Pas ou peu de Covid dans les pays du paludisme

[Source : Maurizio Blondet]

C’est un fait : dans les régions du monde où le paludisme fait rage, le coronavirus est absent.

L’endémicité est très élevée en Asie du Sud-Est, très élevée en Afrique équatoriale (mais pas en Afrique du Sud qui est tempérée), au nord du Brésil et au sud du Mexique, en Guyane française, en Amérique centrale. Dans les régions voisines, comme Cuba, la lutte contre le plasmodium est une tradition de santé.

Les gouvernements eux-mêmes conseillent et paient leur personnel pour les médicaments antipaludiques, parmi lesquels la chloroquine et ses dérivés sont massivement présents, bien que la résistance du plasmodium à ce vieux médicament ait été signalée.

Il est utile de savoir que la recherche, pour lutter contre la résistance de l’agent antipaludique à ces médicaments, a repris pour s’intéresser à l’artémisine, un extrait d’Artemisia annuel déjà connu pour ses propriétés de prévention du paludisme depuis les années 1970, et associé à l’amélioration de ses effets avec un antipaludique synthétique, méfloquine ou, oui, hydroxychloroquine ou similaire, même l’ancienne quinine (nom commercial Quinimax). En fait: depuis 2001, l’artemisiathérapie combinée (ACT) est le seul traitement recommandé par l’Organisation mondiale de la Santé.

Cependant, les Français opérant dans les régions tropicales paludéennes prescrivent encore (et adoptent pour eux-mêmes) la chloroquine (Novaquine) comme prophylaxie.

Presque tous les antipaludiques utilisés (à l’exception de la doxycycline, un antibiotique) sont aussi des vermifuges antiparasitaires, tous massivement ingérés par les populations de la zone marécageuse; comme l’ivermectine, « un vieux médicament utilisé pour un large éventail d’infections parasitaires et, ces dernières années, avec des indications potentielles plus larges, s’est avéré efficace pour réduire la charge virale de 99,98 % en 48 heures dans les cellules de culture in vitro infectées par le SRAS-CoV2 » (ARS Toscana).

L’exemple de l’Afrique du Sud est significatif – il n’y a pas de paludisme (à l’exception de certaines régions du Natal) et on n’utilise pas de chloroquine : il compte un nombre de décès Covid pour 1 000 000 habitants comparable à l’Europe, soit dix fois plus que dans les pays marécageux plus septentrionaux.

Aucun pays de la ceinture du paludisme en Afrique ne compte plus de 5 ou 6 décès Covid pour 100 000 habitants. En Amérique du Sud, le paludisme n’existe pratiquement pas ou n’existe plus que dans quelques pays, et il n’y a pas de médecins qui contestent l’interdiction de l’hydroxychloroquine sanctionnée par l’OMS… En conséquence, le record appartient au Mexique avec le même taux de mortalité que la France, 89 pour 100 000 habitants. La Colombie échappe le plus souvent au paludisme mais pas à la Covid (77 décès pour 100 000 habitants, la même chose pour le Pérou (114). Il n’y a pas de paludisme au Chili, mais pour la Covid 84 décès pour 100 000.

Au Mexique, le contraste entre Mexico sans paludisme (et sans chloroquine) et la région du Chiapas en dit long. Ce dernier semble immunisé contre la Covid. La population combine antipaludique et distribution massive d’ivermectine…

Chiapas (jaune) a distribué de l’ivermectine. Aucun autre État mexicain ne l’a fait.

Les régions impaludées d’Amérique centrale ? Haïti en mauvaise santé, 2 décès pour 100 000 habitants. Cuba 1,2. Venezuela 3. Les autres pays ont encore deux à trois fois moins de décès Covid que le Mexique voisin : Honduras 30, Belize 47, Costa Rica 37, République dominicaine 22, El Salvador 18, Guyana 18, Guatemala 25.

L’Asie du Sud-Est présente plus d’un mystère :

  • Taïwan: 0,03
  • Vietnam: 0,04
  • Thaïlande: 0,09
  • Myanmar: 4.10
  • Malaisie: 1,2
  • Inde: 10,5
  • Indonésie: 7
  • Bangladesh: 4
  • Philippines: 7

Comment se fait-il que le Vietnam super marécageux (delta du Mékong…) ait la même résistance à la Covid que Taiwan, tempéré mais sans coronavirus ? Que prennent les Taïwanais pour avoir un impact sur le virus [avec un nombre de morts qui] est une fraction de ceux aux États-Unis et en Europe ? Pourquoi le Bangladesh (delta du Gange-Bramaputra : j’y suis allé et je peux vous assurer que c’est un immense et monstrueux marais paludéen) a-t-il moins d’incidences que l’Inde ? L’artémisine est également largement utilisée partout dans ces pays sous forme de médecine traditionnelle; et l’ivermectine est largement prescrite, ou d’autres antipaludiques à base de chloroquine.

Voici un tableau « sauvage » de ce qui s’est avéré utile dans la pratique. La liste des substances qui aident à la prophylaxie (par-infection) est intéressante: de l’aspirine au viatmina D, de l’acétylcystéine (Fluimucil…) au zinc. Nulle part la «thérapie de l’espoir» n’apparaît : juste de la tachypirine et attendre de suffoquer…




Le virus et le président

[Source : is-edition.com]

Enquête sur l’une des plus grandes tromperies de l’Histoire

Auteurs : Jean-Loup IZAMBERT – Claude JANVIER

Résumé

Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon… Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie.

Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de « séduire un peu comme une prostituée » ? Toujours est-il que le président s’entiche de ce nouveau tueur qui paralyse pourtant l’économie de son pays..

Mais que cache ce racolage médiatique ?

Dans « Le virus et le Président », co-écrit par le journaliste d’investigation Jean-Loup IZAMBERT et l’écrivain-polémiste Claude JANVIER, plongez dans une enquête sur l’une des plus grandes tromperies contemporaines organisée par un pouvoir politique, main dans la main avec les dirigeants de l’Union « européenne » et les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise ainsi que les enjeux d’aujourd’hui et de demain.

Les auteurs

Jean-Loup Izambert est journaliste d’investigation indépendant (économie,
finance et politique), collaborateur de médias français et étrangers et écrivain. Plusieurs de ses ouvrages ont défrayé la chronique :
« Le krach des 40 banques »,
« Le Crédit Agricole hors la loi ? »,
« Crédit Lyonnais, la mascarade »,
« Faut-il brûler l’ONU ? »,
« 56 – Tome 1 : L’État français complice de groupes criminels »,
« 56 – Tome 2 : Mensonges et crimes d’État » et enfin « Trump face à l’Europe ».

Claude Janvier est écrivain polémiste. Un rien provocateur, doté d’un humour noir et disciple de Pierre Desproges, il est l’auteur de trois livres « coups de gueule ». Depuis quinze ans, il fouille, déterre, décortique et analyse l’actualité afin de mettre à jour les véritables informations. Il intervient notamment sur Sud Radio, Agoravox, Les Moutons Enragés, Le blog à Lupus, Réseau International, Stratégika, Mondialisation.ca, Planetes360 et bien d’autres. Un beau parcours dans l’hôtellerie et la restauration lui a permis de développer son sens de l’observation. Il reste fidèle à sa devise : « Je râle donc je suis ».

L’idée du livre

En quoi les dirigeants de l’Union dite « européenne » et les dirigeants français sont-ils responsables de la crise sanitaire et comment utilisent-ils celle-ci pour camoufler la crise économique et financière dont ils sont également responsables et qui s’aggrave. L’enquête

Dans un style direct soutenant une argumentation étayée de nombreux faits et témoignages, les auteurs décrivent comment, avec ou sans la maladie Covid-19, les grands propriétaires privés de la finance et de l’économie – les « écrasés » – se servent de l’État pour s’enrichir de manière éhontée au détriment de l’intérêt général. Et comment le pouvoir politique impose aux Français de nouvelles mesures d’austérité afin de leur faire payer la dette et leurs crises économiques et financières résultant de leur politique. Un document indispensable pour comprendre la nature réelle de la crise et les enjeux d’aujourd’hui.

L’ouvrage est préfacé par le docteur Pascal Trotta, ancien Interne des Hôpitaux de Paris, lauréat de la Faculté de Médecine de Paris, médecin spécialiste radiologue et fondateur de l’Institut de Médecine naturelle de Saint-Sébastien.

Les 8 chapitres et leur contenu

Chapitre 1- Macronavirus

Retour sur la campagne de communication politique et médiatique sur la crise sanitaire. L’opinion, ça se travaille. Pourquoi les chiffres diffusés par Santé publique France, l’agence nationale du ministère français de la Santé, et ceux de l’Organisation Mondiale de la Santé sur le nombre de décès dus à la Covid-19 ne sont pas fiables. Dirigeants politiques, administrations, médias et autres décideurs travaillent avec ces chiffres… Témoignages. En réalité, ce coronavirus n’est pas plus dangereux qu’un virus grippal et n’a pas augmenté la mortalité globale dans les proportions que le pouvoir politique suggère pour instaurer des mesures qu’aucune base scientifique sérieuse ne justifie.

Chapitre 2 – Mort programmée sur ordonnances

Le budget de la Santé français est préparé par le gouvernement dans le cadre des directives de l’Union « européenne » avant d’être soumis aux parlementaires. Comment, en appliquant à la France depuis 1992 les ordonnances de l’Union « européenne » exigeant la réduction des dépenses de santé et la privatisation du système de santé public au profit de sociétés transnationales, les dirigeants français ont affaibli celui-ci au point qu’il ne puisse plus remplir sa mission ? Que sont ces « ordonnances » ? Comment la Commission « européenne » a méprisé des chercheurs de plusieurs pays qui, dès 2015, alertaient sur une possible épidémie avec des coronavirus et proposaient des solutions pour se préparer à la contrer.

Chapitre 3 – Pour votre santé, plantez des tulipes

Résultat de cette politique : 7 Français sur 10 renoncent à se soigner en raison du manque de moyens financiers, de délais d’attente trop longs et de l’éloignement des structures de soins. En revanche, des fonds publics alimentent des monstres financiers privés de l’industrie pharmaceutique. Dans une opacité presque totale, des fondations privées brassent des milliards d’euros à coups de campagnes médiatiques en profitant du désengagement de l’État. Un rapport de l’Inspection générale des finances et une étude des cabinets d’audit Deloitte et Taste révèlent des intérêts très particuliers au sein de ces organisations « d’intérêt général ». « Il faut maintenant reconstruire » dit le président français qui continue de… détruire.

Chapitre 4 – Camouflage

Car la crise économique et financière était déjà en cours bien avant l’apparition de la Covid-19. Le pouvoir politique tentait alors de colmater les frasques des banquiers de la haute finance avec des fonds publics. En 2018, le Haut conseil des finances publiques alertait déjà sur « des risques économiques importants », puis, en 2020, sur « Une croissance quasi ininterrompue de la dette depuis 10 ans ». Un véritable camouflage médiatique est organisé par le pouvoir politique pour dissimuler ses responsabilités dans la crise économique et financière en attribuant ses conséquences à la Covid-19.

Chapitre 5 – 11 400 milliards en secret

Dans un système où « le secret des transactions est la règle », la « finance de l’ombre » est à l’œuvre. « Chaque seconde, des milliards d’ordres sont exécutés » rapporte Jean-François Gayraud, haut fonctionnaire de la police nationale spécialisé sur les affaires économiques et financières. Un rapport de la Janus Henderson Investors, société spécialiste de la gestion d’actifs mondiaux, révèle que « les sociétés ont également, à travers le monde, versé à leurs actionnaires le montant impressionnant de 11 400 milliards de dollars US au cours des dix dernières années. » Pendant la crise sanitaire, les actionnaires des sociétés transnationales continuent de s’enrichir. Aux États-Unis, entre décembre 2019 et mai 2020, les « profiteurs pandémiques » ont « augmenté leur richesse de plus de 565 milliards de dollars depuis le début de la crise des coronavirus ». Dans le même temps, ceux-ci ont supprimé plus de 22 millions d’emplois.

Chapitre 6 – Tableau de chasse des assassins financiers

Dans des sociétés US de conseil, des « assassins financiers » préparent les plans qui permettent aux transnationales étasuniennes de s’approprier des entreprises et de « nouveaux territoires économiques ». L’un d’entre eux, John Perkins, témoigne sur leurs méthodes. Les appropriations et délocalisations d’entreprises qu’ils organisent ont pour première conséquence l’appauvrissement du tissu économique et social. L’exemple de la donation d’Alstom à la transnationale US General Electric par l’un de leurs collaborateurs : Emmanuel Macron. Bien avant que la maladie Covid-19 n’apparaisse, celui-ci était déjà l’un des principaux responsables de la régression de l’emploi, du saccage du travail et de l’accroissement de la dette publique. Les vrais chiffres du chômage et de la précarité. Autre conséquence : le suicide cote à la hausse. Les enquêtes menées par l’association Soins aux Professionnels de Santé (SPS) confirment l’ampleur du phénomène jusqu’au sein du corps médical. Alors que les professionnels de la santé n’ont plus les moyens humains et financiers de faire face à la maladie, les « profiteurs pandémiques » de France se disent « écrasés » par « l’État interventionniste ». Sans rire.

Chapitre 7 – Les « écrasés »

Pour cette caste d’oligarques, les Français qui vivent avec au moins 6 650 euros par mois après impôt, soit 1% de la population française, sont des pauvres. Leur organisation, le Medef, ne cesse de demander la suppression des charges des entreprises. Mais ils sont la plus lourde charge dans le budget des entreprises qu’ils dirigent comme dans celui de l’État français : plus ou moins 200 milliards d’euros annuels de subventions publiques et d’exonérations de toutes sortes pour maintenir l’emploi – qu’ils assassinent -, développer l’outil de travail – qu’ils délocalisent -, d’allégements de charges et d’impôts – alors qu’ils fabriquent les plus longues files de chômeurs et pratiquent l’évitement fiscal. Qui sont ces «écrasés» qui n’ont pas attendu la Covid-19 pour parasiter l’économie et détruire l’emploi ? Tour d’horizon de l’oligarchie d’origine française. Ils reçoivent aujourd’hui de nouveaux milliards d’euros pour « relancer l’économie » en supprimant… des milliers d’emplois.

Chapitre 8 – « Le guerrier », les endetteurs et les payeurs

Prenant la maladie de la Covid-19 pour prétexte, le président et le gouvernement français décident par décrets de nouvelles mesures antisociales et liberticides. La violence de la répression policière et administrative du mouvement social n’a pas d’égal en Europe. Mais qui est vraiment derrière la dette totale et l’effondrement économique de la France ? Comment dégager l’Etat des réseaux de la grande finance et de la technocratie administrative qui détournent son activité au profit des grands propriétaires privés de l’économie ? La trouille de l’oligarchie financière ? Que le peuple prenne conscience de leur imposture et s’organise pour prendre ce qui lui appartient, fruit du travail de générations. Demain, la démocratie ?

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Le revenu de base universel et les six autres théories qualifiées de « conspirations délirantes » jusqu’à ce que l’an 2020 arrive

[Source : Sott.net]

L’article publié par Daisy Luther le 23 novembre dernier sur Organic Prepper décrit ces sept théories depuis le point de vue des États-Unis. Toutefois, et de par le contexte de Coup d’État mondial/ mondialiste actuel, ce point de vue vaut pour toutes les populations — notamment occidentales, mais pas seulement — quelles que soient leurs nationalités.

Le Covid-19, c’est une épidémie de peur. Un canular perpétré sur les populations mondiales. Là où il n’y a pas de peur, il n’y a pas de Covid-19. La peur et l’incertitude dominent la couverture médiatique. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d’un jour à l’autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d’inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l’establishment médical. La réponse au coronavirus relève d’une campagne de terreur étatique basée sur la propagande. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l’esprit de nombre de gens, tandis qu’on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste. Les confinements illégitimes d’un point de vue scientifique s’enchaînent et nous enchaîne chaque fois un peu plus, et on aurait parfois l’impression d’être embarqués à notre insu dans des montagnes russes. Ne parlons même pas des vaccins qui ont parait-il « sauvé l’humanité » des pires maladies infectieuses.

Laissons la parole à Daisy Luther, et nous [=Sott.net] reviendrons ensuite notamment sur son point 1, en tentant de démontrer pourquoi et comment le « revenu de base universel » constitue — sous couvert de panacée — un piège.


Vous vous souvenez de l’époque, disons en 2019, où toute personne qui parlait d’implants de puces RFID, de l’obligation pour circuler de présenter des attestations de déplacement, ou encore de la mise en place de camps de rééducation, était considérée comme un théoricien du complot en plein délire ? Et puis, 2020 est arrivé, et voilà ! Il s’est avéré que ces théories du complot n’étaient pas si « délirantes » après tout.

Et je ne parle pas seulement du gouvernement [des États-Unis – NdT] qui publie des informations sur les OVNIs.

Nous vivons dans une époque où si vous avez voté pour le « mauvais » candidat à la présidence, un individu pourrait tenter de vous tabasser, de brûler votre maison ou même de vous tuer. Nous sommes soumis à des couvre-feux, nos déplacements sont limités et nos entreprises ont été fermées de force. Un jour, les gens considéreront 2020 comme l’année où tout a changé — ou selon la façon dont les populations réagissent aux obligations qui leur sont faites — comme l’année où nous avons enfin dit, ça suffit.

Voici sept théories qui étaient avant 2020 considérées comme des conspirations délirantes… jusqu’à aujourd’hui, où elles deviennent bien trop réelles.

1 — Revenu de base universel

Auriez-vous jamais pensé pouvoir vivre dans un pays où le gouvernement dirait aux propriétaires d’entreprises privées quand et comment ils seraient autoriser à exercer leurs activités ? Où les travailleurs se verraient dire : « Pour votre propre bien, vous ne pouvez plus aller travailler ? »

Eh bien, bienvenue en 2020.

22 millions d’emplois ont été perdus et seulement 42 % d’entre eux ont en août dernier été retrouvés [aux États-Unis – NdT], lorsque le pays a commencé à déconfiner. Des millions d’emplois perdus le sont de façon irréversible, parce que les entreprises croulent dans tout le pays sous le poids des restrictions qui ne leur permettent pas de poursuivre leurs activités et/ou sont aux prises avec les difficultés financières de leurs anciens clients.

Mark Zandi, économiste en chef de Moody’s Analytics, déclare que :

« Il est clair que la pandémie cause des dommages fondamentaux au marché du travail. Beaucoup d’emplois perdus ne reviendront pas de sitôt. L’idée que l’économie va revenir à ce qu’elle était avant la pandémie n’est clairement pas envisageable. Les personnes qui comptent sur la réouverture des entreprises peuvent être surprises de constater qu’une perte temporaire est devenue permanente. »

Quant à Heidi Shierholz, économiste senior à l’Economic Policy Institute, un groupe de réflexion libéral, elle déclare que :

« […] Plus de 10 millions d’Américains sont actuellement classés comme temporairement sans emploi. Mais historiquement, près de 30 % des personnes qui déclarent au ministère du travail qu’elles sont temporairement au chômage ne retrouvent jamais leur emploi. Même si nous ne savons pas si le record historique tiendra dans ces conditions, le fait que toutes ces personnes ne soient pas rappelées constitue une préoccupation extrêmement justifiée. »

Parmi les entreprises qui ont fermé, beaucoup ne rouvriront jamais. Les plus durement touchées sont les petites entreprises.

« Environ 60 % des entreprises qui ont fermé pendant la pandémie de coronavirus ne rouvriront jamais, et ce sont les restaurants qui ont le plus souffert, selon de nouvelles données de Yelp. »

Nous avons donc non seulement des gens qui sont devenus chômeurs, mais aussi des propriétaires d’entreprises qui ont tout perdu. Alors qu’aux États-Unis nous entrons dans le deuxième épisode de confinement, il n’est pas exagéré de penser que certaines des petites entreprises qui ont jusqu’à présent réussi à se maintenir à flot succomberont aux effets économiques de ces mesures… qui entraîneront avec elles encore plus de pertes d’emplois et plongeront encore plus de citoyens dans la pauvreté.

Note du traducteur : En France, et selon l’INSEE, c’est près de 500 000 emplois qui ont été perdus en additionnant les premier et second trimestre, ce dernier n’étant pas terminé. Selon l’institut, la baisse du premier semestre annule, à elle seule, les hausses enregistrées au cours des deux années précédentes.

La pauvreté est un cercle vicieux et une seule chose, petite en apparence, peut aspirer ceux qui se débattent dans une spirale de frais et de pénalités financières dont il semble impossible de sortir. J’ai déjà fait part ici de ma propre expérience de la pauvreté. L’inquiétude porte sur le nombre encore plus élevé de personnes qui après ce cycle de mesures gouvernementales ne se remettront pas financièrement, ce qui ne fera qu’augmenter encore plus le nombre de citoyens fauchés, affamés et sans abri.

© Reuters

Mais ne vous inquiétez pas — le gouvernement est là pour vous aider. Il a fourni un chèque de « relance » à tout le monde et a tellement donné d’argent aux chômeurs que ces derniers gagnaient plus en restant chez eux qu’en allant travailler. Le gouvernement s’est tellement endetté que le montant de la dette est tout simplement abyssal.

En effet, des citoyens ont été payés pour ne pas travailler. Et, dans la plupart des cas, ces personnes ne sont pas coupables — le gouvernement a imposé la fermeture de leur lieu de travail, à moins qu’il ne soit considéré comme « essentiel ».

Et cette situation ressemble beaucoup à celle du revenu de base universel. Ou, comme j’aime à l’appeler, le féodalisme moderne :

« Beaucoup sont prêts à renoncer à leur liberté pour que quelqu’un d’autre puisse s’occuper d’eux. »

Ces personnes ne pensent pas que de cette manière elles renoncent à leur liberté. Elles sont convaincues qu’elles adoptent un système intelligent et équitable qui élimine la pauvreté. La cupidité, le droit et le manque d’ambition qui semblent aujourd’hui inhérents à de nombreuses personnes les feront glisser volontairement sous le joug de la servitude.

Elles estiment que leur vie mérite une bouffée d’air [ou que leur survie vaut mieux que leur vie – NdT]. L’un des titres de Gawker, « Un revenu de base universel est l’utopie que nous méritons », exprime assez bien ceci :

« L’idée d’un revenu de base universel pour tous les citoyens a fait son chemin partout dans le monde. Est-ce trop fou pour y croire ? Nous avons parlé à l’auteur d’un nouveau livre sur les tenants et aboutissants et les rêves utopiques de faire du revenu de base une réalité.

Le mouvement en faveur du revenu de base a reçu un coup de fouet cette semaine, lorsque l’organisation caritative GiveDirectly a annoncé qu’elle allait lancer un projet pilote de 30 millions de dollars sur dix ans pour donner un revenu de base à un groupe choisi de villageois kenyans et en étudier les effets. En tant que solution à la pauvreté, le revenu de base universel s’adresse aux personnes les plus démunies d’Afrique, aux Scandinaves relativement aisés et aux Américains qui ont perdu leur emploi en raison de l’automatisation de leurs activités. »

Bien sûr, de l’argent pour rien, ça a l’air génial en surface. Mais quel serait le résultat réel d’un revenu de base universel ? Le féodalisme. Le servage. L’esclavage.

Le revenu de base universel nous ramènerait rapidement au féodalisme du Moyen Âge. Bien sûr, en lieu et place de simples cabanes, nous pourrions vivre dans des logements modernes et pratiques. Nous pourrions exercer un métier adapté aux temps modernes plutôt que d’élever des moutons pour le seigneur du chateau.

Mais, en fin de compte, nous ne posséderions rien, car la propriété privée serait abolie pour tous sauf pour la classe dirigeante. La vie ne nous octroierait plus aucune possibilité de progression. Nos trajectoires personnelles nous seraient imposées et nous serions fortement dissuadés d’en dévier.

Les gens seraient complètement dépendants du gouvernement et de la classe dirigeante pour tout ce qui est nécessaire : nourriture, logement, eau, vêtements. Quel meilleur moyen d’affirmer le contrôle que de rendre la conformité nécessaire à la survie ? »

À l’aune de ce deuxième épisode de confinement, combien d’emplois supplémentaires vont définitivement disparaître ? Comment vont faire toutes ces personnes pour se nourrir ? Pour payer leur loyer ? Le gouvernement est en train de leur donner de l’argent. Et il est en fait impossible d’en débattre, parce que tout le monde connaît quelqu’un ayant perdu un emploi occupé pendant des décennies et qui est incapable aujourd’hui d’en trouver un autre.

Note du traducteur : Les prévisions pour l’année 2020 font état de la disparition d’environ 840 000 emplois, dont près de 730 000 emplois salariés. En France et à l’heure actuelle, c’est l’économie francilienne qui a été le plus impactée, et sans surprise, ce sont les secteurs de l’hôtellerie-restauration, les services de transport, les activités récréatives et de loisirs qui sont le plus touchés au niveau national.

On pourrait en entendre parler sous une autre expression, mais le revenu de base universel arrive. Et c’est pour bientôt.

[NdNM : voir aussi La mort de la propriété privée et Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)]

2 — Attestations de déplacement

Ne soyez pas ridicule. Nous n’aurons jamais à montrer des « attestations » pour se déplacer librement..

Et c’est là que, lorsque survient une pandémie de Covid accompagnée de toutes ses restrictions subsidiaires, la réalité de la chose vous envahit comme une révélation. En mars dernier, quelques jours après avoir mis en garde contre le premier confinement, j’ai écrit :

« Pour tous ceux qui pensaient que l’article sur le « confinement américain » était une « exagération hystérique » et que, parce qu’il n’était pas vraiment appliqué, ils pouvaient toujours faire ce qu’ils voulaient, que pensez-vous aujourd’hui du fait que des « attestations de déplacement » sont distribués ? Pour moi, on dirait que les mesures de confinement que j’ai écrites alors n’étaient que le premier pas vers une société que personne n’espère voir.

Hier, les lecteurs m’ont envoyé des photos de ces « attestations de déplacement » qui leur ont été remises par leurs employeurs pour leur permettre de se rendre à leur travail et d’en revenir. Il s’agit d’employés qui travaillent dans des secteurs tels que les soins de santé, les pharmacies et la restauration, ainsi que ceux qui travaillent dans la production, le transport et la vente de fournitures essentielles.

Un lecteur a écrit : « On nous a dit de les montrer si nous étions arrêtés sur le chemin du travail et que si les autorités nous posaient des problèmes, de ne pas discuter et de rentrer chez nous. »

Ces attestations qui m’ont été envoyées venaient de Pennsylvanie, de New York, d’Arizona, du Michigan, de Caroline du Nord, du Kansas, du New Jersey, de Virginie occidentale, de Virginie, de l’Oregon, de Floride, de Louisiane et d’Ohio. Les sociétés mentionnées dans ces documents étaient des entreprises de camionnage, des épiceries, des cliniques médicales, des hôpitaux, des maisons de repos, des sociétés de transports en commun, des compagnies ferroviaires, des usines de production alimentaire, des pharmacies, des stations essence, des magasins comme Target et Walmart, et des ateliers de réparation automobile.

La plupart des gens recevaient leurs attestations le vendredi ou le samedi et étaient prévenus qu’ils en auraient besoin dès la semaine suivante pour se rendre à leur travail et en revenir. »

Vous pouvez voir certaines de ces attestations qui m’ont été envoyées ici.

[NdNM : voir aussi France : Comment rédiger par écrit l’attestation de déplacement dérogatoire ? (Tutoriel Coronavirus)]

3 — Suivi obligatoire des individus par GPS

« Ne sois pas idiote. Personne ne te suit à la trace grâce à ton téléphone. Tu n’es pas Jason Bourne.»

Oups ! Raté ! 2020 a prouvé que c’était un mensonge à partir du moment où ils ont déployé des applications de recherche de contacts pour s’assurer que vous ne respiriez pas le même air qu’une personne ayant eu un test Covid positif.

« Non seulement les personnes malades ou potentiellement malades doivent s’inquiéter d’être appelées ou interrogées par des traceurs de contact, mais il existe également un tout nouveau monde de technologie dystopique qui se développe rapidement.
Apple et Google ont formé un partenariat afin de développer une application pour téléphone permettant de surveiller un tiers de la population mondiale. Le gouvernement australien a développé une application appelée COVIDSafe pour vous protéger, vous, votre famille et vos amis et sauver la vie d’autres Australiens. Plus les Australiens se connecteront à l’application COVIDSafe, plus vite nous pourrons trouver le virus.

En fait, toutes sortes de nouveaux outils technologiques potentiellement invasifs apparaissent pour combattre le Covid. Certains utilisent l’IA pour détecter les signes de Covid et le ministère de la défense déploie l’imagerie thermique pour détecter les signes de Covid.

Ces dispositifs ne disparaîtront pas une fois la pandémie terminée. Si elles sont utilisées pendant un an ou deux — quelle que soit la durée de présence du virus — il y a de fortes chances qu’elles restent. »

Donc… si vous avez un smartphone, soyez rassuré, une application comme celle-ci sera à un moment donné probablement installée de force lors d’une de ces incessantes mises à jour. Bien sûr, ils diront que l’application n’est qu’un cadre conceptuel et que vous devez l’activer pour qu’elle fonctionne. Oh, attendez, ils ont déjà dit ça. Après avoir installé « le cadre conceptuel ».

4 — Sociétés sans cash

D’une manière ou d’une autre, les États-Unis n’ont plus de monnaie.

On ne pouvait plus avoir de pièces de monnaie… nulle part… et ça a duré un certain temps. Bloomberg en a parlé en août :

« Comme si une profonde récession et une pandémie sans fin ne suffisaient pas, les États-Unis sont maintenant confrontés à une autre crise : une pénurie de pièces de monnaie. En raison des confinements, moins de pièces sont en circulation, ce qui empêche les commerçants de rendre la monnaie lorsque les clients les payent en billets. »

Beaucoup s’en sont montrés inquiets, d’autant plus que le Vénézuela a utilisé le Covid pour pousser les citoyens vers une société sans argent liquide. Ici, aux États-Unis, la « pénurie de monnaie » était tellement considérable que de nombreux magasins vous rendaient la monnaie sur une carte de fidélité ou vous invitaient à faire don de cette monnaie à une cause quelconque. Une véritable société sans numéraire permettrait un contrôle important sur notre vie quotidienne. Voir cet article pour connaître les effets totalitaires que cela aurait sur nous.

5 — Puces RFID

Le Darpa s’est impliqué très tôt, vantant les mérites de cette initiative pour nous « sauver » du Covid. Robert Wheeler a écrit :

« Mais les gouvernements n’ont pas besoin de commercialiser la micro-puce comme une méthode pour suivre, tracer et contrôler leurs populations. Au contraire, ils commercialisent la puce comme un moyen de suivre et de détecter les positifs au Covid et autres coronavirus. Il est clair que c’est bien plus facile à vendre à un public littéralement terrorisé par leurs gouvernements et les grands médias depuis six mois.

Dans son article « Une micro-puce implantable financée par la DARPA pour détecter le Covid-19 pourrait être commercialisée d’ici 2021 », Raul Diego détaille la création et le lancement prochain de la nouvelle biopuce :

« La découverte scientifique la plus importante depuis la gravité se cache au grand jour depuis près d’une décennie et son potentiel destructeur pour l’humanité est si énorme que la plus grande machine de guerre de la planète a immédiatement déployé ses vastes ressources pour la posséder et la contrôler, en finançant sa recherche et son développement par le biais d’agences comme les National Institutes of Health (NIH), la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) et la BARDA du HHS.

La percée révolutionnaire a été réalisée par un scientifique canadien nommé Derek Rossi en 2010, par pur hasard. Ce professeur de Harvard, aujourd’hui à la retraite, a affirmé dans une interview au National Post qu’il avait trouvé un moyen de « reprogrammer » les molécules qui portent les instructions génétiques nécessaires au développement des cellules dans le corps humain, sans parler de toutes les autres formes de vie biologiques.

Ces molécules sont appelées « acide ribonucléique messager » ou ARNm et la nouvelle capacité à réécrire ces instructions pour produire n’importe quel type de cellule dans un organisme biologique a radicalement changé le cours de la médecine et de la science occidentales, même si personne ne l’a encore vraiment remarqué. Comme Rossi le dit lui-même : La découverte la plus importante fut que vous pouviez maintenant utiliser l’ARNm, et si vous l’introduisiez dans les cellules, alors vous pouviez faire en sorte que l’ARNm exprime n’importe quelle protéine dans les cellules, et c’était ça le plus important. »

Note du traducteur : Raul Diego poursuit en expliquant que cette découverte était si importante,

« qu’en 2014, Rossi a pu prendre sa retraite après que la société qu’il a cofondée avec la société de capital-investissement Flagship Pioneering pour exploiter son innovation — à savoir Moderna Inc — a attiré près d’un demi-milliard de dollars de fonds fédéraux pour commencer à développer des vaccins en utilisant cette technologie. N’étant plus affilié à Moderna au-delà de ses actions, Rossi guette la suite des événements et s’il ressemble un tant soit peu à la description de père attentionné que l’on fait de lui, il doit être horrifié. »

[NdNM : voir aussi Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID? , 5G, surveillance, dépopulation, bitcoins, nano-puces — La carotte et le bâton ou le Meilleur des mondes offert par Bill Gates et Big Telecom et Disparition de l’argent liquide et puçage de masse : vers la dictature intégrale]

6 — Vaccinations obligatoires

Vous vous souvenez de l’époque où personne — sauf les « théoriciens du complot en plein délire » — ne pensait que les adultes seraient un jour obligés de se faire vacciner ? Eh bien, ce jour approche à plus grands pas qu’imaginé par beaucoup.

Un vaccin Covid très attendu pourrait être mis en place en quelques jours. Pfizer et BioNTech ont tous deux conclu la phase 3 de la mise sur le marché rapide de leurs vaccins. Il reste encore beaucoup, beaucoup de questions [sans réponses – NDT]. Dans son article du 21 novembre, le Washington Post nous fait part des informations suivantes :

« Arthur Reingold, professeur d’épidémiologie à l’école de santé publique de l’université de Californie, à Berkeley :

« Le retour à beaucoup de nos anciennes habitudes prendra du temps, et on ne sait pas encore combien de temps. Les réponses nécessitent d’autres recherches sur les vaccins, la manière dont ils peuvent être distribués et le nombre de personnes disposées à en bénéficier.

Un vaccin ne sera pas disponible immédiatement pour tout le monde.

Ceci prendra probablement quatre à six mois. Ce que j’en conclus, c’est que les gens devront continuer à porter des masques au moins jusqu’au printemps. Nous ne serons pas dans une situation magiquement différente en février ou mars. Je ne vois pas comment cela pourrait arriver. »

Tout aussi importantes sont les inconnues concernant les vaccins eux-mêmes. Les scientifiques ne savent toujours pas combien de temps durera la protection induite par le vaccin, par exemple, ni si les inoculations peuvent bloquer l’infection proprement dite ou seulement empêcher l’apparition de la maladie [ou ne réduire que les symptômes – NdT]. Si c’est le cas, c’est-à-dire si les vaccins nous empêchent de tomber malade, mais pas d’être infectés, nous pourrions quand même être contagieux pour les autres. Tant que nous ne le savons pas, ne jetez pas ces masques à la poubelle…
[…]
Andrew Badley, un immunovirologue qui préside le groupe de travail sur le Covid-19 de la clinique Mayo, affirme que le retour à des activités normales dépend de nombreux facteurs, notamment du nombre de personnes qui se font vacciner :

« La seule possibilité que la vie revienne à la normale d’ici l’été est que la majorité de la population reçoive les vaccins d’ici là et que les premières données d’efficacité soient confirmées par les études en cours. Je pense qu’il est peu probable que nous puissions vacciner la majorité de la population d’ici là. »

Et comment vont-ils s’assurer que « la majorité » de la population soit vaccinée ? Au début, ce sera facile : des tas de gens retrousseront volontiers leurs manches pour se faire vacciner avec un vaccin mis sur le marché à la hâte, sans que les effets à long terme aient été testés. Et puis, le reste d’entre nous sera contraint de ne pas pouvoir aller au travail, à un concert, à l’école ou dans un bâtiment public sans avoir la preuve qu’il a été vacciné.

Selon l’article de National Geographic publié cet été,

« Vous marchez vers le stade, prêt pour voir un grand match, billets en main. Mais ce que vous voyez, c’est une longue file d’attente qui se poursuit au coin du bâtiment avec un goulot d’étranglement à l’entrée, alors que les gens fouillent leurs poches et leurs sacs à main pour trouver un petit bout de papier. Pour être autorisé à entrer, vous devrez également présenter un document prouvant que vous avez reçu un vaccin Covid-19.

C’est l’avenir tel que le voient certains experts : un monde dans lequel vous devrez, pour assister à un match sportif, vous faire faire une manucure, aller au travail ou prendre le train, faire la preuve que vous avez été vacciné contre le nouveau coronavirus.

Arthur Caplan, bioéthicien à la faculté de médecine de l’université de New York déclare que « Nous n’en arriverons pas au point où la police vaccinale défoncera votre porte pour vous vacciner. »

Mais lui et plusieurs autres experts de la politique de santé envisagent que des obligations vaccinales pourraient être instituées et appliquées par les gouvernements locaux ou les employeurs, comme c’est le cas actuellement pour les enfants d’âge scolaire, le personnel militaire et les travailleurs hospitaliers…

[…] Les obligations peuvent également être orientés vers les consommateurs. Tout comme les propriétaires de commerces peuvent interdire l’accès à leurs restaurants, salons, scènes et magasins aux clients « sans chemise et sans pantalon », ils peuvent légalement empêcher les gens d’entrer pour un certain nombre de raisons, « tant qu’ils ne sont pas en infraction avec les lois anti-discriminatoires », explique Dorit Rubinstein Reiss, professeur de droit de la santé et des vaccins à l’université de Californie, Hastings College of the Law.

Lorsqu’un vaccin Covid-19 sera disponible, certains experts pensent que les États exigeront des entreprises ciblées qu’elles fassent respecter les obligations vaccinales pour leurs employés, en particulier ceux que nous connaissons sous le terme de « travailleurs essentiels. »

Carmel Shachar, directeur exécutif du Petrie-Flom Center for Health Law Policy, Biotechnology, and Bioethics à la faculté de droit de Harvard explique que :

« Les employés des épiceries sont exposés à beaucoup de monde, mais peuvent aussi eux-mêmes en infecter beaucoup d’autres en raison de la nature de leur travail et du fait que pratiquement tout le monde doit acheter de la nourriture. »

Les employés du secteur hôtelier — ceux qui travaillent dans les restaurants, les bars et les cafés, par exemple — pourraient également se voir confier des obligations similaires.

Carmel Shachar poursuit :

« Il est dans l’intérêt d’un employeur de s’assurer que son lieu de travail est protégé et qu’un employé ne peut pas infecter ses collègues. Le fait de disposer d’un vaccin largement accessible permet à de nombreux commerçants de ne pas avoir à contrôler le comportement de leurs clients. Si votre main-d’oeuvre est vacciné, vous n’avez pas à vous inquiéter si les personnes que vous servez au restaurant ont le Covid-19. »

Même le grand public pourrait être incité à se faire vacciner. Arthur Caplan explique :

« Bizarrement, la meilleure façon d’imposer une obligation est de récompenser les gens en leur accordant plus de liberté s’ils la respectent. Par exemple, avec une preuve d’inoculation, vous pourriez assister à un événement sportif « comme récompense pour avoir fait ce qui était bien. Et j’imagine bien les gens dire : si vous voulez entrer dans mon restaurant, mon bowling ou mon salon de tatouage, alors je veux aussi voir un certificat de vaccination. »

Des rappels d’injections pourraient également être nécessaires, en fonction de l’efficacité des futurs vaccins.

La façon dont tous ces experts prévoient de forcer une population réticente à accepter un vaccin non testé ne vous fait-elle pas éprouver des sentiments émus et chaleureux ? C’est pour notre propre bien, vous savez…

[NdNM : voir aussi Vaccinations obligatoires : j’ai choisi mon camp !, OBÉISSEZ OU AUTREMENT: Le New England Journal of Medicine dit que les personnes qui refusent les vaccins OBLIGATOIRES contre le coronavirus devraient être sévèrement punies, enfermées chez elles et licenciées de leur travail et 2022: un passeport de vaccination. L’UE garde le silence sur les documents suspects]

7 — Camps de rééducation

Vous vous rappelez comment nous avions l’habitude de plaisanter sur le fait d’être mis dans des camps de la FEMA ? Eh bien…

Enfin, pour ceux d’entre nous qui ont toujours cru que ces théories conspirationnistes n’étaient que des fables complotistes — oh — et pour les électeurs de Trump — il y a la discussion sur la façon de nous rééduquer afin que nous puissions réintégrer la société.

Dans un fil de discussion sur Twitter, nous avons vu le côté sombre de certains démocrates « bien éduqués » qui essayaient sincèrement de trouver comment récupérer ceux d’entre nous qui n’ont pas voté pour Joe Biden.

[NdNM : voir aussi LE CANADA DEVIENT TYRANNIQUE! 2nd verrouillage «total»; CAMPS DE CONCENTRATION pour réfractaires et Un journaliste québécois favorable à l’envoi des anti-vaccins en camp de concentration]

Note du traducteur : S’ensuit une succession de plusieurs tweets que vous pouvez retrouver dans l’article de Daisy Luther en lien ci-dessous. J’ai fait le choix de ne pas les inclure.

Source de l’article initialement publié en anglais le 23 novembre 2020 par Daisy Luther : The Organic Prepper
Traduction : Sott.net


Bienvenue dans le Nouvel ordre mondial

INGSOC – George Orwell, 1984

En lieu et place de la succession de tweets en anglais, je préfère renvoyer le lecteur vers les articles relatifs aux camps et à l’idéologie sous-jacente qui opère aujourd’hui au grand jour.

Le piège du revenu de base universel

Je voulais revenir sur le revenu de base universel évoqué par Daisy Luther dans son Point 1, et dont il est particulièrement question ces derniers jours dans les médias mainstream français. Avec cet article, entre autres, nous avons compris comment et pourquoi les médias abordent à un certain moment donné des thématiques bien précises, en vue de « tester » les réactions du public. Le dernier en date ne fait pas exception. Il s’agissait d’un des fers de lance du programme de Benoît Hamon lors des dernières élections présidentielles. Il avait alors nommé ce Revenu, « Revenu universel d’existence » — en acronyme, ça fait RUE… Croyez-vous que d’un point de vue sémantique ce soit un hasard ? Le même Benoît Hamon vient juste de publier un livre Ce qu’il faut de courage. Plaidoyer pour le revenu universel, et l’on peut donc considérer que puisque les médias se sont dernièrement emparés du sujet, les marionnettistes de l’ombre doivent estimer que le temps est venu de « déposer »,vraiment, le sujet dans l’esprit des Français.

Ce revenu de base universel ne peut pas vraiment voir le jour sans son corollaire : une société sans cash.

La suppression du cash, avec l’encadrement légal des moyens de productions alimentaires, constitue sans doute la base la plus solide sur laquelle pourrait reposer tout système de contrôle vraiment efficace, comme celui du revenu de base universel. Puisque l’argent détermine presque entièrement la qualité de notre vie sociale, il devient possible, en conditionnant de façon restrictive cet accès à l’argent, de contrôler la vie d’une personne dans sa quasi-totalité. C’est qu’il ne s’agit plus de savoir ce que fait, souhaite et pense le citoyen ordinaire : les autorités compétentes le savent depuis longtemps déjà, aidées en cela par les traces inévitables qu’il laisse en utilisant son ordinateur, son téléphone, sa voiture et en effectuant ses paiements par carte bancaire. Il s’agit plutôt, pour les pouvoirs en place, de disposer d’un instrument de punition sans équivalent, qui sanctionne, sans échappatoire possibleN’est-ce pas là une manière de remplacer la peine de mort physique par une peine de mort virtuelle tout aussi létale, mais politiquement correcte ?

À l’heure où les lois les plus liberticides sont votées, où le langage est surveillé, où les délits d’intention sont fantasmés, combien de temps faudra-t-il à l’État pour finaliser, à l’aide de cette crise sanitaire ET financière « tombée du ciel », le processus irréversible de la création d’une monnaie entièrement électronique ? Et à ce moment-là, que pourront bien encore faire les ennemis désignés de l’État ?

Comme toujours, présenté comme il l’est — l’idée selon laquelle l’État devrait distribuer un revenu de base de manière inconditionnelle à l’ensemble des citoyens, chômeur volontaire ou involontaire, travailleur à temps plein ou à temps partiel, et cumulable avec d’autres revenus — ce revenu universel de base fera dire à beaucoup que « c’est plutôt pas mal, c’est une bonne chose pour les pauvres ou les sous-payés, etc. ». Il suffit de lire la 4e de couv du livre de Benoît Hamon pour s’en — peut-être — laissé convaincre (ce n’est évidemment pas mon cas) :

« Le revenu universel sera la grande conquête sociale du siècle. Un instrument de justice qui permet d’éradiquer la pauvreté. Un revenu qui libère les hommes de la « cage de fer » consumériste, productiviste et capitaliste. Une bombe démocratique qui affranchit de la tyrannie du court terme, ralentit le temps et rétablit la juste hiérarchie entre l’homme et la machine. C’est par le revenu universel d’existence que nous préparerons une société où la nature n’est plus seulement considérée comme une ressource, mais comme un bien commun. Ce salaire du bonheur, par opposition au salaire de la peur, propose un choix existentiel, une éthique de l’individu réconcilié avec le collectif et la nature. »

On ressort de cette lecture avec le sentiment qu’enfin, la solution à tous nos problèmes a été trouvée. Elle libérerait l’être humain de ses chaînes ; c’est tellement beau qu’on en pleurerait, n’est-ce pas ? On en viendrait aussi presque à se demander pourquoi et comment il se fait que cette idée n’ait pas pris racine dans l’humanité avant. Un « salaire du bonheur », il fallait quand même oser ! Un rêve, véritable élaboration de la pensée imaginative qui transforme la réalité.

Mais le rêve de qui ?

Selon un article de Cairn.Info publié en 2018 :

« Cette proposition [de revenu de base universel] s’inspirait notamment de nos voisins européens, puisque des expérimentations voyaient le jour aux Pays-Bas et en Finlande, tandis qu’une votation populaire soumettait ce projet au peuple suisse en juin 2016 et était massivement rejetée. Ici, comme ailleurs, on trouve à la base de cette proposition, la thèse de la « fin du travail » ou de la raréfaction de l’emploi — notamment chez les non-qualifiés — ou encore l’idée de la perte de sens de sociétés entièrement organisées sur le paradigme de l’activité. Le diagnostic comme les solutions proposées semblent donc plus anciennes que l’actualité ne le laisserait croire et témoignent de questionnements récurrents depuis les années 1980. »

Tout d’abord, la première théorisation du « revenu universel » est attribué à Thomas Paine en 1797 :

« Dès le XVIe siècle Thomas More, dans son Utopie, envisagea un revenu permettant à tous les habitants d’une communauté d’échapper à la pauvreté. Au XVIIIe siècle, l’idée fut reprise par Voltaire dans un conte qu’il publia en 1768, L’homme aux quarante écus. La somme de quarante écus résulte de la division du nombre d’arpents du royaume — un arpent formant une superficie comprise alors entre deux mille et cinq mille mètres carrés — entre le nombre des sujets et la rente associée à la surface en question. Permettant tout juste de vivre dans des conditions modestes, elle a au moins le mérite d’être une allocation attribuée à chaque individu quel qu’il soit. Le narrateur du conte évoque également ses démêlés avec une administration fiscale pesante.

Toujours au siècle des Lumières, c’est le libéral Thomas Paine, partisan du libre-échange, du droit de propriété et chantre du gouvernement limité et des droits individuels qui défendit, dans son Sens commun paru en 1776, l’idée d’une redistribution des richesses et de l’attribution de droits sociaux. Puis, dans sa Justice agraire, publiée en 1797, partant du principe que la propriété engendre les inégalités, il défendit le revenu universel sous la forme de l’attribution inconditionnelle d’une somme pour toute personne adulte ainsi que d’une retraite inconditionnelle pour tous ceux âgés de plus de cinquante ans.

De leur côté, les mondialistes ne sont pas en peine. Selon leur livre blanc intitulé Réinitialiser le futur du monde du travail – dans un Monde Post-Covid et publié en octobre dernier, un des buts avoués du Forum économique mondial à travers le « Grand Reset », ou la « Grande réinitialisation », est de

« Réaffecter temporairement les travailleurs à différentes tâches — cela devrait toucher 30 % de la main-d’œuvre. Cela signifie également des échelles de rémunération complètement différentes — très probablement des salaires non viables, ce qui ferait du « salaire de base universel » ou du « revenu de base » également prévu — un salaire qui permet à peine de survivre, de faire face aux besoins évidents. Mais cela vous rendrait totalement dépendant du système — un système numérique, sur lequel vous n’avez aucun contrôle. »

Voir aussi notre article « Le Nouvel ordre mondial poursuit son œuvre — Le « Grand Reset du Monde », le transhumanisme et la Quatrième révolution industrielle ».

Selon un article de Contrepoints, publié en 2016, il s’agit d’un concept effroyable :

« Sur le plan moral tout d’abord, elle instille l’idée perverse qu’on peut, sans dommage sur l’individu, rendre instantanément tout le monde directement dépendant de l’État, de la naissance à la mort. Distribuez ce revenu pendant quelques années et au bout d’un peu plus d’une génération, plus personne ne se souviendra qu’avant son arrivée, des millions de gens se passaient de son existence et savaient vivre sans lui, sans l’État, exactement de la même façon que tout le monde est maintenant persuadé de l’absolue nécessité de la guerre permanente contre les drogues ou de l’interdiction du port d’arme, même si drogues et armes furent bien plus librement disponibles dans l’Histoire sans qu’il fut question de sociétés barbares ou médiévales (on parle d’il y a moins d’un siècle).

Sur le plan économique ensuite, ce revenu deviendra en pratique un plancher pour à peu près tout, créant de l’inflation de façon immédiate ou quasiment ; de la même façon que les APL (aides publiques au logement) ont tiré les loyers vers le haut pour quasiment l’intégralité de leurs montants, le revenu universel en fera de même pour à peu près tout ; tout étant renchéri, le gain pour ceux qui n’auront que ce revenu sera à peu près nul. »

Une société sans cash, des vaccins avec implant RFID, un revenu universel, etc. constituent la camisole électronique, impossible sans la mise en place de la 5G, qui nous est tricotée par ceux qui n’ont pas notre bonheur à cœur — contrairement à ce que prétend Benoît Hamon — dans un avenir qui verra l’ensemble des transactions monétaires contrôlées par l’Etat, les banques où les grandes sociétés privées. Autrement dit, toute notre vie.

Dans un autre article où j’abordais les tests anti-Covid comme outil de contrôle et dans lequel je considérais que le monde est transformé en Virusocratie, j’écrivais ce qui suit :

[…] Nous sommes égarés dans une simulation, à la recherche de la « vérité » et de la réalité. On peut le faire entre autres en s’emparant des mots et en les analysant. Les mondialistes adorent utiliser les mots comme des armes et les épeler, voire les marteler. Ce sont des hypnotiseurs. Ils inventent à dessein de nouveaux mots, et nous forcent à les utiliser et à les ressentir. Des mots comme « Coronavirus » et « distanciation sociale », ou encore « Covid-19 », « testé positif », « vaccins » ou « sauver le monde ».

Les mondialistes écrivent des codes. Ils codent les « virus » et leur donnent une identité militarisée de type jeu vidéo. Dans ce jeu vidéo, toutes vos libertés ont été supprimées et il faut faire preuve de gratitude et de servitude. Le code viral l’emporte sur toutes les autres formes de politique. Rien ne peut le contrer. Surtout pas la « science ». Ce virus constitue aussi une métaphore générale à propos de la « désinformation » propagée, à savoir tout ce qui est extérieur à leurs doctrines religieuses, et non reconnaissable par la virologie classique.

Le code, les scénarios possibles, le mysticisme et la superstition sur la façon dont le virus se propage, ne doivent pas être remis en question. C’est une forme de socialisme environnemental post-mondialiste devenu maléfique qui exige que tout un chacun se soumette à une chance égale d’être tué par un virus. Si les mondialistes sont obsédés par la « propagation » et les « virus », c’est parce qu’ils veulent mettre un terme à toutes les formes de communication et d’échange d’informations qui menacent leur Nouvel Ordre Mondial.

Cette « Virusocratie » n’existe que grâce à la plus grande opération psychologique jamais utilisée sur des milliards d’individus au sein de laquelle la bonne science est évitée ou censurée, où les médias intimident les dissidents, dans laquelle les intérêts particuliers prévalent et où les médecins qui s’expriment sont qualifiés de « charlatans »…

Nous n’avons pas besoin de technologies qui nous déresponsabilisent, en disant et décidant à notre place où nous pouvons aller. Ce dont nous avons besoin, c’est d’exercer notre responsabilité personnelle, pour pallier les défaillances et le cynisme des dirigeants.

La pandémie de coronavirus a provoqué la pauvreté et la famine pour des millions de personnes dans le monde. Et on en voit pas le bout.

On a vraiment l’impression que presque tous les gouvernements sont cooptés ou contraints de manière tacite à adhérer aux « lignes directrices ». C’est à la fois diabolique et incompréhensible. Pourquoi ? Parce que certaines des « élites mondiales » — celles qui, nombreuses, sont flouées par les échelons supérieurs d’élites psychopathes — pensent a priori vraiment qu’elles contribuent à l’avenir et au bien-être de l’humanité. Pourtant, leurs actions ont entraîné une misère abjecte, du chômage et du désespoir. Sans de telles mesures coercitives, il serait difficile d’expliquer pourquoi presque tous les gouvernements de la planète se soumettent à cet horrible programme social et économique et mentent, encore et encore à leur population de façon abjecte. Ces populations même qu’ils sont censés protéger contre le chômage, la famine et le désespoir. Ajoutons aussi la corruption « organisée » intrinsèque au monde dans lequel nous vivons, avec la Fondation Bill Gates et l’Open Society de George Soros qui financent — entre autres — le Conseil de l’Europe et ses institutions comme par exemple la Cour européenne des Droits de l’Homme. Au-delà de l’Union européenne, la Fondation Gates et l’Open Society — entre autres, là encore, car on peut y ajouter Ford ou Oak — financent aussi l’ONU et la Cour pénale internationale. Le fait que toutes ces fondations et ONGs privées financent des institutions dites publiques en dit long sur la privatisation de ces mêmes institutions qui, de fait, ne peuvent plus être indépendantes — nonobstant le fait qu’elles ne l’ont peut-être jamais vraiment été. L’influence politique globale qu’elles s’octroient par leurs dons privés leur donne une marge de manœuvre qui anéantit même toute illusion ou promesse de démocratie.

Les technocrates du monde entier prétendent nous préserver du coronavirus aujourd’hui, en accélérant un système de production qui compromet déjà notre survie de demain. En plus d’être voué à l’échec, c’est absurde… Quoique du point de vue des Pouvoirs en place, ça ne l’est certainement pas : entre l’«Event 201», le «Lock-Step», Bill Gates et sa GAVI, Rockfeller ou l’OMS, sans omettre le Forum économique mondial, il y a tout lieu de penser que ce que nous vivons aujourd’hui correspond à des scénarii pré-établis, propres à nous faire passer à toute vitesse dans un monde orwellien dématérialisé, inhumain et mortifère, qui aurait fait rêver Hitler ou Staline.

Ce qui est en jeu nous menace d’un grand péril : la mise à mort progressive de la conscience. Thomas Merton met en lumière la métaphore de la grenouille qui ne savait pas qu’elle était cuite, parce qu’un changement, s’il est suffisamment dilué dans le temps, échappe à la conscience et ne suscite ni réaction ni révolte avant un point de non retour :

« Le grand danger est que, sous la pression de l’anxiété et de la peur, de l’alternance des crises et puis de détente et puis de nouvelles crises, les peuples du monde en viennent à accepter progressivement […] l’idée de soumission au pouvoir total, et l’abdication de la raison, de l’esprit et de la conscience individuelle. »

~ Thomas Merton

[À propos de l’auteur]

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M.K. Scarlett 

Autodidacte, M.K. Scarlett réside en France et a rejoint l’équipe des éditeurs et traducteurs de SOTT en 2012. Ses rubriques favorites « Feu dans le Ciel », « Les Maîtres du Monde » et « Histoire Secrète » n’enlèvent en rien l’intérêt qu’elle porte aux autres. Quand elle n’a pas le nez dans un livre, M.K. Scarlett pratique aussi la photographie et le graphisme.




« Personne n’est mort du coronavirus ». Des révélations importantes partagées par le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie

[Source en anglais : Off-Gardian.org]

[Auteurs :] Rosemary Frei et Patrick Corbett

Un pathologiste européen réputé rapporte que lui et ses collègues à travers l’Europe n’ont trouvé aucune preuve de décès dus au nouveau coronavirus sur ce continent.

Le Dr Stoian Alexov a qualifié l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d ‘«organisation médicale criminelle» pour avoir créé la peur et le chaos dans le monde sans fournir la preuve objectivement vérifiable d’une pandémie.

Une autre révélation étonnante du président de l’Association bulgare de pathologie (BPA), le Dr Alexov, est qu’il pense qu’il est actuellement «impossible» de créer un vaccin contre le virus.

Il a également révélé que les pathologistes européens n’avaient identifié aucun anticorps spécifique du SRAS-CoV-2 [alias Covid-19].

Ces déclarations stupéfiantes soulèvent des questions majeures, notamment sur les affirmations des autorités et des scientifiques concernant les nombreux vaccins dont ils précipitent les essais cliniques à travers le monde.

Elles soulèvent également des doutes sur la véracité des allégations de découverte d’anticorps anti-Covid-19 (qui commencent à être utilisés pour traiter les patients).

Les anticorps spécifiques au nouveau coronavirus sont censés être à la base des kits de tests sérologiques coûteux utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inexacts de manière inacceptable).

Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité voulus par Bill Gates qui sont sur le point d’être généralisés — sous la forme du COVI-PASS — dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada.

Le Dr Alexov a fait ses observations stupéfiantes dans une interview vidéo résumant le consensus des participants lors d’un webinaire de la Société européenne de pathologie (ESP) le 8 mai 2020 sur le Covid-19.

L’interview vidéo du 13 mai du Dr Alexov a été réalisée par le Dr Stoycho Katsarov, président du Centre pour la protection des droits des citoyens à Sofia et ancien vice-ministre bulgare de la Santé. La vidéo est sur le site Web du BPA, qui met également en évidence certains des principaux points du Dr Alexov.

Nous avons demandé à personne de langue maternelle bulgare ayant une formation scientifique de traduire oralement l’interview vidéo en anglais. Nous avons ensuite transcrit sa traduction. La vidéo est ici et notre transcription en anglais est ici.

Parmi les principales bombes que le Dr Alexov a lâchées, les dirigeants du webinaire ESP du 8 mai ont déclaré qu’aucun anticorps spécifique au nouveau coronavirus n’avait été trouvé.

Le corps forme des anticorps spécifiques aux agents pathogènes qu’il rencontre. Ces anticorps spécifiques sont connus sous le nom d’anticorps monoclonaux et constituent un outil clé en pathologie. Cela se fait par immunohistochimie, ce qui implique le marquage des anticorps avec des couleurs, puis à les appliquer sur les lames de biopsie ou d’autopsie. Après avoir laissé aux anticorps le temps de se lier aux agents pathogènes pour lesquels ils sont spécifiques, les pathologistes peuvent observer les lames sous un microscope et voir les endroits spécifiques où se trouvent les anticorps colorés — et donc les agents pathogènes auxquels ils sont liés.

Par conséquent, en l’absence d’anticorps monoclonaux dirigés contre le nouveau coronavirus, les pathologistes ne peuvent pas vérifier si le SARS-CoV-2 est présent dans l’organisme ni si les maladies et les décès qui lui sont attribués ont bien été causés par le virus plutôt que par autre chose.

Il serait facile de rejeter le Dr Alexov comme un autre « théoricien du complot ». Après tout, beaucoup de gens croient qu’ils sont partout ces jours-ci, répandant une désinformation dangereuse sur le Covid-19 et d’autres problèmes.

De plus, peu de ce que le Dr Alexov prétend être le consensus du webinaire du 8 mai se trouve dans les parties publiquement visibles des débats.

Mais gardez à l’esprit que les dénonciateurs sont souvent seuls parce que la grande majorité des gens ont peur de s’exprimer publiquement.

De plus, le Dr Alexov a un dossier et une réputation irréprochables. Il est médecin depuis 30 ans. Il est président du BPA, membre du conseil consultatif de l’ESP et chef du service d’histopathologie de l’hôpital d’oncologie de Sofia, la capitale bulgare.

En plus de cela, il y a d’autres éléments qui soutiennent les propos du Dr Alexov.

Par exemple, le directeur de l’Institut de médecine légale du Centre médical universitaire de Hambourg-Eppendorf en Allemagne a déclaré lors d’entrevues dans les médias qu’il existe un manque frappant de preuves solides de la létalité du COVID-19.

« Le COVID-19 n’est une maladie mortelle que dans des cas exceptionnels, mais dans la plupart des cas, il s’agit d’une infection virale principalement inoffensive », a déclaré le Dr Klaus Püschel à un journal allemand en avril. Il a ajouté dans une autre interview :

« Dans de nombreux cas, nous avons également constaté que l’infection au coronavirus actuelle n’avait rien à voir avec l’issue fatale, car d’autres causes de décès sont présentes, par exemple, une hémorragie cérébrale ou une crise cardiaque […] [COVID-19 n’est] pas une maladie virale particulièrement dangereuse […] Toutes les spéculations sur les décès individuels qui n’ont pas été examinés de manière experte ne font qu’alimenter l’anxiété. »

De plus, l’un de nous (Rosemary) et un autre journaliste, Amory Devereux, ont documenté dans un article du 9 juin d’Off-Guardian que le nouveau coronavirus n’avait pas rempli les postulats de Koch.

Ces postulats sont des étapes scientifiques utilisées pour prouver si un virus existe et a une relation biunivoque avec une maladie spécifique. Nous avons montré qu’à ce jour, personne n’a prouvé que le SRAS-CoV-2 provoque une maladie distincte correspondant aux caractéristiques de toutes les personnes décédées officiellement du COVID-19. Le virus n’a pas non plus été isolé, reproduit puis démontré comme provoquant cette maladie spécifique.

De plus, dans un article du 27 juin sur Off-Guardian, deux autres journalistes, Torsten Engelbrecht et Konstantin Demeter, ont ajouté à la démonstration que «l’existence de l’ARN du SARS-CoV-2 est basée sur la foi, pas sur les faits».

Les deux ont également confirmé « qu’il n’y a aucune preuve scientifique que ces séquences d’ARN [réputées correspondre à celles du nouveau coronavirus] sont l’agent causal de ce qu’on appelle COVID-19 ».

Le Dr Alexov a déclaré dans l’interview du 13 mai que :

« la principale conclusion [de ceux d’entre nous qui ont participé au webinaire du 8 mai] était que les autopsies réalisées en Allemagne, en Italie, en Espagne, en France et en Suède ne montrent pas que le virus est mortel. »

Il a jouté que :

« Ce que tous les pathologistes ont dit, c’est qu’il n’y a personne qui soit mort du coronavirus. Je le répète : personne n’est mort du coronavirus. »

Le Dr Alexov a également observé que les autopsies ne prouvent pas que quiconque considéré comme infecté par le nouveau coronavirus est décédé uniquement d’une réaction inflammatoire déclenchée par le virus (se présentant comme une pneumonie interstitielle) plutôt que d’autres maladies potentiellement mortelles.

Une autre de ses révélations est que :

« Nous devons voir exactement comment la loi traitera de la vaccination et du vaccin dont nous parlons tous, car je suis certain qu’il n’est [actuellement ?] pas possible de créer un vaccin contre le COVID-19. Je ne sais pas exactement ce que Bill Gates fait avec ses laboratoires — est-ce vraiment un vaccin qu’il produit, ou autre chose? »

Comme indiqué ci-dessus, l’incapacité d’identifier des anticorps monoclonaux contre le virus suggère qu’il n’y a aucune base pour que les vaccins, les tests sérologiques et les certificats d’immunité soient déployés dans le monde entier à une vitesse et à un coût sans précédent. En fait, il n’existe aucune preuve solide que le virus existe.

Le Dr Alexov a souligné des points encore plus importants. Par exemple, il a noté que, contrairement à la grippe saisonnière, il n’a pas été prouvé que le SRAS-CoV-2 tue les jeunes :

« [Avec la grippe], nous pouvons trouver un virus qui peut faire mourir un jeune sans autre maladie […] En d’autres termes, l’infection à coronavirus est une infection qui ne mène pas à la mort. Et la grippe peut entraîner la mort. »

(Des cas graves de maladie de type Kawasaki et d’accident vasculaire cérébral ont été signalés chez des jeunes considérés comme infectés par le nouveau coronavirus. Cependant, la majorité des articles publiés sur ces cas sont très courts et ne comprennent qu’un cas ou une petite poignée de patients. En outre, les commentateurs des articles notent qu’il est impossible de déterminer le rôle du virus car les auteurs des articles ne contrôlaient pas suffisamment, voire pas du tout, les facteurs de confusion. Il est fort probable que les décès d’enfants attribués au COVID-19 soient dus en fait à une défaillance d’organes multiples résultant de la combinaison du cocktail de médicaments et de la ventilation auxquels ces enfants sont soumis.)

Le Dr Alexov a donc affirmé que :

« l’OMS crée un chaos mondial, sans aucun fait réel derrière ce qu’ils disent. »

Parmi les innombrables façons dont l’OMS crée ce chaos, c’est en interdisant presque toutes les autopsies de personnes présumées décédées à cause du COVID-19. En conséquence, a rapporté le Dr Alexov, en date du 13 mai, seules trois autopsies de ce type avaient été pratiquées en Bulgarie.

De plus, l’OMS exige que toute personne qui serait infectée par le nouveau coronavirus qui décède par la suite doive voir sa mort attribuée au COVID-19.

« C’est assez stressant pour nous, et pour moi en particulier, parce que nous avons des protocoles et des procédures que nous devons utiliser », a-t-il déclaré au Dr Katsarov. « … Et un autre pathologiste dans 100 ans va dire : « Hé, ces pathologistes ne savaient pas ce qu’ils faisaient [quand ils ont dit que la cause du décès était COVID-19]! » Nous devons donc être très stricts avec nos diagnostics, car ils pourraient être prouvés [ou réfutés], et ils pourraient être vérifiés à nouveau plus tard. »

Il a révélé que les pathologistes de plusieurs pays d’Europe, ainsi qu’en Chine, en Australie et au Canada résistent fortement aux pressions exercées sur eux pour attribuer les décès au seul COVID-19 :

« Je suis vraiment triste que nous devions suivre les instructions de [l’OMS] sans même y penser. Mais en Allemagne, en France, en Italie et en Angleterre, ils commencent à penser que nous ne devrions pas suivre l’OMS de manière aussi stricte, et [au lieu de cela] lorsque nous écrivons la cause du décès, nous devrions avoir une certaine pathologie [résultats à l’appui ] et nous devons suivre le protocole. Lorsque nous disons quelque chose, nous devons être en mesure de le prouver. »

(Il a ajouté que les autopsies auraient pu aider à confirmer ou infirmer la théorie selon laquelle de nombreuses personnes présumées mortes du COVID-19 en Italie avaient précédemment reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Parce que, comme il l’a noté, le vaccin supprime le système immunitaire des adultes et par conséquent, il peut avoir contribué de façon importante à leur décès en les rendant beaucoup plus sensibles à l’infection.)

Les docteurs Alexov et Katsarov ont convenu qu’un autre aspect du chaos provoqué par l’OMS et de ses conséquences fatales est que de nombreuses personnes risquent de mourir bientôt de maladies telles que le cancer, car le confinement, combiné au vidage des hôpitaux (apparemment pour faire de la place pour les patients COVID-19), a interrompu toutes les procédures [médicales] et tous les traitements, sauf les plus urgents.

Ils ont également observé que ces maladies étaient exacerbées par la peur et le chaos entourant le COVID-19.

« Nous savons que le stress affaiblit considérablement le système immunitaire, je peux donc vraiment affirmer à 200% que toutes les maladies chroniques seront plus graves et plus aiguës en soi. (…)
Spécifiquement, les carcinomes in situ — plus de 50% d’entre eux — vont devenir plus invasifs. Je dirai donc que cette épidémie n’est pas tant une épidémie de virus, c’est une épidémie qui donne aux gens beaucoup de peur et de stress. »

De plus, a affirmé le Dr Alexov, comme autre résultat direct et terrible de la panique pandémique, de nombreuses personnes perdent confiance dans les médecins.

« Parce que, à mon avis, le coronavirus n’est pas si dangereux, et comment les gens vont-ils avoir confiance en moi pour la pathologie du cancer, dont une grande partie est également liée aux virus ? Mais personne n’en parle. »

Nous avons envoyé plusieurs questions au Dr Alexov, notamment en lui demandant pourquoi il pensait qu’il était impossible de créer un vaccin contre COVID-19.

Il n’a pas répondu directement aux questions. Le Dr Alexov a plutôt répondu :

Cher Patrick, merci pour votre courriel et vos informations.
J’accepte vraiment à 1000 % toutes les informations. De plus, l’OMS a déclaré que les patients du covid-19 n’ont pas besoin d’autopsie. Pourquoi ???
Avec le petit nombre d’autopsies que nous avons réalisées en Europe, c’est clairement visible. Personne n’est mort du covid-19. Nous disons plus probablement « avec » le covid-19.
Je pense fortement que l’OMS est la pire organisation médicale criminelle.
Sincères salutations,
Dr St. Alexov MD.
Chef du département d’histopathologie.

Nous avons également envoyé un courriel à cinq des collègues du Dr Alexov de la Société européenne de pathologie pour leur demander de confirmer les révélations du Dr Alexov. Nous avons fait un suivi par téléphone avec deux d’entre eux. Aucun n’a répondu.

Pourquoi le Dr Alexov ou ses cinq collègues n’ont-ils pas répondu à nos questions ?

Nous doutons que cela soit dû au manque de maîtrise de l’anglais.

Il est plus probable que ce soit en raison de la pression exercée sur les pathologistes pour suivre les directives de l’OMS et ne pas s’exprimer publiquement. (Et, en plus de cela, les services de pathologie dépendent des gouvernements pour leur financement.)

Néanmoins, des pathologistes comme les Drs. Alexov et Püschel semblent vouloir dire publiquement que personne n’est mort d’une nouvelle infection à coronavirus.

Peut-être parce que les dossiers et la réputation des pathologistes sont basés sur des preuves physiques solides plutôt que sur une interprétation subjective des tests, des signes et des symptômes. Et il n’y a aucune preuve matérielle tangible que COVID-19 est mortel.


Rosemary Frei est titulaire d'une maîtrise en biologie moléculaire de la faculté de médecine de l'Université de Calgary, a été rédactrice médicale indépendante et journaliste pendant 22 ans et est maintenant journaliste d'investigation indépendante. Vous pouvez regarder son interview du 15 juin sur The Corbett Report, lire ses autres articles sur Off-Guardian et la suivre sur Twitter.
Patrick Corbett est un écrivain, producteur, réalisateur et monteur à la retraite qui a travaillé pour tous les grands réseaux au Canada et aux États-Unis, à l'exception de Fox. Ses crédits journalistiques incluent Dateline NBC, W-5 de CTV et l’unité documentaire de CTV où il a écrit et réalisé "Children's’s Hospital", la première production canadienne à être nominée pour un Emmy international. Vous pouvez suivre Patrick sur Twitter.



5G, virus et covid-19

Extraits significatifs du Rapport d’enquête d’un groupe d’officiers de réserve sur la pandémie de COVID-19 et ses liens avec le SARS-CoV-2 et d’autres facteurs

5G et coronavirus

Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome.

L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur.

Les substances chimiques immunologiques contenues dans l’exosome pénètrent l’ACE2.

L’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, ou ACE2 est une enzyme liée à la face externe des membranes plasmiques de cellules du poumon, des artères, du cœur, du rein et de l’appareil digestif. Elle joue un rôle important dans le système rénine-angiotensine-aldostérone (SRAA) qui régule l’homéostasie hydrosodée et la pression artérielle.

L’ACE2 est réputé être le point d’entrée dans les cellules humaines de certains coronavirus, dont le coronavirus humain NL63, le SARS-CoV13 (coronavirus à l’origine du SRAS) et le SARS-CoV-2 (à l’origine de la COVID-19).

Par ailleurs, il est à noter que le calendrier des déploiements de la 5G semble coïncider avec les cartes d’apparition du coronavirus et avec les endroits où l’incidence du nouveau coronavirus est la plus élevée, ce qui a d’ailleurs provoqué dans certains pays des réactions populaires visant à détruire ou incendier de nombreux pylônes d’antennes-relais (Royaume-Uni, Hong-Kong).

A cet égard, YouTube a retiré toutes les vidéos associant la 5G à la propagation du coronavirus, depuis le début du mois de février.

Reste qu’il y aurait une corrélation, à vérifier une fois disponibles les nouvelles cartes relevant les installations effectuées durant le confinement selon les lois d’urgence, entre le déploiement massif de la 5 G et le berceau de la propagation.

Effectivement, l’épidémie a débuté en Chine, qui est le promoteur de la 5G (10.000 antennes sur Wu-Han, zone de démonstration officielle de 5G, fin 2019), et l’Italie n’était pas loin derrière dans cette course au déploiement, les grandes villes italiennes étant déjà entièrement équipées en 5G à la fin 2019. La Lombardie (Milan) a été une des premières régions italiennes équipées de 5G et la région la plus touchée par le Covid-19 : ainsi que titraient les journaux italiens fin 2017,

«Milan se rêve en capitale européenne de la 5G », Vodafone Italia ayant lancé un plan de 90 millions d’euros pour couvrir 100% de la capitale économique italienne en 2019.

Comparaison des cartes de déploiement de la 5G et des malades hospitalisés en France (la différence entre le nombre d’hospitalisation et le nombre de décès résultant par ailleurs d’une différence dans les traitements appliqués, par exemple entre Marseille – Professeur Raoult – et le Grand-Est).

Il y avait, officiellement et avant le confinement du 17 mars 2020, 450 antennes-relais de 5G installées en France, notamment dans les villes de Marseille (95), en région Parisienne (85), Montpellier (53), Lyon (22), Toulouse (22) et Bordeaux (22).


LES PATHOLOGIES LIEES AUX CHAMPS ELECTRO-MAGNETIQUES

Tout d’abord, il convient de souligner que :

−les cas graves de COVID-19 sont liés à un phénomène de thrombose, ainsi qu’en ont alerté plusieurs médecins de terrain, nous le savons maintenant ;

−cette thrombose résulte d’un choc cytokinique, qui est un processus d’inflammation, donc un problème immunitaire :

−effectivement : la thrombose veineuse (DVT) est une cause majeure de morbidité et de mortalité. Alors que la thrombose veineuse a longtemps été considérée comme un désordre lié à la coagulation du sang, plusieurs démontrent que le système immunitaire et un processus d’inflammation sont à l’origine de la thrombose (« Deep vein thrombosis (DVT) is a major origin of morbidity and mortality. While DVT has long been considered as blood coagulation disorder, several recent lines of evidence demonstrate that immune cells and inflammatory processes are involved in DVT initiation. » Immune factors in deep vein thrombosis initiation) : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6065414/

Ceci étant posé, voyons ce qu’il en est des pathologies spécifiquement liées à l’exposition à des champs électromagnétiques, en cause dans la forte présomption d’un lien entre les malades hospitalisés pour le COVID-19 et un déploiement des installations de 5G :

Nous allons pour cela nous référer à une Bibliographie sur les phénomènes biologiques rapportés (« effets ») et les manifestations cliniques attribuées aux ondes électromagnétiques. Institut de recherche médicale navale MF12.54.015-0048, rapport n°2n révisé. 106 pp. [NOTE : ce document a été réduit à 25 pages afin que nous puissions le publier ici et ne contient pas toutes les 2311 références.]

«Plus de 2000 références sur les réponses biologiques aux ondes électromagnétiques et aux micro-ondes, publiées jusqu’en juin 1971, sont incluses dans la bibliographie. Une attention particulière a été accordée aux effets sur l’homme des rayonnements non ionisants à ces fréquences. […]

Note : Ce document n’est pas classifié.

SIGNIFICATION

La valeur du document de Glaser de 1972 est de contrer les affirmations selon lesquelles aucune recherche « crédible » n’existerait qui mettrait en évidence des effets non thermiques. Il s’agit d’une déclaration inexacte promue par ceux qui ne connaissent pas les publications ou qui ne veulent pas admettre que ces ondes, aux niveaux d’exposition actuels, peuvent être nuisibles. Des recherches crédibles existent depuis des décennies, largement ignorées par les responsables de santé publique et les professionnels de santé.

COMMENTAIRES

C’est l’une des premières compilations à grande échelle de la littérature sur les effets biologiques des ondes électromagnétiques, apparue pour la première fois en 1971. L’auteur a classé les effets biologiques en 17 catégories (voir ci-dessous).

A. Effet thermique sur les organes

Cela comprend l’augmentation de la température de tout le corps ou d’une partie du corps comme la peau, l’os et la moelle osseuse, la lentille de l’œil avec des cataractes et des dommages à la cornée; aux organes génitaux provoquant une dégénérescence tubulaire des testicules; au cerveau et aux sinus; aux implants métalliques provoquant des brûlures près des broches de hanche, etc. Ces effets sont réversibles sauf les dommages causés à l’œil.

B. Changements dans la fonction physiologique

Ceci inclut la contraction des muscles striés; la modification du diamètre des vaisseaux sanguins (augmentation de l’élasticité vasculaire), leur dilatation; des modifications des processus oxydatifs dans les tissus et les organes; l’élargissement du foie; la sensibilité aux médicaments; la diminution de la spermatogenèse conduisant à une diminution de la fertilité et à la stérilité; l’augmentation du nombre des naissances de filles par rapport à celui des garçons; une altération de l’activité menstruelle; une altération de l’évolution du fœtus; une réduction de la lactation chez les mères allaitantes; une réduction de la diurèse entraînant une excrétion de sodium par voie urinaire; une altération de la fonction rénale; des changements dans les réflexes conditionnés; la diminution de la résistance électrique de la peau; des changements dans la structure des récepteurs de la peau; une altération du flux sanguin; une modification des courants dans le cortex cérébral chez les animaux; des changements dans le taux d’élimination des ions marqués des tissus; changements structurels réversibles dans le cortex cérébral et le diencéphale; changements dans les électrocardiographes; sensibilité altérée aux stimuli lumineux, sonores et olfactifs; changements fonctionnels et pathologiques des yeux; nécrose myocardique; hémorragie des poumons, du foie, de l’intestin et du cerveau et dégénérescence généralisée du tissu corporel à des niveaux de rayonnement mortels; perte de parties anatomiques; décès; déshydratation; taux de calcification tissulaire altéré.

C. 100 effets sur le système nerveux central

Cela comprend maux de tête; insomnie; agitation (journée et sommeil); changements dans l’activité des ondes cérébrales (EEG); troubles du nerf crânien; lésions pyramidales; troubles des réflexes conditionnés; action vagomimétique et sympathomimétique du cœur; attaques et convulsions.

D. Effets sur le système nerveux autonome

Rythme cardiaque altéré; fatigue, altérations structurelles dans les synapses du nerf vague; stimulation du système nerveux parasympathique conduisant à la bradycardie et à l’inhibition du système nerveux sympathique.

E. 500 effets sur le système nerveux périphérique

Effets sur les nerfs locomoteurs.

F. Troubles psychologiques

Les symptômes comprennent neurasthénie (malaise général); dépression; impuissance; anxiété; manque de concentration; hypocondrie; vertiges; hallucinations; somnolence ou insomnie; irritabilité; diminution de l’appétit; perte de mémoire; sensations du cuir chevelu; fatigue; douleurs thoraciques, tremblements.

G. Changements de comportements chez les animaux

Les effets incluent des changements dans les comportements de réflexion, d’action, d’évitement et de discrimination.

H. Troubles du sang

Les effets incluent des modifications du sang et de la moelle osseuse; fonctions phagocytaires et bactéricides accrues; taux d’hémolyse accru (durée de vie plus courte des cellules); taux de sédimentation sanguine accru; diminution des érythrocytes; augmentation des concentrations de glucose dans le sang; teneur en histamine sanguine altérée; changements dans les lipides et le cholestérol; modifications des anticorps et de la concentration totale en protéines; changements du nombre d’éosinophiles; diminution du taux d’albumine/globuline ; Hémopoïèse altérée (taux de formation de globules sanguins); leucopénie (augmentation du nombre de globules blancs et leucocytose, réticulocytose (augmentation des globules rouges immatures).

I. Troubles vasculaires

Cela inclut la thrombose et l’hypertension.

J. Modifications enzymatiques et biochimiques (in vitro)

Changements dans l’activité de la cholinestérase (également in vivo), de la phosphatase, des transaminases; des amylases, des carboxydismutases; dénaturation des protéines; inactivation des champignons, des virus et des bactéries; mort de tissus en culture; taux de division cellulaire altéré; augmentation de la concentration d’ARN dans les lymphocytes et diminution de la concentration d’ARN dans le cerveau, le foie et la rate; changements dans les excrétions d’acide pyruvique, d’acide lactique et de créatinine; changements de concentration de glycogène dans le foie (hyperglycémie); concentrations aItéréesde17-cétostéroïdes dans les urines.

K. Troubles métaboliques

Les effets incluent la glycosurie (sucre dans l’urine); l’augmentation des phénols urinaires; le traitement modifié des enzymes métaboliques; métabolisme modifié des glucides

L. Troubles gastro-intestinaux

Les effets incluent l’anorexie; trouble épigastrique; constipation; sécrétion altérée des sucs gastriques.

M. Modifications des glandes endocrines

Les effets comprennent la modification du fonctionnement de la glande pituitaire, de la glande thyroïde (hyperthyroïdisme et hypertrophie de la thyroïde, augmentation de l’absorption de l’iode radioactif) et de l’adrénaline; diminution des corticostéroïdes dans le sang; diminution de l’activité glucocorticoïde; hypogonadisme (avec diminution de la production de testostérone).

N. Modifications histologiques

Changements dans l’épithélium tubulaire des testicules et changements de volume.

O. Modifications génétiques et chromosomiques

Les effets incluent les aberrations chromosomiques (raccourcissement, pseudos-chiasme, structures diploïdes, divisions amitotiques, pontage, ¨’adhérence’, irrégularités dans l’enveloppe chromosomique); mutations; mongolisme; altérations somatiques (ne comportant pas de noyau ou de chromosome); maladies néoplasiques (tumeurs).

P. Alignement en chaînes de perles

Cela se réfère à l’orientation intracellulaire des particules subcellulaires et à l’orientation des particules cellulaires et autres (particules non biologiques, par exemple magnétiques) affectant l’orientation des animaux, des oiseaux et des poissons dans les champs électromagnétiques.

Q. Effets divers

Ceux-ci comprennent étincelles entre les obturations dentaires; goût métallique dans la bouche; changements dans l’activité optique des solutions colloïdales; dans le traitement de la syphilis, de la poliomyélite, des maladies de la peau; perte et fragilité des cheveux; sensations de bourdonnement, vibrations, pulsations et chatouilles sur la tête et les oreilles; transpiration abondante, salivation et protrusion (avancée) de la langue; modifications dans le fonctionnement des stimulateurs cardiaques implantés; changements dans les rythmes circadiens.

5 juillet 2010. Glaser, Z.R. 1972.

Sources :

http://www.magdahavas.com/pick-of-the-week-1-more-than-2000-documents-prior-to-1972-on-bioeffects-of-radio-frequency-radiation/
http://www.cielvoile.fr/2017/10/effets-biologiques-des-ondes-electromagnetiques-plus-de-2000- publications-avant-1972.html


UNE OPERATION D’ENFUMAGE ?

ARMES ELECTROMAGNETIQUES POUR UNE GUERRE SILENCIEUSE

De ce qui précède, on peut raisonnablement retenir une légitime impression de défiance en certaines institutions, présidées par des personnalités que la corruption semble guider bien davantage que des considérations de bien public.

Mais d’autres voix s’élèvent au surplus pour contester l’existence même du COVID-19, qui serait

«un assemblage de symptômes relevant de pathologies variées regroupées artificiellement sous ce vocable (interview London Real).

Pour rappel, le test RT PCR (reverse transcription Polymerase Chain Reaction ) bien qu’utilisé à cette fin, ne viserait pas à déceler la présence de génome viral de la maladie à COVID-19, mais seulement du « matériel génétique » pouvant avoir des origines différentes.

Malgré cela, les personnes testées seraient diagnostiquées être infectées par le COVID-19 et leur décès éventuel est alors attribué au COVID-19. En outre, le cycle d’amplification utilisé (la sensibilité du test), dans différents pays, dicte le nombre de tests positifs obtenus.

Il devient ainsi très facile de manipuler les chiffres.

A l’origine, ce test (inventé en 1984 par un biochimiste US) a été développé pour diagnostiquer plusieurs choses, par exemple pour tenter de diagnostiquer le cancer du poumon. Son inventeur indique que « ce test ne devrait pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies infectieuses ».

Le postulat de Koch, en vigueur depuis 1890, est un protocole permettant de prouver qu’un agent infectieux est bien la cause de ce que l’on prétend avoir détecté. Il comporte quatre volets.

En ce qui concerne le COVID-19, pas un seul des quatre postulats le composant, n’a été utilisé ni respecté.

Nous avons vu plus haut que, quand une cellule est empoisonnée, elle secrète des exosomes (ce qui fait partie du système immunitaire).

Elle peut-être empoisonnée par une maladie, une infection, des champs électromagnétiques, le stress ou la peur.

Ces exosomes avertissent les autres cellules qu’il y a un problème. Dès qu’une cellule est empoisonnée, des exosomes sont libérés.

Dans ce contexte, le Dr Andrew (Andy) Kaufmann a pris au microscope des photos d’exosomes, et les a comparées avec des photos de ce que l’on prétend être le COVID-19.

Ces deux photos étaient exactement les mêmes.

Vous pouvez voir ici une interview du Dr Andy Kaufman, ancien du M.I.T (Massachussetts Institute of Technology) qui contredit la thèse officielle : 

Il a ensuite examiné la composition génétique des exosomes, et celle revendiquée pour le COVID-19 et il s’avèrerait que ces deux compositions sont exactement les mêmes en tous points. Ils se fixent d’ailleurs l’un comme l’autre sur les mêmes récepteurs cellulaires.

Il s’agirait de la même chose.

Ainsi il s’agirait d’un mécanisme naturel de réponse du système immunitaire du corps humain qu’on a rebaptisé « COVID-19 ». Or toute personne présentant un niveau quelconque de toxicité cellulaire va produire ces exosomes et ainsi le potentiel de tests positifs au COVID-19 est infini.

« Des personnes tombent malades en Chine. L’OMS alerte alors sur une pandémie.

Compte-tenu des informations communiquées, toute personne présentant des symptômes grippaux ou pulmonaires est présumée infectée au COVID-19. Mais ce n’est pas suffisamment probant.

Alors, il est décidé que toute personne malade qui se rendra à l’hôpital (pour une grippe ou un cancer) soit testée au COVID-19 et elle sera évidemment diagnostiquée positive puisqu’elle présente des exosomes.

Si ces personnes décèdent, elles sont officiellement diagnostiquées comme étant morts du COVID-19.

Ainsi, les chiffres montent. »

Le nombre total de décès dans le monde n’aurait pas changé, mais on est en train de les reclasser comme « COVID-19 ».

Pourtant, ces gens ne meurent pas du COVID-19, mais après avoir été testés positifs au COVID-19 (par exemple pour un cancer en phase terminale), ce qui est différent.

Selon les chiffres officiels de l’institution médicale italienne, 99% des personnes dites décédées du « COVID-19 » en Italie souffraient d’un ou plusieurs problèmes de santé pour lesquels ils avaient été hospitalisés. Alors, il est très facile de mettre sur le compte du COVID-19 des personnes qui meurent pour toute autre chose.

Ainsi on remarquera qu’à la même époque, le nombre total des décès n’a pas augmenté par rapport à l’an dernier, mais ce chiffre total englobe les présumés morts par COVID-19 qui sont majoritaires. Cela signifie qu’il n’y a pas plus de gens qui meurent, mais que leur décès est attribué au COVID-19 alors qu’ils sont morts d’autre chose.

Observons ce qui se passe en Lombardie, centre de l’épidémie italienne, qui fait l’objet d’une telle attention avec le reste de l’Europe, morte de peur : la Lombardie, où se trouve Milan, est connue dans le monde entier pour son air pollué et toxique, tout comme Wu-Han en Chine.

La Lombardie enregistre un nombre de décès beaucoup plus élevé que dans le reste de l’Italie, notamment en raison de problèmes pulmonaires. Habituellement, un peu moins de 100.000 personnes y meurent chaque année.

Latium, qui est une autre région italienne, arrive en seconde position avec presque moitié moins de décès : 57.000.

Voici donc une région d’Italie où beaucoup de gens meurent, essentiellement de maladies pulmonaires et vous avez donc un formidable potentiel pour effectuer un diagnostic consistant à faire croire que les gens y meurent du COVID-19, alors qu’ils meurent d’autre chose.

Et ainsi, vous contrôlez les chiffres. En testant et en diagnostiquant d’une certaine manière, les chiffres augmentent. Et puis en jouant sur la sensibilité du test, les chiffres diminuent et peuvent s’effondrer de la même manière.

L’intention est d’attribuer le maximum de décès au COVID-19, parce que cela donne du crédit à cette pandémie. C’est pour une raison très importante et très simple. Et elle est liée à la raison pour laquelle il y a une règle de confinement.

Ce qui se passe également, c’est que les personnes âgées hospitalisées pour quelque raison que ce soit, sont tout d’abord testées pour le COVID-19. Beaucoup d’entre elles, pour les raison précitées, vont être testées positives. Il est question, selon les proches et les familles, ainsi que selon les personnels soignants sur le terrain, de nouvelles directives gouvernementales consistant à faire signer en Angleterre une décharge à ces personnes âgées – que le confinement devait protéger.

En France il y a une directive gouvernementale qui va dans le même sens :

Article de Libération sur la consigne gouvernementale du 19 mars 2020 de ne plus accepter de personnes de plus de 75 ans « fragile » dans les hôpitaux, qui condamne à mort nos anciens dans les EHPAD, alors que dans le même temps ce même gouvernement interdit d’appliquer le protocole du professeur Raoult dans les EHPAD et qu’il autorise par un Décret l’administration d’un très fort médicament pour endormir les personnes âgées (médicament justement contre-indiqué pour les affections pulmonaires). On interdit un traitement mais on autorise celui qui va donner la mort.

Ce qui signifie qu’on les laissera mourir et qu’aucune réanimation ne sera tentée. Et quand ils mourront, sans avoir été réanimés, ils feront partie des pertes dues au COVID-19. « Nous allons sans doute devoir faire des choix, pour décider qui nous allons traiter en priorité, et en ce qui concerne les personnes âgées, nous allons devoir faire des choix plus difficiles » – On va tuer ou laisser mourir ces personnes âgées à qui on demande de signer des formulaires de non- réanimation, ou qui sont visées par des directives gouvernementales de ne plus les accepter dans les hôpitaux, de ne pas leur appliquer un traitement pouvant les guérir, mais pour lesquelles on autorise une injection réputée létale.

Certains dirigeants semblent donc disposer et abuser de ces personnes âgées de la plus ignoble des manières, ces personnes âgées à qui ils disent que le confinement est là pour les protéger.

Les chiffres sont faussés par la façon dont ils font les tests, par la façon dont ion fait les diagnostics et par la façon dont sont comptabilisés les cas.

Nous pourrions voir les chiffres monter encore et encore, ce qui justifierait un confinement supplémentaire.

Ce sera fini – temporairement – lorsque les personnes physiques et morales à l’origine de cette manipulation penseront qu’ils ont atteint ce qu’ils voulaient obtenir, grâce à tout ça, c’est à dire la destruction totale de l’économie mondiale, qu’un nombre considérable de personnes perde leur gagne-pain et leurs revenus indépendants, et qu’ils soient donc devenus dépendants de l’Etat pour leur subsistance.

Puis, ces groupes en arrière des gouvernements mettront un terme à tout ça et feront baisser les chiffres « le pic est derrière nous », quand ils estimeront qu’ils sont allés assez loin et qu’ils en ont tiré tout ce qu’ils souhaitaient.

La Chine a repris ses activités, l’industrie redémarre, les gens sont à nouveau dans la rue et le transport aérien a repris.

Le but est que les autorités contrôlent les chiffres.

Ils n’ont pas obtenu un nombre suffisant de décès via ce virus, pour justifier le fait qu’il est mortel.

La grande majorité des gens n’a aucun symptôme, ou des symptômes légers.

Ce test RT PCR ne peut pas et ne détecte pas la quantité de « virus » en présence.

Nous avons tous ce que les gens appellent des « virus », mais qui en fait font partie du système immunitaire naturel, mais nous avons tous cela dans notre corps, à un niveau qui ne nous dérangera jamais. C’est pourquoi vous pouvez être testé positif et ne pas avoir de symptômes. Ce que ce test ne permet pas, c’est de vérifier la quantité présente en vous de ce « virus ».

Or, il faut en avoir une quantité énorme pour être malade. Ainsi, ils ne peuvent même pas vous dire si votre maladie est due à tel virus ou à tel autre.

Le nombre de morts actuel n’est pas suffisant pour justifier que ce « virus » est mortel ; Mais ils veulent un confinement pour des raisons bien plus importantes.

Donc, ils disent « attention à la prochaine vague, qui peut arriver à tout moment ». Selon la façon dont ils comptent, ils peuvent très bien créer une nouvelle vague, ou l’illusion d’une nouvelle vague.

Ils ont prévu, si nous les laissons faire, de pousser cela à l’extrême.

Et nous voilà confinés, et en quelques semaines nous sommes passés de ce que les gens percevaient comme un monde libre, à une tyrannie mondiale dans laquelle un tout petit nombre de personnes possède des milliards, tandis que la moitié de la population mondiale est assignée à résidence.

Et tout cela a été fait grâce à l’escroquerie COVID-19.

Il y a un cloisonnement féroce, pour qu’une poignée d’hommes puissent contrôler le monde. Si vous êtes au sommet de la pyramide, vous connaissez les objectifs, mais si vous êtes médecin, on vous dit « Voici les symptômes et si vous voyez ces symptômes, vous devez diagnostiquer le COVID-19. Si quelqu’un rentre à l’hôpital, vous devez faire un test pour le COVID-19. Si les gens meurent, peu importe de quoi, vous devrez inscrire sur le certificat de décès : COVID-19 ». Quelle est la ligne directrice que l’on retrouve, dans et après chaque tyrannie ? – « Je ne faisais que suivre les ordres ! ». C’est comme ça que ça marche.

Mais certaines infirmières et certains professionnels de la santé disent que c’est de la foutaise ! Certains d’entre eux rompent les rangs.

Le directeur de l’OMS qui a été ministre de la santé a été pris en flagrant délit de couvrir trois épidémies de choléra, fera ce qu’on lui dit de faire. C’est le moteur de cette politique. L’OMS a d’ailleurs été créée par les Rockefeller. L’OMS indique la marche à suivre et vous la suivez.

Vous suivez le protocole.

Donc, parce que la Chine a imposé ce confinement draconien et que les chiffres ont commencé à baisser, cela a créé un précédent pour suivre la voie.

Comme la Chine, on va créer un confinement et maintenir les gens à l’écart les uns des autres. Voilà comment fonctionne cette dynamique. Il y a des psychopathes en arrière-plan qui orchestrent tout ça, et puis il y a les ignorants [« Qui suis-je ? Où suis-je ? Que se passe-t-il ? » : les politiciens « Tout le monde va mourir, nous ferions mieux d’imposer un confinement ».] qui n’ont aucune idée de ce qu’il se passe réellement.

Et avec une « modélisation » bidon et un virus qui n’existe pas, on aura créé cet Armageddon économique. »

Ce qui nous amène à la 5G.

La 5G est une puissance d’énergie électromagnétique beaucoup plus importante que ce que nous avons vu auparavant.

Ce n’est pas seulement une amélioration de la 4G, qui est déjà assez nuisible, la 3G également, c’est une toute nouvelle partie du spectre électromagnétique, les ondes millimétriques, plus puissantes que tout ce que nous avons vu auparavant.

Le corps humain est un champ électromagnétique. Le cerveau communique avec le reste du corps des informations, électriquement. Lorsque ce champ et les cellules traitent les pensées, les électromagnétique est en équilibre, nous sommes en bonne santé. Lorsqu’il est en déséquilibre ou en dysharmonie, nous ressentons un mal-être, nous souffrons de maladies, qui se manifestent sous la forme de ce que nous appelons des maladies physiques ou des maladies psychologiques.

Nous sommes maintenant bombardés 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 par des champs électromagnétiques générés par la technologie et la Wi-Fi. Et dans cette période d’aliénation à ce « virus », on voit dans de plus en plus d’endroits l’installation de la 5G.

Chaque élévation de ce niveau de radiation se traduit par une épidémie.

Les docteurs et les scientifiques de 41 pays ont signé une pétition pour demander l’interdiction de la 5G. L’impact de la 5G sur la santé n’a fait l’objet d’aucune étude, sinon elle n’aurait pas pu voir le jour. Les satellites avec la 5G rayonnent sur chaque centimètre carré de la Terre.

Des gens veulent que cela arrive parce qu’ils souhaitent manipuler l’humanité. La 5G empoisonne les cellules, elles sont empoisonnées par le champ électromagnétique. Les cellules libèrent les exosomes, et ils vous testeront positif au COVID-19.

Quelle est la première ville chinoise à avoir installé la 5G, juste avant l’apparition de ce «virus » ? Wu-Han. La ville qui avait le plus d’Antennes-relais de 5G au monde est celle dans laquelle on a observé une hécatombe de COVID-19.

«Durant ce confinement, des antennes 5G sont en train d’être déployées à une vitesse fulgurante. Partout sur la planète, des antennes 5G sont en train d’être installées en grand nombre.

Et tandis que sont installées toutes ces antennes, bien sûr les gens ne peuvent pas manifester, puisqu’ils sont assignés à résidence.

Semaine après semaine, Elon Musk (c’est un très grand malade, il est parfaitement au courant de la raison pour laquelle la 5G est mise en place) envoit de plus en plus de satellites à basse altitude, qui vont rayonner de la 5G dans la Terre. Cet objectif est de 42.000. Les astronomes ne peuvent plus observer le ciel. Il a reçu l’autorisation d’installer un million et demi d’antennes terrestres en Amérique, qui grâce au champ électromagnétique se connecteront aux satellites. Il crée ainsi une réalité augmentée, grâce à la technologie 5G, ce qu’il appelle le réseau intelligent.

Ces gens créent un cordon ombilical grâce auquel l’esprit humain sera connecté via l’intelligence artificielle. Et on vous donne même l’année à laquelle deviendra sérieux : en 2030. »


En fait, il y a une forte présomption qu’existe une corrélation très nette entre les flots de personnes admises dans les services de réanimation avec des poumons dans un état « jamais vu » et des tests de mise en service de la 5G poussée à forte puissance, à New-York, Wu-Han et en Lombardie, première région italienne à être équipée de la 5G.

L’écran de fumée du « virus » (en fait de simples exosomes) ne servirait qu’à « couvrir » ces essais d’armes électromagnétiques, que certains annoncent destinées à terme à réduire drastiquement la population mondiale, en attribuant à la « pandémie » la destruction programmée d’une partie de l’humanité – dont d’ailleurs des personnalités et des éminences connues ne se cachent pas, même en France.

On se souviendra en effet que nous avons évoqué lesdits exosomes un peu plus-haut, dans le module consacré aux rayonnement de 5G :

« Le rayonnement électromagnétique 5G endommage l’ADN cellulaire humain.

Les cellules exposées (de toutes sortes ciblées dans l’organisme humain) réagissent en produisant une cascade de substances immunologiques protectrices.

Ces substances sont conditionnées dans une structure intracellulaire appelée endosome. L’endosome est expulsé de la cellule, devenant ainsi un exosome (Prix Nobel de médecine 2013).

L’exosome circule et se lie aux récepteurs ACE2 du poumon, de l’intestin et du cœur. »

Et si les exosomes (alias « COVID-19 ») n’étaient pas la cause, mais bien la conséquence de l’utilisation d’une arme électromagnétique ?




COVID19: Débunkage du narratif officiel

[Source : Jean-Dominique Michel]

[Auteur : ANNES BOURIA – Pharmacien]

Chers amis et compagnons de ré-information,

Je vous propose 10 points de débunkage à propos du narratif officiel de la crise sanitaire et des croyances du grand public autour du Covid :

1) Le covid19 est un virus dangereux

Le Sars-cov2, alias Covid19, est potentiellement dangereux pour certaines catégories de la population (tout comme les autres infections respiratoires), sinon,… pas tant que ça. Du moins, pas autant que ce que l’on a cru au début.

Le taux de mortalité est évalué entre 0,2 et 0,65% [1]. C’est 5 à 15 fois moins que les 3% donnés en début de pandémie. De plus, la mortalité par tranche d’âge est éloquente [2] : seules les personnes âgées payent, malheureusement, un lourd tribut à cette maladie.

Sans parler du fait que beaucoup de « morts covid » (probablement en majorité) sont en fait des décès de patients déjà très faibles chez qui le virus a joué un rôle marginal [3].

Les cas graves chez les personnes en dessous 50 ans et en bonne santé sont totalement anecdotiques ! En tout et pour tout, on observe une large proportion d’asymptomatiques [4] ou peu symptomatiques (l’équivalent d’un rhume ou d’un état grippal), moins de 5% de patients covid+ doivent être hospitalisés, et 1 à 2% de cas graves [5,6] pour l’ensemble des contaminés qui sont en majorité des personnes âgées et fragiles.

Avec près de 80% d’asymptomatiques [7] et une médiane des décès à plus de 80 ans [8]… On peut trouver pire comme affection.

2) Le virus est inconnu

Ce virus est nouveau, mais on ne peut plus dire qu’il soit inconnu à l’heure actuelle. C’est un cousin du 1erSRAS, identifié en Chine en 2002, et bien documenté. Après quasiment 1 an d’observations, c’est le sujet pour lequel il y a eu le plus de publications médicales scientifiques en 2020.

Ce virus, bien qu’il reste quelques zones d’ombres autour de lui, on commence à bien le connaitre…

3) Il n’y a pas de traitements

Faux ! L’orthodoxie méthodologique protocolaire des milieux académiques acoquinés au monde de l’industrie pharmaceutique s’attache aux essais statistiques randomisés en double aveugle. Mais ce n’est ni de la médecine, ni de la science. La médecine c’est soigner les gens, quant à la science elle consiste principalement en l’observation… Et dans ce domaine, l’observation faite par les praticiens de terrain à travers le monde  a mis en évidence plusieurs associations qui donnent de bons résultats [9] : l’association Hydroxychloroquine/Azithromycine/Zinc [10] ou l’association Macrolide/Céphalosporine/Zinc [11] semblent éviter les formes graves à condition d’être prises tôt dans l’infection. Utilisée en Afrique, l’Artemisia annua semble aussi avoir une efficacité contre le covid [12].

Aux stades plus avancés, l’on peut recourir aux corticoïdes comme la dexaméthasone [13], les anticoagulants[14] pour éviter les phénomènes de thromboses, ou encore l’oxygénothérapie [15].

L’on n’aura peut-être plus besoin d’intuber les patients en soins intensifs, qui en réalité étaient arrivés à l’hôpital à des stades très avancés de la maladie car on avait choisi de ne pas soigner les gens durant l’épidémie !

4) Toutes les personnes touchées ont des séquelles

Tout d’abord, un grand nombre de viroses peuvent engendrer des séquelles organiques à des niveaux divers, y compris cardiaques ou neurologiques [16,17] .

Ici, il est impossible de se prononcer sans avoir plus de recul. Mais ce tableau semble loin de représenter la réalité.

Selon l’académie française de médecine [18], 30% des patients hospitalisés présentent diverses séquelles 6 semaines après la rémission.

Ces séquelles vont de la fatigue aux difficultés respiratoires en passant par des troubles neurologiques, rénaux ou cardiaques. Il semblerait que ces séquelles soient potentiellement réversibles, mais encore une fois il est trop tôt pour être catégorique.

Donc il s’agirait d’un tiers des patients hospitalisés (qui sont déjà une minorité des cas- 5%) qui présenteraient des séquelles à des degrés divers.

Quant aux graves atteintes pulmonaires peu réversibles, on les observe surtout dans les stades très avancés [19], et les intubations, dont l’utilité médicale est remise en question [20], y ont fortement contribué.

5) Il va y avoir/ on assiste à une deuxième vague

Le concept de deuxième vague ne repose sur aucun modèle épidémiologique d’infections virales. Il se base sur l’épisode de la pandémie de grippe espagnole il y a un siècle [21], mais non transposable aux conditions actuelles.

L’on nous a prédit, voire annoncé, cette deuxième vague à de nombreuses reprises depuis la fin du pic épidémique européen d’avril, mais ce fut à chaque fois des pétards mouillés.

Nul ne peut prédire l’avenir, mais les modèles épidémiologiques viraux observent des constantes [22] : un pic épidémique où l’infection est très virulente, puis s’estompe. Ensuite, soit le pathogène disparaît (comme ce fut le cas du 1er SRAS) soit il mute, s’adapte à son hôte et devient cyclique/saisonnier (comme c’est le cas de la grippe et d’autres virus endémiques [23]).

A ce jour, en Europe, aucune reprise observable en terme clinique ou de hausse significative de la mortalité n’a été observée [24].

Nous ne savons pas de quoi l’avenir est fait, en revanche, les spéculations catastrophistes vont bon train !

6) Il y a une augmentation des « cas »

Il ne s’agit pas de « cas » au sens médical ou clinique du terme. Ce qu’il se passe dans de nombreux pays d’Europe, c’est que les capacités et les politiques de test ont été élargies [25].

Ce que les autorités, ainsi que la presse, recensent sont uniquement des tests sérologiques (prise de sang) ou PCR (écouvillon dans le nez) protocolaires où l’on détermine si un individu a été en contact avec le virus. Mais cela ne signifie pas nécessairement que la personne est malade ni contagieuse [26]. D’autant que 75% des positifs sont asymptomatiques [27], cela signifie, au pire qu’ils sont en période d’incubation, ou que leur système immunitaire a géré le virus et que le patient est potentiellement immunisé.

Voilà comment faire passer de bonnes nouvelles pour des mauvaises !

Sans compter que les tests PCR sont très sensibles et font sortir jusqu’à 90% de « cas » sans infection en cours ni contagiosité ! [28] Et à raison de 3% sur l’ensemble des tests… cela correspond à la moyenne en termes de taux de positivité en France et en Belgique notamment depuis l’élargissement des campagnes de testing… [29]

7) Il faut imposer des règles à tout le monde pour protéger les personnes vulnérables

Il s’agit du sophisme sur lequel repose toute la politique sanitaire coercitive si l’on tient compte des données épidémiologiques par tranche d’âge.

Oui, les personnes âgées et/ou présentant des facteurs de risque sont invités à se protéger. Mais le reste de la population n’a pas à maintenir toutes ces règles sanitaires étant donné qu’elles présentent peu de risques et sont donc potentiellement un vivier pour construire l’immunité collective de la population. Et cette immunité collective, c’est réellement le meilleur moyen de protéger les personnes à risque à moyen terme [30].

Au début de l’épidémie, on a imposé toutes les mesures sanitaires car l’on n’avait pas encore d’immunité collective, aujourd’hui les mesures qui sont prisent empêchent de l’atteindre. Comme pour l’affaire des masques, c’est à n’y rien comprendre…

8) Le vaccin est LA panacée, notre « seule chance »

Tout d’abord, il n’est pas certain qu’il puisse aboutir, ni qu’il soit totalement efficace.

Quand bien même, quel intérêt y a-t-il à vacciner toute une population pour une affection aussi peu létale dans les tranches d’âges qui correspondent à la population active ?

Il faut également signaler que les vaccins contre les rétrovirus, comme le covid, sont extrêmement compliqués à élaborer dans la mesure où ces virus mutent très vite [31].

Ajoutez à cela que ce vaccin semble être élaboré à la hâte, sans recul, avec des technologies inédites [32]… Faudra y réfléchir à deux fois avant d’accepter une vaccination massive, sachant que selon certaines études, on constate une immunité (croisée) déjà présente chez certains individus allant jusqu’à 50% de la population [33]. Ce qui expliquerait cette large proportion d’asymptomatiques.

Si un vaccin est élaboré, il devra être réservé aux personnes à risque exclusivement. Mais l’imposer ou le conseiller à l’ensemble de la population, à ce stade, c’est une ineptie !

9) Le confinement et le port du masque obligatoire sont des solutions efficaces

Le confinement et l’obligation du port du masque sont des mesures politiques et non médicales. Elles ne reposent sur aucune preuve scientifique d’efficacité. ABSOLUMENT RIEN !

D’ailleurs, les pays n’ayant imposés aucune de ces mesures (la Suède, un cas intéressant [34], la Biélorussie) ou de manière allégée (Allemagne, Pays-Bas) ont peu ou prou les mêmes courbes épidémiques [35] sans surmortalité significative, et s’en sortent même mieux que les pays qui ont imposé ces règles de manière drastique (Belgique, France, Italie,Espagne)!

Que l’on soit clair :

Il y a une différence entre dépister, isoler et traiter des malades contagieux (comme il s’est toujours fait en matière d’épidémie), et confiner aveuglément l’ensemble de la population sans discernement et sans prise en charge de proximité. Certaines études ont même montré l’effet inverse de celui escompté [36], sans parler de la mortalité secondaire (suicides, maladies non dépistées) ainsi que des conséquences sociales et économiques catastrophiques.

Il y a aussi une différence entre porter CORRECTEMENT, de manière hygiénique, un masque de protection type FFP2 ou chirurgical dans les lieux clos et bondés en phase de pic épidémique lorsque le risque est grand (on nous avait d’ailleurs dit que c’était inutile à l’époque), et imposer de porter des bouts de tissus ou des masques chirurgicaux mal utilisés, sans règles d’hygiène préalable, y compris en extérieur et en dehors d’un pic épidémique par-dessus le marché. C’est de la grosse foutaise, pardon !

Non définitivement, le confinement aveugle et le port du masque obligatoire entraînent plus d’inconvénients que d’avantages escomptés [37,38].

10) Les autorités savent ce qu’elles font

Il est dans certains esprits l’idée que la classe dirigeante a le pouvoir parce qu’elle le mérite ou qu’elle a une capacité à diriger. C’est une croyance qu’il paraît urgent de réviser !

Le système politique et le pouvoir hiérarchique des instances autoritaires en général fonctionnent par conformisme et cooptation, certains disent même médiocratie. [39] C’est-à-dire que les hauts dirigeants choisissent à des postes subalternes des individus plutôt médiocres mais obéissants et reconnaissants.

Dans ce contexte, les personnes qui cherchent à accéder à des postes de pouvoir et de responsabilité sont rarement compétentes, honnêtes ou bienveillantes. Albert Jaccard avait prévenu en 1994 déjà : « Nous sommes en train de sélectionner les gens les plus dangereux » disait-il.

Ce sont des gens qui avouent rarement leurs erreurs, persistent dans leurs fourvoiements et ont leur ambition carriériste comme principal objectif.

Sans parler de leurs conseillers technocrates, souvent en conflits d’intérêts évidents, qui ont des visions totalement déconnectées des réalités et agissent plus par idéologie que pragmatisme.

Un sacré cocktail !

C’est pourquoi, en conclusion, il est urgent de mettre fin à cette hystérie politico-médiatique ainsi qu’aux mesures sanitaires contre-productives, anti-démocratiques et sans fondements médicaux ni scientifiques.

ANNES BOURIA – Pharmacien

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Références

  1. https://theconversation.com/how-deadly-is-the-coronavirus-the-true-fatality-rate-is-tricky-to-find-but-researchers-are-getting-closer-141426?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  2. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/hcp/planning-scenarios-archive/planning-scenarios-2020-05-20.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  3. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/covid_weekly/index.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#Comorbidities
  4. https://arxiv.org/abs/2006.08471?utm_source=Nature+Briefing&utm_campaign=59d57f54e5-briefing-dy-20200706&utm_medium=email&utm_term=0_c9dfd39373-59d57f54e5-45555106&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  5. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/covid-data/covidview/index.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#hospitalizations
  6. https://covid-19.sciensano.be/sites/default/files/Covid19/COVID-19_THEMATIC%20REPORT_COVID-19%20HOSPITALISED%20PATIENTS_FR.pdf
  7. https://www.journaldequebec.com/2020/05/28/jusqua-80-de-cas-de-covid-silencieux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  8. https://www.liberation.fr/direct/element/la-repartition-par-age-des-deces-lies-au-coronavirus-ressemble-a-une-mortalite-classique_112144/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  9. https://academic.oup.com/aje/advance-article/doi/10.1093/aje/kwaa093/5847586?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  10. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.05.02.20080036v1?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  11. https://www.lejournaldumedecin.com/actualite/azithromycine-etc-la-controverse-gronde-autour-du-cocktail-anti-covid-19-de-medecins-generalistes/article-normal-47443.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE7
  12. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_l-artemisia-une-plante-antipaludeenne-efficace-contre-le-coronavirus?id=10570600&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  13. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-dexamethasone-efficace-contre-les-formes-graves-ne-doit-pas-etre-donne-au-debut-de-la-maladie?id=10544918&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=La%20dexam%C3%A9thasone%2C%20premier%20m%C3%A9dicament%20%C3%A0,un%20essai%20clinique%20publi%C3%A9s%20vendredi.
  14. https://www.revmed.ch/covid-19/Risque-thrombotique-veineux-induit-par-le-SARS-CoV-2-prevalence-recommandations-et-perspectives
  15. https://www.allodocteurs.fr/maladies/maladies-infectieuses-et-tropicales/coronavirus/covid-19-loxygenotherapie-pourrait-eviter-lintubation_29764.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  16. https://www.coeuretavc.ca/articles/comment-les-virus-endommagent-ils-le-coeur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  17. https://www.gbpf.be/images/uploads/congres/Frere-Julie_Infections_virales_du_SNC.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  18. http://www.academie-medecine.fr/avis-de-lacademie-les-sequelles-de-la-covid-19/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  19. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/ncov/covid-wwksf/2020/07/what-we-know-covid-19-long-term-sequelae.pdf?la=en&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  20. https://www.lesechos.fr/idees-debats/sciences-prospective/coronavirus-les-medecins-sinterrogent-sur-le-bon-usage-des-respirateurs-1195147?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  21. https://uclouvain.be/fr/decouvrir/la-grippe-espagnole-de-1918-suscitait-elle-la-meme-peur-que-le-coronavirus.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  22. https://www.lindependant.fr/2020/04/29/professeur-didier-raoult-99-des-cas-de-coronavirus-en-france-auront-eu-lieu-avant-le-19-mai,8867698.php?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  23. https://www.lequotidiendumedecin.fr/archives/pourquoi-le-froid-plait-aux-virus-respiratoires?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  24. https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/infographies-covid-19-morts-hospitalisations-age-malades-l-evolution-de-l-epidemie-en-france-et-dans-le-monde-en-cartes-et-graphiques.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  25. https://swprs.org/covid-just-a-casedemic/
  26. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-vous-avez-un-test-pcr-positif-et-vous-ne-l-etes-peut-etre-pas-ou-vous-n-etes-pas-contagieux?id=10578123&fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  27. https://www.sciensano.be/fr/coin-presse/analyse-covid-19-75-des-personnes-positives-au-sars-cov-2-etaient-asymptomatiques-au-moment-du-test?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE#:~:text=Parmi%20ceux%2Dci%2C%203%20%25,encore%20tout%20%C3%A0%20fait%20clair.
  28. https://www.nytimes.com/2020/08/29/health/coronavirus-testing.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  29. https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.26.20080911v2.full.pdf
  30. https://www.grippe65plus.fr/histoires/immunit%C3%A9-collective-prot%C3%A9ger-les-membres-vuln%C3%A9rables-de-la-communaut%C3%A9?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  31. https://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/09/10/24095-vaccin-contre-sida-pourquoi-cest-difficile?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  32. https://blogs.mediapart.fr/franck-noir/blog/300720/covid19-les-vaccins-marn-seraient-inefficaces-et-potentiellement-dangereux?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  33. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/la-moitie-de-la-population-possederait-une-immunite-au-covid-19-pre-existante_2132005.html?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  34. https://www.thesun.co.uk/news/12591827/sweden-coronavirus-case-rate-lower-denmark-norway-lock-down/
  35. https://www.worldometers.info/coronavirus/?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  36. https://meteopolitique.com/Fiches/Epidemie-Pandemie/analyse/confinement/Absence-de-base-probante-pour-soutenir-le-confinement-general-de-la-population-du-Canada.pdf?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  37. https://www.express.co.uk/life-style/health/1320428/Coronavirus-news-lockdown-mistake-second-wave-Boris-Johnson?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  38. http://www.francesoir.fr/societe-sante/chronique-covid-ndeg12-bas-les-masques-trop-dincertitudes-sur-leurs-inconvenients-leur?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  39. https://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2016-2-page-17.htm?fbclid=IwAR3p8ZO6P6PYfiRAtGflBjoA5k3GrHjkTXnjmE_yRY7DNSRB_7jbkF_KTVE
  40. https://www.youtube.com/watch?v=9v9updAv018



Coronavirus : Une maladie respiratoire comme chaque hiver ? (du Dr. Wolfgang Wodarg)

[Source : www.kla.tv/15925]

Opinion sans fard, aujourd’hui avec une déclaration abrégée du médecin et scientifique de la santé le Dr. Wolfgang Wodarg. (…)[Voir www.kla.tv/15925 pour la déclaration complète] :

« Depuis le début de l’année, l’attention du public, de la science et des autorités sanitaires a soudain complètement changé. Certains médecins de Wuhan, une ville de 12 millions d’habitants, ont réussi à attirer l’attention du monde entier avec initialement moins de 50 cas et quelques décès dans leur clinique où ils avaient identifié les virus corona comme l’agent pathogène. Les cartes colorées qui nous sont maintenant présentées sur papier ou sur écran sont impressionnantes, mais elles ont généralement moins à voir avec la maladie qu’avec l’activité de virologues travaillant d’arrache-pied et de foules de reporters sensationnalistes.

Partout où ces tests ont été effectués, près de 9 000 tests par semaine étaient disponibles dans 38 laboratoires à travers l’Europe le 13 février 2020, rapidement des résultats positifs ont été trouvés et chaque cas est devenu un événement médiatique. Le fait que la découverte d’une infection à coronavirus entraîne une recherche intensive dans l’entourage de la personne, explique les nombreuses augmentations de cas dans une région.

Les rapports d’horreur de Wuhan sont quelque chose qu’attendaient les virologues du monde entier. Immédiatement, les souches de virus présentes dans les réfrigérateurs ont été scannées et comparées fébrilement avec les nouveaux venus signalés de Wuhan. Un laboratoire de la Charité a gagné la course auprès de l’OMS et a été autorisé à commercialiser ses tests internes dans le monde entier à un prix plusieurs fois supérieur au prix habituel.

Cependant, il vaut mieux ne pas se faire tester pour les coronavirus pour 200 euros ! Selon plusieurs années de recherche prospective en Ecosse, de 2005 à 2013, même si vous n’avez qu’une infection légère de type grippal, le risque de détection du coronavirus est de 7 à 15%. Une détection des coronavirus aurait de graves conséquences pour la vie quotidienne des personnes testées et leur environnement au sens large, comme on peut le constater dans tous les médias sans faire de longues recherches. Cependant, la découverte elle-même n’a pas de signification clinique. Ce n’est qu’un des nombreux noms donnés aux maladies respiratoires aiguës (MRA), qui chaque hiver mettent temporairement en incapacité les uns un peu plus, les autres un peu moins, 20 à 40 % de la population de notre pays.

Selon une bonne étude réalisée en Écosse, les agents pathogènes les plus courants des maladies respiratoires aiguës étaient : 1. les rhinovirus, 2. les virus influenza A, 3. les virus influenza B, 4. les virus RS (syncytial respiratoire) et 5. Coronavirus. Cet ordre a légèrement changé d’année en année. Apparemment le quorum des virus en compétition pour nos cellules des muqueuses peut changer, comme nous le savons par nos intestins dans le cas des micro-organismes et par le « Bundestag » dans le cas des partis politiques.

Donc, si maintenant il devrait y avoir un nombre croissant d’infections à coronavirus « avérées » en Chine ou en Italie, alors quelqu’un peut-il dire combien de fois de tels tests ont été effectués au cours des hivers précédents, sur qui, pour quelle raison et avec quels résultats ? Quand on prétend que quelque chose devient croissant, on doit sûrement se référer à quelque chose qu’on a déjà observé auparavant.

On peut être stupéfait lorsque, en tant qu’épidémiologiste expérimenté de la maladie, on observe les bouleversements actuels, la panique et les souffrances qui en découlent. Ce sera certainement le cas pour de nombreuses personnes responsables qui risqueraient probablement de perdre leur emploi aujourd’hui comme à l’époque avec la « grippe porcine », si elles s’opposaient au courant dominant.

Chaque hiver, nous avons une épidémie de virus avec des milliers de morts et des millions de personnes infectées, également en Allemagne. Et les coronavirus y sont toujours pour quelque chose. Ainsi, si le gouvernement allemand veut faire quelque chose de bien, il peut le faire comme les épidémiologistes de Glasgow et faire en sorte que les brillants esprits de l’Institut Robert Koch observent « de manière prospective » et voient comment le virome [c’est-à-dire l’ensemble des virus présents dans l’intestin] de la population allemande change d’année en année en hiver.

La politique doit également veiller à ce que le travail scientifique digne de confiance à l’Institut Robert Koch, à l’Institut Paul Ehrlich et dans d’autres bureaux redevienne plus facile. Travailler scientifiquement ne signifie pas aller dans le sens des souhaits de la politique et de l’économie. La science est digne de confiance si elle utilise des méthodes transparentes pour remettre en question toujours et à tout moment les prétendues connaissances de manière professionnelle et cohérente. Même si cela prend parfois beaucoup de temps, cela peut nous éviter bien des aberrations coûteuses en matière de santé, que les gardiens de la grippe motivés par l’intérêt voudraient faire passer pour bénéfiques pour nous.

Et pour l’individu, ce qui suit s’applique : Toute personne qui est contrainte aux mesures de quarantaine et qui subit un préjudice financier uniquement en raison d’un test PCR positif au coronavirus peut avoir droit, en Allemagne, à une indemnisation en vertu de l’article 56 de la loi sur la protection contre les infections. (…). »

de kt./ch. Sources / Liens :




Les faits sur le coronavirus

[Source : Swiss Propaganda Research]

Des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour aider nos lecteurs à faire une évaluation réaliste des risques.

« La seule façon de lutter contre la peste, c’est  l’honnêteté. »

Albert Camus, 1947

Aperçu

  1. Selon les données des pays et régions les mieux étudiés, la létalité du Covid19 est en moyenne de 0,2% environ et est donc de l’ordre d’une forte grippe (Influenza) et environ vingt fois inférieure à celle initialement supposée par l’OMS .
  2. Le risque de décès pour l’ensemble de la population en âge d’aller à l’école et de travailler, même dans les « hotspots » (foyers d’infections) mondiaux, est du même ordre que le risque de décès lors des déplacements quotidiens pour aller au travail en voiture. Au départ le risque a été surestimé car les personnes ne présentant aucun symptôme ou des symptômes légers n’ont pas été incluses.
  3. Jusqu’à 80% des personnes testées positives ne présentent aucun symptôme . Même chez les 70 à 79 ans, environ 60% restent asymptomatiques. Plus de 95% des personnes ne présentent au plus que des symptômes bénins .
  4. Jusqu’à un tiers de la population a déjà une immunité de fond au Covid19 par contact avec des coronavirus précédents (c’est-à-dire des virus du rhume).
  5. L’âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l‘ Italie ) est supérieur à 80 ans et seulement 1% environ des personnes décédées n’avaient pas de maladie grave antérieure. Le profil de la mortalité correspond donc essentiellement à une mortalité normale .
  6. Dans la plupart des pays, jusqu’à 50 à 70% des décès sont survenus dans des EHPAD , qui ne tirent aucun bénéfice d’un confinement général. De plus, il n’est souvent pas clair si ces personnes sont vraiment décédées du Covid19 ou de stress à des niveaux élevés, de peur et de solitude .
  7. Jusqu’à 50% des décès en excès ne sont pas provoqués par le Covid19, mais par les effets du confinement, la panique et la peur. Ainsi le traitement des crises cardiaques et accidents vasculaires a reculé jusqu’à 60 % parce que les patients n’osent plus se rendre dans les centres de soins.
  8. Même dans les soi-disant « décès Covid19 » , il n’est souvent pas clair si les personnes sont décédés par ou avec le virus (c’est à dire un décès à cause d’une pathologie préexistante), ou encore que se soit des « cas suspectés », qui n’ont simplement pas été testés. Il est à constater que les chiffres officiels ne reflètent souvent pas ces distinctions .
  9. De nombreux reportages dans les médias, rapportant que des jeunes et des personnes en bonne santé sont décédés du Covid19, se sont avérés être faux : Beaucoup de ces personnes ne sont en fait soit pas mortes du Covid19, ou alors elles étaient déjà gravement malades auparavant (par exemple une leucémie non détectée), ou ils avaient 109 ans au lieu de 9 ans.
  10. La mortalité globale normale quotidienne aux États-Unis est d’environ 8 000, en Allemagne d’environ 2 600, en Italie d’environ 1 800 et en Suisse d’environ 200 personnes par jour. La mortalité de la grippe aux États-Unis peut atteindre 80 000, en Allemagne et en Italie jusqu’à 25 000 et en Suisse jusqu’à 2 500 personnes par hiver. Dans plusieurs pays, le Covid19 n’a pas atteint ces niveaux-là .
  11. Des taux de mortalité très élevés, comme dans le nord de l’Italie, peuvent être influencés par des facteurs de risque supplémentaires tels qu’une pollution atmosphérique et une contamination microbienne très élevées ainsi qu’un effondrement des soins aux personnes âgées et des soins infirmiers dû aux infections, à la panique de masse et au confinement.. Des réglementations spéciales concernant les personnes décédées ont parfois entraîné des goulots d’étranglement supplémentaires dans les enterrements.
  12. Dans des pays comme l’Italie et l’Espagne ainsi qu’en partie au Royaume-Uni et aux États-Unis, les vagues de grippe ont déjà entraîné une surcharge des hôpitaux. Actuellement, jusqu’à 15% des médecins et infirmières, même sans symptômes, doivent être mis en quarantaine.
  13. Les courbes exponentielles souvent présentées avec des « cas corona » sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de façon exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport des tests positifs au test global (taux dit positif) reste constant de 5 à 25% ou n’augmente que légèrement. Le pic des infections a atteint son apogée dans la plupart des pays avant les confinements.
  14. Les pays sans confinements et interdictions de contacts, tels que le Japon, la Corée du Sud et la Suède n’ont jusqu’à présent pas connu de tendance plus négative que les autres pays. La Suède a même récemment été saluée par l’OMS comme un modèle exemplaire et bénéficie désormais d’une immunité élevée.
  15. La crainte d’une pénurie de respirateurs artificiels était injustifiée . Selon des pneumologues , la ventilation invasive (intubation) des patients atteints de Covid19, qui était en partie dûe à la peur du virus, est souvent contre – productive et endommage en outre les poumons.
  16. Contrairement aux hypothèses initiales, diverses études ont montré qu’il n’y a aucune preuve de propagation du virus par les aérosols (particules en suspension dans l’air) ou par des frottis (comme les poignées de porte, les smartphones ou chez le coiffeur) .
  17. Il n’y a pas non plus de fondement scientifique pour l’efficacité des masques respiratoires chez les personnes en bonne santé ou asymptomatiques . Au contraire , les experts avertissent que ces masques entravent la respiration et deviennent des «lanceurs de germes» .
  18. De nombreuses cliniques en Europe et aux États – Unis sont restées sous – utilisées et ont même parfois dû recourir au chômage partiel . De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées , notamment des transplantations d’organes «non essentielles» et des dépistages du cancer.
  19. Plusieurs médias ont été surpris en train de dramatiser la situation dans les hôpitaux, parfois même avec des images manipulatrices. En général, les reportages douteux de nombreux médias ont maximisé la peur au sein de la population.
  20. Les kits de test de virus utilisés à l’échelle internationale sont sujets à des erreurs et peuvent donner des résultats faussement positifs ou faussement négatifs. Le test de virus officiel n’a pas non plus été validé cliniquement à cause de la contrainte liée au temps et peut parfois également réagir à d’autres virus corona .
  21. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l’immunologie et de l’épidémiologie considèrent les mesures prises comme contreproductives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale et la protection des groupes à risque. Il n’y a jamais eu de raison médicale pour la fermeture des écoles .
  22. Plusieurs experts ont décrit les vaccins obligatoires contre les coronavirus comme inutiles, voire dangereux . En fait, le vaccin contre la soi-disant grippe porcine de 2009 a entraîné de graves dommages neurologiques et a donné lieu à des indemnisations à hauteur de millions (de livres sterling).
  23. Le nombre de personnes à travers le monde qui, à cause des mesures anti-corona , souffrent de chômage, de problèmes de santé mentale, de violence domestique, est monté en flèche . Plusieurs experts estiment que les mesures anti-corona provoqueront plus de morts que le virus lui – même. Selon l’ONU des millions de personnes à travers le monde sont en train de tomber dans la pauvreté et la famine absolue.
  24. Le lanceur d’alerte et dénonciateur de la NSA, Edward Snowden, a averti que la crise corona était utilisée pour l’expansion massive et permanente des outils mondiaux de surveillance. Le célèbre virologue Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». L’infectiologue britannique John Oxford a parlé d’une « épidémie médiatique ».
  25. Plus de 500 scientifiques ont mis en garde contre une « surveillance sans précédent de la société » grâce à des applications de suivi de contact problématiques. Dans certains pays, ce suivi de contact est déjà effectué directement par les service secrets. À travers le monde ça a abouti à une surveillance de la population civile par des drones et dans certains cas à des violences policières massives.
Pour plus d’informations en français, voir aussi Covid Infos.

6 mai 2020

Interviews d’experts
  • Le professeur de Stanford John Ioannidis explique dans une interview à CNN que Covid19 est une « maladie répandue et bénigne » comparable à la grippe (influenza) pour la population générale, alors que les patients des maisons de retraite et des hôpitaux devraient bénéficier d’une protection supplémentaire
  • Le professeur Scott Atlas, de Stanford, explique dans une interview à CNN que « l’idée de devoir stopper le Covid19 a créé une situation catastrophique en matière de soins de santé ». Le professeur Atlas affirme que la maladie est « généralement bénigne » et que des craintes irrationnelles ont été créées. Il ajoute qu’il n’y a « absolument aucune raison » de procéder à des tests approfondis dans la population générale, ce qui n’est nécessaire que dans les hôpitaux et les maisons de retraite. Le professeur Atlas a écrit un article fin avril intitulé « The data are in – Stop the panic and end total isolation » (« Les données sont là – Arrêtez la panique et mettez fin au confinement total ») qui a suscité plus de 15 000 commentaires.
  • Le Dr Knut Wittkowski, épidémiologiste, explique dans une nouvelle interview que le danger du Covid19 est comparable à celui d’une grippe et que le pic a déjà été dépassé dans la plupart des pays avant le confinement. Le confinement de sociétés entières a été une « décision catastrophique » sans avantages mais causant d’énormes dégâts. La mesure la plus importante est la protection des maisons de retraite. Les déclarations de Bill Gates sur le Covid19 sont « absurdes » et « n’ont rien à voir avec la réalité », une vaccination contre le Covid19 n’est pas nécessaire. Le modèle Covid19 influent de l’épidémiologiste britannique Neil Ferguson a été un « échec complet ».
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck explique les résultats finaux de son étude pionnière sur les anticorps. Streeck a trouvé une létalité du Covid19 de 0,36%, mais explique dans l’interview qu’il s’agit d’une limite supérieure et que la létalité est probablement de l’ordre de 0,24 à 0,26%, voire moins. L’âge moyen des personnes décédées après un test positif était d’environ 81 ans.
  • Le professeur de biologie et prix Nobel Michael Levitt, qui analyse la propagation du Covid19 depuis février, décrit le confinement général comme une « énorme erreur » et appelle à des mesures plus ciblées, notamment pour protéger les groupes à risque.
  • Le professeur émérite de microbiologie Sucharit Bhakdi explique dans une nouvelle interview en Allemagne que la politique et les médias mènent une « campagne de peur intolérable » et une « campagne de désinformation irresponsable » envers la population. Les masques pour la population en général sont des « attrapeurs de germes » inutiles et dangereux. La crise actuelle a été provoquée par les politiciens eux-mêmes et n’a pas grand chose à voir avec le virus. Un vaccin contre le coronavirus est « inutile et dangereux », comme ce fut le cas pour la grippe porcine, et la vaccination obligatoire est une erreur. L’OMS « n’a pas assumé la responsabilité de ses nombreuses mauvaises décisions » au fil des ans, affirme le professeur Bhakdi. (Note : la vidéo a été temporairement supprimée par YouTube).
  • Le docteur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse en infectiologie, explique dans une nouvelle interview que la maladie du Covid19 est « bénigne pour la grande majorité des gens ». Le « comptage des personnes infectées et la demande de tests supplémentaires » n’aiderait pas beaucoup. En outre, la plupart des personnes figurant dans les statistiques pour le coronavirus ne mourraient pas uniquement de la maladie Covid-19. Le taux de létalité du Covid-19 est « de l’ordre de grandeur d’une grippe saisonnière ». Il n’existe aucune preuve du bénéfice des masques faciaux chez les personnes qui ne présentent pas elles-mêmes de symptômes (version archivée).
Études médicales
  •  Un nouvel aperçu des études existantes à partir de la PCR et des anticorps montre que la valeur médiane de la létalité du Covid19 (IFR) est de 0,20 % et se situe donc dans la fourchette d’une grippe forte.
  •  Une nouvelle étude sur les anticorps chez les donneurs de sang danois a montré une très faible létalité de Covid19 (IFR) de 0,08 % pour les personnes de moins de 70 ans.
  •  Une nouvelle étude d’anticorps réalisée en Iran, l’un des pays les plus anciens et les plus touchés par le Covid19, a également montré une très faible létalité de 0,08 % à 0,12 %.
  • Une nouvelle étude sur les anticorps réalisée au Japon conclut que 400 à 800 fois plus de personnes ont été en contact avec le nouveau coronavirus que ce que l’on pensait auparavant, mais n’ont présenté aucun ou presque aucun symptôme. Le Japon n’a effectué que peu de tests jusqu’à présent.
  • Une nouvelle étude menée en Allemagne, avec la participation du virologue Christian Drosten, montre qu’environ un tiers de la population possède déjà une certaine immunité cellulaire au  Covid19, probablement par contact avec des coronavirus antérieurs (virus du rhume). Cette immunité cellulaire par les cellules dites T est nettement plus élevée que ce que suggèrent les tests PCR et les tests d’anticorps et peut expliquer en partie pourquoi de nombreuses personnes ne développent aucun symptôme avec le nouveau coronavirus.
  • Dans une prison de l’État U.S du Tennessee, seules deux personnes testées positives sur 1349 présentaient des symptômes.
  • Sur le porte-avions français Charles de Gaulle, aucun des 1046 marins testés positifs n’est mort à ce jour. Sur le porte-avions étatsunien Theodore Roosevelt, un des 969 marins testés positifs est décédé jusqu’à présent (les conditions préalables et la cause exacte de la mort ne sont pas connues).
  • De nombreux médias ont fait état de prétendues « réinfections » de personnes qui avaient déjà récupérées en Corée du Sud. Cependant, les chercheurs sont maintenant arrivés à la conclusion que les 290 cas suspects étaient tous des résultats de tests faussement positifs causés par des « fragments de virus non infectieux ». Ce résultat souligne une fois de plus le manque de fiabilité bien connu des tests PCR de détection du virus.
Autres mises à jour médicales
  • De nombreux médias ont rapporté qu’en rapport avec le Covid19, de plus en plus d’enfants tomberaient malades de la maladie dite de Kawasaki (une inflammation vasculaire). Toutefois, la Fondation britannique pour la maladie de Kawasaki a publié un communiqué de presse indiquant que le nombre de cas de Kawasaki signalés actuellement est inférieur à la normale, et non supérieur, et que sur les quelques cas signalés, seule la moitié environ avait été testée positive au coronavirus.
  •  Dans une lettre ouverte au ministère français de la santé, un médecin français parle de Covid19 comme de « la plus grande escroquerie sanitaire du 21e siècle ». Le danger du virus pour la population générale se situe dans la gamme de la grippe et les conséquences du confinement sont plus dangereuses que le virus lui-même, affirme le médecin français.
  • En France, une enquête ultérieure a révélé que le premier patient positif au Covid19 avait déjà été traité fin décembre 2019, soit un mois plus tôt que prévu. L’homme était traité pour ce qui semblait être une pneumonie liée à la grippe. Ce cas montre que le nouveau coronavirus est soit arrivé en Europe plus tôt que prévu, soit qu’il n’est pas aussi nouveau qu’on le supposait, soit que le résultat du test était un faux positif. En outre, il n’est pas certain que l’homme, qui s’est remis depuis longtemps, souffrait réellement de la grippe ou du coronavirus, ou des deux.
  • Le directeur exécutif de l’OMS a récemment salué la Suède comme un modèle de réussite pour sa gestion du Covid19. La Suède a mis en œuvre sa politique de santé avec succès et « en partenariat avec la population », a-t-il déclaré. Auparavant, la Suède avait été fortement critiquée pendant des semaines par les médias et les politiciens étrangers pour son approche détendue du Covid19.
  • Le Belarus, qui a pris le moins de mesures contre le Covid19 de tous les pays européens et qui n’a même pas annulé des événements majeurs comme des matchs de football, ne compte que 103 décès positifs ou suspectés de Covid19 après plus de deux mois. Le président biélorusse de longue date, Loukachenko, a qualifié le Coronavirus  de « psychose« . Les critiques affirment qu’il ne révèle pas le nombre réel de décès.
  • Un chercheur canadien a effectué une analyse documentaire approfondie qui a révélé que les masques faciaux n’offrent pas de protection mesurable contre le rhume et la grippe.
  • Un psychiatre en chef suisse s’attend à une forte augmentation des problèmes psychologiques et à plus de 10 000 suicides supplémentaires dans le monde en raison du confinement mondial et du chômage.
  • Le nombre dit de reproduction, qui indique la prolifération du Covid, devient de plus en plus une question politique. Cependant, cela ne change pas les faits : le pic de la propagation était déjà atteint dans la plupart des pays avant le confinement et le taux de reproduction est tombé à la valeur stable de un ou en dessous de celle-ci grâce à des mesures simples de la vie quotidienne et d’hygiène. Le confinement était donc inutile du point de vue épidémiologique.
  • Le tableau clinique et les groupes à risque des coronavirus Covid19 sont probablement liés à l‘utilisation du récepteur cellulaire ACE2, que l’on trouve dans les bronches et les poumons, mais aussi dans les vaisseaux sanguins, les intestins et les reins. Cependant, d’autres coronavirus, en particulier le virus du rhume NL63, utilisent également le récepteur cellulaire ACE2. Certains chercheurs s’attendent donc à ce que le coronavirus Covid19 devienne lui aussi un virus du rhume typique à moyen terme.
  • L’origine exacte du nouveau coronavirus n’est pas encore claire. L’explication la plus simple reste la transmission ou la mutation naturelle, qui se produit assez souvent. Il est vrai, cependant, que le laboratoire virologique de Wuhan, dans le cadre d’un programme de recherche cofinancé par les États-Unis, a étudié les coronavirus des chauves-souris et a également examiné leur transmissibilité à d’autres mammifères, ce que certains chercheurs critiquent depuis des années comme étant trop risqué. Le célèbre directeur du laboratoire a toutefois expliqué que le nouveau virus ne correspondait pas aux coronavirus étudiés en laboratoire. Les rumeurs antérieures sur les « armes biologiques » ou les « séquences VIH » doivent être considérées comme une désinformation compte tenu de la relative innocuité du coronavirus.
Maisons de retraite et de soins pour personnes âgées

Les maisons de retraite jouent un rôle absolument essentiel dans la situation actuelle du corinavirus. Dans la plupart des pays occidentaux, 30 à 70 % de tous les décès « liés au Covid » se sont produits dans des maisons de retraites ou hospices, ou Ehpad (dans certaines régions, même jusqu’à 90 %). On sait également que la crise dans le nord de l’Italie a commencé par un effondrement des soins infirmiers pour les personnes âgées, provoqué par la panique.

Les maisons de soins pour personnes âgées et de retraites nécessitent une protection ciblée et ne bénéficient pas d’un confinement général de la société. Si l’on ne considère que les décès dans la population générale, dans la plupart des pays, ils se situent dans la fourchette d’une vague de grippe normale ou même légère.

En outre, dans de nombreux cas, on ne sait pas très bien de quoi sont réellement morts les pensionnaires des maisons de retraite, c’est-à-dire s’il s’agissait de Covid19 ou de stress, de peur et de solitude. En Belgique, par exemple, on sait qu’environ 94 % de tous les décès dans les maisons de retraites sont des « cas présumés » non testés.

Une nouvelle analyse des statistiques françaises montre en outre ce qui suit : dès qu’il y a un « cas suspect » dans une maison de retraite (par exemple à cause de la toux), tous les décès sont considérés comme des « décès suspects du Covid19 », et dès qu’il y a un « cas confirmé » dans une maison de retraite (même s’il ne présente aucun symptôme), tous les décès sont considérés comme des « décès confirmés au Covid19 ».

Un rapport allemand décrit de manière très vivante les conditions extrêmes dans lesquelles des centaines de milliers de patients en maisons de soins et de retraite ont dû vivre ces dernières semaines, souvent contre leur gré. Nombre de ces patients ont à peine pu quitter leur chambre, n’ont plus été autorisés à sortir à l’air libre ou à recevoir la visite de leurs proches.

Dans plusieurs maisons de retraite, le test PCR, sujet à des erreurs, a en outre provoqué de graves fausses alertes et la panique. Dans une maison de retraite canadienne, les employés ont fui par crainte du coronavirus, ce qui a entraîné la mort tragique de 31 patients par manque de soins.

L’ancien journaliste du New York Times et critique du coronavirus, Alex Berenson, écrit sur Twitter :

« Soyons clairs : le fait que les décès dans les maisons de retraite ne soient pas au centre de la couverture médiatique quotidienne du COVID vous dit tout ce que vous devez savoir sur la priorité des médias – qui est d’instiller la panique (et de punir Trump), et non de mener une bonne politique de santé ».

Analyse complète :  Mortality associated with COVID-19 outbreaks in care homes: early international evidence (« Mortalité associée aux épidémies de COVID-19 dans les maisons de soins : premières preuves internationales ») (LTC Covid, mai 2020)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Décès dans les maisons de repos et de soins pour personnes âgées, chiffres absolus et en pourcentage (LTC Covid)

Grande-Bretagne
  •  La mortalité cumulée toutes causes confondues au Royaume-Uni reste de l’ordre des cinq plus fortes vagues de grippe des 25 dernières années. Le pic des décès quotidiens à l’hôpital a déjà été atteint le 8 avril (voir le graphique ci-dessous).
  • De nouvelles données statistiques montrent qu’à la mi-avril, sur environ 12 000 décès supplémentaires, environ 9 000 étaient « liés à la Covidose » (y compris les « cas suspects »), mais environ 3 000 étaient « non liés à la Covidose ». En outre, sur le total d’environ 7 300 décès dans les maisons de retraite, seuls 2 000 environ étaient « liés à la maladie du Covid ». Tant pour les « décès liés au Covid19 » que pour les décès non liés au Covid19, il est souvent difficile de savoir de quoi ces personnes sont réellement mortes. L’Association des pathologistes britanniques a donc demandé une « étude systématique des véritables causes de décès« .
  • Les hôpitaux temporaires „Nightingale“ au Royaume-Uni sont restés jusqu’à présent largement vides. Une situation similaire a déjà été observée en Chine, aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.
  • Fin avril, on a appris que le confinement n’était apparemment pas, comme cela a été officiellement déclaré, recommandé par une seule commission scientifique, mais qu’un haut conseiller du gouvernement avait « poussé » les scientifiques à soutenir le confinement.
Bulletin de surveillance du SWPRS au 6.05.20 sur l'épidémie de coronavirus et la coronapanique (Vidéos)

L’Angleterre : Décès avec tests positifs dans les hôpitaux (NHS)

États-Unis
  •  Le dernier rapport du CDC étatsunien montre que le taux d’hospitalisation lié au Covid19 chez les plus de 65 ans se situe dans la fourchette des fortes vagues de grippe. Il est légèrement plus élevé chez les 18 à 64 ans et nettement plus faible chez les moins de 18 ans.
  • Vidéo : Une infirmière de New York City a déclaré dans une vidéo dramatique que New York « tue » les patients atteints de Covid19 en les mettant sous respirateur invasif et en détruisant leurs poumons. L’utilisation de ventilateurs invasifs (au lieu de masques à oxygène) se fait « par peur de propager le virus ». C’est « un film d’horreur », « non pas à cause de la maladie, mais à cause de la façon dont elle est traitée », a expliqué l’infirmière. Depuis mars, les experts mettent en garde contre l’intubation des patients atteints de Covid19.
  • Le Dr Daniel Murphy, chef du service des urgences d’un hôpital très touché de New York, recommande de mettre rapidement fin à ce confinement. Selon le Dr Murphy, la vague de Covid19 avait déjà atteint son point culminant le 7 avril. Le Covid19 est un problème grave, mais la crainte qu’elle suscite est exagérée, car la grande majorité de la population est tout au plus légèrement malade. Sa plus grande inquiétude est maintenant la forte diminution des soins aux patients et aux enfants en cas d’urgence, due au blocage et à la peur généralisée de la population.
  • Vidéo : La plateforme conservatrice de dénonciation Project Veritas s’est entretenue avec les directeurs de pompes funèbres de New York qui ont déclaré qu’actuellement Covid est écrit « sur tous les certificats de décès » (des cas suspects), qu’il y ait eu un test ou non. De nombreuses personnes meurent actuellement chez elles, et souvent la cause exacte du décès n’est plus vérifiée. Les statistiques Covid19 sont gonflées pour des raisons politiques ou financières, ont déclaré les directeurs.
  • Le directeur du département de la santé de l’Illinois a confirmé que même les personnes en phase terminale qui meurent clairement d’une autre cause mais qui sont testées positives pour le virus Covid19 avant ou après leur décès sont enregistrées comme des décès Covid19
  • En raison du confinement, 30 millions de personnes aux États-Unis ont déjà demandé des allocations de chômage à la fin du mois d’avril – c’est beaucoup plus que ce que le Bureau international du travail (BIT) avait initialement prévu pour le monde entier.
  • Le patron de Tesla, Elon Musk, a qualifié les couvre-feux californiens de « fascistes« . L' »emprisonnement forcé » des gens dans leur maison viole tous leurs droits constitutionnels, a expliqué Musk lors d’une conférence téléphonique.
  • Vidéo : Une mère a eu affaire avec la police à son domicile parce que ses enfants jouaient illégalement avec les enfants des voisins.
  • Vidéo : Fin avril, certains photographes ont été pris dans une mise en scène partielle d’une manifestation des travailleurs sociaux contre les manifestants anti-confinement. (En savoir plus).
Suisse
  • Une infirmière suisse a écrit un article très partagé sur la situation actuelle. Elle explique que les hôpitaux suisses sont restés largement vides et ont dû, dans certains cas, licencier du personnel. Elle ajoute qu’il est très inhabituel de transférer des personnes de plus de 80 ans aux unités de soins intensifs à cause d’une grippe ou d’une pneumonie, où elles doivent alors mourir seules au lieu d’être avec leur famille. Si cela était fait, les unités de soins intensifs seraient surchargées presque chaque hiver. L’infirmière critique le fait que la plupart des médias n’ont pas suffisamment abordé les récentes découvertes scientifiques sur le risque global plutôt faible de Covid19.
Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Décès cumulés par rapport aux décès attendus, 2010 à 2020 (KW17, BFS/Stotz)

Allemagne et Autriche
  •  Selon un protocole de la Task Force Corona autrichienne qui a fait l’objet d’une fuite, le Chancelier Kurz aurait exigé en mars que la population ait « plus peur » de l’infection ou de la mort de ses parents ou grands-parents. Un document stratégique du ministère fédéral allemand de l’intérieur avait déjà été connu auparavant, qui appelait également à une campagne de peur pychologique qui a effectivement été mise en œuvre par les politiciens et les médias. Rétrospectivement, la question se pose de savoir combien de personnes sont mortes à cause de cette peur largement infondée.
  • Une lettre ouverte comportant déjà environ 5000 signatures de personnes de plus de 64 ans réclame : « Coronavirus : Ne nous protégez pas, nous les personnes âgées, à ce prix ! Décidons nous-mêmes ! » Pour la protection des groupes à risque, il ne faut pas outrepasser les droits fondamentaux de la société entière, affirment les auteurs.
  • En Autriche (et peut-être aussi dans d’autres pays), il est toujours interdit de s’embrasser entre personnes amoureuses, mais pas de vivre ensemble. Cela s’applique aussi bien en public que dans son propre appartement, a expliqué le ministre autrichien de la santé.
  • Un avocat allemand poursuit actuellement devant plusieurs tribunaux les mesures anticoronavirus du gouvernement, car elles sont « manifestement anticonstitutionnelles« .
  • Vidéos : En Allemagne, il y a eu récemment plusieurs cas de dépassement sérieux de la part de la police. Une jeune femme a été brutalement arrêtée par plusieurs policiers alors qu’elle faisait des courses, car elle s’était apparemment „approchée de 20 cm de trop“ d’une policière. Une autre femme a reçu l’ordre de la police, lors d’un rassemblement, de ne pas tenir la constitution allemande devant sa poitrine, car il s’agissait d’un „message politique illégal“. L’organisateur d’un rassemblement pacifique à Berlin a également été arrêté de manière assez brutale. Même des femmes âgées ont été arrêtées de manière disproportionnée. (Attention : images choquantes de violence policière).
Autres mises à jour
  •  Le PDG de Youtube a annoncé dans une interview fin avril que les contributions vidéo sur les coronavirus qui contredisent les directives de l’OMS ou des autorités sanitaires nationales seront supprimées. Par exemple, la vidéo des deux médecins urgentistes californiens coronasceptique, qui a été visionnée plus de cinq millions de fois, a été supprimée. De même, l’interview du professeur Sucharit Bhakdi, dont le lien figure ci-dessus, a été au moins temporairement supprimée par Youtube.
  •  Dans le magazine  étatsunien The Atlantic, deux professeurs de droit ont écrit un article intitulé : « Internet Speech Will Never Go Back to Normal« . In the debate over freedom versus control of the global network, China was largely correct, and the U.S. was wrong. »
    (« Le discours sur Internet ne reviendra jamais à la normale. Dans le débat entre la liberté et le contrôle du réseau mondial, la Chine avait largement raison, et les États-Unis avaient tort ».)
  •  Peter Hitchens : « We’re destroying the nation’s wealth – and the health of millions » (« Nous détruisons la richesse de la nation – et la santé de millions de personnes« ). « Si vous ne défendez pas votre liberté la plus fondamentale, celle d’aller légalement où vous voulez quand vous voulez, alors vous la perdrez pour toujours. Et ce n’est pas tout ce que vous perdrez. Regardez la censure de l’internet, qui se répand comme une grande tache sombre, la mort du Parlement, la conversion de la police en milice d’État ».
  • Mathias Döpfner, PDG d’Axel Springer et l’un des directeurs de médias les plus influents d’Allemagne, appelle à un « découplage de la Chine » et à un renforcement de l’alliance transatlantique avec les États-Unis au lendemain de la crise du Coronavirus.
  • Washington Post : « The last time the government sought a ‚warp speed‘ vaccine, it was a fiasco » (« La dernière fois que le gouvernement a cherché un vaccin « à toute vitesse », ce fut un fiasco »). La vaccination express contre la grippe porcine de 1976 a entraîné paralysies et décès.
  • Rétrospective : Woodstock s’est produit en pleine pandémie. Sur la gestion plutôt détendue de la pandémie mondiale de grippe de 1968 (en savoir plus).
Covid-19 et les médias

Beaucoup de gens sont choqués par les reportages douteux et souvent alarmistes de Covid19 sur de nombreux médias. De toute évidence, il ne s’agit pas de « reportage ordinaire », mais d’une propagande classique et massive, telle qu’elle est généralement employée en relation avec les guerres d’agression ou le prétendu  terrorisme.

Le SPR a dépeint les réseaux de médias responsables de la diffusion de cette propagande dans des infographies antérieures pour les États-Unis, l‘Allemagne et la Suisse. Même le lexique Internet prétendument « ouvert » Wikipedia fait partie intégrante de cette structure médiatique géopolitique.

La position politique et le rapport au pouvoir des différents médias ont été analysés et comparés dans le cadre du SPR Media Navigator. Le Media Navigator peut également être utile pour évaluer les reportages actuels de Covid19 par les différents médias.

Covid-19 et surveillance de masse

L’évolution de loin la plus importante et, du point de vue de la société civile, la plus dangereuse en réponse au coronavirus est la tentative politique apparente d’étendre massivement la surveillance et le contrôle de la société. Dans ce contexte, le lanceur d’alerte de la NSA, Edward Snowden, a mis en garde contre l’émergence d’une « architecture de l’oppression« .

Le coronavirus de type grippal peut servir de justification ou de prétexte à l’introduction de mesures stratégiques visant à étendre la surveillance et le contrôle d’une société de plus en plus malmenée. Parmi les instruments les plus importants actuellement en discussion par plusieurs gouvernements, on peut citer

  1. L’introduction d’applications permettant de „tracer“ les contacts dans la société
  2. La mise en place d’unités chargées de la recherche et de l’isolement des citoyens
  3. L’introduction de cartes d’identité biométriques numériques pour contrôler et réglementer la participation à des activités sociales et professionnelles.
  4. L’extension du contrôle des voyages et des transactions de paiement (y compris la suppression des espèces).
  5. La création d’une base juridique pour l’accès et l’intervention des gouvernements ou des entreprises dans les systèmes biologiques des citoyens (par le biais de ce que l’on appelle les « vaccinations obligatoires »).

Aux États-Unis, l’ancien président Bill Clinton a discuté en avril avec les gouverneurs de différents États de la mise en place d’un réseau national de « traceurs de contact ». Le gouverneur de New York, Andrew Cuomo, a alors annoncé qu’avec le milliardaire et ancien maire de la ville de New York, Michael Bloomberg, il créerait une « armée de recherche des contacts » comprenant jusqu’à 17 000 traceurs de contacts pour New York.

Pendant ce temps, au Royaume-Uni et dans de nombreux autres pays, les gouvernements demandent l’introduction de « passeports d’immunité » biométriques et les présentent comme la prétendue „seule issue“ au confinement essentiellement motivé par des raisons politiques. L’Institut britannique Tony Blair a appelé à „l’expansion de la surveillance technologique“ pour „combattre le coronavirus“.

Aux États-Unis, la société d’analyse de données de la Silicon Valley, Palantir, doit jouer un rôle clé dans la mise en place de la plate-forme de données pour la surveillance de la propagation (déjà en déclin) du coronavirus. Palantir est connue pour ses projets informatiques avec les agences de renseignement et l’armée et a été fondée par le milliardaire étatsunien et partisan du Trump, Peter Thiel.

En Israël, la surveillance des contacts avec la population civile est assurée par le service de renseignement intérieur Shin Bet, qui utilise des programmes du célèbre groupe NSO, connu pour ses logiciels d’espionnage utilisés pour surveiller les militants des droits civils et humains dans le monde entier.

Des pays comme la Russie et la Chine veulent également étendre massivement la surveillance de la population à la suite de la prétendue « crise du coronavirus », mais le feront très probablement indépendamment des États-Unis.

L’idée qu’une pandémie puisse être utilisée pour étendre le contrôle de la population n’est pas nouvelle : dès 2010, la Fondation étatsunienne Rockefeller a décrit un « scénario de confinement » dans un document sur les futurs développements technologiques et sociaux, dans lequel les événements actuels étaient anticipés avec une précision impressionnante (pages 18 et suivantes). À l’époque, le scénario était conçu comme une sorte de „pire des cas“ autoritaire.

Entre-temps, plus de 500 scientifiques ont mis en garde, dans une lettre ouverte, contre une « surveillance sans précédent de la société » par le biais d’applications de suivi des contacts.

Le « Center for Health Security » de l’université Johns Hopkins, qui est au cœur de la gestion de la pandémie Covid19 et qui a largement contribué à l’escalade mondiale par ses graphiques trompeurs, est également très étroitement lié à l’appareil de sécurité étatsunien et a participé à certaines de ses simulations et opérations antérieures.

En général, la coopération avec des acteurs privés pour atteindre des objectifs géostratégiques n’est pas un phénomène nouveau ou inhabituel dans la politique étrangère et de sécurité des États-Unis.

Par exemple, le fondateur de Microsoft, Bill Gates, le plus important sponsor privé de l’OMS, de l’industrie des vaccins et des projets d’identification biométrique, a financé dès 2003 un programme de santé mondiale du Conseil étatsunien des relations étrangères, qui s’intéresse à la question de savoir comment la politique de santé influence la géopolitique et, inversement, comment la politique de santé peut être utilisée pour atteindre des objectifs géostratégiques.




Le directeur scientifique de Pfizer déclare que la « deuxième vague » a été truquée lors de tests covid faussement positifs, « la pandémie est terminée ».

[Source : Anguille sous roche]

[NdNM : on peut difficilement accuser le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, d’être un complotiste.]

Dans un développement étonnant, l’ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer déclare qu’« il n’y a aucune science qui suggère qu’une deuxième vague devrait se produire ». L’initié de « Big Pharma » affirme que des résultats faussement positifs provenant de tests COVID intrinsèquement peu fiables sont utilisés pour fabriquer une « deuxième vague » basée sur de « nouveaux cas ».

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer pendant 16 ans, affirme que la moitié, voire « presque tous » les tests COVID sont des faux positifs. Le Dr Yeadon affirme également que le seuil d’immunité collective peut être beaucoup plus bas que ce que l’on pensait auparavant, et qu’il a peut-être déjà été atteint dans de nombreux pays.

Dans une interview accordée la semaine dernière, on a demandé au Dr Yeadon :

« nous basons une politique gouvernementale, une politique économique, une politique des libertés civiles, en termes de limitation des personnes à six personnes dans une réunion… toutes basées sur, ce qui pourrait bien être, des données complètement fausses sur ce coronavirus ? »

Le Dr. Yeadon a répondu par un simple « oui ».

Le Dr. Yeadon a déclaré dans l’interview que, étant donné la « forme » de tous les indicateurs importants dans une pandémie mondiale, tels que les hospitalisations, l’utilisation des soins intensifs et les décès, « la pandémie est fondamentalement terminée ».

Le Dr Yeadon a déclaré dans l’interview :

« Sans les données de test que vous obtenez tout le temps à la télévision, vous concluriez à juste titre que la pandémie est terminée, car il ne s’est rien passé de bien important. Bien sûr, les gens se rendent à l’hôpital, à l’approche de la saison automnale de la grippe… mais aucune donnée scientifique ne permet d’affirmer qu’une deuxième vague devrait se produire. »

Dans un article publié ce mois-ci, co-écrit par Yeadon et deux de ses collègues, « Quelle est la probabilité d’une seconde vague ? », Les scientifiques écrivent:

« Il a été largement observé que dans tous les pays fortement infectés en Europe et dans plusieurs États américains, la forme des courbes de mortalité quotidienne en fonction du temps est similaire à celle du Royaume-Uni. Beaucoup de ces courbes sont non seulement similaires, mais presque super imposable . »

Les données relatives au Royaume-Uni, à la Suède, aux États-Unis et au monde entier montrent que dans tous les cas, les décès ont augmenté de mars à la mi- ou à la fin avril, puis ont commencé à diminuer progressivement selon une pente douce qui s’est aplatie vers la fin juin et qui se poursuit encore aujourd’hui. Cependant, les taux de cas, basés sur des tests, augmentent et oscillent de façon sauvage vers le haut et vers le bas.

Le discours médiatique aux États-Unis augmente déjà les attentes d’une « deuxième vague ».

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Le taux de survie au COVID est maintenant estimé à 99,8 %, comme pour la grippe, avec une immunité antérieure aux lymphocytes T

Le taux de survie de COVID-19 a été amélioré depuis le mois de mai pour atteindre 99,8 % des infections. Ce taux se rapproche de celui de la grippe ordinaire, dont le taux de survie est de 99,9 %. Bien que le COVID puisse avoir des séquelles graves, la grippe ou toute maladie respiratoire peut également en avoir. Le taux de survie actuel est bien plus élevé que les premières estimations sombres de mars et avril, citées par le Dr Anthony Fauci, de 94 %, soit 20 à 30 fois plus meurtrier. La valeur du taux de mortalité par infection (IFR) acceptée par Yeadon et al dans le document est de 0,26 %. Le taux de survie d’une maladie est de 100 % moins l’IFR.

Le Dr Yeadon a souligné que la « nouvelle » contagion COVID-19 n’est nouvelle que dans le sens où il s’agit d’un nouveau type de coronavirus. Mais, a-t-il dit, il existe actuellement quatre souches qui circulent librement dans la population, le plus souvent liées au rhume.

Dans l’article scientifique, Yeadon et al écrivent :

« Il y a au moins quatre membres de la famille bien caractérisés (229E, NL63, OC43 et HKU1) qui sont endémiques et provoquent certains des rhumes courants que nous connaissons, surtout en hiver. Ils présentent tous une similitude de séquence frappante avec le nouveau coronavirus. »

Les scientifiques affirment qu’une grande partie de la population possède déjà, sinon des anticorps contre le COVID, du moins un certain niveau d’immunité des « cellules T » contre l’exposition à d’autres coronavirus apparentés, qui circulaient bien avant le COVID-19.

Les scientifiques écrivent :

« Une composante majeure de notre système immunitaire est le groupe de globules blancs appelés cellules T, dont le travail consiste à mémoriser un petit morceau du virus avec lequel nous avons été infectés, afin que les bons types de cellules puissent se multiplier rapidement et nous protéger si nous contractons une infection connexe. Des réponses au COVID-19 ont été démontrées dans des dizaines d’échantillons de sang prélevés sur des donneurs avant l’arrivée du nouveau virus. »

En introduisant l’idée qu’une certaine immunité préalable à COVID-19 existait déjà, les auteurs de « How Likely is a Second Wave ? » écrivent :

« Il est maintenant établi qu’au moins 30 % de notre population avait déjà une reconnaissance immunologique de ce nouveau virus, avant même son arrivée… COVID-19 est nouveau, mais les coronavirus ne le sont pas. »

Ils poursuivent en disant qu’en raison de cette résistance préalable, seuls 15 à 25 % d’une population infectée peuvent suffire pour atteindre l’immunité de troupeau :

« …les études épidémiologiques montrent que, avec l’ampleur de l’immunité préalable que l’on peut maintenant raisonnablement supposer, seuls 15-25 % de la population infectée sont suffisants pour stopper la propagation du virus… »

Aux États-Unis, si l’on accepte un bilan de 200 000 morts et un taux de mortalité lié à l’infection de 99,8 %, cela signifie que pour chaque personne décédée, il y aurait environ 400 personnes infectées qui auraient survécu. Cela signifierait environ 80 millions d’Américains, soit 27 % de la population. Cela touche le seuil d’immunité collective de Yeadon et de ses collègues.

Les auteurs disent :

« La littérature actuelle montre qu’entre 20 et 50 % de la population présente cette réactivité des cellules T pré-pandémique, ce qui signifie que nous pourrions adopter une valeur de population initialement sensible de 80 à 50 %. Plus la susceptibilité initiale réelle est faible, plus nous sommes sûrs d’avoir atteint un seuil d’immunité collective (HIT). »

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La deuxième vague de faux positifs

À propos du test PCR, le test COVID le plus répandu dans le monde, les auteurs écrivent :

« plus de la moitié des positifs sont susceptibles d’être faux, potentiellement tous. »

Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure réellement est « simplement la présence de séquences d’ARN partielles présentes dans le virus intact », qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade, et ne peut pas être transmis, et ne peut pas rendre quelqu’un d’autre malade.

« …un vrai positif n’indique pas nécessairement la présence d’un virus viable. Dans les études limitées réalisées à ce jour, de nombreux chercheurs ont montré que certains sujets restent positifs par PCR longtemps après que la possibilité de cultiver le virus à partir de prélèvements a disparu. Nous appelons cela un “positif à froid” (pour le distinguer d’un “positif à chaud”, une personne réellement infectée par un virus intact). Le point essentiel des “positifs au froid” est qu’ils ne sont pas malades, ne présentent pas de symptômes, ne vont pas en présenter et, de plus, sont incapables d’infecter d’autres personnes. »

Dans l’ensemble, le Dr Yeadon avance l’argument selon lequel toute « deuxième vague » de COVID, et tout cas de confinement par les gouvernements, compte tenu des principes bien connus de l’épidémiologie, sera entièrement fabriquée.

Ce mois-ci, à Boston, un laboratoire a suspendu les tests de dépistage du coronavirus après la découverte de 400 faux positifs.

Une analyse du test basé sur le PCR sur le site médical medrxiv.org indique :

« les données sur les tests basés sur le PCR pour des virus similaires montrent que les tests basés sur le PCR produisent suffisamment de résultats faux positifs pour rendre les résultats positifs très peu fiables dans un large éventail de scénarios du monde réel. »

Le professeur Carl Heneghan de l’université d’Oxford, directeur du Centre for Evidence-Based Medicine d’Oxford, écrit dans un article de juillet « Combien de diagnostics COVID sont des faux positifs ? »

« en partant des pratiques et des résultats des tests actuels, il se peut que Covid-19 ne disparaisse jamais. »

Bien sûr, le cas le plus célèbre de manque de fiabilité d’un test PCR a été lorsque le président de la Tanzanie a révélé au monde entier qu’il avait secrètement envoyé des échantillons d’une chèvre, d’un mouton et d’un fruit de papaye à un laboratoire de test COVID. Ils sont tous revenus positifs pour le COVID.

Fabriqué en Chine

En août, le gouvernement suédois a découvert 3700 faux positifs COVID à partir de kits de test fabriqués par la société chinoise BGI Genomics. Les kits ont été approuvés en mars par la FDA pour une utilisation aux États-Unis.

Les deuxièmes vagues de coronavirus ne sont pas normales

Le Dr Yeadon a contesté l’idée que toutes les pandémies se déroulent en vagues successives, citant deux autres épidémies de coronavirus, le virus du SRAS en 2003 et le MERS en 2012. Ce qui peut sembler être deux vagues peut en fait être deux vagues uniques se produisant dans des régions géographiques différentes. Ils affirment que les données recueillies lors des épidémies relativement récentes du SRAS en 2003 et du MERS confirment leur thèse.

Dans le cas du MERS :

« il s’agit en fait de plusieurs vagues uniques affectant des populations géographiquement distinctes à différents moments de la propagation de la maladie. Dans ce cas, le premier pic important a été observé en Arabie Saoudite, avec un second pic quelques mois plus tard en République de Corée. Analysée individuellement, chaque zone a suivi un événement unique typique… »

Dans l’interview, interrogé sur l’épidémie de grippe espagnole de 1918, qui s’est produite par vagues successives pendant la Première Guerre mondiale, Yeadon a souligné qu’il s’agissait d’un type de virus entièrement différent, qui ne faisait pas partie de la famille des coronavirus. D’autres ont mis en cause la malnutrition générale du début du siècle et les conditions insalubres. Les soldats de la Première Guerre mondiale, durement touchés, vivaient dans la boue froide et dans les pires conditions imaginables pour la résistance immunitaire.

Vagues de coronavirus MERS en Arabie Saoudite et en Corée

Les confinements ne fonctionnent pas

Un autre argument avancé par Yeadon et al dans leur article de septembre est qu’il n’y a pas eu de différence dans les résultats liés aux confinements.

Ils disent :

« La forme de la courbe des décès en fonction du temps implique un processus naturel et non un processus résultant principalement d’interventions humaines… La Suède est connue pour avoir adopté une approche presque de laissez-faire, avec des conseils qualifiés donnés, mais pas d’enfermement généralisé. Pourtant, son profil et celui du Royaume-Uni sont très similaires. »

Yeadon aux manières douces démolit l’homme qui a tout commencé, le professeur Neil Ferguson

L’ancien dirigeant et scientifique de Pfizer pointe du doigt un ancien collègue qui a été réprimandé pour son rôle dans la pandémie, le professeur Neil Ferguson. Ferguson a enseigné à l’Imperial College alors que Yeadon y était affilié. Le modèle informatique de Ferguson a fourni aux gouvernements la justification nécessaire pour lancer des ordres draconiens qui ont transformé du jour au lendemain des sociétés libres en prisons virtuelles. Sur ce qui est maintenant estimé par les CDC comme un virus avec un taux de survie de 99,8 %.

Le Dr. Yeardon a déclaré dans l’interview qu’« aucun scientifique sérieux ne donne de validité » au modèle de Ferguson.

Parlant avec un mépris à peine voilé pour Ferguson, le Dr. Yeardon a pris un malin plaisir à le souligner à son interlocuteur :

« Il est important que vous sachiez que la plupart des scientifiques n’acceptent pas que le modèle de Ferguson était même légèrement juste… mais le gouvernement est toujours attaché à ce modèle. »

Yeardon se joint à d’autres scientifiques pour fustiger les gouvernements qui suivent le modèle de Ferguson, dont les hypothèses sont à la base de tous les confinements mondiaux. L’un de ces scientifiques est le Dr Johan Giesecke, ancien chef scientifique du Centre européen de contrôle et de prévention des maladies, qui a qualifié le modèle de Ferguson de « document scientifique le plus influent » de mémoire, et aussi « l’un des plus erronés ».

C’est le modèle de Ferguson qui a soutenu que des mesures d’« atténuation » étaient nécessaires, c’est-à-dire la distanciation sociale et la fermeture d’entreprises, afin d’éviter, par exemple, que plus de 2,2 millions de personnes meurent de la maladie de Crohn aux États-Unis.

Ferguson a prédit que la Suède paierait un prix terrible pour l’absence de confinement, avec 40 000 décès dus au COVID d’ici le 1er mai, et 100 000 d’ici le mois de juin. Le nombre de décès en Suède est maintenant de 5800. Le gouvernement suédois affirme que cela coïncide avec une saison de grippe légère. Bien qu’initialement plus élevé, le taux de mortalité par habitant en Suède est maintenant inférieur à celui des États-Unis, ce qui a été réalisé sans les terribles dommages économiques qui continuent à se produire aux États-Unis. La Suède n’a jamais fermé de restaurants, de bars, d’établissements sportifs, la plupart des écoles ou salles de cinéma. Le gouvernement n’a jamais ordonné aux gens de porter des masques.

Le Dr Yeadon parle avec amertume des vies perdues à cause des politiques de confinement, et des innombrables vies « sauvées » qui seront encore perdues, à cause d’importantes opérations chirurgicales et d’autres soins de santé différés, si le confinement est réimposé, .

Yeardon est un entrepreneur prospère, fondateur d’une société de biotechnologie qui a été rachetée par Novartis, un autre géant pharmaceutique. L’unité de Yeadon chez Pfizer était l’Unité de recherche sur l’asthme et les maladies respiratoires. (Yeadon, liste partielle des publications).

La Suède pendant les « confinements » internationaux

Pourquoi tout cela arrive-t-il ? Un membre du Congrès américain se dit convaincu du « plan du gouvernement » visant à maintenir le confinement jusqu’à ce qu’un vaccin soit obligatoire. Des théories du complot ?

La liste des nouvelles s’allonge, ce qui reflète défavorablement le récit qui se joue sur les grandes chaînes de télévision, d’un mystérieux « nouveau » virus qui n’a été contrôlé que par une attaque sans précédent contre les droits et libertés individuels, maintenant prêt à bondir à nouveau, sur des populations déjà en souffrance qui n’ont d’autre choix que de se soumettre à de nouvelles injonctions gouvernementales.

Les gouverneurs ont tranquillement étendu leurs pouvoirs indéfiniment en déplaçant le poteau de but, sans le dire, de « l’aplatissement de la courbe » pour soulager la pression sur les hôpitaux, à « aucun nouveau cas ». De « pandémie », à « cas-démic ».

En Allemagne, une organisation de 500 médecins et scientifiques allemands s’est formée, qui affirment que la réponse du gouvernement au virus COVID a été largement disproportionnée par rapport à la gravité réelle de la maladie.

Les preuves de la tromperie s’accumulent. Les CDC et le groupe de travail américain sur les coronavirus, dirigé par le Dr Deborah Birx, affirment tous deux que la définition du décès par COVID a été souple et que les règles favorisent l’appellation COVID chaque fois que cela est possible. Cela ouvre la possibilité d’un nombre de décès largement gonflé. À New York, l’administration du gouverneur Andrew Cuomo fait l’objet d’une enquête fédérale pour avoir signé les arrêts de mort de milliers de personnes âgées en maison de retraite, alors que l’État a envoyé des patients COVID dans les maisons de retraite, malgré les objections impuissantes des cadres et du personnel de ces établissements.

Pourquoi les grands médias ignorent-ils ce qui semblerait être un sujet éminemment médiatique, une rockstar de l’industrie comme Yeadon, en criant les plus grandes armes du monde de la santé publique ? Les talk-shows du dimanche, les Chris Wallace et Meet the Press, ne voudraient-ils pas cuisiner un tel homme pour des audiences records ?

Ici, le discours peut se tourner vers des agendas sombres, et pas seulement de l’incompétence, de l’objectivité et de la stupidité.

Une opinion a été émise par le représentant américain Thomas Massie (R-KY) lors de son intervention au Tom Woods Show le 16 août dernier :

« Le secret que le gouvernement vous cache est qu’il prévoit de nous confiner jusqu’à ce qu’il y ait une sorte de vaccin, et ensuite, que ce soit obligatoire au niveau fédéral ou au niveau de l’État, ou peut-être qu’il persuade vos employeurs par le biais d’un autre programme PPP auquel vous ne pourrez pas prétendre à moins que vous n’obligiez vos employés à se faire vacciner, je pense que c’est leur plan. Que quelqu’un me convainque que ce n’est pas leur plan, car il n’y a pas d’autre issue logique que celle-là. »

Une autre théorie est que la crise du COVID est utilisée pour consolider des niveaux de contrôle des élites sur les individus et la société jamais imaginés auparavant. Cette théorie est avancée par le neveu du président assassiné, Robert F. Kennedy Jr, fils de Bobby Kennedy également assassiné. Dans un discours prononcé lors d’une manifestation massive contre le confinement et la vaccination obligatoire contre le COVID en Allemagne, Bobby Jr. a mis en garde contre l’existence d’un :

« programme de biosécurité, la montée de l’État de surveillance autoritaire et le coup d’État contre la démocratie libérale parrainé par Big Pharma… La pandémie est une crise de convenance pour l’élite qui dicte ces politiques, »

Dans un procès, les témoins médicaux de Kennedy Jr. avertissent que les vaccins obligatoires contre la grippe rendent souvent les enfants plus sensibles au COVID.

Les mises en garde contre les mauvaises intentions de l’« élite » de Kennedy proviennent de sources plus générales. Le Dr Joseph Marcela, du site d’information médicale Mercola.com, un site de confiance à fort trafic, a rédigé une étude minutieuse sur les allégations d’un médecin selon lesquelles des vaccins altérant la génétique arrivent.

Et cela n’apaise pas les craintes qu’un site web de l’establishment de la défense, Defense One, signale que des biopuces permanentes sous la peau, injectables par la même seringue qui contient un vaccin, pourraient bientôt être approuvées par la FDA. Cela n’aide pas la théorie anti-conspiration car, selon Newsweek, le Dr Anthony Fauci a en fait donné des fonds du NIH au laboratoire de Wuhan pour la recherche sur le coronavirus des chauves-souris, si dangereux qu’il a été rejeté par 200 scientifiques et interdit aux États-Unis.

En 1957, une pandémie a frappé, la grippe asiatique H2N2 avec un taux de mortalité de 0,7 %, qui a tué autant de personnes par habitant aux États-Unis que le COVID le prétend aujourd’hui. Il n’en a jamais été fait mention dans les médias à l’époque, sans parler du bouleversement extraordinaire que nous connaissons aujourd’hui. En 1968, la grippe de Hong Kong a frappé les États-Unis (.5 % IFR,), emportant 100 000 personnes alors que la population américaine était nettement plus faible. Pas une seule alerte n’a été donnée, pas un seul magasin n’a été fermé, ni même un reportage du réseau d’information. L’été suivant, le plus grand rassemblement de l’histoire des États-Unis a eu lieu à Woodstock.

L’hystérie de masse n’est jamais accidentelle, mais elle profite à quelqu’un. La seule question à laquelle il reste à répondre est : qui ?

Interview du Dr. Mike Yeadon

https://youtu.be/Ch7wze46md0

Protestation du mois d’août à Berlin contre le confinement et contre la vaccination obligatoire par COVID – Source

Woodstock 1969

Un docteur en Suisse dit que des tests qui n’ont pas servi ont été notés comme positifs :

Lire aussi : Le COVID-19 est-il le déclencheur d’un « nouvel ordre mondial » de stagnation économique et de destruction sociale ?

Source : HubPages – Traduit par Anguille sous roche




« Je n’ai pas accepté le test PCR à l’aéroport et j’étais dans mon droit »

[Source : Nexus]

Mon avion a atterri à 7h30 du matin et je n’ai pu sortir qu’à midi de l’aéroport. Pourquoi ? Parce que j’ai préféré la quarantaine au test PCR, ce qui était dans mon droit. J’ai expérimenté sur place une réelle désinformation que j’estime en partie volontaire au sujet des textes juridiques concernant les mesures sanitaires. Que ce soit parmi le personnel de l’aéroport ou les officiers de police à qui j’ai eu affaire, comme dans certains médias, qui essaient de nous faire croire qu’il est obligatoire.

Entretien avec Amandine, maman de trois enfants et chef d’entreprise, qui s’est rendue à l’étranger cet été et qui n’a pas accepté le test PCR qu’on exigeait d’elle à l’aéroport à son retour en France. Elle nous explique comment et pourquoi elle y a échappé.

Où t’es-tu rendue cet été ?

Cet été, je suis allée au Brésil deux semaines en août  parce que je suis en couple depuis un an et demi avec mon compagnon qui est brésilien. Mon dernier voyage était en février, je suis rentrée en mars. Avec la pandémie qui a démarré mi-mars, les frontières n’étant pas ouvertes aux brésiliens, contrairement aux frontières brésiliennes qui sont ouvertes aux français, ce que je trouve injuste, il n’a pas pu venir me voir. C’est moi qui ai donc dû retourner là-bas, en me décidant du jour au lendemain.

Image par David Mark de Pixabay


As-tu hésité à y aller, étant donné les contraintes sanitaires ? Pourquoi ?

En Europe, on a des informations qui sont très orientées, pour ne pas dire manipulées, notamment en ce qui concerne la situation au Brésil qui en fait est la même partout dans le monde. C’est à dire que quand on ramène le nombre de morts au nombre d’habitants, on trouve exactement les mêmes chiffres qu’en France. Les contraintes sanitaires ne m’ont pas effrayées plus que ça, ne m’ont pas fait hésité ou réfléchir trop longtemps, car j’ai une vision plutôt détachée par rapport au COVID. Par rapport à mon âge et aux conditions de comorbidité, et étant donné la létalité du virus, j’ai plus de chances de vivre ma vie normalement que de mourir du COVID. Je préfère donc voir le verre à moitié plein plutôt que l’inverse.

Quelles étaient ces contraintes ?

A partir du 1er août, il y a eu des contraintes renforcées pour une liste de pays dont le Brésil, qui est actualisée tous les quinze jours. Le Brésil ayant ouvert ses frontières au tourisme, la seule condition était d’avoir une attestation d’assurance voyage en anglais ou en portugais indiquant le montant qu’elle couvre. J’ai souscrit à une assurance en ligne qui m’a coûté moins de 50€ pour deux semaines. Il n’y a pas eu de test à faire à l’aller. La consigne est qu’on devait porter un masque obligatoirement chirurgical, alors que j’ai vu des personnes qui n’avaient pas ce type de masque embarquer. A l’aller, j’ai eu un contrôle de température frontale à l’embarquement, sachant que les thermomètres frontaux sont de très mauvaise qualité.

A ton retour, que s’est-il passé ?

A mon retour, j’ai eu plus de conditions que pour l’aller. J’ai même reçu des petits textos d’Air France, qui me disaient que je devais me présenter à telle porte pour faire vérifier mes papiers. Il y avait deux documents principaux à remplir, notamment une attestation comme quoi je ne présentais pas de symptômes du COVID, ainsi qu’une attestation de déplacement un peu sur le même modèle qu’on avait pendant le confinement, afin que je valide le motif de mon voyage, lequel était dans mon cas le fait d’être ressortissante française et de rentrer dans mon pays d’origine. Ces papiers ne m’ont été demandés à aucun moment. Pas de contrôle de température non plus à l’embarquement d’Air France.


Que s’est-il passé à ton retour ?
En arrivant en France, j’avais deux options. Soit faire un test COVID réalisé dans les 72h avant le départ. Quand on voyage durant le weekend, c’est très compliqué d’avoir des résultats dans les temps et un jour ouvrable. Au Brésil, il fallait le payer. A défaut de pouvoir faire son test sur place, on peut le faire à l’arrivée en France, ce qui est pris en charge. Et je savais que dans l’article 24 du décret du 10 juillet 2020, on énonce la possibilité de faire une quarantaine préfectorale, quand on n’a pas pu faire le test avant de partir. Quand je suis arrivée dans les files à la sortie de l’avion, il y en avait une « Vous avez un test » ou une autre « Vous n’avez pas de test ». J’ai dit à la dame qui nous a accueillis que je n’avais pas de test et que je ne voulais pas en faire un. Elle m’a répondu que ça n’était pas grave et m’a indiqué d’aller dans la file des gens sans testJe suis passée à la frontière police, on m’a donné un formulaire à la volée à remplir vite fait avant de faire le test, sur lequel il est énoncé qu’on a été informé des risques de ce test, ce qui n’est absolument pas le cas. A aucun moment on ne nous explique ce qu’est un test PCR, ou comment va se dérouler la chose. Je suis passée ensuite devant les tables de la Protection Civile qui fait l’enregistrement des volontaires pour faire le test. Juste à côté, il y avait la société qui les réalisait. Arrivée devant leur stand, j’ai signalé à nouveau que je ne voulais pas faire le test. L’employée a appelé son chef, qui a appelé le Poste de Police. On m’a fait patienter debout avec tous les gens qui passaient. Je suis allée ensuite allée m’asseoir à côté de la Police, puis on est venu me dire que le test était obligatoire et qu’il fallait que je le fasse. Je lui ai demandé de me montrer le texte prouvant ce qu’il avançait. Je lui ai cité le décret et la quarantaine préfectorale. Il m’a répondu « Pas de problème, je vais appeler mon chef, on va vous mettre en garde à vue ». Je lui ai demandé sur quel motif. On ne m’a pas répondu.

Tu as donc donc dû aller au poste de police ?

Oui. J’ai attendu une demi-heure ce chef qui m’a emmenée au poste de police se trouvant dans l’aéroport. Je lui expliqué que je souhaitais faire la quarantaine, ce à quoi il a répondu qu’il n’y avait aucun problème et que j’étais dans mon droit, tout en m’accompagnant au poste où j’ai pu m’assoir. La moitié des policiers n’y portait pas de masque. Je suis entrée là-bas à 8h30, j’en suis sortie à midi. J’ai eu un entretien avec un officier très courtois qui a enregistré ma demande. La première question qu’il m’a posée, c’est  : « Pourquoi est-ce que vous ne voulez pas faire le test ?
– Est-ce que je dois justifier de pourquoi je ne veux pas le test ? Je n’ai pas à argumenter.
– Non effectivement, mais on aimerait bien savoir.
Je veux faire la quarantaine préfectorale évoquée dans le décret du 10 juillet, je peux la faire  à domicile car j’ai un logement décent. »
L’officier a cherché dans son ordinateur le texte de loi que j’ai évoqué qu’il n’avait pas l’air de connaître.
Il m’a ensuite demandé mon adresse, mon nom, mon numéro de téléphone, mon adresse email et ne m’a donné aucune recommandation sur la surveillance de mes symptômes. Il m’a demandé la copie de mon attestation comme quoi  je ne présentais aucun symptôme. J’ai fini par obtenir un papier indiquant les arrêtés et les conditions dans lesquelles faire ma quarantaine. Une semaine après mon retour, je n’ai eu aucun contrôle.

Image par Anja de Pixabay

Selon toi, ces règles sanitaires sont-elles légitimes ? Pourquoi ?

Je ne sais pas si c’est à moi de répondre à cette question. Mais je peux quand même dire que ce que je trouve absurde, c’est de se faire tester quand on n’est pas malade. Je suis consciente du risque, qu’il y a un virus. Maintenant ce n’est pas tout le monde qui l’attrape, et puis on peut très bien l’attraper et ne pas être malade. Donc je suis attentive à me symptômes, à si je suis malade. Si je ne suis pas malade, pourquoi est-ce que j’irais me faire dépister ? Ça n’est pas dans les protocoles sanitaires habituels de dépister des gens qui ne sont pas malades. En ce sens, je trouve que ces mesures sont illégitimes et gonflent les chiffres de la propagande pour montrer qu’il y a  beaucoup de cas positifs, cette fameuse “deuxième vague” qu’on nous a annoncée bien en avance. En fait, c’est une vague de cas positifs, mais ça n’est pas une vague de malades. C’est pour cela que j’ai choisi la quarantaine, car je ne veux pas participer à cette mascarade de faire des tests à tout-va sur des personnes en bonne santé. De plus, il y a certains risques à faire des tests PCR : d’avoir des résultats faux, ou d’avoir un test qui n’est pas homologué normes CE. S’ils sont en rupture de stocks, il peuvent utiliser des tests qui viennent d’ailleurs et qui ne sont pas homologués. Et puis à mes yeux, il y a le risque concernant le geste médical en lui même. C’est pas anodin pour moi d’aller toucher cet endroit-là. Si on avait permis de faire des test salivaires très efficaces et bien moins chers, plutôt que des tests PCR, peut-être que j’aurais envisagé d’en faire un, mais un test aussi intrusif que le PCR, c’est non. Pour moi il peut causer plus de dégâts qu’il n’est efficace.

As-tu quelque chose à ajouter ?

Renseignez-vous sur vos droits, le PCR n’est pas toujours obligatoire. Certains médias essaient de nous faire croire de manière biaisée que si, mais c’est faux. Et beaucoup plus de gens devraient faire la quarantaine. Si votre test est officiellement positif, comme il n’y a pas de traitement reconnu, on vous mettra de toutes façons en quarantaine. Sauf que quand on est positif au test, on entre dans un système de tracking : nos contacts, les lieux où on a été etc. Ça me fait penser au fait que dans l’avion, il y avait une fiche contact à remplir, avec l’intégralité de nos coordonnées, où n’était pas mentionné qui exploite ces données, ou comment sont effacées ces données après. Pour moi il y a un gros business derrière cette seconde vague annoncée depuis des mois, et de sérieuses questions à se poser sur qui finance les tests, combien coûte un test, quels sont les taux d’efficacité des tests, et comment se déroule l’enregistrement et l’utilisation des données qu’ils mettent en place après.




La mort de la propriété privée

[Source en italien : Blondet et amis]

[Traduction automatique révisée,
extraits et adaptation de La confiscation commence. L’Europe nous demande de le faire : Joseph Stroberg]

[Note : voir les nombreux articles du site évoquant le « Great Reset » (ou « Grande Réinitialisation ») d’après notamment le site Internet du Forum Économique Mondial. En particulier : Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

Nouvelle législation européenne sur les faillites depuis le 1er janvier [2020] : il suffit d’un délai de 90 jours et d’un découvert de 100 euros pour déclarer la petite entreprise ou la famille en faillite – et procéder à des saisies.

Les expropriations et les confiscations massives ne sont pas une théorie du complot : c’est ce qu’a déclaré le Forum économique mondial, prédisant, en 2030, que « vous serez propriétaire de rien et vous serez heureux » (tout ce dont vous aurez besoin sera loué). Leur « gestion » criminelle de la pandémie a servi à détruire l’économie de la partie « superflue » et polluante de la population, à accroître les suicides :

Suicides en Italie par groupe d’âge, condition professionnelle, région, et type de suicide.

[Le but est d’]Augmenter considérablement l’endettement des familles et des entreprises, afin de conduire à des troubles, à la faim car « à ce stade, le système mettra les masses devant l’option du revenu de base universel. Le facteur travail, comme on l’appelle dans la société capitaliste, disparaîtra essentiellement ». Chacun devra se défaire de ses biens immobiliers et de ses actifs, et aura en échange un revenu de survie, comme également prévu par Beppe Grillo (qui savait…). C’est le programme, et cela se produira.




Venezuela, les gangsters repartent à l’assaut de la démocratie

[Source : Investig’Action]

Auteur :ALEX ANFRUNS

Le Venezuela est aujourd’hui en grand danger de guerre, de chaos et de destruction avec le rôle actif des USA et de la Colombie. Ces pays ont des intérêts économiques et utilisent un secteur de l’opposition pour faire croire qu’un « gouvernement parallèle » existe. En effet, le plus gros pari d’un certain secteur de l’opposition vénézuélienne a toujours été le putschisme.

Souvenons-nous en. Après un résultat majoritaire aux élections législatives de décembre 2015, la droite vénézuélienne avait défendu une « Loi d’amnistie et de réconciliation nationale ». Il ne s’agissait pas de libérer des « prisonniers politiques », mais les principaux responsables de l’opération putschiste intitulée « La Salida » en 2014.

Cette opposition s’était ensuite présentée à la table du dialogue sans que cela n’ait jamais été son intention. Cela provoqua l’incompréhension des médiateurs internationaux tels que l’ex-président espagnol Rodriguez Zapatero. Déjà en 2017, après sa tentative ratée de provoquer un coup d’État au moyen d’actions violentes dans la rue, l’opposition avait annoncé ce plan de « gouvernement parallèle ». Illusion fatale.

Trump veut détruire l’ALBA, un système dans lequel la coopération basée sur les besoins humains prend le pas sur la loi du marché sauvage. Le Venezuela, Cuba et le Nicaragua sont des obstacles dans le « destin manifeste ». A-t-il oublié la leçon historique que Fidel et Sandino ont donné aux troupes US, lors des tentatives ratées d’invasion ? Après avoir rencontré l’administration Trump, le président colombien a insisté sur le fait qu’il travaille activement à « libérer le peuple vénézuélien » et que « l’encerclement diplomatique » entraînera un « effet domino ». A-t-il oublié que des millions de Vénézuéliens ont retrouvé la dignité depuis l’instauration de la Ve République après un référendum en faveur de l’Assemblée Constituante ? Comme lors de la tentative de coup d’État contre Chávez en 2002, la droite espagnole est en première ligne pour mettre fin à la démocratie en préparant le terrain pour la guerre infâme des États-Unis. C’était le sens de la visite ratée et de la rencontre prévue entre sa délégation et Guaidó.

Le président d’une grande chaîne de télévision française a un jour admis que son travail consistait à «vendre du temps de cerveau disponible » entre deux blocs de publicité d’une marque connue de boissons. Ces mêmes médias ne vous diront pas qu’il y a eu depuis un mois plusieurs grandes marches en faveur de la Révolution Bolivarienne.

Ce n’est pas seulement une guerre médiatique, mais aussi culturelle. Là encore, l’histoire nous aide à comprendre le présent. Pendant la Guerre froide, des fonds du Plan Marshall étaient destinés à la propagande « culturelle » en Europe occidentale, dans le but d’effacer la mémoire des Résistants dans leurs pays respectifs. Les États-Unis sont passés maîtres dans ce domaine, et ils n’ont jamais négligé l’impact de l’art et de la culture dans la justification de leurs interventions militaires.

Ainsi, le 22 février, l’administration Trump a parié sur l’organisation d’un grand concert, mobilisant des musiciens célèbres ainsi que des personnalités politiques pour la cause d’une soi-disant « aide humanitaire” qu’elle voudrait destiner au Venezuela contre son gré. Certains pourraient se dire qu’un concert, c’est une bonne chose en fin de compte… Le député chilien Alejandro Navarro a résumé l’affaire en deux lignes : « Il est ironique et humiliant que l’aide humanitaire présumée soit acheminée par Cúcuta, l’une des villes les plus pauvres (+ de 40 % de pauvreté) de Colombie et où la précarité du travail dépasse 70 %. C’est un show médiatique sans limites du président Sebastian Piñera ». Et de rappeler que le gouvernement vénézuélien a répondu à ce « show » en envoyant 20 .000 cartons contenant un panier d’aliments de base aux familles colombiennes de ce côté de la frontière ! Cela ne risque pas de faire la une des médias…

Le Venezuela a les plus grands réserves mondiales de pétrole. Ceci explique cela. L’ancien directeur du FBI Andrew McCabe, a reproduit dans son livre, “In the threat”, le contenu d’une réunion du Bureau ovale en 2017 : « Puis le président a parlé du Venezuela. C’est avec ce pays que nous devrions entrer en guerre, a-t-il dit. Ils ont tout ce pétrole et ils ne sont pas plus loin que dans notre arrière-cour. »




Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible

[Source en italien : Maurizio Blondet]

[Traduction automatique corrigée]

« Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible »

Maurizio Blondet   18 novembre 2020  

La rumeur circulait depuis des mois dans le monde médical français. Le Monde avait écrit un article pour dire qu’ils étaient sans fondement, faux, intoxiqués. Maintenant, un titre apparaît où un médecin dit : « Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus tôt possible » . Elle s’est déroulée dans des maisons de retraite pour non autosuffisantes (EPHAD en France, comme nous avons RSA [en Italie]). Et cela est confirmé sur la chaîne France 3 par la diffusion le 18 novembre à 21h05 de l’enquête « Covid-19: que se passe-t-il vraiment dans les maisons de retraite? ». Le site Internet de la chaîne consacre un article et une vidéo à cette enquête, dont le thème principal est le tristement célèbre « décret Rivotril » du 29 mars et ses conséquences pour les professionnels de santé et leurs patients.

Rivotril sous forme injectable est mortel pour les patients souffrant d’insuffisance respiratoire. Le gouvernement a autorisé l’utilisation du Rivotril, par ce décret, au motif que l’Hypnovel manquait, ce qui était nécessaire pour les soins palliatifs de fin de vie; ces vieillards devaient être tenus à l’écart des unités de soins intensifs…

« Au milieu de la première vague de l’épidémie de Covid-19, au printemps 2020, le gouvernement a autorisé l’utilisation de médicaments palliatifs qui sont généralement interdits » , indique désormais le rapport sur France 3. Le programme s’intitule « Evidence against » ( Pièces à conviction), et a recueilli des témoignages d’agents de santé scandalisés par cette décision. « Lorsque nous avons reçu ces directives, nous avons été stupéfaits », raconte Sandra Rotureau, directrice de la santé. « Lorsqu’une personne âgée n’est pas hospitalisée [faute de lits] et que ce qui lui est proposé, c’est une sédation dès qu’elle a des difficultés à respirer… ma première réaction est de me souvenir : « Comment, on nous demande de pratiquer une euthanasie passive avec nos résidents ? » ». […] Notez la formulation. « Euthanasie » est le moment où le patient a demandé à être activement aidé à mourir. « L’euthanasie passive » n’existe pas. Ça s’appelle un meurtre.

Dans une autre résidence publique non identifiée, un médecin EPHAD, le visage couvert, avoue « un sentiment d’horreur ». « Je ne suis pas autorisé à prescrire quelque chose qui guérirait les gens [fait allusion à l’hydroxychloroquine] s’ils étaient affectés, mais je suis autorisé « à les faire partir… doucement » ».

« Nous avons raccourci la souffrance des gens? J’appelle ça de l’euthanasie », poursuit-elle, extrêmement bouleversée. « Que nous ayons osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite est insupportable.[…] ».

Il a également été constaté que les médecins qui travaillaient pour les EHPAD avaient demandé aux infirmières d’injecter [le contenu de] la seringue mortelle, les chargeant ainsi d’un sentiment de culpabilité qui n’aurait pas dû leur peser. Ceci ressort d’une audition de la commission d’enquête de l’Assemblée nationale.

La bassesse et la lâcheté. Et le silence complice, le silence des médias alors que le nombre de décès dans les maisons de retraite assistées augmentait de façon spectaculaire grâce au décret Rivotril. « Certains soignants ont déclaré qu’ils ne faisaient que soulager les malades, mais ils se taisent sur le fait que sur le certificat de décès, ils ont pu écrire la « cause du décès: Covid » sans aucune preuve ni test », utilisant également une euthanasie passive pour augmenter le nombre de décès par Covid, ce qui rapporte aussi en France aux hôpitaux, même si ce n’est pas les 2 mille euros par jour de l’Italie [NdNM : la subvention reçue par l’hôpital en cas de décès par la covid-19 est plus importante que pour d’autres causes déclarées de décès. Même chose au Canada].

« Covid: attitudes criminelles? ». Gérard Maudrux, chirurgien urologue, demande à voix haute dans un magazine du domaine [l’urologie], de raconter comment [les membres de] sa famille ([qui travaillent] tous dans le secteur hospitalier) ont été malades de la Covid, assez gravement, avec comme seule thérapie recommandée par les autorités : « Le paracétamol. L’utilisation d’antibiotiques n’est expressément pas recommandée. Pour mes trente premiers patients traités de cette manière j’ai eu 3 problèmes : un décès à domicile, une fibrillation auriculaire le deuxième et une hospitalisation de réanimation de trois semaines le troisième ». Puis, en étudiant, le médecin découvre dans un journal australien les effets de la vermectine (un anti-helminthes!)  « Je connais bien le traitement de deux épidémies de gale dans la maison de retraite; les résultats après 48 heures sont stupéfiants : la disparition des signes cliniques pour tous. Trop heureux de partager ces résultats, je pense que je fais une faveur, j’en parle, ce qui m’a valu de sévères critiques de la part de collègues et d’un pharmacien. Et l’ avertissement de l’Ordre ».

Et il cite « les confrères de StopCovid19, qui ont collecté plus de 700 cas traités [à la chloroquine et aux antibiotiques] et qui ne publient pas en raison des menaces reçues. N’oublions pas qu’au 19 avril, contre la Covid, 100 000 patients avaient reçu de l’azithromycine, 41 000 de la chloroquine et 10 000 les deux (source Assurance Maladie). Combien de vies avez-vous sauvées? Combien d’hospitalisations évitées? L’observation sur le terrain a-t-elle encore une valeur? ».

Un autre médecin parle de la mort sur ordonnance. Et il écrit: « En d’autres temps, des procédures judiciaires auraient été mises en place et la justice pénale aurait été adressée pour se prononcer sur l’éventuel caractère pénal du décret Rivotril, adopté en contradiction avec tous les textes et la jurisprudence en matière de fin de vie. Aujourd’hui, le virus a le dos large pour permettre des actes injustifiables, susciter la peur et l’angoisse généralisées, établir une dictature que nos ploutocrates réclament depuis des années »; et expose le nombre de flacons de Rivotril (« remboursé par le service de santé », précise-t-il) énormément augmenté pendant la « pandémie », et en relation directe avec la surmortalité dans les maisons de retraite ces semaines-là.

Tribunaux vers lesquels il est inutile de se tourner pour dénoncer ces crimes et cette imposture, le paracétamol comme seule thérapie « recommandée » par les comités technico-scientifiques, menaces aux médecins qui découvrent des remèdes efficaces, interdiction de l’hydroxychloroquine. Et, à la place, Rivotril en ampoules pour injection létale. Il est impressionnant de découvrir que les directives sont identiques en Italie et en France.

Mais plus encore, voir à quelle vitesse la dictature de la ploutocratie totale est tombée, dans son Grand Reset, au niveau qu’on nous apprend depuis 50 ans à considérer comme un mal absolu : l’attitude génocidaire du nazisme, l’euthanasie des bouches inutiles à grande échelle, l’injection mortelle par décret, l’asservissement volontaire des juges et le silence total des médias dans ce qui se profile comme le plus gigantesque crime contre l’humanité jamais commis. Des décennies de cours moralisateurs dans les écoles, des documentaires sur l’Holocauste, des journées de mémoire répétées de manière obsessionnelle, des visites d’écoliers à Auschwitz, des appels à la vigilance : prenez garde que le nazisme ne revienne pas ! Regardez ! Le voici, et les journaux télévisés appellent des « négationnistes » les foules qui, dans toute l’Europe, se rebellent contre l’esclavage et contre cette barbarie indescriptible, Le titre de la République

[Voir des vidéos sur le site originale en italien, en fin d’article.]




Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe

[Source : Minurne Résistance]

[Auteur :] L’Imprécateur

[NdNM : un texte qui date de 2015, mais conserve un intérêt informatif.]

François Hollande déclare que nous sommes en guerre au cœur même de la France (depuis longtemps, mais il ne s’en était pas encore aperçu). Il décide de fermer les frontières, annonce des ripostes implacables, réunit le Congrès à Versailles pour lui dire que sa riposte implacable consiste en une révision de la Constitution que tous les juristes en droit constitutionnel estiment inutile et irréaliste (une idée de l’un des énarques qui  conseillent l’Élysée, sans doute).

On se dit qu’il a enfin compris qu’en ouvrant grand les portes de l’immigration il a aussi ouvert la France aux terroristes islamistes, on se réjouit de le voir en général des Armées. C’était mal le connaître. À peine sorti du Congrès, il annonce que la France accueillera 30.000 « réfugiés » de plus d’ici la fin de son quinquennat ! Comme le disait le général Dourakine, « Un âne à deux pieds peut devenir général et demeurer un âne ».

Il est faux de croire que cette persévérance de François Hollande dans l’erreur est gratuite ou le résultat de l’auto-adoration de son intelligence qu’il croit très grande. En fait, il n’est que le grouillot d’institutions supranationales peu voyantes, souvent partiellement noyautées par la Franc-maçonnerie, comme Nouvel Ordre Mondial, Trilatérale, Bilderberg, FAF*, etc. Elles ont en commun, outre le contrôle de la finance mondiale, l’application du Plan Kalergi pour l’Europe.

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Quand on connait ce plan, toute la politique sociétale, misérabiliphore (délibérément porteuse de misère) et immigrationniste des deux gouvernements Hollande s’explique. La presse européenne ne vous en parlera pas, c’est un secret d’États européo-germano-français dont Angela Merkel est le maître d’œuvre en Europe, avec ses secrétaires l’ex-président de la Commission européenne Van Rompuy et son successeur Jean-Claude Juncker. D’ailleurs, en 2010, c’est à Mme Merkel qu’est revenu le premier prix de la Société Européenne Coudenhove-Kalergi, puis en 2012 à Von Rompuy et en 2014 à Juncker.
Un prix très recherché par la super-élite mondialisée. Mais de quoi s’agit-il ?

Le comte Richard Nikolaus Enjiro von Coudenhove-Kalergi est un métis de père autrichien et de mère japonaise, né à Tokyo en 1894, qui a fait de brillantes études et conçu, dès les années 1920, l’idée de l’Europe des Nations. C’est le véritable père fondateur de l’Europe, bien avant Jean Monnet, Robert Schumann et leurs successeurs. Ils ont repris quasiment in extenso les idées qu’il a publiées dans ses livres : marché commun, politique agricole commune, monnaie unique… promettant mais oubliant celles qui les gênaient : fiscalité commune, harmonisation sociale, Communauté Européenne de Défense, entre autres, dont ils craignaient qu’elles leur fassent perdre une partie de leur pouvoir sur les peuples et freinent leur enrichissement personnel.

Oublié aujourd’hui, Coudenhove-Kalergi fut autrefois très célèbre et écouté de nombreux Chefs d’État. Il fut même proposé à plusieurs reprises pour le Prix Nobel de la Paix. En 1939 il proposa un projet d’Europe dont les grandes lignes sont : une Europe où les peuples seraient à égalité ; suffisamment soudés pour pouvoir tenir tête aux trois autres blocs, USA, URSS et Chine ; allant au-delà de la simple union économique et monétaire ; avec une forte armée commune qui aurait facilité la mixité culturelle des peuples européens blancs, chrétiens de culture gréco-romaine ; garantissant l’indépendance et l’intégrité de tous les États associés (Europe des Nations) ; développant une mystique européenne fondée sur : a) la culture classique européenne, b) la foi chrétienne, c) la conception de l’honneur des chevaliers médiévaux. « De même que dans tout être vivant le corps est façonné par l’âme, de même le corps de l’Europe ne naîtra que sous l’impulsion d’un esprit européen ».

Et il insiste : l’Europe doit être une Europe majoritairement blanche, chrétienne : tendance sociale et humanitaire chrétienne, foi chrétienne portée par un esprit héroïque et chevaleresque, afin qu’elle reprenne son rôle à la tête de la planète (L’Europe de demain, Conférence du 17 mai 1939 à l’hôtel Ambassadeur à Paris). Cette définition d’une Europe des Nations, réunissant les peuples européens, blancs, de civilisation chrétienne, excluant les pays communistes et musulmans, a mis les gauches européennes en fureur. Elles ont haï Coudenhove-Kalergi jusqu’au moment ou elles ont trouvé le moyen de récupérer son projet pour une faire un plan totalement détourné de l’original, un plan effroyablement raciste que l’on attribue à tort à Kalergi. Elles l’ont même accusé de nazisme, alors qu’il était marié à une juive, détesté de Hitler, et qu’il a fui le régime hitlérien en fin d’année 1939 en se réfugiant aux États-Unis jusqu’à son retour en France en fin d’année 1945.

En 1966, au Xème Congrès paneuropéen à Vienne, il se déclare déçu par l’orientation prise par l’Europe naissante, la fonctionnarisation du Conseil de l’Europe et du Parlement européen, demande une politique étrangère commune afin de tenir tête aux États-Unis pour pouvoir arrêter d’être toujours à la remorque des États-Unis et de l’OTAN dont il demande la restructuration, et un renforcement de la coopération technologique intra-européenne afin de faire de l’Europe la première puissance économique du monde. Il meurt peu de temps après en 1972.

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Souvenons-nous que c’est l’époque de “l’Europe des Six” à laquelle les peuples étaient très favorables dans cette version proposée par Coudenhove-Kalergi qui avait eu pour résultat la prospérité inégalée des Trente Glorieuses (1946-1976) et la paix, ou l’absence de guerres, dans cette Europe non-communiste (pas d’Europe de l’Est) et non-musulmane (pas de Macédoine, Albanie, Croatie, Kosovo). De plus, Coudenhove-Kalergi avoue douter de la volonté des dirigeants de l’époque d’aller vers l’Europe des Nations.

À peine Kalergi mort (en 1972), la Commission Européenne entreprit, dès 1973, d’élargir l’Europe des Six (qui fonctionnait si bien), en recrutant de nouveaux pays, jusqu’à arriver aux 28 d’aujourd’hui, et cette Europe qui fonctionne si mal qu’une majorité d’Européens n’en veut plus.

C’est peu après, en 1978, six ans après la mort de Coudenhove-Kalergi, qu’apparaît le Plan Kalergi que certains tentent de faire remonter à 1922, alors que le premier livre de Coudenhove-Kalergi, Paneuropa a été publié en 1923. On lui attribue le Plan Kalergi. Il porte son nom, mais il est permis de penser qu’il s’agit d’un faux et que les auteurs ont cherché à utiliser sa notoriété pour dissimuler leur projet néo-nazi. En effet, les rédacteurs du Plan s’appuient surtout sur son livre Praktisher idealismus, mais quand on a lu ce livre, on s’aperçoit vite que l’on ne retrouve dans le Plan Kalergi que des bouts de citations tronquées, sorties de leur contexte, sans références directes et qu’il va totalement à l’encontre de la philosophie du père de l’Europe des Nations.

En effet, selon le prétendu Plan Kalergi, l’Europe ne serait que le premier pas vers un gouvernement mondial sous autorité américaine, exactement l’inverse de ce que voulait Kalergi . Pour réaliser ce “Nouvel Ordre Mondial”, il faut une super-élite et des peuples-bétails soumis par la pauvreté et disciplinés par la contrainte (du pur Orwell) encore exactement le contraire de ce qu’a enseigné toute sa vie Kalergi qui vantait le modèle démocratique et économique suisse. Et c’est là, dans ce projet de nouvel ordre mondial, que l’on retrouve le modèle d’Europe que veut construire avec obstination Angela Merkel, avec le renfort de la Commission européenne présidée par Juncker, et la collaboration de Hollande.

Les dernières moutures du Plan Kalergi en font carrément le Plan du Nouvel Ordre Mondial qui veut la disparition des races jusqu’à effacer le mot même (c’est fait, au moins dans le Larousse !) pour arriver à une espèce unique, monochrome, métisse et abâtardie, dominée par la super-élite, celle-ci étant réduite aux socialistes et aux juifs qui auraient seuls la nationalité de la Nouvelle République Mondiale, le peuple restant apatride pour qu’il oublie à la longue  le mot « Patrie ».

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Dans le Plan Kalergi dernière version, il faudrait, pour soumettre les peuples européens, un binôme germano-français qui imposerait sa volonté aux autres pays. Il faudrait remplacer les peuples originaires du Vieux Continent par une sorte de sous-humanité issue de mélanges raciaux en croisant les peuples européens avec des Asiatiques, des Arabes et des Noirs, pour créer un troupeau multiethnique sans qualités spécifiques et facile à dominer pour l’élite au pouvoir. « L’homme du futur sera de sang mêlé. La future race eurasiato-negroïde, très semblable aux anciens Égyptiens, remplacera la multiplicité des peuples ». Et encore : « abolir le droit à l’autodétermination des peuples et, successivement, éliminer les nations en utilisant les mouvements ethniques séparatistes et l’immigration allogène de masse <…> favoriser les sexualités déviantes, homosexualité (mariage pour tous) et pédophilie (via les enseignants), et détruire la famille traditionnelle (nuire à la Manif Pour Tous) <…> prendre le contrôle et acheter la docilité de la presse en rachetant les titres (Bergé, Niel, Pigasse, etc.) et en les subventionnant <…> jouer sur la fibre humanitaire pour augmenter les impôts, ruiner les classes conservatrices et justifier les restrictions des libertés (Loi sur le Renseignement) », etc.

Aujourd’hui on pourrait ajouter « jouer sur la fibre écolo pour augmenter les impôts » !

Ne cherchez pas d’autres explications aux déclarations de JC Juncker, nouveau président de la Commission européenne qui se dit « déçu » de ce que les peuples refusent d’accueillir et de financer le torrent des “réfugiés”…

« Il ne faut pas se laisser aveugler par la pensée populiste <…> C’est notre devoir de les accueillir » 

(Hollande) ;

« Nous avons le défi du métissage à relever et nous le relèverons » 

(Sarkozy) ;

« Nous pouvons accueillir 800 000 réfugiés dès cette année » 

(Merkel) ;

« Je suis déterminé à trouver des solutions collectives pour relever cet immense défi » 

(Valls) ;

« J’ai décidé d’en accueillir 30.000 de plus » 

(Hollande) ;

« La véritable question est de savoir si oui ou non nous sommes prêts à continuer à assurer notre tradition d’accueil et en particulier vis-à-vis de la communauté musulmane. Moi, naturellement, je réponds oui à cette question » 

(Juppé) ;

« Ce que les gens doivent développer en tous lieux, est le contrôle des naissances ET les mariages mixtes (interraciaux), dans le but de créer une seule race dans un monde unique et dépendant d’une autorité centrale » 

(G.Brock Chisholm, ex-directeur de lOMS, Islamic Organization for Medical Sciences).

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Maintenant, qui a eu l’idée de ce Plan Kalergi dont Covenhove-Kalergi n’est pas l’auteur et qu’il aurait rejeté avec horreur ? Au départ, il y a Sigrid Hunke, militante néo-nazie, ex-maîtresse de Himmler et amie du grand mufti nazi de Jéusalem. Elle épousa Walter Hallstein. Le professeur de droit W. Hallstein était membre de plusieurs organisations nazies du Reich, mais pas membre du parti nazi, ce qui lui permit de s’en tirer sans trop de dommages après la guerre. Il deviendra le premier président de la Commission européenne en 1958. En 1960, Sigrid Hunke-Hallstein écrit un livre Le soleil d’Allah illumine l’Occident qui sert de référence à tous les gogos comme Jack Lang qui soutiennent que l’Europe doit énormément à la civilisation arabo-musulmane. Dans ce livre, elle suggère de réintroduire en Europe un maximum d’Arabes musulmans pour métisser les peuples européens.

Ce n’est pas encore le Plan Kalergi, mais on y vient.

Sigrid et son mari font dans les milieux européens une intense promotion des idées qui deviendront plus tard le Plan Kalergi que l’on trouve déjà esquissé dans le Plan Hallstein pour une Europe Fédérale (1965) que Kalergi, partisan de l’Europe des Nations chrétiennes, dénonça, et qui fit bondir Charles De Gaulle. Les politiciens socialistes européens acquis au Plan attendirent la mort de Kalergi en 1972 pour recruter parmi l’élite européenne, récupérant en la noyautant la Société européenne Coudenhove-Kalergi et créant en 1978 le fameux Prix Coudenhove-Kalergi que Raymond Barre a été le premier à recevoir, puis des gens comme Helmut Kohl l’ami de Mitterrand, Ronald Reagan, et finalement Angel Merkel, van Rompuy et Jean-Claude Juncker. Ils ont fait appel aux compétences rédactionnelles de plusieurs énarques pour finaliser les modalités d’action.

François Hollande est un farouche partisan du Plan, ainsi que Valls et Macron qui ont reçu à Bilderberg instruction de le soutenir. Si Sarkozy le soutien aussi, c’est que le club Le Siècle dont il est membre, ainsi que beaucoup de personnes de son entourage à l’UMP-LR, l’ont convaincu que c’était son intérêt.

Il est dit sur de nombreux sites Internet tellement semblables les uns aux autres (même celui de Dieudonné !) que l’on dirait que les copiés-collés ont fonctionné à tours de bras, que le Plan Kalergi visant au déclin de l’Europe par le remplacement et par le métissage de sa population, a été préparé par des think-tanks (réservoirs de réflexion) basés aux États-Unis. C’est complètement faux, une simple manœuvre de dissimulation, c’est une coproduction de l’élite franco-germanique séduite à l’idée de conserver héréditairement le pouvoir par la soumission à la manière musulmane des peuples d’Europe, masse métissée de travailleurs**.

Le plan américain est plutôt de profiter des effets secondaires de ce plan, car il aide, par la migration massive de populations arabes qu’il provoque vers l’Europe, à déstabiliser les États du monde arabo-musulman, déstabilisation sur laquelle les États-Unis comptent pour prendre le contrôle direct ou indirect, via l’Iran et l’Arabie Saoudite, de ses richesses énergétiques.

Les Américains sont peu favorables à un métissage forcé des peuples européens qui, pensent-ils affaiblira leur capacité productive et d’échanges économiques, échanges dont ils espèrent être les gagnants. De plus, comme ils ne sont pas certains du succès du Plan Kalergi porté par Merkel-Hollande, dont ils sentent qu’il est quelque peu néo-nazi et pourrait provoquer une révolte des peuples, ils préfèrent en cas d’échec les laisser en porter la responsabilité.

* François Hollande est young leader de la French American Foundation.
** lire 2084 de Boualem Sansal

L’Imprécateur




La planète entière a assisté au vol de l’élection de Donald Trump et aucun média ne s’est révolté !

[Source : Pierre Jovanovic]

du 9 au 13 novembre 2020 

Depuis un mois, j’ai suivi les réunions électorales des deux candidats Trump et Biden, souvent en direct. Et j’étais sidéré de voir que si Trump réunissait 30.000 personnes en délire et dans un froid polaire sur un tarmac d’aéroport, Biden, lui, désolé pour la suite, n’a aligné que des BIDES !

Il n’y avait personne à ses réunions, PERSONNE, même quand Barack Obama était venu le seconder.

Donc, qu’on nous explique, comment Biden a t-il pu gagner les élections APRÈS la clôture des votes in vivo. Personne d’ailleurs ne peut croire que 80 voire 90% des votes par correspondance l’aient été pour le seul Biden, cela ne TIENT PAS debout.

Autre point: les Américains votaient aussi pour leurs sénateurs, et là la supercherie est visible: quand 60% des gens votaient pour un sénateur GOP, les même ont voté pour Biden pour les présidentielles ! Hyper logique en effet. Sans parler du fait que les observateurs GOP au dépouillement ont été interdits d’approcher, sous le bon prétexte du Covid.

Mes chers lecteurs vous avez enfin pu voir, vous aussi, cet invisible Deep State [État profond] en action.

Le plus fou est que Biden, qui n’a plus toute sa tête, s’en était même vanté par avance: « Je dispose du meilleur système électoral de fraude mis au point« , et France Inter, vite, vient le sauver en disant que c’est un lapsus !!!! «  Dimanche 25 octobre, le camp Trump a massivement brandi une vidéo, montrant le candidat démocrate Joe Biden « se vanter d’avoir mis en place l’organisation de fraude électorale la plus vaste et la plus inclusive de l’Histoire ». Sur les images, on voit bien Joe Biden tenir les propos qui lui sont reprochés.

À ce stade de la course à la présidentielle, on pourrait penser à une vidéo truquée, les fameuses deepfake, ou à un montage » (LoL, les journap*** de FI n’ont peur d’aucune bassesse) « Il n’en est rien. L’ancien vice-président a bien tenu ces propos dans le podcast Pod Save America du 24 octobre. Du pain bénit pour les républicains qui attaquent depuis des mois le système de vote par correspondance, craignant que des fraudes puissent faire perdre Donald Trump. Mais en écoutant l’émission en entier, on comprend qu’il s’agit simplement d’un lapsus« … lire ici pour le croire.

Des dizaines de milliers de morts ont voté (y compris le champion de boxe Joe Frazier, paix à son âme) sans parler des centaines de milliers de votes par correspondance retrouvés dans des poubelles, ruisseaux, buissons, etc., etc.

Donald Trump a été clairement volé de son élection, en plein jour, dans une campagne de haine organisée par les médias et les Gafas qui ont tout fait pour que les supporters GOP ne puissent pas se manifester sur le web, alors que les coupeurs de têtes islamistes d »ISIS, eux, avaient leur compte Twitter ou Youtube.

Sachez qu’avec ce qui vient de se passer aux Etats-Unis, ce sera désormais open-bar en France et partout en Europe. La recette fonctionne, le Deep State et les Gafa vont placer leurs marionnettes partout dans le monde, puisqu’il suffit désormais de contrôler les médias pour manipuler / diriger l’opinion vers l’heureux élu, Youtube, Facebook et Twitter feront le reste !

Mr Marteau a résumé à sa façon cette situation ahurissante: « Biden perd les 3 États clefs où le vote est le + sécurisé = Texas, Floride, Ohio. Il gagne les 3 États clefs où le vote est le + fraudable= Pennsylvanie, Michigan, Wisconsin. Il réunit à peine 20 personnes dans ses meetings. Il ne gagne même pas le Sénat.« 

Vous imaginez les prochaines présidentielles en France ? Sur le papier, Emmanuel Macron a déjà quasiment gagné sa réélection de 2022. Les ploutocrates n’auront même plus peur d’être pris sur le fait.

La démocratie est morte, et dites vous bien qu’un député En Marche n’a pas attendu la victoire pour proposer le même système pour la France, le vote par touche électronique et par correspondance, interdit depuis 1995 justement pour fraudes massives.

Et il se trouve que la société qui gère les votes électroniques américains a eu l’idée saugrenue de faire une mise à jour pendant l’élection, et cela a changé des dizaines de milliers de votes Trump pour Biden:

« One Michigan county clerk caught a glitch in tabulation software so they hand counted votes and found the glitch caused 6,000 votes to go to Biden + Democrats that were meant for Trump and Republicans. 47 MI counties used this software. All must check now!« .

@robbystarbuck 6 nov. 

[Traduction : Un greffier du comté du Michigan a détecté un pépin dans le logiciel de tabulation. Ils ont donc compté les votes à la main et ont constaté que le problème avait attribué 6 000 votes pour Biden et les démocrates, alors qu’ils étaient destinés à Trump et aux républicains.]

Ah oui quand même !!!

« Georgia election official: Machine glitch caused by last-minute vendor upload. Voting was delayed in two counties for two hours while the problem was fixed. A technology glitch that halted voting in two Georgia counties on Tuesday morning was caused by a vendor uploading an update to their election machines the night before, a county election supervisor said. Voters were unable to cast machine ballots for a couple of hours in Morgan and Spalding counties after the electronic devices crashed, state officials said. In response to the delays, Superior Court Judge W. Fletcher Sams extended voting until 11 p.m.« 

lire ici Politico.

[Traduction : « Fonctionnaire électoral de Géorgie : problème de machine causé par le téléchargement de dernière minute en provenance du fournisseur (du logiciel). Le vote a été retardé dans deux comtés pendant deux heures, le temps que le problème soit résolu. Un problème technologique qui a interrompu le vote dans deux comtés de Géorgie mardi matin a été causé par un fournisseur qui a mis en ligne une mise à jour de leurs machines électorales la nuit précédente, a déclaré un superviseur des élections du comté. Les électeurs n’ont pas pu voter par machine pendant quelques heures dans les comtés de Morgan et de Spalding après le crash des appareils électroniques, ont déclaré des responsables de l’État. En réponse aux retards, Le juge W. Fletcher Sams de la Cour supérieure a prolongé le vote jusqu’à 23 heures »]

La démocratie est morte en novembre 2020, remerciez les ultra-riches qui composent le Deep State. Désormais, sauf un miracle à la Jeanne d’Arc, rien ne pourra sauver la France de cette nouvelle Ploutocratie américaine.

PS: n’oubliez pas, même un ASTEROÏDE devait tomber sur les Etats-Unis le jour du vote !!!! Cela venait de la NASA !

Revue de Presse par Pierre Jovanovic ©




Le confinement ou le mythe de l’apprenti sorcier

[Source : Le Grand Soir]

[Photo : © Christian Hartmann. Source: Reuters]

[Auteur :] Ariel BERESNIAK

Ariel Beresniak, docteur en médecine, spécialiste en santé publique et médecine sociale, docteur en mathématiques appliquées, habilité à diriger des recherches, professeur invité à l’Université russe d’économie Plekhanov. Auteur d’ouvrages notamment d'Economie de la Santé (Elsevier-Masson), Comprendre la pharmacoeconomie (John Libbey), Dictionnaire raisonné des entreprises du médicament (Flammarion) et Dictionnaire d’Economie de la Santé (Masson).

Pour le docteur en médecine Ariel Beresniak, le confinement décidé par l’exécutif français n’a pas de fondement scientifique, mais pourrait s’expliquer par la volonté des dirigeants de minimiser leurs responsabilités, ou par leur désir de dominer.

L’étude des mythes éclaire souvent les comportements humains. Le mythe de l’apprenti sorcier, décrit originellement par le Grec Lucien de Samosate au IIe siècle avant d’être popularisé par Goethe, met en scène un apprenti scribe qui trouve le moyen d’animer un balai. Tenté d’en obtenir plus, le scribe transforme le balai en serviteur, celui-ci devient si zélé qu’il en est incontrôlable, ce qui provoque une catastrophe. Il aurait été utile que les dirigeants des pays occidentaux se souviennent de ce mythe, à plus forte raison s’ils n’ont pas une grande expérience du pouvoir. Des références du XXe siècle leur sont certainement plus familières ; il semble que les déterminants des totalitarismes relatés dans les romans 1984 et La Ferme des animaux de Georges Orwell aient été parfaitement compris et intégrés.

Une véritable novlangue a ainsi été créée à l’orée de la pandémie de coronavirus.

Le terme anglo-saxon « cluster » remplace notre terme français « foyer », permettant de lui adjoindre une aura plus mystérieuse. Les mots « confinement /déconfinement » ont débarqué de nulle part dans notre néo-vocabulaire sanitaire, apportant une nuance de châtiment collectif. Les résultats virologiques positifs, qu’ils soient confirmés vrais ou faux, qui concernent des personnes saines, asymptomatiques ou malades, deviennent de façon indifférenciée des « cas » dont le nombre « explose ». Les contestataires de la théorie officielle « alarmiste » sont estampillés avec dédain par le sobriquet « assuristes ». Le pistage des clients des bars et restaurants, ainsi que les applications mobiles de traçage des contacts, sont les instruments de Big Brother.

Le principe n’a pas changé : plus on réduit les finesses du langage et plus on accentue la surveillance, moins les citoyens sont capables de réfléchir et de contester, ne raisonnant plus qu’avec les réflexes archaïques de leur cerveau reptilien (peur, survie, manger, dormir).

Le « Comité scientifique » s’apparente volontiers aux commissions créées par le personnage du cochon qui est au pouvoir dans l’œuvre La Ferme des animaux. Ces scientifiques choisis par le chef de l’Etat pour le conseiller sur l’épidémie, sans avoir à passer par les commissions officielles, comme le Haut conseil de la Santé publique, ont certainement de réelles compétences dans leur domaine spécifique. En revanche, ils n’ont aucune crédibilité scientifique dans l’étude de la dynamique des épidémies et de l’évaluation des mesures de santé publique contre les pandémies à virus respiratoires. Les « avis » de ce comité sont mal justifiés, mal référencés, et apparaissent influencés par les différents niveaux d’aversion au risque des membres. C’est ainsi que sans disposer d’aucune preuve d’efficacité, le « confinement » généralisé de la population a été recommandé par ce comité de façon péremptoire comme la mesure prétendument la plus efficace pour lutter contre le coronavirus. Ces déclarations relèvent plus du catéchisme que de la science, c’est-à-dire de réponses toutes faites à des questions toutes faites.

Si le grand public a découvert au printemps 2020 l’existence de la notion de confinement de la population comme un moyen de lutte contre les épidémies, il faut admettre que la communauté scientifique l’a découverte en même temps !

Il existe de nombreux travaux scientifiques évaluant les réponses aux épidémies, rapports nationaux, européens, et internationaux, de préparation au risque épidémique des virus respiratoires, mais en aucun cas le concept de confinement généralisé d’une population n’a été publié, étudié, ni même évoqué, encore moins évalué par une quelconque recherche. Le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade Dans l’esprit du public, le concept de « confinement » se confond avec celui « d’isolement ».

Ces deux notions n’ont pourtant rien à voir. Le principe de l’isolement repose sur la mise à l’écart, pendant la période de contagiosité, de patients dont le diagnostic de pathologie transmissible a été formellement confirmé. Or le confinement de la population consiste à enfermer les familles à domicile, sans savoir qui est sain, asymptomatique ou malade. De ce fait, un membre de la famille contaminé contaminera inexorablement les autres membres du foyer avec qui il est confiné. Preuve en est : les épidémies survenues à bord du paquebot de croisière Diamond Princess et du porte-avion Charles-De-Gaulle. L’événement ayant frappé ce dernier constitue la meilleure démonstration expérimentale de l’absurdité du principe du confinement d’une population pour lutter contre une épidémie. Sur 1 766 marins confinés de fait à bord du navire, 1081 ont été contaminés à partir d’une poignée de militaires asymptomatiques rentrés de permission, dont 1 046 malades, soit 61% de la population totale du navire.

La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population La Chine, souvent mentionnée en exemple de gestion efficace de l’épidémie, n’a jamais imposé un confinement généralisé de sa population. Elle a préservé son économie et s’est contentée de contenir de façon hermétique l’épicentre de l’épidémie dans la ville de Wuhan.

Une réponse pertinente des pays occidentaux aurait été d’interdire les arrivées de Chine dès janvier 2020, et non d’accepter la venue en Europe d’avions entiers de voyageurs chinois, ou de rapatrier des ressortissants européens de Wuhan, qui ont disséminé l’épidémie en Europe. L’Italie a bien tenté d’interdire l’arrivée des vols directs en provenance de la Chine, mais curieusement pas l’arrivée des passagers ayant utilisé des vols indirects. De nombreux Chinois installés dans le Nord de l’Italie pour travailler dans le secteur de la confection, ont ainsi pu rentrer de leurs congés du Nouvel an chinois en étant porteurs du virus… La fermeture des frontières aux voyageurs provenant de Chine aurait été une des réponses adéquates pour éviter d’importer l’épidémie sur le sol européen. Il en existe d’autres. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France

Les mesures de distanciation sociale sont des interventions classiques de santé publique contre les épidémies respiratoires, comme la fermeture des écoles et l’arrêt des transports publics. Il est paradoxal de constater que les écoles restent ouvertes pendant le confinement de la population de ce mois de novembre et que les transports publics n’ont jamais cessé de fonctionner en France. Probablement, ces décisions sont prises pour ne pas remettre en question des années de propagande idéologique contre les véhicules individuels.

Quoi qu’il en soit, et contrairement à la communication officielle reprise clé en main par la grande majorité des médias, les mesures de distanciation sociale ne permettent pas de diminuer le nombre de malades et de décès. Elles ne font que décaler la date du pic épidémique pour mieux étaler dans le temps les ressources du système de santé. L’aire sous la courbe étant la même, le nombre de malades et de décès sont équivalents. Prétendre que le confinement aurait permis d’éviter 3,1 millions de morts dans 11 pays européens, comme le suggère une étude de l’Imperial College de Londres, relève d’un discours digne d’un télévangéliste. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien Avant de colporter ces prévisions cataclysmiques pour justifier son rôle, le « Conseil scientifique » devrait se souvenir qu’un virus ne se répand pas de manière multiplicative mais selon une courbe ascendante de propagation qui lui est propre, pour spontanément diminuer après un « pic », quelles que soient les mesures prises. L’étude des courbes de morbidité et de mortalité en Suède (pays qui n’a jamais imposé de confinement à sa population), en est la meilleure démonstration. L’idée qui prône que le confinement imposé aux Français en mars 2020 aurait permis à l’épidémie de s’estomper ne repose sur rien.

Pourquoi la courbe baisse-t-elle spontanément avec ou sans confinement ? Pourquoi n’augmente-t-elle pas indéfiniment comme le postulent les modélisations de l’Imperial College de Londres et de l’Institut Pasteur ? La réponse est qu’un virus dépend intimement de son environnement écologique, climatique, biologique… Ces facteurs pluriels constituent un écosystème formé d’innombrables cofacteurs inconnus impactant le comportement des virus. Le rôle des cofacteurs et de l’environnement a été particulièrement étudié pour le virus Epstein-Barr, car ce virus est responsable de deux pathologies très distinctes selon son environnement : une simple angine en Europe (la mononucléose infectieuse) et un cancer en Afrique (le lymphome de Burkitt). En ce qui concerne l’action sur la mortalité, les mesures efficaces sont la création de nouvelles unités de soins intensifs ainsi que l’amélioration du niveau d’équipement de ces unités par des respirateurs dits « invasifs » et des machines d’oxygénation du sang extracorporelles (ECMO). L’importance du développement des ECMO est régulièrement soulevée pour réduire la mortalité des épidémies de grippe et donc du Covid-19, mais reste encore de nos jours l’apanage de quelques centres spécialisés. Ce qui ne manque pas de créer des conflits entre les familles des malades pour avoir accès à ces machines qui permettent de survivre aux détresses respiratoires les plus sévères. Faut-il encore que les patients puissent supporter la réanimation, ce qui n’est pas le cas des personnes très âgées, souffrant d’autres pathologies sévères et constituant les principales victimes du Covid. Un patient de 85 ans malade d’un cancer métastasé pourra ainsi être admis en réanimation s’il a été détecté positif au coronavirus et considéré « mort du Covid » s’il décède, quelle que soit la cause du décès.

Les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes C’est la raison pour laquelle il importe de toujours bien définir les critères de suivi épidémiologique et de mettre les chiffres en perspective. Se contenter de lister les nombres de morts et de « cas » sans définir de quoi il s’agit − comme semble s’en être fait une spécialité le directeur général de la Santé − ne sert qu’à apeurer la population (ce qui peut être un objectif en soi). Il convient au contraire de mettre en perspective les courbes en les comparant dans le temps et dans l’espace et d’étudier s’il y a des variations d’espérance de vie avant et pendant l’épidémie, et des différences de mortalité annuelle. Or il apparaît que les statistiques 2020 de mortalité et d’espérance de vie n’ont pas réellement été impactées par l’épidémie de Covid quand on les compare aux années précédentes.

Le marasme économique profond que subit actuellement la nation du fait de l’assignation à résidence de la population est la catastrophe de l’apprenti sorcier. Sans aucune justification scientifique, ni de preuve préalable d’efficacité, cette décision arbitraire a pourtant été prise par un pouvoir exécutif inexpérimenté pour la deuxième fois en une année, en créant une catastrophe économique et sociale à court, moyen et long terme. Présentée comme la « seule » solution en attendant le « vaccin », il y a fort à parier que la population risque de vivre sous cloche encore quelques années. Rappelons qu’en 2009, la France a commandé 94 millions de vaccins contre la grippe H1N1, mais que 5 millions de personnes seulement ont été vaccinées.

Les épidémies de rougeole et de méningite existent à ce jour dans le monde, alors que leurs vaccins existent depuis longtemps, sont efficaces et bien tolérés à long terme (ce qui ne pourra être confirmé pour les futurs vaccins contre le coronavirus que par le recul acquis sur plusieurs années). Au-delà de la disponibilité du vaccin, l’organisation de la vaccination de la population est un exercice extrêmement difficile et long, voire récurrent si les vaccins doivent s’adapter aux mutations et recombinaisons des coronavirus. Sans justifications scientifiques et médicales, deux raisons persistent pouvant expliquer le choix coercitif du pouvoir exécutif de confiner l’ensemble de la population : La minimisation de la responsabilité du décideur : une victime identifiée du Covid, mise en scène par des images terrifiantes de soins intensifs, a plus de valeur pour les autorités qu’une victime collatérale des conséquences du confinement non encore identifiées. La puissance publique favorise ainsi systématiquement les actions et investissements qui réduisent sa responsabilité, quitte à détruire le tissu économique et social. La jouissance du pouvoir : l’amour du pouvoir, le plaisir de régner, le désir de dominer, procurent une légitimité illusoire à des comportements aberrants qui se nourrissent de mensonges hygiénistes. Le chef de l’Etat tend à imaginer le monde comme un théâtre scolaire sur la scène duquel le premier rôle lui est attribué. La représentation d’une réalité binaire associée à une caution technique de son « Comité scientifique » conforte son désir en lui procurant une légitimité. De nos jours, notre société est imaginée à l’image du corps. Elle est le « corps » social. Le chef de l’Etat se considère comme le thérapeute de ce corps : il le protège contre les « agressions », il le soigne de ses maux « quoi qu’il en coûte », il surveille sa tension (les contestations sociales).

Le discours du chef de l’Etat emprunte délibérément ses mots à la médecine. Il en fait régulièrement des métaphores qui transportent le sens du verbe « soigner » aux verbes « gouverner » et « gérer ». Le chef est, comme l’indique son nom, la tête de ce corps social. Ce n’est donc pas un hasard si en cas de crise, le chef de l’Etat est tenté d’imposer une anesthésie générale, voire des purges et des saignées pour ne pas lui-même risquer d’être remis en question. Le déluge est un autre mythe racontant comment les dieux se fâchent et corrigent leurs créatures ! Les « jeunes » se sont-ils mal comportés dans les parcs ou dans les bars ? La punition collective de la fermeture généralisée des parcs, plages, forêts, montagnes, bars et restaurants s’apparente à la purge et à la saignée. Il suffit ensuite de valoriser la souffrance et le sacrifice du peuple en les justifiant par la « science » représentée par « Le » comité scientifique et les regardant comme régénérateurs en vue des lendemains qui chantent, en attendant les surlendemains qui déchantent.

Ariel Beresniak.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…

https://francais.rt.com/opinions/80258-confinement-ou-mythe-apprenti-s…
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https://www.legrandsoir.info/le-confinement-ou-le-mythe-de-l-apprenti-sorcier.html




La médecine par les plantes est utilisée depuis l’antiquité

[Source : Anguille sous roche]

Vous seriez surpris de voir comment votre connaissance des médecines naturelles peut bénéficier de la sagesse de nos ancêtres. La médecine par les plantes est utilisée depuis au moins la période paléolithique.

Les archéologues travaillant dans le nord de l’Irak, par exemple, ont trouvé une sélection de pollen de plantes provenant de mauves, de jacinthe de raisin, d’éphédra, d’achillée millefeuille, de séneçon et de centaurée, des plantes qui, selon eux, étaient utilisées il y a 60 000 ans par les Néandertaliens à des fins médicinales. Mais la phytothérapie a continué à évoluer.

Beaucoup plus tard, il y a environ 3 000 à 5 000 ans, certains des premiers documents écrits relatifs à la médecine par les plantes ont vu le jour. Ces premiers documents sur les plantes médicinales ont été créés par les Sumériens et décrivent avec soin les noms de 250 plantes et 12 recettes de remèdes. Un exemple suggère que la feuille d’aloès peut être utilisée comme laxatif.

Deux ou trois millénaires plus tard, les guérisseurs babyloniens se sont tournés vers des plantes telles que le cresson, la menthe, le cèdre et le palmier-dattier pour se soigner, parfois en combinaison avec une forme de magie. Une prescription babylonienne pour une blessure au visage indique : « Si un homme est malade et qu’il reçoit un coup sur la joue, pilonnez ensemble de la térébenthine de sapin, de la térébenthine de pin, du tamaris, de la marguerite, de la farine d’Inninnu [orge] ; mélangez du lait et de la bière dans une petite casserole en cuivre ; étendez sur la peau, attachez sur lui, et il se remettra. »

Les anciens Égyptiens décrivaient également des herbes médicinales sur leurs papyrus. Le papyrus Ebers, qui est l’un des plus importants papyrus médicaux de cette culture, date de 1550 avant J.-C. et comprend plus de 700 composés, pour la plupart dérivés de plantes.

Des graines qui ont été liées à l’herboristerie ont été trouvées dans des sites de l’âge du bronze de la Chine de la dynastie Shang (c. 1600-1046 av. J.-C.). Un premier texte médical chinois appelé le Huangdi Neijing a été écrit entre 221 et 206 avant J.-C. et présente plus de 100 des 224 composés comme des remèdes à base de plantes.

Les plus anciens textes médicaux grecs à base de plantes sont apparus à partir du 4e siècle avant J.-C. Seuls quelques fragments de ces ouvrages sont restés intacts, mais ils ont tendance à recouvrir les textes égyptiens sur le sujet écrits à peu près à la même époque.

Aujourd’hui, l’Organisation mondiale de la santé estime que 80 % de la population de certains pays d’Asie et d’Afrique utilisent la phytothérapie comme stratégie de soins de santé primaires.

Les plantes médicinales peuvent être absorbées par l’organisme de différentes manières, mais la consommation de thé à base de plantes médicinales est probablement la plus courante.

Les façons d’administrer les herbes

Boire : Les tisanes sont la méthode la plus populaire pour administrer des herbes à des fins de guérison. Elles comprennent les infusions (trempage d’une herbe, comme la menthe ou la camomille, dans de l’eau chaude pour en extraire les propriétés) et les décoctions (ébullition d’une substance plus dure, comme les racines ou l’écorce). Les teintures sont souvent plus fortes que les tisanes et elles comprennent l’alcool. Pour créer une teinture, un herboriste peut combiner de l’éthanol pur à 100 %, ou un mélange d’éthanol à 100 % et d’eau, avec l’herbe.

Application topique : Certaines huiles essentielles, qui contiennent l’« essence » ou l’arôme d’une plante, sont appliquées sur la peau, si elles sont diluées avec une huile porteuse telle que l’huile d’amande ou d’olive. Les pommades, baumes, crèmes et lotions sont également populaires. Souvent, les herbes médicinales sont trempées dans une huile de qualité alimentaire pendant des semaines ou des mois pour permettre l’extraction de certains produits phytochimiques dans l’huile. Une fois ce processus terminé, l’huile peut être transformée en pommade, crème ou lotion. C’est ainsi que l’on fabrique des huiles de massage, des pommades antibactériennes et des composés cicatrisants.

Inhalation : La forme d’inhalation la plus courante est connue sous le nom d’aromathérapie, une médecine alternative ou une thérapie complémentaire qui est censée améliorer le bien-être psychologique ou physique.

Un herboriste au travail qui broie et mélange des herbes médicinales.

L’herboristerie du XXe siècle

L’herboristerie, ou médecine par les plantes, a été négligée ou ignorée par de nombreuses institutions de soins officielles depuis le 20e siècle. Cependant, de nouvelles recherches, comme les travaux de la Clinique Mayo, montrent que certaines herbes sont des remèdes scientifiquement valables lorsqu’elles sont utilisées de la bonne manière.

La formation des herboristes varie d’un endroit à l’autre mais comprend souvent l’apprentissage de la culture des herbes (wildcrafting), le diagnostic, la préparation et le traitement par les plantes médicinales. L’apprentissage est une approche de formation populaire parmi les herboristes non professionnels et les personnes pratiquant la médecine traditionnelle.

Remarque importante : le mélange d’herbes et de médicaments peut ne pas être une bonne idée, alors consultez votre médecin avant d’essayer de traiter quoi que ce soit avec des herbes. La liste suivante est fournie à titre d’information uniquement et ne doit pas être considérée comme un avis médical.

10 herbes et épices populaires couramment utilisées en phytothérapie

Ail

L’ail est originaire d’Asie centrale et du nord-est de l’Iran. Il est utilisé comme assaisonnement alimentaire et en médecine depuis des milliers d’années. Il a été étudié dans le monde entier et il a été démontré qu’il avait des propriétés antifongiques et antimicrobiennes. On pense que l’ail est particulièrement efficace contre les maladies liées aux levures et aux champignons. Il semblerait également que l’ail ait des propriétés antivirales, antibactériennes et anticancéreuses, et qu’il soit bénéfique pour notre système cardiovasculaire. Certaines personnes mâchent une ou deux gousses d’ail crues par jour et d’autres l’écrasent dans leurs salades.

Des bulbes d’ail et des clous de girofle sur une table en bois.

Origan

L’origan provient de l’Eurasie occidentale et du sud-ouest tempérés et de la région méditerranéenne. Les feuilles de la plante sont généralement séchées et moulues à des fins culinaires. On pense que cette herbe contient des antioxydants et possède des propriétés antibactériennes. Hippocrate l’utilisait comme antiseptique. Il a été démontré que l’huile d’origan a des propriétés antimicrobiennes qui peuvent être utilisées contre les troubles des voies respiratoires et des voies urinaires. Elle a également été utilisée de manière topique pour traiter certaines affections cutanées telles que l’acné et les pellicules.

Plante d’origan et feuilles d’origan séchées.

Menthe

La menthe est une plante que l’on trouve partout dans le monde. Toutefois, la plupart des menthes sont originaires d’Europe et d’Asie, tandis que certaines sont originaires d’Amérique du Nord et du Sud, d’Afrique du Sud et d’Australie. Il a été démontré que la plupart des espèces de menthe favorisent la digestion et aident à soulager les maux d’estomac. L’odeur de cette herbe active les glandes salivaires dans notre bouche et les glandes qui sécrètent des enzymes digestives qui aident à la digestion. C’est un remède populaire pour les brûlures d’estomac, les indigestions et les nausées. Les gens utilisent généralement la menthe comme thé.

Des feuilles de menthe.

Camomille

La camomille est originaire d’Europe occidentale, d’Inde et d’Asie occidentale. C’est une autre herbe qui est recherchée pour les problèmes de ventre. Les tisanes de camomille ont été utilisées à travers les âges pour aider à soulager les brûlures d’estomac, les indigestions et les coliques. C’est aussi un relaxant et un sédatif léger, c’est donc une boisson populaire à prendre avant de se coucher si quelqu’un a des difficultés à dormir.

Camomille médicale.

Cayenne

Christophe Colomb a ramené du Nouveau Monde le poivre de Cayenne en Europe, où il est rapidement devenu une épice culinaire et médicinale populaire. Cette épice a été utilisée pour soulager les maux de dents et apaiser les douleurs. La capsaïcine est l’ingrédient qui aide à soulager la douleur et elle apparaît parfois dans les onguents contre la douleur arthritique.

Poivre de Cayenne et poivrons séchés.

Gingembre

Le gingembre est originaire des forêts tropicales d’Asie du Sud-Est. Depuis plus de 3 000 ans, il est utilisé en phytothérapie. Le gingembre en poudre a été utilisé pour traiter l’arthrite, et le thé au gingembre est bon pour la congestion de la tête et de la poitrine. Cependant, cette racine est surtout populaire pour soigner les problèmes d’estomac, en particulier les nausées. Il est considérée comme ayant des propriétés anti-inflammatoires, anti-nausées et peut-être anti-diabétiques. Certaines études suggèrent que le gingembre pourrait aider à prévenir le cancer et à réduire le taux de cholestérol.

Gingembre

Noix de muscade

La noix de muscade provient des îles Banda, une des « îles aux épices », en Indonésie. Les anciens Romains utilisaient la noix de muscade pour fumiger leurs maisons, mais les Byzantins l’utilisaient comme médicament. Au Moyen-Âge, elle était considérée comme une épice magique qui pouvait réconforter les nerfs et l’estomac et stimuler la circulation. Aujourd’hui, elle est également un ingrédient populaire dans certains mélanges d’épices pour la cuisine asiatique. Des recherches modernes ont montré que la noix de muscade contient des antioxydants et qu’elle a des propriétés antibactériennes et anti-inflammatoires. La plupart des gens utilisent de petites quantités de noix de muscade lorsqu’ils préparent des plats sucrés ou salés ou en saupoudrent sur des boissons chaudes.

Noix de muscade fraîche.

Persil

Le persil est originaire de la région de la Méditerranée centrale. Il est largement utilisé dans différentes cuisines et constitue une garniture populaire. Certaines personnes aiment également boire du thé au persil comme diurétique. Des recherches montrent que ses flavonoïdes et ses antioxydants peuvent aider à prévenir le cancer. Le pourcentage élevé de vitamine K que contient cette herbe pourrait également contribuer à améliorer la santé des os.

Persil.

Cannelle

La cannelle est originaire de Ceylan (Sri Lanka). La cannelle est référencée dans la Bible et dans les papyrus de l’Égypte ancienne. Les anciens Romains considéraient autrefois la cannelle comme plus précieuse que l’or. C’est une épice très populaire dans les plats sucrés et aussi dans les mélanges d’épices pour certains plats salés. Elle est particulièrement appréciée dans la cuisine turque et persane. Des études montrent que la cannelle de Ceylan peut aider à contrôler le taux de sucre dans le sang, diminuer le cholestérol, abaisser la pression sanguine, améliorer la mémoire et agir comme un agent anti-microbien.

Bâtonnets et poudre de cannelle et de casse de Ceylan.

Curcuma

Le curcuma est originaire du sous-continent indien et de l’Asie du Sud-Est. Il est utilisé dans la médecine traditionnelle chinoise et la médecine ayurvédique indienne depuis des milliers d’années. Le curcuma est également un ingrédient clé de nombreux aliments salés et de certains plats asiatiques sucrés. L’aliment le plus populaire associé au curcuma est probablement le curry. La curcumine est le principal ingrédient actif du curcuma. Elle a de puissants effets anti-inflammatoires et est également un antioxydant. Des recherches ont montré que le curcuma peut aider à traiter la dépression, la maladie d’Alzheimer et l’arthrite.

Racine de curcuma et poudre de curcuma.

Source : Ancient Origins – Traduit par Anguille sous roche




Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

[Sources : Strategika et Médias-Presse.Info]

Pierre-Antoine Plaquevent, observateur attentif du rôle de différents milliardaires mondialistes dans l’évolution géopolitique des différents continents, fait le point pour MPI TV sur l’actualité de George Soros, Bill Gates et de leurs fondations respectives dans le contexte de l’épidémie de Covid-19 qui sert parfaitement la mise en place d’un système totalitaire mondial.

La répression commence en différents endroits de l’Europe…

Parmi les thématiques abordées :

  • L’enrichissement colossal des milliardaires globalistes pendant le confinement.
  • La répartition des domaines d’influence métapolitique au sein de la gouvernance mondiale entre milliardaires (Soros, Gates, Buffet etc).
  • L’affrontement global entre paléo-capitalisme (personnifié par Trump) et néo-capitalisme (Gates, Soros, Buffet, Bézos etc).
  • Les objectifs et les buts de l’opération Covid : vaccination de masse, reset économique, passage à la digitalisation totale, télé-travail généralisé, robotisation, salaire universel, décroissance démographique etc..
  • Répression des nationalistes-révolutionnaires à la faveur de l’état d’urgence sanitaire : Ryssen, Soral, Aube dorée etc..
  • Contours du paysage politique de l’avenir après répression des nationalistes-révolutionnaires : globalistes vs néo-conservateurs.
  • Récupération et utilisation du Covid par les différents léviathans nationaux.
  • France : l’état d’exception permanent depuis 2015. Utilisation des menaces terroriste et sanitaire pour soumettre la population majoritaire malgré la déréliction de l’État que génère la soumission de nos politiques à l’agenda globaliste. Le séparatisme vient d’abord d’en-haut. Passage du politique à la cybernétique et à l’ingénierie sociale pure.
  • République actuelle = GOG – Gouvernement d’Occupation Globaliste.
  • Cause réelle de la crise globale actuelle : USA de Trump se découplent de la gouvernance globale.
  • L’affrontement interne au sein de la gouvernance globale entre judéo-protestantisme pro-vie et globalitarisme trans / post-humaniste.
  • USA vs gouvernance globale + Chine.
  • USA : les démocrates accepteraient-ils de perdre les élections ? Le “Transition Integrity Project” démontre que non.
  • Gouvernance globale et guerre civile planétaire.
https://youtu.be/A2UxVfYVRWw



Un vaccin inutile? 20 à 50 % de la population serait déjà immunisée contre la COVID-19 grâce au simple rhume

[Source: Le Tribunal de l’infaux]

Qu’adviendrait-il des milliards investis dans la recherche et le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus si 20 à 50 % de la population était déjà naturellement immunisée contre ce virus à l’origine de la COVID-19 ? On peut facilement imaginer l’impact catastrophique d’une telle nouvelle pour l’industrie pharmaceutique et les gouvernements qui ont précommandé des millions de doses du remède miracle qui n’existe toujours pas.

Voilà probablement pourquoi cette découverte, évoquée par la BBC en juillet et confirmée en septembre par la revue médicale BMJ, a fait peu de bruit.

L’idée d’acquérir une immunité collective naturelle a d’ailleurs mauvaise presse.

Dans la foulée de la récente Déclaration de Great Barrington, où 35 experts appuyés par des milliers d’autres préconisent l’immunité collective naturelle et un retour à la vie normale pour lutter contre la COVID-19, les grands médias semblent être passés en mode contrôle de dégâts.

D’abord, rappelons que depuis le début de la pandémie de SRAS-CoV-2, le discours dominant repose sur un providentiel vaccin, la seule solution pour atteindre l’immunité de groupe et sauver l’humanité de la COVID-19. En attendant ce sauveur, nous sommes contraints d’accepter une « nouvelle normalité » : masques, distanciation, confinement, etc., avec toutes les conséquences désastreuses que cela implique sur les plans économique et social pour la très grande majorité d’entre nous.

Le Forum économique mondial (FEM) va même jusqu’à dire qu’« un vaccin est désormais nécessaire pour protéger la santé publique et permettre aux gens de retourner confortablement au travail et à l’école ».

Vous avez bien lu : un vaccin permettant de retourner au travail et à l’école. On nous dit que le vaccin ne sera pas obligatoire, mais il sera vraisemblablement nécessaire pour travailler et aller à l’école. Refuser la vaccination reviendra donc en quelque sorte à refuser de faire partie de la société, puisque, outre les très jeunes enfants et les retraités, nous passons tous la plupart de notre temps ou à l’école, ou au travail.

Peu après la publication de la déclaration de Great Barrington, les médias nous ont mis en garde contre l’idée d’immunité collective naturelle dans la lutte au nouveau coronavirus avec des titres alarmistes et sans équivoque comme « L’immunité collective, un mirage dangereux, avertissent de nombreux scientifiques », ou encore « L’immunité collective n’est pas une solution », lu respectivement sur les sites de Radio-Canada et du Journal de Montréal.

La légende accompagnant la photo de cet article fait écho au discours du FEM : « L’immunité collective passe par des vaccins sûrs et efficaces, expliquent les chercheurs. »

Pourtant, selon l’article publié dans le BMJ le 17 septembre dernier, « Covid-19: Do many people have pre-existing immunity? »plusieurs études démontrent qu’une partie importante de la population qui n’a jamais été en contact avec le nouveau coronavirus est déjà immunisée.

Notons d’abord qu’il existe deux types de réponse immunitaire acquise : « l’immunité humorale, assurée par la production d’anticorps par les lymphocytes B », et « l’immunité cellulaire, surtout assurée par les lymphocytes T ».

Les autorités sanitaires se basent entre autres sur l’hypothèse voulant qu’une faible proportion de la population ait développé des anticorps contre le nouveau coronavirus pour justifier des mesures de santé publique draconiennes. Or, « une série d’études ayant mis en évidence la présence de cellules T réactives au SRAS-CoV-2 chez des personnes n’ayant pas été exposées au virus soulève des questions sur le degré de nouveauté du virus pandémique et amène son lot de conséquences. »

« Un coronavirus pas si nouveau? », demande l’auteur :

L’article cite six études faisant « état d’une réactivité des lymphocytes T contre le SRAS-CoV-2 chez 20 à 50 % des personnes n’ayant pas été exposées au virus ».

Si ces études ne fournissent pas d’estimations précises sur l’immunité préexistante contre ce « nouveau » virus, « elles sont difficiles à écarter », note l’auteur et rédacteur adjoint du BMJ Peter Doshi.

L’auteur de plusieurs de ces études, l’immunologiste de l’Institut d’immunologie de La Jolla en Californie Alessandro Sette, explique :

« À l’heure actuelle, un certain nombre d’études constatent cette réactivité sur différents continents, dans différents laboratoires. Pour un scientifique, c’est la caractéristique d’un phénomène reposant sur une base très solide. »

Peter Doshi fait un parallèle avec la pandémie H1N1 de 2009, que trop de journalistes semblent avoir oubliée. Alessandro Sette faisait alors « partie d’une équipe cherchant à expliquer pourquoi le soi-disant ‘‘nouveau’’ virus ne semblait pas causer d’infections plus graves que la grippe saisonnière ».

Leur conclusion? L’existence de « réponses immunologiques préexistantes dans la population adulte : les cellules B et, en particulier, les cellules T, ‘‘connues pour atténuer la gravité de la maladie’’ ». Puisque d’autres études en sont elles aussi venues à la conclusion que « la gravité du H1N1 était moindre chez les personnes ayant des cellules T réactives préexistantes », les autorités sanitaires ont été forcées d’abandonner leur hypothèse voulant que « la plupart des gens n’avaient aucune immunité contre le virus pandémique » et de reconnaître que « la vulnérabilité d’une population à un virus pandémique est en partie liée au niveau d’immunité préexistant au virus ».

Rappelons que le taux de mortalité de la grippe saisonnière se situerait entre 0,2 et 0,5 % selon Santé publique France, alors que celui du SRAS-CoV-2, avec 1,08 millions de morts et 10 % de la population infectée selon l’OMS, serait à environ 0,14 %.

Les médias se sont empressés de remettre en question cette dernière statistique devenue virale chez les opposants aux mesures sanitaires. Par exemple, Libération a admis que ce calcul de 0,14 % est bon, tout en affirmant que l’on ne peut pas conclure que le taux de mortalité de la COVID est inférieur à celui de la grippe, car il s’agit d’une « extrapolation biaisée ». L’OMS estime pour sa part que le taux de létalité est à environ 0,6 %, ce qui ne concorde pas avec ses propres données et semble tout autant « extrapolé ».

Selon le groupe étasunien Physicians for Informed Consent (Médecins pour un consentement éclairé), le taux de létalité du virus était de 0,26 % en juin, soit similaire à celui de la grippe. Il s’agissait également de la meilleure estimation du Centers for Disease Control au même moment. Ce chiffre semble être le plus fiable puisqu’il est partagé par une source indépendante et une source gouvernementale.

Peu importe l’estimation que l’on favorise, elles sont toutes très loin des estimations de 3-4 % évoquées au mois de mars.

Je me souviens… de la fausse pandémie de grippe A H1N1

Dans la revue Protégez-vous, on pouvait lire en juin 2010 dans l’article H1N1: vertement critiquée, l’OMS se défendque l’OMS avait été sévèrement réprimandée par le Conseil de l’Europe et le BMJ pour avoir entraîné « une distorsion des priorités de santé publique, le gaspillage de sommes colossales d’argent public, l’installation d’un sentiment de crainte injustifié, l’exposition à des risques sanitaires engendrés par des vaccins et des médicaments qui n’ont peut-être pas été suffisamment testés avant d’être autorisés par le biais de procédures accélérées ». (C’est l’auteure qui souligne dans toutes les citations.)

Le rapport avait également soulevé « la possible influence de l’industrie pharmaceutique dans cette pandémie dont la gravité a été ‘‘largement surestimée’’ » :

« Le Dr Pierre Biron, ex-professeur de pharmacologie et expert en pharmacovigilance à l’Université de Montréal, qualifiait la situation ‘‘d’hystérie pandémique’’ en février dernier [2010]. Il reste critique: ‘‘S’il est vrai, comme le révèle Nature, que les commandes nationales furent passées, et secrètement en plus, avant la déclaration d’une pandémie à définition tronquée, ce pourrait être parce que l’emprise de l’industrie du vaccin sur les santés publiques serait devenue plus grande qu’on n’osait l’imaginer.’’

Selon lui, ainsi que plusieurs autres observateurs, ‘‘l’OMS a fait une erreur patente, non conforme aux faits qui s’accumulaient, et elle a entraîné avec elle la majorité des autorités sanitaires nationales. Elle n’a pas répondu aux questions scientifiques posées par ses critiques. On ne possède même pas de preuve que la vaccination massive fut utile, alors qu’on est certain qu’elle ne le fut pas pour prévenir les hospitalisations et les décès’’. »

Sommes-nous encore une fois induits en erreur, exactement de la même manière et par les suspects habituels?

La plupart des grandes pharmaceutiques sont partenaires du Forum économique mondial et le discours dominant sur le vaccin salvateur est calqué sur celui de la simulation de pandémie tenue en octobre 2019 par le FEM, la Fondation Bill et Melinda Gates et l’Université John Hopkins. Selon le scénario de la simulation, la « pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’un vaccin efficace soit disponible ou que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée ».

Bill Gates, le plus important donateur privé de l’OMS, devenu gourou de la santé publique sans détenir aucune expertise dans le domaine, est un important promoteur de ce discours. Pour lui, « il n’y a tout simplement pas d’autre alternative » au vaccin. Il croit qu’un vaccin efficace à 70 % sera « suffisant pour stopper l’épidémie » et qu’il « est peu probable qu’un taux inférieur à 60 % crée une immunité collective suffisante pour arrêter le virus ».

Sur quoi se basent le FEM et Bill Gates pour en venir à de telles conclusions?

Certainement pas sur la science, puisque, selon le BMJ, la majorité des experts croient que 50 % de la population doit être immunisée avant que l’immunité de groupe soit atteinte, alors que d’autres estiment qu’un seuil de 10 à 20 % suffit.

Parmi eux, la Dr. Sunetra Gupta, co-auteure de la Déclaration de Great Barrington. Selon son groupe de chercheurs, « [l]orsqu’une population compte des personnes ayant une immunité préexistante, comme l’indiquent les études sur les cellules T, le seuil d’immunité collective basé sur un R0 de 2,5 peut être réduit de 60 % d’une population infectée à 10 % » dit-elle dans l’article du BMJ.

Selon cette logique, nous aurions déjà atteint l’immunité collective.

Cette immunité préexistante au SRAS-CoV-2 proviendrait des coronavirus à l’origine des rhumes, puisqu’ils sont « étroitement liés », affirme la chercheuse Daniela Weiskopf, toujours dans l’article du BMJ :

« Nous avons vraiment montré qu’il s’agit d’une véritable mémoire immunitaire et qu’elle est dérivée en partie des virus du rhume. »

La solution ultime à la COVID-19 passe-t-elle donc nécessairement par un vaccin ou est-ce plutôt la solution idéale pour l’industrie pharmaceutique et ses investisseurs?

Le Wall Street Journal rapportait en 2002 que la Fondation Gates avait investi 205 millions de dollars dans neuf sociétés pharmaceutiques, incluant Merck, Pfizer et Johnson & Johnson, lesquelles participent toutes à la course au vaccin contre la COVID-19.

Les auteurs de l’article ajoutaient ceci :

« La gestion des liens de plus en plus nombreux entre la Fondation et l’industrie pharmaceutique pourrait s’avérer délicate. Par exemple, en finançant l’Alliance mondiale pour les vaccins et l’immunisation [GAVI], la Fondation achète des vaccins de certaines pharmaceutiques dont elle détient maintenant des parts. »

« Notre meilleur investissement. »

GAVI, fondée par Bill Gates, est le deuxième plus important donateur privé de l’OMS après la Fondation Gates. Le poids de GAVI et de la Fondation Gates confèrent donc au milliardaire une influence énorme sur les programmes de l’OMS, influence d’ailleurs critiquée par plusieurs personnes au sein de l’organisation selon un article de Politico publié en 2017. (Voir Bill Gates, « expert en santé publique » : investir dans les vaccins, c’est payant!)

The Nation révélait aussi le 17 mars 2020 que la Fondation Gates avait fait des dons d’environ 250 millions de dollars à des compagnies dont elle détenait des parts, incluant les pharmaceutiques Merck, Novartis, GlaxoSmithKline, Sanofi, et Teva. Novartis, GlaxoSmithKline et Sanofi, travaillent elles aussi à la fabrication d’un vaccin contre la COVID-19.

Sachant cela, il est tout à fait légitime de douter des réelles motivations de Bill Gates lorsqu’il fait la promotion de la vaccination comme étant l’unique solution à la COVID-19.

Bill Gates est loin d’être le seul à avoir des conflits d’intérêts dans ce dossier, comme le démontre l’article de Radio-Canada « L’achat de vaccins contre la COVID-19 embrouillé par des conflits d’intérêts ». Plusieurs experts doutent que les « vaccins choisis pour protéger les Canadiens [soient] sélectionnés de façon transparente » puisqu’il existe plusieurs liens d’affaires entre les experts qui conseillent le gouvernement fédéral et les sociétés pharmaceutiques.

« L’immunité préexistante pourrait-elle être plus protectrice que les futurs vaccins? », demande Peter Doshi, qui note également l’absence d’intérêt des médias pour le sujet.

« Sans étudier la question, nous ne le saurons pas », ajoute-t-il, en déplorant le fait que les groupes placebo des essais cliniques des vaccins ne servent pas à une telle analyse.

Si la recherche sur l’immunité naturelle profiterait à la société dans son ensemble, elle n’est d’aucun intérêt pour ceux qui profitent d’une société malade.

Cette découverte risque donc de demeurer méconnue.




Les « Georgia Guidestones » ou les 10 commandements du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Marguerite Rothe – Enquête]

The Georgia Guidestones [ Les pierres directrices de Géorgie], par The Vigilant Citizen

Par Marguerite Rothe

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Plus que jamais d’actualité, je vous relaye cet excellent article du Citoyen Vigilant. Voilà près de dix ans que je l’ai téléchargé, et, depuis, je n’en ai pas rencontré un autre qui soit aussi clair et complet que celui-ci. Si vous ne connaissez pas le site du The Vigilant Citizen, je vous invite à y faire un tour. C’est une mine d’informations sur l’élite occulte qui tient le monde entre ses mains (sales). M.R.


Les Georgia Guidestones sont un monument mystérieux sur lequel sont gravés dix « commandements » pour un « nouvel âge de la Raison ». Le premier commandement ? Le maintien de la population mondiale à moins de 500 millions de personnes. Un autre fait sinistre : les auteurs de ce que nous appelons maintenant le Stonehenge américain sont toujours un « mystère »… sauf pour ceux qui savent. Nous allons examiner les nombreuses caractéristiques de ce monument, son message appelant à un Nouvel Ordre Mondial, et expliquer comment il est l’œuvre d’une société secrète occulte.

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Note : Un des premiers articles que j’ai écrit sur ce site, à la fin de 2008, portait sur les Georgia Guidestones. J’ai retiré l’article il y a un an, cependant, lorsque je suis tombé sur des informations essentielles : l’explication des règles écrites par les auteurs cachés eux-mêmes ainsi que d’autres documents. Par conséquent, si vous êtes un lecteur de longue date, je vous prie de continuer à lire car j’ai ré-écrit l’article dans son intégralité.

Les Georgia Guidestones sont un monument de granit énigmatique situé à Elbert County, en Géorgie. Aussi connu comme le Stonehedge américain, la gigantesque structure a près de 20 pieds de haut et est composée de six dalles de granit, d’un poids total de 240.000 livres. Le détail le plus étonnant du monument n’est cependant pas sa taille, mais le message qui est gravé dessus: Dix commandements pour un « Age de la Raison ». Ces commandements portent sur des sujets qui sont en rapport avec le « Nouvel Ordre Mondial », comme le dépeuplement massif, un gouvernement mondial unique, l’introduction d’un nouveau type de spiritualité, etc. Les auteurs de ces commandements ont demandé à rester anonymes et, jusqu’à maintenant, leur anonymat a été dûment préservé. Cependant, ce mystérieux groupe a laissé un texte expliquant le raisonnement derrière les commandements, un texte qui n’a pas été discuté en ligne jusqu’ici. Avec cette nouvelle information, l’objectif derrière les Guidestones est devenu très clair, laissant peu de place aux hypothèses. Les Guidestones décrivent un monde idéal, tel qu’envisagé par les sociétés secrètes occultes. Le monument est donc la preuve d’un lien existant entre les sociétés secrètes, l’élite mondiale, et la pression pour un Nouvel Ordre Mondial.

Le monument

Posées tranquillement dans le comté d’Elberton, les Guidestones vont probablement gagner en signification dans les années qui viennent

Constituées de granit de pyramide bleu, les Georgia Guidestones sont censées résister à l’épreuve du temps et communiquer des connaissances à plusieurs niveaux: philosophique, politique, astronomique, etc. Elles se composent de quatre grands blocs de pierre, qui contiennent dix principes de vie en huit langues : anglais, espagnol, swahili, hindi, hébreu, arabe, chinois et russe. Un court message est inscrit au sommet de la structure dans le script de quatres langues : babylonien, grec classique, sanskrit, et hiéroglyphes égyptiens. Il est important de noter que ces quatre dernières langues anciennes sont d’une grande importance dans les enseignements des écoles de mystère occultes, comme les francs-maçons et les Rose-Croix, organisations que j’aborderai plus loin.

Les quatre grandes pierres sont disposées en une configuration géante de « roue à aubes », sont orientées vers les limites de la migration du soleil au cours de l’année, et montrent également les positions extrêmes du lever et du coucher du soleil dans son cycle de 18,6 années. La pierre centrale a deux particularités: d’abord, l’étoile du Nord est toujours visible à travers un trou spécial foré à partir du Sud vers le côté nord de la pierre centrale, d’autre part, un autre trou s’aligne avec les positions du soleil levant au moment des solstices d’été et d’hiver et à l’équinoxe.

Source: Wired

À la base des Guidestones se trouve une tablette explicative énumérant certains des détails de la structure. Elle mentionne également une capsule temporelle enfouie sous elles. Le contenu de cette capsule temporelle (si elle existe) est un complet mystère.

La tablette explicative détaille certaines des caractéristiques du monument et de ses auteurs (je vous en dirais plus sur eux plus loin). La date d’ouverture de la capsule temporelle n’a pas été précisée.

Les caractéristiques astronomiques sont d’une grande importance dans la conception des Guidestones. Dans une nation relativement « neuve » comme les États-Unis, les monuments qui sont alignés avec les corps célestes sont souvent l’œuvre des sociétés secrètes, telles que les francs-maçons. Dérivant leurs enseignements des écoles de mystère de l’Égypte antique, de la Grèce, ou des Celtes druidiques, ils sont connus pour incorporer dans des monuments certaines de leurs « connaissances sacrées ».

Les « Dix commandements »

Les dix commandements pour un nouvel âge de raison sont :

1. Maintenir l’humanité en dessous de 500 000 000 individus en perpétuel équilibre avec la nature.
2. Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité.
3. Unir l’humanité avec une nouvelle langue mondiale.
4. Traiter de la passion, la foi, la tradition et toutes les autres choses avec modération.
5. Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables.
6. Laisser toutes les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial.
7. Éviter les lois et les fonctionnaires inutiles.
8. Équilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux.
9. Faire primer la vérité, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini.
10. Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.

Comme vous pouvez le voir, les lignes directrices appellent à une réduction drastique de la population mondiale, l’adoption d’une nouvelle langue mondiale, la création d’un tribunal international et de vagues allusions à l’eugénisme. En d’autres termes, un plan pour un Nouvel Ordre Mondial.

Dépopulation, Planification Familiale, et Eugénisme

Le premier « commandement » est particulièrement choquant, car il stipule essentiellement que 12 personnes sur 13 sur cette Terre ne devraient pas exister; au fond, cela voudrait dire que l’intégralité de la population mondiale devrait disparaître, sauf la moitié de l’Inde. Si on considère que la population mondiale actuelle est de 6,7 milliards, alors ceci représente un surplus de 92,54%. Ces chiffres sont tout simplement ahurissants. Mais alors, combien de personnes ont survécu dans le film 2012 ? Pas beaucoup. Qui étaient-elles ? Les personnes les plus riches du monde. S’agit-il d’un programme pour l’avenir ? (Il faut aussi lire ce passage plutôt troublant extrait d’un article de Catherine Austin Fitts qui a travaillé pour l’administration Bush, en voici la traduction :

« Accablée par ce qui se passait, j’ai estimé le résultat final. Mes simples calculs m’amenaient à supposer que nous allions atteindre la durabilité économique sur Terre en arrivant à une population d’environ 500 millions de personnes sur les 6 milliards actuels. J’ai été un stratège de portefeuille habituée à analyser les chiffres à un haut niveau. Ceux qui étaient autour de moi ne pouvaient pas comprendre comment tous les différents paramètres que j’intégrais pourraient conduire à une telle conclusion. Pour moi, nous devions obtenir un changement radical dans notre façon de gérer les ressources ou dépeupler. C’était un résultat mathématique.

Un an plus tard, en 1999, un investisseur et stratège de portefeuille très capable m’a demandé s’il pouvait venir à un déjeuner privé avec moi à Washington. Nous nous sommes assis dans un restaurant chic en face du Capitole. Il a dit tranquillement qu’il avait calculé où les dérivés et la bulle de la dette combinés avec la mondialisation nous mèneraient. La seule conclusion logique à laquelle il pouvait arriver c’était qu’un dépeuplement important allait se produire. Il a dit que ses estimations conduisaient à une population d’environ 500 millions. J’ai dit très calmement, « C’est aussi mon estimation. » Je n’oublierai jamais la tristesse qui se lisait sur son visage. J’étais étonné de rencontrer quelqu’un d’autre qui comprenait. »

Le dernier commandement des Guidestones, « Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature » est particulièrement inquiétant, car il compare la vie humaine à un cancer sur la terre. Avec cet état d’esprit, il est facile d’envisager l’extinction de la quasi-totalité de la population mondiale.

Le dépeuplement massif est un des buts avoués de l’élite mondiale, et de nombreuses personnalités importantes l’ont ouvertement appelé de leur vœux :

En 1988, le prince Philip de Grande-Bretagne a exprimé le souhait que, s’il devait se réincarner, il puisse être « un virus mortel » qui permettrait de réduire la population mondiale. Plus récemment, Bill Gates a déclaré: « Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants… et on se dirige vers les 9 milliards. Mais si nous faisons un bon boulot avec les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé génésique, nous pourrions peut-être obtenir une réduction de 10 ou 15 pour cent. » À l’aide de dons déductibles d’impôt d’énormes sommes d’argent afin d’aider la cause du dépeuplement, des « réunions secrètes » des élites mondialistes ont eu lieu pour discuter de ces questions :

« Certains des milliardaires américains les plus importants se sont rencontrés secrètement afin d’examiner comment leurs richesses pourraient être utilisées dans le but de ralentir la croissance de la population mondiale, et accélérer l’amélioration de la santé et de l’éducation.

Les philanthropes qui ont participé à un sommet convoqué à l’initiative de Bill Gates, le cofondateur de Microsoft, ont parlé d’unir leurs forces afin de surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.

Décrit comme le « Bon Club » par un initié, il comprenait David Rockefeller Jr, le patriarche de la dynastie la plus riche d’Amérique, Warren Buffett et George Soros, les financiers, Michael Bloomberg, le maire de New York, et les personnalités influentes des médias Ted Turner et Oprah Winfrey. » – Le Sunday Times du 24 mai 2009

Le deuxième commandement (« Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité. ») appelle à l’intervention des législateurs dans la gestion des cellules familiales. Si on lit entre les lignes, ceci requiert la création de lois réglementant le nombre d’enfants par famille. En outre, « l’amélioration de la diversité et de la santé » peut être obtenue grâce à la « reproduction sélective », ou à la stérilisation des membres indésirables de la société. Ce qu’on avait coutume d’appeler à une certaine époque l’ «eugénisme» , jusqu’à ce que ceci devienne politiquement incorrect à cause des nazis.

Un gouvernement mondial

« Certains croient même que nous faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des États-Unis, nous caractérisant ma famille et moi comme des « internationalistes » conspirant avec d’autres autour du monde pour construire une structure politique et économique mondiale plus intégrée – un seul monde, si vous préférez. Si c’est ce dont on m’accuse, je plaide coupable, et j’en suis fier. » David Rockefeller, « Mémoires de David Rockefeller » p.405

La plupart des autres commandements des Guidestones appellent essentiellement à la création d’un gouvernement mondial, dirigé par une « élite éclairée », qui régirait tous les aspects de la vie humaine, y compris la foi, les droits sociaux, l’économie, etc. Cette idée est loin d’être neuve, puisqu’elle a été entretenue par les écoles de mystère pendant des siècles. Manly P. Hall a écrit en 1917 :

« Lorsque la foule règne, l’homme est gouverné par l’ignorance; quand l’église règne, il est gouverné par la superstition, et quand l’État règne, il est gouverné par la peur. Avant que les hommes puissent vivre ensemble dans l’harmonie et la compréhension, l’ignorance doit être transmuée en sagesse, la superstition en foi éclairée, et la crainte en amour. Malgré les affirmations contraires, la maçonnerie est une religion qui cherche à unir Dieu et l’homme en élevant ses initiés à ce niveau de conscience d’où ils peuvent contempler avec une vision précise le travail du Grand Architecte de l’Univers. D’âge en âge la vision d’une civilisation parfaite est préservée comme l’idéal à atteindre pour l’humanité. Au sein de cette civilisation est maintenue une université puissante dans laquelle les sciences sacrées et profanes des mystères de la vie seront librement enseignés à tous ceux qui assumeront la vie philosophique. Ici la croyance et le dogme n’auront aucune place; tout ce qui est superficiel sera éliminé et seul l’essentiel sera préservé. Le monde sera gouverné par ses esprits les plus éclairés, et chacun occupera le poste pour lequel il est le plus admirablement adapté. » P. Hall Manly, The Secret Teachings of All Ages

Dans « The Secret Destiny of America », Hall explique le vieux rêve d’un gouvernement mondial, tel qu’envisagé par les sociétés secrètes :

« La démocratie mondiale a été le rêve secret des grands philosophes classiques. Afin de réaliser cette grande aspiration humaine ils ont présenté des programmes d’éducation, de religion, et de conduite sociale afin d’atteindre le but ultime d’une fraternité pratique et universelle. Et pour réaliser leurs objectifs plus efficacement, ces anciens savants se sont liés entre eux de façon mystique au sein d’une grande confrérie. En Égypte, en Grèce, en Inde et en Chine, les mystères d’État ont vu le jour. Les ordres de prêtres-philosophes initiés ont été formés comme un corps souverain afin d’instruire, de conseiller, et orienter les dirigeants des États. » Manly P. Hall-, The Secret Destiny of America

Les propres explications des auteurs anonymes

Depuis l’érection du monument le 22 Mars 1980, de nombreux auteurs et chercheurs ont tenté d’interpréter le sens de ces dix commandements. S’agit-il vraiment d’un schéma directeur pour un Nouvel Ordre Mondial? Sont-ils simplement des règles à appliquer en cas de catastrophe majeure? Le meilleur moyen d’obtenir une réponse précise c’est encore de demander aux auteurs eux-mêmes. Toutefois, étant donné que ces derniers ont choisi de rester anonymes, il n’est pas possible de le faire. Ils ont, cependant, laissé une importante déclaration, qui semble avoir été négligée par presque tous les chercheurs des Guidestones. Ce texte étonnant, qui décrit leurs motivations dans les moindres détails, ne peut être trouvé que dans The Georgia Guidestone Guidebook, une brochure produite par la Granit Company, qui a construit le monument. Dès le début, il semble évident que les auteurs du monument ont comme but la création d’un Nouvel Ordre Mondial. Il ne s’agit nullement d’une « théorie du complot » ou d’une hypothèse. C’est écrit en termes clairs et non équivoques. Donc, voici, directement de la plume des auteurs secrets, l’explication des 10 commandements des Guidestones (j’ai souligné certaines parties en caractères gras, afin de mettre en relief les points importants).

« Il est très probable que l’humanité possède aujourd’hui les connaissances nécessaires pour établir un gouvernement mondial efficace. D’une certaine manière cette connaissance doit être largement diffusée dans la conscience de l’humanité tout entière. Très vite, les cœurs de notre famille humaine doivent être touchés et réchauffés si nous voulons faire place à un gouvernement global de la raison.

« La conscience de groupe de notre race est aveugle, perverse, et se laisse facilement distraire par des futilités quand elle devrait se concentrer sur les éléments fondamentaux. Nous entrons dans une ère critique. La pression démographique va bientôt créer une crise politique et économique à travers le monde. Cette dernière rendra plus difficile et en même temps plus nécessaire l’édification d’une société mondiale fondée sur la raison.

« Une première étape consistera à convaincre un monde sceptique qu’une telle société est désormais possible. Gardons à l’esprit les appels éternels à la raison collective de l’humanité. Attirons l’attention sur les problèmes fondamentaux. Établissons les bonnes priorités. Nous devons mettre de l’ordre dans notre maison ici sur terre avant de chercher à atteindre les étoiles.

« La raison humaine prend maintenant conscience de ses forces. Il s’agit du plus puissant agent jamais libéré dans le déroulement de la vie sur notre planète. Nous devons faire prendre conscience à l’humanité que l’acceptation de la compassion, de la raison éclairée, nous permettra de maîtriser notre destin dans les limites inhérentes à notre nature.

« Il est difficile de répandre la sagesse dans des esprits humains fermés. Les inerties culturelles ne sont pas faciles à surmonter. Les événements mondiaux en cours et le triste passif de notre race rendent encore plus criantes les lacunes des agences traditionnelles qui régissent les affaires humaines. La crise qui vient pourrait amener l’humanité à accepter un système de droit international qui mettra l’accent sur la responsabilité de chaque pays dans la régulation des affaires intérieures, et qui les assistera dans la gestion pacifique des conflits internationaux.

« Avec un tel système nous pourrions éliminer la guerre, nous pourrions fournir à chaque personne la possibilité de rechercher une vie pleine de sens et d’épanouissement.

« Il existe des alternatives à Armageddon. Elles sont réalisables. Mais cela ne se fera pas sans les efforts coordonnés de millions de personnes dévouées de toutes les nations de la terre.

« Nous, les sponsors des Georgia Guidestones®, sommes un petit groupe d’Américains qui souhaitent attirer l’attention sur les problèmes centraux du dilemme actuel de l’humanité. Nous avons un message simple à transmettre aux autres êtres humains, aujourd’hui et dans l’avenir. Nous croyons qu’il contient des vérités évidentes, et nous ne prenons parti pour aucune religion ou philosophie particulière. Cependant, notre message peut sembler dans certains domaines controversé. Nous avons choisi de rester anonymes afin d’éviter le débat et la controverse qui ne pourraient apporter que la confusion, et retarder un examen circonstancié de nos pensées. Nous estimons que nos préceptes sont sains. Ils ne nécessitent aucune discussion.

« Stonehenge et d’autres vestiges de l’ancienne pensée humaine éveillent notre curiosité, mais ne transmettent aucun message qui pourrait nous guider. Pour transmettre nos idées à travers le temps à d’autres êtres humains, nous avons érigé un monument – un ensemble de pierres taillées. Ces pierres silencieuses exprimeront nos idées maintenant et quand nous seront partis. Nous espérons qu’elles seront de mieux en mieux acceptées et que, par leur présence silencieuse elles hâteront à un modeste niveau la venue du futur âge de raison.

(…)

« Nous croyons que chaque être humain a un but. Chacun d’entre nous est un petit mais significatif morceau de l’infini. Les alignements célestes des pierres symbolisent la nécessité pour l’humanité d’être en accord avec les principes externes qui se manifestent dans notre propre nature, et dans l’univers qui nous entoure. Nous devons vivre en harmonie avec l’infini.

« Quatre grosses pierres dans l’ensemble central sont gravées avec dix préceptes, chaque pierre portant le même texte dans deux langues différentes. Dans la version anglaise le message comprend moins de cent mots. Les langues ont été choisies pour leur importance historique et leur impact sur les gens qui vivent actuellement. Puisqu’il existe trois mille langues vivantes, toutes ne pouvaient être retenues.

« Nous envisageons une phase ultérieure dans le développement des Georgia Guidestones®. Il faut espérer que d’autres pierres pourront être érigées en cercles extérieurs afin de marquer les migrations du soleil, et peut-être certains autres phénomènes célestes. Ces pierres pourraient transmettre nos mots dans les langues d’autres personnes qui partagent nos convictions et érigeront des pierres semblables aux frontières internationales dans les langues de voisins amicaux. Elles serviraient à rappeler les difficultés auxquelles l’humanité tout entière doit faire face, et encourageraient les efforts mutuels pour y faire face de manière rationnelle et juste.

« Nous ne prétendons à aucune inspiration divine au-delà de ce qui se trouve dans tous les esprits humains. Nos pensées reflètent notre analyse des problèmes auxquels est confrontée l’humanité à cette aube de l’ère atomique. Elles décrivent en termes généraux certaines étapes de base qui doivent permettre d’établir pour l’humanité un équilibre bienveillant et durable avec l’univers.

« Les êtres humains sont des créatures spéciales. Nous sommes les gardiens de toute vie terrestre. Dans ce monde, nous jouons un rôle central dans une lutte éternelle entre le bien et le mal-entre les forces qui construisent et celles qui détruisent. L’Infini enveloppe tout ce qui existe, même les luttes, les conflits et le changement, ce qui peut refléter les bouleversements dans l’âme même de Dieu.

« Nous, les humains avons reçu une faible capacité de connaître et d’agir, pour le meilleur ou pour le pire. Nous devons nous efforcer d’optimiser notre existence, non seulement pour nous mais aussi pour ceux qui viendront après nous. Et nous ne devons pas faire abstraction du bien-être de tous les autres êtres vivants dont les destins ont été placés sous notre responsabilité.

« Nous sommes l’agent principal par lequel les bonnes et les mauvaises qualités de l’esprit deviennent les acteurs de notre monde. Sans nous, il y a très peu d’amour, de miséricorde, ou de compassion. Cependant, nous pouvons aussi être des agents de la haine, de la cruauté, et de la froide indifférence. Nous sommes les seuls à pouvoir travailler consciemment à l’amélioration de ce monde imparfait. Il ne suffit pas pour nous de simplement suivre le courant. Le monde rationnel de demain se situe toujours en amont.

« En 1980, alors que ces pierres étaient en train d’être érigées, le problème mondial le plus urgent était la nécessité de contrôler la population humaine. Durant les derniers siècles la technologie et les carburants abondants ont rendu possible la multiplication de l’humanité au-delà de ce qui est raisonnable ou souhaitable à long terme. Maintenant, nous pouvons prévoir l’épuisement imminent de ces sources d’énergie et l’épuisement des réserves mondiales de nombreuses matières premières essentielles.

« Maîtriser notre reproduction est urgent. Ceci exigera des changements importants dans nos attitudes et nos coutumes. Malheureusement, l’inertie des coutumes de l’homme peut être extrême. Cela est particulièrement vrai lorsque ceux pour qui la coutume est une force dominante ne sont pas informés de la nécessité du changement.

« Presque tous les pays sont maintenant surpeuplés en termes d’un perpétuel équilibre avec la nature. Nous sommes comme une flotte de canots de sauvetage surpeuplés confrontée à une tempête qui approche. Aux États-Unis d’Amérique nous mettons gravement en danger nos ressources afin de maintenir le niveau de vie de notre population actuelle. Nous détruisons nos terres agricoles et nous sommes devenus dangereusement dépendant des approvisionnements extérieurs en pétrole, minerais et autres ressources non renouvelables. Des nations comme le Japon, la Hollande, et Haïti sont encore plus gravement surpeuplées et, par conséquent, en plus grand danger.

« Dans ces circonstances, la reproduction n’est plus exclusivement une affaire personnelle. La société doit avoir son mot à dire et un certain pouvoir de direction dans la régulation de cette fonction vitale. Les souhaits des couples humains sont importants, mais non primordiaux. Les intérêts de la société actuelle et le bien-être des générations futures doivent être pris en considération de façon accrue à mesure que nous développons des mécanismes visant à contrôler de façon rationnelle notre reproduction.

(…)

« La procréation irresponsable doit être découragée par des pressions sociales et légales. Les couples qui ne peuvent pas assurer un revenu décent et un soutien pour leur enfant ne doivent pas faire d’enfants qui seront un fardeau pour leurs voisins. Amener des enfants inutiles dans un canot de sauvetage surpeuplé est une mauvaise chose. C’est injuste pour ces enfants. C’est nocif pour les autres occupants et tous les êtres vivants. La société ne doit pas encourager ou subventionner un tel comportement.

« Les connaissances et les techniques de régulation de la reproduction humaine existent actuellement. Les autorités morales et politiques à travers le monde ont une grave responsabilité de rendre ces connaissances et ces techniques généralement disponibles. Cela pourrait se faire avec une fraction des fonds que le monde consacre désormais à des fins militaires. À long terme, diriger ces fonds dans ce canal pourrait faire plus que toute autre chose pour réduire les tensions qui conduisent à la guerre.

« Une population mondiale diversifiée et prospère en perpétuel équilibre avec les ressources mondiales sera la pierre angulaire d’un ordre mondial rationnel. Les gens de bonne volonté dans toutes les nations doivent travailler à établir cet équilibre.

(…)

« Après l’achèvement de l’ensemble central des Georgia Guidestones notre petit groupe de parrainage a été dissous. Nous laissons le monument à la garde de la population de Elbert County, Géorgie.

« Si nos mots inscrits sont effacés par l’usure du vent, du soleil, et du temps, nous demandons à ce que vous les graviez plus profondément. Si les pierres doivent tomber, ou si elles sont dispersées par des gens de peu de compréhension. Nous demandons à ce que vous les érigiez de nouveau.

« Nous invitons nos frères humains dans tous les pays à réfléchir sur notre message simple. Lorsque ces objectifs seront un jour poursuivis par la généralité de l’humanité, un ordre mondial rationnel pourra être obtenu pour tous.

Qui sont les auteurs ?

Qui était donc ce « petit groupe d’Américains qui cherchent l’âge de raison »? Bien que leur identité soit secrète, ils ont laissé quelques indices pour les initiés, pointant incontestablement vers la nature occulte de leur groupe. Pour commencer, le texte ci-dessus porte la marque indubitable de l’occultisme occidental. Nous pouvons trouver des références à « ce qui est en haut est comme ce qui est en bas » (Les alignements célestes des pierres symbolisent la nécessité pour l’humanité d’être en accord avec les principes externes qui se manifestent dans notre propre nature, et dans l’univers qui nous entoure) et à la dualité (Nous sommes le principal agent par lequel les bonnes et mauvaises qualités de l’esprit deviennent les acteurs de notre monde. Sans nous, il y a très peu d’amour, de miséricorde, ou de compassion. Mais nous pouvons aussi être des agents de la haine et de la cruauté ainsi que de la froide indifférence). Je crois que ce texte fournit à lui seul assez de preuves pour conclure que les auteurs sont soit des francs-maçons, des rosicruciens, ou une autre société secrète hermétique. Il y a même des indices encore plus évidents pointant vers les penchants ésotériques des auteurs, à commencer par Christian R.C., l’homme mystérieux qui a commandé le monument.

R.C. Christian

Inauguration des Georgia Guidestones. Se pourrait-il que l’un de ces personnages soit le mystérieux Christian R.C. ?

Voici l’histoire de la commande des Guidestones telle que racontée par le guide officiel.

« Ce qui a commencé comme un vendredi après-midi habituel de la mi-été s’est terminé par la production et l’érection de l’un des monuments les plus étranges du monde, produit dans les conditions les plus insolites. Joe Fendley, président de Elbert Granite Finishing Company, Inc Elberton, en Géorgie, passait ce vendredi après-midi de Juin 1979 comme il passe la plupart des ses vendredi après-midi… à étudier ses rapports hebdomadaires et à fermer boutique pour un week-end… et puis tout a commencé.

Un homme bien habillé est entré dans le bureau de la rue Tate de Fendley et a dit qu’il voulait acheter un monument. Puisque tout le monde au bureau était occupé, Fendley décidé de parler à l’étranger lui-même et a expliqué que son entreprise ne vendait pas directement au public, mais seulement en gros.

Sans se décourager, l’homme d’âge moyen qui s’est identifié seulement comme M. Robert C. Christian, a dit qu’il voulait connaître le coût de construction d’un monument à la conservation de l’humanité et se mit à décrire à Fendley le type de monument qu’il voulait. Avec cela, il a donné la taille en mesures métriques.

Fendley admis que sa première réaction devant M. Christian n’était pas très bonne, mais après l’avoir écouté pendant environ 20 minutes et avoir entendu la taille imposante du monument qu’il voulait acheter et voir érigé, Fendley a décidé qu’il devrait prendre cet homme au sérieux. »

Si le nom de Christian R.C. était un simple pseudonyme vide de sens, pourquoi le graver sur le monument pour la postérité? Ce nom pourrait-il avoir une signification particulière? Eh bien, c’est le cas. Christian R.C. est une référence claire à Christian Rosenkreutz dont le nom anglais est Christian Rose-Cross (Christian Rose-Croix), le fondateur légendaire de l’Ordre rosicrucien. Certains pourraient dire que la ressemblance entre Christian R.C. et Christian Rose- Cross est le résultat d’une curieuse coïncidence. Comme nous le verrons, il s’agit cependant d’une des NOMBREUSES références à la Rose-Croix associés au monument. Il ne s’agit que d’une seule pièce du puzzle, mais un élément important malgré tout.

Les Rose-Croix

Postulant à l’entrée dans les mystères rosicruciens. Notez que le candidat montre le signe de la main du secret. Notez également les lettres « RC », comme dans Christian R.C.

Les Rose-Croix sont connus pour avoir publié trois manifestes au début du 17ème siècle : Fama Fraternitatis Rosae Crucis, Confessio Fraternitatis et Noces Chimiques de Christian Rosenkreutz.

Ces œuvres anonymes, entourées de mystère, ont introduit de façon cryptique le grand public à la philosophie rosicrucienne, tout en annonçant une grande transformation du paysage politique et intellectuel de l’Europe. Le Siècle des Lumières a bientôt suivi, accompagné de la chute des monarchies féodales. Les Georgia Guidestones semblent accomplir les mêmes fonctions que les manifestes Rose-Croix, en appelant à des transformations importantes du monde tout en maintenant un climat de mystère. » (traduction Google & Deepl)

Suite et fin de l’article (anglais) du Citoyen Vigilant en suivant le lien ci-dessous :

Sinister Sites: The Georgia Guidestones

The Georgia Guidestones is a mysterious monument on which are carved ten « commandments » for a « New Age of Reason ». The first commandment? Maintaining the world population under 500 …

https://youtu.be/_2CsKtGxHeg

Publié dans Enquête




COVID-19 : opération psychologique

[Source : Agoravox]

par Collectif TPH

Partie 1- Des psys sonnent l’alarme

Nous sommes un collectif de psychologues, psychanalystes et psychothérapeutes et nous lançons un message d’alerte. La politique gouvernementale s’apparente à nos yeux à une campagne de destruction massive du psychisme de la population. Ceux qui sont censés œuvrer pour le bien-être de nos concitoyens sont en train de créer des traumatismes potentiellement irréversibles.

Depuis presque un an, le monde est confronté à une crise inédite liée à la propagation d’un virus nouveau de la famille des corona virus, le SARS-COV-2, au sein de la population humaine. La maladie causée par ce virus est quant à elle appelée COVID-19 pour « corona virus disease 2019 » (maladie à corona virus 2019).

Pour faire face à cette épidémie mondiale, les instances politiques nationales ont pris la décision d’imposer des mesures radicales qui impactent très fortement le quotidien des Français. La méthode employée, particulièrement coercitive, a fait la preuve de son inefficacité. Elle a des conséquences dramatiques sur le plan économique et sur lasanté de la population, en particuliersur sa santé mentalequi est directement attaquée. Pourtant le gouvernement s’entête dans une stratégie politique délétèreau point qu’un nouveau confinement est désormais envisagé.

Les Français doivent prendre conscience que leur gouvernement n’agit pas dans le sens de leur intérêt : il est devenu clairement « pathogène » (c’est-à-dire générateur de pathologies). L’analyse de cette gestion de crise nous amène à conclure que cette situation n’est pas seulement le résultat des errements du pouvoir. La crise actuelle a le mérite de lever le voile sur ce qui apparaît désormais comme une évidence : ceux qui prétendent représenter le peuple agissent sous l’influence de lobbies qui défendent des intérêts diamétralement opposés à ceux de la population.Les médias, quant à eux, relaient les messages délibérément anxiogènes du pouvoir et pratiquent une censure quasi systématique à l’encontre de toutes les études susceptibles de mettre en cause la narration officielle. Force est donc de constater qu’une coalition malsaine et machiavélique, alliant gouvernement, médias et puissances d’argent, s’est constituée. Elle s’attaque de façon systématique et caricaturale à la santé psychique de la population. 

En tant que « psy », nous ne pouvions rester plus longtemps sans réaction. Les Français doivent se mobiliser collectivement pour mettre un terme à cette folie et protéger leur cerveau et celui de leurs enfantscontre les coups de boutoir du pouvoir, faute de quoi nous allons au devant d’une catastrophe sanitaire et humaine sans précédent

Partie 2 : Danger pour la santé psychique des Français !

Des mesures portant atteinte à la santé de la population

La gestion de la crise sanitaire par le gouvernement a des conséquences sérieuses sur la santé de la population. Le confinement a provoqué un affaiblissement de l’immunitépour des raisons variées : sédentarité, manque d’air et de soleil, absence de pratiques sportives et d’échanges sociaux. Cette mesure radicale, inédite dans l’histoire de l’humanité(imposer à la population dans son ensemble, y compris les gens en bonne santé, de rester chez elle), a eu un effet très anxiogènece qui est en soi nuisible à la santé par effet nocébo(impact mesurable à l’imagerie cérébrale d’une substance absorbée ou d’une information véhiculée et perçue comme négative).

Le port du masque obligatoire et généralisé, autre mesure inédite dans l’histoire de l’humanité, n’a nullement fait la preuve de son efficacité. Le port du masque ne peut être efficace que dans des conditions d’utilisation très précises qui ne peuvent pas être respectées à grande échelle. A contrario, de nombreuses études démontrent la nocivité du port du masque pendant plusieurs heures d’affilées. Comme le résume Thierry Lagrange, médecin généraliste à La Rochelle, « on demande aux gens de rester confinés sous leur masque ce qui est totalement inepte du point de vue physiologique ». Cette mesure délétère est imposée manu militari par un gouvernement qui, quelques mois plus tôt, se démenait pour expliquer son inutilité. 

Exemples de patients dans nos cabinets 

La façon dont cette crise a été gérée a également provoqué des dégâts sur le plan psychologiqueNous avons pu le constater dans le cadre de nos consultations

1- Une patiente est arrivée en consultation à la suite du confinementen état de choc post traumatique. Elle était désorientée, ne comprenait rien à ce qui se passait. Elle raconte qu’elle s’est faite agresser dans la rue un jour où elle faisait des courses par une personne qui l’a insulté car elle ne gardait pas suffisamment ses distances. Extrêmement angoissée et déprimée, elle avait également développé des troubles du sommeil

2- Un patient est venu en consultation en état de décompensation. Totalement désorienté et dans la confusion, il était incapable de revenir à lui. Son cerveau sursaturé d’informations contradictoires tournait en boucle sans parvenir à dénouer le vrai du faux. Il était envahi d’angoisses de mort et terrorisé.

3- Afin d’échapper à la réalité (très difficile à vivre) du confinement,un adolescent de 17 ans avait pris une fois du LSD à la suite de quoi il avaitbasculé dans la décompensation psychotique (schizophrénie)

4- Une mère amène sa fille de 7 ans qui présente des TOCS (troubles obsessionnels compulsifs) depuis le confinement. La petite n’ose plus rien toucher. A chaque fois, elle demande à sa mère si elle peut toucher ceci ou cela : jusqu’à l’herbe dans son jardin ; jusqu’à ses crayons de couleur ou même la table dans sa classe. La petite vit désormais dans une angoisse permanente de contamination, multipliant les lavages de main et les conduites d’évitement… Par ailleurs, elle a la terreur d’oublier de se laver les mains avant de toucher ses ami(e)s, persuadée que, si elle oublie, elle risque de les contaminer. Elle a peur de faire du mal à quelqu’un qu’elle pleure tous les matins avant d’aller à l’école.

La mère est en panique de voir sa fille aussi angoissée. Après quelques questions, il apparaît que les parents sont tout aussi terrorisés que leur fille. Ainsi, depuis le confinement et le matraquage médiatique qui a suivi, ils lavent les courses à l’eau de javel avant de les ranger dans la maison. Si la petite a le malheur de toucher aux courses avant qu’elles n’aient été lavées, c’est l’angoisse et elle se fait aussitôt réprimander. 

La mère comprend alors qu’elle a elle-même adopté un rituel obsessionnel qu’elle a transmis à sa fillede même que l’angoisse de toucher des objets non lavés et de contaminer les autres.

Ce ne sont quequelques exemples parmi tant d’autres. Ainsi le confinement, ainsi que le dé-confinement qui s’en est suivi,ont provoqué l’apparition de très nombreux symptômes : 

  • angoisses, notamment chez des jeunes enfants, énurésie,
  • état de choc posttraumatique, 
  • violences conjugales et violences sur les enfants, 
  • hypocondrie,
  • troubles obsessionnels compulsifs, notamment chez les enfants, 
  • multiplication des cas de décompensations psychotiques, 
  • dépressions,
  • suicides, etc.

Partie 3 : Quand le pouvoir pervers joue avec nos cerveaux

Des comportements pathologiques normalisés

De nouveaux rituels de nature obsessionnelle 

Les « gestes barrières »ainsi que la généralisation du masque, mesures d’apparence moins brutales que le confinement, ont également des conséquences psychiques importantes. La systématisation des « gestes barrières » revient à généraliser au sein de la population des comportements qui s’apparentent aux rituels de nature obsessionnelle.Le plus grave est que cette folie a atteint jusqu’aux classes maternelles : en effet, les enfants ne peuvent plus aller librement à la découverte de leur environnement ; ils doivent eux aussi suivre des protocoles sortis d’on ne sait quel cerveau malade.

La généralisation du masque jusque dans les espaces publics s’apparente à une mesure de confinement psychique généralisé. Le port du masque nous coupe radicalement du lien à l’autre. Il porte sérieusement atteinte à notre capacité à nous rencontrer, partager, échanger,construire ensemble et in fine à résister. L’homme étant un être fondamentalement social, le masque attaque notre humanité, nous isole et nous pousse vers la folie. Il nous transforme en une masse indifférenciée de zombies.

Obligation à maltraiter nos enfants 

Le fait d’imposer le port du masque toute la journée aux collégiens et lycéensest, pour le coup, une véritable honte. Cette obligation s’apparente clairement à un exercice de soumission collective. Forcer des jeunes de 11 ans à mettre des masques toute la journée et les sanctionner s’ils ne le font pas est un stade supérieur de la violence psychologique.On emprisonne psychiquement nos enfants. L’Education Nationale est en quelque sorte devenu le ministère de la Soumission Nationale

Injonctions paradoxales dignes du pervers narcissique

Tout semble avoir été fait pour mettre les citoyens dans un état maximal de confusion, d’angoisse, de sidération, d’hébétude.

Le procédé de la « double contrainte »

Au début de la crise, le gouvernement et les médias n’ont cessé de diffuser des messages contradictoires. Ainsi par exemple, le Président Macron était au théâtre le 6 mars 2020 et incitait les Français à sortir et à ne rien changer de leur mode de vie. Le 12 mars, il maintenait le premier tour des élections municipales tenues le 15 mars… et il annonçait le 16 un confinement généralisé. 

Lorsque deux messages opposés sont proférés simultanément ou presque (et notamment quand un message explicite s’oppose à un message implicite concomitant), le cerveau est incapable de gérer l’information. Il « bug » en quelque sorte. Ce procédé, connu sous le nom de « double contrainte  » (double bind en anglais), est typique du fonctionnement pervers. Il conduit à la destruction de la capacité à penser et jette la personne dans la confusion, l’impuissance et finalement la dépression.

Des terroristes qui s’ignorent

Lorsque le Président Macron annonce le confinement lors de son allocution du 16 mars 2020, il fait le choix d’une rhétorique guerrière, répétant à de nombreuses reprises que « nous sommes en guerre… ». Nous nous sommes retrouvés dans une sorte de version 2.0 de la guerre contre le terrorisme,cet ennemi invisible qui peut surgir à tout moment. Loin de se mobiliser pour faire face à la menace que représentait le virus, le gouvernement a choisi de nous confiner. Au lieu d’agir, il s’est contenté de nous dire : « restez chez vous, sauvez des vies ». Ainsi, comble de la terreur, nous pouvions nous-mêmes héberger, à notre insu, ce tueur assoiffé de sang. Nous étions en quelque sorte des terroristes qui s’ignorent.

Clivage intérieur

Ce message a eu des conséquences psychologiques désastreuses, notamment chez les jeunes. Très peu de nos patients craignaient pour eux-mêmes mais un très grand nombre était terrorisé d’être responsable de la mort d’un proche. Le niveau de perversité de ce sloganest inimaginable : ilporte directement atteinte à l’intégrité psychique des individus en y instillant un clivage intérieur

Quand respirer devient un acte criminel

Toute remise en question du discours officiel a été violemment réprimée. Ainsi, avoir l’audace de respirer librement au grand airdans une forêt ou sur une plage est devenu un acte criminel, passible d’une amende de 135€ d’amende (beaucoup plus en cas de récidive). Pour faire respecter ces règles dictatoriales, le gouvernement a fait usage de méthodes tout droit sorties des pires films apocalyptiques  : on a vu des drones survolant des villes désertes et ordonnant aux rares passant de rentrer chez eux. La culpabilisation des réfractaires et l’incapacité de se révolter ont renforcé l’état d’impuissance dans laquelle la population a été jetée.

Absence de visibilité sur l’avenir et effets psychologiques irréversibles

Mais le pire, dans la gestion de cette crise par le gouvernement, est sans doute l’absence totale de visibilité sur l’avenir. En effet, notre psychisme est capable de faire face à des événements traumatiques à la condition qu’ils soient limités dans le temps. En revanche, quand la population n’a aucune perspective de retour à la normale et que la situation traumatisante s’installe dans la durée, les effets psychologiques deviennent irréversibles

Des messages anxiogènes réguliers et un état de stress permanent

Or c’est précisément ce qui se passe dans la gestion de cette crise prétendument sanitaire : Au cœur de l’été, alors même que l’épidémie était terminée, le gouvernement a décidé de maintenir une pression maximale sur la population et de ne lui laisser aucun répit. Il a maintenu l’impératif des gestes barrières et du port du masque au point que ces mesures sont en train de devenir la norme. Chaque fois que la tension psychique des gens redescend, les médias nous gratifient d’une piqûre de rappel  : ils distillent un nouveau message anxiogène qui a pour finalité de nous maintenir dans un état de stress chroniquequi a des conséquences délétèressur les organismes.

Le caractère systématique de cette démarche nous conduit à nous interroger sur les raisons qui poussent le gouvernement à agir ainsi. Cette manière de procéder s’apparente à la technique de l’entonnoir, méthode manipulatoire (utilisée notamment en technique de vente) dont la finalité est d’amener pas à pas l’interlocuteur à adopter une conduite désirée. En l’occurrence, quel est l’objectif poursuivi par le pouvoir en agissant de la sorte ?

Partie 4 : Population sous propagande

Incompétence et manipulation

Cette crise sanitaire a d’abord révélé la très grande fragilité d’un pouvoirdonnant la désagréable impression d’être en permanence dépassé par les évènements. 

Incapable de prendre de la hauteur et d’agir dans la sérénité, ce dernier a semblé basculer dans une instabilité émotionnelle de type hystérique. Par la suite, le pouvoir a tenté de reprendre la main en manipulant de façon systématiquement les chiffres afin de donner une vision totalement déformée de la réalité et faire taire toute velléité de contestation.

Manipulation des chiffres 

  • De nombreux témoignages indiquent que beaucoup de morts ont été classés « COVID19 » sans vérification ou de façon délibérément fallacieuse. A titre d’exemple, un patient nous a raconté que sa mère, atteinte d’un cancer en phase terminale, a été testée positive au SARSCOV-2. A sa mort, elle a été comptée au rang des personnes décédées de la COVID-19 (et non du cancer).
  • L’un des indicateurs clés pour évaluer la gravité d’une épidémie est la baisse de l’espérance de vie  : on ne peut en effet pas mettre sur le même plan le décès d’une personne dans la force de l’âge (un jeune père de famille par exemple) et celui d’un vieillard au crépuscule de sa vie, qui n’aurait vécu, dans le meilleur des cas, que quelques mois de plus. Or la baisse d’espérance de vie a été quasi nulle entre 2019 et 2020 à ce jour (moins deux mois, ce qui correspond au niveau standard de variabilité annuelle). Cette seule donnée permet de conclure qu’il ne s’est absolument rien passé qui puisse, de près ou de loin, justifier un arrêt de l’économie et une mise au pas de la population dans son ensemble.

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise

Le changement brutal des indicateurs de suivi de crise au cours de l’épidémie illustre bien les intentions manipulatoires du pouvoir : 

  • Au pic de l’épidémie, le Directeur Général de la Santé annonçait tous les soirs, avec la plus grande solennité, le nombre de morts dû à la COVID19des dernières 24 heures, se gardant bien d’en donner des éléments d’appréciation (âge, comorbidité, etc.). Nous avions ainsi droit à une sorte de « grandmesse » macabre du journal de 20 heures.
  • Puis lorsque le nombre de morts est devenu très faible, la narration a brutalement changé et les médias n’en ont, d’un seul coup, plus fait état. Une nouvelle référence s’est imposée : le nombre de cas testés « positifs ». Rares sont ceux qui se sont émus de ce revirement grossier qui s’apparente à un tour de passepasse visant à faire perdurer le climat anxiogène aussi longtemps que possible.
  • La notion même de « cas positifs » est en ellemême sujette à interprétation manipulatoire, le gouvernement entretenant délibérément la confusion sur la signification du test  : un cas positif n’est pas, dans la majorité des cas, malade ni même contagieux.

Polémique autour du Professeur Didier Raoult

La polémique autour du Professeur Didier Raoult et de son traitement à base d’Hydroxychloroquine (HCQ) et d’Azithromycine soulève, quant à elle, de très nombreuses questions :

  • Pourquoi avoir véhiculé l’idée que l’HCQ était une molécule dangereusealors qu’elle est utilisée depuis des décennies et qu’elle a été prise par des centaines de millions de personnes ?
  • Même si la décision aurait été prise dès le mois d’octobre 2019, pourquoi avoir acté le 13 janvier 2020 le classement de l’HCQ comme substance vénéneuse,en interdisant sa vente sans ordonnance pour la première fois depuis 1955, alors même que de nombreux pays (notamment la Chine)utilisaient déjà un traitement à base de chloroquine contre le COVID19 ?
  • Pourquoi le journal Le Monde ainsi que le ministère de la Santé ontils qualifié de « fake news » les annonces du Professeur Raoultsur l’efficacité de son traitement en février 2020 accusant ainsi cet éminent professeur de n’être ni plus ni moins qu’un menteur ? Le ministère de la Santé s’est ensuite rétracté.
  • Comment expliquer l’affaire du Lancet Gate qui restera comme l’un des plus grands scandales scientifiques de notre temps ?Le 22 mai 2020, la prestigieuse revue scientifique britannique The Lancet publie en effet une étude censée clore le débat sur l’efficacité de l’HCQ : les conclusions défavorables conduisent l’OMS puis le ministère de la Santé français à suspendre les essais concernant l’HCQ. Le gouvernement français interdit également son utilisation pour le traitement de la COVID19. Quelques jours plus tard,The Lancet est contraint de retirer son étude, entièrement bidon. Pourquoi aucune procédure judiciaire n’at-elle été lancée pour faire toute la lumière sur cette affaire ?
  • Pourquoi la société de pathologie infectieuse de langue française (SPILF), qui est une association regroupant des professionnels de santé intéressés par les maladies infectieuses et tropicales, at-elle porté plainte contre le Professeur Raoult auprès de l’Ordre des Médecins des Bouches du Rhône en mai 2020 ? Pourquoi avoir pris le parti de la censure et de la répression plutôt que d’engager un débat honnête et ouvert entre spécialistes ? L’association ainsi que les membres de son bureau touchent des sommes importantes des grands laboratoires pharmaceutiques, et notamment de Gilead, qui produit le Remdésivir, concurrent de l’HCQ. Pourquoi ces versements, dont les sommes ont considérablement augmenté ces dernières années, n’ont pas été relatés par les médias ? Plus généralement,pourquoi les médias ontils régulièrement donné la parole à des médecins et chercheurs sujets à conflits d’intérêts avec l’industrie sans même en faire état ?
  • Pourquoi tous les praticiens de terrain ayant eu des résultats avec ce traitement ontils été réduits au silence ?Pourquoi les médecins français se sont vus interdire la prescription d’HCQ ce qui revient à porter atteinte au code déontologique de la profession qui confère aux médecins la liberté de prescrire ? 
  • Pourquoi le géant Facebook (2,5 milliards d’utilisateurs)at-il décidé, de manière très officielle, de censurer toute information qui défendrait l’efficacité de ce traitementde l’aveu même de son PDG Mark Zukerberg (« Si quelqu’un dit que l’HCQ est un remède contre la COVID, nous le retirerons »).
  • Pourquoi avoir pris le traitement du Professeur Raoult pour cible alors qu’il est utilisé pour le traitement de la COVID19 dans de très nombreux pays, notamment aux EtatsUnis, au Brésil, en Chine, en Russie, en Iran, au Portugal, aux Pays-Bas, en Belgique, en Italie, dans de nombreux pays africains, etc. ?

Didier Raoult estime à 15.000 le nombre de morts qui aurait pu être évités en France si son traitement avait été généralisé. Le Professeur Perronne parle même de 25.000 vies épargnées. 

Opération psychologique contre la population (PsyOp)

Angoisses de mort réactivées et propagande de masse 

Ainsi, le pouvoir a délibérément véhiculé une vision déformée de la réalité de cette crise sanitaire. Il a berné la population afin de la maintenir en état de stress chronique et de délire collectif généralisé. La survenue d’une pandémie réveille le spectre des grandes épidémies du passé (peste noire, cholera, typhus, grippe espagnole). Des angoisses de mort puissantes sont donc logiquement réactivées. Dans ce contexte, il est de la responsabilité du pouvoir et des institutions médicales d’apporter des informations précises, d’agir et de rassurer.Mais le gouvernement a fait tout l’inverse  : il a capitalisé sur l’apparition de l’épidémie de SARS-COV-2 pour imposer depuis presque huit mois une propagande de masse. Toutes les voix discordantes ont été réduites au silence, le pouvoir ne craignant pas de faire usage de la force pour imposer sa vision au prétexte fallacieux et pervers de protéger la population.

Les tapis de bombes ont cédés la place à une invasion de masques

En agissant de la sorte, le gouvernement, secondé par la plupart des médias de masse, a servi des intérêts opposés à ceux de la population. Il s’est rendu coupable d’une agression psychologique à l’encontre des citoyensqui ressemble en tout point aux « opérations psychologiques » (ou « Psy Op ») menées par la CIA pour terroriser les populations. Les agissements actuels du pouvoir s’apparentent à une attaque invisible, à bas bruit, sournoise, perverse, qui vise à affaiblir nos défenses psychiques. A l’heure du« soft power », les tapis de bombes ont cédé la place à une invasion de masques d’apparence inoffensive, mais c’est la même terreur qu’il s’agit d’alimenter afin de soumettre la population. Ce sont nos cerveaux qui sont pris d’assautet il est de notre responsabilité d’en assurer la défense. 

Dans sa fameuse allocution du 16 mars 2020, le Président de la République annonçait le confinement et la mise en place de l’état d’urgence sanitaire, justifiant ces mesures en matraquant que « nous sommes en guerre » contre ce méchant virus. Mais ne nous y trompons pas : Macron aurait été plus honnête s’il avait précisé : « Nous sommes en guerre contre vous qui me regardez ». Reste à identifier et comprendre qui est ce « nous »…

Le Professeur Raoult : pilier face au délire collectif généralisé

Dans le délire collectif généralisé délibérément entretenu, le Professeur Raoult a incarné un des rares pôles stables par delà les frontières de l’Hexagone. Alors que le pouvoir mettait tout en œuvre pour terroriser la population, il a aidé beaucoup de monde à résister au délire et à ne pas basculer dans la folie. Il avait la compétence, l’expérience et la personnalité pour le faire. Dans cet océan, d’incompétence, d’arrogance, de mensonges et de manipulation, il a montré qu’il avait la stabilité, la solidité psychique, l’expérience et le recul nécessaires pour résister à la pression. Il su assumer ses responsabilités. Les attaques que Raoult a subies (diffamation, insultes, etc.) attestent du fait qu’il dérange. Il constitue en effet une menace sérieuse pour tous ceux qui cherchent à instrumentaliser la crise pour servir leurs intérêts.

Partie 5 : Développons des armes psychologiques

Des enjeux financiers colossaux

Fuite en avant dans le mensonge

L’obstination du gouvernement à mentir sur la réalité de ce virus et à imposer des réponses inadaptées et délétères peut s’expliquer par la volonté de se prémunir de toute attaque. C’est une sorte de fuite en avant dans le mensonge pour masquer son incompétence et ses errements initiaux. Terrorisé de devoir rendre des comptes, le gouvernement a ainsi persévéré dans ses mauvais choix. 

Une opportunité pour des bénéfices record

Mais cette raison ne saurait à nos yeux expliquer à elle seule le niveau de manipulation dont nous avons parlé : cette épidémie est l’objet d’enjeux financiers colossaux. L’acharnement contre l’HCQ qui est une molécule peu chère (elle n’est plus sous brevet) et facile à fabriquer, s’explique, du moins en partie, par ces questions d’ordre financier. Le marché de la santé dans son ensemble est aujourd’hui de plus en plus soumis aux logiques capitalistiques.

Pour l’industrie pharmaceutique, la « pandémie » de SARS-COV-2 se résume à une opportunité extraordinaire d’engranger des bénéfices record. Le coût de fabrication d’une dose vaccinale est minime et la marge qu’il permet de réaliser est très importante. Ainsi la manne financière qui peut découler de la mise sur le marché d’un vaccin destiné à 7 milliards d’individus est inimaginable. Bill Gates, informaticien aujourd’hui autoproclamé médecin chef de la gouvernance mondiale, estime à 40 milliards de dollars le coût pour vacciner la planète. Cette épidémie aiguise donc des appétits féroces que rien ne saurait contrarier.

C’est une véritable course contre la montre qui est lancée et les enjeux financiers sont tels qu’il y aura un vaccin, n’en déplaise au plus grand infectiologue de la planète, le Professeur Raoult, qui explique en quoi l’idée même d’un vaccin contre le virus SARS-COV-2 est une ineptie du point de vue scientifique…

Coalition d’intérêt contre la population 

Nous assistons ainsi à une collusion d’intérêts de ceux qui nous gouvernent avec la puissance médiatique et certains lobbies. Ensemble ils agissent pour défendre les intérêts d’une toute petite minorité contre ceux de la population dans son immense majorité. Macron s’exprime en tant que porte-voix de cette coalition usant de procédés pervers et, pour reprendre ses mots, c’est cette coalition davantage que le virus qui est « en guerre » contre la population.

Les conséquences prévisibles de cette crise.

Aujourd’hui, nous constatons que la pression ne redescend pas. L’objectif est clairement de préparer la vente d’un vaccinpourtant globalement inutile(du fait de la faible létalité du SARS-COV-2) et dangereux (développé à la va-vite en court-circuitant les protocoles habituels de mises sur le marché en raison de l’urgence).

Les propagandistes officielscherchent même désormais à conditionner la population à l’idée qu’il ne s’agira pas d’une vaccination définitive, mais qu’il faudra prévoir une revaccination régulière (avec nouveau passage à la caisse…). Le 2 octobre 2020 sur le plateau d’Europe 1, Christine Rouzioux, professeure de virologie et membre de l’Académie de médecine, développait des trésors d’ingéniosité pour essayer de nous démontrer que nous serions, malheureusement, sans doute obligés de nous refaire vacciner tous les 3, 4, 6 mois car « l’immunité ne persiste pas beaucoup ». Il ne saurait y avoir de limite aux intérêts financiers…

A court terme, la situation risque de s’aggraver  :

  • Les conséquences économiques de la gestion de la crise vont s’amplifier provoquant chômage et faillites en cascade.
  • La pression va augmenter sur la population, incluant de possibles mesures de reconfinement. 
  • La répression va également monter en puissanceafin de tuer dans l’œuf la colère populaire qui va immanquablement grandir.
  • La propagande de la peur va continuer à s’intensifier afin de maintenir la population en état de choc et de la soumettre.
  • Cette tendance devrait s’intensifier jusqu’à l’arrivée du vaccin qui sera rendu obligatoire si la propagande n’a pas suffisamment convaincu la population pour qu’elle y aille de son plein gré (l’obligation vaccinale contre le SARCOV-2 est déjà annoncé au Royaume Uni). 

La mise en vente d’un vaccin pourrait transitoirement conduire à un relâchement de la pression, mais nous ne croyons pas en un retour à la normalité. Nous pensons au contraire que la population va être soumise à une propagande croissante au service de puissants intérêts particuliers et contre son intérêt propre.

En tant que « psy », nous savons qu’il est essentiel, vital, de ne pas pérenniser indéfiniment un état d’exception et de revenir à une situation normale le plus rapidement possible. C’est pourtant ce que s’obstine à faire le gouvernement. 

  • Quelles seront les conséquences psychologiques sur la population à long terme ?
  • Nous ne pouvons pas douter un seul instant du fait que le pouvoir est parfaitement conscient de l’impact psychologique des mesures qu’il prend. Alors pourquoi agitil ainsi ? 

Ce texte propose un début de réflexion mais laisse de nombreuses questions sans réponse. Enfin, nous devons nous interroger sur la meilleure façon d’agir dans un tel contexte.

Protéger nos cerveaux et adopter une posture responsable.

Face à la situation dans laquelle nous nous trouvons, les citoyens doivent se mobiliser

Paranoïa ou « folie raisonnante » collective 

Le propre de la paranoïaest qu’elle développe une pensée pseudo-rationnelle qui a les apparences de la logique bien qu’elle soit déconnectée de la réalité. On parle de la « folie raisonnante » du paranoïaqueLa paranoïa collectivequi sévit actuellement, délibérément entretenue par le pouvoir, a une force de contagion bien supérieure à celle du virus lui-même. Dans ce contexte, nous devons donc avant tout reprendre le contrôle sur nos cerveaux. Nous devons nous réapproprier notre capacité de penser qui est notre bien le plus précieux. Nous devons sortir de la paresse intellectuelle et développer notre réflexion propre. Nous devons refuser d’offrir du « temps de cerveaux disponible » à des puissances qui, loin de servir notre intérêt, nous transforme inexorablement en poulets en batterie. Nous devons nettoyer notre cerveaud’années de propagande sournoise dont il est encombré. 

Reprendre le contrôle sur nos cerveaux

Attendre encore du pouvoir un comportement favorable au bien-être de la population relève de l’infantilisme. Cela revient à se comporter comme un adolescent mécontent de ses parents mais incapable de devenir un adulte autonome construisant sa vie en toute indépendance. Un enfant dont les parents sont toxiques, pervers, malades, n’a rien à attendre d’eux. Il en est de même de la population à l’égard du pouvoir. Nous devons nous réveiller et devenir adultes intellectuellement.

La crise actuelle soulève de nombreuses questions pratiques  : Comment se prémunir d’un pouvoir qui réduit chaque jour davantage nos libertés ? Comment survivre dans une société qui bascule dans la folie et ressemble de plus en plus à un hôpital psychiatrique à ciel ouvert ? Doit-on laisser nos enfants à l’école dans ces conditions, ou doit-on envisager une solution alternative ? Comment protéger notre santé et celle de nos enfants ?

Depuis très longtemps, la Thérapie Provocatrice et Humaniste (TPH) s’intéresse à l’impact de la société sur les individus. C’est même un peu sa marque de fabrique. La situation actuelle ne fait que confirmer, de façon criante, la pertinence de cette orientation. La « guerre » menée contre la population étant de nature psychologique, nous devons développer des armes psychologiques pour nous défendre.Dans ce contexte, les professionnels de la santé mentale doivent se trouver en première ligne. 


[Voir aussi : Covid-19 — Dr Louis Fouché : “On fouette votre mémoire traumatique, un peu comme un enfant battu…”]




Le collectif de médecins World Doctors Alliance s’exprime sur la crise du COVID

[Source : Profession Gendarme]

Le changement est peut-être en marche. Dans toutes les interventions des participants on retrouve la volonté de changer les choses en dénonçant la « plandémie » (ils reprennent nos mots de « complotistes ») en interpellant les médecins pour qu’ils restent fidèles au serment d’Hippocrate. Enfin plusieurs parlent de la volonté de créer des partis politiques pour virer les politiciens qui ont conduit à cette situation. Des procès sont lancés dans toute l’Europe.

La dernière minute montre la répression policière abjecte s’agissant d’honnêtes citoyens et est là pour faire comprendre aux policiers qu’ils seront balayés s’ils ne veulent pas comprendre à temps qu’ils doivent protéger le peuple et non servir de garde prétorienne à une ploutocratie pourrie jusqu’à l’os.

Ici il est question de la police allemande mais ce sera la même chose dans le monde entier.

[NdNM : Le sujet lui-même commence à partir de 1 mn 46s]

https://youtu.be/Q_FwG1n5rX4



Pourquoi la dette de la France de plus de 2 300 milliards ne se réglera que par l’esclavagisme et le sang du peuple

[Source : FranceSoir]

Auteur(s) : Valérie Bugault pour FranceSoir

Tribune : Le sang est-il la face sociale et politique de la dette ? Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, au cours de cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées. Autrement dit, l’endettement qui a conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.

Ce que l’on a trop tendance à ignorer, d’une façon générale, est que la « dette » et le « contrôle monétaire » sont intimement liés. Pour rappel, l’Etat américain du Delaware, premier paradis fiscal au monde, fut également le dernier Etat esclavagiste des Etats-Unis : cet Etat n’a renoncé à son statut d’esclavagiste que pour devenir un dominant fiscal, un paradis fiscal. Qui dit domination fiscale dit contrôle de la circulation monétaire car il faut bien comprendre que le paradis fiscal a pour fonction essentielle de drainer l’argent public vers des trous noirs institutionnels, lesquels ne prospèrent que grâce à l’assèchement financier des Etats. Le paradis fiscal est l’ennemi irréductible des Etats et de leur capacité de financement. Or les trous noirs institutionnels que sont les paradis fiscaux sont désormais sous le contrôle exclusif de la finance anglo-saxonne. D’un autre côté, depuis l’avènement et la généralisation du système des banques centrales, les Etats sont tombés sous la domination exclusive des banques privées pour ce qui concerne l’émission monétaire.closevolume_off

Le constat est donc le suivant : que l’on parle d’émission ou de circulation monétaire, les Etats sont devenus impuissants, sous la dépendance exclusive des banquiers qui se sont octroyés le contrôle quasi exclusif de la monnaie.

Dans le cadre du Projet de Loi de Finances pour 2021, la dette publique française pourrait-elle mener irrémédiablement au sacrifice humain des générations actuelles et futures ?

Cet article  comporte trois parties dont la première permet un tour d’horizon de la dette française, en n’oubliant pas de recontextualiser la problématique budgétaire française dans la problématique monétaire européenne et mondiale.

La seconde partie, passera en revue certaines expériences historiques auxquelles l’endettement des Etats a mené.

Enfin, la troisième partie, examinera les différentes possibilités, pour les populations, d’échapper à une forme « d’esclavagisme promis ».

I – La Dette : tour d’horizon

L’examen de l’augmentation de la dépense publique liée, en 2020, à la crise covidique est parfaitement éclairante. Il faut immédiatement préciser que ladite augmentation de dépense publique n’est pas définitive puisqu’elle est appréciée en septembre 2020 moment de la publication du PLF pour 2021 et qu’à cette date les dégâts économiques de la crise sanitaire sont loin d’être consolidés. Ajoutons que les chiffres mentionnés ci-dessous sont exprimés en pourcentage du PIB, lequel est considéré à valeur constante, ce qui fausse légèrement le débat puisque les mesures de confinement font mécaniquement diminuer le PIB :

  • Dépense publique pour 2019 = 54%
  • Dépense publique pour 2020 = 62,8 %

D’après les chiffres officiels issus du PLF pour 2021, nous avons donc assisté, en 2020, à une augmentation de 6,3 % de dépenses publiques en 2020 par rapport à 2019. Or, rappelons qu’en ce début de mois d’octobre 2020, le problème covidique est loin d’être réglé puisque non seulement les bars, restaurants et salles de sport de Marseille et Aix en Provence ont fait l’objet d’une fermeture administrative, mais qu’il est question de généraliser cette mesure punitive à toutes les grandes agglomérations ; Paris et sa banlieue étant les premiers sur la liste ! On imagine aisément que tant le PIB que les recettes publiques ne vont pas sortir vainqueurs de ces mesures autoritaires !

Il faut donc s’attendre, en ce début octobre, à une première Loi de Finances rectificative pour 2021, qui devra dès février 2021 prendre en compte les dégâts économétriques dus à la dégradation économiques et financières de la France reconfinée au cours du troisième trimestre 2021.

Par ailleurs, si l’on s’intéresse au solde budgétaire, c’est-à-dire à la prévision de déficit structurel pour les deux années 2020 et 2021, nous constatons que nous sommes, pour ces deux années, bien au-delà d’un déficit structurel de 150 milliards d’euros :

  • Solde budgétaire pour 2020 (issus de la 3ème LFR) = – 195,2 Mds euros
  • Solde budgétaire pour 2021 (prévu par le PLF) = – 152,8 Mds

Ce déficit structurel existe, précisons-le, malgré la prise en compte dans le Projet de Loi de Finances (PLF) pour 2021, de recettes « non fiscales » à hauteur de de 10 Mds d’euros ; lesdites recettes étant issues du plan de relance européen (1ère partie du financement).

Rappelons au passage que la dette contractée par l’UE au titre du fumeux « plan de relance européen », va, encore et toujours peser sur les contribuables, certes européens et non strictement français. Notons toutefois que, business as usual,

le ratio coût/avantage de ce plan de relance européen sera très probablement, pour les français inférieur à ce même ratio pour les autres pays européens. Quoiqu’il en soit de la prétendue justice fiscale entre européens (que nous laissons volontairement de côté), un fait demeure : le capital de la dette européenne issue du plan de relance devra être remboursé et les intérêts afférents à cette dette devront être payés ! Cette charge financière (capital + intérêts) viendra donc mécaniquement alourdir la dette de l’Etat français – c’est-à-dire de chaque français -, dont on peut grosso modo évaluer l’augmentation à une fourchette allant de 4 à 6 milliards (pour le prêt issu du « plan de relance européen »). Car il faut, ici encore, apporter une précision importante : une partie de cet emprunt européen total sera réalisé via le Mécanisme Européen de Stabilité (MES), dans lequel la France est le deuxième plus gros contributeur, derrière l’Allemagne et devant l’Italie ; concrètement, la France – comprendre l’ensemble des français – contribue au capital du MES à hauteur de 20,3859 % du capital total.

Par ailleurs, à propos de ce plan de relance prétendument justifié par la pandémie covidique, écoutons ce qu’en dit un expert averti, Jean-Michel Naulot : « Seuls 30 % des montants alloués, ceux de l’année 2023, seront en effet en lien avec la pandémie. Il aurait été pourtant simple de retenir dès l’année 2021 deux critères simples reflétant la gravité de la situation pour chaque État : le nombre de morts par million d’habitants et la chute du PIB. Ces critères auraient naturellement été pondérés par la population. Dans le système proposé, très complexe si l’on en croit les équations utilisées par les experts, certains pays d’Europe centrale pourraient recevoir des montants significatifs alors qu’ils sont peu affectés par la pandémie. Quant à l’Allemagne, également peu affectée et plutôt prospère, elle recevrait selon l’Institut Bruegel un montant du même ordre que la France. Comprenne qui pourra… Il ne faudrait pas que cette opération soit dans certains cas un jeu à somme nulle ! La nature même des subventions aura plus à voir avec l’écologie et le numérique qu’avec le secteur hospitalier et la relocalisation de l’industrie pharmaceutique. Comme le dit très bien Olivier Berruyer, il s’agit en fait d’un « plan de rééquilibrage macroéconomique de l’UE ». La Commission met à profit l’aubaine du plan de relance pour faire accepter ce qui lui a été refusé dans le cadre du budget ordinaire. Mais elle s’éloigne de la lettre et de l’esprit de l’article 122 (du TFUE). »

La France se trouve donc dans le contexte économique dans lequel la dégradation structurelle est conjoncturellement considérablement aggravée par un confinement qui, comme une bombe à retardement multiple, n’en finit pas de produire des effets économiques négatifs.

Nous ne devons pas oublier que la dégradation économique conjoncturelle – qui s’ajoute à la dégradation économique structurelle et agit comme un accélérateur de la dette – est liée à une crise sanitaire prétendument dramatique.

Or, dans ce contexte, la priorité du gouvernement n’est pas de faire un moratoire sur la liquidation du service public hospitalier ou de mettre gratuitement à disposition des français un médicament existant et peu onéreux, le Plaquenil dont la molécule active est l’hydroxychloroquine ! Tout au contraire, ledit médicament peu onéreux en question s’est vu, en tout début d’épidémie (janvier 2020) interdit de prescription car brutalement classé comme substance vénéneuse ! Dans le même temps qu’était largement promu par les pouvoirs publics l’arrivée d’un nouveau médicament, n’ayant aucunement fait ses preuves et suspecté de vice caché, le Remdesivir du laboratoire pharmaceutique Gilead.

Mais ce n’est pas tout, car dans ce contexte sanitaire préoccupant (pour le moins que l’on puisse en dire), le PLF pour 2021 nous renseigne sur une des priorités du gouvernement : l’accroissement des moyens financiers du Ministère de l’Intérieur… du Ministère de l’intérieur, vous avez bien lu, pas du Ministère de la Santé ! Ainsi, le Ministère de l’intérieur voit son budget augmenter, par rapport à 2020, de la coquette somme d’un milliard d’euros.

Parmi ce milliard, 35 millions seront affectés à l’équipement… on imagine dès lors que la surveillance sanitaire des grandes villes par drônes, comme cela est déjà le cas à Marseille, va être assez rapidement généralisée partout sur le territoire. La France économiquement effondrée va donc se réveiller en pleine dystopie avec des voix dronesques intimant à la population de « garder des distances de sécurité » et de porter « le masque ». Nous voilà en plein carnaval de Venise ; ce qui est normal puisque justement le principe de domination de l’empire vénitien est en train de resurgir à grande vitesse. Avec, aux dernières nouvelles, Christine Lagarde (des banques) qui prévient « la zone euro » de se préparer à l’arrivée d’un « euro numérique »..

Tiens, ça tombe bien car l’année 2021 sera justement l’année de réévaluation du panier de monnaies du FMI appelé DTS (Droits de Tirage Spéciaux). Rappelons que ce panier de monnaie est prévu pour se transformer en monnaie mondiale (ce dont DSK avait fait les frais en son temps), en remplacement du dollar US. Cette réforme des DTS/Phénix sera l’occasion idoine de réévaluer au passage la valeur de chacun des ingrédients monétaires du gros gâteau DTS. Ainsi, l’euro numérique pourra être facilement réévalué en fonction de la richesse réelle, c’est-à-dire des actifs réels nets (déduction faite des dettes dues aux banques) de la zone euro. Plus généralement, chaque zone monétaire, y compris les Etats-Unis d’Amérique, verra sa part de DTS réévaluée en fonction de ses actifs réels.

Remettre le problème budgétaire français dans le contexte monétaire international permet de mieux percevoir et apprécier l’avenir de la France, qui se résume en quatre mots : « disparition pure et simple ». Car, en raison du niveau astronomique de la dette publique supportée par la France, le patrimoine public devra intégralement être vendu pour servir de garantie à ses créanciers. Or, de façon mécanique, une France sans patrimoine public n’aura pas d’existence monétaire – rappelons à toutes fins utiles qu’une monnaie est intimement liée à une économie -, pas plus que les français n’auront d’existence juridique dans les institutions européennes intégrées.

En parlant des institutions européennes, il importe d’ailleurs, pour les plus ignorants, de bien mettre en avant les « priorités » décrétées par ses dirigeants de paille : il s’agit de l’écologie et du numérique. Ainsi, ni la santé publique, ni la durée de vie ou le niveau de vie des ressortissants français ne sont une priorité… la priorité européenne est l’écologie, dans sa version Club de Rome, et le Numérique. La priorité numérique permettra en effet :

  • Que la future monnaie européenne et mondiale puisse aisément circuler,
  • Que l’identité des ressortissants européens devienne également numérique,
  • Que la santé soit intégrée à l’identité numérique. Cette intégration se faisant à la faveur de la pression covidienne des pouvoirs publics pour tracer les malades et leurs familles, pour aller vers un carnet de santé numérique et gérer la masse populaire en fonction de critères obscurs tels que, par exemple, l’obtention d’une vaccination forcée.

On comprend que l’alliance des priorités écologique et numérique de l’Union Européenne promet des jours heureux aux habitants de l’Europe, ainsi :

  • Le minage de monnaie, c’est-à-dire l’affectation monétaire individuelle, sera conditionnée à la réalisation d’une activité physique déterminée,
  • La possibilité de vie sociale sera conditionnée à la soumission individuelle au vaccin ou à toutes sortes d’expériences génétiques ou sanitaires des multinationales de la santé et de l’agro-alimentaire.

Nous examinerons, dans une seconde partie, les conséquences connues de la dette. Ainsi, loin d’être une abstraction, nous verrons que la date a des conséquences humaines et qu’elle se paye avec le sang. 

II – Les conséquences connues de la dette : misère matérielle et sociale (exemples historiques : Argentine, Grèce, Chypres)

III – le refus de la dette par le peuple : identification précise des créanciers, moratoire et audit public / l’abandon de la dette et le retour à la vie sociale

Auteur(s): Valérie Bugault pour FranceSoir




Que pourraient-ils mettre dans le vaccin COVID?

[Source : MirastNews]

[Référence à H.R. 6666 :

Bobby L. Rush :
Absolument. Mon projet de loi, le COVID-19 TRACE Act (H.R.6666) créerait un programme de subvention de 100 MILLIARDS de dollars pour les organisations locales pour embaucher, former et payer des individus pour exploiter des unités de test mobiles et effectuer la recherche des contacts dans les points chauds et les zones médicalement mal desservies.

Voir par exemple : https://truepundit.com/hr-6666-illinois-democrat-introduces-100-billion-contact-tracing-bill/]


De minuscules biocapteurs?

De lexico.com: nanotechnologie: «La branche de la technologie qui traite des dimensions et des tolérances inférieures à 100 nanomètres, en particulier la manipulation d’atomes et de molécules individuels.»

Nous commençons par des extraits d’un article important de Children’s Health Defence, «Microchips, Nanotechnology and Implanted Biocensors: The New Normal?» par Pam Long. [1]

Bouclez votre ceinture.

« Le personnel militaire des Etats-Unis d’Amérique sera le premier sujet des essais de nanotechnologie dans la poursuite de l’optimisation de la santé et de la détection précoce des épidémies. Profusa a conclu des contrats de recherche pour des capteurs bio-intégrés avec la DARPA (Department of Defense and Defense Advanced Research Projects Agency) des États-Unis d’Amérique, en attente d’approbation par la Food and Drug Administration des États-Unis d’Amérique au début de 2021. »

« La vidéo promotionnelle de Profusa montre comment le capteur bio-intégré permet à un soldat d’être suivi par des ordinateurs distants utilisant le GPS, en plus de surveiller des biomarqueurs en temps réel, tels que les niveaux d’oxygène et la fréquence cardiaque. Alors que cette biotechnologie est décrite comme potentiellement vitale pour un soldat sur le champ de bataille, les implications du suivi GPS des individus sont une étape terrifiante vers un état de surveillance dans la population en général. En outre, le suivi des personnes à des stades de maladie ne peut qu’entraîner une tyrannie médicale entre les mains d’un gouvernement. L’étude Profusa sur la grippe exige que les patients portent la version portable du lecteur 24 heures sur 24, avec une collecte continue d’informations sur les biomarqueurs dans une base de données, et vise à détecter quatre stades de l’infection: sain, infecté, asymptomatique et stade de récupération. Ces étapes de détection peu fiables pourraient devenir les critères de différents niveaux de participation individuelle à la société, comme cela a été vécu dans les verrouillages non durables COVID-19 au niveau de l’État pour les masses.

« Cette nanotechnologie Profusa comporte trois composants: un capteur [implanté] inséré appelé hydrogel, un lecteur de capteur fluorescent émettant de la lumière à la surface de la peau et un composant logiciel électronique qui transmet à une base de données en ligne… et il n’y a aucune information sur la façon dont le la technologie pourrait être supprimée, voire pas du tout. « De minuscules biocapteurs qui ne font qu’un avec le corps » pourraient impliquer un engagement à vie. »

Alors… des nano-bio-capteurs implantés. Cela pourrait-il aller plus loin? Au lieu de placer les capteurs juste sous la surface de la peau, pourrait-on leur injecter un vaccin?

Les chercheurs sont-ils intéressés à marier la nanotechnologie et les vaccins?

Voici une citation de Frontiers in Immunology, 24 janvier 2019, «Vaccins à base de nanoparticules contre les virus respiratoires» [2]:

« Une nouvelle génération de vaccins à base de nanoparticules a montré un grand potentiel pour répondre à la plupart des limites des vaccins conventionnels et sous-unitaires. Cela est dû aux progrès récents de l’ingénierie chimique et biologique, qui permettent la conception de nanoparticules avec un contrôle précis de la taille, de la forme, de la fonctionnalité et des propriétés de surface, conduisant à une meilleure présentation de l’antigène et à une forte immunogénicité. Cette brève revue donne un aperçu des avantages associés à l’utilisation de nanoparticules comme plates-formes d’administration de vaccins pour immuniser contre les virus respiratoires… » [comme le prétendu virus COVID-19?]

Voici une autre citation, également de Frontiers in Immunology, 4 octobre 2018, «Vaccins à nanoparticules contre les maladies infectieuses» [3]:

« Ces dernières années, l’utilisation de vaccins à base de nanoparticules a reçu une grande attention pour améliorer l’efficacité des vaccins, stratégies d’immunisation et administration ciblée pour obtenir les réponses immunitaires souhaitées au niveau cellulaire… Des nanotransporteurs composés de lipides, de protéines, de métaux ou de polymères ont déjà été utilisés… Cet article de synthèse se concentre sur les applications des formulations de vaccins à base de nanotransporteurs et les stratégies utilisées pour le la fonctionnalisation de nanoparticules pour accomplir une administration efficace de vaccins afin d’induire l’immunité souhaitée de l’hôte contre les maladies infectieuses. »

Il ne fait aucun doute que la nanotechnologie est, en effet, très impliquée dans la recherche de pointe sur les vaccins.

Voici des citations étonnantes de la revue Nano Today, tirées d’un article de 2019 intitulé: «Les sondes Nanowire pourraient piloter des interfaces cerveau-machine haute résolution.» [4] Ses auteurs sont de la Chine et des Etats-Unis d’Amérique:

«… Les progrès peuvent permettre des enquêtes sur la dynamique du cerveau [grâce à des nano-capteurs-implants] et stimuler le développement de nouvelles interfaces cerveau-machine avec une résolution et une précision sans précédent.»

«… Émettre des signaux électriques d’activité cérébrale ou des stimuli électriques d’entrée pour moduler l’activité cérébrale de concert avec des machines externes, y compris des processeurs informatiques et des prothèses, pour l’amélioration humaine…»

Outre les recherches sur les prothèses et peut-être le renversement de certaines paralysies, cette piste d’investigation suggère également une «modulation» du cerveau connecté à distance à des machines, à des fins de contrôle.

Modulation… comme le contrôle des impulsions de pensée, des sensations, des émotions de base?

UN: Les nano-capteurs, implantés dans le corps et le cerveau, émettraient des rapports de données en temps réel sur le fonctionnement du corps / cerveau aux centres opérationnels.

DEUX: Et à partir de ces centres d’opérations, les données – y compris les instructions – seraient renvoyées aux nano-capteurs, qui imposeraient ces instructions au cerveau et au corps.

Si cela semble impossible, envisagez la recherche nanotechnologique visant à améliorer l’utilisation des prothèses. Dans ce domaine, imposer des instructions au corps / cerveau semble être le point essentiel.

La question est: jusqu’où cette technologie est-elle sur la voie du développement? Je peux seulement dire que nous voyons le visage public des nanotechnologies. Ce qui se cache derrière, dans la recherche secrète, est une question d’estimation et de spéculation.

Je propose une spéculation: la «promotion» de l’agenda social de la pensée collectiviste, à travers les nanotechnologies. En utilisant l’Internet des objets, une tentative serait faite pour connecter et «harmoniser» de très nombreux cerveaux les uns avec les autres. Mêmes sentiments de base, mêmes impulsions – partagées.

Qui serait intéressé par un tel programme? Pensez au gouvernement chinois, à la DARPA (la branche technologique du Pentagone) et à de nombreux autres acteurs internationaux. Pensez aux chercheurs médicaux Rockefeller. Pensez à la technocratie et à Brave New World.

Mais attendez. Supposons qu’un nombre incalculable de nanoparticules soit DÉJÀ dans les vaccins traditionnels? Et supposons que nous ne sachions pas comment ils sont arrivés là? Ou s’il s’agit «uniquement» de contaminants dangereux susceptibles d’affecter la santé humaine de nombreuses façons néfastes… ou certains d’entre eux sont-ils ÉGALEMENT des nanocapteurs capables de recevoir et de transmettre des informations? Ces nanoparticules contaminantes représentent-elles une première étape de la recherche dans l’implantation de vaccins-nanos chez l’homme?

Une étude de 2017 portant sur 44 types de 15 vaccins traditionnels, fabriqués par de grandes entreprises mondiales, a révélé un fait très troublant et jusqu’alors non rapporté:

Les vaccins sont fortement contaminés par une variété de nanoparticules.

La plupart des particules sont des métaux.

Nous parlons de vaccins traditionnels, tels que le VPH, la grippe, la grippe porcine, l’hépatite B, le ROR, le DTC, le tétanos, etc.

Pour commencer à comprendre certains des effets destructeurs de la contamination des nanoparticules dans les vaccins, voici l’étude révolutionnaire de 2017: [5]

Journal international des vaccins et de la vaccination
Volume 4 Numéro 1
23 janvier 2017
Nouvelles enquêtes de contrôle de la qualité sur les vaccins:
Micro- et nanocontamination
Antonietta M Gatti et Stefano Montanari

«Les analyses effectuées montrent que dans tous les échantillons contrôlés, les vaccins contiennent des corps étrangers non biocompatibles et bio-persistants qui ne sont pas déclarés par les Producteurs, contre lesquels l’organisme réagit de toute façon. Cette nouvelle enquête représente un nouveau contrôle de qualité qui peut être adopté pour évaluer la sécurité d’un vaccin. Notre hypothèse est que cette contamination n’est pas intentionnelle, car elle est probablement due à des composants pollués ou à des procédés de procédés industriels (par exemple des filtrations) utilisés pour produire des vaccins…»

Les auteurs de l’étude laissent-ils la porte ouverte à la possibilité que la contamination soit intentionnelle?

« La quantité de corps étrangers détectés et, dans certains cas, leurs compositions chimiques inhabituelles nous ont déconcertés. Les particules inorganiques identifiées ne sont ni biocompatibles ni biodégradables, c’est-à-dire qu’elles sont biopersistantes et peuvent induire des effets qui peuvent devenir évidents soit immédiatement au moment de l’injection, soit après un certain temps après l’administration. Il est important de se rappeler que les particules (cristaux et non molécules) sont des corps étrangers à l’organisme et se comportent comme tels. Plus particulièrement, leur toxicité est à certains égards différente de celle des éléments chimiques qui les composent, ajoutant à cette toxicité… ils induisent une réaction inflammatoire. »

« Après avoir été injectés, ces microparticules, nanoparticules et agrégats peuvent rester autour du site d’injection formant des gonflements et des granulomes… Mais ils peuvent aussi être portés par la circulation sanguine, échappant à toute tentative de deviner quelle sera leur destination finale… Comme pour tous les étrangers corps, en particulier si petits, ils induisent une réaction inflammatoire chronique car la plupart de ces particules ne peuvent pas être dégradées. De plus, l’effet protéine-corona… dû à une nano-bio-interaction… peut produire des particules composites organiques/inorganiques capables de stimuler le système immunitaire de manière indésirable… Il est impossible de ne pas ajouter que des particules de la taille souvent observée dans les vaccins peuvent entrer dans les noyaux cellulaires et interagir avec l’ADN… »

« Dans certains cas, par exemple comme c’est le cas avec le fer et certains alliages de fer, ils peuvent se corroder et les produits de corrosion exercent une toxicité affectant les tissus… »

« Compte tenu des contaminations que nous avons observées dans tous les échantillons de vaccins à usage humain, les effets indésirables après l’injection de ces vaccins sont possibles et crédibles et ont le caractère du hasard, car ils dépendent de l’endroit où les contaminants sont transportés par la circulation sanguine. Il est seulement évident que des quantités similaires de ces corps étrangers peuvent avoir un impact plus grave sur de très petits organismes comme ceux des enfants. Leur présence dans les muscles… pourrait fortement altérer la fonctionnalité musculaire… »

« Nous rencontrons des particules avec des compositions chimiques, similaires à celles trouvées dans les vaccins que nous avons analysés, lorsque nous étudions des cas de contamination environnementale causée par différentes sources de pollution. Dans la plupart des cas, les combinaisons détectées sont très étranges car elles n’ont aucune utilité technique, ne peuvent être trouvées dans aucun manuel des matériaux et ressemblent au résultat de la formation aléatoire se produisant, par exemple, lorsque les déchets sont brûlés. Dans tous les cas, quelle que soit leur origine, ils ne doivent être présents dans aucun médicament injectable, encore moins dans les vaccins, plus particulièrement ceux destinés aux nourrissons. »

Cette étude de 2017 ouvre un tout nouveau champ: l’investigation des nanoparticules dans les vaccins là où aucune n’était attendue.

De telles particules ne sont pas des médicaments dans aucun sens du terme.

De nombreux «experts» juridiques et scientifiques affirment que l’État a le droit d’imposer des vaccins et de les imposer à la population. Mais ces nanoparticules contaminantes ne sont ni des vaccins ni des médicaments. Seul un fou défendrait le droit de l’État de les injecter.

Voici une autre section de l’étude de 2017. Les noms commerciaux des vaccins et les compositions des contaminants nanoparticulaires sont indiqués.

«… Une présence supplémentaire de corps étrangers inorganiques de taille micro, sous-micro et nanométrique (allant de 100 nm à une dizaine de microns) a été identifiée dans tous les cas [les 44 vaccins], dont la présence n’a pas été déclarée dans les brochures livrées dans le emballage du produit…»

«… Particules uniques, amas de micro et nanoparticules (<100 nm) et agrégats… débris d’aluminium, de silicium, de magnésium et de titane; de particules de fer, de chrome, de silicium et de calcium… disposées en amas, et de débris d’aluminium-cuivre… en agrégat.»

«… Les particules sont entourées et noyées dans un substrat biologique. Dans tous les échantillons analysés, nous avons identifié des particules contenant: du plomb (Typhym, Cervarix, Agrippal S1, Meningitec, Gardasil) ou de l’acier inoxydable (Mencevax, Infarix Hexa, Cervarix. Anatetall, Focetria, Agrippal S1, Menveo, Prevenar 13, Meningitec, Vaxigrip , Stamaril Pasteur, Repevax et MMRvaxPro).»

«… Des particules de tungstène identifiées dans des gouttes de Prevenar et Infarix (aluminium, tungstène, chlorure de calcium).»

«… Des débris singuliers trouvés dans Repevax (Silicium, Or, Argent) et Gardasil (Zirconium).»

« Certaines particules métalliques en tungstène ou en acier inoxydable ont également été identifiées. Autres particules contenant du zirconium, du hafnium, du strontium et de l’aluminium (Vivotif, Meningetec); Tungstène, Nickel, Fer (Priorix, Meningetec); Antimoine (kit Menjugate); Chrome (Meningetec); De l’or ou de l’or, du zinc (Infarix Hexa, Repevax) ou du platine, de l’argent, du bismuth, du fer, du chrome (MMRvaxPro) ou du plomb, du bismuth (Gardasil) ou du cérium (Agrippal S1) ont également été trouvés. Le seul tungstène apparaît dans 8/44 vaccins, tandis que le chrome (seul ou en alliage avec le fer et le nickel) dans 25/44. Les investigations ont révélé que certaines particules sont noyées dans un substrat biologique, probablement des protéines, des endo-toxines et des résidus de bactéries. Dès qu’une particule entre en contact avec des fluides protéiques, une nano-bio-interaction… se produit et une «protéine corona» se forme… La nano-bio-interaction génère un composé de plus grande taille qui n’est pas biodégradable et peut induire des effets indésirables, puisqu’elle n’est pas reconnue comme soi par le corps. »

«… Des exemples de ces nano-bio-interactions. On peut voir des agrégats (entités composites stables) contenant des particules de plomb dans Meningitec… d’acier inoxydable (fer, chrome et nickel…) et de cuivre, zinc et plomb dans le col de l’utérus… Agrégats similaires, mais dans des situations différentes (patients atteints de leucémie ou cryoglobulinémie), ont déjà été décrites dans la littérature.»

Je suis sûr que vous avez lu les assurances officielles selon lesquelles les problèmes de fabrication de vaccins sont «rares». Vous pouvez déposer ces déclarations avec d’autres mensonges médicaux.

«Je voudrais le sandwich au métal lourd sur du seigle, s’il vous plaît. Et au lieu de le servir dans une assiette, pouvez-vous l’injecter?»

– Il est évident, d’après ce que j’ai écrit jusqu’à présent dans cet article, que la recherche et le développement de nanoparticules en tant que composants de vaccins sont bien avancés. Et bien qu’une grande partie de ce qui se trouve déjà dans les vaccins peut être une nanocontamination, il y a également eu une très forte poussée pour affiner la recherche — INSÉRER DES NANO CAPTEURS DANS LE CORPS ET LE CERVEAU QUI RECEVRAIENT ET TRANSMETTRE DES INFORMATIONS ET DES INSTRUCTIONS.

Juste pour vous donner une idée de l’importance des nanoparticules dans les vaccins pour l’établissement pharmaceutique, voici ce qui est arrivé aux deux chercheurs italiens qui ont découvert la présence de nanos dans les vaccins traditionnels, les auteurs de l’étude que j’ai citée ci-dessus:

James Grundvig, sur GreenMedInfo.com et le World Mercury Project, a rapporté (3/7/18): [6]

« La semaine dernière, la police italienne a fait une descente au domicile et au laboratoire scientifique des Drs. Antonietta Gatti et Stefano Montanari. La police a volé tous les actifs numériques appartenant à l’équipe de nanopathologistes mari et femme, saisissant des ordinateurs portables, des ordinateurs et des clés USB – et avec elle, des années de travail et de recherche. »

« Parce que Gatti et Montanari avaient porté leurs recherches sur les nanopoussières et les nanoparticules… à quelle contamination invisible pourrait résider dans les vaccins en 2016, ils sont passés sous le microscope des autorités des Etats-Unis d’Amérique, de l’Europe et de l’Italie. Ils avaient touché le troisième rail de médecine. Ils avaient traversé la zone interdite, le prétendu crime étant la recherche et la découverte scientifiques. En trouvant une nanocontamination dans des vaccins aléatoires, Gatti et Montanari ont révélé, pour la première fois, ce que personne ne savait: les vaccins contenaient plus que des adjuvants de sels d’aluminium, du polysorbate-80 et d’autres produits chimiques inorganiques, ils contenaient également de l’acier inoxydable, du tungstène, le cuivre et d’autres métaux et éléments rares qui n’appartiennent pas aux injections administrées aux fœtus, aux femmes enceintes, aux nouveau-nés, aux bébés et aux tout-petits développant leurs poumons, leur système immunitaire et leur système nerveux. »

« Lorsque les scientifiques ont publié leurs résultats en janvier 2017, « Nouvelles enquêtes de contrôle de la qualité sur les vaccins: micro‐ et nanocontamination », la prochaine étape logique pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centers for Disease Control (CDC) aurait dû être pour ouvrir une enquête sur leurs affirmations, embauchez des scientifiques indépendants pour effectuer leurs propres tests de laboratoire pour confirmer ou infirmer les résultats. En cas de confirmation, les agences de santé adopteraient de nouvelles politiques sur la sécurité de la chaîne d’approvisionnement des vaccins et appliqueraient des programmes stricts de contrôle qualité et d’assurance qualité. »

« Mais rien de tout cela ne s’est produit. Un an s’est écoulé. Il était moins cher pour les autorités d’attaquer les scientifiques italiens que de bouleverser le train de sauce vaccinale qui soutient les politiciens. »

Maintenant, il semble que nous soyons sur le point d’obtenir l’approbation d’un vaccin, le vaccin COVID, qui sera certifié pour injection à chaque personne dans le monde.

Quelle meilleure opportunité pour implanter des particules nanotechnologiques chez l’homme?

Voici un exemple:

New England Journal of Medicine, 2 septembre 2020; «Essai de phase 1–2 d’un vaccin à nanoparticules de protéine de pointe recombinante contre le SRAS-CoV-2.» [7]

«Le rSARS-CoV-2, développé par Novavax et fabriqué chez Emergent Biosolutions, est un vaccin nanoparticulaire recombinant construit à partir de la glycoprotéine de pointe du SARS-CoV-2 de type sauvage (c’est-à-dire, y compris le domaine transmembranaire)…»

«Nous avons lancé un essai randomisé, contrôlé par placebo, de phase 1-2 pour évaluer l’innocuité et l’immunogénicité du vaccin rSARS-CoV-2 (en doses de 5 μg et 25 μg, avec ou sans adjuvant Matrix-M1, et avec observateurs ignorant les affectations des groupes d’essai) chez 131 adultes en bonne santé. En phase 1, la vaccination comprenait deux injections intramusculaires, à 21 jours d’intervalle…»

Cela arrive. C’est en cours.

Qu’est-ce qui se profile à l’horizon? Grâce à l’utilisation de nanosénors implantés pouvant recevoir des instructions, la mise en œuvre d’un agenda de la pensée collectiviste. Une tentative serait faite pour connecter et «harmoniser» de très nombreux cerveaux les uns avec les autres. Mêmes sentiments de base, mêmes impulsions – partagées…

Qui serait intéressé par un tel programme? Pensez au gouvernement chinois, à la DARPA (la branche technologique du Pentagone) et à de nombreux autres acteurs internationaux. Pensez aux chercheurs médicaux Rockefeller. Pensez à la technocratie et à Brave New World.

SOURCES:

Le meilleur de Jon Rappoport

Jon Rappoport dirige No More Fake News. L’auteur d’une collection explosive, The Matrix Revealed, Jon était candidat à un siège du Congrès des Etats-Unis d’Amérique dans le 29e district de Californie. Nommé pour un prix Pulitzer, il a travaillé comme journaliste d’investigation pendant 30 ans, écrivant des articles sur la politique, la médecine et la santé pour CBS Healthwatch, LA Weekly, Spin Magazine, Stern et d’autres journaux et magazines aux États-Unis d’Amérique et en Europe.

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Jon Rappoport




⚡️ La disparition du cash est en marche : cryptomonnaies et destruction des libertés

[Source : Géopolitique profonde via Réseau International]

Nous sommes à peine entrés dans l’automne (financier), que de nombreuses déclarations émanant de plusieurs institutions nous informent que la disparition de l’argent liquide va encore s’accélérer.

On constate que l’économie mondiale sous perfusion résiste tant bien que mal aux assauts de l’éternel retour au concret.

Mais il y a fort à parier qu’aucun grand évènement ne va survenir avant l’élection présidentielle américaine du 3 novembre prochain.

Cela n’empêche pas l’establishment financier européen de commencer à habituer les populations aux profondes transformations qui vont avoir lieu grâce à cette crise post pandémique.

La BCE de Lagarde initie le mouvement

En effet, il y a quelques jours déjà, Christine Lagarde a évoqué la possibilité de créer un euro numérique pour surmonter la crise qui va se présenter devant nous. Rappelons tout de même que la grande Christine, il y a quelques semaines, nous expliquait que le pire de la crise était derrière nous

Ainsi, l’ancienne directrice du Fonds Monétaire International et ex-ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy a déclaré : « Nous devons nous tenir prêts à émettre un euro numérique si cela s’avère nécessaire »
À cela, elle s’est empressée d’ajouter que cette cryptomonnaie existerait « parallèlement aux espèces, sans les remplacer ».

La Banque centrale européenne va donc prochainement lancer une série d’expérimentations (menées pendant six mois) qui vont aller dans le sens de l’émission de cette devise numérique.

L’argument principal de cette révolution ? La nécessité, bien sûr, mais également « une plus grande sécurité » selon la directrice de l’institution de Francfort, qui indique que : « Nous devons nous tenir prêts à émettre un euro numérique si cela s’avère nécessaire ».

Sous-entendu, si la situation économique et financière de l’Eurozone s’aggrave, malgré les multiples politiques de surliquidités (Quantitaive Easing) de la Banque centrale, nous serons contraints d’utiliser cette technologie pour disposer d’une plus grande marge de manœuvre… »

Dans son communiqué, l’institution chargée de la bonne gestion de l’Union monétaire explique « qu’un euro numérique serait une forme électronique de monnaie de banque centrale qui, à l’instar des billets de banque, permettrait à tous – ménages comme entreprises – d’effectuer leurs paiements quotidiens rapidement, facilement et en toute sécurité ».

Ainsi, le « miracle » de l’argent des banques centrales (création monétaire à partir du néant) va enfin être élargi à la sphère des masses (ménages et entreprises). Quelle formidable nouvelle ! Les dirigeants des banques centrales sont donc en train de faire céder toutes les digues (morales et logiques) pour faire perdurer un système financier alchimique dans lequel nous sommes plongés depuis 1971 (1909 ?) et qui est en train de nous conduire à une catastrophe d’ampleur apocalyptique.

Cependant nos grands banquiers centraux, au service de l’oligarchie financière transnationale, oublient un peu vite l’adage qui énonce que « La nature a horreur des trop longs miracles ». Et il y a fort à parier que cette monnaie numérique ne soit pas réellement créée pour la liberté des peuples et la prospérité des nations…

En effet, même si  dans un premier temps cette devise numérique va exister « parallèlement aux espèces, sans les remplacer », précise la BCE, qui affirme qu’elle continuera « dans tous les cas » d’émettre des espèces. Il est évident que nos sympathiques bouts de papier colorés et nos pièces, ne vont plus faire long feu, face à cette monnaie magique (qui en plus d’être créée ex nihilo), ne coûtera rien à fabriquer. Un simple jeu d’écriture suffira. Par la grande crise qui vient, les banquiers centraux deviendront donc enfin les « dieux » tout puissants de l’économie…

Évidemment les « experts » expliquent que cette initiative se justifie aussi par la forte diminution constatée de l’usage des espèces dans la zone euro, accélérée par la pandémie de Covid-19 (notamment en Allemagne).

Et oui magie du Coronavirus, les espèces (moyen de paiement préféré des terroristes depuis quelques années) sont aussi un vecteur de mort par contagion depuis la pandémie !

Ajouter à cela, la tendance de numérisation des paiements qu’ont entraînée plusieurs gros projets de cryptomonnaie comme la Libra de Facebook ou évidemment le Bitcoin, et cela a suscitée selon la BCE, de soi-disant inquiétudes en termes de risque financier…

Le communiqué évoque d’ailleurs explicitement ce phénomène en expliquant que le « lancement, à l’échelle internationale, de moyens de paiement privés soulève des questions prudentielles et menaceraient la stabilité financière et la protection des consommateurs ».

Ainsi, en tant que pourvoyeur principal de fausse monnaie en Europe, la BCE souhaite réaffirmer son hégémonie face à ces innovations, et l’institution souhaite donc proposer un moyen de paiement numérique « sans risque à l’échelle européenne ».

Mais en réalité la BCE et Lagarde en particulier, ne font qu’appliquer des directives qui viennent « d’en haut ». L’institution européenne ne va pas être la seule à enclencher ce mouvement.

La Banque des Règlements Internationaux confirme

Benoît Coeuré responsable du pôle innovation de la Banque des règlements internationaux de Bâle, ancien membre du comité exécutif de la Banque centrale européenne, ancien du Trésor français et participant récurrent à la réunion du groupe Bilderberg (2014, 2015 et 2016), nous explique, lui aussi, que la fameuse Libra de Facebook aurait conduit les banques centrales à se réveiller sur les questions de crypto monnaies.

L’économiste de la BRI, en disant que « Les banques centrales ont pris les cryptomonnaies de haut »  explique que ce sont les conséquences de la crise actuelle et le succès des cryptomonnaies qui doivent conduire les grandes banques centrales à franchir le Rubicon des devises numériques.

En réalité, tout cela n’est que de l’habillage marketing, de la propagande politique pour être précis, l’euro numérique est bien le pendant d’autres projets avancés de cryptomonnaie menés au sein d’autres banques centrales dans le monde, à l’instar de la Banque centrale chinoise.

Évidemment les cryptomonnaies nous sont vendues par les experts comme des moyens de « stimuler l’innovation« . Ce qui est factuellement faux.  Car en quoi l’utilisation du Bitcoin a-t-elle permis de stimuler la création de richesse de ces utilisateurs ?

D’où sortent donc toutes ces affirmations péremptoires sur les cryptomonnaies ?

Qu’est-ce qui permet à un Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, de dire que l’euro numérique contribuerait à « renforcer le rôle international de l’euro » et « stimulerait l’économie » ?

En vérité, aucun élément tangible ne permet de démontrer toutes ces affirmations, si ce n’est une volonté transnationale des grands acteurs financiers.

En vérité, la banque centrale des banques centrales n’a d’ailleurs pas caché ses intentions quand elle affirmait à propos des cryptomonnaies, au début de l’année 2020 (en janvier) que la collaboration à l’échelle internationale, notamment via son centre d’innovation, était impérative.

Un groupe de travail regroupant six banques centrales, piloté par Benoît Coeuré, et Jon Cunliffe, actuel sous-gouverneur de la Banque d’Angleterre, avait été lancé dans ce sens. La pandémie du Coronavirus n’aura donc fait qu’accélérer le processus.

Le visage du socialisme corporatif dans les cryptomonnaies

Sur ce sujet, le Forum économique mondial de Davos (lui aussi), avant même de parler de Grand Reset, avait annoncé, le 24 janvier dernier, la création d’un consortium international visant à « définir un cadre réglementaire pour les cryptomonnaies ».

Mais chose qui peut paraître étrange pour le non-initié, ce consortium mêle des grands banquiers centraux, des grandes entreprises transnationales et des ONG.

On voit s’organiser une véritable collusion entre intérêts privés et organismes publics autour de ce thème des cryptomonnaies.

Évidemment, le communiqué de Davos a précisé de manière laconique que : « Les devises virtuelles sont souvent citées comme un outil d’inclusion financière, mais cette opportunité ne pourra se réaliser qu’avec une bonne gouvernance ».

Plusieurs acteurs de premier plan ont salué l’initiative du Forum de Davos notamment le gouverneur de la banque centrale sud-africaine Kganyago (ancien de chez First National Bank) ou du français David Marcus, ancien patron de PayPal et responsable chez Facebook du projet Libra.

Dans une période où certains observateurs dénoncent, à juste titre, une soviétisation de l’économie mondiale, on oublie de dire que cette « communisation » n’est pas contrairement à ce que disent les vieux idéologues libéraux, une étatisation. C’est en réalité une hybridation entre les secteurs publics et les grandes multinationales privées. C’est un système ou le parasitisme, le népotisme et la médiocrité s’attaquent à la petite propriété privée et à la liberté économique et politique des individus. Comme à l’époque soviétique, les nouveaux révolutionnaires de cette monnaie numérique ne s’attaqueront pas au Capital, ils s’attaqueront au Travail.

monnaie numérique et socialisme

Payer en espèce coûtera plus cher

Car nous, simples citoyens et consommateurs, allons voir très rapidement les conséquences de ce phénomène. Dans les semaines à venir, la mise à disposition de l’argent liquide va coûter de plus en plus cher. Au motif de la crise actuelle, les banques vont faire payer de plus en plus les retraits d’espèces.

Nos politiques vont progressivement retirer le cash des circuits économiques. Ils commenceront évidemment par les petites pièces de monnaie. Et les prix seront forcément arrondis à la hausse.

La Commission européenne, connue pour être sous l’influence des lobbys, et en particulier sous l’emprise du gestionnaire d’actifs BlackRock depuis quelques mois, a indiqué à la fin du mois de septembre « vouloir faire disparaître de la circulation les petites pièces cuivrées de 1 et 2 centimes d’euros ».

Une grande consultation sur ce sujet a même été ouverte avant l’annonce d’une décision définitive prise par la Commission, à la fin de l’année 2021.
Ne nous leurrons pas, la décision est déjà prise : il est certain que la pandémie de Covid-19 et la démocratisation du paiement sans contact, vont faciliter la disparition des pièces et des billets.

Ainsi, l’argent liquide, dernier bastion de liberté financière, va nous être retiré par l’establishment. Et c’est par l’illusion de la cryptomonnaie que nous allons voir disparaître le dernier vestige de l’arme monétaire.

Marc Gabriel Draghi


[Voir aussi :




La conspiration mondiale selon le Père Régimbal, Québécois décédé en 1988

[Source : Guy Boulianne]

[Extrait de La Fondation Père Jean-Paul Regimbal]

Le Père Jean-Paul Régimbal est un prêtre catholique né le 4 juillet 1931 à North Bay, en Ontario. Il était rattaché à la communauté des Pères Trinitaires (o.s.s.t.).

Prédicateur attirant les foules, il a fondé un centre de retraite à Granby et a contribué à la croissance du mouvement catholique charismatique. Il fut l’instigateur de quelques congrès qui ont attiré des milliers de personnes. Il est aussi un auteur du Québec connu pour ses opinions conspirationnistes, antimaçonniques et son opposition à la musique rock en général à cause des messages subliminaux qui se trouveraient d’après lui dissimulés dans la musique ou les paroles. Le Père Regimbal, parmi les grands leaders charismatiques québécois, fut un des premiers courageux à dénoncer le Plan et la Structure mondiale des Illuminati : les 33, les 13, les Bilderbergers, La franc-maçonnerie, les sectes satanistes, le projet du nouvel ordre mondial, etc. Benoît Domergue a repris une partie de sa thématique.

Au cours d’émissions télévisées le Père Regimbal dénonçait le pouvoir des illuminati, une secte gnostique manichéenne issue du 33e degré de la franc-maçonnerie qui veut faire émerger un nouvel ordre mondial sous le règne de Satan. Son influence s’exercerait sur le plan économique et bancaire, politico-militaire, socio-culturel et religieux aux États-Unis et en Europe. Le Père Regimbal dénonçait le capitalisme, le libre-échange illustré par les théories de Milton Friedman, les placements boursiers, et l’émission des « dollars fantômes » qui induit les crises économiques ; et annonce la mise en place de la puce sous-cutanée.

Le Père Jean-Paul Régimbal serait décédé dans des circonstances nébuleuses au Vatican où il aurait été rappelé pour désobéissance. Par conséquent, il ne se doutait peut-être pas encore à ce moment-là (n’oubliez pas qu’il était dans les années 80-90) que le Vatican était aussi un siège mondial des illuminés. Il est l’auteur de plusieurs livres dont « Rock’n roll. Viol de la conscience par les messages subliminaux », paru en 1983 (vous pouvez le télécharger ici).




Alain de Benoist : « La répression des pensées non conformes n’est pas d’aujourd’hui, elle est de tous les temps » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Depuis plusieurs décennies, on peut dire qu’Alain de Benoist a vu nos sociétés se transformer, en profondeur. Né en 1943, il est de cette génération qui a vu toutes les conséquences de la Seconde guerre mondiale sur l’Europe et le monde, mais aussi les mouvements de décolonisation, Mai 68, les chocs pétroliers, l’arrivée de Mitterand au pouvoir en France, le regroupement familial, l’apparition du voile islamique sur notre continent, la chute du Mur de Berlin, le 11 septembre 2001…la liste est longue.

Il a vu également l’arsenal juridique français visant à restreindre considérablement la liberté d’expression (et instaurant le délit d’opinion) se renforcer en France, de Pleven à Taubira… Mais aussi la montée en puissance des tribunaux politiques, médiatiques, d’une forme de nouvelle Inquisition, qui rend impossible tout débat politique sérieux, débat remplacé peu à peu par l’anathème, le lynchage, le procès.

C’est avec un regard donc particulièrement éclairé, et conscient de l’évolution de notre société, qu’il publie La Chape de plomb aux éditions de la Nouvelle Librairie, qui réunit six textes majeurs qui permettent de saisir l’ampleur de la censure à l’œuvre aujourd’hui, et fournissent les éléments nécessaires à une critique en profondeur du conformisme médiatique.

« Interdit d’interdire ! Jamais un slogan n’aura autant dit le contraire de ce qu’il énonçait. Dans notre monde, le Goulag et ses commissaires politiques ont disparu. Mais qu’on ne s’y trompe pas, l’archipel des mouchards prospère : les obstacles à la liberté d’expression et les entraves aux discours dissidents sont aussi insidieux qu’omniprésents. Au prétexte de n’offenser personne, ils contraignent tout le monde » 

indique son éditeur.

Nous l’avons interrogé sur cet ouvrage, en profitant également de l’interview accordée pour évoquer des sujets brûlants autour justement de la censure, de la répression judiciaire, des cabales multiples que subissent aujourd’hui des dissidents politiques en raison de leurs idées.

Breizh-info.com : Tout d’abord, vous publiez un livre qui s’attaque aux nouvelles censures en cette rentrée. Pouvez-vous nous en parler ? Quelle est la thèse centrale de votre ouvrage ?

Alain de Benoist : Le livre s’appelle La chape de plomb, et vient de paraître aux éditions de la Nouvelle Librairie. C’est bien entendu une critique des censures de toutes sortes que l’on voit se multiplier aujourd’hui, mais c’est surtout une analyse en profondeur des méthodes auxquelles elles ont recours (amalgames, procès d’intention, citations hors contexte, reductio ad hitlerum, etc.), en même temps qu’une étude à la fois théorique et historique de la façon dont on en est arrivé là. En quoi par exemple les nouvelles censures se distinguent-elles de celles qu’on connaissait autrefois ? Voilà le genre de questions auxquelles je m’efforce de répondre, car s’en tenir à la déploration, ainsi qu’on le fait trop souvent, ne sert absolument à rien.

Breizh-info.com : La censure va souvent de pair avec la répression judiciaire… Comment interprétez-vous les poursuites judiciaires qui se multiplient à l’encontre d’Eric Zemmour ? Et la volonté manifeste d’enfermer certains dissidents qui ont écopé de prison ferme et qui sont pour certains (Hervé Ryssen) en prison à l’heure où nous parlons ? La guerre contre la dissidence est-elle déclarée ?

Alain de Benoist : Elle n’est pas déclarée, elle se poursuit, elle se renforce et elle s’accélère. La répression des pensées non conformes n’est pas d’aujourd’hui, elle est de tous les temps. Je vous rappelle que le grand théoricien socialiste français Louis-Auguste Blanqui, mort en 1881, a passé un total de 35 ans en prison, raison pour laquelle on l’avait surnommé « l’enfermé ». On pourrait donner bien d’autres exemples. Zemmour et Ryssen en sont quand même encore loin !

Mais la répression dont vous parlez, précisément parce qu’elle n’est pas nouvelle, n’est pas ce qui caractérise le plus la censure aujourd’hui. Cette répression-là est une répression étatique, une répression dont les pouvoirs publics prennent l’initiative. Or, ce qui caractérise le climat inquisitorial actuel, c’est qu’il part de la société globale, qu’il est le fait d’associations, de groupes de pression, d’individus isolés, qui exigent des sanctions et des « cordons sanitaires » sur la seule base de leur subjectivité et en s’inspirant des modèles du politiquement correct. Ce sont des journalistes qui demandent qu’on coupe le micro à d’autres journalistes, des écrivains qui réclament l’ostracisme de certains de leurs confrères, des femmes qui se plaignent d’un « sexisme » qui n’existe que dans leur imagination, des obsédés de la race qui s’interrogent gravement pour savoir si un Blanc a le droit de photographier un Noir sans tomber dans l’« appropriation culturelle », des fous furieux qui pensent que pour lutter contre le racisme il faut déboulonner les statues de Christophe Colomb, de Colbert ou de Napoléon. Devenue un empilement de susceptibilités, la société globale se transforme en Absurdistan. C’est cela qui est nouveau, et les pouvoirs publics n’y sont pas directement impliqués (ils se contentent de laisser faire, sous l’influence de l’idéologie dominante).

Le résultat, c’est la généralisation de l’autocensure, qui est à certains égards bien plus terrible que la censure. Les gens ont peur. Peur d’être mis en pilori, c’est-à-dire dénoncés sur les réseaux sociaux, pour une mauvaise blague, un propos un peu leste, ou même pour un mot de trop. Comme à l’époque soviétique, il y a désormais un langage public, où l’on navigue à vue en étant sur ses gardes, et certaines choses qu’on n’ose plus dire qu’en privé (et à condition d’être avec des gens sûrs). Une telle situation, qui s’aggrave tous les jours, est à mon sens beaucoup plus grave que les conditions de censure et de répression qu’on connaissait autrefois.

Breizh-info.com : Comment faire face, avec quelles armes, à cette censure, à ces menaces judiciaires ? La technique de la guérilla plus que celle de l’opposition frontale au Système est-elle celle que vous préconisez ?

Alain de Benoist : Il faut évidemment continuer à écrire et à témoigner. Il faut dénoncer les sycophantes et les grands délirants, les Précieuses ridicules et les Torquemadas de plateaux de télévision, et protester de toutes les façons possibles contre le climat délétère que nous subissons. Il faut aussi dérouter l’adversaire : ne jamais se laisser entraîner sur son terrain, resurgir là où l’on ne vous attend pas. Mais permettez-moi d’ajouter qu’on n’est pas non plus obligé d’exprimer ce qu’on veut dire sous une forme provocatrice ou convulsive, alors qu’on pourrait dire exactement la même chose d’une manière à peu près civilisée.

Il ne faut pas se lasser, enfin, de répéter que la liberté d’expression (il faudrait préciser : la liberté d’exprimer une opinion, car c’est bien de cela qu’il s’agit) doit être défendue inconditionnellement. La liberté d’expression ne se divise pas. Je ne suis pas sûr, malheureusement, que ceux qui critiquent aujourd’hui la censure dont ils sont l’objet auraient la même attitude si c’était leurs adversaires qui en faisaient les frais. Le mot souvent prêté à Voltaire (en substance : je déteste vos opinions, mais je suis prêt à mourir pour que vous soyez libre de les défendre) est très certainement apocryphe, mais n’en énonce pas moins une règle qu’on peut faire sienne. Rosa Luxemburg, dans son livre La Révolution russe, publié à Paris en 1939 (vingt ans après son assassinat), écrivait que « la liberté, c’est toujours la liberté de qui pense autrement (die Freiheit der Andersdenkenden) ». J’ai du mal à prendre au sérieux ceux qui n’approuvent pas cette maxime.

Breizh-info.com : Vous allez publier par ailleurs la « Bibliothèque du jeune Européen ». Parlez-nous de ce projet pédagogique. N’est-ce pas finalement assez vain que de prétendre à faire lire une jeunesse européenne qui fuit les bibliothèques et à laquelle l’Éducation nationale n’offre plus aucune ambition ?

Alain de Benoist : Une précision d’abord : je ne suis pas l’auteur de ce volume collectif, qui doit paraître début novembre aux éditions du Rocher. J’en ai apporté l’idée, mais son véritable maître d’œuvre a été Guillaume Travers. Et c’est justement parce que l’Éducation nationale s’est effondrée, et que les jeunes sont aujourd’hui plus attirés par les écrans que par les livres, que nous avons estimé urgent de proposer à ceux qui ne se résignent pas à cette situation un ouvrage facile à manier, qui soit de nature à leur donner l’envie et la possibilité d’aller plus loin. Le livre a retenu 200 auteurs, avec un livre pour chaque auteur faisant l’objet d’une fiche détaillée, qui ont apporté quelque chose d’important dans le domaine des idées, de l’Antiquité à nos jours. La sélection n’a pas été facile, mais je pense que le résultat obtenu en valait la peine. A l’approche des fêtes, c’est en plus le cadeau idéal !

Breizh-info.com : Vous évoquez 200 ouvrages. Et si vous deviez n’en garder que 5, pour commencer une formation politique essentielle ?

Alain de Benoist : Je suis tout à fait incapable de répondre à cette question, qui est un peu du style : si vous deviez partir sur une île déserte en n’emportant qu’un seul livre, lequel choisiriez-vous (je réponds toujours que j’emporterais un dictionnaire, parce que par définition c’est celui qui contient tous les autres !). D’abord, je n’ai jamais été l’homme d’un seul livre ou d’une seule source.

Ensuite, je crois que, même si l’on s’en tient au seul domaine politique (la Bibliothèque du jeune Européen aborde aussi les sciences de la vie, les sciences sociales, la philosophie, la psychologie, etc.), on aurait bien du mal à établir la liste que vous me demandez. Il n’y a pas de « Bible » à laquelle on puisse se référer, mais toute une pléiade d’auteurs qu’il est indispensable d’avoir fréquenté « pour commencer une formation politique ». D’une façon générale, quand on part à l’aventure, il ne faut se demander d’abord où sont les raccourcis !

Propos recueillis par YV

Illustration : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




«Le Pacte de Marrakech est un appel à la censure des médias politiquement incorrects»

[Source : http://www.lefigaro.fr/vox/medias]

  • Par  Alexandre del Valle 
  • Publié le 11/12/2018 à 19:30
«Le Pacte de Marrakech est un appel à la censure des médias politiquement incorrects»

FIGAROVOX/TRIBUNE – Alexandre Del Valle s’inquiète de certaines dispositions du Pacte de Marrakech, qui visent à rendre plus positive l’information que les médias donnent à propos de l’immigration.


Géopolitologue, docteur en histoire contemporaine, consultant et essayiste, Alexandre del Valle est professeur de géopolitique et de relations internationales. Il vient de publier La Stratégie de l’intimidation, du terrorisme jihadiste à l’islamiquement correct (éd. L’Artilleur, mars 2018).


Beaucoup d’encre a déjà coulé à propos du fameux Pacte signé à Marrakech ce début de semaine par 148 pays-membres des Nations unies. Ses rédacteurs rappellent que ce texte visant à réguler des migrations plus «sûres» serait «non-contraignant». Mais rien n’empêchera ultérieurement les États signataires et les instances européennes de «judiciariser» des pans entiers dudit Pacte. Le Pacte sous-entend d’ailleurs que les Ètats d’accueil ont le devoir d’octroyer des droits et des aides financières aux migrants «sans discriminations» (réguliers ou illégaux), ce qui revient à supprimer toute différence entre le national et l’étranger, bref, à démanteler moralement les souverainetés pourtant nominalement reconnues par les rédacteurs.

Un appel à la censure

«Encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues»

Objectif 17 du Pacte de Marrakech

Le Pacte de Marrakech incite les médias à combattre et limiter tout discours hostile à l’immigration, sous peine d’être privés de financement public par les gouvernements, eux-mêmes sommés de se soumettre à la doxa diversitaire qui transparaît du début à la fin du texte onusien. C’est ainsi que l’objectif n°17 du Pacte appelle à «éliminer toutes les formes de discrimination et encourager un débat public fondé sur l’analyse des faits afin de faire évoluer la manière dont les migrations sont perçues». Il invite ainsi les médias à s’impliquer dans un projet politico-gestionnaire en tant qu’ «acteurs» de la «Migration». Avec eux, «les milieux universitaires», «le secteur privé» ou encore les «institutions nationales de défense des droits de l’homme» (ce qui inclut les ONG qui affrètent des bateaux pro-clandestins comme l’Aquarius), sont tous appelés à combattre les idées qui ne vont pas dans le sens de l’immigrationnisme béat. Cet Objectif n°17 pousse à diaboliser les intellectuels, les journalistes et les politiques qui, dans le cadre du futur débat sur l’immigration annoncé par Emmanuel Macron notamment, afficheraient leur souci de contrôler l’immigration et a fortiori de réduire ou supprimer les aides financières croissantes accordées aux migrants clandestins que le Pacte met sur le plan que les migrants légaux.

» LIRE AUSSI – «Le Pacte mondial sur les migrations risque de contraindre les États»

Sur Internet aussi

Dans les mesures à mettre en œuvre pour «atteindre cet objectif», les rédacteurs du Pacte entendent «promouvoir une information indépendante, objective et de qualité, y compris sur Internet». Intention dont on ne manquera pas de relever l’ironie alors que ces dernières semaines, c’est justement sur le Net qu’a été dénoncé (au départ à partir des États-Unis) ce Pacte migratoire controversé. Cette prise de conscience déplorée par les rédacteurs du Pacte a d’ailleurs déclenché une polémique dans de nombreux pays occidentaux: rétractation de l’Italie et de l’Autriche, refus de la quasi-totalité des pays d’Europe centrale et orientale, «gel» de la signature en Suisse après le référendum sur la primauté du droit national ; crise gouvernementale en Belgique (face au refus de la NVA flamande de signer le Pacte), et prudence habile du Président Macron qui a préféré ne pas s’afficher à Marrakech en y envoyant Jean-Baptiste Lemoyne. Les rédacteurs et soutiens du Pacte migratoire se sont ainsi contentés de fustiger les opposants au texte onusien sans jamais en délivrer le contenu lui-même et en s’abritant sur l’ubuesque affirmation du caractère «non-contraignant». Les rédacteurs de l’accord de Marrakech et leurs soutiens politiques sont d’ailleurs déterminés à «sensibiliser les professionnels des médias aux questions de migration et à la terminologie afférente». On observera que la contradiction flagrante d’un débat prétendument «objectif» sur l’immigration et d’un corps de métier journalistique «sensibilisé» à une terminologie «positive sur la Migration» ne semble pas heurter outre mesure la «sensibilité» rédactionnelle des Nations unies et des lobbies diversitaires qui soutiennent le Pacte.

Des divergences de perception quant à l’immigration seront considérées comme des manquements éthiques.

Ses rédacteurs comptent ainsi faire respecter cette «terminologie» spécifique «en instituant des normes déontologiques pour le journalisme» (et la publicité). Le mot est lâché: en parlant de «déontologie» – au mépris de celle déjà instituée en France et ailleurs – les rédacteurs entendent par conséquent mettre toute divergence de «perception» à l’égard des migrants du côté du manquement éthique et professionnel, ce qui induit la logique de sanctions corrélatives. Si en principe ces sanctions sont le fait d’une commission paritaire, le Pacte appelle officiellement les États à sanctionner les non-immigrationnistes en supprimant les subsides étatiques des médias qui «dévieraient» du message nécessairement positif sur «le Migrant»… une menace qui a d’ailleurs déjà plané sur l’hebdomadaire Valeurs actuelles à la suite d’une couverture choc montrant une femme musulmane voilée. Le petit ajout dans le texte du Pacte: «dans le plein respect de la liberté de la presse» ne trompera d’ailleurs personne, car ce droit repose sur la liberté d’opinion et la liberté d’expression, droits soumis à des limites. La Cour européenne des droits de l’homme rend d’ailleurs régulièrement des verdicts dans des affaires où il est question de savoir si l’interférence du gouvernement – prévue par la loi – avec le droit à la liberté d’expression d’un individu est légitime ou non. Or ce que fait le Pacte, tout non-contraignant qu’il soit, c’est bien élargir les conditions de légitimité de cette interférence. La boucle est bouclée.




120 ans d’alerte climatique

4 octobre 2019. Les scientifiques en quête de financement et les journalistes en quête d’audience sont d’accord: la panique se vend.

« Le refroidissement global va nous tuer tous! » « Non, attendez: le réchauffement climatique va nous tuer tous! »

Tout ce qui manque, c’est un va-et-vient de «Tais-toi!», «Non, tais-toi!», Réservé à ceux qui doutent de la nécessité de la panique.

C’est l’essentiel d’une étonnante chronologie des 120 dernières années de peur du climat, assemblée par butnowyouknow.net et reproduite par l’estimable Anthony Watts dans Wattsupwiththat, qui la met à jour aujourd’hui. C’est vraiment ahurissant:

1895 – Les géologues pensent que le monde pourrait être à nouveau gelé – New York Times, février 1895

1902 – «Les glaciers en voie de disparition… se détériorent lentement, avec une persistance qui signifie leur annihilation finale… un fait scientifique… disparaît sûrement.» – Los Angeles Times

1912 – Le professeur Schmidt nous met en garde contre l’ère de la glace qui s’empace – New York Times, octobre 1912

1923 – «Un scientifique dit que la glace arctique va anéantir le Canada» – Professeur Gregory de l’Université Yale, représentant américain au Congrès scientifique pan-pacifique, – Chicago Tribune

1923 – « Les découvertes des changements de la chaleur du soleil et l’avancée des glaciers au sud ces dernières années ont donné lieu à des hypothèses sur la possible apparition d’un nouvel âge glaciaire » – Washington Post

1924 – MacMillan signale des signes d’un nouvel âge glaciaire – New York Times, 18 septembre 1924

1929 – «La plupart des géologues pensent que le monde se réchauffe et qu’il continuera de se réchauffer» – Los Angeles Times, dans Une nouvelle ère glaciaire?

1932 – «Si ces choses sont vraies, il est évident que nous devons donc basculer à l’ère glaciaire» – The Atlantic magazine, This Cold, Cold World

1933 – L’Amérique dans le plus long sort de chaleur depuis 1776; La ligne de température enregistre une hausse de 25 ans – New York Times, le 27 mars 1933

1933 – «… tendance généralisée et persistante au climat plus chaud… Notre climat change-t-il?» – Federal Weather Bureau «Monthly Weather Review».

1938 – Le réchauffement de la planète, causé par l’homme qui réchauffe la planète avec du dioxyde de carbone, « aura probablement plusieurs effets bénéfiques sur l’homme, outre la fourniture de chaleur et d’électricité. » – Journal trimestriel de la Société royale de météorologie

1938 – «Les experts déconcertent la montée du mercure depuis 20 ans… Chicago figure au premier rang des milliers de villes du monde touchées par une mystérieuse tendance à la hausse du climat au cours des deux dernières décennies» – Chicago Tribune

1939 – «Les gaufriers qui prétendent que les hivers étaient plus durs quand ils étaient garçons ont tout à fait raison… les hommes du temps ne doutent pas que le monde se réchauffe au moins pour le moment» – Washington Post

1952 – «… nous avons appris que le monde se réchauffait depuis un demi-siècle» – New York Times, 10 août 1962

1954 – “… les hivers deviennent plus doux, les étés sont plus secs. Les glaciers se retirent et les déserts grandissent »- US News and World Report

1954 – Climat: la chaleur peut être annulée – Fortune Magazine

1959 – «Les conclusions sur l’Arctique appuient en particulier la théorie de la hausse des températures dans le monde» – New York Times

1969 – «… la banquise arctique s’amincit et que l’océan au pôle Nord pourrait devenir une mer ouverte dans une décennie ou deux» – New York Times, 20 février 1969

1969 – « Si j’étais un joueur, je prendrais même de l’argent que l’Angleterre n’existerait pas en l’an 2000 » – Paul Ehrlich (alors qu’il prédit maintenant la fin du réchauffement climatique, cette citation ne reçoit qu’une mention honorable, car il parlait de son folle peur de la surpopulation)

1970 – «… contrôlez bien vos longs clients, les ennemis du froid – le pire est peut-être à venir… il n’ya aucun soulagement à voir» – Washington Post

1974 – Le refroidissement global des quarante dernières années – Time Magazine

1974 – « Les cassandres climatologiques sont de plus en plus inquiets, car les aberrations climatiques qu’ils étudient pourraient être le signe avant-coureur d’un autre âge de glace » – Washington Post

1974 – «En ce qui concerne la tendance au refroidissement actuel, un certain nombre de climatologues renommés ont conclu qu’il s’agissait d’une très mauvaise nouvelle» – magazine Fortune, lauréat du prix Science Writing Award de l’American Institute of Physics pour son analyse du danger

1974 – «… les faits du changement climatique actuel sont tels que les experts les plus optimistes attribueraient presque avec certitude une perte majeure des récoltes… des morts massives de faim, et probablement d’anarchie et de violence» – New York Times
Les cassandres deviennent de plus en plus appréhensibles, car les aberrations climatiques qu’elles étudient pourraient être le signe avant-coureur d’un autre âge glaciaire.

1975 – Les scientifiques se demandent pourquoi le climat mondial change; Un refroidissement majeur largement considéré comme inévitable – New York Times, 21 mai 1975

1975 – «La menace d’une nouvelle ère glaciaire doit désormais coïncider avec la guerre nucléaire en tant que source probable de mortalité et de misère massives pour l’humanité», Nigel Calder, rédacteur en chef du magazine New Scientist, dans un article de l’International Wildlife Magazine

1976 – «Même les fermes américaines peuvent être frappées par une tendance au refroidissement» – US News and World Report

1981 – Réchauffement de la planète – «d’une ampleur presque sans précédent» – New York Times

1988 – Je voudrais tirer trois conclusions principales. Premièrement, la Terre est plus chaude en 1988 qu’à tout autre moment dans l’histoire des mesures instrumentales. Deuxièmement, le réchauffement climatique est maintenant suffisamment important pour que nous puissions attribuer avec un degré de confiance élevé une relation de cause à effet à l’effet de serre. Et troisièmement, nos simulations climatiques informatiques indiquent que l’effet de serre est déjà suffisamment important pour commencer à affecter la probabilité d’événements extrêmes, tels que les vagues de chaleur estivale. – Jim Hansen, témoignage de juin 1988 devant le Congrès, voir Sa citation ultérieure et l’objection de son supérieur hiérarchique pour le contexte.

1989 – «D’un côté, en tant que scientifiques, nous sommes éthiquement liés à la méthode scientifique, promettant en fait de dire la vérité, toute la vérité et rien d’autre – ce qui signifie que nous devons inclure tous les doutes, les mises en garde, les si ands et mais. D’autre part, nous ne sommes pas seulement des scientifiques mais aussi des êtres humains. Et comme la plupart des gens, nous aimerions voir le monde meilleur, ce qui, dans ce contexte, signifie que nous travaillons à réduire le risque de changement climatique potentiellement désastreux. Pour ce faire, nous avons besoin d’un large soutien afin de capter l’imagination du public. Cela implique bien sûr d’obtenir une couverture médiatique abondante. Nous devons donc proposer des scénarios effrayants, faire des déclarations simplifiées et dramatiques et faire peu de place aux doutes que nous pourrions avoir. Cette «double contrainte éthique» dans laquelle nous nous trouvons fréquemment ne peut être résolue par aucune formule. Chacun de nous doit décider quel est le bon équilibre entre l’efficacité et l’honnêteté. J’espère que cela signifie être les deux. »- Stephen Schneider, auteur principal du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, magazine Discover, octobre 1989

1990 – «Nous devons surmonter le problème du réchauffement climatique. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous agirons correctement – en termes de politique économique et de politique environnementale »- Sénateur Timothy Wirth.

1993 – «De nombreux scientifiques craignent que les changements climatiques mondiaux ne modifient les schémas de température et de précipitations, avec des conséquences incertaines pour l’agriculture.» – US News and World Report

1998 – Peu importe si la science [du réchauffement climatique] est totalement fausse. . . le changement climatique [offre] la plus grande opportunité de justice et d’égalité dans le monde. »- Christine Stewart, ministre canadienne de l’Environnement, Calgary Herald, 1998

2001 – « Les scientifiques ne doutent plus que le réchauffement climatique se produise et presque personne ne conteste le fait que les humains sont au moins en partie responsables. » – Time Magazine, lundi 9 avril 2001

2003 – L’accent mis sur les scénarios extrêmes aurait peut-être été approprié à un moment donné, alors que le public et les décideurs étaient relativement peu conscients du problème du réchauffement planétaire, et que des sources d’énergie telles que les «carburants de synthèse», le pétrole de schiste et les sables bitumineux faisaient l’objet d’une attention soutenue »- Jim Hansen, militant de la NASA pour le réchauffement de la planète, pouvons-nous désamorcer la bombe à retardement du réchauffement de la planète ?, 2003

2006 – «Je pense qu’il est approprié d’avoir une surreprésentation d’exposés factuels sur son dangerosité, comme prétexte pour ouvrir l’auditoire à l’écoute des solutions proposées et à quel point nous espérons résoudre ce problème. cette crise. »- Al Gore, magazine Grist, mai 2006

2006 – «Il n’est pas question de savoir si la terre s’est réchauffée au cours du siècle dernier. La terre se réchauffe ou se refroidit constamment, au moins de quelques dixièmes de degré… »- Richard S. Lindzen, professeur de météorologie Alfred P. Sloan au MIT
2006 – «Ce que nous avons fondamentalement oublié, c’est la science de l’école primaire. Le climat change toujours. Il fait toujours… réchauffer ou refroidir, il n’est jamais stable. Et s’il était stable, ce serait réellement intéressant du point de vue scientifique car ce serait la première fois depuis quatre milliards et demi d’années. »- Phil Stott, professeur émérite de biogéographie à l’Université de Londres.
2006 – «Depuis 1895, les médias ont alterné entre les alarmes de refroidissement global et les alarmes de réchauffement au cours de quatre périodes distinctes qui se chevauchent parfois. De 1895 aux années 1930, les médias ont colporté un âge de glace à venir. De la fin des années 1920 aux années 1960, ils ont mis en garde contre le réchauffement climatique. Des années 1950 aux années 1970, ils nous ont de nouveau mis en garde contre un âge de glace à venir. Cela fait du réchauffement climatique moderne la quatrième tentative du quatrième gouvernement du Royaume-Uni de promouvoir des peurs opposées au changement climatique au cours des 100 dernières années. « – Sénateur James Inhofe, lundi 25 septembre 2006

2007- «J’ai récemment pris la parole (sur les sophismes du réchauffement planétaire) et trois membres du gouvernement canadien, le Cabinet de l’environnement, sont venus par la suite et ont dit: » Nous sommes d’accord avec vous, mais rien ne vaut notre travail.  » Donc, on crée une industrie énorme avec des milliards de dollars d’argent du gouvernement et des emplois qui en dépendent. »- Dr Tim Ball, D’un océan à l’autre, le 6 février 2007

2008 – «Hansen n’a jamais été muselé même s’il avait violé la position de l’agence officielle de la NASA en matière de prévision climatique (c’est-à-dire que nous n’en savions pas assez pour prévoir le changement climatique ou les effets de l’humanité sur celui-ci). Hansen a donc embarrassé la NASA en faisant part de ses déclarations sur le réchauffement de la planète en 1988 lors de son témoignage devant le Congrès »- Dr. John S. Theon, chef à la retraite du programme de recherche sur les processus climatiques à la NASA, voir ci-dessus pour les citations de Hansen.
Section mise à jour par Anthony:

2009 – Changement climatique: la fonte des glaces déclenchera une vague de catastrophes naturelles. Les scientifiques lors d’une conférence à Londres la semaine prochaine avertiront des tremblements de terre, des avalanches et des éruptions volcaniques du fait de la réchauffement de l’atmosphère et de la modification de la géologie. Même la Grande-Bretagne pourrait être frappée par des tsunamis – « Non seulement les océans et l’atmosphère se conspirent contre nous, entraînant des températures de cuisson, des tempêtes et des inondations plus puissantes, mais la croûte sous nos pieds semble également être de la partie », – professeur Bill McGuire, directeur du centre de recherche Benfield Hazard, à l’University College London, – The Guardian, septembre 2009.

2010 – À quoi ressemble le réchauffement climatique? Il faisait plus de 5 ° C (environ 10 ° F) plus chaud que la climatologie dans la région de l’Europe de l’Est, y compris Moscou. Il y avait une région de l’Asie orientale qui était également exceptionnellement chaude. La partie orientale des États-Unis était exceptionnellement chaude, mais pas au point des points chauds de l’Eurasie. James Hansen – NASA GISS, 11 août 2010.

2011 – Où est allé le réchauffement climatique? «À Washington, le« changement climatique »est devenu un paratonnerre, c’est un mot de quatre lettres», a déclaré Andrew J. Hoffman, directeur de l’Institut Erb pour le développement durable de l’Université du Michigan. – New York Times, le 15 octobre 2011.

2012 – Le réchauffement climatique en passe de devenir un scientifique irréversible. «C’est la décennie critique. Si nous ne prenons pas les virages de la décennie, nous franchirons ces limites », a déclaré Will Steffen, directeur exécutif de l’Institut de la lutte contre le changement climatique de la Australian National University, lors d’une conférence à Londres. Reuters, le 26 mars 2012

2013 – La «preuve» du réchauffement de la planète s’évapore. La saison des ouragans de 2013 vient de se terminer comme l’une des cinq années les plus calmes depuis 1960. Mais ne vous attendez pas à ce que quiconque ait évoqué les ouragans de l’année dernière comme la « preuve » de la nécessité de s’attaquer au réchauffement de la planète; les warmists ne travaillent pas de cette façon. New York Post, le 5 décembre 2013

2014 – Changement climatique: C’est encore pire que ce que nous pensions. Il ya cinq ans, le dernier rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat brossait un tableau sombre de l’avenir de notre planète. Alors que les climatologues rassemblent des preuves pour le prochain rapport, prévu pour 2014, Michael Le Page explique sept raisons pour lesquelles la situation semble encore plus sombre. –Nouveau scientifique (non daté en 2014)

https://www.americanthinker.com/blog/2014/08/120_years_of_climate_scares.html?fbclid=IwAR0rK83w-5VzSbeoPqZL4JFyLGvDe8z9wZDzoJss2EKYMmnvBZ0TF1RU87c#.XZSdZ6u6Ots.facebook




À propos de Trump

[Source : Réseau International]

par Sylvain Laforest.

Le moment est venu de comprendre ce que fait Donald Trump et de
décrypter l’ambigüité de la manière dont il le fait. Le controversé
président a un agenda beaucoup plus clair qu’on ne peut l’imaginer sur
la politique étrangère et les affaires intérieures, mais puisqu’il doit
rester au pouvoir ou même en vie pour atteindre ses objectifs, sa
stratégie est si raffinée et subtile que presque personne ne la
comprend. Son objectif global est si ambitieux qu’il emprunte des
courbes elliptiques aléatoires pour aller du point A au point B, en
utilisant des méthodes qui déconcertent les gens sur leur compréhension
de l’homme. Cela inclut la plupart des journalistes indépendants et les
analystes alternatifs, comme les grands médias occidentaux propagateurs
de fausses nouvelles et une grande majorité de la population.

En ce qui concerne sa stratégie, je pourrais faire une analogie
rapide et précise avec les médicaments : la plupart des pilules sont
destinées à guérir un problème, mais elles sont accompagnées de toute
une série d’effets secondaires. Eh bien, Trump utilise ces médicaments
uniquement pour leurs effets secondaires, alors que la première
intention de la pilule est ce qui le maintient au pouvoir et en vie. À
la fin de cet article, vous verrez que cette métaphore s’applique à
presque toutes les décisions, actions ou déclarations qu’il a faites. À
partir du moment où vous comprendrez Trump, vous serez en mesure
d’apprécier l’extraordinaire mandat présidentiel qu’il accomplit, comme
aucun prédécesseur n’a jamais été proche de le faire.

Pour commencer, clarifions le seul aspect de sa mission qui est sans
détour et terriblement direct : il est le premier et seul président US à
s’être jamais attaqué au pire défaut collectif de l’humanité, soit son
ignorance totale de la réalité. Parce que les médias et l’éducation sont
tous deux contrôlés par la poignée de milliardaires qui dirigent la
planète, nous ne savons rien de notre histoire qui a été tordue à sec
par les vainqueurs, et nous ne savons absolument rien sur notre monde
actuel. En entrant dans l’arène politique, Donald a popularisé
l’expression « fake news » (fausses nouvelles) pour convaincre les
citoyens US, tout comme la population mondiale, que les médias mentent
toujours. L’expression est maintenant devenue banale, mais réalisez-vous
à quel point il est choquant de constater que presque tout ce que vous
pensez savoir est totalement faux ? Les mensonges médiatiques ne
couvrent pas seulement l’histoire et la politique, mais ils ont façonné
votre fausse perception sur des sujets comme l’économie, l’alimentation,
le climat, la santé; sur tout. Et si je vous disais que nous savons
exactement qui a tiré sur JFK depuis le monticule herbeux, que la
connaissance préalable de Pearl Harbor a été prouvée en cour, que
l’effet de serre du CO2 est scientifiquement absurde, que notre argent
est créé par des prêts de banques qui n’ont même pas les fonds, ou que
la science démontre avec une certitude absolue que le 11 septembre fut
une opération interne américaine ? Avez-vous déjà entendu parler d’un
journaliste mainstream, d’un documentaire de PBS ou d’un professeur
d’université parlant de tout cela ? 44 présidents se sont succédés sans
jamais soulever un mot de cet énorme problème, avant que le 45ème
n’arrive. Trump comprend que la libération des gens de cette profonde
ignorance est le premier pas vers la liberté totale, or il a
immédiatement commencé à appeler les journalistes mainstream par ce
qu’ils sont : des menteurs pathologiques.

« Des milliers de professionnels de la santé mentale sont d’accord avec Woodward et l’auteur de l’article d’opinion du New York Times : Trump est dangereux »

Bandy X. Lee, The Conversation 2018

« La question n’est pas de savoir si le Président est fou, mais s’il est fou comme un renard ou fou comme un fou »

Masha Gessen, The New Yorker 2017

Soyons clairs : pour l’establishment, Trump n’est nullement
déficient, mais il est plutôt considéré comme le destructeur potentiel
de leur monde. Depuis qu’il a emménagé à la Maison-Blanche, Trump a été
dépeint comme un narcissique, un raciste, un sexiste et un
climato-sceptique, chargé d’un passé louche et affublé de troubles
mentaux. Même si environ 60% des Américains ne font plus confiance aux
médias, plusieurs ont avalé l’histoire que Trump pourrait être cinglé ou
inapte à diriger, et les statistiques sont encore plus élevées à
l’extérieur des États-Unis. Bien sûr, Donald ne fait rien de spécial
pour changer la perception profondément négative que tant de
journalistes et de gens ont de lui. Il est ouvertement scandaleux et
provocateur sur Twitter, il apparait impulsif et même stupide la plupart
du temps, agit de façon irrationnelle, ment tous les jours, et
distribue des sanctions et des menaces comme si c’était des bonbons
sortis de la hotte d’un elfe dans un centre commercial en décembre.
D’emblée, on peut détruire un mythe médiatique persistant : l’image que
projette Trump est autodestructrice, et c’est exactement le contraire
dont les pervers narcissiques agissent, puisqu’ils veulent être aimés et
admirés par tous. Donald ne se soucie tout simplement pas que vous
l’aimiez ou non, ce qui fait de lui l’ultime anti narcissique, par sa
définition psychologique de base. Et ce n’est même pas ouvert aux
opinions, c’est un fait tout simple et indéniable.

Son plan général se dégage d’une de ses devises préférées : « Nous redonnerons le pouvoir au peuple
» , parce que les États-Unis et leur toile impérialiste tissée à
travers le monde ont été entre les mains de quelques banquiers
mondialistes, industriels militaires et des multinationales depuis plus
d’un siècle. Pour accomplir sa mission, il doit mettre fin aux guerres à
l’étranger, ramener les soldats à la maison, démanteler l’OTAN et la
CIA, prendre le contrôle de la Réserve Fédérale, couper tout lien avec
les alliés étrangers, abolir le système financier Swift, démolir le
pouvoir de propagande des médias, drainer le marais de l’État Profond
qui dirige les agences d’espionnage et neutraliser le gouvernement
parallèle qui se tapis dans les bureaux du Conseil des Relations
Étrangères et de la Commission Trilatérale. Bref, il doit détruire le
Nouvel Ordre Mondial et son idéologie mondialiste. La tâche est immense
et dangereuse, c’est le moins qu’on puisse dire. Heureusement, il n’est
pas seul.

Avant d’aborder ses tactiques et techniques, nous devons en savoir un peu plus sur ce qui se passe réellement dans le monde.

La puissante Russie

Depuis Pierre le Grand, toute l’histoire de la Russie est une
démonstration permanente de sa volonté de maintenir son indépendance
politique et économique vis-à-vis des banques internationales et de
l’impérialisme, poussant cette grande nation à aider de nombreux autres
pays à conserver leur propre indépendance. Par deux fois, la Russie a
aidé les États-Unis contre l’Empire britannique/Rothschild, d’abord en
les soutenant ouvertement pendant la guerre d’Indépendance, puis encore
pendant la guerre civile, alors que Rothschild finançait les Confédérés
pour démanteler la nation et la ramener sous la coupe de l’Empire
colonial Britannique. La Russie a également détruit Napoléon et les
Nazis, tous deux financés par des banques internationales comme outils
pour écraser des nations économiquement indépendantes. L’indépendance
est dans l’ADN russe. Au terme de presque une décennie d’oligarchie
occidentale ayant pris le contrôle de l’économie russe après la chute de
l’URSS en 1991, Poutine a pris le pouvoir et a immédiatement drainé le
marais russe. Depuis lors, chacune de ses actions vise à détruire
l’Empire US, ou l’entité qui a remplacé l’Empire Britannique en 1944,
qui est aussi la dénomination non-associée aux théories de la
conspiration du Nouvel Ordre Mondial. Ce nouvel empire est
fondamentalement le même modèle des banques centrales, avec juste un
groupe légèrement différent de propriétaires qui ont changé l’Armée
royale Britannique pour l’OTAN, comme Gestapo mondiale.

Jusqu’à l’arrivée de Trump, Poutine luttait seul contre le Nouvel
Ordre Mondial dont l’obsession séculaire est le contrôle du marché
mondial du pétrole, puisque le pétrole est le sang qui coule dans les
veines de toute l’économie mondiale. Le pétrole a mille fois plus de
valeur que l’or. Les cargos, les avions et les armées ne fonctionnent
pas avec des batteries. Par conséquent, pour contrer les mondialistes,
Poutine a mis au point les meilleurs systèmes de missiles offensifs et
défensifs, de sorte que la Russie peut désormais protéger tous les
producteurs de pétrole indépendants comme la Syrie, le Venezuela et
l’Iran. Les banquiers centraux et le gouvernement de l’ombre US
s’accrochent toujours à leur plan mourant, car sans une victoire en
Syrie, il n’y a pas d’élargissement d’Israël, mettant ainsi fin au
fantasme centenaire d’unir la production pétrolière du Moyen-Orient
entre les mains du Nouvel Ordre Mondial. Demandez à Lord Balfour si vous
avez le moindre doute. C’est ça le véritable enjeu de la guerre de
Syrie, il ne s’agit rien de moins que d’y arriver ou de mourir.

Un siècle de mensonges

Maintenant, parce qu’un gouvernement de l’ombre commande directement
la CIA et l’OTAN au nom des banques et des industries, Trump n’a aucun
contrôle sur l’appareil militaire. L’État Profond est un chapelet de
fonctionnaires permanents gouvernant Washington et le Pentagone qui ne
répondent qu’à leurs ordres. Si vous croyez toujours que c’est le
« Commandant en chef » qui commande, expliquez pourquoi chaque fois que
Trump ordonne de se retirer de Syrie et d’Afghanistan, des troupes
supplémentaires arrivent ? Au moment où j’écris ce texte, les troupes US
et de l’OTAN se sont retirées des zones kurdes, se sont rendues en Irak
et sont revenues avec du matériel plus lourd autour des réserves
pétrolières de la Syrie. Donald doit encore drainer le marais avant que
le Pentagone n’écoute ce qu’il dit. Trump devrait être outré et dénoncer
à haute voix que le commandement militaire ne se soucie pas de ce qu’il
pense, mais cela déclencherait un chaos inimaginable, et peut-être même
une guerre civile aux États-Unis, si les citoyens qui possèdent environ
393 millions d’armes dans leurs maisons apprenaient que des intérêts
privés sont en charge de l’armée. Cela soulèverait également une
question très simple, mais dramatique : « Quel est exactement le but de
la démocratie ? » Ces armes domestiques sont les barrières de titane qui
protègent la population d’un Big Brother totalitaire.

Il faut se rendre compte à quel point l’armée US et les agences
d’espionnage se donnent du mal pour créer des opérations sous
faux-drapeau (false flags) depuis plus d’un siècle, de sorte que leurs
interventions semblent toujours justes, au nom de la promotion de la
démocratie, des droits humains et de la justice sur la planète. Ils ont
fait sauter le navire Maine en 1898 pour entrer dans la guerre
hispano-étasunienne, puis le Lusitania en 1915 pour entrer dans la
Première guerre mondiale. Ils ont poussé le Japon à attaquer Pearl
Harbor en 1941, étaient au courant de l’attaque 10 jours à l’avance et
n’ont rien dit à la base hawaïenne. Ils ont inventé une agression de
torpilles nord-vietnamiennes contre leurs navires dans la baie du Tonkin
pour justifier l’envoi de soldats sur le sol vietnamien. Ils ont
inventé une histoire de soldats irakiens détruisant des pouponnières
pour envahir le Koweït en 1991. Ils ont inventé des armes de destruction
massive pour attaquer de nouveau l’Irak en 2003 et ont organisé
l’opération du 11 septembre 2001 pour déchirer la Constitution de 1789,
attaquer l’Afghanistan et lancer une guerre interminable contre le
terrorisme. Ce masque de vertu totalement factice doit être préservé
pour contrôler l’opinion des citoyens US et leur arsenal domestique, qui
doivent croire qu’ils portent les chapeaux blancs des cowboys de la
démocratie.

Or, comment Trump a-t-il réagi quand il a appris que les troupes US
revenaient en Syrie ? Il a répété encore et encore dans chaque interview
et déclaration que « nous avons sécurisé les champs pétroliers de Syrie », et a même ajouté « je pense envoyer Exxon dans la région pour s’occuper du pétrole syrien
Les néoconservateurs, les sionistes et les banques étaient ravis, mais
le reste du monde est outré, car la grande majorité ne comprend pas que
Trump avale cette pilule uniquement pour ses effets secondaires. Sur le
flacon est écrit en petits caractères que « l’utilisation de cette
drogue pourrait forcer les troupes US-OTAN à quitter la Syrie sous la
pression de la communauté mondiale unie et de la population US ahurie ».
Trump a rendu la situation insoutenable pour l’OTAN de rester en Syrie,
et la façon dont il a répété cette position profondément choquante et
politiquement incorrecte dévoile clairement sa véritable intention. Il a
détruit plus d’un siècle de fausses vertus en une seule phrase.

Trump est une anomalie historique

Trump n’est que le quatrième président dans l’histoire des États-Unis
à se battre pour le peuple, contrairement aux 41 autres qui ont
principalement canalisé l’argent du peuple dans un pipeline de dollars
aboutissant dans des banques privées. Il y a d’abord eu Andrew Jackson
qui fut tiré à bout pourtant après avoir détruit la Second Bank des
États-Unis, qu’il accusait ouvertement d’être contrôlée par les
Rothschild et la City de Londres. Puis, Abraham Lincoln fut assassiné
après avoir imprimé ses « greenbacks » (billets verts), monnaie
nationale que l’État a émise pour payer les soldats parce que Lincoln
refusait d’emprunter des Rothschild à 24% d’intérêt. Ensuite, il y a eu JFK, qui a été tué pour
une douzaine de raisons qui allaient toutes à l’encontre des profits
des banques et de l’industrie militaire, et maintenant Donald Trump qui
vocifère qu’il va « rendre l’Amérique au peuple ».

Comme la plupart des hommes d’affaires, Trump déteste les banques,
pour le pouvoir formidable qu’elles ont sur l’économie. Il suffit de
jeter un coup d’œil au livre unique d’Henry Ford, « The International Jew
», pour découvrir sa méfiance et sa haine profondes envers les banques
internationales. Les entreprises de Trump ont beaucoup souffert à cause
de ces institutions qui vous vendent un parapluie, pour le reprendre dès
qu’il se met à pleuvoir. Le contrôle des banques privées sur la
création monétaire et les taux d’intérêt, à travers chaque banque
centrale de presque tous les pays, est un pouvoir permanent sur les
nations, bien au-delà du cycle éphémère des politiciens. En l’an 2000,
ces pillards de nations n’étaient plus qu’à quelques pas de leur rêve
totalitaire planétaire, mais deux détails subsitaient : Vladimir Poutine
et 393 millions d’armes US. Puis est arrivé Donald au visage orange, la
dernière pièce du puzzle dont nous, le peuple, avions besoin pour
mettre fin à 250 ans de l’empire des banques.

Techniques et tactiques

Au début de son mandat, Trump a naïvement tenté l’approche directe,
en s’entourant de rebelles de l’establishment comme Michael Flynn et
Steve Bannon, puis en aliénant chacun de ses alliés étrangers, déchirant
leurs traités de libre-échange, imposant des taxes sur les importations
et les insultant en pleine face lors des rencontres du G7 de 2017 et de
2018. La réaction fut forte et tout le monde s’est mis à focaliser sur
l’absurdité du Russiagate, qui semblait la seule option pour arrêter
l’homme sur son chemin de la destruction du mondialisme. Comme on
pouvait s’y attendre, l’approche directe n’a mené nulle part ; Flynn et
Bannon ont dû partir, et Trump fut emmêlé dans une poignée d’enquêtes
lui faisant réaliser qu’il n’obtiendrait rien avec la transparence. Il
devait trouver un moyen d’anéantir les personnes les plus dangereuses de
la planète, mais en même temps, rester au pouvoir et en vie. Il fallait
devenir plus malin.

C’est à ce moment que son génie a explosé sur le monde. Il a
complètement changé sa stratégie et son approche, a commencé à prendre
des décisions absurdes et à tweeter des déclarations scandaleuses. Aussi
menaçantes et dangereuses que certains d’entre elles puissent paraitre,
Trump ne les a pas verbalisées pour leur signification au premier
degré, mais visait plutôt leurs effets secondaires. Et sans se soucier
de ce que les gens pensaient de lui, car seuls les résultats comptent à
la fin. Il a même joué au bouffon sur Twitter, avait l’air naïf, fou ou
carrément idiot, peut-être dans l’espoir de faire croire qu’il ne savait
pas ce qu’il faisait, et qu’il ne pouvait pas être si dangereux. Trump
qui était déjà politiquement incorrect, a poussé beaucoup plus loin pour
montrer l’horrible visage que les États-Unis cachent derrière leur
masque.

Le premier test de sa nouvelle approche fut d’arrêter le danger
croissant d’une attaque et d’une invasion de la Corée du Nord par
l’OTAN. Trump a insulté Kim Jung-Un sur Twitter, l’a appelé Rocket Man
et a menacé de nucléariser la Corée du Nord au ras du sol. Son ire s’est
déchainée pendant des semaines, jusqu’à ce que tout le monde
s’aperçoive que ce n’étaient pas là de bonnes raisons pour attaquer un
pays. Il a paralysé l’OTAN. Trump a ensuite rencontré Rocket Man, et ils
ont marché dans le parc avec la naissance d’une belle amitié, riant
ensemble, tout en n’accomplissant absolument rien dans leurs
négociations, car ils n’ont rien à négocier. Beaucoup parlaient du prix
Nobel de la paix, parce que beaucoup ne savent pas qu’il est
généralement remis pour blanchir des criminels de guerre comme Obama ou
Kissinger.

Puis ce fut le tour du Venezuela. Trump a poussé sa tactique un peu
plus loin, pour s’assurer que personne ne puisse soutenir une attaque
contre le pays libre. Il a mis les pires néoconservateurs disponibles
sur l’affaire: Elliott Abrams, anciennement condamné pour conspiration
dans l’affaire Iran-Contras dans les années ’80 et John Bolton, célèbre
belliciste au premier degré. Trump a ensuite confirmé Juan Guaido comme
son choix personnel pour la présidence du Venezuela; une marionnette
vide si stupide qu’il ne peut même pas comprendre à quel point on
l’utilise. Une fois de plus, Trump a menacé de réduire le pays en
cendres, tandis que la communauté mondiale désapprouvait le manque total
de subtilité et de diplomatie dans le comportement de Trump, avec pour
résultat final que le Brésil et la Colombie ont reculé en déclarant
qu’ils ne voulaient rien avoir à faire avec une attaque sur le
Venezuela. La prescription de Trump n’a laissé que 40 pays satellites
dans le monde, avec des présidents et des premiers ministres
suffisamment dénués de cervelle pour soutenir timidement Guaido le
bouffon. Donald a coché la case à côté du Venezuela sur sa liste, et a
continué de défiler vers le bas.

Puis vinrent les deux cadeaux à Israël : Jérusalem en tant que
capitale, et le plateau du Golan syrien en tant que possession
confirmée. Netanyahou qui n’est pas le crayon le plus aiguisé dans le
coffre a sauté de joie, et tout le monde criait que Trump était un
sioniste. Le véritable résultat fut que l’ensemble du Moyen-Orient s’est
uni contre Israël, que plus personne ne peut soutenir. Même leur
complice historique, l’Arabie Saoudite, a dû désapprouver ouvertement
cette lourde gifle à l’Islam. Les cadeaux jumeaux de Trump étaient en
fait des coups de poignard dans le dos de l’État d’Israël, dont l’avenir
ne semble pas très prometteur, puisque l’OTAN devra bientôt quitter la
région. Case cochée à nouveau.

Alors que la réalité s’installe

Mais ce n’est pas tout ! Avec son absence de contrôle sur l’OTAN et
l’armée, Trump est très limité dans ses actions. À première vue, la
multiplication des sanctions économiques contre des pays comme la
Russie, la Turquie, la Chine, l’Iran, le Venezuela et d’autres pays
semble dure et impitoyable, mais la réalité de ces sanctions a poussé
ces pays hors du système financier Swift conçu pour maintenir les pays
esclaves dans l’hégémonie du dollar, et ils glissent tous entre les
mains des banques internationales. Elles ont forcé la Russie, la Chine
et l’Inde à créer un système alternatif de paiements commerciaux basé
sur les monnaies nationales, au lieu du dollar tout-puissant. La réalité
bipolaire du monde est maintenant officielle, et avec ses prochaines
sanctions à venir, Trump poussera encore plus de pays hors du système
Swift pour rejoindre l’autre camp, au moment où d’importantes banques
commencent à tomber en Europe.

Même dans l’ouragan politique entourant Trump, il trouve encore le
temps d’afficher son humour arrogant presque enfantin. Regardez sa
dernière moquerie grandiose d’Hillary Clinton et de Barrack Obama, alors
qu’il s’est assis avec des généraux aux traits tendus, pour prendre une
photo dans une « salle de situation » alors qu’ils simulaient la
surveillance de la mort de Baghdadi quelque part où il ne pouvait pas
être, exactement comme ses prédécesseurs criminels l’ont fait il y a
longtemps avec le faux assassinat de Ben Laden. Il a même poussé la
blague jusqu’à ajouter les détails d’un chien reconnaissant le faux
calife de Daesh en reniflant ses sous-vêtements. Maintenant que vous
comprenez qui est vraiment Trump, vous serez également en mesure
d’apprécier le spectacle, dans toute sa splendeur et sa vraie
signification.

« Nous avons sécurisé les champs de pétrole de Syrie.» Avec
cette courte phrase, Trump joint sa voix à celle du Général Smedley
Butler qui fit vibrer le monde il y a 80 ans avec un petit livre
intitulé « La Guerre est un racket.» Piller et voler du pétrole
n’est certainement pas aussi vertueux que de promouvoir la démocratie
et la justice. Ce qui m’étonne, ce sont ces nombreux journalistes et
analystes « alternatifs », qui connaissent sur le bout des doigts tous
les problèmes techniques dans l’histoire officielle du 11 septembre, ou
la réalité scientifique de l’absurde réchauffement climatique
anthropique, mais qui n’ont toujours aucune idée de ce que fait Trump, 3
ans après le début de son mandat, car ils ont été convaincus par les
grands médias que Trump était un malade mental.

Pour ceux qui doutent encore du programme de Trump, croyez-vous
vraiment que l’implosion évidente de l’impérialisme US sur la planète
soit une coïncidence ? Croyez-vous toujours que c’est à cause de
l’influence russe sur les élections de 2016 que la CIA, le FBI, tous les
médias, le Congrès US, la Réserve Fédérale, le Parti Démocrate et la
moitié belliciste des républicains travaillent contre lui et tentent
même de le destituer ? Comme la plupart de ce qui sort des médias, la
réalité est exactement le contraire de ce que l’on vous dit : Trump est
peut-être l’homme le plus dévoué qui ait jamais mis les pieds dans le
bureau ovale. Et certainement le plus ambitieux et politiquement
incorrect.

Conclusion

Le monde changera radicalement entre 2020 et 2024. Le deuxième et
dernier mandat de Trump coïncide avec le dernier mandat de Poutine en
tant que Président de la Russie. Il se peut qu’il n’y ait pas une autre
coïncidence comme celle-ci avant très longtemps, et les deux savent que
c’est maintenant, ou peut-être jamais. Ensemble, ils doivent mettre fin à
l’OTAN, à Swift, et l’Union Européenne devrait s’effondrer. Le
terrorisme et le réchauffement climatique anthropique sauteront dans le
tourbillon et disparaitront avec leurs créateurs. Trump devra drainer le
marais de la CIA et du Pentagone et nationaliser la Réserve Fédérale.
Avec Xi et Modi, ils pourraient mettre un terme définitif de l’ingérence
des banques privées dans les affaires publiques, en refusant de payer
un seul sou de leurs dettes, et refonder l’économie mondiale en se
tournant vers les monnaies nationales produites par les gouvernements,
et les banques privées tomberont comme des dominos, sans plus de
serviteurs comme Obama pour les sauver à vos frais. Après, une paix et
une prospérité insupportables pourraient errer sur la planète, car nos
impôts paieront pour le développement de nos pays au lieu d’acheter du
matériel militaire inutile et payer des intérêts sur les prêts des
banquiers qui n’avaient même pas ces fonds en premier lieu.

Si vous ne comprenez toujours pas Donald Trump après avoir lu ce qui
précède, vous êtes sans espoir. Ou vous êtes peut-être Trudeau, Macron,
Guaido, ou tout autre idiot utile, ignorant que le tapis sous vos pieds a
déjà glissé.

Source : About Trump

traduit par Réseau International




Comprendre pourquoi ils mentent et pourquoi ils s’en tirent

[Source : Le Saker Francophone]


Par The Saker − Le 12 février 2020 − Source Unz Review via thesaker.is

2015-09-15_13h17_31-150x112

Au
lieu d’une introduction normale, voici l’estimation, en constante
évolution,  des dommages causés par  l’attaque iranienne contre la base
militaire US en Irak.

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Le Pentagone a recommencé. Grâce à CNN, bien sûr. Voici les «dernières nouvelles» :

Plus de 100 militaires américains ont été diagnostiqués avec de légères lésions cérébrales traumatiques à la suite de l'attaque iranienne au missile du 8 janvier sur la base militaire d'Al Asad en Irak, selon un responsable américain connaissant les dernières informations.

Sur son site Internet, le colonel Cassad a proposé, disons, une « évolution » de la vérité telle que rapportée par les États-Unis, au fil des jours :

X signifie «victimes survivantes» Y signifie «morts»

  1. X = 0, Y = 0
  2. X = 11, Y = 0
  3. X = 34, Y = 0
  4. X = 50, Y = 0
  5. X = 64, Y = 0
  6. X = 109, Y = 0
  7. X> ​​200, Y> 80 ?

Cette dernière ligne est, bien sûr, hypothétique, mais au moment de la rédaction, nous sommes déjà à 109 victimes !

Notez que si le nombre de blessés survivants augmente régulièrement, il n’y a pas d’augmentation correspondante du nombre de morts, pour eux tout ce que nous avons, ce sont des «accidents d’avion» – tous, nous dit-on, accidentels. Demandez à n’importe quel spécialiste, ou historien militaire, il vous dira que ce type d‘«évolution» est extrêmement improbable – voir ici pour une discussion. En termes simples – ce genre de chiffres est à l’évidence impossible, ce qui signifie qu’à partir du moment où l’Idiot en chef a tweeté «jusqu’ici tout va bien», les États-Unis mentaient déjà :

Tout va bien ! Des missiles ont été lancés depuis l'Iran sur deux bases militaires situées en Irak. L'évaluation des pertes et des dommages est en cours. Jusqu'ici tout va bien ! Nous avons de loin les militaires les plus puissants et les mieux équipés du monde ! Je ferai une déclaration demain matin.
- Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 8 janvier 2020

Y a-t-il vraiment quelqu’un par ici qui niera que le gouvernement
américain ment à peu près sur tout et n’importe quoi ? Et ce n’est pas
seulement le pouvoir exécutif, le Congrès ment peut-être encore plus –
les deux partis, bien sûr. En fait, je dirais que mentir est à la fois nécessaire et attendu
de tout politicien américain. Quand quelqu’un, comme Tulsi Gabbard ou
Ron Paul, ne respecte pas cette règle, les médias le disqualifient
immédiatement comme «agent de Poutine» ou quelque chose de tout aussi insipide.

Le fait est que le mensonge est devenu la norme du discours politique occidental.

C’est déjà assez mauvais en soi. Mais il y a pire.

Le pire n’est pas que les politiciens occidentaux mentent, le pire est que tout le monde s’en fout.

C’est vraiment effrayant.

Pourquoi ?

Parce que dans une société qui s’attend à ce que tout le monde mente, les faits n’ont plus d’importance.

Voilà donc la question clé : nous en soucions-nous ou pas ?

Eh bien, certains s’en soucient encore clairement. Sinon nous
n’aurions pas les livres d’Howard Zinn ou les films d’Oliver Stone parmi
les best-sellers. Nous n’aurions pas non plus un mouvement
dynamique sur la vérité du 11 septembre. Vous voulez plus de preuves ?
Sûr ! Qu’en est-il de tous ceux qui sont prêts à s’exiler – ou être
emprisonnés ! – pour défendre les droits des historiens à enquêter
librement sur l’histoire de la Seconde Guerre mondiale ? Qu’en est-il
d’Edgar Snowden, de Julian Assange ou de Bradley Manning ? Qu’en est-il
des millions de personnes en Occident qui sont descendues dans la rue
pour protester contre les différentes guerres contre la terreur ? Non, il y a clairement beaucoup de gens qui s’en soucient.

Le problème est que leur impact est minime, et c’est ce que je veux examiner aujourd’hui.

Les faits et la vérité sont-ils devenus inutiles ?

Je doute qu’il y ait beaucoup de personnes qui lisent ces lignes et
qui ne savent pas déjà que Kennedy n’a pas été tué par un seul tireur.
De même, nous connaissons tous la vérité sur l’incident du «golfe du Tonkin».
Ensuite, il y a ceux qui se rendent compte que quelque chose à propos
de l’attaque de Pearl Harbor pue jusqu’au ciel. Certains se souviennent
même de l’USS Liberty. La plupart des spécialistes connaissent le réseau GLADIO. Et je pourrais continuer encore et encore. Le fait est que la plupart des pires mensonges du 20e siècle ont été démystifiés hors de tout doute raisonnable, vraiment.

Chris Hedges a vraiment touché le point sensible quand il a écrit l’«Empire of Illusions». Il nomme les types d’illusions suivants : l’illusion de l’alphabétisation, l’illusion de l’amour, l’illusion de la sagesse, l’illusion du bonheur et l’illusion de l’Amérique. Le livre est très intéressant et je le recommande vivement. Mais je pense qu’il y a un aspect crucial de l’Empire en tant qu’«Empire des Illusions» et c’est l‘illusion de la réalité. Qu’est-ce que je veux dire par là ?

Je veux dire ce qui suit : la plupart des gens sont conscients qu’il existe une sorte de «réalité» quelque part. Bien sûr, beaucoup de gens savent combien il peut être difficile de déterminer ce qu’est vraiment la «réalité réelle»,
ils préfèrent donc affirmer avec prudence que la vérité est une
entreprise très difficile. Ce sont des gens qui en savent assez pour
savoir qu’ils ne savent vraiment pas grand-chose. Mais il y a aussi ceux
qui interprètent mal cette prudence comme signifiant qu’il n’y a
vraiment pas de réalité du tout et tout ce qu’il y a, c’est la somme de
notre perception subjective de la réalité qui est. Rapidement  nous
avons glissé de :

  • La réalité est souvent très difficile à établir,

à

  • La réalité est impossible à établir

à

  • La réalité n’existe pas du tout – ou, si elle existe, cela n’a pas vraiment d’importance.

Bien sûr, la plupart des gens ne déclarent pas directement que la
réalité n’existe pas – ils agissent simplement comme si elle n’existait
pas.

Tout a commencé il y a des siècles par une indifférence assez redoutable à la Vérité de la part des dirigeants de la papauté. Ces gens étaient uniquement concernés par le pouvoir, donc si la religion pouvait le leur donner, alors la religion était bonne, mais quand la religion imposait des limites à ce que les Latins pouvaient, ou ne pouvaient pas, faire – disons comme lors de la fameuse «Controverse de Valladolid» en 1550  – soudainement la religion est devenue un obstacle qui a dû être «réformé». Et, en effet, une fois que le christianisme d’origine a été « réformé » – que ce soit par la Réforme ou la Contre-Réforme – tout le ciel s’est écroulé sur la plupart de l’humanité, l’ère de l’impérialisme a été pleinement inaugurée et l’ancienne devise « exitus acta probat » [la fin justifie les moyens] est devenue de facto la mesure de la moralité.

Puis vint le premier coup de la révolution scientifique de la fin de
la Renaissance qui laissa très peu de crédibilité à la papauté.

Le coup suivant est venu pendant la Seconde Guerre mondiale lorsque la papauté a vu son tout dernier hourra se dissiper, assez rapidement en fait – cela a duré aussi longtemps que le «Reich millénaire» d’Hitler, soit 12 ans. À la fin de la guerre, le christianisme occidental était une ruine et, pire encore, aucun des vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale – Anglo saxons réformés, Soviétiques athées, Juifs – laïques ou non, etc. – n’avait de sentiments chaleureux pour le christianisme – à vrai dire, Hitler ou Mussolini non plus. À ce stade, la papauté a décidé de se suicider et a organisé le Concile Vatican II, qui doit être la reddition de valeurs civilisationnelles la plus massive jamais tenue pour sacrée dans l’histoire. Cette tentative mal avisée de montrer «le catholicisme romain à visage humain» a abouti à un échec total. Ceux qui détestaient la papauté n’étaient pas impressionnés et ne la détestèrent que plus. Quant à la hiérarchie confuse des «catholiques romains», que j’appelle «latins», ils se sont retrouvés avec l’énigme suivante : si le pape est infaillible, ce qu’il est selon le Premier concile du Vatican de 1868, comment peut-il si clairement contredire les enseignements de sa propre Église ? Sans parler des enseignements de ses prédécesseurs présumés infaillibles ! Certains ont déclaré que le pape était un hérétique, d’autres ont simplement déclaré que le «Saint-Siège» était inoccupésedevacantisme»), mais la plupart ont tout simplement abandonné dans un dégoût total – les scandales sexuels n’ont pas aidé ! Ils ont simplement cessé de demander « qu’est-ce que la vérité » ?

Lorsqu’une église qui s’était déclarée « L’Église » – toute en majesté, et à l’exclusion de toutes les autres – pendant 910 ans – presque un millénaire ! – agit soudain comme si toutes les religions étaient également « vraies », c’est logiquement impossible, mais peu importe, et quand un «Saint-Père» autrefois puissant et Vicaire du Christ – rien que ça ! – devient juste une autre figure people, quelque part entre Kim Kardashian et Greta Thunberg, vous savez que quelque chose de très important s’est produit.

Quelque chose de très mauvais aussi.

La vérité n’est pas seulement malvenue, elle n’existe même pas, d’accord ?!

Les deux guerres mondiales ont été la manifestation d’un immense effondrement civilisationnel. La Première Guerre mondiale a vu l’effondrement des monarchies et empires européens traditionnels. La Seconde Guerre mondiale et son explosion de haine absolument sans précédent, à tous niveaux, politique, classe sociale, race, langage, religion, etc., a vu l’Europe, autrefois au centre de notre planète, soumise à un bain de sang monstrueux, bien que hautement prévisible, et tomber entre les mains de deux pouvoirs non-européens divisant le monde en deux sphères d’influence – du moins c’était le plan. Plus intéressant encore, alors que les dirigeants et les pays nominalement «chrétiens» ne pouvaient pas ouvertement plaider en faveur de la terreur de masse, les laïcs «éclairés» n’avaient aucun problème de ce type. Il suffit de lire la prose du brillant et si clairement satanique, Trotsky, dans « Dictature contre démocratie » ou le cinquième chapitre d’Hitler dans Mein Kampf – ici en allemand si vous le pouvez !

Dostoïevsky et Soljenitsyne ont tous deux prédit ce qui arriverait
inévitablement dans un monde dans lequel règne le nihilisme. Dostoïevsky
a très simplement résumé tout cela quand il a écrit, dans les Frères
Karamazov, « S’il n’y a pas de Dieu, alors tout est permis ».
Les nihilistes ont simplement conclu logiquement que s’il n’y a pas de
Dieu, et que tout est permis, alors rien n’existe vraiment, certainement
pas les réalités «réelles» (objectives). Même les notions de «bien» et de «mal» n’ont absolument aucun sens en l’absence d’un système de référence absolu.

Bertrand Russel, et apparemment aussi Voltaire, a un jour brillamment écrit que «Dieu a créé l’homme à Son image et l’homme Lui a rendu la pareille». Des mots incroyables, vraiment ! Si nous ne sommes pas la création de Dieu, mais que Dieu est notre création, cela nous rend très semblables à Lui, n’est-ce pas ? Et, en tant que «dieux» – ne méritons-nous pas de définir nous-mêmes ce qui est «bon» et ce qui est «mauvais» ? Bien sûr, nous le faisons ! Une fois que la vie et l’existence n’ont  plus de sens, comment des concepts tels que le «bien» ou le «mal» pourraient-ils en avoir un  ? Et c’est exactement ce que nous avons fait, en particulier notre 21e siècle post-moderne nihiliste !

Retour au point de départ – évaluer l’argument du  «Il n’y a plus de vérité ? Et alors ?»

J’ai déjà mentionné à plusieurs reprises l’hypocrisie hallucinante des Dems [Parti démocrate US ] qui détestent tous Trump pour sa prétendue défense «Et alors quoi ?» [So What ?] – cequi, soit dit en passant, est une mauvaise caricature, sa défense était beaucoup plus solide et logique – mais [les Dems]
n’ont absolument aucun problème avec des gens comme Obama ou, mieux
encore, les Clinton à côté desquels Trump ressemble presque à un
parangon d’honnêteté, d’intégrité avec un sens aigu de la décence. Je
veux dire, vraiment, les Clinton ont fait paraître des mafieux violents –
italiens ou juifs – comme purs et innocents. Et quand ils mentent, ce
n’est absolument pas grave. Mais quand Trump ment, il suscite le genre
de rage aveugle, impuissante, qui dans l’Évangile est décrite par les
mots «pleurant et grinçant des dents». C’est peut-être à cela que les libéraux américains font référence lorsqu’ils parlent du «syndrome de dérangement de Trump» ?

La vérité est simple : nous savons tous que Trump a menti. À propos
de la contre-attaque iranienne et de bien d’autres choses. Nous savons
également qu’Obama a menti. Et bébé-Bush aussi. Et Clinton et ses
cigares sans sexe 1… Et nous nous souvenons aussi de «Lisez sur mes lèvres, pas de nouvelles taxes» aussi bien que de «Nous
n’avons pas, je le répète, pas échangé d’armes ou quoi que ce soit
d’autre (en Iran) contre des otages, et nous ne le ferons jamais»
. Alors oui, on s’en souvient.

Nous ne nous en soucions plus, tout simplement.

Nous avons été complètement désensibilisés non seulement à la vérité, mais même à la réalité.

Et après, ok ?

Et les conséquences sont terribles en effet !

Conclusion : la vie dans un monde sans réalité

Le fait que nous, qui vivons à l’intérieur de l’Empire, sommes dans
un monde sans réalité a un impact énorme sur les actions de nos
dirigeants. Après tout, si personne ne croit vraiment à la réalité ou ne
s’en soucie pas vraiment, alors pourquoi nos dirigeants devraient-ils
se soucier d’améliorer la réalité, en particulier pour nous ? Il est
beaucoup, beaucoup plus simple de présenter benoîtement un message «de bonne humeur» sur la formidable «Amérique» – du genre : «Nous avons les militaires les plus puissants et les mieux équipés du monde, et de loin !». Et
peu importe que les militaires les plus puissants de la Galaxie ne
puissent même pas protéger leurs propres soldats alors qu’ils savaient
exactement quand et où la contre-attaque iranienne allait se produire.

Bien sûr, avec le temps, tout l’édifice de mensonges construit par
les politiciens américains et européens s’écroulera, soit à la suite
d’une défaite militaire impossible à cacher, soit à cause d’un choc
économique majeur. Ce sera totalement inattendu pour ceux qui
choisissent de vivre dans un monde sans réalité.

The Saker

Traduit par jj, relu par Kira pour le Saker Francophone

Notes

  1. Allusion à la défense utilisée par Clinton lorsqu’il a déclaré qu’il n’avait pas eu de relation sexuelle avec Monica Lewinsky, sa secrétaire, car il l’aurait pénétrée avec un cigare



De « Décodeurs de l’info » à « Décorateurs de l’info » : Le Monde a t-il franchi le pas ?

[Source : France Soir]

Auteur(s): Gérard Delépine et FranceSoir

Contrairement à l’avis du « décodeur » du Monde, nous confirmons que le confinement aveugle et policier a augmenté la mortalité.

Dans un article des décodeurs du monde du 15 juin[1],  en réponse à notre article sur le confinement dans France soir [2] William Audureau, journaliste, présente le docteur G Delépine chirurgien orthopédiste et cancérologue[3] comme un « cancérologue controversé ».   Réaction de l’intéressé : « première nouvelle, je suis très surpris de l’apprendre, car pour la communauté internationale des chirurgiens des cancers des membres, je représente plutôt un chirurgien novateur de la chirurgie évitant l’amputation, reconnu dans le monde entier, ainsi qu’en attestent les invitations qui m’ont été faites d’aider des collègues dans plus de 10 pays d’Europe et d’Afrique, mes articles référencés dans PubMed[4] , et des conférences ou des modérations de séminaires de congrès de très nombreuses sociétés internationales dans plus d’une trentaine de pays depuis plus de 30 ans. Je suis encore souvent sollicité pour des avis tant en France qu’à l’étranger, n’en déplaise à nos critiques du Monde ».

Il est clair que lorsque l’on ose émettre un avis différent de la pensée unique officielle, on devient au minimum « controversé » et rapidement complotiste. Le Pr Raoult pourtant sommité internationale et souvent récompensé y compris en France est devenu « controversé ». Finalement, il suffit de décoder le langage orwellien.

Monsieur Audureau manque peut-être d’expérience, de temps et/ou n’a éventuellement qu’une vision franco-française de la probité et de la notoriété qui peut s’ensuivre. Il est vrai qu’à l’occasion de cette crise, nous avons tous constaté que la France semblait relever d’une autre planète que le reste du monde, osant laisser calomnier sur des chaines de télévision un éminent infectiologue admiré à l’étranger, un prix Nobel de médecine etc. par certains journalistes et/ou chroniqueurs.  Cette crise mortifère démontre la limite de capacités de certains journalistes à tout simplement interpréter et/ou comprendre l’information, aveuglés par la publication de The Lancet à en oublier le devoir critique sur l’information de base. L’erreur commise par le Pr Mehra est observable dans bien des médias : ne pas questionner « l’origine des données ».  Dans le cas présent monsieur Audureau, plutot que de faire un travail originel en observant et analysant les effets du confinement, préfère évaluer le travail de fond fait par son confrère FranceSoir, en s’appuyant sur des experts statistiques qui parlent hors contexte.    

Effectivement, nous avons des mots très durs contre le confinement policier mortifère qui nous a été imposé et ils sont nécessaires pour éviter aux autorités d’oser y recourir à nouveau. Comment pourrait-on parler à la légère d’une action sanitaire qui a causé inutilement la mort d’environ 50 000 français au moins, dont la moitié assez directement et autant de victimes ou plus des conséquences directes et indirectes de ce confinement meurtrier ? 

25000 français n’auraient pas dû mourir du Covid19 ou d’euthanasie par Rivotril (parce que Covid ou supposés Covid, alors qu’ils ne souffraient parfois que d’une simple grippe, d’une embolie pulmonaire ou d’un infarctus, le tout classé détresse respiratoire au téléphone et donc refusés en hospitalisation). Ils avaient pour seul tort d’être âgés ou handicapés et la malchance de ne pas avoir reçu un traitement précoce par chloroquine et azithromycine interdit par le gouvernement pour les vrais Covid19. Ils n’avaient pas non plus eu la chance d’avoir été examinés, par un médecin au lit du malade, pour établir un vrai diagnostic et donc se voir prescrire un traitement adapté.

Pourquoi le Covid19 a-t-il conduit à l’arrêt de tous les soins habituels ? Qui en a décidé ? Au nom de quelle médecine ?

Si on avait suivi l’exemple de la Corée, de Taiwan, du Japon ou de l’Allemagne, (qui n’ont pas confiné, mais seulement pratiqué des quarantaines ciblées), on aurait probablement pu éviter une grande majorité de ces décès.

Les « morts politiques » par interdiction de soigner via le plan Blanc

D’autres décès ont aggravé le bilan du Covid19  et de ce confinement aveugle et général : plus de 25000 victimes au minimum seront à déplorer, conséquence de l’interdiction de soigner, qu’ils soient déjà morts (d’arrêt cardiaque, d’accidents vasculaires cérébraux, de suicide) ou qui vont mourir dans les mois ou les années qui viennent, car leurs chances de guérison ont été définitivement compromises par le retard de diagnostic et de traitements imposé par le plan Blanc.[5] Parmi eux 10000 à 15000 des 90000 cancéreux qui auraient dû être reconnus durant les 3 mois du plan blanc, mais aussi combien de cardiaques , d’hypertendus, de malades neurologiques, de diabétiques..[6]

Pour un docteur qui a juré de défendre ses malades, toutes ces victimes du Covid non traitées et ces malades abandonnés constituent une violation directe du serment d’Hippocrate et de l’arrêt Mercier de 1936.  Celui-ci impose de donner à chaque patient les meilleurs soins en fonction des données acquises de la science et non pas des recherches en cours. Le refus de traitement doublé du confinement a mis la France dans la plus mauvaise position

puisqu’à ce jour, nous sommes le pays au monde qui a la plus forte mortalité par rapport au nombre de contaminés.

Quelles compétences pour oser afficher ce graphique avec la mention « faux » ?

William Audureau, journaliste se permet de traiter notre graphique sur la mortalité mondiale du Covid en fonction du type de confinement, de « grossier et manipulateur » et l’affuble d’un « faux » alors que toutes les données sont exactes et vérifiables par tous : il s’agit des données publiées par l’OMS [7] . Les remet-il en cause ? Dans ce cas, il devrait nous le dire.

Dans son texte, il sous-entend par un « sic » que le confinement aveugle ne pourrait jamais être suivi d’une multiplication de la mortalité par 200. Pourtant ce coefficient était vrai au 15 mai ; au 17 juin 2020 les données de l’OMS donnent une mortalité de 834 par million d’habitants en Belgique, confinée aveuglément à la française, contre 4,4 à Singapour, soit 190 fois plus, attribuable à ce confinement délirant.

Faire appel à un statisticien pour parler de corrélation et de causalité sans lui fournir toutes les données de l’analyse est trop facile, mais « les décodeurs du Monde » se le permettent.  Afin de tirer conclusion de causalité il faut un peu plus de temps qu’une simple question au téléphone et un propos pris hors de son contexte.  Nous aurions pu facilement faire de même et leur faire dire l’inverse des propos tenus.   

La nouvelle médecine pratiquée par des non-médecins

 Pour étayer son argumentation, le journaliste du Monde ne recueille pas l’avis de médecins cliniciens, mais de non-médecins selon la coutume « moderne » qui sévit depuis quelques années :  faire des séminaires de refondation de la santé, avec des sociologues, des économistes, des biologistes, mais exceptionnellement de vrais docteurs, parfois un médecin de santé publique, mais de médecins de terrain au lit du malade, quasiment jamais.

Ainsi, il interroge des non-médecins (Patrick Pintus, professeur d’économie, Pierrick Tranouez, ingénieur de recherche, Olivier Borraz, directeur du Centre de sociologie des organisations). Ces trois-là trouvent le graphique contestable parce qu’il n’y aurait qu’une corrélation statistique entre le confinement et mortalité.

Ils ont raison sur la réalité d’une corrélation statistique significative forte mais paraissent ignorer qu’en médecine d’observation la mise en évidence d’une corrélation statistique évoque la possibilité d’un lien de causalité directe et constitue la première étape de sa démonstration. Ces notions furent agitées sur les ondes ces trois derniers mois à propos de la polémique ubuesque sur la chloroquine.

Ce graphique dont les données sont indiscutables soulève donc un problème crucial qu’ils refusent d’aborder : pour quelle autre raison les pays qui confinent sans séparer les infectés des autres seraient-ils dans le top 5 mondial de la mortalité ?

Aucune autre raison valable exposée dans cet article pour expliquer l’importance de la mortalité dans les pays confinés aveuglément

Et lorsque ces chercheurs évoquent quelques hypothèses susceptibles d’être responsables des différences de mortalité observée, ils se gardent bien de rechercher les corrélations statistiques nécessaires à leur crédibilité. Non, ils préfèrent se fier à leur intuition et/ou à leur croyance, ce qui est paradoxal dans le cadre d’une critique soi-disant scientifique d’un graphique.

Ils prétendent que la diminution des cas de contamination dans les quatre pays confinés à la française serait liée au confinement aveugle, mais cette hypothèse est totalement incompatible avec la durée d’incubation de la maladie[8], les dates des confinements et les courbes de contaminations qui ne paraissent pas avoir intéressé nos contradicteurs non-médecins.

L’analyse la plus récente de la maladie[9], comme celles qui l’ont précédé ont démontré que la durée d’incubation, (temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes permettant le diagnostic clinique), est d’environ 5 jours. S’il était efficace sur la transmission de la maladie, le confinement aveugle devrait entraîner une diminution du nombre de contaminations quotidiennes dès les 5-6e jours du confinement.

Le confinement italien, un échec majeur

En Italie, instauré le 9 mars, le confinement aurait dû entraîner une décroissance du rythme des contaminations ou au moins sa stabilisation dès le 14-15 mars. Or les données de l’OMS objectivent une explosion des contaminations jusqu’au 30 mars.

L’échec patent du confinement aveugle a d’ailleurs contraint les autorités sanitaires italiennes (plus souples que les Françaises) à recommander le traitement par l’hydroxychloroquine des infectés confinés à domicile.

C’est 8 à 10 jours après l’instauration du traitement par l’hydroxychloroquine que la courbe des contaminations s’est inversée en Italie, double preuve de l’inefficacité du confinement aveugle, policier et de l’efficacité de la chloroquine qui aurait largement suffi à traiter l’épidémie en évitant le drame économique, social et psychologique de l’enfermement carcéral d’une population innocente.

Evolution des contaminations en Italie

Evolution des contaminations en Italie - FranceSoir

Espagne et France, échecs patents du confinement

En Espagne et en France la baisse des contaminations a été également beaucoup trop tardive (une vingtaine de jours) pour être attribuée au confinement

Evolution des contaminations en France

Evolution des contaminations en France - FranceSoir

En Belgique, le confinement parait même avoir été franchement nocif, puisque c’est après celui-ci que les contaminations ont explosé, contrairement à la situation dans les Pays-Bas voisins non confinés et qui s’en sortent avec une mortalité deux fois plus faible.

Pourquoi refuser la comparaison entre les pays ?

Nos contradicteurs affirment que comparer les situations des différents pays n’a pas d’intérêt.  Pourtant chaque soir, dans les journaux télévisés, s’étalent encore les mortalités comparées dans le monde. Peut-être pour tenter de critiquer les USA ou le Brésil qui, relativement, ont plutôt moins de morts que nous ?

Les adeptes des modélisations qui ont coûté si cher au monde ?

Comment analyser autrement l’effet des différentes politiques sanitaires ? En tout cas, pas avec des modélisations dont le modèle achevé a été celle de Ferguson[10] qui a servi de prétexte pour nous confiner. Il prédisait 2,2 millions de morts aux USA, 500000 en Grande Bretagne et en France, 100000 aux Pays-Bas et 70000 en Suède si on ne confinait pas aveuglément.

Ces deux derniers pays ont refusé le confinement et ne pleurent respectivement au 17 juin[11] que 6070 et 4939 morts, soit 14 à 16 fois moins que ce qu’avait prévu Ferguson !

Les décodeurs se basent sur leur intuition et non sur les faits

Pierrick Tranouez affirme aussi péremptoirement que : « quand on voit les courbes de la Suède [qui n’a pas opté pour un confinement généralisé], de la Norvège et de la Finlande, cela donne l’intuition que c’était une bonne idée de confiner ».

Mais intuition mal informée n’est pas scientifique. Sait-il que Camilla Stoltenberg, directrice générale de l’Institut norvégien de santé publique a affirmé fin mai que le confinement n’était vraisemblablement pas responsable[12] des bons résultats sanitaires de son pays en précisant[13] « le taux de reproduction effectif était déjà tombé à 1,1 le 12 mars » [avant le confinement]. De ce fait, « les résultats obtenus avec confinement ou sans confinement auraient été similaires ». « Nous aurions pu rester non confinés en prenant simplement une série de précautions pour ralentir l’épidémie. Il est important que nous en soyons conscients ».

Mea culpa de la première ministre norvégienne

L’agence norvégienne des statistiques a calculé les dommages permanents causés par les fermetures d’écoles : « chaque semaine d’enseignement en classe refusée aux élèves, freine les chances de réussir sa vie et réduit de façon permanente le potentiel futur des revenus ».

C’est sur ces données que la première ministre norvégienne Erna Solberg vient courageusement de reconnaitre à la télévision nationale qu’elle aurait dû suivre l’exemple de ses voisins suédois et a regretté les contraintes sanitaires qu’elle a imposées[14]. Nous accordons à notre contradicteur aux intuitions erronées la présomption de bonne foi : il ne regarde peut-être pas cette chaine où la ministre s’est exprimée en norvégien… 

Pierrick Tranouez affirme encore : « plus cela se passait mal dans un pays, plus on a confiné. Quand ça se passait mieux, on confinait moins. »   Ce qui n’est évidemment qu’un constat des faits, non de leur intérêt, mais reflet de la pression des organisations internationales sur les gouvernements via la manipulation de la peur sur les peuples.  Rien d’une démonstration scientifique.

Que disent les courbes de progression de l’épidémie ?

Lorsqu’on examine les courbes de contamination des Pays-Bas et de la Belgique, on peut vérifier que le confinement belge a été décidé et imposé alors que tout se passait aussi bien en Belgique que chez ses voisins néerlandais et que c’est après le confinement que la situation belge a échappé à tout contrôle.

Confinement Belgique

Confinement Belgique - FranceSoir

Décision prise sur la panique créée par les prédictions et non sur un état critique réel

Même chose en France : la décision de confiner aveuglément n’a pas été motivée par une situation menaçante, mais par la crainte des prédictions cataclysmiques de Ferguson promettant 500000 morts, si on ne confinait pas.

Evolution reelle de l’épidemie mais par la peur

Evolution reelle de l'épidemie mais par la peur - FranceSoir

Patrick Pintus prétend aussi que l’âge avancé des populations en Espagne, l’Italie et la France, expliquerait le surplus de mortalité observé, ce qui ne serait pas le cas en Asie.

Ignore-t-il ou feint-il d’ignorer que le Japon possède la population la plus vieille du monde et que la mortalité au 17 juin y est de 7,25/ million contre 580/ million en Espagne, 559/ million en Italie, et 467/ million en France (soit 64 fois plus que le Japon) dont les populations sont pourtant plus jeunes ? A-t-il recherché une corrélation statistique (qui n’existe pas) entre l’âge médian des populations et les mortalités observées en Europe ?

Il n’hésite pas non plus à prétendre qu’en « Europe, le déclenchement le plus fort de la pandémie a eu lieu dans les pays les plus touristiques » pour une épidémie qui a frappé précisément en dehors de la saison touristique. Heureusement pour nous qu’elle n’est pas apparue en été, et pour la Grèce, qu’elle n’est pas un pays touristique !

Quant à expliquer les différences de mortalité entre les pays par la conscience du risque épidémiologique comme le fait Peter Piot, c’est reporter sur les populations la responsabilité écrasante de nos décideurs, ceux qui nous ont imposé leur décision totalitaire de confinement aveugle et une mortifère interdiction de la chloroquine.

Il ne fallait pas confiner globalement, seulement isoler les malades cliniques, et les traiter dès le début par chloroquine, comme près de 3 milliards de personnes au monde.

Soulignons à ce propos que contrairement à ce que les médias répètent la chloroquine est prescrit dans la majorité des pays du monde et que la population des pays qui recommandent officiellement la chloroquine (Chine, Russie, Inde, Maroc, Algérie, Malaisie) atteint actuellement près de 3 milliards d’êtres humains.

Pour le plaisir des décodeurs, nous leur dédions un autre graphique, lui aussi basé sur les données de l’OMS, qui montre une corrélation fortement significative entre la politique officielle des autorités sanitaires des différents pays envers la chloroquine et la mortalité observée.

Mortalité (Nb décès/infectés) selon l’usage des antipaludéens

Mortalité (Nb décès/infectés) selon l’usage des antipaludéens

Il est important que tous ceux qui s’intéressent aux résultats réels de la politique de confinement et de l’interdiction de la chloroquine se concentrent sur les faits observés.  Le reste n’est que petite politique qui met malheureusement la vie des êtres humains en jeu.

Intuitions, approximations, rumeurs n’ont pas leur place en médecine.

Peut-on encore croire le Monde ?

Les décodeurs du Monde déploient beaucoup d’efforts pour éluder les responsabilités de nos dirigeants dans la catastrophe sanitaire, sociale et économique due au confinement et pour minimiser leur inconduite dans la crise du Covid19.

Ils ont été les avocats zélés de K Lacombe fustigée pour n’avoir pas mentionné ses liens d’intérêt avec Gilead lors de son agression publique contre le professeur Raoult. Curieusement, l’article destiné à la blanchir a oublié de rappeler la loi française sur la transparence en santé qui impose à tout médecin qui prend publiquement la parole de révéler ses liens d’intérêts.

Ne pas le faire constitue une infraction à cette loi et au code de santé publique.

Les décodeurs du Monde se sentent-ils obligés de défendre les protégés de Bill Gates (Neil Ferguson, l’OMS et les médecins français liés à Gilead), instigateurs du confinement en contrepartie

du don de 4 millions de dollars que le journal le Monde a reçu[15] des fondations Bill Gates ? Nous n’osons pas l’imaginer.

Sont-ils comme les rédacteurs du Lancet et du New England Journal of Medicine qui ont reconnu être « contraints » d’accepter les articles truqués concoctés par l’industrie pharmaceutique qui assure une part importante de leur budget ?

Il est triste de constater que le Monde a suivi la dérive financière des grandes revues médicales préférant faire la propagande des puissants qui les financent au détriment de l’information équilibrée qui constituait jadis l’éthique des journalistes d’investigation et la réputation du journal.

Après le Lancet Gate et le NEJMGate, assisterons-nous à un « le Monde Gate » ?

Si on revenait au bon sens, la médecine aux médecins !

Il faudrait qu’enfin ce soient des médecins qui décident du traitement des malades, discutent des résultats des politiques médicales, plutôt que des spécialistes non-médecins, des épidémiologistes et des virologues même très compétents dans leur domaine, mais pour lesquels les malades ne sont que des abstractions numériques modélisables.

Un patient n’est pas modélisable

Et bien sûr le système de santé devrait être rendu aux médecins cliniciens, ceux qui examinent, touchent, palpent, auscultent les malades, les autres spécialités qui ont pris le pouvoir depuis 50 ans « au nom de la science » ne devraient être là que pour aider le clinicien !

Stop le hold-up ! Faites médecine si vous voulez faire de la médecine

Il suffit ! Le hold-up de la médecine par les technocrates du ministère et son bras armé, les préfets directeurs d’agences régionales de santé, a cassé ce qui fonctionnait si bien jusque dans les années 90[16].

Au nom d’une médecine « quantifiée » qui devait remplacer les soins individuels, notre santé a été mise entre les mains de personnes ayant sûrement de grandes compétences dans leur domaine, mais ne savent pas ce qu’est un malade.

Les feuilletons grotesques des masques, des tests et de la chloroquine ont illustré avec brio le délire de la médecine de soins confondue avec science et recherche. Deux univers.

Qui appelez-vous au lit de votre fille quand elle a 40° ? Le sociologue ? L’économiste ? L’épidémiologiste ?  Le virologue et ses éprouvettes ? La réponse vous appartient.


[1] https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/06/15/les-conclusions-…

[2] http://www.francesoir.fr/le-confinement-tout-ce-que-lon-ne-vous-pas-dit-…

[3] Et diplômé de statistiques médicales

[4]Pub med est le principal moteur de recherche de données bibliographiques de l’ensemble des domaines de la médecine. Hébergé par la Bibliothèque américaine de médecine des Instituts américains de la santé Il a été développé par le Centre américain pour les informations biotechnologiques (NCBI). Il est ouvert, accessible à tous.

[5] Le plan Blanc décidé par Matignon dès le 15 mars a interdit aux établissements publics et privés de prendre en charge toute pathologie hors Covid, sauf les urgences dont le degré réel d’urgence est jugé par l’ARS et non pas par le malade ni le médecin.

[6] http://docteur.nicoledelepine.fr/covid19-et-confinement-aveugle-combien-…

[7] https://www.who.int/emergencies/diseases/novel-coronavirus-2019/situatio…

[8] La durée d’incubation est le temps qui s’écoule entre l’infection et l’apparition des premiers symptômes permettant le diagnostic clinique

[9] LauerS A et all: The Incubation Period of Coronavirus Disease 2019 (COVID-19) From Publicly Reported Confirmed Cases: Estimation and Application, Annals of Internal Medicine, 20 Mars 2020

[10] http://www.economiematin.fr/news-rapport-confinement-ferguson-secret-cri…

[11] OMS Covid 19 situation report 149

[12] D Dewitte Norvège : ‘Le confinement n’était pas nécessaire pour gérer le covid-19’Business AM 28/5/2020

[13] COVID-19-EPIDEMIEN : Kunnskap, situasjon, prognose, risiko og respons i Norge etter uke 18 Folkehelseinstituttet, 5. mai https://www.fhi.no/contentassets/c9e459cd7cc24991810a0d28d7803bd0/notat-…

[14] Erna Solberg le 27 mai à la télévision d’état : « J’ai probablement pris de nombreuses décisions par peur »

[15] Nexus Pourquoi la Fondation Bill & Melinda Gates a subventionné le journal Le Monde à hauteur de 4 millions de dollars ? 6 MAI 2020 https://www.nexus.fr/actualite/news/fondation-bill-melinda-gates-le-monde/

[16] canempechepasnicolas.over-blog.com/2020/05/le-hold-up-de-la-medecine-par-la-bureaucratie-au-service-de-la-finance.le-role-des-ars.html
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/sante-et-argent-magique-le…

Auteur(s): Gérard Delépine et FranceSoir




Une brève histoire de la propagande

[Source : entelekheia]

La propagande moderne est un effort persistant de création ou de présentation d’événements dans le but d’influencer la relation du public à une entreprise, une idée ou un groupe. »

 (Edward Bernays, Propaganda, 1928).

Ces mots du chef de file historique des pionniers de la propagande occidentale définissent également la publicité, et pour cause : la seule différence entre les deux est que la publicité s’affiche en tant que telle, alors que la propagande se fait passer pour la vérité.

Que ce soit pour vendre un produit, une nouvelle loi, un candidat à la présidence, un coup d’État ou une guerre, la propagande (propagande, publicité, relations publiques, communication, gestion de la perception : cinq dénominations pour une seule et même industrie) est devenue le premier moyen de communication entre les décideurs (politiciens, multinationales, banques, etc) et le reste de la population.

Le business de la communication (ou si on préfère, des manipulations publicitaires et médiatiques de l’opinion), qui atteint aujourd’hui les 200 milliards de dollars par an dans les seuls USA, représente le deuxième poste de dépense mondial, juste après l’armement. (([1] Jean-Claude Michéa, La Double pensée, page 34.))

En 2009, la campagne publicitaire la plus primée a été la campagne présidentielle de Barack Obama.(([2] http://abcnews.go.com/Business/Politics/story?id=7947528&page=1))

USA, début du XXème siècle : les pionniers de la propagande en tant que discipline « scientifique »

Après la révolution industrielle de 1845, les taux d’alphabétisation des populations occidentales grimpent en flèche (au Royaume-Uni, entre 1840 et 1900, le taux d’alphabétisation passe de 30 à 97%. La France suit le mouvement avec une évolution à la hausse, avec 40% pour les hommes et 45% pour les femmes en 1866 jusqu’à 97% pour les deux sexes en 1911. (([3] http://www.jean-marcshdelporte.com/histoire-dalphabetisation.php)) Les Américains, quant à eux, jouissent d’un taux d’alphabétisation de 90% dès 1795 (([4] https://www.history.org/Foundation/journal/Winter11/literacy.cfm
http://www.persee.fr/doc/ahess_0395-2649_1974_num_29_3_293505))). Dans ces démocraties en grande partie définies par la liberté d’expression, les ventes de papier imprimé explosent, mais la multiplication des opinions et des plate-formes journalistiques a des effets imprévus : le ton monte rapidement, les positions se radicalisent, les invectives noient les débats et des mouvements protestataires radicaux émergent.

Pour les gouvernements et au premier chef celui du principal pays capitaliste, les États-Unis, il va s’agir d’harmoniser ces voix et d’étouffer celles qui pourraient mettre en danger leur puissant secteur privé, par exemple celles du Parti communiste, de la gauche populiste ou encore des anarchistes. De leur côté, les entreprises privées, qui ont découvert depuis les débuts de la presse écrite à quel point la publicité augmente leur profits, souhaitent en prendre le contrôle. Ce qui amènera les uns et les autres, au début du XXe siècle, à recruter des journalistes d’opinion dans le cadre d’une nouvelle discipline, les relations publiques/communication d’entreprise/publicité – autrement dit, la propagande.

« Les origines des relations publiques étaient une réponse à la montée d’une classe ouvrière remuante à la fin du XIXe siècle » — Anne Bernays, romancière et fille du propagandiste Edward Bernays.

Bien entendu, ces pionniers de la manipulation de masse ne feront que structurer, codifier et développer quelque chose qui existe déjà, mais ce faisant, ils donneront forme à un secteur indispensable au maintien de l’économie capitaliste. Sans les constantes incitations à la consommation de sa publicité et le soutien quotidien de sa propagande politique, sociale et sociétale, il est en effet probable que l’économie de marché s’effondrerait en quelques semaines.

Ivy Lee (1877-1934), les débuts du communiqué de presse et de son utilisation à des fins de propagande

Ivy Lee, dit « Poison Ivy »
(en français « sumac vénéneux »,
l’une des plantes les plus toxiques au monde).

Au début du XXe siècle, Ivy Lee, propagandiste de premier plan, conseille le milliardaire John D. Rockefeller et à partir de 1929, la corporation de l’Allemagne nazie IG Farben. Il introduira son invention, le communiqué de presse, en réponse à un accident.

Le 28 octobre 1906, un train de la Pennsylvania Railroad déraille à Atlantic City, faisant plus de 50 victimes. Confrontée à la perte brutale de sa crédibilité, la compagnie, une cliente de la toute nouvelle firme de relations publiques du journaliste Ivy Lee, lui demande de redorer son image. Jusque là, les compagnies ferroviaires répondaient à ce type d’accidents en minimisant les faits ou en les occultant, en couvrant les responsables et en refusant de répondre à la presse. Lee choisira la stratégie inverse : d’abord, il demandera à la compagnie d’envoyer une déclaration à la presse, puis il invitera des reporters et des photographes à se rendre sur place dans un train spécialement affrété pour eux. Sur les lieux de l’accident, il tiendra des conférences de presse, distribuera des fiches d’information et organisera des rencontres et des interviews avec des ingénieurs experts et des cadres de la compagnie. Le public, la presse et les officiels du gouvernement seront unanimement séduits par la bonne foi apparente, le souci de sécurité et la transparence de la Pennsylvania Railroad. Dans les années suivantes, toutes les compagnies de chemin de fer emboîteront le pas aux méthodes d’Ivy Lee, et d’autres secteurs suivront rapidement.

Massacre de Ludlow, 1914. Crédits Colorado Life Magazine, http://www.coloradolifemagazine.com/The-Colorado-Coalfield-War-and-the-Children-of-Ludlow/

En 1914, La Colorado Fuel and Iron Company, une compagnie minière appartenant au milliardaire John D. Rockefeller Jr, fait tirer à balles réelles sur des mineurs grévistes et incendie leurs habitations dans un incident connu sous le nom de Massacre de Ludlow. (([5]Le massacre de Ludlow
http://l3d.cs.colorado.edu/systems/agentsheets/New-Vista/ludlow/)) La réaction outrée de l’opinion publique pousse Rockefeller à recruter Ivy Lee. Avec sa stratégie habituelle de franchise et de bonne volonté apparentes, Lee enverra des communiqués de presse factuels à divers officiels et à des journaux, qu’il couplera à des opérations de séduction : il enverra John D. Rockefeller Jr dialoguer et manger avec les mineurs, danser avec leurs épouses et distribuer des piécettes à leurs enfants. Inconscients de la manipulation, les mineurs, la presse et le public sont encore une fois conquis.

Lee invitera ensuite les entreprises, en tout premier lieu Rockefeller, à entretenir une bonne image auprès du public et des médias en finançant des fondations à but ostensiblement philanthropiques et en opérant leurs propres départements de relations publiques.

La communication d’entreprise est née.

Sous la supervision d’Ivy Lee, le premier « conseiller en relations publiques », John D. Rockefeller Jr a si vite réussi à convertir sa réputation de celle d’un requin de l’industrie et d’un détrousseur de veuves à celle d’un auguste vieux sage philantrope que des enfants ont pleuré à sa mort. »

 (Tom Wolfe, Radical Chic & Mau-Mauing the Flak Catchers, p 31)

En 1929, Ivy Lee devient conseiller en relations publiques de la corporation IG Farben, avec pour mission de désamorcer les critiques contre l’entreprise nazie aux USA. L’affaire finira mal pour Lee : en 1934, le Congrès lui demande de répondre d’accusations d’antisémitisme et de propagande nazie. Le décès de celui que l’écrivain Upton Sinclair appelait « Poison Ivy » depuis l’affaire du massacre de Ludlow interrompra l’enquête. (([6] ‘Poison Ivy’ Lee and propaganda
http://www.behindthespin.com/features/poison-ivy-lee-and-propaganda))

Selon Anne Bernays, Ivy Lee est probablement le vrai « père » des relations publiques. Il était motivé, a-t-elle écrit, par « le caractère divin de la richesse privée et le danger représenté par la foule. » (([7] Anne Bernays, commentaire sur Amazon.
https://www.amazon.com/gp/customer-reviews/R2KEQJIHSTMSJY/ref=cm_cr_getr_d_rvw_ttl?ie=UTF8&ASIN=0465061796))

Propagande de guerre, propagande de paix : la Première Guerre mondiale de George Creel

Affiche de James Montgomery Flagg pour la Commission Creel

Jusqu’en 1917, la population des USA ne manifeste aucun enthousiasme envers cette guerre qu’elle ne considère pas comme la sienne. De plus, la neutralité rapporte bien assez : l’économie des USA a décollé grâce à la vente de produits alimentaires, de coton et de matériel de guerre aux alliés. Mais les événements finiront par forcer la main du président Woodrow Wilson et le 4 avril 1917, les USA déclarent la guerre à l’Allemagne. Reste à convaincre l’opinion publique, qui reste très majoritairement réticente à envoyer ses hommes sur des fronts étrangers.

Le journaliste d’investigation et politicien George Creel sera chargé de créer et de piloter un appareil de propagande de masse, le Committee on Public Information (CPI, également nommé commission Creel). (([8] Manipulating Minds: The War Propaganda Machine
http://www.authentichistory.com/1914-1920/2-homefront/1-propaganda/)) Creel utilisera tous les recours possibles de l’époque : dessinateurs, photographes, journalistes, publicitaires, chansonniers, stars du muet, conférenciers et une armada de 75 000 hommes et femmes propagandistes de terrain, les dénommés « Four-minute men », qui sillonneront le pays pour haranguer les foules dans les églises, les cinémas entre deux séances, les réunions de loges maçonniques, les salles syndicales, les synagogues, les cours de catéchisme, jusqu’aux camps de bûcherons et aux réserves indiennes. Creel fera en outre composer des chansons patriotiques et organisera des tournées de conférences de héros de guerre français et britanniques.
L’opération, un immense succès, fait basculer la population américaine de l’indifférence à la fièvre militariste en quelques mois.

Les techniques de propagande inventées par la commission Creel, reprises, développées et perfectionnées au cours des décennies suivantes dans l’ensemble du monde occidental, fonderont le business de la fabrication du consentement qui s’installera dans la vie quotidienne des sociétés occidentales après la guerre.

Walter Lippmann, les débuts du concept d’interventionnisme humanitaire et le triomphe de l’élitisme

Journaliste de gauche libérale modérée, Walter Lippmann (1889 – 1974), aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands chroniqueurs politiques au monde, rejoint Woodrow Wilson au cours de sa campagne de réélection de 1916. Malgré son pacifisme, les conseillers de Wilson persuaderont Lipmann de collaborer à la Commission Creel et de s’engager dans la cause de la guerre. Dans une version progressiste de gauche du « fardeau de l’homme blanc » de Kipling, il la considérera comme un moyen privilégié d’exporter les valeurs libérales (autrement dit, de « civiliser les sauvages »).

Lippmann encouragera d’autres libéraux modérés à rejoindre ses idées. C’est le début des concepts de « guerre humanitaire » et d’exportation des « valeurs démocratiques » par les bombardements.

En 1917, il participe à The Enquiry, un service secret de renseignements dédié à l’expansion du modèle démocratique américain dans le monde. A ce jour, les travaux de The Inquiry continuent d’influencer la politique étrangère des USA. (([9] http://www.cfr.org/about/history/cfr/inquiry.html))

En 1922, Lipmann publie Public Opinion, un livre dans lequel il expose ses idées sur ce qu’il nomme la « fabrique du consentement ». Le peuple étant par nature, selon ses vues, « un troupeau irrationnel sans but » et le citoyen lambda un « intrus ignorant qui se mêle de tout », l’opinion publique doit être encadrée par un petit nombre d’administrateurs, d’experts et de politiciens, en d’autres termes par une oligarchie. Cette élite d’experts (qui porterait « le fardeau de l’homme savant » ?) compenserait par son savoir la lacune principale des démocraties : le citoyen trop ignare pour voter de façon éclairée ou faire des choix rationnels.

Même si Lippman, déçu de la tournure des événements, finit par prendre ses distances avec le gouvernement Wilson et par militer contre la Guerre de Corée, son idée d’exportation de « valeurs progressistes et démocratiques » par l’interventionnisme militaire deviendra le socle de la propagande de guerre des USA et de l’OTAN, la « R2P » (« Responsabilité de protéger »).

Walter Lippmann influencera profondément Edward Bernays.

Le chef de file : Edward Bernays, « père » du business moderne de la communication

« La manipulation consciente et intelligente des habitudes organisées et des opinions des masses est un élément important d’une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme invisible constituent un gouvernement invisible qui est le vrai pouvoir régnant de notre pays… Nous sommes gouvernés, nos esprits sont formés, nos goûts dirigés, nos idées suggérées largement par des hommes sont nous n’avons jamais entendu parler. C’est le résultat logique de la façon dont notre société démocratique est organisée. De grands nombres d’êtres humains doivent coopérer de cette façon s’ils veulent vivre ensemble dans une société fonctionnelle harmonieuse… dans presque chaque acte de notre vie quotidienne, que ce soit dans la sphère politique, dans notre conduite sociale ou notre pensée éthique, nous sommes dominés par un nombre relativement réduit de personnes… qui comprennent les processus mentaux et les schémas sociaux des masses. Ce sont également eux qui tiennent les fils qui contrôlent l’esprit public ».

– Edward Bernays, Propaganda, 1928. (([10] Le livre en libre téléchargement. En anglais.
http://www.historyisaweapon.com/defcon1/bernprop.html))

« Quand je suis revenu aux USA, j’ai décidé que, si on pouvait utiliser de la propagande pour la guerre, on pouvait certainement l’utiliser en temps de paix. Et ‘propagande’ était devenu un mot négatif, à cause des Allemands. Alors, ce que j’ai fait a été de tenter de trouver un autre mot. Et j’ai fini par trouver ‘relations publiques’ ». 

Edward Bernays, interview. (([11] Documentaire « The Century of the Self » d’Adam Curtis. Intervention de Bernays dans la première vidéo, à 7:57.
http://www.entelekheia.fr/century-self-le-siecle-du-moi/))

Années 20, la femme libre devient une icône et un stéréotype cinématographique. Une des grandes réussites de la propagande d’Edward Bernays pour l’industrie du tabac à la fin des années 20 : pousser les femmes à fumer au nom de leur émancipation.

Homme de l’ombre quasi inconnu du grand public, Edward Bernays (1891-1995), un neveu de Sigmund Freud, sera baptisé « le père de l’industrie des relations publiques » et influencera les sociétés occidentales dans les mêmes proportions que son illustre oncle. En mercenaire d’un cynisme totalement assumé, il érigera la propagande de masse en discipline scientifique, lancera le tabagisme chez les femmes, inspirera l’ensemble du business de la propagande/publicité modernes, et travaillera pour la CIA sur la propagande médiatique d’un coup d’État fomenté par les USA.

Bernays déclarait appliquer les découvertes de son oncle à la manipulation des masses, mais ses méthodes n’offraient qu’un rapport de surface avec la psychanalyse. S’il utilisait systématiquement le nom de Freud comme carte de visite et caution scientifique, ses techniques provenaient au premier chef de la Commission Creel dont il avait fait partie, de Walter Lipmann, des recherches de Gustave Le Bon (Psychologie des foules, 1895), de Wilfred Trotter (Instincts of the Herd in Peace and War, 1916), ainsi que du nouveau champ des sciences comportementales (ethnologie, sociologie), auxquelles il ajoutait quelques notions freudiennes mal digérées sur la sexualité et l’inconscient. Le cocktail allait s’avérer hautement toxique.

En 1925, la Beech-Nut Packing Company, une entreprise de salaisons de porc, recrute Bernays pour augmenter ses ventes de bacon. Bernays pense à le mettre sur la table matinale des Américains et sollicite par lettre l’avis de 5000 médecins sur le petit-déjeuner idéal : doit-il être léger ou consistant? Ils répondent tous en se déclarant favorables à un petit-déjeuner solide à la place du café matinal accompagné d’une tartine ou d’un bol de porridge avalé jusque-là par les Américains (Bernays n’a bien sûr pas mentionné le porc dans sa lettre aux médecins). Leurs réponses, envoyées à la presse américaine avec une note jointe suggérant le bacon, lanceront le petit-déjeuner dit « traditionnellement américain ». Et c’est ainsi qu’à ce jour, les Américains et à leur suite, les Britanniques mangent de salutaires tranches de porc entrelardées de graisse au petit-déjeuner.

Si ce premier gros coup publicitaire de Bernays installe durablement une habitude alimentaire saugrenue et accroît exponentiellement les bénéfices de l’industrie du porc, ce n’est pas la plus célèbre de ses campagnes.

C’est avec la suivante qu’il forge son image de père fondateur du business de la propagande/publicité : en 1929, pour le compte de l’American Tobacco Company, il lance la mode du tabac chez les femmes au prétexte d’émancipation féminine. La campagne remporte un succès fracassant et double rapidement les ventes de tabac, mais l’histoire ne s’arrête pas là. Le rapport entre cigarette et sexe établi par Bernays sur les conseils d’un psychanalyste new-yorkais (la cigarette serait un « pénis pour les femmes ») pose le premier jalon d’une connivence entre business de la publicité, psychologie de bazar et revendications de libertarisme sexuel qui conduira l’ensemble de la société occidentale, étape par étape, à la révolution sexuelle des années 60, (([12] Si le texte « fondateur » de la révolution sexuelle des années 60, le très faussaire Rapport Kinsey(1948)a été financé à l’origine par la très capitaliste Fondation Rockefeller, ce n’est pas un hasard. A la remorque de Bernays et de l’American Tobacco Company, le monde du business était à l’affût des profits à tirer de la psychologie et de la sexualité, d’où une multiplication de recherches brouillonnes dans les deux domaines. En matière de recherches en sexualité, deux noms se sont imposés, Wilhelm Reich et Alfred Kinsey. L’un était un psychotique, l’autre un escroc.)) puis à la consommation « libidinale » actuelle (l’achat pour le simple plaisir d’acheter).

Le documentaire d’Adam Curtis The Century of the Self (‘Le Siècle du Moi’, BBC) présente une chronologie et une analyse détaillées de l’impact de Bernays et de la propagande de la psychologie de bazar sur la société occidentale. 
http://www.entelekheia.fr/century-self-le-siecle-du-moi/

Dans un registre plus sombre, en 1954, recruté par une grande compagnie bananière américaine propriétaire de terres agricoles au Guatemala, la United Fruit Co, Bernays travaillera avec la CIA sur la propagande d’un coup d’État contre le président élu du pays, Jacobo Arbenz, un social-démocrate qui réclamait un peu trop de progrès social pour ses paysans au goût des USA. (([13] Tueurs d’espoir : 1954, les fruits amers de la CIA au Guatemala
http://www.entelekheia.fr/tueurs-despoir-fruits-amers-de-cia-guatemala/)) Les pays d’Amérique centrale où des entreprises nord-américaines possédaient des terres arables achetées à bas prix, cultivaient la canne à sucre ou la banane en profitant d’une main-d’oeuvre indigène bon marché, et dictaient la loi avec la complicité achetée de dictateurs locaux ont légué au vocabulaire courant la dénomination « république bananière ».

L’intervention des USA au Guatemala se soldera par trente-six ans de guerre civile et plus de 250 000 victimes.

En 1939, pour les corporations unies contre le New Deal de Roosevelt (une initiative trop « socialiste » à leur gré), Bernays travaillera à lier les concepts de capitalisme, de liberté et de démocratie dans l’esprit des Américains, une fusion aujourd’hui si achevée qu’aux États-Unis comme en Europe, les trois mots sont devenus rigoureusement synonymes et interchangeables.

Et pourtant, ce n’est que de la propagande…

Corinne Autey-Roussel

Notes :



Zinoviev et le grand avènement de la démocratie totalitaire

[Source : Le Saker Francophone]


Par Nicolas Bonnal

Nicolas Bonnal

Alexandre Zinoviev devint un dissident de la société mondiale après avoir été un dissident soviétique. A l’époque il y avait des dissidents, maintenant, comme dit Paul Virilio, il n’y a plus que des dissuadés.

En 1998, le maître répond à une interview et explique que tout allait bien à l’ouest quand nous étions sous la menace soviétique (le capital avait peur) :

Pendant la guerre froide, la démocratie était une arme dirigée contre le communisme, mais elle avait l’avantage d’exister. On voit d’ailleurs aujourd’hui que l’époque de la guerre froide a été un point culminant de l’histoire de l’Occident. Un bien être sans pareil, un extraordinaire progrès social, d’énormes découverts scientifiques et techniques, tout y était !

La fin du communisme fut le crépuscule de nos droits sociaux et politiques (fin de l’Histoire !) :

Mais la fin du communisme a aussi marqué la fin de la démocratie, notre époque aujourd’hui n’est pas que post communiste, elle est aussi post démocratique. Nous assistons aujourd’hui à l’instauration du totalitarisme démocratique, ou si vous préférez à l’instauration de la démocratie totalitaire.

Zinoviev décrit très bien le redoutable mondialisme qui naît du défunt et redouté communisme :

Aujourd’hui nous vivons dans un monde dominé par une idéologie unique, un fait unique, par un parti unique mondialiste. La constitution de ce dernier a commencé à l’époque de la guerre froide, quand des structures transnationales se sont mises en œuvre sous les formes les plus diverses : médias, sociétés bancaires, sociétés commerciales… Malgré leurs différents secteurs d’activités, ces forces étaient unies par leur nature supranationale. Avec la chute du communisme, elles se sont retrouvées aux commandes du monde.

Cette démarche est suicidaire, qui va à terme, avec la crise du Covid, nous priver de nos libertés, de nos économies et aussi (pourquoi pas ?) de nos vies :

Les pays occidentaux sont donc dominateurs, mais aussi dominés car perdent progressivement leur souveraineté au profit de ce que j’appelle la «supra société». Elle est constituée d’entreprises commerciales et non commerciales dont la zone d’influence dépasse les nations. Les pays occidentaux sont soumis comme les autres au contrôle de ces structures non nationales… Or la souveraineté des nations est elle aussi une part considérable et constituante du pluralisme, donc de la démocratie, à l’échelle de la planète.

Zinoviev comprend l’horreur européenne :

L’intégration Européenne qui se déroule sous nos yeux, provoque elle la disparition du pluralisme au sein de ce conglomérat, au profit d’un pouvoir supranational.

Il comprend que nous ne connaîtrons plus de démocratie politique ou économique comme à l’époque de la guerre froide :

Les pays occidentaux ont connu une vraie démocratie à l’époque de la guerre froide. Les partis politiques avaient de vraies divergences idéologiques et des programmes politiques différents. Les organes de presse avaient des différences marquées, eux aussi. Tout cela influençait la vie des gens, contribuait à leur bien-être. C’est bien fini.

Parce le capitalisme démocratique et prospère, celui des lois sociales et des garanties d’emploi devait beaucoup à l’épouvantail communiste. L’attaque massive contre les droits sociaux à l’ouest a commencé avec la chute du communisme à l’ouest.

A la fin des années 90, les socialistes sont de pures canailles (voyez aussi les excellents pamphlets de Guy Hocquenghem et de mon éditeur Thierry Pfister qui datent des années 80) :

Aujourd’hui les socialistes au pouvoir dans la plupart des pays d’Europe mènent une politique de démantèlement social qui détruit tout ce qu’il y avait de plus socialiste justement dans les pays capitalistes. Il n’existe plus en occident de force politique capable de défendre les humbles. L’existence des partis politiques est purement formelle. Leurs différences s’estompent chaque jour d’avantage.

C’est le totalitarisme financier jadis expliqué par Paddy Chayefsky dans Network (1976) :

La démocratie tend aussi à disparaître de l’organisation sociale occidentale. Cette super structure non démocratique donne des ordres, sanctionne, bombarde, affame. Même Clinton s’y conforme. Le totalitarisme financier a soumis les pouvoirs politiques. Le totalitarisme financier est froid. Il ne connaît ni la pitié, ni les sentiments. Les dictatures politiques sont pitoyables en comparaison de ce totalitarisme-là. Une certaine résistance était possible au sein des dictatures les plus dures, aucune révolte n’est possible contre une banque.

L’andouille qui interroge Zinoviev l’accuse déjà de Théo-rire du complot quand Zinoviev ne pratique que la théorie de la constatation. Zinoviev rappelle que nous sommes très abrutis :

Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra-idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou national-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. Dans le domaine idéologique, l’idée importe moins que les mécanismes de sa diffusion. Or la puissance de diffusion des médias occidentaux est énorme. (…) Il suffit que la décision soit prise de stigmatiser un Karadzic ou un Milosevic et ça y est, une machine de propagande planétaire se met en branle. Et alors qu’il faudrait juger les dirigeants occidentaux pour viol de toutes les règles de droit existants… La majorité des citoyens occidentaux sont persuadés que la guerre contre la Serbie était juste.

Puis Zinoviev fait une remarque intéressante sur un sujet que j’avais évoqué dans la presse russe (pravda.ru) :

L’Occident se méfiait moins de la puissance militaire soviétique que de son potentiel intellectuel, artistique, sportif. Parce qu’il dénotait une extraordinaire vitalité. Or c’est la première chose à détruire chez son ennemi. Et c’est ce qui a été fait. La science Russe dépend aujourd’hui des financements Américains. Et elle est dans un état pitoyable, car ses derniers n’ont aucun intérêt à faire travailler leurs concurrents. Ils préfèrent faire travailler les savants Russes aux États-Unis. Le cinéma soviétique a lui aussi été détruit et remplacé par le cinéma Américain.

Le destin de l’Amérique est d’abrutir et de « fabriquer de la merde » comme me disait un jour le grand et courageux cinéaste Richard Brooks :

En littérature, c’est la même chose. La domination mondiale s’exprime, avant tout, par le diktat intellectuel ou culturel si vous préférez. Voilà pourquoi les Américains s’acharnent depuis des décennies à faire baisser le niveau culturel et intellectuel du monde : ils veulent l’abaisser au leur pour pouvoir exercer ce diktat.

J’ai évoqué ces réalités dans mes textes sur la culture comme arme de destruction massive. Regardez ce qu’ils ont fait de l’Inde ou de l’Asie… Tous abonnés à Marvel comics ! Même Scorsese ou Ridley Scott s’en sont plaint…

Tout cela est irrésistible car c’est malheureusement un vieux processus. C’est l’uniformisation entamée depuis la Renaissance. Ici Zinoviev rejoint Spengler et René Guénon :

Le processus d’uniformisation du monde ne peut être arrêté dans l’avenir prévisible. Car le totalitarisme démocratique est la dernière phase de l’évolution de la société occidentale. Évolution commencée à la Renaissance.

Nicolas Bonnal

Sources