Information pour les députés et sénateurs : « donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »

Par Gérard Delépine

[Illustration : leparisien.fr]

Information pour les députés et sénateurs :
« donne le doigt au Diable et il voudra toute la main »(([1] Proverbe russe))

Mesdames, Messieurs les députés et sénateurs, élus et citoyens,

Vous allez être appelés à prendre une décision majeure et historique pour notre pays, risquant de faire glisser la France de la démocratie à la tyrannie. Nous vous exhortons à ne pas vous livrer inconsciemment à cette manipulation monstrueuse de vaccination obligatoire et de pass sanitaire (ou ausweiss), dont vous êtes comme tant de français mal informés, les victimes…

Ne sombrez pas dans cette intoxication non sanitaire, et écoutez les vôtres, à commencer par le député européen et philosophe FX. Bellamy.

L’alibi des régimes autoritaires selon Albert Camus évoqué par le maire de Villeneuve-Loubet, Lionel Luca dans son discours du 14 Juillet à ses administrés, est toujours le bien collectif. Mais où pourrait être le gain pour la société d’une injection génique obligatoire et inefficace, de fait contre un virus peu létal et qui de plus a disparu de nos contrées ?

Il est en effet paradoxal que la loi projetée par le président le 12 juillet s’adresse à une épidémie aujourd’hui quasiment disparue.(([2] Comme le montre chaque jour le bilan officiel sur le réseau Sentinelles des médecins généralistes.)) Et aussi qu’on essaie de faire un monstre d’un minable variant delta, certes très contagieux, mais très peu virulent.(([3] Rien à craindre du variant Delta : il donne le rhume, curable par traitements précoces (francesoir.fr) )) Le contraste saisissant entre les courbes de contaminations qui montent de manière exponentielle et le taux d’hospitalisation et la mortalité qui restent très bas en Israël, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas est éloquent.

On poursuit l’état d’urgence et on priverait les Français de toutes leurs libertés les plus chères, dont un petit café en terrasse, pour un gros rhume qui ne nécessite qu’exceptionnellement une hospitalisation ? Ce n’est pas sérieux et bien sûr ce n’est pas de cela qu’il s’agit. Le pouvoir le sait bien, qui accélère son calendrier avant que la fin mondiale de l’épidémie (démontrée depuis de longs mois en Floride ou au Texas) et la catastrophe des effets secondaires du « vaccin » ne soient trop flagrantes.

Il veut mettre en place son modèle sécuritaire à la chinoise avant d’avoir perdu la main dans la partie de poker menteur en cours

Qu’est-ce qui pourrait motiver aujourd’hui un député ou un sénateur pour accepter les ukases délirants d’un pouvoir en perdition, au point d’envisager l’interdiction d’entrer dans un hôpital si on n’a pas cédé à l’injection « miraculeuse » (par suite de la visite de E. M. à Lourdes probablement) ?

LE 12 JUILLET 2021 « UNE RUPTURE HISTORIQUE »

François-Xavier Bellamy, philosophe dont il faut lire la tribune dans le figaro du 14 juillet, rappelle que « Pass sanitaire : “une remise en cause profonde et inédite de notre modèle de société” »

« Pour le philosophe et député européen François-Xavier Bellamy, ainsi que pour le vice-président des Centristes, Loïc Hervé, le fait que l’accès à l’espace public soit conditionné à la présentation de données de santé est une rupture historique. L’atteinte aux libertés est disproportionnée au regard de l’objectif poursuivi. »

Rien de sanitaire ne peut justifier les mesures évoquées par le président en ce début juillet. Rappelons que des pays comme la Suède jamais soumise à des contraintes importantes ont 20 % de moins de morts par million d’habitants que nous, vont toujours bien et ont une vie normale malgré les croquemitaines variants qui obsèdent nos éditorialistes.

Le CTIAP,(([4] Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques — CENTRE HOSPITALIER DE CHOLET — Docteur Amine UMLIL)) en réaction à l’allocution du 12 juillet,(([5] CTIAP* Centre Hospitalier de Cholet : Vaccins contre la Covid-19. Allocution du Président de la République du 12 juillet 2021, 20 h : Emmanuel MACRON oublie de révéler aux Français ce que le ministre de la Santé (Olivier VÉRAN) a écrit au Conseil d’État ? (ctiapchcholet.blogspot.com) )) rappelle quelques extraits des affirmations, du ministre de la Santé, enregistrées auprès de la plus haute juridiction administrative fin février 2021 et fin mars 2021.

Dans ces écritures du 28 mars 2021, le ministre affirme que

« les connaissances scientifiques actuelles font apparaître en tout état de cause comme prématurée toute différenciation des règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses de vaccins »

Autrement dit, les personnes « vaccinées » continueront d’être soumises aux mêmes restrictions des droits et libertés fondamentaux que les personnes « non vaccinées ». Pour justifier ce traitement identique, il avance les quatre arguments suivants :

1. « En premier lieu, comme on le sait, l’efficacité des vaccins n’est que partielle ». Et, lorsqu’il évoque l’« efficacité clinique », il ne parle que des formes « symptomatiques » sans distinction entre les formes légères, modérées et « graves ». Il explique que « dès le stade des essais de ces vaccins, il n’y avait donc pas de garantie d’immunité associée pour les personnes qui se le voyaient administré ».

2. Il ajoute : « En deuxième lieu, cette efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants »

3. Il poursuit : « En troisième lieu (…), les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale, du fait d’une immunosénescence (…) ou de la virulence d’un variant ». Notons que c’est bien ce qu’il semble se passer dans les pays les plus vaccinés en Israël ou en Angleterre sur la proportion des malades parmi les vaccinés ou non, avec dans les faits une plus grande fragilité des vaccinés.

4. Il termine : « En quatrième lieu, même lorsqu’il a une efficacité sur les personnes concernées, en l’état des connaissances scientifiques, le vaccin ne les empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Et eu égard à ces quatre arguments, le ministre conclut :

« Il n’y a donc pas de justification à exempter les personnes vaccinées de l’application des restrictions de circulation actuelles destinées à les protéger comme à protéger leur proche ainsi que l’ensemble de la population. Aucune recommandation du conseil scientifique ne va d’ailleurs dans le sens de telles exemptions. »

Ces écritures confirment les précédentes datant de fin février 2021 enregistrées par ce même Conseil d’État. Et que le CTIAP a porté à votre connaissance dans notamment son article publié, le 4 mars 2021, sous le titre : « Efficacité des vaccins contre la Covid-19 : le Conseil d’État relève les contradictions de l’ »administration’ française » ». On peut rappeler notamment ce qui suit :

« L’administration fait néanmoins valoir, d’une part l’existence d’études récentes invitant à la prudence quant à l’absence de contagiosité des personnes vaccinées, d’autre part, l’incertitude scientifique sur l’immunité conférée par la vaccination en cours à l’égard des variants du virus, enfin la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] où la campagne de vaccination a eu lieu. »

L’INVRAISEMBLABLE CONCLUSION DU MINISTRE

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 23 h 48, ce même ministre, qui a remis en cause l’efficacité de ces vaccins auprès du Conseil d’État dans le but de maintenir les restrictions aux droits et libertés fondamentaux des personnes vaccinées », publie le message suivant sur le réseau social Tweeter :

« Vous êtes des centaines de milliers à avoir réservé un rendez-vous de vaccination ce soir ! Ça tombe bien, on a des vaccins, des centres ouverts partout, et des dizaines de milliers de soignants, pompiers, agents des collectivités qui n’attendent que vous (avec trois smileys) ». « Des centaines de milliers » de consentements qui seraient extirpés par le dol et la violence notamment, et en direct ?

Le consentement est pourtant une liberté fondamentale. Oui le Centre Territorial d’Information Indépendante et d’Avis Pharmaceutiques (CTIAP) a raison, viol des consciences et consentement extirpé

« Ce lundi 12 juillet 2021, à 20 h, la forme et le fond du discours présidentiel nous auraient projetés vers notamment l’anacyclosis. Vers cet éternel retour : un cycle en quatre phases. Ce 12 juillet 2021, la France aurait opéré la dernière transition de cet anacyclosis en passant de la démocratie à la tyrannie ».

POURQUOI UNE TELLE VIOLENCE EN DÉBUT D’ÉTÉ ? Après sera-ce trop tard ?

Selon le CTIAP, elle serait le témoin de l’impossibilité juridique de rendre cette vaccination expérimentale contre la Covid-19 obligatoire

STRATÉGIE DÉPLOYÉE : POURRIR LA VIE DES FRANÇAIS

User de la peur des représailles (limitation de l’accès à la nourriture et aux soins, perte d’emploi et ses conséquences, difficultés d’accès aux moyens de transport, aux activités sportives, culturelles et de loisirs, etc.)

La tactique du gouvernement consiste à « pourrir la vie des Français » pour contraindre, par une force qui semble illégitime, les personnes à aller elles-mêmes se faire vacciner ; un acte qui prendrait, en apparence, la forme d’une vaccination « volontaire »

Que dire de plus sinon de vous conseiller de prendre le temps de lire l’intégralité des analyses proposées par le CTIAP depuis plusieurs mois. Witold KRAUZE.

On peut supposer que la vaccination pseudo volontaire ferait encourir moins de responsabilité pénale qu’au législateur qui l’imposerait. Aux juristes d’en débattre.

LA RÉACTION INCROYABLE DE MAUVAISE FOI DU POUVOIR

Alors que les manifestations spontanées se sont développées dans énormément de villes et villages de France, avec des dizaines de milliers de manifestants de tous bords, vaccinés ou non, atteignant probablement le million de personnes voire beaucoup plus, le pouvoir ose comparer le chiffre officiel de 115 000 manifestants (trois par commune ?) à l’hallucinant chiffre de plus d’un million d’inscrits pour une vaccination « volontaire » en urgence !

Faites peur, bloquez les départs en vacances prévus, les locations retenues avec arrhes versés et billets d’avion achetés. Faites peur pour la rentrée et vous entraînerez pleurs des parents et des enfants, panique et inscription « volontaire » à la piqûre ?

Les juifs faisant la queue pour récupérer leur étoile jaune étaient aussi consentants, nous dira-t-on ? Décidément, rien ne nous sera épargné dans le mépris affiché du peuple ! Ils veulent nous faire croire qu’ils sont consentants, volontaires, convaincus par les arguments du ministre. NON, ils ont peur du pouvoir et quelques-uns encore du virus.

Ne nous mentez pas. Au moins, assumez votre volonté d’hégémonie à la chinoise, Mr Véran, vous et votre compagne députée étant membres de France-Chine, Chine qui achète tout en France, discrètement et nous demande de mettre en place la sécurité selon son modèle, avec la complicité de trop d’entre vous aux manettes.

ATTENTION LA BOÎTE DE PANDORE EST OUVERTE. LISEZ ARIANE BILHERAN.(([6] Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

« La boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique. »

« L’heure de la persécution paranoïaque a sonné. Les ennemis semblent désignés, mais ne nous y trompons pas. Il ne faut jamais croire le langage de la perversion. Elle vous assure que, si vous consentez à faire ce que vous ne souhaitez pas faire, alors vous serez tranquille et tout ira bien pour vous. Elle exige que vous renonciez à un petit bout de territoire de vous-même. Puis, la boîte de Pandore étant ouverte, il vous sera toujours demandé plus, et encore plus. C’est le fonctionnement même de l’emprise perverse, de la mise en esclavage psychique et physique.

Alors, peut-être qu’aujourd’hui certains se rassurent, en se disant que, s’ils sont des citoyens obéissants, ils seront épargnés, puisque la vindicte désigne une catégorie d’individus en particulier dans un corps social désormais considéré malade, et qu’il conviendrait d’amputer. C’est une erreur.

Dans tous les systèmes harceleurs, tous ceux qui se soumettent docilement et font du zèle, espérant passer entre les gouttes, finissent par être persécutés puis exécutés.

Car la paranoïa est une folie raisonnante ; il faut entendre qu’elle n’a rien de rationnel et ne s’embarrasse pas de contradictions. Au diable la logique ! La logique devient ce que l’angoisse psychotique exige : de la persécution, du sang, des morts, pour se calmer, toujours temporairement. Aussi, cela procède à l’arbitraire, et par vagues. Tous les totalitarismes ont agi ainsi.
Soljenitsyne nota bien l’incrédulité des gens 
; ils pensaient être de bons citoyens bolchéviques, n’avoir rien à se reprocher et pourtant, les rafles ne les épargnaient pas ! Cette incrédulité leur donnait ainsi l’illusion que quelqu’un s’apercevait bien de leur innocence… mais rien n’est plus faux car leur erreur était la croyance aveugle en l’existence d’une rationalité, dans ce qui n’était qu’une folie empruntant de façon frauduleuse l’apparence de la raison ».

POURQUOI L’OBLIGATION VACCINALE PARAÎT-ELLE DIFFICILE À IMPOSER ?

Beaucoup d’entre nous rappellent régulièrement les fondements de notre État, encore de droit, et surtout insistent sur le fait que RIEN n’a encore été voté : ni loi ni décret, d’aucune sorte, n’ont encore été promulgués.(([7] Il serait illégal de rendre obligatoire une substance expérimentale génique (appelée « vaccin anticovid ») — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le Droit international prévaut toujours sur le droit national, en vertu du principe de « hiérarchie des normes » : principe fondamental du Droit. Et si le code de Nuremberg n’est pas une référence juridique opposable, il est pour le moins une référence historique ayant conduit aux articles actuellement en vigueur dans plusieurs conventions, que nous citerons une nouvelle fois.

Citons les articles de droit international(([8] PETITPOINDEDROIT.pdf rappelés, entre autres, par Daniel Antoine))

  • Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 et DUDH adoptée par l’Assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 : les lois d’obligation sont anticonstitutionnelles.(([9] Déclaration universelle des droits de l’Homme 1948 (adequations.org) ))
    • Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH du 9 juillet 2002 ; décision n° 42197/98. « En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales ».
    • Article 8 de la CEDH : « Droit au respect de la vie privée et familiale
      • 1.Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
      • 2. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui. ».
  • « Déclaration sur l’élimination de toutes formes d’intolérance et de discrimination fondées sur la religion ou la conviction » 36/55, proclamée par l’Assemblée générale des Nations Unies l’ONU le 25 novembre 1981 :
    HCDH | Déclaration sur l´élimination de toutes formes d´intolérance (ohchr.org)
  • Déclaration de Genève adoptée par l’assemblée générale de l’Association médicale mondiale (AMM) à Genève en septembre 1948, adaptation du serment d’Hippocrate aux enjeux contemporains.
  • Déclaration d’Helsinki de l’AMM, articles 23, 24, 25 et 26 sur le consentement en matière de recherche médicale (les « vaccins » sont une « expérimentation », assimilables à des « recherches médicales », puisque les essais de phase III sont en cours).(([10] Déclaration d’Helsinki de L’AMM – Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains – WMA – The World Medical Association))
  • « Convention d’Oviedo » du 4 avril 1997 » : Convention pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine (Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine)
    • article 5 : « Art. 5 Règle générale : une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé.(([11] Réfléchissez à ce qu’on appelle « libre et éclairé » et si le consentement extorqué au vaccinodrome où vous venez en voiture et que vous passez votre épaule pour la piqûre après quelques mots dans le meilleur des cas est vraiment un consentement… ou bien quand le médecin fait quinze « vaccins » en une heure, combien de temps vous consacre-t-il ?)) Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement ».
      Cette convention est applicable en droit interne français depuis 2012.
  • Article 3 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme (CEDH) de 1950, sur le respect de la dignité humaine.
  • Enfin citons la Résolution n°2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe du 23 janvier 2021 est citée, mais ce conseil est uniquement consultatif, texte UNIQUEMENT un principe directeur sur lequel un recours judiciaire peut s’appuyer, mais en aucun cas un texte opposable en tant que tel.
    • : « 7,3 en ce qui concerne la garantie d’un taux élevé de vaccination : 7.3.1 s’assurer que les citoyens sont informés que la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pression politique, sociale ou autre pour se faire vacciner s’il ne souhaite pas le faire lui-même ;
    • 7.3.2 veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques sanitaires potentiels, ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

On constate chaque jour que ce texte est piétiné, toute la journée et à répétition, ne serait-ce qu’en écoutant les émissions radio et télévisées « bien pensantes ». Entendre un professeur de faculté exerçant à Paris à l’APHP oser affirmer que le vaccin anticovid est sans effet secondaire(([12] Voir les sites officiels de l’agence européenne EMA EUDRAVIGILANCE ou de la FDA le VAERS par exemple ou des synthèses https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/)) et qu’on n’a jamais vu des effets indésirables d’un vaccin apparaître au-delà de trois mois paraît incroyable, ne serait-ce qu’après les narcolepsies (endormissement brutal et insurmontable) secondaires au vaccin H1N1 de Mme Bachelot, qui avaient touché au moins 800 personnes plusieurs mois après l’injection et encore en cours d’indemnisation.

Il est dommage que peu de gens demandent leurs liens d’intérêt avec les labos à ces pourvoyeurs d’énormes mensonges aux conséquences parfois tragiques.

EN CE QUI CONCERNE LE DROIT NATIONAL :

  • Loi « Kouchner » n° 2002-303 du 04 mars 2002. Chaque parent/patient peut, conformément à la loi Kouchner, demander aux vaccinateurs des informations exhaustives sur l’acte médical proposé, et le refuser.
  • Art. L1111-4 du Code de la Santé Publique (CSP) : « AUCUN ACTE MÉDICAL ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le CONSENTEMENT LIBRE et ÉCLAIRÉ de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».
  • Art L1111-2 du CSP sur l’information du patient concernant le produit injecté (traitement médical dans l’absolu) : l’information doit être « claire, loyale et appropriée ».
  • Loi sur le respect du corps humain, insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994).
    • Art. 16-1 : « Chacun a droit au respect de son corps. Le corps humain est inviolable ».
    • Art. 16-3 : « Il ne peut être porté atteinte à l’intégrité du corps humain qu’en cas de nécessité médicale pour la personne. Le consentement de l’intéressé doit être recueilli préalablement. »
    • Art. 16-4 : « Nul ne peut porter atteinte à l’intégrité de l’espèce humaine. »
  • Constitution française (4 octobre 1958), article 55 (hiérarchie des normes) :
    • « Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l’autre partie. ».
  • Code de Déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique (6 septembre 1995) :
    • Art. R4127-2 : « Le médecin, au service de l’individu et de la santé publique, exerce sa mission dans le respect de la vie humaine, de la personne et de sa dignité. ».
    • Art R4127-3 : « Le médecin doit, en toutes circonstances, respecter les principes de moralité, de probité et de dévouement indispensables à l’exercice de la médecine. ». Art R4127-36 :
      • « Le consentement de la personne examinée ou soignée doit être recherché dans tous les cas. Lorsque le malade, en état d’exprimer sa volonté, refuse les investigations ou le traitement proposés, le médecin doit respecter ce refus après avoir informé le malade de ses conséquences.
      • Si le malade est hors d’état d’exprimer sa volonté, le médecin ne peut intervenir sans que la personne de confiance, à défaut, la famille ou un de ses proches ait été prévenu et informé, sauf urgence ou impossibilité.
      • Les obligations du médecin à l’égard du patient lorsque celui-ci est un mineur ou un majeur faisant l’objet d’une mesure de protection juridique sont définies à l’article R. 4127-42. ».
    • Art 4127-39 (sur l’injection d’une substance parfaitement inconnue, puisqu’en cours d’évaluation en phase III d’expérimentation) :
      • « Les médecins ne peuvent proposer aux malades ou à leur entourage comme salutaire ou sans danger un remède ou un procédé illusoire ou insuffisamment éprouvé. Toute pratique de charlatanisme est interdite. »
  • enfin, le Serment d’Hippocrate : « PRIMUM NON NOCERE » (« en premier, ne pas nuire »)

Notons que la Loi BARNIER sur le principe de précaution (2 février 1995) n’est pas applicable en matière de santé, aussi aberrant que cela puisse paraître.

EN CONCLUSION

Aucun médicament expérimental, même affublé frauduleusement du nom vaccin ne peut être légalement obligatoire, c’est un MENSONGE COMPLET. Notre président le sait, et buffle.

Toute vaccination dans ces conditions, relève donc, sur un plan pénal, de la « mise en danger de la vie d’autrui » (art 223-1 du Code pénal), voire de « l’abus de faiblesse », concernant les enfants, les personnes déficientes mentales, et les personnes âgées (art 223-15-2 à 223-15-4 du Code pénal),

Lorsque cette vaccination est imposée de force ou par malice, cela relève de « l’extorsion » (art 312-21 du Code pénal).

Ainsi chers lecteurs, chers élus, vous avez pu retracer les guides juridiques, mais aussi éthiques, moraux de notre belle Médecine telle que nous l’ont enseigné nos Maîtres, pleine d’amour envers nos prochains et d’humilité envers une science toujours incomplète, imparfaite et jamais dogmatique.

Quelle chance avons-nous eu de pouvoir la pratiquer dans cet esprit.

Nous espérons qu’après cette période d’obscurantisme scientiste, la raison reviendra aux hommes et permettra de revenir à nos pratiques fidèles à Hippocrate. Merci de nous aider via votre Mission d’élu par vos discussions au Parlement et par vos votes à retrouver notre médecine et à conserver nos Libertés fondamentales.





LETTRE-TYPE À ADRESSER À VOTRE DÉPUTÉ et AUX SÉNATEURS DE VOTRE DÉPARTEMENT pour lui demander d’être contre le Pass Sanitaire

[Source : UPR]


Nous mettons en ligne ci-dessous le projet de lettre que nous conseillons à chaque citoyen français d’adresser avec la date et sa signature à son député et à ses sénateurs.

Il suffit de faire un copier-coller de ce texte, puis de modifier les éléments surlignés en jaune pour enfin imprimer et envoyer celle-ci à votre député et à vos sénateurs.

Nous vous invitons à ne pas vous contenter d’un envoi papier ou par mail, mais à aller à la rencontre des parlementaires, physiquement, pour leur remettre la lettre et en discuter avec eux.

En effet, il est également recommandé de l’adresser aux sénateurs de votre département.

La liste de tous les députés par département avec les moyens de les joindre peut être consultée en cliquant ici.
La liste de tous les sénateurs par ordre alphabétique avec les moyens de les joindre peut être consultée en cliquant ici.


MODÈLES DE COURRIERS (les éléments en jaunes sont à adapter)

À <Prénom> <Nom>
Député/Députée / Sénateur/Sénatrice
de [mettre le département]

Le <xx> juillet 2021,

Monsieur le député,
Madame la députée,
Monsieur le sénateur,
Madame la sénatrice,

Résident/Résidente et électeur/électrice

de votre circonscription, j’appelle votre attention sur les atteintes aux libertés publiques et individuelles sans précédent depuis 1945 que constituent les annonces du Président de la République du lundi 12 juillet 2021, à la fois sur l’obligation vaccinale et le passeport sanitaire.

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Rendre obligatoire – ou quasiment obligatoire par des pressions et des contraintes – l’administration de vaccins génétiques dont la phase expérimentale est toujours en cours, l’efficacité incertaine, la technologie toute nouvelle et les effets secondaires d’ores et déjà notables est politiquement imprudent et moralement condamnable.

C’est même impossible juridiquement dans l’état actuel de la réglementation pour des raisons parfaitement fondées liées à la préservation de la santé publique et au libre consentement de chacun.

Le projet du Président de la République est d’autant plus douteux que dans le même temps, plusieurs traitements prophylactiques ont prouvé leur efficacité contre le covid-19 et sont employés à l’étranger. L’ivermectine par exemple, qui a bénéficié d’une étude favorable – d’ailleurs très tardive et peu relayée dans les médias – de la part de l’Institut Pasteur publiée le 13 juillet 2021, a permis de briser spectaculairement la courbe des contaminations et des décès en Inde.

Comme de très nombreux Français, je ne comprends pas pourquoi la vaccination, aux conséquences encore inconnues et qui n’a pas permis d’enrayer l’épidémie en Israël et en Grande Bretagne où elle est la plus massivement répandue, constitue la seule et unique stratégie sanitaire du gouvernement, quand des traitements précoces bien connus, présentant un degré parfois très élevé d’efficacité et au pire dénués d’effets secondaires sérieux restent, eux, interdits dans notre pays pour contrer l’épidémie.

Surtout, la vaccination obligatoire va à l’encontre de la liberté de chacun d’apprécier la balance entre bénéfice et risque pour recourir, ou non, aux tout nouveaux vaccins génétiques. Après celui de la liberté de prescription de traitement des médecins, c’est le principe essentiel du consentement éclairé que le gouvernement s’apprête à enterrer.

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Quant au « passeport sanitaire » envisagé par M. Macron, il institue une discrimination inacceptable entre Français, fondée sur les données sanitaires de chacun d’entre nous. En outre, il conduit à une stigmatisation blessante et dangereuse de nos compatriotes, nombreux, qui osent se questionner sur les vaccins génétiques et, plus largement, sur la politique sanitaire du gouvernement. Cette atmosphère de maccarthysme transpire aussi bien dans les médias que dans le monde professionnel et jusque dans la vie privée et familiale de chacun.

Il faut rappeler ici que les avantages sanitaires prétendus d’un tel dispositif se heurtent à tellement de difficultés pratiques de mise en œuvre et à de telles incertitudes sur son efficacité réelle que plusieurs institutions l’ont déjà formellement déconseillé ou interdit. Ainsi, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) déconseille l’adoption d’un passeport sanitaire, tout comme l’assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe. Ces deux institutions le déconseillent formellement, tant l’atteinte portée aux libertés publiques et les coûts engendrés sont disproportionnés par rapport à la minceur des avantages présumés.

Aux États-Unis, l’administration Biden elle-même a indiqué qu’elle n’imposerait jamais de passeport sanitaire et plusieurs États l’ont déjà formellement interdit, à commencer par le Texas et la Floride, qui comptent parmi les plus peuplés des États-Unis d’Amérique. Au total, la France n’est imitée par aucun pays européen et même par aucun État de l’OCDE dans cette dérive très préoccupante.

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Les mesures annoncées par M. Macron constituent les germes d’une politique d’essence tyrannique et le prélude d’un contrôle social totalitaire fondé sur de pseudo-raisons sanitaires tellement discutables qu’elles n’ont convaincu ni l’OMS, ni le Conseil de l’Europe, ni les États-Unis, ni l’écrasante majorité des pays du monde.

C’est pourquoi je vous demande solennellement de voter contre.

Je conclurai qu’avec un score de 10% au premier tour des élections régionales (3,5% des électeurs inscrits), la « majorité présidentielle » au Parlement dispose d’une légitimité très affaiblie voire quasiment inexistante pour poursuivre son action, a fortiori quand celle-ci remet en cause autoritairement et sans fondements des éléments déterminants de notre pacte républicain.

Il vous appartient de sauver l’honneur de la politique lorsque le Président de la République se parjure, lui qui avait annoncé que jamais la vaccination ne serait obligatoire et que jamais le passeport sanitaire ne restreindrait les libertés. La réélection en 2022, et même la seule candidature, de M. Macron sont d’ailleurs, désormais, plus qu’hypothétiques.

Dans l’attente de votre réponse, je vous prie de recevoir mes salutations républicaines.

<Date>
<Signature>




Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Lors de son allocution en date du 12 juillet 2021, le président Macron a fait état d’un certain nombre d’assertions scientifiques : « le variant Delta est trois fois plus contagieux que la première souche » ; « les vaccins divisent par 12 le pouvoir de contamination et évitent 95 % des formes graves » ; pourtant il faut « vivre avec le virus »… Toutes avaient pour objectif d’établir sa décision de rendre la vaccination obligatoire pour les soignants, ainsi que la mise en place d’un passe sanitaire, qui correspond peu ou prou à une obligation vaccinale. En effet, les Francais non vaccinés ont de grandes chances – sous réserve de votes – de se voir interdire l’accès aux restaurants, bars, commerces, voyages, etc. Une des mesures les plus coercitives d’Europe.

Voir aussi : « Propagande est le mot qui me vient pour qualifier la politique de vaccination » Dr McCullough

Pour autant, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique, mais Emmanuel Macron n’a pas eu le temps d’étayer son propos dans le cadre de son discours.

Nous avons donc demandé à un spécialiste, le Dr McCullough, qui a témoigné sous serment devant le Sénat américain de revoir chacune de ces assertions et de les commenter.

C’est ce qu’il fait au cours de ce debriefing :



Conclusion : aucune assertion n’est fondée.

Le professeur McCullough va plus loin et déclare que l’obligation vaccinale et le passe vaccinal ne sont pas nécessaires étant donné l’état de l’épidémie, y compris pour le variant Delta. Par ailleurs, il se tient à disposition des parlementaires français pour venir témoigner de son expertise de manière factuelle et rigoureuse.

Auteur(s): FranceSoir




Emmanuel Macron sans masque ou Le Président qui fait tirer sur son peuple

Par Alain Nicolaï

Macron par Macron, son vrais visage, dans le  Wall Street Journal, le journal des « élites financières » qui n’est pas lu par les manants.

Pour Macron être banquier c’est être… une « prostituée »

1 MILLION €
Emmanuel Macron touchait jusqu’à un million d’euros par an
lorsqu’il était banquier chez Rothschild

Article de Paolo Garoscio du 10/03/2015 publié dans Economie Matin au sujet d’une interview de Macron dans le Wall Street Journal.
http://www.economiematin.fr/news-macron-banquier-pute-metier-ministre-interview

Comment a-t-il osé ? le ministre de l’Économie, qui a été également un banquier au salaire de millionnaire chez Rothschild a-t-il vraiment dit, que les banquiers sont des putes ? Non, en fait il n’a pas dit ça. Comme il donnait une interview au Wall Street Journal il ne pouvait certainement pas utiliser des mots insultants. Il a donc préféré le terme « prostituée »… Oui, c’est pareil.

Emmanuel Macron : le banquier qui attaque… le métier de banquier ?

Ce n’est qu’une anecdote que celle relatée par le Wall Street Journal : au cours d’une interview donnée lors de son séjour à Las Vegas le ministre de l’Économie français s’est un peu lâché. Un peu beaucoup même.

Pas étonnant alors qu’aux États-Unis le politiquement correct est loin de faire partie du quotidien des personnalités publiques… mais la comparaison qu’il a faite ne devrait guère être appréciée par les banquiers de France qui ne sont autres que ses anciens collègues.

 » D’une certaine manière, [quand on est banquier] on est comme une prostituée. Le boulot, c’est de séduire » a déclaré Emmanuel Macron. On est déçus, on aurait aimé un peu plus de détails. Après le « séduire » il y a quoi ?

Sans compter qu’Emmanuel Macron ne considère sans doute pas que les banquiers sont comme une « prostituée » de rue, pas chère, issue des réseaux clandestins d’Europe de l’Est ou de Chine. Rappelez-vous : il aurait gagné plus de 2,5 millions d’euros entre 2008 et 2012.


Il faut croire qu’Emmanuel Macron a pris de bien mauvaises habitudes avant son mandat quand il a travaillé dans le privé, notamment à la Banque Rothschild, un des fiefs de la finance internationale, puisqu’on a pu le constater, notamment depuis le début de la crise sanitaire, il ne respecte pas les lois, et sa grande spécialité est la manipulation des gens et des masses. Il a foulé aux pieds maintes fois les lois républicaines sans sourciller et maintenant, avec son discours du 12 juillet 2021, la Convention internationale d’Oviedo (([1] https://rm.coe.int/090000168007cf99)). Depuis le premier trimestre 2020, il a profité, pour le moins, de l’apathie des membres du Parlement et du Sénat. Il a bénéficié de la complicité de la quasi-totalité de nos institutions et des médias, dont on peut se demander si tous ces gens sont anesthésiés ou corrompus. Les parlementaires et les sénateurs se sont particulièrement distingués en se discréditant, démontrant aux yeux des personnes conscientes l’absence d’entendement de l’écrasante majorité du personnel politique que nous entretenons à nos frais. Très rares en effet sont ceux qui ont compris les colossaux enjeux politiques et surtout sociétaux de cette crise. Car il ne faut pas se voiler la face, le véritable but des manœuvres sournoises de Macron et de l’Union Européenne n’est pas de soigner la population, mais d’établir, à l’aide d’une menace invisible, réelle, mais amplifiée par des ignorants ou des complices, le règne centralisé d’une élite autoproclamée que certains nomment Nouvel Ordre Mondial, et qui exercera son pouvoir sur l’ensemble de la planète sous prétexte de mieux gérer les crises qui d’après eux vont se répéter.

Nous sommes en face d’une révolution planétaire qui se passe sous nos yeux et qui remet en cause totalement, et totalitairement, les principes républicains ; notamment la souveraineté du Peuple sur ce que l’on dénomme l’État ou la Nation. Leur but est de les dissoudre dans une entité supranationale mondiale où ils seront les seuls aux commandes, et dont nous ne serons plus que les manants soumis à leur bon vouloir, bref, ils nous proposent de ne plus qu’être que des pions, des numéros… Tel est l’avenir qu’ils proposent à vos enfants.


Par son discours du 12 juillet 2021, Emanuel Macron  vient de rendre obligatoire la vaccination anti-covid pour les soignants qui doivent tous se faire vacciner avant le 15 septembre 2021.

Un des problèmes est que ces soi-disant vaccin anti-covid ne sont pas des vaccins comme le démontrent les Drs Nicole et Gérard Delépine :
https://nouveau-monde.ca/linjection-genique-anti-covid-nest-pas-un-vaccin/
et de plus ces injections sont dangereuses :
https://nouveau-monde.ca/effets-secondaires-et-deces-lies-aux-injections-experimentales-anticovid/

Une multitude de professionnels de la santé ont déjà alerté sur le caractère frauduleux et dangereux de ces injections et comble du foutage de gueule  le directeur de l’ARS de Nouvelle-Aquitaine, un proche d’Olivier Véran, a osé faire ces aveux sur BFMTV, informations reprises et commentées sur CNEWS :

Pascal Praud : « Ils veulent nous imposer une dictature sanitaire » – Jacques Séguéla : « C’est satanique, c’est un discours satanique » (lemediaen442.fr)

Face aux propos ahurissants du directeur de l’ARS Benoît Elleboode sur BFMTV,  assurant que tous les non-vaccinés seront contaminés par le variant Delta, Pascal Praud s’emporte. Il s’exclame : « J’ai envie de lui dire : à quoi servent les gestes barrières et le masque, si personne n’y échappera… Il faut immédiatement retirer le masque. » L’animateur de CNews a continué sur sa lancée en ciblant Olivier Véran, l’accusant de vouloir imposer une dictature sanitaire. Ce à quoi Jacques Séguéla lance : « C’est satanique, c’est un discours satanique ! »

Pascal Praud : « Ils sont de retour, ils sont là, ils veulent nous imposer — le ministère de la Santé — une dictature sanitaire. Tant que vous ne comprenez pas ça, vous ne comprenez rien. »

Il est bien évident que si la plupart des Français ne sont pas au courant de tous ces problèmes, tellement ils sont soumis à un bourrage de crâne permanent sur les « avantages » de la « vaccination », les soignants par contre sont plus informés, et savent par leurs études, qu’un vaccin ne s’élabore pas en quelques mois, mais en plusieurs années. En toute conscience, ils comprennent qu’avec ces injections pseudo vaccinales, ils risquent leur santé et même leur peau : ils ne veulent pas être de la chair à canon.

Conclusion

En République, le peuple souverain transmet son pouvoir à son Président pour le guider et le protéger.

Pour Macron ce n’est pas le cas.

En 2017, il déclarait que s’il était élu il ne serait pas un président « normal ». Ci-dessous, début de l’article de Jefferson Desport, publié par le journal Sud Ouest le 10/03/2017.

Face aux lecteurs de Sud Ouest, Emmanuel Macron a expliqué quel président de la République il sera s’il gagne l’élection.

S’il est élu en mai prochain à l’Élysée, quel président sera Emmanuel Macron ? C’est l’une des questions qui a été posée ce vendredi par une des lectrices de Sud Ouest invitée à rencontrer le leader d’En Marche ! au siège du journal à Bordeaux, en compagnie de sept autres lecteurs. Sur ce point l’ex-ministre de l’Économie a été clair : il ne sera pas un président normal.

« Les Françaises et les Français ne cherchent pas la normalité. D’abord, parce que ce n’est pas une fonction normale. Ensuite, parce que la normalité se déconstruit toujours. Je ne sais pas ce que c’est la normalité. C’est, à un moment, ce qui est dominant dans les représentations sociales. »

Et d’ajouter :

« La normalité se définit par le regard de l’autre. Un président de la République n’est pas défini par le regard de ses concitoyens. C’est lui qui explique et éclaire l’avenir par son regard. C’est une vraie différence ».

Les propos de Macron, que ce soit dans le Wall Street Journal où dans Sud Ouest, mettent bien en perspectives les actes de Macron Président, il n’a aucun respect pour le peuple, il se fout complètement de ce que pensent les citoyens, il exerce le pouvoir comme un despote qui n’a de compte à rendre qu’à ses maîtres financiers.

C’est incontestablement un individu machiavélique qui abuse de la confiance des citoyens pour les trahir. Il ne faut pas qu’il s’étonne quand il en payera le prix.


Bonus :

1– Voici un communiqué récent  du Collectif des Syndicats et  Associations Professionnels Européens :
Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité

2– Piège pour ceux qui ont des prêts en cours, et autres informations :

3– Pour ceux qui n’ont pas encore compris :
« Nous sommes en guerre » ou L’inversion de toutes les valeurs

4– La résistance se renforce jours après jour :






La dictature Macron

[Sources : nicolasbonnal.com et reseauinternational.net]

[Sur l’illustration : « Aucune autre espèce sur la Terre ne s’alignerait volontairement pour sa propre exécution »]

Par Nicolas Bonnal

La dictature de Macron comme à la parade

Voici où nous en sommes : vaccination avant incarcération et extermination (mais avec assentiment populaire). Et cela gagnera toute l’Europe. Voyez la Grèce, l’Allemagne ou la Belgique…

Macron établit sa dictature avec l’assentiment de la ploutocratie totalitaire : voyez mon livre de 2017, quand j’ai évoqué la fin des libertés. J’annonçais aussi de nouvelles résistances, mais de ce côté, au pays de Louis XIV, de Napoléon, de Napoléon III, de la Vendée, des Massacres de septembre, des guerres mondiales et coloniales, des droits du citoyen et du politiquement correct remixé Mai 68, on a été moins entreprenant que prévu – à part la protestation pétrolière et vite calmée (et encadrée) des Gilets dits Jaunes.

Tout cela je l’avais exposé dans mon universitaire pamphlet intitulé le Coq hérétique : la France n’était pas la terre de la liberté. Point. Les plus grands écrivains du dix-neuvième siècle l’avaient dit, et ils avaient fini par inspirer le dernier grand esprit français François Furet (Penser la révolution française). Jouvenel dans son Du pouvoir eut le courage de mettre les pendules à l’heure après 1945 quand il inventa la fastueuse expression « démocratie totalitaire » depuis rebaptisée « société ouverte ».

De la même manière on assiste depuis quelques semaines à une disparition des antisystèmes ; le front se fracture et je l’avais dit aussi en me basant sur le film de Don Siegel L’invasion des profanateurs de sépulture. À la fin le héros (excellent Kevin McCarthy – sic) se retrouve seul face aux extraterrestres ou comme dirait Philippot aux rhinocéros. La fin-vaseline a été rajoutée sur ordre des studios, alors que Siegel (l’évadé d’Alcatraz…) voulait montrer une seule chose : nous devenions des légumes face à l’État et à la télé ; rappel, le héros résistant est médecin aussi, et c’est un beau clin d’œil. À la même époque on réalise aussi à Hollywood l’Homme qui rétrécit, qui rétrécit face à la science, face au médecin, face au chat, face à la femme libérée. Rien de neuf là aussi : lisez le livre VIII de Platon et le compte-rendu que j’en ai fait.

Les antisystèmes et les rebelles se volatilisent donc comme l’Église. Des gusses comme le Saker insultent, le vieux catho Castelnau ronchonne, Raoult rétropédale, le Tandonnet évoque une panique, les pépères comme Sannat résistent passivement, les Ménard et les Marianne veulent vacciner à tour de bras. En réalité ce n’est pas qu’il y avait fausse opposition ou opposition contrôlée, c’est qu’il n’y avait pas d’opposition du tout. Les types aboient, prennent leur coup de pied et partent la queue entre les pattes. C’est très bien expliqué dans Point Break.

Tandonnet, ex-conseiller de Sarkozy et biographe de Tardieu (il faut le faire), ose écrire que le pouvoir panique. C’est comme si on disait que Louis-Napoléon Bonaparte paniquait le 2 décembre 1851 ou que Hitler tremblait de peur avant l’incendie du Reichstag. Il devrait lire Jouvenel ou Tocqueville au lieu de les citer ; le pouvoir ne fait que se renforcer. Il le fait car il a affaire à un peuple de semi-esclaves qui a cru se libérer en 1789 ou en 1870. On en revient à l’hallucination collective dont j’ai parlé maintes fois et qui dure en occident depuis la Renaissance et la machine à imprimer (Gutenberg, Faust, la planche à billets…).

La liberté occidentale est un mythe absolu : les gouvernements occidentaux sont toujours enragés, bolchéviques, oligarchiques, fascistes, ce qu’on voudra. Le populo continuera de se coucher, comme le remarquaient en leur temps Céline, Drumont et Bernanos.

Les bourreaux volontaires vont charger, et le troupeau s’incliner.

On conseillera aux résistants de se faire une raison avec leurs paquets. Ce n’est pas la Résistance qui a libéré la France, contrairement à l’énième mythe reçu.


La dictature Macron entre bourreaux volontaires et moutons de Panurge

Macron joue sur du velours – avec un beau boulevard devant lui. Alors que les antisystèmes invoquent comme toujours la Résistance, le gaullisme, 89, les droits de l’homme, Dieu sait quoi encore, 1,3 million de Français se sont vaccinés après la sévère allocution du martial président. On a senti encore la puissance des médias, ces instruments d’hallucination collective. Et on a compris qu’internet n’aura servi à rien comme outil de développement intellectuel personnel. Je dirais même qu’on a reculé sur ce point depuis 2001. Il y a de moins en moins de justes – comme sous toute occupation qui dure.

On va citer Rabelais alors : « Soudain, je ne sais comment la chose arriva si vite, je n’eus le loisir de le considérer, Panurge, sans dire autre chose, jette en pleine mer son mouton criant et bêlant. Tous les autres moutons, criant et bêlant avec la même intonation, commencèrent à se jeter et sauter en mer à sa suite, à la file. C’était à qui sauterait le premier après leur compagnon. Il n’était pas possible de les en empêcher, comme vous connaissez le naturel du mouton, qui est de toujours suivre le premier, en quelque endroit qu’il aille. Aristote le dit aussi au livre 9 de « L’Histoire des animaux », c’est l’animal le plus sot et inepte du monde ».

Notre peuple d’imbéciles s’est tellement fait bourrer le mout à l’école avec des histoires de révolution, de droits de l’homme et de résistance qu’il accepte sans broncher la pire des tyrannies. Anesthésié par la technologie et le renforcement pervers de l’État-providence, le peuple est devenu depuis la disparition du parti communiste et du catholicisme un vrai ochlos au sens grec, une masse imbécile, soumise, adoratrice du fric et de la merde culturelle. Ochlocratie rime avec ploutocratie, et on a vu cette France arriver avec le mitterrandisme au cours des années 80, quand les « jumeaux du populisme » Le Pen et Tapie consacraient cette alliance non pas contre nature mais contre culture ; ce fut à cette époque que tout jeune je pus vivre l’effondrement de ce pays du point de vue de la civilisation. La marginalisation du peuple date de cette époque-là. Et il fut pris en charge par une américanisation culturelle proprement insensée. Plus récemment l’écrasement des benêts gilets jaunes a servi d’accélérateur à l’entropie politique de la nation. Je rappelle toujours l’interview de Stanley Payne sur les Espagnols : ils sont anesthésiés, crétinisés par la matrice, et ils demandent quelque chose, même si ce n’est pas beaucoup (« pide algo, no mucho »).

Il y a une petite minorité dont nous sommes, dont le nombre va diminuer (« l’homme qui rétrécit ») et qui va être persécutée et transformée en bouc émissaire : voyez mes textes sur Stefan Zweig et Bernanos. Désolés, mais nous allons passer de sales moments. La masse des bœufs ne se révoltera pas plus que contre Hitler, Pétain ou Franco. Elle fermera les yeux ou hurlera avec les loups.

Il faut voir maintenant le problème des bourreaux volontaires, flics, gendarmes, militaires (beaucoup de traitements très réévalués par le régime), médecins, fonctionnaires divers et avariés, enseignants, et bien sûr journalistes, sans compter les politiciens ; combien y en a-t-il et jusqu’où iront-ils ? Tout nous a montrés jusque-là que personne ne recule, et ce d’autant que la résistance n’oppose aucune résistance quantitative (je veux dire par là que nous n’attirons pas les masses). Je répète aussi qu’il faut un certain temps pour en former ; mais le virage traîtreux du chiraquisme au milieu des années 2000, renforcé par les démentielles présidences suivantes, a préparé selon moi une belle avant-garde de tortionnaires. Le reste est chez Stefan Zweig.





Obligation vaccinale : policiers et gendarmes n’y seront pas soumis, les commentateurs s’interrogent

[Source : RT en français]

[Photo : © Guillaume Horcajuelo Source: Reuters]

Contrairement aux soignants et pompiers, les membres des forces de l’ordre ne seront pas inclus dans les professions soumises à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. D’aucuns y voient une dérogation suspecte.

Le gouvernement a confirmé ce 13 juillet que les membres des forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ne seraient pas soumis à l’obligation vaccinale à partir du 15 septembre. C’est ce que rapportent BFMTV et Le Parisien, citant le ministère de l’Intérieur.

Lors de son allocution télévisée le 12 juillet dans la soirée, le président Emmanuel Macron avait annoncé que « les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes fragiles, y compris à domicile » seraient obligés d’être vaccinés à partir du 15 septembre. Parmi les personne contraintes, sous peines de lourdes sanctions, à se faire vacciner, on trouve les pompiers et les ambulanciers comme l’a confirmé le porte-parole du gouvernement sur le plateau de la chaîne d’information en continu, mais pas les policiers et les gendarmes.

Gabriel Attal a néanmoins précisé que cette dérogation pour les forces de l’ordre concernait exclusivement leurs heures de travail. « Sur le temps de repos, les membres des forces de l’ordre sont soumis aux mêmes restrictions que le reste de la population, avec notamment le pass sanitaire », précise BFM. En effet, parmi les annonces des autorités, le pass sanitaire va devenir la norme pour se rendre dans les lieux recevant du public. Il sera étendu début août aux cafés, restaurants, centres commerciaux, hôpitaux ainsi qu’aux avions et aux trains inter-régionaux.

Cette dérogation a suscité de nombreux commentaires.

Pour Jean-Luc Mélenchon, l’exclusion des forces de l’ordre des professionnels obligés de se faire vacciner est une contradiction, une aberration. « Les décisions de Macron sentent l’abus de pouvoir et la discrimination sociale. Exemple : le pass sanitaire obligatoire sera vérifié par des policiers non vaccinés. Bienvenue en absurdie. Le pays n’est ni protégé ni organisé pour la 4ème vague », écrit le leader de La France insoumise sur son compte Twitter.

« Les policiers et les gendarmes sont exclus de l’obligation vaccinale en septembre […] C’est plus clair comme ça ? » interroge l’éditorialiste Alexis Poulin, un tantinet suspicieux. 

« Pourquoi exempter policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale alors qu’ils sont autant en contact avec le public que les soignants ? » interroge le patron de l’UPR François Asselineau. « Cette décision prouve que Macron et son gouvernement ont peur de la colère populaire contre la dictature et veulent pouvoir avoir recours à la force », estime-t-il.

Même analyse pour l’éditorialiste de Sud Radio André Bercoff, ironisant sur le fait que les forces de l’ordre devront « protéger nos citoyens contre les innombrables variants de ces trois virus mortels : liberté, égalité, fraternité ».

L’ex-policier Sébastien Jalamion se veut plus solennel et interpelle ses anciens collègues.

« À tous les policiers, gendarmes, militaires, douaniers, tous ceux qui sont dotés d’une parcelle d’autorité publique : n’appliquez pas des instructions distinguant les citoyens en fonction leur sérologie ! Protégez nos libertés et faites barrage à cet Exécutif ! Résistance », a-t-il plaidé.

Sur Europe 1 ce 13 juillet, Gabriel Attal a eu quelques difficultés à justifier l’exclusion des policiers et gendarmes de l’obligation vaccinale.

Quand le journaliste lui rappelle qu’il y a du public dans un commissariat, le porte-parole du gouvernement botte en touche en rappelant que l’obligation vaccinale a été mise en place pour les personnes travaillant auprès de personnes vulnérables.

En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/88688-obligation-vaccinale-policiers-gendarmes-pas-soumis-commentateurs-interrogent




Allocution de Macron : entre autosatisfaction et obligations, l’adieu à la raison

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

20h27. Fin de l’allocution de notre actuel huitième président de la Vème République Française.

Cette allocution aura donc duré un peu moins de 30 minutes. 30 minutes que certains de nos concitoyens ont dû trouver bien longues…

Car, ne nous mentons pas ; depuis quelques jours maintenant, elle était redoutée par bon nombre de Français. L’atmosphère se faisant de plus en plus lourde ces derniers temps ; que ce soit dans la vie au quotidien (professionnelle comme sociale) ou sur les réseaux sociaux. Climat d’instabilité manifeste exacerbé qui plus est par une campagne incessante et pesante sur les plateaux des diverses chaînes d’information. Ces plateaux de télévision où sans cesse, les non-vaccinés sont pointés du doigt pour leur manque de civisme, d’altruisme et de solidarité. Les mots employés dépassant souvent l’entendement, symbole d’une atmosphère nauséabonde et d’une tension palpable. Les exemples les plus frappants étant les interventions de M. Lechypre ou de Mme de Malherbe pour qui les non-vaccinés doivent être traqués ou considérés comme des brebis galeuses.

Voir aussi : Le non-vacciné, cette espèce à abattre

A cela s’ajoute, bien évidemment, car sans cet ajout il eut été difficile d’imposer de nouvelles mesures, une communication terriblement anxiogène par ces mêmes médias mainstream rappelant toutes les heures l’implantation continue sur notre territoire du terrible variant indien, renommé Delta, pour des soucis de progressisme bien évidents. La « fracture vaccinale », comme aime le dire un célèbre néphrologue devient de plus en plus visible. Fracture illustrée ces dernières heures par la conversation filmée entre notre Premier ministre et le président du parti Les Patriotes. Cette conversation laissant sous-entendre un été plus que compliqué pour la partie de la population française non vaccinée.

https://www.youtube.com/embed/yKVMKXGHFes

Sans bien sûr oublier la bombe de la semaine dernière lorsque le directeur de l’IHU Marseille, via son compte Twitter, s’est positionné en faveur de la vaccination « systématique »des soignants. C’est donc dans ce contexte particulier, une véritable poudrière sociale, que le président intervenait ce soir afin de donner ses nouvelles directives pour cet été déjà commencé.

Et si la population réticente au vaccin et au pass sanitaire redoutait donc cette allocution et les décisions qui allaient en découler, force est de constater que personne (y compris dans le camp des « pro ») ne s’attendait à des décisions aussi radicales.

Le président a commencé son allocution, qu’il tenait étonnamment au Grand Palais Ephémère, par des félicitations à tous comme il en a l’habitude, des soignants jusqu’à notre jeunesse, n’oubliant pas de rendre hommage aux victimes, tout en saluant notre civisme et également la pertinence des mesures prises par son gouvernement.

Oui car il estime, « après avoir beaucoup consulté », que si l’épidémie est maitrisée c’est avant tout grâce aux mesures prises par l’exécutif, pointant surtout le plan de vaccination massif qui est une réussite. A aucun moment Emmanuel Macron ne parle de l’arrivée du printemps puis de l’été qui entraînent une chute naturelle de l’épidémie dans notre climat tempéré… Premier écart avec la science.

Après s’être dit très fier du maintien de l’école et de l’instruction (il est à noter que l’on a fermé moins longtemps que certains pays comme les Etats-Unis ou l’Allemagne), il saluera également aussi le plan de réouverture. Ce plan de réouverture étant une réussite notamment grâce à son « quoiqu’il en coûte » qui aurait permis de préserver les emplois, les entreprises et le pouvoir d’achat. Tous ces bons résultats vont nous permettre de maintenir un 6% de croissance faisant de nous le pays le plus attractif d’Europe… Rendez-vous en fin d’année pour confirmation.

Arrive alors le début des annonces fâcheuses : Emmanuel Macron nous lâche que malheureusement la reprise épidémique due au variant delta est maintenant forte sur tout le territoire, y compris les Dom-Tom. Mais également dans le monde entier, et qu’il est impératif de reprendre des mesures pour lutter contre celui-ci ; il cite notamment les Jeux olympiques de Tokyo à huis clos pour se justifier.

Bien sûr, il appuie son propos en nous expliquant que ce Delta est trois fois plus contagieux, (ce chiffre est pour le moins farfelu : on a entendu 8, 12 et maintenant 3…), mais il ne dira mot concernant le taux d’hospitalisations et le taux de létalité de ce variant comparé aux précédents. Pour quelle raison ? Parce que ce variant est très peu létal selon les derniers résultats observés en  Grande-Bretagne, et, comme chacun sait qu’il a des compétences en épidémiologie, on ne peut imaginer qu’il ne soit pas au courant. De fait, cela rendrait la suite de la prise de ces décisions insensées. Deuxième écart avec la science.

Mais « heureusement », dit-il, nous avons l’arme vaccinale pour lutter contre ce virus et ses variants. Et d’ailleurs il est impensable qu’au pays de Pasteur et des Lumières, une telle proportion de la population y soit réticente. Cette affirmation paraît terriblement cocasse quand on sait qu’aucun de nos vaccins n’est actuellement sur le marché…

Se vacciner, affirme-t-il encore, réduit les formes graves de 95%, divise la contamination par 12 et réduit les mutations. Si la première affirmation est vrai, il ferait bien d’aller jeter un œil sur les dernières études qui parlent d’un taux d’efficacité aux alentours de 60% sur les contaminations, et même encore moins si on s’en réfère aux toutes dernières données. Quant aux mutations évitées, c’est tout simplement non prouvé pour l’instant. Troisième et quatrième écart avec la science.

Voir aussi : Le meilleur épidémiologiste du monde est français, et il s’appelle Macron !

Mais, c’est en utilisant ces arguments scientifiques teintés de doigt mouillé, qu’il va annoncer ses décisions :

– l’obligation vaccinale, « dans un premier temps » pour tous les soignants et assimilés, jusqu’aux aides à domicile. Ils auront jusqu’au 15 septembre pour le faire, ensuite viendront des contrôles, et des sanctions.

On rappellera que ces vaccins sont toujours en AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle et que prendre une telle décision est totalement contraire au principe de prudence. Que cherche-t-il à provoquer par cette décision ? Croit il vraiment que la totalité du personnel va s’exécuter ? Ne sait il pas que certains vont démissionner (c’est déjà le cas pour certains) pour le libéral ou une reconversion ? Ne se rend il pas compte qu’il risque de rendre l’Assistance Publique complètement démunie ?

On pourrait vraiment le penser… mais c’était sans compter sur la suite de son programme vaccinal. Ils ont certainement prévu cette possibilité et c’est sans doute la raison des décisions suivantes.

Pour le reste de la population, pas d’obligation. Mais déjà des couvres-feux seront remis en place en Martinique et à la Réunion et, pour les départements dont le taux d’incidence dépassera 200 (soit à nouveau des cas, et non des malades), les sanctions seront ciblées sur les non-vaccinés.

En prononçant ces mots, il rend officielle et légitime la fracture vaccinale dans notre pays. Il vient de donner blanc-seing à tous les intégristes du « zerocovid » et « no fale med ». Ils auront dorénavant l’aval du président quant à leurs actions de discrimination envers leurs compatriotes non vaccinés.

– La suite logique de son intervention (car une fois mis en condition on y trouve une certaine logique) est donc l’extension du passe sanitaire, et ce dès le 21 juillet dans les lieux de loisirs et culture à partir de 12 ans. Puis ce passe sera élargi début août à tous les cafés, restaurants, moyens de transport publics, ainsi qu’aux centres commerciaux. Il ajoute que seuls les vaccinés et les testés négatifs (sans préciser le type de test d’ailleurs) pourront y accéder. Plus de différenciation dehors/dedans, on oublie donc encore une fois la science qui nous a prouvé qu’il était rarissime de se contaminer en extérieur. Cinquième écart.

De plus, en disant que la preuve vaccinale est suffisante, il agit comme si ce vaccin cassait la contamination et la transmission, et on a bien vu que c’était loin d’être évident. Nous nageons dans l’absurde le plus total, où une personne vaccinée mais possiblement positive aura accès à un lieu public, quand une personne non vaccinée mais négative y sera interdite. Sixième écart.

On rappellera aussi que le passe était censé être utilisé pour les rassemblements de plus de 1000 personnes seulement. Certains avaient vite vu la mascarade de cette loi. Les rédacteurs de cette dernière avaient bien fait attention de ne mentionner aucun seuil pour pouvoir l’adapter.

Voir aussi : Loïc Hervé, sénateur : « le pass sanitaire, ce n’est pas possible, c’est une question de principe »

Enfin, il finit par nous annoncer qu’à partir de septembre, les tests deviendront payants. Ceci est une manière de faire qui n’a rien à envier à nos plus sombres moments d’histoire. En effet, comment une famille nombreuse au revenu minimum pourrait-elle se permettre de payer des tests PCR à chaque fois qu’elle veut aller au cinéma ou faire ses courses ? Par cette décision, il contraint de fait une grande partie des réticents à la vaccination, sans autre forme de procès.

Comme si cela ne suffisait pas : après avoir annoncé des projets de vaccination à l’échelle mondiale via le « Projet Act » pour les pays les plus pauvres qui auront un accès facilité aux doses de vaccins – pays qui pour la plupart, rappelons-le aussi, ne nous ont pas attendu pour soigner et prendre en charge leurs populations avec des traitements connus et reconnus mais dont il est interdit d’écrire le nom sous peine de censure, le président termine son allocution en annonçant la réforme des retraites qui sera mise en place dès la sortie de la pandémie. On notera avec malice que cette date imprécise lui donne une certaine latitude, puisqu’il pense qu’on en a au moins jusque 2022 avec ce virus. Avec en perspective, jusqu’à preuve du contraire, des élections présidentielles en mai 2022. Pense-t-il vraiment être en situation de mettre en place cette réforme ?

Se justifiant donc avec cette réforme et le maintien du plan de relance post covid, il nous annonce que nous serons contraints de travailler plus et plus longtemps. Car notre président est un homme de parole : ainsi, il continuera la baisse des impôts comme prévu. Il faudra donc financer ce plan de relance et la réforme des retraites par d’autres moyens : le travail ! 

Il conclut alors par son grand projet qu’il nomma « le pacte français » – mais sans jamais omettre d’y inclure l’Europe. Il aura pour but de faire de la France un pays conquérant à la pointe dans la recherche, l’innovation, l’industrialisation, l’agriculture à horizon 2030. On croirait presque à un discours souverainiste mais y inclure l’Europe et parler également de projet européen d’industrialisation montre bien que tout ceci est peu tangible et viable économiquement.

Les annonces dites sanitaires auront donc été prises en sandwich entre un numéro d’autocongratulation et un discours programmatique, pour ne pas dire de campagne. Était ce pour noyer le poisson en bombardant le citoyen d’informations importantes ?

Il n’empêche que nous basculons dans une autre ère ce 12 juillet 2021, 23 ans jour pour jour après que le pays a vécu sa plus belle soirée de communion nationale d’après-guerre. L’obligation vaccinale est appliquée dans peu de pays encore, les seuls étant l’Arabie Saoudite et le Tadjikistan. Sous couvert de protection de la population contre un variant qui à l’heure actuelle n’est pas spécialement alarmant, cette obligation vaccinale et ce passe étendu questionnent fortement.

Quel est le projet ? A-t-il conscience que si on découvre des maladies auto-immunes, le pays le rendra responsable ? Il est assez jeune pour devoir répondre de ses décisions de son vivant dans plusieurs décennies et ca n’a pas dû lui échapper.

Quel est l’intérêt de vacciner un enfant de 12 ans ? Combien de morts de 12 ans du covid ? À quel moment notre président et son conseil scientifique ont-ils oublié la définition de la balance bénéfice-risque ?

De plus, on commence à s’apercevoir de manière assez probante maintenant que de « l’échappement vaccinal » peut se produire, qu’un vacciné peut toujours être positif et que de fait le vaccin n’est pas l’arme ultime de santé publique.

Voir aussi : « Ne faisons pas un remède pire que le mal » : l’entretien essentiel, avec Christian Vélot

Que signifie cette dégringolade liberticide ? Nous sommes passés d’un confinement en mars-avril 2020 pour désengorger nos hôpitaux et nos réas, à l’obligation vaccinale en septembre 2021 pour un enfant de 12 ans pour aller manger un snack dans un centre commercial…

Les historiens et philosophes du XXIIème siècle auront là un sujet passionnant pour leurs thèses.

Auteur(s): FranceSoir




Effets secondaires et décès liés aux injections expérimentales anticovid.

Par Nicole Delépine

[Illustration tirée de XAVIER DELUCQ]

Recueil de données officielles disponibles

UNION EUROPEENNE

Pour ceux qui aimeraient vérifier les chiffres publiés sur les effets secondaires déplorés et signalés en UE, voici la source et la marche à suivre(([1] SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#))

SOURCE : http://www.adrreports.eu/fr/search_subst.html#

MARCHE À SUIVRE

Si vous voulez effectuer la recherche : une fois cette page ouverte

recherchez « covid ». Vous trouverez les quatre vaccins.

Sur chacune des pages du vaccin, cliquez sur l’avant-dernier onglet (« Number of Individual Cases for a selected Reaction »). Le nombre d’effets secondaires se trouve en bas à droite pour chacun des groupes de pathologies répertoriés dans la colonne de gauche.

Pour trouver le nombre total d’effets secondaires, pour chaque vaccin, il faut additionner le nombre d’effets secondaires trouvé pour chacun des groupes de pathologies (c’est-à-dire, par vaccin, plusieurs dizaines de pages dans la liste de la colonne de gauche).

Dernier comptage disponible(([2] 16.500 décès susceptibles d’être causés par les « vaccins » anti-covid dans l’UE (au 26 juin 2021) | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation)) en UE avec les pathologies associées.

CHIFFRES GLOBAUX UE

17 503 décès comptabilisés de gens bien portants qui ont suivi les conseils télévisés des médias, n’est-ce pas énorme ? Et le nombre d’accidents répertoriés dont 50 % sont graves ne sont pas assez soulignés, car la vie de ceux-là sera perturbée pendant des décennies s’ils survivent aux complications tardives possibles (cancer, maladie auto-immune, etc.).

Ceci est un comptage minimum, car les soignants sont invités à ne pas parler d’effets secondaires et à expliquer que malheureusement « c’est le hasard ».

Les morts ne sont comptabilisés que durant les trente jours suivants la piqûre et les morts subites du deuxième mois sont volontairement oubliées. Quant aux accidents cardiaques fréquents, ils sont pour l’instant supposés être le fait de pure coïncidence et non comptabilisés. Gageons que les cardiologues vont faire fortune, l’injection génique source de fabrication de protéine Spike étant particulièrement toxique pour les vaisseaux et en particulier les vaisseaux usés des gens âgés qu’on s’est précipité à injecter.

Qu’importe de l’exactitude des chiffres qui sont de toute façon tellement élevés, même si des millions de gens sont vaccinés comme les fanatiques du vaccin nous le répètent.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins tellement répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite aux États-Unis, comme en Chine, et qui n’ont jamais donné une mortalité comparable. Pourquoi est-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

Rappelons que le vaccin H1N1 avait été retiré après une cinquantaine de décès de même que celui de la grippe aviaire en 1976 et que de façon générale, un essai thérapeutique d’une nouvelle drogue est stoppé au-delà d’une trentaine de décès. Le nouveau monde est bien là, oubliant le consentement éclairé, le principe de précaution et la valeur de la vie, d’une vie.

Un moratoire pour avoir le temps d’analyser les données déjà disponibles serait la moindre des choses si le sort des citoyens était en cause, après des millions de gens vaccinés.

Soit 16 432 décès signalés et acceptés par l’EMA comme possiblement liés et suspects fin juin 2021 avec le détail.

Et si vous souhaitez avoir une idée de l’évolution du nombre de décès depuis avril par exemple :

  • Pour le détail à la date du 19 juin 2021 par type de pseudovaccin :
  • Pfizer 7420 décès 560 000 effets adverses d’intérêt
  • Moderna 4147 décès 122 643 effets adverses d’intérêt
  • Astra Zeneca 3364 décès et 793 036 effets adverses d’intérêts
  • Jansen 541 décès
  • UE : 15 472 décès au 19 juin + 1.5 M effets adverses

Depuis le 3 avril 2021, on dénombre dans l’UE en moyenne CHAQUE JOUR 120 décès suspectés d’être dus aux quatre « vaccins » anticovid dans l’Union européenne sont signalés.

USA

VAERS au 25 JUIN 2021

Entre le 14 décembre 2020 et le 25 juin 2021, un total de 411 931 événements indésirables au total a été signalé au VAERS, dont 6985 décès, soit une augmentation de 872 décès par rapport à la semaine précédente.

Il y a eu 34 065 signalements de complications graves, en hausse de 2825 par rapport à la semaine précédente »

Les analystes des conséquences des vaccins anticovid aux USA sont interloqués par la haute fréquence des complications vaccinales en comparaison avec l’ensemble des complications des autres vaccins des deux décennies précédentes.

Aux USA en 16 mois. chez les 0-17 ans (74,2 millions) 396 morts attribuées au covid Et augmentation majeure du nombre d’accidents vaccinaux depuis 1990

Aux USA depuis mars, chez les mineurs âgés de 12 à 18 ans

Il y a eu plus de 300 décès après injection de la substance génique. Acceptable ?

Royaume-Uni(([5] ONS finally admits the Covid Vaccines have caused multiple deaths; contradicting claims made by the MHRA – Daily Expose))

Le nombre total de morts reportés par le MHRA (système carte jaune) est de 1403 reconnus, liés aux injections de vaccins anticovid. Chacun sait que les effets secondaires sont sous-déclarés 1 à 10 %.

Le UK Gouvernement via son agence de santé MHRA a rapporté un total de 1 007 253 réactions négatives, surdité, troubles visuels, convulsions, paralysies, perte de connaissance, arrêt cardiaque, crise cardiaque, et mort subite entre autres

L’Insee anglais (ONS) admet dans son décompte de la mortalité, la mort par effet secondaire des vaccins, contredisant ainsi de fait les labos et politiques qui rechignent à admettre la vérité par souci d’imposer leur pass vaccination

ÉCOSSE

Le site « Public Health » écossais a noté depuis le 26 février, 2207 morts dans les 28 jours suivant la vaccination et dans un autre rapport entre le 8 décembre date de début de la campagne d’injection et le 28 mai un total de 3752 décès suivant l’injection

FRANCE

Pour l’ANSM, agence du médicament française, il n’y a que 6 établissements qui font le recensement d’effets secondaires sur 1356 établissements et les chiffres sont sous-estimés.

Récemment : les sites de pharmacovigilance complètement débordés ont demandé de ne signaler que les cas très graves.

Le Site de l’ANSM est un peu difficile à consulter, car pour l’instant, il ne compte pas les décès en l’absence de certitudes de la relation de cause à effet.

Les effets secondaires qui remontent à l’ANSM sont des effets qui se sont déroulés dans les heures, la semaine ou les 10 jours qui ont suivi.

Quelques chiffres accessibles sont rapportés dans les tableaux suivants.

Au premier mars 2021, l’ANSM recensait 169 morts post vaccination du vaccin Pfizer, parmi plus de 5000 cas d’effet secondaires dont 25 % graves.

Un tableau à la même date donne une idée du type d’effets indésirables constatés et signalés et donc possibles pour les nouveaux vaccinés (la deuxième dose paraissant toujours plus à risque que la première). Vous remarquerez la fréquence des complications vasculaires et cardiologiques dues à la toxicité maintenant reconnue de la protéine Spike fabriquée par les organismes vaccinés.

Larbi Meftahi fait part de ses difficultés pour produire son tableau récapitulatif hebdomadaire des effets secondaires de la vaccination Covid-19 (cf. ci-dessous). Les CRPV sont sous l’eau et l’ANSM peine à produire ses rapports détaillés hebdo.

Chiffres ANSM au 20/05/2021. Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi

« Plus de 37 000 cas d’effets secondaires sur 27 millions de vaccinés d’après l’ANSM au 13 mai 2021, dont plus de 9600 cas graves. C’est sur le site. Rien d’anodin. Ça fait autour d’un cas d’effet secondaire sur 750 vaccinations et 1 cas grave toutes les 2800 vaccinations quand même. »(([6] dixit la grosse fouine sur twitter.))

Ainsi en France on estime à 1 personne sur 100 entre 16 et 49 ans souffrant d’effet secondaire grave. Avec sous-déclaration des effets secondaires (ANSM AZ rapport n°12) à prendre en compte.

Par ailleurs, on remarque auprès des collègues, amis, et proches vaccinés que les événements survenus dans les semaines qui ont suivi la vaccination, comme infarctus, accident vasculaire cérébral ou perte de mémoire (petits emboles vasculaires cérébraux), restent considérés comme des coïncidences. Jusqu’à quand et combien de victimes ?

En tout cas, les responsables de l’ANSM ne cachent plus leur volonté de dissimuler l’info. En effet, sur les quatre dernières périodes (un mois), l’ANSM ne produit plus de rapports hebdomadaires sur les effets secondaires des vaccins Covid-19.(([7] « Manifestement le site de l’ANSM ne joue plus la transparence » : Selon Larbi MEFTAHI @larbi_meftahi le 6 juil.))

ET chez les enfants ?

Le vaccin BioNTech/Pfizer BNT162b2, nom commercial COMIRNATY®, a obtenu son AMM conditionnelle européenne le 21 décembre 2020. L’Agence européenne du médicament a autorisé son utilisation sur les adolescents de 12 à 15 ans le 28 mai 2021. Le vaccin peut être administré aux 12-17 ans en centre de vaccination et sur autorisation parentale depuis le 15 juin 2021.

Covid-19 : pourquoi plus de 5000 enfants de moins de 12 ans ont-ils été vaccinés en France ?

Les données de Santé publique France font apparaître plusieurs milliers de jeunes enfants ayant reçu au moins une dose de vaccin, hors autorisation de mise sur le marché.

Plus de 5000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France(([8] Par Nicolas Berrod. Le 2 juillet 2021))

Plus de 5 000 enfants de moins de 12 ans apparaissent vaccinés dans les données de Santé publique France (Illustration). LP/Clivier Corsan
(Illustration : LP/Clivier Corsan)

Au 30 juin, il apparaît que 5272 garçons et filles de moins de 12 ans ont reçu au moins une dose de vaccin – 2264 âgés de 0 à 4 ans, 1086 de 5 à 9 ans, et 1922 de 10 ou 11 ans.

972 d’entre eux sont complètement vaccinés.

Pourtant, aucun vaccin n’a reçu d’autorisation de mise sur le marché pour les moins de 12 ans.

Seul Pfizer l’est, pour le moment, pour les 12-17 ans (Moderna pourrait être validé à son tour en juillet).

Santé publique France confirme que ces chiffres « reflètent la réalité » et ne sont pas dus à des erreurs de saisie.

« Il y a la possibilité de vacciner, y compris hors autorisation de mise sur le marché, de jeunes enfants qui présenteraient des facteurs de risques de forme très sévère [de Covid-19]. On n’a pas l’information enfant par enfant, mais la très grande majorité correspond très vraisemblablement à ce genre de décision individuelle », explique Daniel Lévy-Bruhl, épidémiologiste à l’agence sanitaire.

Plusieurs pathologies sont concernées.

Dans un avis publié le 24 mars 2021 sur son site, la Société française de pédiatrie notait déjà qu’« un très petit nombre d’enfants à très haut risque de Covid-19 sévère pourrait être vacciné selon le même schéma que les adultes, dès que possible, malgré l’absence d’AMM ».

Sont notamment concernés ceux atteints de polyendocrinopathie auto-immune, ou ceux présentant une prédisposition génétique aux encéphalopathies virales.

Ce nombre de 5272 reste faible, par rapport aux 10 millions d’enfants âgés de moins de 12 ans en France. La couverture vaccinale avec au moins une dose s’élève donc à moins de 0,1 % dans cette tranche d’âge.

Chez les 12-17 ans, elle est passée de moins de 1 % à 13,4 % en trois semaines. (estimation au 2 juillet)

En comparaison, le Covid a fait zéro mort chez les moins de 19 ans sains. En 2020 il n’a été observé que trois décès associés au virus, et tous chez des enfants immunodéprimés graves.

ISRAËL

En Israël aussi les médecins se demandent pourquoi cette folie de vouloir absolument vacciner les enfants.(([9] Andrew Bostom, MD, MS @andrewbostom 5 juil.))

Le Covid-19 n’est pas une maladie de l’enfant et sur plus de 6400 décès répertoriés de covid seulement 9 concernaient des enfants, et la plupart sont atteints de maladies graves sous-jacentes : « nous ne savons pas vraiment si ce vaccin est sans risque pour les adolescents ».(([10] https://jpost.com/health-science/why-is-israel-mass-vaccinating-teens-when-who-says-not-to-analysis-672854))

Pourtant selon une étude des autorités sanitaires israéliennes,(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html)) 275 cas de myocardite ont été identifiés entre décembre 2020 (soit la date du début de la campagne de vaccination) et mai 2021, et surtout chez les jeunes.

DANGER MAJEUR DE L’INJECTION GÉNIQUE CHEZ LES JEUNES ADULTES ET ADOLESCENTS, LES MYOCARDITES DANS TOUS LES PAYS VACCINES

Chez les jeunes, les pseudovaccins anticovid semblent d’autant plus toxiques que les citoyens sont plus jeunes, en particulier sur les conséquences cardiaques.

En Israël, cent quarante-huit myocardites sont apparues dans le mois suivant la vaccination dont 27 cas après la première dose, et 121 après la deuxième dose. Et les autorités sanitaires ont découvert un « lien probable » entre les deux.(([11] https://www.lecho.be/dossiers/coronavirus/lien-probable-entre-le-vaccin-pfizer-et-la-myocardite-dit-israel/10310696.html))

La plupart des cas sont survenus chez de jeunes hommes, en particulier ceux âgés de 16 à 19 ans. Les patients ont majoritairement été hospitalisés pendant quatre jours ou moins.

Aux États-Unis une étude souligne le possible lien entre les vaccins à ARN messager (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardite détectés chez certains jeunes vaccinés. Leurs conclusions sont similaires à celles tirées par l’État hébreu.

Pendant plusieurs semaines, un groupe de sécurité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a étudié les cas d’inflammation cardiaque survenus après des injections de vaccins Pfizer et Moderna.

Ils ont expliqué avoir recensé un peu plus de 12 000 cas de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) ou de péricardite (inflammation de la membrane qui entoure le cœur). Ceux-ci sont principalement survenus chez des personnes de moins de 30 ans plus souvent chez les hommes que chez les femmes. D’après les scientifiques américains, le lien entre les vaccins et ces problèmes de santé est « probable ».

Quelle fréquence ?

Voici les chiffres américains, en détail, arrêtés au 11 juin 2021

  • 267 cas de myocardite ou de péricardite signalés après l’administration d’une première dose d’un vaccin à ARNm.
  • 827 cas après l’administration d’une deuxième dose d’un vaccin à ARNm.
  • 132 cas signalés sans que le nombre de doses soit connu.

« Il s’agit encore d’un événement rare », a commenté le Dr Tom Shimabukuro. « Pour les deux vaccins combinés, on a enregistré 12,6 cas d’inflammation cardiaque par million de doses. Les cas étaient plus fréquents chez les personnes ayant reçu le vaccin Moderna, soit 19,8 cas par million, contre 8 cas par million pour le vaccin Pfizer », a-t-il précisé.

Cet effet secondaire rare a été ajouté dans la liste des avertissements présents dans les fiches d’information sur les vaccins à ARNm, selon la Food and Drug Administration (FDA).

« Sur la base des données disponibles, une mise en garde dans les fiches d’information, tant pour les prestataires de soins de santé que pour les personnes vaccinées et les soignants, serait justifiée dans cette situation», a déclaré Doran Fink, directeur adjoint de la division des vaccins de la FDA, cité par Politico.

Les symptômes de ces inflammations cardiaques consistent en des douleurs thoraciques et en un essoufflement. Ils apparaissent surtout dans la semaine qui suit la vaccination, principalement au quatrième jour suivant l’injection.

Si une personne soupçonne qu’elle souffre d’une myocardite ou d’une péricardite, il lui est conseillé de se rendre chez son médecin ou aux urgences. Des examens permettront d’établir un diagnostic. Si l’inflammation est survenue par suite de l’injection de la première dose, il serait prudent de ne pas recevoir la seconde.

EN CONCLUSION 

COMBIEN D’ENFANTS SONT-ILS MORTS DU VACCIN ? BEAUCOUP TROP, PUISQU’ILS NE RISQUAIENT RIEN DU COVID

Les injections géniques expérimentales ne protègent pas ceux qui les reçoivent ni leurs contacts, du coronavirus ni de ses variants, et exposent à de trop nombreux effets indésirables immédiats et à moyen terme, et inconnus à long terme. Leur administration doit être stoppée en urgence.

Et si vous voulez mieux connaître les laboratoires qui commercialisent ces injections géniques :





Le monde de Xi Jinping | ARTE

[Source : ARTE]

Derrière son apparente bonhomie se cache un chef redoutable, prêt à tout pour faire de la Chine la première puissance mondiale, d’ici au centenaire de la République populaire, en 2049. Ce portrait très documenté du leader chinois donne un aperçu inédit de sa politique et montre comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix.

En mars 2018, à l’issue de vastes purges, Xi Jinping modifie la Constitution et s’intronise « président à vie ». Une concentration des pouvoirs sans précédent depuis la fin de l’ère maoïste. Né en 1953, ce fils d’un proche de Mao Zedong révoqué pour « complot antiparti » choisit à l’adolescence, en pleine tourmente de la révolution culturelle, un exil volontaire à la campagne, comme pour racheter la déchéance paternelle. Revendiquant une fidélité aveugle au Parti, il gravira en apparatchik « plus rouge que rouge » tous les degrés du pouvoir. Depuis son accession au secrétariat général du Parti en 2012, puis à la présidence l’année suivante, les autocritiques d’opposants ont réapparu, par le biais de confessions télévisées. Et on met à l’essai un système de surveillance généralisée censé faire le tri entre les bons et les mauvais citoyens. Inflexible sur le plan intérieur, Xi Jinping s’est donné comme objectif de supplanter l’Occident à la tête d’un nouvel ordre mondial. Son projet des « routes de la soie » a ainsi considérablement étendu le réseau des infrastructures chinoises à l’échelle planétaire. Cet expansionnisme stratégique, jusque-là développé en silence, inquiète de plus en plus l’Europe et les États-Unis. Son pouvoir et ses ambitions sont d’autant plus renforcés qu’il apparaît comme le grand gagnant de la crise du coronavirus. Entre contre-feux et dissimulation, il poursuit à vitesse grand V son agenda politique et diplomatique afin d’intégrer les minorités au géant chinois, quitte à recourir à la violence. Génocide des Ouïghours, Hongkong, Taïwan : par sa politique, Xi Jinping revendique, plus que jamais, la force de l’hégémonie du régime chinois aussi bien dans les domaines économique et militaire que diplomatique. Avec un seul but : faire de la Chine la première puissance mondiale.

Impériale revanche. Dans ce portrait très documenté du leader chinois, Sophie Lepault et Romain Franklin donnent un aperçu inédit de sa politique et montrent comment l’itinéraire de Xi Jinping a façonné ses choix. De Pékin à Djibouti — l’ancienne colonie française est depuis 2017 la première base militaire chinoise à l’étranger — en passant par la mer de Chine méridionale et l’Australie, les réalisateurs passent au crible les projets et les stratégies d’influence du nouvel homme fort de la planète. Nourrie d’images d’archives et de témoignages (de nombreux experts et de dissidents, mais aussi d’un haut gradé proche du pouvoir), leur enquête montre comment Xi Jinping a donné à la reconquête nationaliste de la grandeur impériale chinoise, projet nourri dès l’origine par la République populaire, une spectaculaire ampleur. Elle jette aussi une lumière éloquente sur le système de fichage numérique de la population mis en place sous l’égide du « président à vie », qui a montré, avec la crise du coronavirus, sa redoutable efficacité.

Documentaire de Sophie Lepault (France, 2021, 1 h 30 min)

Disponible jusqu’au 12/08/2021

https://youtu.be/Jm-RKyY6UY0



L’obligation vaccinale n’aurait aucune justification, ni scientifique ni légale

Par Gérard Delépine

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Elle ferait de plus courir des risques politiques insensés à notre démocratie.

Le covid a quasiment disparu du pays même si nos gouvernants et les médias le cachent

D’après l’OMS et OurWorldinData, le nombre de nouvelles contaminations journalières est en chute libre en France depuis avril 2021. Depuis trois semaines, ce nombre ne dépasse pas 2000 par jour, soit une incidence quotidienne de 0,000 03.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne en est à 20 000 cas quotidiens malgré sa couverture vaccinale élevée et ses confinements récents.

Alors pourquoi le gouvernement veut-il prolonger la loi d’urgence prétendument sanitaire pour une épidémie disparue ?

La stratégie du tout vaccin sans traitement précoce est un échec cuisant

Le gouvernement et les médias tentent d’entretenir la peur dans la population en agitant la « quatrième vague ».

Celle-ci n’est qu’un mauvais scénario catastrophe issu d’une nouvelle modélisation dont les précédentes se sont toujours révélées fausses et ont été le prétexte des mesures liberticides (confinement, interdiction de traitements précoces) qui ont fortement aggravé la mortalité globale.

Elles nous ont placés dans le peloton de tête des plus fortes mortalités européennes par million d’habitants, comme les autres grands pays qui ont confiné à l’aveugle et, pour certains, interdit à leurs médecins de traiter précocement les malades.

[Ndlr : la Biélorussie (Belarus sur le schéma) n’a pratiqué aucune mesure sanitaire obligatoire et a beaucoup moins de morts par millions d’habitants et en absolu que la plupart des autres pays d’Europe. Voir ici ou ici, articles qui présentent très négativement ce pays (et son président élu, alors que son choix sanitaire est visiblement le meilleur).]

Le cuisant échec de la stratégie de la peur et du tout vaccin adoptée jusqu’ici devrait faire réfléchir nos politiques et les inciter à une approche plus démocratique, qui s’est révélée nettement plus efficace dans d’autres pays.

Les pseudo vaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta

La grippe, autre virus à ARN, nous a appris depuis longtemps qu’il se présente un nouveau virus chaque année, avec pour corollaire l’inefficacité au moins relative du vaccin de l’année précédente.

Il en va de même du Covid ; les variants émergent et se développent parce qu’ils sont résistants aux injections pseudo vaccinales en cours.

Les covidistes prétendent que la vaccination serait la meilleure prévention contre le variant delta alors que l’expérience des pays les plus vaccinés démontre le contraire.

Les pseudovaccins actuels ne sont pas efficaces contre le variant delta ainsi que l’atteste la reprise actuelle de l’épidémie en Grande-Bretagne et en Israël champions de l’Astra Zeneca et du Pfizer.

En Israël, la campagne de vaccination a été suivie d’un accroissement brutal des contaminations et de la mortalité quotidiennes pendant les mois de janvier et février 2021 qui ont établi les records mensuels de cas et de morts.

Puis après une accalmie de deux mois et malgré un taux élevé de couverture vaccinale,(([1] avec 57,2 % de la population complètement vaccinée (le 2 juillet 2021)) une reprise de l’épidémie avec le variant delta est apparue.

Pfizer et les autorités sanitaires responsables de la campagne du traitement Pfizer prétendent que l’injection anti-covid serait efficace contre le variant delta, mais ne fournissent aucune donnée brute le démontrant ni aucune explication crédible à la progression exponentielle de la maladie chez les vaccinés.

Car l’inefficacité du traitement génique Pfizer est confirmée par l’ancien directeur général de la santé israélienne qui a déclaré que « 40 à 50 % des nouveaux cas concernaient des personnes complètement vaccinées.(([2] La rédaction : Israël est un pays « hyper » vacciné et il subit aussi le variant Delta. À quoi sert la vaccination ? Nice Matin le 05/07/2021))»

Même cinétique d’échec en Grande-Bretagne.

Après l’hécatombe post-injection qui a emporté en trois mois autant de victimes que pendant les dix mois précédents est apparue une accalmie de 2 mois qui a fait croire que le traitement préventif aurait été efficace.

Mais en réalité les injections géniques n’ont abouti qu’à précipiter l’émergence du variant delta dont l’incidence augmente de manière exponentielle depuis fin mai.

Et la gravité de l’infection à variant delta paraît même augmentée par la pseudo-vaccination puisque le risque de mourir des « vaccinés » est le triple de celui des non injectés démentant la fadaise constamment répétée d’une moindre gravité après l’injection expérimentale anti-covid.

L’échec patent des pseudo vaccins géniques dans ces deux pays champions de cette stratégie prouve de manière indiscutable que les injections géniques actuelles sont incapables de limiter la transmission du variant delta.

On ne comprend donc pas que des chercheurs de l’Institut Pasteur comme Olivier Schwartz puissent prétendre que l’injection « resterait toutefois très efficace face au variant indien », avec « une efficacité légèrement diminuée, d’après les tests en laboratoire, le vaccin Pfizer est probablement protecteur ».

Comment un traitement inefficace sur la transmission de la maladie dans les pays les plus vaccinés pourrait-il être efficace en France ?

L’obligation d’injection anti-covid des soignants n’aurait donc aucune efficacité de protection des contacts des soignants

Les injections géniques actuelles ne sont pas des vaccins pastoriens

Un vaccin selon Pasteur contient des antigènes (un microbe tué ou atténué, ou le plus souvent un simple fragment de celui-ci) destinés à susciter une réaction immunitaire marquée par la création d’anticorps en quantité suffisante pour prévenir la maladie cible.

Les pseudo vaccins anticovid actuels ne contiennent aucun antigène, mais des ARN messagers créés par génie génétique. Leurs fabricants les présentent comme des vaccins pour bénéficier frauduleusement de la bonne réputation des vrais vaccins en France, et tromper leurs clients par un marketing habile d’après la vaccination antidiphtérique ou contre la fièvre jaune (contenant un virus atténué, mais vivant), laissant croire qu’on est totalement protégé contre la maladie covid.

Ce n’est pas le cas avec les injections anti-covid actuelles dont l’efficacité réelle en population est très faible, et sans rapport avec les mensonges publicitaires colossaux (85 % à 95 % !) que répètent les communiqués des fabricants et leurs complices. Et ce n’est pas l’injection de plus prônée par les laboratoires et le Premier ministre (la 3e !) chez les personnes à faible réponse immunitaire qui changera grand-chose (sauf les bénéfices de Big Pharma).

La protection des soignants et des personnes fragiles peut être assurée par les traitements précoces

L’Inde est un pays gigantesque et pauvre avec un système hospitalier encore plus délabré que le nôtre. Elle a vaincu la première vague en traitant préventivement son personnel soignant et les contacts des malades avec la chloroquine. Au 1er janvier 2021, elle comptait neuf fois moins de morts par millions d’habitants que la France.

En janvier 2021, elle a commencé la vaccination et abandonné dans certains états les traitements précoces systématiques.

Deux mois plus tard, elle a affronté une forte poussée de cas et de morts qui n’a été contrôlée qu’après la reprise généralisée de traitements précoces par chloroquine/Ivermectine.

Au 10 juillet 2021, elle compte 5,5 fois moins de morts par millions d’habitants que la France (312 vs 1690).

Les traitements précoces constituent donc une solution beaucoup plus efficace que l’injection génique.

Pour l’abandon de la politique tyrannique fondée sur la peur

La politique autoritaire de restrictions des libertés et l’inefficacité de la stratégie Covid19 par la peur et les obligations scientifiquement infondées font courir des risques insensés à notre démocratie.

Jusqu’ici, les Français ont été remarquablement patients. Ils ont supporté des restrictions de liberté inefficaces sans beaucoup de réactions, anesthésiés par l’argent déversé du « quoiqu’il en coûte », la propagande terrorisante omniprésente des médias chapitrés par l’Élysée et la censure féroce des opposants. Comme le décrivait La Boétie(([3] La Boétie « Discours de la servitude volontaire »)):

« Le peuple a repoussé la liberté et pris le joug ».

Mais les mensonges permanents du ministère de la Santé et les très mauvais résultats de sa politique prétendument sanitaire les réveillent peu à peu. La poursuite d’une politique totalitaire avec la continuation de l’état d’urgence et des restrictions inutiles maintenant démasquées crée une situation d’incompréhension de plus en plus forte entre le peuple et ses représentants officiels expliquant en grande partie l’abstention record aux élections.

Le professeur Delfraissy et quatre autres membres du comité scientifique l’ont clairement exprimé(([4] *Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy, Denis Malvy Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract Lancet www.thelancet.com/public-health Vol 6 April 2021
https://www.thelancet.com/action/showPdf?pii=S2468-2667%2821%2900036-0)):

« Il est temps d’abandonner les approches fondées sur la peur et basées sur un confinement généralisé… Il n’est plus possible d’utiliser le confinement général stop-start comme principale réponse à la pandémie de COVID-19. Bien qu’attirante pour de nombreux scientifiques et une mesure par défaut pour les dirigeants politiques craignant d’être légalement responsables de réponses nationales lentes ou indécise.

« Les populations ont été jusqu’à présent relativement complaisantes, mais leurs doutes et leur méfiance sont visibles dans les mouvements de protestation dans plusieurs pays. L’impact du confinement général sur des économies entières a été dévastateur, le pire étant encore à venir en termes de taux de chômage et de dette nationale… Fondamentalement, la nouvelle approche devrait être fondée sur un contrat social clair et transparent, ancré dans les données disponibles… ».

Pourquoi n’est-il pas écouté et a-t-il comme le pr Raoult un discours fluctuant ?

Dans l’Histoire, que nos gouvernants devraient méditer, le régime des tyrans ne dura nulle part très longtemps et ne persista que tant qu’il a eu l’appui du peuple. Au tyran demandé par la foule, succèdent le désenchantement, puis la colère, car au fur et à mesure que la tyrannie devient moins utile, elle se fait de plus en plus oppressive. Ainsi s’explique la fin sanglante de nombreux tyrans tels que Alexandre tyran de Phères, Néron, Caligula, Vitellius, Gallère empereurs romains, Louis XVI, Mussolini, Trujillo, Kadhafi, Saddam Hussein…

La dérive de plus en plus totalitaire d’un gouvernement qui abuse d’une loi d’urgence sans aucune justification réelle, qui accroît la propagande permanente, la censure, multiplie les menaces et les intimidations contre les opposants et les mensonges quotidiens fracture un peu plus le pays, fait courir des risques politiques insensés à notre démocratie, au peuple et à ses dirigeants.

Conclusions

Une obligation pour un médicament qui n’est pas un vaccin, mais une injection expérimentale médicamenteuse d’ARN (dont les résultats avérés en Grande-Bretagne et Israël sont franchement mauvais, dont notre ministre reconnaît qu’ils ne sont capables de prévenir ni la maladie ni sa transmission) serait non seulement médicalement inutile, et totalement illogique (si vous croyez que ce traitement vous protège, vous n’avez aucune raison d’avoir peur des autres), mais serait de plus illégale, car contraire à la convention d’Oviedo. D’ailleurs, aucun pays au monde ne l’a imposée.

Non à l’obligation des pseudo vaccins covid des soignants comme du reste de la population ! Un traitement expérimental ne peut être administré qu’à des volontaires loyalement informés.

Préambule de la Déclaration universelle des droits de l’homme du 10 décembre 1948 :

« Il est essentiel que les droits de l’homme soient protégés par un régime de droit pour que l’homme ne soit pas contraint, en suprême recours, à la révolte contre la tyrannie et l’oppression »





Santé. Métaux lourds : tous les Français contaminés, enfants y compris

[Source : breizh-info.com]

Selon Santé publique France, l’ensemble de la population serait concerné par la présence de métaux lourds dans l’organisme. Des métaux qui ont des effets néfastes sur la santé et qui n’épargnent pas les enfants.

Métaux lourds : les Français les plus exposés en Europe

La santé des Français est-elle menacée par les métaux lourds ? Une nouvelle étude ESTEBAN (Étude de santé sur l’environnement, la biosurveillance, l’activité physique et la nutrition) menée par Santé publique France a consisté à analyser la présence de 27 métaux lourds dans l’organisme de Français adultes mais aussi chez les enfants à travers un échantillon représentatif de la population générale, composé de 1 104 enfants et de 2 503 adultes âgées de 6 à 74 ans. Ce qui constitue une première.

Les résultats de ces travaux, publiés le 1er juillet dernier, se résument par le fait que, selon le document en question, « cette nouvelle photographie des imprégnations souligne que l’ensemble de la population est concerné » avec « plus de 97 % à 100 % de détection » chez les participants adultes et enfants. Des valeurs de référence d’exposition ont été établies pour le plomb, l’arsenic, le cadmium, le chrome, le cuivre, le nickel, le mercure urinaire et le mercure dans les cheveux.

Par ailleurs, il s’avère que les niveaux mesurés tant chez les adultes que chez les enfants français se sont avérés être « plus élevés que ceux retrouvés dans la plupart des pays étrangers » en Europe et en Amérique du Nord. À l’exception du nickel et du cuivre.

Par rapport à l’étude ENNS (Etude Nationale Nutrition Santé) réalisée en 2006-2007, les niveaux mesurés chez les adultes étaient similaires en mercure dans les cheveux et nickel urinaire tandis qu’ils étaient plus élevés en arsenic, cadmium et chrome. Seuls les niveaux mesurés pour le plomb avaient diminué.

Des effets néfastes sur la santé ?

De plus, il est à noter que des dépassements de valeurs‑guide sanitaires ont été observés au sein de la population d’après l’étude Esteban pour l’arsenic, le mercure, le plomb et plus particulièrement le cadmium avec un peu moins de la moitié de la population adulte française qui présentait une cadmiurie supérieure à la valeur recommandée par l’Anses.

Pour ce qui est des autres métaux, le document de Santé publique France préconise également de mettre en place des valeurs‑guide sanitaires puisque les métaux présentent des effets néfastes sur la santé tels que la cancérogénicité, des effets osseux, rénaux, cardiovasculaires, neurotoxiques… Une nécessité confortée par l’augmentation des niveaux d’imprégnation par l’arsenic, le cadmium et le chrome entre ENNS et ESTEBAN.

Aussi, les auteurs souhaitent la poursuite des mesures visant à diminuer les expositions de la population générale à ces substances, en agissant en particulier sur les sources d’exposition. Ils soulignent aussi que « ces résultats montrent la nécessité de poursuivre le programme national de la biosurveillance et de réa‑iser des études en population à intervalle régulier afin de continuer à suivre l’évolution des expositions de la population française aux métaux ».

Ces facteurs facilitant la concentration de métaux lourds

Quant à la provenance de ces métaux lourds, naturellement présents dans l’environnement, l’étude précise que l’alimentation reste l’une des principales sources d’exposition pour l’organisme. Plus particulièrement, la consommation poisson de produits de la mer contribuerait à augmenter les concentrations en arsenic, chrome, cadmium et mercure.

Ainsi, Santé publique France recommande notamment de diversifier les sources d’aliments et de consommer « deux fois par semaine du poisson dont un poisson gras en variant les espèces et les lieux de pêche ».

D’autre part, la consommation de céréales serait pour sa part à l’origine d’une augmentation de la concentration en cadmium. Le tabac ferait croître quant à lui les concentrations en cadmium et en cuivre. Un phénomène constaté également lors du tabagisme passif. Le rapport indique ainsi que, « chez les adultes, le tabac entraînerait une augmentation de plus de 50 % d’imprégnation chez les fumeurs ».

Enfin, les implants médicaux auraient aussi un impact sur la présence de chrome tandis que la concentration en mercure urinaire serait augmentée par les plombages chez certaines personnes.

Crédit photo : Pixabay (Pixabay License/gburrull) (photo d’illustration)
[cc] Breizh-info.com, 2021, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine




Le Bélarus face à la haine occidentale

[Source : Le Courrier]

[Photo : urbanisme à Minsk, la capitale biélorusse. M. GERBER]

[Voir aussi : 22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste]

« Alexandre Loukachenko est taxé de dictateur depuis vingt-cinq ans, soit depuis qu’il a envoyé paître le FMI et la Banque mondiale. » Pour Marcel Gerber, bon connaisseur du Bélarus, le petit pays européen est voué aux gémonies occidentales du fait qu’il est le seul État issu de l’ex-URSS à « n’avoir pas été « démocratisé » par un passage brutal au capitalisme ».

« L’évolution du Belarus a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les États-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays »

Marcel Gerber

Par MARCEL GERBER

La nuit du 8 décembre 1991, trois personnes sont réunies dans une datcha perdue de la forêt biélorusse. Ce sont Boris Eltsine, président de la République socialiste fédérative soviétique de Russie, Stanislaw Chouchkievitch, président de la République socialiste soviétique de Biélorussie, et Leonid Kravtchouk, président de la République socialiste soviétique d’Ukraine. A la fin d’une soirée bien arrosée, les trois protagonistes décident démocratiquement, par trois voix sans opposition, de mettre fin à l’existence de l’URSS, malgré le vote récent de la population soviétique du 17 mars 1991, laquelle a voté à 78% le maintien de l’URSS avec 80% de participation. La Biélorussie, une des quinze républiques formant l’URSS, devient pour la première fois de son histoire un pays réellement indépendant. Anciennement agricole, le pays était devenu la partie la plus développée de l’URSS sur les plans agro-alimentaire, de la métallurgie, de la chimie, de la production de machines et de véhicules utilitaires, avec un niveau éducatif élevé. Pays plat, couvert de forêts et sans grandes ressources naturelles, il était aussi largement dépendant des échanges avec les autres républiques soviétiques.

La suite est connue. La « nomenklatura » corrompue des autres ex-républiques soviétiques, les organisations mafieuses et les prédateurs occidentaux se partagèrent l’essentiel les richesses créées par l’ensemble des citoyens, entraînant une grande baisse de la production et une chute du niveau de vie. Ce qui explique que la nostalgie de l’URSS est largement présente dans ces pays.

Itinéraire d’un « dictateur »

L’actuel président biélorusse Alexandre Loukachenko est né le 30 août 1954. Après sa scolarité, il étudie à la faculté d’histoire de l’Institut pédagogique de Moguilev, dont il est diplômé en 1975. Il adhère au Parti communiste en 1979. Il obtient un diplôme de l’Académie agricole de Biélorussie en 1985. Il prend en 1987 la direction d’une ferme collective jusqu’en juin 1993. En 1990, Alexandre Loukachenko se lance en politique et est élu député au Parlement de la République soviétique biélorusse. Il crée au sein de celui-ci un groupe intitulé « Communistes pour la démocratie », proposant une décentralisation du pouvoir et une plus grande autonomie de la Biélorussie par rapport aux dirigeants moscovites. Après la fin de l’URSS, Alexandre Loukachenko s’oppose publiquement à l’évolution capitaliste du pays. Il est élu en 1993 président du Comité anti-corruption du Parlement biélorusse, un emploi à plein temps. La lutte qu’il mène alors contre la corruption et les privilèges des dirigeants « historiques » accusés de détournements lui assure une grande popularité.

En 1994 a lieu la première élection présidentielle du nouvel Etat, avec six candidats, dont les hommes au pouvoir depuis l’époque soviétique. Alexandre Loukachenko est candidat avec un programme de conservation des principaux acquis issus du pouvoir soviétique – la santé, l’éducation, le plein-emploi, les services sociaux, la propriété étatique des grandes entreprises et de la terre. Il arrive en tête du premier tour avec 45% des voix et remporte le second tour avec plus de 80%. A 40 ans, il est le premier président élu démocratiquement du nouvel État biélorusse.

Président avec des pouvoirs limités face à l’ancien appareil d’État hostile au programme pour lequel il est élu, Alexandre Loukachenko propose en 1996 une nouvelle Constitution renforçant les pouvoirs présidentiels. Elle est approuvée par 70% des votants avec une participation de plus de 80%. Le pays s’appelle dorénavant République du Belarus et a un nouveau drapeau rouge et vert. Alexandre Loukachenko applique alors avec autorité et détermination le programme pour lequel il a été élu, soit la réalisation d’un « socialisme de marché » qui permet l’existence d’une économie privée, avec cependant des limitations empêchant la création d’une couche de grands capitalistes.

Par cette politique la nouvelle République du Belarus a été sortie en quelques années du marasme et est devenue rapidement un pays développé à tous points de vue – industriel, agricole, nouvelles technologies – tout en améliorant les services publics, l’éducation et la santé en priorité. Selon la Banque mondiale, le Belarus a le taux de pauvreté le plus faible d’Europe. Comme dans l’ex-URSS, le travail est garanti à chaque citoyen. La Banque mondiale estime le taux de chômage en Biélorussie à 0,5% en 2015.

L’offensive occidentale

L’évolution du Belarus, soit la seule continuité réussie de l’URSS, a été loin de plaire aux puissances occidentales comme les Etats-Unis ou l’Union européenne, qui espèrent toujours mettre la main sur les richesses du pays ou qui, comme l’OTAN, veulent le contrôler pour se rapprocher militairement de Moscou. Ce sont les raisons principales de la haine contre le Belarus. Les actions pour le « démocratiser » n’ont pas fait dans la dentelle. Il a même été déclaré comme faisant partie de l’« axe du mal » par l’administration Bush. Cette offensive existe de manière permanente et des structures d’intervention ont été mises en place, y compris par la création de pseudo organisations non-gouvernementales. Le Congrès américain a même voté, le 20 octobre 2004, une loi spécifique visant à « établir la démocratie au Belarus » (le Belarus Democracy Act of 2004). Cette loi budgète des dizaines de millions de dollars annuels afin de créer et soutenir une opposition en mesure de prendre le pouvoir à Minsk.

De même, l’argent coule à flots depuis diverses organismes étatiques – l’USAID (Agence des Etats-Unis pour le développement international), la NED (National Endowment for Democracy [présentée comme une organisation « privée non gouvernementale » mais quasi entièrement financée par Washington]), l’Union européenne, etc. – ou privés – comme les réseaux de George Soros ou des deux partis étasuniens. Ces « aides » sont d’ailleurs publiées sur internet sous couvert d’« actions pour la démocratie ».

Faire croire que les Bélarusses vivent sous la terreur est un autre axe de la désinformation. Ce peuple a de grandes qualités d’accueil et connaît très bien la situation des pays environnants, avec un enseignement des langues étrangères développé. Le niveau de vie est relativement élevé, sans misère apparente comme dans nos sociétés occidentales. Une société « apaisée », des gens détendus et souriants. Sans s’attarder sur ce que l’on peut ressentir là-bas, on est très loin de l’image donnée de ce pays, dont on ne montre pratiquement rien en dehors de manifestants pro-occidentaux,(([1] Rare exception, un petit reportage breton (septembre 2019) réalisé en dehors des médias dominants: https://www.tebeo.bzh/replay/587-bretons-dailleurs-en-bielorussie/10554946)) lesquels n’osent pas présenter ouvertement leur programme de privatisation générale avec adhésion à l’UE et à l’OTAN.

Pourtant les prédateurs occidentaux prêts à dépecer le Belarus savent ce qu’il y a à saisir dans ce pays, comme le souligne un rapport pour initiés d’Anders Aslund, l’un des auteurs de cette « thérapie de choc » qui a ravagé les autres pays de l’ex-bloc soviétique:

« Les touristes visitant la Biélorussie sont surpris. C’est la dernière économie soviétique qui fonctionne réellement. […] Cette économie industrialisée est dominée par une quarantaine d’entreprises publiques, notamment dans l’industrie lourde. Ils fabriquent toujours des produits […] soviétiques, mais ce sont les meilleurs produits soviétiques que vous n’ayez jamais vus. […] Les problèmes macroéconomiques sont minimes. L’inflation est sous contrôle et avoisine les 5%. Le déficit budgétaire officiel est minime et la dette publique totale est plafonnée à 35% du PIB. […] Dans l’ensemble, la structure de l’administration publique est en bon état, peut-être la meilleure de toute l’ex-URSS. […] Il n’y a pas de grands entrepreneurs ou oligarques privés en Biélorussie. La corruption est encore étonnamment rare… »(([2] A. Aslund, M. Haring, J.E. Herbst, A. Vershbow, « Biden and Belarus: A strategy for the new administration », Atlantic Council, 27 janvier 2021, accès: https://bit.ly/3xa9gWB))

La seule crainte pour les prédateurs occidentaux est la concurrence des oligarques russes, tout aussi rapaces, mais mieux placés si le système actuel était remplacé. Le Belarus subit ainsi une guerre souterraine qui peut un jour se transformer en guerre réelle, les pays voisins, Lituanie, Pologne ou Ukraine étant de plus en plus armés pour cela en prétextant la « menace russe ».

Pourquoi la population soutient-elle majoritairement Alexandre Loukachenko à chaque élection? Il y a plusieurs raisons à cela. Tout d’abord, les Bélarusses ont pour la première fois de l’histoire une nation indépendante. Ensuite, ayant connu dans le passé une vie difficile, ils savent à qui ils doivent leur situation actuelle. Enfin, ils vivent dans une société sans problème sociaux importants.

Comment caractériser le système en vigueur au Belarus? Alexandre Loukachenko agit en fonction des droits qui lui sont conférés par une Constitution adoptée à une large majorité et par ses réélections successives. Il applique la politique pour laquelle il est élu en contrôlant étroitement son application, qu’il détaille très souvent sur les chaînes d’État – trop, pour certains. Il est possible de caractériser le système bélarusse comme « social-populiste », social par la conservation des aspects positifs de l’ex-URSS et populiste parce que le président se comporte comme « le père de la nation ». Mais le Belarus n’est pas un État socialiste au sens strict du terme, basé une démocratie directe telle celle pratiquée par la Commune de Paris.

Comme dans l’ex-URSS, existe au Belarus un appareil d’Etat qui a ses propres intérêts et qui pourrait s’opposer à des revendications allant dans un sens réellement socialiste, avec un pouvoir aux mains des travailleurs et travailleuses dans le cadre d’un Etat basé sur l’éco-socialisme. La pratique d’Alexandre Loukachenko est autoritaire dans le sens où il impose sa conception de l’évolution du pays, comme pour les agrovilles créées pour diminuer le fossé ville-campagne.

L’avenir du Belarus

Sachant qu’il n’est pas éternel, Alexandre Loukachenko a proposé l’automne dernier qu’une nouvelle Constitution remplaçant le régime présidentiel par un régime basé sur la prédominance de l’Assemblée nationale soit discutée et soumise à votation. Le Belarus pourra-t-il continuer à se développer en résistant aux offensives hostiles, alors que la base du soutien majoritaire au président, soit la génération qui a connu les problèmes des dernières décennies du siècle passé, est remplacée graduellement par une jeunesse qui pourrait être moins insensible aux sirènes occidentales? L’avenir du Belarus est donc incertain.

À propos de l’auteur

Ingénieur en électronique et horlogerie, Marcel Gerber a effectué 25 séjours au Bélarus depuis 2002.

NOTES





Complot, conspiration, plan : dix faits troublants

[Source : ripostelaique.com]

Complot, conspiration, plan ?

[Preuves que la pandémie a été planifiée ?]

1) Bill Gates, aujourd’hui le principal acteur de l’OMS, préconisait déjà en 2010 la venue de « nouveaux vaccins » pour freiner la croissance démographique mondiale dans le cadre de la lutte contre les émissions de CO2. 
https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero?language=fr#t-1374074

[►Qui finance l’OMS ? (siksik.org)
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé]

En 2015, l’organisation GAVI, subventionnée par Bill Gates, entre autres, et qui oriente la politique vaccinale mondiale, préconisait la vaccination pour atteindre 14 des 17 objectifs de développement durable (vaccins à gogo !).
https://www.gavi.org/fr/sante-mondiale-et-developpement/objectifs-de-developpement-durable

2) En octobre 2019 démarrent les jeux militaires de Wuhan pendant lesquels des athlètes connaîtront des problèmes respiratoires. En même temps, à New York, des dirigeants oligarques mondialistes simulent une pandémie dans le cadre d’un exercice baptisé « Event 201 ».

https://www.francetvinfo.fr/sports/des-sportifs-francais-contamines-par-le-covid-19-des-octobre-aux-jeux-militaires-de-wuhan_4515647.html

3) En novembre 2019 (avant la déclaration officielle de l’épidémie), PfizerBioNtech commande 2 lots de 800 millions de flacons à vaccins en verre spécial, jamais utilisés auparavant.

4) En janvier 2020, l’hydroxychloroquine est classée substance dangereuse par la ministre de la Santé, donc interdite de prescription, de même que (par la suite) tout médicament efficace pour soigner l’affection Covid (encore aujourd’hui), ce qui justifie une autorisation de mise sur le marché conditionnelle des injections géniques actuelles (seule solution envisagée depuis le début) sans recul de leurs effets à moyen et long terme.

[Covid-19 – Un virus monstrueux ou un alibi idéal pour tromper l’humanité ?]

5) Dès février/mars 2020, déclenchement et entretien de la peur dans la population : annonces morbides quotidiennes exagérées (on le sait maintenant, il n’y a pas eu de surmortalité en 2020), confinement général (d’abord en intérieur puis en extérieur), couvre-feu à horaires élastiques (deux mesures inutiles). Et tout au long de l’année 2020 et 2021, entretien volontaire de la confusion et de l’incertitude (masques d’abord inutiles puis obligatoires même pour les enfants dès 9 ans, sous peine de 135 € d’amende, annonces prédictives des vagues à venir, assimilation des personnes saines à des malades potentiels), annonce présidentielle d’une vaccination non obligatoire pour en arriver aujourd’hui à la volonté d’injecter toute la population dans une ambiance télévisuelle hystérique…

[►“Surmortalité Covid” en 2020 ? C’est la démographie, idiot !
Quatre gros mensonges sur l’épidémie et le confinement
Les mesures prises contre la propagation de l’épidémie ont-elles vraiment sauvé des vies ?
Covid : du mythe aux statistiques, les vérités cachées !
Le confinement, tout ce que l’on ne vous a pas dit : aberration humaine, sanitaire, économique
LES CONFINEMENTS SONT CATASTROPHIQUES PARTOUT DANS LE MONDE
Confinement, propagande COVID et points de presse gouvernementaux : la recette parfaite du lavage de cerveau calquée sur les sectes
Techniques de manipulation de masse et propagande — Application à la Covid-19
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COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Covid-Arnaque : il n’y a pas de pandémie — une vision britannique de l’imposture
Les esclaves ne sont pas libérés plus vite parce qu’ils obéissent mieux
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Gestion des épidémies – Étude sur l’exploitation médiatique, commerciale ou politique de la peur, et sur l’avènement d’un totalitarisme “sanitaire”
COVID19: Débunkage du narratif officiel
Décryptage de la Pandémie de Covid-19. Un exercice d’ingénierie sociale
Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 : Pas de fléau et une signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement
Effets nocifs des masques
Réponse à l’OMS sur le conseil d’utilisation des masques contre la Covid-19
“STOP ! Manipulations, masques, mensonges, peur…” un collectif international de professionnels de santé dénonce des “mesures folles et disproportionnées”
Comment leurs masques rendent bêtes et méchants
Coronavirus : et si les masques faisaient plus de mal que de bien ?
COVID-19 — Le port du masque, le lavage des mains, la “séparation sociale” et le verrouillage sont des rituels occultes séculaires]

6) Les médecins sont, depuis le début de la crise, empêchés de soigner par les autorités de santé (chose impensable) et sont contraints de conseiller à leurs patients de rester au domicile et de prendre du Doliprane jusqu’à l’apparition de l’insuffisance respiratoire les conduisant directement à l’intubation et au décès.

[►« Laissons les médecins prescrire » : la résistance des médecins libéraux s’organise
Vaccins et traitements : les masques tombent et vont tomber]

Des médicaments inefficaces voire dangereux comme le remdévisir (excessivement cher) seront autorisés et préconisés par nos instances de santé.

[Voir : « Le remdesivir ne soigne pas le Covid-19. Pire… » : Didier Raoult met l’OMS face à ses responsabilités]

Attaques médiatiques violentes de toute personne contestant la version officielle concernant les protocoles de soins, la réelle mortalité de la maladie (professeurs Raoult, Perronne, Toubiana…) ou l’origine du « virus » (professeur Montagnier), que ces professeurs soient de renommée mondiale ou prix Nobel !

[►La thèse d’un virus manipulé échappé d’un laboratoire chinois : le pavé dans la mare du Pr Luc Montagnier
Message du Professeur Perronne sur les vaccins contre la Covid-19 !]

7) Dans les Ehpad, le Rivotril sera légalisé et utilisé sans compter avec la bénédiction du ministre de la Santé.

[Ils ont osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir le plus vite possible]

8) De manière concomitante l’hyperclasse mondiale de Davos nous annonce un nouveau modèle économique après « le Great Reset ». Nouveau modèle ou effondrement inéluctable d’un capitalisme financier à bout de souffle entraînant une paupérisation croissante des populations ??

[►Crise financière de 2008, covid-19, “great reset” et contrôle des populations : la grande manipulation
Les valeurs familiales de Schwab
« L’Agenda 2030 » (vert) de l’ONU est derrière la « Grande Réinitialisation » du Forum Économique Mondial — Suivez la piste de l’argent !
STRATÉGIE FINANCIÈRE ET GREAT RESET
Agenda 2030 : vous n’aurez rien et vous serez heureux
Davos 2021, du “Great Reset” au “New Normal”
Le « Great Reset » n’est pas du complotisme]

9) Alors que 72 % de la population était opposée à la mise en place du passeport vaccinal lors de la consultation du CESE, il nous est imposé via une instance supranationale non élue.

Ce passeport fait partie des projets de l’UE depuis 2018, bien avant la pseudo-pandémie !
https://participez.lecese.fr/pages/resultats-de-la-consultation-sur-le-passeport-vaccinal

10) Pour lancer la campagne « vaccinale », les dirigeants ont d’abord utilisé l’incitation puis l’injonction. Aujourd’hui, leur véritable objectif se précise puisqu’il est question d’imposer à toute la population l’obligation d’une expérimentation médicale aux effets inconnus voire dangereux. En effet, en Europe, on dénombre plus de 15 000 décès et plus de 1 500 000 effets secondaires dont la moitié sont graves ! Il est important de savoir que seuls 5 à 10 % des effets secondaires ou décès sont comptabilisés dans les centres de pharmaco-vigilance ! Rappelons aussi que les firmes pharmaceutiques sont exonérées de toute responsabilité en cas de problèmes suite à l’injection de leurs produits délétères !

[Les décès et effets indésirables liés aux vaccins anti-COVID sont secrètement dissimulés]

Il est clair que nos dirigeants actuels organisent la fin de la souveraineté de notre pays pour le soumettre à l’oligarchie mondialiste qui progressivement s’est emparée du pouvoir financier, économique, législatif et aujourd’hui… sanitaire.

Si cette marche forcée vers un nouvel ordre mondial ne relève pas d’un complot, d’une conspiration, il paraît évident qu’elle se déroule selon un plan satanique élaboré de longue date pour entraîner la destruction des nations au vu des réactions quasi similaires dans les pays occidentaux lors de cette crise organisée.

Quel futur pour nos enfants ? Une identité numérique injectable pour un contrôle permanent ? La pérennisation d’un nouveau marché « vaccinal » scandaleusement lucratif pour les placements en Bourse de quelques milliardaires ? Des êtres humains continuellement pharmaco-dépendants d’injections mortifères annuelles voire bi-annuelles et/ou de médicaments chimiques entraînant la destruction de l’immunité naturelle ? Un chantage permanent à la vaccination pour bénéficier de l’accès à une vie normale et/ou à une future éventuelle monnaie numérique ? La domination tyrannique d’une hyperclasse mondiale avide de pouvoir et détentrice insolente de plus en plus de richesses ? Une dépopulation progressive de la classe nombreuse des « inutiles » au profit des « dieux » ?

Seule une large coalition de personnalités politiques animées d’un souverainisme national puissant s’opposant à la caste oligarchique, prônant aussi et surtout l’inviolabilité de l’intégrité corporelle des êtres humains (menace qui se fait jour aujourd’hui), pourra éviter la disparition de notre nation (en cours aujourd’hui) dans l’abîme d’un mondialisme à forte tendance génocidaire.

Philippe Rossi




Kennedy s’en prend à Anthony Fauci, le tsar de la mafia médicale qui contrôle la réponse à la pandémie

[Source : childrenshealthdefense.eu]

Si Robert F. Kennedy, Jr. a décidé de consacrer un livre à Anthony Fauci, ‘expert Covid’ n°1 aux Etats-Unis, c’est parce que ce médecin est aujourd’hui l’homme plus influent sur des politiques de santé au service d’une prise de contrôle géopolitique de la planète. Directeur du NIAID l’institut de recherche sur les maladies infectieuses et membre conseil ou administrateur de nombreux autres instituts, Fauci a conseillé 6 présidents, gérant des budgets colossaux de plusieurs dizaines et même centaines de milliards de dollars. Partenaire de longue date de Bill Gates, le tsar de la mafia médicale est aujourd’hui accusé par le médecin et sénateur Rand Paul d’avoir soutenu et subventionné les recherches de ‘gain de fonction’ aux États-Unis, avant que celles-ci ne soient interdites. Son institut a pourtant continué à financer ces recherches à l’étranger, notamment sur les coronavirus au laboratoire de Wuhan – et ce jusqu’en avril 2020, via un organisme intermédiaire EcoHealth Alliance.

Depuis quelques semaines, suite à une demande officielle de mise à disposition publique de sa correspondance depuis le début de la pandémie,  certains échanges ont révélé l’obstination de Fauci à ignorer les pistes de traitements (l’hydroxychloroquine par exemple), à vanter les mérites du Remdesivir ou à ignorer les interpellations de scientifiques confirmant la piste d’un virus manipulé en laboratoire.

Kennedy explique dans cette interview comment Fauci a pris le contrôle de la santé publique aux Etats-Unis et ailleurs, en partant de sa tentative d’appropriation de la découverte du sida avec son comparse Robert Gallo, pour faire de la santé publique ‘une machine à fric’ au service de l’industrie du médicament. Pour Kennedy, Fauci est un criminel, responsable de la mort de milliers de personnes et sa place est derrière les barreaux.

Nous sommes aujourd’hui à un moment critique de notre histoire. Fauci et Gates ne sont pas les seuls acteurs à remettre en cause.  C’est tout un réseau d’influence qu’il faut aujourd’hui démanteler et juger, au sein des commissions nationales en Europe et ailleurs, et des agences de santé et organisations internationales dirigées par l’industrie et la finance.

Une interview à regarder, un livre à commander (en anglais pour l’instant) et surtout… un dossier à compléter et une affaire à suivre. Merci de partager!



Transcription :

Senta Depuydt : [00:00:00] Bonjour à tous, je suis Senta Depuydt et je représente Children’s Health Defense en Europe. Aujourd’hui, j’ai l’honneur et le privilège d’interviewer notre président, Robert F. Kennedy Jr. sur son nouveau livre, The Real Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma on the Global War on Democracy and Public Health. M. Kennedy, je regardais aujourd’hui votre livre sur Amazon, et je vois qu’il est parti pour être un best-seller. Alors qu’est-ce qui se passe ? Est-il déjà en rupture de stock ? Dites-nous.

Robert F. Kennedy, Jr. : [00:00:40] Eh bien, vous savez, j’ai commencé à écrire le livre au début de l’été dernier. Et j’essayais vraiment d’informer les Américains, parce que c’est très pénible pour moi. Tony Fauci est cette figure très polarisée. Il a été l’incarnation de la polarisation, le genre de tribalisme qui se passe aux États-Unis. Où tous les républicains ont… beaucoup d’entre eux se sont engagés dans le tribalisme en suivant le président Trump et les démocrates en suivant Anthony Fauci. Et ce qui est affligeant pour quelqu’un comme moi, c’est que le parti démocrate et le libéralisme dans lequel j’ai grandi… beaucoup de libéraux traditionnels ont abandonné leurs valeurs traditionnelles. Les valeurs avec lesquelles nous avons tous grandi, les valeurs libérales de la pensée critique, des droits constitutionnels, de la liberté d’expression, de l’application régulière de la loi par les procès avec jury, de la justice, de la tolérance, de la patience et de toutes ces choses, ainsi que de la curiosité intellectuelle et de l’intégrité intellectuelle. Toutes ces choses ont maintenant été abandonnées. Il n’y a plus de pensée critique. Nous sommes de nouveau immergés dans une sorte de tribalisme où si Tony Fauci dit quelque chose, cela doit être vrai. Si Donald Trump dit quelque chose, c’est forcément faux et vice versa. Et personne ne fait vraiment preuve d’esprit critique. Et aux États-Unis, vous savez, j’ai vu le parti libéral, qui a toujours été le champion des droits constitutionnels, s’éloigner de tous nos droits constitutionnels. Ils sont devenus les défenseurs de la censure. Et, vous savez, le premier amendement était sacré pour les libéraux et les démocrates. Quand j’ai grandi, nous nous sommes battus pour que les nazis qui défilaient à Skokie, dans l’Illinois, aient le droit de parler, même si c’était abominable, c’était répugnant, c’était repoussant. Mais tout le monde a le droit de s’exprimer et nous devons avoir confiance dans le processus d’échange d’idées et dans le fait que les politiques et les principes doivent s’épanouir au sein d’une culture du débat et sont les fruits de débats.

[00:03:30] Et ce qui se passe maintenant, c’est que cela devient une entreprise religieuse, et les gens qui soulèvent des questions sur l’orthodoxie sont des hérétiques. Ils doivent être détruits. Ils doivent être réduits au silence. Leurs paroles sont dangereuses. Et parce que nous nous sommes maintenant débarrassés du premier amendement, de la liberté d’expression aux États-Unis, où, vous savez, quiconque qui parle des mêmes choses que moi est censuré. Une fois que vous vous débarrassez de la liberté d’expression, tous les autres droits constitutionnels sont sur la sellette. Les libertés religieuses font partie de la déclaration des droits et des libertés; or nous avons reçu l’ordre du gouvernement de fermer les églises pendant un an, même si les magasins d’alcool étaient ouverts en tant qu’entreprises essentielles. Les magasins d’alcool ne sont pas cités dans la Constitution. En revanche, la liberté de religion est citée dans la Constitution, tout comme les exemptions religieuses et de vaccination qui ont été abolies. Le droit à un procès avec jury a disparu aux États-Unis. Toute entreprise qui peut dire qu’elle est engagée dans des contre-mesures, peu importe son imprudence, sa négligence, qu’elle crée un médicament, un vaccin, des masques ou peu importe la contre-mesure, vous ne pouvez pas la poursuivre, peu importe la gravité de votre blessure, peu importe la négligence de son comportement. Le droit à la propriété a été aboli. Vous savez, nous avons des fonctionnaires du gouvernement, des fonctionnaires médicaux. Et Bill Gates va fermer toutes les entreprises d’Amérique pendant un an, mettre 60 000 entreprises en faillite, dont 70 % d’entreprises appartenant à des Noirs qui ne rouvriront jamais.

SD : [00:05:28] Nous avons les mêmes catastrophes en Europe. Je suis désolée de vous interrompre. Beaucoup d’Européens ne savent pas qui est Anthony Fauci.

RFK, Jr. : [00:05:38] Anthony Fauci, c’est la personne la plus puissante en matière de santé publique dans le monde aujourd’hui. Et il a été à la tête de l’Institut national des maladies allergiques et infectieuses, que nous appelons NIAID, qui fait partie du NIH, qui est l’Institut national de la santé, qui fait partie du HHS, qui est le grand département de la santé, avec vingt-cinq agences de santé différentes sous un seul département fédéral. Et Anthony Fauci est là depuis 50 ans. Il est probablement celui qui a vécu le plus longtemps dans l’histoire de la santé publique; c’est un panjandrum et il est de loin le plus puissant. Son travail au sein de cette agence consiste à apprendre l’idéologie des maladies chroniques et des maladies infectieuses. En d’autres termes, il est chargé par le Congrès de répondre aux questions suivantes : pourquoi l’autisme est-il passé d’1 personne sur 10,000 à 1 garçon sur 22 aujourd’hui aux États-Unis ? Pourquoi l’allergie aux arachides est soudainement apparue en 1989 ? Les allergies alimentaires et l’eczéma. Pourquoi toutes ces maladies auto-immunes sont-elles soudainement devenues épidémiques ? La polyarthrite rhumatoïde, le diabète juvénile, le lupus, etc. Pourquoi avons-nous soudainement une épidémie d’obésité ? Son travail consiste à répondre à ces questions. Il doit nous parler des expositions environnementales. Nous savons que les gènes ne sont pas à l’origine des épidémies. Les gènes peuvent contribuer à des vulnérabilités. Il faut une toxine environnementale, et son travail consiste à déterminer quelle toxine environnementale est à l’origine de cette énorme épidémie. Quand il est arrivé en 1968, seulement 6 % des Américains avaient une maladie chronique. 54% aujourd’hui. Pourquoi cela se produit-il ? La même chose est vraie en Europe, pas de façon aussi grave qu’aux États-Unis, mais la même chose est vraie en Europe. Eh bien, aucun de nos responsables médicaux ne fait les études nécessaires pour trouver la réponse à ces questions.

RFK, Jr. : [00:07:58] Et bien sûr, la réponse à cela est que les produits chimiques qui causent ces blessures sont fabriqués par des entités très puissantes, par des compagnies pétrolières, des compagnies chimiques, par les grandes compagnies alimentaires, et surtout par les compagnies pharmaceutiques. Et les régulateurs ont été capturés par ces industries. Leur travail n’est pas de protéger la santé publique, mais de protéger l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Tony Fauci a tenu 50 ans à ce poste parce qu’il a été un bon protecteur de l’industrie pharmaceutique et qu’il a pris l’agence de régulation, qui était la meilleure agence de régulation de santé au monde. Et il en a fait une filiale de l’industrie pharmaceutique. Et pour répondre à votre question, Tony Fauci a été nommé par deux présidents, Trump et Biden, pour diriger la réponse à cette pandémie de Coronavirus. Toutes les contre-mesures que nous avons eu aux États-Unis et qui se sont répandues dans le monde entier, elles proviennent toutes de Tony Fauci : le confinement, la distanciation sociale, les masques, la suppression des médicaments thérapeutiques, et des traitements précoces, de l’Ivermectine, de l’hydroxychloroquine, toute la promotion de médicaments thérapeutiques sans valeur comme le Remdesivir. Toutes ces choses viennent directement de Tony Fauci. Comment ? Quelle est la source de son pouvoir ? La voici. Tony Fauci a un budget de 6,1 milliards de dollars par an. En plus de cela, il reçoit 1,6 milliard de l’armée, car une grande partie de ses activités font appel à la technologie, en d’autres termes, il développe des armes biologiques. C’est ce qu’il faisait avec les études sur le gain de fonctions à Wuhan et dans beaucoup, beaucoup de laboratoires. Oui.

SD : [00:10:14] Pouvez-vous élaborer un peu plus sur ce sujet ? Parce que ce n’est pas vraiment une question que tout le monde veut savoir. Nous avons entendu dire qu’il y a des emails. Vous savez,

RFK, Jr. : [00:10:24] L’histoire est que les États-Unis ont commencé à développer des armes biologiques au début de 1943 pendant la Seconde Guerre mondiale et en 1969, nous avions développé des armes biologiques dans notre pays que le chef du programme d’armes biologiques, David France, qualifiait comme des équivalents nucléaires. En d’autres termes, nous avions des armes biologiques qui pouvaient avoir le même impact qu’une arme nucléaire, une bombe nucléaire. En 1969, Richard Nixon a fermé le programme. Il s’est rendu à Fort Detrick, qui est l’endroit où se trouve le principal centre de recherche sur les armes biologiques aux États-Unis. Il l’a fermé et nous avons signé en 1972 le traité sur les armes biologiques, qui était une extension du traité de Genève. Et nous avons accepté de ne pas stocker d’armes biologiques et de ne pas les développer. Les États-Unis ont donc fermé Fort Detrick. Nous avons fermé tous nos autres laboratoires d’armes biologiques cette année-là. Les militaires voulaient recommencer. Et la CIA, bien sûr, était très impliquée dans les armes biologiques et l’industrie pharmaceutique. Qui était à la tête du programme d’armement américain pendant la Seconde Guerre mondiale ? Et dans les années 50 ? C’était George W. Merck, qui était à l’époque également à la tête de Merck. Donc, l’industrie pharmaceutique était composée des mêmes entreprises qui développaient des armes biologiques. Et cela, bien sûr, est venu de la Seconde Guerre mondiale quand vous aviez les compagnies pharmaceutiques et l’Allemagne qui développaient des armes biologiques, […] développant les gaz qui étaient utilisés pour tuer les juifs à Auschwitz et autres camps de la mort. L’industrie pharmaceutique et l’armée et l’appareil de renseignement voulaient tous avoir une excuse pour relancer les armes biologiques. Et donc en 1988, le mur de Berlin tombe. On nous promet à tous : ok, maintenant nous allons avoir les dividendes de la paix. Nous allons prendre tout l’argent qui était destiné à l’armée et, à la place, nous allons le dépenser pour les écoles, les routes, les soins de santé et l’éducation. Et nous allons faire des États-Unis un endroit exemplaire et brillant avec des monuments d’albâtre, des gens éduqués, etc. Lorsque l’appareil militaire et de renseignement entendirent les mots dividendes de la paix, ils se sont dit que cet argent allait sortir de leurs poches. Ils se sont dit qu’ils devaient trouver un moyen de faire avancer les choses, de continuer à faire ce qu’ils faisaient. Quatre et demi ou cinq ans plus tard, nous avons eu la première attaque du World Trade Center, et c’était en 1993. Et tout l’argent qui était destiné à l’éducation et à l’usage civil a soudainement disparu. Et les intérêts acquis nous poussèrent à dépenser cet argent dans la lutte contre le terrorisme. En 2000, nous avons les attaques du 11 septembre. Et à ce moment-là, des milliards, des dizaines de milliards de dollars se sont déversés dans l’idée que nous devions combattre le terrorisme islamique.

[00:14:35] Les militaires à ce moment-là, ont compris que les terroristes islamiques étaient géniaux parce que c’est un ennemi beaucoup plus fiable que l’Union Soviétique. L’Union Soviétique a plié. Elle s’est retirée. Le terrorisme ne s’arrêtera jamais car ce n’est pas une nation. Ce n’est pas un peuple. C’est une tactique. Et il sera toujours là. C’est donc un ennemi parfait, un ennemi qui ne mourra jamais. Et Dick Cheney a promis une longue guerre qui durera des générations. Et ce serait dans 50 nations ou plus. Dans le même temps, de nombreux planificateurs du renseignement disaient que la sécurité biologique est en fait ce que nous devrions faire à cause du terrorisme. Le terrorisme islamique aux États-Unis tue moins de personnes que la foudre chaque année. Mais ce n’est pas un ennemi dont vous pouvez garder les gens terrifiés pendant longtemps. En revanche, le grand ennemi, ce sont les germes, parce que les germes peuvent entrer dans la maison de tout le monde et tuer votre famille. L’armée et les services de renseignements dont nous disposons, ont tous ces documents où ils parlent de ça de façon  bien plus fiables que moi. Et ils font des simulations et des jeux de guerre sur les pandémies et les attaques biologiques. Il y avait donc un ferment, un intérêt énorme. Et si vous vous souvenez, une semaine après le 11 septembre, très exactement le 4 octobre 2001, donc deux semaines et demie après le 11 septembre.

[00:16:06] Il y a eu une attaque à l’anthrax et l’anthrax a tué sept personnes. Il y avait 17 personnes, dont des sénateurs et des membres du Congrès des États-Unis. Et à ce moment-là, l’anthrax a été attribué à Saddam Hussein. Et c’est une des raisons qui a justifié l’invasion de l’Irak. Mais il s’est avéré, lorsque le FBI a commencé à enquêter, que l’empreinte digitale sur l’anthrax, cet anthrax particulier qui a été utilisé dans l’attaque, provenait de l’armée américaine. Il était donc clair que quelqu’un de l’armée américaine avait quelque chose à voir avec l’envoi de cet anthrax. Et que s’est-il passé ? Des milliards de dollars ont commencé à être dépensés pour la biosécurité. Et Tony Fauci… une partie de la biosécurité est utilisée pour développer les vaccins. Vous vous dites, « eh bien, nous faisons cela de manière défensive, nous développons juste la même technologie que vous utilisez pour développer des vaccins et qui peut être utilisée pour développer des armes biologiques », et cela s’appelle le Gain de Fonction. Et qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que vous envoyez des zoologistes dans le monde entier pour trouver des microbes, des microbes mortels et différents animaux. Et ces microbes ne peuvent pas sauter sur les êtres humains. Ils vont tuer des pangolins. Ils tueront des chauves-souris. Ils tueront des civettes. Ils tueront des chameaux. Mais ils ne tueront pas des êtres humains.

Vous pouvez prendre un microbe dans un laboratoire, et il y a deux façons différentes d’infecter des êtres humains. L’une est d’utiliser la technologie CRISPR. Vous pouvez insérer [00:18:02] de nouvelles parties dans ce microbe qui lui donneront la capacité d’attaquer un poumon humain. Ou alors, vous pouvez le cultiver des milliers de fois, vous le prenez d’une chauve-souris, vous le cultivez sur une culture de pangolin, puis vous les prenez et vous les cultivez sur des cultures de cockers et finalement vous les cultivez sur les poumons d’un fœtus humain. Et vous avez appris à ce microbe à passer de la chauve-souris à la personne. Et cela fait partie de la technologie qui, selon certains, est utile pour les vaccins, bien que cela n’ait jamais été démontré.

Nous savons que cette technologie est utilisée pour les armes biologiques. Quoi qu’il en soit, afin de capter une grande partie de cet argent qui a soudainement commencé à affluer vers les armes biologiques vers 2001-2002, Tony Fauci a commencé à faire ces études de gain de fonction. Il a financé un scientifique appelé Ralph S. Baric, à l’Université de Caroline du Nord. Il a commencé à construire des laboratoires de biosécurité, ce qu’ils appellent des laboratoires BSL, quatre laboratoires, au plus haut niveau de biosécurité. Il a réouvert le laboratoire de Fort Detrick et en a construit un nouveau là-bas. Il en a construit un à Galveston, au Texas, et je crois qu’il en a construit six en tout. La Chine a un de ces laboratoires. Nous en avons une dizaine aux États-Unis. Et Tony Fauci a commencé à financer le travail dans ces laboratoires. Eh bien, vers 2014, un tas d’accidents se sont produits dans ces laboratoires, des microbes se sont échappés. Et ainsi, trois cents scientifiques ont envoyé une pétition au président Obama le suppliant d’arrêter Tony Fauci et ses expériences avant que l’une de ses créatures ne s’échappe et cause une pandémie mondiale. Le président Obama a réagi et a ordonné à Tony Fauci et au NIH d’arrêter les études sur le gain de fonction. Tony Fauci a mis fin à environ vingt et une de ses études, mais il a continué à mener secrètement certaines des pires avec Ralph Baric, un scientifique fou de l’Université de Caroline du Nord. Puis il a pris la plus grande partie de l’argent destiné à la recherche sur les gains de fonctions, environ sept millions de dollars en tout, et il a commencé à financer le même type d’expériences très, très dangereuses dans le laboratoire de Wuhan, avec Zhengli Shi, une chercheuse connue sous le nom de « Bat Lady ». Elle avait participé aux recherches sur le SRAS en 2002, et était en fait une psychiatre. Mais elle aimait manipuler les animaux et avait le courage d’aller dans les grottes où vivent les chauves-souris, dans la province du Yunnan, dans des grottes connues sous le nom de grottes de Mojiang. Elle a commencé à collecter des chauves-souris là-bas et ils ont collecté des centaines et des centaines de chauves-souris et créé la plus grande collection de coronavirus au monde dans ce laboratoire à Wuhan.

Je sais que vous êtes belge, mais vous serez peut-être intéressée d’apprendre, et je pense que vous le savez, que le laboratoire de Wuhan a été construit par une société française appelée BioMérieux, dont le PDG s’appelle Stéphane Bancel. La société a été engagée pour construire un système de flux d’air négatif qui, à Wuhan, est une pièce essentielle de l’infrastructure pour assurer la sécurité, ce qui signifie que l’air ne sort pas. C’est l’un des éléments les plus critiques de l’infrastructure du laboratoire. Les Chinois avaient demandé à BioMérieux de le construire, mais ils ne l’ont jamais fait. Et Stéphane Bancell, qui était le PDG de cette société, est aujourd’hui le PDG de Moderna, la société qui, plus que toute autre, a profité de la pandémie, dont nous savons maintenant qu’elle provient presque certainement du laboratoire. Laissez-moi ajouter autre chose, car je sais que vous le sujet vous intéresse.

En 2000, Bill Gates a contacté Tony Fauci et lui a demandé de venir dans sa demeure à Seattle, dans l’État de Washington, une demeure de cent quarante-sept millions de dollars. Il a fait entrer Tony Fauci dans sa bibliothèque et tous deux se sont assis sur des fauteuils club avec un verre. Et Bill Gates lui a proposé un partenariat. Ce partenariat consisterait à collaborer tous les deux à une entreprise visant à vacciner le monde entier et à abolir toutes les maladies infectieuses grâce aux vaccins. Ce partenariat était très important pour Gates, car il essayait à l’époque de prendre le contrôle de la politique mondiale en matière de santé. Et pour ce faire, il avait besoin de l’aval d’un puissant responsable de la santé aux États-Unis qui pouvait lui donner de la crédibilité à l’étranger. Et Tony Fauci a fait deux choses. Premièrement, il a donné de la crédibilité à Gates et à son programme, deuxièmement, il a développé le vaccin dans son atelier du NIH. Et ensuite, Gates garantirait un marché pour ces vaccins à l’étranger. Et la troisième chose que Tony Fauci a fait… Il est très, très influent auprès du président des États-Unis. Il a donc obtenu du président Bush, le premier président Bush, qu’il engage 15 milliards de dollars pour l’Afrique.

[00:24:59] Il a donc pris toute l’aide étrangère des États-Unis. Et au lieu de la consacrer à la réduction de la pauvreté, il a dédié ces 15 milliards aux médicaments et vaccins contre le SIDA en Afrique. Cela crée une infrastructure dans tous les ministères de la santé en Afrique qui deviennent dépendants de ce flux venant des USA. Il a ensuite obtenu du président Clinton qu’il prenne le même engagement et qu’il aille voir ces présidents pour leur dire que le SIDA se développe en Afrique. Si nous ne le résolvons pas là-bas, il va se propager aux États-Unis et donc, nous devons le résoudre en Afrique. Mais en réalité, ce qu’il fait, c’est qu’il a des relations avec toutes ces entreprises pharmaceutiques qui, en fin de compte, reçoivent tout cet argent. Et parce qu’il fait la pluie et le beau temps, que c’est un courtier qui a le pouvoir de régir toute cette aide des États-Unis à l’Afrique, il jouit d’une énorme crédibilité dans toute l’Afrique auprès des ministères de la santé et lorsqu’il se rend là-bas avec Gates et dit, OK, voici mon nouveau gars, Gates avait automatiquement du cachet et de la crédibilité. Et c’est l’une des façons dont Gates a pris le relais.

SD : [00:26:20] Je peux vous arrêter 30 secondes ? Parce que je pense que j’ai quelques commentaires. En France… je pense qu’il serait vraiment intéressant de regarder l’implication plus étroite de la France dans le laboratoire de Wuhan. Je peux vous dire que le directeur de l’INSERM y est allé, officiellement avec Bancel à l’inauguration du bâtiment, le laboratoire et l’installation, et ils avaient un programme. Ils étaient donc là pour couper le ruban. L’INSERM est le plus grand institut de recherche de France en matière de santé. Et la femme de ce directeur de l’INSERM était ministre de la santé au début de la pandémie. Elle s’appelle Agnès Buzyn. Donc il y avait vraiment comme je pense que vous êtes assez impliqué. Elle a maintenant été accusée de mauvaise gestion, disons qu’elle est mise en examen pour ne pas avoir donné les bonnes informations, puis les mesures, etc. Donc elle a quitté son poste. Elle est maintenant promue à l’OMS, où elle assiste Tedros, où elle  bénéficie de l’immunité de responsabilité – vous ne pouvez pas les poursuivre en justice une fois qu’ils sont à l’OMS. En France, nous avons quelques scientifiques que vous connaissez peut-être, certains d’entre eux qui se sont vraiment penchés sur la question du virus.

[00:27:50] Et c’est aussi une de mes questions. Je sais que vous avez soutenu la vidéo  » Plandemic  » avec David Martin avec la recherche sur les brevets. (…) Nous avons ici quelques scientifiques, l’un d’entre eux s’appelle Jean-Bernard Fourtillan, qui essaient également d’examiner les brevets. Ils disent que l’Institut Pasteur a également des brevets sur les coronavirus et sur leur utilisation en tant qu’armes. On peut donc suivre plusieurs brevets d’une sorte de SARS-COV-1 à SARS-COV-2. Donc ce scientifique est apparu il y a 6 mois. Il est maintenant dans un institut psychiatrique. Il y a une grande censure et un grand silence et nous avons aussi, plus ou moins, exactement le même genre de mesures, l’hydroxychloroquine qui a été bloquée, et bien sûr, l’agenda des vaccins, etc. […] Avez-vous suivi également cette piste des brevets ? Est-ce qu’elle mène aussi à d’autres pays étrangers ? Parce que je crois vraiment que plusieurs pays ont participé, je dirais en Europe, certainement la France, le Royaume-Uni et l’Allemagne.

RFK, Jr. : [00:29:13] Je sais, vous savez, les brevets sont un domaine intéressant et en ce moment, le NIH a un litige contre Moderna parce que Moderna a menti sur les brevets. Elle n’a pas divulgué quand elle a fait sa demande de brevet qu’elle avait reçu des fonds fédéraux et qu’à ce moment-là, Fauci avait investi 2,6 milliards de dollars de l’argent des contribuables dans les brevets et dans Moderna. Et Moderna n’a jamais révélé cela quand elle a déposé son brevet, ce qui est illégal aux États-Unis. Et il se peut que le contribuable américain soit en fait propriétaire des brevets. L’une des choses intéressantes à propos des brevets est que l’office des brevets a refusé à Moderna, à plusieurs reprises, un brevet, et lui a dit « Non, vous ne pouvez pas l’avoir ». Et puis Moderna est revenu à la charge le 29 mars 2019. Et a dit « il y a une urgence à ce que vous nous donniez immédiatement ce brevet ». C’est dans la demande de brevet, n’importe qui peut y accéder, et ça dit « vous devez nous donner le brevet en prévision d’une libération accidentelle ou délibérée d’un coronavirus amélioré ». Et quand est-ce que cela a eu lieu ? Quatre mois, cinq mois avant le coronavirus d’octobre. Le meilleur des meilleurs estime qu’il s’est échappé du laboratoire de Wuhan en octobre 2019.

[00:30:58] Donc… avril, mai, juin, juillet, août, septembre, octobre… c’est sept mois avant l’apparition réelle du coronavirus. Ils connaissaient l’urgence, Ils ont insisté sur l’imminence d’un virus.

SD : [00:31:14] Donc merci. Vous êtes un peu en train de cartographier, vous venez de revenir sur le virus du VIH et tout le programme. Et quand je le regarde, il était très intéressant de voir que certains scientifiques au début, vous je suis sûr que vous savez, que ce scientifique appelé Jonathan Mann, qui était vraiment celui qui est sorti pour faire les appels pour le VIH et en faire une cause mondiale. Mais il l’a lié aux droits de l’homme. Mais si j’ai bien compris, à un moment donné, l’autre partie de l’OMS et d’autres personnes ont préféré avoir une approche différente de son approche des droits de l’homme. Il a donc été en quelque sorte écarté de la cause du sida. Et malheureusement, il est mort dans un accident d’avion. Un avion Swissair s’est écrasé, ce qui est vraiment rare, vous savez, pour un avion suisse de s’écraser. Et après cela, je crois savoir que Fauci et d’autres scientifiques, et je pense en particulier à un certain Peter Piot. Je ne sais pas si vous l’avez rencontré, c’est un Belge, mais c’est le numéro un, disons, en charge de la réponse à la pandémie au sein de la Commission européenne. [00:32:58] Il a donc été nommé et il dirige également l’Institut d’hygiène tropicale de Londres.

Tous ces scientifiques sont donc très impliqués ensemble depuis des décennies déjà sur le VIH. Et donc après ça, ils ont vraiment adopté une approche différente par rapport aux droits de l’homme et le tout s’est déplacé vers le programme des Nations Unies et le programme d’aide des États-Unis. Et je pense que c’est à ce moment-là que la banque est intervenue et que les épidémies sont devenues, d’une certaine manière un instrument géopolitique possible, et une tentative de gouvernance mondiale par le biais des politiques de santé, du contrôle des politiques de santé. Et je pense qu’ils ont commencé à avoir plus que seule la santé à l’esprit. Vous savez, c’est là que la Banque mondiale est intervenue, ainsi que le FMI, puis les entreprises pharmaceutiques. Mais je pense que c’est tout ce réseau de scientifiques spécialisés dans le VIH, ou pas seulement des scientifiques, disons des experts du monde entier, qui est maintenant aux commandes. Je dirais donc que ce sont tous les amis de Fauci.

RFK, Jr. : Fauci étant celui qui a popularisé le VIH. Luc Montagnier, qui a été le premier à isoler ou à associer le VIH, à identifier le VIH comme une cause potentielle du SIDA. Il a insisté sur le mot « potentiel ». Sa découverte a été volée par un scientifique américain qui était un ami de Fauci, Robert Gallo. Et Gallo a prétendu avoir fait la découverte, puis il y a eu une dispute et des procès qui ont duré de nombreuses années, et finalement Gallo a admis qu’il avait volé le virus à Luc Montagnier et qu’il avait trompé Luc Montagnier pour qu’il lui donne le virus. Tony Fauci, vous savez qu’avant cela, le VIH ou le SIDA était considéré comme un cancer. Il était associé au sarcome de Kaposi et la plupart des gens pensaient probablement que cela avait quelque chose à voir avec les drogues qui étaient prises, qui étaient associées au mode de vie gay, et en particulier les poppers, et à d’autres lésions environnementales. […] Tony Fauci n’avait aucune compétence sur ce type de maladie. L’Institut national du cancer était compétent en matière de cancers et, à l’origine, il s’agissait du VIH, mais lorsque Bob Gallo a dit « non, c’est un virus », Tony a répondu « d’accord, c’est un virus, donc nous l’avons, car nous sommes l’Institut national des maladies infectieuses ». Et c’est ainsi qu’il s’est emparé du VIH. Et puis le VIH a bénéficié de tous ces financements parce que l’activisme au sein de la communauté gay. Tony Fauci, tout d’un coup, est devenu un courtier de pouvoir. Il avait le plus gros budget fixé par le NIH. Et tout cet argent était à disposition.

[00:36:28] Et ainsi, Tony Fauci a pris le NIAID, son agence, qui est censé chercher l’origine de toutes ces maladies infectieuses, allergiques, auto-immunes et chroniques, au lieu de cela il l’a transformé en incubateur de produits pharmaceutiques. Le premier produit développé a été l’AZT, en collaboration avec GlaxoSmithKline, qui s’appelait à l’époque Wellcome Trust. Et ils l’ont développé et en ont fait le médicament le plus cher de l’histoire. C’était dix mille dollars par dose par an. […] La valeur des actionnaires de GlaxoSmithKline a augmenté de quelque chose comme 2,10 milliards de dollars dès qu’il a fait approuver ce médicament, qui est devenu un modèle pour ce qu’il a fait par la suite. Il a donc arrêté la recherche sur les maladies infectieuses et a commencé à développer des médicaments pour l’industrie pharmaceutique. Aux États-Unis, le laboratoire de Tony Fauci recherche des molécules efficaces contre différents virus, comme le coronavirus dans une boîte de Pétri, puis il dépose des gouttes de différentes molécules sur différents types de médicaments toxiques de chimiothérapie et d’autres médicaments existants, ou tout autre produit qui tue le coronavirus. Et s’ils trouvent quelque chose qui fonctionne, ils font des tests sur les animaux pour voir si ça tue les animaux et si ça tue le coronavirus mais pas les animaux, ils disent que c’est un médicament potentiel et ils font ça pour tout le monde, pas seulement pour le coronavirus, mais pour des centaines et des centaines de virus.

[00:38:24] Et ensuite ils l’envoient aux universités, à ce qu’ils appellent les PIs, qui sont appelés les investigateurs principaux dans les universités. Et c’est ce dont vous parlez, c’est ainsi qu’il contrôle tous les scientifiques du monde, parce qu’il y a dix mille PI et la plupart d’entre eux sont des scientifiques très importants qui sont les chefs de départements à Harvard, à Columbia, à Berkeley, à Oxford. Et ce sont des scientifiques très puissants. Pourquoi ? Car ce sont eux qui reçoivent l’argent. Tony Fauci leur donne d’énormes quantités d’argent. Il peut vous donner environ 200 ou 300 millions de dollars pour faire une étude dans l’année. C’est ainsi que cet argent finance un médicament. Les labs de Fauci s’assurent que la molécule ne tue pas l’animal mais tue le coronavirus. Ensuite, il le confie, disons, à Columbia. Le chef du département de Columbia conduit les essais cliniques (phase 1, phase 2, phase 3). Pour la phase 1, c’est un petit groupe de personnes, peut-être deux cents. Et chaque personne que le scientifique recrute pour l’étude, Tony Fauci, leur donnera 15 ou 20 000 dollars. La moitié de cet argent va à l’université.

[00:39:46] Donc maintenant l’université dépend de Tony Fauci. Donc l’université développe le médicament jusqu’à la phase 2, et si le médicament semble toujours fonctionner, ils le vendent à une société pharmaceutique comme Glaxo, Gilead, Johnson et Johnson, Merck, Pfizer. Et Tony Fauci garde sa part du brevet pour son agence, plus ses adjoints préférés qui obtiennent chacun des intérêts de brevet. Ces gars peuvent se faire 150 000 dollars par an avec chaque brevet qu’ils possèdent. C’est ainsi qu’il s’assure de la loyauté de tous au sein de son agence. Il peut donner à ces gars des brevets et ils font des tonnes d’argent ainsi et son agence peut garder la moitié des brevets comme ils l’ont fait avec le vaccin Moderna. Son agence possède la moitié des brevets. Ils gagnent ainsi des milliards et milliards de dollars. Il y a donc un conflit d’intérêt direct. Ensuite, l’université obtient une partie du brevet et le chercheur universitaire, le PI, obtient une partie des brevets, donc ils sont tous solidaires. Et il a 10.000 de ces gars-là dans le monde entier. Et qui sont ces gens ? Paul Offit, Peter Hotez, Arthur Caplan, tous ces scientifiques célèbres que vous voyez sur CNN et qui font la une des journaux, Andrew Pollard d’Oxford.

[00:41:29] Ces gens sont tous des PI de Tony Fauci. On les voit à la télé et ils ont l’air de gens très crédibles et responsables. Tony Fauci les possède dans le monde entier. Et que se passe-t-il s’il y a un scientifique universitaire dissident ? Disons qu’un jeune scientifique de l’université de Harvard, naïf, se dit : « vous savez quoi, je vais faire une expérience. Je vais faire une étude. Je vais prendre les dossiers sur la vaccination. Je vais regarder les dossiers médicaux des HMOs. Et je vais déterminer s’il y a un lien entre le diabète et le vaccin Hib, le vaccin contre l’hépatite B, l’autisme ou les allergies alimentaires. Je pense que ce sera une étude fondamentale ». Dès que Tony Fauci apprend l’existence d’une étude, un de ses larbins appelle le doyen de l’école de médecine de Harvard et lui dit : « si vous laissez ce type faire cette étude, nous allons mettre votre université en faillite. Nous allons vous faire fermer parce que nous ne permettons pas que cette étude soit réalisée ». C’est ainsi que Tony Fauci contrôle la science dans le monde entier. Son budget annuel est 13 fois supérieur au budget annuel de Bill Gates. Il est donc beaucoup plus puissant que Bill Gates donne quelques milliards par an. Tony Fauci donne 7,6 milliards par an.

[00:43:12] Tony Fauci se coordonne avec Gates et ils se coordonnent avec Wellcome Trust, qui est juste un énorme portefeuille d’actions pharmaceutiques qui est dirigé par Jeremy Farrar. Et tout ce qu’il fait est de servir les intérêts du paradigme pharmaceutique. Vous avez donc les plus grands bailleurs de fonds du monde qui fournissent probablement 90 % du financement aux entreprises pharmaceutiques et ils ne font pas de recherche sur l’origine des maladies. Ils font des recherches sur la façon dont nous développons les médicaments. Je vais vous dire une autre chose. Entre 2009 et 2016, plus de 200 médicaments ont été approuvés par la FDA dans notre pays et sont devenus des blockbusters nationaux et internationaux pour beaucoup d’entre eux, et 100 % de ces 200 médicaments sont issus de l’atelier de Tony Fauci. Il est donc le principal incubateur, de toute l’industrie pharmaceutique. C’est le type, vous savez, il n’est pas un régulateur. Il ne s’occupe pas de santé publique. C’est de la fiction polie pour dire que Tony Fauci s’occupe de santé publique ou Bill Gates s’occupe de la santé publique. Ils font la promotion des vaccins et des médicaments. C’est tout. Et ce sont ces types qui dirigent aujourd’hui les gouvernements de toute la planète. Et c’est effrayant pour nous car ils ne se soucient pas de la démocratie. Ils ne se soucient pas de la santé publique. Ils se soucient des profits, de l’industrie pharmaceutique et du contrôle de la population.

SD : [00:44:48] Ok, j’ai deux autres questions, donc je…

RFK, Jr : [00:44:51] J’ai seulement deux minutes de plus.

SD : [00:44:52] Ok, c’est injuste ! L’une d’entre elles est que vous savez, nous avons entendu qu’il y avait certains sénateurs, Rand Paul et d’autres sénateurs qui voulaient avoir une enquête sur Tony Fauci en rapport avec les fuites d’emails et le fait qu’il aurait parrainé…

RFK, Jr : [00:45:14] Le Président Biden, le 25 mai, a ordonné aux agences de renseignement de faire une enquête. Et cela va être très intéressant. C’est une enquête de 90 jours qui sortira le 25 août. Et nous espérons qu’elle sera publiée à peu près au même moment que mon livre.

J’aimerais demander à vos auditeurs qui veulent savoir comment ils peuvent aider notre mouvement : « achetez mon livre ». Et je tiens à dire que 100% des bénéfices de mon livre, qui s’appelle The Real Tony Fauci, pour lequel vous pouvez aller sur Amazon aujourd’hui et l’obtenir. 100% des bénéfices sont reversés à Children’s Health Defense, CHD, le fonds pour lequel je travaille, Senta travaille et tous les autres avocats qui travaillent pour nous dans le monde entier. Je pense que nous avons déjà pré-vendu environ 5000 livres. Si nous pouvons pré-vendre 10000 livres avant sa sortie, il devient automatiquement numéro un sur la liste d’Amazon, du New York Times et de toutes ces autres listes. Et ce qui se passe ensuite, c’est que les libraires le déplacent à l’avant du magasin. Il y a tout un tas d’effets en cascade. Plus les gens connaissent Tony Fauci et savent pourquoi il est arrivé là où il est, plus notre mouvement est fort. Si vous voulez aider ce mouvement, faites vos achats de Noël maintenant, allez sur Amazon aujourd’hui, achetez un tas d’exemplaires du livre pour vos amis, pour votre famille. Et comme je l’ai dit, tous les bénéfices vont à CHD, à 100%. Vous aidez aussi beaucoup le mouvement parce que le livre va se retrouver au top de la liste des best-sellers et les distributeurs sont alors obligés de l’y mettre. Ils le mettent dans toutes les librairies des aéroports et dans les librairies du monde entier. Et de plus en plus de gens pourront le voir. et cela donne de la crédibilité et du sérieux à notre mouvement.

SD : [00:47:25] Est-ce qu’il y aura des traductions, Bobbie ? Est-ce que le livre existera dans d’autres langues ?

RFK, Jr : [00:47:32] Oui, nous allons traduire. Il sera traduit.

SD : [00:47:35] Ok, c’est intéressant pour nous en Europe.

RFK, Jr : [00:47:39] Vous savez, que CHD et The Defender sont en cinq langues. Nous sommes un mouvement global; nous devons parler aux gens dans beaucoup, beaucoup de langues.

SD : [00:47:54] Je demande donc que la prochaine fois nous parlions de Bill Gates, car il y a beaucoup à dire là aussi.

RFK, Jr. : [00:48:02] La moitié du livre est sur Bill Gates, l’autre moitié sur Tony Fauci. Donc si vous voulez connaître la vérité sur Bill Gates, achetez le livre !

SD : [00:48:14] Oui. A propos de son lien avec Epstein (…) Je vais en parler très rapidement et ce sera une piste pour une autre interview. […] En 1987, Bill Gates était déjà avec Jeffrey Epstein au conseil d’administration de l’organisation caritative gérée par Apollo management, vous savez, en lien avec la CIA et le Mossad. Ce qui est intéressant pour nous, Européens, c’est qu’en 2013, je viens d’en entendre parler par un autre journaliste, en 2013, donc après qu’Epstein ait été condamné, etc. […] et que tout le monde savait qui il était, ils [Gates et Epstein] ont visité ensemble le Parlement européen à Strasbourg pour se renseigner sur les politiques de santé en Europe. Et puis, vous savez. Il faut se poser des questions, pourquoi Jeffrey Epstein voyage-t-il avec Bill Gates, qui à l’époque n’était pas impliqué dans l’OMS….

RFK, Jr : [00:49:15] Envoyez-moi les preuves de cela ?

SD : [00:49:19] Oui, bien sûr. C’est pour la prochaine interview alors.

RFK, Jr : [00:49:23] Merci Senta: Merci de m’avoir reçu. Et merci pour tout le travail, l’incroyable travail que vous faites. Rendez-vous sur les barricades.

SD : [00:49:36] Merci beaucoup. Et je suis très fière de faire partie du CHD, merci.

RFK, Jr : [00:49:42] Nous sommes fiers de toi Senta. Merci.




Portugal et Covid : la justice confirme que seuls 152 décès sont dus au Covid et non 17 000

[Source : medias-presse.info]

Par Francesca de Villasmundo

Une récente décision de justice portugaise est passée inaperçue, si ce n’est occultée par les mass médias. Pourtant elle bouleverse la narration officielle sur la mortalité covidienne.

Selon une décision du tribunal de Lisbonne, seulement 0,9% des « cas vérifiés » sont morts de covid, soit 152, et non 17 000 comme le prétend le gouvernement. « La décision a prouvé que le gouvernement a falsifié les statistiques sur les décès dus au covid-19 » écrit GreatGameIndia, le média qui révèle l’affaire et publie le jugement.

« À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO), le seul système de ce type au Portugal.

La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

Ce n’est pas la première fois que la justice portugaise condamne la gestion et les mesures prises par le gouvernement du pays :

« L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».




Les brebis galeuses répondent aux Diafoirus qui foisonnent sur les médias

Par Nicole Delépine

[Illustration : Diafoirus père et fils soignant Argan, le malade imaginaire]

« Médecins du “malade imaginaire” de Molière, Monsieur Diafoirus et son fils Thomas (“grand benêt nouvellement sorti des écoles, fait toutes choses de mauvaise grâce et à contretemps”), deux cuistres grandiloquents et rétrogrades dont le charlatanisme finit par éclater au grand jour. »

Et comme nos vaccinateurs actuels de toute nature (pharmaciens, vétérinaires, pompiers, ambulanciers, aides-soignants, etc.) dépêchés par le gouvernement, Molière a l’idée de dépêcher son patient chez le pharmacien… Comme quoi on n’invente rien.

« On m’a cru malade, et on m’a dépêché le pharmacien. Je me suis fâché. Un révolté avoir recours à l’apothicaire !
— Mais, monsieur, a fait le Diafoirus, tout le monde se drogue ici.
»

 (Jules VallèsL’Insurgé, G. Charpentier, 1908)

Devant la disparition du Sars Cov 2 de France et de Navarre, comme le démontre la surveillance du Réseau sentinelle

Réseau sentinelle du 4 juillet 2020 : 3 cas pour 100 000 habitants. « Le gouvernement dictature vise l’immortalité. Mortalité cancers, suicides, noyades, accidents, AVC, infarctus, accidents domestiques ? OMERTA » @divergente151

Et ce 5 juillet il y a moins d’un cas pour 100 000 !

Et malgré la très faible dangerosité du variant delta (dont les symptômes sont ceux d’un bon rhume avec parfois maux de tête, gorge sèche, nez qui coule) qu’on veut nous vendre comme le péril jaune des années soixante, notre gouvernement veut continuer à nous faire peur et rameute « les bonnes volontés » pour désinformer.

Boris Johnson avec seulement 50 % de vaccinés par Astra Zeneca en majorité (efficacité réduite sur variant delta) relâche toutes les restrictions et admet le variant delta comme bénin sous la pression populaire. Belle manifestation géante à Londres le 29 juin. Plus utile qu’une prédiction de Ferguson pour prendre les bonnes décisions.

Les gouvernements mondialistes qui veulent à tout prix injecter leurs pseudo vaccins avant qu’ils ne soient périmés rameutent les diafoirus habituels, les médecins corrompus qui hantent les plateaux télé depuis des mois, mais aussi de nouveaux volontaires, syndicalistes, politiques, etc., pour alimenter la peur.

MENSONGE MAJEUR DES PROVACCINS covid

IL NE S’AGIT PAS DE VACCINS SELON PASTEUR,

MAIS DE MÉDICAMENTS DE THÉRAPIE GÉNIQUE JAMAIS EXPÉRIMENTÉS CHEZ L’HOMME À TITRE PRÉVENTIF

Selon la définition de Pasteur, un vaccin est un concentré d’antigènes spécifiques de la maladie à combattre, qui, injecté à un être vivant, suscite la fabrication d’anticorps spécifiques. La fabrication d’un vaccin se déroule en deux temps : d’abord la production de l’antigène, puis sa mise en forme pharmaceutique. L’antigène peut être constitué d’un microbe tué ou atténué, soit, le plus souvent, d’un ou plusieurs fragments de celui-ci. Cela permet à l’organisme de développer des défenses immunitaires contre la maladie ciblée. Ainsi, si un jour l’individu vacciné rencontre le vrai virus le système immunitaire le reconnaîtra et s’activera immédiatement pour le protéger de cette maladie. Le système immunitaire fabrique des anticorps pour éliminer spécifiquement ce microbe ; il s’agit du mécanisme de défense naturelle.

Ce qu’on nous présente comme « vaccins anticovid » ne contient aucun antigène. Ce sont en réalité des médicaments contenant un ARN messager destiné à nos cellules pour les forcer à fabriquer la protéine Spike en espérant que cette présence créera une réaction immunitaire anti Spike. Cette technique médicamenteuse pseudo vaccinale n’a jamais été utilisée chez l’homme. Elle n’a pas suivi le cycle normal des essais qui prend habituellement 7 à 10 ans. Sous prétexte d’urgence, les agences sanitaires lui ont accordé une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, sans attendre la fin des essais de phase 3 dont les premiers sont attendus pour 2023. Leur utilisation en population générale constitue donc un essai gigantesque, un pari jamais tenté susceptible d’aboutir à une catastrophe sanitaire mondiale.

LEURS LIENS D’INTÉRÊTS MOTEURS DES DIAFOIRUS MÉDECINS ?

Les médecins signataires de la tribune du JDD demandant l’obligation ont attiré l’attention des éveillés : ces 96 médecins qui réclament la « vaccination obligatoire » cumulent « en même temps » 8 millions d’€ de conflits d’intérêts avec différents labos qu’ils ont oublié de signaler contrairement à ce que la loi leur demande (sans compter leurs contrats commerciaux couverts par le secret défense)

source @LerouxArthur10

Dans cette tribune agissent-ils comme médecins ou comme représentants de commerce de leurs employeurs pharmaceutiques ? Et pourquoi ne respectent-ils pas la loi Transparence Santé ?

Mention spéciale pour Jean-Paul Hamon

Le Dr Jean-Paul Hamon ancien militant pour une médecine libre qui écrivit « comment ils tuent la médecine de proximité ? » a sombré lui aussi dans le délire vaccinal. Que lui ont-ils fait pour qu’il renie ainsi son passé de défenseur de la liberté médicale, fidèle à Hippocrate ?

Si on la chance de ne pas avoir une nouvelle flambée c’est parce que la moitié de la population française a reçu sa première dose […] Je pense qu’il faut sortir la boîte à claques et avoir le courage de dire aux Français “vaccinez-vous””, Jean-Paul Hamon dans #LaMatinaleWE 4 juillet 2021.

Ne sait-il pas que la première dose ne protège pas et expose au contraire à la possible aggravation de la maladie comme l’a reconnu O. Veran(([1] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)): « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant » ? Ignore-t-il que les pays qui ont le plus vacciné sont ceux qui ont le plus souffert d’une recrudescence de cas et de morts pendant 6 à 8 semaines(([2] Depuis qu’on vaccine (anticovid), la mortalité moyenne quotidienne a augmenté dans 13 pays sur 14))?

Et d’autres

– Dr Peloux (ancien président de l’association des médecins urgentistes, fidèle soutien du président Hollande et coutumier de la collaboration avec le pouvoir.

– Dr Prudhomme (actuel président de l’association des médecins urgentistes) qui voudrait vacciner le monde entier en cassant les brevets pour avoir l’air « de gauche », peu importe le danger des vaccins qui n’en sont pas…

L’un des meilleurs est le Dr Wargon (dont l’épouse est ministre de la Ville.(([3] Elle promeut la mixité sociale alors qu’elle habite dans une belle maison de 150 m2 évaluée 1 500 000 € à St-Mandé (94) alors que son mari exerce à Saint-Denis (93)!!! Bel exemple de mixité sociale !!! (voir l’article de Paul Le Poulpe sur Riposte Laïque) ? Ce couple pourrait habiter dans la riante ville de Saint-Denis !!!))), chef du service des urgences à l’hôpital de Saint-Denis (93) qui insulte littéralement le Pr Raoult

@CNEWS et ne dépare pas l’ensemble des médias malgré la réputation d’indépendance qu’on essaie de lui créer.

« Quand le Dr Brigitte Millaud prend comme support le nombre de morts dans le monde (environ 4 millions) pour pousser à la vaccination, j’ai envie de lui demander, il y a-t-il un vaccin contre la faim, car bon an mal an, c’est 8 millions de morts par an, un peu de pudeur », dit un Twittos qui pourrait ajouter que ces morts covid étaient en grande partie évitables en utilisant les traitements précoces interdits dans les pays occidentaux et plus strictement en France. Et que les restrictions sanitaires qu’on nous a inutilement imposées seront responsables de la mort par famine de plusieurs centaines de milliers d’enfants du tiers monde.(([4] Le nombre de personnes souffrant de faim dans le monde pourrait doubler, « atteignant plus de 250 millions d’ici la fin de 2020 », a prévenu mardi 21 avril 2020 le Programme alimentaire mondial (PAM) ))(([5] ONU infos Des millions d’enfants menacés par la famine en 2021 dans plusieurs pays, dont la RDC, le Yémen et le Soudan du Sud
https://news.un.org/fr/story/2020/12/1085632))

L’éternel Martin Blachier est capable de rejoindre 5 plateaux le même jour, utilise des arguments tout sauf scientifiques :

« Vous devez vous faire vacciner pour les autres […] S’il y a une petite vague épidémique en septembre ou octobre, ces gens que vous fustigez feront refermer le pays et ils y arriveront »

(dans #HDPros le 5 juillet).

Ignore-t-il que le vaccin ne prévient pas la transmission aux autres comme l’a également précisé O Veran(([6] Ibid référence 1)): « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers », mais ses activités télévisuelles ne lui laissent certainement pas le temps d’écouter son ministre.

Et bien sûr, ils sont allés chercher Irène Frachon, l’officielle lanceuse d’alerte pour avoir participé à la mise en évidence du drame du médiator, mais qui avait déjà soutenu en 2017 la vaccination obligatoire pour les petits nés après 2018 dont l’épouvantable vaccin hépatite B !

« L’appel d’Irène Frachon aux récalcitrants.(([7] https://www.leparisien.fr/societe/sante/les-etudes-sont-serieuses-faites-moi-confiance-allez-vous-faire-vacciner-lappel-direne-frachon-aux-antivax-05-07-2021-HDP47PCCENGNZF2SMTEE2NYAM4.php)) Lanceuse d’alerte de l’affaire du Mediator, Irène Frachon prend position pour la vaccination dans une tribune ce lundi sur notre site. Le bénéfice est immense, clame-t-elle après avoir épluché les études ».

On est heureux d’apprendre qu’elle a épluché les études… qui n’existent pas puisque les essais ne seront terminés qu’en 2023 au plutôt… Devin, la belle Irène ?

Il faut croire que cette « bonne opposante » préfère les morts du Médiator aux milliers de décès déjà répertoriés liés aux pseudovaccins, par l’agence européenne du médicament EudraVigilance(([8] 17 5 0 3 décès début juillet 2021 #EudraVigilance)) ou le système américain VAERS.(([9] VAERS 6 9 8 5 pour les USA sans parler des milliers d’accidents graves laissant des handicapés à vie)) Viendra-t-elle aussi défendre les familles lors des procès futurs ?

Mais manifestement, tous les morts ne se valent pas et Mme Frachon se serait honorée de rester cachée. Nul n’est parfait.

Quant au conseil de l’ordre, il suit bien sûr comme d’habitude les consignes gouvernementales et se prononce pour l’obligation, mais après avoir interdit les traitements précoces aux médecins, personne ne s’étonnera.

DIAFOIRUS JOURNALISTES

En plus de ceux cités préalablement dans notre article « les brebis galeuses répondent à la secte des covidistes »,(([10] https://nouveau-monde.ca/les-brebis-galeuses-repondent-a-la-secte-des-covidistes/)) la liste s’allonge chaque jour.
Nous en citerons quelques-uns de plus :

Emmanuelle Ducros :

« Si les soignants ne veulent pas se vacciner, ils n’ont rien à faire dans les lieux de soins »(([11] https://t.co/ELl2TpYiGK
https://twitter.com/StephanMarie11/status/1410568757706174471?s=20))

Sans vouloir se répéter, on se demande comment toutes ces personnes deviennent brutalement des spécialistes si bien formés qu’ils se permettent de jeter l’opprobre sur les citoyens mieux informés qu’eux sur la balance avantages/risques des médicaments et sur l’inefficacité des pseudo vaccins à prévenir la transmission de la maladie.

DIAFOIRUS POLITIQUES ET SYNDICALISTES

Le plus célèbre est évidemment Francois Bayrou toujours là pour « la bonne cause » et auquel on doit en partie l’élection du président actuel.

« Invité du Grand Jury RTL — Le Figaro – LCI ce dimanche 4 juillet, le Haut-commissaire au plan François Bayrou s’est prononcé en faveur d’une vaccination obligatoire contre le Covid-19. François Bayrou a rappelé qu’en France, « chaque bébé qui naît reçoit 11 vaccinations obligatoires » et que “pour aller dans un département français, la Guyane, il faut être obligatoirement vacciné contre la fièvre jaune”. »

« La vaccination fait partie de la vie et c’est probablement la conquête médicale — avec l’hygiène — la plus importante depuis le début des temps. Et c’est un Français, Pasteur, qui l’a inventée », a-t-il insisté.

Évidemment l’argumentation pèche sur deux points majeurs : la vaccination des bébés a été imposée sans consensus du pays par la désormais célèbre Mme Buzyn après une consultation de professionnels et de la société civile qui ne souhaitaient pas cette obligation. Le professeur Fischer déjà lui a rédigé le rapport selon ses conclusions personnelles trahissant les conclusions des médecins.

« Aux yeux du président du Modem, qui craint particulièrement qu’un nouveau variant ne finisse par être “particulièrement nocif pour les enfants en bas âge” “la vaccination est la seule digue contre ce qui nous pend au nez”, à savoir une nouvelle vague de Covid-19 ».

Brutalement grand médecin visionnaire, le maire de Pau ! Il est étrange de voir tant de personnalités se permettre des avis péremptoires sans la moindre compétence. Brutalement, il sait que les bébés sont concernés alors que leur risque réel du covid est de zéro, et visionnaire pour cette nouvelle vague qui toucherait les enfants ! Les covidistes ont dû s’offrir un lot de boules de cristal.

D’autres personnalités tout aussi compétentes en médecine ont déclaré qu’il faut rendre le vaccin obligatoire. Nous voyons qu’il n’y a plus de problème de numerus clausus médical en France puisque des vocations sont apparues rapidement et d’emblée savantes.

Ce virus a fait des miracles et a rendu fou comme répète Pascal Praud à juste raison chaque jour sur l’heure des pros. Quand vont-ils juger la qualité des chimiothérapies prescrites aux cancéreux ?

-Yannick Jadot (chef des écolos)

– Le philosophe Michel Onfray tristement peu « philosophe », le doute ayant déserté ses dires et peu respectueux du peuple puisqu’il sait ce qui est bon pour les sans dents.

Mais aussi le président du Medef avec son « ami » syndicaliste(([12] EXCLUSIF. Berger et Roux de Bézieux appellent « solennellement les salariés à se faire vacciner sans tarder » (lejdd.fr) ))!

Les numéros un de la CFDT et du Medef, Laurent Berger et Geoffroy Roux de Bézieux, plaident en faveur d’« un sursaut » vaccinal. Ils évoquent même une vaccination obligatoire pour les salariés au contact du public !

Il est rare que les deux leaders syndicaux prennent la parole ensemble. Mais face au plafonnement de la vaccination et à l’inquiétante progression du variant Delta,(([13] Il est contagieux et donnera beaucoup de rhumes des foins ! quelle tragédie ! tout cela serait comique si ce n était pas si grave d’injecter des drogues dangereuses.)) Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, et Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, ont décidé de « réveiller le sens civique de chacun », en plaidant pour une vaccination massive des salariés dans les entreprises.

« Nous sommes attachés à deux principes : le volontariat et le secret médical. Le premier peut toutefois connaître des exceptions pour les salariés au contact du public au nom de l’indispensable protection des autres. »

Enterré le secret médical… Ça continue…

Pour eux,

« la vaccination est la seule manière de retrouver une vie normale. (…) Si nous prenons la parole, ensemble, une nouvelle fois, c’est pour appeler au sursaut. » « La reprise économique, la relance de l’emploi ne pourront se faire qu’à la condition d’une vaccination massive de nos concitoyens, disent-ils également. Mais c’est aussi parce que nous sommes animés d’une même foi humaniste. »

Et les traitements précoces, jamais entendu parler ?

Tous les Français sont heureux de découvrir l’humanisme du Medef et de son complice de la CFDT, y compris les nouveaux chômeurs quotidiens suite à fermetures ou délocalisations qui se multiplient…

Extraordinaire attelage pour défendre l’indéfendable, un pseudo vaccin qui n’existe pas, qui protégerait « les autres » et permettrait de reprendre une vie « normale ».

Et pendant ce temps-là est votée l’épouvantable loi de bioéthique qui permet d’avorter d’un bébé de neuf mois prêt à naître, et autorise de concevoir des chimères homme-animal, entre autres folies.

Et pendant ce temps-là se prépare le vote de la réforme des retraites qui avait réuni des millions de gens dans les rues, malgré les lanceurs de LBD et les yeux crevés, avant que le Premier ministre Edouard Philippe n’impose le 49-3 le 29 février et dans la foulée les mesures sanitaires et l’enfermement total à partir du 17 mars 2020. Combien d’opposants à cette loi perfide verrons-nous en ce mois de juillet pendant lequel le ministre de la Santé et le Premier ministre tentent de raviver la peur d’un variant mineur à l’aide des complices et collaborateurs qui ruinent notre pays économiquement et psychologiquement.

Qui peut croire à la sincérité de cet attelage inédit pour la santé des Français ?

Alors que les multiples études des pays largement « vaccinés » démontrent de façon irréfutable et répétitive que ces injections géniques, outre leurs effets secondaires multiples, ne préviennent pas de nouvelles contaminations ni de formes graves comme l’avait expliqué le ministre Veran le 30 mars 2021 en réponse, avant d’affirmer le contraire ces jours-ci.

Le syndrome des masques se reproduit, un jour oui, un jour non.

 Alors que l’immunité collective ne peut être atteinte par ces thérapies géniques contre un virus qui mute. Le mensonge répétitif à ce sujet ne peut masquer la réalité. Le professeur Raoult l’avait expliqué, démontré, il y a plusieurs mois et les faits avérés des résultats des campagnes de vaccination dans les pays les plus vaccinés le démontrent.(([14] L’immunité collective post injection pseudo-vaccinale anticovid, mythe versus faits avérés ? — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

MAIS L’INJECTION GÉNIQUE N’EST PAS UN VACCIN

LEUR INCONSCIENCE (ou leur corruption ?) LES LAISSERA-T-IL METTRE EN DANGER NOS ENFANTS ?

Même le PDG de Moderna modère l’enthousiasme des politiques sur la vaccination itérative permanente :

« Stéphane Bancel : “le virus ne disparaîtra pas de la planète !”
1/ oui zéro covid (suppression) n’a pas de sens
2/ pas certain qu’une vaccination massive et itérative soit la solution. Vaccinons les groupes à risque et dopons les soins.(([15] https://w.lpnt.fr/2434159t via @LePoint))»

QUELQUES POLITIQUES SAUVENT L’HONNEUR

Florian Philippot se bat pour la liberté et contre l’obligation vaccinale anti covid et pour les traitements précoces, depuis le début du coronacircus.

Dans une vidéo du 1er juillet 2021,(([16] https://youtu.be/P34BpxRD4T0)) il explique le rapport du sénat Jomier paru le 1er juillet.

Trois sénateurs veulent nous vacciner à tout prix, selon leur rapport intitulé “recommandations relatives à la vaccination anticovid”. Ils représentent à eux trois tout le spectre politique du sénat.

Leur raisonnement est la probabilité de la quatrième vague à l’automne. Pour eux le traitement précoce connu de plusieurs milliards d’individus n’existe pas, il n’est même pas cité. Leur angle d’attaque est la vaccination contre le covid pour soi-disant éviter de nouvelles restrictions. Ils veulent rendre la vaccination obligatoire au moins pour certaines catégories. Ils veulent vacciner les moins de 60 ans, car plus de 1/3 des plus de 60 ans hospitalisés ont été vaccinés. Ils veulent obtenir des taux élevés de vaccination dans “des viviers d’infection”, dont les jeunes à partir de 12 ans. Si le taux de vaccination est inférieur à 50 %, ils imposeront des mesures non médicamenteuses comme la fermetures des écoles. ET POURTANT LES ENFANTS NE TRANSMETTENT PAS LE COVID ET NE FONT JAMAIS DE FORMES GRAVES ; zéro mort chez l’enfant sain. OU SONT CES VIVIERS ?

Le gouvernement voudrait passer une loi imposant la vaccination obligatoire pour tous à partir de 12 ans faisant fi de la convention d’Oviedo que la France a pourtant signée. Il faudra bien sûr faire un recours au Conseil constitutionnel. Il faut soixante députés ou sénateurs pour ce recours.

Par ailleurs Francois Asselineau, Jean Frédéric Poisson et parfois Dupont-Aignan ont protesté contre la dictature sanitaire. Espérons qu’ils seront rejoints bientôt par d’autres élus, et politiques prenant conscience de la mascarade Covid qui ruine le pays depuis 18 mois.





Le graphène, outil de surveillance de la santé, se trouve dans les masques, écouvillons, et… les vaccins. Conséquences potentiellement désastreuses sur la santé humaine

[Source : Le blog de Liliane Held-Khawam (lilianeheldkhawam.com)]

Par Liliane Held-Khawam

Comment transformer notre monde, la société, et donc l’humain ?

Révolutionner l’organisation sociétale est une obsession des dirigeants européens en vue de la réalisation des objectifs du Programme de développement durable 2030 des Nations Unies. Le nom complet de celui-ci est d’ailleurs: » « Transformer notre monde : le Programme de développement durable à l’horizon 2030 ». Les 3 premiers mots de ce titre sont indispensables à la compréhension de ce qui se passe. Ce site et les livres qui y sont présentés poursuivent tous le même objectif: comprendre et faire comprendre les stratégies et moyens utilisés pour réaliser cette révolution qui vise rien de moins que la restructuration de la vie la vie sur terre. Et cela passe par la révolution numérique et l’industrie qui la sous-tend.

Le graphène en fait partie, et occupe une bonne place dans le Digital Single Market de l’UE. Une thèse relevait en 2015 que le graphène est une nanoparticule bidimensionnelle d’épaisseur atomique présentant des propriétés uniques, qu’elles soient mécaniques, électriques ou thermiques. Ceci ajouté à une faible densité et une très grande surface spécifiquefait que l’ajout de graphène et de nanoparticules dérivées (oxyde de graphène, graphite exofilé) pour renforcer des matrices polymères est devenu un sujet d’études d’intérêt majeur dans le domaine des nanocomposites

https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01138100/
Les terrains d’application dans le but d’aller toujours plus vite, toujours plus haut, pour toujours moins cher.
fet_flagships_factsheet_20190905_final_d79bb51d-92f1-0390-5359064ac3e6f5b1_61526-graphene

L’oxyde de graphène, un outil de disruption technologique indispensable à la révolution digitale

L’oxyde de graphène est semble-t-il un composant majeur qui doit participer à cette révolution globale. Ce mot est évité au profit de la disruption technologique, histoire de ne pas trop expliquer en quoi cette chose consiste. Au final, il s’agit de la même chose. En fait, il s’agit ni plus ni moins de faire advenir la 4ème révolution dont parle Klaus Schwab qui devrait mener au transhumanisme, lui-même n’étant qu’un phase transitoire vers le posthumanisme.

Et les révolutionnaires ne lésinent pas sur les moyens. Et c’est à cela que l’on reconnait le degré d’importance accordé à un projet: le fric mis à disposition. Ainsi, la Commission européenne, les Etats membres et Etats associés financent un programme de 1 milliard d’euros afin de réaliser les objectifs de disruption basés sur le graphène.

Selon des membres du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche , « le programme phare sur le graphène est la plus grande initiative de recherche de l’UE à ce jour et, selon la Commission européenne, « la plus grande distinction de l’histoire pour l’excellence de la recherche ». Doté d’un budget d’un milliard d’euros, le programme Graphene Flagship a pour mission de faire passer le graphène du domaine des laboratoires universitaires à la société européenne dans dix ans – générant ainsi de la croissance économique, de nouveaux emplois et de nouvelles opportunités pour les Européens en tant qu’investisseurs et employés. Avec le programme Graphene Flagship, l’Europe a lancé une nouvelle forme d’initiative de recherche commune et coordonnée d’une ampleur sans précédent. Graphene Flagship réunit un consortium académico-industriel visant une percée en matière d’innovation technologique. L’effort de recherche couvrira l’ensemble de la chaîne de valeur, de la production des matériaux à l’intégration des composants et des systèmes, et visera un certain nombre d’objectifs spécifiques qui exploitent les propriétés uniques du graphène.« 

https://graphene-flagship.eu/

L’oxyde de graphène, le matériau qui permet la surveillance de la santé! Étude à lire. INDISPENSABLE

L’orientation des soins de santé humaine s’est progressivement déplacée des hôpitaux vers les communautés (familles, individus) nous dit une étude qui présente la médecine idéale où la santé humaine est sous surveillance permanente grâce à des capteurs composés de graphène. Les hôpitaux classiques et autres personnels soignants qui ne sont pas préparés à la télémédecine risquent de se retrouver hors du système dans peu de temps. Souvenez-vous d’ailleurs quand nous avions abordé les sujets qui semblaient lointains. Eh bien le lointain est devenu actuel. 

https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/28/etes-vous-daccord-davoir-un-clone-numerique-vous-laurez-quand-meme-lhk/

Extraits de l’étude

Des efforts considérables ont donc été consacrés aux capteurs et aux dispositifs de surveillance de la santé. En raison de ses caractéristiques uniques, notamment ses propriétés chimiques et physiques, le graphène est extrêmement attrayant pour l’électronique flexible et les capteurs.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Dans cette revue, les réalisations récentes dans les capteurs à base de graphène pour la surveillance de la santé humaine, y compris les capteurs portables flexibles non invasifs et les dispositifs invasifs ont été examinées. Les capteurs à base de graphène ont été explorés pour mesurer un large éventail de signes vitaux et de biomarqueurs du corps humain, qui sont très prometteurs dans un avenir prévisible pour des applications dans les soins de santé, la médecine personnalisée/préventive, le traitement des maladies, l’interaction homme-machine, comme ainsi que les interfaces cerveau-ordinateur.De nouvelles structures ont été utilisées pour améliorer les performances, tandis que leurs mécanismes de détection et les innovations technologiques ont également été discutés en profondeur.

Les capteurs portables non invasifs sont plus acceptables et souhaitables dans les applications de soins de santé, car ils sont moins invasifs et réduisent les risques tout en maintenant leur fonction et leurs performances. L’attitude du public envers les appareils portables est passée de la curiosité aux soins de santé de qualité clinique (Rogers et al., 2019). Cependant, il reste encore un long chemin à parcourir avant de répondre aux exigences des dispositifs médicaux. Avec les progrès des matériaux et des techniques de fabrication, les dispositifs médicaux implantables deviennent de plus en plus attractifs, en raison de leur capacité à surveiller de manière précise et à long terme l’état des tissus, des organes, du système, tout en fournissant également des conseils/des assistants/des pronostics pour diagnostic et thérapeutique, qui remplacent progressivement les appareils portables et portables traditionnels. Cependant, pour les dispositifs implantables, plusieurs défis tels que la biocompatibilité, l’encrassement biologique ainsi que l’alimentation électrique doivent être résolus. L’électronique transitoire/biodégradable présente un immense potentiel dans les applications implantables, qui peuvent être dégradées de manière contrôlée et/ou auto-déclenchante sans chirurgies secondaires ni risques d’infection. Par ailleurs,la chose intéressante est que les feuilles de GO hautement dispersées peuvent être biodégradées par la myéloperoxydase qui est dérivée des neutrophiles humains, qui peut être utilisée dans l’électronique biodégradable pour les implants (Kurapati et al.,2015).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

En général, les capteurs pour la surveillance de la santé humaine, qu’il s’agisse de capteurs invasifs ou non invasifs, peuvent être considérés comme un « sens augmenté », qui est une extension des sens humains.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Un fichier externe contenant une image, une illustration, etc. Le nom de l'objet est fchem-07-00399-g0001.jpg
Présentation de la plate-forme de capteurs à base de graphène (y compris oxyde de graphène)
pour la surveillance de la santé.
Une distinction majeure peut être faite entre les applications non invasives et invasives, y compris les capteurs portables pour surveiller les signaux biophysiques, biochimiques, environnementaux et les dispositifs implantables pour le système nerveux, cardiovasculaire, digestif et locomoteur. 
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Des quantités considérables de données seront générées avec le développement des technologies de capteurs et de la science des matériaux en raison de la détection omniprésente allant de l’Internet des objets (IoT) aux soins de santé. Ainsi, des méthodes statistiques et informatiques, telles qu’une gamme de techniques d’apprentissage automatique, peuvent être utilisées dans le traitement des données et l’extraction efficace d’informations. Des capacités d’analyse de données en temps réel sont souhaitées pour une gestion robuste des données (Paulovich et al., 2018). Les problèmes éthiques et moraux dans la collecte, l’analyse et le stockage des données, en particulier les données concernant la santé personnelle, doivent être correctement résolus pour protéger la vie privée.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Bien que les capteurs à base de graphène aient reçu une attention considérable dans la surveillance de la santé et les applications biomédicales, il est crucial de considérer l’impact du graphène et de ses dérivés sur la santé humaine, tels que sa biocompatibilité, sa toxicité, ainsi que ses risques potentiels pour l’environnement avant que le graphène ne soit intégré à la peau humaine, en particulier lorsqu’il est implanté dans le corps humain. De nombreuses études ont été consacrées aux nanomatériaux à base de graphène (GBN). Cependant, il y a encore un manque de recherche systématique sur la santé humaine ou les effets environnementaux (Dasari Shareena et al., 2018).

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6580932/

Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions en raison de la rareté des données et du manque de compréhension des effets d’accumulation à long terme (Fadeel et al., 2018).

À lire : 
https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/31/vos-donnees-biologiques-et-medicales-sont-lenjeu-et-ce-nest-pas-facultatif-vincent-held/

Méconnaissance de l’impact de l’oxyde de graphène sur la santé. Étude internationale

L’euphorie due à ce produit miracle peut se transformer un de ces jours en catastrophe aussi bien pour la santé humaine que pour celle de l’environnement. Une étude publiée à fin 2018 tirait la sonnette d’alarme:

« Le graphène et ses dérivés sont présentés comme des matériaux « miracles » avec de nombreuses applications dans différents secteurs de la société, de l’électronique au stockage d’énergie en passant par la médecine. L’exploitation croissante des matériaux à base de graphène (GBM) nécessite une évaluation complète de l’impact potentiel de ces matériaux sur la santé humaine et l’environnement. Ici, nous discutons de la synthèse et de la caractérisation des GBM ainsi que de l‘évaluation des risques humains et environnementaux des GBM à l’aide de systèmes modèles in vitro et in vivo dans le but de comprendre les propriétés qui sous-tendent les effets biologiques de ces matériaux ; tous les GBM ne se ressemblent pas et il est essentiel de démêler les relations structure-activité pour cette classe de matériaux. »

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche 
https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-73908.html

En novembre 2018, ces scientifiques écrivaient que « La caractérisation des matériaux, à son tour, est un élément clé de l’évaluation des dangers. L’évaluation toxicologique des nanotubes de carbone en est un exemple. Il y a dix ans, il a été suggéré que les nanotubes de carbone présentent une pathogénicité « de type amiante » dans un modèle animal en ce sens que les nanotubes de carbone longs et rigides, mais pas courts ou enchevêtrés, ont provoqué la formation de granulomes et une inflammation après injection intrapéritonéale chez la souris. Nous comprenons maintenant que les nanotubes de carbone adhèrent dans une certaine mesure au paradigme dit de la fibre pathogène, et que certains types de nanotubes de carbone multiparois peuvent être considérés comme potentiellement cancérigènes pour l’homme. Cependant, d’autres membres de la même famille de matériaux se sont révélés non toxiques et peuvent même subir une dégradation, suggérant que tous les nanotubes de carbone ne ressemblent pas à l’amiante (examiné dans la réf). En fait, les nanotubes de carbone, s’ils sont purifiés de manière appropriée et modifiés en surface, offrent des perspectives prometteuses en nanomédecine, par exemple pour l’administration et/ou l’imagerie de médicaments ou de gènes. » 

https://pubs.acs.org/doi/10.1021/acsnano.8b04758

Quelques remarques finales de l’étude citée ci-dessus sont plus que fascinantes au vu des textes que nous aborderons plus bas dans cette publication. En voici quelques-unes:

  • Le présent aperçu de la littérature a montré que même si l’évaluation des dangers des GBM arrive à maturité, avec un nombre toujours croissant d’études portant sur l’impact potentiel des GBM sur les systèmes vivants, des lacunes dans les données subsistent, ce qui, par conséquent, empêche la prédiction de toxicité basée uniquement sur les propriétés matérielles des GBM.
  • Pour conclure, le battage médiatique qui suit inévitablement les progrès technologiques devrait être tempéré par une évaluation scientifique solide de l’impact potentiel sur la santé humaine et l’environnement afin d’assurer le développement sûr et durable de nouveaux produits et applications. La présente étude de la littérature peut peut-être servir de première étape vers une collecte systématique de données sur la sécurité ou la biocompatibilité des GBM.

L’oxyde de graphène dans le vaccin induit la mort cellulaire! Étude chinoise

Il y a un an, une étude chinoise portant le titre de « Progrès récents de l’oxyde de graphène en tant que vecteur potentiel de vaccin et adjuvant » a été publiée après avoir été transmise en février 2020. Un troublant just in time puisqu’elle arrive au moment du démarrage de la crise covidienne dont le vaccin pourra bénéficier de la technologie.

Encore plus intriguant, ils admettaient dans leur publication l’usage de l’oxyde de graphène en médecine. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Or dans la phrase suivante, on peut lire Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Plutôt effrayant non?

Des adjuvants et des transporteurs ont été ajoutés de manière appropriée à la formulation du vaccin pour améliorer l’immunogénicité de l’antigène et induire une immunité de longue durée. Cependant, il existe un besoin urgent de développer de nouveaux adjuvants tout usage car certains adjuvants approuvés pour un usage humain ont une fonctionnalité limitée. L’oxyde de graphène (GO), largement utilisé pour l’administration de biomolécules, excelle dans le chargement et l’administration d’antigènes et montre le potentiel d’activation du système immunitaire. Cependant, GO s’agrège dans le liquide biologique et induit la mort cellulaire, et il présente également une faible biosolubilité et biocompatibilité. Pour pallier ces limitations,divers protocoles de modification de surface ont été utilisés pour intégrer des substances compatibles aqueuses avec GO afin d’améliorer efficacement sa biocompatibilité.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

Vous constaterez que hormis une personne pharmacienne, les auteurs chinois de ladite étude sont actifs à l’ École de médecine ou des matériaux de l’Université des sciences et technologies électroniques de Chine. Le profil de cette école de médecine est troublant et nous rappelle notre papier qui se demandait si la santé avait été transmise aux ingénieurs…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1742706120303305

L’étude espagnole qui montre que malgré toutes les mises en garde, les industriels envoient de l’oxyde de graphène dans le corps humain!

Voici une étude qui témoigne que l’oxyde de graphène est envoyé dans le corps humain par plusieurs voies: les masques, les écouvillons des PCR, et les vaccins. Ce produit toxique que nous pourrions qualifier de poison est non seulement présent dans les masques, mais aussi dans les écouvillons et dans les vaccins. Des chercheurs espagnols ont jeté un gros pavé dans la mare en apportant la preuve de cette présence inquiétante. La chose est édifiante, scandaleuse et très probablement criminelle. Il faut le dire et le faire savoir. Bref, la vidéo est sous-titrée en anglais.



[Ndlr : version doublée en français :]



Le biostatisticien Ricardo Delgado, le Dr José Luis Sevillano et l’équipe de chercheurs et de professeurs avec lesquels le site LA QUINTA COLUMNA ont mené leurs recherches ont confirmé la présence de nanoparticules d’oxyde de graphène dans les flacons de vaccination. Traduit et sous-titré par Orwell City (www.orwell.city).

Merci au site « Ciel voilé » qui nous a remis le document en espagnol.

deteccion-de-oxido-de-grafeno-en-suspension-acuosa.-informe-preliminar-1-dr.-pablo-campra-madrid

Les médias mainstream admettent enfin la présence du graphène dans les masques… pas encore dans les vaccins.

Si votre enfant ne supporte pas le port du masque, c’est dû au fait que celui-ci héberge très probablement des intrus indésirables qui portent le nom de nanoparticules d’oxyde de graphène. (Voir la vidéo ci-dessus). Il y a quelques semaines, les médias mainstream ont dû rendre compte de la présence problématique de nanoparticules d’oxyde de graphène dans certains masques testés. Et ces particules qui sont inhalées ne sont pas neutres en matière de santé. De fait, elles sont hautement dangereuses.

« Tout a commencé cette année au Canada, au Québec précisément, où 30 millions de ces masques FFP2 ont été distribués notamment dans les écoles. Les autorités constatent alors une multiplication de remontées de symptômes qui vont de difficultés à respirer à des irritations de la peau.

BFMTV.com

Fin mars, le ministère de la Santé décide de rappeler tous les masques en circulation qui ont été distribués et émet un avis radical. « Santé Canada conseille aux Canadiens de ne pas utiliser de masques faciaux contenant du graphène, car ils pourraient inhaler des particules de graphène, ce qui pourrait poser des risques pour la santé ».

En avril, un particulier lance même une action collective contre un distributeur. « Les masques en graphène ont été faussement présentés comme sûrs pour les humains, malgré de nombreuses connaissances contraires », peut-on lire dans le libellé de la poursuite déposée par le Groupe de Droit des Consommateurs, cité par Le Journal de Montréal. » 

Dans le cas de l’équipe espagnole on n’a analysé que certains masques. Mais voilà, il y a tous ceux qui ne l’ont pas été et qui continuent d’inonder la place publique, dont les écoles! Et plutôt que de faire retirer ces masques et de laisser les enfants respirer librement, on préfère palabrer sur la question. « Y-a-t-il un vrai risque pour la santé? La question est loin d’être tranchée. Comme tout nanomatériau, le graphène peut présenter des risques, surtout s’il est ingéré ou respiré. Mais on ne sait pas s’il y a un vrai risque d’inhalation par les humains à travers un masque. Les études sont encore en cours. » 

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Les « normes qui entourent le graphène ont été établies pour un contexte d’utilisation classique du nanomatériau, c’est-à-dire installé à l’intérieur d’appareils électroniques, pas dans un masque qui est à proximité de la bouche et du nez d’êtres humains. »

https://www.bfmtv.com/sante/faut-il-interdire-les-masques-ffp2-contenant-du-graphene_AN-202106020283.html

Que les études prennent du temps n’est pas un problème, mais que des autorités sanitaires totalement débordées depuis un an ne sonnent pas l’arrêt du port du masque au nom du principe de précaution est un immense scandale!

Et alors que certains produits empoisonnent littéralement les citoyens, on nous tient des discours abracadabrants sur des molécules qui ont soigné depuis des de nombreuses décennies… Nous pensons évidemment aux antibiotiques, à l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine.

HeiQ Materials AG dépose un brevet conjointement avec l’École polytechnique de Zurich (ETHZ). But fabriquer des membranes de graphène

HeiQ, une entreprise zurichoise spécialisée dans les technologies qui rendent les tissus « intelligents », avait développé un traitement antiviral appelé Viroblock, que l’on peut appliquer sur des masques chirurgicaux, des blouses médicales ou des gants. Voici donc le masque qui détruit les virus. Et ce miracle de la technologie est présenté par la société HeiQ en tant qu’outil antiviral pouvant combattre entre autres le Covid-19. Il est donc plus qu’un outil de protection.

Et cette entreprise est associée à l’EPFZ (ETH) dans le cadre d’un brevet qui concerne la fabrication de membranes de graphène:  » La présente invention concerne un procédé de production de membranes poreuses (« trouées ») de graphène qui sont imperméables tout en étant hautement respirantes en raison de la transmission améliorée de la vapeur à travers les pores perforés à l’intérieur des couches de graphène ». Vous pouvez lire le brevet (ou pas) et découvrir l’association qui est faite avec les matériaux (cuivre, argent, etc.)… Et tout ces trésors incluant l’oxyde de graphène sont travaillés à l’échelle nanométrique.

Annexes

Le marché des masques traités anti-virus en plein boom grâce au Covid-19. La société HeiQ Materials AG.

Le port du masque n’est pas près d’être suspendu. Il fait partie de la nouvelle société en cours de transhumanisation.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/23/vers-le-port-permanent-dun-masque-connecte-la-maltraitance-morale-de-nos-jeunes-en-question/
https://lilianeheldkhawam.com/2021/01/28/le-masque-premier-pas-vers-le-transhumanisme/comment-page-1/

Les investisseurs se régalent de cette innovation prometteuse de gros sous. De plus, les autorités sanitaires regardent ailleurs, et même vont jusqu’à financer… Un régal financier! 

https://resources.swissquote.com/sites/default/files/2021-02/swi_1_epaper_fr.pdf

Masques et tissus « intelligents » pour désactiver le Covid-19…

Le brevet n’étant pas disponible, il nous est impossible de dire si la société HEIQ, co-détentrice du brevet concernant le graphène (ci-dessus), fabrique ses masques en tissus intelligents avec ou sans graphène…

… et beaucoup d’autres virus

Vous trouverez dans cette vidéo la manière dont fonctionne l’une des inventions qui permet à ces tissus « intelligents » de combattre les virus. Des particules d’argent (nanoparticules ?) vont détruire les virus en les attirant d’abord (effet magnétique ?).




Pr Perronne : « Les pays où l’épidémie est repartie avec des morts ont vacciné massivement ! »

[Source : lemediaen442.fr]

Dans cette vidéo, lors d’un rassemblement qui s’est déroulé samedi 3 juillet 2021, le Pr Christian Perronne explique que l’épidémie repart de plus belle après les vaccinations massives.

« Pendant plusieurs années j’ai été vice-président du groupe d’experts à l’OMS pour le vaccin en Europe. Là, aujourd’hui, on n’a pas affaire à des vaccins, mais à des produits expérimentaux qui sont potentiellement dangereux, puisqu’on n’a pas encore tous les résultats sur les effets secondaires. Et de toute façon, ces produits qu’on injecte aujourd’hui ne protègent pas. Si vous regardez le dictionnaire Vidal à la page « vaccin – Moderna, Pfizer contre le Covid », c’est écrit en grand, c’est écrit en gras que ce produit ne protège pas contre les formes graves. Et à côté de ça, on a des journalistes, les experts qui ont beaucoup de conflits d’intérêts à la télévision, qui disent que ce vaccin protège contre les formes graves. Alors je vous explique pourquoi. Roselyne Bachelot a été ministre de la Santé […], elle s’est fait vacciner et dans les jours qui ont suivi elle a fait une forme grave du Covid. Je connais plein de gens qui ont fait des formes graves après deux vaccins. Si vous regardez, il y a des pays dans le monde où l’épidémie s’était très bien passée, a été parfaitement gérée. Il y avait peu de cas, peu de morts. Au Vietnam, il avait quelques dizaines de morts en un an et demi, tout allait bien, tranquille. Et j’ai un ami vietnamien qui m’a envoyé un message : “Nos dirigeants qui reviennent du Forum de Davos veulent imposer la vaccination à tout le peuple vietnamien.” Ils ont commencé et l’épidémie est repartie, il y a des morts. Tous les pays où l’épidémie est repartie avec des morts, ce sont les pays qui ont vacciné massivement. Regardez Israël, la Grande-Bretagne, le Brésil, l’Inde… »

https://twitter.com/LEGENERAL_OFF/status/1411433386091106308

Voir la vidéo entière avec Richard Boutry, Christian Perronne, Martine Wonner, Me Carlo Alberto Brusa… :






« L’espérance de vie de 2020 est exactement la même que celle de 2015 » Pierre, Décoder l’éco

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Un Entretien essentiel atypique : Pierre, de Décoder l’éco, une chaîne YouTube dans laquelle il partage ses analyses didactiques et parfois icononclastes, est un analyste statisticien qui vient nous présenter ses résultats sur les indicateurs statistiques des causes de mortalité des années 2020-2021.

Interrogé par Xavier Azalbert, Pierre nous propose une analyse détaillée des décès en France et en Europe, s’attachant tout au long de l’émission à remettre tous les chiffres en perspective entre l’ensemble des décès toutes causes confondues et les décès imputés au covid, pour savoir si nous sommes dans la norme habituelle.



« Les vraies différences de mortalités ne sont pas entre années mais entre pays. »

Pour savoir si un événement a un impact sur l’ensemble de la mortalité, il faut prendre en compte la taille de la population, son évolution et l’âge des gens.

Tout au long de l’émission, il reprend les chiffres qu’il analyse avec précision, invitant les spectateurs à sortir de la peur quotidienne pour exercer un œil critique et prendre du recul sur cette crise.




Covid-19 et traitements : nous sommes en guerre, en effet

[Source : mediapart.fr]

Par Enzo Lolo

L’essentiel se passe sous les radars médiatiques, mais la bataille déjà évoquée se poursuit et fait rage. L’ivermectine n’en est certainement pas le seul enjeu, mais elle est l’un des plus faciles à observer si on s’en donne la peine.

Partout dans le monde, il se trouve des « partisans » de l’ivermectine, qui y voient un traitement efficace et sans risque, susceptible de réduire rapidement la gravité de la pandémie de Covid-19, et des « détracteurs », qui s’opposent à la prescription d’ivermectine, avançant que son efficacité n’est pas prouvée, voire que la molécule est peut-être dangereuse.

L’affrontement prend des proportions inhabituelles et se déroule sur des terrains pour le moins étonnants, qui dépassent largement le cadre habituel du débat scientifique.

Arguments scientifiques

Parmi les partisans, les principaux arguments en faveur de l’ivermectine sont tirés de la littérature scientifique : une soixantaine d’essais cliniques, dont une trentaine d’essais contrôlés randomisés ont été menés dans le monde (avec des résultats systématiquement meilleurs dans les groupes traités à l’ivermectine), puis une dizaine de méta-analyses menées à partir desdits essais (comme celles de Kory et al. ou de Bryant et al. publiées dans l’American Journal of Therapeutics), concluant à une efficacité importante de l’ivermectine en traitement préventif ou précoce, avec un niveau de certitude « modéré » (ce qui est le cas pour de nombreux médicaments recommandés par les agences de santé publique.)

Ils se réfèrent également à diverses études épidémiologiques, qui indiquent une évolution favorable de l’épidémie partout où l’ivermectine a été largement prescrite.

Ils s’appuient également sur le très bon profil de sécurité de l’ivermectine, souligné par l’OMS dans le passé, qui les conduit à conclure que, même en cas de doute sur l’efficacité de la molécule contre le Covid-19, la balance bénéfice/risque ne peut qu’être favorable, et que dans ce cas il serait moins risqué de la prescrire que de s’abstenir.

Les partisans de l’ivermectine comptent parmi eux des chercheurs et des médecins du monde entier, dont plusieurs groupes de scientifiques (FLCCC aux USA, BIRD au Royaume-Uni, Association Médicale de Tokyo…)

Les détracteurs, de leur côté, soulignent que plusieurs des essais cliniques sur l’ivermectine sont fragiles dans leur méthodologie, et que la plupart d’entre eux n’ont pas atteint une significativité statistique. Un argument souvent évoqué est que lors d’études in vitro, les concentrations d’ivermectine utilisées n’étaient pas reproductibles dans le corps humain.

Les détracteurs comptent dans leurs rangs des poids lourds, tels que l’OMS et la plupart des agences de santé publique (FDA et NIH aux États-Unis, EMA en Europe, ANSM en France, etc.), qui déconseillent l’utilisation de l’ivermectine contre le Covid-19.

Ces dernières s’appuient elles-mêmes notamment sur un essai clinique publié dans le prestigieux JAMA (controversé, comme on l’a évoqué plus tôt), mais aussi sur un communiqué des laboratoires Merck, qui met en doute la sécurité de l’ivermectine — sans toutefois présenter aucune référence scientifique à l’appui.

Un débat faussé

S’il est normal qu’un débat scientifique ait lieu, la façon dont ce débat se déroule n’est pas sereine, et s’éloigne singulièrement des méthodes habituelles du débat scientifique.

D’une façon inédite, la censure est entrée en jeu : assimilant tout discours favorable à l’ivermectine à de la désinformation potentiellement dangereuse, les grands réseaux sociaux sociaux suppriment les contributions, y compris si elles émanent de scientifiques. Ainsi, YouTube, qui a explicitement interdit d’exprimer que l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine sont efficaces contre le Covid-19 (Fig.1), supprime de nombreuses vidéos dans lesquelles des scientifiques font état des résultats de leurs travaux sur l’ivermectine. C’est ce qui est arrivé au Dr Pierre Kory et à l’enregistrement de son témoignage devant le Sénat américain, mais aussi à la chaîne « Dark Horse Podcast » de Bret Weinstein, dont tout le compte a été supprimé par YouTube après la mise en ligne d’entretiens menés avec Pierre Kory puis avec le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie des vaccins à ARNm.

Fig.1 — Extrait des conditions d’utilisation de YouTube (capture d’écran du 29 juin 2021) © YouTube

Twitter, appliquant le même genre de règles, a également appliqué des suspensions provisoires aux comptes de Pierre Kory, du Dr Peter McCullough, mais aussi à celui de la Sécurité Sociale de plusieurs états du Mexique, comme le Quintana Roo (Fig.2).

Fig.2 — Compte Twitter de l’IMSS du Quintana Roo (capture d’écran du 30 mai 2021) © Twitter

Autre indice de la tension autour des informations concernant l’ivermectine : en France, le Dr Gérard Maudrux, dont le blog détaille les éléments scientifiques et juridiques en faveur du traitement précoce, en répondant point par point aux arguments contraires, est poursuivi par l’Ordre des Médecins.

L’Inde au tribunal

En Inde, où lors de l’envolée épidémique de mars-avril 2021 l’ivermectine a été incluse dans les recommandations du Ministère de la Santé comme traitement précoce du Covid-19 (première publication le 23 avril 2021), la guerre a pris une autre forme : alors que la plupart des états qui composent l’Inde se conformaient à la recommandation du Ministère national de la santé, et qu’une partie des médecins y prescrivaient l’ivermectine dès les premiers symptômes de Covid-19, Mme Soumya Swaminathan, cheffe scientifique de l’OMS et de nationalité indienne, tweetait que l’ivermectine était déconseillée. Un état au moins, le Tamil Nadu, est alors revenu sur ses recommandations : alors qu’il avait publié le 11 mai des recommandations incluant l’ivermectine en traitement précoce, il a modifié ses recommandations le 13 mai, en en retirant tout traitement précoce.

La bataille sourde se joue jusqu’au sein du Ministère indien de la Santé, dont les différents services s’opposent sur la question des traitements précoces. Si les instances scientifiques du Ministère, l’AIIMS (Institut des Sciences Médicales de Toute l’Inde) et l’ICMR (Conseil Indien de la Recherche Médicale) sont à l’origine des recommandations officielles de traitement précoce incluant l’ivermectine, une troisième instance, la DGHS (Direction Générale des Services de Santé) a rédigé de son propre chef des recommandations alternatives, excluant tout traitement précoce, suscitant des félicitations et une publicité de la part de Mme Swaminathan.

L’Association du Barreau Indien (IBA) a lancé le 26 mai une procédure judiciaire contre Mme Swaminathan, lui reprochant d’avoir sciemment occulté des données scientifiques indiquant l’efficacité de l’ivermectine, dans le but de tromper le peuple indien et de le dissuader d’avoir recours à l’ivermectine pour se soigner. S’appuyant sur l’évolution de l’épidémie en Inde, rapidement favorable dans la plupart des états ayant mis en œuvre des traitements précoces, tandis que la situation se dégradait dans le Tamil Nadu, une deuxième procédure est lancée le 13 juin, toujours contre Mme Swaminathan, mais également contre M. Ghebreyesus, Directeur Général de l’OMS et contre le directeur de la DGHS.

En Malaisie également, une association de consommateurs porte plainte contre le Ministère de la Santé, contestant son refus d’envisager l’ivermectine comme traitement.

L’OMS contestée

Il est à noter que les recommandations de l’OMS sont à la base de nombreuses décisions, à la fois sur le plan de la santé publique, mais aussi sur le plan médiatique. Par exemple, Facebook base l’essentiel de sa communication concernant le Covid-19 sur les positions de l’OMS, présentées comme « la vérité ». C’est sur cette base que Facebook a supprimé, pendant des mois, les publications présentant comme plausible l’hypothèse d’une fuite de laboratoire, et qu’aujourd’hui, les publications relayant des éléments scientifiques en faveur de l’ivermectine (ou contredisant la thèse de l’efficacité et de la sécurité des vaccins) peuvent être supprimées : ce n’est pas conforme à la position de l’OMS, c’est donc, selon Facebook, de la désinformation.

Mais à différents niveaux, les positions de l’OMS sont critiquées. En Inde, outre les actions de l’IBA, on notera qu’un jugement de la Haute Cour de Mumbai a autorisé l’État de Goa à traiter préventivement la population à l’ivermectine, prenant en compte l’argument selon lequel la recommandation de l’OMS de ne pas recourir à l’ivermectine est faussé (flawed).

Diverses voix accusent les responsables de l’OMS de conflits d’intérêts dans leurs décisions défavorables à l’ivermectine.

Dans le cas de Merck, dont le communiqué de presse déjà cité est repris par diverses agences de santé publique, l’intérêt commercial à dénigrer l’ivermectine ne fait pas de doute : le laboratoire vient de vendre au gouvernement états-unien pour 1,2 milliard de dollars de sa nouvelle molécule anti-Covid, le Molnupiravir — encore en cours d’essais — à 700 $ la dose.

D’autres pays ont récemment fait fi des positions de l’OMS : l’Indonésie (4e population du monde après la Chine, l’Inde et les USA) a récemment autorisé la prescription d’ivermectine contre le Covid-19, ainsi que le Zimbabwe.

Silence des médias

Une dimension particulièrement frappante de ce débat et des faits surprenants qui l’accompagnent est que l’immense majorité des médias n’y font aucune allusion. Que ce soit sur les publications scientifiques, sur les conflits juridiques, sur la situation en Inde, sur la censure de réseaux sociaux, presque rien ne filtre dans la presse mainstream.

Il arrive parfois que des médias, comme la télévision bavaroise, en parlent, et — chose étonnante — cela paraît suffisamment remarquable pour faire l’objet d’articles ! De façon plus sensationnelle, aux États-Unis on a vu une journaliste de Fox 24 révéler en direct que sa rédaction l’empêchait de parler d’ivermectine, puis s’expliquer en détail dans une vidéo.

Mais le plus souvent, quand un média important traite le sujet de l’ivermectine, c’est à charge, et sans grand égard pour les données scientifiques, comme on l’a observé pour « Le Monde », et comme TrialSiteNews l’a mis en lumière pour l’agence de presse Australian Associated Press. C’est préoccupant à bien des égards. Tout se passe comme si la quasi-totalité des médias avait considéré qu’une seule hypothèse scientifique était valable (« il n’y a pas de traitement précoce pour le Covid-19 »), et qu’elle était immuable. La presse, dans son ensemble, ne cherche pas à analyser les enjeux de pouvoir et les enjeux financiers liés au Covid-19, et semble avoir balayé, sans l’examiner, l’hypothèse d’une capture réglementaire des instances de décision sanitaire par les laboratoires pharmaceutiques, par exemple.

C’est inquiétant parce que la narration unique soutenue par les grandes agences de santé publique et relayée par les médias (« il n’existe pas de traitement précoce du Covid-19, et notre seule chance de revenir à une situation de liberté est d’administrer à la quasi-totalité de la population les vaccins, qui sont sûrs et efficaces ») exacerbe les divisions dans la population, entre ceux qui considèrent les non-vaccinés comme des dangers publics, et ceux qui, considérant qu’on manque de recul sur les vaccins et qu’il existe des solutions sans risque et moins chères pour réduire l’épidémie, ressentent comme des oppresseurs ceux qui soutiennent la mise en place de procédés de surveillance générale, et des moyens de coercition ou de discrimination à l’égard des non-vaccinés.

C’est enfin inquiétant parce que l’absence de débat médiatique concerne également les vaccins, sur lesquels le débat scientifique est pourtant vif, avec des appels à cesser immédiatement la vaccination des jeunes, et des publications scientifiques comme celle de Walach et al. publiée dans Vaccines, estimant qu’en la connaissance actuelle des données de pharmacovigilance, le nombre de décès causés par les vaccins et celui des décès évités sont du même ordre — sans même prendre en considération l’hypothèse de l’efficacité de traitements précoces ou préventifs. [Màj : la publication a été rétractée par la direction de Vaccines le 02/07/2021.]

Il semble qu’un accord entre médias, la « Trusted News Initiative » (TNI) puisse avoir une part de responsabilité dans les entraves au débat scientifique : partant de la louable intention de combattre les fausses informations susceptibles de mettre des personnes en danger, cet accord conduit à une uniformisation des informations disponibles, et accroît le double risque qu’une information de qualité soit à tort considérée comme fausse, et qu’une théorie erronée soit martelée comme vraie de toutes parts. La TNI regroupe en effet la BBC, Associated Press, l’Agence France Presse, Reuters, Radio-Canada, le Financial Times, The Washington Post, The Hindu, Twitter, Facebook, Microsoft, etc.

Quel processus d’examen scientifique les guide dans leur jugement, pour considérer qu’une information d’ordre scientifique ou médical est vraie ou fausse ? Il serait compréhensible que cet ensemble de médias se fonde sur les positions de l’OMS, mais comment écarter l’hypothèse qu’une « capture » de celle-ci par des intérêts privés, où les conflits d’intérêts de ses responsables puissent conduire l’OMS à adopter des positions moins scientifiques que favorables aux affaires de telle ou telle industrie ? Si tel était le cas — ce que certains observateurs dénoncent déjà, comme on l’a décrit ici —, c’est une part considérable de la presse mondiale qui se ferait, peut-être à son insu, porte-parole d’une désinformation massive et potentiellement criminelle.

Qui mènera l’enquête pour en avoir le cœur net ?




Comment surseoir à la vaccination : les clés pour défendre ses droits

[Source : infovaccinsfrance.org]

Mais sommes-nous vraiment obligés de vacciner ?

Certes, personne ne manquera de rappeler il y a des obligations vaccinales en France :
http://www.infovaccin.fr/legislation_vaccinale.html#oblig

Mais on oublie trop souvent que nous avons aussi des lois qui protègent nos libertés individuelles. Et elles sont en totale contradiction avec les lois d’obligation. D’un côté, des lois d’obligation, de l’autre, des lois garantissant vos libertés fondamentales.

Qu’est-ce qui prime en réalité ? La liberté. Et si. Jurisprudence oblige.

« En vertu de l’affaire Salvetti, il ne saurait y avoir le moindre acte médical obligatoire dans aucun pays d’Europe. L’arrêté de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, section I du 9 juillet 2002, requête n° 42197/98 , fait jurisprudence. »

 http://www.legavox.fr/article/imprimer.php?id_article=3692

Les lois d’obligation vaccinale constituent une atteinte à l’intégrité physique et violent tous les textes qui garantissent les libertés fondamentales:

  1. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen/Les lois d’obligation sont anticonstitutionnelle(26 aout 1789 et 10 décembre 1948)
  2. La Convention européenne des droits de l’homme(4 novembre 1950)
  3. La Constitution française(4 novembre 1958)
  4. La résolution 36-55 de l’ONU(25 novembre 1981)
  5. La loi sur le respect du corps humain insérée dans le Code Civil, Art. 16-1 et suivants (29 juillet 1994)
  6. La loi Barnier sur le principe de précaution(2 février 1995)
  7. Le Code de déontologie médicale inséré dans le Code de la santé publique, art. R 4127-2 et R 4127-36 (6 septembre 1995)
  8. La convention européenne pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine: Convention sur les Droits de l’Homme et la biomédecine ou Convention d’Oviedo       (4 avril 1997)
  9. La charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne(18 décembre 2000, art. 3)
  10. La loi Kouchner insérée dans le code de la santé publique, Art. L 1111-4 (4 mars 2002

À la lecture de toutes les lois actuellement en vigueur, on voit bien qu’il y a un problème. La méconnaissance de ces lois nous pénalise au quotidien. Sans compter la propagande et la pression exercée sur les récalcitrants. Tout est fait pour convaincre, non pour s’interroger. La question demeure: Comment faire valoir ses droits ? Ce document propose de vous donner les clés pour y arriver. Plusieurs approches sont possibles. Et l’une n’exclue pas l’autre, beaucoup se complètent.

REFUSER TOUT NET

Des vaccins obligatoires ? Mais nous sommes en France, non ? La France fait bien partie de l’Europe ? Oui ? Bien. Et bien la convention européenne des droits de l’homme – ou Convention d’Oviedo – ratifiée par l’Union Européenne le 4 avril 1997 garantit les libertés individuelles et n’impose aucune vaccination obligatoire « L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science » 
http://conventions.coe.int/treaty/fr/treaties/html/164.htm

L’article 5 précise que « Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. » En gros, c’est équivalent de la loi Kouchner en France, sauf qu’elle s’étends à tous les pays de l’Union Européenne.

=>En pratique, ces lois-là sont soit méconnues soit bafouées, donc argumenter sur ce seul aspect s’avère malheureusement fastidieux.

JE VEUX DES INFORMATIONS

La loi « Kouchner » du 04 mars 2002 n° 2002-303, art. L1 111-4 du Code de la Santé Publique : « AUCUN ACTE MÉDICAL ni aucun traitement ne peut être pratiqué SANS LE CONSENTEMENT LIBRE et ÉCLAIRÉ de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ». Cette loi est très importante. Chaque parent/patient peut, conformément à loi Kouchner demander aux vaccinateurs des informations exhaustives sur l’acte médical proposé, et le refuser. (1) http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000227015 Le consentement doit être LIBRE: « Le médecin doit en outre obtenir dans tous les cas, le consentement du patient avant toute intervention. »  (Déontologie médicale du CSP, art. R 4127-36 )

=>Approche déjà un peu plus facile. Il est naturel de s’interroger sur la nature du/des produits que l’on se propose de vous injecter dans le corps. 

QUELLES INFORMATIONS ?

Comment procéder, quelles questions poser ? Vous pouvez vous appuyer sur ce questionnaire à soumettre au médecin ( c’est « la lettre qui tue ») Dans tous les cas, le professionnel doit y répondre, et ce, avec le plus grand sérieux, conformément à la loi Kouchner (ou à la Convention d’Oviedo) concernant le consentement ÉCLAIRÉ. La première partie – lettre à personnaliser – étant destinée au médecin qui serait réfractaire à votre demande d’information ou qui, malgré les questions pertinentes soulevées voudrait malgré tout pratiquer un acte que vous réprouvez ou encore menacerait de vous dénoncer.

Il veut vacciner ? Ok, il l’assume et le certifie par écrit. De son côté, il a aussi le devoir de donner toute l’information sur l’acte proposé, conformément aux lois en vigueur. À défaut de pouvoir remettre la lettre en mains propres contre signature, si le médecin refuse de la prendre, on l’envoie en R avec AR.

=> ATTENTION, comme le souligne le « Docteur du 16 » sur son blog, certains médecins soucieux du respect des pratiques vaccinales peuvent chercher à vous intimider en vous soumettant eux aussi un document attestant que vous avez été informé des risques que vous faites courir à votre enfant en refusant les vaccinations. Ce serait alors le refus éclairé ! Sauf qu’il n’a aucune base juridique, contrairement au consentement libre et éclairé rappelé par la loi Kouchner du 4 mars 2002 ou encore la Convention d’Oviedo du 4 avril 1997. « 

DONNER L’INFORMATION et pouvoir apporter la preuve qu’on l’a donnée – un devoir pour le professionnel

« En vertu du Principe de Précaution, le praticien a le devoir, pour tous les actes qu’il pratique, d’apporter la preuve qu’il a donné au patient une information claire, loyale, appropriée et exhaustive sur tous les risques encourus »

Cour de cassation du 25 février et 14 octobre 1997. L’obligation d’information du médecin n’implique pas forcément celle de rédiger un écrit mais il appartient au médecin, en cas de contestation, « d’apporter la preuve par tous moyens de son exécution, notamment par des présomptions au sens de l’article 1353 du Code  civil » (Civ. 1ère, 14 octobre 1997, Bull. n° 278)
https://www.courdecassation.fr/publications_26/rapport_annuel_36/rapport_2002_140/deuxieme_partie_tudes_documents_143/tudes_theme_responsabilite_145/professionnels_sante_6115.html 
Or quel meilleure preuve qu’un document écrit ? Prenez des notes lors de l’entretien ou enregistrez la conversation :
lire la responsabilité du médecin vaccinateur.

LE PRINCIPE DE PRÉCAUTION

Saviez-vous qu’avant toute vaccination, des tests préalables devaient être effectués afin de déterminer si votre état de santé était en mesure de les recevoir ? « Les sujets à vacciner doivent être soumis à un examen médical PRÉALABLEMENT à CHAQUE INJECTION »I-3
http://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=19520305&numTexte=02595&pageDebut=02595&pageFin=
Et un certificat médical doit être délivré à l’issue de cet examen, avant injection. Les vaccins sont destinés avant tout à des sujets en bonne santé, des sujets dont on doit s’assurer le bon état de santé au moyen de plusieurs tests médicaux… Or, si les textes de lois précisent que les vaccinations obligatoires nécessitent des examens préalables, ils ne précisent pas exactement lesquels. Ces examens qu’on ne réalise jamais dans la pratique alors qu’ils sont partie intégrante des lois d’obligation, permettent aussi d’établir des certificats de contre-indication; si on a déterminé que vous n’étiez pas apte= contre-indication définitive ou temporaire. On vaccine donc sans la moindre précaution. Tout cela, au mépris de la santé du patient et au mépris du principe de précaution. C’est ce qu’on appelle de la négligence grave.

=> Bien que la loi oblige à pratiquer des examens avant-vaccination, ils n’en précisent pas les termes. Il est seulement indiqué, en annexe 
http://www.legifrance.gouv.fr/jo_pdf.do?numJO=0&dateJO=19520305&pageDebut=02593&pageFin=&pageCourante=02596, que l’examen préalable doit au moins comprendre une analyse d’urine afin de rechercher l’albumine et le glucose, obligation rappelée par la circulaire du 15 juillet 1965 (JO du 8 août 1965).

D’après l’’avocat au barreau de Grenoble Jean-Pierre Joseph, pour avoir un bilan complet il faudrait réaliser des examens cliniques et biologiques. Soit, au moins:

  • un Ionogramme complet, dosage de l’urée
  • lipodogramme
  • bilan endocrinien
  • titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies
  • test de dépistage des différentes hépatite et du SIDA
  • électrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps
  • radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée
  • radiographie pulmonaire, pour éliminer tout image de tuberculose pulmonaire évolutive.

Tout ça. Personnellement, j’ajouterai aussi des tests d’allergie aux composants des vaccins.

La Cour d’Appel de Riom (arrêt du 30 octobre 1962) rappelle l’exigence d’examens consciencieux, attentifs et conformes aux données actuelles de la science permettant de procéder à un acte médical. L’absence de précautions serait contraire au code de déontologie médicale.

=>On peut choisir cette approche, notamment pour les administrations. « Je veux bien faire les vaccins mais d’après l’article de loi ci-joint, il y a des examens obligatoires à faire avant. Et comme ils sont obligatoires, ils doivent être gratuits. Pouvez m’indiquer quelles sont les démarches à faire pour accomplir ces tests gratuits ?

TOUT SIMPLEMENT : PLUS DE DTP DEPUIS 2008

Vous voulez bien faire les vaccins obligatoires mais seulement les obligatoires. Normalement, le médecin honnête devrait vous dire « désolé mais c’est impossible car il n’existe plus actuellement sur le marché un seul vaccin correspondant aux obligations vaccinales, soit il contient des valences non-obligatoires en plus, soit il n’est pas adapté pour une primo-vaccination (voir obligations vaccinales en France).
Si le médecin vous réponds « pas de problème, on ne fera que les obligatoires» méfiez-vous. Le mensonge par omission est très courant en ce domaine.. demandez à voir quel vaccin il propose alors. Voici un modèle de lettre que vous pouvez soumettre au médecin concernant la non-disponibilité d’un vaccin DTP :
http://www.infovaccin.fr/alerte_DTP_susp.html 
ou ce modèle de lettre  » Pour les parents qui refusent de vacciner leurs enfants ».
Le vaccin le plus proche du DTPolio® et qui peut être proposé en remplacement – le Revaxis® – n’a pas d’AMM pour les enfants de moins de 6 ans ni pour une primo-vaccination, et les autres vaccins comportent des valences non obligatoires et donc non couvertes pour leurs effets indésirables par l’État*, puisque non obligatoires, l’obligation de vaccination contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite est donc suspendue pendant la période d’indisponibilité du vaccin DTPolio®. 

Radical. Pas de DTP ? C’est bien regrettable… ou ENCORE :

D’autres modèles de lettres, d’autres approches, à vous de choisir celle qui vous sied le mieux, toujours en adaptant à votre cas :

  1. « Puisque j’ai foi en la vaccination, j’assume ! » :
    http://www.alis-france.com/download/engagement_medecin_vaccinateur.pdf
  2. Un autre genre de « lettre qui tue » :
    Certificat à faire signer avant vaccination.
  3. Je veux bien les vaccins, mais à la condition qu’ils soient fabriqués ainsi que l’a préconisé l’agence du médicament, en dilution supérieure à la 4°em centésimale (4CH). (lettre à mettre à jour concernant le BCG) :
    modèle de lettre à envoyer aux administrations qui exigent des vaccinations
  4. Lettre inspirée par la méthode de J-P. Joseph (examens médicaux obligatoires), à mettre à jour concernant le BCG :
    modèle de lettre pour refuser la vaccination auprès des autorités
  5. REFUS: ATTENTION À LA DÉLATION, malgré vos irréfutables  arguments, le médecin vaccinateur peut choisir de vous menacer: « si vous ne voulez pas vacciner, ce n’est plus la peine de venir dans mon cabinet ». Mais il peut aussi décider de vous signaler.

Les parents signalés peuvent rencontrer des difficultés :

  • L’autorité administrative (crèches, écoles, halte garderie…) peut refuser l’accès des enfants aux dits établissements et/ou peut les en exclure.

    Un signalement entre les mains du Procureur de la République qui en référera au Juge pour enfants peut être fait. Notamment parce que l’Ordre National des Médecins les y incite, considérant que ne pas vacciner, c’est maltraiter !  http://a7.idata.over-blog.com/3/27/09/71/Le-droit-des-patients-vu-par-l-Ordre-des-Medecins.jpg C’est hélas un moyen de pression assez répandu.

    En suite de ce signalement, les parents pourront être convoqués devant le Juge pour enfants aux fins d’ouverture éventuelle d’une mesure d’assistance éducative motivée par la mise en danger de la santé de l’enfant, aux fins de contraindre les parents à faire effectuer ladite vaccination, cette mesure pouvant aller jusqu’au retrait de l’enfant de son milieu naturel aux fins de placement en foyer ou famille d’accueil http://www.initiativecitoyenne.be/article-des-parents-menaces-par-le-chantage-vaccinal-d-un-medecin-123173691.html

  • De plus, par la voie du signalement, les parents s’exposent à une peine d’emprisonnement de 6 mois ainsi qu’une amende de 5ème classe soit 3.750 € selon les articles L 3111-2, L 3111-3 et L 3112-1 du CSP. http://www.alis-france.com/download/vaccination_repression.pdf

    En tout état de cause, les parents désireux de refuser cette vaccination, en connaissance de cause, devraient rédiger un courrier à adresser tant au médecin pédiatre, qu’au Procureur de la République du ressort du lieu de vie de l’enfant, qu’aux établissements scolaires et/ou sanitaires, aux fins de justifier et d’expliquer ledit refus, des arguments purement juridiques pouvant être évoqués dans ledit courrier, indépendamment de toute croyance médicale sur l’absence d’innocuité des vaccins.

=> Au médecin qui vous menacerait ouvertement, n’hésitez pas à donner un retour de bâton: « Signalez moi a la PMI, pendant ce temps moi je vous signale a l’ordre des médecins pour mensonge et intimidation »  http://www.conseil-national.medecin.fr/contacts-ordre-des-medecins

PMI ou POLICE MÉDICALE INFANTILE

Que faire face à la PMI ?

  1. Les menaces de la PMI ne valent rien juridiquement. Leur mission n’est pas de menacer.
  2. Lorsque le PMI vous contacte et demande à vous rencontrer dans le plus bref délai, inutile de paniquer ; demandez un courrier écrit avec les motifs de l’entretien.
  3. Si la PMI refuse et insiste en vous informant oralement des motifs; vous refusez tant que vous n’avez pas une convocation écrite conforme.
  4. La PMI va vous demander pourquoi vous tenez à avoir un écrit.
  5. Vous répondez calmement que ça va vous permettre d’apporter des réponses concrètes et que vous allez demander la légalité de la convocation et de ces motifs à un avocat.

En règle générale la PMI fait très attention car elle est obligée de respecter la procédure, sinon elle abandonne. Vous ne devez vous rendre à leur convocation QUE c’est si elle est commandée par un juge. Et dans ce cas, vous pouvez vous faire assister. N’oubliez pas: si vous contrôlez votre peur et que vous leur faites sentir que vous n’avez pas peur, ils n’agiront pas de la même façon. Et si votre peur est trop forte, demandez conseil avant d’agir. Dire NON aux vaccins n’est pas un CRIME.CONTACTEZ L’UNACS à Nantes  En cas de doutes, questions, inquiétudes, faites vous aider, vous n’êtes pas seuls. (MERCI Jacques Bessin, président de l’UNACS d’avoir écrit ce petit texte)

CRÈCHE & COLLECTIVITÉS

On pourrait en effet concevoir qu’un établissement privé puisse exiger à l’entrée telle ou telle vaccination, même facultative (ou « fortement recommandée » comme le ror). Cela ne serait possible que si une loi l’autorisait à agir ainsi. Ce n’est pas le cas. « Les autres vaccinations ne sont pas obligatoires. La preuve d’autres vaccinations (variole, coqueluche, BCG, ROR…) ne doit pas être réclamée. »

http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F767.xhtml

ou

http://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriAdmin.do;jsessionid=DAFF698959C210264A93965F3DFF5B2F.tpdjo13v_3?oldAction=rechExpJuriAdmin&idTexte=CETATEXT000007849723&fastReqId=151144436&fastPos=18

« les enfants admis dans les crèches » doivent être soumis aux vaccinations prévues par les textes en vigueur sauf lorsqu’ils présentent une contre-indication attestée par certificat médical. 

Exemple de courrier à soumettre à la crèche concernant le règlement intérieur (à modifier si non-vacciné ror) : 
https://www.facebook.com/groups/raphetbea/634367916600887/

Comment argumenter pour l’inscription d’un enfant en crèche : 
http://www.alis-france.com/download/temoignage_famille.pdf

LA PRÉSENTATION DU CARNET DE SANTÉ

« Le carnet de santé est un document confidentiel, nul ne peut en exiger sa présentation. »
Article L. 2132-1 du CSP modifié par Loi n°2001-1246 du 21 décembre 2001 – art. 34 JORF 26 décembre 2001 :

« Le carnet est établi au nom de l’enfant. Il est remis aux parents ou aux personnes titulaires de l’exercice de l’autorité parentale ou aux personnes ou aux services à qui l’enfant a été confié. Ils doivent être informés que nul ne peut en exiger la communication et que toute personne appelée, de par sa fonction, à prendre connaissance des renseignements qui y sont inscrits est soumise au secret professionnel. »

L’Article R3111-17 du Code de la Santé Publique mentionne clairement que le chef d’établissement à un devoir de contrôle de la situation de l’enfant au regard des vaccinations obligatoires, mais aucune autorité pour exiger le carnet de santé, tout autre document en tenant lieu suffit.

=> Ce qui signifie que même une copie n’est pas exigible, le carnet de santé étant intégralement soumis au secret médical. Pour les institutions réclamant ces informations, un certificat du médecin attestant que l’enfant se porte bien et est à jour de ses vaccinations suffit (ou un certificat de contre-indication).

=>Utilisation du carnet de santé comme certificat de vaccination: Deux doubles pages insérées dans le carnet sont consacrées aux vaccinations et portent chacune un numéro de formulaire (cerfa n°12594*01 et n°12595*01). Leur photocopie a valeur de certificat de vaccination. Ainsi, le carnet n’a pas à être présenté lors de l’inscription à l’école ou dans une collectivité: http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F810.xhtml




Problème mondial, solution mondiale !

Par Alain Tortosa

Problème mondial, solution mondiale !

Illusion d’indépendance (à tous les niveaux) dans un monde global

La force politique, c’est l’éducation des peuples !

L’absentéisme aux élections

J’entends beaucoup dire que l’absentéisme s’explique par la perte d’espoir et la conviction que, quel que soit le candidat, le résultat sera le même.

Autant je partage cette opinion à titre personnel en pensant « à quoi bon voter », autant je pense que cela n’explique que très partiellement le problème.

Je crains que ce ne soit beaucoup plus grave et plus profond :

Une perte totale d’idéal politique et une absence de rêve !

Cela fait tellement d’années que l’on nous rabâche les mêmes propos…

« Le communisme est une impasse » et « il ne reste plus que le capitalisme. »

Le leitmotiv est que « nous vivons dans un monde ultralibéral et il ne saurait exister une autre voie ».

Personnellement je pense qu’il existe une troisième voie dans le distributisme, mais ce n’est pas l’objet de mon propos d’aujourd’hui.

Croyez-bien que si nous étions une majorité à croire en un modèle alternatif, nous serions représentés dans les élections et notre candidat serait au pouvoir depuis bien longtemps quand bien même les partis auraient fait leur possible pour le combattre au début.

Mais par la suite, ils auraient retourné leur veste comme ils le font si bien !

L’idéal politique a donc été remplacé par une résignation pour certains et l’adhésion aux valeurs de la consommation et de la « réussite sociale » pour les autres.

Point de politique sans économie

Le système politique mondial repose sur l’économie et uniquement l’économie…

Il serait illusoire ou utopiste d’imaginer changer de politique sans changer l’économie et le rapport à cette économie pour chaque humain.

Comme je l’ai développé dans mon livre « 7 milliards d’esclaves et demain », le système capitaliste pervertit tout concept, idée ou possibilité de changement, en les transformant en nouveaux marchés souvent plus lucratifs que les précédents.

Ainsi l’équitable, les énergies renouvelables ou l’écologie, pour ne citer qu’eux, ne sont QUE de nouveaux marchés pour le système et une façon de faire de l’argent.

Rendez-vous compte que nous en sommes arrivés à l’obligation de jeter sa voiture en parfait état de marche, officiellement trop « polluante », pour acheter une « voiture propre » et avoir le droit de conduire dans une grande ville.

Ils nous ont vendu le « jeter » comme un acte « écologique » et nous ne sommes pas dans la rue ou en train de tenir la tête de notre président au bout d’un manche !

Dans le même temps, le système nous fait croire que le licencié d’aujourd’hui sera l’embauché de demain pour des métiers plus enrichissants et intéressants alors même que le travail, tel que nous l’entendons, est de plus en plus destiné à disparaître du fait de l’automatisation.

Point de politique sans indépendance

Seul l’homme libre (ou le pays libre) peut agir efficacement et en profondeur sur le système…

… Et il ne suffit pas de décréter sa liberté pour l’être.

Moi-même qui écris ces lignes n’est pas totalement libre, parce que je fais partie du système et que je ne peux m’en extraire, car il est partout.

Il n’est donc possible de le combattre que de l’intérieur pour parvenir à une chance d’efficacité.

Je reconnais profiter et être bénéficiaire des divers avantages matériels que le système que j’exècre me procure. Moi-même bénéficie des milliards d’esclaves qui travaillent à mon confort dans les pays pauvres.

Moi-même suis complice des millions de morts par an dus aux conditions de travail épouvantables ou à la pollution dans ces pays.

L’ordinateur que j’utilise pour écrire ces lignes est taché du sang de travailleurs, qui depuis les mines de terres rares ou son acheminement sont décédés.

Illusion de liberté !

C’est ainsi que l’esclave d’hier qui appartenait à son maître, maître qui avait intérêt à le maintenir en vie avec un toit et le nourrir, est devenu « l’homme libre » d’aujourd’hui !

Homme libre qui perçoit un salaire qu’il reverse (quasi) intégralement à ses maîtres afin de pouvoir disposer d’un toit et de pouvoir se nourrir ou s’habiller.

Le concept de liberté par le travail obligatoire pour survivre m’a toujours fait sourire…

C’est aussi pourquoi le système a inventé le crédit à vie !

Le crédit permet de rendre l’esclave docile, il empêche les révoltes pour ne pas perdre ce que l’on possède.

Permettez à tout humain d’acquérir une voiture et une maison à crédit et vous ferez de lui un esclave ad vitam æternam.

Vous comprenez bien de fait que l’homme (ou le pays) endetté ne peut pas être libre !

L’union fait la force

L’économie est basée sur un rapport de force… rapport de force qui détermine notamment le prix de chaque bien de consommation.

Nous n’ignorons pas que le système procède de la division des peuples pour l’affaiblir et mieux le contrôler.

Nous en avons vécu une illustration évidente avec la crise du Covid où tout est mis en œuvre pour opposer frontalement les « moutons terrorisés » contre les « résistants ».

Pourquoi les petits commerçants se font-ils laminer par la grande distribution ?

En partie parce qu’ils sont assez bêtes pour ne pas s’être regroupés avec une centrale d’achat unique qui pourrait négocier des prix de gros…

D’autre part le système est conscient de sa faiblesse, car les maîtres du monde sont très peu nombreux et donc à la merci d’une révolte des peuples.

Prenons l’exemple d’une prison…

Je suis bien conscient que les gardiens possèdent les armes et les clefs, mais il n’en demeure pas moins vrai que le système fonctionne principalement sur l’acceptation des prisonniers à se laisser enfermer.

Si nous sommes aujourd’hui privés de libertés, c’est uniquement parce que nous ne sommes pas unis et que nous acceptons de fait les mesures dictatoriales.

Combien de « résistants » qui sont viscéralement opposés au port du masque ont refusé le masque pour leurs enfants ?

Combien sont allés au conflit face à l’administration et les ont retirés de l’école en cas d’échec ?

Mes enfants ne sont pas masqués et ils ne seront pas vaccinés !

Non, ce n’est pas avec des mots que l’on fait céder l’arbitraire, mais avec des actes !

Les multinationales imposent leurs règles, car leur puissance financière (et donc aussi corruptrice) est supérieure à celles de certains pays.

Ici encore, nous avons pu observer cette même puissance financière qui a fait voler en éclat l’indépendance de l’OMS.

Et que dire des lobbies à Bruxelles ?

Qui détient la dette publique française ?

Sur le site du ministère de l’Économie et des Finances, il est possible de lire que 64 % des créanciers(([1] https://www.economie.gouv.fr/facileco/comptes-publics/dette-publique)) ne seraient pas français.

C’est certainement un minimum, car derrière un créancier français, il est très possible que se cachent des créanciers étrangers…

D’autre part les étrangers posséderaient 40 % du capital(([2] https://www.lefigaro.fr/societes/au-moins-40-du-cac-40-est-detenu-par-des-etrangers-20201001)) des sociétés françaises du Cac40.

De plus, 75 % du chiffre d’affaires(([3] https://portail-ie.fr/analysis/2627/les-actionnaires-acteurs-cle-de-la-guerre-economique)) des entreprises françaises du cac40 serait réalisé à l’étranger…

Nous voyons d’ores et déjà que la France ne s’appartient pas et que les entreprises françaises dépendent de l’étranger.

Indépendance économique de la France ?

Indépendance énergétique ?

Selon un rapport de 2019, 54,6 % de l’énergie consommée en France est produite sur le territoire(([4] https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/bilan-energetique-de-la-france-pour-2019)) et donc presque la moitié de l’énergie provient de l’étranger (pétrole, etc.).

Indépendance productive ?

« La part du PIB représenté par l’industrie est deux fois supérieure en Allemagne (20 % contre 10 % en France(([5] https://www.lesechos.fr/idees-debats/cercle/opinion-distribuer-ou-produire-la-france-va-devoir-choisir-1208757))). »

L’INSEE a osé titrer que « Le “made in France” représente 81 % de la consommation des ménages » oubliant de préciser que l’immense majorité de cette consommation « française » porte sur des services.

Il est en effet assez rare de faire appel à un plombier chinois pour déboucher ses toilettes.

Et de préciser :

«  La consommation en biens manufacturés inclut 64 % d’importations, voire plus de 85 % pour les biens fabriqués. Cette part est même de 87 % pour la consommation de textiles, de produits de l’industrie de l’habillement ou du cuir et de la chaussure, aux neuf dixièmes de façon directe.(([6] https://www.insee.fr/fr/statistiques/4166056))»

Pour UniversNature(([7] http://www.univers-nature.com/actualite/societe-lois-politique/matieres-premieres-la-france-toujours-tres-dependante-56613.html)):

« Si l’on prend en compte ce qui est appelé “flux caché”, c’est-à-dire les matières premières utilisées pour les produits importés, les chiffres doivent être multipliés par plus de deux. On obtient une consommation totale annuelle voisine de 2,3 milliards de tonnes, soit environ 30 tonnes par habitant et par an. »

« Au niveau de la production intérieure, l’extraction des ressources naturelles est quantifiée à 734 millions de tonnes par an, soit 11,5 tonnes par habitant. La différence entre les 30 tonnes consommées et ces 11,5 tonnes produites expriment la dépendance moyenne de chaque Français vis-à-vis de la lutte pour l’accès aux ressources naturelles, qui est en train de s’installer au niveau planétaire. »

Indépendance agricole ?

Le magasine « réussir(([8] https://www.reussir.fr/lenjeu-de-la-souverainete-alimentaire-en-france-en-5-chiffres-cles))» précise :

« Le poids de la France dans les exportations mondiales de biens agricoles et alimentaires a été divisé par deux entre 1998 et 2017, souligne l’assemblée permanente des Chambres d’agriculture ».

« 40 % des légumes que nous consommons en France sont importés et 60 % des fruits, selon l’interprofession des fruits et légumes frais (Interfel), contre respectivement 28 % et 43 % en 2000 »

« L’excédent agricole français tend même à disparaître et la France pourrait connaître son premier déficit agricole en 2023 »

Et la surface agricole française ?

« La France possède la plus grande surface agricole utile d’Europe : 54 %, plus de la moitié du territoire, est affecté à un usage agricole, soit presque 29 millions d’hectares… alors que cinquante ans plus tôt, on en comptait 35 millions ! Lentement mais sûrement, les terres agricoles diminuent : en surface, c’est quasiment l’équivalent d’un département français qui disparaît tous les 10 ans(([9] http://www.fairebien.com/diminution-des-terres-agricoles/))»

Nous en sommes donc à un tel degré de décrépitude que nous allons perdre notre autosuffisance alimentaire.

C’est dramatique d’un point de vue indépendance, mais pas forcément d’un point de vue capitaliste.

Paradoxalement en termes économiques, une indépendance alimentaire ne serait pas forcément bénéfique pour les Français (cf 7 milliards).

Que déduire de ceci ?

  • Nos grandes entreprises françaises font trois quarts de leur chiffre d’affaires à l’étranger et les étrangers en possèdent 40 %.
  • Les deux tiers de la dette française sont détenus par des créanciers étrangers.
  • La moitié de l’énergie consommée en France est importée.
  • 85 % des biens utilisés par les Français sont importés.
  • Plus de la moitié des ressources naturelles sont importées.

Et même notre indépendance agricole est menacée et devrait devenir déficitaire à très court terme. Elle l’est déjà dans de nombreux domaines !

Comment pourrions-nous parler raisonnablement d’indépendance et de liberté de notre pays dans ces conditions ?

L’illusion de l’indépendance politique

Dès lors, vous pouvez voter pour qui vous voulez, quitter l’Europe si vous le désirez, mais vous resterez totalement dépendants des géants étrangers de la finance et de la production…

Et ce dans un pays dont la population représente moins de 1 % de la population mondiale.

De fait, plus nous serons séparés, plus notre poids démographique et économique sera ridicule et moins nous aurons d’arguments de poids pour influencer et contre-balancer.

L’association Réaction 19 a bien compris l’importance de s’unir pour lutter contre la dictature sanitaire, d’où les actions menées pour créer des Réaction 19 dans d’autres pays européens afin de créer une Europe (et un monde ?) pour les libertés individuelles.

Il faut voir aussi que l’économie est principalement basée sur les vases communicants et les échanges financiers.

La création de richesse est un processus d’une extrême complexité !

Injecter de l’argent est extrêmement dangereux et peut conduire à une destruction de sa valeur.

Il faut donc mettre en œuvre des processus de changement très lents pour ne pas effondrer le château de cartes ce qui serait catastrophique pour le peuple.

Si d’aventure vous trouviez demain une mine d’or et que vous inondiez le monde de cet or, non seulement l’or ne vaudrait plus rien, mais cela conduirait à une catastrophe économique sans précédent.

La France ne pouvant créer massivement de la richesse ex nihilo, notamment parce que nous ne sommes pas riches en matières premières…

De fait si d’aventure elle « augmentait » son indépendance et donc sa puissance financière et économique (indispensable à toute indépendance), cela se traduirait mathématiquement au détriment d’autres pays.

Ceci est un fait, les pays du Sud sont globalement les esclaves au service des États du Nord.

Autant il peut être relativement facile de trouver quelques solutions à l’échelle locale, autant le problème se complexifie lorsque l’on pénètre dans la macro-économie.

Personnellement je pense qu’il faut donc des réformes mondiales pour qu’il y ait des bénéfices locaux.

Le fait est que la France ne pèse « rien » d’un point de vue économique et que nous ne nous appartenons pas et sommes à la merci de nos créanciers !

Les solutions d’apparence simple sont-elles autre chose qu’illusoires ?

Allons-y !

  • Imaginons que nous élisions demain un homme politique (femme ? je pense à une certaine personne — clin d’œil) intègre et de bonne volonté.
  • Imaginons même que cette personne résiste aux sirènes des lobbies et autres corrupteurs.
  • Imaginons que cette personne n’ait pas la tête qui tourne avec une cour autour d’elle et tant de « sollicitudes »…

Quelle va être sa marge de manœuvre dès lors que nous sommes endettés et que nous sommes à la fois dépendants du système financier mondial, mais aussi des autres pays et des multinationales des matières premières, non pas pour notre confort, mais pour notre simple SURVIE !

Ces promesses de liberté ou d’indépendance me semblent tout aussi illusoires ou, pire, démagogiques et populistes que le Brexit.

Le Royaume-Uni demeure toujours endetté, toujours autant dépendant des Goldman Sachs et autres JP Morgan, toujours dépendant des échanges internationaux et sans autosuffisance dans quelque domaine que ce soit et donc toujours obligé de se plier au diktat de l’ultralibéralisme !

Les entreprises anglaises ont un besoin vital des fonds étrangers et un besoin vital de l’étranger pour des débouchés économiques.

Le pays est-il libéré de l’Europe et de ses contraintes ou de ses lourdeurs ?

Il a dû, pour sa survie, conclure un accord de libre-échange avec l’Union Européenne !

De fait le Royaume-Uni doit toujours se plier à l’ensemble des règles européennes, normes, etc. pour commercer avec elle.

En revanche le pays ne dispose plus du moindre pouvoir décisionnel auprès du parlement européen ou de droits de veto.

Il n’a plus la moindre influence politique directe sur l’Europe et doit donc en subir les contraintes, mais pour quels avantages ?

Peut-il claquer la porte à l’Europe sans risquer de mourir ou de planter un drapeau américain sur le toit de son parlement ? Bien sûr que non !

Des économies ? De mémoire, le pays recevait plus de l’Europe qu’il ne donnait et de toutes les façons il est aussi obligé de passer au portefeuille pour bénéficier du marché européen.

De toute évidence, le rapport de force entre le Royaume-Uni et l’Europe n’est pas favorable au Royaume-Uni comme il ne sera pas favorable demain à la France si celle-ci décide de quitter aussi l’Union dont elle aura un besoin vital pour survivre.

Hormis de la symbolique ou de l’électoralisme, quel est son bénéfice ?

Vous appelez cela gagner en indépendance ? Moi, pas vraiment !

Et je pense qu’il en serait strictement de même pour la France si elle quittait l’Europe demain…

  • Économie ? Elle serait obligée de négocier avec l’Europe pour sa survie et devrait continuer à respecter tous les traités européens, mais aussi mondiaux
  • Monnaie ? Si elle abandonne l’Euro pour revenir au Franc, elle devra quand même demeurer membre du Fond Monétaire International. Elle peut faire quoi ? Un peu d’inflation pour relancer la machine économique par de la dévaluation de la monnaie et un financement de la relance par l’épargne des Français. Combien ? Au-delà de 3 %, elle payerait la facture et les autres pays imposeraient des droits de douane sur les importations françaises, donc le bénéfice serait nul… C’est un peu comme les villes ou villages qui mettent en œuvre une monnaie locale, mais qui factuellement a son équivalent en euros. De fait votre monnaie locale ne s’appelle pas Euro, mais c’est de l’euro ! Il en serait probablement de même pour le nouveau nouveau franc.
  • Frontières ? La belle illusion. Les seules politiques possibles seraient plus symboliques que factuelles. Si vous limitez les flux migratoires entrants, vous subirez des mesures coercitives sur les flux migratoires sortants et cela nuira grandement à votre économie. Avons-nous aujourd’hui une politique de reconduite à la frontière ? Je ne le pense pas et je pense qu’il en serait de même demain. Sans compter sur la démographie et les naissances qui diminuent ainsi que les « français » qui ne veulent plus faire les « sales » boulots et donc une importation quasi obligatoire de main-d’œuvre étrangère sous-qualifiée.

Bref, tu fais quoi ?

  • Tu mets des droits de douane pour les importations ? Ils en mettent le double pour tes exportations…
  • Tu nationalises des entreprises ? Cela te ruine et tu perds tous les investissements en France.
  • Tu dévalues ta monnaie pour favoriser les exportations ? Tu te prends des sanctions des pays étrangers et tu finances ta fausse relance par l’épargne des Français.

Et si d’aventure nous décidions de quitter le système monétaire international pour devenir la RUSSIE de 1920, en trois ans nous deviendrions plus pauvres que le Bangladesh…

Nous sommes paralysés par nos dettes, notre dépendance totale vis-à-vis des entreprises mondiales et par tous les traités qui nous lient à tous les pays.

Le monde actuel est global, il n’y a plus la moindre indépendance et la moindre autosuffisance dans les pays riches !

Quitter l’Europe serait donc selon moi un non-sens et une erreur qui pourrait se révéler dramatique et réjouirait les puissances de l’argent.

Plus les peuples sont désunis et plus la dictature peut imposer ses règles !

Je le redis encore, il n’y a selon moi pas la moindre solution franco-française qui ne soit autre chose que de la démagogie, des mots, ou simplement cosmétique.

Nous vivons sur une planète ultralibérale, mondialiste et il ne peut exister de solutions globales locales, sinon à la marge.

Est-ce à dire que c’est foutu ?

Le pouvoir politique c’est la liberté

Je pense et je le redis qu’à problème mondial il ne peut y avoir que des solutions mondiales.

La France n’est plus la puissance coloniale qu’elle était.

Elle n’est plus rien d’un point de vue démographique, géostratégique, militaire, économique… ni même un phare idéologique (la pute des multinationales et des grandes banques).

Même l’Europe n’est quasi rien au regard du continent américain et de l’Asie !

Nous ne pouvons pas agir sur ces leviers, mais en revanche il nous reste la possibilité de lutter (un peu) contre la corruption.

Transparence et justice !

Cette Europe tant décriée est l’Europe que nous avons accepté… Elle ne nous a pas été imposée.

Il est trop facile de dire que l’on nous a volé notre vote alors même que nous n’avons pas réagi à cette mascarade.

Pire encore, nous avons dit non à la constitution européenne, par peur d’une Europe fédérale, alors que cette constitution, quand bien même imparfaite, était le prélude à une Europe politique.

Résultats des courses, nous nous sommes retrouvés dans une Europe sans aucune politique sociale commune, sans défense commune, sans santé commune, etc.

Notre Europe, suite à notre « non », est devenue une Europe économique encore plus au service des marchés et au détriment des peuples.

Mais rendez-vous compte que nous ne pouvions faire un plus beau cadeau aux marchés !

Posez-vous la question si le marché, Big Brothers, Amazon, Goldman Sachs et compagnie verraient d’un sale œil si la France quittait l’Union, puis si par la suite tous les autres pays faisaient de même, ou si elle ouvrirait une bouteille de champagne ?

Personnellement, j’ai ma réponse !

Chaque pays européen devenu « libre » chercherait à tirer son épingle du jeu en tirant encore plus dans les pattes de ses voisins !

La puissance ultralibérale négocierait individuellement avec chaque État pour lui ponctionner le maximum de sang !

Est-ce ce que nous voulons ?

Ils sont devenus les maîtres du monde parce qu’ils ont vite compris l’intérêt de supprimer leurs frontières.

Ils ont compris le mondialisme bien avant les peuples !

Leurs entreprises tentaculaires multinationales n’ont aucune limite territoriale ou politique et ils visent à imposer une dictature mondiale et certainement pas une démocratie mondiale.

Et vous voudriez leur opposer des frontières de plus en plus étriquées, à eux qui n’en ont pas, pour créer un contre-pouvoir politique, voire économique, afin de les contrôler ?

Je n’imagine pas une solution autre que de créer ce contre-pouvoir à l’échelle mondiale et non d’un pays comme la France dont l’aura a fondu comme neige au soleil depuis bien longtemps !

Comment une division pourrait-elle conduire à autre chose qu’une défaite ?

C’est exactement le même problème que le port du masque notamment dans les écoles.

Pourquoi les enfants sont-ils masqués ? Parce que c’est obligatoire ?

Que nenni, ils sont masqués UNIQUEMENT parce que les parents l’ont accepté.

Et ils l’ont accepté. Pourquoi ? Parce que le système autorise et valorise le mensonge, la cupidité et la corruption. Ils n’ont disposé que d’une information anxiogène, biaisée et mensongère.

Si demain nous voulons que les Gafa, pour ne citer qu’eux, payent les mêmes impôts que les autres entreprises — pas plus, pas moins — il suffit que le peuple du monde dise « je veux qu’il paye des impôts ».

Ce n’est pas plus difficile que ça.

En revanche si c’est la France qui le dit, ils éclateront de rire (avec raison)!

France qui ne pourra pas leur imposer, car elle n’a pas la moindre liberté économique ni autosuffisance ni même un marché suffisamment important pour mettre en péril leurs entreprises capitalistes.

La force du politique

Elle n’est pas dans des réformes impossibles ou populistes, mais de permettre l’éducation des masses.

Le politique doit permettre l’accès à une information vérifiée, sourcée et pluraliste.

Les conflits d’intérêts doivent être révélés au grand jour (les empêcher est illusoire).

Le peuple doit savoir quand un ancien directeur de Goldman Sachs est nommé commissaire européen et quand un ancien ministre de la santé devient président d’une firme pharmaceutique.

Les médias doivent redevenir indépendants des puissances de l’argent ou tout du moins les médias alternatifs doivent avoir une place aussi importante afin que tous les Français puissent y accéder.

Nous devons redevenir le phare du monde, celui qui illumine la voie vers la liberté.

Nous devons devenir contagieux, ouvrir les yeux aux peuples et leur dire qu’il leur suffit de dire « non » dans un élan mondial !

Nous devons éclairer les Français, éclairer les Européens, éclairer les habitants du monde en leur permettant l’accès à une information libre, éclairée et réellement pluraliste.

Ils pourront alors dire « non », et la dictature mondiale n’aura d’autre choix que de dire « OK » !

Merci

Alain Tortosa

28 juin 2021

Auteur de « 7 milliards d’esclaves et demain ? »

https://7milliards.fr/tortosa20210628-illusion-independance.pdf





Est-il juridiquement possible de rendre la vaccination anti-covid obligatoire en France ?

[Source : revuedlf.com]

Sur la licéité d’une obligation vaccinale anti-Covid

Par Philippe Ségur, Professeur de droit public à l’Université de Perpignan

Quatre vaccins anti-covid sont aujourd’hui autorisés en France : le vaccin Moderna, le vaccin Pfizer & BioNTech (nom de marque : Comirnaty), le vaccin Astrazeneca (nom de marque : Vaxzevria) et le vaccin Johnson & Johnson (nom de marque : Janssen). La vaccination – technique médicale consistant à inoculer une substance capable de procurer une immunité contre une maladie infectieuse – est la réponse prioritairement choisie par les pouvoirs publics français en réponse à la pandémie de covid-19. Devant les résistances d’une partie de la population, la question de savoir s’il ne faudrait pas la rendre obligatoire pour les soignants, voire pour tous les Français, a fait son entrée dans le débat public[1].

De manière générale, l’obligation vaccinale trouve son fondement dans plusieurs textes internationaux et nationaux. Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels du 16 décembre 1966 prévoit qu’afin de garantir le droit à la santé individuel, les États devront prendre les mesures nécessaires pour assurer « la prophylaxie et le traitement des maladies épidémiques » (art. 12). En France, c’est le ministre chargé de la santé qui élabore la politique de vaccination et la loi qui détermine quels vaccins sont obligatoires. Onze d’entre eux le sont aujourd’hui pour les enfants (art. L3111-2 CSP)[2]. Les professionnels de santé et thanatopracteurs sont également assujettis à certaines obligations vaccinales de même que les voyageurs qui souhaitent se rendre en Guyane. Il est, par ailleurs, admis que « lorsqu’un petit nombre de décès survient dans le cadre d’un programme de vaccination dont le seul but est de protéger la santé de la société en éliminant les maladies infectieuses », cela ne constitue pas une atteinte au droit à la vie protégé par la Convention européenne des droits de l’homme du 4 novembre 1950[3]. Les bénéfices de la vaccination, en effet, ne sont plus à démontrer : elle a permis l’éradication de la variole, une diminution de 99% des cas de poliomyélite entre 1988 et 2016, une réduction considérable des cas de tétanos, rougeole, diphtérie, coqueluche, etc[4]. À l’inverse, la recrudescence de certaines maladies infectieuses létales est liée à la diminution de la couverture vaccinale, ce qui peut justifier de rendre les vaccins obligatoires[5].

Dans une affaire récente, la Cour européenne des droits de l’homme a paru donner des gages aux États désireux d’imposer cette obligation en matière de lutte contre la covid-19. Dans l’arrêt Vavřička du 8 avril 2021, elle a considéré que si la vaccination obligatoire des enfants était une ingérence dans la vie privée, celle-ci était nécessaire dans une société démocratique au nom de la solidarité sociale[6]. Ce jugement, assorti du fait que le gouvernement français était intervenu dans la procédure, a été interprété comme un argument supplémentaire en faveur de l’obligation. Cela d’autant plus que le Conseil constitutionnel avait déjà refusé en 2015 de déclarer contraire à la Constitution l’obligation de vaccination infantile contre la poliomyélite, la diphtérie et le tétanos[7].

La crise sanitaire née de la pandémie de covid-19 pourrait donc justifier de rendre la vaccination obligatoire par voie législative pour un motif de santé publique. Le caractère exceptionnel des circonstances ne doit cependant pas faire oublier celui du moyen médical employé pour la faire cesser, à savoir le caractère inédit des procédés vaccinaux utilisés. Ainsi l’autorisation de mise sur le marché qui a été donnée aux fabricants en procédure accélérée par l’Agence européenne des médicaments (EMA) est conditionnelle. Selon l’EMA, ce type d’autorisation est délivrée « sur la base de données moins complètes que ce qui est normalement requis » et suppose que le fabricant s’engage à « fournir des données cliniques complètes à l’avenir ». Les rapports européens publics d’évaluation (EPAR) rendus au sein de l’Agence européenne des médicaments pour Pfizer[8] et Moderna[9] indiquent que les laboratoires pharmaceutiques doivent encore « fournir les résultats de l’essai principal, qui se poursuit pendant deux ans ». L’autorisation de mise sur le marché a été octroyée à Pfizer le 21 décembre 2020 jusqu’en décembre 2022. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2023. Pour Moderna, l’autorisation a été donnée le 6 janvier 2021 jusqu’en janvier 2023. Le « rapport final de l’étude clinique » sera remis en décembre 2022. Le fait qu’il s’agisse d’une vaccination en phase expérimentale ne saurait donc faire de doute.

Pour les deux autres vaccins, l’autorisation de mise sur le marché est également conditionnelle. Le vaccin AstraZeneca a été autorisé le 29 janvier 2021 et le vaccin Johnson & Johnson le 11 mars 2021. Les sociétés qui les commercialisent devront continuer de « de fournir les résultats des essais cliniques, qui sont en cours », comme l’indiquent les rapports d’évaluation du premier et du second[10]. Pour AstraZeneca, les « rapports d’étude cliniques finaux » sont attendus le 31 mai 2022[11]. Ceux du vaccin Johnson & Johnson sont attendus le 31 décembre 2023[12]. La formule « essai clinique » utilisée par l’Agence européenne est sans équivoque. Cette notion est définie par la directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001[13]. Selon ce texte, un essai clinique est une « investigation menée chez l’homme, afin de déterminer ou de confirmer les effets cliniques, pharmacologiques et/ou les autres effets pharmacodynamiques d’un ou de plusieurs médicaments expérimentaux (…) dans le but de s’assurer de leur innocuité et/ou efficacité ». On notera, par exemple, qu’en dehors même des incertitudes relatives à leur technique spécifique – ARNm ou ADN recombiné[14] –, « aucune étude de cancérogénicité n’a été réalisée » pour le vaccin Moderna et « aucune étude de génotoxicité ou de cancérogénicité n’a été réalisée » pour les vaccins PfizerAstraZeneca et Johnson & Johnson.

L’ensemble de ces informations suffisent à convaincre que la pandémie de covid-19 a conduit les autorités sanitaires à autoriser une expérimentation vaccinale à grande échelle inédite dans l’histoire de la médecine. En période d’urgence, rien ne paraît juridiquement s’y opposer tant sur le plan de la santé individuelle afin de protéger les personnes vulnérables que sur le plan de la santé publique pour éviter la saturation des structures hospitalières. En revanche, le caractère expérimental de la vaccination invite le juriste à en recontextualiser l’usage, car en cette matière, le droit interne comme le droit international ont historiquement construit la notion de consentement du sujet comme garde-fou pour empêcher toute dérive (I). Dès lors, ce principe du consentement semble suffisamment bien établi pour constituer un obstacle à l’obligation vaccinale aussi longtemps que les phases de tests cliniques ne seront pas terminées (II).

I- LE LIBRE CONSENTEMENT,UN FREIN À L’EXPÉRIMENTATION MÉDICALE

A- Le conflit historique entre l’éthique et l’expérimentation médicale

À partir du XVIe siècle, les progrès de la médecine ont incité aux expérimentations[15]. C’est d’ailleurs l’une d’elles qui a permis l’invention du vaccin. En 1796, le docteur Edward Jenner inocule à un enfant de huit ans du pus prélevé sur une trayeuse de vaches atteinte d’une maladie infectieuse des bovidés, la vaccine. En l’exposant ensuite à un malade contagieux, il démontre que l’injection a immunisé l’enfant contre la variole. La foi dans le progrès et l’exaltation des découvertes scientifiques incitent alors à expérimenter sur les « corps vils », jugés de peu de valeur : les détenus, les internés, les esclaves, les indigènes, les prostituées. Au XVIIIe siècle, des médecins se livrent à des expériences sur des esclaves noirs dans les colonies européennes des Antilles et d’Amérique du Nord[16]. L’inoculation préventive de maladies comme la petite vérole est utilisée sur des populations entières afin de tenter l’immunisation dans un contexte d’expérimentation de masse

Au XIXe siècle, les expériences se multiplient. Certains médecins témoignent d’une haute conscience éthique. C’est le cas, en 1833, d’un chirurgien militaire américain, William Beaumont, qui mène des expériences sur un patient atteint d’une fistule à l’estomac, mais seulement après avoir sollicité son accord et l’avoir engagé à cette fin[17]. En 1856, Claude Bernard, en posant les principes de la méthode expérimentale, recommande de « ne jamais pratiquer sur un homme une expérience qui ne pourrait que lui être nuisible à un degré quelconque »[18]. Cependant le 15 décembre 1859, le tribunal correctionnel de Lyon condamne pour blessures volontaires deux médecins hospitaliers qui ont volontairement inoculé la syphilis à un garçonnet de dix ans venu consulter pour une teigne[19]. En 1884, Louis Pasteur lui-même écrit à l’empereur du Brésil pour lui demander l’autorisation de contaminer des condamnés à mort avec le choléra afin d’essayer sur eux des traitements[20]. Les exigences de l’expérimentation sont donc loin d’être d’emblée synonymes d’éthique. En 1892, en Allemagne, un médecin directeur de clinique est condamné pour avoir injecté la syphilis à des prostituées et à des mineurs à leur insu. À la suite de cette affaire, les services de santé allemands adoptent le 29 décembre 1900 une instruction aux directeurs de cliniques, polycliniques et établissements hospitaliers qui leur impose en matière d’expérimentation « le consentement clair » de la personne concernée[21].

C’est un médecin français, Pierre-Charles Bongrand, qui émet le premier l’idée moderne selon laquelle le sujet humain – et non le médecin – est au centre du dispositif expérimental. En 1905, dans sa thèse pour le doctorat en médecine, il constate que, tout en étant indispensables au progrès médical, les expériences sur l’être humain sont immorales, car elles sacrifient l’individu à la collectivité. C’est pourquoi il propose d’instaurer entre l’expérimentateur et le sujet un accord fondé sur le « consentement préalable »[22]. Cette conception ne se traduira pas immédiatement dans le droit[23]. Le principe du consentement éclairé du patient sera d’abord consacré pour la seule relation thérapeutique par la Cour de Cassation le 28 janvier 1942[24]. Quant à la recherche médicale, on continuera de présupposer qu’elle est humaniste du seul fait qu’elle vise à l’amélioration du sort de la collectivité. « Le labeur des hommes de génie, même orienté dans une direction erronée, finit presque toujours par tourner au plein avantage de l’humanité », écrivait ainsi Mary Shelley dans Frankenstein en 1818.

Le XXe siècle a pourtant largement démenti le présupposé des finalités humanistes de toute recherche médicale. Ainsi l’Unité 731, créé par le Japon impérial en 1932 aurait fait périr plus de dix mille prisonniers servant de cobayes humains en laboratoire[25]. En août 1944, le médecin en chef de l’armée japonaise, Nakamura Hirosato, a provoqué la mort de neuf cents Indonésiens après avoir ordonné l’injection expérimentale d’un vaccin contenant de la toxine tétanique chimiquement modifiée[26]. En Allemagne, ni le serment d’Hippocrate, ni les directives du gouvernement sur les thérapeutiques nouvelles et l’expérimentation scientifique du 28 février 1931 qui prévoyait que l’expérimentation était interdite « dans tous les cas où le consentement fait défaut » n’auront été suffisants pour empêcher les dérives médicales les plus tragiques. Le IIIe Reich a procédé à des expériences à vaste échelle sur des juifs déportés. À Auschwitz, à Buchenwald, à Dachau, à Natzwzeiler, les médecins nazis ont utilisé des cobayes humains auxquels ont été inoculés des pathogènes tels que le typhus, la fièvre jaune, la variole, la typhoïde, le choléra et la diphtérie afin de chercher des vaccins ou de mettre au point des traitements permettant l’immunité[27].

B- La consécration du consentement éclairé après 1947

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, vingt médecins et trois fonctionnaires nazis seront accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité et jugés à Nuremberg du 9 décembre 1946 au 20 août 1947. Le jugement du Tribunal militaire américain des 19 et 20 août 1947[28] établit une liste des dix critères retenus pour apprécier les expérimentations reprochées aux accusés et connus aujourd’hui sous le nom de « Code de Nuremberg »[29]. Parmi eux, se trouve le principe du consentement éclairé du sujet. Pour leur défense, les accusés prétendaient qu’en temps de guerre, le serment d’Hippocrate ne tenait plus et que l’État pouvait décider de faire primer l’intérêt de la science sur celui de l’individu pour le bénéfice de la Nation. En réponse à cet argument, les juges de Nuremberg définirent des principes qui ne devaient pas dépendre d’une consécration juridique déterminée – c’est-à-dire du droit de tel ou tel État – mais d’une éthique médicale universelle et même du droit international[30]. C’est pourquoi le Pacte international sur les droits civils et politiques, adopté par l’Assemblée générale des Nations-Unies le 16 décembre 1966, prévoit à son tour qu’« il est interdit de soumettre une personne sans son libre consentement à une expérience médicale ou scientifique » (art. 7).

En raison de leur atrocité, les crimes des médecins nazis ont laissé croire qu’il s’agissait d’un accident monstrueux de l’Histoire, faisant ainsi oublier ce qu’Hannah Arendt appelle « la banalité du mal ». Or, tout au long du XXe siècle, d’autres drames ont résulté d’expérimentations médicales sans l’accord des personnes[31]. L’histoire des États-Unis où elles sont bien documentées est édifiante : alimentation d’enfants retardés avec des céréales radioactives par des chercheurs du MIT à la Fernald State School (Massachusetts) dans les années 1940 et 1950[32], faux traitements administrés à des Noirs atteints de syphilis par le Service de santé publique de Tuskegee (Alabama) de 1932 à 1972[33], contamination d’enfants handicapés mentaux à l’hépatite par deux médecins universitaires à la Wilowbrook State School de New York de 1956 à 1972[34], essai sur 20 000 Américains du thalidomide – un sédatif responsable de graves malformations fœtales – sur simple prescription par des généralistes à la fin des années 1950 et jusqu’en 1961[35], injection de cellules cancéreuses à des malades âgés et indigents au Jewish Chronicle Disease Hospital de Brooklyn en 1963[36], etc.

Ces exemples attestent que pour certains, la fin peut toujours justifier les moyens. C’est pourquoi l’Association médicale mondiale, une organisation non gouvernementale de médecins créée en 1947, a jugé bon d’adopter en juin 1964 la déclaration d’Helsinki. Il s’agit du premier texte international postérieur à Nuremberg qui revient sur les questions d’éthique dans l’expérimentation. Ce texte affirme que « la participation de personnes capables à une recherche médicale doit être un acte volontaire » (art. 25). En France, les principes du Code de Nuremberg inspirent largement les garanties apportées par le droit. Ils ont été repris par le Comité consultatif national d’éthique dans un avis rendu en 1984[37] et par le rapport du Conseil d’État sur les sciences de la vie, l’éthique et le droit en 1988[38]. C’est toutefois la loi du 20 décembre 1988, dite loi Huriet-Sérusclat, qui a prévu pour la première fois une permission spécifique pour les essais médicaux sur des volontaires en bonne santé – jusqu’alors interdits – tout en tout en rappelant la nécessité d’un « consentement libre, éclairé et exprès »[39].

II- LE LIBRE CONSENTEMENT,UN OBSTACLE À L’OBLIGATION VACCINALE

A- L’encadrement juridique des expérimentations

Les recherches médicales, y compris quand elles comportent une finalité thérapeutique, sont aujourd’hui régies par la loi du 5 mars 2012, dite loi Jardé[40]. Selon le Code de la santé publique, aucune recherche interventionnelle impliquant la personne humaine ne peut être pratiquée « sans son consentement libre et éclairé recueilli par écrit, après que lui a été délivrée l’information prévue » (article 1122-1-1). Les recherches interventionnelles sont celles « qui comportent une intervention sur la personne non justifiée par sa prise en charge habituelle » (article 1121-1), c’est-à-dire une intervention non dénuée de risque pour les personnes qui y participent. En font partie les recherches sur les médicaments, mais aussi les thérapies cellulaires ou les thérapies géniques comme le rappelle l’INSERM. Par leur nature comme par leur méthodologie expérimentale, les quatre vaccins anti-covid semblent entrer dans cette catégorie. Quant à l’information préalable, elle doit inclure notamment « les risques prévisibles » et « les éventuelles alternatives médicales » (article 1122-1).

Ces recherches interventionnelles supposent un avis favorable d’un organisme régional, le Comité pour la Protection des Personnes (CPP), qui dépend de l’Agence Régionale de Santé (ARS), suivi d’une autorisation par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament et des produits de santé (ANSM). En principe, le fait de ne pas avoir recueilli ce consentement est puni de trois ans de prison et de 45 000 euros d’amende par le Code pénal (art. 223-8). Néanmoins, la question du vaccin anti-covid a entraîné le dessaisissement des autorités sanitaires françaises au profit de l’Agence européenne des médicaments (EMA) sur le fondement du Règlement (CE) n° 726/2004 du 31 mars 2004. En ce qui concerne les « médicaments à usage humain contenant une nouvelle substance active », notamment pour le traitement des maladies virales, ce règlement prévoit, en effet, une procédure centralisée d’autorisation au niveau européen. En d’autres termes, ces médicaments doivent recevoir une autorisation de l’Agence européenne des médicaments (EMA) valable pour tous les États membres de l’Union européenne. Ce dessaisissement fait alors obstacle à une éventuelle action devant le juge français pour non-respect de la procédure d’avis et d’autorisation en droit interne, puisque sous la pression des circonstances, celle-ci s’est vu substituer une procédure européenne. En revanche, il ne dispense en rien de l’obligation d’obtenir l’accord des personnes.

Au sein du Conseil de l’Europe, la Recommandation n°R(90)3 du Comité des Ministres concernant la recherche médicale sur l’être humain, adoptée le 6 février 1990, énonce un certain nombre de principes. Selon le troisième, « aucune recherche médicale ne peut être effectuée sans le consentement éclairé, libre, exprès et spécifique de la personne qui s’y prête » et, selon le treizième, « les personnes susceptibles de faire l’objet de recherches médicales ne doivent pas être incitées à s’y soumettre d’une manière qui compromette leur libre consentement ». Ce texte, s’il vaut engagement politique et éthique, n’a cependant pas de valeur juridique obligatoire. En revanche, le règlement (CE) du 31 mars 2004 prévoit d’une manière contraignante au sein de l’Union européenne le respect de certaines exigences éthiques lors de la conduite d’essais cliniques de médicaments autorisés au niveau européen (point 16). Ces exigences sont prévues par la directive 2001/20/CE du 4 avril 2001 qui se réfère explicitement à la déclaration d’Helsinki et qui prévoit elle aussi le consentement éclairé (art. 3). Enfin, la Cour européenne des droits de l’homme a eu l’occasion de juger en 2002 que l’imposition d’un traitement sans le consentement du patient est « une atteinte à l’intégrité physique de l’intéressé »[41] et que « les vaccinations obligatoires en tant que traitements médicaux non volontaires constituent une ingérence dans le droit au respect de la vie privée »[42].

Une question demeure : ce principe s’applique-t-il lorsque l’expérimentation consiste en un vaccin ? La réponse est positive, car la directive du 4 avril 2001 vise les médicaments tels qu’ils sont définis par un autre texte, la directive 65/65/CEE du 26 janvier 1965. Selon celle-ci, un médicament est « toute substance ou composition présentée comme possédant des propriétés curatives ou préventives à l’égard des maladies humaines ou animales. Toute substance ou composition pouvant être administrée à l’homme ou à l’animal en vue d’établir un diagnostic médical ou de restaurer, corriger ou modifier des fonctions organiques chez l’homme ou l’animal est également considérée comme médicament » (art. 1er). Les vaccins anti-covid répondent sans conteste à cette définition. Dans la mesure où ils sont encore en phase expérimentale, ils sont soumis aux principes éthiques imposés par le règlement de 2004. La règle du consentement libre et éclairé à une expérimentation est donc bien établie en droit français comme en droit de l’Union européenne.

B- Inviolabilité du corps humain et dignité de la personne

Si l’arrêt Vavřička rendu par la Cour européenne le 8 avril 2021 ne fait pas obstacle à l’obligation vaccinale anti-covid, il ne la rend pas pour autant plausible ni juridiquement acceptable. Dans cette affaire, il s’agissait de vaccins longuement éprouvés qui ne suscitent plus que des contestations marginales chez les adversaires radicaux de toute vaccination. Il en va tout autrement des vaccins anti-covid. Ceux-ci se trouvant, de l’aveu même de l’Agence européenne des médicaments, en phase d’essais cliniques, il paraît difficile de les imposer compte tenu des garanties juridiques existantes. Une obligation vaccinale dans un contexte d’expérimentation risquerait fort de se heurter à la sanction du juge, ce d’autant plus que le droit français est fondé sur le principe de l’inviolabilité du corps humain. Cette prohibition s’exprime dans l’adage Noli me tangere, « ne me touche pas », repris de la parole du Christ ressuscité à Marie Madeleine[43] et traduisant le caractère sacré du corps. Si ce principe d’inviolabilité n’a pas reçu de consécration constitutionnelle, il traverse toutefois tout notre système juridique et est couvert par la « sauvegarde de la dignité de la personne », notion plus large que le Conseil constitutionnel a élevé au rang de principe constitutionnel dans sa décision du 27 juillet 1994 à propos de la loi relative au respect du corps humain[44].

Il est commun de dire que l’expérimentation médicale profite à l’espèce humaine tout entière bien qu’elle puisse s’exercer au détriment éventuel de celui qui s’expose à ses risques. Autrement dit, le bénéfice attendu par le plus grand nombre vaudrait bien le danger encouru par quelques-uns. Cependant l’expérimentation médicale sur l’être humain ne peut pas se réduire à une équation qui la rendrait aussi évidente qu’un calcul avantages/inconvénients. En effet, un tel raisonnement postule sa finalité désintéressée en faisant l’économie de ses déterminants économiques, politiques et sociaux. Dans l’affaire Vavřička, le juge Wojtyczek a observé dans une opinion dissidente publiée à la suite de l’arrêt « qu’il n’a été soumis à la Cour aucun élément propre à montrer que les États ayant mis en place l’obligation vaccinale obtiennent de meilleurs résultats en matière de santé publique que les États qui n’ont pas instauré cette obligation ». La remarque est cruciale et lourde d’implications.

Il faut se garder, en effet, d’une vision idéalisée de la rationalité scientifique qui conduirait à faire abstraction des enjeux de pouvoir, des intérêts financiers et des stratégies institutionnelles qui la conditionnent. La recherche médicale possède sa propre logique de déploiement qui n’est pas nécessairement humaniste et qui peut être assujettie à la quête du profit comme l’a rappelé encore récemment l’affaire du Médiator[45]. C’est un fait, par ailleurs, que la rationalité pure échappe à toute norme morale et menace de se retourner contre elle-même comme l’a montré Max Horkheimer[46]. Un marqueur de la civilisation peut alors se transformer en « progrès régressif » selon la formule de Theodor Adorno[47].

Si l’idée de neutralité scientifique est un leurre[48], le seul usage du terme « éthique » dans les textes juridiques ne suffit pas à en garantir l’innocuité. Même lorsque les recherches sont strictement encadrées par le droit, le principe du libre consentement paraît souvent fragile dans le rapport asymétrique qui lie l’autorité médicale au sujet. On voit mal, du reste, comment le consentement pourrait être tout à fait « éclairé » en présence d’un risque inconnu et d’une technique vaccinale complexe. Comme le rappelait Yannick Bardie en 2016, un essai clinique est par nature « un exercice très dangereux et non éthique »[49]. Compte tenu des nombreuses incertitudes qui pèseront jusqu’à la fin des essais sur les vaccins anti-covid, s’il est légitime de laisser aux volontaires, en particulier aux personnes vulnérables, la possibilité de les recevoir en toute connaissance de cause, il paraîtrait contraire au droit en vigueur et aux principes qui fondent notre système libéral de vouloir les imposer à tous les citoyens.


  1. [1] Académie nationale de médecine, « La vaccination des soignants contre la Covid-19 doit devenir obligatoire », Communiqué de l’Académie nationale de médecine, 9 mars 2021.
  2. [2] Loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018, JORF, 31 déc. 2017.
  3. [3] CommissionEDH, 12 juill. 1978, Association X. Contre Royaume-Uni, n°7154/75.
  4. [4] D. Lévy-Bruhl. « Politique vaccinale », in F. Bourdillon (dir.), Traité de santé publique. Lavoisier, 2016, pp. 311-322.
  5. [5] Ph. Sansonetti, « La défiance vis-à-vis des vaccins, un luxe pour ceux qui sont protégés par les autres ? », Après-demain, vol. n° 42, n° 2, 2017, pp. 9-11.
  6. [6] CEDH, 8 avr. 2021, Vavřička c. République tchèque, n°46621/13.
  7. [7] CC, déc. n° 2015-458 QPC, 20 mars 2015, Époux L.
  8. [8] Comirnaty. An overview of Comirnaty and why it is authorised in the EU, EMA/215190/2021, p. 4.
  9. [9] Covid-19 Vaccine Moderna. An overview of COVID-19 Vaccine Moderna and why it is authorised in the EU, EMA/704373/2020, p. 4.
  10. [10] COVID-19 Vaccine Janssen. An overview of COVID-19 Vaccine Janssen and why it is authorised in the EU, EMA/229490/2021; Vaxzevria. An overview of Xaxzevria and why it is authorised in the EU, EMA/213411/2021.
  11. [11] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine AstraZenecaAssessment report, EMA/94907, 20 January 2021, p. 176.
  12. [12] Committee for Medicinal Products for Human Use, Covid-19 Vaccine JanssenAssessment report, EMA/158424, 11 March 2021, p. 209.
  13. [13] Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du Conseil du 4 avril 2001 concernant le rapprochement des dispositions législatives, réglementaires et administratives des États membres relatives à l’application de bonnes pratiques cliniques dans la conduite d’essais cliniques de médicaments à usage humain, J.O. n° L121, 1er mai 2001, p. 34-44.
  14. [14] Janssen Vaccines & Prevention B.V., Summary Notification Information Format for the Release of Genetically Modified Organisms Other Than Higher Plants in Accordance with Article 11 of Directive 2001/18/EC, Ad26COVS1, 6 July 2020.
  15. [15] Ph. Amiel, « Expérimentation sur l’être humain », in C. Bonah, J.-M. Mouillie et al., Médecine, santé et sciences humaines, Les Belles Lettres, pp. 564-576, 2011.
  16. [16] G. Chamayou, Les corps vils. Expérimenter sur les êtres humains aux XVIIIe et XIXe siècles, La Découverte, 2014, pp. 341-384.
  17. [17] W. Beaumont, Experiments and Observations on the Gastric Juice, Plattsburgh, P. P. Allen, 1833, p. 20.
  18. [18] C. Bernard, Introduction à la médecine expérimentale, J. B. Baillère & Fils éd., 1865, II, chap. 2, § 3.
  19. [19] A. Claudy, Histoire de la dermatologie lyonnaise, Société française d’Histoire de la dermatologie.
  20. [20] L. Pasteur, Lettre adressée à Pedro II, empereur du Brésil, 22 sept. 1884, Archives Nationales, AB/XIX/3332.
  21. [21] Schleswig-Holstein Ministerium für Soziales, Gesundheit, Jugend, Familie und Senioren, Wissenschaftliche Untersuchung der Praxis der Medikamentenversuche in schleswig-holsteinischen Einrichtungen der Behindertenhilfe sowie in den Erwachsenen-, Kinder- und Jugendpsychiatrien in den Jahren 1949 bis 1975, 12 Januar 2021, p. 35.
  22. [22] P.-C. Bongrand, L’expérimentation sur l’homme. Sa valeur scientifique et sa légitimité, 1905, Presses de l’Institut Gustave Roussy/IGR Press.fr, 2011, p. 122.
  23. [23] Ph. Amiel, Des cobayes et des hommes ; expérimentation sur l’être humain et justice, Les Belles Lettres, 2011.
  24. [24] Cass, 28 janv. 1942, Teyssier, Gaz. Pal. 1942, 1, p. 177 ; B. Hoerni et J.-P. Bouscharain, « Arrêt Teyssier de la Cour de Cassation, 28 janvier 1942 : quelques remarques sur une décision “oubliée” », Histoire des sciences médicales, t. XXXV, n°3, 2001.
  25. [25] R. Working, « The Trial of the Unit 731 », The Japan Times, 5 June 2005.
  26. [26] J. K. Baird, « War Crimes in Japan-Occupied Indonesia: Unraveling the Persecution of Achmad Mochtar », The Asia-Pacific Journal Japan Focus, Jan. 1, 2016, vol. 14, issue 1, n° 4.
  27. [27] J. Graven, « Le procès des médecins nazis et les expériences pseudo-médicales. Esquisse d’une étude de synthèse, Annales de droit international médical, n°8, juin 1962, p. 5.
  28. [28] Ph. Amiel, « Expérimentations médicales : les médecins nazis devant leurs juges », in F. Vialla, Les grandes décisions du droit médical, LGDJ, 2009, pp. 431-444.
  29. [29] Ph. Amiel, «“Code de Nuremberg” : traductions et adaptations en français», in Des cobayes et des hommesop. cit.
  30. [30] Ph. Amiel, F. Vialla, « Le “code de Nuremberg”, une jurisprudence pénale inaugurale endroit international de la santé », in E. Cadeau, É. Mondielli, F. Vialla (dir.), Mélanges en l’honneur de Michel Bélanger : modernité du droit de la santé, Les éditions hospitalières, 2015, pp.573-585.
  31. [31] A. M. Salam, A. S. Carr, « Racing for Covid-19 Vaccine and Cure: Lessons and Tragedies in Human Subject Research », Heart Views, 2020 Jul-Sep, 21(3), p. 229–234.
  32. [32] R. Leung, « America’s Deep, Dark Secret », CBS News, Apr. 29, 2004.
  33. [33] Center for Disease Control and Prevention, The Tuskegee Timeline.
  34. [34] S. Krugman, « The Willowbrook Hepatitis Studies Revisited: Ethical Aspects », Reviews of infectious diseases, vol. 8, n°1, Jan.-Febr. 1986, 157-162.
  35. [35] B. Fintel, A. T. Samaras, E. Carias, « The Thalidomide Tragedy: Lessons for Drug Safety and Regulation », Helix, Jul. 28, 2009.
  36. [36] « Hospital Accused on Cancer Study », The New York Times, Jan. 21, 1964.
  37. [37] CCNE, Avis sur les essais de nouveaux traitements chez l’homme. Réflexions et propositions, n°2, 9 oct. 1984.
  38. [38] Sciences de la vie : de l’éthique au droit, Rapport G. Braibant, La Documentation française, 1988.
  39. [39] Loi n°88-1138 du 20 déc. 1988 relative à la protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales, JORF, 22 déc. 1988.
  40. [40] Loi n° 2012-300 du 5 mars 2012 relative aux recherches impliquant la personne humaine, JORF, 6 mars 2012. Voir : J. Ducruet, « Protection des personnes qui se prêtent à des recherches biomédicales », Laennec, vol. 56, n°3, 2008, pp. 6-24.
  41. [41] CEDH, 29 avr. 2002, Pretty c. Royaume-Uni, n°2346/02.
  42. [42] CEDH, 9 juill. 2002, Salvetti C. Italie, n°42197/98.
  43. [43] Jean, 20, 17.
  44. [44] CC, déc. n° 94-343/344 DC, 27 juillet 1994, Loi relative au respect du corps humain et loi relative au don et à l’utilisation des éléments et produits du corps humain, à l’assistance médicale à la procréation et au diagnostic prénatal, JORF, 29 juill. 1994, p. 11024.
  45. [45] CAA Paris, 8ème ch., 4 août 2017, 16PA00157 et 16PA03634.
  46. [46] M. Horkheimer, Éclipse de la raison, 1947, Payot, 1974.
  47. [47] Th. W. Adorno, Minima Moralia. Réflexions sur la vie mutilée, 1951, Payot, 2016.
  48. [48] K. Abbasi, « Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science », The British Medical Journal, 2020, 371. En ligne: <https://www.bmj.com/content/371/bmj.m4425> (consulté le 7 mai 2021).
  49. [49] L’Obs, 15 janv. 2016. Voir aussi Y. Bardie, Essai clinique : du patient à l’objet de science, Éd. Sauramps Médical, 2013.



22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest : Appel à la Résistance populaire antifasciste

[Source : ROUGE&VERT – Bélarus info-solidarité]

Par GRIND Pierre

LE CONTEXTE :

le 22 juin 1941, à 4 heures du matin, l’Allemagne nazie, victorieuse partout ailleurs, pratiquement sans résistance, lance l’opération Barbarossa en vue d’envahir l’URSS et d’asservir les peuples slaves, selon son projet politique fasciste.

À la frontière avec la Pologne, au Fort de Brest (Bélarus, alors la partie la plus occidentale de l’URSS) cependant, elle rencontre déjà sa première résistance, prémisse de celle qui la mènera à sa chute, de Moscou à Stalingrad et ensuite.

22 JUIN 2021 : exactement 80 ans après, dans la nuit du 21 au 22, l’Union Européenne, avec l’appui des USA, de la Grande-Bretagne et du Canada, décide d’un plan d’asphyxie de l’économie de ce petit pays, aujourd’hui indépendant, le Bélarus.

Le Fort de Brest [Brest-Litovsk], aujourd’hui au Bélarus indépendant, donc, près de la frontière polonaise, est devenu un lieu de mémoire essentiel de la lutte de Résistance antifasciste.

Pour ce 80e anniversaire du 22 juin 1941, une cérémonie d’hommage aux victimes de la guerre et à la Résistance des héros du Fort de Brest était donc prévue, pour commémorer cet événement tragique de 1941.

En fonction de la nouvelle agression, pour l’instant de nature économique et informationnelle (intox médiatique), que subit son pays, le Président Loukachenko a donc adapté son propos aux nouvelles circonstances géopolitiques qui venaient donc juste d’être déclarées par les puissances occidentales, et au premier rang desquelles, l’Allemagne « démocratique » se posant de fait en continuatrice de l’agression hitlérienne.

Выступление Александра Лукашенко на церемонии возложения венков в мемориальном комплексе Брестская крепость-герой »

Выступление Президента Республики Беларусь А.Г. Лукашенко на церемонии возложения венков в мемориальном комплексе « Брестская крепость-герой » 22 июня 2021 г.

Intervention du Président de la République du Bélarus A. G. Loukachenko à la cérémonie d’attribution des couronnes au complexe commémoratif « Forteresse Héroïque de Brest », le 22 juin 2021.

[Traduction française TML]

Дорогие белорусы, соотечественники!

Уважаемые ветераны, гости нашей Беларуси!

22 июня 1941 года для всех белорусов – день памяти и скорби, дата, разделившая жизнь народа на до и после. То летнее воскресное утро стало страшным рубежом между миром и войной, между светом и тьмой, жизнью и смертью. На нашу землю двинулась вооруженная безжалостная армада, которая несла гибель и рабство. Фашисты не щадили ни стариков, ни младенцев. Это потом, после 9 мая 1945-го, немцы назовут тот июньский день роковым для своей нации. А 80 лет назад гитлеровские убийцы намеревались пройти по Беларуси победным маршем. Они хотели пройти по нашей земле так же легко и быстро, как по Чехии, как прошлись по Бельгии, Голландии, Дании, Норвегии, Франции, Греции, Польше – по всему нынешнему Европейскому союзу, прошлись торжественным маршем. 

Chers Biélorusses, compatriotes !

Honorables vétérans, invités de notre Bélarus !

Le 22 juin 1941, pour tous les Biélorusses, c’est un jour de souvenir et de deuil, une date séparant la vie du peuple en avant et après. Ce dimanche matin estival devint la terrible limite entre la paix et la guerre, entre la lumière et les ténèbres, entre la vie et la mort. Sur notre terre s’est mise en mouvement une impitoyable armada qui a apporté la mort et l’esclavage. Les fascistes n’épargnaient ni les vieillards ni les bébés. Ce n’est qu’ensuite, après le 9 mai 1945 que les Allemands ont baptisé ce jour de juin comme funeste pour leur nation. Mais il y a 80 ans, les tueurs hitlériens se proposaient de passer par le Bélarus en une marche victorieuse. Ils voulaient passer sur notre terre aussi facilement et rapidement qu’à travers la Tchéquie, comme ils sont passés à travers la Belgique, la Hollande, le Danemark, la Norvège, la France, la Grèce, la Pologne, comme ils sont passés à travers toute l’actuelle Union Européenne, comme à la parade.

Друзья и недруги СССР к началу июля гадали, сколько еще страна продержится – две недели, три, может, месяц? А берлинские стратеги уже запланировали фашистский парад на Красной площади в Москве. Но здесь, у стен белорусской брестской цитадели, буквально в первые часы войны нацистский блицкриг сорвался. Запомните на всякий случай это слово « блицкриг ». Сорвался, когда в последние минуты своей короткой жизни воин нацарапал на стене: « Я умираю, но не сдаюсь! Прощай, Родина ».

Amis et ennemis de l’URSS conjecturaient, début juillet : combien de temps le pays tiendra-t-il encore ? Deux semaines, trois, peut-être un mois ? Et les stratèges de Berlin planifiaient déjà une parade fasciste sur la Place Rouge, à Moscou. Mais ici, sous les murs de la citadelle biélorusse de Brest, littéralement aux premières heures de la guerre, le Blitzkrieg nazi s’est brisé. Rappelez-vous, en tout cas, ce mot « Blitzkrieg ». Il s’est brisé quand, dans les dernières minutes de sa courte vie un combattant a écrit en grattant sur le mur : « Je meurs, mais ne me rend pas ! Adieu, Patrie ».

К сожалению, мы не знаем, кто он. Мы не знаем имен многих защитников Брестской крепости, не знаем, как они погибли и где похоронены. Запомните это, это вам сигнал.

Malheureusement, nous ne savons pas qui il est. Nous ne savons pas les noms de nombreux défenseurs de la forteresse de Brest, nous ne savons pas comment ils sont morts et où ils ont été enterrés. Rappelez-vous cela, c’est un avertissement pour vous. 

Буквально несколько недель назад ушел от нас последний свидетель тех событий Петр Котельников. Но в памяти народа его имя будет жить всегда, как и имена его боевых товарищей лейтенанта Кижеватова, капитана Зубачева, майора Гаврилова и тысяч, тысяч других советских героев. Это они не позволили фашистам взять твердыню над Бугом за восемь часов. Через три недели бои начинались уже на дальних подступах к Смоленску, а Брестская крепость продолжала сражаться.

Il y a précisément quelques semaines, nous a quittés le dernier témoin de ces événements, Piotr Kotelnikov(1). Mais dans la mémoire du peuple, son nom sera toujours vivant, comme le nom de ses camarades de combat, le lieutenant Kijevatov, le capitaine Zoubatchev, le major Gavrilov et des milliers, des milliers d’autres héros soviétiques. Ce sont eux qui ont empêché pendant sept heures les fascistes de prendre le bastion au-dessus de la rivière Bug. En trois semaines les combats ont déjà commencé aussi loin que les abords de Smolensk, mais la Forteresse de Brest a continué à se battre.

Дорогие друзья, страшные были времена. Огромное количество мы похоронили, а еще больше – без вести пропали. Так почтим же память героев, которые, пожертвовав собой, спасли мир, свободу и независимость, минутой молчания.

Chers amis, c’était une époque terrifiante. Nous avons enterré une énorme quantité de gens, et encore plus ont disparu sans laisser de traces. Ainsi nous rendrons les honneurs à la mémoire des héros qui, en se sacrifiant, ont sauvé le monde, la liberté et l’indépendance, par une minute de silence.

[…]  [NDTML – Minute de silence]

Захватчики (а против Советского Союза воевала почти вся Европа) не понимали тогда, почему даже в самых отчаянных ситуациях советский солдат не сдавался, как вообще он смог выстоять и в итоге победить. Так же нас сегодня не понимают потомки тех, кто в 40-е шли по белорусской земле на Москву, жгли дома и уничтожали людей. Недоумевают, почему мы все еще существуем на этой земле как государство. Видимо, им не дано этого понять.

Les envahisseurs (et contre l’Union Soviétique a combattu presque toute l’Europe) ne comprenaient alors pas pourquoi, même dans les situations les plus désespérées, le soldat soviétique ne se rendait pas, et comment, généralement, il pouvait tenir bon et finalement, vaincre. De même aujourd’hui ne nous comprennent pas les descendants de ceux qui, dans les années 40, en marchant sur la terre biélorusse vers Moscou, ont mis le feu aux maisons et massacré des gens. Ils se demandent pourquoi nous existons tous encore sur cette terre en tant qu’État. Visiblement, ils ne peuvent pas comprendre cela.

На реализацию « цветного блицкрига » были брошены огромные финансовые ресурсы. За последний год мы испытали на себе действие самых современных технологий гибридной войны. Белорусы все чаще спрашивают: так что, воевать будем? Да бросьте, белорусы. Мы уже давно воюем. Просто война приобрела другие формы. Уже не будет тех войн, уже в эти ворота (Брестской крепости. – Прим. БЕЛТА) они не попрут тысячами солдат. Война начнется и всегда начинается в современных условиях изнутри государства.

 Pour la réalisation du « Blitzkrieg coloré » ont été gaspillées d’énormes ressources financières. Au cours de l’année dernière, l’action des technologies les plus modernes de la guerre hybride a été expérimentée sur nous-mêmes. Les Biélorusses demandent de plus en plus souvent : alors, allons-nous combattre ? Allons, biélorusses ! Nous combattons déjà depuis longtemps. Simplement, la guerre a pris d’autres formes. Il n’y aura plus désormais de ces guerres. Désormais, ils ne mettront plus en marche des milliers de soldats vers ce fort. La guerre commencera, elle commence toujours, dans les conditions actuelles, de l’intérieur de l’État.

 Возьмите любую, как мы ее называем, цветную революцию, которые были совершены в последние десятилетия: было сделано все, чтобы взорвать общество изнутри. А они (Запад. – Прим. БЕЛТА) потом придут нас « спасать ». Сценарии прописаны, роли распределены. Просто мы оказались сильнее и мудрее. Рискну сказать, даже сильнее, чем в 41-м наши предшественники, потому что мы определяем свою судьбу сами. Мы здесь решаем, провоцировать их или нет, ждать, пока они сюда прорвутся и порвут нас, или нет. Мы суверенное, независимое государство, так будет впредь. 

 Prenez n’importe laquelle des révolutions colorées, comme nous les appelons, qui ont été accomplies ces dernières décennies : tout a été fait pour dynamiter la société de l’intérieur. Et ensuite, ils viennent en « sauveurs ». Le scénario est écrit d’avance, les rôles sont distribués. Simplement, nous nous sommes montrés plus forts et plus sages. J’oserai même dire, plus forts que nos prédécesseurs de 41, parce que nous avons déterminé notre destin nous-mêmes. Nous décidons, ici même, de les provoquer ou non, ou d’attendre jusqu’à ce qu’ils nous retraversent et nous écrasent, ou non. Nous sommes un État souverain et indépendant, et il en sera ainsi, désormais.

 При этом эти очумелые вот там, рядом, ждут от нас помощи. Требуют остановить нелегальную миграцию: тысячи из тех разрушенных стран, которые они пытались поставить на колени, а поставив, начали уничтожать, ринулись через Центральную Азию, Россию туда – на толерантный Запад. Они их пригласили, и сегодня они взвыли: ах, белорусы их не защищают. В Литву, Латвию и Польшу ринулись тысячи и тысячи нелегальных мигрантов.

 Et en plus, ces abrutis, là-bas, à côté, attendent de nous de l’aide. Ils réclament d’arrêter la migration illégale : des milliers en provenance de ces pays détruits, qu’ils ont essayé de mettre à genoux, et l’ayant fait, ont commencé à ravager, se sont précipités à travers l’Asie Centrale, la Russie, et là-bas, vers l’Occident tolérant. Ils les ont invités et aujourd’hui ils hurlent : ah ! Les Biélorusses ne les défendent pas ! En Lituanie, en Lettonie et en Pologne se sont précipités des milliers et des milliers de migrants illégaux.

 Они требуют от нас защитить их от контрабанды, от наркотиков. Аж из-за Атлантики слышен сигнал: помогите, как это было прежде, задержите ядерные материалы, чтобы они не попали в Европу. Так и хочется спросить: вы что там, очумели вообще? Вы против нас развязали гибридную войну и требуете от нас, чтобы мы вас защищали, как и прежде? Вы нас информационно душите, методично и коллективно, рушите, пытаетесь убить нашу экономику и ждете, что мы будем тратить сотни миллионов долларов, как и прежде, на защиту ваших геополитических интересов? Только безумцы могут так думать и рассчитывать на нашу поддержку. 

 Ils nous demandent de les protéger de la contrebande, du trafic de drogue. Même d’outre-Atlantique on entend un signal : aidez-nous, comme cela était avant, arrêtez les matériaux nucléaires, pour qu’ils n’atterrissent pas en Europe. On aimerait leur demander : vous, là-bas, êtes vous complètement abrutis ? Vous avez déclenché contre nous la guerre hybride et vous réclamez que nous vous défendions comme avant ? Vous nous asphyxiez sur le plan de l’information, vous détruisez, vous tentez de tuer notre économie et vous attendez que nous gaspillions des centaines de millions de dollars, comme auparavant, pour la défense de vos intérêts géopolitiques ? Seuls des insensés peuvent penser ainsi et compter sur notre aide.

 Боремся против этого зла как можем. Хотите, чтобы мы как прежде боролись, делайте в этом направлении шаги, а не пытайтесь нас задушить. Это бесперспективно. Вы опоздали, господа. 

 Nous nous battons contre ce fléau comme nous pouvons. Vous voulez que nous nous battions comme avant, faites des pas dans cette direction, et n’essayez pas de nous étrangler. C’est sans perspective. Vous avez loupé le coche, messieurs.

 Но от кого не ожидали участия в этом коллективном сговоре, так это от Германии. От тех, чьи предки уничтожили в Великой Отечественной войне не только каждого третьего белоруса, но и миллионы нерожденных детей.  

 Mais celle dont on ne s’attendait pas à ce qu’elle participe à cette conjuration collective, c’est l’Allemagne. De la part de ceux dont les ancêtres ont anéanti dans la Grande Guerre Patriotique non seulement un Biélorusse sur trois, mais des millions d’enfants à naître.

 80 лет назад, мне кажется, что было вот так: тепло, светло, хороший воскресный день. Люди отдыхали, молодежь хотела жить. Кто-то собирался свадьбу справить, кто-то рожал, кто-то готовился рожать детишек. И вдруг по-варварски, исподтишка в четыре утра обрушили на головы брестчан и всю Беларусь тысячи тонн металла. Это как называется?  

 Il y a 80 ans, c’était, me semble-t-il, ainsi : un beau dimanche, chaud, lumineux. Les gens se reposaient, la jeunesse voulait vivre. Certains s’apprêtaient à célébrer un mariage, d’autres à mettre au monde des enfants, quelques-unes accouchaient. Et soudain, de manière barbare et sournoise, à quatre heures du matin, ils ont déversé sur la tête des Brestois et de tout le Bélarus des milliers de tonnes de métal. Comment appeler cela ?

 Прошло 80 лет, и что? Новая горячая война. Вы посмотрите: это что, символизм? Вчера ввели экономические санкции против наших людей и предприятий. 22 июня, ночью. Вот уж действительно, история так ничему их и не научила.

 80 années sont passées, et quoi ? Une nouvelle guerre chaude. Regardez : c’est quoi, du symbolisme ? Hier ils ont institué des sanctions économiques contre nos gens et nos entreprises. Le 22 juin, dans la nuit. Voilà donc, réellement, ainsi l’histoire ne leur a rien appris.

 А ведь все 80 лет после 45-го прошлого века немцы шатались по всему миру, по Европе, бывшему Советскому Союзу и каялись. Каялись, рыдали, на коленях стояли, просили открыть памятники, похоронить еще незахороненных немцев – фашистов, которые пришли на нашу землю. И мы были добры и толерантны. Ладно мы. Те, кто победил в этой войне. Те, кто мучились, терзались, открыли свои сердца и души и отнеслись по-человечески к ним. И что?

 Et effectivement sur ces 80 années, après l’année 45 du siècle dernier, des Allemands erraient par le monde entier, en Europe, dans l’ancienne Union Soviétique, et se repentaient. Ils se repentaient, sanglotaient, se tenant à genoux, demandant d’ouvrir des monuments, d’enterrer les fascistes allemands non encore enterrés, qui sont venus sur notre terre. Et nous avons été bons et tolérants. Nous étions d’accord. Nous, ceux qui ont vaincu, dans cette guerre. Nous, ceux qui ont été martyrisés, suppliciés, nous avons ouvert notre cœur et notre âme et nous les avons traités humainement. Et quoi ? 

 Вчерашняя цитата: « Санкции необходимо распространить на целые сектора белорусской экономики ». Читай, пусть подохнут там. То есть мы. Так и хочется спросить автора этих строк, некого Мааса, министра иностранных дел Германии: господин Маас, вы кто? Вчера каявшийся немец или наследник нацистов? Вы кто, ответьте публично. Хотя бы перед своим народом.

 Citation d’hier soir : « Il est nécessaire d’étendre les sanctions à des secteurs entiers de l’économie biélorusse ». Lisez : qu’ils crèvent là-bas, c’est-à-dire, nous. J’aimerais donc demander à l’auteur de ces lignes, un certain Maas, ministre des Affaires étrangères de l’Allemagne : monsieur Maas, qui êtes-vous ? Un Allemand repentant d’hier, ou bien l’héritier des nazis ? Qui êtes-vous ? Répondez publiquement, au moins devant votre peuple.

 Поэтому – не надо каяться на публику за грехи своих предшественников. Грош цена этим покаяниям, которые мы еще недавно слышали в « Тростенце » от президентов Австрии и Германии. Никакие слова не спрячут реальные замыслы.

 C’est pourquoi il est inutile de se repentir en public sur les péchés de ses prédécesseurs. Ils sont sans valeur, ces repentirs que nous avons récemment entendus au « Тростенце » [camp de concentration au sud de Minsk-NDTML(2)], de la part des présidents d’Autriche et d’Allemagne. Aucun mot ne cachera les desseins réels.

 Вы должны не просто каяться. Вы должны еще 100 лет стоять на коленях перед белорусским народом и молиться, что вы смогли родиться после той войны. Вы должны делать все, чтобы зарубцевать в наших сердцах и душах раны от этой войны. Вы не душить нас должны. Вы на руках должны нас носить – немцы, поляки, так называемый Европейский союз. Потому что мы спасли вас от коричневой чумы. И ходили бы вы вместе с нами, всем советским народом, рабами, если бы они взяли верх.

 Vous ne devez pas simplement vous repentir. Vous devriez vous tenir à genoux encore 100 ans devant le peuple biélorusse et rendre grâce d’avoir pu naître après cette guerre. Vous devez faire tout pour cicatriser dans nos cœurs et dans nos âmes les blessures de cette guerre. Vous ne devez pas nous asphyxier. Vous devez nous prendre dans vos bras, les Allemands, les Polonais, ladite Union Européenne. Parce que nous vous avons sauvé de la peste brune. Et vous marcheriez avec nous, tout le peuple soviétique, comme esclaves, s’ils avaient pris le dessus.

 И не надо нас убаюкивать историями про оборонительные учения и миролюбие НАТО. Мы этого наелись с 41-го года, когда мы вам верили, и не извлекли уроков из истории, после победы подарив вам Восточную Европу (так называемые страны Варшавского договора) в обмен на ваши обещания, что вы никогда не сделаете шага в нашем направлении и не будете, как модно сейчас говорить, расширять НАТО на Восток. Вы как минимум лжецы, как максимум – подлецы. Вы все время врали, вы нас обманывали, а сегодня – не получится.

 Et inutile de nous bercer avec des histoires d’exercices de défense et d’esprit pacifique de l’OTAN. Nous avons avalé cela depuis l’année 41, quand nous vous croyions et n’avions pas tiré les leçons de l’histoire. Après la victoire nous vous avons offert l’Europe de l’Est (lesdits Pays du Pacte de Varsovie), en échange de votre promesse que vous ne ferez jamais un pas dans notre direction et que vous n’élargiriez pas, comme c’est la mode de dire aujourd’hui, l’OTAN vers l’Est. Vous êtes, à tout le moins, des menteurs, et tout au plus, des crapules. Vous avez tout le temps menti, vous nous avez trompés, mais maintenant, ça ne marche plus.

 Мы сделаем все, чтобы защитить свою землю. И вот эти наши сыновья, которые здесь стоят под флагами победителей, – запомните – сделают все для того, чтобы вы жили спокойной жизнью на своей земле. Вы – украинцы, белорусы и русские, поляки, евреи, татары. Все, кто живет здесь, на этой земле. Это ваша земля. Вас нигде не ждут, и не верьте этим обещаниям, что вас там, например, с картой поляка примут с распростертыми руками. Некоторых приняли, еле успели домой добежать. Это ваша земля, берегите, белорусы, ее, цените. Потому что она принадлежит не только нам. Она принадлежит нашим детям и внукам. Они должны иметь этот клочок земли, на котором будут жить и растить своих детей.

 Nous ferons tout pour défendre notre terre. Et voilà, ce sont nos fils qui se tiennent ici sous les drapeaux des vainqueurs, rappelez-vous, ils feront tout pour que vous viviez une vie tranquille sur votre terre. Vous, Ukrainiens, Biélorusses et Russes, Polonais, Juifs, Tatars. Tous ceux qui vivent ici, sur cette terre. C’est votre terre. Personne ne vous attend nulle part, et ne croyez pas ces promesses, par exemple, qu’on vous accueille là-bas à bras ouverts avec une « Carte de Polonais »(3). Quelques-uns, à peine acceptés, sont aussitôt revenus à la maison. C’est votre terre. Protégez-la, Biélorusses, valorisez-la. Parce qu’elle n’appartient pas seulement à nous. Elle appartient à nos enfants et à nos petits enfants. Ils doivent avoir ce coin de terre, sur lequel ils vivront et élèveront leurs enfants.

 И то, что коллективный Запад продолжает грезить о новом « броске на Восток », мировом господстве и захвате богатых ресурсов восточнее Беларуси, мы это прекрасно видим. Тогда, после войны, разрушенную экономику некому было восстанавливать. Мы и сегодня не оправилась от этой демографической катастрофы.

 Et il y a ceci, que l’Occident continue de songer à un nouveau « Bond en avant vers l’Orient », à la domination mondiale et à la prise des riches ressources à l’est du Bélarus, cela, nous le voyons très bien. Alors qu’après la guerre il n’y avait personne pour reconstruire l’économie ravagée. Aujourd’hui, nous ne sommes toujours pas remis de cette catastrophe démographique.

 Информационная травля ожидаемых результатов не принесла. Сейчас мы держим экономический удар. Хотелось бы знать, что дальше? Интервенция? Забудьте, успокойтесь. Дорого она вам обойдется. Холеные лица с высоких трибун по ту сторону границы бессовестно лгут с подачи беглых о том, что белорусский народ сам вымаливает санкции в отношении себя. Якобы белорусы готовы страдать ради некого эфемерного « светлого будущего », которое принесут им эти добрые дяди на кончиках своих штыков. Да очнитесь вы наконец, очумевшие и заблудшие!

 Le harcèlement informationnel n’a pas apporté les résultats escomptés. Maintenant nous faisons face à une agression économique. On voudrait savoir, quoi ensuite ? Une intervention ? Oubliez et calmez-vous. Cela vous coûtera cher. Des personnages soignés, sur des tribunes élevées, de l’autre côté de la frontière, mentent sans scrupules à l’instigation des fuyards à propos du peuple biélorusse suppliant pour des sanctions contre lui-même. De soi-disant Biélorusses prêts à souffrir pour quelque éphémère « avenir lumineux » que leur apporteront ces gentils tontons à la pointe de leurs baïonnettes. Oui, réveillez-vous enfin, les écervelés et les égarés !

 Ведь сколько в нашей истории было таких случаев, когда нам много обещали: и свободу, и независимость, и государство обещали нам создать для белорусов на кончиках штыков. И в результате что? А в результате – в последней войне каждого третьего похоронили. Сколько было искалечено? Искалечено не только физически людей, но сколько было искалечено судеб, сердец? 

 Car dans notre histoire, combien y a-t-il eu de telles conjonctures où l’on nous a promis et la liberté, et l’indépendance, et un État, que l’on nous a promis de créer pour les Biélorusses à la pointe des baïonnettes ? Et quoi, comme résultat ? Et comme résultat, dans la dernière guerre, un tiers d’enterrés. Combien ont été mutilés ? De gens mutilés non seulement physiquement, mais combien de destins et de cœurs mutilés ?

 Санкции, провокации… Так и хочется спросить: вы что, это специально делаете? Хотите испытать границы на прочность, а новое поколение белорусов на патриотичность? Давайте попробуем.

 Sanctions, provocations… Ainsi on voudrait savoir : vous le faites intentionnellement ? Voulez-vous tester les limites de la résistance, et une nouvelle génération de Biélorusses sur le patriotisme ? Allez-y, essayons.

 Послушайте, неужели история так ничему вас и не научила? Посмотрите: как и 80 лет назад, регион находится на грани глобального конфликта. Я обращаюсь прежде всего и в очередной раз к народам наших соседних стран – полякам, литовцам, латышам, украинцам. Очнитесь, пока не поздно. Разберитесь вы с этими политиками, обезумевшими и потерявшими реальность. Посмотрите, какой красивый мир, и в этом мире мы всегда нормально жили, по-соседски, делили кусок хлеба, ездили друг к другу. Давайте остановимся у этой последней черты: завтра будет поздно.

 Est-il possible qu’ainsi l’histoire ne vous ait rien appris ? Regardez : comme il y a 80 ans, la région se trouve à la limite d’un conflit global. Je m’adresse avant tout, et une fois de plus, aux peuples de nos pays voisins : Polonais, Lituaniens, Lettons, Ukrainiens. Réveillez-vous, avant qu’il ne soit trop tard ! Faites le point avec ces politiciens, écervelés et ayant perdu le sens du réel. Regardez, quel beau monde ! Et dans ce monde, nous avons toujours normalement vécu, en bon voisinage, partageant un morceau de pain, allant les uns chez les autres. Arrêtons-nous à cette dernière limite : demain sera trop tard.

 Неужели среди украинцев, литовцев, латышей, поляков, к которым белорусы всегда относились дружественно, найдутся те, кто готов пожертвовать этой своей мирной жизнью ради безумства и амбиций отдельных руководителей этих государств, политиков, которым на самом деле наплевать на наш белорусский народ, на свои народы, их судьбы и государственность, нашу белорусскую государственность?

 Est-il possible que parmi les Ukrainiens, les Lituaniens, les Lettons, les Polonais, avec qui les Biélorusses ont toujours été en liens amicaux, se trouvent ceux qui sont prêts à sacrifier cela, leur vie pacifique pour certains gouvernants de ces États, des politiciens qui, en réalité, se fichent pas mal de notre peuple biélorusse, de leurs propres peuples, leurs destins et structures d’États, nos structures d’État biélorusse ?

 Еще раз скажу тем, кто до сих пор не понял. Уясните раз и навсегда: мы родную землю, независимость и суверенитет никому не отдадим. Мы в любом случае выстоим! Просто хотелось бы по-человечески, как всегда, по-славянски. 

 Encore une fois, je dis à ceux qui jusqu’à maintenant n’ont pas compris. Retenez-le, une fois pour toutes : la terre natale, l’indépendance et la souveraineté, nous ne les céderons à personne. Quoi qu’il arrive, nous tiendrons ! Simplement, on le souhaiterait, humainement, à la manière slave.

 Мир сегодня не замыкается только на Европейском союзе. На планете достаточно ответственных стран и целых регионов, с которыми мы продолжим тесно сотрудничать. За нами правда, и мы наследники великого поколения, которое подарило нам жизнь, свободу и независимость. Помните, белорусы, не только то, что мы говорим, но даже то, что мы думаем, они видят там, с небес, и слышат. Помните об этом. Я сегодня говорю это вам, понимая, что они нас слышат. Они должны понимать, что не зря погибли.

 Le monde aujourd’hui ne se limite pas à l’Union Européenne. Sur la planète il y a suffisamment de pays responsables et des régions entières avec lesquels nous continuons une coopération étroite. La vérité est à nous, et nous sommes les héritiers de la grande génération qui nous a offert la vie, la liberté et l’indépendance. Rappelez-vous, biélorusses, non seulement ce que nous disons, mais même ce que nous pensons, ils le voient là-haut, depuis le ciel, ils entendent. Souvenez-vous de ceci. Je vous dis cela aujourd’hui, en comprenant qu’ils nous entendent. Ils doivent comprendre qu’ils ne sont pas morts en vain.

 Это святое воинство и сегодня помогает нам беречь родную Беларусь. Помогает прежде всего примером несгибаемой стойкости, мужества и самоотверженности, проявленных в годы Великой Отечественной войны.

 C’est l’armée sacrée et aujourd’hui elle nous aide à protéger le Bélarus natal. Elle nous aide avant tout par l’exemple de la résistance inflexible, du courage et de l’abnégation qui se sont manifestés dans les années de la Grande Guerre patriotique.

 Сегодня мы славим подвиг нашего народа, чествуем ветеранов и скорбим о погибших, склоняем головы перед героями и невинными жертвами войны. Помните: эта память священна и незыблема, и пока она есть у нас, мы будем жить, жить всегда достойно, не на коленях. Так есть, так должно быть и так будет всегда! 

 Aujourd’hui, nous glorifions l’exploit de notre peuple, nous honorons les vétérans et nous exprimons nos regrets des disparus, nous nous inclinons devant les héros et les victimes innocentes de la guerre. Rappelez-vous : cette mémoire est sacrée et immuable, et tant qu’elle est en nous, nous vivrons, nous vivrons toujours dignement, et non pas à genoux. Ainsi en est-il, ainsi doit-il en être et ainsi il en sera toujours !


SOURCES DU TEXTE EN RUSSE :

https://www.belta.by/president/view/vystuplenie-prezidenta-belarusi-aleksandra-lukashenko-na-tseremonii-vozlozhenija-venkov-v-memorialnom-447186-2021/

https://president.gov.by/ru/events/ceremoniya-vozlozheniya-venkov-v-memorialnom-komplekse-brestskaya-krepost-geroy?openVideo=true


Notes

(1) Петр Котельников. Гавроши Бресткой Крепости 
Piotr Kotelnikov, le « Gavroche » de la Forteresse

https://azbyka.ru/avva/product/petr-kotelnikov-gavroshi-brestskoj-kreposti-seriya-bessmertnyj-polk-duhovnoe-preobrazhenie/

En 2010, dans un excellent et très émouvant film reconstituant la Résistance du Fort de Brest, Петр Котельников, dont les souvenirs ont été essentiels pour la création du scénario, était intervenu en tant que narrateur, et on le voit apparaître, ici à droite, à la fin du film, en compagnie du petit garçon qui joue, avec talent, son propre rôle dans la reconstitution.
https://youtu.be/HO0rAnFatP4

(2) https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%9C%D0%B0%D0%BB%D1%8B%D0%B9_%D0%A2%D1%80%D0%BE%D1%81%D1%82%D0%B5%D0%BD%D0%B5%D1%86

(3) https://ru.wikipedia.org/wiki/%D0%9A%D0%B0%D1%80%D1%82%D0%B0_%D0%BF%D0%BE%D0%BB%D1%8F%D0%BA%D0%B0
https://www.oecd-ilibrary.org/sites/b18e8fec-fr/index.html?itemId=/content/component/b18e8fec-fr


[Vidéos du discours]

https://youtu.be/pjCsETuwEeg

BREST, 22 JUIN 2021, Cérémonie et commémoration :


22 Juin 2021, Loukachenko au Fort de Brest: Appel à la Résistance populaire antifasciste
Un précédent meeting de Résistance antifasciste à Brest, en août 2020



Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 !

[Source : Santé Corps Esprit (sante-corps-esprit.com)]

Par Xavier Bazin

Pris la main dans le sac, cet article de désinformation sur les vaccins ! 

Il est paru dans le Figaro, mais j’aurais pu tout aussi bien m’attaquer à un article du Monde ou de Libération, car tous les grands médias nous enfument, en ce moment.

L’article s’appelle : Ces huit idées reçues qui circulent sur les vaccins anti-Covid[1].

Il s’attaque donc à 8 idées qui, selon le Figaro, seraient « fausses » ou « trompeuses ».

Prenons-les une par une : 

Idée reçue 1 : « le développement des vaccins a été bâclé donc on ne peut pas leur faire confiance »

Le Figaro commence très fort, car il est difficile de nier que ces vaccins ont été mis sur le marché dans un temps record, sans avoir été correctement testés !

Leur argument phare : « les vaccins n’ont pas échappé aux différentes étapes réglementaires ».

Formellement, ce n’est pas faux : il y a bien eu une phase 1, une phase 2 et une phase 3.

Mais elles ont été faites quasiment en même temps, dans l’urgence – normalement, il faut au moins 10 ans pour mettre un vaccin sur le marché, et non pas 1 an !

Et surtout, Le Figaro oublie de vous dire que la phase 3 n’est pas finie, loin de là !!

La phase 3 se finit en 2022 ou 2023 selon les vaccins – ce qui veut dire que nous sommes encore en phase d’expérimentation.

C’est d’ailleurs pour cela que les vaccins n’ont qu’une autorisation « conditionnelle » (et non définitive), liée à l’urgence de la pandémie.

Le Figaro se veut rassurant en disant que le vaccin Pfizer a été « testé sur 43 000 volontaires », mais c’est en réalité un chiffre très faible, non seulement : 

  • Pour juger de l’efficacité : dans cet essai clinique, seules 200 personnes ont été infectées par le coronavirus, ce qui est un chiffre ridiculement bas pour savoir si le vaccin fonctionne ou non sur les formes graves (souvenez-vous qu’on a moqué le Pr Raoult pour avoir fait une étude sur 80 malades – là il n’y en a que 200 et on a déjà vacciné plus d’un milliard de gens sur cette base !) ;
     
  • Mais aussi pour évaluer les effets indésirables : avec seulement 43 000 cobayes, il est impossible de détecter 1 effet indésirable grave sur 10 000 – donc vous ne pouvez pas savoir si le produit testé ne tue pas un vacciné sur 10 000 (ce qui ferait tout de même 4 000 morts sur 40 millions de vaccinés).

Et bien sûr, mettre sur le marché aussi rapidement des vaccins veut dire qu’on n’a aucune idée de leurs effets indésirables à moyen et long terme, après 6 mois ou 1 an.

Idée reçue 2 : « Les vaccins à ARN reposent sur une technologie totalement nouvelle qui n’avait encore jamais été testée chez l’humain »

Là encore, il faut un « exploit » au Figaro pour parvenir à réfuter cette simple vérité.

Certes, le tout premier prototype de vaccin à ARN messager a été testé sur des animaux il y a une trentaine d’années.

Mais ces vaccins ARN posaient tellement de problèmes qu’ils n’ont jamais obtenu d’autorisation malgré de nombreux essais sur différents virus, y compris celui de la grippe.

Il a fallu la crise de la Covid et « l’urgence » pour autoriser ces vaccins à la technologie totalement nouvelle.

Mais rassurez-vous, « la technologie était prête à être utilisée », dit le Pr Autran dans le Figaro. Ce qui n’est pas très convaincant : peut-être qu’elle était « prête », mais elle n’avait encore jamais été testée à grande échelle sur des êtres humains !

« Elle repose sur des recherches sérieuses », insiste le Pr Autran. 

Je n’en doute pas ! 

Mais le fait est qu’on n’a strictement aucun recul sur cette technologie totalement nouvelle, et de ses effets quand on l’injecte à des millions de personnes.

Idée reçue 3 : « Les vaccins donnent le Covid-19 »

Cette idée-là paraît farfelue à première vue – et c’est donc une cible facile pour le Figaro.

Comme le dit l’article à juste titre, « les vaccins anti-Covid ne peuvent pas transmettre le virus pour la simple raison qu’ils ne contiennent pas le virus entier activé ».

Mais le Figaro ajoute que « seul le virus entier peut provoquer la maladie ».

Et cela, on sait maintenant que c’est faux ! 

On commence à comprendre qu’il y a deux maladies dans la Covid-19 : 

  • La « Covid-1 », la maladie respiratoire « classique », avec envahissement des poumons, tempête inflammatoire et détresse respiratoire ;
     
  • Et la « Covid-2 », qui se manifeste par des troubles de la circulation et de la coagulation : caillots, hémorragies, thromboses, myocardites, péricardites, etc.

Or si le vaccin ne peut pas causer la Covid 1, il est maintenant très probable que le matériel génétique contenu dans le vaccin peut causer la Covid-2 !

Je rappelle que le vaccin crée dans votre organisme une petite partie du virus – la protéine spike – dont on sait maintenant qu’elle peut provoquer à elle seule des troubles de la circulation et de la coagulation[2] !

Plusieurs études ont montré que la protéine spike seule – donc sans le reste du virus – peut causer des dégâts aux vaisseaux sanguins !

Il est donc faux de dire que « seul le virus entier peut provoquer la maladie » – et il semble que le vaccin donne au contraire une partie de la maladie, que l’on peut appeler Covid-2 !

Et puis, il y a une autre manière de comprendre cette idée que « les vaccins donnent le Covid-19 ».

Il est maintenant bien établi que les vaccinés ont un risque beaucoup plus important d’être testés positifs à la Covid-19 dans les deux semaines qui suivent la première dose[3].

Cela a été observé dans presque tous les pays qui ont vacciné massivement : il y a un pic de contaminations après la première dose.

Une étude danoise l’a confirmé, en observant une augmentation de 40 % des infections dans la semaine qui suit l’injection du vaccin Pfizer[4]

Le Pr Raoult l’a également observé dans son IHU : « Nous avons maintenant un nombre de gens qui est significatif, on a 46 patients qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection (…) C’est très frappant »[5].

On ne sait pas exactement à quoi c’est dû.

Personnellement, je pense que la première dose du vaccin détourne le système immunitaire de sa mission principale et rend les vaccinés plus vulnérables aux infections, pendant quelques jours.

Donc si le vaccin ne « donne pas la Covid » stricto sensu, il peut la favoriser !

Idée reçue 4 : « Les vaccins à ARN messager peuvent modifier notre code génétique »

Le Figaro dit que c’est faux… et nous désinforme encore !

Car il n’y a absolument aucun doute scientifique sur ce point : il est possible (même si peu probable) que les vaccins ARN messager modifient notre code génétique, notre ADN !

Le Figaro prétend que c’est impossible car l’ARN ne peut pas se transformer en ADN, puisque cela nécessite « des enzymes très particulières, les transcriptases inverses », qui ne « ne sont pas présentes dans nos cellules, ou pas en capacité d’agir avec l’ARNm ».

C’est inexact, et le Pr Raoult a été un des premiers spécialistes à le dire publiquement : « Les scientifiques le savent depuis plusieurs dizaines d’années, certaines séquences humaines ont une activité endogène de rétrotranscriptase »[6].

D’ailleurs, une publication récente publiée dans la prestigieuse revue PNAS (Journal de l’Académie des Sciences des Etats-Unis) l’a confirmé s’agissant du virus lui-même : « L’ARN du SRAS-CoV-2 transcrit à l’inverse peut s’intégrer dans le génome des cellules humaines cultivées »[7].

Donc le risque existe bien pour le vaccin, même si sa probabilité est faible (et pour tout vous dire, ce n’est pas ce risque-là qui me fait le plus peur avec les vaccins ARN, il y en a d’autres beaucoup plus sérieux et avérés).

Idée reçue 5 : « Les vaccins sont dangereux et ont entraîné des décès »

Le Figaro reconnaît que « des effets indésirables graves surviennentc’est le cas avec le vaccin AstraZeneca pour lequel le lien avec des thromboses atypiques est désormais établi ».

De fait, il est difficile de camoufler certains décès, comme celui de l’étudiant en médecine de 24 ans, en pleine santé jusqu’à son injection du vaccin, qui l’a tué en lui causant une thrombose abdominale.

Mais, nous rassure le Figaro, « ces cas sont très rares » et le risque d’avoir ce genre de mésaventure est « bien moins élevé que celui de faire une forme grave de la Covid-19 quand on a plus de 55 ans ».

C’est une manière de reconnaître que le risque de mourir du vaccin existe bel et bien – même si on vous dit qu’il est inférieur au risque de mourir de la Covid-19.

C’est ainsi qu’on passe sans le dire de l’assurance que « le vaccin est sûr » à l’idée que « le bénéfice-risque est positif », ce qui n’est pas la même chose. 

Et d’ailleurs, rappelons que nos autorités n’avaient eu aucun problème à autoriser AstraZeneca pour les moins de 55 ans, au départ.

N’est-ce pas la preuve que les essais cliniques avaient bien été « bâclés » (« idée reçue » numéro 1 !), puisqu’il a fallu attendre les premiers morts d’AstraZeneca pour revenir en arrière sur la vaccination des jeunes avec ce vaccin ?

Dès lors, qu’est-ce qui nous garantit qu’on ne va pas avoir d’autres mauvaises surprises ?

Déjà, les autorités israéliennes, américaines et françaises reconnaissent que le vaccin Pfizer cause des myocardites, c’est-à-dire des inflammations du cœur parfois mortelles.

Pire : le nombre de morts rapportées après vaccination anti-Covid est très inquiétant[8].

On en compte près de 1 000 en France, plus de 10 000 en Europe et plus de 5 000 aux États-Unis.

Le Figaro essaie de nous rassurer en disant que ces morts sont des « coïncidences », qu’elles seraient « survenues même sans vaccination ».

Mais il y a toutes les raisons de penser que c’est faux, et que ces milliers morts ont bien été causées par la vaccination.

Comment expliquer, sinon, qu’il y ait 100 fois plus de morts signalées après ces vaccins qu’après les vaccins contre la grippe ?

Comment expliquer qu’il y ait, aux États-Unis, plus de morts rapportées après vaccination en quelques mois qu’en trente ans, comme le montre ce graphique que je vous ai déjà montré ?

Nombre de morts signalées à la pharmacovigilance US après vaccination, de 1990 à 2021

Ces chiffres ahurissants ne sont-ils pas la preuve qu’il se passe quelque chose de très inquiétant ?

Idée reçue 6 : « Les vaccins rendent magnétiques »

 « Depuis plusieurs semaines, nous dit le Figarodes vidéos affirmant que des aimants peuvent se fixer sur des personnes vaccinées, en particulier au niveau du site d’injection, circulent ».

J’ai vu passer ces vidéos, et au départ, comme toute personne raisonnable, j’ai cru à un canular.

Le Figaro est en certain : « cette idée est évidemment fausse », car « les vaccins ne contiennent aucun composant métallique susceptible d’attirer des aimants ».

Sur ce coup-là, le Figaro a peut-être raison.

Mais au risque de vous surprendre, je ne n’en suis même plus aussi sûr qu’au départ !

Après avoir cru à un gag, j’ai vu deux informations qui m’ont fait douter :

  • Une petite étude (dont je ne peux toutefois pas attester de la validité), faite par une association, a trouvé que 29 personnes sur 30 vaccinés ont bien un effet d’aimant à l’endroit où l’on vaccine habituellement (contre 0 sur 30 chez les non-vaccinés)[9] ;
     
  • Et surtout, j’ai découvert que la magnétisation de nanoparticules était bien un procédé médical étudié très sérieusement, notamment pour sa capacité à améliorer la distribution dans l’organisme de messages génétiques ARN[10] ou d’un vaccin à ADN[11] ! 

Il n’est donc pas totalement impossible que les fabricants de vaccins ARN aient incorporé cette technologie dans les nanoparticules lipidiques qui entourent le message ARN – sans la rendre publique, peut-être pour des raisons de « secret de fabrication ».

Bref, restons sceptiques, c’est-à-dire ouverts à toutes les possibilités (et ne soyons pas bornés comme le Figaro qui écarte l’hypothèse sans même l’avoir considérée sérieusement).

Idée reçue 7 : « L’immunité obtenue après avoir eu le Covid est meilleure que celle conférée par la vaccination »

Il faut beaucoup de culot au Figaro pour contester cette idée.

Il est à peu près évident que l’immunité obtenue après infection est meilleure que celle du vaccin, comme je vous l’ai expliqué en détail dans ma lettre sur l’absurdité de vacciner les gens qui ont déjà eu la Covid[12] .

Et d’ailleurs, si vous lisez bien, Le Figaro ne le conteste même pas frontalement !

L’article cite le Pr Lelièvre, qui ne peut pas nier l’évidence : « il est vrai que pour la plupart des infections, l’immunité naturelle est meilleure ».

Mais, ajoute-t-il, « il ne faut pas oublier qu’elle peut s’acquérir au prix d’une infection grave conduisant en réanimation ou au décès ».

C’est vrai, et cela pourrait être un argument pour préférer se faire vacciner plutôt que se faire infecter… mais cela ne veut pas dire que le vaccin protège mieux que l’infection !

Le Figaro cite aussi une autre Professeure, Brigitte Autran, qui prétend que « l’immunité naturelle liée à la maladie est trop irrégulière d’un sujet à l’autre pour qu’on lui fasse confiance ».

C’est simplement faux, car il y a toutes les preuves que l’infection à Covid-19 produit une immunité robuste et durable[13]… une étude récente n’a d’ailleurs pas trouvé le moindre cas de réinfection sur plus de 1300 patients qui avaient eu la Covid-19[14].

Idée reçue 8 : « La vaccination ne fonctionne pas, la preuve, l’épidémie est repartie dans plusieurs pays ayant une des meilleures couvertures vaccinales »

Au moins, Le Figaro commence par reconnaître les faits : « Le Chili a connu sa plus forte vague épidémique de Covid-19 en avril dernier alors que la moitié de la population adulte chilienne avait déjà reçu une dose ».

Mais pour le journal, ce serait dû à « un relâchement trop précoce des restrictions sanitaires », et non pas à l’échec de la vaccination !

C’est absurde, car les très mauvais résultats du Chili se sont poursuivis en mai et en juin, malgré « une vaccination record »[15] !

Le Figaro aurait mieux fait de préciser que le vaccin utilisé au Chili est très majoritairement le vaccin chinois CoronaVac, qui est manifestement peu ou pas efficace.

Autre fait reconnu par le Figaro : « idem au Royaume-Uni, où les cas repartent à la hausse depuis quelques semaines sous l’influence de la présence grandissante du variant dit indien »

Mais selon le Figaro, ce n’est pas une preuve de l’échec des vaccins, car « le système hospitalier n’est pas saturé ». 

Pour le coup, je suis d’accord : ce n’est pas parce qu’il y a une hausse des cas que les vaccins sont en échec : il faudrait une hausse des hospitalisations et des morts pour prouver l’inefficacité de ces vaccins.

Or pour le moment, on n’a observé ces dégâts qu’au Chili, aux Seychelles et aux Maldives, des pays qui n’ont pas ou peu utilisé les vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca.

Donc, on n’a pour l’instant aucune preuve que les vaccins occidentaux sont un échec manifeste. Mais il faudra surveiller la situation à l’automne : avec l’apparition possible de nouveaux variants, il n’est pas certain que les vaccinés seront nettement mieux protégés que les non vaccinés. 

Le Figaro conclut, avec le Pr Lelièvre, qu’il faut « 80 à 90 % de la population vaccinée pour faire disparaître cette maladie ».

C’est faux, une fois de plus, car il est impossible de faire disparaître ce genre de maladie virale – les coronavirus mutent et se recombinent facilement, ce qui fait qu’ils ne peuvent pas disparaître : ils s’adaptent et deviennent endémiques mais peu graves, grâce à l’immunité collective, comme les autres coronavirus de l’hiver.

Et je rappelle que cette histoire de couverture vaccinale qui doit atteindre 80 à 90 % de la population est une fable de statisticien déconnecté du terrain. Cela n’a jamais été confirmé dans les faits – la Mongolie a par exemple connu une épidémie de rougeole malgré une couverture vaccinale à plus de 95 %…

Bref, voilà de la belle désinformation : quasiment rien de vrai sur 8 points !

Transférez cet article autour de vous, il est important de dénoncer la propagande et les contre-vérités de nos grands médias.

Bonne santé,

Xavier Bazin




Comment la Fondation Gates pousse le système alimentaire dans la mauvaise direction

[Source : GRAIN]

La Fondation Bill et Melinda Gates a dépensé près de 6 milliards de dollars au cours des 17 dernières années pour essayer d’améliorer l’agriculture, principalement en Afrique. C’est beaucoup d’argent pour un secteur sous-financé et, de ce fait, ces fonds exercent une forte influence. Pour mieux comprendre comment la Fondation Gates oriente l’agenda agricole mondial, GRAIN a analysé toutes les subventions versées par la fondation en faveur de l’alimentation et de l’agriculture, jusqu’en 2020. Nous avons constaté que, bien que les subventions de la Fondation ciblent tout particulièrement les agriculteurs africains, la grande majorité de ses financements vont à des groupes en Amérique du Nord et en Europe. Les subventions ont également tendance à privilégier fortement les technologies développées par les centres de recherche et les grandes entreprises des pays du Nord à l’intention des agriculteurs pauvres des pays du Sud, sans tenir aucun compte des connaissances, des technologies et de la biodiversité dont ces agriculteurs disposent déjà. Et, malgré l’accent mis par la Fondation sur les solutions technologiques, une grande partie de ses subventions sont accordées à des groupes qui font pression en faveur de l’agriculture industrielle et sapent les alternatives. Le résultat est néfaste pour les agriculteurs africains comme pour la planète. Il est temps de mettre fin à l’influence démesurée de la Fondation Gates sur l’agriculture mondiale.

En 2014, GRAIN a publié la répartition détaillée des subventions accordées par la Fondation Bill et Melinda Gates en faveur de la promotion du développement agricole en Afrique et dans d’autres régions du monde.(([1]GRAIN, « Comment la Fondation Gates dépense-t-elle son argent pour nourrir le monde ? », nov. 2014. 
https://grain.org/e/5076)) Notre principale conclusion avait alors été que la grande majorité de ces subventions étaient attribuées à des groupes aux États-Unis et en Europe, et non en Afrique ou dans d’autres régions du Sud. Dans leur grande majorité, les fonds sont allés à des instituts de recherche plutôt qu’à des agriculteurs. Et ils visaient principalement à élaborer des politiques de soutien à l’agriculture industrielle, et non aux petits exploitants.

Beaucoup de choses se sont passées depuis. Tout d’abord, Bill et Melinda Gates ont annoncé leur divorce en mai de cette année, laissant planer un doute sur l’avenir de la Fondation et de ses subventions. La nouvelle a été annoncée alors que Bill Gates lui-même était critiqué pour avoir soutenu les monopoles de la grande industrie pharmaceutique sur les brevets des vaccins contre la Covid et avoir, dans les faits, empêché les populations d’y avoir accès dans une grande partie du monde, et pour la façon dont il traite – ou maltraite – les femmes.(([2] Voir : Luke Savage « Bill Gates Chooses Corporate Patent Rights Over Human Lives » dans Jacobin, 2021. 
https://jacobinmag.com/2021/04/bill-gates-vaccines-intellectual-property-covid-patents,
et : Tim Schwab, « The Fall of the House of Gates? », dans The Nation, mai 2021, 
https://www.thenation.com/article/society/gates-me-too-divorce/)) La stratégie de la Fondation en matière d’agriculture a également fait l’objet d’une attention accrue. Un rapport de 2020 de l’Université Tufts concluait que son travail en Afrique n’avait absolument pas atteint les objectifs qu’elle s’était fixés.(([3]Timothy A. Wise, « Failing Africa’s Farmers: An Impact Assessment of the Alliance for a Green Revolution in Africa », Tufts University, juillet 2020. 
https://sites.tufts.edu/gdae/files/2020/07/20-01_Wise_FailureToYield.pdf)) Le Centre africain pour la biodiversité a publié une série de rapports dénonçant le fait que la Fondation Gates avait soutenu l’introduction des OGM et d’autres technologies nuisibles en Afrique.(([4] Voir : https://www.acbio.org.za/publications?search_api_fulltext=Gates&sort_by=field_publication_date)) Et le collectif américain Right to Know a lancé un « Bill Gates Food Tracker » pour surveiller les multiples initiatives dans lesquelles Gates est impliqué pour restructurer le système alimentaire mondial.(([5] Voir : https://usrtk.org/category/bill-gates-food-tracker/))

GRAIN s’est demandé si la Fondation Gates avait été sensible aux critiques portant sur son financement destiné à l’alimentation et l’agriculture. Nous avons donc entrepris de mettre à jour notre rapport 2014, téléchargé les dossiers de subventions de la Fondation qui sont accessibles au public et créé une base de données de toutes ces subventions dans le domaine de l’alimentation et de l’agriculture pour la période 2003 à 2020, soit près de deux décennies de subventions.(([6] La base de données d’origine de la Fondation Gates est accessible sur leur site web : 
https://www.gatesfoundation.org/about/committed-grants. La base de données GRAIN, qui comprend un regroupement de différents types de bénéficiaires, peut être téléchargée depuis l’adresse 
https://drive.google.com/file/d/1-ItZGNKANeY00Rv-LRxotRVjStoSXyor/view?usp=sharing
et https://drive.google.com/file/d/1xjg8JYU_TTa2q5VvY9Aob0o_SUOcecE6/view?usp=sharing))

Les résultats donnent à réfléchir. De 2003 à 2020, la Fondation a distribué un total de 1 130 subventions pour l’alimentation et l’agriculture, d’une valeur de près de 6 milliards de dollars, dont près de 5 milliards sont censés bénéficier à l’Afrique. Il n’y a eu aucun changement pour essayer d’atteindre directement les groupes en Afrique, aucune prise de distance par rapport à une approche technocentrique étroite, ni aucun effort pour adopter une stratégie politique plus globale et inclusive. Bien sûr, l’activité de la Fondation Gates ne se limite pas à l’octroi de subventions. Le fonds fiduciaire de la Fondation, qui gère la dotation de la fondation, réalise d’importants investissements dans des entreprises agroalimentaires, achète des terres agricoles et détient des participations dans de nombreuses sociétés financières à travers le monde.(([7]Voir également : GRAIN, « Les barbares à la porte de la ferme : le capital-investissement à l’assaut de l’agriculture », 2020, 
https://grain.org/e/6540)) Ces activités, et d’autres, de Bill et Melinda Gates dans le domaine de l’alimentation et de l’agriculture, sont illustrées dans l’infographie qui accompagne ce rapport.(([8] Pour un aperçu plus approfondi de chaque catégorie, visitez la page Instagram de GRAIN: 
https://www.instagram.com/grain_org/))

Infographie réalisée par A Growing Culture.
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La Fondation Gates lutte contre la faim dans le Sud en donnant de l’argent au Nord

Le Graphique 1 et le Tableau 1 donnent une vue d’ensemble. Près de la moitié des subventions de la Fondation destinées à l’agriculture sont allées à quatre grands groupes : le réseau mondial de recherche agricole du CGIAR, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA – créée en 2006 par la Fondation Gates elle-même avec la Fondation Rockefeller), la Fondation africaine pour les technologies agricoles (AATF – un autre centre technologique poussant à l’utilisation des technologies de la Révolution verte et des OGM en Afrique) et un certain nombre d’organisations internationales (Banque mondiale, agences des Nations Unies, etc.). L’autre moitié a bénéficié à des centaines d’organisations travaillant dans la recherche, le développement et l’élaboration de politiques à travers le monde. La Fondation Gates affirme que 80 % de ses subventions sont destinées aux agriculteurs africains. Mais sur les fonds accordés à ces centaines d’organisations, une énorme proportion, 82 %, a été versée à des groupes basés en Amérique du Nord et en Europe, et moins de 10 % à des groupes basés en Afrique.

La répartition des ONG financées par la Fondation Gates est encore pire. Près de 90 % de ces fonds vont à des groupes en Amérique du Nord et en Europe ; 5 % sont directement versés à des ONG africaines. La Fondation Gates semble avoir très peu confiance dans les organisations africaines œuvrant en faveur des agriculteurs africains. Non pas que nous souhaitions que la Fondation Gates envoie simplement plus de ses subventions directement en Afrique, si cela s’accompagne de la même stratégie d’agriculture industrielle. Mais ces chiffres permettent de voir où se situent les priorités de la Fondation.

Par comparaison, Oxfam dépense plus de la moitié du total de ses fonds directement en Afrique, et plus d’un tiers en Asie et en Amérique latine, en grande partie par l’intermédiaire d’ONG locales dans ces régions.(([9] Voir : https://www.oxfam.org/fr/decouvrir/qui-sommes-nous/finances-et-transparence))

La Fondation Gates accorde ses subventions aux scientifiques, pas aux agriculteurs

Comme on peut le voir dans le Graphique 2, le principal bénéficiaire de subventions de la Fondation Gates est le CGIAR, un consortium de 15 centres internationaux de recherche lancé dans les années 60 et 70 pour promouvoir la Révolution verte avec de nouvelles semences, des engrais et des produits chimiques. La Fondation Gates a donné 1,4 milliard de dollars aux centres du CGIAR depuis 2003. Le soutien à la recherche dans les universités et les centres de recherche nationaux est une autre priorité de financement de la Fondation Gates. Encore une fois, la grande majorité des subventions Gates vont à des universités et des centres de recherche en Amérique du Nord et en Europe. Ensemble, toutes ces recherches reçoivent près de la moitié (47 %) du financement de la Fondation Gates.

Le soutien de la Fondation Gates à la recherche de type Révolution verte ne se limite pas aux scientifiques. L’un des plus importants bénéficiaires des fonds de la Fondation Gates est une organisation de plaidoyer très médiatisée, l’Alliance pour une révolution verte en Afrique (AGRA). Les fondations Gates et Rockefeller ont lancé l’AGRA en 2006 sous la forme d’une institution « centrée sur les agriculteurs » et « dirigée par les Africains ». La réalité est tout autre. L’AGRA met en œuvre un programme directif de Révolution verte dont l’objectif principal est de mettre entre les mains des agriculteurs africains les nouvelles semences et produits chimiques développés par les centres de recherche et les sociétés financés par la fondation Gates. L’AGRA met en place, finance, coordonne et promeut des réseaux d’entreprises productrices de pesticides et de semences ainsi que des agences publiques pour vendre et fournir des intrants agricoles aux agriculteurs dans toute l’Afrique. Elle exerce également un lobby actif auprès des gouvernements africains pour qu’ils mettent en œuvre des politiques favorables aux entreprises de semences et de pesticides, telles que les brevets sur les semences ou les réglementations autorisant les OGM.

La Fondation Gates a versé à l’AGRA la somme colossale de 638 millions de dollars depuis 2006, couvrant ainsi près des deux tiers de son budget global. Mais les résultats de l’AGRA sont pour le moins décevants. Dans les pays où l’AGRA intervient, les rendements des cultures de base n’ont augmenté que de 18 % au cours des 12 dernières années, bien loin de l’objectif de l’AGRA de doubler les rendements. Pendant ce temps, la sous-alimentation (telle que mesurée par la FAO) a augmenté de 30 % dans ces pays.(([10] Timothy A. Wise, « Failing Africa’s Farmers: An Impact Assessment of the Alliance for a Green Revolution in Africa », Tufts University, juillet 2020. 
https://sites.tufts.edu/gdae/files/2020/07/20-01_Wise_FailureToYield.pdf))

Au lieu de reconnaître que leurs données démontrent une incapacité totale à atteindre leurs objectifs et de changer leur approche, Bill et Melinda doublent la mise. Début 2020, ils lancent leur propre institut de recherche, « Gates Ag One », pour accélérer le développement de nouvelles semences et produits chimiques et les fournir plus rapidement aux agriculteurs d’Afrique subsaharienne et d’Asie du Sud.(([11] Voir : « Bill & Melinda Gates Foundation Statement on Creation of Nonprofit Agricultural Research Institute”, Seattle, 21 janvier 2020. 
https://www.gatesfoundation.org/ideas/media-center/press-releases/2020/01/gates-foundation-statement-on-creation-of-nonprofit-agricultural-research-institute)) Où sera basé l’institut ? Pas en Éthiopie ni au Sri Lanka, mais à Saint-Louis, aux États-Unis, patrie de Monsanto et d’autres géants des OGM et des pesticides.

La Fondation Gates achète de l’influence politique

De nombreuses manières, subtiles et moins subtiles, les subventions de la Fondation Gates sont utilisées pour pousser les décideurs politiques à mettre en œuvre son programme directif d’agriculture industrielle.

Le « Dialogue de haut niveau sur l’alimentation de l’Afrique », qui s’est tenu les 29 et 30 avril 2021, illustre cette situation.(([12] Voir : https://www.afdb.org/fr/evenements/nourrir-lafrique-leadership-pour-intensifier-les-innovations-reussies)) Ce forum, financé par la Fondation Gates et organisé par un certain nombre de bénéficiaires de la Fondation Gates tels que la Banque africaine de développement, le CGIAR et l’AGRA, avait pour but de lancer une politique et un programme de financement visant à promouvoir davantage la Révolution verte en Afrique. L’événement a attiré pas moins de 18 chefs d’État africains et un certain nombre d’autres personnalités de premier plan. Mais ce qui est le plus remarquable, c’est que pratiquement toutes les organisations internationales opérant en Afrique qui figuraient sur la longue liste des orateurs du dialogue sont des bénéficiaires de subventions de la Fondation Gates. Le forum s’est conclu par un engagement à doubler la productivité agricole, ce que l’AGRA et la Fondation Gates promettent, sans y parvenir, depuis quinze ans.

Bien entendu, l’AGRA elle-même exerce également activement une pression sur l’agenda politique africain. L’AGRA est l’un des principaux organisateurs du Forum annuel sur la Révolution verte en Afrique (AGRF), qui se présente comme le premier forum mondial pour l’agriculture africaine, et organise des réunions annuelles depuis dix ans. Parmi ses partenaires figurent certaines des principales sociétés agrochimiques mondiales, telles que Bayer, Corteva et Yara, et bien sûr la Fondation Gates elle-même. Sans surprise, son agenda est clairement destiné à soutenir les politiques gouvernementales allant dans le sens d’une utilisation accrue de produits phytosanitaires, d’engrais et de semences hybrides. Sur son site web, l’AGRF a une section spéciale qu’elle appelle la salle des marchés agroalimentaires, qui « a directement aidé plus de 400 entreprises à établir un jumelage avec des investisseurs ciblés et a hébergé plus de 800 entreprises pour explorer les opportunités de réseautage ».(([13] Voir : https://agrf.org/dealroom/)) Il s’agit clairement d’un jumelage commercial servant les intérêts des entreprises, pas ceux des agriculteurs.

Si la plupart des subventions Gates visent à promouvoir des solutions technologiques, beaucoup sont également orientées vers un changement de politique. Au total, 45 subventions concernent les politiques ou s’adressent aux décideurs. Par exemple, l’Université d’État de l’Iowa a obtenu une subvention pour soutenir la mise en œuvre de changements de politiques visant à accroître la fourniture de nouvelles semences (créées génétiquement dans l’Iowa ?) aux agriculteurs africains. Le Forum économique mondial a reçu une subvention pour soutenir une « plate-forme politique destinée à l’innovation et au développement de la chaîne de valeur dans le secteur agricole ». Et le Centre africain pour la transformation économique a obtenu une subvention pour promouvoir la transformation de l’agriculture en Afrique en visant à des réformes des politiques. En outre, la Fondation participe activement au financement du projet « Enabling the Business of Agriculture », mis en œuvre par la Banque mondiale, parmi de nombreuses autres initiatives.(([14] Voir : « The unholy alliance », Oakland Institute, 2016. 
https://www.oaklandinstitute.org/sites/oaklandinstitute.org/files/unholy_alliance_web.pdf))

L’enthousiasme de la Fondation Gates pour les OGM transparaît également dans la base de données des subventions. L’Université d’État du Michigan a reçu 13 millions de dollars pour créer en Afrique un centre qui offre une formation aux décideurs africains sur la façon d’utiliser et de promouvoir les biotechnologies. L’Association africaine du commerce des semences a obtenu une subvention pour sensibiliser les agriculteurs « aux avantages du remplacement de leurs anciennes variétés par des semences plus récentes ». L’AATF a obtenu 32 millions de dollars pour sensibiliser le public aux avantages des biotechnologies agricoles et 27 millions de dollars supplémentaires pour financer l’autorisation et la commercialisation du maïs OGM dans au moins quatre pays africains. Ainsi, la Fondation Gates ne finance-t-elle pas seulement l’acceptation des OGM par le public, elle finance également directement l’autorisation et la commercialisation des OGM en Afrique.

Les bénéficiaires de subventions Gates soutiennent clairement l’agenda Gates et influencent la politique agricole mondiale. En un peu plus d’une décennie, l’AGRA, créée à l’instigation de B. Gates, a réussi, à partir de rien, à se hisser au centre des discussions sur les politiques agricoles du continent. De même, alors que la résistance aux OGM en Afrique reste importante, l’AATF réussit à faire adopter une législation qui accepte les OGM, comme on l’a vu récemment au Ghana. Il est tout aussi important de s’intéresser à ceux qui ne sont pas soutenus par la Fondation Gates (les agriculteurs africains) qu’à ceux qui le sont. La Fondation ne fournit aucun financement pour soutenir les systèmes de semences paysannes, qui fournissent 80 à 90 % du total des semences utilisées en Afrique. Elle fournit beaucoup de fonds à des initiatives qui les détruisent. Un autre exemple important est donné par la façon dont la Fondation Gates soutient la biofortification comme solution à la malnutrition, en détournant les fonds et l’attention d’efforts beaucoup plus pratiques et culturellement appropriés pour renforcer la nutrition en améliorant la biodiversité à la ferme et l’accès des gens à cette nutrition.(([15] GRAIN, « Cultures biofortifiées ou biodiversité ? La bataille pour de véritables solutions à la malnutrition a commencé », 4 juin 2019 : 
https://grain.org/e/6244)) Au cours de la dernière décennie environ, la Fondation Gates a consacré 73 millions de dollars à des initiatives de biofortification qui visent essentiellement à intégrer artificiellement des nutriments dans des produits issus de monocultures.

Et puis, bien sûr, il y a Bill Gates lui-même, qui s’assoit à la table des chefs d’État, des décideurs politiques et des chefs d’entreprise pour les convaincre que sa vision du monde est celle qu’il faut suivre. Le monde s’est habitué à le voir sur des photos serrer la main ou être assis aux côtés des dirigeants du monde. En effet, beaucoup de ces dirigeants semblent très désireux de figurer sur ces photos et de suivre ses conseils. Le dernier exemple en date est le « Sommet des dirigeants sur le climat », convoqué sous forme virtuelle par Joe Biden, à l’occasion duquel B. Gates a partagé sa vision de la lutte contre la crise climatique.(([16] Voir : https://www.state.gov/leaders-summit-on-climate/)) Sa recette pour lutter contre la crise climatique est très similaire et tout aussi dangereuse que la façon dont il veut nourrir le monde : développer de nouvelles technologies, faire confiance au marché et mettre en place des politiques pour que les entreprises puissent accélérer tout ce processus.(([17] https://www.geekwire.com/2021/bill-gates-shares-3-steps-clean-energy-economy-message-leaders-summit-climate/))

Il est clair que B. Gates n’écoute pas les gens sur le terrain et n’apprend rien d’eux. Alors pourquoi devrait-on l’écouter ? Plutôt que de prêter l’oreille à Bill Gates et à son programme technologique directif, il faut les combattre et les stopper dans leur élan.

GRAIN souhaite remercier Camila Oda et María Teresa Montecinos pour leur aide dans la compilation de la base de données. Un grand merci également à « A Growing Culture » pour leurs commentaires sur le projet et leur travail sur l’infographie.

Tableau 1 : Subventions de la Fondation Gates dans le domaine de l’agriculture, par type de bénéficiaire, 2003-2021

Agence Millions USD Principaux bénéficiaires
CGIAR 1373 Le CGIAR est un consortium de 15 centres internationaux de recherche mis en place pour promouvoir la Révolution verte à travers le monde. La Fondation Gates figure maintenant parmi ses principaux donateurs. Les principaux bénéficiaires sont les suivants : IFPRI (223 millions de dollars), CIMMYT (346 millions de dollars), IRRI (197 millions de dollars), ICRISAT (151 millions de dollars), IITA (166 millions de dollars), ILRI (74 millions de dollars), CIP (91 millions de dollars), et d’autres. La plupart des subventions prennent la forme d’un soutien aux projets dans ces centres, dont beaucoup portent sur le développement de nouvelles variétés de cultures.
AGRA 638 Au total, 20 subventions de fonctionnement destinées aux principaux secteurs d’intérêt de l’AGRA : semences, sols, marchés et lobbying auprès des gouvernements africains pour changer les politiques et la législation.
Organisations internationales (ONU, Banque mondiale, etc.) 601 Banque mondiale – BIRD (192 millions de dollars) ; Programme alimentaire mondial (PAM) (99 millions de dollars) ; PNUD (54 millions de dollars) ; FAO (88 millions de dollars). Fondation des Nations Unies (76 millions de dollars). Les subventions à la Banque mondiale visant à promouvoir les investissements publics et privés dans l’agriculture se taillent la part du lion (70 millions de dollars) : une aide est apportée au PAM pour développer les opportunités de marché pour les petits producteurs, au PNUD pour créer des entreprises agroalimentaires rurales en Afrique de l’Ouest, et le soutien à la FAO est la plupart du temps destiné à un travail statistique et lié aux politiques.
AATF 170 L’AATF (Fondation africaine pour les technologies agricoles) est un organisme de recherche ouvertement pro-OGM et pro-entreprise basé à Nairobi. L’essentiel du soutien de la Fondation Gates est destiné à développer un maïs OGM résistant à la sécheresse, un projet qui a déjà lamentablement échoué selon de nombreux commentateurs. Mais l’AATF bénéficie également d’un soutien visant à « sensibiliser aux biotechnologies agricoles pour mieux les comprendre et les apprécier », et à faire approuver une législation autorisant les OGM dans les pays africains.
Universités et centres de recherche nationaux. 1393 Plus des trois quarts des financements de la Fondation Gates destinés aux universités et aux centres de recherche vont à des institutions situées aux États-Unis et en Europe, comme les universités Cornell, Michigan et Harvard aux États-Unis et les universités de Cambridge et Greenwich au Royaume-Uni, parmi beaucoup d’autres. Le travail soutenu est un ensemble de recherches agronomiques de base, sur l’élevage ou la recherche moléculaire, et de recherche sur les politiques. Beaucoup d’entre elles concernent le génie génétique. L’Université d’État du Michigan, par exemple, a reçu 13 millions de dollars pour aider les décideurs politiques africains à « prendre des décisions éclairées sur la façon d’utiliser les biotechnologies ».Bien que la plupart des subventions de la fondation soient censées bénéficier à l’Afrique, à peine 11 % de ses subventions aux universités et centres de recherche vont directement à des universités et des institutions de recherche africaines (147 millions de dollars au total, dont 30 millions pour le Forum universitaire régional basé en Ouganda et mis en place par la Fondation Rockefeller).
ONG prestataires de services 1446 La Fondation Gates les voit comme des agents chargés d’effectuer son travail sur le terrain. Parmi elles figurent à la fois des grandes ONG et des fondations de développement, et les activités soutenues ont en général un aspect de développement technologique très prononcé, ou portent sur un travail politique ou éducatif conforme à la philosophie de la fondation. Pas moins de 70 % de ces subventions aboutissent chez des bénéficiaires aux États-Unis, et 19 % en Europe. Les ONG africaines reçoivent 4 % des subventions aux ONG (73 millions de dollars au total, dont 36 millions vont à groupes en Afrique du Sud, et 13 autres millions à « Farm Concern International », une ONG basée à Nairobi dont la mission est de mettre en place des « modèles économiques axés sur le marché » destinés aux petits agriculteurs).
Entreprises 244 Une part relativement faible des financements de la Fondation Gates va directement au secteur des entreprises. La plupart des subventions sont destinées à des technologies particulières développées par les entreprises concernées. Parmi les principaux bénéficiaires figurent la World Cocoa Foundation (31 millions de dollars), une structure d’entreprise représentant les principaux transformateurs du secteur de l’alimentation et du cacao dans le monde, pour améliorer l’efficacité de la commercialisation et de la production, et Zoetis (une société vétérinaire transnationale basée en Belgique – 14 millions de dollars) pour fournir des produits vétérinaires aux agriculteurs.
Total 5865

Tableau 2 : Bénéficiaires de subventions agricoles de la Fondation Gates, 10 principaux pays, 2003-2021 (à l’exception des subventions au CGIAR, à l’AGRA, à l’AATF et aux organisations internationales)

Pays Millions USD Principaux bénéficiaires
États-Unis 1 657 Les États-Unis sont, de loin, le premier pays bénéficiaire des subventions agricoles de la Fondation Gates destinées à aider les agriculteurs dans les pays pauvres : 1 657 millions de dollars répartis en plus de 400 subventions. Parmi les bénéficiaires figurent des universités américaines et des institutions de recherche qui visent à produire des variétés végétales et faire de la recherche sur les biotechnologies à l’intention des agriculteurs en Afrique (par exemple, l’Université Cornell a reçu l’énorme somme de 212 millions de dollars répartis en 26 subventions), des projets de grandes ONG principalement axés sur le développement des technologies et des marchés (par exemple Heifer, avec 51 millions de dollars pour développer la productivité bovine et Technoserve Inc., avec 51 millions de dollars pour pousser les nouvelles technologies), et plusieurs projets de politiques et de renforcement des capacités destinés à promouvoir les objectifs de la Fondation en Afrique et ailleurs.
Royaume-Uni 466 Un total de 81 subventions axées sur la recherche, par exemple au profit de l’Université de Greenwich pour travailler sur les ravageurs et les maladies du manioc et d’autres cultures (10 subventions totalisant 73 millions de dollars), et de l’Alliance mondiale pour les médicaments vétérinaires destinés au bétail (9 subventions totalisant 169 millions de dollars) pour produire des médicaments pour le bétail et des vaccins vendus par le secteur privé aux agriculteurs africains.
Allemagne 154 Huit subventions destinées à l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ) pour développer les chaînes d’approvisionnement pour les producteurs africains de noix de cajou et de riz et d’autres projets (57 millions de dollars), et trois autres subventions destinées à la Société allemande d’investissement pour travailler, entre autres, sur la culture du coton et du café en Afrique (47 millions de dollars).
Inde 98 33 subventions au total, destinées à des bénéficiaires divers, dont trois subventions à PRADAN (34 millions de dollars pour la formation des agricultrices) et trois subventions à la BAIF (16 millions de dollars) pour donner aux agriculteurs l’accès aux technologies d’élevage les plus récentes.
Pays-Bas 95 Essentiellement pour cinq subventions à l’Université de Wageningen pour une recherche agronomique sur les légumineuses à grains, le soutien à l’agriculture numérique et d’autres projets (57 millions de dollars).
Canada 74 Un total de 20 subventions, essentiellement à des universités, afin de permettre l’adoption de nouvelles technologies, de développer des filières commerciales d’approvisionnement en semences de manioc en Tanzanie, et de produire des vaccins contre les maladies du bétail, ainsi que d’autres programmes.
Australie 61 Un total de 24 subventions essentiellement octroyées à des universités et des centres de recherche (dont 30 millions de dollars pour l’Université du Queensland) pour développer des hybrides de sorgho et de niébé pour l’Afrique et fournir du bétail amélioré génétiquement, ainsi que d’autres programmes.
Chine 48 Principalement destinées à l’Académie chinoise d’agronomie (deux subventions représentant 33 millions de dollars au total) pour le développement de nouvelles variétés de riz destinées aux agriculteurs dans le monde entier.
Ouganda 46 Essentiellement destinés à RUFORUM (deux subventions totalisant plus de 30 millions de dollars pour aider les universités de recherche agronomique dans la région). RUFORUM a été créé sous la forme d’un programme de la Fondation Rockefeller en 1992 et est devenu un Forum universitaire régional indépendant en 2004.
Kenya 43 Subventions à Farm Concern International pour créer des chaînes de valeur orientées vers le marché pour un certain nombre de cultures, et à un certain nombre d’entreprises agroalimentaires actives dans la région pour faire de même.
Total des 10 principaux pays bénéficiaires 2 742 2,7 milliards de dollars, soit près de la moitié du total des subventions de la Fondation Gates dans le secteur agricole, sont allés à des bénéficiaires dans ces 10 pays : plus de 90 % à des pays du Nord.

[Voir aussi :
Bill Gates dicte aussi et en toute discrétion la politique alimentaire mondiale, et plus encore
La philanthropie de Bill Gates alimente la machine capitaliste
Robert F Kennedy Jr. expose le plan de dictature des vaccins de Bill Gates – cite le «complexe du Messie» tordu de Gates
Covid et domination planétaire – Comment Bill Gates et ses amis milliardaires se sont assurés le soutien des médias
L’empire mondial de la santé de Bill Gates promet toujours plus d’empire et moins de santé
Vaccins, puçage, réseau d’influence, OMS : Bill Gates est-il le roi du monde ?
Bill Gates finance nombre des agences de presse les plus puissantes et les plus prolifiques du monde, c’est pourquoi il n’est jamais scruté par les médias
Bill Gates : un Sataniste déguisé en brebis?]





Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »

[Source : bvoltaire.fr]

La une de Libération, attaquant CNews et le projet de rapprochement avec Europe 1 avec, pour titre, « Le spectre de la bande FN », démontre, si c’était nécessaire, à quel point certains médias et certains journalistes se pensent détenteurs et gardiens de la seule vérité, depuis des années. La réalité est tout autre : plus sectaires qu’eux, tu meurs. Sous couvert d’anonymat, pour éviter les représailles démocratiques, un de nos confrères, qui au cours de ces trente dernières années a travaillé pour les plus grands médias, nous dévoile le dessous des cartes.

« Comment parler du Front national sans inviter un de ses représentants ? »

En 1998, encore jeune journaliste, cette question lancée à la cantonade par le directeur de la rédaction d’une radio périphérique lors de la « conf du matin » m’a tétanisé. Sans aucune précaution oratoire, sans justifier à un seul moment ce choix éditorial d’une gravité, quand on y songe, extrême, un « faiseur d’opinion » décidait qui avait le droit ou non de passer sur son antenne. À l’époque, déjà, c’était les régionales. Personne n’a moufté, chacun y allant de sa solution : faire parler les associations antiracistes, inviter un politologue ou un démissionnaire critique du parti de Jean-Marie Le Pen. Finalement, après quelques minutes d’échanges surréalistes, seul le chef du service politique osera dire que « tant que ce parti est autorisé, nous sommes en démocratie, il faut recevoir ses candidats ». L’intervieweur attitré refusant l’exercice, comme tous les anchormen et présentateurs, il s’y collera à sa place

Phillippe Ballard, ancien journaliste vedette de LCI et, aujourd’hui, tête de liste du RN à Paris, me racontait récemment avoir vécu exactement la même chose à plusieurs reprises, au cours de sa carrière. Et avoir été le seul à accepter, lui aussi, de réaliser l’interview de Jean-Marie Le Pen sur une autre radio nationale, dont les journalistes étaient eux aussi adeptes du boycott démocratique. En réalité, cet épisode a été rejoué 100 fois dans la plupart, ou plutôt, dans toutes les rédactions, au cours des vingt à trente dernières années.

Un mot de travers dit ou écrit par un journaliste de droite, et c’est la porte

À France Inter, le grand chroniqueur judiciaire François Foucart, chevalier de la Légion d’honneur, du Mérite, et croix du Combattant, se faisait bâcher des jours durant par ses confrères avant et après un passage à l’antenne de Le Pen. Un autre journaliste, soupçonné de sympathies pour « l’extrême droite » par le chef du service politique de son média, qui recevait sans états d’âme au bureau la prose du PS dont il était adhérent, passait dans son dos en lui glissant à l’oreille « Nous, les fachos, on leur coupe les couilles ».

Plus sournoisement, que ce soit en « conf de rédac », que ce soit dans les brèves, papiers, flashs radio, le choix du mot juste, entendez du mot politiquement correct, est un impondérable depuis que je fais ce métier. Une fois, en 48 heures, j’ai vu comment toute une rédaction pouvait se mobiliser pour faire virer un pigiste qui avait parlé de « manifestants pro-vie » pour désigner des manifestants anti-avortement ! La doxa, c’est de dire au minimum « les opposants à la loi Veil »« des militants d’extrême droite », des « adversaires du droit des femmes à disposer de leur corps ». Mais pas des « manifestants pro-vie ».

90 % d’apprentis journalistes se disent à gauche, dans les écoles

Bien évidemment, dans les rédactions « mainstream », cette autocensure est permanente. Et si un pigiste a le malheur de mettre un pied de côté, soyez certains que la Société des rédacteurs et les syndicats ne se battront pas pour lui sauver sa place mais pour exiger son départ !

Le plus fou, c’est la présidentielle, à chaque fois. À ce moment-là, il faut redoubler de vigilance pour ne pas se faire « cramer ». Et quand on organise un simulacre d’élections à la cafèt’, le résultat est connu d’avance. Quelques rares voix se portent sur le candidat de la droite parlementaire, mais l’essentiel vote à gauche, à l’extrême gauche ou écolo. Une fois, un bulletin Front national a été glissé dans l’urne. Tout le monde a traqué celui qui était derrière ce vote. Démasqué, il a été sauvé par le fait qu’il était de notoriété publique homosexuel et que son lynchage pour des raisons politiques aurait pu être transformé en lynchage homophobe. Pour se justifier, il a expliqué que c’était ce que votait sa famille. Dans les écoles de journalisme, qui organisent aussi des élections pour s’amuser, les scores sont sans appel. 90 % pour les candidats de gauche.

Alors, aujourd’hui, que les « gardiens du temple » agonissent d’injures sans plus aucune retenue leurs confrères dévoile leur vraie nature. Et au final, la sanction, c’est l’audience. Libé n’a plus de lecteurs depuis longtemps, ses journalistes sont payés à la fin du mois par le grand capital qu’ils feignent de détester, mais qui remplit leur frigo. Le BFM TV de Fogiel dévisse. Souhaitons longue vie à Europe 1, qui va manifestement revenir bientôt à ses origines : une radio impertinente, libre et populaire !


[Voir aussi :
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
La Presse-Système
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves
Journalisme et vérité font-ils bon ménage dans les grands médias ?]




Bilan de la vaccination au Royaume-Uni au 6e mois

Par Gérard Delépine

La Grande-Bretagne est le champion européen de la vaccination anticovid. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela justifie une nouvelle analyse avec 6 mois et demi de recul.

Le succès de la campagne de vaccination

Au 20 juin 2021, un total de 71 672 208 doses de vaccin a été administré touchant près de 43 millions de Britanniques, soit 80 % de la population adulte qui ont reçu au moins une dose de vaccin et 90 % des personnes âgées de 70 ans et plus qui auraient été complètement vaccinées.

Cette campagne de vaccination massive a bénéficié d’une propagande énorme prétendant, entre autres, que les résultats des vaccins sont connus et rassurants, alors que les essais sont en cours (ils ne seront terminés qu’en 2023) et qu’ils n’incluaient qu’une poignée de personnes très âgées avec comorbidités, ne permettant pas d’avoir la moindre idée de sa balance avantage/risques dans ce groupe d’âge qui en constitue pourtant l’éventuelle indication.

Non-pertinence des critères d’évaluation dans les médias

Les médias proclament le succès d’après les pourcentages de vaccinés ou les taux prétendus de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des organismes chargés de la vaccination.

Mais l’examen objectif d’une campagne de vaccination doit se focaliser uniquement sur trois points précis : le vaccin permet-il d’éviter d’attraper la maladie ? Prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

On dispose pour ces critères d’une source fiable, accessible par internet et indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/. Il précise chaque jour, pour chaque pays, l’évolution de nombre de contaminations et du nombre de décès attribués au Covd-19. C’est donc principalement sur ces données objectives que nous baserons notre analyse.

Le vaccin permet-il d’éviter d’attraper la maladie et la transmission du virus ?

D’après les courbes OMS du 23 juin 2021, la vaccination commencée le 7 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

Le 7 décembre 2020, après neuf mois d’épidémie pré vaccination, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 cas. En six mois et demi post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 640 511 (+200 %).

Cette évolution, avec augmentation considérable des contaminations quotidiennes, observée dans tous les pays qui ont beaucoup vacciné, suggère que les pseudos vaccins actuels seraient susceptibles de faciliter, au moins transitoirement (pendant 6 à 12 semaines) la transmission de la maladie.

La chute des contaminations en mars et avril 2021 a fait croire à l’efficacité de la vaccination, mais cette diminution du nombre quotidien de contaminations a été observée à peu près simultanément dans tous les pays européens, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

Mais depuis mai le nombre de nouvelles contaminations journalières est franchement orienté à la hausse montrant que la vaccination n’est capable ni d’empêcher d’attraper ni d’empêcher de transmettre la maladie.

Depuis mai, selon les chiffres de l’OMS et du bureau des statistiques britannique les contaminations quotidiennes ont augmenté de 1200 % (passées de 1156 le 15 mai à 14623 le 28 juin) alors que durant la même période elles chutaient en sens inverse en France (d’une moyenne de 12000 à 1500). La vaccination britannique qui prétendait viser l’éradication du virus a manifestement échoué et facilité l’émergence d’un variant nettement plus contagieux et résistant à la vaccination.

Et en France, beaucoup moins vaccinée, on a observé le 28 juin 1546 nouveaux cas contre 14623 cas en Grande-Bretagne.

Le vaccin diminue-t-il la gravité de la maladie ?

En Grande-Bretagne, malgré les confinements à répétition, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière

Les mois de décembre 2020 et janvier 2021 ont établi les records mensuels de la mortalité britannique attribuée au Covid 19, regroupant à eux deux plus de 50301victimes soit 40 % de la totalité des morts britanniques depuis le début de l’épidémie.

Le 4 décembre 2020, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En six mois post-vaccination, ce chiffre a plus que doublé passant à 128100 (+110 %).

La vaccination, loin de diminuer la gravité de la maladie et en particulier son risque létal, paraît au contraire l’avoir exacerbé au moins transitoirement !

Ce phénomène a particulièrement touché les seniors britanniques en institution qui ont été vaccinés en priorité. Le lien direct avec la vaccination est suggéré par la constatation dans un rapport officiel que près de 40 % des morts depuis la vaccination avaient reçu une vaccination complète à deux doses.

Lorsqu’on a reçu une dose de vaccin et qu’on est contaminé, le Covid-19 pourrait se révéler plus grave et plus susceptible d’entraîner la mort. C’est d’ailleurs ce qu’a confirmé O. Veran dans sa réponse au Conseil d’État :

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

Heureusement, le recul de l’épidémie aux USA depuis janvier et en Europe depuis avril diminue le risque d’attraper la maladie après la première injection de vaccin et donc minore le risque d’en mourir.

Comment expliquer cette aggravation paradoxale après vaccination ?

En Grande-Bretagne, les suites immédiates de la vaccination ont été marquées par une recrudescence très importante des contaminations et de la mortalité quotidiennes, alors que c’est une franche diminution qui en était espérée.

En février, il y avait plus de nouveaux cas de Covid-19 par jour qu’avant le début du confinement et de la vaccination. L’émergence de différents variants du Covid-19 l’explique peut-être, mais cette émergence a peut-être elle-même été favorisée par la vaccination.

Dans une lettre au BMJ le Pr Delfraissy s’inquiétait :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

L’accroissement important de la mortalité pendant les deux mois qui ont suivi la vaccination est peut-être dû à un phénomène d’anticorps facilitants[2] dont le risque, illustré par la catastrophe vaccinale récente du Dengvaxia aux Philippines, avait été rappelé par l’Académie de médecine[3].

« Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique (…) le risque individuel d’aggravation par anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. » 

L’analyse scientifique des résultats de la vaccination, otage de la politique

Un débat vaccinal serein est actuellement impossible en Grande-Bretagne comme dans de nombreux pays, car complètement pollué par des considérations politiques.

Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à Boris Johnson et aux autorités sanitaires anglaises qui l’ont très fortement conseillée et qui viennent d’annoncer « une première injection de vaccin Pfizer réduirait de 57 % le risque de souffrir de Covid-19 chez les plus de 80 ans », sans mentionner ni les hausses d’incidence et de mortalité observées, accusant seulement des variants, ni les apparitions de clusters mortels dans les EHPAD de nombreux pays rapportés dans les journaux peu de temps après la vaccination Pfizer. La promesse de Boris Johnson

« l’Angleterre se trouve en effet sur un “chemin à sens unique vers la liberté” “chaque jour qui passe permet au programme de vaccination de créer un bouclier autour de la population” »

est donc très loin de se réaliser.

Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement, les organismes qui ont conseillé et réalisé la campagne de vaccination et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le virus, de refuser d’expliquer les chiffres d’incidence et de mortalité post-vaccination et de traiter ceux qui émettent des doutes de complotistes pour éviter d’avoir à affronter leurs responsabilités.

Car comme le remarquait un panel de scientifiques dans le BMJ, quel que soit le pays, 

« quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».




«Une offensive est en cours contre les fondements de toutes les religions du monde», selon Lavrov

[Source : RT en français]

[Photo : © YURI KOCHETKOV Source: Reuters]

Le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré que les pays occidentaux menaient une offensive contre les religions et le «code génétique» des civilisations, dans le but d’abattre tous les obstacles sur la voie du libéralisme.

Dans un article paru le 28 juin dans la revue russe d’analyse des relations internationales Russia in Global Affairs et relayé par RT France, le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov analyse longuement l’attitude et les ambitions des pays occidentaux en matière de relations internationales, Etats-Unis et Union européenne en tête.

A ce titre, Lavrov déplore le remplacement progressif du droit international par des «règles» édictées par les Occidentaux, qui conduisent à une politique du «deux poids, deux mesures» évoluant au gré de leurs intérêts. Ce processus se manifeste selon lui par une attaque non seulement contre le droit international mais également contre la «nature humaine».  

Lavrov déplore une attaque contre «le code génétique des principales civilisations de la planète»

Selon le chef de la diplomatie russe, «dans les écoles de plusieurs pays occidentaux, on cherche à persuader les enfants dans le cadre des programmes scolaires que Jésus-Christ était bisexuel».

D’après lui, les tentatives des hommes politiques «sains d’esprit» de protéger les enfants contre «la propagande agressive des LGBT» se heurtent à des protestations belliqueuses sous couvert d’une «Europe éclairée».

Evoquant dans ce sillage une «offensive en cours contre les fondements de toutes les religions du monde» et même contre «le code génétique des principales civilisations de la planète», le ministre russe considère que les Etats-Unis ont pris «la tête d’une ingérence étatique flagrante dans les affaires de l’Eglise, cherchant ouvertement à diviser l’orthodoxie mondiale, dont les valeurs sont perçues comme un puissant obstacle spirituel sur la voie constituée par la conception libérale d’une permissivité sans limites».

Ces propos ne sont pas sans rappeler les récentes prises de position de plusieurs pays membres de l’UE, qui ont dénoncé une loi hongroise visant à interdire la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs. 17 Etats membres, dont la France, l’Allemagne, les Pays-Bas, l’Italie et la Belgique, ont adressé une lettre au président du Conseil européen, Charles Michel, à la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, pour déplorer des «menaces contre les droits fondamentaux et en particulier le principe de non-discrimination en raison de l’orientation sexuelle». Le 23 juin, la présidente de la Commission avait qualifié cette loi de «honte».

En savoir plus sur RT France : 
https://francais.rt.com/international/88302-offensive-est-cours-contre-fondements-toutes-religions-monde-selon-lavrov-russie-lgbt




Quand la classe politique française tourne un remake du Titanic

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Edouard Husson

La classe politique française est en train de tourner un remake de « Titanic ». Elle est dans un déni complet de la réalité. Durant la soirée électorale du second tour des élections régionales, on a eu droit à « On a gagné » (LR), « Ce n’était pas notre élection » (LREM) et « la démocratie est en crise » (RN). Mais jamais: nous devons écouter le terrible désaveu que nous infligent les Français. Une classe politique de plus en plus sourde aux messages des Français fait comme ce déni de réalité pouvait durer indéfiniment. Le réveil sera dur et il pourrait bien survenir dès l’élection présidentielle.

A quelques détails près, la soirée électorale des élections régionales aurait pu se tenir en 2015, 2010 ou 2004. Qui aurait pu deviner, arrivant de l’extérieur et entendant, par exemple, Brice Hortefeux, fidèle de Nicolas Sarkozy, faire la leçon à Philippe Ballard du Rassemblement National, que les présidents de conseils régionaux LR (ou apparentés) sortants et réélus ont atteint leur objectif avec à peine plus de 15% des électeurs inscrits et l’abstention de deux électeurs sur trois? Qui aurait pu se douter que nous avions affaire aux membres d’un gouvernement qui a porté la dette publique du pays à 120% du PIB lorsque nous entendions des ministres, sur les plateaux, deviser aimablement sur leur découverte de la vie politique de terrain et le fait que LREM soit un parti encore jeune, « pas encore enraciné »? Qui se douterait que le Rassemblement National est plongé dans une crise terrible lorsqu’on entendait ses représentants disserter sur la crise de la démocratie comme s’ils en étaient spectateurs?  

Deux Français sur trois, ça vous rappelle quelque chose?

Au commencement, il y avait le rêve giscardien de rassembler « deux Français sur trois » dans une « démocratie apaisée ».  Malgré sa défaite à l’élection présidentielle de 1981, l’ancien président en fit même la théorie dans un livre paru en 1984. Le monde était à cette époque en train de basculer dans la « révolution libérale » des années 1980. Ni Giscard, confronté aux chocs pétroliers, ni ses deux successeurs, François Mitterrand (1981-1995) et Jacques Chirac (1995-2007) ne comprirent dans quelle mutation le monde était plongé. Tous les trois prétendirent faire adhérer la France à une Europe plus intégrée et l’ouvrir au monde sans encourager une révolution entrepreneuriale à l’intérieur ni investir massivement dans l’éducation. Au contraire, ils cassèrent avec obstination, à partir de la réforme Haby, le système français d’enseignement secondaire. Ils choisirent, plutôt que l’investissement massif dans l’informatique et la robotique, la solution de facilité de l’immigration de masse ou les délocalisations d’usines. Et le pays commença à se défaire. 

Pendant longtemps la montée du Front (aujourd’hui Rassemblement) National fut le thermomètre de la crise toujours plus profonde du pays. En 2002 eut lieu un terrible choc pour la classe politique: Jean-Marie Le Pen était passé devant le candidat socialiste. Jacques Chirac en ayant profité pour être triomphalement réélu, le déni de réalité reprit; un temps troublé, il est vrai, par l’énergie de Nicolas Sarkozy, qui eut des velléités de changer les choses. Mais le successeur de Jacques Chirac n’eut pas le courage de braver l’impopularité médiatique et il abandonna ses objectifs ambitieux de contrôle de l’immigration. Ce qui suivit, nous le connaissons bien: nouvelle montée en puissance du Front/Rassemblement National sous l’impulsion de Marine Le Pen, l’héritière. Réédition burlesque et brève, avec François Hollande, du mitterrandisme;  puis chant du cygne du giscardisme réincarné en Emmanuel Macron, « libéral, centriste et européen ». 

Entretemps, le tissu social est de plus en plus déchiré. La part de l’industrie dans la population active française est tombée à 10% (la moitié de l’Allemagne). Emmanuel Macron a bien réalisé le rêve giscardien d’être « élu au centre » par « deux Français sur trois »; sauf qu’il y eut au second tour de l’élection présidentielle de 2017, un Français sur trois à ne pas voter. Et que l’actuel président a en fait été élu par un Français sur trois.   Son quinquennat a été si chaotique qu’à moins d’un an de son éventuelle campagne pour une réélection, le président Macron doit constater que c’est maintenant toute la classe politique qui se partage les suffrages d’un tiers des votants, son propre parti n’attirant, à ce scrutin régional, que 3% des inscrits. 

L’erreur capitale de Marine Le Pen a fait glisser du vote protestataire à l’abstention

Pendant longtemps, le Front/Rassemblement National était traité par le reste de la classe politique comme un bouc émissaire mais il assumait bien son rôle de rassembleur du vote protestataire. Marine Le Pen, constatant que son père n’avait jamais dépassé 20% des suffrages, a jugé utile de proposer au système politico-médiatique une « dédiabolisation » de son parti. C’est une erreur capitale: l’establishment continue à utiliser le Rassemblement National comme un repoussoir.  Toute l’énergie que la présidente du parti met à adopter les codes d’une tribu qui la déteste, elle ne la passe pas à travailler pour la France qui crée de la richesse et qui est accablée de règlements et d’impôts. Et elle  n’est plus le porte-voix des petits, des laissés-pour-compte,  de cette France populaire qui n’est plus protégée depuis quatre décennies. Elle perd donc sur tous les tableaux et confirme qu’il est improbable qu’elle puisse un jour gouverner. Ce faisant, Marine Le Pen a contribué, elle aussi, à l’abstention. On est même dans une situation absurde où des gens qui se disent de droite, comme Xavier Bertrand ou Renaud Muselier sont prêts à s’allier au pire gauchisme pourvu qu’ils puissent être reconduits dans leurs fonctions. Et pour autant, le Rassemblement National perd des électeurs ou ne les mobilise plus. 

La démocratie ne peut fonctionner qu’avec une « droite » et une « gauche » qui ne soient pas de simples étiquettes. Avec des hommes politiques qui fassent ce qu’ils disent et qui disent ce qu’ils font. Avec un pouvoir protecteur des petits et des humbles et  sans complaisance pour les puissants qui cherchent à le confisquer à leur profit. Mais il semble bien que la classe politique française de 2021 ait passé le stade de se réformer elle-même. 

Le Titanic continue sa course vers l’iceberg de la réalité. 




COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR

[Source : ici via profession-gendarme.com]

Par LIUTWIN

Préambule

A priori, tout le monde a aujourd’hui conscience que l’humanité est sur un point d’inflexion. Depuis quelques années, les crises de grande ampleur s’enchaînent : crise sociale, crise politique, crise écologique, crise internationale, crise sanitaire, crise économique, crise bancaire… De plus en plus de personnes se posent des questions sur la direction que prend le monde, sans réussir à mettre de mots sur leur malaise, embrouillés par des réponses contradictoires de notre gouvernement et du Conseil scientifique. À quoi jouent-ils ?

Qui aurait pu imaginer en 2019 qu’on serait tous confinés, qu’il y aurait des couvre-feux, qu’on serait tous obligés de porter un masque, qu’il faudrait une attestation dérogatoire pour aller chercher une baguette de pain, que des policiers armés de fusils d’assauts patrouilleraient dans les parcs et sur les plages pour veiller au respect de ces règles ?

Demandez-vous si on aurait accepté aussi facilement toute cette dictature il y a 5, 10 ou 20 ans et à quoi pourrait bien ressembler le futur au rythme où vont les choses.

Si l’on plonge subitement une grenouille dans de l’eau chaude, elle s’échappe d’un bond ; alors que si on la plonge dans l’eau froide et qu’on porte très progressivement l’eau à ébullition, la grenouille s’engourdit ou s’habitue à la température pour finir ébouillantée.”

Fable de la grenouille.

Cet essai est une synthèse établie par un citoyen suivant l’actualité de près et qui se pose depuis le début de la crise sanitaire beaucoup de questions sur ce que l’avenir nous réserve. Du factuel donc, basé autant que possible sur des sites faisant autorité dans le monde médical et politique et non sur des sites “louches”. Des faits bien réels, vérifiés, analysés et argumentés. Tout est sourcé sur les médias mainstream, qui finissent souvent par dévoiler une partie de la vérité en la noyant sous une masse d’informations et de contradictions. Ce document pourra vous donner une assez bonne idée du niveau de corruption de la société, de la façon dont tourne le monde et de ce qui se met peu à peu en place.

Ouvrez grand votre esprit critique, prenez le temps de lire, d’aller voir les sources lorsque vous avez des doutes ou avez besoin d’éclaircissements. Renseignez-vous de votre côté et faites-vous votre propre opinion. Il se pourrait bien que ce soit de notre avenir et de celui de nos enfants à très court terme dont il est aujourd’hui question.

Et si vous étiez déjà conscient de tout cela, ce document, mis à jour en fonction de l’actualité, pourra toujours vous servir d’aide-mémoire…

Liutwin

Sommaire

  • Les dessous de la crise sanitaire
    • Des hôpitaux à bout de souffle
    • Des facteurs de risque
    • Vraie ou fausse pandémie ?
    • Une faible surmortalité
    • L’escroquerie des tests PCR
    • Au coeur de la manipulation
    • La situation dans les Ehpads
  • Des décisions politiques
    • Une pénurie de masques organisée
    • Le masque “ça ne sert à rien”
    • Les masques et la santé
    • Et chez les enfants ?
    • Le confinement en question
    • Une arme de destruction massive
    • Le faux déconfinement
    • Et ailleurs dans le monde ?
  • Vers un changement sociétal
    • Des commerces non essentiels
    • Un tsunami économique
    • Une société de caste
    • Une dictature sanitaire
    • Des appels à la dénonciation
    • Des gestes barrière antisocials
    • Des recommandations délirantes
  • Le poids de “Big Pharma”
    • Conflits d’intérêt et corruption
    • Obscurantisme moderne
    • La nouvelle inquisition
  • Le $aint Vaccin
    • Des recommandations politiques
    • Objectif thune en Europe de la Santé
    • Un jeu d’apprentis sorciers
    • Premiers retours des cobayes
    • D’inquiétantes corrélations
    • En marche vers un génocide
    • Vers un vaccin obligatoire
    • L’apartheid 2.0
  • Pandémie ou “plan”démie ?
    • De l’origine du virus
    • Une succession de faits troublants
    • Des prédictions étonnamment précises
    • Un incroyable faisceau de coïncidences
    • La “théorie du complot”
  • La manipulation de masse
    • Un peuple sous hypnose
    • La politique de la peur
    • La propagande
    • Les médias
    • La télévision
  • Un monde sous contrôle des oligarques
    • Les GAFAM
    • L’agonie de la démocratie
    • La surveillance numérique
    • La dictature du numérique
    • Vers une dictature mondiale
  • Projections de ce qui nous attend
    • Effondrement économique
    • Fin de nos droits et libertés individuelles
    • Vers un nouvel ordre mondial
    • Réduction de la population mondiale
    • Une lueur d’espoir
  • Annexes
    • Quelques documentaires
    • Contact et liens

Les dessous de la crise sanitaire

Olivier Véran nous rappelait fin octobre 2020 dans un tweet punchlineque le Covid-19, c’est : « 1 malade toutes les 2 sec, 1 hospitalisation toutes les 30 sec, 1 mort toutes les 4 mins ». Ce genre de déclaration, qu’on entend tous les jours depuis le premier confinement, est une méthode de manipulation qui par l’emploi d’une technique hypnotique consiste, en rabachant les chiffres avec des phrases choc, à saturer notre capacité à comprendre le réel. On joue sur l’émotionnel en ne nous donnant pas le temps de comprendre et d’analyser toutes les données. On ne fait plus le lien entre le numérateur (nombre de morts), qui est une donnée concrète, et le dénominateur (nombre de personnes infectées), qui l’est beaucoup moins.

Quelle est la charge virale ? Le taux de mortalité ? Le taux d’incidence ? Les tests sont-ils fiables ? Pourquoi les hôpitaux sont-ils saturés ?

Des hôpitaux à bout de souffle

« Le nombre de malades en réanimation va encore augmenter mécaniquement, quoi qu’on fasse.»1

Jérôme Salomon, directeur général de la Santé, le 28 octobre 2020.

Donc, le confinement, les couvre-feux et les mesures sanitaires ne servent à rien ? N’y avait-il vraiment rien à faire, comme augmenter le nombre de lits en réanimation ?

Si les cas augmentent, on dit que c’est dû au relâchement des Français qui ne respectent pas les règles sanitaires. Mais, quand les hôpitaux finiront par se vider, on dira que c’est grâce aux mesures sanitaires qui portent leurs fruits. Cherchez l’erreur. C’est comme en matière de sécurité routière où, plutôt que d’avoir une politique de prévention et d’entretien des routes, on préfère tout miser sur les radars. Y aurait-il des intérêts privés derrière ?

1https://www.bfmtv.com/sante/covid-19-la-deuxieme-vague-pourrait-etre-superieure-a-la-premiere-selon-jerome-salomon_AD-202010280268.html

Les hôpitaux n’ont pas attendu le coronavirus pour être submergés. Ils le sont tous les ans de novembre à mai et cela fait depuis des années que les personnels soignants tirent la sonnette d’alarme, dans l’indifférence et le mépris de la classe dirigeante.

D’après EuroMomo, un réseau de statistiques qui fait référence en matière de surveillance de la mortalité en Europe, L’Espagne et l’Angleterre sont les seuls à avoir connu un pic épidémique comparable à la France. Pour nos voisins germaniques, c’est le calme plein. L’Allemagne et l’Autriche, avec 2 fois plus de lits par habitant qu’en France, n’ont quasiment pas eu de surmortalité cette année.2

Il y a une corrélation évidente entre le nombre de décès et le nombre de lits de soins intensifs par millier d’habitant dans chaque pays.3

2 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps#z-scores-by-country

3 https://www.oecd.org/coronavirus/fr/les-donnees-dechiffrees/capacite-en-lits-de-soins-intensifs

Près de 100.000 lits ont été supprimés entre 1993 et 2018.4

69.000 lits ont été supprimés ces 15 dernières années, dont 3.400 en 2019.5

Sous Sarkozy : -46.500. Sous Hollande : -17.500. Seulement – 4170 pour Macron, mais il ne faut pas lui en vouloir, ses prédécesseurs ne lui ayant laissé que peu de marge de suppression.

En 1980 : 731 lits pour 100.000 habitants. En 2020 : 378 lits pour 100.000 habitants.6

En 40 ans, les capacités d’accueil ont été divisées par deux. C’est ÇA la réalité dans nos hôpitaux, Monsieur Véran.

Pour la Fédération hospitalière de France, le passage au 35 heures aurait profondément désorganisé l’hôpital. Faute de moyens et de candidats, cette réforme n’a en effet pas été suivie d’embauches, aboutissant à une pénurie de personnel dans la plupart des établissements.7

La réforme Bachelot, calant la gestion des hôpitaux sur les entreprises et en transformant les directeurs d’hôpitaux en managers, a fait disparaître la médecine hospitalière au profit d’une médecine mercantile.8

4 https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/06/12/l-hopital-en-quete-du-juste-nombre-de-lits_6042577_3224.html

5 https://www.lesechos.fr/economie-france/social/3400-lits-dhopitaux-ont-ete-supprimes-en-2019-1249859

6 https://donnees.banquemondiale.org/indicator/SH.MED.BEDS.ZS

7 https://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/03/21/20002-20150321ARTFIG00019-comment-les-35h-ont-desorganise-l-hopital.php

8 https://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/04/16/9500-reforme-bachelot-denoncee-par-medecins-renommes

La T2A (tarification à l’activité) imposée par l’Union Européenne constitue maintenant le mode de financement unique des établissements publics et privés.9

La commission européenne a fait au moins 63 rappels aux États membres pour qu’ils réduisent leurs dépenses de santé.10 Elle a fait de l’hôpital une “entreprise de production de soins” soumis à la rentabilité au moindre coût.11

La destruction de notre système de santé est VOULUE par l’Union Européenne.

Mise en place en 2004 par Jean Castex, alors Directeur de l’Hospitalisation et de l’Offre de Soins au ministère de la Santé, cette réforme pousse à la fermeture des services de soins et des maternités n’atteignant pas le “seuil de rentabilité”.12 Désormais, selon le ministère de la Santé, le taux idéal d’occupation des lits est de 95 % en médecine et en chirurgie.13

La conséquence de ce mécanisme pervers est que chaque fois que l’activité diminue, en général à la sortie de l’hiver, on supprime des lits vacants. Nos hôpitaux n’ont de ce fait plus aucune résilience pour faire face à des épidémies.

« Il n’est pas possible de réaliser d’importantes économies à court terme sans ralentir considérablement la croissance des dépenses de sécurité sociale, qui représentent plus de la moitié des dépenses publiques. La France s’est fixé des objectifs ambitieux pour 2016 et 2017 afin de limiter la croissance des dépenses de santé. Ces objectifs pourraient être complétés par des efforts supplémentaires visant à identifier des gains d’efficacité sur le moyen à long terme. »14

Recommandation du Conseil de l’UE du 12 juillet 2016.

En 2015, un plan opérationnel sur 3 ans intitulé “Kit de déploiement régional du planOndam à destination des ARS” a été distribué de manière confidentielle aux directeurs des agences régionales de santé. Comportant des tableaux indicateurs de performance, il instaure une logique comptable avec des objectifs d’économie par des restrictions budgétaires.15

La France, mondialement réputée pour son système de santé il n’y a encore pas si longtemps, a été en seulement quelques années reléguée à la 11e place.

9https://solidarites-sante.gouv.fr/professionnels/gerer-un-etablissement-de-sante-medico-social/financement/financement-des-etablissements-de-sante-10795/article/financement-des-etablissements-de-sante

10https://www.humanite.fr/la-commission-europeenne-demande-63-fois-aux-etats-de-reduire-les-depenses-de-sante-denonce-687250

11 https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/02/22/la-rentabilite-imposee-a-l-hopital_743923_3224.html

12 https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-mysterieuse-t2a-du-docteur-castex-ou-la-chaine-de-demontage-de-lhopital

13https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/hopitaux-la-suppression-des-lits-operee-depuis-les-annees-1990-inquiete-les-professionnels-de-sante_4170777.html

14 https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32016H0818(27)

15 https://www.liberation.fr/societe/2015/03/08/la-logique-comptable-fait-son-lit-a-l-hopital_1216903

Mais où va l’argent du contribuable ?

L’application StopCovid, qui n’a servi strictement à rien, a coûté au contribuable entre

200.000 et 300.000 euros par mois en frais de fonctionnement.16 D’abord présentée comme ayant été réalisée à titre gratuit par des entreprises privées, le coût global a été estimé à 6,5 millions d’euros. Le développement de l’application n’ayant pas fait l’objet d’un appel d’offre, l’association Anticor a porté plainte contre Olivier “Véreux” pour délit de favoritisme.17

20 millions d’euros ont été dépensés en LBD40 et grenades lacrymogènes en 2019 pour se préparer à la révolte sociale.18

2 milliards d’euros de subvention pour aider les organes de propagande de l’État que sont la presse et les médias.19

2, 8 millions d’euros accordés à des spécialistes de la veille sur les réseaux, afin de surveiller le ressenti des Français sur les actions gouvernementales.20

26 millions d’euros ont été dépensés dans des sondages d’opinion rien qu’en octobre, ce qui représente 184% du budget initialement prévu pour le service d’information du gouvernement (SIG) pour l’année 2020.21 Des sondages destinés à la fois à aider le gouvernement à orienter sa politique publique, mais aussi à convaincre les Français d’accepter sa politique.

Dans la nuit du 17 avril 2020, 20 milliards d’euros ont été donnés par le gouvernement à de grandes entreprises polluantes, sans contrepartie écologique ou sociale.22 Rappelons au passage qu’il y a 48.000 morts par an en France à cause de la pollution de l’air.23

15 milliards d’euros d’aides aux entreprises sont débloqués par mois de confinement, qui vont allonger la dette pour des décennies.24

Après avoir été gavé d’argent public par les mesures de soutien dans le cadre de la crise sanitaire, le CAC40 va distribuer 51 milliards d’euros à ses actionnaires en 2021, soit une hausse de 22% de dividendes par rapport à l’an dernier.25

On met un pognon de dingue dans les entreprises, la propagande et la répression.

N’aurait-il pas mieux valu le placer dans une véritable prévention pour les personnes vulnérables et pour l’hôpital public ?

16 https://www.capital.fr/economie-politique/lamere-facture-de-stopcovid-pour-le-contribuable-1371669

17https://www.lefigaro.fr/flash-eco/application-stopcovid-anticor-porte-plainte-a-la-cjr-contre-veran-pour-favoritisme-20210322

18 https://www.agoravox.fr/actualites/article/les-millions-depenses-en-lbd40-et-222749

19https://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/coronavirus-le-gouvernement-a-debloque-2-milliards-pour-les-medias-1221356

20https://www.bfmtv.com/tech/le-gouvernement-investit-pres-de-3-millions-d-euros-pour-surveiller-sa-reputation-en-ligne_AN-202104160380.html

21https://www.capital.fr/economie-politique/lappetit-de-sondages-du-gouvernement-epingle-par-une-deputee-1384655 22https://www.franceinter.fr/environnement/20-milliards-d-euros-pour-les-entreprises-strategiques-un-cheque-en-blanc-au-profit-des-pollueurs

23https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2016/impacts-sanitaires-de-la-pollution-de-l-air-en-france-nouvelles-donnees-et-perspectives

24https://www.ladepeche.fr/2020/10/29/aides-economiques-aux-entreprises-15-milliards-deuros-finances-par-letat-par-mois-de-confinement-9171505.php

25https://www.liberation.fr/economie/pour-les-actionnaires-du-cac-40-cest-le-jackpot-20210427_TZT64XHT3VAPXIQCR3W5RLFTYI

Les services de Santé publique ne manquent en fait pas de moyens, la France étant le pays d’Europe où les dépenses de santé sont les plus élevées, mais ils sont étouffés par une bureaucratie inefficace et très coûteuse.26 Ce ne sont ainsi pas moins de 405.600 personnes, soit 34% du personnel hospitalier, qui vaquent à des occupations autres que médicales.27

26 https://www.francetvinfo.fr/sante/sante-publique-labureaucratiepointee-du-doigt_4359685.html

27 https://theconversation.com/fact-check-y-a-t-il-trop-de-postes-administratifs-dans-les-hopitaux-137615

Malgré la promesse d’un plan massif pour l’hôpital28, le dogme de la suppression de lits a continué en 2020, en pleine crise sanitaire !29

« Rien n’a changé. Les projets se poursuivent comme avant, alors que la crise a bien montré que ce n’était plus possible. »

Christophe Prudhomme, de la CGT Santé.30

Les dirigeants de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris (AP-HP) ont indiqué lors d’une conférence de presse avoir décidé un « arrêt temporaire » des urgences de l’Hôtel-Dieu pour ouvrir des lits de soins critiques dans un établissement voisin, une décision qui ne fait pas l’unanimité chez le personnel soignant.31 À la manifestation contre la fermeture des urgences de l’hôpital Hôtel-Dieu, les forces de l’ordre ont relevé les identités des manifestants et annoncé des verbalisations pour leur rassemblement.32 En marge de la manifestation du 17 juin 2020, une infirmière asthmatique a été violemment interpellée par les forces de l’ordre.33

Un projet gouvernemental d’un “coût exorbitant” vise, sous l’influence de lobbys, à réorganiser le secteur de la psychiatrie avec une nouvelle approche fondée sur les neurosciences. Le concept ? La déshumanisation par l’intelligence artificielle, qui établit un bilan neurophysiologique approfondi, en ayant recours aux IRM et à des algorithmes. Le patient est ainsi de manière automatisée mis dans une case selon un diagnostic promu par la classification américaine des maladies mentales, passible de traitements médicamenteux.34

28https://www.latribune.fr/economie/france/segur-de-la-sante-le-gouvernement-promet-6-milliards-d-euros-pour-les-salaires-a-l-hopital-et-en-ehpad-851146.html

29 https://framacarte.org/fr/map/suppressions-de-lits-dans-les-hopitaux-source-wwwb_85927

30https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/12/28/fermetures-de-lits-a-l-hopital-l-inquietude-remonte-chez-les-soignants_6064623_3224.html

31 https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/fermeture-urgences-hotel-dieu-non-sens-sanitaire-1891188.html

32 https://twitter.com/ClementLanot/status/1324708933076946945

33https://www.francetvinfo.fr/sante/politique-de-sante/hopital-les-images-dune-infirmiere-arretee-lors-d-une-manifestation-font-polemique_4011241.html

34 https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/cri-dagonie-de-la-psychiatrie-20210414_KEER442HNVCALDQUVED34UAPS4

Les hôpitaux privés sont restés sous-sollicités, alors qu’ils s’étaient préparés à un afflux de patients atteints du Covid-19 et ont eux-mêmes appelé à être réquisitionnés. Ainsi, ce ne sont pas moins de 10.000 lits qui étaient disponibles au plus fort de l’épidémie.35 Mais plutôt que d’y transférer les patients, on a préféré les envoyer par hélicoptère à l’autre bout du pays voire en Allemagne. Une stratégie qui interroge.

« Dans plusieurs régions, y compris parmi les plus touchées, des lits libérés restent vides ou sous-occupées. Les médecins et anesthésistes libéraux des établissements privés sont peu sollicités »36

Personnel soignant de la Fédération des cliniques et hôpitaux privés.

❌ “MENSONGE ! Fake news ! Non, 115.000 lits ne sont pas vides dans les cliniquesprivées alors que la seconde vague déferle !”, a tenté de démentir LCI, parmi tant d’autres médias.37

✔ Le scandale ne portait pas non plus sur 115.000 lits vides, ce chiffre n’ayant été avancé

que pour informer du nombre total de lits. Il n’en demeure pas moins que la plupart d’entre eux sont effectivement restés très peu sollicités. Le contenu même de l’article de LCI contraste d’ailleurs avec le titre fallacieux, puisque le média reconnaît par la suite que des “points de blocage ont eu lieu au début de la première vague, de l’aveu des acteurs concernés.”

Les déserts médicaux progressent en France, impactant un Français sur 10. Les délais insupportables conduisent souvent ceux-ci à renoncer à se soigner, l’unique recours étant de se rendre aux urgences et donc de contribuer à la saturation de celles-ci.38 L’atteinte à la liberté de prescription des médecins par l’état d’urgence sanitaire39 a aussi sans nul doute contribué à l’engorgement des hôpitaux.

Du fait de la priorisation sur les cas “positifs” de Covid, les hôpitaux sont amenés à déprogrammer la majeure partie des interventions pour d’autres maladies. L’Agence régionale de santé a fixé aux établissements un objectif de 80% de déprogrammation en Île-de-France.40

Une fois passé le premier pic de l’épidémie, les hôpitaux publics ont essayé de remplir les lits de réanimation et d’urgence pour pouvoir les garder du fait de la T2A.

« Les hôpitaux sont tellement à bout de souffle qu’ils mettent aujourd’hui en réanimation des patients qui ont simplement besoin de 3 litres d’oxygène. C’est du jamais vu. »41

Martine Wonner, médecin psychiatre et député du groupe Libertés et Territoires.

35 https://www.huffingtonpost.fr/entry/coronavirus-pourquoi-les-hopitaux-prives-sont-sous-sollicites-le-plan-blanc-lexplique-en-partie_fr_5e7c87aac5b6cb9dc19af6aa

36 https://www.cnews.fr/france/2020-03-31/en-pleine-urgence-sanitaire-pourquoi-des-cliniques-privees-sont-elles-vides-942173

37 https://www.lci.fr/sante/non-115-000-lits-ne-sont-pas-vides-dans-les-cliniques-privees-alors-que-la-seconde-vague-deferle-2169279.html

38 https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-757QOSD.htm

39 https://www.eurojuris.fr/categories/coronavirus-13013/articles/covid-19-et-prescription-hydroxychloroquine-39597.htm

40 https://www.lci.fr/sante/covid-19-cliniques-et-hopitaux-franciliens-appeles-a-deprogrammer-80-des-operations-2181529.html

41 https://www.youtube.com/watch?v=oMuRdxCSPCg

Des facteurs de risque

L’âge médian des personnes officiellement décédées du coronavirus est de 84 ans, avec un âge moyen de 81 ans. L’espérance de vie en France est de 82 ans. Les personnes de moins de 45 ans sont dans leur immense majorité (plus de 98%) épargnées.42

42 https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps

La grande majorité des patients en réanimation a plus de 60 ans. Un fait qui n’a été admis par les médias que lorsque le gouvernement a cherché des arguments pour convaincre les personnes âgées de se faire vacciner.43

Le taux de patients COVID-19 nouvellement hospitalisés par semaine et par classe d’âge selon la date d’admission, montre également un risque d’aggravation proportionnel à l’âge.

« Beaucoup de gens pensent à tort que les choses sont simples, par exemple qu’une maladie est la conséquence d’un unique facteur, ce qui est très rare. La mortalité du Covid-19, à part chez les gens qui ont une très faible espérance de vie, est très faible. La quasi-totalité des personnes sont décédées pour la plupart avec des comorbidités sévères. »

Pr Didier Raoult, épidémiologiste et spécialiste des maladies infectieuses.

43 https://www.lci.fr/sante/la-grande-majorite-des-patients-en-reanimation-ont-ils-vraiment-plus-de-60-ans-2174674.html

Une étude rapporte que les personnes obèses atteintes du Covid-19 risquent quatre fois plus d’en mourir, en particulier chez les hommes et les jeunes patients.44 Hélas, une autre étude rapporte que “le confinement, c’est aussi plus d’obésité”.45

Les statistiques de Santé Publique France arrêtées au 6 novembre 2020 et rapportés sur CNEWS.46 C’est factuel.

« 90% des patients en réanimation ont une comorbidité.
Moyenne d’âge des patients morts avec le Covid-19 en France : 81 ans. Cette moyenne d’âge correspond à celle de l’espérance de vie.
Un tiers des décès a eu lieu dans les Ehpads. 50 % des victimes avaient plus de 84 ans.
80 % des victimes avaient plus de 75 ans. 99,9 % des gens ont plus de 30 ans.
0,1 % ont moins de 20 ans, ce sont les fameux 28 morts sur 38.000 et surtout la majorité sont morts en réalité d’autres pathologies beaucoup plus graves.
Même chez les plus de 90 ans, le taux de survie est de 80 %, un nonagénaire a donc quatre chances sur cinq de s’en tirer.
83 % des gens en réanimation sont en surpoids.
Seuls 2 % des personnes décédées étaient âgées de moins de soixante ans et sans comorbidité connue »

Pascal Praud, un vrai journaliste.

Et si, au lieu d’enfermer tout le monde, on confinait les seules personnes à risque ?

Après avoir dans un premier temps demandé aux personnes les plus vulnérables et aux personnes âgées de rester confinées, le chef de l’État a rétropédalé, ne souhaitant finalement pas « de discrimination des personnes âgées ou fragiles » et appelant à la responsabilité individuelle.47 Par contre, les jeunes en bonne santé doivent accepter un vaccin qui les expose à plus de risque d’effets secondaires que la maladie elle-même. Ils diminuent leurs propres défenses immunitaires avec des gestes barrières antisociaux. Ils doivent se confiner pour ne pas saturer les hôpitaux et cotiser pour des retraites auxquelles ils n’auront probablement jamais accès.

La solidarité entre générations ne fonctionne apparemment que dans un seul sens !

44https://www.ouest-france.fr/sante/les-personnes-obeses-atteintes-du-covid-19-risquent-quatre-fois-plus-d-en-mourir-rapporte-une-etude-6937642

45 https://www.santelog.com/actualites/le-confinement-cest-aussi-plus-dobesite

46 https://twitter.com/boutaour/status/1325730485021134848

47https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-vrai-du-faux/faut-il-confiner-les-personnes-agees-les-nombreux-revirements-de-l-executif_4221507.html

Vraie ou fausse pandémie ?

Selon un rapport de commission d’enquête du sénat, les critères de définition d’une pandémie ont été modifiés par l’OMS un mois avant le passage en phase 6 de l’épidémie de grippe porcine A/H1N1 en 2009. Auparavant, une pandémie était définie par l’apparition de “plusieurs épidémies simultanées à travers le monde avec un grand nombre de décès et de maladies”. Cette dernière condition, le critère de gravité, a été supprimée et l’OMS en a modifié en catimini la définition sur son site Internet, sans changer la date affichée.48

La définition d’une pandémie est devenue : “propagation mondiale d’une nouvelle maladie”.49 Et, tout à coup, toute grippe commune et bénigne peut être transformée en pandémie par l’OMS.

Lors de son audition à la commission d’enquête de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg a estimé que la déclaration de l’état de pandémie, pour une grippe dont les chiffres étaient très faibles pour un niveau d’alarme disproportionné, a été rendue possible par le changement de définition. C’est parce qu’il était à la fois membre du parlement allemand et membre du conseil de l’Europe qu’il a eu le pouvoir d’exposer le canular. Les membres de la commission ont alors reconnu à l’unanimité le rôle qu’ont joué des firmes pharmaceutiques dans la gestion de l’épidémie par l’OMS et les États.50

« Le soin de définir une pandémie alarmante ne doit pas être soumis à l’influence des marchands de médicaments. »

Dr Wolfgang Wodarg, médecin et épidémiologiste allemand, ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Cela soulève la question de la gestion par l’OMS des conflits d’intérêts entre ses experts et l’industrie pharmaceutique. Contre toute attente, l’épidémie de grippe H1N1 a été qualifiée de “fausse pandémie” dans le rapport du sénat.

« La déclaration, le 11 juin 2009, par la directrice générale de l’OMS d’une pandémie de grippe A (H1N1)v – d’emblée considérée comme « de gravité modérée », « du moins dans ses premiers jours » – a rapidement suscité des critiques à l’égard de l’OMS, soupçonnée au mieux d’avoir surestimé le risque et recommandé aux États membres des mesures disproportionnées et d’un coût démesuré, au pire d’avoir « inventé » une pandémie sous l’influence des industries pharmaceutiques, désireuses de rentabiliser leurs investissements grâce à l’application des plans nationaux. »

Extrait du rapport du sénat sur la grippe A/H1N1.

L’escroquerie H1N1, déjouée par le Dr Wolfgang, montre que ce ne serait pas la première fois qu’une fausse pandémie serait fabriquée de toutes pièces par l’OMS, reprise avec une grande complaisance par les politiques de santé publique.

48 http://www.senat.fr/rap/r09-685-1/r09-685-111.html

49 https://www.who.int/csr/disease/swineflu/frequently_asked_questions/pandemic/fr/

50 https://www.humanite.fr/node/430467

Pour télécharger ou voir la suite :

https://drive.google.com/file/d/1oSHiNBEi91plxW15HciIV48V4HDXsLU5




Les relations troubles entre les journalistes et la CIA

[Source : Geopolintel via reseauinternational.net]

Pendant la crise du Covid bon nombre de spectateurs se sont interrogés sur les conflits d’intérêts des journalistes et des médecins avec les laboratoires pharmaceutiques.

BFM TV (Altice Europe NV) et le laboratoire GILEAD ont en commun de nombreux actionnaires.

Posons-nous la question de savoir si cette propagande anti-Raoult fait partie du Projet Mockingbird, liant à la fois les rédactions et les laboratoires à la CIA.

Officiellement, le Projet Mockingbird n’existe plus mais il semble que ce réseau soit toujours actif dans toutes les rédactions du monde.

La création du Projet « MOCKINGBIRD »

En 1948, l’agent de la CIA Frank Gardiner Wisner a été nommé directeur du Bureau des projets spéciaux pour créer le Projet Mockingbird (« oiseau-moqueur »), un programme visant à influencer les médias américains.

Wisner reçut l’ordre de créer une organisation dont l’un des objectifs principaux serait de créer la propagande.

L’OPC était financé par le détournement de fonds qui étaient destinés au « Plan Marshall ».

Une partie de cet argent fût utilisé pour soudoyer et corrompre les journalistes et les éditeurs.

Frank G. Wisner II (son fils) s’est marié en 1976 avec Christine de Ganay, divorcée de Pal Sarközy de Nagy-Bocsa. Elle est la mère d’Olivier Sarkozy (demi-frère du président Nicolas Sarkozy).

Olivier Sarkozy, banquier d’affaires vedette d’UBS, débauché par Carlyle :

Olivier Sarkozy, demi-frère de Nicolas Sarkozy, président de la république française, a rejoint une des plus grosses sociétés mondiales d’investissement, le groupe Carlyle…

« J’ai hâte de participer à cette aventure, et de faire de Carlyle un acteur de référence dans ce secteur d’investissement de plus en plus important », avance Olivier Sarkozy.

Carlyle doit son succès aux personnalités influentes comme James Baker, ancien secrétaire d’État de George Bush père, ou Frank C. Carlucci, ancien directeur adjoint de la CIA.

« Jusqu’en 1998, le Carlyle Group était inconnu en France. Il y contrôle pourtant une grande partie de la presse professionnelle.

À ces trois secteurs éminemment stratégiques sont venues se greffer les nouvelles technologies de l’information, les biotechnologies et l’industrie pharmaceutique »

Pascal Dallecoste Chercheur au LAREGE


Journalistes Occidentaux & CIA : « La CIA contrôle tout ! »

par Udo Ulfkotte.

Les révélations fracassantes d’un ancien rédacteur en chef allemand sur ses liens et ceux de la plupart des journalistes occidentaux avec la CIA.

Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung (l’un des plus grands quotidiens allemands), révèle qu’il a travaillé pour la CIA. Il affirme que tous les médias les plus importants sont contrôlés par la CIA et que celle-ci œuvre à une guerre avec la Russie… Fatigué de tromper ses lecteurs et effrayé par la guerre qui s’annonce, il a décidé de parler.



Udo Ulfkotte, un ancien rédacteur en chef d’un des plus grands quotidien allemand de grand tirage Frankfurter Allgemeine Zeitung, admet qu’il a travaillé pour la CIA.

« Je suis journalise depuis environ 25 ans et on m’a appris à mentir, à trahir et à ne pas dire la vérité au public », a dit Ulfkotte dans un entretien avec la chaîne Russia Today (RT). « J’ai été soutenu par la CIA, pourquoi ? Parce que je suis pro-américain ».

Il a décidé de dire la vérité au sujet des médias de masse complètement contrôlés par la classe financière parce qu’il a peur d’une guerre en Europe.

« Les médias allemands et américains essaient d’amener la guerre aux gens en Europe, d’amener la guerre en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, de construire une propagande contre la Russie ».

Ulfkotte a dit que la plupart des journalistes de la corporation médiatique aux États-Unis et en Europe sont « soi-disant des couvertures non-officielles », ils travaillent pour une agence de renseignement.

« Je pense que c’est particulièrement le cas pour les journalistes britanniques, parce qu’ils ont une relation bien plus étroite (avec leur service de renseignement). C’est très certainement le cas avec les journalistes israéliens et bien sûr les journalistes français… C’est également le cas avec les journalistes australiens, néo-zéalndais, taïwanais, bref, de beaucoup de pays ».

Operation Mockingbird (Opération « oiseau moqueur »)

La subversion par la CIA des médias de masse est très bien documentée. Dès 1948, l’ancien avocat de Wall Street Frank Wisner (NdT : le père du beau-père de Sarkozy…) a établi l’opération Mockingbird quand il était directeur de l’OSP (Office of Special Projects), qui allait devenir par la suite un département de la CIA. Cette opération avait pour but de convertir les médias en outil de propagande pour l’élite financière. Wisner engagea Philip Graham du Washington Post pour diriger l’opération et recruter des journalistes, beaucoup d’entre eux avaient travaillé pour le renseignement militaire durant la Seconde Guerre mondiale.

« Vers la fin des années 1950, Wisner ‘possédait’ des membres respectés du New York Times, de Newsweek, de CBS et autres véhicules de communication », écrit Deborah Davis dans son livre « Katharine the Great : Katharine Graham and the Washington Post ».

De 1953, l’opération fut dirigée par le directeur de la CIA Allen Dulles et balayait virtuellement toutes les grosses entreprises médiatiques incluant le New York Times (NdT : Nous avons dit sur ce blog depuis très longtemps que le New York Times était « la voix de la CIA »…), les magazines Time et Life, les équipes de journaux télévisés, particulièrement CBS News sous Philip Paley, en plus des journaux et chaînes de télévision d’information, la CIA contrôlait aussi Hollywood et la production des films.

« Les fichiers de la CIA documentent des arrangements de couverture additionnels avec ces organisations de presse entre autres : Le New York Herald Tribune, Saturday Evening Post, Scripps-Howard Newspapers, Hearst Newspapers, Associated Press (AP), United Press International (UPI), the Mutual Broadcasting System (MBS), Reuters, the Miami Herald », a écrit Carl Bernstein le célèbre journaliste de l’affaire du Watergate dans un article paru dans la revue Rolling Stone en 1977.

Des preuves de l’existence du réseau de la propagande de la CIA, son « puissant Wurlitzer » comme l’appelait Wisner, avaient été révélées dans les années 1970 suite aux révélations du comité d’enquête du sénateur Church (Church Committee). « La CIA entretient couramment un réseau de plusieurs centaines d’individus étrangers à travers le monde qui fournissent des renseignements à la CIA et parfois essaient d’influencer les opinions publiques au travers de l’utilisation de propagande cachée. Ces individus donnent à la CIA un accès direct à un grand nombre de journaux, magazines et périodiques, un grand nombre d’agences de presse, de stations de radios et de télévisions, d’entreprises de publication de livres, maisons d’édition et autres fonctions médiatiques étrangères », citait un rapport du comité du Congrès en 1976.

Comme le documente Alex Constantine, l’opération Mockingbird est toujours opérationnelle aujourd’hui sous une grande variété de déguisements. Un de ses plus grands géniteurs, Richard Mellon Scaife, vient juste de décéder.

CIA Media pousse pour une guerre catastrophique avec la Russie

Udo Ulfkotte s’est dévoilé parce qu’il a peur d’une guerre entre les États-Unis, l’Europe et la Russie.

« Les médias américains et allemands essaient d’amener la guerre en Europe, en Russie. C’est le point de non retour et je vais dire ce que j’ai à dire… Ce que j’ai fait dans le passé est mal, manipuler les gens, construire une propagande contre la Russie. Ce n’est pas juste ce que mes collègues font également, ce qu’ils ont fait dans le passé, parce qu’ils sont corrompus pour trahir le peuple, pas seulement en Allemagne, mais partout en Europe… J’ai très peur d’une nouvelle guerre en Europe et je ne veux pas avoir une fois de plus cette situation se produire, car une guerre ne vient jamais toute seule, il y a toujours des gens qui poussent à la guerre et ce ne sont pas seulement les politiciens, ce sont les journalistes également… Nous avons trahi notre lectorat, nous avons juste toujours poussé pour la guerre… J’en ai assez, j’en ai ras le bol de toute cette propagande. Nous vivons dans une république bananière et non pas dans un pays démocratique où nous aurions la liberté de la presse ».

Pour l’élite gouvernante, l’oligarchie financière en contrôle des États-Unis, la guerre est un outil fait sur mesure pour maintenir et centraliser le pouvoir ainsi qu’établir un ordre monétaire mondial. Aveuglée par son arrogance démesurée, l’élite croit qu’une guerre avec la Russie va mettre en échec les aspirations géopolitiques de cette nation, qu’ils perçoivent comme une menace, comme celles de la chine. Mettre en échec et défier la Russie est l’objectif de cette guerre en Ukraine, qui s’est mise en sourdine depuis quelques temps.

La Russie est parfaitement au courant de ce qui se trame et se prépare maintenant pour l’inévitable : une guerre thermonucléaire. Impensable il y a encore 2 ou 3 ans, la Russie est maintenant en train de considérer une refonte à très grande échelle de sa position militaire et de considérer (NdT : comme l’ont déjà fait les États-Unis…) la possibilité d’une première frappe nucléaire contre l’OTAN et les États-Unis.

« À mon avis, notre ennemi principal sont les États-Unis et l’OTAN », a dit le mois dernier le général Youri Yakoubov, vétéran du Ministère de la Défense russe.

Yakoubov a dit que la Russie avait fusionné ses forces aériennes et spatiales avec ses forces nucléaires aériennes, terrestres et maritimes.

« De plus, il est nécessaire de finement détailler les conditions sous lesquelles la Russie pourrait mener une frappe préemptive avec ses forces balistiques stratégiques », a-t’il dit.


Un journaliste allemand qui a dénoncé la CIA retrouvé mort

Udo Ulfkotte était le rédacteur en chef de l’un des plus grands journaux allemands, le Frankfurter Allgemeine Zeitung, lorsqu’il a publié son bestseller « Journalistes qui s’achètent » révélant comment la CIA contrôlait les médias allemands, un livre qui lui a coûté sa carrière – et peut-être sa vie.

L’ancien rédacteur en chef du Frankfurter Allgemeine Zeitung, l’écrivain Udo Ulfkotte est décédé à l’âge de 56 ans. Alors qu’il avait été interdit aux médias allemands d’évoquer sa personne ces dernières années, ils ont été obligés maintenant de constater que le journaliste avait succombé à une « crise cardiaque ».

Sa mort éveille d’autant plus de questions parce qu’il était surtout connu pour son livre-dénonciateur « Journalistes qui s’achètent » (« Gekaufte Journalisten »). Là, Udo Ulfkotte a dévoilé comment la CIA payait des journalistes en Allemagne, en France, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande pour qu’ils publient de fausses informations.

Le journaliste connaissait bien les menaces qu’il affrontait, mais croyait qu’il était mieux placé que la plupart des journalistes pour exposer la vérité puisqu’il n’avait pas d’enfants qui pourraient courir un risque. Dans un entretien au journal russe Russian Insider, le journaliste avait partagé :

« Quand j’ai exprimé au Frankfurter Allgemeine Zeitung mon intention de publier le livre, leurs juristes m’ont envoyé une lettre de menaces contenant toutes les conséquences légales dans le cas où je publierais certains noms ou secrets – mais moi, je n’ai pas eu peur. Vous comprenez, je n’ai pas d’enfants que je dois choyer ».

Craignant une guerre en Europe, il a pris la décision de dévoiler la vérité quant aux médias contrôlés par les services secrets.

« J’ai été journaliste pendant presque 25 ans, on m’a appris à mentir, à trahir, à ne pas dire la vérité au public », avait indiqué M. Ulfkotte à RT. « La CIA me soutenait, pourquoi ? Parce que j’étais pro-américain ».

Selon l’écrivain, les médias allemands et américains tentent d’amener la guerre en Europe mais aussi en Russie. C’est contre cette propagande médiatique qu’il s’est dressé avec son « Journalistes qui s’achètent » qui est devenu un bestseller. Un livre qu’il était interdit de mentionner dans les médias allemands.

M. Ulfkotte a lui-même contribué à la presse « achetée ». Par exemple, il a écrit une fausse histoire parlant du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi qui aurait construit des usines de gaz toxique en 2011.


Communiqué de presse

Jeu, 20 Décembre 2007

Altice et Cinven accueillent Carlyle comme nouvel actionnaire de Numericable et Completel
2007-153

Paris – The Carlyle Group, Cinven et Altice ont annoncé aujourd’hui que la société mondiale de capital-investissement The Carlyle Group allait devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel. The Carlyle Group et Cinven détiendront chacun 35% des deux sociétés et Altice 30%. Les détails financiers n’ont pas été divulgués.

Numericable exploite le premier réseau alternatif haut débit en France, couvrant près de 10 millions de foyers et fournissant des services de télévision haute définition, de vidéo à la demande, d’internet très haut débit et de téléphonie. Numericable est le premier opérateur à avoir déployé massivement son réseau de fibre optique en France. Ce réseau unique en fibre optique équipe déjà 2 millions de foyers et sera étendu à 8 millions de foyers d’ici 2010.

Completel offre des services différenciés aux entreprises en utilisant le plus grand réseau alternatif métropolitain d’accès en fibre optique et le troisième réseau DSL de France.

Patrick Drahi, Altice :

« Depuis 2002, grâce au soutien de ses actionnaires initiaux Pechel, SGCE et ING, au soutien exceptionnel de Cinven et de son équipe, ainsi qu’à l’expertise et au dévouement sans faille de ses employés, le groupe Numericable a pu construire une plateforme de services à la pointe des normes internationales de la technologie du câble. L’ensemble des résultats prometteurs que nous avons obtenus nous a permis d’accueillir à nos côtés l’un des fonds d’investissement les plus prestigieux de notre secteur, ce qui donnera à notre groupe un nouvel élan pour se positionner comme l’un des acteurs majeurs de la consolidation de l’industrie européenne du câble ».

Benoît Colas, directeur général de The Carlyle Group :

« Nous sommes très enthousiastes à l’idée de devenir un nouvel actionnaire de Numericable et Completel aux côtés d’Altice et de Cinven. Numericable et Completel ont de formidables opportunités de croissance sur les marchés résidentiels et d’entreprise grâce aux services uniques que leurs réseaux de fibre optique peuvent offrir. La profonde expertise de Carlyle dans le secteur des télécommunications et sa solidité financière seront des ressources importantes pour le développement futur du premier réseau à très haut débit en France ».

Nicolas Paulmier, Cinven :

« Cinven soutient Altice depuis 2004, période pendant laquelle le secteur français du câble s’est rapidement consolidé et a évolué. Nous sommes très heureux d’accueillir Carlyle à cette nouvelle étape du développement des télécommunications françaises, alors que le marché passe du haut débit au très haut débit, en avance sur tous les autres pays européens. Avec un actionnariat encore plus fort, Numericable est bien positionné pour poursuivre la consolidation du secteur français et européen des télécommunications ».

La transaction est soumise à l’approbation des autorités réglementaires et devrait être finalisée au premier trimestre 2008.


À propos d’Altice

Altice est un investisseur européen dans les médias et les télécommunications. À travers ses investissements, il détient des participations indirectes notamment dans Numericable, Est Videocom, Coditel et Completel. Fondé en 2002 par un groupe d’experts en télécoms, Altice est soutenu dans ses investissements par des fonds de private equity (Pechel SGCE, ING Belgique) et un groupe d’investisseurs privés.

À propos de Cinven

Cinven est l’un des investisseurs les plus importants et les plus performants sur le marché européen du rachat d’entreprises. Il a mené des transactions d’une valeur supérieure à 60 milliards d’euros. Depuis ses bureaux de Francfort, Londres, Milan et Paris, Cinven se concentre exclusivement sur la création de valeur dans des entreprises ayant leur siège en Europe, dont la valeur d’entreprise est d’au moins 500 millions d’euros et qui sont leaders sur leur marché ou ont un tel potentiel. Créée en 1977, la société est une entreprise totalement indépendante depuis 1995. Le quatrième fonds Cinven, qui a clôturé à 6,5 milliards d’euros en juin 2006, est à ce jour la plus grande source de capitaux privés dédiée uniquement aux rachats d’entreprises en Europe. Les investissements récents de Cinven comprennent Coor (540 millions d’euros), USP Hospitales (675 millions d’euros), Spire Healthcare (2 130 millions d’euros), Gondola (1 335 millions d’euros), Camaieu (1 500 millions d’euros), Phadia (1 285 millions d’euros), Avio (2 570 millions d’euros), Dutch Cable (5 450 millions d’euros) et Ahlsell (1 200 millions d’euros). Parmi les sorties récentes, citons Klöckner Pentaplast (1 300 millions €), United Biscuits (2 400 millions €) et MediMedia (1 100 millions €).


L’investisseur américain Carlyle a un œil sur la presse européenne

par Marc Roche.

Publié le 12 juin 1999

« Grâce à ses contacts politiques au plus haut niveau, Carlyle excelle dans les secteurs industriels dans lesquels les pouvoirs publics jouent un rôle de réglementation non négligeable », indique un analyste new-yorkais à propos du groupe d’investissement américain Carlyle, candidat à la recapitalisation du Figaro.

Fondée en 1987, cette société de capital-risque s’était jusque-là distinguée en prenant des participations majoritaires dans des compagnies généralement non cotées dont l’activité est souvent à la frontière du négoce et de la politique : aéronautique, défense, pétrole, télécoms et santé.

La « banque de la CIA »

Cela tient sans doute au profil des associés, des banquiers ou avocats du secteur privé passés au service public avant de se reconvertir dans la haute finance, aussi à l’aise dans les entreprises que dans les ministères. À l’instar de son président, Frank Carlucci, ancien secrétaire à la défense, de James Baker, ancien secrétaire d’État au Trésor, ou de Richard Darman, ex-directeur du budget.

Pour ses détracteurs, ce rôle de premier plan dans un milieu militaro-industriel washingtonien, où tout le monde se connaît et où la complicité est ancienne, a valu à Carlyle le surnom de « banque de la CIA ».

Si l’établissement de Pennsylvania Avenue, au cœur de la capitale fédérale, se veut politiquement neutre, son profil est plutôt conservateur, à voir les liens avec la dynastie financière Mellon et les membres de la famille royale saoudienne. Les personnalités de droite modérée dominent son conseil international, à l’exemple de l’ancien président Bush, de l’ex-premier ministre britannique John Major ou du vicomte Étienne Davignon, patron de la Société générale de Belgique. « Aux Etats-Unis, Carlyle s’est montré aventureux en s’intéressant aux compagnies de haute technologie au potentiel intéressant. Mais en Europe, il n’est pas question de prendre des risques. La banque a assuré aux investisseurs dans son fonds européen qu’elle se cantonnera à des participations dans les entreprises réputées », assure un expert londonien très au fait de la stratégie du Carlyle European Partners, le fonds européen lancé il y a un an et doté de 1 milliard d’euros de fonds propres.




“Un plan simple pour éradiquer le nouveau coronavirus de Belgique ” (Marc Wathelet)

[Source : Le Spécialiste (lespecialiste.be)]

par Marc Wathelet, docteur en sciences

Dans un courrier envoyé au Premier Ministre et au Ministre de la Santé publique, Marc Wathelet, le virologue bien connu comme lanceur d’alerte, propose “un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines” Il recommande la prescription de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19.


Monsieur le Premier Ministre, 

Monsieur le Ministre de la Santé publique,

Tout d’abord, je voudrais vous remercier d’avoir maintenu les mesures sanitaires nécessaires et de ne pas avoir succombé aux diverses pressions pour rouvrir prématurément.

Deuxièmement, je voudrais vous remercier de m’avoir mis en contact avec M. Frank Hulstaert du KCE. Cet excellent homme m’a invité à participer à une réunion avec d’autres chercheurs et cliniciens ayant pour objet la sélection des molécules à tester prochainement pour évaluer leur efficacité contre le SARS-CoV-2 chez les patients souffrant de la COVID-19.

Lors de cette réunion, j’ai présenté le cas de l’Ivermectine, le médicament que j’ai porté à votre attention le 16 novembre, et une décision sera prise lors de la prochaine réunion à l’initiative du KCE. Si l’Ivermectine devait être sélectionné pour le prochain lot d’essais commençant au début de 2021, nous pourrions obtenir des résultats peut-être déjà fin février. La réutilisation des médicaments existants est une stratégie intéressante car le profil d’innocuité de ces médicaments est déjà bien établi. Bien que le KCE soit l’organe approprié pour évaluer les médicaments repositionnables, il manque de financement, de temps et d’autorité en cette période de crise.

Éradiquons le virus de Belgique.

J’appartiens à un groupe de scientifiques et de médecins comptant plus de 7.000 membres dans le monde, demandant simplement aux autorités sanitaires de chaque pays d’examiner les données existantes indiquant que l’Ivermectine est efficace à la fois en mode prophylactique, pour prévenir la transmission du virus, et comme traitement curatif pour les patients COVID-19.

Je propose donc un plan simple qui éradiquerait le nouveau coronavirus de Belgique en moins de six semaines, ce qui serait extrêmement bénéfique à tous les niveaux: sanitaire, économique, social, psychologique et politique! Nous pourrions reprendre toutes les activités économiques et scolaires trois semaines après son initiation et le port du masque deviendrait inutile dans la plupart des contextes dès la sixième semaine.

Ce plan nécessite de voir l’opportunité que présente l’Ivermectine, et la volonté politique de prendre les décisions nécessaires pour transformer cette opportunité en réalité pour la Belgique. Il faudra, pour ce faire, un “leadership” sans faille au plus haut niveau.

Les preuves en faveur de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir la transmission et l’apparition de symptômes de la COVID-19 ainsi que pour en traiter les formes modérées et sévères ne cessent de s’accumuler, toutes les études sont uniformément positives et la réalité de la situation sanitaire a dépassé le stade où serait raisonnable d’attendre davantage de données encore avant d’agir, alors même que de trop nombreuses personnes continuent jour après jour à mourir de cette maladie en Belgique.

L’Ivermectine est très différente de l’hydroxychloroquine : c’est une molécule beaucoup plus efficace et, par ailleurs, déjà utilisée dans certains pays à la fois à titre préventif et comme norme de soins pour les formes modérées et graves de la maladie.

Aux États-Unis, le Dr Pierre Kory a récemment témoigné devant le Comité sénatorial de la sécurité intérieure, au nom d’un groupe de médecins de grand renom, de l’efficacité de l’Ivermectine pour prévenir et traiter la COVID-19 https://tinyurl.com/y6ah7u5d. Ils sont les auteurs d’un manuscrit passant en revue tous les essais cliniques terminés https://tinyurl.com/yyqbq8gw et d’une méta-analyse de toutes les études sur l’Ivermectine https://ivmmeta.com.

Je recommande dès lors, la conduite d’un essai clinique de toute urgence portant sur l’Ivermectine, à la fois comme méthode prophylactique et pour le traitement des formes sévères de la COVID-19. Indéniablement, ce médicament représente une opportunité exceptionnelle de délivrer la Belgique et le monde du SARS-CoV-2. Ne la gaspillons pas ; ne manquons pas cette opportunité offerte par une molécule présentant un profil de sécurité aussi exemplaire. Et puis même s’il devait s’avérer que ce médicament est inefficace contre la COVID-19, ce qui paraît extrêmement improbable compte tenu des preuves existantes, aucun préjudice significatif n’aura été occasionné.

Le rapport bénéfices / risques de l’utilisation de l’Ivermectine en mode prophylactique et comme traitement du COVID-19 est largement supérieur à celui de tout autre candidat médicament.

Le Ministre de la Santé publique a le pouvoir de mobiliser et de fédérer tous les acteurs concernés autour du plan ici proposé afin de lever tous les obstacles à sa mise en œuvre rapide. Ayons l’intelligence de reconnaître que parier sur l’Ivermectine est de loin l’option la meilleure et la plus sûre. Ayons le courage de notre conviction. Ne manquons pas cette occasion de montrer comment la Belgique peut s’unir pour le plus grand bien de chacun et, à travers les études proposées, ouvrir la voie à l’utilisation généralisée et rationnelle de l’Ivermectine, en Europe et dans le reste du monde, pour l’éradication du SARS-CoV-2.

Le plan d’action que je recommande et sa justification sont détaillés ci-dessous. En voici le résumé :

1) Le médicament lui-même doit être largement disponible dans toutes nos pharmacies et toute entrave administrative qui retarderait la distribution rapide de l’Ivermectine sous sa forme pour administration orale doit être supprimée sans délai.

2) Les autorités compétentes de tous les hôpitaux du pays doivent être impliquées pour l’organisation rapide de l’essai clinique de prophylaxie parmi leur personnel soignant et de l’essai thérapeutique pour les cas graves. Les critères de randomisation, incluant notamment les activités spécifiques de ces travailleurs, doivent être définis et la distribution randomisée des médicaments doivent être mise en œuvre sans délai. Plus vite nous agirons, plus vite nous pourrons mener une vie libérée de ce virus.

3) Un registre doit être ouvert pour collecter des données sur l’utilisation de l’Ivermectine par les médecins généralistes.

4) Le nombre de tests doit être augmenté pour parvenir à un taux de positivité inférieur à 3%. Les foyers d’infection doivent être retracés rapidement et l’Ivermectine doit être administrée sans tarder aux personnes infectées et à leurs contacts quotidiens. Des équipes dédiées doivent être prêtes pour ce faire.

Indépendamment de l’Ivermectine, les groupes d’individus les plus à risque de développer une forme sévère, en raison de leur âge ou de leurs comorbidités, auraient intérêt à compléter leur alimentation par un apport de vitamine D (2000 à 5000 UI par jour), de vitamine C (500 mg par jour) et de zinc (50 mg par jour). Cette recommandation devrait faire l’objet d’une communication claire et répétée à destination des personnes concernées et de ceux qui les soignent.

Je reste à votre disposition pour répondre à toutes vos demandes d’informations complémentaires et, le cas échéant, pour prendre part activement à la mise en œuvre de ce plan.

Veuillez agréer, Monsieur le Premier Ministre, Monsieur le Ministre de la Santé publique, l’expression de mes salutations distinguées.

Marc Wathelet, docteur en sciences

Annexes

Plan spécifique pour éradiquer le SARS-CoV-2 de Belgique en 6 semaines.




Le dépeuplement et le vaccin à ARNm

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Peter Koenig

Le New York Times prévoit une réduction massive de la population

Étonnamment, le New York Times – 22 mai 2021 – prévoit une réduction massive de la population au cours des prochaines décennies.

« Les cris de bébés sont de la partie.
Plus de maisons abandonnées.
Vers le milieu de ce siècle, alors que les décès commenceront à dépasser les naissances, des changements difficiles à comprendre viendront. »

Capture d’écran de l’article du NYT

Et –

« Partout dans le monde, les pays sont confrontés à la stagnation démographique et à un effondrement de la fécondité, un renversement vertigineux inégalé dans l’histoire enregistrée qui rendra les fêtes de premier anniversaire plus rares que les funérailles, et les maisons vides une plaie oculaire commune. »

Et il continue,

« Les maisons de maternité ferment déjà en Italie. Des villes fantômes apparaissent dans le nord-est de la Chine. Les universités de Corée du Sud ne trouvent pas assez d’étudiants, et en Allemagne, des centaines de milliers de propriétés ont été rasées, et la terre a été transformée en parcs. »

Est-ce que tout cela est vrai ? Cela reste à vérifier. Un oubli ?

À aucun moment, l’article ne mentionne la nature eugéniste de la réduction délibérée de la population, en relation avec la pandémie de covidés, la campagne de vaccination forcée et, par de nombreux témoignages, toxique, avec un non-vaccin, mais plutôt une nouvelle « thérapie génique » de type ARNm totalement non testée que les CDC américains ont autorisée à appliquer comme « mesure d’urgence » dans ces circonstances désastreuses d’une pandémie, qui manque en fait toutes les caractéristiques d’une pandémie, mais doit être pompée pour la faire apparaître comme une pandémie – avec littéralement presque tous les décès provenant de toutes les causes – même les accidents de voiture – peuvent être – et « doit » être classé comme décès par covidé.

Aux États-Unis, les hôpitaux sont payés 13 000 dollars pour chaque patient diagnostiqué par covidé et 39 000 dollars pour chaque « patient covidé » mis sur un ventilateur. Plus tôt cette année, les médecins de New York sont arrivés à la conclusion que plus de 80 % des patients souffrant de ventilateur ne survivent pas au ventilateur. Voyez ceci.

Mais, quoi qu’il en soit – l’ « assouplissement » actuel des restrictions sur les covidés que connaissent les États-Unis et de nombreux pays européens, fait ressortir le bonheur, les sourires, la pensée festive et le sentiment joyeux de la population – dans l’espoir ferme que la pandémie est terminée. Ce n’est peut-être qu’une ruse et un prélude à bien pire à venir. J’espère que ce soupçon est faux.

Bien qu’il n’y ait pas de preuve concrète, on a l’impression qu’avec l’arrivée tardive de l’automne dans l’hémisphère nord, nous allons être frappés par une « nouvelle » variante fabriquée en laboratoire – beaucoup plus forte, qui nécessite des mesures gouvernementales de plus en plus oppressives et dictatoriales, davantage de vaccinations forcées avec une thérapie génique qui pourrait affecter le système neurologique de l’humanité. (Pour plus de détails, voir Confirmation que le vaccin Pfizer cause des maladies neurodégénératives)

Le NYT s’efforce d’expliquer pourquoi la population mondiale entre en recul et en déclin pur et simple, sans jamais mentionner la Covid et le programme mortel infâme.

« Bien que certains pays continuent de voir leur population augmenter, en particulier en Afrique, les taux de fécondité diminuent presque partout ailleurs. Les démographes prédisent maintenant que d’ici la seconde moitié du siècle ou peut-être plus tôt, la population mondiale entrera dans un déclin soutenu pour la première fois. »

Pourquoi le taux de fécondité diminuerait-il soudainement dans les pays « développés » ? Parce que les gens se rendent compte que pour sauver la planète, le monde a besoin de moins, beaucoup moins de « mangeurs » et de consommateurs ? – Ou plutôt a-t-il quelque chose à voir avec les faux « vaccins » Covid-19 largement contraints ? – voir Dr. La vidéo de Mercola ci-dessous.

N’est-ce pas précisément ce que le clan Gates-Rockefellers-Kissinger et al a à l’esprit ?

Est-ce la raison pour laquelle les injections de type ARNm – l’approbation d’urgence des CDC en tant que « thérapie génique » – comprennent des composants antifertilité et stérilisation ?

Et – pouvez-vous l’imaginer – les CDC ont récemment recommandé d’administrer cette « injection de génique non éprouvée et non testée aux femmes enceintes, alors que jamais auparavant et en aucun cas les femmes enceintes ne devraient recevoir de médicament « expérimental » non testé.

En fait, le taux d’avortement des femmes enceintes recevant l’inoculation de type ARNm peut atteindre 30 % – probablement considérablement plus élevé si l’on tient compte des cas non déclarés. Écoutez le Dr. Joseph Mercola.[en anglais]

Il y a la notion générale que le covid n’est pas une question de santé ou d’immunité, mais plutôt de dépeupler le monde ; un programme eugéniste, si vous préférez. Mike Whitney exprime une vision claire dans quelle direction va cette campagne inutile de vaccination contre la Covid-19. Cela n’a rien à voir avec la protection de la santé de la population. Au contraire. Il s’agit de dépeuplement. Ces deux citations disent tout.

« Il n’y a absolument pas besoin de vaccins pour éteindre la pandémie… Vous ne vaccinez pas les personnes qui ne sont pas à risque de contracter une maladie. Vous ne prévoyez pas non plus de vacciner des millions de personnes en forme et en bonne santé avec un vaccin [expérimental] qui n’a pas été largement testé sur des sujets humains. »

Le Dr. Mike Yeadon PhD, ancien vice-président et scientifique en chef de Pfizer pour les allergies et les maladies respiratoires. 

« Ce que nous savons sur le coronavirus grâce à 30 ans d’expérience, c’est qu’un vaccin contre le coronavirus a une particularité unique, c’est-à-dire que toute tentative de fabrication du vaccin a abouti à la création d’une classe d’anticorps qui rendent réellement les personnes vaccinées plus malades lorsqu’elles souffrent finalement d’une exposition au virus en question. » 

Robert F. Kennedy Jr.

Le NYT cite Frank Swiaczny, un démographe allemand qui était chef des tendances et de l’analyse démographiques pour les Nations Unies jusqu’à l’année dernière :

« Un changement de paradigme est nécessaire. Les pays doivent apprendre à vivre avec [un déclin démographique] et à s’y adapter. »

Pour renforcer ce changement de paradigme – et le faire apparaître – et vous convaincre, le lecteur, qu’il s’agit d’un phénomène normal et imparable, le NYT vous prédit, ou plutôt vous effraie, en spéculant / anticipant,

« Les ramifications et les réponses ont déjà commencé à apparaître, en particulier en Asie de l’Est et en Europe. De la Hongrie à la Chine, de la Suède au Japon, les gouvernements luttent pour équilibrer les demandes d’une cohorte vieillissante en plein essor avec les besoins des jeunes dont les décisions les plus intimes en matière de procréation sont façonnées par des facteurs à la fois positifs (plus de possibilités d’emploi pour les femmes) et négatifs (inégalité persistante entre les sexes et coût élevé de la vie). »

Nous savons qu’il s’agit d’un faux prétexte, et c’est un argument totalement fabriqué pour vous faire regarder dans l’autre direction, alors que dans deux à trois ans, vous pourrez voir mourir massivement de personnes bien en deçà de l’espérance de vie statistique moyenne.

Nous le savons tous, l’inégalité entre les sexes persiste dans l’Ouest depuis au moins 2000 ans. Et, bien que le coût de la vie n’ait cessé d’augmenter au cours des 50 premières années après la Seconde Guerre mondiale dans les pays industrialisés, il a plutôt stagné au cours des deux dernières décennies. Au contraire, dans certains cas – États-Unis, Europe – une tendance plutôt déflationniste est apparue. Un signe clair pour cela, ce sont les taux d’intérêt négatifs dans de nombreux pays industrialisés. Donc, le NYT essaie de vous faire croire ce qui est faux – tout cela pour justifier sa « prédiction » d’une réduction massive de la population ; pour vous habituer au diabolique plan Covid – et peut-être pour semer juste un peu de peur.

Comme les « vaccins » de l’ARNm sont expérimentaux, il n’y a pas d’antécédents sur la capacité du corps de se débarrasser des effets secondaires désastreux, comme la coagulation sanguine, conduisant à la thrombose, à une éventuelle paralysie et à la mort.

Selon les prévisions scientifiques, les injections d’ARNm affectent le génome humain et il est fort probable que le corps ne se désintoxique jamais de ce qui affecte l’ADN.

Si cette hypothèse est correcte, cela signifie, en bref, que vous ne serez plus jamais la même personne et que votre santé peut être affectée négativement pour le reste de votre vie. Il s’agit, sans aucun doute, d’un crime de génocide de masse contre l’humanité.  Cela coïncide avec les vues du Dr Joseph Mercola – voir ci-dessus, ainsi qu’avec celles du Dr. Sucharit Bhakdi sur la coagulation sanguine et ses conséquences désastreuses pour la santé, c’est-à-dire qu’elle peut entraîner des attaques cérébrales, des paralysies et la mort.

Dans le même ordre d’idées Vaccine Impact du 23 mai 2021 fait référence à cinq médecins réputés, qui discutent de la transmission du virus entre les personnes ayant reçu le vaccin à ARNm et celles qui n’ont pas été vaccinées. Ces scientifiques sont tous d’accord pour dire que si l’on ne réalise pas que ces vaccins sont conçus comme des armes biologiques dans le but de réduire la population mondiale, on ne comprendra jamais complètement ce que ces vaccins et Big Pharma sont capables de faire et comment prendre des mesures pour se protéger.

Le NYT nous prépare doucement à ce crime, qualifiant ce prochain « dépeuplement » de phénomène naturel, en raison d’un changement démographique – auquel on peut s’attendre en raison de notre « style de vie abondant » occidental, et du changement climatique causé par l’homme (mea-culpa, mea-culpa), entraînant une réduction des récoltes – famine – dans le monde en développement ou dans les pays du Sud global.

« Il s’agit d’une guerre mondiale intentionnelle contre le sang humain », selon le Dr. Sherri Tenpenny et la lauréate du prix Nobel, le Dr. Luc Montagnier, ainsi que le Dr. Mike Yeadon, ancien vice-président et chef de Pfizer Science – et d’autres.

« Les injections tueront et n’arrêteront jamais de tuer. »

Le Dr. Montagnier, parmi les meilleurs virologues du monde, prévoit une espérance de vie considérablement réduite pour beaucoup de ceux qui ont pris l’ »injection mortelle ».

Voir les dernières données officielles sur les décès et blessures [séquelles] par vaccin pour l’UE (de la fin décembre 2020 au 22 mai 2021)

Il y a des raisons et des causes à la fois médicales et économiques pour une population mondiale considérable sur lesquelles le NYT nous alerte.

Pourquoi feraient-ils cela ?

Pour nous préparer à l’un des crimes les plus horribles de l’histoire moderne de l’humanité. : Inventer (c’est-à-dire d’origine humaine) un coronavirus  invincible.

Après une décision du Forum économique mondial (FEM), en janvier 2020, l’OMS a appelé le virus en janvier 2020 d’abord le SRAS-CoV-2 – du nom du virus du SRAS qui a frappé la Chine à partir de 2002-2003, puis, quelques semaines plus tard, l’OMS a rebaptisé cette « bête » invisible – instrument de fabrication de la peur – Covid-19.

Le choc soudain d’être exposé à une épidémie mondiale et à une pandémie (selon les nouveaux critères soudains de l’OMS) a créé une pandémie de peur en vertu de laquelle les gens sont vulnérables et acceptent tout – pratiquement dans l’espoir que le danger mortel disparaisse.

C’est ainsi qu’en vertu d’une décision du FEM, l’OMS a déclaré cette maladie, en fait mineure, le 11 mars 2020 comme une pandémie, alors qu’il n’y avait que dans le monde entier, selon les statistiques de l’OMS, que 44 279 cas positifs et 1 440 décès en dehors de la Chine. La peur a augmenté et la « doctrine du choc » a fonctionné. Les 193 pays membres de l’ONU ont accepté le verrouillage total de la mi-mars 2020 – et ce sans justification médicale. 

« The Shock Doctrine » (2007), de Naomi Klein, décrivant comment le capitalisme du désastre profite des situations de choc, naturelles ou provoquées par le mandat, pour mettre en œuvre de nouvelles règles et réglementations, qui autrement n’auraient pas été facilement acceptées.

Un autre exemple est le Patriot Act américain qui était en préparation depuis des années, bien avant le 11 septembre ; il n’attendait qu’une catastrophe – c’est-à-dire le 11 septembre – pour être adopté à la hâte et accepté par le Congrès américain. Il a supprimé environ 80 % des libertés des personnes et a converti les lois du pays en une loi martiale permanente – et il est toujours applicable aujourd’hui, même avec quelques ajouts pratiques pour l’élite financière régnante.

Imaginez ! Les 193 pays membres de l’ONU à la fois – une impossibilité épidémiologique. Pourtant, les gens du monde entier ont accepté la nouvelle règle – qui a finalement détruit l’économie mondiale, l’a décimée au point où les petites et moyennes entreprises ont été littéralement anéanties, mettant les chômeurs dans la rue, se débrouillant pour survivre, augmentant les taux de pauvreté dans le monde de manière exponentielle.

Le chômage et la famine ont explosé.

La conséquence, en particulier dans les pays du Sud global, le désespoir, la souffrance d’être sans abri, sans nourriture – conduisant souvent au suicide et, sinon à la mort par famine. Cependant, ces quelques milliardaires au sommet, qui prétendent bientôt gouverner l’Ordre mondial unique, ont augmenté leur fortune combinée en quelques mois seulement de quelque 200 milliards de dollars.

Le Programme alimentaire mondial – le PAM a estimé que la population totale souffrant d’une famine aiguë était de plus d’un quart de milliard (265 millions) d’ici la fin de 2020, environ la moitié d’entre eux sont liés aux covidés – et augmentent régulièrement. « Ces nouveaux chiffres montrent l’ampleur de la catastrophe à laquelle nous sommes confrontés », déclare le PAM. Beaucoup d’entre eux ne survivront pas, mais les chiffres précis ne sont pas connus. Au fil du temps, ils deviendront catastrophiques, entraînant des centaines de milliers de décès. C’est le résultat de la criminalité élevée de la supra-cabale diabolique qui a inventé l’Agenda ID2020, l’Agenda 2030 de l’ONU, la Grande Réinitialisation [The Great Reset] – une souffrance mondiale criminelle, en particulier pour les personnes déjà pauvres et vulnérables.

Selon le Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste allemand, et comme le rapporte The New American le 16 avril 2021 dans un article intitulé « Covid shots to Decimate the World Population ».

Le Dr Bhakdi avertit que l’hystérie du COVID est basée sur des mensonges et que les « vaccins » COVID, en particulier le type ARNm, sont prêts à provoquer une catastrophe mondiale et une possible décimation de la population humaine.

Le Dr Bhakdi explique tout d’abord que le test PCR a été utilisé de manière abusive pour susciter la peur d’une manière non scientifique..

Ensuite, il explique ce que les vaccins à ARNm vont faire au corps humain.

Il s’attend notamment à une coagulation sanguine mortelle massive [déjà survenant] ainsi qu’à des réponses du système immunitaire qui détruiront le corps humain.

Enfin, Bhakdi, qui a nous mis en garde contre une « catastrophe » imminente lors d’une interview de Fox News, vidéo qui est devenue virale. Il en appelle à des poursuites pénales contre les responsables et à l’arrêt immédiat de cette expérience mondiale. Voir ce qui suit.

Cela fournit un certain contexte pour l’article du NYT – contexte que, bien sûr, le New York Times ne mentionne pas. Il semble que le souci du Times soit avant tout d’avertir et de préparer les gens à ce qui pourrait arriver, mais aussi de répandre la peur, de rendre les gens plus vulnérables, plus faibles, de briser encore plus le système d’autodéfense humain. Le type de langage utilisé dans l’article du NYT laisse un lecteur innocent sans défense, dans la crainte de « céder à ce qui pourrait arriver ». C’est précisément ce qu’ils veulent

Une perspective positive

Cependant, il y a de l’espoir. L’article du NYT ne mentionne pas l’ »Espoir ». La meilleure façon pour l’humanité de répondre à la menace planétaire Covid est de résister collectivement par tous les moyens à la vaccination et de s’opposer activement à la numérisation de vos données personnelles ainsi que de votre argent.

Vous résisterez ainsi à l’emprise de l’intelligence artificielle et à l’asservissement par une super élite financière.

Nous avons clairement en nous le pouvoir de vaincre cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans exception. Il s’agit de croire en nous-mêmes, en la force de la pensée collective positive et aimante – et en la puissance de la solidarité.

Nous avons clairement le pouvoir en nous de surmonter cette tyrannie diabolique qui plane sur nous – presque partout dans le monde sans faute. Il s’agit de croire en nous-mêmes, collectivement, en la force de la pensée positive et de l’amour  – et en la puissance de la solidarité.

Peter Koenig


Article original en anglais :

Depopulation and the mRNA Vaccinele 15 juin 2021. Publié pour la première fois le 28 mai 2021.

Traduction par Maya pour Mondialisation.ca

Peter Koenig est analyste géopolitique et ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il travaille depuis plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde entier. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur d’Implosion – Un thriller économique sur la guerre, la destruction de l’environnement et la cupidité des entreprises ; et coauteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sternues: From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1 novembre 2020)

Il est associé de recherche au Centre de recherche sur la mondialisation.

La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © Peter Koenig, Mondialisation.ca, 2021