PSEUDOVAX anti-SARS CoV-2 et vieillissement précoce : la dose fait le poison

Par nicole Delépine

On l’a longtemps murmuré devant des nouveau-nés précoces et rapidement vieillis, devant des flambées de cancer témoignant de défaut de réparation naturelle, devant des sujets vaxx transformés en « vieux » y compris des célébrités, mais on ne disposait pas d’étude scientifique confirmant ces constatations et les validant par la découverte de son mécanisme cellulaire.

L’article Revealed : Vaccine Induced Cellular Ageing — 21st Century Wire du 28 nov 2021 BY NEWS WIRE nous ouvre des horizons inquiétants auxquels il faut pour le moins réfléchir. L’injection génique, au-delà de son inefficacité et des effets secondaires reconnus de plus en plus nombreux, serait-elle à l’origine d’un vieillissement précoce et de troubles associés à l’âge ?

Le Dr Mike Williams étudie le Vieillissement cellulaire induit par le vaccin.

L’auteur a précédemment discuté du risque accru d’infection par le SARS-CoV-2 après la vaccination Covid et introduit des concepts de tolérance immunitaire et d’entraînement immunitaire.

Dans cet article, il précise le sujet de la sénescence cellulaire, en particulier en ce qui concerne la vaccination Covid.

De la sénescence cellulaire

« La sénescence cellulaire est un processus qui résulte d’une variété de stress et conduit à un état d’arrêt irréversible de la croissance. Les cellules sénescentes s’accumulent au cours du vieillissement et ont été impliquées dans la promotion d’une variété de maladies liées à l’âge.

La sénescence cellulaire peut jouer un rôle important dans la suppression des tumeurs, la cicatrisation des plaies et la protection contre la fibrose tissulaire.

Cependant, il existe également des preuves accumulées que les cellules sénescentes peuvent avoir des effets nocifs in vivo et peuvent contribuer au remodelage des tissus, au vieillissement de l’organisme et à de nombreuses maladies liées à l’âge. »

Le processus de sénescence est synonyme de vieillissement cellulaire et on peut supposer que l’induction de la sénescence cellulaire favorisera un vieillissement accéléré.

Comme le soulignent Gonzalez-Meljem et al. dans « Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumorigenesis(([1] Gonzalez-Meljem JM, Apps JR, Fraser HC, Martinez-Barbera JP. Paracrine roles of cellular senescence in promoting tumourigenesis. Br J Cancer. 2018 May;118(10):1283-1288. doi: 10.1038/s41416-018-0066-1. Epub 2018 Apr 19. PMID : 29670296 ; PMCID : PMC5959857))» : c’est une épée à double tranchant :

« Bien que la sénescence ait été considérée comme un mécanisme de protection contre la tumorigenèse, les activités des cellules sénescentes sont de plus en plus associées à des maladies liées à l’âge, y compris le cancer. Une caractéristique importante des cellules sénescentes est la sécrétion d’une vaste gamme de cytokines pro-inflammatoires, de chimiokines et de facteurs de croissance collectivement connus sous le nom de phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP). Des recherches récentes ont montré que la signalisation paracrine SASP peut médier plusieurs effets pro-tumorigènes, tels que l’amélioration des phénotypes malins et la promotion de l’initiation tumorale ».

Dans « Management of multicellular senescence and oxidative stress »,(([2] Haines DD, Juhasz B, Tosaki A. Management of multicellular senescence and oxidative stress. J Cell Mol Med. 2013 Aug;17(8):936-57. doi: 10.1111/jcmm.12074. Epub 2013 Jun 22. PMID : 23789967 ; PMCID : PMC3780549.)) Haines et ses coauteurs rappellent :

la première étape de la sénescence cellulaire est l’arrêt du cycle cellulaire induit par les dommages, également appelé sénescence réplicative (RS).

En règle générale, cet arrêt de croissance est déclenché par des réponses aux dommages à l’ADN induites par le stress et peut également être induit à la suite des effets de l’érosion des télomères — un phénomène qui produit des métabolites liés au stress.

Ainsi certains facteurs de stress peuvent causer des dommages à l’ADN qui induisent des réponses dans la cellule qui peuvent conduire à l’arrêt du cycle cellulaire.

Dans le SRAS-CoV-2la Spike Protein Induit la sénescence paracrine et l’adhésion leucocytaire dans les cellules endothéliales(([3] Meyer K, Patra T, Vijayamahantesh, Ray R. SARS-CoV-2 Spike Protein Induces Paracrine Senescence and Leukocyte Adhesion in Endothelial Cells. J Virol. 2021 Aug 10;95(17):e0079421. doi : 10.1128/JVI.00794-21. Epub 2021 Aug 10. PMID : 34160250 ; PMCID : PMC8354225.)) Meyer et ses collègues explorent une relation entre la sénescence cellulaire et les cellules infectées par le virus Sars Cov2.

Leurs conclusions sont préoccupantes.

Les cellules épithéliales humaines infectées par le virus ou transfectées par des pointes (protéine spike) ont présenté une augmentation de la sénescence, avec une libération de molécules inflammatoires liées au phénotype sécrétoire associé à la sénescence (SASP).
Le point clé est à la fois les cellules infectées par le virus Sars Cov2 et les cellules transfectées par les protéines de pointe induisent la sénescence cellulaire.

Que va provoquer la campagne mondiale visant à injecter jusqu’à trois doses ou plus pour tous les âges, même les très jeunes ? Ne serait-il pas temps d’imposer un moratoire avant de poursuivre cette expérimentation sur des milliards d’individus ?

Ces pseudo vaccins seront administrés à plusieurs reprises chaque année. Tous, à chaque injection dose, produisent de l’ordre de milliards de protéines de pointe.

Les études animales ont démontré une distribution efficace des porteurs de vaccins de l’ARNm pour produire ces protéines de pointe, en quantités variables dans tout le corps,

Grave préoccupation.

Yang et Mei(([4] Jiang H, Mei YF. SARS-CoV-2 Spike Impairs DNA Damage Repair and Inhibits V(D)J Recombination In Vitro. Viruses. 2021 Oct 13;13(10):2056. doi: 10.3390/v13102056. PMID : 34696485 ; PMCID : PMC8538446.)) ont démontré une autre partie du puzzle :

« Pour déterminer comment la protéine de pointe inhibe à la fois les voies de réparation NHEJ et HR, nous avons analysé le recrutement de BRCA1 et 53BP1, qui sont les protéines de point de contrôle clés pour la réparation HR et NHEJ, respectivement. Nous avons constaté que la protéine de pointe inhibait nettement la formation de foyers BRCA1 et 53BP »

Ces données montrent que la protéine de pointe pleine longueur du SRAS-CoV-2 inhibe la réparation des dommages à l’ADN en entravant le recrutement de la protéine de réparation de l’ADN.

« Il s’agissait d’une étude de laboratoire utilisant des modèles cellulaires qui ont démontré que la protéine de pointe pleine longueur était exprimée dans le noyau de la cellule. Il est important de noter que la protéine de pointe ne doit pas être trouvée dans le compartiment VIP de la cellule — le noyau.

Une fois sur site, la protéine de pointe a empêché d’autres protéines, par exemple BRCA1, d’être recrutées pour la réparation NHEJ — empêchant la réparation de l’ADN endommagé ».

L’organisme a des mécanismes de secours, mais nous savons via l’oncologie que les dommages causés aux protéines clés telles que BRCA1 entraînent une augmentation significative du risque de cancer et une durée de vie raccourcie.

Les dommages à l’ADN laissés non réparés ou non réparés correctement peuvent également conduire à la sénescence cellulaire.

Risques pour le fœtus

La mitose est une division cellulaire où la cellule se divise en deux moitiés identiques. Ce type de division est très important dans le développement du fœtus car il constitue la base de l’embryogenèse.

Gerasymchuk 2021 s’inquiète :

« Avec des nanoparticules jusqu’à 500 nm étant absorbées par le placenta ; et les nanoparticules lipidiques du vaccin Covid19 étant de l’ordre de 60-100 nm, qu’en est-il du risque pour le fœtus en développement ces particules traversent le placenta et accède au fœtus en développement ? »

CES ARTICLES ÉVOQUENT LES CONSÉQUENCES POSSIBLES DE DOMMAGES SUR L’ADN

« preuves naissantes de dommages à l’ADN induits par les protéines de pointe et de sénescence cellulaire, avec toutes leurs séquelles et conséquences connexes : réparation cellulaire dysfonctionnelle, cancer et vieillissement prématuré — mort »

« La dose fait le poison » est un principe de base en toxicologie

Cela ne devrait pas être différent avec les injections géniques anticovid.

En dehors de tous les autres effets graves déjà démontrés à la suite de la « vaccination » impliquant fortement la protéine de pointe, les injections répétées des êtres humains avec des produits inhibant potentiellement la réparation de l’ADN et provoquant une sénescence cellulaire, avec les risques de cancer assistés et la diminution de la durée de vie, méritent réflexion et justifient un moratoire.

Dans le cas du fœtus en développement, ce risque aurait dû susciter des recherches fondamentales avant la mise sur le marché des vaccins.

La sénescence cellulaire explique-t-elle l’augmentation de la mortalité toutes causes confondues observée depuis la généralisation des injections anti-covid ?

Le taux de mortalité globale (toutes causes confondues) est plus robuste que les données Covid en raison du manque de fiabilité (définitions imprécises et discutables) de celles-ci. La mortalité globale (toutes causes confondues) est beaucoup moins corruptible. L’expression en taux standardisé selon l’âge, supprime beaucoup de facteurs de confusion.

L’analyse de la mortalité toutes causes confondues révèle un taux de mortalité chez les vaccinés deux fois supérieur à celui des non-vaccinés.

Source : ONS — Décès par statut vaccinal, Angleterre — 2 janvier au 24 septembre 2021.

Cette augmentation de la mortalité globale chez les vaccinés constatée par l’Office National des Statistiques (ONS) britannique, très inquiétante, pourrait être en partie expliquée par les études scientifiques précédemment citées.

Consectetuer est venenum — la dose fait le poison.





Injection génique chez les enfants : aberration inutile et dangereuse. MàJ

Par Nicole Delépine

[Mise à jour : vidéo en fin d’article].

Mais payée jusqu’à deux millions de dollars pour ceux qui en font la propagande !

Jusqu’où iront-ils et jusqu’à quand les parents laisseront-ils faire cette folie criminelle ?

« Une éventuelle campagne de vaccination des plus jeunes en France ne débuterait pas avant la fin de l’année au plus tôt, a indiqué Olivier Véran »,

écrit Le Parisien, le 11 novembre 2021.

AU SECOURS HIPPOCRATE ! 

On a appris il y a quelques jours que l’EMA autorisait l’injection expérimentale du Pfizer aux enfants de 5 à 11 ans. Tristesse, désespoir, colère. Pourquoi attaquer ces petits déjà meurtris par les mesures restrictives de leur liberté depuis deux ans ou presque dont le port du masque, sans intérêt contre la transmission,(([1] Comme l’ont démontré entre autres l’essai randomisé danois Danmasq19 et la Suède qui a laissé ses enfants aller sans masque à l’école et n’a constaté aucune propagation du virus en milieu scolaire.)) mais toxique avec risques médicaux, psychologiques et surtout sociaux ? Des enfants de 6 ans dessinent des visages sans bouche ni nez. Imaginez-vous que ce sera sans séquelles à vie ?

« Le vaccin de Pfizer contre le Covid-19 a été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans par le régulateur européen du médicament », a annoncé le 25 novembre 2021 cette agence, ouvrant la voie à une vaccination au sein de ce groupe d’âge dans l’Union européenne.

Un groupe d’experts « a recommandé d’approuver une extension de l’application du vaccin contre le Covid-19 Comirnaty pour inclure son usage chez les enfants de 5 à 11 ans », a expliqué l’Agence européenne des médicaments (EMA). Ce vaccin à ARN messager est déjà autorisé pour les enfants de plus de 12 ans dans les 27 pays de l’UE.(([2] https://video.lefigaro.fr/figaro/video/Covid-19-lautriche-commence-a-vacciner-les-enfants-de-plus-de-cinq-ans))

Hors du continent européen, le vaccin de Pfizer a déjà été approuvé pour les enfants de 5 à 11 ans dans un petit nombre de pays, parmi lesquels les États-Unis, Israël(([3] https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/14/Covid-19-israel-autorise-la-vaccination-des-enfants-de-5-a-11-ans_6102053_3244.html/)) et le Canada. Les enfants de 5 à 11 ans recevront un tiers de la dose utilisée pour les personnes plus âgées, en deux injections espacées de trois semaines, a expliqué le régulateur européen.

Le vaccin a démontré une efficacité de 90,7 %,(([4] En réalité seulement 1517 enfants ont reçu l’injection, l’efficacité n’a pas été jugée sur des critères pertinents (nombre de maladies symptomatiques et d’évolutions sévères), mais seulement sur le taux des anticorps (dont on ne connaît mal le rôle précis dans cette maladie nouvelle) et le suivi médian ne dépasse pas 2,3 mois, totalement insuffisant pour évaluer les effets secondaires.)) lors d’un essai réalisé sur 2 000 jeunes enfants suivis de cette classe d’âge a-t-il ajouté. Les effets secondaires ont été jugés « légers ou modérés ».(([5] Le nombre des enfants injectés et leur suivi médian ne dépassant pas 2,3 mois sont totalement insuffisants pour évaluer les complications à moyen et plus long terme ; en particulier aucune péricardite n’a été signalée alors qu’il s’agit d’une complication reconnue de ce pseudo vaccin à cet âge.)) Ils peuvent durer quelques jours et peuvent se manifester sous la forme d’une douleur localisée à l’endroit de l’injection, d’une fatigue, de maux de tête, de douleurs musculaires ou d’un rhume.

Selon le communiqué, le régulateur « a donc conclu que les bénéfices du Comirnaty chez les enfants de 5 à 11 ans dépassent les risques, particulièrement chez ceux qui présentent des comorbidités augmentant le risque de contracter une forme grave du Covid-19 ».

La propagande récente de l’Institut Pasteur

Pour promouvoir la vaccination chez les enfants qui n’ont absolument aucun bénéfice à en espérer, tous les médias montent en épingle un détail d’une étude de l’institut pasteur selon laquelle les personnes de plus de 40 ans vivant avec des enfants seraient plus exposées à la contamination.(([6] BFM TV Covid-19 : les personnes vivant avec des enfants sont plus exposées à la contamination 26/11/2021))

Il faut préciser que les auteurs de cet article(([7] Rebecca Grant Impact of SARS-CoV-2 Delta variant on incubation, transmission settings and vaccine effectiveness: Results from a nationwide case-control study in France The Lancet Regional Health – Europe 2021;00:100278)) sont majoritairement salariés par les promoteurs et/ou responsables des vaccinations.(([8] Institut Pasteur, Research & Action Emerging Infectious Diseases (REACTing), ANRS | Maladies Infectieuses Emergentes, Fondation de France (Alliance « Tous unis contre le virus »), Caisse Nationale d’Assurance Maladie, Paris, France…)) Que le but déclaré du travail est de préciser l’impact du variant delta sur l’efficacité des pseudo vaccins actuels. Qu’il ne s’agit absolument pas d’une enquête épidémiologique, mais une simple étude « cas control » dont tous les scientifiques admettent la très faible valeur probante du fait de l’incertitude de la réelle représentativité du groupe dit «control » construit a posteriori. De plus, le nombre de sous-groupes testés n’est pas précisé et tout le monde sait qu’au risque 5 % un test sur vingt est positif, même en l’absence de tout lien causal.

De plus, cet article de circonstances contredirait les conclusions de l’enquête épidémiologique de ce même Institut Pasteur sur les écoles de Creil et de plus d’une vingtaine d’articles internationaux prouvant que « les enfants sont innocents du Covid ».(([9] https://docteur.nicoledelepine.fr/il-faut-stopper-la-pub-a-la-vaccination-chez-lenfant-innocent-du-sars-cov-2/))

Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre ce rhume des fous(([10] Vacciner les enfants, une absurdité dramatique contre le rhume des fous (20+) Facebook ReinfoCovid Quebec))

Des appels à la raison émanent de partout dans le silence et la soumission des peuples dont les 20 à 30 % réveillés n’arrivent pas à ouvrir les yeux de trop de concitoyens travaillés au corps par les politiques et la propagande écrasante des médias aux ordres.

De plus en plus de personnes même médiatiques prennent conscience de la vaste manipulation, mais encore insuffisamment nombreux. Poursuivons l’information, l’exposé des faits avérés et sauvons des vies, comme disait Pascal Praud quand il croyait aux prétendus vaxx…

Combien de victimes faudra-t-il avant ce réveil salutaire ?

Nous ne pouvons que confirmer ce que tous les articles les pédiatres honnêtes expliquent depuis avril mai 2020 :

Les enfants non malades (sans comorbidité = sans cancer ni immunodépression) ne risquent rien du SARS-CoV-2(([11] Il ne faut pas vacciner les enfants contre le Covid-19 — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) même dans ses formes initiales plus virulentes, les mutants actuels dont l’Omicron étant de moins en moins dangereux, bien que plus contagieux : une tempête dans une tasse de thé selon les Sud-Africains.

Les enfants porteurs du rhume Covid ne contaminent ni les enfants ni les adultes et aucun bénéfice collectif n’est à attendre de cette injection chez les petits. DONC PAS DE BÉNÉFICE NI INDIVIDUEL NI COLLECTIF.

L’INJECTION, UN RISQUE NON NÉGLIGEABLE ET INUTILE

Comment convaincre les parents de refuser cette injection chez les petits ?

Une nouvelle fois, rappeler l’état des lieux des effets dits indésirables avec les données récentes et les diffuser au maximum. Lecteurs, aidez-nous, aidez les petits et informez vos proches.

Ce risque est bien réel, car plus les sujets sont jeunes, plus leur système immunitaire est réactif, donc plus les enfants sont à risque de complications liées à la déferlante immunitaire.

C’est ainsi que les immunologistes expliquent que les jeunes présentent beaucoup plus de complications en tous cas précoces, des injections que les sujets âgés dont l’immunité est peu réactive. Et plus on est jeune, plus on est à risque : ainsi les sujets de moins de trente ans font des myocardites post vax, mais les 15 -18 ans plus que les 20 –30 ans et moins que les 11 – 15. Tout est à craindre chez les plus petits.

Les graphiques suivants montrent la parfaite concordance entre le nombre d’injections et la fréquence des myocardites et démontrent ainsi l’effet dose.

Vaccinations des enfants de 10 à 14 ans et mortalité toutes causes confondues en Angleterre — données officielles

Comparée à la moyenne de la mortalité toutes causes confondues de ces enfants pour les 5 dernières années : augmentation de + 44 %

Pour le Virologue J-M Claverie : La « vaccination » des enfants est une erreur grave(([12] https://planetes360.fr/video-virologue-j-m-claverie-la-vaccination-des-enfants-est-une-erreur-grave/))

La maladie des enfants est complètement bénigne. Ce rhume n’est pas dangereux, on devrait laisser les enfants faire leur petite maladie dans leur coin et pour acquérir l’immunité naturelle contre tous les ingrédients du virus et pas seulement une seule protéine. De plus la durée des tests a été très insuffisante : suivi 57 jours !

LES FORMES GRAVES CHEZ LES ENFANTS SONT UN MYTHE

Même la société française de pédiatrie le reconnaît :

voici sa mise au point le 30 septembre 2021 : FORMES GRAVES DE Covid CHEZ L’ENFANT : QU’EN EST-IL VRAIMENT ?

En août 2021, des données venant des USA et concernant un nombre important de décès des enfants et adolescents ont inquiété quant à la possibilité d’une plus forte virulence chez l’enfant. Cependant, ces données sont à moduler par les données globales aux États-Unis (https://www.aap.org/en/pages/2019-novel-coronavirus-Covid-19-infections/children-and-Covid-19-state-level-data-report/) qui font état d’un taux de létalité de 0,00 %-0,03 % (pourcentage de décès parmi les enfants atteints de Covid).

Les données françaises sont également très rassurantes ET CONFIRMENT TOUTES LES ANALYSES PRÉCÉDENTES : LES ENFANTS BIEN PORTANTS NE RISQUENT RIEN DU Covid

(https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-hospitalieres-relatives-a-lepidemie-de-Covid-19/)

La mortalité hospitalière cumulée au 18 août 2021 depuis le début de l’épidémie est de 11 cas pour les 10-19ans et 6 pour les moins de 10ans soit 0,02 % de la mortalité hospitalière cumulée rapportée au 18 aout 2021 par Sante Publique France (17 / 86 451) alors que les enfants et jeunes de moins de 20 ans représentent plus de 23,9 % de la population.(([13] (source https://fr.statista.com/statistiques/472349/repartition-population-groupe-dage-france/))

Ces données sont illustrées par les graphiques visibles sur le PDF de santé France,(([14] Ce document PDF [téléchargé automatiquement] : Évolution des indicateurs épidémiques chez les 5-11 ans et comparaison avec les 12-17 ans. Au 31 octobre, semaine 43. Le point sur. 10 novembre 2021. Saint-Maurice : Santé publique France, 4 p. Directrice de publication : Pr Geneviève Chêne. Dépôt légal : 10 novembre 2021)) représentant le nombre d’enfants hospitalisés en soins critiques (moins de 10 ans et 10-19 ans), ainsi que la proportion de moins de 20 ans parmi les hospitalisations en soins critiques et le nombre d’hospitalisations en soins critiques tous âges confondus (données quotidiennes)

Chiffres officiels concernant les décès et hospitalisations des enfants de 5 à 11 ans dus au Covid-19 ?(([15] Analyse du Pr La Scola de l’IHU de Marseille Copyright © Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Point épidémique de Santé Publique France sur la « situation SARS-CoV-2 depuis le début de l’épidémie chez les 5-11 ans et les 12-17 ans » datant du 31 octobre 2021 :

« Très rares décès d’enfants pour lesquels le lien avec le SARS-COV-2 est possible ou établi (respectivement 3 et 12 chez les 5-11 ans et 12-17 ans). Très grande majorité de ces décès chez des enfants présentant des pathologies chroniques.(([16] https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/enquetes-etudes/evolution-des-indicateurs-epidemiques-chez-les-5-11-ans-et-comparaison-avec-les-12-17-ans.-point-au-31-octobre-2021))»

Selon cette source officielle, en 1 an et 8 mois de crise Covid-19, il y a eu 3 décès dus au Covid-19 chez les enfants de 5 à 11 ans ; et 12 chez les enfants de 12 à 17 ans et tous ces enfants avaient une fragilité puisqu’ils avaient des pathologies chroniques.

Santé Publique France écrit aussi pour toute la période de la crise du Covid-19 :

« Les hospitalisations chez les enfants âgés de 5-11 ans et de 12-17 ans représentent respectivement 0,3 % et 0,5 % de l’ensemble des hospitalisations, sans différence entre 2020 et 2021. »

Donc, sur 1000 personnes hospitalisées ayant le Covid-19, il y a en moyenne 3 enfants de 5 à 11 ans et 5 de 12 à 17 ans. Cette situation est stable.

Les enfants hospitalisés du Covid-19 ne sont pas des enfants en bonne santé

Professeur Bernard La Scola a précisé :

« Il en est des enfants comme des adultes de moins de 50 ans en moyenne. Ceux qui sont hospitalisés sont des personnes atteintes de pathologies chroniques — notamment immunosuppression — souvent liées à un cancer, ou une obésité morbide. »(([17] Mail du 16 novembre 2021 le pr la Scola))

Les chiffres ci-dessus de Santé Publique France peuvent-ils justifier une vaccination des 5-11 ans et des 12-17 ans ?

Réponses recueillies auprès du Pr La Scola(([18] Prof. Bernard La Scola et Candice Vacle, Mondialisation.ca, 2021))

Pr La Scola :

« Ça n’a jamais été ces chiffres qui ont justifié la vaccination des enfants, mais une éventuelle limitation de la transmission virale. »

Dans l’état actuel des connaissances est-il prouvé que la vaccination des enfants limite la transmission et la circulation du virus Sars-CoV-2 ?

Pr La Scola :

« Non, pas plus que celles des adultes d’ailleurs. Les pays les plus vaccinés et le plus tôt comme UK [Royaume-Uni] et Israël ont eu des taux d’incidence parmi les plus élevés au monde avec la propagation du variant delta. C’est bien l’évidence que la vaccination de masse ne protège pas la circulation du virus. »

La vaccination contre le Covid-19 représente-t-elle un/des risque(s) pour les enfants ? Si oui le ou lesquels ? Et avez-vous des preuves concernant ces risques ?

Le Pr explique qu’on n’a pas de démonstration des risques faute d’essai clinique sérieux et prolongé. En d’autres termes si nous les laissons faire vos enfants seront des cobayes purement et simplement.

« Les autorités se basent sur les résultats d’une étude faite sur un peu plus de 2000 enfants dont la moitié ont reçu le vaccin (10.1056/NEJMoa2116298) »(([19] https://www.nejm.org/doi/pdf/10.1056/NEJMoa2116298?articleTools=true))

« On n’a pas détecté d’effets secondaires graves. Mais en testant 1000 enfants, on ne détectera jamais que les effets secondaires fréquents à une fréquence inférieure à 1/1000. Orles effets qu’on a vus chez les adultes jeunes (thromboses, myocardites) ont une fréquence bien inférieure. En clair, on ne peut pas détecter ces effets secondaires rares. »

« On ne les détectera qu’en faisant les apprentis sorciers, en faisant une vaccination de masse des enfants et en reproduisant ce qui a été fait avec les adultes jeunes. Je trouve toujours aussi scandaleux qu’on puisse continuer à vacciner des jeunes sans aucun facteur de risque avec les risques de thrombose et de myocardite que ça représente »

« Ce qui me gêne le plus depuis le début c’est le risque à très long terme d’une technologie non éprouvée justement sur ce long terme (vaccination ARN). Il ne se passera peut-être rien et il faut l’espérer, mais si ces vaccins sont responsables de pathologies cancéreuses ou dégénératives d’ici 15-20 ans, comment justifiera-t-on auprès des jeunes de les avoir vaccinés alors que c’était inutile ? »

Pour les 0 à 19 ans, le risque de soins critiques est de 2 pour 4962 contaminés non vaccinés (soit 0,05 %) et de 2 pour 1279 contaminés vaccinés (soit 0,16 %). LE RISQUE EST DONC TROIS FOIS SUPÉRIEUR POUR UN JEUNE VACCINÉ. Compte tenu des effets secondaires, la balance bénéfice/risque est totalement défavorable à la vaccination, car la probabilité des seules myocardies est supérieure.(([20] Ils tentent de vous faire croire que leurs injections protègent des formes graves, c’est bidon ! Nous avons besoin de traitements précoces et des vrais scientifiques qu’ils censurent ! | LE BLOG DE PATRICE GIBERTIE (pgibertie.com) ))

Les jeunes 12-17 ans représentent 15 % des déclarations depuis le début dans les 8 derniers jours (120/780)

La proportion des déclarations des jeunes est de 22 % des déclarations de myocardites tous âges ces 8 derniers jours. Ce pour juste une tranche d’âge de 6 années.

Ajouter 269 péricardites, dont 29 ces 8 derniers jours.

Total 12-17 ans : myocardites + péricardites = 1049 dont 149 du 19 au 26 novembre.

Exemple de rapport(([21] marco nius @NiusMarco))

Aux USA les données du VAERS sont cruelles

VACCINATION DES 12-17 ans

L’effroyable remontée de pharmacovigilance du VAERS (ministère de la Santé US)

EN 4 MOIS :

  • 24 DÉCÈS
  • 86 CÉCITÉS
  • 444 MYOCARDITES
  • 1159 HOSPITALISATIONS

Toujours garder à l’esprit que seulement 10 % de la réalité est remontée

ET LES MODÉLISATIONS SUR LES VAX DES ENFANTS, INVRAISEMBLABLE PROPAGANDE

Données Pfizer/FDA, par million de 5-11 ans doubles doses. En résumé : Ils vont filer 106 myocardites à des enfants en bonne santé à risque zéro pour éviter 200 hospitalisations à des enfants malades. 22

LA CORRUPTION DES EXPERTS CACHÉE PAR LES MÉDIAS PERMET CETTE ABOMINATION

ENFIN SE DEMANDER CE QUI MOTIVE CERTAINS MÉDECINS À ENVOYER LES ENFANTS JOUER A LA ROULETTE RUSSE. Croyance ? Crédulité ? Liens d’intérêts ? Corruption ?

Déjà une interrogation : Le Pr Alain Fischer , Mr Vaccin est président de la fondation Rothschild(([23] http://www.fedr.ibpc.fr/fr/la-fondation-edmond-de-rothschild-85.htm. Leurs missions :
https://www.edmondderothschildfoundations.org/nos-missions/sante/default.aspx#SubSection)) promoteur des vaccinations. Est-ce que ce lien n’aurait pas dû l’exclure de cette fonction de conseiller ?

Pas facile de savoir exactement les motivations, mais pour certains elles sont claires. Les exploits de l’urologue Gilbert Deray (néphrologue cumulant 171 déclarations pour plus de 160 000 €)(([24] D’après Covidinfos.net)) deviennent bien connus comme ceux de Karine Lacombe (247 861€) qui prétendait que les vaccins étaient efficaces à 100 % et veut nous faire porter le masque ad vitam aeternam.

« Vacciner » des enfants à risque ZÉRO par une injection génique expérimentale dangereuse qui ne protège ni les vaccinés ni leurs contacts des contaminations n’a pas de sens médical, d’autant que leurs effets à long terme sont complètement inconnus.

Aucune justification en dehors de la corruption, de la propagande à la Goebbels et de la soumission des peuples à la pression quotidienne, répétée depuis 18 mois. La stratégie de la peur même avec un variant du nom omicron que l’on sait déjà n’être une tempête dans une tasse de thé.

Un expert canadien, Jim Kellner, qui fait la promotion de la vaccination des enfants vient d’être sacré champion mondial de la corruption Covid avec 2 millions de dollars reçus de Pfizer. Citons quelques articles canadiens(([25] Par Aguellid 3 novembre 2021 2 millions de dollars versés par Pfizer à un médecin qui fait la promotion de la vaccination des enfants — Bing News))(([26] Cosmin Dzsurdzsa Québec Nouvelles Info 1er novembre 2021))(([27] Tags : Alberta corruption Dr Jim Kellner pédiatre et professeur à l’Université de CalgaryPfizer PharmaceuticalsPromotion de la vaccination des enfants.)):

«Tout est logique, simple, limpide : c’est celui qui paie qui écrit la musique. Les médias sont conscients et complices de cette folie, ils devront le payer face à la justice. Comme par hasard, les chaînes d’info ont le numéro de téléphone de la crapule la plus corrompue de l’état ! »

Il est super content le monsieur… et souriant…

Plusieurs des plus grandes entreprises médiatiques du Canada n’ont pas révélé qu’un éminent professeur de pédiatrie de l’Alberta avait reçu près de 2 millions de dollars de Pfizer Pharmaceuticals pour promouvoir la vaccination des enfants de 5 à 11 ans.

Le Dr Jim Kellner, pédiatre et professeur à l’Université de Calgary, a été cité comme une autorité dans des dizaines d’articles publiés par CTV News, CBC, Global News, le Toronto Star et le Globe and Mail sur la vaccination des enfants et d’autres questions liées aux pandémies.

Depuis 2014, les recherches de Kellner ont reçu 1 940 443 $ de Pfizer Pharmaceuticals pour diverses études sur les vaccins, la subvention la plus récente de 787 004 $ étant allouée jusqu’à l’année 2022.

Le financement de la recherche de Kellner n’a pas été divulgué par les médias susmentionnés dans de nombreux articles remontant à 2020, bien qu’il soit indiqué publiquement dans son CV, qui est publié sur le site Web de l’université de Calgary.

(…) Dans les articles où M. Kellner est cité, il est tour à tour qualifié de « professeur et chercheur » , de « pédiatre », de « spécialiste des maladies infectieuses à l’Alberta Children’s Hospital », d’ »expert en maladies infectieuses », de « membre du groupe de travail fédéral sur l’immunité Covid-19 » et d’autres variantes. Kellner est également employé par les services de santé de l’Alberta.

Un article publié par CBC News ce 24 novembre, intitulé » Wondering about vaccinating younger kids against Covid-19? Alberta experts weigh in”, cite Kellner sur le sujet de l’administration du vaccin Pfizer aux enfants, sans faire référence à son financement.

« De mon point de vue, l’analyse des risques et des avantages montre qu’il y a un avantage certain à administrer le vaccin pour prévenir l’infection et les conséquences graves du Covid-19 », aurait déclaré M. Kellner.

Dans un autre article publié en avril par le radiodiffuseur public, M. Kellner encourage l’élargissement des groupes de personnes admissibles au vaccin Covid « en particulier en fonction de l’âge » et aurait déclaré que « la vaccination est la première chose qui peut faire la différence ».

Selon les résultats de recherche de la CBC, le nom de Kellner apparaît plus de 41 fois et apparaît dans de nombreuses vidéos et articles sur le thème de la vaccination, sans aucune indication sur les sommes qu’il a reçues du fabricant de vaccins Pfizer.

Les données du gouvernement du Canada montrent que le vaccin Pfizer-BioNTech (Cormirnaty) est le vaccin le plus utilisé au Canada, plus de 14 millions de Canadiens ayant reçu au moins une dose du produit.

Dans un article publié en juin par le Globe and Mail, Kellner remet en question la protection offerte par l’immunité naturelle.

« Nous encourageons les personnes qui ont eu le Covid à se faire vacciner, et il est recommandé de le faire. On pourrait même dire que les personnes qui ont eu le Covid sont plus susceptibles de se faire vacciner, ayant vécu cette expérience », a déclaré M. Kellner au Globe and Mail. Le journal a cité Kellner comme une autorité au moins sept fois.

Quant au Toronto Star, Kellner apparaît en tant qu’expert dans au moins 11 articles, dont beaucoup encouragent la vaccination des enfants, et ce sans divulguer son financement. Dans le dernier article publié le 18 octobre 2021, Kellner discute des essais de vaccins Pfizer sur des enfants et est cité aux côtés du PDG de Pfizer, Albert Bourla.

De même, Global News cite Kellner à de nombreuses reprises, y compris dans des interviews, à propos de ses recherches sur le Covid-19 et les enfants, sans révéler les près de 2 millions de dollars qu’il reçoit de Pfizer.

Quant à CTV News, Kellner fait plusieurs apparitions à la une en tant que pédiatre, notamment dans un article daté du 20 octobre 2020.

Comme l’a rapporté en exclusivité True North au début du mois, le Globe and Mail et le Toronto Star n’ont pas non plus divulgué le financement par AstraZeneca de l’éminent professeur et auteur d’articles d’opinion Mark Lautens.

En comparaison la cote des experts français paraît bien plus faible (8 fois moins pour la championne française d’Euros for docs).

Contrairement à ce qu’on croit généralement la cause principale de la chute de l’Empire romain n’est pas la puissance brute des barbares, mais la corruption généralisée du bas empire qui l’a vidé de ses moyens de défense.(([28] Max Gallo La Chute de l’Empire romain Paru le 15 septembre 2016.))

En France la corruption paraît déjà avoir décrédibilisé les experts scientifiques et la parole des représentants de l’état. Au-delà de la santé des enfants, elle menace les fondements de notre démocratie ; comme l’avaient déjà expérimenté les citoyens d’Athènes(([29] Paul Demont, « Le tirage au sort dans la démocratie de l’Athènes classique », Silomag, n° 10, déc. 2019. URL :
https://silogora.org/le-tirage-au-sort-dans-la-democratie-de-lathenes-classique/)) et de certaines cités italiennes du Moyen âge qui ont recouru au tirage au sort de leurs représentants pour la limiter.








Le Dr Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, est mort quelques heures après avoir dénoncé les risques de l’hydroxyde de graphène

[Source : cv19.fr]

Le lanceur d’alerte Dr. Andreas Noack, chimiste autrichien renommé, expert sur le carbone, est mort quelques heures seulement après avoir dénoncé les effets de l’adjuvant hydroxyde de graphène, une nanotechnologie qui serait présente dans l’injection [anticovid], expliquant que c’est ce qui tue réellement les gens en s’immisçant dans l’ensemble des organes et provoquant des lésions au niveau cellulaire, “comme des nano-lames de rasoir”.

Il affirme que cela pourrais expliquer pourquoi les athlètes meurent soudainement pendant les entraînements et les matchs, ou pourquoi certains meurent instantanément si l’adjuvant a été injecté dans la circulation sanguine plutôt que dans le muscle…

Le 23 novembre, le Dr Noack a été “battu à mort” après sa dernière vidéo, selon sa femme visiblement enceinte.



Travaux du Dr. Pablo Campra sur lesquels sont basés cette vidéo

Résumé :

L’hydroxyde de graphène a été trouvé dans tous les vaccins étudiés. L’hydroxyde de graphène forme des structures dans le flux sanguin d’environ 50 nm de large et 0,1 nm d’épaisseur. Elles sont très fines mais très solides. Ils agissent comme de petites lames de rasoir dans le flux sanguin qui peuvent couper les vaisseaux sanguins. Ils ne se décomposent pas. Une fois dans la circulation sanguine, ils y resteront pour toujours (à moins que la personne ne reçoive une transfusion sanguine pour les éliminer). Leur effet sur les vaisseaux sanguins est cumulatif. Plus ils restent longtemps dans la circulation sanguine, plus les vaisseaux sanguins sont endommagés au fil du temps. Cela crée des problèmes d’hémorragie dans tout le corps.

Selon lui, un débit sanguin plus élevé (dû à une activité physique intense des athlètes) entraînerait des dommages plus importants aux vaisseaux sanguins causés par l’hydroxyde de graphène et expliquerait donc les décès d’athlètes parmi les personnes injectées.

Voici des citations importantes faites par le Dr Noack :

Recevoir le Vax, c’est comme jouer à la roulette russe. Les personnes qui meurent immédiatement ou peu après avoir reçu le vaccin sont comme des victimes de la roulette russe. C’est lorsque l’oxyde de graphène frappe immédiatement la paroi des vaisseaux sanguins qu’il provoque la mort ou l’effondrement immédiatement après avoir reçu le vax.

Les médecins qui pratiquent des autopsies sur les victimes du Vax ne vont rien trouver. Ces médecins cherchent quelque chose de biologique comme cause de la mort mais l’hydroxyde de graphène n’est pas biologique donc il ne sera pas visible dans leurs tests.

Il y a des photos de sang coagulé sortant du nez. Les gens saignent à mort de l’intérieur.

Les athlètes de haut niveau qui meurent ont un sang qui s’écoule rapidement. Plus le sang circule vite, plus les rasoirs font de dégâts.

En tant que chimiste, si vous injectez ça dans le sang, vous êtes un meurtrier.

La question à poser aux fabricants de vaccins et aux politiciens est la suivante : POURQUOI CES LAMES DE RASOIR SONT-ELLES DANS LES VACCINS ? Comment peuvent-ils justifier leur présence dans les vaccins ?

Et maintenant, ils veulent forcer les enfants à être vaccinés dès l’âge de 5 ans avec ce truc horrible !


L’Autriche est le premier pays d’Europe et du monde à mettre en œuvre un programme de vaccination de l’ensemble de la population sous peine d’amendes ou d’emprisonnement en cas de non-vaccination. Le plan de vaccination complet débutera en février 2022.

Sources :

https://www.researchgate.net/publication/355979001_DETECTION_OF_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES
https://strangerinajewishworld.com/2021/11/28/dr-andreas-noack/
https://odysee.com/@Docuteca:5/AndreasNoack:2
https://truth11.com/2021/11/30/whistleblower-dr-andreas-noack-renown-austrian-chemist-is-dead-just-hours-after-speaking-out-about-the-effects-of-the-adjuvant-graphene-oxide-in-a-post-written-by-his-wife-he-was-found-dead-in-l/




La Liste des 92 Français présents en janvier 2020 à Davos sur les 2300+ invités, vient de fuiter !

[Source : qactus.fr]

La liste confidentielle de tous les participants au Forum économique mondial 2020 de Davos dévoilée.

Publié le 20.1.2021 par David Yanofsky

Des banquiers de Goldman Sachs aux bureaucrates des Nations unies, les délégués sont descendus à Davos, en Suisse, pour la réunion annuelle 2020 du Forum économique mondial (WEF).

La conférence, qui en est à sa cinquantième édition, est un rendez-vous permanent pour les personnes les plus puissantes du monde, qui y discutent des problèmes les plus urgents de l’économie mondiale – ou du moins leur donnent l’impression que c’est ce qu’ils font.

Au cours des dernières années, le WEF a fait connaître les participants à des degrés divers. Parfois, il a gardé la liste privée, l’a publiée dans son intégralité ou l’a publiée en excluant certains groupes de personnes.

Cette année, le WEF a rendu publique sa liste sans les noms des participants et a invoqué la loi européenne sur la protection des données, connue sous le nom de GDPR, pour justifier cette décision. Cette liste comprend des informations démographiques par personne, non liées à des informations identifiables. Une liste séparée avec les noms est fournie à la presse présente ; elle comprend des instructions pour ne pas divulguer les noms des participants.

Les informations concernant les participants de cette année nous ont été transmises de manière anonyme via notre portail Secure Drop. Elles correspondent, par leur nom, à la liste de 2 784 personnes mise à la disposition des journalistes. Cependant, les informations que nous avons reçues contiennent plus de détails sur les participants que Quartz n’en a jamais vu et révèlent, d’une manière jamais divulguée auparavant, comment le WEF catalogue et classe les puissants de ce monde.

Nous avons inclus deux parties de cette rubrique ici, la catégorisation de 1 à 7 de chaque délégué en fonction de son titre et de son affiliation, et une brève description du type de poste qu’il occupe actuellement. Le Forum économique mondial a refusé de commenter la liste ou l’objectif de la catégorisation.

Institutionnels

  • Bruno Le Maire, Ministre de l’économie & des finances
  • Jean-Yves Le Drian, Ministre des affaires étrangères
  • Muriel Pénicaud, Ministre du travail
  • Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d’état chargée de l’Industrie
  • Brune Poirson, Secrétaire d’état à l’écologie
  • François Villeroy de Galhau, Gouverneur de la Banque de France
  • Bernard Emié, Directeur de la sécurité extérieure
  • Jean Todt, représentant la Fédération Internationale de l’Automobile
  • Renée Mauborgne & Peter Zemsky, représentants L’INSEAD, la star des écoles de management
  • Denise Burnet, conseillère spéciale pour la France auprès du WEF/Davos

Médias

  • Yannick Bolloré & Arnaud de Puyfontaine, Président et DG de Vivendi (Médias), CA 16 Md€
  • Stuart Williams, PDG de l’AFP, Agence France Presse (entreprise française) + Aurélia End, Responsable édition économie
  • Sylvie Kaufman, Redac’Chef de Le Monde + Isabelle Chaperon, éditorialiste
  • Nicolas Barré, Redac’Chef des Les Échos + Jean-Marc Vittori, éditorialiste
  • Philippe Mabille, Redac’Chef de La Tribune
  • Fabrice Node-Langlois, Redac’Chef de Le Figaro, édition internationale
  • Stephen Carroll, Responsable édition affaires à France 24
  • Jean-Paul Chapel, éditorialiste à France 2
  • Stanley Pignal, Correspondant France pour The Economist
  • Isabelle Kumar, Journaliste Euronews
  • Hedwige Chevrillon, Editorialiste BFM TV
  • Jennifer Schenker, Redac’Chef « The Innovator »

Conseil & communication

  • Arthur Sadoun et Maurice Lévy, PDG et Président de Publicis Groupe, première agence de communication mondiale, côté au CAC40, CA de 9 Md€
  • Jean-Marc Ollagnier, DG France de Accenture (ex Arthur Andersen), une des plus grandes entreprise de Conseil juridique & technologique américaine
  • Domenico Azzarello, DG France de Bain & Company (chargé en France du déconfinement), grande entreprise de Conseil américaine
  • Pierre Cailleteau, Responsable France de Lazard, Cabinet de conseil et gestion d’actifs
  • Alexandre de Rothschild, Président de Rothschild & Co, Cabinet de conseil et gestion d’actifs
  • Alain Couttolenc, Responsable développement chez Ipsos, Institut de sondage, conseil et analyses

Gestion de Fonds, Banques & Assurances

  • Thomas Buberl & Garance Wattez-Richard, DGs d’AXA, CA 102 Md€
  • François Riahi & Jean Rabyn DGs de Natixis (ex Banque Populaire & Caisse d’Epargne), CA 10 Md€
  • Frédéric Oudea, DG Société Générale, CA 25 Md€
  • Alain Rauscher, DG de Antin (ex BNP), fonds qui gère 18 Md€ d’actifs
  • Virginie Morgon, DG de Eurazeo, fonds qui gère 22 Md€ d’actifs
  • André-François-Poncet et David Darmon, DGs de Wendel, fonds qui gère 9 Md€ d’actifs
  • Pascal Cagni, DG de Business France, fonds pour les startups françaises
  • Fatoumata Ba, DG de Janngo, fonds pour les startups africaines
  • Alena Fargere, DG France de Global Shapers, fonds d’innovation
  • Thiery Déau, DG de Meridiam, fonds de développement en infrastructures

Industriels

  • Chantal Gaemperle, VP de LVMH (industrie du luxe), 1er au CAC40, Capitalisée à 346 Md€, CA 45 Md€
  • Paul Hudson & David Loew, DGs de Sanofi (médical), 4ème au CAC40, CA 36 Md€
  • Julie Kitcher & Grazia Vittadini, VP & Dir technique d’Airbus (constructeur aéronautique), 7ème au CAC40, CA 50 Md€
  • Jean-Pascal Tricoire, Philippe Delorme et Sandrine de Guio, PDG et VPs de Schneider Electric (équipementier réseaux électriques), 8ème au CAC40, CA de 27 Md€
  • Benoit Potier, DG d’Air Liquide (chimiste), 9ème au CAC40, CA 20 Md€
  • Jean-Dominique Senard, Président de Renault-Nissan (constructeur auto), 55 Md€ CA
  • et quatre associés : Clotilde Delbos, Véronique Sarlat-Depotte, Jose Vicente De Los Mozos Obispo et Olivier Murguet
  • Eric Trappier, DG de Dassault Aviation (constructeur aéronautique), CA 7 Md€
  • Jean-Marc Germain, DG de Constellium (métalurgiste), CA 5 Md€
  • Christel Bories, DG d’Eramet (métalurgiste), CA 2 Md€

Approvisionnements

  • Patrick Pouyanné et Vincent Granier, DGs de TOTAL (carburants et stations), cotée 5ème au CAC40, avec un CA de >200 Md$
  • Paulo Almirante, Gwenaelle Huet, J-P Clamadieu, Isabelle Kocher : DGs et Présidents d’ENGIE (électricité & gaz), CA de 60 Md€
  • Rodolphe Saade, PDG de CGA CGM (Fret maritime), CA 31 Md€
  • Bertrand Camus & J-L Chaussade, PDG et Président de SUEZ (Gestion de l’eau), CA 17 Md€
  • Jérôme Pécresse, mari de Valérie, PDG de GE Renewable Energy (Electricité), CA 10 Md€

Services

  • Alain Roumilhac, DG France de Manpower (agences d’interim)
  • Christophe Catoir, DG France & Europe du Nord pour Adecco (agences d’interim)
  • Jean-Philippe Courtois, DG France de Microsoft (Editeur de logiciels)
  • Bernard Charlès & Florence Verzelen, DG et VP de Dassault Systèmes (Editeur de logiciels de CAO)
  • Christophe Danzin, Responsable développement à LUMA Arles, Musée d’art contemporain
  • Micheline Engel, Inconnue, désignée « Philantrope »

Start-ups

  • Jeremy Jawish, DG de Shift Technology : logiciel de détection de fraudes à l’assurance
  • Pierre-Yves Frouin, DG de BioSerenity : logiciel et outils de suivi médical numérique
  • Pascal Gauthier, DG de Ledger : logiciels de sécurisation des cryptomonnaies, producteur du fameux mini-coffre fort USB éponyme
  • Philippe Corrot, DG de Mirakl : logiciel de gestion des places de marché
  • Pierre Dubuc, DG de OpenClassRooms : solutions d’éducation à distance
  • Jean-Stéphane Arcis, DG de TalentSoft : logiciel de gestion des ressources humaines
  • Georges Lotigier, DG de Vade Secure : logiciel de cybersécurité et vérification d’emails
  • Jonathan Cherki, DG de Contentsquare : logiciel d’analyse prédictive par IA des mouvements de souris et gestes tactiles
  • Antoine Hubert, PDG de Ÿnsect, société de fabrication de produits alimentaires à base d’insectes pour les animaux, bientôt l’homme

Commentaires

Malgré ce déploiement impressionnant de personnes très haut placés, étonnement, bon nombre des grandes entreprises françaises sont absentes ! On pense aux distributeurs Carrefour, aux banques Crédit Agricole, BNP, BPCE aux industriels Peugeot/PSA, Saint Gobain, Bouygues ou Vinci…

Et paradoxalement, on trouve des invitations pour des dirigeants des start-ups, entreprises d’innovation qui annoncent bien la couleur du NWO ! Mais elles ne sont qu’une petite poignée parmi les dizaines de Start-up du NEXT40, ou des « Licornes » françaises déjà en passe de devenir grandes (Capitalisation >1 Md €)

Qu’est-ce qui peut bien expliquer la participation de certains acteurs et pas d’autres ?

Source




La mutation du virus chez un traiteur juif qui infecte toute l’Afrique est venue de Beverly Hills

Par Jon Rappoport

Tony Fauci, Le Grand Père Blanc (les pères blancs étaient des missionnaires catholiques envoyés en Afrique — NDT), est en train de voler vers l’Afrique pour sauver le continent de la dernière mutation du virus, qui trouve son origine chez un traiteur de Beverly Hills.

Tony Fauci a fait une déclaration devant des journalistes au LAX (nom de l’aéroport de Los Angeles — NDT) avant de s’envoler :

« Nous savons maintenant que ce que nous appelons SARS-CoV-6 a fait un saut d’espèces fin octobre d’un sandwich au pastrami (spécialité gastronomique de la ville de New York et qu’on trouve chez les traiteurs haut de gamme américains — NDT) de chez le traiteur Fineberg sur Rodeo Drive, sur un client Fred Reilly. Reilly s’est envolé vers le Botswana où il a infecté trois joueurs de football qui faisaient du travail au noir comme agents de sécurité à une réception des Nations Unies ».

Fauci va expliquer à l’Afrique que le nouveau médicament de IG Farben, le RP-1984, qui a été stocké depuis 20 ans, puisqu’il a échoué à freiner la progression de la leucémie chez les rats, sera parachuté sur le continent.

Le médicament attaque toutes les cellules du corps, les empêchant de se répliquer. L’espoir c’est qu’il empêchera également le variant deli de se répliquer avant qu’il ne tue l’hôte (l’être humain).

« Les premières données semblent prometteuses », a déclaré Fauci. « Bien sûr, des confinements pendant au moins un an, la vaccination, le port du masque et la distanciation devront être religieusement appliqués », a-t-il ajouté.

« En raison des fermetures d’entreprises, la plupart des pays africains sombreront dans une dette irréversible et désespérée. Le Fond Monétaire International, comme à son habitude, va dépanner ces pays par des prêts. Cependant, cette fois-ci, les Nations Unies inaugureront une nouvelle monnaie numérique pour l’Afrique ».

La monnaie, a affirmé Fauci, inclura le Revenu de Base Universel pour toutes les personnes en Afrique — aussi longtemps qu’ils obéissent aux diktats gouvernementaux sans interrogations ou protestations.

À la Maison-Blanche Joe Biden a dit « Je ne mange pas de pastrami. Jill l’infirmière (qui veille sur moi — NDT) ne me le permettrait pas ».

Le propriétaire du Deli, Hank Fineberg, a dit au Los Angeles Times,

« Ce n’est pas de notre faute. Nous achetons nos pastramis à Gornish Garnish, un grossiste de Brooklyn. Pour quelle raison le CDC n’enquête pas sur eux ? En plus, aucun de nos clients n’a en fait été malade. Alors, quel est le problème ? ».

Le Times attribue le plongeon de la Bourse au variant deli. On peut également s’interroger sur la décision du Gouverneur de Californie, Gavin Newsom, de « laisser Rodeo Drive ouvert aux chalands ».

Bill Gates presse les gens à manger un succédané de pastrami fabriqué à partir de feuilles d’érable séchées, d’un dérivatif de résine de pin et de mica salé. (le mica est un des trois composants du granite avec le quartz et le feldspath — NDT)

Une nouvelle étude publiée par le New England Journal of Medicine (une des revues prestigieuses du domaine médical — NDT) conclut que

« le variant deli amène le corps à produire différents ensembles d’anticorps, certains d’entre eux ressemblant au SARS-CoV-2 originel. Le corps est alors confronté à la perspective d’anticorps attaquant des anticorps, ce qui entraîne un cycle tourbillonnaire ressemblant à un trou noir dans l’espace… »

NBC déclare,

« les dirigeants de Black Lives Matters se concertent avec des fonctionnaires à la Fondation Ford, pour élaborer une réponse aux nouvelles que le variant deli est en train de balayer l’Afrique ».

CBS :

« En Afrique, les principaux symptômes associés au variant deli sont la perte de poids, la déshydratation et la diarrhée. Ces symptômes proviennent habituellement de la malnutrition et de la famine, mais des chercheurs disent que c’est le variant qui est maintenant le principal coupable… »

Hier à la Maison Blanche, le Porte-Parole du Président, Jen Psaki, a dit aux journalistes,

« Le sombre hiver est arrivé en avance. Il est là. Le variant deli nécessitera de nouveaux confinements et fermetures de commerces. Le Président Biden publiera dans les prochains jours un large éventail d’obligations vaccinales. Pour le moment, il est en réunion avec les chercheurs du NIH (National Institute of Health – Institut National de la Santé – NdT) et se penche sur les dernières données de taux d’infection. À cet égard sa formation en analyse statistique lui servira bien… »

Un journaliste de FOX News a demandé,

« Est-ce que Noël sera annulé ? »

Psaki a répondu

« Le shopping aura lieu. Mais Jésus est né qu’une seule fois. Est-il nécessaire de continuer à célébrer cet événement ? Le Secrétaire d’État va rencontrer le Pape François pour discuter de la question ».

Le journaliste de FOX a poursuivi avec une autre requête :

« Qu’en est-il au sujet de tous ces migrants qui traversent la frontière mexicaine ? Combien sont porteurs du variant deli ? »

Psaki :

« Nous avons un nouveau programme de dépistage de masse appelé Baguette magique. Il peut surveiller des milliers de personnes en même temps et détecter la présence de virus. Jusqu’à présent nous n’avons trouvé qu’une seule personne à la frontière qui était infectée avec le variant deli – an ancien habitant du Montana (le Montana est un État du nord des États-Unis – NDT). Il a fait l’objet d’une chasse à l’homme de la part du FBI, en raison du fait qu’il était présent lors de l’intrusion dans le Capitole du 6 janvier. Il est maintenant en détention à L’Hôpital Walter Reed. Il ne présente pas de symptôme, ce qui est un peu un mystère.

Le directeur sortant du NIH, Francis Collins, a apporté lors d’une audioconférence ce matin avec des journalistes des précisions sur plusieurs problèmes posés par le variant deli : « Le nouveau variant produit différents effets dans différentes populations. En Afrique nous voyons des pertes de poids, des déshydratations et des diarrhées. En Amérique du Sud, le principal symptôme est une toux sèche. En Australie c’est une douleur passagère à la jambe et de la colère. En Europe un engourdissement des extrémités et une pauvreté accrue. Aux États-Unis un déclin de l’immunité conférée par le vaccin, une passivité hypnotique, et paradoxalement, une présence aux matches de football… »

Le Sénateur Chuck Schumer a déposé un projet de loi qui compensera les victimes du variant deli, sous la forme d’une carte fédérale qui peut être utilisée pour des achats de biens et de services d’un montant de 900 dollars. Les médecins qui diagnostiqueront recevront également une carte, d’un montant de 3900 dollars pour chaque cas de variant identifié.

Ne sortez pas de chez vous sans elle. En fait, ne quittez pas la maison. Confinez-vous.

Traduction Jean Bitterlin, le 29 novembre 2021.




Les médias au service de la dictature

[Source : Patrick Huet]

Par Patrick Huet

Télés, radios… collabos : voyons ce qu’il en est !

Les médias : fer de lance de la propagande et de la dictature !

On entend régulièrement dans les manifestations contre le pass sanitaire et contre les restrictions à nos libertés le slogan : « télés, radios… collabos ! » Mais qu’en est-il exactement ?

Eh bien ma position n’a pas varié d’un seul degré depuis le courrier que j’adressais à mes voisins le 14 mars 2020
(https://www.patrickhuet.net/atteintes-aux-libertes/coronavirus-une-guerre-menee-par-les-medias-contre-les-populations/).

Ce courrier d’alerte commençait par : « Coronavirus : une guerre menée par les médias contre les populations ». Aujourd’hui, je réaffirme complètement cette position.

Les médias : la division blindée d’attaque des populations !

Bien que dans les manifestations, je crie aussi « télés, radios, collabos ! » (parce qu’il faut bien un slogan accessible à tous), je ne partage pas totalement ce point de vue.

Pour moi, les médias (télé radios, presse) ne sont pas de simples collabos, ils représentent la division blindée en charge de briser la résistance psychologique des habitants, de réduire cette résistance à néant afin que les gouvernements puissent ensuite installer le confinement planétaire et l’abolition de toutes les libertés.

Cette attaque qu’ils ont menée (et qu’ils continuent de mener) contre les populations, ils l’ont fait en parfaite connaissance du but à atteindre : anéantir toute résistance en vue de l’établissement d’une dictature planétaire !

Ce ne sont pas des journalistes, mais des soldats !

Nous n’avons pas affaire à des journalistes, mais à des soldats qui savent parfaitement quelle est leur mission : anéantir leur adversaire. Et leur adversaire, c’est nous, le peuple !

Des médias qui censurent les faits véridiques pour imposer des mensonges.

Ces médias (télés, radios, presses) ont effectué des reportages truqués pour faire croire à l’existence d’une épidémie, ils ont censuré les médecins et scientifiques qui dénonçaient l’imposture (et la dangerosité) des masques, qui dénonçaient les confinements et l’abolition des libertés sous prétexte sanitaire.

Ces médias truquent la réalité des faits quand ceux-ci deviennent incontournables, notamment par l’établissement de « vérificateurs de faits » (facts checkers) pour systématiquement les dénigrer et les nier. L’ensemble de la presse se saisissant alors de ces « avis soi-disant » officiels pour censurer ces faits dans leurs colonnes et dans les commentaires des lecteurs.

Ils truquent la réalité en niant la participation réelle aux manifestations, écrivant 400 personnes quand il y en a 4 000 ! (par exemple).

Ils ne rapportent jamais les morts dus aux injections faussement appelées vaccins, ni les hécatombes cardiaques !

Ils truquent la réalité, en utilisant des termes comme « cas covid » pour créer volontairement une confusion entre « cas » et malades ou entre cas et infectés. Et faire croire à l’existence d’une épidémie. Or, c’est faux. Les prétendus « cas » ne sont pas des « cas », mais des tests qu’un laborantin a déterminés comme étant positifs ! (Positif à quoi ? nul ne le sait puisqu’aucun virus du covid n’a jamais été isolé dans un laboratoire et que les tests ne servent pas à déterminer si quelqu’un est malade.
Voir cet article : https://www.patrickhuet.net/virus-la-grande-arnaque-devoilee/)

Des médias qui n’appartiennent qu’à une poignée de milliardaires.

Ces médias appartiennent sont quasiment tous la propriété d’une poignée de milliardaires ou de banques. En voici les têtes : source : https://www.giletsjaunes06.com/index.php/base-de-connaissances/domaine-prive/233-a-qui-appartiennent-les-medias-en-france.

Bernard Arnault, PDG du groupe de luxe LVMH (Les Echos, Le Parisien),
Serge Dassault (Le Figaro),
François Pinault (Le Point),
Patrick Drahi, principal actionnaire de SFR/Altice (Libération, L’Express, BFM-TV, RMC),
Vincent Bolloré (Canal+).

Ensuite

Xavier Niel, patron de l’opérateur de téléphonie Free et 11ème fortune de France, qui s’est associé avec
Pierre Bergé, héritier du couturier Yves Saint-Laurent, associé au banquier Matthieu Pigasse, pour devenir propriétaire du groupe Le Monde (L’Obs, Télérama, La Vie…).

Matthieu Pigasse possède également Radio Nova et l’hebdomadaire Les Inrocks.
Martin Bouygues, 30ème fortune de France, est propriétaire du groupe TF1.
La famille Mohn, qui contrôle le groupe allemand Bertelsmann, est propriétaire de M6, RTL, Gala, Femme actuelle, VSD, Capital,…

Viennent ensuite

Arnaud Lagardère, propriétaire d’Europe 1, de Paris Match, du JDD, de Virgin radio, de RFM, de Télé 7 jours, et
Marie-Odile Amaury, qui possède L’Equipe (et dont le groupe est, par l’une de ses filiales, organisateur du Tour de France notamment).

Des médias qui ne sont que la courroie de transmission des labos et de leurs milliardaires.

Les médias ne sont pas des collabos. C’est la division d’attaque des labos et d’un club de milliardaires pour mettre à genou la résistance psychologique des peuples. Les médias sont des armes et les journalistes des soldats qui, avant le déclenchement de l’opération « coronavirus, savaient exactement quel rôle ils détiendraient lors de l’assaut planétaire contre les peuples.

En ce sens, ils sont totalement coupables de crime contre le genre humain ! Et devront en répondre devant la justice lorsque l’humanité aura mis fin à leur attaque !

Mettons fin à l’oppression des médias !

Il est temps de mettre un terme à l’assaut mené par les médias contre les populationsDeux collectifs se sont associés pour lancer en action en justice à l’encontre des médias.

Voici un extrait du communiqué paru sur France soir du 13 novembre.
Source : https://www.francesoir.fr/politique-france/plainte-contre-x-bon-sens-aimsib-medias.

L’association BonSens.org s’associe donc à l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
– d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
– de complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
– de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)

Une plainte de 108 pages, auxquelles s’ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail.

L’intégralité de la plainte (PDF) : 
Plainte contre X avec constitution de partie civile de BonSens.org et de l’AIMISIB

Rejoignez ce mouvement. Ou si vous le pouvez, trouvez un avocat compétent et lancez votre propre action contre les médias. Leurs discours sont remplis de mensonges. Ils tombent directement sous le coup de la loi sur les « fake news » qui existe actuellement. Faites-vous plaisir. Vous avez été trop longtemps attaqué ! A votre tour de les attaquer en justice !

Auteur de l’article : Patrick Huet.




La nouvelle hystérie du variant « Omicron » provient de la même institution qui a popularisé les confinements et les précédentes peurs du COVID

[Source : Aube Digitale]

PAR JADE

Le monde dans lequel nous vivons est bien petit. La peur du « variant Nu » dont vous entendez parler provient des mêmes personnes et institutions qui ont engendré la toute récente crainte du COVID, et celle d’avant, et celle d’avant, remontant jusqu’au début de l’hystérie du Covid.

[Mise à jour : l’Organisation mondiale de la santé a maintenant étiqueté cette souche comme étant le « variant Omicron », en omettant visiblement le « Xi » dans l’alphabet grec].

La presse d’entreprise et les gouvernements du monde entier ont fait un tapage incroyable autour d’un prétendu nouveau variant du COVID, le variant « Nu », qui a été détecté en Afrique du Sud et au Botswana.

Comme dans le cas des précédents accès d’hystérie-19 encouragés par la classe dirigeante, il n’y a aucune raison statistique de s’alarmer de cette nouvelle souche, qui est l’une des 100 000 mutations du coronavirus.

La « nouvelle souche » a à peine produit des cas confirmés en laboratoire, mais un récit paniqué a déjà été semé dans le public. Le Royaume-Uni, en particulier, a fait monter la peur d’un cran. Le pays a déjà ajouté plusieurs pays africains à sa liste d’interdiction de voyage, en invoquant la nouvelle souche.

Comme toutes les autres politiques prescrites par les gouvernements pour lutter contre un virus, les interdictions de voyager ne permettent pas d’arrêter un virus, mais elles réussissent à agiter les marchés et les masses dans des accès de folie.

Et ce n’est pas une coïncidence si le Royaume-Uni est à nouveau le premier à agir sur le front de la « souche Omicron ».

L’hystérie du nouveau variant est née à l’Imperial College UK, le siège d’une institution académique de modélisation corrompue et disgracieuse qui a fait du prosélytisme pour le confinement du monde occidental. Tout au long de la COVID Mania, l’Imperial a été la source d’innombrables versions de la propagande de la « nouvelle souche ». L’institution ne fait pas que participer à la modélisation de mauvaise qualité. Elle fomente la folie et exige une série de mesures totalitaires pour faire face à ses créations narratives défectueuses.

La campagne de peur du nouveau variant est née en début de semaine avec un fil Twitter de Tom Peacock, un post-doc d’une trentaine d’années employé à l’Imperial College de Londres. Il a mis le feu aux poudres par son interprétation alarmiste du variant, décrivant la nouvelle souche comme ayant un « profil de mutation de la protéine Spike vraiment horrible ».

Les médias d’entreprise, les gouvernements mondiaux et d’autres institutions ont régurgité les proclamations de pandémie de Peacock, déclenchant une nouvelle série de demandes autoritaires de la part de la classe dirigeante.

L’actuelle panique liée à la nouvelle souche survient à un moment où les cas de COVID-19 se multiplient en Europe, malgré l’adoption universelle des injections d’ARNm qui étaient promises pour résoudre le problème du COVID-19.

Cette « nouvelle souche » aurait été découverte en Europe, poussant le récit des médias encore plus loin dans l’abîme totalitaire.

https://twitter.com/disclosetv/status/1464226028205842439

Avec des affirmations diffusées aux masses par les grandes entreprises technologiques et les gouvernements mondiaux, l’Organisation mondiale de la santé, influencée par Gates Inc. et la Chine, sème un maximum de panique et de terreur.

En dehors du Parti communiste chinois, aucune autre institution n’a eu autant d’influence sur les politiques destructrices du COVID-19 que l’Imperial College de Londres.

C’est à l’Imperial College de Londres que l’on doit les tristement célèbres « modèles apocalyptiques » du COVID-19, qui promettaient que des millions de personnes seraient effacées de la surface de la terre si le monde occidental ne se confinait pas en mars 2020 en raison du COVID-19. L’idée que le monde devait « aplatir la courbe » par des confinements pseudo-scientifiques est née d’un modèle académique défectueux de Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College. Lorsqu’on lui a demandé d’ouvrir ses modèles, Ferguson a refusé catégoriquement. Il a ensuite démissionné en disgrâce du conseil consultatif scientifique du gouvernement britannique. Pourtant, le « Professeur Confinement » reste, d’une manière ou d’une autre, un personnage très influent dans la conduite des politiques totalitaires de réponse à la pandémie en Grande-Bretagne.

En ce qui concerne les nouvelles souches, il semble que tout ce qui est ancien soit à nouveau nouveau d’actualité. L’Imperial était la source principale du nouveau variant des modèles d’épouvante de 2020. C’est à peu près à la même époque l’année dernière que le Premier ministre britannique Boris Johnson, citant les spéculations d’Imperial sur une souche différente, a lancé un confinement hivernal.

Lisez mon article dans The Dossier sur cette « nouvelle souche » de 2020 et vous verrez les incroyables parallèles. La propagande de la « nouvelle souche Omicron » sud-africaine et botswanaise s’appuie sur la même campagne de peur, mais dans une version relookée. C’est exactement le même manuel.

L’année dernière, cela a commencé avec Erik Volz, un épidémiologiste de l’Imperial College de Londres, qui a affirmé que la nouvelle souche était 70% plus transmissible. Ses propos exacts ont ensuite été repris par le Premier ministre Johnson pour justifier son confinement.

Lisez le reste du rapport ici.

Traduction de The Dossier par Aube Digitale

[Note de Joseph : avec la théorie alternative à la virale (qui est la théorie des « exosomes »), les virus n’y sont pas vus comme la cause des maladies virales, mais la conséquence de divers empoisonnements et/ou de déficiences en certains nutriments alimentaires. Ils sont produits par les cellules humaines sans qu’il y ait intervention de matériel viral externe à l’organisme. Sous l’effet des agressions diverses subies de nos jours, dont les ondes électromagnétiques telles que la 5G, les cellules créent des « endosomes » qui en sortent ensuite et sont alors dénommés « exosomes ». Ces derniers sont constitués de morceaux d’ARN ou d’ADN qui sont entourés d’une enveloppe lipidique munie de bras ou de clefs (comme les protéines Spike) pour sortir de la cellule en franchissant la membrane cellulaire. Ils représentent dans certains cas des déchets à éliminer ensuite de l’organisme, au besoin de manière accélérée par la fièvre lorsque leur production est trop intense suite à une grave agression externe du corps. Dans d’autres cas, ils semblent être destinés à communiquer la nature de l’agression à d’autres cellules pour qu’elles se préparent à leur tour à y faire face. Ces exosomes qui ont été découverts par trois prix Nobel de médecine sont exactement de même forme que les virus, et pour cause, puisque cette théorie alternative mentionne que les virus sont en fait les exosomes, qu’ils soient à ADN ou à ARN.

Par ailleurs, lorsque des virologues ou des microbiologistes prétendent isoler un virus, ils ne font en fait que la succession des opérations suivantes :
1)- Culture du virus (parce qu’ils ne le trouvent pas en quantité suffisante sur le malade) à partir de tissus biologiques supposés infectés de la maladie virale, ceci en utilisant diverses substances chimiques et par exemple des cellules de singe vero comme hôte viral.
2)- Centrifugation de la soupe génétique récupérée.
3)- Prélèvement de la couche de densité qui est supposée correspondre à celle du virus.
4)- Analyse et reconstitution du matériel génétique par voie logicielle (calculs) à partir des morceaux de chaînes d’ADN ou d’ADN récupérés. Il s’agit ici en gros de reconstituer un puzzle en se basant sur un modèle viral préexistant. Dans la pratique, la reconstitution n’est jamais faite à 100 %, car il existe toujours des manques ou trop de chevauchements disparates qu’il faut en quelque sorte moyenner ou raboter.

À l’étape 1, on obtient exactement le même résultat de mort des tissus en partant de personnes parfaitement saines et donc de tissus sains, si on ajoute exactement les mêmes produits. C’est logique à partir du moment où ce sont en fait ces produits et le manque de nutriments (puisque les tissus sont séparés du corps et ne peuvent plus être alimentés) qui causent, selon la théorie alternative, la mort des cellules et non un supposé méchant virus.

À l’étape 4, il suffit de changer de modèle viral, au besoin en combinaison avec son prélèvement dans une autre couche de l’éprouvette (à l’étape 3) pour découvrir une ressemblance avec un autre virus avec aussi une précision qui ne sera jamais de 100 %.

La théorie alternative explique parfaitement pourquoi on n’obtient jamais 100 %, puisque d’une part aucun virus n’a ainsi été réellement isolé, mais seulement reconstitué à partir d’une soupe génétique et d’un modèle, et d’autre part, chaque être humain (idem pour les animaux) est unique et donc les virus, en fait « exosomes » qu’il produit sont également spécifiques. Et l’on peut quand même malgré tout obtenir une ressemblance à 99.7 % par exemple, parce que les différences génétiques entre deux individus sont mineures au sain d’une même espèce (inférieures à 1 %).

Les prétendus « variants » proviennent simplement des variations génétiques entre individus et entre ethnies, ainsi que des différences dans l’agression, comme notamment celle de la 5G qui n’est pas basée sur les mêmes fréquences selon les pays ou les régions, et comme celle des vaccins qui ne sont pas non plus les mêmes selon les différents pays ou les différents lots vaccinaux, surtout que nous sommes toujours en phase de test et que les fabricants de vaccins introduisent alors des différences de dosages des divers adjuvants et du nombre de nanoparticules entre les lots.]




Derrière le dos des peuples européens

Par Valérie Bugault

Pour ceux qui sont intéressés à en savoir plus sur ce que nous ont concocté nos dirigeants — dans le silence médiatique le plus assourdissant — qui ne sont pas des élites, mais de zélés adorateurs de la City of London et de l’empire maritime qui nous asservi. Je vous invite à chercher du sens derrière les belles paroles sans cessent mises en avant pour cacher la noirceur des desseins qui se profilent. Nous allons voir ici que les mercenaires de l’OTAN (issues notamment des armées secrètes de l’OTAN) vont être recyclés dans ce qui deviendra les futures armées européennes. Mettre sans cesse en avant le mot « démocratie » dans un Traité, comme oralement ne signifie qu’une seule et unique chose : ladite démocratie a disparu de longue date (si tant est qu’elle ait existé un jour !). On ne parle que de ce qui n’existe pas : la liberté, la démocratie…

N’oubliez pas au passage que Macron avait aussi signé le Traité d’Aix-la-Chapelle => il est très important de garder, en la matière, une vue d’ensemble des processus afin de bien comprendre où ces gens veulent nous mener : car il s’agit d’une planification minutieuse, de long terme et qui se fait évidemment dans le dos des populations (considérées, à peu de chose près, comme du bétail, tout juste bonnes à être utilisées en tant que « rat de laboratoire » pour des guerres bactériologiques ayant pour but une dépopulation radicale ; comme eux-mêmes ne se privent pas de nous le rappeler à chaque bonne occasion, notamment climatique…).

Comprenez aussi que cette trahison prépare la suite : l’avènement du IVe Reich européen et de la IIIe et dernière Guerre Mondiale. Bien sûr, il s’agit de renforcer nos capacités industrielles pour mieux préparer la guerre contre la Chine-Russie, qui ont, pour l’instant une suprématie militaire et industrielle (en raison de la volonté de ceux-là mêmes qui nous projettent vers le renouveau industriel !). On ne change pas une méthode qui marche… Ne vous y trompez pas : nous nous acheminons maintenant à marche forcée vers d’intenses préparatifs de guerre.

N’hésitez surtout pas à diffuser cette félonie…

Bon dimanche quand même,

Valérie B.




Appel aux policiers et gendarmes de France

[Source : Profession Gendarme (profession-gendarme.com)]

Un appel aux policiers et gendarmes de France circule actuellement sur la toile. Nous vous en donnons connaissance ici :

Mesdames, Messieurs les agents,

Depuis le mois de juillet vous avez pour consigne de contrôler le passe sanitaire auprès des citoyens et des établissements concernés. Après plusieurs mois d’application, vous avez pu constater les effets de cette mesure sur notre société : division, tensions, exclusion, discrimination, et dépravation de la notion même de liberté, pilier de notre République.

La loi n°2021-1465 du 10 novembre 2021 portant diverses dispositions de vigilance sanitaire permet au gouvernement de poursuivre l’usage de cet outil « si la situation sanitaire le justifie ». Elle ouvre également la voie à de nouvelles mesures de confinement, dont vous seriez la pièce maîtresse.

Jusqu’à quand ?

Il est bon que vous vous posiez la question avant de prendre part à l’application d’une loi qui aura pour conséquence de changer radicalement le monde dans lequel nous vivons.

Votre code de déontologie SUBORDONNE L’EXERCICE DE VOS MISSIONS AU STRICT RESPECT DE LA DECLARATION DES DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN, DE LA CONSTITUTION, DES CONVENTIONS INTERNATIONALES ET DES LOIS.

Voici ce que disent les textes suivants :

• Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948 :

Article premier :

“Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience…”

Cela signifie qu’une personne est libre, indépendamment de son statut vaccinal ou de son état de santé.

Si la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme reconnaît que tous les êtres humains sont doués de raison et de conscience, alors tout être humain a droit à ce que l’on respecte le choix auquel cette même raison l’a amené quant à la possibilité de se vacciner ou non.

Article 3 :

“Tout individu a le droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.”

Le risque de décès est inhérent à tout acte médical, car il ne peut jamais être exclu. Imposer – par la pression ou par la force – la vaccination, revient à imposer un risque de mort et enfreint donc l’article 3 de cette Déclaration.

Article 13 :

“Toute personne a le droit de circuler librement”

Article 23 :

“Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage.”

Article 27 :

“Toute personne a le droit de prendre part librement à la vie culturelle de la communauté, de jouir des arts”

• Code civil :

Article 16-1 :

“Chacun a droit au respect de son corps.”

Le passe sanitaire viole ces dispositions de multiples manières. Il porte atteinte à la liberté et à l’égalité des êtres humains, car:

les individus n’ont plus accès aux lieux de loisirs, ni au système de santé, ni à l’éducation, ni au travail, de manière libre, puisque, s’ils font le choix, guidés par leur raison et leur conscience, de ne pas se soumettre à la vaccination, ils doivent supporter les frais engendrés par la réalisation des tests PCR ou antigéniques obligatoires. L’accès à l’éducation, à la culture, à la santé et au travail est donc conditionné aux ressources économiques de chacun. Ceci va à l’encontre des principes d’égalité et de liberté inscrits dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.

Saviez-vous que :

L’article R434-5 de votre code de déontologie prévoit la chose suivante : Sens de l’honneur

“Le policier ou le gendarme exécute loyalement et fidèlement les instructions et obéit de même aux ordres qu’il reçoit de l’autorité investie du pouvoir hiérarchique, sauf dans le cas où l’ordre donné est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public.

S’il pense être confronté à un tel ordre, il fait part de ses objections à l’autorité qui le lui a donné, ou, à défaut, à la première autorité qu’il a la possibilité de joindre, en mentionnant expressément le caractère d’illégalité manifeste qu’il lui attribue. Si, malgré ses objections, l’ordre est maintenu, il peut en demander la confirmation écrite lorsque les circonstances le permettent. Il a droit à ce qu’il soit pris acte de son opposition. Même si le policier ou le gendarme reçoit la confirmation écrite demandée et s’il exécute l’ordre, l’ordre écrit ne l’exonère pas de sa responsabilité.”

Le caractère illégal de la loi portant diverses dispositions de vigilance sanitaire a été démontré plus haut.

Quant à l’intérêt public : Croyez-vous que ces mesures ont été conçues dans une logique de santé publique? Ou de contrôle social?

Quelle société voulez-vous pour votre avenir, et celui de vos enfants ?

Un jour, l’opinion publique demandera des comptes à ce gouvernement et à tous ceux qui auront collaboré à l’exécution de ses ordres.

Ce jour-là, comme le prévoit votre code de déontologie, vous serez jugés responsables de vos actes.

Nous vous rappelons également que, selon l’article R434-11 du Code de la sécurité intérieure, “le policier et le gendarme […] n’établissent aucune distinction dans leurs actes et leurs propos de nature à constituer l’une des discriminations énoncées à l’article 225-1 du code pénal.”

Article 225-1 du code pénal :

“Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques sur le fondement de leur origine, de leur sexe, […], de leur état de santé, …”

N’oubliez pas que vous êtes au service de la population, qui compte plus que jamais sur votre sens du devoir.

Au nom du peuple français,
et pour vous-mêmes,
unissez-vous et résistez !




Le gouvernement fait des concessions aux Antillais vaccino prudents : il leur promet un « vaccin » sans ARN messager !

Par Gérard Delépine

Devant l’exaspération des Antillais contre l’obligation vaccinale, qui s’exprime parfois violemment, depuis plusieurs jours à la Guadeloupe, en Martinique et bientôt en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie, le gouvernement a d’abord envoyé la gendarmerie avec des chars, puis le GIGN. Belles provocations. Inutiles et dangereuses pour l’unité de la Nation, car elles rappellent à une partie de la population qui se croyait en pays démocratique l’époque où le maître faisait obéir les esclaves au fouet.

Le pouvoir a dû méditer la constatation de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord « On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s’asseoir dessus » et fait maintenant semblant de négocier et propose aux soignants « un autre vaccin ». Ah oui, d’où sort-il ? Et pourquoi tous les métropolitains n’y auraient-ils pas droit ? Trop de stocks de Pfizer à écouler ?

Mais il n’existe actuellement aucun vrai « vaccin » au sens pasteurien sur le marché français.

Pasteur a défini la vaccination comme l’injection d’antigènes provenant d’un pathogène tué ou inactivé afin de susciter la création d’une réponse immunologique par la fabrication d’anticorps et la stimulation des cellules immunocompétentes de la personne injectée.

Aucune des injections antiCovid actuellement autorisées en France ne contient d’antigène ; ce ne sont donc pas des « vaccins » mais des médicaments, de plus totalement expérimentaux et issus d’une technologie expérimentale en infectiologie.

Si les labos, les gouvernements et les médias les qualifient de « vaccins », c’est uniquement pour camoufler la nature réelle de ces médicaments géniques et les faire bénéficier de la popularité et des lois qui protègent les vrais vaccins.

Tous ces pseudo vaccins sont expérimentaux, car leurs essais ne sont même pas terminés.

Les complications de ces pseudo vaccins sont trop nombreuses

Le gouvernement compte-t-il remplacer le Pfizer ou le Moderna par l’AstraZeneca ou le Jansen. De toute façon par des mécanismes différents ils interfèrent également sur l’ARN messager et font produire de la protéine spike. Les Antillais seront-ils dupes ?

Pour l’Astra Zeneca, l’Agence Européenne du Médicament EMA, pourtant très proche des fabricants, a identifié un surrisque de cas de coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et de thrombose veineuse cérébrale (TVC) chez les personnes de moins de 55 ans.

Pour ces raisons, il est interdit dans de nombreux pays et réservé en métropole aux plus de 55 ans (donc aux infirmières qui prennent statutairement leur retraite à cet âge).

Les vaccins anti-Covid AstraZeneca et Janssen ont un point commun : il s’agit de vaccins à vecteurs viraux qui utilisent des adénovirus.

Le vaccin Janssen du laboratoire Johnson & Johnson. Le 13 avril 2021, les autorités sanitaires américaines ont annoncé « mettre en pause » temporairement l’utilisation du vaccin Janssen par mesure de précaution. Comme pour l’AstraZeneca, plusieurs cas de thromboses ont été observés chez des patients ayant reçu le vaccin Janssen. La recommandation de la Haute Autorité de santé d’administrer une dose supplémentaire de vaccin à ARN messager a été suivi d’une chute brutale de ses injections, et ses livraisons sont stoppées en France depuis début juillet 2021 après utilisation d’environ 50 % des doses achetées. Le Danemark a été le premier pays d’Europe à exclure ce vaccin dès le lundi 3 mai après que l’autorité sanitaire ait déclaré :

« les avantages de l’utilisation du vaccin contre le Covid-19 de Johnson & Johnson ne l’emportent pas sur le risque de possibles effets indésirables chez les personnes qui le reçoivent. »

En France Janssen est destiné aux plus de 55 ans ce qui exclut les infirmières parties normalement en retraite à cet âge.

Le vaccin Moderna

En Suède et en Finlande, le vaccin a été interdit pour les moins de 30 ans tandis qu’au Danemark et en Norvège il a été formellement déconseillé pour les moins de 18 ans après qu’une étude scandinave associant ces 4 pays a établi que :

« les hommes injectés avec le Spikevax de Moderna âgés de moins de 30 avaient un risque accru de développer une inflation du myocarde ».(([1] Déclaration de Mika Salminen, directeur de l’Institut finlandais pour la santé.))

O. Veran a prétendu devant les députés qu’il n’y aurait aucun mort démontré dû à la pseudo vaccination Covid en France. Les sites gouvernementaux sont-ils complotistes ? Consulter les sites est très instructif. Eudravigilance en compte plus de 30 000, le VAERS en recense plus de 18 000 et celui de l’Agence Sanitaire du Médicament française en signale plus de mille.

Après avoir menti sur les masques, sur la prétendue toxicité de la chloroquine, sur l’efficacité réelle des vaccins, il tente de nous refaire le coup du nuage de Tchernobyl qui aurait épargné la métropole ou du chlordécone qui n’était pas toxique !

Ce gouvernement croit-il que les Antillais sont à ce point ignares qu’ils ignoreraient les graves complications recensées publiées dans les revues internationales et reconnues par de très nombreuses agences sanitaires ?

Ni les effets secondaires subis par les soignants métropolitains au début des vaccinations en France ?

Complications si fréquentes que la Haute Autorité de Santé avait conseillé de ne plus vacciner en même temps le personnel d’un service, pour ne pas risquer d’être obligé de le fermer par manque de soignants.

Ni la surcharge des Centres régionaux de pharmacovigilance comme celui de Limoges chargés de recueillir tous les signalements d’effets indésirables des médicaments submergés par les signalements post-vaccination Covid-19 depuis janvier dernier. Plus précisément, 4 000 en quatre mois et demi (sur 283 000 personnes ayant reçu une ou deux doses de vaccin en Limousin) : un record pour cette structure qui recueille les déclarations des effets indésirables des médicaments et fait remonter ses observations à l’Agence nationale de sécurité du médicament, l’ANSM. Le Haut Conseil pour la Santé Publique considère que l’obligation vaccinale des professionnels de santé doit être justifiée par les quatre conditions suivantes : prévention d’une maladie grave, risque élevé d’exposition pour le professionnel de santé ; risque élevé de transmission soignant-soigné, existence d’un vaccin efficace et bien toléré.

Une obligation infondée selon les critères du Haut Conseil de la Santé Publique

À propos du vaccin antigrippal, il s’est déclaré pour une incitation forte et contre une obligation considérant que la maladie est habituellement sans gravité chez les personnes jeunes et en bonne santé, qui représentent la majorité des soignants, que la prévention de la grippe repose sur les mesures d’hygiène (lavage et désinfection des mains, port du masque), que l’efficacité de la vaccination est modérée, ne dépassant pas 70 %, et diminue fortement lorsque les souches circulantes ne sont pas contenues dans le vaccin et qu’enfin les études disponibles en faveur des vaccins sont entachées de biais et n’apportent pas une preuve claire de leurs avantages.

Si on applique les mêmes critères au Covid dont les pseudo vaccins expérimentaux sont moins efficaces que ceux de la grippe (40 %),(([2] d’après le ministre de la Santé d’Israël, lors d’une interview télévisuelle)) moins durables et la tolérance très inférieure, l’obligation des soignants est infondée.

L’épidémie est terminée en Guadeloupe

L’obligation d’injecter un médicament génique expérimental pour stopper l’épidémie est d’autant plus à contretemps que l’épidémie n’a pas attendu la vaccination pour se terminer ainsi que le montre les courbes de l’OMS.

Cette évolution favorable sans vaccin confirme le cycle naturel des poussées bien décrites par le professeur Ben Israël ; une ascension de 4 à 6 semaines puis une chute brutale. Et comme l’immunité naturelle obtenue après guérison est plus forte et plus durable qu’après les pseudo vaccins la situation actuelle de la Guadeloupe est meilleure qu’après vaccination.

Et s’il devait survenir un nouveau variant, la vaccination serait incapable de la prévenir comme le sont, chaque hiver, les vaccins antigrippaux de l’année précédente.

Il suffirait alors de suivre l’exemple de l’Inde et d’utiliser les traitements préventifs et/ou précoces pour éliminer la menace. Des médicaments utilisés sur près d’un milliard d’Indiens et qui n’ont pas été suivis de complications !

Pourquoi le gouvernement s’acharne-t-il contre les Antillais ?

Parce que loin de la métropole, les méfaits de ce gouvernement se voient moins d’autant que les médias minimisent ses responsabilités !!!

Après la Guadeloupe et la Martinique qui sont totalement bloquées par leur grève générale illimitée, un préavis de grève générale a été déposé aussi en Nouvelle-Calédonie. preuve que ça va très mal et que ce gouvernement utilise les outres mers comme laboratoire pour leurs injections et leurs répressions, avant la métropole.

Une pensée et un soutien sans faille à tous nos amis guadeloupéens qui subissent les premiers la dictature “sanitaro politique” de ce gouvernement, les médias corrompus nous diront bien sûr que l’ordre doit revenir à cause des pillages ou autres, mais ils vous mentent, car, c’est bien ce gouvernement qui pille l’économie, abandonne les hôpitaux et maintenant menace la vie des Français des DOM-TOM dans une violence jamais connue pour eux depuis la fin de l’esclavage.

Honneur à vous, amis français de Guadeloupe, de Martinique et d’outre-mer, les métropolitains vous regardent, car si vous tombez, c’est le reste du pays qui risque de tomber sous cette dictature.




Voici la preuve que le gouvernement impose un essai clinique sauvage sur toute la population française !

[Source : Ma France]

Comme vous pouvez le lire avec vos yeux et sans l’aide des journalistes corrompus des médias mainstream, sur ce site du gouvernement vous pouvez lire le plus simplement du monde que la phase 3 de l’essai clinique, ce qui a été confirmé par Pfizer, doit se réaliser à l’hôpital, en centre privé ou chez des médecins habilités uniquement. 

C’est après la validation de cette phase 3 que l’autorisation de mise sur le marché (AMM) peut-être donnée au laboratoire.

On est donc dans un essai clinique sauvage imposé à toute la population par la peur et le chantage, l’extorsion de consentement. C’est tout simplement CRIMINEL !

Comme tout médicament, les vaccins contre la Covid-19 ne peuvent pas être commercialisés sans autorisation de mise sur le marché. 

Comment les laboratoires obtiennent-ils ce précieux sésame ? Décryptage.

Covid-19 ou pas, la décision d’autoriser ou non un vaccin ne relève pas du Gouvernement, mais appartient aux autorités scientifiques indépendantes qui sont en charge de l’évaluation des produits de santé.

En Europe, c’est l’Agence européenne des médicaments (EMA) qui organise l’évaluation des vaccins contre la Covid-19, en s’appuyant sur l’expertise des 27 agences nationales. En France, il s’agit de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

Avant de détailler la procédure d’autorisation d’un vaccin contre la Covid-19, penchons-nous d’abord sur les différentes étapes d’élaboration du vaccin lui-même…

[Extrait du site gouvernemental La stricte procédure de mise sur le marché des vaccins contre la Covid-19 | Gouvernement.fr (voir aussi la capture PDF ci-dessous)]




Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?

[Source : From Rome]

Par Frère Alexis Bugnolo

En tant que lecteur de FromRome.Info, vous avez peut-être remarqué que j’essaie de mettre l’accent sur les rapports qui relient les points — c’est-à-dire qui montrent les relations entre les causes et les effets, et qui essaient de discerner la cause des effets et de démontrer les effets des causes.

Je fais cela parce que, lorsque j’étais élève au collège, j’ai compris que ce n’est que lorsque l’on comprend les causes et les effets que l’on commence vraiment à comprendre.

Enquête sur le battage médiatique autour du coronavirus

Au début, j’ai cru au battage médiatique sur le coronavirus. Comme la plupart des gens, il n’est pas normal que tous les médias mentent sur quelque chose de la même manière, au même moment et dans un but précis. Mais grâce à vos lecteurs, j’ai jeté un coup d’œil aux faits et cela m’a ouvert les yeux.

Pour cette raison, j’ai récemment publié pour vous une série d’articles sur la crise Covid, qui montrent que la panique poussée par l’Organisation Mondiale de la Santé et les dirigeants nationaux n’est pas basée sur la menace réelle du COVID-19, dont la mortalité naturelle dans le monde est bien inférieure à la grippe hivernale normale dans les principales nations de la terre. Pour tous les articles sur la Covid-19, voir ici.

C’est ce qui m’a amené à prendre position contre ce battage médiatique, le 16 mars, dans mon Editorial, en m’engageant à m’y opposer.

En y réfléchissant, j’ai commencé à reconnaître que la véritable histoire ici était le battage universel, indiscutable et dogmatique concernant un phénomène qui, médicalement, ne méritait pas une telle panique.

En tant qu’anthropologue — B. A. University of Florida, Gainesville, 1986 — je sais que dans de tels événements humains, les causes sont des êtres humains. Plus précisément, les causes proviennent d’individus qui se demandent ou se conseillent mutuellement d’agir en réponse à certains événements. Pour cette raison, je dois un grand merci à la dame qui se fait appeler Nick, The Amazing Polly, pour m’avoir encouragé à m’interroger sur ce qui se passait, du point de vue de l’événement humain de la crise Covid.

En tant que fils de Saint Maximilien Kolbe, je sais que lorsqu’il s’agit de manipuler les masses, il faut regarder du côté de la franc-maçonnerie et des nombreuses organisations qui sont fondées sur la promotion du mensonge afin de gouverner par l’imposture. Pour cette raison, je connaissais déjà une grande partie de ce qu’Alex Jones a rapporté il y a plus de 10 ans, sur le groupe Bilderberg. Mais son rapport était prophétique, en un sens, car il y explique, d’une manière facilement compréhensible, ce que le réseau mondial des élites veut faire et comment il réalise ses plans. Voir son film, The End Game, dont vous trouverez le lien ici au milieu de l’article.

La réunion Bilderberg de 2019 a-t-elle planifié la crise Covid ?

L’une des leçons importantes que vous pouvez tirer de Endgame, de Jones, est que le groupe Bilderberg planifie les événements mondiaux à l’avance et les exécute par le biais d’une myriade d’organisations dont chacune est contrôlée par un agent Bilderberg dans cette organisation, qu’elle soit privée, nationale ou ecclésiastique.

Si vous voulez alors comprendre la cause ultime de la panique Covid, il est utile de jeter un coup d’œil à l’ordre du jour de l’année dernière [Ndlr: article original en anglais écrit le 25 mars 2020] pour la réunion Bilderberg de 2019.  Permettez-moi de citer un extrait de leur communiqué de presse officiel, sur l’ordre du jour de leur réunion de 2019. Ce sont leurs mots, pas les miens :

MONTREUX, 28 MAI 2019 – La 67e réunion Bilderberg aura lieu du 30 mai au 2 juin 2019 à Montreux, en Suisse. Environ 130 participants de 23 pays ont confirmé leur présence. Comme toujours, un groupe diversifié de dirigeants politiques et d’experts de l’industrie, de la finance, du monde universitaire, du monde du travail et des médias a été invité. La liste des participants est disponible sur bilderbergmeetings.org.
Les principaux sujets de discussion de cette année sont les suivants :
1. Un ordre stratégique stable
2. Quelle suite pour l’Europe ?
3. Changement climatique et développement durable
4. La Chine
5. Russie
6. L’avenir du capitalisme
7. Brexit
8. L’éthique de l’intelligence artificielle
9. La militarisation des médias sociaux
10. L’importance de l’espace
11. Les cybermenaces

En ce qui concerne le battage médiatique autour de la Covid, l’ordre du jour comporte plusieurs sujets qui traitent explicitement des éléments clés de ce battage : La Chine, la militarisation des médias sociaux, l’avenir du capitalisme, le changement climatique et le développement durable, l’avenir de l’Europe ? Mais si vous réfléchissez à tous ces sujets de discussion, vous verrez qu’ils peuvent tous être résumés en une seule phrase :

Pour atteindre nos objectifs de domination du monde, qui consistent en un Ordre stratégique stable contrôlé par nous-mêmes, nous devons faire advenir le Que va-t-il se passer pour l’Europe ? en utilisant comme base idéologique fondamentale le changement climatique et la durabilité, en chargeant la Chine de libérer son virus SRAS bio-ingénié pour créer, au moyen de l’armement des médias sociaux, une panique mondiale, mais surtout en Europe et en Occident, qui induira une fin de partie fondamentale pour l’avenir du capitalisme en détruisant les économies nationales et en rendant l’Europe en particulier dépendante de la Chine, au nom de la protection de la planète et de la santé publique : et ceci pour soumettre la Chine à nos objectifs en lui donnant un rôle central dans l’économie mondiale en échange de sa loyauté envers nous.

J’ai écrit ce qui est en italique. J’ai utilisé ma formation en archéologie pour assembler les faits et les rassembler dans une hypothèse de travail qui, sous de multiples aspects, correspond le mieux aux événements qui se sont produits et qui se produisent.

Étant donné que l’ordre du jour du groupe Bilderberg de 2019 mentionne des facteurs clés qui s’avèrent faire partie de la panique Covid et qu’il n’est pas difficile d’interpréter l’ordre du jour global comme quelque chose qui correspond à ce qui s’est réellement passé, je reviens à ce qu’Alex Jones a dit dans son film Endgame, à savoir que ceux qui deviennent des visages publics ou des dirigeants de nations assistent d’abord à une réunion du groupe Bilderberg, puis sont déployés sur la scène publique.

Je trouve donc intéressant que Bill Gates ait participé à la réunion du groupe Bilderberg en 2010, tout simplement parce que, dans le cadre de l’événement plandémique de 2020, ses empreintes digitales sont présentes sur tous les acteurs majeurs, comme le démontre David Kaftal dans le rapport d’aujourd’hui, intitulé Bill Gates : Père divin de la panique mondiale liée au coronavirus.  (Veuillez noter que je n’ai pas intitulé l’article God-Father [Dieu le Père] à cause d’une faute de frappe. L’absence de trait d’union était intentionnelle).

L’article de David donne de nombreuses raisons de soupçonner Bill Gates d’être un acteur majeur dans le battage médiatique autour du coronavirus, du point de vue de ses contacts personnels, du soutien financier ou moral qu’il a choisi d’accorder à chaque groupe impliqué, ou de ses relations personnelles préexistantes.

Qui et où a commencé la plandémie ?

Mais, comme vous l’a peut-être appris Sherlock Holmes — un personnage que j’admire beaucoup pour sa promotion de la science de l’analyse médico-légale — dans son combat contre le cerveau du crime, le docteur Moriarty, pour prouver quoi que ce soit, il faut montrer que chronologiquement le suspect ou ses agents étaient impliqués dès le début.
Voici donc quelques informations sur le déroulement des événements qui ont conduit à l’affaire de la crise Covid. Je cite les notes que m’a adressées le journaliste d’investigation de FromRome.Info, l’autre jour :

Le premier rapport d’information que j’ai pu trouver mentionnant le coronavirus date du 31 décembre 2019, c’est-à-dire avant que le virus ne soit identifié ou nommé. Il s’agit d’un article du Center for Infectious Disease Research and Policy de l’Université du Minnesota, publié sur le site http://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2019/12/news-scan-dec-31-2019.

La source de l’article est le Centre de protection de la santé (CHP) du ministère de la Santé de Hong Kong (([1] https://www.info.gov.hk/gia/general/201912/31/P2019123100667.htm)).

La plupart des médias se contentent de dire que le 31 décembre 2019, les représentants de l’État chinois ont contacté l’OMS et signalé un groupe de cas de pneumonie à Wuhan.

À l’exception des deux liens ci-dessus, toutes les autres références à l’événement que j’ai pu trouver ont été publiées après coup dans une chronologie rétrospective. Les publications ultérieures d’informations, comme celles qui ont eu lieu lorsque le virus a été [prétendument] isolé et nommé, et lorsque le premier décès est survenu, semblent avoir été publiées soit par les ChiComs, soit par l’OMS, reprises par l’AP et distribuées par les MSM.

[Voir : 87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais]

Bill Gates semble être le personnage central dans tout cela. Il a financé l’Institut Pirbright, qui détient le brevet d’une itération antérieure du coronavirus vivant et travaille à la mise au point d’un vaccin contre le coronavirus actuel, qui est presque identique (([2] https://coercioncode.com/2020/01/24/unbelievable-gates-foundation-predicted-65-million-deaths-via-coronavirus-3-months-ago/)), et a fait don de 20 millions de dollars à Johns Hopkins (([3] https://www.gatesfoundation.org/Media-Center/Press-Releases/1999/05/Johns-Hopkins-University-School-of-Public-Health)).

Il a également fait don de plusieurs millions de dollars à l’OMS. Pas plus tard que le 5 février, en réponse à la demande de l’OMS de 675 millions de dollars de dons mondiaux pour lutter contre le virus, il a annoncé qu’il donnait 100 millions de dollars pour la recherche de vaccins (([4] https://www.forbes.com/sites/lisettevoytko/2020/02/05/bill-and-melinda-gates-donate-100-million-to-coronavirus-vaccine-research/#2109657c6e9e)).

Bill Gates veut utiliser sa fortune pour « améliorer l’humanité », par le biais de la vaccination, dont il a dit à plusieurs reprises qu’elle contribuerait à la réduction de la population (selon son raisonnement, la surpopulation est due au fait que les habitants des pays du tiers-monde doivent avoir trop d’enfants parce que certains d’entre eux mourront par manque de vaccins) et par des dons directs au Planning familial et à d’autres organisations qui se consacrent à la réduction de la population.

Le visage public du rôle de Johns Hopkins dans l’événement 201 est Lauren Gardiner, codirectrice du Centre de science et d’ingénierie des systèmes de Johns Hopkins. Les médias ne cessent de citer les chiffres de Johns Hopkins en raison de leur « Dashboard », un site Web de suivi sophistiqué qui utilise les statistiques de l’Organisation mondiale de la santé, des Centers for Disease Control and Prevention, de la Commission nationale de la santé de la République populaire de Chine et de Dingxiangyuan, un site de réseau social pour les professionnels de la santé qui fournit des informations en temps réel sur les cas. (([5] https://hub.jhu.edu/2020/01/23/coronavirus-outbreak-mapping-tool-649-em1-art1-dtd-health/)). Depuis lors, les sources de leurs données auraient changé : OMS, CDC, Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, Commission nationale de la santé de la Chine, et ncov.dxy.cn, une source de données indépendante gérée par des médecins chinois. (([6] https://www.medpagetoday.com/infectiousdisease/publichealth/84698)).

Comme vous pouvez le voir dans ces notes, la première organisation à tirer la sonnette d’alarme au sujet du virus de Wuhan se trouvait aux États-Unis : le Centre de recherche et de politique sur les maladies infectieuses de l’Université du Minnesota.

Pourquoi le Minnesota ? On pourrait penser que le premier à tirer la sonnette d’alarme serait une organisation en Chine ou quelqu’un de l’Organisation mondiale de la santé. Mais si l’on invente un récit, il faut le lancer à partir d’un endroit où il sera considéré comme une crise authentique, et non pas directement à partir d’un acteur principal qui, dans les semaines suivantes, prendrait l’initiative de diriger et d’instrumentaliser la crise.

Mon intuition était donc que ce centre de l’Université du Minnesota était contrôlé par Gates d’une manière ou d’une autre, et sur demande, mon enquêteur a trouvé ce qui suit :

Le Centre des maladies infectieuses et des politiques de l’Université du Minnesota élabore le « paysage technologique du vaccin antigrippal universel » avec le soutien du Consortium mondial des bailleurs de fonds pour le développement d’un vaccin antigrippal universel, qui a été créé en 2017 grâce au financement de la Fondation Bill et Melinda Gates.

http://www.cidrap.umn.edu/universal-influenza-vaccine-technology-landscape

Bingo ! Nous disposons maintenant d’indications substantielles selon lesquelles Bill Gates est en fait à l’origine de ce battage médiatique.

Crise Covid pour la fermeture de l’Église catholique

Une partie du battage médiatique de la Covid, pour nous catholiques, a été la décision de Bergoglio de fermer les messes à Rome, puis de demander à la Conférence épiscopale italienne et aux Conférences épiscopales d’une grande partie de la planète de fermer la religion catholique. Cette fermeture consiste à mettre fin à la célébration publique du Sacrifice de la Messe et à toutes les fonctions sacramentelles publiques. Mais ce n’est pas tout, elle consiste à mettre fin à tout ministère sacerdotal, pour la plupart, et à fermer tous les services sociaux que l’Église rend aux pauvres par l’intermédiaire des paroisses.

Cette fermeture est le rêve des rêves de la franc-maçonnerie et des satanistes et de la tyrannie marxiste chinoise de Chine. Elle est inexplicable sur la base de l’enseignement catholique, et son motif doit donc être recherché en dehors de la religion catholique.

Ainsi, avec tous les faits rassemblés jusqu’ici, nous devons examiner attentivement les relations du Vatican avec le Bilderberg et Bill Gates.

Le secrétaire d’État du Vatican au Bilderberg 2018

La première chose à noter est l’événement scandaleux de 2018, lorsque le secrétaire d’État du Vatican a participé à la réunion Bilderberg cette année-là. Pour comprendre comment cela a pu se produire, il faut d’abord comprendre le coup d’État qui a eu lieu en 2013, lorsque le pape Benoît XVI a lu une déclaration sur son désir de démissionner, mais n’a pas démissionné. Et comment les cardinaux l’ont interprété comme une démission pour l’écarter et ouvrir la voie à Jorge Mario Bergoglio, cardinal archevêque de Buenos Aires, et adhérent notoire du socialisme international et du globalisme.

Ainsi, en ce qui concerne les catholiques, Bergoglio n’a jamais été ni ne pourrait être le pape, car l’Église ne peut avoir qu’un seul pape, et tant que le premier ne renonce pas à tous les aspects de sa fonction et de sa dignité, le second n’est rien d’autre qu’un usurpateur et un antipape.

[Ndlr : une autre raison pour laquelle Bergoglio ne peut être pape est qu’il est Jésuite.]

Dès le départ, Bergoglio s’est montré un agent du globalisme et a repris les positions politiques de Barrack Obama et Hilary Clinton, qui avaient ouvertement prôné, avant 2013, un « printemps » catholique pour écarter le pape Benoît XVI du pouvoir.

Le fait que Bergoglio envoie son secrétaire d’État de facto, le cardinal Parolin, n’était donc pas surprenant pour les catholiques, mais choquant pour ceux qui ont cru au grand mensonge de février 2013, car ils ne pouvaient pas comprendre comment le Vatican, ennemi juré de la Loge maçonnique depuis 200 ans, pouvait être invité et encore moins assister à l’un des hauts conseils de la franc-maçonnerie mondiale.

De manière inquiétante également, la réunion Bilderberg de 2018 s’est tenue à Turin, en Italie, qui est l’une des capitales du satanisme en Europe.

Edward Pentin — qui est l’ancien secrétaire d’un socialiste de premier plan du Royaume-Uni — a écrit un article dans le National Catholic Register (autrefois détenu par les Légionnaires du Christ, qui ont fait l’objet d’une enquête de Benoît XVI, mais maintenant par EWTN qui collabore maintenant avec l’Opus Dei pour la couverture des nouvelles du Vatican) tentant d’expliquer la présence de Parolin à la conférence Bilderberg de 2018. Il était intitulé, Un officiel du Vatican explique pourquoi le cardinal Parolin a participé à la réunion Bilderberg.

Dans cet article, Pentin rapporte le fait crucial, en parlant de Bergoglio :

Le pape était certainement au courant de la participation du cardinal, a déclaré le fonctionnaire, et le cardinal était « pleinement conscient de la nature controversée » de l’événement, mais se sentait encouragé par le fait d’avoir déjà rencontré de nombreux participants dans « d’autres contextes ».
« Il connaissait déjà certaines personnes, des premiers ministres et ainsi de suite », a déclaré le fonctionnaire.

Après la réunion Bilderberg de 2018, Bergoglio a signé en octobre un accord avec la Chine, abandonnant l’Église de ce pays aux mains de Pékin, puis, au mois de janvier suivant, il s’est rendu aux Émirats Arabes Unis pour signer un accord en faveur d’une initiative en faveur d’une religion mondiale unique, qui nie effectivement que la religion catholique soit uniquement voulue par Dieu pour le salut de tous. Il est donc difficile de nier que la présence du cardinal Parolin n’a eu aucun effet.

Bill Gates a-t-il demandé à Bergoglio de fermer l’Église catholique ?

Nous arrivons enfin au point où nous pouvons poser la question clé du jour, et tenter d’y répondre : La fermeture mondiale de l’Église catholique, la suspension du sacrifice public, est-elle un événement dans lequel Bill Gates, dans le cadre du rôle qui lui a été confié par la réunion Bilderberg en 2010, et prévu dans la réunion de 2019, a joué un rôle central ?

Bien sûr, c’est possible. Gates aurait simplement pu appeler Bergoglio au téléphone et lui demander. Et seul le gouvernement américain, qui intercepte tous les appels téléphoniques, aurait eu les preuves. Mais il est évident qu’une demande aussi importante devrait nécessiter des négociations préalables. Bergoglio devrait signer et en retirer quelque chose. Et qu’est-ce que ce serait ? Parce qu’en fermant les églises et les diocèses, vous risquez de détruire le soutien financier de l’Église et de vous aliéner une grande partie des fidèles.

Jetons donc un coup d’œil à l’ordre du jour de la réunion Bilderberg 2018 pour voir si le cardinal Parolin, en tant que représentant du Vatican, a été invité à discuter de quoi que ce soit de pertinent pour la présente affaire. Il est intéressant de noter que Wikipedia, qui a un article sur les réunions de 2017 et 2019, n’a pas d’article en anglais sur la réunion de 2018. Pour cela, il faut se rendre sur le site officiel du Bilderberg. C’était leur 66e réunion et elle s’est tenue immédiatement après le 06/06/2018, mais ne soyons pas superstitieux !

TURIN, 5 JUIN 2018 – La 66e réunion Bilderberg doit se dérouler du 7 au 10 juin 2018 à Turin, en Italie.
TURIN, 5 JUIN 2018 – La 66e réunion Bilderberg se déroulera du 7 au 10 juin 2018 à Turin, en Italie. À ce jour, 131 participants de 23 pays ont confirmé leur présence. Comme toujours, un groupe diversifié de dirigeants politiques et d’experts de l’industrie, de la finance, du monde universitaire et des médias a été invité. La liste des participants est disponible sur www.bilderbergmeetings.org.
Les principaux sujets de discussion de cette année sont les suivants :
1. Le populisme en Europe
2. Le défi de l’inégalité
3. L’avenir du travail
4. L’intelligence artificielle
5. Les États-Unis avant les élections de mi-mandat
6. Le libre-échange
7. Le leadership mondial des Etats-Unis
8. Russie
9. L’informatique quantique
10. Arabie Saoudite et Iran
11. Le monde de la « post-vérité »
12. L’actualité

Puisque le Christ dit de lui-même : « Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie », en tant que catholique, je peux comprendre que le point 11 peut très bien signifier un monde sans Christ. Et puisque le Christ est présent sur Terre à travers l’Église, son Corps mystique, un monde sans la vérité est théologiquement un monde sans l’Église.  Je sais aussi, de par ma formation en théologie, que l’Église est définie comme l’assemblée publique de ceux qui croient en Jésus comme Dieu. Elle se concentre sur la messe, mais aussi sur les autres sacrements. Fermer l’Église comme l’a fait Bergoglio, c’est donc établir un monde de post-vérité.

Les autres sujets tels que le populisme, contre lequel Bergoglio s’est fortement élevé depuis 2018, l’inégalité, que Bergoglio ne cesse de répéter comme la raison pour laquelle le socialisme doit être imposé aux masses, et le leadership mondial des États-Unis, que Bergoglio considère comme une menace pour l’humanité et la fraternité, sont tous des raisons clés pour lesquelles Bergoglio pourrait avoir envoyé Parolin à la réunion Bilderberg.

Ce sont toutes des raisons, également, pour lesquelles Bergoglio serait motivé à se conformer aux plans du Bilderberg 2019 s’ils incluaient l’attaque de ses ennemis.

Bill Gates et Bergoglio se sont mis d’accord en 2014 pour sauver le monde ensemble ?

Je devine aussi que si Bergoglio devait se voir confier par le groupe Bilderberg le rôle principal de chef de la religion mondiale qu’ils prévoient de dévoiler, qu’un tel prix le convaincrait certainement de faire n’importe quoi.

Mais il y a plus que des spéculations dans cette histoire, car Bill Gates et Bergoglio semblent s’être déjà engagés en 2014 à sauver le monde ensemble. Market Watch en a fait état dans un exposé détaillé rédigé par Paul B. Farrel et publié le 14 juin 2014. Les mots de Farrel étaient significatifs :

Le pape François nous a déjà mis en garde contre trois tendances autodestructrices :
Premièrement : le réchauffement planétaire non durable et le changement climatique sur la planète Terre.
Deuxièmement : le pape affirme que l’économie mondiale est « proche de l’effondrement » alors que les inégalités augmentent, alimentant les révolutions.
Troisièmement : les ressources naturelles de la Terre seront incapables de nourrir les 10 milliards de personnes qui vivront en 2050. Les trois vont de pair, fusionnent, avec des mécanismes de déclenchement liés entre eux pour s’enflammer simultanément.

Certes, le pape François, Bill Gates et bien d’autres milliardaires travaillent déjà sur des projets philanthropiques d’intérêt personnel. Il est maintenant temps de combiner les forces, de voir le monde comme une seule entité, de chercher des solutions communes. Car comme l’a dit Ben Franklin lors de la signature de la Déclaration d’indépendance en 1776 : « Nous devons, en effet, nous accrocher tous ensemble, ou nous serons certainement tous accrochés séparément. »

Relisez la dernière phrase.

Farrel a compris que Bill Gates et Bergoglio étaient poussés à collaborer non seulement idéologiquement mais aussi historiquement. Quel était l’ennemi qu’ils cherchaient à éradiquer ? Je résume Farrel, en citant les titres de son article :
1. Le changement climatique insoutenable qui détruit la planète ;
2. L’économie mondiale s’effondre, alimentée par le fossé croissant des inégalités ;
3. Les ressources naturelles de la Terre ne pourront pas nourrir 10 milliards de personnes en 2050.

Si vous savez une chose sur les marxistes, de la variété Gramescienne, c’est qu’ils cherchent à provoquer l’effondrement du gouvernement ou de la société par incrémentation. Et s’ils ne peuvent pas y parvenir de cette manière, ils cherchent à créer des crises pour pousser la nation à l’effondrement. La panique causée par le virus Covid est la crise parfaite pour un tel travail. Bill Gates et Bergoglio ont déjà publiquement approuvé l’objectif de l’agenda. Alors pourquoi Bergoglio ne serait-il pas prêt à voir ces objectifs atteints par tous les moyens ?

Oui, l’histoire de Farrel est une couverture. Il parle de ce qui devrait et pourrait arriver dans le futur, et non d’un quelconque accord signé. Mais lorsqu’un grand site d’information comme Market Watch publie une propagande aussi ridicule sur des hommes ayant beaucoup d’influence politique, et qu’il se pâme devant eux, il s’agit clairement d’une propagande voulue par les hommes mentionnés pour des raisons de publicité. Appelez cela un ballon d’essai ou un préavis aux cercles intérieurs.

Mais il existe d’autres liens, qui ne peuvent être ignorés.

Jeffry Dorfman, écrivant pour le très influent Forbes.com, le 9 janvier 2014 a été plus explicite que Farrel. Son article est intitulé Le pape veut plus de gens comme Bill Gates et non le président Obama. Forbes n’est pas mal informé de ce qui se passe réellement. Leur famille a fait fortune en poussant les fake news qui ont provoqué le krach boursier de 1929.

En 2015, le Vatican a accueilli un spectacle de feux d’artifice financé par le cofondateur de Microsoft, selon Sandro Magister, écrivant le 9 mars 2016. Ce sont des événements comme celui-ci, où l’argent peut circuler pour des raisons autres que celles énoncées. Tout comme cela aurait pu se produire plus tôt cette année 2020, lorsque le Vatican a envoyé 600 000 masques médicaux en Chine.

Gates et Bergoglio semblent avoir maintenu leur collaboration sur un autre plan depuis 2014, avec le Pacte mondial pour l’éducation, qui est laissé par Sachs mais cherche des fonds auprès de Gates. La suspension, le 3 mars, de cette réunion au Vatican, prévue pour ce printemps, a été la première indication que Bergoglio signerait la Crise Covid.
Nous devons donc tous nous poser la question : Bill Gates a-t-il suggéré à Bergoglio que les sacrements sont des occasions malsaines de transmission virale et qu’il serait préférable de fermer l’Église catholique pour arrêter la propagation du Coronavirus ?

Ce serait la grande réussite de la plandémie parce que de cette façon, vous vous assurez qu’un milliard de catholiques restent à la maison tous les jours et les dimanches et soient privés des grâces qui leur permettraient de résister à la crise Covid et d’établir un réseau contre elle.

Le nom de Bill Gates, comme je l’ai démontré l’autre jour, a la valeur ASCII décimale de 666. Le nom de Bergoglio aussi, mais pas de la même manière. Selon les Pères de l’Église, l’Anti-Christ sera un juif qui mettra fin au sacrifice public de la Messe pendant 1260 jours. Je ne dis pas que Gates, dont les 4 grands-parents ont des noms de famille utilisés par les juifs, ou Bergoglio, qui semble n’avoir aucun juif dans sa lignée, est l’Antéchrist, mais je reconnais que la valeur prophétique du Livre des Révélations, écrit par l’Apôtre Saint Jean, peut non seulement s’appliquer à la fin réelle de ce monde, mais aussi à toutes les préfigurations, ou répétitions, de cette fin.

Je vous laisse le soin de poser les questions qui doivent maintenant être posées.

Mais je pense que le coup du Coronavirus pourrait très bien être l’instrument par lequel le groupe Bilderberg coopte dans son plan mondial de domination à la fois l’Église catholique et la Chine marxiste, qui ont déjà signé une alliance secrète mutuelle en 2018, suite à la réunion Bilderberg 2018 à laquelle Parolin a participé.

Pour terminer, Bill Gates investit dans une technologie qui permettra de suivre par empreinte digitale qui a été vacciné et qui n’a pas été vacciné par quels vaccins. Un monde futur, post Covid, exigera-t-il que tout le monde soit ainsi enregistré avec la technologie de Bill Gates, afin de pouvoir acheter et vendre de manière saine et hygiénique ? Cela accomplirait de manière inquiétante une autre prophétie de Saint Jean, dans Apocalypse 13:17.




Ahmed Bensaada et les « dommages collatéraux » : Les songes d’une nuit d’automne d’Omar Zelig-Chaulet

[Source : Algerie54]

Par Abdellali Merdaci*

Le dénommé Omar Zelig, nom de guerre de Luc Chaulet, époux de la journaliste Ghania Mouffok, aux identités nationales imperceptibles (Algériens, Français ou Franco-algériens ?), tous deux embusqués dans le fatras des réseaux sociaux, vient d’ajouter sa danse joyeuse sur le cadavre encore fumant du professeur Ammar Belhimer, relevé de ses fonctions de ministre de la Communication par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune. Zelig-Chaulet appelle, de son maquis – enfumé – la même disgrâce présidentielle pour l’éminent universitaire, écrivain et publiciste Ahmed Bensaada, le journal en ligne « La Patrie News » et les « autres consternations du boulevard des Martyrs », traités de « dommages collatéraux » dans un post fulminant.

Post d’Omar Zelig incriminant des « dommages collatéraux »

Il est vrai que l’œuvre critique de Bensaada secoue les marécages méphitiques d’une opposition strictement boboïste, plus justiciable du « demi-pression » dans les brasseries germanopratines et d’une militance protégée dans les gargotes dorés d’Alger, que des dédales d’une lointaine politique algérienne. Les motifs du vif ressentiment de Luc Chaulet et de Ghania Mouffok envers Bensaada sont certainement connus et entendus dans le cercle de leurs amis, notamment ceux d’Alger, depuis longtemps poussés dans le mouvement du néo-hirak et dans une campagne épouvantable contre le pouvoir de M. Tebboune et l’unité de la nation algérienne aux côtés des islamistes de Rachad et des séparatistes du MAK……

En vérité, Ahmed Bensaada dérange beaucoup de convictions délétères. Il a toujours préservé une vision largement documentée des événements politiques qui façonnent nos sociétés du Maghreb et du Moyen Orient. Il avait ainsi tenté d’expliquer, en interrogeant le contexte politique international, les « révolutions arabes » qui marquèrent leur auréole printanière. Il ne croyait pas à leur spontanéité et le faisait savoir, preuves à l’appui, dans un remarquable essai (1) qui décrypte les sources des surprenantes mutations de pays arabes (Tunisie, Libye, Syrie), de leurs acteurs, de leurs enjeux, de leurs commanditaires et de leurs ressources occultes. Accusait-il l’arrogante Amérique et ses agences de « démocratisation » du Moyen Orient, reprenant les semblables protocoles qui ont forgé en Europe de l’Est les fameuses révolutions colorées ? Derrière des élans populaires, les lecteurs de Bensaada apprenaient à reconnaître les inspirateurs de « soulèvements révolutionnaires » dans le monde arabe et découvraient leurs lignes de crédit patiemment retranscrites. La National Endowment for Democracy (NED), aux nombreuses succursales, reprenant des attributions de la CIA, est une hydre à sept têtes, posant sa semelle de plomb sur des États du Maghreb et du Moyen Orient réfractaires aux attentes de l’Amérique. Cette entreprise de démythification par Bensaada de ferveurs « printanistes » arabes, autant imprévues qu’inédites, hâtait de mordantes répliques de bien-pensants, principalement en Algérie.

En 2011, le vent du boulet du « printemps arabe » était-il passé si près des oreilles des dirigeants algériens, plus préoccupés par l’activisme indécent et foutraque d’un « Saïd Samedi » que de ses initiateurs américains et de leurs fondés de pouvoir locaux ? Bensaada ne pouvait admettre une Algérie formatée par les hérauts américains de la « démocratisation » du monde arabe, qui échouaient, en 2011, dans leurs menées et dans leurs diversions factieuses. Non pas, parce que l’État y faisait face, mais parce que les Algériens ne s’y prêtaient pas. Cette pétition de principe, éminemment patriotique, gonflera le remous d’attaques personnelles, pro domo, et de sermons rageurs. Le publiciste Ahmed Bensaada était déjà l’ennemi à abattre ? Avant les incantations d’Omar Zelig et de son impromptu automnal.

Hirak, néo-hirak et « ténors autoproclamés »

Le 22 février 2019, des marches populaires, sur l’origine et les motivations desquelles l’Histoire devra se prononcer, balaient les prétentions du régime honni des frères Bouteflika, dans les starters-blocks pour un cinquième mandat. Ce n’était plus un secret pour les Algériens que le président Abdelaziz Bouteflika, ingambe, ne disposait plus des capacités  – physiques – pour diriger le pays laissé à la discrétion de son cadet Saïd, vaguement conseiller à la présidence de la République. Depuis les désagréments de santé, au printemps 2013, Saïd Bouteflika incarnait à lui seul le pouvoir secondé par un clan d’oligarques, qui a, sous sa bienveillante direction, asséché la trésorerie de l’État. Le peuple algérien, unanime, ne voulait plus prolonger le règne césarien de la fratrie Bouteflika. Des grandes cités jusqu’aux hameaux d’Algérie soufflait une sourde révolte sans précédent dans l’histoire de l’Algérie indépendante. Des centaines de milliers d’Algériens marchaient chaque vendredi contre le 5e mandat présidentiel convoité par les frères Bouteflika et contre leur clientèle de mascarade, la « ’içaba ».

Par leur nombre, les marcheurs étaient légitimes dans leur demande de changement. L’Armée nationale populaire, dernier recours dans cette confrontation entre le peuple et le régime des frères Bouteflika, est intervenue, comme elle l’a fait, en 1991, devant la menace islamiste pour éviter l’effondrement de l’État et la désagrégation du pays. Le général Ahmed Gaïd Salah est apparu, à l’épreuve des faits, comme l’homme de la situation, obtenant le départ des Bouteflika et la mise en cause publique de la « ’içaba » prédatrice. Dans le calendrier républicain du commandement de l’Armée nationale populaire, le retour à l’élection et au verdict des urnes restait prioritaire. Beaucoup d’Algériens, si ce n’est la majorité d’entre eux, se sont rendus à la sagesse de cette proposition, pour prendre du recul d’avec les marches. Mais entre-temps, le hirak, en partie phagocyté par des activistes d’Alger, agents de la NED, repoussant le slogan du « khawa-khawa » et la fraternisation du peuple et de son armée, tentait de se structurer dans une direction séditieuse en répandant le mot d’ordre de rejet de l’élection présidentielle au profit d’un collège présidentiel et d’une assemblée constituante. C’est précisément sur cette phase décisive du hirak qu’Ahmed Bensaada apporte son analyse aiguisée des faits et sa probité intellectuelle dans leur compréhension exacte. La synthèse, toute stimulante, de son travail d’enquête est publiée, au printemps 2020, par l’éditeur algérois APIC sous le titre « Qui sont ces ténors autoproclamés du hirak ? ».

Dans cet opus, Bensaada démonte, pièce par pièce, l’OPA sur le hirak d’acteurs politiques et civils, tous formés et financés par la NED. Et reconstitue les phases d’un schéma d’agit-prop soigneusement pensé. À la manoeuvre, Lahouari Addi, sociologue français d’origine algérienne, conférencier de la NED, met en branle une instance présidentielle et en désigne les membres, les avocats Mustapha Bouchachi et Zoubida Assoul et le militant politique (sans parti agréé) Karim Tabbou, clients à divers titres de la NED, auxquels est assigné l’objectif de lancer une Assemblée constituante composée de membres cooptés. Cette démarche est nettement étayée par Ahmed Bensaada qui donne le détail des accointances et des financements par la NED des membres du triumvir présidentiel pressentis par Addi.

Cependant, au gré des marches, les rapports de force à l’intérieur d’un néo-hirak, qui n’a plus aucune légitimité populaire après l’élection du 12 décembre 2019 qui a consacré M. Tebboune, évoluent vers une nouvelle direction islamiste et un nouvel objectif qui est la destruction de l’État algérien. Les anciens membres du FIS dissous, réinvestis dans Rachad, Mourad Dhina et Larbi Zitout, appellent de Genève et Londres à un renversement du président de la République, élu légalement. Un dernier acteur dans l’opposition la plus extrême non seulement au pouvoir mais aussi à la nation algérienne est Ferhat Mehenni, chansonnier de Tizi Ouzou, président-fondateur, à Paris, du Mouvement pour l’autonomie de la Kabylie (MAK). Si Rachad est à l’œuvre dans l’ensemble du pays, le MAK a la parfaite maîtrise de la Kabylie. Les activistes pro-américains, rejoints par la gauche communiste agréée (MDS, PST) et le Rassemblement algérien de la jeunesse (RAJ, interdit par décision de justice), apparaissent comme minoritaires dans cet échafaudage politico-insurrectionnel. Mais, leurs troupes  restent fidèles au pacte léonin qui les lie aux islamistes et aux séparatistes kabyles pour le renversement de l’État algérien et de son pouvoir légal. On verra ainsi, au printemps 2021, le journaliste Ihsène El Kadi (« Maghreb émergent », Radio M.) apporter sa caution à Rachad et au MAK alors qu’un maître de chaire réputé de sociologie de l’Université d’Alger louera dans un entretien avec « Le Quotidien indépendant », autre soutien du néo-hirak, les vertus démocratiques des chefs de Rachad.

Censuré dans la presse privée, affiliée au néo-hirak, le publiciste Ahmed Bensaada combattra-t-il avec vigueur dans la presse patriotique en ligne les parrains du néo-hirak ? Singulièrement, ses nouveaux ténors islamistes. Ils s’attacheront, ainsi que leurs hommes de main (et de plume), de Londres à Genève, Paris et Montréal, y compris Lahouari Addi à Lyon-France, à minorer l’auteur et son œuvre. Ahmed Bensaada, didacticien des sciences physiques reconnu et salué au Québec, est traité de « petit professeur » et son essai sur le néo-hirak de « koutiyyeb » (livret, « petit livre », dans un sens péjoratif ; fascicule). Au-delà d’attaques venimeuses au-dessous de la ceinture, Dhina, Zitout et leurs acolytes se gardent de lui opposer des contre-arguments. Parce qu’ils n’en ont pas. Discréditer l’homme ? Ce n’est pas très honorable, pour autant qu’un tueur islamiste respecte les règles de l’honneur, mais il n’en est rien resté.

Les Chaulet-Mouffok en marge du hirak

Je ne connais ni Luc Chaulet (alias Omar Zelig) ni Ghania Mouffok, ancienne journaliste d’« Algérie actualité », à Alger, un hebdomadaire gouvernemental à la ligne éditoriale flottante où elle pu raviver une aura de « rebelle » au système. Mais est-ce suffisant pour construire une histoire dans la presse ? Luc Chaulet, né à Alger en 1956, peut affirmer crânement dans un récent entretien avec le quotidien « El Moudjahid » (Alger) être un « Algérien à part entière » (2) alors que le site français d’informations littéraires Babelio le présente comme un « journaliste et producteur français ». Ce qu’il n’a ni corrigé ni démenti, craignant de sortir de cette  ambigüité à ses dépens.

Dans les années 1990, les Chaulet-Mouffok ont pris leur part de la tragédie nationale. Un exil parisien : quatre années ferme, entre 1994 et 1998, « sans papiers », mais pas pour autant des SDF. C’est à cette période contristée que Luc Chaulet forge son pseudonyme : double hommage à Woody Allen et à son personnage-caméléon Zelig et à une algérianité transcendante incarnée par le prénom Omar. Cet hybride juif new yorkais mâtiné d’Algérien ne manque pas de piquant (on pense à tous les « petits Omar », de Tlemcen à la Casbah d’Alger, de la fiction au réel). Et, de piquant, Luc Chaulet s’en est gargarisé dans une signalée carrière, toute inventive, à la Chaîne 3 de la radio algérienne. De retour à Alger, vers la fin des années 1990, il y reprendra sa place, même si comme il le confie à ses amis de la presse privée, « il n’y était plus attendu ». Comme à son habitude, le talent en bandoulière, il crée de nouveaux formats et concepts (ainsi, « Réactions en chaine ») dans une radio où il perdait ses repères, chamboulé par des vexations presque ordinaires et d’infamantes retenues sur salaire décidées par des chefaillons. Son métier de bourlingueur des ondes, dans une Algérie déboussolée, perdait son surcroit de poésie.

Lorsque, un 22-Février, se levèrent drues les graminées du hirak dans le vaste pays, Luc-Omar était prêt. Ce combat pour une Algérie « autre » ne pouvait échapper à sa candeur et à sa générosité et à ses mots parfois rageurs. Dans un dossier qu’il signe sur la révolution du bitume, qui ne fut pas heureuse, il reste un constat douloureux : « Bien sûr, dans les rangs des ‘‘hirakistes’’, on nie encore l’évidence, on veut encore se persuader que l’esprit du 20-02 existe encore, qu’il n’y a pas de défection dans les rangs, que le changement peut encore advenir pour peu que le peuple reste uni, mais il a du plomb dans l’aile le hirak, les mots et les slogans deviennent plus durs, on se traite facilement de khawana, de traître,  de harki, de collabo, de ouled franssa, enfant de la France, on refuse tout compromis, tout dialogue, on s’épuise à clamer que personne n’est habilité à parler au nom du hirak, et à réclamer la libération des détenus d’opinion, les suprématistes de la religion, de l’identité voire de l’armée en font des tonnes, et la pandémie du coronavirus, comme un allié mondial de tous les pouvoirs, vient l’achever, autour de la mi-mars, lorsqu’est instauré le confinement » (3). Acte de décès du hirak, lucide et sans fioritures. Dans les marches, on se bouffait le nez allègrement lorsque «  les suprématistes de la religion » le mettaient dehors sous la bourrasque. Mais Luc-Omar savait d’instinct – ou par imprégnation cultuelle ou historique, c’est un grand lecteur – que les révolutions mangent leurs lendemains qui chantent. C’était si vrai, à Moscou, en 1917, à Pékin, en 1947, à Alger en 2019. Les authentiques révolutions sont faites pour être dépeuplées et pleurées.

À Alger, Omar Zelig recherche des amitiés exigeantes. Celle d’Ihsène El Kadi, entre autres – il faudra y revenir. Il lui prête sa voix et son ingéniosité dans une émission de Radio M intitulée  évasivement « Mim ». Sans doute connaissait-il le mystérieux adage des Orientaux : « Garde le ‘‘mim’’, il te gardera ». Simplement malicieux. Cette amitié deviendra-t-elle nocive au gré des alliances intempestives d’El Kadi, enrégimenté dans un néo-hirak sulfureux ? Voire…

Brève évocation à propos de Ghania Mouffok, la compagne de Luc-Omar. Une image compassée de la journaliste passionnée des années 1980 ? Vieillotte et archaïque. Comme dans un palimpseste, elle se superpose à celle très actuelle de la militante des droits de l’homme, de l’experte de l’Unesco pour l’émancipation des femmes, de la journaliste indépendante et de l’écrivaine. Comme je ne suis pas accro aux télévisions françaises (TV5, France 24) auxquelles elle collabore, je ne peux me prononcer sur ses productions. J’ai, par contre, trouvé sur le site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH) sa défense et illustration du journaliste Khaled Drareni. Elle l’achève par cette déclaration bravache : « Je soussigné Ghania Mouffok, traître depuis cent ans, pour servir ce que de droit » (4). Mais, cette auto-assignation est franchement trop convenue. Et, sa traitrise, un fantasme.

Dans ce texte Ghania Mouffok expose sa conception du journalisme, très caricaturale. Lisons-là : « Les journalistes, et c’est ce qui fait ce métier, déjeunent, dinent, fréquentent toutes sortes de faunes, le matin avec un voleur de portable, le soir avec un ambassadeur et à midi avec un milliardaire, c’est ainsi qu’ils informent, se forment et informent quand ils prennent aux sérieux leur métier et c’est ce qui en fait par ailleurs le sel » (5). Dans les faits, le journaliste confronté au voleur de portable émarge dans un sous-compartiment de la rubrique « Société », les faits divers ou « chiens écrasés », pour remonter au temps de Rouletabille ; le milliardaire à midi ne saurait traiter qu’avec le directeur-général d’un titre ou le président de son conseil d’administration ; et, le soir, Son Excellence l’ambassadeur soupe avec des éditorialistes bien introduits dans les arcanes du système politique, le sommet de l’échelle dans une rédaction. En l’espèce, Mme Zelig pose un bémol : « Bien sûr, les ambassades n’invitent pas tous les journalistes mais ceux qu’ils espèrent, qu’ils estiment suffisamment influents, crédibles, pour éventuellement faire entendre leur voix » (6). Elle indique avoir été dans les agapes des ambassades, sans préciser si elle a rencontré tôt le matin un « voleur de portable ». Ce n’est plus Rouletabille, c’est Tintin au Congo. En quoi, cette mise en scène de comédie amende-t-elle son fils putatif (dans le journalisme) Khaled Drareni et ses virées chez M. l’ambassadeur. Du Burkina-Faso ? Non, de France, naturellement ? Comique, si n’est fâcheux.

J’ai retiré dans ce texte de la « copine du barbouze » cette exquise formule : « à mon âge fêlé ». Quelle poéticité, qui défie tous les savoirs rhétoriques ! Terminons par une note dysphorique : l’essayiste est éditée par Les Éditions la Découverte, du temps de François Gèze, et l’abominable RSF. Ses pensums, que je n’ai pas lus, sont collationnés dans « Mondafrique » de Nicolas Beau. Que de précieux amis de l’Algérie.

Les Zelig-Mouffok sont unis dans la créativité et militent vent debout contre le « système ». S’ils sont opportunément restés Algériens, comme le soutient véhémentement Luc Chaulet, ils ont possiblement, l’un et l’autre, comme beaucoup de leurs compatriotes, des raisons de détester et de contester le pouvoir d’Alger. Ils en ont le droit et l’entière liberté, lorsqu’ils en assument la responsabilité éthique, sans atermoiements. Est-ce que leurs raisons de titiller le pouvoir actuel sont celles d’Ihsène El Kadi et derrière lui de Mourad Dhina, porte-parole en France du FIS dans les années 1990, diffusant à Paris auprès des agences de presse, des journaux et des radios et télévisions d’Occident les bilans quotidiens des tueries des groupes islamistes armés, de Larbi Zitout, son alter ego, prêt à appliquer la « solution finale » dans l’Algérie d’aujourd’hui si les digues du pouvoir cédaient à Alger, de Ferhat Mehenni et de son MAK qui n’attendent que de prendre les armes pour tuer des Algériens de Kabylie et de toutes régions, et des activistes stipendiés par la NED, bourgeois bien installés d’Alger et petit-bourgeois, communistes orthodoxes et trotskystes, zélateurs du « Grand Soir » ?

Une impensable duplicité

Dans les fumeries (convient-il de s’attarder, ici, sur l’urgente demande de Luc Chaulet de libérer en Algérie le commerce du cannabis et d’ouvrir les frontières avec le Maroc ?) et dans les fumisteries de débats sibyllins, l’angle de vision de l’Algérie  et de l’islamisme algérien est certainement trouble et déformé. Luc Chaulet et Ghania Mouffok condamnent – vraisemblablement – les attentats islamistes à Paris, de janvier et de novembre 2015, et à Nice, au mois de juillet 2016, à Alger, ils sont, à la suite de leurs amis bobos, des défenseurs d’islamistes en costume-cravate grimés en « démocrates ». Amis d’Ihsène El Kadi, les Chaulet-Mouffok n’ont pas vidé leur sac de contradictions. Observons : c’est en « Algérien à part entière », bruyamment proclamé dans les colonnes d’« El Moudjahid », que Luc Chaulet  espère après l’éviction de M. Ammar Belhimer un mauvais sort carbonisant ses « dommages collatéraux », entre autres Ahmed Bensaada. Comment ne pas s’étonner de la complexité de cette filiation politique chassant l’oxymoron, d’El Kadi à Tebboune ?

Peut-on être à la fois le défenseur d’El Kadi et le solliciteur du président Tebboune ? Duplicité nuisible. Car, il est avéré que l’État algérien et ses institutions, spécialement la présidence de la République, sont dans la ligne de mire d’El Kadi et du néo-hirak. Omar Zelig-Luc Chaulet peut donc banqueter à Radio M et, dans le même temps, lorgner une rude sentence présidentielle contre Ahmed Bensaada et les contradicteurs de la politique antinationale d’El Kadi et de ses comparses islamo-séparatistes. Cette situation n’est pas exceptionnelle : beaucoup de bobos d’Alger ont un pied dans le pouvoir qu’ils se font un devoir d’étriper publiquement et un pied dans l’opposition, quelle qu’en soit la nature ; ils n’en ont cure. Et, c’est un trait inaltérable de la sociologie politique des classes supérieures de la société d’Alger, certains bobos, quel que soit leur positionnement politique, sont intouchables. Et, parmi eux, les Chaulet-Zelig-Mouffok ?

De Paris à Alger, le couple Omar Zelig-Ghania Mouffok se prévaut d’une infaillible défense des droits de l’Homme et de la liberté d’expression. Ces droits, sont-ils définitivement compromis en Algérie, dans l’Algérie de M. Tebboune ? Où aucun marcheur n’a été estropié comme un Gilet jaune, en France, ou tué comme c’est le cas en Colombie ou d’autres pays d’Amérique latine ou d’Asie. Cela mérite une explication. À Alger, il y a un président élu légalement, qui fait sa politique, bonne ou mauvaise, selon un programme largement répandu, et à l’heure du bilan, il  revient aux seuls électeurs de la reconduire ou de la sanctionner. Or, une cohorte d’Algériens et de binationaux franco-algériens, rassemblée dans un néo-hirak, noyauté par des organisations terroristes, refusant le passage par les urnes, entend prendre le pouvoir par la violence de la rue. C’est, résolument, Abdelouahab Fersaoui, ancien président du RAJ-dissous, activiste farouche, membre de la conspiration contre l’État, qui a déclaré que la démocratie n’a pas besoin d’urnes en Algérie (7). Pourquoi le pouvoir légal algérien n’aurait-il pas la ressource, comme dans toutes démocraties d’Occident, de se protéger contre les acteurs d’un coup de force prémédité ? Le président Tebboune aurait mille fois raison de dire qu’il n’y a pas un seul militant politique en prison ou dans l’attente d’être jugé par un tribunal en Algérie. Les seuls activistes du néo-hirak sont poursuivis devant la justice et parmi eux, a-t-il signalé, au magazine allemand « Der Spiegel » (8), « deux ou trois journalistes » auteurs de fausses nouvelles dans une population qui en compte plusieurs milliers. Et, hypothétiquement, des filous de partis qui nagent plus dans les eaux boueuses du droit commun que dans la politique. Évidemment, cela ne fait pas foule.

Les ligues des Droits de l’Homme devraient recenser, hors des agitateurs du néo-hirak, les citoyens poursuivis en raison de leur opinion politique. Il n’y en a pas. Il n’est interdit à aucun Algérien d’exprimer son opinion et beaucoup de journaux, leurs éditorialistes et leurs contributeurs le font régulièrement, stigmatisant le gouvernement du président Tebboune et pas seulement pour ce qui ressort de la gestion de la communication par M. Belhimer. J’ai lu sous la plume de l’excellent Djamel Labidi (9), au demeurant un grand patriote et témoin de l’histoire contemporaine de l’Algérie, une analyse sur la crise de la pomme de terre en Algérie qui devrait figurer par sa clarté et sa pédagogie dans un traité d’économie agricole algérienne, à contre-courant des thèses du ministre de l’Agriculture révoqué. Et, sur un autre registre, railleur, le billettiste Chawki Amari peut proférer dans « Le Quotidien indépendant » de graves et amères vérités sur le fonctionnement de l’État et de ses dirigeants. Si Ihsène El Kadi n’était que journaliste, rien ne devrait l’empêcher ainsi que ses titres de presse et leurs journalistes d’enquêter sur les failles nombreuses des ministres du gouvernement et d’éclairer les Algériens. Et, pas sur la seule patate. Qui ne défendrait pas sa liberté d’expression, comme celles de tous les journalistes algériens ? Or, le néo-hirakiste El Kadi, dans ses reliques de lieutenant des états-majors islamistes et séparatistes, est davantage dans une perspective de putschiste que de journaliste, fut-il un adepte du journalisme d’opinion. Il est distinctement sous une couverture de journaliste dans une association terroriste dont l’objectif est de briser par la violence l’État algérien, en disloquer le territoire et les institutions. De cette cruelle vérité, pourra-t-il se défendre ? Est-il, seulement, défendable ? Et, aussi, ses amis, les Chaulet-Mouffok, « copains du barbouze », embarqués dans ses choix et dans ses turpitudes.

Les espérances d’Ahmed Bensaada

Dans ses contributions données à la presse, dans ses conférences publiques, Ahmed Bensaada, qui est un esprit indépendant, met à nu le néo-hirak et son maléfique projet destructeur d’un autre temps. En paye-t-il le prix scélérat ? Cette antienne, servie dans les estaminets malfamés d’Oran, d’Alger et de Paris, qui traite d’officier des « services » tout Algérien qui défend son pays au-delà de ce que sont les pouvoirs, est tout autant injuste que malveillante.  Le couple Chaulet-Mouffok et ses amis de Paris et d’Alger (opposants de tout poil, souvent hirsutes, instruits par la lecture de Nicolas Beau, fondateur du site « Mondafrique », qui se connaît, semble-t-il, en généraux algériens), se rangeant derrière El Kadi et ses certitudes, en font un client du pouvoir lorsqu’il n’a aimé que l’Algérie. Omar Zelig attend de M. Tebboune de le bouter dans la même charrette mortuaire qu’Ammar Belhimer, dorénavant injurié. Mais les Chaulet-Mouffok, journalistes, savent-ils en quoi l’ancien ministre a démérité pour le couvrir d’opprobre ? Les hauts cadres de l’État ne sont-ils pas par nécessité – politique ou autre – appelés à des fins de fonctions ? Il aurait été souhaitable que les Chaulet-Zelig-Mouffok s’expriment sur les mutations les plus sensibles de la politique du pays. Omar Zelig, rajustant sur son visage le masque chaloupé d’« Algérien à part entière » de Luc, pérore sur l’Algérie et se félicite de la fin de mission d’un ministre algérien. Triomphe dérisoire.

Luc-Omar Chaulet-Zelig et sa compagne Ghania Mouffok (10) appartiennent à cette frange d’intellectuels en peau de mouton, qui s’arrogent le droit de rêver pour les autres, autrefois cloués au pilori par Ahmed Bensaada, morigénant leur comparse Kamel Daoud : « […] il se place de facto dans le quart qui sait ce que les autres quarts doivent faire, penser ou rêver. Le quart instruit, propre, civique, tolérant et qui abhorre la bigoterie » (11). Mais les temps changent. Foin de bigoterie !  À Alger, l’islamisme de Dhina et Zitout devient fréquentable pour être adoubé par des partis pseudo-démocrates ayant pignon sur rue et leurs claques. Ihsène El Kadi et ses amis du « premier quart » des sachant s’abreuvent d’une soupe malodorante et écœurante de conspirateurs contre l’État légal, s’inscrivant dans les rangs islamistes et de leurs alliés séparatistes, qui ne rêvent que de dépecer le pays et de le précipiter dans une furie sanglante ? Un rêve fou. Les Chaulet-Mouffok ne peuvent l’ignorer. Ce sont les nouveaux amis d’Ihsène El Kadi, les chefs de Rachad, continuateur du FIS-dissous, justifiant la mort de centaines de milliers d’Algériens, qui les ont condamnés, dans les années 1990, à l’exil.

Le trublion Omar Zelig doit s’éveiller au réel algérien, qu’il méconnaît totalement, qui est enseigné quotidiennement dans les lignes d’« El Moudjahid », qu’il ne lit pas. Insistons. Pourquoi veut-il que M. Tebboune exécute Ahmed Bensaada, comme il l’aurait fait pour M. Belhimer, nonobstant qu’il n’émarge ni dans les états de salaires du gouvernement ni dans ceux de ses administrations. Je comprends que les engagements de Bensaada, qui est une haute conscience de notre temps réprouvé, irritent comme du papier à gratter Dhina, Zitout, El Kadi – et, avec une inaccoutumée rage,  les bénéficiaires d’enveloppes de la NED,  à leur tête Mme Zoubida Assoul, qui lui a promis la géhenne des tribunaux de la République (12). Le néo-hirak, qui est un rassemblement terroriste, et ses spadassins décochent de mortelles imprécations contre l’empêcheur de rêver à leur monde démentiel. Omar Zelig y ajoute sa petite musique nocturne. Et ses terribles songes d’une nuit d’automne, précipitant dans le convoi funèbre du professeur Belhimer – sûrement déchu ? – outre Bensaada, « La Patrie News », fleuron de la nouvelle presse numérique, les radio et télévision d’État, qui n’ont pas touché à un iota de leur charte éditoriale depuis l’indépendance. Pittoresque, mais discernable regroupement. Et les horions infligés par Zelig-Chaulet à la radio nationale sont compréhensibles. N’a-t-il pas déclaré : « J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons » (13). Luc-Omar, qui lui a beaucoup donné, et la radio se sont tellement aimés, puis séparés pour une vilaine histoire de « cons ». Un drame.Cet inquiétant Ahmed Bensaada, qui tarabuste Omar Zelig-Luc Chaulet ! Il l’a déjà éreinté dans un post, en 2020, en admonestant Lahouari Addi sur une intangible question de morphologie du verbe, lui intimant, relativement aux griefs qu’il nourrissait envers Bensaada et son intention de le citer en justice après la publication de son enquête sur les « ténors autoproclamés du hirak », d’utiliser le futur de l’indicatif plutôt que le présent du conditionnel : « Je déposerai », mieux que « je déposerais ». Addi se réservait une part de doute et de patience, pas Zelig, méchamment acrimonieux. Fondamentale dispute linguistique : qu’en aurait-il été si le malencontreux Addi avait dégainé son subjonctif ? Cela se serait soldé fatalement par mort d’homme.

Post d’Omar Zelig adressé à Lahouari Addi

Ahmed Bensaada et Omar Zelig ne se connaissent pas. Ils se sont rencontrés une seule fois, à distance, dans un combat homérique. C’était en 2010. Au sens politique le plus conventionnel, le publiciste Bensaada pointait sur de nombreuses questions culturelles l’impréparation du gouvernement et ses lâchetés honteuses. Ainsi, la censure officielle du livre égyptien dans un Salon international du Livre d’Alger après une rapide et fulgurante guerre du football entre l’Algérie et l’Égypte. Je me souviens que nous en discutions, admettant que le livre porte une ineffable charge d’humanité, que la « trilogie du Caire » de Naguib Mahfouz vaut mieux qu’un précis de sociologie de l’Égypte contemporaine. Bensaada prenait seul l’initiative de faire circuler un appel aux quatre coins cardinaux du pays et d’ailleurs contre l’impéritie d’une ministre de la Culture de Bouteflika, contre une censure instituée. Le temps qui passe est étrange. Parmi de nombreux appuis à cet appel, d’écrivains, d’éditeurs, d’artistes, de journalistes, de citoyens, il y avait Omar Zelig. Et son compère Ihsène El Kadi.

Qu’est-ce qui a changé depuis cette avanie gouvernementale somptueusement vilipendée ? Les idées et les engagements d’un jour ne sont pas ceux du lendemain et les chemins, comme dans un récit ajouré de Borgès, bifurquent. Et, plus explicitement, les regards sur le monde. Mais ce fut, et cela ne se répétera plus, une belle victoire pour Bensaada, pour Zelig et El Kadi, qui l’ont rejoint, et leurs cosignataires, contre les errements d’une politique culturelle inepte.

Immuablement, le professeur Ahmed Bensaada cultive-t-il l’art de se faire des ennemis de tout bois, pas seulement dans les rangs désormais clairsemés du néo-hirak ? Ces derniers mois, analysant le dossier Graphika (14), il alertait l’Algérie sur la cyber-guerre qu’entreprennent contre elle des puissances étrangères. C’est plus qu’une éventualité, une menace minutieusement renseignée que le président de la République et le commandement de l’Armée algérienne n’excluent plus. Est-il vraiment le « dommage collatéral » contre lequel Omar Zelig rêve de voir le président Tebboune sévir ? Faudrait-il croire que dans l’Algérie idéale des Chaulet-Mouffok la prime du patriotisme reviendrait aux assassins d’Algériens Dhina et Zitout, aux mercenaires Bouchachi, Assoul, Tabbou, manœuvriers en sous-sol du néo-hirak, qui ont plus que les deux mains dans les canevas américains de « démocratisation » du monde arabe, au Français Lahouari Addi, au cabaretier kabyle Ferhat Mehenni, à Ihsène El Kadi et à tous les activistes islamistes et séparatistes qui veulent ébranler les assises de l’État algérien, plutôt qu’à Ahmed Bensaada – et, aussi, à « La Patrie News », la radio et la télévision d’État ?Dans l’Algérie d’aujourd’hui, toutes les convictions ne se valent pas. Ceux, qui au nom de l’aventurisme forcené, veulent détruire le pays, promettent aux Algériens  des houris pour ouvrir les frondaisons du ciel et les allées des cimetières, ceux qui rêvent de créer dans une région historique du pays un État-croupion de la France et d’Israël, ceux qui agitent l’abécédaire frelaté de la démocratie américaine et des lendemains qui chantent en espadrilles, veulent prospérer sur une Algérie en ruines. Voici la famille décriée de Luc Chaulet-Omar Zelig et de Ghania Mouffok, qui rêve d’écrire une histoire heurtée de la nation algérienne, une histoire de terreur, de larmes et de sang. Elle n’aura jamais raison contre les espérances d’Ahmed Bensaada d’un pays partagé et aimé, qui est le pays apaisé de tous les Algériens sans exclusive.

* Ecrivain, critique et historien de la littérature. 

Notes:

1.     Ahmed Bensaada, « Arabesque américaine. Le rôle des États-Unis dans les révolte de la rue arabe », Montréal, Michel Brûlé, 2011 (1ère éd. Dernière éditions revue et augmentée, Alger, ANEP, 2016).

2.     « Luc Chaulet : ‘‘Je suis Algérien à part entière’’ ». Entretien avec Soraya Guemmouri, « El Moudjahid », 2 novembre 2021.

3.     Omar Zelig, « Une symphonie algérienne inachevée », « El ‘Arabi-El Safir », 15 janvier 2021. Texte publié avec le soutien du Rosa Luxembourg Institute.

4.     Cf. Un journaliste n’est pas toujours un flic », Site de la Ligue algérienne de défense des Droits de l’Homme (LADDH), 12 novembre 2020.

5.     Id.

6.     Id.

7.     Abdellali Merdaci, « Médias. Vraiment la mise à mort du ‘‘Quotidien indépendant », « Algérie 54 » (Oran), 10 août 2021.

8.     Cf. le texte intégral de l’entretien du président Tebboune avec « Der Spiegel », reproduit dans « Le Jeune Indépendant » (Alger), 6 novembre 2021.

9.     Djamel Labidi, « La pomme de terre de la discorde », étude publiée dans « Le Quotidien d’Oran » (http://www.lequotidien-oran/index.php?newsz =5306601).

10.  Faudrait-il souligner la proximité et la complicité des Chaulet-Mouffok et d’El Kadi ? Dans son article « « À propos des Zelig-Mouffok copains du barbouze » (« Algérie 54 », 14 novembre 2021), Ahmed Bensaada publie des extraits d’une enquête de Boualem Snaoui (« Yetnahaw gaâ »), diffusée précédemment sut le site, qui incrimine les douces gâteries entre amis des Chaulet-Mouffok et du patron-activiste de Radio M.

11.  Ahmed Bensaada, « Kamel Daoud : Cologne, contre-enquête ». Préface de Jacques-Marie-Bourget, Boumerdès, Les Éditions Frantz Fanon, 2016, p. 75.

12.  Abdellali Merdaci, « Le hirak, la main de l’étranger et ses vérités des ténèbres », « Algérie 54 », 11 juillet 2020.

13.  « Omar Zelig : ‘‘J’aime la radio quand elle ne prend pas les gens pour des cons ! ». Entretien avec Adlène Meddi, « Le Quotidien indépendant », 1 février 2014.

14.  Lire sur ce dossier l’étude d’Ahmed Bensaada sur son site www.ahmedbensaada.com.




Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?

Par Alain Tortosa

« Open your eyes(([1] Ouvrez vos yeux))»

Pourquoi la peur n’a pas (encore) changé de camp ?
Médecins, soignants, journalistes ou politiques, il est encore temps…

Ce message ne s’adresse pas à celles et ceux qui sont corrompus et mentent sciemment sur les plateaux. Ils devront répondre de leurs actes tôt ou tard… Le problème est qu’ils sont allés beaucoup trop loin et trop fort dans leurs mensonges et leur fabrique de la peur pour revenir en arrière. Leur succès se mesure chaque jour face à un peuple tétanisé qui continue à gober leurs mensonges.

On aurait pu croire que les différentes séquences de « grands de ce monde » faisant la fête, se serrant la main ou s’embrassant et vivant sans masque ni distanciation (en l’absence de caméras) auraient pu permettre à tout un chacun de réaliser l’ampleur de l’escroquerie… Pensez-vous une seconde qu’ils auraient agi ainsi (dès le début de la crise) s’ils avaient pensé, ne serait-ce qu’une seconde, que nous étions face à un fléau mortel ?

Quel benêt témoin d’une énième preuve de l’escroquerie pourrait croire que leurs comportements seraient le fruit d’un certain relâchement ou comme a osé affirmer M Attal « nous sommes tous humains ! ».

Qui peut encore ignorer que toutes ces personnes « importantes » continuaient de pouvoir aller au restaurant ou de bénéficier de concerts privés dès le premier confinement… Certaines de ces libertés n’étant même pas dissimulées, les députés ont toujours pu déjeuner ou dîner au restaurant de l’Assemblée nationale sans masque ni gestes barrières et en toute impunité !

Les corrompus seront, je le répète, rattrapés tôt ou tard par la justice des hommes.

Rendez-vous compte qu’il n’y a plus rien de choquant à réclamer l’internement de non-vaccinés ou des peines de prison. Toute phrase passe telle une feuille au gré du vent… « les prendre par la peau du cul pour les amener au centre de vaccination » ou « comment peut-on s’en débarrasser » ou même suggérer l’idée du napalm… Il n’y a (quasi) plus aucune limite, aucune voix pour s’insurger contre l’utilisation de balles réelles face à des manifestants voulant défendre des libertés ! Ils ont à ce point « pété les plombs » que le Ministre de la Santé allemand a déclaré que d’ici la fin de l’hiver tous les Allemands seront « vaccinés, guéris ou morts » !!!

Et c’est nous les complotistes qui, à force d’avoir raison sur quasi tous les sujets, commençons sérieusement à manquer de théories du complot…

Alors que leur bateau du mensonge prend l’eau de toutes parts, ceux-ci persistent et accélèrent encore plus leurs mensonges :

  • « Les Israéliens ont été sauvés de la nouvelle vague par la 3e dose. »
  • « Le “booster” permet d’obtenir des résultats extraordinaires »

… À se demander si la dose ne guérit pas tous les cancers et ne permettrait pas de rendre la vue aux aveugles et l’usage de leurs membres aux handicapés moteurs ?!

Le pauvre Français qui ne lit que le Figaro ou ne regarde que BFM pour ne citer qu’eux (car ils sont TOUS alimentés par l’AFP qui est le canal unique de la Pravda) ne peut qu’être terrorisé par la nouvelle vague qui s’abat sur l’Europe et pour laquelle « notre salut ne viendra que d’une nouvelle dose »…

Nouvelle vague qui est toujours invisible pour le réseau Sentinelles qui constate que le Covid représente moins de 10 % des infections respiratoires aiguës à 10 cas pour 100 000 habitants ! Réseau pour qui la France vit non pas une épidémie de Covid, mais la fin d’une épidémie de gastro. Si demain les thérapies géniques ne sont plus « gratuites », mais réservées à certains, nul doute que les trafiquants de drogue abandonneront le crack pour se reconvertir dans les « vaccins ».

En même temps, comme dirait l’autre, le marché des trafiquants de drogue fait face aujourd’hui au monopole de Pfizer, trafiquant mondial de drogues, adoubé par l’OMS, les politiques, etc. Ils fourguent leur came à des milliards d’habitants en ayant largement connaissance des conséquences mortelles liées à sa consommation. Alors même que le pire trafiquant, le pire fils de pute (pardon pour cette profession honorable, elle…) s’empêcherait de transformer les enfants en toxicomanes à la santé vacillante.

Désormais, l’industrie du sucre, pionnière de l’addiction chez les enfants, est supplantée par Pfizer qui finira par fournir son poison dès la naissance et sans la moindre once de conscience.

Chez Pfizer et tous les fabricants de « vaccin » Covid, tuer on s’en tape, y compris tuer des enfants. Pourvu que ça rapporte « un max de blé »… Je n’ai pas vérifié la source, mais Pfizer engrangerait actuellement environ 1000 dollars de bénéfices à la seconde !

Situation délirante, paradoxale et extraordinaire alors même que tout le monde sait ou peut savoir, hormis un « camé du Covid », que :

  • Le virus est probablement non naturel.
  • Les traitements efficaces existent depuis décembre 2019 et qu’ils n’ont fait que progresser.
  • Les médecins ont été interdits de soigner les malades.
  • Ordre a été donné de tuer des personnes que l’on aurait pu traiter.
  • Le Covid, pardon, « les faux Covid » devrais-je dire, car 90 % des positifs n’étaient pas des malades, a représenté 2 % des hospitalisations de l’année 2020.
  • Le Covid a tout au plus tué quelques milliers de personnes en France, les autres étant décédées de leurs pathologies et « avec » le Covid.
  • Les thérapies géniques sont expérimentales et bénéficient d’une autorisation de mise sur le marché qui est conditionnée à l’absence de traitements existants.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas la contagion.
  • Les « vaccins » n’empêchent pas les formes graves ni les décès.
  • Il n’y a pas de corrélation entre le taux de vaccination et la baisse de l’épidémie.
  • Les « vaccins » favoriseraient les variants.
  • Les effets secondaires, quasi interdits de déclaration, dépassent tout ce qui a été connu pour toutes les autres vaccinations « classiques ».
  • La 3e dose se fait sur un « vaccin » non mis à jour pour les variants. Je vous rappelle que les « complotistes » avaient affirmé qu’il y aurait une troisième dose, un abonnement à vie à la vaccination et que le passe-sanitaire serait annulé en l’absence de nouvelles doses… et ce sous les sarcasmes des « grands » journalistes vérificateurs de l’information.

Le monde est à ce point fou, nous sommes dans « 1984 », la réécriture de l’histoire est telle qu’on en arrive à voir désormais des études qui affirment que l’activité physique et le sport peuvent être dangereux pour la santé et provoquer des crises cardiaques. Surtout, ne faisons jamais le lien entre la vaccination et l’explosion des problèmes cardiaques dans une population jeune.

J’en finis donc avec ma « brève introduction de deux pages » pour dire qu’entre les mougeons, mi-moutons, mi-pigeons, et les pourritures corrompues il y a une masse de médecins et de journalistes pas totalement idiots qui ont été à la fois naïfs dans un premier temps puis ont eu peur pour leur carrière et leur image dans un deuxième temps.

Je m’adresse donc aux conscients non corrompus pour leur dire une fois de plus qu’il est temps… Comme je l’ai écrit, le bateau fuit de toutes parts, les informations sortent de plus en plus massivement.
Vous qui savez désormais (ou pouvez savoir en quelques clics) que c’est un mensonge organisé.
Vous qui savez que le gouvernement a mis sciemment en place une politique qui vise à nuire à son peuple
Vous qui savez que cette fausse vaccination est inefficace et qu’elle entraîne des effets secondaires graves, voir qu’elle tue des enfants…

Vous ne pouvez demeurer silencieux !

Profitez des quelques langues qui commencent à se délier,

  • De l’aveu que les injections ne protègent pas de la contagion.
  • De l’aveu qu’elles ne permettront pas une immunité vaccinale de masse.
  • De l’aveu qu’elles n’empêchent pas d’être hospitalisés.

Profitez de ces avancées pour oser dire le reste, profitez des rares journalistes qui commencent à parler.
Profitez de l’invitation du professeur Perronne…
À ce titre je remercie Cnews qui semble commencer à avoir le courage de mettre quelques minutes de vérité dans un océan de propagande.

Vous médecins qui disposez encore de valeurs, rachetez-vous une conscience et allez sur les plateaux télé !
Vous politiques qui avez été bernés, muselés par cette dictature sanitaire, rachetez-vous une conscience et prouvez-nous que nous n’êtes pas uniquement là pour faire carrière et récolter des millions.
Vous journalistes qui vous êtes tus par peur, rachetez-vous une conscience et cessez d’inviter toujours les mêmes incompétents, menteurs, ou corrompus.

Tous ceux qui hier ou aujourd’hui ont peur de perdre leur réputation ou leur emploi en disant la vérité devraient sacrément avoir peur des poursuites judiciaires à la libération.

Ne sentez-vous pas le vent qui tourne ?
Ne sentez-vous pas la brise de la liberté se lever ?

La dictature semble paniquer. Car seul un paniqué ou un débile peut envisager d’enfermer son peuple dans des camps ou de lui tirer dessus ! Cette amplification de la folie est révélatrice d’une urgence… museler au plus vite !

Faites des plateaux télé avec le professeur Perronne, le professeur Toubiana ou Alexandra Henrion-Caude (sans oublier les autres), résistants de la première heure qui ont fait, et font les frais de la police politique.

Je suis conscient de l’inutilité de mon texte, je suis conscient d’avoir écrit le même texte des dizaines de fois, mais je veux croire encore que celles et ceux qui savent et qui ont une conscience ou qui veulent échapper aux futurs procès et condamnations feront le bon choix…

Rejoignez les défenseurs de la liberté, les défenseurs des droits de l’homme et de l’enfant, les défenseurs d’une science honnête et non corrompue…

Sauvez-vous, sauvez-nous de cette barbarie !

Merci

Alain Tortosa.

22 novembre 2021

https://7milliards.fr/tortosa20211122-ayez-le-courage-de-l-honnetete.pdf




Discours de Robert F. Kennedy, Jr. et de Catherine Austin Fitts à Milan, Italie le 13 novembre

[Source : Childrens’ Health Defense Europe (childrenshealthdefense.eu)]

Discours de Robert F. Kennedy, Jr. (vidéo + script)



Discours de Catherine Austin Fitts, The Solari Report (vidéo + script)



Robert F. Kennedy, Jr. — Transcript :

« Aucun gouvernement, dans l’histoire de l’humanité n’a jamais renoncé volontairement au pouvoir.

Le pouvoir qu’ils nous ont pris, au cours de ces 20 derniers mois, ils ne le rendront jamais.

Ils nous ont enlevé notre liberté d’expression. Ils ont fermé les églises. Ils ont supprimé les procès avec jury contre les entreprises, peu importe leur négligence, peu importe leur imprudence, peu importe la gravité de votre blessure, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise.

Ils ont supprimé nos droits de propriété aux États-Unis, ils ont fermé un million d’entreprises, pendant un an, sans compensation équitable et sans procédure régulière.

Ils ont supprimé notre droit d’être libre, à l’abri des perquisitions et des saisies sans mandat, et de la surveillance par le gouvernement.

Aux États-Unis, tous ces droits sont énumérés dans notre Déclaration des droits de la Constitution des États-Unis.

Parmi les plus importants de ces droits, après le droit à la libre expression, qui a disparu, il y a le droit de pouvoir participer à l’élaboration des règles.

Donc quand le gouvernement veut passer une loi, il doit publier la loi proposée. Il doit expliquer la base scientifique de cette loi. Il doit faire une analyse bénéfice/risque de cette loi et l’expliquer au public. Et puis nous avons des commentaires, auxquels tout le public peut participer. Et puis nous avons une audience, où les personnes qui s’opposent à la loi, comme moi, peuvent apporter leurs propres scientifiques, experts, et études scientifiques, et tout est transparent, tous ces garde-fous ont été effacés. Aujourd’hui, la loi est dictée par un homme présenté comme le meilleur médecin d’Amérique, Anthony Fauci.

Au mois de mars, Tony Fauci a dit au monde que les masques ne marchaient pas. C’était sans valeur scientifique. Deux mois plus tard, il a ordonné à tous les Américains de mettre un masque. Il ne nous a donné aucune étude scientifique qui l’ait fait changer d’avis. Il nous a simplement dit « au vu de cette nouvelle loi, faites ce qu’on vous dit »…

Tous ces droits, pour lesquels les fondateurs de notre pays, sont morts, en sacrifiant leurs biens ou leurs moyens de subsistance, pour nous donner une Déclaration des droits, et tous ces droits, en 20 mois, ont été oblitérés, enlevés au peuple américain et pas seulement aux Américains. C’est un coup d’état global contre la démocratie libérale à travers la planète.

Tous ces droits qui nous ont été retirés, le gouvernement nous a dit que c’était temporaire, que c’était seulement deux semaines que ça serait fini. En vérité, vous pouvez tous voir ce qui se passe. Ils prennent ces droits et ils ne les rendront jamais, à moins que nous ne les forcions.

Le Pass Sanitaire est leur coup d’état. Le Pass Sanitaire est la façon dont ils consolident leur pouvoir sur vos vies.

Le Pass Sanitaire n’est pas une mesure de santé publique. C’est un outil de contrôle totalitaire, de vos transports, de votre compte en banque, de vos mouvements ; chaque aspect de votre vie.

Et ce n’est pas une idée nouvelle.

C’est la même idée qu’ils ont utilisé en Allemagne en 1937, il ont émis un pass pour les gens qu’ils voulaient contrôler.

Quand le gouvernement sud-africain de l’apartheid, a voulu contrôler la population noire d’Afrique du Sud, quelle a été la chose la plus importante qu’il a faite ? Ils ont émis un pass.

Je veux que vous demandiez, à toutes les personnes de la presse journalistique, qui sont ici aujourd’hui, si le pass sanitaire concerne la santé publique, pourquoi ce n’est pas le ministère de la santé qui le délivre ?

Il est délivré par le ministère des finances. Nous prennent-ils pour des idiots ?

C’est un moyen de contrôler votre argent. Une fois que vous avez ce pass, et qu’ils ont la monnaie numérique, si quelqu’un vous dit de ne pas quitter Milan, et que vous partez en voyage à Bologne, votre argent ne fonctionnera pas à Bologne. Si le gouvernement vous dit de ne pas acheter de pizza, il peut faire en sorte que votre pass ne vous permette pas d’acheter une pizza, il peut contrôler tous les aspects de votre vie.

Ils vous disent que nous avons besoin d’un p pour nous assurer que tout le monde se fait vacciner. Mais ils admettent que le vaccin n’empêche pas la transmission. Le vaccin ne vous empêche pas de contracter la maladie. Le vaccin ne peut pas arrêter la pandémie. Alors pourquoi ont-ils besoin de nous faire vacciner si le vaccin n’arrête pas la transmission ?

Je vais vous le dire dans deux minutes, je vais parler du vaccin.

Les gens qui disent que je suis contre les vaccins, je ne suis pas contre les vaccins. Je suis seulement contre les mauvais vaccins.

Et je ne vais pas vous dire ce que pense Robert Kennedy. Je vais vous dire ce que Pfizer a dit à la FDA des Etats-Unis.

Pfizer est la seule entreprise à avoir un vaccin approuvé aux Etats-Unis.

Et Pfizer était censé faire une étude de trois ans, mais ils l’ont réduite à six mois. Et ensuite ils ont donné des vaccins à tous le groupe témoin.

Pourquoi ont-ils fait ça ? Pourquoi ont-ils arrêté l’étude après 6 mois ?

Parce qu’ils ont appris que les anticorps disparaissent en 6 mois et que le vaccin ne protège plus.

Ils ont donc dû y mettre fin en 6 mois. Ils ne pouvaient pas faire ce qu’ils avaient prévu, trois ans.

Ils ont pris tous leurs dossiers pour ces 6 mois et les ont remis à la FDA.

Le tableau le plus important est celui qui vous indique la mortalité toutes causes confondues. Combien de personnes sont mortes dans le groupe vacciné ? Combien sont mortes dans le groupe placebo pendant cette période de 6 mois ? Ce tableau est appelé « S4 » vous pouvez tous le regarder.

Voici ce que disent les chiffres.

Il y avait 22 000 personnes, dans le groupe vacciné, sur une période de 6 mois, une est décédée du COVID.

Dans le groupe placebo, le groupe témoin, sur 22 000 il y a eu 2 personnes qui sont mortes du COVID en 6 mois.

Cela a permis à Pfizer de dire au public américain que le vaccin est efficace à 100%, parce qu’il y a eu 2 mort au lieu de 1, soit 100% d’augmentation.

La plupart des Américains et des Italiens, lorsqu’ils entendent dire que le vaccin est efficace à 100%, pensent que si je prends le vaccin, j’ai 100% de chances de ne pas mourir du COVID.

Ce que cela signifie [en réalité], c’est qu’ils doivent administrer 22 000 vaccins pour protéger [supposément] une personne contre le COVID.

Ce que cela signifie, c’est qu’ils doivent s’assurer que le vaccin lui-même ne tue pas une personne, car s’il en tue une, cela annule tous les bénéfices.

Voici ce qui est important.

Dans le groupe vacciné, 20 personnes sont mortes en 6 mois, toutes causes confondues, 20 sur 22 000.

Dans le groupe témoin, seules 14 personnes sont mortes sur 22 000.

Cela signifie que si vous prenez le vaccin, vous avez 48% plus de chances de mourir au cours des 6 prochains mois que si vous ne le prenez pas.

Ce sont les chiffres de Pfizer, pas les miens.

Voici comment les gens sont morts.

Dans le groupe témoin, 1 personne est morte d’une crise cardiaque.

Dans le groupe vacciné, 5 personnes sont mortes d’une crise cardiaque en 6 mois.

Cela signifie que si vous faites le vaccin, vous avez un risque de 500% d’avoir une crise cardiaque fatale dans les 6 mois.

Cela signifie également, que pour chaque personne sauvée de la mort par le COVID, le vaccin tue 4 personnes d’une crise cardiaque.

Ce n’est pas une bonne politique de santé publique.

La santé publique est censée sauver des vies.

C’est pour contrôler, contrôler notre société et contrôler nos enfants.

Et la seule raison pour laquelle les gens ne comprennent pas ce que je viens de dire, et que les gens soutiennent encore le vaccin, la seule raison, est la manipulation par la peur.

Ce sont des mathématiques simples. N’importe qui peut le vérifier, si vous le faites, vous aurez encore plus peur du vaccin que vous n’avez peur du covid.

Le gouvernement, et les compagnies pharmaceutiques, ont une méthode pour éteindre le cerveau des gens, afin qu’ils ne puissent plus faire de simples mathématiques.

Et leur outil, c’est la peur. La peur nous empêche d’exercer notre esprit critique. Elle nous permet de croire que si nous faisons simplement ce qu’on nous dit, c’est le seul moyen de sauver nos vies. Cela s’appelle le syndrome de Stockholm. Et les ravisseurs enferment un pays entier pendant un an, et les gens deviennent reconnaissants envers leurs ravisseurs. Et pensent que la seule façon de sortir d’ici vivant est de faire preuve une obéissance absolue.

Je vais faire une autre remarque. Combien de personnes ici ont entendu parler de l’Event 201 ?

Si vous n’en avez pas entendu parler, vous devriez aller le voir sur YouTube.

L’event 201, est une simulation d’une pandémie de Coronavirus. Elle s’est produite à New York en octobre. Nous savons maintenant, qu’un coronavirus circulait à Wuhan le 12 septembre 2019. Ainsi, un mois plus tard, une pandémie de coronavirus a été simulée à New York.

Nos hôtes, les personnes qui ont participé à cet événement, étaient les grandes entreprises de médias sociaux, les entreprises de médias. Et Johnson and Johnson, la plus grande entreprise de vaccins, a accueilli trois personnes. Un est Bill Gates.

Le deuxième, George Gao, qui est à la tête du CDC chinois, et la troisième, Avril Haines, la directrice adjointe de la CIA.

Et Avril Haines est aujourd’hui, l’espionne numéro un des Etats-Unis. Elle est à la tête de l’agence de sécurité nationale de Joe Biden. Donc elle est passée d’Event 201 à devenir la plus grande espionne de notre pays.

Parce que la CIA ne fait pas de santé publique, la CIA a fait un coup d’État.

Entre 1947, et l’année 2020, la CIA a été engagée dans 73 coups d’états, la plupart d’entre eux contre des démocraties. 1 tiers des pays du monde.

Eh bien, si vous regardez l’Event 201, il n’y avait aucune discussion sur la santé publique.

Personne ne parlait de comment apporter de la vitamine D à tous les gens. Comment faire pour que les gens perdent du poids ? Comment s’assurer qu’ils mangent bien ? Comment trouver des médicaments réutilisables pour soigner les gens ? Comment mettre les malades en quarantaine ? Comment préserver les droits constitutionnels ? Pas un mot n’a été dit sur la santé publique.

Au contraire, ce dont ils ont parlé, c’est comment utiliser la pandémie, comme un prétexte pour installer un contrôle totalitaire et pour déconstruire la démocratie.

Ils ont passé un quart de la journée, à discuter de la manière de s’assurer que personne n’est autorisé à répandre la rumeur, selon laquelle la pandémie de coronavirus est générée en laboratoire, nous sommes en octobre 2019.

Et ils parlent de comment confiner la population, comment la forcer à prendre des vaccins expérimentaux. Comment s’assurer que les Noirs ne commencent pas à résister, car dans notre pays, les Noirs sont très méfiants à l’égard de l’establishment médical et ils étaient très inquiets de notre résistance.

Quand j’ai fait des recherches pour mon livre, ce que j’ai appris, c’est que l’Event 201 n’était pas unique. Nous avons trouvé 20 simulations de pandémie distinctes commençant en 2020.

La seule chose qu’ils avaient en commun, la plupart d’entre eux, Bill Gates a été impliqué, Tony Fauci a été impliqué et tout le monde, la CIA a été impliqué et la CIA a écrit le script, des fonctionnaires de la CIA ont participé à chacune de ces simulations de pandémie.

Elles impliquent des centaines de personnes. Elles étaient menées secrètement, par des travailleurs américains de première ligne, et elles formaient la police, les systèmes hospitaliers et les services publics en Europe, en Italie, en Allemagne, au Canada et en Australie, tous en même temps, à réagir à une pandémie. Il ne s’agissait pas d’une réponse de santé publique. Il s’agissait d’une réponse visant à utiliser la pandémie pour autre chose.

Ils s’exercent donc, encore et encore et encore, à utiliser une pandémie comme prétexte pour imposer des contrôles totalitaires et pour anéantir la démocratie libérale sur toute la planète.

Une des expériences qu’ils utilisent, s’appelle l’expérience de Milgram, c’était une expérience de la CIA en 1957. Et ce que la CIA a découvert, c’est que si un puissant responsable médical, ordonne aux gens de faire quelque chose de mal, c’est-à-dire quelque chose qui viole leur conscience, qui viole leurs valeurs fondamentales, 67% des gens, obéiront à l’autorité, plutôt qu’à leurs valeurs.

Et 67% des gens, seront hypnotisés par la peur, ils obéiront à une position d’autorité, à une figure d’autorité.

Mais 33% des gens n’obéiront pas. Et vous êtes les 33%.

Notre mission est de sortir de là aujourd’hui. Et de tendre la main à nos frères et soeurs, les gens qui sont encore hypnotisés, et de leur dire que nous allons nous battre pour leur liberté, jusqu’à ce qu’ils soient capables de se battre eux-mêmes.

Nous devons tendre la main quand nous partirons d’ici aujourd’hui, à tous nos frères et soeurs, les 67% qui sont encore hypnotisés, et nous devons leur dire, que vous devez aimer votre liberté plus que vous avez peur d’un germe.

Cette année, nous avons assisté à la destruction de la Constitution américaine. Cette Constitution a été écrite par un groupe de personnes, qui ont compris qu’il y a des choses pires que la mort.

Et ils ont mis leur vie en première ligne, leurs biens, leurs carrières, leurs moyens de subsistance, pour se battre pour la liberté, et pour se battre pour ces droits que nous avons perdus au cours des mois précédents.

Et maintenant c’est notre travail. Et c’est le travail de tout le monde dans cette foule de sortir et de se battre pour résister, résister, résister, résister…

Et de réclamer à notre gouvernement, de réclamer nos vies pour nos enfants, pour notre pays et pour toutes les générations futures et je peux vous dire que je serai à vos côtés. Et si je dois mourir pour ça, je mourrai la tête haute. »

Catherine Austin Fitts — Transcript :

« C’est tellement merveilleux de retourner à Milan, et de voir tant de gens qui célèbrent la liberté, merci…

Je voyage et je communique dans le monde entier, et dans le monde entier les gens apprécient la lutte acharnée du peuple italien, et la clarté de votre lutte contre le pass sanitaire.

Le pass sanitaire n’a rien à voir avec la santé. En août 2019, les banquiers centraux du monde entier se sont réunis aux États-Unis, à Jackson Hole, et ont voté en faveur d’un plan « Going Direct Reset ». (remise à zéro directe 00:41)

Ce plan a été conçu par un groupe de banquiers centraux travaillant par l’intermédiaire du Blackrock investment Institute.

Dans le cadre de ce plan Going Direct, les banques centrales ont injecté d’importantes sommes d’argent dans certains secteurs de l’économie, depuis deux ans.

L’argent a commencé à être injecté en septembre 2019. Et en mars, l’arrêt de l’économie a permis à l’économie de faire du shopping.

Les petites entreprises, et les agriculteurs ayant fermé leurs portes dans le monde entier, l’argent était disponible pour acheter des actifs à des prix dérisoires.

Les banquiers centraux ont pu centraliser le contrôle, d’énormes quantités de richesses.

Mais surtout, ils ont pu briser l’équilibre du pouvoir que nous avons depuis plus de 100 ans.

Depuis de très nombreuses générations, il existe un équilibre du pouvoir entre les banquiers et l’électorat.

Les banquiers dirigent la politique monétaire, et les gens votent pour leurs représentants qui dirigent la politique fiscale.

Et maintenant les banquiers centraux veulent contrôler les deux, dans un coup d’état financier.

Depuis de nombreux siècles, ce n’est pas la première fois que les lois de la peste sont utilisées pour centraliser le contrôle

Le contrôle des transports, le contrôle du travail, le contrôle des banques, mais cette fois, c’est différent. S’ils arrivent à créer un système de transaction financière entièrement numérique, ils peuvent nous ramener à l’esclavage.

Le pass sanitaire n’est qu’une partie de la mise en place d’un système de transactions financières, qui mettra fin aux monnaies pour la population générale.

Les banquiers centraux auront le contrôle direct de votre et de mon compte bancaire et ils pourront prélever des impôts quand ils le voudront et les augmenter quand ils le voudront.

Pendant de nombreuses années, ils ont utilisé le principe « diviser pour régner » pour centraliser le contrôle.

Les hommes contre les femmes, les noirs contre les blancs, et maintenant les vaccinés contre les non vaccinés.

Mais lorsqu’ils contrôleront les comptes bancaires des vaccinés et des non-vaccinés, ils dépouilleront chacun d’entre nous de tous les actifs et de toutes les richesses familiales.

Notre plus grande richesse, où est notre plus grande richesse ? Notre plus grande richesse, ce sont nos enfants. Pour construire une grande civilisation, il faut un enfant à la fois.

Alors nous nous levons et nous célébrons et nous nous battons pour la liberté, mais plus que tout, nous nous battons pour les enfants.

C’est donc un grand privilège pour moi, de passer le micro à quelqu’un qui a fait plus que n’importe quel homme sur la planète, pour défendre et protéger et se battre pour nos enfants et leur avenir. Un homme qui n’a pas besoin d’être présenté. Quelqu’un peut-il deviner de qui je parle ?

Je vous demande donc de l’inviter au micro, en lui exprimant ce que vous ressentez vis à vis de la liberté ! »




Surmortalité hors Covid-19 en Europe

[Source : pgibertie.com]

Par Patrice Gibertie

Entre la fin mai et la fin août, partout en Europe une surmortalité sans Covid, mais au maximum des injections et pour les classes d’âge en cours d’injection. Amusant.[?] On observe le phénomène en Autriche cet été avec 20% de surmortalité en pleines injections. Puis la surmortalité disparait quand arrive la nouvelle vague de Covid…

DEUX EXPLICATIONS SONT POSSIBLES : les injections ou des soins différés

Il y a quelques semaines je mettais en évidence l’étrange surmortalité estivale, une scientifique au pseudo de Felicittina fournit de magnifique graphes.

Dans l’hémisphère sud c’est l’été, la covid fait dodo sauf là où ils injectent la troisième dose…

Au ROYAUME UNI ils reconnaissent la vague de surmortalité et cherchent des explications (fin de cet article).

Entre la fin mai et la fin août, surmortalité en pleine injection

Regardez bien la surmortalité comparée aux cinq années avant covid … Repérez en bas les décès covid (aucun entre fin mai et fin aout); la vague d’injection …

En haut la surmortalité par classe d’âge

En Espagne : surmortalité de 25% en plein été au moment où l’Espagne vaccine les jeunes et booste les vieux.

En Italie, il n’y a plus de covid depuis mai mais une surmortalité de 20%.

En Autriche, c’est plus amusant: surmortalité entre fin mai et fin août en pleine vague d’injections puis fin de la surmortalité quand arrive la nouvelle vague de covid.

Même observation en France ci dessous :

Près de 10 000 personnes de plus que d’habitude sont décédées au cours des quatre derniers mois pour des raisons non liées à Covid, alors que les experts ont appelé à une enquête gouvernementale urgente pour savoir si les décès étaient évitables.

Les derniers chiffres de l’Office for National Statistics ont montré que l’Angleterre et le Pays de Galles ont enregistré 20 823 décès de plus que la moyenne quinquennale au cours des 18 dernières semaines. Seuls 11 531 décès concernaient le Covid.

Illustrator Embed (telegraph.co.uk)

Cela signifie que 9 292 décès – 45 % – n’étaient pas liés à la pandémie . 

« Nous devons de toute urgence comprendre ce qui ne va pas »

Le professeur Carl Heneghan, directeur du Center for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford, a déclaré:

Je demande une enquête urgente. (…) Si vous regardez où se produit l’excès, c’est dans des conditions comme la cardiopathie ischémique, la cirrhose du foie et le diabète, qui sont toutes potentiellement réversibles. (…) Cela va au-delà de la simple observation des chiffres bruts et des certificats de décès. Nous devons revenir en arrière et voir si ces décès ont des causes évitables. (…) Cela pourrait être les retombées du manque de soins évitables pendant la pandémie, et ce qui se passe en aval de cela. (…) Nous devons de toute urgence comprendre ce qui ne va pas et une enquête sur les causes profondes pour déterminer les actions qui peuvent empêcher d’autres décès inutiles. (…)

Les chiffres hebdomadaires pour la semaine se terminant le 5 novembre ont montré qu’il y avait eu 1 659 décès de plus que prévu à cette période de l’année. Parmi ceux-ci, 700 n’ont pas été causés par le Covid.  

L’excédent est susceptible de croître à mesure que davantage de décès sont enregistrés dans les semaines à venir. 

Les données de la UK Health Security Agency montrent qu’il y a eu des milliers de décès de plus que la moyenne quinquennale dans les cas d’insuffisance cardiaque, de maladie cardiaque , de troubles circulatoires et de diabète depuis l’été. 

Le nombre de décès dans les maisons privées est également supérieur de 40,9% à la moyenne quinquennale, avec 964 décès supplémentaires enregistrés au cours de la semaine la plus récente, qui s’étend jusqu’au 5 novembre. 

Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open University, a déclaré:

Le nombre de décès toutes causes confondues augmente généralement à cette période de l’année, mais le nombre total reste supérieur à la moyenne de la semaine correspondante au cours des cinq années 2015 à 2019 . (…) Donc, sur cette définition, nous avons toujours des décès en excès, comme nous en avons depuis 18 semaines consécutives maintenant, et tous ces décès en excès ne sont pas dus à Covid-19. (…) Et nous assistons toujours à un excès considérable de décès dans les maisons des personnes, par rapport à la moyenne de 2015-19, la plupart de ces décès n’impliquant pas Covid-19. (…) Au cours de la semaine la plus récente, il y a eu 891 décès supplémentaires à la maison qui n’impliquaient pas Covid-19 – soit environ 127 par jour. (…)




Trois ans plus tard le gouvernement français bataille pour contenir les manifestations des Gilets jaunes

[Source : Les 7 du quebec]

Par Colin Randall IN UAE https://www.thenationalnews.com/uae/

Traduction : 

Troisième anniversaire des manifestations des gilets jaunes et la France est toujours sur le fil du rasoir. Voici un regard des médias menteurs sur le soulèvement populaire des Gilets jaunes en France d’hier (2018) à aujourd’hui (2021).


Par Colin Randall  Sur: https://www.thenationalnews.com/uae/

Pour Emmanuel Macron, le troisième anniversaire des manifestations des Gilets jaunes est un rappel de la division nationale à propos de l’économie et la preuve que sa présidence peut surmonter un affrontement capable de paralyser le pays. (sic)

Le début du mouvement des gilets jaunes en 2018 a été déclenché par la colère populaire face à la flambée des prix de l’énergie.

Ces conditions sont réapparues ces dernières semaines (2021) et la présidence est soucieuse d’éviter une nouvelle révolte de masse avant le début de la campagne potentiellement difficile du président français pour sa réélection au printemps prochain.

Macron a agi rapidement pour étouffer de nouvelles manifestations dans l’œuf, promettant un édulcorant de 100 € (113 $) à six millions de personnes dans les groupes à faible revenu pour compenser la hausse du prix de l’essence. Lors des dernières manifestations des gilets jaunes – du nom des gilets jaune fluo que les automobilistes français sont légalement tenus de garder dans leur voiture – la somme a été rejetée comme dérisoire.

Reste à savoir s’il y a un appétit chez les Français désabusés pour une action directe à l’échelle des protestations originelles (2018). Jusqu’à présent, les manifestations ont été discrètes, contrairement à celles d’il y a trois ans.

Ce qui a commencé alors comme une réponse spontanée à une proposition de «taxe verte» sur le carburant s’est rapidement renforcé, soutenu par les médias sociaux.  Au fur et à mesure que la rébellion grandissait, elle a conduit aux troubles de rue les plus graves en France depuis le printemps parisien de mai 1968.

Sans véritable leadership, structure ou politique cohérente, les gilets jaunes semblaient des cibles faciles à ridiculiser. Mais la nature spontanée et non alignée du mouvement en est venue à être considérée comme une force.

Comment les manifestations tumultueuses ont grandi ?

Arc de Triomphe during the Yellow Vest demonstration.

Une manifestation contre la taxe sur les carburants des conducteurs français a fait appel à un sentiment antigouvernemental plus large.

Contrairement aux précédentes manifestations françaises, il n’y avait aucun syndicat ou mouvement organisé impliqué.

Les manifestants ont répondu aux pétitions en ligne et ont inondé les places publiques et les rondpoints pour bloquer la circulation et l’économie.

À son apogée, il y avait plus de 300 000 manifestants dans les rues pour soutenir les Gilets jaunes… Nommés d’après les vestes haute visibilité que les conducteurs doivent garder dans les voitures. Les affrontements sont rapidement devenus violents alors que des milliers de personnes se sont battues contre la police.  On estime que deux douzaines de personnes ont perdu les yeux et de nombreuses autres ont été admises à l’hôpital.

Dès le premier acte, comme s’appelait chaque samedi de protestation, en novembre 2018, des nombres considérables ont été tirés semaine après semaine dans les rues de Paris et d’autres villes ou pour bloquer les autoroutes, les raffineries et les entrées d’autres commerces. Un jour, au début des manifestations, on estime que jusqu’à 1 300 000 personnes se sont rassemblées ou ont participé à des milliers de barrages routiers dans tout le pays.

D’origine essentiellement rurale, avec un soutien marqué de l’extrême droite, ils ont attiré des sympathisants d’extrême gauche et de nombreux travailleurs ordinaires et de la petite bourgeoisie, ainsi que des agitateurs violents comme les Black Blocs.

La réponse intransigeante et violente de la police a suscité une inquiétude internationale, mais les responsables et les syndicats de police soulignent que plus de 1 000 policiers ont été blessés, dont beaucoup grièvement.(sic)

Alors que les policiers de la base luttaient pour faire face à l’ampleur et à l’intensité des manifestations, Frédéric Lagache, secrétaire général du syndicat de la police Alliance, a décrit leur exaspération d’avoir été transformés en boucs émissaires. «Nous avons été mobilisés pendant 20 week-ends d’affilée, sans repos, 20 week-ends d’affilée qui nous ont été critiqués. On en a marre.»

Au cours de la première année complète de manifestations, plus de 10 000 arrestations ont été effectuées, entraînant 3 100 condamnations et 400 peines de prison. Entre 10 et 13 décès ont été signalés lors de manifestations, à proximité ou à la suite de manifestations, et parmi des milliers de blessés, 24 cas de manifestants ont perdu un œil après avoir été touchés par des balles en caoutchouc tirées par la police.

Malgré la fréquence avec laquelle les manifestations pacifiques ont dégénéré en violences collectives et en attaques contre les biens, des petites entreprises aux bâtiments gouvernementaux, le mouvement a toujours reçu un soutien public élevé dans les sondages d’opinion.

Même parmi ceux qui n’y ont pas participé et qui désapprouvaient la violence, il y avait une certaine compréhension des éléments militants. «On ne peut pas faire une omelette sans casser des œufs», est un commentaire souvent entendu – et pas seulement sur les lèvres des gilets jaunes engagés.

Les malheurs de Macron

Des manifestants regardent la télévision dans une tente à Montabon, près du Mans, en décembre 2018, alors que le président français Emmanuel Macron prononce un discours. Photo  AFP.

Les cotes d’approbation de M. Macron ont chuté – elles se sont considérablement améliorées depuis  (sic) – et les slogans «Macron dégage» sont devenus un spectacle familier lors des rassemblements. Les manifestations ont attiré l’indignation de nombreux électeurs non engagés.

Les manifestations et les perturbations qu’elles ont provoquées ont secoué le président et ses ministres.  Parmi les concessions qu’ils ont offertes, le plan de taxe sur les carburants a été suspendu et des améliorations mineures ont été apportées à certains avantages. M. Macron a prononcé un discours télévisé en décembre 2018, dans l’espoir d’apaiser les manifestants.

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Demonstrators hold signs that read « the world after this is now » during the yellow vest demonstration in Lyon, France, on May 16, 2020.
Des manifestants tiennent des pancartes ou il est ecrit « le monde d’après c’est maintenant » lors de la manifestations des gilets jaunes a Lyon, France, le 16 mai 2020.

Mais à ce moment-là, bien qu’essentiellement sans chef, les gilets jaunes avaient élargi leurs revendications. Ils recherchaient notamment des «référendums citoyens» sur des sujets variés. Leurs critiques ont souligné la division et l’incertitude créées, par exemple, par le référendum britannique sur le Brexit, tandis que les partisans ont rétorqué que d’autres pays avaient organisé avec succès des sondages similaires sur une seule question.

Alors que des scènes des manifestations circulaient dans le monde entier, des manifestants d’au moins 25 autres pays ont adopté des gilets jaunes. Leurs motivations allaient du soutien intransigeant au Brexit en Grande-Bretagne et aux causes d’extrême droite au Canada et en Australie (sic) aux appels à de plus grandes opportunités d’emploi et à de meilleurs services publics en Irak par exemple.

Les manifestations hebdomadaires se sont poursuivies jusqu’à la fin de 2019 avant que le nombre ne commence à diminuer. Certains commentateurs ont estimé que le président avait pris le vent dans les voiles des manifestants avec les concessions accordées et un aveu d’erreurs dans la gestion de la crise ; d’autres ont déclaré que la voix de la rue était progressivement dépassée par la rigueur d’une réponse policière et judiciaire impulsée par son gouvernement.

Pandémie de covid-19

Lorsque la pandémie de coronavirus a conduit à l’imposition du premier verrouillage (confinement) français en mars de l’année dernière, le mouvement s’est effectivement arrêté.  La question est maintenant de savoir si les tentatives de rallier à nouveau les manifestants sur les questions de budget des ménages confondront la théorie selon laquelle les gilets jaunes sont, pour l’instant du moins, une force épuisée.

En retraçant l’histoire du mouvement, The National s’est adressé à des militants, sympathisants de fauteuil, opposants, politiciens, auteurs et analystes.  Beaucoup pensaient que les rangs des manifestants étaient devenus trop réduits pour avoir un impact sérieux, malgré une présence de gilets jaunes lors de manifestations relativement impopulaires contre l’application des passeports Covid-19 et la vaccination obligatoire pour les travailleurs clés, y compris les professionnels de la santé.

Affrontement de la police anti-émeute avec des manifestants lors d’une manifestation des Gilets jaunes près de l’Arc de Triomphe en décembre 2018. Getty Images

D’autres organisateurs s’accrochent à l’espoir d’une renaissance. Khider Mesloub, qui a participé aux manifestations et a co-écrit un livre sur les gilets jaunes, affirme qu’un affaiblissement du pouvoir d’achat et des produits essentiels plus chers pourraient déclencher une « saison deux » des Gilets jaunes. Il spécule que le soulèvement  pourrait se propager au-delà de la France.

Il n’y a pas grand-risque à suggérer que cela soit probable. Les services de renseignement policiers à la recherche de signes d’un rebond significatif du mouvement, tels que des ronds-points bloqués, n’ont détecté qu’une résurgence inégale. Alors que des manifestations ont été organisées dans plusieurs villes, les taux de participation sont décrits comme «timides» ou «faibles».

Mais dans un pays instable avec une longue histoire de politique de rue bruyante, il est reconnu qu’un seul faux mouvement du gouvernement ou de la police pourrait tout changer. Le diffuseur Europe 1 a fait état d’une étude confidentielle selon laquelle les conditions de la révolte sont réunies. « Une mesure mal comprise, un développement ou une polémique pourraient allumer la poudre à canon », a-t-il déclaré.

Mise à jour : 17 novembre 2021

Source :  https://www.thenationalnews.com/world/europe/2021/11/17/france-struggles-to-contain-efforts-to-revive-the-yellow-vest-protests/




E. Zemmour et autres candidats : dites la vérité sur pseudovax et pass !

Par Nicole Delépine

Serait-il anxiogène de parler des vrais problèmes sanitaires aux Français ? De qui se moque-t-on ?

Résumé

Tous les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique, non sanitaire puisque outil du contrôle social à la chinoise via le pass :

  • Informer du caractère expérimental de l’injection génique
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non vax une dose, etc. Le 2 doses de plus de 65 ans devient un non-vax pour le gouvernement et les statistiques hospitalières et sans pass
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres.

Pourquoi Zemmour refuse-t-il le vrai débat sur la dictature sanitaire et le Frexit ?

Bien triste que les conseillers solides de Z aient été écartés et que ce dernier n’ait pas eu l’intelligence de se rapprocher de Florian Philippot, entre autres, dont la position sur la dictature sanitaire a le mérite de la clarté.

Dommage qu’il n’ait pas pris clairement position pour le Frexit, préalable indispensable à l’indépendance de la France et évidemment à une politique sanitaire libérée des décisions de la commission de Bruxelles qui a acheté du Remdesivir(([1] Un demi-million de doses acheté le 8 octobre 2020 alors que le laboratoire Gilead et l’OMS savaient que le traitement incapable de diminuer la mortalité Covid était responsable de complications majeures)) quand il était établi que ce produit était inefficace et toxique et qui se bat par tous les moyens pour imposer aux populations européennes des vaccins expérimentaux qui se révèlent chaque jour un peu plus incapables d’arrêter l’épidémie.

Ces silences qui en disent long le condamne à perdre les voix de nombreux citoyens qui lui faisaient confiance.

Après avoir écouté le TV liberté et celui de RadioCourtoisie de Pierre C du 16 novembre(([2] Loibre journal du droit et des libertés du 16 novembre 2021 : « Eric Zemmour n’a pas dit son dernier mot »)), fort intéressantes par ailleurs, je reste sidérée de l’argument utilisé par Z. et ses soutiens pour ne pas parler du drame de la situation sanitaire, et plus ou moins accepté par P et ses interviewers.

Certes P. et O. ont insisté sur l’impérieuse nécessité que Z s’empare rapidement du côté liberticide des décisions pseudo médicales du pseudovax et du pass, (heureusement), mais l’absence de prise en compte du drame international qui se joue sur la santé humaine, via les injections géniques fut très insuffisant.

Zemmour et tout autre candidat doivent exiger très clairement la suppression immédiate du pass, outil de discrimination inacceptable et du passage vers la société à la chinoise.

Résumons : Z. n’est pas gêné par le pass sanitaire pourtant copier-coller du pass nazi et des privations et interdictions aux juifs, ici remplacés par les non-vaccinés. Le même scénario du totalitarisme, inventer un ennemi et s’en servir de bouc émissaire pour aveugler les foules se reproduit.

Écoutons le consultant et analyste politique Mathieu Slama dans sa tribune du figaro du 15 novembre :

« S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le pass sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le pass sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière. »(([3] Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire» (lefigaro.fr) ))

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisé en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Chaque crise a donc son coupable désigné. « Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative ».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et « rebondit » (selon le mot consacré).

Emmanuel Macron et son gouvernement ont délibérément construit cette figure de bouc émissaire, qualifiant tour à tour les non-vaccinés d’égoïstes, d’irresponsables, leur faisant endosser la responsabilité d’un éventuel reconfinement, les ostracisant par le moyen du pass sanitaire. Le discours est clair : si l’épidémie repart, c’est la faute des non-vaccinés ; si nous devons reconfiner ou fermer des commerces, ce sera votre faute. Quant au pass, il agit comme une sorte de certificat de pureté et de vertu, séparant les purs (vaccinés) des impurs (non-vaccinés), les vertueux des immoraux, les responsables des irresponsables. Il matérialise la stratégie du bouc émissaire en marginalisant socialement, de manière concrète, ceux qui sont rendus responsables du malheur.

En désignant à la foule un bouc émissaire, le gouvernement a agi de manière cynique et irresponsable, encourageant les divisions, le ressentiment et la violence verbale. En concentrant la colère des gens sur les non-vaccinés, il s’est exonéré de toute responsabilité dans la conduite de la crise, détournant le regard des gens sur ses propres insuffisances au détriment d’une partie de la population. Obnubilés par l’« irresponsabilité » des non-vaccinés, nous avons fini par oublier que dans une crise, la responsabilité incombe d’abord aux gouvernants.

La stratégie macronienne est une stratégie de division et d’hystérisation qui aboutit, à chaque crise, à la désignation d’un coupable et à la mise en place d’une politique répressive à l’encontre d’une partie de la population.

La société sécuritaire et répressive est une société de la recherche permanente du coupable. C’est une société fragmentée, divisée, injuste et inégalitaire. D’une certaine manière, la crise sanitaire a rendu visible ce qui était jusqu’alors moins visible, mais tout aussi prégnant.

Rappelons-le : on ne saurait faire durablement société dans la recherche permanente d’un coupable. La stratégie du bouc émissaire est une solution de court terme, mais qui menace notre société libérale et démocratique dans ses fondements mêmes.

Comme le rappelle René Girard, « on ne manquera pas de faire remarquer qu’un bouc émissaire, aussi puissamment rejeté puis adulé soit-il, ne saurait éliminer la peste ».

ANXIÉTÉ ET VACCINATION, LA POLITIQUE DE L’AUTRUCHE ET DE LA POUSSIÈRE SOUS LE TAPIS

Le grand argument de Z. pour éviter de discuter des décisions majeures du gouvernement sur la santé des Français serait de ne pas être « anxiogène » pour ne pas diviser. Vous rigolez ?

Faire peur aux vax qui formeraient un ensemble homogène. Plus c’est gros plus ça passe… Eh bien non, sinon pourquoi changer de mentor, le mensonge est déjà arrivé à un degré de perfection.

Ça ressemble comme deux gouttes d’eau à l’attitude d’Édouard Philippe et d’Olivier Véran avec les patients qui toussent et respirent mal. Restez chez vous avec du Doliprane. Et plus tard si besoin dans les EHPAD et parfois à domicile, le tranquillisant et somnifère Rivotril qui vous endormira pour l’éternité. Circulez, il n’y a rien à voir.

Le peuple vacciné serait rassuré comme veut nous le faire croire Véran ou Castex, et serait serein pour les autres sujets ?

Peut — être quelques bobos parisiens de ses proches adeptes hypnotisés par France info ou la télévision officielle, le Monde, Libé ou le Parisien, le pensent-ils, mais pas la masse du peuple dont la majorité des vaccinés sont des malgré nous(([4] Les « malgré nous » de 2021 – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca)
« Finalement qui fera céder nos gouvernements amoureux du totalitarisme ?
Ce ne sont pas les « antivax » seuls qui vont faire craquer Macron et ses affidés, mais l’ensemble des mis à l’écart, discriminés que sont les non-vaccinés, associés aux victimes des injections répétitives (et les familles des victimes décédées ou handicapées).
Ils seront de plus en plus nombreux : encore debout : « les malgré nous », ou parfois estropiés.
Ils défileront, car, contrairement à ce qu’ont espéré les initiateurs de ce massacre à la piquouse, les transgénisés ne se retournent pas contre les « non transgénisés ».)) qui n’ont accepté les injections que sous la contrainte (les adultes pour travailler et les jeunes pour faire du sport avec les copains, aller en boîte, etc… et aussi la honteuse pression de certains proviseurs et celle des autres élèves, la force du groupe hélas manipulé)…

Les autres sujets ne seraient-ils pas anxiogènes ?

Au passage, il est drôle ou tragique de sous-entendre que le problème des migrants, des murs de l’Europe (Trump rigole) de la guerre chine-usa, qui menacent, ne sont pas angoissants… Non, seulement le problème du Covid angoisserait ces bienheureux vaccinés, qui du coup seraient divisés et ne voteraient pas Z… ? Qui peut penser qu’un être intelligent peut soutenir de bonne foi ce genre de raisonnement ou bien faut-il ne pas contrarier une petite catégorie de Français pro-macronistes dupes de sa gestion de crise ?

Pourquoi ce déni, ce silence, cet abandon des soignants, des pompiers et de tous les « malgré eux » de 2021 qui se sont fait extorquer leur consentement, harceler jusqu’à ce qu’ils cèdent alors que le harcèlement moral constitue un délit… ?

CRISE PUREMENT POLITIQUE QUI DEMANDE DES RÉPONSES POLITIQUES

La crise actuelle du Covid n’est pas sanitaire, mais politique, si jamais elle a été quelque temps autre chose. Un problème politique nécessite une prise en charge politique et singulièrement par les candidats à l’élection présidentielle.

Le délire a décidément envahi beaucoup d’esprits autrefois brillants et a entretenu la confusion. Il ne faudrait pas parler de l’extorsion de consentement à des millions de français, ni de la situation médicale que bon nombre découvrent après l’injection, même si ce ne sont pas que des décès.

Non Mr Z, il n’y a pas deux groupes de français et si P. conseille justement à Z de s’intéresser aux six millions de français vaccino prudents, il a tort de les séparer sur le papier avec les pourcentages de voix possibles, car franchement la palette des situations est large et les millions sont sûrement beaucoup plus que six !

Entre le vaccino-prudent qui a pu résister aux pressions et le vacciné à l’insu de son bon droit pour une, puis deux, puis trois injections en attendant l’abonnement bisannuel, il n’y a pas de fossé. Tous ensemble dans la même galère, les vax tombant en plus dans celle des effets secondaires, ne serait-ce qu’une grande fatigue qui dure plusieurs mois et des nouveaux « non-vax » sans pass s’ils rechignent à l’injection suivante.

Et tous ces gens-là seraient « contents » qu’on ne parle pas de leurs problèmes ! On rêve de tant d’illusions et de validation du discours présidentiel de la prétendue satisfaction des vaccinés !

On retombe vite dans le camp des vaccino-prudents, à isoler comme en Autriche ?

C’est oublier que dès que la troisième injection va s’imposer, le résistant à la multi piqûre sera réintégré dans la case des non-vax pestiférés et se retrouvera sans pass. Dès le 15 décembre, le retraité double vax ne pourra pas plus voyager et redeviendra dans les additions mensongères des médias un « non vax », surtout s’il est hospitalisé.

Lorsqu’on regarde les courbes de mortalité de l’OMS, on remarque que les campagnes de vaccination sont suivies d’une explosion de cas et de morts pendant 30 à 60 jours. (cf. courbes de l’OMS de mars 20 à mars 21)

Afin de ne pas compter l’hécatombe post vaccinale les agences gouvernementales classent les victimes des effets toxiques survenus avant le quinzième jour post seconde injection dans les non-vax.

C’est d’ailleurs par ce tour de passe-passe que l’on trouve tant de prétendus non vax à l’hôpital s’ils arrivent avant la fin de la deuxième semaine de leur deuxième injection. Pas belle la vie ?

Une conclusion :

Si Z. a séduit un temps bon nombre de Français par son franc-parler et sa façon de dire ce qu’il pense véritablement indépendamment des conséquences électorales, il va les perdre rapidement s’il se trahit lui-même en devenant un candidat comme les autres, girouette sensible aux sondages et autocensurée.

On se rappelle Marine Lepen qui à mon sens n’a pas perdu l’élection à cause d’un dialogue peu convaincant avec M (la forme), mais bien à cause du fond, car elle a écouté les conseillers obnubilés par les sondages au lieu de Philippot, et a renoncé au Frexit et à la sortie de l’euro. Trahison et conséquence : échec. Au diable, les communicants !

Si Z raisonne sur les voix qu’il pourrait perdre en parlant politique vaccinale, conséquences délétères des injections avec ses traînées d’effets secondaires, c’est qu’il est devenu un candidat banal et que l’abstention et M seront encore les grands vainqueurs.

Est-il temps qu’il se reprenne et qu’il vire ses conseillers vieux caciques, qui ne cherchent que des postes et non le bonheur des Français ? Qu’il appelle vite Philippot qui a tout compris du coronacircus, et quelques autres comme JF Poisson par exemple et d’autres conseillers écartés. Florian Philippot est lucide, clair depuis plus d’un an et mobilise de nombreux militants. Que Z. fasse un ticket avec lui, hypothèse qui séduirait sûrement les électeurs. À quoi correspond ce rejet de F. Philippot extrêmement sérieux et qui connaît les dossiers ?

La dictature prétendument sanitaire n’est que politique :
il faut stopper l’essai thérapeutique mondial en cours

Sur le fond, contrairement à ce qui s’est murmuré dans lesdites émissions du 15 du novembre, Z. ou tout autre candidat qui sortirait du chapeau (encore le temps ?) doit bien évidemment se positionner sur ce pseudovax.

LE PSEUDOVAX EST L’OUTIL POLITIQUE (QUI PERMET LE PASS ET LE PROJET TOTALITAIRE SUR TOUS SUJETS (PASS CARBONE, ETC.) ET DONC, DOIT ÊTRE SUPPRIME MAINTENANT

Il ne s’agit en aucun cas de médecine, même pour ceux qui l’ont cru un temps. On a le droit de se tromper, mais pas de s’enferrer, surtout quand on aspire à de hautes fonctions.

Que Z. se soit vacciné ou pas (on n’aurait jamais dû le savoir, argument électoral maladroit et appel à violer le secret médical(([5] Nous dit-il s’il souffre du SIDA ou d’une leucémie ? Il faut faire taire tous ceux qui se croient obligés de nous donner leur statut vaccinal, ce qui décrédibilise d’emblée tout ce qu’ils vont dire ensuiteStop exhibition !)) ), il devrait demander un moratoire rapide devant l’accumulation de décès et d’effets dits indésirables graves révélés par le VAERS pour les USA dépendant de la FDA et des CDC et par EudraVigilance pour l’UE, l’ONS et MHRA pour la Grande-Bretagne. Notons que toute déclaration mensongère au VAERS est passible de poursuite en justice. On peut donc y accorder une certaine confiance et les milliers de décès accumulés exigent ce moratoire.

Rappelons que le vaccin H1N1 a été stoppé après 53 décès. Le vaccin contre la grippe aviaire également après quelques décès et le vaccin contre le rotavirus après quelques invaginations chez les bébés. De façon systématique, tous les essais thérapeutiques sont stoppés au moins provisoirement habituellement après le premier mort.

Ici nous sommes à près de 30 000 décès validés par l’UE et environ 17 000 aux USA. N’est pas angoissant ? Si, alors ne surtout pas en parler. Vite un doliprane. FRANCHEMENT INACCEPTABLE DE TOUT CANDIDAT : CETTE FOLIE DOIT CESSER.

Et rappelons que l’épidémie ne tue plus et depuis plusieurs mois

Pseudo vaccin expérimental et Pfizergate : informez les citoyens

Éric Z. aurait dû en tant qu’éventuel président, rappeler aux Français le caractère expérimental des injections géniques et des doutes sur les conséquences délétères déjà décrites dans les documents officiels de Pfizer il y a un an et confirmées dans la vie réelle actuelle (voir les tableaux de l’agence officielle EMA et son site effets secondaires des médicaments EudraVigilance).

Des problèmes neurologiques graves, voire des maladies de la vache folle (voir les vidéos de Marc Doyer qui a réveillé Pascal Praud et le récit de son épouse atteinte de la vache folle), aux myocardites dont on découvre chaque jour l’ampleur. Et surtout de l’avenir incertain sur la fertilité des futures générations, dont les troubles menstruels si fréquents des femmes et des petites filles, la raréfaction des spermatozoïdes dans le sperme des donneurs potentiels laisse mal augurer de leur avenir familial.

Le Pfizergate est un problème politique(([6] Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) ))

Le 2 novembre 2021, des révélations publiées dans le British Medical Journal (BMJ)(([7] Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial | The BMJ)) ont pointé du doigt de potentielles défaillances, des falsifications de données et des problèmes de sécurité au sein de Ventavia Research Group, l’un des sites choisis par le laboratoire Pfizer pour mener ses essais cliniques du vaccin anti-Covid Comirnaty®.

Ces révélations se basent sur le témoignage de Brook Jackson, ancienne directrice régionale au sein de Ventavia Research Group, l’un des sous-traitants du laboratoire Pfizer chargé d’évaluer l’efficacité du vaccin Comirnaty contre la Covid-19. Selon elle, Ventavia Research Group aurait commis des manquements lors de ses tests, « falsifié des données » et « tardé à assurer le suivi des effets secondaires ».

Dans son mail envoyé à la FDA, Brook Jackson accuse Ventavia d’une douzaine de pratiques douteuses dont elle aurait été témoin. Parmi ses accusations, elle relate entre autres :

  • Des participants étaient placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.
  • Un manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables.
  • Des écarts de protocole non signalés.
  • Des vaccins qui n’étaient pas conservés à des températures appropriées.
  • Des échantillons de laboratoire mal étiquetés.
  • Un ciblage du personnel de Ventavia pour signaler ce type de problèmes.

Selon le BMJ, l’ancienne directrice régionale de Ventavia Research Group aurait « fourni des dizaines de documents internes à l’entreprise, de photos, d’enregistrements audio et d’e-mails ». Pour autant les sociétés Ventavia et Pfizer n’ont pas réagi à ces révélations ».

Les agences FDA et EMA font le gros dos. Les politiques se taisent. Et Z. dont on attendait la différence aussi !

Comment les candidats, dont Z. peuvent-ils passer sous silence ces mauvaises pratiques qui mettent en jeu la vie de milliards d’individus ?

Il aurait dû présenter aux futurs électeurs le passé dramatique de Pfizer de nombreuses fois poursuivi pour faux et informations erronées aux usa avec des milliards versés aux victimes. Le Pfizergate actuellement dévoilé devrait être traité par Z. tellement la gravité des faits découverts (essai clinique truqué en résumé) est capitale pour le choix éclairé des Français.

Comment Z. et d’autres commentateurs, dont certains a priori sincères, peuvent-ils dire que chacun est libre de se faire vacciner ou pas ?

Fabuleuse manipulation mondiale

Justement ils ne sont pas libres, mais manipulés toute la journée, en plus de ceux dont le consentement est extorqué. Ne faisons ni l’autruche ni la vierge effarouchée et regardons la réalité en face.

Libre ? Belle pétition de principe qui ne serait vraie que s’il y avait consentement ÉCLAIRÉ et LIBRE.(([8] Consentement éclairé du patient : définition et prérequis
Avant de donner son consentement aux soins, le patient doit bénéficier d’informations loyales, claires et adaptées à son degré de compréhension de la part des équipes soignantes et médicales tout en étant libre de toute pression ou contrainte. Donner son consentement éclairé implique de connaître les alternatives thérapeutiques envisageables, c’est-à-dire les autres moyens de traiter le(s) problème(s) de santé rencontré(s) avec leurs avantages et leurs inconvénients… C’est sur la base de cet échange que le patient pourra accepter ou refuser ce que préconisent les professionnels de santé. Ces derniers devront obligatoirement respecter la volonté du patient.
Consentement libre et éclairé du patient (définition) – Désignation personne de confiance (France-assos-sante.org) )) Or sur quoi se fonde ce soi-disant choix répété à l’envi sur toutes les ondes alors qu’il y a TROMPERIE du matin au soir sur la réalité de l’essai en cours sur les citoyens supposés libres et devenus cobayes soumis ?

En résumé, les candidats doivent se positionner sur le pseudo vaccin, sujet éminemment politique puisque outil du contrôle social à la chinoise

  • Informer du caractère expérimental ;
  • Informer des effets secondaires nombreux et graves ;
  • Informer de l’incertitude de l’efficacité des injections géniques ;
  • S’opposer à toute mesure discriminatoire entre vax, non-vax, une dose, etc. ;
  • S’opposer à toutes les mesures liberticides inefficaces et se conformer à l’attitude suédoise ou de Madagascar dont les résultats Covid sont bien meilleurs que les nôtres ;
  • S’opposer fermement à toute obligation vaccinale et tout particulièrement celle des enfants qui ne risquent rien du Covid, mais beaucoup de l’injection ;
  • Imposer au gouvernement via la pression populaire et médiatique la liberté de prescription des médecins pour les traitements précoces ;
  • Exiger la réintégration immédiate des fonctionnaires suspendus de façon honteuse et sans but sanitaire aboutissant à fermer encore davantage de lits hospitaliers au moment où on en a (peut-être) le plus besoin ;

Et quand on entend V. Pécresse, X. Bertrand et trop d’autres se prononcer pour l’obligation vaccinale et même l’enfermement des non-vax, on se dit qu’ils ont aussi oublié les traités signés par la France comme la convention d’Oviedo qui rappelle les engagements des nations pour le code de Nuremberg.(([9] Notre expérience de la violation des lois éthiques de Nuremberg – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) )) Ceux — là seront vite éliminés de la course à l’échalote. Au moins, espérons-le.

Qu’Éric Zemmour, tous les élus, tous les citoyens relisent au moins la déclaration d’Helsinki et le code de Nuremberg et en fassent état !

Non, tout ceci n’est pas dépassé si nous ne voulons pas sombrer dans une société sauvage.

Rappelons les articles 8 et 14 de la déclaration d’Helsinki à laquelle les promoteurs d’essai prétendent se conformer.

« Si l’objectif premier de la recherche médicale est de générer de nouvelles connaissances, cet objectif ne doit jamais prévaloir sur les droits et les intérêts des personnes impliquées dans la recherche. Art. 8

… Les médecins qui associent la recherche médicale à des soins médicaux devraient impliquer leurs patients dans une recherche uniquement…. si les médecins ont de bonnes raisons de penser que la participation à la recherche ne portera pas atteinte à la santé des patients concernés. Art. 14 »

Passer à côté de ce rôle politique indispensable et laisser faire ce gouvernement liberticide en approuvant passivement sa politique sanitaire est une position complètement inacceptable pour le citoyen moyen. Si Z. veut faire plaisir à quelques bobos parisiens, qu’il n’oublie pas, le Paris riche n’est pas la France et ne suffira pas à son élection d’autant que cet électorat constitue le socle des voix de M. Et ceci est valable pour tous les candidats bien sûr.

À bon entendeur, salut.





Gibraltar : 99 % de vaccinés ; festivités de fin d’année annulées

[Source : Résistance Mondiale via ZEjournal.mobi]

Le gouvernement appelle à la prudence et demande d’éviter les rassemblements de masse, de porter un masque autant que possible et de maintenir une distance de sécurité. Au cours des dernières 24 heures, il a enregistré 57 nouveaux positifs et il y a déjà 359 cas actifs.

[Ndlr : sachant que les « cas » même prétendument « actifs » sont basés sur un test frauduleux, le PCR.
Tous les prétextes, même complètement fallacieux, seront bons pour finalement reprendre ou maintenir des mesures sanitaires malgré les piqûres géniques Covid, et ceci dans la plupart des pays.
Tant que les gens ne réaliseront pas que la seule chose à faire est de ne pas obéir à ces mesures quitte à se retrouver chargé d’amendes, puis en prison, ils s’enfonceront de plus en plus dans la dictature. Comme l’a rappelé le Dr Zelenko, il vaut mieux sacrifier le présent pour sauver l’avenir que sacrifier l’avenir pour espérer sauver le présent.]

Par de la population pleinement vaccinée contre la Covid-19
Doses de vaccins Covid-19 et personnes ayant reçu une dose, deux doses ou trois doses.
Nombre de nouveaux cas et de morts

Gibraltar connaît une augmentation constante des infections au Covid-19 depuis octobre et ces derniers jours, le nombre a grimpé en flèche, ce qui a incité le gouvernement, vendredi, à appeler à la prudence et à suspendre les fêtes et réceptions officielles de Noël. Il a également exhorté les gens à éviter les grands rassemblements et à porter un masque lorsque la loi l’exige ou lorsqu’ils se sentent mal à l’aise, ainsi qu’à garder une distance sociale sûre avec les autres personnes.

Cette augmentation des contagions, que le gouvernement de Gibraltar qualifie d’« exponentielle » ces derniers jours, rend « essentiel » que le public se comporte « de manière prudente et sensée étant donné que nous sommes toujours plongés dans une pandémie mondiale qui fait de nombreuses victimes chaque jour dans le monde », a-t-il déclaré dans un communiqué de presse.

Le Rock compte 359 cas actifs de Covid-19 vendredi, dont 57 au cours des dernières 24 heures et 72 au cours de la journée précédente. Cinq personnes sont hospitalisées, dont une dans l’unité de soins intensifs, et 440 personnes sont en isolement.

La campagne de vaccination, qui a fait des progrès vertigineux à Gibraltar, dont les habitants sont revenus à la normale bien plus tôt qu’en Espagne, n’a cependant pas permis de stopper le nombre d’infections. Le gouvernement de Gibraltar attribue ses chiffres au taux élevé de dépistage parmi ses résidents, qui lui permet, selon lui, de détecter beaucoup plus de cas positifs qu’ailleurs. Elle souligne toutefois qu’en Europe, le nombre de personnes infectées est en hausse.

Foyers lors d’événements, de rassemblements religieux et au travail

Selon le Département de la Santé publique de Gibraltar, depuis le 2 octobre, il y a eu des rapports positifs chez des adultes associés à divers événements et des épidémies communautaires distinctes liées à divers rassemblements religieux. Il ajoute : « Cette semaine, on a constaté une forte augmentation des transmissions sur les lieux de travail ».

Par conséquent, outre l’annonce de l’annulation des fêtes de Noël officielles, des réceptions officielles et autres rassemblements similaires, il appelle le public à faire preuve de discernement à cet égard, en tenant compte des conseils donnés. Il rappelle qu’il faut tenir compte du nombre de personnes, de l’environnement – intérieur ou extérieur – du degré de ventilation si l’on se trouve à l’intérieur, et du fait que les personnes présentes sont vaccinées, âgées ou vulnérables. Il conseille d’éviter les fêtes pendant quatre semaines.

En outre, il déconseille « fortement » l’organisation de grands événements sociaux informels, de fêtes ou de réceptions pendant au moins les quatre prochaines semaines, alors que le programme de vaccination de rappel est en cours de déploiement. « À ce moment-là, il sera également nécessaire de veiller à ce que l’utilisation des installations officielles soit étroitement surveillée et, le cas échéant, de reporter les événements à une date ultérieure », ajoute le document.

Il prévient qu’il est vital que le public suive les directives de la santé publique et prenne toutes les précautions raisonnables pour réduire la transmission du virus afin d’assurer sa propre sécurité, ce qui sera également dans le meilleur intérêt de ses proches.

Il rappelle également que les masques faciaux restent l’une des méthodes les plus efficaces pour réduire la transmission et qu’à Gibraltar, leur port est obligatoire dans les magasins et supermarchés, les établissements médicaux et de soins de santé, les transports publics, les funérailles dans un lieu de culte fermé ou légèrement ouvert et dans le terminal de l’aéroport.

La campagne de vaccination de rappel Covid-19 est actuellement en cours pour les plus de 40 ans, le personnel de santé et d’autres groupes vulnérables. Jusqu’à présent, 12 079 doses de rappel ont déjà été inoculées dans le Rock.

sources :

• sevilla.abc.es/sevi-gibraltar-suspende-fiestas-oficiales-navidad-ante-exponencial-aumento-contagios-covid-19
• ourworldindata.org
• 9news.com.au/australia-on-track-to-surpass-usa-in-vaccination-rates




Ne faudrait-il pas plutôt confiner les « vaccinés » ?

Par Lucien Samir Oulahbib

La question se pose de plus en plus sérieusement, comme il a été indiqué lors du dernier Conseil Scientifique Indépendant (18/11/21) par Hélène Banoun (23’43) à propos de certaines communautés aux USA qui obligent les injectés à faire une quarantaine avant de rentrer dans leurs cercles. Mais comment s’en étonner du fait d’incohérences de plus en plus pesantes ?

En effet, les injectés sont, de fait, porteurs du virus et de sa protéine. Voilà pourquoi certains peuvent la transmettre – sans s’en apercevoir en plus (puisqu’ils ne se font plus tester) – à la différence des non-injectés qui eux se testent alors qu’ils ne sont pas malades. Et même lorsqu’ils sont “positifs”, ces derniers ne transmettant pas par ailleurs de façon significative.

[Voir aussi, comme explication alternative :
Dr Valentina Kiseleva  Le virus et autres mythes
et les liens inclus]

Moins ironiquement exprimé, le problème s’avère le suivant: les non-injectés sont exclus de partout, à l’exception des transports et des magasins, tout en sachant qu’ils se testent bien plus (pour le train long trajet, l’avion et certains événements) que les injectés qui eux se croient non seulement protégés, mais incapables de contaminer, ce qui est faux comme l’indiquent officiellement les Autorités ne serait-ce qu’en imposant toujours le port de la muselière et ce “rappel” tous les six mois désormais. D’où vient alors la poursuite de cette contamination, si ce n’est des injectés et du fait qu’au fond ce virus comme les autres va et vient et s’avère de surcroît moins létal dans son variant actuel ? L’incohérence domine donc avec éclat.

De plus, l’antienne stipulant qu’au moins “cela” protégerait des “formes graves” est fausse, nulle et non avenue, étant donné que les personnes non injectées qui seraient en majorité en “réa” ou décédées font partie pour l’essentiel des catégories à risque qui auraient dû être protégées préventivement par des traitements précoces. D’où la non-pertinence de cette comparaison viciée ainsi dès le départ. Par ailleurs, nombre de pays qui sont très majoritairement injectés voient en “réa” beaucoup d’injectés et bien sûr aussi des non-injectés, mais qui font partie des catégories à risque, d’où également la non-pertinence de ce comparatif, mais aussi, et surtout, la preuve de l’inefficacité de fait de ces injections alors que, comme l’indique à nouveau et lui aussi le professeur Montagnier, les traitements précoces marchent.

D’où l’incohérence (apparente) de plus en plus criante de toutes ces pseudo-mesures “sanitaires” qui apparaissent de plus en plus affairistes (telle cette présidente de la Commission européenne allant remettre un prix “business” au propriétaire de Pfizer), hygiénistes, sadiques (en martyrisant les enfants avec la muselière et en tapant sur les “mamans louves”), scientistes, sectaires (en faisant la chasse, littéralement, contre toute analyse dissonante, en empêchant de soigner, le médecin n’étant plus qu’un assistant parmi d’autres de l’Ordre ogre cybernétique).

Et la classe politico-médiatique, fascinée (par les milliards [de dollars ou d’euros], et par la puissance narcissique des écrans) jusqu’à en jouir en direct – éructant ordre sur ordre insensé – en veut encore plus, tels des psychopathes sortis tout droit de Scream.

Il serait temps de s’en occuper non ?… Du moins en régime démocratique…




Scoop, l’Autriche fait monter les enchères… emprisonner les non-vaccinés ! Stupeur chez les autres pays surpris et admiratifs d’une telle audace

Par Alain Tortosa

Scoop, l’Autriche fait monter les enchères… emprisonner les non-vaccinés(([1] https://www.lalibre.be/international/europe/2021/11/19/lautriche-reconfine-la-totalite-de-sa-population-et-impose-la-vaccination-obligatoire-des-fevrier-2022-HVDHZ7VGDFBXFJ7TESWGC3GEBI/))!
Stupeur chez les autres pays surpris et admiratifs d’une telle audace

Les chefs d’État de toutes les nations démocratiques ont du mal à se remettre. Au concours du toujours plus, du toujours plus horrible, l’Autriche vient de frapper un grand coup !
Espérons que les États ne resteront pas dans la sidération et sauront trouver une mesure encore plus innovante « au service de la sécurité et de la liberté de tous » !

Dès cette merveilleuse annonce, l’action Pfizer a gagné 3 points, la croissance a été révisée à la hausse pour l’année prochaine, tandis que Bouygues immobilier explosait les plafonds.

Nous avons tout de même échappé de peu à un drame… Le président, Kim Jong-un, guide lumineux de la Corée du Nord a failli s’étouffer en prenant son petit déjeuner alors qu’il regardait une de ses émissions préférées, l’exécution de prisonniers politiques. Il a dans un premier temps éclaté de rire en disant « et c’est eux les démocraties », mais s’est ensuite étouffé. Son malaise passé, il est entré dans une rage terrible et a demandé à ses ministres d’inventer de nouvelles mesures horribles afin de ne pas se laisser distancer par ces « pédés d’Occidentaux ».

Pour en revenir à l’Autriche, l’annonce du confinement des seuls non-vaccinés était un coup de maître. Notons que le pays demeure profondément démocrate et à l’écoute de son peuple. Les Autrichiens ayant manifesté en masse contre ces mesures discriminatoires, il a donc été décidé de mettre tout le monde sur un pied d’égalité et de confiner l’ensemble de la population dès lundi (à l’exception faite des personnes utiles).

Les autres pays, après ce coup d’éclat de l’Autriche qui, rappelons-le, est le berceau d’une des plus grandes œuvres du 20e siècle [le nazisme], ont pensé qu’ils étaient tranquilles pour un moment et qu’ils pouvaient prendre le temps de réfléchir à un nouveau projet le plus liberticide et discriminatoire possible. Et alors même que de nombreux pays pensaient déjà à la vaccination obligatoire, qui n’est qu’une mesure de bon sens, convenez-en… l’Autriche leur a coupé l’herbe sous le pied en planifiant cette obligation pour début février, le temps de se débarrasser de quelques lois imbéciles qui demeurent. Quand on est en démocratie, on fait les choses légalement… Nous ne sommes pas une république bananière d’Afrique ou d’Amérique du Sud qui utilise la vulgarité du coup d’État. Nous européens, sommes des civilisés et faisons en sorte que nos dictatures soient parfaitement légales et si possible plébiscitées par le bon peuple.

Que faire ? En premier lieu, leur emboîter le pas est le minimum syndical. Il s’agit de garder notre dignité. Après ? Nous n’avons pas le choix ! Il faut cesser de parler de construire des camps, mais le faire ! La partie a assez duré, nous devons agir et enfin enfermer les non-vaccinés ainsi que les « opposants à la sécurité et à la paix » dans des camps !

Nous sommes la France, nous siégeons à l’ONU, nous avons un grand passé et on ne va quand même pas se faire doubler par un petit pays de merde comme l’Autriche, non ?!

Nous devons frapper un grand coup pas dans 6 mois ou dans 3 mois, mais demain. Enfermons à vie dans des camps et privons de droit et de biens les non-vaccinés et les terroristes  !

Merci pour votre soutien pour cette noble cause. Vive la France !

Alain Tortosa.(([2] Petit sourire et clin d’œil aux nostalgiques du Reich qui croient que je suis au premier degré.))

19 novembre 2021 https://7milliards.fr/tortosa20211119-non-vaccines-prison.pdf





Zemmour et sa vision du monde périmée

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par Éric Verhaeghe

Penser Zemmour à l’heure de la dictature sanitaire

Penser Zemmour et le zemmourisme, surtout s’il est teinté de knafisme, n’est pas chose simple en temps ordinaire. Mais en situation de dictature sanitaire, l’affaire se présente comme un accouchement par le siège, tant le personnage est clivant, suscitant chez certains un enthousiasme quasi-christique, chez d’autres un rejet viscéral. Régulièrement interrogés par des lecteurs sur cette question, nous avons décidé de sortir de l’ambiguïté pour confronter les vues éditoriales du Courrier aux prises de position du polémiste.

Eric Zemmour réussit l’exploit d’être un non-candidat à une élection dont il est cité comme un possible vainqueur. En soi, cette (non)posture est déjà une superbe réussite qui interroge sur le poids de la société du spectacle. À la différence des hommes politiques traditionnels, Éric Zemmour ne s’est en effet pas distingué par une prise de responsabilité dans un poste électif ou public. Il s’est seulement illustré par son potentiel télévisuel. Mais ce point de contexte, qui pourrait être considéré comme une limite, ne semble pas gêner ceux qui déclarent aujourd’hui le soutenir. 

Puisqu’il est d’usage désormais de prendre position même si l’intéressé est pour l’instant en phase de “réflexion”, il nous paraissait important d’apporter quelques éléments d’analyse libertarienne sur sa doctrine. 

Zemmour face à la dictature sanitaire

Nous éviterons ici de cataloguer sommairement la pensée zemmourienne sur le passe sanitaire et sur les mesures liberticides que le gouvernement multiplie depuis plusieurs mois. Nous retiendrons seulement (et nous pensons ne fâcher aucun lecteur en l’affirmant) que cette question de la dictature sanitaire n’occupe pas une place centrale dans la doctrine du polémiste. 

Tantôt contre le passe sanitaire, tantôt pour ou peu dérangé par son principe, Zemmour ne fait pas partie de ceux qui tempêtent contre une violation des libertés publiques par l’État. Redisons-le, peut-être cette violation l’embarrasse-t-elle, mais il n’en fait pas le centre de sa doctrine. 

Les lecteurs fidèles du Courrier savent que nous ne pouvons guère partager cette forme de tiédeur ou d’indifférence vis-à-vis de ce qui nous semble être crucial dans notre époque, ou plutôt dans le changement d’époque auquel nous assistons. 

Si nous en croyons les informations que nous recevons régulièrement, Zemmour appartient plutôt à ce groupe de pensée “identitaire” qui considère que la question de la vaccination ou celle du passe sanitaire sont des divertissements, des façons d’occulter ce qui leur semble le sujet de fond : l’immigration et l’identité française. Au fond, le seul sujet politique de l’époque serait celui de la démographie, et le reste ne compterait pas vraiment. 

Nous voulons expliquer ici deux choses : d’abord pour quelle raison nous n’opposons pas question migratoire et question de libertés. Ensuite pour quelle raison nous pensons qu’Éric Zemmour se trompe dans son appréciation de la réalité. 

Pourquoi immigration et libertés ne font qu’un seul et même sujet

Ainsi, il y aurait deux sujets différents. D’un côté celui que certains appellent la submersion migratoire. D’un autre côté celui de la vaccination obligatoire, du passe sanitaire et de la surveillance de masse. 

Nous pensons pour notre part que ces deux sujets ne font qu’un, ou plutôt qu’ils sont les deux faces d’un seul et même projet de dilution de l’Occident dans un grand tout mondialisé, servile et formaté pour les besoins d’un nouveau capitalisme de connivence sur lequel nous nous exprimons régulièrement. 

Nos lecteurs, habitués à la thématique prétendument complotiste du Great Reset, savent combien ces deux sujets sont en tout cas étroitement liés dans la conception multilatérale déployée par la caste mondialisée qui domine les démocraties occidentales. Ce lien étroit apparaît peu clairement si l’on reprend la chronologie des faits, mais il se comprend très vite si l’on se réfère aux conceptions politiques dominantes outre-Atlantique, notamment sous la férule de l’Open Society Foundation de George Soros. 

[Voir aussi : Comment les Britanniques ont inventé George Soros]

Pour mémoire, le spéculateur américano-hongrois Soros, élève de Karl Popper, a créé une fondation qui prétend renverser, ou aider au renversement, des sociétés “traditionnelles”, c’est-à-dire des bons vieux États-nations occidentaux. Pour diluer leur identité, Soros n’a pas hésité à financer abondamment les ONG qui organisent la crise migratoire. Son projet est clair et assumé : il s’agit de diluer les vieilles résistances nationales en Europe, et de promouvoir un “activisme inclusif” grâce auquel nos sociétés ne feraient plus aucune distinction entre les individus, soit sur des critères culturels, ou ethniques, ou de genre. 

Dans cette vision de la société ouverte, l’obligation vaccinale, le passe sanitaire, le crédit social, la peur de la maladie, jouent des rôles essentiels. 

Pourquoi la dictature sanitaire est indissociable de l’immigration

Il ne faut surtout pas oublier que la caste mondialisée qui a favorisé les submersions migratoires de ces dernières années (notamment la vague de 2015 accueillie à bras ouverts par la coupable Angela Merkel, qui a directement débouché sur des vagues d’attentats meurtriers) a pris peur lorsque deux événements sont intervenus coup sur coup. D’abord, l’élection de Donald Trump aux Etats-Unis a remis en cause le sacro-saint principe du libre-échange et de la gouvernance multilatérale du monde, dont la caste mondialisée dépend économiquement. Ensuite, l’adoption du Brexit en Grande-Bretagne a fini de démontrer que le suffrage universel était devenu l’allié du vote souverainiste, moqué sous les termes de “populiste” d’abord, puis de “complotiste” aujourd’hui. 

Face au risque de voir le suffrage universel servir les ennemis du multilatéralisme, du libre-échange, de la bien-pensance activiste, la caste mondialisée a compris le parti qu’elle pouvait tirer de la menace épidémique. En agitant les peurs, en répétant quotidiennement dans les médias qui lui sont dévoués que chacun risque sa vie en parlant à son voisin, une reprise en main des vieux peuples d’Occident a commencé. Cette reprise en main se matérialise par un véritable projet de zombification, de neutralisation de tout esprit critique, où n’importe quel citoyen est sommé d’obéir à la propagande s’il ne veut pas être puni pour fait de complotisme. 

D’où ce projet insensé de crédit social à la chinoise avancé par Emmanuel Macron, qui permet de domestiquer les peuples et de bannir tous ceux qui refusent de donner un blanc-seing à une politique organisée de dilution de l’Occident. 

Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’entre la vague migratoire organisée et l’anesthésie des libertés sous prétexte de COVID, il n’y a qu’un seul et même projet : celui d’une solution finale pour une conscience occidentale décidément bien gênante pour le libre-échange et ses petits travers. 

Le retard conceptuel d’Eric Zemmour sur le Great Reset

Les Français qui ont fait l’effort de remettre en cause leurs certitudes acquises et qui se sont informés sur ce projet de Great Reset, au demeurant parfaitement théorisé et transparent, savent tout ce qui vient d’être dit. Mais le journaliste du Figaro Éric Zemmour, figure de proue d’une rédaction subventionnée par l’État, n’a pas fait l’effort de cette mise à niveau de ses connaissances. Il est resté dans les certitudes de l’Ancien Monde, sans prendre connaissance du dévoilement et des tournants doctrinaux de ces derniers mois, dont le Forum de Davos est devenu le porte-voix avec tant d’efficacité. Et, effectivement, il faut avoir mis les mains dans le Great Reset pour comprendre que la crise du COVID est montée en épingle pour pouvoir en finir une bonne fois pour toutes avec les vieilles résistances souverainistes qui transforment l’Occident en village gaulois, hostile à l’envahisseur globalisé. 

Au fond, la vague migratoire de 2015 portait en elle le trumpisme et le Brexit. Le trumpisme portait en lui l’épidémie de COVID comme prétexte rêvé pour imposer une gestion mondialisée de la crise et affaiblir l’économie américaine. Et l’épidémie de COVID portaient aussi en elle la dictature sanitaire et la guerre déclarée aux vieilles identités. 

Mais sur toutes ces questions, Éric Zemmour est encore un homme du vingtième siècle. Il s’est arrêté au regroupement familial autorisé par Giscard, et à quelques autres niaiseries si on les compare au noyau dur de la dictature sanitaire. Faute de disposer d’un cadre d’analyse capable d’expliquer, de décrypter, l’évolution internationale de ces derniers mois, il est resté figé sur une compréhension obsolète du monde contemporain. 

Un silence gênant sur le fait multilatéral

Et c’est bien ce qui nous gêne chez Éric Zemmour : ce sentiment qu’une vie trop confortable à l’abri des contrats par lesquels il loue sa force de travail aux Dassault et Bolloré ne l’a guère poussé à renouveler ses analyses, et ce constat qu’au fond sa vision du monde est périmée. 

C’est aussi pour cette raison que nous sommes embarrassés par ses silences sur le poids du multilatéralisme aujourd’hui, et par son manque de clarté ou de vision sur l’Union Européenne, outil névralgique de la caste. Pour être honnêtes, nous pensons qu’Éric Zemmour n’est pas équipé pour comprendre le monde dans lequel il vit et ce point faible compliquerait singulièrement son accession au pouvoir. 

Il y a en effet une illusion bien naïve dans le fait de croire que renoncer à l’immigration règlerait tous les problèmes de notre temps. La caste mondialisée mobilise bien d’autres outils que les flux migratoires pour torpiller les résistances à l’ordre qu’elle appelle de ses vœux. Et sur ces autres outils, on attend de connaître les positions du candidat Zemmour. Mais nous constatons qu’elles sont bien tardives, quoi qu’il arrive, et bien peu visionnaires. 

Mais… c’est notre point de vue. C’est un point de vue parmi d’autres. Et chacun reste bien entendu libre d’émettre une approche ou une évaluation différentes. 




Mathieu Slama: «Le non-vacciné est le bouc émissaire de la crise sanitaire»

[Source : lefigaro.fr]

Par Mathieu Slama

En Autriche, les autorités ont annoncé la mise en place d’un confinement pour les personnes non-vaccinées. Selon l’analyste politique, une telle mesure permet de désigner des coupables tout trouvés.

Consultant et analyste politique, Mathieu Slama collabore à plusieurs médias, notamment Le Figaro et Le Huffington Post. Il a publié La guerre des mondes, réflexions sur la croisade de Poutine contre l’Occident, (éd. de Fallois, 2016).


Le chancelier autrichien Alexander Schallenberg a annoncé, dimanche 14 novembre, l’entrée en vigueur dès ce lundi d’un confinement pour les personnes non vaccinées ou qui n’ont pas guéri du Covid-19. L’Autriche devient le premier pays au monde à mettre en place une telle mesure, qui s’installe donc au cœur même de l’Europe démocratique et libérale. Avec ce confinement discriminatoire, nous franchissons une étape supplémentaire dans la politique autoritaire mise en place pour lutter contre le Covid, puisqu’il s’agit désormais d’aller au bout de la logique du passe sanitaire, c’est-à-dire exclure définitivement les non-vaccinés de toute vie sociale.

La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise.Mathieu Slama

S’il y a une leçon que nous pouvons retenir de cette pandémie, c’est que celle-ci agit comme un laboratoire géant où les mesures les plus liberticides sont testées, approuvées puis généralisées. Le confinement, le couvre-feu, le masque en extérieur, le passe sanitaire : toutes ces mesures insensées et attentatoires à l’État de droit se sont progressivement normalisées à mesure qu’elles duraient dans le temps et s’étendaient géographiquement. Le confinement a commencé en Chine, puis a contaminé l’Italie et la France ; le passe sanitaire a d’abord été mis en place en Israël avant de contaminer l’Europe entière.

Pourquoi en irait-il différemment de ce confinement discriminatoire mis en place par l’Autriche ? On a entendu hier soir plusieurs candidats de droite à la présidentielle indiquer qu’ils n’étaient pas défavorables à l’idée de confiner les non-vaccinés seulement. Le Professeur Gilles Pialoux a déclaré ce matin que le confinement des non-vaccinés «avait du sens d’un point de vue médical». Tous les tabous sautent un à un, et ce n’est qu’une question de temps avant que celui-ci ne soit brisé.

À LIRE AUSSI : «Quelles erreurs de raisonnement ont permis l’acceptation du passe sanitaire ?»

Il est inutile de préciser qu’un tel monde qui enferme les citoyens selon qu’ils sont vaccinés ou non est un monde inacceptable et contraire à tout notre héritage démocratique. L’enjeu que nous voudrions soulever ici est ailleurs.

La France n’a pas attendu l’Autriche pour mener une politique culpabilisatrice et discriminatoire vis-à-vis des non-vaccinés. La figure du non-vacciné est devenue au fil des mois, à mesure que la politique vaccinale devenait de plus en plus autoritaire, une sorte de citoyen à part, réduit à son statut sérologique et diabolisés en permanence par un pouvoir qui en a fait le bouc émissaire de la crise. Cela ne doit rien au hasard, et relève d’une stratégie méthodiquement pensée et mise en place.

Le philosophe René Girard élabore, dans son ouvrage célèbre La Violence et le sacré, l’idée selon laquelle les sociétés sont, depuis les origines, troublées par un mal, le désir mimétique, source de rivalités et de conflits, et qu’elles ont résolu ce mal en désignant une victime sacrificielle, le bouc émissaire. «À l’agitation et à la peur qui ont précédé le choix du bouc émissaire, puis à la violence exercée contre lui, succède, après sa mort, un climat nouveau d’harmonie et de paix», écrit Girard.

Les persécuteurs finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative.René Girard

Le bouc émissaire est à la fois celui qui concentre toute la responsabilité de la crise et celui qui garantit, par son sacrifice, le maintien de l’ordre social. Pour Girard, «qu’elle soit physique ou psychologique, la violence infligée à la victime nous paraît justifiée par la responsabilité du bouc émissaire dans la survenue d’un mal dont il convient de se venger, d’un élément mauvais ou nuisible auquel il faut résister ou qu’il importe d’éliminer». Chaque crise a donc son coupable désigné. «Les persécuteurs, écrit Girard, finissent toujours par se convaincre qu’un petit nombre d’individus, ou même un seul peut se rendre extrêmement nuisible à la société tout entière, en dépit de sa faiblesse relative».

Les contextes changent, mais les mécanismes anthropologiques perdurent. La crise du Covid-19 n’y échappe pas. Face à une épidémie sans fin et un climat de peur savamment entretenu par les gouvernements pour favoriser l’acceptabilité de leurs mesures liberticides, les non-vaccinés sont devenus les boucs émissaires de la crise sanitaire, ceux par lesquels l’épidémie perdure et «rebondit» (selon le mot consacré).

À LIRE AUSSI : Loi de vigilance sanitaire: «Le gouvernement impose, le Parlement exécute»




Les gauchistes sont-ils des idiots utiles du Système ?

Par Alain Nicolaï et Joseph Stroberg

Cédric Herrou : « Et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière » (yetiblog.org)

Publié le 17 octobre 2021 par Pierrick Tillet

On a tous besoin de héros par ces temps glauques, n’est-ce pas ? Cédric Herrou est un de ceux-là. Il vient de publier un livre, Change ton monde (préface J.M. Le Clézio). Extrait :

« J’étais perché sur ma montagne, avec mes poules et mes oliviers, quand le monde est subitement venu à moi. Des ombres remontaient à pied ma vallée de la Roya, entre l’Italie et la France, risquant leur vie. Au début, je détournais le regard. Puis, un jour, j’ai recueilli une famille, et ces ombres sont peu à peu devenues ma lumière. Elles fuyaient la guerre, la misère, la dictature, avaient croisé la mort dans le désert en Libye, échappé à la noyade en Méditerranée. De leur pas si déterminé, elles me questionnaient : faut-il rejeter l’autre parce qu’il est différent ?

À partir de 2016, j’ai accueilli des milliers d’exilés. J’ai aidé ces voyageurs de l’ombre à poursuivre leur chemin et à obtenir des droits, mais je n’avais pas anticipé la violence d’État qui me frapperait en représailles. Notre action ne faisait pourtant que pallier ses renoncements.

J’ai subi des gardes à vue, des procès, des perquisitions, des saisies. Le plus souvent, l’État était en tort et fut condamné. Des centaines de fois. Jusqu’à ce que le Conseil constitutionnel consacre le principe de fraternité, un progrès capital. Ces années ont changé ma vie. Citoyen lambda éloigné du militantisme, je ne suis pas un héros, juste un Herrou têtu et décidé, sans leçons à donner, à part celle-ci : avant de changer le monde, chaque citoyen a le pouvoir de changer le sien. »

La preuve que les gauchistes en prônant l’immigration ont contribué depuis des années au plan des mondialistes (à leurs insu ?)

[Parmi les nombreuses décisions très importantes prises unilatéralement par les états participants au dernier sommet du G20, et dont certaines auront de lourdes répercussions sur la vie des citoyens,  voici celle concernant les migrations :]

Migration et déplacement forcé

Le G20 s’engage à l’inclusion complète des migrants, y compris des travailleurs immigrés et des réfugiés.

À ce stade il est nécessaire de faire un rappel historique très éclairant : l’incendie du Reichstag.

Le 23 février 1933, l’incendie du Reichstag a servi de prétexte aux nazis (qui accusaient faussement les communistes de l’avoir allumé) pour qu’Hitler fasse promulguer, dès le lendemain, le 24, la Loi d’exception qui réduisait de nombreuses libertés, puis le 24 mars 1933, la Loi des pleins pouvoirs permettant au gouvernement de gouverner par décrets.

« La loi allemande des pleins pouvoirs de 1933, également connue sous le nom de loi d’habilitation ou sous sa dénomination officielle de Gesetz zur Behebung der Not von Volk und Reich vom 24. März 1933.

La Loi du 24 mars 1933 de réparation de la détresse du peuple et du Reich, est une loi qui donna à Hitler le droit de gouverner par décret, c’est-à-dire de prendre des textes à portée législative sans aucune procédure parlementaire. »

https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_allemande_des_pleins_pouvoirs_de_1933

Il est révélateur de faire le parallèle avec la gestion de la crise dite sanitaire par le gouvernement Macron. Après avoir proclamé l’état d’urgence sanitaire sans débat parlementaire et sans que les parlementaires songent à en débattre à l’Assemblée nationale une fois le confinement terminé (un manquement injustifiable et impardonnable), le gouvernement procède depuis lors par décrets.

Un exemple parmi une multitude : 

Afin de limiter la propagation du Coronavirus, le port du masque est désormais obligatoire dans les lieux publics clos, depuis le 20 juillet 2020. Publié au journal officiel le 18 juillet, le décret du 17 juillet 2020 précise les lieux où il doit être porté par les adultes comme par les enfants de plus de 11 ans.

Maintenant, il est bon de connaître une des raisons de la situation actuelle :

Macron et ses collègues du G20, des démocrates ? Vous voulez rire.

« Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre. »

Karl Marx, Manifeste du parti communiste

Pour ne pas faire le jeu du système :

L’immigration

Depuis les origines de l’Humanité, le mouvement éventuel des différents groupes humains a été surtout conditionné par la présence ou non des ressources indispensables à sa survie, spécialement les ressources alimentaires. Le nomadisme avait plutôt lieu dans les régions désertiques, semi-arides ou périodiquement couvertes de neige. Les autres connaissaient une vie plus sédentaire. Les grandes migrations ou invasions ont pu aussi être provoquées par certains chefs avides de s’emparer de ressources étrangères. Depuis un ou deux siècles, la découverte de nouvelles ressources énergétiques et la création de nouveaux moyens de transport à base de moteurs énergivores ont favorisé une nouvelle tendance : les déplacements touristiques, modèles de gaspillage dans une société oisive et irresponsable.

Parallèlement à la surconsommation énergétique et alimentaire occidentale, particulièrement par le biais d’un commerce maritime et aérien excessif (produit des délocalisations industrielles massives en Orient), des pays voient leurs populations affamées ou en proie à la guerre. Si elles ne veulent pas mourir, ces dernières n’ont guère d’autre choix que de chercher le salut dans des pays réputés pour avoir une vie plus confortable, souvent d’ailleurs ceux qui sont à l’origine de leur misère. Que ferions-nous à leur place ? Nous laisserions mourir de faim ? Ou tenterions-nous le tout pour le tout, au besoin sur des rafiots de fortune ?

Qui est donc l’immigrant qui vient — quel culot ! — envahir les peuples confortablement installés depuis des siècles en Europe et ayant décimé les Amérindiens pour vivre encore plus confortablement en Amérique du Nord ? Qui est-il donc cet enfant de…? Cet immigrant, c’est nous ! C’est nous si nous avions eu la malchance de naître à sa place. Sa mère, c’est la nôtre si elle avait eu elle aussi la malchance de vivre dans ces contrées riches en pétrole, en gaz ou en d’autres ressources, mais pauvres en moyens de se défendre face à la violence et à l’absence de conscience, d’empathie et de compassion de ceux qui viennent les voler, les violer, les affamer et les tuer.

Que peut donc faire l’immigrant qui cherche à sauver sa vie et celle de ses enfants survivants ? Que peut-il faire d’autre que de chercher refuge dans les pays qui ne connaissent pour l’instant ni la guerre ni la faim ? Que ferions-nous à la place de ce frère qui n’a pas eu notre chance ?

Maintenant, nous, dans nos pays que nous sentons envahis par des mécréants ou par de dangereux terroristes, que pouvons-nous faire pour réparer les torts que notre passivité a largement contribué à créer ? Que pouvons-nous entreprendre face au phénomène d’immigration visiblement entretenu par nos gouvernements ou par ceux qui les financent via le système de la dette ?

Jusqu’à maintenant, la réaction des peuples occidentaux a été alimentée par la peur, savamment stimulée par nos médias qui se veulent pourtant des modèles de journalisme et non de propagande. Et on peut les comprendre au moins partiellement (les peuples, pas les médias) lorsque l’on voit qu’à peine arrivés chez nous, les immigrants, ces étrangers généralement pas du tout bienvenus, sont parqués dans des camps de concentration ou qui en ont tout l’air. Comment nous sentirions-nous à leur place ? Serions-nous ravis de l’accueil chaleureux reçu ? Ou bien plutôt quelque peu… en colère ? Ou encore prêts à tout pour recevoir les dons de la terre promise ?

La solution à rechercher ne devrait idéalement léser ni les uns ni les autres. L’une des plus simples serait de s’arranger pour offrir aux immigrés la possibilité de retourner chez eux et de retrouver leurs racines, plutôt que de s’imaginer qu’ils vivront mieux chez nous quand de plus en plus des nôtres s’enfoncent sous le seuil de pauvreté pendant que nos élites deviennent riches à milliards. Cependant, pour cela, il faudrait peut-être commencer par cesser de détruire leur pays pour s’en approprier les ressources. Le seul petit pouvoir qu’il nous reste pour une telle direction, la seule once de souveraineté dont nous disposons généralement dans nos pays « démocratiques » est le vote de nos représentants, ou du moins de ceux qui sont censés nous représenter. Le plus difficile alors est de trouver un candidat qui a vraiment a cœur le bien des peuples et pas seulement sur le plan matériel. C’est ici que le discernement devient indispensable.

Une autre solution consiste à s’efforcer d’intégrer au mieux les arrivants, pour qu’ils se sentent le plus rapidement possible comme chez eux, ou au moins comme une partie intégrante de ce qui pour eux sera comme une nouvelle famille d’accueil. Souhaiterions-nous autre chose que l’une de ces deux voies si la situation était inversée ?

L’immigration est un phénomène de friction entre un mouvement — celui de ceux qui fuient la mort — et la résistance face à ce mouvement, ne serait-ce que par l’inertie ou la non-action. Et toute friction engendre de la chaleur, physique, émotionnelle ou sociale, selon le type de friction. Un bon moyen de réduire la friction est d’utiliser un lubrifiant, comme l’huile ou le beurre sur le plan physique, ou comme l’amour sur le plan affectif ou sociétal. Un tel amour peut se manifester de différentes manières, comme la recherche de conciliation et d’harmonie. Dans ce cas, les individus de type conciliateur ont un rôle à jouer. Cependant, la situation engendrée par l’immigration est devenue assez complexe pour que sa résolution complète demande la bonne volonté et la coopération de tous les types d’individus.

Maintenant, que préférons-nous ? Laisser la friction se poursuivre au risque de mettre le feu à nos différents pays et d’y amener révolutions sanglantes ou guerres civiles ? Ou bien, à notre petit niveau, orienter nos actes et nos choix vers l’utilisation du lubrifiant, l’amour et la compassion, pour favoriser soit l’assimilation des immigrants, soit leur retour chez eux dans les meilleures conditions ?




Autriche totalitaire. Après le pass, la folie du confinement des non-vaccinés

Par Gérard Delépine

Israël est le modèle déclaré du chancelier autrichien Sebastian Kurz en ce qui concerne la politique anti-Covid, mais l’Autriche veut faire mieux dans la dictature. Les restrictions des libertés, pourtant sans aucune efficacité sanitaire démontrée, sont de plus en plus sévères dans ce pays critiqué pour ne plus être démocratique.

Le pass sanitaire autrichien

En juin 2021, alors que la situation sanitaire était satisfaisante dans son pays le chancelier Kurz a imposé un passe-sanitaire pour forcer la population à accepter les injections anti-Covid expérimentales.

Le passe a instauré la ségrégation entre ceux qui se croient protégés par la vaccination ou des tests négatifs et les vaccino prudents.

Les enfants ont été lourdement discriminés : sans tests, aller à la piscine, jouer sur les terrains de sport et participer à la vie sociale leur a été interdit. À l’école le masque et les tests leur ont été imposés.

Pourtant les enfants ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas. La littérature scientifique et toutes les sociétés de pédiatrie sont unanimes sur ces points.

Mais en Autriche, si les élèves refusent le test Covid, ils risquent d’être séparés de leurs parents. Le conseiller municipal de Vienne pour l’éducation Christoph Wiederkehr (NEOS) a annoncé lors d’une conférence de presse conjointe avec le ministre de l’Éducation Heinz Faßmann que si « les élèves ne se laissent pas tester à la demande de leurs parents », la protection de l’enfance interviendrait.

Pourtant le pass sanitaire augmente les contaminations journalières

La nocivité sanitaire du pass est rapidement apparue avec un nombre de nouveaux cas qui a fortement augmenté et pris une allure exponentielle passant de moins de 100 cas par jour avant le passe à 10 400 le 14/11/2021.

Mais plutôt que de prendre acte de la nocivité du pass, le gouvernement autrichien l’a aggravé en réduisant validité des certificats de vaccination de 12 à 9 mois, puis en supprimant la possibilité de l’obtenir par des tests !

L’échec du pass réside dans le changement insidieux du comportement de ses titulaires qui se croient protégés et sont moins prudents, donc susceptibles davantage d’attraper un des nombreux virus hivernaux. Par exemple en France le réseau Sentinelles montre en ce débit novembre la montée de métapneumovirus, de VRS et de virus grippaux, tous potentiellement capables de positiver les tests (comme la FDA l’a souligné).

Par ailleurs, il est maintenant démontré que les pseudo vaccins actuels ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. L’exemple caricatural du porte-avions Queen Elizabeth aurait pourtant dû alerter : sur ce porte-avions la totalité de l’équipage a été vaccinée, mais après une escale plus de 100 marins ont attrapé le Covid. Tous vaccinés, mais pas protégés !

Le pass sanitaire accroît la mortalité quotidienne

Cette augmentation des contaminations apparue depuis l’usage du pass a été suivie d’une augmentation de la mortalité « attribuée » au Covid ainsi que le montrent les données publiées par l’OMS (consultables à OMS Covid Dashboard Austria), illustrées par la courbe tracée par les statisticiens de l’université John Hopkins (consultable à OurWorldinData Covid Austria).

D’une moyenne de 2 morts par jour avant le pass, l’Autriche est passée à une moyenne de 30 décès quotidiens dans la deuxième semaine de novembre.

Délire totalitaire ségrégationniste en marche sous prétexte sanitaire

Au lieu d’annuler ce pass antidémocratique et contre-productif sur le plan sanitaire, le gouvernement autrichien s’enfonce dans son délire liberticide en instaurant un confinement des non-vaccinés, créant ainsi un apartheid de ses citoyens, médicalement stupide et profondément contraire aux idéaux démocratiques européens.

Dès aujourd’hui les 2,5 millions d’autrichiens non vaccinés sont assignés à domicile (sauf pour les travailleurs, qui ont encore droit aux tests gratuits, mais pas pour longtemps)).

Des contrôles fachos sont pratiqués par la police avec amendes astronomiques

Interdiction d’arranger des rencontres de non-vaccinés même payantes (genre café résistant, ou clubs, ou raves, ou dîners) sous peine d’amendes allant jusqu’à 30 000 euros ; apparemment les couples non mariés sont encore autorisés à se rendre visite (ce qui n’était pas le cas au 1er confinement du fait d’un décret secondairement annulé par la cour constitutionnelle).

Ils annoncent déjà un durcissement pour dans 10 jours. (probablement interdiction de voir sa famille et sa parenté, masques en extérieur…).

Le plus cruel de tout est bien sûr de séparer les familles et les couples…

Et depuis la semaine dernière (à l’incitation du maire de Vienne, socialiste, Michael Ludwig), injection pour les 5-12 ans, même sans autorisation de l’EMA. L’Autriche renoue avec son passé totalitaire, ça fait froid dans le dos.

La démocratie suédoise est plus efficace que le totalitarisme

À l’autre bout de l’Europe, la Suède a conservé ses valeurs démocratiques tout au long de la crise et maîtrise parfaitement l’épidémie depuis plus de 4 mois.

Le pays n’a pas succombé à la tyrannie d’experts sur-instruits et sous-expérimentés. Il n’a pas mis en œuvre des politiques autoritaires conçues plus pour briser les esprits que pour briser la pandémie.

Il a permis aux enfants de poursuivre une scolarité normale sans masque ni peur. Il a minimisé les dégâts économiques des mesures sanitaires appliquées ailleurs (perte de PIB 2020 2,5 % en suède contre 8 à% en Europe confinée. Il a permis une vie quasi normale à la population.

Et il n’a pas transformé ses électeurs en quasi-prisonniers. Anders Tegnell, le héros qui a su résister aux pressions de l’OMS, des médias(([1] CBS News a déclaré : « La Suède devient un exemple de la façon de ne pas gérer le Covid-19. »
Sweden becomes an example of how not to handle COVID-19 – CBS News.))(([2] L’ Université de Virginie a publié un communiqué de presse intitulé : « L’absence de verrouillage a augmenté les décès dus au Covid-19 en Suède. »
Lack of Lockdown Increased COVID-19 Deaths in Sweden (uvahealth.com).))(([3] Le New York Times mis en bonne page un article intitulé : « La Suède tente un nouveau statut : l’État de Paria »
Sweden Tries Out a New Status: Pariah State – The New York Times (nytimes.com).))(([4] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).)) et de certains médecins suédois corrompus et refusé tout confinement, est tellement aimé du peuple que les gens se font tatouer son visage sur la peau.(([5] Newsweek a déclaré : « Suède Covid-19 décès liés à l’échec du verrouillage alors que le pays se prépare pour la deuxième vague
Sweden COVID-19 Deaths Linked to Failure to Lockdown as Country Prepares for Second Wave (newsweek.com).))

En Suède, lorsque l’agence sanitaire recommande une mesure volontaire, la population est confiante et l’applique.

La comparaison des courbes de cas et de décès quotidiens observés dans ces deux pays de populations à peu près égales par leur nombre, leur âge moyen et le pourcentage de vaccinés démontre que miser sur Le respect des libertés fondamentales, l’honnêteté de l’information officielle et l’intelligence de ses citoyens est plus efficace que miser sur la propagande, la censure des opposants et la contrainte policière, ce qu’avait déjà constaté le ministre de la Santé de Taiwan au début de la crise.(([6] Victor (Lin) Pu L’épidémie de coronavirus : comment Taiwan démocratique a surpassé la Chine autoritaire.
le Diplomat 27 février 2020
The Coronavirus Outbreak: How Democratic Taiwan Outperformed Authoritarian China | by Lin PU 普麟 | Medium))

Espérons que les Français suivront bientôt l’exemple suédois et retrouveront la joie de vivre sans masque ni contraintes infondées au lieu d’écouter les sirènes du totalitarisme inefficace sur le plan sanitaire et mis en place dans d’autres objectifs.

Que tous les Français épris de démocratie interrogent les candidats aux élections sur leur stratégie antiCovid, afin d’éliminer tous les partisans du totalitarisme qui se camouflent derrière des prétextes sanitaires ou climatiques comme Xavier Bertrand et Valérie Pécresse qui veulent astreindre à domicile les vaccino-prudents pour les contraindre à accepter une injection expérimentale.

Mais les Autrichiens n’ont pas dit leur dernier mot.

@AnonymeCitoyen 14 nov.

Des manifestants se rassemblent à Innsbruck en Autriche contre le confinement des personnes non vaccinées dès ce soir minuit dans le pays. #Autriche #Austria





Responsabilité des médias : la plainte contre X des associations BonSens et AIMSIB

[Source : francesoir.fr]

[Voir aussi :
L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie]

Auteur(s): FranceSoir

Emmanuel Macron s’est exprimé mardi, et ses assertions scientifiques pèchent une nouvelle fois par manque de rigueur. Rappelons que le 12 juillet 2021, le président de la République s’était déjà appuyé sur différentes données pour le moins fragiles afin de justifier les mesures les plus coercitives d’Europe : obligation vaccinale pour les soignants et mise en place d’un passe sanitaire.

Voir aussi : Analyse des assertions scientifiques d’Emmanuel Macron par le Pr Peter McCullough

L’association RéInfoLiberté a depuis déposé une plainte contre X, visant cette loi, qui repose potentiellement sur un document faux, d’après son président Vincent Pavan et Maître Ludovic Heringuez. Il s’agit de l’étude en prépublication de « Boseti et al » intitulée «  Épidémiologie et contrôle des épidémies de SRAS-CoV-2 chez les populations partiellement vaccinées : une étude de modélisation appliquée à la France . » Cette dernière avait servi de fondement à l’avis du Conseil scientifique.closevolume_off

Voir aussi : « Une loi qui repose potentiellement sur un document faux » Vincent Pavan et Me Heringuez

Troisième dose pour les plus de 65 ans, maintien du passe sanitaire, autocongratulation sur la gestion de crise sanitaire, annonce de traitements « réellement efficaces » pour la fin de l’année… Emmanuel Macron, se réclamant pourtant de « la science », a multiplié les annonces aux fondements hasardeux : or, la charge de la preuve incombe à celui qui énonce un fait scientifique. Force est de constater que le président a préféré un registre plus péremptoire.

Voir aussi : Emmanuel Macron, arrêtez de dire n’importe quoi !

Les affirmations scientifiques du président ont été reprises et diffusées à l’unisson dans les médias sans une vraie analyse contradictoire – et ce, même en amont de son allocution, puisque le 6 novembre, le terrain était déjà prêt : on rapportait ainsi une hausse de 61 % des rendez-vous pour la troisième dose. Le rôle des principaux médias dans la diffusion et rediffusion de ces informations est donc en question.

L’association BonSens.org s’associe donc à l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMISIB) pour une plainte contre X, qui concerne notamment les médias et leurs directeurs de la publication, afin d’arrêter ces diffusions d’informations déloyales, les incriminant des chefs :
– d’abus frauduleux de l’état d’ignorance et de la situation de faiblesse (art. 223-15-2 du Code pénal)
– de complicité d’extorsion et de tentative d’extorsion (articles 312-1 et 312-9 du Code pénal)
– de complicité d’empoisonnement et de tentative d’empoisonnement (article 221-5 du Code pénal)

Une plainte de 108 pages, auxquelles s’ajoutent plus de 600 pages d’annexe dont les associations représentées par Maître Virginie de Araujo Recchia présentent le détail.

L’intégralité de la plainte (PDF) : Plainte contre X avec constitution de partie civile de BonSens.org et de l’AIMISIB

Auteur(s): FranceSoir




Un contrat Pfizer-CEE a peut-être fuité, les européens apprécieront

[Source : AIMSIB]

Par Encéphalix

Ne soyons pas naïfs, tout circule sur le Net, vrais pépites comme faux grossiers susceptibles de fausser toutes les analyses. Nous savons que certains « services » hostiles à nos politiciens européens ne se privent pas d’utiliser la crise de la Covid pour « aider » à la manifestation de la vérité et augmenter l’embarras de nos lamentables dirigeants politiques actuels. Voici la probable version non caviardée du contrat commercial de Novembre 2020 liant l’Union Européenne à Pfizer-BioNTech pour la délivrance des vaccins contre la Covid-19 (1). Si nous nous trompons, l’AIMSIB s’excusera platement auprès de tous les belligérants cités dans cet article, mais il faudra naturellement pour nous convaincre produire le contrat original que même les membres de la commission du contrôle budgétaire européen n’ont jamais pu consulter (2). On s’est demandé longtemps qui avait pu signer pour l’Europe un engagement aussi mirobolant pour les firmes et aussi incroyablement défavorable aux Européens, vous comprendrez beaucoup mieux en fin d’article. Encéphalix s’est penché longuement sur la centaine de pages de ce contrat, ce qu’il y a trouvé ne va pas vous laisser de marbre, en voici les éléments les plus saillants. La grande manipulation à marche forcée… Bonne lecture.

[Voir aussi :
PfizerLeak : les contrats Pfizer et leurs clauses surprenantes
et
Conflits d’intérêt et corruption à l’Agence Européenne du Médicament (EMA)]

Introduction

Ce « contrat d’achat anticipé » aurait été signé le 20 novembre 2020 pour une durée de 24 mois.

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Dispositions générales

Dès la 2e page de ce document, il aurait été convenu que les seuls changements qui pourront y être apportés seront d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties:

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Trad: « Il est entendu que tout changement fait sera d’ordre pratique et n’altèrera pas matériellement le risque, le coût ou la responsabilité des parties. Dans le cas où des modifications substantielles sont demandées, les parties discuteront de leur impact de bonne foi »

La commission européenne aurait pré-commandé à la date de la signature 200 millions de doses et pris une option pour 100 millions de doses supplémentaires.

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Trad: « Sur la base de ce contrat d’achat anticipé, la Commission Européenne mandate le contractant (=Pfizer-BioNTech) pour qu’il s’engage à produire et livrer en priorité 200 millions de doses du vaccin qui sera commandé par les Etats membres participants (via des formulaires spécifiques de commande de vaccins) au prix et conditions, incluant le calendrier de livraison, conclu dans cet accord d’achat anticipé »…/…Les parties reconnaissent que la Commission souhaitera peut-être passer une commande supplémentaire pour un maximum de 100 millions de doses du vaccin. »

Premiers paiements effectués par l’Union Européenne

Afin de garantir, l’accès aux vaccins, la Commission aurait versé un acompte de 700 millions d’euros correspondant à 3.50€H.T. par dose :

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Trad: « Afin de garantir aux Etats membres participant le droit d’acquérir des doses de vaccins dans un laps de temps donné et à un certain prix et conditions, la Commission payera un acompte. »

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Trad: « La Commission accepte de payer un paiement initial de 700 millions d’euros (correspondant à 3.50€ par dose multiplié par 200 millions) au contractant (=Pfizer-BioNTech). Ce paiement d’avance sera un acompte pour garantir le volume commandé à l’article 1.5.2, et devra etre considéré comme un acompte sur le prix [des vaccins] tel que défini ci-dessous. »

Les doses, à quels prix

Le prix qui aurait été négocié dépend du nombre de dose.

Pour les 200 millions pré-commandées, la moyenne serait à 15.50€ H.T.par dose avec une répartition :
– 17.50 € H.T. pour les doses comprises entre 0 et 100 millions
– 13.50 € H.T. pour les doses comprises entre 100 et 200 millions.

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Toutefois, les doses supplémentaires ne seraient pas payées au prix attendu de 13.50€ H.T mais :
– 15.50 € H.T. pour chaque dose supplémentaire si la commande est passée dans les 3 mois après l’accord initial de mise sur le marché
– 17.50€ H.T. pour chaque dose supplémentaire si commande >3mois après accord initial de mise sur le marché mais avant la fin de ce contrat d’achat anticipé.

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 Cet accord ne semble pas favorable à la commission et aux Etats membres puisqu’ils payent au prix fort les doses supplémentaires au-delà de l’accord initial de 200 millions de doses.

Livraison et répartition des vaccins

La livraison des doses de vaccins a été négocié avant qu’ils ne soient mis sur le marché avec un nombre croissant de doses :
– 25 millions dernier trimestre 2020
– 40 millions 1er trimestre 2021
– 60 millions 2e trimestre 2021
– 75 millions 3e trimestre 2021

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Retrait possible des engagements de commandes

On apprend ainsi que si l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMMc) intervenait après le 15/08/2020, chaque partie signataire pouvait se retirer de l’accord. 
Si l’AMMc était pas accordée au 15/08/2021 mais que Pfizer-BioNTech était dans l’incapacité de délivrer la moindre dose de vaccin au 15/11/2021, les deux signataires pouvaient se retirer de l’accord.

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Traduction : « Si l’autorisation n’est pas accordée au 15 août 2021, la Commission et le contractant (=Pfizer-BioNTech) auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

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Traduction : « Si l’autorisation est accordée au 15 août 2021, mais qu’au 15 novembre 2021 le contractant est dans l’incapacité de fournir la moindre dose commandée pour des raisons techniques ou autres, la Commission et le contractant auront le droit de mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

La date limite de délivrance de la totalité des doses

Celle ci semble arrêtée au 31/05/2022, on ignore donc si un second contrat a été signé pour la période ultérieure.

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Trad: « Dans le cas où le contractant est dans l’incapacité de fournir la totalité des doses commandées au 31 mai 2022, la Commission et le contractant auront le droit de se mettre fin à ce contrat d’achat anticipé. »

Les états européens sans aucune marge de manœuvre

Comme cité plus haut, la commission européenne aurait négocié directement les conditions d’achat et de répartition des doses vaccinales. Les Etats auraient ensuite l’obligation d’acheter la quantité allouée par la commission et ne pourraient pas négocier directement avec le fabricant :

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Trad: « La Commission sera seule responsable du processus d’approvisionnement et de la conclusion de ce contrat d’achat anticipé incluant les responsabilités découlant de la conduite des négociations. »

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Traduction : « Il revient au Etats membres participants, et non à la Commission, d’acquérir les doses de vaccin auprès du fabricant sur la base de ce contrat d’achat anticipé sauf accord contraire. Toutes les politiques de vaccination resteront donc l’affaire des Etats membres participants. »

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Trad: « Les Etats membres participants commanderont pour 200 millions de doses de vaccin au total en accord avec la répartition communiquée par la Commission au contractant (=Pfizer-BioNTech) conformément à l’article 1.6.3, en envoyant au contractant un exemplaire rempli de l’annexe 1 au format papier ou par email au format PDF dans les 10 jours ouvrables après que la Commission a communiqué la répartition. Ce bon de commande de vaccin devra être signé par un représentant autorisé de l’Etat membre participant et le contractant. »

D’après ce document, les Etats ne peuvent pas annuler leurs commandes si les délais de livraison ne sont pas respectés :

Capt. écran

Trad: « Tout échec pour fournir des doses selon les dates de livraison estimées comme indiquées ci-dessus ne donnera pas le droit aux Etats membres participants d’annuler leur commande quelque soit la quantité du produit sauf disposition décrite dans l’article 1.6.3. »

De plus, les commandes ne pourraient être annulées uniquement que dans l’éventualité où la Commission n’a pas exercé son droit à suspendre cet accord commercial.

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Trad: « Pour éliminer tout doute, les Etats membres participants n’auront pas le droit de résilier un bon de commande de vaccin dans les scénarios (iii), (v) ou (vi) ci-dessus si la Commission n’a pas exercé sont droit à mettre fin à cet accord d’achat anticipé. »

Don et revente des vaccins sur avis favorable de Pfizer

La revente ou le don de doses de vaccin serait possible dans des conditions strictes. Les Etats membres pourraient revendre ou donner des doses à des pays tiers uniquement si Pfizer-BioNTech accepte. Par ailleurs, il serait possible de revendre ou d’allouer des doses à des Etats membres qui ont signé cet accord ou qui font parti de l’espace économique européen à condition qu’ils aient signé un accord équivalent à un bon de livraison directe de Pfizer-BioNTech.

Capt. écran

Trad: « La Commission communiquera au contractant (=Pfizer-BioNTech) la répartition des doses commandées conformément à la commande initiale ainsi que chaque dose supplémentaire parmi les Etats membres participants. Chaque Etat membre participant aura le droit de les revendre ou les donner aux pays tiers dans le besoin ou des institutions publiques, contribuant ainsi à un accès aux vaccins global et juste à travers le monde. Le droit de revendre ou donner les doses en excès nommées dans la phrase précédente sera sujet à l’accord du contractant… »

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Trad: « Nonobstant ce qui précède, les doses en excès peuvent être revendues ou réattribuées par les Etats membres participants à d’autres pays membres de l’Union Européenne ou revendues à des Etats de l’espace économique européen, le cas échéant, chaque Etat membre de l’UE devra avoir rempli un bon de commande de vaccin et acceptera par écrit d’être lié par les mêmes conditions pour ces doses réaffectées et chaque Etat membre de l’espace économique européen aura conclu un accord équivalent à un bon de commande de vaccin en cas de livraison directe par le contractant (=Pfizer-BioNTech), et devra accepter par écrit d’être lié par la clause d’indemnité/dédommagement de l’article…. »

Immunité totale de Pfizer-BioNTech en cas de dommages

En cas d’effet indésirable, Pfizer-BioNTech serait dégagé de toute responsabilité : « La commission déclare […] que:

L’utilisation de ces vaccins produits grâce à cet accord se fera dans les conditions d’une épidémie qui requière une telle utilisation, et donc que l’administration de ces vaccins se fera sous la seule responsabilité des Etats. Chaque Etat indemnisera et dégagera le contractant (=Pfizer-BioNTech), ses affiliés, sous traitants, distributeurs, employés […], de toute responsabilité encourue dans le cadre de la défense des réclamations de tiers (y compris les honoraires raisonnables d’avocats et autres dépenses) concernant les préjudices, dommages et pertes tels que définis à l’article 1.12.2 découlant de ou se rapportant à l’utilisation et au déploiement du vaccin ».

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Ce qui est appelé « pertes » dans cet accord concerne les décès, les blessures physiques, mentale ou émotionnelle, la maladie, le handicap, la perte ou dommage à la propriété, les pertes économiques ou l’interruption de son travail/business :

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Ainsi, les Etats endosseraient l’entière responsabilité de l’utilisation de ces vaccins et des indemnisations qui pourront en découler

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Trad: « Les Etats membres participants acquérant un vaccin seront responsables de leur déploiement et de leur utilisation selon leurs stratégies nationales de vaccination, et assumeront toute responsabilité associée avec un tel usage et déploiement. Ceci doit s’étendre à et inclure toute indemnisation du fabricant de vaccin selon les termes et conditions du contrat d’achat anticipé concerné pour la responsabilité relative à l’utilisation et déploiement de vaccins normalement supporté par un tel fabricant. »

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Traduction : « Considérant la nature sans précédent de la situation COVID-19 actuelle et les circonstances exceptionnelles dans lesquelles les vaccins doivent être livrés, les parties s’accordent explicitement à ce que le contractant (=Pfizer-BioNtech) et ses affiliés ne soient tenus pour responsable d’aucun préjudice à l’exception de préjudices supportés par la Commission et les Etats membres participants prouvés comme une conséquence directe d’une violation par le contractant ou ses affiliés de ses obligations dans le cadre de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccins, et que le contractant et ses affiliés ne pourront être dans aucun cas responsables des retards de livraison, pertes de revenu, pertes économiques prévues, pertes d’entreprises, pertes de profit, pertes de bonne volonté, atteintes à la réputation, pertes liées à la crise économique ou coût d’approvisionnement alternatif. »

De plus, le montant [des indemnités] payées par un Etat membre participant en vertu de l’article 1.12 ne serait pas recouvrable auprès du contractant [=Pfizer-BioNTech] sauf si un tribunal juge que le laboratoire a commis une violation de ce contrat d’achat anticipé

Capt. écran

Trad: « Les montants payés par un Etat membre participant selon l’article 1.12 ne sont pas recouvrables auprès du contractant (que la réclamation d’une partie tierce résulte ou non d’une rupture de contrat par le contractant) si la plainte concerne une rupture des dispositions de ce contrat d’achat anticipé ou d’un bon de commande de vaccin par le contractant sauf s’il existe un jugement définitif par un tribunal compétent qu’aucune indemnisation n’est due au contractant conformément à cet article 1.12 auquel cas toute indemnisation correspondante déjà payée par un Etat membre participant pourra être totalement remboursée par le contractant. »

Cette immunité serait levée si ces « pertes » sont la conséquence d’une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication conduisant à un produit défectueux obligeant les autorités à faire un rappel de produits défectueux, suspendre la distribution des vaccins ou retirer l’AMMc.

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Traduction : « Une telle indemnisation ne sera pas disponible pour [Pfizer-BioNTech + affiliés] dans la mesure où (i) les pertes ont été causées par une faute intentionnelle, comme définie à l’article 1.12.3, de [Pfizer-BioNTech] ; ou (ii) les pertes ont été causées par une violation substantielle des bonnes pratiques de fabrication (telles qu’appliquées au moment de la fabrication) avant certification du lot de vaccin selon les exigences énoncées au Titre IV de la directive 2001/83/EC, conduisant à un défaut de qualité dans le vaccin au moment de chaque livraison et aboutissant à une décision par les autorités compétentes de rappeler ou suspendre la distribution du vaccin, ou à un retrait ou une suspension de l’autorisation par la Commission européene. »

Retrait européen des vaccins

Si un retrait des vaccins devait avoir lieu, les Etats doivent saisir le comité des médicaments à usage humain (CHMP) de l’agence européenne du médicament (EMA) pour avoir un avis scientifique afin de savoir si le retrait du marché du vaccin par les autorités était justifié. Le contractant (Pfizer-BioNTech) doit être inclus dans le processus.

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Traduction : « Les Etats membres participants devront, nonobstant les compétences et responsabilités des autorités de régulation compétente, impliquer le CHMP de l’agence européenne du médicament dans tous les cas de rappel ou de suspension de la chaine d’approvisionnement des vaccins à cause d’une suspicion de manquement aux bonnes pratiques de fabrication, et chercheront sans délai un avis scientifique du CHMP pour déterminer si un rappel ou une suspension de la chaine d’approvisionnement était justifié, et devront soumettre toutes les informations nécessaires au CHMP. Le contractant devra être impliqué dans le processus conformément aux procédures applicables. »

Cette disposition peut sembler légitime mais condamne absolument toute résolution du conflit en faveur des populations: Pfizer y représenterait ses intérêts industriels et en face,  on confierait à l’EMA , bastion profondément pénétré par l’influence déraisonnée des pharmaceutiques, la tâche de représenter les intérêts européens sans aucune représentation de la CEE. Risible mais ce n’est pas tout, si Pfizer est poursuivi la CEE doit pourvoir intégralement au paiement de ses frais d’avocats. Les états peuvent mandater un expert indépendant que Pfizer a le droit de récuser, obligeant à la désignation d’autant d’expert jusqu’à ce que Pfizer l’accepte. Et l’Europe a signé sans barguigner une disposition aussi scélérate…

Qui a signé seule ce contrat pour l’Europe ?

C’est Stella Kyriakides qui aurait signé au nom de la Commission Européenne et pour les Etats membres qui s’y sont associés.

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On se souvient des soupçons très lourds et immédiatement étouffés de corruption qui a touché cette commissaire européenne à la santé (3), seuls les médias « étrangers » ont publié l’affaire, toute la presse européenne ayant choisi d’en taire le scandale.

On comprend mieux désormais pour quel « service » Monsieur et Madame Stella Kyriakides aurait reçu 4M€  de prêt sur un compte familial sans même tenter de dissimuler cette somme dans un quelconque paradis fiscal

  Conclusion

Pfizer et BioNTech auraient donc obtenu un contrat commercial faramineusement avantageux pour eux. Le prétexte de la pandémie COVID 19 leur auraient permis d’être dégagé de toute responsabilité et de ne pas indemniser les victimes d’effets indésirables lors de cette phase 3 d’essai clinique en population générale. Les Etats supporteront le coût des indemnisations à moins de réussir à prouver que le laboratoire a commis une faute intentionnelle ou que les produits étaient défectueux. Sur ce dernier point cela sera proche de l’impossible tant les éléments de défense que pourraient évoquer le laboratoire pharmaceutique seront nombreux : rupture de la chaine du froid, erreur lors de la dilution, utilisation de 3 doses alors que le protocole n’en prévoit que 2, mélange entre les vaccins anti covid sur le marché, délai entre les deux doses non respecté…

Qui se saisira à l’avenir du problème crucial des lots vaccinaux supertoxiques écoulés sur le marché mondial (4)(5) sans que Pfizer ni l’EMA ne s’en préoccupe? 

Encephalix
Novembre 2021

Notes et sources

(1) https://www.aimsib.org/PDFs/Contrat-PFIZER-1618676600910_APA-BioNTech-Pfizer.pdf
(2) https://www.aimsib.org/2021/01/24/hesitants-a-la-vaccination-anti-covid-voila-qui-va-vous-decider/
(3) https://www.aimsib.org/2021/05/16/corruption-et-gestion-de-la-covid-19-on-y-est/
(4) https://www.covid-factuel.fr/2021/11/02/vaccins-anti-covid-les-evenements-graves-ne-concernent-ils-que-quelques-lots/
(5) https://theexpose.uk/2021/10/31/100-percent-of-covid-19-vaccine-deaths-caused-by-just-5-percent-of-the-batches-produced/




Qui décide de l’approbation des vaccins pour les plus jeunes ?

[Source : Kla.TV]

L’Agence européenne des médicaments (EMA) examine actuellement l’autorisation des vaccins Covid19 des fabricants BioNTech et Pfizer pour les enfants âgés de cinq à onze ans ! C’est ce qu’a annoncé l’EMA le 18 octobre à Amsterdam. C’est dans la précipitation que les autorisations pour les vaccins génétiques controversés ont été approuvées, d’abord pour les adultes, puis également pour les adolescents à partir de douze ans.
L’EMA, qui est responsable de l’autorisation et de la surveillance des médicaments dans l’UE, est présentée comme l’instance des experts.
Mais dans quelle mesure l’agence est-elle digne de confiance et surtout indépendante, compte tenu également du fait que le « vaccin » serait bientôt injecté aux plus jeunes ?

Le 16 novembre 2020, Madame Emer Cooke a été nommée directrice de l’EMA. Elle a une influence décisive sur l’approbation des produits pharmaceutiques. D’où vient-elle ?

— De 1985 à 1991, Madame Cooke a occupé divers postes au sein de l’administration de
l’industrie pharmaceutique irlandaise.

— En 1991, elle a rejoint le conseil d’administration de la Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA). Ceci est la plus importante organisation de lobbying de l’industrie pharmaceutique européenne, avec les dépenses les plus élevées, qui a le plus de contacts avec l’UE et plusieurs agences de lobbying.

— Elle représente certaines des plus grandes sociétés pharmaceutiques, dont Astra Zeneca, Johnson & Johnson et Pfizer. Jusqu’en 1998, Madame Cooke a officiellement représenté les intérêts de ces sociétés pharmaceutiques justement dans le domaine des réglementations.

— De 1998 à 2002, Madame Emer Cooke a ensuite dirigé le département pharmaceutique de la Commission européenne. Puis elle a rejoint l’EMA, où elle a occupé jusqu’en 2016 le poste de chef des inspections et chef des affaires internationales.

— De novembre 2016 à novembre 2020, Madame Cooke a occupé un mandat de directeur exécutif de l’EMA, en étant responsable de toutes les activités réglementaires liées aux produits pharmaceutiques.

Après la prise de fonction de Madame Cooke à l’EMA, les vaccins Covid19 ont été approuvés pour l’UE dans un délai très court par les sociétés pharmaceutiques suivantes:

— le 21 décembre 2020, celui de Pfizer et de BioNTech,
— le 29 janvier 2021, celui d’AstraZeneca.
— le 12 mars 2021, celui de Johnson & Johnson.

Lorsque de nombreux cas de thrombose veineuse cérébrale, dont certains mortels, ont été signalés en rapport avec une vaccination d’AstraZeneca, Madame Emer Cooke a notamment fait pression pour que l’autorisation de l’UE soit maintenue.

En outre, le budget total de l’EMA pour 2021 s’élève à la somme impressionnante de 386 millions d’euros. Sur ce montant, 330 millions d’euros, soit environ 86 %, proviennent uniquement des redevances d’approbation versées par les entreprises pharmaceutiques.

Le député autrichien Gerald Hauser se demande si une personne comme Madame Cooke avec une expérience aussi prononcée dans le secteur pharmaceutique peut décider de l’autorisation d’un vaccin sans parti pris :

« Alors, Madame Emer Cooke, qui a été nommée au conseil d’administration de l’EMA à la mi-novembre 2020, a travaillé toute sa vie pour l’industrie pharmaceutique. Elle a fait du lobbying pour l’industrie pharmaceutique à titre exécutif et est maintenant responsable de l’approbation, du contrôle et de l’efficacité des vaccins — dont AstraZeneca. Mesdames et Messieurs. Dans un tel cas, que dire en tant que parlementaire non praticien ? Que dire ? Délit d’initié pur et simple, favoritisme pur et simple, corruption… C’est comme ça. Veuillez y penser lorsqu’à l’avenir vous citerez l’EMA, comme preuve de l’exactitude des tests des médicaments. »

La question de la crédibilité de l’EMA se pose donc évidemment : un vaccin qui provoque déjà plus de décès et d’effets secondaires que tous les autres « vaccins » réunis, est censé protéger les enfants de maladie ? Une injection qui fait gagner des milliards aux compagnies pharmaceutiques est censée être « bénéfique » pour les enfants ? !

Résultats de l’entreprise en 2020 et au premier trimestre 2021 :

Pfizer : 14 500 millions de dollars
Johnson & Johnson : 21 600 millions de dollars
BioNTech : 1 100 millions d’euros






Une brève histoire des expériences et opérations biologiques américaines sur les populations civiles

[Source : numidia-liberum.blogspot.com]

« Le CDC n’est pas une agence indépendante. C’est une entreprise d’exploitations de vaccins. Le CDC détient plus de vingt brevets de vaccins. Il vend environ 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année. »

Robert F. Kennedy Jr.

L’opération Warp Speed ​​qui est entrée en vigueur au début de 2020, après que COVID-19 a été officiellement reconnu comme une pandémie par l’OMS, était essentiellement une opération d’exercice de guerre biologique militariste pour fabriquer des vaccins très rapidement et pour faire appel au DOD pour la distribution des vaccins aux hôpitaux et aux cliniques de santé si besoin est. Avec le recul, il s’agit d’une boule de cire qui a été moulée par des entités telles que la DARPA, la Fondation Bill et Melinda Gates et son associée GAVI, le CDC, le NIH et son porte-parole Big Pharma pour le National Institute of Allergies and Infectious Diseases (NIAID). Le Dr Anthony Fauci comme moyen non seulement de verrouiller l’ensemble de l’économie mondiale en vue d’un plan élaboré par le Forum économique mondial (WEF) pour une réinitialisation mondiale, mais aussi d’amener des milliards de personnes dans le monde à se faire injecter un vaccin expérimental et très dangereux. Même s’il s’agit clairement d’une pro vaccination, Bloomberg a révélé à quel point six grandes sociétés pharmaceutiques incroyablement rentables qui ont reçu de l’argent des coffres du gouvernement pour développer des vaccins contre le SRAS-CoV-2 ont été gratifiés dans des contrats attribués de manière opaque au sein de l’Operation Warp Speed OWS) .

Préambule

La guerre biologique, ou « guerre des germes », est « l’utilisation de toxines biologiques ou d’agents infectieux (bactéries, virus et champignons) dans l’intention de tuer ou de neutraliser des humains ». Historiquement, l’implication des États-Unis dans les armes bactériennes a été motivée par la concurrence et la paranoïa.
En 1918, vers la fin de la Première Guerre mondiale, le gouvernement a brièvement expérimenté la ricine – une protéine végétale naturelle mortelle – et le Chemical Warfare Service (CWS) a été formé pour superviser la recherche et le développement. Avec la signature du Protocole de Genève en 1925 (qui interdisait l’utilisation d’armes biologiques et chimiques dans les guerres internationales), l’intérêt du gouvernement américain s’est affaibli : jusqu’aux années 1940, les armes biologiques étaient largement considérées comme impraticables.
Peu de temps après Pearl Harbor, les États-Unis ont changé d’avis.

En 1942, le président Roosevelt a mis en œuvre le premier programme de guerre biologique ; soutenue par la National Academy of Sciences, l’initiative visait à développer des armes biologiques et à explorer la vulnérabilité des États-Unis à de telles attaques. Un organisme gouvernemental – le War Research Service (WRS) – a été créé pour superviser ces activités, et George W Merck (de la Merck Pharmaceutical Company) a été nommé à la direction. À la demande de son équipe, Fort Detrick [6], le « quartier général » de guerre biologique des États-Unis, a été construit dans la petite ville de Frederick, dans le Maryland.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, le gouvernement avait amassé un arsenal massif d’armes biologiques (utilisant l’anthrax et d’autres bactéries diverses) – le tout dans le « plus strict secret ». Bientôt, la justification de la poursuite de la recherche s’est déplacée vers le « besoin de défense nationale ».
Sous le commandement du professeur et bactériologiste de l’Université du Wisconsin, Ira Baldwin, un comité sur la guerre biologique a été créé en 1948. Lorsqu’un rapport ultérieur a déterminé que les États-Unis étaient « particulièrement sensibles » aux attaques, une série de « tests en plein air » a été ordonnée. . Le but de ces efforts ? Pour simuler les effets d’une attaque de guerre biologique réaliste.

Pour en savoir plus sur d’autres tests de guerre biologique aux États-Unis, reportez-vous au livre bien documenté de Leonard J. Cole, Clouds of Secrecy.

H. Genséric


Selon Bloomberg :

Au cours des six semaines suivantes, OWS a passé des contrats d’une valeur de plus de 8 milliards de dollars pour soutenir cinq vaccins supplémentaires, ceux de Johnson & Johnson, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi conjointement avec Glaxo. Le gouvernement a publié à contrecœur certains des contrats – fortement censurés – au cours de l’été en réponse aux demandes du Freedom of Information Act. Slaoui(([1] Le 15 mai 2020, Moncef Slaoui est nommé par Donald Trump coordinateur de la stratégie vaccinale de son administration contre la Covid-19 (programme gouvernemental Operation « Warp Speed »). Cette mission s’achève avec l’arrivée de l’administration Biden en janvier 2021)) dit que le tapage n’est pas nécessaire : « Ce sont des contrats simples. Ils n’ont rien de spécial à part le montant d’argent, qui est lié au coût de développement des vaccins. » À la mi-octobre, le groupe de défense Public Citizen a déposé une plainte exigeant la publication des contrats des vaccins coronavirus. Fin octobre, HHS a publié un contrat Moderna, fortement censuré.

Les accords OWS ont conduit à d’énormes gains pour de nombreux dirigeants de l’industrie pharmaceutique. Les dirigeants de Moderna ont réalisé un bénéfice de 115,5 millions de dollars en vendant des actions de leur entreprise du 15 mai au 31 août, selon Accountable Pharma, un groupe de surveillance non partisan. Un porte-parole de Moderna a déclaré que les ventes d’actions avaient été effectuées dans le cadre de programmes précédemment programmés et conformément à la réglementation sur les délits d’initiés. Les dirigeants d’Emergent ont récolté 5 millions de dollars en vendant des actions au cours de la même période, et en septembre, le président exécutif de la société, Fuad El-Hibri, a vendu 80.000 actions supplémentaires pour un bénéfice net de 8,1 millions de dollars. Emergent a déclaré dans un communiqué que les dirigeants vendaient régulièrement des actions, conformément à toutes les lois régissant les transactions financières. Les actions d’Emergent ont grimpé de 78% cette année jusqu’au 23 octobre.

« C’est un buziness parfait », déclare Eli Zupnick, porte-parole d’Accountable Pharma, des sociétés OWS. « Leurs inconvénients sont couverts par les contribuables et leurs avantages sont déjà dans leurs poches. »

Maintenant que des millions d’Américains et des millions d’autres dans le monde ont pris ces « vaccins » de thérapie génique de Pfizer-BioNTech, Moderna, Astro-Zeneca et Johnson & Johnson, nous avons déjà vu des effets indésirables plus graves ainsi que des décès dus à juste la dernière année où ils ont été administrés à des personnes que nous avons vu de tous les 70 vaccins combinés des 10 années précédentes selon les propres chiffres VAERS du CDC.(([2] Le gouvernement britannique publie la 32e mise à jour sur les effets indésirables des vaccins Covid-19
–  Les vaccins ARNm Covid-19 sont les produits médicaux les plus mortels jamais fabriqués par l’Homme
–  Maux de tête, fausse couche, surdité, cécité, accident vasculaire cérébral, décès – les réactions indésirables aux vaccins ARNm Covid-19
–  HORREUR VACCINALE ! La protéine de pointe du vaccin déclenche une explosion de cancers, d’immunodéficiences, de troubles auto-immuns et un vieillissement accéléré
–  La vaccination dans la tranche d’âge de 5 à 11 ans tuera 117 enfants pour sauver UN SEUL de la mort par COVID !
–  Vax tueurs. Il y a 6 fois plus de décès chez ceux qui sont entièrement vaccinés que chez les non vaccinés
–  Une effrayante vague de surmortalité en Europe, aux Etats Unis et ce n’est pas la covid….
–  Le sang contaminé nouveau est arrivé
–  Pandémie vaccinale. Pour 10 mille vaccinés, il y a 5400 effets secondaires et 7 morts))
Et, étant donné qu’il est extrêmement long de remplir tous les documents nécessaires pour signaler ces effets indésirables et le fait qu’ils ne sont presque jamais déposés après 48 heures ainsi que le biais inhérent au système allopathique de soins médicaux en ce qui concerne les vaccins, vous pouvez être sûr que le nombre d’effets indésirables graves et de décès est bien plus élevé que ce qui est signalé (d’au moins un ordre de grandeur de dix fois, mais probablement plus proche de 100 fois(([3] Officiel. Les « vaccins » Covid-19 sont 100 fois plus mortels que TOUS les autres vaccins réunis
–  USA. Selon les statistiques officielles, les vaccins Covid-19 tuent 78 fois plus que les vaccins standards
–  HOLOCAUSTE SECRET : Des millions de victimes du vaccin disparaissent-elles dans des fosses communes ?
–  Les pseudovaccins anticovid (injections géniques) ne protègent ni les vaccinés, ni leurs contacts. Au contraire : les chiffres le démontrent)) ). Cependant, aussi fou que cela puisse paraître, il ne faut pas oublier que le gouvernement américain a une longue et tortueuse histoire d’expériences biologiques sur ses propres citoyens avec divers agents pathogènes et agents, généralement sans en informer les citoyens au préalable. Ce qui suit est une brève chronologie, bien que loin d’être exhaustive, d’une poignée de telles expériences biologiques que nous connaissons et qui ont été documentées, comme vous pouvez tout lire dans les hyperliens indiqués.

• 1763 : Dans l’un des premiers cas enregistrés de guerre biologique sur le sol américain, le capitaine Ecuyer a rencontré deux chefs indiens sous prétexte d’amitié. Il leur a ensuite donné des couvertures prises dans un hôpital où les patients étaient infectés par la variole. Au cours des mois qui ont suivi, la variole a décimé les tribus indiennes de la région de l’Ohio.

• 1918 : La pandémie de grippe, également connue sous le nom de « grippe espagnole », a été une énorme tragédie aux proportions épiques, tuant quelque quelque 50 millions de personnes dans le monde. Elle aurait été déclenchée dans le monde comme une pandémie de pneumonie bactérienne induite par un vaccin plutôt qu’une pandémie naturelle par l’Institut Rockefeller avec leurs cobayes soldats de la Première Guerre mondiale avec des vaccins contre la méningite bactérienne dérivés d’un sérum de cheval.(([4] Bis repetita. La « Grippe Espagnole » de 1918 était une pandémie mondiale provoquée par Rockefeller et l’armée américaine
Un nouveau développement historique qui a évolué depuis quelques années et qui est maintenant mis en évidence à cause du COVID-19, est la soi-disant «grippe espagnole» de 1918, il y a donc un siècle.
Des rapports et des documents récurrents émergent pour nous dire que cette «plus grande pandémie de L’histoire n’était [1] ni «espagnole», [2] ni «une grippe» et ni [3] un événement naturel mais le résultat du bricolage humain fait avec des vaccins.

Cela ne vous rappelle-t-il pas comment le virus fabriqué du COVID-19 s’est échappé des labos américains pour infecter le mode entier ??))
Cette véritable pandémie a été aggravé par les quartiers exigus de la guerre des tranchées et si l’on considère que c’était également à l’époque où le système immunitaire des gens était gravement compromis par les fréquences radio des rayonnements électromagnétiques, comme le documente l’excellent livre The Invisible Rainbow: A History of Electricity and Life (L’arc-en-ciel invisible : une histoire de l’électricité et de la vie) par Arthur Firstenberg.

• 1942 : L’armée impériale japonaise établit un camp de recherche en Nouvelle-Guinée pendant la Seconde Guerre mondiale. Tout comme ils l’avaient fait auparavant au tristement célèbre Camp 731 en Mandchourie, les soldats-scientifiques japonais ont expérimenté sur la tribu indienne Fore là-bas. La tribu a reçu une injection de la version hachée du cerveau de moutons malades contenant des prions du virus Visna, qui a causé la maladie de Creutzfelt-Jacob ou l’équivalent humain de la maladie de la « vache folle ». Après cinq ou six ans, la tribu Fore a développé ce qu’elle appelait le «kuru» où elle s’est littéralement dépérie alors que son cerveau se transformait en bouillie. Après la fin de la Seconde Guerre mondiale, le Dr Ishii Shiro (le médecin généraliste en charge du développement, des tests et du déploiement de la guerre biologique au Japon) a été capturé par les États-Unis. On lui a donné à choisir. Soit être mis à mort en tant que criminel de guerre, soit venir travailler pour l’armée américaine. Sans surprise, il a choisi la deuxième solution, et dans les années qui ont suivi, il a aidé les spécialistes américains de la « guerre biologique avec des germes » à développer leur propre agent de la maladie à prion kuru de la MCJ/ESB de qualité militaire.

• 1946 : le Dr George Merck, alors qu’il était encore directeur de la recherche américaine sur la guerre biologique, admet que les États-Unis ont appris à cristalliser les toxines bactériennes. Notez que c’est le même Merck de Merck Pharmaceuticals qui allait développer de nombreux vaccins comme celui contre la polio, qui était contaminé par le SV40 (Simian Virus 40), un cancérogène humain connu.

• 1949-1969 : L’armée américaine pulvérise au moins 239 zones peuplées, d’agents de guerre biologique et de soi-disant « simulants biologiques » qui incluent, entre autres,  de l’Aspergillus fumigatus (un champignon connu pour causer la mort), du sulfure de zinc et de cadmium, du Bacillus subtilis (une bactérie qui partage des caractéristiques avec l’Anthrax) et Serratia Marcescens (qui est connu pour causer la méningite).(([5] Les États-Unis ont fabriqué la bio-arme Covid et l’ont d’abord disséminée en Chine et en Iran. Ils ont contaminé le Monde
–  Implication israélienne dans la création du COVID-19 à l’Université de Caroline du Nord (censuré / supprimé)
–   La Chine exhorte l’OMS à enquêter sur le biolab militaire américain à la recherche des origines de Covid
–  USA. Le virus Covid-19 se serait échappé du laboratoire dès juillet 2019
–  Preuve. Voici l’un des « athlètes américains » et officier du renseignement qui a introduit le COVID-19 en Chine
–  France. Quand la CIA empoisonnait au LSD les habitants de Pont Saint Esprit (Gard)
–  Covid-19: une guerre bioterroriste voulue par Fauci, l’armée US, la CIA, les chinois, la France, et les pharmaceutiques!
–  Le projet pour un nouveau siècle américain et l’ère des armes biologiques : 20 ans de terreur psychologique
–  Le Covid-19 participe de la course aux armements biologiques, visant à fabriquer et répandre des agents pathogènes mortels!))

• 1955 : La CIA pulvérise de grandes quantités d’Haemophilus Pertussis (bactérie de la coqueluche) lors d’« essais sur le terrain » le long de la côte du golfe de Floride. Les dossiers médicaux de cette époque montrent que l’incidence de la coqueluche a triplé par rapport à l’année d’avant. (Voir aussi le livre Clouds of Secrecy.: The Army’s Germ Warfare Tests Over Populated Areas de Leonard Cole)

• 1957 : L’une des premières épidémies de syndrome de fatigue chronique à Punta Gorda, en Floride, est déclenchée par des moustiques infectés par la bactérie Brucella par le Dr Guilford B. Reed de l’Université Queen’s au Canada. Les moustiques ont été élevés à Belleville, en Ontario, et relâchés à Punta Gorda, où au moins 450 personnes ont contracté la maladie pour la première fois.

• 1962 : agissant sur une directive émise en janvier 1961, l’administration Kennedy a autorisé le DOD à lancer le projet 112 avec son projet dérivé SHAD (Shipboard Hazard and Defense ; Risque et défense à bord des navires) qui a expérimenté sur les soldats et les citoyens américains des armes chimiques et bactériologiques, appelées par euphémisme « stimulants ». Au moins 13 navires de la marine américaine ont été exposés dans le cadre du seul projet SHAD à des attaques chimiques et biologiques simulées, ce qui a été nié jusqu’en mai 2000, lorsque CBS News a finalement révélé l’histoire publiquement.

• 1969 : le président Richard Nixon met théoriquement fin à la recherche et aux tests sur la guerre des germes biologiques sur les citoyens américains avec l’adoption d’un décret. Cependant, les preuves qui suivent démontreront clairement que les tests et les expérimentations se sont poursuivis.

• 1969 : le Dr Donald MacArthur, lors d’une réunion secrète à huis clos portant sur l’approbation budgétaire du budget noir du Pentagone de 1970 avec un sous-comité du Congrès, a déclaré : « Il est possible qu’avec un financement approprié, nous puissions développer dans les 5 à 10 ans un virus synthétique pour lequel il n’y a pas d’immunité naturelle connue. C’est précisément  le virus du sida a fini qui a été conçu. Il a été créé à partir d’une bactérie Brucella mutée avec un virus visna et la toxine éliminée sous forme de particule d’ADN appelée mycoplasme.

• 1971 : Le Service de santé publique des États-Unis publie un rapport détaillant ce qu’on appelle le « The Special Virus Cancer Program» créé par la CIA et le NIH pour développer un agent pathogène mortel pour lequel l’humanité n’a pas d’immunité naturelle (c’est-à-dire le syndrome d’immunodéficience acquise, le SIDA) , qui était déguisé en guerre contre le cancer mais faisait vraiment partie de MKNAOMI. (Par exemple, voir : « The Special Virus Cancer Program : Progress Report No. 8 » ainsi que le livre Dr. Mary’s Monkey d’Edward T. Haslam)

• 1974 : National Security Study Memorandum 200 intitulé « The Kissinger Report » indique que pour réduire la croissance démographique : 

“ Un certain nombre d’actions majeures dans le domaine de la création des conditions d’une baisse de la fécondité peuvent être financées à partir des ressources disponibles pour les secteurs en question (par exemple, l’éducation, l’agriculture). D’autres actions, dont les services de planification familiale, les activités de recherche et d’expérimentation sur les facteurs affectant la fécondité, relèvent des fonds de la population… ”

• 1974-1979 : Le vaccin contre la variole est administré en Afrique centrale et le vaccin contre l’hépatite B est administré à la population homosexuelle à New York et à San Francisco, et l’on assiste aux premiers cas de sida qui explosent à plein régime dans les années 1980.

• 1991 : le brevet américain n° 5 242 820 montre que Shyh-Ching Lo est « l’inventeur » du mycoplasme pathogène, qui peut provoquer des « maladies pseudo-grippales » et d’autres maladies débilitantes et mortelles comme je l’ai déjà dit.

• 1994 : Le rapport Riegle détaille comment les États-Unis ont envoyé des armes biologiques et chimiques aux irakiens tout au long des années 1980. Ces agents biologiques et chimiques comprenaient l’anthrax, le virus du Nil occidental, les gaz neurotoxiques, etc.

• 1997 : US Public Law 95-79, Title 50, Chapter 32, Section 1520 est finalement modifié. Avant sa modification, on lisait : « L’utilisation de sujets humains sera autorisée pour les tests d’agents chimiques et biologiques par le département américain de la Défense. »

• 1999 : Une infection par le virus du Nil occidental unique en son genre s’est déclarée naturellement à New York. Environ la moitié des corbeaux et de nombreuses autres espèces d’oiseaux sont morts, et il s’est apparemment propagé aux humains par les moustiques. Au 8 octobre 2002, le CDC avait signalé un total cumulé de 2 768 infections au VNO avec 146 décès enregistrés. Ce n’est qu’au milieu des années 90 que le VNO a commencé à causer un grand nombre de décès d’oiseaux, et la souche virale la plus proche du virus NY99 était celle qui a circulé en Israël de 1997 à 2000. L’une des personnalités clés pendant cette période à la tête du Bureau de la gestion des urgences était l’ancien homme de Kroll Associates lié au renseignement de sécurité sur le 11 septembre, Jerome Hauer. Après avoir dirigé pendant quelques années des pulvérisations massives et sans doute très dangereuses de pesticides qui semblaient viser non seulement les moustiques mais aussi les humains, il a tenté d’imposer d’autres expériences biologiques comme le vaccin contre la variole sous la « Emergency Health Powers Act » jusqu’à ce que la California Association of Nurses refuse de l’accepter et qu’ils soient obligés de reculer. Il est ensuite devenu vice-président de SAIC, l’un des poids lourds de l’État profond du complexe militaro-industriel. Quelques bons candidats pour la source de la souche génétiquement manipulée du VNO sont les principaux laboratoires américains de développement biologique et germinatif de Ft. Detrick [5]et Plum Island, cette dernière étant située de manière suspecte près de Long Island. Rétrospectivement, il semble probable que le VNO a été délibérément déployé pour au moins deux raisons principales : 1) En fonction d’un « exercice de préparation au bioterrorisme » utilisant un virus vivant au lieu d’un « stimulant », et 2) Pour créer « un marché d’un million de dollars » pour le vaccin contre l’encéphalite japonaise (JE) d’OraVax, ainsi que d’autres médicaments majeurs à suivre, comme le Cipro de Bayer utilisé pour l’anthrax. Fait intéressant, George W. Bush et les membres de son cabinet prenaient déjà Cipro avant que les lettres suspectes contenant de l’anthrax ne soient envoyées à NBC et à des opposants politiques clés comme le chef de la majorité au Sénat, Tom Daschle. (Voir le livre Death in the Air du Dr Leonard G. Horowitz)

• 2014 : Début décembre 2014, le Centre de surveillance épidémiologique (CVE) du ministère brésilien de la Santé a annoncé la vaccination obligatoire des femmes enceintes entre la 27e et la 36e semaine de grossesse avec le vaccin contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTaP). En mai 2015, un grand nombre de bébés naissaient avec une microcéphalie où ils avaient la tête rétrécie et malformée et d’autres malformations congénitales graves. La majorité des cas se sont produits dans la région nord-est de Pernambouc, au Brésil, où la plupart des vaccins DTaP ont été distribués. En décembre 2015, le gouvernement brésilien a déclaré une urgence nationale après la naissance de 2400 bébés atteints de microcéphalie. L’OMS a ensuite imputé l’épidémie de microcéphalie au virus Zika, découvert en Ouganda en 1947 et propagé par les moustiques. Cependant, il n’y a aucune preuve que le virus Zika provoque une microcéphalie, alors que les vaccins le font parfois. Les vaccins utilisés en 2014 qui sont les principaux suspects de l’épidémie de bébés nés avec une tête mal formée en raison d’une microcéphalie étaient le Refortrix de GlaxoSmithKline (connu au Brésil sous le nom de Boostrix) et l’Adacel de Sanofi Pasteur produit en France.

En résumé, permettez-moi de citer Catherine O’Driscoll d’un article intitulé « Vaccines, Biowarfare, and Betrayal » (Vaccins, guerre biologique et trahison ) publié dans Nexus Magazine, Vol. 24, No. 3, May-June 2017:

 « Les agences gouvernementales, y compris les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis, le National Cancer Institute (NCI), les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le ministère de la Défense, le US Public Health Service ainsi que l’Institut Pasteur  et le Centre international de recherche sur le cancer en France, Porton Down en Angleterre, l’Institut Ivanovsky en Russie et d’autres – des scientifiques du monde entier dans des départements gouvernementaux et des sociétés pharmaceutiques – étaient (et sont toujours) en train de jouer avec les virus dans les laboratoires, épissant ensemble différents virus de différentes espèces et créant des super virus sous le couvert de soins de santé préventifs tout en délivrant de puissantes armes biologiques et en les partageant les uns avec les autres ! »

SOURCE : Algora Blog

NOTES de H. Genséric




Dr Valentina Kiseleva 🎯 Le virus et autres mythes

[Source : AKINA | Le Front médiatique]

Titulaire d’un doctorat en médecine (équivalent américain) de l’université de médecine pédiatrique de Saint-Pétersbourg, le Dr Valentina Kiseleva est un expert indépendant en matière de bioéthique et de biosécurité. Elle a notamment été le conseiller personnel du chef de la mission de Médecins sans frontières en Russie. Elle a participé à de nombreux processus législatifs touchant à la santé et possède une vaste expérience aux États-Unis, en Russie et en Europe dans le domaine du diagnostic différentiel, à savoir la détection des erreurs médicales et la recommandation de traitements appropriés. C’est ce qu’elle fait actuellement dans le cadre du covid-19.

Du mythe du virus à celui de la protéine spike, des causes réelles de la maladie attribuée à Sars-Cov-2 à une invention technologique visant à influencer notre système nerveux par des champs électromagnétiques externes de très faible intensité, des résultats les plus récents concernant des objets mystérieux observés dans les injections (nanorobots ?) au projet de les remplacer par des médicaments, cette émission jettera un nouvel éclairage sur le plus incroyable mensonge de notre histoire : une pandémie qui n’a jamais eu lieu.



🗣 Interview animé par : Dr. Urmie RAY a étudié les mathématiques à l’Université de Cambridge, où elle a obtenu une licence, puis une maîtrise, et un doctorat. Après 23 ans de carrière universitaire et avoir diriger des recherches, après plusieurs articles dans des journaux scientifiques et un livre dans le domaine de l’algèbre, elle a démissionné de son poste de professeur en France – le pays de son enfance – pour se consacrer à ses centres d’intérêts depuis toujours, des questions de fond, notamment celles liées à la science.

[Voir aussi :
Le virus inexistant — une interview explosive de Christine Massey
87 institutions sanitaires/scientifiques du monde entier n’ont pas réussi à citer un seul cas d’isolement et de purification du “SARS-COV-2”, par qui que ce soit, où que ce soit, jamais
Déclaration sur l’isolement des virus
Réfutation de la virologie par le Dr Stefan Lanka
Stefan Lanka conduit les expériences témoins réfutant la virologie
Un article du Dr Stefan Lanka 2020 réfute l’idée fausse du virus
Déconstruction de l’arnaque Covid : les documents Ministère de la Santé admettent que le CDC n’a jamais isolé de « virus covid-19 » … le test PCR ne détecte que le BRUIT des instruments
Comment l’analyse du génome crée des virus fictifs
Épidémies et contagions
La microbiophobie ambiante est hors de contrôle ! De nouvelles perspectives sur la véritable nature des virus
Anthrax, Arsenic, Pasteur et ses moutons
Le culte de la virologie – Documentaire
La théorie des germes : Une erreur fatale
Pourquoi tout ce que vous avez appris sur les virus est faux
Le mythe de la contagion virale — Pourquoi les virus (incluant les « coronavirus ») ne sont pas la cause des maladies
Pour en finir avec les virus et le Nouvel Ordre Mondial]

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Appel aux candidats à la Présidence : protégez les enfants des pseudovaccins Covid dangereux et inutiles

Par N et G Delépine(([1] Suivez-nous sur Telegram https://t.me/DrDelepine))

Résumé :

Les pseudo vaccins expérimentaux ne peuvent apporter aucun bénéfice personnel aux enfants et adolescents, adultes jeunes qui risquent moins du Covid que de la grippe saisonnière.

Ils les exposent à de nombreuses complications parfois même mortelles.

Ils ne protégeraient pas les adultes à risque puisque les enfants ne constituent pas une source de contamination et que les pseudo vaccins n’empêchent pas les transmissions virales.

Et que l’obtention d’une immunité collective par le vaccin est un mythe maintenant reconnu inatteignable par tous les experts des pays qui ont le plus vacciné.

La « vaccination anti-Covid » des enfants est une faute qui va bientôt devenir un scandale sanitaire d’ampleur inégalée.

L’essai Pfizer est frauduleux.(([2] BMJ Investigation
Covid-19: Researcher blows the whistle on data integrity issues in Pfizer’s vaccine trial
BMJ 2021; 375 doi: https://doi.org/10.1136/bmj.n2635 (Published 02 November 2021)
Cite this as: BMJ 2021 ; 375 : n2635))

Résistons pour nos enfants, notre Futur.

Résistons par tous nos moyens aux publicités mensongères diffusées par les médias et aux pressions et chantages inadmissibles de nos gouvernants et leurs collabos.

IL FAUT STOPPER LA PUB À LA VACCINATION Covid CHEZ L’ENFANT.

Les enfants sont innocents du Covid :
ni malades ni contaminateurs

Alors que depuis mars avril 2020, les médecins et chercheurs honnêtes, et les sociétés de pédiatrie(([3] https://www.sfpediatrie.com/actualites/Covid-19)) savent, écrivent, publient et clament que les enfants (moins de 19 ans) ne risquent rien du Covid et ne le transmettent pas, ni aux autres petits ni aux adultes, même s’ils font une forme bénigne (appelée dans le monde d’avant un rhume).

L’étude publiée en juin 2020 par l’Institut Pasteur aurait dû mettre fin aux polémiques :

« Cette étude confirme que le plus souvent les jeunes enfants, lorsqu’ils sont infectés par ce nouveau coronavirus, ne développent pas de symptômes de la maladie ou présentent des symptômes mineurs qui peuvent ne pas conduire à évoquer le diagnostic. Les signes très caractéristiques que sont la perte du goût et la perte de l’odorat n’ont jamais été observés chez les enfants de moins de 15 ans alors qu’ils ont été rapportés par la moitié des adultes » ajoute Bruno Hoen, auteur de l’étude et directeur de la recherche médicale à l’Institut Pasteur. 

« Toutes ces données laissent à penser que les enfants sont résistants au virus du Covid et ses variants, grâce à un système immunitaire efficace, et concourent de surcroît à l’atteinte de l’immunité collective, en faisant circuler le virus sans danger ».

Le Covid est une maladie extrêmement peu létale : taux de mortalité de ce coronavirus présenté comme la pandémie mondiale 0,035 %, et 0 % chez les enfants non immunodéprimés et très peu chez les enfants à comorbidité : six enfants de 0 à 9 ans et 10 enfants de 10 à 19 ans sont décédés à l’hôpital en France depuis mars 2020 en ayant un test Covid positif. Cela ne signifie pas qu’ils sont morts du Covid, mais avec le Covid, car tous présentaient au moins une comorbidité susceptible d’entraîner la mort.

Les écoles n’auraient jamais dû fermer, comme l’expérience de la Suède (dûment critiquée) l’a amplement démontré. Seuls les enfants immunodéprimés par maladie ou par traitement chimio par exemple peuvent décéder avec le Covid comme avec la rougeole ou la varicelle (sans danger chez les petits sans comorbidité). Ils se comptent sur les doigts de la main tant en France que dans les autres pays comme USA, Royaume-Uni, etc.

Plus de 19 000 articles détaillés sur Covid et enfants avec bibliographie (recensés sur la banque de données PubMed au 12/11), émanant d’auteurs différents et de nombreuses macroanalyses les résumant ont largement confirmé ces faits.

Mais la propagande mensongère des médias et gouvernements au service du plan Schwab/Bill Gates/OMS, a été si lourde, quotidienne et répétitive sur toutes les chaînes de TV du monde, dont celles de France appartenant à huit milliardaires, que la rumeur de contamination par les enfants continue à courir, à faire peur aux enseignants, aux parents. Les petits sont obligés de porter le masque démontré inutile et toxique sur tous les plans, physique et encore plus psychologique.(([4] Pendant que les puissants s’affichent sans masque et sans distanciation sur des vidéos provocantes pour le peuple astreint à muselière et surtout les petits)) Et le temps passe, laissant prévoir des séquelles d’apprentissage et de comportement sur plusieurs années.

But de la désinformation sur la contamination par les enfants :
les vacciner !

Tout cela est décrit en détail dans tous les pays, dans toutes les langues, mais la puissance mondiale de la désinformation nous incite à revenir sur le sujet. On voit bien aujourd’hui que le but de ce mensonge mondial était de préparer les citoyens confiants et incapables d’imaginer une telle perversion — à vacciner vos enfants et leur faire courir les dangers immédiats comme les myocardites(([5] Myocardites et pseudovaccin antiCovid : un risque à ne pas courir — Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) et
MYOCARDITES POST VACCIN COVID : RISQUE INACCEPTABLE CHEZ L ENFANT QUI NE RISQUE RIEN DU VIRUS – Docteur Nicole Delépine (docteur.nicoledelepine.fr) )) voire des morts subites, mais aussi à long terme de probables problèmes de fertilité, de maladies auto-immunes, de cancer, voire pire encore de maladie à prions, cousine de la maladie terrible de Creutzfeld — Jacob, dite maladie de la vache folle.(([6] https://www.nexus.fr/actualite/vaccin/parents-enfants-verite/
une association de parents d’enfants décédés à la suite du vaccin anti-Covid se met en place Verity France))

Les enfants ne sont pas une cible du Covid, les pseudo vaccins ne protègent ni de la contamination ni de la transmission. Alors, pourquoi exposer nos jeunes à ces substances encore à l’essai en leur faisant prendre le risque d’effets secondaires graves ?

Il y a 15,5 millions d’enfants de 0 à 19 ans en France, si on les vaccinait tous sans exception, 99 200 auraient potentiellement des effets secondaires sévères (15,5 millions x 0,64 %) d’après l’essai présenté par Pfizer.

LES EFFETS SECONDAIRES GLOBAUX RECENSÉS PAR LES BASES OFFICIELLES INTERNATIONALES

Ils sont importants et devraient justifier à eux seuls le renoncement à cette injection sans effet positif chez les enfants. Ils ont été largement résumés ailleurs.(([7] https://docteur.nicoledelepine.fr/effets-indesirables-des-injections-geniques-sources-officielles-au-10-octobre-2021/)) Chacun peut consulter l’état des lieux directement sur les sites respectifs. Quelques exemples :

EUDRAVIGILANCE – EMA pour l’Union Européenne selon le site officiel de l’agence européenne du médicament au 5 novembre (27 pays sans la GB)

ET GLOBALEMENT EN UNION EUROPÉENNE au 30 octobre 2021

Le Pr Suisse Dr Astrid Stuckelberger @Stuckelberger publie une nouvelle vidéo pour mettre en garde contre cette injection encore en expérimentation.

« C’est quand même dingue, si ça marchait, ils ne se feraient pas injecter encore, encore, encore… on en est à 29 173 morts directes et 2 999 743 effets secondaires graves dans EudraVigilance en Europe… 12 115 enfants de 0 à 17 ans… »(([8] https://twitter.com/i/status/1456689834395897858))

VAERS : RECENSEMENT DES EFFETS SECONDAIRES DÉCLARÉS SPONTANÉMENT AUX USA

Aux États-Unis, le VAERS recense tous les effets secondaires déclarés par les citoyens, après les vaccins depuis 1991. Le VAERS est coadministré par 1) la Food and Drug Administration (FDA) et 2) les Centers for Disease Control (CDC).

les vaccins Covid-19 ont nui et tué plus d’enfants aux États-Unis que tous les autres vaccins combinés selon les données officielles(([9] Search Results from the VAERS Database (medalerts.org) ))

BY DAILY EXPOSE ON SEPTEMBER 20, 2021

De nouveaux chiffres du système de déclaration des événements indésirables vaccinaux (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis montrent que les enfants souffrent après avoir été vaccinés contre le Covid-19, avec de nombreux malades graves, handicapés et, dans certains cas, décès.

Du 1er janvier 1991 au 30 novembre 2020, donc sur deux décennies, un mois avant que le premier vaccin contre le Covid-19 ne reçoive une autorisation d’utilisation d’urgence aux États-Unis, il n’y avait qu’un total de 6 068 décès enregistrés (principalement des bébés nourrissons) en raison de tous les vaccins disponibles.

Mais au 10 septembre 2021, en moins d’un an, plus de 3,1 millions d’accidents avaient été enregistrés dans le VAERS en raison des vaccins Covid-19, ainsi que 80 337 visites aux urgences, 60 565 hospitalisations, 19 210 incapacités permanentes, 15 012 événements mettant la vie en danger et 14 925 décès.

Les mêmes analyses sont disponibles pour les autres pays avec des résultats comparables.

SAUVER LES GÉNÉRATIONS FUTURES — SAUVER LEUR ADN :
NON AUX pseudo vaccins, vraies injections OGM à des HUMAINS

Il faut parvenir à relayer l’information, sauver les générations futures qui sont déjà traumatisées par le vécu invraisemblable de ces deux années de coronafolie mondiale, moins sauver leur ADN, ne pas risquer de les transformer en transhumain OGM d’avenir incertain. Les nouveau-nés de mères vaccinées font craindre le pire, en particulier un vieillissement accéléré.

N’oublions pas que les candidats vaccins contre les précédents coronavirus (SRAS et MERS-CoV) ont été abandonnés en raison de décès, plus fréquents chez les animaux vaccinés que dans les groupes témoins. Essais animaliers qui n’ont guère été réalisés pour le Covid19

Ce jour, nous nous adressons donc à vous, tous les candidats déclarés ou potentiels, et à tous les élus, car vous disposez d’une visibilité, qui pourrait aider les médecins honnêtes du monde entier, à faire passer l’information et à éviter ainsi au moins une partie de l’humanité de cette menace majeure de notre patrimoine génétique construit sur des millénaires.

En résumé, message à faire passer : les enfants ne risquent rien du Covid, mais beaucoup des pseudovaccins.

En même temps que le Pfizergate émerge démontrant l’absence totale de fiabilité des essais, que le vaccin Moderna est interdit au moins de trente ans, le PDG de Moderna demande le même jour à l’UE d’autoriser l’injection de ce même Moderna chez les enfants de 5 à 11 ans.

SONNEZ L’ALERTE.

Nos milliardaires ne doutent de rien, mais le monde résiste de plus en plus. Pas certain qu’ils gagnent, mais combien de victimes entre temps. Alors, diffusons l’appel de ces médecins réunis en Floride.(([10] t.me/VaccinoSceptique November 09, 2021
Traduction de l’article du site trialsitenews.com 👇🏻
https://trialsitenews.com/dont-vaccinate-kids-urgent-message-from-doctors-summit/))

NE VACCINEZ PAS LES ENFANTS :
MESSAGE URGENT DU SOMMET DES MÉDECINS

Extraits de l’article de Mary Beth Pfeiffer

« Les principaux experts de la politique défectueuse du programme Covid américain ont lancé un avertissement urgent lors d’un sommet le 8 novembre 2021 : les jeunes enfants seront lésés par la hâte malavisée de vacciner une population dont le risque d’infection grave par le virus est très faible. »

« Le risque réel pour les enfants en bonne santé est à peu près nul — il semble bien qu’il soit inférieur à celui de la grippe », a déclaré le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm sur laquelle repose le vaccin. Inoculer 28 millions d’enfants âgés de 5 à 11 ans, a déclaré le Dr Malone aux participants du sommet de Floride sur le Covid,(([11] Public de 800 médecins, infirmières et défenseurs des droits.)) pourrait entraîner « un millier ou plus de décès supplémentaires ».

« C’est un millier d’enfants », a-t-il dit au « C’est un millier d’enfants de trop ».

« Les enfants ne tombent pas gravement malades. Les enfants ne meurent pas de cette infection », a déclaré Paul Alexander, épidémiologiste clinique et ancien conseiller principal sur la politique en matière de pandémie au ministère américain de la Santé et des Services sociaux. « On nous a donné beaucoup d’informations trompeuses ».

Bien que sévèrement critiquée pour avoir gardé les écoles ouvertes, « la Suède n’a pas eu un seul décès d’enfant dû au Covid », a déclaré le Dr Richard Urso, ophtalmologiste texan citant des données publiées.

Dans une étude portant sur 48 000 enfants de moins de 18 ans infectés par le Covid, aucun décès n’a été signalé parmi ceux qui ne présentaient pas de comorbidités comme la leucémie ou l’obésité. En d’autres termes, les enfants en bonne santé ne meurent pas du Covid, ce qui suggère que les vaccins ne sont pas nécessaires pour eux.

L’AVEUGLEMENT VOLONTAIRE

« le coût potentiel de la vaccination est inacceptable, soulignant les milliers d’effets secondaires et de décès officiellement minimisés, mais réels. Les risques pour les enfants comprennent, entre autres, une grave inflammation du cœur appelée myocardite, dont le taux est trois à six fois supérieur au taux attendu… Une étude des CDC a fait état de 14 décès liés à la vaccination et de 849 réactions graves chez des enfants âgés de 12 à 17 ans. »

« Il y aura des enfants perdus avec le vaccin — bien plus que ce qui s’est passé avec le Covid », a déclaré le Dr Peter McCullough, cardiologue, voix importante pour une réponse rationnelle à la pandémie. Les médecins sont coupables d’un « aveuglement volontaire » face aux dangers des vaccins, a-t-il ajouté, car ils ont « cru à ce rêve… que ce vaccin était à la fois sûr et efficace. Le fait qu’il ne soit pas suffisamment sûr est en train de briser leurs rêves ».



En Floride, où le débat sur l’obligation de vacciner est vigoureux, les organisateurs du sommet considèrent la vaccination des enfants comme une ligne à ne pas franchir dans un État qui pourrait servir d’exemple à la nation. Ils espèrent « arrêter le programme de vaccination obligatoire élargie voulue par Biden et attendent un décret du gouverneur Ron DeSantis ou une loi lors d’une prochaine session d’urgence convoquée pour traiter des obligations de vaccination. »

« Nous devons faire tout ce qui est possible », a dit le Dr John Littell, médecin d’Ocala qui a dirigé le sommet. « Nous n’avons fait que commencer à nous battre pour nos enfants ».

Avec un soutien médiatique quasi universel, la pression est intense pour vacciner les tout-petits.

LA SCANDALEUSE VIDÉO SUR LES SUPER HÉROS PASSE SUR NOS TV :
QUI PORTE PLAINTE ?

Elle montre des garçons et des filles « super-héros », en capes, masques et ailes, célébrant la vaccination. Ils prononcent des mots écrits par Pfizer, ils félicitent les autres enfants qui se sont fait vacciner pour leur « courage », leur volonté « d’essayer de nouvelles choses » et « d’aider le monde entier ». UNE PROPAGANDE ABSOLUMENT HONTEUSE.

Les médecins réunis ont également soulevé deux autres préoccupations urgentes :

  • 1) suppression effective de la liberté des médecins de traiter le Covid précoce avec de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, de la fluvoxamine et d’autres médicaments qui pourraient éviter aux patients d’être hospitalisés et sauver des vies.
  • 2) valeur protectrice de la Covid, qui offre des avantages immunitaires qui dépassent — et suppriment — la nécessité de la vaccination.

« L’immunité naturelle est robuste ; elle est complète ; elle est durable », a déclaré le Dr McCullough au groupe. « Avec le Covid, vous développez une immunité contre une cinquantaine de protéines qui stimulent la production d’anticorps », a expliqué M. Malone dans son exposé. « Avec le vaccin, vous développez une immunité contre une protéine structurelle, à savoir la protéine spike. C’est une énorme différence. »

« Ne les laissez pas vous dire que le Covid récupéré n’entraîne pas une immunité durable », a déclaré le Dr Ryan Cole, pathologiste de l’Idaho, opposant un rapport sur 106 articles scientifiques en faveur de l’immunité acquise par l’infection à un seul « faux papier » du CDC affirmant que les vaccins offrent une meilleure protection.

Une corruption sans bornes

« Pierre Kory, président de Frontline Covid-19 Critical Care Alliance et défenseur d’un traitement précoce, a pointé du doigt une litanie de méthodes que les revues scientifiques, les médias et le gouvernement ont utilisées pour refuser les soins efficaces par des médicaments “réadaptés” peu coûteux comme l’ivermectine. »

« Parmi elles : Le refus de publier des articles scientifiques favorables au traitement et la rétractation, sous pression, d’autres articles. L’insistance sur les essais de contrôle aléatoires coûteux, alors qu’ils ne sont pas financés. Un double standard qui fait que le molnupiravir de Merck, très coûteux, est en passe de devenir un médicament ambulatoire de premier choix, sur la base d’un essai parrainé par la pharmacie, alors que des dizaines d’études en faveur de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine et d’autres traitements potentiels sont écartées. Le rejet de l’expérience clinique de centaines de médecins qui ont vu des médicaments de traitement précoce éviter des hôpitaux et des cercueils ».

M. Kory a décrit en deux mots la raison de l’échec monumental du traitement du Covid : « la capture réglementaire ». En bref, les agences alphabétiques — NIH, CDC, FDA — ne prennent pas les décisions officielles de ces agences ne sont pas prisesselon les données acquises de la science, mais guidées uniquement par la politique, les lobbys et la corruption.

« Toutes ces agences sont littéralement dirigées par Pharma », a-t-il dit. « Si vous voulez garder votre emploi, vous laissez les dirigeants faire ce qu’ils font ». Cela a conduit, selon lui, à « des actes de corruption non mitigés et répétés, qui nuisent à la santé publique. »

Kory et d’autres ont dit qu’il y a peut-être deux autres douzaines de composés qui pourraient aider rapidement. Néanmoins, les responsables de la santé publique ne recommandent aucun d’entre eux. Parmi eux : l’aspirine, le budésonide, la colchicine, la curcumine, la mélatonine, le nitazoxanide, la quercétine, le zinc et les vitamines C et D. Même un essai très favorable sur la fluvoxamine n’a pas obtenu l’aval du gouvernement.

« Les PDG et les administrateurs des hôpitaux nous menacent. Vous allez être virés. Vous devez vous conformer à nos normes de soins. »(([12] Telegram: t.me/VaccinoSceptique))

LA CRISE EST POLITIQUE ET NON SANITAIRE

Vous aurez tous compris qu’il s’agit d’un problème politique et non sanitaire, résultant de la mainmise de Big Pharma sur les instances dirigeantes et sur trop de responsables des agences d’état corrompus et tenant l’ensemble du système de santé par corruption à tous les étages et/ou harcèlement des opposants les réduisant au silence ou à la démission.

Cette organisation perverse est en place depuis des décennies, mais a atteint un niveau de « perfection » avec la crise du Covid longtemps préparée après la répétition générale du H1N1. Il faut en sortir VITE, car l’avenir de l’Humanité, de son génome sont en jeu.

Mesdames, Messieurs les Politiques et vos relais dans les médias, la balle est dans votre camp. Nous vous soutiendrons.

Il faut libérer tous les citoyens de cette terre des mesures liberticides injustifiées, et en particulier le masque chez les enfants, et interdire la poursuite de cette injection mortifère officiellement contre une maladie extrêmement peu létale chez les sujets sans comorbidité.

Exigez un moratoire pour cette injection génique suivie de débats publics devant les élus en présence des scientifiques indépendants et sans lien d’intérêt avec Big Pharma. En attendant, laissez-les vivre, laissez-nous vivre.





COP26 : comment les élites nous préparent un « pass carbone »

[Source : lecourrierdesstrateges.fr]

Par JULIEN G.

Le Nouvel Ordre Mondial est bien là et le Prince Charles a donné, à la COP26, un aperçu des moyens que les élites utiliseront pour parvenir à leurs fins. Après les états d’urgence attentat et sanitaire, les dirigeants mondiaux ont clairement montré leur volonté de mettre en place un état d’urgence climatique. Prenant prétexte de l’urgence climatique, cette politique doit permettre, non pas un développement plus harmonieux pour tous, mais un renflouement vert du système financier spéculatif actuel et quoi de mieux qu’un pass carbone ?

1. Le prince Charles en roue libre

Lors de la COP26, le Prince Charles a tenu des propos surréalistes concernant le futur de l’humanité. Des propos, qui par ailleurs, ont été peu ou pas repris par les médias hexagonaux.

La feuille de route ne parle pas de confinement pour fin 2021, mais de pénuries et d’installation de contrôles militaires pour le programme de transition et de renoncement à la dette.

Il a expliqué, d’un ton sur et monotone, qu’il fallait mettre en place une campagne militaire qui imposera la nouvelle transition économique mondiale afin de sauver la planète en y injectant des milliers de milliards de dollars, une somme plus importante que le PIB mondial !

Il affirme que les pays sont gravement endettés et qu’ils ne pourront pas faire face aux défis climatiques.

Qui pouvait mieux annoncer cette grande réinitialisation du monde que « son Altesse » dont l’obsession climatique est bien connue de tous !

Ségolène Royal l’avait d’ailleurs fait venir chez nous, en décembre 2015, pour trôner aux côtés de Michael Bloomberg (un des mécènes de Joe Biden), Al Gore et Arnold Schwarzenegger, au sommet de la COP21 aboutissant aux fameux Accords de Paris.

Si ces dirigeants mondiaux mettaient à disposition cet argent fictif gagné via la spéculation boursière, ce n’est pas pour le bien de l’humanité, mais pour en contrôler l’avenir.

Comment imaginer un seul instant que Jeff Bezos, le patron d’Amazon, devenu milliardaire en vendant des gadgets chinois aux Américains et aux Européens en détruisant leur industrie et leur petit commerce, puisse à un moment devenir une partie de la solution au problème climatique !

Nous assistons, donc, à la mise en place du Nouvel ordre mondial, une dictature mise en place par le secteur privé mondialiste, qui veut mettre fin aux démocraties que nous connaissons en utilisant systématiquement la menace pour arriver à ses fins.

Pour rappel, du 9 au 11 novembre 2020, s’est tenue une rencontre de haut niveau, baptisée Green Horizon summit, réunissant une centaine de décideurs financiers et économiques de haut vol, tous avides d’examiner comment passer de la théorie climatique à la spéculation verte : le Great Reset de leur portefeuille au détriment de la planète.

Selon les organisateurs, le sommet avait pour but d’accélérer l’innovation financière dans le climat, en promouvant des initiatives semblables à celles des obligations vertes.

2. Et maintenant l’état d’urgence climatique

En 2015, c’était la menace terroriste, depuis 2 ans nous sommes en état d’urgence sanitaire et demain ce sera la menace climatique.

En effet, comment ne pas admettre la conformité massive et sans questionnement des peuples aux réglementations restrictives et liberticides du COVID.

L’idée de confinement climatique pourrait être facilement normalisée à la lumière du respect massif des confinements pandémiques.

Alors qu’avec la crise sanitaire, beaucoup de responsables se rendent à l’évidence que la mondialisation financière a rongé la substance productive de nos économies et fragilisé nos secteurs publics, cette « Caste » voit comme une énorme menace le retour aux recettes économiques élémentaires ayant fait leurs preuves lors de la reconstruction d’après-guerre.

Pour ces élites déconnectées, il s’agit, donc, de saisir la formidable occasion que leur offre la peur suscitée par la crise sanitaire mondiale, pour imposer une dictature climatique et de contrôler directement le portefeuille de chaque citoyen.

De faire en sorte que l’essentiel des investissements soit affecté exclusivement au fameux New Green Deal et que les citoyens se comportent comme il faut.

L’idée est donc de mettre en place une tyrannie plus intrusive en misant sur le fait que les gens peuvent être plus disposés à accepter le suivi et les limitations liées aux quotas carbone personnels pour obtenir un climat plus sûr.

3. Un pass carbone pour contrôler chaque aspect de votre vie

Si, lors de cette COP26, les gouvernements décident soudainement de bannir le CO2 de leur économie, le monde pourrait connaître un retournement brutal des valeurs d’un tiers de l’économie mondiale, soit la partie liée aux hydrocarbures (lignite, charbon, gaz, pétrole, etc.) et l’écosystème qu’elles entretiennent (exploitation minière, pétrochimie, plastique, etc.).

Mieux vaut donc prendre les devants et organiser le verdissement de la finance mondiale, afin de limiter les frais et surtout les secousses.

Pour cette finance-là, faute d’une réelle opposition de la part de gouvernants obéissant à l’intérêt général et non aux lobbies, la crise pandémique de Covid-19 a offert une fenêtre de tir pour mettre en place le type de société totalitaire et de surveillance dont elle rêve depuis longtemps.

Car s’il s’agit, officiellement, de sauver le climat et la planète, en réalité, ce n’est que l’ultime bouée de sauvetage de la bulle des « actifs verts » et un moyen efficace pour la faire gonfler.

Nos élites, présentes à Glasgow, préparent donc des quotas de carbone personnels obligatoires qui introduiraient le rationnement dans tous les domaines de votre vie et ceci via une application qui enregistrerait vos déplacements, vos dépenses de chauffage et même la nourriture que vous mangez.

D’ailleurs, cette proposition avait été présentée dans la revue scientifique Nature par quatre experts de l’environnement comme un moyen de réduire les émissions mondiales de carbone.

Le discours ambiant de cette COP26 est donc que, face aux problèmes écologiques présents et à venir, il est nécessaire de mettre dans l’esprit collectif, que chaque citoyen soit conscient d’avoir un rôle à jouer dans la lutte contre le changement climatique, en proposant l’instauration d’un compte ou pass carbone.

À l’image d’un compte en banque, ce compte carbone sera crédité de 2000 kg de carbone par français par an, suivant les accords de Paris.
Il sera demandé lors de tout achat de produits ou services de première main générant une quantité non négligeable de carbone dans son cycle de production/commercialisation de présenter son compte ou pass carbone sur lequel sera débité le montant de carbone lié à la dépense.

Il est donc envisagé que pass sanitaire se transformera en pass carbone et donc une limitation des voyages, de la nourriture, des kilomètres en voiture, etc.

Le tout au nom de la prochaine crise à venir : le changement climatique.

Aujourd’hui le pass, renouvelé à minima jusqu’en juillet 2022, offre un QR code pour le vaccin. Et demain ce sera pour votre bilan carbone.

Et le surlendemain ?

Reste à savoir si les populations mondiales vont se laisser faire et se faire esclavagiser et de la sorte par cette caste.




Covid-1984 : les données Sentinelles montrent un taux d’incidence à 9/100 000 en semaine 44 !

[Source : Le Libre Penseur]

Voici les derniers résultats du réseau Sentinelles (608 généralistes et 43 pédiatres libéraux) : le taux d’incidence du SARS-CoV-2 de la 44e semaine de 2021 est de 9 cas/100 000, stableToujours très en dessous du seuil d’alerte et des TI communiqués par les autorités dans les médias-mensonges qui avancent des chiffres astronomiques mensongers tous au dessus de 50/100 000 habitants. L’OMS parle de 500 000 morts en Europe pour le prochain trimestre, Macron prolonge le pass sanitaire et demande une 3e dose de vaccin !

Covid-1984 : les données Sentinelles montrent un taux d’incidence à 9/100.000 en semaine 44 !

Le réseau Sentinelles, sur sa page d’accueil, indique que la situation est modérée avec une iconographie en orange depuis 5 semaines pour toutes les autres IRA ! Le Re du SARS-CoV-2 est à 1.11, en très légère augmentation, selon le site CovidTracker ce qui est très intéressant car il va  me permettre de démontrer le décalage entre ce Re est le taux d’incidence. On remarque d’ailleurs une augmentation chez CovidTracker qui ne se remarque pas chez les 611 généralistes et 43 pédiatres libéraux du réseau Sentinelles ! On aimerait d’ailleurs savoir comment il est possible d’augmenter le R0 sans augmenter le TI ! 

Nous sommes encore très loin des seuils de taux d’incidence épidémique de la grippe saisonnière qui se situent, rappelons-le, entre 150 et 200 cas pour 100 000 habitants. Le gouvernement ment et les chiffres de Santé Publique France sont trompeurs pour terroriser les gens et continuer à imposer des restrictions sanitaires.




Une publicité révoltante de Pfizer présente les enfants vaccinés comme des « super-héros », et oublie ceux qui souffrent d’effets secondaires

[Source : Centre de Recherche sur la Mondialisation]

Par Matt Agorist

Le géant pharmaceutique multimilliardaire, dont les malversations ont défrayé la chronique dans le passé, a non seulement enregistré des profits exponentiels pendant la pandémie du fait que les contribuables ont été contraints de payer le vaccin, mais a également bénéficié de milliards de dollars des contribuables pour faire la publicité dudit vaccin. La manne de profits réalisés grâce à la vaccination des adultes a rapidement incité la firme à s’intéresser aux enfants pour pallier la diminution de sa clientèle. Bien que les enfants n’aient pratiquement aucune chance de mourir du COVID-19, la Food and Drug Administration (FDA) s’est empressée d’approuver le vaccin à ARNm de Pfizer pour les enfants âgés de 5 à 11 ans.

Après avoir dépensé des milliards de dollars en publicités financées par les contribuables pour convaincre les adultes de se faire vacciner, Pfizer a lancé cette semaine une nouvelle publicité qui cible sa nouvelle clientèle, les enfants. La société s’est surpassée en qualifiant les enfants, qui ont reçu l’injection dans le cadre de l’expérience, de « super-héros » dotés de « super-pouvoirs ».

« Il y a des super-héros de toutes les tailles.🦸🏽‍♀️🦸🏻🦸🏿‍♂️🦸🏼‍♀️ Regardez cette vidéo où de vrais enfants remercient leurs super-héros : les volontaires de l’essai clinique du vaccin #Covid19 âgés de 5 à 11 ans. Notre reconnaissance envers les participants à l’essai et leurs familles est infinie 💙 #ScienceWillWin »

Voilà la scandaleuse vidéo en question:

Malheureusement, les enfants de la vidéo ci-dessus ne sont pas des héros. Aucun d’entre eux n’est en âge de consentir à recevoir un vaccin et ils ont tous été offerts au géant pharmaceutique comme cobayes par leurs parents.

La publicité semble s’adresser spécifiquement aux « super-héros », que seraient les enfants qui ont servi de cobayes, mais elle a, en réalité, pour objectif d’influencer tous les enfants.

« Si je me fais vacciner, je serai un super-héros ! »

Naturellement, cette publicité n’enthousiasme pas ceux dont un membre de la famille ou un ami a souffert d’effets secondaires. En conséquence, les dislikes [pouce en bas] sur la vidéo ont déjà dépassé les likes [pouce en haut] et ils s’accumulent rapidement.

Il est important de souligner que l’écrasante majorité des personnes qui se font vacciner n’ont que peu ou pas d’effets secondaires. Cependant, dire qu’il n’y a aucun risque et censurer ceux qui soulignent ces risques est, au mieux, contraire à l’éthique et, au pire, carrément malhonnête.

[Ndlr : le nombre de vaccinés anticovid n’ayant pas eu d’effets secondaires notables est probablement loin de représenter une majorité « écrasante ». Selon les sites officiels chargés de rapporter les effets secondaires post-vaccinaux, autant en Amérique qu’en Europe, leur nombre dépasse le million, sachant que de nombreux médecins s’accordent à dire que seulement 1 à 10 % des effets secondaires y sont rapportés.]

Comme le rapporte le TFTP (TheFreeThoughtProject), la pression en faveur de la vaccination des enfants s’intensifie en dépit du fait que le virus ne représente pas une menace pour les enfants. De plus, comme les Américains sont en train de le découvrir, le vaccin perd de son efficacité au fil du temps, ce qui entraîne un grand nombre de nouveaux cas que les Centres de contrôle des maladies (CDC) ne peuvent plus dissimuler.

En plus de ces nouveaux cas, il a été signalé aux CDC un nombre record d’effets indésirables dont souffrent aussi un grand nombre d’enfants. L’un de ces enfants – qui a participé à l’essai de Pfizer et qui est un « super-héros » selon la publicité ci-dessus – est Maddie de Garay. On lui a injecté le vaccin de Pfizer lorsqu’elle avait 12 ans. Elle est aujourd’hui en fauteuil roulant.

Comme Pfizer, la famille de Maddie a réalisé une vidéo pour raconter son expérience du vaccin. Mais contrairement à Pfizer, la vidéo de Maddie a été censurée sur YouTube et l’est toujours. De plus, Comcast a retiré la vidéo la semaine dernière, alors qu’elle devait être diffusée avant que le comité consultatif de la FDA sur les vaccins et les produits biologiques connexes ne se réunisse pour discuter des vaccins COVID-19 destinés aux enfants.



Un autre de ces « super-héros » qui a été censuré jusqu’à l’oubli est Ernesto Ramirez Jr. qui faisait partie des centaines d’enfants qui, comme Maddie, ont été vaccinés très tôt. Malheureusement, contrairement à Maddie, il n’a pas survécu et cinq jours après l’injection, selon son père, Ernesto est mort subitement.

« J’ai entendu toujours plus de publicités affirmer que c’était sans danger pour les adolescents, alors j’ai dit ‘OK’ », a déclaré le père d’Ernesto Ramirez à Ivory Hecker, un journaliste de Fox 26 Houston, plus tôt dans l’année. « Deux ou trois semaines plus tard, le CDC a commencé à annoncer que des enfants avaient le cœur hypertrophié. »

« Le cœur d’un garçon de cet âge pèse normalement moins de 250 grammes », a déclaré le Dr Peter McCullough, un médecin de Dallas dans la vidéo de Hecker. « Dans son cas, il pesait plus de 500 grammes ».

Ramirez a essayé de collecter des fonds pour les funérailles de son fils décédé, mais parce qu’il a prétendu que l’injection a tué son fils, GoFundMe a supprimé sa collecte.

Apparemment, les multinationales de la haute technologie ont décidé que seuls ceux qui louent l’efficacité du vaccin ont droit à la parole. Si vous ou votre enfant avez souffert des effets secondaires du vaccin, vous n’avez pas le droit de le dire. Si vous vous interrogez sur le raison de cette censure, regardez la vidéo ci-dessous !

Matt Agorist

Article original en anglais :

Creepy Pfizer Ad Tells Kids They Are “Superheroes” for Taking Jab, Ignores Injuries of Others

Traduction : Dominique Muselet pour Mondialisation.ca

La source originale de cet article est TheFreeThoughtProject.com
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