Biélorussie : Roman Protassevitch opposant fabriqué et néo-nazi

[Source : Vu du Droit]

Par Charles Meyer

Le détournement de l’avion Ryanair vers Minsk et l’arrestation de Roman Protassevitch permet d’assister une fois de plus à un jeu de rôle classique. Le moins que l’on puisse dire c’est que si détournement il y a pour permettre une arrestation, c’est simplement de la piraterie. Et le fait que les États-Unis, l’Allemagne et la France (coucou Assange, coucou Snowden, coucou Benbella…) n’aient aucune leçon à donner n’empêche pas cette qualification.

Cela étant, le scénario habituel s’est mis en place. Les agents américains BHL et Glucksman (les plus rapides) se sont précipités sur tous les plateaux pour relayer la propagande de la CIA . Nos gauchistes à nous qu’on a, se sont comme d’habitude scrupuleusement alignés sur les positions américaines. Mention spéciale quand même pour Jean-Luc Mélenchon. Un petit aventurier néonazi, a été immédiatement intronisé comme martyr de la liberté. Et naturellement Macron, jamais en retard pour s’aligner sur les USA, en a fait des tonnes en mode roquet qui jappe.

Sur le fond j’invite à prendre connaissance de l’interview de l’interview d’Arnaud Dubien qui montre que l’affaire est un peu plus compliquée qu’on ne le présente.

Concernant le palmarès de l’admirateur du troisième Reich, Olivier Berruyer a fait le boulot. C’est édifiant.

J’ai demandé à Charles Meyer qui suit attentivement ce qui se passe en Europe centrale de nous donner son avis sur deux points. L’impasse politique et stratégique que constitue la création artificielle par les USA, servilement suivis par l’UE, d’opposants en carton. Et le danger de ce soutien que l’Occident apporte ainsi au développement de ce néo-nazisme raciste et antisémite particulièrement inquiétant.

Régis de Castelnau

La Biélorussie, c’est comme la Russie et la vie : c’est compliqué, parfois. Soyons clairs, on n’a pas besoin de défendre les vertus de la politique pensée à Minsk. Mais juste de comprendre que derrière un sujet d’actualité qui couvre une situation politique interne et géopolitique, se trouvent des individus pour lesquels on discerne mal les raisons qui conduisent à des soutiens inconditionnels qui fleurissent en Europe ou aux Etats-Unis. Pas plus qu’Alexeï Navalny, Roman Protassevitch n’échappe à une règle bien connue de la politique intérieure des pays de l’est : il n’y a pas pire remède que les opposants qui sont fabriqués de l’extérieur. Depuis quelques jours, on s’agite autour du cas de Protassevitch.

Soyons tout aussi clairs : il ne s’agit pas de priver celui-ci des droits qui seraient reconnus à d’autres ou de cautionner des tortures ou des châtiments qui lui seraient infligés par le régime de Loukachenko.  Mais simplement de nous déterminer sur le point de savoir si l’on défend les droits fondamentaux d’un citoyen biélorusse, ou la démarche politique d’un opposant. Et ce n’est pas du tout la même chose.

Protassevitch a droit au respect de son intégrité et de sa vie. Mais nous avons droit, aussi, de nous questionner sur sa démarche politique et de savoir, puis de comprendre comment ce jeune homme est devenu un militant et sympathisant néo-nazi. On ne parle pas d’extrême droite ou de « droite extrême », mais bien de néonazisme. Comme Navalny, ses accointances idéologiques le placent au cœur des dispositifs politiques et paramilitaires dont la Doctrine est la pureté de la race, l’élimination physique de l’ennemi russe, l’antisémitisme et surtout, l’adoration du Troisième Reich. Il faut comprendre que la mouvance néonazie en Europe de l’Est est beaucoup plus puissante et infiltrée qu’elle ne l’est ailleurs. Roman malgré sa jeunesse, en est un bon exemple. Et je vous assure qu’il n’y a nul besoin de noircir le tableau.

Roman Protassevitch fait partie de cette génération baignée dans le culte nationaliste du post soviétisme qui, d’année en année, a mené à la constitution de véritables corps francs en Europe de l’est, à l’image du bataillon Azov. C’est la raison pour laquelle on le retrouve il n’y a pas trois ans en arrière, manifestant au sein des tristement célèbres « blocs noirs » bien connus pour rassembler dans les rues la fine fleur de l’idéologie fasciste, la référence au fascisme ayant ici, pour une fois, un sens et ne dérangeant pas les grands mots.

C’est aussi la raison pour laquelle Protassevitch fait non seulement partie des manifestations de Maïdan à Kiev en 2014, mais qu’il sympathise à la même époque avec plusieurs membres du détachement de Pahonia. Pahonia est une organisation armée biélorusse qui a combattu aux côtés du bataillon Azov. Ces deux milices partagent clairement la même fascination pour le Troisième Reich, réunissent des néo -nazis venus de toute l’Europe et militent clairement pour une société raciale qu’ils rêvent de rétablir par les armes.

Il ne s’agit pas de faire comme certains de Protassevitch un néo-nazi irrécupérable ou un criminel de guerre, de la même manière que lorsqu’on dénonce l’islamisme d’un ou d’un tel, il ne s’agit pas non plus de prétendre à un déterminisme absolu ou à l’évocation systématique du djihadisme. Il s’agit de comprendre. En l’occurrence, on ne peut nier que Protassevitch fréquente les milieux néo- nazis et des chaînes de radio telles que « Belsat », dont l’idéologie est clairement documentée par le positionnement des animateurs qui est dépourvu de la moindre équivoque. On ne peut nier la participation de Protassevitch à des événements et un engagement dépourvus de la moindre équivoque. Pas plus qu’on ne peut nier les liens qu’entretiennent Protassecitch et Lobov, ou d’autres néo-nazis notoires. Je ne m’étendrai pas ici sur le rôle joué par des pays comme la Pologne et l’imprégnation évidente de l’idéologie fascisante que recycle ce pays, mais il y aurait aussi beaucoup à dire sur ceux qui ont encouragé, endoctriné et instrumentalisé des jeunes comme Protassevitch.

On peut tout à fait demander humanité et respect de la personne de Roman Protassevitch. Mais cela ne doit pas impliquer, comme on le lit trop souvent, de faire de lui l’opposant fantasmé qui représenterait face à Loukachenko celui qui porte les valeurs de la Démocratie. Ne soyons pas naïfs, la confusion qui s’opère en Occident entre les droits fondamentaux individuels des opposants médiatisés et la valeur du message qu’ils portent, est une confusion inacceptable en ce qu’elle ne rendra jamais service aux Peuples de cette Europe tantôt oubliée, fantasmée, perdue et qui se cherche au milieu de forces politiques et géopolitiques qui les instrumentalisent de toute part.




Devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ?

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir

TRIBUNE

Le 25 mai dernier, l’Académie Nationale de Médecine émet le souhait d’étendre la vaccination aux enfants et adolescents. Cette volonté s’inscrit dans le concept de « l’immunité collective », édictant que pour y parvenir, 90% d’une population adulte doit être vaccinée soit 80% d’une population totale, enfants compris.

Les enfants sont nos êtres chers, nos petits innocents à protéger, notre avenir. 

Devons-nous les vacciner ? 

Impossible de répondre à cette question de santé publique sans dissocier l’émotionnel du rationnel.

Que vous soyez parent, grand-parent, parrain, marraine, sœur, frère, oncle, tante, vous aimez forcément vos enfants, petits-enfants nièces ou neveux, d’un amour inconditionnel et ne souhaitez que leur bien-être, leur santé et leur bonheur. Prenez quelques minutes pour lire cet article. Installez-vous confortablement. Servez-vous un petit café, un thé comme vous l’appréciez.

Dans cette tribune, nous allons tenter de poser le plus clairement possible des arguments sourcés, afin de trouver une réponse sans ambiguïté à la question de la vaccination des moins de 15 ans. 

Pour commencer, les enfants peuvent-ils avoir le Covid-19 ? 

La réponse est ici sans appel : oui les enfants peuvent être contaminés et porteurs du Sars Cov-2. Les chiffres disponibles sur le site de Santé Publique France et plus largement ceux publiés au niveau international, indiquent que les enfants de tous âges peuvent être testés positifs au Covid-19, et ceci quels que soient leur âge et leur origine ethnique.

[Ndlr : être testé positif au Covid-19 avec un test non prévu pour diagnostiquer une maladie (et qui engendre d’autant plus de faux positifs que le nombre de cycles d’amplification utilisé est élevé) ne signifie nullement que l’on a cette maladie. Voir : Les tests de coronavirus positifs ne sont pas des «cas»: les experts de la santé démystifient le faux récit des médias mainstream sur la COVID-19]

Toutefois, les données de surveillance montrent également que les enfants sont globalement moins touchés par la maladie. Un rapport publié en août 2020 par l’Agence Européenne du contrôle et des maladies indique que moins de 5% des cas Covid-19 signalés dans l’Union Européenne concernent des personnes de moins de 18 ans. 

Quels sont leurs symptômes ? 

Selon l’étude Ped-Covid coordonnée par l’hôpital Necker et l’Institut Pasteur auprès de 775 enfants âgés de 0 à 18 ans, testés positifs dans sept hôpitaux parisiens et de la proche couronne entre le 1er mars et le 1er juin 2020, 69.4% de ces jeunes patients ne présentaient aucun symptôme. D’ailleurs, d’après cet article, Bruno Hoen, directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur, affirme même que « Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et de l’odorat n’ont jamais été observés chez les moins de 15 ans ». Quand l’infection se manifeste par des signes cliniques, c’est le plus souvent « par un syndrome grippal banal » explique le Dr Fabienne Kochert, pédiatre. Les symptômes constatés sont : fièvre, toux, irritabilité ainsi que des problèmes digestifs (vomissements, diarrhées). 

Sont-ils hospitalisés ? 

Alors qu’ils constituent 17,75 % de la population française, les moins de 15 ans ne représentent même pas 1% des patients hospitalisés et des décès. Les formes graves sont exceptionnelles, ce qui explique la rareté des jeunes patients à l’hôpital. Quelques cas de maladies de Kawasaki ont été découverts en début de pandémie avec les premières souches du virus (sans qu’un lien formel ne soit établi), ces infections semblant baisser avec l’arrivée des variants, virus généralement plus contagieux mais moins agressifs que le virus original présent lors de la première vague. 

Décèdent-ils du Covid ? 

Depuis le 1er mars 2020, six décès d’enfants âgés de 0 à 14 ans ont été enregistrés lors d’une hospitalisation pour Covid en France. En général, ces enfants sont en mauvaise santé, présentent une ou plusieurs comorbidités, à l’exemple de cet enfant de 9 ans décédé d’une atteinte neurologique liée à un arrêt cardiaque qui a pourtant été comptabilisé dans les décès Covid car sa sérologie indiquait qu’il avait été au contact du coronavirus sans en avoir les symptômes.

Une étude européenne publiée dans la revue spécialisée The Lancet Child & Adolescent Health, portant sur 582 patients positifs par test PCR dans 82 établissements de santé, a montré que seuls quatre enfants sont décédés dont deux avec des comorbidités préexistantes. 

Les enfants sont-ils contaminants ? 

Là aussi, regardons ce que disent les études. Par exemple, l’étude menée par l’Institut Pasteur dans des écoles de l’Oise, sur 510 enfants de six écoles primaires : les cas déclarés dans ces écoles avant les vacances n’ont pas donné lieu à des cas secondaires, que ce soit parmi les autres écoliers ou parmi les enseignants. En revanche, les parents étaient plus infectés chez les enfants positifs. L’étude conclut que les parents ont été la source de l’infection et pas l’inverse. D’autres études vont également dans ce sens, en atteste le professeur Robert Cohen, pédiatre : « les enfants ne sont pas des super-contaminateurs, bien au contraire, ils sont de tout petits contaminateurs ».

Citons enfin le cas de ce garçon de 9 ans, positif au Covid, qui a continué à vivre normalement (écoles, ski-club, auprès de ses parents et ses deux frères…) sans contaminer aucune des 172 personnes vivant à son contact, dont 112 élèves et professeurs. 

Enfin, d’après l’Association Française de pédiatrie ambulatoire, « les facteurs de division du risque par rapport aux adultes sont de l’ordre de 1/10 000 pour les décès, de 1/1000 pour les formes graves, 1/100 pour les hospitalisations, 1/3 sur le pourcentage de PCR positives. Ceci est particulièrement vrai chez l’enfant de moins de 10 ans ». Ainsi, on peut au bout d’un an et demi de pandémie, affirmer que :

  1. Oui, les enfants peuvent attraper le virus du Sars-Cov-2.
  2. Mais, ils ont peu de symptômes.
  3. De plus, ils ne sont quasiment pas hospitalisés.
  4. En outre, les décès sont extrêmement rares, favorisés par des comorbidités.
  5. Enfin, ils contaminent peu, y compris leur entourage proche. 

La crainte selon laquelle les enfants contamineraient leurs parents ou leurs grands-parents n’est fondée sur aucun argument statistique, et même si cette possibilité n’est pas à exclure totalement car il existe toujours des cas isolés, elle est d’une rareté notoire. Ce coronavirus n’est donc pas une menace mortifère pour nos chères têtes blondes. Par conséquent, à ce stade, l’intérêt d’une vaccination semble assez limité, puisque grâce à leur système immunitaire et leur physiologie de jeunes êtres humains, les enfants résistent naturellement au Covid-19.

Les scientifiques tentent d’ailleurs à l’heure actuelle de comprendre pour quelles raisons et par quels mécanismes les plus jeunes ne sont pas touchés par le Covid-19 comme le sont les adultes. 

Les vaccins chez les enfants

Rappelons qu’en France, certains vaccins sont obligatoires. L’hexagone est d’ailleurs l’un des seuls pays au monde à imposer pas moins de onze vaccins aux nouveaux nés depuis 2018. Les maladies visées sont la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, la rougeole, les oreillons, la rubéole, l’haemophilus Influenza de type B, l’hépatite B, le pneumocoque, et le méningocoque de type C.

Ces infections ont pour caractéristiques d’être assez voire très contagieuses, de donner parfois des séquelles à vie et surtout d’être mortelles, en particulier chez les jeunes enfants. Dans ces cas précis de maladies malignes, on comprend donc aisément que les vaccins puissent sauver des vies ou éviter des handicaps. Mais qu’en est-il du vaccin Covid ? Pourquoi faudrait-il vacciner des enfants contre un virus qui ne les affecte pas, ne les rend pas malades, et qu’ils ne transmettent pas à leur entourage ? Étrange volonté que de vouloir injecter un sérum pour un bénéfice direct quasi nul, vous en conviendrez. 

Regardons de plus près ce que sont ces vaccins Covid.

Quatre vaccins sont actuellement autorisés en France : le Pfizer et le Moderna, tous deux à technologie ARN messager (ARNm) ; et l’AstraZeneca et le Janssen, tous deux à adénovirus.Ces sérums marquent une rupture dans la fabrication classique des vaccins car les deux techniques utilisées sont nouvelles, et n’ont jamais avant la pandémie de Covid-19, été utilisées à grande échelle sur l’homme. 

Un vaccin traditionnel utilise le virus atténué ou désactivé : injecté dans le corps, les cellules l’identifient comme étant un intrus et fabriquent des anticorps spécifiques. Appelons-les les soldats. Si par la suite, la personne vaccinée est confrontée au virus en question, son organisme possède déjà une armée de petits soldats prêts à le combattre, entourés d’autres combattants, les lymphocytes T. Ces « soldats anticorps » s’amenuisent avec le temps, c’est d’ailleurs pour cette raison qu’il est nécessaire de faire des rappels de certains vaccins, afin de renouveler les effectifs. Vous remarquerez ici que le vaccin traditionnel stimule de façon assez mécanique mais naturelle le système immunitaire, ceci par un leurre de vrai/faux virus. 

Les vaccins à ARNm envoient un message codé en langage ARN aux cellules du corps du vacciné. Le message est limpide : il faut produire une protéine, appelée protéine Spike. Après le vaccin, les cellules se mettent à produire Spike, reconnue comme un intrus et combattue à son tour par les petits soldats vus plus haut : les anticorps. 

Les vaccins à adénovirus, ou vecteur viral, utilisent quant à eux des virus vivants ayant été rendus inoffensifs, et dans lesquels on a greffé un morceau d’ADN (un message génétique). Cet ADN est délivré dans les cellules du vacciné, traduit en ARN (le même message mais dans un autre langage), qui code la protéine Spike. Le mécanisme est ensuite le même que précédemment avec l’ARNm : fabrication des anticorps spécifiques. Pour AstraZeneca par exemple, l’adénovirus injecté est un adénovirus de chimpanzé, pour Spoutnik et Janssen, ce sont des adénovirus humains. 

Ces deux nouvelles techniques, ARNm et vecteur viral, sont bien différentes des vaccins traditionnels : l’ordre donné aux cellules humaines consiste à produire la protéine de pointe du virus, c’est-à-dire une partie de celui-ci, plus précisément les molécules qui l’entourent et qui lui permettent d’infecter la personne contaminée. La protéine Spike est en effet la clé qui permet au coronavirus d’entrer dans le corps humain. Le principal avantage de ces deux techniques est la rapidité avec laquelle les laboratoires ont pu mettre au point ces vaccins, là où il faut habituellement des années de recherche, de tests, d’ajustements, d’échecs, puis de réussites (en moyenne le développement d’un vaccin prend entre 10 et 15 ans).

Cette fois pour le Sars-Cov-2 l’industrie pharmaceutique a ici été capable de concevoir, tester, demander les autorisations, les obtenir, puis produire des sérums à grande échelle en moins d’une année. Heureusement, vous vous en doutez, les autorités sanitaires veillent au grain : les autorisations accordées sont conditionnées. Dans cet article du CTIAP de l’Hôpital de Cholet qui a décortiqué les documents officiels publiés par l’Agence Européenne du Médicament, on apprend qu’AstraZeneca a jusqu’à mars 2024 pour préciser les substances actives et excipients de son vaccin ainsi que les résultats définitifs de son étude clinique. On appelle cela une « AMM conditionnelle » : une autorisation de mise sur le marché qui pose des conditions.

Pfizer et Janssen ont quant à eux jusqu’à décembre 2023 pour déposer la confirmation de l’efficacité, de la sécurité et de la tolérance de leurs vaccins. Le plus pressé des quatre laboratoires est Moderna, qui doit se dépêcher de donner ses conclusions puisque son échéance est fixée à décembre 2022. 

Oui vous avez bien lu.

Les quatre vaccins actuellement inoculés à l’ensemble de la population adulte volontaire sont encore en phase d’essai. Sous pression de l’urgence pandémique, les autorités sanitaires ont pris pour argent comptant les études menées par les laboratoires eux-mêmes, et ont accepté de mettre sur le marché des vaccins… dont l’innocuité est encore à l’étude. Ces laboratoires sont au-dessus de tout soupçon, bien entendu. Par exemple Pfizer détient un record mondial. En 2009, il a été condamné à payer 2,3 milliards de dollars pour pratiques commerciales frauduleuses. En cause un anti-inflammatoire aux effets secondaires entraînant des complications cardiaques ainsi que trois autres médicaments mis sur le marché et largement promus.

Et l’herbe n’est pas forcément plus verte ailleurs. Le laboratoire Johnson&Johnson (Janssen) mouillé en 2020 dans le scandale du talc qui donne des cancers, a écopé d’une condamnation de 2,1 milliards de dollars.

Le groupe AstraZeneca, qui est actuellement poursuivi par l’UE pour non-respect de ses engagements de livraison de vaccins, a dû régler une amende de 60 millions d’euros en 2005 pour utilisation abusive du système de brevets et des procédures de commercialisation des produits pharmaceutiques afin de prévenir ou de retarder l’arrivée sur le marché de médicaments génériques qui concurrençaient son anti-ulcéreux. C’est ainsi que partout dans le monde on inocule des sérums, sans être totalement certains qu’ils sont inoffensifs à court, moyen et long termes. Enfin, pas tout à fait.

À court terme, nous disposons de quelques indicateurs grâce à la pharmacovigilance dont le travail consiste à récolter les effets indésirables des médicaments et vaccins, à partir de déclarations volontaires des soignants et patients. En France, elle est assurée par les CRPV et l’ANSM. Vous qui lisez cette tribune, vous pouvez si vous le souhaitez déclarer des effets secondaires en cliquant ici. C’est un acte citoyen qui permet de surveiller la survenue de symptômes liés aux médicaments et ainsi de déceler des molécules dangereuses. 

Que dit la pharmacovigilance sur les vaccins Covid ? 

À l’échelle de la France, deux articles doivent nous alerter. Le premier concerne le centre de pharmacovigilance de Tours qui, submergé par les signalements sur les vaccins, a demandé aux patients et aux médecins de ne pas tout déclarer afin de prioriser les signalements les plus graves.

Une pharmacovigilance oui, mais une pharmacovigilance sélective.

Le second article porte sur le centre du Limousin, qui reçoit en temps normal, d’après le Professeur Marie-Laure Laroche, responsable du centre, « à peine 10 notifications par an pour les vaccins classiques » mais qui, en quatre mois et demi de vaccination Covid, a vu les déclarations multipliées par 400, soit 4000 déclarations. Répétons-le pour ceux qui n’étaient pas totalement concentrés et buvaient une gorgée de leur thé préféré : multipliées par quatre-cents !

Enfin, les derniers rapports de l’ANSM disponibles en ligne, font état de près de 20000 cas d’effets secondaires liés à Pfizer, dont 5245 cas graves, dont 580 décès. Au total pour les quatre vaccins, 37 018 cas ont été rapportés, dont 26% de cas graves (hospitalisation, séquelles, décès).

Répétons-le pour mieux accentuer : cinq-cent-quatre-vingts décès liés uniquement au vaccin Pfizer en France du 28 décembre 2020 au 13 mai 2021. À l’échelle de l’Europe, EUDRAVIGILANCE, la base européenne de pharmacovigilance, enregistre des signalements d’effets indésirables comme jamais. Au 22 mai 2021, la comparaison avec deux autres lots de vaccins contre la grippe et la diphtérie est sans appel : les vaccins Covid sont les plus agressifs de toute l’histoire des vaccins administrés à l’homme, mais également les plus meurtriers !En additionnant les cas de décès post-vaccinaux des quatre vaccins, le total s’élève à plus de 12 000 morts. 

Aux USA, pays qui a vacciné 50% de sa population adulte, le VAERS, système de surveillance sous la responsabilité des CDC – Centers Disease of Control – enregistre des chiffres tout aussi alarmants, jugez plutôt :Sur les vingt dernières années (jusqu’à début mai 2021), le VAERS a enregistré 4182 décès, tous vaccins confondus. Du 14 décembre 2020 au 3 mai 2021, il comptabilise très exactement 4178 morts liés aux vaccins Covid. Ces seuls vaccins parviennent donc à eux-seuls, à totaliser en une poignée de mois autant de décès que TOUS les vaccins injectés au cours des vingt dernières années sur le sol américain. 

Le plus inquiétant est que la pharmacovigilance n’est qu’un indicateur. Elle ne recense pas de manière exhaustive et obligatoire tous les décès et effets secondaires qui surviennent après vaccination. Si, d’après le VIDAL, tous les effets secondaires – sérieux ou anodins – doivent être signalés dans les bases, il n’en est rien en pratique. En effet, les professionnels de santé et les patients n’en signalent qu’une infime partie, que ce soit par oubli ou plus simplement par manque d’informations sur les procédures à suivre. 

Par ailleurs, depuis les vaccins Covid, des consignes sont données pour ne signaler que les effets secondaires inattendus ou graves. Nous venons donc de décrire sommairement ce que sont les vaccins Covid, les études et essais toujours en cours, et une pharmacovigilance qui s’emballe malgré le faible taux de remontées. Certains se sont peut-être étranglés en découvrant les données, d’autres ont sans doute cliqué sur les liens et sont estomaqués de découvrir que de telles informations aussi cruciales sur les vaccins ne soient pas davantage rendues publiques. Ces signaux doivent nous alerter sur la vaccination des enfants.

Pouvons-nous accepter d’injecter ces formules inédites dans les bras de nos progénitures sans prendre la mesure des effets possibles sur leur santé ?Pouvons-nous accepter de vacciner nos enfants compte tenu des nombreux dommages causés aux adultes ?Ne devons-nous pas attendre que les essais soient totalement terminés avant de prendre une telle décision ? 

Des essais en cours sur les enfants aux États-Unis 

Connaissez-vous l’âge du plus jeune vacciné au monde ? Il s’appelle Vincenzo Mincolla, petit bonhomme joufflu, tétine en bouche, qui a reçu sa première dose de Pfizer à l’âge de 7 mois, et sa deuxième à 8 mois (voir la vidéo de son injection ici). Ses deux parents sont soignants et ont accepté sans hésitation d’enrôler leur bébé dans l’essai clinique de Pfizer « au nom de la science ». 

Depuis le 16 mars 2021, des essais menés par Moderna sont en cours aux USA et au Canada sur 6750 enfants et bébés âgés de 6 mois à 11 ans. D’autres essais sont en cours avec Pfizer et AstraZeneca. Les résultats ne sont pas encore publiés mais gageons que puisque les enfants ne sont quasiment jamais malades du Covid, les vaccins montreront une efficacité exceptionnelle. Reste à connaître les effets secondaires. 

Le VAERS fait état de plusieurs dizaines de cas d’effets indésirables graves et dont des décès d’enfants et adolescents ayant reçu une ou plusieurs doses de Pfizer ou de Moderna. Les cas sont rapportés par des soignants ou les familles des patients, ce qui complique la fiabilité des sources. Il est difficile de trouver des articles fiables.Néanmoins, voici deux exemples issus du VAERS, l’un d’une petite de 2 ans et l’autre d’une jeune fille trisomique de 15 ans, toutes deux décédées. 

On ne compte plus les témoignages de proches de victimes sur les réseaux sociaux… qui disparaissent comme par magie ; notamment sur Youtube et Facebook. Plusieurs groupes du réseau social n°1 mondial rassemblant diverses expériences malheureuses de vaccinés ont tout simplement été fermés. On peut raisonnablement se poser des questions. Certaines vérités ne semblent pas « désirées » car seule compte la propagande vaccinale. 

En Israël, pays ayant complètement vacciné 56,6% de sa population avec les deux doses, des voix s’élèvent contre la vaccination des enfants car des cas de myocardites chez des patients jeunes ont été rapportés. 

Conclusion 

Nul doute que vous avez désormais terminé votre boisson, et que malgré sa chaleur, cet article a jeté un froid. 

Tout d’abord car les nouvelles ne sont guère réjouissantes. Les vaccins ne sont pas aussi fiables que ce qu’on nous assure. Malgré toute l’énergie déployée par les éminents spécialistes des plateaux TV et des radios pour convaincre et apaiser les craintes, les chiffres et les documents non publiés parlent d’eux-mêmes : des incertitudes planent sur les effets à moyen et long termes des vaccins. Vous, ou vos proches et amis, avez peut-être reçu une ou plusieurs doses. Certains ont été très malades, d’autres n’ont rien remarqué, mais depuis, une fatigue, des maux se sont réveillés ou sont apparus. Quelques-uns d’entre vous ont d’ailleurs pu observer une recrudescence d’AVC ou de problèmes cardiaques dans leur entourage, ou ont assisté aux obsèques d’une personne âgée, qui avait été vaccinée quelques jours avant son décès. Il n’y a pas de mystère, ni de coïncidences. Il faudrait être aveugle ou inconscient pour ne pas établir formellement de lien de causalité entre l’injection et tous ces événements qui surviennent dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent. 

Désormais vous savez. Vous venez de prendre connaissance d’un faisceau d’indices qui doivent vous alerter sur la vaccination de vos enfants. Une maladie qui ne les touche pas, des vaccins encore en phase d’essais, des informations négatives peu dévoilées au grand public, une pharmacovigilance qui s’emballe, des cas de décès et effets indésirables graves signalés sur des enfants… que des indicateurs au rouge. Désormais, si vous décidez de mener vos enfants à l’aiguille, et que tout ne se passe pas comme prévu, vous ne serez pas les victimes désinformées d’un système qui promeut la vaccination, non. Non, vous serez des parents responsables de ce qui arrive à leurs enfants. Vous croiserez leur regard en ayant conscience à chaque instant que vous ne les avez pas protégés, et ceci malgré tout l’amour que vous leur portez. L’Agence Européenne du Médicament vient de donner son feu vert pour le vaccin Pfizer des 12-15 ans.

De grands scientifiques, comme Arnaud Fontanet, épidémiologiste et membre du conseil scientifique, déclarent aux micros des journalistes de France Info et BFM qu’il faut vacciner les enfants pour atteindre l’immunité collective, et ceci, sans apporter un seul argument rationnel valable.

À quel prix ? Si un seul adolescent ou enfant décède du vaccin en France, ce sera pour sauver qui ? Une personne âgée de plus de 85 ans (âge médian des morts Covid sur les 100 000 premiers décès) ? Un adulte avec comorbidités ?D’autres, comme l’éditorialiste Eric Naulleau dans l’émission TPMP ou encore le philosophe Raphaël Enthoven dans l’émission Les Grandes Gueules sur RMC, qui n’ont ni diplôme scientifique, ni formation médicale, encensent la vaccination obligatoire pour tous avec une ferveur douteuse. Sans parler du footballeur Kylian Mbappé, un modèle pour de nombreux jeunes, qui s’affiche pansement sur le bras sur les réseaux sociaux.

Qui sont ces gens ? Ont-ils lu ne serait-ce qu’une seule étude randomisée ? Quelles sont leurs qualifications pour jeter l’opprobre sur les réticents, qui eux, s’informent du mieux qu’ils peuvent ? La vaccination n’est pas un débat philosophique, politique ou sportif. Elle doit rester un enjeu sanitaire et une décision médicale.

Et moi ? Qui suis-je pour vous avoir amené jusqu’à la fin de cette tribune ? Je ne suis personne. Ni épidémiologiste au conseil scientifique, ni politicienne, ni philosophe, ni sportive, ni éditorialiste. Et c’est justement parce que je ne suis rien de tout cela, que je suis vous. Une maman qui aime ses enfants, une fille qui veut protéger ses parents, une amie qui veille sur ses proches. Comme vous, je n’apprécie pas qu’on m’assomme et me matraque chaque jour de publicités et de messages sur et pour la vaccination, ni que les médias filtrent les informations à l’aune de la propagande vaccinale. Comme vous, il n’y a qu’une priorité dans ma vie et dans mon cœur : la santé et le bien-être de mes enfants. C’est la raison pour laquelle j’attends la fin des essais cliniques et que je ne cèderai jamais aux mesures qui ne relèvent pas du bon sens. 

Pour conclure, reposons la question de départ : devons-nous vacciner nos enfants contre le Covid-19 ? Vous êtes seuls juges. Mais maintenant, vous savez.

Auteur(s): Laure Gonlézamar pour FranceSoir


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Tous les yeux sur la Suisse : le 13 juin 2021, c’est référendum contre la dictature sanitaire

[Source : medias-presse.info]

Par Alain Späth

Méthodes pernicieuses d’un côté, naïveté et puérilité de l’autre, les bureaucrates fédéraux à la botte du globalisme occulte sont sur le point de faire aboutir leur immense hold-up juridique sur le dos du peuple suisse. Heureusement, des citoyens se sont levés : grâce à eux, l’usage des libertés les plus fondamentales pourrait encore être prolongé pour quelque (précieux) temps…

Ce 13 juin, le peuple suisse est appelé à voter sur cinq objets – deux initiatives populaires et trois référendums. Les deux premiers, ainsi que l’un des trois référendums portent sur des questions de politique agricole et environnementale ; ils sont certes importants, mais secondaires au regard du « nouveau péril rouge » qui est en train de s’abattre sur toutes les nations de la terre. Effectivement, ce sont bien les deux derniers objets – « NON à la Loi Covid » et « NON à la Loi contre le terrorisme (MPT) » – qui sont urgents et cruciaux pour l’avenir de notre pays. Car si le OUI venait à l’emporter sur ces deux référendums le 13 juin, le peuple suisse sera cette fois à son tour totalement réduit au niveau d’aliénation politique des autres « démocraties » européennes et perdra très rapidement le peu de libertés véritables que lui garantissent encore à ce jour son système institutionnel et juridique.

Un NON nous donnerait à tous du temps supplémentaire pour organiser la résistance

Pour nous suisses, aucun doute, l’enjeu de ces votations est de taille. Un OUI à la Loi MPT pourrait ainsi par exemple avoir pour conséquence directe l’arrestation de l’auteur de ces lignes si le Conseil fédéral (pouvoir exécutif suisse) venait à le décider, la définition de « terroriste » étant si floue dans les articles de la loi en question que toute personne critique envers le gouvernement pourrait entrer dans cette catégorie. Mais cette problématique est relativement secondaire par rapport à la Loi Covid, car contrairement à celle-ci, elle reste une « affaire interne » ne concernant que les suisses et a donc peu d’influence, dans l’absolu, sur les autres pays d’Europe et du monde (la dictature sous toutes ses formes étant de toute façon déjà plus ou moins la norme partout). Aussi, comme il est naturel de n’avoir que peu d’intérêt véritable pour les affaires politiques d’un autre pays que le sien, nous n’insisterons pas plus sur la Loi MPT, mais nous concentrerons ici exclusivement et très brièvement sur la Loi Covid. Et pour cause : nous sommes convaincus que par l’universalité et l’actualité de son objet, un NON par le peuple suisse pourrait avoir des répercussions mondiales dans le combat et la résistance contre ce que nous considérons comme la phase finale de la Révolution, la consolidation totale de toutes les infrastructures du Nouvel Ordre Mondial : l’établissement du Royaume de l’Antéchrist.

Un enjeu qui dépasse de loin nos frontières

Amis français, belges ou canadiens, la votation contre la Loi Covid du 13 juin est aussi la votre !

Imaginez l’impact moral pour notre commun combat pour la liberté véritable ! Et en terme de jurisprudence : imaginez la matière sur laquelle les juges intègres de vos pays pourront s’appuyer ! Car nous avons tendance à l’oublier : malgré leur erreur fondamentale et leurs vices (laïcisme et positivisme juridique), les constitutions libérales telles qu’elles pouvaient s’appliquer jusqu’en 2020 ont au moins le mérite de préserver ce qui reste du bien commun des nations en leur garantissant le maintien d’une certaine paix et le développement d’une certaine prospérité. À l’inverse, si les « lois d’exceptions » parviennent à s’imposer à long-terme, comme le permettrait notamment le « hold-up juridique » qu’incarne la Loi Covid, nous ne disposerons plus d’aucun garde-fou contre les utopies sociales qui foisonnent dans les cervelles malades des héritiers contemporains des « philosophes » des Lumières. Car qu’est-ce que le concept « vous ne posséderez rien et vous serez heureux », si ce n’est le storytelling d’un « bolchévisme 2.0 », dont les idées sont aussi vieilles que « ces démons qui renaissent de siècles en siècles » (François de Charrette) ? Il n’est pas trop tard ! Nous pouvons encore enrayer cette mécanique infernale – ou du moins, la ralentir, le temps de reprendre notre souffle !

Alors concrètement, que faire ?

D’abord, si vous avez des amis et des connaissances en Suisse, informez-les de l’importance de cette votation du 13 juin : vous serez étonnés de constater à quel point nombre de suisses sont complètement « endormis » face à la gravité de la situation. Dites-leur de se former et d’alerter à leur tour leur cercle d’amis et de connaissances. Dans l’idéal, incitez-les à rejoindre une section locale de l’association des Amis de la Constitution : ils sont toujours à la recherche de citoyens motivés pour distribuer des tracts et coller des affiches ! Il n’est pas trop tard : nombre de gens sont indécis ou n’avaient peut-être pas l’intention de voter. Chaque voix compte ! (…)

NON à la dictature sanitaire !




France : comment l’Éducation Nationale flique ses profs pour installer la cancel culture

[Source : ]

C’est un aspect peu connu de l’Éducation Nationale et de sa bureaucratie pédagogique, qui vaut pourtant le détour. Depuis l’inénarrable Luc Peillon, rien n’a bougé : le mammouth impose un « référentiel de compétences » des enseignants qui constitue une véritable arme de guerre pour faire régner la police de la pensée dans les rangs, et pour rétrécir au maximum les espaces de liberté des profs vis-à-vis de la bien-pensance vivre-ensembliste et snessienne. Ou comment une armée d’1 million de profs est équipée pour broyer toute forme d’esprit critique dans ses effectifs et pour imposer au goutte-à-goutte la cancel culture dominante dans la caste.

En 2013, le ministre socialiste de l’Éducation, Luc Peillon (qualifié de cerf-volant à piloter depuis le sol par l’un de ses proches collaborateurs) a imposé un « Référentiel des compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation » que Jean-Michel Blanquer n’a pas modifié. Ce texte, publié au Bulletin Officiel, sert aujourd’hui d’arme d’intimidation contre les enseignants qui refusent le diktat de la Cancel Culture et de la bien-pensance à outrance. Il faut absolument lire ce texte hallucinant, qui participe au naufrage éducatif dont nous sommes quotidiennement les témoins. 

Pourquoi un référentiel du métier de prof ?

En soi, l’édiction d’un « référentiel des compétences professionnelles » est une bonne idée, assez courante d’ailleurs dans le monde contemporain, qui permet de clarifier les attentes d’un employeur vis-à-vis de ses employés. C’est une démarche de transparence et d’explication sur qu’on attend d’un enseignant pour le considérer comme « un bon enseignant ». 

Dans le domaine éducatif, cette logique est salutaire. 

Ce qui est très instructif, c’est de détailler ce que la bureaucratie éducative y a rangé et consigné sous le quinquennat Hollande, et que personne n’a remis en cause depuis lors. 

Aux origines du référentiel français

Il faut lire attentivement le référentiel français pour noter qu’il découle d’un référentiel européen un peu mystérieux, contenu dans un avis du Parlement européen datant de 2006 ! La lecture de cet avis ne manque d’ailleurs pas d’intérêt, car le texte du Parlement est assez concis, plein d’ambitions, et empreint d’idées que nous pouvons assez facilement partager. 

Pour le comprendre, on lira ici les compétences clés attendues d’un enseignant selon le Parlement européen :

Les compétences sont définies en l’occurrence comme un ensemble de connaissances, d’aptitudes et d’attitudes appropriées au contexte. Les compétences clés sont celles nécessaires à tout individu pour l’épanouissement et le développement personnels, la citoyenneté active, l’intégration sociale et l’emploi.

Le cadre de référence décrit huit compétences clés:

  1. Communication dans la langue maternelle;
  2. Communication en langues étrangères;
  3. Compétence mathématique et compétences de base en sciences et technologies;
  4. Compétence numérique;
  5. Apprendre à apprendre;
  6. 6Compétences sociales et civiques;
  7. Esprit d’initiative et d’entreprise; et
  8. Sensibilité et expression culturelles.

Les compétences clés sont considérées comme étant aussi importantes les unes que les autres, dans la mesure où chacune d’entre elles peut contribuer à la réussite de l’individu vivant dans une société de la connaissance.

On peut évidemment contester le jargon communautaire. Mais il a le bon goût de mettre en avant des compétences comme l’esprit d’initiative et d’entreprise qui font cruellement défaut à l’enseignement français, et dont il aurait bien besoin de s’inspirer. 

Le Parlement européen contre la cancel culture

Au passage, il n’est pas inintéressant (bien au contraire) de relever les affirmations du parlement européen sur le « Vivre Ensemble » et sa façon de l’aborder à l’école. Par exemple cette citation riche de sens :

La connaissance culturelle suppose d’avoir conscience du patrimoine culturel local, national et européen et de sa place dans le monde. Elle inclut une connaissance élémentaire des œuvres culturelles majeures, dont la culture populaire contemporaine. Il est essentiel de comprendre la diversité culturelle et linguistique en Europe et dans d’autres régions du monde, la nécessité de la préserver et l’importance des facteurs esthétiques dans la vie de tous les jours.

Loin d’occulter les patrimoines locaux, le Parlement européen a donc appelé à en préserver l’apprentissage et la transmission. Cette idée est saisissante, car elle contraste singulièrement avec ce que la machine éducative a pu en déduire en 2013, comme nous allons le voir.

Comment l’Éducation Nationale a « traduit » le référentiel

Ce qui frappe à la lecture du référentiel français, c’est qu’il simplifie, appauvrit et amenuise fortement toutes les affirmations gênantes du référentiel français, pour en faire un document manifestement « téléguidé » pour mettre au pas les enseignants. 

La reprise de la table des matières permet de mesurer la distance qui sépare l’ambition européenne et sa réduction française :

1. Faire partager les valeurs de la République
2. Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école
3. Connaître les élèves et les processus d’apprentissage
4. Prendre en compte la diversité des élèves
5. Accompagner les élèves dans leur parcours de formation
6. Agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques
7. Maîtriser la langue française à des fins de communication
8. Utiliser une langue vivante étrangère dans les situations exigées par son métier
9. Intégrer les éléments de la culture numérique nécessaires à l’exercice de son métier
10. Coopérer au sein d’une équipe
11. Contribuer à l’action de la communauté éducative
12. Coopérer avec les parents d’élèves
13. Coopérer avec les partenaires de l’école
14. S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel

Et encore, ces compétences s’entendent pour « tous les professeurs ». Il faut ensuite distinguer les compétences spécifiques pour chaque catégorie d’enseignants (CPE, documentalistes, lycée, collège, etc.). Rien qu’à ce stade, on s’interroge sur la profusion de compétences attendues, et sur le glissement de sens d’un certain nombre d’expressions européennes. 

Par exemple, le Parlement européen recommandait d’être compétent dans la communication dans la langue maternelle. Cette compétence est devenue « maîtriser la langue française à des fins de communication » sous la plume de Peillon et de ses acolytes. Les deux expressions ne se valent pas : l’Europe préconise de communiquer, la France préconise de maîtriser la langue pour pouvoir communiquer. La nuance est de taille. 

Comment la Cancel Culture est introduite par Peillon

Ce qu’il faut surtout, c’est le détail de chacune de ces compétences, qui illustre comment la Cancel Culture a fait son introduction subreptice dans les programmes éducatifs, sous couvert de bienveillance et de bienpensance. 

Qu’il nous soit permis d’en donner une illustration précise et méthodique. 

Le lavage de cerveau commence dès le premier item, où il faut « faire partager les valeurs de la République ». Le petit livre rouge-vert de Luc Peillon détaille ainsi cet objectif :

Savoir transmettre et faire partager les principes de la vie démocratique ainsi que les valeurs de la République : la liberté, l’égalité, la fraternité ; la laïcité ; le refus de toutes les discriminations.

On comprend donc que le « refus de toutes les discriminations » est une valeur républicaine aussi importante que la liberté ou la laïcité. Cet ajout curieux en dit long sur le fourre-tout dans lequel l’imagination pédagogique contemporaine a organisé le « refus de toutes les discriminations », et la suite du texte illustre parfaitement ce que cette expression suggère à demi-mots. 

On découvre plus loin « qu’agir en éducateur responsable et selon des principes éthiques » (compétence étrange, au demeurant, comme si respecter l’éthique était une compétence…), signifie notamment :

Se mobiliser et mobiliser les élèves contre les stéréotypes et les discriminations de tout ordre, promouvoir l’égalité entre les filles et les garçons, les femmes et les hommes.

Autrement dit, ne pas adhérer à la théorie du genre, et autres élucubrations à la mode relève de la faute professionnelle. Peu à peu se dessine la fourberie avec laquelle, sous couvert de déterminer les compétences des enseignants, le ministre pratique une reductio ad opinionem temporis [= position de réduction dans le temps de l’annonce]. 

Cancel culture jusqu’au bout des ongles

Mais l’injonction donnée aux enseignants (sur de très nombreuses pages) de refuser toutes les discriminations ne s’arrête pas à quelques mots creux. Elle est déclinée jusqu’aux pratiques pédagogiques elles-mêmes. 

Par exemple, les professeurs « praticiens experts des apprentissages », doivent savoir toiletter leur discipline pour :

Prendre en compte les préalables et les représentations sociales (genre, origine ethnique, socio-économique et culturelle) pour traiter les difficultés éventuelles dans l’accès aux connaissances.

Traduction : on oubliera soigneusement de préciser, en cours d’histoire, que le monde arabo-musulman a largement pratiqué l’esclavage des Noirs, car il faut tenir compte des « représentations sociales » de chacun dans l’enseignement. 

Ce point de doctrine est complété par la compétence suivante : 

Sélectionner des approches didactiques appropriées au développement des compétences visées.

Voilà un principe simple posé : il faut utiliser des « approches didactiques appropriées ». Tout un programme…

Bien entendu, ces exigences ne visent pas nommément la « Cancel Culture ». Elles permettent seulement de poser le cadre disciplinaire dans lequel les enseignants sont piégés s’ils refusent la culture de la discrimination positive, de la lutte contre les stéréotypes (cheval de bataille de tous les décolonialistes et racialistes du monde), et du Vivre Ensemble tel qu’il est conçu par la caste au pouvoir.

Comment la machine éducative met les profs au pas

Sans surprise, ces « compétences », dont le mot d’esprit critique est si terriblement absent (elle n’est utilisé que deux fois dans la liasse d’instructions données), permettent une véritable mise sous pression de tous les enseignants récalcitrants. Il nous a ainsi été donné de lire un rapport d’inspection où le rappel permanent du référentiel de compétences montre l’étendue des dégâts. 

Ces dégâts sont de deux ordres. 

Les premiers portent sur l’interdiction officielle de conduire des cours magistraux. L’enseignant qui expose un savoir pendant une heure est désormais en faute. Il doit préférer la « différenciation pédagogique »,  et « mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité des élèves ». Bref, tirer tout le monde vers le bas. 

Les seconds portent sur les contenus d’enseignement eux-mêmes, et nous touchons ici au cœur de la Cancel Culture. Par exemple, punaiser des affiches de péplum américain pour illustrer l’histoire de Rome est devenu une faute professionnelle. Il s’agit d’une façon de contester les principes fondamentaux du système éducatif. 

On croit rêver, et pourtant c’est vrai, nous l’avons lu dans un rapport ! Le flicage des enseignants au nom de la bienpensance est poussé jusqu’à cette extrémité de la Cancel Culture qui est de ne plus recommander un péplum hollywoodien à des collégiens pour les intéresser à l’histoire. Trop violent ! trop guerrier ! trop stéréotypé !

Nous serions d’ailleurs curieux de recevoir d’autres rapports d’inspection de ce genre. 

Éducation Nationale ou propagande pour la Cancel Culture

Après l’affaire Samuel Paty, on a pu nourrir certains doutes sur la place de la Cancel Culture (et de l’une de ses ramifications consistant à ne pas qualifier « d’islamistes » les attentats survenus en France depuis plusieurs années. Il semblait en effet que le rectorat de Versailles n’avait pas été complètement carré dans son soutien à l’enseignant. 

Dans la pratique, ce rectorat (où Emmanuel Macron a placé l’une de ses camarades promotion, après avoir adapté le décret sur l’emploi de recteur à sa situation), dispose d’un service chargé de pister les enseignants les moins dociles : le SAPAP. Ce service d’accompagnement personnalisé illustre une fois de plus la capacité de la bureaucratie à utiliser les moyens de l’enseignement public pour poursuivre d’autres fins que l’éducation. 

Et c’est peut-être ce qu’on peut reprocher aujourd’hui à Jean-Michel Blanquer : ne pas voir déconstruit les errements de l’ère Hollande, et avoir conforté un système où apprendre passe bien après formater les esprits. 




Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 25 mai 2021

Par Dr Gérard Delépine

[Photo : VACCINATION D’UN ISRAÉLIEN DANS UN CENTRE MÉDICAL À HAIFA, LE 11 JANVIER 2021.AFP – JACK GUEZ]

https://ripostelaique.com/israel-analyse-des-resultats-de-la-vaccination-et-de-ses-contre-parties.html

Le suivi de l’épidémie en Israël permet de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise, justifiant une nouvelle analyse avec 5 mois de recul. Les avocats de la vaccination prétendent que la campagne de vaccination d’Israël serait un succès démontrant l’efficacité du Pfizer. Pourtant tant les moyens utilisés que les résultats cliniques actuels sont franchement inquiétants.

Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables

En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63% de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

Mais de vaccination éclair n’a été obtenu que grâce à l’acceptation d’un sur paiement des doses vaccinales et à l’engagement du gouvernement de communiquer à Pfizer les données de santé des Israéliens sans que ceux-ci n’aient été préalablement consultés.

De plus, les méthodes utilisées sont très discutables : propagande mensongère cachant la nature expérimentale de ce médicament nommé à tors vaccin,(([1] Selon Pasteur un vaccin est un ensemble d’antigènes injecté pour induire la création d’anticorps spécifique. Le prétendu vaccin de Pfizer ne comporte pas d’antigène viral mais une protéine supposée induire la formation d’anticorps. Ce type de traitement n’a jusqu’ici jamais été utilisé pour prévenir des infections chez l’homme.)) censure féroce des opposants empêchant tout débat démocratique, chantage au confinement et création d’un pass vaccinal restreignant les libertés des non-vaccinés. Ces méthodes n’ont pas respecté les règles éthiques de la déclaration d’Helsinki(([2] DÉCLARATION D’HELSINKI DE l’Association Médicale Mondiale – PRINCIPES ÉTHIQUES APPLICABLES À LA RECHERCHE MÉDICALE IMPLIQUANT DES ÊTRES HUMAINS La santé de mon patient prévaudra sur toutes les autres considérations »… Il est du devoir des médecins engagés dans la recherche médicale de protéger la vie, la santé, la dignité, l’intégrité, le droit à l’autodétermination, la vie privée et la confidentialité des informations des personnes impliquées dans la recherche. 25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire.)) ni les droits des personnes sur le consentement éclairé indispensable pour le traitement expérimental qu’est le vaccin Pfizer (car les résultats des essais phase 3 ne sont espérés qu’en 2023).

Quoiqu’il en soit, cette pseudo vaccination massive représente un essai phase 3 sauvage(([3] Dans un essai phase 3 traditionnel tous les malades sont enregistrés et bénéficient d’une surveillance régulière pour dépister tôt les éventuelles complications)) et complète les maigres données intérimaires que le département communication de Pfizer a publiées pour l’instant.

Critères d’évaluation

Les promoteurs de la vaccination et les médias journaux parlent de succès sur les pourcentages de vaccinés ou le taux prétendu de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des caisses qui sont chargés de la vaccination.

Un examen objectif des résultats médicaux avérés doit tenter de répondre aux deux questions qui déterminent son utilité réelle en population globale : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

Pour répondre à cette question, nous nous baserons sur les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/ qui précisent chaque jour pour chaque pays le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd19.

Évolution du nombre quotidien des contaminations

La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict. En novembre 2020 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination) après dix mois d’épidémie Israël comptait 366000 cas confirmés. Les cinq mois suivant la vaccination ont enregistré 473000 cas de plus.

Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

Un autre argument des pro vaccin est que la vaccination n’a pas eu le temps d’agir, mais l’exemple des Émirats Arabes Unis montre que même cinq mois après le début de la vaccination le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

Ce phénomène paradoxal suggère plutôt que le pseudo vaccin Pfizer serait susceptible d’accélérer transitoirement la transmission de la maladie. Plutôt que de nier tout lien causal les défenseurs de la vaccination devraient diligenter des études permettant d’en comprendre le mécanisme pour y porter remède.

En Israël la diminution des contaminations n’a commencé qu’après 10 semaines, suivant la cinétique naturelle de l’épidémie décrite par le professeur Ben Israël(([4] Pr Isaac Ben Israël : Le virus disparaît de lui-même après 70 jours 17 avril 2020  https://strategika.fr/2020/04/17/pr-isaac-ben-israel-le-virus-disparait-de-lui-meme-apres-70-jours/)) qui affirmait dès 2020 que « le nombre de nouveaux cas du virus atteint un pic après environ 40 jours et décline progressivement pour atteindre presque 0 après 70 jours ou pas ». On ne pourra donc juger définitivement des capacités réelles du vaccin Pfizer d’interrompre la transmission du virus qu’à l’occasion d’une éventuelle nouvelle poussée de l’épidémie.

Le porte-parole de l’OMS Swaminathan a déclaré en décembre :

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc d’être en mesure de la transmettre », « Je pense donc que nous devons supposer que les personnes qui ont été vaccinées doivent également prendre les mêmes précautions »

Doute confirmé officiellement en France par le ministre de la Santé O Veran a affirmant devant le Conseil d’État qui conclue(([5] Ordonnance du 30 mars dernier)):

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier ».

Évolution de la mortalité quotidienne

En Israël, malgré un confinement strict, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable des mortalités hebdomadaires.

Les mois de janvier et février ont établi les records mensuels de mortalité attribuée au Covid19 avec près de 30% de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé transitoirement comme dans les autres pays vaccinés(([6] https://www.mondialisation.ca/lhecatombe-post-vaccinale-setend-dans-le-monde/5656922)) Heureusement que la décrue mondiale de l’épidémie a limité cette évolution post vaccinale mortifère !

Le faible taux de mortalité actuel est lié à la fin de la vague épidémique mis aussi à la disparition prématurée (post vaccinale) d’une grande partie des patients les plus à risques. Les personnes fragiles dont la fin a été hâtée par le vaccin en janvier et février ne sont plus à risque en mars et avril. On ne peut pas mourir deux fois !

Comment expliquer ce résultat paradoxal ?

Un traitement préventif se juge à l’évolution observée de la maladie cible. En Israël, l’évolution post vaccinale précoce a été catastrophique tant sur les contaminations que sur l’évolution des formes graves.

En attendant que des travaux scientifiques expliquent les causes de cet échec, de nombreuses hypothèses peuvent être soulevées. L’un des plus probables est que la vaccination Pfizer se heurte au phénomène d’anticorps facilitants déjà responsables de l’échec du Dengvaxia aux Philippines et des vaccins contre les précédentes épidémies à coronavirus (SRAS en 2003 et MERS en 2012).

La possibilité de cette complication avait été soulevée par l’Académie de médecine française, dans son communiqué du 11 janvier 2021(([7] Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages 11 janvier 2021)):

« dans le contexte actuel de recrudescence épidémique, c’est la persistance d’un taux d’immunité faible, voire insuffisant, pendant les semaines supplémentaires précédant la seconde injection qui doit être prise en considération. Le risque individuel d’aggravation par « anticorps facilitants » doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

Ce communiqué soulignait aussi le risque de faire émerger un variant par une vaccination insuffisamment efficace.

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Le trop faible niveau d’immunité observée après la première injection accusée de pouvoir faciliter l’émergence de variants, et l’échec de la vaccination a été tout récemment signalé par 5 membres du comité scientifique français, dont le Pr Delfraissy dans une courte lettre au BMJ.(([8] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Laetitia. Atlan Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0))

« Des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… En outre, la dynamique de l’immunité collective naturelle ou vaccinale dans les régions où ces variants ont émergé pourrait avoir exercé une pression substantielle sur l’écosystème viral, facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

Que pourrait-on conseiller aux citoyens ? Attendre et résister aux pressions et chantages pour le vaccin

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible à court terme, car complètement pollué par la situation politique. Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à la crédibilité des dirigeants qui ont tout misé sur la vaccination. Il faut donc s’attendre à ce que les gouvernements et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le méchant virus. Car comme l’analysait un panel de scientifiques indépendants dans le BMJ,(([9] Covid-19 : Social murder, they wrote—elected, unaccountable, and unrepentant
BMJ 2021 ; 372 doi :
https://doi.org/10.1136/bmj.n314)) quel que soit le pays

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

En l’absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement la situation, nous ne pouvons que conseiller d’attendre pour se faire vacciner. Il n’y a aucune urgence pour se faire vacciner, le risque de la maladie étant minuscule pour les moins de 65 ans.

Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées. C’est peut-être ce que veut éviter le ministre de la Santé et la commission de Bruxelles, avec sa volonté d’imposer le pass sanitaire pour forcer les Européens à se faire vacciner.

Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou plus souvent maintenant des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, voire pour les férus d’histoire plus jeunes (il en reste) l’obligation du port d’un badge (ouf ce n’est pas une étoile, ouf elle n’est pas jaune !) par un gouvernement qui se prétend démocratique est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable.

Elle rappelle l’avertissement de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans « la résistible ascension d’Arturo Ui » : « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal :

« le mal ne réside pas dans l’extraordinaire, mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

Espérons que la majorité de la population qui n’a probablement pas la mémoire courte saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

Les mesures dites sanitaires veulent tuer la démocratie.

La tentation totalitaire, particulièrement frappante au pays des droits de l’homme, est bien évidemment mondiale dans le cadre de la prise en main en cours de la population mondiale par la clique de Davos et l’application du plan explicité clairement dans le livre de Klaus Schwab sur covid19 et Grand Reset, paru en juillet 2020, impossible à traiter de complotiste.

Ainsi de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérera des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour, alors que l’épidémie disparaît aux USA et en Europe indépendamment des mesures liberticides présentes ou pas.

Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid19, n’ayant pas laissé aux labos le temps de trouver et imposer un vaccin rentable.

Manifestement suffisamment de données permettent d’affirmer que le vaccin ne protège pas de la contagion, ni les vaccinés, ni les autres, et nos dirigeants avouent d’ailleurs qu’ils poursuivront port du masque et distanciation, chez les vaccinés et les autres (Véran il y a peu de jours, y compris dans les EHPADs si quelques pensionnaires ne sont pas vaccinés !).

Le passeport ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire (et l’accepter ne représente qu’un signe de soumission) dont le but est une société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels nourris à la coopération franco-chinoise, comme les Veran, et bien d’autres reconnus comme « Young leaders franco-chinois. Mais si ce modèle leur convient, qu’en pensera la société française une fois réveillée de son cauchemar covidien ? Les camps, passeport vaccinal, isolement autoritaire que nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?(([10] Passeport vaccinal sur TV liberté
https://www.youtube.com/watch?v=DzZTsBbwpo0 ))

Pour terminer, méditons la tirade du secrétaire général de l’ONU le 22 FÉVR. qui fut diffusée à juste titre sur les réseaux sociaux (mais si peu relayée à la TV) :

« Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certainspays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG. »

Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU
Conseil des droits de l’homme du 22 février 2021
Source : Sitedel’ONU

Le chef de l’Organisation des Nations Unies ajoute, notamment :

« Des défenseurs des droits humains, des journalistes ,des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures — ou le manque de mesures — prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques. »

Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés ignoblement confisquées ?





Quelle est l’ampleur des effets secondaires des pseudo-vaccins anticovid ?

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Cette question est difficile, car il est certain que comme toujours, de nombreux effets secondaires ne sont pas déclarés ni par les médecins, ni par les familles ni par les patients. Nous nous contenterons de résumer ici les effets reconnus par les institutions officielles américaines (Vaers pour les USA) et européennes (Eudravigilance de l’agence européenne du médicament).

POUR L’UE (ANGLETERRE EXCLUE) : LES EFFETS SECONDAIRES DONT DES DÉCÈS SONT NOMBREUX

Plus de 10 000 Européens tués par les vaccins Covid-19 selon les données officielles de l’UE(([1] Massacre: More than 10,000 Europeans KILLED by COVID-19 Vaccines According to Official EU Data ))

La base de données européenne des rapports de réactions médicamenteuses présumées est EudraVigilance, qui suit également les rapports faisant état d’accidents et de décès à la suite des « vaccins » expérimentaux Covid-19.

Pour tous ceux qui sur Tweeter ou FB doutent des résultats de cette banque de données, nous publions ici la politique de l’EMA concernant les accidents médicamenteux. Seuls les bots, robots d’internet au service de Big Pharma pourront encore dire que ces infos sont fakes !

Voici ce qu’EudraVigilance déclare au sujet de leur base de données(([2] Oracle BI Interactive Dashboards – DAP (europa.eu) )) :

« Ce site web a été lancé par l’Agence européenne des médicaments en 2012 pour donner au public accès aux rapports sur les effets secondaires présumés (également connus sous le nom de effets indésirables présumés). Ces rapports sont soumis électroniquement à EudraVigilance par les autorités nationales de réglementation des médicaments et par les sociétés pharmaceutiques qui détiennent des autorisations de mise sur le marché (licences) pour les médicaments.

EudraVigilance est un système conçu pour recueillir des rapports d’effets secondaires suspects. Ces rapports sont utilisés pour évaluer les avantages et les risques des médicaments lors de leur développement et pour surveiller leur innocuité après leur autorisation dans l’Espace économique européen (EEE). »

ÉTAT DES LIEUX AU 8 MAI 2021 sur les EFFETS SECONDAIRES DES VACCINS ANTICOVID EN UE

Leur rapport du 8 mai 2021 fait état de 10 570 décès et 405 259 complications à la suite d’une des quatre injections expérimentales de Covid-19. Chaque catégorie d’incidents est notée avec le nombre de personnes malades et le nombre de décès.

Réactions totales pour le vaccin expérimental à l’ARNm

PFIZER : Tozinameran (code BNT162b2,Comirnaty) de BioNTech/ Pfizer

5 368 décès et 170 528 incidents au 08/05/2021

MODERNA

Réactions totales pour le vaccin expérimental arNm d’ARNm-1273 (CX-024414) de Moderna  2 865 décès et 22 985 effets secondaires au 08/05/2021

 ASTRAZENECA

Réactions totales pour le vaccin expérimental AZD1222/VAXZEVRIA (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/

AstraZeneca : 2 102 décès et 208 873 complications au 08/05/2021

JANSSEN

Réactions totales pour le vaccin expérimental COVID-19 JANSSEN (AD26. COV2. S) de Johnson & Johnson: 235 morts et 2873 complications au 08/05/2021

ON PEUT ÉTUDIER LA BASE DE DONNÉES PAR PATHOLOGIE  COMME SUR CE TABLEAU et voir l’augmentation rapide du nombre d’effets secondaires et de décès avec la mise à jour du 22 MAI

COMPARAISON PSEUDO-VACCINS ANTICOVID ET VACCIN H1N1

UN TABLEAU PUBLIÉ PAR L’EMA EN AVRIL 2021 permet de se faire une idée du nombre d’injections par type de substance génique et la comparaison avec le vaccin H1N1 et on constate que le nombre d’incidents signalés pour ces produits, dont les essais thérapeutiques ne sont pas terminés, est beaucoup plus élevé que pour le vaccin H1N1

EN FRANCE

Des chiffres sont disponibles sur l’ANSM, mais pas très rapidement dirons-nous.

Ils sont submergés par les témoignages de centres de vaccination qui demandent de ne pas remonter les incidents vaccinaux car débordés par les déclarations.  Par exemple :

Vaccins Covid-19 : environ 4 000 déclarations d’effets secondaires en Limousin  : un exemple

Publié le 24/05/2021(([3] https://www.lepopulaire.fr/limoges-87000/actualites/vaccins-covid-19-environ-4-000-declarations-d-effets-secondaires-en-limousin_13956157/?fbclid=IwAR1-FlTfK41S7ymHS8aWGZ2Zhcd7qbREeBgVabffgz3Flw67x9FbN7WzHDs)) : « Trier, traiter, enquêter, enregistrer : un travail colossal pour l’activité du centre. » © stephane Lefèvre, selon l’article du Populaire :

« Depuis début 2021, c’est un afflux inédit pour le Centre régional de pharmacovigilance de Limoges qui recueille tous les signalements d’effets indésirables des médicaments. Parmi eux, un des 34 cas français de thrombose atypique liée à l’injection du vaccin AstraZeneca.

(…) Plus précisément 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM (*).  Plus de la moitié des déclarations en attente ».

« En temps normal, on en reçoit environ 1 200 par an, dont à peine dix notifications pour des vaccins “classiques” », compare le Pr Laroche, responsable du centre.

Sur les 4 000, le CRPV a pu en saisir 1 200 dans la base, en a traité 400 autres en attente d’enregistrement. Il lui reste plus de la moitié à gérer. « Mais on trie tous les jours les déclarations reçues, par priorité, afin de ne pas laisser passer des effets secondaires graves. Notre stock de retard concerne surtout les signalements pour des effets indésirables ordinaires. »

Des effets dits « graves » pour 25 % des déclarations, proportion semblable au niveau national.

(…)  Parmi les effets indésirables notables, le CRPV de Limoges a surtout enregistré un des 34 cas de thromboses de localisation atypique(cérébrale, intestinale) recensés en France, à la suite du vaccin AstraZeneca, et ayant entraîné 11 décès. Le cas limousin n’a pas été mortel ».

À côté de ce cas marquant, tachycardie, zona, hypertension artérielle, paralysie faciale, urticaire font partie des autres conséquences non répertoriées dans la notice des produits. Toute hospitalisation est aussi intégrée dans les 25 % d’effets graves.

« Notre travail consiste à déterminer si c’est le vaccin qui est à l’origine d’un problème de santé ou s’il y a d’autres explications possibles. »

« Quand le cas est plus compliqué, cela va d’une demi-journée à une journée, le temps de documenter le cas, de recontacter la personne pour qu’elle nous raconte son histoire, d’aller chercher des informations médicales pour un dossier clinique complet. Il faut que tout soit précis afin de justifier une éventuelle décision sanitaire. »

Un appel à des déclarations plus ciblées

Si Mme Laroche se réjouit de la participation massive, elle appelle à des déclarations plus ciblées sur les effets « graves, très gênants ou méconnus ». Une pertinence nécessaire pour garantir la réactivité de la surveillance vaccinale.

(*) Il existe 31 centres régionaux de pharmacovigilance en France : c’est ce réseau territorial qui alimente l’ANSM, l’agence du médicament française.

Les déclarations dans le détail

« Répartition géographique : 80 % des déclarations reçues par le CRPV de Limoges sont originaires de Haute-Vienne, 15 % de Corrèze et 5 % de Creuse.

Répartition par vaccin : 78 % des 1 600 déclarations traitées concernent le vaccin Pfizer, 18 % AstraZeneca et 4 % Moderna et Janssen.

Répartition par profil de déclarant : 74 % des remontées viennent de patients et 26 % de professionnels de santé.

Répartition par moyen de signalement : 25 % des déclarations reçues par le CRPV passent par le portail national mis en place par le ministère de la Santé. La majorité arrive par mail ou courrier avec l’envoi de la fiche de suivi et de déclaration d’événements indésirables éditée par le CRPV Limousin et remise à chaque patient vacciné. Une initiative locale qui a fortement incité à participer à la déclaration. »

D’autres centres régionaux font état de débordements du même genre comme celui de Toulouse.

Toulouse. Vaccins Covid : les déclarations d’effets indésirables explosent (lejournaltoulousain.fr)

ET LES INQUIÉTUDES SUR L’AVENIR DE LA FERTILITÉ DES JEUNES FEMMES

Sera à approfondir rapidement car les fausses couches se sont multipliées en Grande-Bretagne pendant la période d’accélération de la vaccination. Les troubles menstruels sont aussi signalés par de nombreuses femmes.(([4] Covid-19 : le vaccin aurait un effet secondaire sur les règles (aufeminin.com) ))

Quant aux inquiétudes sur la fertilité, il importera d’y revenir.

AUX USA(([5] Latest CDC Data Show Reports of Adverse Events After COVID Vaccines Surpass 200,000, Including 943 Among 12- to 17-Year-Olds • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

selon les rapports officiels des CDC et du fichier VAERS organisme officiel fédéral

Aux États-Unis, 268,4 millions de doses de vaccin Covid avaient été administrées au 14 mai. Cela comprend 115 millions de doses du vaccin Moderna, 144 millions de doses de Pfizer et 9 millions de doses du vaccin Covid Johnson & Johnson (J&J).

Le nombre d’effets indésirables signalés à la suite des vaccins Covid a dépassé les 200 000, selon les données publiées le 21 MAI par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les données proviennent directement des rapports soumis au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS).

VAERS est le principal système financé par le gouvernement pour signaler les effets indésirables des vaccins dans les rapports américains soumis à VAERS nécessitent une enquête plus approfondie avant qu’une relation causale puisse être confirmée.

Entre le 14 décembre et le 14 mai 2021, le Vaers a dénombré 227,805 reports d’effets indésirables suivant les vaccins anticovid, dont  4,201 morts et  18,528 incidents cotés sérieux  (Megan Redshaw le 21 mai 2021(([6] https://childrenshealthdefense.org/defender/vaers-cdc-adverse-events-covid-vaccines-surpass-200000/))).

Les dernières données des CDC montrent que les rapports d’événements indésirables après les vaccins COVID sont de 943 chez les 12 à 17 ans.

Sur les 4 201 décès signalés au 14 mai, 23 % se sont produits dans les 48 heures suivant la vaccination, 16 % se sont produits dans les 24 heures et 38 % chez les personnes tombées malades dans les 48 heures suivant leur vaccination.

Les données VAERS montrent :

20 % des décès étaient liés à des troubles cardiaques,

54 % des personnes décédées étaient des hommes, 44 % étaient des femmes et les autres rapports de décès n’incluaient pas le sexe du défunt.

L’âge moyen du décès était de 74,7 ans et les décès les plus jeunes signalés comprennent deux jeunes de 15 ans (VAERS I.D. 1187918 et 1242573 ) et un jeune de 16 ans (VAERS I.D. 1225942).

D’autres décès chez des enfants de moins de 16 ans ont été signalés et n’ont pu être confirmés ou contenaient des erreurs évidentes.

Au 14 mai, 1 140 femmes enceintes avaient signalé des effets indésirables liés aux vaccins Covid, dont 351 cas de fausse couche ou de naissance prématurée.

Sur les 2 275 cas signalés de paralysie faciale de Bell, 51 % ont été signalés après les vaccinations Pfizer-BioNTech, 42 % après la vaccination avec le vaccin Moderna et 192 cas, soit 10 %, des cas de paralysie de Bell ont été signalés conjointement avec J&J.

Il y a eu 195 rapports du syndrome de Guillain-Barré avec 40 % de cas attribués à Pfizer, 38 % à Moderna et 26 % à J&J.

Il y avait 65 854 rapports d’anaphylaxie avec 38 % des cas attribués au vaccin de Pfizer, 51 % à Moderna et 11 % à J&J.

Il y a eu 3 758 rapports de troubles de la coagulation et d’autres affections connexes. De ce nombre, 1 468 rapports ont été attribués à Pfizer, 1 093 rapports à Moderna et 1 093 rapports à J&J.

Selon l’article du Childrenshealthdefense.org qui commente ces résultats : 

« les vaccins COVID pourraient ne pas fonctionner pour des millions de personnes atteintes de maladies sous-jacentes. Certains experts remettent en question la recommandation des CDC selon laquelle les personnes immunodéprimées se font vacciner après que de nouvelles recherches 15 % à 80 % des personnes atteintes de troubles de santé sous-jacents et celles qui prennent des médicaments immunosuppresseurs montent peu d’anticorps, voire aucun, contre les vaccins COVID.

Pourtant, les lignes directrices actuelles des CDC indiquent que les personnes dont le système immunitaire est affaibli devraient être vaccinées contre le COVID même si « aucune donnée n’est disponible pour établir l’innocuité et l’efficacité du vaccin COVID dans ces groupes » car les personnes dont le système immunitaire est affaibli ou celles qui prennent des immunosuppresseurs pour une affection médicale ont été en grande partie exclues des essais cliniques sur les vaccins ».

« Dr Meryl Nass, un médecin de médecine interne, a déclaré qu’il est de la responsabilité des CDC de déterminer les risques et les avantages de chaque vaccin pour différents groupes de personnes. Pour les vaccins COVID, a dit Nass, les CDC n’ont pas publié cette information, ou dire au public quels groupes pourraient être à un risque plus élevé de subir une réaction indésirable qui l’emporte de loin sur tout avantage potentiel ».

RESPONSABILITÉ DE L’EMPLOYEUR QUI EXIGERAIT LE VACCIN AUX USA

Les employeurs pourraient être tenus responsables de « toute réaction indésirable » s’ils imposaient la vaccination anti-Covid.

« Si vous exigez que vos employés soient vaccinés comme condition d’emploi (c.-à-d. pour des raisons liées au travail), toute réaction indésirable au vaccin Covid-19 est liée au travail. L’effet indésirable est consigné s’il s’agit d’un nouveau cas en vertu du 29 CFR 1904.6 et répond à un ou plusieurs des critères généraux d’enregistrement en 29 CFR 1904.7.

« À l’inverse, l’OSHA(([7] Occupational Safety and Health Administration — Wikipédia (wikipedia.org)
L’Occupational Safety and Health Administration (OSHA) est une agence gouvernementale fédérale des États-Unis dont la mission est la prévention des blessures, maladies et décès dans le cadre du travail. Pour ce faire, elle émet des règlements pour la sécurité et la santé au travail. L’OSHA a été établie par l’Occupational Safety and Health Act (en) de 1970, l’une des lois majeures sur la sécurité au travail aux États-Unis. OSHA a développé la Norme 29 CFR de Gestion de la Sécurité des procédés (PSM), « Gestion de la Sécurité des procédés de produits chimiques à très haute dangerosité ».)) a déclaré qu’elle exercera un pouvoir discrétionnaire en matière d’application de la loi et qu’elle n’exigera pas que des effets indésirables soient consignés lorsqu’un employeur « recommande » seulement aux employés de recevoir le vaccin, tout en notant que pour que ce pouvoir discrétionnaire s’applique, le vaccin doit être véritablement volontaire. »

Pour déterminer si un vaccin est « volontaire », le site Web indique que « le choix d’un employé d’accepter ou de rejeter le vaccin ne peut avoir d’incidence sur [sa] cote de rendement ou son avancement professionnel » et qu’un « employé qui choisit de ne pas recevoir le vaccin ne peut subir de répercussions de ce choix ».

COMMENTAIRE DU CHILDRENSHEALTHDEFENSE SUR LE DRAME DU MUSICIEN ERIC CLAPTON

Eric Clapton blâme la propagande pour de graves réactions indésirables à AstraZeneca. Le 17 mai, The Defender a rapporté qu’Eric Clapton, 76 ans, a subi une grave réaction indésirable après avoir reçu le vaccin Covid d’AstraZeneca qui l’a laissé craindre qu’il ne rejoue plus  jamais.

« Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis ou brûlants, et à peu près inutile pendant deux semaines. Je craignais de ne plus jamais jouer, a dit Clapton. « Mais la propagande a dit que le vaccin était sans danger pour tout le monde. »

Quelques jours après les critiques de Clapton sur la « propagande » vaccinale, le Wall Street Journal a rapporté que les fabricants de vaccins américains parrainent des campagnes publicitaires ciblant environ un tiers des Américains qui hésitent à se faire vacciner contre le Covid.

Pfizer, Moderna, Regeneron et d’autres sociétés pharmaceutiques parrainent des annonces à la télévision, à la radio et sur les médias sociaux louant les vaccins et les médicaments Covid dans le but d’augmenter les vaccinations. Contrairement aux annonces pour les médicaments où les noms de marque sont présentés, les annonces générales « get the vaccine » n’ont pas à suivre les lignes directrices légales, qui comprennent la liste des effets secondaires potentiels du médicament.(([8] La ruée vers les vaccins, immense manipulation organisée ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

74 jours et le comptage, CDC ignore les enquêtes du Défenseur

Selon le site Web des CDC :

« les CDC font le suivi de tout rapport de décès afin de demander des renseignements supplémentaires et d’en apprendre davantage sur ce qui s’est produit et de déterminer si le décès est le résultat du vaccin ou s’il n’est pas lié ».

« Le 8 mars, The Defender a communiqué avec les CDC pour lui poser une liste écrite de questions sur les décès et les accidents signalés liés aux vaccins COVID. Après des tentatives répétées, par téléphone et par courriel, d’obtenir une réponse à nos questions, un spécialiste des communications de santé du Groupe de travail sur les vaccins des CDC nous a contactés le 29 mars , soit trois semaines après notre enquête initiale.

La personne a reçu notre demande d’information de VAERS, mais a dit qu’elle n’avait jamais reçu notre liste de questions, même si les employés à qui nous avons parlé à plusieurs reprises ont déclaré que les attachés de presse de la CDC travaillaient à travers les questions et ont confirmé que le représentant les avait reçues. Nous avons fourni la liste des questions à nouveau avec une nouvelle date limite, mais nous n’avons jamais reçu de réponse.

Le Défenseur a également fait un suivi auprès du service des médias du CDC, qui nous a dit que l’unité d’intervention du COVID serait informée que le spécialiste des communications de santé n’avait jamais répondu. Aucune explication n’a été donnée quant à la raison pour laquelle nos demandes ont été ignorées. On nous a dit de rappeler, ce que nous avons fait à de nombreuses reprises.

Le 19 mai, un employé du CDC a déclaré que nos questions avaient été examinées et que notre enquête était en instance dans leur système, mais qu’elle ne nous fournirait pas de copie de la réponse. Cela fait 74 jours que nous avons envoyé notre premier e-mail pour nous renseigner sur les données et les rapports VAERS.

Children’s Health Defense demande à toute personne ayant subi une réaction indésirable, à n’importe quel vaccin, de déposer un rapport. »

En conclusion : il est bien difficile d’avoir des informations, mais des éléments connus sont déjà majeurs : par exemple le fait que le nombre de décès répertoriés en trois mois après vaccins Covid atteint déjà celui du recensé en 21 ans aux USA pour tous les autres vaccins.

Souvenons-nous aussi que le vaccin contre la grippe aviaire en 1976 fut retiré après 53 décès et le vaccin contre le H1N1 en 2009 après 57 décès. Manifestement le monde de la vigilance et de la sécurité a changé d’échelle.

En conclusion très provisoire

« Ils sont enseignants, médecins, juristes, artistes, gendarmes, scientifiques, psychologues, essayistes, journalistes et autre. Face à la situation actuelle, ils lancent un appel à chacun d’entre nous. Un appel à la résistance civile et au réveil des consciences :



Tout seul on va plus vite. Ensemble on va plus loin. Proverbe africain »

ET RAPPELONS QU’IL S’AGIT DE SUBSTANCES GÉNIQUES (en aucun cas des vaccins classiques) en essai thérapeutique

Nicole Delépine





Académie de médecine : grosse manipulation pour escamoter le Pass sanitaire

[Source : AgoraVox le média citoyen]

par Régis DESMARAIS (son site)

Le communiqué de l’Académie Nationale de Médecine sur l’obligation vaccinale, pour anxiogène qu’il soit, est un modèle de manipulation mentale, destiné à créer un effet Nocebo chez les Français et à détourner l’attention sur le Pass sanitaire qui reste le but ultime du pouvoir : le traçage des populations. Attention, le piège doit être évité. Restons sereins et combatifs !

Un communiqué anxiogène

Le 25 mai 2021, l’Académie nationale de médecine (ANM) a publié un communiqué des plus surprenants. Les académiciens ont décidé de retrouver un peu de verdeur en se plongeant dans leur lointaine jeunesse, mais un plongeon vraiment très profond, pour retrouver leurs années d’avant les études de médecine. Forts de leur ignorance retrouvée, mais zélés de leur arrogance toute juvénile, ils ont rédigé un communiqué ludique à lire et mémorable pour les siècles à venir.

En quelques lignes, l’ANM place sur un même pied la Covid-19 (taux de mortalité de 0,16%) et la variole (taux de mortalité de 30 %) puis elle affirme – sans fondement autre que la publicité des laboratoires – que les vaccins sont efficaces à 90% voire 95% (sic) et elle conclut que l’obligation (vaccinale) ne doit pas être un gros mot mais la seule solution susceptible de nous sauver. Un tel sauvetage, pour être digne de ce nom, nécessite de vacciner obligatoirement le plus grand nombre d’individus, 80% de la population totale, à savoir : les enfants, les adolescents, les pompiers, les policiers, les militaires et tous ceux qui ont un contact avec le public. L’idée est d’atteindre l’immunité collective par la vaccination, cette fameuse immunité collective dont la définition a été opportunément refaite par l’OMS pour lier immunité et vaccination !

La lecture de ce communiqué procure les frissons d’un blockbuster horrifique : tous les codes de la manipulation mentale sont employés, toutes les ficelles de la peur et de la panique suscitées sont tendues et ça marche car c’est très efficace, effet Nocebo garanti.

Évidemment, comme pour toute œuvre de fiction, il faut rappeler au public, ici les lecteurs de ce communiqué, qu’il est indispensable de ne pas confondre la fiction et le réel, une production de l’esprit, cet esprit fût-il dérangé et usé, et notre quotidien. Ce communiqué est évidemment une œuvre de fiction car il décrit les caractéristiques d’une pandémie et des risques qui n’existent pas sur le terrain. Mieux, l’ANM nous propose une solution loufoque, à la hauteur des délires d’un Josej Mengele se rêvant dictateur au sommet de son nid d’aigle.

L’ANM complice d’une manipulation des Français ?

Si le mot obligation n’est pas un gros mot, l’Académie nationale de médecine est un gros problème dans le paysage institutionnel français. Petite Académie, écrasée par l’ombre de l’Institut de France, elle s’est désagrégée et délitée à notre insu car, à force d’inutilité, nous ne la regardions plus depuis longtemps. Ce communiqué, aux accents de novices jouant les professeurs, braque un violent faisceau de lumière sur la moribonde. L’ANM est-elle si moribonde et ses membres ont-ils oublié tous les enseignements reçus sur les bancs de l’université et, d’une façon empirique, au cours de leur expérience professionnelle ? La réponse est évidemment non, sauf à considérer que l’ANM est un cénacle de malades d’Alzheimer au dernier stade de la maladie. Alors quoi ? Comment des gens sérieux peuvent-ils écrire de telles inepties ? La réponse la plus probable est celle de la commande, de la main qui dicte. En clair, ce communiqué n’est rien d’autre qu’un objet destiné à créer un mode panique au sein de la population et dont la vocation est de détourner l’attention … du Pass sanitaire adopté définitivement par l’Assemblée nationale le même jour que le communiqué de l’ANM !

On comprend donc aisément que ce communiqué de l’ANM va à l’encontre des données acquises de la science sur la pandémie actuelle. Par ailleurs, l’ANM ne peut pas sérieusement vouloir imposer une vaccination obligatoire qui conduirait à une révolte et à la chute du pouvoir. Seules trois hypothèses peuvent tenir la corde pour justifier ce communiqué :

1°) Il s’agit de la méthode « Macron » qui est de nouveau appliquée : l’ANM propose l’enfer à la population et le président, tel un chevalier blanc, viendra sauver les Français en écartant de si décalées et dangereuses propositions académiques. Le scénario est lui aussi assez usé et abusé mais on sait qu’il fonctionnera toujours auprès des plus crédules.

2°) Il s’agit de détourner l’attention du public sur l’adoption définitive du Pass sanitaire et la prochaine publication, par décret, de ses modalités pratiques de mise en œuvre. Pendant que l’on s’excite sur le communiqué de l’ANM et que, pour certains, on plonge dans le désarroi et la peur, le Gouvernement avance dans son projet de traçage et de surveillance généralisée de la population. La société à la chinoise se met en place selon les désirs d’un pouvoir pervers et totalitaire. Cette hypothèse est en lien très fort avec la 1ère hypothèse.

3°) Il s’agit de créer la panique au sein de la population et de la fracturer entre ceux qui acceptent le vaccin comme un acte obligé pour continuer sa vie sociale et ceux qui refusent l’arbitraire et la montée sur l’échafaud. Terroriser pour exacerber les détestations entre les camps et conduire à la panique et son cortège de dérapages violents et incontrôlés. Cette hypothèse trace les lignes floues d’une guerre civile tant redoutée, une guerre au sein du peuple.

Encore une fois, on ne peut que s’interroger sur les conditions qui peuvent conduire les membres de l’ANM à rédiger un communiqué d’une violence inouïe sur les personnes, et d’un dédain absolu vis-à-vis de ses conséquences sur le mental des gens. Comment ces gens ont-ils pu accepter de diffuser un communiqué si peu scientifique et reposant sur des approximations, des oublis et des mensonges éhontés ? C’est le grand mystère de ce drame qui frappe notre pays et presque toute l’Europe : comment une « élite » a-t-elle pu se révéler si faillible et si compromise dans une démarche que l’on pourrait qualifier de criminelle sur les populations ? Cette question hantera longtemps ceux qui survivront à cette folie. Ces derniers seront nombreux car une chose est sûre et certaine : tous les Français doivent lire ce communiqué comme s’ils lisaient le pitch d’un mauvais film dont le réalisateur aurait oublié que le festival d’Avoriaz, c’est fini, et depuis longtemps.

Objectif : se préserver et dire non au Pass sanitaire 

Nous devons rire de ce communiqué et de sa tentative de détourner l’attention. Il faut surtout ne pas en avoir peur et ne pas en tenir compte dans notre vie de tous les jours. Jamais l’expression « sortir du jeu » n’aura eu autant de pertinence face à cette production de l’ANM. Nous devons mener notre existence au regard et dans le respect des valeurs qui nous semblent essentielles et inviolables. Un conseil : laissons les fous entre eux, laissons les s’épuiser à nous effrayer et à détourner notre attention. Vivons notre vie sous l’ombre protectrice des droits de l’Homme. Pour ce faire, gardons à l’esprit que le poison de la démocratie est désormais ce Pass sanitaire adopté en parallèle du communiqué de l’ANM. Refusons ce Pass, contraire à nos valeurs et redoutable pour ses conséquences !




L’épée à l’ombre de l’équerre et du compas

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

Par Walther.

Les trois lettres ouvertes de militaires :
• la première lancée par le site Place d’Armes,
• la deuxième, publiée sur le site de Valérie Bugault,
• la troisième, dite des militaires d’active,
ne cessent de provoquer des ondes de choc dans l’univers médiatique et politique.

L’ancien soldat et celui d’active viennent d’enfourcher un même cheval de bataille pour la sauvegarde d’une patrie millénaire désormais vouée au « chantier de déconstruction », selon l’annonce d’un haut responsable de l’état. Deux sur un même cheval, comme sur le sceau de l’Ordre du Temple :

Sceau Temple

Ce célèbre sceau comporte, on s’en doute, une signification ésotérique. Le double chevalier est en réalité l’image d’un preux de chair et d’os – donc mortel – et de son Double (son âme) immortel(le), version médiévale d’une évocation secrète de Castor (l’être périssable) et de Pollux (l’être immortel), les jumeaux du mythe grec devenus les Gémeaux du zodiaque(1).

Retenons l’évocation des Templiers qui trouvera sa raison d’être dans notre propos.

La troisième lettre comporte la formule « en leurs grades et qualités » qui est manifestement un clin d’œil maçonnique dès lors que prononcée lors des travaux de loge (lire La tribune des militaires laboure en profondeur du 11 mai 2021). Il a été également dit que la mention du septième couplet de La Marseillaise en serait un autre indice. Et pour cause, ledit couplet, qui ne fut pas rédigé par Rouget de Lisle mais par l’abbé Antoine Pessonneaux(3), semble bien comporter des allusions au symbolisme maçonnique :

« Nous entrerons dans la carrière
Quand nos aînés n’y seront plus.
Nous y trouverons leur poussière
Et la trace de leur vertu.
Bien moins jaloux de leur survivre
Que de partager leur cercueil
Nous aurons le sublime orgueil
De les venger ou de les suivre ».

Le premier vers évoque une « carrière » et ce terme fait, a priori, référence à une situation professionnelle (en l’occurrence le métier des armes). Mais il est aisé de prendre ce même mot au sens littéral : « un lieu d’où sont extraits des matériaux de construction » et, comme tel, indispensable aux maçons.

Maçons - bâtisseurs cathédrales

Tailleurs de pierres médiévaux. L’exactitude qu’exige leur travail nécessite l’équerre et le compas, instruments formant l’emblème du Compagnonnage et, plus tard, de la Franc-Maçonnerie

Le sixième vers parle de « partager un cercueil ». Il s’agit de celui de maître Hiram, le mythique architecte du temple de Salomon à Jérusalem. Ce symbolisme intervient lors de la réception du grade de maître maçon.

Cérémonie maçonnique - Cercueil Hiram

Réception à ce grade dans une loge maçonnique du XVIIIe siècle. L’impétrant est couché sur l’ombre du cercueil d’Hiram auquel on ajoute le crâne, les tibias et une équerre. Le tout au milieu des larmes évocatrices de tristesse

Le fait que ce couplet soit le septième n’est pas innocent non plus. En effet, ce chiffre 7 correspond à la lettre G, car elle est la septième de notre alphabet et l’initiale de Géométrie(2), discipline nécessitant l’usage de l’équerre et du compas. Et, précisément, le symbolisme maçonnique place le G entre une équerre, figurant la « terre » et le compas manifestant, par sa rotation, le « ciel ».

Maçonnerie équerre compas_G

Septième lettre de notre alphabet, le G figure le passage entre l’être terrestre (mortel) et l’être céleste (immortel). Ce qui explique l’omniprésence du chiffre sept dans de diverses traditions et notre semaine de sept jours s’y réfère

Ces précisions énoncées, si, comme le laissent supposer de telles références maçonniques dans cette troisième lettre, nombre de ces initiateurs sont membres de diverses obédiences, cela signifie que les connaissances ésotériques en usage dans les loges se conjoint à leur cri d’alarme concernant la situation dramatique vers laquelle se dirige la France.

Expliquons-nous : issue du travail de la pierre et du bois, la symbolique de base présente en Maçonnerie, sur ce que l’on nomme les « Tableaux de loges », n’est pas, insistons sur ce fait, une invention des maîtres maçons du XVIIIe siècle. Elle est directement issue des bâtisseurs de cathédrales et, avant eux, de ceux qui, à travers toute l’Antiquité, érigèrent les monuments que l’on connaît. Après les captivantes constructions romanes, il en a résulté cet opus francigenum (l’« œuvre francilienne ») qui allait émerveiller toute l’Europe.

Maçons - bâtisseurs cathédrales - équeerre

Miniature médiévale montrant un roi de France visitant un chantier où se construit une cathédrale. Au premier plan, à droite, un tailleur de pierres vérifie l’exactitude de son travail

Car l’élan vertical du gothique et sa floraison de rosaces focalise le génie de notre nation. Le peuple qui réalisa de tels prodiges doit-il, maintenant et au nom d’une hypothétique « diversité » et autre « mondialisation (décrétée) heureuse », s’effacer à jamais ? Car les « déconstructeurs » de l’Histoire décrétèrent un jour qu’ « il n’y avait pas de culture française mais de culture en France ». C’est l’identité même de ce pays qui était ainsi remise en cause. Et l’incendie de N‑D. de Paris a montré qu’un chef‑d’œuvre pouvait s’écrouler et partir en fumée. D’autant que cet édifice, au pied duquel se rejoignent toutes les routes de notre nation, est précisément emblématique d’un symbolisme prenant plastiquement racine dans l’âme française tout en exprimant des concepts hautement métaphysiques(4).

De fait, la Franc-Maçonnerie a souvent été considérée, par toute une droite identitaire ou souverainiste, comme un instrument de subversion. Le mondialisme et l’encouragement de certains de ses dirigeants ostensiblement francs-maçons à voir s’opérer un « Grand remplacement » de population au nom d’un pseudo humanisme déliquescent, ne pouvaient qu’aller dans ce sens.

Preuve patente de leur ignorance des authentiques significations du symbolisme dont ils se réclament

Il est fort possible que les actuels « hauts gradés » (militaires autant que maçons) aient pris conscience que l’héritage des constructeurs de cathédrales était menacé de mort à brève échéance. En regard de l’action subversive menée par des individus s’enrageant à faire de la France un openfield pour invasion migratoire, le souvenir d’une chevalerie templière, nimbée de légendes, et des « Logeurs du Bon Dieu »(5) (surnom de ceux qui édifiaient une spiritualité d’ogives et de vitrail) a sans doute provoqué un sursaut dans la conscience des officiers affiliés à diverses obédiences.

Bref rappel historique expliquant l’attirance de la « Grande Muette » pour la Franc-Maçonnerie :

En France cette organisation a vu le jour à la fin du XVIIe siècle à Saint-Germain-en-Laye, dans le milieu d’Écossais en exil, membres de la Garde Écossaise des rois de France fondée en 1422 sous Charles VII, et parmi les officiers du régiment Royal Irlandais. La Garde Écossaise est la première armée royale.

Garde Écossaise - Charles VII

On parlera de « Rite écossais ancien et accepté » puis, dans la dernière partie du siècle de « Rite écossais rectifié », fondé par le Lyonnais Jean-Baptiste Willermoz.

Donc, comme on le voit, ce sont des militaires qui s’imposent dans la fondation des loges françaises. Par la suite, il sera courant de voir des uniformes fréquenter les loges, particulièrement sous l’Empire et, puisque nous célébrons l’anniversaire de la mort de Napoléon, retenons cette image d’époque ne laissant aucun doute sur le rôle éminent joué par la Maçonnerie dans l’épopée impériale(6) :

Napoléon - Nid aigle - Franc-maçon

Cette allégorie d’un Napoléon survolant le monde porté par un aigle est aussi celle de la Maçonnerie triomphante car l’oiseau qui plane au zénith tient dans ses serres l’équerre, le compas et la clef du pouvoir. Sous la banderole déployant les signes du zodiaque, on voit l’étoile (dans laquelle s’inscrit la silhouette humaine) portant la lettre G.

La suite des événements se montrera des plus intéressantes car, comme on vient de le voir, nous assistons au retour de concepts qui, sous des auspices hautement spirituels, s’inscrivirent dans le Destin de notre nation. L’occasion pour une Maçonnerie authentique, se libérant enfin des entraves du mondialisme, d’apporter sa pierre de faîte – la « clef de voûte » – à la reconstruction de la France.

Aux dernières nouvelles, une autre lettre ouverte, émanant, cette fois, des forces de police, est adressée au gouvernement. En outre, aux États-Unis, plus d’une centaine d’anciens généraux viennent de publier un message avertissant Biden qu’ils ne toléreront pas de voir l’Amérique s’effondrer dans le chaos des casseurs de statues Black Lives Matter et autres adeptes déments de la woke attitude. De part et d’autre de l’Atlantique, même réaction enracinée contre l’anéantissement des peuples : « La Fayette nous voilà ! »(7).

Walther


Paul-Georges Sansonetti - Énigme Pôle

(1) Cf. P‑G. Sansonetti, Hergé et l’énigme du Pôle, Éditions Le Mercure Dauphinois
(2) Né en 1761, cette rédaction lui vaudra la vie sauve devant un tribunal révolutionnaire bien décidé à le passer au « rasoir républicain ».
(3) Mais aussi de « Gnose », autrement dit la Connaissance.
(4) Prenons pour exemple le fait singulier, signalé par des ésotéristes, que N‑D. a pris feu exactement 666 jours après l’élection d’une majorité présidentielle favorable à l’idée d’une déconstruction de l’Histoire de France. C’est comme si l’embrasement de ce chef‑d’œuvre répondait tragiquement à l’indifférence des Français quant à leur mémoire collective.
(5) On notera le jeu de mots entre logeurs et loge.
(6) Son frère Joseph Bonaparte (1768−1844) : Roi de Naples puis Roi d’Espagne avant de s’exiler plus tard aux États Unis. Initié Franc-Maçon à la loge « La Parfaite Sincérité » à Marseille, il devient, en 1804, Grand Maître du Grand Orient de France.
(7)

La-Fayette-nous-voila



L’hécatombe post vaccinale s’étend dans le monde

Par Gérard Delépine

Il y a deux mois, nous avons tenté d’alerter sur les résultats paradoxaux des vaccin covid19 en publiant les courbes de mortalité pré et post vaccination d’Israël et de Grande-Bretagne(([1] Grande-Bretagne : résultats réels de la vaccination anti-Covid-19 au 29 mars – (ripostelaique.com) )) qui montraient déjà que ces vaccinations ont été suivies d’une hausse considérable des contaminations et de la mortalité durant 6 à 8 semaines après le début de la vaccination.(([2] Analyse des résultats de la vaccination anti-Covid19 en Israël au 23 février 2021 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Depuis cette période, les campagnes de vaccination se sont étendues mondialement même aux pays où le covid était peu présent. Et partout elles ont été suivies d’une hausse considérable des nouvelles infections et de la mortalité pendant plusieurs semaines ou mois.(([3] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Combien faudra-t-il de morts et d’accidents sévères pour que les dirigeants, l’OMS, les agences de santé FDA, EMA entre autres, regardent les résultats avérés de cette pseudo-vaccination expérimentale dans le monde réel et en tirent les conséquences ?

Rappel des faits avérés publiés par l’OMS

Nous présentons ci-après les courbes de l’épidémie des pays les plus vaccinés telles que publiées par l’OMS (avec nos commentaires en rouge).

ASIE

Au Népal, pays de 28 millions d’habitants

La campagne de vaccination, utilisant le vaccin chinois et l’Astra Zeneca indien, a commencé fin janvier 2021. Jusque là, après dix mois d’épidémie, le pays comptait 270 092 cas confirmés et 2017 morts et la moyenne journalière de nouveaux cas s’élevait à 350.

Quatre mois après le début de la vaccination, l’épidémie a explosé avec une moyenne actuelle de 8000 nouveaux cas quotidiens. Au 22 mai, le Népal comptait 497052 (+90%) cas confirmés et 6024 morts (+200%.)

En Thaïlande, pays de 70 millions d’habitants

La campagne de vaccination utilisant le vaccin chinois a commencé dans la première semaine de mars. Jusque là, depuis le début de l’épidémie, le pays ne recensait que 25000 contaminés et 83 morts attribuées au Covid19.

Depuis le début de la vaccination, en 2 mois, le nombre des contaminés a été multiplié par 5 (123 066 au 22/5) et celui des morts par 9 (735 au 22/5).

Au Cambodge, pays de 27 millions d’habitants

En Mongolie, pays de 3, 3 millions d’ habitants

Amérique du Sud

En Colombie, pays de 50 millions d’habitants

pays fortement éprouvé par la maladie l’épidémie amorçait une franche décrue jusqu’au début de la campagne de vaccination le 18 février2021.

Depuis, le nombre de contaminations quotidiennes a quadruplé et la mortalité journalière multiplié par 3

Chili, pays de 18 millions d’habitants

La vaccination a commencé le 24 décembre et un total de près 17,1 millions de doses de vaccin a été administré à moins de 20 millions d’habitants. Mais malgré un taux de couverture vaccinal le plus élevé d’Amérique du Sud et des confinements durs, le nombre de contaminations quotidiennes et le nombre de décès restent près du triple de ce qu’ils étaient avant le démarrage de la campagne vaccinale …

Au Brésil, pays de 217 millions d’habitants

La vaccination a débuté le 18 janvier alors que la mortalité hebdomadaire se stabilisait autour de 7000

Moyen-Orient

Aux Émirats Arabes Unis, pays de 10,5 millions d’habitants

Au Koweït, pays de 4,2 millions d’habitants

EUROPE

En Hongrie, pays de 9,8 millions d’habitants

La campagne de vaccination débutée fin février a été suivie d’une forte hausse des contaminations hebdomadaires passées de 25576 le 25/2 à 62265 un mois plus tard, avant de redescendre progressivement au niveau pré vaccinal.

En deux mois et demi la Hongrie a ainsi doublé ses chiffres de contaminés (400000 à 800000) et de morts (de 14000 à 29000) atteints après 11 mois d’épidémie

En Roumanie, pays de 20 millions d’habitants

La campagne de vaccination a débuté fin décembre à une période où l’épidémie décroissait, et d’après les données officielles du 4 mai 21, Bucarest a le taux de vaccination le plus élevé du pays avec 31,2% de sa population éligible vaccinée. Mais peu après le début de la vaccination, le nombre des contaminations quotidiennes et la mortalité ont augmenté.

Avant la vaccination après dix mois d’épidémie, la Roumanie recensait 618000 infectés et 15000 morts. Après cinq mois de vaccination, elle en compte le double.

Monaco, pays de 38000 habitants

comptait seulement 3 décès avant la vaccination et 32 depuis la vaccination

Gibraltar, 34000 habitants

: la vaccination de la totalité de la population a été suivie d’une augmentation de 800% de la mortalité de 10 à 94)

Que peut-on déduire de ces données officielles. Hypothèses

Les victoires à la Pyrrhus(([4] Une victoire à la Pyrrhus est une victoire tactique, obtenue au prix de pertes si lourdes pour le vainqueur qu’elles compromettent ses chances de victoire finale.)) israélienne et britannique

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne, actuelles sont faibles.

Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition d’une grande partie des personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

Le « moissonnage » vaccinal

Dans ces deux pays, la mortalité attribuée au Covid a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines égalisant la totalité des morts de l’année 2020. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (l’année 2020) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto probablement une diminution du risque apparent de mortalité dans l’année à venir, dans cette tranche d’âge.

Mais parallèlement à cette diminution de sa cible initiale, le virus s’est transformé par mutation pour s’attaquer à d’autres segments de la société et en particulier aux groupes d’âge plus jeunes.

En novembre 2020, les données du ministère israélien de la Santé ont révélé qu’Israël avait détecté 400 cas de coronavirus chez des enfants de moins de deux ans. En février 2021, ce nombre est passé à 5 800.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne. Comme le Covid19 ne menace qu’une petite partie de la population (les grands vieillards avec comorbidité) la disparition péri vaccinale d’une grande partie de cette population (autant que les morts de l’année 2020) à risque, diminue mathématiquement la mortalité observée, au moins transitoirement.

Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en Grande-Bretagne (934/M) dépasse le double de celle des Pays-Bas (411/M).

La régression naturelle de l’épidémie

Explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les courbes de mortalité par million d’habitants suivent la même temporalité dans ces deux pays proches. Celle du Royaume-Uni souffre d’un pic péri vaccinal beaucoup plus élevé, la mortalité actuelle des Pays-Bas est légèrement plus élevée traduisant l’absence du « moissonnage » anglais.

La vaccination actuelle, accélérateur de l’épidémie et de la mortalité ?

La revue des principaux pays apôtres de la vaccination large montre qu’en population réelle, la vaccination généralisée se comporte plus comme un accélérateur de l’épidémie et de la mortalité que comme une prévention de celles-ci.(([5] F Gobert Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14 Agoravox https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/depuis-qu-on-vaccine-anticovid-la-233252))

Dans tous les pays très vaccinés, la mortalité comptabilisée durant les deux mois post vaccinaux égale ou dépasse celle de toute l’année 2020.

ABSENCE DE DONNÉES EXPÉRIMENTALES SOLIDES

Les essais de ces vaccins ont été insuffisants, sans recul, car ils sont en cours. Les premiers résultats sont promis pour début 2023.

Aucun d’entre eux n’a signalé la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires. Ils sont peu informatifs sur les effets secondaires plus ou moins graves, comme la fréquence des accidents vasculaires précoces dans les jours suivant la vaccination, ou encore les multiplications de fausse-couche et les troubles menstruels des femmes par exemple et bien sûr les possibles complications plus tardives à moyen et long terme.

La course à la vaccination accélérée à tout prix pourrait à terme être contre performante pour la confiance populaire en toutes les vaccinations. Rien ne sert de courir, il faut partir à point aurait dit la Fontaine. Mais les nouveaux milliardaires comme le PDG de Moderna ne pensent probablement pas comme la tortue de la Fable ayant d’ores et déjà amassé des fortunes.

L’AVENIR EST AUX TRAITEMENTS PRÉCOCES MAÎTRISÉS PAR LES MÉDECINS DE TERRAIN

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives, si une nouvelle poussée survenait.

D’autant que l’avenir, après cette hécatombe vaccinale, reste très incertain. Les dirigeants qui ont violé les bases de la médecine et de la démocratie en imposant la vaccination expresse sans respect des procédures habituelles pour la sécurité et l’efficacité des drogues mises sur le marché, se retrouvent tous à promettre à leurs populations des traitements précoces pour les vagues futures, prouvant par-là, comme Boris Johnson qu’ils ne croient plus à la vaccination qu’ils ont imposée.(([6] https://www.francesoir.fr/societe-sante/boris-johnson-veut-un-traitement-precoce-contre-la-covid-dici-lautomne))

LA MÉDECINE NE DOIT PAS ÊTRE DÉCIDÉE PAR LA POLITIQUE

La politique sanitaire ne doit plus être imposée ni guidée par des simulations le plus souvent inexactes (et leurs affichages parfois influencés par les politiques comme l’avouent les scientifiques anglais), mais doit reposer sur le respect de la démocratie et de l’expérience clinique des médecins de terrain guidés éventuellement par de simples recommandations non contraignantes.

Toutes les données doivent être transparentes comme les chiffres du Réseau Sentinelles qui reflète le nombre de malades réels, consultant les médecins pour des signes cliniques. Beaucoup plus fiables que les éternels chiffres de contamination basés sur des tests PCR peu fiables.

LIBERTÉ DE SOIGNER ET D’ÊTRE SOIGNÉ

Surtout les médecins doivent être autorisés à traiter librement leurs patients avec tous les moyens à leur disposition sans diktat bureaucratique, et ce dès le début de la maladie, comme dans toute autre pathologie. Dès le début de l’épidémie, les traitements précoces basés sur les antibiotiques, macrolides, l’hydroxychloroquine, l’Artemisia, les vitamines D et C et le zinc, puis l’ivermectine étaient connus et diabolisés par les médecins de plateau au service de nouvelles drogues hors de prix comme le remdésivir, et surtout des futurs vaccins.

Le choix politique d’interdire le libre choix du traitement par les autorités a conduit dans plusieurs pays du monde, dont la France, à des morts nombreuses dont au moins une partie était évitable. Les procès en cours donneront la parole aux familles des victimes sans réparer l’irréparable perte d’un être cher.

MORATOIRE INDISPENSABLE

Le totalitarisme, la censure systématique et la persécution des opposants et la suppression des libertés fondamentales n’aboutissent en science, en médecine comme en économie, qu’à des catastrophes à plus ou moins long terme, y compris pour ceux qui en sont responsables.

Il est grand temps de revenir aux faits avérés et à leur examen critique sans a priori. Dans tous les pays, les vaccinations expérimentales ont été suivies par une augmentation des contaminations et de la mortalité attribuée au Covid19 et l’apparition de mutants. Tant que le phénomène n’aura pas été élucidé, un moratoire des vaccinations anticovid est indispensable et urgent.





Commerce extérieur : la France lanterne rouge de l’Europe

Par Jean-Michel Grau

L’INSEE a publié le 17 mai 2021 le tableau du solde des échanges extérieurs des 27 pays de l’Union européenne. L’Allemagne, sans surprise, est la première du classement avec un excédent de presque 200 milliards d’Euros. La France — oh surprise! — est quant à elle, bonne dernière, avec un déficit de plus de 65 milliards. Après sa gestion catastrophique du Covid et la mise à l’arrêt de toute son infrastructure touristique, de toutes ses PME et de ses petits commerces, mais aussi la perte abyssale de plus de 7 milliards d’Euros de son industrie aéronautique depuis 2019, le moment est venu pour la France de passer à la caisse.

Il faut dire que c’est une sacrée performance pour l’économie française d’arriver à faire en déficit ce que l’Italie fait en excédent, alors que celle-ci est le pays le plus endetté d’Europe, dont il faut saluer au passage la 4e place de ce podium. Même la malheureuse Grèce s’en tire mieux avec un déficit de « seulement » 15 milliards d’Euros.

Reconnaissons ici que la politique du « quoi qu’il en coûte » du tandem Macron-Le Maire a donc porté ses fruits au-delà de toutes espérances. Elle devrait même devenir très vite un cas d’école pour toutes les écoles de gestion et de commerce, afin de comprendre comment on peut arriver à ruiner un pays en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Tout cela à cause d’un microbe. Il a bon dos ce virus : grâce à lui, on peut allègrement taper dans les caisses des fonds publics. Sans souci, vu que la BCE fait marcher la planche à billets à tour de bras, au risque de faire ressurgir l’inflation, mais patience, on y vient.

Le bilan des exportations françaises est donc logiquement à l’image du bilan calamiteux de son commerce extérieur, vu qu’elles ont reculé de presque 16 %, annulant l’effet du recul des importations de 13 %.

C’est pourquoi Bruno Le Maire envisage très sérieusement d’effacer la dette de certaines entreprises, contractée durant les fermetures liées aux confinements où 650 000 entreprises ont accumulé près de 137 milliards de dettes à travers les prêts garantis par l’État.(([2] francais.rt.com/magazines/cest-cash/86794-faut-il-effacer-dette-covid-entreprises))) Effacer les dettes à coup d’ardoise magique, voilà qui est pratique ! Et ce, « Quoi qu’il en coûte ! » Quel sacré farceur, ce Bruno ! Toujours le mot pour rire !

Le problème est que l’excuse de la crise sanitaire pour expliquer ces résultats consternants ne tient pas, car le Covid s’est joué des frontières, comme tout un chacun sait, et a sévi sans discernement dans tous les pays européens. La plupart d’entre eux s’en sont largement mieux sortis que la France. Ainsi, l’Allemagne, l’Irlande, les Pays-Bas et l’Italie enregistrent des soldes d’échanges extérieurs largement positifs. Le solde des échanges extérieurs de l’Allemagne est positif de 194 milliards d’Euros, celui de l’Italie de 60,5 milliards d’Euros, quand celui de la France est déficitaire de 66,8 milliards…

Oui, mais toute l’Europe n’a pas la chance d’avoir Bruno Le Maire à la manœuvre.

Et comme si ce tableau d’apocalypse ne suffisait pas, la remontée prochaine des taux d’intérêt(([3] lecourrierdesstrateges.fr/2021/05/20/comment-biden-prepare-letranglement-de-macron-fin-2021/)) risque d’asphyxier définitivement l’économie de la France, pays le plus dépensier de toute l’UE.

Autant dire que la réélection de Macron apparaît désormais plus que compromise, et que plus personne ne miserait un kopeck aujourd’hui sur le soutien du patronat et des grandes entreprises françaises, pour les prochaines élections présidentielles, à ce Jupiter de salle de bains dont les rêves de grandeur risquent de finir très bientôt au tout-à-l’égout.





Le compte est bon ?

[Source : AgoraVox le média citoyen]

Par Pierre Chazal

Depuis que la planète Terre s’est transformée, à la faveur d’une campagne de promotion vaccinale à faire rosir d’envie Apple©, Levi’s© et Coca-Cola©, en salle de shoot à ciel ouvert pour toxicos du monde entier, il se dit aux quatre coins de la galaxie chez nos amis extra-terrestres que le moment est peut-être venu d’aller nous rendre une petite visite. Eux aussi, si ça se trouve, ont quelques gadgets à nous refourguer dont ils n’ont plus l’utilité. Une crème magique contre les coups de lune ? Un aspirateur à poussière d’étoiles ? Si sept milliards d’êtres humains sont aussi pressés de s’injecter un produit expérimental pour un virus respiratoire dont personne ne sait ce qu’il deviendra d’ici six mois, c’est que la came doit être d’une qualité interstellaire.

La sensation d’euphorie, le rush et/ou les hallucinations n’apparaissent pourtant pas dans la liste des effets secondaires déclarés jusqu’à présent. Lou Reed nous a quittés trop tôt pour nous livrer son sentiment. Eric Clapton, lui, est déjà passé à confesse et s’est même fendu d’une chanson. Il a récemment écrit dans une lettre reprise dans tous les aucun média mainstream : « J’ai pris la première piqûre d’AZ et j’ai tout de suite eu de graves réactions qui ont duré dix jours. J’ai fini par me rétablir et on m’a dit qu’il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième injection… Environ six semaines plus tard, on m’a proposé et j’ai pris la deuxième injection d’AZ, mais avec un peu plus de connaissance des dangers. Inutile de dire que les réactions ont été désastreuses, mes mains et mes pieds étaient gelés, engourdis, pratiquement inutiles pendant deux semaines, je craignais de ne plus jamais jouer. Je souffre de neuropathie périphérique et je n’aurais jamais dû m’approcher de l’aiguille. Mais la propagande disait que le vaccin était sûr pour tout le monde… »

La pureté et l’innocuité du produit étant encore à l’étude jusqu’à la fin des essais cliniques (21 février 2023 pour AstraZeneca, 27 janvier 2023 pour Pfizer BioNTech), on attendra la confirmation de Dave Gahan et Keith Richards pour se prononcer sur la question. Tout ce qu’on sait, pour l’instant, c’est qu’on ne sait rien, pour paraphraser l’ami Montaigne. « Le monde est une branloire pérenne », écrivait-il dans ses Essais. Au vu des évènements de l’année écoulée, on ne s’amusera pas à le contredire.

Guérir, c’est prédire

Qu’adviendra-t-il, première question, du virus de Wuhan et de ses multiples rejetons dans les années à venir ? Un, deux, trois petits tours et puis s’en vont ? Dans l’éventail de prophéties à qui l’on fait faire la danse du paon sur tous les plateaux télé, c’est de loin l’hypothèse la moins souvent envisagée. Ce fut pourtant le destin des H1N1, H2N2 (grippe asiatique) H3N2 (grippe de Hong Kong), MERS et autres SRAS qui, il est vrai, n’étaient pas suspectés d’avoir foutu le camp d’un laboratoire. Rien ne permet pour autant d’établir avec certitude que la petite bête sévira pour les siècles à venir ni qu’elle fauchera tout sur son passage sous forme de variant chilien ou javanais dopé aux amphétamines.

Autre question – et non des moindres, quelle sera l’efficacité réelle des vaccins quand, à l’automne et l’hiver prochains, le temps des promos, des spots de pub, des écrans géants, des vaccinodromes et des injections en musique aura cédé la place au temps de la vraie compète, celle qui envoie irrémédiablement au tapis les malfichus et les malchanceux de ce monde sans égards particuliers pour leur passeport sanitaire ou leur foi inébranlable en Notre-Dame-du-Vaccin ? Selon Santé Publique France, les épisodes de grippe saisonnière ont causé en 2015, 2017, 2018 et 2019 respectivement 18 300, 14 400, 13 000 et 8 100 décès, pour des taux de couverture vaccinale de 46,1%, 50%, 49,7% et 51%. Difficile donc, en vérité, d’établir le prélude d’un début d’amorce de lien de causalité entre létalité et vaccination dans le cas particulier de l’influenza.

Notre Sars-Cov-2 est très différent, nous dit-on, ce que même Saint-Thomas ne demanderait qu’à croire. Le problème, c’est qu’après nous avoir foutu sur la gueule à H24 des masques complètement inutiles, vendu des confinements et des couvre-feux contreproductifs sur bien des points, un simple d’esprit serait tenté de ne pas cosigner des deux pieds la fable journalistique selon laquelle la campagne de vaccination massive aurait brisé net la dernière vague épidémique. Les courbes de décès et de contaminations se cassent la gueule aux quatre coins de l’Europe et de l’Amérique du nord avec des taux de vaccination pour le moins très disparates d’un pays à l’autre (32% de primo-vaccinés en France, 56% au Royaume-Uni, 9% en Macédoine, 3% en Biélorussie, 48% aux USA, 22% en Lituanie…), et la situation épidémique ressemble, presque au jour près, à celle d’il y a un an quand tout avait rouvert sans restrictions et sans vaccin. Il est vrai qu’il est difficile de vendre ce qu’on n’a pas encore en stock, et que ce qui valait hier pour les masques et les tests vaut aussi bien, aujourd’hui, pour les vaccins. Dans ce monde étrange qu’est devenu le nôtre, la ligne de démarcation extrêmement ténue entre inutile et essentiel tient tout autant – si ce n’est davantage – à l’état de l’offre qu’à celui de la demande.

Jackpot et courts-circuits

Ce qu’on sait tout de même, d’ores et déjà, c’est que Pfizer, Moderna et AstraZeneca vont se faire des couilles en or massif. 900 millions de dollars pour Pfizer au premier trimestre 2021, c’est un bon début pour une entreprise dont la réputation n’est plus à faire en matière de scandales sanitaires. Moderna a vendu sur la même période pour 1,7 milliard de son élixir de jouvence, contre « seulement » 275 millions de dollars pour AstraZeneca. Dans le même temps, par un pur hasard du calendrier, le déficit du régime général de la sécurité sociale devrait atteindre en France en 2021 le record historique de 38,5 milliards d’euros. « Cette dégradation brutale et sans précédent, conséquence de la crise sanitaire et économique, conduit au déficit le plus élevé jamais enregistré dans l’histoire de la sécurité sociale », a fait savoir mi-mars le ministère de la Santé. Il est vrai qu’on ne remplit pas de verres sans vider la carafe et qu’il serait dommage de gaspiller du fric en impulsant une véritable politique de santé publique, pérenne et plurivertueuse, quand il suffit, à chaque épidémie, de sortir le stylo et le carnet de chèques pour faire mine d’affronter l’orage devant les caméras de France 2.

En 2009, déjà, notre Roselyne Bachelot nationale, dame patronnesse de la culture confinée, des sports interdits et de la santé chancelante, avait acheté pour deux milliards d’euros de vaccins H1N1 à… AstraZeneca, qui a dû trouver comique de la retrouver sur sa route puisqu’elle avait été, entre 1969 et 1976, déléguée médicale d’ICI Pharma dont la branche pharmaceutique deviendra autonome en 1993 sous le nom de… Zeneca avant de fusionner six ans plus tard avec le suédois Astra. La France recensera au final, officiellement, 349 décès attribués au virus A-H1N1 et quelque 200 cas de narcolepsie-cataplexie induits par la vaccination dont certaines victimes, onze ans après, attendent toujours l’indemnisation promise par les autorités sanitaires en cas d’effets secondaires. La même année (loi Bachelot de 2009), rappelons-le, la divine Roselyne érigeait en mode de gouvernance l’association du mercantilisme et du bureaucratisme qui consacrait la main mise des ARS sur le système de soins hospitaliers. André Grimaldi, chef de service à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, regrettait amèrement dans une tribune du 3 avril 2012 les conséquences déjà visibles de ce petit meurtre entre amis, lui pour qui les directeurs des agences régionales de santé avaient toute l’étoffe pour devenir « de véritables préfets sanitaires aux ordres du gouvernement. »

L’avantage de cette approche (on ferme des lits pour les malades, on centralise à mort et on vaccine tous les bien-portants) est qu’elle correspond exactement à l’idée de la médecine que se font Bill Gates et ses copains de l’Amicale de la Seringue. Dans un rapport fleuve datant de 2015 intitulé Philanthropic power and development. Who shapes the agenda ?, voilà-t-il pas que l’on apprend :

« Le fait que la fondation Gates priorise les solutions vaccinales pour les divers problèmes de santé publique reflète sa préférence pour les interventions courtes, mesurables et avec une forte visibilité. L’un des représentants de la GAVI a rapporté que Bill Gates lui confiait souvent dans des conversations privées qu’il était fermement opposé aux systèmes de santé. Il est même allé jusqu’à dire que c’était du complet gaspillage, qu’il n’y a aucune preuve que cela fonctionne, et que donc il ne dépenserait pas un centime pour le renforcement des systèmes de soins. »

En termes marketing, on appelle ça la top-down approach, et on ne trouvera pas étonnant de la voir relayée quasi telle quelle dans un article d’Hervé Morin paru dans le journal Le Monde (financé copieusement par Bill Gates) intitulé crânement : « Covid-19 : La France a-t-elle trop de lits de réanimation ? » Quand on en est à écrire ça, c’est vraiment qu’on est au-delà du foutage de gueule et qu’on considère la population si crétine et analphabète qu’on pourrait tout aussi bien lui intimer l’ordre d’acheter des tubas et des bouteilles à oxygène chez Decathlon pour s’intuber à la maison.

La théorie du hold-up

Ceci étant posé, pour réussir son coup et imposer son juteux modèle aux quatre coins de la planète, Big Pharma a dû composer avec un paramètre qui souvent cause la perte des brigands trop présomptueux : le temps. Dans tous les films de braqueurs (Heat, Point Break, Ocean 11…), les interventions sont minutées et calibrées au détail près pour que le butin soit sécurisé avant l’arrivée de la police. Quand ça tourne mal, que le temps vient à manquer, c’est le carnage assuré.

Dans son livre joliment nommé La société du Hold-up (2012), Paul Vacca décrit un monde financiarisé à outrance, basé sur la quête ultra-rapide du profit, où « l’homme est devenu un braqueur pour l’homme » et se révèle prêt à tout pour s’enrichir en un temps record. Le génie disruptif d’Apple, Google ou Facebook repose, écrit-il, sur une logique de coup qui bouleverse la donne et réinvente de nouveaux codes pour créer ex-nihilo un marché tout beau, tout neuf qu’ils n’ont plus qu’à inonder de leurs joujoux ultra-modernes. Les fabricants de vaccins du nouveau Big 4 de la médecine quantique (Pfizer, Moderna, AstraZena, Johnson & Johnson) sont en passe de réaliser le même tour de force, à l’aide de produits résolument innovants et d’une force de frappe médiatique sans équivalent dans l’histoire de la publicité et du merchandising. Encore faut-il que leur stratégie se montre à la hauteur des enjeux.

L’accélération fulgurante de la campagne d’injections de masse en Europe et en Amérique du Nord répond, à ce qu’on en observe pour le moment, à la logique des Blockbusters, qui visent à faire main basse sur l’audience avant même que la critique ou le bouche à oreille n’aient eu le temps de s’exercer. Une variante du Hit & Run qui fait sens dans un environnement hautement instable susceptible d’altérer du jour au lendemain la perception du produit, de son utilité comme de son efficacité. Face à une situation de fléchissement épidémique généralisé qui aurait pu se révéler fatale à Big Pharma, conditionner à la vaccination le fait que les gens puissent partir bouffer des tapas en Espagne constitue la stratégie gagnante pour une industrie qui sait qu’elle ne dispose que d’une fenêtre de tir réduite pour écouler sa marchandise. Créer l’urgence là où il n’y en a pas, c’est tout le génie marketing de ceux qui savent depuis que le dollar existe que tordre le réel et réinventer l’avenir conditionnent le besoin et commandent au désir. Laisser le train passer, en revanche, c’est prendre le risque de rester à quai avec ses bagages sans certitude d’en voir arriver un autre avant des lustres.

Sur la chaîne très covid-friendly CNN, une experte en vaccination lâchait ainsi en direct au mois d’avril : « Nous devons expliquer clairement aux gens que le vaccin est le ticket de retour à leur vie d’avant la pandémie. La fenêtre de vaccination est très étroite, avec tous ces états qui rouvrent tout à 100%, pour conditionner les réouvertures au statut vaccinal. Sinon, si tout rouvre librement, qu’est-ce qu’on va avoir comme carotte à offrir aux gens ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ? C’est pourquoi le CDC doit adopter une position plus ferme et dire : ‘Si vous êtes vacciné, vous pouvez faire ce que vous voulez. Toutes ces libertés que vous aviez, vous pourrez les retrouver.’ Sinon, les gens vont commencer à sortir et profiter de la vie sans être vaccinés. »

Un avenir incertain. Un produit en phase expérimentale. Une fenêtre de tir réduite. Un paquet de pognon à sa faire à condition de bien jouer le coup. On reconnaîtra peu ou prou le destin marketing du film Les Dents de la mer (sorti en1975) ainsi décrit dans le livre de Paul Vacca :

« Tout s’annonçait pour le mieux. Pourtant, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Une grande malédiction s’abat sur le film : Bruce, le requin mécanique confectionné à grands frais pour le film, ne veut pas fonctionner, manquant même d’estropier un technicien ; la météo s’y met aussi ; le retard s’accumule, le tournage déborde sur la période estivale. Le budget explose : il est multiplié par trois. Et pour arranger le tout, les plans tournés avec le requin sont inexploitables. De plus, comme le film s’est fait au jour le jour, de nombreuses séquences sont quasiment impossibles à monter. Au visionnage des rushs, les patrons d’Universal Pictures s’arrachent les cheveux : ‘C’est ça le film qui est censé faire peur à tous ? !?’

Spielberg humilié tente ce qu’il peut pour sauver le film au montage. Mais la panique s’est définitivement emparée des dirigeants de la major. C’est alors qu’ils ont l’idée d’un stratagème pour limiter la casse : tâcher de faire au moins un premier week-end honorable. Ils décident alors – fait inédit pour un film – d’acheter de l’espace publicitaire dans les networks américains pour 700 000 dollars, ce qui à l’époque représente une somme hallucinante. Ils distribuent d’emblée le film sur une très large combinaison de salles alors que l’habitude voulait que l’on fasse monter le nombre de salles en puissance. Leur but : récolter le maximum d’entrées durant le premier week-end avant que le bouche-à-oreille, qu’ils présagent désastreux, ne décourage tout le monde. Ce sera toujours ça de gagné… »

L’avenir leur donnera en partie raison (énorme succès à sa sortie) et en partie tort : le savoir-faire de Spielberg assurera au film une solide postérité. Mais ils avaient compris qu’avec des cycles de plus en plus courts de présence des films à l’affiche, le gigantisme avait de l’avenir, ce que nos professionnels de la vaccination planétaire ont compris également. Avancer moins vite qu’ils ne le font sur le calendrier vaccinal, ce serait méconnaitre la durée de vie limitée de l’effet d’appétence, surtout pour les plus jeunes sans aucune comorbidité et qui ont dû sans le savoir rencontrer dix ou quinze fois le virus sans éprouver autre chose qu’un mal de tête ou une fatigue passagère. Sur son fil Twitter, l’avocat Fabrice Di Vizio s’extasiait le 19 mai de la clairvoyance de sa fille avec ce message admiratif : « Ma fille de 17 ans : la vaccination, c’est comme la mode, tu payes des influenceurs pour faire acheter des trucs que personne n’aurait jamais acheté ! Ça donne l’impression d’être cool. Quand t’es vacciné, on te fait croire que t’es cool, t’es pour la science. » De là à basculer dans le monde des produits dérivés, des pin’s et tee-shirts « je suis vacciné.e » au concours de selfies manches retroussées sur Instagram, il n’y a qu’un pas que Pfizer & co auraient tort de ne pas franchir, histoire de surfer tout l’été sur la vague de solidarité universelle née au printemps dernier.

Lequel d’entre nous, parmi les plus réfractaires au Smartphone, à Facebook ou Google, n’a pas fini par se mettre à la page et succomber parfois malgré lui, d’une façon ou d’une autre, aux sirènes de la modernité ? Qui n’avance pas recule, au 19ème siècle comme aujourd’hui, et la pression de l’environnement technologique et sociologique est souvent une force irrésistible qui broie les résistances des plus têtus objecteurs de progrès, pour reprendre le bon mot de Pierre-Yves Rougeyron.

Un pont trop loin ?

La question qui demeure, néanmoins, dans le cas de ces vaccins expérimentaux à l’efficacité et aux effets secondaires inconnus sur le long terme, c’est de savoir quand nos joueurs de poker bienfaiteurs de l’humanité vont considérer qu’il est temps de se lever de table et d’encaisser leurs jetons avant que le casino sonne l’alarme générale. Il commence à se dire, ici ou là, que des vaccinés se contamineraient aussi bien que les autres tandis que certains mourraient du vaccin comme d’autres étaient morts auparavant du virus – c’est-à-dire sans pouvoir en apporter formellement la preuve. Les certificats de décès, en ces temps de contrebande, font l’objet d’une attention inédite de la part des diverses parties en présence. Des plaintes commencent à remonter, des doutes germent ici ou là sur la véracité des chiffres avancés par les autorités pour justifier leur politique d’injections à la chaîne. Bref, si le temps se gâte au propre comme au figuré et que la météo sanitaire en vient à contredire les prédictions autoréalisatrices des caïds en blouse blanche envoyés par les cartels du médicament, il pourrait être plus prudent pour eux de remballer la marchandise avant que les vrais problèmes ne commencent.

La courbe de vaccination d’Israël, pays pilote de l’expérience vaccinale, tendrait ces dernières semaines à plafonner autour des 62% de primo-injectés. Il n’est pas impossible que l’asymptote soit proche d’avoir été atteinte, et menacer les récalcitrants de les attacher aux roues d’un char pour aller faire la guerre au Hamas dans la bande de Gaza risque d’être mal perçu même par Gérard Leclerc, Christophe Barbier ou Brigitte Milhau. Si le même phénomène s’observe au Royaume-Uni, aux USA ou en Allemagne, il serait risqué de tenter le passage en force par le biais, par exemple, de la vaccination des enfants. Des psychopathes comme Karine Latombe ou Arnaud Fontanet, en France, ont déjà franchi le Rubicon histoire de tâter le terrain, et d’autres voix se sont déjà fait entendre en Amérique et en Europe pour murmurer cette éventualité. C’est un terrain si glissant que même Angela Merkel – qui n’a jamais approché un enfant de sa vie – ferait mieux de s’en tenir, pour éviter le faux pas, à ce qui est actuellement écrit noir sur blanc sur le site du gouvernement fédéral allemand :

« Aucun vaccin n’est actuellement approuvé pour les enfants et adolescents jusqu’à l’âge de 16 ans. Le vaccin de Biontech / Pfizer peut généralement être utilisé chez les jeunes de 16 ans et plus. L’approbation des vaccins pour les enfants est extrêmement délicate. Par exemple, il faut d’abord clarifier suffisamment que les vaccins sont sans danger pour les adultes. Ce n’est qu’alors que des études pourront être menées sur l’applicabilité chez les enfants. »

Tout porte raisonnablement à croire que Big Pharma saura retenir ses chiens et les rappeler à la niche face une fronde généralisée des mères de famille du monde entier. L’instinct de survie de l’espèce et l’amour maternel restent encore aujourd’hui des forces trop prodigieuses pour succomber aux coups de boutoir de la corruption, de l’hystérie de contrôle et de l’ubris des Dr Frankenstein et Folamour qui ont ouvert la boîte de Pandore sans plus trop savoir comment la refermer. Il faut dire qu’avec une moyenne annuelle de quatre millions de morts par infections respiratoires, nos bons docteurs auront du mal à nous revendre chaque hiver la même dystopie prométhéenne. On ne se baigne jamais deux fois, disait Héraclite, dans les eaux du même fleuve. La meilleure chose à faire, pour recréer une panique à la hauteur de nos attentes, serait plutôt de sortir un deuxième remake de l’Invasion des Profanateurs (1956 puis 1979). Des plantes extra-terrestres venues nous cloner pendant notre sommeil et remplacer l’humanité entière par des créatures dépourvues d’émotion et changées en automates, voilà un script qu’une année de confinements, d’évitements, de défiance et de déshumanisation nous aura préparés à accueillir dans la joie de nos vies retrouvées. Et si la prochaine dystopie, d’ailleurs, pouvait venir des extra-terrestres, elle ne pourra jamais être plus hideuse que les rictus de Bill Gates ou les mimiques de Karine Latombe.


https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/vaccin-genique-essai-therapeutique-grande-echelle-vous-etes-le-cobaye

https://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/2021-05-19/covid-19-pourquoi-lhypothese-dune-fuite-du-virus-dun-laboratoire-nest-pas-ecartee-a3fc216b-1dbb-4731-891f-de9f5b501c55

https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/a-colmar-la-vaccination-contre-le-covid-19-se-deroule-en-musique_4614615.html

https://fr.statista.com/infographie/11358/mortalite-de-la-grippe-en-france/

https://www.grandforksherald.com/newsmd/coronavirus/6824462-North-Dakota-got-a-mask-mandate-South-Dakota-didnt.-COVID-19-cases-have-plummeted-in-both

https://www.sortiraparis.com/news/coronavirus/articles/240384-vaccine-in-the-world-as-of-datadatestodayfrlatest-the-percentage-of-people-vacci/lang/en

https://www.courrierinternational.com/article/le-chiffre-du-jour-pfizer-gagne-900-millions-de-dollars-au-premier-trimestre-2021

https://www.msf.fr/actualites/les-fausses-accusations-de-pfizer

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/le-cytotec-medicament-de-pfizer-retire-du-marche-et-nouveau-scandale-sanitaire_507478

https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/coronavirus-moderna-releve-sa-prevision-annuelle-de-ventes-de-son-vaccin-1961771.php

https://www.challenges.fr/entreprise/sante-et-pharmacie/astrazeneca-les-ventes-du-vaccin-atteignent-275-millions-de-dollars-au-1er-trimestre_762794

https://france3-regions.francetvinfo.fr/grand-est/meurthe-et-moselle/nancy/covid-19-demissions-en-serie-des-infirmieres-a-l-hopital-apres-la-crise-sanitaire-on-va-affronter-une-crise-sociale-2034976.html

https://www.lemonde.fr/sante/article/2016/06/02/le-manque-de-medecins-generalistes-s-accentue_4930689_1651302.html

https://pharmacritique.com/2009/09/24/roselyne-bachelot-a-passe-au-moins-12-ans-au-service-de-lindustrie-pharmaceutique-source-de-conflits-dinterets-par-exemple-dans-la-vaccination-massive-contre-la-grippe-a-h1n1/

https://reporterre.net/Vaccins-et-aluminium-la-recherche-interdite

https://destinationsante.com/grippe-pandemique-combien-de-morts-en-france.html

https://www.liberation.fr/france/2020/11/24/effets-secondaires-du-vaccin-h1n1-les-indemnisations-trainent_1806453/

https://leplus.nouvelobs.com/contribution/517294-la-loi-bachelot-a-fait-de-l-hopital-une-entreprise.html

https://archive.globalpolicy.org/images/pdfs/GPFEurope/Philanthropic_Power_online.pdf

https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/05/11/covid-19-la-france-a-t-elle-trop-de-lits-de-reanimation_6079812_3232.html

https://www.youtube.com/watch?v=kYyejHNRWyw

https://ourworldindata.org/covid-vaccinations

https://www.healthline.com/health-news/when-will-covid-19-vaccines-be-available-to-children-under-12

https://www.lci.fr/societe/covid-19-la-vaccination-des-enfants-et-ados-devient-elle-incontournable-2185469.html

https://www.bundesregierung.de/breg-de/suche/corona-gefaehrlich-fuer-kinder-1882974

https://www.lexpress.fr/actualites/2/les-infections-respiratoires-font-4-25-millions-de-morts-par-an_934943.html

https://www.allmovie.com/movie/invasion-of-the-body-snatchers-v25289




Hold-Up (Mise à jour : lien vers le film en deux parties, après la censure par YouTube + vidéo de Pierre Barnérias)

[Source : FranceSoir]

Hold-Up, film en sortie nationale 11 novembre. Pourquoi j’ai produit ce film par Christophe Cossé?

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir

TRIBUNE : Le film Hold-Up produit par Pierre Barnérias et Christophe Cossé, sort ce mercredi 11 novembre.  Christophe Cossé est producteur de documentaires et de films avec une formation en anthropologie sociale et psychologie clinique.  

Pourquoi j’ai produit ce film ?

Ce qui me vient en premier à l’esprit, c’est cette phrase de Kierkegaard :

« Il s’agit de comprendre ma destination, de voir ce que Dieu veut proprement que je fasse. Il s’agit de trouver une vérité qui soit vérité pour moi, de trouver l’idée pour laquelle je veux vivre et mourir».

Avec cette singulière crise politique qui remet en cause bien des principes de notre humanité, et que maquille la préoccupation sanitaire, nous sommes parvenus à l’heure des choix. Dès lors, avec nos connaissances et notre conscience, à quoi sommes-nous prêts à renoncer ? Devons-nous céder à la peur, au besoin de sécurité, ou préférer embrasser la vie et la liberté ? Ma démarche, notre démarche commune tant avec mes coproducteurs qu’avec toutes celles et ceux venus témoigner, c’est avant tout d’avertir sinon d’alerter, d’interpeller, d’informer le plus grand nombre.

L’épidémie et son traitement ont tout d’une intrigue dramatique. Cet évènement épidémique révèle en définitive une crise profonde, révélatrice de l’état actuel de notre société, de ses institutions et de sa culture. On y découvre non seulement le pouvoir de la presse, désormais inféodée au pouvoir par le jeu des actionnaires qui la détiennent, mais aussi la puissance des réseaux sociaux qui véhiculent tant le relais de cette dernière, qu’un contre-pouvoir raillé par la censure, mais ô combien salvateur pour la connaissance et la liberté d’expression ou d’information.

L’issue de cette épidémie, somme toute habituelle et saisonnière, présente donc en quelque sorte les deux genres aristotéliciens: la tragédie de l’humanisme ou l’épopée d’un renouveau. Gageons qu’elle débouche sur le renouveau. D’autres y voient une dimension biblique.

C’est donc une question de choix, d’élan instinctif, d’appel ce qui m’a poussé dans ce film. Et aussi parce que le scénario qui se déroule sous nos yeux mérite un témoignage. Sans prétention aucune, je me réfère à Alexis de Tocqueville : « ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux.»

C’est la base du film, nous évertuer à comprendre : les mensonges, la manipulation, l’ingénierie sociale, la corruption. Il faut bien se figurer que la privation de nos droits, de nos libertés, de nos choix est un hold-up. Nous aurions pu l’intituler « Coup d’Etat ».

Nous sommes en fin de cycle, tout va très vite, et se radicalise. Il n’y a plus d’espace d’échange, de réflexion, de pensée. Pour Pierre et moi, comme pour Nicolas, il n’était pas envisageable de ne rien faire. Et nous prévoyons même de continuer à filmer et à suivre l’actualité, car nous pressentons un changement fondamental dans notre humanité. Notre actualité sociale et politique nous y ramène. Le président Macron a décidé de confiner derechef sa population pour six semaines.

Nouvelle étape du scénario.

La lecture des derniers relevés hebdomadaires de l’OMS et du Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, permet clairement de constater que tous les pays ayant pratiqué le confinement ont eu les pires résultats dans le degré de résilience de leur population au COVID-19.

Le taux de mortalité est établi à 0,15%. Plus de 98% des individus ayant contracté le virus guérissent. Le nombre de morts associés abusivement au Covid reste encore deux fois inférieur à celui des erreurs médicales ou du tabac.

Outre que le fait de confiner toute une population saine et non malade a été et demeure une première dans l’histoire de l’humanité, toutes les études qui ont été produites depuis le premier confinement rejoignent les conclusions des précédentes, à savoir l’inefficacité de cette mesure. Serait-elle politique ?

L’OMS vient, il y a quelques semaines à peine, de convenir de son inefficacité et de son inutilité. On se souvient pourtant de cette étude de Neil Ferguson, de l’Imperial College, qui prévoyait plus de 500 000 morts en Grande-Bretagne, et 10 millions de victimes en Afrique, dont s’inspiraient l’OMS et les dirigeants occidentaux dans leur décision de confiner alors que l’épidémie était déclarée.

Ce même épidémiologiste, qui, dix ans auparavant, lors de l’épidémie de la grippe A (H1N1), avait également envisagé un désastre sanitaire de plus de 60 millions de victimes dans le monde. A l’époque, le rapport du Sénat (2010) avait clairement dénoncé l’irrationalité de ces analyses, la dérive de la politique sanitaire et avait surtout mis en lumière les conflits d’intérêts qui semblaient régir cette dernière.

Malgré cela, notre gouvernement, après s’être défendu à maintes reprises de l’envisager, l’a confirmé, ce nouvel emprisonnement. Il avance même de surcroît vouloir y associer quelques autres mesures coercitives, tout en dénonçant l’irresponsabilité, sinon l’incurie, de ceux qui s’y opposent.

Ce nouveau confinement  a été officiellement décrété en conséquence de l’importance du nombre de cas de contaminations et du nombre de malades admis en réanimation. Le seuil de 60% des lits occupés a ou aurait été franchi.

Or, il serait bon de remettre en perspective les données sanitaires des cinq années précédentes pour constater que nos services hospitaliers sont toujours saturés à cette période de l’année, tant pour d’autres coronavirus, que pour la grippe ou des problèmes respiratoires. Il est éloquent de rappeler que notre Ministre de la Santé a lui-même participé à la faillite de notre système de santé, en soutenant la politique de réduction des lits en milieu hospitalier, ce qui provoque depuis quelques années déjà, l’engorgement des services de réanimation.

Il serait également bienséant de préciser, dans un souci de transparence et d’honnêteté, que le nombre de patients en réanimation tient aussi compte du nombre de patients en soins intensifs dans le privé. Toutefois, dans le calcul de Monsieur Véran et de son Comité scientifique, on compte les malades du privé, mais pas le nombre de lits; simple tour de passe-passe pour permettre d’augmenter le taux d’occupation en réanimation et de justifier la peur, la panique ou la terreur. Etrange pour des médecins.

Que dire du bilan médical des malades admis en ce début du mois de novembre en réanimation ou en soins intensifs, si ce n’est un profil type d’individus de plus de 65 ans affectés par la comorbidité, victimes de saturation de leur système immunitaire ?

Que dire du nombre réel de victimes du Covid alors que l’on recense comme tels les décès dus aux maladies cardio-vasculaires, aux cancers, aux diabètes ?

Que dire du nombre réel des cas de contaminations, avec un moyen de dépistage peu fiable et trompeur et dont la sensibilité vient d’être augmentée aux dépens de sa déjà faible efficacité ?

Que dire du gouvernement, qui, après avoir constaté il y a six mois la saturation de nos services publics hospitaliers, n’a pas investi pour de nouveaux lits en réanimation ?

Serait-il utile d’expliquer enfin pourquoi aucune autopsie n’a été diligentée ?

Que dire de la médecine libérale, sans moyens d’agir sur la prophylaxie de la maladie, privée d’hydroxychloroquine, d’azithromycine, de macrolides ou de C3G ? En les coupant de leurs moyens, le gouvernement favorise l’orientation des soins vers l’hôpital.

De tout cela il n’est point question. Le gouvernement semble suivre sa propre feuille de route, sur cette deuxième vague et son confinement finalement induit, annoncés depuis le mois d’avril. Alors s’ils savaient, pourquoi ne pas avoir agi ? Une fois de plus ?

Ce choix d’un deuxième confinement n’est pas qu’un révélateur de l’échec de notre politique sanitaire. C’est la confirmation d’une grave et profonde crise institutionnelle et démocratique. L’état d’urgence sanitaire est anticonstitutionnel et illégal. Les élections municipales se sont déroulées hors du cadre constitutionnel. Le Conseil constitutionnel est en sommeil, prié par le gouvernement de se confiner également, les deux chambres sont au ralenti, les textes sont examinés par 10% des députés, l’exécutif détient les pleins pouvoirs, et nos libertés sont à nouveau restreintes comme jamais dans un cadre de paix.

L’état d’urgence sanitaire ne respecte nullement les applications de l’article 16 et de l’article 53 de la Constitution, le rendant anticonstitutionnel et illégal.

Au niveau des institutions, ce qui a aussi changé, dès le début de la crise, c’est que le gouvernement s’est doté d’un Conseil scientifique dont les membres sont majoritairement proches des laboratoires pharmaceutiques. Il existe pourtant des organismes réputés et sans doute plus indépendants comme l’INSERM, le CNRS, les académies de médecine, de pharmacie, ou de vétérinaires… ?

Avec ce nouveau confinement, le gouvernement restreint une nouvelle fois nos libertés. Une nouvelle fois, elles sont bafouées et notamment, la liberté d’aller et venir, la liberté d’entreprendre et la liberté de réunion. Mais d’autres plus individuelles.

La liberté d’aller et venir existe en pratique depuis la fin du servage en France. Elle apparaît dans les textes en 1315, sous Louis X. Le décret royal précisait :

“ Toute créature humaine doit généralement être franche par droit naturel. Le Roi condamne avec énergie le joug et la servitude, qui est tant haineuse et fait qu’en leur vivant, les hommes sont réputés comme morts et, à la fin de leur douloureuse et chétive vie, ils ne peuvent disposer ni ordonner des biens que Dieu leurs a prêtés en ce siècle.”

La liberté d’entreprendre est plus récente. Elle date de la Révolution française. Le décret d’Allarde de 1791 autorise tout citoyen à exercer le métier ou le négoce qu’il veut, pourvu qu’il paie ses impôts. Cela permettait d’échapper à la logique des corporations et de rang social où vous étiez plus ou moins lié par ce que faisaient vos parents avant vous. Il ne semble pas que cette liberté d’entreprendre ait connu jusqu’ici de restriction ou d’interdiction.

Puis la liberté de réunion, comme la liberté d’expression, sont des libertés fondatrices de la IIIème République. Elles marquent le droit d’exprimer son désaccord avec le pouvoir en place. Elles ont permis la création des syndicats par exemple. 

Les médecins sont désormais censurés lorsque leur parole publique ne fait pas écho à la politique dominante, et même sur les réseaux sociaux, la police de la pensée s’installe.

Toutes ces libertés ont été acquises de haute lutte dans les larmes et le sang, souvent par des personnes très jeunes qui ont généreusement donné leur vie pour leurs idéaux afin que d’autres puissent en bénéficier. Et pourtant, nous demeurons contraints dans nos libertés, sans réagir, affichant par là-même notre degré de consentement.

« Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes » écrivait Machiavel dans Le Prince.

Enfin, une liberté très singulière et fondamentale dans le droit naturel humain a été violée, celle de la tendresse, du toucher, de l’attention. Sous la menace de la force en plus d’un décret, il a été interdit aux proches de visiter leurs parents. On a laissé mourir nos anciens, ils ont été cloisonnés, enfermés dans leurs EHPAD, interdits de sortie, de visite, de tendresse, de soins. Un premier pas vers l’euthanasie.

Mais le pire à mes yeux est de ne pas avoir la liberté de mourir. Le deuxième pas vers l’euthanasie a été franchi ; sa légalisation a été effective par le décret du 28 mars, autorisant les médecins à utiliser le Rivotril pour « accompagner » les patients. Ce décret a été abrogé par un nouveau le 10 juillet. Le pays des droits de l’Homme ?

Le mépris du genre humain.

Sous le prétexte de cette épidémie dont seuls les messagers de l’idéologie sanitaire autoritaire martèlent son danger, il convient de nous surveiller, de nous diriger, de nous contraindre à une société de surveillance et de soumission. De là découlent ces délicieuses valeurs nouvelles que sont la délation, la dénonciation, le repli sur soi. Les valeurs humanistes sont menacées d’implosion, on ne parle plus d’éthique, de morale ou de respect, mais d’obéissance, de protocole, de menaces et de peurs. Un véritable cheval de Troie pour notre humanité que ce coronavirus.

Ainsi, se profile la vaccination massive, et son corollaire, le fichage de chaque individu. En France, en Europe, mais dans le monde entier, au prétexte d’un virus pas plus offensif qu’un autre COVID saisonnier. Quelle incroyable et phénoménale entreprise de manipulation globale, au service d’une sombre idéologie, qui avant d’accomplir son dessein, distille la peur, la menace et la confusion afin que chacun perde ses repères pour mieux embrasser le pouvoir et l’autorité dans une servitude volontaire et rassurante. Je cite à nouveau Alexis de Tocqueville,

« ce qu’il y a souvent de plus difficile à apprécier et à comprendre, c’est ce qui se passe sous nos yeux. »

Cet état d’urgence sanitaire est aussi une catastrophe économique et sociale qui peut déboucher sur une crise économique puis politique majeure.

Au moins 400 000 PME ont dû fermer, soit environ 4 millions de personnes au chômage, sur les 10 ou 12 millions d’indépendants, combien vont pouvoir reprendre une activité ? Combien d’entre nous vont gonfler le nombre déjà exorbitant des personnes vivant en deçà du seuil de pauvreté, qui a été réévalué à 10 millions de personnes en France ? Combien de milliers de personnes vont rejoindre les 5 millions de Français qui ont déjà recours à l’aide alimentaire ? Combien de nos compatriotes vont être délogés, rejoignant la triste cohorte des 900 000 SDF ?

La loi du travail, les acquis sociaux ont déjà été revisités, corrigés, étirés. Avec la crise « sanitaire », tout employé ou salarié, au lieu de réclamer une augmentation ou une amélioration de ses conditions de travail ou de ses droits, va désormais réclamer du travail ou se plier à l’effort national, quelles qu’en soient les conditions. En majorité, il est assigné à résidence en télétravail, dans des conditions pour la plupart, d’inconfort.  Dix points de PIB à rattraper…

Ces événements actuels révèlent que l’on a glissé peu à peu vers une technocratie sanitaire, relayée par une presse qui paraît encore plus docile et inféodée au pouvoir. Ce pouvoir est lui-même de plus en plus gangréné par les conflits d’intérêts, et en particulier par le pouvoir des grands laboratoires, réputés pour leur corruption.

Les scientifiques se font journalistes, sinon politiques, tout comme les journalistes se posent comme experts dans une émulation complice de coercition et de domination. Plus alarmant, les politiques deviennent quant à eux les communicants, souvent malgré eux, des puissances financières qui les soutiennent.

Nos sociétés s’orientent-elles vers ce « biopouvoir » imaginé par Foucault ?

Le philosophe voyait le pouvoir sur les hommes évoluer vers un autoritarisme de la santé. Il observait qu’après le pouvoir sur les âmes, par les ministres de l’Eglise illustré par le troupeau de brebis égarées, c’est sur l’humain que le pouvoir monarchique s’est exercé, avec le pouvoir de donner la mort. Après l’effondrement de la monarchie, il y eut toutes ces dérives autoritaires du 20ème siècle. Légitimées par le dogme visant à transformer l’humanité ou l’humain vers un monde meilleur, elles se sont illustrées dans la prise en charge de la vie, non plus des âmes, mais des hommes.

Avec le biopouvoir, le dogme, c’est la santé ; il s’agit de prendre en charge d’un côté le corps pour le discipliner, et de l’autre la population pour la contrôler. L’élément commun au corps et à la population, c’est la norme. La norme statistique. C’est elle qui fait en sorte que ce biopouvoir s’exerce, de manière rationnelle, à la fois sur un ensemble statistique, c’est-à-dire une collectivité, et sur un individu.

Et ce biopouvoir contrôle tous les mécanismes de la vie de l’individu dans la société : politiques, judiciaires, policiers, économiques, philosophiques.

La question mérite d’être posée. En effet, non seulement des hommes d’affaires, des politiques et des médecins veulent imposer un type de traitement unique, la vaccination, sans passer par les règles démocratiques habituelles grâce à l’état d’urgence, mais de plus, chaque citoyen va devoir s’y soustraire au risque d’une mise au ban social. L’individu risque de perdre non seulement sa liberté, mais surtout sa souveraineté.

Au-delà de cette sombre hypothèse, reprenons toute la terminologie, la sémantique pour ne pas dire la novlangue actuelle, en commençant par celui que nous entendons le plus : le confinement. Étymologiquement, on retrouve dans le confinement, le terme « finis » qui en latin signifie frontière, barrière, limite. Le confinement, outre sa définition médicale brandie par la gouvernance, signifie réclusion, internement.

Enfin, employé au participe, le confiné est dit d’un espace qui manque d’oxygène, d’espace ou de nourriture.

Il est aussi fait mention d’une « distanciation sociale » pour éviter la propagation du virus. Or il ne s’agit que de distanciation physique, mais on nous impose la notion de « social », car en effet, la barrière, la limite, la frontière imposée par ce confinement devient un mur entre nous. Tout contrevenant est sévèrement critiqué, dénoncé et voué aux sanctions administratives. La tendresse est déconseillée, sinon réprimée.

Le port d’un masque est devenu obligatoire bien qu’il ait au préalable été déclaré inutile, et cet artifice est une autre barrière, un autre symbole d’enfermement.

On évoque le traçage des individus, la recherche ou la poursuite des cas contacts, le passeport numérique de santé, les camps de quarantaine…

Dans le discours ambiant, non seulement les termes sont vidés de leur sens premier, mais il ne s’agit pas de se fier à la vérité, comme le disait si subtilement Sibeth Ndiaye, mais « d’orienter la réalité pour faire accepter notre projet politique aux Français; cela ne relève pas du mensonge, mais de la désinformation positive ». Evidemment !

Michel Onfray le rappelait dans son ouvrage « Théorie de la dictature », en rapprochant notre monde actuel de celui de 1984 :

« On peut citer aussi l’inversion systématique du sens des mots, par exemple, la guerre c’est la paixla haine c’est l’amour… qui reformate complètement les cerveaux ».

Car, conformément au concept de solipsisme, c’est dans le cerveau de chacun que le monde existe, “et que le réel est une construction mentale”.

Si la pensée est donc bien formatée, on ne voit plus que ce à quoi on croit.

Déjà dans « Surveiller et punir », en 1975, Michel Foucault expliquait comment la propagation de la peste avait permis aux Etats d’imposer au XVIIe siècle des mesures coercitives à travers leur pouvoir de normalisation :

« Espace découpé, immobile, figé. Chacun est arrimé à sa place. Et s’il bouge, il y va de sa vie, contagion ou punition […] Le rapport de chacun à sa maladie et à sa mort passe par les instances du pouvoir, l’enregistrement qu’elles en font, les décisions qu’elles prennent […] Derrière les dispositifs disciplinaires, se lit la hantise des contagions, de la peste, des révoltes, des crimes, du vagabondage, des désertions, des gens qui apparaissent et disparaissent, vivent et meurent dans le désordre. »

Et ce qui se passe sous nos yeux, c’est également un exemple parfait des expériences de Milgram. Chacun a tendance, pour se rassurer, à se dépersonnaliser pour embrasser la cause de l’autorité. Qui forcément détient la vérité, qui forcément peut rassurer, qui forcément peut conforter et protéger.

Il est plus rassurant de croire à une illusion qui rassure qu’à une vérité qui dérange. C’est entre autres une question de champs d’information. Pour celui ou celle qui n’a pas l’accès à un champ d’information différent de celui sur lequel il s’est construit, ou celui sur lequel on l’a construit, il y a distorsion, coupure, rejet. C’est en cela qu’il est difficile de faire comprendre à nos concitoyens les véritables contours de ce script.

C’était la triste situation de nombreux pays au XXème siècle, dont on espérait pourtant ne pas reproduire les erreurs à notre époque :

Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut pas se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et, avec un tel peuple, vous pouvez faire ce que vous voulez”, disait Hannah Arendt.

Par des techniques de manipulation bien connues de la PNL (programmation neuro-linguistique) comme la double contrainte, l’injonction paradoxale, l’ingénierie sociale, le saupoudrage, le discours ambiant associe manipulation, désinformation, et hypnose conversationnelle. Le piège fonctionne.

La double injonction selon laquelle tout va bien mais en fait cela ne va pas est le pire qui soit pour tomber dans le piège de la peur et l’endoctrinement. C’était le premier stade de l’épidémie, on va quand même au théâtre ou au bureau de vote. A présent c’est l’inverse. Il ne se passe rien, mais on crie alerte. Le parfait système coercitif.

On assiste aussi au système peur/ soulagement, bien connu sous le thème « good cop / bad cop ». Provoquer une crainte, une peur, par une mise en scène avec des dangers existants ou virtuels. Puis « en même temps », le locuteur ou son complice change de ton avec une ouverture possible. Ce n’est pas la peur qui provoque la soumission mais le soulagement. Et le soulagement, c’est la perspective du dépistage, du vaccin. Et en attendant on reste bien chez soi. Confiné. Emprisonné chez soi, en soi. Docile ?

Car nul n’est obligé de s’y soumettre ! C’est l’heure des choix. Pour exister, un manipulateur a besoin d’un manipulé, tout comme un maître d’un esclave. Est esclave celui qui y consent. Allons nous consentir, allez vous consentir à vous soumettre ?

« La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle ». Il n’y a de liberté que par l’acte même de libération : celui qui ne veut pas risquer sa vie risque fort la servitude. Cependant, une fois maître, l’individu devient passif, inactif. C’est son esclave qui travaille, qui s’accomplit. Ainsi le maître devient dépendant du travail de son esclave, il devient l’esclave de son esclave, car c’est en travaillant qu’on atteint la liberté.

Tous les pouvoirs, et de plus en plus ceux de la pensée, sont désormais attribués à la médecine et aux mains de celles et ceux qui la gouvernent, l’orientent. Faut il rappeler que c’est Rockefeller qui a racheté toutes les écoles de médecine aux Etats Unis dans les années 1920, afin d’y dispenser une médecine exclusivement allopathique afin d’écouler les produits chimiques provenant du pétrole, ce qui va constituer la base de la pétrochimie et de l’industrie pharmacologique.

Il ne s’agit pas d’une médecine basée sur l’alimentation, pourtant premier principe d’Hippocrate, ou sur l’herboristerie, la phytothérapie, l’homéopathie, ou sur l’hypnose, la méditation ou la psychologie, la médecine chinoise ou ayurvédique, médecines traditionnelles à l’efficacité démontrée, mais il s’agit bien d’une médecine exclusivement allopathique. Une nouvelle religion qui n’en tolère pas d’autres.

Désormais la santé n’est plus un bien, c’est devenu une valeur. Force est de constater que c’est aussi devenu un diktat.

L’humanité doit accepter d’être soignée malgré elle, selon des codes ou des normes qui lui sont imposés. Une humanité confinée, contrainte, aux droits violés, mais protégée ! Pour appliquer un soi-disant principe de précaution, en réponse à une menace fantôme dont la virtualité ne s’inspire que de prévisions statistiques, que de calculs établis selon des modèles aux principes tronqués ou faussés, des projections qui ont été mises à mal par la réalité sanitaire. Cela n’a pas de sens. Un profond changement est en cours.

Et pour mieux comprendre cette fin de cycle globale, qui appelle à ce bouleversement profond, quelle qu’en soit l’impulsion, faisons un retour en arrière.

2019 était l’année de tous les dangers : risques bancaires  avec de nombreux établissements en déroute, risques sur l’euro, économies au ralenti, manifestations sociales multiples fragilisant les pouvoirs en place. Et surtout, la fin annoncée du dollar, et l’avènement des cryptomonnaies.

La situation bancaire était critique, en particulier en Europe et aux États-Unis. Les milieux financiers craignaient pour la survie de la Deutsche Bank et la Commerzbank en Allemagne, de l’Intesa San Paolo en Italie, ou de la Société Générale en France. Toute faillite aurait déclenché en effet un « Bank run » partout en Europe que seule une fermeture coordonnée de toutes les banques de la zone et l’instauration d’un contrôle des capitaux aux frontières pourraient éviter.

Quand une banque importante fermera, on peut imaginer que toutes les banques de la zone euro fermeront. Que l’on se rassure, pour ces organismes qui constituent le fondement de notre « état », tout a déjà été mis en place légalement par la Directive BRRD européenne et Loi Sapin 2 pour pouvoir « chyprioter » nos comptes sous prétexte de nous protéger…. d’une catastrophe bancaire et économique.

À la situation bancaire critique s’ajoutait le risque de l’éclatement de la zone euro. Depuis les élections italiennes en mars 2019, la probabilité d’une sortie de l’euro de l’Italie s’était considérablement accentuée. En parade, il était prévu de faire tourner la machine à billets, ce qui aurait fait perdre toute valeur à l’euro, et la dépréciation des actifs. Aujourd’hui, certes, on risque d’en arriver au même point… avant le grand saut ?

A ce risque s’ajoutait également celui du système monétaire instauré depuis les accords de Bretton Woods, en 1944, visant à définir les grandes lignes du système économique et financier mondial, menacé par la nouvelle monnaie chinoise.

Un éclatement du système monétaire sous la pression d’une nouvelle monnaie chinoise. La Chine a créé une nouvelle monnaie basée et convertible en or. Or l’avantage des US de posséder la monnaie mondiale est que cela lui a permis de financer ses déficits. Le modèle économique américain repose en effet sur un abus chronique de dette qui est achetée par les pays qui cherchent à recycler leurs dollars. La Chine a lancé une alternative monétaire au dollar,  et de ce fait n’a plus besoin d’acheter des obligations américaines. Bras de fer pour le leadership !

La guerre commerciale entre la Chine et les Etats-Unis était aussi particulièrement lancée, à coup de taxes, de protectionnisme et d’intimidations diplomatiques.

Enfin, le risque de crise sociale inquiétante pour les pouvoirs, tant en France que dans le monde, représentée par des mouvements populaires spontanés (Gilets jaunes…) comme par des manifestations de corporations ou de métiers, tous debout contre des réformes jugées inadaptées, injustes ou forcées au nom du marché et de ses lois.

Ainsi, ce choc anthropologique dont parlent à l’unisson les hommes politiques du monde entier que représente le Covid est une véritable aubaine.

Ce virus de pangolin serait-il à ce point opportuniste ?

Afin d’entrevoir ce que nous réserve l’avenir proche, faut-il s’inspirer des travaux du Forum Economique de Davos qui prône, comme le FMI, « The Great Reset », faut-il se tourner vers les principes collectivistes et transhumanistes de Bacon ou de Moore martelés par Attali et Minc ? S’inspirer de la Chine capitaliste autoritaire ?

Nous sommes à l’heure des choix.

Avec ce film, c’est un engagement pour la vie, le respect du vivant, mes enfants, parents, amis. Hymne à la vie, à l’amour, à l’âme humaine.

Voir aussi le debriefing de Christophe Cossé

https://www.youtube.com/embed/-ZSJ27H1YoU

Auteur(s): Christophe Cossé pour FranceSoir


Les Sources du film

HOLD UP + (sources)

00 : 02 : 28

L’Homme sera bientôt un être modifié par la technologie

Vidéo de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

00 : 08 : 30

Les prophéties de Neil Ferguson pour confiner

https://www.liberation.fr/checknews/2020/06/03/les-previsions-de-ferguson-qui-ont-conduit-de-nombreux-pays-a-se-confiner-etaient-elles-fantaisistes_1790061/

Les recommandations de l’OMS quant à l’utilisation des masques

Conseils sur le port du masque dans le cadre de la COVID-19 : orientations provisoires, OMS.

Janvier 2020 : Microsoft Word – Advice on the use of masks 2020-01-29_fr_14FEB2020_marissa.docx (who.int)

Avril 2020 : WHO-2019-nCoV-IPC_Masks-2020.3-fre.pdf

Juin 2020 : WHO-2019-nCov-IPC_Masks-2020.4-fre.pdf

00 : 12 : 27

L’inexactitude des chiffres diffusés – Hypoxie heureuse :

Article Science et Avenir, Les “happy hypoxics”, ces patients du Covid-19 qui ne se rendent pas compte qu’ils manquent d’oxygène (07/05/20)

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/les-happy-hypoxics-ces-patients-du-covid-19-qui-ne-se-rendent-pas-compte-qu-ils-manquent-d-oxygene_144159

00 : 13 : 13

Évolution du nombre de morts entre Mars et Septembre en 2018, 2019 et 2020.

Courbe INSEE :

Évolution du nombre de décès depuis le 1ᵉʳ septembre 2020 − Nombre de décès quotidiens | Insee

00 : 13 : 33

Nombre total de morts de la Covid-19 dans le monde

Covid-19 Dashboard by the Center for Systems Science and Engineering (CSSE)

COVID-19 Map – Johns Hopkins Coronavirus Resource Center (jhu.edu)

00 : 13 : 46

Nombre total de tests effectués dans différents pays entre mars et octobre 2020

Graphique Total Covid-19 tests: Total COVID-19 tests (ourworldindata.org)

00 : 13 : 58

Explication des cycles de dépistage

https://www.parismatch.com/Actu/Sante/Covid-19-les-tests-PCR-contestes-1713289

https://www.industrie-techno.com/article/baisser-le-seuil-de-detection-des-tests-rt-pcr-du-covid-19-pour-mieux-depister-les-individus-contagieux.61734

00 : 15 : 57

Les faux positifs

Article de Paris Match : Covid-19 : les tests PCR contestés (24/11/20)

Covid-19 : les tests PCR contestés (parismatch.com)

00 : 16 : 35

Le gouvernement tente de justifier le confinement

Article du Parisien : Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie (10/03/20)

Coronavirus : quand Olivier Véran dessine un schéma pour expliquer la stratégie de la France face à l’épidémie – Le Parisien

00 : 16 : 54

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20) https://www.dailymotion.com/video/x7vy2q8

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Article The Epoch Times : Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? (06/11/20, Mis à jour le 07/11/20)

[Vidéo] Covid-19 : des camps d’internement au Canada au printemps 2021 ? | Epoch Times (theepochtimes.com)

Proposition de Randy Hillier de créer des camps d’internements pour les malades du Covid

Les camps au Canada => Site de Randy Hillier:

https://www.randyhilliermpp.com/20201007_question

Dépistage massif à Wuhan

L’article du test sur les asymptomatiques à Wuhan ; https://www.nature.com/articles/s41467-020-19802-w

00 : 20 : 29

Les mesures sanitaires contraignantes dans les écoles

Une du Canard Enchainé n°5207, “Un masque, une frousse et des crayons !” du 26 août 2020

Acheter un numéro du Canard enchainé à l’unité (lecanardenchaine.fr)

00 : 30 : 19

Allocution du Président de la République, 16 mars 2020

Site de l’Elysée : Adresse aux Français, 16 mars 2020 | Élysée (elysee.fr)

00 : 35 : 43

L’épidémie va durer

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin du 09 octobre 2020

Jean-François Delfraissy face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 09/10 (bfmtv.com)

00 : 36 : 44

Comparatifs des morts par épidémie

Graphique “Comparatifs des morts dans le monde chaque année”

https://www.worldometers.info/fr/population-mondiale/

00 : 37 : 04

Les résultats de l’étude des sénateurs sur la gestion de la crise sanitaire H1N1

Rapport du Sénat du 26 juillet 2017

r16-6851.pdf (senat.fr)

00 : 37 : 44

Allocution d’Olivier Véran

Point de situation coronavirus – (28/02/20)

Point de situation coronavirus – 28 février 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 37 : 50

Interview de Sibeth Ndiaye

Le Grand Entretien, France Inter (04/03/2020)

Sibeth Ndiaye : “Au stade 3 de l’épidémie de coronavirus, on ne va pas arrêter la vie de la France” – YouTube

00 : 38 : 08

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (18/03/20)

Point de situation coronavirus | mercredi 18 mars 2020 – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 15

Allocution de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (03/04/20)

Point de situation du vendredi 3 avril – Vidéo Dailymotion

00 : 38 : 22

Déclaration d’Olivier Véran à l’Assemblée Nationale

Questions au gouvernement (07/04/20)

Olivier Véran: “Il n’y a aucune décision de recommandation du port du masque à l’heure actuelle” pour la population (bfmtv.com)

00 : 38 : 31

Déclaration de Jérôme Salomon

Point de situation coronavirus, (22/04/20)

Jérôme Salomon, point de situation coronavirus du mercredi 22 avril – YouTube

00 : 38 : 36

Déclaration de Edouard Philippe à l’Assemblée Nationale

Compte rendu intégral de la séance du 28 avril sur la stratégie nationale du plan de déconfinement (28/04/20)

Assemblée nationale ~ Séance du mardi 28 avril 2020 (assemblee-nationale.fr)

00 : 38 : 38

Allocution du Président de la République, (14/07/20)

Site de l’Elysée : 14 juillet : l’interview du Président Emmanuel Macron | Élysée (elysee.fr)

00 : 41 : 17

Audition d’Olivier Véran au Sénat

Covid-19 : l’audition d’Olivier Véran, ministre de la Santé, devant la commission d’enquête du Sénat – YouTube

00 : 42 : 00

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le figaro, Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (04/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 7560 personnes sont mortes en France du virus depuis le 1er mars (lefigaro.fr)

00 : 42 : 05

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Figaro, Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (13/04/20)

EN DIRECT – Coronavirus : 574 décès de plus en 24 heures, près de 15.000 morts en France (lefigaro.fr)

00 : 42 : 09

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis (01/04/20)

Direct – Coronavirus : presque 10 000 morts aux Etats-Unis – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 13

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Les Echos, Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars

(03/04/20)

Coronavirus : la France a connu un pic de mortalité en mars | Les Echos

00 : 42 : 17

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi

(25/04/20)

Plus de 23 000 morts en France, selon le dernier bilan de lundi – Libération (liberation.fr)

00 : 42 : 22

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Libération, Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis

(20/04/20)

Direct – Coronavirus : l’épidémie a fait plus de 50 000 morts aux Etats-Unis – Libération

(liberation.fr)

00 : 42 : 27

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Monde, Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe (18/04/20)

Coronavirus dans le monde : plus de 100 000 morts recensés en Europe

00 : 42 : 32

Les erreurs dans les chiffres annoncés par les médias

Article Le Parisien, Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total (19/04/20)

Coronavirus en France : 395 nouveaux décès, près de 20000 morts au total – Le Parisien

00 : 43 : 22

Les journalistes sont perdus sur les nombre de morts

Article de Libération, Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien (22/08/20)

Coronavirus : au moins 800 000 morts dans le monde – Le Parisien

00 : 43 : 26

Où sont les morts de la grippe ?

Article de Libération, La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers ? (12/03/20)

La grippe a-t-elle fait 70 morts cet hiver comme l’a dit France 2, ou plusieurs milliers? – Libération (liberation.fr)

00 : 44 : 11

La Covid fait flamber le prix des consultations

Site de l’Assurance maladie, 27 novembre 2020

Les médecins au cœur du circuit de « contact tracing » des patients Covid-19 | ameli.fr | Médecin

00 : 46 : 05

Le Pr Perronne alerte sur les chiffres apocalyptiques

Livre du Professeur Christian Perronne – Y’a t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? – Edition Albin Michel, 2020

00 : 47 : 56

Le masque de papier

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Le masque de papier”, (10/09/ 2009)

00 : 49 : 16

Site d’analyse de tous les articles sur tous les traitements

Site c19study.com

00 : 52 : 02

La chloroquine est réservée aux spécialistes

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020

Décret n° 2020-314 du 25 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid-19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire – Légifrance (legifrance.gouv.fr)

00 : 52 : 33

L’utilisation de la chloroquine est réservée pour les cas graves

Une du Canard enchaîné, N° 5187, Un nouveau slogan : “Pestez chez vous!” – (08/04/20)

00 : 54 : 59

Le fonctionnement de l’hydroxy chloroquine

Audition d’Agnès Buzyn à l’Assemblée Nationale

[INTEGRAL] Coronavirus : Agnès Buzyn devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale – YouTube

00 : 55 : 56

La sonnerie de clairon du gouvernement sur la dangerosité de l’hydroxy chloroquine

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

00 : 56 : 06

La balance bénéfices/risques de la chloroquine

Emission BFM TV – Bourdin en direct – Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct du 28 mai 2020

Karine Lacombe face à Jean-Jacques Bourdin en direct – 28/05 (bfmtv.com)

00 : 58 : 53

Karine Lacombe a été payée par des laboratoires

Base de données euros for docs

Vision par Professionnel bénéficiaire | Euros For Docs

01 : 14 : 32

Le remdesivir est réservé aux soins palliatifs

Covid-19: le point de situation du 28 mars

REPLAY – Covid-19: le point de situation du 28 mars – YouTube

01 : 21 : 24

La CIA avait prévue une future pandémie mondiale

Livre d’Alexandre Adler – Le rapport de la CIA, comment sera le monde en 2020 ? – Edition Robert Laffont – 2005

01 : 22 : 27

La fondation Rockefeller, spécialiste des scénarios apocalyptique

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

01 : 25 : 37

Attali affirme qu’Emmanuel Macron pourra être président un jour

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali, BFM TV, (27/08/2014)

Emmanuel Macron “présidentiable” pour Jacques Attali – YouTube

01 : 25 : 55

Attali tire les leçons de la crise de H1N1

L’express – Conversation avec Jacques Attali

Changer, par précaution | Conversation avec Jacques Attali – Lexpress

01 : 30 : 16

Gilead rafle la mise sur le remdesivir

Journal Les Echos, Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead (07/10/20)

Face à la pénurie, la Commission européenne commande plus de 500.000 doses de remdesivir à Gilead | Les Echos

01 : 30 : 45

Gilead se voit valorisé après une fusion

Article de Stratégie Bourse du 09/06/20

AstraZeneca envisage de fusionner avec Gilead (strategie-bourse.com)

01 : 30 : 54

Le business plan des laboratoires

Les guignols de l’info, Canal+, sketch “Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire”, 11 octobre 2005

Léger prix des vaccins pour la grippe aviaire – Les Guignols – CANAL+ – YouTube

01 : 33 : 12

L’étude Discovery annulée

Article Le Monde, Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne, (07/05/20)

Coronavirus : l’essai clinique Discovery englué faute de coopération européenne (lemonde.fr)

01 : 33 : 14

L’étude Discovery annulée

Article L’Humanité : Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne (04/05/20)

Essais cliniques L’étude Discovery, ou le fiasco de la coopération européenne | L’Humanité (humanite.fr)

01 : 33 : 20

Barrage à l’hydroxychloroquine

Gautret et al. (2020) Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID‐19: results of an open‐label non‐randomized clinical trial. International Journal of Antimicrobial Agents – In Press 17 March 2020 – DOI : 10.1016/j.ijantimicag.2020.105949

Hydroxychloroquine and azithromycin as a treatment of COVID-19 – IHU (mediterranee-infection.com)

01 : 34 : 11

Une plainte a été déposée à l’ordre des médecins contre Didier Raoult

Vidéo BFM – (10/09/20)

01 : 36 : 02

Gilead vend pour 220 millions d’euros de doses à l’Union Européenne

Article de Marianne : Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead, (05/12/20)

Remdésivir inefficace : comment la Commission européenne s’est laissée séduire par Gilead (marianne.net)

01 : 36 : 06

Le remdésivir jugé inefficace et dangereux

Article de Industrie Pharma, Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (20/11/20)

Covid-19 : L’utilisation du remdesivir de Gilead remise en cause par l’OMS (industriepharma.fr)

01 : 36 : 20

Gilead voit son chiffre d’affaire trimestriel augmenter de 17%

Article de The New England Journal of Medicine, Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host (03/12/20)

Persistence and Evolution of SARS-CoV-2 in an Immunocompromised Host | NEJM

01 : 37 : 21

Martin Blachier, homme d’affaire et épidémiologiste

Site Accueil | Monsite (ph-expertise.com)

01 : 39 : 52

Fauci, chercheur sur les transmission des virus inter-espèces

NIH Director’s Blog, President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola, (02/12/14)

President’s Visit to NIH Highlights Research on Ebola – NIH Director’s Blog

01 : 40 : 18

Les travaux de Fachi jugés dangereux

Newsweek : Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research, (28/04/20)

Dr. Fauci Backed Controversial Wuhan Lab with U.S. Dollars for Risky Coronavirus Research (newsweek.com)

01 : 41 : 29

Un virus échappé d’un laboratoire américain

Article de Military.com, CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension (24/11/19)

CDC Inspection Findings Reveal More about Fort Detrick Research Suspension | Military.com

01 : 41 : 39

Un laboratoire fermé après qu’un virus se soit échappé

Article de Mediapart,Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! (05/05/20)

Investigation COVID19 : la remarquable (et peut-être…) fortuite coïncidence! | Le Club de Mediapart

01 : 45 : 21

Le nombre de morts par l’AFP

Article de Courrier Picard, Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation, (26/10/20)

Covid-19: plus de 26.000 nouveaux cas en 24H, 2.761 personnes en réanimation (courrier-picard.fr)

01 : 45 : 46

Fabrice Fries élu à la tête de l’AFP

Article de Libération, Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché, (12/04/18)

Fabrice Fries élu PDG de l’AFP à l’arraché – Libération (liberation.fr)

01 : 45 : 57

Montant total de la dotation de Le Monde en 2019 et 2020

Fondation Bill et Melinda Gates

Le Monde – Bill & Melinda Gates Foundation

01 : 46 : 14

L’Etat débloque une grosse enveloppe pour les médias

Article Les Echos, Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias, (05/07/20)

Coronavirus : le gouvernement a débloqué 2 milliards pour les médias | Les Echos

01 : 47 : 23

Qui dirige les médias ?

Schéma “Médias, Qui possède quoi ?”

Médias français, qui possède quoi ? (Le Monde diplomatique, décembre 2020) (monde-diplomatique.fr)

01 : 49 : 12

L’origine probable du virus

Document du CNRS : Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS (11/02/2020)

Le séquençage du nouveau coronavirus révèle une subtile différence avec le SRAS | CNRS

01 : 49 : 16

L’origine probable du virus

Science Direct, The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade, (Avril 2020)

The spike glycoprotein of the new coronavirus 2019-nCoV contains a furin-like cleavage site absent in CoV of the same clade – ScienceDirect

01 : 49 : 49

Le virus est d’origine naturelle selon Zheng Li Shi

Nature, A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin (17/09/20) A pneumonia outbreak associated with a new coronavirus of probable bat origin | Nature

01 : 50 : 38

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Article MaxiSciences.com, Une virologue chinoise dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué en laboratoire (18/09/20)

Coronavirus : la virologue chinoise Li-Meng Yan dit avoir des “preuves” que le Covid-19 a été fabriqué dans un laboratoire à Wuhan (maxisciences.com)

Le virus aurait été fabriqué en laboratoire

Science, Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2, (13/11/20)

Enhancing host cell infection by SARS-CoV-2 | Science (sciencemag.org)

01 : 54 : 39

Disparition de tubes contenant le virus du SRAS

Article Le Monde, La mystérieuse disparition de 2349 tubes contenant du virus SRAS, (15/04/14)

La mystérieuse disparition de 2 349 tubes contenant du virus SRAS (lemonde.fr)

01 : 54 : 44

Virus transporté clandestinement

Article Le Parisien, Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile, (23/03/17)

Virus mortel transporté clandestinement : la chercheuse de Pasteur se défile – Le Parisien

01 : 54 : 49

Intrusion dans un laboratoire P4

Article 20 Minutes, Lyon : un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4, (22/03/16)

Lyon : Un SDF s’introduit dans le laboratoire haute sécurité P4 (20minutes.fr)

01 : 54 : 58

La piste du labo reste l’origine la plus probable

Article du Daily Mail : China lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official, amid bombshell claims Wuhan scientist has turned whistleblower (02/01/21)

Lab leak is the ‘most credible’ source of the coronavirus outbreak, says top US government official | Daily Mail Online

01 : 55 : 02

Une de Libération du 13 novembre 2020

Article de libération : Hold-Up, le virus du complot (13/11/20)

“Hold-up” : Le virus du complot. 13 novembre 2020 – Liberation

01 : 55 : 12

Une étude indienne suggère que le virus pourrait venir d’un labo

bioRxiv, Discovery of unique insertions in Covid-19 : structural and functionnal implications, Uncanny similarity of unique inserts in the 2019-nCoV spike protein to HIV-1 gp120 and Gag | bioRxiv

01 : 55 : 43

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Monde, Non, le Covid-19 n’est pas une “combinaison du SRAS et du sida”. (09/03/20)

Non, le Covid-19 n’est pas une « combinaison du SRAS et du sida » (lemonde.fr)

01 : 55 : 53

La théorie de la création du virus en laboratoire réfutée par des scientifiques

Article Le Parisien, Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable (17/04/20)

Coronavirus et VIH : pourquoi la théorie du Pr Luc Montagnier est invraisemblable – Le Parisien

01 : 57 : 03

Une nouvelle méthode pour modifier l’ARN

Science et Avenir, Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13, (25/10/17)

Après l’ADN par CRISPR-Cas9, on sait modifier l’ARN grâce à CRISPR-Cas13 – Sciences et Avenir

01 : 57 : 14

Les nanotechnologies vont permettre de “bricoler le vivant”

Conférence de Laurent Alexandre, La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI,

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 05 : 16

Le Forum économique de Davos

World Economic forum

How US foreign policy will shape the ‘Great Reset’ | World Economic Forum (weforum.org)

02 : 06 : 26

Attali soutient que l’on se dirige vers un gouvernement mondial

Arrêt sur Images – 2010

“Il faudra un gouvernement mondial. Après, ou à la place de la guerre ?” [Avent2020] – Par La rédaction | Arrêt sur images (arretsurimages.net)

02 : 06 : 39

Le Brevet nanoparticules et cryptomonnaie

Brevet Microsoft (22/05/20)

Un message pour la Journée Internationale de la Diversité Biologique, le 22 mai 2020 – Navdanya international

02 : 08 : 22

La vérité sur la 5G

Publicité Free (2020)

Free Mobile – 5G : La Vérité – YouTube

02 : 11 : 18

Scenarios for the Future of Technology and International Development

Rockefeller Foundation.pdf (nommeraadio.ee)

02 : 11 : 29

Les maladies graves découlant du Covid 19 seraient causées par des cellules colonisatrices

ncbi, Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (01/10/2008)

Predominant Role of Bacterial Pneumonia as a Cause of Death in Pandemic Influenza: Implications for Pandemic Influenza Preparedness (nih.gov)

02 : 17 : 37

Laurent Alexandre – Global Postiv Forum

Global Positive Forum – Laurent Alexandre – French – YouTube

02 : 19 : 05

Présentation du PDG de Twitter

Site de Berggruen

You searched for – Berggruen Institute

02 : 19 : 27

Envol du cours boursier de Square

Cours boursier de Square

Square, Inc. Class A Common Stock (SQ) Stock Quotes | Nasdaq

02 : 20 : 03

Les personnalités appartenant à l’Institut Berggruen

Site du Bergguren Institute

The Transformations of the Human – Our Work – Berggruen Institute

02 : 21 : 16

Les dieux et les inutiles

Conférence de Laurent Alexandre aux élèves de Polytechnique (12/02/19)

Table ronde de l’X sur le Transhumanisme – YouTube

02 : 27 :00

Recherche des déterminants génétiques de l’intelligence

Conférence de Laurent Alexandre : Conférence “La techno-médecine” à L’USI – 2013

La techno-médecine – Laurent Alexandre à l’USI – YouTube

02 : 28 : 21

Ce dont j’ai le plus peur, c’est la peur”

André Comte-Sponville sur RTL (8/09/20)

Coronavirus : “Je n’ai pas peur de la Covid-19”, assure le philosophe André Comte-Sponville – YouTube

02 : 36 : 22

Le pire bilan en France en un jour ?

Article La dépêche – Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie (27/10/20)

Coronavirus : 523 morts en 24 heures, pire bilan en France depuis avril, et un nombre de cas qui explose en Occitanie – ladepeche.fr

02 : 36 : 36

Rectificatif de l’information du 27/10/20

Article France Info – RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (27/10/20)

RECTIFICATIF. Covid-19 : 288 personnes sont mortes de l’épidémie en 24 heures dans les hôpitaux en France et 235 en quatre jours dans les établissements médico-sociaux (francetvinfo.fr)

02 : 36 : 42

Spot de sensibilisation aux gestes barrières

Spot de sensibilisation du gouvernement

Le spot “choc” du gouvernement pour le respect des gestes barrières – Vidéo Dailymotion

02 : 38 : 24

L’exploit de Florian Gomet

Article L’Equipe – Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte (27/09/20)

Aventure : 3 500 km et 80 jours à courir sans chaussures, Florian Gomet raconte – L’Équipe (lequipe.fr)

02 : 45 : 42

Des vaccins prêts en 12 à 18 mois

Emission BFM TV – Good moring Business – Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – (21/12/20)

Thierry Breton (Commissaire européen) : Brexit, vers un “no deal” ? – 21/12 (bfmtv.com)

02 : 46 : 19

Les vaccins vont être testés sur toute la population européenne

Commission Européenne – Roadmap of vaccination (03/2019)

2019-2022_roadmap_en.pdf (europa.eu)

02 : 46 : 45

Investissement massif dans une entreprise de fabrication de bouteilles de vaccins

Les Echos – Schott, le passeur du vaccin anti-Covid (04/12/20)

Schott, le passeur du vaccin anti-Covid | Les Echos

02 : 47 : 11

Aucun traitement n’est utile contre le virus ?

Site de l’ANSM

L’ANSM mobilisée dans la mise à disposition des vaccins COVID-19 – ANSM : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (sante.fr)

02 : 47 : 33

Interdiction du Remdesivir

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19

(20/11/20)

L’OMS ne recommande pas l’administration de remdesivir aux patients COVID-19 (who.int)




L’ancien vice-président de Pfizer, Dr Michael Yeadon estime que les vaccins à ARNm COVID causeront des réactions indésirables graves. MàJ : vidéo

[Source : via https://numidia-liberum.blogspot.com via reseauinternational.net]

[Mise à jour : vidéo en traduction française de Michael Yeadon sur le Pass sanitaire, ajoutée en fin d’article.]

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics) un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existantl’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport aux premiers [les vaccins à dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson)] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que les personnes atteintes de coronavirus ont un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19.

« Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.


source anglaise : https://christiansfortruth.com







Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19

Par Nicole et Gérard Delépine

L’indication de tout traitement doit reposer sur l’évaluation de la balance avantages / risques pour les sujets auxquels on le propose, afin de respecter une des règles fondatrices de la médecine « d’abord ne pas nuire ». De plus, un vaccin et a fortiori une thérapie génique nouvelle est un médicament à visée préventive et non curative.

Chez l’enfant, il y a actuellement beaucoup de risques à craindre et aucun avantage à espérer.

Les enfants ne peuvent espérer aucun bénéfice personnel des vaccins covid-19

L’ensemble de la littérature internationale(([1] Plus de 11000 articles référencés sur PubMed)) (([2] Peter Brodin Why is COVID-19 so mild in children ? Editorial Acta Paediatrica 24 March 2020)) (([3] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.)) (([4] Ya-Nan Han et al. A Comparative-Descriptive Analysis of Clinical Characteristics in 2019-Coronavirus-infected Children and Adults Pediatrics April 2020)) (([5] Haiyan Qiu Clinical and epidemiological features of 36 children with coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Zhejiang, China : an observational cohort study Lancet Infect Dis. 2020 25 mars ; S1473-3099 (20) 30198)) (([6] LiangSua the different clinical characteristics of corona virus disease cases between children and their families in China — the character of children with COVID-19 Emerging Microbes & Infections 2020, VOL. 9)) (([7] Ludvigsson JF. Un examen systématique du COVID-19 chez les enfants montre des cas plus bénins et un meilleur pronostic que les adultes. Acta Paediatr. 2020 ; 109 : 1088 – 1095.)) et les données de Santé Publique France montrent que la maladie est rare(([8] D’après les données de Public Health England, sur plus d’un million d’enfants présents en milieu préscolaire et scolaire en juin, seuls 70 cas d’infection étaient détectés)) et bénigne chez l’enfant.(([9] FR 24 Seulement 0,01% des écoles touchées par des épidémies de coronavirus après la réouverture et aucun enfant n’a eu besoin de soins hospitaliers 24 aout 2020 https://www.fr24news.com/fr/a/2020/08/seulement-001-des-ecoles-touchees-par-des-epidemies-de-coronavirus-apres-la-reouverture-et-aucun-enfant-na-eu-besoin-de-soins-hospitaliers.)) En France, après 15 mois d’épidémie et sur près de 8 millions d’enfants de moins de 15 ans, il n’a été recensé que 3 décès attribués au Covid (ces enfants souffraient déjà de maladies graves), alors que la grippe saisonnière en tue entre 7 et 10 chaque année.

Personne ne propose la vaccination antigrippale, pourtant ancienne et bien connue, aux enfants. Mais aujourd’hui des médecins qui ne mentionnent jamais leurs liens d’intérêts avec les firmes pharmaceutiques font campagne pour leur imposer un pseudovaccin totalement expérimental dont l’efficacité n’est pas prouvée ni chez eux ni chez les adultes, l’expérimentation devant obtenir ses premiers résultats à partir de 2023), et dont les risques n’ont pas été évalués, et ce pour une maladie trois fois moins grave que la grippe dans cette tranche d’âge.

Les enfants ne peuvent donc espérer aucun bénéfice personnel de cette vaccination.

La proposer et/ou tenter de leur imposer par le pass vaccinal est contraire à l’éthique médicale détaillée par l’Association Médicale Mondiale(([10] Depuis sa fondation en 1947 l’AMM a pour objectif essentiel d’établir et de promouvoir les plus hautes normes possibles de comportement éthique et de soins par les médecins. Dans cette optique l’AMM a adopté des politiques mondiales sur une série de questions éthiques relatives au professionnalisme médical, aux soins des patients, à la recherche sur les sujets humains et sur la santé publique.  Le Conseil de l’AMM et ses comités permanents révisent régulièrement les politiques existantes pour les actualiser. Il rédige aussi de nouvelles politiques sur les questions éthiques émergentes. https://www.wma.net/fr/ce-que-nous-faisons/ethique)) et confirmée dans sa dernière assemblée générale à Cordoue en 2020, et qui stipule : « un traitement ne doit être proposé qu’à ceux qui peuvent en espérer un bénéfice personnel »,(([11] Déclaration de Cordoue de l’AMM sur la relation entre médecin et patient — WMA — The World Medical Association)) (([12] Code International d’Éthique Médicale de l’AMM — WMA — The World Medical Association : Le code a été adopté pour la première fois en 1949, modifié trois fois, dont la dernière en 2006. La refonte proposée fait apparaître de nouvelles dispositions, qui portent sur les éventuels conflits d’intérêts des médecins, la télémédecine et l’environnement. On lit en particulier :
►LE MÉDECIN DEVRA toujours exercer son jugement professionnel de manière indépendante et respecter les plus hautes normes en matière de conduite professionnelle.
►LE MÉDECIN DEVRA respecter le droit d’un patient jouissant de ses capacités d’accepter ou de refuser un traitement.
►LE MÉDECIN NE DEVRA pas se laisser influencer dans son jugement par un profit personnel ou une discrimination injuste.)) fidèle aux conclusions du code de Nuremberg de 1947.

Il n’y a aucun avantage sociétal à espérer de la vaccination covid des enfants.

En dehors du fait qu’il est inacceptable d’imposer un traitement expérimental à des enfants qui ne peuvent en tirer aucun bénéfice, il est de plus contraire à l’état actuel la science de prétendre que cette vaccination des enfants pourrait diminuer la transmission,
car la maladie n’est pas transmise par les enfants,
la vaccination n’empêche pas les transmissions et favorise l’émergence des variants.

Les enfants ne sont pas responsables de la transmission de la maladie

20 à 30% des transmissions du virus grippal se réalisent à l’école, mais ce n’est pas du tout le cas pour le Covid-19.

Après plus de 160 millions de cas comptabilisés par l’OMS le 20/5/2021, et plus de 11000 articles consacrés au Covid-19 chez l’enfant, recensés par PubMed,(([13] Base de données internationale des articles universitaires recensés dans le monde accessible à tous gratuitement : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/)) il n’existe aucune description démontrée d’une contamination par un enfant(([14] Benjamin Lee et William V. Raszka Covid19 transmission children are not to blame Pediatrics aug 2020, 146 e2020004879 ;
DOI : https://doi.org/10.1542/peds.2020-004879)) ni à un autre enfant, ni à un adulte.

Toutes les études épidémiologiques réalisées au début de l’épidémie, lorsque la faible fréquence de la maladie permettait de suivre avec certitude la voie des contaminations, ont montré que les enfants sont contaminés par des adultes proches et ne transmettent pas la maladie. C’est en particulier le cas des trois études françaises, celle de l’INSERM sur le premier cas pédiatrique français aux Contamines(([15] Kostas DANIS et al. pour Santé Publique France Cluster of coronavirus disease 2019 (Covid-19) in the French Alps, 2020 Clinical Infectious Diseases Oxford University Press for the Infectious Diseases Society of America)) celle de l’Institut Pasteur(([16] A Fontanet et al. SARS-CoV-2 infection in primary schools in northern France : A retrospective cohort study in an area of high transmission medRxiv 2020)) sur les écoles de Creil et celle des pédiatres parisiens.(([17] Christèle Gras-Le Guen https://theconversation.com/rentree-scolaire-la-covid-19-n’est-definitivement-pas-une-maladie-pediatrique-145287)) Cette absence de dissémination par les enfants a été confirmée par une dizaine d’études étrangères en Irlande,(([18] Heavey L, Casey G, Kelly C, et al. No evidence of secondary transmission of COVID-19 from children attending school in Ireland, 2020. Euro Surveill 2020 ;25 :2000903.)) aux Pays-Bas,(([19] National Institute for Public Health and the Environment. Ministry of health, welfare, and sport. Netherlands. Children and COVID-19. Available : https://www.rivm.nl/en/novel-coronavirus-covid-19/children-and-covid-19)) en Australie,(([20] Centre national de recherche et de surveillance de la vaccination. COVID-19 dans les écoles — L’expérience en NSW. Nouvelle-Galles du Sud, Australie : Centre national de recherche et de surveillance sur l’immunisation)) en Suède,(([21] Hildenwall H, Luthander J, Rhedin S, et al. Paediatric COVID-19 admissions in a region with open schools during the two first months of the pandemic. Acta Paediatr. 2020 ; 00 :1–3. https://doi.org/10.1111/apa.15432)) en Estonie,(([22] Indrė Stacevičienė A cross-sectional study of screening for coronavirus disease 2019 (COVID-19) at the pediatric emergency department in Vilnius during the first wave of the pandemic Eur J Pediatr25 févr.2021. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7906570/pdf/431_2021_Article_3999.pdf)) en Corée du Sud.(([23] Young Joon Park Contact Tracing during Coronavirus Disease Outbreak, South Korea, 20201. EID Journal Volume 26 Number 10—October 2020))

De plus, la réouverture des écoles dans de nombreux pays n’a jamais été suivie par une recrudescence des contaminations(([24] FR 24 Pas de masques, pas de distanciation : les écoles au Danemark défient COVID-19 — avec succès jusqu’à présent 13 septembre 2020
https://www.fr24news.com/fr/a/2020/09/pas-de-masques-pas-de-distanciation-les-ecoles-au-danemark-defient-covid-19-avec-succes-jusqua-present.html)) dans la population générale, les foyers de contaminations apparus étant constamment liés à la présence d’adultes contaminés parfois super contaminateurs.(([25] Chen Stein-Zamir A large COVID-19 outbreak in a high school 10 days after schools’ reopening, Israel, May Euro Surveill 2020 Jul ;25(29) :2001352. doi : 10.2807/1560-7917.ES.2020.25.29.2001352.))

Toutes ces analyses des faits avérés indiquent que les enfants ne participeraient (s’ils y participent ?) qu’exceptionnellement à la chaîne de transmission du SARS-CoV-2.

Même si les vaccins permettaient d’empêcher toute transmission, la vaccination des enfants ne pourrait donc pas aider à contrôler l’épidémie.

Les vaccins actuels n’empêchent pas la contagion

Les vaccinés restent contagieux. Les campagnes massives de vaccination réalisées à l’étranger ont même été suivies d’une exacerbation des contaminations durant plusieurs semaines.(([26] Et surgit une hécatombe post vaccinale ! — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Quelques exemples les plus démonstratifs sont ceux des Seychelles, de l’île de Man, des Émirats Arabes Unis ou de Gibraltar, dont les courbes publiées par l’OMS(([27] Sur le site OMS Covid19 Dashboard)) montrent que l’épidémie a flambé malgré l’obtention d’une couverture vaccinale très élevée.(([28] Vaccin anti-covid-19, un cadeau empoisonné pour les pays pauvres ? (francesoir.fr) ))

C’est encore plus frappant à Gibraltar où la couverture vaccinale de la population dépasse les 100% (car la vaccination a été élargie aux visiteurs espagnols)

Ou dans l’île de Man

Ou encore dans les Émirats arabes Unis

Cette incapacité des vaccins d’empêcher la transmission de la maladie a été évoquée dès décembre 2020 par le scientifique en chef de l’OMS, le Dr Soumya Swaminathan.

« Je ne crois pas que nous avons les preuves sur l’un ou l’autre des vaccins pour être sûrs que cela va empêcher les gens d’avoir réellement l’infection et donc de ne plus être en mesure de la transmettre ».

Elle a depuis été confirmée par le ministre de la Santé français, O. Veran, devant le Conseil d’État.

« La vaccination n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus et soient contagieuses ». 

Les vaccins Covid actuels exposent à de très nombreuses complications

Comme tout traitement actif, les vaccins exposent à des effets secondaires. Mais les cas de complications rapportées après vaccination anti Covid19 sont beaucoup plus nombreux que pour les autres vaccins.

En France, la vaccination des soignants dans les hôpitaux a été suivie de si nombreuses complications entraînant des arrêts de travail que la Haute Autorité de Santé a recommandé de ne pas vacciner tous les membres d’un service en même temps pour ne pas risquer la fermeture du service.

Des épidémies de mortalité post vaccinale chez les pensionnaires d’EHPAD ont justifié une alerte de l’agence sanitaire norvégienne et sa recommandation de ne plus vacciner les personnes très âgées et très fragiles chez lesquelles « des effets secondaires mineurs pourraient entraîner la mort ».

Il est de plus rapporté des morts survenues chez des jeunes en bonne santé vaccinés, alors qu’ils ne risquaient rien du covid comme cet interne en médecine de Nantes, un médecin de Miami, une infirmière espagnole entre nombreux autres.(([29] Brighteon appel urgent au réveil vidéo de la chaîne allemande KLA.tv))

Le recul actuel insuffisant ne permet pas d’estimer précisément le risque vaccinal antiCovid, mais il est déjà largement supérieur à ce qui est tolérable pour une maladie peu mortifère. Après quelques mois de vaccination, le site Eudravigilance de l’agence européenne du médicament comptabilise plus de 10000 morts post vaccination Covid, chiffre qui dépasse par un facteur 100 le nombre des morts recensées après des vaccinations pourtant bien plus fréquentes comme les vaccinations obligatoires.(([30] European database of suspected adverse drug reaction reports—Background (adrreports.eu) )) Rappelons que jusqu’à une période récente, le principe de précaution faisait interrompre tout essai thérapeutique après un certain nombre de morts suspectes évalué en dizaines. La vaccination contre la grippe porcine en 1976 avait été ainsi interrompue après 53 décès suspects et le vaccin anti H1N1 après 56 décès plus récemment. Aux USA où plus de 3000 décès rapides sont rapportés à la suite du vaccin anticovid, les chercheurs estiment que ce chiffre est l’équivalent des morts dénombrés en plus de 21 ans, tous vaccins confondus aux USA.(([31] https://vaers.hhs.gov/))

Vacciner les enfants contre le covid les expose à des risques sans bénéfice personnel

Dans son Avis du 30 avril 2021, même le Conseil d’Orientation de la Stratégie Vaccinale totalement pro vaccin reconnaît :

« pour initier la vaccination des enfants, il est indispensable que la balance bénéfice-risque soit fermement établie, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. »

La prise en compte des faits actuellement avérés fait pourtant dès maintenant fortement pencher la balance avantage/risque du côté des risques sans bénéfice.

En Grande-Bretagne, des dizaines de scientifiques et médecins(([32] Dont le Dr Ros Jones (photo), pédiatre à la retraite. Incroyablement, la lettre met en garde la MHRA contre les dangers des vaccins qui sont « précipités sur le marché ». Il a été signé par plus de 40 médecins, scientifiques et médecins, dont le professeur Karol Sikora, doyen de la médecine à l’Université de Buckingham, et Lord Moonie, un ancien consultant en médecine de santé publique)) ont écrit à l’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA), pour dire qu’il est « irresponsable, contraire à l’éthique et inutile » de vacciner les enfants contre le covid-19.

« Nous ne devons pas être la génération d’adultes qui, par une hâte et une peur, inutiles, mettent en danger la santé des enfants. Toutes les interventions médicales comportent un risque de préjudice, nous avons donc le devoir d’agir avec prudence et proportionnalité.

 C’est particulièrement le cas lorsqu’on envisage une intervention de masse dans une population en bonne santé, dans laquelle il doit y avoir des preuves solides de bénéfices bien supérieurs aux préjudices. »

Le 14 mai le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus a appelé les pays à renoncer à vacciner les enfants et les adolescents contre la COVID.(([33] et faire don des doses ainsi libérées au système Covax pour les redistribuer aux pays défavorisés.
AFP vendredi, 14 mai 2021 10 :18))

Arrêtons d’écouter les représentants de commerce des marchands de vaccin qui entretiennent la panique dans tous les médias ; examinons les faits avérés.

Vacciner les enfants contre le Covid19 les exposerait à des risques importants sans aucun espoir de bénéfice ni personnel ni sociétal, sauf pour les actionnaires et patrons des firmes pharmaceutiques. Le patron de Moderna est ainsi devenu un des nouveaux milliardaires français en 2020.

Risques du complexe médico-industriel

Répétons sans nous lasser les avertissements du Professeur de droit international Mary Holland devant l’assemblée de l’ONU en 2016. « Les précautions du PR Holland en conclusion de son exposé sont explicites(([34] https://lesbrindherbes.org/2016/12/25/mary-holland-vaccination-obligatoire-viole-code-de-nuremberg/)) (([35] Vidéos : https://healthimpactnews.com/2016/n-y-law-professor-addresses-u-n-on-government-vaccine-policies-violating-the-nuremberg Professor Mary Holland addressing the U.N. regarding civil rights related to government vaccine policies.)) (([36] initiativecitoyenne.be/2016/05/mary-holland-prof-de-droit-a-l-universite-de-new-york-interpelle-les-nations-unies-sur-les-politiques-vaccinales-qui-violent-le-code))

« Comme nous le savons tous, les soins de santé partout dans le monde représentent un fameux business. Les vaccins représentent un marché qui ne cesse de croître, comme d’apporter des marges de plus en plus élevées de profits.

Si nous ne respectons pas les premiers principes du droit à la vie, à la liberté et à l’intégrité corporelle des personnes, du droit à consentement préalable libre et éclairé en médecine, nous pourrions nous retrouver dans des situations désastreuses prévisibles ou même inconnues.

Pour conclure, je veux paraphraser le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel ». Je substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du président parce que je crois que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le président avait prédits dans son discours :

 « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique.

Nous ne devons rien prendre pour acquis.

Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

ET la phrase capitale :

 « c’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées. »(([37] Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg ? — AgoraVox le média citoyen))





C’est officiel : le 1er juillet, l’Union européenne devient un immense camp de concentration

Par Jean-Michel Grau

Le passeport sanitaire devrait être officiellement mis en place à partir du 1er juillet pour circuler à nouveau entre les différents pays de l’Union.

En effet, un accord vient d’être trouvé entre eurodéputés et états membres sur le pass sanitaire qui permettra à l’aide d’un QR code d’indiquer que son titulaire a bien été vacciné, qu’il a passé un test négatif, ou encore qu’il est immunisé après avoir été infecté par le Covid19.(([1] francais.rt.com/international/86953-pass-sanitaire-eurodeputes-etats-membres-accordent-texte))

Il ne faut pas se leurrer : cet « ausweis »(([2] « identifiant »)) européen n’est rien d’autre qu’une permission de sortie de la prison européenne à ciel ouvert pour pouvoir à nouveau circuler entre les différents pays européens.

Il entérine ainsi la création d’Alpha+ et de bêta-, autrement dit, un gigantesque apartheid européen, selon qu’on aura été vacciné ou non.

Ce dispositif vient compléter tout un arsenal répressif et liberticide comme le traçage, le pistage, la géolocalisation, le flicage tous azimut, les confinements divers et variés, le port de la muselière, les couvre-feux et last but not least (([3] « enfin, mais pas des moindres »)), la propagande des médias et la censure des réseaux sociaux.

Toute ressemblance entre ce nouveau naziland et son modèle ne serait que pure coïncidence. Alors qui donc peut encore croire qu’aujourd’hui, l’Europe c’est la paix ? Ne serait-ce pas plutôt la guerre ?

Une Europe en guerre contre ses peuples pour asseoir définitivement sa domination avant son effondrement économique programmé pour cette année, prélude au Grand Reset du dingue de Davos afin de mettre en place la monnaie numérique et le revenu universel, carotte de soumission totale de toute la classe moyenne, future classe zombie européenne.

Ce scénario de cauchemar n’empêche pas, bien au contraire, l’Euro-Kommissar Didier Reynders de comparer cet accord à l’élection d’un pape en tweetant, enthousiaste :

« Fumée blanche : nous avons un accord sur la proposition de la Commission de certificat européen Covid. »
« Nous avons abouti sur ce nouvel instrument en un temps record pour sauvegarder la libre circulation pour tous les citoyens », s’est-il félicité.

C’est vrai qu’il y a franchement de quoi se réjouir de ce « passeport » qui n’est rien d’autre qu’une simple permission de sortie de la prison européenne, prélude à un probable prochain sésame plus sophistiqué, du genre puce numérique sous-cutanée, version schwabienne transhumaniste du bracelet électronique actuel des prisonniers.

La Kommissar en chef, Ursula von der Leyen a elle, souligné que ce certificat serait « un élément clé sur la voie d’une reprise des voyages de façon sûre et aisée à travers l’UE. »

Autrement dit, le petit su-sucre entre deux coups de schlague sur le museau.

Mais laissons le mot de la fin à l’inénarrable porte-serviette au marché intérieur, Thierry Breton, dans un grand élan lyrique :

« L’Europe avance unie avec le certificat Covid numérique… Un signal fort pour le tourisme et la relance ! »

C’est sûr, avec tous les restaurateurs au bord de la faillite dont Klaus Schwab a prévu la disparition de 75 % d’entre eux, le tourisme va repartir sur les chapeaux de roues…

Une seule ombre toutefois à ce tableau mirifique : malgré le pass sanitaire, chaque citoyen pourrait se voir imposer une quarantaine. Car les 27, soulignant que celle-ci reste de l’ordre des compétences nationales, veulent se garder cette possibilité en cas d’apparition d’un variant.

Or, c’est bien connu, les variants ignorant les frontières, les quarantaines risquent fort d’être encore au menu européen malgré ce soi-disant pass pour la liberté. Le diable se cache dans les détails…

Ce pass sanitaire qui, rappelons-le, n’est rien d’autre qu’un acte de coercition caché à se faire vacciner est au menu du sommet des dirigeants européens des 24 et 25 mai à Bruxelles. L’accord devra être approuvé par le parlement à la prochaine session plénière du 7 au 10 juin à Strasbourg.

« Ce qui permettra une entrée en vigueur le 1er juillet » a confirmé l’eurodéputé espagnol Juan Fernando Lopez Aguilar, négociateur du parlement, lors d’une conférence de presse.

Nul doute que tous les kapos de cette désormais Union de l’Enfermement voteront tous le bras levé à l’unanimité pour valider cet ausweis avec enthousiasme.

Nul doute, pensent-ils, que tous les Européens vont accepter d’arrêter de vivre pour éviter de mourir.





Le troisième Temple de Jérusalem et l’embrasement de la Terre Sainte – Analyse de Pierre-Antoine Plaquevent

[Source : Strategika]

Par Pierre-Antoine Plaquevent – mai 2021

On ne peut comprendre l’actuelle montée aux extrêmes en Terre sainte sans interroger la nature profonde du projet théopolitique qui sous-tend la branche religieuse du sionisme. Dans ce projet (qui ne fait pas l’unanimité chez les Israéliens eux-mêmes), la reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise de sacrifices à Yahvé en son sein occupent une place centrale. Temple qui doit être reconstruit précisément là où se trouve la mosquée al Aqsa d’où est partie la tragédie actuelle.

Le premier dossier paru sur Strategika intitulé « Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions » exposait différentes manipulations politiques du sacré au cours de l’histoire récente. Parmi celles-ci , je développais la place qu’occupe le Temple dans l’imaginaire et l’agenda du sionisme religieux mais aussi le rôle que devra y jouer le Messie attendu par le judaïsme dans la reprise des sacrifices sanglants au sein du Temple, cela de l’avis même des dirigeants de l’Institut du Temple de Jérusalem.

Dans ce texte co-écrit avec l’historien des religions Youssef Hindi, nous abordions aussi le rôle joué par cette mystique de la reconstruction du Temple de Jérusalem au sein des courants de la droite évangéliste pro-israélienne. Un soutien toujours plus important pour Israël à mesure que la diaspora juive américaine prend elle ses distances avec le projet messianique du sionisme religieux [1].

La flambée de violence qui embrase actuellement la Terre sainte ne peut se comprendre sans appréhender l’explosive poussée messianique qui aiguillonne le sionisme religieux depuis son origine. Une fièvre millénariste qui peut conduire le monde contemporain vers une crise globale sous la pression d’un acteur géopolitique de plus en plus irrationnel et pressé d’accomplir son projet métapolitique et théopolitique.

Afin d’éclairer la séquence en cours, nous publions ici une partie de notre étude dont la totalité est disponible ici : https://strategika.fr/2020/02/10/notre-dame-al-aqsa-et-le-troisieme-temple-la-geopolitique-des-religions/

L’incendie de la mosquée al Aqsa et le troisième Temple de Jérusalem

(…) La mosquée al Aqsa se trouve précisément là où les sionistes religieux veulent « reconstruire » le Temple. Et ils ne cachent pas leur volonté de détruire la Mosquée[2]. L’Institut du Temple[3] a été créé en 1987 par le rabbin Yisrael Ariel, en vue de ce projet de construction du Troisième Temple.

Tous les objets liturgiques du futur temple sont prêts[4]. En novembre 2016, le rabbin Hillel Weiss, porte-parole du Sanhédrin, interpelant Vladimir Poutine et Donald Trump, déclarait :

« Nous sommes prêts à reconstruire le Temple. Les conditions politiques actuelles, dans lesquelles les deux dirigeants nationaux les plus importants dans le monde soutiennent le droit juif à Jérusalem comme leur héritage spirituel, sont historiquement sans précédent. »[5]

La pression exercée sur le site de la Mosquée d’al-Aqsa est constante. Ainsi le 09 mai 2019, des dizaines de colons, escortés par la police israélienne, faisaient irruption sur le site de la mosquée al-Aqsa : « Firas al-Dis, responsable de la communication au sein de l’autorité des Wakfs islamiques de Jérusalem, a déclaré que ‘‘137 extrémistes ont envahi la mosquée al-Aqsa aujourd’hui’’ ». [6]

Début juin 2019, environ 1200 militants sionistes religieux s’introduisaient sur l’esplanade des Mosquées durant la fin du ramadan, une période où il leur est théoriquement interdit de visiter l’esplanade. Une intrusion qui a eu lieu avec l’aval de la police israélienne à l’occasion des festivités du « Jour de Jérusalem », une journée qui commémore la prise de la vieille ville de Jérusalem, alors sous contrôle jordanien, lors de la guerre des Six Jours en 1967.[7]

S’en suivront des heurts violents entre les fidèles musulmans qui défendaient leurs lieux saints et les militants sionistes venus faire le coup de poing pour commémorer le jour où selon eux le destin messianique d’Israël a été freiné. Les sionistes religieux n’ont effectivement jamais admis le statu quo imposé en 1967 par Moshe Dayan lors de la guerre des Six Jours. À cette époque, le général puis ministre de la défense, Moshe Dayan se serait exclamé face à l’idée de s’emparer de force de l’esplanade des Mosquées : « Pourquoi aurions-nous besoin d’un tel Vatican ? ».[8]

Moshe Dayan se ravisera et enverra ses parachutistes s’emparer de l’esplanade des Mosquées mais il placera ensuite lui-même l’administration de ce site très sensible sous la responsabilité du Wakf, l’administration des biens musulmans, et évitera les provocations et vexations supplémentaires de son aile droite. Allant jusqu’à déclarer à la radio israélienne :

« Nous ne sommes pas venus conquérir les lieux saints des autres, ni pour restreindre leurs droits religieux, mais pour assurer l’intégrité de la ville et y vivre avec d’autres dans la fraternité. ».[9]

L’esplanade des Mosquées constitue le troisième lieu saint de l’islam, après La Mecque (où se trouve Masjid al-haram, la mosquée sacrée) et Médine (où est située Masjid al-Nabawi, la mosquée du Prophète). S’y trouvent le dôme du Rocher et la mosquée al Aqsa, la plus grande de Jérusalem. Pour les musulmans, le Prophète Muhammad, accompagné de l’Ange Gabriel, s’éleva sur le dos d’une monture appelée « Bouraq » depuis La Mecque jusqu’à la Mosquée al Aqsa, et de là il traversera les sept cieux avant de recevoir de Dieu l’ordre pour les musulmans de prier cinq fois par jour.

Les juifs quant à eux appellent l’esplanade des Mosquées le mont du Temple. Il constitue pour la religion juive le lieu le plus sacré du judaïsme. Sur le mont du Temple se trouvait durant l’Antiquité le Temple de Jérusalem qui fut détruit en 70 après Jésus-Christ par les légions romaines de Titus lors de la première guerre judéo-romaine où l’Empire écrasa la révolte des juifs de la province de Judée. Pour les sionistes religieux (toujours plus influents en Israël mais contestés par une partie de la population secularisée), la reconquête intégrale du mont du Temple et à terme la reconstruction du troisième Temple constituent des objectifs stratégiques centraux de leur vision du monde et de leur idéologie messianique. Pour eux, Israël ne sera réellement Israël que lorsque les juifs pourront à nouveau se rendre au Temple pour y exercer les sacrifices rituels décrit dans l’Ancien Testament.

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Sources : L’esplanade des Mosquées, poudrière du conflit israélo-palestinien – https://www.franceculture.fr/geopolitique/lesplanade-des-mosquees-poudriere-du-conflit-israelo-palestinien
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Source : Donald Trump reconnaît Jérusalem comme capitale d’Israël – https://www.midilibre.fr/2017/12/06/donald-trump-reconnait-jerusalem-comme-capitale-d-israel,1599150.php
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L’emplacement prévu du Temple reconstruit.
Source : A Jérusalem, le rêve explosif des activistes du troisième temple –  Pierre Haski – novembre 2016 https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-monde/20141030.RUE6416/a-jerusalem-le-reve-explosif-des-activistes-du-troisieme-temple.html
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Donald Trump devant le « mur des lamentations ». Mur considéré dans le judaïsme comme le vestige principal du second Temple de Jérusalem détruit en 70 après JC par les légions romaines de l’empereur romain Titus (Imperator Titus Caesar Vespasianus Augustus).
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Jair Messias Bolsonaro, président de la république fédérative du Brésil. Premier chef d’Etat étranger à se rendre au Mur des Lamentations à Jérusalem en compagnie d’un Premier ministre israélien : « pendant des décennies, les dirigeants étrangers se sont gardés d’apparaître au côté d’un dirigeant israélien devant le Mur des Lamentations pour ne pas sembler prendre position sur des questions hautement sensibles de souveraineté. Donald Trump avait été en mai 2017 le premier président américain en exercice à se recueillir devant le Mur. Mais il était accompagné par le rabbin du Mur, Shmuel Rabinovitz » Source : Bolsonaro crée un précédent diplomatique au Mur des Lamentations https://www.lepoint.fr/monde/bolsonaro-cree-un-precedent-diplomatique-au-mur-des-lamentations-01-04-2019-2305105_24.php
Le président brésilien entend des explications sur le Second Temple – Photo Amos Ben Gershom / GP : « Dans les tunnels du Kotel, le président Bolsonaro a pu voir une maquette du Second Temple ainsi qu’un film retraçant les liens millénaires du peuple juif avec Jérusalem et le Mont du Temple. Enfin, près de l’Arche de Wilson, le président brésilien a pu admirer une exposition de divers vestiges et objets du passé juif découverts sur ce site par les archéologues. Avant de quitter les lieux, il a signé le Livre des visiteurs. Visiblement impressionné et ému, le président brésilien a dit qu’il comprenait parfaitement le lien entre le peuple juif et Jérusalem. » https://lphinfo.com/jair-bolsonaro-a-visite-le-kotel/
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Il existe par ailleurs déjà une réplique inspirée du Temple de Jérusalem à Sao Paulo au Brésil : « Le Temple de Salomon est un édifice religieux à São Paulo, au Brésil. Il est le siège mondial de l’Église universelle du royaume de Dieu, une église chrétienne évangélique charismatique, dont le responsable est Edir Macedo Bezerra. Situé dans le quartier de Brás, il est le plus grand édifice religieux du pays. Le temple se veut une réplique du Temple de Jérusalem tel qu’il existait selon la bible, à l’époque du roi Salomon et qui est détruit selon celle-ci en 586 av. J.-C. par le roi de Babylone Nabuchodonosor II. » Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_de_Salomon_(S%C3%A3o_Paulo) et https://www.otemplodesalomao.com/author/souldigital/
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L’ancien président du Brésil Michel Temer lors de l’inauguration du « Temple de Salomon » en 2014.
Source :  https://www.flickr.com/photos/vice-presidencia/albums/72157645664529467
Ci-dessus une maquette du second Temple de Jérusalem.
La même reconstitution du Second Temple de Jérusalem. (© Felix Bensman | Dreamstime.com
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Ici une maquette du Second Temple exposé dans l’Institut du Temple à Jérusalem. (crédit photo : Nati Shohat/Flash90) – Source : https://www.timesofisrael.com/laying-the-groundwork-for-a-third-temple-in-jerusalem/
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Là encore une réplique du Temple est descendue par une grue sur le toit de la Yeshiva Aish HaTorah dans le quartier juif en 2009 (crédit photo : GALI TIBBON) https://www.jpost.com/israel-news/temple-institute-encourages-jews-to-hope-for-third-temple-in-new-video-597873
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Illustration du futur Temple reconstruit.
Ci-dessus une reconstitution virtuelle de l’intérieur du Temple
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Source : une maquette représentant le premier temple juif, qui se trouvait autrefois sous le complexe abritant le Dôme du Rocher (vu au centre, en arrière-plan) et la mosquée Al-Aqsa, est vue dans la vieille ville de Jérusalem, le 2 juin 2015. – REUTERS/Ammar Awad – https://www.al-monitor.com/originals/2015/11/yishai-sarid-third-temple-war-muslims-arabs-jewish-state.html#ixzz6vENrDqRF

La montée du sionisme religieux de 1967 à nos jours

Le reporter franco-israélien Charles Enderlin a longuement étudié l’impact du sionisme religieux sur la société israélienne ; il explique de quelle manière la reconquête du mont du Temple obsède et galvanise l’aile la plus religieuse du sionisme politique et militaire. Il montre aussi comment le messianisme religieux a fini par prendre le pas sur le sionisme laïc (qu’il défend) et a fait pression dès 1967 pour reprendre le mont du Temple aux musulmans. Cela notamment au travers de rabbins ultras et militants tel Shlomo Goren, général et aumônier-rabbin militaire de Tsahal. Il décrit ainsi l’exaltation qui s’est emparée du rabbin suite à la prise du mont du Temple par les parachutistes de Tsahal en 1967 :

« Je n’ai pas dormi pendant trois nuits et le trajet du musée Rockfeller, je l’ai parcouru en courant avec mes dernières forces sous les tirs et les bombardements. Dès la porte des Lions, j’ai commencé à sonner le Shofar (la corne de Bélier) en priant à voix haute ainsi que la Halakha l’exige en temps de guerre. Arrivé au centre du mont du Temple, j’ai sonné à nouveau le shofar et lu la proclamation que j’avais préparée quelques jours plus tôt, déclarant tous les lieux saints en Israël ouvert à toutes les religions du monde. Je suis ensuite descendu devant le Mur occidental devant lequel se trouvaient de nombreux parachutistes … À midi vingt, j’ai dit la prière du Minkhah. J’ai envoyé une jeep chercher le rabbin Zvi Yehouda Kook. Ils sont arrivés au Mur occidental en passant par le montant. » [10]

Plus connu sous le nom de « Mur des lamentations », le « Mur occidental » désigne pour le judaïsme le mur occidental du Temple d’Hérode. Shlomo Goren qui affirme dans ses mémoires avoir déclaré que « tous les lieux saints d’Israël seraient ouverts à toutes les religions du monde », aurait dans le même temps fomenté la destruction pure et simple du troisième lieu saint de l’islam en 1967.

Charles Enderlin rapporte ce dialogue entre Goren et le général Uzi Narkiss :

« Goren n’évoque pas la discussion qu’il a eu avec Uzi Narkiss. Ce dernier en révélera le contenu, des années plus tard, à un journaliste du quotidien Haaretz. Goren voulait tout simplement faire place nette :

Goren : « Uzi ! C’est maintenant ! Fait mettre cent kilos d’explosif dans la mosquée d’Omar et on en sera débarrassé une fois pour toutes !

Narkiss: « Rabbin ! Suffit ! »

Goren: « Uzi ! Ton nom entrera dans l’histoire ! »

Narkiss : « Mon nom est déjà inscrit dans l’histoire de Jérusalem ! »

Goren : « Tu ne réalises pas quelle portée cela aurait ! C’est l’occasion qu’il faut saisir maintenant à cet instant ! Demain il sera trop tard ! »

Narkiss : « Rabbin ! Si tu n’arrêtes pas je te ferai mettre au cachot ! » [11]

Charles Enderlin cite dans son enquête les propos d’autres religieux juifs partisans de la destruction des mosquées comme par exemple le rabbin Gershon Salomon, le président des Fidèles du Temple, qui explique sans détours :

« La mission de cette génération est de libérer le Mont sacré, d’en finir avec la domination qui s’y trouve. Plus de dôme ! Plus de mosquée mais l’emblème d’Israël et le Temple ! Assez des rêves d’un Temple qui descendrait du ciel ! » [12]

Source : Moshe Dayan dans la vieille ville de Jérusalem après la victoire israélienne de juin 1967
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Source : « Le grand rabbin des forces de défense israéliennes, Shlomo Goren, arrive au Mur occidental libéré. À sa droite, le général Uzi Narkiss et le HaRav Menachem Cohen. À l’extrême gauche se trouve le compagnon parachutiste qui a planté le drapeau israélien sur le Mont du Temple, déclarant ainsi la souveraineté juive sur le Mont, mettant fin à 1897 ans d’exil. » https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
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Source : « Le rabbin Shlomo Goren, portant un Sefer Torah, dirige une célébration spontanée au Mur occidental, alors que des milliers de Jérusalemites, submergés par l’émotion, se dirigent vers le site où se trouvait le Saint Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/
« Le Sefer Torah est déposé dans un endroit sûr : une niche dans le mur occidental du Mont du Temple. » – https://templeinstitute.org/temple-mount-liberation-1967/

Cette pression permanente qu’exerce le lobby messianique en Israël est certes dangereuse pour les populations de la région, mais elle concerne en fait le monde entier si l’on prend en compte l’implication américaine dans la région. Surtout, les proximités de vues qui existent entre certaines tendances extrêmes du protestantisme politique américain comme le courant des « sionistes chrétiens » sont de nature à inquiéter quant au maintien des équilibres géopolitiques instables du Proche-Orient. (…) Lire ici l’intégralité de l’E-book Strategika : Notre-Dame, Al Aqsa et le troisième Temple. La géopolitique des religions

L’Évangélisme sioniste et la fin de l’Histoire 

Comme nous l’avons écrit précédemment, l’origine du sionisme chrétien remonte au courant dit du « restaurationnisme », dans l’Angleterre du XVIIe siècle. À la même époque, en France, le huguenot Isaac de Lapeyrère écrivit son Du rappel des Juifs[21], ouvrage dans lequel il explique comment la conversion des juifs au christianisme se ferait concomitamment avec leur retour en Terre promise.

Aux États-Unis ce courant existe depuis le XIXe siècle et trouve un écho particulier du fait des idées d’élection et du concept de destinée manifeste[22] qui nourrissent chez certaines élites américaines le sentiment que les États-Unis auraient une mission spécifique dans l’histoire : le rôle messianique d’instaurer une paix universelle pour le monde entier. Ce courant chrétien-sioniste prendra réellement son essor après la Seconde Guerre mondiale avec l’instauration d’un proto-État israélien en Palestine, événement perçu comme un signe annonciateur du retour prochain du Christ par le courant évangéliste sioniste.

De fait, on retrouve une convergence frappante entre l’idéologie du sionisme religieux contemporain américain et les vues des chrétiens sionistes que l’on devrait appeler de manière plus exacte des « évangélistes sionistes ». Les évangélistes sionistes interprètent de manière littérale la Bible, ce sont en fait des millénaristes. Ils pensent que le Christ reviendra sur terre instaurer un royaume de justice universelle pour une période de mille ans une fois que les juifs seront tous rassemblés en Terre sainte et qu’une partie d’entre eux se sera convertie afin d’affronter l’Antéchrist.

Pour l’évangélisme sioniste l’histoire humaine est divisée en périodes qui correspondent aux différentes Alliances avec Dieu. Ces périodes appelées « dispensations » donnent son nom au courant du « dispensationnalisme » :

« Les dispensationnalistes[23] pensent qu’ils vivent la dernière dispensation, celle qui précédera le retour du Christ. Plus précisément, ils pensent que les vrais chrétiens doivent se préparer à l’Extase (Rapture en anglais), c’est-à-dire à être enlevés (de leur vivant ! NDA) de la sphère humaine pour rejoindre le royaume de Dieu. De là, ils seront en sécurité pendant les Tribulations, sept années de désastres et de guerres. Quant aux Juifs, ils retourneront en Israël avant l’Extase, où ils reconstruiront leur État ainsi que le Temple. Ayant refusé de reconnaître le Christ et d’être sauvés pendant l’Extase (à l’exception de 144 000 d’entre eux), ils se soumettront à l’Antéchrist, et seul un tiers d’entre eux survivra aux Tribulations, qui se termineront lors de la bataille de Megiddo (dans le nord d’Israël) ou Armageddon. Le Christ reviendra alors pour vaincre Satan, et instaurera un règne de mille ans. Les Juifs qui auront survécu reconnaîtront le Christ comme leur Sauveur, et répandront sa parole à travers le monde. À la fin des mille ans, Satan parviendra à se rebeller et sera cette fois vaincu définitivement. Des changements cosmiques auront alors lieu, les morts se lèveront et seront jugés, et le Royaume de Dieu sera établi pour l’éternité. »[24]

Cette interprétation littérale, naïve et finalement assez grossière des événements décrits dans l’Apocalypse de Jean a par ailleurs été condamné par des représentants du christianisme oriental qui ont publié en août 2006 un texte désignant le sionisme chrétien comme : « (…) une doctrine fausse, contraire à l’esprit du christianisme. La déclaration est signée par Mgr Michel Sabbah, patriarche latin de Jérusalem, Mgr Swerios Malki Mourad de l’Église syriaque orthodoxe, Mgr Riah Abu El-Assal, évêque anglican de Jérusalem, et Mgr Munib Younan, évêque luthérien de Jérusalem. » [25]

Cette lecture matérialiste et hétérodoxe de l’Évangile est désormais très répandue dans la culture populaire aux États-Unis :

« Surprenant ! Des millions d’Américains attendent aujourd’hui d’être « enlevés » (rapture) par Jésus-Christ lorsque celui-ci reviendra sur terre pour établir son Royaume terrestre. Cette croyance est propagée par de nombreux livres à succès, des romans mais aussi des ouvrages « hétéroclites » c’est-à-dire qui mêlent la fiction et l’exégèse. Citons Hal Lindsey et son best seller « The Late Planet Earth ». Avant d’être enlevés et d’échapper ainsi aux calamités qui vont s’abattre sur la terre (guerre atomique, règne de l’Antéchrist), ces chrétiens encouragent vivement le retour des juifs en Palestine, car c’est seulement par la restauration pleine et entière du Royaume d’Israël que les juifs pourront se convertir et reconnaître enfin Jésus comme messie. (…) À l’heure du Seigneur, les vivants sont « ravis » par Jésus qui les soustrait au monde et les transforme en leur octroyant un corps de lumière. Les élus, non seulement ne vont pas subir les épreuves de la tribulation, mais seront « changés » sans avoir à connaître la mort et la résurrection. À l’heure du Seigneur, il y aura des vivants qui ne mourront jamais.» [26]

L’actuel secrétaire d’État des États-Unis (NDA : fin 2019), Mike Pompeo, a lui-même déjà fait allusion à cette doctrine irrationnelle de l’enlèvement des justes durant l’Armageddon : « Alors simple membre du Congrès, il avait déclaré lors d’un sommet ecclésiastique à Wichita : « Nous continuerons à mener ces batailles. C’est une lutte sans fin… jusqu’au Ravissement. Faites partie de ce combat. Participez à la lutte. » [27]

De nombreux Américains pensent qu’encourager le retour des juifs en Palestine est en fait un acte de foi évangélique qui permet de hâter le retour du Christ et de son règne millénaire qui surviendra après une période de chaos. Dans une étude parue il y a une dizaine d’années, Guy Mosjoen a parfaitement résumé, les visées géopolitiques de l’évangélisme sioniste :

« C’est alors que le Seigneur se souvient de la promesse faite au peuple juif. Promesse de retour et de puissance retrouvée. Avec le système des dispensations, l’Église n’a jamais été qu’une parenthèse. Israël et l’Église sont restés distincts. La Nouvelle Alliance n’a pas annulé la Première, de sorte qu’une fois le temps de l’Église révolu, Jésus-Christ peut littéralement restaurer Israël. Le Royaume de Dieu n’est donc pas l’Église mais le Royaume de David. La grande tribulation n’a pas vu la disparition du genre humain. Il reste des juifs et des païens. Il reste aussi une capitale (Jérusalem), un temple reconstruit (car il a fallu le reconstruire pour que l’Antéchrist puisse le profaner), des lévites (des prêtres pour sacrifier de jeunes taureaux), et des nations à asservir puisque, dans les temps messianiques, le roi gouvernera avec une ʺmain de ferʺ.

Certains millénaristes, appelés théonomistes, sont même en faveur d’une civilisation chrétienne régie par l’application intégrale de la loi d’Israël.

Voici donc le millénium « chrétien » des fondamentalistes millénaristes, qu’ils soient postmillénaristes ou prémillénaristes, et s’ils sont prémillénaristes, qu’ils soient pré-tribulationnistes, mi-tribulationnistes, post-tribulationnistes ou encore pré-coléristes (…) On pourra s’étonner de lire encore le mot « chrétien » alors que c’est très explicitement d’un millénium juif qu’il s’agit. »[28]

Un catastrophisme théopolitique qui prend racine dans une lecture littéraliste de la Bible spécifique au monde protestant. Une interprétation des textes sacrés du christianisme qui met l’accent sur la loi vétérotestamentaire et le rôle providentiel des juifs dans l’histoire. Un rôle que n’annule pas la nouvelle alliance scellée par la première venue du Christ pour les évangélistes, d’où leur sentiment d’une proximité avec le judaïsme inconnue dans les mondes catholique et orthodoxe traditionnels. L’interprétation évangéliste des textes bibliques aura pour effet de ramener au sein du christianisme évangélique des éléments de millénarisme qui furent en leur temps rejetés par les premiers conciles chrétiens :

« Le millénarisme désigne la croyance en la venue d’un règne de Dieu sur terre qui instaurera son royaume de justice universelle pour toujours ou pour une période de mille ans. C’est le “millénium” chrétien dont certains courants paléochrétiens pensaient qu’il adviendrait après le retour du Christ pour une période déterminée de mille ans et dont les Églises catholique et orthodoxe ont défini qu’il est déjà advenu et que le retour et la victoire du Christ seront dès lors définitifs. (…) Les églises catholique et orthodoxe ont expliqué que le “millénium”, l’âge d’or qu’attendent les millénaristes, a déjà eu lieu dans le temps. Il s’agit en fait du millénaire chrétien qui commence aux débuts de la chrétienté en tant que religion protégée par l’État à partir de Constantin le Grand jusqu’à la chute de Constantinople. »[29]

Un millénarisme qui porte en lui un catastrophisme théopolitique intrinsèquement lié à la religion juive comme l’expose le professeur Michael Löwy, chercheur et enseignant à l’École des hautes études en sciences sociales :

« Selon G. Scholem, pour le messianisme juif la rédemption est un événement qui se produit nécessairement sur la scène de l’histoire, ʺpubliquementʺ pour ainsi dire, dans le monde visible ; elle n’est pas concevable comme processus purement spirituel situé dans l’âme de chaque individu et résultant dans une transformation essentiellement interne. De quel type d’événement visible s’agit-il ? Pour la tradition religieuse juive l’arrivée du Messie est une irruption catastrophique : ʺ Le messianisme juif est dans son origine et dans sa nature – on ne saurait jamais assez insister – une théorie de la catastrophe. Cette théorie insiste sur l’élément révolutionnaire cataclysmique, dans la transition du présent historique à l’avenir messianique. ʺ»[30]

Doctrine catastrophiste qui était aussi celle des néo-conservateurs réunis au sein du PNAC – Project for the New American Century –, néo-conservateurs pour la plupart anciens trotskystes d’origine juive.[31]

L’évangélisme sioniste place le troisième Temple au centre de son système religieux. Pour les évangélistes sionistes, la reconstruction du Temple est une condition au retour du Christ et à la conversion des justes parmi les juifs, ceux qui reconnaîtront le Christ comme leur messie lors de son second avènement. Les derniers rapprochements entre l’administration Trump et Israël (NDA : ce passage fut écrit fin 2019) ont été une illustration géopolitique éclatante de cette convergence de vue et d’intérêt entre la droite religieuse israélienne et l’évangélisme politique américain. Pour la première fois dans l’histoire, un secrétaire d’État américain visitait la Vieille Ville de Jérusalem en compagnie d’un haut responsable politique israélien. Une visite historique qui venait conforter les attentes israéliennes et une reconnaissance tacite de la souveraineté israélienne sur le site du mont du Temple et de l’esplanade des Mosquées :

« Ce geste apparaît surtout comme une nouvelle étape dans la révision de la position américaine à l’égard de Jérusalem engagée par Donald Trump, qui avait lui-même été en 2017 le premier président des États-Unis en exercice à se rendre au Mur des Lamentations. Ce site se trouve en effet à Jérusalem-Est, dont Israël s’est emparé en 1967 avant de l’annexer. La communauté internationale juge illégale cette annexion, et renvoie le statut final de la Ville sainte à des négociations de paix. »[32]

Durant cette visite, Mike Pompeo, accompagné du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de l’ambassadeur américain en Israël David Friedman ont visité aussi le tunnel du Mur des lamentations ainsi que la synagogue située sous terre, à l’endroit supposé du sanctuaire du Temple. Là ils ont pu « observer une reconstitution en réalité virtuelle du temple juif qui surmontait autrefois le mont du Temple » ainsi qu’une maquette très détaillée du futur temple présentée par l’Institut du Temple (The Temple Institute). [33]

Suite à ce voyage, Mike Pompeo avait diffusé une vidéo officielle censée résumer son séjour peu avant le déclenchement de la crise iranienne actuelle. On peut y voir une maquette du Temple associé à des images du Mur des lamentations, là où les lieux saints islamiques sont quant à eux ignorés sciemment. Dans la même vidéo sont aussi montrés le Saint-Sépulcre comme pour signifier l’alliance naturelle qui unirait Israël et la chrétienté face aux mêmes menaces.[34]

Durant ce séjour en Israël, Pompeo a donné toutes les assurances possibles à l’exécutif israélien et à la droite religieuse quant au soutien américain face à l’Iran. Les références bibliques furent nombreuses et appuyées durant les allocutions ou interviews accordées par le secrétaire d’État américain pendant et autour de ce voyage :

« Le secrétaire d’État américain Mike Pompeo a laissé entendre dans une interview que le président Donald Trump avait peut-être été envoyé par Dieu pour sauver le peuple juif et qu’il était ʺconfiant dans le fait que le Seigneur est au travail iciʺ ». [35]

Comme cette visite officielle avait lieu durant la fête juive de Pourim, Pompeo fit un parallèle historique puissamment ancré dans la mémoire juive : 

« Les Juifs du monde entier et ici à Jérusalem parlent du fait qu’Esther a sauvé le peuple juif il y a 2500 ans avec l’aide de Dieu de Haman » [36]

Haman, est une référence de la Bible qui apparaît dans le Livre d’Esther. Il évoque un archétype de l’ennemi du peuple juif dans la mémoire collective juive. Vizir de l’Empire perse sous le règne d’Assuérus (Xerxès Ier), Haman ourdit le projet de faire tuer tous les juifs installés dans l’Empire. Il fait alors passer un décret qui sera signé par le roi afin d’ordonner l’extermination de la population juive. Son plan sera déjoué par la reine Esther qui tenait sa judaïté secrète et qui la révèle à ce moment-là au roi Assuérus. Esther arrive alors à convaincre le roi perse d’épargner son peuple. Haman et ses dix fils seront pendus par les Juifs avec l’aval du roi Assuérus.

Des références vétérotestamentaires que Pompeo a réitéré devant l’un des médias évangélistes les plus influents :

« Pompeo répondait à des questions lors d’une interview à Jérusalem avec le Christian Broadcasting Network, fondé par le télévangéliste Pat Robertson, et dont l’auditoire est vaste. Quand on lui a demandé si Trump était une nouvelle Esther, il a déclaré : ʺEn tant que chrétien, je crois que c’est certainement possible. ʺ» [37]

Dans leur déclaration conjointe durant ce voyage officiel, Benjamin Netanyahu a lui aussi évoqué ces références en les citant dans une perspective anti-iranienne : 

« Le Président Trump vient d’entrer dans l’histoire. Je lui ai téléphoné. Je l’ai remercié au nom du peuple d’Israël. Tout d’abord, il a reconnu Jérusalem comme capitale d’Israël et y a installé l’ambassade américaine. Ensuite, il s’est retiré du désastreux traité avec l’Iran et a imposé de nouvelles sanctions. Mais aujourd’hui, le Président Trump a fait quelque chose d’une égale importance historique – il a reconnu la souveraineté d’Israël sur les hauteurs du Golan, et cela, à un moment où l’Iran tente d’utiliser la Syrie comme plate-forme pour attaquer et détruire Israël. Et le message que le président Trump a transmis au monde est que les États-Unis se tiennent aux côtés d’Israël. Nous célébrons Pourim, quand, il y a 2 500 ans, d’autres Perses, menés par Haman, ont tenté de détruire le peuple Juif. Ils ont échoué ; et aujourd’hui, 2 500 ans plus tard, une nouvelle fois, les Perses dirigés par Khamenei tentent de détruire le peuple Juif et l’État Juif. » [38]

Cette référence au Vizir Haman de l’ancienne Perse, n’est pas juste rhétorique dans la bouche du Premier Ministre israélien, elle renvoie en fait à cette « plus longue mémoire » juive, une mémoire collective qui vit comme une réalité présente les persécutions, les guerres et les avanies historiques survenues (ou fabulées, telle l’histoire du livre d’Esther, entièrement mythique)[39] même il y a très longtemps. Une perception hypermnésique de son propre passé historique et communautaire que le professeur de psychologie Kévin Mac Donald a étudié en profondeur :

« Dans son tréfonds, l’ethnocentrisme juif est intimement lié à un sentiment de persécution historique. La mémoire juive est une mémoire de la persécution et de la catastrophe imminente, une mémoire qui justifie n’importe quelle réponse, parce que, au bout du compte, c’est la survie du peuple juif qui est en jeu. (…) Les juifs ont une très longue mémoire historique, des événements qui se sont produits il y a des siècles influencent encore leurs perceptions actuelles. Ce sentiment profond de mise en danger du groupe et d’injustice historique est associée à ce style hyperbolique de la pensée juive qui transparaît à maintes reprises dans le discours juif. »[40]

Pour cette « longue mémoire » juive, la référence au Vizir Haman ne renvoie pas seulement à l’antique Perse et donc à l’Iran actuelle mais aussi à l’ennemi ontologique d’Israël, Amalek, roi des Amalécites, ce peuple ennemi juré d’Israël d’après la Bible. Pour les juifs religieux, Amalek serait en fait un ancêtre du Vizir Haman, comme le développe le Rav Ron Chaya :

« Le nom de Haman est Haman Haagagui, c’est-à-dire descendant de Agag, or Agag était le roi du peuple Amalek à l’époque du roi Chaoul. » [41]

La figure d’Amalek convoque dans la mémoire juive un archétype intemporel, celui d’un ennemi qui prend différentes formes dans l’histoire et qui se réactualise perpétuellement. Pour les sionistes religieux, l’une des formes les plus virulentes d’Amalek est actuellement constituée par l’Iran. La situation géopolitique qui se dessine est tout sauf rassurante, les représentations et croyances religieuses des membres influents de l’administration américaine convergent dangereusement avec la religiosité apocalyptique de l’exécutif israélien.

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Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, l’ancien secrétaire d’État américain Mike Pompeo et l’ambassadeur américain en Israël David Friedman (R) visitent les tunnels du Mur occidental dans la vieille ville de Jérusalem, le 21 mars 2019. (Photo par JIM YOUNG / AFP) – Source : https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

Le Troisième Temple et la guerre mondiale des religions

Cette infatigable et intraitable mémoire explique aussi la volonté actuelle de reconstruction du Troisième Temple à l’identique. Ainsi l’Institut du Temple (The Temple Institute)[42]travaille-t-il à préparer et à reconstituer jusque dans ses moindres détails l’architecture et le culte qui seront exercés dans le Temple reconstruit. Que ce soit les objets qui serviront aux sacrifices, les vêtements des prêtres, les prêtres eux-mêmes ou encore la fameuse vache rousse[43] nécessaire à certains rituels de purification spécifique, tous les éléments du culte que les sionistes religieux cherchent à reconstituer sont étudiés scrupuleusement. Le directeur pour l’Europe de l’Institut du Temple est le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld, un membre actif et important de sa communauté comme il le dit lui-même : « J’ai été directeur de différentes sociétés dans le textile. Sur le plan communautaire, j’ai été président de communauté et président d’associations, puisque j’ai fondé le B’naï Brith sur la Côte d’Azur, à Antibes où je résidais ; j’ai également fondé France-Israël dans la même ville et j’ai été président de la LICRA-Côte d’Azur pendant neuf ans. » [44]

Le Rav Jean Marc Haïm Rosenfeld – source : http://www.ichretien.com/reportages/le-consistoire-des-protestants-evangeliques-de-cote-d-ivoire-veut-donner-a-l-eglise-ivoirienne-de-parler-d-une-seule-voix-5349.html

Dans un long entretien accessible sur Internet, il livre des détails très instructifs sur les travaux de recherche et les préparatifs autour de la reconstruction du Temple de Jérusalem et de son culte. Surtout il expose très sereinement des conceptions qui peuvent sembler surréalistes et qui seraient sûrement  taxées de « complotistes » si elles étaient énoncées par un non-juif :

« Revue Kephas : Pour que le Temple puisse fonctionner, il faudra que des prêtres et des lévites reprennent du service, si j’ose dire. Comment pourra-t-on faire pour savoir qui est légitimement prêtre ou lévite dans le Peuple juif d’aujourd’hui ?

Jean-Marc Rosenfeld : Voilà une question sur laquelle nos maîtres se sont penchés plusieurs fois. Effectivement, un Cohen ou un Lévi d’aujourd’hui peut ne pas être un cohen ou un lévi : des mésalliances ont eu lieu, des tribus sont parties … De plus, ne peut l’être que quelqu’un qui connaît le fonctionnement, et qui applique la Loi que Dieu a donnée. Donc on ne peut pas se réveiller un jour en disant ʺTiens, maintenant je suis cohen, je suis lévi  !ʺ Selon nous, le Temple sera reconstruit et ensuite, le Messie arrivera pour nous donner toutes ses directives. Il nous dira alors qui est réellement cohen ou lévi. Aujourd’hui cela nous dépasse – même si on a des analyses de groupes sanguins qui commencent à se faire, et qui permettent de voir quelle est la descendance cohen et la descendance lévi dans ces groupes sanguins, c’est encore très, très aléatoire et ce n’est pas une science toraïque exacte. »[45]

Le Rabbin Jean-Marc Rosenfeld évoque aussi les sacrifices d’animaux qui auront lieu dans le Temple comme au temps du paganisme antique : 

« Revue Kephas : Envisagez-vous, dans ce Temple à venir, une reprise du régime des sacrifices ?

J.-M. R. Effectivement, nos maîtres nous enseignent que les sacrifices auront à nouveau lieu. C’est pourquoi l’Institut du Temple reconstitue aussi des objets, que vous voyez ici, qui pourront peut-être servir dans le prochain Temple. Les sacrifices doivent reprendre parce qu’ils nous ont été ordonnés par Dieu. L’homme doit exécuter ce que Dieu a dit – même s’il ne le fait pas toujours, malheureusement, car si les religions se sont multipliées c’est par le fait des hommes, et pas de Dieu, qui dit au contraire : « Réunissez-vous ensemble car Je suis Dieu Un ». Le moment venu, Dieu nous éclairera : le Messie nous donnera exactement les fonctions à faire. Les sacrifices se referont, pas tous comme à l’époque – c’est marqué, d’ailleurs, dans la Torah – certains sacrifices ne se feront plus. Par exemple, savez-vous qu’à l’époque de la Délivrance, tout le monde apportera un sacrifice expiatoire ? Imaginez : tous les gens apportant des sacrifices pour l’expiation de leurs fautes, c’est écrit ! Et il y aura également l’offrande des parfums, c’est évident.

Revue Kephas : Et des sacrifices sanglants d’animaux ?

J.-M. R. Oui, ces sacrifices vont revenir : si Dieu nous a indiqué que ce sont des odeurs qui Lui sont agréables, comment le défier en disant « je ne ferai pas de sacrifices, parce que moi, tuer une bête, je ne suis pas d’accord » ? Pourquoi Dieu nous les demande-t-il ? Parce qu’en nous il y a une sorte d’être bestial depuis toujours ; et si l’animal a été créé, c’est pour l’expiation de la faute de l’homme : c’est quelque chose que nous pouvons difficilement comprendre… C’est comme la vache rousse : pour purifier un cohen il faut les cendres d’une vache rousse, pourquoi une vache rousse ? Aucun maître n’a pu le savoir, mais nous croyons qu’un jour le Messie nous le dira. »[46]

Une reconstruction du troisième Temple qui va bouleverser les équilibres religieux précaires de la région et qui peut conduire à un embrasement généralisé :

« Revue Kephas : La première question qui vient à l’esprit, c’est celle du lieu du Troisième Temple : pensez-vous qu’il doive et qu’il puisse être construit à l’emplacement des deux Temples précédents, qui est actuellement occupé par des mosquées célèbres dans tout le monde musulman ?

J.-M. R. Si on a compris le message que je viens de vous donner et que nos maîtres nous enseignent, l’emplacement que Dieu a choisi est la pierre de fondement du monde, la pierre où eut lieu la ligature d’Isaac [ou sacrifice d’Abraham N.d.A.], le rêve de Jacob, la naissance d’Adam et d’Ève – nos père et mère à tous, de tous les peuples … on ne peut concevoir que le troisième Temple n’apparaisse pas au même endroit. Et ce n’est pas seulement une vue de l’esprit, c’est marqué dans les prophéties, qui disent que « le Premier Temple sera construit et sera démoli, le Deuxième Temple sera construit et sera redémoli, et le Troisième Temple sera reconstruit et ne sera plus jamais redémoli » … C’est quelque chose que nous attendons : si les deux autres prophéties se sont avérées exactes, nous sommes sûrs que la troisième prophétie se réalisera également …

Revue Kephas : Concrètement, avec les mosquées sur l’Esplanade, comment envisagez-vous les choses ?

J.-M. R. Moi je n’envisage rien, simplement je transmets ce que les prophètes ont écrit … C’est qu’il y aura un phénomène surnaturel à cet emplacement. Je ne sais s’il faut en parler ou non, car ce n’est pas l’objet de notre approche qui est une approche de paix, de shalom, mais… c’est quelque chose qui va se passer : les troubles actuels marquent le début de la guerre de Gog et Magog, qui va, malheureusement, faire de nombreuses victimes – c’est marqué dans cette prophétie, qui dit également que la pierre de fondement va jaillir de l’eau et va submerger l’Esplanade du Temple. À ce moment-là, le Temple va se reconstruire, purifié, pour la paix et le bien du monde entier ; alors, les Justes des nations se réveilleront en disant « mais c’est la seule solution », puisque nous n’avons pas trouvé jusqu’à présent de solution politique… Nous, nous ne sommes pas dans une impasse parce que nous savons qu’il n’y a qu’une solution, et je pense que les Justes des nations vont se réveiller, et à ce moment-là, le Messie nous indiquera le chemin à suivre … »[47]

Le message est à peine voilé : nous irons jusqu’au bout car telle est la volonté de Dieu et la prophétie qu’annonce nos écritures. Reste donc aux israéliens de détruire la mosquée al-Aqsa afin de reconstruire le Temple et de réaliser enfin la « prophétie » biblique que juifs et francs-maçons (cités dans les pages qui précèdent) attendent et appellent de leurs vœux :

« De nombreux peuples et de puissantes nations viendront rechercher Yahvé à Jérusalem et rendre hommage à Yahvé.” Ainsi parle Yahvé : “En ces jours-là, dix hommes de toute langue, de toute nation, saisiront le pan de l’habit d’un seul individu yehoudi (Juif) en disant : Nous voulons aller avec vous, car nous avons entendu dire que Dieu est avec vous !’’ » (Zacharie 8, 22-23)[48]

Si une part significative des évangélistes semblent prête à suivre les religieux israéliens jusqu’aux conséquences ultimes de leur hybris théologique et téléologique, qu’en sera-t-il des catholiques La tentative actuelle d’infliger une distorsion au catholicisme pour lui donner une inflexion judaïsante aura-t-elle l’agrément des autorités catholiques ? Une future reconstruction du Temple de Jérusalem et la reprise des sacrifices sanglants en son sein sont-ils acceptables ? Des sacrifices sanglants que l’Eucharistie vient remplacer selon la théologie chrétienne. Dans les dogmes catholique et orthodoxe le sacrifice du Christ sur la Croix vient clore l’ère des sacrifices de l’Ancien Testament.

Quand les sacrifices sanglants offerts à Yahvé reprendront dans la ville sainte de Jérusalem, que feront alors les autorités catholiques ?  Diront-elles aux chrétiens de tolérer ce que Saint Irénée, Évêque de Lyon et Martyr (120-202) condamnait par avance comme d’essence diabolique dans son « Contre les hérésies » (livre 5, troisième partie) :

 « C’est précisément dans ce Temple (de Jérusalem) que siégera l’Adversaire[49], lorsqu’il tentera de se faire passer pour le Christ, selon ce que dit aussi le Seigneur : ʺ Quand vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, dressée dans le lieu saint — que celui qui lit comprenne ! ʺ » [50]

Et Saint Irénée d’expliciter plus encore :

« C’est ce que fera l’Antéchrist au temps de son règne : il transportera sa royauté dans Jérusalem et siégera dans le Temple de Dieu, persuadant insidieusement ses adorateurs qu’il est le Christ. (…) C’est cela même que dit l’Apôtre [Saint Paul vers 51, dans l’épître aux Thessaloniciens] :  ʺQuand ils diront : Paix et sécurité, c’est alors qu’une ruine soudaine fondra sur eux. ʺ » (1 Th 5,3) »[51]

Pierre-Antoine Plaquevent pour Strategika


« UN FILM SUR LA PRATIQUE DE L’OFFRANDE DE PESSAH
L’INSTITUT DU TEMPLE ORGANISE UN EXERCICE D’OFFRANDE DE PESSAH SANS PRÉCÉDENT
5 Nisan/25 mars 2015 – L’Académie de formation sacerdotale créée par le Temple Institute a organisé un exercice d’offrande de Pessah. C’est un film qui documente cet événement. Il s’agit de la reconstitution la plus précise et la plus authentique de ce service qui ait eu lieu depuis près de 2 000 ans. » Source : https://templeinstitute.org/
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Photo issue du même reportage sur le sacrifice (korban) de Pessah.
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Reconstitution d’une cérémonie de libation lors de la fête des Tabernacles (Soukkot), dans la vieille ville de Jérusalem. GALI TIBBON – Source : https://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-les-prophetes-du-nouveau-temple-20191205
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« Un membre de l’Institut du Temple tient une chèvre sans défaut d’un an dans une mise en scène de la préparation du renouvellement du sacrifice de Pessah dans le troisième Temple juif, le 2 avril 2012, lors d’une exposition au public à Jérusalem. La police israélienne a arrêté plus d’une douzaine de personnes soupçonnées d’avoir tenté de sacrifier une chèvre dans la ville autour de la fête de Pessah. » GALI TIBBON/AFP/GETTY – Source : Pourquoi les activistes juifs continuent-ils à essayer de sacrifier des chèvres dans la vieille ville de Jérusalem ? JACK MOORE 4/13/17 – https://www.newsweek.com/why-do-jewish-activists-keep-trying-sacrifice-goats-jerusalems-old-city-583433
Le sacrifice sanglant de l’agneau : « Les sacrifices animaux ne pourront être offerts qu’une fois le Temple reconstruit. Mais, à l’enseigne du Temple Institute, des prêtres ont déjà tenté, dans cette vidéo de 2015, de reconstituer les sacrifices tels qu’ils devront être pratiqués le jour venu. » – Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Il ne s’agit pas d’un film, d’une reconstitution historique ou d’une pièce de théâtre, mais de membres de familles sacerdotales juives qui, sous l’égide du Temple Institute, s’exercent en 2015 à la pratique des rituels de la Pâque juive, tels qu’ils espèrent les voir bientôt à nouveau pratiqués dans le Troisième Temple. Cette scène est extraite d’une vidéo du Temple Institute. » Source : https://www.orbis.info/2018/05/roman-anticipation-le-troisieme-temple/
« Le Sanhédrin naissant a publié une déclaration aux 70 nations pour Hanoukka qui sera lue lors d’une cérémonie à Jérusalem le dernier jour de la fête. La cérémonie comprendra la consécration d’un autel en pierre préparé pour être utilisé dans le troisième temple. La déclaration se veut une invitation aux nations à participer au Temple et à recevoir ses bénédictions. » Source : https://www.israel365news.com/117830/70-nations-hanukkah-altar-third-temple/
Allumage du feu sur l’autel du troisième temple pour la première fois (Photo Adam Eliyahu Berkowitz/Breaking Israel News) source : LES NATIONS SONT INVITEES A UN SACRIFICE ANIMAL SUR LE MONT DES OLIVIERS RENOUVELANT L’ALLIANCE DE NOÉ – ADAM ELIYAHU BERKOWITZ | 2 SEP 2019 – https://www.israel365news.com/136435/nations-invited-animal-sacrifice-mount-of-olives-renewing-noahs-covenant/
Reconstitution virtuelle de l’autel du Temple.
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Les Kohanim soufflent dans des trompettes en argent lors de la dédicace de l’autel du Troisième Temple. (Crédit : Adam Eliyahu Berkowitz Breaking Israel News) Source : https://www.israel365news.com/118474/dedication-altar-third-temple/
« Deux types de shofars ont été soufflés : des cornes de bélier courbées et des cornes de bouquetin droites. (Elan Shecter) » Source : https://www.israel365news.com/133127/sanhedrin-calls-conference-70-nations-take-place-anniversary-creation-world-nations-answer-call/

[1] Dermer : Israël doit privilégier le soutien des évangéliques à celui des Juifs US : « L’ancien ambassadeur d’Israël aux États-Unis, Ron Dermer, a suggéré dimanche qu’Israël devrait donner la priorité au soutien « passionné et sans équivoque » des chrétiens évangéliques plutôt qu’à celui des juifs américains, qui, selon lui, font partie « de manière disproportionnée de nos détracteurs ». « Les gens doivent comprendre que l’épine dorsale du soutien d’Israël aux États-Unis est constituée par les chrétiens évangéliques. C’est vrai en raison de leur nombre et aussi de leur soutien passionné et sans équivoque à Israël », a déclaré Dermer lors d’une interview sur scène à une conférence organisée par Makor Rishon, un organe de presse affilié à la communauté sioniste religieuse. »
https://fr.timesofisrael.com/dermer-israel-doit-privilegier-le-soutien-des-evangeliques-a-celui-des-juifs-us/

[2] http://www.alterinfo.net/L-institution-d-Al-Aqsa-les-israeliens-se-preparent-pour-demolir-la-mosquee-d-Al-Aqsa_a7995.html

[3] http://www.templeinstitute.org/

[4] https://www.youtube.com/watch?v=F6prYdPPPaQ

[5] https://www.breakingisraelnews.com/78372/bin-exclusive-sanhedrin-asks-putin-trump-build-third-temple-jerusalem/#3vwbci6oekLjVXjL.97

[6] https://www.trt.net.tr/francais/moyen-orient/2019/05/09/des-dizaines-de-colons-envahissent-la-mosquee-al-aqsa-1198231

[7] ►http://www.lefigaro.fr/international/jerusalem-sous-tension-apres-des-heurts-sur-l-esplanade-des-mosquees-20190602
https://fr.timesofisrael.com/260-000-musulmans-prient-a-jerusalem-apres-une-attaque/

[8] https://www.letemps.ch/opinions/israel-victoire-messianisme-juif

[9] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013), Seuil, avril 2013.

[10] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[11] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[12] Charles Enderlin, Au nom du Temple. Israël et l’irrésistible ascension du messianisme juif (1967 – 2013).

[13] Bernard Cottret, Histoire de la réforme protestante XVIe-XVIIIe siècle, Perrin, 2001, p. 209.

[14] Alexis de Tocqueville, De la démocratie en Amérique, Paris, Gallimard, 1986, I, p. 414.

[15] G. Esquier, L’anticolonialisme au XVIIIe siècle, Paris, PUF, 1951, p. 290.

[16] Sébastien Fath, Le poids géopolitique des évangéliques américains : le cas d’Israël : 
https://www.cairn.info/revue-herodote-2005-4-page-25.htm

[17] Cf. Brian Steensland, Philip Goff, The New Evangelical Social Engagement OUP USA, USA, 2014, p. 111.117

[18]cf. Sébastien Fath, op. cit.

[19] Sébastien Fath, op. cit.

[20] http://www.atlantico.fr/decryptage/normalisation-forcee-comment-donald-trump-est-en-train-revenir-bien-sagement-dans-rang-parti-republicain-jean-eric-branaa-3012759.html

[21] https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8608258x

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Destinée_manifeste

[23] https://fr.wikipedia.org/wiki/Dispensationalisme

[24] Perani Prisca. « Les Chrétiens sionistes aux États-Unis. » In : Matériaux pour l’histoire de notre temps, n°75, 2004. Religion, société et politique aux États-Unis, pp. 76-85

[25] http://theologie-et-questions-disputeses.blogspot.com/2011/08/declaration-de-jerusalem-sur-le_22.html

[26] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[27] http://www.afrique-asie.fr/lemprise-evangeliste-sur-ladministration-trump/

[28] https://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-sionisme-chretien-essai-d-interpretation-theologique-3.html

[29] Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le Retour aux Sources 2018.

[30] Löwy Michael. Messianisme juif et utopies libertaires en Europe centrale / Jewish  Messianism and Libertarian Utopias in Central Europa. In : Archives de sciences sociales des religions, n° 51/1, 1981. pp. 5-47.
Pierre-Antoine Plaquevent, Soros et la société ouverte : Métapolitique du globalisme, Le retour aux sources 2018.

[31] Voir : Y. Hindi, Occident & Islam – Tome I : Sources et genèse messianiques du sionisme, Sigest, 2015. Et : Stephen Walt et John Mearsheimer, Le lobby pro-israélien et la politique étrangère américaine, La Découverte, 2009.

[32] https://www.lepoint.fr/monde/au-mur-des-lamentations-pompeo-offre-a-netanyahu-une-image-symbolique-21-03-2019-2303058_24.php

[33] ►https://fr.timesofisrael.com/pompeo-en-visite-historique-au-mur-occidental-aux-cotes-de-netanyahu-et-friedman/
https://www.timesofisrael.com/in-significant-first-pompeo-joins-netanyahu-for-western-wall-visit/

[34] https://sputniknews.com/world/201903231073479183-mike-pompeo-jerusalem-third-temple-model/

[35] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[36] https://www.timesofisrael.com/pompeo-says-trump-may-have-been-sent-by-god-to-save-jews-from-iran/

[37] https://www.washingtonpost.com/religion/2019/03/22/pompeo-perhaps-trump-is-like-bibles-esther-meant-save-jewish-people-iran/?utm_term=.65425dab232a

[38] https://embassies.gov.il/paris/NewsAndEvents/Pages/Declarations-communes-du-Premier-ministre-Netanyahu-et-du-secr%C3%A9taire-d’%C3%89tat-des-%C3%89tats-Unis-Mike-Pompeo-suite-%C3%A0-la-declarati.aspx

[39] https://books.google.co.ma › books
Figures mythiques: fabrique et métamorphoses, Véronique Léonard-Roques, ‎Université de Clermont-Ferrand II. Centre de recherches sur les littératures modernes et contemporaines – 2008 – ‎Jewish mythology
Qui veut se pencher sur l’histoire d’Esther se trouve donc en présence d’un scénario mythique assez clairement identifiable.

[40] Kevin MacDonald, “Background Traits for Jewish Activism”
https://nationalpolicy.institute/2004/10/08/background-traits-for-jewish-activism/

[41] « Quel est le lien entre Haman et Amalek? » 
http://www.leava.fr/questions-reponses/explications-sur-la-bible/12926_question-noa.php

[42] https://fr.wikipedia.org/wiki/Institut_du_Temple

[43] Lire à ce propos : Youssef Hindi, « Poussée de fièvre messianique en Israël », bvoltaire.fr, 05/08/2015 : 
https://www.bvoltaire.fr/poussee-de-fievre-messianique-israel/

[44] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[45] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[46] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[47] « Rebâtir le Temple ? Une rencontre au cœur du judaïsme contemporain »
http://www.revue-kephas.org/02/2/Rosenfeld73-85.html

[48] La Bible, traduction intégrale hébreu-français par les membres du Rabbinat Français, sous la direction du Grand-Rabbin Zadoc Kahn, Éditions Sinaï, Tel-Aviv/Israël, 1994.

[49] N.d.A. : « L’Adversaire » se traduit en hébreu par « Satan ». 
http://projetbabel.org/forum/viewtopic.php?t=19007

[50] ►https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf

[51] ►http://christroi.over-blog.com/2018/12/la-reconstruction-du-troisieme-temple-de-jerusalem-a-debute.html
https://catholicapedia.net/Documents/saint_irenee-de-lyon/St.Irenee-de-Lyon_Traite-Contre-les-Heresies_Livre-5.pdf
http://thomiste12.over-blog.com/article-s-irenee-la-fin-des-temps-et-l-antechris-99407388.html




La monarchie parlementaire : un régime défenseur des libertés

[Source : IREF Europe]

Par Alexandre Massaux

Les monarchies parlementaires, comme certains pays du Commonwealth et scandinaves, dominent les classements des libertés économiques et politiques. L’importance donnée au Parlement tout comme la non-politisation du chef de l’État offrent un cadre institutionnel propice à des décisions libérales.

La mort du prince consort Philip Mountbatten, mari de la reine Elizabeth II, a soulevé des questions quant au rôle de la monarchie dans nos sociétés modernes. Certains en France vont même jusqu’à considérer ce modèle dépassé et estiment qu’il devrait être aboli en faveur de la république. Pourtant, cette dernière est-elle nécessairement un meilleur régime ? Les indicateurs et classements évaluant le degré de liberté des pays démontrent le contraire : la monarchie parlementaire s’avère efficace en matière de protection des libertés. Sa structure institutionnelle peut l’expliquer : le pouvoir est paradoxalement moins concentré entre les mains d’une seule personne.

Les monarchies dominent en matière de libertés économiques et civiles

Le Royaume-Uni n’est pas la seule monarchie parlementaire en Occident et dans le monde industrialisé. En Europe continentale, la majorité des pays nordiques sont, encore de nos jours, des monarchies. En Scandinavie, la Norvège, la Suède et le Danemark sont dirigés par des dignitaires royaux. Tout comme au Benelux, la Belgique, les Pays-Bas et le Grand-Duché du Luxembourg. Même situation en Espagne. Plus loin, plusieurs pays du Commonwealth sont sous l’autorité de la couronne britannique : le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande ont comme chef d’Etat Elizabeth II, représentée par des gouverneurs généraux. Et le Japon a gardé son empereur.

Il paraît pertinent d’analyser la performance de ces pays en matière de libertés économiques et politiques. L’Index de l’Heritage Foundation de 2021 offre des informations sur les premières. Le classement du Cato Institute de 2020 et les données de la Freedom House donnent des éléments sur les libertés politiques et civiques. Le tableau ci-dessous met en évidence le rang des monarchies dans les deux premiers classements et leur score attribué par la Freedom House. La République française est utilisée comme pays de comparaison.

Plusieurs observations s’imposent. Les monarchies occupent plus de la moitié des « top 10 » des pays les plus libres et certaines se situent à la première place. En matière économique, à l’exception de l’Espagne, toutes sont classées « libres » ou « majoritairement libres ». Les pays du Commonwealth sont, en moyenne, légèrement plus performants que les monarchies continentales. Le score plus faible de l’Espagne peut en partie s’expliquer, la monarchie ayant été rétablie à l’initiative du général Franco à la fin de son règne. Elle est donc plus récente et c’est un choix politique. Enfin, La principauté du Liechtenstein est absente de ce tableau car elle ne figure pas dans les classements d’Heritage et du Cato.

Une politique menée par un Parlement plutôt que par un homme providentiel

Dans tous ces pays, le monarque a des pouvoirs très limités, voire symboliques, contrairement aux républiques présidentielles comme la France ou les Etats-Unis où le président détient pratiquement à lui seul le pouvoir décisionnel. Aux Etats-Unis, le Congrès joue un rôle de garde-fou mais en France, le Parlement apparaît de plus en plus comme une chambre d’enregistrement. La discipline de vote au sein de la majorité et en faveur de l’exécutif présidentiel ne favorise pas le débat politique au niveau législatif. Dans les monarchies, la vraie tête active de l’exécutif est le Premier ministre, qui tire sa légitimité du Parlement. Là où un président l’obtient de son élection, le premier ministre voit son sort dépendre du Parlement qui peut le révoquer. De même, il n’est pas lié à la volonté du chef de l’Etat. C’est l’une des raisons qui permet à ces régimes monarchiques de mieux fonctionner qu’une république.

Dès lors, quelle différence entre une république parlementaire comme l’Allemagne et une monarchie ? Le monarque possède, dans certains pays comme le Royaume-Uni, des pouvoirs utilisables en temps de crise. Ainsi la reine d’Angleterre a un droit de veto qu’elle a déjà fait valoir dans le passé. Certes, les présidents républicains ont également cette capacité. Mais le fait que le monarque ne soit pas désigné directement par une procédure électorale comme en France ou indirectement comme en Allemagne, empêche une décision purement politicienne. Si le rôle réel du monarque est limité, son rôle symbolique est puissant. Le roi réunit le pays sur sa personne et son pouvoir moral et exceptionnellement juridique offre une limite au pouvoir des autres institutions. Telle est la force de la monarchie constitutionnelle : décentraliser la prise de décision avec le Parlement tout en assurant une stabilité de la nation en temps de crise grâce à un dirigeant qui reste au-dessus de la mêlée.




Connais ton ennemi

[Source : reseauinternational.net]

Par Philippe Huysmans

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Si tu ignores ton ennemi et que tu te connais toi-même, tes chances de perdre et de gagner seront égales. Si tu ignores à la fois ton ennemi et toi-même, tu ne compteras tes combats que par tes défaites »

Sun Tzu, « L’Art de la Guerre »

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire. Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique. Tout ça pour quoi ? Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir. Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers ?

Prenons l’exemple de Olivier Véran, ministre français de la Santé. Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire. En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis[1]. On les a piqués comme des chiens. Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre. Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité. Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie[2].  Comment cela est-il possible ?Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là. C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manœuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller. À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non ?

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle. Comment transforme-t-on des paisibles chapons[3] en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation ?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu. Ça s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité. En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable. L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation. Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste. La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat. La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion. Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États ?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime ?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette. C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble ? Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille. Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme. C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe – tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque – qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants. Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter.[4]

La technique mise en œuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton[5] qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir. Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions.  Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme.[6]
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées. On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise[7], et de son cortège de victimes. Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore. Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite. C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre. Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau. C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole. Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera ? Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce. Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage ? Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.


  1. Aktion T4 est le nom donné, après la Seconde Guerre mondiale, à la campagne d’extermination d’adultes handicapés physiques et mentaux par le régime nazi, de 1939 à août 1941, et qui fait de 70 000 à 80 000 victimes. Fondée sur un terreau idéologique fertile prônant une politique eugéniste active, antérieure au nazisme mais exacerbée par celui-ci, favorisée par une intense campagne de propagande en faveur de la stérilisation et de l’euthanasie des handicapés, elle est le fruit d’une décision personnelle de Adolf Hitler. source : Wikipedia
  2. Clin d’oeil à Pierre-Yves Rougeyron qui, dans sa dernière émission avec Pierre Jovanovic avait reconnu avoir mésestimé le pouvoir de nuisance des politiques (il ne croyait pas qu’ils pourraient aller aussi loin), mais sans parvenir à expliquer ce glissement inexorable vers toujours plus de tyrannie et de violence.
  3. L’ensemble des dirigeants politiques des pays ayant réduit drastiquement les libertés, incarcéré leur population à domicile, détruit l’économie et poussé les gens au suicide soi-disant pour lutter contre une pseudo-pandémie qui n’était pas – on le sait aujourd’hui – plus mortelle que la grippe de 2015.
  4. Cfr. affaire Epstein
  5. La fenêtre d’Overton, aussi connue comme la fenêtre de discours, est une allégorie qui désigne l’ensemble des idées, opinions ou pratiques considérées comme acceptables dans l’opinion publique d’une société. […] Selon la description d’Overton, sa fenêtre comprend une gamme de politiques considérées comme politiquement acceptables au regard de l’opinion publique existante, et qu’un politicien peut donc proposer sans être considéré comme trop extrême, pour gagner ou conserver une fonction publique.   source : Wikipedia
  6. La majorité des décrets et arrêtés concernant le confinement, le port du masque, et bientôt le passeport sanitaire sont parfaitement insconstitutionnels et contraires au droit.
  7. Ce qui est un faux dilemme puisqu’à aucun moment on ne tirera les conséquences de la faillite du système, on entend juste se dispenser d’avoir à en assumer les conséquences.



Une année de cauchemar dans le contexte de la pandémie-confinement dément

[Source : les 7 du quebec]

Par le professeur  Lourdes Cerol Bandeira  (Portugal)

Traduit par Luis Júdice.
Source: https://lourdescerolbandeira.eu/um-ano-pesadelo-bastidores-pandemia

 This article is available in portuguese on this blogue: 
https://queonossosilencionaomateinocentes.blogspot.com/2021/05/um-ano-de-pesadelo-e-os-bastidores-da.html

Aujourd’hui, nous partageons cet article du Drª Lourdes Cerol Bandeira, une prestigieuse médecin portugais, cardiologue, spécialiste en médecine de catastrophe, un article qui a été publié sur son blog, dont le lien est disponible ici : 
https://lourdescerolbandeira.eu/


Depuis mars / 2020, nous avons vécu le pire cauchemar de notre vie! Peur, destruction économique, privation de nos droits, libertés et garanties, dont le pire est la privation du droit au travail! Est-ce que ça valait le coup ?? Je vous laisse la question, chacun aura sa propre réponse en fonction de tout ce qu’il a vécu.

Depuis février / 2020, la peur est largement diffusée par les médias, les chiffres crachés quotidiennement par la DGS ont envahi nos maisons, notre tranquillité, notre paix.

Les enfants étaient accusés d’avoir infecté leurs parents et grands-parents, entraînant un terrible sentiment de culpabilité et de remords si l’un d’entre eux tombait malade. Les enseignants avaient peur d’être infectés par des enfants considérés comme très dangereux parce qu’ils ne développent pas les symptômes de la maladie considérée comme terrible, innocents « coupables » d’avoir transmis l’infection.

Les expressions d’affection et d’amitié étaient considérées comme promiscuité et les câlins et les baisers disparaissaient, privant les personnes âgées, dont beaucoup souffraient déjà d’un certain degré de démence sénile, du seul sentiment de confort qu’est le baiser et l’étreinte de leurs proches. Privés de cette manifestation d’amour dans la vie, ils étaient aussi isolés sur leur lit de mort, mourant sans affection, sans un mot d’amitié pour les réconforter. Ceux qui sont restés se souviendront à jamais de l’amertume de savoir que leurs proches ont affronté seuls les derniers jours de la vie, sans un geste d’amour, entourés d’êtres sans visage, sans sourire, vêtus de combinaisons de plongée comme s’ils étaient sur une autre planète.

Pourquoi? Que s’est-il passé?

Un virus! Parmi tant de milliers de virus, est apparu dont les formes les plus sévères de la maladie qu’il provoquait consistaient en des pneumonies étendues qui ne respectaient pas les limites des lobes pulmonaires et entraînaient la mort, en particulier les plus âgés et les plus fragiles.

Quelqu’un (Drosten & Col.) a rapidement décidé de développer un protocole (voir ICI) afin que le matériel génétique de ce virus soit rapidement identifié et les porteurs détectés pour briser les chaînes de transmission (présenté à Eurosurveillance le 21, accepté le 22 et publié le 23/01/2020). Rapidement, sans consultation des scientifiques du monde entier, dans les 72 heures, l’OMS a fait de ce protocole l’une de ses directives, l’amenant à être appliqué dans tous les pays. Mais le protocole contenait d’énormes erreurs, des erreurs qui ont conduit à l’identification de nombreux faux positifs!

  1. A partir des « primers (amorces) » (fragments de l’ARN viral qui servent de modèle pour la détection de fragments équivalents dans le matériel collecté par l’écouvillon) qui n’ont pas été obtenus à partir du séquençage du génome viral mais qui ont été conçus dans un ordinateur similaire à un autre virus de la même famille, SARS-COV-1.
  2. Le nombre de ces « primers »  (amorces) contenues dans le protocole était excessif et pouvait les amener à réagir les unes aux autres et à générer autant de faux positifs.
  3. Et le nombre exagéré de cycles d’amplification (50 cycles) qui a également contribué à davantage de faux positifs.

Sans une explication plausible pour autant de positifs sans aucun symptôme de maladie, la notion de «infecté asymptomatique» terriblement dangereux a été créée, qui serait à blâmer pour maintenir les chaînes de transmission et tuer nos personnes âgées (je ne veux pas dire que les personnes asymptomatiques n’existent pas! bien sûr il y en a, mais dans le cadre d’une phase pré-symptomatique d’une durée d’environ 24-72h qui est suivie de l’apparition de symptômes et dans un faible pourcentage, jamais à plus de 50% comme cela s’est produit). Ce n’étaient pas seulement les enfants qui étaient à blâmer, mais aussi les adultes en bonne santé qui étaient positifs aux tests bidon! Ces gens ont été confinés, ainsi que tous ceux qui, même négatifs, les avaient contactés. Les bars, clubs, restaurants, coiffeurs, centres commerciaux, etc. ont été fermés. etc. conduisant à la destruction des «moyens de subsistance» d’innombrables familles, en particulier de la classe moyenne et des travailleurs alors que les grandes entreprises continuaient à fonctionner … les autorités médicales et politiques  ont même tenté de convaincre la population que les moyens de transport n’étaient pas une source de transmission mais plutôt la famille !!! Une absurdité ridicule à crier au ciel !!!!

L’OMS a ordonné «test, test, test PCR» et les laboratoires se sont organisés pour fabriquer des tests en nombre suffisant pour fournir les quantités exorbitantes qui étaient requises et qui sont produites chaque jour dans le monde et dans notre pays en particulier. Les machines ont été changées pour que ce test puisse être automatisé, plus rapide, augmentant encore plus le nombre de faux positifs, mais selon ce qu’ils ont dit, cela n’avait pas d’importance car l’essentiel était de détecter les positifs, qu’ils soient faux ou vrais (sic).

De plus, selon la directive de l’OMS, la cause du décès n’avait pas d’importance, le cadavre serait testé et s’il était positif (faux ou vrai, peu importe), il serait compté comme «décès avec Covid» (voir ICI et ICI ) . Ainsi, un nombre substantiel de décès « provenait faussement de cette terrible maladie ». Les populations, sans formation sur le sujet, ce qui est logique, ont paniqué devant le décompte de tant de positifs et de tant de morts. Pour mettre davantage en évidence ces chiffres, les chiffres «cumulés» ont toujours été présentés, c’est-à-dire la somme depuis le premier jour de la pandémie, de sorte que, même en été lorsque l’incidence a chuté de façon spectaculaire, ces chiffres ont continué à augmenter. Les gens crédules dans les médias n’ont pas compris …

C’était encore l’été et ils annonçaient déjà les 2e, 3e et peut-être 4e vagues. Il est évident qu’au moment de la grippe, nous aurions des problèmes, comme nous en avons toujours, d’ailleurs. Nous avons toujours eu des hôpitaux en panne, avec des lits dans les couloirs et des salles pleins au moment de la grippe … Avec de nouvelles machines et des tests plus rapides, mais plus inexacts (comme les anciens disent « vite et bien il n’y a personne » ), ils ont porté les tests quotidiens d’environ 15 à 18 mille en septembre à quelque 40 mille donnant lieu à la 2ème vague ainsi annoncée, puisque le% de positivité n’a augmenté que fin octobre lorsque les cas cliniques de grippe ont commencé à être interprétés comme Covid en raison de la positivité du test.

Les équipes de surveillance de la grippe ont été dirigées vers Covid, non seulement dans notre pays mais dans le monde entier, et la grippe a «disparu» car elle n’était plus détectée. En fait, tous les bulletins contiennent ce paragraphe:

« The COVID-19 pandemic has affected healthcare seeking behaviours, healthcare provision, and testing practices and capacities in countries and areas of the European Region, which have negatively impacted on the reporting of influenza epidemiologic and virologic data during the 2020-2021 season. Due to the COVID-19 pandemic, the influenza data we present will need to be interpreted with caution, notably in terms of seasonal patterns. »,

Autrement dit, la grippe n’est plus déclarée et testée en raison d’un manque de ressources humaines et de laboratoire. Cependant, l’idée s’est répandue que la grippe a disparu … ils ont convaincu la population que la grippe «a pris fin», comme si une pathologie endémique pouvait se terminer soudainement grâce au travail et à la grâce d’une divinité. Et les gens ont cru, une fois de plus. Les décès dus à la grippe ont été comptés comme Covid sur la base d’un test positif et ainsi la 3ème vague a été créée, les tests étant passés d’environ 40 000 à plus de 76 000 par jour !! Plus de terreur, plus de confinement, plus de destruction économique, plus de précarité dans les familles … les écoles ont été fermées et les enfants ont été privés non seulement d’éducation mais aussi de vivre avec leurs amis. Les aires de jeux étaient fermées, les bancs des jardins scellés pour que personne ne puisse s’y reposer !! Coincés à la maison pour ne pas être infectés les uns par les autres!!

Mais le pire des scénarios était que les rendez-vous médicaux de routine étaient annulés, les chirurgies programmées étaient annulées, ce qui avec le temps devenait urgent et des urgences conduisant les patients à l’hôpital trop tard. Les patients chroniques sont devenus déséquilibrés, la peur d’aller dans un hôpital s’est étendue, les centres de santé ne pouvaient pas s’occuper des patients surchargés qui étaient avec les patients pandémiques, avec les tests en nombre exorbitant, avec le contrôle téléphonique des milliers de soi-disant  positifs qui étaient à la maison. Au fil des mois, les décès dus au manque d’assistance en temps voulu, en raison du manque de dépistage, à savoir le cancer, ont considérablement augmenté un taux de mortalité déjà élevé pendant la saison grippale aggravée par les effets du SARS-COV-2.

Cependant, que s’est-il passé dans les coulisses ??? Quelles « vérités » n’ont pas été dites par ces média payés pour semer la peur parmi les populations ???

Alertées sur les erreurs de ce protocole PCR, diffusées par l’OMS, plusieurs équipes ont commencé à travailler pour pouvoir mettre en évidence ces erreurs. Les premiers étaient des Canadiens (voir ICI) qui ont prouvé que le nombre de cycles ne devait pas dépasser 25 car après cette limite, «cycle threshold», les chances d’identifier des virus en culture cellulaire étaient très faibles et diminuaient de 32% pour chaque cycle au-dessus de 25.

Cet ouvrage a été publié en mai / 2020 et a fait l’objet de référence (référence n ° 37) dans la note scientifique de l’OMS du 07-07-2020 (voir ICI). Par conséquent, depuis mai, on savait que le protocole contenait des erreurs de pagayage. En fait, il était connu depuis le début, car ceux qui ont étudié la biologie moléculaire ont immédiatement vu qu’il y avait des erreurs. Ne me dites pas le contraire ou les universités, spécialités, doctorats, etc., etc., etc. sont remis en cause. Même sachant cela, ils ont continué à insister sur les tests, sur les « asymptomatiques » si dangereux (sic), ils ont continué à détruire les mini, petites et moyennes entreprises, les empêchant de travailler, fermant leurs portes, détruisant les familles, empêchant l’éducation de nos enfants.

Les scientifiques n’ont pas été entendus, les lauréats du prix Nobel ont été considérés comme idiots et séniles et la fièvre «test, test, test bidon» s’est poursuivie.

Fin novembre / 2020, un groupe de scientifiques de différentes nationalités s’est réuni et a déposé une plainte auprès d’Eurosurveillance demandant que le travail de Drosten & Col. soit supprimé, présentant au moins 10 erreurs très graves dans les travaux qui ont donné lieu au protocole ( voir ICI). La réponse d’Eurosurveillance a été promise fin janvier. Cependant, voyant la situation démasquée, l‘OMS a rapidement tenté une sortie en douceur et a présenté une déclaration le 14 décembre dans laquelle elle disait:

« Users of RT-PCR reagents should read the IFU carefully to determine if manual adjustment of the PCR positivity threshold is necessary to account for any background noise which may lead to a specimen with a high cycle threshold (Ct) value result being interpreted as a positive result. »

Cette déclaration a été retirée et remplacée par celle du 20/01/2021 (voir ICI), très peu de temps avant la décision d’Eurosurveillance, afin de rappeler ce qu’elle avait dit en décembre, tentant de « sauver sa peau ». Eurosurveillance a répondu (voir ICI), après pas mal de « blablabla » et finit par dire plus ou moins ça « oui, mais c’était très tôt dans la pandémie, il n’y avait pas encore assez d’études … un moyen de détection était urgent … blabla … nous ne voyons pas la nécessité de supprimer la directive ». Comme si le manque de connaissances solides pouvait justifier un mauvais protocole, un mauvais moyen de détection, répandu dans le monde entier par une organisation en qui les autorités sanitaires de chaque pays faisaient confiance, l’OMS.

Pendant ce temps, la lutte internationale s’est poursuivie et continue, un méga processus est en préparation pour présentation à la Cour internationale pour crimes contre l’humanité. Les gouvernements se sont compromis … Je ne peux parler que des nôtres … la 3ème vague a rapidement décliné. Jamais une courbe épidémique n’a baissé si vite, le nombre de tests a considérablement diminué. Maintenant, venez nous parler du nombre de cycles … du seuil (cycle threshold) de cycle, comme s’ils venaient de se réveiller, pauvres « innocents », suivis des directives … maintenant le seuil de cycle (cycle threshold) est de 35 … disons … MAIS pour le séquençage et les études scientifiques n’acceptent que les écouvillons positifs de moins de 25 cycles … car, quand il s’agit de travailler sérieusement le Cycle thresold est de 25 (voir ICI). Et c’est le point de la situation dans laquelle nous nous trouvons:

Une population terrifiée qui ne peut surmonter la peur, des gens qui portent des masques et même des masques 2 et 3 épaisseurs  superposés lorsqu’ils marchent seuls dans la rue, pensant peut-être que l’air est contaminé, des insultes, de l’animosité, pour ne pas dire de la haine, envers des gens qui pensent de manière différente . La liberté d’expression a disparu, il n’y a que le discours officiel et nous sommes obligés de le suivre sous peine de ségrégation … adieu la démocratie !!

Tout cela repose sur un seul pilier, un TEST qui n’a JAMAIS été capable d’indiquer qu’une personne est infectée et malade! Un test qui n’est capable de détecter qu’un minuscule fragment d’une immense chaîne génomique, un fragment qui ne fait pas nécessairement partie d’une chaîne virale complète et viable, capable de se transmettre et de provoquer des maladies, et qui peut simplement être un déchet viral.

Le virus, comme toute sa famille (Coronas), a subi de nombreuses mutations, presque toutes de moins en moins virulentes mais avec une plus grande transmissibilité (généralement la gravité de la maladie causée est moindre, dans les virus les plus facilement transmissibles). Cependant, une mutation survenue au Royaume-Uni a fait à nouveau s’alarmer le Monde qui entrait déjà dans le calme de la routine … La mutation brésilienne a également été mise en évidence chez les autres. Plus sud-africain. Toutes les centaines de mutations précédentes ont été oubliées, elles ne méritaient pas de pertinence, l’actualité était centrée sur les chiffres jusqu’à ce que dernièrement les gens, fatigués, arrêtent de les regarder. Un autre motif d’intérêt devait apparaître: des mutations ou des variantes (un mot qui a plus de poids que «mutation»)! Dès le début, on sait que les mutations qui émergent en Europe sont différentes de celles qui émergent en Asie, en Amérique du Nord ou en Amérique du Sud. Le virus de la grippe subit également de nombreuses mutations, si nombreuses que chaque année le vaccin doit être corrigé pour la nouvelle mutation.

Il me reste à parler du vaccin contre Covid-19. Les essais cliniques devaient durer jusqu’en 2022 pour l’obtention d’une licence FDA. Avec cet essai clinique à grande échelle, cette licence sera peut-être obtenue plus tard cet été 2021. Cela signifie qu’un vaccin sans licence est administré, dont les effets secondaires à moyen et long terme sont inconnus, dont l’immunité n’est pas connue pendant combien de temps il dure et dont l’efficacité pour de nouvelles mutations ou variantes est remise en question. Des populations entières convaincues de son efficacité sont des cobayes «involontaires» pour cet essai clinique en vue de l’autorisation rapide de la FDA … on parle déjà de certificats de vaccination ou de «passeports». Imaginez que vous ne savez même pas combien de temps dure l’immunité, que vous ne savez même pas si elle sera efficace pour chaque nouvelle mutation! C’est comme exiger un certificat de vaccination contre la grippe!!




Tentations totalitaires via le pass de plusieurs nations européennes

Par le Dr Gérard Delépine

La mémoire des peuples est courte. On aurait pu espérer que l’un des moteurs de la pensée nazie (l’eugénisme-hygiénisme) avait été définitivement enterré avec ceux qui les ont mis en application ou ceux qui les ont subis durant la Seconde Guerre mondiale. L’actualité nous montre malheureusement qu’il n’en est rien puisque, après Israël, l’Autriche et l’Allemagne et bientôt la France veulent discriminer une majeure partie de leur population avec un pass vaccinal et imposer une vaccination expérimentale inutile et dangereuse aux enfants.

Le pass est un projet illogique

Il repose sur une incohérence conceptuelle.

Ses partisans croient en l’efficacité des vaccins et se font vacciner, c’est logique et un choix respectable, cohérent avec leur croyance. Mais s’ils croient que les vaccins les protègent, ils n’ont aucune raison d’avoir peur des non-vaccinés et de vouloir leur imposer un vaccin par le pass.

Et s’ils croient que les vaccins les protègent insuffisamment, ils n’ont aucune raison de croire que le pass les protégerait davantage puisqu’il les mettrait au contact de vaccinés susceptibles, comme eux, de leur transmettre le virus.

Alors, pourquoi prôner une mesure illogique, attentatoire aux libertés fondamentales ?

D’autant que les faits établis montrent que la vaccination ne protège ni de la transmission (contaminations) ni des formes graves (mortalité)

La vaccination ne protège pas des contaminations

Les partisans de la vaccination prétendent qu’une couverture vaccinale élevée protégerait efficacement la population. Mais, à ce jour, les rares pays qui ont atteint 70 %(([1] Aucune étude clinique sérieuse dans le monde réel n’a apporté de preuve à cette théorie déduite de simulation)) de couverture vaccinale (Les Seychelles, Gibraltar et l’île de Man) souffrent depuis d’une véritable explosion de l’épidémie, comme si en pratique la vaccination facilitait les contaminations.

D’après les publications de l’OMS(([2] WHO Covid19 Dahboard consulté le 15/5/2021)), avant la campagne de vaccination les Seychelles comptaient 502 cas confirmés. Au 14 mai, avec un taux de 70 % de vaccinés, les cas confirmés atteignaient 9184 (+1800 %).

Depuis, les écoles ont été fermées pour trois semaines et les activités sportives en groupe sont limitées. Les bars, les restaurants et les magasins doivent fermer plus tôt et il est demandé à la population de ne plus se rassembler en dehors de la famille.

Même phénomène de réveil de l’infection par la vaccination à l’île de Man

Même phénomène à Gibraltar où la couverture vaccinale dépasse les 100 % (car la vaccination a été étendue aux visiteurs espagnols)

L’exemple du Koweït est tout aussi démonstratif.

Le Koweït est le champion arabe de la vaccination qui a débuté fin décembre. Depuis la vaccination le nombre hebdomadaire de contaminations a été multiplié par 5 (1625 cas dans la semaine d’avant la vaccination et 8806 dans la semaine du 3/5).

Cette augmentation du nombre des contaminations après la vaccination, observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup est de durée variable : de 4 à 6 semaines en Grande-Bretagne et Israël, elle s’est prolongée 2 mois et demi aux Émirats Arabes Unis.

Certes, il s’agit d’une corrélation purement temporelle entre la date des vaccinations et l’augmentation des contaminations ; mais la constatation d’une telle corrélation dans tous les pays qui vaccinent suggère fortement une relation causale selon un mécanisme qu’il serait urgent d’élucider pour tenter d’y remédier.

Cette incapacité de la vaccination à empêcher la transmission de la maladie a d’ailleurs été reconnue récemment par O. Veran dans son argumentaire au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées peuvent diffuser tout de même le virus »

La vaccination ne diminue pas la mortalité Covid19

Les avocats de la vaccination prétendent qu’un haut taux de couverture vaccinale diminuerait le risque de formes graves et la mortalité.

Mais les exemples des Seychelles (taux de couverture vaccinale de 70 %) et de Gibraltar (plus de 100 % de vaccinés) montrent que ces affirmations sont fausses.

Même phénomène à Gibraltar

L’incapacité des vaccins à prévenir les formes graves et la mortalité a également été reconnue par O Veran devant le Conseil d’État « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès, si le vaccin ne fonctionne pas ou en cas de réinfection post vaccinale ».

La propagande/supercherie des prétendus succès anglais et israéliens

Les avocats de la vaccination prétendent que les vaccinations en Israël et en Grande-Bretagne auraient été des succès, car les contaminations et la mortalité quotidienne actuelle sont très faibles. Mais ces succès apparents correspondent en fait à la disparition de très nombreuses personnes à risque (le « moissonnage ») réalisée par la vaccination et à la régression spontanée de la maladie observée aussi dans les pays peu vaccinés.

En effet, dans tous les pays vaccinés, la mortalité a fortement augmenté durant 4 à 6 semaines. La courbe de mortalité covid péri vaccination en Israël est démonstrative.

Le « moissonnage » de 1404 personnes en janvier et de 949 autres en février, soit l’équivalent d’une année complète de mortalité Covid sans vaccin (la première année) a fortement réduit le nombre d’Israéliens à risque, entraînant de facto une diminution de la mortalité dans l’année à venir.

Le même « moissonnage » a été observé en Grande-Bretagne

La régression naturelle de l’épidémie explique aussi la chute de mortalité ainsi que le montre la comparaison entre la Grande-Bretagne très vaccinée et les Pays-Bas très peu vaccinés

Les évolutions dans les pays vaccinés et non vaccinés ont suivi la même chronologie, mais avec une exacerbation post vaccinale transitoire de la mortalité qui entraîne, à court terme, un excès de mortalité dans le pays le plus vacciné.

Certes, on ne dispose pour l’instant que d’un court recul post-vaccination et il faudrait attendre une éventuelle nouvelle vague pour conclure définitivement, mais l’examen objectif actuel des faits montre que la vaccination large d’une population ne diminue pas la mortalité, mais l’augmente au moins à court terme.

Ceux qui prétendent le contraire nient les faits constatés pour tenter de justifier un pass sanitairement inutile qui renouerait avec des pratiques totalitaires des nazis.

Le pass : la Commission européenne renoue-t-elle avec ses racines nazies ?

Ce livre révèle les importantes similitudes entre la nature antidémocratique de l’Union Européenne et les plans totalitaires d’un « Espace économique global européen » de la période d’avant la Seconde Guerre mondiale. L’information principale de ce livre est que les inspirateurs et architectes de la Constitution Européenne sont essentiellement les juristes qui ont rédigé les lois de l’Europe nazie.

Ainsi Walter Hallstein, membre de l’association nazie des « protecteurs de la loi » de 1936 à 1945 et doyen de la faculté de droit sous Hitler, valida les lois de discrimination visant les juifs et en particulier l’instauration du port de l’étoile jaune. En 1950, il devint conseiller du chancelier Adenauer, rédigea l’essentiel de la constitution européenne puis présida la Commission européenne de 1958 à 1967.

L’instauration d’un pass sanitaire par la commission de Bruxelles réitère donc l’instauration de l’étoile jaune validée sous Hitler par son ancien président. Même idéologie prétendument « sanitaire », même technique appuyée par une propagande totalitaire et une censure féroce des opposants que n’aurait pas désavouée Goebbels.

Ce pass qui veut imposer des « vaccins » expérimentaux est contraire au code de Nuremberg(([3] Amiel P., « “Code de Nuremberg” : texte original en anglais, traductions et adaptations en français », in
Des cobayes et des hommes : expérimentation sur l’être humain et justice, Paris, Belles Lettres, 2011 https://www.inserm.fr/sites/default/files/2017-11/Inserm_CodeNuremberg_TradAmiel.pdf)) et à la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/)) qui stipulent qu’aucun traitement expérimental comme les pseudo vaccins actuels(([5] Ces traitements sont toujours expérimentaux, car leurs essais phase 3 ne seront pas terminés avant 2023 ; d’ailleurs leur autorisation n’est que conditionnelle. De plus les péripéties du vaccin Astra Zeneca et plus récemment du Jansen et du Johnson et Johnson a montré les risques de telles autorisations prématurées.)) ne peut être administré sans le consentement libre et éclairé du receveur.

Ce pass instaure une discrimination entre les populations, un véritable apartheid contraire aux fondements de notre démocratie.

Il a d’ailleurs été refusé par l’OMS(([6] COVID-19: LE COMITÉ D’URGENCE DE L’OMS OPPOSÉ À LA MISE EN PLACE D’UN PASSEPORT VACCINAL
H.G. avec AFP Le 20/04/2021)), la Maison-Blanche(([7] États-Unis : le gouvernement s’oppose au passeport vaccinal La porte-parole de la Maison-Blanche a affirmé ce mardi que le gouvernement américain était formellement opposé à l’idée d’un passeport vaccinal, car « les données personnelles et les droits des Américains doivent être protégés ».
https://www.rtl.fr/actu/international/etats-unis-le-gouvernement-s-oppose-au-passeport-vaccinal-7900017020)) et interdit dans de nombreux états américains, ce qui rendra très compliquée sa mise en œuvre effective.

Le pass, une mesure discriminatoire totalement inutile

Les nombreux états américains qui ont repris une vie normale en supprimant toutes les mesures prétendument sanitaires (sans pass) bénéficient d’un recul majeur de l’épidémie.

L’exemple du Texas dont le gouverneur a eu le courage de libérer ses citoyens contre l’avis des experts et de J. Biden qui avait qualifié son attitude de néandertalienne est très démonstratif.

Depuis sa libération, les statistiques officielles objectivent la poursuite de la chute des nouveaux cas et une quasi-disparition de la mortalité alors que le taux de vaccination complète (32 %) est très loin des taux jugés efficaces par les vaccinolâtres.

Arrêtons d’avoir peur d’un virus qui n’est pas plus mortel que la grippe asiatique de 1959 et qui est sensible aux traitements précoces.

Exigeons la liberté de soigner des médecins ! et la liberté du choix de son traitement par les malades. Et en particulier celui de refuser des traitements expérimentaux aux résultats réels très inquiétants.

Refusons le pass illogique, inefficace, profondément antidémocratique et refusé pour cela par la majorité du monde. L’appliquer en Europe dissuaderait la clientèle extra-européenne de revenir visiter nos pays ; notre industrie du tourisme, fortement ébranlée par les mesures prétendument sanitaires, n’a pas besoin de ce coup de grâce.

Liberté. Liberté chérie.





Les médecins sont tombés dans un trou noir

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

FIN DES PROBLÈMES DE NUMERUS CLAUSUS, ON N’A PLUS BESOIN DE MÉDECINS

Les médecins sont plus de 200 000 en France. Mais, malgré des incitations financières considérables, beaucoup paraissaient réticents à injecter un médicament expérimental vendu comme vaccin. Alors le ministre de la Santé a autorisé les infirmières, les vétérinaires et les pompiers à vacciner. Mais ce n’était pas encore assez. Alors tout le monde ou presque (bientôt) pourra maintenant vacciner, sans préalable, sans examen clinique, sans consentement éclairé.

On n’arrête pas le « progrès ». La loi de santé de Marisol Touraine de janvier 2017(([1] 1704-ANTIBES-CONSEQUENCES-LOI-TOURAINE PDF (nicoledelepine.fr) )) avait entamé le processus en permettant des glissements de tâches entre médecins et infirmiers, puis entre infirmiers et aide-soignant, etc. On était arrivé au fait qu’un personnel de garde non soignant aurait le droit d’aspirer un résident s’il s’étouffait et qu’il n’y avait aucune personne formée sur place. On était déjà dans le délire, mais encore exceptionnel, qui augurait bien de la suite…

Et l’on vient d’apprendre via Europe 1 que « les kinésithérapeutes, aides-soignants, puéricultrices, ambulanciers et titulaires d’une formation de secourisme de niveau 2 peuvent désormais participer à la campagne de vaccination. 500 000 nouveaux vaccinateurs viennent ainsi renforcer les rangs afin d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement. »  Par La rédaction d’Europe 1  13 MAI 2021.

Ce sont eux aussi qui fourniront les certificats verts, sésames de l’entrée en boîtes de nuit, j’imagine…

Rire ou pleurer, qu’est devenue la médecine que nous exercions encore il y a quinze mois ?  Les médecins généralistes libéraux l’ont bien cherché, me direz-vous ! Ils se sont tus, cachés, enfoncés dans leur grotte pour ne pas réagir à l’énorme arnaque du siècle qui fut l’interdiction aux médecins de prescrire selon le serment d’Hippocrate, en donnant les meilleurs soins en fonction des données actuelles de la science.(([2] Pourtant toujours en vigueur légale arrêt mercier 1936))

Une révolution après plus de 2 500 ans de médecine hippocratique

Le ministre, en février mars 2020 et les premiers cas de covid-19, donna l’ordre aux SAMU et au 15 de répondre aux patients de ne prendre que du Doliprane en attendant sagement à domicile l’aggravation et la détresse respiratoire qui les mènerait ou non à l’hôpital en fonction de leur âge.

Silence, on ne traite pas

Sous prétexte qu’un ministre l’impose, et qu’il est soutenu par le président du Conseil de l’Ordre dont la fonction, rappelons-le, n’est absolument pas scientifique, mais uniquement déontologique(([3] Et en autre de faire respecter la loi transparence en santé qui oblige tout médecin qui s’exprime en public de citer ses liens d’intérêts ce que le Conseil de l’Ordre refuse d’appliquer pour les médecins des plateaux télé)) et administrative.

Sidération, silence, les médecins ont disparu, ne vont plus à domicile sous prétexte de couvre-feu et de confinement, les malades restent chez eux et ne consultent pas et voient leurs pathologies chroniques évoluer et d’autres maladies survenir sans diagnostic ni traitement. Les malades s’aggravent dans le silence de leur « cabane » et les médecins disparaissent de la planète France en ville, mais aussi à l’hôpital où, en gros, on ne s’intéresse, ou plutôt on n’a que le droit de s’intéresser à ce qu’on peut classer Covid-19. Le reste attendra… En gros, tous les médecins disparaissent des radars et ne restent que les quelques « réanimateurs » d’hôpital ou de télévision pour entretenir la panique et promouvoir les traitements inefficaces et très chers (remdésivir) ou de prétendus vaccins expérimentaux.

Les cliniques se vident, sommées de stopper toute activité étiquetée non urgente selon le plan Blanc imposé par le Premier ministre Édouard Philippe fin mars 2020, et ce sont les ARS qui décident de ce qui est urgent ou non, se permettent d’annuler des opérations d’ablation de cancer en disant froidement au patient d’aller en radiothérapie…

Plus d’indications pesées longuement en réunion multidisciplinaire, des indications à la volée, administratives. Et toujours le silence des structures hospitalières publiques et privées obéissantes, dans le déni complet de notre métier.

Silence assourdissant de tout ce qui ressemblait antérieurement à un docteur ! Ils (le pouvoir toujours assez impersonnel des ARS !) nous inventent le nec plus ultra, la consultation par télémédecine, un grand rêve de nos dirigeants numérique-dépendants, pensant que cela allait se développer à la faveur de ce grand coronacircus. Ce sera raté comme l’enseignement à distance, mais les docteurs n’en auront pas moins sombré dans le trou noir de la société du Nouvel Ordre mondial.

TROU NOIR

Où sont passés les docteurs ? Craint-on qu’ils ne soient pas aussi obéissants que le gouvernement le souhaiterait pour vacciner en masse avec des substances dites « vaccins », mais insuffisamment testées avant leur autorisation « conditionnelle » de mise sur le marché ? Ces thérapies géniques ou vaccins OGM n’ont jamais été testés complètement chez l’homme et à peine chez l’animal. Elles sont en essai clinique comme l’examen du site clinicaltrials.gov le démontre.

Les médecins, après au moins dix ans d’études et surtout de mises en garde, de normes, de réunions multidisciplinaires, de multiples réunions pour accréditation pour vérifier « les bonnes pratiques », ne seraient-ils finalement pas assez mûrs pour administrer n’importe quoi aux citoyens sous prétexte d’une pandémie dont ils savent (au moins eux) qu’elle est terminée et que les vagues successives ne sont que la conséquence de la création de variants par les pseudo-vaccins ? Pour ceux qui doutent, consultez le site du réseau Sentinelles qui affiche en temps réel les consultations auprès des médecins de ville des maladies respiratoires, dont le Covid-19.

Malgré les assurances du gouvernement qu’ils seraient couverts en cas d’accident vaccinal ou même de décès, les médecins et les infirmiers rechignent à injecter un « produit » expérimental, dont les ingrédients sont cachés et dont les fabricants eux-mêmes, comme le PDG de Pfizer, ne souhaitent pas le recevoir.

Déficits de médecins, voire d’infirmiers pour injecter une substance, alors qu’on rappelle les retraités de ces professions à la rescousse ? Pourquoi tant de difficultés si ce vaccin ou prétendu tel était valable et sans danger ? Alors ils ont appelé les vétérinaires, espérant que nous, les humains, serions plus résistants que les souris et les furets tous morts lors des expérimentations pour vaccin des coronavirus du SRAS et du Mers. À moins que ?

En tous cas, l’aide des vétérinaires puis des pharmaciens à ce geste discutable, mais tout de même facile de réalisation ne suffit toujours pas. Alors ils ont osé appeler les pompiers, les ambulanciers et qui d’autre encore demain ?

Poser et discuter l’indication d’une vaccination reste un acte médical

Dans une vie antérieure pas si lointaine, la vaccination était bien considérée comme un geste médical représentant d’ailleurs le tiers des revenus des pédiatres de ville. Et que signifie acte médical ?

La Haute Autorité de santé avait formulé en début de campagne de vaccination contre le covid-19 le déroulé de la consultation prévaccinale. Demandons-nous si le charmant et dévoué pompier qui croit aider le peuple ou l’ambulancier aimable peuvent réaliser cette discussion préalable et en combien de temps.

« Le dimanche 27 décembre a marqué le coup d’envoi de la campagne de vaccination contre la Covid-19 en France et en Europe.(([4] Covid-19 : quel est le rôle de la consultation prévaccinale ? | Santé Magazine (santemagazine.fr) )) Sur le territoire, les résidents d’un EHPAD de Dijon et ceux d’une unité de soins de longue durée de l’hôpital de Sevran ont été les premiers à en avoir bénéficié. Si la vaccination n’est pas obligatoire pour la population, une étape l’est en revanche pour les personnes qui décident de se faire vacciner : la consultation prévaccinale ».

Comme l’explique la Haute Autorité de santé, elle se fonde

« sur l’évaluation de la situation clinique du patient, l’information sur les bénéfices et les risques du vaccin et sur les préférences, les questionnements et les craintes qu’exprime le patient. ».

« Concrètement, comment se déroule-t-elle ? Elle est réalisée par le médecin traitant ou, à défaut, en priorité par le médecin coordonnateur ou un autre médecin en cas d’indisponibilité des deux premiers. Et ce au plus tard dans les cinq jours qui précèdent la vaccination. À noter que “cette consultation peut être réalisée sur place ou, si cela n’est pas possible, à distance, en téléconsultation avec ou sans vidéotransmission.”, explique le ministère de la Santé dans un guide dédié. Le premier objectif de cette étape est d’identifier l’absence de contre-indication temporaire ou définitive à la vaccination et de déterminer le bénéfice/risque de la vaccination pour les patients ou résidents. »

Il semble bien qu’on ait changé de vie, de monde, de planète entre fin décembre et maintenant. Évidemment l’examen clinique, qui n’était déjà pas au premier plan, a sauté, mais tout le reste dans la foulée… Cela prenait trop de temps… La sécurité, les procédures, l’obsession de l’hôpital public et privé et surtout des tatillonnes ARS qui faisaient fermer un bloc pour quelques cm manquants par rapport à la sacrée sainte norme, une autre vie, l’Ancien Monde nous dira-t-on…

Alors si les ARS disparaissaient dans la foulée et les cérémonials d’accréditation également, tout cela n’aurait pas été vain. Rêvons un peu. Aussi.

Lisez la suite des précautions initiales prévues pour la vaccination extraite de Santé magazine : le patient pourra poser toutes ses questions.

« Sont recherchés les antécédents d’allergie, épisodes infectieux en cours, une infection Covid-19 avec symptômes et datant de moins de 3 mois ainsi qu’une vaccination contre la grippe, car celle-ci doit avoir eu lieu au moins 3 semaines avant la vaccination contre la Covid-19.

 Dans un deuxième temps, le médecin doit “apporter les éléments d’informations nécessaires (bénéfice/risque, effets secondaires connus…) pour que la personne puisse exprimer son choix de se faire vacciner ou non.”, ajoute le ministère de la Santé. Ainsi, le médecin veille à délivrer une information appropriée et compréhensible tandis que le patient peut faire part de ses questionnements et craintes.

La consultation fait l’objet d’une traçabilité écrite puisque les éléments qui en sont issus seront consignés dans le dossier médical de la personne, mais aussi dans le système d’information de suivi de la vaccination contre le SARS-COV-2 appelé “Vaccin Covid”, qui sera opérationnel à compter du 4 janvier 2021. Tout comme le reste de la procédure dans son ensemble : consentement, vaccination, suivi. Ce n’est d’ailleurs qu’à la fin de cette visite que le patient pourra verbaliser son consentement, sachant qu’un résident peut, s’il le souhaite, être accompagné d’un tiers qui observe un rôle d’accompagnement (parent ou proche, bénévole, mandataire judiciaire, personne de confiance…). »

 Eh bien oui, presque tout était prévu, mais trop long, trop compliqué, pas assez de médecins ou bien ceux qui acceptèrent vaccinaient quinze patients à l’heure, se faisant une petite rente au passage sur le dos de la Sécu. Mais finalement — et c’est consolant, il n’y eut probablement pas assez de volontaires pour l’abattage vaccinal des moutons consentants et peu curieux. Trop de responsabilité, au moins morale, puisque la responsabilité pénale est couverte d’emblée par l’État aux frais de la princesse, c’est-à-dire nos impôts pour réparation.

Faute de médecins, on recrute chez les pharmaciens, les vétos, les aides-soignants, les ambulanciers, etc.

Alors on eut recours à toutes les professions proches, mais chacun son métier avec tout le respect que nous leur devons pour leurs compétences, mais me voyez-vous demain remplacer mon voisin pompier ou vous conduire à votre consultation avec ma voiture en guise d’ambulance ? Quant à soigner votre chat, jamais vous ne me le confieriez ou faire vêler la vache de la ferme voisine, encore moins. Chacun son boulot, comme c’est bizarre. Le Président va peut-être demander à son chauffeur de le remplacer le temps de se reposer quelques jours…

Bref, les médecins ont disparu du système sanitaire français et si on l’a fait pour ce sacré covid, on ne voit pas pourquoi votre véto ne vous prescrirait pas votre chimio en même temps que celle de votre chien, cela gagnerait du temps.

Et tout cela pour aligner chaque soir à la télé le nombre de vaccinés et surtout en comparaison avec les pays voisins. Course à l’échalote en attendant les JO, ou programme sanitaire ? On n’en peut plus de ce délire construit, d’apparence de folie. Heureusement, au bout de 14 mois, on a fini par comprendre la stratégie de dissonance cognitive et de mise en sidération perpétuelle de la population afin qu’elle accepte la politique coercitive que le Nouvel Ordre mondial espère imposer.

Et dans tout ce magma délirant, quid de la responsabilité morale des volontaires, mais peut-être pénale quand les patients, victimes éventuelles ou familles de victimes (déjà plus de 10 000 morts reconnus par l’agence européenne sans la GB) découvriront que lors de cette expérimentation avec autorisation de mise sur le marché conditionnelle, il n’existait même pas cette dernière pour les mélanges de vaccin au hasard des disponibilités.

Sans AMM conditionnelle, probablement pas de couverture médicolégale. Ils sont bien courageux ou inconscients, les volontaires de la vaccination pour une maladie qui tue moins de 0,05 % de la population , mais n’est pas sans risque comme le montre le site de l’Agence européenne du médicament consultable par tout le monde, Eudravigilance.

MAIS CELA NE SUFFIT PAS : ON ENTRE DANS LA MÉDECINE FORAINE OU LA « MÉDECINE DRIVE »

Les médecins vont faire concurrence à Mac Do !

Bienvenue au pays du non-secret médical à Francoville [VACCI’DRIVE]

« Une première dans le Val-d’Oise !

En partenariat avec l’ARS, la ville a expérimenté un Vacci’drive (vaccination directement dans votre voiture) ce vendredi 14 mai de 18 h 30 à 19h30 au CSL.

Accueil, consultation médicale, vaccination, surveillance… Tout y est.

Déjà présent dans certains pays d’Europe, ce dispositif a le mérite d’être, pour certains, moins anxiogène. Il arrive à Franconville et sera reconduit selon l’approvisionnement en vaccins.

Inscriptions prochainement.

Merci aux agents et aux professionnels de santé pour la mise en place de cette nouvelle possibilité de vaccination. »

 Peut-on porter plainte pour non-conformité avec l’article 74 du Code de la santé publique, concernant l’interdiction de la médecine foraine, qui ne peut s’exercer qu’exceptionnellement, et dans une unité mobile, mais pas sur le trottoir, comme le plus vieux métier du monde ? se demandent des collègues choqués.

Article 74 (article R.4127-74 du code de la santé publique)

L’exercice de la médecine foraine est interdit ; toutefois des dérogations peuvent être accordées par le Conseil départemental de l’Ordre dans l’intérêt de la santé publique.
Toutefois, quand les nécessités de la santé publique l’exigent, un médecin peut être autorisé à dispenser des consultations et des soins dans une unité mobile selon un programme établi à l’avance.
La demande d’autorisation est adressée au Conseil départemental dans le ressort duquel se situe l’activité envisagée. Celui-ci vérifie que le médecin a pris toutes dispositions pour répondre aux urgences, garantir la qualité, la sécurité et la continuité des soins aux patients qu’il prend en charge.
L’autorisation est personnelle et incessible. Il peut y être mis fin si les conditions fixées aux deux alinéas précédents ne sont plus réunies.
Le Conseil départemental au tableau duquel le médecin est inscrit est informé de la demande lorsque celle-ci concerne une localité située dans un autre département. »

Quelques questions complémentaires à ce sujet :

Combien de temps durent la consultation médicale, l’examen clinique, et l’information sur les risques de médicaments au covid drive ?… On rit (jaune).

Si quelqu’un peut connaître les rémunérations des agents et professionnels de santé dans ces drive ?  Qui accepte cette non-médecine ?

Et si vous êtes curieux, allez voir les commentaires sur la page de Franconville citée qui montre que certains ont encore du bon sens, par exemple le phil o sophe :

« Chacun doit rester libre de se faire vacciner, ou pas, le débat n’est plus trop là… Ce qui devient délirant c’est d’adopter un mode de commercialisation popularisé par Ray Kroc pour un acte médical. Est-ce la proximité du Mc Do qui vous a donné cette idée folle ? Le progrès nous mènera-t-il à nous faire vacciner via ubervacx ? À quand la consultation dentaire en plein air ? À quand l’analyse de sang à l’arrêt de bus ? ! On a un centre de santé, un vaccinodrome, des médecins, des officines, plusieurs hôpitaux et cliniques à proximité, des personnels de santé libéraux, une caserne de pompiers… mais on vaccine à même le trottoir… Je crois que je ne comprends plus trop où on va, mais a priori on y va ! Une des 10 plus grandes puissances économiques mondiales vaccine ses citoyens en pleine rue et on s’en gargarise ».

ou encore Agnès Bernard :

« Je suis bien au Franconville drive ?
Oui, bonjour, je voudrais vous commander un happy vac.
Je prendrai un double cheese frites, un coca et un vaccin en cadeau. 

Je me souviens d’un temps où les moins de vingt ans connaissaient pourtant que l’on finissait devant le tribunal quand on faisait affaire sur un coin de trottoir !
Ahhhh! je suis heureuse de constater que notre société va bien. »

Vous me direz que vu les cadeaux proposés aux USA, comme des billets gratuits pour des parcs, et à NY une part de frites, etc. nous n’avons pas encore tout vu… Bonne lecture :
Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nicole Delépine





Les gouvernements du monde entier offrent des pots-de-vin extravagants dans un effort désespéré pour augmenter l’utilisation du vaccin COVID

[Source anglaise : The Last American Vagabond]

[Traduction : MIRASTNEWS]

Alors que les communautés autochtones du Mexique rejettent le vaccin COVID-19, l’effort international pour convaincre le public de prendre l’injection est pleinement effectif.

Début mars, CNN a rapporté que «des villes entières refusent les vaccins Covid-19 au Mexique», dressant le profil de deux des plus d’une douzaine de municipalités qui ont rejeté les vaccins contre la COVID-19 [en anglais, Coronavirus Desease 2019 ou en français, Maladie à Coronavirus de 2019 – MIRASTNEWS] pour une raison ou une autre. CNN a rendu compte des déclarations des habitants d’Aldama et de San Juan Cancuc, petites villes autochtones situées dans les hauts plateaux du centre de l’État mexicain du Chiapas.

«Pourquoi me faire vacciner? Je ne suis pas malade. Ce ne serait pas bien s’ils essayaient de nous forcer à nous faire vacciner. Je ne sais pas»,

a déclaré à CNN María Magdalena Lopez Santís, une résidente d’Aldama.

Les communautés autochtones du Mexique (et de nombreux Mexicains en général) ont une histoire de méfiance envers le gouvernement fédéral. Après des générations d’ignorance ou de colonisation, les communautés sont largement autonomes et fonctionnent selon leur propre état de droit. C’est cette histoire qui a poussé plusieurs communautés du Chiapas et d’autres régions du Mexique à rejeter complètement les injections COVID-19.

Bien sûr, CNN rapporte que « le manque d’informations et les théories du complot qui se sont répandues dans la région comme une traînée de poudre sont à blâmer pour l’hésitation à la vaccination. » Le secrétaire municipal d’Aldama, Tomás Lopez Pérez, a déclaré à CNN que parce que son peuple «ne sait pas vraiment de quoi sont faits les vaccins, nous pensons qu’ils contiennent le virus [SRAS-CoV-2 de la Covid-19] et c’est la principale raison pour laquelle les gens ne veulent pas se faire vacciner.» 

Le 1er février, José Lopez Lopez, maire de San Juan Cancuc, a publié une lettre aux autorités sanitaires de l’État expliquant pourquoi sa ville n’accepterait pas le vaccin COVID. Lopez Lopez a déclaré que les habitants de San Juan Cancuc rejetteraient en fait tous les vaccins de l’État mexicain.

Le Département de la santé de l’État du Chiapas a déclaré qu’il respecterait l’autonomie des populations autochtones.

Je me suis récemment rendu à San Juan Cancuc pour découvrir par moi-même pourquoi ces communautés autochtones rejettent les vaccins. Les indigènes de San Juan Cancuc parlent un dialecte spécifique de la langue indigène Tseltal connue sous le nom de San Juan Cancuc Tseltal. Avec l’aide d’un homme local interprétant de l’anglais à l’espagnol et de l’espagnol au Tseltal, j’ai pu communiquer avec les membres du conseil de San Juan Cancuc. Bien qu’ils ne s’expriment pas devant la caméra sans la présence de José Lopez Lopez, ils ont partagé une mine d’informations sur la façon dont leur communauté a réagi à la COVID-19.

Pour commencer, le conseil de San Juan Cancuc a déclaré n’avoir vu aucun cas de COVID-19 dans sa communauté. Ils ont également déclaré que la ville n’avait jamais imposé de masques ni de distanciation sociale. Le conseil a déclaré qu’il disposait de ses propres méthodes de guérison des malades qui ne correspondent pas aux politiques du gouvernement mexicain.

Le conseil a déclaré qu’avant la publication de la lettre de février, la communauté avait rejeté les camions apportant des vaccins et d’autres soutiens du gouvernement. La communauté a rejeté les camions à deux reprises avant de finalement publier la lettre faisant savoir publiquement qu’elle rejetait les injections COVID. Le conseil a déclaré que les médecins qui tentaient de venir en ville pour administrer des vaccins se sont fait dire par les autorités de l’État qu’ils ne pourraient pas garantir leur sécurité s’ils entraient à San Juan Cancuc. 

Le conseil a également noté que des lois avaient été adoptées pour garantir que la politique «pas un vaccin de plus» ne puisse pas être modifiée une fois qu’un nouveau maire est élu. Lorsqu’on leur a demandé quel message ils aimeraient partager avec le reste du monde, le conseil a déclaré que «tout le monde devrait faire ce qu’il sait être juste». Ils ont également dit qu’ils croyaient que leur communauté avait prospéré parce qu’ils étaient organisés et unifiés. 

J’ai également parlé avec deux habitants du village indigène de Betania, à environ 30 minutes au sud de San Cristobal de las Casas, au Chiapas. Les habitants ont déclaré que toute leur ville avait également rejeté les injections COVID-19. Ils ont également noté que le gouvernement de l’État offre 950 pesos (environ 50 USD) aux résidents qui reçoivent les vaccins, avec des paiements supplémentaires par enfant dans certains cas. La femme autochtone à qui nous avons parlé a déclaré que les autorités sanitaires locales appellent les résidents et tentent de les persuader de prendre le vaccin. Dans certains cas, on dit aux résidents qu’ils ne peuvent pas continuer à recevoir des soins de santé sans le vaccin. Pourtant, les habitants de Betania ont rejeté les injections.

Burgers, frites, beignets et pots-de-vin

L’idée que les gouvernements pourraient littéralement soudoyer les citoyens avec de l’argent peut sembler choquante ou immorale, en particulier en ce qui concerne les populations autochtones des petits villages du Mexique. Cependant, cette pratique est de plus en plus courante aux États-Unis et en Europe.

Il y a quelques mois, Krispy Kreme a fait la une des journaux après avoir offert des beignets quotidiens gratuits aux clients avec une preuve de vaccin. Maintenant, les gouvernements des États interviennent avec des offres de hamburgers, de frites, de billets pour des événements et d’argent liquide. 

Dans l’Illinois, 50 000 résidents vaccinés se voient offrir des billets gratuits pour les parcs à thème Six Flags. Les billets sont évalués à un coût de 4 millions de dollars. Dans le Maine, les personnes vaccinées se voient offrir n’importe quoi, des cartes-cadeaux gratuites aux permis de chasse et de pêche. Les résidents vaccinés de l’Ohio sont désormais éligibles pour participer à une loterie avec un prix de 1 million de dollars pour cinq personnes vaccinées de l’Ohio.

L’Ohio donnera à cinq résidents 1 million de dollars chacun à la loterie des vaccins https://t.co/ClsDIHEEpL  

CBS News (@CBSNews) 13 mai 2021

Certaines villes métropolitaines des États-Unis offrent également des prix à ceux qui souhaitent soumettre leur corps et leur esprit au traitement médical expérimental. À Detroit, les résidents sont corrompus avec des cartes de débit prépayées de 50 $ s’ils conduisent une autre personne à un site de vaccination. Il n’y a actuellement aucune limite sur le montant d’argent qu’une personne peut gagner avec ce programme. Dans la région de Houston, le comté de Harris a récemment annoncé 250 000 $ à utiliser pour des cartes-cadeaux, des événements et d’autres incitations.

Les résidents de New York se voient offrir des cartes de métro gratuites de 7 jours, des billets pour des événements sportifs, le zoo du Bronx, le jardin botanique de Brooklyn et le Lincoln Center. Jeudi, le maire de Blasio a annoncé que ceux qui prennent la piqûre peuvent recevoir des bons pour des hamburgers et des frites gratuits de Shake Shack. «Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner», a déclaré le maire de Blasio dans une démonstration dégoûtante incitant les habitants de New York à obtenir un traitement expérimental et non approuvé en échange d’un, généralement, repas malsain.

« Mmmm! … vaccination. » Le maire de New York annonce que Shake Shack donnera de la nourriture gratuite aux New-Yorkais vaccinés.
«Je veux que vous regardiez ces frites et que vous pensiez à quel point il est bon de se faire vacciner.»
– Breaking911 (@ Breaking911) 13 mai 2021

Alors que les pots-de-vin d’argent et de nourriture sont offerts pour inciter les gens à se faire vacciner contre la COVID [Coronavirus Desease ou Maladie à Coronavirus – MIRASTNEWS], l’aspect le plus dérangeant est la tentative de convaincre le public que la seule façon de «revenir à la normale» est de se soumettre à une injection et / ou un passeport vaccinal. En fait, plus tôt cette semaine, le président Joe Biden a annoncé de nouvelles règles relatives au port du masque, déclarant«La règle est désormais simple: faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu’à ce que vous le fassiez.» Le message diffusé au public est clair: si vous n’obtenez pas de vaccin, vous continuerez à être soumis aux restrictions COVID-19. Si vous ne vous conformez pas, vous ne pouvez pas revenir à la «normale».

De plus, ceux qui choisissent d’attendre pour se faire vacciner (ou de ne pas tout obtenir) subissent des pressions, sont diabolisés et censurés en ligne pour avoir exprimé leurs préoccupations et leurs raisons d’hésiter. Alors que les habitants de Betania et de San Juan Cancuc sont unifiés dans leur opposition aux traitements, les résidents des États-Unis sont moins unifiés et moins organisés. Les communautés autochtones du Chiapas peuvent continuer à vivre leur vie comme elles sont habituées, mais les habitants de Houston, New York, Detroit et ailleurs sont confrontés à un environnement de plus en plus totalitaire. 

La seule façon d’avancer est que le peuple des États-Unis et au-delà s’organise et s’oppose directement et rejette les mandats de vaccination forcée et les appels à des passeports vaccinaux. Rien de moins qu’une opposition unifiée ne parviendra à arrêter la marche de la COVID-1984.

Traduction : MIRASTNEWS

Source : The Last American Vagabond




Le Covid échappé d’un laboratoire : la théorie qui n’a plus rien de conspirationniste

[Source : marianne.net]

Par Jean-Loup Adenor

[Photo : Devant l’institut de virologie de Wuhan le 3 février 2021.]

Qualifiée de complotiste lorsqu’elle a émergé fin 2019, alors que le coronavirus se répandait comme une traînée de poudre, la théorie selon laquelle le virus aurait fuité d’un laboratoire chinois est aujourd’hui prise au sérieux par une partie de la communauté scientifique. Une leçon d’humilité pour les journalistes prompts à crier à la conspiration.

Le temps du « fact-checking » n’est assurément pas celui de la science. Une lettre de 18 scientifiques américains renommés publiée dans le magazine Science le 14 mai exhorte les autorités sanitaires et le reste de la communauté scientifique à envisager toutes les pistes quant aux origines, toujours inconnues, de l’épidémie de Sars-Cov-2.

Les signataires rappellent, dans un ton mesuré, un fait qui demeure incontestable : plus d’un an après le début de la crise, personne n’est en mesure d’établir avec certitude l’origine du virus, ni le chemin qu’il a emprunté pour contaminer l’homme. « Nous devons considérer les deux hypothèses d’origine de l’épidémie, celle d’une origine naturelle et celle d’une fuite de laboratoire, comme sérieuses jusqu’à ce que nous ayons assez de données pour trancher », écrivent les auteurs. Ils appellent à « conduire toutes les investigations nécessaires » pour déterminer cette origine.

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En France, le virologue spécialiste du VIH, directeur de recherche au CNRS et membre de la Société française de virologie Étienne Decroly, défend la même position depuis plusieurs mois. « Qu’on se comprenne bien : nous ne disons pas que le virus provient forcément du WIV [le laboratoire chinois situé près du marché de Wuhan]. Nous disons que la question n’est pas tranchée. Ce qui se joue est essentiel : il faut comprendre cette origine pour ne pas se retrouver dans une situation similaire dans quelques années », explique le spécialiste à Marianne.

UN « FACT-CHECKING » PRÉMATURÉ

Une courte escale dans le passé s’impose. Fin 2019, ce qui n’est encore qu’une épidémie chinoise frappe très durement la ville de Wuhan. De nombreux observateurs notent la présence d’un laboratoire de recherche virologique non loin du marché où l’épidémie est censée avoir démarré. Alors que l’Europe s’apprête, elle aussi, à connaître une multiplication exponentielle des contaminations et qu’une partie de sa population s’inquiète de ce mystérieux mal chinois, la machine s’emballe. Très vite, de nombreux médias réagissent et le nombre d’articles de « fact-checking » reprenant cette théorie explose. « Non, le virus ne s’est pas échappé d’un laboratoire », peut-on lire un peu partout. La piste d’une contamination de la chauve-souris vers le pangolin puis vers l’homme est alors envisagée. Elle est aujourd’hui infirmée.

Pourtant, la communauté scientifique n’a pas les éléments pour trancher le débat. La querelle se joue alors entre milieux complotistes, où des théories délirantes circulent quant à la nature et l’objectif de ce virus, et les médias qui tentent un travail de vérification prématuré et donc incomplet. À ce titre, on peut citer les déclarations du professeur Montagnier, qui parle de main humaine à l’origine du Covid ; des propos largement repris dans la « réinfosphère » complotiste.

DES SCIENTIFIQUES CLASSÉS COMPLOTISTES

Pourtant, à mesure que la crise s’installe dans le monde et que la communauté scientifique mondiale découvre et comprend le virus, l’hypothèse d’une zoonose, c’est-à-dire de la transmission de l’animal à l’humain, ne parvient toujours pas à se vérifier. « Il faut reconnaître que c’est l’hypothèse la plus naturelle : dans la majorité des virus émergents, leurs mécanismes d’émergence dépendent de mécanismes zoonotiques », décrypte Étienne Decroly.

Mais ce présupposé « naturel » va connaître une validation aux allures scientifiques. En février, la revue scientifique The Lancet publie une lettre signée par 27 scientifiques expliquant qu’il faut soutenir l’institut de virologie de Wuhan, reconnu pour la qualité de ses recherches. « La revue va jusqu’à affirmer que tous les scientifiques qui soutiendraient la thèse d’une fuite de laboratoire sont des complotistes. Le tout sans aucun élément scientifique pour corroborer cette déclaration. Ce n’est pas comme ça que la science fonctionne », regrette Étienne Decroly. Dès ce moment-là, un clivage important va diviser la communauté scientifique, dont la majorité se rallie à la thèse du Lancet.

UNE FUITE DE DOCUMENTS

Le spécialiste en virologie va alors publier dans Le Monde trois tribunes visant à alerter la communauté scientifique et la presse sur le manque d’éléments permettant d’infirmer définitivement cette hypothèse. À titre de contre-exemple, il cite l’épidémie de Mers (en 2012) et de SARS-CoV-1 (entre 2002 et 2004), dont la chaîne de contamination de l’homme vers l’animal a été étudiée et découverte rapidement après le début de l’épidémie. « Alors qu’on se trouve aujourd’hui dans une épidémie très importante, que les techniques de séquençage ont fait des progrès très importants, on n’a toujours pas de réponse », note le virologue.

Dernier événement en date étayant davantage la piste du laboratoire : des documents rédigés par des scientifiques ayant travaillé dans le laboratoire chinois ont fuité et été examinés par des scientifiques soucieux de comprendre l’origine du virus. Ces documents ont permis d’établir que le centre scientifique de Wuhan détenait plus de coronavirus différents qu’annoncé. Et notamment l’un, retrouvé dans une mine de la province du Yunnan en Chine, le RaTG13. Six mineurs qui fréquentaient la zone ont contracté en 2012 une pneumopathie dont les symptômes sont similaires au Covid-19. Si sa séquence est proche du SARS-Cov-2, elle ne l’est pas suffisamment pour qu’il puisse en être le parent.

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Pour autant, cette proximité pose question. « Une des hypothèses, c’est que se trouvait dans cette mine un autre virus qui pourrait être le progéniteur du Sars-Cov-2. Comme les virus échantillonnés dans la mine ne sont pas accessibles au public, cette opacité alimente les suspicions. Attention : il ne s’agit pas pour autant d’une démonstration scientifique », tempère Étienne Decroly. Qui rappelle également que cette opacité a été accentuée par la mise hors d’accès d’une base de données du laboratoire, dès le 12 septembre 2019, soit quelques semaines avant le début de la crise sanitaire en Chine.

Aujourd’hui, difficile de dire que l’hypothèse d’une fuite de laboratoire soit une thèse conspirationniste. Appeler à étudier toutes les pistes dans la recherche de l’origine du virus, comme le font ces scientifiques, s’apparente plutôt à l’antithèse même du complotisme : chercher la vérité. « Il faut qu’on sorte d’un système de suspicions, qu’on revienne à une science basée sur les preuves scientifiques. Il faut regarder avec toute l’objectivité nécessaire : à partir de ce virus de chauve-souris, quels sont les virus qui se retrouvent chez l’espèce humaine ? Lorsqu’une hypothèse naturelle, comme celle de la zoonose, ne se vérifie pas, il est nécessaire de chercher ailleurs. C’est le principe de la démarche scientifique », rappelle le chercheur.

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Par Jean-Loup Adenor




Sous nos yeux, le suicide de l’Union Européenne, des institutions, et de tous les politiques qui prônent la vaccination anti-covid

Par Alain Nicolaï

« Celui qui ne fait pas la différence entre le bien et le mal
n’est pas un homme »
*

Combien de temps faut-il pour élaborer un vaccin?

Photo: Données: Potkins’s Vaccines et FDA

Dans le contexte actuel, le développement suit un paradigme complètement différent. D’abord, les phases d’essais cliniques s’enchaînent à une vitesse inédite. Ensuite, les compagnies pharmaceutiques consacrent tous leurs efforts pour trouver un vaccin contre la COVID-19, tandis qu’elles se penchent habituellement sur plusieurs maladies en parallèle. Des usines sont préparées pour la production industrielle des milliards de doses nécessaires, même si on ne sait pas encore quel type de vaccin va fonctionner. Du côté de la recherche universitaire, les cordons de la bourse des subventions se sont déliés et permettent aux scientifiques d’engager plus d’assistants et d’acheter du meilleur matériel. Pour sa part, Santé Canada a déjà indiqué qu’il s’efforçait d’accélérer les demandes d’essais cliniques pour les vaccins candidats contre la COVID-19. On peut également parier que les organismes régulateurs vont tout faire pour rapidement boucler l’homologation finale. En temps normal, cette étape peut parfois être très longue: il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle, aux États-Unis.

Vaccin contre le coronavirus : sprinter un marathon

PAR ALEXIS RIOPEL ET ANTOINE BÉLAND

Le coup de départ a été donné le 10 janvier, quand des chercheurs chinois et australiens ont publié en ligne le génome du mystérieux virus surgissant à Wuhan. Le fil d’arrivée, c’est le début de la distribution à grande échelle d’un vaccin contre le SRAS-CoV-2. D’ici là, tous espèrent voir une équipe courir ce marathon à la vitesse d’un sprinteur. Le Devoir vous propose un aperçu visuel de cette course historique.

L’élaboration d’un vaccin s’échelonne habituellement sur 10 à 15 ans. Le vaccin développé le plus rapidement, celui contre Ebola, a exigé cinq ans d’efforts. Pour mettre un terme à la pandémie de COVID-19, un échéancier encore plus rapide, de l’ordre de 18 mois, est envisagé.

Voyons d’abord quelles sont les étapes du développement traditionnel d’un vaccin. Les durées indiquées le sont à titre indicatif seulement.

Recherche universitaire et études précliniques

D’abord, les scientifiques déterminent la séquence génétique du virus. Ils tentent de comprendre quels anticorps sont efficaces pour s’en prémunir. Ils conçoivent une ébauche de vaccin, qu’ils testent sur des animaux.

Études cliniques

Ensuite, les chercheurs passent aux essais cliniques sur des humains.

Phase I / On administre le vaccin candidat à quelques dizaines de volontaires en bonne santé afin de s’assurer qu’il n’est pas dangereux. On détermine la dose idéale, qui déclenche une bonne réaction immunitaire sans produire d’effets secondaires.

Phase II / On tente de confirmer la sécurité du vaccin en le donnant à quelques centaines de volontaires représentatifs de la population qu’on veut protéger. Les volontaires appartiennent à différents groupes d’âge et leur état de santé varie.

Phase III / On évalue finalement l’efficacité du vaccin pour protéger de la maladie infectieuse en l’administrant à des milliers de personnes. Cette phase se déroule dans le contexte « naturel » de la maladie.

Fabrication

En parallèle au développement, la compagnie doit préparer une usine pour le vaccin. Puisque ces installations coûtent des centaines de millions de dollars, les investisseurs attendent habituellement que les essais cliniques soient bien avancés avant d’accorder leur financement.

Homologation

Finalement, les organismes régulateurs, comme Santé Canada ou la FDA aux États-Unis, révisent les études avant d’homologuer le vaccin. Ils peuvent demander des travaux supplémentaires en cas de doutes. Le processus peut être long : il a fallu 11 ans pour que la FDA approuve le vaccin contre la varicelle.

Réaliste ?

Ainsi, la durée de 18 mois souvent évoquée par les gouvernements apparaît assez audacieuse.

« Quand on parle d’un à deux ans, il faut savoir que c’est extrêmement rapide pour le développement d’un vaccin », souligne le virologue Alain Lamarre, de l’Institut national de la recherche scientifique.

Durée variable

Plusieurs facteurs entrent en ligne de compte lorsqu’il s’agit de développer un vaccin : le financement, bien sûr, ainsi que l’évolution des connaissances scientifiques, mais aussi le type de maladie et ses répercussions à court et long terme sur la santé publique.

Certains virus sont toujours orphelins de vaccins, même des décennies après qu’ils aient été identifiés. L’absence d’un vaccin contre le VIH est un des exemples les plus utilisés pour illustrer les difficulté de la démarche.Recherche universitaire2 ansÉtudes précliniques2,5 ansÉtudes cliniques de phase I6 moisÉtudes cliniques de phase II2 ansÉtudes cliniques de phase III1 anFabrication6 ansHomologation1 an015 ans18 moisObjectif de la créationd’un vaccin contre la COVID-1915 ansVaricelle30 ansInfluenza30 ansVirus du papillome humain16 ansRotavirus16 ansVaccins pédiatriques combinés12 ansEbola5 ansVaccin contre la COVID-1918 mois

Textes par Alexis Riopel. Visualisations de données et développement par Antoine Béland. Design par Cédric Gagnon.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède il est très facile de constater que l’élaboration des vaccins anti covid19, faite ici en 18 mois, a battu tous les records de vitesse de l’histoire. Très étrange, non ?!


Les vaccins sont expérimentaux

Par Dr Gérard Delépine

Dans une « fast check » [Note : non pas “fact check” qui signifierait “vérification de faits”, mais “fast check” pour “vérification rapide” ou hâtive.] du 11 mars 2021, Juliette Mansour et l’AFP nous accusent de diffuser de fausses informations. Cet article trompeur se contente d’affirmer les croyances de la pensée unique du politiquement correct, sans rapporter les faits établis, car ils confirmeraient nos dires. Nous fournissons ici les preuves de leurs erreurs.

Non, les essais phase trois des vaccins ne sont pas terminés ! Il suffit de consulter le site « clinical trials.gov » pour le vérifier

Juliette Mansour et l’AFP prétendent que « cette dernière phase [phase 3] avant la mise sur le marché, qui se déroule sur des milliers de volontaires, est bien terminée pour les quatre vaccins homologués. » Cette affirmation est totalement fausse !

Pour connaître l’état d’avancement d’un essai, il suffit de se référer au site américain officiel « clinical trials.gov[1] » chargé de les lister. En l’interrogeant par Internet (vous pouvez le faire en français) vous obtiendrez les mentions : aucune étude phase 3 terminée.

En poursuivant la lecture de ce site, vous pourrez lire que la phase 3 du vaccin Pfizer, essai plus avancé que ceux de ses concurrents, se poursuit selon le schéma prévu avec une première analyse provisoire prévue en août 2021, et la fin de l’essai espérée en janvier 2023, soit dans à peu près deux ans.

L’essai phase 3 de Pfizer est donc loin d’être terminé ! Et il en est de même avec tous autres vaccins covid actuels.

Pour le vaccin Astra Zeneca, second dans l’avancement des essais phase 3, la fin de l’essai phase 3 est prévue en février 2023 :

Pour le Janssen, l’essai ne se terminera pas avant 2024 :

Malheureusement la journaliste de l’Agence France presse n’a pas pris le temps de vérifier ces faits indiscutables, avant de prétendre que les essais phase 3 étaient terminés ! Les écoles actuelles de journalistes ne leur apprendraient-elles plus à enquêter ?

Les publications des résultats cliniques définitifs des phase 3 n’existent pas

Juliette Mansour aurait pu aussi s’étonner de l’absence de publications détaillant les résultats cliniques définitifs des essais phase 3 chez l‘homme en les recherchant dans cette même base bibliographique « clinical trials.gov » dans chaque essai, ou dans « PubMed »[2] qui recensent les articles médicaux publiés dans la littérature internationale.

Interrogée le 14/3/2021 avec les mots clefs « Covid vaccine trials Results ». PubMed listait 26 articles dont aucun ne rapporte de résultats définitifs d’un quelconque essai phase 3 de vaccin Covid. La vérification est facile pour tous, l’accès PubMed étant libre et possible en français. Alors pourquoi Juliette Mansour n’en a pas pris le temps ?

Avant de publier sa tribune mensongère, nocive pour les citoyens crédules, elle aurait aussi pu nous interroger sur nos sources et nous demander ces preuves que nous lui aurions volontiers fournies. Mais au lieu de confronter les opinions dans un débat contradictoire honnête, elle a choisi le camp des corona terroristes trahissant ainsi l’éthique des journalistes qui doivent se comporter en observateurs impartiaux.

Mais où sont passés les journalismes d’investigation d’antan ?

Nous réaffirmons que les essais n’ont pas été conduits correctement et surtout ne sont pas terminés

Jusqu’à la crise COVID-19, un essai vaccinal suivait un parcours long nécessitant de nombreuses années, avant d’arriver à la commercialisation. Il comprenait de multiples phases aux objectifs précis avant de passer à la suivante, chaque étape apportant des informations nécessaires à la conception de la suivante.

Beaucoup de candidats-vaccins étaient abandonnés (comme pour le Sida où deux candidats ont été éliminés, car ils augmentaient paradoxalement le risque d’attraper la maladie). Rappelons-en schématiquement le parcours habituel qui nécessitait de 9 à 12 ans (en moyenne 10) cette lenteur étant indispensable à la sécurité.

Essais précliniques

Depuis le code de Nuremberg (1947), les essais sur l’homme doivent être précédés d’expériences sur les animaux. Cette étape indispensable ne préjuge pas des résultats chez l’homme, mais permet d’éliminer des médicaments très toxiques et de préciser les organes susceptibles d’en souffrir. Prétextant l’urgence de la crise actuelle ou le manque d’animaux adéquats[3], le développement très rapide de plusieurs vaccins anticovid n’a été possible que parce que de nombreuses expériences animales ont été ignorées.

La presse anglo-saxonne l’a souvent dénoncé en titrant que les protocoles de certains essais “sautaient” cette phase, sans que l’AFP ni les médias hexagonaux les relaient. D’autres tests animaliers ont été abrégés ou effectués simultanément, voire après les essais sur l’humain. Ainsi les vaccins de la société pharmaceutique allemande BioNTech et de la société américaine Moderna ont été testés sur des singes seulement après avoir été injectés à des sujets humains.

Cette étape préclinique animalière est pourtant importante pour la sécurité : ce sont les essais sur des animaux qui ont mis en évidence le risque d’anticorps facilitants des candidats vaccins contre les précédents coronavirus SARS et MERS.

 Chez le chat, le vaccin contre le coronavirus responsable de la péritonite virale féline a été abandonné à cause de cette complication. Chez les macaques vaccinés contre le SARS-COV spike protéine, les infections post vaccinales ont été marquées par l’aggravation de la pathologie pulmonaire. Lors d’essais de vaccins contre le coronavirus du Mers, les lapins développent des anticorps, mais leur pathologie pulmonaire est aggravée. Ces complications inattendues ont conduit au rejet des candidats vaccins contre les précédents coronavirus et sont peut-être aussi responsables de l’accroissement de mortalité constatée juste après le début des campagnes de vaccination dans les pays qui se sont érigés en champions de celle-ci.

Les essais cliniques humains bien faits sont indispensables à la sécurité

Les essais thérapeutiques nécessaires à l’obtention de l’Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) chez l’homme comprennent schématiquement trois phases successives, les conclusions de chaque phase permettant d’optimiser la suivante.

La phase I porte sur quelques dizaines de volontaires a pour objectif de déterminer la toxicité du candidat-vaccin chez l’homme à court terme et la réponse immunitaire en mesurant les anticorps générés par le vaccin. 

La phase II nécessite quelques centaines de malades et dure en moyenne un à quatre ans. Elle doit confirmer les résultats précédents (tolérance et innocuité du candidat-vaccin, réponse immunitaire), mais son but principal est de déterminer la dose optimale et le schéma d’administration le plus efficace, de vérifier si le vaccin procure bien une protection durable contre l’infection et s’il empêche la transmission du virus.

La phase III visant à préciser l’efficacité et les risques sur un groupe représentatif de la population cible dure de trois à cinq ans. Les essais portent sur des milliers, de personnes pour évaluer le rapport bénéfices/risques du vaccin à court et moyen terme. Ces études permettent de préciser les conditions et les précautions d’emploi du vaccin et constituent le document (sous le terme d’étude pivot) le plus attendu du dossier de la demande d’Autorisation de Mise sur le Marché soumis à l’agence du médicament.

La phase IV appelée aussi pharmacovigilance commence avec la commercialisation du vaccin ou du médicament (ici avancée). 

Laboratoires fabricants, patients et médecins sont invités à déclarer à l’ANSM, agence française du médicament, des effets secondaires non signalés. Mais l’expérience des scandales sanitaires récents montre que la pharmacovigilance française est tout à fait insuffisante et les sous-déclarations considérables.

Les insuffisances majeures des essais des vaccins anticovid menacent la sécurité sanitaire

Absence ou diminution considérable des essais sur les animaux

Regroupement des phases, I et II ou II et III, ne permettant pas d’utiliser les résultats de la phase précédente pour concevoir convenablement la phase suivante.

Durée de suivi des sujets des essais totalement insuffisante (en moyenne 2-3 mois lors des évaluations intermédiaires présentées aux agences), ne permettant d’avoir aucune estimation sérieuse, ni sur la durée de l’immunité éventuelle, ni sur les éventuelles complications (les narcolepsies causées par les vaccins antigrippe H1N1 ne sont apparues qu’après plusieurs mois).

Autorisation de mise sur le marché transitoire « conditionnelle accordée alors que les résultats définitifs des essais phase III ne sont ni obtenus, ni publiés, et que la durée insuffisante de leur suivi ne permet pas d’estimer leurs complications à moyen terme.

Personnes âgées à forte comorbidité trop peu représentées dans les essais alors qu’elles constitueraient l’indication préférentielle d’un vaccin qui serait efficace et sûr.

Critères de jugement non pertinents

 Le but d’un vaccin est de diminuer la mortalité et de supprimer la transmission de la maladie dans la population. Or le critère de mortalité a été négligé par les firmes et le critère de contamination souvent réduit à la positivité de tests PCR seuls dont la non-fiabilité est maintenant reconnue unanimement (être positif au test PCR ne signifie pas être porteur du virus entier, ni malade, ni contagieux)

Aussi, lorsque l’Agence nationale du médicament prétend que : “l’AMM conditionnelle rassemble tous les verrous de contrôles d’une autorisation de mise sur le marché standard pour garantir un niveau élevé de sécurité pour les patients“, elle nous rappelle tristement les affirmations de l’agence de sécurité nucléaire sur le nuage de Tchernobyl ou ses dénégations répétées dans l’affaire du médiator (entre autres …).

Présentation biaisée des résultats provisoires

Un avis du BMJ[4] souligne que Pfizer / BioNTech et Moderna ont signalé la réduction du risque relatif de leurs vaccins en donnant des chiffres supérieurs à 90%, mais les fabricants n’ont pas signalé de réduction du risque absolu correspondante, qui « semble être inférieure à 1% ».

L’insuffisance des essais est d’autant plus critiquable que certains vaccins utilisent des techniques totalement nouvelles

Les vaccins conçus par Pasteur injectent des antigènes spécifiques de la maladie pour susciter la création d’anticorps neutralisants spécifiques qui protègent de l’affection. Pour abaisser les coûts de production en diminuant les quantités d’antigènes spécifiques, les firmes ont rajouté des adjuvants (tels que l’aluminium) stimulant la réponse immunitaire non spécifique dont le rôle dans l’augmentation des maladies allergiques et auto-immunes est fortement suspecté, mais ils restent des vaccins au sens pasteurien.

Les produits Pfizer, Moderna et Astra Zeneca et Janssen qui sont des médicaments nouveaux, ne contiennent pas d’antigènes, mais des produits génétiques (ARN messager, virus vecteurs pour Astra Zeneca) destinés à en faire fabriquer par notre propre corps en donnant des ordres à nos cellules.

OUI, les vaccins ARN messagers exposent au risque de modifier notre ADN

On sait depuis une cinquantaine d’années, que jusqu’à 10% de notre patrimoine génétique est d’origine virale.  Une partie de ces 10% provient de rétrovirus, mais pas la totalité évoquant la possibilité d’une inclusion dans l’ADN de mécanismes différents pour l’instant inconnus.

Introduire un ARNm ou un virus dans nos cellules, comme dans les autres thérapies géniques expose donc à un risque potentiel de modifier à terme notre ADN et constitue une technique dont la sécurité génétique n’a pas été évaluée, car plusieurs décennies seraient nécessaires pour en avoir le cœur net. Ces pseudo vaccins-thérapies géniques, dont la technique n’a jamais été utilisée auparavant pour un vaccin exposent donc à des risques non maîtrisés, en opposition totale avec le principe de précaution.

Nos contradicteurscités par l’AFP ont oublié de citer leurs liens d’intérêts avec les firmes vaccinales. Certaines de leurs affirmations telles que « le vaccin à ARN reste localement, il ne va pas se promener partout dans vos testicules, qui sont un sanctuaire immunologique et on n’a jamais vacciné quelqu’un dans les testicules » frisent le ridicule, car personne ne peut un instant croire qu’un médicament à ARN injecté dans l’organisme ne va pas circuler dans l’ensemble du corps qu’il est censé protéger. Par la circulation sanguine, il se répand partout comme les antibiotiques, les hormones, l’oxygène, le glucose…et ce médicament ne serait pas véhiculé par le sang jusqu’aux testicules ?

Oui : les vaccins mis actuellement sur le marché sont expérimentaux

Tant que les résultats définitifs et complets des essais phase III n’ont pas été analysés et publiés, l’utilisation d’un vaccin ou d’un médicament est expérimentale.

Les campagnes de vaccination en cours dans le monde constituent des essais phase III, simultanés de la phase IV qui a été instaurée par l’attribution d’AMM conditionnelle, en totale contradiction avec le schéma traditionnel des essais qui doivent respecter la hiérarchie des phases.

Le caractère expérimental de la vaccination actuelle se reflète d’ailleurs dans la fréquence très inhabituelle des complications observées après vaccination entraînant des alertes des agences sanitaires et la suspension de la vaccination dans de très nombreux pays.

Alerte de l’agence norvégienne après 28 morts post vaccinales chez des vieillards, abandon du vaccin Astra Zeneca par l’Afrique du Sud pour inefficacité, arrêt de l’utilisation de ce même vaccin par l’Autriche, abandon de ce même vaccin pour les plus de 65 ans en France et en Allemagne, puis suspension de l’utilisation de ce même vaccin dans la majorité pays européens après plusieurs décès post vaccinaux par phlébites et embolie.

Même chez les jeunes adultes qui ne risquent guère du Covid19, les vaccins sont suivis de complications comme le confirme l’alerte de l’agence française du médicament demandant ne pas vacciner en même temps les soignants d’une même équipe hospitalière pour éviter que de trop nombreux arrêts de travail empêchent la poursuite des activités[5] [6] [7], la suspension de la vaccination des pompiers dans les bouches du Rhône[8] après un arrêt cardiaque survenu 48 heures après vaccination…

OUI la vaccination est suivie de nombreux morts et incidents majeurs

Ne pouvant pas contester les chiffres d’Eudravigilance de 2500 morts survenues après vaccination, l’AFP avance l’absence de preuve de liens de causalité.

Pourtant lorsqu’une personne entre à l’hôpital pour une maladie cardiaque ou un cancer en phase critique et qu’elle meurt après un test PCR de dépistage positif, la cause de la mort est systématiquement étiquetée Cocid19 même si aucun signe clinque ou autopsique ne le suggère. Présomption de culpabilité en cas de test Covid19 positif.

Mais si un décès succède à une vaccination, il est systématiquement attribué à autre chose par les Agences. Présomption d’innocence en cas de vaccination anti covid.

Dans un jugement du 26 juin 2017, le tribunal européen de Luxembourg[9] a statué :

en cas de complication post vaccinale grave

« même en l’absence de consensus scientifique, les juges nationaux peuvent s’appuyer sur certains éléments de fait invoqués par le demandeur »

et ces éléments, s’ils constituent des « indices graves, précis et concordants » peuvent permettre « de conclure à l’existence d’un défaut du vaccin et à celle d’un lien de causalité entre ce défaut et ladite maladie ».

Les attendus de ce jugement paraissent ignorer des membres des agences. Ce refus systématique de la responsabilité de la vaccination représente un frein considérable à l’analyse objective des liens éventuels de causalité et à la recherche de cofacteurs qui pourraient éventuellement constituer des contre-indications et constitue la cause principale de la perte de confiance envers la parole publique et de la méfiance croissante envers les vaccinations.

Si les essais avaient été convenablement conçus en incluant un grand nombre de personnes âgées à forte comorbidité et si les témoins avaient reçu de vrais placebos totalement inactifs, les complications des vaccins auraient pu être reconnues et le lien de causalité analysé.

Mais les agences ont accepté des essais biaisés et bâclés, et autorisé l’injection de vaccin à des groupes de personnes pour lesquelles elles ne disposent d’aucune donnée de tolérance. Nous en payons actuellement le prix.

OUI la vaccination a partout été suivie d’une augmentation de la mortalité

Qu’il s’agisse des Émirats Arabes Unis :

D’Israël :

Ou en Grande-Bretagne :

La vaccination, comme tout traitement actif expose à des complications. Celles -ci sont d’autant plus graves qu’elles des touchent des personnes saines et non pas des malades et que pour elle le bénéfice éventuel n’est qu’incertain.

Seule une totale transparence peut rétablir la confiance. Les mensonges et les volte-face répétés du gouvernement et des médias, les mesures inutiles et parfois ridicules, voire grotesques, qu’on nous impose et la censure des opposants ne font qu’aggraver la méfiance.

Si on veut rassembler le pays, il faut changer de politique et arrêter de mentir et cesser la propagande mensongère qu’illustre la tribune de Juliette Mansour et de l’AFP.

Le ministre des Affaires étrangères de Taiwan, Wu avait proclamé fin février[10] :

« la véracité totale des informations sur la maladie et la transparence des motivations des décisions sanitaires sont les meilleures armes dans la lutte contre le Covid19 ».

Pourquoi nos gouvernants et nos médias ne l’ont-ils pas écouté au lieu de suivre l’exemple totalitaire chinois ?


[1] La base de données sur les résultats du ClinicalTrials.gov a été créée en septembre 2008 pour mettre en œuvre l’article 801 de la Food and Drug Administration Amendments Act of 2007 (FDAAA) (PDF), qui exige la présentation de « résultats de base » pour certains essais cliniques, généralement au plus tard un an après leur date d’achèvement (voir date d’achèvement primaire le ClinicalTrials.gov).

[2] Principal moteur de recherche de données bibliographiques de la biologie et de la médecine. PubMed est gratuit et donne accès à la base de données bibliographique MEDLINE.

[3] « Nous ne trouvons plus de macaques rhésus. Ils ont complètement disparu », témoigne ainsi Mark Lewis, PDG de Bioqual, sur le site américain the Atlantic.

[4] Ronald B. Brown Biais de déclaration des résultats dans les essais cliniques sur le vaccin à ARNm COVID-19 – Medicina 2021, 57 (3), 199 ;
https://doi.org/10.3390/medicina57030199

[5] France Info Vaccins Astra Zeneca : 149 soignants vaccinés ont présenté des “syndromes grippaux de forte intensité” après leur injection d’après l’ANSM 5/2/2021
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/vaccins-astrazeneca-149-soignants-vaccines-ont-presente-des-syndromes-grippaux-de-forte-intensite-apres-leur-injection-ansm_4293231.html[]

[6] FR3 Normandie Pourquoi l’hôpital de Saint-Lô a-t-il suspendu la vaccination des soignants par le vaccin Astra Zeneca ? 12/2/2021

[7] FR3 Normandie Vaccin Astra Zeneca : près de Rouen, des soignants inquiets après leur première injection Sur les 20 soignants de l’établissement hospitalier vaccinés durant la semaine, sept ont présenté d’importants effets secondaires qui ont mené à des arrêts maladie. Cela représente 30% du nombre de personnes ayant reçu une dose du sérum Astra Zeneca.

[8] par le Colonel Grégory Allione, Président de la Fédération Nationale des Sapeurs-Pompiers de France[]

[9] https://www.village-justice.com/articles/cjue-tranche-question-admission-preuve-par-presomption-defaut-vaccin-son-lien,26650.html

[10] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire
le Diplomat 27 février 2020


Texte Dr Gérard Delepine.

Commentaire : à la lecture de ce qui précède, il est très facile de constater que les vaccins actuellement disponibles en Europe sont incontestablement en phase III, la phase d’expérimentation sur des cobayes.


Question

À la suite, nous pourrions continuer en présentant de très nombreuses études faites récemment par des scientifiques reconnus, démontrant la nocivité de ces soi-disant vaccins, mais nous préférons dans cet article nous arrêter sur un point précis en posant une question très simple.

Avant la « vaccination » anticovid, il avait fallu cinq ans pour élaborer et tester le vaccin contre le virus Ebola dont la mise sur le marché a été la plus rapide. Cinq ans, notamment pour avoir le temps d’effectuer les essais sur les animaux et les tests cliniques qui sont indispensables.

Comment peut-on donc définir, en étant sûr de ne pas se tromper, les personnes qui ne savent pas qu’un vaccin ne s’élabore pas en moins d’un an, mais en plusieurs années ?

Ce sont des ignorants.


Conclusion

Il n’est pas nécessaire d’être un grand clerc pour comprendre que cette crise a fait ressortir au grand jour – au minimum – la nullité crasse de ceux qui poussent aujourd’hui à la vaccination, qu’ils soient des politiques ou non.

Il en résulte que, issues du monde politique, des médias, ou de la santé, tous ceux qui incitent les gens à se faire vacciner sont désormais complètement discrédités. Ils ne méritent plus du tout notre confiance, définitivement plus !!!!

C’est la première fois dans l’histoire, que d’une manière aussi flagrante et massive, se dévoile aux yeux des gens sensés un tel degré d’ineptie.

En conséquence, déjà en ce qui concerne plus particulièrement les politiques, il est grand temps de se débarrasser rapidement de tous ces individus qui ont montré leurs limites, atteint et révélé – pour le moins – leur niveau d’incompétence à l’occasion de la crise sanitaire.

C’est à tout cela que nous songerons, quand nous mettrons notre bulletin de vote en papier dans une urne classique lors des prochaines élections.

Il est en effet hors de question, après ce qui s’est passé aux USA, de nous faire voter par l’intermédiaire de machines électroniques. Pour défendre les valeurs démocratiques, s’ils osent cependant nous les proposer, nous préférons les brûler.

Il est maintenant grand temps, pour les êtres éclairés, de passer à l’action et d’envisager sérieusement à reprendre légitimement les pouvoirs que des individus dominateurs et sans conscience ne méritent pas de détenir.

Un magnifique exemple à suivre étant celui de la doctoresse et députée Martine Wonner, puisse-t-elle faire de très nombreux enfants…


La convergence des vices cachés de l’Union Européenne va la couler définitivement

Pour ne pas lasser le lecteur nous nous limiterons à six.


L’Union Européenne coulée par l’objectivité




La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ?

[Source : Cogiito]

[Ndlr : l’utilisation du mot « thé » dans la traduction originale a été remplacée ici par le terme plus approprié de « tisane ».]


par Mike Adams
https://www.afinalwarning.com/517717.html

La tisane aux aiguilles de pin est-elle la réponse à la transmission du vaccin contre le covid ? Découvrez la suramine, l’acide shikimique et comment fabriquer vos propres extraits

Avis de non-responsabilité : les informations présentées dans cet article et ce podcast sont uniquement destinées à des fins d’information.

Rien de ce qui est présenté ici n’est destiné à diagnostiquer ou à traiter une quelconque maladie, et aucun supplément ou produit n’est proposé à la vente en relation avec ces informations.

Il semblerait que la tisane aux aiguilles de pin pourrait offrir une solution contre l’« excrétion » ou la transmission du vaccin contre le covid, qui semble être un phénomène où les personnes vaccinées propagent des particules ou des substances nocives à leur entourage.

https://www.naturalnews.com/2021-05-07-salk-institute-reveals-the-covid-spike-protein-causing-deadly-blood-clots.html

Voir cet article d’un site de blog WordPress appelé « Ambassador Love » :
PINE TEA: Possible Antidote for Spike Protein Transmission

Cet article déclare :

Il existe un antidote potentiel à la contagion actuelle de la protéine Spike qui s’appelle Suramin. On la trouve dans de nombreuses forêts du monde, dans les aiguilles de pin.

La suramine a des effets inhibiteurs sur les composants provoquant la cascade de coagulation et sur la réplication et la modification inappropriées de l’ARN et de l’ADN. Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels anormalement lourds.

La tisane aux aiguilles de pin est l’un des antioxydants les plus puissants qui soient et elle est connue pour traiter le cancer, les inflammations, le stress et la dépression, la douleur et les infections respiratoires. La tisane aux aiguilles de pin tue également les parasites.

Vous trouverez ci-dessous un podcast et une vidéo complets qui révèlent deux méthodes d’extraction, qui sont toutes deux des méthodes simples, de faible technicité et peu coûteuses, pouvant être utilisées presque partout.

Les aiguilles de pin fraîches provenant d’arbres appropriés sont utilisées depuis des siècles comme sources de vitamine C et d’autres substances phytochimiques que les Amérindiens utilisaient pour traiter les infections respiratoires et d’autres affections. La vitamine C est un remède connu contre le scorbut, puisque le scorbut est une maladie due à une carence en vitamine C.

Les aiguilles de pin contiennent de nombreuses autres substances qui semblent réduire l’agrégation des plaquettes dans le sang, prévenant ainsi potentiellement la formation de caillots sanguins à l’origine des accidents vasculaires cérébraux, des crises cardiaques et des embolies pulmonaires. (Voir les sources scientifiques publiées ci-dessous).

Les aiguilles de pin sont utilisées par les populations indigènes du monde entier comme aliment et comme médicament depuis des milliers d’années. Nombreux sont ceux qui pensent aujourd’hui que les aiguilles de pin peuvent offrir une protection contre les protéines Spike du covid – qui sont des armes biologiques artificielles présentes dans les vaccins contre le covid – ainsi que contre les particules d’excrétion du vaccin contre le covid, qui semblent également être des armes biologiques conçues pour parvenir à une dépopulation mondiale.

Le Dr Judy Mikovits affirme que les mondialistes savent parfaitement que la tisane d’aiguilles de pin est la réponse aux armes de dépeuplement covidien, et ils utilisent secrètement la tisane d’aiguilles de pin pour se protéger du fléau qu’ils ont lâché sur le monde, explique Mikovitz.

Fouiller dans la science derrière les aiguilles de pin et les covidés

En tant que scientifique de laboratoire, j’ai décidé de creuser cette question à l’aide de mes connaissances et de mon expérience en laboratoire. Faire bouillir des aiguilles de pin fraîches pour en faire une tisane [ou infusion] est une méthode d’extraction couramment utilisée en science alimentaire et en médecine traditionnelle chinoise (MTC).

L’eau agit comme un solvant et, grâce à la chaleur et au temps, certains composés phytochimiques des aiguilles de pin sont extraits dans l’eau, ce qui donne une tisane aux aiguilles de pin. (C’est ainsi que toutes les infusions sont fabriquées).

En parcourant les recherches scientifiques publiées sur ce sujet, je me suis posé deux questions principales :

1) Quelles sont les molécules que l’on trouve dans les aiguilles de pin, et quelles sont leurs fonctions en ce qui concerne l’arrêt de la formation de caillots sanguins ou la protection des personnes non vaccinées contre l’excrétion du vaccin covid ?

2) Quelle est la meilleure méthode d’extraction pour extraire ces molécules des aiguilles de pin ? Existe-t-il une méthode d’extraction à faible technicité que presque tout le monde peut utiliser, sans avoir besoin d’un laboratoire ?

Grâce à mes recherches, j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent non seulement de la suramine, une grosse molécule à laquelle on attribue divers effets médicinaux, mais aussi de l’acide shikimique.

L’acide shikimique est à la base du Tamiflu, et c’est la molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé, une herbe de la médecine chinoise, qui guérit les pestes.

Imaginez ma surprise lorsque j’ai découvert que les aiguilles de pin contiennent de l’acide shikimique, la même molécule que l’on trouve dans l’anis étoilé utilisé en médecine traditionnelle chinoise pour traiter les pestes et les maladies respiratoires.

En 2010, le Boston Herald a publié un article révélant que des chercheurs étudiaient les techniques d’extraction de l’acide shikimique des aiguilles de pin afin de fournir cette matière première à l’industrie pharmaceutique pour la fabrication de médicaments antiviraux, antigrippaux et antipandémiques.

http://archive.boston.com/news/local/massachusetts/articles/2010/11/07/maine_pine_needles_yield_valuable_tamiflu_material/

Extrait de cette histoire :

Des chercheurs de l’université du Maine à Orono affirment avoir trouvé une nouvelle méthode relativement facile pour extraire l’acide shikimique – un ingrédient clé du médicament Tamiflu – des aiguilles de pin.

L’acide shikimique peut être extrait des aiguilles de pin blanc, de pin rouge et d’autres conifères simplement en faisant bouillir les aiguilles dans l’eau, a déclaré le professeur de chimie Ray Fort Jr.

Mais l’acide extrait pourrait être précieux car, le Tamiflu est le médicament antiviral le plus utilisé au monde pour traiter la grippe porcine, la grippe aviaire et la grippe saisonnière. La principale source d’acide shikimique est actuellement l’anis étoilé, un fruit inhabituel en forme d’étoile qui pousse sur de petits arbres originaires de Chine.

Les recherches ont été financées par diverses sources, dont le Maine Technology Institute, le ministère américain de l’agriculture, la National Science Foundation et le département de chimie de l’université.

Une étude publiée dans ResearchGate confirme que l’acide shikimique présente une activité antiagrégante plaquettaire, ce qui signifie qu’il aide à stopper la formation de caillots sanguins : Analyse du contenu de l’acide shikimique dans les aiguilles de pin de Masson et activité antiagrégante plaquettaire.

Extrait de l’étude :

L’acide shikimique, lorsqu’il est séparé par HPLC, présente un effet inhibiteur dose-dépendant sur l’agrégation plaquettaire induite par l’adénosine diphosphate et le collagène chez les lapins. En raison de la teneur relativement élevée et de la bonne activité antiagrégante plaquettaire de l’acide shikimique, les aiguilles de pin de Masson peuvent être utilisées comme source potentielle d’acide shikimique.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

(…)ont obtenu un rendement d’environ 6% d’acide shikimique à partir d’aiguilles de pin Masson, ce qui est probablement le rendement le plus élevé extrait de toute espèce de pin jusqu’à présent (Chen et al. 2014). Puisque les aiguilles de pin sont peu coûteuses et facilement disponibles en Asie du Nord, en Amérique du Nord et en Europe, il est fort possible de les utiliser pour fabriquer des médicaments contre les espèces d’anis étoilé moins disponibles.

Cette étude a révélé que les aiguilles de pin fournissent environ deux tiers de l’acide shikimique de l’herbe d’anis étoilé :

Aiguilles de pin de Masson = 5,71% d’acide shikimique
Anis étoilé = 8,95% d’acide shikimique

Nous savons donc que les aiguilles de pin, qui sont extrêmement répandues en Amérique du Nord, en Chine et en Europe, fournissent de l’acide shikimique, une sorte de molécule « miracle » qui pourrait s’avérer incroyablement utile pour arrêter la formation de caillots sanguins et défendre les personnes contre les infections respiratoires.

Des recherches plus approfondies m’ont conduit à une étude qui a utilisé la recherche sur les réseaux neuronaux pour optimiser les conditions d’extraction afin de réaliser un extrait très efficace des aiguilles de pin : 17 Optimization of Extraction Conditions of Shikimic Acid in Pine Needles Based on Artificial Neural Network.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/ceat.200700413

Cette étude propose la recette suivante pour optimiser l’extraction :

Utiliser environ 75 % d’alcool (comme la vodka) et 25 % d’eau.
Utilisez une machine à ultrasons avec un récipient en acier inoxydable.
Réglez la température à 65 degrés C.
Utilisez 280 ml de solution d’extraction pour 10 grammes d’aiguilles de pin.
Utilisez une durée de 25 minutes pour l’extraction par ultrasons.
Cette infusion terminée doit être filtrée à travers un filtre à café ou un autre filtre en papier afin d’éliminer les grosses particules. Le liquide obtenu contiendra de l’acide shikimique, de la suramine, des pigments et divers terpènes, et présentera généralement une certaine coloration et un goût plutôt piquant.

Regardez cette vidéo pour voir comment j’ai utilisé un appareil de nettoyage à ultrasons pour créer un extrait aqueux d’herbe de romarin :



Comment extraire l’acide shikimique à l’aide d’une machine à expresso ordinaire ?

Le résultat le plus intéressant de cette recherche a été la découverte d’un article scientifique publié qui décrit l’utilisation d’une machine à expresso ordinaire pour effectuer une extraction très efficace de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

Cet article est publié dans Science Direct :

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S2352554116300493

Quantification totale et extraction de l’acide shikimique de l’anis étoilé (llicium verum) en utilisant la RMN à l’état solide et des solutions aqueuses d’hydroxyde dissolvant la cellulose.

L’article a été publié dans Organic Letters en 2015, et apparaît également sous forme de PDF sur le site de l’université de l’Oregon. (Ce lien peut poser problème dans certains navigateurs car il contient des espaces dans l’URL).

Extrait du résumé de cette étude :

RÉSUMÉ :

Un nouveau processus pratique, rapide et à haut rendement pour l’extraction à l’eau chaude sous pression (PHWE) de quantités de plusieurs grammes d’acide shikimique à partir d’une plante.

L’acide shikimique de l’anis étoilé (Illicium verum) à l’aide d’une machine à expresso domestique non modifiée. Cette méthode, simple et peu coûteuse, permet d’isoler de manière efficace et directe l’acide shikimique et de préparer facilement une série de dérivés synthétiques.

Préparation facile d’une série de ses dérivés synthétiques :

En d’autres termes, ils profitent de la chambre pressurisée d’une machine à expresso pour effectuer une extraction chaleur + pression de l’acide shikimique de l’anis étoilé.

D’après mon expérience, on peut remplacer l’anis étoilé par des aiguilles de pin fraîches moulues (vertes, pas brunes) pour obtenir un résultat similaire, en extrayant l’acide shikimique des aiguilles de pin. Pour une extraction efficace, il est conseillé de broyer d’abord les aiguilles de pin, en utilisant un broyeur à herbes bon marché.

J’ai l’intention de reproduire ce résultat dans mon propre laboratoire, mais j’ai pensé que je devais le partager publiquement dès que possible en raison de la menace mortelle que représentent actuellement pour l’humanité les vaccins covidés armés.

Les auteurs de l’étude confirment également que l’acide shikimique est une molécule antivirale efficace qui inhibe également la réplication virale dans l’organisme :

Il a également été démontré que les dérivés de l’acide shikimique présentent une activité biologique utile. Plus particulièrement, le célèbre médicament antiviral oseltamivir (Tamiflu), qui agit comme un inhibiteur de la neuraminidase virale, est utilisé pour traiter la grippe saisonnière et a été déployé pendant les épidémies de grippe H1N1.

En outre, il a été démontré que les analogues fluorés du shikimate inhibent P. falciparum et ont été testés comme médicaments antipaludiques. En outre, la zeylénone (3) dérivée de l’acide shikimique présente un comportement anticancéreux, antiviral et antibiotique, et l’acide triacétylshikimique présente des propriétés anticoagulantes et antithromiques.

Une activité anticoagulante et antithrombotique

Remarquez le terme clé « anticoagulant » dans la phrase ci-dessus.

L’étude, qui a été réalisée en Tasmanie, en Australie, a délibérément cherché une méthode peu coûteuse et peu technologique pour extraire l’acide shikimique de plantes communes (aiguilles de pin) :

Cette méthode est une extraction rapide et peu coûteuse à l’eau chaude sous pression (PHWE)… le premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de l’acide shikimique.
premier exemple de l’utilisation en laboratoire d’une simple machine à expresso pour faciliter l’extraction de produits naturels (autres que la caféine) à partir de matériel végétal.

Nous avons cherché à utiliser spécifiquement un équipement relativement bon marché, peu sophistiqué et disponible dans le commerce pour réaliser l’extraction de quantités de plusieurs grammes d’anis étoilé.21 Par conséquent, étant donné que la pompe d’une machine à expresso permet l’écoulement continu d’eau à des températures allant jusqu’à 96 °C et à des pressions de 9 bars, nous avons pensé qu’un tel système serait adapté à nos besoins.

En effet, cette idée est purement géniale dans sa simplicité. Et les auteurs de l’étude ont réussi à extraire puis à purifier les cristaux d’acide shikimique par un procédé relativement simple.

Cela pourrait signifier que le « remède » contre le covid est disponible gratuitement et se développe sur de nombreux continents.

Le résultat de tout ceci est qu’un éventuel « remède » contre le covid – ou du moins une défense contre l’excrétion/la transmission du covid – semble être déjà fourni par Mère Nature et est facilement disponible sur plusieurs continents.

Sans avoir à compter sur des produits pharmaceutiques brevetés, contrôlés et des vaccins armés qui sont clairement conçus pour répandre la maladie et atteindre une dépopulation mondiale par la mort de masse, les personnes qui veulent survivre à l’holocauste du vaccin contre le covid peuvent simplement récolter et traiter les aiguilles de pin en utilisant des machines à expresso, et ils peuvent potentiellement fabriquer leur propre médicament anti-peste.

Naturellement, nous aimerions voir plus de recherches sur tout cela – et s’il vous plaît tenez compte des précautions de sécurité ci-dessous – mais il est clair que l’establishment de la science et de la médecine a perdu toute crédibilité ou intérêt à protéger l’humanité et travaille maintenant délibérément à exterminer des milliards d’êtres humains.

Par conséquent, attendre que cette industrie étudie les plantes médicinales communes est une course folle. Il n’y aura jamais de financement disponible pour de telles recherches, car ces découvertes n’augmentent pas les profits de Big Pharma en matière de vaccins et de médicaments.

Pourtant, pour ceux qui sont en mesure d’accéder aux bons types d’aiguilles de pin – et qui ne sont pas enceintes ou ne prévoient pas de l’être, voir ci-dessous – ce remède simple et naturel pourrait finalement s’avérer être un traitement « miracle » qui sauve des vies contre les vaccins contre le covid et le covid.

Pour information, nous ne vendons pas d’aiguilles de pin ou d’extraits d’aiguilles de pin, donc les régulateurs qui cherchent à interdire cet article devront aller harceler quelqu’un d’autre. Nous offrons ces informations telles quelles, sans garantie, dans un souci de « publication d’autorisation d’urgence » pour le bien de l’humanité et dans l’intention de sauver des vies de ce vaccin mortel.

Écoutez mon podcast complet ici pour en savoir encore plus sur ce sujet passionnant et sur le remède possible contre les vaccins covidés [en anglais] :



https://www.brighteon.com/7c129e86-7e2b-47a7-bc74-dd19621e4042

Précautions à prendre lors de l’utilisation d’aiguilles de pin

Avant de consommer une tisane ou un extrait fabriqué à partir de plantes, assurez-vous de savoir quelles plantes vous utilisez. Tous les pins ne conviennent pas, et certains conifères – comme l’if – sont toxiques.

Le bétail est connu pour avoir subi des avortements spontanés après avoir consommé des aiguilles de pin fraîches comme source de nourriture. Par conséquent, toute personne qui prévoit une grossesse (ou qui est déjà enceinte) devrait évidemment éviter de consommer de la tisane aux aiguilles de pin, par simple précaution.

Tous les crétins de la science « réveillée » en Amérique et dans le monde ont oublié que seules les femmes peuvent tomber enceintes, donc cette précaution particulière ne s’applique évidemment pas aux hommes. Si vous pensez que les hommes peuvent tomber enceintes, vous avez peut-être déjà subi des dommages cognitifs dus aux vaccins covidés et vous devriez consulter immédiatement un médecin.

Le pin de l’île de Norfolk et le pin ponderosa sont également soupçonnés de provoquer des avortements spontanés et devraient probablement être évités.

Nous ne connaissons pas la composition complète des diverses espèces de pins, et nous ne pouvons donc pas, en toute conscience, dire à qui que ce soit de boire de la tisane faite à partir d’aiguilles de pin. Si vous décidez de le faire, faites preuve de bon sens et prenez toutes les précautions nécessaires, et travaillez avec un naturopathe qualifié pour élaborer une stratégie à base de plantes compatible avec votre propre biologie et vos objectifs de santé particuliers.

Sachez également que la tisane d’aiguilles de pin peut interagir de manière inattendue avec des médicaments sur ordonnance, dont la plupart sont toxiques en soi.

Nous allons confirmer ce processus d’extraction à l’aide d’une machine à expresso et d’un instrument de spectrométrie de masse quadruple à CWC Labs.

La bonne nouvelle dans tout cela, c’est qu’il semble que les gens ordinaires peuvent récolter l’acide shikimique à partir des aiguilles de pin en utilisant une machine à expresso ordinaire.

Ou, pour une extraction plus approfondie d’un large spectre de terpènes, les gens peuvent utiliser un appareil à ultrasons pour réaliser de telles extractions (voir ma vidéo ci-dessus).

En tant que service public, je suis en train de lancer un projet de laboratoire dans mon laboratoire privé pour reproduire cette méthode d’extraction de l’acide shikimique, mais en utilisant des aiguilles de pin au lieu de l’anis étoilé :

Nous achetons des standards d’acide shikimique et recherchons une méthode HPLC / Mass spec pour la quantification de l’acide shikimique.
Nous sommes en train d’acheter un simple moulin à herbe et une machine à expresso neuve et propre pour tester l’extraction.
Une fois terminé, nous prévoyons de diffuser une vidéo de notre laboratoire, vous montrant les résultats de nos tentatives d’extraction.
Nous allons probablement utiliser des aiguilles de pin loblobby, car c’est ce qui est commun dans la région centrale du Texas. Je ne connais pas la teneur en acide shikimique des pins loblobby.

Restez à l’écoute de NaturalNews.com et de ma chaîne Brighteon.com pour d’autres mises à jour sur ce sujet extrêmement important pour l’humanité :

https://www.brighteon.com/channels/hrreport




Au pays de Dracula, les vaccinés reçoivent un diplôme de courage !

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur ripostelaique.com]

Lors de la peste noire – la vraie, qui décima des millions d’Européens, et pas celle inventée par notre ministre de la « Santé » (selon son titre officiel), les paysans et villageois fuyaient le plus loin possible des lieux infestés où s’accumulaient les morts.

Imagine-t-on, si un traitement efficace avait été connu, la nécessité de trouver toutes sortes de sollicitations holistiques pour conduire les gens à accepter le traitement miracle ?

Mais en ce XXIe siècle on aura tout vu !  De la prime de 25 € au bon d’achat de 5 euros à la pinte de bière, ou 20 points proposés par Bernard Pivot à l’oral du bac (une blague ?), les avantages proposés aux cobayes sont variés pour les conduire à accepter cette redoutable piqûre dont ils sentent bien, pour le moins, que le bénéfice n’est pas évident.

Des cobayes non rémunérés mais flattés

Il est vrai que les vaccins covid sont en phase expérimentale et que les citoyens commencent au moins à le savoir un peu. Notons que Big Pharma s’est vraiment bien débrouillée, elle ne paie pas ses cobayes comme habituellement (des sommes de plusieurs centaines d’euros pour les essais habituels de médicaments) et de plus les agences de santé et les États l’ont exonérée de toute responsabilité pénale ou/financière en cas de pépin… y compris le décès. Les États paieront, enfin… nos impôts. Pas belle la vie ?

En ce qui concerne l’épidémie presque terminée du covid qui a nettoyé la grippe au passage, mais pour laquelle il faut continuer à affoler la population, l’imagination des marchands du temple est au pouvoir.  Le double but est bien sûr les bénéfices financiers fantastiques liés aux vaccins pour Big Pharma et des avantages politiques pour les dirigeants du Nouvel Ordre mondial, imposer des lois liberticides et une surveillance policière croissante.

L’imagination au pouvoir des marchands

Et nous pouvons être admiratifs des qualités commerciales des marchands de vaccins. Là où on découvre s’il en était besoin qu’il n’est plus question de médecine, mais bien de commerce et donc de marketing.

Dans le petit papier de msn.com[1] qui relate la vaccination des Roumains chez Dracula, tout y est et on ne sait plus s’il faut rire ou pleurer. Malgré le côté tragique de la situation, quand on connaît les multiples effets secondaires, dont des décès (près de 9 000 post-vaccinaux en UE chez des sujets qui ne risquaient rien, pour beaucoup, du covid ou presque) et la flambée des cas et des malades dans des pays jusque-là quasiment indemnes avec l’arrivée des campagnes de vaccination[2] [3] [4].

Le pseudo-vaccin au château de Dracula

Examinons ce petit article : tous les mots clefs y sont. Tout d’abord le titre : les Roumains se font « piquer » au château de Dracula.  De mon temps, on disait vacciner et se faire piquer était réservé aux animaux qu’on faisait euthanasier en fin de vie par le vétérinaire. Tout un programme.

Poursuivons : le futur cobaye profite de l’opportunité « prend son courage à deux mains ». Pourquoi ? pour un DTPolio, en faisait-on autant ? Non, cela sous-entend bien le mystère, et le cinéma qui entoure cette « piquouse » pour parler comme eux.

Le comble, comme aux gosses qui passent un diplôme de nage ou de sécurité routière, les personnes piquées reçoivent un « diplôme » attestant de quoi ? Je vous le donne en mille : de « leur courage et responsabilité ». Pourquoi tant de courage si ce pseudo-vaccin était anodin comme les médias veulent nous le faire admettre à longueur d’émission ?

Ils seront accueillis au château de Dracula à Bran dans les « cent prochaines années »… Message subliminal de vie éternelle grâce à la potion magique prônée par Bill Gates ? Faust hante-t-il le château de Dracula ?

Qui organise ces séances de distraction faustienne ?

Évidemment pas un médecin qui s’évertuerait à expliquer avantages (? s’il en trouvait par rapport aux traitements précoces et sans danger) et inconvénients possibles, les effets secondaires beaucoup plus fréquents qu’avec les autres vaccins, comme celui de la grippe par exemple (et déjà signalés sur le site de l’agence européenne du médicament, l’EMA et Eudravigilance, où chaque curieux peut aller, surtout avant de se décider, ce serait prudent).

Le médecin respecterait ainsi le serment d’Hippocrate et le Code de Nuremberg sanctifié par la déclaration d’Helsinki et la convention d’Oviedo.

Mais non, ici à Bran comme à Disney en France, on est dans le plaisir, le ludique, le léger et donc c’est le directeur du MARKETING qui invite et organise. Tout y est, n’est-ce pas ?  Et comme il ne doute de rien dans la pub, il prévoit pour les futurs cobayes qu’il qualifie de « téméraires, une visite de : « la salle des tortures » abritée dans la forteresse. On est dans un « ciblage touristique ».

Nous voilà donc dans les fins fonds des Carpates, chez « l’empaleur » Vlad Tepes, prince roumain du XVe  siècle, particulièrement sanguinaire pour avoir inspiré à l’écrivain irlandais Bram Stoker le personnage de Dracula. Tout est dans le symbole, volontaire ou inconscient, ils font très fort ces Roumains.

Comme aux USA, et en France en particulier, tout le monde n’est pas forcément volontaire pour être cobaye non rémunéré du plus grand essai mondial de médicaments encore jamais testés, et dont les prédécesseurs, tentatives de vaccins anti-coronavirus du SRAS et du Mers avaient tué les animaux tests.

Ici en matière de vaccin anti-covid, les labos ont sauté l’étape animale officiellement en raison de manque d’animaux de laboratoire et des militants anti-souffrance animale. Si ces associations pouvaient inclure dans leurs combats les animaux humains, ce serait une bonne idée.

Alors les Roumains qui avaient refusé les mesures liberticides sont sollicités via des vaccidrives et des marathons vaccinatoires ouverts 24 h sur 24 dans des lieux mythiques comme la salle du Palais à Bucarest. Pourquoi pas dans les salles de l’hôpital ? Non, c’est un peu comme la nuit de visite gratuite des musées français !  Et les moins de 50 ans (moins de mille morts en France depuis quatorze mois pour une maladie qui, le cas échéant, se traite facilement si on donne le traitement tôt), y vont en famille, en sortie du dimanche.  Pourquoi tout ce CIRQUE ?

Et comme partout la campagne vaccinale s’accompagne d’une remontée des décès…

Beatrice Mahler, directrice de l’hôpital Marius Nasta de Bucarest dit que près de 3,6 millions de Roumains ont reçu au moins une dose de vaccin contre le coronavirus dans ce pays de 19 millions d’habitants qui veut franchir le cap des 5 millions de vaccinés d’ici début juin.

Pourquoi ? Au nom de qui ? Sous la pression de qui ? Au moins on connaît le montant des motivations [5] de Stella Kirikiades, la ministre de la Santé chypriote de l’Union européenne qui a signé les contrats des vaccins covid avec les entreprises pharma et dont le compte bancaire privé a depuis été crédité de 4 millions d’euros

Nicole Delépine


[1] Vaccination : Les Roumains se font piquer au « château de Dracula » (msn.com)

[2] Bientôt 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires susceptibles d’être liés aux « vaccins » contre la Covid-19 (reseauinternational.net)
En date du 27.04.21, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, pour la seule Union européenne (sans la Grande-Bretagne).

[3] Faut-il se faire vacciner ? À trancher sur les faits objectifs ! | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation

[4] https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/

[5] https://lesobservateurs.ch/2021/05/03/le-scandale-de-corruption-de-lue-dont-les-medias-bienpensants-refusent-de-parler/




Où mène ce train ?

[Source : Régis Chamagne (regischamagne.fr) – Réinscrire la France dans l’Histoire]

Par Mathias Masclet et Régis Chamagne

L’histoire nous apprend, en particulier depuis la deuxième partie du XIXe siècle, que les bonnes intentions hygiénistes et sanitaires ont souvent produit les pires atrocités. Alors qu’en est-il aujourd’hui face à la question du coronavirus ? Les mesures coercitives que nous subissons sont-elles acceptables ? Relèvent-elles seulement d’une logique de santé publique ?

On peut saisir un point commun, qui n’apparaît pas comme évident, entre le fanatisme religieux, le nazisme, le fascisme ou le communisme soviétique : une fascination morbide de la pureté, qu’elle soit d’ordre biologique dans le cas du nazisme et du fascisme, symbolique dans le cas du fanatisme religieux ou encore idéologique dans le cas du soviétisme. Cette fascination de la pureté relève de l’hygiénisme hypocondriaque et justifie des mesures prophylactiques qui ont été acceptées à l’époque et qui pourtant aujourd’hui nous font horreur.

Soyons clair, le propos n’est ni de dénoncer l’hygiène élémentaire comme une dérive fasciste, ni de prétendre que toute mesure sanitaire face au coronavirus serait une plongée dans la barbarie. Le propos est bien de montrer que la stratégie française et plus largement européenne de la gestion du coronavirus relève d’une politique de la peur et de persécution de « l’impur » avec toute la rhétorique paranoïaque et hypocondriaque typique des montées du fanatisme et de la barbarie.

Un cas d’école : le nazisme

Au-delà de nombreuses approches communément admises, le nazisme pourrait être ontologiquement une idéologie biologique et médicale, c’est en tous cas la thèse de Johann Chapoutot, chercheur en histoire contemporaine à la Sorbonne, spécialiste du nazisme. Il s’agit de régénérer et de purifier la race allemande, le corps allemand. Ces idées triomphent avant même l’avènement du nazisme : c’est sous la République de Weimar que l’on installe aux frontières de l’est de l’Allemagne des stations de désinfection obligatoire, pour filtrer et décontaminer les va-nu-pieds venus de l’est. C’est aussi sous la République de Weimar que s’installent les grands instituts de l’eugénisme racial soutenus par la gauche comme par la droite. Les conclusions des études scientifiques eugénistes sont limpides : la castration ou l’euthanasie des handicapés est indispensable pour régénérer le corps organique du peuple allemand. De l’autre côté de l’Atlantique on n’est pas en reste, 26 États des États-Unis d’Amérique appliquent la stérilisation obligatoire des membres les moins désirables de la société, souvent des jeunes femmes : de 1908 à 1945 ils stérilisent 50 000 personnes à des fins d’eugénisme sanitaire. En somme, la biopolitique était déjà bien à l’œuvre avant le nazisme et s’est installée sans rencontrer de réelle résistance car précisément, il était question de politique sanitaire et médicale. Qui pouvait s’opposer à la protection et à la santé des siens ?

Johann Chapoutot décrit parfaitement l’ambiance médico-sanitaire de l’Allemagne nazie et explique que les nazis se considéraient comme des médecins du corps de la race germanique :

« Nous respectons le serment d’Hippocrate, primum non nocere, sauf que l’objet de notre art n’est pas l’individu puisque l’individu n’existe pas, c’est le grand tout, c’est le grand corps. Tout cela sous la plume de médecins et de juristes qui sont les deux corporations choyées, gâtées, dotées à partir de 1933 de moyens considérables en matière de postes de responsabilités, de crédits et de prestiges intellectuels. »

À cet égard, après la rencontre entre Hitler et Mussolini le 9 mai 1938, un groupe de travail fut constitué. La délégation nazie fut emmenée par le juriste Walter Hallstein, futur président de la Commission européenne. Les thèmes prioritaires qui furent discutés étaient la protection de la propriété intellectuelle (à savoir l’extension des brevets, et tout particulièrement ceux du cartel IG Farben à travers toute l’Europe) et la protection de la race… Juristes et médecins.

Sous le Troisième Reich, le peuple germanique est en danger mortel, un corps étranger menace la race allemande. Ce virus c’est le juif. Il s’agit au départ d’observer une distance sanitaire avec lui. Mais le mal est trop profond et les mesures doivent être renforcées, le juif sera alors isolé, confiné, mis en quarantaine. Enfin, puisque le nazisme doit régler définitivement ce problème sanitaire, le juif sera alors traité de façon à l’empêcher définitivement de parasiter et corrompre la race pure germanique. Les camps de concentrations sont promus dans la presse par les autorités nazies comme des camps de santé pour les malades et les dégénérés juifs, communistes ou schizophrènes qui seront rééduqués et soignés. Il ne faut pas confondre les camps de concentration dont on faisait la publicité, et les camps de mise à mort, qui eux étaient tenus secret.

Avec les camps de concentration, les mesures prophylactiques s’enchaînent :

  • Le nazisme interdit tous les partis politiques, car l’opposition est l’ennemie du corps allemand qui l’infecte et le corrompt.
  • La stérilisation obligatoire des malades héréditaires est aussi actée (l’alcoolisme, la fainéantise, la danse de Saint Guy et la schizophrénie). On stérilise aussi les criminels et délinquants. 400 000 personnes sont stérilisées en douze ans en Allemagne jusqu’en 1945.
  • En octobre 1939 la stérilisation ne suffit plus, Hitler signe un ordre écrit qui demande de tuer les malades incurables. Ce sont des médecins qui, après expertise médicale, considèrent que le meilleur traitement prophylactique pour telle ou telle personne est la mort.
  • Enfin, les nazis, en bons médecins du corps allemand luttent contre la maladie et interdisent tout rapprochement avec l’impur comme l’explique Johann Chapoutot :

« Les médecins du corps allemand interdisent la mixtion des sangs, le mélange des substances et des fluides (entre races), et on se rend compte avec tout cet arsenal législatif auquel travaillent des médecins qui sont requis par le ministère de la justice […] et de l’intérieur ; ce sont ses lois qui touchent tous les domaines de la vie et qui contribuent à la destruction de la maladie. Tous les domaines de la vie sont touchés, du plus intime, la sexualité, au plus abstrait, au plus sublime, les arts plastiques, l’art en général, tout ça doit être assujetti à un traitement biologique. »

L’assassinat de masse se met en place à partir de février 1942. Johann Chapoutot continue :

« L’assassinat de masse est présenté aux bourreaux et aux victimes comme des politiques biomédicales de masse. Et c’est le coup de Génie de Paul Winling d’avoir vu le rapport qu’il peut y avoir entre des politiques biomédicales d’État “attendez avant de venir, on vous désinfecte” […] et la pratique de la mise à mort qui présente les procédures ainsi aux victimes : “on va vous déporter très à l’est mais comme nous sommes allemands, comme nous sommes médecins et puisque nous faisons les choses proprement, nous allons vous désinfecter d’abord”. Voilà ce que l’on dit aux victimes, et ça tranquillise de fait les victimes, […] et ça légitime les bourreaux qui apparaissent à eux même véritablement comme les médecins du corps allemand qui vont détruire un foyer typhique. »

La question sanitaire est omniprésente dans le nazisme, la menace du typhus et la menace juive sont deux menaces sanitaires et les maladies doivent être éradiquées. Le nazisme est une obsession sanitaire, une hypocondrie permanente, ils sont terrorisés par les infections et les maladies qui attaquent et détruisent le corps Allemand. Ils manquent de temps et doivent agir dans l’urgence, c’est cette urgence sanitaire qui permet de légitimer la brutalité de leur politique sanitaire.

Aujourd’hui et maintenant

Que seriez-vous prêts à faire pour sauver votre peau et celle de vos proches ? Votre famille et votre nation sont en danger de mort, un confinement ou un couvre feu ne sont rien s’ils peuvent sauver des vies, la fermeture et la faillite des petits commerces est un bien faible prix à payer. Interdire aux enfants de se toucher ne choque presque plus. Méfiez-vous du corps de l’autre, gardez vos distances, pas de poignées de main ! La bise ? Êtes-vous sérieux ? Vous voudriez tuer vos grands parents pour une simple bise ?

Ça commence comme ça et les Français acceptent parce qu’ils ont un fort sens du civisme, mais l’affaire dure, l’hygiénisme s’affole, le masque devient obligatoire à l’extérieur, durant le premier confinement, plus d’un million d’amendes ont été dressées. Dehors c’est dangereux ! Il est question d’interdire les fêtes de Noël si importantes pour les familles, les gens qui succombent du coronavirus meurent souvent seuls, les visiteurs sont interdits. Dans les Ephad, les vieillards ne voient plus leurs enfants, ou de temps en temps derrière d’épaisses plaques de plexiglas. Nous nageons en plein arbitraire et l’arbitraire est parti pour durer. Là aussi, le fait de commencer à obéir à des règles arbitraires est une caractéristique inquiétante typique des systèmes totalitaires.

Non seulement, sous l’impulsion de la Commission européenne, un passeport sanitaire apparaîtra dans la République Française, fracturant le secret médical et mettant en place des citoyens de seconde zone, mais personne ne connaît l’avenir de ce pass sanitaire. Disparaîtra-t-il dès lors qu’il ne sera plus utile ou suivra t-il la même trajectoire que l’état d’urgence qui était censé être temporaire et qui fut finalement inscrit dans le droit commun ? Sommes-nous véritablement certains que les valeurs républicaines et démocratiques, contraires au paternalisme technocratique infantilisant, sont encore voulues et respectées par nos élites et élus ? La répression policière et judiciaire des Gilets jaunes, sans état d’âme, qui a occasionné des milliers de blessés et des milliers de condamnations dont plus de 1000 peines de prison ferme, nous donne un élément de réponse. Après avoir observé l’absence totale de scrupule du gouvernement pour mater en règle un mouvement soutenu par plus de 7 Français sur 10, est-il exagéré de penser qu’une dérive anti-populaire et anti-démocratique est à l’œuvre et que nos élites saisissent toutes les opportunités pour transformer lentement notre société ?

En fait, la crise sanitaire est une excellente opportunité. Les Français ne l’auraient jamais accepté par la force et elle est passé sans problème pour des raisons hygiénistes et sanitaires. Dans les hautes sphères oligarchiques internationales on chuchote, on pense à un monde nouveau, à une société de contrôle et d’asepsie où tout un dispositif techno sanitaire entourerait les peuples européens afin d’accroître leur dépendance. Ce Grand Reset rêvé par Davos semble à portée de main, il leur manque une population terrorisée et docile, s’en remettant à eux pour toujours plus de protection. Pas de chance, pour le moment les Français gardent la tête froide, ils font attention et acceptent les règles d’hygiène élémentaires, mais refusent d’obéir bêtement à toutes les injonctions gouvernementales. Comme leurs aïeux avant eux, Ils acceptent la mort comme faisant partie de la vie, n’en déplaise à Google qui leur promet le transhumanisme et la vie éternelle. Les Français veulent vivre heureux, loin du décompte macabre gouvernemental. Nous sommes lancés dans un train de mesures et de coercitions sociales. Où va ce train ? Tout dépendra si les Français cèdent au chant des sirènes de l’hypocondrie sanitaire, ou si l’envie de vivre triomphe de la peur de la mort et qu’ils veulent continuer à danser encore, comme le chante si bien cette chanson d’espoir :

Et malheur à celui qui pense / Et malheur à celui qui danse / Ne soyons pas impressionnables

Par tous ces gens déraisonnables / Vendeurs de peur en abondance / Angoissants, jusqu’à l’indécence !

Nous on veut continuer à danser encore / Voir nos pensées enlacer nos corps / Passer nos vies sur une grille d’accords / Oh, non non non non non !

Et pour la suite ?

Il y a un virus. Il y a une certaine mortalité. Il y a des mesures gouvernementales. Au regard de l’Histoire, la raison autant que la conscience d’Homme Libre doit nous inviter à nous poser certaines questions :

  • Quelle est la létalité de ce virus par rapport à ceux des années passées ?
  • Quelle est la moyenne d’âge des morts du virus comparée à notre espérance de vie ?
  • Faut-il avoir peur ?
  • Les décisions gouvernementales sont-elles cohérentes et logiques ?
  • Enfin et surtout, où tout cela nous mène-t-il ?

Où mène ce train… de mesures dans lequel le gouvernement veut nous faire monter ?

Mathias Masclet et Régis Chamagne




Les scientifiques travaillent sur des vaccins qui se propagent comme une maladie. Qu’est-ce qui pourrait bien se passer ?

[Source anglaise : Bulletin of the Atomic Scientists (thebulletin.org) (Bulletin des scientifiques atomiques)]

Par Filippa Lentzos, Guy Reeves | 18 septembre 2020

[Photo : Un détecteur de maladie pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Liberia.
Un travailleur effectue des tests pendant l’épidémie d’Ebola de 2014 au Libéria.
Crédit : John Saindon/Centers for Disease Control and Prevention. CC BY 2.0.]

Une fois que le vaccin COVID-19 sera approuvé pour un usage public, les responsables du monde entier devront relever le défi monumental de vacciner des milliards de personnes, une opération logistique qui soulève d’épineuses questions éthiques. Et si, au lieu d’orchestrer des campagnes compliquées et gourmandes en ressources pour vacciner les humains contre des maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, nous pouvions plutôt stopper à la source les zoonoses qui passent parfois des animaux aux humains ? Un nombre restreint, mais croissant de scientifiques pensent qu’il est possible d’exploiter les propriétés d’autopropagation des virus et de les utiliser pour propager l’immunité plutôt que la maladie. Pouvons-nous battre des virus comme le SRAS-CoV-2, le nouveau coronavirus, à leur propre jeu ?

Un virus qui confère une immunité à l’ensemble d’une population animale à mesure qu’il se propage dans la nature pourrait théoriquement empêcher un débordement zoonotique [Ndlr : transmission de l’animal à l’Homme.] de se produire, étouffant ainsi l’étincelle qui pourrait déclencher la prochaine pandémie. Si les rats sauvages qui hébergent le virus mortel de Lassa, par exemple, sont vaccinés, les risques d’une future épidémie chez l’homme pourraient être réduits. Depuis au moins 20 ans, les scientifiques expérimentent de tels vaccins autodiffusés, un travail qui se poursuit encore aujourd’hui et qui a attiré l’attention de l’armée américaine.

Pour des raisons évidentes, l’intérêt du public et des scientifiques pour les vaccins est incroyablement élevé, y compris pour les vaccins autodiffusants, car ils pourraient être efficaces contre les menaces zoonotiques. Les biologistes Scott Nuismer et James Bull ont attiré l’attention des médias sur les vaccins à diffusion spontanée au cours de l’été après avoir publié un article dans la revue Nature Ecology & Evolution. Mais les reportages qui ont suivi n’ont pas fait grand cas des inconvénients potentiellement importants de la dissémination de ces vaccins dans l’environnement.

Les vaccins autodiffusés pourraient en effet comporter des risques sérieux, et la perspective de les utiliser soulève des questions difficiles.

Qui décide, par exemple, où et quand un vaccin doit être diffusé ? Une fois le vaccin libéré, les scientifiques n’auront plus le contrôle du virus. Il pourrait muter, comme le font naturellement les virus. Il peut changer d’espèce. Il traversera les frontières. Il y aura des résultats inattendus et des conséquences involontaires. Il y en a toujours.

S’il peut s’avérer techniquement possible de lutter contre les maladies infectieuses émergentes comme le COVID-19, le sida, le virus Ebola et le virus Zika avec des virus qui se propagent eux-mêmes, et si les avantages peuvent être importants, comment mettre en balance ces avantages et les risques qui peuvent être encore plus grands ?

Comment fonctionnent-ils ?

Les vaccins autodiffusants sont essentiellement des virus génétiquement modifiés conçus pour se déplacer dans les populations de la même manière que les maladies infectieuses, mais plutôt que de provoquer une maladie, ils confèrent une protection. Construits sur le châssis d’un virus bénin, les vaccins se voient ajouter du matériel génétique d’un agent pathogène qui stimule la création d’anticorps ou de globules blancs chez les hôtes « infectés ».

Ces vaccins pourraient être particulièrement utiles, selon certains scientifiques, pour les populations d’animaux sauvages pour lesquelles la vaccination directe est difficile en raison de problèmes tels que des habitats inaccessibles, des infrastructures insuffisantes, des coûts élevés ou un manque de ressources. L’idée, essentiellement, est de vacciner une petite proportion d’une population par inoculation directe. Ces « fondateurs » transmettront ensuite passivement le vaccin à d’autres animaux qu’ils rencontrent, que ce soit par le toucher, le sexe, l’allaitement ou la respiration du même air. Progressivement, ces interactions pourraient renforcer l’immunité de la population.

Schéma du fonctionnement d’un vaccin autodiffusant. Schéma de la façon dont un vaccin autodiffusant pourrait se propager parmi les chauves-souris. Les chauves-souris « fondatrices » auxquelles on a inoculé un vaccin autodiffusant transmettent passivement le vaccin aux autres chauves-souris qu’elles rencontrent au fil du temps, ce qui renforce progressivement l’immunité au niveau de la population.
Crédit : Derek Caetano-Anollés.

Les vaccins à autopropagation trouvent en partie leur origine dans les efforts visant à réduire les populations de parasites. Des chercheurs australiens ont décrit une immunocontraception à propagation virale, qui détournait le système immunitaire des animaux infectés — en l’occurrence une espèce de souris non indigène en Australie — et les empêchait de féconder leur progéniture. Les premiers efforts de vaccination à propagation automatique ont visé deux maladies infectieuses hautement mortelles dans la population européenne de lapins (le virus du myxome et le virus de la maladie hémorragique du lapin). En 2001, des chercheurs espagnols ont testé sur le terrain un vaccin sur une population de lapins sauvages vivant sur Isla del Aire, une petite île espagnole située au large de Minorque. Le vaccin s’est propagé à plus de la moitié des 300 lapins de l’île, et l’essai a été considéré comme un succès.

En 2015, une autre équipe de chercheurs a spéculé sur le développement d’un vaccin autodiffusant pour le virus Ebola qui pourrait être utilisé sur les grands singes sauvages comme les chimpanzés. Depuis lors, les scientifiques en sont venus à considérer un large éventail d’animaux — de la faune sauvage comme les chauves-souris, les oiseaux et les renards aux animaux domestiqués comme les chiens, les porcs et les moutons — comme se prêtant à des vaccins à autodiffusion.

Jusqu’à présent, les chercheurs n’ont pas mis au point de vaccins expérimentaux à diffusion spontanée pour les humains [Ndlr : toutefois, l’absence de preuves n’est pas preuve de l’absence.] ; rien ne prouve que quelqu’un travaille activement sur cette technologie. Nuismer et Bull soutiennent plutôt que les vaccins à diffusion spontanée constituent une approche révolutionnaire pour contrôler les maladies infectieuses émergentes avant même qu’elles ne se propagent des animaux à la population humaine.

La propagation zoonotique est certainement un problème urgent ; outre le SRAS-CoV-2, le VIH, le virus Ebola et le virus Zika, plus d’un millier d’autres nouveaux virus à potentiel zoonotique ont été détectés chez les animaux sauvages au cours de la dernière décennie. Mieux vaut prévenir que guérir, affirment Nuismer et Bull dans un article du New Scientist. Dans leur article paru dans Nature Ecology & Evolution, ils affirment qu’ils sont « prêts à commencer à développer des vaccins autodisséminant pour cibler un large éventail d’agents pathogènes humains » chez les animaux.

En dehors d’une expérience, les scientifiques seraient confrontés à d’énormes obstacles techniques et pratiques pour identifier les cibles d’intervention les plus appropriées et garantir le maintien de l’immunité dans les populations sauvages. Malgré ces défis de taille, les implications potentielles en matière de sécurité des vaccins autodiffusés sont encore plus graves.

Le principal problème de sécurité est celui du double usage. En substance, cela signifie que la recherche utilisée pour mettre au point des vaccins à diffusion spontanée afin de prévenir les maladies pourrait également être utilisée pour causer délibérément des dommages. On peut, par exemple, créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent des défaillances du système immunitaire chez les personnes ou les animaux infectés, un peu comme le fait naturellement le VIH. On peut aussi créer des déclencheurs dans un virus qui provoquent une réaction auto-immune nocive, c’est-à-dire que le corps commence à attaquer ses propres cellules et tissus sains.

La question des armes biologiques

Si les chercheurs ont l’intention de créer des vaccins à diffusion automatique, d’autres pourraient détourner leur science et développer des armes biologiques. Une telle arme peut s’avérer incontrôlable et irréversible.

Il n’est pas nécessaire de creuser très loin pour trouver un exemple historique de biologie militarisée. Comme le montre le programme de guerre biologique sud-africain de l’époque de l’apartheid, les pressions sociales, politiques et scientifiques peuvent conduire à une mauvaise utilisation de l’innovation biologique.

Sous le nom de code « Project Coast », le programme sud-africain était principalement axé sur des armes d’assassinat secrètes destinées à être utilisées contre des individus considérés comme une menace pour le gouvernement raciste de l’apartheid. Outre la production d’engins permettant d’injecter des poisons, les chercheurs du projet Coast ont mis au point des techniques permettant d’injecter de la salmonelle dans des morceaux de sucre et du Bacillus anthracis dans des cigarettes.

Bien qu’il y ait eu de nombreux programmes de guerre biologique, dont plusieurs étaient beaucoup plus élaborés et sophistiqués, le programme sud-africain est particulièrement pertinent pour réfléchir aux utilisations malveillantes des vaccins à diffusion automatique. L’un des projets de recherche du projet Coast visait à développer un vaccin humain contre la fertilité.

L’idée a fait son chemin à une époque où l’explosion démographique mondiale suscitait de nombreuses inquiétudes. Schalk Van Rensburg, qui supervisait les travaux liés à la fertilité dans un laboratoire du Project Coast, a déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation de l’Afrique du Sud après l’apartheid, un forum chargé d’examiner l’histoire sordide de l’époque et de jeter les bases de la paix et de la tolérance futures, qu’il pensait que le projet s’inscrivait dans le droit fil des tentatives de l’Organisation mondiale de la santé pour freiner la hausse des taux de natalité dans le monde. Il pensait que ce projet pourrait apporter à son laboratoire une renommée et un financement internationaux. Selon M. Van Rensburg, Wouter Basson, le directeur du programme de guerre biologique, a déclaré que l’armée avait besoin d’un vaccin contre la fertilité afin que les femmes soldats ne tombent pas enceintes.

Alors que certains des scientifiques impliqués dans le projet ont nié avoir eu connaissance d’intentions ultérieures ou même que leur travail sur la fertilité faisait partie d’un effort militaire, Van Rensburg et Daniel Goosen, un directeur de laboratoire, ont déclaré à la Commission Vérité et Réconciliation que la véritable intention derrière le projet était d’administrer sélectivement le contraceptif en secret à des femmes noires sud-africaines à leur insu.

En fin de compte, le vaccin contre la fertilité n’a pas été produit avant la fermeture officielle du projet Coast en 1995, 12 ans après son lancement. Une première version a été testée sur des babouins, mais jamais sur des humains. L’Afrique du Sud n’est pas le seul pays à essayer de stériliser de force une partie de sa population. Des pays européens, dont la Suède et la Suisse, ont stérilisé des membres de la minorité rom dans la première moitié du XXe siècle et certains, comme la Slovaquie, ont même continué au-delà. Plus récemment, des analystes ont affirmé que le gouvernement chinois stérilisait des femmes dans le Xinjiang, une province comptant une importante population de musulmans ouïgours.

Il n’est pas nécessaire de faire un grand saut dans l’imagination pour comprendre comment les objectifs du projet sud-africain de vaccin contre la fertilité auraient pu bénéficier de la recherche sur les vaccins à diffusion automatique, en particulier si l’on y associe les développements actuels en matière de pharmacogénomique, de développement de médicaments et de médecine personnalisée. Pris ensemble, ces axes de recherche pourraient permettre une guerre biologique ultra ciblée.

Un potentiel d’abus croissant

La Convention sur les armes biologiques, le traité qui interdit les armes biologiques, a presque 50 ans. Négociée et acceptée au plus profond de la guerre froide, la convention souffre de modes de fonctionnement dépassés. Elle pose également d’importants problèmes d’évaluation de la conformité. La convention n’a certainement pas empêché l’Afrique du Sud de poursuivre le projet Coast au début des années 1980.

La recherche sur les vaccins autoportés est un domaine restreint, mais en pleine expansion. À l’heure actuelle, une dizaine d’institutions effectuent des travaux importants dans ce domaine. Ces laboratoires sont principalement situés aux États-Unis, mais certains se trouvent également en Europe et en Australie. À mesure que le domaine s’étend, les risques d’abus augmentent.

Jusqu’à présent, la recherche a été principalement financée par des organismes de financement de la science et de la santé du gouvernement américain, comme la National Science Foundation, les National Institutes of Health et le Department of Health and Human Services. Des organisations privées comme la Fondation Gates et des institutions universitaires ont également financé des projets. Récemment, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), parfois considérée comme l’aile de recherche et de développement de l’armée américaine, s’est impliquée dans la recherche. L’université de Californie, à Davis, par exemple, travaille sur un projet administré par la DARPA intitulé « Prediction of Spillover Potential and Interventional En Masse Animal Vaccination to Prevent Emerging Pathogen Threats in Current and Future Zones of US Military Operation ». Selon une brochure, le projet vise à « créer le premier prototype au monde d’un vaccin autodisséminant conçu pour induire un niveau élevé d’immunité collective (protection au niveau de la population sauvage) contre le virus de Lassa… et Ebola ».

L’investissement militaire dans l’innovation biologique à des fins défensives ou de protection est autorisé par la convention sur les armes biologiques, mais il peut néanmoins envoyer de mauvais signaux. Ils pourraient amener les pays à douter de leurs intentions respectives et conduire à des investissements réciproques dans des recherches potentiellement risquées, notamment dans des vaccins à diffusion automatique. Le résultat d’une recherche qui tourne mal ou d’une guerre biologique pourrait être catastrophique pour la santé et l’environnement.

À l’heure où la norme contre les armes chimiques se dégrade, comme l’a souligné récemment l’empoisonnement du leader de l’opposition russe Alexei Navalny avec l’agent neurotoxique Novichok — un crime dont de nombreux responsables européens accusent la Russie — la communauté internationale ne peut tout simplement pas se permettre qu’il en aille de même pour la norme contre l’utilisation d’armes biologiques. Cela défierait complètement l’esprit du traité si les États semblaient vouloir poursuivre des activités à double usage à haut risque dans le domaine de la biologie.

Des conversations précoces, ouvertes et de bonne foi sur les objectifs et les avancées scientifiques qui suscitent des préoccupations particulières en matière de double usage, comme c’est le cas des vaccins à diffusion automatique, sont essentielles pour explorer les enjeux plus larges de certaines trajectoires techniques. Le programme de l’université de Californie à Davis cherche des moyens d’intégrer un « interrupteur » pour contrôler la technologie en toute sécurité. Et la DARPA affirme que toute expérimentation sur le terrain liée au projet suivra les protocoles de biosécurité. Mais ces promesses ne suffiront pas. Notre ambition doit être de prendre une décision collective sur les voies techniques que nous sommes prêts, ou non, à emprunter en tant que société.




LES COLLABOS (co-labos ?) DU PASS SANITAIRE SE DÉMASQUENT

Par le docteur Gérard Delépine

Le chantage « vacciné ou discriminé » de nos gouvernants suscite la collaboration active de certains soumis, politiques, artistes, professions en péril, médecins, pharmaciens, biologistes, etc. et des médias aux ordres des milliardaires.

Au lieu de réclamer avec l’ensemble de la population le retour de nos libertés fondamentales bafouées inutilement, et l’autorisation des traitements précoces efficaces, ils préfèrent cautionner des mesures antidémocratiques d’apartheid et jouer les capos.

Ainsi certains prestataires de services du secteur des mariages auraient proposé au ministère la mise en place d’un pass sanitaire(([1] Marcelo Torello Covid-19 : pour les mariages, bientôt un pass sanitaire ? le point le 03/05/2021)) pour pouvoir se marier, comme le directeur du festival d’Avignon(([2] Festival d’Avignon – Olivier Py : « Il faudra un pass sanitaire pour entrer dans la Cour d’honneur « La Provence 1/5/2021)) pour pouvoir assister au festival. Jean Vilar doit se retourner dans sa tombe ! le maire de la Baule aurait aussi vendu son âme du diable pour des broutilles.

Certains politiques se démasquent, rendant très inquiets pour les prochaines élections.

De Marine Le Pen à Jean-Luc Mélenchon en passant par Jean-Christophe Lagarde et François Bayrou, nous avons entendu des appels à l’élargissement de la vaccination voire à son obligation, sans cri d’orfraie contre cette étoile jaune-verte du Covid qui viendrait discriminer honteusement des catégories de population : les vaccinés, les non-vaccinés, les allergiques, les anciens malades covid chroniques, etc. et tous ceux dont les statuts particuliers ne leur permettraient pas d’entrer dans les cases prévues par nos administratifs.

70 ans après la Seconde Guerre mondiale et les horreurs de la Shoah, et des juifs discriminés par le port de l’épouvantable étoile jaune, comment la mémoire collective peut-elle manquer à ce point ?

Cette discrimination envisagée ne choque pas la plupart des journalistes, y compris les femmes, les gens de couleur, etc. qui passent leurs vies à trouver des anomalies racialistes dans l’Histoire et dans notre culture.

Un exemple grotesque du jour : le baiser du Prince à la Belle au Bois dormant est-il raciste ?

Nous en sommes à ce degré de folie, mais séparer les gens sur la foi d’un vaccin qui ne protège pas, d’un test PCR qui est un vaste enfumage, d’un statut sanguin d’anticorps sans valeur médicale ne les gênerait pas ! Comme d’ailleurs les végans ou autres écologistes militants contre les OGM dans l’alimentation, qui ne sont pas pour autant conduits à refuser une drogue injectable dans son propre organisme de type OGM.

Et pourtant, rappelons-le une nouvelle fois, il n’y a pas de Pandémie comme l’affirme le rédacteur en chef du Lancet : « covid-19 » is not a pandemic »(([3] Lancet vol 396,10255 SEPT 2020 P 874)). La mortalité directe du Covid a touché essentiellement les plus de 80 ans et les conséquences se verront surtout sur tous les drames, non du virus, mais des mesures liberticides majeures prises par les pays soumis à l’ordre mondial dirigé au moins apparemment par l’OMS.

L’effet premier de la pseudo « pandémie » Covid est-il la perte de tout bon sens ?

QUELS SONT LES VRAIS MOTIFS D’UN PASSEPORT SANITAIRE ?

Notons qu’en ce début mai 2021, il est déjà refusé par les USA, la Russie, et l’Inde et singulièrement l’OMS. Mais l’UE, et la France à ses pieds sont plus extrémistes que tous les autres. Pourtant imagine-t-on la France se couper de sa riche clientèle américaine libre de circuler chez elle, ou bien imposer son passeport sanitaire aux Européens et pas à tous les autres voyageurs? On voit bien que tout cela est grotesque et a surtout dans l’immédiat le but de convaincre à la vaccination un maximum de Français et d’éviter d’avoir trop de doses inutilisées comme pour le vaccin H1N1.

NÉANMOINS LA TENTATION TOTALITAIRE EST PRÉSENTE

C’est la démocratie qu’ils veulent assassiner

Rappelons ici que le droit au mariage constitue l’un des droits humains fondamentaux, et que toutes les restrictions de liberté qu’on nous impose n’ont aucune utilité sanitaire démontrée. Elles ont totalement échoué et nous ont placés, en un an, parmi les six grands pays européens à la mortalité Covid19 la plus forte.

De même, la liberté de se réunir et de disposer de son corps représente un des droits humains essentiels.

Comme celui de refuser de prétendus vaccins (de fait produits de thérapie génique différents des vaccins classiques) totalement expérimentaux. Leurs résultats actuels en populations sont très inquiétants, car suivis de très fortes hausses post vaccinales des contaminations et des morts attribués au Covid19, pendant 4 à 6 semaines ainsi que l’illustre la comparaison des courbes OMS des épidémies en Grande-Bretagne que les médias érigent en succès.

Les Pays-Bas sont discrets, mais tellement plus efficaces, en ne vaccinant qu’avec discernement

On peut comprendre les difficultés extrêmes de nombreuses professions menacées de mort par les médias qui taisent les traitements précoces efficaces qui ont démontré tout leur intérêt dans les pays qui les ont utilisés.

Mais cela devrait les inciter à devenir des résistants, à combattre fermement la tyrannie au lieu de tenter des petits arrangements avec les tyrans. Les libertés ne se négocient pas, elles s’obtiennent et se défendent par la lutte ! La collaboration avec l’oppresseur affaiblit la résistance et doit être sanctionnée. Boycottons tous ceux qui prônent de pareilles mesures !

Se marier est un droit reconnu et protégé par des textes fondamentaux

Que ce soit l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948, l’article 23 du Pacte International des droits Civils et Politique, l’article 8 et 12 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme.

La décision n° 2003-484 du 20 novembre 2003 du Conseil Constitutionnel a rappelé que la liberté matrimoniale est un principe à valeur constitutionnelle protégé par les articles 2 et 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1789.

Le mariage comme les festivals doivent rester des fêtes. Limiter le nombre de personnes, leur faculté de choisir leurs tenues (en fermant des magasins jugés non essentiels), leurs modalités festives constitue des atteintes disproportionnées à ce droit.

Ces fêtes ne sont pas dangereuses

Après la fête de la musique, les fêtes sauvages techno ou pas, le carnaval de Marseille ou la réunion récente des Buttes Chaumont, les covidterroristes ont prétendu que leurs participants mettaient en danger autrui, les policiers ont parfois dérapé(([4] Vidéo exclusive : les images d’une opération de police qui dérape à Marseille La Provence 3/5/2021 https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6342405/video-exclusive-les-images-dune-operation-de-police-qui-derape-a-marseille.html)), et les procureurs ont poursuivi en justice leurs organisateurs.

Pourtant aucun de ces rassemblements n’a été suivi par le moindre cluster. Dans un monde où la raison dominerait, la charge de la preuve devrait incomber aux avocats du confinement et des mesures sanitaires, car ce sont eux qui ont abandonné 100 ans de sagesse médicale en santé publique et l’ont remplacé par des obligations jupitériennes non testées piétinant la liberté, le libre choix du médecin pour le traitement de son patient, et des droits de l’homme.

Des mesures sanitaires liberticides aux résultats catastrophiques

La chloroquine a été interdite de prescription au prétexte qu’il n’existait pas de preuve scientifique de son efficacité. Mais les mesures de restrictions de libertés ont été imposées alors qu’aucune preuve n’existe qu’elles puissent être utiles.

Et depuis un an, la totalité des études analysant les faits avérés montrent qu’elles ne modifient guère l’évolution de l’épidémie et qu’elles infligent des dommages considérables(([5] https://torontosun.com/opinion/columnists/canadian-experts-research-finds-lockdown-harms-are-10-times-gL Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,reater-than-benefits/wcm/cc911cf4-fb29-4cb7-9f7e-3d39b368fb6f/amp/?)) non seulement sanitaires (victimes collatérales par défaut de soins, troubles psychiques, suicides), mais aussi crise économique, explosion de la dette, massacre de l’enseignement, et de l’avenir des jeunes, chômage.

Les avocats français de ces mesures (J. P. Delfraissy et le conseil scientifique) se sont basés sur leur foi dans la prophétie de Ferguson (simple simulation mathématique totalement erronée).

Analysant les faits avérés, ils ont récemment reconnu la nocivité du confinement : « l’impact de l’enfermement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire à venir étant le taux de chômage et la dette nationale. Les conséquences sociales et sanitaires (y compris la santé mentale) sont également colossales, en particulier pour les jeunes générations, bien qu’elles soient à faible risque en termes de morbidité et de mortalité par infection par le SRAS-CoV-2 ».et la nécessité d’un changement de stratégie sanitaire(([6] Le Conseil scientifique retourne sa veste partiellement sur le confinement. L’heure des comptes approche-t-elle ? (francesoir.fr) )) : « il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start comme principale réponse à la pandémie »

Les pays européens tels que la Biélorussie, les Pays-Bas, la Finlande et la Suède qui n’ont pas imposé ces mesures liberticides ont une mortalité Covid bien plus faible que la nôtre.

Les états américains qui ont supprimé la totalité de ces mesures abracadabrantesques, comme le Texas et le Mississippi, bénéficient de la poursuite de la décrue majeure de l’épidémie avant même que la vaccination ait pu agir, puisqu’au 23 avril 2021 moins d’un tiers de la population était vaccinée alors que ses promoteurs estiment que la couverture vaccinale doit atteindre 70-80% pour qu’elle soit efficace.

Le pass vaccinal témoigne d’une angoisse qui ignore la logique. Si l’on croit à l’efficacité et à l’innocuité du vaccin et si on a peur de la maladie, il est normal de se faire vacciner; mais si on croit que le vaccin protège le vacciné, il est totalement illogique de craindre le contact des non-vaccinés et incompréhensible de vouloir leur imposer un médicament expérimental, d’autant que le ministre lui-même reconnaît que la vaccination n’empêche pas les transmissions virales et que le Conseil d’État s’est rangé à son avis «les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion dans des proportions qui ne sont aujourd’hui pas connues. » (([7] https://www.europe1.fr/sante/le-conseil-detat-deboute-un-octogenaire-vaccine-qui-demandait-a-etre-deconfine-4035600)) (([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees))

Conséquences du pass vaccinal en France

Le pass vaccinal n’est pas recommandé par l’OMS ni par la Maison-Blanche, et interdit dans de nombreux États américains, car jugé contraire à la constitution. Ni la Chine, ni l’Inde, ni la Russie ne le prônent.

Imposer dans les restaurants, les hôtels, les festivals et autres lieux de culture et de spectacles français un tel pass vaccinal aboutirait à dissuader les clientèles étrangères de venir visiter la France, de fréquenter nos établissements et les inciteraient à se diriger vers des pays plus libres.

Ce n’est pas d’un pass repoussoir de clientèle que ces professionnels ont besoin.

Ce dont la France a besoin ce n’est pas d’un pass inapplicable que seuls quelques pays européens veulent imposer, mais du retour aux libertés de se déplacer et de travailler pour tous et de la liberté de prescrire pour les médecins.

L’exemple de tous les pays qui ont récemment tenté la suppression des mesures prétendument sanitaires montre que ce n’est pas dangereux.

Comme le disait Victor Hugo « la seule chose dont j’ai peur, ce sont des gens qui ont peur »

Boycottons les collabos
Privilégions les commerçants résistants que vous trouverez en consultant ANIMAP, le site des commerçants qui ne demandent aucune preuve de test ou de vaccin sur les sites

Et des appels à se liguer pour refuser le passeport sanitaire émanent de partout. Citons l’appel de Mike Yeadon relayé par le blog de jeannesmits (réf 8)

Le passeport vaccinal, un instrument de tyrannie durable, inédit, et absolu, selon Mike Yeadon, ancien vice-président de Pfizer(([9] https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html)) 30 avril 21

Le Dr Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, a évoqué il y a quelques jours les plans visant à étendre la mise en œuvre du passeport vert dans un appel public à la vigilance adressé à America ’s Front line Doctors, association de médecins qui soutient les traitements efficaces contre le COVID-19 et s’oppose à la vaccination au moyen d’un agent biologique expérimental :

« Nous y sommes en Israël maintenant, et le Royaume-Uni sera pareil dans quelques semaines. »

Emmanuel Macron a annoncé que le passeport sanitaire devrait être mis en place début juin en France pour autoriser l’accès aux grandes manifestations publiques. Ce ne serait pas un passeport vaccinal, mais de « statut COVID », puisqu’il faudrait apporter la preuve soit de la vaccination, soit d’un test covid négatif de moins de 48 heures, soit d’une infection ayant muni le porteur d’anticorps.

Ce que dit Mike Yeadon, les outils sont là : ce sont eux qui sont mis en place.

« Certains diront que cela relève du fantasme. Je les aide à l’espérer, comme le disait ma chère Maman. Mais sachez que d’ores et déjà en Alaska, un village interdit à ses habitants de faire leurs courses en personne si elles n’ont pas été vaccinées. Et là, pour le coup, il ne s’agit pas d’une mesure ponctuelle pour « stopper la pandémie » : il n’y a aucune raison de revenir en arrière. »

MESSAGE DE Mike Yeadon aux médecins américains de Front Line Doctors

  • « À vous qui pensez que les passeports vaccinaux sont bons, ou du moins corrects, je m’adresse à vous.
  • Si vous êtes une personne vulnérable et que vous avez été vacciné, vous êtes protégé. Vous n’avez pas besoin de connaître le statut immunitaire d’autrui. Remarquez que même s’ils ont été vaccinés, cela ne garantit pas qu’ils ne puissent pas être porteurs d’une seule particule virale et vous la transmettre. Il n’est donc pas utile pour vous ou pour votre sécurité de savoir que tout le monde a été vacciné.
  • Si vous avez refusé de vous faire vacciner, par exemple, parce que vous n’êtes pas exposé à ce virus, sachant que les jeunes sont PLUS exposés à la grippe qu’au COVID-19, vous n’avez pas non plus besoin de connaître le statut immunitaire des autres.
  • La vaccination protège ceux qui en ont besoin. Les passeports vaccinaux ne protègent personne.
  • Mais le passeport vaccinal est utile à nos maîtres. Il s’agira de la première base de données au format commun, utilisable de Boston à Bogota, contenant votre identifiant numérique unique et un indicateur d’état de santé modifiable (initialement relatif au statut vaccinal).
  • Celui qui contrôle cette base de données et tout algorithme régissant ce qu’elle autorise ou refuse, possède un contrôle absolument totalitaire sur tous les aspects de votre vie.
  • Imaginez un avenir dans lequel un passeport vaccinal valide serait nécessaire pour entrer dans un terrain de sport ou un musée. Passeport vaccinal invalide : pas d’entrée.
  • Imaginez maintenant que les règles soient durcies (et elles le seront). Désormais, vous ne pourrez plus entrer dans les grands centres commerciaux ou dans des hôtels sans un passe valide.
  • Ira-t-on plus loin ? Bien sûr, pourquoi pas. L’algorithme sera modifié et vous ne pourrez plus entrer dans les grands supermarchés ou prendre les transports publics.
  • Une étape tyrannique pourrait consister en une modification de Visa/MasterCard qui exigerait un passeport vaccinal valide AVANT qu’un terminal ne s’ouvre pour une transaction d’achat.
  • Dès lors, vous ne pourriez même pas acheter une bouteille d’eau. Ou du carburant. Ou quoi que ce soit d’autre.
  • Ping ! Votre passeport vaccinal vous ordonne de vous présenter pour votre rappel de vaccin. Si vous ne le faites pas, votre passe expire. Pensez-vous avoir le choix ?
  • Ping ! On vous rappelle que vous devez aussi amener votre petit-fils, car sa mère ne l’a pas fait. Si vous ne le faites pas, votre passe devient invalide, tout comme celui de la mère du bébé. Pensez-vous toujours que vous aurez le choix ?
  • Le fait que je puisse facilement trouver des exemples doit au moins vous indiquer que le potentiel de contrôle totalitaire de toute la population se trouve tapi comme un ver au centre de cet avenir orwellien.
  • Ce n’est pas de la spéculation. On nous dit que ce système est sur le point d’arriver. Vous serez contraint de vous faire vacciner ou vous serez rapidement marginalisé.
  • Une fois que vous serez vaccinés, les libertés limitées qu’ils vous accordent peuvent être retirées à tout moment.
  • Ne vous faites pas d’illusions en imaginant que « personne ne pourrait être aussi méchant ». Je vous renvoie à de nombreux exemples au cours du siècle dernier. Il y a beaucoup de gens mauvais et la seule différence ici est l’ÉCHELLE et la nature irréversible du mal.
  • Maintenant que vous avez vu ce qu’il est si facile de faire pour prendre le contrôle total d’une société entière, vous DEVEZ vous opposer et trouver des moyens d’empêcher un système de passeport vaccinal de voir le jour. Par tous les us et moyens nécessaires. Enfin, à ceux qui disent que tout cela relève seulement d’une série d’erreurs malencontreuses et de l’incompétence, je vous invite à regarder ce documentaire. Bien avant d’arriver à la fin, vous réaliserez, comme je l’ai fait avec une horreur croissante, qu’il ne s’agit absolument pas d’incompétence. C’est un exercice répété et des exercices de ce type sont utilisés pour des jeux de guerre depuis des années, voire des décennies. Cela vous fera peut-être changer d’avis sur les origines de ce désordre et de ces crimes. Mais s’il vous plaît, une chose : ne dites pas qu’on ne vous a pas prévenus. »(([10] © leblogdejeannesmits pour la traduction
    Les liens de partage sur les réseaux sociaux ne figurent plus sous les articles de ce blog. Censure ? Aidez-moi à faire circuler les informations ci-dessus en copiant ce lien permanent https://leblogdejeannesmits.blogspot.com/2021/04/Mike-.html pour le partager par courriel ou sur une plateforme que vous fréquentez. Merci !))

Vous êtes prévenus ! PRÉVENEZ VOS VOISINS ET AMIS.

RÉSISTEZ !





Virus Mania : Comment Big Pharma et les médias inventent les épidémies

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Nous ne vivons pas une épidémie, nous vivons une épidémie de peur.

« La Virus Mania est une maladie de la société moderne. Pour la guérir, il faudra vaincre la peur, la peur étant le virus contagieux le plus mortel, le plus efficacement transmis par les médias… l’erreur est humaine, mais entretenir l’erreur est diabolique”

Étienne de Harven, médecin, dans la préface du livre.

Avant que la panique du coronavirus ne soit déclenchée aux États-Unis, Torsten Engelbrecht et Claus Köhnlein, M.D., Kiel, Allemagne, ont écrit un livre en 2007, “Virus Mania : How the Medical Industry Invents Epidemics Making Billion Dollar Profits at our Expense” (Virus Mania : comment l’industrie médicale invente les épidémies en réalisant des profits de plusieurs milliards de dollars à nos dépens). Ce livre est non seulement prophétique mais inattaquable avec 836 notes de bas de page sur 266 pages.

Ce livre rendra fous la plupart des gens qui ont perdu des entreprises et des emplois à cause de la réaction excessive du gouvernement à la soi-disant épidémie de virus. Le Dr Kohnlein réfute scientifiquement les idées reçues selon lesquelles le SARS Coronavirus, le SIDA, la grippe asiatique, l’hépatite, la polio et le cancer du col de l’utérus sont causés par un virus. Selon ses recherches, les virus sont accusés d’être à l’origine de nombreuses épidémies fabriquées par l’industrie pharmaceutique et les grands médias qui récoltent des milliards de dollars grâce à la panique des gouvernements.

Quel virus ?

Kohnlein indique clairement dès le départ que la médecine moderne en est encore à l’âge de pierre lorsqu’il s’agit d’épidémies virales. La cause de l’épidémie de corona virus n’est que supposée être un virus à partir d’anticorps indirects qui ne sont pas spécifiques pour déterminer la cause virale. Les anticorps sont une sorte d’empreinte, mais on ignore encore de quoi il s’agit, selon M. Kohniein. Les drogues récréatives et les antibiotiques peuvent également produire des anticorps, ce qui entraîne des résultats positifs aux tests de dépistage des virus. Il affirme que les virus peuvent être autoproduits dans le corps humain pour ce que nous en savons à l’heure actuelle.

Le livre de Kohniein ne nie pas que les gens tombent malades, “bien que beaucoup ne soient pas vraiment malades, mais sont seulement définis comme malades, et sont ensuite rendus malades ou tués”, dit-il.

Selon Kohnlein, l’absence totale de germes entraîne la mort. Il indique que les politiques de santé en matière d’épidémies sont fondées sur la “théorie des germes” erronée de Louis Pasteur, utilisée pour exploiter la peur. En revanche, la théorie du terrain (théorie du milieu) d’Antoine Bechamp est plus précise mais n’est jamais utilisée par les décideurs politiques. Selon la théorie du terrain, le système immunitaire doit d’abord être un milieu fertile pour qu’un virus, une bactérie ou une grippe puisse causer des dommages ou déclencher une réaction auto-immune qui peut tuer. Pour M. Kohnlein, le dépistage des virus revient à “essayer de dire que quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale”.

Selon Kohnlein, la théorie des germes a la faveur du gouvernement car “il préfère que l’homme périsse plutôt que de changer ses habitudes”, ce qui aide les politiciens à apaiser certains groupes.

Non pas une arme virale, mais une arme thérapeutique ?

Dans une autre interview (ici), Kohnlein cite une étude de cas du Lancet Journal sur la façon dont les médecins prescrivent trop de médicaments et de traitements afin de ne pas être légalement accusés de ne rien faire. Mais cela tue le patient. Selon lui, le protocole médical de traitement du prétendu coronavirus, publié dans le numéro du 18 février 2020 du prestigieux Lancet Journal au début de la panique virale, est une faute professionnelle.

Les auteurs de cette étude de cas du Lancet étaient liés à l’école des sciences de la santé de l’université de Wuhan, en Chine. Cela soulève la question de savoir si la Chine n’a pas nécessairement utilisé un virus comme arme, mais plutôt un protocole de traitement mortel qui a été utilisé sur des patients atteints de coronavirus aux États-Unis, qui avaient la grippe ou la tuberculose.

Dans son interview en ligne, Kohnlein dit qu’il traite les personnes qui entrent dans sa clinique et qui veulent être testées pour le coronavirus en raison de symptômes tels que la fièvre, l’essoufflement, etc. Il leur dit de rentrer chez eux avec les remèdes habituels pour la grippe (repos au lit, hydratation, aspirine, etc.). Lorsqu’on le pousse à faire le test, il constate qu’ils ont la grippe A et qualifie le test du coronavirus de très peu fiable car il est programmé pour donner de faux positifs.

Surtraitement

Kohnlein a déclaré que les médecins ont tendance à surtraiter pour qu’on ne puisse pas leur reprocher de ne rien faire.

Il a ajouté :

“Les hommes politiques sont dans la même position (que les médecins) et c’est pourquoi ils réagissent de manière excessive, car ils perdraient leur poste s’ils n’en faisaient pas assez. S’ils mettaient en œuvre toutes les mesures, comme ils l’ont fait jusqu’à présent, alors ils stopperaient une épidémie qui n’a sans doute jamais existé.”

Le secret

Selon Kohnlein, la science médicale est gouvernée par le “secret”, qui utilise une urgence épidémique ”autogénérée” comme couverture pour son ”octroi de privilèges, son absence de responsabilité, son manque flagrant de contrôle” et ses protocoles médicaux démesurés. Cette situation est soutenue par une “quasi-religion” qui invente ses propres marqueurs de maladie faussement positifs, sa propre théorie des germes et une fausse croyance en une “solution miracle” de vaccinations qui arrivent trop tard, ne fonctionnent pas et peuvent tuer.

Peur

Il ne s’agit pas d’un livre de charlatans écrit par des personnes en marge de la politique ou ayant un programme politique. Il a été écrit en Europe, avec un regard sur les politiques mondiales.

Joachim Mutter, MD, Freiberg, Allemagne, écrit dans la préface du livre :

“…la plupart des épidémies présentées dans les médias comme étant de véritables histoires d’horreur (grippe, grippe aviaire, sida, ESB, hépatite C, etc.) n’existent pas en réalité ou sont inoffensives.”

Etienne de Harven, médecin, professeur émérite de l’Université de Toronto, écrit également dans l’avant-propos :

“Nous ne sommes pas témoins d’épidémies ; nous sommes témoins d’épidémies de peur. Et ce sont les médias et l’industrie pharmaceutique qui portent la plus grande part de responsabilité dans l’amplification des peurs, peurs qui se trouvent, par ailleurs, être toujours à l’origine d’affaires fantastiquement rentables”.

Ce livre ne sera pas lu par ceux que Kohnlein appelle les profiteurs de l’industrie pharmaceutique “corrompue” et les médias opportunistes, ni par les responsables de la politique de santé du gouvernement. Mais peut-être les citoyens qui ont été emportés par la panique peuvent-ils être mieux informés sur la situation générale de la panique liée au coronavirus. Les hôpitaux devraient peut-être se concentrer sur la grippe et les porteurs de tuberculose latente qui sont plus sensibles au virus ou à la grippe.

Source : Virus Mania: How Big Pharma, Media Invent Epidemics – California Globe
Traduction par https://cv19.fr

Virus Mania: How the Medical Industry Continually Invents Epidemics, Making Billion-Dollar Profits At Our Expense




La mystification du Covid19 en Inde : les faits réels

Par Gérard Delépine

Étude basée sur les chiffres officiels de l’OMS

La propagande terrorisante redouble via le croquemitaine indien

Nous devrions plutôt envier l’Inde pour ses résultats anti covid-19 ! Le pouvoir, et les médias proches de lui sentent que la population française commence à ne plus supporter les mesures prétendument sanitaires imposées depuis un an. La population devient de plus en plus réticente à la vaccination.

Ils ont donc créé un nouveau croquemitaine anxiogène destiné à relancer la panique qui bloque réflexion et rébellion : le double variant indien.

À les entendre, l’Inde serait en passe de se transformer en pays de zombies, par une catastrophe sanitaire sans précédent, avec des scènes d’apocalypse, des hôpitaux débordés, des respirateurs absents, des morts abandonnés sur les trottoirs.(([1] Une vidéo montrant des victimes sur les trottoirs a été démasquée comme correspondant à l’accident))

Avant de croire ces désinformations du pouvoir et des médias, il faut considérer les faits, les faits avérés et publiés sur des sites fiables tels que celui de l’OMS ou du OurWorldinData.

En vérifiant vous-même, vous constaterez que l’Inde comptabilise depuis le début de l’épidémie, par million d’habitants, dix fois moins de morts attribuées au Covid19 que la France.

Au lieu de pleurer sur leur sort et se laisser terroriser par leur « variant » supposé nous envahir et nous tuer tous, nous devrions être jaloux des résultats indiens et essayer de comprendre comment un pays moins avancé se montre capable de nous surpasser à ce point.

Les faits bruts : une situation globale meilleure que la nôtre

L’Inde est un immense pays, un véritable continent. Sa population (1,3 milliard) est le double de celle de l’Europe et presque vingt fois celle de la France.

Ce premier mai 2021, d’après l’OMS sur son site WHO Covid19 Dashboard consultable à https://covid19.who.int/region/searo/country/in), l’Inde a comptabilisé au total 18 762 976 cas confirmés de Covid19 et 208 330 morts contre 5 505 700 cas et 103 540 morts en France.

La mortalité par million d’habitants s’élève à 160 en Inde contre 1586 en France. Dix fois moins !

Comparaison des mortalités entre Inde et pays européens

Ces excellents résultats sur la mortalité attribuée au Covid19 ne sont pas récents. La comparaison des mortalités quotidiennes par million d’habitants avec les pays européens reste constamment en sa faveur depuis le début de la crise.

Les graphiques suivants issus de OurWorldinData sont suffisamment explicites, qu’il s’agisse de la comparaison avec la Grande-Bretagne et avec les grands pays européens ou américains.

MORTALITÉ COMPARÉE Inde — Grande-Bretagne

La courbe de l’Inde en vert se situe tout en bas sur le graphique ci-dessus.

La comparaison des mortalités attribués au Covid-19 avec les autres grands pays d’Europe ou d’Amérique est également très parlante.

La courbe des décès de l’Inde établie au 23 avril 2021, en orange, se situe tout en bas sur le graphique. La mortalité y est la plus faible des grands pays ici comparés.

Ces résultats globaux sont d’autant plus remarquables que les services de soins de santé de l’Inde sont nettement inadaptés, marqués par l’insuffisance d’approvisionnement en matériel critique (oxygène, respirateurs) et en lits d’hôpitaux, situation aggravée par la spéculation et la corruption, au point que le gouvernement a annoncé que tout fonctionnaire qui serait pris en flagrant délit d’organiser sciemment la pénurie serait passible de la peine de mort.

Tout se passait bien sous traitements précoces et avant la campagne de vaccination

Parmi les hypothèses permettant de comprendre pourquoi l’Inde a aussi bien résisté au Covid19, alors que nous subissions la crise de plein fouet, il faut rappeler que la task force sanitaire indienne a d’emblée recommandé les traitements précoces et en particulier l’hydroxychloroquine(([2] HIMANI CHANDNA India’s use of chloroquine to prevent Covid-19 based on data from Chinese studies
Niti Aayog member V.K Paul, The print Z7/3/2020)) à tous les malades dès le premier signe clinique et même à titre préventif(([3] 4 or more hydroxychloroquine doses reduced risk of coronavirus in healthcare workers : ICMR study)) pour les personnes exposées (soignants et famille dont un membre était contagieux.)

Une augmentation récente des cas et de la mortalité à l’arrivée du vaccin !

La menace Covid-19 indienne paraissait sous contrôle jusqu’à l’introduction de la vaccination le 16 janvier 2021, et l’accélération de la campagne de vaccination depuis début mars utilisant principalement la version indienne de l’injection expérimentale d’Astra Zeneca.

À la fin du mois de mars, l’Inde avait administré au total 55 800 000 premières doses et réalisé 9 300 000 vaccinations complètes.

Comme ailleurs, aggravation de la situation avec la campagne vaccinale

Cette campagne de vaccination a été suivie d’une franche augmentation des contaminations, puis des décès comme le montre cette courbe de l’OMS.

Notez que les cas de COVID-19 étaient en baisse au moment du début de la vaccination.

Cette explosion de nouvelles contaminations et de décès suivant la campagne de vaccination est plus sévère dans les zones très vaccinées, ce qui suggère qu’elle pourrait avoir une part de responsabilité, plus que le double mutant repéré là-bas, mais pas plus fréquent dans ces zones.

L’État indien de l’Uttar Pradesh(([4] L’Inde est une république fédérale depuis 1950))

a recommandé le traitement prophylactique ZIVERDO (zinc, ivermectine, antibiotique) et vacciné 2,7 % de sa population. Il regroupe 15 % de la population indienne avec 5 % des cas, 6 % des décès, un taux d’incidence de 0,32 % et 4,47 décès pour 100 000 habitants.

L’État de Mumbai

très vacciné compte 9 % de la population, mais 25 % des cas totaux en Inde, et 35 % des décès (soit une mortalité supérieure à 50 pour 100 000 habitants).

Le même phénomène d’exacerbation de l’épidémie après la vaccination a été observé dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné et justifie la recherche d’un éventuel lien de cause à effet.(([5] Mise à jour le 30 avril 2021 dans :
https://nouveau-monde.ca/et-surgit-une-hecatombe-post-vaccinale/))

Cette relation possiblement causale est en tous cas apparue suffisamment évidente à de nombreux villageois hindous pour qu’ils chassent à coups de pierre les agents venus pour les vacciner !

Conclusions

Mise en perspective, la situation sanitaire en Inde n’a rien d’inquiétant, d’autant que le gouvernement indien a ralenti la campagne de vaccination.

Les 3000-3500 morts quotidiens rapportés en cette dernière semaine d’avril 2021 ne correspondent, à l’échelle de la France, qu’à 150-175 personnes, alors qu’au plus fort de la première vague, la France en comptait 3 fois plus.

La chronologie campagne de vaccination précédant une poussée épidémique, déjà observée dans tous les pays qui vaccinent beaucoup, soulève de véritables inquiétudes qui méritent des études épidémiologiques urgentes.

Il faut espérer que les nouvelles recommandations des autorités sanitaires indiennes, ajoutant l’Ivermectine aux autres traitements employés, permettront à ce grand pays de reprendre rapidement le contrôle de l’épidémie et de garder sa place de champion mondial anti covid des grands pays.





18 raisons pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre le Covid

[Source : Sott.net]

Par Christian Elliot — Deconstructing Conventional

Quelques amis m’ont demandé mon avis sur le(s) « vaccin(s) » anti-Covid, alors j’ai pensé qu’il était temps d’écrire un article sur le sujet. Ils n’avaient pas tous pris connaissance de la plupart des détails que j’ai déjà partagés, j’ai donc pensé que vous pourriez apprécier de lire une partie de ce que je leur ai dit. Sachant à quel point ce sujet est controversé, une partie de moi préférerait écrire sur autre chose, mais j’ai l’impression que la discussion/les nouvelles sont tellement unilatérales que je dois m’exprimer. Comme je m’efforce toujours de le faire, je promets de faire de mon mieux pour être raisonnable et en aucun cas hystérique.

Je ne suis pas ici pour me battre avec qui que ce soit, mais simplement pour vous faire part de ce que j’ai lu, de mes questions persistantes et vous expliquer pourquoi je n’arrive pas à donner un sens à ces « vaccins » anti-Covid.

Trois règles de base pour la discussion

Si vous souhaitez vous engager sur ce sujet avec moi, excellent. Voici les règles…
Je suis plus qu’heureux de correspondre avec vous si…

  1. vous êtes respectueux et me traitez de la manière dont vous souhaiteriez être traité ;
  2. vous posez des questions sincères et réfléchies sur ce qui a du sens pour vous ;
  3. vous faites valoir vos arguments en utilisant une logique solide et ne vous cachez pas derrière des liens ou le mot « science ».

Si vous répondez et que vous enfreignez l’une de ces règles, vos commentaires seront ignorés/supprimés.
Ceci étant dit, laissez-moi vous dire une chose… Je ne sais pas tout, mais jusqu’à présent, personne n’a été en mesure de répondre aux objections ci-dessous.

Voici donc les raisons pour lesquelles je choisis de ne pas recevoir un de ces « vaccins » anti-Covid.

N°1 — Les fabricants de ces « vaccins » sont à l’abri de toute responsabilité

Les fabricants de vaccins sont la seule industrie au monde qui n’assume aucune responsabilité pour les préjudices ou les décès résultant de leurs produits.

Établis en 1986 par la loi nationale sur les préjudices aux enfants causés par les vaccins, et renforcés par la loi PREP, les fabricants de vaccins ne peuvent être poursuivis, même s’il est démontré qu’ils ont été négligents.

Les fabricants de « vaccins » anti-Covid sont autorisés à créer un produit unique, sans aucun test sur des sous-populations — c’est-à-dire des personnes présentant des problèmes de santé spécifiques — et pourtant ils ne sont pas disposés à accepter la moindre responsabilité pour les effets indésirables ou les décès causés par leurs produits.

Si une entreprise n’est pas disposée à garantir l’innocuité de son produit, surtout s’il s’agit d’un produit qu’elle a mis sur le marché à la hâte et sur lequel elle n’a pas effectué d’essais sur les animaux, je ne suis pas prêt à prendre le risque de recourir à son produit.

Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici pourquoi…

N°2 — Le passé mouvementé des fabricants de ces « vaccins »

Soit les quatre grandes entreprises qui fabriquent ces vaccins anti-Covid,

  1. n’ont jamais mis de vaccin sur le marché avant le Covid (Moderna et Johnson & Johnson) ;
  2. sont des criminels en série (Pfizer/BioNTech et AstraZeneca) ;
  3. cochent les deux points précédents (Johnson & Johnson).

Moderna a essayé pendant des années de « Moderniser notre ARN » — d’où le nom de la société — mais n’a jamais réussi à mettre AUCUN produit sur le marché — ce qui ne les empêche pas d’être ravis d’avoir obtenu du gouvernement une importante injection de fonds pour continuer à essayer.

En fait, tous les grands fabricants de vaccins (à l’exception de Moderna) ont versé des dizaines de milliards de dollars en dommages et intérêts pour d’autres produits qu’ils ont mis sur le marché tout en sachant qu’ils pouvaient causer des préjudices et des décès — voir Vioxx, Bextra, Celebrex, Thalidomide et Opioïdes, pour ne citer que quelques exemples.

Si les entreprises pharmaceutiques choisissent délibérément de mettre sur le marché des produits nocifs, alors qu’elles peuvent être poursuivies, pourquoi ferions-nous confiance à un produit pour lequel elles n’ont AUCUNE responsabilité ?

Au cas où cela n’aurait pas été compris, laissez-moi répéter… Trois des quatre fabricants de vaccins contre la coqueluche ont été poursuivis pour des produits qu’ils ont mis sur le marché alors qu’ils savaient qu’il en résulterait des préjudices et des décès.

Permettez-moi de réitérer ce point :

Compte tenu de l’exonération de responsabilité et du passé douteux de ces entreprises, pourquoi devrions-nous supposer que tous leurs « vaccins » sont sûrs et fabriqués de manière complètement irréprochable ?

Dans quel autre domaine ferions-nous confiance à quelqu’un possédant ce genre de réputation ?
Pour moi, cela a autant de sens que d’attendre d’un amant sans remords, abusif et infidèle qu’il devienne une personne différente parce qu’un juge a dit qu’au fond, c’est une bonne personne.
Non. Je ne leur fais pas confiance.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.
Voici une autre raison pour laquelle je ne leur fais pas confiance.

N°3 — L’histoire peu glorieuse des tentatives de fabrication de vaccins contre les coronavirus

Dans le passé, de nombreuses tentatives de fabrication de vaccins viraux se sont soldées par un échec total, ce qui explique pourquoi nous n’avons pas eu de vaccin contre le coronavirus en 2020.
Dans les années 1960, des scientifiques ont tenté de fabriquer un vaccin contre le VRS — virus respiratoire syncytial — destiné aux nourrissons.

Dans cette étude, ils ont évité les essais sur les animaux car ils n’étaient à l’époque pas nécessaires.

En fin de compte, lorsqu’ils ont été exposés au virus en milieu naturel, les nourrissons vaccinés ont été bien plus malades que les nourrissons qui ne l’avaient pas été, et 80 pour cent des nourrissons vaccinés ont dû être hospitalisés et deux d’entre eux sont morts.

Après 2000, les scientifiques ont fait de nombreuses tentatives pour créer des vaccins contre les coronavirus.
Au cours des vingt dernières années, toutes se sont soldées par un échec car, tout comme les enfants des années 1960, les animaux participant aux essais cliniques sont tombés très malades et beaucoup sont morts.
Vous pouvez lire un résumé de cette histoire/science ici.
Ou si vous voulez lire les études individuelles, vous pouvez consulter ces liens :

  • En 2004, une tentative de vaccin a provoqué une hépatite chez les furets ;
  • En 2005, des souris et des civettes sont devenues malades et plus sensibles aux coronavirus après avoir été vaccinées ;
  • En 2012, les furets sont tombés malades et sont morts. Et dans cette étude, les souris et les furets ont développé une maladie pulmonaire ;
  • En 2016, cette étude montre également que les souris ont développé une maladie pulmonaire.

Le schéma typique des études mentionnées ci-dessus est que les enfants et les animaux ont produit de belles réponses en anticorps après avoir été vaccinés.
Les fabricants pensaient avoir touché le jackpot.

Le problème est survenu lorsque les enfants et les animaux ont été exposés au virus en milieu naturel.

Lorsque cela s’est produit, il s’est produit un phénomène inexpliqué appelé « facilitation de l’infection par des anticorps » [acronyme ADE en anglais – NdT], également connu sous le nom de « maladie facilitée par le vaccin » [acronyme VED en anglais – NdT] : le système immunitaire a produit une « tempête de cytokines » — ce qui veut dire que le système immunitaire a attaqué l’organisme de façon massive — et les enfants/animaux sont morts.

Le problème persistant est le suivant…

Les fabricants de vaccins n’ont aucune donnée suggérant que leurs « vaccins » faits à la va-vite ont surmonté ce problème.

En d’autres termes, aucune tentative de fabrication d’un vaccin contre les coronavirus n’a jamais été couronnée de succès, et la technologie de thérapie génique que sont les « vaccins » à ARNm n’a jamais été mise sur le marché en toute sécurité, mais comme ils ont reçu des milliards de dollars de financement public, je suis sûr qu’ils ont trouvé une solution.

Sauf qu’ils ne savent pas s’ils ont trouvé une solution…

N°4 — Les « données manquantes » soumises à la FDA par les fabricants de ces « vaccins »

Lorsque les fabricants de ces « vaccins » ont soumis leurs documents à la FDA en vue d’obtenir une autorisation d’utilisation d’urgence — une autorisation d’utilisation d’urgence n’est pas la même chose qu’une approbation complète de la FDA — ils ont signalé, parmi les nombreuses « lacunes dans les données », que rien dans leurs essais ne permettait de penser qu’ils avaient surmonté le problème épineux de la maladie facilitée par le vaccin.

Ils ne savent tout simplement pas — c’est-à-dire qu’ils n’ont aucune idée si les « vaccins » qu’ils ont fabriqués produiront également la même tempête de cytokines — et les mêmes décès — que les tentatives précédentes de l’usage de tels produits.

Comme le souligne le Dr Joseph Mercola…

« Les précédentes tentatives de développement d’un médicament à base d’ARNm utilisant des nanoparticules lipidiques ont échoué et ont dû être abandonnées parce que lorsque la dose était trop faible, le médicament n’avait aucun effet, et lorsque la dose était trop élevée, le médicament devenait trop toxique. Une question évidente se pose : qu’est-ce qui a changé pour que cette technologie soit désormais suffisamment sans danger pour une utilisation à grande échelle ? »

Si cela n’est pas assez alarmant, voici d’autres lacunes dans les données — c’est-à-dire qu’il n’existe aucune donnée suggérant l’innocuité ou l’efficacité en ce qui concerne :

  • les personnes âgées de moins de 18 ans ou de plus de 55 ans ;
  • les femmes enceintes ou allaitantes ;
  • les maladies auto-immunes ;
  • les personnes immunodéprimées ;
  • la transmission du Covid ;
  • la prévention de la mortalité due au Covid ;
  • la durée de la protection contre le Covid.

Difficile à croire, n’est-ce pas ?

Si vous pensez que j’invente tout cela, ou si vous voulez voir les documents réels envoyés à la FDA par Pfizer et Moderna pour leur autorisation d’utilisation d’urgence, vous pouvez consulter respectivement ceci et ceci. Les lacunes dans les données se trouvent à partir de la page 46 et 48, respectivement.

Pour l’instant, tournons nos regards vers les données brutes que les fabricants de ces « vaccins » ont utilisées pour soumettre leur demande d’autorisation d’utilisation d’urgence.

N°5 — Aucun accès aux données brutes des essais

Vous aimeriez voir les données brutes à l’origine des affirmations tant vantées dans les journaux selon lesquelles il y aurait « 90 pour cent et 95 pour cent d’efficacité » ?
Moi aussi…
Mais ils ne nous laisseront pas voir ces données.

Comme le souligne le British Medical Journal, quelque chose dans les allégations d’efficacité des « vaccins » de Pfizer et Moderna laisse franchement à désirer. Il y a eu

« 3 410 cas totaux de Covid-19 suspectés mais non confirmés dans la population globale de l’étude, 1 594 sont survenus dans le groupe vacciné contre 1 816 dans le groupe placebo. »

Attendez… quoi ?
Ont-ils échoué dans leur étude scientifique en ne vérifiant pas une variable majeure ?
Ne pouvaient-ils pas tester ces cas « suspects mais non confirmés » pour savoir s’ils étaient atteints du Covid ?
Apparemment pas.

Pourquoi ne pas tester les 3 410 participants par souci d’exactitude ?

Pouvons-nous seulement supposer qu’ils n’ont pas fait de tests parce que cela aurait faussé leurs affirmations quant à leur « efficacité à 90-95 pour cent » ?
Que fait la FDA ?
Ne serait-il pas prudent que la FDA attende, voire exige, des fabricants de vaccins qu’ils testent les personnes présentant des « symptômes de type Covid » et qu’ils publient leurs données brutes afin que des tiers puissent examiner comment les fabricants ont justifié ces chiffres ?

Après tout, on essaye quand même de convaincre chaque citoyen du monde de prendre ces produits expérimentaux…

Pourquoi la FDA ne l’a pas exigé ? N’est-ce quand même pas son objectif principal ?
Bonne question.
Serait-ce les renards qui gardent le poulailler ?
On dirait bien.
Pas de responsabilité. Pas de confiance.

N°6 — Aucun test d’innocuité sur le long terme

Il est évident qu’avec les produits qui ne sont sur le marché que depuis quelques mois, nous ne disposons d’aucune donnée quant aux effets — innocuité & nocivité — sur le long terme.

En d’autres termes, nous n’avons aucune idée des conséquences de ce produit sur l’organisme dans quelques mois ou années — et ce, quel que soit le type de population [vaccinée ou pas vaccinée, jeune ou vieux, sain ou malade – NdT].

Compte tenu de tous les risques susmentionnés — risques que présentent TOUS les produits pharmaceutiques — ne serait-il pas prudent d’attendre de voir si les pires scénarios ont effectivement été évités ?

Ne serait-il pas logique de vouloir combler ces « lacunes » avant d’essayer d’injecter ce produit à chaque femme, homme et enfant de la planète ?

Eh bien… ce serait logique, mais pour obtenir ces données, ils doivent procéder à des tests sur des personnes, ce qui m’amène au point suivant…

N°7 — Pas de consentement éclairé

Ce que la plupart des personnes qui se font vacciner ne savent pas, c’est que, comme ces produits sont encore en phase d’essai clinique, toute personne qui se fait vacciner fait désormais partie de l’essai clinique.

Ils font partie intégrante de l’expérience.

Ceux — comme moi — qui ne se font pas vacciner font partie du groupe témoin.
Le temps nous dira ce qui ressortira de cette expérience.
Mais, me direz-vous, si ces « vaccins » sont nocifs, ne devrait-on pas en entendre parler partout dans les médias ?
La FDA n’interviendrait-elle pas pour interrompre la distribution ?
Eh bien, si le système de signalement des effets indésirables fonctionnait, les choses seraient peut-être différentes.

N°8 — Les effets indésirables et les décès sont sous-déclarés

Selon une étude réalisée par Harvard — à la demande de notre propre gouvernement — moins de 1 pour cent de tous les effets indésirables de ces « vaccins » sont effectivement soumis au National Vaccine Adverse Events Reports System (VAERS) [qui ne vaut que pour les États-Unis – NdT] — lire la page 6 du lien ci-dessus.

Bien que les problèmes du VAERS n’aient pas été résolus — comme vous pouvez le lire dans cette lettre au CDC — au moment où nous écrivons ces lignes [le 8 avril 2021 – NdT], le VAERS fait état de plus de 2 200 décès dus aux actuels « vaccins » anti-Covid, et de près de 60 000 réactions indésirables.

Note du traducteur : En date du 27 avril 2021, selon le site officiel européen European Medicines Agency / EudraVigilance, on atteint déjà presque 10 000 morts et 2 millions d’effets secondaires, tous susceptibles d’être liés aux « vaccins » anti-Covid-19, et pour la seule Union européenne ! Ces chiffres commencent à donner le tournis…

« Les données VAERS publiées aujourd’hui ont montré 50 861 signalements d’effets indésirables après les injections des « vaccins » anti-Covid, dont 2 249 décès et 7 726 préjudices graves entre le 14 décembre 2020 et le 26 mars 2021. »

Et ces chiffres n’incluent pas les actuels 578 cas de paralysie de Bell.

Si ces chiffres ne représentent encore que 1 pour cent du total des effets indésirables — ou 0,8 à 2 pour cent de ce que cette étude récemment publiée dans le JAMA a trouvé — vous pouvez faire le calcul, mais cela équivaut à ce jour à environ 110 000 à 220 000 décès dus aux « vaccins », et à un nombre ridicule d’effets indésirables.

Je parie que vous n’avez pas vu ça aux infos.

Ce nombre de décès serait actuellement encore inférieur aux 424 000 décès [aux seuls États-Unis – NdT] dus aux erreurs médicales qui se produisent chaque année — dont vous n’entendez probablement pas parler non plus — mais le déploiement de ces « vaccins » a débuté il y a moins de six mois.

Si vous souhaitez approfondir les problèmes liés au système de signalement VAERS, vous pouvez consulter ce document ou celui-ci.
Mais il y a aussi mon prochain point, qui pourrait laisser à penser que ces « vaccins » anti-Covid sont inutiles…

N°9 — Les vaccins ne préviennent ni l’infection ni la transmission

Attendez, quoi ?
Ces vaccins ne sont-ils pas censés constituer la solution tant attendue pour « revenir à la normale » ?
Non.
Pourquoi pensez-vous que nous recevons tous ces messages contradictoires sur la nécessité de pratiquer la distanciation sociale et de porter des masques même APRÈS avoir reçu un « vaccin » ?

La raison en est que ces « vaccins » n’ont jamais été conçus pour arrêter la transmission OU l’infection.

Si vous ne me croyez pas, je vous renvoie aux documents soumis à la FDA dont j’ai donné le lien ci-dessus.
L’objectif principal — ce que ces « vaccins » sont censés accomplir — est de réduire vos symptômes.
Ça ressemble à tous les autres médicaments sur le marché, non ?
C’est ça… la réduction des symptômes est le grand bénéfice que nous attendions.
Est-ce que ça semble complètement inutile à quelqu’un d’autre que moi ?

  1. Il ne peut pas nous empêcher de propager le virus.
  2. Il ne peut pas empêcher le virus de nous infecter une fois injecté.
  3. Se faire vacciner, c’est accepter tous les risques de ces produits expérimentaux et le mieux qu’il puisse faire, c’est de réduire les symptômes ?

Quoiqu’il en soit, il existe bien des moyens à ma portée pour réduire mes symptômes sans prendre ce qui semble être un produit très risqué.

Maintenant, en ce qui concerne la prochaine question logique :

Si nous sommes préoccupés par les disséminateurs asymptomatiques, le « vaccin » ne rendrait-il pas plus probable la création d’une dissémination asymptomatique ?

S’il réduit effectivement les symptômes, les personnes qui le reçoivent peuvent ne pas savoir qu’elles sont malades et sont donc plus susceptibles de propager le virus, non ?

Pour ce que ça vaut, j’ai entendu beaucoup de gens dire que les effets secondaires du « vaccin » — surtout la deuxième dose — sont pires que d’attraper le Covid.
Je n’arrive pas non plus à comprendre ce que cela signifie.
Prendre le risque.
Ne pas être protégé.
Subir les effets secondaires du « vaccin ».
Continuer à porter son masque et à se distancier socialement…
Et continuer à être à même de propager le virus.
Quoi ?
Et ça devient de pire en pire.

N°10 — Certaines personnes sont infectées par le Covid après avoir été complètement vaccinées

Tu parles d’une poisse.
Tu es vacciné et tu es quand même infecté par le Covid.

En réalité, ce phénomène se produit probablement partout, mais ce sont ces cas qui font l’actualité actuellement.
Compte tenu des raisons énumérées ci-dessus — et de celles qui suivent — cela ne vous surprend peut-être pas, mais si vous pensiez que le « vaccin » était un bouclier pour vous protéger, vous allez être déçu.
Ce n’est pas le cas.
Cela n’a jamais été le but.

Si 66 pour cent des professionnels de santéde Los Angeles vont retarder ou ignorer le « vaccin »… c’est qu’ils ne sont peut-être pas non plus emballés par une science bâclée.

Peut-être qu’ils observent la manière louche dont les décès et les cas sont communiqués…

N°11 — Le taux de mortalité globale dû au Covid

Selon les propres chiffres du CDC, le Covid a un taux de survie de 99,74 pour cent.
Pourquoi prendrais-je le risque de me faire injecter un produit qui n’empêche pas l’infection ou la transmission, tout ça pour m’aider à vaincre un rhume qui a 0,26 pour cent de chances de me tuer — en fait, dans ma tranche d’âge, c’est environ 0,1 pour cent, et 0,01 pour cent pour mes enfants — mais ne coupons pas les cheveux en quatre.

Avec une probabilité — taux de mortalité — aussi faible, nous serons enfermés chaque année… c’est-à-dire pour toujours.

Mais attendez, qu’en est-il des 500 000 morts et plus, c’est alarmant non ?
Je suis content que vous posiez la question.

N°12 — Les chiffres des morts dus au Covid sont surgonflés

Dans cette affaire, il y a vraiment quelque chose de bizarre.
Dans l’histoire des certificats de décès, c’est la première fois que notre propre gouvernement a changé la façon dont ces derniers sont déclarés.
Pourquoi déclarons-nous désormais que toutes les personnes qui meurent avec le Covid sont mortes du Covid, plutôt que des comorbidités qui sont réellement responsables de leurs trépas ?

Jusqu’à l’apparition du Covid, tous les coronavirus — rhumes courants — n’étaient jamais répertoriés comme la principale cause de décès lorsqu’une personne mourait d’une maladie cardiaque, d’un cancer, d’un diabète, d’une maladie auto-immune ou de toute autre comorbidité majeure.
La maladie était indiquée comme la cause du décès, et un facteur de confusion comme la grippe ou la pneumonie était indiqué sur une ligne distincte.

Pour gonfler encore plus le nombre des décès, l’OMS et le CDC ont modifié leurs directives de sorte que, et sans que cela ne nous soit jamais confirmé, les personnes probablement mortes ou suspectées de l’être à cause du Covid sont également incluses dans le nombre des décès.

Sérieusement ?
Si nous devons procéder ainsi, ne devrions-nous pas revenir en arrière et modifier les chiffres de toutes les saisons de rhume et de grippe passées afin de pouvoir comparer des pommes avec des pommes en ce qui concerne les taux de mortalité ?
Selon les chiffres mêmes des CDC — voir la section « Comorbidités et autres conditions » — seuls 6 pour cent des décès attribués au Covid sont des cas où ce dernier semble avoir été le seul problème en cause.

En d’autres termes, réduisez de 94 pour cent le nombre de décès annoncés aux informations et vous obtenez ce qui est probablement le nombre réel de décès dus au seul Covid.
Même si l’ancien directeur du CDC a raison et que le Covid-19 est un virus amélioré en laboratoire — voir la raison n° 14 ci-dessous — un taux de mortalité de 0,26 pour cent reste conforme au taux de mortalité virale qui fait le tour de la planète chaque année.

Ensuite, il y a ce type, Fauci.
J’aimerais vraiment lui faire confiance, mais outre le fait qu’il n’a pas traité un seul patient atteint du Covid… vous devriez probablement savoir ce qui suit…

N°13 — Fauci et six autres personnes du Niaid possèdent des brevets du « vaccin » Moderna

Grâce à la loi Bayh-Dole, les fonctionnaires sont autorisés à déposer des brevets sur toute recherche qu’ils effectuent avec l’argent des contribuables.

Tony Fauci possède plus de 1 000 brevets — voir cette vidéo pour plus de détails— y compris des brevets utilisés pour le « vaccin » Moderna… dont il a approuvé le financement gouvernemental.

En fait, le NIH — dont le NIAID fait partie — revendique la propriété conjointe du « vaccin » Moderna.
Suis-je le seul à considérer cela comme un conflit d’intérêt MAJEUR, voire criminel ?
Je dis criminel parce qu’il y a aussi ce problème pesant qui me rend encore plus méfiant à l’égard de Fauci, du NIAID et des NIH en général.

N°14 — Fauci est sur la sellette pour des recherches illégales sur les gains de fonction

Qu’est-ce que la recherche sur les « gains de fonction » ?
Les scientifiques tentent de faire en sorte que les virus acquièrent des fonctions — en gros, ils deviennent plus transmissibles et plus mortels.
Ça semble pour le moins un peu contraire à l’éthique, non ?
Quelle pourrait bien en être l’utilité ?
Notre gouvernement était d’accord et en a interdit la pratique.
Alors qu’a fait le NIAID dirigé par Fauci ?
Ils ont changé d’orientation et ont externalisé en Chine la recherche sur les gains de fonction — dans les coronavirus, rien de moins — pour un montant de 600 000 dollars.

Vous trouverez plus de détails, y compris l’importante chronologie de ces événements, dans ce film documentaire qui s’appuie sur une recherche extrêmement approfondie.
M. Fauci, vous avez des explications à fournir… et j’espère que les caméras enregistreront le moment où vous devrez défendre vos actions.
Pour l’instant, tournons notre attention vers le virus…

N°15 — Le virus continue à muter

Non seulement le virus — comme tous les virus — continue de muter, mais selon Geert Vanden Bossche, concepteur de vaccins de renommée mondiale — que vous rencontrerez ci-dessous si vous ne le connaissez pas — il mute environ toutes les 10 heures.

Comment diable allons-nous continuer à créer des « vaccins » pour suivre ce niveau de mutation ?
C’est impossible.
Cela pourrait-il également expliquer pourquoi des personnes entièrement vaccinées sont malgré tout infectées par le Covid ?
Pourquoi, alors que l’immunité naturelle n’a jamais failli à l’humanité, ne lui faisons-nous soudainement plus confiance ?
Pourquoi, si je pose des questions comme celles qui précèdent, ou si je publie des liens comme ceux que vous trouvez ci-dessus, mes réflexions seront supprimées de toutes les grandes plateformes de médias sociaux ?
Cela m’amène au prochain problème troublant que je rencontre avec ces « vaccins ».

N°16 — La censure… et l’absence totale de débat scientifique

Arrivé là, je ne peux m’empêcher d’être sarcastique, alors d’avance, pardonnez-moi.
Avez-vous apprécié tous ces débats animés, retransmis à l’échelle nationale et mondiale, organisés par des responsables de la santé publique et diffusés en simultané sur toutes les grandes chaînes d’information ?
N’était-ce pas formidable d’entendre les meilleurs esprits en médecine, virologie, épidémiologie, économie et les spécialistes des vaccins du monde entier débattre vigoureusement et respectueusement de sujets comme :

  • les confinements ;
  • le port du masque obligatoire ;
  • la distanciation sociale ;
  • les essais d’efficacité et d’innocuité des « vaccins » ;
  • comment dépister la sensibilité aux préjudices causés par les « vaccins » ?
  • les thérapies — à savoir les options non vaccinales.

N’était-ce pas formidable de voir la « science » des responsables de la santé publique — qui n’ont jamais traité personne atteint du Covid — remise en question ?
N’était-ce pas formidable de voir le comité de la FDA interroger publiquement les fabricants de vaccins à une heure de grande écoute, alors qu’ils étaient sous le feu de questions difficiles quant à leurs produits pour lesquels leur responsabilité ne peut pas être engagée ?

Oh, attendez… vous n’avez pas vu ces débats ?
Non, vous ne les avez jamais vus… parce qu’ils n’ont jamais eu lieu.
En revanche, ce qui a bien eu lieu, c’est une censure autoritaire de toute information hormis celles concordant à l’unique narration officielle.
Ironiquement, Mark Zuckerberg peut remettre en question l’innocuité des « vaccins », mais pas moi ?
Hypocrite ?
À quel moment le premier amendement est-il devenu une suggestion ?
Il s’agit du PREMIER amendement Mark — celui que nos fondateurs pensaient être le plus important.
Avec autant d’enjeux, pourquoi ne nous donne-t-on à entendre qu’une seule narration… ne devrait-on pas y avoir plusieurs points de vue qui seraient débattus de manière professionnelle ?

QU’EST-IL ARRIVÉ À LA SCIENCE ?
Qu’est-il arrivé à la méthode scientifique consistant à toujours remettre en question les hypothèses formulées ?
Qu’est-il arrivé au débat animé dans ce pays, ou du moins dans la société occidentale ?
Pourquoi quiconque est en désaccord avec l’OMS ou le CDC est-il si lourdement censuré ?

La science de la santé publique est-elle devenue une religion,
ou la science ne devrait-elle pas reposer sur le débat ?

Si quelqu’un dit « la science est établie », je sais que j’ai affaire à une personne qui a l’esprit fermé.
Par définition, la science — en particulier la science biologique — n’est jamais établie.
Si c’était le cas, ce serait un dogme, pas une science.
OK, avant de trop m’énerver, laissez-moi vous dire ceci…
JE VEUX ÊTRE UN BON CITOYEN.
Je le pense vraiment.
Si le confinement fonctionne, je veux faire ma part et rester chez moi.
Si les masques fonctionnent, je veux les porter.
Si la distanciation sociale est efficace, je veux m’y conformer.
Mais s’il est prouvé que ce n’est pas le cas — comme pour les masques par exemple — je veux aussi entendre cette preuve.
Si des scientifiques de renom ont des opinions différentes, je veux savoir ce qu’ils pensent.
Je veux avoir la possibilité d’entendre leurs arguments et me faire ma propre opinion.
Je ne pense pas être la personne la plus intelligente du monde, mais je pense pouvoir réfléchir.
Je suis peut-être bizarre, mais si quelqu’un est censuré, alors je veux VRAIMENT entendre ce qu’il pense.
Pas vous ?
À tous mes amis qui n’ont pas de problème avec la censure, aurez-vous la même opinion lorsque ce que vous pensez sera censuré ?

La censure n’est-elle pas la technique des dictateurs,
des tyrans et des personnes avides de pouvoir ?

N’est-elle pas le signe que ceux qui censurent savent que c’est le seul moyen de gagner ?

Et si un homme qui a passé toute sa vie à développer des vaccins était prêt à mettre toute sa réputation en jeu et à demander à tous les dirigeants mondiaux d’arrêter immédiatement les « vaccins » anti-Covid en raison de problèmes scientifiques ?

Et s’il plaidait pour un débat scientifique ouvert sur une scène mondiale ?
Voudriez-vous entendre ce qu’il a à dire ?
Voudriez-vous voir le débat qu’il demande ?

N°17 — Le plus grand spécialiste des vaccins au monde tire la sonnette d’alarme…

Voici ce qui pourrait être la plus grande raison pour laquelle ce « vaccin » anti-Covid n’a pas de sens pour moi.

Lorsqu’une personne très pro-vaccins, qui a passé toute sa carrière professionnelle à superviser le développement de vaccins, crie sur tous les toits que nous faisons face à un problème majeur, je pense que cet personne doit être entendu.

Au cas où vous l’auriez manqué, et au cas où vous auriez envie de savoir ce qu’il dit, voici les explications de Geert Vanden Bossche :

  1. Pourquoi le « vaccin » anti-Covid pourrait exercer une telle pression sur le virus que sa capacité à muter et à devenir plus mortel s’en trouverait accélérée.
  2. Pourquoi les « vaccins » anti-Covid pourraient créer des virus résistants aux vaccins — comme les bactéries résistantes aux antibiotiques.
  3. Pourquoi, en raison de problèmes antérieurs liés à la facilitation de l’infection par des anticorps, nous pourrions être confrontés à une explosion de victimes dans les prochains mois ou années.

Si vous voulez voir/lire un deuxième entretien, plus long, avec Vanden Bossche, dans lequel des questions difficiles lui ont été posées, vous pouvez consulter ceci.

Si la moitié de ce qu’il dit se réalise, ces « vaccins » pourraient être la pire invention de tous les temps.

Si vous n’aimez pas sa science, discutez-en avec lui.

Je ne suis que le messager.

Mais je peux aussi parler du Covid d’un point de vue personnel.

N°18 — J’ai déjà eu le Covid

Je n’ai pas apprécié.
J’ai eu un méchant rhume pendant deux jours :

  • des douleurs incessantes aux fesses et au bas du dos ;
  • une très faible énergie ;
  • une faible fièvre.

C’était bizarre de ne pas pouvoir sentir quoi que ce soit pendant deux jours.
Une semaine plus tard, le café avait toujours un goût « mauvais ».
Mais j’ai survécu.

Maintenant, il semble — comme cela a toujours été le cas — que j’ai une belle immunité naturelle, à vie
… et non pas quelque chose qui risque de s’estomper en quelques mois si je me fais vacciner.
Pour mon organisme, comme pour ma famille, le Covid c’est du passé.
En fait, maintenant que je l’ai eu, il existe des preuves que le « vaccin » anti-Covid pourrait être plus dangereux pour moi.
Ce n’est pas un risque que je suis prêt à prendre.

En résumé

Ce qui précède ne sont que mes raisons de ne pas vouloir le « vaccin ».
Peut-être que mes raisons ont du sens pour vous, peut-être pas.
Quelles que soient celles qui ont un sens pour vous, j’espère que nous pourrons rester amis.
Pour ma part, je pense que nous avons beaucoup plus en commun que ce qui nous sépare.

  • Nous voulons tous vivre dans un monde de liberté.
  • Nous voulons tous faire notre part pour aider les autres et vivre bien.
  • Nous voulons tous avoir le droit d’exprimer nos opinions sans craindre d’être censurés ou vicieusement attaqués.
  • Nous méritons tous d’avoir accès aux faits afin de pouvoir prendre des décisions éclairées.

Que vous soyez d’accord ou pas avec moi, je ne vous traiterai pas différemment.
Vous êtes un être humain tout aussi digne d’amour et de respect que n’importe qui d’autre.
Pour cela, je vous salue et je vous souhaite vraiment le meilleur.
J’espère que vous aurez trouvé cet article utile.
Si oui, n’hésitez pas à le partager.
Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à me faire part — gentiment — de ce qui n’a pas eu de sens pour vous et je serais heureux d’entendre également vos réflexions.
Restez curieux et restez humble.
Jusqu’à la prochaine fois,

Christian

P.S. : Si vous pensez que j’ai bien étudié ce sujet, imaginez toutes les idées que je pourrais mettre en œuvre pour vous aider à préserver votre santé. Aider les gens à être en bonne santé, c’est ce que je fais toute la journée, tous les jours.

P.P.S. : La santé ne peut pas être injectée, mais elle peut être acquise.


Source de l’article initialement publié en anglais le 8 avril 2021 : Deconstructing Conventional
Traduction : Sott.net




Et surgit une hécatombe post vaccinale !

Par Gérard Delépine

L’hécatombe mondiale post vaccin anti Covid19 va progressivement mettre fin au mythe vaccinal

Alors qu’une propagande sans pareil (et incompréhensible si le médicament était à l’évidence efficace et sans danger) et des mesures liberticides veulent nous imposer une prétendue « vaccination » par des médicaments nouveaux mal évalués, les résultats des premiers mois des campagnes citées partout en exemple comme succès sont marqués par une augmentation paradoxale des contaminations et de la mortalité dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné.

Les faits avérés

Sont illustrés par les courbes de l’OMS publiées sur son site WHO Covid19 Dashboard additionnées de nos commentaires en rouge.

En Israël, la vaccination a commencé le 19 décembre 2020. Les mois de janvier et février 2021 ont établi les records mensuels de contaminations et de mortalité attribuées au Covid-19 depuis le début de l’épidémie

Contrastant avec l’optimisme dithyrambique du gouvernement israélien actuel, le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.(([1] http://www.nakim.org/israel-forums/viewtopic.php?p=276314))

« Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. « Il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes… Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années. »

En Grande-Bretagne, la campagne de vaccination a commencé le 8 décembre 2020. Le mois de janvier 2021 a lui aussi établi le record de mortalité mensuelle et totalise près du quart de la mortalité globale.

Au Chili, les contaminations et la mortalité ont augmenté depuis la vaccination

Aux Emirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination, des fortes hausses des contaminations (+150%) et de la mortalité (+140%) globales ont aussi été observées

Au Bahreïn

Mais aussi au Koweït : les quatre mois post vaccination comptabilisent presque autant de contaminations que les dix mois précédents et 40% des décès survenus depuis le début de l’épidémie.

Mais aussi en Mongolie

Mais aussi à Monaco qui comptait seulement 3 décès avant la vaccination et plus de 30 aujourd’hui

Et à Gibraltar

Que peut -on déduire de ces faits avérés ?

Que les essais de ces vaccins ont été insuffisants. Aucun n’est terminé et il eut été judicieux d’attendre les résultats de ces essais (prévus à partir de janvier 2023)

Aucun d’entre eux ne signalait la possibilité d’une possible augmentation des contaminations et de la mortalité qui heureusement paraissent transitoires.

Des études transparentes sont indispensables pour comprendre le mécanisme de ces aggravations transitoires de l’épidémie après vaccination et en déduire d’éventuelles mesures préventives si une nouvelle poussée survenait.

La situation s’est heureusement stabilisée en Israël et en Grande Bretagne en même temps que dans des pays peu vaccinés comme la Suède et les Pays Bas qui ont traversé cette période sans exacerbation brutale post vaccinale.

La comparaison montre une amplification nette de la mortalité en GB très vaccinée par rapport aux Pays-Bas peu vaccinés. Depuis la campagne de vaccination britannique, la mortalité moyenne par million d’habitants en GB (934/M) dépasse le double de celle des PB (411/M).

Hypothèses qui pourraient expliquer cette surmortalité

Les vaccins ne sont pas assez efficaces : ils n’empêchent pas d’être malade ni n’évitent la transmission virale à l’entourage, comme l’a précisé le ministre de la Santé français le 31 mars 2021. La trop faible concentration d’anticorps favorise l’aggravation de la maladie par le phénomène des anticorps facilitants et facilite l’apparition de variants résistants.

Certains variants seraient susceptibles de s’accompagner d’une augmentation considérable de l’incidence de la maladie et de sa mortalité pendant les 6 à 8 semaines qui suivent les premières injections.

Les vaccins actuels n’empêchent pas d’attraper le Covid19

Que l’on soit président du Pérou (M Vizcarra), ancienne ministre de la santé (R Bachelot), chirurgienne (Joëlle Huth) ou pensionnaires d ‘Ehpad en France(([2] OBS Des résidents de maisons de retraite contaminés par des variants alors qu’ils étaient vaccinés contre le Covid 23/4/2021)) (([3] S AURENCHE RTL Les infos de 18h – Coronavirus : 47 résidents d ‘Ehpad contaminés malgré la vaccination 22/2/2021)) (comme dans de nombreux autres pays comme les USA(([4] États-Unis : un variant du Covid se propage dans une maison de retraite malgré la vaccination Le Figaro avec AFP le 24/4)), l’Allemagne, l’Espagne), les vaccins actuels n’empêchent donc pas d’attraper la maladie.

Le risque serait plus élevé après la première injection, mais une vaccination complète ne protège pas non plus ainsi que vient cruellement de le rappeler la déconvenue récente de deux retraités marseillais(([5] CLAIRE DOMENECH Pourtant vacciné avec Pfizer, un couple marseillais contracte le Covid-19 Capital 23/4/2021)) vaccinés au Pfizer.

On ne doit pas croire qu’en se vaccinant on se protège du Covid19 et les propagandes pros vaccinales visant à retrouver une vie normale via un passeport sanitaire ne sont que de la manipulation politique sans fondement scientifique.

Les vaccins actuels n’évitent pas de mourir de Covid19

L’ARS de Guyane vient d’annoncer la mort de covid19 de deux retraités malgré une vaccination complète.(([6] https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/guyane-deux-personnes-vaccinees-decedent-du-covid-19-7239925))

Plusieurs pensionnaires des Ehpad précédemment cités et des nonnes du couvent de Kentucky sont morts de Covid alors qu’ils avaient été totalement vaccinés et vivaient dans un grand isolement depuis un an et même après la vaccination.

L’affirmation partout répétée que la vaccination protège des formes graves n’est donc pas vraie ainsi que l’a reconnu récemment notre ministre de la santé O. Veran :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

(([7] Les propos hallucinants d’Olivier Véran « Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin… le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers » | Europe Israël news (europe-israel.org) ))

Les vaccins actuels ne préviennent pas la transmission de la maladie

C’est ce que rappelle le Conseil d‘Etat suivant en cela les affirmations du ministère(([8] https://www.conseil-etat.fr/actualites/actualites/les-restrictions-de-deplacement-des-personnes-vaccinees-sont-justifiees)) dans un mémoire de réponse :

« les personnes vaccinées peuvent cependant demeurer porteuses du virus et ainsi contribuer à la diffusion de l’épidémie ».

La vaccination peut favoriser l’apparition de variants

De nombreux chercheurs ont remarqué que la plupart des variants connus sont apparus dans les pays ou avaient été testés des médicaments (Remdesevir) ou des vaccins insuffisamment efficaces.

Cette hypothèse avait été soulevée par l’Académie de Médecine en janvier.(([9] le 11 janvier 2021 Communiqué de l’Académie : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?))

« Sur le plan collectif, l’obtention d’une couverture vaccinale élargie, mais fragilisée par un faible niveau d’immunité, constituera un terrain favorable pour sélectionner l’émergence d’un ou de plusieurs variants échappant à l’immunité induite par la vaccination. »

Et confirmée par JF Delfraissy et d’autres membres du conseil scientifique(([10] L Atlani, D Bruno Lina, Franc, Chauvin-F Delfraissy, D Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 the Lancet public health 18 février 2021 DOI 6,4)):

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin ».

L’échappement immunitaire par apparition des variants rend illusoire l’espoir de résoudre cette crise par les vaccins :

« ce changement du comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, à mesure que de nouveaux variants émergent et que l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. Par conséquent, il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et fondées sur un confinement généralisé apparemment aléatoire et stop-start ».

Cette incapacité à éradiquer l’épidémie par les vaccins rend encore plus indispensables les traitements précoces

Boris Johnson qui prétend avoir protégé son pays par les vaccins ne doit pas en être aussi certain, puisqu’il vient de promettre aux anglais qu’ils bénéficieront avant la fin de l’année de médicaments contre le Covid19 à prendre à domicile dès les premiers signes de la maladie.

Et pour confirmer sa promesse, il a alloué des sommes importantes au fond de recherche créé pour cet objectif.

Le Pr Éric Caumes, en février dernier a reconnu(([11] https://www.valeursactuelles.com/clubvaleurs/lincorrect/covid-19-est-on-passe-a-cote-de-traitements-miracles/)): « cela a été une erreur stratégique de tout miser sur le vaccin. Je pense qu’on a complètement négligé le traitement. » Cette erreur est d’autant plus tragique que plusieurs traitements préventifs et curatifs ont démontré une très grande efficacité.

Même Olivier Véran a dû faire une “concession” au traitement précoce en admettant que les médecins généralistes pouvaient prescrire aux patients atteints de Covid-19 un antibiotique pour « éviter la pneumonie ». Il a de plus annoncé, le financement de 45 nouveaux projets de recherche appliquée(([12] https://solidarites-sante.gouv.fr/actualites/presse/communiques-de-presse/article/financement-de-45-nouveaux-projets-de-recherche-appliquee-sur-le-coronavirus)) sur le Coronavirus COVID-19 pour près de 22 millions d’euros et encourage les Français à participer aux études. Espérons seulement qu’il ne s’agit pas d’essais conçus et réalisés uniquement pour discréditer les traitements bon marché comme les fameux essais Discovery et Hycovid dont on attend toujours les résultats définitifs.

L’échec annoncé des vaccins impose de revoir complètement la stratégie sanitaire du gouvernement et devrait calmer l’arrogante campagne de publicité actuelle sur toutes les chaines TV recrutant comme agents de pub des personnalités aussi compétentes que A. Roumanoff. Misère.

Que chacun puisse juger librement et peser son propre bénéfice -risque mais sans culpabiliser ou traiter de débiles ceux qui n’ont aucune envie de jouer à la roulette russe ou au cobaye.





La « banalité du mal » : EHPAD, institutions pour handicapés…

Par Nicole Delépine

[Voir aussi sur Riposte Laïque]

La « banalité du mal » dans les EHPAD, les institutions pour handicapés et ailleurs…

Misère et silence sur le sort des handicapés en ces temps de coronafolie. Une bouteille à la mer

Chaque jour nous recevons des témoignages de personnes perdues, isolées, ne sachant comment et à qui s’adresser pour défendre des membres de leur famille. Que pouvons-nous faire pour elles en dehors de cette bouteille à la mer, afin qu’ils se reconnaissent et se regroupent ? C’est peut-être déjà le cas par des plaintes multiples mais invisibles car non relayées par les médias, cachées. Faites-le savoir, le cas échéant.

LE DIABLE EST DANS LES DÉTAILS

« Témoignage : ce que nous avons vécu. 

 “Je suis le frère d’une personne handicapée. Mes parents et moi, nous nous sommes toujours préoccupés de sa santé. Or la situation que nous vivons actuellement nous préoccupe beaucoup.

On a eu la chance d’avoir ma sœur pendant tout le 1er confinement, jamais malade, aucun symptôme durant cette période. À l’issue de cette période, début juillet, nous avons été les derniers convoqués par l’administration, avec d’autres parents, pour le retour de ma sœur dans le centre.

Ils nous ont expliqué les règles du retour et comment tout se passerait.

 Déjà certaines personnes s’opposaient à la vaccination que nous pressentions et au test PCR. Nous fûmes parmi ces personnes.

J’ai aussi profité pour parler de mes inquiétudes causées par le comportement de certains éducateurs. En effet, le nombre de fois où j’ai senti la fumée de cigarette à l’intérieur des bâtiments m’exaspérait surtout en pleine épidémie respiratoire. J’avais soulevé le problème, mais aucune réponse ne m’a été donnée sur ce point par les personnes de l’administration qui nous ont reçus.

 Arrive le deuxième confinement. Ma sœur est restée sans nous voir, seulement une heure par semaine.

 J’avais pourtant lu dans un article de journal sur internet, qu’un de mes collègues m’a montré, que les personnes handicapées pouvaient rentrer dans leurs familles pendant les weekends.

L’administration n’a pas pris une telle disposition. Malheureusement, j’ai perdu cet article de journal. Mais je me souviens l’avoir montré à une employée. La directrice a dit qu’il ne fallait pas croire tout ce qui est écrit forcément lors d’une convocation.

 Convocation qui a eu lieu le 30 novembre dernier pendant laquelle on nous a accusés de ne pas respecter les consignes de sécurité. La seule erreur de ma mère est d’avoir sonné et de se mettre à l’écart du bâtiment ensuite pour signaler notre présence. On ne savait pas à quel autre endroit joindre les éducateurs.

 On nous a reproché d’avoir caressé ma sœur alors que j’ai vu une des employées, le masque sous le nez mettre celui de ma sœur entourée de cinq autres employés qui n’ont rien dit.

Durant cette convocation tendue, il a été sujet de la vaccination.

 Ma sœur ne peut pas communiquer verbalement ou par écrit mais son avis lui aurait été demandé… Et si nous refusions on aurait été accusés “de ne pas respecter la volonté de ma sœur” si elle l’acceptait le vaccin.

J’ai été aussi accusé de critiquer le personnel, tout ça parce que j’ai fait part de mon exaspération quant à la fumée de cigarette qui circule dans le bâtiment. L’odeur est forte. Et combien j’ai vu d’éducateurs fumer près de personnes handicapées dans d’autres département aussi.

En décembre, on nous demande une lettre pour spécifier notre refus de la vaccination pour ma sœur. ce que je fis. Mais quelques jours après, j’apprends de la tutrice que la volonté de ma sœur serait recueillie alors qu’elle est dans l’impossibilité physique de communiquer comme nous.

Un courrier de l’administration nous incite à les faire vacciner ” pour le bien de la collectivité” et que la vaccination serait le seul moyen d’enrayer l’épidémie. Rien dans ce courrier mentionnait que le refus des familles serait respecté. 

J’ai donc écrit une lettre recommandée avec AR en justifiant notre refus avec des sources officielles. On a quand même reçu une lettre mentionnant qu’elle n’a pas été vaccinée. 

Aujourd’hui j’ai écrit une deuxième lettre avec aussi une autre mise en demeure pour refus des tests nasopharyngés après avoir pris connaissance de l’alerte de l’académie nationale de médecine. 

j’apprends ce soir même qu’elle sera isolée 10 jours durant car ils auraient trouvé un cas positif “non malade” chez ces adultes. Ma sœur serait un cas contact. Rien ne nous a été dit concernant les modalités d’isolement…”

J’ai peut-être oublié des choses. Mais voilà, je pourrais dire autre chose, des détails…  Mais ça en dit long sur la situation. » 

par L. Z.

CHAQUE JOUR DE PETITES VEXATIONS OU PIRE, DE L’ABANDON PAR ISOLEMENT

Ce vaccin « thérapie génique » expérimental est imposé de fait dans les Ehpad et dans les instituts pour handicapés sans respect de fait du Code de Nuremberg qui semble bien oublié.(([1] 
Imposer un vaccin expérimental ou la violation du code de Nuremberg et la déclaration d’Helsinki | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
Vaccins obligatoires et éthique médicale ? Qu’est devenue la référence au code de Nuremberg dans la loi soumise au parlement en novembre 2017 ? | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation))

Sous prétexte de sécurité ou d’obéissance venue « d’en haut » de multiples petits « kapos » dignes des camps de concentration de la Deuxième Guerre mondiale se sont levés pour faire respecter l’ordre, leur ordre, leur petit pouvoir mesquin qui gâche la vie d’humbles citoyens INVISIBLES et en tous cas rendus invisibles.

Que pouvons-nous faire pour eux ? Pour cette femme dont on nous dit qu’elle ne peut communiquer mais que « son avis sera respecté pour l’accord du vaccin », alors que ses proches le refusent ?

LA BANALITÉ DU MAL

De façon plus générale, il est temps de réfléchir à nouveau à ces concepts oubliés et pourtant si présents, la banalité du mal, si bien explicitée (mais si longtemps incomprise) par Hannah Arendt qu’il est urgent de relire.

Le comportement de trop de soignants dans les Ehpad ou instituts d’handicapés, de médecins obéissants à la doctrine du non-soin imposé par le gouvernement pour la première fois depuis Hippocrate, soit 2500 ans, de citoyens ordinaires vis-à-vis de leurs familles ou dans les supermarchés envers une personne non soumise, qui porte la muselière sous le menton, nous a plongés en moins d’un an dans l’univers kafkaïen des descriptions de Primo Levi.(([2] Dans l’admirable recueil qu’il rapporta de l’horreur de la déportation : « Si c’est un homme ». Il le décrit ainsi : « son regard ne fut pas celui d’un homme à un autre homme ; et si je pouvais expliquer à fond la nature de ce regard, échangé comme à travers la vitre d’un aquarium entre deux êtres appartenant à deux mondes différents, j’aurais expliqué du même coup l’essence de la grande folie du troisième Reich. »))

Une expérimentation sur la population mondiale d’un potentiel modificateur du génome
Hitler n’a pas osé ou n’en a pas eu les moyens

L’acceptation quasi généralisée du « vaccin » de fait thérapie génique ou OGM, EXPÉRIMENTAL par les macroniens, mais plus invraisemblable par toutes les oppositions – sauf F. Philippot -, laisse pantois.  La revendication d’un vaccin obligatoire par aussi bien M. Lepen que J.-L. Mélenchon mais aussi des députés autrefois plus clairvoyants comme J.-C. Lagarde qui défendit les enfants atteints de cancer et la liberté thérapeutique, fait froid dans le dos. Le maire de Cannes faisait espérer un espoir de renouvellement à LR et nous démoralise en ouvrant ses centres de vaccination au lieu d’informer sur le caractère expérimental de ces médicaments qu’ils rêvent tous de nous imposer. Les Cannois ne sont pas mieux lotis que les Niçois, ce qui nous désespère.

Même Éric Zemmour ne dénonce pas haut et fort la transformation en rats de laboratoire d’une énorme partie de la population aveuglée, sidérée, apeurée. Sur qui compter ?

Comment un philosophe comme Onfray peut-il accepter voire prôner cet essai thérapeutique à échelle mondiale sans voir qu’il trahit ses congénères ? Comment tous les politiques marchent-ils dans l’intoxication et la multiplient et rivalisent sur le nombre de centres ouverts, mais pas sur l’information des cobayes qui ont remplacé les rats, puisque l’expérimentation animale a été sautée « faute de temps ». De fait elle avait été catastrophique dans les essais des précédents coronavirus, SRAS et Mers car les animaux vaccinés étaient décédés plus rapidement que les non vaccinés.

Si on vaccine quinze patients à l’heure, comment peut-on interroger, examiner, informer le cobaye et le surveiller un minimum de temps après la vaccination ?  Et certains commentateurs n’hésitent pas à prétendre que le Code de Nuremberg est dépassé, qu’il n’a pas valeur de loi… L’horreur est parmi nous, ouvrez les yeux et informez.

Ne criez pas que nous sommes loin du monde qui mena aux camps. Par acceptation quotidienne d’une petite dégradation supplémentaire et de l’humiliation, au contraire, chaque jour de soumission silencieuse, d’éloignement d’amis refusant les ukases de la secte covid nous en rapproche et il est encore temps d’ouvrir les yeux, afin d’éviter des années d’horreur.

La « Banalité du mal »(([3] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-éthique-contemporaine.org) )) est quotidienne à des degrés divers, mais chaque jour un peu plus qu’hier et moins que demain.

La « Banalité du mal est l’expression paradoxale, utilisée pour la première fois par Hannah Arendt, (philosophe juive réfugiée aux USA, auteur des « origines du totalitarisme »), à l’occasion du procès de Eichmann, responsable nazi capturé à Buenos Aires en mai 1960 par les services secrets israéliens, et jugé à Jérusalem en avril 1961.

Cette notion suscita une énorme polémique, tant elle paraissait inacceptable à l’époque, comme aujourd’hui encore, à chacun d’entre nous. Ces criminels nazis responsables des pires horreurs étaient de fait, semblables à nous tous.

« Voilà donc posée la plus grande interrogation pour la pensée : tous ces gens incriminés pour des crimes d’une gravité exemplaire étaient d’une banalité si confondante que cela rendait la question du génocide encore plus terrifiante. Certes, « il eût été réconfortant de croire qu’Eichmann était un monstre » écrit-elle. Pourtant, beaucoup lui ressemblaient : « ni pervers, ni sadiques ». Ces gens étaient « effroyablement normaux ».

L’inhumain en chacun d’entre nous

« La banalité du mal » est un concept philosophique d’une importance inégalée, car il pose donc la possibilité de l’inhumain en chacun d’entre nous. En cela, il est certes, novateur. Novateur et précisément attaché au XXe siècle, parce que « cette possibilité de l’inhumain émerge nécessairement de la nocivité d’un système totalitaire, et suppose que le crime soit commis dans des circonstances telles que les « criminels » ne puissent sentir ou savoir qu’ils font le mal ».

Elle suppose que le système totalitaire en place ait réussi préalablement à tuer « l’animal politique » en l’homme, qu’il veut rayer de la surface de la terre, pour n’en conserver que l’aspect biologique. Pour les nazis spécifiquement, il s’agissait, à travers la Shoah, de créer « l’espèce animale humaine ».

Pour ce faire, il s’agissait de déshumaniser l’homme en le dépolitisant, au sens étymologique du mot. Tendre à supprimer la chose qui faisait de lui un être humain, en détruisant d’abord ce qui le rattachait à une communauté. Ces condamnés faisaient alors l’insoutenable expérience de « non-appartenance » au monde qu’Arendt appellera : « la désolation ».(([4] Hannah Arendt et la banalité du mal (institut-ethique-contemporaine.org) ))  »

Le monde de « la désolation »

Ne reconnaissez-vous pas dans cette description de la dépolitisation progressive et la déshumanisation de l’être humain, ce que nous subissons depuis plus d’une année, avec les auto-autorisations, les contraventions pour surfer seul sur la mer ou bronzer seul sur la plage ou se promener seul à cheval en forêt, accusé sans fondement scientifique de mettre en cause la santé publique et de favoriser la dissémination du très malin virus venu d’ailleurs !

Si les foules se plient à ces rites débiles et constamment contradictoires, ce n’est que parce que nous sommes entrés pas à pas dans ce processus totalitaire de dénaturation de l’homme qui se transforme petit à petit en esclave.

OUVRONS LES YEUX. Ôtons les muselières infâmes et indignes.(([5] Procédure judiciaire de Maitre JP Joseph pour la suppression du masque obligatoire – Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr) ))  Refusons tous les codes et tous les signes de discrimination entre les humains !  L’étoile jaune, verte ou bleue comme le passeport vaccinal doivent être définitivement enterrés dans le fumier de l’histoire. Notons que ces signes d’horreur veulent nous être imposés pour des vaccins reconnus inefficaces contre la transmission virale par le ministre O. Veran(([6] Passeport vaccinal : chronique d’une mort annoncée | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation   le passeport est refusé par USA et OMS est-ce difficile de le faire savoir ?)) (([7] http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/effets-secondaires-en-europe-sur-les.html)) et/ou des tests PCR condamnés en justice dans plusieurs pays du monde pour supercherie. Ne sommes-nous pas déjà robotisés ?(([8] 
L’OMS confirme que le test Covid-19 PCR est invalide, les estimations des « cas positifs » sont sans fondement. Le confinement n’a aucune base scientifique. | Mondialisation – Centre de Recherche sur la Mondialisation
« Le test PCR va au tribunal » : au Portugal, mais aussi en Allemagne et dans de nombreux pays (francesoir.fr)
Vers le faire-part de décès des tests PCR (francesoir.fr)
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/les-implications-capitales-de-la-jurisprudence-portugaise-concernant-les-tests-pcr 
RAPPORT-DICTATURE-2020.pdf))

« Le mal dans sa forme extrême et dans sa forme banale devient un refus de communiquer avec l’autre, de le reconnaître comme tel, comme si l’identification à la loi se substituait à l’identification au semblable. C’est d’ailleurs ainsi qu’Arendt délie volonté et responsabilité.(([9] Voir Hannah Arendt, Responsabilité et Jugement, Payot, 2005)) On peut faire le mal sans le vouloir, avoir le sentiment de faire son devoir et pourtant être responsable. Telle est la leçon donnée par le procès Eichmann. Telle est la leçon philosophique capitale que nous propose Hannah Arendt, dont le concept de « banalité du mal » n’a pas fini de nous laisser penser, en ce nouveau siècle. »

Il est probablement encore temps d’en sortir avant de nouveaux épisodes encore plus tragiques déjà envisagés et matérialisés par des locaux adéquats (camps), comme la séparation des familles, les enfants enlevés aux parents récalcitrants, etc.

Les foules se lèvent en Angleterre, aux Pays- Bas, en Suisse et ailleurs contre l’épouvantable passeport vaccinal qui transformerait notre France en univers policier chinois.

Des avocats accumulent les preuves pour un Nuremberg 2.(([10] COVID-19, LA LUMIÈRE AU BOUT DU TUNNEL ? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Les habitants du Texas et du Mississippi ont repris une vie normale et sans obligation vaccinale et la situation sanitaire de ces deux États s’est franchement améliorée depuis cette libération. Les vaccinodromes américains ferment faute de clients.

Mississipi.jpg (605×340)

Les Français seront-ils les derniers à se lever pour brandir à nouveau le drapeau de la liberté ?

Nicole Delépine