptère – avec BlackRock comme vainqueur incontestable.

BlackRock est largement connu comme le plus grand gestionnaire d’argent de la planète. Leurs tentacules sont partout. Ils détiennent 5% d’Apple, 5% d’Exxon Mobil, 6% de Google, deuxième actionnaire d’AT&T (Turner, HBO, CNN, Warner Brothers) – ce ne sont là que quelques exemples.

Ils achèteront tous ces titres et géreront ces Fonds Commun de Créances (FCC) douteux pour le compte du Trésor.

BlackRock n’est pas seulement le principal investisseur de Goldman Sachs. Mieux encore, il est plus important que Goldman Sachs, JP Morgan et Deutsche Bank réunis. BlackRock est un important donateur de Trump. Maintenant, à toutes fins pratiques, ce sera le système d’exploitation – le Chrome, Firefox, Safari – de la Fed/Trésor.

Cela représente la Wall Streetisation définitive de la Fed – sans aucune preuve que cela conduira à une amélioration de la vie de l’Américain moyen.

Les médias corporatifs occidentaux, en masse, ont pratiquement ignoré la myriade de conséquences économiques dévastatrices du confinement de la planète. Les reportages mentionnent à peine l’étonnant gâchis économique humain déjà en cours – surtout pour les masses qui survivent à peine, jusqu’à présent, dans l’économie informelle.

À toutes fins utiles, la Guerre Mondiale contre le Terrorisme a été remplacée par la Guerre Mondiale contre les Virus. Mais ce qui n’est pas sérieusement analysé, c’est la Tempête Toxique Parfaite : une économie totalement brisée ; la Mère de Tous les Crashs Financiers – à peine masquée par les billions d’argent hélicoptère de la Fed et de la BCE ; les dizaines de millions de chômeurs engendrés par la Nouvelle Grande Dépression ; les millions de petites entreprises qui vont tout simplement disparaître ; une crise de santé mentale généralisée et mondiale. Sans parler des masses de personnes âgées, en particulier aux États-Unis, qui recevront un avis de décès tacite.

Au-delà de toute rhétorique sur le « découplage », l’économie mondiale est déjà, de facto, divisée en deux. D’un côté, nous avons l’Eurasie, l’Afrique et des pans entiers de l’Amérique Latine – que la Chine s’efforcera de relier et de reconnecter par les Nouvelles Routes de la Soie. De l’autre côté, nous avons l’Amérique du Nord et certains vassaux occidentaux. Au milieu se trouve une Europe perplexe.

Une économie mondiale induite cryogéniquement facilite certainement un redémarrage. Le Trumpisme est le Nouvel Exceptionnalisme – cela signifie donc un MAGA isolationniste sous stéroïdes. En revanche, la Chine va laborieusement relancer sa base de marché le long des Nouvelles Routes de la Soie – Afrique et Amérique Latine comprises – pour remplacer les 20 % de commerce/exportations qui seront perdus avec les États-Unis.

Les maigres 1 200 dollars de chèques promis aux Américains sont un précurseur de facto du Revenu Universel de Base (RUB) tellement vanté. Ils pourraient devenir permanents, car des dizaines de millions de personnes seront au chômage de façon permanente. Cela facilitera la transition vers une économie totalement automatisée, gérée 24/7 par l’IA – d’où l’importance de la 5G.

Et c’est là qu’intervient l’ID2020.

L’IA et l’ID2020

La Commission Européenne est impliquée dans un projet crucial mais pratiquement inconnu, CREMA (Cloud Based Rapid Elastic Manufacturing) qui vise à faciliter la mise en œuvre la plus large possible de l’IA en conjonction avec l’avènement d’un système One-World sans argent liquide.

La fin de l’argent liquide implique nécessairement un gouvernement « One-World » capable de distribuer – et de contrôler – le RUB ; un accomplissement total de facto des études de Foucault sur la biopolitique. Toute personne est susceptible d’être effacée du système si un algorithme assimile cet individu à un dissident.

C’est encore plus sexy lorsque le contrôle social absolu est promu comme un vaccin innocent.

L’ID2020 se décrit elle-même comme une alliance bénigne de « partenaires public-privé ». Il s’agit essentiellement d’une plateforme d’identification électronique basée sur la vaccination généralisée. Et cela commence dès la naissance ; les nouveau-nés recevront une « identité numérique portable et persistante liée à la biométrie ».

GAVI, l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation, s’engage à « protéger la santé des personnes » et à fournir une « immunisation pour tous ». Les principaux partenaires et sponsors, outre l’OMS, comprennent, comme on pouvait s’y attendre, les grandes entreprises pharmaceutiques.

Lors du sommet de l’Alliance ID2020 en septembre dernier à New York, il a été décidé que le programme « Rising to the Good ID Challenge » serait lancé en 2020. Cela a été confirmé par le Forum Économique Mondial (WEF) en janvier dernier à Davos. L’identité numérique sera testée avec le gouvernement du Bangladesh.

Cela pose une question sérieuse : l’ID2020 a-t-elle été programmée pour coïncider avec ce qu’un sponsor crucial, l’OMS, a qualifié de pandémie ? Ou une pandémie était-elle absolument cruciale pour justifier le lancement de l’ID2020 ?

Alors que des simulations de changement total de la donne continuent, rien ne bat bien sûr l’Événement 201, qui a eu lieu moins d’un mois après l’ID2020.

Le Johns Hopkins Center for Health Security, en partenariat avec, une fois de plus, le Forum Économique Mondial, ainsi que la Fondation Bill et Melinda Gates, a décrit l’Événement 201 comme « un exercice de pandémie de haut niveau ». L’exercice « a illustré les domaines dans lesquels des partenariats public/privé seront nécessaires lors de la réponse à une pandémie grave afin de diminuer les conséquences économiques et sociétales à grande échelle ».

Avec le Covid-19 en vigueur comme pandémie, l’école de santé publique Johns Hopkins Bloomberg a été obligée de publier une déclaration disant essentiellement qu’ils ont juste « modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré que ce n’était pas une prédiction ».

Il ne fait aucun doute qu’une « grave pandémie, qui deviendrait « l’Événement 201 », nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, gouvernements nationaux et institutions internationales clés », comme l’affirment les sponsors. Le Covid-19 suscite exactement ce type de « coopération ». La question de savoir si elle est « fiable » est sujette à un débat sans fin.

Le fait est que, partout sur la Planète en Confinement, une vague de fond de l’opinion publique tend à définir l’état actuel des choses comme une opération psychologique mondiale : un effondrement mondial délibéré – la Nouvelle Grande Dépression – imposé à des citoyens peu méfiants à dessein.

Les pouvoirs en place, s’inspirant des méthodes éprouvées de la CIA depuis des décennies, appellent bien sûr cela une « théorie de la conspiration ». Pourtant, ce que de vastes pans de l’opinion publique mondiale constatent, c’est qu’un virus – dangereux – est utilisé comme prétexte pour justifier l’avènement d’un nouveau système financier numérique, avec un vaccin forcé et une nanopuce créant une identité numérique complète et individuelle.

Le scénario le plus plausible pour notre avenir immédiat se lit comme des regroupements de villes intelligentes reliées par IA, avec des personnes contrôlées en permanence et dûment micro-pucées faisant ce dont elles ont besoin avec une monnaie numérique unifiée, dans une atmosphère de Panopticum de Bentham et Foucault en surrégime.

Donc, si c’est vraiment notre avenir, le système mondial existant doit disparaître. C’est un test, ce n’est qu’un test.

Pepe Escobar

source : Ground Control to Planet Lockdown: This Is Only a Test

traduit par Réseau International


[Voir aussi :




Les mondialistes utilisent le COVID-19 pour inaugurer l’Agenda 2030 des Nations Unies « Brave New World »* avec dix ans d’avance sur le calendrier

[Source : Cogiito via Réseau International]

Bill Gates, à gauche, le directeur des NIH, le Dr Francis Collins et le directeur du NIAID, le Dr Anthony Fauci, lors d’un atelier sur la santé mondiale 2017 de la Fondation Gates sur des sujets qui comprenaient la recherche sur les vaccins.

[Auteur :] Leo Hohmann

[ * : Le Meilleur des Monde]

Traduction de Globalists using COVID-19 to usher in UN Agenda 2030 ‘Brave New World’ ten years ahead of Schedule pour cogiito.com : PAJ

« Il est temps que tous les vrais patriotes prennent position ou risquent d’être menés aveuglément dans un nouvel âge sombre. » 

Lorsque la députée Alexandria Ocasio Cortez a réécrit les objectifs de développement durable des Nations Unies et les a rebaptisés Green New Deal [= Nouvelle Donne Verte], de nombreux conservateurs ont été entendus en riant à haute voix.

L’AOC ne pouvait pas être sérieux, n’est-ce pas ? Mais qui rit maintenant ? L’AOC a obtenu presque tout ce qu’elle voulait dans le cadre du Green New Deal.

  • Le trafic aérien est beaucoup moins robuste, avec de longues attentes dans les aéroports un souvenir lointain.
  • Le trafic automobile sur les autoroutes autrefois animées a été réduit à un filet dans certaines des plus grandes villes américaines, comme New York, Chicago et LA, qui restent fermées.
  • On a dit à la plupart des Américains de travailler à domicile ou de ne pas travailler du tout. Ils reçoivent des chèques de paie du gouvernement pour rester chez eux et ne rien faire. L’AOC l’a appelé le «revenu de base universel». C’est ici.

Il est temps que le président Trump mette fin à cette expérience cauchemardesque.

Nous avons besoin de clarté et d’un leadership fort.

Arrêtez les points de presse quotidiens, où 90% du contenu consiste à se féliciter lui-même et les gouverneurs pour leur merveilleuse gestion de cette crise.

Soyons honnêtes, la plupart ont ignoré la Constitution et outrepassé leur autorité.

Nous avons besoin d’une date ferme pour la fin de ces blocages et nos dirigeants doivent s’en tenir à cette date, et pas seulement lancer une date, mais pour la prolonger plus tard.

Nous voulons que tout notre pays revienne. Pas par étapes, pas par phases.

Les conseillers du président, les Drs. Fauci et Birx ont été dénoncés comme des fraudes et ne doivent plus être autorisés à dicter leur politique.

Ils ont convaincu le président des États-Unis de prendre de mauvaises décisions basées sur une science défectueuse et des modèles informatiques spéculatifs remplis de fausses hypothèses. 

Ils sont dans les conflits d’intérêts jusqu’au cou, principalement liés à la Fondation Bill et Melinda Gates et à ses nombreux partenaires mondiaux qui poussent les vaccins obligatoires et un système d’identification mondial qui peut être utilisé pour suivre les Américains.

Pour tout politicien, dire à des petites entreprises qu’elles ne sont «pas essentielles» sur la base des conseils de ces deux comparses financés par Gates équivaut à ce que le comité central de l’URSS dise aux koulaks de quitter leurs terres et d’aller travailler dans une usine.

Sous Staline, l’État soviétique ne pouvait pas contrôler les koulaks travaillant sur leur terre, alors ils les ont expropriée. 

Est-ce la stratégie Gates-Fauci pour les propriétaires de petites entreprises américaines ? Les forcer à sortir et les faire travailler pour Amazon, Walmart ou une autre méga-société où ils peuvent être surveillés de plus près ?

Désolé, mais ce n’est pas l’Union soviétique ou la Chine communiste.

L’État n’a pas le pouvoir en vertu de la Constitution américaine de priver un Américain de son droit de gagner sa vie honnêtement. Virus ou pas de virus.

Livré à lui-même, l’État gravitera toujours vers l’accumulation du pouvoir. Une fois que l’État a revendiqué le droit d’exercer un pouvoir sur un certain domaine de votre vie, il le rend rarement.

Les gouverneurs ont revendiqué le pouvoir de nous dire quand nous pouvons aller à l’église, où nous pouvons et ne pouvons pas travailler. 

Jusqu’à présent, la plupart des Américains semblent s’accorder avec ça. Mais il y a aussi une nuance de malaise qui commence à bouillir, comme en témoigne le nombre croissant de protestations, d’abord au Michigan et bientôt dans d’autres États.

Dans la situation actuelle, l’exercice arbitraire du pouvoir de l’État est à couper le souffle, pourtant si peu [de personnes] sont capables de le discerner.

Pourquoi, par exemple, était-il considéré comme non essentiel d’acheter des graines, des fleurs, des plantes et de la peinture dans le Michigan alors que de l’autre côté de l’Ohio, ces achats étaient légaux ?

Pourquoi avez-vous le droit d’aller dans un magasin de vins et alcools, un dispensaire ou un Walmart bondé, mais pas dans une église ou un magasin d’armes à feu ?

Ce sont des décisions que le gouvernement n’a aucun fondement constitutionnel à prendre pour les citoyens américains.

Si les politiciens veulent enfreindre ces droits fondamentaux, ils devraient cesser d’être des lâches et déclarer la loi martiale, suspendant ainsi officiellement la Constitution américaine.

Vous n’avez pas la chance d’avoir votre gâteau ni de le manger, en vous arrachant aux libertés civiles tout en affirmant que la Constitution est toujours en place.

Qui est Anthony Fauci ?

Une certaine clarté est également de mise sur les antécédents des «experts» sur lesquels nos politiciens se sont appuyés pour ordonner le confinement.

Le COVID-19 est un virus contagieux qui doit être pris au sérieux.

Mais n’oublions pas que plus de 99% de ceux qui attrapent le COVID-19 se rétablissent complètement. Il est temps que nous abordions tous la question pertinente :

Sommes-nous prêts à sacrifier nos libertés, notre mode de vie, sur l’autel d’une crise sanitaire qui comporte moins de 1% de risque de décès ?

Il est sûr de dire que les Drs. Anthony Fauci et Deborah Birx, les deux experts en maladies infectieuses à la tête du groupe de travail sur le coronavirus du président Trump, ne changeront pas leurs conseils, même si les données originales sur lesquelles ils se sont appuyés pour recommander ces interdictions se sont révélées fausses.

Il n’y a pas eu des centaines de milliers de cadavres et les prédictions apocalyptiques d ‘«hôpitaux débordés» ne se sont jamais concrétisées.

Fauci et Birx ont une longue expérience de travail avec Bill Gates et sa vision eugéniste du monde.

Fauci siège au Conseil de direction du Plan d’action mondial pour les vaccins, un projet de la Fondation Gates qui travaille de concert avec les Nations Unies. [Voir  le communiqué de presse de Gates sur ce projet qui documente le rôle de Fauci ].

L’Agenda 2030 des Nations Unies, adopté en 2015 et farouchement promu et financé par la Fondation Gates , comprend 17 objectifs de développement durable [alias Green New Deal] à atteindre d’ici 2030.

L’objectif numéro 3, «bonne santé et bien-être », commence par l’exigence de l’ONU de «vacciner sa famille». L’objectif 3.8 stipule: «Assurer la couverture sanitaire universelle, y compris la protection contre les risques financiers, l’accès à des services de santé essentiels de qualité et l’accès à des médicaments et vaccins essentiels sûrs, efficaces, de qualité et abordables pour tous ». [Italiques ajoutés]

L’objectif 16.9 indique  «D’ici 2030, fournir une identité juridique à tous, y compris l’enregistrement des naissances.»

La devise de l’Agenda 2030 de l’ONU, répétée à l’infini dans ses documents, est que cet agenda « ne laissera personne de côté ».

Comment l’ONU propose-t-elle de ne laisser personne de côté si le but ultime n’est pas de rendre ces «vaccins vitaux» obligatoires pour tous?

Nous devons également nous demander pourquoi l’agenda mondialiste de Gates de vaccins forcés et de stérilisation n’est jamais exposé dans les médias grand public ? 

Se pourrait-il que l’establishment des médias soit d’accord avec l’agenda de Gates et veuille le cacher au peuple américain?

Gates a investi des milliards dans l’amélioration de l’accès à l’avortement. (foetus dans les vaccins) Ses projets de vaccination ont laissé des milliers de femmes stériles au Kenya et ses vaccins contre la polio ont provoqué la paralysie en Afghanistan, en Inde, au Congo et aux Philippines.
[Pour en savoir plus sur le bilan horrible de Gates en matière de vaccins, laissant une trace de décès et de blessures graves, lisez le rapport cinglant de Robert F. Kennedy Jr., publié par Children’s Health Defense le 9 avril 2020 sous le titre Gates ‘Globalist Vaccine Agenda : Un gagnant-gagnant pour la pharmacie et la vaccination obligatoire .]

Kennedy Jr. écrit:

« En promettant  sa part de 450 millions  de dollars sur 1,2 milliard de dollars pour éradiquer la polio, Gates a pris le contrôle du Groupe consultatif technique national indien sur la vaccination (NTAGI), qui a prescrit jusqu’à  50 doses  (tableau 1) de vaccins contre la polio par le biais de  programmes de vaccination chevauchants,  pour les enfants avant cinq ans. Les médecins indiens accusent la campagne Gates d’une épidémie dévastatrice de  paralysie flasque aiguë non polio (NPAFP) qui a paralysé 490 000  enfants au-delà des taux attendus entre 2000 et 2017.

En 2017, le gouvernement indien a rappelé le schéma vaccinal de  Gates  et a demandé à Gates et à ses politiques en matière de vaccins, de quitter l’Inde. Les taux du paralysie flasque aiguë non polio NPAFP ont chuté brusquement. »

Gates est le plus grand donateur privé de l’Organisation mondiale de la santé, une agence des Nations Unies qui, comme le dit le président Trump, est extrêmement «centrée sur la Chine» et couvre à chaque instant les dictateurs communistes chinois.

La Chine est toujours le modèle de réussite aux yeux de l’OMS, jamais le méchant à traiter, comme lorsqu’elle a délibérément donné de fausses informations sur le COVID-19.

Le père de Bill Gates, William Gates Sr., est coprésident de la Fondation Bill et Melinda Gates et ancien membre du conseil d’administration de Planned Parenthood. Fauci et le clan Gates évoluent dans les mêmes cercles que le milliardaire américain d’ingénierie sociale détestant George Soros [voir la photo ci-dessous de 2001] .

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Il est impossible d’échapper au fait que Bill Gates est un mondialiste. 

Il est également un eugéniste pathologique profondément investi dans le contrôle de la population mondiale, l’un des objectifs de longue date des Nations Unies.

S’il est raisonnable de croire qu’aucun de ces deux médecins, Fauci et Birx, ne romprait ses liens avec Gates et ne changerait de couleur simplement parce qu’il fait partie d’un groupe de travail de la Maison Blanche, alors nous devons demander au président Trump : pourquoi écoutez-vous ces deux-là ?

Un nouvel ordre économique et social

Pourquoi ces conseillers profondément en conflit [d’intérêt] conduisent-ils les décisions politiques – de la Maison Blanche aux hôtels particuliers et aux mairies du gouverneur?

De telles décisions, si elles se poursuivent, placent notre nation sur la voie rapide vers un nouvel âge sombre. Et pas seulement un âge sombre politico-économique. Lorsque nous regardons l’ordre social qui évolue rapidement, la lumière s’assombrit également.

De nouvelles règles sont en train d’être élaborées pour nous au moment où nous parlons. 

Des changements sont à venir pour tout – comment nous achetons des produits d’épicerie [masques requis], comment nous payons les produits [sans espèces?], même la façon dont nous saluons notre prochain [pas de poignée de main!].

Si vous n’obéissez pas à ces règles, vous serez publiquement honteux et blâmé comme présentant des comportements antisociaux préjudiciables au bien commun.

La façon dont nous «nous vivons notre vie» pourrait ne jamais revenir à la normale si le président Trump n’intervenait pas et ne reprenait pas les rênes de ces deux médecins alignés sur la vision des Nations Unies, Bill Gates et une foule d’ONG effrayantes comme la Fondation Rockefeller et le Forum économique mondial.

Nous avons déjà rendu compte de la conférence Event 201 du WEF en octobre de l’année dernière, où le CDC, l’OMS, la CIA, l’Université Johns Hopkins, NBC et d’autres sponsors se sont réunis pour dresser la carte de leur réponse mondiale à une pandémie de coronavirus – deux mois avant que quiconque ait entendu parler d’une épidémie de coronavirus.

En 2010, la Fondation Rockefeller a publié un livre blanc de 54 pages intitulé « Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international ».

Dans cet opuscule, la fondation a évoqué une future pandémie basée sur un virus pseudo-grippal qui attaque le système respiratoire humain. À la page 18 de ce document, il décrit un scénario hypothétique surnommé «lockstep»:

« En 2012, la pandémie que le monde attendait depuis des années a finalement frappé. Contrairement au H1N1 de 2009, cette nouvelle souche de grippe – provenant d’oies sauvages – était extrêmement virulente et mortelle. Même les nations les plus préparées à une pandémie ont été rapidement submergées lorsque le virus s’est propagé dans le monde entier, infectant près de 20% de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois, la majorité d’entre eux étant de jeunes adultes en bonne santé. La pandémie a également eu un effet mortel sur les économies : la mobilité internationale des personnes et des biens a été interrompue, affaiblissant des secteurs comme le tourisme et brisant les chaînes d’approvisionnement mondiales. Même localement, des magasins et des immeubles de bureaux normalement animés sont restés vides pendant des mois, sans employés ni clients. »

Aux États-Unis, «le confinement était un défi», poursuit le journal Rockefeller, car les États-Unis n’ont pas suivi l’exemple de la Chine  dans la mise en œuvre des verrouillages obligatoires.

La politique initiale des États-Unis de « décourager fortement » les citoyens de prendre l’avion s’est avérée mortelle dans sa tolérance, accélérant la propagation du virus non seulement aux États-Unis, mais au-delà des frontières. Cependant, quelques pays s’en sont mieux sortis – la Chine en particulier. L’imposition et l’application rapides par le gouvernement chinois de la quarantaine obligatoire pour tous les citoyens, ainsi que sa fermeture instantanée et quasi hermétique de toutes les frontières, ont sauvé des millions de vies, arrêtant la propagation du virus beaucoup plus tôt que dans d’autres pays et permettant une reprise post-pandémique accélérée.

Partout où vous trouvez les traces de la Fondation Rockefeller, la famille Gates n’est pas loin, travaillant en tant que «partenaire» ou co-fondateur. Ils partagent le même programme eugéniste.

Le Dr Fauci et le Dr Birx sont directement liés à ce groupe corrompu et Trump doit les lâcher avant qu’ils n’entraînent leur programme pourri dans nos vies à tous.

Michael Matt, rédacteur en chef de Remnant TV, a exposé cette cabale et a connecté les points mieux que n’importe qui, et je recommande fortement son podcast,  « Trumping the Gates of Hell« .



Matt discerne à juste titre que ce qui se passe est plus important que la politique partisane, démocrates contre républicains.

« Cela implique une intrigue internationale, l’OMS, George Soros, Bill Gates, le phénomène Trump et le pape François, mondialiste du Vatican », dit-il. 

« Mais comment? Pourquoi? Quelle est la fin du jeu? »

Dans des détails effrayants, il déballe la phase finale, qui n’a pratiquement rien à voir avec le fait de vous garder en vie et en bonne santé, mais tout avec le remplacement de la puissance américaine dans le monde par quelque chose de plus centralisé, et avec plus de contrôle des masses.

Nous assistons à l’aube d’une nouvelle ère «technocratique» qui se tient sur le plateau de l’ONU depuis plusieurs décennies, attendant juste un événement déclencheur pour qu’il puisse être mis en œuvre.

Une partie du plan de Gates pour un nouveau système utopique technocratique est le marquage et le suivi de chaque être humain à l’aide d’un système d’identification numérique.

Ce système d’identification mondial est actuellement conçu par l’ Alliance ID2020, basée à New York. Microsoft Corp. de Gates est devenu l’un des partenaires fondateurs en janvier 2018 avec Gavi Vaccine Alliance, un autre projet financé par Gates. 

Le financement provient également d’un collaborateur de longue date de Gates, la Fondation Rockefeller.

Afin d’introduire pleinement ce système, Gates et ses camarades mondialistes savent depuis longtemps qu’ils doivent abattre l’Amérique, la faire tomber de sa position de superpuissance la plus importante du monde et «égaliser les chances» entre les nations.

J’ai soutenu le même raisonnement dans mon article d’il y a deux semaines, « Dictature assainie : comment COVID19 est utilisé pour transformer le monde et détruire la révolution Trump ».

Maintenant, j’ai la sauvegarde intellectuelle de Michael Matt, qui prend 43 minutes pour documenter et expliquer le réseau de tromperie qui se tisse. 

Matt n’utilise pas le mot «technocratique» mais c’est exactement ce qu’il décrit – un nouvel ordre mondial dans lequel le capitalisme et la libre entreprise sont remplacés par une forme hybride de socialisme et de capitalisme semblable à celui qui asservit la population en Chine.

Dans une technocratie, des scientifiques corrompus et des bureaucrates fouilleurs de données appellent les vaccins, et les politiciens élus font leurs enchères. Que le peuple soit damné !

Ce n’est pas une coïncidence si Gates était également le principal pourvoyeur de fonds derrière les normes éducatives du tronc commun, qui se concentrent sur la collecte de données sur les élèves à travers des tests et des sondages incessants pour créer ce qui équivaut à un dossier sur les attitudes, les valeurs et les croyances de chaque élève. Il s’agit d’informations privées qui ne regardent en rien les bureaucrates de l’éducation, pas plus que ceux de la santé ne devraient acheter vos données de santé.

Comme l’épouse de Bill Gates, Melinda, l’a déclaré en 2017, capturé dans la vidéo ci-dessus, «Bill et moi aimons les données. Les chiffres nous importent… »

Ah oui, les données. Ils adorent les données car elles peuvent facilement être utilisées contre certains secteurs de la société.

En Chine, modèle technocrate du monde, le gouvernement utilise des données pour gérer un système de notation sociale. Ceux qui ont de faibles scores sociaux, tels que les chrétiens, sont ignorés pour les emplois principaux et forcés de se rencontrer dans des églises souterraines.

Oui, nous avons vu comment fonctionnent les minorités pauvres en données.

En faisant exploser la crise du COVID, en utilisant des modèles informatiques non scientifiques qui prévoyaient un nombre incroyablement inexact de près d’un million d’Américains morts, ils ont pu attirer l’attention du public américain, pour nous faire coopérer à l’avancement de notre propre asservissement.

Gates a déclaré, dans une interview avec Chris Wallace de Fox News:

«Il est juste de dire que les choses ne reviendront pas à la normale tant que nous n’aurons pas un vaccin que nous aurons distribué dans le monde entier.»

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau est sorti cette semaine avec une déclaration qui semblait étrangement similaire.

«Nous ne reviendrons pas à notre ancienne situation normale; nous ne pouvons pas le faire avant d’avoir développé un vaccin, et cela pourrait prendre de 12 à 18 mois »,

a déclaré Trudeau aux journalistes jeudi dernier.

Zeke Emanuel, l’ancien collaborateur d’Obama qui conseille désormais Joe Biden, a déclaré à MSNBC :

«De manière réaliste, le COVID-19 sera là pour les 18 prochains mois ou plus. Nous ne pourrons pas revenir à la normale tant que nous n’aurons pas trouvé un vaccin ou des médicaments efficaces. »

Qui sera notre sauveur?

Vous pouvez donc voir que la gauche, et certains mannequins à droite, sont tous sur la même longueur d’ondes avec Bill Gates.

Les médias coopèrent en continuant à attiser la peur. Ils omettent de signaler que 99% des Américains qui contractent un coronavirus se rétablissent complètement. Et les médicaments nécessaires pour le traiter sont déjà là; ils sont bon marché et largement disponibles.

Dr. Shiva
Dr. Shiva Ayyadurai

Nous devrions nous concentrer sur le renforcement de notre système immunitaire, comme le préconise le Dr Shiva dans un article publié ici . Nous n’avons pas besoin des vaccins forcés de Gates.

Il est temps de faire savoir à ces mondialistes que c’est fini. Leur couverture a été grillée.

Les patriotes du Michigan reprennent en main leur gouvernement

Suivons l’exemple du Michigan . Les patriotes sont descendus dans les rues en signe de protestation pacifique. Ils se sont rendus en masse au State Capitol à Lansing aujourd’hui [mercredi 15 avril] pour exiger que le gouvernement socialiste Getchen Whitmer rouvre l’économie.

Nous ne voulons pas d’un nouveau chèque de «relance» du gouvernement. Nous voulons retourner au travail.

L’alternative est de continuer à écouter Fauci. Ce qui revient à écouter le psychopathe Gates.

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Des manifestants se rassemblent lors de «l’Opération Gridlock» au Capitole de l’État à Lansing, Michigan, le mercredi 15 avril 2020. 
Photo gracieuseté de Fox 2 Detroit .

Fauci a répété le mensonge de Bill Gates selon lequel la seule issue est d’attendre un vaccin.

De cette façon, il arrive à faire de Gates et des mondialistes nos sauveurs. Ils feront ressembler notre président à un bouffon maladroit, qui a créé un gâchis que seuls les globalistes, chevauchant sur leurs chevaux blancs, peuvent réparer.

Au final, seul Jésus-Christ peut nous sauver. Nous le savons.

Les mondialistes finiront par arriver à leurs fins, pour un temps, et ce sera une période d’enfer sur terre. Priez pour plus de temps. Je pense que nous en avons besoin. Sinon, nous nous soumettons aux mondialistes, qui nous mèneront dans un nouvel âge sombre.

Alors que le 11 septembre nous obligeait à nous soumettre aux coups de fouet de notre personne physique dans les aéroports, les palais de justice et autres lieux publics, la pandémie de COVID19 se terminera avec chaque Américain se soumettant à une analyse de son histoire de santé numérique. A moins que les gens ne rejettent ce système, nous nous dirigeons vers…

  • Une ère de «distanciation sociale» et de fracture d’unité.
  • Une ère de honte et de blâme dictés par l’agenda
  • Un âge de suspicion et de «montrer ses papiers»
  • Une ère de verrous, de suivi, d’étiquetage et de surveillance.

Trop c’est trop.


[À propos de l’auteur]

Leo Hohmann est un journaliste indépendant, auteur du livre de 2017 «Stealth Invasion: Muslim Conquest through Immigration and Resettlement Jihad». Pour soutenir ses projets de recherche et d’écriture, veuillez considérer un don de toute taille.




Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle

[Source : Sott.net]

[Auteur :] Brian Shilhavy – Health Impact News

[Image d’en-tête : © World Economic Forum
Dans chaque crise, il y a une opportunité]

Notre monde continue de changer sous nos yeux à la vitesse de l’éclair. Comme nous l’avons déjà signalé, il y a un plan derrière tout ce qui se passe, et ce plan est celui d’un Nouvel ordre mondial qui n’est même plus une théorie « conspirationniste », puisque les dirigeants mondiaux qui le planifient et le mettent en œuvre l’ont divulgué et ouvertement rendu public.

Un événement majeur se produit en ce moment et ne fait pas beaucoup la Une des journaux ; c’est le montant sans précédent d’argent « frais » que la Réserve fédérale crée de toutes pièces et injecte dans l’économie.

Il ne s’agit pas d’un « stratagème » nouveau, mais d’un phénomène que nous avons déjà observé par le passé, notamment en 2007 et 2008 avec les plans de relance économique qui ont permis de renflouer les banques.

Mais observez ce graphique publié dans Economic Policy Journal qui montre à quel point ce mouvement est sans précédent, et ce n’est encore que le début ! Au moment où j’écris ces lignes, un autre plan de relance économique de 1 000 milliards de dollars est en cours.

© EPJ
Croissance de la masse monétaire M2NSA annualisée sur 13 semaines de 1981 à 2020

L’hyperinflation est généralement imminente lorsque l’on injecte autant d’argent dans l’économie, ce qui, dans le passé, a principalement consisté à soutenir les entreprises en difficulté jugées « trop grandes pour faire faillite ». Et nous en voyons peut-être les premiers signes, puisque, aujourd’hui dimanche 7 juin, le Economic Policy Journal rapporte que les tarifs aériens vont doubler : États-Unis – Europe 2 200 $ en classe économique.

Mais cette fois-ci, nous n’assistons pas seulement à un renflouement des entreprises, mais aussi à un énorme transfert de richesse avec des centaines de milliards offerts à l’industrie pharmaceutique, principalement pour développer de nouveaux vaccins Covid.

Commentaire : Voir aussi :

Puisque toutes ces crises sont manifestement planifiées dans un but précis, de la pandémie aux récentes émeutes dans les villes américaines qui ne semblent pas vouloir s’éteindre et qui se poursuivent, la grande question est : quelle est la finalité de tous ces transferts de richesses ?

Eh bien, nous n’avons plus besoin de nous poser la question, car les Globalistes viennent de se réunir en Suisse, dans le cadre du Forum économique mondial, le même groupe qui a travaillé avec la fondation Bill et Melinda Gates à la fin de l’année dernière au Johns Hopkins Center for Health Security et a réalisé une simulation pour prédire l’épidémie de Covid-19 avant même qu’elle ne commence (voir Bill Gates & le Forum économique mondial ont-ils prédit l’épidémie de coronavirus ? [en anglais – NdT])

Commentaire : « Pendant des mois, nous avons vu notre mode de vie changer radicalement. On nous a répété à maintes reprises que les choses ne seront plus jamais les mêmes et que nous devions accepter la nouvelle normalité. Aujourd'hui, les ingénieurs sociaux ont révélé leur jeu et ont officiellement lancé leur solution à cette crise. La solution proposée est le Grand Reset. » Spiro Skouras

Un officiel allemand divulgue un rapport dénonçant le coronavirus comme une « fausse alerte mondiale

Sur le site Web du World Economic Forum dans un article daté du 3 juin 2020 — dont est issue l'image du début de notre article — En voici la conclusion :

« La crise du Covid-19 touche toutes les facettes de la vie des populations dans tous les recoins du monde. Mais la tragédie ne doit pas être son seul héritage. Au contraire, la pandémie représente une occasion rare mais étroite de réfléchir, de réimaginer et de réinventer notre monde pour créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère. »
© World Economic Forum
« Explorez la carte de la Grande Transformation grâce au Reset »
Le Forum Économique Mondial de Davos n'est pas seulement un lieu ou les puissants du monde politique, économique et financier font leur exercice de communication devant les décideurs pendant trois jours. C'est également un producteur imposant de projets, de rapports, de recommandations aux décideurs politiques dont l'analyse permet de cerner les tendances pour l'année en cours et celles à venir.

Voir notre article Coronavirus - Mensonges et propagandes où les « remèdes » du Covid-19 seront pires que le mal
© Sott.net
N'oublions pas que la panique du coronavirus et ses « remèdes » sont un coup de fouet géant pour promouvoir l'agenda mondialiste du Nouvel ordre mondial :

Cette « remise à plat » de l’économie mondiale comprendra le passage à la monnaie numérique et la suppression des espèces, une redistribution des richesses et la réduction de la taille de la population mondiale pour « lutter contre le réchauffement climatique » et inaugurer le Nouvel ordre mondial. Elle comprend également le lancement de la Quatrième révolution industrielle, qui vise à intégrer les ordinateurs et l’intelligence artificielle aux êtres humains, que l’on nomme plus communément « transhumanisme ». [Voir plus bas pour la vidéo – NdT]

Un grand merci à Spiro Skouras qui a produit une courte vidéo couvrant tout cela sur Activist Post. Elle ne dure que 22 minutes, et j’encourage tout le monde à la visionner.



Le système économique du Nouvel ordre mondial

Le plan pour le système économique du Nouvel ordre mondial est en place depuis quelques années maintenant, attendant simplement la bonne occasion d’être lancé. C’est la menace mondiale [fabriquée – NdT] d’un Coronavirus exploité pour créer peur et panique dans le monde entier qui leur a fourni l’occasion parfaite pour commencer à mettre ce plan en œuvre.

Voici ce qu’ils ont publié la semaine dernière [le même article dont il est fait mention dans notre commentaire précédent – NdT] :

Les confinements dus au Covid-19 s’atténuent peut-être progressivement, mais l’inquiétude concernant les perspectives sociales et économiques du monde ne fait que s’intensifier. Il y a de bonnes raisons de s’inquiéter : un fort ralentissement économique a déjà commencé, et nous pourrions être confrontés à la pire dépression depuis les années 1930. Mais, si cette issue est probable, elle n’est pas inévitable.

Pour obtenir un meilleur résultat, le monde doit agir conjointement et rapidement pour réorganiser tous les aspects de nos sociétés et de nos économies, de l’éducation aux contrats sociaux et aux conditions de travail. Tous les pays, des États-Unis à la Chine, doivent participer et toutes les industries, du pétrole et du gaz à la technologie, doivent être transformées. En bref, nous avons besoin d’un « Grand Reset » du capitalisme.

Voici le plan en trois étapes selon leurs propres déclarations :

L’agenda du Grand Reset comporterait trois éléments principaux. Le premier orienterait le marché vers des résultats plus équitables. À cette fin, les gouvernements devraient améliorer la coordination — par exemple, en matière de politique fiscale, de réglementation et d’imposition — moderniser les accords commerciaux et créer les conditions d’une « économie des parties prenantes ». À une époque où l’assiette fiscale diminue et où la dette publique monte en flèche, les gouvernements sont fortement incités à prendre de telles mesures.

En outre, les gouvernements devraient mettre en œuvre des réformes attendues depuis longtemps qui favorisent des résultats plus équitables. Selon les pays, ces réformes peuvent inclure des modifications de l’impôt sur la fortune, la suppression des subventions aux combustibles fossiles et de nouvelles règles régissant la propriété intellectuelle, le commerce et la concurrence.

Le deuxième volet d’un programme de Grand Reset permettrait de s’assurer que les investissements font progresser les objectifs communs [les leurs, pas les nôtres – NdT], tels que l’égalité et la durabilité. Dans ce domaine, les programmes de dépenses à grande échelle que de nombreux gouvernements mettent en œuvre représentent une opportunité majeure de progrès. La Commission européenne, par exemple, a dévoilé des plans pour un fonds de relance de 750 milliards d’euros — 826 milliards de dollars. Les États-Unis, la Chine et le Japon ont également des plans de relance économique ambitieux.

Plutôt que d’utiliser ces fonds, ainsi que les investissements des entités privées et des fonds de pension [dites adieu à vos retraites – NdT], pour combler les lacunes de l’ancien système, nous devrions les utiliser pour en créer un nouveau qui soit plus résistant, plus équitable et plus durable à long terme. Cela implique, par exemple, de construire des infrastructures urbaines « vertes » et d’inciter les industries à améliorer leurs résultats en matière de mesures environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

La troisième et dernière priorité d’un programme de Grand Reset est d’exploiter les innovations de la Quatrième révolution industrielle pour soutenir le bien public, en particulier en relevant les défis sanitaires et sociaux. Pendant la crise du Covid-19, les entreprises, les universités et d’autres acteurs ont uni leurs forces pour développer des diagnostics, des thérapies et d’éventuels vaccins, établir des centres d’essai, créer des mécanismes de traçage des infections et fournir des services de télémédecine. Imaginez ce qui pourrait être possible si des efforts concertés similaires étaient déployés dans tous les secteurs.
[Oui, merci, on imagine assez bien – NdT]

Nous commençons donc à comprendre pourquoi tant d’argent est créé de toutes pièces et transféré à l’industrie pharmaceutique. Ils veulent reconstruire la société selon leur propre programme pour créer ce Nouvel ordre mondial.

La mise en œuvre de la Quatrième révolution industrielle est probablement l’aspect le plus inquiétant de ce plan. Ils ont produit une vidéo en 2016 qui décrit exactement à quoi ressemble cette nouvelle « révolution industrielle », et vous devriez la regarder pour comprendre exactement où ils veulent tous nous emmener pour la mettre en œuvre.

L’idée même que nous nous faisons de l’être humain, une sorte de concept naturel, a vraiment été modifiée. Nos corps seront tellement sophistiqués que nous ne pourrons plus vraiment distinguer ce qui est naturel de ce qui est artificiel.

Vous pourriez vous demander : « Pouvons-nous vraiment devenir des super humains ? »



Si vous avez lu mes précédents articles récemment publiés, dans lesquels je démasque les responsables du mouvement vers un Nouvel ordre mondial, vous apprendrez peut-être qu’il existe au sein d’une société secrète appelée « Les Illuminati » un groupe de personnes très riches et très influentes au niveau mondial.

Dans les années 1700, ce groupe a nommé deux hommes pour écrire deux idéologies opposées qui ont depuis lors été utilisées tout au long de l’Histoire récente pour créer des conflits de classe qui ont traditionnellement été étiquetés gauche contre droite, ou conservateur contre libéral. Karl Marx a écrit le Manifeste du Parti communiste, tandis que Karl Ritter a élaboré un plan selon lequel la race aryenne pourrait dominer d’abord l’Europe, puis le monde entier.

La forme extrême de la « gauche », ou du socialisme, est donc le « communisme », tandis que la forme extrême de la « droite », ou du fascisme, est le « nazisme ». C’est la base de la plupart des conflits humains aujourd’hui, et des guerres qui ont été menées depuis la Première Guerre mondiale.

Veuillez lire ces deux articles importants si vous ne les avez pas encore lus [en anglais – NdT] :

Dans la vidéo décrivant la Quatrième révolution industrielle, ils admettent d’emblée que c’est le cas depuis le début, car ils présentent leurs propres solutions à cet ancien conflit.

Nous avons besoin d’un modèle économique différent. Je n’entends pas par là le capitalisme contre le communisme.

Ce dont je parle, c’est d’un changement de système. Dans la lignée des deux grands changements qui se sont produits au XXe siècle.

Le keynésianisme a mis l’accent sur la santé et l’éducation, ainsi que sur le rôle du gouvernement dans les affaires.

Le néo-libéralisme a ensuite suivi à la fin du siècle, en réaction au précédent, et dans lequel l’accent était mis sur la libéralisation des marchés, la liberté de l’individu et l’élimination des gouvernements.

Nous devons passer à un nouveau système qui nous permettra de répondre aux besoins fondamentaux de chaque être humain sur la planète dans les limites des moyens planétaires. Cela signifie que le monde sera plus équitable et que son objectif principal ne sera pas la croissance en soi, mais la maximisation du bien-être humain [leur bien-être, pas le nôtre – NdT].

Et l’Histoire nous enseigne qu’un changement de valeurs est déclenché par la création d’un nouveau scénario quant à la façon dont nous voulons vivre.

~ Stewart Wallis, New Economics Foundation

Cela vous effraie-t-il ? Ça devrait…

Lorsque l’on regarde la vidéo qu’ils ont produite sur la Quatrième révolution industrielle, on peut noter que des idées très nobles y sont présentées quant aux perspectives que peut, selon eux, proposer la technologie, une technologie qui ferait marcher à nouveau les estropiés, et rendrait la vue aux aveugles.

Mais n’oubliez pas que tout aussi nobles que soient ces affirmations prononcées par ces technocrates, elles ne se sont pas encore concrétisées et nous n’avons aucune raison scientifique de croire qu’elles le seront un jour.

Même le désir de produire des armes biologiques de destruction massive a jusqu’à présent presque totalement échoué. Il existe des preuves qu’un virus étudié en laboratoire était en cours d’élaboration dans un laboratoire de Wuhan avant l’apparition du Covid, mais nous savons maintenant qu’il n’existe même pas de test précis permettant d’identifier ce prétendu « nouveau » virus, et que la réaction à la pandémie n’a été qu’une farce, car il s’agissait juste d’une autre mauvaise saison de la grippe, telle que nous en avons presque chaque année pendant la même période.

Commentaire : Toutefois, il nous faut mitiger ce que dit l'auteur : « des épidémiologistes et des pharmacologues japonais et taïwanais ont déterminé que le nouveau coronavirus pourrait être originaire des États-Unis, puisque ce pays est le seul connu pour avoir les cinq souches - dont toutes les autres doivent être issues. Wuhan, en Chine, n'a qu'une seule de ces souches, ce qui en fait, par analogie, une sorte de « branche » qui ne peut exister par elle-même sans être d'abord issue d'un tronc commun. »

Par ailleurs, « Daniel Lucey, un expert en maladies infectieuses de l'université de Georgetown à Washington, a déclaré dans un article du magazine Scienceque la première infection humaine a été confirmée comme ayant eu lieu en novembre 2019 (et pas à Wuhan), ce qui suggère que le virus est venu d'ailleurs et s'est ensuite propagé aux marchés de Wuhan. Un groupe a mis en évidence l'origine de l'épidémie dès le 18 septembre 2019 ».
Le COVID-19 a-t-il échappé à un essai de vaccin à Fort Detrick ? Les preuves que le virus provient d'un laboratoire d'armes biologiques américain

Sans oublier que des vagues de maladies pulmonaires se sont produites avant même l'épidémie en Chine :
Le coronavirus N'EST PAS originaire de Chine - Les médecins de Lombardie font face à d'« étranges pneumonies » depuis au moins NOVEMBRE

Au lieu de cela, ce qui s’est réellement passé à Wuhan, comme nous l’avons déjà signalé, c’est que le gouvernement chinois a convaincu plus de 50 millions de personnes de s’auto-confiner volontairement en raison de la PEUR d’un nouveau virus, et cette décision est devenue le plan directeur mis en œuvre dans le monde entier pas les mondialistes.

Les nouveaux vaccins modifiant l’ADN constituent-ils la prochaine étape ?

Les nouveaux vaccins constituent une grande partie des plans pour un Nouvel ordre mondial. Dans le cadre du programme transhumaniste, la course actuelle au développement d’un vaccin contre le Covid-19 est également une course au développement du premier vaccin qui modifie l’ADN.

Le Dr Sherri Tenpenny a récemment écrit à ce sujet. Voir [en anglais – NdT] : Un vaccin Covid-19 sera-t-il le premier vaccin à modifier l’ADN humain pour faire progresser le transhumanisme ?

Si ce nouveau vaccin expérimental peut être un moyen de tester leur capacité à modifier l’ADN humain, il pourrait très bien être aussi un moyen de tuer une partie importante de la population, ou de rendre les filles stériles, pour faire avancer leur objectif de réduire la population mondiale. Voir [en anglais – NdT] : Dr Judy Mikovits et Dr Sherri Tenpenny – Le nouveau vaccin contre le Covid-19 pourrait tuer 50 millions de personnes aux États-Unis

Commentaire : Voire de prévenir toute velléité d'évolution spirituelle en s'assurant au passage un contrôle dictatorial sanitaires sur les populations humaines :

La majeure partie de la population mondiale a déjà subi un lavage de cerveau et a été conditionnée à croire que les vaccins sont responsables de l’éradication de la plupart des maladies infectieuses, une affirmation qui ne peut être prouvée et qui n’est étayée par aucune preuve historique, montrant que presque toutes ces maladies étaient déjà en déclin bien avant que les vaccins ne soient mis sur le marché.

Les vaccins sont présentés comme « sûrs et efficaces », même s’il existe une loi spéciale qui protège la responsabilité juridique des fabricants en cas de décès et de préjudices dus aux vaccinations, et qu’un tribunal spécial vaccins a versé des milliards de dollars de dommages et intérêts.

Commentaire : « Sûrs et efficace » ?
Un peu d'historique :

Les médecins sont formés pour ne jamais considérer les vaccins comme la cause d’une maladie auto-immune, et donc si un vaccin contre le Covid-19 se met à provoquer la mort de nombreuses personnes, il faut s’attendre à ce que la communauté médicale trouve une autre cause présumée de ces décès, comme une « seconde vague » du Corornavirus, pour lequel il n’existe même pas de test fiable permettant de l’identifier.

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 juin 2020 : Health Impact News
Traduction
: Sott.net




Une association française contre les mesures Covid-19

[NdNM : Le blogue québécois Nouveau Monde n’est pas lié à cette association française et diffuse librement l’information de son existence.]


Réaction 19

Source : https://reaction19.fr/

Ensemble, faisons valoir nos droits.

L’association Réaction19 mettra en œuvre tous les moyens juridiques et judiciaires dans toutes les actions individuelles et collectives, ayant un lien avec les mesures législatives, décrétales et réglementaires, prises par les autorités françaises, de l’Union Européenne et du monde, pour lutter contre la pandémie du COVID19

Déclaration qui établit l’illégalité de la contravention de 4ème classe qui serait imputée en cas de défaut du port du masque dans les lieux imposés

Courrier au Ministère de l’intérieur

Touches pas à mon masque !

https://youtu.be/bK_6SvDo6IE

Feuille de route contestation contravention

Confinement: que de contradictions!

https://youtu.be/kbUABGIYFbk

Justice, mais quelle justice ?

https://youtu.be/0-f-sQ_z2-E

Le temps de la parole et le temps de l’action…

https://youtu.be/2QGMdlPRTes

L’étau se resserre sur les mensonges d’État… d’Europe et de l’OMS…

https://youtu.be/Q_PbA2Ydf0Y

Courrier – Premier Ministre juin 2020

Courrier – Président de la République juin 2020

Etc.


[Voir aussi : Comment l’exécutif trompe les français avec des textes illégaux !]




Plus c’est gros et plus ça passe

En de nombreuses occasions, les élites ont menti à leurs peuples pour les pousser à la guerre. Si les exemples assez récents de l’affaire des couveuses au Koweït et des armes de destruction massive en Irak (ayant respectivement servi de casus belli pour la Guerre du Golfe en 1990-1991, puis la seconde guerre contre l’Irak en 2003) peuvent être encore dans les mémoires, il existe d’autres cas passés sous le radar ou complètement oubliés, tels que celui rapporté par l’article suivant.

[Source : Jeune NATION]

Roosevelt : le Discours de la « Carte Secrète »

ROOSEVELT : LE DISCOURS DE LA « CARTE SECRÈTE »

Le Président Franklin Roosevelt était un maître dans l’art de la tromperie. En au moins une occasion, il admit sans détour être prêt à mentir pour atteindre ses objectifs. Lors d’une conversation en mai 1942 avec son proche conseiller juif, le secrétaire au Trésor Henry Morgenthau, le président fit remarquer :

« Vous savez, je suis un jongleur et je ne laisse jamais la main droite savoir ce que fait la main gauche… Je peux avoir une politique pour l’Europe et une, diamétralement opposée, pour l’Amérique du Nord et du Sud. Je peux être totalement inconsistant et, de plus, je suis tout à fait prêt à induire en erreur et à dire des mensonges si cela peut aider à gagner la guerre. » 

Roosevelt n’était ni le premier ni le dernier président à mentir au peuple. Mais rarement une figure politique majeure aura prononcé un discours à ce point truffé de mensonges aussi culottés que Franklin Roosevelt lors de son allocution du jour de la Marine le 27 octobre 1941, à Washington, DC, lors d’un grand meeting retransmis en direct sur les radios nationales.

Le président Roosevelt prononce son discours du « jour de la marine » le 27 oct. 1941 retransmis en direct à tout le pays. Cette allocution historique faisait partie de ses efforts pour promouvoir le soutien du public à la guerre contre l’Allemagne. Cette photo est tirée d’un reportage d’actualité.

Beaucoup de choses se sont passées dans les mois qui précédaient. Le 11 mars 1941, Roosevelt signait la loi de Prêt-Bail autorisant une augmentation des livraisons d’aide militaire à la Grande-Bretagne – une politique qui violait la neutralité américaine et le droit international. En avril Roosevelt envoya illégalement des troupes américaines occuper le Groenland. Le 27 mai il prétendit que les Allemands s’apprêtaient à « dominer le monde » et proclama pour les U.S.A. « un état d’urgence national illimité ». Faisant suite à l’attaque allemande en URSS en juin, l’administration Roosevelt entreprit la livraison d’aide militaire à des Soviétiques aux abois. Ces livraisons constituaient également une violation flagrante du droit international. En juillet, Roosevelt envoya illégalement des troupes occuper l’Islande. Et en septembre, Roosevelt annonça un ordre de « tir à vue » aux navires de guerre américains pour attaquer les navires allemands et italiens en haute mer.

Le président a commencé son discours du Jour de la Marine en rappelant que les sous-marins allemands avaient torpillé le destroyer américain Greer, le 4 septembre, et le destroyer Kearny, le 17 octobre. Dans un langage hautement émotionnel, il qualifia ces incidents d’actes d’agression non provoqués à l’encontre de tous les Américains. Il affirma que, bien qu’il ait cherché à éviter le conflit, les tirs avaient commencé et que « l’Histoire retiendrait qui avait tiré en premier. » Ce que Roosevelt a délibérément omis de préciser, c’est que dans chaque cas, ce sont les destroyers américains qui ont commencé à attaquer les sous-marins, lesquels ont tiré en autodéfense, uniquement en dernier recours. Malgré son ordre de « tir à vue » – qui rendait le genre d’incident qu’il condamnait si pieusement inévitable – Hitler continuait de chercher à éviter la guerre avec les États-Unis. Le dirigeant allemand avait expressément ordonné à ses sous-marins d’éviter à tout prix les accrochages avec les navires de guerre américains et de ne tirer que pour éviter d’être coulé. En dépit des efforts de Roosevelt pour amener Hitler à déclarer la guerre aux États-Unis, la majorité des Américains restaient opposés à une intervention dans le conflit européen.

Et c’est donc dans le cadre de ses efforts pour convaincre les Américains que l’Allemagne était une menace pour leur sécurité, que Roosevelt poursuivi son discours du Jour de la Marine avec une annonce sensationnelle :

« Hitler s’est souvent défendu de vouloir étendre ses conquêtes au-delà de l’Atlantique… J’ai en ma possession une carte secrète, établie en Allemagne par le gouvernement d’Hitler — par les planificateurs du nouvel ordre mondial. C’est une carte de l’Amérique du Sud et d’une partie de l’Amérique centrale telle que Hitler se propose de la réorganiser. »

Cette carte, expliqua le président, montrait l’Amérique du Sud ainsi que notre « grande artère vitale, le canal de Panama »partagée en cinq États vassaux sous domination Allemande. « Cette carte, mes amis, est la preuve que les nazis visent non seulement l’Amérique du Sud mais également les États-Unis. »

Roosevelt enchaîna en révélant qu’il avait aussi en sa possession « un autre document établi en Allemagne par le gouvernement d’Hitler. Il s’agit d’un plan détaillé pour abolir toutes les religions existantes, Catholique, Protestante, Musulmane, Hindou, Bouddhiste et Juive » qui sera imposée par l’Allemagne « à un monde soumis si Hitler gagne »

« Les biens de toutes les églises seront saisis par le Reich et ses marionnettes, » poursuivit-il, « les croix et tous les autres symboles religieux seront interdits. Le clergé sera définitivement muselé dans les camps de concentration… Àla place des églises de notre civilisation, il sera édifié une nouvelle église internationale nazie – une église dont les officiants seront envoyés par le gouvernement nazi. Àla place de la Bible, les mots du Mein Kampf seront imposés comme nouvelles écritures saintes. Et à la place des croix du Christ, il y aura deux symboles, – le svastika et l’épée. »

Roosevelt marqua l’importance de ses affirmations sensationnelles. « Il faut bien soupeser », dit-il, « ces sinistres vérités dont je vous ai parlé au sujet des plans hitlériens présents et futurs. » Tous les Américains, dit-il ensuite, « font face à un choix entre le genre de monde dans lequel nous voulons vivre et le genre de monde qu’Hitler et ses hordes voudraient nous imposer. » En conséquence, « nous avons juré de tourner la barre vers la perte de l’hitlérisme ».

Le gouvernement allemand réagit au discours par un communiqué qui rejetait catégoriquement les allégations du président. Les supposés documents secrets, disait le communiqué, « sont des faux grossiers de l’espèce la plus outrancièrement osée. » De plus disait encore le communiqué officiel : « Les allégations concernant une conquête de l’Amérique du Sud par l’Allemagne et l’élimination des églises et des religions du monde et leur remplacement par une église nationale-socialiste sont tellement loufoques et absurdes qu’il est inutile pour le gouvernement du Reich de les discuter ». Le ministre de la propagande Joseph Goebbels réagit également aux affirmations de Roosevelt par un commentaire très largement diffusé. Les « accusations absurdes » du président américain, écrit-il, sont une « gigantesque arnaque » destinée à « remonter l’opinion publique américaine. »

Voici la fameuse “carte secrète » le document cité par le président Roosevelt lors de son allocution du Jour de la Marine en octobre 1941. Il s’agissait en fait d’un faux, œuvre des agents des services de renseignements britanniques dans le cadre d’une campagne bien organisée pour encourager les Américains à soutenir la guerre.

Lors d’une conférence de presse le lendemain de l’allocution, un reporter demanda au président une copie de la « carte secrète ». Roosevelt a refusé, mais a insisté pour dire qu’elle provenait d’une « source indiscutablement fiable ».

Le fin mot de l’histoire ne fit surface que plusieurs années plus tard. La carte existe réellement, mais c’est un faux qui a été produit par les services secrets britanniques dans leur antenne technique clandestine « station M » au Canada. William Stephenson (nom de code : intrépide), chef du service de renseignements britannique en Amérique du Nord, l’a transmise au chef du service de renseignements William Donovan, qui l’a retransmise au président. 

Dans ses mémoires publiés en 1984, Ivar Bryce, agent britannique durant la guerre, revendiqua la paternité de l’idée de la « carte secrète ». L’autre « document » cité par Roosevelt, prétendant décrire l’abolition des religions par l’Allemagne, était, bien entendu, tout aussi fantaisiste que la « carte Secrète ».

En 1941, peu d’Américains pouvaient s’imaginer que leur président pouvait mentir d’un air aussi convaincu sur des questions d’une telle gravité pour la nation et pour le monde. La plupart ont tenu ces propos alarmistes pour vrais. Par son discours historique du Jour de la Marine, Franklin Roosevelt a donc réussi à atteindre son but, qui était de faire peur aux Américains pour qu’ils soutiennent ou au moins tolèrent, sa campagne pour pousser les U.S.A. à la guerre.

Mark Weber

Titre original de l’article paru en anglais sur le site IHR : Roosevelt’s ‘Secret Map’ Speech  (Traduction Francis Goumain)




Catastrophes naturelles et pollution mentale

[Source : www.spirit-science.fr (merci à l’auteur)]

[Voir aussi : Terre vivante ?]


La Terre se délivre des énergies mentales de lutte, division, concurrence et pouvoir

[Auteur :] Alain Boudet
Dr en Sciences Physiques

Télécharger l’article
dans sa version de 2007
prête à l’impression
sur Academia

Résumé: Inondations, ouragans, tremblements de terre, éruptions volcaniques, la Terre subit de terribles catastrophes. Sont-elles vraiment des accidents qui surviennent au hasard? Cette hypothèse ne fait que créer ou renforcer la peur en suggérant qu'aucune protection n'est efficace, aucun salut n'est possible. L'hypothèse alternative est que les bouleversements terrestres sont la conséquence logique de causes profondes qui ont été annoncées et explicitées depuis fort longtemps par les peuples de la terre tels que les amérindiens. La cause la plus importante est notre façon de penser en termes d'opposition, concurrence, lutte, conquête et divisions. Dans ce cas, nous pouvons atténuer ou supprimer les phénomènes terrestres et les souffrances humaines consécutives. Il suffit d'adopter un comportement de bienveillance et de compréhension vis-à-vis de la nature et des autres humains en prenant conscience que nous sommes unis. Chacun doit se dégager de ses propres comportements égoïstes, souvent issus de blessures d'enfance, en entreprenant une observation honnête de soi-même.

Contenu de l’article:


La Terre est secouée de violents cataclysmes

Les catastrophes naturelles surviennent de plus en plus fréquemment et sont de plus en plus destructrices. Nous avons été bouleversés par les images terribles que nous ont présentées les chaines de télévision et les journaux, dévoilant les nombreuses victimes et les dégâts matériels considérables: tsunami dans l’océan pacifique (26 décembre 2004), inondations à La Nouvelle Orléans (ouragan Katrina, aout 2005), tremblements de terre au Pakistan (8 octobre 2005) ou à l’Île de Java (2006), tempête en France du 26 décembre 1999, glissements de terrain aux Philippines (17 février 2006), au Mexique, au Vénézuela, etc…

En plus de ces cataclysmes violents qui font la une des journaux, il en est d’autres qui passent inaperçus dans le grand public parce qu’ils sont situés hors des zones d’habitation dense et font beaucoup moins de dégâts: tremblements de terre, inondations, tornades, éruptions volcaniques, etc. Chaque jour, la terre est parcourue de séismes petits ou gros, et balayée par les orages et les vents. Il suffit pour s’en rendre compte de consulter les organismes spécialisés, tels que les Instituts de surveillance ou de recherche (par exemple, pour les séismes, le service universitaire Incorporated Research Institutions for Seismology aux États-Unis ou le Centre Sismologique Euro-Méditerranéen- EMSC). On y constate que de gros séismes (magnitude > 6) se produisent plusieurs fois par semaine!  L’équilibre géologique et climatique de la Terre est fortement malmené.

Le climat se modifie, et il est reconnu que les saisons ne présentent plus leurs caractéristiques habituelles. On assiste à des records climatiques, trop chaud ou trop froid, abondance de pluie ou sécheresse, violence des vents et présence de tornades là où elles n’existaient pas.

Le nombre d’événements catastrophiques est en augmentation constante

Augmentation du nombre de catastrophes naturelles
Statistiques de la Compagnie Suisse d’assurances Swiss Re (Revue Sigma)

Certains prétendent que cette augmentation n’est qu’illusion, effet de l’information rapide et abondante que nous recevons à notre époque de communication technologique. C’est éviter de regarder en face les données accumulées par les études multiples accomplies par des instituts scientifiques et différents organismes.

Certains d’entre eux ont rassemblé une documentation minutieuse. Ainsi, des compagnies d’assurance qui en subissent les conséquences financières directes; des cabinets d’expertises d’évaluation de risques; des services universitaires et des institutions officielles; des mouvements d’aide aux victimes.

En voici quelques-uns, débusqués sur Internet:
Notre planète info
, où l’on peut aussi bien avoir des explications pédagogiques sur les risques naturels que des données statistiques.
CatNat
, un cabinet d’expertise, affiche l’actualité de ces catastrophes naturelles.

Contraindre la Nature, se résigner, ou l’écouter?

L’homme pensait être capable d’imposer sa volonté et ses désirs à la nature. Par sa technologie, il a crû qu’il pouvait considérer la nature comme un réservoir inerte de matières premières, implanter ses constructions et creuser ses mines selon ses caprices. Il ne s’est pas soucié des conséquences de ses choix sur la nature et l’humanité.

L’homme s’est conduit comme un mari violent qui impose à sa femme tous ses désirs, sans tenir compte qu’elle est un être sensible, qu’elle a besoin d’être écoutée et respectée. Et voici que sa femme, la Nature, lui renvoie sa sensibilité, ses lois, sa force.

Que nous éprouvions de la tristesse devant le spectacle de tant de souffrances, de l’insécurité en nous demandant ce que nous réserve l’avenir, ou indifférence, terreur, inquiétude, ces phénomènes soulèvent un questionnement incontournable: quelle est notre place dans la Nature?

Devant ces forces naturelles gigantesques qui nous dépassent, nous nous sentons petits et faibles. Notre destin est-il d’être perdus tels des fétus de paille dans la tempête, ou ballottés comme des bouchons dans l’océan déchainé? N’avons-nous pas d’autre solution que d’assister passivement à ces destructions? Et de nous résigner aux déconvenues et aux malheurs en croyant que nous n’y pouvons rien?Au-delà de la peur et de la résignation, y a-t-il une autre attitude possible?
OUI ! Mais pour l’envisager, il faut comprendre que les catastrophes n’arrivent pas comme une fatalité implacable. Elles sont liées à la façon dont nous envisageons notre rapport avec la Nature.
Cela nous donne la possibilité d’agir pour construire un monde de paix et d’harmonie avec la Nature. C’est ce que je vais montrer.

Le réchauffement global

Parallèlement à ces excès climatiques, on constate une fonte ultrarapide des calottes glaciaires, et un recul des glaciers. Cela entraine une élévation du niveau de la mer qui risque de submerger des côtes très peuplées dans différents pays.

Tempête en France, 26 décembre 1999, Auvergne
Merci à Michel Vérollet

Cela indique que la Terre subit un réchauffement global, entrainant des modifications dans les cycles écologiques des plantes et des animaux. Cela perturbe la circulation des grands courants marins comme le gulf stream. Or le gulf stream régule les températures des continents, réchauffant la côte européenne. Aussi, un scénario calculé par les scientifiques prévoit que les perturbations des courants dues au réchauffement global entraineront un refroidissement du continent européen.

Le réchauffement global est fréquemment mis sur le compte de l’augmentation de la teneur de l’atmosphère en gaz carbonique (CO2) et autres gaz à effet de serre, à cause des technologies humaines et du choix de sources d’énergie polluantes. Mais cette hypothèse est très controversée.

En effet, d’autres scientifiques ont montré qu’on assiste au même phénomène de réchauffement dans d’autres planètes du système solaire. Sur la planète Mars, le satellite Odyssey a révélé que la glace se retirait. Le Dr. William Feldman du Laboratoire national de Los Alamos (USA) dit qu’une explication possible est que Mars est en train de sortir d’une période glaciaire. Plusieurs rapports indiquent que le climat du système solaire entier évolue, probablement sous l’influence du soleil et aussi de rayonnements galactiques.

Voir entre autres:
le rapport de l’ONU Report shows UN admitting solar activity may play significant role in global warming;
Sun Blamed for Warming of Earth and Other Worlds;
The Solar System Climate Is Changing, Not Just Earth;
Interplanetary “Day After Tomorrow?”

Si cette hypothèse est vraie, la montée de la teneur en CO2 serait la conséquence du réchauffement, non sa cause. Cela ne signifie pas que nous pouvons rejeter n’importe quoi dans notre atmosphère. Il reste important que nous nous soucions des sources polluantes dues aux activités industrielles humaines et que nous révisions notre mode de vie irrespectueux de la nature. Car, faire du CO2 la seule cause de bouleversements climatiques, c’est détourner l’attention de toutes les pollutions chimiques déversées à doses horrifiantes dans l’atmosphère, dans les rivières, la mer, dans la Terre. C’est ignorer la déforestation massive, qui ignore, voire méprise, les conséquences sur l’humanité.

Or tous ces paramètres ont une influence sur l’équilibre écologique, climatique et électromagnétique de la Terre. Certains analystes soupçonnent que la théorie du réchauffement global arrange surtout ceux qui profitent de la taxe carbone. La taxe carbone n’arrête pas la pollution globale de la planète.

Les manipulations technologiques du climat

Parallèlement aux discours politiques et aux grands rassemblements sur l’urgence de réduire la production de gaz carbonique, le réchauffement global devient le prétexte pour recourir à un autre type de pollution introduit sous la forme de la géo-ingénierie, autrement dit la technologie qui permet de manipuler le climat et le fonctionnement de la Terre.

L’expérimentation et la recherche dans ce domaine ne sont pas nouvelles. Des études déjà anciennes ont été menées par l’agence américaine responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère (NOOA). Comme il se doit, les institutions militaires y ont trouvé un intérêt considérable, comme pour ce qui est de toute technique qui permet d’avoir un pouvoir sur l’ennemi, et les études se sont rapidement développées aux États-Unis comme en Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elles ont été utilisées par les États-Unis dans la guerre du Vietnam dans des tentatives d’ensemencement des nuages de façon à provoquer des intempéries au-dessus de la piste Ho Chi Minh, afin de rendre impraticables les voies de communication nord-vietnamiennes.

Alors que les gouvernements restent muets sur le sujet de l’utilisation de produits chimiques dans l’atmosphère, des rapports publics (par exemple une étude de l’Institut Carnegie) montrent qu’actuellement, il existe un programme consistant à voiler les rayons du soleil. Le procédé consiste à épandre des trainées nuageuses (appelées chemtrails en anglais) contenant des particules réfléchissantes d’aluminium et de baryum. Pour justifier ce procédé employé sans l’accord des populations, sans même les informer, les autorités scientifiques prennent pour prétexte qu’on n’a plus d’autre choix, au nom du sauvetage de la planète, du moins selon leur façon de considérer ce qu’est un sauvetage. Les experts du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’évolution du Climat) affirment que nous sommes impuissants à enrayer le réchauffement climatique, même si nous changeons notre mode de vie. Aussi, selon eux, il est nécessaire d’employer une géo-ingénierie massive de la chimie de l’atmosphère. Tout ceci est conduit de façon très discrète, sans souci de l’impact que de tels produits chimiques peuvent avoir sur la santé des populations, des plantes et des animaux, et sur les équilibres écologiques.

En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie, de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L’association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur : »Chemtrails : la guerre secrète ». Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d’Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l’association : www.cielvoile.fr

Voir UN: ‘The World Won’t Cool Without Chemtrails’ (No Matter What) par Melissa Melton, 26-09-2013, traduction française geopolintel; Les chemtrails qu’est-ce que c’est?; Épandage de produits chimiques dans l’atmosphère: on vous trompe, on vous ment; Le projet de la CIA pour contrôler le climat, Le nouvel Observateur, 18-07-2013; Geoengineering Climate: Technical Evaluation and Discussion of Impacts)

ciel empli de chemtrails Le réseau d'antennes HAARP en Alaska Fonctionnement de HAARP
Ciel empli de trainées chimiques
Merci à Chemtrail France
Le réseau d’antennes HAARP en Alaska
Merci à Justin Ames, The Velvet Rocket
© 2007 Thomson Higher Education
Merci à Maxime Pour,  Études géostratégiques

Il est un autre procédé de la géo-ingénierie encore plus puissant et d’un niveau technique plus avancé que l’épandage de substances chimiques, c’est l’utilisation d’ondes électromagnétiques. Le programme HAARP, conduit par l’armée de l’air et de la marine des États-Unis et par l’Institut de géophysique de l’université d’Alaska, est l’un des éléments les plus ambitieux de cette quête de contrôle.

Comme l’indique le nom HAARP (High Frequency Active Auroral Research Project), il utilise des rayonnements de haute fréquence. Ceux-ci sont envoyés dans l’ionosphère par un champ d’antennes installées à Gakona en Alaska. Il existe d’autres ensembles d’antennes plus petits installés à Arecibo dans l’ile de Porto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, à Moscou, Nizhny Novgorod et Apatity en Russie, à Kharkov en Ukraine et à Dushanbe en Tadjikistan et probablement ailleurs, y compris sur l’Antarctique.

Les rayonnements émis modifient les conditions électriques de l’ionosphère sur une zone localisée qui devient un miroir ou une lentille sur laquelle d’autres ondes de télécommunication sont envoyées et rebondissent vers une cible choisie située pratiquement n’importe où sur la planète.

Cette technologie est présentée comme permettant d’améliorer la communication avec les sous-marins. Mais elle peut aussi être utilisée pour des applications militaires et comme arme. Elle a la capacité d’un radar de pénétration de sol à longue portée pour découvrir des installations souterraines. Elle peut à volonté perturber ou bloquer les communications électroniques d’un pays. Enfin, elle permet de manipuler le climat à un endroit choisi et de désorganiser les équilibres écologiques et les systèmes agricoles. C’est donc un système puissant et invisible.

En modifiant les conditions électriques de la haute atmosphère, les ingénieurs jouent aux apprentis sorciers car ils ne se soucient absolument pas des conséquences graves que cela peut avoir sur le climat mondial et sur l’écosystème. C’est pourquoi la Commission européenne des affaires étrangères, de la sécurité et de la politique de défense s’en est inquiétée (rapport A4-0005/99 en date du 14 janvier 1999). Mais sans doute a-t-elle eu affaire à des intérêts puissants?

Sources:
HAARP – Un système d’armement modifiant le climat, Maldoror, Agoravox, 28-01-2010;
HAARP, un programme américain de guerre climatique?, Maxime Pour, Études Géostratégiques, 04-01-2013;
Our climate, Dead or alive, R.A. Miller et I. Miller, 2003;
The Ultimate Weapon of Mass Destruction: “Owning the Weather” for Military Use, Prof Michel Chossudovsky;
HAARP Project, portail d’articles en anglais et en espagnol

I-TELE, 02-10-2008: HAARP, Arme Climatique

Les bouleversements terrestres ont un sens

Les bouleversements terrestres ont été annoncés depuis fort longtemps dans les traditions des peuples indigènes. Par d’anciennes prophéties transmises de génération en génération, les amérindiens avaient été prévenus de leur propre extermination par les hommes blancs et des troubles terrestres qui s’ensuivraient (voir articles sur les prophéties des Hopis et les prophéties ojibwés des 7 feux). Ces prophéties sont réaffirmées et renouvelées par des sages et visionnaires contemporains qui lancent des appels et des avertissements (voir l’appel d’Arvol Looking Horse dans ce site).

Dans son ouvrage L’envol du Phényx (1985), Mary Summer Rain raconte l’enseignement que lui a transmis une vieille guérisseuse amérindienne Chippewa aveugle nommée Sans-Yeux (No-Eyes), dans le Colorado (USA), dans les années 70-80. Elle expose ses visions de la planète dans le futur. « Mère-Terre souffrir beaucoup »:

  • Cataclysmes écologiques: Tremblements de Terre, éruptions volcaniques, réveil de volcans éteints. Inondations. Accroissement des dégâts dus aux ouragans, orages d’été avec grêle et éclairs violents, brusques coups de vent.
  • Catastrophes dues aux activités humaines: Accidents d’avions. Déraillements de trains. Apparition d’épidémies. Explosions catastrophiques de gaz. Accidents nucléaires.
  • Événements sociaux: Effondrement économique, agitation sociale, faillites, grèves, relocalisations, accroissement du chômage, fiscalité trop lourde, augmentation de la criminalité financière. Augmentation du terrorisme.
  • Phénomènes surnaturels: Accroissement du nombre d’observations d’OVNI.

Il est important de noter que les visions de No-Eyes ne sont pas limitées aux changements climatiques. Les éruptions volcaniques et les tremblements de terre y figurent en bonne place, ainsi que des troubles sociaux et techniques. On reste ébahi par la justesse de ces prévisions qui ont reçu et reçoivent actuellement une confirmation par les faits.

Que ces événements puissent avoir été « pré-vus » ou « pré-dits », voilà qui porte à réfléchir. Dans ce cas, on ne peut plus parler de leur caractère aléatoire. Selon les messages des peuples de la Terre, les bouleversements ne surviennent pas par accident, dont les humains en seraient de pauvres victimes. Ils ont un sens qui met en cause la responsabilité de l’homme.

D’où les interrogations auxquelles je vais tenter d’apporter des éléments de réponse:

  • Quelles sont les véritables causes des bouleversements terrestres?
  • Quelle est notre part de responsabilité?
  • Quelle attitude avoir pour influer sur ces événements dans un sens favorable?

Les catastrophes naturelles, un processus d’élimination des pollutions

L’essentiel des messages de No-Eyes, des Hopis ou des Ojibwés n’est pas de prédire un futur, il est d’avertir et de mettre en garde. Les messages veulent nous faire comprendre que ces manifestations terrestres constituent des signes émis par la Terre c’est-à-dire, comme l’indique l’étymologie du terme, qu’elles portent une signification. C’est un langage. No-Eyes nous invite à l’écouter, à en comprendre le sens et à suivre ses indications en changeant nos comportements.

Le mari est invité à écouter sa femme et à s’occuper de son bien-être. Nous sommes invités à faire de même avec la Nature.

Par ses bouleversements climatiques et géophysiques, la Terre nous signifie qu’elle ne peut plus endurer de telles souffrances et qu’elle a entamé un processus de purification. La Terre se délivre de ses pollutions.

La femme bafouée veut retrouver sa dignité et sa grandeur.

On peut comparer ce processus à celui de la maladie d’une personne humaine. La maladie n’est pas due à l’attaque aléatoire d’un virus. Un tel concept ne fait que nous considérer comme les pauvres victimes d’une nature cruelle qui frappe aveuglément, tout comme les catastrophes naturelles. En réalité, la maladie s’installe sur un terrain affaibli par des toxines et un mode de vie erroné (alimentation, rythme de vie, façon de penser et d’envisager sa place dans la société). La fièvre d’une personne, par exemple, a pour fonction d’éliminer ses toxines, de restructurer certains tissus et de rétablir l’intégrité corporelle (voir l’article Santé naturelle). De la même façon, la Terre fait sa fièvre pour éliminer ce qui l’empêche d’être pleinement saine. Elle s’ébroue pour se débarrasser des corps étrangers qui ont été enfoncés en elle comme des poignards, ou inoculés comme des poisons, sans aucun égard pour elle. Elle veut retrouver son intégrité. Bien entendu la Terre n’agit pas à la façon d’une volonté humaine, mais selon une loi organique et cosmique.

Pour No-Eyes et les sages des peuples indigènes, la Terre n’en peut plus de subir des violences (viols) et des profanations. Elle est saignée avec mépris afin d’extraire à outrance pétrole, minéraux, substances radioactives, et autres matières pour le profit de quelques grandes compagnies. Des toxines dangereuses sont déversées en permanence dans l’environnement, dans l’atmosphère, l’eau et le sol. Ces exactions s’accompagnent de maltraitance vis-à-vis des plantes, des animaux, et aussi des humains, y compris les ouvriers des usines polluantes et les populations locales.

Les réactions de la nature se produisent régulièrement, mais elles ont pris une intensité particulière à notre époque, parce que nous sommes allés aussi loin qu’il était possible dans notre pouvoir de destruction. Aller encore plus loin serait anéantir toute vie sur terre.

Est-il encore temps de réorienter notre destin? Oui, nous pouvons agir et influer sur lui, comme je le développe plus bas.

Mais pour les organismes des États qui refusent d’envisager un dialogue profond et respectueux avec la Terre, l’éventualité qu’il est trop tard pour sauver la Terre est sérieusement envisagée. Aussi, dans leurs programmes spatiaux, ils étudient des possibilités d’évacuation d’une partie de l’humanité (sélectionnée par eux!) sur la planète Mars. Comme celle-ci est actuellement impropre à la vie, des scientifiques sont engagés pour étudier comment la transformer pour créer des conditions identiques à la vie sur terre (ce qu’ils appellent la terraformation). Bien entendu, cela nécessitera des interventions gigantesques, tels que faire fondre les calottes glaciaires polaires (par des explosions nucléaires!!)pour créer une atmosphère. Quelle absurdité et quelle folie!!! Nous pouvons nous interroger sur la personnalité profonde de ceux qui mènent le monde.

Les changements rapides du magnétisme terrestre

Parmi les signes géologiques de changement, les scientifiques ont constaté que le magnétisme terrestre était en train de chuter. Les valeurs de ce champ ont été collectées par plusieurs satellites dès la fin des années 1960 (par exemple POGO), mais surtout après 1980 (par exemple Magsat, Oersted). Auparavant, il y a eu des relevés maritimes et des mesures d’observatoires sur terre à partir de 1835.

Si le taux actuel de décroissance persistait, les scientifiques disent le champ serait nul dans 2000 ans environ, mais d’autres disent 200 ans. En fait il est difficile de prévoir si cette tendance va continuer ou s’inverser. Mais comme elle peut aussi bien s’accentuer, cela suscite des interrogations profondes sur ses conséquences, surtout si on place ce phénomène dans le contexte des autres signes de changement, liés à des changements importants de conscience.

De plus d’autres données provenant de sources archéologiques montrent qu’on peut faire remonter la décroissance du champ magnétique à des temps plus anciens. C’est ce que nous révèlent les argiles utilisées dans les poteries. Elles contiennent des minéraux magnétiques sensibles au champ. Lors de leur refroidissement à la sortie du four, ces argiles conservent l’empreinte du champ et cette empreinte peut être mesurée (une science appelée archéomagnétisme). Les résultats montrent que le champ magnétique terrestre a décliné de 50% environ depuis 4000 ans.

décroissance du champ magnétique
Décroissance du champ magnétique terrestre
Source: Commission géologique du Canada
carte du magnétisme terrestre

Répartition de l’intensité et des directions
du champ magnétique terrestre en l’an 2000
selon G. Glatzmaier et P. Olson
© Extrait de Scientific American 2005

Les mesures satellitaires fournissent également la répartition cartographique des valeurs et de la direction du champ. Globalement, le champ est polarisé, c’est-à-dire qu’il pointe vers l’intérieur de la Terre au pôle nord et vers l’extérieur au pôle sud. Mais ce n’est là qu’une vision très simplifiée.

En effet, si on représente sur une carte les zones de champ de direction intérieure (nord) par une couleur (bleue), et par une autre (rouge) les champs de direction extérieure (sud), on s’aperçoit que des zones de polarisation nord sont incluses dans les zones de polarisation sud; mais encore, qu il y a eu une évolution très nette de ces inclusions entre 1980 et 2000. Les taches nord sont de plus en plus larges dans la zone sud. Cela donne l’impression que le pôle sud tend à devenir un pôle nord. De même le pôle nord a tendance à devenir un pôle sud; autrement dit il semble se produire une inversion des pôles.

Cette interprétation est renforcée par le fait que des inversions de pôles magnétiques se sont produites plusieurs fois par le passé. Il est possible de lire l’histoire du champ magnétique car elle est enregistrée dans les laves. Les laves contiennent du basalte qui est une roche faiblement magnétique. Elle sort liquide du volcan. Au moment du refroidissement, en-dessous d’une certaine température, les particules magnétiques s’orientent dans le sens du champ magnétique existant localement à ce moment. En se solidifiant, la lave garde la trace de l’orientation du champ. Le résultat des mesures sur des millions d’années est que le champ s’est inversé souvent, sans régularité visible, avec une moyenne d’environ 250’000 ans. La dernière inversion a eu lieu il y a 780’000 ans.

Certains pensent que ces changements rapides du magnétisme terrestre font partie des manifestations qui accompagnent la transition vers un monde débarrassé de ses pollutions. Cette transition est en marche et les signes annoncés par No-Eyes sont bien présents.

Sources: Probing the geodynamo, G. Glatzmaier et P. Olson, Scientific American, 2005, 50; Des recherches complémentaires ont été conduites par Gauthier Hulot et l’équipe de géomagnétisme de l’Institut de Physique du Globe de Paris

La purification précède l’arrivée d’un monde de PAIX

La Terre est en transition, oui, mais vers quoi? Puisque les bouleversements terrestres sont destinés à évacuer les pollutions, nous allons vers un monde débarrassé de TOUTES les pollutions. La Terre progresse dans cette direction, indépendamment de l’action et de l’attitude des humains, que ce soit avec eux ou malgré eux. La transition se fera avec ou sans l’humanité, ou avec une partie seulement, en fonction des choix de vie et de pensée de chacun.

No-Eyes dit que ce monde sera l’Âge de la Paix et il verra la renaissance de l’Arbre Sacré dans la grand cercle des Nations. Elle dit que cela s’accompagnera d’innovations dans les types de constructions, dans l’usage d’énergies non polluantes. Que ce sera un monde où toutes les formes de vie seront respectées, où régneront l’égalité sociale et l’harmonie avec la nature. L’humanité profitera des nouvelles conditions terrestres pour bâtir sa vie sur de nouvelles bases.

Beaucoup déjà inventent de nouvelles formes d’interactions, de solidarité, d’habitat, de soins de santé, d’économie, de pratiques alimentaires ou énergétiques, même sans avoir connaissance de ces prophéties, ou sans y accorder d’attention particulière (voir parmi bien d’autres les réseaux français et internationaux suivants: Terre et Humanisme, banque NEF, Finances solidaires, Villes en transition, Monnaies locales, Économie solidaire, Agriculture paysanne, Jardins partagés, etc.). Le monde solidaire est déjà dans l’air du temps. Quant au monde de paix, il est en germe, mais il demande un plongeon plus important dans le tréfonds de nos âmes.

La transition vers un monde de paix, annoncée par les amérindiens, est évoquée dans de nombreuses autres traditions sur la planète. L’islam est lui-aussi dépositaire de prophéties (Voir le livre de Jean Ezechiel, Les prophéties de l’Islam). La philosophie védique parle de différentes périodes par lesquelles est passée la Terre, et nous sommes à la fin de l’ère du Kali-Yuga, une ère plutôt sombre à laquelle succédera une ère de lumière.

L’avènement d’un monde de lumière est annoncé dans la Bible lorsqu’elle parle de l’Apocalypse. Ce mot Apocalypse a aujourd’hui  pris le sens de cataclysmes, survenant comme une punition et provoquant la fin du monde. Mais c’est déformer vers un sentiment peur le beau message original de ces révélations, qui nous parle en réalité de la fin d’un monde, le monde corrompu et violent qui est le nôtre. Le sens exact d’Apocalypse est Révélation. Ce qui est révélé est la réalité profonde et multidimensionnelle de qui nous sommes, de ce qu’est l’univers, comment nous sommes reliés à lui. Des éléments de réponse sont exposés dans d’autres articles de ce site:
Les corps subtils et les chakras;
Des diagrammes dans les champs;
Spiritualité et développement personnel;
Le sens de la vie;
L’origine de la Vie;
etc.

Sommes-nous le fleuron de l’évolution?

Le monde de paix ne pourra s’établir que si les actes de destruction et d’agression de l’Homme envers la Terre cessent. Or ces actes sont la manifestation extériorisée de notre façon de penser. Les faire cesser implique que nous devons changer notre conscience et notre rapport à la Terre. Actuellement, nous nous comportons globalement comme si la Terre ne mérite pas d’être prise en considération. Nous n’envisageons pas d’avoir un dialogue avec elle et d’établir une synergie. Nous pensons que nous pouvons agir pour notre intérêt personnel sans se soucier d’elle. 

Cette façon d’être s’infiltre de façon courante et anodine dans tous les supports de notre culture, les médias, l’enseignement que l’on délivre aux enfants. Voici à titre d’illustration ce qu’on relève dans un livre sur la danse (1986): « L’homme a adoré la nature tant qu’il s’est senti écrasé par sa puissance, et a cessé de le faire quand sa technologie s’est montrée capable de la dominer. Pour influencer l’univers, l’homme a d’abord dû en prendre possession. »

Les archéologues, ethnologues et historiens appuient cette vision en la justifiant par la théorie de l’évolution. Dans leurs écrits et productions médiatiques, ils sous-entendent systématiquement que nous en sommes le produit le plus élaboré, le résultat d’une progression qui a débuté à l’âge de pierre. Selon la théorie de la sélection darwinienne, ce sont les plus malins qui ont réussi à survivre et à se développer, grâce à leurs savoir-faire et à leurs inventions techniques. Nous sommes donc ceux qui ont la connaissance scientifique et la technologie les plus évoluées. Nous sommes ceux qui savent!

Selon cette conviction, les anciens qui vivaient à l’âge de pierre étaient des êtres rustres et ignorants qui avaient peur de la nature. De celle-ci, ils avaient une représentation imaginaire, magique et illusoire car ils n’en comprenaient pas la réalité scientifique. À l’opposé, nous, grâce à notre connaissance de la matière, des atomes, des cellules, de la génétique, nous savons ce qu’est cette réalité. Nous avons compris que la peur de la nature était sans fondement, puisqu’il n’y a pas de magie. Nous? Tout au moins nos scientifiques, à qui nous pouvons nous en remettre pour ce qui concerne la compréhension de l’univers et de l’homme et pour faire les choix de société qui en découlent.

Bâtiments écroulés à Muzaffarabad, capitale du Pakistan,
à la suite du séisme du 8/10/2005
Source: Earth Quake in Pakistan

Tout naturellement, les journalistes et cinéastes relayent ces idées conventionnelles et stéréotypées, parce qu’ils en sont imprégnés. La façon dont tous les membres d’une communauté (scientifique, religieuse, médiatique) adoptent la même façon de penser est ahurissante; ils suivent les mêmes paradigmes, sans les expliciter, même si ces paradigmes recèlent des contradictions internes importantes, parce que pour eux tout cela va de soi.

La conformation des esprits est un obstacle important pour envisager un monde de paix. La paix ne peut être établie que sur la base de l’écoute approfondie des autres sans jugement préalable, donc sans idée préconçue.

Se considérer comme le fleuron de la création est le contraire de l’écoute. Cela a conduit à imposer nos conceptions et notre mode de vie aux peuples indigènes qu’on a appelés peuples primitifs sans nous soucier de ce qu’ils pensaient et ressentaient. Les missionnaires avaient pour but de leur inculquer la « vraie » connaissance, avec notre morale, notre conception du bien et du mal. Dans l’ouvrage La leçon indienne, les secrets d’un homme médecine, l’amérindien Wallace Black Elk interviewé par Paco Rabanne, raconte comment les amérindiens ont été forcés d’abandonner leur culture, leurs rites, leurs connaissances jusqu’à en avoir honte, ou être emprisonnés s’ils les pratiquaient, alors qu’en réalité ils avaient une connaissance plus profonde et plus vaste de l’éducation, du développement personnel et de la santé.

D’ailleurs, les connaissances occidentales plus récentes sur le développement humain et la psychologie rejoignent ces sagesses anciennes. Certes, notre attitude envers les peuples dits primitifs a évolué et nous les considérons comme des personnes à part entière aussi intelligentes et talentueuses que les autres. Il n’en reste pas moins que sous couvert de programme d’aide humanitaire et avec les intentions les plus généreuses, on cherche souvent encore à leur transmettre tous les « bénéfices » de NOS conceptions.

À cause de notre esprit prétentieux et arrogant, nous sommes incapables d’imaginer que des êtres aient pu être plus intelligents que nous et disposer d’une technologie que nous ne connaissons pas encore. Si des énigmes se posent, telles que la construction et la fonction des Pyramides d’Égypte, les monuments mégalithiques de Stonehenge, ou la découverte du Disque de Nébra, alors les solutions sont envisagées seulement dans le cadre strict de la pensée du « nous sommes les plus évolués », en attribuant aux habitants les outils et les connaissances qu’on suppose être de l’âge de pierre. Heureusement, de plus en plus d’archéologues en viennent à des conclusions qui montrent que ces hommes d’autrefois étaient bien plus évolués qu’on ne le supposait. Les trouvailles d’objets archéologiques, la construction des sites sacrés et leur implantation en réseau organisé supposent qu’ils détenaient des connaissances cosmologiques, mathématiques et techniques poussées (voir Alignements de sites sacrés).

Il est remarquable que ce sont les peuples qui ont été appelés primitifs qui nous ré-apprennent à dialoguer avec la Nature et la Terre, et peu à peu dévoilent leurs savoirs subtils.

La plus grande pollution est l’agressivité entre les hommes

Lorsque les amérindiens disent que la Terre se délivre des pollutions accumulées, ils précisent que les pollutions chimiques sont un fléau majeur, mais qu’il en est un plus grand encore. C’est la pollution mentale: notre esprit de division, nos pensées conformistes et arrogantes, nos émotions négatives. Les émotions négatives apparaissent dans la façon agressive dont nous nous comportons les uns vis-à-vis des autres, avec conflits, luttes, ressentiments, agressions et vengeance.

Dans tous les domaines, à tous les niveaux, cet esprit agressif se manifeste, des luttes entre nations aux conflits familiaux. Il n’y a qu’une différence de degré entre les guerres des peuples et des ethnies, les conflits nationaux ou locaux pour posséder un territoire ou la gloire, les jalousies et ressentiments au sein d’une famille ou avec les collègues, et le désir impérieux d’anéantir les concurrents économiques, ou le parti politique adverse. Dans tous les cas, le ressort est le même.

Le moteur de ce comportement agressif est de déposséder l’autre pour posséder soi-même. La vie sociale contemporaine est fondée sur ce postulat: si l’autre gagne, moi je perds. Si je perds, je ne peux pas vivre. La seule façon de vivre (de survivre) est de mener en permanence une lutte fratricide. Si l’autre perd, je gagne. Pourquoi notre apprentissage n’est-il pas orienté sur la mise en commun de nos richesses, nos idées, notre créativité? Pourquoi faut-il que deux candidats à la fonction de maire, talentueux et complémentaires, emploient-ils leur temps, leur énergie et leur argent (celui de leurs supporteurs!) à se battre farouchement et médiatiquement l’un contre l’autre au lieu de s’associer, tout cela uniquement parce qu’ils sont inscrits dans un parti différent? Je trouve cette situation très symbolique de la folie des hommes.

L’anxiété fondamentale de perdre est dévastatrice. Elle repose sur la croyance sans fondement que nous sommes séparés les uns des autres, séparés de la nature. Nous croyons que détruire l’autre n’aura pas de conséquence négative pour soi. L’enseignement scolaire français contribue à implanter cette croyance, car il met en avant l’apprentissage de la compétition et de la lutte, la valorisation des meilleurs (voir dans ce site le dossier Éducation).

Or il existe un lien direct entre notre façon de penser et l’équilibre énergétique et la santé de la terre. Notre pensée agit comme une énergie électrique qui est accumulée dans des sortes de réservoirs. Ces réservoirs de charges énergétiques (égrégores) influencent l’état de la terre (voir en annexe 3 une hypothèse scientifique d’explication). A titre d’exemple, il a été démontré que des pensées/émotions cumulées de toute une communauté sont très puissantes et sont capables d’influencer les calculs d’ordinateurs dédiés à cette détection (voir le programme de conscience globale dans Ma vie, miroir de mes pensées). Aussi, si nos pensées dominantes sont constituées de sentiments négatifs et d’idées de guerre, et que ces énergies négatives se sont accumulées pendant des générations, ces égrégores sont devenus de véritables poisons, poisons pour l’humanité, poisons pour la terre.

Si nous comprenons ce lien, la parade est évidente: changer notre façon de penser et de vivre. Prendre conscience que nous sommes tous reliés et unis, tous les êtres humains, les autres êtres vivants et la terre. C’est ce que savent et affirment depuis toujours les traditions des peuples de la terre. Ils se sont toujours sentis en union avec la nature, ils savent l’écouter, la respecter, la comprendre.

En définitive et sans que nous le choisissions consciemment, les catastrophes nous obligent à adopter cette attitude de solidarité. De merveilleux élans de générosité sont nés spontanément du plus profond de nous pour venir en aide aux victimes. A ce moment-là, beaucoup ont oublié leurs intérêts particuliers, et sont passés au-delà des différences de culture, de races et de conventions. Nous nous sommes rendus compte que nous sommes l’équipage communautaire d’un même bateau, que notre destin est lié. Peut-être vaudrait-il mieux évoluer en pleine conscience, par un choix de vie, au lieu d’y être acculés par des destructions et des souffrances!

Le mari violent s’est d’abord prostré un moment en se rendant compte de son impuissance. Puis le couple a réalisé que leurs sorts étaient liés. Dorénavant, ils s’écoutent mutuellement et se respectent. Ils entament ensemble la danse de la vie.

Amener la paix dans la nature et l’humanité

Quelle attitude sage pouvons-nous adopter face aux cataclysmes et aux changements planétaires?

Si l’hypothèse du lien entre nos pensées et les cataclysmes est vraie, alors nous détenons la responsabilité de notre destin (voir un développement de cette idée en annexe 2). Si nous avons compris que les manifestations planétaires sont liées à notre façon d’être, alors, nous avons la solution pour éviter les catastrophes: penser et être autrement. L’ère de paix annoncée par les sages amérindiens se définit par le fait que les humains auront cessé de se quereller et de s’agresser.

La technologie respectueuse du vivant

Beaucoup de trouvailles ont été faites pour produire de l’énergie, pour nourrir l’humanité, en respectant la Terre et en favorisant le vivant. Malheureusement, la plupart sont restées secrètes ou ont été enterrées par des achats de brevets et des clauses de confidentialité.

Par exemple, les sources alternatives d’énergies propres qui nous sont présentées concernent les énergies solaires ou éoliennes. Il est rare que soit mentionnée l’énergie « libre », c’est-à-dire puisée dans l’environnement sans besoin de se brancher à un réseau national. Or depuis les découvertes de Tesla au début du 20e siècle, on connait l’existence et on sait exploiter des sources d’énergie et des moteurs basés sur le magnétisme et l’électricité terrestres (pour détails voir le site Quanthomme). Pourquoi de telles solutions bienfaisantes sont-elles détournées, confisquées? Pourquoi ne met-on pas à disposition de l’humanité ce qui est vital pour elle? Il est temps de diffuser ces vérités.

Solidarité et respect pour la vie et pour les autres

Changer sa conscience, c’est d’abord apprendre à écouter. D’abord écouter la nature.

Ressentons comment elle souffre, et inversement comment elle répond à notre bienveillance. Respectons le sol, l’eau, l’atmosphère, les animaux et les plantes. Communiquons avec la nature comme avec une amie. Elle est comme une mère et aussi comme un enfant qui a besoin de soins. Traditionnellement, les amérindiens et autres peuples de la Terre qui ont besoin de couper un arbre lui demandent la permission. S’ils veulent construire un bâtiment, ils demandent à la terre où ils peuvent le faire sans dommage pour elle et pour le plus grand bien de tous. Si elle ne veut pas, ils ne le construisent pas.

Les blancs se gaussent et jugent cela naïf. Ils s’imaginent qu’ils en savent plus par leur science. C’est seulement là leur croyance mue par leur orgueil et leur malaise. Leur science est coupée du cœur, coupée des forces de la nature. Leur orgueil n’est en fait que la manifestation de leur incompréhension. C’est ce type de pensée qui introduit des divisions entre humains. Si inversement nous faisons preuve d’humilité et que nous interrogeons les amérindiens ou d’autres gardiens de la Terre, ils nous apprennent à porter attention aux multiples signes par lesquels répond la Terre, par exemple des signes physiques dans la nature, dans notre corps, ou dans nos rêves. L’expérience leur a montré que si on ignore ces signes, la terre réagit.

Cultivons des pensées d’humilité et de respect. Agir avec des pensées de compréhension et de bienveillance dans notre quotidien, c’est contribuer au nettoyage de la terre et de la conscience collective de l’humanité.

Écoutons et respectons également les autres humains. Prenons conscience que nous sommes tous et toutes les cellules d’un même corps. Nous avons trop tendance à nous critiquer et à nous juger. Aidons à construire un monde sans guerre, sans lutte territoriale ou économique. Mettons en place la coopération, le partage, la générosité.

L’école de l’écoute de soi

Être dans la générosité, l’humilité et l’harmonie, il est facile de le concevoir et d’en faire des discours éloquents, mais souvent difficile à mettre en pratique. Cela semble seulement possible avec les gens que nous apprécions et qui partagent nos idées, mais beaucoup plus difficile avec ceux qui nous nuisent. Comment pouvons-nous nous détacher de nos comportements de critique, de nos idées de lutte pour la vie? Ce genre de croyance est profondément ancré en nous, et il n’est pas facile d’élargir notre vision. Notre comportement extérieur correspond à notre état intérieur. Le non-respect de la Terre et des autres correspond au non-respect de soi-même.

Le moyen d’élever notre conscience est de réfléchir aux causes profondes personnelles de notre comportement égoïste et agressif et d’examiner quels en sont les déclencheurs. On va mettre au jour des appréhensions et des craintes: peur de ne pas être considéré, d’être laissé pour compte, d’être indigne, de ne pas obtenir de reconnaissance, de manquer d’attention, de ne plus compter pour quelqu’un. Peur de manquer d’argent, d’espace. Donc peur de manquer, sous des formes diverses. Il y a aussi la peur d’être détruit, manipulé, violenté ou violé. Dans les conflits et les guerres, que ce soit entre nations ou entre personnes proches, l’agresseur cherche à conquérir ou soumettre l’autre par crainte que ses besoins profonds ne soient pas satisfaits. Les peurs et les luttes sont fondamentalement issues de la notion erronées de séparation et d’isolement.

Les peurs sont fondées sur des incompréhensions et des croyances qui ont été élaborées au cours de la vie, essentiellement dans l’enfance. Il est donc essentiel de d’en libérer. Est-ce possible? Oui, en premier lieu par une prise de conscience, autrement dit par l’observation de soi-même, au cours de laquelle on constate que ces peurs sont à l’œuvre. Cette observation sera honnête et sans concession, mais bienveillante. (voir L’enfant intérieur et le langage des émotions)

C’est un vrai travail sur soi qui peut se faire seul ou accompagné: faire connaissance avec soi, avec ses ressorts psychologiques profonds, son enfant intérieur; guérir ses blessures, reconnaitre sa propre valeur et sa richesse intérieure.

Nous découvrons que le monde que nous vivons au quotidien est le reflet de ce que nous sommes (voir Ma vie, miroir de mes pensées et émotions). Les autres personnes reflètent des parties de nous-mêmes. Être coupé de la nature, de l’abondance, de la beauté, de la sagesse, de l’amour, vient d’une coupure en soi et avec soi. Il est certaines parties de nous que nous rejetons et ne voulons pas voir. Il est bénéfique de prendre conscience de nos conflits intérieurs, de notre cloisonnement intérieur et faire la paix à l’intérieur de soi.

Faire la paix dans le monde, faire la paix avec la nature, c’est d’abord faire la paix en soi. S’unifier aux autres et à la terre, c’est d’abord s’unifier à soi-même.

Ne cédez pas à la peur, restez centrés

Le spectacle des cataclysmes peut soulever en nous la peur d’en être victimes et un sentiment d’injustice et de révolte contre tant de souffrances et de détresse. Il est conseillé de ne pas se laisser emporter par ces émotions, de les observer et de rester centré. On peut agir pour les victimes avec sérénité et bienveillance.

C’est apprendre à être dans ce qu’on appelle le détachement ou le lâcher-prise. Être détaché, ce n’est pas être indifférent ou insensible. Ce n’est pas non plus se débarrasser de ses biens et de ce qui fait la douceur de notre vie. C’est seulement accepter que la vie ne se déroule pas selon notre volonté et qu’elle a sa logique propre. Dans son développement ultime, le lâcher-prise, c’est accepter de se séparer de ce qui fait notre confort, notre identité et notre sécurité (biens, parents, pays, etc), si la situation l’exige. Cela revient à agir pleinement dans le moment présent, certes avec des intentions et des envies pour le futur, mais en étant prêt à les abandonner au besoin. J’agis dans la justesse pour aujourd’hui. Je vis dans le moment présent en faisant ma part de ce jour.

Il s’ensuit que je ne considère pas les prophéties comme une vérité absolue, mais seulement comme un moyen de réflexion et de mise en garde. Elles représentent une idée du futur, mais l’essentiel est ma propre perception du présent (voir ci-dessous, annexe 1). Que savons-nous du futur? Même les prophéties ne peuvent pas le préciser, car nous sommes les artisans de notre futur. Nous l’inventons et nous l’écrivons de jour en jour.

Sommes-nous prêts à transformer nos propres sentiments de manque, de dépendance et nos ressentiments? Sommes-nous prêts à inventer notre monde le plus merveilleux possible, fait de beauté, d’harmonie, de solidarité, d’abondance, de compréhension, de grandeur, de créativité, d’humilité? Sommes-nous prêts à lâcher prise et à recueillir le bien-être et la joie?

La femme qui se sent aimée et respectée s’abandonne et s’ouvre totalement à son compagnon. Du plus profond d’elle-même, elle laisse exhaler des parfums insoupçonnés. Que nous offrira la Terre quand nous saurons l’aimer?


Une preuve irréfutable du réchauffement climatique
Merci à Histoire du costume




ANNEXE 1: Quelle confiance accorder aux prophéties?

Il est de bon ton de rigoler des prophéties. Ce ne serait que superstitions issues de cerveaux primitifs qui ont besoin de se rassurer en s’inventant des histoires. Et de citer le nombre de fois où des événements annoncés par des prophéties n’ont pas été réalisés. N’est-ce pas juger un peu vite? À propos, quelle est la pensée qui se trouve derrière ce jugement? À nouveau l’idée de supériorité et de division entre personnes. Mais également une certaine représentation tout à fait erronée de ce que serait une prophétie: un programme solidement établi et immuable qui se déroulerait de façon précise. Autrement dit on juge ceux qui prophétisent en leur attribuant nos propres modèles de pensée. C’est éviter de les interroger pour examiner comment ça fonctionne et les comprendre. Je vous invite à le faire. Alors vous découvrirez peut-être ceci:

Un médium reçoit des informations sous des formes très variées (images, sons, idées, sensations physiques, etc.), données qui sont liées au moment où il les perçoit. Ce sont des informations du présent. Le futur en est le déploiement si rien ne change dans le comportement et dans la façon d’être des personnes. Car il est sans cesse répété ceci: vous avez le libre arbitre, vous avez le choix de ce que vous êtes, vous êtes libres, vous êtes maitres de votre destin.

La description des événements du futur est comparable à la description du projet de construction d’un architecte. Il a un plan de réalisation, il sait ce qu’il veut construire. Il a imaginé un calendrier d’après les données qu’il détient (nombre d’ouvriers, machines employées, etc.). Or le calendrier, comme le projet lui-même, vont peut-être subir des modifications. Si les ouvriers font grève, s’ils travaillent plus vite que prévu, si de nouveaux renforts se présentent, si le terrain révèle des difficultés inattendues. Mais aussi, si la réalisation de la construction fait naitre des idées encore plus formidables. On avait prévu telle pièce, or sur le terrain, il se révèle qu’avec la lumière et l’espace, il serait mieux d’en ajouter une autre, etc. Il se peut que des solutions nouvelles émergent, donnant une vision renouvelée du projet pour le rendre encore plus magnifique, avec des buts qui n’étaient pas envisagés au départ. Voilà pourquoi les visions prophétiques peuvent changer.

Toutefois, certains rendez-vous sont prévus et incontournables. Il est nécessaire qu’ils aient lieu pour faire le point, à la manière des réunions de chantier. Encore y a-t-il toujours une possibilité de modifier la date. Ainsi, le calendrier Maya laisse supposer que l’essentiel des purifications ont eu lieu avant 2013. Il semble que c’est de leur enclenchement qui a eu lieu dans cette période, et qu’elles se poursuivent rapidement, afin de laisser place à une nouvelle ère où tout sera à construire.

ANNEXE 2: Choisir entre destruction planétaire ou éveil spirituel

Nous avons le choix: rester dans la violence et la prostration ou être dans l’écoute de soi et des autres. C’est ce que disait l’instructeur de M.L. Young dans les entretiens qu’elle rapporte dans son livre A journey to the stars.

Le monde en tant que communauté peut demeurer un corps peu intégré et non viable ou il peut devenir une communauté unifiée et promise au succès. La communauté mondiale a le choix. Elle a le pouvoir de manifester une dévastation planétaire gigantesque, détruisant la plus grande partie de la vie terrestre dans la foulée. La communauté mondiale détient également le pouvoir de manifester une réalité différente de façon créative, une réalité d’éveil spirituel, chacun selon sa vision propre. Donc, lequel choisira-t-elle?

[…] Tandis que les semences du nouvel éveil ou mutation de conscience éclosent et commencent à pousser partout dans le monde, la soif prédominante de l’homme est néanmoins toujours orientée vers une conduite guerrière agressive. Cette prédisposition vers l’agressivité épuise et détériore le corps de la Terre aussi sûrement que si des sangsues suçaient son sang. La planète, sur les plans physique et éthérique, ne peut pas supporter cette saignée constante sans décliner dans une dépression de plus en plus profonde.

La réaction pour surmonter cette dépression et se débarrasser de cette douleur terrible, peut provoquer des changements physiques gigantesques impliquant tous les aspects de la Terre physique. […] C’est à la Terre de choisir. L’avènement d’un monde spirituellement accordé peut se produire avec ou sans ces changements physiques qui se forment en réponse à l’indifférence et la négativité humaines.

Si l’homme veut bien renverser la vapeur et s’éloigner de la destruction physique de la planète, alors la communauté mondiale dont je parle aura de lourdes responsabilités. Elle doit comprendre son pouvoir en tant que groupe. Elle doit apprendre à être un corps qui gouverne de façon avisée. Elle doit apprendre à diriger l’orchestre de façon égale pour le bénéfice de tous. Elle doit apprendre en fait à utiliser sa puissance personnelle à sa façon. Elle doit trouver et utiliser sa puissance de groupe et sa connexion de groupe à l’univers. […] Tous les systèmes de puissance communautaire se fondront en un corps fonctionnel et opérationnel d’énergie totale. Plus tôt l’individu deviendra conscient de sa responsabilité envers lui-même et envers la communauté, plus tôt les guerres et les pensées agressives vont cesser.

A journey to the stars
Meredith Lady Young

ANNEXE 3: L’ionosphère, lien entre nos pensées et les bouleversements terrestres. Une tentative d’explication scientifique

Concevoir un lien entre nos pensées et les mouvements de la nature est plutôt révolutionnaire. Pourtant, un mécanisme physique assez simple a été proposé pour l’expliquer. Si nous nous rappelons qu’à notre échelle, la matière se manifeste par ses forces électriques (forces chimiques, forces de frottement, forces de contact, etc. sont des expressions des forces électriques), on peut facilement concevoir que les communications entre les différentes formes de la matière transitent par l’électricité. Nos cellules sont de petits oscillateurs électriques qui émettent des ondes électromagnétiques. Ceci est particulièrement important dans le cas des cellules du cerveau. Les ondes cérébrales sont bien connues et à l’origine du développement des examens par électroencéphalogramme (EEG), mot qui signifie: tracé (-gramme) de l’onde électrique (électro-) du cerveau (encéphalo-) (voir aussi l’article sur l’ADN électrique).

L’instructeur de M.L. Young explique comment les ondes agissent sur l’ionosphère:

La négativité, sous la forme des schémas de pensée individuelle amplifiés des milliards de fois, est capable de créer un déséquilibre physique dans la structure moléculaire de l’ionosphère, causant un abaissement de sa densité de masse. Une ionosphère affaiblie permet à une pression de l’espace extérieur de s’exercer plus fortement sur la surface de la Terre, augmentant considérablement les tiraillements gravitationnels déjà éprouvés par la Terre. Cet ajout de tension par l’atmosphère peut créer une pression de plus en plus forte vers le centre de la Terre. En définitive, cette pression vers le cœur de la Terre devient suffisamment forte pour déformer la croûte extérieure de la planète, provoquant un effondrement vers l’intérieur.

Si l’on accepte le fait que les schémas de pensée sont la base réelle de la communication et que les pensées ont la même puissance que les mots, alors c’est ce qui est projeté sous forme d’onde de pensée aussi bien que de mots, dans les esprits et les cœurs de la population mondiale, qui est le facteur déterminant de la croissance ou de la décroissance de la densité de l’ionosphère. Ceci se produit parce que les ondes de pensée colorent leur contrepartie moléculaire dans l’ionosphère par un transfert d’énergie. Ces transferts énergétiques chargent l’ionosphère positivement ou négativement. Parce que cette couche de l’atmosphère terrestre est tellement sensible au renvoi énergétique de la planète, elle est un indicateur très précis de la prédisposition submergeante du mental sur la Terre. L’ionosphère existe en tant qu’aura de la Terre…

L’ionosphère est la couche de l’atmosphère qui existe au-dessus de la stratosphère, commençant environ à 100 kilomètres au-dessus de la surface de la Terre et s’étendant sur plusieurs centaines de kilomètres dans l’espace. Elle forme une barrière protectrice autour de la Terre, préservant l’équilibre et l’intensité avec laquelle la matière est attirée vers la surface terrestre, et protégeant la Terre en filtrant les excès de chaleur, les radiations et les nombreuses toxines. La Terre fonctionne tranquillement aussi longtemps que prévalent ces conditions atmosphériques nourrissantes. La destruction de ce bouclier protecteur par les explosions nucléaires ou autres moyens mécaniques semblables, ou par la négativité qui s’accumule de façon implacable et accablante, peut provoquer la fin de l’ionosphère et ainsi de la Planète Terre sous la forme que connaissez.

A journey to the stars
Meredith Lady Young


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Articles dans ce site [www.spirit-science.fr]

  • La nouvelle grille cristalline et l’évolution des consciences. Sur tous les continents, la Terre porte des édifices sacrés qui sont disposés sur les mailles d’une vaste grille de flux énergétiques. Sur certains édifices, on a relevé des indices qui indiquent qu’ils ont été bâtis par une civilisation techniquement et spirituellement très avancée. Les sites sacrés avaient des fonctions de régulation énergétique des flux et d’élévation de la conscience. Après un long sommeil, la grille est actuellement réactivée progressivement jusqu’à sa pleine puissance en 2012. Ce processus entraine des bouleversements terrestres et des modifications dans nos consciences. Nos corps sont progressivement reconnectés à la grille et sont également touchés. Tout cela a un sens précis: nous sommes invités à devenir pleinement responsables de notre vie et à créer un nouveau monde en harmonie avec la Terre.
  • Les  codes géométriques et sonores de l’Être humain. Une vision nouvelle de l’évolution. Les corps énergétiques de l’être humain sont régis par des champs d’information qui englobent l’organisme. Ces champs transmettent des schémas directeurs inscrits dans des plans supérieurs de réalité, qui se manifestent sous forme géométrique ou sonore. Mais ceux-ci ont été faussés par le passé. L’humanité est dans le processus délicat où elle retrouve ses codes d’origine. Cela ne va pas sans heurts et sans épreuves, qui sont autant d’incitations à retrouver de nouvelles formes de responsabilité et de sagesse.
  • Les résonances de Schumann, des ondes électromagnétiques qui circulent autour de la Terre et influencent notre santé. L’atmosphère terrestre est animée par des ondes électromagnétiques de très basses fréquences, dont certaines sont amplifiées par résonance (résonances de Schumann, environ 8, 14, 20, 26, 33, 39 et 45 Hz).
    La puissance des résonances de Schumann épouse les variations de la production d’éclairs et de l’activité solaire. Leur fréquence fluctue très légèrement autour d’une valeur moyenne constante.
    Les résonances de Schumann s’insèrent dans le même domaine de fréquences que les ondes cérébrales. Aussi toute variation notoire de leurs caractéristiques, due soit à des phénomènes naturels soit à des technologies humaines comme le système HAARP, a une incidence sur le cerveau et sur la santé humaine.
  • La Terre, planète en perdition – réveiller les consciences, Pierre Rabhi. La planète et l’humanité sont dans un état dramatique. Dans quelques années, il sera trop tard pour les sauver si nous ne changeons pas nos consciences dès aujourd’hui. Rien n’est fait pour redresser la barre malgré les nombreux avertissements qui ont été lancés et les multiples alertes. Heureusement les « graines de possibles » se multiplient.
  • La prophétie des sept feux. Un message de paix et d’unité selon la tradition des amérindiens algonquins et ojibwés. La prophétie algonquine des sept feux décrit l’évolution de l’humanité depuis des siècles jusqu’à nos jours. Nous sommes dans la période du septième feu, une période cruciale de choix de vie. La prophétie incite à choisir un monde de paix et d’union entre les races et les peuples. Ce message est délivré activement par plusieurs Grands Chefs Algonquins, dont le Grand-Père William Commanda et Dominique Rankin. Il est en accord avec une autre prophétie des Lakotas, celle de la femme Bison Blanc. 
  • Prophéties Hopi: Créons un monde nouveau. L’appel au changement de vie par les chefs spirituels Hopi Dan Katchongva et Dan Evehema
  • Prophétie Lakota: La légende de la femme Bison Blanc. L’annonce de temps nouveaux. Un récit d’Archie Lame Deer
  • Sauvetage de la planète: l’appel d’un chef amérindien, Arvol Looking Horse. Les Anciennes Prophéties amérindiennes annoncent que les destructions de notre Mère la Terre causeront un désastre mondial. Nous en sommes arrivés au point de l’extrême urgence. Nous restons libres de choisir l’une des deux voies qui se présentent devant nous: la voie spirituelle ou la voie matérialiste. Arvol Looking Horse appelle les peuples de tous les continents à se réunir et prier et chacun d’entre nous à vivre en respectant et honorant la terre.
  • Ma vie est le miroir de mes pensées et de mes sentiments. Le pouvoir de l’intention consciente et des pensées inconscientes. Les circonstances de notre vie ne se produisent pas par hasard. Elles sont la projection manifestée de nos pensées, le plus souvent à notre insu. Des observations scientifiques multiples confirment l’influence de la pensée sur la matière au niveau atomique. Toutefois, la manifestation de nos pensées dans la matière est commandée par l’impact émotionnel que ces pensées exercent sur nous. Les émotions agissent comme de puissants aimants. En étudiant attentivement et en comprenant ce processus, nous pouvons examiner nos conditions de vie douloureuses pour mettre à jour les pensées et les sentiments négatifs inconscients qui les sous-tendent. Nous pouvons alors les transformer et créer une vie qui soit à l’image de nos aspirations les plus élevées. Enfin, munis de cet outil de transformation, élargissant notre vision, nous pouvons participer à l’établissement de la paix et de l’harmonie sur la Terre. Il est urgent de le faire.
  • Agriculture biologique; interview de Paul Pascotto, Ingénieur Agricole, auteur des ouvrages « Cours de jardinage biologique » et « Production biologique du fruit ». Qu’est-ce que l’agriculture biologique, quels sont ses buts et ses méthodes, en quoi diffère-t-elle de l’agriculture chimique. Des réponses synthétiques.
  • Recommandations à l’humanité, Omnec Onnec. Nous sommes une âme, issue de la Source d’Energie, qui est venue faire l’expérience de la densité terrienne. Les expériences que nous vivons dans de multiples vies ont pour but de nous conduire à la plénitude de l’âme. Toutefois, l’âme est dotée du libre arbitre. Il est urgent que chacun choisisse la voie positive de l’énergie d’amour afin d’enrayer les luttes, conflits, violences et destructions.

Articles sur internet

  • Réseau Hopi Network
  • Prophéties des Sioux (Lakotas – Nakotas – Dakotas): la naissance d’un bison blanc annonce les changements
  • Notre-planete.info a été lancé en octobre 2001 du constat qu’il n’existait pas véritablement de sites généralistes sur les grandes problématiques environnementales et leurs conséquences. Et parce que l’Homme est l’enfant insolent de la Nature et qu’il faut sans cesse rappeler à l’ordre! A ce titre, notre-planete.info se définit comme un portail d’informations et de communication qui fournit au grand public des notions vulgarisées et actualisées en environnement et géographie.
  • Charte Internationale Espace et catastrophes majeures. La Charte internationale vise à offrir un système unifié d’acquisition et de livraison des données satellites dans les cas de catastrophes d’origine naturelle ou humaine par l’entremise d’utilisateurs autorisés.
  • L’état de la planète. Le point sur l’état de la planète, avec l’inventaire des dégâts causés par l’homme à l’environnement.
  • Magnétisme terrestre: Archéomagnétisme; Inversion du champ magnétique terrestre sur Wikipedia; L’inversion du champ géomagnétique, dans le site Luxorion,  Fatal attraction: Earth’s magnetic field is showing strong signs that the poles are due to switch over. It could be the end of the world as we know it, Paul Simons, The Guardian, 4 juillet 2002; Reversals: Magnetic Flip, British geological survey
  • Les Évolutions de la Terre et les Déluges
  • Cosmic Changes, Mind-boggling Phenomena rapporté par des chercheurs russes. Drunvalo. Revue Spirit of Ma’at, Vol.2 Mars 2002, Free Energy & Alternative Energy, Part II
  • Terre et Humanisme. Quelle planète laisserons-nous à nos enfants? Quels enfants laisserons-nous à la planète? Réunissant, entre autres, les différentes structures déjà existantes autour de Pierre Rabhi, Terre et Humanisme tend à devenir une plate-forme d’échanges et d’inspiration pour tous ceux qui aspirent à un nouveau projet de société replaçant l’humain et la nature au centre de nos préoccupations.
    Association Terre et Humanisme
    Mas de Beaulieu, BP 19 – 07230 Lablachère, tél. 04.75.36.64.01
  • Conseil international des treize grands-mères indigènes
    13 grands-mères
    Nous, le conseil international des treize grands-mères indigènes, nous représentons une alliance globale de prière, d’éducation et de guérison pour notre Terre Mère, tous ses habitants, tous ses enfants, pour les 7 générations à venir. Nous sommes profondément concernées par la destruction sans précédent de notre Terre Mère, et par la destruction des modes de vie indigènes. Nous sommes persuadées que les enseignements de nos ancêtres éclaireront notre chemin à travers le futur incertain. Nous avons comme objectif de prolonger notre vision par la réalisation de projets de protection de nos diverses cultures: terres, médecines, langages et cérémonies de prière, et par des projets d’éducation et de nourrissement de nos enfants. Voir les sites:
    The international council of thirteen indigenous grandmothers
    For the next 7 generations, the grandmothers speak

Ouvrages sur papier

  • Après nous le déluge? Jean-Marie Pelt et Gilles-Éric Séralini, Ed. Flammarion/Fayard, 2006. « L’urgence nous dicte aujourd’hui de vous livrer notre expérience de biologistes pour que vous puissiez juger de la situation: votre situation d’êtres humains bientôt incapables de léguer à leur descendance une planète en bonne santé. Peut-être même incapables de léguer la vie telle que nous la connaissons. »
  • Mal de Terre, Hubert Reeves, Ed. Seuil, 2005. « Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l’eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d’extinction effarant des espèces vivantes, etc. La situation est-elle vraiment dramatique? Que penser des thèses qui contestent ce pessimisme? A partir des données scientifiques les plus crédibles -et de leurs incertitudes, Hubert Reeves dresse un bilan précis des menaces qui pèsent sur la planète. Son diagnostic est alarmant: si la vie sur Terre est robuste, c’est l’avenir de l’espèce humaine qui est en cause. Le sort de l’aventure humaine, entamée il y a des millions d’années, va-t-il se jouer en l’espace de quelques décennies? Notre avenir est entre nos mains. Il faut réagir, et vite, avant qu’il ne soit trop tard. »
  • Le chant de l’Esprit, la sagesse visionnaire de No-Eyes. Mary Summer Rain, Editions SUM
  • L’envol du Phénix, No-Eyes parle des changements à venir. Mary Summer Rain, Editions SUM, 1994
  • A journey to the stars. Meredith Lady Young, Stillpoint publishing, 1984
  • Sun Bear: The path of power. Sun Bear, Wabun et Barry Weinstock, Bear Tribe Publishing, USA, 1983
  • La leçon indienne, les secrets d’un homme médecine. Entretiens avec Wallace Black Elk. Paco Rabanne, Ed. Michel Lafon, 1996. « Wallace Black Elk nous réapprend les vrais chemins du bien-être, physique et moral… Laissez-vous porter par la proximité de la nature, l’humble conscience de l’univers, le respect obligé de l’Autre et l’écoute des Esprits, à moins que ce ne soit vous-même ».

3 janvier 2007 – Révisé le 3 février 2014 © Copyright 2007 – Alain Boudet
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Cet article est l’aboutissement d’études, d’investigations, de compréhensions, de synthèse, de réflexions, de clarifications et de reformulation en langage simple, qui ont demandé une somme importante de travail.
Si vous deviez en tirer parti devant un public de lecteurs ou de spectateurs ou pour quoi que ce soit, merci de le citer.




Un réveil de plus

De plus en plus d’êtres humains sortent de la torpeur médiatique dominante.

En voici encore un exemple :

https://youtu.be/0lDkQ4tKyiI

Source : Bulles et Audace

Sources mentionnées dans la vidéo :

Pharmacien alarme sur les vaccins

https://youtu.be/LmBiLbhY3wo

Mr Macron
https://www.elysee.fr/emmanuel-macron…

❌Youssef hindi la kabbale
https://www.zzsmileyfamily.net/virtua…

❌La puce sous cutané
https://www.amessi.org/des-scientifiq…

A) Valérie Bugault
https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/c…

B) Liens Bill Gates
https://www.transition2017.com/html/c…

C ) médecins en Moselle
https://www.estrepublicain.fr/actuali…

D) Vaccins
https://www.pourquoidocteur.fr/Articl…

E) Un lien qui va vous faire froid dans le dos les amis 😡.
Soyez patient et écoutez bien surtout
Ronald Bernard

https://youtu.be/zf4lzrtJIls

Voir aussi, sur le blogue Nouveau Monde :



Le futurisme illusoire des universitaires de l’ordre global libéral

[Source : Le Saker Francophone]

Le futurisme illusoire des universitaires de l’ordre global libéral


Par Brandon Smith − Le 3 avril 2019 − Source Alt-Market.com

Il s’agit peut-être d’une généralisation trop large, mais j’ai l’impression que le public a presque le sentiment qu’il y a quelque chose d’intrinsèquement gênant dans le milieu universitaire. La source de ce mécontentement fait l’objet d’un débat, mais je crois qu’il découle de l’image du projet des universitaires par rapport à la réalité de leur caractère personnel et de leurs intentions.

L’universitaire moyen qui a obtenu un diplôme universitaire
dira que certaines personnes ne le trouvent désagréable que parce qu’il
est « si intelligent », ce qui en rend d’autres
envieux. Je dirais que c’est le contraire – l’universitaire moyen est en
fait assez ignorant, mais brandit une fausse image de génie. C’est
pourquoi je les qualifie souvent d’« imbéciles académiques ».

La fausse intelligence et la fausse sagesse sont comme du papier de verre pour les nerfs des gens exposés, et la personne moyenne n’est pas aussi stupide que les universitaires le pensent.

Au sommet du mât totémique académique frauduleux se trouvent ce que j’appellerais les « philosophes académiques »,
les gardiens, les gens qui pontifient régulièrement sur le sens de la
vie et de la société tout en vivant la vie la plus charmante qu’on
puisse imaginer. Ce sont des gens qui, dans la plupart des cas, sont
issus de la classe supérieure. Ils ont été cajolés à chaque instant
éveillé de leur existence. Ils ont eu toutes les portes ouvertes pour
eux par quelqu’un d’autre sur le chemin du succès, et ont connu peu ou
pas de lutte ou de souffrance pendant tout le temps qu’ils ont passé sur
cette Terre. Et pourtant, ils s’estiment en quelque sorte qualifiés
pour commenter la condition humaine.

Il n’est pas surprenant que les idées développées par ces
universitaires tendent à nier la réalité concrète. Ils cherchent à
poursuivre des programmes qui sont au mieux fantaisistes et qui, en fin
de compte, seraient destructeurs s’ils étaient appliqués dans le monde
réel.

Je trouve cela commun à de nombreux philosophes, non seulement aujourd’hui, mais tout au long de l’histoire. Le vénéré Platon était une telle personne, le plus jeune fils de riches parents aristocratiques qui n’avait pas grand-chose à faire dans sa jeunesse, mais qui réfléchissait. Les épreuves entourant son ami Socrate mis à part, Platon n’a jamais abandonné la notion de domination élitiste sur la société. La République de Platon est un sanctuaire du modèle élitiste, imaginant un monde gouverné essentiellement par des universitaires – des gens nés avec des capacités intellectuelles supérieures et qui étaient destinés à dominer le reste d’entre nous comme des demi-dieux bienveillants.

C’est une drôle de coïncidence que des universitaires soi-disant
élitistes objectifs arrivent toujours à la conclusion qu’ILS sont les
personnes les mieux à même pour gérer la société.

La cabale académique n’est cependant pas entièrement naïve. Ils se
sont rendu compte au fil du temps que leur argumentaire de vente d’une
classe de prêtres intellectuels et de schémas pyramidaux utopiques n’est
pas très efficace, et ils ont choisi de changer de récit. Le nouveau
récit est celui de l’inévitabilité ; l’inévitabilité du socialisme,
l’inévitabilité du globalisme et l’inévitabilité de l’automatisation
algorithmique.

En d’autres termes, le globalisme sera la structure sociale optimale et l’intelligence artificielle gouvernera les opérations quotidiennes de cette structure, peu importe ce que le public veut. Les élites ne gouverneront pas le monde directement, mais leurs semblables créeront les algorithmes et ces politiques gouverneront le monde en vertu de l’évolution sociale et technologique.  Tout comme le film français de Jean-Luc Godard, Alphaville, l’idée est que les élites peuvent simplement se reposer et laisser la sombre « logique » de la gouvernance algorithmique faire le sale boulot. Car, après tout, comment peut-on discuter avec un ordinateur ?

L’un des élitistes universitaires dont je parle est Yuval Noah Harari. Ses éditoriaux ont beaucoup fait parler d’eux dans les médias grand public ces derniers temps et ils mettent l’accent sur la nécessité de la globalisation ainsi que sur la nécessité pour les humains de s’adapter rapidement à la technocratie, de peur qu’ils ne se retrouvent obsolètes. Harari est un philosophe académique prototypique, régurgitant de vieux concepts d’aristocratie et de féodalisme à peine voilés par l’imagerie futuriste. Ses arguments sont du type de ceux que d’autres universitaires de moindre importance absorbent et perroquetent sans cesse comme s’ils étaient profonds.

Pour ceux qui ne sont pas familiers avec les idées derrière le futurisme, je suggère de lire mon article « La signification du bien et du mal en des temps périlleux ». En résumé, les futurologues sont toujours d’accord avec l’idée que les anciennes méthodologies doivent être effacées pour faire place à de nouvelles méthodologies. Les traditions et les idéaux du passé sont considérés comme une prison qui empêche l’humanité de progresser et d’avoir un avenir meilleur. Ils croient que la solution aux déséquilibres et aux tragédies d’aujourd’hui consiste à démanteler énergiquement le système actuel et à le reconstruire d’une manière nouvelle et originale. Cela inclut la morale et les principes directeurs, qu’ils considèrent comme étouffants et relatifs.

Le futurisme a été fondé au début du 20ème siècle en Europe avec des
groupes frères en Russie et est considéré comme un précurseur des
premiers mouvements socialistes, dont le fascisme et le communisme. Pour
clarifier, il n’y a pas de nouvelles idées sous le soleil, seulement de
vieilles idées avec une tournure légèrement différente. Le socialisme
précède le globalisme, qui est l’une des idées les plus anciennes ;
l’idée d’empire total.

Comme la plupart des philosophes universitaires modernes, Yuval Harari fait la promotion du futurisme et du globalisme. Il est associé au Carnegie Council For Ethics In International Affairs, un organisme globaliste. Autrefois connu sous le nom de Church Peace Union, le groupe a contribué à pousser Woodrow Wilson à impliquer les États-Unis dans la Première guerre globale et à promouvoir la création de l’ONU.

Il est un modèle adéquat pour démystifier ce que ces gens appellent souvent « l’ordre global libéral », qui n’est qu’une autre forme de futurisme. Comme point de référence, j’utilise deux articles de Harari, l’un publié pour le Guardian sur l’avenir de l’automatisation et des robots qui déclassent l’humanité, et l’autre publié pour le magazine The Economist propriété de la  Rothschild sur la nécessité de la globalisation et de la fin du nationalisme. Je vais résumer ses arguments et ses points de vue, mais j’invite les lecteurs à examiner ses articles liés ci-dessus.

Allons droit au but….

L’IA remplacera la plupart des humains… et c’est une bonne chose.

C’est en train de devenir l’un des piliers du discours de
l’establishment globaliste et de son milieu universitaire pour un
certain nombre de raisons. L’argument selon lequel la domination de
l’intelligence artificielle est inévitable ressemble beaucoup à
l’argument selon lequel la globalisation est inévitable ; les deux sont
fondés sur une prophétie auto-réalisatrice.

Harari imagine ce qu’il appelle un « monde sans travail »,
un développement à venir d’ici seulement 20 à 30 ans où les machines
algorithmiques remplaceront les êtres humains comme source principale de
travail. Cette propagande a deux facettes : premièrement, elle vise à
effrayer le public et à l’amener à exiger la centralisation et la
gouvernance globale. Harari affirme que sans une gouvernance globale et
un « revenu de base universel », l’IA fera de la plupart des gens qui n’ont pas de connaissances technologiques des pauvres instantanément, ce qu’il appelle « la classe inutile ». Et ici, nous voyons le tour de passe-passe.

Comme je l’ai souligné dans mon article intitulé « La vraie raison pour laquelle les globalistes sont si obsédés par l’intelligence artificielle », des entités globalistes comme la DARPA, l’ONU et le Forum économique global ont été très agressives en poussant l’intelligence artificielle à l’avant-scène et ont entrepris des campagnes de promotion pour contrer la méfiance du public envers cette technologie. Dans le même temps, ces organisations globalistes ont fait valoir que, sans leur surveillance accrue, l’IA pourrait faire l’objet d’abus de la part des États nations ou détruire des économies entières.

Ainsi, les globalistes vous disent que la domination de l’IA est une
conséquence inévitable du progrès alors qu’ils dépensent d’énormes
quantité de capital et d’heures de travail pour faire de leur prédiction
une réalité. Ils vous disent alors que l’IA sera une menace pour votre
gagne-pain et celui de vos enfants. Ensuite, ils vous disent que la
seule réponse est de leur donner plus de pouvoir pour régler le problème
qu’ils ont créé.

La deuxième partie de cette propagande est l’affirmation selon laquelle les dangers de l’IA pourraient être transformés en avantages utopiques. Si le « monde sans travail » est le bâton, alors le revenu de base universel est la carotte. La promesse fantastique des futuristes remonte aux premiers jours du communisme, et inclut toujours une terre pour demain où tous les gens vivront une existence paisible ; une société où tous les besoins sont satisfaits sans travail. Habituellement, les voitures volantes et les villes flottantes sont offertes là-dedans quelque part …

Harrari insinue dans son article pour The Guardian que la
paresse est un état naturel pour la plupart de l’humanité, et que la
majorité des gens resteraient mentalement à l’aise de ne pas avoir de
but dans la vie tant qu’on leur donnerait une existence virtuelle comme
un moyen de distraction. Il cite l’exemple d’enfants adultes qui
vivraient dans un sous-sol s’ils y étaient autorisés et qui y
subsisteraient grâce à la générosité de leurs parents avec une vie
dédiée aux jeux vidéo. Mais plutôt que de souligner qu’il est
destructeur d’encourager un tel comportement, Hariri suggère que cela
devrait être un pilier de notre société.

Ce que Hariri ignore est une question clé du pourquoi beaucoup de
gens se contentent d’une telle vie. Ce n’est pas nécessairement parce
qu’ils aiment faire partie de la « classe inutile » ;
beaucoup d’entre eux veulent désespérément trouver un but et un
accomplissement car ce désir est ancré dans la psyché de la plupart des
gens à la naissance. C’est juste qu’ils n’ont aucune idée du comment, et
ont vécu dans un environnement qui semble de plus en plus conçu pour
nuire à leur indépendance.

Je note que les élites de l’aristocratie ont exploité pendant des
siècles la béquille du revenu de base universel comme un moyen de
contrôler le comportement de leurs enfants. La progéniture des élites
était souvent traitée comme une propriété et maintenue dans la ligne
grâce à l’infantilisation et à la dépendance à l’égard du revenu. Pour
ces enfants, il était presque impensable de poursuivre un rêve personnel
ou de se lancer seul, car ils ont été isolés de tout ensemble de
compétences pratiques. Quitter le système, c’est s’exposer à la pauvreté
et à la mort potentielle.

Le plan est donc le suivant : Empêchez les gens de devenir autonomes,
assurez-vous d’être leur seule source de revenu, puis donnez-leur le
pouvoir d’utiliser ce revenu comme s’ils vous devaient quelque chose
comme un enfant se doit à un parent. Hariri réclame ce genre de mesure
de contrôle pour le monde entier.

L’expérience humaine est dans nos têtes et ne signifie rien

Tout comme le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, le « monde sans travail »
de Hariri repose sur les opiacés, mais dans ce cas, les opiacés
technologiques de la réalité virtuelle. Il affirme qu’il n’y a rien de
nouveau et que les humains participent depuis longtemps à des jeux de
réalité virtuelle par leur participation à la religion ainsi que par
l’acquisition de la propriété. Je ne vois pas la logique dans sa
comparaison, et il semble qu’il utilise cette tangente étrange
simplement comme une occasion de se perdre dans une rhétorique athée et
socialiste sans originalité.

Cependant, cette diatribe nous donne une meilleure idée d’un autre
mème de propagande globaliste, à savoir que toute expérience est une
question de perception et que toutes les conclusions sont relatives, y
compris les conclusions morales. J’ai écrit des douzaines d’articles sur
la question du globalisme et du relativisme moral et sur les raisons
pour lesquelles il est fondé sur le mensonge et la désinformation. Je
pense que c’est l’un des débats les plus importants de notre époque ou
de toute autre époque, car il détermine la survie de notre humanité.

Pour quelqu’un qui considère toute expérience comme un jeu inutile que les gens inventent pour se divertir jusqu’à leur mort, Hariri semble trop préoccupé par la façon dont nous sommes tous gouvernés alors que nous « jouons » tous notre chemin durant notre existence. S’il n’y a pas de sens et qu’il n’y a pas de conception de l’univers ou de l’humanité, alors pourquoi chercher à centraliser le contrôle du jeu ?

Bien sûr, c’est un non-sens élitiste, et je ne suis même pas sûr
qu’ils croient les ordures qu’ils vendent. Comme je l’ai noté dans des
articles précédents, de nombreux chercheurs ont présenté des preuves
considérables de qualités psychologiques humaines inhérentes, y compris
la conscience innée et la boussole morale, ainsi que des dualités
archétypiques qui nous donnent le don inhérent du choix. De Carl Jung à
Joseph Campbell en passant par Steven Pinker, etc., les scientifiques et
chercheurs réels ont entrepris des décennies d’expérimentation, de
collecte de données et d’observation pour appuyer leurs conclusions.
C’est quelque chose dont des philosophes académiques comme Hariri ne
tiennent pas compte. Ils pensent que s’ils énoncent un point de vue avec
suffisamment de bravade arrogante, c’est tout ce dont ils ont besoin
pour le consolider en tant que fait.

La raison pour laquelle les globalistes en particulier sont si
friands de la narration relativiste est parce qu’elle justifie leur
comportement dans la poursuite de leurs objectifs de centralisation. Ce
comportement est généralement basé sur une approche où « la fin justifie les moyens »,
et est contraire à notre voix inhérente d’empathie et de conscience. Si
les expériences humaines sont toutes une question de perception et
d’illusion, alors la façon dont les élites abusent ou subjuguent les
autres humains pour subventionner leur propre réalité virtuelle ne
compte plus.

Le globalisme est bon, le nationalisme est mauvais

La centralisation globale est appelée par différents noms par les
universitaires élitistes : Le nouvel ordre mondial, l’ordre global
multipolaire, le reset global, les biens communs globaux, l’ordre global
libéral, etc. Les globalistes passent la majeure partie de leur temps à
essayer de reconditionner le marketing derrière le globalisme pour le
rendre plus acceptable aux yeux des masses. Il s’agit généralement d’un
processus malhonnête parce qu’il exige d’eux qu’ils attribuent
faussement les échecs du globalisme au libre marché et au nationalisme.

Hariri tient à proclamer que l’« ordre global libéral »
a réussi à améliorer la planète sur plusieurs générations sur les plans
économique et géopolitique, mais il affirme ensuite que les
États-nations commencent à « saper » cette stabilité. Nous entendons aussi constamment les globalistes dire que le « capitalisme »
est la cause de la plupart des maux du monde, mais la vérité est que
l’ingérence de style socialiste a créé le corporatisme et l’oppression
par les marchés libres au cours du siècle dernier.

Ainsi, le globalisme nous a sauvés du capitalisme de marché, mais le
capitalisme détruit tout ? Comment ces deux choses peuvent-elles être
vraies ?

C’est le scénario dominant des globalistes d’aujourd’hui – la
globalisation fonctionne, le nationalisme et les économies indépendantes
ne fonctionnent pas, et faire un pas en arrière, c’est du suicide.
C’est-à-dire qu’ils considèrent les mouvements « populistes » d’aujourd’hui comme un recul suicidaire.

Ce que les élites académiques comme Hariri ignorent, ce sont les
nombreux problèmes que notre monde connaît aujourd’hui en raison de
l’interdépendance et de la centralisation. Il observe avec fierté que
toute nation qui tenterait de fonctionner en dehors du système
globaliste tomberait dans le désarroi économique, mais ne reconnaît pas
qu’en 2008, le monde est tombé dans le désarroi exactement parce que les
nations étaient beaucoup trop interdépendantes, avec un mécanisme
commercial tellement intriqué que l’effondrement d’une grande économie a
entraîné la suivante qui a fait tomber la suivante. C’était une
faiblesse cancéreuse déclenchée par le globalisme, et non par
l’isolationnisme ou le nationalisme. Et c’est une faiblesse qui persiste
en 2019.

Pourtant, la solution est toujours la même : plus de globalisme. Le
manque d’autosuffisance et de redondance des économies nationales n’est
pas quelque chose qu’il faut célébrer, mais qu’il faut corriger. Il
n’est pas nécessaire qu’il en soit ainsi ; ce sont les globalistes qui
l’ont fait.

Duper les masses dans l’amour de la globalisation

Comme le note Harari dans son article pour The Economist, la création d’une « identité globale »
dans laquelle les masses remplacent la loyauté envers une nation ou une
tribu par la loyauté envers leur espèce et envers la Terre ne doit pas
être difficile. Tout ce qu’il faut, c’est un ennemi commun, et quel
meilleur ennemi que la menace d’une guerre nucléaire, la menace des
changements climatiques et la menace de l’intelligence artificielle ?

Le recours à des menaces externes (dont certaines ont été fabriquées
de toutes pièces) pour amener le public à adopter un état d’esprit voulu
est le pain et le beurre des élites. Les changements climatiques causés
par l’homme constituent une menace fabriquée de toutes pièces,
constamment démystifiée et les données exposées comme truquées pour
présenter des résultats prédéterminés. La grippe aviaire est une menace
que les globalistes ont activement conçue (la DARPA en est la source
première). La menace d’une guerre nucléaire existe depuis des décennies
et je ne m’attends guère à ce que les élites globales démantèlent de
telles armes une fois qu’elles auront pris le pouvoir sur un
gouvernement global.

Et nous découvrons ici le sophisme sous-jacent du débat de Hariri et
la position globaliste en général. Les élites évoquent des visions
terribles de ce qui se passera si les États-nations et le tribalisme
sont autorisés à perdurer, mais les catastrophes qu’elles prédisent, y
compris la guerre ; la manipulation génétique ;  la militarisation de
l’IA ; les crises de migration massive ; l’effondrement économique –
toutes ces choses sont déjà causées par les élites. Et rien ne les
empêcherait de continuer à causer de tels problèmes à l’avenir si elles
obtiennent ce qu’elles veulent, à savoir une gouvernance globale totale.

Je ne vois pas pourquoi les institutions globalistes devraient être
considérées comme plus dignes de confiance que les gouvernements
nationaux, sans parler des tribus locales. Hariri est un professeur
israélien qui a manifestement bénéficié du tribalisme de cette culture
tout en la dénonçant. Les globalistes agissent comme s’ils étaient
loyaux envers l’humanité, mais ils ne sont en réalité loyaux qu’envers
leur propre idéologie parasitaire et leur propre tribu – la tribu
globaliste.

Pour élever le globalisme vers quelque chose de plus proche d’une religion qu’une simple philosophie politique, Hariri tire de son sac de tours une dernière apparition utopique classique, la promesse de la divinité. Cette idée occupe une place plus importante dans ses livres que dans ses articles, mais elle réaffirme les soupçons dont j’ai parlé dans mon article « Luciferisme : un regard laïc sur un système de croyance globaliste destructeur ». À savoir, que le globalisme repose sur un fondement très similaire à l’idéologie luciférienne, et que la technocratie globaliste est motivée par l’obsession des sociopathes narcissiques à devenir des quasi-dieux.

Ils vendent cet avenir au public comme un leurre, mais je suppose que l’ordre global libéral ne donnera pas à la « classe inutile »
le statut de divinité. Comme dans toute vision élitiste, seules les
élites deviennent souveraines et sont déifiées. Le reste d’entre nous
devient des rouages de la machine, si nous avons de la chance, et sont
considérés comme sacrifiables si nous sommes malchanceux.

Brandon Smith




Catherine Austin Fitts: « Bientôt, vous devrez choisir entre 2 options: la LIBERTÉ ou L’ESCLAVAGE ! »

[Source : BusinessBourse via Les moutons enragés]

La conseillère en placement et ancienne secrétaire adjointe au logement, Catherine Austin Fitts, dit que très bientôt, les Américains vont se retrouver face à 2 choix

[NdNM : Ce ne sont pas seulement les Américains (alias États-Uniens) qui devront faire ce choix, mais les habitants de la (très grande ?) majorité des pays du monde.]

Voici ce que Catherine Fitts nous explique: 

« Malheureusement, il y a beaucoup de gens qui se disent, oh mon dieu, si je suis une personne qui n’a rien à se reprocher, alors ils me laisseront tranquille. Mais la réalité, que d’ailleurs beaucoup de gens ne comprennent toujours pas, c’est qu’à un moment donné, vous allez devoir choisir entre deux options: soit la liberté, soit l’esclavage. Mais de toute façon, tout le monde devra faire un choix ! Il est impossible de passer de l’un à l’autre ou d’hésiter. Un abonné m’a demandé: que devrais-je faire ? Investir dans l’immobilier ou dans les métaux précieux ? Je lui ai répondu que s’il n’avait pas déjà diversifié son épargne, peu importe où il placerait ses actifs, il finira par tout perdre. »

Catherine Fitts ajoute ceci: 

« Ils veulent tous passer à un nouveau système monétaire. Ils veulent passer à un nouveau système où plus de 7 milliards de personnes sur toute la planète seront littéralement interconnectés les uns aux autres en permanence, grâce à un système entièrement numérisé par lequel on pourra obtenir un crédit pour n’importe quelle entreprise. C’est donc un système qui contrôle tout, et si vous les écoutez parler de la façon dont ils vont vous injecter des puces RFID sous-cutané, je peux vous dire que cette nouvelle technologie High Tech va vous rendre complètement esclave de ce système. Je vous rappelle qu’il s’agit de puces informatiques qui seront placées à l’intérieur de votre corps. J’ai toujours prévenu les gens que Bill Gates avait mis en place un système informatique très élaboré à l’intérieur de votre ordinateur personnel, ce qui lui a permis de tout savoir sur vous et votre existence, sans compter le fait que vous êtes amenés à le remettre à jour très régulièrement. Souvent l’excuse a été de dire qu’il y avait un virus informatique dans l’air. Eh bien, je pense qu’ils vont faire la même chose, mais cette fois-ci avec votre corps… Je veux parler d’un système très au point qui, grâce au tout numérisé à travers la planète, qui peut totalement gérer vos comptes bancaires à distance. Vous savez comment on appelle cela si vous êtes chrétien ? Cela s’appelle « le chiffre de la bête » – 666. Voilà ce qu’ils essayent de faire maintenant. Ils essayent de prolonger la durée de vie du dollar… et de connecter tout le monde sur un « cloud computing », ce qui leur permettra d’avoir un accès tout particulier à toutes vos données, via le net, à partir d’un fournisseur privé. Ce sera la fin de vos libertés. »

Catherine Fitts dit que: 

« la crise du Covid-19 correspond à une soi-disant pandémie. Ce à quoi nous assistons est une réingénierie du système financier mondial, comme si tout était normal. On a vu également beaucoup d’argent sortir des marchés dans les hautes sphères en janvier et en février. Ensuite, nous avons vu comment la police et le système de santé ont participé activement à la mise à l’arrêt complet de toute l’économie et partout sur la planète. A partir de ce moment-là, les petites entreprises et les petites exploitations agricoles ont fermé partout et nombreuses de ces petites entreprises se sont retrouvées piégées par un endettement sans précédent. Nous observons désormais une catastrophe économique jamais vue, à savoir ce piège lié à la dette mondiale qui s’est développée dans tous les pays, et je peux vous dire qu’il va y avoir une transformation radicale du système financier aux Etats-Unis. Et ça, ce n’est vraiment pas une mince affaire. »

Catherine Fitts conclut en affirmant que: 

« l’or va vivre une année mémorable. Son véritable envol est pour très bientôt. »

https://youtu.be/1Pb5-qkMdFM

Catherine Austin Fitts – We are Watching the Mother of All Debt Entrapments
[Nous sommes en train d’assister à la mère de tous les pièges de la dette]


[Voir aussi :




Le secrétaire général de l’ONU appelle à une «gouvernance mondiale» qui soit «mordante» et prépare le “Great Reset” de l’économie mondiale

[Source : Médias-Presse.Info]

“Nous devons absolument nous unir pour réinventer le monde”, a déclaré Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies, qui appelle à un niveau de gouvernance «multilatéral» pour «fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale».

“Le problème est que le multilatéralisme actuel manque d’échelle, d’ambition et de mordant”, a déclaré Guterres lors d’une conférence de presse jeudi sur le lancement de la “réponse globale de l’ONU au COVID-19”.

“Et certains des instruments qui ont des dents, montrent peu ou pas d’appétit à mordre, comme cela a été le cas récemment avec les difficultés rencontrées par le Conseil de sécurité.”, s’est plaint le secrétaire général de l’ONU.

Dans le monde interdépendant d’aujourd’hui, “les intérêts nationaux ne sont pas facilement séparés du bien mondial”, a affirmé le perfide António Guterres, ajoutant que les bouleversements économiques et sociaux causés par la pandémie de coronavirus «ont mis à nu des inégalités graves et systémiques» à travers le monde, et ont souligné sa fragilité face à la «crise climatique», la menace d’une guerre nucléaire et «l’anarchie dans le cyberespace».

Face à de tels problèmes, “les dirigeants mondiaux doivent être humbles et reconnaître l’importance vitale de l’unité et de la solidarité”, en déduit-il avant de se lancer dans un plaidoyer pour la mise en place d’un gouvernement mondial.

“Nous devons repenser la manière dont les nations coopèrent.” “Nous avons besoin d’un multilatéralisme en réseau, réunissant le système des Nations Unies, les organisations régionales, les institutions financières internationales et autres”, a-t-il déclaré. «Et nous avons besoin d’un multilatéralisme efficace qui puisse fonctionner comme un instrument de gouvernance mondiale là où il est nécessaire.»

Il a réitéré le même message lors d’une conférence de presse virtuelle le 26 juin pour marquer le 75e anniversaire de l’adoption de la Charte des Nations Unies à San Francisco. Pour imiter ceux qui ont saisi la Charte comme l’occasion de «planter quelque chose de nouveau» après la dépression et les guerres mondiales, le multilatéralisme doit changer, a-t-il dit.

«La société civile, les villes, le secteur privé et les jeunes sont des voix essentielles pour façonner le monde que nous voulons.» Des petites phrases de Guterres que George Soros applique à la lettre en ce moment en façonnant sa révolution mondialiste.

Guterres a énoncé dans sa conférence virtuelle d’autres problèmes qui nécessiterait cette gouvernance mondiale : la méfiance généralisée et croissante à l’égard des gouvernements nationaux, les “inégalités, discrimination, corruption et manque d’opportunités partout dans le monde – des griefs qui doivent encore être traités, y compris avec un renouvellement de contrat social.”

Il y a aussi la possibilité d’une autre pandémie de «un nouveau virus transmis aussi facilement que COVID-19 mais aussi mortel qu’Ebola», a-t-il ensuite prévenu.

Et il y a «le fléau de la désinformation» à combattre”, a-t-il ajouté pour prévenir que la gouvernance mondiale doit aussi signifier le règne d’une pensée unique considérant toute analyse discordante comme une “fake news” interdite.

António Guterres a hâte de discuter de ces questions lors de l’assemblée générale annuelle des Nations Unies en septembre «dans le format nécessaire», a-t-il déclaré jeudi.

Ce n’est pas la première fois que le socialiste Guterres utilise la pandémie de coronavirus pour pousser à la «gouvernance mondiale».

Il a proposé en mars que 10% du PIB mondial soient placés dans un fonds administré au niveau international et un «plan de relance coordonné» pour répondre aux retombées économiques et sociales de la pandémie.

Si les pays acceptaient le plan, les Nations Unies ou une agence de coordination similaire recevraient l’équivalent d’environ 8,7 trillions de dollars US, un montant sans précédent qui serait 2 900 fois plus élevé que le budget annuel de l’ONU de 3 milliards de dollars US, ont commenté des spécialistes.

Le fonds international proposé par Guterres concorde parfaitement avec l’initiative «Great Reset» lancée par le Forum économique mondial, avec le prince Charles d’Angleterre et le Fonds monétaire international (FMI).

Guterres soutient pleinement «The Great Reset», dont les élites mondialistes discuteront en janvier 2021 à Davos avec des participants en ligne du monde entier.

Notons qu’António Guterres milite également pour un droit mondial à l’avortement dans le contexte de la pandémie de coronavirus.


[Voir aussi :




Jean-Marie Bigard se dit prêt à devenir le «porte-drapeau» des Gilets jaunes

[Source : RT]

[Photo d’illustration : © Joel Saget Source: AFP
Jean-Marie Bigard, le 6 mai 2014, à Paris.]

Dans un entretien à Valeurs actuelles, l’humoriste s’épanche sur des thématiques très politiques, de «Big Pharma qui se moque de soigner les gens» aux «guignols qui nous gouvernent», en passant par les Gilets jaunes et ses propres ambitions.

Dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Valeurs actuelles et mis en ligne le 29 mai, l’humoriste Jean-Marie Bigard exprime sa colère quant à la gestion de la pandémie de coronavirus par les autorités françaises. Tançant les «guignols qui nous gouvernent», il regrette que les dirigeants du pays préfèrent «mentir sur la dangerosité des masques qu’avouer que l’on en n’a pas». 

Ceux qui nous gouvernent ont du sang sur les mains

Dénonçant «ceux qui sabrent le professeur Raoult et sa chloroquine avec des études foireuses juste parce qu’il casse les couilles des laboratoires avec un traitement en vente depuis 70 ans et qui ne coûte rien», Jean-Marie Bigard entend épingler l’industrie «Big Pharma qui se moque de soigner les gens, parce que tout ce qu’ils veulent c’est engranger les milliards».

D’après l’humoriste, «ceux qui nous gouvernent ont du sang sur les mains». «En m’attaquant aux puissants comme Big Pharma, je sais qu’on va tout faire pour me nuire, me salir, peut-être même que l’on va me buter ! On me souffle aujourd’hui de faire attention lorsque je prends mon scooter», va-t-il même jusqu’à dire.

Celui qui laisse planer le mystère à propos d’une éventuelle candidature à la présidentielle de 2022 confie à Valeurs actuelles que «s’il y a un nouveau monde après cette crise, je veux bien en faire partie». Et de préciser : «Le seul parti d’opposition en France, ce sont les Gilets jaunes. Je suis prêt à être leur porte-drapeau.»

Enfin, Jean-Marie Bigard évoque l’entretien téléphonique qu’il affirme avoir eu avec le président de la République, à propos de la réouverture des bistrots : «A travers moi, [Emmanuel] Macron sait qu’il peut sentir le goût du peuple, le questionner. Je suis leur porte-drapeau. Comme tout monarque, il aime prendre la température du peuple. Un peu comme un Louis XI qui se déguisait presque en clodo pour savoir ce que l’on disait de lui dans les campagnes et les bas-fonds. Je respecte Macron car il a eu le courage de m’appeler. « Je vous ai écouté et je vous écoute toujours », m’a-t-il dit.»

En savoir plus sur RT France : 
https://francais.rt.com/france/75486-jean-marie-bigard-se-dit-pret-devenir-porte-drapeau-gilets-jaunes




5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom

[Source : Sott.net]

[Source originale :] Robert F. Kennedy – Children’s Health Defense

Robert F. Kennedy, Jr. a écrit la semaine dernière au sujet des contraventions de 1 000 dollars chacune que la police de Malibu a infligées aux surfeurs de Point Dume pour avoir profité de l’océan pendant le confinement. S’agissait-il simplement d’une décision policière outrancière dont nous rirons plus tard ? Ou quelqu’un d’autre a-t-il aussi le sentiment qu’il s’agit de la première vague d’un programme test visant à imposer conformité et obéissance en vue de mesures plus permanentes ? Les puissants États et les entreprises utilisent-ils la « crise » actuelle pour supprimer les droits fondamentaux et intensifier les pressions en vue de promouvoir les vaccins et la surveillance ? Quelqu’un d’autre ressent-il l’obscurité étouffante de la tyrannie qui s’abat sur nous tous ? Et enfin, quelqu’un partage-t-il ma crainte que Bill Gates et son associé de longue date Tony Fauci dirige d’une manière ou d’une autre notre Meilleur des mondes ?

Surveillance selon Bill Gates

Imaginez un monde où le gouvernement n’a pas besoin de policiers pour appréhender ces surfers ou vous mettre une contravention lorsque vous violez la distanciation sociale avec votre petite amie. Supposez que les ordinateurs détectent votre sortie à la plage en suivant vos mouvements grâce à un flux d’informations provenant de votre téléphone portable, de votre voiture, de votre GPS, de la technologie de reconnaissance faciale intégrée à la surveillance en temps réel grâce aux satellites, aux caméras fixes et embarquées et aux puces implantées. Des procureurs ou des robots collés à leurs bureaux vous informeront de votre infraction par SMS tout en prélevant directement de votre salaire et de façon simultanée votre amende de 1 000 dollars en monnaie cryptographique. Bienvenue danslemondede Bill Gates. Il approche à grands pas.

Les stratégies de la 5G

Bill Gates a récemment annoncé son soutien financier d’un milliard de dollars en faveur d’un plan destiné à englober la Terre de satellites de surveillance vidéo. La société EarthNow lancera 500 satellites pour surveiller en direct presque tous les « recoins » de la Terre, fournissant un retour vidéo instantané avec un délai d’une seconde seulement. Selon Wikipedia, la société s’attend à ce que « des gouvernements et des grandes entreprises » fassent partie de ses clients.

Les antennes 5G sont quant à elles déployées par le biais d’un vaste réseau terrestre d’antennes espions. Par l’intermédiaire de sa fondation Bill & Melinda Gates, Gates a acheté 5,3 millions d’actions de Crown Castle dont la valeur totale atteint un milliard de dollars. Deuxième holding technologique de la Fondation après Microsoft, Crown Castle possède des infrastructures 5G dans tous les secteurs majeurs du marché étatsunien. Il exploite et loue plus de 40 000 tours de téléphonie cellulaire, 65 000 point d’accès à un réseau de télécommunications mobiles qui constituent l’infrastructure centrale de la 5G, et 75 000 kilomètres de fibre optique qui, au lieu de fournir à votre foyer un Internet sûr, rapide et câblé, ont été confisqués pour connecter les tours de téléphonie cellulaire 5G.

L’extraction de données

Big Telecom, Big Data et Bill Gates attirent les Étatsuniens dans un piège de tyrannie numérique avec des publicités télévisées à plusieurs millions de dollars qui prétendent que leur investissement de plusieurs milliards de dollars dans la 5G concerne des vitesses de téléchargement plus rapides pour les jeux vidéo et les films. Mais la 5G n’a presque rien à voir avec le fait d’améliorer votre vie ; il s’agit plutôt de contrôler votre vie, de commercialiser des produits et de récolter vos données à des fins d’intelligence artificielle.

L’« or noir » du XXIe siècle, ce sont les données. La 5G est l’infrastructure de l’« Internet des objets » de Gates un monde où des dizaines de milliards d’appareils « intelligents » comme les téléphones portables, les ordinateurs, les automobiles, les ouvre-portes de garage, les montres Apple, les couches pour bébés et même nos propres corps sont interconnectés sans fil pour permettre à Big Data de recueillir et de vendre nos informations personnelles.

© Inconnu
Note du traducteur : Dans son livre, La Route du futur (publié en 1995 en anglais), Bill Gates se proposait globalement de « nous accompagner » et parlait de l'évolution de l'informatique personnelle :

« Nous surestimons toujours le changement qui se produira dans les deux prochaines années et nous sous-estimons celui qui se produira dans les dix prochaines. Ne vous laissez pas bercer par l’inaction. »

Lui, par contre, semblait déjà savoir où nous allions, puisque dans son livre on peut lire qu'il « détient les clefs de notre avenir », qu'à dix-neuf ans il a eu « une vision du futur » et qu'il s'est avéré « qu'il avait vu juste ».
Allez, encore un peu :

« Le réseau sera le nouveau terrain de jeux, le nouveau lieu de travail, la nouvelle salle de classe, de la société. Il remplacera le papier-monnaie […] Il sera notre album photo, notre journal, notre vidéocassette […] Bientôt, tout cela, et plus encore, tiendra dans un PC-portefeuille […] nous parlerons à notre télévision, à notre PC, aux extensions, à tous nos supports d’information […] les parents d’élèves pourront évaluer directement la qualité des cours et assurer un contrôle sur leur contenu […] ce qui nous apparaît aujourd’hui comme une sorte de Big Brother numérique pourrait devenir la norme si l’alternative est laissée à la merci des terroristes et des criminels. »

La plupart des technologies dont il parle ci-dessus nous étaient à l'époque (1995) inconnues. Aujourd'hui, nous comprenons tous exactement de quoi il parle, n'est-ce-pas ?

Gates, Elon Musk, Amazon, Facebook et Telecom lancent les vaisseaux phares de la nouvelle ruée vers l’or, une flotte grouillante de 50 000 satellites et un réseau de 2 000 000 d’antennes terrestres et de tours de téléphonie cellulaire pour extraire les données de nos appareils intelligents. Cette toile d’araignée émettant des radiations micro-ondes permettra à Big Data/Big Telecom et Big Brother de capturer ce qui se passe à l’intérieur et à l’extérieur de chaque personne à chaque moment de sa vie.

Gates récoltera, contrôlera, triera, caractérisera, analysera et vendra des millions de téraoctets d’informations personnelles provenant d’appareils intelligents données de santé privées, dossiers médicaux, nos habitudes d’achat, nos réponses biométriques et comportementales à la publicité, la capacité d’apprentissage de nos enfants, nos expressions faciales et les conversations entendues par Siri, Alexa et les micros ouverts de nos téléphones portables. Sa société et d’autres sociétés utiliseront ces analyses pour développer l’intelligence artificielle et faire de nous une machine de consommation prévisible et facile à manipuler.

La prochaine fois que vous achèterez un appareil « intelligent », souvenez-vous que l’appareil n’est pas le produit vous êtes le produit.

Surveillance gouvernementale et transhumanisme

Les entreprises utiliseront le système de surveillance 5G de Gates pour vendre leurs produits et augmenter la capacité de l’intelligence artificielle. Les gouvernements l’utiliseront pour faire passer le monde à une singularité totalitaire plus despotique encore que tout ce qu’a pu imaginer Orwell. Les titans de la Silicon Valley comme Elon Musk, Peter Thiel et l’ingénieur en chef de Google, Ray Kurzweil, parlent de « transhumanisme » avec délectation, un processus par lequel grâce au génie génétique et aux implants chirurgicaux les êtres humains seront transformés pour devenir mi-humains, mi-machines. Pour accélérer cette nouvelle réalité, Bill Gates investit massivement [« J’ai dépensé sans compter ! » – NdT]. Son ambition de marquer la totalité d’entre nous via des injections sous-cutanées de nano-puces électroniques enregistrant les données de vaccination semble n’être qu’un tremplin vers un Système de surveillance globale.

Commentaire : Et le hasard du calendrier faisant bien les choses, cette injection pourrait se produire en même temps que celle d'un vaccin obligatoire contre le Covid-19... Fin 2020 ? Début 2021 ? Ou d'autres événements viendront-ils bousculé leur Agenda ?

Récompenser la conformité

Microsoft a breveté une sinistre technologie qui utilise des capteurs implantés pour surveiller l’activité du corps et du cerveau. Elle récompensera les humains qui se conforment à la loi par des paiements en monnaie cryptée lorsqu’ils effectueront les activités qui leur sont assignées.

Le brevet WO |2020| 060606 a gagné en notoriété et a été surnommé « World Order 2020 666 ». Microsoft décrit ce dispositif comme un « Système de monnaie cryptée » et explique qu’il est « capable » d’utiliser les données d’activité du corps pour extraire des bitcoins en réponse à la conformité des tâches qui sont imparties au sujet.

Commentaire : Ce qui ressemble beaucoup  ce n'est que légèrement plus avancé  à ce qui est mis en place en Chine, et notamment dans la région autonome Ouigour du Xinjiang. Là-bas, et bientôt chez nous, le « crédit social » s'apparente à un jeu vidéo (il en est d'ailleurs issu) : vous perdez ou gagnez des points en fonction de votre comportement en tant que citoyen. Plus votre note est bonne, plus vous accès à des « facilités » ; au contraire, si votre note est mauvaise, vous perdez la possibilité d'accès à ces « facilités » ; vous devenez un paria. Ah ! oui. Ne pas oublier que dans « ce jeu », tout délateur gagne des points !

Les personnes qui acceptent d’installer les capteurs sans fil nuisibles de Microsoft recevront périodiquement depuis leur smartphone des instructions d’« obligation » de regarder une certaine publicité, d’écouter une chanson spécifique, de marcher dans une allée d’épicerie spécifique ou d’accepter l’injection d’un certain vaccin. Cette puce recueillera des données provenant de capteurs intégrés qui surveillent les ondes cérébrales, le flux sanguin et d’autres réactions du corps. Le système transférera la crypto-monnaie sur le compte du sujet après l’accomplissement de l’« obligation » qui lui aura été imposée.

Vue sous son aspect « positif », l’invention dystopique de Microsoft devrait être une source de revenus bienvenue pour les plus de 30 millions d’Américains mis au chômage par les quarantaines périodiques dus au Covid-19, par les voitures électroniques à conduite automatique de Musk, qui dépendent également du déploiement de la 5G, et par l’intelligence artificielle, y compris les robots. Bill Gates vendra-t-il les données que nous lui donnons gratuitement à des entreprises qui nous priveront de nos emplois ?

© Inconnu

Posséder des villes intelligentes

La maintenance et l’analyse des données collectées par une infrastructure 5G nécessitent des ordinateurs massifs logés dans de grands complexes de stockage de données. Pour garder le contrôle de cette infrastructure, Bill Gates est en train de construire sa propre « ville intelligente » en Arizona. Selon KPNX-TV, il a dépensé 80 millions de dollars pour un terrain de 10 000 hectares près de Phoenix dans le but d’en faire une « ville intelligente » où tout est interconnecté via un réseau sans fil, y compris des flottes de véhicules autonomes. Les 80 000 habitants de la ville de Gates travailleront principalement dans des centres de données.

Pour consolider son contrôle sur ce que les gens entendent, apprennent et pensent, Gates a acheté des actions de Liberty Global, l’une des plus grandes sociétés internationales de télévision et d’Internet, présente dans 30 pays et en pleine expansion. [Il en est l’un des principaux actionnaires – NdT]

Contrôle de la croissance de la population

Gates contrôlera même notre corps, notre chambre à coucher, notre armoire à pharmacie et même les cycles menstruels et d’ovulation des femmes. Il a investi environ 18 millions de dollars dans MicroCHIPS, une société qui, entre autres dispositifs à base de puces électroniques, développent des implants contraceptifs munies d’interrupteurs marche/arrêt sans fil et d’autres pour l’administration de médicaments qui permettent à un seul implant de stocker et d’administrer avec précision des centaines de doses thérapeutiques sur des mois ou des années. Pour délivrer les médicaments, les implants seront actionnés sans fil par le patient. Connaissant le zèle missionnaire de Gates pour le contrôle de la croissance de la population, certains usagers pourraient toutefois craindre que le système soit également activé à distance.

Contrôler le climat par la géo-ingénierie

La conviction apparente de Gates selon laquelle Dieu lui a ordonné d’utiliser la technologie pour le salut de l’humanité est illustrée dans l’un de ses projets les plus ambitieux. Gates finance des scientifiques de Harvard pour qu’ils utilisent la géo-ingénierie afin de bloquer le Soleil pour inverser le « réchauffement de la planète » et agir sur le changement climatique.

Commentaire : Vu que nous nous dirigeons plutôt vers un refroidissement global, soit Gates le sait et utilise le prétexte-poule-aux-œufs-d'or du « réchauffement climatique » pour autre chose, soit il ne le sait pas, mais c'est douteux... Quant à l'hubris qui le caractérise, il se pourrait bien que le Cosmos toujours en recherche d'équilibre se rappelle à son  et notre  bon souvenir.
Voir L'effervescence volcanique et sismique associée au cycle cométaire de 3 600 ans

Ce projet est un modèle à la fois d’orgueil, d’hypocrisie et de risque. L’expansion massive de l’utilisation du sans fil et le réseau sans fil de la 5G dont Gates est un acteur majeur est le facteur le plus important dans l’augmentation de la consommation d’énergie. L’expansion du réseau sans fil entre 2012-2015 équivaut à l’ajout de 4,9 millions de voitures sur les routes. La 5G devrait augmenter de manière exponentielle la consommation d’énergie de plus de 170 % d’ici 2026. Proposer d’utiliser le réseau « intelligent » sans fil pour lutter contre l’empreinte carbone grâce à la géo-technologie est une idée saugrenue, et non une solution au changement climatique.

Société sans cash

Pour consolider le contrôle mondial, Gates a déclaré la guerre à l’argent liquide, et les confinement dus au Covid-19 ont fourni aux gouvernements un prétexte pratique pour saborder l’argent liquide en tant que risque sanitaire. Gates et sa fondation sont le fer de lance de la transition mondiale d’une économie monétaire vers les transactions numériques. Gates et Microsoft sont parfaitement placés pour tirer profit d’un système de paiement numérique. En contrôlant les transactions numériques — et en supprimant l’argent liquide — Gates peut contrôler et surveiller tout le volet commercial des pays et des citoyens.

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Les institutions financières occidentales Mastercard, PayPal, Visa, eBay et Citi ont depuis longtemps fait pression pour un monde sans cash. La banque électronique permet aux banques et aux consortiums financiers de prélever des frais sur chaque transaction.

L’économie numérique permettra au gouvernement de surveiller et d’examinerchaque transaction, de geler les comptes numériques et de bloquer les « flux financiers » pour punir la désobéissance. Dans le cadre d’un partenariat public-privé avec le gouvernement, les milliardaires de la technologie contrôleront non seulement le pays, mais pourront également assurer la micro-gestion de la population mondiale. La monnaie numérisée est l’instrument ultime de contrôle social. Après tout, dans une société sans cash, la survie est impossible sans accès au système économique numérisé. Les pauvres — qui n’ont pas de compte bancaire — en souffriront de manière disproportionnée.

Le Borg trilliardaire

Si le confinement est un cataclysme pour l’économie mondiale, il constitue pour Bill Gates une opportunité. En achetant nos actifs dévalués à un centime de dollar, les 100 milliards de dollars de Gates pourraient faire de lui le premier trilliardaire du monde. Mais la quarantaine est aussi une opportunité d’élargir son pouvoir et sa domination. Sous la direction de Gates, Microsoft a été surnommé « The Borg » en raison de son appétit pour le contrôle total du marché. Aujourd’hui, Gates cherche à mettre toute l’humanité sous sa botte. Son culte de la technologie et sa mégalomanie menacent nos libertés, notre démocratie, notre biologie, notre planète, notre humanité et nos âmes.

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Le rayonnement micro-ondes utilisé pour la surveillance sans fil du monde entier n’est pas biologiquement tolérable, en particulier pour les enfants en plein développement. Des milliers d’études publiées, évaluées par des pairs, documentent abondamment les effets physiques profonds et néfastes de la technologie sans fil sur les humains, les animaux et les plantes. Les maladies et la dégradation de l’environnement dues à la technologie sans fil sont déjà très répandues. Le contrôle exercé par Big Telecom sur les agences de régulation et les médias mondiaux, et le contrôle financier de Gates sur l’Organisation mondiale de la santé ont permis à quelques milliardaires de propager le mensonge manifeste selon lequel le sans fil est sûr.

Les rêves technologiques de Gates ne sont pas viables d’un point de vue biologique. Sa tour de Babel est vouée à s’effondrer, avec un impact catastrophique pour les humains de moindre importance. Il est temps de démanteler la Tour avant qu’il ne soit trop tard.

Commentaire : Avec tout ça, on en viendrait à croire que Bill Gates est un sur-homme. Et pourtant, il ne l'est certainement pas. N'oublions pas que Gates est la face visible d'un consortium qui, lui, reste dans l'ombre, pendant que leur pantin prend la lumière...

Source de l’article initialement publié en anglais le 8 mai 2020 :
Children’s Health Defense
Traduction : Sott.net




Vers un nouvel ordre mondial? La crise de la dette mondiale et la privatisation de l’État

[Source : mondialisation.ca via Réseau International]

La pandémie a-t-elle été utilisée pour précipiter le monde dans une spirale de chômage massif, de faillite et de désespoir? 

Par Prof Michel Chossudovsky

Il existe une grave crise sanitaire qui doit être dûment résolue. Et c’est une priorité absolue.

Mais il y a une autre dimension importante qui doit être prise en compte. 

Des millions de personnes ont perdu leur emploi et les économies qu’elles avaient faites tout au long de leur vie. Dans les pays en développement, la pauvreté et le désespoir règnent. 

Alors que le verrouillage est présenté auprès de la population comme étant le seul moyen de résoudre une crise mondiale de santé publique, ses conséquences économiques et sociales dévastatrices snt ignorées au passage.  

La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite et d’extrême pauvreté. 

C’est là le portrait réel de ce qui se passe.  La pauvreté est mondiale. Alors que des famines éclatent dans les pays du Tiers-Monde, plus près de chez nous, dans le pays le plus riche du monde,

« Des millions d’Américains désespérés attendent dans de longues files d’attente pour recevoir l’aumône »

« Des files d’attente de plusieurs kilomètres se sont formées dans les banques alimentaires et les bureaux de chômage à travers les États-Unis au cours de la semaine dernière ». 

De longues files d’attente ont continué à se former devant les banques alimentaires et les bureaux de chômage dans des dizaines de villes au cours du week-end, alors que la pandémie de coronavirus touche durement les familles, laissant beaucoup d’entre elles dans l’incertitude quant à la date de leur prochain chèque de paie.

Sur la photo : des centaines de personnes attendent de recevoir des repas à la Bowery Mission de New York, lundi

En Inde :

« La nourriture disparaît, …. dans les bidonvilles, trop effrayés pour sortir, pour rentrer chez eux à pied ou piégés dans les rues de répression,

En Inde, il y a eu 106 décès dus à des coronavirus à ce jour, pour mettre les choses en perspective 3 000 enfants indiens meurent de faim chaque jour ». 

De Mumbai à New York. C’est la « Mondialisation de la pauvreté ».

La production est au point mort. 

La famine en Asie et en Afrique. La famine aux États-Unis. 

Tous les pays sont désormais des pays du Tiers-Monde. C’est la « Tiers-Monde » des pays dits « développés » à hauts revenus.

La faim se développe à Mumbai : les travailleurs pauvres font maintenant la queue pour obtenir de la nourriture gratuite
Trois semaines après le verrouillage national, les organisations et les personnes qui fournissent des repas gratuits à Mumbai sont unanimes : la faim dans la capitale financière a fortement augmenté et continue de croître.

Et que se passe-t-il en Italie ?

Les gens sont à court de nourriture. Des rapports confirment que la mafia, plutôt que le gouvernement, « gagne l’appui des populations en distribuant gratuitement de la nourriture aux familles pauvres en quarantaine qui n’ont plus d’argent ». (The Guardian)

Cette crise combine la peur et la panique concernant la COVID-19 avec un processus sophistiqué de manipulation économique.

Examinons d’abord les impacts concernant les pays en développement.

Les pays en développement. La « médecine économique » du FMI et la mondialisation de la pauvreté

La crise du coronavirus fait-elle partie d’un programme macro-économique plus large ?

Tout d’abord, un peu d’histoire.

J’ai passé plus de dix ans à effectuer des recherches sur le terrain concernant les impacts des réformes économiques du FMI et de la Banque mondiale en Afrique, en Asie, en Amérique latine, en Europe de l’Est et dans les Balkans.

Depuis le début des années 1980, une « médecine économique » a été imposée aux pays en développement endettés dans le cadre de ce que l’on appelait le « programme d’ajustement structurel » (PAS).

De 1992 à 1995, j’ai entrepris des études sur le terrain en Inde, au Bangladesh et au Vietnam et je suis retourné en Amérique latine pour terminer mon étude sur le Brésil. Dans tous les pays que j’ai visités, y compris le Kenya, le Nigeria, l’Égypte, le Maroc et les Philippines, j’ai observé le même schéma de manipulation économique et d’ingérence politique de la part des institutions basées à Washington. En Inde, conséquence directe des réformes du FMI, des millions de personnes ont été poussées à la famine. Au Vietnam – qui compte parmi les économies productrices de riz les plus prospères du monde – des famines ont éclaté dans le pays, conséquence directe de la levée du contrôle des prix et de la déréglementation du marché des céréales. (Préface de la deuxième édition de la Mondialisation de la pauvreté, 2003)

 L’hégémonie du dollar a été imposée. Avec l’augmentation de la dette libellée en dollars, l’ensemble du système monétaire national a finalement été « dollarisé » dans la plupart des pays en développement.

Des mesures d’austérité massives ont conduit à l’effondrement des salaires réels. Des programmes de privatisation de grande envergure ont été imposés. Ces réformes économiques meurtrières – appliquées au nom des créanciers – ont invariablement provoqué l’effondrement économique, la pauvreté et le chômage de masse.

Au Nigeria, à partir des années 1980, l’ensemble du système de santé publique a été démantelé. Les hôpitaux publics ont été poussés à la faillite. Les médecins avec lesquels je me suis entretenu ont décrit le célèbre et cruel programme d’ajustement structurel (PAS) avec une touche d’humour :

“We’ve been sapped by the SAP” (« nous avons été sapés par le PAS »), disaient-ils, nos hôpitaux ont littéralement été détruits grâce au FMI-Banque mondiale.

De l’ajustement structurel à l’ajustement mondial

Aujourd’hui, le mécanisme de déclenchement de la pauvreté et de l’effondrement économique est fondamentalement différent et de plus en plus sophistiqué.

La crise économique actuelle de 2020 (qui s’inscrit dans la logique de la pandémie COVID-19) est sans précédent dans l’histoire du monde.

Le FMI et la Banque mondiale n’ont pas besoin de négocier un prêt d’ajustement structurel avec les gouvernements nationaux.

Ce qui s’est produit dans le cadre de la crise COVID-19 est un « ajustement mondial » dans la structure de l’économie mondiale. D’un seul coup, cet ajustement mondial (AM) déclenche un processus mondial de faillite, de chômage, de pauvreté et de désespoir total.

Pour en savoir plus : Un sauvetage de la population mondiale pour le krach financier à venir (en anglais)

Comment est-il mise en œuvre ? Le verrouillage est présenté aux gouvernements nationaux comme la seule solution pour résoudre la pandémie COVID-19. Il devient un consensus politique, indépendamment des conséquences économiques et sociales dévastatrices.

Les gouvernements nationaux sont contraints de s’y conformer.

La fermeture partielle ou complète d’une économie nationale est déclenchée par l’application des « directives de l’OMS » relatives au verrouillage, ainsi qu’aux restrictions en matière de commerce, d’immigration et de transport, etc.

De puissantes institutions financières et des groupes de pression comme Wall Street, Big Pharma, le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates ont participé à l’élaboration des actions de l’OMS concernant la pandémie COVID-19.

Le verrouillage de la circulation et la réduction des échanges commerciaux et des voyages aériens ont préparé le terrain. Cette fermeture des économies nationales a été entreprise dans le monde entier à partir du mois de mars, touchant simultanément un grand nombre de pays dans toutes les grandes régions du monde.  C’est un événement sans précédent dans l’histoire du monde.

Cette opération de fermeture affecte les lignes de production et d’approvisionnement en biens et services, les activités d’investissement, les exportations et les importations, le commerce de gros et de détail, les dépenses de consommation, la fermeture d’écoles, de collèges et d’universités, d’instituts de recherche, etc.

À son tour, elle entraîne presque immédiatement un chômage de masse, des faillites de petites et moyennes entreprises, un effondrement du pouvoir d’achat, une pauvreté et une famine généralisées.

Quel est l’objectif sous-jacent de cette restructuration de l’économie mondiale ?  Quelles en sont les conséquences? Cui Bono? (« A qui profite-t-il ? »)

  • Une importante concentration de richesses,
  • la déstabilisation des petites et moyennes entreprises dans tous les grands secteurs de l’activité économique, y compris l’économie des services, l’agriculture et l’industrie manufacturière.
  • la dérogation aux droits des travailleurs. Elle déstabilise le marchés du travail.
  • Elle comprime les salaires (et les coûts du travail) dans les pays dits « développés » à revenu élevé ainsi que dans les pays en développement appauvris.

Il va sans dire que cette opération d’ajustement mondial (AM) est bien plus préjudiciable que le programme d’ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale imposés aux pays.

C’est du néolibéralisme au énième degré.

D’un seul coup (au cours des derniers mois), la crise COVID-19 a contribué à appauvrir une grande partie de la population mondiale.

Et devinez qui vient à la rescousse ? Le FMI et la Banque mondiale :

La directrice générale du FMI, Kristalina Georgieva, a reconnu avec désinvolture que l’économie mondiale est au point mort, sans s’attaquer aux causes de l’effondrement économique.

« L’OMS est là pour protéger la santé des populations, le FMI est là pour protéger la santé de l’économie mondiale », déclare Mme Georgieva.

Comment compte-t-elle « protéger l’économie mondiale » ?

Au détriment de l’économie nationale ?

Quelle est sa « solution magique » ?

« Nous comptons sur une capacité de prêt globale de 1 000 milliards de dollars. »

(FMI M-D Georgieva, conférence de presse début mars)

À première vue, cela semble « généreux », beaucoup d’argent. Mais en fin de compte, c’est ce qu’on pourrait appeler de l’ »argent fictif », ce qui signifie :

 « Nous vous prêterons l’argent et avec l’argent que nous vous prêterons, vous nous rembourserez »

(paraphrase)

Conférence de presse conjointe sur la Covid-19 par le directeur général du FMI et le président du groupe de la Banque mondiale
Washington, D.C.
4 mars 2020

L’objectif ultime est de faire monter en flèche la dette extérieure (libellée en dollars).

Le FMI est explicite. Dans l’un de ses guichets de prêt, le Fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes (Catastrophe Containment and Relief Trust), qui s’applique aux pandémies, est généreux,

« accorde des subventions pour l’allègement de la dette à nos membres les plus pauvres et les plus vulnérables ».

Déclaration absurde : il est là pour renflouer les caisses des créanciers, l’argent est affecté au service de la dette.

« Pour les pays à faible revenu et pour les pays émergents à revenu intermédiaire, nous avons … jusqu’à 50 milliards de dollars qui ne nécessitent pas un programme complet du FMI. »

Aucune condition sur la façon dont vous dépensez l’argent. Mais cet argent augmente le stock de la dette et nécessite un remboursement.

Les pays sont déjà dans une camisole de force. Et l’objectif est qu’ils se conforment aux exigences des créanciers.

C’est la solution néolibérale appliquée au niveau mondial : Pas de véritable reprise économique, plus de pauvreté et de chômage dans le monde. La « solution » devient la « cause ». Elle initie un nouveau processus d’endettement. Elle contribue à une escalade de la dette.

Plus vous prêtez, plus vous poussez les pays en développement à se conformer aux règles politiques. Et c’est finalement l’objectif de l’empire américain en faillite.

La vérité non dite est que ce trillion de dollars ++ des institutions de Bretton Woods est destiné à faire augmenter la dette extérieure.

Lors de récents développements, les ministres des finances du G20 ont décidé de « mettre en attente » le remboursement des obligations de service de la dette des pays les plus pauvres du monde.

L’annulation de la dette n’a pas été envisagée. Bien au contraire. La stratégie consiste à accumuler la dette.

Il est important que les gouvernements des pays en développement prennent fermement position contre l’ »opération de sauvetage » du FMI et de la Banque mondiale. 

La crise mondiale de la dette dans les pays développés

Une crise fiscale sans précédent se déroule à tous les niveaux de gouvernement. Avec des niveaux de chômage élevés, les recettes fiscales entrantes dans les pays développés sont presque au point mort.  Au cours des deux derniers mois, les gouvernements nationaux se sont de plus en plus endettés.

À leur tour, les gouvernements occidentaux ainsi que les partis politiques sont de plus en plus sous le contrôle des créanciers, qui en fin de compte mènent la barque.

Tous les niveaux de gouvernement ont été précipités dans un étranglement de la dette. La dette ne peut être remboursée. Aux États-Unis, le déficit fédéral « a augmenté de 26 % pour atteindre 984 milliards de dollars pour l’exercice 2019, soit le plus haut niveau en 7 ans ».  Et ce n’est que le début.

Dans les pays occidentaux, une expansion colossale de la dette publique a eu lieu. Elle est utilisée pour financer les « sauvetages », les « aides » aux entreprises ainsi que les « filets de sécurité sociale » aux chômeurs.

La logique des plans de sauvetage est à certains égards similaire à celle de la crise économique de 2008, mais à une échelle beaucoup plus grande. Ironiquement, en 2008, les banques américaines étaient à la fois les créanciers du gouvernement fédéral américain et les heureux bénéficiaires : l’opération de sauvetage a été financée par les banques dans le but de « renflouer les banques ». Cela semble contradictoire ?

La privatisation de l’État

Cette crise finira par précipiter la privatisation de l’État. De plus en plus, les gouvernements nationaux seront sous la coupe du Big Money.

Criblé par l’accumulation des dettes, ce qui est en jeu est l’éventuelle privatisation de facto de toute la structure de l’État, dans différents pays, à tous les niveaux de gouvernement, sous la surveillance de puissants intérêts financiers. La fiction de « gouvernements souverains » servant les intérêts des électeurs sera néanmoins maintenue.

Le premier niveau de gouvernement à privatiser sera les municipalités (dont beaucoup sont déjà partiellement ou totalement privatisées, comme Détroit en 2013). Les milliardaires américains seront incités à racheter une ville entière.

Plusieurs grandes villes sont déjà au bord de la faillite. (Ce n’est pas nouveau).

La ville de Vancouver est-elle prête à être privatisée ? « Le maire de Vancouver a déjà indiqué qu’il craignait la faillite de sa ville. » (Le Devoir, 15 avril 2020)

Dans les grandes villes américaines, les gens sont tout simplement incapables de payer leurs impôts : La dette de la ville de New York pour l’année fiscale 2019 s’élève à 91,56 milliards de dollars (FY 2019), soit une augmentation de 132% depuis l’année fiscale 2000. En retour, les dettes personnelles ont explosé dans toute l’Amérique.

« Les ménages américains ont collectivement environ 1 000 milliards de dollars de dettes de cartes de crédit. » Aucune mesure n’est prise aux États-Unis pour réduire les taux d’intérêt sur les dettes de cartes de crédit.

Le nouvel ordre mondial ?

Le verrouillage appauvrit à la fois les pays développés et les pays en développement et détruit littéralement les économies nationales.

Il déstabilise l’ensemble du paysage économique. Il sape les institutions sociales, notamment les écoles et les universités. Il conduit les petites et moyennes entreprises à la faillite.

Quel genre de monde nous attend ?

Un « nouvel ordre mondial » diabolique en devenir, comme le suggère Henry Kissinger? (Avis de la WSJ, 3 avril 2020) :

 « La pandémie de coronavirus va changer à jamais l’ordre mondial ».

Rappelez-vous la déclaration historique de Kissinger en 1974 : « Le dépeuplement devrait être la priorité absolue de la politique étrangère américaine à l’égard du Tiers-Monde ». (Mémorandum du Conseil national de sécurité de 1974)

Les implications politiques sont considérables.

Quel type de gouvernement aurons-nous au lendemain de la crise ?

Remarques de conclusion

Il y a beaucoup de malentendus concernant la nature de cette crise.

Plusieurs intellectuels progressistes disent aujourd’hui que cette crise constitue une défaite du néolibéralisme. « Elle ouvre un nouveau départ ».

Certains y voient un « tournant potentiel », qui ouvre une opportunité de « construire le socialisme » ou de « restaurer la social-démocratie » dans le sillage du verrouillage.

Les preuves confirment amplement que le néolibéralisme n’a pas été vaincu. Bien au contraire.

Le capitalisme mondial a consolidé son emprise. La peur et la panique l’emportent. L’État est en train d’être privatisé. La tendance est aux formes de gouvernement autoritaires.

Ce sont les problèmes auxquels nous devons faire face.

L’occasion historique de confronter les structures de pouvoir du capitalisme mondial, y compris l’appareil militaire des États-Unis et de l’OTAN, reste à être établie fermement à la suite du verrouillage.

Michel Chossudovsky

Article original en anglais :

Towards A New World Order? The Global Debt Crisis and the Privatization of the State

Traduit par Maya pour Mondialisation.ca




Entrevue explosive de David Icke sur la crise covid-19

[Source : https://archive.org/details/@didi18]

Ces trois vidéos exposent un point de vue qui peut facilement être considéré comme complotiste. Cependant, elles reprennent différents éléments exposés dans divers articles proposés par le blogue Nouveau Monde en ce qui concerne la crise covid-19 (voir https://nouveau-monde.ca/fr/tag/covid-19/).










La tyrannie de la peur permanente : vous avez aimé le coronavirus, vous allez adorer l’hantavirus

[Source : Russie Politics via Réseau International]

[Auteure : Karine Bechet-Golovko]

Le problème du coronavirus est qu’il n’est pas particulièrement résistant, l’été arrive et selon les virologues son intensité va chuter, avec ou sans vaccin. Une si belle mécanique de transformation totalitaire de la société est en route, les populations sont à point, elles demandent elles-mêmes à sacrifier leur liberté, l’homme à genoux ose à peine lever les yeux vers le soleil, l’on ne va pas s’arrêter en si bon chemin pour une question de calendrier. Il nous faut un risque estival, afin de faire le lien en attendant l’automne et la prochaine saison naturelle des virus. Pour les populations prennent leurs habitudes carcérales. Et que l’on puisse les y aider. Pour leur bien. Puisque l’on n’envisage aucunement la restauration des services publics, notamment hospitalier. La Chine est décidément notre planche de salue : un homme est mort du hantavirus. Ca tombe bien, celui-ci est surtout efficace en été … Comme écrivait La Boétie, « Les tyrans ne sont grands, que parce que nous sommes à genoux« . 

Lorsqu’une mécanique hystérique se met à ce point en route, elle ne peut pas s’arrêter parce que sa raison première d’être, en tout cas celle officiellement annoncée, se trouve dépassée. Or, les virologues annoncent la chute de l’impact du coronavirus pour l’été, de manière naturelle. Il suffit de voir comment la pression, la terreur s’insinue dans les populations. Il suffit de voir comment les pouvoirs occidentaux ne mettent en place aucun plan de sauvetage des services publics, notamment du service de santé. Il suffit de voir comment, en revanche, les gens sont stigmatisés : si le virus se propage, c’est leur faute, c’est leur très grande faute, c’est parce qu’ils ne sont pas totalement terrés, enfermés, c’est parce qu’ils existent finalement. Ce n’est pas parce que le service public hospitalier est en lambeau, ce n’est pas parce que les Etats ne peuvent plus protéger leurs frontières, ce n’est pas parce que les pouvoirs ont décidé de faire une croix sur leur souveraineté médicale au profit des multinationles. Bref, ils sont responsables de leur malheur, qu’ils subissent, se taisent et remercient encore qu’il existe des dirigeants pour s’occuper d’eux.

Quand le fanatisme est en marche, ce qui est le cas, il ne s’arrête pas. On doit l’arrêter. Donc l’homme est un danger – contre le fanatisme lorsqu’il garde sa liberté d’esprit, contre lui-même lorsqu’il se laisse diriger par ses peurs ancestrales.

Le coronavirus n’étant pas éternel, une suite commence à faire son apparition, le hantavirus. Lui aussi vient de Chine, où un homme est mort dans un bus, cette fois-ci dans la province du Yunnan. 

«Le
#Hantavirus est apparu pour la première fois dans les années 1950 lors
de la guerre américano-coréenne en Corée (fleuve Hantan). Il se propage
par les rats ou souris si les humains ingèrent leurs fluides corporels.
La transmission interhumaine est rare»
, a tweeté la scientifique suédoise, le Dr. Sumaiya Shaikh.

Rare. Le coronavirus qui existe depuis les années 30 (lui aussi au départ détecté sur les animaux) n’avait pas non plus retenu particulièrement notre attention jusqu’à peu. Que le moment soit venu. Et l’hantavirus sévit déjà :

Les symptômes peuvent survenir jusqu’à huit semaines «après une  exposition à de l’urine fraîche, des excréments ou de la salive de  rongeurs infectés», a précisé le centre, notant qu’il peut parfois aussi  provenir de piqûres de rats ou de souris infectés. 
Les hantavirus aux Amériques sont appelés hantavirus du « Nouveau Monde » et peuvent provoquer le syndrome pulmonaire des hantavirus (HPS). D’autres hantavirus, appelés hantavirus « de l’ancien monde« , se trouvent principalement en Europe et en Asie et peuvent provoquer une fièvre hémorragique avec syndrome rénal ( HFRS). Il peut provoquer un syndrome pulmonaire à hantavirus (HPS) et une  fièvre hémorragique avec syndrome rénal (HFRS). 
Globalement, les  symptômes reflètent ceux signalés par le nouveau coronavirus. Les  personnes atteintes signalent de la fièvre, des maux de tête, de la toux  et un essoufflement. 
« Il n’y a pas de traitement, de guérison ou de vaccin spécifique pour l’infection à hantavirus »,  a averti le centre américain, affirmant que les patients ont souvent  besoin de soins intensifs pour « les aider à traverser la période de  détresse respiratoire sévère ». 

L’hantavirus présente en plus le grand intérêt … de se développer dans les climats chauds. Donc, sa période faste, c’est l’été. La tyrannie de la peur est à ce point devenue une norme, « post-démocratique » (pour ne pas dire anti-démocratique) que la réalisation du risque (en l’occurrence sanitaire) ne sera bientôt plus nécessaire, l’existence de la possibilité, l’existence d’un risque potentiel, va bientôt permettre de légitimer l’adoption de mesures liberticides, des mesures de privation de liberté, afin d’éviter la réalisation de ce risque. Afin de vivre longtemps … enfermé. Afin de ne plus être malade … en public. Une vie de souris de laboratoire en cage.  

Puisqu’aucun programme de sauvetage de l’Etat n’est prévu, qu’un service public, hospitalier, ne peut être réanimé quand le corps de l’Etat est mis volontairement à l’agonie, préparons-nous à de longues périodes d’isolement. C’est le traitement qui nous est réservé. Puisque nous l’avons accepté, presque exigé.

C’est le traitement dont nous bénéficierons, si nous abandonnons notre liberté au nom d’une prison d’éternité. Car chaque année, et maintenant chaque saison, a ses virus. Il y aura toujours une raison pour enfermer le peuple. En attendant qu’une nouvelle société fantasmée émerge de ce chaos, émerge de ces esprits malades et fanatiques.

Si nous les laissons faire. En politique comme en ménage, chacun occupe l’espace que l’autre lui laisse occuper. Si nous n’exigeons pas de l’Etat qu’il remplisse ses fonctions, nous acceptons que le pouvoir se comporte comme un geôlier.

PS: Puisque le temps nous en est donné, c’est le moment idéal pour lire à nouveau le Discours de la servitude volontaire de La Boétie.

« Il y a en l’homme une préférence pour la servitude volontaire, pace
que la servitude est confortable et qu’elle rend irresponsable
« 

Soyez responsables !




La guerre psychologique derrière l’effondrement économique

[Source : Le Saker Francophone]

La guerre psychologique derrière l’effondrement économique

Par Brandon Smith – Le 20 décembre 2018 – Source Alt-Market.com

L’idée d’utiliser l’économie comme une arme n’est pas étrangère à la plupart des gens. En général, nous comprenons la nature du féodalisme et comment divers groupes peuvent être parqués en troupeaux dans des plantations centralisées où ils sont exploités pour leur travail. Certains y voient une conséquence du « capitalisme », d’autres une extension du « socialisme/communisme ».

Malheureusement,
beaucoup de gens pensent à tort que l’un est une solution pour
l’autre – ce qui signifie qu’ils pensent que le
capitalisme des copains est une solution à la centralisation
communiste ou que le communisme est une solution à la corruption du
capitalisme des copains. La réalité, c’est que ce n’est qu’un
autre faux paradigme.

Le
plus troublant, c’est que la majorité de l’opinion publique n’a
aucune idée de la véritable solution au problème des économies
corrompues ou totalitaires : les marchés libres.

Les
marchés libres n’ont pas existé au sein de l’économie mondiale
à grande échelle depuis au moins cent ans. L’essor de la banque
centrale a érodé tous les vestiges de la liberté de production et
de commerce. Le capitalisme des copains, qui se concentre sur le
pouvoir des entreprises et le monopole, n’a rien à voir avec le
libre marché, malgré les arguments des socialistes plutôt naïfs
qui blâment le « libre
marché »
 pour
les problèmes du monde. Si jamais vous entendez quelqu’un faire
cette affirmation, je vous suggère de lui rappeler que les
corporations et leurs avantages sont une création des gouvernements.

La
protection du statut de personne morale, la responsabilité limitée,
la taxation inéquitable de la concurrence des petites entreprises et
la législation protégeant les sociétés contre les poursuites
civiles sont toutes des mesures prises par le gouvernement. Par
conséquent, les corporations et le capitalisme des copains sont
beaucoup plus le produit de systèmes de type socialiste que des
marchés libres. Dans un véritable marché libre, dépourvu
d’ingérence et de favoritisme constants de la part du
gouvernement, les entreprises ne pourraient exister et seraient
anéanties au fil du temps par l’environnement concurrentiel. Et
sans responsabilité limitée, les magnats du monde des affaires qui
violent la primauté du droit et causent du tort à autrui seraient
passibles de poursuites personnelles et d’emprisonnement au lieu de
simplement payer une amende. Le rapport coût/bénéfice des
entreprises corrompues disparaîtrait et les entreprises corrompues
s’enliseraient.

Au cœur même de la combinaison du pouvoir des corporations et de la protection du gouvernement (ce que certains pourraient appeler la définition classique du fascisme), se trouvent les banques centrales, les institutions globalistes et les élites bancaires qui les soutiennent. Les banques centrales sont les gardiennes des différentes plantations (nations) et supervisent l’exploitation de ces sociétés et leur travail. Les grandes constructions globalistes comme le FMI ou la Banque des règlements internationaux sont les décideurs politiques des banques centrales nationales. Ils transmettent la stratégie et les banques centrales la mettent en œuvre de concert. Au sommet de la pyramide se trouvent les groupes des « tables rondes » et les banquiers internationaux eux-mêmes, qui récoltent les fruits du cycle de pillage.

Comme l’a écrit Carroll Quigley dans son livre Tragedy And Hope, spécialiste, initié globaliste et mentor de Bill Clinton :

« Les
puissances du capitalisme financier avaient un autre objectif de
grande portée, rien de moins que de créer un système mondial de
contrôle financier aux mains d’entités privées capable de
dominer le système politique de chaque pays et l’économie du
monde dans son ensemble. Ce système devait être contrôlé de
manière féodale par les banques centrales du monde entier agissant
de concert, par des accords secrets conclus lors de fréquentes
réunions et conférences privées. Le point culminant du système
devait être la Banque des règlements internationaux à Bâle, en
Suisse, une banque privée détenue et contrôlée par les banques
centrales du monde entier qui étaient elles-mêmes des sociétés
privées. Chaque banque centrale cherchait à dominer son
gouvernement par sa capacité à contrôler les prêts du Trésor, à
manipuler les devises étrangères, à influencer le niveau de
l’activité économique dans le pays et à influencer les
politiciens coopératifs par des récompenses économiques
ultérieures dans le monde des affaires. »

C’est
une notion facile à comprendre, je pense. C’est-à-dire que l’idée
d’oligarques, le 1% si vous voulez, qui contrôlent les 99%
restants par le biais d’un levier économique est quelque chose
dont la plupart des gens peuvent convenir, qu’ils s’identifient à
la droite politique ou à la gauche politique. Ils n’ont peut-être
qu’une vague idée des faits derrière cette conspiration, mais ils
l’ont vue en action dans leur vie quotidienne et ils savent qu’elle
est réelle. C’est ici que la plupart d’entre eux commencent à
perdre de vue l’ensemble de la situation….

Pour beaucoup, la conspiration est un sous produit de la recherche du profit. C’est-à-dire qu’ils ne voient pas cela comme un effort conscient et organisé, mais plutôt comme une avidité inconsciemment motivée. Cela me rappelle la réplique la plus célèbre du film « The Usual Suspects » :

« Le
plus grand tour que le diable ait jamais joué était de convaincre
le monde qu’il n’existait pas. »

Toutes les preuves nous assurent de façon écrasante que la conspiration est pleinement consciente, organisée et délibérée. Ce n’est pas un sous-produit affreux ou aléatoire de la recherche du « profit ». C’est absurde si l’on considère l’ampleur de la coordination nécessaire ou le nombre de groupes de réflexion et de conférences secrètes qui ont lieu chaque année, du Council on Foreign Relations au Tavistock institute, à la Commission trilatérale, au Brookings Institute, à Davos, au Bilderberg et à des milieux encore plus étranges comme le Bohemian Grove. Ce sont de véritables centres de pouvoir qui peuvent avoir une grande influence dans notre vie quotidienne.

Ignorer
tout cela et le réduire à une extension « naturelle » de
la cupidité, c’est poser stupidement sa tête molle et spongieuse
dans les mâchoires du mal organisé tout en prétendant ne pas
sentir l’odeur de sa gingivite.

Les
mécanismes de contrôle des globalistes sont cependant beaucoup plus
complexes que la simple exploitation des flux monétaires ou de
l’accumulation de la dette. De nombreux militants de la liberté
qui ont accepté la réalité du contrôle institutionnalisé de
l’économie refusent encore de reconnaître un autre mécanisme de
contrôle très réel – l’utilisation de l’effondrement
économique. Je ne sais pas pourquoi cette idée est prise de façon
aussi farfelue par des gens qui sont déjà versés dans les faits
derrière le globalisme. Leurs préjugés ne leur permettent tout
simplement pas de considérer l’environnement de façon objective
et de voir l’utilité de l’effondrement comme une tactique pour
obtenir plus de levier et d’influence.

Je
crois que la clé pour comprendre l’économie et le monde en
général est d’accepter la vérité que presque tout ce qui est
fait dans le monde de la politique et des finances l’est pour
manipuler la psychologie publique à certaines fins. C’est-à-dire
que le véritable champ de bataille est l’esprit humain ; tout le
reste est secondaire.

Mais
à quelles fins fais-je allusion ? Pour être plus précis, les
masses sont constamment poussées à plus de dépendance, plus de
peur, moins d’autosuffisance et moins de conscience du grand
projet. Nous sommes encouragés à boxer avec nos propres ombres, à
produire pour le système mais pas pour nous-mêmes, à lutter pour
des gains minimes dépensés au hasard pour des objectifs
insignifiants, à nous battre les uns avec les autres pour des
miettes tout en restant aveugles aux énormes parasites collés sur
notre dos, à nous associer à des causes sans intérêt menées
par des politiciens fantoches et une opposition contrôlée, à
ne rien construire nous-mêmes, à attendre toujours un héros sur un
cheval blanc qui viendra nous sauver.

Essentiellement,
nous sommes constamment distraits ou mis en garde contre notre
tendance naturelle à vouloir établir des marchés libres –
des marchés libres en terme de pensée, dans le commerce, dans
l’information, au gouvernement, etc. Les globalistes sont même
prêts à faire effondrer des systèmes économiques entiers pour
empêcher ce résultat et pour nous garder piégés dans la
centralisation. Cette prison est une prison mentale, en grande
partie. À tout moment, nous pourrions nous éloigner du modèle
totalitaire et construire nos propres systèmes de marché libre.
Mais arriver à ce point, psychologiquement, amener les gens à faire
les premiers pas, c’est la partie la plus difficile.

L’économie,
telle qu’elle est mise en œuvre par les globalistes, n’est pas
une question de profit. Il s’agit parfois de pressurer la
population pour en extraire du travail ou des biens matériels,
mais c’est un avantage secondaire. En réalité, l’économie
consiste à façonner les esprits ; elle vise à changer la
psychologie de millions de personnes. Il s’agit d’effacer la
conscience innée et la boussole morale. Il s’agit de détruire des
principes sociétaux et un patrimoine enraciné. Et parfois, il
s’agit d’effacer complètement l’histoire, de tuer la plus
grande partie d’une génération, puis d’écrire une nouvelle
histoire mieux adaptée à l’idéal globaliste, ce qui est beaucoup
plus facile quand il y a si peu de gens qui se souviennent de la
vérité pour en débattre.

Les
globalistes présentent la plupart, sinon tous les traits des
sociopathes narcissiques, qui s’organisent parfois en groupes
coopératifs tant qu’il y a une promesse de gain mutuel et une
structure de domination par le haut. Les sociopathes narcissiques
sont connus pour utiliser la crise comme un moyen de garder les gens
autour d’eux en déséquilibre et de servir leurs intérêts. Leur
but ultime est rarement le profit. Au lieu de cela, ils cherchent le
pouvoir, le pouvoir sur tous les aspects de la vie de chaque personne
qui les entoure. Un minimum de pouvoir ne suffit pas. Ils veulent un
contrôle total, et ils utiliseront tous les moyens pour l’obtenir,
y compris les menaces d’ingénierie sociale et les catastrophes
pour obtenir la conformité ou pour se présenter comme un héros ou
un « protecteur » nécessaire.

Un
sociopathe ne se contente pas de contrôler les gens par la peur ou
la violence. Il veut que ses victimes l’aiment, qu’elles le
considèrent comme un sauveur et non comme un tyran.

Pour
être bien clair, le but de la subversion économique est de briser
l’esprit humain et de le changer en quelque chose d’autre ;
quelque chose de moins humain ou, à tout le moins, de moins rebelle.
On ne peut contrôler les gens par l’endettement et les fausses
récompenses pendant si longtemps avant qu’ils ne commencent à
reculer et à se révolter. L’effondrement économique, par contre,
peut changer fondamentalement les gens par une terreur persistante et
par une tragédie. Par le traumatisme, les globalistes espèrent
faire des hommes des monstres ou des robots.

Le
système actuel n’a jamais été conçu pour durer. Notre économie
est vouée à échouer, mais peu de gens semblent se demander
pourquoi ? Ils se disent que c’est parce que la cupidité a conduit
l’élite financière à l’auto-sabotage, mais c’est un
fantasme. Ce n’est pas seulement que le système est conçu pour
échouer, mais qu’il est conçu pour échouer selon un calendrier
organisé.

Le magazine globaliste The Economist a annoncé en 1988 l’avènement d’un système monétaire mondial unique, qui serait lancé en 2018 et qui nécessiterait le déclin de l’économie américaine et du dollar pour ouvrir la porte à une remise à zéro. Ce n’est pas un hasard si nous assistons aujourd’hui au début d’un crash financier majeur au dernier trimestre de 2018. Ce crash a été provoqué à partir de 2008 par les banques centrales, d’abord par l’inflation d’une bulle historique englobant presque toutes les catégories d’actifs au moyen de mesures de relance et de taux d’intérêt proches de zéro, cette bulle est aujourd’hui crevée par ces mêmes banques centrales, qui utilisent des mesures de resserrement pour affaiblir leur économie.

Ce n’est pas non plus un hasard si les globalistes ont annoncé en 2018 leur intention de s’adapter à un système monétaire numérique utilisant la technologie de la chaîne de blocs et la crypto-monnaie. C’est-à-dire que le système monétaire mondial prévu dans The Economist est déjà en place. Ils n’attendent qu’une crise assez importante pour faire pression sur la société afin qu’elle accepte la centralisation totale à l’échelle mondiale comme solution.

Forcer
le public à adopter la centralisation à l’échelle mondiale
exigerait plusieurs mesures. Premièrement, le système actuel, qui,
comme on l’a dit, est voué à l’échec, devrait être autorisé
à s’effondrer. Deuxièmement, il faudrait blâmer quelqu’un
d’autre que les globalistes et leur idéologie du globalisme.
Troisièmement, les opposants philosophiques au globalisme
(conservateurs, nationalistes et activistes de la décentralisation)
devraient être diabolisés ou éliminés pour que les globalistes
puissent construire leur nouvel ordre mondial sans opposition.
Quatrièmement, il faudrait que la population soit suffisamment
traumatisée au point d’être psychologiquement soumise et
désespérée pour que, lorsque le nouveau système sera mis en
place, elle en soit reconnaissante, ce qui empêcherait toute
rébellion future en faisant du public un coopérateur volontaire à
son propre esclavage.

Le succès d’un tel plan n’est pas garanti. En fait, je crois que les globalistes échoueront en fin de compte dans leur entreprise, comme je l’ai souligné dans des articles précédents. Cela ne veut pas dire qu’ils ne vont pas essayer. Les militants de la liberté doivent accepter le fait que le plan des globalistes implique la destruction délibérée de notre économie actuelle. Ceux qui refusent se sentiront déconcertés par l’issue des développements financiers futurs, au lieu d’être préparés. Ils se trouveront facilement subjugués, au lieu d’être prêts à se rebeller. Et ils se demanderont pourquoi ils ne l’ont pas vu venir alors que la fin du match était si évidente.

Brandon
Smith

Traduit
par Hervé, relu par Cat pour le Saker Francophone

Voir aussi :

Le vrai fascisme : nous y sommes en plein dedans !

Deux humanités ?

Survie ?

Pourquoi le NOM nous fragilise ?




Fabulation, Science-fiction ou Réalité ?

Le discernement suffit-il à déterminer si l’article suivant relève de fabulation, de science-fiction, de désinformation, de purs mensonges ou de réalité ? En absence de moyens directs de vérification, tout est possible à priori, mais rien n’est certain tant que ce n’est pas suffisamment démontré dans les faits.


[Source : Eveilhomme]

LA CIVILISATION SÉPARATISTE – Résumé et extrait sur la divulgation complète – David Wilcock

Excellente lecture pour ceux qui sont nouveaux dans le domaine de la divulgation complète :

Pour comprendre ce que vous êtes sur le
point de lire, il est nécessaire d’avoir assez de place dans votre
imagination pour une relecture très épique de la réalité telle que nous
la connaissons.

Cette vision va bien au-delà de ce que la
plupart des gens ont l’habitude d’entendre dans la communauté OVNI,
même dans les versions les plus ésotériques qui existent.

Le crash de Roswell et d’autres épaves
aussi avancées nous ont permis d’effectuer des voyages interplanétaires
et interstellaires.

En conséquence, nous avons secrètement
commencé à construire des bases dans de nombreuses régions différentes
de notre système solaire, y compris la Lune, Mars et les lunes d’autres
planètes également.

L’exode des cerveaux des années 1950 a
marqué le début d’un effort massif visant à réinstaller 35 millions de
personnes au cours de cette seule décennie – vraiment la crème de la
crème de la crème dans leurs divers domaines – dans ces endroits.

Cela s’est transformé depuis en ce que
Richard Dolan appellerait une « civilisation sécessionniste », avec une
population de plusieurs centaines de millions d’habitants.

antactique-black-programm

Nous avons affaire à un groupe qui a
beaucoup plus de progrès technologiques que tout ce que nous voyons sur
terre, et dont les membres se voient presque totalement interdire de
revenir.

Ce Programme Spatial Secret, ou SSP (ou
PSS en français), a été à l’origine fondé et contrôlé par des éléments à
tendance très négative sur terre que nous appelons l’état profond, la
Cabale, le Nouvel Ordre Mondial ou Illuminati.

Malgré la très haute technologie, la vie
dans le SSP est à bien des égards bien pire que la vie sur terre à cause
de cette sinistre influence.

QUI EST VRAIMENT AU SOMMET ?

Aux niveaux supérieurs, nous découvrons
que l’état profond est à son tour contrôlé par des ETs humanoïdes
d’aspect reptilien très négatif appelés Draco ou les Sauriens.

De multiples initiés à qui j’ai parlé
m’ont confirmé l’existence de ces types d’êtres, y compris le regretté
William Tompkins. Ils sont ouvertement visibles dans le SSP.

Pendant la Seconde Guerre mondiale,
Tompkins a personnellement débriefé 23 espions américains différents
embarqués dans le programme spatial secret de l’Allemagne, et a entendu
parler de ces ET malveillants travaillant directement avec les Nazis.

Puis, en 2015, c’est le moment où Corey a
été emmené sur une base secrète sur la lune, connue sous le nom de
Lunar Operations Command ou LOC, pour la première fois en de nombreuses
années.

Screenshot_20181216-024417_Facebook.jpg

LOC

Cela s’est produit presque immédiatement
après qu’il eut fini de me donner tout son témoignage au téléphone au
cours des quatre mois précédents, ce que je documentais pour référence.

Corey déclare avoir travaillé pour le
Programme spatial secret (SSP), une construction top secrète non
reconnue de l’humanité dans l’espace qui a eu lieu depuis le milieu du
20e siècle.

La raison pour laquelle j’ai pris Corey
au sérieux, c’est qu’à ce moment-là, j’avais parlé à beaucoup d’autres
initiés ayant une cote de sécurité très élevée qui m’avaient révélé à
quel point tout cela était réel.

Les informations récentes de Corey ont
révélé que les Draco sont à leur tour infestés de « nanites » d’une
intelligence artificielle prédatrice et malveillante, ou IA.

eudjdb.jpg

Un draco ailé qui communique avec Corey

Cette IA veut détruire toute vie
biologique. En fin de compte, même les Dracos ne sont que des pions que
l’IA manipule dans un jeu plus vaste pour atteindre cet objectif.

Ce qu’on appelle dans divers textes
religieux « Satan », ou « L’Adversaire », semble être une vague
description de cette conscience négative qui ne sera en interface avec
nous que par la technologie.

Il sait que s’il prend chair, il devient
sujet au karma et au jugement – et par conséquent, il ne s’interface
avec nous que par des moyens non biologiques.

L’IA a réussi à anéantir des planètes
entières, des systèmes solaires et peut-être même des galaxies, mais
dans ce cas, il semble que nous sommes en train de gagner la guerre.

Ouaip. On est dans le terrier du lapin,
comme vous pouvez déjà le voir. Pourtant, ces histoires sont
remarquablement bien accueillies par tous les initiés de haut niveau.

UN BREF MOT SUR LES EXTRATERRESTRES

Maintenant qu’Emery s’est manifesté, je peux parler plus précisément de certaines choses que j’ai apprises au fil des ans.

Il s’avère que notre galaxie regorge
littéralement de planètes terrestres et de civilisations intelligentes.
La NASA a publiquement estimé qu’il y a plus de 40 milliards de planètes
semblables à la Terre dans notre seule galaxie.

Ce que l’on apprend « de l’intérieur »,
c’est que les civilisations intelligentes ont invariablement des corps
qui ressemblent à des êtres humains ou du moins des hominidés en
apparence.

Emery appelle cela « la formation cinq
étoiles » – la tête, deux bras et deux jambes. Ce n’est pas toujours
ainsi, mais c’est très courant.

La biosphère complexe que nous voyons sur
Terre apparaîtrait à peu près de la même façon sur d’autres planètes
semblables à la Terre.

Ce qui change, cependant, c’est l’espèce exacte sur cette planète qui finit par se transformer en une forme humaine.

Vous pouvez donc avoir des êtres humains
avec des caractéristiques qui reflètent tous les types de vie que nous
voyons ici sur terre, y compris les insectes, les animaux aquatiques,
les mammifères, les oiseaux et les reptiles.

Heureusement, 95 pour cent de toutes les
civilisations spatiales sont positives et bienveillantes. Les Draco
Reptiliens sont en fait les tyrans de notre galaxie.

L’ALLIANCE SSP ET LES ÊTRES DE SPHÈRE

Le témoignage de Corey sur la communauté
interstellaire cachée qui nous entoure est allé bien au-delà des indices
que j’ai recueillis auprès d’autres initiés.

En même temps, il connaissait des
dizaines de points de données spécifiques et hautement confidentiels que
j’avais déjà rassemblés et que je n’avais jamais partagés en ligne.

Aucun d’entre nous n’aurait pu s’attendre
à ce qui s’est passé en mars 2015, lorsque Corey avait un bateau du PSS
dans sa cour et l’a amené au LOC.

Comme nous l’avons déjà dit, Corey a été
amené dans une salle de conférence remplie de gens de toutes les races
de la terre, portant les combinaisons monobloc habituelles du programme
spatial.

Ils étaient des membres clés d’une
alliance qui s’était formée au sein du PSS, cherchant à briser le secret
et à rendre toute leur technologie et leurs installations aux gens
d’ici.

Corey a été invité par Gonzales, un
membre de l’Alliance du PSS qu’il venait de rencontrer, à se lever sur
scène devant ces gens. Il n’a reçu aucune autre instruction.

Soudain, la foule a été choquée par l’apparition derrière Corey de deux grands ET à l’allure inconnue, alors qu’il se tenait là.

L’illustration suivante montre ce que
nous avons appelé la race Aviens Bleus ainsi que la race du Triangle
d’Or. Un représentant de chaque groupe est apparu derrière Corey.

LA GRANDE CONFÉRENCE ET LA LOI DE L’UN D’EUX

À ce moment-là, Corey devint un conduit
pour que ces êtres puissent parler à la foule assemblée. Pour une raison
quelconque, les êtres ne pouvaient pas communiquer directement avec
l’Alliance SSP.

Ils avaient besoin d’un intermédiaire pour le faire – et ils ont choisi Corey.

Cela s’est produit immédiatement après
que Corey ait passé quatre mois à me dire tout ce qu’il savait sur le
PSS, et qu’il venait de me donner son vrai nom.

L’Alliance du SSP a réalisé qu’elle avait
affaire à un nouveau groupe ET très important. L’une des premières
questions qu’ils ont posées était : « Êtes-vous le Râ de la loi Une ? »

La loi Une est une série de cinq livres,
canalisée par L/L Research Company entre 1981 et 1983. Depuis que j’ai
commencé à le lire en 1996, il a formé la base de toute ma vie de
travail.

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J’en ai entendu parler à la fin de 1995
dans un livre de Scott Mandelker, Ph.D., qui disait que c’était de loin
le plus grand traité philosophique et spirituel qu’il avait jamais lu.

Son doctorat était en psychologie
Est-Ouest, et il estimait qu’il capturait parfaitement l’essence la plus
profonde des enseignements bouddhistes et autres enseignements
religieux orientaux.

La Loi Une est le résultat de 20 ans de
recherche pour essayer de perfectionner la canalisation, après que le
travail pionnier de W.B. Smith ait prouvé qu’elle pouvait être très
précise dans certaines circonstances.

Le verbiage était très dense, presque
comme si la source avait besoin de créer un nouveau langage pour
articuler certains concepts. Je restais souvent sur une page pendant 45
minutes.

Le matériel était si lourd et reliait
tellement de points pour moi que j’ai emménagé avec Carla Rueckert et
Jim McCarty du début de 2003 à la fin de 2005.

J’ai été la première personne à vivre
dans la chambre de Don Elkins après sa mort. Quand j’ai emménagé, tout
était exactement comme il était depuis sa mort en 1984.

La chose la plus surprenante pour moi après que j’ai emménagé était à quel point Carla et Jim semblaient être ordinaires.

VALIDATIONS SURPRENANTES

Une autre détermination surprenante
pendant ce temps était que j’avais compris beaucoup plus de ce que la
Loi Une disait que Carla n’en avait – même si sa voix disait les mots.

Vous pouvez lire la série complète de Loi
Une gratuitement en ligne, et faire des recherches ciblées par
mots-clés, à lawofone.info.

Il peut également être très utile de posséder des exemplaires de ces livres, qui sont disponibles sur llresearch.org.

Je considère vraiment que c’est la thèse
de doctorat du matériel canalisé. Don Elkins, un physicien au doctorat, a
souvent eu beaucoup de difficulté à comprendre ce qu’on lui disait.

Quand je l’ai trouvé, j’ai vite réalisé
que c’était le matériau le plus profond et le plus révolutionnaire que
j’avais jamais eu entre les mains.

Mon premier livre, The Source Field
Investigations, a largement validé les modèles scientifiques de la Law
of One. Puis, The Synchronicity Key a exploré ses nombreux indices dans
la science des cycles.

Le troisième et plus récent livre, Les
Mystères de l’Ascension, donnait des informations personnelles souvent
demandées dans la première moitié et une validation d’une histoire
cosmique compatible avec Loi Une de notre système solaire dans la
seconde moitié.

Même après trois livres de 500 pages
explorant ces sujets, j’ai l’impression d’avoir à peine effleuré la
surface de toutes les données contenues dans la série Loi Une (Law of
One). Il n’y a rien d’autre comme ça de disponible, point final.

CONFIRMATION

Lorsque Corey est réapparu au LOC en tant qu’invité, l’Alliance savait qui il était et qu’il avait travaillé avec moi.

L’Alliance savait que la seule façon de
parler à ces êtres, qui s’appelaient eux-mêmes Gardiens, était par
l’intermédiaire de cette personne qu’ils demandaient par son nom – Corey
Goode.

Quand on lui a demandé « Êtes-vous le Ra de la Loi Une », l’Avien Bleu a seulement répondu : « Je suis Ra Teir-Eir. »

Chaque réponse de la série de la Loi d’une seule série commence par les mêmes trois premiers mots : « Je suis Ra. »

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Message
des Aviens Bleus : Concontrez-vous sur augmenter votre service aux
autres, d’êtres plus aimant envers vous-même et les autres pour
augmenter votre vibration et niveau de conscience. Apprenez à vous
pardonner vous-même et les autres (libérant ainsi votre karma). Cela va
changer la vibration de la planète, élever la conscience collective de
l’humanité et permettra le changement du genre humain progressivement à
travers votre propre changement personnel. Ils nous disent de traiter
notre corps comme un temps et de changer en direction d’un plus haut
niveau vibratoire dans nos habitudes alimentaires afin de faciliter le
processus.

C’était un indice convaincant. C’était en
fait un cadeau sans lendemain quand on comprend à quel point ces êtres
doivent protéger leur libre arbitre.

Quand j’ai posé la même question après
avoir entendu tout cela, et que j’ai voulu une réponse, j’ai clairement
entendu « Sortez maintenant » dans mon esprit. Un bel arc-en-ciel
au-dessus de la vallée m’attendait.

Environ un an plus tard, les êtres ont
finalement confirmé à Corey qu’ils étaient bien les auteurs du matériel
de Loi Une. À ce moment-là, Corey et moi étions déjà certains de la
connexion.

Dans toutes mes années d’étude de la Loi
Une, je n’aurais jamais pu m’attendre à ce que ces êtres se manifestent
réellement sous forme physique.

J’avais toujours supposé qu’ils
resteraient cachés indéfiniment, et n’apparaîtraient qu’après un saut
quantique stupéfiant dans notre évolution que la plupart des gens
appellent l’Ascension.

LE FLASH SOLAIRE ET L’ASCENSION

Un autre aspect clé de la source de
connaissance Law of One, qui est également enracinée dans une variété
d’autres formes de recherche, est l’idée que nous vivons actuellement
l’Ascension.

Cela peut ne pas être visible pour nous,
car la vie peut sembler très déprimante et dure – mais il y a des forces
beaucoup plus importantes en jeu ici.

Comme j’en discute chaque semaine dans
mon émission Wisdom Teachings, notre système solaire tout entier subit
un changement climatique massif comme nous le voyons sur terre.

Il s’agit d’événements énormes et
discontinus, et les données scientifiques ont toutes été mises à jour
jusqu’à maintenant. C’est de plus en plus intense. C’est un
incontournable.

Nous voyons le soleil et les planètes
devenir plus brillants, plus chauds, plus magnétiques, avec plus d’ozone
et de particules chargées, plus d’émissions de rayons X, etc.

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Trente-cinq traditions anciennes
différentes, compilées par les historiens Santillana et von Dechend, ont
toutes prédit que nous entrerions dans un « âge d’or » après avoir
passé par ce processus.

Les meilleures de ces traditions
prédisent clairement que ce saut quantique sera accéléré lorsque le
soleil produira un éclair épique d’une lumière blanche éclatante –
beaucoup plus intense que d’habitude.

Toute l’avant-dernière saison des
Enseignements de Sagesse (Wisdom Teachings) a été consacrée aux
nombreuses prophéties différentes que nous trouvons de cet événement.

Il est tissé à travers toutes les grandes
religions ainsi que de nombreuses autres traditions anciennes. Les
similitudes suggèrent qu’il doit y avoir eu un effort unifié et caché
pour prédire cela pour notre époque.

REMISE DES DIPLÔMES

Les gens du Programme spatial secret ont
déterminé que ces changements sont causés par un nuage interstellaire
très chaud et magnétique dans lequel notre système solaire dérive.

La NASA n’a annoncé officiellement les
données à l’appui de ce travail avec le travail du Dr Merav Opher qu’à
partir de 2009, comme je l’ai reporté dans Wisdom Teachings.

Le SSP a pris des vaisseaux de type
Roswell et a étudié en détail ce nuage  » écumeux « , ainsi que l’effet
profond qu’il a sur notre système solaire.

La charge visible de nos planètes est un
signe majeur de ce prochain flash d’énergie solaire. Tout est en train
de s’accumuler jusqu’à un grand crescendo.

L’apparence visuelle de certaines planètes a radicalement changé au cours des dernières années, par exemple.

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William Tompkins m’a dit que tout le
monde à l’intérieur sait que cet événement est à venir, mais chaque
personne peut avoir une idée complètement différente de ce que c’est et
de ce qu’il va faire.

La perspective de la Loi Une est intégrée
dans les cinq livres et indique très clairement qu’il s’agit d’un saut
évolutif profond pour l’humanité.

Seuls les êtres les plus négatifs seront affectés négativement par ce processus. Pour eux, ce sera en effet mortel.

Tous les autres « diplômés », s’ils sont
prêts, ou obtiennent un passage sûr dans une situation cosmique de type
arche de Noé vers une nouvelle planète pour continuer dans la
« troisième densité ».

QUATRIÈME DENSITÉ

Les gens qui restent avec la terre
finissent « par se transformer » en « quatrième densité ». Vous avez
toujours un corps physique, d’apparence humaine – seulement au fond, il
est plus énergique et capable.

C’est ce que tant de prophéties antiques
différentes, venues du monde entier, nous disent depuis des milliers
d’années, en des termes moins spécifiques que la Loi Une.

Cette prophétie de l’Ascension est aussi
la pierre angulaire des principaux enseignements religieux du monde, y
compris le judaïsme, le christianisme, l’islam, le bouddhisme et
l’hindouisme.

Le corps de quatrième densité sera
beaucoup plus télépathique, aura une conscience de l’au-delà et de la
réincarnation, et aura le potentiel pour de grands exploits comme la
télékinésie et la lévitation.

Notre conscience quotidienne, éveillée,
aura des éléments semblables à une expérience psychédélique, à laquelle
nous devrons apprendre à nous adapter.

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La Loi Une précise très clairement que
cette « remise de diplômes » n’est pas automatique. Il faut le mériter
en étant quelqu’un de bien.

Cela se traduit littéralement par une
concentration d’au moins cinquante et un pour cent sur le « service aux
autres », ce qui signifie que vous êtes une âme aimante, indulgente et
compatissante.

Vous pouvez être manipulateur et
contrôlant à 49 pour cent, ou « service à vous-même », tout en étant
capable d’obtenir votre diplôme. Au fond, vous devez simplement être
plus aimant que contrôlant et manipulateur.

S’il y a une chose que vous retirez de
tout ce que vous lisez ici, j’espère que ce sera de mettre cette
pratique de compassion en pratique dans votre propre vie, dès
maintenant.

SPHÈRES GÉANTES ET 2012

J’ai été largement attaqué sur Internet
lorsque la date de fin du Calendrier Maya est arrivée et s’est passée
sans aucun flash solaire ou événement lié à l’Ascension.

La bourse d’études autour de cette date
était extrêmement généreuse, mais je savais aussi qu’à mesure que nous
approchions de cette date, nous n’étions pas prêts à ce que cela arrive
en tant que planète.

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L’Alliance SSP était très intéressée à
comprendre pourquoi des centaines de sphères énormes de la taille d’une
planète avaient dérivé dans notre système solaire et s’étaient cachées,
dont beaucoup en 2012.

Ra expliqua à la foule rassemblée, par
l’intermédiaire de Corey, que ces sphères étaient capables d’empêcher
l’éclair solaire de se produire jusqu’à ce que nous, en tant que
collectivité, soyons spirituellement préparés pour cela.

L’une des préparations les plus
importantes que nous devons faire est d’obtenir au moins un certain
degré de révélation cosmique – sur qui nous sommes vraiment et ce qui se
passe réellement.

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Exposer la vraie laideur de l’état
profond, y compris le satanisme et la pédophilie, n’est que la première
étape de ce processus.

Ce qui est beaucoup plus important, c’est
que nous voyons les barrières du secret s’effondrer autour des ovnis et
de l’existence du programme spatial secret.

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Les changements psychologiques
impressionnants que cela provoquera dans le grand public entraîneront
des réveils spirituels généralisés qui nous prépareront beaucoup plus
directement à ce changement.

En fait, la Loi Une dit que nous
déterminerons en fin de compte quand le changement se produira par notre
niveau collectif et global d’avancement spirituel.

QUAND CELA SE PRODUIRA-T-IL ?

Depuis 2012 a évidemment été un fiasco,
la plupart des gens croient que toute l’histoire était  » fausse  » et
qu’elle a été discréditée. Rien n’est plus faux.

Le changement climatique interplanétaire
devient de plus en plus intense. Les révélations se multiplient sur
Terre, beaucoup de temps. Les bons s’améliorent et les mauvais
s’aggravent.

Des millions de personnes ont des rêves
puissants et d’autres expériences visionnaires de plus en plus
nombreuses. Nous nous dirigeons droit vers l’Ascension à toute vitesse.

Bien que personne ne sache avec certitude
quand le flash est prévu, le SSP a utilisé diverses méthodes pour
calculer une fenêtre temporelle approximative.

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Lorsque nous combinons ce que les
différents êtres qui ont parlé à Corey nous ont dit, ainsi que ces
initiés, il semble que cela se produira d’ici 2023 ou avant (NDT : cette
fenêtre a été élargie jusqu’en 2024 selon des informations plus
récentes de Corey).

Il se peut que ce soit plus tôt, mais il
est peu probable qu’il se produise plus tard. Encore une fois, la
véritable clé est liée à notre état de préparation global à cet égard en
tant que collectivité.

L’Alliance SSP était très intéressée par
ce que Ra avait à dire sur cet événement, et ses conséquences, lors de
cette réunion très intéressante de mars 2015.

L’Alliance a entendu dire que les sphères
géantes  » tamporiseraient  » la transition pour la rendre plus douce,
et qu’elles finiraient par disparaître complètement à mesure que nous
approchions.

C’est en train de se produire. Les
sphères ont déjà presque disparu. Ce n’est là qu’une petite partie des
derniers exposés de Corey sur l’aspect ET des choses.

LA RACE DES BÂTISSEURS ANCIENS

Il y a beaucoup de personnages
intéressants qui sont apparus dans la saga Corey Goode / Cosmic
Disclosure. Il m’arrive parfois d’insérer des paragraphes pour aider à
expliquer l’histoire au fur et à mesure que nous avançons.

Un point clé qu’il vaut la peine
d’aborder avant de commencer, cependant, est cette notion de la race des
bâtisseurs anciens en relation avec la Loi Une.

Tout d’abord, il y a deux SSP différents –
le programme Navy / Interstellar Corey et le programme Air Force / MIC
dont d’autres initiés que je connais sont au courant (NDT: et même plus
selon d’autres considérations).

Le programme MIC (complexe
militaro-industriel) est principalement centré sur des porte-avions
masqués et volants comme nous l’avons vu dans The Avengers. Ils ont des
vaisseaux qui ne peuvent pas quitter notre système solaire.

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Dans l’ensemble, ils ont apparemment été
conçus pour un scénario de « Divulgation Partielle », de sorte que le
SSP Interstellaire de la Navy le plus profond puisse encore rester
secret.

Si les membres du MIC SSP étaient
interrogés, même sous la torture, ils ne révéleraient que ce qu’ils
croyaient, à savoir qu’ils étaient le meilleur jeu en ville.

Les gens de MIC SSP sont bien conscients
que notre système solaire est un « dépotoir cosmique » de ruines
cristallines très anciennes et cristallines – comme des coupoles, des
obélisques, des pyramides et des villes souterraines.

Les plus anciennes de ces ruines
remontent à environ 2,5 milliards d’années. Les gens qui les ont
construits sont invariablement appelés la race des bâtisseurs anciens.

On sait très peu de choses sur ces
personnes, simplement parce que toutes les inscriptions écrites ont été
effacées et que leurs technologies ont été largement pillées.

LIEN DIRECT AVEC LA LOI UNE

Après que Corey m’en ait fait part, j’ai finalement réalisé que c’était directement lié à la matière de la Loi Une (Law of One).

Plus précisément, la civilisation qui se
réfère elle-même à Ra a dit qu’elle est apparue sur la planète Vénus
dans notre système solaire.

Ils expliquèrent qu’ils construisaient
des pyramides et des obélisques, et qu’ils atteignaient un niveau de
technologie profondément élevé avant leur propre Ascension en quatrième
densité.

De plus, il est très clairement indiqué
qu’ils avaient évolué à partir de la troisième densité sur Vénus il y a
environ 2,6 milliards d’années lorsque nous mesurons le temps.

Je ne l’avais jamais oublié après l’avoir lu en 1996.

Les sphères de pierre de Klerksdorp
semblent être intelligemment construites et ont été trouvées dans des
strates rocheuses vieilles d’environ 2,8 milliards d’années.

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C’est peut-être un petit indice
archéologique pour soutenir l’idée que cette civilisation avait visité
la Terre pendant cette même période.

Les données sont beaucoup plus nombreuses
dans le PSS. Ils ont daté de nombreuses ruines anciennes différentes
comme ayant entre un et deux milliards d’années, sinon plus, avec des
méthodes avancées.

Je n’ai pas tout de suite compris que Ra
était la race des Anciens Bâtisseurs, mais une fois que je l’ai fait,
cela a répondu à plusieurs questions différentes soulevées par le
matériel de Corey.

Le moment exact de l’entrée d’Oumuamua
dans notre système solaire ne semble pas être un accident à la lumière
de ce que Corey a vu en décembre 2017.

Cette saga cosmique dans le lien
ci-dessous culmine avec la découverte par le MIC SSP d’un ancien
vaisseau survivant de l’Ancient Builder Race – et son retour à
l’intérieur.

https://www.exopolitics.org/while-astronomers-debate-oumua…/

Encore une fois, ce navire est appelé
Oumuamua par la NASA. Il pourrait bientôt devenir l’outil de divulgation
le plus important que nous ayons jamais vu.

[Auteur :] David Wilcock
2018

Souce :
https://divinecosmos.com/davids-blog/1225-abr-legacy/


Partagé par http://www.eveilhomme.com. Partage libre en incluant la source et le lien.

Notre
discernement doit prévaloir à tout moment; les opinions exprimées dans
cet article sont les opinions de leurs auteurs et ne reflètent
éventuellement pas totalement celles d’Eveilhomme.




1968-2018 : la descente aux enfers !

[Source : Les moutons enragés]

1968-2018 : la descente aux enfers !

Auteur : Claude Janvier

La crise sociale des Gilets Jaunes permet d’analyser ce qui s’est réellement passé depuis un peu plus de 50 ans. Les quelques miettes de droits acquis sont de plus en plus enfouies sous une dictature policière mondialiste. 

Les manifestations des Gilets Jaunes réprimées violemment depuis le début, illustrent mes propos ci-dessus. Pour preuve : au moins 10 morts sur des sites occupés par les Gilets Jaunes, 12 yeux crevés, 3 mains arrachés. En tout, 2891 blessés.

Au-delà des exagérations journalistiques qui rabâchent sans cesse que les Gilets Jaunes sont violents, il n’en est rien. Les quelques casseurs infiltrés n’entrent pas dans ce débat, ainsi que les quelques débordements. Si les 200 000 manifestants dans les rues lors de l’acte IV avaient été vraiment violents, le coup d’état aurait déjà eu lieu et l’armée serait depuis sur le pied de guerre. C’est peut-être pour ça que Macron vient d’accorder une prime exceptionnelle aux généraux. Armée bien payée, sécurité renforcée et soulèvement annihilé .  *1

Castaner et quelques procureurs ont beau aboyer que la France est dans un climat insurrectionnel, il n’en est rien. Mais il faut bien justifier l’emploi des armes de guerre, des chars remplis de poudre incapacitante et des milices plus ou moins privées. Excellente excuse aussi pour dédouaner les violences policières de plus en plus nombreuses. Le permis de mutiler et de tuer est open.

Revenons à la descente aux enfers depuis 68. En fait, la dégringolade commence bien avant, au moment où les plans mondialistes ont été mis en place. Impossible dans un court billet de tout exposer, mais dans les grandes lignes, on peut élaborer une synthèse.

À l’ouest la main mise américaine en Europe commence en 1917. Coïncidence ou pas, la révolution bolchevique démarre la même année.

24 octobre 1945, création de l’ONU. Grande base de la mondialisation. L’ONU est là pour garantir la paix dans le monde. Vu le nombre de conflits depuis sa création, elle a échoué. Mais elle permet d’étendre et de dicter la loi des pays industrialisés vers le reste du monde.

Création de l’OMS 7 avril 1948. Sous couvert d’actions humanitaires, pas mal de scandales. Les vaccins en sont un exemple *2 et *3 (Roselyne Bachelot et le H1N1)

Parallèlement, l’AAP (Association Américaine de Psychiatrie, fondée en 1844), explose en budget et en expérimentation diabolique depuis 1945.

Extrait de Wikipédia :  » La lobotomie connaît son essor après la Seconde Guerre mondiale, notamment avec l’invention américaine de Walter Freeman : le pic à glace. On estime que quelque 100 000 patients furent lobotomisés dans le monde entre 1945 et 1954 dont la moitié aux États-Unis. Freeman parcourt les États-Unis dans les années 1950 dans un autocar équipé pour pratiquer des lobotomies « en série », enfonçant ce pic à glace dans le lobe orbitaire des patients après avoir soulevé la paupière (lobotomie trans-orbitale), moyennant parfois une anesthésie locale. Cette pratique, le plus souvent combinée à des électrochocs, a alors un grand succès (grand mouvement de « l’hygiène mentale ») et on estime que Freeman à lui seul lobotomisa quelque 2 500 patients (ou 4 000 patients selon l’article « Lobotomie »).

On cauchemarde. Comment peut-on faire confiance encore aujourd’hui à une pseudo-science qui continue à pratiquer des électrochocs ? Pardon, le terme est plus chic aujourd’hui : l’électrochoc est devenu sismothérapie. Une petite sismo ma chère ? Un électro chic ?

Et pourtant, la psychiatrie et la psychologie ont envahi notre quotidien. Pire que la gangrène. Si vous cherchez qui est responsable du déclin culturel de notre civilisation, vous avez une partie majeure de la réponse. D’œuvres d’art hideuses achetées à prix d’or par nos institutions en passant par le groupe « musical » invité par Macron le 21 juin dernier à l’Elysée conforteront cette déduction. *4 (Jamais entendu quelque chose d’aussi nul et de mauvais goût. Un spectacle dégradé, autorisé, et voulu par le maître des lieux)

Le ministère de l’Éducation nationale n’est pas en reste. Il est totalement anéanti par les Psychs. Pour preuve, le niveau catastrophique des élèves aujourd’hui. Le niveau d’éducation est complètement à la ramasse. Pas étonnant que bon nombre de jeunes soient paumés et incapables de travailler correctement.

En résumé, nous avons la main mise américaine et européenne sur le monde entier. La grande finance internationale (Rothschild, Rockefeller, Morgan Sachs, Georges Soros, Bill Gates), les géants de la chimie (Monsanto, Syngenta), les géants agro-alimentaires (Nestlé, Associated British Foods PLC, Coca-Cola, Danone, Général Mills), les laboratoires pharmaceutiques (Bayer, Hoechst), les ventes d’armes (Palmarès dans l’ordre : USA, Russie, France, Allemagne et Chine), les pétroliers (ExxonMobil, BP, Total), les services secrets et une immigration massive incontrôlée et déstabilisante. (Une immigration bien faite est nécessaire. Pas le pacte de Marrakech que Macron vient de signer *5)

Revenons aux évènements de 1968 :
Les prémices du mouvement de contestation ont effectivement eu lieu le 22 mars 1968, à l’issue d’une assemblée générale emmenée par Daniel Cohn-Bendit à la faculté de Nanterre. (Bien rangé et riche le lascar. Mais pas blanc-bleu).
Ces événements, enclenchés par une révolte de la jeunesse étudiante à Paris, puis gagnant le monde ouvrier  par le biais des syndicats sur une grande partie du territoire, constituent le deuxième plus important mouvement social de l’histoire de France du XXe siècle. (le plus important mouvement social étant celui de 1936)

À l’aube du 21eme siècle le mouvement social des Gilets Jaunes dépasse le mouvement de mai 68. Aura-t-il gain de cause ? Je l’espère.

Paradoxalement, la crise de mai-juin 1968 survient au terme d’une décennie de prospérité inégalée. Sur le plan économique, c’est l’apogée des « Trente Glorieuses », avec un taux de croissance stable de l’ordre de 5  %.

Chiffres de 1968 :
– nombreuses fermetures d’usines dans le textile, la mécanique, la métallurgie
– entre 470 000 et 500 000 demandeurs d’emploi
– cinq millions de personnes sous le seuil de pauvreté
– deux millions de personnes perçoivent des salaires de l’ordre de 400 ou 500 francs par mois.
– Bidonvilles à Nanterre

Chiffres de 2018 :
– Les bidonvilles n’existent plus, mais les SDFs s’entassent sous les ponts. 14,628 millions de personnes touchées par la crise du logement selon la fondation Abbé Pierre *6
– la plupart des usines importantes ont fermé et ou sont délocalisés.
– 3,718 millions de demandeurs d’emploi
– 8,8 millions de pauvres

Pourtant, 68 a débouché sur une augmentation de 35 % du SMIG à 600 francs par mois et de 10 % d’augmentation des salaires. (entre autres)

Cherchez l’erreur. Incompétence des gouvernements depuis 68 ? Incontestablement car la situation s’est considérablement dégradée.

Un vernis social bobo inventé depuis Mitterrand a donné l’impression que le SMICARD était plus heureux. Il n’en est rien.

Les bobos ont brouillé les pistes en changeant les appellations et en nous assommant de taxes indirectes. Ils ont donné l’impression de prendre en considération la France d’en bas. Ça fait plus chic d’appeler sa femme de ménage une technicienne de surface. L’éboueur a eu droit à son terme ronflant : un agent de propreté urbaine et caissière des supermarchés est devenu hôtesse de caisse … Tout ce cirque est à vomir, car la paye et les conditions de travail ont peu évolué. Nombreux CDDs et cadences infernales dans les grandes surfaces….

La loi de 1973, dite « loi Rothschild », du nom de la banque dont était issu l’ancien président de la République, Georges Pompidou, a bien enfoncé le clou. Depuis l’État, passe par le système des banques privées  pour financer son endettement et surtout il n’est plus maître de sa monnaie. Mais au fait Emmanuel Macron, est lui aussi, issu de la banque Rothschild… Voyez-vous le lien ?

Dégringolade masquée mais réelle depuis 68. La mondialisation voulue par une poignée de milliardaires sordides et criminels est de plus en plus omniprésente.

En 1995, l’OMC a vu le jour. Inconnue du grand public, l’Organisation Mondiale du Commerce a été créée dans le but d’étendre l’hégémonie économique des USA en Europe. [Note du Nouveau Monde : l’ancêtre de l’OMC était le GATT, créé en 1947 et entré en vigueur en 1948]. Le TAFTA (Traité Transatlantique) est toujours dans les tuyaux. Le CETA est déjà en vigueur et c’est un désastre, sauf pour les USA of course. *7

Les mondialistes ont avancé leurs pions soigneusement. La seule inconnue reste le facteur humain. Ils ne pouvaient pas prévoir que les gueux se réveilleraient. Le pion Macron va sauter ou alors la situation va se durcir encore plus. Nous avons déjà un état policier, avec tout juste le droit de s’exprimer. (pour combien de temps encore ?)

Bruxelles à la botte des USA est un rouleau compresseur. Aidé du Gladio de l’OTAN *8, de l’Eurogendfor *9, et des milices privées (Benalla and cie) , les heures les plus sombres de l’histoire risquent de nous envahir de nouveau. D’ailleurs, Edouard Philippe annonce un durcissement de la répression. *10

Face à cette dictature mondiale, un seul adage à appliquer pour nous et nos générations futures :
« Pire que les bruits de bottes, le silence des pantoufles ».

Claude Janvier

*1 http://www.fawkes-news.com/2019/01/le-gouvernement-octroie-une-prime.html

*2 https://www.alterinfo.net/L-OMS-avance-en-secret-pour-mener-a-bien-son-projet-de-vaccination-obligatoire-et-son-programme-demographique_a34965.html

*3 https://www.jp-petit.org/Presse/curseur/enquete_sur_OMS.htm

*4 https://www.youtube.com/watch?v=r8TxKhqY2vM

*5 https://fr.sputniknews.com/international/201812191039364411-pacte-marrakech-information-cachee/

*6 https://www.francebleu.fr/infos/societe/le-nombre-de-sdf-augmente-de-50-en-10-ans-denonce-la-fondation-abbe-pierre-1485854307

*7 https://www.huffingtonpost.fr/jose-bove/nationalisme-ceta-canada_a_21714673/

*8 http://www.alterinfo.net/Reseau-terroriste-de-l-OTAN-La-liaison-djihadistes-et-une-operation-Gladio-2-0-se-confirme_a109934.html

*9 https://lesobservateurs.ch/2014/11/21/arriva-eurogendfor-gestapo-al-soldo-dei-burocrati-di-bruxelles-prove-di-dittatura-ue/

*10 http://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/gilets-jaunes-philippe-au-20h-de-tf1-pour-des-annonces-dordre-public-face-aux-violences/ar-BBRV9Xz?li=BBoJIji&ocid=hpdhp




Ça s’est passé en 1948

En 1948, ont eu lieu en particulier les événements suivants [Sources : L’internaute, Wikipédia] :

Wiener pose les bases de la cybernétique
Le
mathématicien Norbert Wiener publie en 1948 un ouvrage retentissant
intitulé, « Cybernétique, ou le contrôle et la communication dans
l’animal et la machine ». Il y définit pour la première fois la
cybernétique comme une science des mécanismes de communication et de
contrôle chez les êtres vivants, les machines et les systèmes organisés.
C’est la mesure de l’information fournie par une série de messages. Ce
livre connaît un grand succès dès sa publication. Il sera considéré
comme la référence en matière de cybernétique.
Le GATT [ancêtre de l’OMC] entre en vigueur
Le General Agreement on Tariffs and Trade (Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce) entre en vigueur. Signé le 30 octobre 1947 par vingt-trois pays, il a pour objectif la relance du commerce mondial par l’abaissement et l’harmonisation des barrières douanières tarifaires et quantitatives. Par la suite, le GATT fera l’objet de plusieurs négociations multilatérales, communément appelées « rounds », alors que ses membres seront de plus en plus nombreux. Les principaux cycles de négociations, comme le Kennedy Round ou le Tokyo Round, auront pour conséquence l’abaissement radical des droits de douane. Un autre, primordiale, l’Uruguay Round, portera sur les domaines de l’agriculture et des services et, au terme des discussions, aboutira à la création de l’Organisation mondiale du commerce (OMC).
Assassinat de Gandhi
Le « père de la nation indienne » est assassiné de trois balles par l’extrémiste indoue Nathuram Godse lors d’une prière publique. Godse reproche à Gandhi d’être trop favorable à la cause des indiens musulmans. Durant 78 ans, Mohandas Karamchand Gandhi, dit le Mahatma Gandhi (Mahatma signifiant «Grande Âme»), aura professé la non-violence radicale, « l’ahimsa » et la résistance passive contre l’occupant britannique. Gandhi avait choisi de faire entendre sa voix par le jeûne politique jusqu’à obtenir satisfaction de ses revendications. Deux millions d’Indiens assisteront à ses funérailles.
Signature du Traité de Bruxelles
Les représentants du Benelux, de la Grande-Bretagne et de la France signent le traité de Bruxelles qui institue l’UEO (Union de l’Europe occidentale). Il s’agit d’un pacte régional d’assistance militaire et économique valable sur une période de 50 ans auquel d’autres pays peuvent se rallier. A la demande de la France, l’Allemagne est désignée comme adversaire potentiel dans la partie du traité concernant la défense commune. Les instances militaires du traité de Bruxelles seront incorporées à celles de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) en décembre 1950.
Création de l’OECE [ancêtre de l’OCDE]
Afin de répartir les aides financières proposées par le plan Marshall pour faciliter la reconstruction européenne, des organismes administratifs communs sont mis en place. Ainsi, l’Organisation européenne de coopération économique (OECE) est créée et chargée de dépenser équitablement les crédits entre les différents Etats d’Europe occidentale. Son but consiste aussi à renforcer les relations économiques entre ses dix-sept membres ainsi que de libéraliser les échanges commerciaux et monétaires. Mais à la fin des années 1950, l’OECE sera fragilisée par les désaccords entre les membres de la CEE et les Etats favorables à une zone de libre-échange. En 1961, l’OECE laissera place à l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Congrès européen à la Haye
Sous l’impulsion du Comité international de coordination des Mouvements pour l’unité européenne, près de 800 délégués de toutes les tendances politiques européennes se réunissent à la Haye. Quelques représentants du Canada et des Etats-Unis sont également présents. C’est Winston Churchill qui est chargé de présider le congrès. En septembre 1946, lors d’un discours à Zurich, ce dernier avait déjà montré son intérêt pour une éventuelle création des « Etats-Unis d’Europe ». Ainsi, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’idée d’une unité européenne revient au premier plan et se renforce dans les esprits. Le but du congrès est de mettre en place une union européenne économique, politique, culturelle et monétaire. De cette réunion naîtra le Mouvement européen et le Conseil de l’Europe.
La naissance de l’Etat d’Israël
Le jour même où s’achève le mandat britannique sur la Palestine, le président Chaïm Weizmann proclame l’Etat d’Israël. L’ancien Etat d’Israël avait disparu en 70 après Jésus Christ, lorsque Jérusalem avait été détruite par les romains. L’ONU décide d’officialiser la création d’Israël en divisant l’ancienne Palestine en deux Etats, l’un arabe, l’autre juif. Le monde arabo-musulman rejettera le compromis et attaquera aussitôt Israël.
Début du blocus de Berlin
En riposte à la décision des Alliés de violer les accords de Postdam en fusionnant les zones d’occupation américaine, anglaise et française et en instaurant le Deutschemark, Staline décide d’établir un blocus autour de Berlin. Face à ce blocage, les occidentaux ne mettront que deux jours pour trouver une solution qui évite la guerre et dont l’efficacité, tant factuelle que symbolique, est garantie : il mettent en place un blocus aérien pour ravitailler la ville. Mais, désormais, la rupture entre les deux blocs, et par conséquent entre les deux Allemagnes, semble entérinée. Même si le blocus dure moins d’un an, Berlin-Ouest revêt son statut d’enclave pour plus de quarante ans.
Déclaration universelle des droits de l’homme
L’ONU adopte la Déclaration universelle des droits de l’homme. Inspirée par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, ce texte a été essentiellement rédigé par René Cassin et John Peters Humphrey. Il énonce les droits fondamentaux de tous les individus, notamment celui de l’égalité à la naissance. La valeur de ce texte est avant tout symbolique, aucune institution n’étant en mesure de le faire appliquer.
Orwell achève l’écriture de son roman « 1984 »
1984 est publié l’année suivante (en 1949).
Création du Conseil œcuménique des Églises
Le Conseil œcuménique des Églises est une organisation non gouvernementale à intérêt social et à caractère confessionnel, fondée en 1948, qui se veut une « communauté fraternelle d’Églises qui confessent le Seigneur Jésus-Christ comme Dieu et Sauveur selon les Écritures et s’efforcent de répondre ensemble à leur commune vocation pour la gloire du seul Dieu, Père, Fils et Saint-Esprit ». L’objectif du COE est l’harmonie entre les chrétiens au travers de réalisations concrètes communes. Il n’a pas vocation à devenir une « super-Église ». Son siège est situé à Genève en Suisse.
Genèse de l’OTAN
L’OTAN a été signée en 1949, mais ses prémisses remontent à l’année précédente

Est-ce une simple coïncidence si la plupart de ces événements peuvent avoir un rapport avec le Nouvel Ordre Mondial, comme précurseurs, comme briques constitutives ou comme annonciateurs?
Pour rappel, le Nouvel Ordre Mondial (ou NOM, en abrégé) implique :

  • un gouvernement mondial unique (précurseur : ONU);
  • une monnaie internationale unique (précurseur : pétrodollar);
  • un système judiciaire international (précurseurs : Cour Internationale de Justice et Cour Pénale Internationales);
  • un système économique unique (précurseur : OMC);
  • un système de santé unique (précurseur : OMS);
  • une religion mondiale unique (précurseurs : COE, New Age, et Humanisme issu de la Franc-maçonnerie);
  • une armée mondiale (précurseurs : Casques bleus de l’ONU et OTAN);
  • une police mondiale (précurseur : Interpol);
  • un système éducatif unique (précurseurs : systèmes scolaires de la plupart des pays occidentaux, qui obéissent approximativement aux mêmes règles, et accessoirement Hollywood et Internet);
  • un identifiant individuel unique (précurseurs : passeports et cartes d’identité);
  • etc.?

Notons également que 1948 a été marquée par la Première Guerre Israëlo-Arabe et peut être considérée comme prélude de la Résistance au Nouvel Ordre Mondial.




L’intolérance aux ondes est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité

[Source : La maison du 21e siècle]

[Auteur :] Pierre Dubochet

L’auteur est un ingénieur radio suisse devenu expert en pollution électromagnétique après avoir été lui-même handicapé par les ondes. Son site : http://pierredubochet.ch/

Un cerveau humain traite chaque seconde des milliards et des milliards d’informations (plus exactement 1024 [1 suivi de 24 zéros]) sous forme d’impulsions électriques. C’est sans aucune comparaison possible avec les plus puissants supercalculateurs électroniques, misérables escargots.

L’organisme perçoit l’environnement de
différentes manières grâce à d’innombrables récepteurs sensoriels
généraux ou spécialisés adaptés pour traiter un stimulus propre, par
exemple la température, la pression, la vibration, la faim, la soif,
l’étirement, la lumière, l’équilibre, le son, le goût, l’odeur…

C’est
notamment grâce à la spécialisation de ses terminaisons nerveuses que
l’Homme a pu augmenter son efficacité et ses chances de survie.
  
Ces informations se propagent électriquement dans nos cellules jusqu’à
notre cerveau. Une partie de ces informations produisent des réponses
réflexes. D’autres informations sont traitées par l’inconscient. Une
toute petite partie devient notre perception consciente.

Affinités de la modulation numérique avec les transmissions nerveuses

Il
se trouve que la modulation numérique produite par les appareils sans
fil présente de fortes affinités avec certaines transmissions
électriques de nos tissus nerveux. Durant notre évolution, notre
organisme n’a pas conçu de protection contre cette électricité qui
dépasse maintenant des millions de millions de fois le rayonnement
naturel.
  
Lorsque nous sommes touchés par un environnement
hostile, par exemple une différence de température, un manque d’oxygène,
un empoisonnement ou l’exposition à ces rayonnements, notre corps
produit des protéines de stress. Ces protéines aident à l’autodéfense.
Elles activent un réflexe de vigilance qui permet d’échapper aux
attaques environnementales.

À courte durée, le stress est
bénéfique. Lorsqu’il devient chronique — ce qui est le cas quand nos
bureaux, nos habitats reçoivent constamment ces rayonnements — le stress
faire courir de nombreux risques sur les fonctions nerveuses,
cardiovasculaires et digestives. L’exposition chronique risque aussi
d’épuiser le système endocrinien et le système immunitaire.

Fatigabilité, état inflammatoire et intolérance aux rayonnements

Tout cela mène à diverses possibilités. Une fatigabilité accrue. Un état inflammatoire plus ou moins étendu, avec augmentation du risque de maladies chroniques. Une diminution de la tolérance aux rayonnements.

L’intolérance
aux rayonnements est souvent confondue avec l’électrohypersensibilité,
ou EHS. Être intolérant aux ondes ne signifie pas qu’on les détecte. Un
sujet intolérant souffre de symptômes handicapants après un temps
variable, car son organisme ne parvient pas à gérer la présence d’un
élément physique, que ce soit un aliment, un produit chimique, ou un
rayonnement.

On parle d’électrohypersensibilité lorsque les rayonnements peuvent être perçus par les nocicepteurs, les récepteurs de la douleur.

Modification de l’équilibre énergétique 

L’exposition
à des rayonnements excite un nombre important de cellules qui
déclenchent des phénomènes indésirables. Cela nuit aux équilibres
biologiques. L’organisme compense ces réactions indésirables en
mobilisant d’autres cellules.

L’exposition chronique à des
rayonnements augmente donc la consommation d’énergie. Les besoins accrus
peuvent conduire à des carences en vitamines, en oligoéléments et en
aminoacides.

La présence de rayonnement contraint l’organisme à
modifier la consommation d’énergie. L’équilibre énergétique est
essentiel pour les enfants et plus encore pour les bébés. Le nourrisson
dort environ seize heures par jour. Ainsi, la majeure partie de son
énergie sert à sa croissance et un peu d’énergie seulement sert aux
muscles.

Toute exposition chronique aux rayonnements peut modifier
l’équilibre énergétique et entraîne des conséquences pour l’être en
devenir.

Notre personnalité, fruit d’infimes variations électriques

Encore
une chose. Notre cerveau est dans une logique d’adaptation constante.
Nos activités mentales, intellectuelles et physiques affectent à la fois
le nombre et la localisation des connexions entre les neurones.

Trois
exemples. Les chauffeurs de taxi utilisent constamment leur mémoire
vidéospatiale. Ils ont un hippocampe plus volumineux que la moyenne. Les
musiciens professionnels ont un cortex — zone qui contrôle les
mouvements des doigts — plus dense que la  normale. Celui qui médite
durant des années développe la région préfrontale gauche du cortex,
siège des émotions positives, et développe plus facilement des ondes
cérébrales gamma.

Les infimes variations  électriques naturelles
du cerveau s’ajustent constamment pour produire nos capacités
intellectuelles et notre personnalité.
  
Notre cerveau ne fait
pas la distinction entre les champs électriques internes naturels et des
champs électriques artificiels physiquement ressemblants. Le
rayonnement des appareils sans fil déstructure notre cerveau. 

Le rayonnement modifie des trajectoires de vie

Le
rayonnement des appareils sans fil modifie des trajectoires  de vie. Il
rend l’apprentissage plus difficile. Il transforme la personnalité. Il
épuise. Il favorise les maladies chroniques. Il favorise la
dégénérescence des tissus du cerveau. Il crée des variantes du
vieillissement normal. 

Aujourd’hui plus que jamais, nous avons
besoin de privilégier la vision scientifique de la médecine
environnementale et son approche préventive. 

Vous avez certainement des amis qui seraient intéressés de lire cet article. Ils apprécieront que vous partagiez maintenant le lien de cette page à votre réseau.


[Voir aussi sur La maison du 21e siècle :

Sur le blogue Nouveau Monde : dossier 5G et ondes pulsées]


Au sujet de l’auteur

Ingénieur suisse handicapé par le rayonnement électromagnétique, Pierre est conférencier, auteur et consultant en hygiène électromagnétique et chargé de cours en Haute École de la santé. En 2010, il constate qu’il a plus de difficultés à se concentrer et à maîtriser son état d’esprit selon les endroits. Petit à petit, d’autres symptômes apparaissent. Pressions derrière les yeux, douleurs articulaires, sensations de vertige, acouphènes, maux de tête, variations de température, troubles de la vision, de la concentration, d’idéation, etc. Il a perdu presque toute mémoire à court terme : il doit tout noter. À cette période, son organisme est tellement stressé qu’il lui est impossible de dormir plus de trois heures par jour durant près d’une année. Vingt années de recherches sur l’esprit lui servent à différencier effet physiologique et effet psychologique. Ses recherches poussées lui apprennent qu’il est exposé à un niveau extrêmement significatif de rayonnements non ionisants qui traversent ses murs. Après plus d’une année, il comprend le lien formel entre cette exposition et la sérieuse dégradation de sa qualité de vie. Pierre n’a pas été informé professionnellement des effets de l’exposition aux ondes, et la question ne l’avait pas effleuré. Pierre a relié l’exposition à des champs électriques à basse fréquence, des champs magnétiques à basse fréquence, au Wi-Fi, au DECT, à la téléphonie mobile, à différents effets dans ses cellules. Il a fait sa force de ces années de souffrance, qui lui ont donné un talent et une expérience uniques dans la création d’environnements sécuritaires qui accélèrent le rétablissement. Il conserve ce savoir à jour en entretenant des liens étroits avec les experts du monde entier. Pierre —souvent cité dans la littérature relative aux rayonnements non ionisants— a les compétences pour mesurer le rayonnement non ionisant et pour proposer des solutions d’atténuation et de blindage. Il se déplace sur site pour protéger les personnes des effets de l’exposition aux rayonnements non ionisants dans l’environnement privé et professionnel et pour les inciter à se protéger de toute exposition inutile. Enfant, Pierre est attiré par le son. En 1982, il s’oriente vers une profession spécialisée et devient ingénieur. Sollicité par le directeur d’une station de radio, il occupe le poste de chef technique, puis fonde une société qui introduit des services numériques révolutionnaires dans les années 1990. Il s’intéresse à la méditation qu’il pratique pour son bien-être.




Selon un conseiller du Premier ministre australien, le changement climatique est une « ruse dirigée par l’ONU pour établir un nouvel ordre mondial » (article du Telegraph de mai 2015)

[Source pour la traduction partielle : Conscience du peuple]

Selon un conseiller du Premier ministre australien, le changement climatique est une « ruse dirigée par l’ONU pour établir un nouvel ordre mondial » (article du Telegraph de mai 2015)

« Pour la première fois, l’humanité instaure un véritable instrument de gouvernance mondiale [faisant référence au protocole de Kyoto], qui devrait trouver sa place dans le monde. L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union européenne souhaiteraient voir instaurer. » 

Jacques Chirac, ancien Président de la République française

Maurice Newman

Le changement climatique est un canular développé dans le cadre d’un complot secret des Nations Unies visant à saper les démocraties et à conquérir le monde, a mis en garde un des principaux conseillers de Tony Abbott, le Premier ministre australien.
Maurice Newman, conseiller principal du Premier ministre pour les entreprises, a déclaré que les liens entre l’activité humaine et le réchauffement climatique étaient fallacieux et que la science était utilisée comme un «hameçon» par l’ONU pour étendre son contrôle mondial.
«Ce n’est pas une question de faits ou de logique. Il s’agit d’un nouvel ordre mondial sous le contrôle de l’ONU », a-t-il écrit dans The Australian.
(…)
« C’est un secret bien gardé, mais 95% des modèles climatiques dont on nous dit qu’ils prouvent le lien entre les émissions de CO2 de l’homme et le réchauffement catastrophique de la planète se sont révélés erronés », a-t-il écrit.
« Le véritable agenda est une autorité politique concentrée. Le réchauffement climatique est le prétexte. Les éco-catastrophistes […] ont pris d’assaut l’ONU et sont extrêmement bien financés. Ils ont un allié extrêmement puissant à la Maison Blanche ».
Des groupes environnementaux et des scientifiques ont décrit M. Newman comme un théoricien du complot «fou» et certains lui ont demandé de démissionner [évidemment!].

Article traduit partiellement: https://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/australiaandthepacific/australia/11591193/Australia-PM-advisor-says-climate-change-a-UN-led-ruse.html




Liberté, égalité, gratuité

[Source : https://www.legrandsoir.info/liberte-egalite-gratuite.html]
En offrant une vie bonne et juste, la gratuité est révolutionnaire

Liberté, égalité, gratuité

Paul ARIES

Le site LGS partenaire du Forum national de la gratuité qui aura lieu le samedi 5 janvier 2019 à Lyon publie la conclusion du livre-manifeste Gratuité vs capitalisme (Larousse). Tous les partis et mouvements des gauches et de l‘écologie vous donnent rendez-vous le samedi 5 janvier pour fêter la gratuité ! Construisons la gratuité et l’espoir, construisons la sortie du capitalisme !
Toutes informations sur le site :
Appelgratuite.canalblog.com

La gratuité tire les leçons des échecs des politiques d’émancipation depuis du 20e siècle. Tout appel au sacrifice au nom du bonheur des générations futures se conclut dans le sang. Nous ne croyons plus aux lendemains qui chantent car nous voulons chanter au présent. Cette bonne nouvelle possède à la fois un fondement matériel et un fondement idéel. La planète est déjà bien assez riche pour permettre à sept milliards d’humains de vivre bien. Les nouveaux gros mots de l’émancipation (buen vivir sud-américain, plus vivre négro-africain, écologisme des pauvres en Inde) montrent que les peuples ne désirent pas « toujours plus ». Au terme de ce voyage aussi gourmand que gourmet au sein des expériences de gratuité, qui sont autant de laboratoires d’un monde en gestation, je crois nécessaire d’établir dix grands repères permettant d’avancer, dès maintenant, vers une civilisation de la gratuité.

Gratuité ou barbarie
La gratuité est une réponse à la crise systémique qui menace l’avenir même de l’humanité. C’est bien parce que la planète est en feu qu’il convient de changer de paradigme dominant. C’est bien parce que notre civilisation meurt qu’il faut observer les alternatives émergentes. Le monde actuel court à sa perte mais d’autres mondes peuvent déjà s’y substituer. Le meilleur n’est pas certain comme le prouvent les projets d’adapter la planète et l’humanité aux besoins qui sont ceux du capitalisme mais le pire peut être évité grâce à la gratuité. La gratuité n’est pas toute la solution mais elle a le mérite de rouvrir le champ des possibles. C’est bien parce que l’eau potable devient plus rare que nous devons la rendre gratuite ; c’est bien parce que les transports sont responsables d’une part essentielle des émissions de CO2, qu’il faut basculer des transports individuels aux transports en commun gratuits ; c’est bien parce que nous devons apprendre à manger mieux en émettant moins que la restauration scolaire, et demain toute la restauration sociale, devront être gratuites. La gratuité en changeant la règle du jeu redistribue les grandes cartes civilisationnelles. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à ne jamais céder au désespoir qui ne peut susciter que des colères mais à montrer qu’existent déjà des petits-bouts d’autres civilisations au sein même de celle-ci, des formes de vie pré-capitalistes et post-capitalistes qui peuvent rendre l’espoir.

Gratuité versus marchandisation
La gratuité répond certes à un certain nombre d’urgences sociales, écologiques, politiques, mais elle le fait en proposant non pas seulement des solutions aux multiples crises que provoque la marchandisation, mais en considérant que c’est la marchandisation elle-même qui est en crise et que nos réponses doivent donc ouvrir des voies de démarchandisation. La gratuité est donc plus révolutionnaire que tous les projets généreux de revenu d’existence puisqu’elle ne se fonde pas sur la thèse contestable de la « fin du travail » mais est une réponse à la crise du processus de marchandisation lui-même ce qui vise plus loin/grand. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à engager dès maintenant la réflexion pour commencer à construire dès maintenant des petits bouts d’une société de la gratuité. Ces îlots de gratuité deviendront demain des archipels, des continents, un nouveau monde.

La gratuité existe toujours !
La gratuité n’a pas disparu contrairement à ce que clament les chiens de garde du système. Le poète Arthur Rimbaud invitait, au 19e siècle, à redevenir des voyants pour pouvoir agir. La même urgence existe, aujourd’hui, consistant à rendre visible cette part de gratuité invisible. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à engager, dès maintenant, l’inventaire de tout ce qui subsiste de gratuit dans nos existences, dans ce que nous construisons ensemble, mais aussi dans les territoires de la République, afin de reprendre la main idéologiquement. Des villes ont déjà commencé à lister tout ce qui demeure gratuit et que nous ne voyons plus : les voies publiques, les places, jardins et parcs, les aires de jeux pour les enfants, les jeux de boules, le mobilier urbain, les protections devant les arrêts de bus, les écoles, les centres aérés, les dispensaires médicaux, les services administratifs, le soutien scolaire, les animations, les points cyb et les digital cities, l’accompagnement à la rédaction des CV et lettres de motivation, les Maisons de la justice et du droit, les déchetteries, les prêts de vélos, l’enlèvement des tags, des épaves (véhicules), les décorations florales, le stationnement, les conseils gratuits en architecture ou en aménagement paysager, les spectacles vivants, les baignades surveillées, les permanences d’assistantes sociales, de conseillères en économie sociale et familiale, la police municipale, les toilettes publiques, les fontaines d’eau y compris pétillante, avec eau froide ou à température ambiante, etc.

Une gratuité construite
La gratuité constitue une façon de faire société, bénéficiant, certes, des gratuités naturelles, mais résultant surtout d’un effort constant de construction collective dans tous les champs. La gratuité est économiquement, socialement, politiquement, écologiquement, construite ! Cette gratuité s’invente tout en fabriquant une société des usagers maîtres de leurs usages. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à mettre en commun leurs modes d’emploi, sans rien cacher des difficultés et des échecs, sans taire non plus les succès petits et grands.

La gratuité du bon usage
La gratuité ne concerne pas seulement le vital mais tous les domaines de l’existence. La gratuité n’est pas vouée à demeurer l’exception face à la marchandisation qui serait la règle. Mais il ne s’agit surtout pas de laisser croire que tout pourrait devenir gratuit demain mais d’instaurer la gratuité du bon usage face au renchérissement du mésusage. J’incite les lecteurs, les citoyens, les élus à créer des collectifs d’usagers dans tous les domaines pour définir démocratiquement, en tenant compte du savoir scientifique, ce qui, dans l’état actuel de la société doit être gratuit, renchérie et de quelle façon et ce qui doit être interdit.

La gratuité humanise !
La gratuité n’est dévalorisée socialement que dans la tête des mercenaires du capitalisme puisque les gens partagent majoritairement, au contraire, une bonne image de la gratuité. Ce qui nous reste le plus cher, l’amour, l’amitié, l’engagement, est sans valeur marchande ! Les Français ont une relation d’attachement instinctive à leurs services publics locaux. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à contester systématiquement l’idée que ce qui serait sans valeur marchande n’aurait aucun prix aux yeux des humains et je les invite aussi à instruire le procès de la marchandisation en dénonçant systématiquement ses méfaits.

La gratuité responsabilise !
La gratuité responsabilise alors que l’échange marchand déresponsabilise. Cette thèse iconoclaste se vérifie dans tous les domaines, de l’existence individuelle à la société. Que je sache l’alimentation mondiale n’est pas gratuite et pourtant les producteurs et consommateur gaspillent presque 40 % de ce qui est produit à tous les stades de l’échange ! Les usagers des bibliothèques gratuites sont plus nombreux mais empruntent moins d’ouvrages, signe que la gratuité permet d’en finir avec le désir d’en avoir pour son argent, les usagers de l’eau gratuite en consomment également beaucoup moins. La gratuité conduit au-delà du marché donc des comportements pervers des consommateurs ! J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à montrer concrètement comment la gratuité améliore la qualité de vie, comment elle permet de réaliser des économies, de faire la chasse au gaspi.

La gratuité ou le choix de la démocratie
La gratuité est l’inverse d’une robinsonnade dans la mesure où elle a besoin des autres. La gratuité est une construction collective qui impose la participation du plus grand nombre. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à faire le choix du toujours plus de démocratie, à créer les conditions pour avancer vers une société des usagers maîtres de leurs usages, à ne jamais séparer l’extension de la sphère de la gratuité de celle de la démocratisation.

La gratuité un projet universel
La gratuité n’est pas une lubie de gosses de riches car ceux qui en parlent le mieux sont les peuples du Sud et les premiers bénéficiaires en seront incontestablement les plus pauvres. Mais la gratuité s’adresse à tout le monde puisqu’elle est par principe inconditionnelle, les logements sociaux gratuits seront comme l’école aujourd’hui accessibles à tout le monde, sur le modèle de ce que pratiquent déjà les pays scandinaves permettant ainsi de sortir de la logique des ghettos tout en faisant bénéficier toute la société des potentialités écologiques, sociologiques, anthropologiques qui restent celles, majoritairement, des gens ordinaires. La gratuité tire tous les enseignements du courant économiques de l’économie du bonheur en montrant qu’une société de partage permet même aux riches d’être plus heureux. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à construire des convergences entre l’ensemble des territoires locaux, régionaux, nationaux, européens et mondiaux.

Le « plus à jouir » de la gratuité
L’air du temps est à l’austérité, au sacrifice, au grand repli sur soi, au retour de la xénophobie, à la recherche d’un nouveau pouvoir fort, à la montée des passions tristes. La gratuité campe du côté des passions joyeuses et donc d’un « plus à jouir » collectif. On peut, en effet, reprocher tout ce qu’on veut au capitalisme destructeur mais il faut bien reconnaître que cette société de consommation nous fait majoritairement jouir. Il existe de la jouissance à consommer toujours plus, même si on peut légitimement juger que cette jouissance est une mauvaise jouissance car fondée sur l’accumulation et le pouvoir. Nous ne dépasserons cependant cette forme de jouissance que si nous sommes capables de lui opposer une autre jouissance, encore plus jouissive, la jouissance d’être et non plus d’avoir. J’invite les lecteurs, les citoyens, les élus à inventer déjà d’autres façon de faire de la politique qui ne reproduisent pas les relations de pouvoir qui caractérisent le monde dominant, qui donnent envie de s’engager, de construire ensemble, d’oser la gratuité. Je ne sais pas si la gratuité est festive parce qu’elle relève de la transgression des règles dominantes ou parce qu’elle suscite, en elle-même, ce caractère festif, mais je peux témoigner que l’extension de la sphère de la gratuité instaure toujours un esprit de fête. N’existent que deux façons de faire de la politique : soit jouer sur le ressentiment et la peur (de l’autre, de demain), soit miser sur l’espoir, sur le grand désir de vivre ! Le philosophe Gilles Deleuze soutenait que seul le désir est révolutionnaire.

La gratuité est donc révolutionnaire, car elle est du côté du vivant, de ce qui rend l’espoir d’une vie bonne et juste.

Paul ARIES

Et voir dans le Monde Diplomatique, novembre 2018 : « Eloge de la gratuité » par Paul Ariès.

URL de cet article 34157
https://www.legrandsoir.info/liberte-egalite-gratuite.html




Forbes: La guerre du réchauffement de la planète contre le capitalisme: une leçon d’histoire importante

[Source : Conscience du peuple]

*
Cet article du Forbes, publié en janvier 2013, est incroyablement
révélateur, voire même la preuve de la fabrication du 
« réchauffement climatique d’origine anthropique ». Vous
comprendrez les origines de cette prétendue « urgence
climatique » menaçant l’humanité d’une catastrophe certaine,
nécessitant un effort unifié des grandes puissances pour susciter
une intervention politique mondiale concertée. Obliger tous les pays
du monde à se soumettre aux diktas du lobby de la « taxe
carbone », création de « ceux qui font pousser l’argent dans
les arbres » et qui font croire que le CO2 contribue au
réchauffement planétaire alors qu’il enrichie la croissance de la
forêt dans laquelle ils récoltent leur papier-monnaie! Sans compter
que ces faussaires et imposteurs ont réussi à taxer l’air! Faut le
faire…

Lors de
la dernière réunion alarmiste des Nations Unies sur le climat à
Doha (2012), le Qatar a connu une sorte de crise provoquée par un
homme sous la forme d’un typhon nommé Christopher
Monckton, troisième vicomte de Benchley, conseiller de l’ancienne
Première ministre Margaret Thatcher et climatologue. Occupant
temporairement un microphone vacant attribué à un délégué de
Birmanie, il a donné à tout l’auditoire une nouvelle très
terrifiante… « depuis
16 ans que nous assistons à ces conférences, il n’y a eu aucun
réchauffement climatique ».

Si ce
n’était pas assez effrayant, entre blasphème et chahuts, Moncton
foudroie l’assemblée en poussant le blasphème le plus total: « Si
nous prenons action comme ils le proposent toujours, le prix de cela
serait bien plus élevé que de prendre des mesures d’adaptation plus
tard. Donc, notre recommandation est que nous devons nous engager
très rapidement à une révision de la science [du climat, des
rapports du GIEC] afin de nous assurer que nous sommes tous sur la
bonne voie. »

Oui,
vous avez bien lu. Il a eu l’audace d’interroger la « science »
derrière les demandes de fonds basées sur la crise climatique de
l’ONU. Et en réalité, ce n’est vraiment pas une si mauvaise idée.

Pour
commencer, rappelons-nous quelques décennies avant cette nouvelle
science, une petite histoire remontant aux années 1970 et au début
des années 1980, lorsque les pays du tiers monde, par la force du
nombre, et les partis verts socialistes européens ont pris le
contrôle des Nations Unies. Ils ont rapidement commencé à réclamer
un nouvel ordre économique international.

À la
fin des années 1980, une peur basée sur des modèles climatiques
théoriques et primitifs qui prédisaient que les émissions de
carbone d’origine humaine provoquaient un réchauffement planétaire
sans précédent et dangereux a parfaitement servi ces objectifs. En
réponse, les Nations Unies ont rapidement établi une
Convention-cadre sur le changement climatique (FCCC) pour organiser
des conférences, ainsi que le Groupe d’experts intergouvernemental
sur l’évolution du climat (GIEC) chargé de mener des études
scientifiques.

[Le
marché du « crédit carbone »: un marché payant pour le
lobby du réchauffement climatique et pour certaines méga
industries!]

La
stratégie centrale de la FCCC pour lutter contre ce qui était promu
comme un changement climatique «anthropique» (créé par l’homme)
était brillante… donner des « crédits carbone » aux
industries de combustibles fossiles qui réduisent leurs émissions
de dioxyde de carbone, puis laisser les autres industries qui
produisent des quantités d’émissions de CO2 en excès acheter des
« crédits carbone » d’elles. En d’autres termes, ils
créeraient un marché commercial pour acheter et vendre de l’air!

Ce
programme commercial du « crédit carbone » serait mis en
œuvre à l’échelle internationale, pays par pays, par le biais du
protocole de Kyoto, pénalisant les pays développés qui émettent
beaucoup de CO2 en les forçant à acheter des crédits à des pays
moins développés (gratuits pour eux). La Chine et l’Inde, qui
émettent d’énormes quantités de CO2, ont obtenu un
laissez-passer en raison de leur statut de pays en développement.

Coup
d’envoi de la clameur de la crise climatique à l’ONU

Le
Directeur exécutif du Programme Environnement de la FCCC, Maurice
Strong [qui a organisé le premier Sommet de l’ONU sur le
climat (Earth) à Rio de Janeiro (1992)] a exposé d’une manière
très franche une priorité sous-jacente: « Nous
pouvons arriver au point où la seule façon de sauver le monde sera
d’amener la civilisation industrialisée à s’effondrer. N’est-ce
pas notre responsabilité d’y arriver? »

En
1966, Maurice
Strong démissionne du poste de PDG de la Power
Corporation du Canada pour prendre la tête de la future
Agence canadienne de développement international. De la fin 1970 à
la fin 1972, il est secrétaire général de la Conférence des
Nations unies sur l’environnement. Cette même année 1972, il
participe également à la fondation
Rockefeller en tant qu’administrateur et membre du comité
exécutif. De 1976 à 1978, il est CEO de Petro-Canada.

Il est l’un des membres fondateurs du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) créé en novembre 1988 à la demande du G7 par deux organismes de l’ONU : l’Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Programme des Nations unies pour l’environnement (PNUE).

Strong [qui a fréquenté les multimilliardaires de ce monde toute sa vie] n’a laissé aucun doute vers où et vers qui diriger les blâmes concernant les problèmes mondiaux, il a déclaré dans le rapport de la conférence : « Il est clair que les modes de vie et les modes de consommation actuels de la classe moyenne aisée… impliquant une consommation élevée de viande, la consommation de grandes quantités d’aliments surgelés et de commodité, la propriété de véhicules à moteur, de terrains de golf, de petits appareils électriques, de la climatisation domestique et commerciale et de logements de banlieue n’est pas durable… Un changement est nécessaire pour adopter des modes de vie moins axés sur des modes de consommation dommageables pour l’environnement « .

L’ancien
sénateur américain Timothy Wirth (D-CO), qui représentait alors
l’administration Clinton-Gore en tant que sous-secrétaire
d’État américain pour les questions mondiales, a rejoint Maurice
Strong pour s’adresser au public lors du Sommet sur le climat. Il a
déclaré : « Nous
devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si
la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons
comme il convient en termes de politique économique et de politique
environnementale. »

S’adressant
également à la conférence de Rio, Richard
Benedick, assistant d’État adjoint, qui a ensuite dirigé les
pisions de la politique du département d’État américain, a convenu
que le protocole de Kyoto devrait être approuvé, qu’il ait ou non
un rapport avec le changement climatique:  « Un
traité sur le réchauffement climatique doit être appliqué même
s’il n’existe aucune preuve scientifique concernant l’effet de
serre [renforcé par l’humain] ».

Timothy
Wirth avait déjà été un proche collègue du sénateur Al Gore,
sénateur de l’époque, et l’avait aidé à organiser ses audiences
du Comité sénatorial des sciences, de la technologie et de l’espace
en 1988, qui avaient déclenché une frénésie du réchauffement
planétaire au cours d’un été chaud sur la Côte Est cette
année-là. Dans une interview
avec PBS Frontline Wirth a raconté: « Nous
avons appelé le bureau météorologique pour savoir quel jour serait
le plus chaud de l’été et nous avons programmé l’audience ce
jour-là et bingo, ce jour a été le plus chaud jamais enregistré à
Washington… nous sommes allés la nuit précédente de l’audience
ouvrir toutes les fenêtres pour que la climatisation ne fonctionne
pas, pour qu’il fasse chaud dans la salle. »

Considérez
que si le climat est généralement défini sur une période d’au
moins trois décennies, le spectacle du sénateur Al Gore, alors
soigneusement mis en scène, ne s’est produit que légèrement plus
d’une décennie après que de nombreux scientifiques eurent prédit
une crise inverse. L’un de ceux-ci était le regretté professeur
Stephen Schneider de l’Université de Stanford, auteur de The Genesis
Strategy, un livre de 1976 qui mettait en garde contre les risques
liés à un refroidissement mondial, constituant une menace pour
l’humanité. Schneider a ensuite modifié cette vue à 180 degrés,
devenant l’auteur principal des éléments importants de trois
rapports séquentiels du GIEC.

Entre
1994 et 1996, lorsque le sénateur Wirth est devenu sous-secrétaire
d’État aux affaires mondiales au sein de l’administration
Clinton-Gore, il a commencé à collaborer étroitement avec Enron
pour faire pression sur le Congrès afin d’accorder à l’EPA le
pouvoir de contrôler le CO2 . Dans les années 1990, Enron était
devenue propriétaire du plus grand gazoduc existant hors de Russie,
un réseau inter-États colossal. Mais comme ce combustible, qui
faisait face à une concurrence féroce sur le marché avec le
charbon, l’entreprise recherchait l’aide nécessaire à
Washington pour faire pencher la balance. Le battage médiatique
croissant à propos de la crise du réchauffement de la planète
annoncée par les auditions très médiatisées du Congrès de 1988,
par le sénateur Al Gore, a été une opportunité de rêve.

Les
Sénateurs Wirth et John Heinz (R-PA) avaient récemment coparrainé
le «Projet 88», qui devait permettre de transformer les problèmes
environnementaux en opportunités commerciales. L’alarme
suscitée par les médias concernant les pluies acides avait fourni
une base à une législation permettant de créer des marchés pour
l’achat et la vente de crédits d’excès de dioxyde de soufre
(SO2) et dioxyde d’azote, et le Projet 88 est devenu le Clean Air
Act de 1990.

Depuis
qu’Enron est devenu un acteur majeur du marché du SO2, cela a amené
cette société et d’autres à se demander… pourquoi ne pas faire
la même chose avec le CO2? Étant donné que le gaz naturel est
moins émetteur de CO2 que le charbon, ce développement changerait
certainement la rentabilité. Mais il y avait un problème.
Contrairement au SO2, le CO2 n’était pas un polluant, du moins pas à
l’époque, et l’EPA n’avait aucun pouvoir pour le réglementer.

Une
lettre datée du 1er septembre 1998, adressée au président Clinton
par Kenneth Lay, président d’Enron, lui demandait de «modérer
les aspects politiques» de la discussion sur le climat en nommant
une «commission du ruban bleu». Son intention était claire:
éliminer les mécréants de la crise climatique et couper le débat
à ce sujet. Auparavant, M. Lay avait eu des contacts directs avec la
Maison-Blanche lorsqu’il aurait rencontré le président Clinton et
le vice-président Gore le 4 août 1997 pour préparer une stratégie
américaine en vue du prochain sommet sur le climat de Kyoto en
décembre. Le protocole de Kyoto a présenté la première étape
vers la création d’un marché du carbone qu’Enron souhaitait
vivement que le Congrès soutienne.

Fin
1997, John Palmaisano, lobbyiste d’Enron, écrivait avec
enthousiasme à Kyoto: « S’il est appliqué, le [Protocole de
Kyoto] fera plus pour promouvoir les activités d’Enron que toute
autre initiative réglementaire autre que la restructuration des
industries de l’électricité et du gaz naturel en Europe et aux
États-Unis. L’approbation des échanges de droits d’émission a
été une nouvelle victoire pour nous… Cet accord sera bénéfique
pour le stock d’Enron !! »

Malheureusement
(pour Enron), cela ne devait pas être. Dans un rare esprit de
solidarité, le Sénat a adopté à l’unanimité (95-0) une
résolution bipartisane du Sénat américain Byrd-Hagel (S Res 98)
précisant que les États-Unis ne seraient signataires d’aucun
accord qui «entraînerait de nuire à l’économie des États-Unis ».
Le président Clinton, qui n’était pas étranger au pragmatisme
politique, a compris le message et n’a jamais soumis la demande
d’approbation nécessaire des États-Unis à la ratification du
Congrès.

Bien que
les États-Unis ne se soient jamais inscrits, le protocole de Kyoto a
été adopté en 1997 et est en vigueur depuis 2005. Les signataires
ont convenu de réduire leurs émissions de gaz à effet de serre par
rapport aux niveaux de 1990.

Et
comment cela a-t-il fonctionné? Eh bien, le Japon, qui avait promis
une réduction de 6%, a plutôt enregistré une augmentation de 7,4%
malgré 20 ans de stagnation économique; L’Australie, qui s’est
engagée à laisser le carbone n’augmenter que de 8%, a connu une
augmentation de 47,7%; les Pays-Bas, qui ont promis une réduction de
6%, ont enregistré des émissions supérieures de 20% à la fin de
2010; et le Canada, qui s’est engagé à réduire de 6%, a enregistré
une augmentation de 24%. Dans l’ensemble, l’UE a atteint son
objectif grâce principalement au marasme économique, à la
fermeture d’industries inefficaces de l’ère soviétique et à
l’exportation de la production industrielle à l’étranger pour
échapper aux pénalités de plafonnement et d’échange. À
l’instar du Canada, la Nouvelle-Zélande, la Russie et le Japon ont
maintenant renoncé à l’accord.

(….)

Leçons
de science politique du GIEC

En 2006,
l’Institut de recherche en politiques publiques (IPPR), un groupe de
réflexion qui soutient les réductions de CO2, a fourni une analyse
des circonstances entourant les débats sur le réchauffement
climatique qui se déroulaient au Royaume-Uni: « Le
changement climatique est caractérisé par un lexique incorporant un
ton urgent et des codes cinématiques. Il utilise un registre quasi
religieux de mort et de malheur et utilise un langage d’accélération
et d’irréversibilité.”
 Le IPPR a même qualifié
l’alarmisme concernant le climat comme du « climate porn »!

Mike
Hume, directeur du Centre britannique de recherche sur le changement
climatique, a reconnu que même si le changement climatique est réel
et que les êtres humains peuvent y contribuer, « nous devons
prendre une profonde respiration et faire une pause. Le langage de la
catastrophe n’est pas le langage de la science. »

La
situation épeurante sur le climat que les médias mondiaux martèle
allègrement vient du GIEC, un organe de l’ONU, organisation
hautement politisée qui n’effectue aucune recherche climatologique
originale. Au lieu de cela, il publie simplement des évaluations sur
la base d’enquêtes prétendument indépendantes et de recherches
publiées. Toutefois, certaines de ses conclusions les plus
influentes, résumées dans ses rapports, n’ont été ni fondées
sur des recherches véritablement indépendantes, ni correctement
validées par le biais de processus acceptés par les pairs.

Un
exemple est un rapport de 1996 du GIEC qui utilisait des données
sélectives, des graphiques falsifiés et des modifications de texte
apportées après l’approbation par les scientifiques de
l’évaluation et avant leur impression. Frederick Seitz, physicien
de renommée mondiale et ancien président de l’Académie nationale
des sciences des États-Unis, de l’American Physical Society et de
l’Université Rockefeller, a écrit dans le Wall Street Journal : « Je
n’ai jamais assisté à une corruption plus inquiétante que ce
processus d’évaluation par les pairs que les événements ayant
conduit à ce rapport du GIEC. ”

Plusieurs
dizaines de milliers de scientifiques ont officiellement protesté
contre les pratiques non scientifiques du GIEC. Certains critiques
incluent d’anciens alarmistes du changement climatique. James
Lovelock, un scientifique de renom, a prédit que la poursuite des
émissions de CO2 par l’homme entraînerait une calamité climatique.
En 2006, il a déclaré: « Avant la fin du siècle, des milliards
d’entre nous vont mourir et les quelques couples de reproducteurs qui
survivront seront dans l’Arctique, où le climat restera tolérable. »

Récemment,
cependant, il a manifestement réagi au réchauffement climatique en
tant que crise, reconnaissant à MSNBC qu’il avait exagéré le cas
et maintenant reconnu que: « nous ne savons pas ce que le climat
fait. Nous pensions savoir il y a 20 ans. Cela a conduit à des
livres alarmistes… le mien inclus… parce que ça avait l’air
évident… mais ce n’est pas arrivé. » Lovelock a souligné:
« Une vérité qui dérange » d’Al Gore et « The Weather
Makers » de Tim Flannery comme autres publications alarmistes.

Le
Dr. Fritz Vaherenholt, un des fondateurs du mouvement écologiste
allemand qui dirigeait la pision des énergies renouvelables de la
deuxième plus grande entreprise de services publics du pays, est un
autre ancien alarmiste du réchauffement climatique qui est
maintenant un critique acharné du GIEC. Son récent ouvrage
intitulé « Le soleil froid: Pourquoi le désastre climatique ne
se produira-t-il pas », dénonce le GIEC d’incompétence
flagrante et de malhonnêteté, notamment en ce qui concerne
l’exagération alarmante de l’influence climatique des émissions de
CO2 provenant de l’homme.

Vahrenholt
n’est pas le seul scientifique allemand important à avoir découvert
que les prévisions du GIEC sur le réchauffement planétaire sont
exagérées. Hans Joachim Schellnhuber, directeur de l’Institut de
recherche sur l’impact du climat de Potsdam, est également le
conseiller du gouvernement allemand en matière de protection du
climat. Schellnhuber a co-écrit un article réfutant la fiabilité
des modèles climatiques mondiaux sur lesquels étaient fondées
leurs prévisions alarmistes pour 2001, concluant que les tendances
en matière de gaz à effet de serre de CO2 étaient clairement
surestimées.

Schellnhuber
a récemment admis dans un discours à des experts agricoles que « des
températures plus chaudes et des concentrations plus élevées de
CO2 dans l’air pourraient très bien conduire à des rendements
agricoles plus élevés ».

Peter
Moore, cofondateur de Greenpeace, a déclaré lors de sa
comparution sur Fox Business News aux côtés de Stewart Varney en
janvier 2011, que les avantages d’un réchauffement planétaire, dans
la mesure où cela se produit pour une raison quelconque, sont
grandement sous-estimées: « Nous
n’avons aucune preuve que nous sommes la cause du réchauffement
climatique survenu au cours des 200 dernières années …
L’alarmisme nous pousse par des tactiques alarmistes à adopter des
politiques énergétiques qui vont créer une énorme quantité de
pauvreté énergétique chez les pauvres, ce n’est ni bon pour les
hommes, ni pour l’environnement … Dans un monde plus chaud, nous
pouvons produire plus de nourriture. »

Quand
on a demandé à Moore qui était responsable de la promotion de la
peur injustifiée et quelles étaient leurs motivations, il a
déclaré: « Une puissante convergence d’intérêts.
Des scientifiques à la recherche de subventions, des médias à la
recherche de titres, des universités à la recherche d’énormes
subventions, des institutions, des fondations, des groupes
environnementaux et des politiciens voulant faire croire qu’ils
sauvent les générations futures. Et tous ces gens ont convergé sur
cette question. »

S’il
ne fait aucun doute que la crise climatique artificielle génère des
industries scientifiques de plusieurs milliards de dollars et de
réglementation énergétique EPA, l’ONU a des objectifs beaucoup
plus ambitieux. Comme l’a dit Christine Stewart, alors ministre
canadienne de l’Environnement, devant les rédacteurs et les
journalistes du Calgary Herald en 1998, « Peu importe si
la science du réchauffement planétaire est fausse… le changement
climatique [fournit] la plus grande opportunité de rendre justice et
l’égalité dans le monde. « 

Et,
comme le reconnaît un responsable du GIEC, Ottmar Edenhofer, en
novembre 2010, « … il
faut se libérer de l’illusion que la politique climatique
internationale est une politique environnementale. Au lieu de cela,
la politique de lutte contre le changement climatique concerne la
manière dont nous redistribuerons de facto la richesse mondiale …
« 

(…)

Pensez
également aux paroles d’un discours prononcé par le président
français Jacques Chirac, qui
soutenait un objectif clé du protocole de Kyoto en Europe
occidentale: « Pour
la première fois, l’humanité instaure un véritable instrument de
gouvernance mondiale, qui devrait trouver sa place dans le monde.
L’Organisation pour l’environnement que la France et l’Union
européenne souhaiteraient voir instaurer. »

Les
rapports du résumé à l’intention des décideurs du GIEC proposent
des recommandations pour la répartition de la richesse et la
redistribution des ressources, y compris les économies régionalisées
(petites) afin de réduire la demande de transport, réorientant les
modes de vie de la consommation, le partage des ressources via la
copropriété et encourageant les citoyens à profiter de leur temps
libre.

[Traduction
partielle de l’article trouvé sur:

https://www.forbes.com/sites/larrybell/2013/01/22/the-u-n-s-global-warming-war-on-capitalism-an-important-history-lesson-2/#5f7c450229be

Global Warming Petition Project est une pétition lancée en 1998 qui a été signée par 31 487 scientifiques, dont plus de 9 000 titulaires d’un doctorat en science de l’atmosphère, sciences de la Terre, climatologie et environnement. Aucun de ces scientifiques hautement respectés n’acceptent la théorie du réchauffement climatique.




IRENE GROSJEAN dans « Les acteurs du Nouveau Monde » : une naturopathe exceptionnelle, (1° PARTIE)

GUERIR Toutes Les Maladies : Les 4 secrets ETONNANTS de Naturopathie Avec Irène Grosjean




Les mystères du Royaume de Shambhala

[Source : Le Savoir Perdu Des Anciens]

Shambhala,
qui est un mot sanskrit signifiant « lieu de paix » ou « lieu de
silence », est un paradis mythique dont parlent les textes anciens, y
compris le Tantra Kalachakra et les anciennes écritures de la culture
Zhang Zhung qui précédaient le bouddhisme tibétain dans le Tibet
occidental. Selon la légende, c’est une terre où seuls les coeurs purs
peuvent vivre, un lieu où règnent l’amour et la sagesse et où les gens
sont immunisés contre la souffrance, le besoin et la vieillesse.

On
dit que Shambhala est le pays aux mille noms. Elle a été appelée la
Terre Interdite, la Terre des Eaux Blanches, la Terre des Esprits
Radieux, la Terre du Feu Vivant, la Terre des Dieux Vivants et la Terre
des Merveilles. Les hindous l’appellent Aryavartha (‘La Terre des
Dignes’) ; les Chinois l’appellent Hsi Tien, le paradis occidental de
Hsi Wang Mu ; et les vieux croyants russes l’appellent Belovoyde. Mais
dans toute l’Asie, il est surtout connu sous son nom sanskrit,
Shambhala, Shamballa, ou Shangri-la.

Shambhala est décrite comme un paradis sur Terre.

La
légende de Shambhala remonte à des milliers d’années, et des références
à la terre mythique peuvent être trouvées dans divers textes anciens.
Les écritures Bön parlent d’une terre étroitement liée appelée
Olmolungring. Des textes hindous tels que Vishnu Purana mentionnent
Shambhala comme le lieu de naissance de Kalki, l’incarnation finale de
Vishnu qui inaugurera un nouvel âge d’or. Le mythe bouddhiste de
Shambhala est une adaptation du mythe hindou précédent. Cependant, le
texte dans lequel Shambhala est discuté pour la première fois en détail
est le Kalachakra.

Le
Kalachakra se réfère à un enseignement ésotérique complexe et avancé
pratiqué dans le bouddhisme tibétain. Le Bouddha Shakyamuni est dit
avoir enseigné le Kalachakra à la requête du roi Suchandra de Shambhala.

Comme
avec beaucoup de concepts duKalachakra, le Shambhala aurait des
significations intérieure, extérieure et alternative. La signification
extérieure comprend l’existence de Shambhala comme un lieu physique,
bien que seul les individus avec un karma approprié pouvaient
l’atteindre et l’expérimenter comme tel. Les significations intérieure
et alternative se réfèrent aux compréhensions plus subtiles de ce que
Shambhala représente pour le corps et l’esprit d’une personne
(intérieure), et durant la pratique de la méditation (alternative). Ces
deux types d’explications symboliques sont généralement transmis de
maître à élève.

Comme
l’a fait remarqué le 14ème Dalaï Lama durant l’initiation au Kalachakra
de 1985 à Bodhgaya,  Shambhala n’est pas un pays ordinaire :

« Bien
que ceux avec une affinité spéciale puisse effectivement y aller par
leur connexion karmique, il ne s’agit pourtant pas d’un lieu physique
que nous pouvons réellement trouver. Nous pouvons seulement dire qu’il
s’agit d’une terre pure, une terre pure dans le monde humain. Et à moins
que la personne en ait le mérite avec l’association karmique
correspondante, personne ne peut y accéder. 
 »

Une représentation bouddhiste de Shambhala du monastère de Sera (collection privée)

La prophétie de Shambhala

Le
concept de Shambhala joue un rôle important dans les enseignements
religieux tibétains, et revient fréquemment dans la mythologie tibétaine
à propos du futur. Le Kalachakra prophétise la détérioration graduelle
de l’humanité alors que l’idéologie du matérialisme se répand à travers
le monde. Lorsque les « barbares », suivant cette idéologie, se sont
unis derrière un roi démoniaque et pensent qu’ils ne restent plus rien à
conquérir, le brouillard se dissipera pour révéler les montagnes
enneigées de Shambhala. Les barbares tenteront de conquérir Shambhala
avec une grande armée équipée d’armes terribles. Le roi de Shambhala
émergera alors de Shambhala avec une grande armée pour vaincre les
« forces obscures » et amener un nouvel âge d’or.

Bien
que le Kalachakra prophétise une guerre future, cela semble apparaître
en contradiction avec les vœux des enseignements bouddhistes
décourageant la violence. Certains théologiens ont ainsi interprété la
guerre symboliquement – le Kalachakra ne parle pas de violence contre
des personnes mais se réfère plutôt à la bataille intérieure du
pratiquant religieux contre les tendance démoniaques extérieures.

La localisation cachée de Shambhala

Au
cours de nombreux siècles, beaucoup d’explorateurs et de chercheurs de
sagesse spirituelle se sont engagés dans des expéditions et des quêtes à
la recherche du paradis mythique de Shambhala. Tandis que beaucoup ont
affirmé y être allé, personne n’a pu encore fournir une preuve physique
de son existence ou n’a pu indiquer sa localisation physique sur une
carte. Beaucoup placent cependant Shambhala dans les régions
montagneuses d’Eurasie.

Les
anciens textes Zhang Zhung ont identifié Shambhala à la vallée de
Sutlej dans le Punjab ou l’Himachal Pradesh en Inde. Les Mongols
identifient Shambhala à certaines vallées du Sud de la Sibérie. Dans le
folklore de l’Altaï, le mont Belukha est vu comme la passe vers
Shambhala. Les érudits bouddhistes modernes  semblent conclure que le
Shambhala est situé dans hauteurs de l’Himalaya dans ce qui semble
maintenant être les montagnes Dhauladhar autour de Mcleodganj. Certaines
légendes avancent que l’entrée de Shambala est cachée à l’intérieur
d’un monastère reculé et abandonné au Tibet, gardé par des êtres connus
comme les gardiens de Shambhala.

Selon les traditions bouddhistes, Shambhala est situé dans les montagnes de l’Himalaya.

Pour
certains, le fait que Shambhala n’ait jamais été retrouvé a une
explication très simple – beaucoup croient que Shambhala se trouve à la
limite même de la réalité physique, comme un pont reliant ce monde à un
au-delà.

Bien
que beaucoup ne considèrent pas Shambhala comme le sujet fantastique du
mythe et de la légende, pour d’autres, une croyance en Shambhala
éveille un désir intérieur qui les pousse à trouver un jour ce royaume
utopique.

Source : Ancient Origins

Traduction : © Le Savoir Perdu Des Anciens




Le féminisme est une maladie et la masculinité est en le remède.

[Source : Le Saker Francophone]

Le
féminisme est une maladie


et la masculinité est en le remède. [NdNM: en conjonction avec la féminité]


Par Brandon Smith − Le 25 janvier 2018 − Source Alt-Market.com


De
nos jours, il semble que tout le monde jusqu’à la grand-mère
gender-fluide a une vision 
« profonde » de
l’esprit et du monde des hommes. Les médias parlent des hommes et
de la masculinité avec des tons aigus de peur mêlés de mépris,
comme si nous étions une dangereuse anomalie génétique aberrante
qui doit être étudiée sous un microscope spécial qui protégera
l’observateur d’être influencé par nos phéromones
vitrioliques. Le problème est que la plupart de ces 
« experts » de
la virilité ne sont pas du tout des hommes, ou que leurs
observations du comportement masculin sont teintées de ressentiments
profondément enracinés. C’est-à-dire qu’ils ne sont guère
objectifs.

J’ai récemment lu un article de The Atlantic intitulé « La psychologie a une approche plus saine pour bâtir des hommes en meilleure santé ». Écrit peu de temps après l’échec embarrassant de la campagne publicitaire « Masculinité toxique » de Gillette, je suppose que The Atlantic, comme beaucoup d’autres médias grand public, tente de rallier les troupes de gauche pour défendre un partenaire idéologique dans ce crime. YouTube lui-même a aidé Gillette en supprimant les pouces négatifs du décompte des votes de la vidéo, ce qui prouve que YouTube (propriété de Google) n’est pas une entreprise mais une machine de propagande, pure et simple.

Comme je l’ai noté dans des articles précédents sur la psychologie non seulement des globalistes, mais aussi des idiots utiles de la gauche politique qu’ils aiment exploiter, ce genre de personnes présentent souvent plusieurs des traits des sociopathes narcissiques. J’ai observé que les sociopathes narcissiques ont tendance à venir en aide aux autres sociopathes narcissiques lorsqu’ils font face à leurs dévoilements ou à des poursuites. Ils ne sont pas aussi isolés les uns des autres que beaucoup le supposent. En fait, ils « s’organisent » et agissent pour s’entraider tant qu’ils en tirent un avantage mutuel. Si un vampire est traqué par les villageois avec leurs fourches, ils savent que TOUS les vampires pourraient éventuellement être pourchassés.

Il
n’y a rien de particulier dans l’analyse de The
Atlantic
 sur
les hommes ; elle ne fait que régurgiter toutes les idées fausses
et les erreurs typiquement féministes, mais plus subtilement et
d’une manière qui pourrait sembler « rationnelle » aux
personnes non-éduquées.

Je
demande aux lecteurs d’étudier l’article, car c’est un exemple
parfait du genre de propagande avancée à laquelle les hommes sont
confrontés : Le dangereux mélange de pseudoscience et de cultisme.
Il se présente comme un article scientifique, mais n’a aucun
fondement scientifique. Il se présente comme juste tout en étant
idéologiquement biaisé à l’extrême. Cette propagande agit comme
si elle voulait « aider » les
hommes tout en les traitant comme si ils souffraient d’une maladie
mentale appelée « masculinité
traditionnelle »
.

Le fait est que le féminisme lui-même est tellement déconnecté de la réalité observable que presque tous les points de vue adoptés par le mouvement chancelant sont exactement le contraire de la vérité. Souvent, c’est par dessein. Ces personnes ne sont pas intéressées à être scientifiquement ou moralement correctes autour d’un argument, elles veulent seulement « gagner » au sujet d’un argument par tous les moyens nécessaires. La méthode de débat et de révolution du Gardien de la gauche Saul Alinsky a toujours été de supprimer toute morale et tout principe lorsqu’il s’agissait de promouvoir une idéologie. Le but est de calomnier votre adversaire de la manière la plus efficace, même si la calomnie est entièrement frauduleuse, tout en évitant à tout prix les faits si les faits ne sont pas en votre faveur.

Cela
dit, je pense aussi que les guerriers de la justice sociale se sont
tellement plongés dans leur culte et le zèle qu’ils y mettent
qu’ils ont vraiment perdu de vue le monde réel et les preuves
concrètes. Dans bien des cas, ils ne comprennent même pas que les
mensonges qu’ils promeuvent repoussent le public plutôt que de
l’endoctriner. Cela fonctionne à notre avantage ; leurs illusions
sont à notre avantage, pour l’instant. Mais les illusions peuvent
être puissantes, et elles peuvent parfois prendre une vie en main.
Et si un jour, les mensonges sur les hommes et la masculinité
s’enracinaient à tel point que notre société serait prise de
force par une religion anti-homme ?

Eh
bien, nous pouvons déjà voir certains des dégâts faits
aujourd’hui. Alors, c’est quoi ces mensonges sur la masculinité
? Pourquoi ne pas commencer par le titre suggestif et le contenu
manipulateur de l’article sur The
Atlantic

Les
hommes doivent être 
« construits » ou « modelés » ?

Le
culte de la justice sociale est obsédé par le modelage de la
société. Il ne s’agit pas seulement de façonner l’opinion
publique à grande échelle, mais de façonner chaque individu selon
une norme idéologique spécifique – un engrenage parfait dans
une machine parfaite. Ils veulent le contrôle total du spectre de
l’esprit des gens et ils feraient n’importe quoi pour l’obtenir.
Le problème est que les hommes ne sont pas « construits »,
ils naissent. Il n’y a pas de « masculinité
traditionnelle »
,
il n’y a que la masculinité biologique.

Le cerveau des hommes et des femmes est différent. C’est un fait biologique. Nous ne sommes pas seulement différents en termes d’effets hormonaux, mais notre cerveau fonctionne différemment au niveau neurologique. La cabale de la justice sociale consacre énormément de temps et d’énergie à tenter de nier les réalités génétiques à l’aide d’une pseudo-science présentée comme factuelle. Un petit conseil pour les féministes : Si un groupe entreprend une étude avec un résultat préconçu à l’esprit, alors son étude n’est en aucun cas scientifique.

Les
traits masculins sont le produit de nos impératifs biologiques. Ces
impératifs se manifestent psychologiquement chez la majorité des
hommes comme un désir de protéger, de fournir et de laisser un
héritage durable. Ces normes masculines sont principalement innées,
elles sont le produit de millions d’années d’évolution, et non
un produit arbitraire de la « société » comme
le prétendent les féministes. La masculinité a toujours été une
nécessité de survie pour l’humanité, c’est pourquoi elle
existe.

Ce
n’est que depuis une trentaine d’années que la virilité
biologique a soudainement été traitée comme une anomalie, ou
contre nature.

Les
mécanismes masculins sont des 
« constructions
sociales »
 ?

Les pulsions biologiques inhérentes à la plupart des hommes conduisent à certains comportements : Par exemple, nous avons tendance à être plus susceptibles que les femmes de prendre des risques qui mettent notre vie en danger ou qui changent notre vie, ce qui signifie que nous pouvons faire quelque chose d’assez stupide, ou que nous pouvons faire quelque chose de plutôt brillant qui améliore notre monde pour de nombreuses années à venir. Beaucoup d’hommes sont constamment en train de jouer dans tous les aspects de la vie ; les femmes, pas tant que ça. Leur plus grand pari dans la vie est généralement l’homme avec qui elles choisissent de la passer.

Pour
faire survivre leur héritage génétique, les hommes cherchent
souvent à construire une meilleure « souricière ».
Ils veulent créer quelque chose sur lequel ils peuvent mettre leur
empreinte et dire « J’ai
ajouté au monde, je l’ai amélioré, souvenez-vous de moi… ».
 Les
femmes sont plus enclines biologiquement à développer leur héritage
par l’éducation des enfants et de la famille (d’où
cette« horloge
biologique »
 dont
nous entendons souvent parler).

Les
hommes désirent aussi une famille, mais d’abord et avant tout dans
le sens du maintien de leur lignée génétique. La préoccupation
pour le sexe a été présentée comme l’une des « offenses » qui
définissent les hommes en général, mais biologiquement, les hommes
sont conçus pour transmettre, et franchement, c’est une nécessité.

Les taux de testostérone chez les hommes à l’Ouest sont en forte baisse depuis au moins les 30 dernières années. La source de ce problème fait l’objet d’un débat, mais je signale que les médicaments psychotropes comme les antidépresseurs sont bien établis comme étant des tueurs de testostérone. La Ritaline, prescrite aux garçons par millions aujourd’hui pour le TDAH afin de supprimer ce qui pourrait autrement être décrit comme un comportement hyperactif masculin normal, a également été associée dans certaines études à une réduction de la testostérone et à une interférence dans la puberté. Enfin, les opioïdes ont également été identifiés comme responsables de la réduction de la testostérone. Alors que les États-Unis sont plongés dans une crise d’opioïdes, est-il étonnant que les garçons aient tant de mal à se transformer en hommes ?

Je
citerais l’idéal féministe de contrôler le comportement masculin
(souvent avec des drogues) comme faisant partie du problème.
Combinez cela à la diabolisation de la masculinité dans la société
et vous avez une recette pour l’effondrement de la civilisation
telle que nous la connaissons. Les résultats deviennent très
visibles.

Alors que la propagande féministe présente souvent les femmes comme les nouvelles égéries de la « transmission » et les arbitres de toute activité sexuelle à notre époque moderne (le mensonge du renversement des rôles), les résultats sur des hommes moins confiants et agressifs deviennent évidents. En Occident et dans des pays comme le Japon où l’influence occidentale est forte, l’admonestation de la virilité masculine a apparemment eu des conséquences extrêmes. La population n’est plus reconstituée et certains pays connaissent même des déclins abrupts.

Dans
les sociétés où l’idéologie de gauche a produit un féminisme
militant ainsi qu’un socialisme économique, l’ironie des
conséquences ne peut être niée. Dans le socialisme, une population
vieillissante a besoin d’un remplacement de plus en plus important
par des jeunes afin de soutenir économiquement ceux qui prennent
leur retraite, mais la réduction de la population a créé un vide
croissant dans ce cadre socialiste. En réponse, les gauchistes de
ces pays ont suggéré une immigration massive pour résoudre le
problème. Pourtant, une grande partie de cette immigration provient
de cultures orientales qui ont des croyances totalement contraires
aux idéaux féministes.

La
dérision féministe sur la masculinité les a amenées à importer
les « cultures
du viol »
dont
elles accusaient à l’origine les hommes occidentaux d’être les
perpétrateurs. C’est normal d’en rire, je sais que je devrais.

Ce
n’est que dans un cadre politiquement socialiste et collectiviste
que les gens peuvent survivre sans une présence masculine forte.
Supprimez une économie de consommation où la production a été
mise de côté, supprimez les programmes d’aide sociale et
d’admissibilité, supprimez l’État fournissant une aide sociale
extrême et forcez les gens à être autonomes, et toutes ces
absurdités féministes iront directement à la poubelle. Lorsque le
système ne fournit plus tous les services, les gens se tournent
toujours vers les hommes et la masculinité pour sauver la situation.

La
masculinité est malsaine ?

Les
faits suggèrent que nous devrions renverser complètement cette
affirmation et dire que la masculinité est entièrement naturelle et
que le féminisme est malsain. Le féminisme est une maladie, et la
masculinité est le remède. [Avec
la féminité, NdT].

Comme
nous l’avons mentionné plus haut, contrairement au féminisme, la
masculinité n’est PAS une construction sociale ou une idéologie,
c’est une réalité biologique inhérente. Ce que les féministes
présentent souvent comme des comportements « malsains » dans
la masculinité sont simplement fabriqués ou exagérés, et je parle
d’une perspective occidentale en particulier.

Alors que les hommes sont conçus pour être plus agressifs sexuellement, il n’y a pas de « culture du viol » dans la société occidentale. Nulle part dans le monde occidental, le viol n’est considéré comme acceptable. Il n’est protégé par la loi nulle part. Le mouvement #MeToo est une autre initiative de propagande qui vise à isoler des actions criminelles de quelques hommes choisis et à les généraliser à TOUS les hommes et à la masculinité en général. Le mensonge de la culture du viol est promu par des statistiques fausses et truquées. Le fait qu’une grande partie des abus sexuels signalés sont perpétrés par des femmes est également ignoré. Il est clair que le viol n’est pas le domaine exclusif de la masculinité.

Au-delà
du mensonge selon lequel « tous
les hommes violent »
,
l’énergie masculine et l’agressivité sont réprimandées comme
laides et perturbatrices. Tout le monde sait bien sûr que les hommes
sont des sauvages.  Mais après une longue journée de viols,
comment pourrions-nous avoir l’énergie de sortir à la recherche
d’un approvisionnement régulier en bagarres ? Apparemment, nous le
faisons selon les féministes, et nous encourageons nos fils à faire
de même, ce qui perpétue le cycle de violence qui sévit dans le
monde.

En
vérité, l’agressivité masculine est canalisée dans de
nombreuses choses saines qui aident la société. L’avantage
concurrentiel pousse les hommes à accomplir plus – à
réussir. Et même si, dans certains cas, il peut s’agir d’une
poursuite égoïste, d’autres en profitent encore, car les hommes
continuent à produire et à construire. En termes de violence
physique, les hommes sont biologiquement évolués pour protéger et
pourvoir aux besoins des autres. Le problème n’est pas les hommes
ou la masculinité, mais une minorité d’hommes ET de femmes avec
des tendances narcissiques et sociopathes inhérentes.

À moins
que je n’aie manqué quelque chose, le monde est encore un endroit
très dangereux à cause d’une minorité de psychopathes. Les
hommes à caractère protecteur seront toujours nécessaires pour se
défendre contre une telle criminalité. Le féminisme cherche en
fait à diminuer les traits très masculins qui rendent la société
plus sûre et plus équilibrée.

La
masculinité est le remède

Le monde occidental dans son ensemble est en train de devenir un endroit très malheureux. Le suicide masculin est en hausse, mais n’oublions pas à quel point le féminisme nuit aussi aux femmes. Alors que les hommes sont plus susceptibles de réussir à se suicider, les femmes sont plus susceptibles de faire des tentatives. Même dans le sillage du mouvement pour les droits des femmes, le bonheur des femmes n’a cessé de chuter.

Je
dirais que c’est en fait le féminisme et le culte de la justice
sociale qui ont causé la misère des deux sexes en les éloignant de
leur rôle biologique. Les hommes ne sont plus censés être des
pourvoyeurs et des protecteurs, et leur énergie naturelle est
attaquée comme destructrice pour la société. Les femmes ne sont
plus censées nourrir les gens avec des instincts de nidification et
un désir d’enfants ; elles sont censées abandonner tout cela pour
assumer les rôles des hommes. La perte de nos impératifs
biologiques nous conduit à la dépression, au suicide et à la chute
de notre civilisation.

La
seule solution qui me vient à l’esprit est que les hommes
recommencent à se comporter comme des hommes, qu’ils s’organisent
même autour de la masculinité et qu’ils s’appuient mutuellement
dans leurs efforts pour atteindre leurs objectifs. Nous devons
revenir à nos racines en tant que producteurs, fournisseurs,
constructeurs et protecteurs et nous devons faire en sorte de le
faire pour les bonnes raisons plutôt que pour celles que nous donne
l’establishment.

Si
vous-vous demandez pourquoi de nombreux gouvernements se sont
intéressés aussi activement à soutenir les objectifs féministes
et, dans certains cas, à transformer leur idéologie en loi,
considérez ceci :

La
masculinité peut être indépendante, indisciplinée et agressive.
Une société dans laquelle la masculinité prospère est une société
plus difficile à gouverner. Une société qui a fait de la
masculinité un tabou serait plus facile à dominer. Les
gouvernements socialistes en particulier soutiennent le féminisme
parce qu’il sert leurs intérêts – maintenir les gens
dociles et dépendants pour que l’élite dirigeante soit toujours
sûre dans ses positions de pouvoir.

Mais que se passerait-il si la masculinité était à nouveau célébrée ?  Et si les hommes s’organisent comme les féministes sont organisées en groupes qui favorisent la résurgence de la masculinité en tant qu’élément naturel d’une société équilibrée ? Cela pourrait aider non seulement les hommes, mais aussi les femmes qui ont été infantilisées à tort par le mouvement féministe pendant des décennies. Et si la politique victimaire était finalement et complètement abandonnée comme une blague sans humour ou un mème ayant largement passé son apogée ? Ce serait un véritable cauchemar pour les féministes et un remède potentiel qui pourrait éventuellement inverser les dommages causés par leur idéologie.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par Cat pour le Saker Francophone




Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?

[Source : Le Saker Francophone]

Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?

Le grand défi du goulot d’étranglement de Sénèque

Par Ugo Bardi – Le 3 mars 2019 – Source CassandraLegacy

L’idée qu’un effondrement attend notre civilisation semble gagner du terrain, même si elle n’a pas atteint le débat dans les médias. Mais aucune civilisation avant la nôtre n’a échappé à l’effondrement, il est donc logique de penser que l’entité que nous appelons « Occident » va s’effondrer, durement, dans l’avenir. Puis, comme cela est arrivé aux Romains il y a longtemps, nous allons entrer dans un nouveau monde. Qu’est-ce que ce sera ? Est-ce que ça ressemblera au Moyen Âge ? Peut-être, mais qu’était exactement le Moyen Âge ? Il se peut bien que ce soit loin d’être l’âge de la barbarie que le nom d’« âge des ténèbres » semble impliquer. Le Moyen Âge a été plus une période d’adaptation intelligente à des ressources rares. Alors, pouvons-nous apprendre de nos ancêtres médiévaux comment gérer le déclin à venir ?

Lorsque les mines d’or et d’argent du nord de l’Espagne furent épuisées, à un moment du IIe siècle après J.-C., l’Empire romain perdit son principal atout : sa monnaie, l’argent utilisé pour payer les troupes, la bureaucratie, la cour, les nobles et tout le reste. Car sans argent, il n’y avait rien qui pouvait maintenir l’Empire soudé. Après le grand crash financier du IIIe siècle après J.-C., l’Empire romain d’occident s’est évanoui dans une galaxie de micro-états et de royaumes. Au 5e siècle, l’Europe entrait officiellement dans la période que nous appelons le Moyen Âge et cela allait durer environ un millénaire.

Aujourd’hui, nous avons tendance à considérer le Moyen Âge comme une période de barbarie et de superstition, un âge vraiment sombre de chasses aux sorcières et de guerres de religion. Mais sommes-nous sûrs qu’il en était ainsi ? En fait, le Moyen Âge a été une période d’adaptation intelligente au manque de ressources, une société qui pourrait anticiper ce que nous verrons peut-être dans notre avenir.

Tout d’abord, les peuples du Moyen Âge ont été confrontés au problème du manque de monnaie. Sans monnaie, il ne peut y avoir de commerce, il ne peut y avoir de gouvernement, et l’économie est réduite aux échanges locaux, ce qui est très inefficace. La monnaie romaine était basée sur l’or et l’argent, mais les mines finirent inondées [jusqu’à l’invention de la machine à vapeur et les pompes, NdT] et abandonnées, le métal précieux de l’Empire était soit parti en Chine [déjà, NdT], soit  enseveli à la suite d’une phase mortelle de déflation. Il n’y avait aucun moyen de redémarrer avec un système monétaire basé sur le métal.

Ici, nous voyons la première invention intelligente des gens du Moyen Âge : ils ont créé une monnaie virtuelle basée sur des reliques. Les reliques n’avaient pas besoin d’or ou d’argent, il s’agissait surtout d’ossements humains que l’Église, agissant comme une banque, garantissait avoir appartenu à un saint homme du passé. Cela a assuré la rareté et la valeur de la monnaie basée sur les reliques. Les reliques ont également résolu un problème fondamental : la convertibilité. Toute monnaie, pour être utile, doit pouvoir être changée en marchandises d’une sorte ou d’une autre. L’économie s’étant effondrée, il y avait peu de biens à acheter avec n’importe quelle devise. Mais les reliques pourraient être rachetées en termes de santé physique et spirituelle personnelle. Cela rendait les gens désireux de les avoir autant, peut-être plus, que d’être à la recherche d’or et d’argent.

Si les reliques ont résolu le problème de la monnaie, une économie a aussi besoin de routes, les marchandises doivent être transportées. Nous savons que le système romain de routes militaires s’est en grande partie effondré au Ve siècle, comme nous le raconte Namatianus dans son De Reditu Suo. Et, avec la disparition de l’État romain, il n’y avait plus de ressources ni de besoins militaires pour l’entretien des routes. Nous avons ici une autre invention astucieuse du Moyen Âge : les pèlerinages. Les gens voyagaient dans toute l’Europe et même plus loin pour vénérer les reliques les plus précieuses conservées dans les églises et les monastères. On disait que les pèlerinages étaient bons pour la santé spirituelle et le bien-être d’une personne, mais qu’ils permettaient aussi une forme d’économie non monétarisée. Les pèlerins avaient besoin de nourriture et d’abris, et cela a généré tout un système de soutien pour les voyageurs, les monastères, les hôtels, les abris, etc. Les seigneurs locaux ont été encouragés à entretenir les routes qui traversaient leurs domaines, toujours pour le prestige qu’ils pouvaient acquérir en favorisant les pèlerinages et la circulation des marchandises.

Alors, bien sûr, le commerce peut prendre la forme d’un pèlerinage, mais si les gens voyagent et échangent des choses, ils ont besoin de se parler entre eux. Ici, nous avons un autre succès du Moyen-Âge : les gens de l’époque ont réussi à maintenir le latin en tant que « lingua franca » européenne. Ce n’était pas la langue de tout le monde, mais un moine irlandais pouvait converser en latin avec un moine sicilien. Cela a empêché l’Europe de devenir un Babel de langues ingérable (toute référence à l’état actuel de l’Union européenne est intentionnelle). Le latin maintient les communications ouvertes et permet non seulement le commerce, mais aussi les relations diplomatiques entre les différents États et les micro-États.

Garder le latin, bien sûr, c’est garder les codes du droit romain et, par conséquent, maintenir l’État de droit, l’une des plus grandes conquêtes de la civilisation romaine. Ah… mais vous pensez à la chasse aux sorcières, n’est-ce pas ? Les gens du Moyen Âge consacraient-ils tout leur temps à brûler de pauvres femmes ? Non, cela fait partie de la mauvaise presse autour du Moyen Âge. Les sorcières n’ont pas été brûlées au Moyen Âge. Regardez les données d’un article récent de Leeson et Russ. Vous voyez que les procès et les exécutions de sorcières étaient pratiquement inexistants au Moyen Âge. L’idée a surgit à un moment donné vers la fin du 15ème siècle. L’apogée se situe au début du XVIIe siècle – l’époque de la chasse aux sorcières était la soi-disant et, oh, si civilisée « Renaissance ».

L’utilisation du latin comme lingua franca, mais aussi comme langue sacrée, visait à créer un corps d’intellectuels européens, faisant partie d’un réseau de monastères, tous gérés par l’Église romaine, et qui maintenait vivant le savoir qui avait été recueilli pendant l’Antiquité classique. Mais ne brûlait-on pas des livres au Moyen Âge ? Eh bien, non. Brûler des livres n’était pas une affaire particulièrement médiévale – vous pouvez voir dans l’article de Wikipedia sur le sujet que brûler des livres est surtout une affaire moderne. De plus, les livres écrits à la main coûtaient si cher que personne de sain d’esprit n’aurait voulu s’engager à les brûler.

Enfin, le Moyen Âge a vu un effort pour contrôler la violence de l’armée. À l’époque romaine, les soldats se battaient parce qu’ils étaient payés, ce qui permettait au gouvernement de contrôler étroitement l’armée. Mais, avec la disparition de la monnaie, les armées ont commencé à se battre pour piller, créant toutes sortes de catastrophes. L’une des tentatives pour les contrôler fut la création d’ordres militaires de moines guerriers. Au début du christianisme, l’idée a pris la forme de la milice du Parabalanoi. Ils se sont avérés indisciplinés et violents, entre autres choses, ils auraient tué l’intellectuelle païenne Hypathie en 415 de notre ère. Ils ont été dissous et ont disparu de l’histoire après le 6ème siècle environ. Plus tard, des ordres militaires ont été créés à la fin du Moyen Âge et employés principalement pour les Croisades, après l’an 1000. Les Chevaliers Teutoniques, les Templiers, les Chevaliers de l’ordre des Hospitaliers, et plusieurs autres, se sont avérés peu efficaces en tant que force de combat et difficiles à contrôler également. C’était une bonne tentative, mais celle-ci a échoué.

Enfin, la société médiévale a essayé de réduire l’oppression des pauvres et des gens comme Saint-Benoît et Saint-François d’Assise ont clairement indiqué que la richesse matérielle n’était pas le seul but à poursuivre. Le Moyen Âge n’a jamais été un paradis prolétarien, mais l’inégalité était probablement plus faible qu’elle ne l’est dans notre société actuelle. C’était aussi une époque où l’égalité entre les sexes était bien meilleure qu’à l’époque romaine.

Puis, bien sûr, nous savons comment cela s’est terminé : avec la grande expansion économique qui a suivi la peste noire en Europe, la monnaie est revenue avec la découverte de nouvelles mines d’argent en Europe de l’Est : le culte médiéval des reliques est devenu une superstition amusante. Désormais, les armées pouvaient être payées de nouveau avec de la monnaie métallique et envoyées à la conquête du monde que les nouveaux galions européens étaient en train de découvrir. L’invention de l’imprimerie a créé les langues nationales et mis fin à jamais au rôle du latin en tant que langue internationale. Les langues nationales ont également créé des États-nations, des entités agressives et puissantes qui dominent encore aujourd’hui l’Europe. Et cela a créé le monde d’aujourd’hui : agressif, violent, destructeur, insoutenable, et se précipitant à la vitesse la plus rapide possible vers sa propre destruction – l’effondrement de Sénèque de notre civilisation.

Qu’en est-il de notre avenir : peut-on imaginer un retour à quelque chose de semblable au Moyen Âge, le « Nouveau Moyen Âge » ? Il s’agit d’un concept largement débattu, souvent perçu en termes fortement négatifs parce que les gens voient encore le Moyen Âge historique comme un « âge sombre ». Plus que cela, la plupart des gens aujourd’hui semblent trouver inconcevable qu’une société complexe puisse exister à l’avenir sans combustibles fossiles. De ce point de vue, tout ce qui sortirait de l’effondrement à venir serait quelque chose comme « des paysans gouvernés par des brigands » ou, pire encore, un nouveau monde Olduvai de chasseurs et de cueilleurs affamés, voire l’extinction totale de l’humanité.

Peut-être. Mais il se peut aussi que cette attitude pessimiste soit tout aussi erronée que l’incapacité des Romains à concevoir une société quelconque sans Rome comme capitale d’un empire. Rutilius Namatianus a écrit quelque chose comme ça dans son De Reditu, au début du 5ème siècle après JC. Mais il avait tort, l’exemple du Moyen Âge nous dit qu’il est possible de garder une civilisation sophistiquée malgré le manque de ressources matérielles disponibles.

Il est probable que l’ancien monde ne puisse plus être sauvé, et probablement qu’il ne mérite pas de l’être. Mais, même sans les abondantes ressources minérales que nous avons utilisées pour créer notre situation actuelle, nous pourrions sortir du goulet d’étranglement de Sénèque et construire une société durable basée sur au moins une partie des connaissances scientifiques et littéraires actuelles en utilisant des énergies renouvelables et grâce à une gestion prudente des ressources minérales restantes de la Terre – exploiter nos ruines pourrait aussi aider, tout comme les peuples médiévaux l’ont fait pour les ruines romaines.

Nous ne pouvons pas dire si nos descendants seront capables de créer un tel monde, mais ils auront une meilleure chance si nous les aidons. Cela signifie qu’il faut semer les graines d’une infrastructure d’énergie renouvelable basée sur des ressources durables, et commencer à le faire avant que le changement climatique ne détruise tout. Nous pouvons le faire, mais nous devons commencer maintenant.

Après avoir écrit ce post, je viens de découvrir un post de 2013 sur « American Conservative » sur le monachisme chrétien qui a été commenté aujourd’hui même par Alastair Crooke. Il semble que l’idée que nous pouvons apprendre quelque chose du Moyen Âge se répand.

Ugo Bardi

Lien

Le texte d’Alastair Crooke a été traduit et commenté par dedefensa.

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone