La presse est morte, vive la presse

[Source : legrandsoir.info]

Par Jacques-Marie BOURGET

En un demi-siècle, le journalisme est passé d’une réalité de liberté, voire « libertaire », à celle de l’obéissance où sa fonction essentielle est de propager la parole des maîtres. Un récent communiqué de la première organisation professionnelle, le Syndicat National des Journalistes, confirme cette réalité française devenue universelle. Le SNJ évoque la « confiscation de la ligne éditoriale par les éditeurs, porte-voix de leurs actionnaires ». Les donneurs d’ordre, comme on le dit en bourse, sont des financiers propriétaires de médias ou des dirigeants d’États, leurs fondés de pouvoir.

Ainsi, pendant vingt ans Rupert Murdoch, milliardaire australien ultra réactionnaire, s’est comporté en propriétaire du « 10 Downing street », le siège du Premier ministre britannique et organisé la rupture du Brexit. Blair, Brown et Cameron ont été les obligés d’un implacable ami : « Rupert ». Aux États-Unis le même monstre de presse a facilité l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche. L’impressionnant documentaire du réalisateur anglais Jamie Roberts, The Rise of the Murdoch Dynasty, suffit à dépeindre le Tchernobyl de presse qu’a provoqué ce tueur de journaux venu des antipodes.

Au XXIe siècle, la fiction Citizen Kane se joue en vrai sur une scène vaste comme la planète. La preuve par l’histoire nous démontre – trop tard – que le propriétaire d’un trust de presse peut diriger le monde. C’est même l’unique raison qu’il a pour posséder, en masse, journaux et télévisions. La masse qui assomme les masses.

Prononcer sur la presse les paroles d’un requiem, vous attire en général une réponse haineuse. Le mépris ou l’injure est comme un antidote pour un monde peu porté à l’autocritique. Sur notre Titanic mourrons donc en musique. Pourtant des milliers de jours étant passés, tout journaliste éveillé finit dans le métier comme un homme souffrant. Veuf d’un monde perdu. Faut-il rendre les journalistes coupables d’avoir enfilé les œillères et les chaînes tendues par le système ? Évidemment non.

Il existe encore des îlots où quelques Shadocks continuent de faire tourner le phare, des poches de résistance. La presse « mainstream » ne mérite plus son nom (les chiffres de lecteurs sont affligeants), mais, portée sur les ondes d’Internet, une nouvelle presse arrive pour chasser celle d’aujourd’hui. Ce mouvement de bascule a été bien compris par les milliardaires de presse. Voyant fondre leur public, ils tentent de le récupérer en amplifiant leurs éditions sur Internet.

« Toile » pourtant honnie dès sa création par les actionnaires et leurs profits : un possible espace de liberté s’ouvrait et il leur échappait. Leur première stratégie fut d’utiliser en masse l’arme de la diffamation. Tous les sites d’information, ou de réflexion, tous les journalistes publiant hors troupeau, sont épinglés, black-listés, marqués du sceau de « pas crédible ». Ces damnés étaient soit des « complotistes » producteurs de « fake news », soit « fascistes, rouges-bruns, gauchistes, islamo-gauchistes » ou pire.

Des brigades, formées de gardiens de la pensée juste, furent sponsorisées. Eux seuls avaient sur Internet le monopole du vrai. Ces manœuvres ont échoué ou sont en train de mourir : si les Gafa ne parviennent à maîtriser tous les contenus circulants sur la Toile, les Murdoch mondialisés, en France les Arnaud, Pinault, Bolloré et Bouygues, peuvent être battus. Pire, des Google et Facebook, sans censeurs, peuvent naître. Bientôt l’Internet en direct par satellite rendra difficile le jeu des ciseaux d’Anastasie.

Le spectacle de l’information télévisée est tout aussi désolant. Pas inquiétant : en France la moyenne d’âge des téléspectateurs assidus est, au premier mars 2021, de 56,1. Cela signifie que l’avenir a déserté le vieux tube pour regarder ailleurs, sur le Net. Ici les puissants ont donc perdu des plumes. Contrairement à un axiome astiqué dans les réservoirs à penser de Washington, la seule fonction d’Internet n’est pas de faciliter le mensonge. Le Net peut être son pire ennemi, l’outil démocratique qui permet de dénoncer.

Dans vingt ans restera-t-il des journalistes de presse écrite ? Par la fausse magie de « l’intelligence artificielle », alimentée par des milliers d’esclaves chargés de gaver la machine, les articles seront alors écrits par des robots. En cinq ans le Washington Post a publié plusieurs milliers de ces papiers désincarnés. En salle de rédaction, le journaliste qui surveille la machine emprunte le rôle du vigile de supermarché.

Les éditoriaux, chacun l’a constaté, exigeant une énorme mémoire vive, échappent encore à cette écriture automatique dont les surréalistes n’ont osé rêver. Un avantage, au regard du style : les robots ne peuvent écrire d’une façon plus médiocre que ce que la production actuelle nous propose. Au musée de la presse, les journalistes « écrits » vont rejoindre les linotypistes des anciennes imprimeries.

Votons donc pour une renaissance sur Internet. Cette presse numérique finira par sortir de son modèle où le travail est peu ou pas rémunéré. Qui exige de ses journalistes et contributeurs la passion de l’amateur. Pourtant, en s’installant sur la Toile, le journalisme ne peut s’exonérer de ses principes fondateurs : enquêter, donc voyager, tenir le terrain ; des impératifs coûteux.

Paradoxe : en exigeant la gratuité des sites auxquels ils sont désormais fidèles, les lecteurs sur Internet, surtout en France, ont tué un peu de leur liberté de savoir en refusant leur écot aux éditeurs pionniers. L’information gratuite ne peut exister.

Jacques Renard qui était plus grand encore que « grand reporter », un immense journaliste français, m’a dit une nuit, assis près du bar au « Village », club de Saint-Germain-des-Prés : « Tu sais, si je ne vais jamais au cinéma c’est que j’ai trop peur qu’il se passe quelque chose pendant ce temps-là ». Voilà. Pompiers d’un monde plus ou moins vaste – toute la planète ou l’accident du coin de rue – nous attendions « qu’il se passe quelque chose ».

L’information se périmait plus vite qu’une tranche de saumon, il fallait du nouveau, des nouvelles. Et les diffuser en premier. Chaque jour les quotidiens publiaient trois ou quatre éditions différentes, et une « spéciale » en cas d’évènement majeur. Les journalistes étaient peu souvent à la rédaction, plutôt sur le terrain, même si celui-ci était un bistro. Chacun savait que l’information venait du dehors, où il fallait être.

Les journalistes étaient alors des « confrères » – ils sont devenus des « collègues » –, comme dans les compagnies d’assurances. Entre nous le « tu » était obligatoire. Un exercice difficile pour qui avait vingt ans et devait tutoyer un rédacteur en chef âgé de soixante-cinq, chenu et sortant de Normale Sup. À l’intérieur d’une rédaction, même salarié, le journaliste conservait un statut d’indépendant, et il n’était pas concevable de le faire plier, les rédacteurs et reporters n’étant pas encore considérés comme des techniciens de presse.

Le métier ne s’enseignait pas dans des écoles, le recrutement se faisait à l’usage, avec jugement sur le tas. On entrait dans une rédaction, on écoutait, pour être vite expédié dans un commissariat comme pêcheur d’informations. Dix-huit mois plus tard, les tenaces devenaient journaliste, les autres filaient à la fac ou dans le commerce. Nous nous retrouvions entre gens étranges, plutôt hors société, pour certains hors de temps. Je me souviens d’un confrère auquel on avait confié un reportage à huit heures du matin, amateur de grasses matinées l’insomniaque ne s’était jamais levé si tôt.

« Le terrain, le terrain » … Celui-ci avait toujours raison et organisait les existences. Partis au Vietnam, au Liban, au Cambodge, en Afrique ou à Bruay-en-Artois, les journalistes pouvaient disparaître plusieurs mois. Partout où il se trouvait, « l’envoyé spécial », celui qui voyait les faits de ses yeux, avait toujours raison. Raison à l’heure du « bouclage » contre les avis des confrères ou rédacteurs en chef restés au bureau. La copie d’un envoyé spécial était intouchable.

Le monde de presse formait une tribu nationale ou internationale, parfois une fraternité acquise lors des coups durs partagés, moments où la vie ne valait pas cher. Ces acteurs de l’information avaient le goût de la littérature. Il fut un temps où quelques membres de cette communauté se nommaient Hemingway, Dos Passos, Steinbeck, Nizan, Camus, Malraux, Kessel, Bernanos, Gatti… Puis la littérature a divorcé d’un journalisme de moins en moins soucieux de la valeur des mots. Les nouveaux maîtres, ceux qui ont concentré la presse, ne lisaient plus des romans, mais des bilans. Le temps de cerveau disponible est devenu une unité de mesure.

Issus d’écoles spécialisées, les CV des jeunes journalistes d’aujourd’hui interpellent. Le métier n’est plus ouvert, mais fermé sur une caste totalement « bourgeoise », comme pourrait l’observer Pierre Bourdieu. Les professions des parents de ces nouveaux confrères oscillent entre industriels, avocats, médecins, architectes. Allez chercher ici un fils d’ouvrier… Mieux, puisque nous sommes entre gens de bonne naissance, le népotisme permet de caser aisément un rejeton dans la presse.

Jetez un œil sur l’audiovisuel français, et vous trouverez des homonymies qui vous démontrent que bien des étudiants en journalisme ont eu, eux aussi, « de la chance » pour reprendre Jacques Brel. Si j’insiste sur cet aspect sociologique, ce n’est pas pour rejoindre un bataillon de la lutte des classes, mais pour observer que ces « écoles de journalisme », désormais inévitables et coûteuses, ne sont pas des instituts où l’on forme des rebelles. Par deux fois, à Paris au Centre de Formation des Journalistes, j’ai été invité à évoquer le « doute ». M’inquiétant du peu d’appétit des étudiants pour Descartes, le responsable des études m’a répondu : « Tu sais, ici nous n’enseignons que des certitudes ».

En 1999 au Kosovo, placé du mauvais côté des bombes de l’OTAN, c’est-à-dire en dessous, j’ai eu à Pristina la surprise de tomber un soir, sous la lueur d’une lampe tempête, sur Régis Debray. Il avait eu le courage de venir ici. Afin de vérifier si les affirmations de presse étaient des vérités : un stade transformé en « camp de prisonniers », les Serbes « jouant au foot avec des têtes humaines », « 700 000 morts » annoncés. Tout était faux. Pour avoir écrit cela à son retour dans le Monde Diplomatique, Debray fut proscrit par l’escadron du bien. Edwy Plenel, gardien du sanctuaire, a même titré : « Adieu Régis ».

Pour avoir vérifié une information qui venait contredire la doxa, le médiologue était mis au cachot. Quittait le monde de la connaissance pour celui du complotisme moisi. Interrogé par Debray, dans sa Revue de Médiologie, je me souviens du titre donné à notre entretien : « La mort du regard ». Lui et moi en avions la preuve : envoyer un journaliste couvrir un évènement était prendre le risque de faire écrouler ce mensonge.

En 2021, quand il monte dans un avion, un envoyé spécial sait que, le temps d’un aller et retour, il ne voyage qu’afin de confirmer le contenu des éditoriaux de son patron. À quoi bon savoir ? Un ami cher vient de me souffler l’analyse ultime, celle qui résume notre moment de presse : « la vérité n’est plus qu’une opinion parmi d’autres ».

La nostalgie qui gagne, en décrivant cette vieille presse, ne doit pas masquer ses monstruosités. Le mensonge n’est pas un outil récent et les rédactions de jadis n’étaient pas le congrès des anges. Châteaubriant nous a prévenus très tôt : « Faites attention à l’histoire que l’imposture se charge d’écrire ». En 1914 L’Intransigeant nous rapportait que les balles « boches » ne tuaient pas. En 1927 La Presse affirme que Nungesser et Coli avaient « traversé l’Atlantique », alors qu’ils gisaient au fond de l’océan (rendus furieux les lecteurs auront très rapidement la peau du quotidien trompeur).

Propagande et bidonnages ne sont pas nés avec les start-ups. Mais scientifiquement mise au point dans des fabriques du mensonge, matière incubée dans des « think tanks », ou agences de « com », Pinocchio a pris de jolies formes et du poids. Avec le sérieux qui convient, la presse d’aujourd’hui ne propage plus, pour l’essentiel, que des vérités inventées. Colin Powell secouant son tube d’anthrax au Conseil de l’ONU afin de persuader l’univers que l’Irak possédait des Armes de Destruction Massive, était un créateur. Sa construction fut reprise et fortifiée par tous les médias des pays de l’OTAN, en tête les plus grands journaux des EU.

Idéale la vieille presse ? Non bien sûr. Il suffit, pour décrire le pire, de reprendre, sous forme d’ordures, les publications qui, dès 1933, ont rêvé de l’arrivée de Hitler à la Tour Eiffel. Brasillach a été le plus connu des confrères fusillés à la Libération, mais la purge a épargné (je ne réclame pas la potence, juste l’indignité à vie) trop de patrons et presse et de collaborateurs.

Citons le criminel de guerre Bousquet que l’on retrouvera dans les années cinquante dans l’équipe de direction de La Dépêche du Midi . Pour la mise à mort de la vieille presse vinrent des satrapes comme Robert Hersant, un antisémite ancien responsable d’un groupuscule pronazi. Sous Giscard, soutenu par les banques, il va racheter de grands journaux comme Le Figaro et L’Aurore. Le rideau se tire sur la liberté.

De ces lignes vous pouvez déduire que l’ancien modèle a échoué. Celui des journalistes indépendants vivant sur le terrain ? Mais non, il a été étranglé par la société du spectacle, pour citer Guy Debord. Monde où le préjugé, l’inventé, le faux doit circuler comme un virus. La communication a pris le pouvoir. Des journaux rentables, vendant à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires (ce qui fait rêver aujourd’hui), ont été achetés pour être transformés en tracts, ancêtres du « storytelling ».

Au bout du fusil, la prise du pouvoir. En France l’objectif est double, la démolition du programme du Conseil National de la Résistance – celui qui, outre la création d’une presse qui devait être éthique, a promulgué un nouveau contrat social –, il s’agit aussi, sous la dictée de Washington et autres relais, de promouvoir une Europe épousant la forme d’une colonie des EU. Les « pères » de ce continent, supposé unifié, n’étaient-ils pas un ami de la CIA pour Jean Monnet et un ancien ministre de Pétain, pour Robert Schuman ?

Dans le passé, la devise des journalistes étasuniens était la suivante, « Affliger les puissants et réconforter les faibles ». C’est fini, au broyeur la maxime. Après avoir gobé tous les mensonges des locataires successifs de la Maison-Blanche, et à la fin cette sornette sur la Russie qui aurait truqué l’élection favorable à Trump, la presse des EU ne vit plus ses beaux jours. La pensée occidentale est au garde à vous et Savonarole peut jeter au feu celui qui dérive. Le journalisme n’est plus là pour réconforter, ou affliger, mais pour valider le choix des maîtres ; il a perdu son statut de « quatrième pouvoir ».

En 1968, après que les États-Unis ont subi la désastreuse « Offensive du Têt » au Vietnam, Walter Cronkite, présentateur du grand journal de CBS, se rend sur place. De retour au pays, il lance un édito : « quittons ce bourbier, la guerre n’est pas gagnable ». En regardant l’écran de son téléviseur le président Johnson aurait déclaré « Si j’ai perdu Cronkite, j’ai perdu l’Amérique ».

Un an plus tard, l’immense Seymour Hersh, l’icône de notre métier, révèle qu’à My Lai, au Vietnam, l’armée des EU a commis un crime de guerre en tuant plus de 400 civils. Hersh devient un héros récompensé du Prix Pulitzer. En ce printemps 2021, Hersh toujours actif après avoir multiplié les révélations depuis cinquante ans, ne trouve plus un seul journal acceptant de publier ses enquêtes.

Impossible d’écrire une ligne à propos de l’Ukraine, de la Syrie, de la Palestine par exemple, qui vienne écornifler le joli chromo accroché dans les rédactions : celui de la vérité révélée. Au travail d’un Hersh, les journaux du monde préfèrent le mensonge. Comme celui de Timisoara, une ville de Roumanie où en 1989, pour mieux abattre le tyran Ceausescu, la presse mondiale a soutenu la réalité d’un faux charnier. C’est de ce poison que la presse du monde nouveau peut mourir.

Jacques-Marie Bourget

Depuis le site ELUCID»»https://elucid.media/democratie/bourget-presse-journalisme-histoire-catastrophe/
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La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 1)

Par Arthur Firstenberg,

auteur de The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life
[L’arc-en-ciel invisible – Une histoire de l’électricité et de la Vie]

[Voir :
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 2)
La technologie la plus dangereuse jamais inventée (partie 3)]


En 1995, l’industrie des télécommunications se préparait à introduire un nouveau produit dangereux aux États-Unis : le téléphone cellulaire numérique. Les téléphones cellulaires existants étaient analogiques et coûteux. Ils appartenaient surtout à des personnes fortunées et n’étaient utilisés que quelques minutes à la fois. Nombre d’entre eux étaient des téléphones de voiture dont les antennes se trouvaient à l’extérieur de la voiture, pas dans la main ni à côté du cerveau. Les téléphones cellulaires ne fonctionnaient que dans les grandes villes ou à proximité. Les quelques tours cellulaires qui existaient se trouvaient pour la plupart au sommet de collines, de montagnes ou de gratte-ciel, et non à proximité des habitations.

Le problème pour l’industrie des télécommunications en 1995 était la responsabilité. Les rayonnements micro-ondes sont nocifs. Les téléphones cellulaires allaient endommager le cerveau de tout le monde, rendre les gens obèses et donner à des millions de personnes le cancer, des maladies cardiaques et le diabète. Et les tours de téléphonie cellulaire allaient endommager les forêts, anéantir les insectes, torturer et tuer les oiseaux et la faune.

Tout cela était connu. Des recherches approfondies avaient déjà été menées aux États-Unis, au Canada, en Union soviétique, en Europe de l’Est et ailleurs. Le biologiste Allan Frey, sous contrat avec la marine américaine, était tellement alarmé par les résultats de ses études sur les animaux qu’il refusait de faire des expériences sur les humains. « J’en ai trop vu », a-t-il déclaré à ses collègues lors d’un symposium en 1969. « J’évite très soigneusement de m’exposer moi-même, et ce depuis un certain temps déjà. Je n’ai pas l’impression de pouvoir emmener des gens dans ces champs et les exposer et, en toute honnêteté, leur indiquer qu’ils entrent dans quelque chose de sûr. »

M. Frey a découvert que les micro-ondes endommagent la barrière hématoencéphalique — la barrière protectrice qui empêche les bactéries, les virus et les produits chimiques toxiques d’entrer dans le cerveau et maintient l’intérieur de la tête à une pression constante, empêchant ainsi les accidents vasculaires cérébraux. Il a découvert que les personnes et les animaux peuvent entendre les micro-ondes. Il a découvert qu’il pouvait arrêter le cœur d’une grenouille en synchronisant les impulsions de micro-ondes à un moment précis du rythme cardiaque. Le niveau de puissance qu’il a utilisé pour cette expérience n’était que de 0,6 microwatt par centimètre carré, soit des milliers de fois moins que le rayonnement des téléphones portables actuels.

L’ophtalmologiste Milton Zaret, qui avait des contrats avec l’armée, la marine et l’armée de l’air américaines, ainsi qu’avec la Central Intelligence Agency, a découvert dans les années 1960 que les micro-ondes de faible niveau provoquent des cataractes. En 1973, il a témoigné devant le Comité du commerce du Sénat des États-Unis. « Il existe un danger clair, présent et toujours croissant », a-t-il déclaré aux sénateurs, « pour l’ensemble de la population de notre pays en raison de l’exposition à toute la partie non ionisante du spectre électromagnétique. Les dangers ne peuvent être surestimés… » Zaret a parlé au comité de patients qui avaient non seulement des cataractes causées par l’exposition aux micro-ondes, mais aussi des tumeurs malignes, des maladies cardiovasculaires, des déséquilibres hormonaux, de l’arthrite et des maladies mentales, ainsi que des problèmes neurologiques chez leurs enfants. Ces patients allaient du personnel militaire exposé au radar aux ménagères exposées à leur four à micro-ondes.

« La norme de fuite des fours à micro-ondes fixée par le Bureau de la santé radiologique », a-t-il déclaré au comité, « est environ 1 milliard de fois supérieure à la totalité du spectre des micro-ondes émis par le Soleil. Il est consternant que ces fours soient autorisés à fuir, et encore plus que les publicités pour les fours encouragent nos enfants à s’amuser en apprenant à cuisiner avec eux ! » La norme de fuite des fours à micro-ondes, aujourd’hui en 2021, est la même qu’en 1973 : 5 milliwatts par centimètre carré à une distance de 5 centimètres. Et les niveaux d’exposition du cerveau aux micro-ondes de tous les téléphones portables utilisés aujourd’hui sont plus élevés que cela.

À l’époque, la marine exposait les soldats à des micro-ondes de faible intensité dans le cadre de recherches menées à Pensacola, en Floride. Faisant écho à Frey, Zaret a déclaré que ces expériences étaient contraires à l’éthique. « Je ne crois pas qu’il soit possible », a-t-il déclaré à la commission sénatoriale, « d’obtenir le consentement éclairé et sans réserve d’un jeune adulte qui accepte d’être exposé à une irradiation dont on ne sait pas exactement quel sera le résultat final… De plus, les enfants qu’il aura un jour pourront souffrir de cette irradiation ». Il a souligné à nouveau les problèmes éthiques que pose cette recherche : « Je pense que si on leur expliquait tout cela et qu’ils se portaient quand même volontaires pour ce projet, on s’interrogerait d’emblée sur leur capacité mentale. »

Les scientifiques qui faisaient des expériences sur les oiseaux étaient tout aussi alarmés par leurs résultats et ont émis des avertissements sur les effets environnementaux des radiations que notre société déversait sur le monde, qui étaient tout aussi terribles que les avertissements lancés au Congrès par Milton Zaret et les avertissements lancés à la marine par Allan Frey.

À la fin des années 1960 et tout au long des années 1970, John Tanner et ses collègues du Conseil national de la recherche du Canada ont exposé des poulets, des pigeons et des mouettes aux micro-ondes et ont constaté des effets effrayants à tous les niveaux d’exposition. Les poulets exposés à des doses comprises entre 0,19 et 360 microwatts par centimètre carré pendant neuf mois ont développé des tumeurs du système nerveux central et une leucose aviaire — également un type de tumeur — des ovaires, des intestins et d’autres organes qui, chez certains oiseaux, ont atteint des « proportions massives », à une « échelle jamais vue auparavant par les vétérinaires expérimentés dans les maladies aviaires ». La mortalité était élevée chez les oiseaux irradiés. Tous les oiseaux exposés, à tous les niveaux de puissance, avaient un plumage détérioré, avec des plumes perdues, cassées ou avec des tiges tordues et cassantes.

Dans d’autres expériences, au cours desquelles ces chercheurs ont irradié des oiseaux à une puissance plus élevée, les oiseaux se sont effondrés de douleur en quelques secondes. Cela se produisait non seulement lorsque l’oiseau entier était irradié, mais aussi lorsque seules les plumes de la queue étaient irradiées et que le reste de l’oiseau était soigneusement protégé. Au cours d’autres expériences, ils ont prouvé que les plumes des oiseaux constituaient d’excellentes antennes de réception pour les micro-ondes et ont émis l’hypothèse que les oiseaux migrateurs pouvaient utiliser leurs plumes pour obtenir des informations directionnelles. Ces scientifiques ont averti que l’augmentation des niveaux de micro-ondes ambiantes causerait de la détresse aux oiseaux sauvages et pourrait interférer avec leur navigation.

Maria Sadchikova, qui travaillait à Moscou, Václav Bartoniček et Eliska Klimková-Deutshová, qui travaillaient en Tchécoslovaquie, et Valentina Nikitina, qui a examiné des officiers de la marine russe, ont constaté, dès 1960, que la majorité des personnes exposées aux micro-ondes dans le cadre de leur travail — même celles qui avaient cessé de le faire cinq à dix ans auparavant — avaient un taux de sucre élevé dans le sang ou dans l’urine.

Les expériences sur les animaux ont montré que les rayonnements interfèrent directement avec le métabolisme et qu’ils le font rapidement. En 1962, V.A. Syngayevskaya, à Leningrad, a exposé des lapins à des ondes radio de faible intensité et a constaté que la glycémie des animaux avait augmenté d’un tiers en moins d’une heure. En 1982, Vasily Belokrinitskiy, à Kiev, a signalé que la quantité de sucre dans l’urine était directement proportionnelle à la dose de rayonnement et au nombre de fois où l’animal était exposé. Mikhail Navakitikian et Lyudmila Tomashevskaya ont rapporté en 1994 que le taux d’insuline diminuait de 15 % chez les rats exposés pendant une demi-heure seulement, et de 50 % chez les rats exposés pendant douze heures à un rayonnement pulsé d’une puissance de 100 microwatts par centimètre carré. Ce niveau est comparable au rayonnement qu’une personne reçoit aujourd’hui en s’asseyant directement devant un ordinateur sans fil, et nettement inférieur à ce que le cerveau d’une personne reçoit d’un téléphone portable.

Ce ne sont là que quelques-unes des milliers d’études menées dans le monde entier à l’époque, qui ont révélé les effets profonds des micro-ondes sur tous les organes humains, ainsi que sur le fonctionnement et la reproduction de toutes les plantes et de tous les animaux. Le lieutenant Zory Glaser, chargé par la marine américaine en 1971 de répertorier la littérature mondiale sur les effets des micro-ondes et des radiofréquences sur la santé, a rassemblé 5 083 études, manuels et actes de conférence en 1981. Il a réussi à trouver environ la moitié de la littérature existant à cette époque. Ainsi, environ 10 000 études avaient prouvé que les micro-ondes et les radiofréquences étaient dangereuses pour toute forme de vie, et ce dès avant 1981.

Cuire votre ADN et griller vos nerfs

Au début des années 1980, Mays Swicord, qui travaillait au National Center for Devices and Radiological Health de la Food and Drug Administration, a décidé de vérifier son hypothèse selon laquelle l’ADN absorbe de manière résonante les micro-ondes et que même un très faible niveau de rayonnement, bien que ne produisant aucune chaleur mesurable dans le corps humain dans son ensemble, peut néanmoins chauffer votre ADN. Il a exposé une solution contenant une petite quantité d’ADN à un rayonnement micro-ondes et a constaté que l’ADN lui-même absorbait 400 fois plus de rayonnement que la solution dans laquelle il se trouvait, et que les différentes longueurs de brins d’ADN absorbent par résonance différentes fréquences de rayonnement micro-ondes. Ainsi, même si la température globale de vos cellules n’est pas augmentée à un degré détectable par le rayonnement, l’ADN à l’intérieur de vos cellules peut être énormément chauffé. Les recherches ultérieures de Swicord ont confirmé que cela endommageait l’ADN, provoquant des cassures d’ADN à simple et double brin.

Le professeur Charles Polk, de l’université de Rhode Island, a fait un rapport similaire lors de la vingt-deuxième réunion annuelle de la Bioelectromagnetics Society en juin 2000 à Munich, en Allemagne. Des mesures directes ont récemment montré que l’ADN est beaucoup plus conducteur d’électricité qu’on ne le soupçonnait : il a une conductivité d’au moins 105 siemens par mètre, soit environ 1/10 de la conductivité du mercure ! Un téléphone portable tenu à la tête peut irradier le cerveau à un débit d’absorption spécifique (DAS) d’environ 1 watt par kilogramme, ce qui produit un faible réchauffement global. Polk a cependant calculé que ce niveau de rayonnement augmenterait la température à l’intérieur de votre ADN de 60 degrés Celsius par seconde ! Il a déclaré que les tissus ne peuvent pas dissiper la chaleur aussi rapidement et qu’un tel échauffement romprait les liens entre les brins complémentaires d’ADN, ce qui expliquerait les ruptures d’ADN signalées dans diverses études.

En 2006, Markus Antonietti, de l’Institut Max Planck en Allemagne, s’est demandé si un type similaire d’absorption résonante se produisait dans les synapses de nos nerfs. Les téléphones portables sont conçus de manière à ce que les rayonnements qu’ils émettent ne chauffent pas votre cerveau de plus d’un degré Celsius. Mais que se passe-t-il dans le minuscule environnement d’une synapse, où des ions chargés électriquement participent à la transmission de l’influx nerveux d’un neurone à l’autre ? Antonietti et ses collègues ont simulé les conditions régnant dans les synapses nerveuses avec de minuscules gouttelettes de graisse dans de l’eau salée et ont exposé les émulsions à un rayonnement micro-ondes à des fréquences comprises entre 10 MHz et 4 GHz. Comme prévu, les fréquences d’absorption résonantes dépendaient de la taille des gouttelettes et d’autres propriétés de la solution. Mais c’est la taille des pics d’absorption qui a choqué Antonietti.

« Et maintenant vient la tragédie », a déclaré Antonietti. « Exactement là où nous sommes les plus proches des conditions du cerveau, nous voyons le plus fort réchauffement. Il y a cent fois plus d’énergie absorbée que ce que l’on pensait auparavant. C’est une horreur. »

Les efforts de l’EPA pour protéger les Américains

Face à un barrage de résultats scientifiques alarmants, l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) a créé son propre laboratoire de recherche sur les rayonnements micro-ondes qui a fonctionné de 1971 à 1985 avec jusqu’à 30 employés à temps plein exposant des chiens, des singes, des rats et d’autres animaux aux micro-ondes. L’EPA a été tellement troublée par les résultats de ses expériences qu’elle a proposé, dès 1978, d’élaborer des lignes directrices sur l’exposition humaine aux micro-ondes afin qu’elles soient adoptées et appliquées par d’autres agences fédérales dont les activités contribuaient à l’épaississement rapide du brouillard de pollution électromagnétique dans notre pays. Mais ces agences se sont montrées réticentes.

La Food and Drug Administration ne voulait pas que les limites d’exposition proposées s’appliquent aux fours à micro-ondes ou aux écrans d’ordinateur. La Federal Aviation Administration ne voulait pas avoir à protéger le public des radars de contrôle du trafic aérien et des radars météorologiques. Le ministère de la Défense ne voulait pas que les limites s’appliquent aux radars militaires. La CIA, la NASA, le ministère de l’Énergie, les garde-côtes et Voice of America ne voulaient pas avoir à limiter l’exposition du public à leurs propres sources de rayonnement.

Enfin, en juin 1995, alors que l’industrie des télécommunications prévoyait de mettre des appareils à rayonnement micro-ondes dans les mains et à côté du cerveau de chaque homme, femme et enfant, et d’ériger des millions de tours et d’antennes cellulaires dans les villes, villages, forêts, réserves naturelles et parcs nationaux de tout le pays afin de faire fonctionner ces appareils, l’EPA a annoncé qu’elle allait publier la phase I de ses directives d’exposition au début de 1996. La Commission fédérale des communications aurait été tenue d’appliquer ces directives, les téléphones cellulaires et les tours cellulaires auraient été illégaux, et même s’ils n’avaient pas été illégaux, les entreprises de télécommunications auraient été exposées à une responsabilité illimitée pour toutes les souffrances, les maladies et la mortalité qu’elles étaient sur le point de causer.

Mais il n’en a rien été. L’Electromagnetic Energy Association, un groupe de pression de l’industrie, a réussi à empêcher la publication des directives d’exposition de l’EPA. Le 13 septembre 1995, le Comité sénatorial des crédits a supprimé les 350 000 $ qui avaient été budgétés pour le travail de l’EPA sur ses directives d’exposition et a écrit dans son rapport : « Le Comité estime que l’EPA ne devrait pas s’engager dans des activités liées aux CEM. »

La Personal Communications Industry Association (CTIA), un autre groupe industriel, a également fait pression sur le Congrès, qui était en train de rédiger un projet de loi appelé Telecommunications Act, et une disposition a été ajoutée à la loi interdisant aux États et aux gouvernements locaux de réglementer les « installations de services sans fil personnels » sur la base de leurs « effets environnementaux ». Cette disposition a protégé l’industrie des télécommunications de toute responsabilité pour les blessures causées par les tours et les téléphones cellulaires et a permis à cette industrie de vendre au public américain la technologie la plus dangereuse jamais inventée. Les gens n’étaient plus autorisés à parler de leurs blessures à leurs élus lors d’audiences publiques. Les scientifiques n’étaient plus autorisés à témoigner devant les tribunaux sur les dangers de cette technologie. Tous les moyens permettant au public de découvrir que la technologie sans fil les tuait ont été soudainement interdits.

L’industrie des télécommunications a tellement bien réussi à vendre cette technologie qu’aujourd’hui, le foyer américain moyen contient 25 appareils différents qui émettent des micro-ondes et l’Américain moyen passe cinq heures par jour sur son téléphone portable, l’a dans sa poche à côté de son corps le reste de la journée et dort avec toute la nuit dans ou à côté de son lit. Aujourd’hui, presque tous les hommes, femmes et enfants tiennent un appareil à micro-ondes dans leur main ou contre leur cerveau ou leur corps toute la journée, sans se rendre compte de ce qu’ils font à eux-mêmes, à leur famille, à leurs animaux domestiques, à leurs amis, à leurs voisins, aux oiseaux dans leur cour, à leur écosystème et à leur planète. Ceux qui sont même conscients qu’il y a un problème ne voient que les tours comme une menace, et leur téléphone comme un ami.

(à suivre) 


[Voir aussi : dossier
5G et ondes pulsées]




Conflits d’intérêts et corruption à l’Agence européenne du médicament

[Source : Dr. Gonzo]

Rappel : Le scandale des pots-de-vin de Big Pharma éclate en Australie, entraînant la chute de six fonctionnaires corrompus et du Premier ministre australien Berejiklian

À qui le tour ?

De qui se moque l’Agence Européenne du Médicament ?

https://formindep.fr/de-qui-se-moque-lagence-europeenne-du-medicament/

Formindep (« Association pour une formation et une information médicale indépendante »), le 19 septembre 2009.

L’European Medicines Agency (EMEA), ou Agence Européenne du Médicament est un organe de l’Union Européeenne, chargé de l’évaluation et de la supervision des produits de santé humaine et animale. Elle a été épinglée à différentes reprises pour sa politique de transparence pour le moins insuffisante et qui laisse la place à toutes les suspicions.

L’Agence du médicament et l’Autorité de sécurité alimentaire sont soupçonnées de conflits d’intérêts.

https://www.lemonde.fr/planete/article/2011/11/14/les-autorites-sanitaires-europeennes-en-accusation_1603384_3244.html

Le Monde, le 14 novembre 2011.

L’onde de choc du scandale du Mediator, qui aurait provoqué jusqu’à 2 000 morts, a atteint l’Agence européenne du médicament (AEM), déjà mise en cause pour son manque de transparence, ses carences en matière de pharmacovigilance et ses insuffisances dans la lutte contre les conflits d’intérêts. Aiguillonnée par sa tutelle, la Commission européenne, l’AEM tente désormais de redresser la barre.

Agence européenne du médicament : trop de conflits d’intérêts.

https://www.prescrire.org/Fr/3/31/47913/0/NewsDetails.aspx

Revue Prescrire, le 1er juillet 2012.

Un audit réalisé par la Commission européenne a porté sur la gestion par l’Agence européenne du médicament (EMA) des conflits d’intérêts des personnes impliquées dans ses activités. Il a fallu deux ans de procédures et l’intervention du Médiateur européen pour que l’association Formindep obtienne la copie de cet audit, que l’EMA refusait de transmettre. Les résultats sont accablants…

Question avec demande de réponse écrite à la Commission européenne.

Objet: Indépendance de l’Agence européenne des médicaments.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/E-9-2021-001644_FR.html

Parlement européen, le 24 mars 2021.

Dans son dernier rapport en date, l’EMA indique elle-même que sur les 4 010 experts auxquels elle a fait appel en 2019, 926 avaient des liens directs ou indirects avec l’industrie pharmaceutique. Des spécialistes pointent également le mode de financement de l’EMA, ainsi que les « allers-retours » de membres de l’agence, y compris hauts placés, entre public et privé. Des « pantouflages et rétro-pantouflages » problématiques, selon Bruno Toussaint, directeur éditorial de la revue Prescrire, cité par Le Figaro (31/12/2020).

Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence européenne du médicament.

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/conflits-dinteret-et-corruption-lagence-europeenne-du-medicament

France Soir, le 13 octobre 2021.

Cela semble invraisemblable, mais le budget de fonctionnement de cette agence (346 millions d’euros) provient à 85,70 % de redevances payées par l’industrie pharmaceutique et à seulement 14,30 % de financements publics de l’Union européenne.

Budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019.

https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf

Parlement européen, le 30 mars 2021. Page 7/21 :




Coronacircus — Plus on est intelligent, moins on se vaccine

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

Par Thomas T. Siler, M.D. American Thinker

Il y a une campagne de propagande massive contre ceux qui choisissent de ne pas se faire vacciner contre Covid-19 avec les vaccins expérimentaux à ARNm. Les médias grand public, les grandes entreprises technologiques et nos gouvernements ont combiné leurs efforts pour récompenser la conformité et pour humilier et marginaliser la non-conformité. Leur mantra dit qu’il s’agit d’une pandémie causée par les non-vaccinés. Ces derniers sont décrits comme des personnes inintelligentes, égoïstes et paranoïaques qui ne lisent pas beaucoup et vivent isolées dans un parc à roulottes dans des banlieues paumées. Jamais, de mémoire d’Homme, il n’y a eu un tel effort pour les manipuler par la peur et les pénaliser afin de les obliger à suivre un traitement médical expérimental.

Cependant, au fur et à mesure que le temps passe avec cette pseudo pandémie et que de plus en plus de données s’accumulent sur le virus et le vaccin, les non-vaccinés semblent de plus en plus intelligents chaque semaine qui vient. Il a été démontré maintenant que les vaccinés attrapent et propagent le virus encore plus que les non-vaccinés.[1] Les données sur les effets secondaires des vaccins continuent de s’accumuler, ce qui rend le risque de prendre le vaccin prohibitif à mesure que la pandémie diminue.[2] Les médicaments oraux et intraveineux qui fonctionnent tôt dans le traitement du Covid-19 sont beaucoup plus attrayants à prendre maintenant, car les risques du vaccin sont de plus en plus connus, en particulier parce que les vaccinés auront besoin de rappels sans fin tous les six mois.

Tout d’abord, abordons l’intelligence des non-vaccinés. L’hésitation à la vaccination est multifactorielle et varie avec le niveau d’éducation ou d’intelligence. L’Université Carnegie Mellon a réalisé une étude évaluant l’hésitation à la vaccination à tous les niveaux d’éducation. Selon l’étude, quel est le niveau d’éducation avec le plus d’hésitation à la vaccination ?doctorat niveau Ph. D.! De toute évidence, les scientifiques capables de lire les données et d’évaluer les risques sont parmi les moins susceptibles de prendre les vaccins à ARNm.

L’affirmation selon laquelle il y a une pandémie chez les non-vaccinés est donc manifestement fausse. Comme l’a récemment demandé une infirmière à la retraite de Californie : « Pourquoi les protégés doivent-ils être protégés des non-protégés en forçant les non-protégés à utiliser la protection qui ne protége pas les protégés en premier lieu ? ». Si le vaccin agit pour prévenir l’infection, alors les vaccinés n’ont rien à craindre. Si le vaccin ne prévient pas l’infection, les vaccinés restent exposés à un certain risque et les non-vaccinés seraient moins susceptibles de choisir un vaccin qui ne fonctionne pas bien.

L’efficacité du vaccin à ARNm est très étroite et se concentre sur la souche alpha originale de Covid-19. En ciblant un groupe d’antigènes sur la protéine de pointe, cela aide la souche alpha d’origine, mais il est clair maintenant qu’elle ne protège pas contre la souche Delta et ne protège probablement pas contre les futures souches qui pourraient circuler. Il semble également que l’efficacité diminue en 4 à 6 mois, ce qui conduit à des discussions sur les boosters (rappels).

Plusieurs auteurs ont souligné que la vaccination avec un vaccin « qui fuit » lors d’une pandémie pousse le virus à s’échapper et à créer des variantes. Si le rappel n’est qu’une autre itération du même vaccin, il n’aidera probablement pas contre la nouvelle souche, mais produira plutôt une pression évolutive sur le virus pour produire encore plus de variantes et nous exposer à plus d’effets secondaires. Pourquoi, alors, cette stratégie de rappel pour tout le monde est-elle poursuivie ?

Ce vaste essai clinique de phase 3 de vaccins à ARNm auquel les Américains participent principalement par peur ne se passe pas bien. Il est tout à fait clair pour quiconque défend la santé publique que le programme de vaccination doit être arrêté. L’Islande vient de cesser de donner le vaccin Moderna, ce qui est un bon pas dans la bonne direction. La Suède, le Danemark et la Finlande ont interdit le vaccin Moderna à toute personne de moins de 30 ans.
VAERS, notre système de déclaration des effets indésirables des vaccins, a révélé au début de cette semaine 16 000 décès, 23 000 invalidités, 10.000 IM/myocardite, 87 000 visites de soins d’urgence, 75 000 séjours à l’hôpital et 775 000 événements indésirables au total. Le système VAERS est bien connu pour sous-déclarer les événements, avec environ 90 à 99 % des événements qui n’y sont pas signalés.[3]

Eudravigilance, le système de déclaration européen associe désormais 26 000 décès (chiffre réel entre 2,3 et 2,6 millions) à proximité immédiate de l’administration du vaccin. Les données des lanceurs d’alerte du système CMS (graphiques Medicare) ont montré près de 50 000 décès dans le groupe Medicare peu de temps après le vaccin (chiffre réel entre 4,5 et 5 millions).

Un programme de suivi basé sur l’IA appelé Project Salus suit également la population de Medicare et montre que les bénéficiaires de Medicare vaccinés ont de moins bons résultats semaine après semaine, dans le type d’amélioration de la dépendance aux anticorps (ADE Antibody Dependent Enhancement). Cela se produit lorsque les anticorps du vaccin accélèrent réellement l’infection, entraînant une aggravation des résultats de l’infection au Covid-19. L’amélioration dépendante des anticorps a déjà eu lieu avec des essais d’autres vaccins contre le coronavirus chez les animaux. Le CDC et la FDA suppriment ces données ; et les personnes qui reçoivent le vaccin n’ont pas un véritable consentement éclairé.

La déclaration de Rome compte 6700 signataires médicaux attestant que la gestion de la pandémie constitue des crimes contre l’humanité pour avoir refusé le meilleur traitement médical et pour avoir continué à plaider en faveur de vaccins nocifs. Les preuves sont juste devant les Américains pour mettre fin à la propagande et à la psychose des masques de masse.

Le récit médiatique de la peur perpétuelle s’effondre. La Norvège, la Suède et le Danemark ont mis fin à toutes les restrictions liées au Covid et se portent bien mieux que les États-Unis, le Royaume-Uni et Israël, trois pays qui continuent de vacciner pendant la pandémie. Le Mexique, le Guatemala, l’Indonésie, la quasi-totalité de l’Afrique et certaines parties de l’Inde ont de faibles taux de vaccination et se portent bien mieux que les États-Unis, ce qui est attribué à leur gestion de la pandémie en utilisant l’ivermectine.

Plus de 500 000 personnes ont assisté au rallye de motos Sturgis en août et il n’y a pas eu de super propagation de Covid-19. La saison de football a commencé en août et les stades à travers le pays sont remplis de 80 000 fans hurlant sans masques. Il n’y a pas eu d’événements de super contamination, mais les étudiants sont obligés de retourner au masquage en classe. Cela n’a aucun sens.

Si le vaccin est si important, pourquoi nos chefs de gouvernement n’ont-ils pas à le prendre ? Actuellement, 13 États démocrates avec des taux de vaccination élevés ont les taux de «cas» les plus élevés (en utilisant un test PCR défectueux), tandis que les États républicains s’en sortent tous mieux. Comment cela peut-il arriver ?

Il devrait être clair que le gouvernement a manipulé Covid pour créer une peur perpétuelle, afin que nous lui laissions donc notre liberté. Dans cette bataille géante entre notre gouvernement et les non-vaccinés, j’espère que suffisamment de gens refuseront de se conformer comme des moutons pour que nous puissions nous unir pour arrêter cette folie.

Source : The Unvaccinated Are Looking Smarter Every Week

by Thomas T. Siler, M.D. American Thinker


NOTES de H. Genséric

[1] L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe
Témoignage d’un directeur de Pompes funèbres. Covid est un vaste programme d’euthanasie des vieux et de mutilation des jeunes
Bulletin mensuel de la terreur Covid planétaire et de la vaccination au 25 Septembre 2021
La « chasse aux sorcières » contre les médecins honnêtes s’intensifie

[2] Le vaccin Covid. Sourds, aveugles, morts cérébrales : 5 640 décès et 780 000 effets secondaires
Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS
Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
La dangerosité des nouveaux vaccins anti-Covid est un fait historique

[3] Si VAERS ne déclare que de 1 % à 10 % des cas réels, nous pouvons conclure que les chiffres réels sont les suivants :

ChiffresOfficiels VAERS Chiffres réels (en millions)
minimum Maximum
Décès 16 000 1,44 1,6
Invalidités 23 000 2,07 2,3
IM/Myocardites 10 000 0,9 1,0
Urgences 87 000 7,83 8,7
Hospitalisations 75 000 6,75 7,5
Évènements indésirables 775 000 69,75 77,5

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Hannibal Genséric




L’église évangélique sous les restrictions ?

Par Paul Gosselin

Depuis le début de la crise du covid, les restrictions cognent fort au niveau de la vie des individus, de la vie sociale, mais aussi dans le vécu des églises. Eh oui, ces circonstances nous forcent à réfléchir sérieusement au rapport entre l’Église et l’État. Examinez un moment la citation de Patrick Poole, décrivant les circonstances de la montée du nazisme en Allemagne et réfléchissons aux parallèles avec notre époque, autant pour la société en générale que pour l’Église.

Alors que le parti nazi allemand gagnait en puissance au cours des années 1930, il s’est nourri de l’idéologie anti-chrétienne qui avait fleuri en Europe au cours du XIXe siècle. La domination politique des nazis en Allemagne et le règne personnel d’Adolf Hitler étaient le résultat direct des idées qui n’avaient cessé de croître dans le sol de la pensée allemande moderne. Les philosophies d’Emmanuel Kant, George Hegel, Ludwig Feuerbach, Karl Marx et Frédéric Nietzsche ont ouvert la voie au régime nazi en érodant la vision chrétienne du monde qui avait soutenu la culture allemande pendant des siècles. Mais cette révolution ne s’arrêta pas à la philosophie ; elle se refléta dans la musique, le cinéma et les arts ; elle s’exprima dans le système éducatif qui produisait désormais des légions de jeunes Allemands acquis aux principes du nazisme ; elle supprima l’Église chrétienne, la contraignant à la clandestinité ou la corrompant et la mettant au service du Troisième Reich ; et elle opprima tous les groupes ethniques et sociaux qui ne satisfaisaient aient pas aux critères de la race maîtresse aryenne de Hitler. Cette hégémonie culturelle était appliquée par les troupes de choc idéologiques du nazisme, les chemises brunes SA, qui exerçaient une violence sur tous ceux qui n’acceptaient pas le joug de l’idéologie nazie.

Traduction de
POOLE, Patrick (2006) Christian Worldview and Changing Culture. pp. 4-13 Christianity & Society – Vol. xvi, no. 1 (page 5)
https://static1.squarespace.com/static/54257f24e4b070e908068067/t/58383dd9d1758eee1e732aa3/1480080863631/Volume+16+No+1.pdf

En effet on voit dans notre époque la même intolérance qui s’installe en Occident (ce qu’on appelait « le monde civilisé »), le même refus de dialogue, refus qui conduit aux menaces et diverses formes d’intimidation (sans exclure la violence) à l’égard de ceux qui ne partagent pas l’idéologie officielle… particulièrement à l’égard de ceux qui oserait la critiquer.

Et après avoir digéré ces parallèles entre 2021 et les années 1930 en Allemagne, prenez le temps de digérer ce sondage (proposé par Caldron Pool, un site évangélique néo-zélandais) qui examine la réaction des églises en Australie (et ailleurs…) aux restrictions liées au Covid :

Report and Commentary: Church and COVID Vaccination Survey: « Our survey shows that many people will subject themselves to a medical treatment that they consider potentially unsafe, in order to win back political freedom. This ought to send chills down the spine of anybody who cherishes the ideals of liberal democracy. » (Caldron Pool – 19/10/2021)
https://caldronpool.com/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/

Et pour une traduction sommaire Ggl :

https://caldronpool-com.translate.goog/report-and-commentary-church-and-covid-vaccination-survey/?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=nui


Mon nom est Paul Gosselin. Je vis au Québec. Puisque je refuse de me convertir à la religion Covidiste, on m’interdit de manger dans les restaurants, de voyager en avion et en train, d’assister aux événements culturels et généralement de participer à la vie sociale. Je ne peux même pas sortir du pays ou visiter mes vieux parents dans un foyer. Bientôt on va m’interdire d’assister aux cérémonies religieuses et me coller une étoile jaune ?? Mais, même si on me réduit au statut de citoyen de seconde classe, sans doute on ne va pas hésiter à continuer de me taxer à 100 %…

Site :
https://www.samizdat.qc.ca




Le Frexit : une nécessité aussi stratégique que tactique

[Source : AgoraVox]

Par Laurent Herblay

Fin août, Henri Temple a publié un papier intéressant sur le site de Front Populaire se demandant si, finalement, nous ne pouvions pas retrouver notre souveraineté sans passer par le Frexit. Si le mécanisme qu’il propose est précis et élégant, je pense malheureusement qu’il serait insuffisant pour reprendre le plein contrôle de notre destin. En outre, je crois que seul un discours clair et ferme de Frexit unilatéral et immédiat pourra un jour rassembler une majorité des Français.

Retourner l’arme du droit contre l’Union Européenne

Après avoir rappelé les étapes clés de la déconstruction de notre souveraineté, il souligne que la Cour de Karlsruhe mène déjà une forme de guérilla juridique avec l’ordre de l’UE, contestant le bien-fondé des programmes de création monétaire de la BCE, ce que la cour constitutionnelle polonaise fait également. Comme un certain nombre de candidats à la présidentielle, Zemmour, LR, Le Pen, ou Mélenchon, Il propose de pousser le combat sur le terrain juridique en « tranchant la question de la hiérarchie des normes  », en remettant notre Consitution au-dessus des traités, lois et jurisprudences de l’UE à travers une réforme constitutionnelle qui serait soumise à référendum, et qui contiendrait des verrous pour protéger la souveraineté de notre pays. L’objectif est de « libérer la France du carcan bruxellois (…) sans pour autant tenter l’aventure du Frexit qui serait fatale à la belle idée européenne  ».

Non seulement il propose de rendre « coupable de crime contre la Nation ou trahison quiconque porterait atteinte aux principes du préambule de la Constitution  » mais il propose d’imposer un référendum sur tout « traité qui ne serait pas applicable sans une modification ou une atteinte à la Constitution  », tout en abaissant le seuil de saisie du Conseil constitutionnel. Il propose d’ajouter que « la constitution est la loi suprême du peuple français. Aucune règle, même internationale ou européenne ne peut s’imposer à la constitution du peuple français. Tout manquement à cette règle entraîne la nullité ou l’inexistence de plein droit de tout acte contraire, la mise en cause pénale du chef de l’état, des membres du gouvernement, ainsi que toute autorité institutionnelle, y compris judiciaire, ou étrangère ».

Dans l’absolu, cette démarche peut sembler séduisante. Après tout, cela revient à répondre au droit par le droit, les modifications proposées, même si elles parlent de forfaiture, semblent pouvoir recueillir un large assentiment des Français. De manière étonnante, cette démarche rappelle le « bouclier constitutionnel » que propose Michel Barnier sur les questions migratoires pour mettre en place son moratoire sur l’immigration. Un souverainiste et un ancien commissaire européen proposent aujourd’hui des démarches similaires pour desserrer la camisole juridique européenne. Mais même en supposant que ces dispositifs juridiques puissent être mis en place, et soient acceptés par nos partenaires européens, je persiste à penser que cela est encore largement insuffisant sur le fond, et aussi sur la forme.

Le besoin d’une rupture complète avec l’UE

Car même s’il est sans doute possible de défaire par le droit une partie de ce que l’UE a fait, je crains que le parapluie constitutionnel proposé par Henri ne nous protège que d’une petite partie du déluge réglementaire, législatif et jurisprudentiel de l’UE. La Constitution ne pourrait sans doute pas nous protéger de l’ensemble des mauvaises idées poussées par l’UE, comme la privatisation du transport ferroviaire, ou les innombrables alinéas nocifs d’un traité commercial comme le CETA. Les mailles du filet constitutionnel ne sont, logiquement, pas très serrées, puisqu’elles ont permis des politiques radicalement différentes, du programme commun de la gauche en 1981, aux privatisations qui ont suivi. Or, tout le problème de l’UE est justement d’avoir construit un ordre juridique aux mailles beaucoup plus fines.

Je crains qu’un tel dispositif laisse une trop grande partie des politiques néfastes menées depuis plus de 30 ans en place, à moins de sombrer dans les mêmes travers que l’UE, et graver dans notre Constitution de nombreuses politiques contradictoires avec l’UE mais qui pourraient alors être protégées. Et de même que je dénonce la quasi-constitutionnalisation d’une ligne politique que je refuse dans les traités européens, je refuse de constitutionnaliser les politiques que je souhaite. C’est une démarche antidémocratique, et je refuse d’avoir recours à ces mêmes instruments. En outre, il serait probablement très long et difficile de créer assez de boucliers constitutionnels contre les politiques de l’UE…

Car en s’en tenant à notre Constitution actuelle, on pourrait craindre que si quelques politiques néfastes de l’UE pouvaient être refusées, on risquerait d’en conserver la grande majorité ? La remise en cause d’un accord commercial par ce biais ne serait-elle pas aussi lente que hasardeuse, d’autant plus que cela donnerait un immense pouvoir d’interprétation à des juges qui pourraient décider de trancher dans le sens de l’UE. En outre, en répondant au droit par une couche supplémentaire de droit, cela revient à légitimer la prise de pouvoir de la légalité juridique sur la légitimité politique. Bref, sur le principe, comme pratiquement, une telle voie me semble dangereuse. En outre, qu’y a-t-il à perdre à couper totalement et rapidement avec l’UE ? Pour un pays comme la France, avec un lourd déficit commercial avec ses partenaires, une monnaie trop chère pour notre économie, et une forte contribution financière à l’ensemble, il n’y a aujourd’hui strictement rien à perdre à emprunter le chemin d’un Frexit unilatéral et immédiat.

L’UE ne nous a jamais apporté le moindre poids sur la scène internationale, du fait de ses contradictions profondes, et de sa soumission à l’agenda étatsunien. Aucune des politiques mises en place ne profite à notre pays, le dernier plan de relance trouvant le moyen de nous coûter près de deux fois plus qu’il nous rapporte tout en nous infligeant de nouvelles contraintes. Avec l’UE, la France est toujours perdante et nous avons besoin de revenir à une monnaie nationale sous l’autorité démocratique du politique pour retrouver des marges de manœuvre. Il serait également illusoire de vouloir lutter contre la désertion fiscale au sein d’une UE qui compte 3 des 5 premiers parasites de la planète selon Gabriel Zucman. Seul le Frexit permet de rayer aisément toutes les règles ou normes qui nous déplaisent.

Le besoin d’un discours et d’un mandat clair

Plus globalement, comme le montre la surprenante proximité de proposition entre Henri Temple et Michel Barnier, se pose également la question de la clarté du mandat obtenu. Si les souverainistes optent pour un discours moins clivant en rejetant le Frexit, et en tentant d’utiliser d’autres outils pour retrouver des marges de manœuvre, il y a le risque de finir par tenir le même discours que celui des partisans de l’UE, dont le bilan calamiteux les contraint toujours à prendre des distances en campagne, même s’ils rentrent dans le rang après les élections. Ce faisant, entre des euro-béats s’affichant un peu sceptiques et des sceptiques ne se voulant pas trop clivants, la différence devient ténue, ce qui pose un double problème, stratégique, sur la réalité du changement possible, et tactique, sur lequel je reviendrai après.

Stratégiquement, le problème de la démarche moins clivante, c’est qu’elle revient aussi à obtenir un mandat moins fort de rupture avec l’UE, à peine différent des mandats un peu critiques que sollicitent les partis traditionnels. Dès lors, surtout dans une démarche reposant sur le droit, cela risque de ne pas permettre de rassembler une majorité de vrai changement, en permettant d’inclure des critiques trop légers de l’UE, tout en laissant aux juges la capacité de ne remettre en cause qu’à la marge la direction de l’UE, puisque le droit repose sur des interprétations qui n’iraient pas forcément dans le sens d’une profonde remise en question de la direction prise par l’UE. Cela ressemble beaucoup à la voie prise par Alexis Tsipras, qui, sans mandat de rupture clair, a fini par mener les politiques qu’il dénonçait avant

Bien sûr, dans un raisonnement classique, on peut classer les citoyens d’un soutien sans faille à l’UE jusqu’à une volonté de rupture immédiate. Et dans cette vision, adopter un discours plus modéré semble le seul moyen pour réunir une majorité, en réunissant partisans du Frexit et critiques de l’UE qui ne souhaitent pas en partir. Mais un tel raisonnement me semble avoir deux limites. Je ne suis pas du tout convaincu par le caractère plus rassembleur d’une ligne plus modérée. L’expérience Trump, ou le Brexit, montrent aussi que la radicalité d’une idée peut être le moyen de mobiliser des personnes particulièrement critiques des politiques menées depuis des années. Une position plus modérée, c’est aussi un discours proche de ceux qui ont été au pouvoir, ce qui pourrait aboutir à perdre les citoyens les plus radicaux, tout en ayant du mal à convaincre les modérés tant le discours finit par se rapprocher de celui des partisans de l’UE.

Aujourd’hui, je pense que stratégie et tactique se rejoignent. Il y a un besoin stratégique d’obtenir un mandat clair de rupture, pour le Frexit, afin ne pas être englué pendant des mois ou des années dans des négociations sans pouvoir véritablement changer les choses. Mais je pense également qu’une ligne forte et dure, un Frexit unilatéral et rapide, est aussi la meilleure chance pour les souverainistes de parvenir à émerger en 2022, surtout alors que Mélenchon, Le Pen et Zemmour ont enterré l’idée. Car comment espérer exister face à ces poids lourds sans l’axe fort et différenciant que peut être le Frexit. Entre des alternatifs critiques de l’UE et des partis traditionnels eux aussi critiques, la modération est un piège qui revient à renoncer à émerger pendant la campagne, à moins d’avoir une autre grande idée.

En outre, pour que 40 % des Français aient dit vouloir voter « oui » à un Frexit à froid en 2019 dans un sondage, et près de 50 % aient voté au premier tour de la présidentielle 2017 en faveur d’un candidat proche de l’idée, il faut croire que cette idée n’est pas si marginale, et peut au contraire rassembler très largement, pour peu qu’elle soit portée par la bonne personne, dans les bonnes conditions, sans doute un rassemblement souverainiste. Il y a largement assez de Français très favorables au Frexit pour émerger dans la campagne de 2022. Et il ne faut pas croire que les 60 % qui disaient qu’ils voteraient « non » sont perdus à jamais. Il y a probablement chez une part significative une forme de résignation à l’UE, perçue comme à peine moins pire que le Frexit. Mais ceux qui sont insatisfaits des politiques menées depuis longtemps pourraient sauter le pas en 2022, surtout dans un combat face à Emmanuel Macron.

Bien sûr, aujourd’hui, la perspective d’un partisan du Frexit qui bouleverse l’élection de 2022 peut sembler très peu probable. Le temps qui passe n’aide pas et il faut reconnaître que ce n’est pas le scénario le plus probable. Mais c’est probablement parce que cette idée semble hors du jeu qu’elle est forte, car l’attachement à l’UE est aujourd’hui très faible. Et derrière la petite minorité de fanatiques, il y a une grande majorité de déçus, dont une frange qui ne souhaite pas encore sortir pourrait être convaincue. Le chemin de l’autre Europe ne mènera pas loin : il a trop été pris dans le passé et a trop déçu. Si le chemin du Frexit dur semble plus difficile, c’est parce que le sujet semble très impopulaire, ce qu’il n’est pas en réalité. Et c’est le seul chemin qui nous permettrait un changement fort et rapide, en s’appuyant sur un mandat clair des Français.




Le système économique occidental touche à sa fin

[Source : voltairenet.org]

[Illustration : © Chappatte dans Le Temps (Suisse)]

Produire ne permet plus de vivre en Occident, tandis que la Chine est devenue « l’atelier du monde ». Seuls les détenteurs de capitaux font de l’argent, et beaucoup d’argent. Le système est sur le point de s’effondrer. Les grands capitalistes peuvent-ils encore sauver ensemble leur fortune ?

Par Thierry Meyssan

La famine se répandit en Occident
à la suite de la crise de 1929.
Toutes les institutions furent menacées.
Elles ne survécurent qu’à la faveur
de la Seconde Guerre mondiale.

Déjà, au XVIIIème siècle, les économistes britanniques du capitalisme naissant s’interrogeaient autour de David Ricardo sur la pérennité de ce système. Ce qui rapportait énormément au début, finirait par devenir commun et par ne plus enrichir son homme. La consommation ne pourrait pas éternellement justifier la production de masse. Plus tard les socialistes, autour de Karl Marx,(([1] Critique de l’économie politique, Karl Marx (1867).)) prédisaient l’inéluctable fin du système capitaliste.

Ce système aurait du mourir en 1929, mais à la surprise générale, il a survécu. Nous nous approchons d’un moment analogue : la production ne rapporte plus, seule la finance fait maintenant de l’argent. Partout en Occident, nous voyons le niveau de vie de la masse des gens baisser, tandis que le patrimoine de quelques rares individus atteint des sommets. Le système menace à nouveau de s’effondrer pour ne plus se relever. Les super-capitalistes peuvent-ils encore sauver leurs avoirs ou assistera-t-on à une redistribution aléatoire des richesses à la suite d’un affrontement généralisé ?

Ce n’est qu’après avoir expulsé Léon Trotsky
et son rêve de révolution mondiale
que Joseph Staline put construire l’URSS
sans avoir à affronter les armées blanches.

LA CRISE DE 1929 ET LA SURVIE DU CAPITALISME

Lorsque survint la crise de 1929 aux États-Unis, la totalité des élites occidentales fut persuadée que la poule aux œufs d’or était morte ; qu’il fallait immédiatement trouver un nouveau système, faute de quoi, l’humanité périrait par la faim. Il est particulièrement instructif de lire la presse US et européenne de l’époque pour saisir l’angoisse qui étreignait l’Occident. D’immenses fortunes avaient disparues en un jour. Des millions d’ouvriers se retrouvaient au chômage et connaissaient non seulement la misère, mais souvent la famine. Les peuples se révoltaient. Les polices tiraient à balles réelles sur les foules en colère. Personne n’envisageait que le capitalisme puisse s’amender et renaitre. Deux nouveaux modèles furent proposés : le stalinisme et le fascisme.

Contrairement à l’image que nous en avons un siècle plus tard, à ce moment là tout le monde avait conscience des tares de ces idéologies, mais le problème le plus important, vital, était de savoir qui parviendrait au mieux à nourrir sa population. Il n’y avait plus ni droite, ni gauche, juste un sauve-qui-peut général. Benito Mussolini, qui avait été le directeur du principal journal socialiste italien avant la Première guerre mondiale, puis un agent du MI5 britannique pendant la guerre, devint le leader du fascisme, alors vécu comme l’idéologie qui allait donner du pain aux ouvriers. Joseph Staline, qui avait été bolchevik durant la révolution russe, liquida presque tous les délégués de son parti et les renouvela pour construire l’URSS, alors vécue comme une concrétisation de la modernité.

Aucun des deux leaders ne put faire aboutir son modèle : en définitive, les économistes doivent toujours céder leur place aux militaires. Les armes ont toujours le dernier mot. Ce fut donc la Seconde Guerre mondiale, la victoire de l’URSS et des Anglo-Saxons d’un côté, la chute du fascisme de l’autre. Il se trouve que seuls les États-Unis ne furent pas dévastés par la guerre et que le président Franklin Roosevelt, en organisant le secteur bancaire, donna une seconde chance au capitalisme. Les États-Unis reconstruisirent l’Europe sans écraser la classe ouvrière de peur de la voir se tourner vers l’URSS.

Klaus Kleinfeld est le directeur du projet Neom.
Il siège aux conseils d’administration
du Groupe de Bilderberg (Otan)
et du Forum de Davos (NED/CIA).

LA CRISE APRÈS LA DISPARITION DE L’URSS

Cependant lorsque l’URSS disparut, fin 1991, le capitalisme, privé de rival, retrouva ses vieux démons. En quelques années, les mêmes causes provoquant les mêmes effets, la production commença à décroitre aux États-Unis et les emplois furent délocalisés en Chine. La classe moyenne commença sa lente déchéance. Les détenteurs US de capitaux se sentirent menacés. Ils tentèrent successivement plusieurs approches pour sauver leur pays et maintenir le système.

 La première fut de transformer l’économie des États-Unis en exportatrice d’armes et d’utiliser les Forces armées US pour contrôler les matières premières et les sources d’énergie de la partie non-globalisée de la planète utilisées par le reste du monde. C’est ce projet, l’adaptation au « capitalisme financier » (si cet oxymore a un sens), la doctrine Rumsfeld/Cebrowski,(([2] « La doctrine Rumsfeld/Cebrowski », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 25 mai 2021.)) qui conduisit l’État profond US à organiser les attentats du 11-Septembre et la guerre sans fin au Moyen-Orient élargi. Cet épisode donna vingt ans de répit au capitalisme, mais les conséquences intérieures furent désastreuses pour les classes moyennes.

 La seconde tentative fut le frein aux échanges internationaux et le retour à la production US de Donald Trump. Mais il avait déclaré la guerre aux hommes du 11-Septembre et personne ne le laissa tenter de sauver les États-Unis.

 Une troisième évolution a été envisagée. Il se serait agi de laisser tomber les populations occidentales et de déplacer les quelques multi-milliardaire dans un État robotisé d’où ils auraient pu sans crainte diriger leurs investissements. C’est le projet Neom que le prince Mohamed ben Salmane a commencé à construire dans le désert saoudien avec la bénédiction de l’Otan. Après une période d’intense activité, les travaux sont aujourd’hui au point mort.

 L’ancienne équipe de Donald Rumsfeld (dont les docteurs Richard Hatchett(([3] « Le Covid-19 et l’Aube rouge », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 avril 2020.)) et Anthony Fauci(([4] « Covid-19 : l’étau se resserre autour du docteur Anthony Fauci », Réseau Voltaire, 7 octobre 2021.))) a décidé de lancer une quatrième option à l’occasion de la pandémie de Covid-19. Il s’agit de poursuivre et de généraliser dans les États développés ce qui a été initié en 2001. Le confinement massif des populations saines à poussé les États à s’endetter. Le recours au télétravail a préparé la délocalisation de dizaines de millions d’emplois. Le passe sanitaire a légalisé une société de surveillance de masse.

Klaus Schwab organise le Forum de Davos
comme Louis XIV sa cour de Versailles :
il y surveille tous les multi-milliardaires
pour le compte de la NED/CIA.

KLAUS SCHWAB ET LA GRANDE RÉINITIALISATION (GREAT RESET)

C’est dans ce contexte que le président du Forum de Davos, Klaus Schwab, a publié Covid-19 : The Great Reset. Il ne s’agit aucunement d’un programme, mais d’une analyse de la situation et d’une anticipation sur les évolutions possibles. Ce livre a été écrit pour les membres du Forum et donne une idée de leur niveau intellectuel lamentable. L’auteur enfile des poncifs en citant pêle-mêle de grands auteurs et les chiffres abracadabrantesques de Neil Ferguson (Imperial College).(([5] « Covid-19 : Neil Ferguson, le Lyssenko libéral », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 18 avril 2020.))

Dans les années 70-80, Klaus Schwab fut l’un des directeurs de la société Escher-Wyss (absorbée par Sulzer AG) qui joua un rôle important dans le programme de recherche atomique de l’Afrique du Sud de l’apartheid ; contribution qui eut lieu en violation de la résolution 418 du Conseil de sécurité des Nations unies. Il n’a donc aucune morale et peur de rien. Par la suite, il créa un cercle de chefs d’entreprise qui devint le Forum économique mondial. Ce changement de nom fut opéré avec l’aide du Centre pour l’entreprise privée internationale (CIPE) ; la branche patronale de la National Endowment for Democracy (NED/CIA). C’est pourquoi il était enregistré en 2016 au Groupe de Bilderberg (organe d’influence de l’Otan) comme fonctionnaire international, ce qu’il n’a jamais été officiellement.

Dans son livre, Klaus Schwab prépare son auditoire à une société orwellienne. Il envisage tout et n’importe quoi jusqu’au décès par la Covid-19 de 40 % de la population mondiale. Il ne propose rien de concret et ne semble préférer aucune option. On comprend juste que lui et son public ne décideront rien, mais ils sont prêts à tout accepter pour conserver leurs privilèges.

CONCLUSION

Nous sommes à l’évidence au seuil d’un énorme chambardement qui balayera toutes les institutions occidentales. Ce cataclysme pourrait être évité d’une manière simple, en changeant l’équilibre des rémunérations entre le travail et le capital. Cette solution est pourtant improbable car elle impliquerait la fin des super-fortunes.

Si l’on garde ces données à l’esprit, la rivalité Ouest-Est n’est que superficielle. Pas seulement parce que les Asiatiques ne pensent pas en termes de compétition, mais surtout parce qu’ils voient agoniser l’Occident.

C’est pourquoi la Russie et la Chine édifient lentement leur monde, sans espoir d’y intégrer l’Occident qu’elles considèrent comme un prédateur blessé. Elles ne veulent pas l’affronter, mais le rassurer, lui prodiguer des soins palliatifs et l’accompagner sans le forcer lors de son suicide.





Les anti-Zemmour se déchaînent

Les hyènes anti-Zemmour se déchaînent

Par Lucien Samir Oulahbib


L’une d’entre-elles, gorgée, gavée, (n)anti(e), l’insulte en le traitant de « bougnoule des blancs », n’étant elle-même pourtant pas franchement une « oie blanche » une de ces natives fières de pérorer l’air du temps, mais plutôt le vulgaire rejeton d’une espèce (de fin de « race » au sens métaphysique) venue du néant tant ce propos reflète seulement leur côté bas du front que l’on retrouve également du côté de TPMP avec les Yassinemais aussi des adeptes anti « Bounty » desquels on a bien du mal cependant à savoir ce que serait du noir sur noir sinon la nuit nuisible des nihilistes façon tyranneaux à la Mélenchon.

Du moins à première vue. Car lorsque l’on creuse, c’est bien plutôt la réaction agacée de gens qui se savent dominateurs et qui pensent avoir gagné partout : ils s’irritent donc, et ce à juste titre, de voir ici et là quelques « villages gaulois » résister encore non, mais !!!.

En effet, qu’il s’agisse des médias de l’enseignement du Pouvoir légal et officieux en général, tout concourt à paver leur domination de bonnes intentions (« lutte contre le racisme/colonialisme dans les têtes : “hétérosexualité étroite” : avec le fameux fantasme taulard de “l’étroit”…).

Cette soumission ambiante de la Gentry médiatico-enseignante sert en effet la soupe à ces orcs agissant de plus en plus en milice genre black blocs de la diversité coupe-jarrets de la Secte au Pouvoir.

Tout cela illustre, banalement dit, ce refus opiniâtre de voir le réel tel qu’il est, du moins si la mesure pour le toiser reste encore disponible (ce qui n’est plus le cas sauf exception…) ; c’est d’ailleurs ce qui aggrave la situation plutôt que le contraire, tant cette guerre civile spirituelle permanente (et larvée ici et là) encourage cette montée aux extrêmes en effet déjà .

Lorsque par exemple dans le métro une bande de CPLF prend toute la place en hurlant sur la moindre remarque, suscitant une réaction véhémente sinon plus (insultes, crachats, puis coups), c’est surtout parce que l’atmosphère ambiante fait que cette bande se sent en terrain conquis et que personne ne bougera ou presque. Je me rappelle il y a quelques années à la Défense voir une bande déambuler sous la Canopée entre les tables des innombrables terrasses comme si elle surveillait « son » territoire, concurremment à une patrouille de police…

Il est aisé bien sûr d’observer qu’il y a cinq cents ans à l’époque de la Cour des Miracles et des Chauffeurs, c’était « pis » ou alors que les « blousons noirs » et autres « Hells Angels » faisaient régner leur loi. Et alors ? Où est le « progrès » tant promis dans ce cas ? D’autant que tous ces gens ne cherchaient pas spécialement une partition, une sédition que d’ailleurs les néoléninistes prônent de plus en plus ouvertement, rêvant également à des fractionnements ayant existé naguère avant la formation du Royaume de France : pourquoi ne pas y revenir dans une hypothétique « Europe » et « planète » de la « diversité », vaste jardin fleuri en « fluidités de genre », puisque tout devient folklore et mode d’un instant ?…

Il n’est dans ce cas pas étonnant d’observer que certains orcs agissant pour le compte de la Secte prétendent se servir uniquement de leur origine « raciale » pour imposer leur légitimité et, partant, leur conception naze de l’ordre social et symbolique, le tout sous les applaudissements des courtisans et concubines agissant dans les nouveaux Salons médiatiques en poissons-pilotes de la Secte hygiéniste affairiste, celle-là même qui vient en France de prolonger l’onction du passe totalitaire jusqu’à… la Saint-Glinglin.




France — Contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence : lettre ouverte d’universitaires aux députés

[Source : enseignementrecherchelibertes.fr]

Lettre ouverte aux députés contre la prorogation du passe sanitaire et de l’état d’urgence

Syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! »

https://enseignementrecherchelibertes.fr/

enseignementrecherchelibertes@protonmail.com


Objet : Lettre ouverte aux députées et aux députés de la République Française

Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

Le syndicat d’enseignants, de chercheurs et de personnels d’éducation « Enseignement, Recherche et Libertés ! » a examiné le Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire, présenté par M. Jean Castex, Premier ministre, enregistré le 13 octobre et qui doit être discuté prochainement par l’Assemblée Nationale. En ce qui suit, notre syndicat propose une analyse des implications de l’« Exposé des motifs » censé justifier ce projet de loi. Nous comptons ainsi enrichir le débat autour de ce projet qui devrait s’ouvrir publiquement le 19 octobre 2021. Un tel sujet, qui affecte l’ensemble de la communauté nationale ne saurait se dérouler dans un cercle étroit : en citoyennes et citoyens, nous entendons faire valoir notre opinion et notre expertise dans ce domaine. Étant donné que nous avons traité plus en détail la dimension médicale et sanitaire de la crise épidémique que nous traversons dans la lettre ouverte adressée au Sénat le 7 octobre 2021, nous la mettons ici en annexe afin de nous concentrer à présent surtout sur les implications juridiques et politiques du présent Projet de loi.

1. Un passe socio-économique sans aucune pertinence sanitaire  

Le premier ministre M. Jean Castex, à peine quelques mois après la mise en place du système du passe, dit « sanitaire », se présente devant les élus de la Nation pour demander – ou plutôt exiger – la prolongation de l’état d’urgence et la poursuite de l’implémentation de ce système. Revenir sur ces questions en « procédure accélérée » n’est pas sans évoquer une sensation de déjà vu des scènes déroulées en juillet 2021. Après le débat orageux à l’Assemblée et au Sénat, le ministre de la Santé, M. Olivier Véran n’avait pas hésité à déclarer alors que : «À l’heure où certains taxent le gouvernement de faire preuve d’autoritarisme, parlent de dérive autocratique voire pourquoi pas de dictature, la meilleure réponse que vous pouvez apporter, c’est celle (…) qui consiste à avoir recueilli la majorité tant à l’Assemblée nationale qu’au Sénat». Il n’a pas hésité à se féliciter de « l’union nationale retrouvée ». Maniant ainsi à son habitude la désinformation, il oubliait de mentionner que la loi avait été votée avec 156 voix pour, 60 voix contre et 14 abstentions, avec non moins de 60 % d’absentéisme sur un total de 557 députés. Dans le rythme effréné imposé alors par l’agenda du gouvernement, le texte a été arraché, selon l’expression des sénateurs, « avec un pistolet sur la tempe »[1]. Faisant usage de fausses informations scientifiques, entretenant un climat de peur par les médias autour de l’explosion de cas du variant Delta (alors que l’on faisait à l’époque entre 4 et 5 millions de tests par semaine), et mettant une incroyable pression sur les parlementaires, l’exécutif avait précisément éveillé les spectres de « l’autoritarisme », de la « dérive autocratique » voire « pourquoi pas la dictature » que le ministre de la Santé voulait conjurer par sa rhétorique.

Malgré ce passage en force et les problèmes posés par rapport aux valeurs de la République, le Conseil Constitutionnel avait néanmoins validé le projet de loi, avec à peine quelques modifications à la marge, le 5 août 2021[2]. Selon la décision de la haute juridiction, cela était justifié par « l’existence d’une catastrophe sanitaire et du risque qu’elle persiste dans les deux prochains mois », prémisse que le Conseil, loin de vérifier par ses propres spécialistes, acceptait sur la foi de l’exécutif. Le dispositif du passe dit « sanitaire » s’était donc mis en place dans un contexte d’urgence habilement entretenu par la propagande de l’exécutif. De sorte que les mises en garde de l’opposition et de la Défenseure des Droits, Madame Claire Hédon, quant aux risques démocratiques que comportait ce dispositif sans précédent dans l’histoire de notre République, n’ont pas été véritablement prises en compte. (Nous y reviendrons dans la partie finale de notre analyse).   

Le jour suivant, le 6 août 2021, le Conseil Constitutionnel a néanmoins acté sur une « Proposition de loi de programmation pour garantir un accès universel à un service public hospitalier de qualité ». Cette proposition de loi était portée par l’association « Notre hôpital, c’est vous », composée de collectifs de soignants et ONG caritatives, et soutenue par plus de 200 députés et sénateurs issus de 11 groupes politiques d’opposition, tant de gauche que de droite. Son objectif était de mettre « la question de l’hôpital au centre de la grande explication démocratique qui vient », à savoir les élections de 2022 et, concrètement, d’augmenter les moyens des hôpitaux, en particulier « en termes de lits et de soignants »[3]. En pleine pandémie, on aurait pu croire qu’un tel objectif était pourtant essentiel. Mais malgré toutes les attentes, butant sur un petit détail technique, le Conseil Constitutionnel, qui n’avait trouvé que peu à redire sur le passe dit « sanitaire », a considéré une si opportune proposition de loi comme étant tout simplement « contraire à la Constitution »[4].

Nous rappelons cette succession des faits qui soulève trois questions de fond. Pourquoi ce n’est pas le gouvernement Jean Castex qui a élaboré une loi en faveur d’un hôpital public de qualité ? Pourquoi, si l’opposition l’a initiée en fin de compte, le gouvernement n’a pas appuyé une si généreuse initiative ? Et quelles ont été les véritables priorités du Conseil Constitutionnel s’il a pu signer l’échec d’une initiative sincèrement dédiée à la santé publique et à l’urgence de la crise sanitaire, tout en donnant feu vert aux mesures liberticides et sans pertinence sanitaire dudit passe ?

Les deux décisions du Conseil Constitutionnel du 5 et du 6 août 2021 doivent donc se lire comme la face et le revers d’une seule et même médaille. Promouvant l’un et interdisant l’autre, le Conseil Constitutionnel a fait malgré tout le choix conscient de favoriser une certaine ligne politique fidèle à l’agenda de l’exécutif, dont la dimension sanitaire et le sort de l’hôpital n’étaient que le cadet de ses soucis.

Le principe du passe dit « sanitaire » s’appuyait toutefois sur deux prémisses de base concernant les vaccins : une efficacité réputée exceptionnelle d’environ 95 %, avec pour résultat l’empêchement de la transmission de la maladie une fois le schéma vaccinal de deux doses accompli par le patient. Selon les déclarations publiques répétées du ministre de la Santé, les personnes doublement vaccinées seraient devenues « complètement immunisées ». Qui pourrait en effet s’opposer à une perspective aussi prometteuse ?

Pourtant, ce fut précisément durant la discussion du passe dit « sanitaire » que des nouvelles préoccupantes parvinrent en France depuis Israël et d’autres pays connaissant une forte vaccination et qui subissaient en juillet-août 2021 une forte hausse des contaminations due à la progression du variant Delta[5].

En effet, on l’a appris alors que : 

  • 1)    Les vaccins n’empêchent les personnes vaccinées ni de se contaminer ni d’être contagieuses.
  • 2)    L’immunité qu’ils confèrent se réduit comme peau de chagrin en six mois : baissée devant le variant Delta à seulement 39 %, elle arrive après six mois à environ 16 %. C’est précisément de ce constat qu’il apparut très vite la nécessité d’introduire une troisième et une quatrième dose[6]

Ainsi, en vertu du point 2), il apparut de manière claire que les assertions du ministre Olivier Véran, qui se référait aux personnes doublement vaccinées comme étant « complètement immunisées » étaient au mieux une forte exagération et au pire une fausse publicité. Mais, ce qui était encore plus inquiétant, le point 1) révélait que le dispositif du passe dit « sanitaire » était en fait dépourvu de toute véritable efficacité sanitaire. Questionné à ce sujet, le professeur Éric Caumes a reconnu le 6 septembre que les vaccins n’empêchaient pas les infections, voire des formes graves de la maladie. De ce fait, il concédait que le passe dit « sanitaire » était en réalité plutôt un « passe socio-économique »[7].

2. Le passe socio-économique : un dispositif éphémère et limité juridiquement

Malgré son penchant certain en faveur du gouvernement, le Conseil d’État n’a validé le dispositif du passe « sanitaire » que d’une manière extrêmement circonscrite. Il faut relire attentivement son Avis du 19 juillet 2021 relatif à l’adaptation des outils de gestion de la crise sanitaire, qui est loin du résumé que l’on veut en donner[8].

D’abord le Conseil d’État reconnaît que ce dispositif porte une grave atteinte aux libertés fondamentales :

« cependant une telle mesure, en particulier lorsqu’elle porte sur des activités de la vie quotidienne, est susceptible de porter une atteinte particulièrement forte aux libertés des personnes concernées ainsi qu’à leur droit au respect de la vie privée et familiale ».

Ensuite, il reconnaît qu’une telle mesure pourrait avoir pour conséquence d’entraîner une « obligation de soins » :

« le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soin ».

De surcroît, le Conseil rappelle que le passe « sanitaire » ne doit pas être un outil de contrainte à la vaccination. La formule est incisive :

« l’application du passe sanitaire à chacune des activités pour lesquelles il est envisagé de l’appliquer doit être justifiée par l’intérêt spécifique de la mesure pour limiter la propagation de l’épidémie, au vu des critères mentionnés précédemment et non par un objectif qui consisterait à inciter les personnes concernées à se faire vacciner ».

Enfin, pour justifier la légalité de la mesure, le Conseil d’État analyse minutieusement les indicateurs de l’épidémie à la date de sa saisine et rappelle les modélisations de l’Institut Pasteur : diffusion du variant Delta (80,2% de tests révélant sa présence), transmissibilité du virus accru de 60%, taux d’incidence de 96% pour 100.000 habitants, admission à l’hôpital (+ 57%) et en soins critiques (+67%), couverture vaccinale de 46,4%…

Pourtant, il est apparu très vite que les modélisations de l’Institut Pasteur, qui ont servi comme base du discours du 12 juillet 2021 et de l’action du gouvernement étaient tirées d’une étude non publiée et non revue par les pairs produite à l’occasion. Ces informations ont été soumises à une critique par le professeur Peter McCullough, de l’université Baylor du Texas, une des autorités mondiales en matière de Covid-19[9] et par le mathématicien Vincent Pavan[10]. Non seulement les données se révèlent fausses, mais il apparaît même qu’elles auraient été consciemment manipulées. Il est digne de noter que, après ces critiques, l’équipe de l’Institut Pasteur a rétracté l’étude concernée… mais les décisions politiques extrêmes prises sous son influence, elles, sont restées en place, affectant la vie de 67 millions de Français. Cela évoque un parfum de scandale politico-scientifique, comme la célèbre étude frauduleuse du Lancet, qui avait permis au même ministre Olivier Véran d’interdire en été 2020 les traitements de la Covid-19 en France. La fraude a été alors vite démontrée par les scientifiques, l’étude publiée retirée avec un grand retentissement (Lancetgate) ; nonobstant la décision d’Olivier Véran est restée en vigueur, avec des conséquences catastrophiques sur le nombre de morts en France durant la pandémie (118 000, comparé au Japon, qui n’a eu que 18.000 morts de Covid-19 pour une population deux fois plus nombreuse, plus dense et plus âgée)[11].

En matière de libertés fondamentales, les plus hautes juridictions de la République Française ne contestent donc pas que le passe socio-économique dit « sanitaire » constitue une atteinte grave aux droits des citoyens. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’État n’ont pas manqué de le souligner, tout en précisant que ce système était acceptable, soit du fait de sa limitation dans le temps, soit du fait de sa proportionnalité avec la situation sanitaire au moment de son adoption. L’instauration, le maintien et surtout la prolongation de ce dispositif soulèvent toutefois de nombreuses interrogations juridiques.

3.  Obligation vaccinale détournée et discriminations scandaleuses

 Aucune étude ne permet de démontrer l’efficacité de ce dispositif. Il est en effet impossible de mesurer spécifiquement l’efficacité d’une mesure sanitaire donnée, notamment parce qu’elle n’est pas appliquée de manière exclusive mais associée à un panel de mesures incluant notamment la vaccination massive et les mesures barrières. Au surplus,

« la circulation virale est également influencée par des paramètres sociologiques tels que la mobilité, la fréquentation des transports, commerces, entreprises, et leur densité de population, les brassages associés aux vacances, la rentrée scolaire » [12].

Nos représentants politiques l’avouent d’ailleurs : il s’agissait en fait d’un moyen pour « inciter fortement » les Français récalcitrants à se faire vacciner, comme le rappelait même le ministre des Transports, M. Jean-Baptiste Djebbari[13]. Les conséquences du refus de cette vaccination, accentuées par le non-remboursement des tests et la fin des autotests constituent les prémisses d’une véritable mort sociale. Les personnes non vaccinées sont exclues directement ou indirectement d’une partie des transports publics, des cafés, des restaurants, des bibliothèques et autres lieux culturels, des associations sportives…  Aussi surprenant que cela puisse être, nous avons affaire à des instances gouvernementales qui assument de travailler activement pour la persécution des citoyennes et des citoyens de France, qui entre autres bénéfices considérables, leur paient le salaire.  Au-delà de cette aberration démocratique de fait, les actions du gouvernement contreviennent frontalement à la législation nationale et européenne. 

Le Conseil d’État a souligné, à deux reprises, l’obligation vaccinale que pouvait entraîner l’instauration du passe dit « sanitaire » :

« Il rappelle, ainsi qu’il l’avait relevé dans son avis n° 401741 du 17 décembre 2020 sur le projet de loi relatif au régime pérenne de gestion des crises sanitaires, que le fait de subordonner certaines de ces activités à l’obligation de détenir un certificat de vaccination ou de rétablissement ou un justificatif de dépistage récent peut, dans certaines hypothèses, avoir des effets équivalents à une obligation de soins[14] ».

En ce sens, le passe dit « sanitaire » est un outil de contrainte plus qu’un outil sanitaire et, incontestablement il est vecteur de discriminations. Or, ces deux aspects ont été fermement condamnés par l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe dans ses Considérations éthiques, juridiques et pratiques sur la vaccination contre la Covid 19. Ainsi au point 7.3 du texte :

« 7.3 pour ce qui est de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins :

7.3.1 de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;

7.3.2 de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner » [15].

Force est donc de constater que le système mis en place par le gouvernement Jean Castex est l’exact contraire de ce texte.

4. Un régime de privation de libertés hors cadre et déconnecté de la réalité de l’épidémie

Ce système entraîne au surplus une privation de liberté doublement incompréhensible. Ainsi qu’a pu le souligner Guillaume Zambrano, maître de conférences à la faculté de droit de Nîmes, cette restriction de liberté est décidée de manière arbitraire, par simple effet mécanique d’un texte et sans aucun débat contradictoire alors que « toute personne privée de liberté a le droit de passer devant un juge. De fait, quand une personne est assignée à résidence ou condamnée à porter un bracelet électronique, la mesure doit être approuvée par le juge des libertés et de la détention. Quand on condamne des personnes pour des dommages sociaux comme le vol, la fraude fiscale, les coups et blessures, elles ont eu droit à un procès ». Qui plus est, cette restriction ne repose que sur une simple présomption de contagion. Autrement dit, on applique une sanction très lourde et significative sur de simples suppositions. Il s’agit d’une forme d’application d’un principe de précaution dont on laisse le soin aux citoyens de contrôler l’application[16].

Le Conseil d’État, saisi en référé de plusieurs requêtes visant à suspendre le passe dit « sanitaire », n’a pas estimé qu’il existait un doute suffisamment sérieux sur sa légalité l’autorisant à faire droit aux demandes. Il a cependant expressément lié ces décisions aux données scientifiques existantes permettant d’établir un tableau de l’épidémie en temps réel. Dans une série d’ordonnances en date du 26 juillet 2021, le juge des référés du Conseil d’État a ainsi insisté sur la dégradation de la situation sanitaire en France,

« avec une diffusion croissante du variant Delta, particulièrement transmissible. À la date du 19 juillet, le nombre de personnes infectées par la covid-19 a augmenté de 111 % par rapport à la semaine précédente et de 244 % par rapport à la semaine du 3 juin. Le nombre d’hospitalisations a quant à lui augmenté de 57 % voire 67 % pour les admissions en service de soins critiques. Par ailleurs, les modélisations de l’Institut Pasteur font craindre une aggravation encore plus importante en août, avec une couverture vaccinale encore insuffisante pour permettre un recul durable de l’épidémie[17] ».

Même dans la décision du Conseil Constitutionnel du 5 août on trouve également cette délimitation par le principe de proportionnalité :

« 23. Les mesures prévues dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire ne peuvent en tout état de cause être prises qu’aux seules fins de garantir la santé publique. Selon le paragraphe III du même article, elles doivent être strictement proportionnées aux risques sanitaires encourus et appropriées aux circonstances de temps et de lieu. Il y est mis fin sans délai lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Le juge est chargé de s’assurer que de telles mesures sont adaptées, nécessaires et proportionnées à la finalité qu’elles poursuivent.

24. En dernier lieu, quand la situation sanitaire le permet, il doit être mis fin à l’état d’urgence sanitaire par décret en conseil des ministres avant l’expiration du délai fixé par la loi le prorogeant »  [18].

Par rapport à ce cadre législatif contraignant, il faut remarquer que l’ « Exposé des motifs » du projet de Loi par lequel le gouvernement entend justifier une décision de prorogation du passe « sanitaire » et de l’état d’urgence, n’avance au total que deux arguments, qui sont tous les deux d’une pauvreté surprenante.

Premièrement, il est affirmé que les mesures prises (état d’urgence sanitaire, vaccination, passe sanitaire) auraient « contenu » l’épidémie. La vérité est qu’il n’en existe aucune preuve scientifique. Bien au contraire, une étude toute récente publiée par S.V. Subramanian et A. Kumar, comparant les États-Unis avec d’autres pays hautement vaccinés souligne que « les pays dont le pourcentage de la population entièrement vaccinée est plus élevé présentent un plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants. Notamment, Israël, dont plus de 60 % de la population est totalement vaccinée, a enregistré le plus grand nombre de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants au cours des 7 derniers jours. L’absence d’association significative entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est également illustrée, par exemple, par la comparaison entre l’Islande et le Portugal. Ces deux pays, dont plus de 75 % de la population est entièrement vaccinée, comptent plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud, dont environ 10 % de la population est entièrement vaccinée ». Croire ainsi qu’une vaccination massive de la population aurait conféré une protection générale s’avère être une chimère, contraire aux études les plus récentes, car les personnes vaccinées continuent d’être porteuses, malades et vectrices du virus[19].

Deuxièmement, dans le même « Exposé des motifs », le gouvernement affirme qu’il y aurait malgré tout un « risque » de rebond épidémique. Ainsi, c’est le gouvernement qui, après avoir « fortement incité » – pour utiliser une litote – à la vaccination de plus de 70% de la population, doute lui-même des résultats de sa propre politique sanitaire ? Néanmoins, il est impossible de fonder des décisions politiques aussi liberticides sur des divinations de cette nature. Il y aura toujours à l’avenir un risque quelconque : à ce compte-là, le passe et l’état d’urgence devraient être éternels.

En revanche, l’ « Exposé des motifs » est complètement muet sur le seul élément qui serait déterminant pour asseoir une telle décision : l’état actuel de l’épidémie. Or selon le bulletin du Réseau sentinelles INSERM du 13/10/2021, le taux d’incidence de la Covid-19 est de 3 cas pour 100 000 habitants : « Surveillance de la COVID-19 : La semaine dernière (2021 s40), le taux d’incidence des cas d’IRA dus au SARS-CoV-2 (COVID-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants (IC 95% [2 ; 5]), ce qui représente 2 181 [1 187 ; 3 175] nouveaux cas de COVID-19 ayant consulté un médecin généraliste[20]. L’ « Exposé des motifs » du premier ministre Jean Castex n’apporte à cette réalité aucun démenti.

Or, dans la mesure où tant le Conseil d’État que le Conseil Constitutionnel lient l’existence et non simplement l’application du passe dit « sanitaire » à la réalité de l’épidémie, et non aux divinations doctes qui se sont tant de fois trompées jusqu’à présent, au regard des mêmes indicateurs, il résulte que le maintien du passe socio-économique ne devrait même pas être débattu… Et cela d’autant moins que le Conseil scientifique, dans son avis du 5 octobre, reconnaît que l’on ne peut lier passe « sanitaire » et amélioration de la situation épidémique[21].

5. Un projet de loi d’inspiration totalitaire chinoise

Il y a ainsi un très grand écart entre les objectifs sanitaires affichés par l’exécutif, validés sur la foi du gouvernement par les hautes juridictions de la République, et le « passe socio-économique » qui a finalement été mis en œuvre. Ce qui devient encore plus inquiétant désormais est l’utilisation politique du passe dit « sanitaire » pour exercer un contrôle généralisé de la population et la priver, comme c’est déjà le cas, de vie sociale (voire, comme en Italie ou en Israël, de vie professionnelle). Cela constitue une atteinte insupportable aux droits fondamentaux que rien, et surtout pas une maladie au taux de mortalité comparable à celui de la grippe dont le taux d’incidence est négligeable depuis plusieurs mois, ne saurait justifier[22].

Le grand philosophe italien Giorgio Agamben, un disciple de Michel Foucault et spécialiste de la question du biopolitique, a admirablement expliqué récemment devant le Sénat italien, le 7 octobre 2021, le problème politique (non médical) posé par une vaccination assortie à un « Green Pass » :

« nos sociétés sont passées du modèle qu’on appelait autrefois de la « société disciplinaire » à celui d’une « société de contrôle » ; de société fondées sur un contrôle numérique quasi illimité des comportements individuels qui deviennent ainsi quantifiables dans un algorithme. Nous nous habituons maintenant à ces dispositifs de contrôle, mais je vous demande : jusqu’où sommes-nous prêts à accepter que ce contrôle aille ? Est-il possible que les citoyens d’une société prétendument démocratique soient dans une situation pire que les citoyens de l’Union soviétique sous Staline ? Vous savez peut-être que les citoyens soviétiques étaient obligés de présenter une propiska, un laissez-passer pour tout déplacement d’un endroit à un autre. Mais on est aussi obligé de montrer un passe sanitaire pour aller au restaurant, voire même pour aller au musée ou au cinéma. Et maintenant —ce qui est encore plus grave avec le décret que vous devez transformer en loi— même à chaque fois que vous allez travailler »[23].

Si l’on essaie de faire la généalogie intellectuelle des mesures du gouvernement Castex, on peut noter que leur inspiration remonte directement au rapport du Sénat du 3 juin 2021, intitulé Crises sanitaires et outils numériques : répondre avec efficacité pour retrouver nos libertés[24]. Défendant le principe selon lequel « si une dictature sauve des vies pendant qu’une démocratie pleure ses morts », les auteurs du rapport invitaient à adopter « la bonne attitude [qui] n’est pas de se réfugier dans des positions de principe, mais de s’interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs » (sic !)[25]. À cet effet, ils saluaient le principe de passe(port) sanitaire comme une « bonne nouvelle », et ceci même au prix de prendre le contre-pied de la critique sévère de la Défenseure des droits[26] qui, déjà dans son avis du 17 mai adressé au Parlement, avait sévèrement jugé le dispositif présenté par le Gouvernement[27]. On réalise ainsi que ce rapport opposait sans sourciller les valeurs de la République, incarnées par la Défenseure des droits, à un dispositif directement inspiré – comme le reconnaissent les auteurs eux-mêmes – du modèle chinois, pays qui a vu, selon leur analyse, la mise en place des premiers passes sanitaire et vaccinal[28].

Reconstituer la généalogie de l’idée et du système de passe « sanitaire », fait ainsi remonter les origines intellectuelles du présent projet de loi jusqu’au modèle totalitaire chinois, que le gouvernement Jean Castex a adopté, une rhétorique habile à l’appui, presque intégralement, sans faire beaucoup de cas des mises en garde de la Défenseure des Droits en faveur de la défense des valeurs de la République Française. Mais le premier ministre n’est pas le seul à pouvoir s’attribuer ce mérite. Il faut également reconnaître que, dans la mise en place de ce système inspiré de la Chine communiste, le ministre de la Santé M. Olivier Véran a joué aussi un rôle capital. Comme le révèle l’enquête du Monde publiée en mai 2020 par les journalistes Solenn de Royer et Harold Thibault sur le réseau tentaculaire de la Fondation France – Chine, l’actuel ministre de la Santé en était une des plus brillantes recrues, bien que loin d’être le seul.  

« Le monde est tout petit », reconnaît l’ambassadeur de France en Afrique du Sud Aurélien Lechevallier, ex-conseiller diplomatique d’Emmanuel Macron, qui a, pour sa part, rencontré M. Macquin à HEC et M. Lenain à Washington, où ils ont été tous deux en poste. Intégré à la promotion 2017-2018, M. Lechevallier a aidé le trio à repérer les valeurs montantes de la Macronie, comme les ministres Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher ou la députée (La République en marche, LRM) Coralie Dubost, qui a coopté l’année suivante Olivier Véran, son compagnon et futur ministre de la Santé »[29].

Les assertions des journalistes du Monde sont d’ailleurs confirmées par les données publiques de la Fondation France – Chine, qui a en effet l’honneur de compter M. Olivier Véran parmi les membres de la promotion 2019[30]. Selon l’analyse du Monde, ce « réseau puissant » où « se fabrique l’influence » est un réseau « sous le contrôle total du Parti Communiste Chinois ». Selon l’ambassadeur Aurélien Lechevallier, ce réseau de soft power « offre aux Chinois un accès privilégié à des responsables politiques de haut niveau et à des PDG dans des secteurs stratégiques. Certes pas à des secrets d’État, mais à un niveau d’interlocuteurs inégalé ». Or, force est de constater que, à force de côtoyer les Young Leaders chinois et les hauts responsables de la République Populaire de Chine, le gouvernement Jean Castex, où les ministres Olivier Véran, Brune Poirson et Agnès Pannier-Runacher jouent un rôle déterminant dans la construction du programme sanitaire, est en train de mettre en place précisément un système de contrôle socio-économique inspiré du modèle totalitaire chinois.

À la lumière de ce constat, les dix points d’alerte de la Défenseure des Droits ne font que gagner encore plus une brûlante actualité[31]. Sous le rouleau compresseur de ce modèle d’inspiration totalitaire, on constate plus que jamais « la nécessité d’un débat démocratique » qui fait défaut en raison de la sourde oreille que le gouvernement prête à l’opposition et à la population qui, depuis plus de 14 semaines, manifeste dans la rue contre la mise en œuvre de ce système. Avançant masqué, ce projet totalitaire se décline dans une avalanche de documents normatifs, rédigés dans une novlangue qui pose des problèmes d’« intelligibilité du texte », laissant de « nombreuses zones d’ombre » qui confèrent une énorme marge d’action au gouvernement. Nous avons tous pu constater à quel point les mesures élaborées depuis début août 2021 par le gouvernement ont provoqué des « restrictions d’accès aux transports publics et aux biens et services ». La « mise en œuvre des restrictions d’accès » a incité « le contrôle d’une partie de la population par une autre », situation typique d’un régime totalitaire qui rompt décisivement avec l’idée même de fraternité de la République française.

Cette société de surveillance est en même temps également une société de discriminations, qui n’en sont que la conséquence naturelle. Ainsi La Défenseure des droits avait souligné « les risques de discriminations dans l’emploi », rappelant « qu’aucun salarié ne peut être sanctionné, licencié, ou faire l’objet d’une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, telle que définie à l’article 1er de la loi du 27 mai 2008 ». Toutefois les « mesures d’isolement étendues » et la « vaccination obligatoire pour certaines professions » ont conduit au licenciement de dizaines de milliers de médecins et de soignants, ordonné de manière autoritaire par le ministre Olivier Véran, ce qui n’a fait que donner justice à cet avertissement formulé par Madame Claire Hédon. Cela marque une rupture radicale avec le système de protection du travail mis en place par le Préambule de la Constitution de 1946, qui fait partie de notre socle constitutionnel.

Mais ce qui est encore plus grave c’est que le passe socio-économique, prétendument « sanitaire » a entraîné « des risques considérables d’atteinte aux droits de l’enfant ». Se fondant sur les données scientifiques, la Défenseure des droits était « favorable à ce que, pour les mineurs de 12 à 18 ans, la vaccination reste uniquement encouragée et ne tombe pas sous le coup d’une obligation déguisée. Elle considère en outre que, pour les mineurs de moins de 12 ans, le projet de loi devrait indiquer de manière expresse qu’ils sont exemptés de la vaccination ». Allant à l’encontre de ces recommandations, le gouvernement a incité fortement la vaccination massive des jeunes, en conditionnant leur vie sociale à la possession d’un passe « sanitaire ». Dans le pays des Droits de l’Homme, non seulement les vies des adultes mais aussi celles des enfants et des adolescents sont désormais conditionnées par la possession de cet artefact d’inspiration chinoise.

Ensuite, le passe socio-économique contribue à exclure « Les personnes en situation de pauvreté », qui « pourraient (en) être doublement victimes ». Comme par la politique catastrophique des trois confinements ordonnés de manière autoritaire par le président Emmanuel Macron un million de personnes ont basculé dans la catégorie des pauvres, ces mesures doublement discriminatoires affectent plus de 10 millions de personnes. Enfin, « les risques liés au traitement des données » ont été prouvés par les fuites de données de santé de millions de citoyens : si même les passes « sanitaires » du premier ministre Jean Castex et du président Emmanuel Macron se sont retrouvés en accès libre sur les réseaux sociaux, quelle protection du secret de la santé peut dès lors espérer le citoyen commun ? Jamais en reste de décliner sa responsabilité, l’Elysée a fustigé « une faille déontologique » et « la négligence ou la malveillance de professionnels de santé ». Alors qu’en réalité, c’était au responsable de la mise en place de ce système de surveillance généralisée que le président de la République aurait dû s’en prendre… en se regardant dans le miroir.

Désormais cependant, c’est un 11e point d’alerte que la Défenseure des droits devrait ajouter dans sa liste. Il s’agit d’une alerte suprêmement politique. Car le gouvernement Jean Castex, en tentant de nouveau d’imposer en force la prorogation du passe « sanitaire » jusqu’en été 2022, ne cache même plus ses velléités de biaiser fortement le déroulement des élections présidentielles et législatives de l’année prochaine en faveur du président Emmanuel Macron et de sa future majorité. Parmi les nombreuses déclarations en ce sens, celle du ministre de l’Intérieur, M. Gérald Darmanin, sont peut-être les plus inquiétantes. Dans son entretien dans le JDD, il n’a pas caché son plan de « vouloir peser sur le scrutin » présidentiel de 2022.

« Ce qu’ambitionne le ministre de l’Intérieur c’est avant tout d’être le ministre de l’Intérieur de la réélection d’Emmanuel Macron. « Je suis candidat à ça : montrer la force du Président sur le régalien », confie Darmanin, qui y voit sa « responsabilité dans la campagne » et se dépeint en « garant, en partie » de ce front » [32].

Ces déclarations sont d’une gravité sans précédent et nous tenons à avertir les députés de leur signification : dans tous les régimes autoritaires ou dictatoriaux, les ministres de l’intérieur contribuent à faire élire le président sortant, tout en sauvant les apparences du contraire. Alors que, en France, le ministre de l’Intérieur proclame haut et fort son projet dans ce sens ! C’est donc une alerte démocratique d’une extrême urgence que pose, en fin de compte, le projet de loi présenté par le gouvernement.

En conclusion de cette analyse, le syndicat « ERL ! » attire l’attention sur le manque d’arguments scientifiques et juridiques du projet du passe socio-économique, faussement nommé « sanitaire ». De surcroît, ce projet dont nous épinglons l’inspiration totalitaire, pose un grave problème démocratique durant une année électorale qui a déjà commencé. À ce titre, le livre récent d’enquête publié par les journalistes Gérard Davet et Fabrice Lhomme, a révélé une série de détails sur l’origine du mouvement. En particulier, nous retenons la signification du nom « En Marche ! », que d’ailleurs le parti LREM a conservé jusqu’à présent :

« C’est Brigitte Macron qui choisit finalement En Marche ! En effet, l’unanimité n’est pas immédiate ; l’avocat François Sureau, membre de la bande quoique proche de François Fillon (en macronie, tout devient possible), n’est franchement pas fan. Au cours d’un déjeuner, il s’emporte : « C’est pas possible que ça s’appelle En Marche ! Ça rappelle la Grande Marche sur Rome de Mussolini ! La définition du fascisme, c’est le mouvement, sans direction… » L’avocat, homme de culture, jette un froid, ses objections portent. « À ce moment-là, pour nous, le nom est flingué, opine [Stanislas] Guerini. Et là, Brigitte dit : “Moi, j’aime bien.” L’argument historico-intellectuel est balayé. »[33].

En tant que scientifiques, nous mettrons au contraire devant les députés de la Nation précisément cet argument historico-intellectuel. Nous nous permettons de vous rappeler que vous n’êtes pas les élus d’un président, ni d’un parti, mais d’abord et avant tout celles et ceux de la Nation française. Nous vous appelons, toutes et tous, membres de l’opposition tout comme de la majorité, à un véritable sursaut démocratique. Vous ne voudrez pas rester dans l’histoire comme les garants de la mise en place définitive d’un programme de contrôle de la population française et, partant, de la démocratie de notre République, inspiré du modèle totalitaire du Parti Communiste Chinois ou d’autres régimes du passé. Pour toutes ces raisons, le syndicat « Enseignement, Recherche, Libertés ! » s’adresse à tous les parlementaires pour les persuader de rejeter cette proposition de loi au nom des valeurs suprêmes de la République Française : Liberté, Égalité et Fraternité que le système du passe socio-économique bafoue au point qu’il finit par menacer désormais l’existence même de notre République.

Recevez, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés, y compris de la majorité présidentielle, les meilleures salutations des membres du syndicat « Enseignement, Recherche et Libertés ! » et de ses sympathisants.

Paris – Aix-en-Provence – Poitiers

17 octobre 2021





Lettre ouverte à Éric Zemmour

[Source : zonefr.com]

Par Christine Deviers-Joncour

Vous souvenez-vous de cette époque, début 2000, où nous devisions sur un banc devant l’Eglise et la fontaine de la place Saint Sulpice à Paris ? Nous avions le même éditeur, les Editions du Rocher.

Je me battais à l’époque pour rétablir mon honneur et ma dignité, et le fusible que j’étais dans la plus énorme affaire de corruption politique, tentait de sauver sa peau en dénonçant leurs turpitudes ! Je fus une des premières à oser dire des vérités sur la classe politique et les coups étaient terribles en retour !  Vous n’étiez alors qu’un jeune journaliste désargenté… qui ramait !

Je vous faisais confiance car vous m’aviez un soir soutenue sur un plateau TV d’invités politiques et vous aviez pris ma défense… Rare à l’époque car sonnait l’hallali de toutes parts contre le fusible désigné que j’étais.

Puis quelques années plus tard sur un plateau TV  dans « On n’est pas couchés« , vous m’avez, avec des mots de serpent, laminée… sans doute pour démontrer à quel point vous êtes fidèle à vos convictions. Ruquier lui-même à la fin est venu vers moi étonné et s’est excusé que vous ne soyez même pas venu me serrer la main. Avec un « ami » comme vous, on n’a plus besoin d’ennemis…

Quel changement radical !

Si l’on est un journaliste honnête et intègre on conserve une éthique. On informe proprement et on a le courage de mettre en lumière les malversations et dérives de notre classe politique. Il me semblait alors que vous faisiez partie de ces  gens courageux qui font l’honneur de cette  profession. Mais ce n’était qu’une illusion car vous n’êtes pas différent des autres, vous seriez même pire.

Les autres, ceux qui oublient la déontologie et la morale et qui servent leur ambition et intérêts propres en usant de contre vérités et de mensonges.

« Mentir c’est pisser contre le vent, » dit-on. Attention au boomerang car depuis quelques mois nous reconnaissons clairement ceux qui ont totalement tourné leur veste et font fi de l’éthique et servent leurs maitres : les mondialistes ! Quelle débâcle !

Appât du gain et corruption ! Devant les gratifications douteuses, l’homme, hélas, est souvent  lâche, fragile et veule !

Et puis en approchant le sommet du pouvoir, il y en a qui sentent pousser leurs ailes et perdent tout contrôle. Grisant, n’est-ce pas  d’approcher la cour du prince ? La place du roi ?

Et vous, Eric Zemmour la girouette versatile qui dit une chose et son contraire, vous êtes en train de vendre votre âme au diable et l’attrait maléfique du pouvoir vous a grisé.

Aujourd’hui, en plein marasme, écroulement économique, tyrannie sanitaire, pertes d’emplois, perte de liberté, misère, vaccins dangereux devenus obligatoires, y compris pour  les enfants… vous venez nous parler d’immigration ? Mais combien vous paie-t-on pour détourner l’attention des vrais problèmes ?

Pourquoi ne dites-vous pas que l’immigration est souhaitée et favorisée par votre ami Jacques Attali qui déclare que l’Europe a un « besoin vital de 150 millions de nouveaux immigrés » ? Pourquoi ne désignez-vous pas la source plutôt que la conséquence ? Qui favorise le « Grand Remplacement » que vous dénoncez ?

Vous vous partagez le travail pour alimenter la haine raciale et religieuse ? Chacun joue son rôle ? Dans quel but ? Provoquer une guerre civile dans notre pays et faire de la France un nouveau Liban, en désignant toujours les éternels boucs émissaires que sont les Musulmans ?

Vous croyez vraiment que les Français vont être dupes de cette machination abjecte ?

Par ailleurs, il y a quelques mois, vous étiez favorable à un durcissement des mesures sanitaires mais en campagne pré-électorale, vous affirmez sans honte bue que vous seriez opposé à la vaccination obligatoire et au pass sanitaire ?

Vous n’aviez pas de mots assez durs pour désigner l’Europe comme source de tous nos malheurs, mais aujourd’hui pour servir les intérêts de ceux qui vous financent, vous affirmez qu’il faut y rester ?

Vous décriviez l’euro comme la source de l’appauvrissement des Français mais maintenant que le mirage élyséen s’approche, vous décrétez qu’il faut le garder ?

Mais quand dites-vous la vérité Éric Moïse Zemmour ?

Quels intérêts défendez-vous vraiment, vous qui vous prétendez plus Français que les Français ? Vous qui rêvez de transformer notre pays en un nouvel Israël européen, citant le pays de l’apartheid en exemple à suivre ?

Croyez-vous que les Français vont être dupes de vos mensonges et de votre stratégie machiavélique minable qui consiste à nous dresser les uns contre les autres ? En quoi êtes-vous différent de ceux que vous vilipendez ?

Votre apparition en pages des couvertures de cette presse malhonnête et vendue et votre présence massive dans les médias de vos amis milliardaires, avec des sondages truqués à la clé, tentent de nous faire croire que vous seriez le « nouveau phénomène » et fait grimper votre popularité d’une manière insensée et artificielle. Même schéma qu’avec E. Macron…! Un nouveau produit, une nouvelle lessive censée laver plus blanc que blanc. Une nouvelle arnaque !

Et vous nous croyez assez naïfs pour ne pas le voir ? Vous êtes pourtant bien placé pour savoir que les sondages ne sont que des instruments de manipulation de l’opinion publique ! Et vous vous y vautrez sans aucune pudeur, contribuant ainsi à tromper les Français.

Vous ne seriez donc qu’une vulgaire marionnette populiste dans les mains de l’Ordre mondial comme les autres ?

Méfiez-vous car le peuple français se réveille et n’est plus dupe, et les retours de bâtons seront terribles. Bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer car vous ne réalisez pas la colère qui gronde contre cette élite globaliste responsable de tous nos malheurs et de toutes nos souffrances. Cette élite que vous rêvez de rejoindre à n’importe quel prix.

Lorsque les gens auront perdu leur travail et  leurs êtres chers, lorsqu’ils verront leur vie finir en lambeaux à cause des politiciens corrompus, de cette médecine marchande et immorale, de ces menteurs professionnels que sont devenus les journalistes domestiques du pouvoir, et face à cette folie mondialiste meurtrière, leur colère sera à la hauteur de ce qu’ils subissent. N’en doutez pas.

Et les ors de la République ne constitueront une protection pour personne, même pas vous.

Depuis trop longtemps notre pays sombre de Charybde en Scylla avec des gouvernements successifs de plus en plus nocifs et médiocres. S’il vous plait ne rallongez pas cette triste liste. Le constat est acté : Le peuple de France veut reprendre son destin en mains et éliminer les fripouilles. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin d’honnêteté comme de l’air pur pour respirer. Jamais comme aujourd’hui les Français n’ont eu autant besoin de dirigeants intègres et loyaux car cela fait trop longtemps qu’ils sont trahis, trompés, pillés.

La sagesse Eric Zemmour, c’est quand le Bien embrasse le Mal, quand l’Amour séduit la haine, quand la Force séduit la Faiblesse, quand le Pouvoir protège la Vie.

Et il est évident que vous n’avez pas cette Sagesse là…

A bon entendeur !

CDJ




Lettre ouverte aux députés et sénateurs français appelés à voter le 19 octobre 2021 la prolongation injustifiée de « l’état d’urgence »

Par Nicole et Gérard Delépine

INJUSTIFIÉE, car épidémie terminée

« Le gouvernement présentera un texte de loi au Parlement le 19 octobre pour “maintenir pendant plusieurs mois encore, jusqu’à l’été, la possibilité de recourir” au pass sanitaire, a précisé Gabriel Attal, au cas où la situation sanitaire venait à se dégrader. Il sera débattu à l’Assemblée nationale mercredi 19 octobre sous l’intitulé Projet de loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire. “On demande au Parlement de nous laisser la possibilité de déclencher tout ou une partie des mesures de freinage” a expliqué le ministre de la Santé Olivier Véran mercredi matin, interrogé sur France Info. Ainsi, le recours au confinement, au couvre-feu et autres mesures de restrictions serait également possible jusqu’au 31 juillet 2022. »(([1] L’internaute.com Sarah Ponchin, Mis à jour le 15/10/21 PASS SANITAIRE. Une troisième dose de rappel du vaccin Covid-19 sera-t-elle bientôt obligatoire pour tout le monde afin d’avoir un pass sanitaire valide ? Le gouvernement pourrait l’envisager à long terme.))

Dans ce texte, le porte-parole reconnaît lui-même que l’épidémie est terminée.

Pourquoi une procédure accélérée alors que l’épidémie est terminée dans notre pays ?

À vous, nos représentants élus, nous demandons solennellement de nous rendre nos libertés fondamentales et à ne pas céder à l’autoritarisme de l’exécutif.

Vous avez pu constater que la France livrée aux décisions arbitraires du gouvernement reposant sur un conseil de défense sortant de la limite constitutionnelle, n’a eu que des résultats très décevants, parmi les plus mauvais mondialement, y compris en Europe. La Suède tant décriée pendant de longs mois par nos médias a conservé l’essentiel des libertés avec finalement un taux de décès inférieur au nôtre de 20 % (1478/Million d’habitants contre 1760/M), sans confinement, sans fermeture des écoles, de la vie, sans masque, sans vaccination obligatoire, sans victimes collatérales et sans perte majeure de son PIB (-2,5 % contre 8,5 % en France) etc.

Il est temps que les décisions législatives vous reviennent et que les propositions de loi puissent être discutées avec le temps nécessaire sur des dossiers étayés de données avérées.

Comme beaucoup de professionnels de santé, nous sommes d’ailleurs à votre disposition pour toute information objective basée sur les chiffres de l’OMS et des agences sanitaires nationales. Nous nous permettons de vous apporter ici quelques précisions quant à l’absence de justification médicale de ce pass qui aggrave la situation sanitaire, là où il est encore imposé.

LE PASSE DIT SANITAIRE, LIBERTICIDE, N’A AUCUNE JUSTIFICATION MÉDICALE, CAR LE PASS AUGMENTE LES CONTAMINATIONS

Les données avérées internationales prouvent que le pass est médicalement nocif

Quelques pays européens ont imposé le pass à leur population depuis plus de trois mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que le pass, loin de ralentir les contaminations, entraîne une augmentation de celles-ci. Les courbes actualisées en ce 15 octobre 2021 le démontrent une nouvelle fois.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22.

La Grèce a imposé le passe en espérant ainsi rassurer les touristes et sauver sa saison touristique.

Malheureusement l’obligation du pass a été suivie par la multiplication par 4,5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %).

Mais aussi la population, car depuis le pass la mortalité a été multipliée par 2.

La Tchéquie a instauré le pass début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le pass a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Cette envolée des contaminations a été suivie quelques jours plus tard de l’explosion de la mortalité quotidienne alors qu’elle est proche de zéro dans les pays sans passe comme le Suède, la Biélorussie, la Croatie, la Belgique…

Au Danemark la mise en route du pass a été suivie par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.) Depuis lors, le Danemark a supprimé le pass.

Ainsi dans tous les pays champions du pass, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations et souvent de la mortalité quotidienne.

L’échec du pass a été également constaté dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un pass.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur pass sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le pass n’empêche pas les clusters d’apparaître. Malgré le pass sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs avérés du pass partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur l’hypothèse que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de pass, victimes de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec pass aux Pays-Bas comme en Catalogne. Cette pratique favorise les infections, en s’opposant par ailleurs à l’immunité collective acquise pendant la vie « normale » comme le démontre l’absence de contaminations des pays libres comme le Texas. Les matches avec grande foule n’y déclenchent aucun cluster, comme les énormes manifestations en Europe où les peuples se libèrent du pass et du masque le plus souvent, retrouvant un écosystème normal.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le pass, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie, de la Croatie et leur situation sanitaire actuelle est bonne.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne entraînant d’énormes réactions populaires comme en Italie dans de nombreuses villes, et le blocage des ports italiens.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le pass l’accélère et la pérennise et donc qu’il est donc urgent, ne serait-ce que pour des raisons sanitaires, de le supprimer.

POURSUIVRE LA SURVEILLANCE PAR LE PASS EST UNE DÉCISION EXCLUSIVEMENT POLITIQUE ET LIBERTICIDE

L’épidémie est terminée comme en atteste quotidiennement et depuis des mois le réseau sentinelle. Il n’y a plus d’épidémie ! G. Attal l’a confirmé !

 Comme l’a établi Laurent Toubiana, l’épidémie est terminée depuis fin novembre 2020 Depuis cette date, le taux d’incidence, le seul fiable, celui du Réseau sentinelles a été sans discontinuer ridiculement bas. Cette semaine, il est de 3 cas/100 000 h :

« Surveillance de la Covid-19 :

la semaine 40 (2021s40), le taux d’incidence des cas d’IRA(([2] IRA : insuffisance respiratoire aiguë, non spécifique du Covid)) dus au SARS-CoV-2 (Covid-19) vus en consultation de médecine générale a été estimé à 3 cas pour 100 000 habitants, ce qui représente 2 181 nouveaux cas de Covid-19 ayant consulté un médecin généraliste.

Ce taux est stable par rapport à ceux des dernières semaines (données consolidées pour 2021s39 : 3 [2 ; 5], soit 2 247 [1 425 ; 3 069] nouveaux cas d’IRA dus à la Covid-19 vus en médecine générale). »(([3] https://websenti.u707.jussieu.fr/sentiweb/)) Ce taux est établi à partir d’examens cliniques, non faussé à partir des tests PCR non fiables.

LA DISCUSSION DE L’OPPORTUNITÉ DE LA PROLONGATION DE L’ÉTAT D’URGENCE SANITAIRE EST PUREMENT POLITIQUE

Et la liberté du gouvernement de légiférer via décrets en toute impunité et sans contrôle parlementaire, comprenant la poursuite de l’exigence du pass, ne relève en aucun cas de santé, de sanitaire, mais exclusivement de politique, avec privations de liberté.

Ces sujets ont déjà largement été débattus : le pass conduit à une discrimination en matière de droit à la liberté de mouvement, jouissance d’autres droits et libertés fondamentaux, tels que, le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore le droit à la liberté de réunion.(([4] Pass sanitaire : l’équilibre délicat entre libertés et protection de la santé publique | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

Le pass s’oppose à La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen :

« Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits » (art. 1)

« La Loi est l’expression de la volonté générale. Elle doit être la même pour tous, soit qu’elle protège, soit qu’elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents » (art. 6). 

La rupture du principe d’égalité peut également entraîner des conséquences pénales puisque toute discrimination au sens du Code pénal (article 225-1) est passible de peines correctionnelles, notamment lorsqu’elle porte sur l’état de santé d’un citoyen.

Ne doutons pas que les tribunaux soient déjà inondés de plaintes pour discrimination et en particulier depuis l’interdiction de travail et rémunération de soignants et pompiers opposés à recevoir l’injection génique, dite vaccin, encore en expérimentation thérapeutique jusqu’en 2023 et sujet à de nombreux accidents dont témoigne l’éviction au moins temporaire de Moderna et d’AstraZeneca, en plus des rapports officiels des agences de santé FDA, MHRA, EMA, et ANSM.

Ces rapports chiffrent un nombre de décès post vaccinaux et d’accidents secondaires aux injections, bien supérieur aux chiffres ayant abouti à l’interdiction du vaccin H1N1 (53 morts). Ce silence devant ces morts officialisés par les responsables de santé publique et niés par notre ministre pose des problèmes. Nous espérons qu’en tant que représentants du peuple, vous pourrez avoir des réponses sur ce silence assourdissant, qui ne peut à long terme qu’augmenter la méfiance des citoyens sur la parole de l’état, ses représentants et les vaccinations véritables au sens pasteurien.

Le droit international érigeant un principe de non-discrimination

Le pass s’oppose donc à ce droit reconnu par la France. L’article 14 de la Convention européenne des droits de l’homme dispose

« La jouissance des droits et libertés… doit être assurée, sans distinction aucune, fondée notamment sur le sexe, la race, la couleur, la langue, la religion, les opinions politiques ou toutes autres opinions, l’origine nationale ou sociale, l’appartenance à une minorité nationale, la fortune, la naissance ou toute autre situation ».

Le Protocole nº 12 à ladite Convention européenne des droits de l’homme, plus large encore, interdit tout acte de discrimination lié à la « jouissance de tout droit prévu par la loi ».

« Nul ne peut faire l’objet d’une discrimination de la part d’une autorité publique, quelle qu’elle soit » (article 1).

Le Défenseur des droits est très critique, dans son avis rendu en urgence « Extension du passe sanitaire : les 10 points d’alerte de la Défenseure des droits » du 20 juillet 21. Fondamentalement, il remet en cause la proportionnalité des restrictions apportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles poursuivent.

Le 31 mars 2021, le Conseil de l’Europe avait alerté

dans son avis « Protection des droits de l’homme et pass vaccinal » sur l’utilisation éventuelle de certificats de vaccination, comme celle de données relatives à l’immunisation, « à des fins autres que strictement médicales, par exemple pour donner aux personnes concernées un accès exclusif à des droits, services ou lieux publics ».

Cette question soulevait de nombreuses questions de respect des droits de l’homme et devait être considérée « avec la plus grande prudence ».

Cette position trouve un écho dans sa résolution 2351 « Vaccins contre le Covid-19 : considérations éthiques, juridiques et pratiques », qui présentait comme élément permettant de garantir un niveau élevé d’acceptation des vaccins le fait « de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que la vaccination n’est pas obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ».

Cette mesure liberticide, présentée par le gouvernement comme libératrice a des relents orwelliens suscite une opposition grandissante semaine après semaine. Comme le dit l’économiste Éric Verhaeghe :

« la mise en place du pass sanitaire donne lieu à un magnifique flash totalitaire provoqué par Emmanuel Macron. Dans ces moments où la démocratie cède brièvement la place à des mesures autoritaires illibérales, la propagande d’État donne dans la novlangue à la Big Brother de 1984. Ce qui est liberticide devient libérateur, et ce qui est libérateur est dénoncé comme une menace. »(([5] Le pass sanitaire, ce flash totalitaire entre novlangue de Big Brother et Great Reset — Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

À quoi correspond cette volonté du gouvernement de prolongation du pass en l’absence d’épidémie comme le prouve le réseau sentinelle, sinon à une extorsion de consentement à la pseudo vaccination et à la troisième dose et les suivantes ?

« le gouvernement s’occupe de contraindre les personnes encore non vaccinées de le faire : ce vendredi 15 octobre a marqué la fin du remboursement des tests PCR et antigéniques de confort. “Les tests ne seront payants que pour les personnes qui ne sont pas du tout vaccinées et qui n’ont pas d’ordonnance”, a expliqué Olivier Véran sur France Info le 13 octobre. De plus, les autotests négatifs réalisés sous supervision médicale ne sont plus reconnus comme preuve d’obtention du pass sanitaire. »(([6] Pass sanitaire : bientôt une troisième dose pour tous ? (internaute.com) ))

UNE EXTORSION DE CONSENTEMENT AUX PLUS FAIBLES

Cette décision est inacceptable. Elle va discriminer ceux qui ne pourront s’assurer un budget « tests » et contraindre les plus pauvres à s’injecter cette thérapie inefficace et dangereuse. La transparence sur les contaminations post vaccinales et l’existence niée de formes graves chez les vaccinés ainsi que les effets secondaires relatés par les agences paraît indispensable auprès de vous, nos représentants. Est-ce le cas ? Et que justifie une nouvelle fois une « procédure accélérée » alors que le gouvernement lui-même reconnaît « la baisse de la circulation du virus » ?(([7] De l’aveu même du porte-parole de l’Elysée, l’épidémie est terminée et toutes ces mesures existeraient, car : « Gabriel Attal a martelé qu’il existait toujours un “risque non négligeable de reprise de l’épidémie”. Actuellement c’est plutôt une épidémie de tuberculose qui se profile pourtant…))

CHERS ÉLUS, NOUS COMPTONS SUR VOUS

pour nous rendre nos libertés chèrement acquises il y a un peu plus de deux siècles. Il semble que la commission des lois aille dans ce sens et nous félicitons ses membres.

« Pass Sanitaire : Les Députés Desserrent Momentanément Le Dispositif En Commission Des Lois » C.M. avec AFP Le 15/10/2021

Le projet de loi « vigilance sanitaire » sera-t-il rétabli à sa version initiale le 19 octobre lors de son passage en séance à l’Assemblée ?

« Momentanément, les députés ont allégé vendredi les conditions de mise en œuvre du controversé pass sanitaire, prenant ainsi le gouvernement à rebrousse-poil, avant le passage du projet de loi “vigilance sanitaire” dans l’Hémicycle, mardi » Contre toute attente, les députés, qui examinaient cet énième texte sur l’état d’urgence sanitaire en commission des Lois, ont adopté un amendement du député La République en marche (LREM) Pacôme Rupin, opposant de longue date à cet outil qu’il juge « dangereux » pour les libertés publiques. »

L’amendement de Pacôme Rupin, adopté de justesse par 8 voix contre 7, prévoit de circonscrire l’utilisation du pass sanitaire géographiquement et en fonction de l’évolution de l’épidémie de Covid. Il propose que le recours au pass soit territorialisé et qu’il ne puisse être mis en œuvre qu’en cas de taux d’incidence supérieur ou égal à 50, sur une semaine continue, dans le département concerné.

« Il est important de mettre des critères. On ne peut pas laisser une totale faculté au gouvernement d’utiliser cet outil sans un minimum de règles. Je pense qu’on peut avancer, peut-être pas sur celui-là (son amendement adopté, NDLR) mais sur un encadrement un peu plus strict », a déclaré Pacôme Rupin.(([8] https://www.bfmtv.com/politique/parlement/pass-sanitaire-les-deputes-desserrent-momentanement-le-dispositif-en-commission-des-lois))

Ceci est déjà un premier pas, mais bien sûr nous espérons, de vous, nos élus, une récupération totale de nos libertés, la suppression de la loi d’urgence qui comme le montre la disparition de l’épidémie, n’a plus aucune légitimité sanitaire.

Merci de votre écoute.

Avec nos respects.





France : l’influence des lobbys et la gouvernance des coquins !

Par Amar DJERRAD

Nous remettons au goût du jour cet article, publié il y a 17 mois, parce qu’il sied parfaitement à la situation actuelle rendue délétère par les propos mensongers, arrogants et d’essence néocoloniale, indigne d’un chef d’État, du Président français Emmanuel Macron à l’égard de l’Algérie. Ces propos, considérés outrageants et provocants, ont eu des réactions tranchantes des autorités algériennes, des médias et du peuple algérien. Le texte nous semble d’actualité, comme s’il était écrit pour cet évènement.  


France24, France5, TV5 …sont bien des chaînes publiques, de l’État français, financées par l’argent public ! Elles doivent bien répondre aux orientations et directives de l’État français, sinon elles n’ont pas lieu d’exister ! Un insensé comprendra cela, non ?

Où est donc cette « liberté d’expression » ou « indépendance rédactionnelle » évoquées à chaque coup bas des autorités françaises quand les autorités algériennes les pointent d’un doigt accusateur ?

Incapables, à ce point, d’assumer leur responsabilité manifeste ? Incapables d’affronter l’accusation que leur portent les autorités algériennes ? Incapables de faire face loyalement aux décisions politiques et économiques courageuses, annoncées publiquement et sans crainte des nouvelles autorités en Algérie ?

Des autorités françaises qui réagissent par de perfides mesquineries via leurs propres médias interposés leur enjoignant de faire dans l’agitation et la subversion – à défaut d’une politique intelligente, régulière – sans même en assumer la responsabilité de leur décision ? Que des provocations et « incidents » successifs, programmés, montés contre l’Algérie qui ne cherche, pourtant, que l’équilibre des relations ! Cette conception chauvine, égoïste, voire raciste aura ses conséquences que l’esprit étriqué de ces dirigeants ne peuvent encore percevoir. C’est de l’escroquerie ! Quelle déchéance ! Elles craignent à ce point le débat politique franc avec les responsables algériens pour user, sournoisement, de procédés de voyous ? Toutes ces actions absurdes resteront vaines, comme toutes les précédentes, de par son expérience éprouvée et reconnue contre le terrorisme et la subversion !

Au regard de ce qui se déroule, de ce que l’on voit dans la gestion de la crise sanitaire en France et des décisions prises à l’occasion, sur les plans sanitaire et social, on comprend la nature vile des méthodes actuelles de gouvernance de la France ! Une gouvernance par la tromperie, la malversation, le recel et l’incompétence !

On parle de visée « néocolonial e» de la France sur ses anciennes colonies ? Peut-être avec d’autres pays encore sans puissance apparente, mais sûrement pas avec l’Algérie ! C’est lui donner les capacités qu’elle n’a pas et n’aura jamais politiquement, voire militairement !

Le semblant d’arrogance qu’elle fait transparaître n’est autre que l’expression de son incompétence à gouverner et à décider et surtout de sa perte d’influence dans le monde, sinon comment expliquer son suivisme absolu sur les questions internationales et les décisions qui s’y prennent ! Même ses lois internes, reconnues « démocratiques et de liberté », décrétées et en vigueur depuis des décennies, ont été perverties par les influences externes, via des lobbys internes, au point où elle n’est plus maîtresse de son destin et de sa morale ! Elle ne distingue plus le bien du mal ; le réel du rêve ; les vessies et les lanternes !

La France des «droits de l’homme» a bien soutenu des terroristes en Syrie et en Libye ! Cette France-là, impénitente a bien participé à l’assassinat d’un chef d’État ! Elle s’est bien ingérée en étant responsable de ce qui se déroule au Mali ! Elle est bien impliquée dans le martyr du Rwanda ! Elle était active dans l’affaire de l’Arch de Zoé où elle avait fait libérer, par des pressions sur le Tchad, des trafiquants d’enfants ! Sans oublier l’affaire dite des ‘infirmières bulgares’… et le paiement des rançons à des terroristes !

Que peut-elle bien faire d’utile, de performant et de convainquant cette France d’aujourd’hui, en Afrique où elle perd de jour en jour et dans le monde où elle est de plus en plus négligeable, même avec ses capacités nucléaires inutiles (capacité contre qui ?). Surtout avec un Président immature qui semble attendre des orientations, flanqué d’un PM désactivé qui semble gérer les affaires courantes et d’un ministre des AE hagard et distrait, incapable de mener une politique extérieure engagée et cohérente et surtout de condamner clairement les propos graves et vexants, pour la France, d’un député franco-israélien !

En Algérie, elle se sert de quelques félons encore néo colonisés et cupides, bavards, souvent ignares ou paumés, des ploucs sans dignité ni valeur, mais que ses médias désorientés tentent de mettre en avant avec une incompétence crasse ! Les Algériens savent tous que la « marchandise » de « fafa »(*) est toujours frelatée ! À la limite, même le stupide sait choisir son camp entre le décideur et le suiviste !

Pendant que d’autres, en Europe même, enregistrent des succès, voilà que cette France – ce pays souillé et ‘mis à genoux’ par les nazis, mais auquel un certain Charles, aidé par les alliés, ont rendu sa dignité – ose sottement bafouer, en le foulant aux pieds, tout ce qui a été érigé par ses véritables patriotes tout en se permettant d’imposer aux autres le remède à son affection mentale qu’elle n’arrive pas à guérir ?

Cette France-ci n’est plus qu’une pâle réplique insipide, réduite à un faire-valoir, que ne peut sauver de l’outrage et du naufrage que ses véritables patriotes et compétences actuellement négligés et dévalorisés !

(*) Ancienne appellation ironique de la France coloniale




Un pas de plus vers l’empoisonnement du monde avec l’interdiction envisagée des huiles essentielles

Par Diane Vincero

Big Pharma, Monsanto (Nestlé — Bayer), les GAFA, etc. continuent leur progression pour rendre le monde totalement tributaire d’eux… Nous en voyons déjà largement les effets aujourd’hui avec la prétendue pandémie de Covid.

Big Pharma :

piétine le système à son profit :

  • a déjà obtenu d’être lavé de toute responsabilité pour les effets secondaires de ses vaccins, a déjà imposé 11 vaccins aux bébés (les générations futures…),
  • a imposé la vaccination Covid,
  • a obtenu que les plantes comme la Valériane (effet tranquillisant sans accoutumance), la passiflore (effet sur le sommeil, sans accoutumance), le millepertuis (antidépresseur), etc., etc. ne puissent plus être présentés comme ce qu’ils sont, mais comme de vulgaires « compléments alimentaires »,
  • a obtenu en 2007, à l’échelle européenne, que l’argent colloïdal ne puisse plus être recommandé per os (= par voie générale) — alors que c’est un excellent antibactérien, antiviral, antimycosique, anti-inflammatoire et cicatrisant —, sous le prétexte totalement fallacieux et mensonger (…) qu’il entraîne « des dépôts bleus dans le corps », ce qui n’est vrai qu’au-delà de 20 ppm (= parties par million), c’est-à-dire à des concentrations totalement inutiles puisque les ions sont alors agglomérés et sont trop volumineux pour pouvoir pénétrer dans les cellules pour assurer leurs multiples effets bénéfiques. Ceux-ci sont obtenus pour des concentrations optimales de 15 ppm (où les ions sont libres et donc suffisamment petits pour pénétrer dans les cellules).
  • a obtenu qu’on ne puisse pas, en France, procéder à des perfusions à hautes doses de vitamine C pour guérir des cancers.
  • a obtenu d’imposer ses 2 protocoles de chimiothérapie contre le cancer alors qu’il y a des protocoles plus anciens
  • qui fonctionnent de façon vraiment efficace (comme l’a souligné le Dr N. Délépine.
  • a obtenu que les traitements par la médecine tibétaine et autres médecines ancestrales ne soient pas délivrés en France.
  • etc., etc.

Progressivement, au fil des décennies, Big Pharma a pris le pouvoir sur les politiques, a évincé tous les traitements naturels et veut maintenant parachever son œuvre destructrice en supprimant les huiles essentielles… Jusqu’à ce qu’il n’existe plus que… leurs molécules chimiques avec leurs effets secondaires délétères…

Il faut savoir que toutes ces substances naturelles connues et utilisées depuis la plus haute antiquité constituent une concurrence importante pour Big Pharma puisqu’il ne peut pas breveter les substances naturelles… Donc, il a jeté le discrédit sur leurs effets, tout en ayant — quand même — synthétisé les molécules chimiques à partir des connaissances sur les effets bénéfiques des plantes !!… Puis, il en a fait interdire l’utilisation, et maintenant, il veut terminer par l’élimination des huiles essentielles !!!

Programme mégalo et délirant qui n’obéit à aucune logique saine et bienveillante.

[Voir aussi :
Les résultats dévastateurs de la « révolution verte » en Afrique
et Comment la Médecine Naturelle a été détruite en 1910]

Monsanto :

industrie chimique qui détruit l’Humanité avec ses produits chimiques, « phytosanitaires », comme les pesticides. Monsanto qui existe depuis les années 1920 et qui s’est juré de rendre l’Humanité entière tributaire de lui !!… Stratégie progressive là aussi, au fil des décennies.

Les insecticides qui détruisent les insectes pollinisateurs [abeilles, papillons, etc.] et donc à terme, empêchent le développement les fleurs et les fruits. À terme, il restera quoi à manger ???? Les céréales OGM de Monsanto qui résistent aux pesticides…. [cf. plus bas] !!!

Le Roundup [glyphosate], herbicide promu de façon universelle par Monsanto auprès des cultivateurs, jardiniers, etc. qui stérilise la terre, qu’on retrouve dans nos assiettes tous les jours et qui détruit notre système immunitaire, provoque de l’hypertension artérielle, du diabète de type 2, de l’obésité qui touche maintenant 30 % de la population mondiale […], des cancers, des maladies auto-immunes [sclérose en plaques, thyroïdite d’Hashimoto, spondylarthrite ankylosante, etc.], etc., etc.

Les OGM Monsanto résistants au Roundup, mais dont il faut racheter les semences à Monsanto chaque année, car elles ne repoussent pas….

Monsanto qui a racheté Nestlé [industrie agroalimentaire polluée, générant de plus en plus de maladies], s’est marié à Bayer [notre voisin allemand, industriel chimique et pharmaceutique], arrivant ainsi à nos portes et permettant ainsi le mariage entre les effets délétères de l’industrie chimique et les traitements pharmaceutiques des maladies provoquées par la partie chimique du système…

Toute une chaîne de A à Z : produits chimiques sur les cultures et dans la nourriture, destruction des pollinisateurs et disparition des fleurs et des fruits, OGM résistant aux pesticides, maladies diverses, médicaments.

Et ainsi : ils tiennent tout le monde dans leurs mains…

Progressivement, ces géants broient tout sur leur passage. Ne les laissons plus avancer !!

[Voir aussi :
Nestlé dit que la majorité de son portefeuille de produits alimentaires est mauvais pour la santé
Les Racines de nos Maladies
Monsanto, Syngenta et Bayer ont décidé d’investir des millions de dollars pour développer des « sprays » de morceaux d’ARN afin de transformer les plantes en OGM directement dans les champs
Comment la Fondation Gates pousse le système alimentaire dans la mauvaise direction]


[Source : leslignesbougent.org]

Par Helena Wittkopf

Pétition : Huiles essentielles en danger — sauvons notre patrimoine naturel !

Adressé à : La Commission Européenne

Huiles essentielles en danger : sauvons notre patrimoine naturel !

Non à l’interdiction des huiles essentielles par l’Union Européenne !

A l’heure où je vous parle, la Commission Européenne a déjà pris sa décision : classer les huiles essentielles comme des substances dangereuses dans l’Union européenne… 

… D’ici la fin de l’année !

L’étape d’après ? Les interdire complètement ?

A partir de cette date, les huiles essentielles pourraient bien être en passe de disparaître du paysage santé et cosmétique. 

Les huiles essentielles n’ont rien à voir avec les substances chimiques de synthèse ! 

Les huiles essentielles contiennent plus de 200 molécules actives100% naturelles : elles sont les extraits les plus purs et les plus concentrés d’une plante ! 

Pourtant, une des mesures phares du Pacte vert initié par la Commission européenne ? 

Les traiter sur le même plan que des substances chimiques de synthèse : c’est absurde ! 

D’ici la fin de l’année, on pourrait vraiment finir par voir figurer des têtes de mort sur un flacon de lavande ou de menthe poivrée… comme sur la bouteille d’un produit ménager corrosif ! 

Alors que les huiles essentielles sont utilisées depuis des millénaires pour soigner de nombreux maux mais aussi embellir la peaules cheveuxle corps

Aujourd’hui, ce sont des millions de Français qui ont chaque jour recours aux puissantes propriétés des huiles essentielles (Il se peut d’ailleurs que vos propres produits de beauté en contiennent ou que vous en fassiez vous-même usage quotidiennement) !

C’est la meilleure alternative qui existe aux cosmétiques chimiques qui contiennent souvent des substances très controversées (perturbateurs endocriniens, substances cancérigènes, allergènes…). 

Des centaines de milliers d’emplois menacés ! 

La production des huiles essentielles crée un nombre considérable d’emplois chaque année, en France et dans le reste de l’Europe. 

De la culture agricole à la parfumerie, la cosmétique ou encore la distillerie : ce sont des milliers de personnes qui vont se retrouver sur la paille si ce projet de loi est adopté ! 

La Commission européenne ne peut pas se permettre de faire mourir tout un artisanat et un savoir-faire

Ce sont les petits producteurs et les agriculteurs qui seront les premières victimes de cette mesure. Ne sont-ils pas déjà assez bridés dans leur métier comme ça ? Qui va les indemniser si on les empêche de travailler ? 

Et qu’allons-nous faire de toutes ces étendues de lavande si caractéristiques du sud de la France ? Les brûler ? 

Tout un écosystème est sur le point de s’effondrer ! 

Il y a urgence ! 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience que les huiles essentielles sont aujourd’hui indispensables

Elles ont de multiples vertus sur notre santé et sur notre bien-être physique et psychique. En cosmétique par exemple, elles sont capables de résoudre de nombreux problèmes de peau acné, imperfections, poils incarnés, inflammations, rougeurs… 

La Commission européenne doit rapidement prendre conscience de la spécificité des huiles essentielles : il n’est pas possible de les classer dans la même catégorie que les produits chimiques de synthèse que l’on trouve sur le marché

Si nous n’agissons pas maintenant, d’ici la fin de l’année : il sera plus facile de se procurer un produit potentiellement cancérigène qu’un cosmétique élaboré à partir d’un extrait de plante 100 % naturel !

C’est pourquoi nous exigeons que la Commission européenne adopte une législation spécifique et adaptée aux produits naturels dont font partie les huiles essentielles..

… Qui serait plus proche de la réalité ! 

Les huiles essentielles font partie de notre patrimoine culturel et naturel

Elles sont indispensables pour obtenir des cosmétiques durables, respectueux de notre peau et 100 % naturelles

Avons-nous, aujourd’hui, réellement envie de revenir aux produits toxiques et douteux suite aux mesures du Pacte Vert ? 

La réponse est NON ! 

Signez cette pétition pour faire savoir notre désaccord, sauver des emplois et pouvoir continuer à avoir des cosmétiques naturels sur le marché !

Aidez-moi à mobiliser vos proches, aidez-moi à faire renoncer l’Union Européenne.

Il y a urgence !

S’il vous plaît, signez ma pétition et faites-la signer autour de vous !

Un grand merci !

Pour signer la pétition

Sources

Auteur : Helena Wittkopf




En attendant la crise financière internationale de 2022…

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir

Naissance et propagation, la chute d’un système financier né à la fin des accords de Bretton Woods

50 ans après la fin officieuse des accords Bretton Woods avec la suspension de la convertibilité du dollar US en or, le système financier international apparaît menacé suite aux diverses crises traversées en ce début de XXIème siècle et à la pensée économique unique qui semble se propager au sein de l’élite occidentale. 

I – La crise financière de 2008, les racines de la crise à venir

Les causes de la crise financière internationale de 2008 ont largement été masquées à la population. Derrière la faillite de Lehman Brothers et la crise des subprimes des intérêts bien moins avouables semblent avoir été dissimulés, intérêts qui ont pu en toute impunité continuer leurs activités nocives, mais ont fait également des adeptes, ce qui constitue un risque systémique majeur pour le système financier mondial quatorze ans plus tard.

II – « Quantitative easing » et gestion de la crise du Covid-19 : les remèdes pires que le mal

Les politiques monétaires et budgétaires menées ces dernières années en Occident pour faire face aux crises de ce début du XXIème siècle ont engendré d’énormes bulles spéculatives (immobilier et bourse notamment) et un endettement abyssal aussi bien privé que public.
Ces gigantesques déséquilibres ne pourront être corrigés que par une crise financière brutale sans précédent à l’échelle mondiale.

1. Les bulles spéculatives et faiblesse de la productivité

En injectant des milliards d’euros / dollars US de liquidités dans le système financier mondial sans création de valeur en face, les banquiers centraux occidentaux ont créé des bulles financières à travers le monde. Les valeurs actuelles de nombreux actifs sont ainsi déconnectées de la réalité.
De plus, si les acteurs du marché peuvent investir à coût quasi-nul aussi bien en actifs financiers qu’en actifs physiques, ils courent le risque d’acquérir des actifs qui ne rapportent rien. On a alors des équilibres non optimaux tels qu’ils ont été décrits par la théorie des jeux, où les parties ne choisissent pas les options qui sont les meilleures pour l’ensemble. D’après certains courants de pensée, cette politique de non-discrimination par les prix serait même à l’origine de la faiblesse de la productivité.

2. L’endettement privé

L’encours de dette des sociétés non financières a bondi laissant craindre un surendettement des entreprises, hausse en grande partie imputable aux Prêts Garantis par l’État en France.
Le remboursement des prêts garantis par l’État (PGE) pourrait être problématique pour nombre d’entreprises. En août 2021, 15% à 25% des entreprises ayant souscrit un PGE seraient dans l’incapacité de rembourser une annuité correspondant à 20% du montant de ce prêt. Un remboursement de la première annuité n’est toutefois pas prévu avant le printemps 2022. A fin juillet 2021, on notait déjà plus de 20 milliards de dettes restructurés depuis le début de la crise sanitaire en France (Vallourec, AccorInvest,…) sur un total de 118 milliards d’euros pour toute l’Europe et de 503 milliards d’euros dans le monde.

Un rebond des défaillances d’entreprise par effet de rattrapage est également inévitable compte tenu que les aides d’état ont permis de « maintenir à flot » des entreprises non viables. Les aides gouvernementales auraient dû se concentrer sur les entreprises prometteuses afin de traverser la crise du Covid-19 sereinement.

Aux États-Unis, selon Janet Yellen, le gonflement de la dette des entreprises les expose à un risque de « banqueroute » en cas de fort ralentissement économique.

On note également que les émissions d’obligations adossées à des prêts hypothécaires réalisées aux USA par des banques et des acteurs immobiliers ont explosé au deuxième trimestre 2021 atteignant 42 milliards de dollars, l’un des montants les plus élevés depuis la crise des subprimes.

À cet endettement des entreprises s’ajoute notamment, aux États-Unis, l’endettement des ménages et des étudiants.

3. L’endettement public

La pandémie a coûté, sur 2020 et 2021, en tout entre 170 et 200 milliards à l’État français entre les dépenses exceptionnelles et les pertes de recettes. En 2021, pour la deuxième année consécutive, le déficit de la France dépassera les 9 % du PIB, déficit qui finance malheureusement, comme dans bien des pays occidentaux, des dépenses courantes.
Les taux d’endettement public des pays de l’OCDE sont extrêmement élevés en 2021 : 117 % en France, 141 % aux États-Unis, 157 % en Italie, 245 % au Japon, 72 % en Allemagne.
Les États-Unis font face à un plafond de la dette atteint et qui a été relevé in extrémis repoussant de quelques mois la crise financière historique qui pourrait résulter d’un défaut de paiement US (flambée des taux d’intérêt, chute brutale du cours des actions et autres troubles financiers à attendre).
 

III – Développement de la culture de la pensée unique occidentale

Du fait de l’interaction des marchés boursiers internationaux, les politiques de la Réserve Fédérale des États-Unis (FED) et de la Banque Centrale Européenne (BCE) s’alignent l’une sur l’autre répétant chacune les erreurs de l’autre. Leur indépendance et les objectifs qui leur sont fixés ne répondent pas à l’optimisation du « bien-être » des populations concernées à long terme. Les courants libéraux déstabilisés par l’épidémie du Covid-19 semblent s’être noyés dans un océan de dettes et des politiques du « quoi qu’il en coûte » à l’opposé de leur doctrine, appliquant ainsi des schémas qu’ils ne maîtrisent pas. 

Conclusion

Bien que la crise financière mondiale à venir soit prévisible d’un point de vue strictement économique et financier, les banques centrales et gouvernements occidentaux refusent de voir l’évidence et préfèrent la méthode « Coué », ou pire se rêvent en « Candide » de Voltaire. Les seules issues aux jours troubles qui se préparent semblent être de bonnes connaissances des rouages macro et microéconomiques, une refonte du système financier actuel, le sang-froid, l’empathie et le courage.

Sources : Les Echos (Karl Eychenne, Nathalie Silbert, Guillaume Benoit, Anne Drif, Patrick Artus)

Auteur(s): Nathalie Souvorov-Robert, pour FranceSoir




Passe sanitaire : pourquoi la bourgeoisie managériale trahit si facilement la démocratie libérale

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Le passe sanitaire, initialement présenté comme extrêmement limité dans son usage, franchit un nouveau cap aujourd’hui : le gouvernement propose son maintien jusqu’à l’été prochain… Nos lecteurs n’en sont pas surpris, puisque nous annonçons son installation permanente depuis cet été. Mais la question qui se pose est de savoir pourquoi la caste mondialisée ne rencontre aucune opposition dans les couches supérieures de la société face à ce reniement caractérisé de la démocratie libérale. De notre point de vue, l’ère macronienne correspond (mais c’est une tendance mondiale) à l’émergence d’une bourgeoisie managériale formatée pour obéir et structurellement favorable à un système d’apartheid social.

Sur les raisons pour lesquelles le passe “sanitaire” est maintenu jusqu’à l’été 2022, nous nous sommes déjà largement exprimés. Le projet n’a rien de sanitaire, il s’intègre simplement au projet d’identité numérique déployé par la Commission Européenne (le fameux “wallet”). Il s’agit d’organiser un système d’identification et de contact tracking sur un modèle chinois, tel que le Great Reset de Klaus Schwab l’a proposé. 

Tout ceci s’appuie sur des investissements industriels, portés notamment par Thalès, qui cherchent aujourd’hui leur rentabilité sur le marché mondial de l’identité numérique. Donc, face à cette collusion d’intérêts industriels, nous savons que le passe sanitaire n’est pas prêt de disparaître. 

Passe sanitaire et crédit social à la chinoise

Pour le reste, le principe du passe sanitaire correspond à une tendance longue du capitalisme de connivence, fondé sur les relations incestueuses entre la bureaucratie et le management des grandes entreprises transnationales. Face aux menaces létales que le rejet du multilatéralisme (incarné par le Brexit) et du libre-échange (incarné par Trump) représente, ce capitalisme de connivence est bien décidé à utiliser toutes les possibilités technologiques nouvelles pour asseoir sa domination. 

Pour ce faire, il est prêt à se transformer en un capitalisme de surveillance où son pouvoir se fondera sur le crédit social à la chinoise. Les bons citoyens auront des droits que les mauvais citoyens perdront. Nous recommandons ici la lecture du rapport du Sénat, au printemps, sur le sujet, pour comprendre et mesurer l’influence du modèle chinois sur la caste au pouvoir en France. 

L’écrasante culpabilité de la bourgeoisie managériale dans cette rupture

On le comprend peu à peu, nous sommes en train de changer d’ère, de civilisation, mais aussi de régime et de gouvernance. Progressivement, la démocratie libérale cède la place à un système autoritaire que nous avons appelé le régional socialisme dans notre livre sur le Great Reset. 

Ce régional socialisme s’appuie sur deux piliers. Il est régional au sens des régions continentales, avec son obsession de bâtir des ensembles multilatéraux comme l’Union Européenne. Il est socialiste au sens où il subsume le droit individuel sous une couche de “protection collective” : risquez donc votre vie en vous vaccinant pour le bien du groupe ! Et il professe le “big government”, à rebours de la tendance insufflée en son temps par Ronald Reagan. 

Cette nouvelle vision du monde, en rupture avec la démocratie libérale, est essentiellement le fait de ceux qui ont inventé la théorie de la “Start Up Nation”. Ils se rassemblent dans ce que nous pourrions appeler la bourgeoisie managériale, représentante française de la caste mondialisée. Ces gens-là sont des cadres plus ou moins supérieurs, des dirigeants d’entreprise qu’ils n’ont pas créées ou d’administration, parfois des enseignants, qui ont un patrimoine moyen et une aversion générale au risque. 

La bourgeoisie managériale porte toutes les croyances insufflées par “l’altruisme efficace” aux Etats-Unis : culture de l’excuse, culpabilité de l’homme blanc, remplacement du christianisme par la religion de la nature, effacement de l’humanisme au profit du transhumanisme. Au salut de l’âme, elle préfère le sauvetage de la planète, à la béatitude, elle préfère le bien-être. 

Bourgeoisie managériale et manie du contrôle

L’une des caractéristiques de cette caste qui déteste le risque et l’incertitude, c’est l’obsession du contrôle, rebaptisé “protection”. Il faut se protéger de tout : du virus, de la maladie, de la mort, de l’agression, de l’agressivité, de toute forme de menace. On écoutera ici avec attention Sandrine Rousseau, l’égérie d’EELV, pour dévoiler les points saillants de cette caste, qui hait profondément l’ordre spontané des sociétés (parce que masculines, machistes, brutales, injustes, etc.) et souhaite la rebâtir en contrôlant tous ses étages. 

Cette caste-là, qui a pris le pouvoir au fil des années qui nous séparent de Mai 68, mais qui doit beaucoup aux années Mitterrand pour son élaboration intellectuelle, est le réceptacle naturel du capitalisme de surveillance. Comment fait-on pour se protéger, en effet ? Eh bien, on contrôle. Tout : les risques, les menaces, les vies privées, les maladies, et même les eaux calmes car il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. 

Dans cette propension au contrôle, on trouvera l’explication majeure de la facilité avec laquelle la bourgeoisie macronienne plaide pour un pass sanitaire qui discrimine. Ces gens-là sont rassurés, se sentent protégés, lorsqu’ils présentent leur identité vaccinale à l’entrée d’un bar ou d’un restaurant : ils ont besoin d’une vie contrôlée, d’une société sous contrôle. 

Bourgeoisie managériale et apartheid

On nous objectera que l’expression “bourgeoisie managériale” est bien floue. Elle pourrait même être fourre-tout. Et nous partageons assez ce constat : il faudrait être plus précis. 

C’est la caractéristique d’une caste : on y appartient pour des raisons “floues”, ce qui diffère beaucoup d’une classe sociale qui se définit objectivement. Pour forger une caste, il faut passer du temps à dire qui en fait partie, qui n’en fait pas partie. D’où cette obsession propre à la bourgeoisie managériale de s’individualiser par des signes, et d’exclure, de cliver pour bien marquer des frontières dans un paysage incertain. Le passe sanitaire en fait partie : il y a ceux qui l’ont, et qui vont au restaurant, ou à la bibliothèque, et ceux qui ne l’ont pas, qui n’ont plus accès aux mêmes lieux que les “élus”. 

Parce qu’au fond la bourgeoisie managériale ne sait pas trop qui elle est, elle se forge une identité par des exclusions, des “je suis qui je suis en désignant qui je ne suis pas” (on se souvient de la phrase de Griveaux sur la France qui fume des clopes et roule en diesel) et elle exige de tous les postulants le respect de rites initiatiques qu’elle a choisis. Il ne faut pas être baptisé pour en faire partie (le baptême étant universel), il faut être vacciné. 

Bref, c’est une France à deux vitesses dont la bourgeoisie managériale a besoin. 

France de la certitude et France du doute

Au fond, la bourgeoisie managériale veut une France pleine de certitudes confortables. Il faudrait que l’on soit sûr de plein de choses : de notre prospérité, même relative, même décroissante, il ne faut pas qu’elle soit incertaine. Il faut qu’on soit sûr que les maladies n’arriveront plus, que l’on ne croisera pas de gens malades, que l’on n’attrapera pas de cancer en buvant trop, en mangeant trop de viande, trop de saucisson, trop de matière grasse, en fumant, en ne faisant pas assez de sport. Il faut que les experts nous disent quoi faire et comment vivre pour que tout se passe bien. 

C’est le triomphe du conformisme, de la bonne conscience, et du bien-être. 

Face à cette France de la certitude, prend forme peu à peu, la France du doute. Elle a derrière elle le privilège de l’âge, puisqu’elle fut cimentée par ce vieux Descartes qui faisait tabula rasa. Cette France-là aime son risque. Elle ne sait pas ce qui va lui arriver, mais ça lui va bien. Le risque qu’elle ne veut pas courir, c’est que l’Etat la tienne par la paletot en sachant tout d’elle. Elle ne veut pas non plus prendre le risque de recevoir un vaccin sans savoir au juste ce qu’il contient. 

Deux salles, deux ambiances au fond. 

Choisissez la vôtre. 




Le troublant Accord signé par la France en décembre 2019 confirme le pouvoir mondial de l’OMS. Fin probable de l’hôpital public…

[Source et auteur : LHK]

Nous avons vu dans notre dernière publication que l’OMS a l’ambition de s’approprier la gouvernance mondiale de la santé avec des conséquences définitives et irrémédiables sur l’autorité locale, celle-ci devenant une simple exécutante de l’organisation supranationale.

En faisant mes recherches sur la montée en puissance de l’OMS (vs l’autorité locale), je suis tombée hier sur des informations très intéressantes qui concernent la France, et curieusement 3 ministères sont signataires dont celui de la Santé de Agnès Buzyn, actuellement sur la sellette.
https://www.ouest-france.fr/politique/agnes-buzyn/justice-agnes-buzyn-affirme-n-avoir-aucun-doute-que-la-verite-sera-connue-95f88e73-51f7-4f29-9102-67db15e5b961

Ce n’est pas la première fois que nous parlons d’elle ici. Souvenez-vous quand nous avions découvert le dossier où la ministre de l’époque demandait le classement de l’hydroxychloroquine dans la catégorie des molécules vénéneuses. Nous avions alors trouvé que le timing de ce classement était incroyablement troublant par rapport à l’émergence du Covid.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/18/un-timing-troublant-qui-consista-a-compliquer-lacces-a-lhydroxychloroquine/

Nous avions parlé aussi d’elle dans l’étude du rôle de Alain Fisher, le monsieur vaccin de France, qui avait réussi à faire passer l’obligation de faire injecter 11 vaccins aux enfants. La ministre de l’époque était Mme Buzyn.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/06/24/alain-fischer-le-pediatre-qui-fait-le-grand-ecart-entre-la-recherche-scientifique-les-multinationales-et-les-fondations-rothschild-les-citoyens-doivent-se-mobiliser/

La vidéo ci-dessous montre à quel point Mme Buzyn était contestée dans le milieu hospitalier mis sous pression de manière chronique et interpellante.



D’autres scandales connus et moins connus avaient fait de la ministre de la Santé une personne encombrante à la fin de son mandat.

Ce décor planté, voici l’incroyable découverte que j’ai faite hier soir. Un décret avait été publié en mars 2020.

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Ce Décret daté du 12 mars 2020 est passé entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé. Jusque-là rien de spécial. Il y a une pandémie et un gouvernement décide de passer un accord avec un organisme mondial afin de définir la collaboration.

Texte du Décret et de ses annexes

decret-nc2b0-2020-243-du-12-mars-2020-portant-publication-de-laccord-cadre-entre-le-gouvernement-de-la-republique-francaise-et-oms-pour-un-partenariat-renforce-legifranceTélécharger

Ce texte converge de manière très précise avec les arguments relevés dans notre dernière publication.

Un accord-cadre qui couvre la période 2020-2025

Ce qui interroge plus, c’est le contrat-cadre qui est au coeur de ce décret. Or, il a été signé avec l’OMS à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. Au moment où le virus circulait déjà à Colmar…
https://lilianeheldkhawam.com/2020/03/24/3-decembre-2019-au-moins-un-cas-avere-de-coronavirus-a-colmar/

… confirmé par la suite :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/02/10/le-sars-cov-2-circulait-sans-doute-en-france-des-novembre-2019_6069431_3244.html

La signature intervient après que des hospitalisations eurent lieu à Wuhan :
https://www.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/covid-19-des-chercheurs-de-wuhan-hospitalises-des-novembre-2019-la-chine-dement-da7fb9bc-bc80-11eb-a359-3a714ef76b03

En décembre 2019, Paris ne pouvait ignorer ce qu’il se passait à Colmar ou à Wuhan. C’est d’autant plus vrai que Mme Buzyn a pris ses fonctions quelques semaines après l’inauguration du laboratoire P4 de Wuhan à laquelle assistait son mari Yves Lévy, à l’époque directeur général de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Elle ne pouvait donc ignorer que le virus circulait à ce moment.
https://lilianeheldkhawam.com/2020/01/26/la-sulfureuse-cooperation-franco-chinoise-a-wuhan-challenges/

Or, nous retrouvons le nom de Mme Buzyn en tant que signataire de l’Accord avec l’OMS. Et ce papier est signé en décembre 2019, plus exactement le 31 du mois. Qu’est-ce qui justifiait cette précipitation?

Les signataires

En effet, l’accord-cadre (contrat) qui lie le Gouvernement de la République française et l’OMS pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025, a été signé à Paris le16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019. On y notera la participation du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. En quoi est-il concerné à l’heure où on ne parlait pas encore de trouver des vaccins révolutionnaires, ni de tests, et de vaccination sur les lieux d’enseignement?

Quelques commentaires sur l’Accord

Dans cet accord, nous nous bornerons à relever quelques éléments intéressants. L’OMS est l’autorité directrice et coordinatrice des travaux en matière de santé mondiale. Elle est donc d’abord une Autorité qui a un rôle non seulement de coordination supranationale, mais aussi opérationnel sur le terrain. Et ce à l’intérieur de TOUS les pays du monde.

Réaffirmant le rôle de l’OMS, renforcé par le processus de transformation en cours, en tant qu’autorité directrice et coordinatrice des travaux en santé mondiale et garante de la santé de tous les peuples ;
Soulignant que la France et l’OMS souhaitent travailler ensemble à faire progresser la Couverture sanitaire universelle (CSU) et poursuivre leurs efforts vers la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies

extrait des objectifs de l’accord-cadre signé en 2019 entre la France et l’OMS

Cela signifie qu’il faut imaginer qu’un jour viendra où c’est l’OMS qui devra prendre le relai en matière de décision et de mise à disposition de ressources venues d’autres pays, à l’image du recrutement massif de personnel soignant libanais pour la France. Le tout en référence aux ODD qui sont les objectifs de l’Agenda 2030.

Peut être une image de 3 personnes, personnes debout et texte qui dit ’NOUS RECRUTONS La 1ère entreprise sociale d'Europe recrute des MÉDECINS Libanais, Libanaises Un salaire attractif, prise en compte de l'ancienneté et l'expérience Regroupement familial accéléré Une aide financière à l'installation Un accompagnement individuel et facilitateur Si vous êtes: Médecin Anesthésiste Réanimateur, Pédiatre, Gynécologue Obstétricien, Cardiologue, Pneumologue Endocrinologue, Chirurgien Digestif, Chirurgien Urologue, Chirurgien Orthopédiste, Ophtalmologue, Oncologue, Médecin Généraliste. Vous êtes prêt pour un nouveau départ en France? N'hésitez pas, envoyez votre CV beleyconsulting@gmail.com’
Le pillage des cerveaux est en cours après que la finance internationale ait mis en place un embargo sur tout ce qui permet non de vivre mais de survivre. La jeunesse et les gens les mieux éduqués sont cueillis facilement et pour bien moins cher que leurs équivalents locaux.

Dans son Article II qui décrit le champ et les domaines de coopération, nous relevons brièvement la référence à l’harmonisation, à la structure transversale des processus (cf nos travaux sur le Coup d’Etat planétaire), et à des ingénieurs sanitaires (cf nos travaux sur l’ingénierie sanitaire, la nanomédecine, etc Exemple:
https://lilianeheldkhawam.com/2020/08/02/notre-sante-livree-aux-ingenieurs/comment-page-1/).

Avec le recul, un objectif de ce texte attire particulièrement l’attention. Je rappelle qu’il a été signé le 16 décembre déjà à Paris. Soit AVANT que la crise du Covid ne démarre officiellement en Europe :

(…) une meilleure protection des populations face aux situations d’urgence sanitaire, notamment à travers le renforcement de la sécurité sanitaire, y compris la lutte contre les flambées épidémiques et les maladies à potentiel pandémique et la mise en œuvre du Règlement sanitaire international (RSI), notamment par les activités menées par le bureau de l’OMS à Lyon ;

Décret n° 2020-243 du 12 mars 2020 portant publication de l’accord-cadre entre le Gouvernement de la République française et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) pour un partenariat renforcé pour la période 2020-2025 (ensemble deux annexes), signé à Paris le 16 décembre 2019 et à Genève le 31 décembre 2019 (1)

Administration des dons accordés à l’OMS

Un passage de cet accord-cadre mérite attention. Il s’agit d’un extrait du financement de l’OMS par Paris. Dans le point 3.4 des Dispositions financières, il est dit que:

« La France concourt aux mécanismes mis en œuvre par l’OMS avec ses donateurs afin de mieux prévoir et aligner les ressources disponibles de l’Organisation avec les budgets programmes approuvés par ses Etats membres, en particulier à travers les processus de dialogue financier. »

Coup de théâtre le 16 février 2020, Mme Buzyn quitte précipitamment son poste .

Création de l’Académie de l’OMS conformément à l’Accord-cadre et à l’Agenda 2030…

Le 24 février 2020 la France s’engage à verser 100 millions de dollars à l’OMS. Ca tombe bien puisque toutes les modalités d’administration des subventions étaient prévues dans le contrat signé en décembre 2019.

Voici un extrait du communiqué de l’OMS au sujet des 100 millions de subvention :

Aujourd’hui, le Ministre français de l’Europe et des Affaires étrangères, M. Jean-Yves Le Drian et le Directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, se sont rencontrés à la Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies à Genève pour aborder la question, qui sera la plus grande plateforme de formation continue, et la plus innovante, dans le domaine de la santé mondiale.

L’Académie de l’OMS vise à atteindre des millions de personnes dans le monde, offrant un milieu d’apprentissage de haute technologie, constitué d’un pôle à Lyon et d’antennes dans les six Régions de l’OMS. L’Académie offrira des possibilités d’apprentissage aux dirigeants, aux enseignants, aux chercheurs, aux agents de santé, aux membres du personnel de l’OMS et au grand public et proposera des formations de grande qualité, multilingues, à la fois en ligne et en présentiel, et abritera un centre de simulation pour les situations d’urgence sanitaire à la pointe de la technologie.

La discussion qui a eu lieu aujourd’hui fait suite à une Déclaration d’intention signée par Emmanuel Macron, Président de la République française, et le Dr Tedros le 11 juin 2019 et à l’annonce par la France d’une contribution de US $100 millions (€90 millions) à l’OMS pour appuyer la création de l’Académie, qui sera une division interne de l’Organisation.

https://www.who.int/fr/news/item/24-02-2020-france-pledges-us100-million-for-who-academy

… Mme Buzyn devient ce septembre 2021 la directrice exécutive de ladite Académie de l’OMS!!! AJOUT

En clair, Mme Buzyn dirige en 2021 le centre qu’elle a créé avec l’OMS en 2019, la veille de quitter sa fonction de ministre de la santé. Ledit centre financé avec l’argent public français. Juste incroyable.

Soudain la crise des hôpitaux publics prend une autre allure

Le 13 janvier 2020, Mme Buzyn réagissait à la crise que connaît l’hôpital public:

« Dans certains endroits, la pression financière a été trop importante depuis 10 ou 15 ans et elle a dégradé considérablement les conditions de travail. Nous sommes dans une dynamique inverse », assure ce lundi sur franceinfo la ministre des Solidarités et de la Santé, Agnès Buzyn alors que plus de 1 000 médecins ont signé une pétition et menacent d’abandonner – certains l’ont déjà fait – leurs fonctions administratives.

Et de poursuivre qu’elle dégageait « des financements dès ce mois de janvier : 150 000 euros ont été alloués aux hôpitaux dès ce mois-ci pour l’achat du matériel du quotidien« . Une somme ridicule donc en comparaison avec la donation de 100 millions de dollars à l’OMS…

Alors pourquoi?

La conclusion qui semble s’imposer à ce stade est que les gouvernants nationaux ont décidé de laisser couler les hôpitaux publics et autres assurances sociales au profit d’un système planétaire intégré et globalisé détenu par le marché de la finance (BigPharma entre autres).

Ce sont les financiers qui dirigent et dirigeront toujours plus la stratégie sanitaire locale et globale. Cela signifie très clairement qu’ils auront des droits sur le corps humain. Restera à envisager le sort des inutiles. A commencer par les personnes âgées…

Et ces gens ont des idées de ce que nous devrions être, faire et penser…

Entretemps, le personnel soignant des hôpitaux et les libéraux, clairement harcelés, risquent d’avoir des jours bien difficiles devant eux.
https://lilianeheldkhawam.com/2021/09/04/la-medecine-financiarisee-est-numerique-elle-na-que-faire-dun-raoult-ou-dun-fouche/ https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/25/nanosante-le-metier-de-medecin-voue-a-disparaitre-changement-du-paradigme-medical/

LHK


Rappel :

https://lilianeheldkhawam.com/2021/10/11/important-loms-veut-lautorite-absolue-en-matiere-de-sante-publique-mondiale-alain-berset-en-fer-de-lance/




Cette révolte des peuples contre la tyrannie sanitaire dont les médias subventionnés ne parlent pas

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Edouard Husson

Les oppositions à la dictature sanitaire, qui a désormais pris la forme de la vaccination forcée, sont désormais nombreuses et répondues dans tous les pays. Il est important d’en prendre conscience car les médias subventionnés garderont le silence à leur propos tant qu’elles pourront. Peut-être l’Italie va-t-elle représenter un point de basculement, si le pays entre dans une vraie grève générale. Mais il est important de comprendre qu’aucun de ces combats n’est inutile. Ceux-ci font douter la caste au pouvoir. Ils retardent d’autant la possibilité d’imposer une vaccination universelle. Ils laissent à tous ceux qui enquêtent sur le caractère bâclé des vaccins proposés, le temps d’étayer leurs études. Nous devons être optimistes. À la fin les peuples reprendront le contrôle.

Il est 16h22 ce mardi 12 octobre 2022. Avez-vous participé, dans notre fuseau horaire, au Black Out mondial, entre 16h et 16h21, qui voulait que nous cessions de nous servir de nos appareils électriques et électroniques? Vous n’étiez pas au courant? Mais quelles sont vos sources d’information?  Vous n’en aviez pas entendu parler sur BFM TV ni dans le Monde? C’est normal. Vous devriez diversifier vos sources d’information et vous abonner à quelques canaux télégrammes où vous saurez ce qui se passe actuellement dans le monde. Car on assiste à une révolte mondiale des peuples de plus en plus marquée. Il arrivera certainement un moment où cela ne sera plus possible pour les médias subventionnés de dissimuler ce qui se passe. En attendant, proposons un tour du monde. 

La caste est inquiète : elle crie au complot

Les complotistes, dans notre monde, sont d’abord les tenants du système. Lisez bien le tweet publié hier par Madame Haim, correspondante à Washington pour divers médias subventionnés français, se sent obligés de parler de la grève, par refus de la vaccination obligatoire, qui a obligé la compagnie Southwest, la fin de semaine dernière, à annuler 2000 vols. Une grève qui continuait lundi. Il suffit de se documenter en anglais sur internet pour comprendre la gravité de la situation. Au public français, Madame Haim préfère servir sa mauvaise soupe conspirationniste: un peu de trumpisme, un peu de Qanon, et hop, voilà le spectre de l’extrême droite qui débarque. De même, franceinfotv s’est fait l’écho de la la très importante manifestation de Rome, samedi dernier uniquement sous l’angle de “l’ultradroite” et des incidents de fin de manifestation. 

En réalité, si Madame Haim faisait son travail sur ce qui se passe aux Etats-Unis, elle devrait parler de la division croissante entre Républicains et Démocrates sur le sujet de la politique sanitaire.  le gouverneur du Texas a interdit la vaccination obligatoire, y compris chez les employeurs du secteur privé. Quant à l’Italie, on peut se demander dans quelle mesure elle pourrait somber dans le chaos dans les prochains jours. 

L’Italie est-elle proche de la grève générale?

Le compte twitter @AnonymeCitoyen fait un énorme travail d’information de même que de nombreux canaux Telegram. Son animateur juge anormal que les médias subventionnés ne rapportent pas les faits. Mais il s’agit d’un fait bien établi: sinon, ils n’auraient pas besoin de subvention pour survivre, puisqu’ils draineraient assez de lecteurs ou d’auditeurs. Alors, oui, il vaut mieux s’informer aujourd’hui sur les réseaux sociaux. Et constater que la presse étrangère est souvent moins verrouillée que les médias français établis. La presse italienne, en tout cas, commence à devoir parler de la situation très instable dans le pays. 

Pour la seule journée d’hier, Alitalia a été obligée d’annuler 127 vols. Les lignes du métro de Rome ont été profondément perturbées. Des manifestations fournies ont eu lieu  dans une quarantaine de villes qui ont rassemblé 100 000 personnes dans toute l’Italie. De façon significative, les manifestations s’emparent aussi du sujet des augmentations du prix de l’énergie. Et à Piacenza, un entrepôt d’Amazon a été bloqué. Un million de personnes se sont mises en grèves. 

Ce matin 12 octobre, le port de Gênes était bloqué par les dockers et les routiers. Le port de Trieste était menacé du même sort. Et le bilan social de la journée devrait être équivalent à celui d’hier. 

On est à J-3 du pass sanitaire obligatoire dans toutes les entreprises du pays. Or il y a encore des milliers de policiers non vaccinés et qui ne pourront pas prendre part au maintien de l’ordre puisqu’il refuse de se faire vacciner. Un syndicat de police a voulu rencontrer la ministre de l’Intérieur, Luciana Lamorgese. Mais elle n’a pas daigné même envoyer un message.  le pays risque-t-il de sombrer dans le chaos vendredi? 

Résistances à travers le monde : pourquoi elles sont utiles

Quand on prend l’habitude se s’informer hors des médias subventionnés, en particulier français, on prend conscience de la multiplication des points de résistance dans la monde. 

Depuis deux semaines, on a recensé des manifestations contre le pass sanitaire ou la vaccination obligatoire, en Belgique, aux Pays-Bas, en Slovénie, en Israël, en Suisse, en France. Dans notre pays, non seulement les manifestations du samedi continuent mais l’outre-mer est largement mobilisé : AntillesGuyane, Polynésie, Nouvelle Calédonie. 

Un point particulier de fixation a été, ces dernières semaines, l’Australie, celui des pays occidentaux où, sans doute, les attaques du gouvernement contre les Principes du Droit (rule of law) ont été les plus fortes, avec des gouvernements d’Etats poursuivant brutalement un objectif de “Zero Covid” et testant des systèmes de quarantaine surveillée. Des manifestations ont eu lieu qui ont été l’occasion d’une répression policière contestée (en particulier à Melbourne) mais aussi le refus d’une partie de la police d’appliquer les mesures gouvernementales de répression mais aussi la vaccination obligatoire

Bien entendu, les pessimistes souligneront les effets de la coercition – l’acceptation de la vaccination par une majorité de la population. Mais c’est oublier que ce qui se joue n’est pas seulement la vaccination 2021, c’est le risque d’être enfermé dans un système de vaccination récurrente. C’est la généralisation de la vaccination obligatoire. Au moment où je finis cet article, une foule de quelques centaines de personnes s’est rassemblée devant le Sénat, à Paris, pour rappeler aux sénateurs qu’il ne s’agit pas de faire rentrer par la fenêtre le rejet de l’obligation vaccinale qui a eu lieu en Commission le 6 octobre 2021. 

Et puis rappelons-nous qu’un grand nombre de pays, à commencer par l’Inde et des pays africains, sont en train d’apporter la preuve qu’il est possible de vaincre l’épidémie de Covid sans vaccins – par exemple avec l’Ivermectine. Or l’industrie pharmaceutique souhaiterait y imposer des politiques de vaccination généralisée. Résister dans nos pays – en particulier contre les poussées vers la vaccination des enfants – est essentiel pour faire gagner du temps et permettre aux personnes qui font ressortir les effets secondaires graves de vaccins bâclés de gagner en audience. 




L’Afrique, test géant pour la chloroquine. Comparaisons des mortalités Covid entre l’Afrique et l’Europe

Par Gérard Delépine

« On ne sait jamais le jour où son voisin devient fou ».

Vieux proverbe africain

Depuis le début de la crise, les gouvernants et les médias occidentaux tentent de nous faire croire que leur stratégie sanitaire « confinement — pas de traitement — tout vaccin » est la meilleure et la seule possible.

Mais certains pays africains par choix et/ou nécessité ont fait autrement et s’en sont plutôt bien trouvé. Nous analysons ici l’évolution du Covid dans différents pays africains selon leurs stratégies.

Les faits bruts : nombre de cas et mortalité

En Afrique, un peu plus de 8 millions de cas (3 % du total mondial) et 200 000 morts Covid (4 % du total mondial) ont été recensés alors qu’elle regroupe un peu plus de 17 % de la population mondiale.

Le nombre de cas est certainement sous-estimé du fait de l’insuffisance chronique de tests, aussi nous nous concentrerons dans cette analyse sur la mortalité Covid. Rappelons d’emblée que sur les 200 000 morts africains, environ 45 % des morts déclarées l’ont été dans un seul pays, l’Afrique du Sud.

Compte tenu de la population de 1,3 milliard, la mortalité Covid africaine globale est de 153 par million (80/million en excluant l’Afrique du Sud), soit 12 à 22 fois plus faible qu’en France qui en compte près de 1800 par million.

Cette très faible mortalité africaine est d’autant plus inattendue que les systèmes hospitaliers sont bien plus médiocres que le nôtre, qu’ils manquent chroniquement de médicaments et de médecins et que très peu d’Africains (moins de 3 %) ont été vaccinés.

D’ailleurs depuis le début de la crise les médias avertissent de l’imminence d’une catastrophe Covid dans ce continent(([1] La catastrophe politique du Covid-19 en Afrique, selon le Quai d’Orsay
https://www.gabonreview.com/la-catastrophe-politique-du-Covid-19-en-afrique-selon-le-quay-dorsai/))(([2] https://theworldnews.net/ca-news/Covid-19-catastrophe-redoutee-en-afrique))(([3] https://lovebook-rencontre.routes-des-vins.com/youtube-video-Pandemie-de-Covid-19-une-catastrophe-humanitaire-qui-fait-craindre-le-pire-en-Afrique-325278.html))(([4] https://m.pouvoirsafrique.com/2020/05/10/Covid-19-lafrique-face-a-la-catastrophe/)) et nos gouvernants voudraient leur imposer la thérapie génique.

Comment expliquer cette évolution inattendue ?

La population de l’Afrique dépasse 1,3 milliard d’humains, essentiellement composée de jeunes.

Le pourcentage des plus de 65 ans varie de 2,5 % (Tchad) à 8 % (Tunisie), alors qu’il atteint 20 % en Europe et 17 % aux USA.

Comme la très grande majorité des victimes du Covid se recrute parmi les plus de 65 ans, la proportion des malades à risque en Afrique est d’environ quatre fois inférieure à celle de l’Europe et peut ainsi explique une partie de la sous-mortalité constatée.

Mais après correction par l’âge, les Africains bénéficient encore de 3 (si on intègre l’Afrique du Sud) à 7 fois moins (en l’excluant) de morts Covid par million d’habitants.

Le climat, les modes de vie, les moindres contacts internationaux pourraient aussi expliquer une plus petite partie du sous-risque africain.

Mais l’explication la plus plausible est liée à l’utilisation quotidienne des antipaludéens

La comparaison des cartes de la mortalité Covid et de l’incidence de paludisme montre que les pays dont la population exposée au paludisme prend des antipaludéens chaque jour bénéficient d’une mortalité Covid beaucoup plus faible que les autres.

L’éventuel rôle protecteur du climat tropical sur la mortalité Covid parfois évoquée est rendu peu vraisemblable par la carte des mortalités mondiales qui montre que les pays tropicaux d’Amérique du Sud (où le paludisme ne sévit pas et dont les populations ne prennent pas d’antipaludéens) souffrent autant du Covid que ceux d’Amérique du Nord et d’Europe.

Comme rien ne permet d’imaginer que le paludisme puisse protéger du Covid, l’hypothèse la plus plausible est l’effet bénéfique des traitements antipaludéens au long cours sur le Covid.

Les pays dont les populations prennent des antipaludéens tous les jours bénéficient d’une mortalité 10 à 200 fois inférieure à celle de la France

comme :

  • le Nigéria (13/M soit 135 fois moins),
  • le Mali (26/M soit 68 fois moins),
  • le Congo (10/M soit 176 fois moins),
  • le Tchad (11/M soit 170 fois moins),
  • le Cameroun (58/M soit 30 fois moins que la France),
  • le Niger (8/M soit 220 fois moins),
  • la Côte d’Ivoire (24/M soit 74 fois moins),
  • la Guinée (30/M soit 61 fois moins),
  • le Sénégal (116/M soit 16 fois moins)

Les populations du Maghreb, comme celle de l’Afrique du Sud, ne prenaient pas d’antipaludéens avant l’arrivée du Covid.

En Algérie, dès mars 2020, les autorités sanitaires algériennes ont recommandé le protocole Raoult qui a été largement utilisé.

Au 10 octobre 2021, la mortalité cumulée ne dépasse pas 138/M soit 13 fois moins que la France. Le 31 mai 2121 à 19 h sur « Canal Algérie », un membre du comité scientifique algérien, a employé le terme de « curatif » concernant ce traitement.

Au Maroc, le gouvernement qui avait initialement fortement milité pour la chloroquine n’a plus conseillé ce traitement après les mises en garde infondées de l’OMS. Au 10 octobre 2021 la mortalité cumulée atteint 392/Million.

La Tunisie a suivi les recommandations de l’OMS et suspendu l’utilisation de la chloroquine en mai 2020. Cet arrêt a été suivi par la progression de la maladie et l’apparition des premiers décès. Au 10 octobre 2021 la mortalité Covid atteint 2117/M.

L’Afrique du Sud ne souffre pas de paludisme et n’utilisait pas d’antipaludéens lorsque le Covid est apparu. La stratégie utilisée a été semblable à celle de la France : confinement, refus des traitements précoces, vaccin.

Elle a banni la chloroquine et plus récemment l’Ivermectine. Elle constitue actuellement le pays africain à la plus forte mortalité Covid avec 1495 morts par million d’habitants, supérieure à la mortalité européenne moyenne.

Cet examen rapide de l’évolution du Covid en Afrique montre la parfaite corrélation entre une mortalité faible et la prise quotidienne d’antipaludéens.

Il n’y a pas de miracle africain. Il n’y a que la confirmation que les traitements par antipaludéens sont efficaces.





Obligation vaccinale et totalitarisme : pas de clivage gauche-droite

Par Nicole et Gérard Delépine(([1] t.me/DrDelepine))

Obligation vaccinale et totalitarisme : pourquoi ce projet de loi ne clive-t-il plus gauche et droite ?

Peut -être parce que la gauche et la droite se sont noyées dans la pensée unique, système totalitaire développée depuis quarante ans et qui contribue à passer dans la vie réelle les délires de certaines minorités que les autres appuient en silence de peur d’être marginalisés.

Les exemples foisonnent avec la destruction de statues d’hommes célèbres ou le licenciement de musiciens accomplis dans les conservatoires anglais pour insuffisance de diversité. Ne voient-ils pas qu’ils reconstruisent des ghettos ?

La commission des lois a rejeté l’amendement de B. Jomier (ses liens avec les associations anti-sida et Gilead sont-ils trop connus ?).(([2] Le sénateur macroniste Bernard Jomier a déposé un amendement visant à sanctionner d’une amende pouvant aller jusqu’à 1500 euros les parents qui refusent de soumettre leurs enfants à la vaccination obligatoire. MàJ – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Mais le risque est entier pour le 13 octobre. Les citoyens doivent donc continuer à envoyer des mails, des courriers par poste et des demandes de rendez-vous aux sénateurs qui auront l’énorme responsabilité de rendre le totalitarisme visible, s’ils se laissaient aller à voter, ou laisser passer cet amendement par absence de l’hémicycle.(([3] joignez nos représentants !
sénateurs : 
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=senateurs
députés :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=deputes
membres des cabinets Ministériels :
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=cabmin
Des 4 Agences de presse :  
https://www.voxpublic.org/spip.php?page=annuaire&cat=medias&type_media=Agence%20de%20presse
et pour plus d’infos voir :
https://t.me/recensementeffetsecondaire/40101
Alice (Lili Liberté), [Oct 6, 2021 at 12 :54]
ANNUAIRE))

L’obligation vaccinale n’est absolument pas un sujet clivant droite/gauche
Monstrueuse pensée unique

Les totalitaires de l’obligation se retrouvent tragiquement autant à droite qu’à gauche (exemples : Yannick Jadot, Gérard Larcher, Valérie Rabault, Olivier Faure, Christian Estrosi, Fabien Roussel, Michel Onfray, Valérie Pécresse, Xavier Bertrand, Ségolène Royale, Robert Ménard, JC Lagarde, F Bayrou, … liste malheureusement non exhaustive) Comment en sommes-nous arrivés là ?

La menace totalitaire portée par B. Jomier est tellement mortifère que les politiques qui refusent de prendre position contre les obligations vaccinales sont largement complices de ceux qui les réclament. Leur silence est pesant, inacceptable, inexplicable, insupportable.

Il faut exiger le rejet sans condition du principe de l’obligation. Toute autre position est purement et simplement criminelle, tant les menaces sur les droits fondamentaux et la santé sont lourdes.

Si le principe de l’obligation d’un médicament expérimental est accepté, on ouvre la boîte de pandore de la médicalisation obligatoire de la population, toujours sous prétexte de prévention, comme expliqué par Marc Girard (par exemple dans cet article à lire absolument dans sa totalité tant il est d’actualité bien que paru en 2017 et que nous rappelle justement Ben Lyo.

On peut lire sur le blog du Dr Marc Girard en mars 2020 et en rappel de l’élargissement de l’obligation vaccinale à 11 vaccins des nourrissons, la remarque suivante tellement d’actualité.

https://www.rolandsimion.org/elargissement-obligations-vaccinales-lanceurs-dalerte/

« On s’interroge sur la modération des réactions qui ont accueilli le récent projet gouvernemental d’élargir – et considérablement – les obligations vaccinales en vigueur dans notre pays, malgré les risques d’un tel élargissement et la perspective qu’il ne cesse ensuite de se voir accentué par d’autres obligations encore moins justifiables d’un point de vue médico-scientifique ou économique.

On s’interroge d’autant plus qu’aucun des « lanceurs d’alerte » médiatiquement patentés n’avait éprouvé le besoin de la moindre mise en garde relativement à un coup de force pourtant aussi prévisible. »

« Un rapide inventaire des contributions mises en ligne sur le présent site permet de recenser, depuis janvier 2010, pas moins de 45 articles évoquant comme très préoccupante la menace d’un tel élargissement des obligations vaccinales, et désignant répétitivement la mystification Médiator comme micro-scandale destiné à détourner l’attention des citoyens en attendant que l’administration sanitaire ne passe à l’acte sur ce projet dont les bénéficiaires ne sont ni les bébés, ni les enfants, ni les contribuables de notre pays.

On termine en examinant les principaux facteurs pouvant expliquer l’aveuglement du public par rapport à la stratégie pourtant grossière qui ouvre désormais aux prédateurs du complexe médico-pharmaceutique un boulevard pour réaliser leurs rêves les plus fous. »

Et combien avait-il raison, notre ami Marc Girard en prévoyant les catastrophes successives que le silence (relatif) sur l’obligation vaccinale des tous petits allait permettre à l’avenir :
Étrange épidémie de mutité chez les lanceurs d’alerte

« On ne peut pas dire que la décision d’élargir les obligations vaccinales, annoncée depuis le 26/06/2017, soulève des réactions proportionnées à son potentiel pourtant vertigineux d’inconvénients facilement prévisibles, auquel il convient d’ajouter le risque non moins évident d’un renforcement de plus en plus contraignant une fois testée la capacité de résistance citoyenne à ce coup de force1.

Exactement comme avec l’évolution – scientifiquement injustifiable – du calendrier vaccinal, mais cette fois avec l’appui de loi et de la force publique, il est facile d’anticiper qu’une fois rassurés sur l’acceptabilité de leur connivence avec la pègre médico-pharmaceutique, nos responsables politiques n’auront aucune inhibition à charger la barque : on verra bientôt l’obligation de se vacciner contre la grippe ou contre les HPV, pour ne point parler de l’élargissement desdites obligations à la population adulte – pourquoi se gêner ?… Et pourquoi limiter les obligations aux vaccins, quand – des échographies obstétricales aux mammographies et autres dépistages foireux, en passant par l’hypercholestérolémie et l’hypertension artérielle – il existe tant d’autres médicalisations qui n’attendent qu’un claquement de doigts de nos dirigeants pour se voir imposées au bon peuple 2? »

(…) De la sorte, la médecine se trouvera la première activité humaine à avoir accompli le rêve ultime du capitalisme sauvage : réduire les gens au statut de fourmis tout juste bonnes à travailler jusqu’à l’épuisement pour payer du fruit de leur misérable salaire des biens qui n’auront d’autre utilité que remplir les poches de ceux qui les fabriquent.

(…)

Enfin réalisé sous l’impulsion de Big Pharma, ce rêve ultime du capitalisme passera forcément par l’officialisation d’une novlangue confondant santé et thérapeutique, rançon et bénéfice, solidarité et esclavage.

Depuis G. Orwell, on sait que l’avènement d’une telle novlangue implique forcément le contrôle d’une Police de la pensée : il est tristement évident que mes confrères, dans leur immense majorité, ne se feront pas prier pour jouer ce rôle20.

Ils ont déjà commencé, d’ailleurs : pensez au mois “rose” qui s’annonce…En attendant la prochaine alerte grippale…”

Mais en ce domaine comme en d’autres 42, le capitalisme international sera redevable à la patrie de Robespierre de la French touch consistant, cette fois, à carrément inscrire dans le marbre de la Loi que les citoyens sont désormais forcés d’acheter des biens dont ils n’ont nul besoin et dont la dangerosité devrait aller de soi43 . »

Nos ancêtres s’interrogeaient sur l’au-delà, sur ce que l’on doit à autrui, sur l’instruction des pauvres, sur la possession des moyens de production et sur le partage de la valeur ajoutée : Narcisse contemporain se demande avec anxiété s’il fera caca demain à la bonne heure, si ce sera dur ou liquide – tandis qu’assis sur la cuvette des chiottes, il feuillettera avec passion toute revue afin d’y trouver le dernier produit-miracle susceptible de régulariser son transit intestinal (ou d’apaiser son côlon irritable)32. »

Une médicalisation peut parfaitement être assimilée à une torture si elle est réalisée sans le consentement éclairé de celui qui la subit. 

Le politique doit protéger les citoyens des prédateurs, pas accompagner leur business.

De nombreuses lois ont été édictées depuis le procès de Nuremberg qui aboutit au code de Nuremberg traduit en normes éthiques internationales par l’association médicale mondiale qui se réunit environ tous les trois ans pour empêcher de traiter les individus contre leur volonté. Après la déclaration d’Helsinki, la convention d’Oviedo est un texte international opposable aux pays signataires dont la France. Depuis la crise du covid, on piétine les lois nationales (loi Kouchner, loi Huriet, etc.) et internationales. Pour combien de temps sans réaction majeure ?

Ces lois existent parce que des régimes politiques ont commis des horreurs, en s’appuyant sur des lois dictatoriales, sur les forces armées (des récits terribles parviennent actuellement de l’Australie à ce sujet).

Ne transigeons jamais sur le principe abominable de l’obligation vaccinale, qui n’est rien d’autre qu’une folie criminelle imprescriptible et illimitée.  Dans la hiérarchie des crimes, la vaccination obligatoire, de surcroit par des produits expérimentaux figure au niveau le plus élevé.

Et pourtant, cette obligation n’a évidemment rien de sanitaire  

le Journal Europeen d’épidémiologie publie une étude de Harvard qui démontre qu il n’y a aucun lien entre le taux de vaccination et l’évolution de la pandémie.

Non, la vaccination n’a pas fait reculer l’épidémie !  Dirigée par SV Subramanian à la Harvard TH Chan School of Public Health, cette étude a collecté et analysé des données jusqu’au 3 septembre 2021. Elle démonte les dires des plateaux télés.

Non les vaccins n’ont pas fait reculer la pandémie qui est cyclique.

Sa disparition interviendra si des variants moins virulents apparaissent et si une part suffisante de la population a été en contact avec le virus.

https://link.springer.com/article/10.1007/s10654-021-00808-7

Les vaccins sont actuellement la principale stratégie pour lutter contre le COVID-19 dans le monde occidental.  le récit lié à la recrudescence continue de nouveaux cas aux États-Unis  serait expliqué par les zones à faible taux de vaccination [ 1 ].

 Un récit similaire a également été observé dans des pays comme l’Allemagne et le Royaume-Uni [ 2 ]. 

Dans le même temps, Israël, salué pour ses taux de vaccination rapides et élevés, a également connu une résurgence substantielle des cas de COVID-19 [ 3 ]. 

Nous avons étudié la relation entre le pourcentage de la population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 dans 68 pays et dans 2947 comtés aux États-Unis.

Pour ces pays, il ne semble pas y avoir de relation discernable entre le pourcentage de la population complètement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19

En fait, la ligne de tendance suggère une association légèrement positive telle que les pays avec un pourcentage plus élevé de population entièrement vaccinée ont des cas de COVID-19 plus élevés pour 1 million de personnes

Notamment, Israël, avec plus de 60 % de sa population entièrement vaccinée, a enregistré les cas de COVID-19 les plus élevés pour 1 million de personnes. 

L’absence d’association significative entre le pourcentage de population entièrement vaccinée et les nouveaux cas de COVID-19 est encore illustrée, par exemple, par l’exemple de l’Islande, mais aussi Chypre, Malte, Singapour}

Ces pays ont plus de 75 % de leur population entièrement vaccinée et ont plus de cas de COVID-19 pour 1 million d’habitants que des pays comme le Vietnam et l’Afrique du Sud qui ont environ 10 % de leur population entièrement vaccinée.

Cette étude confirme celle de Juan Chamie 

LA VACCINATION OBLIGATOIRE DES PLUS DE 60 ANS N’A AUCUN IMPACT SUR LA MORTALITE

90% ou 100% de plus de 60 ans vaccinés : pratiquement aucun impact sur la mortalité, c’est ce qui est constaté à partir de l’observation de dizaines de comtés américains.

L’étude mathématique de l’institut Pasteur est donc mise à mal ; 40% ou 90% de vaccinés, il y a une petite différence mais aucune dans ce qui peut être espéré d’une vaccination obligatoire Ajoutons que les effets secondaires ne sont pas pris en compte….

Jadis les soviétiques disposaient de la meilleure école de mathématiciens du monde, ils obtenaient des prévisions totalement fausses à partir de constructions mathématiques merveilleusement justes

Un analyste observe des données justes et il explique, il ne s’agit pas de prévisions mais d’observations, c’est toute la différence !

Juan Chamie, Senior Data Analyst at FLCCC à Cambridge (USA) vient de publier une étude sur l’impact du pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans sur le taux de mortalité covid.

 Il observe des centaines de comtés américains du même état ou d’état voisins avec donc des données structurelles comparables. Dans certains le pourcentage de vaccinés de plus de 60 ans est élevé, dans d’autre au même moment, il plus faible.

L’augmentation du nombre de vaccinés se traduit-elle par une baisse des décès covid ?

 entre des comtés dans lesquels 70% des personnes à risques sont vaccinées et d’autres dans lesquels on dépasse les 90%, il n’y a pas de différence significative.

Réduire de 10 à 0% le nombre de non vaccinés parmi les plus de 60 ans n’aurait aucun effet significatif sur leur mortalité

Et le monde se réveille

Grève nationale contre la vaccination en Israël – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)

Nombreuses autres manifestations partout dans le monde y compris à Genève dont ce n’est pas l’habitude.

Manifestation contre le pass sanitaire ce samedi à Genève
© Fabrice COFFRINI / AFP

Et surtout les citoyens interpellent leurs élus sur la gravité d’instaurer une pseudo vaccination obligatoire chez les bébés pour une thérapie génique expérimentale non testée et dont les résultats chez les enfants plus âgés sont déjà très inquiétants. Gardez-vous bien chers élus de vous engager dans ce piège qui ne vous a probablement pas été explicité en totalité.

Et vous, candidats à la gestion du pays, ne laissez pas ce sujet majeur de côté, les Français ne comprennent pas.

Et signez la pétition

https://petitions.senat.fr/initiatives/i-629

DROITS DE L’ENFANT

« Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.

Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.

Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.

Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.

Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.

Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection. »

Pour ceux qui veulent leur écrire(([4] https://www.lejdd.fr/Politique/lappel-de-38-parlementaires-socialistes-oui-a-la-vaccination-obligatoire-contre-le-covid-19-4061142?fbclid=IwAR2I2AdzuqYoHVciRnm1upc4uYmgbcIsBauUY0kEniueViHT663xx9JO-Ic
2021.08.31. PROPOSITION DE LOI
Instaurant la vaccination obligatoire contre le SARS-CoV-2    Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 août 2021
http://www.senat.fr/leg/ppl20-811.html)):

Députés

Sénateurs




Pr Arne Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »

[Source : lemediaen442.fr]

Par Jacqueline

Avant de voir la vidéo sur le Pr Burkhart, une précision sur les composants des globules blancs : les granulocytes font partie du système de l’immunité innée ; les lymphocytes constituent l’immunité acquise.

Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination »



Prof. Burkhardt : « Sur 10 autopsies, 5 décès sont très probablement liés à la vaccination ».
Le prof. Burkhardt, qui a vu près de 40 000 autopsies et 500 000 biopsies, constate que sur les 10 cas de décès post-vaccination autopsiés ici, 5 sont très probablement liés à la vaccination.
Il constate : « Il y a des infiltrations lymphocytaires dans tous les tissus et organes ».

Cette vidéo propose un long extrait de la première partie de la conférence de presse du 20.09.21 : Mort par vaccination Composants non déclarés des vaccins COVID-19.

Sommaire :
00 :00 Fin de la présentation des 10 cas.
02 :04 Conclusions : 5 décès sur 10 fort probablement liés à la vaccination.
02 :33 Diagnostics de myocardites avec infiltrations lymphocytaires. « Ces myocardites sont la conséquence de composants de virus ».
08 :44 Diagnostics de cas d’alvéolites.
10 :09 Présentation des cas avec soupçons de corrélations avec la vaccination. 1) Phénomènes auto-immuns.
11 :30 Modifications endothéliales.
13 :28 Agglutination des érythrocytes.
15 :37 : Vascularites et périvascularites.
16 :53 : Amas de lymphocytes, infiltrations inflammatoires et exemples.
22 :12 : Déplétion ou épuisement.
22 :35 : Cas Sjögren.
24 :23 : Corps étrangers, contamination, adjuvents dans la substance.

Liens vers d’autres extraits traduits en français de la conférence de presse:

* Pr. Bergholz: effets secondaires vaccins COVID: «Au niveau européen nous parlons de 100 000 cas. »: 
https://rumble.com/vmto3d-pr.-bergholz-effets-secondaires-vaccins-covid-au-niveau-europen-nous-parlon.html

* Dr. Arne Burkhardt: « 30 à 40 % des décès survenant après la vaccination sont dus à cette dernière. »: 
https://rumble.com/vmwq79-dr.-arne-burkhardt-30-40-des-dcs-survenant-aprs-la-vaccination-sont-dus-cet.html

* Prof. Burkhadt: « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin! »: 
https://rumble.com/vn0kjl-prof.-burkhadt-le-personnel-vaccinant-devrait-aspirer-avant-dinjecter-le-va.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krenn – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21. VostFR:
https://rumble.com/vn6k4x-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-extrait-de-la-confrence-de-presse-du-20.html

* Prises de vues de restes de vaccins: Dr. Hubmer-Mogg – Extrait de la conférence de presse du 20.09.21.:
https://rumble.com/vn6xib-prises-de-vues-de-restes-de-vaccins-dr.-hubmer-mogg-extrait-de-la-conf.-de-.html

Les effets indésirables de la vaccination covid

Point commun des autopsies du Pr Burkhardt : les lymphocytes (pas les granulocytes) se répandent dans tous les tissus et tous les organes où ils ne devraient pas être. Ils sont une réponse immunitaire excessive qui se retourne contre elle-même, avec risque de maladies auto-immunes, de destruction d’organes (foie, poumon, thyroïde, glande salivaire), d’épuisement des organes lymphatiques, d’accélération du développement du cancer, de thrombose et finalement de réduction de la capacité immunitaire « externe ». Certaines personnes avaient avant la vaccination des maladies rares — tel le syndrome de Sjögren des glandes salivaires — mais les retrouver si nombreuses dans un groupe réduit de dix personnes est totalement impossible.

L’acier inoxydable dans les vaccins Moderna

Le 20 septembre 2021, lors d’une conférence de presse, les Dr Uta Langer, Bärbel Ghitalla et Helena Krennont montré des particules de corps étrangers (de 40µu à 0,5 mm) au microscope optique. L’institut Paul Ehrlich n’a rien vu dans les vaccins — et rien cherché non plus —, alors que n’importe qui peut utiliser un microscope optique.
Les Japonais ont été les seuls à voir des particules d’acier inoxydable, dans des vaccins Moderna (1,63 million de doses). Moderna a répondu que l’acier était utilisé dans le corps humain pour les valves artificielles, etc. et qu’il ne présentait donc aucun danger. « Que celui qui a assassiné avec un poignard vienne dire au tribunal que son couteau étant en acier, il ne pouvait faire de mal ! » commente, pince-sans-rire, le Pr Burkhardt. Plus sérieusement : les corps étrangers sont dangereux, ils peuvent provoquer des micro-embolies.

La pépite sur les vaccins

Le physicien Eric Balm remporte la pépite ! À propos de particules aimantées (avant la découverte des Japonais d’acier inoxydable dans les vaccins Moderna), il a déclaré à la BBC : « Outre le fait qu’aucun métal ne se trouve dans les vaccins, nous nous sommes quand même prêtés au jeu en nous posant la question de savoir comment ce matériau pourrait être administré ? Pour s’injecter des particules aimantées, il faudrait que celles-ci soient extrêmement petites pour entrer dans une aiguille de “moins d’un millimètre de diamètre” ». Eh oui, Mr Balm ! des particules de 40 µu à 0,5 mm entrent bien dans une aiguille de moins d’un millimètre.

Prudence médicale contre prudence commerciale

Le Pr Burkhadt s’étonne que l’acte d’aspiration ne soit plus pratiqué avant l’injection : « Le personnel vaccinant devrait aspirer avant d’injecter le vaccin ! » Une remontée de sang alerterait le soignant. Cela éviterait d’injecter directement le produit dans un vaisseau sanguin. C’est pour cela que la vaccination doit être entre les mains des médecins, constate le Pr Burkhadt. Or cet acte a été supprimé par l’OMS. Aucune aspiration ne doit être réalisée avant l’injection du vaccin car bouger l’extrémité coupante de l’aiguille augmente la douleur. Et confier l’acte d’injection à plus de monde augmente la diffusion des vaccins. Le risque d’introduire l’aiguille dans un petit vaisseau sanguin — il y en a toujours dans les muscles — pourrait être pourtant évité par ce geste. Les avis sont donc partagés. D’un côté la prudence médicale du Pr Burkhadt, de l’autre la prudence commerciale de l’OMS. A vous de juger !




l’ANSM, gendarme français du médicament, se désintéresse totalement du fait que la dispensation des quatre vaccins anti-Covid soit réalisée de manière illégale

[Source : AIMSIB]

[Photo : Le siège de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), le 17 octobre 2017 à Paris. Photo d’illustration. (ALAIN JOCARD / AFP)]

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Par Dr Vincent Reliquet

Des vaccins écoulés sans aucune AMMc valide, c’est possible?

Nous nous sommes fait l’écho récemment (1) de ce que l’ANSM,  gendarme Français du médicament, se désintéressait totalement du fait qu’à ce jour la dispensation des quatre vaccins anti-Covid puisse être réalisée de manière parfaitement illégale sur son sol: En effet, celle-ci se trouvait incapable de documenter que les Autorisations de Mise sur le Marché Conditionnelles (AMMc) régissant l’écoulement de ces produits n’existent encore… Vient alors le temps d’interroger l’Agence Européenne du Médicament à ce sujet, cette puissante institution gère donc ce dossier pour l’ensemble des États membres qui apparemment lui vouent une confiance sans limite, au point de ne plus souhaiter jamais lui opposer le moindre contrôle national. Au final on s’alarme, ou plutôt on se désespère car il n’y a plus de pilote dans l’avion. Bonne lecture.

AMM conditionnelle, définition

Par rigueur nous ne nous risquerons pas à citer une autre source que la plus officielle pour ce qui est de la France, c’est ici: (2)

Vaccination infoservice.fr

On en comprend l’évidence et la nécessité:

En cas de péril sanitaire avéré l’attribution d’une AMMc à un produit de santé innovant doit demeurer possible en urgence si on le pense probablement efficient et si on lui suppose un bénéfice probablement supérieur aux risques que la population va encourir par son utilisation.

S’agissant des vaccins Covid cette AMMc sera dite centralisée, à l’EMA, à nouveau pour des raisons d’efficience accrue, après que cette décision ait été avalisée par la Commission Européenne. L’AMMc est alors accordée à tous les états membres ensemble.  Seule l’EMA reste donc pilote et maîtresse du dossier dans les suites, ce qui n’obère aucunement aux pays de procéder à leur propres actions de vigilance sanitaire et juridique, ce que manifestement l’ANSM Française ne souhaite pas réaliser dans ce dossier.

AMM conditionnelle, la particularité temporelle qui change tout

Dans la mesure où le rapport bénéfice sur risque demeure hypothétique, encore plus pour ces produits innovants que pour les autres, le législateur a raccourci le délai de validité de 5 ans pour une AMM standard à 1 an seulement, charge aux industriels de présenter pendant ce délai les réponses aux questions laissés en suspens vu l’urgence de la délivrance, toute AMMc qui ne se trouve pas confortée par les rapports manquants au départ se devrait donc d’être interrompue à ce terme. Ainsi,

  • « Conformément au règlement (CE) no 726/2004, les autorisations de mise sur le marché conditionnelles auront une durée de validité d’un an renouvelable. Le délai pour l’introduction d’une demande de renouvellement doit être de six mois avant l’expiration de l’autorisation de mise sur le marché et l’avis de l’Agence européenne des médicaments (ci-après dénommée « l’Agence ») sur la demande devra être adopté dans les quatre-vingt-dix jours suivant la réception de celle-ci. Afin d’assurer que les médicaments ne sont pas retirés du marché sauf pour des raisons de santé publique, pour autant que la demande de renouvellement soit introduite dans les délais, l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle doit être valable jusqu’à ce que la Commission prenne une décision fondée sur la procédure d’évaluation de la demande de renouvellement ». (3)

Compte tenu de ce qui précède et nous remercions chaudement le CTIAP de Cholet  sous la vigilance des Drs.  Amine Umlil (4) et Catherine Frade (5) qui en avaient inspiré  son article,

Les dates limites de dépôt des compléments de preuves de qualité pour la substance active et le produit fini pour les quatre industriels en lice se clôturaient en :
– Juillet 2021 pour BioNTech/Pfizer ;
– Juin 2021 pour Moderna ;
– Juin 2021 pour AstraZeneca ;
– Août 2021 pour Janssen.

A noter qu’en plus, s’agissant des deux premiers, des modifications d’excipients ont eu lieu au décours de la mise sur le marché de ces produits et que l’un des quatre a carrément changé de nom.  Et qu’avons-nous pu lire à ce sujet dans la presse spécialisée médicale et scientifique internationale? Rien. Que devaient impérativement documenter les industriels?

AMMc, les contenus scientifiques qui devaient être divulgués

Deux tableaux vont éviter de grands discours, merci encore à Catherine Frade de les avoir compilés en annexe dans son article. Nous ne nous bornerons qu’à l’étude des deux dossiers encore commercialisés en France (Pfizer et Moderna) puisque les vaccins AstraZeneca et Janssen ne sont plus importés en France depuis déjà des semaines: (6)

Annexe IIE AMM Pfizer
Annexe IIE de l’AMM Moderna, page 15

Ainsi, Pfizer s’était engagé à démontrer la qualité de ses excipients ALC-0315 et ALC-1559la caractérisation de son produit fini, le process en matière de contrôle de qualité ainsi que sa stratégie de contrôle de qualité finale pour Juillet 2021, et Moderna devait démontrer « une qualité constante du produit«  autour essentiellement de la stabilité des substances utilisées ainsi que « revoir les spécifications…/… du produit fini«  pour Juin 2021.

Pourquoi un tel silence médiatique autour de ces données essentielles à la sécurité des consommateurs si ces documents avaient été effectivement transmis en temps et en heure à l’EMA? Il faut donc admettre que ces données n’ont pas été publiées parce que les résultats réels seraient possiblement dévastateurs pour les dossiers des deux industriels encore en lice.

On en vient alors à se demander pour quelle raison l’EMA n’a pas sévi immédiatement en suspendant immédiatement les AMMc de ces deux vaccins aux termes évoqués plus haut.

EMA et AMMc, l’histoire d’une permissivité sans fin

Dans un bref article en date de 2017 (7) la revue Prescrire nous apprenait ainsi qu’entre 2006 et 2016  pas moins de 30 médicaments avaient fait  l’objet d’AMM conditionnelles, et que sur ces 30, 17 vivaient encore sous ce régime en  2016 alors qu’ils auraient dû l’abandonner dans l’année et seulement 11 ont été converties en AMM classique pendant que 2 ont été retirées à la demande de la firme propriétaire (8). La fin de cet article se passe de commentaire:
– » …/… l’arrivée d’un médicament sur le marché environ 4 ans plus tôt par rapport à une AMM classique, les patients ayant ainsi accès plus tôt à des médicaments nouveaux. Mais accès à quel bénéfice thérapeutique ? À quels effets indésirables ? Des questions qui restent sans réponse si l’EMA n’est pas plus exigeante, avec le risque de laisser longtemps les patients exposés à des médicaments dont la balance bénéfices-risques n’est pas favorable« .

Ainsi « oublier » la surveillance renforcée d’un médicament récent donc très peu évalué se révèle monnaie courante à l’EMA. Pour comprendre un tel dysfonctionnement il faut se pencher sur la structuration de cette agence hors norme.

L’EMA, bastion financier privé…

Juridiquement, l’EMA ne dépend même pas de la CEE. On peine à y croire, mais en 2019,

L’Agence européenne du médicament tirait son budget de fonctionnement  des redevances payées par l’industrie pharmaceutique à hauteur de 85,70 % pour seulement 14,29 %  à partir des deniers de la CEE (9) au point que cette institution a été qualifié un temps par le Sénat Français « d’objet juridique non identifié ». (10)

Les demandes de transmissions de documents adressés à l’EMA demeurent généralement lettre morte ou sont livrées avec une lenteur exaspérante propre à réduire à néant tout travail de recherche, comme Gøtzsche et Jørgensen  l’avaient démontré en 2011. (11)

La revue Prescrire avait soulevé un immense scandale très vite étouffé en 2017,  documentant que certains membres de l’EMA délivraient régulièrement des « conseils secrets et payants » aux firmes afin d’ »améliorer » leurs chances d’enregistrement, laissant naturellement la porte ouverte à toutes les supputations de corruption passive. On retiendra de cet article un élément qui nous intéresse au plus au point ici:
– » 71 % des demandes d’AMM conditionnelle qui ont suivi les conseils scientifiques de l’EMA ont abouti à une AMM, contre 40 % de celles qui ne les ont pas suivis. Ces chiffres peuvent s’interpréter de différentes façons. Mais l’opacité des procédures soulève la question d’éventuels compromis et influences, dus à une trop grande proximité entre les personnels des firmes et ceux de l’EMA« . (12)

On ne s’étonnera donc pas de cette triple et fatale constatation réalisée par europaforum.lu en 2012: (13)

  • A l’Agence européenne du médicament (EMA) ou à l’Agence de sécurité des aliments (EFSA), les déclarations d’intérêts des experts divergeaient parfois d’une année à l’autre sans que l’administration ne s’en inquiète ou ne leur demande des clarifications. Ou bien, comme à l’ECHA, un employé n’a pas déclaré tous ses emplois des derniers cinq ans, comme c’est requis, et personne n’a comparé CV et déclaration d’intérêts.
  • A l’EMA, l’agence a relevé un conflit d’intérêts chez un membre du comité scientifique et avait conclu que l’expert ne pouvait plus en faire partie. Pourtant, ce dernier a continué à participer aux réunions du comité et son mandat a même été renouvelé par la Commission européenne pour trois ans. Par la suite, sa déclaration d’intérêts mise à jour ne mentionnait plus les données qui avaient mené à la conclusion qu’il se trouvait en situation de conflit d’intérêts.
  • A la même EMA, deux membres du comité scientifique se sont vus classés comme des personnes présentant un risque très bas en termes de conflit d’intérêts, alors qu’elles avaient travaillé pour des compagnies pharmaceutiques, ce qui aurait dû conduire à ce qu’on les classe à un niveau de risque plus élevé selon les règles qui ont cours au sein de l’EMA et à certaines restrictions de leur travail d’experts.

Ce dossier serait incomplet sans évoquer le cursus exemplaire de porosité de sa directrice générale, l’Irlandaise Emer Cooke. Après avoir débuté dans l’industrie pharmaceutique elle a intégré les autorités de règlementation de son pays puis en 1991 elle rejoint le temple industriel du médicament, l’Association Européenne de l’Industrie Pharmaceutique (EFPIA) dont on supputait en 2019 un budget de lobbying officiellement compris entre 4 651 809 (14) et 5 414 776 euros. (15)

AFP – F. Walschaerts

L’lEFPIA dispose d’une « branche vaccin » dans laquelle sont évidemment représentés de nombreux industriels du secteur. A partir de 1998 et pour quatre ans elle prit la direction du département pharmaceutique de la Commission européenne. On la retrouve ensuite à l’EMA puis plusieurs années à l’OMS, le déménagement de l’EMA de Londres à Amsterdam en 2020 la plaça à la tête de l’institution depuis. (16) On comprend aisément qu’un choix pareil ne peut être interprété autrement que comme une main-mise officielle des industriels du secteur sur le fonctionnement déjà gravement perturbée de l’EMA.

A noter d’ailleurs que c’est l’IEFPIA qui a poussé l’Union européenne a apporter une « immunité juridique totale » à ses membres, les rendant ainsi totalement non responsables des effets indésirables graves générés par les vaccins anti-Covid. (17)

… Au centre d’une CEE gangrenée par le lobbying

Et c’est celle-ci, considérablement influencée voire infiltrée par le secteur pharmaceutique, qui choisit les molécules à mettre sur le marché après avis de l’EMA.

Prétextant du secret des affaires tous les contrats liant les firmes à la Commission européenne demeurent non divulgués, même auprès des membres de la Commission du contrôle budgétaire de l’Union dont c’est le rôle le plus primordial. (18)

Le poids financier du lobbying pharmaceutique auprès des institutions européennes a été évalué à 16,3 M€ en 2015 par l’ONG bruxelloise CEO et ne pourrait refléter que la partie immergée de l’iceberg des financements opaques. Fort logiquement ces masses d’argent déversées auprès des institutions européennes ouvrent aux industriels la porte des commissions parlementaires, c’est ainsi que « pendant la dernière mandature les dix laboratoires pharmaceutiques les plus gros ont ainsi eu 112 réunions importantes avec la Commission Juncker, et 60 accès au Parlement« . (19)

Les actes corruptifs font rage à la Commission, se souvenir par exemple que celle-ci a acheté en octobre 2020 pour 1,2 milliards d’€ de remdesivir, quelques jours avant que l’OMS ne déclare le produit parfaitement inefficace, à ce jour il semble qu’aucun remboursement n’ait jamais eu lieu. (20)

Le CV de la présidente de la Commission européenne paraît à première vue sans tache. Madame Ursula Von der Leyen est allemande, ancienne Ministre de la la Famille, puis du Travail, puis de la Défense dans son pays. Economiste elle est aussi médecin. Son diplôme est entaché de soupçons de plagiats massifs mais celui-ci ne lui a été au final jamais retiré. (21) Elle se serait également inventée un poste à l’Université de Stanford qu’elle n’a jamais obtenu.

REUTERS / Francois Lenoir

Les soupçons de conflits d’intérêts de la Présidente sont écrasants. Elle aurait par exemple présidé pendant 5 ans une commission sur « l’analyse des changements systémiques dans les chaînes de valeur entraînés par l’intelligence artificielle » pour laquelle le cabinet MacKinsey, qui avait embauché son propre fils, aurait touché 5,5M€ de la Commission Européenne. Son mari est médecin, Directeur de Orgenesis Inc. entreprise de biotech orientée vers les thérapies cellulaires et génétiques. (22) L’entreprise aurait lancé le programme appelé BioShield, conçu pour accélérer la découverte et la validation potentielles d’anticorps humains neutralisants en vue d’atténuer la propagation de virus tels que la COVID-19. 

Citons le dernier scandale en date qui éclabousse à nouveau la présidente, elle a reconnu avoir détruit l’ensemble des SMS échangés par elle avec Robert Bourla, le PDG américain de Pfizer, ainsi que la listes des appels téléphoniques échangés entre eux alors que l’ensemble des correspondances professionnelles des membres de l’Union est sensé appartenir à l’Union, l’article du Courrier des stratèges nous en donne une description effarante. (23)

Qu’attendre de l’EMA

Probablement, rien et pour  quatre raisons. Notre requête référencée ASK-94876 du 24/09/2021 a déjà produit les réponses suivantes:

1- Correspondance non conforme: Après que les Associations AIMSIB, Bonsens et LNPLV avaient mandaté Maître Jean-Charles Teissèdre pour réclamer en leurs noms des preuves de validité persistante de ces AMMc, la première réponse a été que les demandes doivent être adressées dans la seule langue autorisée à l’EMA, l’anglais.

2- Arguties juridiques sans rapport avec la demande formulée: Il a été ainsi annoncé que chaque demandeur ne pouvait réclamer plus de deux documents à la fois. Notre réclamation impose qu’on nous apporte un corpus de preuves quant à la licité des AMMc de deux vaccins, deux « documents » ne réussiront jamais à nous convaincre.

3- Demande de transmission de la demande de l’ANSM à l’EMA à propos de la validité des AMMc:   « you will receive a reply via a secure Eudralink within 15 working days. The Agency may extend this period by a further 15 working days in exceptional circumstances in accordance with the Regulation. Should such an extension be applied by the Agency, you will be informed at the time. » 15 à 30 jours pour recevoir une simple copie de mail.

4- Temps de réponse estimé à l’envoi de notre requête: « Regarding the answer(s) required as a reply to your questions, please note that we are currently processing them and you will receive them in due course. » (Trad: Concernant la ou les réponses requises pour répondre à vos questions, veuillez noter que nous les traitons actuellement et que vous les recevrez en temps voulu.)

Nous ne partons pas pour faire mentir les conclusions de Gøtzsche et Jørgensen mentionné plus haut. Sur le fond un arrêt récent de la Cour Européenne en date du 22/01/2020 doit nous faire comprendre que les industriels réclameront encore une fois le maintien du secret des affaires pour ne pas transmettre leurs données, et ceci sera probalement, voire certainement entériné par l’EMA, lisez plutôt:

.../…  » Aux points 91 à 93 de cet arrêt, le Tribunal a souligné que la requérante n’avait apporté aucun élément permettant de comprendre les raisons pour lesquelles les occultations effectuées par l’EMA n’étaient pas suffisantes. Il a rappelé que, selon la politique de l’EMA elle-même, cette dernière ne divulguait pas d’informations commerciales confidentielles, telles que les informations détaillées concernant la qualité et la fabrication des médicaments, de…/… (24)

Conclusion

Dans « la vraie vie », un conducteur privé de son permis de conduire ne sera absolument jamais autorisé à continuer à conduire. Un avionneur qui perd son certificat de navigabilité pour un modèle d’appareil voit immédiatement l’entièreté de ses avions cloués au sol pendant des mois (25)  mais en matière de produit de santé en général et de vaccin en particulier, la permissivité absolue demeure de mise.

Il est absolument inadmissible qu’aucune voix ne se fasse entendre en Europe (politiciens, journalistes, médecins, chercheurs, juristes) pour réclamer que les Lois européennes de protection des consommateurs soit appliquées. Il est inouï, totalement totalitaire de prétendre  imposer en France un vaccin en phase III  dont l’Autorisation de Mise sur le Marché est peut-être complètement inexistante depuis des mois.

Qui pourra encore faire à nouveau respecter le droit et la plus légitime protection des européens face à cette folie vaccinale actuelle?

Dr Vincent Reliquet
Octobre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/2021/09/17/moratoire-sur-la-loi-francaise-dobligation-vaccinale-des-soignants-vite/
(2) https://professionnels.vaccination-info-service.fr/FAQ/Repondre-aux-questions-sur-la-vaccination-COVID/Qu-est-ce-qu-une-autorisation-de-mise-sur-le-marche-conditionnelle
(3) Règlement Européen 2006, Point 9, préambule
(4)  « Inédit. Exclusif. Vaccins contre la Covid-19 : des incertitudes même sur la qualité intrinsèque des produits, sur leurs procédés de fabrication, sur les lots commercialisés… selon les documents officiels publiés par l’Agence européenne du médicament » (EMA) 02/04/2021 Dr A. Umlil. http://ctiapchcholet.blogspot.com/2021/04/inedit-exclusif-vaccins-contre-la-covid.html
(5) http://www.catherinefrade.com/blog/2021/04/01/eclairage-sur-les-donnees-publiques-europeennes-des-amm-conditionnelles-pour-les-4-vaccins-covid-19-31-mars-2021/
(6) https://www.aimsib.org/2021/09/12/soignants-contaminants-ca-va-etre-pire-en-bonus-la-francafrique-revient/
(7) « AMMc, avec très peu de données » Page 856 • La revue Prescrire • Novembre 2017 • Tome 37 N° 409
(8) – EMA “Conditional marketing authorisation – Report on ten years of experience at the European Medicines Agency” 2017 : 42 pages
(9) « Rapport concernant la décharge sur l’exécution du budget de l’Agence européenne des médicaments pour l’exercice 2019 » (2020/2157(DEC)), Commission du contrôle budgétaire Rapporteur: Ryszard Czarnecki https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/A-9-2021-0073_FR.pdf
(10) https://www.senat.fr/rap/r05-404-2/r05-404-257.html
(11) Gøtzsche PC, Jørgensen AW. Opening up data at the European Medicines Agency. BMJ. 2011 May 10;342:d2686. doi: 10.1136/bmj.d2686. PMID: 21558364. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21558364/
(12) Agence européenne du médicament : une aide opaque aux firmes https://www.prescrire.org/Fr/3/31/53660/0/NewsDetails.aspx
(13) https://europaforum.public.lu/fr/actualites/2012/10/eca-agences-conflit-interets/index.html
(14) https://lobbyfacts.eu/representative/0e0020135cfc4775bb5a4bd0313b120d/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations
(15) https://www.republique-souveraine.fr/2019/05/04/european-federation-of-pharmaceutical-industries-and-associations-efpia/
(16) https://www.profession-gendarme.com/la-directrice-generale-de-lagence-europeenne-des-medicaments-emer-cooke-a-la-solde-des-labos/
(17) https://www.mediapart.fr/journal/france/170920/vaccin-contre-le-covid-19-le-lobby-pharmaceutique-se-dedouane-par-avance?onglet=full
(18) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(19) https://multinationales.org/Comment-l-industrie-pharmaceutique-a-pris-d-assaut-les-institutions-europeennes
(20) https://www.marianne.net/politique/union-europeenne/remdesivir-inefficace-comment-la-commission-europeenne-sest-laissee-seduire-par-gilead
(21) https://www.welt.de/politik/deutschland/article146956797/Kritiker-bewerten-Arbeit-als-eindeutiges-Plagiat.html
(22) https://www.zonebourse.com/barons-bourse/Heiko-von-der-Leyen-0NQRH5-E/biographie/
(23) https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/09/25/ursula-von-der-leyen-a-t-elle-instaure-une-diplomatie-personnelle-parallele-avec-le-pdg-de-pfizer/
(24) https://curia.europa.eu/juris/document/document.jsf;jsessionid=CC2A121378B1B992BACB6833B99700D7?text=&docid=222502&pageIndex=0&doclang=FR&mode=lst&dir=&occ=first&part=1&cid=4750303 point 30
(25) https://www.rtbf.be/info/societe/detail_tous-les-boeing-737-max-cloues-au-sol-depuis-un-an-6-questions-pour-comprendre?id=10451449




Euthanasiés parce qu’ils avaient le Covid !

[Source : Alternatif Bien-Être (alternatif-bien-etre.com)]

Par Rodolphe Bacquet

Chers amis,

Il y a quelques jours, en Chine, trois chats ont été euthanasiés… parce qu’ils avaient été testés positifs au Covid-19.(([1] L’euthanasie de trois chats positifs au Covid-19 fait polémique en Chine (courrierinternational.com) ))

Ces trois chats appartenaient à la même personne, une habitante de Harbin (province du Heilongjiang). Les vétérinaires ne lui ont pas demandé son avis pour la mise à mort de ses chats.

Pire, malgré son opposition désespérée et ses suppliques, ils les ont tués pour « le bien de la collectivité ». 

Cela vous choque ?

Si l’objet de mon message vous a choqué… c’est bien.

Si le détail de cette nouvelle apparemment sans importance – après tout, des milliers d’animaux sont euthanasiés chaque jour sans que cela n’émeuve personne – vous choque aussi… c’est encore mieux. C’est qu’il y a encore de l’espoir.

Il y a encore deux ans, que l’on euthanasie ces trois animaux au lieu de tenter de les soigner aurait ému bien au-delà du cercle des défenseurs des animaux.

Pire, que cette triple euthanasie soit opérée sans le consentement de leur propriétaire et pour assurer la « sécurité » d’une ville chinoise… serait passée pour une extravagance supplémentaire de ce régime autoritaire.

Exactement comme le confinement d’une ville entière, Wuhan, nous avait paru si « exotique » : « ça, ça n’est possible qu’en Chine ! », s’était-on dit… pas vrai ?

Jusqu’à ce que cela se produise à nos portes – en Italie – et finalement… bel et bien chez nous.

Il y a deux ans également, le port du masque généralisé nous semblait un « trait culturel » typiquement asiatique…

… Les vaccinodromes, une manifestation de l’autorité que des régimes d’un autre âge exercent sur des masses dociles…

… La nécessité de devoir présenter un QR code dévoilant des informations sur votre santé pour obtenir la permission de vous asseoir à la terrasse d’un café ou de monter dans un train, une trouvaille issue d’un roman d’anticipation de George Orwell ou Philipp K. Dick…

Tout cela, qui nous paraissait inouï, inimaginable chez nous, a pourtant eu lieu, a lieu en ce moment-même.

Cela a choqué plusieurs d’entre nous, et j’en fais partie, vous le savez.

Mais cela a, en fin de compte, a été accepté et intégré par la majorité de la population avec une rapidité et une facilité déconcertantes.

Cette façon de nous « accoutumer », par petites touches, à des mesures toxiques, porte un nom : la mithridatisation.

Et nous vivons, aujourd’hui, une forme de mithridatisation collective, sociale et sanitaire.

Comment on s’accoutume au poison

Ce mot un peu compliqué de « mithridatisation » vient du roi antique Mithridate le Grand, qui régnait sur le Pont-Euxin au Ier siècle avant J.-C.

Buste en marbre de Mithridate VI le Grand, musée du Louvre

Mithridate avait de nombreux ennemis, à l’intérieur de son royaume comme à l’extérieur, qui en voulaient à sa vie – et le roi en avait parfaitement conscience.

Or, la méthode la plus discrète et radicale à la fois pour se débarrasser d’un rival ou d’un adversaire politique était à l’époque l’empoisonnement.

Sachant qu’il lui était impossible de contrôler toute boisson et toute nourriture dans laquelle un espion aurait pu verser du poison, Mithridate adopta une méthode originale : il devint lui-même expert en poisons… et en ingéra chaque jour, à petites doses.

Alors qu’une dose massive et unique de poison aurait pu le tuer, ces petites doses quotidiennes de poison non seulement ne le tuaient pas, mais le rendaient plus résistant.

C’est l’accoutumance de son organisme au poison qui protégea Mithridate du risque d’empoisonnement.

Cette méthode fut un succès au-delà de toute espérance… qui se retourna contre lui.

Finalement détrôné, Mithridate voulut se suicider en absorbant une dose massive de poison, mais n’y parvint pas : son corps s’y était trop accoutumé !

Mithridate fut donc passé au fil de l’épée par les soldats de son propre fils, qui lui avait ravi son trône. Une fin déshonorante et brutale.

La mithridatisation des esprits

La mithridatisation, c’est donc cela : l’absorption à faible dose d’un poison, auquel on s’accoutume.

On commence par de toutes petites doses, qu’on augmente à mesure que l’on y devient insensible.

Lorsque l’organisme ingère une quantité plus importante de ce même produit toxique, le cas échéant, on y survit.

[Ndlr : Est-ce que l’organisme s’habitue au mercure, au plomb ou à l’arsenic qui s’accumulent dans le corps jusqu’à produire des effets notables et indésirables sur l’organisme, à le rendre malade ou même à le tuer ? Est-ce qu’il peut même s’habituer au cyanure et à des toxines encore plus radicales ? Il est plus prudent de ne pas tenter ce genre d’approche avec tous les poisons, surtout lorsque ceux-ci ne s’éliminent pas naturellement et rapidement du corps. C’est la dose qui fait le poison. N’importe quelle plante médicinale, n’importe quel aliment, même de l’eau, peuvent devenir nocifs à trop haute dose.]

La crise du Covid-19 a sonné le départ d’une étrange mithridatisation des esprits.

[Ndlr : il s’agit de ce que d’autres ont appelé la méthode des petits pas qui consiste à aller vers l’objectif par étapes, avec au besoin une halte entre deux étapes données pour laisser le temps de récupérer après la tension imposée lors de l’étape précédente. En physique, que l’on applique une torsion progressive ou rapide à une barre métallique ne change pas grand-chose au résultat : si la tension accumulée devient trop forte, la barre se rompt. En psychologie, si l’on applique une tension trop forte et trop soutenue à un individu, il se brise. En politique, ceux qui veulent amener des changements sociétaux ou structurels doivent veiller à faire redescendre la tension à certains moments s’ils ne veulent pas provoquer une explosion. Et dans le cas de la crise Covid, il y a donc eu des périodes de relâchement des mesures avant de mieux repartir pour de nouvelles encore plus radicales.
Voir aussi Le contrôle mental au temps du Covid]

Le poison de cette mithridatisation, ce n’est pas le virus, ce sont les mesures qui s’accumulent pour, nous dit-on, nous en « protéger ». 

L’énormité de cette mithridatisation nous dépasse déjà.

Il y a deux ans, le principe du pass sanitaire, hormis peut-être quelques technocrates fadas biberonnés aux GAFA,(([2] Les géants du numérique qui, de fait, contrôlent hors de toute réglementation étatique, l’information et l’économie contemporaines : Google, Amazon, Facebook, Apple.)) nous aurait semblé révoltant. Plus qu’inapplicable : inimaginable.

Mais la privation de liberté « pour le bien de tous » s’est faite à petites doses.

Il y a eu certes le choc du premier confinement, mais tout, ensuite, s’est déroulé par touches subtiles, comme sur un tableau impressionniste :

  • Les attestations de sorties ;
  • Le port du masque obligatoire ;
  • Le couvre-feu ;
  • La quarantaine ;
  • Les tests obligatoires, gratuits, puis payants ;
  • La vaccination « conseillée », puis « encouragée » et finalement de facto obligatoire…

Nous avons avalé toutes ces mesures empoisonnées. Une à une. Chacune allant un peu plus loin que la précédente, jusqu’à cet état de fait inquiétant : la discrimination pour raisons médicales.    

Nos sociétés championnes de la lutte anti-discrimination ont beau jeu

Nos démocraties occidentales modernes, qui se targuent de lutter :

  • contre la discrimination raciale,
  • contre la discrimination religieuse,
  • contre la discrimination sexuelle,
  • contre la discrimination pour préférences sexuelles…

… ont en fin de compte créé de toutes pièces une toute nouvelle discrimination : la discrimination vaccinale.

L’être humain est un animal social, d’accord, mais c’est surtout un animal discriminant. 

Il faut qu’il discrimine, c’est comme ça.

S’il ne peut plus discriminer selon que vous êtes blanc ou noir, homme ou femme, chrétien ou musulman, homo ou hétéro, français, belge ou marocain… il trouvera autre chose.

Il vous discriminera parce que vous avez les pieds grecs ou égyptiens, parce que vous êtes riche ou pauvre, parce que vous êtes plutôt thé que café.

Les problèmes sérieux commencent quand l’État prend en charge cette discrimination

C’est-à-dire quand l’État légifère sur l’achat de certains hommes comme esclaves par d’autres réputés « libres », sur les droits accordés à une confession religieuse et pas à une autre, sur la possibilité ou non des femmes d’accéder à l’éducation.

L’État français, ni pionnier, ni bon dernier, vient de créer une société dotée de deux nouvelles « classes » de citoyens : les vaccinés et le non-vaccinés, les premiers ayant plus de droits que les seconds.  

Oh, nous pouvons nous enorgueillir, dans nos pays occidentaux développés, d’avoir conquis la liberté de confession, la liberté d’orientation sexuelle… Mais nous sommes, en parallèle, en train de mettre fin à la liberté de choix médical.  

Nous vivons depuis si longtemps déjà dans l’invraisemblable que nous avons laissé passer cette discrimination inédite sans y prendre garde. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’épouvante, entretenue par les médias, que cette discrimination nous paraît presque « normale », et même pour certains… indispensable. Par mithridatisation.

Nous vivons depuis si longtemps dans l’intimidation, entretenue par les gouvernements, que nous acceptons d’une âme égale qu’ils décident à notre place à quelle heure entrer et sortir de chez nous, ou si nos enfants doivent ou non se faire injecter des produits pharmaceutiques créés il y a moins d’un an.

Par mithridatisation. Par petites touches.

C’est ainsi que nous laissons cette politique toxique nous empoisonner en tant que société, et en tant qu’êtres humains.

Mais attendez : ce n’est pas terminé.

Voici deux autres exemples d’une actualité brûlante de cette mithridatisation en marche.

Suisse : 50 francs pour l’incitation à la vaccination

En Suisse, le Conseil Fédéral a, dans le sillage de la France, instauré autoritairement l’obligation de présenter un « certificat Covid », équivalent de notre pass sanitaire.  

La mesure a choqué bon nombre d’habitants de ce pays à très forte tradition démocratique et la Suisse, pour la première fois depuis des décennies, connaît depuis régulièrement des manifestations à Berne, sa capitale, contre cette mesure.

Mais, cette semaine, le Conseil Fédéral a décidé d’aller plus loin dans sa politique « tout-vaccin » en ayant l’idée d’offrir un « bon-cadeau » de 50 francs suisses à toute personne convaincant un proche de se faire vacciner.(([3] Annonces du Conseil fédéral – Vaccination: un bon de 50 francs à ceux qui persuadent leurs proches – Le Matin))

A priori ça n’est pas « nouveau ».

Aux États-Unis, le gouvernement du New Jersey offrait une bière à toute personne allant se faire faire une injection anti-Covid.(([4] Covid-19 aux États-Unis. Une bière offerte contre une dose de vaccin dans le New Jersey (ouest-france.fr) ))

Le gouvernement chinois de Hong-Kong incitait, lui, à la vaccination en offrant aux bons élèves des billets de loterie pour gagner une Tesla ou un appartement de luxe.(([5] Un vaccin contre une Tesla, à Hong Kong des loteries pour stimuler la campagne | Le HuffPost (huffingtonpost.fr) ))

[Ndlr : aux États-Unis et au Québec, des loteries vaccination ont été mises en place, avec possibilité de gagner jusqu’à un million de dollars si on se fait vacciner.]

Mais cela s’adressait à toute personne susceptible de se faire vacciner… Pas à son entourage, pour la convaincre d’y aller !

Le Conseil Fédéral suisse a bel et bien franchi un pas supplémentaire, qui en dit long sur la conception qu’ont nos gouvernements de la santé : quelque chose qui s’achète… et que l’on peut vendre.

À présent je vous demande : cela vous choque-t-il ?

Israël : 3ème dose obligatoire pour garder un pass sanitaire valide

Israël est, vous le savez, le pays « en avance » en termes de politique vaccinale anti-Covid. Ils ont été :

  • les premiers à vacciner en masse,
  • les premiers à instaurer un pass sanitaire (et rappelez-vous, à ce moment-là, Emmanuel Macron a juré ses grands dieux que JA-MAIS il ne mettrait en place un système équivalent)…
  • et les premiers à connaître un rebond spectaculaire des contaminations et des décès dans la population vaccinée.

Ce terrible désaveu n’empêche pas le gouvernement actuel de s’entêter dans sa politique vaccinale :

« Les passeports verts, délivrés aux personnes vaccinées ou guéries du Covid-19, seront remplacés dès ce dimanche en Israël. Ceux déjà délivrés seront annulés. Près de deux millions de citoyens ne pourront plus accéder à certains espaces publics sans un résultat de test négatif. »(([6] Deux millions de vaccinés israéliens privés de pass sanitaire s’ils ne prennent pas de 3e dose – 03.10.2021, Sputnik France (sputniknews.com) ))

En Israël comme en France, la troisième dose a d’abord été présentée comme « optionnelle »… jusqu’à aujourd’hui, où elle est de facto obligatoire.

Les promesses n’engagent décidément que ceux qui y croient…

Quant à ceux qui ont encore l’innocence de se dire « bon, allez, une troisième dose, et c’est enfin terminé »… sachez qu’en fait de « troisième dose » la nouvelle réglementation israélienne stipule que le pass sanitaire sera valide pendant six mois après l’administration de la dernière dose

Cela vous choque-t-il ?

Le poison de la lassitude

Si tout cela vous choque, comme je vous l’écrivais plus haut, c’est qu’il y a encore de l’espoir.

Car le propre de la mithridatisation, c’est de nous rendre insensible.

Nous regardons tous ces pas supplémentaires vers l’indignité, vers la confiscation de notre consentement, vers la discrimination pour raisons médicales, d’un œil las.

Moi le premier. Que croyez-vous ? Je me lasse de vous parler du Covid… du pass sanitaire… des injections et de ses effets secondaires… des milliers de morts directes ou indirectes sacrifiées sur l’autel du « bien collectif »… C’est usant.

J’en ai marre, comme vous. J’ai envie de penser à autre chose. De passer à autre chose.

Or, c’est précisément là qu’est le danger.

Je me lasse de vous en parler, je deviens désabusé… mais les mesures qui continuent à être appliquées, celles qui s’apprêtent à être prises (la prolongation du pass au-delà du 15 novembre, la généralisation de la troisième dose…), elles, n’ont pas cessé d’être problématiques : elles sont même pires !  

Mais nous sommes habitués. Anesthésiés. Mithridatisés.

C’est ce qui permet à l’inimaginable il y a encore quelques semaines ou mois de se produire sous nos yeux. Pas à pas. Par petites touches. L’air de rien.

Aujourd’hui ce sont des chats qui sont euthanasiés en Chine. Pourquoi pas demain ici en Europe ? Et pourquoi pas, demain, des patients humains ?

Toujours pour la même raison : le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la Suisse qui propose un billet de 50 pour « inciter » votre ami, votre cousin ou votre petit frère à se faire vacciner. Pourquoi pas la France demain ? Et puis, ce cadeau pour l’incitation ne pourrait-il pas devenir un cadeau pour… délation de non-vaccination ?

Pour le « bien collectif ».

Aujourd’hui c’est la troisième dose qui est obligatoire en Israël. Et demain, pourquoi pas en France ? Et puis, pourquoi pas la quatrième dose, et puis la suivante ?

Vous ne croyez pas à tout cela ?

Mais il y a deux ans, auriez-vous cru au confinement du pays entier ?

Il y a six mois, auriez-vous cru que nos gestes quotidiens seraient déterminés par une injection médicale ?

On vous dira que c’est pour le bien collectif. Même si toutes les données indiquent le contraire.

La Norvège, la Suède, le Danemark, n’ont pas ou plus de pass sanitaire. Y’a-t-il une hécatombe dans ces pays ? Non.

Mais en France, en Suisse, en Italie, en Israël évidemment, les gouvernements soutiennent que c’est la seule voie de sortie possible de la crise.

Ces mêmes pays qui s’assoient allègrement sur le million d’effets secondaires des injections anti-Covid officiellement reconnues par l’OMS… pour la seule Europe.(([7] Plus d’un million d’effets secondaires du vaccin en Europe reconnus par l’OMS – Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

Oui, la mithridatisation, l’anesthésie, la lassitude, sont dangereuses. C’est cela qui nous fait baisser la garde : nous sommes choqués, révoltés au départ (certains d’entre nous en tout cas). Puis résignés. Puis habitués.

Mais la force de l’habitude ne change rien au caractère moralement indigne de cette politique de santé, ni surtout aux dégâts qu’elle provoque.

Le caractère choquant de mon mail reflète mon dégoût quand j’ai appris l’euthanasie de ces animaux. Que cela me choque, m’a rassuré : je ne suis pas entièrement mithridatisé.

Peut-être vous non plus, si vous avez ouvert ce message.

Alors… Alors il faut continuer. Je continue à protester par ces lettres et surtout à lutter, à ma modeste échelle, contre les dégâts provoqués par cette insensée politique sanitaire.

Que faire contre cet empoisonnement ? Distribuer l’antipoison

Je ne peux pas immobiliser ce rouleau-compresseur qu’est l’injection en masse, voulue par un accord gouvernemental et pharmaceutique, d’un produit médical dont les effets secondaires commencent à être aussi effrayants que documentés.

Mais je peux, je l’espère, réunir les moyens de vous aider à prévenir et traiter ces effets secondaires si, pour X raison, vous vous êtes fait vacciner ou connaissez quelqu’un qui en souffre.

Ces moyens, je ne les sors pas de mon chapeau : il s’agit de solutions appliquées par des thérapeutes intègres et courageux, qui sont aujourd’hui dans une situation de résistants face à une armée d’occupation : ils continuent à traiter leurs patients, coûte que coûte, et surtout en bravant les intimidations, les menaces.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet





France — 60 % des voitures à éliminer d’ici 6 mois et autres mesures d’étouffement économique du peuple

[Source et auteur : nicolasbonnal.com]

Passe de circulation. Vignette crit’air. Dans six mois 60% des voitures (trop vieilles ou pas assez électriques) vont être interdites sur le territoire. Puis 80%. Livraisons interdites et famine. C’est le passe vert mis en place dans leurs métropoles. Le parc auto finira à la poubelle. C’est sur Sud Radio, pas chez les paranos. Le Grand Reset est donc en place. Les COMPTES AU-DESSUS DE TROIS MILLE EUROS VONT AUSSI être interdits. Que va-t-il se passer ? Mort lente en série ou révoltes ? On verra. Le Français a donné toutes les garanties de soumission au système monstrueux d’extermination de masse qui se met en place là. Vive leur Europe en tout cas. BFM : « La plupart des grandes villes françaises vont devenir des ZFE (zones à faibles émissions) d’ici à 2024, avec des plans d’exclusion des véhicules les plus anciens de la circulation. » Tout est déjà voté : alors révoltez-vous ou dormez/crevez.

Nicolas Bonnal

Crit’Air | Ministère de la Transition écologique (ecologie.gouv.fr)

https://www.linternaute.com/auto/guide-pratique-auto/1313313-vignette-crit-air-les-crit-air-4-interdits-dans-le-Vignette Crit’Air : les Crit’air 4 interdits dans le Grand Paris, comment commander les vignettes ? (linternaute.com)

Vignette ou pastille Crit’Air (certificat qualité de l’air) | service-public.fr

En pleine crise économique, le Gouvernement calcule comment interdire la voiture à la moitié des Français (40millionsdautomobilistes.com)

Pourquoi des millions de voitures ne pourront bientôt plus rouler dans les grandes villes (bfmtv.com)

Interdit de respirer, de rouler, de se soigner, et de travailler…

Un lecteur



Le Portail du Grand Changement: Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien ! »

Ivan Rioufol : « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! »

Ivan Rioufol: « le Pass sanitaire ne protège rien… c’est une mesure d’allégeance à la politique sanitaire du gouvernement ! » (businessbourse.com)

Les individus non vaccinés contre le covid ne pourront plus quitter le Canada par voie aérienne – Egalite et Réconciliation (egaliteetreconciliation.fr)




Lettre ouverte aux politiques de tous bords, aux députés et sénateurs et candidats à la Présidence

Par N. et G. Delépine(([1] Sur telegram t.me/DrDelepine))

L’état actuel de notre système de soins, des libertés publiques, et en particulier les libertés de soigner et celle d’être soigné, doit investir les débats

Les médias mainstream et les politiques se comportent comme si l’après Covid était acquis et ne posait plus aucun problème.

Ils veulent nous persuader qu’un consensus, une fausse évidence de l’accord de tous pour l’injection génique existerait. Que le respect des libertés fondamentales de circuler, de se réunir, de travailler, la liberté vaccinale, le passe ne serait pas un sujet politique majeur ! De qui se moque-t-on ?

Peut-on à nouveau imaginer une présidentielle sans débat sur le système de soins, la liberté de soigner, comme en 2016, alors que les hôpitaux publics et privés se vident de leur personnel et qu’en conséquence des pans entiers de nos hôpitaux ferment jour après jour et que les déserts médicaux se multiplient ? Les Français en subissent déjà les dégâts avec la suppression continue de lits et la régression de la qualité des soins…

L’apartheid a été instauré aux pays des droits de l’homme ! Au moins vingt-cinq millions de Français se sentent discriminés, les « vaccinaux prudents »(([2] Ceux qui attendent la publication des résultats définitifs des essais en cours qui devraient être terminés en 2023)) mis au ban de la société, dont les 300 000 soignants suspendus ou qui risquent de l’être, et les pompiers, mais aussi au moins cinq millions à dix millions de « malgré nous », les personnes qui ont été contraintes à se faire injecter par extorsion de consentement par un chantage ignoble au droit de travailler, de prendre le train ou l’avion, d’aller au restaurants, au spectacle ou aux musées, de faire du sport en équipe ou en compétition.

Toutes ces personnes ne comprennent absolument pas que la perte de liberté et le pass sanitaire ne soient pas débattus entre candidats déclarés ou putatifs. Dans quel monde vivent-ils, ces politiques ?

D’autant que l’instauration d’un pass a été suivie dans la plupart des cas d’une augmentation importante des nouvelles contaminations quotidiennes comme en Tchéquie :

En Roumanie :

Ou en Autriche :

La vie des exclus est devenue une réclusion volontaire à domicile. Et beaucoup de ceux qui sont titulaires actuels d’un passe craignent de les rejoindre devant la perspective inacceptable d’être soumis à nouvelles injections de plus en plus dangereuses selon toutes les études sérieuses.

La proportionnalité des restrictions rapportées à l’objectif de sauvegarde de la santé publique qu’elles sont censées poursuivre, réclamée par le défenseur des droits, n’est pas respectée puisque d’après les données du réseau sentinelle, l’épidémie est terminée en France.

Ce pass et cette obligation vaccinale ouverte ou cachée via les extorsions de consentement sont inacceptables et d’ailleurs condamnés par le conseil de l’Europe, imposés y compris aux enfants (quand des pays proches comme la Grande-Bretagne ou le Danemark n’en ont pas).

Les violences continues faites aux enfants par le port du masque alors que le coronavirus a disparu sont inacceptables, d’autant que leur suppression dans des pays européens de plus en plus nombreux n’est nulle part suivie d’une reprise de l’épidémie.

Croire que les restrictions majeures injustifiées des libertés publiques et l’obligation de fait du pseudovaccin pour ceux qui veulent poursuivre leurs activités normales n’intéresseraient pas les candidats est un non-sens.

Nous dire que le candidat élu fera ce qu’il faut après l’élection relève de la croyance au Père Noël.

Aucun président ne pourra être élu, sans un positionnement très clair sur ce sujet qui perturbe la vie de tous les habitants. Faire semblant que tout va bien avec le pass et le vax relève de la méthode Coué bien connue des médias et de trop d’élus.

Chaque jour, une nouvelle lettre ouverte aux sénateurs, aux députés, au Président apparaît sur le net de personnes concernées ou de groupes, avec la demande aux citoyens de partager, d’écrire personnellement à nos élus et en particulier aux sénateurs qui doivent examiner le 13 octobre un projet d’obligation étendue chez les nourrissons avec un douzième vaccin qui n’est qu’une thérapie génique EXPÉRIMENTALE avec tous les risques que l’on commence à découvrir et à entrevoir.

Appel de détresse face au projet de vaccination universelle anticovid : lettre ouverte aux sénateurs — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le 22 sept

« Actuellement, en septembre 2021, malgré le spectre des variants, le réseau sentinelle dénombre en France, zéro cas pour 100 000 enfants et 9/100000 chez l’adulte, soit très en dessous des seuils d’alerte qui font habituellement prendre des mesures préventives (173/100000 pour la grippe).

Le vaccin ne permet pas l’immunité collective

Il est malheureusement démontré et reconnu par de multiples agences sanitaires nationales et par l’OMS que les vaccins anticovid actuels ne permettent pas d’obtenir l’immunité collective recherchée par une vaccination universelle. Même le Pr Fischer, son avocat n’y croit plus. Les pays hautement vaccinés font face à une mortalité élevée dans les suites immédiates des campagnes de vaccination ; (…) ».

Il faut cesser l’injection génique : appel de survivants de l’Holocauste à la CPI — Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) le premier octobre

https://nouveau-monde.ca/appel-au-rassemblement le 5 octobre 2021 avec des modèles de lettres à envoyer aux élus, et voir https://www.comitedesalutpublic.fr/

La commission des lois du Sénat : premier espoir

a rejeté l’amendement qui voulait rendre obligatoire l’injection génique expérimentale, ce qui est réconfortant et justifie la poursuite d’informations venant de multiples sources à nos sénateurs.

[Info Public Sénat] Vaccination obligatoire contre le covid-19 : le texte rejeté en commission au Sénat | Public Senat

Et ce jour, nous partageons un nouvel appel à cesser ces injections mortifères écrit par un professeur des universités, chirurgien, résumant l’avis de très nombreux confrères qui le félicitent largement.

Le Professeur Jean Gabriel Balique, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie(([3] jgbalique@gmail.com))

À propos du projet d’obligation vaccinale. Lettre ouverte Le 2 octobre 2021 Mesdames les Sénatrices, Messieurs les Sénateurs, Mesdames les Députées, Messieurs les Députés,

« Au moment où vous allez discuter de l’obligation vaccinale, il est de mon devoir en tant que médecin, père et grand-père, de vous alerter sur la catastrophe sanitaire qui se déroule sous nos yeux, à l’ombre des autorités de tutelle.

Je précise d’emblée que je ne suis ni complotiste ni anti-vaccin (je me fais régulièrement vacciner contre la grippe et je n’ai pas des a priori envers les vaccins “classiques” rendus obligatoires dans notre pays).

Le vaccin contre la Covid 19, en novembre 2020, devait nous sauver et nous ramener à une vie normale. Maintenant que nous avons du recul, il devient plus “facile” de faire le bilan du bénéfice-risque de la stratégie vaccinale.

La première constatation qui s’impose est que le “vaccin” ne protège pas et n’empêche pas de contaminer (cf. déclaration du Ministre de la Santé Olivier Véran devant le Conseil d’État au mois d’avril 2021). »

COMMENTONS CE PASSAGE

L’exemple d’Israël que nos autorités ont pris comme modèle montre qu’une couverture vaccinale record et des restrictions sévères ne préviennent pas une récidive de l’épidémie avec une intensité accrue avec des hospitalisations en hausse et des réanimations débordées de personnes vaccinées ! On ne cite plus Israël actuellement ! Une étude parue dans European Journal of Epidemiology le 30 septembre 2021 confirme que les pays où le pourcentage de population vaccinée est le plus élevé, ont un nombre de cas de Covid-19 pour 1 million d’habitants plus élevé (exemple Israël, Portugal, Islande…).

Suite de la lettre ouverte du Pr Balique

« Nous n’avons jamais vu en médecine imposer un traitement ou une vaccination qui ne marche pas (sauf pour les personnes à risque où la balance bénéfice/risque est différente). Ceci ne serait pas dramatique si cette stratégie n’était pas à l’origine de complications graves, mortelles, inadmissibles et éthiquement insupportables pour tout médecin qui, tous les jours, se bat, pour soulager et soigner des patients.

Les médecins “du terrain” croient encore au serment d’Hippocrate qui a été leur guide depuis des siècles et que les politiques les obligent à bafouer.

Les principes fondamentaux du serment, dont “primum non nocere” (avant tout ne pas nuire), le secret médical, le consentement libre et éclairé… ont été écartés d’un revers de main par décret. Comme vous le savez, ce vaccin est en cours de phase d’expérimentation, phase 3 de mise au point d’un médicament. Maintenant que cette phase, déclenchée au niveau mondial, a du recul, les médecins du terrain voient apparaître de nombreuses complications.

Au 2 octobre 2021, l’agence européenne du médicament, l’EMA, recensait 26 523 décès liés formellement au vaccin et 2 millions de complications dont 1 million graves.

Ces chiffres ne représentent qu’une partie des cas observés. En France, l’Agence nationale du médicament (ANSM) dans son rapport du 16 septembre 2021 rapporte 22 559 cas graves parmi lesquels des décès. De nombreux cas ne sont pas rapportés pour différentes raisons.

En France, l’expérience du terrain rapportée par les médecins de ville et hospitaliers montre clairement l’accroissement des complications survenant dans les semaines suivant la vaccination : de nombreux cas de paralysie faciale, de myocardite et péricardite dans les suites précoces de la vaccination, des complications cardio-vasculaires (Infarctus, AVC) chez des sujets relativement jeunes et pas forcément à risque cardio-vasculaire, de nombreux cas de thrombose veineuse et d’embolie pulmonaire.

Les médecins signalent une élévation fréquente des marqueurs de thrombose (D-Dimères) parfois à des taux anormalement élevés, une fatigue et altération de l’état général accélérée chez les patients âgés, des cancers jusque-là contrôlés, explosent après vaccination, des maladies auto-immunes comme des polyarthrites, des thyroïdites se dérèglent dans les semaines qui suivent la vaccination.

L’ANSM indique comme “signaux confirmés” la myocardite et la péricardite de survenue précoce après la vaccination avec les vaccins Comirnaty (Pfizer/BioNTech) et Moderna sans donner le nombre exact de malades et en minimisant la pathologie alors que les complications et les séquelles à long terme peuvent être graves.

Depuis le début de la vaccination des 12-18 ans, 206 cas d’effets indésirables graves (dont des décès) ont été rapportés avec le vaccin Comirnaty et 18 cas graves avec Moderna alors que nous sommes à peine à 3 mois et demi de vaccination dans ce groupe d’âge.

Il s’agit de jeunes qui n’étaient pas à risque de forme grave ni de décès du Covid, mais qui vont garder probablement à vie des séquelles de la vaccination.

Ces derniers jours, deux adolescentes sans facteurs de risques viennent de décéder et un jeune a été amputé d’une jambe, 15 jours après le vaccin. N’est-ce pas un sacrifice que la société fait et quel est le prix à payer ? À partir de combien de décès d’adolescents diriez-vous STOP à la vaccination des jeunes qui n’ont rien à gagner, car ils sont à risque infime de forme grave et de décès du Covid ?

Chez les femmes, des troubles des règles, des fausses couches ou des morts du fœtus in utero au cours des grossesses sont observés.

Comment se fait-il que la Direction Générale de la Santé autorise la vaccination dès le premier trimestre de la grossesse alors que les données sur la sécurité du vaccin chez les femmes enceintes sont très limitées et incomplètes ? Où est le principe de précaution ? Toutes ces complications surviennent précocement après la vaccination chez des personnes sans antécédent ayant une vie normale.

Elles surviennent aussi chez des sportifs qui ont dû arrêter leur activité après avoir été vaccinés, hypothéquant leur carrière : Jérémy Chardy et Christophe Lemaitre en sont les exemples les plus célèbres…

Parallèlement dans la même population de personnes jeunes sans co-morbidité, non vaccinées il n’y a aucun décès du Covid, seules sont exposées les personnes à risque, c’est pour cette population-là que le “vaccin” peut avoir une certaine protection.… /… Malheureusement ces complications sont passées sous silence, elles ne remontent pas aux tutelles ou celles-ci ne veulent pas les voir.

Ce drame humain sanitaire ne va faire qu’empirer avec la persistance de cette vaccination et la multiplication probable des doses. La mise au point d’un essai de vaccin anti H1N1 a été arrêté pour beaucoup moins de complications. Aucun des vaccins obligatoires n’a entraîné de telles complications. Actuellement les médecins voient plus de patients en consultations pour des complications du vaccin que du Covid lui-même. La balance bénéfice/risque n’est pas en faveur du “vaccin” dans cette population. Pourquoi voulez-vous encore rendre obligatoire un “remède” plus dangereux que la maladie chez les personnes sans risques !

Il est urgent d’en tirer les conséquences, au moment où l’immunité naturelle se développe, où le variant Delta s’avère beaucoup moins agressif et que l’épidémie décroît. Ne recommencez pas le syndrome de Tchernobyl où l’on nous a affirmé que le nuage nucléaire radio-actif s’était arrêté à la frontière. N’oubliez pas le scandale du Sang contaminé. À ce sujet, savez-vous que l’Établissement français du sang exige un délai de 28 jours après vaccination avec vaccin atténué (Rougeole, Rubéole, Oreillons, Fièvre jaune…), mais ne prend aucune précaution quant aux donneurs de sang récemment vaccinés avec ces nouveaux vaccins dont on connaît incomplètement la biodistribution dans le corps.

N’est-ce pas encore une fois une ignorance du principe de précaution et un potentiel scandale à venir ? Même si vous n’êtes pas médecin, regardez autour de vous ce qui se passe, recherchez l’information.

Vous avez le droit de vous informer, car vous êtes nos représentants. La vérité commence à éclater. Déjà le vaccin Astra Zeneca a été interdit chez les moins de 55 ans à la suite de thromboses (c’est dire l’innocuité de ces vaccins !) puis récemment le Janssen et progressivement on voit des États remettre en cause la pseudo vaccination généralisée :

Au Royaume-Uni, la vaccination est interdite aux moins de 15 ans et ils viennent de renoncer à la pseudo vaccination obligatoire
Au Texas l’injection anticovid des jeunes est interdite.
Au Danemark, seules sont vaccinées les personnes à risques et il y a une liberté totale retrouvée sans pass sanitaire.
En Afrique, on observe une mortalité 10 fois inférieure à la nôtre alors qu’il n’y a que 2 % de vaccinés (on leur annonçait une catastrophe sanitaire !)

Tous ces soignants, médecins, infirmières, aides-soignants, mais aussi pompiers qui sont montrés du doigt ne sont pas des anti-vaccins, mais des vaccinaux prudents redoutent les effets de pseudo vaccins(([4] Ce ne sont pas des vaccins selon Pasteur, car ils ne contiennent aucun antigène)) encore en expérimentation dont ils voient dans leur pratique directement les effets néfastes.

Ces soignants “du terrain” voient de vrais malades, contrairement aux médecins des plateaux télé qui extrapolent à partir de chiffres issus de simulations mathématiques dont la plupart se sont avérées erronées. Dans cette crise il ne doit pas y avoir de couleur politique, mais un consensus pour défendre la santé des Français qui vous ont élus.

Au nom de toutes les victimes, au nom de tous ces soignants muselés qui ne peuvent pas s’exprimer sous peine de sanctions, du jamais vu dans un pays soi-disant de liberté, je vous demande de regarder au-delà des chiffres officiels totalement manipulés par les médias et de refuser la vaccination obligatoire, à plus forte raison pour les enfants dont on met en danger l’avenir.…/…

FAITES AU MINIMUM UN MORATOIRE, au cours duquel vous pourrez entendre l’avis de nombreux médecins, scientifiques et autres qui essayent de se faire entendre, mais qui sont systématiquement boycottés quand leur avis va à l’encontre de la politique sanitaire gouvernementale.

Il faut aussi ré-évaluer la fiabilité des tests utilisés, discuter des traitements actuellement proposés.

Supprimer le passe sanitaire et faites arrêter la propagande honteuse et mensongère sur la vaccination : “tous vaccinés = tous protégés” slogan complètement faux, on le sait maintenant !

Levez les sanctions de tous les soignants non vaccinés interdits d’exercer alors qu’ils sont passionnés par leur vocation et qui ne sont pas devenus plus dangereux le 15 septembre que le 15 juin ».

Certains hôpitaux malgré l’interdit continuent à juste titre d’employer des personnels non vaccinés pour pouvoir maintenir leur activité sans aucune conséquence sanitaire, mais en créant une inégalité criante par rapport à ceux qui ne peuvent pas travailler. Rappelez-vous que vous les avez encensés lors de la première vague et qu’un certain nombre d’entre eux sont morts pendant cette vague faute de masques et de moyens de protection.

LA STRATÉGIE IMPOSÉE EST DÉCONNECTÉE DE LA RÉALITÉ :

c’est une pandémie qui s’accompagne d’une mortalité de 0,05 %, représentée par les personnes à risque, la moyenne d’âge des décès est de 83 ans, un peu moins actuellement, car les personnes les plus fragiles sont décédées lors de la première vague. Que l’on propose une vaccination est logique à condition d’avoir un vrai vaccin ce qui n’est pas encore le cas et en respectant la volonté de chacun (il ne s’agit pas d’Ebola, d’une méningite ou de la variole…).

En attendant, en cas de maladie, il est possible de proposer, à un stade précoce, des traitements. De nombreux médecins les ont prescrits avec succès. Ils peuvent même être proposés à titre préventif chez les personnes à risque. Ces personnes sont connues et peuvent donc être protégées isolément (notamment par ce « vaccin » dont c’est la seule indication) sans pénaliser le reste de la population.

Sachez que vous aurez été informé et que le moment venu, lorsque la vérité éclatera, car elle éclatera tôt ou tard compte tenu de l’accumulation des données scientifiques et des données du terrain sur les complications, votre responsabilité risque d’être engagée.

En espérant être entendu au nom des victimes du vaccin et des soignants qui refusent cette expérimentation et en restant à votre disposition, je vous prie de croire, Messieurs et Mesdames les élus (es), en mes respectueuses salutations.

Professeur Jean Gabriel BALIQUE, Membre de l’Académie Nationale de Chirurgie »

Merci Mr Le Professeur pour cette belle lettre qui résume bien ce que nous, médecins fidèles au serment d’Hippocrate ressentons. Espérons que vous serez entendu…

Des professeurs de droit conseillent de rappeler aux élus l’expérience de Papon :

« Je vous recommande de diffuser largement cette mise en garde solennelle d’un professeur de médecine et de préciser à vos éventuels destinataires parlementaires que si les choses devaient se gâter sérieusement, nous serions dans le cadre de poursuites pour “crime contre l’humanité”. En ce domaine il n’y a ni prescription, ni immunité parlementaire ou autre. 

Papon l’a appris à ses dépens sur le tard, et pourtant il avait des circonstances atténuantes, car la France était occupée par une puissance totalitaire, ce qui n’est pas le cas en ce moment… »

En résumé et comme le conseille également Éric Verhaeghe

Continuer à écrire en masse aux sénateurs (contre la loi d’obligation vaccinale) et aux députés (contre la prolongation de l’état d’urgence et du pass sanitaire, et contre toutes les mesures « sanitaires »).

Il y a actuellement 4 cas de covid pour 100 000 habitants, bulletin du Réseau de surveillance Sentinelles du 29/9/2021, et ce taux est très bas depuis novembre 2020, le seuil épidémique étant de 173 cas / 100 000 h.

Toutes leurs adresses sont sur www.voxpublic.org, rubrique « Annuaires partagés ».

« Attention, danger ! Le texte rejeté reviendra.

Le Courrier des Stratèges suit ce dossier depuis plusieurs mois. Le 1er juillet, nous vous avions averti du rôle joué par Bernard Jomier, qui sert de poisson-pilote à Emmanuel Macron et Olivier Véran. Plus récemment, nous vous avons montré combien une réélection d’Emmanuel Macron rendrait quasi-certaine une vaccination obligatoire contre le Covid. 

Ce qui doit inquiéter le plus, c’est le type d’argumentation développée, purement planiste, quantitative et volontariste sans aucun rapport avec le réel d’une palette de vaccins à dispositions encore peu efficaces et comportant des effets secondaires beaucoup plus nombreux que pour d’autres vaccins. Comme l’a dit Éric Verhaeghe dans ces colonnes, la vaccination obligatoire est “fâchée avec le principe de précaution‘.  C’est pourtant le moment de se rappeler la formule de Chesterton sur la folie — ici idéologique — qui consiste à ‘avoir tout perdu sauf la raison’. Le texte reviendra, parce qu’ainsi le veut la raison technocratique. Le jour même où la proposition de texte est rejetée, la Haute Autorité de Santé recommande une troisième dose de vaccin Pfizer pour les soignants soumis depuis seulement le début août à la vaccination obligatoire. Et l’expérience des assemblées conduit à redouter un passage à l’usure ou par surprise, lors d’une discussion parlementaire en petits effectifs. Il va falloir rester très vigilants. »(([5] Le rejet du texte du PS pour la vaccination obligatoire ne signifie pas que le danger soit écarté —Le Courrier des Stratèges (lecourrierdesstrateges.fr) ))

L’heure est grave et personne ne doit se croire dispenser de se battre pour la liberté de soigner, pour le libre choix thérapeutique et en particulier pour la liberté vaccinale.

Aucun politique ne pourra être choisi par le peuple s’il ne défend pas le peuple et aujourd’hui s’il ne bat pas pour le libérer MAINTENANT de l’état d’urgence pseudo- sanitaire complètement injustifiable, des masques et des injections mortifères. REGAGNONS NOS LIBERTÉS AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD COMME L’EXPLIQUENT LES SURVIVANTS DES CAMPS.





Retour sur le débat Onfray-Zemmour/Ferrari

Par Lucien SA Oulahbib


Maintenant que Zemmour est en passe, selon un sondage, d’aller au second tour de la Présidentielle française, il est sûr que tous ses propos comptent de plus en plus, y compris hors de ce débat, par exemple aussi chez Ferrari sur Europe lorsque Zemmour est très clair sur les manips biologistes criminelles en effet des LGBTQ+++ (anti-homosexuel en réalité), la PMA sans père (handicapant l’enfant), etc.

Par contre, s’agissant d’autres thèmes développés dans le dialogue avec Onfray, plusieurs choses coincent, comme l’affaire des prénoms. Zemmour pourrait au moins préciser que le retour à la loi sur ceux-ci n’impliquerait pas un changement immédiat, y compris pour les personnes en ayant déjà un d’origine non occidentale, car cela inquiète inutilement et empêche que des personnes issues de l’immigration et faisant le même constat que lui se rallient. Tout en admettant cependant, mais sur la base du volontariat, que ces mêmes personnes en prennent tout de même un en second ou troisième prénom, certains qui seraient prêts à voter Zemmour s’abstiendraient au second tour sur cette question qui est aussi intime, ne serait-ce que cette « maman » de Sedan, « Nadia » (prénom slave signifiant « espérance »), qui intervenait à l’encontre de Clémentine Autain. Et il est dommage que Zemmour n’ait pas relevé ce point de taille, ni le fait que le monsieur Loyal l’ait présenté comme « musulmane », comme si étant originaire d’Afrique du Nord on l’était quasi génétiquement… Or chaque « détail » compte…

Ce qui coince aussi c’est de rester toujours sur cette ligne défensive exemptant Vichy de sa politique antijuive à la « française », du genre on les vire comme au Moyen-âge des affaires publiques, mais on ne les tue pas à la façon germanique made in Hitler ; d’où le fait d’ailleurs que les maurrassiens étaient à Londres tandis que les staliniens fuyaient à Moscou, comme Thorez (Breton à NY). Ce qu’oublie aussi Zemmour et a fortiori Onfray qui dans un anti-américanisme primaire forcené en vient à nier la demande même de Staline, à savoir créer un second front à l’Ouest pour soulager le front russe !

Et on marche d’autant plus sur la tête que sans le soutien indéfectible de Roosevelt à Staline (qui avait décapité son armée à plusieurs reprises, les tyrans ayant toujours peur d’être renversés) celui-ci se serait effondré militairement en 43. Et c’est Roosevelt qui a empêché Patton de prendre à revers les nazis par l’Italie (il avait le soutien de Churchill) afin d’empêcher que l’armée léniniste vienne à s’emparer des pays d’Europe centrale. Ne racontons donc pas de salades, please !!! Suivant ici un de Gaulle fallacieux qui certes refusait de donner sa place à Giraud, mais ne comprenait pas qu’il n’avait pas la main, il se vengea ensuite en 58 en donnant ladite « Algérie » au complexe arabo-anglo-saxon (alliance subjective des USA avec les Saoud et quelque peu objective avec les nassériens et les baasistes passés cependant sous le joug soviétique). Alors que lesdits « musulmans » de l’époque en « Algérie », et bien avant (en 45-47 par exemple), étaient pour une « Algérie plurielle réelle », à l’encontre des ségrégationnistes post-vichystes dominants chez les colons et qui avaient bourrés les urnes du second collège en 47 pour empêcher que les autochtones francophones puissent peser, ce qui aurait permis qu’ils aient plus de poids contre les coranistes du MNA de Hadj (le préféré de l’orientaliste Benjamin Stora) et les nassériens du FLN comme on l’a vu d’ailleurs en 58.

Si l’on veut faire de l’histoire en la matière, lisez d’abord mon livre Le monde arabe existe-t-il, histoire paradoxale des Berbères, autrement nous ne sommes pas au même niveau…

Idem quant au débat sur l’islam. On hallucine à entendre Onfray mettre en équivalence la violence coranique et celle de Jésus chassant les marchands du Temple, alors que jusqu’à preuve du contraire il ne les a pas tués ! Ce qu’aurait fait immanquablement Mahomet lorsqu’il extermina de sa main les vaincus juifs d’au moins deux tribus… Notons cependant qu’Onfray admet donc l’existence réelle de Jésus, ce qu’il s’évertue à nier pour des raisons « athéologiques » qui le rapprochent par un certain biais des néoléninistes comme Bataille, père spirituel des déconstructionnistes actuels… D’où son extrême fragilité théorique, même si sur le transhumanisme il peut dire des choses non quelconques, invalidées cependant par son soutien indéfectible à l’actuelle stratégie scientiste hygiéniste actuelle de la Secte affairiste globaliste et lgbtiste au pouvoir.

Il est d’ailleurs décevant que tous deux en fait n’aient rien dit sur cette quasi-dictature sectaire qui risque de faire gagner Macron au second tour tant il joue sur les peurs et veut apparaître comme celui qui a sauvé la vie de millions de français, ce qui est le contraire bien entendu, car cette volonté d’empêcher les médecins de prescrire en particulier des traitements précoces en a tué des dizaines de milliers comme le dit Perronne et d’autres, qui sont, eux, des spécialistes, compétents, en la matière.

Enfin, si en effet cette causerie a été de bon aloi, il n’en reste pas moins que nous sommes encore dans l’immobilisme des tranchées (façon les Sentiers de la gloire ?), une stratégie de la défensive dans laquelle il n’y a rien à gagner alors qu’il s’agit d’être offensif dans tous les domaines. De l’audace, toujours de l’audace disait Patton, reprenant le mot de Danton à Valmy (Danton qui en effet s’est laissé tuer par plus « méchant » que lui, un moment très intéressant de ce débat), mais gageons que les jours, semaines et mois à venir vont venir décanter les choses tant une dynamique incontestable visant au renouveau français vient de s’installer fermement dans le paysage politique national européen et mondial autour de cette candidature zemmourienne (et non zemmouriste, espérons-le) au sens d’ouvrir enfin les vraies questions au sein d’un vrai Débat (Polemos) et non pas seulement des causeries au coin du feu (même sacré…).




Le chef de l’OTAN souhaite «éviter le déclenchement d’une nouvelle guerre froide» avec la Russie

[Source : RT en français]

[Photo : © Kenzo Tribouillard Source: Reuters]

[NDLR : Stoltenberg craindrait-il en réalité une nouvelle « guerre chaude » ? Entre un patron sénile et un ennemi menaçant, en fait l’OTAN ne sait plus à quel saint se vouer. Mais le plus intéressant ici, c’est ce qui apparaît en filigrane dans cet article : la crainte d’une dissolution de l’OTAN dans une armée européenne au cas où les choses tourneraient au vinaigre pour les US dans un conflit armé avec les Russes et les Chinois. D’où le rappel que 80 % des dépenses de l’OTAN sont assurées par des pays non membres de l’UE et que toute tentative de créer une structure alternative affaiblirait l’OTAN. Aujourd’hui, il existe quatre corps de défense principale multinationaux dans la région Centre de l’OTAN : un corps germano-danois, un corps germano-néerlandais et deux corps germano-américains. La seule chose que Stoltenberg a donc à proposer aujourd’hui aux 27 est de rester unis. En fait, on voit bien à qui il s’adresse d’abord, au moment où les Allemands sont en train de former un nouveau gouvernement… L’OTAN s’accroche donc désespérément au Titanic américain malgré le risque d’être emporté avec lui dans son naufrage. Au train où vont les choses, tout cela peut-il déboucher sur autre chose que sur le chaos ?]

Le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, a déclaré souhaiter que l’alliance transatlantique «maintienne le contact» avec la Russie. Dans le même temps, il s’est montré critique des pays désireux de renforcer la défense européenne.

Selon l’agence de presse russe RIA Novosti, le secrétaire général de l’alliance transatlantique, a déclaré lors d’une session de questions-réponses organisée le 5 octobre par l’Université de Georgetown à Washington que «les pays de l’OTAN doivent maintenir le contact avec la Russie pour éviter le déclenchement d’une nouvelle guerre froide ou d’une course aux armements».

Il a également affirmé que les relations entre l’OTAN et la Russie sont aujourd’hui «à leur plus bas niveau depuis la guerre froide». Pour Jens Stoltenberg, la politique russe de l’alliance transatlantique consistera à l’avenir en une combinaison de «dissuasion et de dialogue».

Jens Stoltenberg ne croit pas à l’idée d’une armée européenne

Durant la même rencontre, le secrétaire général de l’OTAN s’est montré critique vis-à-vis des pays désireux de renforcer la défense européenne, soulignant que créer des structures «concurrentes» de l’OTAN risquait d’affaiblir et de diviser l’alliance transatlantique. Selon l’AFP, Jens Stoltenberg a déclaré qu’il ne croyait pas «aux efforts pour créer quelque chose en dehors du cadre de l’OTAN, ou pour concurrencer ou dupliquer l’OTAN».

Alors que les 27 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne se réunissaient le 5 octobre à Ljubljana en Slovénie, Jens Stoltenberg a souhaité souligner que 80% des dépenses de défense de l’OTAN étaient assurées par des pays non membres de l’UE. «C’est bien sûr les Etats-Unis, mais c’est aussi d’autres alliés», a-t-il noté.

Pour le secrétaire général de l’OTAN, «toute tentative d’affaiblir le lien transatlantique en créant des structures alternatives […] va non seulement affaiblir l’OTAN, mais va aussi diviser l’Europe».

Concernant les conséquences de l’accord AUKUS entre les Etats-Unis, l’Australie et le Royaume-Uni, Jens Stoltenberg a déclaré «comprendre que la France soit déçue» par la rupture par Canberra d’un mégacontrat d’achat de sous-marins français. Il a cependant souhaité que «les alliés de l’OTAN s’accordent sur notre objectif global qui est que nous devons rester unis».

Jens Stoltenberg termine une visite de deux jours à Washington. Il s’est entretenu le 4 octobre avec le président Joe Biden à la Maison-Blanche. La conversation portait sur les mesures visant à «renforcer» l’alliance transatlantique ainsi que la préparation du prochain sommet de l’OTAN qui se tiendra à Madrid l’année prochaine.




« Je n’en peux plus »

[Source en allemand : multipolar-magazin.de]

Dans une lettre ouverte, un collaborateur d’ARD critique un an et demi de reportages sur la Covid-19. Ole Skambraks travaille depuis 12 ans comme collaborateur éditorial et rédacteur en chef de la radio publique.


Par OLE SKAMBRAKS

Je ne peux plus me taire. Je ne peux plus accepter sans mot dire ce qui se passe depuis maintenant un an et demi chez mon employeur, la radiodiffusion de service public. Les statuts et les traités d’État sur les médias consacrent des éléments tels que « l’équilibre », la « cohésion sociale » et la « diversité » dans la couverture médiatique. C’est tout le contraire qui se pratique. Il n’y a pas de véritable discours et d’échange dans lequel toutes les composantes de la société se retrouvent.

Dès le début, j’ai estimé que la radiodiffusion de service public devait remplir précisément cet espace : promouvoir le dialogue entre les partisans de l’action et les critiques, entre les personnes qui ont peur du virus et les personnes qui ont peur de perdre leurs droits fondamentaux, entre les partisans de la vaccination et les sceptiques de la vaccination. Mais depuis un an et demi, l’espace de discussion s’est considérablement rétréci.

Les scientifiques et les experts respectés avant la Covid-19, qui ont reçu un espace dans le discours public, sont soudainement des cinglés, des porteurs de chapeaux d’aluminium ou des covidiots. L’exemple cité est celui de Wolfgang Wodarg. Il est médecin spécialiste, épidémiologiste et politicien de longue date en santé. Jusqu’à la crise Covid, il a également siégé au conseil d’administration de Transparency International. En 2010, en tant que président de la commission de la santé publique du Conseil de l’Europe, il a mis au jour l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la pandémie de grippe porcine. À l’époque, il pouvait exprimer personnellement son opinion à la radio publique, et ce n’est plus possible depuis la Covid-19. Il a été remplacé par ce que l’on appelle des vérificateurs de faits [ou « fact checkers » en anglais] qui le discréditent.

Un consensus paralysant

Au lieu d’un échange de vues ouvert, un « consensus scientifique » a été proclamé, qu’il convient de défendre. Ceux qui en doutent et réclament une perspective multidimensionnelle sur la pandémie récoltent l’indignation et l’hésitation.

Ce schéma fonctionne aussi au sein des rédactions. Depuis un an et demi, je ne travaille plus dans les actualités quotidiennes, ce dont je suis très heureux. Dans ma position actuelle, je ne participe pas aux décisions sur les questions qui seront traitées ni sur la manière dont elles le seront. Je décris ici ma perception des conférences de rédaction et d’une analyse de la couverture médiatique. Pendant longtemps, je n’ai pas osé sortir du rôle d’observateur, le prétendu consensus semblait trop absolu et à l’unisson.

Depuis quelques mois, je m’aventure sur la glace [au risque de glisser] et j’apporte ici et là une remarque critique lors de conférences. Il est souvent suivi d’un silence affecté, parfois d’un « merci pour l’indication » et parfois d’une leçon sur les raisons pour lesquelles ce n’est pas vrai. Cela n’a jamais donné lieu à des reportages.

Le résultat d’un an et demi de Covid-19 est une division de la société sans équivalent [dans l’Histoire]. La radiodiffusion de service public y a largement contribué. Elle assume de moins en moins sa responsabilité de construire des ponts entre les camps et de promouvoir les échanges.

On avance souvent l’argument selon lequel les critiques constituent une petite minorité qui n’a pas besoin d’être concertée, à qui il ne faut pas accorder trop de place pour des raisons de proportion. Cela devrait être réfuté au plus tard depuis le référendum en Suisse sur les mesures sanitaires. Bien qu’il n’y ait pas non plus d’échanges de vues libres dans les médias, le vote n’y a été que de 60 pour le gouvernement contre 40.(([1] L’exception était la couverture du référendum, pendant laquelle la télévision suisse était tenue de donner aux deux parties la même place de diffusion (vidéo ici) )) Peut-on parler d’une petite minorité à 40 % des suffrages exprimés ? Il convient de mentionner que le gouvernement suisse avait lié l’aide Covid au vote, ce qui a pu influencer la décision de certains de cocher le « oui » [en faveur du gouvernement].

Les développements de cette crise se déroulent à tant de niveaux, avec des répercussions sur toutes les composantes de la société, qu’en ce moment même, il faut non pas moins d’espace de débat, mais plus de liberté de débat.

Ceci n’est pas révélateur de tout ce qui est discuté à la radio publique, mais de ce qui n’est pas évoqué. Les raisons en sont multiples et nécessitent une analyse interne honnête. Les publications du chercheur en médias et ancien conseiller de la radio MDR Uwe Krüger peuvent y contribuer, comme par exemple son livre « Grand public — Pourquoi nous ne faisons plus confiance aux médias ».

Quoi qu’il en soit, il faut beaucoup de courage pour nager à contre-courant lors de conférences où des sujets sont débattus et discutés. Souvent, c’est celui qui est le plus éloquent qui peut présenter ses arguments, qui les imposent, et en cas de doute, c’est bien sûr la direction de la rédaction qui décide. Très tôt, l’équation a été que la critique des mesures sanitaires appartient au spectre de droite. Quel rédacteur en chef ose encore formuler une pensée contraire ?

Questions en suspens

Ainsi, la liste des incohérences et des questions en suspens qui n’ont pas reçu de rapports substantiels est très large :

  • Pourquoi en savons-nous si peu dans la recherche de « gain de fonction » sur la façon de rendre les virus plus dangereux pour l’homme ?
  • Pourquoi la nouvelle loi sur la protection contre les infections stipule-t-elle que le droit fondamental à l’intégrité physique et l’inviolabilité du logement peuvent désormais être restreints, indépendamment d’une situation épidémique ?
  • Pourquoi les personnes qui avaient déjà eu la Covid-19 doivent-elles se faire vacciner alors qu’elles sont au moins aussi bien protégées que les personnes vaccinées ?
  • Pourquoi ne parle-t-on pas de l’événement 201 et des exercices pandémiques mondiaux avant la propagation du SRAS-CoV-2 ou seulement en liaison avec des mythes conspirationnistes ?(([2] Les autres exercices d’urgence pandémique étaient « Clade X » (2018), « Atlantic Storm » (2005), « Global Mercury » (2003) et « Dark Winter » (2001). Ces exercices ont toujours porté sur la gestion de l’information.))
  • Pourquoi le document interne du ministère fédéral de l’Intérieur, connu des médias, n’a-t-il pas été publié dans son intégralité — et a-t-il été discuté par l’opinion publique ? — alors qu’il demandait que les autorités aient un « effet de choc » pour mettre en évidence les effets de la pandémie Covid sur la société humaine ?
  • Pourquoi l’étude du Professeur Ioannidis sur le taux de survie (99,41 % chez les moins de 70 ans) n’arrive-t-elle pas à faire les gros titres, alors que les projections fatalement fausses de l’Imperial College l’ont déjà fait (Neil Fergusson a prédit un demi-million de morts de la Covid-19 au Royaume-Uni au printemps 2020 et plus de 2 millions aux États-Unis) ?
  • Pourquoi un rapport d’expertise a-t-il été établi pour le ministère fédéral de la Santé que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients de Covid-19 n’était que de 2 % en 2020 ?
  • Pourquoi Brême a-t-elle de loin l’incidence la plus élevée (113 le 4/10/2021) et de loin le taux de vaccination le plus élevé en Allemagne (79 %) ?
  • Pourquoi des paiements de 4 millions d’euros ont-ils été versés sur un compte familial de la commissaire européenne chargée de la santé, Stella Kyriakides, responsable de la conclusion des premiers contrats européens de vaccins avec les groupes pharmaceutiques ?(([3] Panorama a fait état des paiements, mais le rôle des Kyriakides dans les contrats de vaccin anti-Covid n’a pas été clairement indiqué. Pour le reste, le sujet n’a pas eu beaucoup d’importance dans les médias.))
  • Pourquoi les personnes ayant de graves effets vaccinaux ne sont-elles pas dépeintes dans la même mesure qu’en 2020 les personnes atteintes de Covid-19 l’étaient ?(([4] Par exemple, la radio publique n’a guère parlé du musicien britannique Eric Clapton, qui a développé de vives réactions après la vaccination et qui les regrette aujourd’hui.))
  • Pourquoi personne ne s’inquiète-t-il de l’impropre comptage des « cas » de contamination ?(([5] Selon l’ICR, il y a un « cas » si un vacciné présente à la fois un test positif et des symptômes — pour les personnes non vaccinées, un test positif suffit. De cette manière, les personnes non vaccinées sont statistiquement plus importantes.))
  • Pourquoi les Pays-Bas signalent-ils beaucoup plus d’effets indésirables des vaccins Covid-19 que les autres pays ?
  • Pourquoi la description de l’efficacité des vaccins Covid-19 du côté de l’Institut Paul Ehrlich a-t-elle changé trois fois au cours des dernières semaines ? « Les vaccins Covid-19 protègent contre les infections par le virus SRAS-CoV-2. » (15 août 2021) « Les vaccins Covid-19 protègent contre toute infection grave par le virus SRAS-CoV-2 » (7. « Les vaccins Covid-19 sont indiqués pour l’immunisation active pour la prévention de la maladie de Covid-19 causée par le virus SRAS-CoV-2 » (27 septembre 2021)(([6] sous la rubrique « Liste des vaccins autorisés » ; éditions de sites web précédents de PEI accessibles via les archives Internet Wayback Machine (ici, ici, et ici).))

Je voudrais aborder quelques points en détail.

« Gain de fonction » et « Fuite de laboratoire »

En ce qui concerne la recherche sur le gain de fonction — c’est la recherche pour rendre les virus plus dangereux, ce qui a été pratiqué à l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, et financé par les États-Unis — je n’ai rien entendu ni lu de substantiel à ce jour. Cette recherche a lieu dans ce que l’on appelle les laboratoires P4, où l’on travaille depuis des décennies à la manière dont les virus présents dans le règne animal peuvent être modifiés pour devenir dangereux pour l’homme. Jusqu’à présent, ARD et ZDF ont fait un grand pas en avant sur cette question, alors qu’il faut clairement discuter de cette question. Une première question à débattre pourrait être, par exemple, la suivante : voulons-nous, en tant que société, une telle recherche ?

La théorie de la fuite du laboratoire — c’est-à-dire l’hypothèse que le SRAS-CoV-2 est issu d’un laboratoire — a fait l’objet de nombreux rapports. Il convient de mentionner que cette question a été immédiatement qualifiée de mythe conspirationniste l’année dernière. Les médias alternatifs qui ont suivi cette piste ont été bannis des réseaux sociaux tels que YouTube et Twitter et les informations ont été supprimées. Les scientifiques qui ont exprimé cette thèse ont été massivement attaqués. Aujourd’hui, la théorie de la « fuite du laboratoire » est au moins aussi plausible que la transmission par une chauve-souris. Le journaliste d’investigation américain Paul Thacker a publié dans le British Medical Journal les résultats de ses recherches minutieuses. À ce sujet, le Dr Ingrid Mühlhauser, professeur de sciences de la santé à l’Université de Hambourg, écrit :

« Pas à pas, il montre [Thacker] comment les opérateurs d’un groupe de laboratoires américain développent de manière ciblée une théorie du complot pour masquer leur accident de laboratoire à Wuhan comme un complot. Le mythe est soutenu par des magazines prestigieux comme le Lancet. Les journalistes scientifiques et les prestataires de services de vérification des faits prennent en charge les informations sans réfléchir. Les scientifiques impliqués se taisent de peur de perdre du prestige et du soutien pour leur recherche. Facebook bloque pendant près d’un an les messages qui remettent en question l’origine naturelle du SRAS-CoV-2. Si la thèse de l’accident de laboratoire était confirmée, ZDF et d’autres médias auraient défendu les mythes conspirationnistes. »

Ivermectine et alternatives à la vaccination

Depuis des mois, on voit également qu’il existe des traitements efficaces et peu coûteux contre la Covid-19 qui [pourtant et officiellement] ne doivent pas être utilisés. Les données à ce sujet sont claires. Mais les campagnes pseudo-scientifiques de désinformation contre ces moyens sont révélatrices de l’état de notre médecine. L’hydroxychloroquine est connue depuis des décennies et a été utilisée des millions de fois contre le paludisme et les maladies rhumatismales. L’année dernière, elle a été soudainement déclaré dangereuse. La déclaration du président Donald Trump selon laquelle l’hydroxychloroquine est un « changement de jeu » a fait le reste pour la discréditer. La raison politique ne permettait plus une confrontation scientifique sur l’HCQ [l’hydroxychloroquine].

Tous les médias ont largement parlé de la situation catastrophique en Inde due à la prolifération du Delta au printemps (à l’époque, on parlait encore de la variante indienne du virus). En revanche, le fait que l’Inde ait maîtrisé la situation assez rapidement et que le médicament ivermectine ait joué un rôle déterminant à cet égard dans de grands États comme l’Uttar Pradesh ne valait plus la peine d’être rapporté.(([7] L’OMS a même fait l’éloge de l’État indien de l’Uttar Pradesh pour sa politique covidienne, mais sans mentionner l’ivermectine. Le taux de vaccination dans l’Uttar Pradesh est inférieur à 10 %.))

L’ivermectine est également autorisée provisoirement en République tchèque et en Slovaquie pour le traitement des patients atteints de Covid-19. C’est tout de même ce que rapporte le MDR, mais avec une connotation négative.

Dans la liste des médicaments possibles de la Bayerische Rundfunk, l’ivermectine n’est même pas mentionnée, et à l’hydroxychloroquine sont citées seulement des études négatives et non positives.

La molécule clofoctol a également démontré un bon effet contre le SRAS-CoV-2 lors des tests effectués en laboratoire au cours de l’été 2020. Jusqu’en 2005, l’antibiotique était commercialisé en France et en Italie sous les noms d’Octofene et Gramplus. À plusieurs reprises, les autorités françaises ont empêché l’Institut Pasteur de Lille de réaliser une étude portant sur des patients atteints de Covid-19. Après plusieurs tentatives, ils ont recruté le premier patient début septembre.

Pourquoi les autorités sanitaires s’opposent-elles avec véhémence aux traitements qui auraient été disponibles dès le début de la pandémie ? Pour ce faire, j’aurais souhaité des recherches d’investigation de l’ARD ! Il convient de mentionner que les nouveaux vaccins anti-Covid n’ont pu obtenir une autorisation d’urgence que parce qu’il n’existait pas de traitement officiellement reconnu pour le SRAS-CoV-2.

Il ne s’agit pas de vanter n’importe quel remède miracle contre la Covid-19. Je voudrais mettre en évidence des faits qui n’ont pas reçu l’attention nécessaire. Dès le début, le discours public a fait état de l’opinion selon laquelle seule une vaccination peut y remédier. L’OMS est même allée temporairement jusqu’à modifier la définition de « l’immunité collective » dans le sens où celle-ci ne peut être obtenue que par la vaccination et non plus par une infection antérieure comme c’était le cas jusqu’à présent.

Et si la voie empruntée était une impasse ?

Questions sur l’efficacité vaccinale

Les données des pays où les taux de vaccination sont particulièrement élevés montrent que les infections par le SRAS-CoV-2 ne sont pas rares, même chez les personnes entièrement vaccinées, mais qu’elles sont monnaie courante. Le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog à Jérusalem, dit que 85 à 90 % des personnes gravement malades sont doublement vaccinées dans ses soins intensifs.(([8] Voir aussi la réunion de la FDA du 17 septembre 2021, à 5:47:25))

Le magazine Science écrit en référence à tout Israël : « Le 15 août, 514 Israéliens ont été hospitalisés avec des maladies graves ou critiques de Covid-19… Parmi ces 514 personnes, 59 % étaient entièrement vaccinées. Parmi les personnes vaccinées, 87 % avaient 60 ans ou plus. » Science cite un conseiller du gouvernement israélien qui dit : « L’une des grandes histoires d’Israël est : « Les vaccins fonctionnent, mais pas assez bien ».

En outre, il est désormais évident que les personnes vaccinées ont en elles (et le répandent) autant de matériel viral de la variante Delta que les personnes non vaccinées.

Qu’en est-il de ces données en Allemagne ? — Un verrouillage spécifiquement pour les personnes non ou insuffisamment vaccinées ou : la règle 2G. La société est de facto divisée en deux classes. Les personnes vaccinées retrouvent leurs libertés (parce qu’elles ne représentent [soi-disant] aucun risque pour les autres), les personnes non vaccinées (car présentant un risque potentiel pour les autres) doivent se soumettre à des tests qu’elles sont censées payer elles-mêmes et ne reçoivent plus de paiement de salaire en cas de quarantaine. De même, les interdictions d’emploi et les licenciements dus au statut vaccinal ne sont plus exclus et les caisses de maladie pourraient imposer à l’avenir des tarifs moins favorables aux non-vaccinés. Pourquoi cette pression sur les non-vaccinés ? D’un point de vue scientifique, ce n’est pas justifiable et très dommageable sur le plan social.

Les anticorps générés par la vaccination diminuent considérablement au bout de quelques mois. Le regard porté sur Israël montre qu’après la deuxième vaccination, il y a maintenant la troisième dose pour l’ensemble de la population et que la quatrième est déjà annoncée. Ceux qui ne rafraîchissent pas la vaccination au bout de six mois ne sont plus considérés comme immunisés et perdent leur « passeport vert » (la carte de vaccination numérique introduite par Israël). Aux États-Unis, Joe Biden parle maintenant de boosters anti-Covid à injecter tous les 5 mois. Marion Pepper, immunologue à l’Université de Washington, remet toutefois en question cette stratégie. Elle a déclaré au New York Times que « la stimulation répétée des défenses de l’organisme peut aussi conduire à un phénomène appelé « l’épuisement immunitaire » ».

On discute peu du fait que l’infection naturelle peut créer une immunité nettement plus robuste. Des anticorps ultrapuissants ou une « super-immunité » ont été trouvés chez des personnes infectées par le SRAS-CoV-2 l’année dernière. Ces anticorps réagissent à plus de 20 mutations virales différentes et sont conservés plus longtemps que les anticorps générés par le vaccin.

Après tout, le ministre de la Santé, Jens Spahn, vient d’annoncer qu’une détection d’anticorps serait également autorisée. Toutefois, pour être officiellement considéré comme immunisé, une vaccination doit toujours suivre. Qui comprend cette logique ? Une interview de CNN avec le Dr Anthony Fauci, président de l’Institut national de santé (l’équivalent américain de l’ICR), illustre l’absurdité. Jusqu’à présent, les personnes ayant une immunité naturelle ne sont pas prises en considération par la politique !

Je connais un médecin qui essaie désespérément d’obtenir une réponse de la part des autorités sanitaires et de l’ICR à ce sujet : un de ses patients a un titre d’anticorps IgG de 400 UI/ml, bien plus que beaucoup de vaccins. Son infection Covid remonte à plus de six mois, donc il n’est plus considéré comme immunisé. La réponse qu’il a reçue était : « Vaccinez-le ! », ce que le médecin refuse de faire [du fait de l’immunité naturelle acquise].

Absence de compréhension journalistique de base

Le moyen de sortir de la pandémie, prôné par la politique et les médias, s’avère être un abonnement de vaccination permanente. Les scientifiques qui demandent une approche différente sur la Covid n’obtiennent toujours pas une place adéquate dans les médias publics, comme l’a montré une fois de plus la couverture médiatique parfois diffamatoire de l’action #allesaufdentisch. Au lieu de discuter avec les participants du contenu des vidéos, des experts ont été recherchés pour discréditer la campagne. Ce faisant, les justiciables font exactement l’erreur qu’ils accusent #allesaufdentisch.

Le journaliste du Spiegel Anton Rainer a déclaré dans l’interview du CES à propos de l’action vidéo qu’il ne s’agissait pas d’interviews au sens classique du terme : « En principe, on voit deux personnes se donnant raison l’une à l’autre. » J’ai eu mal au ventre après avoir écouté la couverture de ma chaîne et j’ai été totalement irrité par l’absence de compréhension journalistique fondamentale de laisser l’autre partie prendre la parole.(([9] Les rapports les plus justes viennent du BR, où, là aussi, on a débattu, mais pas seulement avec une partie. Le MDR offre sur son portail de médias une analyse complète et différenciée.)) J’ai fait part de mes préoccupations par courrier électronique aux parties concernées et à la direction de la rédaction.

Une mention classique dans les conférences est qu’un sujet est « déjà traité ». Par exemple, lorsque j’ai évoqué la très probable sous-couverture des complications vaccinales. Oui, c’est vrai, le sujet a été abordé avec l’expert de la maison qui a conclu — c’est peu surprenant — qu’il n’y avait pas de sous-couverture. « L’autre côté » est mentionné ici et là, mais très rarement sous la forme de parler réellement aux personnes qui adoptent des points de vue critiques.

Les critiques sous pression

Les critiques les plus claires doivent s’attendre à des perquisitions, poursuites, fermeture de compte, transfert ou licenciement, jusqu’à l’internement en psychiatrie. Même s’il s’agit d’opinions dont on ne partage pas les positions, cela ne doit pas exister dans un État de droit.

Aux États-Unis, on discute déjà de la question de savoir si la critique scientifique doit être considérée comme un « hate crime » (crime de haine). La Fondation Rockefeller a décerné 13,5 millions de dollars pour la censure de la désinformation dans le domaine de la santé.

Jörg Schönenborn, directeur de la télévision WDR, a déclaré : « Les faits sont des faits qui sont établis ». Si tel était le cas, comment est-il possible que des scientifiques se disputent sans cesse à huis clos et soient même profondément divisés sur certaines questions assez fondamentales ? Tant que nous ne nous en rendrons pas compte, toute hypothèse d’objectivité présumée conduira à une impasse. Nous ne pouvons que nous rapprocher de la réalité — et cela ne peut se faire que dans un discours ouvert d’opinions et de connaissances scientifiques.

Ce qui se passe en ce moment n’est pas une lutte sincère contre les « fausses nouvelles ». On a plutôt l’impression que toute information, toute preuve ou discussion contraire au récit officiel est interdite.

Un exemple récent est la vidéo objective et scientifiquement transparente de l’informaticien Marcel Barz. Lors d’une analyse de données brutes, Barz constate avec étonnement que ni les chiffres relatifs à la surmortalité, ni à l’occupation des lits, ni à l’infection ne correspondent à ce que nous avons lu ou entendu des médias et de la politique depuis un an et demi. Il montre également comment ces données peuvent constituer une pandémie et explique pourquoi c’est malhonnête pour lui. La vidéo a été supprimée par YouTube après 145 000 visonnements au bout de trois jours (et n’a été de nouveau rendue accessible qu’après l’opposition de Barz et beaucoup de protestation). La raison invoquée est la « désinformation médicale ». Ici aussi, la question est la suivante : qui a pris une telle décision, et sur quelle base ?

Les fact checkers du contrefacteur discréditent Marcel Barz comme un faux. Le jugement de Correctiv est un peu plus clément (Barz y a répondu publiquement et en détail). L’expertise réalisée pour le ministère fédéral de la Santé, qui montre que le taux d’utilisation des hôpitaux par les patients atteints de Covid-19 en 2020 n’était que de 2 %, lui donne raison. Barz a contacté la presse avec son analyse, mais n’a pas reçu d’attention. Dans un discours qui fonctionne, nos médias l’inviteraient au débat.

Des millions de fois, le contenu sur les sujets Covid a été supprimé, comme le montre la journaliste Laurie Clarke dans le British Medical Journal, Facebook et Cie sont des entreprises privées et peuvent donc décider de ce qui sera publié sur leurs plateformes. Mais peuvent-ils contrôler le discours ?

La radiodiffusion de service public pourrait apporter un équilibre important en assurant un échange de vues ouvert. Malheureusement, mauvaise indication !

Passeports d’application numériques et surveillance

Les fondations Gates et Rockefeller ont conçu et financé les directives de l’OMS pour les passeports d’application numériques. Ceux-ci sont maintenant introduits dans le monde entier. Ce n’est qu’avec eux que la vie publique doit être possible, qu’il s’agisse de prendre le tramway, de prendre un café ou de recevoir un traitement médical. L’exemple français montre que cette carte d’identité numérique doit être maintenue même après la fin de la pandémie. La députée Emanuelle Ménard a demandé l’ajout suivant dans le texte de loi : le passeport de vaccination numérique « prendra fin si la propagation du virus ne présente plus un risque suffisant pour justifier son application ». Son amendement a été rejeté. Le pas vers le contrôle mondial de la population, voire vers l’État de surveillance, par le biais de projets tels que ID2020, est donc très petit.

L’Australie teste maintenant une demande de reconnaissance faciale pour s’assurer que les gens restent en quarantaine à la maison. Israël utilise des bracelets électroniques. Dans une ville italienne, des drones sont testés pour mesurer la température des visiteurs de la plage, et en France, la loi est en cours de modification pour permettre la surveillance par drones à grande échelle.

Tous ces sujets nécessitent des échanges intenses et critiques au sein de la société. Mais il n’a pas lieu suffisamment dans la couverture médiatique de nos radiodiffuseurs et n’a pas fait l’objet d’une campagne électorale.

Point de vue rétréci

La manière dont le point de vue du discours est rétréci est révélatrice des « gardiens de la porte de l’information ». Jan Böhmermann fournit un exemple récent en demandant que le virologue Hendrik Streeck et le professeur Alexander S. Kekulé ne soient plus en place parce qu’ils ne sont pas compétents.

Outre le fait que les deux médecins ont une Vita [?] extrêmement respectable, Böhmermann a ainsi réajusté ses œillères. Ne faut-il même plus entendre les gens qui présentent leur critique du cours du gouvernement avec des gants de velours ?

La limitation du discours est désormais telle que la Bayerische Rundfunk n’a pas diffusé à plusieurs reprises, lors de la retransmission des débats parlementaires du parlement régional, les discours de députés critiques à l’égard des mesures.

Telle est la nouvelle conception de la démocratie de la radiodiffusion de service public ? Les plateformes médiatiques alternatives prospèrent d’abord parce que les personnes établies ne remplissent plus leurs fonctions de correctif démocratique.

Quelque chose a mal tourné

Pendant longtemps, j’ai pu dire avec fierté et joie que je travaillais à la radio publique. De nombreux formats, recherches et contenus exceptionnels viennent d’ARD, de ZDF et de la radio allemande. Les normes de qualité sont extrêmement élevées et des milliers de collaborateurs font un excellent travail, même sous une pression accrue sur les coûts et des objectifs d’économie. Mais quelque chose a mal tourné avec la Covid-19. Soudain, je perçois une vue de tunnel et des œillères et un prétendu consensus qui n’est plus remis en question.(([10] Je ne veux pas parler d’une véritable « opinion unique » des justiciables publics. Il y a toujours eu des contributions critiques et des changements de cap dans les rapports. Mais c’est toujours une question de contexte, de temps d’antenne et d’étendue de la façon dont un sujet est traité. Mes observations ont également été faites par d’autres collègues.))

La chaîne autrichienne Servus TV montre qu’il en va autrement. Dans l’émission « Corona-Quartet » / « Talk im Hanger 7 », les partisans et les critiques prennent également la parole. Pourquoi cela ne serait-il pas possible à la télévision allemande ?(([11] Des formats frais comme « Sur le canapé » du ZDF donnent de l’espoir, même si je ne pense pas qu’il y aura bientôt une Karina Reiß ou un Wolfgang Wodarg.)) « Il ne faut pas donner une place à tous les cinglés », c’est la réponse rapide. Il faut éviter le faux équilibre, le fait que les opinions sérieuses et peu sérieuses soient entendues doit être évité. — Un argument d’homicide involontaire qui n’est pas scientifique. Le principe fondamental de la science est le doute, la remise en question, la vérification. Si ça n’a plus lieu, la science deviendra une religion. [Ndlr : c’est déjà le cas en médecine, en climatologie et dans d’autres domaines politisés.]

Oui, il y a en fait un faux équilibre. C’est la tache aveugle qui est revenue dans nos esprits, qui ne permet plus une véritable confrontation. On se jette des faits apparents, mais on ne peut plus s’écouter. Le mépris remplace la compréhension, la lutte contre l’autre opinion remplace la tolérance. Les valeurs fondamentales de notre société sont balancées par-dessus bord. Ici, on dit que les gens qui ne veulent pas se faire vacciner sont fous, qu’ils disent : « Honte aux brebis endormies ».

Pendant que nous nous disputons, nous ne réalisons pas que le monde qui nous entoure change à une vitesse fulgurante. Presque tous les domaines de notre vie sont en pleine transformation. La manière dont cela se passe est déterminante pour notre capacité de coopération, de compassion et de conscience de nous-mêmes et de nos paroles et de nos actes. Pour notre santé mentale, nous ferions bien d’ouvrir l’espace de débat, avec attention, respect et compréhension des différentes perspectives.(([12] L’initiative « Dialogue culture » ouvre des approches valables qui peuvent également intéresser les formats de médias.))

En écrivant ces lignes, j’ai l’impression d’être un hérétique, quelqu’un qui commet une trahison et qui doit s’attendre à une punition. Ce n’est peut-être pas le cas. Je ne risquerai peut-être pas mon travail et la liberté d’expression et le pluralisme ne sont pas menacés. Je le souhaite vivement et je me réjouis d’un échange constructif avec mes collègues.

Ole Skambraks

ole.skambraks@protonmail.com

À propos de l’auteur :

Ole Skambraks, né en 1979, a étudié les sciences politiques et le français à l’Université Queen Mary, à Londres et à la gestion des médias à l’ESCP Business School, Paris. Il était présentateur, reporter et auteur à Radio France Internationale, rédacteur en ligne et community manager chez cafebabel.com, directeur de l’émission du matin chez MDR Spoutnik et rédacteur chez WDR Funkhaus Europa / Cosmo. Actuellement, il travaille en tant que rédacteur en chef dans la gestion/conception de son de programmes chez SWR2.

Informations complémentaires de l’auteur

P.S. Pour les vérificateurs factuels et les personnes intéressées par une perspective multiple, voici les contre-positions aux points abordés dans le texte :

Étude ARD-ZDF

https://www.rnd.de/medien/kritik-an-corona-berichterstattung-von-ard-und-zdf-sender-wehren-sich-gegen-medienstudie-C3B4FEKAMNBFBNTKGO5EETMR3E.html

Pr John Ioannidis

https://www.faz.net/aktuell/wissen/forscher-john-ioannidis-verharmlost-corona-und-provoziert-17290403.html

Imperial College Modelling

https://blogs.bmj.com/bmj/2020/10/07/Covid-19-modelling-the-pandemic/

Gain of function reserch

https://www.gavi.org/vaccineswork/next-pandemic/nipah-virus

Hydroxychloroquine/ivermectine

https://www.br.de/nachrichten/wissen/corona-malaria-mittel-hydroxychloroquin-bei-Covid-19-unwirksam,RtghbZ4

https://www.who.int/publications/i/item/WHO-2019-nCoV-therapeutics-2021.2

https://www.forbes.com/sites/siladityaray/2021/05/11/indian-state-will-offer-ivermectin-to-entire-adult-population—even-as-who-warns-against-its-use-as-Covid-19-treatment/

Immunité des personnes vaccinées

https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.08.23.457229v1

Immunité des convalescents

https://science.orf.at/stories/3208411/?utm_source=pocket-newtab-global-de-DE

https://www.businessinsider.com/fauci-why-covid-vaccines-work-better-than-natural-infection-alone-2021-5

Percées / pandémie

https://www.spektrum.de/news/corona-impfung-wie-viele-geimpfte-liegen-im-krankenhaus/1921090#Echobox=1631206725

https://www.mdr.de/wissen/covid-corona-impfdurchbrueche-sind-selten-100.html

https://www.businessinsider.de/wissenschaft/gesundheit/neue-daten-risiko-an-Covid-19-zu-sterben-fuer-ungeimpfte-elfmal-hoeher-a/

Pseudo-experts / Négationnistes / PRINCIPE PLURV

https://www.ndr.de/nachrichten/info/82-Coronavirus-Update-Die-Lage-ist-ernst,podcastcoronavirus300.html#Argument

Notes :




Les décès d’enfants « vaccinés » contre le SARS-CoV-2 en France ou en Europe sont « impossibles » car ce serait ouvrir la boîte de Pandore

Par Alain Tortosa

La dictature fera tout pour qu’il en soit ainsi et il ne sera pas avoué que l’injection Anti-Covid puisse être la principale cause de décès d’un enfant.

Il existe bien des statistiques françaises et européennes sur les effets secondaires des injections, mais :

  • D’une part la sous-déclaration est connue et actée sans compter toutes les pressions.
  • Tous les effets secondaires graves et décès de personnes vaccinées ne sont jamais imputés aux thérapies géniques, mais uniquement aux comorbidités.

Au 18 septembre, plus de 25 000 européens injectés seraient officiellement décédés.

Décédés, mais de quoi ? Car le problème est sur la charge de la preuve…

Pour tenter de prouver qu’un médicament a des effets secondaires, une des méthodes consiste à cesser de le prendre et de voir si l’on va mieux. Mais il n’existe pas de retour en arrière possible pour une vaccination et encore moins si l’on est décédé.

Les autorités ont ainsi beau jeu de déclarer que toutes ces personnes sont mortes de comorbidités.

Mais là où la malhonnêteté est élevée au rang d’un art… c’est que le gouvernement ne s’est pas gêné et ne se gêne pas pour étiqueter Covid tout décès d’une personne positive à un test PCR comme cela était demandé dès le premier trimestre 2020 par l’OMS (Je ne vais pas m’embêter à référencer une fois de plus les liens, le mouton paniqué qui les a sous les yeux n’en tire aucune conclusion).

Le summum du tragi-comique étant sur la Nouvelle-Calédonie qui ne fait même plus semblant :

« Toute personne décédée à son domicile, dans un établissement social, un EHPAD ou sur la voie publique est présumée décédée du Covid-19, sauf si un certificat médical en atteste autrement. »

D’un côté nous avons les personnes vaccinées qui décèdent et pour lesquelles le « vaccin » ne sera JAMAIS la cause. Ces personnes injectées seront mortes uniquement de leurs comorbidités, quand bien même elles étaient jeunes et en bonne santé.

Et de l’autre côté, nous avons les personnes positives à un test Covid ou dont les symptômes pourraient laisser penser à un Covid qui, lorsqu’elles décèdent, ne sont JAMAIS mortes de leurs comorbidités ou de leur grand âge.

Le statut vaccinal décide ainsi de la cause du décès !

Bien entendu tout est fait pour camoufler ou manipuler les statistiques afin de cacher un pic de mortalité soudain dans une tranche d’âge…

Dans les temps anciens, il y a deux ans, il était parfois possible d’admettre que des vaccins pouvaient exceptionnellement entraîner des effets secondaires graves et parfois même le décès.

En 2013 Le Monde titrait « Les médicaments causent au moins 18 000 morts par an en France ». Il est naturellement admis que des médicaments tuent, mais en revanche il est totalement inimaginable et blasphématoire de penser que des vaccins pourraient tuer, même dans des proportions minimes. Et il est encore plus hérétique de laisser croire qu’une injection expérimentale à grande échelle d’ARNm, première mondiale sur des personnes en bonne santé, puisse avoir des effets secondaires graves ou provoquer la mort alors même que le produit est encore en phase III de test.

Et pourquoi ?

Tout simplement parce que la dictature et Big Pharma ne peuvent pas reconnaître ne serait-ce qu’un seul décès, chez un adulte et encore moins chez un ado ou un enfant, qui serait dû à la « vaccination ».

S’il est « autorisé » qu’un médicament puisse tuer c’est que les médicaments sont (en théorie, mais de moins en moins) donnés à des personnes malades et potentiellement gravement malades.

De fait la balance bénéfice/risque pour le patient a un sens. Si on admet que le médicament est là pour sauver des vies on peut admettre que, parfois, il tue, mais avec un rapport bénéfice vs risque favorable.

Avec un vaccin c’est très différent pour la simple raison qu’il s’adresse majoritairement à des personnes en bonne santé et, qui plus est, des enfants. Prenons une maladie infantile…. Le risque de mourir d’une maladie infantile est infime pour un enfant en bonne santé. Il devrait d’ailleurs être nul si la médecine faisait son boulot et qu’elle était en capacité de détecter si un enfant est à risque ou pas. Bref le vaccin contre cette maladie infantile devra être d’une innocuité délirante afin que le rapport bénéficie vs risque demeure favorable. Pour autant, le risque de décéder de maladie infantile n’est pas nul et donc il peut s’entendre qu’un vaccin pourrait avoir un rapport bénéfice vs risque positif…

Il est quand même étrange que les médicaments tuent et que les vaccins ne tuent pas… Nous pouvons regretter que l’exigence de sécurité pour un médicament ne soit pas la même que pour un vaccin… à moins que nous ne disposions pas des vraies données sur les vaccins (fin de la parenthèse).

Mais avec le Covid, rien ne va plus… Le risque pour un enfant en bonne santé de mourir du Covid n’est pas simplement minime, mais NUL. Il n’existe pas de cas d’enfants sans comorbidités décédés dont la cause de décès serait le Covid… et quand bien même il y en aurait 2 ou 3, ce risque demeurerait NUL.

Dès lors, il ne peut exister de rapport bénéfice vs risque positif pour l’injection d’ARNm chez un enfant. C’est pourquoi il n’y a pas et la dictature fera TOUT, même du plus ignoble, pour que tout enfant « vacciné » qui décède le soit de ses comorbidités, mais certainement pas de l’injection.

Le plus abject est qu’en cas de décès d’un enfant qui avait des problèmes cardiaques non connus et qui serait décédé suite à l’injection du poison, il ne sera JAMAIS reconnu que le « vaccin » aura été catalyseur de ses problèmes cardiaques et que cet enfant ne serait pas décédé en l’absence d’injection.

Il donc est IMPOSSIBLE de reconnaître que : « Un enfant est décédé des suites de l’injection ». Simplement parce que c’est ouvrir la boîte de Pandore et que des médecins vont alors enfin avoir le courage de reconnaître et affirmer médiatiquement qu’il existe des dizaines d’autres victimes.

Quand on pense que la propagande a réussi à tuer l’AstraZeneca en avouant de rares thromboses chez des adultes au point que le peuple berné en est arrivé à réclamer de l’ARNm expérimental…

La mort d’enfants en bonne santé dans le but (officiel, mais pas réel) de sauver des vieux grabataires signerait l’arrêt de mort de la « vaccination » Anti-Covid et la mort de la poule aux œufs d’or ou d’un dessein plus sombre.

La dictature n’avouera donc JAMAIS son crime et il faudra la forcer avec le soutien des rares médecins qui ont encore leur dignité.

Merci

Alain Tortosa.

5 octobre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211005-avouer-deces-vaccin-boite-pandore.pdf




Le passe accélère-t-il la progression de l’épidémie ?

Par Gérard Delépine

L’état pitoyable actuel de la France n’est pas dû au virus,(([1] L’épidémie de grippe asiatique de 1958 a entraîné le même nombre de victimes, mais le gouvernement de l’époque s’est efforcé de ne « pas ajouter l’hystérie à l’épidémie » et la crise s’est terminée sans mesures autoritaires ni conséquences économiques, psychologiques)) mais avant tout aux mesures prétendument sanitaires qui nous été imposées pour soi-disant éviter la submersion du système hospitalier.

Le caractère dogmatique et politique des mesures devient encore plus évident avec l’imposition du passe en France sans considérer ses résultats sur l’évolution de l’épidémie dans les pays qui l’ont instauré avant nous.

Ce résumé court vise à combler cette lacune en s’appuyant sur les chiffres officiels de l’OMS et leurs transcriptions en courbes par l’université John Hopkins.

Les données de l’OMS prouvent que le passe est médicalement dangereux

Quelques pays européens ont imposé le passe à leur population depuis plus de deux mois. L’examen des courbes de l’épidémie dans ces pays montre que cette mesure, loin de ralentir les contaminations, paraît les exacerber.

L’Autriche a imposé le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 22

La Grèce a imposé le passe en espérant attirer ainsi les touristes étrangers

Malheureusement le passe a été suivi par la multiplication par 5 du nombre quotidien de contaminations et la saison touristique en a souffert ne retrouvant pas son niveau de 2019 (-30 %)

La Tchéquie a instauré le passe début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 4

En Roumanie le passe a été imposé début juillet. Depuis le nombre de contaminations quotidiennes a été multiplié par 160.

Au Danemark la mise en route du passe a été suivi par une augmentation franche du nombre quotidien des contaminations (multiplication par 5 en un mois.)

Depuis le Danemark a supprimé le passe.

Ainsi dans tous les pays champions du passe, les évolutions de l’épidémie ont été marquées par une accélération paradoxale importante des contaminations

L’échec du passe a été également observé dans tous les concerts-tests récents dont l’entrée était subordonnée à la présentation d’un passe.

Les 20 000 participants du festival Verknipt à Utrecht ont montré leur passe sanitaire, via l’application CoronaCheck avant d’y être admis. Mais quelques jours après le festival, sur les 20 000 participants, on dénombrait, plus de mille nouveaux infectés par le coronavirus (dont une majorité de vaccinés !).

Les 50 000 participants des festivals Canet Rock, Vida et Cruïlla qui ont eu lieu en Catalogne, entre le 1er le 11 juillet ont dû présenter des tests négatifs et porter des masques avant d’y participer. Ces festivals test ont entraîné la contamination directe de près de 2300 personnes [soit au total 842 de plus que dans les groupes témoins équivalents). Ce surplus de contaminations confirme que ni les pass, ni les tests, ni les masques ne protègent vraiment et qu’ils peuvent donner un sentiment de sécurité injustifié.

En France aussi, le passe n’empêche pas les clusters d’apparaître.

Malgré le passe sanitaire, on a recensé 80 contaminations dans une discothèque à Lille, 44 dans les Vosges ou encore une trentaine d’adolescents dans un camping en Corse.

Comment peut-on expliquer ces échecs cuisants du passe partout où il est utilisé ?

Le concept du passe repose sur les hypothèses que les pseudo vaccins empêchent d’être malade et encore plus d’être contaminant. Ces deux croyances sont fausses ainsi que le ministère l’a officiellement reconnu devant le Conseil d’État. Les fortes reprises d’épidémies récentes en Israël et Grande-Bretagne champions des injections Pfizer et Astra Zeneca le confirment amplement.

Les porteurs de passe, victime de la propagande officielle se croient protégés et négligent fréquemment les mesures de protection s’exposant ainsi davantage à la contamination. Cela a été remarqué lors de la plupart des concerts avec passe aux Pays-Bas comme en Catalogne.

Le passe majoritairement refusé ou abandonné en Europe

En Europe, la majorité des états ont refusé ou abandonné le passe, qu’il s’agisse de l’Allemagne, de la Grande-Bretagne, de la Russie, du Danemark, de la Suède, de la Norvège, de la Finlande, de l’Estonie, de la Pologne, de la Bulgarie, de la Biélorussie.

Seuls principalement les pays du sud suivent encore les recommandations de la Commission européenne.

Il faut espérer que les décideurs de ces pays considèrent enfin les mauvais résultats avérés de cette mesure et se rendent compte qu’au lieu de ralentir l’épidémie, le passe l’accélère.

Le Danemark dont la situation sanitaire actuelle ressemble beaucoup à la nôtre vient d’abandonner le passe. On ne comprend pas que notre gouvernement s’obstine à l’imposer, niant ainsi le monde réel.




Cancers et « vaccins » anti-Covid

Par Nicole Delépine

COÏNCIDENCES ? LE MOT CLEF

Nous avions, il y a déjà plusieurs mois, émis des réserves au moins théoriques à vacciner les patients cancéreux ou les anciens malades guéris, en raison du mécanisme envisagé de l’injection génique sur l’immunité. Plusieurs généticiens avaient d’ailleurs exprimé leurs inquiétudes sur la possible interférence entre des cellules cancéreuses actives, ou des cellules en sommeil et l’activité de la thérapie génique sur les lymphocytes en particulier.

Les mois ont passé, et la folie vaccinale s’est amplifiée, conduisant à refuser les patients dépourvus de passe dans les hôpitaux (destinés, c’est bien connu à ne recevoir que des bien-portants) et à exiger des patients de se faire vacciner absolument avant de recevoir tout traitement, y compris les cancéreux.

Nous sommes dans un monde devenu fou et pourtant ces histoires se multiplient, tel ce jeune homme de 22 ans qui a vu apparaître une toux chronique conduisant à une radio découvrant une masse médiastinale. Les deux gros hôpitaux parisiens qui l’ont reçu refusent de débuter le traitement (sans qu’il soit expliqué en détail) si le patient refuse l’injection expérimentale, d’effets absolument inconnus sur le développement des cancers. La justification des médecins ? Aucune : « c’est comme cela », et nous l’avons bien accepté !

Silence sur les collègues suspendus faute d’obéissance et encore plus sur les raisons objectives qui leur ont fait préférer perdre leur emploi, leur rémunération, leur maison, leur famille intolérante à ces décisions aussi plutôt que de soumettre à l’ukase présidentiel d’accepter des médicaments expérimentaux…

Plus de trois cent mille soignants (chiffre probablement fortement sous-estimé vu le nombre d’hôpitaux et cliniques actuellement obligés de fermer des lits et de reporter des interventions faute de personnel) seraient-ils fous, complotistes ou délirants au point de se mettre en grand danger personnel, social, familial, professionnel, psychologique ? Les médecins qui affirment que se vacciner est sans danger ont-ils pris le temps de regarder les statistiques des effets signalés et acceptés par les agences officielles ? Les FDA EMA MHRA sont-elles aussi « complotistes quand elles affichent comme le VAERS :

Le VAERS au 26 septembre 2021

Plus de 726 000 effets indésirables liés au vaccin Covid signalés au VAERS alors que le CDC et la FDA annulent les recommandations des comités consultatifs sur le troisième vaccin de Pfizer.

Les données VAERS publiées par le CDC comprenaient un total de 726 965 rapports d’événements indésirables de tous les groupes d’âge suivant les vaccins contre la Covid, dont 15 386 décès et 99 410 complications graves entre le 14 décembre 2020 et le 17 septembre 2021.(([1] More Than 726,000 COVID Vaccine Injuries Reported to VAERS as CDC, FDA Overrule Advisory Committees’ Recommandations on Third Pfizer Shot • Children’s Health Defense (childrenshealthdefense.org) ))

Ou Eudra Vigilance organisme de pharmacovigilance de l’agence européenne du médicament

Ou même l’ANSM notre agence française qui affiche plus de 1200 décès acceptés comme en lien au moins possible avec ces injections expérimentales

Tous les essais thérapeutiques depuis cinquante ans étaient stoppés après quelques morts pour enquête (53 morts ont fait stopper le vaccin H1N1). Ici des milliers de décès par le monde et on s’attaque aux enfants sans vergogne.(([2] Les simulations, alibi truqué de la vaccination extorquée aux enfants — Docteur Nicole Delépine)) Comment peut-on continuer à croire que c’est une politique sanitaire ?

Pourquoi ce déni digne des sectes les plus solides de la part de médecins théoriquement instruits, capables de s’informer directement aux sources fiables et dotés d’un cerveau ? La peur du chef, du patron, du directeur, qui d’ici quelques mois seront inéluctablement mis en cause, puisque de nombreux pays rétropédalent et même l’Allemagne veut sortir du terrorisme vaccinal peut-être à l’occasion du départ de Mme Merkel.(([3] Les médecins libéraux allemands pour la fin de « la politique de la panique »
le 27/09/2021 Dr Stephan Hofmeister, Dr Andreas Gassen, Dr Thomas Kriedel
KBV Lopata/axentis.de     France-Soir
Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de « la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ».
Lors de la convention des délégués des médecins conventionnés allemands, le directeur adjoint de la Kassenärztlichen Bundesvereinigung (KBV, association nationale des médecins de l’assurance maladie) le Dr Stephan Hofmeister, et le président, le Dr Andreas Gassen, ont exigé la fin des mesures dites « anti-Corona » en Allemagne et la fin de la « politique de la panique et la rhétorique de l’horreur ».
Le communiqué de presse de la KBV déclare : « tous ceux qui souhaitent se faire vacciner ont la possibilité de le faire. Désormais ce n’est plus une décision qui revient à l’État : chacun doit décider à titre individuel pour lui-même. » Selon le Dr Hofmeister les sondages indiquent que plus insistantes se font les pressions politiques, plus les gens refusent toute vaccination en signe de protestation. « C’est une confusion malsaine », a-t-il dit en exigeant que l’on arrête cette politique de la peur.))

« Les principales organisations de médecins conventionnés en Allemagne exigent la fin immédiate des mesures « anti-corona » et la fin de ‘la rhétorique de l’horreur et la politique de la panique ». Manifestement les médecins hospitaliers français parisiens, et d’ailleurs, ne lisent pas les journaux allemands et sont terrorisés par les menaces de leur Conseil de l’Ordre, leur ministre, et deviennent des kapos(([4] Ainsi étaient appelés les déportés qui, en échange de quelques avantages, devenaient complices des nazis et se montraient parfois aussi inhumains que leurs bourreaux.)) et terrorisent leurs patients.

DES TÉMOIGNAGES DE PLUS EN PLUS NOMBREUX SE RAPPROCHENT DE TOUS

Quoi qu’il en soit de leurs inacceptables raisons, les témoignages se multiplient.

Une jeune fille accompagne son amie à l’enterrement de sa mère… telle maman, mère d’une amie de lycée, de 34 ans, en rémission d’un cancer du sein depuis deux ans qui se fait injecter la fameuse piquouse et s’écroule quelques jours plus tard dans le coma et meurt après trois jours d’hospitalisation… Explication politiquement correcte : le cancer a explosé et l’a emportée. Fermez le chapitre et le cercueil.

Qu’en aurait dit Maigret ?

Mais trop de coïncidences choquent les enquêteurs de la police devant un cadavre. Seuls les médecins n’auraient pas le droit de réfléchir aux coïncidences de temps, par exemple : « temporalité » est leur mot clef…

Comme le slogan trompeur, « les chiffres ont toujours raison ». Oui s’ils sont vrais et observés dans le monde réel. Mais quelle confiance peut-on accorder à ceux des simulations truquées dont nous abreuvent le gouvernement et les médias sans jamais préciser qu’il ne s’agit que de prédictions ou d’estimation ?(([5] RETOUR SUR LA MANIPULATION VIA DES SIMULATIONS AU COURS DE LA « PLANDEMIE » COVID – Docteur Nicole Delépine)) Mais on fait ce qu’on veut avec les chiffres, lorsqu’on les choisit, ou les crée pour justifier l’hypothèse choisie, et le téléspectateur ne peut y voir que du feu.

En tous cas, en ce qui concerne « cancer et injection génique », le flou se dissipe malheureusement devant la multitude de récits terribles.  De la collègue qui voit apparaître des « boules » multiples sous ses aisselles, que des bilans dans tous les sens à l’hôpital n’expliquent pas… Évidemment aucun lien possible avec le vax. Et pourtant les ganglions qui apparaissent quelque temps après l’injection sont une observation fréquente après ces vax.

Alors clairement il semble bien exister trois situations :

  • L’apparition d’un cancer rapidement après l’injection (deux semaines à quelques mois) et très évolutif, chez une personne jusque-là indemne de pathologies carcinologiques connues.
  • La reprise évolutive d’un cancer chez un patient en rémission complète depuis plusieurs mois ou années.
  • L’évolution rapide, voire explosive, d’un cancer encore non contrôlé.

Au-delà des témoignages qui affluent chez des proches ou leurs amis et sur les réseaux sociaux, un journal suisse a enfin abordé le sujet de façon plus large.

Voici quelques extraits de leur article(([6] Covid Vaccines and Cancer – Swiss Policy Research (swprs.org) )) et de leurs références(([7] The Testimonies Project – Israeli Jab Victims Speak Out [VIDEO] | Europe Reloaded)):

“Les vaccins covid peuvent-ils causer le cancer ?

Dans certains cas, la réponse semble être oui. Certes, il n’y a aucune preuve que les vaccins covid eux-mêmes sont cancérigènes. Cependant, il a été démontré que chez jusqu’à 50 % des vaccinés, les vaccins covid peuvent induire une immunosuppression temporaire ou un dérèglement immunitaire (lymphocytopénie) qui peut durer environ une semaine ou peut-être plus.

En outre, il a été démontré que les vaccins à ARNm covid “reprogramment” (c’est-à-dire influencent) les réponses immunitaires adaptatives et innées et, en particulier, qu’ils régulent à la baisse la voie dite TLR4, qui est connue pour jouer un rôle important dans la réponse immunitaire aux infections et aux cellules cancéreuses”.

Ainsi les auteurs en concluent qu’il est bien possible que ces modifications immunitaires puissent entraîner des conséquences imprévues sur l’état du receveur de l’injection génique.  Question de bon sens de fait !

« Ainsi, s’il y a déjà une tumeur quelque part — connue ou inconnue —, ou s’il y a une prédisposition à un certain type de cancer, un tel état de suppression immunitaire induite par le vaccin ou de dérèglement immunitaire pourrait potentiellement déclencher une croissance tumorale soudaine et un cancer dans les semaines suivant la vaccination. Il est à noter que la lymphocytopénie a également été fréquemment observée dans les cas de covid sévère ».

Il a par ailleurs été constaté une réactivation post-vaccination des infections virales latentes, notamment du virus du zona, l’EBV (Epstein-Barr) et le virus de l’hépatite.

« L’immunosuppression temporaire induite par le vaccin est également un facteur susceptible de contribuer au pic post-vaccination des infections à coronavirus, observé dans de nombreux pays ».

FRÉQUENCE DES ÉVÉNEMENTS LIÉS AU VACCIN EN CANCÉROLOGIE : INCONNUE

Il existe déjà quelques milliers d’observations dans les rapports officiels de déclaration des événements indésirables et dans les groupes de patients en ligne. Il y a certainement de véritables coïncidences ou des retards diagnostiques en raison d’un diagnostic retardé lié au confinement. Mais nous ne devrions pas rayer d’un revers de manches les énormes problèmes que posent ces vraies personnes affectées dans leur quotidien et plus encore la responsabilité que prennent les médecins cancérologues en imposant l’injection avant tout traitement ou toute poursuite de protocole. Leur principal argument : « nous, on l’a bien fait, sans discuter » ne paraît pas digne d’une profession autrefois pensante.

En août 2021, le Dr Ryan Cole,(([8] Dr Ryan Cole sur le cancer post-vaccination :
Le docteur Ryan Cole constate une recrudescence de cas de cancers comme jamais auparavant. Vidéo. | Pro Fide Catholica)) américain, anatomopathologiste depuis de très longues années a décrit une augmentation significative de certains types de cancer (par exemple le cancer de l’endomètre, utérus) depuis le début de la campagne de vaccination de masse covid. Plus récemment, les pathologistes allemands ont également noté le problème de la dérégulation immunitaire post-vaccination et de la croissance tumorale soudaine chez certains patients.

Sur les réseaux français, plusieurs témoignages coïncident avec la réapparition d’hémorragies vaginales chez des femmes âgées de plus de 85 ans aboutissant au diagnostic de cancer de l’endomètre et au décès rapide… La protéine spike fabriquée par l’organisme à la suite de l’injection est particulièrement attirée par les organes génitaux, et c’en serait une nouvelle démonstration.

Alors en attendant d’en savoir plus, soyons prudents, tant médecins que soignants, et ne jouons pas à l’apprenti sorcier !

La prudence s’impose avec tous les traitements expérimentaux et encore plus lorsqu’ils sont le fruit d’une technique jamais utilisée auparavant en pathologie infectieuse. D’abord ne pas nuire doit guider les décisions de tout médecin fidèle à son serment d’Hippocrate.





Vaccination obligatoire : l’Agence européenne des médicaments ne sait pas répondre non plus !

[Source : francesoir.fr]

[Photo : MARTIN BERTRAND / HANS LUCAS / AFP]

Auteur(s): FranceSoir

De grands pouvoirs impliquent de grandes responsabilités. De grandes contraintes aussi. Alors que certains professionnels de santé, indispensables dans la gestion de la crise sanitaire, sont exclus de l’hôpital pour ne pas s’être soumis à l’obligation vaccinale, une bataille plus discrète se joue en ce moment même auprès de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de Santé (ANSM) et de l’Agence européenne des médicaments (AEM).

Ces autorités ont récemment été sollicitées par l’avocat de trois associations pour s’assurer du respect des règlements européens et des autorisations européennes (autorisations de mise sur le marché conditionnelles) dont bénéficient les vaccins anticovid.

Une simple visite de courtoisie qui s’avère être un pavé dans la mare puisque ni l’agence française ni l’agence européenne ne savent répondre. Me Teissedre vient en effet de recevoir cette réponse surprenante de la direction de l’Agence européenne des médicaments : « Nous examinons actuellement votre demande et vous répondrons en temps voulu ».

Curieuse réponse lorsque l’on sait que depuis plusieurs semaines le temps non seulement est venu, mais il est aussi passé ! En effet, les délais réglementaires sont expirés. C’est le cas du délai à observer pour le renouvellement annuel de chaque autorisation délivrée à chacun des vaccins actuellement sur le marché mais aussi des délais dont disposaient les fabricants pour transmettre à l’AEM les données complémentaires relatives aux caractéristiques des produits vaccinaux.

On ne parle pas de rien puisqu’il est question de connaître notamment la composition de la substance active des vaccins et des excipients ! Pourquoi alors l’agence européenne entretient-elle le mystère lorsqu’un avocat lui pose des questions aussi légitimes, sachant que l’agence française a déjà botté en touche en renvoyant l’encombrante requête vers l’Agence européenne des médicaments ?

Voir aussi : Données relatives aux vaccins : l’ANSM ne possède pas les informations demandées par Me Teissedre

Les fabricants disposent évidemment d’une armada de juristes compétents qui connaissent par cœur ces délais. Alors imaginer que le calendrier relatif à l’évaluation des vaccins ne serait pas respecté est-il vraiment raisonnable ?

La réponse est oui. Et c’est même l’hypothèse privilégiée. La revue Prescrire a consacré en novembre 2017 un article à ce sujet, à l’occasion des 10 ans (2006-2016) de pratique des autorisations de mise sur le marché conditionnelles. Ces autorisations sont des autorisations anticipées répondant à une urgence. Aux termes de chacune de ces autorisations, les fabricants s’engagent à fournir à l’agence européenne régulièrement, post-autorisation, des données essentielles sur le produit mis sur le marché.

Sauf que la revue Prescrire relevait dans son article de novembre 2017 que les fabricants jouent rarement le jeu une fois l’autorisation octroyée ; l’agence ayant ensuite tendance à se montrer très laxiste. Le problème ici est que c’est le monde entier que l’on vaccine, sous la contrainte, que la vaccination des enfants européens est envisagée et on parle de 3e, de 4e dose en dehors de tout cadre alors même que de nombreux États ont retiré du marché 2 vaccins (Janssen et AstraZeneca) sur 4.

Il est donc plus que difficile dans un tel contexte de passer sous les radars… Une autre explication est également donnée par la députée européenne Madame Michèle Rivasi, qui déclare dans une vidéo récente que les fabricants ont besoin de protéger leur savoir-faire, ce qui expliquerait leur refus de livrer des informations stratégiques.

Madame Rivasi a pu poser la question à l’Agence européenne des médicaments : « Est-ce que vous savez tous les ingrédients qui ont été mis dans un vaccin ? Ils m’ont dit que non alors que normalement même s’il y a une partie confidentielle elle devrait avoir accès à ces données ».

Ce qui veut dire aussi au passage que la Commission européenne s’est contractuellement engagée à garantir les fabricants contre toutes les conséquences financières liées à des déconvenues vaccinales, incluant les honoraires des avocats, sans avoir pu préalablement évaluer le risque.

Notons qu’alors qu’elles préconisent des lois liberticides et contraignantes, les autorités sanitaires ne sont même pas en capacité de faire respecter les obligations qui sont les leurs. En droit, l’obligation vaccinale, inscrite à l’article 12 de la loi du 5 août 2021, sur la validité de laquelle le Conseil constitutionnel ne s’est pas encore prononcé, est donc plus fragile qu’il n’y paraît.

Manifestement le législateur n’est pas si sûr de lui en l’édictant puisque la loi qui l’institue prévoit aussi qu’un décret, pris après avis de la Haute autorité de santé, peut suspendre l’obligation en fonction notamment des connaissances médicales et scientifiques. Or, dans la mesure où cette connaissance est impossible, on peut considérer que la loi ne peut plus être appliquée et l’obligation ne peut plus être maintenue. L’obligation vaccinale, en l’état des connaissances, est contraire au consentement libre et éclairé, et expose en plus les pouvoirs publics à un risque considérable car la responsabilité pour l’État n’est pas la même selon que la vaccination est obligatoire ou ne l’est pas.

Auteur(s): FranceSoir




Alliance entre Minc, Mélenchon et le djihadisme contre Zemmour

Par Lucien Samir Oulahbib

La relaxe de l’imam de Toulouse récitant une parole islamique de type djihadiste appelant à tuer les juifs exprime bien cette alliance de fait sinon d’esprit entre les partisans effectifs de la dissolution française et le djihadisme à visage humain personnifié par cet imam. Or il ne faut pas oublier que l’islam est au-delà de ses tendances une espèce de socialisme communautaire (ce que défendaient Nasser et Aflak le fondateur du Baasisme), très proche de la pensée communautaire national-socialiste allemande (primat du groupe pensé comme « race » sur l’individu), d’où les accointances entre le mufti de Jérusalem et Hitler, d’une part, et entre la pensée marxiste du « Prolétariat » — ce nouveau peuple fait d’hommes nouveaux, ajoute Lénine ânonnant le bréviaire jacobin (prémisse aux « hommes déconstruits ») — et l’idée racialiste du « sang bleu », d’autre part. Et il ne faut pas oublier que Mélenchon défend toujours bec et ongles son alliance avec l’islam (initiée par les trotskistes anglais), le tout en vue non pas de se battre pour émanciper les masses arabisées par cet « opium du peuple » qu’est l’islam, mais de s’en servir, tout comme Minc, de chair à canon contre tous ceux qui refusent la dissolution française de mieux en mieux décrite par ce livre si mesuré pourtant se nommant non plus les « territoires perdus », mais bien Les territoires conquis de l’islamisme.

Un Minc, par exemple opposé dernièrement à Zemmour sur LCI, ne voit « que » des problèmes de « sécurité » à ce qui se passe dans les « quartiers », aveuglé par sa vision hygiéniste des corps réduits à n’être que des supports d’organes (vendus désormais à la découpe comme les « anticorps ») tels les corps d’immigrés chargés d’occuper les postes pénibles, booster la démographie, amuser aussi la galerie dans les salons « chauds ».

Méprisés de la sorte, ils ne sont ainsi pas vus comme dotés aussi d’autres désirs, tel le fait de pousser le plus loin possible leur persistance culturelle à rester fermés, en grande majorité, à toute ingérence étrangère (même « universelle »), en particulier concernant les femmes et la tolérance envers les minorités qu’elles soient sexuelles ou ethniques (la dhimmitude). Cette persistance va être même encouragée en haut lieu, et ce depuis des lustres en permettant le financement d’enclos perpétuant cet « opium » de toute façon également protégé dans sa version solide, tant le trafic de drogue est devenu à la fois un moyen soporifique de maintien de l’Ordre et aussi plus généralement le symbole d’une faillite généralisée de la spiritualité occidentale incapable désormais de comprendre la sourde misère individuelle des « foules solitaires » (Minc osant dans le même débat contre Zemmour parler de « déclin de l’Occident » comme si c’était un scoop, ou le pompier pyromane) personnifiées par ces consommateurs de « crack » que l’on balade ici et là dans le Nord parisien.

On assiste alors à ces étranges paradoxes (qui font toujours le suc de la réalité historique sans cesse créatrice de nouvelles formes) lorsque l’on voit que cet islam de plus en plus djihadiste, au sens de se ressourcer littéralement en grand et dans les détails au sein des écrits fondateurs, se nourrit des impérities du néo-léninisme et son visage « déconstruit » façon moins Picasso que Foucault, Bataille, Deleuze, Derrida lorsque ces derniers expliquent qu’il faut détruire l’Homme (la fameuse « fin de l’Homme »), entendez le Sens porté par le judéo-christianisme ayant précisément détaché de la culture gréco-romaine la figure humaine en tant que telle, distincte autant de César que de Dieu, afin de poser justement que l’émancipation des désirs ne suffit pas s’il n’y a pas affinement intérieur se reflétant à l’extérieur dans ses actions.

Or, c’est précisément cela aussi le soc du djihadisme dans sa « grande » version, entendez métaphysique (ou la victoire de Ghazali sur Averroès) au sens de se servir de la force thermique de notre océan intérieur non pas pour s’élever (à l’exception du soufisme, sans doute, façon Guénon) vers la Contemplation, mais plutôt l’Art Martial (bien maîtrisé aussi par la spiritualité asiatique) ou la Guerre permanente qu’est la politique. Mahomet avait, bien avant Lénine, inversé l’adage clausewitzien, en oubliant cependant toujours de distinguer, par-delà leur conflit nécessaire (bien vu par Hegel) identité et différence, César et Dieu, la Contemplation et la Technique (les Chinois se servant de la poudre uniquement pour s’amuser alors que celle-ci a permis en Occident le Tournant technique, celui allant de l’arbalète vers l’arquebuse, ce qui a stoppé l’avancée djihadiste des Ottomans qui avaient triomphé des Arabes et des Perses… Puis en effet la domination de l’Europe sur le monde, pour le meilleur comme le pire, à l’instar de toutes les dominations précédentes ? Non.

Parce qu’émergea aussi la prégnance de la symbiose occidentale entre liberté d’être, cette singularité au sein d’un « nous » de plus en plus choisi… (On ne comprendrait d’ailleurs pas l’essaimage des cités grecques, l’émergence des villes dites « franches » au Moyen-âge, mais aussi l’émigration des collectivités religieuses ayant fondé les USA), toute une prégnance certes mise à mal par la désormais séculaire « trahison des clercs » et aussi aujourd’hui par toute une élite cynique et nihiliste qui haïe le fait de comprendre que la nation, ne serait-ce que dans l’acception de Renan, signifie d’abord « communauté de destin » et non pas empaquetage de corps débités à l’identique ou alors interchangeables ou la vision « porno » du monde, comme le disait Jean Baudrillard : corps fabriqués désormais sur la chaîne de montage hyperréaliste des Modèles cybernétiques ne voyant plus les individus que comme des « paquets » de signes à commuter selon le logiciel nécessaire et suffisant ou QR code à visage déconstruit, tout en rêvassant, dans les centres-villes devenues musées voire « pompéisés » (dixit Baudrillard), de cette vie si vivace fulgurante et bigarrée d’autrefois ou le « Monde d’hier » de Zweig.

Dans ce désert symbolique de plus en plus numérisé le djihadisme reconstitué (remugle des avatars successifs comme le wahhabisme tentant vainement de renouer avec l’impossible imitation des conquêtes d’Alexandre le Grand) se sert du néo-léninisme à visage déconstruit (Mélenchon et Rousseau, le wokisme US UK UE ou le racisme inversé) pour vivre spirituellement sur la culpabilité souffreteuse du judéo-christianisme victimaire comme l’a bien vu Nietzsche d’une part ; le djihadisme 2.0 se sert aussi d’autre part de l’affairisme hygiéniste globaliste cybernétique (Minc, Macron) comme autant d’énergies — spirituelles-renouvelables : dans la mesure où le premier (le néo-léninisme) lui sert à la fois de marchepieds avec le » sans frontières » et le » on rase gratis à tous les étages » et en même temps de repoussoir au niveau des mœurs (les « trans » ne sont en transe que parmi les déconstruits qui se ramassent à la pelle dans les universités et médias ces « poubelles jaunes » pour paraphraser Olivier Delamarche sur Gérard Infos) tandis que le second (l’affairisme globaliste) lui sert de tremplin paravent chinois repoussoir aussi tant il domine de plus en plus les instances mondiales jusqu’aux parlements et exécutifs US UK UE.

Faut-il pour autant s’avouer vaincu comme le pense l’auteur de « Soumission » ou en avoir si peur comme s’alarme Zemmour qu’il en fait même la priorité des priorités ?…

Une chose semble en tout cas plausible : cette émergence idéologique qui semble assembler des courants d’idées autrefois opposées tout en croyant proposer des solutions comportementales durables aux maux modernes de l’individu modélisé, s’avère être elle aussi le symptôme façon Frankenstein de ce qu’elle prétend pourtant combattre : le nihilisme élevé au rang de science méticuleuse et donc paranoïaque (la dernière vidéo de Raoult, 28/09/21, en parle dans son domaine spécifique).

Pourtant, l’énergie spirituelle pour paraphraser Bergson n’est pas au service d’une ambition terrestre reposant sur la seule Puissance si ne s’articule pas aussi l’Autorité et la Compétence, ces trois angles du Pouvoir d’être quelque chose plutôt que rien alors que nous sommes aujourd’hui dans la situation inverse : « pourquoi rien et pas plutôt quelque chose » disait Baudrillard (avant de succomber lui aussi sous le charme de l’indulgence devant la « soumission » tant le désir de trouver une Mana salvatrice l’assaillait tout autant)…

Les jeux (de l’Esprit) sont en fait à nouveau ouverts, tel est, déjà, l’avantage d’une « candidature » Zemmour qui, pour l’anecdote, remue déjà les cours de récré puisque certains enfants s’amusent à transformer sur un site dédié les prénoms étrangers en prénoms français…




Comment la peur court-circuite le raisonnement

[Source : Nexus via reseauinternational.net]

Détournement de l’amygdale du cerveau : tous hackés par le narratif de la peur ?

Avec la crise du Covid-19, nombre de Français ne comprennent plus certaines réactions de leurs proches face à la réalité. Nous avons constaté ces derniers mois qu’il est de plus en plus difficile de discuter de certains aspects de la gestion sanitaire avec des collègues, des amis, voire la famille. Le clivage, le jugement ou le déni, semblent être devenus la nouvelle normalité dans la société et l’amygdale de notre cerveau n’y est certainement pas pour rien…

Face à l’évocation de certains faits qualifiés de « fake news » par les médias mainstream, aussitôt se met en place une stratégie d’évitement, voire de conflictualité. La peur de voir la réalité dans son ensemble s’est-elle emparée du raisonnement dans la société depuis notre amygdale ? Il s’avère que cette partie de notre cerveau joue un rôle déterminant dans le rapport à la réalité et à la manipulation de la population.

◆ L’amygdale du cerveau, la gardienne des souvenirs émotionnels

Nous savons tous que nous avons des amygdales au fond de la gorge, mais le « complexe amygdalien » du cerveau est quant à lui peu connu, il est aussi appelé amygdale. C’est un groupe de cellules en forme d’amende situé derrière l’os temporal, au niveau des tempes. L’amygdale du cerveau sert au décodage et à la régulation des émotions. En elle, les souvenirs de joie, de tristesse, de bonheur se trouvent conservés et associés à des émotions. On parle alors de souvenirs émotionnels dont l’amygdale du cerveau est la gardienne. Elle fait partie du système limbique du cerveau, aussi appelé cerveau émotionnel qui conditionne les réponses émotionnelles et comportementales d’une personne.

◆ L’amygdale du cerveau, le système d’alarme organique

Dans notre cerveau, le complexe amygdalien est en charge de la sécurité de l’intégrité physique et psychique de son hôte. Elle a une fonction d’alarme« dédiée aux situations pouvant constituer un danger ou une menace ».

Les émotions telles que le stress, la peur, l’anxiété, l’agression et la colère peuvent l’activer. Combattre ou fuir, c’est l’amygdale du cerveau qui décide pour l’être humain, de manière autonome, sans lui demander son avis. Lorsque le complexe amygdalien détecte un danger, il signale à votre cerveau de pomper des hormones de stress, préparant votre corps à lutter pour survivre, ou à fuir pour se mettre en sécurité.

 ◆ Le lobe frontal et le raisonnement

Le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision et la planification, sans mode alerte à la différence de l’amygdale. Selon l’Institut du Cerveau, 

« Le lobe frontal est une région du cerveau responsable de la coordination motrice volontaire et du langage. Il contient notamment les aires qui contrôlent la coordination musculaire, et les mouvements de la tête et du cou comme la mastication et la déglutition. Il renferme également les centres de la mémoire, de la prise de décision, de la créativité et du raisonnement par analogie. »

Si le lobe frontal du cerveau régule le raisonnement, la pensée, le mouvement, la prise de décision, l’amygdale peut « hacker » son système, c’est-à-dire littéralement le court-circuiter.

◆ Quand l’amygdale du cerveau détourne le lobe frontal

Le Dr Karin Gepp est une psychologue clinicienne expérimentée dans une grande variété de domaines, notamment les difficultés liées à l’humeur, l’anxiété, la psychose, les traumatismes, les dépendances, les troubles de la personnalité, les problèmes d’adaptation, la gestion de la colère et les sujets médico-légaux. Sur le site healthline.com, elle écrit ceci :

« Le détournement de l’amygdale se produit lorsque votre amygdale réagit au stress et désactive vos lobes frontaux. Cela active la réaction de lutte ou de fuite et désactive les réponses rationnelles et raisonnées. En d’autres termes, l’amygdale “détourne” le contrôle de votre cerveau et de vos réponses. »

Le Dr Karin Gepp cite également Daniel Goleman qui est un psychologue américain, docteur en psychologie clinique et développement personnel, devenu journaliste au New York Times, où il suit particulièrement les sciences du comportement. Dans son livre de 1995 intitulé « Emotional Intelligence : Why It Can Matter More Than IQ »il a baptisé cette réaction émotionnelle excessive au stress « détournement de l’amygdale ». Voici une vidéo dans laquelle il explique le processus.

◆ Le narratif de la peur vous menace de mort et de sanction

Le Directeur Général de la Santé, tous les jours, début 2020, nous annonçait les morts dues au coronavirus. Dans la mémoire émotionnelle de beaucoup de citoyens, le terme Covid-19 n’est-il pas égal à « mort systématique » ? Encore aujourd’hui, les titres des médias de masse nous annoncent sans cesse le retour de flambées épidémiques et des chiffres inquiétants. « Le Covid-19 a tué plus d’Américains que la grippe espagnole », titrait par exemple Le Parisien le 21 septembre 2021. Au Royaume-Uni, l’utilisation exacerbée de la stratégie de la peur a été récemment admise au plus haut niveau de l’État.

La musique du générique du JT de TF1 elle-même est anxiogène. Serge Llado, chroniqueur dans « On va s’gêner », l’émission de Laurent Ruquier sur Europe 1 expliquait en 2006 que ce générique semblait être construit sur l’un des thèmes de la bande originale du film d’horreur « Les Dents de la mer ».

Le citoyen ne semble plus avoir d’autre choix que d’avoir peur, se faire vacciner, et être dénigré ou menacé  jusque dans les médias s’il ne le fait pas.  À titre d’exemples, citons les propos d’Emmanuel Lechypre qui a déclaré vouloir aller chercher les non-vaccinés avec des menottes pour les faire vacciner de force, ou encore ceux du Professeur Gilbert Deray, qui a accusé les leaders antivax d’être des « criminels » sur RMC en juillet 2021.

◆ Vers un nouvel Ordre dépressif ? 

Les menaces psychologiques et le narratif mainstream permanent de la menace de mort ou de sanction peuvent déclencher la réaction de l’amygdale et des mécanismes de défense psychotiques. Notre rationalité par rapport au réel peut être en quelque sorte hackée. Avec la menace permanente de mourir et la culpabilisation, comment rester calme, rationnel, devant tant d’informations anxiogènes ? Quels stimuli ces narratifs mainstream envoient-ils à nos amygdales ? Nous conduit-on vers une dépression mondialisée ?

Sur le site neuroplasticite.com, on peut lire : « Siège de nos émotions les plus primitives, l’amygdale reçoit des afférences directes de différentes modalités sensorielles et se projette sur de nombreuses régions cérébrales, comme l’hippocampe ou l’hypothalamus. L’action amygdalienne a donc un rôle de survie car c’est elle qui nous fait réagir en une fraction de seconde à la suite d’un stimulus menaçant. L’amygdale a également un rôle important dans la reconnaissance des émotions. Les patients victimes de lésions bilatérales de l’amygdale souffrent d’une véritable anesthésie des émotions et ne connaissent plus ni l’angoisse ni le plaisir. »

D’après Serban Ionescu, psychiatre et psychologue, professeur émérite de psychopathologie à l’Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis : 

« Les mécanismes de défense sont des processus psychiques inconscients visant à réduire ou à annuler les effets désagréables des dangers réels ou imaginaires, en remaniant les réalités internes et/ou externes et dont les manifestations – comportements, idées ou affects – peuvent être inconscientes ou conscientes ».

Les auteurs de cette violence psychologique (en infraction à l’article 222-14-3 du Code Pénal) peuvent ainsi contrôler leurs victimes par les émotions. Selon Passeportsante.net, dans un article consacré à la manipulation mentale,

« La manipulation mentale consiste à mettre en place une emprise sur la conscience d’autrui pour pouvoir la contrôler de façon à lui faire adopter des comportements qui ne sont pas dans son intérêt. »

◆ Clivage et déni des citoyens incités par la presse

Les citoyens déclenchent ces mécanismes de défense de façon inconsciente. Ceux qui cherchent en dehors de ce qui est communément admis se voient marginalisés, ce sont des « anti-ceci », des « anti-cela », des « complotistes », etc.  Les troubles psychotiques affectent le fonctionnement du cerveau de façon majeure en modifiant les pensées, les croyances ou les perceptions. Trop stressés par les mantras de menace de mort et de culpabilisation, beaucoup de citoyens utilisent désormais des mécanismes de défense pour clore tout débat rationnel sur la situation Covid-19. Ces mécanismes sont essentiellement le clivage et le déni, dont ils n’ont pas conscience.

D’après le site cairn.info, dans un article intitulé  L’étude des mécanismes de défense psychotiques ; un outil pour la recherche en psychothérapie psychanalytique, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux IV de 1994 énonce que 

« les individus n’ont généralement pas conscience de ces processus lorsqu’ils sont à l’œuvre. Les mécanismes de défense opèrent une médiation entre la réaction de l’individu aux conflits émotionnels et les facteurs de stress internes ou externes. Les mécanismes de défense sont divisés conceptuellement et empiriquement en différents groupes qui se rapportent aux niveaux de fonctionnement défensif ».

Il ne faut pas oublier que les médias français sont détenus pour la très grande majorité par des groupes privés, lesquels ont besoin de vendre. Les médias à grande diffusion ne respectent pas toujours la Charte de Munich qui concerne la déontologie du journalisme, composée de 10 devoirs et de 5 droits qui tiennent sur une page. Parmi ces devoirs, on trouve celui de « Respecter la vérité, quelles qu’en puissent être les conséquences pour lui-même, et ce, en raison du droit que le public a de connaître la vérité », et celui de « Défendre la liberté de l’information, du commentaire et de la critique. » Ce devoir d’information et de vérité peut manquer dans les gros titres, car le sensationnel fait vendre…

◆ Garder la tête froide et connaître les lois pour qualifier les violences psychologiques

Pour Alexandre Boisson, ex-policier garde du corps de Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy et expert en sécurité systémique, le citoyen peut sortir de l’emprise de la peur et éviter de se faire hacker par l’amygdale du cerveau.

« C’est juste un entraînement à faire sur d’autres parties du cerveau. Pour sortir de ce piège, il faut rester factuel, poser des questions, s’intéresser à la loi, observer le réel au-delà de ce que raconte le communément admis et rationaliser les événements. Le citoyen doit observer, par exemple, toutes les unes des médias à grande diffusion depuis le début de la crise. Il doit les relire et les comparer au réel. Est-ce que tous les Suédois sont morts ? Que disait la presse mainstream française de tous ces réfractaires Suédois aux mesures sanitaires de confinement qu’on imposait aux Français ? Face à de telles pressions psychologiques exercées par les médias mainstream et la doxa, pressions psychologiques pouvant entrainer un état de sujétion mentale, il est important de poser des maux sur les mots. Avec Légifrance, le service public de la diffusion du droit, les citoyens disposent d’un très bon outil pour qualifier, les violences psychologiques dont ils sont victimes. Ils peuvent ainsi qualifier au regard du code pénal : les menaces d’exclusion, les pressions psychologiques, les chantages, les discriminations et autres extorsions de consentement. »

Images par Gerd Altmann et RENE RAUSCHENBERGER de Pixabay




3e dose vaccinale appelée « booster »

[Source : La Minute de Ricardo]

Bonjour à tous, comme ici derrière moi, la maison brûle. En novembre 2021, vous aurez le droit à la troisième dose, plus la quatrième et bien sûr, sûrement la cinquième ! La personne et son corps vont devenir une véritable éponge. Il y a aussi cette autre injection contre la grippe qui va devenir obligatoire ! Il faudra en plus faire un test tous les trois jours, un test de 75 euros, bien sûr, payant ! Mais au delà de ça, ils veulent nous faire ce que les médecins appellent une explosion sur le plan immunitaire. En gros, m’a confirmé un médecin de Marseille tout à l’heure au téléphone, on n’aura plus les moyens de se défendre contre toute agression autre que le Covid, staphylocoque, tumeurs et autres. Bref, le corps ne pourra pas lutter. Alors, ceux qui ont peur des doses vont être considérés comme hors la loi. La répression est en train de s’organiser ! Elle va, croyez moi, être violente ! On rentre maintenant dans le dur ! En Israël, la quatrième dose est votée !

Avec Natacha, nous avons rencontré une représentante de Pfizer en Europe en toute confidentialité. Elle nous confirme trois choses: 1 – Les vaccins vont être remplacés par des pilules testées en Belgique à l’heure actuelle et qui vont donc remplacer la piqûre. 2 – On ne pourra plus sortir du pays sans la troisième dose qui rendra caduques les deux premières, ce qui sera le cas en Grande-Bretagne dans les jours qui viennent. 3 – Et puis cette terrible information: savez vous comment ils appellent la troisième dose chez Pfizer ? Ils appellent ça le booster ! Cette troisième dose a pour objet de vous surcharger pendant cinq ans, ! Un booster, si vous voulez encore vous faire piquer, libre à vous, ce sera sans moi et on se battra, croyez moi, jusqu’au bout. C’est quoi tout cela ? En fait, c’est une forme d’euthanasie sans son propre consentement !