Violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de la crise Covid

[Source : Me Virginie De Araujo-Recchia, avocate au barreau de Paris]

À TOUS LES MEMBRES DE NOS FORCES PUBLIQUES NATIONALES,
Cette lecture a pour objet de vous exposer l’ensemble des violations de la loi commises par nos gouvernants depuis le début de cette crise.

En effet, notre État de droit s’est gravement et fortement dégradé depuis plus d’un an et demi.

Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d’un État d’urgence sanitaire, qui en réalité n’a rien de sanitaire.

Depuis la publication de la loi d’urgence,(([1] Loi n° 2020-290 du 23mars 2020 dite loi d’état d’urgence sanitaire pour faire face à l’épidémie de covid-19)) des ordonnances, décrets, lois de prorogation ont été appliqués sans qu’aucun pouvoir n’ait été en mesure de remettre en cause le caractère inconstitutionnel des mesures prises.

En ce sens, la séparation des pouvoirs n’existe plus :

  • puisque toutes les décisions sont prises en Conseil de défense,
  • puisque le Parlement ne peut plus exercer son contrôle sur l’activité du gouvernement prévu à l’article 24 de la Constitution et que la majorité présidentielle suit aveuglément les consignes,
  • que le Conseil constitutionnel omet de censurer l’ensemble des textes portant gravement atteinte au blocs constitutionnel et conventionnel. Ce fut encore le cas le 5 août, sans apporter de réponses à bon nombre d’arguments juridiques pourtant soumis au Conseil constitutionnel.
  • et que la justice administrative ne fait plus office de rempart.

Or d’après l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

En efeft, le pouvoir exécutif, sa majorité présidentielle et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple :

Violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d’aller et venir et violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation en interdisant de sortie du domicile par des mesures de confinement forcé l’ensemble des citoyens sans distinction et sans justification d’ordre médical, ces citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l’ordre public.

En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l’Habeas Corpus figurant à l’article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.

Conformément à l’article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle.

L’article 9 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 le rappelle ainsi:

« Tout homme étant présumé innocent jusqu’à ce qu’il ait été déclaré coupable, s’il est jugé indispensable de l’arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s’assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi ».

De même l’article 5 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789 rappelle que la loi n’a le droit de d’interdire que les actions nuisibles à la Société. Le reste ne peut être interdit.

Je me dois de dénoncer haut et fort cette injustice faite aux français lorsque l’on sait que les critères de proportionnalité et d’utilité de ces mesures ne sont pas remplis puisque plus de vingt-cinq études scientifiques viennent démontrer que les mesures d’interdiction de sortie du domicile sont nocives pour la santé, la société et pour l’économie du pays.

  • Violation du principe général du droit de mener une vie familiale normale par l’interdiction d’aller rendre visite à un proche en EPHAD, la restriction de la possibilité d’assister aux funérailles et d’interdire toute possibilité de se réunir en famille.
  • Violation de la liberté d’entreprendre et atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation mettant ainsi en grave danger les petites et moyennes entreprises. Les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l’habillement, le secteur de l’esthétique, le secteur du tourisme, le secteur de l’évènementiel et bien d’autres encore qui seront prochainement en liquidation.
  • Violation du droit de manifester et de se rassembler : violences à l’encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester.
  • Violation du droit à l’éducation. Contraints à un enseignement à distance, les élèves et étudiants sont en décrochage massif et bon nombre sont en dépression.
  • Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les Églises de France et autres lieux de culte en début de crise.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en rendant le port du masque obligatoire en toutes circonstances sans qu’aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure. Plus d’une quinzaine d’études scientifiques rappellent l’absence de bénéfices ou pire la nocivité du port du masque.
    Il s’agit de torture et de maltraitance dès le plus jeune âge, puisque l’étouffement est une violence physique réprimée par le Code pénal.
    Des actes qualifiables de crime contre l’humanité, portant atteinte à l’intégrité physique, psychique et morale des enfants et des adultes et plus globalement à leur bien être ont été commis en toute impunité.
  • Violation de l’intégrité physique, psychique et morale de l’ensemble des citoyens en les manipulant via les médias grand public et des scientifiques de plateaux présentant bien souvent des conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutique.

En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à tester le degré d’obéissance ont été employées par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram menées en vue de mesurer le niveau d’obéissance à un ordre contraire à la morale.

  • Homicides en injectant du Rivotril aux personnes les plus âgées, qui auraient pu être soignées.
  • Euthanasie organisée par certaines Agences régionales de santé (ARS) qui ont géré la crise en décidant de faire du tri des patients en fonction de critères arbitraires déterminés à l’avance (notamment en fonction de l’âge) au lieu d’augmenter la capacité de lits.
  • Homicide et non-assistance à personne en danger en organisant l’absence de soin et en interdisant aux médecins de prescrire des traitements connus et reconnus à travers le monde comme étant efficaces contre la maladie.
  • Terrorisme d’État en se procurant des produits qualifiés à tort de vaccins et qui peuvent être plus dangereux pour la santé que la maladie elle-même.

Il s’agit de produits pharmaceutiques, encore en phase d’expérimentation, injectés souvent sans consentement libre et éclairé, au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d’Oviedo. Le pouvoir exécutif a rendu ces injections obligatoires pour les enfants à partir de 12 ans et a imposé des tests en milieu scolaire au mépris d’une décision du Conseil constitutionnel de 2019.

Par conséquent, en se procurant ce type de produit à injecter, lequel est de nature à créer un danger pour les citoyens français et en les rendant obligatoires à tous, ne serait-ce que par la terreur et la peur, alors que des traitements médicaux existent et sont suffisants pour soigner la maladie covid-19, le pouvoir exécutif se rend coupable d’acte de terrorisme et de génocide.

Les propos du médecin militaire Dr Lee Merrit MD sont très éclairants: les vaccins ARNm et ADN sont potentiellement des armes biologiques.(([2] https://odysee.com/@NeufdeCoeur:1/lee-merrit:8
http://www.profession-gendarme.com/81506/))

  • Terrorisme d’État et escroquerie en bande organisée
    • en utilisant des tests RT-PCR non fiables qui ne font pas même la différence entre la grippe et le SARS-Cov2 d’après l’administration de santé américaine, afin de justifier les mesures liberticides mises en place,
    • en manipulant le nombre de décès et
    • en modifiant arbitrairement le taux de pression épidémique sans autre raison que celle de justifier l’ensemble des mesures liberticides.

Par ailleurs, deux récents rapports viennent démontrer qu’il n’y a pas eu de surmortalité en 2020 en réalité. Par conséquent, l’état d’urgence sanitaire n’a aucune raison d’être maintenu.

  • Tentative d’empoisonnement ou empoisonnement (Art 221-5 du Code pénal)

Les médecins alertent concernant les nombreux cas d’accidents vasculaires cérébraux, thromboses, crises cardiaques, fausses-couches, risques de stérilité, dégénérescence, myocardites chez les jeunes, suite à l’injection.

Données EudraVigilance : 2 000 000 d’accidents et effets secondaires en Europe et plus de 20 000 décès sachant que les déclarations représentent une infime partie de la réalité.

Des centaines de scientifiques éminents, à travers le monde, alertent contre les dangers de ces injections et appellent à un arrêt immédiat de la campagne, puisqu’en temps normal 25 à 50 décès auraient entraîné l’arrêt immédiat d’un essai clinique.

Toutes ces informations sont parfaitement connues des autorités de santé et des responsables des administrations impliquées.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias, tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité est désormais manifeste.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français se voient désormais forcés de recevoir l’un de ces produits dangereux.

Les qualifications juridiques principales sont donc les suivantes :

Terrorisme d’Etat:

D’après l’article421-1 du Code pénal, constituent des actes de terrorisme, lorsqu’elles sont intentionnellement en relation avec une entreprise individuelle ou collective ayant pour but de troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur, les infractions suivantes : Les atteintes volontaires à la vie, les atteintes volontaires à l’intégrité de la personne, psychique, physique et morale.

L’ordre public est l’état social idéal caractérisé par «le bon ordre, la sécurité, la salubrité et la tranquillité publiques», la moralité publique et la dignité de la personne humaine.

Le Conseil constitutionnel fonde la « sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toute forme d’asservissement et de dégradation » sur le premier alinéa du préambule de la Constitution de 1946.

« Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. »

Ceci a été totalement occulté.

Atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation :

Les intérêts fondamentaux de la Nation sont comme vous le savez : l’intégrité de son territoire et sa sécurité, la sauvegarde de sa population, des ressources naturelles, économiques et culturelles.

D’après l’article 68 de la Constitution, le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat.

Or, par définition, il est de son devoir, ainsi que de celui du gouvernement, de veiller à ce qu’il ne soit pas porté atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation et de protéger sa population.

Génocide:

D’après l’article 211-1 du Code pénal constitue un génocide le fait, en exécution d’un plan concerté tendant à la destruction totale ou partielle d’un groupe national, ethnique, racial ou religieux, ou d’un groupe déterminé à partir de tout autre critère arbitraire ,de commettre ou de faire commettre, à l’encontre de membres de ce groupe, l’un des actes suivants : atteinte volontaire à la vie ; atteinte grave à l’intégrité physique ou psychique ;soumission à des conditions d’existence de nature à entraîner la destruction totale ou partielle du groupe.

Je rappelle à ce titre qu’une plainte pour génocide a été déposée le 1er décembre 2020 par Madame BONNY, un ancien médecin militaire formé aux maladies infectieuses et à la prise en charge de catastrophes sanitaires.(([3] https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-penale-pour-genocide-des-francais-contre-macron-ses-ministres-et-son))


Quelles sont les conditions qui interdisent à un fonctionnaire d’exécuter un ordre ?

La loi du 13 juillet 1983(([4] Art.28 de laloi n°83-634 du13 juillet1983)) dispose que le fonctionnaire doit exécuter les ordres SAUF dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public:

Il en est de même concernant les militaires, conformément à l’article L4122-1 du Code de la Défense.

A toutes fins utiles:

  • D’après l’article 73 du Code de procédure pénale, dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche.
  • D’après l’article 10 de la Déclaration des défenseurs des droits de l’homme et des libertés fondamentales de l’ONU en date du 8 mars 1999 (Résolution A/RES/53/144

– 53ème session):

« Nul ne doit participer à la violation des droits de l’homme et des libertés fondamentales en agissant ou en s’abstenant d’agir quand les circonstances l’exigent, et nul ne peut être châtié ou inquiété pour avoir refusé de porter atteinte à ces droits et libertés. »

Je remercie tous les membres de nos forces publiques nationales de leur écoute.


Aux manifestants

Il est IMPÉRATIF que la manifestation d’aujourd’hui se déroule pacifiquement. Ne tombez SURTOUT PAS dans le piège qui nous est tendu depuis des semaines, à force de propos médiatisés appelant à la discrimination, la violence et la haine.

Restons pacifiques, déterminés, et refusons toute forme de violence contre les personnes ou les bien. Si nous souhaitons que notre appel soit entendu par les forces vives de la nation, dont la mission est de nous protéger, il faut impérativement que notre action soit pacifique.




État de droit ou État Dépravé ?

Par Claude Janvier

Dupont-Moretti s’est fendu d’un tweet le 5 août 2021 à 10 h et je cite :

« non, nous ne sommes pas dans une dictature, mais dans un État de droit ! Ceux qui hurlent après le Conseil constitutionnel pour sa décision sur le #PassSanitaire l’auraient encensé s’il les avait confortés. Contrairement à leurs convictions, le droit, lui, ne peut être manipulé. »

Ce genre de rhétorique fleure bon la droiture, l’équité, l’intégrité, l’éthique ! Un état de droit… Sonnez buccins et trompettes !

La réalité est toute autre. Au vu du nombre de casseroles — des chaudrons pour certains — que se traînent pratiquement tous les politiques, et au vu du fait qu’un casier judiciaire vierge ne soit toujours pas exigé pour être député — alors que pour ouvrir un restaurant, c’est une obligation —, l’équité, la droiture et tout le flonflon ont déjà du plomb dans l’aile.

15 janvier 1990 : Michel Rocard, alors 1er ministre de la Ve République, fit voter la loi d’amnistie pour les délits et crimes liés au financement des partis politiques et des campagnes électorales, dans le cadre d’un projet de régulation du financement de la vie politique française. Le début de la fin.(([1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Amnistie_parlementaire))

Mais au fait, qu’est-ce qu’un état de droit ?

Le concept d’État de droit s’oppose à la notion de pouvoir arbitraire. Il désigne un » État dans lequel la puissance publique est soumise aux règles de droit.

Le concept d’État de droit est théorisé par le juriste Hans Kelsen au début du XXe siècle qui le définit ainsi : un « État dans lequel les normes juridiques sont hiérarchisées de telle sorte que sa puissance s’en trouve limitée ».

L’État de droit implique une hiérarchie des règles de droit, l’égalité devant la loi et la séparation des pouvoirs.

Le respect de la hiérarchie des normes

La hiérarchie des normes implique que chaque norme juridique est rédigée sur le fondement d’un droit qui lui est supérieur. Par exemple, en France, au sommet de la hiérarchie des normes figure le bloc de constitutionnalité (composé de la Constitution de 1958 et de plusieurs textes tels que la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ou le Préambule de la Constitution de 1946). Viennent ensuite les traités internationaux, les lois et les règlements. À la base de la hiérarchie des normes figurent les décisions administratives ou les conventions entre personnes de droit privé.

L’égalité devant la loi

L’égalité des sujets de droit constitue la deuxième condition essentielle d’un État de droit. Cela implique que les personnes et les organisations reçoivent la personnalité juridique, en tant que personnes physiques pour les personnes, en tant que personne morale pour les organisations. L’État est lui-même considéré comme une personne morale.

La séparation des pouvoirs

Pour être effectivement appliqué, l’État de droit suppose la séparation des pouvoirs qui vise à éviter la concentration du pouvoir dans les mains d’un despote. Le pouvoir est distribué entre des organes indépendants et spécialisés :

Le quatrième pouvoir ne figure pas dans ce texte, mais il existe : la presse. Contrôlée par une clique de milliardaires issue du CAC 40 et aux ordres de l’État, elle est un organe de propagande assurant que le pouvoir reste dans les mêmes mains.

Sur le papier, un État de droit paraît être le garant du peuple. En réalité, un Président possédant la majorité à l’Assemblée nationale et au Sénat est le maître du pays. Étant donné aussi que les membres des Conseils d’État et constitutionnel sont souvent des anciens ministres, la boucle est bouclée. Un État de droit n’est pas différent d’un pouvoir arbitraire.

L’imposition de la loi concernant le passe sanitaire le démontre. Emmanuel Macron et ses ministres en voulaient l’instauration. Votée la nuit en commission mixte le 25 juillet 2021, et entérinée par le Conseil constitutionnel en ce 5 août 2021 — jour funeste pour la démocratie —, cette loi inique prouve bien que l’État de droit français ressemble plus à une république d’opérette qu’à une institution bienveillante censée protéger le peuple.

L’instauration du passe sanitaire privant les citoyens du droit le plus élémentaire qui est la libre circulation, prouve indubitablement que nous sommes vraiment en dictature.

Il n’y a aucune différence entre un État de droit tel que nous le subissons depuis trop longtemps et un État arbitraire soumis au bon vouloir d’un souverain.

De plus en plus de Français sont dans la rue pour dire « Non » au passe de la honte. En plein mois d’août, le nombre de manifestants présents est un record. Mais ne vous y fiez pas, combattre le passe sanitaire ne représente que le sommet de l’iceberg.

Une refonte totale de nos institutions est urgente. Il est plus que nécessaire de sortir de l’Europe, de faire le ménage, et d’avoir enfin des politiciens intègres prenant soin des citoyens.

Claude Janvier.

Ecrivain, polémiste. Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition.
https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes :




« Les médecins ne sont plus autorisés à remettre en question le récit politique » Charles Hoffe

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Médecin généraliste, le docteur Charles Hoffe exerce dans petite ville au milieu de la campagne canadienne et compte tenu du lieu géographique où se trouve, il pratique également la médecine d’urgence. En mars 2021, tandis que la campagne de vaccination en est à son troisième mois, il prend connaissance de rapports inquiétants qui affluent depuis l’Europe et les Etats-Unis concernant des problèmes graves que certains patients rencontrent suite aux injections. Conscient qu’il s’agit d’un vaccin expérimental dont les conséquences à long terme sont inconnues, il soulève des questions éthiques qui gênent le milieu médical et rappelle que lorsque surviennent des accidents graves, la déontologie médicale exige la fin de l’expérience. Charles Hoffe communique ses préoccupations à ses collègues par e-mail et reçoit un avertissement de la part des autorités sanitaires locales lui expliquant qu’il est interdit de dire quoi que ce soit de négatif aux sujets de ces vaccins, même s’ils doivent provoquer des accidents.

Lorsqu’il constate de graves problèmes chez ses patients vaccinés notamment des atteintes neurologiques et pulmonaires, il en informe le responsable provincial de la santé publique auprès duquel il plaide l’arrêt de la campagne de vaccination. Il explique à une infirmière qu’une personne qui a contracté le Covid est naturellement immunisée par l’infection et n’a pas besoin de faire le vaccin. Cette prise de position lui  vaut d’être accusé de détourner les gens de la vaccination, de perdre son poste d’urgentiste tandis que le collège des médecins et chirurgiens lance une enquête contre lui et l’avertit qu’il n’a pas le droit de contredire le récit officiel en matière de santé publique.



Après avoir perdu un patient et constaté des atteintes corporelles définitives chez 15 autres patients (soit 1% de sa patientèle), il lance une recherche pour essayer de comprendre ce qui peut provoquer ces accidents à la vaccination, afin de savoir comment  les prendre en charge au mieux. Il rejoint l’association « Doctors for Covid Ethics » principalement basée en Europe mais également présente dans le monde entier. Aidé de médecins et de scientifiques, il entreprend de rechercher la cause de ses effets secondaires graves. Il fait pratiquer un test sanguin appelé D-dimère sur les personnes qui ont reçu un vaccin dans les 7 jours et ceci afin de détecter une éventuelle activation de la coagulation et se rend compte que 62% des tests révèlent la présence de caillots.

Le docteur Hoffe revient sur les déclarations mensongères des laboratoires qui ont présenté ces vaccins à la FDA et à l’ensemble des autorités régulatrices en assurant que la substance n’entrait pas dans la circulation sanguine. Or il est prouvé avec une certitude absolue que 25% seulement reste dans le bras tandis que 75% entre dans la circulation sanguine et y reste pendant des semaines.

Il soulève la difficulté à faire reconnaître les effets secondaires graves par les autorités régionales. Il explique remplir de longs formulaires qu’il envoie à l’officier médical de santé de la région et constate que son courrier lui est à chaque fois renvoyé ; les autorités ne cherchent jamais à pousser les investigations ou à dialoguer avec lui, préférant conclure à une simple coïncidence.

Charles Hoffe note également que les médias mainstream, contrôlés par le gouvernement qui leur alloue des subventions, refusent de rapporter sa parole et se conforment à ce que les autorités leur dictent. Il trouve néanmoins la possibilité de s’exprimer dans les médias alternatifs et invite les gens à éteindre la télévision et à s’informer sur ces nouveaux médias s’ils veulent connaître la vérité sur ce qu’il appelle « un crime contre l’humanité ».

Un debriefing proposé en partenariat avec BonSens.org.

Auteur(s): FranceSoir




Appel à tous les Français

Par Jean-Michel Grau

Aujourd’hui, 5 août 2021, la République est morte.

Ainsi en a décidé le Conseil Constitutionnel qui a validé toutes les mesures liberticides de l’extension du pass sanitaire, instituant par là même une dictature de facto.

La République est morte par la décision inique de ceux qui se présentent comme des sages alors qu’ils ne sont plus que les valets d’un pouvoir criminel qui applique à la lettre le Grand Reset de Klaus Schwab, le fou illuminé du Forum de Davos à la solde de l’oligarchie mondialiste qui a décidé purement et simplement de réduire en esclavage les peuples en instituant un apartheid pour les uns et en exterminant les autres à coup de piqûres géniques pour leur voler toutes leurs richesses.

La République est morte ce 5 août 2021, comme elle était morte le 10 juillet 1940 lorsque 569 députés se sont couchés pour voter les pleins pouvoirs au maréchal Pétain.

Ce sont les mêmes traîtres qui 80 ans plus tard se vautrent à nouveau dans la lâcheté et l’ignominie.

Les mêmes criminels qui acceptent de créer un apartheid entre vaccinés et non vaccinés, comme leurs prédécesseurs en ont créé une avec la sinistre étoile jaune, se rendant ainsi complices de crimes contre l’humanité.

La République est morte par ceux-là mêmes qui étaient les gardiens de la Constitution française et qu’ils viennent de bafouer et violer allègrement sans aucun état d’âme alors que cet abject pass sanitaire viole de A à Z non seulement la Constitution française, mais encore la Constitution européenne.

Pour rappel, le pass sanitaire qui est de facto une obligation vaccinale qui ne dit pas son nom viole non seulement la Déclaration des droits de l’homme, mais encore la Constitution française de 1946 ainsi que la déclaration de 1789. Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un « pass sanitaire » aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

  • Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)
  • Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).
  • Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

    Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel en validant le pass sanitaire, la plus grave atteinte aux libertés jamais portée contre le peuple français depuis l’État collaborationniste de Vichy, valide de facto la dictature instituée par Macron pour réduire les non-vaccinés à l’état d’esclave et les vaccinés à l’état de cobayes de l’industrie pharmaceutique dont Macron est le VRP le plus zélé et le plus fanatique.

Ces vaccins qui, rappelons-le, n’en sont pas, puisque tous n’ont obtenu qu’une autorisation temporaire de mise sur le marché qui court jusqu’en 2023, ne sont que des piqûres expérimentales qui n’ont rien à envier à celles que pratiquaient en leur temps les médecins nazis.

Il faut donc croire que les 9 membres du Conseil Constitutionnel sont assez fous pour s’imaginer que les Français vont accepter cet apartheid et cette dictature nauséabonde en marche sans broncher !

Eh bien, ils se trompent lourdement !

John Fitzgerald Kennedy rappelait déjà en son temps que ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable. Il parlait d’or !

Macron, n’avait-il d’ailleurs pas intitulé en 2017 son livre-programme : « Révolution » ?

Eh bien, oui, la révolution préconisée dans le livre de Macron, ce sont les Français qui vont s’en charger dorénavant. Ce n’est pas exactement celle qu’il imaginait. Car cette révolution est celle qui va permettre aux Français de retrouver leurs libertés perdues et qui va le conduire, lui, Macron, ainsi que ses acolytes criminels, devant la justice pour répondre de tous les crimes qu’ils ont commis et continuent de commettre pour sauver l’oligarchie financière de l’effondrement.

Ils vont devoir payer la facture et elle risque d’être particulièrement lourde.

Macron devra payer, ainsi que son ministre de la santé Véran pour l’interdiction des traitements qui soignent qui a entraîné la mort de nombre de français ainsi que pour les injections de Rivotril pour avoir euthanasié sans la permission de leurs proches, les petits vieux des EHPAD laissés à l’abandon.

Il devra payer pour avoir obligé des millions de Français à se faire piquer avec des vaccins expérimentaux dont on ne commence à voir les effets délétères que maintenant, en leur agitant la menace de devenir des citoyens de deuxième zone.

Il devra payer pour avoir créé et entretenu un climat de peur permanente depuis plus d’un an et demi, entraînant un nombre incroyable de dépressions et de suicides en particulier chez les jeunes.

Il devra payer pour avoir traité les Français comme des chiens en leur imposant une muselière y compris aux enfants dès l’âge de 6 ans les obligeant de respirer leur gaz carbonique du matin au soir.

Il devra payer pour avoir fait de la France une prison à ciel ouvert en confinant et reconfinant les Français au gré de sa volonté et de leur avoir fait subir des couvre-feux inutiles qu’on n’avait plus connu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Même les nazis les plus fanatiques n’ont jamais osé imaginer un traitement aussi cruel contre leur propre peuple. C’est dire…

Emmanuel Macron est le premier chef d’État malveillant que la France ait jamais connu.

Pour tous ses crimes, il paiera, et le peuple français va s’en charger dès maintenant. Il va voir ce que c’est que d’avoir osé s’attaquer à un peuple qui a déjà quatre révolutions à son actif.(([1] 1789, 1830, 1848, 1871.))

En ce jeudi 5 août 2021, le Conseil Constitutionnel vient d’ouvrir une boîte de Pandore qui ne se refermera plus. La colère est là. Elle grondait déjà. Elle va exploser dès demain.

« Notre patrie est en péril de mort. Luttons tous pour la sauver ! »(([2] Général de Gaulle, appel du 18 juin.))




5G La nouvelle utopie

[Source : recit.be]

Par Miguel Coma

Table des matières

Introduction

  1. La technologie 5G en bref (version simplifiée)
  2. Arguments Sanitaires
    • Des milliers d’études scientifiques démontrant des impacts biologiques
      • National Toxicology Program (USA)
      • Institut Ramazzini (Italie)
      • BioInitiative (International)
    • Risques sanitaires posés par les caractéristiques des ondes de la 5G
      • Des fréquences encore inexploitées dans les réseaux mobiles
      • Des faisceaux concentrés ciblant directement les personnes
      • Une exposition permanente à de fortes puissances
      • Un échauffement supérieur de la peau mais plus encore
      • Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO
      • Mises en garde sur les ondes millimétriques
      • Conclusions sanitaires concernant les caractéristiques des ondes de la 5G
    • Problèmes posés par les “directives de sécurité”
    • Sensibilité du vivant aux caractéristiques des radiofréquences
      • Intensité du rayonnement
      • Fréquence porteuse du rayonnement
      • Modulation et pulsation du rayonnement
      • Polarisation du rayonnement
    • Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques
      • Cancer et tumeurs cancéreuses
      • Effets sur l’ADN cellulaire
      • Effets sur la fertilité
      • Maladies et malformations congénitales
      • Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques
      • Apoptose ou mort cellulaire
      • Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres
      • Troubles cardiaques
      • Maladies dégénératives
      • Hypersensibilité Électromagnétique (HSEM ou EHS)
      • Effets sur le système endocrinien (hormonal)
      • Effets sur le système immunitaire
    • Mécanismes d’action des champs et rayonnements électromagnétiques
    • Conclusions sur les impacts sanitaires de la 5G
  3. Arguments environnementaux
    • Impacts significatifs de la 5G sur la consommation électrique
      • Consommation électrique du numérique et de la 4G en 2019
      • Facteurs d’évaluation du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Efficacité énergétique du réseau 5G : des questions encore sans réponse
      • Estimation minimale du surplus de consommation électrique du réseau 5G
      • Inconnues sur la consommation électrique des terminaux 5G
    • Impacts énergétiques liés à la production de matériel 5G
    • Consommation énergétique de la 5G: synthèse
    • Impact de la 5G sur le changement climatique/span><
    • Pollutions intrinsèques aux équipements télécoms 5G
      • 5G, lithium et besoins en eau
      • Une exploitation minière extrêmement polluante et dénaturant le paysage
      • Une catastrophe écologique et sanitaire liée aux terres rares et à la délocalisation
      • Des décharges monumentales et un recyclage improbable voire impossible
      • Conclusions au sujet des pollutions intrinsèques de la 5G
    • Raréfaction des ressources naturelles et décroissance accélérée
    • Impacts sur la faune et la flore
    • Impact environnemental des ondes millimétriques
      • Effets thermiques sur les organismes et organes exposés de petite taille
      • Mise en résonance des organismes exposés de petite taille
      • Impact sur les bactéries et résistance aux antibiotiques
      • Abattage des arbres entravant la propagation des ondes millimétriques
      • Interférences avec les prévisions météo et le suivi du changement climatique
    • Vers un Internet plus durable
    • Conclusions sur les impacts environnementaux de la 5G
  4. Arguments économiques
    • Une industrie mobile en permanente mutation
    • Les promesses économiques de la 5G
    • Les failles du Plan d’Action 5G européen
    • Les intérêts économiques des acteurs de la 5G
      • Les intérêts des constructeurs de matériel 5G
      • Les intérêts des Etats
      • Les intérêts du monde académique
      • Les intérêts des opérateurs
    • Le dilemme des opérateurs de téléphonie mobile
      • Une industrie déjà en grande difficulté économique
      • Après l’échec économique de la 4G, le gouffre de la 5G
        • Les opérateurs critiques face à la 5G
        • Le dilemme de l’opérateur prisonnier de la 5G
        • La 5G implique une hausse spectaculaire des coûts pour les opérateurs
        • Des réductions des coûts aux impacts limités et incertains
        • Des revenus sans hausse significative attendue
        • Un retour sur investissement plus qu’incertain
      • Les opérateurs développent des stratégies de survie
    • Pertes économiques collatérales causées par la 5G
    • Conclusions sur les impacts économiques de la 5G
  5. Arguments légaux et régulatoires
    • Le déploiement mondial de la 5G est contraire aux Lois internationales
    • Les “limites de protection” sont définies sur des bases pseudo-scientifiques
    • La science biaisée par l’industrie
    • L’ICNIRP est sous le contrôle de l’industrie
    • Conclusions sur les problèmes légaux et régulatoires liés à la 5G
  6. Arguments démocratiques et sociétaux
    • Des appels internationaux alarmants
    • Les associations citoyennes en action
    • Opinion majoritaire contre la 5G et mobilisation
    • La place du vivant, des écosystèmes et des ressources dans notre société
    • Des conditions de vie inhumaines liées à l’extraction des minerais
    • Les objets connectés et la protection de la vie privée
    • La 5G : une menace à la sécurité des personnes, des données et des nations
      • Une cybercriminalité en hausse et de plus en plus organisée
      • La 5G pose de nouveaux risques pour les vies humaines
      • Des faiblesses de sécurité inhérentes à la conception de la 5G
      • La sécurité nationale et l’équilibre géopolitique mis à mal par la 5G
    • La 5G pose des questions d’ordre éthique
      • Le changement climatique mènera-t-il à la régression ou à l’évolution de la société ?
      • La 5G : expérimentation de masse
      • Des personnes hypersensibles bannies de la société
      • Des phénomènes d’addiction à la technologie
      • La 5G : nécessité, besoin, ou envie ?
      • La place de l’humain dans un monde tout-connecté
      • L’Intelligence Artificielle et le soulèvement des machines
      • La 5G ouvre la voie vers un monde hypermnésique
      • La place des mondes virtuels dans le monde réel
      • L’industrie aux manettes de l’OMS et du pouvoir ?
      • Les dérives du capitalisme de surveillance
      • Une hausse de la fracture numérique
      • La censure des anti-5G et l’absence d’un vrai débat citoyen
    • Conclusions sur les impacts sociétaux de la 5G
  7. Faux arguments sur la 5G
    • Faux arguments technologiques
      • Il n’y aurait pas d’alternative à la 5G pour le futur de la connectivité169 LE MYTHE DE LA 5G169 LE RÔLE DU CÂBLE ET DE LA FIBRE OPTIQUE
      • La 5G serait indispensable à l’innovation dans de nombreux secteurs
      • Les besoins futurs en vitesse ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en latence ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • Les besoins futurs en capacité ne seraient pas satisfaits sans la 5G
      • La 5G est une vision déconnectée de la réalité
        • L’Internet des Objets aurait besoin de la 5G
        • La Réalité Virtuelle et Augmentée auraient besoin de la 5G
        • Le secteur de la santé tirerait profit de la 5G
        • Les véhicules autonomes auraient besoin de la 5G
        • Les drones auraient besoin de la 5G
        • Les réseaux intelligents auraient besoin de la 5G
        • L’accès mobile à large bande aurait besoin de la 5G
        • La mobilité accrue aurait besoin de la 5G
        • Les communications en temps réel auraient besoin de la 5G
        • Les services de secours auraient besoin de la 5G
        • La robotique industrielle aurait besoin de la 5G
        • Les prévisions météo seraient améliorées grâce à la 5G
    • Faux arguments sanitaires
      • La 5G remplacera les 2G et 3G et il n’y aurait donc pas plus de danger
      • La 5G nous exposerait à moins de danger que la 4G
      • Les antennes de la 5G seraient moins puissantes et donc moins nocives
      • Les effets des ondes millimétriques sur la santé seraient négligeables
      • Les ondes 5G n’auraient pas assez d’énergie pour endommager nos cellules
      • Les ondes de la 5G ne cibleraient que les appareils qui en ont besoin
      • La 5G nous exposerait moins par ses transferts de données plus courts
      • La portée réduite des ondes de la 5G réduirait le danger
      • Les bâtiments nous protégeraient des ondes de la 5G
      • La 5G serait moins nocive que les rayons du soleil
      • La 5G serait nécessaire pour sauver des vies
      • La toxicité cancéreuse des radiofréquences ne serait pas un problème
      • Il n’y aurait pas d’explication plausible à l’impact sanitaire des radiofréquences
      • Les études scientifiques indiquant un risque sanitaire seraient biaisées
    • Faux arguments environnementaux
      • La 5G serait plus efficace énergétiquement que les précédentes générations
      • La 5G soutiendrait les économies d’énergie dans d’autres secteurs
  8. La sonnette d’alarme avant le basculement ?
  9. L’alternative à la 5G
    • Un déploiement de la 5G ciblé à ses bénéficiaires
    • Des alternatives câblées et sans fil
    • L’heure des choix décisifs pour notre avenir connecté
    • Une vision alternative de la connectivité

Conclusions

Annexes

La technologie 5G en bref (pour les geeks)

Liste non exhaustive de substances nécessaires à la production de smartphones

Glossaire

Abréviations

Quelques extraits

« Les êtres humains sont des systèmes bioélectriques. Nos cœurs et nos cerveaux sont régulés par des signaux bioélectriques. L’exposition à des Champs Électro-Magnétiques artificiels (CEM) peut interagir avec les procédés fondamentaux du corps humain La corrélation entre l’exposition aux CEM et les cancers et maladies neurodégénératives est suffisamment forte pour mériter des actions préventives. Les normes actuelles sont loin d’être adéquates pour protéger la santé publique. »

En 2007, sur ces bases scientifiques, le groupe formule une recommandation d’intensité maximale d’exposition aux antennes mobiles, revue en 2012 suite à l’analyse des nouvelles études. L’intensité recommandée est 3 millions de fois inférieure à la limite internationale. En raison du manque d’études sur les expositions à long terme ou sur les populations plus sensibles comme les enfants, cette recommandation tient compte du principe de précaution. En effet, des effets biologiques ont été observés à partir de niveaux 300 000 fois inférieurs à la limite actuelle définie par l’ICNIRP depuis 1998.

Le Dr Agostino Di Ciaula, MD, de l’Azienda Sanitaria Locale Barletta-Andria-Trani (Italie), publie en février 2018 :

« Des observations préliminaires ont montré que les ondes millimétriques augmentent la température de la peau, modifient l’expression des gènes, favorisent la prolifération cellulaire et la synthèse des protéines liées au stress oxydant, aux processus inflammatoires et métaboliques, pourraient générer des dommages oculaires, affecter la dynamique neuromusculaire. » (notre traduction)

Conclusions concernant les limites d’exposition :

  • Une révision à la baisse des limites d’exposition est absolument nécessaire pour préserver la santé des citoyens. Ceci implique non seulement une diminution des normes en fonction des recommandations publiées par le monde médical et scientifique, conformément au principe ALARA50, en particulier dans les lieux où séjournent des enfants, des femmes enceintes, des malades, des personnes âgées, mais également une remise en cause complète des fondements mêmes des “directives de sécurité” afin de tenir compte des résultats des études scientifiques indépendantes et des connaissances accumulées en matière d’impact sanitaire des rayonnements.
  • Cette demande est appuyée par un grand nombre de scientifiques et de membres du corps médical
  • La révision à la baisse des normes d’exposition pour protéger la population demandera un courage politique certain.

Effets des radiofréquences sur la santé à des niveaux non-thermiques

Nous avons tenu à répertorier très sommairement les effets sanitaires déjà identifiées lors des expositions aux rayonnements de radiofréquences à ce jour. Chaque maladie ou trouble mériterait bien sûr un traitement bien plus détaillé et en profondeur, mais ce n’est pas le propos de ce rapport qui adopte une perspective large des problématiques.

Vu le nombre important d’études scientifiques disponibles sur le sujet, et afin d’éviter d’alourdir notre rapport, nous référons le lecteur aux listes bibliographiques en fin de dossier du rapport ondes.brussels de novembre 201888.

Lorsqu’un effet sanitaire est repris par le Conseil Supérieur de la Santé en Belgique en 2019, nous y référons le lecteur en bas de page.

Sans doute est-il utile de mentionner que toutes les conséquences sanitaires des technologies déjà en place n’ont pas encore été entièrement révélées. Des pathologies comme le cancer, par exemple, se développent sur le long terme. Ainsi se peut-il qu’il faille plusieurs décennies d’exposition avant que des augmentations significatives de cas ne soient rapportées.

Cancer et tumeurs cancéreuses

Le CIRC89 a classé en 2011 les émissions de hautes fréquences (radiofréquences / micro-ondes) parmi les substances cancérogènes possibles (classe 2B). Il est prévu que cette classification soit réévaluée avant 2024. Compte tenu des études les plus récentes sur le sujet et selon l’avis de nombreux scientifiques (dont ceux de l’institut Ramazzini de recherche en cancérologie environnementale), il est probable que les émissions de hautes fréquences soit classées au niveau cancérogène certain (classe 1).

Les nombreuses études réalisées sur cette catégorie ont identifié entre autres les effets suivants:

  • initiation, promotion et progression tumorale
  • invasion tissulaire
  • métastases

Les types de cancers et tumeurs aggravés et/ou causés par les radiofréquences selon ces études sont les suivants :

  • Tumeurs cérébrales malignes ou bénignes dont gliomes90 (tumeurs malignes des cellules gliales) et neurinome de l’acoustique (tumeur bénigne du nerf acoustique) :
    • En lien avec l’utilisation du téléphone mobile
    • Plausibilité d’une relation de cause à effet renforcée par l’apparition de tumeurs homolatérales, c’est-à-dire des tumeurs qui se développent du côté de la tête où le téléphone a été majoritairement utilisé. Une équipe de chercheurs s’est notamment intéressée à l’incidence du type le plus malin de tumeur cérébrale, le glioblastome multiforme, en Angleterre entre 1995 et 2015. Dans un article publié en juin 201891, les auteurs montrent une augmentation linéaire, importante et statistiquement très significative des tumeurs primaires de type glioblastome multiforme sur cette période de 21 ans, en particulier dans les lobes frontaux et temporaux du cerveau, à savoir les parties les plus exposées aux rayonnements provenant du téléphone portable sans fil.
  • Tumeur de la glande parotide
    • En lien avec l’utilisation du téléphone portable
  • Leucémie92
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Lymphome (cancer du système lymphatique)
    • En lien avec l’exposition du corps entier (ex. dans le domaine militaire)
  • Cancer du sein

Concernant les effets cancérologiques encore à étudier, ils sont repris à la section Des effets sanitaires mal connus dus aux ondes millimétriques et au massive MIMO.

Certains types de tumeurs du cerveau pourraient être expliquées par une action néfaste (seule ou en combinaison avec d’autres facteurs) des rayonnements de radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique dont le rôle est de filtrer les agents toxiques présents dans le sang afin qu’ils ne pénètrent pas dans le cerveau.

Effets sur l’ADN cellulaire

Divers effets ont été constatés confirmant un effet sur l’ADN, qui est la molécule essentielle à toute forme de vie connue et contenant le code génétique.

On constate les effets suivants sur l’ADN suite à une exposition à des rayonnements non ionisants du type micro-ondes utilisé par les télécommunications mobiles :

  • ruptures simple brin et double brin
  • effets sur les bases oxydées dans l’ADN cellulaire
  • mutations chromosomiques produites par les ruptures double brin d’ADN

Des dommages à l’ADN peuvent apporter une explication plausible notamment à l’apparition de tumeurs cancéreuses, de problèmes de fertilité, de maladies congénitales ainsi que de malformations.

Les dommages causés à l’ADN par les rayonnements de radiofréquences sont aujourd’hui largement établis mais les conséquences génotoxiques et mutagènes des rayonnements électromagnétiques non ionisants sont encore controversées.

Le lien entre exposition aux rayonnements de radiofréquences et mutations semble pourtant bien observé, sur base d’expériences scientifiques. Voir également la section Maladies et malformations congénitales.

Effets sur la fertilité

Les rayonnements de radiofréquences utilisés par la téléphonie mobile et le sans-fil en général, peuvent avoir des conséquences multiples sur la fertilité féminine et masculine, observées dans la littérature scientifique :

  • Fertilité masculine
    • remodelage tissulaire au niveau des testicules
    • baisse du nombre de spermatozoïdes, de leur motilité et autres paramètres des spermatozoïdes
  • Fertilité féminine
    • remodelage ovarien
    • chute des ovocytes (follicules)
    • baisse des taux d’œstrogène, de progestérone et de testostérone (taux des hormones sexuelles)
    • augmentation du risque de fausse couche
    • baisse de libido

Maladies et malformations congénitales

Vu le caractère aléatoire des gènes endommagés, il serait vain de tenter de dénombrer de façon exhaustive les maladies congénitales et malformations potentielles liées à l’exposition aux radiofréquences. Nous ne citerons donc qu’une seule étude à ce sujet afin d’illustrer le potentiel de dommages sur le vivant. Ensuite, nous identifierons les mécanismes par lesquels des conséquences à long terme peuvent apparaître sur le génome et en particulier celui de l’humain.

Des malformations congénitales ont été observées chez les poulets suite à une exposition à la téléphonie mobile. Une étude93 de 2012 exposant les poulets de façon intermittente (quatre fois 15 minutes par jour), a observé notamment des embryons plus gros, des saignements sous- cutanés, des malformations cérébrales, une augmentation de la croissance des yeux, une augmentation significative de l’épaisseur de la rétine de l’œil ainsi que d’autres problèmes rétiniens.

Ainsi, bien qu’encore peu nombreuses, des études existent sur le sujet des dommages congénitaux en lien avec l’exposition aux rayonnements des technologies sans fil. Elles indiquent que des malformations et maladies congénitales peuvent apparaître dès la première génération exposée.

Plus inquiétant encore, certains dommages causés aujourd’hui à l’ADN et pouvant mener à des malformations ou maladies congénitales sont susceptibles d’être transmis aux générations suivantes.

Les conséquences peuvent ne pas apparaître directement mais seulement après plusieurs générations94 :

« Croyez-le ou non, la perte de fertilité induite électromagnétiquement est la bonne nouvelle puisque cela signifie que les embryons gravement endommagés sont moins susceptibles d’être conçus. La mauvaise nouvelle est que tout gène endommagé nécessaire au développement de l’embryon mais non nécessaire au fonctionnement normal de l’ovule ou du sperme, ne sera pas éliminé de cette manière. Ces gènes peuvent encore trouver leur chemin dans le fœtus et causer des dommages génétiques permanents. L’effet peut ne pas être apparent dans la première génération puisqu’un gène non fonctionnel d’un parent peut souvent être compensé si l’autre parent fournit une bonne version du même gène. En fait, de graves problèmes peuvent ne pas survenir pendant de nombreuses générations jusqu’à ce que par hasard deux versions défectueuses du même gène se retrouvent dans le même fœtus. Ce qui se passe alors dépend du gène concerné, mais il est peu susceptible d’être bénéfique et peut être mortel ». (notre traduction)

Barrie Trower, retraité de la Royal Navy britannique, expert de longue date en armement basé sur les micro-ondes, a ainsi développé une large connaissance liée à leurs effets sanitaires (volontaires dans ce cas précis). Il détient un profil rare combinant des connaissances en physique et en physiologie. Il nous met particulièrement en garde sur les risques de dommages irréparables aux cellules humaines les plus vulnérables : les ovules des jeunes filles.

Militant contre l’installation du Wi-Fi dans les écoles, voici un court extrait de son témoignage assermenté devant la Cour de Portland (Oregon, USA)95 :

« Le problème posé aux jeunes filles est que l’irradiation par micro-ondes endommagent la structure génétique dans leurs ovaires. Les filles naissent avec tous les ovules dont elles ont besoin dans leurs ovaires. Ce sont des œufs immatures, donc sensibles aux dommages pendant la croissance. Les micro- ondes sont génotoxiques (des expériences montrent qu’un rayonnement de téléphonie mobile de bas niveau sur des enfants perturbe la biochimie des cellules folliculaires dans l’ovaire), par conséquent, l’irradiation par micro-ondes pourrait affecter la structure génétique dans les ovules. Le problème est ici que l’ADN mitochondrial, les gènes à l’intérieur des ovaires, est irréparable. Si vous avez une petite fille chez qui il y a des dommages, par ce mécanisme, à la structure génétique de l’un de ses ovules et qu’elle a une fille, cette fille portera ce problème génétique. C’est irréparable. Et sa fille portera à son tour ce problème génétique, car il est irréparable. Et chaque femme pour toujours, dans cette lignée, portera ce problème à perpétuité, car il est irréparable. » (notre traduction)

Andrew Goldsworthy cité plus haut conclut son étude ainsi :

« La conclusion générale est que les dommages génétiques causés par l’exposition aux rayonnements électromagnétiques peuvent avoir un effet presque immédiat sur la fertilité, mais que les dommages à la progéniture peuvent prendre plusieurs générations à apparaître. Si nous ne faisons rien pour limiter notre exposition aux rayonnements électromagnétiques, nous pouvons anticiper un lent déclin de la viabilité du génome humain pour de nombreuses générations à venir. Il est ironique qu’ayant tout juste découvert le génome humain, nous nous sommes déjà mis à le détruire systématiquement. » (notre traduction)

Effets cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques

De nombreux effets cognitifs ou neurologiques étudiés dans la littérature scientifique, seraient en lien avec l’exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels :

  • troubles du sommeil/insomnie
  • fatigue/fatigabilité
  • maux de tête
  • dépression/symptômes dépressifs
  • manque de concentration/attention/déficience cognitive, TDAH
  • étourdissements/vertiges
  • troubles de la mémoire
  • nervosité, tension, anxiété/stress/agitation, irritabilité
  • troubles du comportement et du langage chez l’enfant96
  • démence, voir aussi maladie d’Alzheimer
  • différentes formes d’autisme
  • acouphènes
  • tremblements

L’humain est un être électromagnétique dont les fonctions sont régulées par des extrêmement basses fréquences, qui sont présentes naturellement sur Terre.

Notre nature électromagnétique est confirmée notamment dans une étude de 2018 qui indique que la fréquence de 10 Hz97 correspond à celle des ondes alpha du cerveau. Son utilisation dans les signaux pulsés du Wi-Fi, perturbe l’horloge biologique interne et l’électro-encéphalogramme des sujets même des heures après l’exposition aux ondes, et ce à des niveaux bien en-dessous des limites de sécurité.

Une action néfaste des radiofréquences sur la barrière hémato-encéphalique protégeant le cerveau d’agents toxiques présents dans le sang, pourrait également jouer un rôle dans l’apparition de troubles cognitifs, neurologiques et neuropsychiatriques.

Apoptose ou mort cellulaire

Le processus d’apoptose intervient dans l’apparition de maladies neurodégénératives ainsi que dans l’infertilité, explorées plus haut. Il est donc utile d’indiquer que cette mort cellulaire peut expliquer le lien entre une exposition aux rayonnements de radiofréquences et ces catégories de pathologies. Cependant, les mécanismes biologiques complexes impliqués dans l’apoptose dépassent le cadre de ce rapport.

Stress oxydant et dommages causés par les radicaux libres

Les radicaux libres interviennent dans des mécanismes importants causant un stress oxydant, impliqué dans les maladies chroniques, le vieillissement précoce, ainsi que les dommages à l’ADN cellulaire. Ce rapport n’a pas pour ambition de traiter ces processus complexes délétères. Il est néanmoins utile de garder à l’esprit le rôle néfaste que peut jouer le stress oxydant suite à une exposition aux ondes des télécommunications sans fil.

Troubles cardiaques

Divers troubles cardiaques parfois mortels ont été étudiés et identifiés dans le cadre d’études

sur l’exposition humaine aux rayonnements radiofréquences :

  • tachycardie
  • arythmie
  • bradycardie
  • arrêt cardiaque (infarctus)

Maladies dégénératives

Des études rapportent que les rayonnements de radiofréquences peuvent contribuer à l’apparition de :

  • maladie d’Alzheimer
    Cette maladie dégénérative apparaît à des âges de plus en plus précoces.
    Selon le Prof. Dominique Belpomme98, il existe une vingtaine d’études épidémiologiques indiquant un lien entre l’exposition aux champs électromagnétiques et la maladie d’Alzheimer.
  • sclérose latérale amyotrophique

Ces maladies sont énumérées dans une méta-étude de 202099 reprenant une vue très large couvrant 5400 études dans la littérature scientifique.

Hypersensibilité Electromagnétique (HSEM ou EHS)

Il existe une forte présomption de causalité entre la pollution électromagnétique toujours croissante liée aux technologies sans fil, et un véritable problème épidémique voire pandémique faisant de plus en plus de victimes parmi les personnes électro-hypersensibles (HSEM ou EHS).

L’OMS a bien identifié ce trouble mais n’admet pas l’existence d’un lien de cause à effet avec les champs et rayonnements électromagnétiques, prétextant le manque d’études scientifiques à ce jour100. Elle n’admet pas non plus qu’on puisse en faire un diagnostic médical. Elle se contente d’en énoncer les symptômes sans pouvoir établir un lien avec les causes : symptômes dermatologiques (rougeurs, picotements et sensations de brûlure), des symptômes neurasthéniques et végétatifs (fatigue, lassitude, difficultés de concentration, étourdissements, nausées, palpitations cardiaques et troubles digestifs). L’OMS n’a pas revu son opinion sur la question de l’EHS depuis 2014.

L’association belge francophone pour la reconnaissance de l’électrohypersensibilité, l’AREHS101 identifie d’autres symptômes non repris par l’OMS : maux de tête, troubles de sommeil, troubles de la mémoire, acouphènes, troubles de la vision, douleurs musculaires et articulaires, ou irritabilité.

Le corps médical se trouve encore démuni face à ce syndrome qui n’est pas abordé dans le cursus académique. La formation médicale semble donc un pilier fondamental encore à construire afin de limiter les conséquences sanitaires liées aux champs électromagnétiques artificiels. Des premières initiatives ont été lancées à Bruxelles et à Genève afin d’intégrer l’EHS dans le cursus universitaire102.

Les associations de défense des personnes électro-hypersensibles se multiplient à travers le monde et leurs rangs sont toujours plus nombreux. Pourtant, par manque de reconnaissance et donc de statistiques officielles, il est très difficile d’évaluer leur nombre parmi la population. Le Prof. Olle Johansson a rassemblé un ensemble d’études à travers le monde, et conclut en janvier 2020 à une incidence de l’EHS située entre 3,5 et 13,3% de la population. L’EHS semble frapper toutes les catégories sociales et toutes les classes d’âges, indépendamment du style de vie. Le nombre de cas d’hyper sensibilité électromagnétique serait plus élevé chez les femmes (65% des cas) d’après certaines études. Selon les associations et divers médecins, les victimes des champs électromagnétiques ne naissent pas EHS. Elles développent une hypersensibilité suite à une exposition relativement forte et/ou prolongée aux rayonnements électromagnétiques artificiels. La réaction biologique à l’exposition peut être immédiate et cesser tout aussi immédiatement suite à l’arrêt de l’exposition. Cependant la réaction biologique peut être également décalée dans le temps, survenir après le début de l’exposition ou suite à une accumulation de l’exposition, et se prolonger plus ou moins longtemps après l’exposition.

Les causes médicales encore controversées de l‘EHS ainsi que le manque de protection des populations, posent un problème sociétal et éthique, repris à la section Des personnes hypersensibles bannies de la société.

En complément à la lecture cette section, nous vous invitons à découvrir deux auditions enregistrées en vidéo103 au Sénat de Belgique. A la fin de la première vidéo, le Prof. Dominique Belpomme dénonce un « crime de santé publique » et une « pandémie électromagnétique ».

Effets sur le système endocrinien (hormonal)

Afin de rappeler le rôle, l’importance et la complexité du système hormonal, mais aussi du système immunitaire, nous reprendrons un extrait du site de Physicians for Safe Technology104 :

« Les systèmes immunitaire et endocrinien sont des systèmes organiques critiques qui sont également étroitement liés au système nerveux et peuvent avoir un impact profond sur la reproduction, le développement et la fonction du fœtus ainsi que sur la promotion / prévention du cancer, la défense contre les infections, la cicatrisation des plaies, la fonction neurologique, l’homéostasie métabolique et le vieillissement. Le système immunitaire peut également cibler les propres tissus sains du corps, qui se manifestent par diverses maladies auto-immunes telles que le diabète de type 1, le lupus, la polyarthrite rhumatoïde et le psoriasis. » (notre traduction).

Cette source indique l’observation d’effets néfastes sur la fonction thyroïdienne.

Des changements dans les hormones stéroïdiennes et non stéroïdiennes ont été observés suite à une exposition aux rayonnements de radiofréquences artificiels. Par exemple, le stress oxydant et l’inflammation provoqués par l’exposition peuvent mener à une diminution de la production de mélatonine (appelée parfois « hormone du sommeil »). A cela s’ajoute le fait que la mélatonine, un antioxydant puissant, est consommée par l’organisme pour pallier les effets du stress oxydant. A la longue, un déficit en mélatonine peut apparaître qui peut être à l’origine de plusieurs types de troubles, dont des troubles du sommeil.

Pour aller plus loin, Physicians for Safe Technology référence de nombreuses sources liées aux effets des rayonnements de radiofréquences sur le système endocrinien.

Effets sur le système immunitaire

Selon Physicians for Safe Technology, la recherche à ce stade n’est pas toujours cohérente dans ses méthodes ni ses résultats, au sujet du système immunitaire.

Les effets des rayonnements de radiofréquences sur le système immunitaire sont encore mal connus et parfois incohérents. Joel Moskowitz105 de l’Université Berkeley de Californie indique qu’il semblerait que des expositions de longue durée peuvent déprimer certaines fonctions immunitaires, alors que des expositions de courte durée semblent au contraire les stimuler.

Dans une brochure publiée en 2007219, le biologiste Ulrich Warnke rappelle que :

« C’est un fait avéré et les résultats de la recherche sont accessibles à tout un chacun depuis plusieurs dizaines d’années : les champs magnétiques et électriques naturels et leurs variations constituent des conditions essentielles à l’orientation et aux déplacements d’un grand nombre d’animaux. »

En avril 2020, une centaine d’étudiants belges en biologie et médecine tiraient la sonnette d’alarme220 à l’encontre de la 5G et indiquaient que la survie de l’humanité dépend des écosystèmes. Parmi les observations corrélées à l’exposition aux radiofréquences, ils citent, entre autres, l’effondrement des colonies d’abeilles (80% des abeilles ont disparu en Europe) et l’endommagement de la capacité des insectes à s’orienter à l’aide du champ magnétique terrestre (magnétoréception), la production de protéines de stress, une baisse de moitié de la fécondité, une atteinte aux facultés cognitives, de locomotion, d’apprentissage, et la perte totale de mémoire avec certains effets irréversibles.

L’effondrement des populations d’insectes impacte les populations d’animaux qui s’en nourrissent : oiseaux,

amphibiens et mammifères insectivores par exemple. Le déclin des pollinisateurs a des conséquences sur la chaîne alimentaire.

Les végétaux subissent également les impacts négatifs des radiofréquences. Ils présentent par exemple des anomalies morphologiques et de croissance, une chute prématurée ou un changement de couleur des feuilles, ou la mort de branches221. Or la végétation joue un rôle capital dans l’absorption du gaz carbonique et la régulation de l’effet de serre, mais aussi dans l’alimentation humaine et du bétail.

En mars 2020, le WWF publiait un plaidoyer222 mettant en garde l’humanité sur le risque accru de pandémies (zoonoses) lié à la dégradation de la biodiversité.

En bref, avec une explosion dramatique des niveaux d’exposition aux rayonnements de radiofréquences (en ce compris les ondes millimétriques), la 5G fait peser une lourde menace sur la biodiversité, sur la survie des écosystèmes, et donc sur la survie de l’espèce humaine.




Qu’est-ce que la « Tradition primordiale » ?

[Source : Nice Provence Info (nice-provence.info)]

par Pierre-Émile Blairon

Avant toute chose, je tiens à préciser que la dictature qui se met en place en France et dans le monde et que beaucoup ne font que découvrir maintenant, ne constitue pas une surprise pour ceux qui connaissent le système des cycles et qui savent que nous sommes à la fin de l’Âge de Fer, le dernier âge avant le rétablissement des valeurs traditionnelles, avant le Grand retournement ; savoir ce qu’est la cyclologie et la Tradition primordiale qui sont les fondements de la spiritualité indo-européenne permet une vision cohérente de tout ce qui se passe actuellement.

Pierre-Émile Blairon - Iceberg

Cette dictature constitue simplement l’un des éléments qui caractérisent une fin de cycle ; une fin de cycle s’appelle le Kali-Yuga en Inde, l’Âge de Fer chez les anciens Grecs ; elle est composée de la réunion de plusieurs événements, certains provoqués par les hommes : par exemple, le dépeuplement des campagnes au profit des villes mondiales, comme l’avait bien montré Oswald Spengler dans Le Déclin de l’Occident ; ça peut être aussi une dégénérescence physique globale, là, il suffit de se promener dans les villes européennes pour s’en rendre compte, ça peut être un suicide collectif ou catégoriel, comme pour les paysans en France, etc., d’autres catastrophes sont naturelles, dans ce cas, le plus souvent des inondations, selon les études de Mircéa Eliade sur les déluges originels, mais ça peut être aussi d’énormes incendies, des tremblements de terre, des ouragans, etc., et, bien sûr, nous pouvons avoir un condensé des deux quand les hommes manipulent la nature et provoquent ces catastrophes qui ne sont donc plus naturelles.Mon nouveau livre, L’iceberg, qui vient de paraître il y a quelques jours, est constitué pour moitié de la recension des articles que j’ai écrits sur l’avènement prévisible de cette dictature avec l’invention de cette pseudo-pandémie ; le premier de ces articles en mai 2020 s’appelait tout simplement : les apprentis-dictateurs.

Ce nouveau livre est le dixième paru sous ma signature, hors livres collectifs et hors traductions étrangères.

L’Iceberg est le troisième volet d’une trilogie exclusivement consacrée à la connaissance de la Tradition primordiale et à la cyclologie.

La Tradition primordiale et la cyclologie

La signification de l’expression Tradition primordiale a été largement expliquée par René Guénon et Julius Evola qui considèrent qu’il s’agit d’un principe originel permanent et immuable qui a fondé toutes les traditions du monde sur toute la surface de la Terre ; ces traditions se réfèrent, consciemment ou non, à la Tradition primordiale et en sont une émanation ; sur le plan plus concret, la Tradition primordiale est représentée par un continent mythique, Hyperborée, lui aussi originel, enfoui désormais sous les glaces du Pôle arctique qui a essaimé son savoir sur la totalité du globe et a laissé de nombreuses traces, notamment architecturales.

Cosmos - Tradition primordiale

Dans tous mes livres, je m’efforce de montrer que la Tradition primordiale est le lien qui réunit les trois mondes, comme déjà nos ancêtres les Gaulois l’avaient pressenti(([1] Les Gaulois estimaient qu’il existait trois mondes : celui d’en haut, celui d’en bas, et le monde des hommes. ; le principe de l’analogie et celui de la concordance constitue les principales caractéristiques de l’ésotérisme.)): le cosmos, l’Homme et la nature. Ceci permet de montrer que le concept de Tradition primordiale n’est pas une croyance, une théorie intellectuelle, ou une idée d’ordre philosophique mais qu’elle constitue l’origine concrète de ce qui est à la fois visible et invisible.Il existe en effet un rapport constant, sur le plan concret, mathématique, entre le cosmos, l‘homme et la nature ; l’Homme se situe originellement à l’intersection de ces trois mondes en tant que régulateur de la nature, et non pas en tant que prédateur.

La cyclologie est une simple mise en forme conceptuelle élaborée à partir de l’observation par les anciens du fonctionnement de la nature et du cosmos ; tout ce qui vit fonctionne d’une manière cyclique : les jours, les semaines, les mois, les années se suivent selon le même processus, la Terre tourne autour du Soleil, le Soleil se lève chaque matin, les fleurs repoussent au printemps, les marées sont dépendantes des mouvements lunaires et les femmes aussi. Le cycle basique : naissance, vie, mort, renaissance, vaut pour tout ce qui existe sur Terre, y compris les civilisations.

Le principe du cycle est toujours en involution comme tout ce qui vit sur Terre : on va toujours de la naissance à la mort, jamais de la mort à la naissance, ce qui serait une évolution, mais l’évolution appartient à l’au-delà ; sur Terre, tous les mouvements cycliques procèdent de l’involution ; c’est pourquoi le principe du « Progrès » n’existe pas, excepté d’ordre technique, matériel ; le progressisme est une utopie, une invention humaine.

Pour les hommes qui ont compris le fonctionnement cyclique du temps, revenir en arrière n’est pas retourner vers le passé, c’est, au contraire, retourner à la source, retrouver une nouvelle jeunesse en s’y abreuvant. Re-venir, c’est se donner un nouvel à‑venir. Le passé n’est pas un port où se réfugier et mourir, c’est un phare qui nous guide vers l’aventure du futur.

Rappelons une des règles fondamentales de la logique traditionnelle : plus une manifestation apparaît tardivement, plus elle est éloignée de la source originelle et, donc, plus elle est spirituellement dégradée. L’apparition de la civilisation américaine est un bon exemple de ce principe, laquelle est devenue civilisation sans passer par le stade culturel (parce que dépourvue de passé) selon la hiérarchie spenglérienne ; c’est sans surprise que l’on a vu apparaître à la fin du XIXe siècle à New-York et à Chicago les premiers gratte-ciels de l’Histoire qui sont des marqueurs du titanisme moderne.

Un autre exemple de cette règle nous est donné par Julius Evola à propos des « sauvages » (c’est le terme qu’il emploie, le politiquement correct n’existait pas encore à son époque) :

Les grands âges

« Dans la plupart des cas, les sauvages, tant sur le plan de la race au sens biologique que sur le plan de la culture, sont des résidus crépusculaires de cycles d’une humanité si ancienne que, souvent, d’elle-même, le nom et le souvenir ont été perdus. Les sauvages ne représentent donc pas le commencement, mais la fin d’un cycle ; non la jeunesse, mais la sénilité extrême. Ce sont d’ultimes ramifications en voie de dégénérescence, donc l’exact contraire des « primitifs » au sens de peuples originels. »Un grand cycle, à la fois chez les Indiens et chez les Grecs, comprend quatre âges qui vont du meilleur au pire.

Chez les anciens Grecs, l’Âge d’or est suivi par l’Âge d’argent, puis par l’Âge de bronze et se termine par l’Âge de fer ; l’Âge d’or est représenté par un métal incorruptible, brillant comme le soleil, alors que le fer disparaît en rouillant.

Un autre exemple pour montrer ce qu’est le système cyclique : la montre. Si vous avez une montre classique, ronde, avec trois aiguilles, vous verrez que le cycle commence au zénith, les trois aiguilles en haut, sur le 12, elles sont triomphantes, puis ça se gâte, en descendant l’arc de cercle ver le 6 ; les trois aiguilles ont alors la tête en bas, les valeurs de l’Âge d’or sont alors inversées ; nous sommes au nadir, les trois aiguilles se rejoignant forment alors le 666, le temps de l’Apocalypse chez les chrétiens, le temps du Grand retournement ; le temps de remonter : c’est l’Apocalypse, mais aussi la Révélation, et la remontée vers un nouvel Âge d’or.

La trilogie

Pierre-Émile Blairon - La roue et le sablier - Bagages pour franchir le gué

Le premier ouvrage de cette trilogie, La roue et le sablier, paru en 2015, donne une photographie du monde européen en ce début du XXIe siècle, tel qu’il en ressortait après des millénaires d’une histoire européenne toujours en train de se faire, et qui continuera à se faire : cet ouvrage explique les bases de la spiritualité indo-européenne.

Le titre de ce livre est tout à fait symbolique : le monde, comme la Terre elle-même, tourne comme une roue à la fois sur le plan spatial et sur le plan temporel. Au centre, au moyeu de la roue, est lové le dieu qui fait tourner la roue ; le moyeu est l’élément immobile de la roue qui tourne autour de lui et dont il constitue le pivot, impassible, permanent ; c’est le principe de la Tradition primordiale, principe transcendant, immuable, pérenne ; la roue représente la succession des cycles temporels ; il y a aussi un autre déplacement, plus symbolique dans le concept de la roue : plus on monte vers le moyeu, plus on monte vers la spiritualité, plus on descend les rayons de la roue et plus on descend vers la matérialité, vers le cercle métallique extérieur qui délimite la roue, qui l’enferme et qui est en contact direct avec le sol, la matière.

Sablier

Le deuxième terme de ce titre La Roue et le Sablier, le sablier, donc, m’a été inspiré par Georges Dumézil et le concept indo-européen des trois fonctions qu’il a redécouvert. Les trois fonctions sont :
• pour la première, celle des conducteurs, pouvoir sacerdotal et royal,
• la deuxième, celle des protecteurs : armée et police, qui sont là pour protéger le peuple et les frontières,
• la troisième, celle des producteurs, qui nourrissent, habillent, abritent les citoyens
En temps de Kali-Yuga, le sablier est retourné, la fonction productrice est au sommet, mais elle ne produit plus rien, on ne fait plus travailler que l’argent, la classe des conducteurs est en bas, désavoué, niée, condamnée à se taire ; et, au centre, au goulet du sablier, l’armée ou la police deviennent des milices au service du pouvoir d’en haut.Le projet de La Roue et le sablier était de faire la recension des valeurs qui avaient fait la force et le génie de notre Europe afin de les préserver dans la tourmente de l’Âge sombre, celle que nous vivons, pour qu’elles servent à nouveau de base au cycle futur, d’où le sous-titre de cet ouvrage : Bagages pour franchir le gué.

Enfin, je constate dans ce livre l’émergence d’une caste prométhéenne oligarchique et ploutocratique entièrement tournée vers la matière, atteinte par l’hubris, une vanité démesurée, dont le rêve est de remplacer Dieu ou les dieux, d’asservir le monde en transformant les hommes en robots ou en esclaves, et, surtout, de devenir matériellement immortelle ; le titre du livre du représentant de cette caste en France, le transhumaniste Laurent Alexandre, résume bien ce dernier projet : La Mort de la mort.

Pierre-Émile Blairon - Chronique fin cycle - Enfers parodisiaques

Cette secte n’est pas née d’hier, il faut faire remonter ses origines au moins au mythe de Prométhée : le Titan Prométhée vole le feu aux dieux pour le donner aux hommes, ses créatures ; ce n’est pas tout , lors du partage d’un bœuf, il tente de rouler les dieux en leur donnant les plus bas morceaux ; le psychothérapeute Paul Diel dit de Prométhée que c’est un dieu à mètis, un roublard, un menteur qui veut essayer de posséder Zeus, de lui jouer un tour » ; alors qu’ Evola traite ce même Titan de « tordu », c’est le mot exact qu’il emploieDiel ajoute : « Zeus crée l’homme en tant qu’être spirituel, capable du choix juste, animé de l’élan évolutif, du désir essentiel ; le Titan crée l’homme en tant qu’être matériel, capable du choix faux, attaché à la Terre-mère, à la matière. »
« Les hommes, en tant que créatures de Prométhée, formés de boue et animés par le feu volé, réalisent la révolte du Titan et ne pourront que se pervertir. Guidés par la vanité de l’intellect révolté, fiers de leurs capacités d’invention et de leurs créations ingénieuses, les hommes s’imagineront être pareils aux dieux. La perversion des sentiments qui en résulte poussera les hommes à se disputer haineusement les biens matériels et fera ainsi régner la destruction »Le livre Chroniques d’une fin de cycle est le deuxième volet de cette trilogie ; il est paru fin 2019 ; il est essentiellement consacré à la manière dont cette caste mondiale désormais au pouvoir s’y prend pour saper les traditions des peuples et couper les hommes de leurs racines pour en faire des robots déboussolés, sans aucun repère.

Les enfers parodisiaques, c’est le sous-titre de ce livre qui rassemble une série d’articles qui décortique sur tous les sujets le fonctionnement du pouvoir mondial en place et dénonce ses mensonges ; une parodie de tous les instants que Guénon appelait « La Contre-Tradition ». La Contre-Tradition a l’apparence de la Tradition mais c’est un leurre ; une manifestation des forces négatives ; le diable sous l’apparence du pape, par exemple ; l’art, l’architecture, la mode, la langue, la gastronomie, etc. tous ces domaines sont touchés par cette volonté d’éradication ; 37 articles en tout qui montrent comment toutes les valeurs qui constituaient la base stable d’une société sont exactement inversées ou systématiquement détruites ; c’est le règne de la quantité, de la matérialité, de l’argent, du mensonge.

L’Iceberg, mon nouveau livre donc, reprend, dans le premier chapitre, sept articles de fond parus dans différents sites en 2020, articles consacrés à la manipulation mondiale sous couvert sanitaire qui a marqué toute cette année passée.

La secte maléfique est passée à l’offensive plus tôt que prévu en inventant cette pseudo-pandémie pour soumettre et robotiser la population mondiale.

Iceberg

Mon livre se veut de nature ésotérique et symbolique, le symbole étant le langage des dieux, donc un langage sacré, mais on va voir que ce langage s’applique tout aussi bien à des faits très concrets. Le titre et le sous-titre résument entièrement le livre.
J’ai choisi ce titre, L’Iceberg, pour plusieurs raisons symboliques.
D’abord comme tout ce qui est accessible à nos sens, on n’en voit que la partie apparente qui ne constitue que le dixième de la réalité, en tout cas pour l’iceberg, parce qu’il est l’exacte représentation d’un cycle hyperboréen, c’est-à-dire européen, dans sa totalité.Ensuite l’iceberg est une montagne de glace ; la montagne, lieu éminemment sacré chez les anciens Européens. Ceux-ci pensaient, comme pour l’arbre sacré Yggdrasyl, que cette élévation était un chemin vers les dieux, l’axe et le centre du monde.
La montagne est l’attribut symbolique par excellence de la Tradition primordiale parce qu’elle exprime l’immuabilité et la stabilité.
Puis l’iceberg représente le cycle : il est même emblématique de ce qu’est un cycle cosmique dans sa totalité, de sa naissance à sa fin, en parfaite involution, comme c’est le destin de tout ce qui vit sur la Terre
Enfin la couleur blanche, sacerdotale, symbole de pureté, et la glace des origines – l’Hyperborée, la civilisation primordiale, enfouie sous la banquise – mais aussi la lente dégradation (la fonte de la glace) et sa dérive finale, mot pris dans ses deux acceptions, physique et psychique, autrement dit le nomadisme, toutes conditions caractéristiques du Kali-Yuga.

De plus, l’iceberg peut se retourner comme un glaçon dans un verre et donc opérer le Grand retournement qui se manifeste à la fin du cycle ultime.

Naufrage Titanic

Le titre de ce livre m’a été inspiré, à l’origine, par un événement devenu mythique qui a marqué tous les esprits du XXe siècle : la collision d’un iceberg avec un bateau qui s’appelait le Titanic ; c’était en 1912, exactement le 15 avril 1912.

Rien ne pouvait être plus allégorique des deux forces qui s’affrontent en cette fin de cycle et qui a donné le sous-titre de ce livre : La Tradition primordiale contre le Titanisme.

Je fais remarquer au début de l’ouvrage que ce sont les forces traditionnelles qui battront les forces négatives, car c’est bien l’iceberg qui a coulé le Titanic et non l’inverse. Je vois dans cet événement une prémonition, d’autant plus que le naufrage du Titanic avait été exactement décrit par un roman prophétique : en 1898, donc 14 ans avant le naufrage du Titanic, Morgan Robertson, un écrivain new-yorkais, faisait paraître un roman qui s’intitulait The wreck of the Titan (Le naufrage du Titan). Ce livre racontait le naufrage d’un navire dénommé Titan qui coule en avril à la suite d’une collision avec un iceberg et il annonçait toutes les caractéristiques techniques du Titanic et les circonstances dans lesquelles il coulerait, incluant le nombre presque exact des disparus.

Notre-Dame-Paris-embrasée

Une autre catastrophe, dont on ne sait toujours pas si elle est d’origine criminelle ou pas, aura le même impact émotionnel sur les populations, un peu plus d’un siècle plus tard, c’est l’incendie de Notre-Dame de-Paris ; elle se produira le… 15 avril 2019, le même jour que le naufrage du Titanic. C’est peut-être une coïncidence, peut-être pas.

Je montre, dans ce livre, que les manifestations d’ordre sacré, symboles et nombres, peuvent être aussi vérifiées concrètement. Par exemple, 1 618, le nombre d’or, si bien nommé parce qu’il est la traduction mathématique de l’harmonie, la divine proportion, dans le domaine architectural ou musical notamment, mais aussi chez l’être humain : on constate que le rapport de la taille d’une personne avec la hauteur de son nombril est proche du nombre d’or. Il est aussi présent dans beaucoup d’éléments naturels, notamment d’ordre végétal : on le retrouve dans la logique d’agencement des parastiches du tournesol (les parastiches sont les réseaux de spirales qui constituent le cœur de la fleur de tournesol). Cette logique est transmise mathématiquement par la « suite de Fibonacci », qui est une extension des principes qui règlent l’application du « nombre d’or ». Fibonacci, savant médiéval qui a donné son nom à sa découverte, l’a ainsi énoncé : chacun des termes de la suite est égal à la somme des deux précédents : 1.1.2.3.5.8.13.21.34.55.89.144… Cette suite se retrouve aussi dans les écailles de pommes de pin, d’ananas, les coquilles d’escargot, dans les étamines de fleurs de magnolias, les cœurs de chardons ou d’artichauts…

Vibrations humaines

Autre exemple qui tend à prouver le lien réel qui existe entre les trois mondes précédemment cités : le nombre 25 920, qui est un nombre cosmique, donc sacré, est aussi présent dans plusieurs manifestations concrètes et même humaines : c’est d’abord le temps que dure l’Âge d’or selon la tradition indienne, mais ce nombre a aussi des applications plus courantes : faisons le calcul d’une journée, mais, cette fois, pour faire un mois : 60 secondes x 60 minutes = 3 600 x 24 heures = 86 400 secondes. En un mois, moyenne de 30 jours : 86 400 x 30 = 2 592 000 secondes.
On pourrait penser qu’il s’agit d’un hasard si je donne un autre calcul à faire : la vitesse de la lumière est de 300 000 km par seconde, comme il y a 86400 secondes en un jour, la lumière parcourt donc 25 920 millions de kilomètres par jour.
Encore une coïncidence ? La vitesse de la Terre autour du Soleil est de 30 km par seconde. Elle couvre donc 2 592 000 km par jour.
La Terre tourne sur elle-même et elle tourne autour du Soleil, mais un troisième mouvement l’anime, ce mouvement est connu par l’expression « précession des équinoxes ». L’axe de la Terre n’est pas fixe, il tourne lui-même selon un mouvement qu’on pourrait comparer à celui d’une toupie en bout de course ; le mouvement du pôle terrestre est cependant régulier et ne va pas s’arrêter, du moins pas avant quelques milliards d’années.
Ce mouvement met, vous l’avez deviné, 25 920 ans pour dessiner une révolution complète.
Ce nombre cosmique est pleinement analogique et prouve que l’Homme est un être cosmique, si l’on considère que le nombre moyen de respirations de l’être humain est de 18 par minute, soit, pour une journée : 25 920.

Sur le plan zodiacal, nous allons entrer dans l’ère du Verseau, qui succède à celle des Poissons. Chacune de ces ères compte 2 160 années. On définit approximativement l’ère des Poissons comme ayant commencé avec la naissance du Christ, voire quelques dizaines d’années auparavant, avec la naissance de Mithra dont le Christ est une sorte de calque. La totalité du cycle zodiacal compte 12 ères de 2 160 années chacune, soit… 25 920 ans.

L’iceberg est, par excellence, un symbole ésotérique qui cache 90 % de son essence, de sa vérité, les 10 % restants accessibles aux sens humains, ne constituant que la partie exotérique et superficielle de l’iceberg. « Le visible n’est que la trace de l’invisible », disait Léon Bloy. L’iceberg s’apparente alors à l’être humain, dont on ne voit que le corps physique mais qui est pourtant composé en outre de plusieurs corps dits subtils, invisibles pour le commun des mortels, qui manque de subtilité

L’iceberg, en tant que concept ou symbole, représente aussi la rupture provoquée par les hommes entre histoire et préhistoire, entre science profane et science sacrée, histoire et sciences des hommes versus histoire et science des dieux. L’immense partie immergée, donc cachée aux regards profanes, représente le monde des dieux, et sa partie émergée, celle que l’homme moderne peut appréhender avec ses sens atrophiés, le monde de l’humanité profane.

René Guénon avait posé les frontières entre ces deux mondes et, donc, aussi, entre l’intuition intellectuelle et la connaissance profane : « Cette perception directe de la vérité, cette intuition intellectuelle et supra-rationnelle dont les modernes semblent avoir perdu jusqu’à la simple notion, c’est véritablement la « connaissance du cœur ».

Julius Evola avait bien compris la nature de cette rupture lorsqu’il distinguait la Voie des Pères introduite par le Titan Prométhée qui donne le Pouvoir à l’Homme qui se survit à lui-même par la lignée, et la Voie des Dieux, ou Voie olympienne, où l’Homme admet et respecte la supériorité divine tout en s’efforçant d’atteindre à nouveau ce statut perdu.

Les transhumanistes pourront y consacrer tous les milliards du monde, ils pourront décortiquer le corps de tous les humains, le recomposer en pièces métalliques, ils n’accèderont jamais au mystère élucidé par les penseurs et les poètes, ils ne découvriront jamais le principe de régénération déclenché par la petite étincelle qui les anime car elle est de nature divine. La fin de mon livre explique ce combat final qui, donc, ne se fera pas sur un champ de bataille dans le sang, le bruit et la fureur, mais dans le silence des labos, qui est aussi celui des agneaux, ou… des moutons.

Pierre-Émile Blairon

Commandes aux Éditions du Lore :
Pour commander L’Iceberg
Pour commander Chroniques d’une fin de cycle


Notes :




Derrière la collapsologie (ou étude de l’effondrement des civilisation)

[Source reseauinternational.net]

Un exemple probable de fausse opposition idéologique : le collaptionisme

Par Tasio Retortillo Merino.

Un matin récent, dans le contexte d’une publication que j’avais posté sur les manipulations sémantiques opérées par les idéologues de la Droite mercantilo-industrielle, quelqu’un m’avait conseillé de m’intéresser à un auteur du nom de Pablo Servigne. Je voudrais commenter ici l’article de wikipedia qui lui est consacré. Dans un premier moment, ma réaction est plutôt enthousiaste : je vois des expressions comme « critique du darwinisme social, anti-productivisme, critique de l’idéologie de la croissance économique » qui correspondent à des idées que je juge très saines et pertinentes pour améliorer notre existence sur Terre. Puis on me dit qu’elles ont été regroupées sous le terme de « collapsologie » pour que cette connotation peu vendeuse évite qu’on ne puisse les travestir en des notions creuses favorisant telle ou telle niche commerciale. OK, je reprends ma lecture à froid quelques heures après.

À titre anecdotique, nous apprenons d’entrée que ce monsieur, l’un des fondateurs de la collapsologie, donc, a joué un rôle crucial dans la mise au point des programmes de la politique écologiste officielle. Pour de la contre-culture et du contre-pouvoir, ça commençait un peu mal. Mais j’avais encore bon espoir de me tromper, les choses n’étant pas noires ou blanches.

« Il est invité par l’ancien eurodéputé Yves Cochet à rédiger un rapport pour le groupe des Verts/Alliance libre européenne au Parlement européen sur l’avenir de l’agriculture en Europe. Ce rapport qui évoque la possibilité d’un effondrement imminent des systèmes alimentaires industriels en Europe, a été présenté publiquement au Parlement européen de Bruxelles le 17 octobre 2013 ».

Ainsi rentrais-je dans le vif du sujet, les idées pures et dures, de cette « collapsologie » : sur mes gardes, mais sans envies particulières de faire encore l’étalage de ma méfiance.

La première chose qui m’interpelle c’est leur concept de « résilience ». La « résilience » nous disent-ils, c’est l’attitude qui permet de changer la société. Ha : boycott = résilience ? Mais si tu regardes « résilience », tu te topes avec une notion de la psychologie clinique en rapport avec les traumatismes. Après, il ne faut pas s’étonner que les gens aient peur de boycotter les merdes que la publicité leur fait désirer, s’ils doivent pour cela se considérer comme traumatisés… C’est peut-être une grille interprétative féconde en psychologie sociale, mais pas forcément positive en politique… Et puis, une notion de la psychologie, en dehors du cadre de la psychologie, ça devient de la moraline, et il ne faut pas s’étonner que ça énerve certaines personnes. Peur, énervement… je commençais déjà à me poser la question de savoir si l’on veut ici nous rapprocher du changement par l’auto-responsabilisation, ou plutôt nous en éloigner.

Ensuite viennent quelques points qui derrière des apparence de modération ne font en fait que répandre certaines bases de l’idéologie dominante dont :

– un monde binaire, dans le cadre du (mal nommé) manichéisme existentiel servant à diviser les esprits : « Toutefois, Gauthier Chapelle et Pablo Servigne ne nient pas l’existence de la compétition qui est aussi indispensable pour poser des limites, un territoire ou lors de la reproduction ». Histoire de ne surtout pas s’attaquer à la source de l’individualisme, et encore moins de cautionner des « extrémismes » du genre « tout est amour », on ne sait jamais, des fois que le nombre de religieux sincères ou de hippies de bonne foi augmente ; ou qu’un grand nombre se mette à découvrir le mysticisme pour lequel nous sommes tous Un et toute compétition illusoire et irrationnelle. Parce que ça, ce serait un réel danger pour la civilisation mercantilo-industrielle.

– l’utilitarisme anglo-saxon : « Les deux montrent enfin que l’altruisme et l’entraide sont des éléments de cohésion sociale qui se développent spontanément chez les humains. Par exemple, les situations de catastrophes naturelles sont des évènements générant des comportements d’entraide, d’auto-organisation et de calme ». La coopération existe et est dominante, MAIS attention c’est parce qu’elle est utile à notre survie biologique. Histoire que l’on ne découvre pas trop le pouvoir de la gratuité. Pour une critique du darwinisme social, ça semble plutôt cuit.

L’article termine en présentant très sommairement deux critiques (supposément les défenseurs du système dominant) de la collapsologie. Malgré une exposition rapide et bâclée dans l’article de wikipedia, les deux critiques sont pertinentes.

La première dit que « bien qu’ils puissent s’appuyer au départ sur des données recueillies sérieusement, ces discours paraissent davantage relever du prophétisme que de la science ». En effet si la météorologie (qui est la discipline scientifique écologique – dans le sens scientifique du terme – la plus simple) se trompe souvent sur des prévisions portant sur quelques jours, imaginez quel sera le niveau de certitude en ce qui concerne des hypothèses concernant l’état global d’une planète entière avec tous ses aspects, dans dans des dizaines ou centaines d’années.

La seconde critique « officielle » s’exprime ainsi : « Alternatives économiques estime également que Servigne est trop ignorant de l’état actuel de la recherche en sciences sociales et qu’il établit de nombreux parallèles discutables comme celui entre l’effondrement d’une société et la disparition d’un être vivant ». En effet si la comparaison prétends à plus qu’une métaphore ou une analogie facilitant la compréhension de certains aspects communs entre les deux, elle ne me semble alors pas pertinente.

J’ai voulu ne pas en rester à des impressions, et suis parti sur la page de la notion centrale autour de laquelle gravite cette histoire de collapsologie : « l’effondrement environnemental » : 
wikipedia.orgRisques_d’effondrements_environnementaux_et_sociaux

Là nous apprenons que : « Alors que les effondrements de civilisations du passé ont été géographiquement limités à celles-ci, les analyses actuelles envisagent un bouleversement systémique qui pourrait être mondial. Elles n’envisagent pas nécessairement la fin de l’humanité mais plutôt celle de la société industrielle ».

Donc, en fait, ce qui est ici réalisé, c’est l’assimilation de la fin de la société industrielle à un événement absolu (car se produisant partout) et violent (car je remarque que le mot le plus récurrent est ici « effondrement » et qu’un effondrement doux que je sache ça n’a pas trop d’autre sens que poétique). Si l’on glisse dans les esprits que la fin de l’industrie, c’est absolument violent, il ne faut pas, là encore, s’étonner que les gens soient rétifs au changement.

Voilà que ça se concrétise un peu plus loin, dans la définition de l’effondrement en question : « un processus à l’issue duquel les besoins de base (eau, alimentation, logement, habillement, énergie, mobilité, sécurité) ne sont plus fournis à une majorité de la population par des services encadrés par la loi ».

Enfin, ça fait plus que devenir concret, ça empire : non seulement la fin de l’industrie est un événement absolument violent, mais la raison de sa violence résiderait dans le prétendu fait que, sans l’industrie, et bien nous n’aurions pas de services publics et pas de loi : ce serait le chaos. Pris dans l’autre sens, ça présuppose que toute notre organisation collective est causée par et dépend de l’industrie. Mais c’est grave ça quand-même, comme manipulation.

Je continue cet article et je constate que les « collapsologues » semblent également se faire l’écho de certaines thèses sinistrement reliées à la matrice intellectuelle de la Droite et de sa justification idéologique des inégalités socio-économiques :

– la théorie de la surexploitation de matières premières critiques. Si l’on exploite trop, c’est qu’il n’y a pas assez de ressources pour tout le monde. Cela nous fait sentir privilégiés malgré nous, et c’est dans la nature humaine de vouloir conserver ses privilèges par peur du manque. La vérité que l’on veut ainsi noyer depuis longtemps, c’est que l’on n’exploite pas trop, mais mal. Nous sommes dans le cas où l’on exploite les ressources d’une façon qui permette de générer des fortunes privées colossales à partir du rationnement artificiel et criminel de ressources qui pourraient en fait s’avérer bien plus vastes que ce qui est sous-entendu ici. Mais l’abondance ne génère pas de conflits sociaux jouant sur la peur de manquer, qui à leur tour font stagner les inégalités ayant des causes politiques et économiques en focalisant l’attention sur des prétendues causes matérielles, physiques.

– ensuite Malthus, encore lui : « La croissance démographique, si elle se poursuivait de façon exponentielle, entraînerait une surpopulation. Cette surpopulation était déjà redoutée par Thomas Malthus au XVIIIe siècle, qui la théorisa notamment en prônant la restriction démographique. D’après l’Institut national d’Études démographiques, la population mondiale devrait atteindre un maximum à 10,9 milliards d’habitants un peu après 2100 ».

Cela fait littéralement des siècles que la gouvernance mercantile mondialiste de Droite nous paralyse avec cet argument qui fonctionne de la même manière que le précédent, en jouant sur la peur de manquer afin d’intimider notre capacité de développer notre responsabilité individuelle, alors qu’un tel développement constitue le but affiché des discours de la collapsologie. Au passage, de mémoire, j’ai en tête certaines spéculations d’après lesquelles la Terre, si les ressources sont gérées honnêtement et intelligemment, pourrait accueillir 50 millions d’humains ayant un niveau de vie agréable.

Encore un peu plus loin mes craintes se retrouvent finalement fondées : « Les phénomènes sous-jacents, qui selon ces théories pourraient conduire à un effondrement civilisationnel, s’appuient sur diverses études scientifiques et dont la réalité et la gravité est prise en considération par de nombreux organismes publics, parmi lesquels le Club de Rome, le GIEC, des autorités militaires internationales, la Banque mondiale et le Forum de Davos ».

Là à la limite le rideau tombe et l’on pourrait arrêter le commentaire. On nous dit clairement qui est derrière la collapsologie. Notez que toutes mes remarques précédentes ont été faites avant de tomber là-dessus. Je ne veux pas dire par là que je suis très intelligent, mais plutôt que le style et l’odeur des manipulations de la Droite mercantile se répète ; la répétition étant la marque d’un plan.

Cette phénoménale entreprise de création de confusion intellectuelle déborde bien-sur des auteurs qui ont crée le néologisme « collapsologie », et les précède. D’autre part, il se peut tout à fait que certains penseurs adhèrent à ces idées avec une bonne foi exemplaire, sans se rendre compte des implications concernant l’origine et la forme particulière de leur diffusion.


[Voir aussi :
Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe
L’effondrement démographique qui vient, la crise sociétale qui est déjà là
L’effondrement politique qui vient
Note sur l’effondrement des civilisations
L’effondrement de l’empire américain
La guerre psychologique derrière l’effondrement économique
Que pouvons-nous apprendre sur l’effondrement en regardant le Moyen Âge ?]




L’empire chinois (eurasien) encercle l’empire américain (île lointaine entre deux océans)

[Source : Les 7 du quebec]

Par Pepe Escobar

Encore une fois Pepe Escobar voit plus loin que ses confrères. Là ou d’autres anticipent les manoeuvres de l’impérialisme Yankee pour encercler l’empire du milieu de l’Eurasie (le centre du monde disaient les empereurs chinois),  Pepe voit très bien les manigances du nouvel empire chinois (Chine-Russie-Iran-« Allemagne »(?)) pour encercler le vieil empire américain décadent, isolé sur son ile d’Amérique du Nord entre deux océans tourmentés. Lisez cette analyse d’un ami de la Chine impériale et vous comprendrez mieux que les choses changent dans ce monde en perpétuelle crise économique – politique – sociale – commerciale – militaire – diplomatique et pourquoi pas « sanitaire ». Ne soyez pas surpris que la crise pandémique du COVID ne soit même pas évoquée par le scribe. L’empire chinois, qui prépare sa guerre de conquête depuis des années, a évacué cet exercice militaire – sanitaire – depuis des mois, alors que l’Empire du chaos s’y empêtre chaque jour d’avantage… C’est l’avantage que procure un État totalitaire expérimenté, déjà bien implanté, versus un État totalitaire à consolider… n’est-ce pas messieurs Biden, Macron, Johnson, Trudeau et les autres !?… 
Robert Bibeau. Éditeur. 


Requiem pour un empire : une préquelle

Par Pepe Escobar

L’inexorable pourriture impériale se poursuivra, une affaire vulgaire sans aucun pathétique dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung.

31 juillet 2021 –  » Asia Times ‘ —- Agressé par une dissonance cognitive à tous les niveaux, l’ Empire du Chaos  se comporte désormais comme un détenu maniaco-dépressif, pourri jusqu’à l’âme – un destin plus rempli d’effroi que d’avoir à faire face à une révolte de les satrapies.

Seuls les zombies en état de mort cérébrale croient maintenant en sa mission universelle autoproclamée en tant que nouvelle Rome et nouvelle Jérusalem. Il n’y a pas de culture, d’économie ou de géographie unificatrices qui tissent le noyau à travers un «paysage politique aride, desséché, étouffant sous le soleil cuivré de la ratiocination apollinienne, dépourvu de passion, très masculin et vide d’empathie humaine».

Clueless Cold Warriors rêvent encore de l’époque où l’axe Allemagne-Japon menaçait de gouverner l’Eurasie et le Commonwealth mordait la poussière – offrant ainsi à Washington, craignant d’être contraint à l’île, l’occasion unique de profiter de la Seconde Guerre mondiale pour ériger lui-même en tant que Paradigme Mondial Suprême et sauveur du « monde libre ».

Et puis il y a eu les années 90 unilatérales, lorsque la Shining City on the Hill, une fois de plus autoproclamée, se prélassait dans des célébrations vulgaires de «fin de l’histoire» – tout comme des néoconservateurs toxiques, engendrés dans l’entre-deux-guerres via la cabale gnostique du trotskysme new-yorkais. , ont tracé leur prise de pouvoir.

Aujourd’hui, ce n’est plus l’Allemagne-Japon mais le spectre d’une entente Russie-Chine-Allemagne qui terrorise l’Hégémon comme le trio eurasien capable d’envoyer la domination mondiale américaine aux poubelles de l’Histoire.

Entrez dans la « stratégie » américaine. Et comme on pouvait s’y attendre, c’est un prodige d’étroitesse d’esprit, n’aspirant même pas au statut d’exercice – infructueux – d’ironie ou de désespoir, cédant comme il l’est à la fondation piétonne Carnegie, avec son QG à Think Tank Row entre Dupont et Thomas Circle le long du Massachusetts. Avenue à Washington

Faire en sorte que la politique étrangère des États-Unis fonctionne mieux pour la classe moyenne est une sorte de rapport bipartite guidant l’administration actuelle et désorientée de Crash Test Dummy. L’un des 11 écrivains impliqués n’est autre que le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan. L’idée qu’une stratégie impériale mondiale et – dans ce cas – une classe moyenne profondément appauvrie et enragée partagent les mêmes intérêts n’est même pas qualifiée de mauvaise blague.

Avec des « penseurs » comme ceux-ci, l’Hégémon n’a même pas besoin de « menaces » eurasiennes.

Vous voulez parler à M. Kinzhal ?

Pendant ce temps, dans un scénario digne de Desolation Row de Dylan réécrit par The Three Stooges, les proverbiales chihuahuas atlantistes délirent que le Pentagone a ordonné la partition de l’OTAN : l’Europe occidentale contiendra la Chine et l’Europe orientale contiendra la Russie.

Pourtant, ce qui se passe réellement dans ces couloirs de la puissance européenne qui comptent vraiment – ​​non, bébé, ce n’est pas Varsovie – c’est que non seulement Berlin et Paris refusent de s’opposer à Pékin, mais réfléchissent à comment se rapprocher de Moscou sans enrager l’Hégémon.

Voilà pour les micro-ondes, Divide and Rule Kissingerian. L’une des rares choses que le célèbre criminel de guerre a vraiment compris, c’est lorsqu’il a noté, après l’implosion de l’URSS, que sans l’Europe « les États-Unis deviendraient une île lointaine sur le littoral de l’Eurasie»: ils habiteraient « dans la solitude, un statut mineur ».

La vie est un frein lorsque le déjeuner gratuit (mondial) est terminé et en plus de cela, vous devez faire face non seulement à l’émergence d’un « concurrent de pairs » en Eurasie (copyright Zbig « Grand échiquier » Brzezinski) mais aussi à un partenariat stratégique global. Vous craignez que la Chine ne mange votre déjeuner – et votre dîner, et votre dernier verre – mais vous avez toujours besoin de Moscou comme ennemi désigné de choix, car c’est ce qui légitime l’OTAN.

Appelez les trois Stooges ! Envoyons les Européens patrouiller en mer de Chine méridionale ! Allons chercher ces nullités baltes et des Polonais pathétiques pour faire respecter le nouveau rideau de fer ! Et déployons la russophobe Britannia Rules the Waves sur les deux fronts !

Contrôler l’Europe – ou faire faillite. D’où le Brave New NATO World : le fardeau de l’homme blanc revisité – contre la Russie-Chine.

Jusqu’à présent, la Russie-Chine avait fait preuve d’une patience taoïste infinie face à ces clowns. Plus maintenant.

Les acteurs clés du Heartland ont clairement vu à travers le brouillard de la propagande impériale ; la route sera longue et sinueuse, mais l’horizon finira par dévoiler une alliance Allemagne-Russie-Chine-Iran rééquilibrant l’échiquier mondial.

C’est le cauchemar ultime de la Nuit impériale des morts-vivants – d’où ces humbles émissaires américains se précipitant frénétiquement autour de plusieurs latitudes essayant de maintenir les satrapies en ligne.

Pendant ce temps, de l’autre côté de l’étang, la Chine et la Russie construisent des sous-marins comme s’il n’y avait pas de lendemain équipés de missiles à la pointe de la technologie – et les Su-57 invitent les sages à une conversation étroite avec un hypersonique M. Kinzhal.

Sergueï Lavrov, tel un grand seigneur aristocratique , a pris la peine d’éclairer les clowns avec une distinction nette et érudite  entre l’état de droit et leur auto-défini « ordre international fondé sur des règles ».

C’est trop pour leur QI collectif. Ce qu’ils enregistreront peut-être, c’est que le traité russo-chinois de bon voisinage, d’amitié et de coopération, initialement signé le 16 juillet 2001, vient d’être prolongé de cinq ans par les présidents Poutine et Xi.

Alors que l’Empire du Chaos est progressivement et inexorablement expulsé du Heartland, la Russie et la Chine gèrent conjointement les affaires d’Asie centrale.

Lors de la conférence sur la connectivité en Asie centrale et du Sud à Tachkent , Lavrov a expliqué comment la Russie dirige « le Grand partenariat eurasien, un cadre unificateur et intégrateur entre les océans Atlantique et Pacifique qui est aussi libre pour la circulation des biens, des capitaux, du travail et des services. que possible et qui est ouvert à tous les pays du continent commun de l’Eurasie et aux syndicats d’intégration créés ici.

Ensuite, il y a la stratégie de sécurité nationale russe mise à jour , qui décrit clairement que la construction d’un partenariat avec les États-Unis et la réalisation d’une coopération gagnant-gagnant avec l’UE est une lutte difficile : « Les contradictions entre la Russie et l’Occident sont sérieuses et difficiles à résoudre. En revanche, la coopération stratégique avec la Chine et l’Inde sera élargie.

Un séisme géopolitique

Pourtant, la percée géopolitique déterminante au cours de la deuxième année des années folles pourrait bien être la Chine disant à l’Empire : « ça suffit ».

Tout a commencé il y a plus de deux mois à Anchorage, (la nouvelle phase du plan global du moins. NDÉ) lorsque le redoutable Yang Jiechi a préparé une soupe aux ailerons de requin  avec la délégation américaine impuissante. La pièce de résistance est arrivée cette semaine à Tianjin, où le vice-ministre des Affaires étrangères Xie Feng et son patron Wang Yi ont réduit la médiocre bureaucrate impériale Wendy Sherman au statut de boulette rassis.

Cette analyse fulgurante d’un groupe de réflexion chinois a passé en revue toutes les questions clés. Voici les faits saillants.

– Les Américains voulaient s’assurer que des « garde-fous et frontières » soient établis pour éviter une détérioration des relations américano-chinoises afin de « gérer » la relation de manière responsable. Cela n’a pas fonctionné, car leur approche était « terrible ».

– « Le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Xie Feng a mis le doigt sur la tête lorsqu’il a déclaré que la triade américaine «concurrence, coopération et confrontation» est un « bandeau sur les yeux » pour contenir et réprimer la Chine. La confrontation et le confinement sont essentiels, la coopération est opportune et la compétition est un piège à discours. Les États-Unis exigent la coopération lorsqu’ils ont besoin de la Chine, mais dans les domaines où ils pensent avoir un avantage, ils découplent et coupent les approvisionnements, les blocages et les sanctions, et sont prêts à affronter et confronter la Chine afin de la contenir.

– Xie Feng « a également présenté deux listes à la partie américaine, une liste de 16 éléments demandant à la partie américaine de corriger ses mauvaises politiques et paroles et actes envers la Chine, et une liste de 10 cas prioritaires préoccupant la Chine (…) si ces -Les problèmes de la Chine causés par le penchant des États-Unis ne sont pas résolus, de quoi peut-on parler entre la Chine et les États-Unis?»

– Et puis, le sorbet pour accompagner le cheesecake : les trois lignes de fond de Wang Yi à Washington. En un mot:

  1. « Les États-Unis ne doivent pas contester, dénigrer ou même tenter de subvertir la voie et le système socialistes aux caractéristiques chinoises. La route et le système de la Chine sont le choix de l’histoire et le choix du peuple, et ils concernent le bien-être à long terme de 1,4 milliard de Chinois et le destin futur de la nation chinoise, qui est l’intérêt central auquel la Chine doit adhérer.
  2. « Les États-Unis ne doivent pas essayer d’entraver ou même d’interrompre le processus de développement de la Chine. Le peuple chinois a certainement le droit à une vie meilleure, et la Chine a aussi le droit à la modernisation, qui n’est pas le monopole des États-Unis et implique la conscience fondamentale de l’humanité et de la justice internationale. La Chine exhorte la partie américaine à lever rapidement toutes les sanctions unilatérales, les tarifs douaniers élevés, la juridiction à bras long et le blocus scientifique et technologique imposé à la Chine. »
  3. « Les États-Unis ne doivent pas empiéter sur la souveraineté nationale de la Chine, et encore moins saper l’intégrité territoriale de la Chine. Les enjeux liés au Xinjiang, au Tibet et à Hong Kong ne concernent jamais les droits de l’homme ou la démocratie, mais plutôt les principaux droits et torts de la lutte contre « l’indépendance du Xinjiang », « l’indépendance du Tibet » et « l’indépendance de Hong Kong ». Aucun pays ne permettra que sa sécurité souveraine soit compromise. Quant à la question de Taïwan, c’est une priorité absolue (…) Si « l’indépendance de Taïwan » ose provoquer, la Chine a le droit de prendre tous les moyens nécessaires pour l’arrêter.

L’Empire du Chaos enregistrera-t-il tout ce qui précède ? Bien sûr que non. Ainsi se poursuivra l’inexorable pourriture impériale, une affaire vulgaire sans aucun pathos dramatique et esthétique digne d’un Gotterdammerung, suscitant à peine un regard des dieux, « où ils sourient en secret, regardant les terres incultes / Fléau et famine, peste et tremblement de terre, abîmes rugissants et sables ardents, / Combats retentissants et villes en flammes, et navires coulant, et priant mains », comme Tennyson l’a immortalisé.

Pourtant, ce qui compte vraiment, dans notre royaume de realpolitik, c’est que Pékin ne s’en soucie même pas. Le point a été fait : « Les Chinois en ont depuis longtemps assez de l’arrogance américaine, et le temps où les États-Unis ont essayé d’intimider les Chinois est révolu.

Maintenant , c’est le début d’un nouveau monde géopolitique – et un prequel à un requiem impérial. De nombreuses suites suivront.


Pepe Escobar – Analyste géopolitique indépendant, écrivain et journaliste




Le Conseil Constitutionnel osera-t-il enterrer la République Française ?

Par Jean-Michel Grau

Le jeudi 12 juillet 2021 sera-t-il à marquer d’une pierre noire pour la démocratie française ?

En ce jour, le Conseil Constitutionnel devra prendre position pour savoir s’il valide ou non l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron le 12 Juillet.

Pour rappel, ce pass sanitaire est anti-constitutionnel en ce sens qu’il bafoue et viole la constitution française car il heurte de manière disproportionnée nombre de libertés fondamentales.(([1] Pass_sanitaire_50000_citoyens_deposent_un_recours_devant_le_Conseil_constitutionnel.pdf (dejavu.legal) )) Ainsi :

« Cette obligation indirecte, puisque non prescrite par la loi, viole l’article 5 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 qui énonce que “nul ne peut être contraint à faire ce que la loi n’ordonne pas”. »(([2] Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme ! – Boulevard Voltaire (bvoltaire.fr) ))

L’obligation vaccinale pour exercer certaines professions viole le droit à l’emploi et le droit de ne pas être lésé en raison de ses opinions ou de ses croyances, protégés par l’alinéa 5 du Préambule de la Constitution de 1946 comme par l’article 8 de la Déclaration de 1789.

Elle viole également le principe d’égalité, les libertés individuelles, le principe de protection de la santé, le droit à l’intégrité physique et à la dignité, le principe d’égal accès aux emplois publics, le principe de précaution, inscrits dans notre bloc de constitutionnalité.

En effet :

Soumettre l’exercice de certaines activités à la présentation d’un “pass sanitaire” aboutit en pratique à une obligation vaccinale pour le personnel travaillant dans les domaines listés ainsi qu’aux citoyens souhaitant y accéder : en effet, la contrainte représentée par le fait de devoir se rendre toutes les 48 heures dans un centre habilité pour y subir un prélèvement nasal non remboursé à compter de l’automne (environ 27 euros à ce jour pour un test PCR, soit 405 euros par mois) dans des centres qui seront probablement raréfiés et engorgés (du fait du non-remboursement) constitue une mesure d’effet équivalant à une obligation vaccinale.

Par ailleurs :

Le pass sanitaire viole le secret médical (L1110-4 du code de santé publique)

Le pass sanitaire viole la liberté de disposer de son corps (L16 -1 Code civil).

Le pass sanitaire viole la liberté de refuser tout traitement (L1111-4 du code de santé publique)

Il viole aussi au moins un accord européen :

la résolution 2361 adoptée le 28/01 par le Conseil de l’Europe (et dont la France est signataire) qui stipule :

– article 7.3.1 que la vaccination ne devra pas être obligatoire et que personne ne devra subir de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, si il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement.

– article 7.3.2 que personne ne devra être victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné en raison des risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner.

Pour toutes ces raisons, le Conseil Constitutionnel s’expose à une responsabilité écrasante face à l’Histoire s’il valide l’extension du pass sanitaire décrétée par Emmanuel Macron.

Cela équivaudra à enterrer de fait la République française. Exactement comme l’a fait le parlement français un certain 10 Juillet 1940 en votant les pleins pouvoirs à Pétain, ouvrant la voie aux trois premiers actes constitutionnels pris par ce même Pétain le lendemain qui, outrepassant le texte du 10, constituent une forme de coup d’État en supprimant la République pour instituer un régime dictatorial au profit d’un chef d’État autoproclamé.

Pour éviter d’arriver à un tel scénario catastrophe, il reste deux options au Conseil Constitutionnel :

Option n°1

Vider l’extension du pass sanitaire de sa substance en invalidant toutes ses dispositions liberticides :

  • Accès aux hôpitaux hors cas d’urgence,
  • Accès aux écoles, collèges, lycées et universités,
  • Accès aux transports en commun (Trains, bus, métro, tramway…)
  • Accès aux Centres Commerciaux,
  • Accès aux lieux culturels (Musées, concerts, salles de spectacle, cinémas…)
  • Accès aux restaurants, bars, cafés, discothèques…)

Option n°2

Démissionner en bloc pour cause de conflit d’intérêt du président du Conseil Constitutionnel Laurent Fabius avec son fils Victor, vice-président du Cabinet de conseil Mc Kinsey qui élabore la stratégie vaccinale de la France.

Ceux que l’on appelle « les sages » sauront-ils se montrer dignes de leur fonction en rejetant ce pass liberticide qui institue de facto la dictature ?

Réponse jeudi, mais quelle que soit leur décision, elle restera gravée dans l’Histoire de France.

Ou comme une victoire de la liberté, ou bien comme une tache indélébile.





Modèle de plainte si des responsables scolaires/universitaires insistent pour vous forcer à vacciner votre enfant

[Voir aussi sur docteur.nicoledelepine.fr]

Par Nicole Delépine

Nom………….

Prénom ……………………

Date et lieu de naissance………………………

Profession……………………………..

Adresse…………………………..

                                                                       Monsieur le Procureur de la                                                                             République près le Tribunal                                                                              Judiciaire de………………..

Le………………………………..

Recommandée avec A.R.

OBJET : Plainte pour :

-Complicité de tentative d’empoisonnement (art. 121-7 et 221-5 C.P.)

-Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.)

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous exposer les faits suivants.

(exposé de la situation que l’on subit. Ex. « le …aout 2021, le Proviseur du Lycée…. a indiqué à mon fils mineur…………………… qu’il ne pourrait pas revenir en septembre s’il n’était pas muni du Pass sanitaire, c’est à dire, s’il n’avait pas reçu les 2 doses au moins d’un des produits promotionnés par les autorités, et appelés faussement « vaccins »)

Je considère que cette attitude est hautement répréhensible pénalement pour les raisons suivantes :

I- LES FAITS :

Courant 2008, un rapport de l’UNESCO de 256 pages (disponible sur UNESDOC) évoque la particularité troublante de certains vaccins, contenant des nano-puces et des cristaux liquides pouvant influer sur le comportement humain, sans souci d’éthique politique.  Si l’on s’en réfère aux déclarations même des « décideurs » et de leurs « conseillers », l’objectif de l’opération pourrait bien être d’inoculer aux populations un vaccin très spécial. Ainsi la peur créée par la « pandémie »  aurait pour objectif de rabattre les populations vers un « vaccin » contre lequel l’UNESCO met en garde et dont on sait qu’il comportera en réalité des nano-puces, vecteurs d’identification biométriques, et des cristaux liquides.

Lors de la conférence TED 2010, Bill Gates indique espérer réduire la population mondiale « avec de bons résultats sur les nouveaux vaccins »

Courant 2017, après que Bill Gates ait versé des subventions importantes à l’O.M.S., (organisme créé par la famille Rockefeller) la faisant ainsi devenir progressivement, une organisation privée, Tedros Adhanom Ghebreyesus est nommé à sa tête.

Ce personnage fut membre du bureau politique du Tigray People Liberation Front (TPLF), une organisation inscrite dans la liste des organisations terroristes du U.S. Homeland Security. Il fut Ministre de la Santé en Ethiopie de 2005 à 2012, et est membre du Conseil d’administration de l’alliance pour la vaccination (GAVI) qui œuvre au profit de l’industrie pharmaceutique pour imposer la multi-vaccination avec des puces RFID à la terre entière.

On comprend aujourd’hui, pourquoi l’O.M.S. préconisait de ne pas utiliser d’anti-inflammatoire contre le Covid 19, et n’a cessé d’affirmer qu’il n’existait pas de traitement, mais « qu’un vaccin est à l’étude… »

Le 23 février 2017, Monsieur Bernard CAZENEUVE, premier ministre, prononce le discours à la cérémonie d’accréditation du laboratoire de haute sécurité biologique P4 à WUHAN, (République Populaire Chinoise), en présence,

notamment, du mari (Président de l’Inserm) de Madame Agnès BUZIN, elle même à l’époque, présidente de la Haute Autorité de Santé (H.A.S.)

Le 21 septembre 2018, la société Microsoft Technology  Licensing (fondée par Bill Gates) dépose aux USA un brevet intitulé CRYPTOCURRENCY SYSTEM USING BODY ACTIVITY DATA. Ce brevet ne sera publié que courant mars 2020 (WO2020/060606A1).

Il concerne des nanoparticules qui auraient la faculté, lorsqu’elles sont introduites  dans le corps humain par des injections, d’être  identifiées et localisées par n’importe quel ordinateur.

Courant 2018, la Banque mondiale WITS (World integrated Trade Solution) publie sur son site, des millions de commandes émanant de nombreux pays, pour lesquelles on lit « : COVID-19 Diagnostic-Test instruments and apparatus »

Dès que cette information a filtrée, la mention « Covid-19 » a été effacée, et devant l’indignation sur les réseaux sociaux, la WITS a déclaré que cette appellation était une coïncidence…

A l’automne 2019, a lieu aux U.S.A., sous la présidence du milliardaire, fondateur de la société Microsoft Technology  Licensing, et finançant une grande partie du budget de l’O.M.S., une simulation d’une pandémie qui serait due à un coronavirus, sur la base d’un roman écrit en 1981 : « The eyes of darkness ». Cette simulation portait le nom de « Event201 ».

Lors de la conférence ID2020 Sommet 2019, Bill Gates fait la promotion du vaccin contenant le « marqueur » à nano-puce électronique, destiné à « marquer » et à contrôler 7 milliards d’humains. (mais il ne fait pas vacciner ses enfants).

Les premiers cas de Covid 19 seraient apparus au marché de Wuhan, à 180m. du laboratoire inauguré par M. CAZENEUVE.

1ères anomalies et contradictions

On commence à en parler en France en fin décembre 2019, et en même temps, l’hydroxychloroquine est brusquement classée dans les substances interdites, par un arrêté ministériel signé en janvier  2020 par Mme BUZYN, dont le mari (encore lui) fut nommé en Octobre 2019, « Conseiller d’Etat en service extraordinaire », et quitta ses fonctions au moment du 1er déconfinement. (« La Dépêche.fr » 22 mai 2020).  N.B. : Pendant le confinement, presque tous les recours déposés au Conseil d’Etat par ceux qui critiquaient les textes liberticides, ou réclamaient simplement que l’on fasse connaître les thérapeutiques existantes, ont été rejetés…

Début mars, les scientifiques nous expliquaient sur les media, que le masque ne servait à rien et que l’idée d’un confinement aurait plus d’inconvénients que d’avantages.

En réalité, le recul, et les déclarations occultées de nombreux scientifiques, nous permettent d’affirmer  :

  • que ce jour là ils avaient raison,
  • mais qu’une pensée unique s’est, juste après,  brusquement introduite dans tous les milieux officiels et dans les media, ce qui fait que le discours officiel va brusquement changer.

15 jours plus tard, l’on va confiner,  et, curieusement, alors que des traitements de cette nouvelle grippe  étaient utilisés avec succès, personne n’en parle :

  1. a) l’hydroxychloroquine, préconisée par le Pr. RAOULT, et curieusement interdite dès janvier 2020, alors que ce produit était connu et largement utilisé depuis 70 ans. Courant avril 2021, l’on apprend que le Sénégal qui, dès le début, a suivi le protocole du Pr. RAOULT a recensé 61 morts par million d’habitants, soit 23 fois moins que la France.
  1. b) La Vitamine C en perfusion et à forte dose (100 % d’efficacité et sans effets indésirables sérieux dans les services des Pr. MARIK et VARON aux U.S.A.),

Par courrier du 11 mars 2020, le Dr. LABREZE, médecin dans les Bouches du Rhône, en informe M. le Ministre de la Santé, et ajoute, concernant les USA :

« Le Pr MARIK a traité deux groupes de 47 patients atteints d’une pathologie infectieuse grave (voire critique),  pris en charge dans son service de réanimation.
Il y a eu 19 décès dans le groupe pris en charge avec les méthodes aujourd’hui utilisées dans tous les centres hospitaliers, y compris dans les CHU français .
Dans le groupe  traité avec des injections de vitamine C, d’hydrocortisone et de  thiamine (Vit B1), aucun patient n’est décédé des conséquences de son infection !

Nous parlons ici de 19 décès versus zéro décès !!

Compte tenu du fait que la rigueur professionnelle et scientifique des auteurs de cette  publication ne peut être raisonnablement mise en doute, ne pas agir immédiatement, sur la base de cette information, alors que plus de quatre mille patients sont actuellement en services de réanimation,  représenterait, à mon sens, une négligence grave et, très clairement, une mise en danger de la vie de ces patients, ou de ceux dont l’état de santé actuel pourrait se dégrader très rapidement, faute d’avoir pu bénéficier des traitements que j’ai portés et porte à nouveau à votre connaissance… »

« Dans les circonstances actuelles, faisant craindre le développement d’une épidémie liée au coronavirus et la mort d’un nombre important de nos concitoyens, quel que soit d’ailleurs leur état de santé antérieur et l’existence ou non de comorbidités, il me semble important et urgent de porter à votre connaissance l’existence de ressources thérapeutiques validées mais encore insuffisamment connues de la communauté médicale, notamment dans notre pays….

Je pense qu’une large diffusion de ces informations apparaît aujourd’hui comme une action prioritaire de santé publique, puisqu’elle va donner aux équipes médicales hospitalières particulièrement démunies face aux formes sévères de COVID-19, une ressource thérapeutique particulièrement efficace qui leur permettra indiscutablement de sauver des vies… ».

Fin mars, le Pr MARIK, de la Eastern Virginia Medical School, écrit :

« …Nous avons traité 4 patients avec un syndrome de détresse respiratoire aigüe lié au COVID et tous se sont améliorés dans les 6 à 12h ayant suivi l’instauration du traitement.

L’intubation a été évitée pour l’un d’entre eux et les 3 autres sont maintenant sevrés.

Le Dr VARON, Président du conseil d’administration de l’United General Hospital et médecin chef et responsable du département des soins intensifs, a, à ce jour, traité 14 patients atteints du COVID avec notre protocole. Il a rapporté également une amélioration rapide dans les 12 heures qui ont suivi l’administration du traitement.

Six de ces patients ont été extubés dans les 4 jours, et tous les autres sont aujourd’hui sevrés….

La vitamine C a été intégrée dans l’algorithme de traitement du COVID de l’Université du Wisconsin. 

Nous croyons que l’utilisation de notre protocole va sauver des vies. Et, ce qui est important également, c’est qu’elle va permettre d’éviter l’intubation pour un grand nombre de patients, écourtera le recours à une ventilation assistée lorsqu’elle aura été mise en œuvre, libérant ainsi ces équipements essentiels qui pourront ainsi être utilisés pour d’autres patients. La vitamine C est bon marché, facilement disponible et totalement dépourvue d’effets secondaires… »

Le Pr. VARON indique, le 13 avril 2020 :

« Notre succès avec la combinaison thérapeutique est incroyable. Aujourd’hui nous avons traité plus de 25 patients à l’United Memorial Medical Center de Houston, et pas un seul n’a dû être intubé. Tous étaient atteints d’une forme sévère de pneumopathie due au Covid 19, et furent rapidement guéris par l’acide ascorbique, la Thiamine, des stéroïdes, et de l’Heparin. Nous avons aussi ajouté l’hydroxychloroquine et l’azythromicine à ces patients… »

N.B. Le Pr. J. VARON fait partie des scientifiques nationalement connus aux U.S.A.

Il enseigne au Texas, et au Mexique.

Il totalise plus de 400 publications scientifiques et a publié une dizaine d’ouvrages.

Le Ministre de la Santé a reçu toutes ces informations.

Devant l’absence de réaction du Ministre de la Santé, un groupe de médecins saisit 2 fois le Conseil d’Etat, en vain.

  1. c) Artemisia annua utilisée avec succès également en Afrique et à Madagascar);

En mars 2021, Madagascar qui totalise environ 27.000.000 d’habitants, annonçait moins de 400 décès du Covid depuis le début de l’épidémie…

  1. d) Dans le courant de l’année 2020, l’on apprenait également que l’Ivermectine, médicament utilisé depuis des décennies, était très efficace concernant cette pathologie. Curieusement, ce médicament avait été, lui aussi, interdit : tout médecin le prescrivant serait poursuivi devant le Conseil de l’Ordre.

Parallèlement,  dans Paris-Match, du  9 au 15 av. 2020, le Pr. BRECHOT, ancien Directeur de l’institut Pasteur, Président du Global Virus Network, déclarait « …Aucun vaccin fiable n’a été mis au point contre un coronavirus… »

Ainsi, il devenait de plus en plus clair que l’objectif était :

  • De faire croire que la maladie risquait de décimer tout le monde, en manipulant les chiffres,
  • De faire croire qu’il n’existait aucun traitement
  • De faire croire que seul le vaccin serait salvateur.

La Manipulation des chiffres :

Le Secrétaire général des Nations Unies monsieur Antonio GUTERRES déclarait publiquement :

«… Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adoptés des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des organisations non gouvernementales, des défenseurs du droit humain, des journalistes, des avocats, des militants, des  professionnels de la santé, ont fait l’objet d’arrestations, de poursuites, et des mesures d’intimidations et de surveillances pour avoir critiqué les mesures ou le manque de mesures…, les restrictions servent d’excuse pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques, l’accès à   l’information vitale a été entravé, tandis que la désinformation mortelle a été amplifiée, y compris par certains dirigeants…»

S’il est incontestable qu’il existe un virus (sars-cov 2), toutefois il a été volontairement surévalué dans sa dangerosité « pour établir la peur » et les restrictions sur les droits fondamentaux pour la population, tel que le révèle le courrier du comité scientifique dirigé par monsieur Jean-François DELFRAISSY publié dans « The Lancet » :

Immune evasion means we need a new COVID-19 social contract § 3.

«… Hence, it is time to abandon fear based approaches based on seemingly haphazard stop-start generalized confinement as the main response to the pandemic»  Lancet Public Health 2021 Published Online February 18, 2021

https://doi.org/10.1016/S24682667(21)00036-0

Il est remarqué que, partout dans le monde, le taux de mortalité lié au covid-19 a été purement fabriqué artificiellement en y incluant toutes les pathologies à son compte ; ainsi en France, à de multiples reprises, le président de la commission des affaires sociales, commission permanente de l’Assemblée nationale, a demandé au ministre de la santé :

« …je ne reviens pas sur la question polémique du masque et la question de Leprus, que pouvez-vous me dire sur la surmortalité invisible qui est occulté par le covid-19, je pense au cancer, aux maladies cardiovasculaires et autres, et on a des certificats de décès que j’ai pu constater dans la mairie où j’appartiens, à savoir des personnes très âgées qui sont décédées marquées covid-19, or ces patients n’ont jamais eu le covid-19, c’est le médecin qui a marqué covid-19, on ne sait pas pourquoi, mais il y a une surmortalité qui existe dans les certificats médicaux, j’ai posé la question à monsieur Salomon « Jérôme Salomon, le ‘Monsieur coronavirus’ du gouvernement», mais il m’a dit qu’il regarderait ça ? ».

Il est clairement établi la fabrication de faux certificat de décès avec la complicité de certaines personnes au nom du covid-19 ; par ailleurs, la grippe n’existe plus en France, le taux de mortalité étant de 0 ; ainsi toutes les personnes décédées de cancer, de problème pulmonaire, de vieillesse ou d’autres pathologies, sont déclarées covid-19.

Il n’y a pas lieu de s’étendre sur l’interprétation des« sur-hospitalisations » invisibles liées au covid-19, la France employant le même schéma de mensonges, en modifiant la norme régissant la réanimation : « lits pour accueillir des patients avec des défaillances multi-organiques, nécessitant une assistance respiratoire» ré-exprimée depuis le covid-19″.

Ainsi, a été gonflé artificiellement le nombre de personnes hospitalisées en réanimation pour covid-19. Prenons cet exemple : une personne atteinte de septicémie se retrouve en surveillance continue, est-elle pour autant en réanimation atteinte du covid-19 justifiant une surcharge hospitalière covid-19 ? En France : oui!

L’Institut    National    de    la    Statistique    et    des    Études    Économiques    montre    une    faible   surmortalité   en   2020   en   dehors   des   périodes   de   confinement.

Selon les données de l’Insee, statistiques de l’Etat Civil, le nombre  de décès moyen par jour en France était de :

  • 1.863 en Février 2018
  • 1.994 en février 2019
  • 1.772 en février 2020

Les autorités de Santé Publique avaient parfaitement connaissance de ces chiffres démontrant que la gravité de l’épidémie n’existait que sur les grands médias qui se contentaient de véhiculer ce que leur disaient les porte-paroles des autorités.

II- LES INFRACTIONS PENALES :

1°) Complicité de tentative d’empoisonnement : (art. 221-5  C. Pénal)

Dès le début de la vaccination, de nombreuses voix  se sont élevées, provenant de scientifiques du monde entier (Docteur Alexandra Henrion-Caude, Docteur Sheri Tenpeny, Professeur RAOULT, docteur Eric MENAT, Dr. AGRET etc…) indiquant :

  • Que les contrats signés entre la commission européenne et les laboratoires Pfeizer, Moderna, Astra Zenecha contenaient d’étranges dispositions par lesquelles :
  • Les parties reconnaissent ne rien savoir sur l’efficacité des produits,
  • Les parties reconnaissent ignorer les effets indésirables à long terme,
  • En cas d’effets indésirables, les laboratoires bénéficient d’une exonération de responsabilité.

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres médecins ont voulu attirer l’attention des pouvoirs publics et des médias sur le fait que les produits qualifiés de vaccins ne correspondaient pas du tout à la définition classique du vaccin.

En effet, un vaccin est un produit contenant un virus inactivé ou atténué ayant pour but de créer des anticorps.

Les produits actuels ne répondent pas du tout à cette définition, et sont en réalité des médicaments de thérapie génique, lesquels médicaments seront injectés à des gens bien portants.

Les scientifiques précités s’élèvent contre le fait que tous les produits qualifiés de vaccins anticovid n’ont qu’une autorisation conditionnelle de mise sur le marché puisqu’ils  sont tous en phase 3 d’essai clinique. Cette phase 3 ne se terminera qu’en 2022 ou 2023.

Les scientifiques précités ont tenté d’alerter les pouvoir publics et les médias sur le fait que les essais effectués sur des animaux avaient mis en évidence le fait que les éléments OGM injectés allaient déclencher une protection éventuelle contre le covid19,  mais allaient parallèlement neutraliser tous les anticorps naturels de l’être vivant  qui n’aura ainsi plus la moindre défense immunitaire contre tous les autres virus.

Ils indiquent  que lorsqu’un sujet « vacciné » entrera en contact avec n’importe lequel autre virus grippal, ou virus de la rougeole ou de la coqueluche, etc…, même s’il a reçu des vaccins classiques antérieurement, ses défenses immunitaires étant totalement neutralisées, la guérison ne sera pas possible et le nombre de décès risque d’être impressionnant dès l’entrée de l’hiver 2021.

Déjà, le site de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), indiquait qu’au 21 mai 2021, il y avait déjà 37.000 cas d’effets indésirables dont 9.000 graves et environ 700 décès.

La base de données Européenne d’effets indésirables indique début juin 2021 1.354.336 effets indésirables dont plus de 600.000 graves et 13.867 décès !

         NB : Les organismes de pharmacovigilance de nombreux pays, dont la France, indiquent n’avoir connaissance que de 10 % des effets  indésirables…

         Les chiffres réels sont donc certainement à multiplier par 10….

Les scientifiques précités ainsi que de nombreux autres indiquent que, outre les cas de thromboses survenus immédiatement après l’injection ou dans les 15 jours qui suivent, les produits vont entraîner la stérilité de nombreux êtres et déclencher de nombreuses fausses couches chez les femmes enceintes.

Or, les campagnes gouvernementales, avec le soutien des grands médias,  tentent de convaincre tous les français de se faire injecter ces produits qui sont un véritable poison. Les français sont tellement manipulés et induits en erreur qu’ils n’ont même pas remarqué que les premières vaccinations en Europe qui ont eu lieu en Grande Bretagne ont été suivies presque immédiatement par l’apparition du variant anglais.

Ainsi, de nombreux médecins redoutent qu’à l’automne, les effets indésirables graves soient faussement attribués  à un variant, et  que la France ne revive une 4ème vague pour laquelle tant les autorités que les médias se garderont bien de s’interroger sur la nocivité de ce produit et le lien de causalité, même si les personnes hospitalisées seront quasiment toutes des personnes ayant reçu des injections.

J’estime que cette opération visant soi-disant à nous protéger d’un virus qui n’a occasionné que 0,035 % de décès parmi les personnes contaminées, soit un des taux les plus faibles  parmi toutes les épidémies contemporaines, n’est qu’en fait une vaste tentative d’empoisonnement.

Je m’interroge sur les véritables motivations de cette opération et estime qu’en ayant interdit toutes les thérapeutiques, en ayant gonflé artificiellement les chiffres des soi-disant morts du virus, et en tentant de nous convaincre de nous faire injecter un produit qui à long terme peut être mortel, les français se trouvent face à une véritable tentative collective d’empoisonnement.

Monsieur Dupont Moretti, Ministre de la Justice, déclarait lui-même récemment « On ne va pas obliger les détenus à se  vacciner, car les détenus ne sont quand même pas des cobayes ».

Fin Mai 2021, le Dr. Geert Van Den Bossche, pourtant l’un des créateurs de vaccins les plus réputés dans le monde, a adressé une lettre ouverte à des milliers de professionnels de santé, indiquant qu’il fallait d’urgence arrêter ce programme de vaccinations.

Il y  lieu de préciser que Geert Van den Bossche a été :

  • biologiste au sein du laboratoire GSK,
  • directeur des programmes de recherche des adjuvants chez Novartis,
  • directeur de projets de vaccins contre la grippe au sein de la fondation Bill et Melinda Gates,
  • agent principal de santé mondiale et découverte de vaccins chez Gavi
  • etc…

Toutes ces informations sont connues des autorités de santé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois, ainsi que des responsables des administrations qui ont été inondées de courriers.

C’est donc en connaissance de cause, que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et dont la dangerosité apparait de plus en plus.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car de nombreux français avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes dont ils ont eu connaissance.

Ces informations ont été transmises au          Recteur d’Académie,

                                                                       Président de l’Université

                                                                       Proviseur du Lycée

                                                                       Directeur du Collège…..

Ainsi, en connaissance de cause, cette personne tente de

-contraindre mon fils mineur à se faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

-me contraindre à me faire injecter un produit hautement toxique, n’ayant de vaccin que le nom.

J’estime qu’il y a de la part de cette personne, une volonté de « ne pas savoir » ,et de participer à une tentative d’empoisonnement collectif, d’autant plus que l’efficacité protectrice de ces produits est de plus en plus douteuse :

En Israel, l’un des pays les plus vaccinés au monde, j’ai appris que plus de 50% des personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » étaient correctement vaccinées, et qu’il existe une surmortalité de 20% chez les jeunes par rapport à l’année précédente.

2°) Abus d’autorité (art. 432-7 C.P.) :

Le fonctionnaire qui

m’a empêché

a empêché mon fils

d’entrer dans l’établissement scolaire, en sachant que cette décision empêche tout élève ou étudiant de continuer un cursus d’études normal, constatant que la consigne qui lui a été donnée par sa hiérarchie, est contraire aux conventions internationales que la France a ratifiées, et notamment la Convention d’Oviedo, constatant que depuis le procès de Nuremberg, le procès de Klaus BARBIE, ou le procès de Maurice Papon, s’est dessinée une Jurisprudence indiquant que le fonctionnaire destinataire d’une consigne illégitime, a le devoir de désobéir, se devait d’ignorer cette consigne, et de permettre l’accès à l’établissement d’une personne n’ayant pas reçu le produit qualifié de « vaccin ».

Faute d’ignorer ce principe, les accusés du procès de Nuremberg ayant tous « obéi aux ordres » n’auraient jamais pu être condamnés.

Ainsi Monsieur le    Recteur d’Académie,         

                              Président de l’Université

                              Proviseur du Lycée

                              Directeur du Collège…..

s’est rendu coupable d’un abus d’autorité, dans la mesure où il a refusé l’exercice d’un droit accordé par la loi, à savoir le droit pour tout citoyen, de fréquenter un établissement d’enseignement, au motif que ce citoyen n’a pas reçu les injections prévues par le plan vaccinal, ce qui rend cette décisions hautement discriminatoire.

EN CONSEQUENCE,

J’ai l’honneur, par la présente de déposer plainte entre vos mains contre :

Monsieur le Recteur d’Académie,

                    Président de l’Université

                    Proviseur du Lycée

                    Directeur du Collège…..

pour :         -Complicité de tentative d’empoisonnement, faits prévus par les                 art. 121-7 et 221-5 C.P.

                  -Abus d’autorité, faits prévis par l’art. 432-7 C.P.

Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur, à l’assurance de ma Considération.




L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts

[Source : jacqueshenry]

Par Paul Craig Roberts [avec commentaires de Jacques henry (en rouge)]

L’escroquerie Covid s’effondre sur tous les fronts un peu comme la Wehrmacht après Stalingrad. Le port de masques et les confinements sont de retour, car les autorités sanitaires admettent désormais que les vaccins Covid n’offrent pas de protection efficace, notamment contre ce qu’on appelle les « nouveaux variants ». À quoi sert un passeport Covid quand le vaccin ne protège pas et que les vaccinés doivent porter des masques ? La presse (presstitute dans le texte) aux États-Unis rapporte faussement que la « nouvelle épidémie » de Covid atteint surtout les jeunes non vaccinés, et la pression est donc exercée pour vacciner tous les jeunes. Mais les faits racontent une autre histoire. Au Royaume-Uni, par exemple, les nouveaux cas de Covid explosent parmi les personnes entièrement vaccinées, augmentant de 40% en une semaine tandis que les nouveaux cas de Covid parmi les non vaccinés diminuent de 22%. Israël est un autre exemple où la hausse des cas de Covid se fait parmi les vaccinés.

[Ndlr : dans le cas très hypothétique où les « vaccins » ne seraient que des placebos, si 99 % de la population était vaccinée, il faudrait s’attendre logiquement à ce que 99 % des cas de covid se retrouvent parmi ces vaccinés, et, inversement, à ce qu’il n’y ait que 1 % des cas de covid parmi les non-vaccinés. On ne doit donc pas comparer par rapport à la population globale, mais regarder le taux de malades parmi chacune des deux populations séparément : celle des vaccinés, d’une part, et celle des non-vaccinés d’autre part. Ainsi nous ne pourrions affirmer que le vaccin rend davantage malade que la covid elle-même uniquement si par exemple nous constations une moitié de malades de la Covid suite à la vaccination, par rapport à seulement un tiers ou un quart de malades chez les non-vaccinés.]

Il est hilarant de voir les défenseurs des vaccins soutenir que l’augmentation des nouveaux cas de Covid parmi les vaccinés est la preuve que les vaccins fonctionnent ! Non, je n’invente pas. Voici ce que déclare Katelyn Jetelina : « Plus une population est vaccinée, plus nous entendrons parler de vaccinés infectés ». Note, les inserts entre parenthèses et caractères italiques sont de mon fait et non de l’auteur de l’article.

Arieh Kovler explique : « Les pays à forte vaccination verront la plupart des personnes vaccinées tomber malades de Covid. » https://www.deseret.com/coronavirus/2021/7/20/22584134/whats-going-on-in-israels-outbreak-among-vaccinated-people . Ce qu’ils veulent dire, c’est qu’au fur et à mesure que les populations se font vacciner, il n’y a personne pour attraper le Covid, sauf les vaccinés. Malgré ces évidences, les propagandistes des vaccins revendiquent toujours une efficacité de 97,5% pour les vaccins. Il n’y a aucune preuve que ce soit pour cette affirmation fantaisiste. Seul un crétin ignorant ferait une affirmation aussi absurde.

Bien que les vaccins soient inutiles comme protection, leurs effets secondaires sont mortels. La base de données de l’Union européenne sur les déclarations de réactions médicamenteuses suspectées couvrant 27 pays européens, EudraVigilance, rapporte qu’au 17 juillet 2021, il y a eu en 2021 18 928 décès et 1 823 219 effets secondaires associés aux vaccins Covid : https://www.globalresearch.ca/18928-dead-1-8-million-injured-50-grave-reported-in-european-unions-database-of-adverse-drug-reactions-for-covid-19-shots/5750722

La base de données américaine, VAERS, rapporte qu’au 9 juillet 2021, il y avait 10 991 décès et 463 457 effets indésirables sur la santé associés aux vaccinations Covid. Un lanceur d’alerte du CDC ayant accès aux données du VAERS a révélé dans une déclaration sous serment sous peine de parjure que le nombre réel de décès dans la base de données est cinq fois plus élevé que le nombre publié https://www.paulcraigroberts.org/2021/07/26/how-the-covid-scam-is-perpetrated/ La base de données britannique des effets secondaires causés par les vaccins s’appelle le système Yellow Card. Au cours des quatre premiers mois de cette année, il y a eu 888 196 événements indésirables liés au vaccin et 1 253 décès.

Considérant que les systèmes de notification des effets indésirables des vaccins ne devraient pas couvrir plus de 10 % de ces effets adverses et des décès dus aux vaccins, pour les seuls États-Unis et le Royaume-Uni du début de l’année à la mi-juillet ces pays pourraient avoir subi 22 866 760 effets indésirables sur la santé et entre 299 190 et 639 280 décès dus aux vaccins contre le Covid (cette estimation me semble hasardeuse dans la mesure où le chiffre de 10 % n’est pas prouvé et probablement loin de la réalité). C’est un résultat pire que ce qui a été observé lors de l’épidémie de Covid. Les presstitués (expression de Paul Craig Roberts pour qualifier les journalistes), les bureaucrates de la santé publique et les politiciens stupides qui ont rampé sous les pressions multiples ne rapportent pas ces chiffres massifs. Leur excuse est que les systèmes de déclaration des effets indésirables des vaccins ne prétendent pas que ces événements indésirables sont causés par les vaccins, mais seulement qu’ils sont associés à la vaccination. Mais dans tous les cas précédents de vaccination (l’exemple emblématique fut l’essai en phase 3 de Sanofi aux Philippines pour un vaccin contre la dengue qui provoqua la mort de plus de 2000 enfants), un nombre beaucoup plus petit de décès associés a servi à retirer les vaccins de leur utilisation. Pourquoi pas cette fois ? De toute évidence, il existe des programmes en cours qui ont la priorité sur les règles normales et la santé publique – le profit, une augmentation du pouvoir du gouvernement sur des personnes autrefois libres, et peut-être des programmes plus sombres tels que la « grande réinitialisation » du WEF (World Economic Forum, alias Club de Davos) et le contrôle de la population. Ces possibilités sont-elles les croyances des « théoriciens du complot » ou sont-elles des conclusions logiques des contradictions évidentes du récit officiel du Covid ?

La pandémie est-elle réelle ?

L’Organisation mondiale de la santé et les Centers for Disease Control ont admis que la base même de la prétendue « pandémie de Covid » – le test PCR – n’est pas fiable et ne peut pas faire la différence entre grippe et Covid et entre infecté et non infecté. Le CDC a annoncé qu’il retirait sa demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du test PCR à compter du 31 décembre 2021: https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html .Pourquoi le CDC attend-il quatre mois pour cesser d’utiliser un test Covid qui exagère énormément le nombre de cas ? La réponse est-elle que, comme le test est exécuté à des cycles élevés qui produisent un taux de faux positifs de 97%, le CDC veut préserver la peur d’une infection massive jusqu’à ce que tous soient vaccinés ? Comme le CDC partage le butin de Big Pharma, tout comme le NIH, nos autorités de santé publique ont de graves conflits d’intérêts. Alors que nous vivons dans un monde où littéralement tout est corrompu par l’argent, pourquoi devrions-nous penser que la santé publique est une exception ?

Mathew Crawford a examiné le remaniement par le CDC de son système d’alerte qui est utilisé pour indiquer quand les événements indésirables associés aux vaccins atteignent un niveau d’alerte rouge. https://roundingtheearth.substack.com/p/defining-away-vaccine-safety-signals Il a constaté que l’effet de la révision était de brouiller la différence entre les vaccins sûrs et ceux qui sont dangereux. En d’autres termes, le signal d’avertissement a été désactivé. Était-ce le résultat d’une incompétence ou d’une intention? Ne vous attendez pas à ce qu’une enquête soit menée. L’ensemble du monde politique, médiatique et médical est lié à la pandémie orchestrée et à l’efficacité de vaccins mortels. Leur crédibilité est en jeu. Ils ne peuvent pas se permettre qu’une telle chose soit reconnue et encore moins étudiée.

Et maintenant, nous avons un autre développement honteux. Eli Lilly a développé un remède avec des anticorps pour Covid, et son déploiement est bloqué au motif qu’il ne guérit pas des variants, ce qui pourrait être plus présumé que réel. https://www.wsj.com/articles/eli-lilly-covid-19-antibody-drug-shipments-paused-over-variant-concerns-11624652980 . Comme l’establishment commence à l’admettre les vaccins ne protègent pas contre les nouveaux variant et il existe la totalité de la presse pour défendre et contraindre à la vaccination universelle avec ces vaccins dangereux. Si le même argument utilisé contre le traitement d’Eli Lilly est appliqué aux vaccins, l’utilisation des vaccins devrait être immédiatement bloquée, en particulier avec leur dossier d’effets secondaires dévastateurs. De plus, l’establishment médical n’a fourni aucune preuve que le remède d’Eli Lilly ne fonctionne pas avec les variantes. C’est pourtant sur une affirmation mensongère que les presstitués font du battage médiatique.

En effet, comme je ne cesse de le demander, comment savons-nous que ce que l’on appelle des variants ne sont pas des maladies induites par la vaccination ? Comment qualifient-t-ils ce grand nombre signalé de maladies induites par la vaccination parmi les personnes entièrement vaccinées ? Ils ne le font pas. Ils les cachent sous le tapis. Je soupçonne que la véritable raison du blocage du traitement d’Eli Lilly est que les fabricants de vaccins ont plus de poids et ne veulent pas de diminution de leur marché des vaccins tant qu’ils n’auront pas pleinement exploité financièrement parlant les craintes de Covid. De plus, je soupçonne que les autorités de santé publique qui ont enfreint la loi en autorisant l’utilisation d’urgence des vaccins non testés au motif qu’il n’y avait pas de remède alors qu’il y en avait deux – HCQ et Ivermectine – ne veulent pas d’un troisième remède dans le paysage.

Le bureaucrate médical, le Dr Tony Fauci, qui a qualifié le sénateur américain Rand Paul de menteur pour avoir souligné que les documents de subvention du NIH montrent que Fauci a financé des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine soucieux de rendre le coronavirus plus infectieux, a maintenant admis à la télévision qu’il avait financé la recherche et il la défend sur des motifs totalement absurdes que son protecteur presstitué, Jake Tapper, a soigneusement négligé. 
https://nypost.com/2021/07/25/anthony-fauci-defends-us-funding-research-at-wuhan-lab/?utm_campaign=iphone_nyp&utm_source=mail_app. Ce crétin de CNN est d’accord avec Fauci, qui a fait un paquet d’argent avec ce virus et qu’il aurait été « négligent » s’il n’avait pas financé la création du SARS-CoV-2.

Nous avons donc « le principal expert américain en virus » (quelle blague !) créant un virus, puis en créant une pandémie autour de lui sur la base de l’utilisation d’urgence frauduleuse d’un test invalide, puis en soutenant des blocages insensés qui ont détruit les entreprises de la classe moyenne, puis en prenant en charge l’obligation de port de masque insensée. qui n’offrait aucune protection et causait de nombreuses maladies, rien de moins qu’un masque N95 n’offre aucune protection, puis a augmenté un grand pourcentage de la population mondiale avec une nouvelle technologie expérimentale appelée un vaccin qui est très dangereux, et demande maintenant la vaccination obligatoire des adolescents et des enfants qui ne sont pas menacés par le Covid-19. L’establishment médical complètement corrompu dit d’un côté vicieusement que les vaccins Covid ne protègent pas contre les variants, donc les vaccinés doivent à nouveau porter des masques, et de l’autre côté tout aussi vicieusement ils disent, en totale contradiction, que les jeunes doit être vaccinés avec ces vaccins pour être sûr.

Maintenant, soit nous avons une situation dans laquelle presque tout l’establishment médical est totalement incompétent et stupide au-delà de toute croyance, soit nous avons presque tout cet establishment médical impliqué dans une gigantesque escroquerie qui tue et blesse des centaines de milliers de personnes. Il n’y a pas d’autre explication.

Il en va de même pour les politiciens. L’un des plus odieux est le meurtrier de masse de New York, le gouverneur Andrew M. Cuomo, qui a envoyé des patients Covid dans des maisons de retraite où les personnes âgées infectées par les patients Covid importés sont décédées. Le démocrate Cuomo a obtenu un laissez-passer du département de la justice du démocrate Biden. Voilà pour la responsabilité et la justice. Si vous êtes démocrate, il n’y a pas de responsabilité. Qu’est-il advenu du rapport de John Durham sur le Russiagate ? De toute évidence, le rapport n’est qu’une autre victime de la non-responsabilité des démocrates.

Voici le meurtrier de masse Cuomo. Regardez son expression folle. Écoutez ce meurtrier de masse hystérique déclarer la guerre aux non vaccinés :

Les républicains, y compris ce rénégat de McConnell se sont joints aux démocrates pour encourager les vaccinations. Maintenant que l’on sait que les vaccins ne protègent pas mais tuent, des républicains idiots veulent que tout le monde soit vacciné. Comme beaucoup le disent depuis si longtemps, il n’y a pas de parti d’opposition. Les agences fédérales imposent désormais la vaccination de leurs effectifs : 
https://www.theepochtimes.com/mkt_breakingnews/first-federal-agency-to-mandate-covid-19-vaccine_3918989.html?utm_source=News&utm_medium=email&utm_campaign=breaking-2021-07-26-3&mktids=22baca7c76e659bf404b407ad98afb5e&est=9B%2FSynA47SoRBDrsWy%2B%2BJs4ZudZ3GuM5s8sCo0KQSwTIjxgRyM%2FjbA%3D%3D

Il en va de même pour les États bleus : 
https://www.lewrockwell.com/2021/07/tyler-durden/california-nyc-require-all-public-workers-to-get-vaccinated-or-submit-to-weekly-tests/

Le département de la « Justice » (sic) (DOJ) corrompu de Joe Biden a « déterminé que la loi fédérale n’interdit pas aux agences publiques et aux entreprises privées d’exiger des vaccins contre le Covid-19, même si les vaccins n’ont qu’une autorisation d’utilisation d’urgence », du moins c’est ce que dit le président de CNN : 
https://www.cnn.com/2021/07/26/politics/doj-covid-19-vaccine-requirements-olc-opinion/index.html

C’est un mensonge flagrant, tout comme le « Russiagate » et la procédure d’impeachment du DOJ à l’encontre de D. Trump. Les États-Unis ont un département « Justice » (sic) indifférent à la justice et incapable de dire la vérité, ou alors ils ont un département « Justice » (sic) dont l’incompétence est sans précédent. (Remarque : il en est exactement de même en France macronienne, pays où non seulement la magistrature mais également le Conseil d’Etat et le Conseil Constitutionnel ne remplissent plus leur rôle).

Voici les faits réels : « Les vaccins sont une intervention médicale. Toutes les interventions médicales exigent de par la loi qu’un consentement valide soit obtenu. Voir, par exemple, le site officiel du UK National Health Service – https://www.nhs.uk/conditions/consent-to-treatment/ – qui indique : « Le consentement au traitement signifie qu’une personne doit donner sa permission avant de recevoir tout type de traitement médical, de test ou d’examen.

« Cela doit être fait sur la base d’une explication par un clinicien.

Le consentement d’un patient est nécessaire quelle que soit la procédure, qu’il s’agisse d’un examen physique, d’un don d’organes ou autre.

Le principe du consentement est un élément important de l’éthique médicale et du droit international des droits de l’homme.

Pour que le consentement soit valide, il doit être volontaire et éclairé, et la personne consentante doit avoir la capacité de prendre la décision.

Le sens de ces termes est :
volontaire – la décision de consentir ou de ne pas consentir au traitement doit être prise par la personne et ne doit pas être influencée par la pression du personnel médical, des amis ou de la famille.
informée – la personne doit recevoir toutes les informations sur ce que le traitement implique, y compris les avantages et les risques, s’il existe des traitements alternatifs raisonnables et ce qui se passera si le traitement ne se poursuit pas.
capacité – la personne doit être capable de donner son consentement, ce qui signifie qu’elle comprend l’information qui lui est donnée et qu’elle peut l’utiliser pour prendre une décision éclairée

Si un adulte a la capacité de prendre une décision volontaire et éclairée de consentir ou de refuser un traitement particulier, sa décision doit être respectée.

C’est toujours le cas même si le refus de traitement entraînerait leur mort, ou la mort de leur enfant à naître ». (Ces règles fondamentales de l’éthique médicale sont également valables en France et inscrites dans la loi).

De toute évidence, la rétention d’informations sur les risques potentiellement graves et mortels des vaccinations et le fait d’obliger et de contraindre des personnes à subir des interventions médicales est non seulement immoral et contraire à l’éthique et sape la relation patient-médecin, mais viole également la loi et devrait conduire à des poursuites pénales. Mais ce ne sera pas le cas. Les démocrates protègent leurs criminels. Les démocrates réservent « leur justice » aux innocents qui protestaient pour défendre le président américain Trump.

Les États-Unis ont le même code d’éthique médicale. Le problème est que l’establishment médical américain ne suit pas son propre code. L’éthique médicale ne paie pas lorsque vous pouvez éviter la responsabilité. Si vous pouvez gagner de l’argent en injectant un vaccin contre la mort à des personnes non informées, faites-le. Les fabricants de vaccins ont utilisé des contributions de campagne politique pour acheter leur protection contre la responsabilité du Congrès corrompu des États-Unis. Ils peuvent assassiner toutes les personnes qu’ils veulent sans aucune responsabilité. Comme je l’ai souligné pendant des décennies, la population américaine est aussi crédule et confiante que les Amérindiens qui ont accepté des couvertures imprégnées de variole comme cadeaux de bonne volonté. Les Américains pensent qu’il est antipatriotique de se méfier du gouvernement. Comme ils pensent que ceux qui se méfient du gouvernement américain sont communistes et pire, il est facile pour l’establishment de contrôler leurs esprits.

Malgré l’échec des vaccins à protéger contre l’infection et malgré leurs effets indésirables massifs, le crétin du Bureau ovale se dit déterminé à forcer la FDA à approuver les vaccins non testés qui sont utilisés uniquement sur la base d’une « utilisation d’urgence » frauduleuse : 
https://www.globalresearch.ca/politics-science-biden-admin-signals-intent-force-fda-approval-covid-vaccines/5751215

La Maison Blanche souhaite que la condition « utilisation d’urgence uniquement » soit supprimée et que les vaccins non testés reçoivent une approbation officielle d’utilisation. L’idiot du bureau ovale le veut malgré les preuves accablantes que les vaccins ne protègent pas mais provoquent des effets indésirables graves sur la santé et des décès. Vous pouvez maintenant voir pourquoi l’establishment a volé une élection présidentielle pour mettre un idiot au pouvoir. Il gagne de l’argent pour eux et fait avancer leurs agendas secrets. Dites-moi, Biden est-il un homme qui représente le bien-être des Américains, ou est-ce un homme qui représente le bien-être et les profits de Big Pharma et des agendas cachés derrière la pandémie orchestrée ?


Article de Paul Craig Roberts paru sur son blog il y a quelques jours.

Cerise sur le gâteau pour ce qui concerne la France : 

https://www.youtube.com/watch?v=V_bnCyNSBas&t=179s



Pourquoi les mondialistes et les gouvernements veulent-ils à tout prix un taux de vaccination de 100 % ?

[Source : Aube Digitale]

Par Brandon Smith

Je ne pense pas être la seule personne à l’avoir remarqué – Il y a eu un déluge soudain de propagande sur la vaccination anti-Covid et sur le passeport vaccinal – ou pass sanitaire, pass vert – au cours du mois dernier, plus que ce que nous avons vu depuis le début de l’année, je pense. Je parle des États-Unis en particulier, mais il est important de souligner qu’aux États-Unis, l’establishment réclame toujours désespérément un taux de vaccination beaucoup plus élevé. Dans des pays comme l’Europe, le Royaume-Uni et l’Australie, les taux de vaccination sont plus élevés et les gouvernements sont passés à la phase de passeport vaccinal de leur programme.

Certaines personnes peuvent être déconcertées par le fait que la plupart des pays s’engagent dans la voie des mandats et des restrictions concernant les médicaments. Comment est-il possible que presque tous les gouvernements de la planète soient d’accord sur le totalitarisme médical ? Eh bien, c’est assez facile à comprendre quand on sait que la majorité d’entre eux sont liés entre eux par des institutions mondialistes comme le Forum économique mondial, qui a qualifié à plusieurs reprises la pandémie d’ »occasion parfaite » pour faire passer ses projets de « grand reset ».

Le « Grand Reset » est une usurpation idéologique à long terme de ce qui reste de la liberté individuelle et des économies de marché, et son objectif est l’imposition d’une dictature socialiste/communiste mondiale. Les mondialistes enveloppent ces objectifs dans de jolis mots et des aspirations humanitaires, mais au fond, la « réinitialisation » vise à mettre fin à la liberté telle que nous la connaissons. Ce n’est pas une exagération, c’est la réalité ; c’est ce que ces gens désirent par-dessus tout. Mais comment atteindre un tel objectif ?

Eh bien, de manière intéressante, le FEM et la Fondation Bill Et Melinda Gates ont décrit exactement comment ils prévoyaient de le faire au cours d’une « simulation » qu’ils ont organisée en octobre 2019, appelée « Event 201 ». Au cours de cet événement, ils ont imaginé une pandémie massive de coronavirus, qui se propagerait soi-disant des animaux aux humains, ce qui faciliterait la nécessité de restrictions omniprésentes des libertés individuelles, des économies nationales ainsi que d’Internet et des médias sociaux. Je suis sûr que tout cela n’est qu’une coïncidence, mais le même scénario que les mondialistes du FEM ont joué pendant Event 201 s’est produit dans le monde réel seulement deux mois plus tard.

En tout cas, la pandémie elle-même a été une aubaine pour les mondialistes. Nous n’avons pas vu une telle prise de pouvoir des gouvernements et des entreprises depuis la montée des national-socialistes en Europe et la propagation du communisme en Russie et en Chine il y a presque un siècle. En fait, je dirais que ce à quoi l’humanité dans son ensemble est confrontée aujourd’hui est bien pire que ce que ces misérables empires ont pu produire.

Il n’y a aucun doute : les institutions mondialistes et leurs « partenaires » gouvernementaux sont les plus grands bénéficiaires de la crise du covid. Ils s’apprêtent à acquérir le pouvoir social et politique ultime si leur programme d’exploitation de la pandémie réussit.

Cela dit, il y a quelques obstacles dans leur plan, et c’est pourquoi je crois que nous assistons à une poussée de propagande agressive ces dernières semaines. Par exemple, comme je l’ai souligné avec de nombreuses preuves dans mon article « Biden’s Vaccine Strike Force Plan Stinks Of Desperation », il apparaît que le taux de vaccination, en particulier aux États-Unis, est loin d’être aussi élevé que les élites le souhaiteraient.

Alors que l’administration Biden et les CDC revendiquent un taux de vaccination global de 67 %, de nombreuses autres statistiques, dont les chiffres de la carte des États de la clinique Mayo, indiquent que seuls quatre États américains ont un taux de vaccination supérieur à 65 % (pour une dose ou plus), et que la majorité des États ont des taux de 50 % ou moins. Même les États bleus à forte population, comme la Californie et New York, ne dépassent pas la barre des 65 %, et franchement, ces chiffres ne vont nulle part car les vaccinations sont en chute libre.

Si quelqu’un ne s’est pas présenté à ce jour avec des temps d’attente nuls et des doses abondantes partout, alors il est peu probable qu’il soit un jour vacciné.

Des statistiques contradictoires me laissent penser que Biden et les CDC gonflent leurs chiffres de vaccination pour créer l’illusion qu’une plus grande majorité d’Américains soutient le vaccin. Et si c’est le cas, cela explique pourquoi Biden, Fauci et les médias grand public gavent le public d’un battage publicitaire pro-vaccins qui contredit systématiquement les données scientifiques réelles. Ils n’obtiennent pas la peur et la conformité du public qu’ils espéraient.

Mais pourquoi veulent-ils une vaccination à 100% ? Pourquoi veulent-ils à tout prix que chaque personne dans le monde reçoive le vaccin à ARNm ?

Après tout, le taux de mortalité moyen (IFR) du covid est de seulement 0,26 % des personnes infectées (c’est une statistique que les médias refusent systématiquement et délibérément de mentionner au public). Cela signifie que 99,7% du public ne court AUCUN risque de contracter le covid, qu’il soit vacciné ou non.

Les vaccins garantissent-ils de meilleures chances ? Eh bien, selon des statistiques récentes du Massachusetts, pas nécessairement, puisqu’elles font état de plus de 5100 infections et de 80 décès de patients entièrement vaccinés. Les médias ne cessent de nous dire que seuls les non-vaccinés meurent, mais c’est un mensonge, comme tant d’autres mensonges qu’ils colportent à propos du covid. Alors, quel est l’intérêt de recevoir un vaccin expérimental si le taux de mortalité du virus est si faible et si le vaccin ne vous protège pas nécessairement ?

Il n’y a aucun intérêt. La science et les statistiques ne le soutiennent pas. Les vaccins ne peuvent même pas être crédités de la baisse des infections et des décès cette année ; les chiffres ont chuté en janvier – seuls 5% de la population étaient vaccinés en février. La seule explication à cela est que la population a atteint l’immunité collective il y a plusieurs mois. Rappelez-vous quand les gouvernements disaient qu’ils avaient besoin d’une immunité de troupeau ou d’une vaccination de 70% pour mettre fin aux blocages et aux mandats ? Les poteaux de but ont été déplacés plusieurs fois et la « science » du gouvernement change tous les mois. Aujourd’hui, ils prétendent que l’immunité collective n’a pas d’importance et exigent une vaccination à 100 %.

Nous devons à nouveau poser la question : pourquoi le gouvernement pousse-t-il sans relâche à une saturation totale en vaccins ? Cela ne sauve pas de vies, et les mandats restent inchangés, alors pourquoi ?

Je ne peux qu’émettre des théories basées sur les preuves disponibles, mais je pense qu’il est clair pour la plupart d’entre nous que les vaccins n’ont PAS pour but la santé publique ni de sauver des vies. Ils ont manifestement un autre objectif…

Comme de nombreux experts en virologie et en vaccins l’ont signalé au cours de l’année écoulée, la technologie expérimentale de l’ARNm présente un risque élevé d’effets secondaires nocifs pour la santé. Même l’un des créateurs des vaccins à ARNm a laissé entendre qu’il était dangereux de déployer ces cocktails de manipulation génétique sans effectuer davantage de tests. Il convient de noter les préoccupations concernant les troubles à long terme tels que les troubles auto-immunes et l’infertilité.

Les médias grand public et les mondialistes soutiendront qu’il n’y a « aucune preuve » que les vaccins à ARNm provoqueront des effets secondaires mortels ou l’infertilité. Je répondrai qu’il n’y a AUCUNE PREUVE que ces vaccins sont sûrs. La plupart des vaccins sont testés sur une période de 10 à 15 ans avant d’être mis à la disposition du public. Les vaccins contre le covid ont été lâchés sur le public en quelques mois. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de servir de cobaye pour un vaccin non testé.

Mais que faire si les élites savent exactement quels seront les effets secondaires ? Et si les vaccins étaient un élément central de leur « Grand Reset » ?
La question de l’infertilité, en particulier, suscite le plus de critiques de la part de l’establishment, et je voudrais souligner un récit particulièrement insidieux implanté dans les médias. Chaque fois que les gens remettent en question le risque de stérilité causé par les vaccins, les bureaucrates et les têtes parlantes des médias passent à l’attaque, puis disent : « Il n’y a aucune preuve que les vaccins causent la stérilité, mais le Covid-19 pourrait la causer… ». Il suffit de regarder ce récent discours du gouverneur de l’Arkansas où lui et son larbin médical ont presque été chassés du podium par un public en colère pour avoir colporté la même propagande :

https://www.youtube.com/embed/1jMLzMpL_sE

Et voilà le résultat. À mon avis, le décor est planté pour un événement d’infertilité de masse, et le covid sera accusé à la place des vaccins expérimentaux. C’est pourquoi l’establishment a besoin d’un taux de vaccination de 100% ; les personnes non vaccinées seraient la preuve de leur crime. Laissez-moi vous expliquer…

Ce qui me préoccupe, c’est que le programme de Grand Reset de Klaus Schwab est impossible à appliquer de manière permanente, à moins que la population humaine ne soit fortement réduite sur une courte période (une génération ou deux). Les mondialistes parlent constamment de contrôle et de réduction de la population. Des élites comme Bill Gates sont célèbres pour cela. Faut-il s’étonner qu’ils conçoivent un plan pour l’instaurer ?

Et si, comme de nombreux experts l’ont suggéré, les effets secondaires des vaccins créaient cette condition de diminution de la population ? Et si c’était le cas ? Nous ne le saurons pas avec certitude avant quelques années au moins, car les troubles auto-immunes et l’infertilité mettent du temps à se manifester dans une population. Le délai moyen pour diagnostiquer un trouble auto-immune est de 4,5 ans. Le diagnostic de l’infertilité peut prendre de six mois à un an.

Si des millions de personnes ne sont toujours pas vaccinées au cours des deux prochaines années, elles constitueront un groupe de contrôle important et indéniable. Un groupe témoin est un groupe de sujets qui agit comme un échantillon pur, non touché par une expérience sur un médicament ou un vaccin. Si le groupe vacciné tombe malade ou meurt de maladies spécifiques et que le groupe témoin ne présente pas ces mêmes maladies, c’est un bon signe que votre vaccin ou votre médicament est un poison.

La moitié des Américains et des pourcentages plus faibles dans d’autres pays constituent un groupe de contrôle pour les vaccins expérimentaux. Si quelque chose ne va pas avec les vaccins, nous en serons la preuve. Je soupçonne que c’est ce dont les élites ont vraiment peur.

Elles doivent nous forcer à nous faire vacciner également – nous tous, afin qu’il n’y ait pas de groupe de contrôle et donc pas de preuve de ce qu’elles ont fait. Ils pourraient simplement imputer les troubles de santé de masse au covid lui-même, ou à un autre faux coupable.

Si les vaccins sont un cheval de Troie qui provoque une maladie ou une stérilité généralisée, et que les mondialistes se font prendre parce qu’il existe un groupe de contrôle, alors cela signifiera pour eux une rébellion pure et simple ainsi que des cordes et des lampadaires. Leur « grand reset » s’effondrera.

Bien sûr, cela pourrait se produire de toute façon. Les passeports vaccinaux sont la ligne dans le sable pour la plupart des gens. Nous assistons même à d’importantes manifestations et émeutes dans des pays comme l’Italie, la France, le Royaume-Uni et l’Australie à cause de ce régime de passeport draconien. Mais c’est aux États-Unis que le plus gros combat aura lieu, à mon avis. Nous avons une population armée, des millions et des millions de vétérans et de civils entraînés au combat, une armée composée d’environ 70 % de conservateurs et d’indépendants et une compréhension historique de la guerre asymétrique. Comme nous l’avons vu dans des endroits comme l’Afghanistan, les chars, les avions à réaction, les missiles et les drones ne garantissent pas la victoire contre une force de guérilla.

Les passeports vaccinaux n’arriveront pas ici. Nous ne le permettrons tout simplement pas.

Les mondialistes ont mis en place une fin de partie – Cela pourrait être une fin de partie pour nous, mais cela pourrait aussi être une fin de partie pour eux. Ils ont un calendrier strict. Ils doivent obtenir des taux de vaccination proches de 100% dans les deux prochaines années ou plus tôt. Ils doivent mettre en place leurs passeports vaccinaux dans les deux prochaines années ou plus tôt. Et ils doivent instaurer des conditions de confinement permanent à court terme pour étouffer la dissidence croissante. Nous sommes maintenant dans une sorte de course dans laquelle les mondialistes doivent mettre en œuvre leur programme aussi vite que possible, tandis que nous devons résister et les retenir jusqu’à ce que la vérité devienne évidente pour les masses ; la vérité que les confinements, les mandats et les vaccins n’ont jamais eu pour but la sécurité, mais le contrôle – du contrôle social au contrôle de la population.

Traduction de Alt-Market.us par Aube Digitale




Discrimination, ennemie inacceptable de la devise française : Liberté, Égalité, Fraternité

Par Gérard Delépine

Comment reproduire les pires moments de l’Histoire

On nous reproche parfois de faire le parallèle entre ce qui s’est passé durant la dernière guerre et ce qui se passe aujourd’hui en France et en particulier entre le passe sanitaire et l’étoile jaune, car cela « banaliserait » les crimes qui ont été commis contre nos frères juifs.

Eux n’ont pas oublié.

La photo que vous voyez ci-dessus n’a pas été prise par des comédiens à Paris, mais en Israël, lors d’une manifestation contre le passe sanitaire et ce sont des Israéliens qui dénoncent ces similitudes entre l’étoile jaune et le passe.

Il ne s’agit pas de banaliser les horreurs inhumaines qui ont été commises contre eux, mais de rappeler que « le ventre est encore fécond d’où naît la bête immonde » et la grande leçon qu’Anna Arendt a tirée de la Shoah, la banalité du mal et des bourreaux nazis « le plus terrible c’est qu’il s’agissait d’hommes très ordinaires » qui prétendaient agir « pour le bien de la nation allemande ». Comme nos dirigeants et la majorité godillot qui a voté cette loi de discrimination incroyable « pour la santé des Français ».

Une loi qui instaure une discrimination totalement contraire à nos valeurs

Le passe sanitaire instaure une discrimination majeure entre les Français, sans précédent dans l’histoire de la république autre que celle instaurée en 1940 par le gouvernement de Vichy.

Hier, c’était sur la race, aujourd’hui sur les opinions. Si on doute de la parole du président (qui a tellement menti)(([1] Après avoir ment sur les stocks, sur les masques, sur la pénurie de moyens pour les soignants, il s’est parjuré sur la vaccination et le pass sanitaire En décembre 2020, il affirmait : « La vaccination ne sera pas obligatoire », avant de la rendre, de fait, obligatoire. En avril 2021 : « Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français » avant d’en faire un droit d’accès qui différencie les Français.)) et de l’efficacité et de l’innocuité des pseudos vaccins expérimentaux actuels, on est traité d’irresponsable, d’égoïste, de complotiste, d’ennemi de la nation, et transformé en citoyen de seconde zone dont il faut « pourrir la vie », comme celle des juifs lors de la période la plus sombre de notre histoire.

La loi du 3 octobre 1940 portant statut des Juifs, suivie par près d’un millier de textes, décrets et règlements antisémites adoptés et appliqués sans états d’âme par des fonctionnaires zélés ont déchu les porteurs de l’étoile jaune de tous leurs droits fondamentaux en leur interdisant entre autres de travailler.

En 1941, les médecins porteurs de l’étoile jaune furent interdits d’exercice dans le silence général complice. L’ordre des médecins y veillait. En octobre 2021, ceux qui n’ont pas de passe ne pourraient plus travailler comme médecin. L’Ordre y veillera.

Dès 1941, la loi interdisait aux porteurs de l’étoile jaune de travailler comme fonctionnaires. Aujourd’hui, la loi scélérate cible les soignants, les pompiers et les serveurs de cafés restaurants, mais la majorité présidentielle rêve d’étendre cette interdiction de travailler des « sans passe » à l’ensemble des professions et en particulier aux enseignants.

La loi scélérate interdit aux « sans passe » de côtoyer les vaccinés dans les cafés et restaurants, cinéma, lieux de culture et les autres lieux publics comme les nazis interdisaient aux porteurs de l’étoile jaune de fréquenter les « bons aryens ».

Cette loi scélérate va plus loin que les lois de Vichy en interdisant aux « sans passe » de consulter ou d’entrer à l’hôpital contraignant les médecins de choisir entre soigner ou obéir(([2] Titre d’un de nos livres prémonitoires publié avant les dernières élections présidentielles)) en violant leur serment d’Hippocrate.

Cette loi organise la rupture du secret médical, fondement de la médecine depuis ses origines, puisqu’elle organise la divulgation des données médicales personnelles détenues par l’assurance maladie à toutes sortes de tiers.

Alors que Tik Tok est condamné aux Pays-Bas pour ne pas avoir clairement prévenu ses utilisateurs de la divulgation possible de leurs données personnelles, l’état organise la transmission de nos données médicales les plus sensibles à de nombreux tiers sans que l’organisme chargé de la protection de notre vie privée [La CNIL] proteste.

Le QR code constitue l’équivalent des matricules si chers aux nazis, qu’ils tatouaient sur les déportés pour les déchoir de leur humanité et qu’ils ne soient plus considérés que comme des numéros.

La loi instaure la déchéance des droits civiques des « sans passe » en leur interdisant l’entrée des bureaux de vote. Une telle manœuvre visant les élus communistes a été utilisée par Hitler après l’incendie du Reichstag pour obtenir la majorité qui lui était nécessaire pour parvenir au pouvoir.

Exclure une partie de la population désignée comme responsable des malheurs de l’Allemagne (communistes, juifs, tziganes, homosexuels) de la société a été la première mesure des nazis avant de les mettre dans les camps pour les assassiner. Aujourd’hui, en France, une majorité parlementaire qui n’a recueilli qu’une infime proportion des voix des inscrits au dernier scrutin électoral désigne les réticents à la vaccination comme responsables de la poursuite de l’épidémie et les exclut du reste de la population sans justification sanitaire réelle. Toute discrimination est dangereuse et constitue le premier pas du retour vers la barbarie.

Une discrimination fondamentalement illogique.

Si les vaccinés croient que les vaccins sont efficaces, ils doivent se sentir protégés et n’ont aucune raison de craindre les non-vaccinés. Et s’ils ne croient pas que les vaccins les protègent, pourquoi seraient-ils davantage protégés par la vaccination des autres ?

Une discrimination inefficace dans la vie réelle

Croire que cette discrimination peut permettre de limiter les contaminations est un mythe démenti par les faits avérés dans le monde réel.

En Autriche, un passe a été instauré le 1er juillet alors que l’épidémie régressait naturellement. Depuis l’instauration du passe, le nombre de nouvelles contaminations quotidiennes a explosé.

Aux Pays-Bas

Les suites du festival Verknipt à Utrecht confirment l’inefficacité du passe. Les organisateurs croyaient protéger les participants en leur imposant un passe sanitaire via l’application CoronaCheck, prouvant qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une grande majorité de vaccinés !). Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer des mesures inefficaces et discriminatoires totalement contraires à nos valeurs ?

Le pass est inefficace, car les vaccins ne protègent ni les vaccinés ni leurs contacts

Si le pass ne sert à rien sur le plan sanitaire, c’est que les pseudo vaccins actuels sont trop peu efficaces, et qu’ils ne protègent ni les vaccinés ni ceux qui les côtoient.

À Chavagnes-en-Paillers, en Vendée, entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des vaccins expérimentaux ARNm à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires

À bord du HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, une épidémie de Covid a éclaté après une escale à Chypre avec plus de 100 cas, alors que tous les 1300 marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent près de 50 % des nouveaux cas et sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés au point que les responsables de la santé qui prétendaient que le vaccin Pfizer était très efficace envisagent maintenant de reconfiner la population et de recommander une troisième injection.

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non -vaccinées ».

Alors pourquoi veulent-ils nous imposer une mesure inefficace en violant nos libertés fondamentales alors que la prétendue épidémie actuelle au variant delta n’est qu’une augmentation de tests positifs, des cas sans augmentation des nombres de malades, ni d’hospitalisations, ni de séjours en réanimations, ni de morts ?

La liberté est notre bien le plus précieux ; elle n’est pas négociable.(([3] Laurent Montesino « Si nous acceptons, ce chantage, nous accepterons tout » — Entretien essentiel
France Soir le 28/07/2021
https://www.francesoir.fr/videos-lentretien-essentiel/si-nous-acceptons-ce-chantage-nous-accepterons-tout-laurent-montesino))(([4] Tranchant Alain – la-liberte-ne-se-négocie-pas
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/la-liberte-ne-se-negocie-pas France Soir 29/7/21))





Modèle de lettre de réponse aux autorités françaises scolaires ou universitaires pour les parents incités (parfois avec menaces) à faire « vacciner/injecter » leurs enfants avant la rentrée scolaire ou universitaire

[Source : courriel]

EXPLICATIONS PRÉALABLES :

À la suite de la réception par des parents d’élèves ou d’étudiants de lettres envoyées par les autorités scolaires ou universitaires évoquant une prétendue obligation « vaccinale » ou plus exactement une prétendue obligation d’injection de « substances géniques en essais cliniques », une équipe d’Avocats et de Juristes vous propose ce modèle de courrier de réponse à ces « menaces » non fondées juridiquement.

Important : N’anticipez pas, attendez d’être « menacés » à ce sujet par l’établissement scolaire ou universitaire avant d’envoyer ce courrier.

Cette lettre est à adresser à tout directeur d’établissement scolaire ou Président d’Université ou Recteur d’Académie qui imposerait aux étudiants/lycéens/collégiens/écoliers la vaccination Covid19 pour la rentrée scolaire 2021/2022).

Il ne vous reste plus qu’à adapter le courrier en utilisant les mentions adaptées parmi celles proposées et séparées d’un « / ».

Le modèle est établi sur base du droit français. Toutefois, les parents dans les pays limitrophes et francophones (Belgique, Luxembourg, Suisse) peuvent s’en inspirer et conserver en tout ou en partie les références aux dispositions du droit de l’Union européenne (Belgique, Luxembourg) et du droit supranational (Conseil de l’Europe et conventions internationales).


Vous pouvez bien entendu soumettre ce document à votre avocat ou à des associations constituées, pour l’adapter à votre droit interne.

Si une réunion est organisée dans l’établissement scolaire, n’hésitez pas à demander à un représentant du corps médical (notamment les médecins des associations « Reinfo Covid », « Laissons les médecins prescrire », etc.) de vous accompagner pour donner une caution scientifique.

La fin du document contient (en police de caractères rouge pour l’instant) un paragraphe spécifique pour les situations où l’élève suit une filière professionnelle orientée vers l’aide à la personne. Supprimez bien sûr ce paragraphe s’il ne correspond pas à votre situation spécifique.

Enfin, si vous êtes majeur et que vous écrivez ce courrier pour vous-même (étudiants de 18 ans et +), il vous suffira de modifier la formulation en conséquence.

Dans la mesure du possible, il est conseillé que les DEUX titulaires de l’autorité parentale signent ce document lorsque l’élève est mineur.

Madame,
Monsieur,

Nous sommes les parents et civilement responsables de notre fils/fille mineur(e) ……………………………………

Dans votre courrier/message du ………….… (date) vous nous informiez de votre souhait que notre enfant soit vacciné(e) d’ici la rentrée scolaire.

Votre demande suscite toutefois de notre côté de nombreuses interrogations, à propos desquelles nous aimerions nous entretenir avec vous, éventuellement lors d’une réunion qui rassemblerait l’ensemble des parents intéressés.

Nous serions en effet désireux de savoir :

Ceci étant posé, comment comptez-vous concilier votre demande de vaccination obligatoire avec les principes issus des textes suivants, présentés dans un ordre décroissant de force obligatoire au regard de la hiérarchie des normes juridiques :

Ces dispositions internationales ne peuvent pas être modifiées unilatéralement par le gouvernement français, même au bénéfice d’une « urgence » qui resterait pour le surplus à démontrer.

  • Si, après injection des produits, notre enfant présente des effets secondaires graves ou décède, êtes-vous en mesure d’en supporter, tant personnellement qu’au nom de l’établissement que vous dirigez, les conséquences ? En effet, les fabricants des produits injectés ayant obtenu de l’Union européenne une immunité civile totale, l’imposition par vos soins d’un produit en phrase d’essais cliniques pourrait avoir des conséquences potentiellement dramatiques.

(Pour les enfants inscrits dans des filières professionnelles de service à la personne, et dont les enfants sont soudain assimilés à du personnel soignant pour justifier la pression exercée, il est conseillé d’ajouter le paragraphe suivant, pour l’instant en rouge) :

  • Enfin, sur base de quelle disposition procédez-vous à l’assimilation d’un élève au « personnel soignant », même dans l’hypothèse où des stages sont organisés de façon ponctuelle pendant l’année scolaire ? Nous ne voyons pas ce qui permet une telle assimilation.

Nous restons bien sûr à votre entière écoute pour évoquer ce sujet ensemble, tout en attirant à nouveau votre attention sur la gravité particulière des mesures à caractère essentiellement politique annoncées et non encore inscrites dans le marbre de la loi eu égard au nombre de dispositions normatives supérieures que ces obligations violeraient.

Nous vous prions de croire, Madame, Monsieur, à l’expression de nos salutations distinguées et préoccupées.

(Signatures)




« Corruption silencieuse » à l’ONU : le nouveau rapport de l’ECLJ

[Source : European Center for Law and Justice | ECLJ]

L’ECLJ a publié un nouveau rapport prouvant des atteintes à l’indépendance de nombreux experts de cette institution internationale.

La principale conclusion de ce rapport est que des fondations privées financent directement des experts de l’ONU pour que ceux-ci rédigent des rapports allant dans le sens voulu par ces fondations privées (comme la Fondation Ford et l’Open Society Foundations). Ces rapports sont ensuite promus comme des recommandations indépendantes émanant de l’ONU, et repris par des gouvernements et des juridictions internationales pour soutenir ou justifier leurs décisions. Ceci est en contraction flagrante avec le code de conduite des experts et les résolutions du Conseil des droits de l’homme. Les experts devraient être indépendants, non seulement vis-à-vis des États mais aussi vis-à-vis des fondations privées qui veulent aligner l’agenda des experts sur le leur.




Pass sanitaire ou pass suicidaire ? « Nous venons de déposer des plaintes pour des faits criminels dans plusieurs coins de France. »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Me Jean-Pierre Joseph, avocat, doyen du Barreau de Grenoble.

France Soir : le 23 septembre 2020, vous avez publié dans « Profession Gendarme », un article intitulé « Quand cesserons nous d’être des moutons ? » dans lequel vous écriviez que ni le masque, ni le confinement n’empêcheraient la deuxième vague. L’Histoire ne vous a-t-elle pas donné raison ?

Jean-Pierre Joseph : Non seulement l’Histoire m’a donné raison, mais cela a continué, car j’avais annoncé à mon entourage que si nous ne réagissions pas, il y aurait une deuxième, puis une troisième, puis une quatrième vague, etc. Et des mesures de plus en plus liberticides, qui n’auraient aucun effet sur le freinage de l’épidémie. En fait à l’époque, les gens croyaient qu’en obéissant cela s’arrêterait, et je leur disais 

« C’est justement parce que vous obéissez que cela ne s’arrêtera jamais… »

En réalité, les contradictions dans les mesures étaient tellement évidentes, qu’il m’est difficile d’accepter qu’une grande partie de la population, glacée de terreur face à un virus que personne n’a jamais vu, soit aussi obéissante, et que les grands médias n’aient pas d’avantage dénoncé ces contradictions :

  • Le masque était inutile, puis un mois plus tard devenait indispensable,
  • Le confinement « allait faire accélérer l’épidémie« , puis un mois plus tard, « allait la freiner« 
  • Au premier confinement, seules les activités essentielles étaient autorisées. Mais parallèlement, des milliers d’antennes 5G étaient installées. Pourquoi était-ce si essentiel ?
  • Plus récemment « les enfants n’attrapent pas la maladie et ne sont pas contagieux » puis « Ils doivent se vacciner« .
  • Dans les restaurants, dès que l’on se levait, il fallait mettre le masque, comme si le virus ne frappait qu’en hauteur. Fallait-il marcher à quatre pattes pour aller aux toilettes ?
  • Lors des couvre-feux, les gens faisaient leurs courses en catastrophe, entassés dans les magasins, mais dès 18h. le virus allait frapper, comme s’il travaillait de nuit comme les infirmières… »

Vous avez dénoncé ce que vous appelez la « Scientocratie ». Comment définissez vous cela ?

Ce que j’appelle la Scientocratie, c’est un phénomène qui est arrivé progressivement : un groupe de « scientifiques » dont la plupart ne voient plus de malades depuis longtemps, dont la plupart ont des liens d’intérêts importants avec l’industrie pharmaceutique, et qui sont une minorité, affirment depuis le début qu’il fallait se confiner, porter le masque pratiquement jour et nuit, ne pas se soigner si l’on tombait malade, car « il n’y avait pas de traitement« , et que seul le « vaccin » nous sauvera.

Comme des moutons, nous avons accepté cela, alors que des milliers de médecins en France signaient des pétitions indiquant « laissez-nous prescrire« , car quiconque prescrivait l’une des quatre thérapeutiques mondialement connues, mais qui étaient interdites, s’il était dénoncé (comme autrefois, la France compte beaucoup de collabos), il faisait l’objet de poursuites disciplinaires. Cette minorité a imposé son soi-disant savoir au gouvernement. Pourtant l’on continue d’écouter ces gens là qui ont démontré par les faits l’inefficacité de leur « Savoir ». Malheureusement tous les autres, qui pourraient nous démontrer le scandale sanitaire découlant de ces positions, ne sont jamais invités sur les plateaux. Demandons-nous pourquoi.

La blouse blanche a remplacé la soutane.

Vous évoquez des « thérapeutiques mondialement connues ». Pouvez vous préciser ?

Comme je l’ai déjà expliqué, l’on connaissait depuis des décennies, en matière de traitement d’un virus grippal, au moins quatre thérapeutiques :

1- l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine,
2- la vitamine C en perfusion et à haute dose,
3- l’artemisia annua
4- l’ivermectine.

De nombreuses publications nous ont démontré que ces thérapeutiques étaient extrêmement efficaces, avec peu d’effets secondaires, à condition qu’elles soient utilisées dès les premiers symptômes. Nos scientocrates connaissaient cette information, et (comme s’ils le faisaient exprès), se sont dressés contre, se basant sur les seules études de cas dans lesquels l’on avait attendu que l’état du patient ne se soit fort dégradé, pour dire que ces thérapeutiques « ne marchaient pas… »

Bref, tout était fait pour nous faire croire que seul le « vaccin » pourrait nous sauver.

Cette position, en toute logique, est inexplicable, d’autant plus que de nombreux médecins avaient informé le ministère de la Santé qui ne voulait rien entendre.

Mais les vaccins anticovid ne permettent-ils pas d’arrêter l’épidémie ?

Je ne suis pas médecin, mais je suis obligé de dire ce que je vois : dans un article récent, intitulé « Covid 19 : injection chimérique transgénique – l’hécatombe vaccinale s’étend dans le monde » le Dr Gérard Delépine, chirurgien, oncologue et statisticien, montre que les courbes des décès montent en flèche, dans tous les pays dès le début de la vaccination de masse. Le cas des Anglais qui ont été les premiers en Europe à vacciner est caractéristique : dès le début de ces injections de masse, est apparu… le variant anglais… Puis la courbe des décès a remonté de manière spectaculaire. Naturellement aucun des grands médias n’en a parlé. Pourtant, ils avaient les courbes officielles devant les yeux. On dirait qu’ils sont chloroformés. Actuellement des médecins israéliens, résidant dans l’un des pays les plus vaccinés au monde, nous indiquent que chez eux, plus de 51% des hospitalisés avec le diagnostic de covid-19, sont vaccinés, et que la courbe de mortalité chez les jeunes a augmenté de 20% entre 2020 et aujourd’hui.

J’ai l’impression que non seulement ce « vaccin » ne protège pas beaucoup, mais en plus rend beaucoup de gens malades. Plus on « vaccine », plus il y a de malades !

On parle d’effets indésirables, avez vous des informations à ce sujet ?

Sur le site européen de pharmacovigilance « EUDRAVigilance », il est mentionné 19.791 décès au 24 juillet 2021 et plus de 2.000.000 d’effets indésirables dont 800.000 graves voire irréversibles (hors notamment Suisse et UK), ce qui est extrêmement alarmant par rapport à toutes les campagnes de vaccinations que nous avons connues par le passé.

Même le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) nous indique qu’au 1er juillet 2021, sur 62.000 déclarations, 31.000 cas ont reçu la qualification officiels d’effets indésirables, dont 8.689 graves, et 900 décès, pour le seul produit Pfizer ! Et 11.200 cas graves en fin juillet.

Il est à noter que d’après de nombreux scientifiques, les données de pharmacovigilance ne représentent en général que 5% en moyenne des cas réels et que des essais cliniques sont normalement arrêtés immédiatement si des décès sont constatés (exemple parmi de nombreux : en juillet 2020, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a stoppé les essais cliniques de la société Cellectis pour le produit UCARTCS1 pour seulement un décès).

Le professeur Peter A. McCullough, cardiologue, vice-chef de médecine interne à la Baylor University Medical Center à Dallas au Texas ainsi que professeur principal en médecine interne à l’Université A&M du Texas Health Sciences Center, a précisé dans une interview que : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ». – COVID : «Le vaccin est l’agent biologique le plus mortel, le plus toxique jamais injecté dans un corps humain». Nous en sommes à 900 décès en France, plus de 19.000 en Europe, et les médias et les quelques scientocrates continuent de nous dire qu’il « y a très peu d’effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ?

À ce stade, je suis contraint de constater que nous sommes face à un empoisonnement collectif. Ce n’est pas parce que ce scandale sanitaire n’est pas mentionné par les médias « grand public » qu’il n’existe pas. En réalité, dans plusieurs coins d’Europe, des scientifiques ont analysé les produits mis sur le marché, et sont très inquiets de ce qu’ils ont trouvé !

Et ce qui encore plus incroyable, est que l’on est sur le point d’assister à la publication d’un texte de loi, contraire à plusieurs conventions internationales, car nous sommes toujours en période d’essai clinique jusqu’en 2022, voire 2023.

La Convention d’Oviedo interdit de forcer un citoyen à participer à une expérimentation. Or, beaucoup d’entre nous risquent d’être contraints de recevoir une injection d’un produit expérimental, qui n’est même pas un vaccin, mais un produit génique expérimental.

Parlons de ces plaintes : quel but poursuivez-vous ?

Il faut que cette hécatombe s’arrête ! Les 19.000 morts et 800.000 cas graves, représentent malheureusement une partie de la réalité, ce qui est d’autant plus honteux que nos autorités nient leur existence, et font comme si cela n’existait pas.

Depuis quelques jours, moi et d’autres confrères, avons quotidiennement des appels téléphoniques d’infirmières ou de pompiers stupéfaits d’amener tous les jours des « vaccinés » aux urgences. Depuis quelques jours, de nombreux professionnels de santé, constatant les dégâts de ces injections, nous demandent comment faire pour y échapper : « Dois-je risquer de mourir ou d’être handicapée à vie pour conserver mon emploi ?« 

Plusieurs experts américains ou européens nous alertent sur le fait que ces injections risquent de bloquer toutes nos défenses immunitaires, ce qui nous mettra en danger permanent, notamment M. Van den Boosch, qui eut d’importantes responsabilités au sein des laboratoires Pfizer et Novartis, et qui nous alerte en conseillant d’arrêter toute cette campagne de « vaccinations ».

Comment en est-on arrivé là sans que personne ne réagisse ?

« On peut faire accepter n’importe quoi à une population qui a peur« 

1- On a gonflé énormément les chiffres des décès dus au Covid : des accidentés de la route, des cancéreux mourraient officiellement « du Covid » ! La consigne dans les hôpitaux était d’en déclarer le plus possible (plusieurs soignants hospitaliers m’ont indiqué que certains hôpitaux percevraient une subvention pour chaque déclaration, ce qui permet de mieux comprendre les raisons de cette situation incroyable). Parallèlement, depuis plusieurs années, des milliers de lits d’hôpitaux avaient été supprimés, ce qui allait conduire forcément à une saturation. Et, contrairement aux promesses, ce processus a continué même pendant l’épidémie.

2- Toutes les thérapeutiques efficaces étaient interdites.

3- Le masque que l’on devait porter même en plein air, jusque sur certaines plages n’avait pas pour but la Santé Publique, mais de maintenir la peur, en muselant tout le monde. N’importe quel médecin de terrain vous dira que porter un masque en bord de mer, à des dizaines de mètres d’autre promeneurs, c’est grotesque ! Même les enfants, pourtant épargnés par cette maladie, et donc non contagieux, devaient faire comme s’ils étaient dangereux pour les autres !

4- Les divers confinements visaient spécialement les lieux où on échange des idées : bars, restaurants, salles de spectacles. Mais pas le métro, les grandes surfaces, etc. Comme des moutons chloroformés, nous avons accepté ces aberrations !

Tout était fait pour laisser les gens dans la terreur, à l’aide des slogans publicitaires, des affiches etc…

5- Puis sont arrivés ces produits grâce auxquels on allait pouvoir vivre « comme avant »… Sauf que ces produits sont en train de décimer beaucoup de monde, et ne semblent pas si efficaces qu’on le dit.

Certains ne pourront-ils pas échapper à cela avec un certificat de contre-indication ?

Le texte prévoit effectivement la possibilité pour le médecin traitant de délivrer un certificat de contre-indication.

Toutefois, le texte a déjà limité les cas dans lesquels ce certificat pourra être accepté : certaines pathologies antérieures, et des allergies « aux composants du vaccin... »

On baigne dans l’absurde, ou dans la mauvaise foi ! Comment peut-on déjà savoir quelles sont les pathologies antérieures susceptibles de contre-indiquer des produits encore en phase d’essai clinique ?

Quant aux composants du vaccin, c’est encore pire ! Il semblerait que personne (médecins, pharmaciens…) ne soit en mesure de nous donner la liste de tous les composants des produits.

Ainsi :
1- On tente de nous obliger de nous injecter un produit qu’on ne connait pas.
2- Pour savoir si l’on est allergique à un des composants, il n’y a qu’une seule solution : se le faire injecter, puis dire de son lit de mort, « Maintenant je sais que je suis allergique… »

Pour arrêter ce processus, des médecins et des particuliers vous ont demandé de saisir la Justice. Qu’avez-vous fait ?

Nous avons déposé deux plaintes collectives :

I- Une première plainte collective a été déposée à Grenoble pour :
– Tentative d’empoisonnement, (art 221-5 C. Pénal)
– Mise en danger de la personne, (art. 223-1 C. Pénal)
– Mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité. (art. 227-15 C. Pénal)

a) La tentative d’empoisonnement :

La semaine dernière, les responsables de plusieurs collectifs de l’Isère, par mon intermédiaire, ont déposé une plainte contre X pour tentative d’empoisonnement, entre les mains du Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Grenoble. Ils estiment en effet que certains responsables de Santé Publique, continuent d’encourager les français à recevoir un produit dangereux, qui n’est pas un vaccin, mais un médicament expérimental, qu’ils qualifient faussement de « vaccin », dont l’efficacité n’est pas du tout démontrée, et est même contredite par les chiffres officiels de nombreux pays étrangers, et dont la dangerosité apparait de plus en plus. Ils estiment que le fait de continuer d’encourager les français à recevoir ces injections, tout en cachant les innombrables accidents post-vaccinaux, et en déclarant mensongèrement que les effets indésirables graves « sont très rares », procède d’une volonté criminelle délibérée.

Il s’agit donc bien d’une tentative d’empoisonnement collectif, car au départ, les six plaignants avaient fermement l’intention de recevoir l’un des produits actuellement proposés, mais viennent d’y renoncer, devant la multitude d’informations alarmantes et incontestables dont ils ont eu connaissance.

b) La mise en danger de la personne :

De nombreux scientifiques nous ont dit être complètement sidérés par ce qu’ils appellent un « muselage de la population ». Par dizaines, ils nous expliquent l’inutilité et la dangerosité du port du masque. Celui qui résume bien tous les autres est peut-être le Pr Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur général de l’Irsan qui écrit :

« De la même manière que le confinement généralisé d’une population, le port du masque généralisé en espace ouvert n’a aucun fondement scientifique et me paraît complètement délirant et ahurissant... » 

Ainsi, les mêmes responsables des collectif isérois, ont déposé plainte également pour mise en danger de la personne.

c) La mise en péril de mineurs par personnes ayant autorité :

Monsieur le Recteur de l’Académie de Grenoble a donné des consignes concernant le port du masque, portant atteinte à la santé des enfants, contre tout bon sens, puisque les autorités de Santé disaient elles-mêmes que :
a-) Les enfants ne contractaient pas la maladie,
b-) Les enfants étaient peu, voire pas du tout contagieux.

Sachant dès le début, que ces mesures seraient inutiles et hautement nocives pour ces enfants, mais en donnant des consignes de port obligatoire du masque pour les enfants des écoles, des collèges et des lycées, aux chefs d’établissements de l’académie, il s’est rendu coupable, ainsi que d’autres fonctionnaires, de mise en péril de mineurs par personne ayant autorité, dans la mesure où le fait d’obliger des enfants à ne pas respirer normalement, compromettant ainsi à long terme, leur santé physique et mentale, et de les obliger, en portant tous un masque, à vivre sans voir l’expression des visages de leurs camarades et des adultes, a conduit à des centaines de pathologies psychiatriques, et de nombreuses tentatives de suicides d’enfants.

Les responsables des collectifs ayant des enfants d’âge scolaire, ont ajouté aux précédents griefs visés dans leur plainte, la mise en péril de mineurs par personne ayant autorité.
 

II- Une deuxième plainte collective a été adressée jeudi 29 juillet 2021 à M. le Doyen des Juges d’instruction du Tribunal Judiciaire de Paris, contre le Président du Conseil National de l’Ordre des médecins pour délaissement ayant entraîné la mort de personnes qui n’étaient pas en mesure de se protéger en raison de leur âge ou de leur état physique ou psychique (art. 223-3 et 223-4 C.P.)

Cette plainte regroupe des médecins, qui n’ont pas pu soigner les patients et des particuliers dont un des proches est décédé, ou a été gravement malade, car il n’a pas pu être soigné à temps.

Ces personnes estiment en effet que dans la plupart des cas, les médecins qui voulaient prescrire une thérapeutique venant d’être interdite, étaient rappelés à l’ordre par le Conseil National de l’Ordre qui leur indiquait que leur prescription ne correspondait pas aux « données acquises de la Science » et qui les menaçait de poursuites disciplinaires en cas de récidive, se contentant de leur conseiller de dire à leurs patients :

a) soit, si leur état ne semblait pas trop grave, de rester chez eux et « prendre du Doliprane »,
b) Soit de se rendre aux urgences à l’hôpital.

De ce fait les médecins libéraux ne pouvaient rien prescrire, et ne pouvaient qu’attendre que l’état du patient ne se dégrade, et le faire hospitaliser.

Ceci explique pourquoi les malades du Covid 19 qui sont décédés, l’ont été très souvent quelques jours seulement après leur hospitalisation, car ils correspondaient à des malades qui n’avaient pas pu être soignés, et qui arrivaient donc trop tard à l’hôpital.

M. le Président du Conseil National de l’Ordre était parfaitement au courant de la situation, et savait qu’en menaçant les médecins, et en leur interdisant de prescrire l’une des thérapeutiques précitées, faisant même poursuivre disciplinairement ceux qui n’obéissaient pas, il allait contribuer à de nombreuses hospitalisations et de souffrances, et de décès.

C’est donc en connaissance de cause qu’il a contribué à laisser s’aggraver l’état de santé de milliers de personnes.

Comment voyez-vous l’avenir de cette crise sanitaire ?

Depuis l’annonce du 12 juillet, j’ai reçu des dizaines d’appels d’infirmières, médecins, pompiers qui ont deux inquiétudes :

  • Inquiétude pour les personnes : Ils m’indiquent avoir connaissance tous les jours de personnes hospitalisées en urgence après une « vaccination ». Ils me parlent d’hécatombe. Ils sont scandalisés par le silence total des grands médias.
  • Inquiétude pour eux-mêmes, car ils me demandent comment échapper à cet empoisonnement qui pour eux, sera obligatoire. Nous pensons avoir des solutions.

L’avenir va dépendre de nous tous. Tout le monde (ou presque) a compris que plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus les courbes remontent. Pourquoi ?

Lorsque l’on apprend que tant en Israël qu’en Grande-Bretagne, une grande proportion de personnes hospitalisées avec le diagnostic « Covid » avaient été « vaccinées », l’on est en droit de se demander si le « vaccin » n’a pas transmis la maladie.

Bien sûr, les autorités nous répondront que le produit « n’avait pas eu le temps de faire son effet », comme si l’on allait tenir pour postulat que la personne l’aurait « attrapée » même sans le produit.

Ce qui pollue toute discussion, c’est que dans l’esprit collectif, depuis un siècle, le vaccin est considéré comme un Sacrement. Ainsi, l’aluminium retiré des produits cosmétiques, même des vaccins pour animaux, est resté dans les vaccins pour les humains, comme si un souffle divin lui enlevait sa nocivité.

[Rappel : Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

Pour la gauche, c’est un acquis social, un progrès de l’humanité. Il est vrai que j’y ai cru longtemps. Ceci est tellement ancré dans nos têtes, que l’évidence et le bon sens ont totalement disparu : Pour un enfant victime de convulsions juste après une vaccination, même des experts vont affirmer en Justice qu’il s’agit d’une coïncidence !

Ceci explique pourquoi les chiffres donnés par la pharmacovigilance, sont à multiplier au moins par 10, car il s’agit de décès ou d’effets indésirables déclarés officiellement par cet organisme, qui ne recueille que ce qu’on lui a envoyé.

Dans le cas présent, ceci explique pourquoi les élus, les chefs de service, les directeurs d’école, font comme s’ils ne comprenaient pas pourquoi le bonbon qu’ils nous obligent à manger, nous perturbe autant… Car quand on leur parle, ils nous répondent comme si le « vaccin » était comme un simple bonbon totalement inoffensif.

Ainsi, nos grands scientifiques, et même nos journalistes, deviennent des idéologues, et non plus des personnes objectives qui se contentent de décrire ce qu’ils voient. C’est pourquoi, après la manifestation du samedi 24 juillet, dans une ville dans laquelle on pouvait voir sur de nombreuses photos, plus d’un kilomètre de cortège le long d’une avenue à quatre voies, le journal local écrivait « Quelques centaines de manifestants... »

Tout ce qui va contre la pensée unique est nié, minimisé, caricaturé.

Les grands médias portent une lourde responsabilité, car dans le cas présent, cette négation entraîne des morts.

Personne ne parle jamais du typage H.L.A. découvert en 1980 par Jean Dausset, prix Nobel de médecine, et qui montre que nous appartenons tous à un groupe immunitaire, et qu’en fonction du groupe auquel nous appartenons, nous ne réagirons pas de la même manière à un vaccin, ou même à un virus. Cette information dérange tellement que personne n’en a parlé pendant 30 ans, alors que Jean Dausset avait déclaré en 1980 : « La vaccination de masse sera bientôt une pratique du passé... »

Je suis persuadé que si nous continuons de nous laisser faire, il y aura une quatrième, une cinquième, une sixième vague, et cela ne s’arrêtera jamais. Il faudra une troisième dose, puis une quatrième, il y aura de nouveaux confinements, puisque, comme l’ont expliqué de nombreux virologues ou médecins, plus on confine, plus on masque, plus on « vaccine », et plus il y a de malades.

Cela ne s’était jamais produit.

Comme tout va être fait pour nous faire croire que cette nouvelle vague « C’est de la faute des non-vaccinés », il est fort possible que dans beaucoup d’hôpitaux, personne ne demandera à tous les nouveaux malades du covid ou du variant « Êtes-vous vacciné ? » Et même si les soignants sur le terrain qui le demandent et le signalent, l’information ne remontera pas, car le but est de nous injecter ces produits.

Il faut rappeler que les contrats signés entre les laboratoires et la Commission européenne, précisent que les parties reconnaissent ignorer l’efficacité et les effets indésirables. Et une autre clause précise que même si une thérapeutique efficace venait à être connue, cela n’annulerait pas les contrats…

Je suggère, quand une personne, qui a reçu une ou plusieurs injections, est hospitalisée, que les familles signalent systématiquement ce que la personne a reçu. Je suggère qu’elles le signalent également et directement à la pharmacovigilance. Sinon, cela va continuer : chaque décès sera officiellement « mort du Covid » (et non de l’injection).

Je suggère également que mes Confrères déposent des plaintes dans leurs départements respectifs, et surtout, que tout le monde se demande quelles sont les raisons de cette hystérie covidique. Lorsque tout le monde aura connaissance de toutes les informations détenues par un certain nombre de juristes français, allemands, italiens, belges, espagnols, américains, etc. l’on aura une idée claire. Mais il faudra calmer la colère de beaucoup.

[Points de vue sur le but :
Dr Louis Fouché: « La plupart des gens espèrent qu’ils reviendront à la vie normale,… Mais non ! Cette crise est là pour que ça s’effondre !! »
Le compte à rebours de la mort est lancé ! Des données top-secret… ACCESSIBLES À TOUS ! – par Ivo Sasek
Où conduisent le confinement, le port du masque et la distanciation ?
Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19
Preuves que la pandémie a été planifiée ?
Bill Gates appelle les chefs religieux à manipuler leurs paroissiens pour qu’ils se fassent vacciner contre le coronavirus
Complot, conspiration, plan : dix faits troublants
L’opération Covid-19 met à nu le “Nombre de la Bête”
COVID-19 : LE GRAND CAUCHEMAR
Les 13 Phases SCENARIOS du Complot COVID-19 par Richard Boutry, Ancien Présentateur TV (Censuré)
La guerre du Bien contre le Mal
Psychopathologie du totalitarisme — Le délire paranoïaque, les aspects du projet totalitaire, et comment sortir de l’aliénation collective
Une journaliste vedette de Fox News dévoile ce que des sites « complotistes » avaient révélé depuis des mois : le document Rockefeller sur un scénario pandémie publié en 2010
Selon le Dr. McCullough, les vaccins COVID représenteraient la seconde étape d’une attaque bio-terroriste
Et si cette « pandémie » n’était qu’une préparation mentale pour la suite ?]

Jean-Pierre Joseph est auteur de « Vaccins : on nous aurait menti ? » (5° édition 2020)

L’association BonSens.org fait savoir qu’elle s’associera à ces plaintes en y apportant son soutien.

Auteur(s): FranceSoir




La crise mondiale du transport maritime est bien plus grave qu’on ne l’imagine

[Source : Les 7 du quebec]

[Commentaires en rouge : Robert Bibeau]

Par F. William Engdahl –  juillet 2021 – Source New Eastern Outlook

Au cours des dernières décennies, le commerce maritime mondial s’est développé de manière presque exponentielle, à mesure que la sous- traitance des activités de fabrication des sociétés américaines et européennes se développait, sous l’effet de la mondialisation économique. En conséquence, l’Asie, et plus particulièrement la Chine, est devenue la source essentielle de fabrication de tout, des iPhone aux antibiotiques et de tout ce qui se trouve entre les deux. L’Organisation mondiale du commerce (OMC) qui a imposé de nouvelles règles au commerce en a été le moteur essentiel. Elle a également rendu les chaînes d’approvisionnement mondiales pour la livraison des marchandises plus fragiles que jamais dans l’histoire. L’augmentation du coût du transport maritime par conteneurs témoigne de cette fragilité. À cette augmentation des prix s’ajoutent d’énormes pénuries de main-d’œuvre dues aux mesures mondiales prises contre la COVID.

Les origines de la crise

Selon le département de recherche de Statista, basé en Allemagne, environ 80 % de toutes les marchandises sont transportées par voie maritime, notamment le pétrole, le charbon et les céréales. Sur ce total, en termes de valeur, le commerce maritime mondial de conteneurs représente quelque 60 % de l’ensemble du commerce maritime, évalué à environ 14 000 milliards de dollars US en 2019. Ce transport maritime est devenu le pivot de l’économie mondiale, pour le meilleur et pour le pire.

Il s’agit d’une conséquence directe de la création de l’OMC dans les années 1990, avec de nouvelles règles favorisant l’externalisation de la fabrication vers des pays où la production était bien moins chère, tant que le transport maritime était bon marché. Après son adhésion à l’OMC en 2001, la Chine, appelée « l’atelier du monde », est devenue la plus grande bénéficiaire de ces nouvelles règles. Des industries entières telles que l’électronique, les produits pharmaceutiques, les textiles, les produits chimiques ainsi que les plastiques ont été transférées en Chine, où les salaires étaient alors les plus bas au monde, pour y être assemblées en usine. Cela a fonctionné, car le coût de l’expédition vers les marchés occidentaux était comparativement faible. (Dans ce paragraphe, l’auteur — idéaliste métaphysicien — inverse l’ordre des choses et il laisse croire que L’OMC a été créée fortuitement, par on ne sait qui, puis que les fonctionnaires de l’OMC désœuvrés se sont trouvé une activité — celle d’imposer des règles favorisant la délocalisation des industries et le développement du commerce-transport international d’où aurait émergé la Mondialisation (oh ! surprise !). C’est exactement le contraire qui s’est produit. Les forces intrinsèques du développement économique capitaliste réclamaient — exigeaient — la refonte des lois et des règles de fonctionnement de la production-commercialisation-distribution du capital-marchandise (y compris des règles régissant la marchandise/force de travail) afin de maintenir le procès de valorisation du capital ; d’où la création de l’OMC ayant pour fonction de rédiger et d’imposer les lois du nouveau capitalisme — de ses puissances impériales hégémoniques — à toutes les entreprises et à tous les pays du monde. Ces nouvelles lois ont été bénéfiques aux puissances émergentes (Chine et Inde notamment) disposant de grandes quantités de capital humain qualifié et peu dispendieux. Et depuis la guerre commerciale est en cours entre ces différentes puissances. NDÉ)

Au fur et à mesure de la croissance de sa production économique, la Chine est elle-même devenue un géant mondial du transport maritime, expédiant ses marchandises à bas prix vers des endroits tels que Long Beach ou Los Angeles, en Californie, aux États-Unis, ou Rotterdam, en Europe (VIA Les Nouvelles Routes de la Soie. NDÉ) 

Résultats de recherche pour « routes de la soie » — les 7 du Québec 
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Le géant du commerce de détail Walmart a été le destinataire d’une part considérable des marchandises chinoises, puisque 80 % de ses produits sont d’origine chinoise. Ce n’est pas de la petite bière comme on dit au Texas. Walmart est la plus grande entreprise au monde en termes de chiffre d’affaires, avec des ventes annuelles de 549 milliards de dollars. Aujourd’hui, grâce à cette mondialisation, la Chine dispose de 8 des 17 plus grands ports du monde en termes de volumes de transport pour gérer ses exportations. (Pour qui souhaite analyser le monde politique et sociologique et sanitaire contemporain, et comprendre les forces en jeux vers la guerre mondiale en préparation — ces données sont bien plus importantes que le nombre de nouveaux cas de Covid-Delta dans un village du Canada… NDÉ)

L’expansion du transport maritime chinois, combinée à celui du Japon et de la Corée du Sud, constitue le principal trafic maritime de conteneurs dans le monde. Ce flux économique vital est aujourd’hui soumis à une pression sans précédent, qui pourrait bientôt avoir des conséquences économiques mondiales catastrophiques sur les chaînes d’approvisionnement en marchandises.

Lorsque ce que l’OMS a qualifié de nouveau coronavirus, apparu pour la première fois à Wuhan, a été déclaré pandémie mondiale en mars 2020, l’impact sur le commerce mondial a été immédiat et énorme, les pays verrouillant leurs économies, ce qui est sans précédent en temps de paix. (Preuve s’il en était besoin que cette annonce hystérique d’une pandémie bidon était bien une déclaration de guerre nouveau genre — virale et mondiale émanant d’un organisme international — NDÉ). Les commandes de produits en provenance de Chine et d’autres producteurs asiatiques ont été gelées par les acheteurs occidentaux. Les porte-conteneurs ont été annulés partout en 2020. Puis, maintenant que les gouvernements des États-Unis et de l’Union européenne débloquent des milliers de milliards de dollars de mesures pour une relance sans précédent, la demande de conteneurs en provenance d’Asie et à destination de l’Occident a explosé en termes relatifs, par rapport à l’offre, car les gens ont commencé à utiliser les mesures de relance, en particulier aux États-Unis, pour acheter en ligne des produits dont la plupart étaient toujours « Made in China ».

DÉAPPROVISIONNEMENT INDUSTRIEL ET NOUVELLE VAGUE : REPRISE DE LA CRISE ET EXACERBATION DU NATIONALISME ÉCONOMIQUE — les 7 du Québec 
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Cela a eu un impact perturbateur sérieux sur ce qui était autrefois un coût mineur — le transport maritime par conteneurs. Les ports à conteneurs, en particulier ceux de Chine, sont ultramodernes, automatisés, chargeant des milliers de conteneurs par jour au moyen de grues automatisées. Dans les ports de destination tels que Long Beach ou Hambourg, les conteneurs sont ensuite déchargés dans des camions ou des trains et acheminés vers leur ville de destination avant d’être renvoyés au port pour être réexpédiés. C’est cette chaîne d’approvisionnement complexe qui est aujourd’hui en crise… (conséquence directe des mesures de confinement — couvre-feux – lock-out des économies nationales. Les travailleurs et les paysans et les chômeurs et les pauvres sont les premières victimes de cet exercice de guerre sanitaire mondialisé… la go-gauche devrait le comprendre. Voilà pourquoi nous au 7duquebec.net nous dénonçons cet exercice militaire orchestré par le grand capital mondialisé. NÉ)

En 2019, avant la crise de la pandémie, le coût de l’expédition par voie maritime d’un conteneur de 40 pieds de long, de la Chine vers l’Europe, se situait entre 800 et 2500 USD. Pour l’essentiel des produits tels que les textiles, les produits pharmaceutiques ou les smartphones, les conteneurs maritimes étaient clairement la meilleure option à faible coût pour le commerce Asie-Europe, malgré la possibilité du rail. Pour le commerce entre l’Asie et l’Amérique du Nord, c’est quasiment la seule option, l’avion étant une alternative coûteuse. Aujourd’hui, avec une réduction de 50 % des voyages aériens liée à l’effet corona, les porte-conteneurs sont pratiquement la seule option sur les longues distances.

Aujourd’hui, les tarifs de port à port, par exemple de Shanghai, le plus grand port à conteneurs de Chine, à Los Angeles, ont explosé, passant d’environ 1 500 dollars par conteneur de 40 pieds juste avant la pandémie de l’OMS au début de 2020 (NON pas à cause de la pandémie, MAIS à cause des mesures politiques de CONFINEMENTS — non nécessaires et inappropriées. NDÉ) à 4 000 dollars en septembre 2020, et à 9 631 dollars au jour du 8 juillet 2021, selon Drewry Supply Chain Advisors. Il s’agit d’une augmentation de plus de 600 % par rapport au début de 2020, avant la pandémie. Et ce n’est là qu’une des origines de l’inflation mondiale que nous voyons maintenant arriver. (L’inflation = la dépréciation de la monnaie — de nos épargnes et de notre pouvoir d’achat — sera la façon par laquelle le grand capital (les 2 000 milliardaires de la terre) transféreront le fardeau de la crise qu’ils ont provoqués sur le dos du prolétariat.

[Ndlr : ce ne sera pas seulement sur le dos du prolétariat, mais sur la plupart des non milliardaires de la planète, patrons et ex-patrons de PME ou de PMI inclus.]

C’est la raison pour laquelle nous disons que cette guerre nouveau genre oppose directement le capital mondial et leurs États totalitaires au prolétariat international sans autres intermédiaires. NDÉ)

Les émeutes covidales — les 7 du quebechttps://les7duquebec.net/archives/265963

Ce n’est pas le pire. Selon Drewry, « Nous avons entendu des rapports faisant état de 15 000 dollars de la Chine vers la côte ouest et nous savons que les transporteurs facturent des primes supplémentaires en plus pour donner la priorité au chargement d’une réservation tardive avant les cargaisons normales au tarif FAK [Freight All Kinds]. » Passer de 1 500 à 15 000 dollars en deux ans représente une multiplication par dix. Et les tarifs de Shanghai à Rotterdam ont également explosé, passant de moins de 2 000 dollars début 2020, à plus de 12 000 dollars en juillet, soit 600 %.

Pour citer un produit qui a connu des achats de panique au début de la pandémie, la Chine est le leader mondial des exportations de papier toilette, avec 11 % de l’offre mondiale. Une augmentation de 600 % du coût du fret maritime rend inévitable une hausse significative du prix d’un produit aussi ordinaire que le papier toilette, ou alors une pénurie dans des endroits clés du monde. Lorsque de telles pressions s’exercent sur l’ensemble de la gamme de produits, les tarifs des conteneurs maritimes deviennent un facteur important de l’inflation générale.

Des goulots d’étranglement de conteneurs

Au début de l’année 2020, alors que les nations du monde entier se sont confinées dans une panique sans précédent par crainte des coronavirus, le transport maritime mondial s’est paralysé. Les usines ont été fermées partout. Plus tard en 2020, les flux ont lentement repris avec l’ouverture de la Chine. Lorsqu’il est devenu évident, à la fin de l’année 2020, que les diverses mesures de relance économique mises en place par les gouvernements allaient relancer la demande de produits asiatiques, notamment via des plateformes de commerce électronique comme Amazon, une pénurie dramatique de conteneurs disponibles s’est développée. Rien qu’aux États-Unis, un total combiné de9 000 milliards de dollars de mesures de relance budgétaire et monétaire a été débloqué depuis le début de 2020. C’est un record mondial. (Ce que l’auteur ne dit pas c’est que cet argent (9000 milliards USD) a été créé ex nihilo — et ne représente pas de nouvelles marchandises ce qui signifie que cet argent va provoqué l’hyperinflation et le krach boursier et la dépression dont le prolétariat sera la victime impuissante. NDÉ) 

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Les flux commerciaux mondiaux peuvent être comparés au système de circulation sanguine du corps humain. Lorsque des goulets d’étranglement se développent avec la congestion des ports, ou le blocage du canal de Suez, cela fait comme des caillots de sang pour le système de circulation sanguine. En mars 2021, le blocage dans le canal de Suez du porte-conteneurs géant Ever Given appartenant à la société taïwanaise Evergreen Co a interrompu le trafic maritime pendant près d’une semaine sur l’une des principales voies navigables du monde entre la Chine et l’Europe, provoquant des goulets d’étranglement dans les livraisons de conteneurs qui ne sont pas encore complètement résolus. Ensuite, en Chine, de nouveaux cas de corona dans le grand port à conteneurs de Yantian — qui fait partie du quatrième port à conteneurs du monde, Shenzhen — ont provoqué de nouvelles perturbations majeures du transport maritime, aggravant encore la hausse des tarifs. Ces perturbations sont susceptibles de se poursuivre.

Lorsque les confinements ont touché le monde entier en avril 2020, des millions de conteneurs se sont soudainement retrouvés bloqués dans divers ports, incapables de retourner en Chine. Ces boîtes vides ont été laissées dans des endroits où elles n’étaient pas nécessaires, et aucun repositionnement n’a été prévu. Les perturbations massives de la main-d’œuvre dues aux confinements à travers les États-Unis en 2020 et en 2021 ont affecté non seulement les ports, mais aussi les dépôts de cargaisons de conteneurs de tout le pays ainsi que les lignes de transport intérieures. Il n’y avait aucun moyen de ramener les conteneurs en Chine lorsque celle-ci a commencé à relancer l’industrie. De plus, comme les transporteurs ont introduit des « traversées à vide », ou ont sauté des escales, l’inadéquation entre l’offre et la demande de conteneurs vides a été exacerbée, car ces boîtes vides ont été laissées derrière et n’ont pas pu être repositionnées vers les ports chinois. Des « caillots de transport » mondiaux sont apparus.

La société de conseil danoise Sea-Intelligence estime que pas moins de 60 % du déséquilibre en conteneurs en Asie est dû à l’Amérique du Nord (principal client mondial — suivi de l’Europe de l’Ouest), la plupart en raison du manque d’investissements en Californie et dans d’autres ports de la côte ouest qui connaissent les pires problèmes de congestion portuaire.

Une société de conseil japonaise a estimé que la productivité des terminaux en Amérique du Nord était jusqu’à 50 % inférieure à celle de ses homologues asiatiques, en partie à cause de la réduction du nombre d’heures de travail et de l’opposition des syndicats à une automatisation accrue qui leur ferait perdre des emplois. La déclaration selon laquelle l’autorité de régulation américaine, la Federal Maritime Commission« examine » la question de la disponibilité des équipements dans le cadre d’une vaste enquête sur le chaos de la chaîne d’approvisionnement qui a frappé les ports, les détaillants et les exportateurs du pays au cours des huit derniers mois, n’est guère rassurante. Les problèmes de goulots d’étranglement dans les ports à conteneurs américains sont chroniques et graves depuis au moins 2015. Le travail de la Commission maritime est de surveiller justement ces goulots d’étranglement avant qu’ils ne deviennent problématiques. Elle n’y arrive manifestement pas.

La solution à la crise fabriquée du Covid n’est pas médicale, mais POLITIQUE — les 7 du Québec 
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Lorsque la demande de produits en provenance de Chine a repris fin 2020, tout cela a eu un impact sur les taux de conteneurs. Aux pénuries de conteneurs se sont ajoutés les blocages au niveau mondial qui ont gelé d’énormes pans du commerce mondial. La construction des nouveaux conteneurs nécessaires est également fortement limitée en raison despénuries d’acier et de bois de construction ainsi que de main-d’œuvre, en raison des mesures de lutte contre la pandémie.

DÉAPPROVISIONNEMENT INDUSTRIEL ET NOUVELLE VAGUE : REPRISE DE LA CRISE ET EXACERBATION DU NATIONALISME ÉCONOMIQUE — les 7 du Québec 
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(Ces données sont autant d’indices que cette pandémie est un exercice militaire grandeur réelle visant à analyser tous les vecteurs d’une guerre bactériologique mondiale de façon à anticiper les problèmes inédits que posera une guerre réellement mondiale et où la population civile (7,7 milliards d’individus) deviendra la principale variable stratégique et tactique. Nous comprenons mieux la nécessité pour les États bourgeois pseudo-libéraux de se transformer en États totalitaires dirigistes. NDÉ) 

Une énième vague de coups d’État sanitaires déferle sur le camp atlantiste — les 7 du Québec 
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La dépendance mondiale écrasante à l’égard des marchandises expédiées par la Chine ces dernières années est devenue un talon d’Achille flagrant de l’économie mondiale dans le contexte de ces blocages (en fait, le talon d’Achille de l’Alliance concurrente — OTAN — vis-à-vis l’Alliance de Shanghai. NDÉ) 

La guerre inévitable entre le roi déclinant et l’ambitieux prince héritier — les 7 du Québec 
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Une telle interdépendance mondiale n’a pas été un facteur de la dépression mondiale des années 1930, contrairement au mythe économique selon lequel la loi sur les tarifs douaniers Smoot-Hawley en était la cause principale. Il s’agissait alors des structures de la dette internationale centrées sur les banques de New York.

Crise de la main-d’œuvre maritime

La crise de la disponibilité des conteneurs et les embouteillages dans les principaux ports mondiaux sont aggravés par une crise croissante de la main-d’œuvre maritime. La plupart des marins non officiers qui travaillent pour le transport de conteneurs sont recrutés en Asie. Selon la Chambre internationale de la marine marchande, les Philippines sont le plus grand fournisseur de marins qualifiés, suivies par la Chine, l’Indonésie, la Fédération de Russie et l’Ukraine. Les confinements mondiaux et, plus récemment, l’inquiétude suscitée par le variant dite « indien » ou « Delta »malgré le manque de données sur sa létalité, ont augmenté la catastrophique situation de la main-d’œuvre des navires. Avant la déclaration de la pandémie de corona en 2020, l’offre de main-d’œuvre des navires était déjà très restreinte. Ce problème de main-d’œuvre a également un impact sur les taux de fret des navires.

En juillet, on estime que 9 %, soit 100 000 marins travaillant à bord de porte-conteneurs et d’autres navires, sont restés bloqués sur les navires au-delà de la durée légale de leur contrat, car des pays, de la Chine aux États-Unis, leur interdisent de descendre à terre en raison de restrictions liées à la peur du coronavirus. Cela signifie que les changements d’équipage n’ont pas lieu et que les équipages bloqués en mer sont soumis à un stress psychologique et physique croissant, pouvant même conduire à des suicides. Ensuite, on estime que 100 000 marins supplémentaires, voire plus, sont bloqués à terre dans divers pays en raison des restrictions liées à la pandémie, sans pouvoir travailler. La durée maximale autorisée d’un contrat est de 11 mois, comme le stipule une convention maritime des Nations unies. Normalement, il y a une rotation de quelque 50 000 marins par mois sur et hors des navires. Aujourd’hui, il n’y en a plus qu’une fraction. Selon le syndicat de la Fédération internationale des transports, il y a jusqu’à 25 % de marins en moins sur les navires qu’avant la pandémie. Le secrétaire général du syndicat a déclaré : « Nous avons prévenu que les marques mondiales doivent être prêtes pour le moment où certaines de ces personnes fatiguées et épuisées finiront par craquer. »

À terre, alors que les confinements, en particulier en Californie, ont tenu des milliers de travailleurs éloignés des principaux ports américano-asiatiques de Los Angeles et de Long Beach, il n’a pas été possible de résorber le très important arriéré de conteneurs avant que d’autres ne commencent à arriver. L’Amérique du Nord est actuellement confrontée à un déséquilibre de 60 %, ce qui signifie que sur 100 conteneurs qui arrivent, seuls 40 repartent. Soixante conteneurs sur 100 continuent de s’accumuler.

Drewry estime que ces facteurs négatifs entraîneront également une pénurie d’officiers par rapport aux équipages dans la flotte marchande mondiale au cours des prochaines années. Tout cela souligne à quel point le système de livraison des chaînes d’approvisionnement mondialisées est aujourd’hui extrêmement fragile et au bord de la fracture. Les blocages mondiaux dus à la COVID (non pas dus à la COVID, mais dus à la fermeture des économies — dus aux prises de décisions des gouvernants incapables, lâches et ignorants dont le prolétariat fait les frais. NDÉ) ont des impacts à long terme bien plus graves que la plupart des gens ne le savent. L’économie mondiale est un réseau interconnecté dynamique et très complexe qui ne peut pas s’éteindre et s’allumer avec une simple pression sur un interrupteur.

États-Unis/Otan contre Russie/Chine/Iran. Le début d’une guerre hybride à mort — les 7 du Québec 
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William Engdahl




87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

Une personne saine d’esprit mélangerait-elle l’échantillon d’un patient (contenant diverses sources de matériel génétique et dont il n’a jamais été prouvé qu’il contenait un virus particulier) avec des cellules rénales de singe, du sérum bovin fœtal et des médicaments toxiques, puis prétendrait que la concoction résultante est un “isolat du SARS-COV-2” et l’expédierait à l’étranger pour qu’il soit utilisé dans des recherches critiques (y compris le développement de vaccins et de tests) ?

Parce que c’est le genre de travaux frauduleux que des équipes de recherche du monde entier font passer pour “l’isolement du virus”.

En date du 27 juillet 2021 :

87 institutions scientifiques et de santé du monde entier n’ont pas réussi à fournir ou à citer ne serait-ce qu’un seul rapport d’isolement/purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, à aucun moment. Vous trouverez ci-dessous la liste de ces institutions.

Ci-dessous toutes les demandes d’informations et leurs réponses archivées sur cv19.fr, voir les procédures complètes de chaque demande détaillée sur cette page : fluoridefreepeel.ca [archive]

1 Australia University of Western Australia – home of Gates-funded researcher Christine Carson
2 Australia ACT Government (Government of the Australian Capital Territory) / Canberra Health Services (CHS)
3 Australia Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation – CSIRO
4 Australia Department of Health
5 Australia Peter Doherty Institute for Infection and Immunity
6 Britain Health and Safety Executive
7 Canada Aylmer Police Services
8 Canada Centre for Disease Control, British Columbia
9 Canada City of Toronto, Ontario
10 Canada Department of Health & Community Services, Newfoundland Labrador
11 Canada Health Canada
12 Canada Institut National de Sante Publique du Quebec
13 Canada Institutes of Health Research
14 Canada Kingston, Frontenac, Lennox and Addington Public Health, Ontario (re “any variant”)
15 Canada McGill University
16 Canada Ministry of Health, British Columbia
17 Canada Ministry of Health, Ontario
18 Canada Mount Sinai Hospital, Toronto, Ontario
19 Canada National Research Council, [2]
20 Canada Natural Sciences and Engineering Research Council of Canada
21 Canada Peterborough Police Service
22 Canada Peterborough Public Health
23 Canada Provincial Health Services Authority, British Columbia
24 Canada Region of Peel, Ontario, [2]
25 Canada Sunnybrook Health Sciences Centre, Toronto, Ontario
26 Canada Toronto Police Service
27 Canada University of Toronto
28 Canada Vancouver Coastal Health Authority, British Columbia (re “the UK variant”)
29 Canada Grey Bruce Health Services
30 Canada McMaster University
31 Canada Public Health Agency of Canada[2]
32 Canada Vaccine and Infectious Disease Organization-International Vaccine Centre (VIDO-InterVac) at University of Saskatchewan
33 Czech Republic Ministry of Health
34 Czech Republic Univerzita Karlova
35 Denmark Statens Serum Institut
36 England Public Health England[2][3][4]
37 Europe Centre for Disease Prevention and Control
38 India Indian Council of Medical Research[2]
39 Isle of Man Department of Health and Social Care
40 Netherlands Ministry of Health, Welfare and Sport[2]
41 New Zealand Associate Minister of Health Hon Jenny Salesa
42 New Zealand Associate Minister of Health Hon Peeni Henare
43 New Zealand Associate Minister of Health Julie Anne Genter
44 New Zealand Bay of Plenty District Board
45 New Zealand Department of the Prime Minister and Cabinet
46 New Zealand Institute of Environmental Science and Research – ESR[2]
47 New Zealand Ministry of Health
48 New Zealand University of Auckland
49 New Zealand University of Otago
50 Norway Norwegian Ministry of Health and Cares Services & subordinate agency the Directorate of Health
51 Portugal Ministry of Health (jugement du tribunal formalisant que le ministère ne dispose d’aucune donnée ou référence sur l’existence du virus)
52 Republic of Africa Governmental COVID-19 Advisory Committee (jugement Afrique du Sud, en savoir plus)
53 Republic of Africa Minister of Co-operative Governance and Traditional Affairs
54 Republic of Africa National Department of Health
55 Republic of Africa National Institute for Communicable Diseases
56 Republic of Africa President
57 Republic of Columbia Ministry of Health & Social Protection
58 Republic of Ireland National Virus Reference Laboratory, University College Dublin
59 Scotland Public Health Scotland
60 Slovenia Department of Health
61 Slovenia Faculty of Medicine and Institute of Microbiology and Immunology, University of Ljubljana
62 Slovenia National Laboratory for Health, Environment and Food (Nacionalnega laboratorija za zdravje, okolje in hrano – NLZOH)
63 Spain Ministry of Health
64 United Kingdom Cabinet Office[2]
65 United Kingdom Department of Health and Social Care
66 United Kingdom Government Office for Science
67 United Kingdom House of Commons
68 United Kingdom House of Lords
69 United Kingdom Imperial College London
70 United Kingdom Medicines and Healthcare Products Regulatory Agency
71 United Kingdom Prime Minister’s Officelien vers cette réponse
72 United Kingdom University of Warwick
73 United States of America Agency for Toxic Substances and Disease Registry[2]
74 United States of America Centers for Disease Control and Prevention[2]
75 United States of America National Institute of Allergy and Infectious Diseases – NIAID, [2]
76 United States of America Oregon Health Authority
77 Uruguay Clemente Stable Biological Research Institute, Ministry of Education and Culture
78 Uruguay University of the Republic (UdelaR) Faculty of Chemistry
79 Uruguay Ministry of Public Health
80 Wales Public Health Wales[2]
81 Canada Hastings Prince Edward Public Health (Ontario)
82 Ukraine Ministry of Health
83 Australia Western Australia Minister & Department of Health
84 Australia South Australia Minister for Health and Wellbeing
85 Australia New South Wales Ministry of Health, Australia
86 England Pennine Acute National Health Service Trust
87 England Salford Royal National Health Service Foundation Trust

Certaines des réponses à ces demandes d’informations mentionnent le fait que l’isolement/purification du SARS-CoV-2 ne peut être effectué de la manière demandée, et que “l’isolement” mentionné dans les publications scientifiques réfère à la culture en cellule de prélèvement démontrant un effet cytopathique, mais aucune expérience témoin n’a été effectuée pour démontrer que cet effet cytopathique est présent ou non avec les mêmes procédures sur une culture saine ou stérile (voir FOI des pays-bas).

Voir aussi : Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie

Articles originaux :
https://www.fluoridefreepeel.ca/68-health-science-institutions-globally-all-failed-to-cite-even-1-record-of-sars-cov-2-purification-by-anyone-anywhere-ever/
https://www.fluoridefreepeel.ca/fois-reveal-that-health-science-institutions-around-the-world-have-no-record-of-sars-cov-2-isolation-purification/

Télécharger tous les documents de demandes d’informations : https://files.catbox.moe/8gx9ft.zip


[Voir aussi :
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial
et les références et liens contenus dont plusieurs proviennent du travail de recherche effectué
par Recherches Covid-19 (cv19.fr)]




Pass sanitaire et injection obligatoire : les conseils de « guerre » de Me de Araujo-Recchia et Me di Vizio

[Source : Anthropo-logiques]

Par Jean-Dominique Michel

Les fidèles lectrices et lecteurs de ce blog attesteront que, tel un Juvénal du temps présent, je souligne et regrette bruyamment ici depuis des mois l’effondrement éthique, sociétal et juridique auquel nous assistons sous la houlette toxique d’une médico-cratie en transe, entraînant dans son sillage des politiques qui ne le sont pas moins.

Ceci au détriment de toute logique et de toute souvenance qu’il existe quelque part un vague bidule appelé le « réel ».

Les mêmes professeurs azimutés (mais aussi instrumentalisés et à vrai dire assujettis – directement ou indirectement – à des intérêts privés) qui hurlaient au loup quant à la stratégie suédoise – consistant à n’imposer à la population que des mesures « evidence-based » en prenant soin d’en ré-évaluer régulièrement la pertinence-  nous abreuvent maintenant de beuglements semi-articulés selon lesquels la seule voie possible désormais est celle conduisant au « passsanitaire » et à la remise au pas des récalcitrants.

Soit ceux qui viennent d’être appelés « les paresseux, les égoïstes et les hésitants » par le président de la « Commission d’éthique et de la recherche » (!) du canton de Genève, M. Bernard Hirschel…

Avec un tel éthicien, pas besoin de scientistes un peu déjantés et mal dégrossis à qui rappeler les normes de l’éthique et la réalité du droit !

(Sur ce sujet de l’effondrement de l’éthique, passée d’un arbitrage paragidmatique et circonstancié de valeurs à une « cosméthique » faisant office de protection juridique pour les pouvoirs en place, un lecteur a fort aimablement attiré mon attention sur les travaux du Pr Jean-François Malherbe. On peut aussi bien sûr se référer à l’oeuvre magistrale de l’anthropologue Raymond Massé, que j’avais invité à donner une conférence à Genève sur ce sujet fondamental.)

Alors donc que la Suède continue de DÉMONTRER qu’on peut se passer absolument sans danger des mesures ravageuses imposées depuis 18 mois par ces technocrates enragés, voilà-t’il pas qu’une pléthore de politiciens se piquent de se faire les porte-drapeaux de nouveaux diktats de plus en plus délirants.

On aura donc vu des « incentives » comme on dit en marketing pour les pseudo-vaccins (qui sont en fait des injections géniques expérimentales) à faire se retourner dans leurs tombes les générations de médecins qui nous ont précédé et frémir d’horreur tous ceux à qui il reste un semblant de conscience : fast-food gratuitcrème glacéegâteau OFSP sur la place fédérale, mais aussi désormais loterie et, pourquoi pas bientôt, selon un autre trait de génie éthique du président de commission déjà cité, « payer les gens pour les encourager à se faire vacciner » (il ne s’agit pas d’un vaccin). Ceci dans une grand débondage de mépris social, puisqu’on comprend qu’un professeur de médecine avec un salaire de 300’000.- ou 400’000.- francs suisses par an (nous ne parlons pas des mieux lotis) ne saurait guère pour sa part être sensible aux 20.- ou 50.-promis…

Et comment ne pas penser à Babylone, la Grande Prostituée, devant tout ce cirque, cette danse macabre et fête des fous tout à la fois qui voit nos élites se vautrer dans la fange des cabinets de consultants vendant du vaccin (ce n’en sont pas) comme du savon à barbe ou le dernier gadget numérique à la mode. Menaces et brutalités en plus, certes.

Ceci pour des vaccins (qui n’en sont pas) pour lesquels on nous avait promis monts et merveille et qui s’avèrent de jour en jours beaucoup beaucoup moins sûrs, efficaces et même utiles qu’on nous l’avait vanté dans une opération publicitaire très réussie… et scientifiquement calamiteuse.

Bref, accrochons-nous car s’il nous est déjà arrivé d’observer que nous étions bel et bien en pleine bouffée délirante collective, nous n’avons probablement encore rien vu !

Comme l’avaient magnifiquement annoncé de vrais beaux et grands esprits -tout le contraire des sbires du scientisme obscène qui mènent la danse- les élites en perdition sont désormais dans une sorte de furie destructrice et autodestructrice. Par son mépris et son autocratique morgue, Emmanuel Macron attise les braises des flambées de violence qui inévitablement apparaîtront. L’homme on le sait n’hésite pas à faire nasser, tabasser, mutiler et  comparaître en procédure judiciaire accélérée (= sans les garanties élémentaires de l’état de droit) même et peut-être surtout des manifestants pacifiques. C’est une petite jouissance de la perversité parmi de bien plus grandes.

Alors ? Alors, comme l’autocrate nous l’avait annoncé, nous sommes bel et bien en guerre. Non pas contre un virus, bien sûr : il est aussi stupide de faire la guerre à virus que de manifester contre lui… Une guerre se mène toujours contre une population et c’est bien contre le peuple qui l’a élu que Macron lâche ses bombes à fragmentation et piétine l’état de droit.

Alors ? Alors « à la guerre comme à la guerre » lance en retour Me Fabrice di Vizio dans une interpellation appelant à l’union des gens de biens refusant d’entrer dans la mascarade de la panique chronique, de l’attaque et de la persécution des dissidents (« nous allons leur pourrir la vie » a ainsi lancé un ministre plein d’un sens de l’état et d’une élégance d’âme qui forcent le respect…)

Je le dis depuis longtemps : nos dirigeants politiques et sanitaires se comportent désormais comme des petites frappes sans scrupules ni foi ni loi.

A nous de leur lancer au visage le seau d’eau qui les sortira de leur délire paranoïaque !Comme l’énonce l’avocat parisien : LA CONFIANCE DANS LES AUTORITÉS C’EST FINI !–

La peur du débat (maximale en Suisse) est un signe de profonde déliquescence sociétale, démocratique et scientifique qui montre la fourberie et la lâcheté de ces autoritaires dévoyées. Aucun d’entre eux ne tiendrait deux minutes face à un contradicteur maîtrisant son sujet. D’où les campagnes de médisance et de calomnies contre les « dissidents », fussent-ils les plus compétents dans leur domaine (Ioannidis, Battacharya, Kulldorf, Giesecke, Gupta et Toubiana, c’est tout autre chose dans le domaine de l’épidémiologie que Flahault, Blachier ou Pittet !)

D’où le monopole aussi sur les plateaux et dans les colonnes en Suisse romande de la bande des huit (Flahault-Kaiser-Trono-Diana-Siegrist-Hurst-Kiefer-Pittet) qui ânonnent en chœur ou en solo le même dogme éculé (dans lequel la Suède, la réalité observable, l’éthique comme les bonnes pratiques médicales n’existent plus…) au service des intérêts privés qui les ont financés tout au long de leurs carrières.

Me di Vizio adresse quant à lui un bel hommage aux dissidents et aux résistants dont j’ai l’honneur de faire modestement partie avec tant d’autres, qu’ils soient en vue ou non.

https://youtu.be/n22nw1jNLD8

Et le temps bien sûr finira par nous donner raison d’avoir tenu sur les principes de la rigueur et de la probité intellectuelles, éthiques et citoyennes. Sur notre humanité. Et oui, puisqu’ils ne nous en laissent pas le choix, ce sera la guerre.

Pour notre part, ce sera une guerre pacifique et sans violence. Nous y mobiliserons toutes les ressources de l’intelligence, de la sensibilité, de la tendresse et du courage, avec pour armes le droit, la pensée, la science intègre, l’action communautaire et citoyenne ainsi que les quelques moyens d’action démocratiques qu’il nous reste. Et nous y serons intraitables et souverains face à tant de compromissions, de brutalité et d’iniquité !

Recours introduit par Me di Vizio le 3 juin 2021 auprès de la Cour de Justice de l’Union européenne pour non-respect du droit communautaire au sujet des Autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections géniques (improprement appelées « vaccins ») : pour accéder au fichier pdf, cliquer ici.

Je reproduis ici le message adressé par Me Virginie de Araujo-Recchia suite aux décisions liberticides de ce qui fut un temps l’Assemblée nationale et semble ne plus être qu’un déserté lupanar entérinant au petit matin les décisions glauques et putrides refusées dans un ultime sursaut de lucidité le soir.

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui ne pourra être rendue obligatoire que lorsque le projet de loi en cours de discussion sera définitivement voté par le Parlement, qu’il aura éventuellement été soumis au Conseil constitutionnel et qu’il aura été publié au J.O.R.F.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé:

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés par les hôpitaux:Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.– Procédure spécifique prévue par la loi:L’article R. 1112-11 du Code de la santé publique édicte les conditions d’admission d’un patient à l’hôpital. L’article R. 1112-12 du Code de la santé publique dispose qu’ « En cas de refus d’admettre un malade qui remplit les conditions requises pour être admis, alors que les disponibilités en lits de l’établissement permettent de le recevoir, l’admission peut être prononcée par le directeur de l’agence régionale de santé ».Il existe ainsi une procédure permettant de pallier un refus de soins constitué par un refus d’admission.– Sur le plan pénal en cas de discrimination:Article L1110-3 du Code de la santé publique:Aucune personne ne peut faire l’objet de discriminations dans l’accès à la prévention ou aux soins.Un professionnel de santé ne peut refuser de soigner une personne pour l’un des motifs visés au premier alinéa de l’article 225-1 ou à l’article 225-1-1 du code pénal.Article 225-1 du code pénal:« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur grossesse, de leur apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de leur situation économique, apparente ou connue de son auteur, de leur patronyme, de leur lieu de résidence, de leur état de santé, de leur perte d’autonomie, de leur handicap, de leurs caractéristiques génétiques, de leurs mœurs, de leur orientation sexuelle, de leur identité de genre, de leur âge, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une Nation, une prétendue race ou une religion déterminée. (…)

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Net comparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPÉEN:

Une action est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italiens et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19

Lien direct ici

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)

(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. »

Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

  1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.
  2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:
    • a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;
    • b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;
    • c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;
    • d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte juridique, ils méritent un examen approfondi.


Article très instructif: 
https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

Mémo concernant le consentement: 
Lien direct ici




Chiffre d’affaires en hausse, Pfizer peut remercier l’Union Européenne

[Source : Sputnik France (sputniknews.com)]

Par Maxime Perrotin

Les recettes mondiales générées par le Comirnaty ne cessent de grimper pour Pfizer, premier laboratoire dont le vaccin anti-Covid a été homologué en Occident. Un succès commercial mérité, mais également boosté par la politique d’achats des Européens. En déléguant à Bruxelles cette mission, ils ont en effet facilité la tâche aux labos.

Pfizer dans les étoiles.

Mercredi 28 juillet, le groupe pharmaceutique américain a revu à la hausse les prévisions de revenus de son sérum anti-Covid pour cette année. 33,5 milliards de dollars, contre les 26 milliards sur lesquels il tablait en mai, c’est deux fois plus que les 15 milliards qu’il prévoyait en février. En tout, le laboratoire revendique pour 80 milliards de dollars de commandes.

Un début plus que prometteur, qui commence à faire de l’ombre à son précédent best-seller: le Lipitor (appelé Tahor en France). Jusqu’à l’expiration de ses brevets aux États-Unis et en Europe fin 2011 et début 2012, cet anti-cholestérol était considéré comme le médicament le plus vendu au monde. Lors de sa dernière année pleine d’exploitation, ses ventes avaient généré plus de 10 milliards de dollars de recettes, soient 15% des 67,8 milliards de chiffre d’affaires de la firme.

Bruxelles, meilleur client… et allié de Pfizer?

Un score qu’a donc battu à plate couture le Comirnaty, nom commercial du sérum anti-Covid développé par Pfizer et BioNTech. Un filon qui est loin d’être tari, tout particulièrement en Europe, où la Commission a passé mi-mai une nouvelle commande de 1,8 milliard de doses (900 millions fermes et autant en option) supplémentaires pour couvrir les besoins des 27 jusqu’en 2023. Face aux variants, les laboratoires, Pfizer en tête, préconisent une troisième injection. Bonne élève, la Commission s’aligne. D’ailleurs, l’organe exécutif européen est aujourd’hui considéré –et de loin– comme le meilleur client du laboratoire.

Il faut dire que ce dernier doit déjà une fière chandelle à Bruxelles. En 2004, c’est la Commission qui lui avait offert sur un plateau le médicament phare d’Aventis, alors racheté par Sanofi. Au nom des règles européennes de la concurrence, Bruxelles avait forcé le français à vendre son traitement-phare contre le cancer colorectal (Campto) à Pfizer, qui le commercialisait sous licence aux États-Unis. Dans ce qui semble être un cynique retour des choses, le labo new-yorkais impose aujourd’hui son écrasante domination sur le marché européen avec l’aval de cette même Commission. Elle a en effet «sécurisé» au total 2,4 milliards de doses de Comirnaty, soit près de 55% des 4,365 milliards d’unités négociées auprès de six laboratoires.

Pour cette fidèle cliente, Pfizer a rehaussé ses prix de 26 %: 19,5 euros pour les doses livrées en 2022, contre 15,5 euros précédemment. Tarif qui, au cœur de la crise, était plus avantageux que celui des Américains (16,3 euros) et des Israéliens (22,7 euros)… livrés les premiers.

Des conditions tarifaires régulièrement au cœur des polémiques sur l’opacité des contrats, motivée par le secret des affaires. Omerta, qui n’avait pas manqué de susciter l’indignation d’élus du Parlement européen. En effet, l’accès à ces contrats est jalousement gardé: seule une poignée d’eurodéputés triés sur le volet et soumis à des règles strictes de confidentialité ont eu droit de le consulter.

Contrats Pfizer: une omerta finalement levée?

Ainsi, l’eurodéputé LREM Pascal Canfin a-t-il expliqué début janvier 2021 à Mediapart qu’il avait eu accès aux documents dans une salle à l’entrée de laquelle il fallait laisser son téléphone et avec interdiction de prendre des notes ou de parler de ce qu’il pouvait lire. Pascal Canfin appelait alors à ce qu’au moins les informations d’intérêt général soient rendues publiques, afin notamment de lutter contre la défiance que ce silence générait dans la population.

Il faudra attendre fin avril pour que cette omerta soit partiellement levéeTF1 et LCI parviendront à mettre la main sur le tout premier contrat signé l’hiver dernier entre la Commissaire européenne à la santé, Stella Kyriakides, et la présidente de la branche vaccins de Pfizer, Nanette Cocero. Celui-ci portait alors sur 200 millions de doses, assorti d’une option pour 100 millions supplémentaires. Un «pari risqué», soulignaient les médias. En effet, lorsque l’UE signa ce premier chèque à Pfizer le 20 novembre, le laboratoire américain n’avait même pas déposé la demande d’homologation de son vaccin auprès de l’autorité de santé européenne.

Pfizer le fit dans la huitaine. Sous pression, l’Agence européenne du médicament (EMA) promit de fournir une réponse «au plus tard le 29 décembre.» Elle la donna finalement dès le 21 décembre, à peine plus d’une semaine après l’aval de l’agence américaine des médicaments (FDA) elle aussi sous pression, ouvrant la voie à un succès planétaire. Le vaccin de Pfizer-BioNTech est le deuxième plus répandu à travers le monde, administré dans 102 pays, derrière Astra-Zeneca-Oxford et son aire de distribution de 171 pays.

Accords avec les labos, des précédents fâcheux

Par ailleurs, la Commission avait à l’époque ratissé large afin d’assurer un approvisionnement rapide des Européens en vaccins dès que ceux-ci seraient disponibles. Si Pfizer a pris la concurrence de vitesse, début 2021 cinq autres laboratoires avaient un contrat d’achat anticipé signé avec Bruxelles pour leurs candidats-vaccins. Une précipitation européenne qui a eu un coût en termes d’image, en partie parce que Bruxelles a été plus lente à agir que des États membres et parce que certains contrats avaient jeté le discrédit sur la Commission, comme celui passé avec Gilead. Début octobre 2020, l’exécutif européen n’était pas peu fier de signer un chèque en blanc d’un milliard d’euros –au nom du contribuable européen– pour l’approvisionnement en remdesivir de tous les États membres de l’UE, de l’Islande, de la Norvège et des six pays candidats ou candidats potentiels des Balkans. Sauf qu’au moment de signer avec Bruxelles, Gilead savait que son traitement était considéré par l’OMS comme inefficace, mais n’avait pas jugé bon d’en informer la Commission. Interrogé sur cet épisode par la presse, le laboratoire a répondu ne reconnaître que la validité scientifique des tests des autorités américaines. Des tests auxquels il avait directement participé.

Pour en revenir au premier contrat de Pfizer, certaines de ses clauses avaient fuité dans la presse fin avril 2021. On avait alors découvert que la Commission avait payé une avance de frais afin de «sécuriser le volume commandé» de l’ordre de 700 millions d’euros et que les doses étaient légèrement plus chères que douze euros. Un tarif qu’avait laissé entendre en décembre des documents accidentellement révélés par la secrétaire d’État belge au Budget et à la Protection des consommateurs, Eva de Bleeker.

Dernière information révélée, et non des moindres, chaque État membre s’engage à «indemniser et dégager de toute responsabilité le laboratoire, ses filiales, sous-traitants, partenaires sous franchise, ainsi que ses dirigeants, directeurs, employés et autres agents et représentants de chacune de ces entités, en cas de plainte d’un tiers, relative aux dommages et préjudices […] qui surviendrait lors de l’utilisation ou du déploiement des vaccins.»

Les pots cassés pour les contribuables, les bénéfices pour les labos

Des clauses qui n’avaient pas particulièrement surpris. D’une part parce qu’en France, certains politiques de premier rang les dénonçaient depuis plusieurs mois, et d’autre part parce que celles-ci n’étaient pas inédites. Là encore, un précédent avait marqué les esprits: celui de la crise de la grippe H1N1 à la fin des années 2000. Déjà à l’époque, les laboratoires avaient exigé des États clients de les couvrir en cas de pépin occasionné par leurs traitements développés en urgence.

En 2010, le Sénat avait ainsi pointé du doigt les conditions de ces contrats signés dans l’urgence entre gouvernements et laboratoires pharmaceutiques. Contrats qui s’illustraient, aux yeux de la chambre haute du Parlement, par un «remarquable déséquilibre et par la légalité douteuse de certaines de leurs clauses».

Le rapport des sénateurs soulignait également la manière dont les labos avaient «insisté pour la signature très rapide de lettres d’intention», sur le respect d’une stricte procédure logistique qui de facto tenait à l’écart les médecins généralistes et pharmacies, ainsi que de recourir à une «vaccination à double injection, alors qu’une seule dose suffit en principe pour les vaccins antigrippaux.» Des éléments qui rappellent étrangement ceux observés ces sept derniers mois.

Toutefois, comme le notait le rapport, certains États européens avaient à l’époque tenu tête aux laboratoires. Ce fut notamment le cas de la Pologne. D’autres pays, comme la France, avaient pu également réduire les frais engagés au plus fort de la crise en résiliant les contrats d’approvisionnement signés avec les laboratoires pharmaceutiques.

Autant de potentiels obstacles et réticences nationales qui cette fois-ci ont été levés au nom de la «solidarité» européenne. En effet, si les exigences des laboratoires n’ont donc rien de nouveau en des temps de crise sanitaire, en revanche l’initiative d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel de concentrer dans les mains de la seule Commission européenne l’achat des vaccins pour l’ensemble des États membres a très clairement joué en faveur des laboratoires, en plus de retarder les premières livraisons. Bref, les enseignements de la «première pandémie du XXIe siècle» de la grippe A n’ont pas été retenus, du moins pas par les dirigeants politiques européens.




L’obligation vaccinale : sans aucune logique médicale !

[Voir aussi sur : Réarmer l’intelligence ! (upinsky.work)]

Par Dr Gérard Delépine chirurgien et statisticien(([1] Docteur Nicole Delépine – Site Officiel du Docteur Nicole Delépine, Pédiatre, Oncologie
https://docteur.nicoledelepine.fr))

Enfin la réfutation des allégations anti-scientifiques du Président Macron à Tahiti :

L’obligation « vaccinale » des soignants et des pompiers sans aucune logique vaccinale, Dr. Gérard Delépine, chirurgien et statisticien (26 juillet 2021)


L’obligation vaccinale des soignants et des pompiers n’a aucune logique médicale

L’obligation voulue par la majorité parlementaire serait un scandale médical et démocratique contraire aux engagements de la France

Les personnels hospitaliers et les pompiers ne sont pas des enfants et mesurent mieux que les politiques et leurs experts souvent corrompus les bénéfices/risques des vaccins. Pourquoi les injurier, et leur imposer un vaccin inefficace et dangereux ?

Au moins 6 raisons majeures s’opposent à une telle obligation :

1°) Ces pseudo vaccins sont totalement expérimentaux. Leur obligation est contraire à la convention d’Oviedo que la France a signé.

2°) Ils n’offrent pas aux vaccinés une protection réelle contre la maladie.

3°) Ils sont incapables de limiter la transmission de la maladie et donc de protéger les contacts.

4°) Ils exposent à de nombreuses complications, dont certaines mortelles.

5°) Des traitements préventifs peuvent protéger les soignants et leurs contacts

6°) Imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

1°) Ces pseudo vaccins sont doublement expérimentaux

Il s’agit non pas de vrai vaccin (composé d’antigènes spécifiques) mais de médicament génétique qui ordonne à l’organisme de fabriquer la protéine Spike dont la nocivité vasculaire est connue.

Ils sont le fruit d’une technologie jusqu’ici jamais utilisée pour fabriquer des médicaments humains anti-infectieux et qui aurait dû faire redoubler de précautions.

Les vaccins ont été mis sur le marché avec une « autorisation conditionnelle », car on ne dispose actuellement d’aucun résultat définitif d’essais. Ceux-ci devraient se terminer seulement en 2023-2024, ainsi que le précise le site officiel américain clinicaltrials.gov consultable par tout un chacun.

Imposer un traitement expérimental est contraire aux lois internationales signées par la France depuis le procès de Nuremberg 1947(([2] Lors du procès des médecins de Nuremberg, la pratique d’essai vaccinaux forcés sur les déportés a été l’une des raisons de plusieurs condamnations à mort))

Et en particulier contraire à la Convention internationale d’Oviedo(([3] « Convention pour la protection des droits de l’homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine : Convention sur les droits de l’homme et la biomédecine »,)) signée le 4 avril 1997 à Oviedo, en Espagne et entrée en vigueur le 1er décembre 1999, seul instrument juridique contraignant international pour la protection des droits de l’homme.

La convention d’Oviedo reprend les principes de la Déclaration universelle des droits de l’homme et de la déclaration d’Helsinki(([4] https://www.wma.net/fr/policies-post/declaration-dhelsinki-de-lamm-principes-ethiques-applicables-a-la-recherche-medicale-impliquant-des-etres-humains/
Suite des conventions internationales signées par les pays depuis le procès de Nuremberg)) de l’Association Médicale mondiale qui énonce clairement :

25. La participation de personnes capables de donner un consentement éclairé à une recherche médicale doit être un acte volontaire. Bien qu’il puisse être opportun de consulter les membres de la famille ou les responsables de la communauté, aucune personne capable de donner un consentement éclairé ne peut être impliquée dans une recherche sans avoir donné son consentement libre et éclairé.

8. Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche.

2°) Les vaccinés ne sont pas protégés de la maladie, ni de ses formes graves

Les gouvernants, les services de vaccination, les médecins corrompus ou crédules et les médias nous répètent en boucle le crédo des laboratoires, ou de dirigeants prétendant que les pseudo vaccins actuels seraient efficaces à plus de 90 %. Il s’agit d’un énorme mensonge démenti par les faits avérés.

À Gibraltar, le taux de couverture vaccinal atteint 115 % (les Espagnols travaillant à Gibraltar ont aussi été vaccinés) mais l’épidémie repart fortement depuis début juillet 2021

Aux Émirats Arabes Unis, champion arabe de la vaccination depuis fin décembre 2020 le nombre de contaminations journalières reste plus élevé qu’avant la vaccination

Les marins du groupe aéronaval de la Royal Navy du HMS Queen Elizabeth, tous complètement vaccinés depuis plus de six mois, sont touchés par une épidémie de cas de Covid avec plus de 100 cas depuis une escale à Chypre.

La vaccination à 100 % n’empêche donc ni les contaminations ni les transmissions. Toute nouvelle contamination d’un seul vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins.

Les pseudo vaccins actuels n’évitent ni les formes graves ni la mort

L’analyse des données de l’OMS concernant les pays champions de la vaccination démontre que dans tous ces pays les premiers mois de la vaccination ont été marqués par une recrudescence forte des mortalités covid19.

Ainsi en Grande-Bretagne, les six mois post-vaccination ont été assombris par 68 183 morts supplémentaires alors que les 9 mois précédents n’en comptaient que 61 245.

Comme en Israël où l’on a recensé 3085 morts avant la vaccination et 3372 pendant les 6 mois qui ont suivi la vaccination de masse, comme aux Émirats Arabes Unis (642 avant vs 1274 après) ou à Gibraltar (11 avant et 83 après).

L’explication la plus vraisemblable de l’aggravation des mortalités après vaccination est la présence d’anticorps facilitants(([5] Lee WS et al. Antibody-dependent enhancement and SARS-CoV-2 vaccines and therapies. Nat Microbiol. 2020 ;5(10) : 1185-91)) dont le risque avait été signalé dès janvier 2021 par l’Académie de médecine(([6] Communiqué de l’Académie du 15 janvier 2021 : Élargir le délai entre les deux injections de vaccin contre la Covid-19 : quels risques pour quels avantages ?)):

« le risque individuel d’aggravation par “anticorps facilitants” doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants ».

Aveu du ministre de la Santé sur les aléas de la vaccination en mars 2021

Cette incapacité à prévenir les formes graves de la maladie a même été affirmée par le ministre de la Santé Olivier Véran dans son argumentation récente devant le Conseil d’État(([7] https://www.europe1.fr/sante/un-octogenaire-demande-au-conseil-detat-a-etre-deconfine-apres-avoir-ete-vaccine-4034911)) 

« efficacité partielle des vaccins »,

« les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

En Israël, les vaccinés représentent actuellement 56 % des nouveaux patients en réanimation.

En Grande-Bretagne Santé Publique Angleterre, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non vaccinées ».

Prétendre que la pseudo vaccination Covid protège contre les formes graves ou la mort ne constitue donc qu’un énorme mensonge publicitaire.

3°) Les pseudo vaccins actuels sont incapables d’empêcher la transmission

La motivation sociétale « il faut vacciner les soignants pour protéger les malades ou les pensionnaires des EHPAD » n’est pas plus fondée scientifiquement que la foi en un bénéfice individuel.

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes officiels des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData montre le contraire.

Les exemples britannique, israélien et espagnol affirment l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations.

Dans tous ces pays qui ont beaucoup vacciné, on observe depuis plus d’un mois une forte récidive forte de l’épidémie

Le professeur Delfraissy et quatre membres du comité scientifique avaient prévenu(([8] 1. Laetitia Atlani-Duault, Bruno Lina, Franck Chauvin, Jean-François Delfraissy Denis Malvy L’évasion immunitaire signifie que nous avons besoin d’un nouveau contrat social COVID-19 Lancet 18 février 2021DOI :
https://doi.org/10.1016/S2468-2667(21)00036-0)) de l’échec prévisible de la stratégie vaccinale actuelle :

« des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus (de type sauvage) antérieurs, voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants de fuite immunitaire, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus. Ce changement de comportement virologique a de nombreuses conséquences, non seulement pour les vaccins et les traitements, mais aussi pour les stratégies de prévention et de contrôle. La fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait être continuellement reportée, car de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme ».

Cette incapacité du vaccin à prévenir la transmission a elle aussi été reconnue par O. Veran dans son argumentaire devant le Conseil d’État :

« le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. »

Il est donc illusoire d’imposer la vaccination des soignants pour limiter la transmission dans les hôpitaux. Et parfaitement mensonger d’affirmer qu’elle pourrait le faire.

4°) Les vaccins actuels exposent à de nombreuses complications graves

Les campagnes de vaccination des soignants de plusieurs hôpitaux ont été retardées ou interrompues du fait de réactions indésirables rendant 20 % à 40 % des personnels incapables de travailler pendant plusieurs jours. La Haute Autorité de Santé a depuis recommandé d’échelonner les vaccinations des soignants d’un même service.

Les sportifs de haut niveau ont fréquemment constaté après vaccination des baisses de performances pendant une à plusieurs semaines. Les très mauvais résultats récents de Mbappé ont d’ailleurs succédé à sa vaccination très médiatisée.

Les pompiers des Bouches-du-Rhône ont suspendu leur campagne de vaccination après qu’un pompier d’Arles ait été hospitalisé pour une arythmie cardiaque après sa première injection.

Mais des complications graves sont très nombreuses et le site Eudravigilance comptabilise actuellement plus de 1 900 000 effets indésirables, dont plus de 17 000 décès possiblement liés à la vaccination Covid.

Il serait raisonnable de comparer ces chiffres énormes de décès et accidents liés à l’injection anticovid à ceux des vaccins les plus répandus dans le monde comme ceux contre la rougeole ou la poliomyélite qui n’ont jamais donné une mortalité notable. Pourquoi serait-ce acceptable pour l’injection génique ?

Ils sont infiniment trop élevés pour une pratique théoriquement préventive, chez des gens bien portants qui le plus souvent ne risquent rien du Covid. On ne devrait pas tolérer que continue cette campagne de pseudo « vaccination ».

À Nantes, un étudiant en médecine de 24 ans sportif et en bonne santé est mort après la vaccination et un agent de service hospitalier au sein de l’hôpital Clémenceau de La Garde.(([9] https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/var/toulon/toulon-deces-d-un-varois-vaccine-au-pfizer-la-famille-porte-plainte-2167600.html))

Ces complications sont d’autant plus inacceptables que les soignants et les pompiers ont pour la plupart moins de 60 ans et qu’ils ne risquent pratiquement rien du Covid. Elles expliquent les réticences des personnels à se faire vacciner.

5°) On peut protéger les soignants et leurs contacts par des traitements préventifs sans risques et bon marché

Le 22 mai 2020, le conseil indien pour la recherche médicale a recommandé la prévention par hydroxychloroquine pour le personnel soignant et les membres de familles au contact des malades et a rajouté l’Ivermectine à ses recommandations lors de la poussée épidémique qui a été rapidement contrôlée. Au 25/7/2021, malgré ses hôpitaux en pire état que les nôtres, un très faible taux de vaccination, l’Inde déplore 322 morts/million d’habitants contre 1694/M en France. L’interdiction de tout traitement précoce aboutit à ce qu’on compte 5 fois plus de morts/million que les hindous.

Si on veut limiter l’épidémie, ce n’est pas de vaccin dont on a besoin, mais de traitements précoces administrés par les médecins traitants !

6°) Poursuivre dans son désir d’imposer une obligation vaccinale va désorganiser davantage l’hôpital

Proposer une obligation vaccinale traduit dans ces conditions un comportement totalitaire totalement déconnecté de la vie réelle et des faits avérés

Les syndicats de personnel hospitalier organisent actuellement des grèves et de nombreux soignants ont annoncé leur volonté de démissionner ou de se mettre en arrêt de travail si le gouvernement maintient ses menaces et les directions le harcèlement moral qui constitue aussi un délit.

Expérimentaux, incapables de réellement protéger contre le Covid19, incapables d’éviter la transmission de la maladie, et sources de complications pour une maladie quasiment toujours bénigne chez les soignants et les pompiers jeunes, les vaccins n’ont actuellement aucun intérêt pour leur entourage et leurs patients. Vouloir les imposer autoritairement va démotiver ces personnels et en faire démissionner davantage alors qu’on n’a cruellement besoin.





Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial

Par Joseph Stroberg

Alors que la théorie virale semble avoir encore de beaux jours devant elle grâce à la Covid-19, et que le Nouvel Ordre Mondial(([1] ou « NOM », en abrégé, ou « NWO » pour New World Order en anglais)) transforme le monde en système esclavagiste sous couvert de liberté, nous présentons ici un moyen radical de vaincre cet énorme et coriace adversaire de l’Humanité.

Résumé

1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Il s’agit d’une méthode rigoureuse pour tenter d’expliquer la réalité objective.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

1. L’analyse

Elle consiste à subdiviser l’étude en éléments plus simples aux propriétés et fonctions particulières.

La modélisation

La modélisation est une phase de l’analyse consistant à rechercher les interactions entre les éléments de l’objet d’étude, dont les relations de cause à effet qui peuvent exister entre eux ou vis-à-vis de systèmes extérieurs.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond aux faits objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut sembler cohérente et logique de prime abord, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel.

  • Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ».
  • Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ».

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des expériences, des mesures et des évaluation pour vérifier leur conformité à ce que prévoit la théorie. Une bonne théorie doit être prédictive.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproduits autant de fois que nécessaire pour réduire la part d’erreurs et des biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption et qui peuvent amener à fausser les résultats).

Contre-expériences

Elles consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter pourtant d’obtenir les mêmes effets.

Par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Corruption et gestion de la Covid-19, on y est

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

L’emprise de Bill Gates

Par le biais de sa fondation, Bill Gates finance de nombreux médias dominants, d’importantes entreprises pharmaceutiques, des multinationales de l’agroalimentaire et bien d’autres choses qui lui ont permis d’influencer l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et même des gouvernements.

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

La grande concentration des médias dominants engendre une « pensée unique » sous l’influence de ceux qui les possèdent et par leurs commanditaires, généralement membres de l’élite richissime.

Le pouvoir de l’image

Du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, les médias télévisuels ont une influence prépondérante.

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont quatre conditions indispensables pour démontrer scientifiquement qu’un micro-organisme est bien la cause d’une maladie. On les a par la suite réservés aux bactéries.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus.

Il a abandonné le premier postulat de Koch parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé.

Virus irrespectueux

Jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

En se fondant sur le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié.

Voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus :

  1. Prélever des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie.
  2. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, macérer, filtrer et ultracentrifuger, c’est-à-dire purifier l’échantillon.
  3. Vérifier l’uniformité de ces particules par des techniques physiques et/ou microscopiques.
  4. Examiner la structure, la morphologie et la composition chimique des particules.
  5. Extraire le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique.
  6. Analyser pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme ce devrait être le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.
  7. Montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. Ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico ». À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité.

Le séquençage équivaut à la résolution d’un puzzle pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre virus.

Voir : Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias, la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.


AVERTISSEMENT !

« Le complexe médico-industriel » résiste à toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée.

Dans le cas du SIDA :

  • Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie.
  • Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté. (…) Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus !
  • Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA.

Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus.

Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées.

Les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Le virome dans le corps humain contient un million de milliards (1 000 000 000 000 000) de virus

Nouvelles connaissances en virologie

Bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus. Le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

La manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés.

L’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée non par le virus, mais par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes.

Mais qu’en est-il de l’expérience de “preuve de concept” de réplication virale qui semble démontrer la réplication des virus en laboratoire ? Comme contre-expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Sur 7 milliards d’êtres humains il n’est pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques :

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.

La présence de micro-organismes signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement causé par les fêtes de fin d’année. Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence). Ils vivent en symbiose avec nous (voir : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent.

Des médecins se sont volontairement contaminés par divers germes sans devenir malades.

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents.

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué.

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

Les virus (et les bactéries) n’ayant jamais pu être expérimentalement démontrées comme cause des maladies virales (et bactériennes) associées, la théorie virale (et plus généralement celle des germes) s’avère fausse et incapable d’expliquer adéquatement les phénomènes épidémiques. Aucune contagion n’a pu être reproduite à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux.

Si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.


1)- Rappels préalables

Qu’est-ce qu’une démarche véritablement « scientifique » ?

Si le but ultime de la science est de décrire et d’expliquer la réalité objective et non pas (comme cela semble être le cas de nos jours) de se transformer en religion mondiale, alors elle doit utiliser une méthode pour y parvenir. Celle-ci, en principe rigoureuse, est habituellement appelée « démarche scientifique » et consiste en une succession d’étapes susceptibles d’atteindre l’objectif visé ou au moins une partie de celui-ci. Dans un premier temps, la science a découpé la réalité en plusieurs domaines séparés d’étude, dans l’espoir de pouvoir ainsi plus facilement étudier chacun d’eux, sachant que dans l’immédiat la totalité de la réalité lui est largement inaccessible.

C’est ainsi qu’est apparu progressivement un grand nombre de disciplines scientifiques, chacune d’elles étant chargée d’élucider un secteur particulier de la réalité universelle. Cependant, ces matières devraient toutes en principe recourir toujours à la « méthode » scientifique générale, même si un nombre croissant d’entre elles l’ont visiblement perdu de vue en cours de route. Leurs étudiants sont trop souvent devenus essentiellement des grands-prêtres chargés de répéter les croyances de leurs prédécesseurs aujourd’hui « professeurs ». Ils l’ont fait sans se donner la peine de vérifier ces affirmations (ceci d’autant moins lorsque ces dernières sont mondialement admises ou sont au minimum l’objet d’un consensus). Ils ont peut-être oublié qu’à une époque passée seulement éloignée de quelques siècles en arrière, tout le monde croyait que la Terre était plate et que le Soleil tournait autour de la Terre. Et certains des pionniers scientifiques qui ont remis en question de telles croyances universellement admises se sont retrouvés condamnés par les inquisiteurs vérificateurs de faits de leur époque, dont Giordano Bruno qui fut brûlé vif sur le bûcher des bien pensants de son époque.

Les étapes de la démarche ou de la méthode scientifique

Les étapes de la démarche scientifique sont en principe les suivantes :

1. L’analyse

L’analyse consiste à subdiviser l’étude en éléments, systèmes ou objets plus simples qui ont chacun des propriétés particulières et qui peuvent remplir éventuellement certaines fonctions. Dans le cas où l’objet d’étude est un être humain, le scientifique pourra ainsi être amené à analyser aussi bien la morphologie (les formes), le rôle des organes, la température, les couleurs, les capacités éventuelles de reproduction, le langage de communication principale et les autres moyens de communication, les performances physiques, etc.

Certains des éléments les plus simples (ou « facteurs ») étudiés lors de la phase d’analyse varient au cours du temps et sont alors dénommés « variables », alors que les autres sont appelées « constantes ». Pour l’Homme, les variables sont notamment la température corporelle, la taille (au moins jusqu’à l’âge adulte), le poids, le rythme cardiaque, les rythmes cérébraux, la tension sanguine, le PH (le caractère plus ou moins basique ou acide) du sang, le taux de glucose, etc. Les constantes pour un individu donné sont par exemple le nombre de chromosomes, le nombre de dents à l’âge adulte (tant qu’elles ne tombent pas), le nombre des organes (sauf lorsqu’il en perd un, à la suite d’une maladie, d’un accident ou d’une opération, ou lorsqu’on lui en greffe un qu’il n’avait pas ou n’avait plus)… Néanmoins, les véritables « constantes » sont rares, car notamment dans les exemples présentés ici, il existe des situations où ce que l’on pouvait croire constant de prime abord se trouve pouvoir changer. Par contre, la vitesse de la lumière dans le vide est pour l’instant considérée comme une réelle constante.

La modélisation

Au cours de la phase d’analyse, le scientifique évalue également les interactions possibles entre différents éléments (ou différentes « variables ») du système ou de l’objet de son étude ainsi qu’entre ces derniers et des paramètres externes liés à son environnement. En particulier, il peut supposer alors et par exemple que le milieu social dans lequel évolue un individu est susceptible d’influencer son humeur ou son état émotionnel et affectif. La pluie pourra ainsi le rendre maussade ou triste, voire déprimé, alors que le soleil aura plutôt l’effet inverse. Le climat extérieur est alors considéré comme une « cause », tandis que l’humeur de l’individu est une « conséquence » de cette cause. Un des arts de l’analyse qui est essentiellement une opération mentale, consiste à estimer adéquatement la relation entre les causes et les effets, sachant qu’un élément ou un phénomène peut être la cause d’un effet particulier sur un autre élément ou phénomène (comme le climat qui cause un changement d’humeur) alors qu’un effet peut à son tour servir de cause à un autre élément (comme la mauvaise humeur de l’un qui peut rendre l’autre en colère ou être contagieuse).

Cette phase particulière de l’analyse est celle au cours de laquelle le chercheur essaie de trouver une explication cohérente et logique aux phénomènes observés. Il élabore mentalement (et la couche éventuellement sur le papier) une théorie — on parle aussi de « modèle » — susceptible d’apporter un éclairage adéquat et explicatif à l’état et/ou au comportement de son objet d’étude.

2. L’épreuve des faits

Ce n’est pas parce qu’un raisonnement est juste qu’il correspond à la réalité, aux faits observables (et parfois mesurables) ou objectifs. L’analyse intellectuelle d’une situation peut être cohérente et logique ou sembler l’être de prime abord avec un regard superficiel, mais ne pas pour autant avoir le moindre rapport avec le réel. Un raisonnement fallacieux qui n’a que l’apparence de la logique est appelé un « sophisme ». Un raisonnement dissocié de la réalité est nommé « syllogisme ». Nous nous efforcerons ici par la suite de démontrer que la théorie virale relève de syllogisme, de sophisme et/ou d’illusion mentale ou intellectuelle, même si elle est presque mondialement considérée comme fondée et valable.

Le raisonnement suivant relève à la fois de syllogisme et de sophisme :

  • Tout ce qui est rare est cher ;
  • Les chevaux bon marché sont rares ;
  • donc les chevaux bon marché sont chers.

Il est sophiste, car la conclusion est en contradiction interne et se trouve donc fausse.

Il relève de syllogisme, car en réalité les chevaux bon marché sont peu chers, par définition et constat, et aussi parce que tout ce qui est rare n’est pas nécessairement cher, comme certaines formes de bactéries, de moisissures, d’insectes, ou encore de « mauvaises herbes » que pourtant personne n’aurait l’idée d’acheter et dont la valeur marchande est alors très voisine de zéro (quelle que soit l’unité monétaire considérée).

Les mesures

L’épreuve des faits consiste en particulier à effectuer des mesures et/ou des expériences pour vérifier si la modélisation (notamment les formules mathématiques ou les « équations » utilisées) correspond bien aux valeurs mesurées et aux phénomènes observés. Une bonne théorie doit être prédictive en ce sens que les résultats de mesure doivent concorder étroitement (aux incertitudes de mesure près) aux formules mathématiques utilisées pour son élaboration et aux phénomènes prévus lorsque ceux-ci ne peuvent être mis en équations. En ce sens, la théorie de la mécanique céleste (basée sur les hypothèses d’une Terre approximativement ronde, tournant sur elle-même en 24 heures et autour du Soleil en 365 jours et quart) est une bonne théorie, car elle permet de prévoir précisément et en particulier :

  • la position des étoiles, des planètes et de la Lune dans le ciel en n’importe quel moment de l’année et en n’importe quel lieu terrestre ;
  • les heures de lever et de coucher des étoiles, des planètes et de la Lune ;
  • la date et la caractéristique des éclipses lunaires et solaires (partielles, totales ou annulaires) ;

Par contre, la théorie de la Terre plate qui est élaborée à partir de sous-modèles disparates dont plusieurs sont mutuellement contradictoires et/ou relèvent de sophisme ou de syllogisme est incapable de telles prédictions et doit donc être scientifiquement abandonnée. Y croire ne relève plus de science, mais de religion. Un des exemples de syllogismes utilités par cette théorie est celui du théorème de Pythagore (qui ne vaut que pour une situation en deux dimensions) pour tenter de prétendre que le Soleil ne serait situé qu’à quelques milliers ou dizaines de milliers de kilomètres de la Terre, alors que les situations utilisées à cette fin relèvent de trois dimensions, le Soleil ne se trouvant jamais à la verticale des lieux considérés lors des mesures ou évaluations effectuées approximativement.

L’expérimentation

Pour valider certains aspects d’une modélisation ou théorie, il peut être nécessaire de recourir à des expériences significatives qui représentent des mises en situation et permettent de mesurer ou d’évaluer des variables ou des phénomènes particuliers de l’objet d’étude. Ces expériences doivent alors être répétées un nombre suffisant de fois (sur un ou plusieurs échantillons ou spécimens d’étude) pour diminuer significativement la part de hasard. Par exemple, si l’on veut pouvoir démontrer qu’un virus est responsable d’une maladie donnée, on doit obligatoirement recourir à des expériences démonstratives qui consisteront au minimum à injecter ce virus à une personne saine et à déterminer ensuite si celle-ci devient effectivement malade de cette maladie. Ceci devra être répété sur un nombre suffisant d’individus pour éliminer l’hypothèse d’une pure coïncidence.

Pour être significatifs, les expériences, les tests et les essais doivent être reproductibles autant de fois que nécessaire et être menés en éliminant si possible un maximum de biais psychologiques (comme ceux provenant de conflits d’intérêt ou de corruption) qui autrement faussent de manière plus ou moins radicale et dramatique les résultats des tests ou des expériences, notamment par l’élimination des valeurs mesurées incompatibles avec ce qui est attendu par le modèle…

Contre-expériences

Pour valider expérimentalement une théorie, il ne suffit pas en général de pratiquer des expériences susceptibles de la confirmer. Il est également nécessaire et indispensable d’effectuer des contre-expériences. Celles-ci consistent à éliminer au moins une des causes supposées être responsables d’un des phénomènes étudiés dans le cadre de la théorie pour tenter d’obtenir pourtant les mêmes effets. Si on y parvient, ceci signifie que la théorie est au minimum à revoir, voire complètement fausse, selon l’importance de la cause. Ainsi et par exemple, pour valider la théorie virale, il ne suffit pas d’observer de multiples fois des tissus infectés par un virus donné, puis de constater la mort des cellules biologiques pour conclure que le virus est bien le responsable de la maladie concernée. Il faut aussi réaliser plusieurs fois des contre-expériences dans lesquelles on a recours à exactement les mêmes conditions expérimentales à l’exception de la présence du virus. Si malgré l’absence de ce dernier les cellules meurent similairement, cela démontre que le virus n’en était pas la cause, mais que la mortalité cellulaire a une autre cause ou plusieurs autres causes combinées non virales.

3. Retour à l’analyse

Si les mesures, les expériences et/ou les contre-expériences ne correspondent pas à la théorie ou ne parviennent pas à la valider, il est nécessaire de l’abandonner ou au moins de la revoir plus ou moins complètement. Le scientifique doit alors la repenser au moins partiellement, réexaminer les variables et leurs supposées interactions, faire de nouvelles suppositions concernant les liens éventuels de causes à effets entre plusieurs paramètres ou phénomènes. Et parfois, il peut être amené jusqu’à envisager l’inversion de tels liens. Autrement dit, dans certains cas, ce qu’il avait supposé être la cause d’un phénomène n’en est que la conséquence. Actuellement, la théorie virale repose sur l’idée ou hypothèse que les virus et les rétrovirus sont la cause de maladies virales. Cette hypothèse n’est cependant pour l’instant pas validée expérimentalement selon la démarche scientifique qui vient d’être rappelée.

Nous verrons plus loin que la théorie virale présente de graves lacunes et devrait donc être complètement repensée ou abandonnée au profit d’une théorie alternative. Néanmoins, la démarche est d’autant plus difficile que les entreprises pharmaceutiques détiennent actuellement le quasi-monopole de la formation universitaire médicale et contrôlent la plupart des médecins et des institutions hospitalières et cliniques par le biais des ordres de médecins ou par la corruption autant des scientifiques placés aux postes clefs que des dirigeants politiques et des décisionnaires du secteur de la Santé. Dans le même temps, il se déroule depuis plusieurs décennies une chasse active aux médecines alternatives que les médias dominants se complaisent de plus en plus à présenter comme du pur charlatanisme.

L’esprit scientifique

L’esprit scientifique est le support d’une démarche scientifique désintéressée, impartiale et objective. Il consiste dans le développement et la mise en œuvre des qualités suivantes chez le chercheur :

  • ouverture d’esprit et curiosité, de sorte à ne pas négliger des pistes de solutions lors de l’établissement d’une théorie cohérente et espérée réaliste ;
  • capacité à remettre en question ce qu’il pensait être acquis, même lorsque c’est universellement accepté et considéré comme vrai ;
  • sens de l’observation et du détail pour notamment découvrir plus facilement les éléments qui pourraient contredire la théorie aussi bien que ceux qui tendent au contraire à l’affiner ;
  • aptitudes à l’analyse et à la synthèse pour favoriser l’élaboration et la présentation de la théorie ;
  • esprit critique et discernement, pour mieux faire la part des choses, peser le pour et le contre, déterminer les éléments validant la théorie aussi bien que ceux qui tendent à l’invalider ;
  • intuition, imagination, créativité, de sorte à découvrir plus facilement des théories explicatives réalistes des phénomènes observés ;
  • etc.

Esprit et méthode

Une démarche scientifique ne peut s’exercer pleinement sans être assurée par un esprit scientifique suffisant et celui-ci ne pourra pas s’épanouir dans un environnement conditionné par des intérêts mercantiles ou politiques situés bien loin d’une telle démarche. Les directives rigides finissent toujours par étouffer la créativité et l’inventivité. Les découvertes fondamentales font alors place à des mises à jour mineures de théories existantes ou à leur complexification croissante pour continuer à tenter de coller au réel observé au lieu d’en élaborer de plus adaptées. La science contrainte finit par se transformer en religion et ne peut plus guère évoluer que dans une direction propre à satisfaire ses dogmes de plus en plus rigides. Religion et science sans esprit, sans conscience, sombrent similairement dans le matérialisme extrême.

Notons en passant que l’argument d’autorité ne permet aucunement de valider une théorie. Ce n’est pas parce que celle-ci est élaborée par le plus considéré, primé ou renommé des scientifiques, combien même serait-il Prix Nobel, qu’elle est pour autant réaliste ni nécessairement exempte d’erreurs, de syllogismes ou de sophismes.

La corruption financière de la science et des médias

Raoult crache le morceau : la médecine, c’est corruption à tous les étages

Dans cette vidéo publiée le 11 mai dernier :

le professeur Raoult explique (à partir de 10:45) sans langue de bois que, dans le monde de la médecine qu’on croyait préservée de ce vice du temps, la corruption règne en fait à tous les étages – du praticien de base aux grands labos pharmaceutiques. Rassurons-nous cependant : il existe encore des médecins honnêtes…


Transcription (quasi…) verbatim des propos du Pr Raoult :

« Ça m’amuse beaucoup d’entendre des gens parler de complotisme et être dans la négation du fait que la circulation d’argent à ce niveau-là risque d’être associée à la corruption.

Manifestement, ces gens-là ne voient pas le problème, probablement parce qu’ils n’ont pas de notion d’histoire et qu’ils ignorent tout ce qui s’est passé dans le temps…

C’est vieux comme le monde, la corruption !

Mais je leur préparé un petit travail [le Pr Raoult extrait un document de son bureau…], pour qu’ils arrêtent de dire des bêtises. Tous nos « partenaires » ont déjà été condamnés pour corruption ! 

Peut-être que maintenant ils ne le font plus… Mais regardez :

Donc, il ne faut quand même pas penser que j’invente [rires] le fait qu’il existe de la corruption liée à l’industrie pharmaceutique !

L’industrie pharmaceutique est le secteur le plus rentable de tous et les publications scientifiques [NdHD : The New England Journal of MedicineThe LancetJournal of American Medical AssociationAnnals of Internal MedicineBritish Medical Journal…] sont le secteur le plus rentable de tous : 35% de bénéfices par an pour des grands groupes de journaux !

Et une partie extrêmement significative des recettes des journaux scientifiques de cette taille-là vient directement des contacts avec l’industrie pharmaceutique.

Une année, Merck a acheté pour 500.000 $ de bons à tirer, c’est-à-dire d’articles théoriquement faits pour être distribués. En pratique, ils ont versé 500.000 $ au journal, qui les a publiés, ce qui a constitué une partie importante des recettes du journal : ça s’appelle de la corruption déguisée

C’est une pratique « normale » : il y a des gens qui cherchent à gagner de l’argent à tout prix. Ce n’est pas la faute des gens d’essayer de gagner de l’argent…

La corruption est un phénomène qui est « naturel » : à chaque fois que vous avez beaucoup d’argent et que la personne d’à côté en a beaucoup moins, vous avez un phénomène de mécanique des fluides, de transfert de celui qui a beaucoup d’argent vers celui qui en a moins, s’il est d’accord pour vous rendre un service…

On ne donne pas d’argent à quelqu’un si on n’en attend pas un service : on n’invite pas quelqu’un à un congrès, on n’invite pas quelqu’un à déjeuner – c’est connu depuis bien longtemps, Milton Friedmann en parle : « il n’y a pas de repas gratuit »… – Ils le font en attendant quelque chose.

Moi, quand j’étais interne – c’est incroyable ! De vrais chasseurs de têtes ! – j’avais été invité avec ma femme à aller en « business class » à Boston, dans un hôtel extraordinaire, où ils avaient fait venir les meilleurs scientifiques – on était une trentaine de leaders d’opinion, ou futurs leaders d’opinion – qui étaient pris au berceau. Tout ça pour « créer des contacts ». Et à la fin, le type qui nous avait invités me tutoyait, tutoyait ma femme, et créait des liens qui sont anormaux dans des rapports professionnels. Parce qu’ensuite vous avez des difficultés, quand quelqu’un est devenu un copain, à lui dire « Ecoute, ton truc, on ne va pas le prendre… ».

J’ai eu une affaire, ici à l’IHU Méditerranée Infection, d’un médicament qui n’avait pas d’utilité mais qui avait été subitement prescrit parce qu’un collègue avait épousé la fille du type qui commercialisait ce médicament…

Donc la corruption existe et ça fait partie de la nature humaine. Ce n’est pas un phénomène horrible : c’est la loi qui doit le régler.

Il faudra bien sûr aller au bout. La loi qui a été mise en place par Xavier Bertrand sur les conflits d’intérêts, j’en suis très content, parce que ça fait avancer les choses : j’ai un collègue qui m’a dit que désormais, ils obligent les candidats à déclarer leurs conflits d’intérêt et ils ne nomment pas les gens qui ont des conflits d’intérêts depuis moins de cinq ans. Donc ça veut dire que cette notion-là, petit à petit se met en place.

Il faut faire attention : la corruption des grands journaux est un énorme problème.

Ça ne concerne pas que moi [NdHD : le Pr Raoult fait allusion à l’article bidonné du Lancet sur la « dangerosité » de l’hexachloroquine]. Celui qui écrit le plus sur tout ça, c’est un immense scientifique, un Danois – les Danois sont très bons pour le contrôle de la corruption. Ce type a un H-factor à 100 : c’est énorme, un très grand chercheur !

Les gens qui réfléchissent à ça sont maintenant convaincus qu’il faut deux catégories de journaux scientifiques : d’une part des journaux pour rapporter les essais thérapeutiques, autrement dit des journaux qui traitent de la science de manière indépendante, et d’autre part des journaux qui s’apparentent à du marketing.

Parce que « tripoter » les données et les analyses méthodologiques et mathématiques pour faire croire qu’un médicament est efficace, vous savez, c’est très banal. C’est d’autant plus facile qu’il n’y a que ceux qui ont l’ensemble de données qui les connaissent !

La Cochran Library a été une entreprise extrêmement fiable, ce qu’elle a cessé d’être dès qu’elle est devenue elle aussi une cible du marketing. Et toute revue disposant d’une audience importante devient la cible du marketing.

Vous voyez que sur mon site, je n’ai pas de cooky [rires]. Je suis choqué que les sites gouvernementaux aient des cookies ! Tout commercialiser à ce point, c’est devenu déraisonnable : il faut qu’il y ait une place pour les choses commerciales et une place pour les choses qui ne le sont pas.

Ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des liens entre les deux : créer des start-up ou avoir des rapports avec l’industrie… Mais ça ne doit pas déborder sur les activités publiques : ces deux mondes doivent rester séparés. L’étanchéité entre les activités publiques d’une part et les liens d’intérêts d’autre part est une chose essentielle.

Théoriquement, la loi impose à chaque fois qu’on intervient de déclarer ses conflits d’intérêts : tous ces personnages qui passent sur les plateaux télévisés devraient à chaque fois dire « Ecoutez, j’ai un lien d’intérêt avec tel ou tel laboratoire », ce qui éviterait d’avoir un mélange des genres, et des suspicions, justifiées ou non, de corruption.

Je pense que c’est un point qui est négligé en France, et qu’il faudrait arrêter de dire que c’est du complotisme : j’ai donné quatre exemples de firmes condamnés à des sommes absolument colossales pour corruption. Donc il ne faut pas tout à coup « découvrir » que les laboratoires peuvent corrompre les prescripteurs, parce que ce sont leurs clients : c’est comme ça…

Personnellement, je ne trouve pas que le fait de participer à des essais thérapeutiques dirigés par un laboratoire contribue spécifiquement à la connaissance. Il y a une partie de ces essais qui sont faits parce qu’il faut que quelqu’un les fasse, que ce soit en France, en Angleterre ou en Espagne, peu importe, et ensuite, il faut que ce soit confirmé sur le terrain indépendamment de l’industrie pharmaceutique, de manière à ce que l’on puisse avoir une véritable évaluation.

Ce n’est pas faire de la recherche que d’inclure des malades dans un programme qui a été réalisé par l’industrie pharmaceutique, dont l’analyse est faite par l’industrie pharmaceutique, dont la méthodologie a été mise en place par l’industrie pharmaceutique, et dont même le papier a été rédigé l’industrie pharmaceutique, et ensuite a été proposé et accepté dans les plus grands journaux scientifiques du monde…

Les gens sont contents parce qu’ils sont publiés par les plus grands journaux (scientifiques) du monde (le New England, le Lancet…) alors que leur participation cérébrale, intellectuelle, à la genèse de ces papiers – et c’est ça le principe même de la science – est négligeable, et les leurre sur leurs capacités et sur leur contribution à la connaissance.

Il faut revenir à la science. Plutôt que de se pencher sur des questions de méthodologie, le Comité d’éthique devrait se poser des questions sur la morale des essais thérapeutiques.

Ce que je regrette, c’est que certaines décisions prises par le Comité d’éthique sur la protection des personnes ne me paraissent pas avoir été analysées d’abord sur le plan de la morale mais sur celui de la méthodologie. Laquelle est « fille du temps », comme disait Brecht, et donc variera avec le temps…

Mais le fait qu’on fasse telle ou telle chose, non pour le bien des patients mais pour voir que ce n’est pas plus mauvais – mais beaucoup plus rentable… – que le traitement préexistant, ça, ça pose un vrai problème moral… »

Henri Dubost

Pot-pourri

De Médiator à AstraZeneca: Mensonges et corruptions au sein de la gouvernance française et européenne

Par Dominique Delawarde.

Contexte historique, affaire Médiator

En janvier 2020, 11 882 lobbies étaient inscrits au registre européen dit «de transparence»:   
https://www.touteleurope.eu/actualite/fact-checking-bruxelles-strasbourg-nids-de-lobbyistes.html Selon les sources, de 25 000 à 30 000 lobbyistes exerceraient leur influence à Bruxelles dont 7 526 accrédités auprès d’un parlement qui ne compte pourtant que 751 membres …..

Big Pharma est par principe contraire à l’éthique, voilà pourquoi on ne peut lui faire confiance sur rien

D’août 2013 à décembre 2018, l’industrie pharmaceutique a versé plus de 12 milliards de dollars (en paiements divulgués) à

  • 1 036 163 médecins,
  • 1 249 hôpitaux universitaires et
  • 2 191 entreprises.

Le modèle actuel de « médecine » encourage la corruption, les commissions occultes et le contrôle institutionnel sur les scientifiques, les médias et les professionnels de la santé.

L’Histoire horrible de Big Pharma (en anglais seulement)

L’emprise de Bill Gates

La propagande gouvernementale et médiatique

Des médias sous influence

Dans la plupart des pays du monde occidental, ainsi que dans d’autres pays, les grands organes d’information se trouvent concentrés dans les mains de quelques familles richissimes et/ou de membres du gouvernement. Les journalistes qui y exercent leur activité ne mordent en général pas la main qui les nourrit. La politique rédactionnelle est dictée aux directeurs par les actionnaires et par les commanditaires. Les directeurs la transmettent aux rédacteurs en chef, puis ces derniers la rapportent à leur tour aux journalistes et aux pigistes. L’information est contrôlée étroitement en suivant les chaînes hiérarchiques. Et comme les contrôleurs du sommet de ces pyramides sont peu nombreux et animés par des buts similaires (préserver ou augmenter leur confort matériel, leur train de vie, leur emprise sur les affaires du monde, et la richesse matérielle et financière qui le facilite), le système médiatique dominant tend à engendrer une « pensée unique » sur la plupart des sujets et des domaines de la vie humaine et planétaire. Les journalistes et les pigistes qui tentent de s’en écarter sont simplement virés, ce qui fait que peu d’entre eux s’y risquent.

Le pouvoir de l’image

Parmi ces médias dominants, ceux de nature télévisuelle détiennent la part du lion, à cause du pouvoir de l’image, du fait de l’importance de la vue parmi les sens perceptifs humains, notamment lorsqu’il s’agit de survie. La diffusion télévisée coûte nettement plus cher que la radio et que la presse écrite. Elle n’a pu être significativement concurrencée qu’assez récemment par Internet, depuis que les vitesses de transfert y permettent aussi la diffusion d’images filmées dans un confort visuel de qualité suffisante. Malgré tout, la télévision conserve une aura prestigieuse auprès d’une partie importante de la population mondiale, celle qui accepte sans examen et sans questionnements les « informations » ou la propagande et la désinformation qui y sont diffusées.

Concentration des médias (2) : convergences et dépendances – Acrimed | Action Critique Médias
Démocratiser les grands médias – Acrimed | Action Critique Médias
Médias, information et mondialisation libérale
La Presse-Système
Les relations troubles entre les journalistes et la CIA
Médias sous influence | Le monde politique
Un journaliste parle : « la censure est permanente dans les médias mainstream »
Paris. Étudiante en école de journalisme, une jeune Kabyle subit la censure et la pression de sa direction et des autres élèves

Bilan

La recherche scientifique est largement devenue tributaire du financement privé (les États étant eux-mêmes lourdement endettés) et donc plus ou moins fortement biaisée à cause des intérêts et des buts idéologiques ou politiques des financeurs. Ces derniers avantagent radicalement les théories qui les servent (grâce aux médias dominants qu’ils contrôlent), même lorsqu’elles sont fallacieuses, et ceci au détriment de théories nettement plus valables et réalistes. La théorie virale est ainsi particulièrement avantageuse pour l’industrie pharmaceutique fort lucrative.

2)- Les postulats de Koch et de Rivers

Extraits de
Le mythe de la contagion virale —
Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies :

Les postulats de Koch

Les postulats de Koch sont les suivants :

  1. Le micro-organisme doit être trouvé en abondance dans tous les organismes souffrant de la maladie, mais pas dans les organismes sains.
  2. Le micro-organisme doit être isolé d’un organisme malade et cultivé dans une culture pure.
  3. Le micro-organisme cultivé devrait provoquer des maladies lorsqu’il est introduit dans un organisme sain.
  4. Le micro-organisme doit être isolé de nouveau de l’hôte expérimental maintenant malade qui a reçu l’inoculation des micro-organismes et identifié comme étant identique à l’agent causal spécifique d’origine.

Si les quatre conditions sont remplies, vous avez prouvé la cause infectieuse d’un ensemble spécifique de symptômes. C’est la seule façon de prouver la causalité. Fait intéressant, même Koch n’a pas pu trouver de preuve de contagion en utilisant ses postulats. Il a abandonné l’exigence du premier postulat lorsqu’il a découvert des porteurs du choléra et de la fièvre typhoïde qui ne sont pas tombés malades. En fait, les bactériologistes et virologues estiment aujourd’hui que les postulats sensés et logiques de Koch « sont reconnus comme largement obsolètes par les épidémiologistes depuis les années 1950. »

Les postulats de Koch concernent les bactéries et non les virus, qui sont environ mille fois plus petits. À la fin du XIXe siècle, la première preuve de l’existence de ces minuscules particules est venue d’expériences avec des filtres qui avaient des pores suffisamment petits pour retenir les bactéries et laisser passer d’autres particules.

Les postulats de Rivers

En 1937, Thomas Rivers a modifié les postulats de Koch afin de déterminer la nature infectieuse des virus. Les postulats de Rivers sont les suivants :

  1. Le virus peut être isolé des hôtes malades.
  2. Le virus peut être cultivé dans les cellules hôtes.
  3. Preuve de filtrabilité — le virus peut être filtré à partir d’un milieu qui contient également des bactéries.
  4. Le virus filtré produira une maladie comparable lorsque le virus cultivé est utilisé pour infecter des animaux de laboratoire.
  5. Le virus peut être isolé de nouveau de l’animal de laboratoire infecté.
  6. Une réponse immunitaire spécifique au virus peut être détectée.

Veuillez noter que Rivers abandonne le premier postulat de Koch — c’est parce que de nombreuses personnes souffrant d’une maladie « virale » n’abritent pas le micro-organisme incriminé. Même si le premier postulat de Koch n’a pas été établi, les chercheurs n’ont pas été en mesure de prouver qu’un virus spécifique cause une maladie spécifique en utilisant les postulats de Rivers. Une étude affirme que les postulats de Rivers ont été satisfaits pour le SRAS, considéré comme une maladie virale, mais un examen attentif de cet article démontre qu’aucun des postulats n’a été satisfait.

Virus irrespectueux

Comme nous le verrons par la suite et jusqu’à preuve du contraire, il n’existe aucune démonstration scientifiquement valide du lien causal entre un virus donné et la maladie virale prétendument associée. Les virus ne respectent pas les postulats de Koch et de Rivers.

3)- Que se passe-t-il en réalité lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus ?

Déclaration sur l’isolement des virus

Par Sally Fallon Morell, MA
Dr. Thomas Cowan, MD
Dr. Andrew Kaufman, MD

Isolement : L’action d’isoler ; le fait ou la condition d’être isolé ou de se tenir seul ; la séparation d’autres choses ou personnes ; le solitarisme.

Dictionnaire anglais Oxford

La controverse sur la question de savoir si le virus du SRAS-CoV-2 a jamais été isolé ou purifié se poursuit. Toutefois, en se fondant sur la définition ci-dessus, le bon sens, les lois de la logique et les impératifs de la science, toute personne impartiale doit arriver à la conclusion que le virus SRAS-CoV-2 n’a jamais été isolé ou purifié. Par conséquent, on ne peut trouver aucune confirmation de l’existence du virus. Les conséquences logiques, de bon sens et scientifiques de ce fait sont les suivantes :

  • la structure et la composition de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connues, y compris la présence, la structure et la fonction de toute protéine Spike hypothétique ou d’autres protéines ;
  • la séquence génétique de quelque chose qui n’a jamais été trouvé ne peut être connue ;
  • les « variants » de quelque chose dont l’existence n’a pas été démontrée ne peuvent pas être connus ;
  • il est impossible de démontrer que le SRAS-CoV-2 cause une maladie appelée Covid-19.

En termes aussi concis que possible, voici la manière correcte d’isoler, de caractériser et de démontrer un nouveau virus. Tout d’abord, on prélève des échantillons (sang, expectorations, sécrétions) sur de nombreuses personnes (par exemple 500) présentant des symptômes suffisamment uniques et spécifiques pour caractériser une maladie. Sans mélanger ces échantillons avec AUCUN tissu ou produit contenant également du matériel génétique, le virologue macère, filtre et ultracentrifuge, c’est-à-dire purifie l’échantillon. Cette technique virologique courante, utilisée depuis des décennies pour isoler les bactériophages(([2] Isolation, characterization and analysis of bacteriophages from the haloalkaline lake Elmenteita, KenyaJuliah Khayeli Akhwale et al, PLOS One, Published: April 25, 2019. 
https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0215734 — accessed 2/15/21)) et les virus dits géants dans tous les laboratoires de virologie, permet ensuite au virologue de mettre en évidence par microscopie électronique des milliers de particules de taille et de forme identiques. Ces particules sont le virus isolé et purifié.

L’uniformité de ces particules identiques est ensuite vérifiée par des techniques physiques et/ou microscopiques. Une fois la pureté déterminée, les particules peuvent être caractérisées davantage. Cela inclut l’examen de la structure, de la morphologie et de la composition chimique des particules. Ensuite, leur composition génétique est caractérisée en extrayant le matériel génétique directement des particules purifiées et en utilisant des techniques de séquençage génétique, telles que le séquençage Sanger, qui existent également depuis des décennies. On procède ensuite à une analyse pour confirmer que ces particules uniformes sont d’origine exogène (extérieure), comme c’est le cas pour un virus, et non les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.(([3] “Extracellular Vesicles Derived From Apoptotic Cells: An Essential Link Between Death and Regeneration,” Maojiao Li1 et al, Frontiers in Cell and Developmental Biology, 2020 October 2. 
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fcell.2020.573511/full — accessed 2/15/21)) (En mai 2020, nous savons que les virologues n’ont aucun moyen de déterminer si les particules qu’ils voient sont des virus ou simplement les produits de dégradation normaux de tissus morts et mourants.)(([4] “The Role of Extracellular Vesicles as Allies of HIV, HCV and SARS Viruses,” Flavia Giannessi, et al, Viruses, 2020 May))

Si nous sommes arrivés jusqu’ici, c’est que nous avons entièrement isolé, caractérisé et séquencé génétiquement une particule virale exogène. Cependant, nous devons encore montrer qu’elle a un lien de causalité avec une maladie. Pour ce faire, on expose un groupe de sujets sains (on utilise généralement des animaux) à ce virus isolé et purifié, de la manière dont on pense que la maladie est transmise. Si les animaux sont atteints de la même maladie, comme le confirment les résultats cliniques et les autopsies, on a alors démontré que le virus provoque effectivement une maladie. Cela démontre l’infectivité et la transmission d’un agent infectieux.

Aucune de ces étapes n’a été tentée avec le virus SRAS-CoV-2, et toutes ces étapes n’ont pas non plus été réalisées avec succès pour tout virus dit pathogène. Nos recherches indiquent qu’il n’existe pas une seule étude montrant ces étapes dans la littérature médicale.

Au contraire, depuis 1954, les virologues prélèvent des échantillons non purifiés sur un nombre relativement restreint de personnes, souvent moins de dix, atteintes d’une maladie similaire. Ils procèdent ensuite à un traitement minimal de cet échantillon et l’inoculent à une culture tissulaire contenant habituellement quatre à six autres types de matériel, qui contiennent tous du matériel génétique identique à ce que l’on appelle un « virus ». La culture de tissus est affamée et empoisonnée et se désintègre naturellement en de nombreux types de particules, dont certaines contiennent du matériel génétique. À l’encontre de tout bon sens, de toute logique, de l’usage de la langue anglaise et de l’intégrité scientifique, ce processus est appelé « isolement du virus. » Cette infusion [ou soupe chimico-génétique] contenant des fragments de matériel génétique provenant de nombreuses sources est ensuite soumise à une analyse génétique, qui crée alors dans un processus de simulation informatique la séquence présumée du prétendu virus, un génome dit « in silico » [du mot « silicium », pour indiquer sa nature purement logicielle, puisque les microprocesseurs à la base du fonctionnement des ordinateurs sont faits de semi-conducteurs en silicium]. À aucun moment un virus réel n’est confirmé par microscopie électronique. À aucun moment, un génome n’est extrait et séquencé à partir d’un virus réel. Il s’agit d’une fraude scientifique.

L’observation que le spécimen non purifié — inoculé sur une culture de tissus avec des antibiotiques toxiques, du tissu fœtal bovin, du liquide amniotique et d’autres tissus — détruit le tissu rénal sur lequel il est inoculé est donné comme preuve de l’existence et de la pathogénicité du virus. Il s’agit d’une fraude scientifique.

Dorénavant, lorsque quelqu’un vous donne un article qui suggère que le virus du SRAS-CoV-2 a été isolé, vérifiez les sections sur les méthodes. Si les chercheurs ont utilisé des cellules Vero ou toute autre méthode de culture, vous savez que leur procédé n’était pas l’isolement. Vous entendrez les excuses suivantes pour expliquer pourquoi un véritable isolement n’est pas effectué :

  1. Il n’y avait pas assez de particules virales à analyser dans les échantillons des patients.
  2. Les virus sont des parasites intracellulaires ; ils ne peuvent pas être trouvés à l’extérieur de la cellule de cette manière.
  • Si le premier point est correct et que l’on ne peut pas trouver le virus dans les expectorations des personnes malades, sur quelle base peut-on penser que le virus est dangereux, voire mortel ?
  • Si la réponse n° 2 est correcte, comment le virus se transmet-il d’une personne à l’autre ? On nous dit qu’il émerge de la cellule pour infecter les autres. Alors pourquoi n’est-il pas possible de le trouver ?

Enfin, remettre en question ces techniques et conclusions virologiques n’est pas une distraction ou un sujet de discorde. Faire la lumière sur cette vérité est essentiel pour mettre fin à cette terrible fraude à laquelle l’humanité est confrontée. Parce que, comme nous le savons maintenant, si le virus n’a jamais été isolé, séquencé ou s’il n’a jamais été démontré qu’il causait des maladies, si donc le virus est imaginaire, alors pourquoi portons-nous des masques, pratiquons-nous la distanciation sociale et mettons-nous le monde entier en prison ?

Enfin, si les virus pathogènes n’existent pas, que contiennent ces dispositifs injectables appelés à tort « vaccins », et à quoi servent-ils ? Cette question scientifique est la plus urgente et la plus pertinente de notre époque.

Le séquençage à partir de la soupe génétique supposée contenir un virus infectieux

Comme indiqué précédemment, lorsque les virologues prétendent avoir isolé un virus, il n’ont fait que traiter un tissu biologique supposément infecté en lui ajoutant diverses substances chimiques, dont des antibiotiques, puis en effectuant une centrifugation afin de séparer les divers composants génétiques selon leur densité. Selon la taille estimée du virus déduite d’une observation du tissu sous microscopie électronique dans laquelle ils pensent que telle structure observée est le fameux virus recherché, ils prélèvent uniquement les échantillons biologiques qui se trouvent dans la couche de densité correspondante.

À ce stade, nous avons donc d’un côté une observation de structures particulières au microscope électronique et la supposition que l’une d’elles est le virus ciblé, et de l’autre, le prélèvement d’une partie du matériel génétique provenant du tissu observé traité selon un processus chimique, puis physique particulier. Cependant, à aucun moment, ces scientifiques ne peuvent certifier que le prétendu virus correspond bien au matériel génétique prélevé (qui se présente dans la pratique comme un ensemble de fragments de codes génétiques).

Cette lacune dans la démonstration scientifique est aggravée par l’opération suivante qui se veut l’aboutissement du processus d’isolement du virus. Celle-ci est appelée « séquençage génétique », mais — comme il est montré dans l’article Comment créer votre propre “nouveau virus” généré par ordinateur — elle n’est en fait qu’une opération informatique complexe à l’aide d’un logiciel spécialisé.

Le séquençage équivaut en réalité à la résolution d’un puzzle de type mathématique ou statistique pour lequel on cherche à déterminer le code génétique supposé d’un virus non effectivement physiquement isolé, ceci à partir de fragments organiques et selon un certain modèle suggéré a priori. Lors de cette opération logicielle, toutes les pièces du puzzle ne s’emboîtent pas parfaitement. Certaines doivent être en quelque sorte rabotées pendant que d’autres sont augmentées pour combler des lacunes. Dans le cas du SRAS-CoV-2, le modèle utilisé a semble-t-il été celui du non moins supposé SRAS-CoV. Changez de modèle et à partir de la même soupe génétique, vous trouverez un autre prétendu virus.

4)- Maladies virales sans virus

Contestation du lien entre rétrovirus HIV et SIDA

Par le jeu de l’influence dominante des grands médias (particulièrement télévisuels), la théorie du SIDA causé par un rétrovirus dénommé HIV est la plus largement répandue. Cependant, l’idée de consensus ne représente pas un argument scientifique recevable. Ce n’est pas parce qu’une théorie est admise même universellement qu’elle est vraie (c’est-à-dire conforme à la réalité objective). La démarche scientifique impose d’examiner les faits face aux hypothèses émises dans le cadre de la théorie ou de la modélisation destinée à expliquer ou à interpréter un phénomène. Et dans ce cas, la théorie du SIDA causé par le HIV est largement contestable et a été contestée. Bien sûr, la pensée unique diffusée par les médias dominants s’y est farouchement opposée, sans pour autant apporter les preuves et les démonstrations nécessaires.

L’ESCROQUERIE DU SIDA
L’ultime supercherie

Par Robert E. Willner, M.D., Ph.D.
copyright ©1992. Robert Willner.

(Extraits)


Ce document raconte toute l’histoire ! L’incroyable histoire de l’arrogance, de l’ignorance, de la corruption et de la tromperie de la médecine établie, de l’industrie pharmaceutique et des agences du gouvernement des États-Unis. Le récit objectif et documenté de la supercherie scientifique la plus horrible et la plus meurtrière de l’Histoire.

LETTRE À UN CONFRÈRE MÉDICAL

Décembre 1992

Cher Confrère,

Mon intime conviction est que la plupart d’entre vous, tout comme moi, avez choisi le domaine de la médecine à cause d’un intense désir de vouer vos vies à des efforts constructifs et gratifiants. Je voyais la médecine comme une profession basée sur la science, la compassion et la dignité, qui apportait comme récompenses honnêtement méritées le respect, l’honneur et une vie relativement aisée. Je croyais que c’était une profession qui favorisait la pensée indépendante, la créativité et l’innovation, et était profondément ancrée dans l’intégrité. J’étais naïvement persuadé que la médecine s’élevait au-dessus de l’avarice, de la politique, de la tromperie et de l’esprit de vengeance. Durant les trente-cinq années au long desquelles j’ai pratiqué la médecine, j’ai eu le privilège de travailler avec un grand nombre de médecins dévoués ainsi que l’honneur de servir la profession en tant que conférencier et président d’associations, de sociétés, de comités médicaux et d’associations de personnel hospitalier.

Tout comme beaucoup d’entre vous, j’ai assisté aux incroyables progrès technologiques. Malheureusement, nous avons aussi assisté à la montée d’une bureaucratie et d’un contrôle étouffants, souvent dans nos propres rangs, de même qu’au niveau du gouvernement. Les conséquences inévitables de telles circonstances sont la perte de la liberté de pensée et d’expression, la suppression de l’innovation et la tyrannie d’un petit nombre qui essaient de nous prendre comme otages de leurs croyances. Ces conséquences entraînent à leur tour des maux encore plus grands : l’occasion de perpétrer une tromperie en toute impunité, de s’opposer à la vérification, de défier la contestation et de faire faire machine arrière au progrès.

Une parodie de la science et de la médecine s’est mise en place ces dix dernières années, d’une telle dimension et tellement incroyable, que votre première impulsion sera d’écarter toute critique. Ceci était bien sûr la conviction de ses auteurs et jusqu’ici, ils ont réussi. À cause de la confiance inhérente que nous avons en nos collègues scientifiques, on nous a aisément entraînés sur une voie trompeuse enjolivée par le mystérieux jargon scientifique avec lequel beaucoup d’entre nous n’étaient pas forcément familiers. Tel est le cas avec le SIDA — la soi-disant « Épidémie du Siècle ».

JE VOUS EN PRIE, LISEZ « L’ULTIME SUPERCHERIE » (Pourquoi Le Sexe et Le Virus ne sont pas La Cause du SIDA). Ce document est entièrement basé sur des informations sérieuses et des faits et il vous étonnera.

Je vous implore de ne pas rejeter ceci comme quelque chose qui ne pourrait pas être changé par votre intervention. Le nom des personnes qui remettent sérieusement en question les théories VIH-SIDA, se lit comme un « Who’s Who » de la science. Ils comprennent :

  • le Dr Peter H. Duesberg, Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, Californie ; autorité internationale en matière de rétrovirus ; membre de l’Académie Nationale des Sciences,
  • le Dr Charles A. Thomas, Jr., Biologiste à Harvard, fondateur du Groupe pour une Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA,
  • le Dr Kary Mullis, Prix Nobel, Biochimiste ; inventeur du RCP, la réaction en chaîne de polymérases, qui est le mode de mesure le plus précis de la présence de virus, `
  • le Dr Robert Root-Bernstein, Professeur de Physiologie, Université de l’État du Michigan, une des principales autorités en matière de SIDA,
  • le Dr Gordon Stewart, Professeur émérite de Santé Publique, Université de Glasgow, consultant auprès de l’Organisation Mondiale de la Santé pour les maladies transmissibles,
  • le Dr Joseph Sonnabend, pionnier de la recherche sur le SIDA, fondateur de la Fondation Médicale pour le SIDA,
  • et bien d’autres !

Leur nombre dépasse la centaine à l’heure où j’écris ces lignes ! La réputation de la Médecine américaine a été mise en grand danger par des scientifiques malhonnêtes et cupides, qui exercent un pouvoir surprenant parce qu’ils ont impliqué dans leur supercherie des agences gouvernementales très influentes. Nous, médecins, avons été privés d’une tribune libre impartiale parce que l’accès aux réunions médicales a été refusé aux détracteurs. C’est à présent aux médecins et à leurs patients d’exiger qu’une enquête complète et publique soit ouverte par le Congrès des États-Unis, afin que l’opposition puisse être entendue. Cette action servira à disculper la médecine de toute complicité dans cette ignominieuse affaire.

Votre respectueux confrère,
Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


AVERTISSEMENT !

Le président Eisenhower, lors de son discours d’adieu à la nation, nous mit en garde contre le « complexe militaro-industriel ». La supercherie suprême nous met en garde contre une menace encore plus grande pour nos vies, nos libertés et notre économie — « Le complexe médico-industriel ». Cette alliance résiste à (et détruit avec acharnement) toute opposition à ses concepts erronés et restrictifs de la maladie et de sa cause. Cette conspiration de l’arrogance, de l’ignorance et de la cupidité coûte chaque année des centaines de milliers de vies et 200 milliards de dollars. La supercherie du SIDA n’est qu’un exemple de cette catastrophe.

Nous perdrons la guerre contre le SIDA, tout comme nous avons perdu la guerre contre le cancer. Nous ne gagnerons jamais la guerre contre ces deux maladies si nous ne comprenons pas que la cause de toute maladie est une déficience acquise du système immunitaire, que ce soit par la contamination de notre environnement ou par la voie génétique, ce qui est rare.

Nous n’« attrapons » aucune maladie, nous succombons simplement à notre inadaptation à notre environnement. Si tel n’était pas le cas, la première « épidémie » sur terre aurait été la dernière. Les épidémies et les fléaux de l’histoire ont tué des millions de gens, mais il y a eu plus de survivants que de morts — pourquoi ?

Les survivants ont toujours été ceux dont le système immunitaire était intact.

Un individu en bonne santé est celui qui s’est adapté à toutes les conditions et à tous les habitants de notre planète, à savoir non seulement aux bactéries et aux virus, mais aussi à l’air, à l’eau, aux plantes et à tous les habitants de la terre y compris nos congénères.

Si nous altérons ou détruisons l’écosystème sans avoir le temps ou la capacité de nous adapter, la maladie et la mort s’ensuivront à coup sûr.

Il y a une meilleure façon de faire ! Elle est connue depuis des milliers d’années !

Robert E. Willner, M.D., Ph.D.


COMMENTAIRES D’UNE ÉMINENTE JOURNALISTE

Dans une meurtrière conspiration du silence, la médecine établie ignore la preuve flagrante que le VIH ne se propage pas sexuellement et pourrait en fait se révéler anodin.

En tant que scientifique, vous ne devez pas défendre votre théorie pour la faire cadrer avec votre supposition : vous ne devez rien supposer, vous devez laisser parler les faits. Par la suite, vous pouvez avoir une théorie, mais une fois que vous en avez une, votre devoir en tant qu’homme de science est de la soumettre à l’impitoyable minutie de l’examen scientifique. Suivez la question de très près. Si votre théorie est exacte, elle dominera ; si elle ne l’est pas, elle mérite de se désagréger.

Celia Farber, Éditrice en chef, Spin Magazine
(Tiré de son article « Confusion fatale », Spin Magazine, juin 1992)


LES DIX COMMANDEMENTS DU SIDA LES DIX COMMANDEMENTS DE LA TROMPERIE
I. L’hypothèse du SIDA est frauduleuse et ses auteurs sont coupables de tromperie criminelle et de meurtre ! I. La coïncidence est la preuve de la cause et de l’effet!
II. Le SIDA n’est pas nouveau, il est aussi vieux que l’humanité. II. Les preuves indirectes sont des preuves directes !
III. Le VIH ne peut pas provoquer le SIDA. III. Un exemple démontre la règle !
IV. Le SIDA ne se transmet pas sexuellement. IV. Une supposition corroborée par une autre supposition crée un fait !
V. Le SIDA est endémique, et non épidémique,et n’est pas contagieux. V. Ce qui est dit est ainsi !
VI. Le vaccin contre le SIDA sera inutile. VI. Ne confondez pas le problème avec les faits !
VII. Le SIDA est un syndrome, pas une maladie. VII. La preuve n’est pas nécessaire et devrait être évitée ! `
VIII. L’immunodéficience acquise est la cause de la plupart des maladies. VIII. Mentez, mentez encore et l’on vous croira !
IX. L’Immunodéficience acquise est causée par beaucoup de facteurs connus et prouvés : drogues, médicaments, toxines polluantes, radiations, alimentation et cigarettes – soit individuellement, soit combinés. IX. Faites taire, ignorez et supprimez la vérité!
X. Par conséquent, on peut traiter et prévenir le SIDA. X. Remplacez la raison par le dogme, la tromperie et la peur aveugle !

L’application répétée de ces commandements de la tromperie par les conspirateurs incita T. C. Fry à faire le commentaire suivant dans son livre « SIDA : LE GRAND CANULAR » :

« … la présence de ce qu’ils appellent VIH dans le cadre de la maladie (SIDA) n’est pas plus une preuve qu’il en est la cause que la présence de mouches dans les ordures n’est une preuve que les mouches sont la cause des ordures. »

Il pourrait toutefois y avoir une exception : si l’on considère que le « gang du SIDA », à savoir Robert Gallo, Anthony Fauci, William Hazeltine, Max Essex, James Curran, Flossie Wong Stall, Dani Bolognesi, Margaret Fischler, Margaret Heckler et al., sont les mouches, alors, effectivement, elles sont la cause des ordures !

Bientôt, la lumière de la vérité commença à transpercer la façade. Pour ces conspirateurs, si la justice l’emporte, ce qui suit aura été le précurseur de leur apocalypse. Tout commença en 1987, lorsque le Dr Peter Duesberg, autorité internationale en matière de rétrovirus, publia dans « Cancer Research » un article qui secoua le fondement même de la théorie VIH-SIDA. Beaucoup de scientifiques furent stupéfaits par sa position, mais impressionnés par sa véracité. D’autres furent soulagés que quelqu’un eût enfin le courage de parler franchement. Les courtiers du pouvoir et les intéressés contre-attaquèrent, non pas avec des arguments et des faits scientifiques, mais par des insultes, des insinuations au vitriol, le dénigrement et des représailles politiques et économiques. Leurs actions et leurs paroles ne firent que confirmer leur culpabilité ! Puis, en février1989, le Dr Duesberg soumit une analyse adroite et détaillée « aux débats de l’Académie Nationale des Sciences ». Ce groupe prestigieux ignora ce document et ne prit aucune mesure !

Durant les quatre dernières années, la combinaison classique de symptômes caractéristiques du SIDA a été diagnostiquée chez des individus séronégatifs et leur nombre est en constante augmentation ! Évidemment, les charlatans ont tout de suite émis l’« hypothèse » qu’il devait y avoir un autre « virus », afin que leur manœuvre ne soit pas découverte. Encore une tentative pour détourner l’attention de la cause évidente et scientifiquement établie — LES DROGUES ! Ils concèdent à présent que le virus ne peut pas agir seul, qu’il faut des « co-facteurs ». Cependant, nous savons déjà que ces « co-facteurs » ont provoqué des immunodéficiences depuis plusieurs décades, bien avant que l’on ne découvre le VIH.

C’est le VIH qui n’est pas nécessaire au SIDA.


COMMENT ONT-ILS PU FAIRE PASSER ÇA ?

Comment cela a-t-il pu se produire ? Il n’est certainement pas possible qu’une tromperie de cette ampleur ait pu échapper à l’examen minutieux des milliers de scientifiques de par le monde qui ont cherché les nombreuses voies d’investigation menant à cette « plaie des temps modernes ». Tout commença avec les rétrovirologues, dont le champ de connaissances techniques est mystérieux et assez peu familier aux autres scientifiques. J’ai moi-même lu avec une acceptation totale les premiers articles dans les journaux médicaux, les quotidiens et les magazines populaires. Qui pouvait douter des déclarations des puissants et influents départements, agences et enclaves scientifiques du gouvernement ? Même si les nombreuses affirmations au sujet du virus ne trouvaient pas en moi un écho retentissant, il me fallut plusieurs années avant de me mettre, presque instinctivement, à douter de ce que je lisais. Je suppose que c’est à cause de mes 25 ans de pratique médicale, de l’exposition graduelle de la médecine établie aux échecs et aux contradictions, et de sa résistance à dévier de son approche dogmatique obligée de la maladie, que j’appris à m’interroger sur la nourriture que l’on m’avait enseigné à digérer. Tout d’abord, ce fut la thérapie malsaine, irrationnelle et contradictoire que je ne pus pas accepter. Mais ensuite, après avoir assisté en février 1989 à une réunion à Los Angeles sur les approches alternatives du SIDA, au cours de laquelle j’entendis parler le Dr Peter Duesberg, je mis finalement en doute la validité de la maladie elle-même. J’avais enfin été renseigné sur les rétrovirus par la personne la mieux informée dans le domaine. Jusque là, on m’avait présenté la théorie comme un fait. Comme le reste de mes collègues, je supposais que ce qu’on m’avait enseigné était prouvé et, par conséquent, je croyais que c’était vrai. La vérité est que tout cela était pure fantaisie, supposition et pseudoscience. Parce qu’il était basé sur des rapports frauduleux, sur des preuves indirectes des plus fragiles et sur des hypothèses autoalimentées, le VIH fut faussement inculpé, reconnu coupable et « condamné » pour un « crime » qu’il ne pouvait pas avoir commis. Mais qu’en est-il des rétrovirologistes eux-mêmes, comment purent-ils être trompés ? Dans un article écrit pour le magazine « The Truth Seeker » (le chercheur de vérité), dans le numéro de septembre/octobre 1989, le Dr Duesberg en révéla les raisons.

« Après 20 ans de recherches frustrantes en vue de trouver un virus humain du cancer, le club (les rétrovirologistes) désirait ardemment quelque applicabilité clinique pour le rétrovirus et, par conséquent, adopta avec bonheur le VIH — “le virus du SIDA” — comme la cause du SIDA. »

Il continua en expliquant l’impact de la puissante promotion qui avait fait de l’hypothèse du SIDA un « dogme national instantané ». Il était trop difficile de faire opposition aux milliards de dollars investis, aux intérêts économiques de la biotechnologie et des compagnies pharmaceutiques et à la formidable notoriété à travers la presse. En se demandant pourquoi seulement une poignée de scientifiques contestaient l’hypothèse du SIDA, il cita : « … les pressions conformistes exercées sur les scientifiques, particulièrement sur les scientifiques jeunes et inoccupés, à l’ère de la biotechnologie. Leur obéissance conceptuelle aux institutions entretenue par un accès contrôlé aux subventions, à la presse et à l’emploi, et récompensée par des invitations à des assemblées, des prix, des postes de consultants, des actions et des copropriétés dans des compagnies. »

Les Instituts Nationaux de la Santé, l’Institut National pour le Cancer, le Centre de Contrôle des Maladies, l’Académie Nationale des Sciences et le FDA (Régie des Aliments et des Médicaments) ont tous sérieusement compromis leur crédibilité et leurs motivations, par leur participation active ou leur silence face à une tromperie aussi évidente. Si l’on considère le fait qu’il est difficile de croire que des individus à un tel niveau soient aussi stupides (même si tout est possible), alors on doit supposer qu’une incroyable pression gouvernementale a été exercée. La pression la plus indiquée et la plus habituelle est l’apport de fonds, les à-côtés et la peur du licenciement.

Duesberg est probablement un bon exemple de ce qui peut arriver même à l’un des scientifiques les plus respectés dans leur domaine. Sa renommée est mondiale, il est membre élu de la prestigieuse Académie Nationale des Sciences, il bénéficie de la très distinguée « Subvention pour Chercheur Exceptionnel » de l’Institut National de la Santé (seulement 23 dans tout le pays), il a découvert les gènes qui causent le cancer (oncogènes), il a été recommandé pour le Prix Nobel, il est considéré comme une autorité internationale en matière de rétrovirus et il est Professeur de Biologie Moléculaire à l’Université de Californie, Berkeley, CA. Sa subvention annuelle de 350 000 dollars a été supprimée cette année et son recours a été rejeté par un comité comprenant la maîtresse de Gallo, à savoir le Dr Flossie Wong Stall, et le Dr Dani Bolognesi, devenu aujourd’hui un riche détenteur de brevets pour des tests VIH.

L’intimidation fut acharnée et vicieuse. Duesberg a écrit qu’il avait été « … taxé de fanatique pour avoir considéré que l’administration journalière de produits chimiques psychoactivateurs et immunosuppresseurs était une cause plus vraisemblable du SIDA qu’un rétrovirus chroniquement inactif et presque indécelable chimiquement. Le plus éminent chercheur du SIDA de la nation m’accusa d’être l’avocat de la promiscuité (pour le paraphraser poliment) pour avoir mis en doute l’étiologie virale du SIDA. » Est-il possible que nos scientifiques aient été plus intéressés par la protection des valeurs puritaines que par la présentation de la vérité scientifique ? Les faits parlent d’eux-mêmes.

Les institutions intéressées, au lieu de répondre à la foule de questions qui ébranlent la base même de l’hypothèse du SIDA, insultent leurs opposants, refusent le débat et ont même annulé une réunion à la Maison-Blanche, refusant d’y participer afin de démontrer la « folie » de seulement mettre en doute le VIH et le SIDA ! Leur arrogance criminelle est un affront à l’humanité ! Initialement, Gallo et ses co-conspirateurs auraient probablement pu être disculpés sur la base de l’ignorance et de la bêtise, mais le fait d’entraver une discussion scientifique ouverte et d’utiliser le pouvoir politique et économique pour faire taire les points de vue opposés ainsi que la vérité et la logique scientifiques de base est une preuve irréfutable de leur intention criminelle.

Bien qu’un cadre impressionnant de scientifiques célèbres ait formé le « Groupe pour la Réévaluation Scientifique de l’Hypothèse VIH-SIDA », qui fut lancé par le Dr Charles A. Thomas Jr., biologiste à Harvard, il est nécessaire qu’il y ait des cris d’indignation venant du public et exigeant une enquête. Beaucoup de membres du Congrès ont commencé à s’intéresser à ce problème. Parmi eux, William Dannemyer et Ron Dellums. Envoyez une copie de ce document à votre Sénateur et à votre Député, leurs nom et adresse peuvent être obtenus auprès de votre bibliothèque locale ou par l’intermédiaire de votre journal. Ces scientifiques courageux, honorables et incorruptibles ont mérité et ont besoin de votre soutien.

Lorsque vous aurez fini de lire ce témoignage, je suis convaincu que vous vous sentirez soulagé(e) de savoir que nous ne sommes pas tous condamnés à mourir. À moins, bien sûr, que nous ne commencions tous à prendre de l’AZT pour avoir pris parti contre un virus insignifiant et suivi les conseils de Gallo et de ses frauduleux disciples. Si vous êtes d’accord avec ce témoignage, je vous demande de prendre votre plume et de le crier par courrier !


L’hypothèse du SIDA repose sur le fait que le Centre de Contrôle des Maladies a confirmé que 40 % des cas de SIDA avaient des anticorps du VIH. Ceci est simplement la preuve que nous avons été exposés au virus et sommes immunisés. Souvenez-vous, la présence de mouches dans les ordures n’est pas une preuve que les mouches sont la cause des ordures. Le VIH est le premier organisme, au cours des 100 dernières années, à avoir été désigné comme cause d’une maladie sans avoir satisfait aux critères de preuve scientifiquement reconnus. Nous en reparlerons plus loin. Nous possédons des anticorps de multiples microorganismes et nous savons qu’ils sont présents chez 70 à 90 % des malades du SIDA. Le virus d’Epstein-Barr et le Pneumocystis Carnii sont précisément deux d’entre eux, pourtant personne ne prétend qu’ils soient la cause du SIDA. Il est possible, mais relativement rare que ces maladies soient réactivées. D’habitude, ceci arrive uniquement lorsqu’un individu s’affaiblit et que son immunité est compromise, et n’a jamais eu besoin de l’aide du VIH pour se produire. Il n’existe pas la moindre preuve scientifique au monde de la cause et de l’effet dans la littérature médicale et de recherche. Il y a actuellement au moins une bonne quarantaine de théories (encore des hypothèses !) pour expliquer l’HYPOTHÈSE du SIDA, mais pas la moindre preuve !


Le VIH (le virus du SIDA) ne remplit pas les Postulats de Koch qui sont, depuis plus de 100 ans, l’énoncé standard du genre de preuves requises pour établir le rapport étiologique entre un microorganisme donné et une maladie donnée. Les conditions sont les suivantes :

  • (1) le microorganisme doit être observé dans chaque cas de la maladie ;
  • (2) il doit être isolé et se développer dans une culture pure ;
  • (3) la culture pure doit, lorsqu’elle est inoculée à un animal prédisposé, reproduire la maladie ;
  • (4) le microorganisme doit être observé et prélevé chez l’animal rendu malade expérimentalement. (Dictionnaire Médical Dorland)

Le premier postulat ci-dessus incluait à l’origine “… et au cours de la maladie.” (Duesberg), se référant à la découverte du microorganisme dans les sécrétions et les parties du corps désignées par des signes et des symptômes durant la progression de la maladie. Ce premier postulat paraît avoir été raccourci par le simple usage, plutôt que par quelque proclamation officielle. Les dispositions réglementaires sont toujours encore de chercher le(s) microorganisme(s) par exemple dans les poumons, lorsque le patient se présente avec de la toux, un manque de souffle, etc.

Dans le cas du SIDA :

  • (1) Le VIH n’est pas présent dans chaque cas de la maladie et n’est pas trouvé au cours de la maladie. Lorsqu’on le trouve, c’est en si petites quantités qu’il ne peut pas être considéré comme cliniquement significatif. Si le Dr Gallo n’était pas arrivé avec sa supercherie, on l’aurait considéré comme un artifice de contaminateur.
  • (2) Bien que le VIH puisse être cultivé en laboratoire (dans les lymphocytes humains, qui se trouvent être justement les cellules que le VIH est censé faire éclater), ceci est réalisé avec beaucoup de difficulté, en réactivant les provirus inactifs présents dans un lymphocyte sur un million, et seulement dans des cultures auxquelles au moins dix millions de cellules sont ajoutées et qui sont exemptes d’anticorps, qui autrement neutraliseraient le virus et mettraient fin à la culture (comme cela se produit de façon naturelle chez les humains). Ceci peut être fait dans seulement 40 à 50 % des cas de SIDA, parce que dans les autres cas, on ne peut même pas localiser un seul virus ! Ça ne me paraît pas être une maladie bien meurtrière.
  • (3) Le SIDA ne peut pas être reproduit en injectant d’importantes concentrations du virus pur à n’importe quel animal de laboratoire, y compris le chimpanzé qui devient séropositif tout comme ses cousins humains, indiquant ainsi qu’il a été contaminé par le virus, qu’il a développé des anticorps, mais pas de maladie, du moins pas de SIDA. La véritable maladie provoquée par le VIH ressemble à une grippe si légère qu’elle passe souvent inaperçue (Duesberg). Dans son essence, le troisième postulat est rempli, puisque l’animal attrape une légère maladie qui passe la plupart du temps inaperçue, mais ce n’est pas le SIDA. Ceci est évidemment exactement ce qui se produit chez l’être humain, sauf si vous voulez croire aux contes de fées de Gallo. (Une fois que vous avez échoué à prouver que le virus provoque le SIDA, alors tout ce qui est lié à la transmission du virus ne peut avoir aucun rapport avec la contagiosité du SIDA.)

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Voir aussi la Réfutation de la Déclaration de Durban

Rougeole sans virus

Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus

Par Makia Freeman

(Extraits)

Virologue allemand, le Dr Stefan Lanka, a remporté un procès historique en 2017. Il s’est rendu jusqu’à la Cour suprême allemande. Lanka a prouvé devant le plus haut tribunal du pays que la rougeole n’était pas causée par un virus et qu’il n’existait en fait pas de virus de la rougeole.

L’argument principal de Lanka est le suivant : lorsque les scientifiques modernes travaillent avec des tissus malades, ils pensent que la présence d’un virus est à l’origine de la maladie, au lieu de se rendre compte que le tissu en question a été séparé et isolé de son hôte, puis aspergé avec des antibiotiques, et que cette séparation et cet empoisonnement le rendent malade et le tuent, plutôt que n’importe quel virus. Lanka écrit :

« Toutes les affirmations sur les virus en tant que pathogènes sont fausses et sont basées sur des interprétations erronées facilement reconnaissables, compréhensibles et vérifiables… Tous les scientifiques qui pensent travailler avec des virus dans les laboratoires travaillent en fait avec des particules typiques de tissus ou cellules mourants spécifiques qui ont été préparés de façon spéciale. Ils croient que ces tissus et cellules meurent parce qu’ils ont été infectés par un virus. En réalité, les cellules et les tissus infectés mouraient car ils étaient affamés et empoisonnés par suite des expériences en laboratoire. »

«… La mort du tissu et des cellules a lieu exactement de la même manière lorsqu’aucun matériel génétique « infecté » n’est ajouté. Les virologues n’ont apparemment pas remarqué ce fait. Selon… la logique scientifique et les règles de conduite scientifique, des expériences de contrôle auraient dû être menées. Afin de confirmer la méthode nouvellement découverte de soi-disant « propagation du virus »… les scientifiques auraient dû effectuer des expériences supplémentaires, appelées expériences de contrôle négatif, dans lesquelles ils ajouteraient des substances stériles… à la culture cellulaire. »

« Ces expériences de contrôle n’ont jamais été menées par la « science » officielle à ce jour. Au cours de l’essai sur le virus de la rougeole, j’ai mandaté un laboratoire indépendant pour effectuer cette expérience de contrôle et le résultat a été que les tissus et les cellules meurent en raison des conditions de laboratoire exactement de la même manière que lorsqu’ils entrent en contact avec du matériel prétendument « infecté » ».

En d’autres termes, les cellules et tissus étudiés meurent exactement de la même manière avec ou sans la présence d’un virus. Par conséquent, le virus ne peut pas être la cause de la morbidité et de la mortalité. Fait intéressant, c’est exactement ce que de nombreux experts de la santé ont déclaré, à savoir qu’il n’y a que 2 causes de maladie : la carence et la toxicité. Par exemple, Charlotte Gerson (qui a repris la direction de la clinique Gerson de son brillant père Max) a dit cela à propos de la maladie et du cancer. Retirer des cellules ou des tissus du corps et ainsi les couper de leur apport en énergie/nutriments entraînera rapidement une carence. L’injection d’antibiotiques dans le mélange est une toxicité. Il n’y a donc aucune preuve solide qu’un virus provoque une maladie alors qu’il existe déjà une carence et une toxicité. C’est le point clé de l’idée fausse du virus.

Nouvelles contre-expériences

En complément

Bilan des courses

À ce stade d’investigation, nous nous trouvons, pour résumer, devant les constats suivants :

  • Le VIH n’a jamais effectivement et indubitablement été démontré comme la cause du SIDA, ni même comme une des causes plausibles.
  • Le virus de la rougeole n’a jamais pu être scientifiquement démontré comme étant la cause de la maladie correspondante.
  • Quand les virologues prétendent isoler un virus, ils mentent (sciemment ou par ignorance de la démarche scientifique), car en fait ils ne font qu’effectuer une opération logicielle suite à un traitement chimique qui intoxique les cellules biologiques analysées.
  • Jamais il n’a pu être démontré expérimentalement qu’un virus était réellement la cause d’une maladie virale, car aucun d’eux ne respecte les postulats de Koch et de Rivers.

La virologie, à l’image d’une partie croissante de la médecine allopathique, est devenue une religion.

5)- Théorie alternative à celle des méchants virus

La microbiophobie ambiante est hors de contrôle !
De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus

Par le Dr. Ron Brown

(Extraits)

Que sont exactement ces microbes terrifiants appelés virus ? D’où viennent-ils dans la nature ? Que font-ils et où vont-ils quand ils ont fini de faire ce qu’ils font ? Malgré la microbiophobie de notre société liée aux pandémies, toutes les tentatives visant à éviter le quadrillion [un million de milliards] de virus (1 000 000 000 000 000) qui se cachent dans et sur le corps humain sont vaines. 

Comment tant de virus ont-ils élu domicile dans des zones de notre corps désignées sous le nom de viromes, et comment pouvons-nous surmonter notre microbiophobie irrationnelle, envahissante et incontrôlable à l’égard d’un virus du rhume comme le coronavirus ?

Sur la base de ses recherches sur les virus de l’herpès, et en utilisant le microscope électronique nouvellement développé dans les années 1930, le Dr Doerr a établi certains principes de base des propriétés virales. Doerr a proposé que les virus non vivants sont créés de manière endogène, à l’intérieur des cellules, et que les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes. De toute évidence, le point de vue de Doerr est très différent de celui qui prévaut aujourd’hui sur l’étiologie et la propagation des infections virales. Comment ce changement s’est-il produit ?

Bien qu’elles n’aient jamais été réfutées, les conclusions de Doerr ont fini par être ignorées et mises de côté après l’avènement du dogme central de la biologie moléculaire, qui affirme que tous les organismes vivants reproduisent la vie en transférant l’information génétique par le biais des acides nucléiques ADN et ARN. 

Parce que les virus contiennent des acides nucléiques, le dogme central implique que les virus doivent se répliquer, même s’ils sont obligés de détourner les mécanismes de réplication génétique d’une cellule hôte pour réaliser cet exploit. Vous voulez une preuve de la réplication virale ? Placez quelques virus sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri et observez comment les virus disparaissent mystérieusement pour finalement réapparaître sous forme de hordes de progénitures qui se multiplient et tuent rapidement les cellules vivantes. 

Un message d’avertissement : cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale présente quelques défauts graves que nous évaluerons de manière critique par la suite.

Nouvelles connaissances en virologie

Des preuves plus récentes ont permis de découvrir que, bien que tous les organismes vivants se répliquent à l’aide d’acides nucléiques, tous les virus qui contiennent des acides nucléiques ne se répliquent pas. Par exemple, on a découvert que des virus non infectieux contiennent de l’ARN, mais ne se répliquent pas. 

Qu’advient-il de l’ARN de ces virus ? En outre, pourquoi un grand nombre de ces virus non infectieux s’agrègent-ils en viromes dans notre corps s’ils ne se répliquent pas ? Les réponses à ces questions peuvent être synthétisées à partir des derniers résultats de la recherche en virologie, combinés à un bref examen de la biologie cellulaire et de l’immunologie de base.

Les cellules de notre corps ont constamment besoin de protéines pour leur croissance et leur entretien. Le plan de fabrication d’une protéine nécessaire à une cellule est contenu dans les gènes de l’ADN stocké dans le noyau de la cellule. Une copie du code génétique contenant les instructions pour assembler une protéine est transcrite en ARN messager (ARNm), qui transmet le code génétique aux ribosomes de la cellule pour la traduction en protéine. Une fois que l’ARNm a fini de transmettre son code génétique transcrit, il est fragmenté en huit segments et emballé dans une vésicule du cytoplasme cellulaire, appelée exosome, pour être éliminé de la cellule comme un déchet.

Transportés par le système immunitaire, les exosomes contenant des déchets de code génétique ARNm sont éliminés du corps principalement par le tractus gastro-intestinal et le système immunitaire de la muqueuse nasale.

Cette comparaison est étonnamment cohérente avec la proposition de Robert Doerr selon laquelle les virus sont des produits endogènes des cellules. Si nous supposons que les exosomes, chargés de déchets génétiques, sont identiques aux virus, le paradigme scientifique de l’infection virale change radicalement. Ce nouveau paradigme implique que le code génétique stocké dans un virus n’est pas traduit en protéines pour répliquer le virus lui-même. Au contraire, les fragments de code génétique ne sont que des restes de codes rejetés que la cellule a précédemment traduits au cours de la biosynthèse des protéines pour répondre aux besoins normaux de la croissance et de la maintenance cellulaires. En outre, la cellule synthétise les protéines S nécessaires pour encapsuler les fragments d’ARNm dans les exosomes afin de les éliminer en tant que déchets. Ces pointes [spike] sur le coronavirus pourraient fonctionner davantage comme des poignées qui facilitent le traitement des déchets par le système immunitaire.

Considérons que le corps humain est composé d’environ 20 000 types de protéines différentes, et que le code ARNm de chacune de ces protéines est finalement décomposé en huit fragments qui sont emballés dans les exosomes selon potentiellement plus de 40 000 combinaisons aléatoires. Même si les fragments ne sont pas combinés de manière totalement aléatoire, la manière dont les fragments d’ARNm sont assemblés crée une pléthore de séquences génomiques uniques détectées dans les nouvelles versions du virus, appelées variants. Les mutations ou modifications des gènes sont une propriété des cellules vivantes, mais la plupart des virus non vivants sont dépourvus de gènes, de sorte que l’on ne peut pas dire que les modifications de la séquence génétique d’un virus non infectieux mutent. Bien que certains variants puissent être associés à plus d’infections que d’autres, aucun variant d’un virus non infectieux n’est susceptible d’être plus infectieux qu’un autre variant. En outre, une toxine qui affaiblit le système immunitaire et ralentit ou inhibe la clairance virale à travers la muqueuse nasale peut entraîner une augmentation de la charge virale lorsque les exosomes s’accumulent en tant que déchets non excrétés. Ceci est également cohérent avec la proposition de Doerr selon laquelle les infections virales peuvent avoir des causes non spécifiques sans exposition à des virus externes.

Dans un exemple étonnant de causalité inversée, des preuves suggèrent que les infections virales peuvent ne pas être directement à l’origine de maladies. Au contraire, l’association d’une infection virale à une maladie peut être provoquée par des déterminants de la maladie qui sont toxiques pour le système immunitaire, qui altèrent la fonction immunitaire, retardent la clairance virale et provoquent des infections virales avec possibilité de septicémie due à la rétention de déchets génétiques. Certains de ces déterminants de la maladie pourraient être liés à des changements de l’état nutritionnel, un facteur de susceptibilité aux infections, et pourraient être plus fréquents pendant certaines saisons, comme dans la saisonnalité des infections respiratoires virales. En outre, la détection d’un virus dans la muqueuse nasale n’est pas suffisante pour provoquer des symptômes d’infection chez les cas asymptomatiques, à moins que la fonction immunitaire ne soit également fortement altérée. En résumé, au lieu de se répliquer, les virus semblent s’accumuler dans les infections virales, comme les ordures s’accumulent sur le trottoir pendant une grève du ramassage des ordures. Vous ne vous promènerez pas dans la rue pendant une grève du ramassage des ordures en disant : “Oh regarde, chérie, les ordures se répliquent !”.

Dans ce nouveau paradigme viral, tous les attributs personnifiés que nous attribuons habituellement aux virus pour justifier notre microbiophobie ne semblent plus valables. Mais existe-t-il des preuves cliniques réelles pour vérifier ce nouveau paradigme ? De manière surprenante, des expériences menées par la marine américaine en 1918 à Boston et à San Francisco ont confirmé que la grippe ne pouvait pas être transmise à des groupes de marins en bonne santé directement exposés à l’haleine, à la toux et aux expectorations de patients gravement malades de la grippe. 

Les résultats des expériences de la marine vérifient que les fragments non infectieux d’ARNm dans les exosomes ne peuvent pas se répliquer, quel que soit le nombre de virus inhalés transmis par l’air. En soi, les virions inhalés sont insuffisants pour surmonter les barrières du système immunitaire à l’infection. Il existe une distinction importante entre la transmission d’un virus inhalé et les allégations non fondées de propagation d’une infection virale entre personnes. Souvenez-vous de ces conclusions la prochaine fois que vous accuserez vos enfants de vous avoir donné un rhume ou une grippe, ou la prochaine fois que vous vous mettrez en danger en vous jetant dans la circulation pour éviter un piéton non masqué qui s’approche de vous sur le trottoir.

Mais qu’en est-il de cette expérience de “preuve de concept” de réplication virale ? Comme contrôle supplémentaire de l’expérience, placez des acides nucléiques sur des cellules vivantes dans une boîte de Pétri. Vous pouvez observer la disparition des acides nucléiques qui sont engloutis dans les endosomes et sont décomposés par les enzymes digestives des cellules à partir des lysosomes pour être consommés comme nutriments. Observez ensuite l’excrétion d’exosomes contenant des ARNm fragmentés dans la boîte de Pétri, qui sont des déchets normaux de la traduction génétique suivant la biosynthèse des protéines. Si on les laisse s’accumuler sans les retirer de la boîte de Pétri, les concentrations accrues de ces excrétions et d’autres excrétions cellulaires finissent par détruire les cellules avec les déchets métaboliques retenus.

En conclusion, le public a été endoctriné par des craintes infondées à l’égard des infections virales, ce qui accroît notre microbiophobie et exacerbe les dommages causés par les mesures répressives de contrôle des infections qui continuent de perturber notre vie quotidienne pendant la pandémie de coronavirus et les futures pandémies. Pour atténuer la microbiophobie liée au coronavirus, il faut poursuivre les recherches et diffuser de nouvelles connaissances fondées sur la véritable nature des virus.

La théorie des exosomes contre celle des virus

Épidémies et contagions

(Extraits)

Il n’y a pas d’épidémie au sens généralement entendu, c’est-à-dire par contagion microbiologique [de virus ou de bactéries]. Il y a des gens malades avec des symptômes plus ou moins semblables au même moment. Nous sommes 7,7 milliards d’êtres humains sur Terre (beaucoup trop), il n’est absolument pas étonnant d’avoir quelques centaines de milliers d’individus avec des symptômes similaires dans une même période… Surtout que les causes sont toujours identiques (Voir fiche : Les 9 paramètres de la santé ou de la maladie(([5] 

  1. Ce que l’on ingère (aliments, boissons, toxiques, etc.).
  2. Ce que l’on applique sur la peau.
  3. Ce que l’on respire.
  4. Ce que l’on ressent, émotions, pensées (stress, joie, peur, etc.).
  5. Les rayonnements électromagnétiques.
  6. Les liens et contacts sociaux.
  7. L’activité physique.
  8. Le repos (sommeil, relaxation, jeûne…)
  9. L’exposition au soleil.
    )) ). La moyenne pour une grippe est 1 personne sur 1000 qui a des symptômes grippaux. Pour l’obésité aux USA c’est 350 personnes sur 1000.

Il y a les épidémies d’obésité (2,8 millions de décès / an), de diabète (1 décès toutes les 6 secondes sur la planète) ou de cancer (9,6 millions de décès / an), etc. Ceci n’a pourtant rien à voir avec des micro-organismes. Pensez-vous que les gouvernements vont interdire les publicités pour les fast-foods, les produits industriels, raffinés, dénaturés, transformés et faire des campagnes pour une vie saine qui ne rapporte rien ? Je ne le pense pas. Les puissants lobbies agroalimentaires et pharmaceutiques tirent les ficelles de nos chères marionnettes politiques et médiatiques.

La présence de micro-organismes [naturellement présents en symbiose ou fabriqués par notre propre corps] signifie que le terrain est encrassé et qu’il a besoin d’être déblayé. En hygiénisme et en naturopathie, la grippe (par exemple) signifie le grand nettoyage salvateur de printemps après l’engorgement émonctoriel et la saturation humorale causée par les fêtes de fin d’année. C’est la goutte qui fait déborder le vase ! Nous n’avons pas jeûné pour nous épurer et diminuer notre seuil de tolérance toxémique, alors la Nature nous oblige à le faire grâce à l’action d’une bonne grippe. Repos forcé, diète, jeûnefièvre, diarrhée, toux, inflammation, voilà ce qu’il faut pour rétablir l’homéostasie à travers ces processus régulateurs.

Les états sanitaires de l’enfant au vieillard déclenchés par la force vitale et la réaction somatique.

Les causes des « épidémies » sont souvent multifactorielles :
►environnement pollué (air, eau, aliments, électromagnétisme, etc.) ;
►information microzymienne et cellulaire perturbées ;
►hygiène de vie déplorable, misère, famine, peur, détresse affective, psychosomatique (somatisation du mal mental matérialisée en mal physique) ;
►modification des paramètres bioélectroniques ;
►influences cosmo-telluriques, électromagnétiques, saisonnières, cycliques ;
►causes iatrogènes, vaccins,
►etc.
=> dégradation du terrain => toxémie => « maladie » (symptôme).

Par exemple, lors de la grippe « espagnole » on sait maintenant (1 siècle plus tard) que la cause était multifactorielle :

  • Iatrogène
    • (vaccins : oxydation, molécules toxiques ;
    • aspirine : hépatotoxique & hémorragies digestives).
  • Carences, famine, peur, stress oxydatif (<- guerre).
  • Hygiène déficiente (-> encrassement).
  • Premières communications radio par ondes hertziennes (nouvelles ondes électromagnétiques).

Nous avons des milliards de microbes en bouche, dans notre tube digestif, dans nos intestins et sur notre peau (chez tout le monde et en permanence) : des streptocoques, des Candidas Albicans, etc. Ils vivent en symbiose avec nous (voire : le microbiote). Pourquoi prolifèrent-ils chez certains individus et pas d’autres ? Et bien, ceci n’est qu’une question de terrain. Chez un individu sain avec une bonne énergie vitale, un faible niveau toxémique et de bonnes coordonnées bioélectroniques, l’organisme n’aura pas à se mettre en branle et à faire appel aux germes pour se nettoyer.

La contagion est une transmission d’une maladie sans contamination. La contamination donne une modification des caractéristiques humorales d’un être vivant. Lors d’une épidémie (de peste par exemple) un individu isolé de tout contact humain, aura ou n’aura pas la maladie suivant les modifications bioélectroniques de son sang.

Suivant les 9 paramètres de la santé ou de la maladie (donc des conditions auxquelles nous sommes soumis), les 3 coordonnées bioélectroniques de nos humeurs se déplacent sur le bioélectronigramme. Notre état de santé peut donc être reporté sur ce dernier.

Sur ce bioélectronigramme, on peut noter la place des virus en zone 3 (terrain oxydé). C’est aussi la zone des vaccins. SP = Santé Parfaite.

Les vaccins, super-oxydants, sont remplis d’adjuvants et de substances toxiques qui créent du stress oxydatif, de la toxémie et qui modifient les paramètres bioélectroniques du terrain. Il y a également modification des facteurs bioélectroniques des humeurs et du sang en particulier, par les actions électromagnétiques et environnementales.

Il en résulte que le microbe est de formation endogène : il ne vient pas de l’extérieur, il est le résultat de transformations biologiques de cellules normales vivantes dans une solution (sang) n’ayant plus les caractéristiques idéales pour la vie, c’est à dire que les conditions électroniques se sont modifiées.

Si l’individu sait se maintenir en bonne santé (sang : pH : 7,3 – rH2 : 22 – rô : 210), il ne peut en aucun cas fabriquer des microbes, des virus ou des champignons ; il ne craint ni la contagion ni les épidémies.

Généralement, on prétend que les maladies à microbes ou à champignons sont contagieuses, ceci est FORMELLEMENT contredit par la bioélectronique, l’hygiénisme et la vraie naturopathie.

Les analyses bioélectroniques montrent clairement que nos conditions de vie actuelles induisent une alcalinisation et une oxydation progressive du sang. Toutes les maladies de dégénérescence s’accompagnent de cet effet. Le fait de trouver des virus sur ce type de terrain indique qu’ils sont la conséquence et non la cause de cette déviation.

Il n’existe donc pas de “guerre” bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Tout est équilibre, préservons cet équilibre.

En résumé, respectons les 9 points essentiels de la santé intégrale. Réduisons notre toxémie, augmentons notre énergie vitale et équilibrons notre terrain en respectant les lois naturelles pour éviter les sanctions…

Anecdotes :

De nombreuses expériences médicales sur la contagion microbiologique ont été menées au 19e et au 20e siècles par des chercheurs et médecins spécialisés en bactériologie comme les docteurs Pettenkofer de l’Université de Vienne, Thomas Powell, John B. Fraser de Toronto, Beddow Bailly, etc.

On contamina toutes sortes d’aliments avec des cultures de microbes comme ceux de la diphtérie, de la pneumonie et de la typhoïde. On badigeonna la bouche, la gorge, les amygdales et les narines de volontaires. Plus de 150 expériences scientifiques sans aucun signe de maladie s’ensuivirent. Des expériences similaires ont été faites dans les camps de la marine américaine U.S. Naval Detention Training Camp on Deer Island sur 30 sujets et aussi à San Francisco sur 10 autres sujets avec des cultures pures du bacille de Pfeiffer (grippe espagnole). Il n’existait pas un seul cas où n’importe quel microbe ait pu être la cause spécifique d’une maladie quelconque.

Le Dr. Fraser du Canada et le Dr. Powell de Californie ont expérimenté des milliards de germes de toutes les variétés, mais ils ont été incapables de produire une seule maladie en introduisant des germes dans des sujets humains.

Le Dr. Waite a essayé pendant des années de prouver la théorie des germes, mais il n’a pas pu le faire. Pendant la guerre mondiale, une expérience a été menée à Gallop’s Island dans le Massachusetts, au cours de laquelle des millions de germes de la grippe ont été injectés à plus d’une centaine d’hommes à l’hôpital public, et personne n’a contracté la grippe.

Pettenkofer (épidémiologiste) n’hésita pas à boire en public le 7 octobre 1892 une culture de bacilles du choléra, et ne développa pas d’infection. Ses étudiants, qui l’imitèrent ensuite, ne contractèrent pas la maladie. (Choléra : zone 4 du bioélectronigramme Vincent).

À moins que le microbe ou le virus ne causent une maladie chaque fois qu’ils infectent le corps, ils ne peuvent être une cause valable. Une cause doit être constante et spécifique dans son action, sinon ce n’est plus une cause. Les microbes et virus sont omniprésents, voici une des vérités fondamentales que Pasteur ou Béchamp ont découvertes. Mais Pasteur et ses disciples semblent ignorer le fait que les microbes et les virus n’ont jamais eu d’influence spécifique. (Source : Le Goulag du SIDA – Albert Mosséri, Editions Aquarius).

Le Dr. Ryke Hamer (1935-2017) n’a pas été le seul à démontrer que les maladies ne pouvaient pas être transmises d’un individu à un autre. Le physicien et médecin pathologiste allemand, Rudolf Virchow (1821-1902), a démontré lors d’une expérience, que si des bactéries vivantes sont transmises à une autre personne, cette personne ne développe pas la même maladie. Il y a eu des recherches audacieuses où Rudolf Virchow lui-même a ingéré des cultures de germes entières, sans développer de maladie. Il nous dit que l’hypothèse selon laquelle les maladies sont contagieuses n’est pas reproductible, et donc non scientifiquement prouvée. En bref, il nous dit que nous n’aurons pas la grippe, même si quelqu’un nous envoie un éternuement bien morveux. Contrairement à Pasteur, il rejette énergiquement l’hypothèse de l’intervention de germes infectieux dans les maladies contagieuses. (Source : conférence de Caroline Markolin, Ph. D. et Universalis.fr).

Le Dr. René-Nicolas Desgenettes, médecin chef, s’inocula publiquement du pus de bubon pesteux pour prouver que la peste n’était pas contagieuse ! Il ne mourut pas. Ce ne fut pas de la chance. Le docteur “ignorant” n’avait pas peur, car il ne croyait pas que ce pus puisse lui faire le moindre mal !

En 2001, l’astronome canadien Ken Tapping démontra que les trois derniers siècles de pandémies grippales étaient corrélés à des pics d’activité solaire magnétique, sur un cycle de onze ans. Il a également été constaté que certaines épidémies de grippe se répandent sur des contrées énormes en juste quelques jours, fait difficilement explicables par la contagion de proche en proche. De même, de nombreuses expériences liées à la contagion de proche en proche par contact, par projections de mucus ou autres procédés se révélèrent infructueuses.

Depuis 1933 à nos jours, les virologues ne peuvent présenter aucune étude expérimentale démontrant que la grippe se propage par contact normal entre personnes.

Toutes les tentatives ont échoué. (Source : The Invisible Rainbow – Arthur Firstenberg).

6)- Conséquence logique de l’inexistence de virus en tant que méchantes nano bibittes

S’il existe bien des structures biologiques ayant la forme de virus et de ce qui a été plus récemment appelé « exosomes », ce qui précède a apporté des arguments scientifiquement recevables en défaveur de la théorie virale. Pas plus que pour les bactéries ces structures virales n’ont pu être réellement démontrées comme étant la cause de maladies. Et aucune contagion n’a pu être reproduite expérimentalement à partir de tels germes à l’exclusion d’autres causes potentielles (telles que des empoisonnements par des substances chimiques ou par des ondes électromagnétiques) et selon un processus scientifique suffisamment rigoureux et impartial. Seule une telle démarche est à même de vérifier l’absence de biais, de syllogismes, de sophismes et d’erreurs diverses au sein d’une théorie.

Sous la pression de l’industrie pharmaceutique, la théorie virale n’a jamais passé une telle épreuve. Cependant, si suffisamment de virologues, d’infectiologues, d’épidémiologistes, de microbiologiques et de médecins en général s’ouvrent à cette réalité et prennent conscience de ses implications, alors, s’ils fonctionnent dans le cadre d’une démarche réellement scientifique (et non pas pour simplement préserver leurs croyances, leur réputation ou leurs copains de Big Pharma, selon le cas), ils ne pourront qu’aboutir à la conclusion suivante :

Les vaccins classiques et les pseudo vaccins actuels représentent un énorme mensonge, un scandale planétaire, un crime contre l’Humanité, des poisons qui n’ont jamais réellement pu guérir qui que ce soit ni préserver de la moindre maladie en dehors de leur possible effet placebo.

Conséquences subsidiaires

Comme la vaccination représente un dogme central de la religion médicale actuelle propulsée par Big Pharma, si les vaccins sont enfin reconnus comme une calamité pour les êtres humains et non comme des agents de bonne santé, alors c’est Big Pharma lui-même qui risque de s’effondrer et, dans la foulée, étant donné l’importance de cette Église dans le monde, c’est le Nouvel Ordre Mondial qui verra ses jours comptés.

Dans l’article La clef de la libération était évoquée l’idée de l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial sous l’effet d’une vibration, d’une expansion de conscience. La médecine et une bonne partie des sciences actuelles ont tellement dérivé de la démarche scientifique authentique, tellement « involué » vers le matérialisme le plus lourd et le plus dense (en perdant de vue la dimension spirituelle de l’Homme), qu’elles se sont cristallisées en nouvelle religion, d’ampleur mondiale. La doctrine et les dogmes de cette dernière sont désormais indiscutables, à moins d’être volontaire pour subir les foudres de l’inquisition moderne de la part des nouveaux grands prêtres vérificateurs de faits qui sévissent dans les chapelles médiatiques et de vouloir terminer sur le bûcher ou dans le nouvel enfer terrestre, celui des savants ostracisés, vilipendés, dénigrés à mort, crucifiés comme le fut le Christ pour s’être opposé aux croyances matérialistes de son époque.

La matière solide la plus répandue dans la croûte terrestre est la silice (composée de silicium et d’oxygène), et le silicium est le principal élément indispensable à l’informatique actuelle, la base de toutes les puces électroniques qui en constituent le cœur. Dans l’Apocalypse de Jean, après la Bête de la mer qui peut symboliser notamment les foules manipulables par la religion, les idéologies et les émotions (dont la peur), apparaît celle de la terre dont la silice et le silicium représentent alors le fondement. La Bête de la terre et sa fameuse marque (sans laquelle personne ne pourra plus rien acheter ni vendre) est alors étroitement liée à la silice et, par extension, à l’informatique et à tout ce que celle-ci aura permis de faire apparaître sur notre planète en matière de nouveaux miracles : aller dans l’espace à bord de fusées, ressusciter des morts, communiquer instantanément et dans toutes les langues d’un bout à l’autre de la planète, animer l’image de la Bête grâce à la télévision et aux téléphones cellulaires qui ont transformé les hommes en zombis décervelés, etc.

Le son est capable de détruire un cristal s’il est basé sur la même fréquence que celle propre à ce dernier, ceci grâce au phénomène physique de résonance. Par analogie, un son (une parole, une idée, une prise de conscience…) adéquat pourra désintégrer la cristallisation mentale représentée par le système de croyances derrière cette nouvelle religion mondiale : la médecine et la science matérialiste basées sur la technologie. La Bête de la terre (l’informatique) pousse à adorer celle de la mer (la religion mondiale que sont la médecine allopathique et une bonne partie de la science actuelle). Cependant, la compréhension et la réalisation que le dogme central de cette religion (la vaccination et la théorie virale) est un habile mensonge juste destiné à égarer, manipuler et finalement perdre l’Humanité et toute humanité représentent ce qui pourra finalement détruire le Nouvel Ordre Mondial.

La présente guerre n’est pas contre un virus, mais contre l’Humanité. il s’agit d’une guerre d’essence spirituelle.





Sociétés secrètes, État profond, lobbies, Covid-19

[Source : reseauinternational.net]

par Dominique Delawarde.

Aujourd’hui, partage d’informations sur un sujet qui me parait important et d’une actualité brûlante sur les sociétés secrètes et l’État profond aux USA, et ailleurs

La première vidéo proposée est un document d’archive de 5 minutes qui me paraît essentiel pour bien comprendre ce qui se passe aujourd’hui dans le monde. Il s’agit d’un discours (sous titré en français) du président Kennedy prononcé le 27 avril 1961, peu avant son assassinat. Ce président disposait, pour étayer son discours, d’énormes moyens pour savoir ce qui se passait vraiment dans les coulisses de son pays et dans celles du monde. S’il dénonçait avec autant de force l’influence maléfique de « sociétés secrètes », c’est qu’il savait de quoi il parlait.

Son propos n’est donc pas anodin. Il doit être pris au sérieux aujourd’hui comme hier, aujourd’hui peut être plus qu’hier.



Kennedy n’est pas le seul président US à avoir évoqué ces sociétés « secrètes », ces lobbies souvent transnationaux, qui influencent le cours des événements sur la planète.

Avant lui, le président Eisenhower avait mis en garde son pays, le 17 janvier 1961, contre l’influence potentiellement néfaste de ce qu’il appelait alors : « le complexe militaro-industriel ».



Après lui, le président Trump a, lui aussi combattu ce qu’il a appelé : « l’État profond », contre lequel il a mené une lutte sans merci, lutte qui n’est probablement pas terminée.

Pour les anglophones moins pressés, une émission télévisée d’enquête sur « l’État profond » ou « deep state » permet d’aller au fond des choses :

Bien sûr, on ne peut évoquer sereinement ces sujets sans être accusé de « complotisme » par la meute des médias mainstream occidentaux, devenue une auxiliaire fidèle et privilégiée de cet « État profond » qui en a pris progressivement le contrôle, et qui fait et défait aujourd’hui les présidents des grands pays occidentaux.

Ce sujet est d’une importance capitale et d’une actualité brûlante. Il doit constituer l’arrière plan de toute réflexion sur les grands événements qui concernent aujourd’hui la planète qu’ils relèvent de la géopolitique, de l’économie, de la crise sanitaire, de l’espionnage des grands dirigeants de ce monde.

Le pouvoir des lobbies transnationaux et mondialistes, renforcé par la technologie et la corruption des élites nationales promues et « tenues » par ces même lobbies, atteint aujourd’hui un niveau inégalé, à ce jour, dans l’histoire de l’humanité.

Aux USA, les évènements du 11 Septembre 2001 avaient permis à l’exécutif, surfant sur la peur entretenue par les médias, de mettre en place des mesures liberticides au prétexte d’une meilleure « Sécurité nationale » (Patriot Act). Prévues pour une durée initiale de 4 ans, nombre de ces mesures ont été prolongées et restent encore en vigueur aujourd’hui. …. vingt ans après.

En France, la « pandémie de la Covid-19 » constitue aujourd’hui, un prétexte pour un exécutif qui surfe également sur la peur entretenue par les médias, pour imposer, en force, des mesures toujours plus liberticides allant jusqu’à l’instauration d’un pass sanitaire permettant un meilleur contrôle d’une population réputée « indocile ». Nul ne connaît vraiment aujourd’hui la durée pour laquelle ce pass sera établi (En Israël, ce « green pass » a duré trois mois avant d’être abandonné …) ; Et jusqu’où iront les mesures privatives de liberté qui lui sont attachées…

Le lecteur notera que l’importance donnée à l’affaire de la Covid-19 n’est évidemment pas sans lien avec la corruption, les conflits d’intérêt et l’incompétence qui caractérisent l’élite autoproclamée qui gouvernent certains pays et certaines organisations internationales et les lobbies complices qui contrôlent la meute des médias mainstream dans ces mêmes pays.

La bonne nouvelle, c’est que certains pays savent encore raison garder (ou retrouver) en s’écartant résolument du mauvais exemple donné par la gouvernance française.

Israël l’a fait dès le 1er juin dernier : 
Israël: À Partir Du 1er Juin Toutes Les Restrictions Liées Au Coronavirus Seront Levées Et Le Passeport Vert Sera Annulé – I24news

Le Royaume Uni a suivi le 19 juillet : 
Covid-19 : le Royaume-Uni se prépare à lever les dernières restrictions (francetvinfo.fr)

Quant aux USA, la quasi totalité des 50 États de l’Union s’opposent à l’instauration d’un pass sanitaire : 
Vaccine passports: 50 states with bans, limitations & green lights (beckershospitalreview.com)

Seul l’État de New York a tenté l’expérience du pass sanitaire sur la base du volontariat. Notons que cet État s’est distingué par une gestion calamiteuse de l’épidémie, gestion qui le place sur la 2ème marche du podium US pour le taux de mortalité par million d’habitants…

S’agissant des grandes organisations internationales, l’OMS et le Conseil de l’Europe se sont prononcés clairement et fermement contre toutes les mesures de coercition visant à imposer la vaccination.

En France, de nombreux vaccinés « sous contraintes gouvernementales » se joignent aujourd’hui aux vaccino-sceptiques dans les manifestations contre le passeport vaccinal. Ils feront probablement payer électoralement ces mesures disproportionnées, à ceux qui aimeraient bien se présenter en « sauveur de la patrie », dans leur pari fou du pass sanitaire, comme ce fut le cas en Israël pour le malheureux Benyamin Netanyahou et son green pass, à la fin de mars dernier.

Wait and See.

Dominique Delawarde




Naissance d’un mouvement citoyen visant en priorité à sa réelle qualité de vie

Par Lucien Samir Oulahbib

La qualité des soins de la fraternité, de la solidarité, la liberté, l’égalité est sans doute et de plus en plus le dénominateur commun de cette vaste mobilisation qui s’amorce cette fin de juillet 2021 dans le monde avec ampleur, et ce, en France, particulièrement en province, ce qui en prouve déjà la profondeur. C’est vraisemblablement un mouvement de fond qui enfin émerge durablement, tapi dans l’ombre depuis des décennies, au-delà des tiraillements et des étiquetages partisans, et visant à la réelle qualité de vie, point de départ des révoltes des années 60 (à ne pas confondre avec les révoltes gauchistes petites-bourgeoises des années 70, aujourd’hui supplétifs du Pouvoir hygiéniste/scientiste/affairiste) et celles ayant débuté en novembre 2018 avec les « gilets jaunes » ce mouvement hétéroclite qui a été hélas parasité pour une part par les variants néo-gauchistes recyclés dans le relativisme culturel et le terrorisme intellectuel aujourd’hui de plus en plus visible.

D’ailleurs, ce néo-léninisme encore bien placé dans des rouages décisifs de la machine étatico-médiatique croit toujours que ce mouvement disparate visant à la qualité rechercherait en fait et uniquement à préserver ou à augmenter les points de retraite, le salaire, le « niveau » de vie, alors qu’il s’agit — on le voit de mieux en mieux — d’un effort politique au sens fort, cherchant d’abord à asseoir spirituellement une pensée qualitative de notre présence sur Terre, ou la vie effective.

Car au départ, la qualité de pensée prime, s’imprime dans les corps puis s’exprime. Mais c’est parce qu’elle devient qualitativement supérieure que cette expression devient quantitative, fait nombre, donc masse, ce qui fait basculer les gravitations symboliques et physiques telles par exemple ces policiers et soldats qui ne peuvent plus tirer, littéralement paralysée par ce souffle (pneuma).

Du moins si cette supériorité permet aussi de rendre visible l’incompétence de plus en plus manifeste de l’élite au pouvoir, car l’écrasement des révoltes au 20e siècle (et encore maintenant…) contredit en apparence cette idée du basculement se voulant d’abord qualitatif pour pouvoir être quantitatif. Certes. Cependant, les écrasements n’ont qu’un temps, mais l’époque des martyrs n’est pas révolue (voir tous ces héros en mort sociale). L’URSS s’est effondrée, l’Allemagne nazie écrasée, de même que le Japon militariste. Des citoyens tombent certes sous les balles (« ami, entends-tu ? »), mais la « Vieille Taupe » creuse (disait Karl M lisant Hamlet de Shakespeare).

Et même si l’on n’est pas d’accord avec « lui » (qui ne se disait pas marxiste), en particulier le fait que le feu permanent et inégal du conflit humain pourrait être définitivement éteint par l’eau tiède de l’égalitarisme, comme on le voit encore avec ce scientisme voulant substituer les fonctions immunitaires naturelles par des artificielles, il semble bien pourtant qu’il y ait en effet de plus en plus une contradiction désormais insurmontable entre le mouvement de fond de toutes ces nouvelles forces spirituelles et sociales qui aspirent cette fois à la réelle qualité de vie (ce que je nomme la néo-modernité) et l’ancienne architecture politique. Celle-ci n’a, au fond, que raffermi l’État absolutiste — au sens non républicain du terme (politeia) — à savoir la tyrannie non plus provisoire, mais se voulant perpétuelle, celle d’une ploutocratie globalisée qui veut profiter de la mondialisation des échanges multiformes pour imposer une société de plus en plus désunie, fragmentée, segmentée, avec d’un côté une élite cooptée, purifiée et éternellement jeune, et de l’autre le « peuple » — ces porteurs de sandales (étymon de piétons) —, piétaille, bétail à marquer au fer technologique instrumentalisé, parce que la nouvelle matière première est devenue le corps humain, son esprit aussi, l’élite autoproclamée scientiste hygiéniste affairiste ayant un ego démesuré et un appétit féroce (avoir des appartements partout dans le monde, du personnel, des mignon(ne)s, des jets et des hélicoptères, cela coûte).

D’aucuns cependant balaient d’un revers de main tout ceci en parlant encore de démocratie et de crise sanitaire à « gérer », critiquable sans doute, mais c’est tout, ce qui frise non seulement l’irréalité, mais bascule, sans le savoir pour certains tant ils sont aveuglés par la propagande scientiste, dans l’idéologie du 2+2=5 de 1984. Car la démocratie ce n’est toujours pas agir par état d’urgence reconductible et surtout disproportionné au vu des chiffres réels et des traitements et préventions réels à disposition.

Voilà ainsi l’enjeu, semble-t-il : la « crise » actuelle s’avère d’ampleur, mais elle court depuis plusieurs siècles, et ce sans doute en effet aura surgi en amplitude durant ladite Renaissance en Europe lorsque d’aucuns ont cru qu’il suffisait soit de revenir au Même des Anciens soit de basculer résolument dans le seul fleuve du Nouveau ; d’où la critique dernière du Romantisme, puis de tous les « ismes » à sa suite ; alors qu’il s’agit d’un « mixte » des deux, car le nouveau tout en se voulant toujours autre ne peut faire l’impasse sur la nécessité d’une durée, à moins de croire que cette dernière ne serait qu’un songe et partant la vie également, comme tentent de nous le faire croire les scénaristes actuels de la réalité virtuelle devenant de plus en plus, pour certains, la seule vie réelle qu’ils cherchent à imposer (contredisant le mot attribué à Voltaire).

Il semble bien cependant que cet hyperréalisme-là (modélisé) devienne insoutenable, au sens où précisément la prise de conscience issue de la Révélation christique fut de penser qu’il n’est point possible de vivre par procuration : admirer, oui, imiter le plus possible sans doute les Héros, Saints, Mythes, toutes ces matrices du beau, du bien et du vrai se déclinant en contes et légendes ; mais de là à passer son temps à les copier et servir, non (telle fut sans doute d’ailleurs le fond de cette Révélation comme je l’explique dans Rhombe en considérant qu’elle provient bien plus de Moïse que d’Abraham).

Être ou ne pas être pleinement citoyen au sens grec du terme devenu aujourd’hui universel grâce au christianisme (d’origine juive) à leur métaphysique fondamentale (Maïmonide, Descartes, Pascal, Bergson…) présuppose la liberté comme fondement (le défi d’Eve prenant le Fruit et l’offrant à Adam). C’est elle qui nous anime en qualité, et qui cherche aujourd’hui à atteindre une nouvelle forme plus adéquate à son développement en expansion (tout comme l’Univers). Tel est l’enjeu à la fois local et mondial aujourd’hui (ou l’Universel, morphologique, qui n’impose rien puisqu’il est pour qui veut comme je l’indique aussi dans Être et vérité du réel humain).




Dérive liberticide : des avocats montent au front en France

[Source : reseauinternational.net]

par Jean-Dominique Michel.

La situation en France a quelque chose de terrifiant : nous voyons basculer dans l’abjection et l’ignominie une nation qui a été une référence mondiale en termes de droits de l’homme et de défense des libertés.

Je sais combien la comparaison agace, mais combien cela fleure-t-il bel et bien l’Allemagne des années 30. Les quelques lucides à cette époque virent basculer une nation de culture, de pensée, de littérature, de grande musique dans cet état barbare, emportés par les diableries d’un vrai psychopathe. En ce qui concerne Emmanuel Macron, la question se pose désormais…

Comment peut-on en effet pareillement maltraiter, violenter, truander, asservir et même (selon les définitions prévalant en la matière) torturer son peuple sans la moindre vergogne ni le sens de la parole donnée ?

Faut-il rappeler les assurances que l’autocrate donnait encore il y a peu, la bouche en cœur, sur le fait qu’il ne saurait y avoir de pass sanitaire ou de vaccination obligatoire dans le pays des Lumières, ajoutait-il, qu’était la France ?

Au même moment où il proférait ces fieffés mensonges, ses équipes travaillaient sur les projets qui nous sont maintenant imposés au mépris de la parole présidentielle et de tout état de droit comme de toute éthique. Comme cette inique obligation du pass sanitaire pour se faire soigner à l’hôpital public…

Faudra-t-il rappeler un fois de plus la parole de Racamier, le psychiatre qui a conceptualisé le profil de « manipulateur pervers » décrivant celui-ci comme quelqu’un « pour qui un mensonge réussi vaut une vérité » ?!

Les quelques penseurs et scientifiques intègres qui s’épuisent à nommer cette ignominie sont enfin rejoints par de plus en plus de citoyennes et citoyens de plus en plus choqués par cette violence et ce mépris.

Un front se lève, un front citoyen, patriotique, mais aussi des corps et des métiers. Comment oser en effet faire une telle brutalité aux soignants héroïques au printemps et à l’automne, dont on ne cesse de détruire l’outil de travail tout en ne cessant de les mépriser ?

Pourquoi ce vent de folie face à un virus comme il y en a eu des centaines de plus graves et dangereux dans l’histoire de l’humanité, qui n’a pas changé la mortalité en 2020, qu’on saurait soigner précocement et qui ne représente un danger que pour les gens n’ayant plus en moyenne que quelques mois d’espérance de vie ?!

C’est toute l’étendue d’une manipulation qui n’en finit pas. On continue d’empêcher tout ce qui aurait pu et pourrait aider à traiter une épidémie qui aurait été parfaitement gérable, à provoquer des catastrophes inutiles (et heureusement malgré tout limitées) pour pouvoir continuer de faire avancer à la baguette vers l’abime un peuple traumatisé à force de propagande et de mensonges médiatiques.

Des voix continuent de se faire entendre comme celle, bouleversante de courage, de sensibilité au sens le plus sacré du terme et d’intelligence de Me Virginie de Araujo-Recchia. Les lectrices et lecteurs de ce blog sont familiers de cette grande dame, qui me donna à publier sa remarquable analyse sur les qualifications des agissements du gouvernement français au regard du droit pénal international et humanitaire. Et qui accepta à ma grande reconnaissance d’être mon avocate face aux attaques débiles et hideuses que j’ai subies de la part de groupes ou d’individus spécialisée dans le harcèlement en ligne et la diffamation

Elle vient de lancer un appel solennel aux forces armées qui force le respect et l’admiration, en nommant la réalité du Mal auquel nous sommes confrontés… de la part de nos gouvernants, ce qui en fait la singularité face à l’Histoire. Et c’est bien tout l’enjeu aujourd’hui : jusqu’à quand les élus, les médecins, les scientifiques, les journalistes, les fonctionnaires accepteront-ils de rester au service de la « banalité du mal » qui maltraite, abuse, traumatise et torture en particulier les catégories les plus fragiles de la population ?

À la suite de cette remarquable prise de parole, je relaye ici la tribune signée par déjà une centaine d’avocats à travers la France intitulée « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

C’est le temps de la bascule totalitaire. C’est donc aussi le temps de la résistance, de l’héroïsme banal et quotidien auquel nous sommes toutes et tous appelés pour mettre en échec, avec toute notre détermination imperturbable, dans la sérénité et la non-violence, ce cauchemar collectif qu’on nous impose au mépris de l’honnêteté et du droit.

https://youtu.be/TgT9xaU7KXc

Des avocats pour le respect du droit et des libertés

Plus d’une centaine d’avocats à travers le territoire se sont réunis pour écrire et signer une tribune : « Nous ne sommes ni pro ni anti-vaccin mais pour le respect des libertés ».

Nous ne sommes ni PRO ni ANTI VACCIN, mais pour le respect des libertés

À l’heure où l’urgence sanitaire est plus que jamais d’actualité et qu’il apparait plus que nécessaire d’y apporter des solutions concrètes et efficaces, le gouvernement souhaite tendre à une généralisation de la vaccination auprès de tous les Français1 et pour y parvenir a annoncé de :

  • rendre obligatoire le vaccin pour les professionnels en contact avec des personnes vulnérables ;
  • obtenir la vaccination généralisée de la population par l’extension du PASS SANITAIRE à plusieurs lieux accueillant du public.

Toutefois, cela ne peut se faire au détriment du respect de nos droits les plus fondamentaux que sont, notamment, le droit au respect de la vie privée et familiale2, le droit à l’intégrité physique et au principe d’inviolabilité du corps humain3, la liberté de conscience, la liberté d’aller-et-venir, le principe de non-discrimination entre les personnes, le droit au secret médical.

En amont, il convient de connaître le réel statut juridique des vaccins « COVID-19 ». Compte tenu de l’urgence sanitaire, ces vaccins bénéficient d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) Conditionnelle renouvelable chaque année avec obligation pour les laboratoires de produire des données complémentaires.

En effet, le vaccin n’étant pas un produit de santé comme les autres et puisqu’il reste un médicament soumis à un encadrement juridique strict4, il doit répondre à une exigence de sécurité qui passe par une surveillance à court mais aussi à long terme5, ainsi que par une évaluation régulière des effets indésirables au regard des bénéfices attendus.6

Ce n’est qu’une fois que le niveau de sécurité du vaccin, au regard de la balance bénéfice/risque sur le court et sur long terme est obtenu, que l’AMM dite standard est délivrée.

Or, concernant les vaccins COVID-19 « les données à long terme sur l’efficacité et la sécurité n’étant pas disponibles »7, la Commission européenne n’a délivré que des AMM conditionnelles.

C’est pourquoi et dans la mesure où la pharmacovigilance de ces vaccins ne permet pas, aujourd’hui, de s’assurer de la sécurité des vaccins sur le long terme, plus que jamais chacun devrait rester LIBRE de consentir ou non à se faire vacciner. Rendre la vaccination obligatoire est par conséquent inconcevable.

À ce titre, concernant l’obligation de recueillir le consentement de tout usager du système de santé, notre corpus juridique bénéficie d’un socle solide passant du Code de Nuremberg à la Résolution 2361 (2021) adoptée le 27 janvier 2021 par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.8

À titre d’exemple, la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé, prévoit que le consentement à tout acte médical doit être libre et éclairé.

Libre, cela signifie que la personne doit manifester sa volonté à l’acte médical et donc son accord non équivoque à l’atteinte à l’intégrité de son corps et cela sans contrainte ni pression.

Éclairé, cela signifie d’avoir au préalable reçu une information loyale, claire, appropriée, complète9 et cela quel que soit le contexte d’urgence10, notamment sur le fait que les données sur le long terme ne sont pas disponibles, sur les risques fréquents ou graves normalement prévisibles en l’état des connaissances scientifiques et des conséquences que ceux-ci pourraient entraîner.

Rappelons que si seul le législateur peut rendre une vaccination obligatoire11, c’est à la double condition que la maladie soit particulièrement bien connue par la médecine12 et, comme le rappelle le Conseil d’État, que l’ingérence de la vaccination obligatoire dans les libertés individuelles se fasse moyennant un contrôle de proportionnalité prenant acte de l’efficacité certaine des vaccins en cause, au regard du caractère limité de leurs effets indésirables13, ce qui n’est pas le cas en l’espèce.

Par ailleurs, obliger la présentation du PASS SANITAIRE pour l’accès à de nombreuses activités de la vie quotidienne (notamment se rendre à l’hôpital, dans un centre commercial pour faire ses courses, à un spectacle ou au restaurant) c’est :

  • nous obliger à divulguer notre statut vaccinal et donc violer notre droit au secret médical ;
  • introduire de violentes discriminations entre vacciné.e.s et non vacciné.e.s, volontaires ou non. Puisque ne l’oublions pas, certaines personnes ne peuvent pas ou n’ont pas le droit, et cela pour de nombreuses raisons, de se faire vacciner ;
  • porter atteinte à la liberté de circulation ;
  • augmenter la fracture économique et sociale à l’égard des plus démunis.

C’est d’ailleurs pour toutes ces raisons que, le 21 janvier 2021, l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a demandé instamment aux États membres et à l’Union européenne « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement » et « de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ».

Ainsi, pour tous ces motifs, nous ne pouvons pas accepter le chantage déguisé du président de la République justifié, à tort, par sa volonté de faire primer la protection de la santé collective au détriment, en l’état des connaissances scientifiques, de la protection certaine de l’individu et de bon nombre de nos libertés individuelles et collectives.

____________

Cette tribune est ouverte à la signature de ceux de nos confrères qui souhaitent nous rejoindre. Adressez vos souhaits de signature en commentaire ou à l’adresse : avocats.libertes@gmail.com

AVOCATS SIGNATAIRES

  • Besma MAGHREBI, barreaux de PARIS et MARSEILLE
  • Stéphane MAUGENDRE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Marine ROGÉ, barreau de PARIS
  • Samir KAHOUL, barreau du VAL DE MARNE
  • Flavie De MEERLEER, barreau de TOULOUSE
  • Hadjar KHRIS-FERTIKH, barreau de PARIS
  • Mélody OLIBÉ, barreau de PARIS
  • Christine CLAUDE-MAYSONNADE, barreau de TARBES
  • Shirley DEROO, barreau de PARIS
  • Agnès ASCENSIO, barreau de PARIS
  • Helena BONDO, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Karine SHEBABO, barreau de PARIS
  • Sophie MAZAS, barreau de MONTPELLIER
  • Loreleï VITSE, barreau de DUNKERQUE
  • Agnès TEISSEDRE, barreau de PARIS
  • Julie MAIRE, barreau de PARIS
  • Anaïs GALLANTI, barreau de PARIS
  • Anne MILEO, barreau de PARIS
  • Sarah SCALBERT, barreau de PARIS
  • Anne LASSALLE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Alima BOUMEDIENE THIÉRY, barreau du VAL D’OISE
  • Hicham ABDELMOUMEN, barreau de PARIS
  • Marianne PIEROT, barreau de PARIS
  • Marie Noëlle SPINELLA, barreau de PARIS
  • Michael NEUMAN, barreau de PARIS
  • Nadine REY, barreau de PARIS
  • Sabrina BOUAOU, barreau de l’ESSONNE
  • David LIBESKIND, barreau de PARIS
  • Anna CHERIF HAUTECOEUR, barreau de PARIS
  • Laura ROUSSEAU, barreau de PARIS
  • Armide REY-QUESNEL, barreau de DUNKERQUE
  • Corinna KERFANT, barreau de VERSAILLES
  • Arnaud LIBAUDE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Maria Del Pilar MOROTE ARCE, barreau de PARIS
  • Audrey AVRAMO-LECHAT, barreau de PARIS
  • Cynthia BYRAM, barreau de PARIS
  • Sabrina ABDENNOUR, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Laure LAYDEVANT, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Lauriane BUNOMANO, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Aline BRIOT, barreau de CHAMBERY
  • Jean-Marc ANDRE, ancien bâtonnier, barreau de VERSAILLES
  • Stéphanie TOURE-JENNI, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Valérie LEPAGE-ROUSSEL, barreau de PARIS
  • Nathalie WOROCH, barreau de BETHUNE
  • Séverine MANNA, barreau de PARIS
  • Fabien GRECH, barreau de NICE
  • Sandra MACKAYA, barreau de MARSEILLE
  • Stéphane SCHONER, barreau de BETHUNE
  • Hugo BOUILLET, barreau de TOULOUSE
  • Camille DIRE, barreau de NICE
  • Pierre ROUANET, barreau de PARIS
  • Mehdi BOUZAIDA, barreau de PARIS
  • Dominique GANTELME, barreau de PARIS
  • Norbert GRADSZTEJN, barreau de PARIS
  • Hakima SLIMANE, barreau de PARIS
  • Marine GRINSZTAJN, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Sophia ALBERT-SALMERON, barreau d’AVIGNON
  • Jason BENIZRI, barreau de PARIS
  • Éric TAVENARD, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Caroline MECARY, barreaux de PARIS et du QUEBEC
  • Aurélie NGUYEN, barreau de PARIS
  • Laura WESLING, barreau de MARSEILLE
  • Nacima DJAFOUR,  barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Mihidoiri ALI, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Laetitia RIGAULT, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Sendegul DARRAS, barreau de STRASBOURG
  • Berenger TOURNEK, barreau de PARIS
  • Stephan DENOYE, barreau de PARIS
  • Marie-Hortense MORTON HAMILL, barreau de NICE
  • Carine ZIMMER, barreau de LILLE
  • Gaëtan BACHELIER, barreau d’ANGOULÊME
  • Grégory THUAN DIT DIEUDONNE, barreau de STRASBOURG
  • Thibault GEFFROY, barreau de PARIS
  • Hans-Christian KAST, barreau de PARIS
  • Hélène TEYSSEYRÉ, barreau de MARSEILLE
  • Nicole FOULQUIER, barreau de BEZIERS
  • Chloé SERGENT, barreau de PERPIGNAN
  • Lou GODARD, barreau d’AIX EN PROVENCE
  • Anne-Sophie BASTIN, barreau de LILLE
  • Delphine SAVIGNY, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Fabian GORCE, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Madeleine BIZOT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Laurent ROBERVAL, barreau de LILLE
  • Delphine ZOUGHEBI, barreau de PARIS
  • Jamel MALLEM, barreau de ROANNE
  • Hélène SEGURA, barreau de l’EURE
  • Laurence ALZIARI, barreau de NICE
  • Julie HABARES, barreau de PARIS
  • Samantha GRUOSSO, barreau de PARIS
  • Julien DRAY, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Philippe de la GATINAIS, barreau de PARIS
  • Ouadie ELHAMAMOUCHI, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Rochane NEMATOLLAHI-GILLET, barreau de PARIS
  • Claire LEGRAND, barreau de PARIS
  • Judith BAZIN, barreau de MONTPELLIER
  • Marguerite SCHAETZ, barreau de PARIS
  • Manon BEAUCARNE, barreau des HAUTS-DE-SEINE
  • Elie LIONS, barreau de NICE
  • Clotilde PAUVERT, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Nina PETER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Pascale FEUILLEE-KENDALL, barreau de VERSAILLES
  • Jérôme CAMPESTRINI, barreau de NICE
  • Nabila ASMANE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Sabrina HACHOUF, barreau de MARSEILLE
  • Julie FÉVRIER, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Constance MACHICOTE, barreau de SEINE-SAINT-DENIS
  • Mohamed FELLOUAH, barreau de MARSEILLE
  • Claire MELIANDE, barreau de BORDEAUX
  • Olivia MONTEIL, barreau de PARIS
  • Florence JOURNIAC, barreau de SAINT-PIERRE-LA REUNION
  • Louis LAÏ-KANE-CHEONG, barreau de PARIS
  • Alex VARDIN, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Alexandre BRAUD, barreau de BETHUNE
  • Adil SAHBAN, barreau de PARIS
  • Emilie VERGNE, barreau de PARIS
  • Natacha BRITSCH, barreau de PARIS
  • Viviane SOUET, barreau de PARIS
  • Morgan POULY, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • Fanny OLIVIER, barreau de SAINT-DENIS-LA REUNION
  • David SILVA, barreau de PARIS
  • Perle GOBERT, barreau de BORDEAUX
  • Hélia DA SILVA, barreau de LYON
  • Ludivine BOISSEAU, barreau de LYON
  • Mélissa MASSERON, barreau de LYON
  • Myriam KERNEIS, barreau de DAX
  • Estelle CAMPANAUD, barreau de NANTES
  • Christophe GUILLAND, barreau de CHAMBERY
  • Nathalie NOEL, barreau de BORDEAUX
  • Nathalie BEURGAUD BONADA, barreau de NICE, Vice Bâtonnier
  • Christophe ROSA, barreau de GRASSE
  • Ingrid JOLET, barreau de DIJON
  • Stéphane ROUSSET-ROUVIERE, barreau de TOULON
  • Romain GUERINOT, barreau de NICE
  • Jennifer GUINARD, barreau de BERGERAC
  • Béatrice TRARIEUX, barreau de BERGERAC
  • Najet MALLEM, barreau de BOURGOIN-JALLIEU
  • Delphine GUENIER, barreau de MARSEILLE
  • Ingrid BLAMEBLE, barreau de Saint-Denis de la Réunion
  • Pascal JACQUOT, barreau de PARIS
  • Alexandra MANCHES, barreau de PARIS
  • Sarah CAMINITI-ROLLAND, barreau de NICE
  • Anne-Marie DUVIVIER, barreau de LA ROCHELLE-ROCHEFORT
  • Hélène ROBEIN, barreau des HAUTES-ALPES
  • Bilgehan ERCOK, barreau de LYON
  • Emilie OLIVIER, barreau des HAUTES-ALPES
  • Zoé GUILBAUD, barreau de NANTES
  • Eva-Belin AMADOR, barreau de TOULOUSE

  1. Site du gouvernement : gouvernement.fr/info-coronavirus
  2. Article 8 CEDH
  3. Article 16-1 code civi
  4. L.5111-1 du Code de la santé publique et suivants
  5. Notamment sous la tutelle de l’ANSM au niveau national
  6. Dite : balance bénéfice/risque
  7. Site ANSM : ansm.sante.fr/covid-19-vaccins-autorises
  8. Code de Nuremberg, loi bioéthique du 30 juillet 1994, article L521-1 du Code de justice administrative, article 35 du Code de déontologie médicale, article 16-1 du Code civil et article L1111-4 du Code de la santé publique et pace.coe.int/29004
  9. L.1111-2 du Code de la santé publique
  10. CCNE avis du 21 décembre 2020
  11. QPC n°458 du 20 mars 2015
  12. CEDH 2 mars 2021
  13. CE 6 mai 2019 n°419242



Le Guerrier Pacifique, François Amalega, préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides

[Source et auteur : Guy Boulianne : auteur, éditeur et journaliste indépendant]

Je vous invite à regarder le reportage de Mathieu Laflamme réalisé en collaboration avec l’organisme Courage Québec / Fearless Canada, intitulé : « L’esprit d’un guerrier pacifique ». Brillant professeur de mathématiques, François Amalega Bitondo parle avec son cœur et explique pourquoi il a tout sacrifié pour défier la tyrannie. Il décrit comment il a dû quitter le Collège de Jean-de-Brébeuf (Montréal) et renoncer à sa profession pour assumer pleinement sa responsabilité sociale. Intègre, il défend pacifiquement la liberté de penser et ouvre courageusement la voie d’une désobéissance intelligente et pacifiste. Depuis des mois, il sensibilise les individus sur l’absurdité des mesures sanitaires, aux dépens de sa liberté et de sa vie : il dit être « prêt à mourir » pour assurer un monde plus juste et libre pour les générations futures.

Le 20 juillet 2021, lors d’une soirée sombre et tonitruante à Montréal, la légende locale et militant intransigeant François Amalega a rencontré Mathieu Laflamme de Courage Québec / Fearless Canada. Amalega a parlé des raisons pour lesquelles il a rejoint le mouvement de la résistance au Québec et précisément combien il a sacrifié pour rester fidèle à ses convictions les plus profondes.



À l’été 2020, alors que ses collègues tentaient en vain de le forcer au silence, Amalega a renoncé à son poste de professeur titulaire de mathématiques au Collège Brébeuf, à Montréal. Il a été confronté à ses positions, accusé d’épouser des croyances complotistes et on lui a demandé de fermer ses profils de médias sociaux s’il voulait conserver son emploi. Bien sûr, Amalega a refusé et a plutôt présenté sa démission. Depuis, il lutte sans relâche et de manière pacifique dans les rues de nombreuses villes du Québec contre les mesures de confinement inconstitutionnelles, contre l’obligation du port du masque et, plus récemment, contre les passeports vaccinaux discriminatoires et diviseurs.

Ayant reçu 37 constats à ce jour et ayant été arrêté à de nombreuses reprises, l’esprit guerrier pacifique d’Amalega l’oblige à continuer. Comme il l’explique dans l’interview, il préfère mourir que de se soumettre à un gouvernement tyrannique qui émet des décrets liberticides, en l’absence de tout débat, lorsqu’ils sont complètement déconnectés de la science et de la raison. Alors que ses positions sont principalement contre les mesures gouvernementales autoritaires, Amalega refuse également d’acquiescer à une société moralement et intellectuellement en faillite qui préfère accepter un mensonge que de débattre des faits et risquer d’arriver à une vérité plus que dérangeante.



Le 22 juillet 2021, François Amalega Bitondo s’est fait arrêter pour la seconde fois par les policiers lors d’une action devant le magasin Canadian Tire de Joliette. Il s’est rendu le lendemain au palais de justice de Joliette. Il devait comparaître pour quatre accusations déposées contre lui. 

« Il a été arrêté et libéré mercredi avec une promesse de comparaître et il a eu une accusation pour avoir troublé la paix. Jeudi, il a encore essayé de rentrer dans le Canadian Tire sans masque, alors qu’il n’avait pas le droit d’y retourner. Il a donc été arrêté une seconde fois », explique le lieutenant Benoît Richard, de la Sécurité du Québec (SQ).

Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) confirme que François Amalega a été libéré le lendemain sous promesse de comparaître à nouveau le 15 septembre prochain.



Comme l’explique l’avocat André Lafrance : 

« Le sensationnalisme du Journal de Montréal, un journal abrutissant s’il en est. Au Québec il [François Amalega] est anti-masque, ailleurs il est un citoyen normal. Malheureusement, les règles sanitaires liberticides de Legault doivent être respectées même si elles ne font plus de sens, et surtout que l’efficacité de ce bidule a été remis en question par plusieurs experts internationaux. En fait, plusieurs provinces n’exige plus le port du masque de même que la presque totalité des États-Unis et la majorité des pays d’Europe. Cela veut dire que si Francois Amalega avait fait son geste en Colombie-Britannique, il aurait agit légalement. Le Journal de Montréal est pro dictature, point barre. »



Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs.
[8 juillet 1942] — Ordonnance allemande interdisant aux Juifs la fréquentation des salles de spectacle et leur interdisant l’accès aux magasins en dehors de la période de 15 à 16 heures. Document ci-haut : Mesure d’application de la 9e ordonnance des autorités d’occupation au sujet des Juifs. Ce texte dresse la liste des lieux désormais interdits aux Juifs (mesures prises par le gouvernement de Vichy).

[Voir aussi :
Mourir libre ou vivre esclave et
La clef de la libération]




Ce n’est pas de passe sanitaire ni de pseudo vaccins dont la France a besoin, mais de LIBERTÉ !

Par Gérard Delépine

Les pseudo vaccins actuels sont gravement inefficaces

Un « vrai vaccin » contient des antigènes spécifiques du virus ou de la bactérie suscitant une réaction immunitaire spécifique, et il est efficace. Les vaccinés contre la diphtérie ou la fièvre jaune sont protégés à vie de la maladie, ne peuvent donc pas la transmettre et n’ont aucun risque d’en mourir.

Mais ceux qui ont reçu les pseudo vaccins anti-covid peuvent attraper la maladie, la transmettre et en mourir.

Les données acquises de la science montrent que se « vacciner anticovid » ne protège ni de la maladie, ni du risque de faire une forme grave, ni d’en mourir.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la maladie

À Chavagnes-en-Paillers en Vendée,(([1] https://by-jipp.blogspot.com/2021/06/21-vaccins-arnm-dans-une-communaute.html)) entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée ont reçu l’un des « vaccins » expérimentaux ARNm, à l’exception d’un prêtre infecté auparavant. Sur les 22 prêtres vaccinés, 21 sont tombés malades et sept sont décédés dans un délai de deux à trois semaines et demie.

On ne compte plus les EHPAD de France et d’Europe qui ont subi des flambées d’épidémies mortifères, malgré la vaccination de tous leurs pensionnaires.(([2] Covid-19 : des clusters détectés dans des Ehpad malgré la vaccination des résidents
https://www.midilibre.fr/2021/04/06/covid-19-des-clusters-detectes-dans-des-ehpad-malgre-la-vaccination-des-residents-9471406.php))(([3] RTL Coronavirus : 47 résidents d’Ehpad contaminés malgré la vaccination
https://www.rtl.fr/actu/bien-etre/les-infos-de-18h-coronavirus-47-residents-d-ehpad-contamines-malgre-la-vaccination-7900000887))(([4] Covid : malgré la vaccination, deux clusters signalés dans des Ehpad de Haute-Garonne et du Lot
https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/covid-malgre-la-vaccination-deux-clusters-signales-dans-des-ehpad-de-haute-garonne-et-du-lot-2059636.html))(([5] Covid-19 : des résidents d’EHPAD positifs malgré leur vaccination
https://fr.news.yahoo.com/covid-19-residents-ehpad-positifs-malgre-vaccination-173345922.html))(([6] Covid-19 : un cluster malgré des vaccinations dans un Ehpad des Landes
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/vaccin/covid-19-un-cluster-malgre-des-vaccinations-dans-un-ehpad-des-landes_4373347.html))

Quatre des neuf navires du groupe aéronaval de la Royal Navy dont le HMS Queen Elizabeth, le nouveau porte-avions britannique, ont été touchés par une épidémie de Covid(([7] https://www.lorientlejour.com/article/1268472/epidemie-sur-le-porte-avions-hms-queen-elizabeth-apres-une-escale-a-chypre.html)) avec plus de 100 cas, alors que tous les marins à bord avaient reçu leurs deux doses depuis plus de trois mois.

En Israël, les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas,mais les décodeurs du monde ont le culot d’affirmer que c’est une bonne nouvelle.(([8] Gary Dagorn Covid-19 : les vaccinés représentent 40 % des nouveaux cas en Israël (et c’est une bonne nouvelle) le 02 juillet 2021)) « C’est pourtant là, chose tout à fait normale et attendue. » Craignait-il que les vaccins soient totalement inefficaces pour se réjouir d’un pareil échec ? Toute contamination d’un vacciné constitue un échec ; on n’en observe heureusement presque jamais avec les vrais vaccins classiques (qui n’existent pas pour le covid19 dans nos contrées).

Contrairement aux annonces des labos et de nos gouvernants, recevoir l’injection anticovid ne protège pas non plus des formes graves

Actuellement en Israël les vaccinés sont plus nombreux en réanimation que les non-vaccinés.

Cela démontre de manière formelle que les pseudo vaccins ne protègent pas des formes graves.

Recevoir l’injection anticovid ne protège pas de la mort par Covid

Santé Publique Angleterre, faisant le bilan des derniers mois, constate que sur les 257 personnes qui sont mortes de Covid entre le 1er février et le 21 juin 2021, 163 (63,4 %) avaient déjà reçu au moins une dose du vaccin, et conclue : « les personnes vaccinées meurent plus que les non-vaccinées ».(([9] https://www.gov.uk/government/publications/investigation-of-novel-sars-cov-2-variant-variant-of-concern-20201201))

Constatation confirmée par O. Véran dans sa réponse au Conseil d’État en mars 2021 : « les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant ».

Un vrai vaccin efficace empêche d’être malade et encore plus de faire des formes graves et d’en mourir. Ce n’est pas le cas des injections géniques actuelles présentées comme de vrais vaccins.

Certains fastcheckers(([10] https://www.fr24news.com/fr/a/2021/07/plus-de-personnes-vaccinees-meurent-de-covid-en-angleterre-que-de-personnes-non-vaccinees-voici-pourquoi.html)) pour désamorcer la bombe que constituent ces faits établis n’hésitent pas à se ridiculiser en concluant : « le fait que plus de personnes vaccinées meurent que de personnes non vaccinées ne compromet en rien l’efficacité des vaccins. En fait, c’est exactement ce que l’on attend des excellents vaccins ».

Est-ce de l’humour noir qui a échappé aux correcteurs ? J’espère que l’auteur, Christian Yates, non-médecin, a quand même été payé pour proférer de pareilles stupidités dignes des pires antivax. Ont-ils oublié que les vaccins contre la variole, la fièvre jaune ou la diphtérie protègent tous les vaccinés à vie et complètement contre les maladies cibles ?

Alors, pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent de répéter la propagande des labos en prétendant que la vaccination protégerait à 95 % de la maladie et en particulier des formes graves ?

Les pseudo vaccins n’empêchent pas la transmission aux contacts ni la propagation de la maladie dans la population

Aucune étude scientifique n’a pu démontrer que les injections diminueraient le risque de transmettre la maladie. L’examen des chiffres et des courbes — officiels — des cas publiés par l’OMS ou OurWorldinData, montre le contraire.

Les exemples — britannique, israélien et espagnol — montrent l’absence d’efficacité des pseudo vaccins contre la dissémination de la maladie dans les populations ; ces champions des pseudos vaccins sont actuellement confrontés à une forte reprise de l’épidémie avec des variants dont ils ont favorisé l’émergence.

Et même Olivier Véran l’a d’ailleurs reconnu dans sa réponse au Conseil d’État : « le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers ».

Alors pourquoi le gouvernement et les médias complices continuent-ils de prétendre que la vaccination serait le meilleur moyen de lutte contre l’épidémie ?

Les pseudos vaccins actuels ne sont pas dépourvus de risques

Le site d’Eudravigilance comptabilise plusieurs centaines de milliers d’effets secondaires et près de 19 000 décès post injectons anti-covid.

La majorité des effets secondaires sont relativement bénins, mais imposent souvent des arrêts de travail de quelques jours du personnel des hôpitaux (au point de justifier la recommandation de la Haute Autorité de santé de ne pas vacciner en même temps les membres d’un même service).

Les myocardites et les péricardites (inflammation du cœur et de son enveloppe) post vaccination sont des complications sévères maintenant reconnues par la FDA qui touchent principalement les hommes de moins de trente ans et plus encore les adolescents vaccinés.

Beaucoup de sportifs qui se vaccinent et voient ensuite leurs performances baisser de 10 % à 20 %. L’alerte pour les sportifs de haut niveau vient de la Belgique. Elle a été relayée en France par Christophe Lemaitre, forfait pour les Championnats de France à Angers comme Jimmy Vicaut et le demi-fondeur Pierre-Ambroise Bosse non qualifiés pour les JO. Au lendemain des annonces similaires de Quentin Bigot et de Pascal Martinot-Lagarde, la cascade de forfaits de grands noms de l’athlétisme français après vaccination continue

Mais l’injection peut être aussi suivie de décès. Comme ce médecin âgé de 55 ans, sportif et alpiniste, mort d’une thrombose après une injection de Pfizer/BioNtech, ou cet agent hospitalier de 54 ans à La Garde ou Carole Petit, une assistante sociale de 38 ans qui travaillait à Albi, morte de thromboses cérébrales fin mars, à l’hôpital Purpan, trois semaines après vaccination.

Les décès n’épargnent pas les jeunes comme ce jeune interne en médecine nantais en excellente santé et sportif dont l’autopsie « indique que la cause du décès est une thrombose abdominale (…) au niveau de la rate avec des caillots très récents »

Les décès n’épargnent pas les sportifs de haut niveau. Ainsi Lise Vidal, double championne d’Europe de planche à voile, propagandiste de la vaccination est décédée brutalement à l’âge de 43 ans d’une hémorragie cérébrale après vaccination.

La ségrégation par le passe ne peut avoir aucun effet positif sur l’épidémie

Le passe constitue un moyen totalitaire de chantage brutal « vacciné ou enfermé » destiné à imposer l’injection par une voie détournée(([11] Imposer par la loi un médicament expérimental serait contraire au droit et en particulier à la convention d’Oviedo que la France a signée)) en nous promettant qu’ensuite nous retrouverons nos libertés scandaleusement confisquées. Mais quel crédit peut-on accorder à cette promesse compte tenu des reniements habituels des promesses de Macron ? D’autant que beaucoup des covid-terroristes font actuellement campagne dans les médias pour toujours plus d’enfermement.

Mais on ne voit pas comment l’obligation d’un pseudo vaccin (qui n’empêche pas d’attraper la maladie, ni de la transmettre, ni d’en mourir) pourrait améliorer la situation de l’épidémie. Les vaccins actuels sont tout bonnement trop inefficaces pour être utiles.

Et comme les titulaires de passe se croient protégés et prennent moins de précautions, on peut même craindre que l’instauration de passe entraîne une augmentation des contaminations.

C’est la tendance observée en Autriche qui a instauré ce système de ségrégation le 1/7/21 et qui se trouve depuis avec une forte poussée de nouvelles contaminations.

Les organisateurs du festival Verknipt à Utrecht en ont aussi fait la triste expérience. Ils croyaient protéger les participants en subordonnant l’entrée du festival à l’utilisation d’un passe sanitaire. Les visiteurs ont dû en effet démontrer, via l’application CoronaCheck, qu’ils avaient été soit testés négatifs, soit vaccinés, soit guéris d’une infection corona précédente.

Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombre, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus(([12] RTBF Malgré l’obligation d’un pass sanitaire, plus de 1000 participants à un festival contaminés par le Covid-19)) (dont une majorité de vaccinés !). La porte-parole des services de santé de la région d’Utrecht n’exclut pas la possibilité que le nombre d’infections augmente encore dans les prochains jours. « Nous espérons que le pic a été atteint, mais avec la variante delta plus contagieuse, ce n’est pas évident. » Cet incident démontre que ni la vaccination ni le passe ne protègent réellement.

Alors pourquoi veut-on nous imposer encore des contraintes inefficaces ?

Pour une tout autre politique sanitaire

La politique totalitaire du mensonge-confinement-vaccination sans traitement a fait la preuve de sa nocivité sanitaire, sociale, économique et politique. Il est temps de suivre l’exemple des pays qui ont parié sur l’emploi de traitements précoces comme l’Inde et de nombreux pays africains qui comptent 5 à 10 fois de moins de morts par million d’habitants que nous. Et d’appliquer la recette du ministre de la santé de Taiwan qui a rappelé dès avril 2020 que la « démocratie et la transparence gouvernementale étaient essentielles pour vaincre l’épidémie. »

Stop au mensonge et à la dictature ! Libérons le pays.

Que le gouvernement cesse de nous mépriser en des termes orduriers tels que ceux qu’utilise G Attal :

« les non-vaccinés doivent se bouger le cul sinon ils auront une vie de merde »

ou Castaner :

« On va vraiment vous pourrir la vie »

Rassurons la population en rappelant que le variant delta ne nécessite qu’exceptionnellement l’hospitalisation et ne tue presque jamais et qu’il est de plus très sensible au traitement précoce par Ivermectine/chloroquine et antibiotiques, zinc et vitamines.

Reconstruisons l’hôpital en arrêtant les suppressions de lits qui se sont poursuivies durant la crise et en en créant de nouveaux.

Que le gouvernement arrête de menacer ceux qui sont en première ligne du combat, comme les pompiers ou les soignants dont trop envisagent de démissionner, alors que nous en manquons déjà si les menaces perdurent. Remotivons les soignants en ne leur imposant rien qui heurte leurs connaissances et leurs convictions, en les libérant du carcan administratif et en les payant mieux.

Encourageons enfin les médecins à utiliser les traitements précoces tellement efficaces, si une poussée entraînait des hospitalisations. Ils ont parfaitement le droit de les prescrire (en mettant hors AMM) tant que ce n’est pas le traitement « recommandé » par les instances. Mais en aucun cas ils ne sont interdits de prescription.

Si ceux qui sont censés nous représenter au parlement ne défendent plus nos libertés, faisons-le à leur place en manifestant partout et tous les jours et en organisant des grèves nationales jusqu’au retrait des mesures liberticides et à la démission des responsables.

Retrouvons nos racines du pays des lumières et des droits de l’homme. Donnons ainsi l’exemple du combat pour la liberté aux autres populations européennes qui commencent elles aussi à se réveiller telle qu’en Italie.





Les vaccins Pfizer « Détruisent tous les systèmes du corps humain », avertissent des experts israéliens de la santé

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Le Comité du peuple israélien (IPC), un groupe d’experts israéliens de la santé dirigé par des citoyens, a publié son rapport d’avril émettant un avertissement urgent selon lequel le vaccin Pfizer / BioNTech endommage pratiquement tous les systèmes du corps.
Alors que la majeure partie de l’attention entourant le vaccin a été concentrée sur AstraZeneca, qui est lié à des caillots sanguins mortels, l’injection de Pfizer est en réalité encore beaucoup plus dangereuse, d’après les dernières données.

Pfizer: The Vaccine In Demand Will Be Available Through ...

Le rapport d’avril de l’IPC avertit que l’injection du vaccin Pfizer pourrait entraîner des problèmes de santé catastrophiques, comme en témoignent les innombrables vies israéliennes qui ont été endommagées par le vaccin.
Le rapport précise : « Jamais un vaccin n’a fait autant de blessés (effets secondaires néfastes)! Nous avons reçu 288 rapports de décès survenus à juste après la vaccination (90 % jusqu’à 10 jours après la vaccination), dont 64% sont des hommes. »

Cependant, les chiffres du ministère israélien de la Santé affirment que seulement 45 décès sont survenus juste après  la vaccination. Comme l’indique le rapport, cet « écran de fumée » gouvernemental, le manque de transparence et la tromperie ne font qu’indiquer que le nombre de morts est beaucoup plus élevé.
Si les chiffres contenus dans le rapport IPC sont valides, alors il y a plus d’Israéliens morts du vaccin Pfizer que  d’Européens morts par le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.

Le rapport met en garde : 

« Selon les données du Bureau central des statistiques (CBS), en janvier-février 2021, au milieu de l’opération de vaccination, il y a eu une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à la moyenne bimensuelle de mortalité de l’année précédente.
« En fait, la période de janvier-février 2021 est la plus meurtrière de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globaux les plus élevés, par rapport aux mois correspondants au cours des 10 dernières années. »

Le rapport souligne que les jeunes âgés de 20 à 29 ans semblent être le groupe démographique qui a connu l’augmentation la plus spectaculaire de la mortalité après le déploiement du vaccin Pfizer.

Dans ce groupe, la vaccination au cours de la même période, janvier-février 2021, il y a eu une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à la mortalité moyenne bimensuelle en 2020.
L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinées aux informations du ministère de la Santé, conduit à la conclusion que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 pour 5000 (1 pour 13000 les 20-49 ans, 1pour 6000 pour les 50-69 ans, 1 pour 1600 pour les 70 ans et plus).

Sur la base de ces données, l’IPC estime que le nombre de décès survenus en Israël, juste après la piquouse du vaccin Pfizer, est d’environ 1 000 à 1 100 personnes. Le rapport indique que le risque de décès après la deuxième vaccination est plus élevé que le risque de décès après la vaccination.

« Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour allant jusqu’à 10 jours après la vaccination dans tous les groupes d’âge.
« Pour les 20-49 ans – une plage de 9 jours à partir de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 50-69 ans – 5 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès ; pour les 70 ans et plus – 3 jours à compter de la date de vaccination jusqu’au décès
. »

En publiant ce rapport, l’IPC espère que le gouvernement israélien et les gouvernements du monde entier reconnaîtront qu’« un manque de transparence tue des gens ».

L’IPC conclut que :

« La tromperie et la dissimulation conduisent les gens à l’invalidité et à la mort. Supprimer toute confidentialité, créer des mécanismes de signalement transparents et contrôlés ; Ce n’est qu’alors que des vies peuvent être sauvées et que d’autres dommages peuvent être évités grâce à l’outil même censé préserver la santé. »

« Est-ce un cas où le médicament est plus mortel que la maladie ? »

Source : Pfizer Covid Vaccines “Destroy Every System of the Human Body” Warns Israeli Health Experts




Outils juridiques contre les dispositions « anti covid »

Par Me DE ARAUJO-RECCHIA

Mesdames, Messieurs,

Je suis désolée de ne pas pouvoir répondre à l’ensemble des demandes, que je reçois actuellement.

Je vous prie de bien vouloir trouver ci-dessous, un ensemble d’éléments juridiques non exhaustifs susceptibles de vous aider à résoudre les problématiques rencontrées personnellement ou professionnellement concernant le pass sanitaire ou l’injection qui serait rendue obligatoire dans le cadre du projet de loi en cours de discussion au Parlement.

Ces éléments peuvent être transmis aux avocats qui défendront vos droits, si nécessaire et en toute humilité bien entendu.

DROIT DU TRAVAIL:

– Les salariés ou agents publics du domaine de la santé

Leur conseiller de garder toutes les preuves du harcèlement exercé par leur hiérarchie dans le but de les forcer à se faire injecter.

Leur conseiller de ne pas démissionner.

Leur conseiller éventuellement de transmettre le mémo ci-joint à leur hiérarchie.

Points 34 et 35 de l’avis du Conseil d’Etat en date du 19 juillet 2021 (à mettre en rapport avec le texte de loi une fois adopté):

Ma compréhension en attendant le texte définitif:

En l’absence de saisine préalable des instances consultatives des agents publics par le gouvernement, le régime spécifique d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération, du fait de la violation de l’obligation vaccinale, ne peut être retenu pour les agents publics.

Ce régime ne peut être retenu uniquement pour les salariés, cela serait contraire au principe constitutionnel d’égalité.

Par conséquent, ni les agents publics ni les salariés ne peuvent, en l’état du texte, être soumis à ce régime d’interdiction d’exercer et de suspension de la rémunération.

La violation de l’obligation vaccinale peut être sanctionnée dans le cadre des procédures disciplinaires de droit commun.

Le gouvernement doit compléter le texte afin de tenir compte de ces observations.

DROIT DES PATIENTS:

– Les patients refoulés:

Obtenir les preuves du refus par écrit ou par huissier, témoins etc et envoyer un courrier au directeur général de l’A.R.S afin de contester l’acte médical forcé (test ou injection, pass sanitaire), qui est indiqué comme étant un préalable à toute intervention, sur la base des textes rappelés dans le mémo.

DROIT CIVIL ET DROIT PÉNAL:

Les motifs juridiques qui pourraient être avancés sont d’ordres civil et pénal:

– Harcèlement d’une personne en vue de l’inciter à commettre un acte de nature à mettre sa vie en danger,

– Extorsion de consentement de nature à mettre en danger la vie d’autrui,

– Abus de pouvoir et abus de faiblesse étant donné que la campagne de manipulation et d’atteinte à l’intégrité psychologique/psychique/mentale a été massive et qu’il suffit désormais de menacer de licenciement ou autre pour que la personne en position de faiblesse s’exécute et subisse l’injection.

– Complicité de tentative d’empoisonnement

– Les personnes qui mettent en oeuvre les inoculations forcées verront leur responsabilité civile ou pénale recherchée également.

DROIT ADMINISTRATIF:

Le référé liberté de notre confrère Me KRIKORIAN met le Conseil d’Etat fasse à ses contradictions (ordonnance du Conseil d’Etat du 6 juillet 2021, affaire Quadrature du Netcomparé à l’avis du 19 juillet 2021).

Nous attendons désormais la décision du Conseil d’Etat.

Nous rappelons l’arrêt du Conseil d’Etat du 6 mai 2019, affaire LNPLV, suivant lequel un « vaccin » ne peut être rendu obligatoire que dans les conditions suivantes:

– maladie connue et particulièrement grave,

– vaccins connus et recul suffisant,

– balance bénéfices/risques concluante.

Avec les 4 injections litigieuses, nous ne remplissons tout simplement aucun de ces critères.

DROIT EUROPEEN:

Une action soutenue par la LNPLV est en cours devant la Cour de Justice de l’Union européenne depuis le 17 juin 2021 et concerne 232 professionnels de santé français, 35 professionnels de santé italien et une centaine de professionnels de santé autrichiens notamment. 

Des avocats d’autres Etats membres se sont probablement joints à l’action entre temps.

Cette action est destinée à demander la suppression de l’obligation d’injection pour les professionnels de santé et le retrait des autorisations conditionnelles de mise sur le marché pour les injections C-19.

Cette action est en cours d’instruction devant la CJUE.

Par ailleurs, tous les dossiers portés devant les juridictions pourront faire référence au règlement européen du 14 juin 2021 car les considérants sont très clairs:

RÈGLEMENT (UE) 2021/953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021, relatif à un cadre pour la délivrance, la vérification et l’acceptation de certificats COVID-19 interopérables de vaccination, de test et de rétablissement (certificat COVID numérique de l’UE) afin de faciliter la libre circulation pendant la pandémie de COVID-19 (https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/? toc=OJ%3AL%3A2021%3A211%3ATOC&uri=uriserv%3AOJ.L_.2021.211.01.0001.01.FRA)

« Considérant ce qui suit: (…)

(36) Il y a lieu d’empêcher toute discrimination directe ou indirecte à l’encontre des personnes qui ne sont pas vaccinées, par exemple pour des raisons médicales, parce qu’elles ne font pas partie du groupe cible auquel le vaccin contre la COVID-19 est actuellement administré ou pour lequel il est actuellement autorisé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la possibilité de se faire vacciner ou ne souhaitent pas le faire. Par conséquent, la possession d’un certificat de vaccina- tion, ou la possession d’un certificat de vaccination mentionnant un vaccin contre la COVID-19, ne devrait pas constituer une condition préalable à l’exercice du droit à la libre circulation ou à l’utilisa- tion de services de transport de voyageurs transfrontaliers tels que les avions, les trains, les autocars ou les transbordeurs ou tout autre moyen de transport. En outre, le présent règlement ne peut être interprété comme établissant un droit ou une obligation d’être vacciné. (…)


(62) Le présent règlement respecte les droits fondamentaux et observe les principes reconnus no- tamment par la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne (ci-après dénommée « Charte »), en particulier le droit au respect de la vie privée et familiale, le droit à la protection des données à caractère personnel, le droit à l’égalité devant la loi et le droit à la non-discrimination, la liberté de circulation et le droit à un recours effectif. Les États membres sont tenus de respecter la Charte lorsqu’ils mettent en œuvre le présent règlement. » 

– Article 1 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Dignité humaine

La dignité humaine est inviolable. Elle doit être respectée et protégée. »

– Article 3 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Article 3

Droit à l’intégrité de la personne

1. Toute personne a droit à son intégrité physique et mentale.

2. Dans le cadre de la médecine et de la biologie, doivent notamment être respectés:

a) le consentement libre et éclairé de la personne concernée, selon les modalités définies par la loi;

b) l’interdiction des pratiques eugéniques, notamment celles qui ont pour but la sélection des personnes;

c) l’interdiction de faire du corps humain et de ses parties, en tant que tels, une source de profit;

d) l’interdiction du clonage reproductif des êtres humains. »

Article 21 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, 7 juin 2016.

« Non-discrimination

1. Est interdite toute discrimination fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, les ori- gines ethniques ou sociales, les caractéristiques génétiques, la langue, la religion ou les convic- tions, les opinions politiques ou toute autre opinion, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance, un handicap, l’âge ou l’orientation sexuelle. (…) »

II. Valeur normative des considérants d’un règlement européen:

Il est généralement admis quel les considérants n’édictent pas, en principe, des règles, mais ont néanmoins pour vocation d’expliciter le sens et la portée des règles édictées.

Dans un instrument juridique de l’UE, les considérants de l’exposé des motifs revêtent une grande importance parce qu’ils expliquent la raison d’être de chaque disposition. Bien qu’ils n’aient pas de valeur juridique en tant que tels, les considérants peuvent être utilisés lors de l’interprétation du champ d’application des dispositions de fond du texte. La Cour de justice de l’Union européenne a déclaré à plusieurs reprises que des considérants valables sont nécessaires pour que la Cour puisse exercer sa fonction d’interprétation du droit. Étant donné qu’ils expliquent la raison d’être de l’acte

juridique, ils méritent un examen approfondi.

Article très instructif:

https://www.eurojuris.fr/accueil/articles/pass-sanitaire-non-conformite-droit-union-europeenne-40559.htm

***

Le 23 juillet 2021

Me DE ARAUJO-RECCHIA

Avocat à la Cour de Paris




Fit for 55 – Le Pacte vert européen et l’effondrement industriel de l’Europe

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par F. William Engdahl

L’une des rares déclarations honnêtes de Bill Gates a été sa remarque, début 2021, selon laquelle si vous pensez que les mesures du Covid sont mauvaises, attendez les mesures pour le réchauffement climatique. L’Union européenne est en train d’imposer, de haut en bas, les mesures les plus draconiennes à ce jour, qui détruiront effectivement l’industrie moderne à travers le visage des 27 États de l’Union européenne.

Sous de jolis noms tels que « Fit for 55 » et European Green Deal [Pacte vert pour l’Europe], des technocrates non élus finalisent à Bruxelles des mesures qui provoqueront le pire chômage industriel et le pire effondrement économique depuis la crise des années 30. Des industries telles que l’automobile ou le transport, la production d’électricité et l’acier sont sur la sellette, tout cela pour une hypothèse non prouvée appelée réchauffement climatique d’origine humaine.

Alors que la plupart des citoyens de l’UE ont été distraits par des restrictions sans fin concernant une « pandémie » de type grippal appelée Covid-19, les technocrates de la Commission européenne à Bruxelles ont préparé un programme de désintégration planifiée de l’économie industrielle de l’UE. L’aspect pratique d’un groupe supranational non élu, loin de Bruxelles ou de Strasbourg, est qu’il n’a pas de comptes à rendre à de véritables électeurs. Ils ont même un nom pour cela : Le déficit démocratique. Si les mesures sur le point d’être finalisées par la Commission européenne, sous la direction de la présidente allemande Ursula von der Leyen et du technocrate néerlandais Frans Timmermans, vice-président chargé du réchauffement climatique, sont adoptées, voici un aperçu de ce qui se passera.

« Fit for 55 »

Le 14 juillet, la Commission européenne présente son programme vert « Fit for 55 ». Bien que le titre ressemble davantage à une publicité pour un centre de santé pour personnes d’âge moyen, il s’agira du programme de désindustrialisation le plus draconien et le plus destructeur jamais imposé en dehors de la guerre.

Fit for 55 sera le cadre central des nouvelles lois et règles de Bruxelles pour réduire considérablement les émissions de CO2, en utilisant des systèmes tels que les taxes sur le carbone, les plafonds d’émission et les systèmes de plafonnement et d’échange.

En avril 2021, la Commission européenne a annoncé un nouvel objectif européen en matière de climat : Les émissions doivent être réduites de 55% d’ici 2030 par rapport à 1990, contre 40% précédemment. D’où le joli nom « Fit for 55 ». Mais l’industrie et la main-d’œuvre des États membres de l’UE seront tout sauf en bonne santé si ce plan est mis en œuvre. En clair, il s’agit d’un fascisme technocratique imposé sans débat public à quelque 455 millions de citoyens européens.

Ce « Fit for 55 » représentera la première fois au monde qu’un groupe de pays, l’UE, impose officiellement un programme visant à imposer un absurde « zéro » CO2 d’ici 2050 et une réduction de 55% du CO2 d’ici 2030. Le tsar du Pacte vert pour l’Europe, le commissaire Frans Timmermans, a déclaré en mai : « Nous allons renforcer le système d’échange de quotas d’émission de l’UE, actualiser la directive sur la taxation de l’énergie et proposer de nouvelles normes de CO2 pour les voitures, de nouvelles normes d’efficacité énergétique pour les bâtiments, de nouveaux objectifs pour les énergies renouvelables et de nouvelles façons de soutenir les carburants propres et les infrastructures pour des transports propres ». En réalité, il détruira l’industrie des transports, de l’acier, du ciment ainsi que la production d’électricité à partir de charbon et de gaz.

Voici les principales parties du sinistre Fit For 55.

Voitures et camions

L’un des principaux objectifs du « Pacte vert » pour l’UE sera de prendre des mesures qui obligeront les véhicules à moteur à combustion interne – voitures et camions à essence ou diesel – à respecter des limites d’émissions de CO2 si punitives qu’ils seront contraints de quitter les routes d’ici 2030, voire plus tôt. Le plan modifiera l’objectif actuel d’une réduction de 37,5% des émissions de CO2 des véhicules d’ici à 2030 pour le remplacer par un objectif de zéro émission d’ici à 2035, selon la rumeur.

Le 7 juillet, une coalition de syndicats, d’entreprises du secteur des transports et de fournisseurs, dont la Confédération européenne des Syndicats et l’Association des Constructeurs européens d’Automobiles, a adressé un appel urgent au tsar de l’écologie, Frans Timmermans. Ils ont déclaré : « …nous voulons voir la transformation industrielle et l’innovation en Europe, plutôt que la désindustrialisation et les perturbations sociales ». La lettre souligne que l’UE n’a aucun plan pour une soi-disant « transition juste » pour l’industrie automobile européenne, notamment aucune nouvelle formation qualifiante pour les travailleurs déplacés : « Actuellement, il n’existe aucun cadre de ce type pour les 16 millions de travailleurs de notre écosystème de mobilité, et notamment pour le secteur automobile européen, qui est un moteur de l’emploi industriel ».

Il ne s’agit pas d’un problème mineur, car la transition des voitures et camions à moteur à combustion interne vers les voitures électriques entraînera une perturbation sans précédent des chaînes de fournisseurs automobiles actuelles. La lettre souligne qu’à l’échelle de l’UE, le secteur automobile compte 8,5% de tous les emplois manufacturiers européens et a produit en 2019 près de 10% du PIB de la seule Allemagne, ainsi que 40% des dépenses de recherche et développement du pays. L’UE représente aujourd’hui plus de 50% des exportations mondiales de produits automobiles. Ils soulignent que la transition vers les véhicules zéro CO2 entraînera la perte d’au moins 2,4 millions d’emplois qualifiés et bien rémunérés dans l’UE. Des régions entières seront déprimées. La lettre souligne que Bruxelles n’a même pas encore dressé la carte des conséquences du Pacte vert pour le secteur automobile.

En avril, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a indiqué qu’en juillet, Fit for 55 pourrait étendre un système d’échange de quotas d’émission de carbone (SEQE) draconien au-delà des centrales électriques ou de l’industrie pour couvrir le transport routier et les bâtiments dans le cadre d’un ajout « pollueur-payeur ». Le lien avec le SEQE imposera automatiquement des pénalités financières aux conducteurs ou aux propriétaires, au-delà des taxes actuelles sur le carbone, malgré un impact très limité de quelque 3% sur les émissions. Cette mesure, qui s’ajoute au renforcement des normes d’émission des voitures, portera un coup fatal aux consommateurs et à l’industrie. Lorsque le gouvernement français a imposé une telle taxe carbone en 2018, elle a déclenché les manifestations nationales des Gilets jaunes et a obligé Paris à la retirer.

Acier

Le plan drastique de l’UE contient de nouvelles dispositions qui signifieront des changements radicaux pour les industries européennes de l’acier et du ciment, grandes consommatrices d’énergie. L’acier est la deuxième plus grande industrie au monde après le pétrole et le gaz. Actuellement, l’UE est le deuxième plus grand producteur d’acier au monde après la Chine. Sa production s’élève à plus de 177 millions de tonnes d’acier par an, soit 11% de la production mondiale. Mais le plan Timmermans introduira de nouvelles mesures qui pénaliseront ostensiblement les importations d’acier en provenance de producteurs « sales », mais qui, en fait, rendront l’acier européen moins compétitif au niveau mondial.

Des fuites dans le plan de l’UE indiquent qu’elle prévoit de supprimer les permis de polluer actuellement gratuits du SEQE pour les industries à forte intensité énergétique telles que l’acier ou le ciment. Cela portera un coup dévastateur à ces deux industries essentielles. Ils l’appellent le Mécanisme d’Ajustement du Carbone aux Frontières. Comme le souligne le Center for European Policy Network, les exportateurs européens d’acier « ne recevront aucune compensation pour la suppression de l’allocation gratuite. En conséquence, ils subissent des désavantages concurrentiels considérables par rapport à leurs concurrents des pays tiers ».

Taxes sur le carbone du charbon

Le nouvel objectif climatique de 55% de l’UE pour 2030 implique une élimination quasi-complète du charbon d’ici à 2030 dans l’ensemble de l’UE. L’Allemagne, qui est de loin le plus grand consommateur d’électricité au charbon de l’UE, sera touchée. Le gouvernement allemand, dont l’électricité est déjà la plus chère du monde en raison de la transition de l’Energiewende de Merkel vers des énergies solaire et éolienne peu fiables, qui entraînera la fermeture de la dernière centrale nucléaire en 2022, vient d’abandonner son projet d’élimination progressive du charbon d’ici à 2038. Elle abandonnera le charbon bien plus tôt, mais pour des raisons politiques évidentes en cette année électorale, elle n’a pas révélé sa nouvelle date « zéro charbon ».

Il est déjà évident qu’il est absurde de croire que l’UE, et en particulier l’Allemagne, sera en mesure d’atteindre le « zéro charbon » d’ici 2030, en le remplaçant non pas par du gaz naturel, mais par des énergies solaire et éolienne peu fiables. Le 1er janvier 2021, dans le cadre du mandat du gouvernement sur la réduction de la puissance du charbon, 11 centrales électriques au charbon d’une capacité totale de 4,7 GW ont été fermées. Cet arrêt progressif a duré huit jours, car plusieurs des centrales au charbon ont dû être reconnectées au réseau pour éviter les pannes dues à une période prolongée de vents faibles. Les centrales au charbon fermées ont reçu l’ordre de fonctionner en mode de réserve, aux frais des consommateurs. La commission gouvernementale de Berlin qui a rédigé le plan d’élimination progressive du charbon ne comprenait aucun représentant de l’industrie de l’électricité ni aucun expert en réseaux électriques.

Avec le nouvel élément du plan destructeur Fit for 55 de la Commission européenne, le cœur de l’industrie européenne, l’Allemagne, est préprogrammé non seulement pour un chômage industriel sévère dans les secteurs de l’acier, du ciment et de l’automobile. Elle est également préprogrammée pour des pannes d’électricité comme celle qui a dévasté le Texas au début de l’année 2021 lorsque les éoliennes ont gelé. En 2022, en Allemagne, comme nous l’avons indiqué, la dernière centrale nucléaire ainsi que d’autres centrales au charbon seront fermées, ce qui entraînera la suppression de 3% de l’électricité. En outre, 6 000 éoliennes seront également fermées en raison de leur âge, soit une réduction totale de 7%. Pourtant, l’ajout prévu de nouvelles éoliennes et de nouveaux panneaux solaires est loin de remplacer cette baisse, de sorte que d’ici 2022, l’Allemagne pourrait connaître un déficit de capacité de production de 10 à 15%.

La Grande Réinitialisation du FEM et le Pacte vert de l’UE

Ce que les citoyens sains d’esprit ont du mal à comprendre dans ce « Fit for 55 » de l’UE, dans la « Grande Réinitialisation » de Davos ou dans l’Agenda 2030 de l’ONU, c’est qu’il s’agit d’un plan technocratique délibéré pour la désintégration de l’économie, sous l’excuse frauduleuse d’un danger de réchauffement climatique non prouvé, qui prétend – sur la base de modèles informatiques douteux qui ignorent l’influence de notre soleil sur les cycles climatiques de la Terre – que nous verrons une catastrophe d’ici 2030 si le monde ne réduit pas les émissions de CO2 inoffensives et essentielles à la vie.

Le Forum économique mondial de Davos, toujours actif, joue également un rôle important dans l’élaboration du « Pacte Vert » pour l’Europe de la Commission européenne, dans le cadre de sa Grande Réinitialisation. En janvier 2020, le Forum économique mondial, lors de sa réunion annuelle à Davos, a réuni des leaders de l’industrie et du monde des affaires avec le vice-président exécutif Frans Timmermans pour étudier comment catalyser le Pacte vert pour l’Europe. Le dévoilement du 14 juillet par Bruxelles en est le résultat. Le FEM soutient le groupe d’action des PDG pour le Pacte vert européen afin que les grandes entreprises soutiennent le plan dystopique de Bruxelles.

F. William Engdahl

Article original en anglais :

“Fit for 55”: The EU Green Deal and the Industrial Collapse of Europe

Traduit par Réseau International
La source originale de cet article est Mondialisation.ca
Copyright © F. William Engdahl, Mondialisation.ca, 2021




Pas vacciné ? Antisémite, complotiste !

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jaqueline

Yeux crevés, mains arrachées : les Gilets Jaunes ont déserté les ronds-points. Mais d’autres résistants sont apparu (les mêmes souvent, mais sans panoplie). Ils résistent à la vaccination obligatoire. 

Et c’est là que les médias nous sortent un rescapé de la rafle du Vel d’Hiv’, indigné devant les étoiles jaunes brandies par les anti-vaccins (comme s’ils étaient contre tous les vaccins). Entre larmes indignées (Libérationet discours poignant (Ouest France), l’émotion permet d’insulter les Résistants à la dictature sanitaire. 

Manipuler les masses par l’émotion, un vieux truc de publicitaires et de politiques

Voilà ce que Le Figaro rapporte : « Ce dimanche 18 juillet, lors de la journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites, un rescapé du Vel d’Hiv a témoigné son “indignation” face à la comparaison “odieuse” du vaccin contre le Covid-19 à l’étoile jaune. Il appelle “à ne pas laisser passer cette vague outrancière et antisémite ». C’est drôle, en 1941, Le Figaro était antisémite, maintenant non. C’est comme ça.

Les médias du côté du manche

Le Figaro a toujours été du côté du manche. Anticommuniste en 1941 (voir « La répression des menées communistes » du 17 janvier 1941), qualifiant les résistants d’agitateurs et se félicitant de l’arrestation de Robert Giudicelli et Marc Baudois (tous deux tués ensuite par la Gestapo). Quant à la condamnation à mort de gaullistes (par contumace), cela ne lui fait ni chaud ni froid (le 22 mai 1941). 

Le Figaro n’a rien eu à redire non plus à la loi anti-juive du 2 juin 1941 (13 juillet 1941). Les Juifs doivent être recensés, normal. Certaines fonctions leur sont interdites à eux et leurs familles, normal. 

Le Figaro est d’autant plus méritant de soutenir les Juifs à présent. Il a commencé par titrer sur l’antisémitisme des Gilets Jaunes. Par exemple (le 3 février 2019) : « Gilets jaunes : la communauté juive de Strasbourg dénonce des propos antisémites ». Libération le 18 février 2019 avait lui aussi dénoncé tout aussi courageusement l’antisémitisme en titrant : « Les gilets jaunes, étouffés par la gangrène antisémite ».

Il y a les faux complots et les vrais complots

Le peuple a tout d’abord été complotiste, nous explique l’Union européenne dans « Reconnaître les théories du complot ». Qu’est-ce qu’un complot ? Un vrai complot, c’est, par exemple, celui des fabricants de cigarettes. En 2006, le tribunal fédéral de district de Washington DC (États-Unis) a jugé que de grands fabricants de cigarettes étaient coupables d’entente délictueuse, pour avoir dissimulé pendant des dizaines d’années les preuves de risques sanitaires liés au tabagisme.

L’Europe nous donne ensuite l’exemple type d’un faux complot : le covid-19. N’oubliez pas : 

« Personne n’est responsable de l’apparition du virus, mais nous pouvons tous contribuer à enrayer la pandémie »

Traduction en 4-4-2  : le virus n’est pas venu d’un laboratoire, bande de « complotistes » ! Effectuons les gestes barrières et vaccinons-nous.

On continue cette instructive brochure : 

« Les théories du complot désignent un ennemi et une machination secrète qui menace la vie ou les convictions des gens, déclenchant ainsi un mécanisme de défense qui peut alimenter les discriminations, justifier les crimes haineux et faire le lit de groupes extrémistes violents. »

Traduction en 4-4-2 : l’ennemi, c’est le non-vacciné, le haineux qui manifeste contre le vaccin obligatoire. L’hydroxychloroquine est un poison. En revanche le Remdésivir, le Rivotril et les vaccins, sont bons pour notre santé. Haine et violence sont du côté des Français. Et la bienveillance du côté de la police et du gouvernement. 

« Les théories du complot propagent la méfiance à l’égard des institutions publiques, ce qui peut conduire à l’apathie politique ou à la radicalisation. »

Traduction en 4-4-2 : l’abstention c’est la faute aux non-vaccinés !

Le philo-sémitisme, arme de destruction massive

La brochure se termine par un chapitre clé : « Théories du complot et antisémitisme » Oh ! on ne pensait pas qu’ils iraient jusque-là. Mais si ! De la mise en doute des vaccins anti-covid, à l’antisémitisme il n’y a qu’un pas. L’Europe l’a franchi : 

« Parmi les signes à repérer : le fait de lier un prétendu complot à des personnes ou à des communautés juives (par exemple, la famille Rothschild ou George Soros (un philanthrope) ou à l’État d’Israël. » 
Vous ne rêvez pas, ce sont vraiment les termes employés par l’Europe.

Traduction en 4-4-2  : envisager que Rothschild, Soros et Israël aient quoi que ce soit à se reprocher est de l’antisémitisme. Ils ont osé !

« L’incertitude, la peur et la complexité de la pandémie de covid-19 ont alimenté des théories du complot. Celles-ci prétendent “expliquer” les causes de la pandémie et désigner qui en bénéficie. »

Traduction en 4-4-2 : les neuf nouveaux milliardaires qui ont profité de la vaccination à tout-va sont tous actionnaires de laboratoires pharmaceutiques. Eh bien, voilà un authentique argument complotiste !

Sont également complotistes :

« les affirmations selon lesquelles certaines mesures sanitaires visant à lutter contre la propagation du virus (comme les vaccins et les masques) sont intentionnellement utilisées pour nuire aux populations ou pour les contrôler. »

Traduction en 4-4-2 : la vaccination avec des produits en phase d’essai, dont personne n’est responsable en cas d’effets secondaires graves, c’est pour votre bien, un point c’est tout. Les masques au graphène imposés aux enfants, c’est également pour leur bien.

Comment agir concrètement contre les théories du complot ? 

« Sur les réseaux sociaux : étayez vos commentaires par des informations vérifiées (issues par exemple de sites de vérification des faits). »

Traduction en 4-4-2 : fiez-vous au Décodex du Monde, le journal de Bill Gates, plus qu’à un prix Nobel ou un quelconque scientifique mal coiffé.

Et surtout 

« ne relayez PAS la publication en cause ».

Traduction en 4-4-2 : censurez, la méthode a fait ses preuves. Ce n’est pas l’homme des lumières Alain Finkielkraut  qui vous contredira.

Jacqueline pour Le Média en 4-4-2.




Covid-19. « La contamination et la mortalité sont, à l’été 2021 et après 3,6 milliards de doses de vaccins injectées, beaucoup plus élevées qu’à l’été 2020 sans vaccination »

[Source : breizh-info.com]

Ci-dessous le point mensuel de D. Delawarde au sujet de la progression du Covid19 dans le monde.

La contamination et la mortalité sont, à l’été 2021 et après 3,6 milliards de doses de vaccins injectées, beaucoup plus élevées (à très peu près, le double) de ce qu’elles étaient à l’été 2020 sans vaccination.

Les pays les plus pauvres, dont 1% seulement de la population est vacciné, sont ceux qui affichent les taux de mortalités Covid les plus faibles (inférieurs à 1, mais le plus souvent à 0,5 pour mille).

Les pays les plus riches, les plus « avancés », les plus vaccinés (de 30% à 70%), les plus assistés médicalement, mais aussi les plus âgés, les plus fragiles, les plus touchés par le surpoids et l’obésité, sont ceux qui continuent d’afficher les taux de mortalité les plus élevés au monde. (supérieurs à 1, voire à 2 ou 3 pour mille).

[Note de Joseph : en se référant à l’article Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial, on peut facilement envisager que les vaccins ne sont que des poisons et donc cause de problèmes de santé plus ou moins graves, mais jamais de guérison en dehors de leur effet placebo pour certaines personnes. Dans ces conditions, il est logique que les pays à très faible taux de vaccination aient proportionnellement nettement moins de morts que ceux à large couverture vaccinale.]

Après 18 mois d’épidémie, le taux de mortalité Covid planétaire reste dérisoire (0,525 pour mille habitants), comparé à d’autres maladies plus ou moins difficilement curables (cancer, sida et surtout « famines »).

La population terrestre continue d’augmenter, malgré la Covid au rythme élevé de 70 à 73 millions d’habitants  par an.

En 18 mois d’épidémie, 4,1 millions d’individus, très âgés, fragiles et souvent déjà malades sont décédés « avec la Covid » alors que plus de 100 millions d’individus sont décédés dans le monde, de bien d’autres causes…

Il faut donc RELATIVISER, apprendre à « vivre avec », apprendre à « traiter précocement » pour limiter la mortalité, comme on l’a déjà fait dans le passé pour nombre de maladies. Il faut aussi, en Europe, cesser de supprimer des lits d’hospitalisation au nom de la « rentabilité » alors que notre population vieillit et donc se fragilise.

En Europe, la gestion suédoise de l’épidémie qui a donné des résultats bien meilleurs que les nôtres, devrait désormais être prise en exemple, en palliant ses faiblesses dans la prise en charge et le traitement des personnes âgées en établissements hospitaliers.

Après avoir plafonné dans la semaine du 24 avril au 1er mai, puis baissé fortement en mai et juin les nombres hebdomadaires de contamination et de décès ont amorcé une nouvelle hausse depuis début juillet, en dépit d’une vaccination de masse déjà bien avancée dans de nombreux pays.

Cette évolution reste très contrastée d’un pays à l’autre. La situation s’est nettement améliorée, comme l’année dernière à la même époque, en Europe, en Amérique septentrionale et en Asie de l’Ouest qui sont  au cœur de l’été. Les deux exceptions les plus notables à ce tableau  sont ceux de la Russie et du Royaume Uni dont la situation se détériore depuis début juin. L’Inde, est très largement sortie d’un épisode épidémique sévère qui a duré deux mois. Le nombre hebdomadaire de décès en Inde a encore baissé de 10% par rapport à la semaine précédente. Cette baisse devrait se poursuivre dans les jours prochains. Notons que c’est le traitement précoce et massif à l’ivermectine et non la vaccination qui est à l’origine cette évolution spectaculaire, puisque moins de 6% de la population indienne (moins de 78 millions) ont reçu, à ce jour, leurs deux doses requises.

En dépit d’une vaccination à marche forcée et très avancée (au Chili, par exemple), la situation de l’Amérique latine, dont de nombreux pays sont entrés en hiver austral, ne s’améliore pas très vite.

Le caractère saisonnier de la maladie semble bien l’emporter sur l’immunité vaccinale présumée. L’Amérique latine est donc redevenue, avec l’Asie (Indonésie, Inde) l’épicentre actuel de l’épidémie, comme l’année dernière à la même époque.

La situation de l’Afrique se stabilise. L’Afrique du Sud, qui vaccine pourtant beaucoup plus que les autres, mais qui est en hiver austral, a été sujette à un fort accès de fièvre mais s’est désormais stabilisée à un niveau élevé pour un pays africain (+ 2 512 décès en 1 sem).

Sur le plan de la vaccination, on observe clairement que les campagnes vaccinales massives n’ont pas les résultats escomptés pour mettre un terme à l’épidémie. Malgré le taux de vaccination et l’arrivée de l’été, la contamination hebdomadaire repart en très forte hausse au Royaume Uni (+36% en 1 semaine) suivie par la mortalité (+57% en 1 semaine). Au Chili, pourtant vacciné d’une première dose à 70% et qui est entré en période hivernale, le nombre de décès reste encore équivalent à ce qu’il était l’année dernière, à la même époque, sans vaccin (96 décès/j contre 99). Par ailleurs, après plusieurs mois d’observation (6 à 7 mois selon les pays), il s’avère que les nombres d’effets secondaires post-vaccinaux graves et de décès observés, sont sous-déclaréspeu relayés dans les médias et très supérieurs à ce qu’on attendait et à tout autre vaccination connue.

Dans ces conditions, il reste encore impossible d’établir une balance bénéfice-risque fiable des vaccins expérimentaux, notamment pour les moins de 50 ans dont les taux de mortalité Covid sont dérisoires.  Ces faits ne peuvent qu’interpeller un analyste attentif.

L’observation de l’évolution actuelle de l’épidémie en Amérique latine dans les pays les plus vaccinés devrait nous alerter sur ce qui pourrait bien nous arriver très bientôt. Vaccinés ou pas, nous pourrions bien connaître un autre épisode épidémique, avec d’autres variants résistant au vaccin, sachant que les caractères saisonnier et mutant de cette maladie virale apparaissent de plus en plus clairement.

Cela étant dit, la mortalité Covid se substituant à d’autres causes et restant dérisoire, il n’y a pas vraiment de perte d’espérance de vie d’une part, et l’augmentation de la population mondiale se poursuit à un rythme soutenu d’autre part (+44 millions de « terriens » depuis le début de l’année 2021 et cela, malgré l’épidémie en cours).

Il n’y a donc pas encore matière à s’inquiéter pour une très improbable réduction de la population de la planète dans les années qui viennent.

Mais comme le font déjà les Asiatiques et les Africains, les Britanniques et les Israéliens, ainsi que l’IHU de Marseille qui a montré l’exemple, la France devrait faire effort sur la recherche et l’application de traitements précoces à domicile pour éviter la saturation rapide de ses structures hospitalières au moindre accès de fièvre. Le vaccin ne réglera certainement pas tout.

Présentation des courbes de contamination et de décès planétaires :

S’agissant de la mortalité, la baisse observée depuis le 4 mai semble provisoirement terminée. Le nombre de décès est reparti en légère hausse sur tous les continents en 2ème semaine de juillet.

À noter que l’arrivée de la vaccination n’a pas changé grand-chose, à ce jour. Aujourd’hui, 3,6 milliards de doses de vaccin auraient été injectées mais moins de 12% seulement des habitants de la planète auraient reçu leurs deux doses de vaccin.

Les taux de guérison sont très rassurants, sur 190 millions de personnes déclarées positives à la Covid depuis le début de l’épidémie, 173,5 millions ont été déclarés guéris, soit plus de 91%. 12,7 millions seraient encore en cours de soin, 4,1 millions seraient décédés « avec la Covid », et pour l’énorme majorité de ces derniers, des personnes déjà très âgées, et atteintes de comorbidité.

Ces taux de guérison varient d’un continent à l’autre en fonction de l’âge des population concernées et surtout de la gestion plus ou moins efficace de l’épidémie. Mais il est aujourd’hui presque partout supérieur à 90% à l’exception de l’Amérique latine, qui est entré dans l’hiver austral et qui est devenu, avec l’Asie (Indonésie) le nouvel épicentre de l’épidémie.

Pour conclure cet avant propos, le lecteur est invité à prendre connaissance, en vidéo sous titrée, des commentaires du professeur américain Peter McCullough sur le discours du 12 juillet du président Macron. Ce professeur fait autorité aux USA et y a déjà été auditionné par le Sénat sur la question de la Covid. Ses commentaires me semblent devoir être pris au sérieux.

Le point de la situation au Samedi 17 juillet 2021 à 0h00 GMT

Depuis le début de l’épidémie

220 pays ou territoires ont été affectés par le virus, pour 190,3 millions de cas déclarés, 4,09 millions de décès.

173,5 millions de guérisons 12,7 millions de cas « actifs » dont 79 200 en état critique.

35 pays ont déclaré plus de 16 500 décès depuis le début de l’épidémie et comptent 91% des décès avec, dans l’ordre des pertes (USA, Brésil, Inde, Mexique, Pérou, Russie, Royaume Uni, Italie, Colombie, FranceArgentine, Allemagne, Iran, EspagnePologne, Indonésie, Afrique du Sud, Ukraine, Turquie, Chili, Roumanie, République Tchèque, Hongrie, Canada, Philippines, Belgique, Pakistan, Équateur, Bulgarie, Pays Bas, Irak, Bangladesh, Bolivie, Tunisie, Portugal.

À l’échelle de la planète, la mortalité liée à la pandémie atteint désormais une moyenne quotidienne sur les derniers 7 jours de 7 841 décès/jour (en hausse de 1% en 1 sem).

Si l’on s’en tient à l’évolution des quatre indicateurs (contamination, cas actifs, cas critiques et décès déclarées), la situation recommence à se détériorer très légèrement dans le monde.

À la lecture du tableau qui suit, on réalise à quel point la mortalité reste faible mais en hausse en Océanie et stable en Afrique, faible mais en hausse en Amérique septentrionale, faible et stable en Europe ; plus élevée en Amérique latine (Brésil, Argentine, Colombie) et à quel point elle repart à la hausse en Asie (Indonésie, Bangladesh, Iran), qui reste un épicentre de l’épidémie, avec l’Amérique latine qui est au cœur de l’hiver austral.

Bilan au 17 juillet 2021 0h00 GMT du nombre de cas et de décès par grande région du monde :

Les bilans les plus lourds de la journée d’hier ont été ceux du Brésil, de l’Indonésie, de la Russie et de l’Inde et de la Colombie. Ces cinq pays ont déclaré, à eux seuls, 52% des nouveaux décès de la planète.

L’Océanie, l’Afrique et l’Asie enregistrent une part des pertes mondiales de 24,3% alors qu’elles regroupent 77% de la population. L’Europe et le continent américain (Nord et Sud) enregistrent 75,7% des pertes pour moins de 23% de la population mondiale. Les parts de l’Amérique latine, de l’Afrique et de l’Asie vont désormais augmenter, celles, de l’Amérique septentrionale, de l’Europe, et de l’Océanie devraient se réduire pour le reste de l’été.

Pour relativiser, encore et toujours, cette crise sanitaire, voici la comparaison avec les  épidémies du siècle dernier :

Au delà des nombres évoqués ci dessus, il faut aussi constater qu’une très forte majorité des décédés de cette épidémie avait déjà dépassé l’espérance de vie de leur pays d’origine.


Situation par continents, sous continents, et pays les plus affectés

1 – L’Asie

La mortalité y reste élevée et s’inscrit en hausse en Asie de l’Est, tirée par le bilan de l’Indonésie. Les traitements précoces (ivermectine et hydroxichloroquine) y sont massivement appliqués et font merveille.

L’Asie de l’Est et du Sud-Est (Chine, Japon, Vietnam, les deux Corées, Taïwan, Philippines, Indonésie, Laos, Cambodge, Malaisie, Birmanie …) reste toujours très peu touchée par la pandémie comparée au reste de l’Asie et du monde

L’Indonésie, actuellement pays le plus touché d’Asie de l’Est, enregistre un taux de mortalité encore dérisoire de 0,258 décès/1 000 h. Taïwan, pays parmi les moins touchés et qui n’a jamais adopté de confinement national, déclare un taux de mortalité de 0,032 décès pour mille h (763 décès de la Covid pour 24 millions d’h). Le Japon, quant à lui, déclare 15 014 décès pour 126 millions d’h soit 0,119 décès /mille h.

C’est donc l’Asie de l’Ouest (Inde, Iran et pays voisins du Moyen-Orient) qui a enregistré l’essentiel des pertes en Asie. La contamination continue de baisser en Inde (- 8% en 1 sem), le nombre des décès y baisse également (- 27% en 1 sem). Ces pertes restent très limitées si on les rapporte au nombre d’habitants. Malgré les exagérations médiatiques délirantes des médias occidentaux sur la situation en Inde, celle ci y a été beaucoup moins sérieuse qu’en Europe en taux de mortalité par million d’habitants. S’agissant de l’Iran, ce pays est toujours un pays sous sanctions économiques  « maximales » de la part des USA (au profit d’Israël) et enregistre le 4ème taux de mortalité le plus élevé d’Asie (1,020 décès/millier d’h), derrière l’Arménie qui a cumulé la guerre et la Covid, la Géorgie et le Liban, et juste devant la Jordanie, Barheïn, puis Israël (0,691 décès/mh). Cette mortalité asiatique, y compris celle de l’Inde aujourd’hui, reste très inférieure à celle des continents américains et de l’Europe de l’Ouest.

Tableau présentant la situation du 17 juillet des 20 pays d’Asie ayant dépassé les 4 600 décès (94% des pertes en  Asie)

2 – L’Amérique latine

Avec près de 1,307  millions de décès déclarés, l’Amérique latine est devenue la région du monde la plus affectée par l’épidémie. Désormais au cœur de l’hiver austral, vaccin ou pas, elle réussit juste à stabiliser sa situation, voire à l’améliorer légèrement.

En Amérique latine, les pertes humaines hebdomadaires sont en légère baisse à 20 250 décès déclarés, principalement en raison du lourd bilan brésilien qui compte encore presque la moitié des pertes « latinos » la semaine passée.

Les décès se concentrent dans douze états qui déclarent plus de 98% des décès et plus de 5 210 décès chacun. Les autres pays des Caraïbes et d’Amérique du Sud restent encore relativement épargnés par l’épidémie.

Le nombre des décès hebdomadaire reste élevé, particulièrement au Brésil où il s’inscrit toutefois en baisse progressive (-10%) à 1 246 décès/jour (moyenne des 7 derniers j). Et la contamination s’inscrit, elle aussi, en baisse (- 14%).

Au Mexique, la contamination poursuit sa hausse (+46% en 1 sem) le nombre hebdomadaire de décès est en légère hausse (+6%). Les situations de la Colombie et du Pérou s’améliorent très progressivement, celle de l’Argentine toujours sérieuse, reste stable.

Tableau présentant la situation du 17 juillet des douze pays d’Amérique latine ayant dépassé les 5 900 décès (94% des pertes)

3 – L’Europe

La situation se détériore à nouveau légèrement en Europe qui est pourtant au cœur de l’été et beaucoup plus vaccinée que d’autre régions : +de « positifs » (+38% en 1 semaine), +de décès (+5% en 1 semaine) et de cas critiques que la semaine dernière. Dans les faits, ce sont le Royaume Uni et la Russie qui sont à l’origine de cette détérioration.

Seule la Russie a enregistré  encore plus de 1 000 décès la semaine dernière et 80% des pertes européennes, à elle seule. 

Malgré le vaccin, la situation du Royaume Uni se détériore à nouveau: (+36% de positifs en 1 semaine et +57% de décès cette semaine). Observation importante à souligner : les proportions de vaccinés et de non vaccinés dans les testés positifs et dans les décès sont les même que dans la population générale … Ce constat ne peut que renforcer le camp des vaccino-sceptiques.

Il illustre parfaitement la déclaration de Boris Johnson disant que le virus et ses variants ne disparaîtraient probablement pas avec la vaccination et qu’il fallait se préparer à « vivre avec », comme on vit avec la grippe, en recherchant notamment des traitements précoces pour l’automne prochain.

Le bilan total des pertes Covid du Royaume Uni (128 642 décès « déclarés ») suit désormais celui de la Russie (146 868) mais pour une population deux fois moins nombreuse. La vaccination de masse a débuté au début de décembre 2020 et 68% de la population aurait reçu une première injection en six mois ; 52% auraient reçu la 2ème et 7,8%, ayant contracté la maladie, sont immunisés naturellement.

La situation de l’Italie semble bien en voie de détérioration : le nombre de nouveaux cas explose (+78%) mais celui des décès (-24%) sur 7 jours n’a pas encore suivi. Il est à craindre que l’Italie ne passe pas l’été sans dommages.

La situation de la France est comparable à celle de l’Italie. Le nombre de testés positifs s’inscrit de nouveau en hausse depuis le 29 juin. Il a augmenté de 62% en une semaine. Mais le nombre de cas critiques poursuit sa baisse (910 seulement aujourd’hui). Le nombre hebdomadaire de décès poursuit lui aussi sa baisse (-16% en 1 semaine).

À ce jour, 40% des français auraient reçu leurs deux doses de vaccin (en 6 mois et demi de campagne).

Pour le nombre des décès, la France devrait franchir le cap des 111 700 avant fin juillet.

Le taux de mortalité Covid français reste, à ce jour, plus de 3 fois supérieur à la moyenne mondiale avec 1,704 décès pour mille habitants (hors décès à domicile), pour une moyenne mondiale de 0,525 pour mille. Pour le nombre des décès, la France reste à la quatrième place  européenne (sur 48 pays ou territoires) derrière la Russie, le Royaume Uni et l’Italie.

Observation factuelle : Le 17 juillet 2020, il y a un an, jour pour jour, la France se remettait beaucoup plus vite d’une première vague épidémique plus violente que toutes les suivantes, sans vaccin. Elle ne comptait alors que 21 décès/jour (moyenne sur 7 jours). Le 17 juillet 2021, malgré plus de 37 millions de premières doses de vaccins déjà injectées, la France se remet beaucoup plus lentement d’une vague moins « haute »,  puisqu’elle compte encore aujourd’hui 22 décès/jour…

La situation de l’Espagne, pays latin, ressemble à celle de l’Italie et de la France. Le nombre de tests positifs hebdomadaires explose (+64%) mais le nombre des décès baisse de 24% en 1 semaine).

La situation de l’Allemagne est comparable à celles des pays évoqués précédemment : explosion du nombre de cas hebdomadaires déclarés (+53% en 1 semaine), mais baisse du nombre des cas critiques et des décès  (-5% en 1 semaine). L’Allemagne a vacciné d’une première dose, à ce jour, 59% de sa population, 45% ont reçu les deux doses.

Avec un taux de mortalité de 2,165 décès par millier d’habitant, la Belgique, siège des institutions européennes, pays de brassage et de passage, restera un pays « cluster ».

En Russie, la situation s’est nettement détériorée depuis début juin. La Russie déclare aujourd’hui, à elle seule, 80% des décès européens. Les indicateurs montrent que le 3ème pic épidémique russe devrait être atteint dans les prochains jours.

4- L’Amérique septentrionale

Le nombre de cas est en nette hausse (+67% en 1 sem) aux USA qui enregistrent aussi une hausse des cas critiques et des décès (+21% en 1 semaine). 55% des citoyens US auraient reçu une première dose de vaccin, 48% de la population auraient reçu les deux.

L’épidémie n’est pas terminée aux USA. Le nombre des décès devrait passer le cap des 630 000 avant fin fin juillet (137 fois les pertes déclarées par la Chine).

Au Canada, la contamination (-27% en 1 sem) et le nombre des décès (-14% en 1 sem) sont en baisse rapide. Le taux de mortalité Covid déclaré par les canadiens (0,696/1 000h) reste inférieur de plus de moitié à celui de l’Europe (1,49/1 000h) et de près des deux tiers à celui des USA (1,88/1 000 h).

5 – L’Afrique

Elle se porte toujours très bien (comparée au reste du monde) :

La mortalité liée au Covid  y reste dérisoire et s’est stabilisée y compris en Afrique du Sud. Tous les indicateurs restent bons. La contamination en Afrique du Sud, pays qui vaccine le plus mais qui est au cœur de l’hiver austral, est désormais en légère baisse.

Avec la Tunisie, l’Égypte, le Maroc, l’Éthiopie, l’Algérie, le Kenya, et la Libye seuls autres pays d’Afrique à dépasser les 3 000 décès déclarés, elle regroupe 82% des décès africains de la Covid.

6 – L’Océanie

La Covid-19 y reste une maladie rare. Ce continent a été et reste encore très largement épargné. Sur 42 millions d’habitants, il a déclaré, à ce jour, 86 724 cas dont 71 926 auraient déjà été guéris et 1 349 sont décédés. Il reste 13 449 cas « actifs » (dont 102 en territoires  français d’outre mer, et 51 cas sérieux ou critiques. Le continent océanien a déclaré 30 décès cette semaine. Son taux de mortalité Covid de 0,03 décès pour mille habitants depuis le début de l’épidémie reste dérisoire (France : 1,704), et très inférieur au nombre de décès liés à la circulation routière sur le continent océanien.


Nombre de décès pour 1 000 habitants des 34 pays de la planète qui ont enregistré plus de 17 000 décès.

La moyenne mondiale  étant de 0,525 décès pour 1000 habitants :

999,475 personnes sur 1 000 ont donc survécu à la Covid-19.

Commentaires sur le tableau ci dessus :

1 – Onze pays de l’OTAN, dont les puissances majeures, se situent dans les 18 premières places de ce triste classement, les autres membres de l’OTAN ne sont d’ailleurs pas très loin : Grande fragilité des populations âgées et en surpoids ? Faillite des systèmes de santé ? Ou incompétence des gouvernances ? Quelles que soient les réponses à ces questions, elles n’augurent rien de bon en cas de conflit majeur impliquant tout ou partie de l’OTAN … contre un adversaire potentiel eurasiatique (Chine, Russie, Iran) …

2 – Les donneurs de leçons anglo-saxons (USA, UK) et, à un moindre degré, l’Allemagne et la France, pays qui tiennent encore le haut du pavé dans les institutions internationales (OMS, ONU, FMI, Banque mondiale, UE, OTAN), sont désormais assez mal placés pour prodiguer leurs conseils, avec condescendance, au reste du monde, et pour ramener leur « science » à tout propos. Les pays du tiers monde ont observé avec intérêt la gestion « à l’occidentale » de la crise sanitaire.

Ils sauront, au fil du temps, se rallier aux partenaires les plus fiables du moment …. accélérant ainsi le déclin en cours de ceux qui ont failli.

3 – Quant à l’Inde qui fait la une de l’actualité Covid en juin, force est de reconnaître que, rapporté à sa population, son taux de mortalité déclaré depuis le début de l’épidémie reste encore près de 7 fois inférieur à celui de notre pays. L’Inde est un pays qui a fait le choix des traitement précoces efficaces et peu onéreux (ivermectine, chloroquine, azytromycine), choix que les pays occidentaux ont refusé de faire pour privilégier un vaccin qui est encore loin d’avoir fait ses preuves.

Un tableau présente ci après les bilans du 17 juillet 2021 0h00 GMT des 70 pays ayant déclaré plus de 3 610 décès (98% des pertes)


Tableau de données concernant l’Europe (et l’UE) face à l’épidémie le 17 juillet 2021 0h00 GMT

Rappel : taux de mortalité Covid mondial : 0,525 décès /mille h et européen : 1,49 décès/millier d’h

Nombre de décès Covid déclarés par millier d’habitants et depuis février 2020, des 33 pays européens de plus de 1,5 million d’habitants affectés par l’épidémie (au 17 juillet 2021 0h00 GMT).

Commentaires sur les deux tableaux ci dessus :

1 – Les pays du Nord et de l’Est de l’Europe (pacte de Visegrad excepté) ont beaucoup mieux géré cette épidémie que les pays de l’UE de l’Ouest et du Sud.

2 – Sans confinements ni mesures répressives, la Suède a fait mieux que de nombreux grands (et moins grands) pays européens, alors même que sa population, non confinée et plus âgée que la notre, a été l’une des plus « contaminée » au monde : 10,77% de la population suédoise ont été testés positifs contre 8,93% en France, 7,09% en Italie, 7,81% au Royaume Uni … Il y a eu manifestement, en Suède, une prise en charge et des traitements précoces des patients, meilleurs que dans d’autres pays … Les faits ont montré que les « experts » qui prévoyaient 96 000 décès en Suède pour la fin d’avril 2020 se trompaient très lourdement ; et que les médias et les politiques qui relayaient bêtement les délires des « experts », jusqu’à prophétiser, pour certains, 400 000 décès pour la France à l’automne 2020 se trompaient aussi… Aucun d’entre eux n’a jamais reconnu ses erreurs…

3 – La Suède dont la stratégie et la ténacité ont payé est sorti du groupe des 35 pays les plus touchés au monde. Si l’on en croit sa courbe de décès, la Suède est quasiment sorti d’affaire puisqu’elle ne compte que 1 décès/jours sur les 7 derniers jours et surtout, elle s’en sort avant beaucoup d’autres pays européens …. et avec beaucoup moins de casse …

4 – Quant à la Biélorussie, non confinée, qui recevait des exhortations de l’OMS, des pressions du FMI, des conseils de confinement du président français, grand spécialiste de la chose, et des torrents de critiques des politiques et des médias mainstream occidentaux qui voulaient « ramener leur science » et voir ce pays singer les décisions débiles de leurs gouvernances dans la gestion de la crise sanitaire, il s’en sort avec un taux de mortalité de 5 à 8 fois inférieur à celui des donneurs de leçons : l’un des meilleurs d’Europe. Il est vrai que ce pays n’a pas été une destination touristique très prisée des occidentaux, principaux porteurs et vecteurs d’infection et de chaos sur la planète, aujourd’hui comme hier.

D. Delawarde

Crédit photo : DR
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Le mystère des 3 présidents décédés après avoir bloqué la distribution des vaccins anti-COVID dans leur pays

[Source : Aube Digitale]

Les présidents de trois nations différentes sont morts peu après avoir refusé la distribution du vaccin contre le COVID-19.

Après leur mort, les trois pays distribuent désormais les vaccins contre le COVID à leurs citoyens.

Le dernier en date est le président haïtien Jovenel Moise, qui a été assassiné à son domicile de Port-au-Prince la semaine dernière par un groupe de mercenaires.

En mai, Haïti avait refusé le vaccin d’AstraZeneca de l’installation Covax de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), invoquant les effets secondaires répandus signalés en Europe.

Haïti était ainsi le seul pays de l’hémisphère occidental à ne pas accepter le vaccin contre le COVID.

Quelques jours après l’assassinat de Moïse, la secrétaire de presse de la Maison Blanche, Jen Psakia annoncé que les États-Unis enverraient des vaccins COVID à Haïti, en plus d’une aide de 5 millions de dollars et d’une équipe d’agents du FBI « dès la semaine prochaine ».

Le président du Burundi, Pierre Nkurunziza, a été le suivant à mourir récemment, d’une crise cardiaque en juin.

Le ministre de la santé du Burundi a refusé les vaccins en février, affirmant que « puisque plus de 95 % des patients sont en voie de guérison, nous estimons que les vaccins ne sont pas encore nécessaires » dans ce pays africain.

En mars, le président tanzanien John Magufuli avait également succombé à un « malaise cardiaque ».

M. Magufuli a suscité la colère du corps médical lorsqu’il a refusé le vaccin contre le COVID dans son pays, invitant les citoyens à « prier pour que le coronavirus disparaisse. »

Magufuli s’est également moqué de l’efficacité des tests PCR, en montrant comment une chèvre et un fruit à pattes ont tous deux été testés positifs au COVID-19.

Quelques mois après sa mort, la Tanzanie a passé une commande à l’OMS pour un envoi de vaccins contre le COVID pour ses 60 millions de citoyens.

Est-ce une simple coïncidence ?…

A vous de décider.




N’ayez pas peur du variant delta, c’est un tigre de papier

Par Gérard Delépine

Depuis plusieurs semaines et la disparition de la maladie en France

comme dans le reste de l’Europe, le gouvernement, les médias et les experts covidterroristes tentent de raviver la panique avec le variant delta.

Or, si celui-ci résiste aux pseudo vaccins actuels et est nettement plus contagieux, il est beaucoup moins dangereux que le précédent et de plus sensible aux traitements précoces. C’est un tigre de papier.

Le variant delta résiste aux pseudo vaccins actuels

C’est pour cette raison qu’il s’est développé dans les pays où les vaccins lui assurent un avantage évolutif sur les souches précédentes comme la Grande-Bretagne (67 % de vaccinés), les Pays-Bas (68 %) l’Espagne (62 %), Israël (65 %) ou Malte (73 %) alors qu’il tarde à se développer en Biélorussie peu vaccinée (7 %).

Prétendre comme le fait le gouvernement que l’injection anti-covid protégerait contre le variant delta est donc contraire aux faits établis.

Le variant delta est un tigre de papier

Dans les pays où il progresse rapidement, il se comporte comme un rhume banal et ni le nombre d’hospitalisations ni la mortalité n’augmentent.

En Europe il n’y a aucune raison de craindre le variant delta qui s’accompagne partout d’une baisse du nombre des hospitalisations et de la mortalité.

Le variant delta est très sensible aux traitements précoces

Et en Inde où son apparition a entraîné une augmentation de la mortalité, la reprise des traitements précoces a vaincu l’épidémie.

Deux mois après le début de la vaccination et l’abandon dans certains états des traitements précoces qui avaient jusque-là contrôlé l’épidémie, l’apparition du variant delta a coïncidé avec l’accroissement important de la mortalité.

Mais l’épidémie a été rapidement jugulée par la reprise des traitements précoces par Hydroxychloroquine et Ivermectine recommandés par la task force indienne contre le covid.

La responsable locale de l’OMS qui avait appelé à l’arrêt des traitements précoces a été mise en accusation pour mise en danger de la vie d’autrui et risque la prison à vie.

Il n’y a donc aucune raison de craindre le variant delta qui n’est qu’un croquemitaine qu’on nous agite pour raviver une panique injustifiée et nous pousser à nous faire injecter des traitements expérimentaux inefficaces contre ce variant.