L’arrivée d’un messie extraterrestre : tromperie ou séduction diabolique ?

[Source : Conscience du peuple (conscience-du-peuple.blogspot.com)]

  • Un avènement extraterrestre est-il au programme?​
  • Existe-t-il un lien possible entre des rituels occultes, maçonniques, et l’apparition d’êtres « d’un autre monde »?​
  • Comment des scientifiques, comme l’astrophysicien Jacques Vallée, se positionnent-ils sur la question des OVNIS et des « enlèvements extraterrestres »?​
  • Quelle est la position du Vatican concernant la question extraterrestre? Une position plutôt surprenante et choquante…
  • Comment les autorités politiques, soit la gouvernance mondiale, risquent-elles de réagir face à un avènement extraterrestre?​
  • Les pièges du Nouvel Âge…
  • Est-ce que les Écritures bibliques nous parlent d’extraterrestres ou de créatures « d’un autre monde »?​ Doivent-elles revenir à la Fin des Temps?
  • Qui sont les réelles puissances qui sont aux commandes ? Laisseront-elles des personnes ou un groupe de personnes faire dévier leur projet ?

Cette vidéo expose un point de vue sur les visées occultes de la gouvernance mondiale, révélées et marquées par les Pères fondateurs sur le dollar américain. Selon elle, ces symboles maçonniques sont disséminés partout, spécialement à Washington DC.




Stanislas Berton : « Les peuples occidentaux sont soumis à la volonté des élites mondialistes »

[Source : francesoir.fr]

Auteur(s): FranceSoir

Stanislas Berton a relevé le défi ! Entrepreneur, auteur de « la France retrouvée« , il décrypte la guerre faite par « les mondialistes » aux peuples. Analysant les ressorts de cette « sécession des élites ». dans ses différentes dimensions : culturelle, économique, sanitaire… Son essai ne se contente pas de diagnostiquer cette idéologie faussement présentée selon lui comme la seule voie, mais recense aussi de nombreuses propositions en un véritable programme politique.



Fascination des élites françaises pour de prétendus modèles étrangers, différence entre la prétention à l’universalisme et le mondialisme ; le mode de vie simple, voire frugal, qui devrait s’imposer à nous, loin des mirages du « développement durable », par la « contraction énergétique », ou pourquoi la décroissance a déjà lieu ; L’État, impuissant sur l’essentiel, qui bascule dans l’autoritarisme sur l’accessoire ; l’explosion de la dette à des niveaux inédits dans l’histoire de l’humanité ; quelques-uns des sujets au menu de ce Défi de la vérité.

Auteur(s) : FranceSoir




“L’homme le plus intelligent du monde” analyse le programme de vaccination de l’élite mondiale

[Source : Recherches Covid-19 (cv19.fr)]

L’une des personnes les plus intelligentes au monde s’élève contre la vaccination Covid-19, affirmant que l’élite mondiale à l’origine de la campagne de vaccination n’a probablement pas à cœur les intérêts de l’humanité.

La plupart des gens ignorent tout de l’éleveur de chevaux du Missouri Christopher Langan, 69 ans, qui a travaillé comme ouvrier du bâtiment et videur dans un bar pendant près de 20 ans.

Cependant, un article paru dans Esquire en 1999 a rendu Langan célèbre, en le décrivant à l’époque comme “l’homme le plus intelligent d’Amérique”, avec un QI d’environ 200.

Une interview de Lagan réalisée en 2019 par “Spike Jonze” (Adam Spiegel) vous permettra de comprendre à quel niveau se situe cet homme.



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Depuis, M. Langan a fait l’objet d’un reportage dans l’émission “20/20” d’ABC, et son intelligence a été largement documentée compte tenu de son passé inhabituel.

Actuellement, il s’est lancé dans un projet baptisé “Modèle cognitivo-théorique de l’univers (CTMU)”, qui tente de mettre en évidence le “lien entre l’esprit et la réalité” et d’expliquer l’existence de Dieu par les mathématiques.

C’est dans un groupe Facebook consacré au CTMU que M. Langan a démoli la semaine dernière la campagne mondiale de vaccination contre le virus Covid-19 comme seul un génie pouvait le faire.

Selon Langan, le plan de vaccination de l’élite mondiale n’est probablement pas une élimination (immédiate), mais une stérilisation progressive de la population afin de maintenir la supériorité de la classe dirigeante sur les masses abruties.

Lisez la discussion de Langan avec les membres du groupe CTMU ci-dessous, transcrite à partir de captures d’écran Facebook :

Commentaire : “Je me suis demandé s’il n’y avait pas une motivation négative derrière le V@x. Si j’étais un oligarque sociopathe et que je pensais que l’humanité devait être réduite massivement pour protéger la Terre, est-ce que j’utiliserais le vax pour provoquer une mort massive ou une stérilisation massive ? L’une ou l’autre de ces approches provoquerait d’énormes bouleversements, mais la stérilisation de masse serait celle qui causerait le moins de perturbations.”

Réponse : Premièrement, selon la définition habituelle du terme “vaccin”, les injections actuelles ne sont pas des “vaccins”. Elles ne sont qu’une autre souche de technologie dangereuse que la superclasse parasitaire finance et utilise dans le but de dominer et de contrôler le monde.

Une extinction massive de la population humaine serait traumatisante et menacerait le statu quo. Si la population humaine s’effondre et que l’économie suit le mouvement, l’élite n’aura rien, aucune supériorité innée ou capacité d’adaptation, qui pourrait la protéger et contribuer à sa survie. C’est pourquoi elle préfère la stérilisation de masse et un déclin démographique plus lent (mais toujours rapide).

Évidemment, la superclasse parasitaire s’inquiète de la destruction de son environnement par la surpopulation humaine. Malheureusement, elle a raison sur ce point : alors que la Terre et ses ressources sont limitées, la croissance démographique est exponentielle. Mais il y a au moins trois problèmes majeurs dans leur approche.

(1) Au lieu d’aborder le contrôle de la population de la bonne manière, en améliorant la population par l’éducation et l’hygiène génétique, en faisant appel à ce qu’il y a de meilleur dans l’espèce humaine et en la convainquant de contrôler son propre comportement reproductif pour son propre bien et celui de la Terre, ils préfèrent mentir et se faufiler dans le dos de tout le monde, en nous escroquant et en nous menaçant de nous faire “vacciner” sous de faux prétextes. D’où leur négligence flagrante du Logos. Au lieu d’améliorer l’humanité, ils la dégradent, en s’appuyant sur une combinaison d’ignorance publique, de confiance mal placée, et d’idées et d’idéologies sans issue comme l’athéisme, le matérialisme, le communisme, le multiculturalisme et la “diversification” ethnique forcée, la “gouvernance mondiale” tyrannique pour amener l’humanité à se conformer.

(2) Alors que l’élite mondiale veut désespérément le contrôle total de la planète et de sa population humaine, elle n’est ni assez intelligente ni assez bonne moralement pour le mériter, et n’a aucune idée de la manière de l’utiliser correctement à l’avantage de l’espèce humaine et de la planète dans son ensemble.

(3) Cela se reflète dans le fait que leur programme de contrôle se limite au contrôle de la quantité et exclut totalement le contrôle de la qualité. Ils supposent que toute la véritable richesse génétique de l’humanité réside en eux, malgré leur manque flagrant de mérite (génie, rectitude morale). Souscrivant à une idée dépassée appelée “darwinisme social”, ils supposent simplement que tous les autres, même s’ils sont meilleurs et plus intelligents, sont inférieurs et remplaçables et devraient être soit éliminés, soit stérilisés, soit descendus, déracinés et fondus dans une vaste race d’esclaves de couleur moka pour la commodité de l’élite.

En bref, en se remplissant les poches et en bousculant tout le monde, l’élite se considère comme une “race maîtresse”, une sorte d’association mondiale d’élevage pour laquelle le reste de l’espèce n’est rien d’autre qu’un troupeau de bovins dociles à élever pour la servilité et tout juste assez d’intelligence pour suivre les ordres. Cela a été clairement et irréfutablement documenté, par exemple, par le programme de “génocide des Blancs” décrit il y a un siècle par R.N. Coudenhove-Kalergi, financé à l’origine par les Rothschild, les Warburg et d’autres banquiers internationaux, et qui fait maintenant l’objet d’une politique internationale dans tout le monde occidental.

Il est facile de voir où cela mène, et ce n’est bon nulle part. Personnellement, je suis prêt, si nécessaire, à infliger des blessures physiques graves à toute personne qui tenterait de me faire subir une de ces injections, et il devrait en être de même pour toute autre personne qui se respecte.

Q : “Pourquoi les propriétaires de la Plantation Mondiale voudraient-ils tuer ou réduire la fertilité de leurs sujets les plus soumis et les plus obéissants ?”

R : Vous ne comprenez peut-être pas tout à fait. Résister au “vaccin” permet à l’élite de vous identifier comme quelqu’un qu’il vaut mieux tuer et qui est donc éligible à la “vaccination prioritaire.” 😉

De plus, ils pensent qu’ils peuvent forcer tout le monde à prendre le “vaccin”, donc c’est discutable. Prenez-le maintenant, et vous pourrez être zombifié et asservi en tant que cyborg chimique ; ne le prenez pas, et vous serez prêt à être abattu, sans avoir besoin de “vaccin”. Tous les esclaves “valables” qui meurent immédiatement sont des dommages collatéraux acceptables ; de plus, chaque mort sert l’agenda de la dépopulation. (Ne supposez jamais que ces accros du contrôle n’ont pas calculé chaque mouvement qu’ils font pour sa valeur “pile nous gagnons, face vous perdez”. Même lorsqu’ils ne savent pas distinguer leur cul de leur coude, ce qui est assez souvent le cas, c’est leur principal critère politique).

Rappelez-vous, l’élite suppose qu’elle est la crème-de-la-crème génétique, et suppose que tous les autres sont des déchets génétiquement inférieurs et donc finalement sensibles à leurs techniques de contrôle mental. Il s’agit d’une opération de masse dans laquelle l’erreur humaine rend impossible une sélection efficace de la “qualité”, que celle-ci soit définie par le mérite objectif ou par la possibilité de servir la classe supérieure parasitaire.

Dans la vision élitaire du monde, seule l’élite est “élite”. Tous les autres sont de la merde et donc sacrifiables.

Le “darwinisme social” est leur justification absolue de leur propre pouvoir, et ils croient nécessairement qu’aucune personne assez stupide pour prendre ce faux vaccin contre le coronavirus ne peut être digne d’être préservée, tandis qu’ils pensent également que toute personne qui refuse le vaccin mérite d’être raflée et tuée.

Pile, je gagne, face tu perds.


Sources
https://www.newswars.com/smartest-man-in-america-breaks-down-global-elites-vaccine-sterilization-agenda/
https://www.youtube.com/watch?v=sKB4wAqMKRQ

Traduction et sous-titres : https://cv19.fr


[Voir aussi :
Le prétendu “plan Kalergi” de destruction de l’Europe
Après le covid, une cyberattaque mondiale ? — Pierre Hillard et liens annexes]




Entre Macron et sa baffe, où est la vraie violence ?

[Source : Le Media Pour Tous]

MACRON : L’ULTRA BAFFE ?

Vincent Lapierre réagit à la tarte à Tain qu’a dégustée Macron.




Un célèbre psychiatre formé à Harvard appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID

Dr. Peter Breggin

[Source anglaise : LifeSiteNews ]

[Photo : Dr Peter Breggin]

Par Pete Baklinski

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie. »

Dr Peter Breggin

Un psychiatre de renommée mondiale formé à Harvard et auteur de dizaines d’articles scientifiques appelle à un « moratoire » sur les vaccins COVID-19 en raison de l’explosion des réactions indésirables et des milliers de décès chez ceux qui ont reçu la piqûre.

« Le vaccin est beaucoup plus dangereux que la maladie COVID-19 », a déclaré le Dr Peter Breggin, ancien consultant à l’Institut national de la santé mentale, à John-Henry Westen de LifeSiteNews cette semaine.

« Il est très clair maintenant que nous avons absolument besoin d’un moratoire à ce sujet. Ne le prenez pas [le vaccin]. Nous avons besoin d’un moratoire », a-t-il déclaré.

Les commentaires de Breggin interviennent alors que les autorités américaines et européennes révèlent que, depuis décembre, plus de 10 000 personnes sont décédées après avoir reçu un vaccin COVID-19 et des dizaines de milliers ont subi des «événements indésirables». Ses commentaires interviennent également dans le sillage des agences fédérales américaines arrêtant l’utilisation du vaccin COVID à injection unique Johnson & Johnson alors qu’elles enquêtent sur le lien possible du vaccin avec des caillots sanguins potentiellement dangereux. Le vaccin AstraZeneca a également été interrompu dans divers pays tels que le Danemark, la Norvège et l’Islande, tandis que l’Allemagne a limité son utilisation aux personnes de plus de 60 ans. Les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis ont confirmé à Epoch Times aujourd’hui que 5800 Américains ont contracté le COVID-19 alors qu’ils étaient complètement vaccinés contre le virus, dont près de 400 qui ont nécessité une hospitalisation et 74 qui en sont décédés.

Breggin est un médecin spécialisé en santé mentale. Il s’est fait un nom dans ses efforts fructueux pour réformer le domaine de la santé mentale avec ses critiques des diagnostics psychiatriques et des drogues. Il est l’auteur de livres tels que Toxic Psychiatry, Talking Back to Prozac et Talking Back to Ritalin. Il a été salué comme la « conscience de la psychiatrie ». Son dernier livre s’intitule « Covid-19 et les prédateurs mondiaux : nous sommes la proie ».

Dans son entretien avec LifeSiteNews, Breggin affirme que le COVID-19 a été utilisé par les élites mondiales comme « couverture » pour instaurer un nouvel ordre mondial – appelé par Klaus Shawb The Great Reset [La Grande Réinitialisation] – où les vaccins jouent un rôle essentiel dans le contrôle la population.

« Le problème scientifique est que quiconque prend le vaccin est le cobaye d’une expérience. Vous êtes un sujet expérimental et vous étiez prévu depuis des décennies pour être un sujet expérimental avec les vaccins », a-t-il déclaré.

Breggin a qualifié les vaccins de « hautement expérimentaux » et de « très dangereux », soulignant qu’ils n’ont même pas été testés sur les animaux. Les vaccins interfèrent « avec l’ARN de vos cellules », a-t-il déclaré. « Ils transforment l’ARN, qui est très étroitement lié à l’ADN, pour fabriquer des protéines que vos propres cellules peuvent ensuite attaquer – votre propre corps peut alors attaquer vos cellules T, vos anticorps. Je pourrais peut-être vous en parler plus en détail, mais je veux juste faire comprendre que c’est une chose très étrange.

Il a déclaré que le nombre croissant de décès qui ont suivi la réception du vaccin tel que rapporté par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) [Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins] du CDC ne représente probablement qu’une petite fraction du nombre réel de décès étant donné que la notification est volontaire et que de nombreux médecins choisissez de ne pas signaler car ils ne veulent pas être impliqués dans une poursuite pour faute professionnelle médicale.

« C’est une fraction des décès », a déclaré Breggin.

« Il est possible qu’au lieu de 2 000 décès actuellement aux États-Unis étroitement associés au vaccin, ce soit 20 000. Nous n’avons aucune idée. Cela pourrait être encore plus élevé. »

Le médecin a exposé ce qu’il a appelé « l’objectif politique » que servent les vaccins : obliger les gens à prendre les vaccins expérimentaux pour un virus dont la majorité des personnes infectées se rétablissent, c’est finalement «écraser l’esprit humain » et rendre les gens plus docile au « totalitarisme » et à un « autoritarisme lourd ».

« Tout l’objectif est d’accroître la docilité de la population. Et le totalitarisme, un autoritarisme lourd, écrase l’esprit humain », a-t-il dit.

Breggin a déclaré que derrière les mesures coercitives infligées aux populations au nom de leur protection contre le virus se cache le désir des mondialistes d’élite de « dominer les autres êtres humains ».

« Vous êtes l’objectif d’un réseau totalitaire de prédateurs mondiaux qui sont tous impies. Aucun d’eux ne croit en Dieu. Aucun d’eux ne croit au patriotisme. Aucun d’eux ne croit en l’Amérique. Aucun d’entre eux ne croit en la liberté », a-t-il déclaré.

Le médecin a déclaré que les élites mondiales veilleront à ce que les citoyens restent suffisamment écrasés pour qu’ils puissent atteindre leurs objectifs.

« C’est pourquoi lorsque vous prenez le vaccin, on vous dit que vous devez quand même continuer à vous isoler ou que vous devez porter un masque. Non, non! C’est parce que c’est sans fin. Et quand vous lirez mon livre, vous verrez que tout a été calculé pour produire la « grande réinitialisation », et ce qui au cœur de celle-ci est la destruction de la démocratie patriotique américaine. »




Israël comme laboratoire et fer de lance du Nouvel Ordre Mondial

[Source : Rabbi Nahman de Breslev]

Analyse de la situation économique et sociale en Israël et dans le monde à l’heure de la Covid, dans une perspective qui évoque le plan des élites satanistes.




COVID : avec une première class action, les nuages s’accumulent sur la tête de nos élites

[Source : Le courrier des stratèges (lecourrierdesstrateges.fr)]

Par Hervé Coulaud

Début d’une class action, une première en France, visant le gouvernement et les ARS dans leur gestion de la première vague de la Covid-19. Cette procédure est destinée à recevoir des réponses sur le peu d’efficacité dans la conduite de l’action gouvernementale. Une class action permet à un groupe de citoyens et d’associations de se regrouper pour faire poids afin de mener une action en justice. L’action collective qui a sollicité l’audience de ce mercredi 3 mars 2021, au tribunal de grande instance de Paris, est la première du genre en France sur le thème du Covid-19.

Les Français ont connu successivement le manque de masques, puis le manque de tests, puis la pénurie des doses de vaccin. Ce fiasco résulte des hésitations et des déficits dans la gestion logistique de la crise par Macron, Buzyn, Véran et consorts qui risquent désormais ce qu’ils ont depuis des mois essayé d’éviter à tout prix, l’évocation devant les tribunaux de leurs attaques contre le bien-être des citoyens et les libertés fondamentales de notre République.

Un ensemble de mesures idiotes ou prises à contre-temps qui a conduit à la décrédibilisation de la fonction politique, et qui scelle par le credo du « quoi qu’il en coûte » l’abaissement de la France dans le classement mondial des puissances.

Qui est à l’origine de cette action ?

Comme l’évoque le journal « Le Parisien », une soixantaine de personnes morales et civiles se sont lancées dans cette class action – ses instigateurs évoquent même le nombre de 600 en comptant chaque membre des cinq associations représentées, comme Handi-Social, l’AR2S et l’UPGPS.

Les personnes civiles sont des proches de résidents d’Ehpad et de foyers pour personnes handicapées. Au total, 23.518 personnes ont apporté leur contribution sur le site « N’oublions rien » créé pour l’occasion, afin d’assurer notamment les frais de justice. Pour le moment, cette action collective se concentre sur la première vague, jusqu’au 30 juin 2020, « mais on prévoit évidemment d’étendre nos requêtes », fait savoir la dirigeante Sabrina Deliry.

Signe du malaise l’audience débute par la tentative de l’avocat de l’ARS Ile de France d’obtenir un énième renvoi d’audience

Pourtant la présence de nombreux médias révèle que la presse a senti qu’un vrai désir de transparence était bien présent dans l’opinion publique.

En effet on reste coi face au mensonge et la manipulation permanente des chiffres annoncés dans les média mainstream jusqu’alors, multipliés par 3 aux dires de certains professionnels de santé au plus près du terrain qui constatent au quotidien qu’ils ne sont pas le reflet de la réalité qu’ils vivent jour après jour dans les hôpitaux.

Maître Lèguevaques ainsi que les personnes ayant participé à cette “class action » ont pu rappeler la raison de cette assignation. Il demande comment, alors que le gouvernement avait prétendu réquisitionner tous les masques, des millions sont soudainement arrivés dans la grande distribution afin d’être vendus massivement ? Pourquoi, si les stocks étaient constitués pendant le confinement, n’ont-ils pas été réquisitionnés ?

Concernant le tri des malades, l’ARS Ile-de-France a-t-elle donné une échelle de sélection pour aider le personnel de santé à choisir entre soigner et laisser mourir, faute de moyens et selon des critères morbides ?

Les familles veulent également demander des preuves à certains organismes quant à leur transparence dans la gestion de la crise qui a été particulièrement mortelle dans les Ehpad

Car beaucoup de questions subsistent quant à la gestion de la crise dans les maisons de retraite. Sabrina Deliry explique à « France 3 Paris IDF » :

« Résultat : le 9 mars, ils ont confiné totalement les EHPAD, et ont interdit totalement les visites. Donc les familles étaient interdites, mais en parallèle le personnel ne portait pas de masques. C’est quoi cette hypocrisie ? »

L’action des plaignants se concentre sur trois points principaux :

  1. Comprendre la pénurie de masques au début de la crise. La démarche a notamment pour but d’obtenir la date exacte de l’arrivée sur le territoire national de masques achetés par les enseignes Carrefour et Leclerc.
  2. Lever le doute sur des soupçons de « choix thérapeutique » et de « tri des malades » sur des critères discriminatoires comme celui de l’âge.
  3. Faire la lumière sur des suspicions d’euthanasie.

Aucun argument, aucun élément sur le fond n’a été fourni par la défense

Pendant deux heures les avocats se sont surpassés pour exceller dans le jargon technique, technocrate et juridique afin de ne jamais discuter du fond et des choses qui étaient demandées.

Pendant deux heures, tout a été fait pour perdre le tribunal et l’auditoire dans une rhétorique pseudo argumentée et ainsi ne jamais réellement discuter d’éléments précis.

Pendant deux heures, tous les vices de procédures, même mineurs, ont été mentionnés pour noyer les poissons.

Enfin le président annonça la fin de l’audience dès qu’on commença à parler d’éléments concrets, sans doute certaines personnes ne se sentant plus réellement à l’aise ?

Les parties ont choisi une procédure civile qui a pour but de rassembler des preuves en obtenant la publication de documents et d’informations ou en sollicitant des expertises en vue d’éventuelles poursuites.

Toutes les institutions qui ont été visées lors de l’audience, dont l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), l’Agence régionale de santé (ARS) d’Île-de-France, la Ville de Paris, les douanes ou les groupes Carrefour et Leclerc, ont plaidé l’irrecevabilité de ce référé.

Rendez-vous le 9 juin donc, pour la décision. La justice se hâte lentement. Aura-t-on enfin des éléments factuels pour comprendre cette crise sanitaire ? Impossible à ce jour de le dire.

Une première étape pour quoi faire ?

L’objectif est d’obtenir des preuves matérielles permettant aux familles et associations de rassembler des preuves matérielles afin de constituer des dossiers. Une fois que les familles auront ces documents, quand il y aura des fautes et des responsabilités démontrées, chacun Français concerné sera libre d’assigner en justice jusqu’au plus haut niveau de l’Etat, sans se faire écraser par des lobbys hyperpuissants comme ceux des Ehpad.

La question du dédommagement n’intervient pas à cette étape de l’action. Quand un proche est décédé est qu’on vous cache des choses, la colère ne s’apaise pas. Or jusqu’à aujourd’hui les arrêtés qui emprisonnent nos aînés dans les EPHAD ont eu pour effet de priver les gens d’adieux à leurs parents. Le temps est venu désormais d’apaiser cette colère et d’identifier les fautes pour ne pas qu’elles se reproduisent à l’avenir.

Comme le fait remarquer le journal Sud-Ouest, plusieurs procédures ont été engagées contre des ministres devant la Cour de justice de la République (CJR), seule instance habilitée à les juger dans l’exercice de leurs fonctions, notamment pour «abstention de combattre un sinistre».

Par ailleurs, 365 plaintes visant des responsables de l’administration ont été déposées depuis le 24 mars au pôle santé publique du tribunal de Paris et dans le cadre de la gestion de la crise de la Covid-19, le parquet de Paris a ouvert quatre informations judiciaires…à suivre !




La Lettre de la Médecine du Sens n°326

[Source : Sens et Symboles]

« L’intelligence n’est pas affaire de diplômes. Elle peut aller avec mais ce n’est pas son élément premier. L’intelligence est la force, solitaire, d’extraire du chaos de sa propre vie la poignée de lumière suffisante pour éclairer un peu plus loin que soi – vers l’autre là-bas, comme nous égaré dans le noir. » 

Christian Bobin, L’inespérée

La Lettre de la Médecine du Sens n°326

Bonjour à toutes et à tous,

On se dit tous que ça ne se terminera jamais et que cela n’a pas de sens. Et pourtant, c’est d’une grande logique.

Essayons de bien voir ce qui se passe actuellement au niveau des vaccins. Il y a une chose capitale à comprendre et qui explique beaucoup de choses. 

Les vaccins ne sont autorisés qu’avec une AMM conditionnelle, ce qui est différent d’une AMM pleine et entière. (AMM = Autorisation de Mise sur le Marché)

Dans l’AMM pleine et entière les produits ont terminé la totalité des essais.

Mais il est possible de délivrer une AMM plus précoce, dite conditionnelle, avant que tous les essais ne soient terminés et validés, c’est-à-dire dans une phase encore expérimentale, dite de phase 3.  

Cette situation d’exception demande deux conditions :

  • que l’action du produit soit au-dessus de 50%,
  • qu’il n’y ait pas d’autre traitement possible.

C’est donc un traitement réservé aux situations d’urgence sans aucune autre possibilité. Seulement voilà, ici il y a deux hic. Le premier c’est que si les vaccins sont annoncés par les laboratoires à 95% d’action, Peter Doshi dans le BMJ (British Médical Journal ) du 4 janvier (Lettre MDS 325, lien : https://www.lessymboles.com/une-etude-scientifique-remet-en-cause-lefficacite-des-vaccins-anti-covid/ ) nous indique que les dits vaccins ne sont actifs, après relecture par ce très grand scientifique incontesté, que entre 19 et 29%. 

Cette publication n’a été contredite par personne.

Et bing ! Voilà une des deux conditions qui saute.

La deuxième est qu’il n’y ait aucun autre traitement, et là vous comprenez pourquoi depuis le début tout le système s’acharne à démontrer que le traitement du Pr Raoult n’existe pas (alors qu’il fonctionne à 60%), ou que soit ignorée aussi totalement, en France du moins, l’Ivermectine qui agit entre 80 et 100% au début et encore  40% en phase tardive.

Bing ! C’est la deuxième qui saute.

Ce serait tout le jackpot des vaccins qui sauterait. Et nous verrons juste après qu’il est énorme.  

Nous utilisons donc actuellement des vaccins qui ne devraient pas légalement avoir d’AMM provisoire.  

Si on continue, on réalise ce qui pourtant était évident depuis longtemps, c’est que les virus à ARN mutent perpétuellement et que c’est pour cela que l’on n’a jamais réussi à faire de vaccins contre les coronavirus.

Les laboratoires prétendent encore que leurs vaccins agissent sur la variant Anglais, mais déjà plus sur le variant Sud Africain à peine 1 mois 1/2 après le début des vaccinations. Et ce sont encore une fois les seules données de Pfizer, entreprise qui a déjà été condamnée en 2009 à 2,3 milliards d’euros d’amende pour falsification de données, publicité mensongère et commissions occultes (valises de billets pour corruption, pour des responsables et des leaders d’opinion).

Il faut toujours en médecine faire attention à ne pas abuser de ce qui marche. Les antibiotiques ont été en médecine une découverte essentielle, mais leur utilisation abusive a conduit à des antibio-résistances qui vont être dramatiques.

Malheureusement, nous continuons les mêmes erreurs au niveau des vaccins. Nous voyons bien apparaitre un vaccino échappement avec les variants anglais et sud africain. Cela risque de créer, comme au niveau des antibiotiques, une situation critique de résistance. 

Pourtant, les traitements existent.  

La Coordination Santé Liberté publie ce 31 janvier 2021 une synthèse très interessante et documentée des traitements efficaces du Covid 19 de quoi soigner très efficacement.

Télécharger le PDF :  https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/2-Groupe_de_travail_PREVENTION___THERAPEUTIQUE.pdf 

Dans quelques jours elle publiera le Comité Scientifique Indépendant. Qui pourra donner des avis sur la crise avec une autre voix face à la doxa officielle de plus en plus totalitaire. Évidement, dès la sortie des recommandations toute la presse mainstream (celle qui appartient aux mêmes milliardaires) réagit. Il faut voir cela comme un satisfecit de qualité. Nous avions déjà dit dans la dernière lettre que la mortalité corrigée de 2020 était moindre que celle de 2015 ou 2017.

Lien : https://www.youtube.com/watch?v=8pA9pfFUSIk&feature=youtu.be 

Voilà avec ces recommandations notre Covid qui a terrorisé, ramené au stade d’une infection respiratoire assez commune.  

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant.

Pourtant LA chose à faire depuis le début de la crise était d’augmenter massivement le nombre de lits de réanimation en France. Cette pandémie aura au moins eu le mérite de révéler que la politique massive de réduction de lits poursuivie par tous les gouvernements depuis 20 ans était une catastrophe. Pourtant le gouvernement fait tout le contraire. Une fois de plus, il fait n’importe quoi ! En Ile de France, selon le Canard Enchaîné, ils sont passés de 2500 à 1700, alors que c’est tout l’inverse qu’il aurait fallu faire. Dans la situation actuelle c’est provoquer artificiellement une saturation des lits de réa. C’est à la fois manipulateur et criminel.

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Le nombre de lits de réanimation a baissé entre mars 2020 et maintenant

Pourquoi le gouvernement a-t-il délibérément laissé baisser le nombre de lits ?

Lire la suite.

Le conseil de l’Europe, dans une décision, rappelle la liberté vaccinale et l’interdiction de faire pression ou de discriminer.

La résolution 2361 adoptée le 28 janvier au Conseil de L’Europe indique entre autres : 7.3. pour ce qui est d’assurer un niveau élevé d’acceptation des vaccins:
7.3.1. de s’assurer que les citoyens et citoyennes sont informés que  la vaccination n’est PAS obligatoire et que personne ne subit de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner, s’il ou elle ne souhaite pas le faire personnellement ;
7.3.2. de veiller à ce que personne ne soit victime de discrimination pour ne pas avoir été vacciné, en raison de risques potentiels pour la santé ou pour ne pas vouloir se faire vacciner ;   Alors restons calmes, fermez vos télés, adhérez aux différents collectifs, attendons la fin des études pour prendre position sur les vaccins. Et prenez soin des personnes que vous aimez, et des autres aussi ! E.A.


BonSens, RéinfoCovid, Laissons les médecins prescrire, Réaction19, Les tribunes de Laurent Mucchelli, Manifeste des Médecins pour une 4ème voix, 

Vous retrouverez les liens de ces divers collectifs dans l’article : Le monde s’organise https://www.lessymboles.com/le-monde-sorganise/


Ivermectine de très nombreuses études montre sa remarquable action.

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Ivermectin-covid-metanalysis-fev2021.pdf


HOLD-UP Version finale, le 15 février 2021 à 20h00. 

HOLD-UP revient dans une version augmentée, c’est énorme ! Le Lundi 15 Février 2021 à 20H sur https://holdup-lefilm.fr/


Dr Louis Fouché 

Bas les masques – COVID-19 Bilan avec le Dr Louis Fouché Très belle synthèse médicale pour bien tout comprendre simplement.


Dr Louis Fouché : la désobéissance civile.


Pr Didier Raoult 

Surmortalité chez les très âgés, mais pas du tout avant 65 ans. Les mesures contraignantes  (confinement, couvre-feu, fermetures des restaurants et commerces) n’ont aucune efficacité.


Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

Pr Raoult : la France est tiers-mondisée dans sa lutte contre le Covid

La surmortalité la plus importante s’est produite en région parisienne.

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Pr Raoult chez Guillaume Durand.

Pr. Didier Raoult, on va rendre tout le monde fou ! (Radio Classique, 28 janvier 2021)


Le Pr Raoult chez Bercoff

Les mesures sanitaires, on le sait maintenant, ne servent à rien. C’est en famille que l’on se contamine et le confinement a fait flamber l’épidémie. Didier Raoult : « Ce n’est pas dans la rue qu’on attrape le Covid-19, mais confiné à la maison ».


Excellent article de Edouard Broussalian sur les vaccins.

Version PDF de l’article :  https://planete-homeopathie.org/wp-content/uploads/2021/01/Lettre-Ouverte-Pr-Siegrist.pdf

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Dr. Edouard Broussalian : lettre ouverte sur les vaccins

Je suis navré, aucun médecin doué de raison ne peut acheter un tel discours.

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Et son passage sur RTS revu avec humour


Chez Pascal Praud, le Pr. Peyromaure dénonce une vaccination « à marche forcée”:


Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Vaccin Pfizer : étude bidouillée et conclusions douteuses

Un article de Jean-Dominique Michel. C’est au fond très simple, les praticiens préconisant ce vaccin sont donc, tous, hors la loi en le recommandant. Lire la suite.


PFIZER : le vaccin, un jackpot à plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

PFIZER : le vaccin rapporte plus de 15 milliards de dollars

Le chiffre d’affaires est ressorti à 11,7 milliards, contre un consensus de 11,5 milliards.

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Nice Matin, édition du 17 janvier 2021


Confinement : vers la fin de l’hystérie

Confinement : vers la fin de l’hystérie

Par  Ivan Rioufol du Figaro. « J’ai confiance en nous », a tweeté samedi le chef de l’Etat, en feignant d’oublier sa précédente politique d’infantilisation et de culpabilisation des Français. Lire la suite.


Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché. Par Kamran Abbasi le patron du BMJ dénonçant la corruption en manière de science ce qui nous renvoie évidement au fameux article bidon du Lancet. _ * La FDA, l’agence américaine de réglementation pharmaceutique, a approuvé l’utilisation de l’hydroxychloroquine chez tous les patients atteints de Covid-19. *

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Covid-19: politicisation, “corruption,” and suppression of science

Le fameux article que cite régulièrement Louis Fouché.

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Vaccination des handicapés et trisomiques.

Les personnes fragiles et pas en état de donner leur consentement. « Les gens qui ne sont rien » de Emmanuel Macron.


Une étude sur 9 899 828 personnes en Chine montre que les asymptomatiques ne sont pas contagieux.


Le gouvernement américain a perdu un procès historique sur les vaccins !

Télécharger le PDF : https://www.lessymboles.com/wp-content/uploads/2021/02/Le-gouvernement-américain-a-perdu-un-procès-historique-sur-les-vaccins-.pdf  


Emmanuelle Charpentier, prix Nobel de chimie 2020, affirme que l’A.R.N a pour but de modifier le génome


La face cachée du système Macron

Macron le Manipulateur. Glaçant.


Francis Lalanne au Défi de la Vérité


Quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité

BAS LES MASQUES – Refus de la transparence : quand le conseil scientifique flirte avec l’illégalité.


Ce n’est qu’un début.

Un jour, qui se rapproche, il y aura un Nuremberg pour juger les responsables du plus grand scandale sanitaire du 21° siècle comme le titre du dernier livre de Didier Raoult.


Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe après la plainte de Didier Raoult pour diffamation 

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

Une information judiciaire ouverte contre Karine Lacombe

« Ce qui se passe à Marseille est à mon avis absolument scandaleux (…) C’est en dehors de toute démarche éthique. »

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Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

Drosden, le monsieur vaccin d’Angela Merkel, mis en examen

le Dr Drosten, conseiller virologue d’Angela Merkel est aujourd’hui poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené tous les gouvernements occidentaux à prendre toutes ces décisions de distanciations sociales, de port du masque obligatoire et de confinement ravageuses.

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La ministre australienne fait semblant d’être vaccinée.

Le capuchon de l’aiguille reste en place !

COMMENT NOS PSEUDO ÉLITES MENTENT DEPUIS TRES LONGTEMPS, tout comme Bill Gate qui a dit que ces propres enfants ne seront JAMAIS vaccinés !!! Mais il veut vacciner la Terre entière !!! Réfléchissez ….

Autre information , la recherche d’un vaccin met environ 10 ans et là, une pseudo-pandémie en cours et déja un vaccin ???


Vaccins miracles et marketing!

Vaccins miracles et marketing!

Les « complotistes » avaient une fois de plus raison , il faut revenir à l’évidence, une évidence rappelée par le PR Fisher lui même… Et si l’urgence était de soigner ? La vaccination ne règle rien.

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Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé

Coup de chapeau au Dr Jean-Michel Crabbé, qui mouille courageusement la chemise en écrivant ceci à l’Ordre des Médecins: Monsieur le Président, mes chers confrères, Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes …

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« Danser encore », une chanson de HK.

Radio Courtoisie : Les vaccins.

Drs Louis Fouché, François Godeau, Pascal Sacré, Olivier Soulier, Me Carlo Alberto Brusa, La député Carine Montaner, Oskar Feyinger …

Réécouter les précédentes émissions : https://www.lessymboles.com/emissions-de-radio/


HUMOUR

Franjo : la vaccination

Drôle et si vrai.


Le dessin d’Emeline : « Corona etc… »

Le site d’Emeline : https://lesdessinsdeme.com/


« Olivier Soulier a fait un débriefing avec BonSens, France Soir et Xavier Azalbert »


Les prochains séminaires

Voir le programme complet de Sens et Symboles 

https://www.lessymboles.com/seminaires-resume/


Bonne semaine à toutes et à tous !




La fin de la mondialisation

Par Joseph Stroberg

La mondialisation, alias globalisation, alias village global, alias… Nouvel Ordre Mondial est un système imposé par une caste élitiste. Comme tout système matériel, elle finira par disparaître, car la matière est caractérisée par des limites autant spatiales que temporelles, au contraire de l’esprit. En attendant, la masse des hommes se contraint à vivre dans ce système de plus en plus coercitif. Pourtant, en connaissant son moteur et ses mécanismes fondamentaux, il est possible d’en accélérer la chute, alors même que les élites espèrent illusoirement le rendre immortel. Elles le renforcent législativement par des lois contrôlantes, scientifiquement par des technologies invasives, politiquement par la fusion du marxisme et du capitalisme, etc.

La mondialisation est l’aboutissement d’un long processus de recherche de contrôle sur la vie terrestre, ceci incluant les ressources énergétiques, minérales, végétales, animales… et humaines par une lignée d’élites autoproclamées qui relèvent le plus souvent de psychopathie, pathologie provenant d’une coupure du lien avec l’âme. Celle-ci est pourvoyeuse de la conscience morale innée, de la volonté de vivre, de la sensibilité émotionnelle permettant l’empathie et la compassion, et de l’entendement mental qui permet notamment la compréhension humaine et le discernement. Coupé de son âme, le psychopathe est marqué par une peur viscérale de la mort (qui peut être profondément enfouie, par une forme de déni) et compense par une recherche de contrôle sur sa vie et sur celle des autres, vie qu’il espère prolonger jusqu’au point de l’immortalité physique. La volonté naturelle de vie, stimulée par l’instinct de survie, devient chez lui hypertrophiée, d’autant plus qu’il ne reconnaît aucune source spirituelle ou divine à son existence et ne jure par conséquent que par le matérialisme.

Pour un psychopathe, tout se passe comme si les attributs habituels de l’âme ne s’écoulaient plus que par le canal de la volonté, au détriment de la sensibilité, de l’entendement et de la conscience morale. Si la coupure du lien était totale, ce serait tout simplement la mort. Comme le psychopathe ne l’est manifestement pas, il conserve ce type de lien. En conséquence il est marqué par l’absence d’empathie, de scrupules, de compréhension des autres, et d’altruisme, le tout amenant automatiquement les mensonges et la manipulation dans le but d’obtenir plus facilement et plus rapidement ce qu’il cherche : le contrôle.

Par leurs caractéristiques fondamentales, les psychopathes tendent à écraser autrui pour se propulser au sommet des hiérarchies dans lesquelles ils se trouvent au départ ou dans celles où ils parviennent à se glisser par différents moyens (ruse, mensonge, subterfuges, chantage, manipulation, etc.). À l’époque actuelle, nous les retrouvons ainsi massivement à la tête des gouvernements, des institutions financières (dont les banques et les banques centrales), des multinationales, des armées, des administrations, des systèmes éducatifs, des sociétés secrètes et semi-secrètes, des services secrets, etc. Le Nouvel Ordre Mondial marque l’aboutissement de leur œuvre d’origine multimillénaire. Il est en voie d’achèvement, étant réalisé à 80 ou 90 %. Sa structure de contrôle de modèle pyramidal couvre tous les secteurs de la vie humaine : politique, économique, militaire, policier, médical, éducatif, scientifique, judiciaire, religieux, etc. Chacun de ces secteurs y dispose de sa propre pyramide hiérarchique, dans pratiquement tous les pays du monde.

Le système de contrôle total que les psychopathes nous fabriquent est bien sûr à leur image : froid (notamment des machines au détriment de l’organique), matérialiste, manipulateur, coercitif, invasif, rusé… Il utilise les médias dominants (en très grande majorité détenus par les élites mondialistes) pour sa propagande quotidienne basée sur la manipulation et la peur. Il engendre une pensée unique qui écarte toute alternative comme étant conspirationniste ou complotiste. Il égare les gens sur les symptômes des problèmes mondiaux sans exposer leurs causes profondes, ceci pour mieux proposer ses solutions qui ne résolvent rien, mais qui nous emprisonnent chaque jour davantage. Pourtant, nous pouvons le faire tomber.

Nous pouvons contribuer individuellement à l’effondrement du Nouvel Ordre Mondial en adoptant des mesures et des comportements tels que les suivants :

  • Cesser de craindre la mort, ceci en redécouvrant au besoin notre dimension spirituelle, notre conscience morale, notre essence… ;
  • Cesser de chercher à contrôler sa vie ;
  • Cesser de mentir et de manipuler les autres ;
  • Développer et manifester la compassion, l’entraide, la compréhension d’autrui, la fraternité, l’amitié sincère, de manière inconditionnelle (sans attentes, sans chercher du retour ou des remerciements, sans craindre les trahisons) ;
  • Cesser de surconsommer, mais tendre plutôt vers la simplicité volontaire et un mode de vie plus spartiate et plus respectueux de l’environnement ;
  • Boycotter les multinationales le plus possible et leur préférer les petits producteurs locaux ;
  • Prendre sa santé en main ;
  • Etc.

Le Système actuel disparaîtra quand nous adopterons les tendances contraires à ce qui le caractérise et l’alimente.


Voir aussi :




Klaus Schwab et sa prise d’otages de masse 2.0

Par Jean-Michel Grau

“Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.”

Nicolas Machiavel, Le Prince

«Soyez résolus à ne plus servir et vous voilà libres !»

Cette maxime de La Boétie doit devenir pour nous tous le meilleur antidote au projet eugéniste de Klaus Schwab dont le livre «Covid-19 : la grande réinitialisation» se veut le bréviaire et la feuille de route d’une prise d’otage mondiale qui a commencée, afin de soumettre les peuples dans une dictature sanitaire avec le Covid-19 pour mettre en œuvre la grande réinitialisation du capitalisme.

Qui est Klaus Schwab? Il est né en Allemagne à Ravensburg en 1938 et est le dirigeant fondateur du Forum de Davos (WEF) qui rassemble depuis 1971 le gratin de l’élite économique mondiale, mais aussi, politique, financière et des médias, à l’image d’autres organisations plus informelles que sont le Bilderberg ou la Trilatérale, rassemblant chaque année des décideurs internationaux parmi lesquels Jacques Attali, Christine Lagarde, Bill Gates, Jeff Bezos ou David Rockefeller. «L’existence de ces organisations pose pourtant des questions aussi essentielles que : est-il possible de répondre aux défis de notre temps avec des appareils de coordination contrôlés par des élites aussi restreintes ? Élites uniquement sélectionnées en vertu de leur pouvoir et de leur richesse, qu’elles appartiennent à quelques pays seulement, ne sont élues par personne, ni déléguées par aucune autorité publique et sont inspirées par le dogme du marché autorégulé.» [1]

Seulement voilà, le dit marché autorégulé donne des signes de faiblesse depuis quelque temps. La crise des subprimes de 2008 montre à quel point une gestion confiée à un groupe restreint et aux favorisés du marché est porteuse de chaos. «Ce système de création monétaire kafkaïen voulant que l’argent soit créé à partir de dettes et d’intérêts qui nous obligent mécaniquement à générer perpétuellement de nouvelles dettes plus grandes que les précédentes est à bout de souffle. Un système d’esclavage financier qui porte en lui les germes de l’autodestruction, puisqu’une dette en constante augmentation exige une croissance en constante augmentation et donc des émissions de CO2 toujours plus grandes.» [2] Pour éviter la surchauffe qui ne peut mener qu’à un effondrement généralisé de tout le système financier dans son ensemble, Klaus Schwab et ses affidés ont imaginé un scénario de décroissance accélérée appelé grande réinitialisation, ou «grand reset» et qu’ils s’appliquent à mettre en œuvre aujourd’hui avec le Covid.

De même que ce sont les Etats, donc les peuples, qui ont sauvé les banques de la faillite lors de la crise des subprimes de 2008, ce sont à nouveau les peuples qui sont mis à contribution pour éviter le naufrage financier suite à la dérégulation financière débridée de la mondialisation dont la dette devient aujourd’hui insoutenable. La décroissance voulue par Schwab passe donc par la mise au pas des peuples en leur imposant de gré ou de force une dictature sanitaire en agitant la peur d’un virus pour endiguer toute croissance de la consommation et saper des pans entiers de l’économie jugés non essentiels : culture, tourisme, restauration, PMI-PME, le point commun de ces secteurs économiques étant qu’ils utilisent tous, entre autre, la monnaie papier pour leurs règlements, monnaie que veulent faire disparaître les grands argentiers de la planète pour faire advenir la monnaie cryptée pour mieux tracer et contrôler la population à l’image de ce qui se fait déjà en Chine.

Cette prise d’otage des peuples s’inscrit dans un scénario planifié en deux temps simultanés:

  • Tout d’abord l’intrusion de la fraude dans l’élection américaine en mettant tout en œuvre pour exclure la réélection de Donald Trump dont le premier mandat a favorisé une croissance de 2,5%, inédite depuis longtemps aux Etats-Unis. Le corollaire de cette croissance est que la dette déjà insoutenable de l’économie américaine s’est littéralement envolée. Donald Trump a certes bénéficié d’un héritage très positif, mais il est parvenu à faire en sorte que l’expansion se poursuive. Avec un chômage de 3,5%, au plus bas depuis 50 ans jusqu’à la crise du Covid, la réélection de Donald Trump semblait assurée. C’était sans compter sur la volonté d’en finir des mondialistes avec l’administration Trump : les 6 swing states ont basculé comme par miracle dans le camp du challenger démocrate Joe Biden. Aujourd’hui, il apparaît indéniablement que ces élections ont été entachées de fraudes massives pour faire élire le candidat démocrate, les innombrables preuves compilées par l’avocate Sidney Powell étant accablantes.
  • Ensuite, la deuxième mise au pas des peuples, la plus effrayante et la plus cauchemardesque par son ampleur et sa solution finale, passe par la création d’une peur collective planifiée et entretenue par la scénarisation de la contagion d’un virus à l’échelle planétaire: le Covid-19.

Ce virus à la létalité de 0,05% dont ont doit rappeler qu’il n’est ni plus ni moins mortel que celui de la grippe saisonnière.

Malgré tout, ce que l’on appelle dorénavant «la grande pandémie du Covid-19» n’est rien d’autre qu’un scénario monté de toutes pièces par Klaus Schwab, le tout relaté en détail dans son livre [3], pour tétaniser les peuples par la peur afin de mettre en scène son grand reset de l’économie mondiale. A tel point que ce scénario a fait l’objet d’une répétition générale en 2019 au Forum de Davos que l’on peut trouver en ligne sur la chaîne YouTube du WEF sous le titre «We ran a massive viral pandemic simulation. Here’s what we learned about managing Coronavirus.» («Nous avons testé une simulation de pandémie virale. Voici ce que le management du Covid nous a appris.») Il suffit de lire tous les commentaires de cette vidéo de 3 minutes pour voir que personne n’est dupe : il ne s’agit ni plus, ni moins qu’une manipulation de grande envergure.[4]

Tout avait déjà été prédit par le gourou Jacques Attali dès 2009 dans un article messianique publié par L’Express et intitulé «Avancer par peur», (5) où il affirmait que «l’humanité ne pouvait évoluer significativement que lorsqu’elle a vraiment peur et que seule une pandémie majeure ferait surgir la prise de conscience d’un altruisme (!) pour jeter les bases d’un véritable gouvernement mondial».

Publié en juillet 2020, le livre de Klaus Schwab «Covid-19 : la grande réinitialisation» n’est rien d’autre qu’un programme économique et politique totalitaire qui se propose d’avancer «des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique devrait ressembler». Le plus étonnant est que Schwab admet que le Covid-19 est «l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années», ajoutant que «les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes». Il continue : «Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies». Et pourtant ! Incroyablement, cette maladie «bénigne» est simultanément présentée comme l’occasion unique d’un changement sociétal sans précédent, sous la bannière de «La Grande Réinitialisation» ! Schwab place ainsi le Covid-19 dans une longue tradition d’événements allant de la peste noire du Moyen-Âge au 11 septembre 2001 en passant par la Seconde Guerre mondiale qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés. Il invoque ainsi «La Seconde Guerre mondiale qui a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux des politiques et des dispositions du contrat social.»

Il ajoute qu’il «existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre, mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables. C’est notre moment décisif», pavoise-t-il. «Un nouveau monde émergera». «Le bouleversement sociétal déclenché par le COVID-19 durera des années, voire des générations».

«Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est : jamais!» Les industries de la restauration, du tourisme et de la culture, mais aussi les petits commerces savent à quoi s’en tenir désormais.

Le ton est donné : «Des changements radicaux d’une telle ampleur sont tels que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » et « après le coronavirus »» .

Tous ces commentaires montrent une seule et même chose : Schwab se veut le grand architecte de cette pandémie planifiée par lui et ses acolytes pour mettre en place le grand reset. Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société dystopique au reste d’entre nous ? La solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable débitée en copié-collé par les grands médias occidentaux, mais aussi les GAFAM, verrouillés par une oligarchie financière aux mains d’une poignée de multi-milliardaires pour instiller la peur du virus durablement.

Schwab est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel. Il proclame : «Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables, signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique».

Une section entière de ce livre est consacrée au thème «Modifier l’être humain», ravalant les dystopies «1984» et «Le meilleur des mondes» à celui des bisounours. Ici, Schwab bave sur «la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous» et évoque un futur cyborg impliquant «des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes». Il écrit : «Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle- même». Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de «micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps», de «tatouages intelligents», de «calcul biologique» et «d’organismes sur mesure capables de lire dans nos souvenirs» (!)

Il est ravi d’annoncer que «les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes», que «les dispositifs implantés aideront aussi à communiquer des pensées exprimées verbalement via une puce numérique intégrée, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales».

La «biologie synthétique» est à l’horizon dans le monde de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial «la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN». C’est sur quoi certains labos s’ingénient à travailler dès à présent avec les «vaccins» ARN. L’idée même des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau suffit à nous donner la nausée, tout comme «la perspective de connecter notre cerveau à la réalité virtuelle via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots». Le Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab d’asservissement des peuples, car l’urgence immédiate qu’il présente permet de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux et sans aucune considération éthique. Ainsi : «Notre peur persistante et durable d’être infectés par un virus COVID-19 ou un autre accélérera la marche implacable de l’automatisation. De nouvelles réglementations resteront en place». Il ajoute : «L’impératif actuel est de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifie que l’on est sans tabou». (!)

«Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention (!) deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persisteront, l’appui sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées». «Le mouvement de l’entreprise ira vers une plus grande surveillance : pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale».

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les «vaccins Covid» en cours de préparation, car derrière les «vaccins» se cache le traçage et la surveillance de masse de toute la population. On ne s’étonne donc pas qu’il insiste sur le fait qu’ «un retour complet à la normale ne peut être envisagé avant qu’un «vaccin» ne soit disponible». Il ajoute : «Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaxxers». Ceux-ci rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous les engagés dans des «conflits de classe», «résistance sociale» et «réaction politique».

Mais comment Schwab envisage-t-il de faire face au «sombre scénario» des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ? Quel degré de force et de mesures coercitives serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né. La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, elle s’est effondrée 988 ans avant son objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en a été ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et ses amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes et leur conditionnement pour accepter leur dictature sanitaire et leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins qui ne sont rien d’autre qu’une thérapie génique. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des puces numériques ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à rester confinés ou marcher muselés et soumis, pour bientôt être piqués tels des poulets dans l’attente de l’abattoir de leur enfer transhumaniste. Nous devons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda mortifère ! Refuser leur grand reset qui n’est rien d’autre qu’un populicide ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme ! Klaus Schwab n’est pas un dieu, juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, dont Emmanuel Macron est l’apôtre le plus servile et zélé, sont peu nombreux. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas notre consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

Tout cela pour tenter de sauver le néolibéralisme qu’ils ont fait prospérer au-delà de tout contrôle alors qu’il existait d’autres voies plus raisonnables et plus viables comme le Keynesianisme qu’ils ont systématiquement rejetées et balayées.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous forcer à nous confiner et nous baillonner sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification d’urgence par la peur, nous n’allions jamais accepter leur plan monstrueux.

Mais la peur est en train de changer de camp : pourquoi le prochain Forum Economique Mondial aura-t-il lieu à Singapour et non pas à Davos, puis Genève comme prévu précédemment ? Ont-ils peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons ? En réalité, si nous nous en donnons la peine, nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré. Pour preuve, le Dr Drosten, le conseiller virologue d’Angela Merkel est poursuivi par la justice allemande pour avoir faussé le protocole des tests PCR qui a amené les gouvernements à prendre des décisions de confinement ravageuses. En effet, en préconisant des valeurs de réglage CT au dessus de 30, les résultats des tests devenaient positifs avec des traces infimes de virus dans la plupart des cas, dans le but de continuer à alimenter la peur généralisée. Enfin, le Conseil d’État italien vient d’autoriser à nouveau l’hydroxychloroquine comme traitement du Covid-19, entravant ainsi la thérapie génique mortifère planifiée par Schwab.

Aujourd’hui, il appartient à chacune et à chacun d’entre nous de lire le livre de Klaus Schwab qui jette les bases du monde cauchemardesque dans lequel on vient d’entrer si l’on veut savoir ce qui nous attend pour en sortir au plus vite. Quand il sera trop tard, on ne pourra pas dire qu’on ne savait pas. Car comme pour «Mein Kampf», tout était déjà écrit.

Comme l’a dit Emmanuel Macron, nous sommes bien en guerre, mais pas contre un virus : contre Klaus Schwab et ses soldats mondialistes qui veulent nous asservir par la dictature sanitaire et la thérapie génique pour éviter l’effondrement du néolibéralisme.

Ce n’est pas aux peuples de payer les erreurs néolibérales d’une poignée de multi-milliardaires corrompus qui ont mis l’économie mondiale à genoux. Il y aura un tribunal de Nüremberg pour toutes celles et ceux qui auront participé à cette tentative de génocide mondial : politiques, économistes, financiers, gourous, médecins, chercheurs et autres apprentis sorciers des laboratoires pharmaceutiques.

Nous devons gagner cette guerre idéologique par tous les moyens: judiciaire, médiatique, cyber et politique. Il y va de notre survie à tous et de l’avenir de nos enfants ! Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons reprendre dès demain notre liberté des mâchoires mortelles de cette machine infernale à broyer les humains et sauver la démocratie.

Ce texte est une adaptation résumée de la traduction du remarquable article des journalistes dissidents du Guardian le 12 octobre 2020 : 
https://off-guardian.org/2020/10/12/klaus-schwab-his-great-fascist-reset/.

Notes

  1. le groupe Bilderberg, «l’élite» du pouvoir mondial, Domenico Moro, éditions Delga.
  2. les esclaves de l’anthropocène, Nicolas Teterel, éditions Yves Michel.
  3. Klaus Schwab, Covid-19 : la grande réinitialisation, forum publishing.
  4. https://www.youtube.com/watch?v=0-FQbhkWYuY&ab_channel=WorldEconomicForum
  5. https://www.lexpress.fr/actualite/societe/sante/avancer-par-peur_758721.html.



Pr Dolores Cahill : Des gens mourront après avoir été vaccinés contre le COVID-19

[Source : Olivier Demeulenaere via Les 7 du Québec]

« Dolores Cahill, professeur au University College de Dublin et experte mondialement reconnue dans son domaine, prédit que des décès surviendront dans le monde entier comme conséquence directe de la prise des vaccins COVID-19.

Dans sa dernière interview vidéo, le célèbre professeur Dolores Cahill fait cette sombre prédiction en se basant sur ce que l’on sait déjà des vaccins, de leur développement précipité et de l’approche entièrement nouvelle utilisant l’ARN messager au lieu des anticorps conventionnels.

Comme presque tous les grands experts qui s’élèvent contre le discours officiel sur la pandémie, le professeur Cahill a subi des représailles professionnelles et personnelles. Dans son cas, Dolores Cahill a été contrainte de démissionner de son poste de vice-présidente du comité scientifique de l’Initiative en matière de Médicaments Innovants (IMI), un partenariat entre la Commission européenne et l’industrie du médicament visant à promouvoir les nouveaux médicaments.

« Pourquoi des gens vont commencer à mourir quelques mois après les “vaccinations” à ARNm »

Embarrassée par les dénonciations de Mme Cahill, la Commission européenne a condamné ses affirmations, déclarant qu’elle pourrait causer un « préjudice important » si elle était prise au sérieux ».

John O’SullivanPrincipia Scientific, le 5 janvier 2021

Traduction Olivier Demeulenaere

Voir aussi :

Catherine Austin Fitts et Dolores Cahill interviewées à Bâle par Maneka Helleberg, présidente de la World Freedom Alliance

https://youtu.be/QATXTbRKR04
(Mads Palsvig, 31 décembre 2020)

Rappels :

Catherine Austin Fitts : « Un virus magique… pour un coup d’Etat parfait » [ou ici]

PLANDEMIE – Gates, Soros, Rockefeller, Buffet, Bezos : l’idéologie néo-malthusienne des élites globalistes

“Vaccin” contre le Covid : la mise en garde du Pr Perronne




Le « reset » des globalistes est-il un échec ?

[Source : Le Saker Francophone]


Les élites ont peut-être surjoué leur main


Par Brandon Smith − Le 9 décembre 2020 − Source Alt-Market

Un aspect des narcissopathes (sociopathes narcissiques) qu’il est important de rappeler est qu’ils vivent dans leur propre petit monde dans lequel leurs désirs et leurs dysfonctionnements bizarres sont normalisés. Ils se croient supérieurs à la plupart des gens parce qu’ils sont des prédateurs, et ne souffrent pas de blocages gênants comme l’empathie et la conscience. La plupart du temps, ils ont tendance à croire qu’ils ont réussi à tromper tout le monde. Ils pensent que vous êtes un idiot soumis, et que lorsqu’ils aboient un ordre, vous allez sauter simplement au garde-à-vous parce que vous « croyez ».

Presque tous les aspects des globalistes et de leur comportement indiquent qu’ils sont un club ou un culte de narcissopathes. Leur besoin obsessionnel de contrôler, de corrompre et de détruire pour obtenir ce qu’ils veulent n’est pas le prolongement d’une simple cupidité, c’est un aspect profondément ancré de ce qu’ils sont en tant qu’êtres [humains ?]. C’est un mécanisme au cœur de leur caractère. Ce sont des monstres du monde réel, comme des vampires qui tentent de se fondre dans une population qui ne se doute de rien.

Dans leur arrogance, ils ont alors tendance à penser qu’ils peuvent vampiriser le public à volonté sans qu’on leur résiste ou qu’on les expose. Le problème, c’est que dès qu’ils commencent à se nourrir et à détruire, ils attirent l’attention sur eux. Ils finiront par attirer les soupçons du public, ainsi que de certains chasseurs de vampires. À moins qu’ils ne trouvent un moyen de se cacher, ils finiront un pieu dans le cœur, c’est inévitable.

J’écris sur les menaces du globalisme et du « reset » depuis de nombreuses années maintenant, et j’ai noté depuis un certain temps deux dilemmes distincts ; l’un touchant le mouvement pour la liberté et l’autre les globalistes :

1) Premièrement, les criminels ont tendance à se vanter de leurs crimes lorsqu’ils pensent qu’il est trop tard pour que quiconque puisse faire quoi que ce soit à leur sujet. J’ai prédit que les globalistes seraient très ouverts pour révéler leur programme au moment où ils se croiraient « intouchables ». Pour le public épris de liberté, cela signifie qu’en 2020, à l’horizon 2021, les élites doivent penser qu’il n’y a rien à faire pour arrêter la machine ; elles sont si flagrantes dans leurs appels au « reset » global, à une société sans cash, à des verrouillages totalitaires et à un état de surveillance que personne sain d’esprit ne peut plus prétendre que ces notions sont « une théorie du complot ».

Le fait est que les « théoriciens de la conspiration » avaient raison depuis le début, et maintenant plus rien n’est ignoré par des quidams à ce sujet.

2) Deuxièmement, j’ai également fait valoir dans le passé que la poussée globaliste en faveur d’un « nouvel ordre mondial » est une arme à double tranchant qui pourrait très bien finir par les anéantir. Alors qu’ils tentent de lancer leur programme de reset, ils sont de plus en plus exposés ; ils ne peuvent plus se cacher dans la sécurité de l’ombre et il n’y a pas de retour en arrière une fois le processus lancé. Une fois que les globalistes se sont fait connaître, ils doivent soit prendre rapidement le contrôle par un chaos artificiel et un effondrement, soit faire face à un châtiment qui pourrait éliminer une cabale qu’ils ont mis des siècles à construire. Les vampires doivent faire du reste du monde un endroit sombre avant de quitter l’ombre, sinon ils risquent de mourir à la lumière du jour.

Il existe deux écoles de pensée dans le mouvement pour la liberté ; l’une suggère que l’agenda globaliste est fixe et imparable et que le mieux que l’on puisse faire est de survivre. La seconde suggère que le reset peut être arrêté et que les globalistes peuvent être traduits en justice. Je suis dans les deux camps.

Certains aspects du reset sont en effet fixes et ne peuvent pas être annulés. Par exemple, de nombreuses économies nationales, dont les États-Unis, sont en plein effondrement de type stagflation et rien ne peut être fait pour y remédier. Il y a dix ans, nous aurions peut-être pu changer de cap, mais aujourd’hui, il est trop tard. La douleur peut être réduite si les gens mettent rapidement fin à leur dépendance vis-à-vis du système et créent leurs propres réseaux commerciaux localisés, mais l’économie telle que nous la connaissons actuellement est morte et ne reviendra pas de sitôt.

Je ne vois cependant pas cela comme une victoire pour les élites. Faire s’effondrer l’économie est une chose, la reconstruire dans une dystopie collectiviste qu’ils souhaitent désespérément en est une autre. Tout dépend de ceux qui reconstruisent ; peut-être que ce sera eux, peut-être que ce sera nous.

Je vois ces jours-ci des signes encourageants qui montrent que le reset des globalistes n’est pas une chose sûre, et ceux qui connaissent mon travail savent que je n’ai jamais été d’un optimisme mal placé. Plus précisément, l’exploitation de la réponse à la pandémie comme moyen d’imposer de nombreuses restrictions draconiennes ne semble pas se dérouler exactement comme les élites l’avaient prévu.

Je dois me pencher sur l’Event 201 pour vraiment évaluer l’état du jeu, car ce que les élites ont prévu et ce qui s’est passé ne correspond pas complètement. Pour ceux qui ne le savent pas, l’Event 201 était une sorte de « jeu de guerre«  organisé par les globalistes du Forum économique mondial et de la Fondation Bill et Melinda Gates. Le scénario ? Une pandémie d’un coronavirus qui se propagerait comme un feu de forêt et tuerait 65 millions de personnes, selon les prévisions. La simulation s’est déroulée quelques mois seulement avant que la réalité ne se produise au début de l’année 2020.

Dans l’année qui a suivi l’épidémie, les globalistes ont tenté d’appliquer presque tous les plans qui ont été exposés lors de l’Event 201, y compris l’utilisation des médias sociaux pour censurer ou restreindre toute nouvelle, ou information, en dehors du récit approuvé par l’establishment (oui, le contrôle du récit a été discuté en détail à l’occasion). Klaus Schwab, du Forum économique mondial, a constamment et avec enthousiasme applaudi la crise pandémique comme une « parfaite opportunité » d’instituer le « reset » dont les globalistes parlent depuis des années.

Malheureusement pour eux, le virus n’a pas été aussi meurtrier qu’ils semblaient l’espérer. Avec un taux de mortalité bien inférieur à 1% pour toute personne en dehors d’une maison de retraite avec des conditions morbides préexistantes, l’establishment a maintenant été forcé de gonfler les chiffres de l’infection comme moyen de terroriser la population, car les chiffres de la mortalité ne sont pas suffisants pour convaincre les gens de céder volontairement leurs libertés. Le taux de mortalité par infection (IFR) pour la Covid-19, sans compter les décès dans les maisons de retraite avec des conditions préexistantes, n’est que de 0,26% des personnes infectées.

Un mémo de propagande est diffusé ces jours-ci, qui tente d’exagérer le danger de décès dû à la maladie de la Covid, et il se présente un peu comme suit :

La Covid-19 a tué plus de gens que la guerre du Vietnam et les guerres du Golfe réunies en une seule année, c’est pourquoi vos libertés sont suspendues…

C’est un sujet de discussion idiot, mais heureusement, personne n’y croit. Plus de 40 % des décès dus à la maladie de la Covid-19 sont des personnes qui sont déjà malades et sur le point de mourir de toute façon. Et non, refuser de porter un masque n’est pas la même chose que d’approuver les « sélections de la mort », car un panel de la mort, ce sont les socialistes qui refusent de traiter les personnes à risque en raison de leur âge. Personne ne suggère de refuser un traitement aux personnes âgées, et elles ont toujours la possibilité de rester en quarantaine si elles craignent d’être infectées. Elles sont déjà à la retraite et bénéficient de la sécurité sociale. Peut-être que si nous voulons stimuler, l’argent du renflouement devrait aller aux personnes les plus à risque afin que le reste d’entre nous puisse continuer à mener une vie normale ?

Des centaines de milliers de personnes meurent chaque année de maladies et d’affections telles que la grippe, le rhume et la pneumonie. Pourtant, la perspective d’abandonner la Déclaration des droits, de se soumettre à des fermetures économiques et de porter une muselière sur le visage, où que nous allions, n’a jamais été évoquée auparavant.

Pourquoi devrions-nous demander à 99,7% des Américains ou du monde d’accepter la tyrannie médicale juste pour que 0,26% de la population se sente en sécurité ? Les personnes qui remettent en question les obligations sont qualifiées d’« égoïstes », mais même si je faisais partie des personnes susceptibles d’être contaminées par le virus, je n’exigerais jamais que 99% de la population s’incline devant le totalitarisme pour me permettre de vivre encore un peu. Ce serait égoïste.

Alors que de plus en plus d’études et de données sont publiées, l’exigence des masques est également remise en question. Bien que les multinationales de la Big Tech aient cherché à supprimer ou à censurer les études qui vont à l’encontre du discours dominant, cela n’a fait qu’amener davantage de personnes à s’interroger sur les motivations des gouvernements qui font pression sur les obligations. Après tout, les grands médias continuent de dire que nous devrions « écouter la science », mais ils ignorent ou censurent la science. Ainsi, si la réponse à la pandémie n’est pas basée sur la science, alors il ne peut s’agir que de contrôle des populations.

Beaucoup d’Américains ne sont pas aussi stupides que les élites le pensent. Ils voient les incohérences dans la rhétorique et les données et ils sont de plus en plus enclins à refuser de s’y conformer. C’est peut-être la raison pour laquelle l’establishment se précipite soudainement sur au moins deux vaccins Covid en l’espace de six mois ; ils doivent mettre en route la phase de vaccination du Reset avant que trop de gens ne sautent du train de la panique en marche.

La ruée vers le vaccin et les allégations d’efficacité de 94% à 95% de Pfizer et de Moderna sont suspectes. L’efficacité moyenne de la plupart des vaccins est d’environ 50 % ou moins, et il s’agit de vaccins ayant fait l’objet de centaines d’essais et ayant été utilisés pendant des années. D’une manière ou d’une autre, Pfizer et Moderna ont tous deux réussi à produire un vaccin contre un virus de type SRAS alors que plusieurs gouvernements ont essayé pendant plus d’une décennie de produire des vaccins contre le SRAS en Chine sans succès, et qu’ils ont pu atteindre une efficacité de 95% ?

Beaucoup de gens ne croient pas à l’histoire du vaccin, et c’est peut-être la raison pour laquelle les élites se lancent si rapidement dans la vaccination. Considérez ce fait :

De nombreux sondages indiquent qu’au moins un Américain sur trois prévoit de refuser le vaccin Covid lorsqu’il sera mis à la disposition du grand public. 60% des Américains ont déclaré dans les sondages qu’ils ne prendront pas le vaccin à moins qu’il soit prouvé qu’il est efficace à 75% au moins.

Je pense que nous avons ici notre explication de la manne vaccinale. Les élites savent qu’un tiers des Américains (et probablement des Européens) ne prendront pas le vaccin, quelle que soit la propagande qu’ils diffusent. Elles savent également que 60 % des Américains ne prendront probablement pas le vaccin s’ils ne peuvent pas démontrer un taux d’efficacité d’au moins 75 %. Ni Moderna ni Pfizer n’ont en fait produit de preuve que leurs vaccins sont capables d’empêcher une maladie grave ou la mort de la Covid-19, de sorte que leur taux d’efficacité est basé sur des « projections » de succès selon leurs essais minimaux. En d’autres termes, le taux d’efficacité de 95% est totalement arbitraire et fantaisiste.

Pourquoi ont-ils choisi un chiffre aussi élevé au lieu d’un taux plus réaliste de 50 à 60% ? Parce que les sondages disent qu’ils ont besoin d’un taux d’efficacité épique pour convaincre les Américains de prendre le vaccin. Je pense que c’est vraiment aussi simple que cela.

Les Américains sont sceptiques à l’égard des vaccins pour un certain nombre de raisons. Le fait qu’ils soient testés de façon minimale et qu’ils soient distribués à la hâte en moins d’un an est l’une des raisons. Le fait que le gouvernement et les médias ont été pris à censurer ou à mentir sur les données de Covid est une autre raison. Les gens ne font tout simplement pas confiance aux élites, et qui peut les blâmer ? Qui ferait confiance à une cabale de psychopathes pour leur injecter un cocktail viral inconnu ? Peut-être que leurs intentions ne sont pas aussi pures ?

Le public a raison de se méfier. Un ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, parmi d’autres professionnels de la santé, a récemment averti que les vaccins n’ont pas été correctement testés et qu’il existe un risque de « stérilité indéfinie » pour les femmes qui prennent le vaccin Covid actuel en raison d’une réponse auto-immune dommageable. En d’autres termes, le vaccin pourrait rendre de nombreuses femmes stériles et incapables d’avoir des enfants.

C’est peut-être ce que Bill Gates voulait dire lorsqu’il a déclaré dans son Ted Talk que « les vaccins et les services de reproduction » pourraient contribuer à réduire la population de la Terre de 10 à 15 % afin de « stopper le réchauffement climatique ».

https://youtu.be/Gc16H3uHKOA

Pourquoi Bill Gates mentionnerait-il les vaccins en même temps que les « services de reproduction » en référence à la réduction de la population ? Les vaccins ne sont-ils pas censés aider les gens à vivre plus longtemps ? Eh bien, l’avertissement du vice-président de Pfizer concernant le vaccin Covid me rappelle quelque chose. Peut-être que le vaccin Covid ne vous rendra pas malade, ou ne vous tuera pas. Peut-être que vous vivrez longtemps sans coronavirus, mais vous découvrirez quelques années après avoir pris le vaccin que vous ne pourrez jamais avoir d’enfants.

Regardez le film « Children Of Men » pour avoir une idée de ce que sera l’avenir si les globalistes obtiennent ce qu’ils veulent.

En attendant, les élites essaient par tous les moyens de convaincre le public qu’il doit abandonner les notions de libertés civiles au nom de la survie et du « bien commun ». Elles parlent déjà du fait que les choses ne reviendront jamais à la normale et que les changements apportés aujourd’hui resteront en place pendant de nombreuses années.

Les gouvernements sont actuellement dans les médias en train de déclarer que les vaccins « ne seront pas obligatoires ». C’est un mensonge. Dans le même temps, ils mettent en place des mandats pour vous obliger à prouver que vous êtes vacciné afin de pouvoir vous rendre dans des lieux publics et même d’aller travailler. En gros, vous vous faites vacciner ou vous mourez de faim. Ce n’est pas un choix.

Mais je vois des millions d’Américains s’opposer à ce programme. Je vois des shérifs et des policiers dans tout le pays qui refusent d’appliquer ce programme, même dans les États Démocrates comme la Californie. Je vois des protestations dans des États où l’on verrouille tout, comme le Michigan, la Californie et New-York. Je vois des protestations de masse en Europe. Je vois que le programme du Reset est exposé et que la vérité s’impose au grand public. Je vois quelque chose remonter à la surface et je sens l’odeur de poudre de la rébellion, et j’aime ça.

Je ne suis pas pessimiste quant à l’avenir. Je sais qu’un accident est en train de se produire. Je sais qu’un combat est à venir. Mais pour l’instant, je vois un combat qui peut être, et sera, gagné par ceux qui respectent les principes de la liberté. Les globalistes ont peut-être surjoué leur main.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par jj pour le Saker Francophone




Le « Great Reset » n’est pas du complotisme

Klaus Schwab et sa grande réinitialisation fasciste

[Source : Leviathan]

Traduction de l’article “Klaus Schwab and his great fascist reset”, par Winter Oak

Né à Ravensburg en 1938, Klaus Schwab est un enfant de l’Allemagne d’Adolf Hitler, un régime d’État policier fondé sur la peur et la violence, sur le lavage de cerveau et le contrôle, sur la propagande et le mensonge, sur l’industrialisme et l’eugénisme, sur la déshumanisation et la « désinfection », sur une vision effrayante et grandiose d’un « nouvel ordre » qui durerait mille ans.

Schwab semble avoir consacré sa vie à réinventer ce cauchemar et à essayer de le transformer en réalité non seulement pour l’Allemagne mais pour le monde entier.

Pire encore, comme ses propres mots le confirment à maintes reprises, sa vision technocratique fasciste est aussi une vision transhumaniste tordue, qui fusionnerait les humains et les machines dans « de curieux mélanges de vie numérique et analogique », qui infecterait nos corps avec les nanotechnologies et dans lequel la police serait apparemment capable de lire nos cerveaux.

Et, comme nous le verrons, lui et ses complices utilisent la crise Covid-19 pour contourner la responsabilité démocratique, pour passer outre l’opposition, pour accélérer leur programme et pour l’imposer au reste de l’humanité contre notre volonté dans ce qu’il appelle une « Grande Réinitialisation ».

Schwab n’est bien sûr pas un nazi au sens classique du terme, n’étant ni nationaliste ni antisémite, comme en témoigne le prix Dan David d’un million de dollars qui lui a été décerné par Israël en 2004.

Mais le fascisme du XXIe siècle a trouvé différentes formes politiques à travers lesquelles il peut poursuivre son projet de base : de remodeler l’humanité pour l’adapter au capitalisme par des moyens manifestement autoritaires.

Ce nouveau fascisme est aujourd’hui avancé sous les traits de la gouvernance mondiale, de la biosécurité, de la « nouvelle normalité », du « New Deal pour la nature » et de la « quatrième révolution industrielle ».

Schwab, le fondateur octogénaire et président exécutif du Forum économique mondial, se trouve au centre de cette matrice comme une araignée sur une toile géante.

La fusion de l’État et des entreprises était au centre du projet fasciste original, en Italie et en Allemagne.

Alors que le communisme envisage la prise de contrôle des affaires et de l’industrie par le gouvernement, qui – en théorie ! – agit dans l’intérêt du peuple, le fascisme consistait à utiliser l’État pour protéger et faire avancer les intérêts de l’élite riche.

Schwab poursuivait cette approche dans un contexte dénazifié d’après-guerre, lorsqu’en 1971 il fonda le European Management Forum, qui tenait des réunions annuelles à Davos en Suisse.

Ici, il faisait la promotion de son idéologie du capitalisme stakeholder (un capitalisme des intéressés ou des parties prenantes) dans lequel les entreprises étaient amenées à coopérer plus étroitement avec le gouvernement.

Le capitalisme stakeholder est décrit par le magazine d’affaires Forbes comme « l’idée qu’une entreprise se concentre sur la satisfaction des besoins de toutes ses stakeholders : clients, employés, partenaires, la communauté et la société dans son ensemble ».

Même dans le contexte d’une entreprise en particulier, il s’agit invariablement d’une étiquette vide. Comme le note l’article de Forbes, cela signifie, simplement, que les entreprises puissent « continuer à pelleter de l’argent en privé à leurs actionnaires et dirigeants, tout en maintenant un front public d’une sensibilité sociale exquise et d’un altruisme exemplaire ».

Mais dans un contexte social général, le concept de stakeholder est encore plus néfaste, rejetant toute idée de démocratie, de gouvernement par le peuple, en faveur du gouvernement par le business.

La société n’est plus considérée comme une communauté vivante mais comme une entreprise, dont la rentabilité est le seul objectif valable de l’activité humaine.

Schwab a défini cet agenda en 1971, dans son livre Moderne Unternehmensführung im Maschinenbau (Gestion moderne en génie mécanique), où son utilisation du terme stakeholders a effectivement redéfini les êtres humains non comme des citoyens, des individus libres ou des membres des communautés, mais en tant que participants secondaires dans une entreprise commerciale massive.

Le but de la vie de chacun était « d’assurer la croissance et la prospérité à long terme » de cette entreprise – en d’autres termes, de protéger et d’accroître la richesse de l’élite capitaliste.

Tout cela est devenu encore plus clair en 1987, lorsque Schwab a rebaptisé son European Management Forum comme Le Forum Économique Mondial ou World Economic Forum.

Le FEM/WEF se décrit sur son propre site Web comme « la plate-forme mondiale pour la coopération public-privé » et ses admirateurs décrivent comment il crée « des partenariats entre hommes d’affaires, politiciens, intellectuels et autres dirigeants de la société pour “définir, discuter et faire avancer les questions clés sur l’agenda mondial” ».

Les « partenariats » que crée le WEF visent à remplacer la démocratie par un leadership mondial d’individus non élus triés sur le volet, dont le devoir n’est pas de servir le public, mais de lui imposer la domination du 1% avec aussi peu d’interférence que possible de la part de nous autres.

Dans les livres qu’écrit Schwab pour le grand public, il s’exprime dans les clichés hypocrites du marketing et de l’écoblanchiment.

Les mêmes termes creux se répètent en boucle. Dans Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World, Schwab parle de « l’inclusion des stakeholders et de la répartition des avantages » et de « partenariats durables et inclusifs » qui nous mèneront tous à « un avenir inclusif, durable et prospère »! (1)

Derrière ces fanfaronnades, la véritable motivation qui anime son capitalisme stakeholder, qu’il promouvait toujours sans relâche à la conférence de Davos du WEF en 2020, est le profit et l’exploitation.

Par exemple, dans son livre de 2016, The Fourth Industrial Revolution, Schwab écrit sur l’ubérisation du travail et les avantages qui en découlent pour les entreprises, en particulier les start-ups à croissance rapide dans l’économie numérique : « Puisque les plates-formes “human cloud” classent les travailleurs comme indépendants, ils sont – pour le moment – libres de l’obligation de payer le salaire minimum, les impôts des employeurs et les prestations sociales ». (2)

La même insensibilité capitaliste transparaît dans son attitude envers les personnes qui approchent de la fin de leur vie professionnelle et qui ont besoin d’un repos bien mérité : « Le vieillissement est un défi économique car à moins que l’âge de la retraite ne soit considérablement augmenté pour que les membres plus âgés de la société puissent continuer à contribuer à la main-d’œuvre (un impératif économique qui présente de nombreux avantages économiques), la population en âge de travailler diminue en même temps que le pourcentage des personnes âgées dépendantes augmente ». (3)

Tout dans ce monde est réduit aux défis économiques, aux impératifs économiques et aux avantages économiques pour la classe capitaliste dirigeante.

Le mythe du progrès a longtemps été utilisé par les 1% pour persuader les gens d’accepter les technologies destinées à nous exploiter et à nous contrôler et Schwab joue là-dessus lorsqu’il déclare que

« la quatrième révolution industrielle [4eRI] représente une source importante d’espoir pour accompagner la montée en puissance du développement humain qui a entraîné une amélioration spectaculaire de la qualité de vie de milliards de personnes depuis 1800 ». (4)

Il s’enthousiasme :

« Bien que cela puisse ne pas sembler capital pour ceux d’entre nous qui vivent quotidiennement une série d’ajustements mineurs mais significatifs de la vie, ce n’est pas un changement mineur – la quatrième révolution industrielle est un nouveau chapitre du développement humain, à égalité avec les première, deuxième et troisième révolutions industrielles, et encore une fois motivée par la disponibilité et l’interaction croissantes d’un ensemble de technologies extraordinaires ». (5)

Mais il est bien conscient que la technologie n’est pas neutre sur le plan idéologique, comme certains aiment le prétendre. Les technologies et les sociétés se façonnent, dit-il.

« Après tout, les technologies sont liées à la façon dont nous savons les choses, comment nous prenons des décisions et comment nous pensons à nous-mêmes et les uns aux autres. Ils sont liés à nos identités, nos visions du monde et nos futurs potentiels. Des technologies nucléaires à la course spatiale, en passant par les smartphones, les médias sociaux, les voitures, la médecine et les infrastructures, la signification des technologies les rend politiques. Même le concept de nation “développée” repose implicitement sur l’adoption des technologies et sur ce qu’elles signifient pour nous, économiquement et socialement ». (6)

La technologie, pour les capitalistes qui la sous-tendent, n’a jamais été une question de bien social mais uniquement de profit, et Schwab indique clairement qu’il en va de même pour sa quatrième révolution industrielle.

Il explique :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle sont vraiment perturbatrices – elles bouleversent les façons existantes de détecter, calculer, organiser, agir et fournir. Ils représentent des moyens entièrement nouveaux de créer de la valeur pour les organisations et les citoyens ». (7)

Au cas où la signification de « créer de la valeur » n’était pas claire, il donne quelques exemples : « Les drones représentent un nouveau type d’employé qui travaille parmi nous, qui réduit les coûts et qui effectue des tâches qui impliquaient autrefois de vraies personnes » (8) et « l’utilisation d’algorithmes toujours plus performants étend rapidement la productivité des employés – par exemple, en utilisant des robots de discussion pour augmenter (et, de plus en plus, remplacer) le support “live chat” pour les interactions avec les clients ». (9)

Dans The Fourth Industrial Revolution, Schwab nous précise en détail comment son “Meilleur des mondes” va réduire les coûts et augmenter les profits.

Il explique :

« Plus tôt que prévu, le travail de professions aussi différentes que les avocats, les analystes financiers, les médecins, les journalistes, les comptables, les assureurs ou les bibliothécaires peut être partiellement ou totalement automatisé… »

« La technologie progresse si vite que Kristian Hammond, cofondateur de Narrative Science, une société spécialisée dans la génération de récits automatisés, prévoit qu’au milieu des années 2020, 90% des infos pourraient être générées par un algorithme, la plupart sans aucune intervention humaine (en dehors de la conception de l’algorithme, bien sûr) ». (10)

C’est cet impératif économique qui alimente l’enthousiasme de Schwab pour « une révolution qui change fondamentalement la façon dont nous vivons, travaillons et interagissons ». (11)

Schwab est lyrique à propos de la quatrième révolution industrielle, qui, selon lui, est « différent de tout ce que l’humanité a connu auparavant ». (12)

Il clame :

« Considérez les possibilités illimitées d’avoir des milliards de personnes connectées par des appareils mobiles, donnant lieu à une puissance de traitement, des capacités de stockage et un accès aux connaissances sans précédent. Ou pensez à la confluence stupéfiante de percées technologiques émergentes, couvrant des domaines très variés tels que l’intelligence artificielle (IA), la robotique, l’Internet des objets, les véhicules autonomes, l’impression 3D, la nanotechnologie, la biotechnologie, la science des matériaux, le stockage d’énergie et l’informatique quantique, pour n’en nommer que quelques-uns. Beaucoup de ces innovations en sont à leurs balbutiements, mais elles atteignent déjà un point d’inflexion dans leur développement alors qu’elles se renforcent et s’amplifient mutuellement dans une fusion de technologies à travers les mondes physique, numérique et biologique ». (13)

Il attend avec impatience plus d’éducation en ligne, qui impliquerait « l’utilisation de la réalité virtuelle et augmentée » pour « améliorer considérablement les résultats scolaires ». (14) Schwab espère également voir des capteurs « installés dans les maisons, les vêtements et accessoires, les villes, les transports et les réseaux d’énergie » (15 ) et des villes intelligentes, avec leurs « plates-formes de données » essentielles. (16)

« Tout sera intelligent et connecté à Internet», dit Schwab, et cela s’étendra aux animaux, car « des capteurs câblés dans le bétail peuvent communiquer entre eux par un réseau de téléphonie mobile ». (17)

Il adore l’idée d’ « usines de cellules intelligentes » qui pourraient permettre « la génération accélérée de vaccins » (18) et les « technologies du big data ». (19)

Celles-ci, nous assure-t-il, « offriront des moyens nouveaux et innovants de servir les citoyens et les clients » (20) et nous devrons cesser de nous opposer aux entreprises qui profitent de l’exploitation et de la vente d’informations sur tous les aspects de nos vies personnelles.

« L’établissement de la confiance dans les données et les algorithmes utilisés pour prendre des décisions sera vital », insiste Schwab. « Les préoccupations des citoyens concernant la vie privée et l’établissement de la responsabilité dans les structures commerciales et juridiques nécessiteront des ajustements de réflexion ». (21)

En fin de compte, il est clair que toute cette excitation technologique tourne uniquement autour du profit, ou de la « valeur », comme Schwab préfère l’appeler dans sa novlangue capitaliste du XXIe siècle.

Ainsi, la technologie blockchain sera formidable et provoquera « une explosion des actifs négociables, car toutes sortes d’échanges de valeur peuvent être hébergés sur la blockchain ». (22)

L’utilisation de la technologie des registres distribués, ajoute Schwab, « pourrait être le moteur de flux massifs de valeur dans les produits et services numériques, fournissant des identités numériques sécurisées qui peuvent rendre de nouveaux marchés accessibles à toute personne connectée à Internet ». (23)

En général, l’intérêt de la 4eRI ​​pour l’élite dirigeante du business est qu’il « créera des sources de valeur entièrement nouvelles » (24) et « donnera naissance à des écosystèmes de création de valeur impossibles à imaginer avec un état d’esprit coincé dans la troisième révolution industrielle ». (25)

Les technologies de la quatrième révolution industrielle, déployées par la 5G, représentent des menaces sans précédent pour notre liberté, comme le concède Schwab : « Les outils de la quatrième révolution industrielle permettent de nouvelles formes de surveillance et d’autres moyens de contrôle qui vont à l’encontre de sociétés saines et ouvertes ». (26)

Mais cela ne l’empêche pas de les présenter sous un jour positif, comme lorsqu’il déclare que « la criminalité publique est susceptible de diminuer en raison de la convergence des capteurs, des caméras, de l’IA et des logiciels de reconnaissance faciale ». (27)

Il décrit avec un certain plaisir comment ces technologies « peuvent pénétrer dans l’espace jusque-là privé de notre esprit, lire nos pensées et influencer notre comportement ». (28)

Schwab prédit :

« À mesure que les capacités dans ce domaine s’améliorent, la tentation augmentera pour les forces de l’ordre et les tribunaux d’utiliser des techniques pour déterminer la probabilité d’une activité criminelle, évaluer la culpabilité ou même éventuellement récupérer des souvenirs directement dans le cerveau des gens. Même le franchissement d’une frontière nationale pourrait un jour impliquer un scanner cérébral détaillé pour évaluer le risque de sécurité d’un individu ». (29)

Il y a des moments où le chef du WEF se laisse emporter par sa passion pour un avenir de science-fiction dans lequel « les voyages humains à longue distance et la fusion nucléaire sont monnaie courante » (30) et où « le prochain business model » pourrait donner à un consommateur la possibilité d’ « échanger l’accès à ses pensées contre l’option qui permet d’économiser du temps de taper une publication sur les réseaux sociaux par la seule pensée ». (31)

Parler de « tourisme spatial » sous le titre « la quatrième révolution industrielle et la dernière frontière » (32) est presque drôle, tout comme sa suggestion qu’un « monde plein de drones offre un monde plein de possibilités ». (33)

Mais plus le lecteur progresse dans le monde décrit dans les livres de Schwab, moins tout cela semble faire rire.

La vérité est que cette figure très influente, au centre du nouvel ordre mondial en cours de création, est un transhumaniste qui rêve de priver l’humanité d’une vie naturelle et de communautés saines.

Schwab répète ce message à maintes reprises, comme pour être sûr que nous avons été dûment avertis.

« Les innovations époustouflantes déclenchées par la quatrième révolution industrielle, de la biotechnologie à l’IA, redéfinissent ce que signifie être humain » (34), écrit-il.

« L’avenir mettra au défi notre compréhension de ce que signifie être humain, tant d’un point de vue biologique que social ». (35)

« Déjà, les progrès des neurotechnologies et des biotechnologies nous obligent à nous interroger sur ce que signifie être humain ». (36)

Il l’explique plus en détail dans Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution :

« Les technologies de la quatrième révolution industrielle [4eRI] ne s’arrêteront pas à faire partie du monde physique qui nous entoure – elles feront partie de nous. En effet, certains d’entre nous sentent déjà que nos smartphones sont devenus une extension de nous-mêmes. Les appareils externes actuels, des ordinateurs portables aux casques de réalité virtuelle, deviendront probablement implantables dans notre corps et notre cerveau. Les exosquelettes et les prothèses augmenteront notre puissance physique, tandis que les progrès de la neurotechnologie amélioreront nos capacités cognitives. Nous deviendrons plus capables de manipuler nos propres gènes et ceux de nos enfants. Ces développements soulèvent des questions profondes : où tracer la ligne entre l’homme et la machine ? Que signifie être humain ? » (37)

Une section entière de ce livre est consacré au thème « Modifier l’être humain ». Ici, Schwab bave sur « la capacité des nouvelles technologies à devenir littéralement partie de nous » et évoque un futur cyborg impliquant « des curieux mélanges de vie numérique et analogique qui redéfiniront nos natures mêmes ». (38)

Il écrit :

« Ces technologies fonctionneront dans notre propre biologie et changeront notre interface avec le monde. Ils sont capables de traverser les frontières du corps et de l’esprit, d’améliorer nos capacités physiques et même d’avoir un impact durable sur la vie elle-même ». (39)

Aucune violation ne semble aller trop loin pour Schwab, qui rêve de « micropuces implantables actives qui cassent la barrière cutanée de notre corps », de « tatouages ​​intelligents », de « calcul biologique » et « d’organismes sur mesure ». (40)

Il est ravi d’annoncer que « les capteurs, commutateurs de mémoire et circuits peuvent être codés dans des bactéries intestinales humaines communes », (41) que « le Smart Dust [une poussière dite intelligente], des tableaux d’ordinateurs complets avec des antennes, chacun beaucoup plus petit qu’un grain de sable, peut désormais organiser eux-mêmes à l’intérieur du corps » et que « les dispositifs implantés aideront probablement aussi à communiquer des pensées normalement exprimées verbalement via un smartphone “intégré”, et des pensées ou des humeurs potentiellement non exprimées en lisant les ondes cérébrales et d’autres signaux ». (42)

La « biologie synthétique » est à l’horizon dans le monde de la 4eRI de Schwab, donnant aux chefs du capitalisme technocratique mondial « la possibilité de personnaliser les organismes en écrivant de l’ADN ». (43)

L’idée des neurotechnologies, dans lesquelles les humains auront des souvenirs entièrement artificiels implantés dans le cerveau, suffit à rendre certains d’entre nous un peu malades, tout comme « la perspective de connecter notre cerveau à la RV via des modems corticaux, des implants ou des nanorobots ». (44)

Il est peu réconfortant d’apprendre que c’est tout – bien sûr! – dans l’intérêt supérieur du profit capitaliste car cela « annonce de nouvelles industries et systèmes de création de valeur » et « représente une opportunité de créer dans la quatrième révolution industrielle des systèmes de valeur tout à fait inédits ». (45)

Et qu’en est-il de « la bio-impression des tissus organiques » (46) ou de la suggestion selon laquelle « les animaux pourraient potentiellement être modifiés pour produire des produits pharmaceutiques et d’autres formes de traitement » ? (47)

Objections éthiques ?

Tout cela est évidemment bon pour Schwab, qui est heureux d’annoncer : « Le jour où les vaches seront conçues pour produire dans leur lait un élément de coagulation du sang, dont les hémophiles manquent, n’est pas loin. Les chercheurs ont déjà commencé à modifier les génomes des porcs dans le but de cultiver des organes adaptés à la transplantation humaine ». (48)

Cela devient encore plus inquiétant. Depuis le sinistre programme eugénique de l’Allemagne nazie dans lequel Schwab est né, cette science a été jugée hors de propos par l’ humanité.

Mais maintenant, il pense manifestement que l’eugénisme est dû à un renouveau et il annonce à propos de l’édition génétique : « Le fait qu’il soit maintenant beaucoup plus facile de manipuler avec précision le génome humain dans des embryons viables signifie que nous sommes susceptibles de voir l’avènement de bébés sur mesure qui possèdent des traits particuliers ou qui sont résistants à une maladie spécifique ». (49)

Dans I, Cyborg, le tristement fameux traité transhumaniste de 2002, Kevin Warwick prédit :

« Les humains pourront évoluer en exploitant la super-intelligence et les capacités supplémentaires offertes par les machines du futur, en se joignant à eux. Tout cela indique le développement d’une nouvelle espèce humaine, connue dans le monde de la science-fiction sous le nom de “cyborgs”. Cela ne veut pas dire que tout le monde doit devenir un cyborg. Si vous êtes satisfait de votre état d’humain, qu’il en soit ainsi, vous pouvez rester tel que vous êtes. Mais soyez averti – tout comme nous, les humains, nous nous sommes séparés de nos cousins ​​chimpanzés il y a des années, les cyborgs se sépareront des humains. Ceux qui restent humains sont susceptibles de devenir une sous-espèce. Ils seront effectivement les chimpanzés du futur ». (50)

Schwab semble faire allusion au même avenir d’une élite transhumaine artificielle et « supérieure » se séparant de la populace naturelle, dans ce passage particulièrement accablant de The Fourth Industrial Revolution : « Nous sommes au seuil d’un changement systémique radical qui oblige les êtres humains à s’adapter sans arrêt. En conséquence, nous pouvons assister à un degré croissant de polarisation dans le monde, marqué par ceux qui embrassent le changement par rapport à ceux qui y résistent. »

« Cela donne lieu à une inégalité qui va au-delà de l’inégalité sociétale décrite plus haut. Cette inégalité ontologique séparera ceux qui s’adaptent de ceux qui résistent – les gagnants et les perdants matériels dans tous les sens des mots. Les gagnants peuvent même bénéficier d’une certaine forme d’amélioration humaine radicale générée par certains segments de la quatrième révolution industrielle (comme le génie génétique) dont les perdants seront privés. Cela risque de créer des conflits de classe et d’autres affrontements au-delà de tout ce que nous avons vu auparavant ». (51)

Schwab parlait déjà d’une « grande transformation » en 2016 (52) et il est évidemment déterminé à faire tout ce qui est en son pouvoir non négligeable pour réaliser son monde eugéniste et transhumaniste de l’artifice, de la surveillance, du contrôle et du profit exponentiel.

Mais, comme l’a révélé sa référence ci-dessus aux « conflits de classe », il est préoccupé par la possibilité d’une « résistance sociétale » (53) et par la manière d’avancer « si les technologies reçoivent beaucoup de résistance du public ». (54)

Les fiestas annuelles WEF de Schwab à Davos ont longtemps fait l’objet de manifestations anticapitalistes et, malgré la paralysie actuelle de la gauche radicale, il est bien conscient de la possibilité que l’opposition à son projet se renouvelle et peut-être s’élargisse, avec le risque de « ressentiment, peur et répercussions politiques ». (55)

Dans son livre le plus récent, il fournit un contexte historique, notant que « l’anti-mondialisation était forte à l’approche de 1914 et jusqu’en 1918, puis moins dans les années 1920, mais elle a repris dans les années 1930 à la suite de la Grande Dépression » . (56)

Il note qu’au début des années 2000, « le contrecoup politique et sociétal contre la mondialisation n’a cessé de se renforcer » (57), affirme que « l’agitation sociale » s’est répandue à travers le monde ces deux dernières années, citant les Gilets Jaunes en France parmi d’autres mouvements, et invoque le « sombre scénario » selon lequel « la même chose pourrait se reproduire ». (58)

Alors, comment un technocrate honnête est-il censé déployer son avenir choisi pour le monde sans l’accord du public mondial ? Comment Schwab et ses amis milliardaires peuvent-ils imposer leur société préférée au reste d’entre nous ?

Une solution est le lavage de cerveau par la propagande implacable produite par les grandes médias et les intellectuels pour l’élite du 1% – ce qu’ils aiment appeler « un récit ».

Pour Schwab, la réticence de la majorité de l’humanité à sauter à bord de sa 4eRI express reflète la tragédie selon laquelle « le monde manque d’un récit cohérent, positif et commun qui décrit les opportunités et les défis de la quatrième révolution industrielle, un récit qui est essentiel si nous allons responsabiliser un ensemble diversifié d’individus et de communautés et éviter une réaction populaire contre les changements fondamentaux en cours ». (59)

Il ajoute : « Il est donc essentiel que nous investissions attention et énergie dans la coopération multipartite au-delà des frontières académiques, sociales, politiques, nationales et industrielles. Ces interactions et collaborations sont nécessaires pour créer des récits positifs, communs et pleins d’espoir, permettant aux individus et aux groupes de toutes les régions du monde de participer et de profiter des transformations en cours ». (60)

L’un de ces « récits » blanchit les raisons pour lesquelles la technologie de la 4eRI doit être installée partout dans le monde dès que possible.

Schwab se sent frustré que « plus de la moitié de la population mondiale – environ 3,9 milliards de personnes – ne puisse toujours pas accéder à Internet », (61) 85% de la population des pays en développement restant hors ligne et donc hors de portée, contre 22% dans le monde développé.

Le but réel de la 4eRI ​​est d’exploiter ces populations à des fins lucratives via le techno-impérialisme mondial, mais bien sûr cela ne peut pas être déclaré dans le « récit » de propagande nécessaire pour vendre le plan.

Au lieu de cela, leur mission doit être présentée, comme le fait Schwab lui-même, comme une tentative de « développer des technologies et des systèmes qui servent à distribuer des valeurs économiques et sociales telles que le revenu, l’opportunité et la liberté à toutes les stakeholders ». (62)

Il se présente pieusement comme le gardien des valeurs libérales éveillées, déclarant :

« Penser inclusivement va au-delà de penser à la pauvreté ou aux communautés marginalisées simplement comme une aberration – quelque chose que nous pouvons résoudre. Cela nous oblige à nous rendre compte que “nos privilèges se situent sur la même carte que leurs souffrances”. Il va au-delà du revenu et des droits, bien que ceux-ci restent importants. Au lieu de cela, l’inclusion des stakeholders et la répartition des avantages élargissent les libertés pour tous ». (63)

La même technique, celle d’un faux « récit » conçu pour inciter les citoyens bien pensants à soutenir un schéma capitaliste impérialiste, a été largement utilisée en ce qui concerne le changement climatique.

Schwab est, bien sûr, un grand fan de Greta Thunberg, qui s’était à peine levée du trottoir après sa manifestation solitaire à Stockholm avant d’être emmenée pour s’adresser au WEF à Davos.

Il soutient également le projet mondial d’un Nouveau Deal pour la Nature, en particulier par Voice for the Planet, qui a été lancé au WEF de Davos en 2019 par les Global Shapers, une organisation de jeunesse créée par Schwab en 2011 et bien décrite par la journaliste d’investigation Cory Morningstar comme « une démonstration grotesque de malversations d’entreprise déguisées en bonnes actions ».

Dans son livre de 2020, Schwab décrit en fait la manière dont le faux « militantisme des jeunes » est utilisé pour faire avancer ses objectifs capitalistes.

Il écrit, dans un passage d’une franchise remarquable :

« Le militantisme des jeunes augmente dans le monde entier, étant révolutionné par les médias sociaux qui augmentent la mobilisation à un point qui aurait été impossible auparavant. Il prend de nombreuses formes différentes, allant de la participation politique non institutionnalisée aux manifestations et protestations, et aborde des questions aussi diverses que le changement climatique, les réformes économiques, l’égalité des sexes et les droits des LGBTQ. La jeune génération est fermement à l’avant-garde du changement social. Il ne fait aucun doute qu’il sera le catalyseur du changement et une source d’élan très importante pour la grande réinitialisation ». (64)

En fait, bien sûr, l’avenir ultra-industriel proposé par Schwab est autre chose que vert. Ce n’est pas la nature qui l’intéresse, mais le « capital naturel » et « l’incitation à investir dans les marchés verts et sociaux ». (65)

La pollution génère du profit et la crise environnementale n’est qu’une autre opportunité commerciale, comme il le détaille dans The Fourth Industrial Revolution : « Dans ce nouveau système industriel révolutionnaire, le dioxyde de carbone se transforme d’un polluant à effet de serre en un actif, et l’économie de la capture et du stockage du carbone – un puits de pollution coûteux – implique plutôt des installations rentables de captage du carbone et d’utilisation-production. Plus important encore, il aidera les entreprises, les gouvernements et les citoyens à devenir plus conscients et à s’engager dans des stratégies de régénération active du capital naturel, permettant des utilisations intelligentes et régénératrices du capital naturel pour guider la production et la consommation durables et permettre à la biodiversité de se rétablir dans les zones menacées ». (66)

Les « solutions » de Schwab aux dommages déchirants infligés à notre monde naturel par le capitalisme industriel empirent la situation.

La géo-ingénierie est l’un de ses favoris : « Les propositions incluent l’installation de miroirs géants dans la stratosphère pour dévier les rayons du soleil, l’ensemencement chimique de l’atmosphère pour augmenter les précipitations et le déploiement de grandes machines pour éliminer le dioxyde de carbone de l’air ». (67)

Et il ajoute : « De nouvelles approches sont actuellement imaginées à travers la combinaison des technologies de la quatrième révolution industrielle, telles que les nanoparticules et d’autres matériaux avancés ». (68)

Comme toutes les entreprises et ONG pro-capitalistes qui soutiennent le Nouveau Deal pour la nature, Schwab est totalement et profondément non vert.

Pour lui, la « possibilité ultime » d’énergie « propre » et « durable » comprend la fusion nucléaire (69) et il attend avec impatience le jour où les satellites « couvriront la planète de voies de communication qui pourraient aider à connecter plus de 4 milliards de personnes toujours en manque d’accès en ligne ». (70)

Schwab regrette également toutes les formalités administratives qui empêchent la marche en avant sans entrave des aliments génétiquement modifiés, nous avertissant que :

« la sécurité alimentaire mondiale ne sera atteinte, cependant, que si les réglementations sur les aliments génétiquement modifiés sont adaptées pour refléter la réalité que l’édition génique offre une méthode précise, efficace et sûre d’amélioration des cultures ». (71)

Le nouvel ordre envisagé par Schwab s’étendra au monde entier et une gouvernance mondiale est donc nécessaire pour l’imposer, comme il le répète à plusieurs reprises.

Son avenir préféré « ne se réalisera que grâce à une meilleure gouvernance mondiale » (72), insiste-t-il. « Une certaine forme de gouvernance mondiale efficace » (73) est nécessaire.

Le problème que nous rencontrons aujourd’hui est celui d’un éventuel « déficit d’ordre mondial » (74), affirme-t-il, ajoutant improbablement que l’Organisation mondiale de la santé « est accablée de ressources limitées et en baisse ». (75)

Ce qu’il raconte en réalité, c’est que sa société de 4eRI / Grande Réinitialisation ne fonctionnera que si elle s’impose simultanément partout sur la planète, sinon « nous deviendrons paralysés dans nos tentatives pour relever et répondre aux défis mondiaux ». (76)

Il admet : « En un mot, la gouvernance mondiale est au cœur de toutes ces autres questions ». (77)

Cet empire englobant fronce beaucoup les sourcils à l’idée que des populations particulières décident démocratiquement de prendre une autre voie. Celles-ci « risquent de s’isoler des normes mondiales, ce qui expose ces nations au risque de devenir les retardataires de la nouvelle économie numérique » (78), prévient Schwab.

Tout sentiment d’autonomie et d’appartenance populaire est considéré comme une menace du point de vue impérialiste de Schwab et doit être éradiqué dans le cadre de la 4eRI.

Il écrit :

« Les individus identifiaient le plus étroitement leur vie avec un lieu, un groupe ethnique, une culture particulière ou même une langue. L’avènement de l’engagement en ligne et une plus grande exposition aux idées d’autres cultures signifie que les identités sont désormais plus interchangeables qu’auparavant… Grâce à la combinaison de modèles de migration historiques et d’une connectivité à faible coût, les structures familiales sont redéfinies ». (79)

La vraie démocratie tombe essentiellement dans la même catégorie pour Schwab. Il sait que la plupart des gens n’accepteront pas volontiers des plans visant à détruire leur vie et à les asservir à un système mondial d’exploitation techno-fasciste, alors leur donner leur mot à dire n’est tout simplement pas une option.

C’est pourquoi le concept du stakeholder a été si important pour le projet de Schwab. Comme discuté ci-dessus, il s’agit de la négation de la démocratie, qui propose plutôt de « tendre la main à tous les groupes de parties prenantes pour trouver des solutions ». (80)

Si le public, le peuple, est inclus dans ce processus, ce n’est qu’à un niveau superficiel. L’ordre du jour a déjà été pré-supposé et les décisions pré-prises dans les coulisses.

Schwab l’admet effectivement lorsqu’il écrit : « Nous devons rétablir un dialogue entre toutes les stakeholders pour assurer une compréhension mutuelle qui renforce davantage une culture de confiance entre les régulateurs, les organisations non gouvernementales, les professionnels et les scientifiques. Le public doit aussi être pris en compte, car il doit participer au façonnement démocratique des développements biotechnologiques qui affectent la société, les individus et les cultures ». (81)

Le public doit donc « aussi » être considéré, après coup. Pas même directement consulté, juste « pris en compte » ! Et le rôle du peuple, le demos, sera simplement de « participer » au « façonnement » des développements biotechnologiques. La possibilité pour le public de rejeter l’idée même des développements biotechnologiques a été entièrement supprimée grâce à la formule des stakeholders et ses suppositions délibérément intégrées.

Le même message est implicite dans le titre de la conclusion de son livre Shaping The Future of the Fourth Industrial Revolution : « Ce que vous pouvez faire pour façonner la quatrième révolution industrielle ». (82) La techno-tyrannie ne peut être contestée ou arrêtée, simplement « façonnée ».

Schwab utilise le terme anglais « systems leadership » pour décrire la manière profondément antidémocratique dont le 1% nous impose à tous son programme, sans nous donner la chance de dire « non ».

Il écrit : « Le systems leadership consiste à cultiver une vision partagée du changement – en travaillant avec toutes les stakeholders de la société mondiale – puis à agir en conséquence pour changer la manière dont le système offre ses avantages, et à qui. Le systems leadership nécessite une action de toutes les stakeholders, y compris les individus, les dirigeants d’entreprise, les influenceurs sociaux et les décideurs ». (83)

Il qualifie ce contrôle descendant à spectre complet de « système de gestion de l’existence humaine » (84), bien que d’autres préfèrent le terme « totalitarisme ».

L’une des caractéristiques distinctives du fascisme historique en Italie et en Allemagne était son impatience face aux contraintes gênantes imposées à la classe dirigeante (« la Nation » en langage fasciste) par la démocratie et le libéralisme politique.

Tout cela a dû être balayé pour permettre un Blitzkrieg de « modernisation » accélérée.

Nous voyons le même esprit resurgir dans les appels de Schwab à une « gouvernance agile » dans lesquels il affirme que « le rythme du développement technologique et un certain nombre de caractéristiques des technologies rendent les cycles et processus d’élaboration des politiques précédents inadéquats ». (85)

Il écrit : « L’idée de réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies n’est pas nouvelle, mais l’urgence de le faire est bien plus grande à la lumière de la puissance des technologies émergentes d’aujourd’hui… le concept de gouvernance agile cherche à égaler l’agilité, la fluidité, la flexibilité et l’adaptabilité des technologies elles-mêmes et des acteurs du secteur privé qui les adoptent ». (86)

L’expression « réformer les modèles de gouvernance pour faire face aux nouvelles technologies » met vraiment à nu ses idées. Comme sous le fascisme, les structures sociales doivent être réinventées de manière à s’adapter aux exigences du capitalisme et de ses technologies à but lucratif.

Schwab explique que sa « gouvernance agile » impliquerait la création de soi-disant laboratoires de politiques – « des espaces protégés au sein du gouvernement avec un mandat explicite d’expérimenter de nouvelles méthodes d’élaboration de politiques en utilisant des principes agiles » – et « d’encourager les collaborations entre les gouvernements et les entreprises pour créer des “bacs à sable de développement” et des “bancs d’essai expérimentaux” pour élaborer des réglementations utilisant des approches itératives, intersectorielles et flexibles ». (87)

Pour Schwab, le rôle de l’État est de faire progresser les objectifs capitalistes et non de les soumettre à une quelconque forme de contrôle. S’il est tout à fait favorable au rôle de l’État pour permettre une prise de contrôle de nos vies par les entreprises, il est moins attaché à sa fonction de régulation, qui pourrait ralentir l’afflux de profits dans des mains privées, et il envisage donc « le développement d’écosystèmes de régulateurs privés, en concurrence sur les marchés ». (88)

Dans son livre de 2018, Schwab discute du problème des réglementations embêtantes et de la meilleure façon de « surmonter ces limites » dans le contexte des données et de la confidentialité.

Il propose « des accords de partage de données public-privé qui “brisent la vitre en cas d’urgence”. Ceux-ci ne se réalisent que dans des circonstances d’urgence préalablement convenues (comme une pandémie) et peuvent aider à réduire les retards et à améliorer la coordination des premiers intervenants, permettant temporairement le partage de données qui serait illégal dans des circonstances normales ». (89)

Curieusement, deux ans plus tard, il y a eu effectivement une « pandémie » et ces « circonstances d’urgence préalablement convenues » sont devenues une réalité.

Cela n’aurait pas dû être trop surprenant pour Schwab, puisque son Forum avait co-organisé en octobre 2019 la tristement célèbre conférence Event 201, qui a modélisé une pandémie de coronavirus fictive.

Et il n’a pas perdu de temps à sortir un nouveau livre, Covid-19 : The Great Reset, co-écrit avec Thierry Malleret, qui dirige quelque chose qui s’appelle The Monthly Barometer, « une analyse prédictive succincte fournie aux investisseurs privés, aux PDG mondiaux et aux décideurs et faiseurs d’opinion ». (90)

Publié en juillet 2020, le livre se propose d’avancer « des conjectures et des idées sur ce à quoi le monde post-pandémique pourrait et devrait peut-être ressembler ». (91)

Schwab et Malleret admettent que Covid-19 est « l’une des pandémies les moins meurtrières que le monde ait connues au cours des 2000 dernières années », ajoutant que « les conséquences du COVID-19 en termes de santé et de mortalité seront bénignes par rapport aux pandémies précédentes » . (92)

Ils continuent : « Cela ne constitue pas une menace existentielle, ni un choc qui laissera son empreinte sur la population mondiale pendant des décennies ». (93)

Pourtant, incroyablement, cette maladie « bénigne » est simultanément présentée comme l’excuse d’un changement social sans précédent, sous la bannière de « La Grande Réinitialisation » !

Et bien qu’ils déclarent explicitement que Covid-19 ne constitue pas un « choc » majeur, les auteurs utilisent à plusieurs reprises le même terme pour décrire l’impact plus large de la crise.

Schwab et Malleret placent Covid-19 dans une longue tradition d’événements qui ont facilité des changements soudains et significatifs dans nos sociétés.

Ils invoquent spécifiquement la Seconde Guerre mondiale :

« La Seconde Guerre mondiale a été la guerre de transformation par excellence, déclenchant non seulement des changements fondamentaux dans l’ordre mondial et l’économie mondiale, mais aussi des changements radicaux dans les attitudes et les croyances sociales qui ont finalement ouvert la voie à des changements radicalement nouveaux en ce qui concerne les politiques et les dispositions du contrat social (comme les femmes qui rejoignent le marché du travail avant de devenir électrices). Il existe évidemment des différences fondamentales entre une pandémie et une guerre (que nous examinerons plus en détail dans les pages suivantes), mais l’ampleur de leur pouvoir de transformation est comparable. Les deux ont le potentiel d’être une crise transformatrice aux proportions auparavant inimaginables ». (94)

Ils se joignent également à de nombreux « complotistes » contemporains pour faire une comparaison directe entre Covid-19 et le 11 septembre : « C’est ce qui s’est passé après les attentats terroristes du 11 septembre 2001. Partout dans le monde, de nouvelles mesures de sécurité comme l’utilisation généralisées de caméras, l’exigence de cartes d’identité électroniques et l’enregistrement des arrivées et des départs de salariés ou de visiteurs sont devenu la norme. A l’époque, ces mesures étaient jugées extrêmes, mais aujourd’hui elles sont utilisées partout et considérées comme “normales” ». (95)

Lorsqu’un tyran déclare le droit de régner sans tenir compte du point de vue de la population, il aime justifier sa dictature en affirmant qu’il est moralement en droit de le faire parce qu’il est « éclairé ».

Il en va de même pour la grande tyrannie de Schwab, alimentée par Covid, que le livre qualifie de « leadership éclairé », ajoutant : « certains dirigeants et décideurs qui étaient déjà à l’avant-garde de la lutte contre le changement climatique pourraient vouloir prendre avantage du choc infligé par la pandémie pour mettre en œuvre des changements environnementaux durables et plus larges. En effet, ils feront “bon usage” de la pandémie en ne laissant pas la crise se gâter ». (96)

L’élite dirigeante du capitalisme mondial a certainement fait de son mieux pour « profiter du choc infligé par la panique », nous assurant depuis les tout premiers jours de l’épidémie que, pour une raison insondable, rien dans nos vies ne pouvait rester pareil.

Schwab et Malleret sont, inévitablement, enthousiastes dans leur utilisation du cadrage New Normal, bien qu’ils admettent que le virus n’a jamais été que « bénigne ».

« C’est notre moment décisif », pavoisent-ils. « Beaucoup de choses changeront à jamais ». « Un nouveau monde émergera ». « Le bouleversement sociétal déclenché par COVID-19 durera des années, voire des générations ». « Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse courte est : jamais ». (97)

Ils vont même jusqu’à proposer une nouvelle séparation historique entre « l’ère pré-pandémique » et « le monde post-pandémique ». (98)

Ils écrivent :

« Des changements radicaux d’une telle ampleur sont à venir que certains experts ont évoqué une ère « avant le coronavirus » (BC) et « après le coronavirus » (AC). Nous continuerons d’être surpris par la rapidité et la nature inattendue de ces changements – à mesure qu’ils s’amalgament, ils provoqueront des conséquences de deuxième, troisième, quatrième ordre et plus, des effets en cascade et des résultats imprévus. Ce faisant, ils façonneront une “nouvelle normalité” radicalement différente de celle que nous abandonnerons progressivement. Beaucoup de nos croyances et hypothèses sur ce à quoi le monde pourrait ou devrait ressembler seront brisées au cours du processus ». (99)

En 2016, Schwab envisageait de « nouvelles façons d’utiliser la technologie pour changer les comportements » (100) et prévoyait : « L’échelle de la révolution technologique en cours entraînera des changements économiques, sociaux et culturels d’une telle ampleur phénoménale qu’ils sont presque impossibles à envisager ». (101)

Une manière dont il avait espéré que son programme technocratique serait avancé était, comme nous l’avons noté, par les fausses « solutions » au changement climatique proposées par de faux verts capitalistes.

Sous le titre « réinitialisation de l’environnement », Schwab et Malleret déclarent : « À première vue, la pandémie et l’environnement peuvent sembler n’être que des cousins ​​éloignés ; mais ils sont beaucoup plus proches et entrelacés qu’on ne le pense ». (102)

L’un des liens est que les « crises » climatiques et virales ont été utilisées par le WEF et leurs semblables pour faire avancer leur programme de gouvernance mondiale. Comme l’ont dit Schwab et son co-auteur, « ils sont de nature mondiale et ne peuvent donc être correctement traités que de manière coordonnée au niveau mondial ». (103)

Un autre lien est la façon dont « l’économie post-pandémique » et « l’économie verte » (104) impliquent des profits massifs pour, en grande partie, les mêmes secteurs du big business.

Covid-19 a évidemment été une excellente nouvelle pour les capitalistes qui espéraient tirer profit de la destruction de l’environnement. Schwab et Malleret écrivent : « La conviction que les stratégies ESG [Environmental, Social and Corporate Governance] ont bénéficié de la pandémie et sont les plus susceptibles d’en bénéficier davantage est corroborée par diverses enquêtes et rapports. Les premières données montrent que le secteur de la durabilité a surperformé les fonds conventionnels au cours du premier trimestre de 2020 ». (105)

Les requins capitalistes du soi-disant « secteur de la durabilité » se frottent les mains avec joie à la perspective de tout l’argent qu’ils ont à gagner grâce à la grande réinitialisation fasciste prétextée par Covid, dans laquelle l’État est instrumentalisé pour financer leur rapacité hypocrite.

Remarque Schwab et Malleret : « La clé pour attirer les capitaux privés vers de nouvelles sources de valeur économique positive pour la nature sera de déplacer les principaux leviers politiques et les incitations financières publiques dans le cadre d’une réinitialisation économique plus large ». (106)

« Un document d’orientation préparé par Systemiq en collaboration avec le Forum économique mondial estime que la construction d’une économie favorable à la nature pourrait représenter plus de 10 000 milliards de dollars par an d’ici à 2030… La réinitialisation de l’environnement ne doit pas être considérée comme un coût, mais plutôt comme un investissement qui générera une activité économique et des opportunités d’emploi ». (107)

Compte tenu de l’imbrication des crises climatique et de Covid énoncées par Schwab, nous pourrions supposer que le plan initial était de faire passer la réinitialisation de la nouvelle normalité sur le dos de la crise climatique.

Mais, manifestement, toute cette publicité pour Greta Thunberg et Extinction Rebellion (mouvement soutenu par les grandes entreprises) n’a pas suscité suffisamment de panique publique pour justifier de telles mesures.

Covid-19 sert parfaitement les objectifs de Schwab, car l’urgence immédiate qu’il présente permet d’accélérer et de précipiter l’ensemble du processus sans examen minutieux.

« Cette différence cruciale entre l’horizon temporel respectif d’une pandémie et celui du changement climatique et de la perte de la nature signifie qu’un risque de pandémie nécessite une action immédiate qui sera suivie d’un résultat rapide, tandis que le changement climatique et la perte de la nature nécessitent également une action immédiate, mais le résultat (ou “récompense future”, dans le jargon des économistes) ne suivra qu’avec un certain décalage ». (108)

Pour Schwab et ses amis, Covid-19 est le grand accélérateur de tout ce qu’ils veulent nous imposer depuis des années.

Comme lui et Malleret le disent : « Il est clair que la pandémie approfondit et accélère des tendances géopolitiques qui étaient déjà apparentes avant que la crise n’éclate ». (109)

« La pandémie marquera un tournant, en accélérant cette transition. Il a cristallisé la question et rendu impossible un retour au statu quo d’avant la pandémie ». (110)

Ils peuvent à peine cacher leur joie face à la direction que prend désormais la société :

« La pandémie accélérera encore plus l’innovation : elle catalyse les changements technologiques déjà en cours (comparable à l’effet d’exacerbation qu’elle a eu sur d’autres problèmes mondiaux et nationaux sous-jacents) et elle “suralimente” toute entreprise numérique ou la dimension numérique de toute entreprise ». (111)

« Avec la pandémie, la “transformation numérique” à laquelle tant d’analystes se réfèrent depuis des années, sans savoir exactement ce qu’elle voulait dire, a trouvé son catalyseur. Un effet majeur du confinement sera l’expansion et la progression du monde numérique de manière décisive et souvent permanente. »

« En avril 2020, plusieurs leaders technologiques ont observé à quelle vitesse et de quelle manière radicale les besoins créés par la crise sanitaire avaient précipité l’adoption d’un large éventail de technologies. En l’espace d’un mois à peine, il est apparu que de nombreuses entreprises, en termes d’adoption de la technologie, avaient progressé rapidement de plusieurs années ». (112)

Le destin sourit évidemment à Klaus Schwab, car cette crise de Covid-19 a heureusement réussi à faire avancer à peu près tous les aspects de l’agenda qu’il a promu au fil des décennies.

Ainsi, Malleret et lui rapportent avec satisfaction que « la pandémie accélérera l’adoption de l’automatisation sur le lieu de travail et l’introduction de plus de robots dans nos vies personnelles et professionnelles ». (113)

Les confinements à travers le monde ont, il va sans dire, fourni un grand coup de pouce financier aux entreprises proposant des achats en ligne.

Les auteurs racontent :

« Les consommateurs ont besoin de produits et s’ils ne peuvent pas acheter, ils auront inévitablement recours à les acheter en ligne. Au fur et à mesure que cette habitude s’installe, les personnes qui n’avaient jamais acheté en ligne auparavant seront à l’aise de le faire, tandis que les personnes qui étaient des acheteurs en ligne à temps partiel auparavant en deviendront plus dépendants. Cela a été mis en évidence lors des confinements. Aux États-Unis, Amazon et Walmart ont embauché au total 250 000 travailleurs pour répondre à l’augmentation de la demande et ont construit une infrastructure massive pour les commandes en ligne. Cette croissance accélérée du commerce électronique signifie que les géants du commerce en ligne sortiront probablement de la crise encore plus forts qu’ils ne l’étaient à l’époque pré-pandémique ». (114)

Ils ajoutent :

« Alors que de plus en plus de choses et de services nous sont apportés par nos mobiles et nos ordinateurs, les entreprises dans des secteurs aussi disparates que le commerce électronique, les opérations sans contact, le contenu numérique, les robots et les livraisons par drones (pour n’en citer que quelques-uns) prospéreront… Ce n’est pas par hasard que des entreprises comme Alibaba, Amazon, Netflix ou Zoom sont sorties “gagnants” des confinements ». (115)

En corollaire, on pourrait suggérer que « ce n’est pas par hasard » que les gouvernements qui ont été capturés et contrôlés par les grandes entreprises, grâce à des acteurs comme le WEF, ont imposé une « nouvelle réalité » dans laquelle les grandes entreprises sont les « gagnants »…

La bonne nouvelle inspirée de Covid ne s’arrête jamais pour tous les secteurs d’activité qui devraient bénéficier de la quatrième répression industrielle.

« La pandémie peut s’avérer être une aubaine pour l’éducation en ligne », constatent Schwab et Malleret. « En Asie, le passage à l’éducation en ligne a été particulièrement notable, avec une forte augmentation des inscriptions numériques des étudiants, une valorisation beaucoup plus élevée pour les entreprises d’enseignement en ligne et plus de capital disponible pour les start-ups “ed-tech”… À l’été 2020 , la direction de la tendance semble claire : le monde de l’éducation, comme pour tant d’autres industries, deviendra en partie virtuel ». (116)

Les sports en ligne ont également pris leur envol :

« Pendant un certain temps, la distanciation sociale peut contraindre la pratique de certains sports, ce qui profitera à son tour à l’expansion toujours plus puis puissante des e-sports. La technologie et le numérique ne sont jamais loin! ». (117)

Il y a des nouvelles similaires du secteur bancaire : « Les interactions bancaires en ligne sont passées à 90% pendant la crise, contre 10%, sans baisse de qualité et augmentation de la conformité ». (118)

Le passage à l’activité en ligne inspiré de Covid profite évidemment aux GAFAM, qui font d’énormes profits de la crise, comme les auteurs le disent :

« La valeur marchande combinée des principales entreprises technologiques a battu record après record pendant les confinements, remontant même au-dessus des niveaux avant le début de l’épidémie… il est peu probable que ce phénomène s’atténue de si tôt, bien au contraire ». (119)

Mais c’est aussi une bonne nouvelle pour toutes les entreprises impliquées, qui n’ont plus à payer des êtres humains pour travailler pour elles. L’automatisation consiste, comme toujours, à réduire les coûts et donc à augmenter les profits de l’élite capitaliste.

La culture fasciste de la Nouvelle Normalité offrira également des retombées lucratives à des secteurs d’activité particuliers, tels que l’industrie de l’emballage, expliquent Schwab et Malleret.

« La pandémie renforcera certainement notre attention sur l’hygiène. Une nouvelle obsession de la propreté entraînera notamment la création de nouvelles formes d’emballage. Nous serons encouragés à ne pas toucher aux produits que nous achetons. Les plaisirs simples comme sentir un melon ou presser un fruit seront désapprouvés et peuvent même devenir une chose du passé ». (120)

Les auteurs décrivent également ce qui ressemble beaucoup à un programme technocratique lié au profit derrière la « distanciation sociale » qui a été un élément clé de la « réinitialisation » Covid.

Ils écrivent :

« Sous une forme ou une autre, les mesures de distanciation sociale et physique risquent de persister après la disparition de la pandémie elle-même, justifiant la décision de nombreuses entreprises de différents secteurs d’accélérer l’automatisation. Après un certain temps, les préoccupations persistantes concernant le chômage technologique disparaîtront à mesure que les sociétés souligneront la nécessité de restructurer le lieu de travail de manière à minimiser les contacts humains étroits. En effet, les technologies d’automatisation sont particulièrement bien adaptées à un monde dans lequel les êtres humains ne peuvent pas être trop proches les uns des autres ou sont prêts à réduire leurs interactions. Notre peur persistante et peut-être durable d’être infectée par un virus (COVID-19 ou autre) accélérera ainsi la marche implacable de l’automatisation, en particulier dans les domaines les plus sensibles à l’automatisation ». (121)

Comme mentionné précédemment, Schwab a longtemps été frustré par toutes ces réglementations nuisibles qui empêchent les capitalistes de gagner autant d’argent qu’ils le souhaiteraient, en se concentrant sur des préoccupations économiquement non pertinentes telles que la sécurité et le bien-être des êtres humains.

Mais – hourra! – la crise Covid a fourni l’excuse parfaite pour éliminer de grands pans de ces vieux obstacles à la prospérité et à la croissance.

La santé est un domaine dans lequel les formalités administratives fastidieuses sont abandonnées. Pourquoi un stakeholder sensé imaginerait-il qu’une obligation particulière de soin et de diligence devrait être autorisée à empiéter sur la rentabilité de ce secteur d’activité particulier ?

Schwab et Malleret sont ravis de constater que la télémédecine « bénéficiera considérablement » de l’urgence Covid : « La nécessité de faire face à la pandémie par tous les moyens disponibles (plus, pendant l’épidémie, la nécessité de protéger les agents de santé en leur permettant de travailler à distance) a éliminé certains des obstacles réglementaires et législatifs liés à l’adoption de la télémédecine ». (122)

L’abandon des réglementations est un phénomène général sous le régime mondial de la New Normal, comme le signalent Schwab et Malleret :

« À ce jour, les gouvernements ont souvent ralenti le rythme de l’adoption des nouvelles technologies en réfléchissant longuement à ce à quoi le meilleur cadre réglementaire devrait ressembler, mais, comme le montre maintenant l’exemple de la télémédecine et de la livraison par drone, une accélération spectaculaire forcée par la nécessité est possible. Pendant les confinements, un assouplissement quasi-global des réglementations qui avait auparavant entravé les progrès dans les domaines où la technologie était disponible depuis des années s’est soudainement produit parce qu’il n’y avait pas de choix meilleur ou autre disponible. Ce qui était jusqu’à récemment impensable est soudainement devenu possible… De nouvelles réglementations resteront en place ». (123)

Ils ajoutent :

« L’impératif actuel de propulser, quoi qu’il arrive, “l’économie sans contact” et la volonté ultérieure des régulateurs de l’accélérer signifient que l’on est sans tabou ». (124)

« Sans tabou ». Ne vous y trompez pas : c’est le langage adopté par le capitalisme lorsqu’il abandonne sa prétention à la démocratie libérale et passe en mode complètement fasciste.

Il ressort clairement des travaux de Schwab et Malleret qu’une fusion fasciste de l’État et des entreprises, à l’avantage de ces derniers, sous-tend leur grande réinitialisation.

Des sommes d’argent phénoménales ont été transférées des fonds publics vers les poches bombées du 1% depuis le tout début de la crise Covid, comme ils le reconnaissent :

« En avril 2020, alors que la pandémie commençait à engloutir le monde, les gouvernements du globe avaient annoncé des programmes de relance s’élevant à plusieurs billions de dollars, comme si huit ou neuf plans Marshall avaient été mis en place presque simultanément ». (125)

Ils poursuivent : « Le COVID-19 a réécrit de nombreuses règles du jeu entre les secteurs public et privé. […] La plus grande intrusion bienveillante (ou non) des gouvernements dans la vie des entreprises et la conduite de leurs affaires dépendra du pays et de l’industrie, prenant donc de nombreuses formes différentes ». (126)

« Des mesures qui auraient semblé inconcevables avant la pandémie pourraient bien devenir la norme dans le monde entier alors que les gouvernements tentent d’empêcher la récession économique de se transformer en une dépression catastrophique. »

« De plus en plus, des appels seront lancés au gouvernement pour qu’il agisse en tant que “payeur de dernier recours” pour prévenir ou endiguer la vague de licenciements massifs et de destructions d’entreprises déclenchées par la pandémie. Tous ces changements modifient les règles du “jeu” de la politique économique et monétaire. » (127)

Schwab et son collègue se félicitent de la perspective que des pouvoirs étatiques accrus soient utilisés pour soutenir le profit des grandes entreprises.

Ils écrivent :

« L’une des grandes leçons des cinq derniers siècles en Europe et en Amérique est la suivante : les crises aiguës contribuent à renforcer le pouvoir de l’État. Cela a toujours été le cas et il n’y a aucune raison pour que ce soit différent avec la pandémie COVID-19 ». (128)

Et ils ajoutent :

« En regardant vers l’avenir, les gouvernements décideront très probablement, mais avec différents degrés d’intensité, qu’il est dans l’intérêt de la société de réécrire certaines des règles du jeu et d’accroître en permanence leur rôle ». (129)

L’idée de réécrire les règles du jeu rappelle encore une fois le langage fasciste, tout comme l’idée d’augmenter en permanence le rôle de l’État dans l’aide au secteur privé.

En effet, il vaut la peine de comparer la position de Schwab sur cette question avec celle du dictateur fasciste italien Benito Mussolini, qui a répondu à la crise économique en 1931 en lançant un organisme spécial d’urgence, L’Istituto mobiliare italiano, pour aider les entreprises.

Il a déclaré que c’était « un moyen pour conduire énergiquement l’économie italienne vers sa phase corporative, c’est-à-dire un système qui respecte fondamentalement la propriété et l’initiative privée, mais les lie étroitement à l’État, qui seul peut les protéger, les contrôler et les animer ». (130)

Les soupçons sur la nature fasciste de la grande réinitialisation de Schwab sont confirmés, bien sûr, par les mesures policières qui ont été déployées à travers le monde pour assurer le respect des mesures « d’urgence » de Covid.

La pure force brute qui ne se trouve jamais loin sous la surface du système capitaliste devient de plus en plus visible quand il entre dans la phase fasciste et cela est très en évidence dans le livre de Schwab et Malleret.

Le mot « force » est déployé à maintes reprises dans le contexte de Covid-19. Parfois, c’est dans un contexte commercial, comme avec les déclarations selon lesquelles « le COVID-19 a forcé toutes les banques à accélérer une transformation numérique qui est maintenant là pour durer » ou que « la micro-réinitialisation obligera chaque entreprise de chaque secteur à expérimenter de nouvelles manières de faire des affaires, de travailler et de fonctionner ». (131)

Mais parfois elle s’applique directement aux êtres humains, ou aux « consommateurs » comme Schwab et ses semblables préfèrent nous représenter.

« Pendant les confinements, de nombreux consommateurs auparavant réticents à s’appuyer trop lourdement sur les applications et services numériques ont été contraints de changer leurs habitudes presque du jour au lendemain : regarder des films en ligne au lieu d’aller au cinéma, se faire livrer des repas au lieu d’aller au restaurant, parler à des amis à distance au lieu de les rencontrer en chair et en os, parler à des collègues sur un écran au lieu de bavarder à la machine à café, faire de l’exercice en ligne au lieu d’aller au gymnase, etc. »

« Bon nombre des comportements technologiques que nous avons été forcés d’adopter pendant la détention deviendront plus naturels grâce à la familiarité. Au fur et à mesure que les distanciations sociales et physiques persistent, l’appui plutôt sur les plateformes numériques pour communiquer, travailler, demander conseil ou commander quelque chose va petit à petit gagner du terrain sur des habitudes autrefois ancrées ». (132)

Dans un système fasciste, les individus ne se voient pas offrir le choix de se conformer ou non à ses demandes, comme Schwab et Malleret le disent clairement à propos de ce que l’on appelle la recherche des contacts :

« Aucune application volontaire de recherche des contacts ne fonctionnera si les gens ne sont pas disposés à fournir leurs propres données personnelles à l’agence gouvernementale qui surveille le système; si un individu refuse de télécharger l’application (et donc de ne pas divulguer des informations sur une éventuelle infection, des mouvements et des contacts), tout le monde sera affecté ». (133)

Ceci, pensent-ils, est un autre grand avantage de la crise Covid par rapport à la crise environnementale qui aurait pu être utilisée pour imposer leur nouvelle norme :

« Alors que pour une pandémie, une majorité de citoyens aura tendance à être d’accord avec la nécessité d’imposer des mesures coercitives, ils résisteront aux politiques contraignantes en cas de risques environnementaux où les preuves peuvent être contestées ». (134)

Ces « mesures coercitives », qu’on nous impose, impliqueront bien entendu des niveaux inimaginables de surveillance fasciste de nos vies, en particulier dans notre rôle d’esclaves salariés.

Schwab et Malleret écrivent :

« Le mouvement de l’entreprise sera vers une plus grande surveillance; pour le meilleur ou pour le pire, les entreprises surveilleront et enregistreront parfois ce que font leurs effectifs. La tendance pourrait prendre différentes formes, de la mesure de la température corporelle avec des caméras thermiques à la surveillance via une application de la manière dont les employés respectent la distanciation sociale ». (135)

Des mesures coercitives d’un type ou d’un autre sont également susceptibles d’être utilisées pour forcer les gens à prendre les vaccins Covid en cours de préparation.

Schwab est profondément connecté à ce monde, allant jusqu’à tutoyer Bill Gates et ayant été décrit par Henry McKinnell, président et PDG de Pfizer Inc, comme « une personne vraiment dévouée à une cause vraiment noble » .

On ne s’étonne donc pas qu’il insiste, avec Malleret, sur le fait qu’ « un retour complet à la “normale” ne peut être envisagé avant qu’un vaccin ne soit disponible ». (136)

Il ajoute :

« Le prochain obstacle est le défi politique de vacciner suffisamment de personnes dans le monde (nous sommes collectivement aussi forts que le maillon le plus faible) avec un taux de conformité suffisamment élevé malgré la montée des anti-vaccins ». (137)

Les « anti-vaccins » rejoignent ainsi la liste des menaces pesant sur le projet de Schwab, aux côtés des manifestants anti-mondialisation et anticapitalistes, des Gilets Jaunes et de tous ceux qui sont engagés dans des « conflits de classe », « résistance sociale » et « réaction politique ».

La majorité de la population mondiale a déjà été exclue des processus décisionnels par le manque de démocratie que Schwab veut accentuer à travers sa domination corporative actionnaire, sa « gouvernance agile », son management totalitaire de l’existence humaine.

Mais comment envisage-t-il de faire face au « sombre scénario » des gens qui se soulèvent contre sa grande réinitialisation newnormaliste et sa quatrième révolution industrielle transhumaniste ?

Quel degré de « force » et de « mesures coercitives » serait-il prêt à accepter pour assurer l’aube de sa nouvelle ère technocratique ?

La question est effrayante, mais nous devons également garder à l’esprit l’exemple historique du régime du XXe siècle dans lequel Schwab est né.

La nouvelle normalité nazie d’Hitler était censée durer mille ans, mais s’est effondrée 988 ans avant l’objectif.

Ce n’est pas parce qu’Hitler a dit, avec toute la confiance du pouvoir, que son Reich durerait un millénaire, qu’il en était ainsi.

Ce n’est pas parce que Klaus Schwab et Thierry Malleret et leurs amis disent que nous entrons maintenant dans la quatrième révolution industrielle et que notre monde sera changé à jamais, qu’il en est ainsi.

Nous n’avons pas à accepter leur nouvelle norme. Nous n’avons pas à accepter leurs propos alarmistes. Nous n’avons pas à prendre leurs vaccins. Nous n’avons pas à les laisser nous implanter des smartphones ou à modifier notre ADN. Nous n’avons pas à marcher, muselés et soumis, directement dans leur enfer transhumaniste.

Nous pouvons dénoncer leurs mensonges ! Exposer leur agenda ! Refuser leur récit ! Rejeter leur idéologie toxique ! Résister à leur fascisme !

Klaus Schwab n’est pas un dieu, mais un être humain. Juste un homme âgé. Et ceux avec qui il travaille, l’élite capitaliste mondiale, sont peu nombreux. Leurs objectifs ne sont pas les objectifs de la grande majorité de l’humanité. Leur vision transhumaniste est répugnante pour presque tout le monde en dehors de leur petit cercle et ils n’ont pas le consentement pour la dictature technocratique qu’ils essaient de nous imposer.

C’est pourquoi, après tout, ils ont dû se donner tant de mal pour nous le forcer sous le faux drapeau de la lutte contre un virus. Ils ont compris que sans la justification « d’urgence », nous n’allions jamais accepter leur plan déformé.

Ils ont peur de notre pouvoir potentiel parce qu’ils savent que si nous nous soulevons, nous les vaincrons. Nous pouvons faire échouer leur projet avant même qu’il n’ait vraiment démarré.

Nous sommes le peuple, nous sommes les 99%, et ensemble, nous pouvons retirer notre liberté des mâchoires mortelles de la machine fasciste !

1. Klaus Schwab with Nicholas Davis, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution : A Guide to Building a Better World (Genève : WEF, 2018), e-book.
2. Klaus Schwab, The Fourth Industrial Revolution (Genève : WEF, 2016), e-book.
3. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
4. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
5. Ibid.
6. Ibid.
7. Ibid.
8. Ibid.
9. Ibid.
10. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
11. Ibid.
12. Ibid.
13. Ibid.
14. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
15. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
16. Ibid.
17. Ibid.
18. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
19. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
20. Ibid.
21. Ibid.
22. Ibid.
23. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
24. Ibid.
25. Ibid.
26. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
27. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
28. Ibid.
29. Ibid.
30. Ibid.
31. Ibid.
32. Ibid.
33. Ibid.
34. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
35. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
36. Ibid.
37. Ibid.
38. Ibid.
39. Ibid.
40. Ibid.
41. Ibid.
42. Ibid.
43. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
44. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
45. Ibid.
46. Ibid.
47. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
48. Ibid.
49. Ibid.
50. Kevin Warwick, I, Cyborg (London : Century, 2002), p. 4. Lire aussi Paul Cudenec, Nature, Essence and Anarchy (Sussex : Winter Oak, 2016).
51. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
52. Ibid.
53. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
54. Ibid.
55. Ibid.
56. Klaus Schwab, Thierry Malleret, Covid-19 : The Great Reset (Genève : WEF, 2020), e-book. Edition 1.0.
57. Ibid.
58. Ibid.
59. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
60. Ibid.
61. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
62. Ibid.
63. Ibid.
64. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
65. Ibid.
66. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
67. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
68. Ibid.
69. Ibid.
70. Ibid.
71. Ibid.
72. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
73. Ibid.
74. Ibid.
75. Ibid.
76. Ibid.
77. Ibid.
78. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
79. Ibid.
80. Schwab, Shaping the Future of the Fourth Industrial Revolution.
81. Ibid.
82. Ibid.
83. Ibid.
84. Ibid.
85. Ibid.
86. Ibid.
87. Ibid.
88. Ibid.
89. Ibid.
90. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
91. Ibid.
92. Ibid.
93. Ibid.
94. Ibid.
95. Ibid.
96. Ibid.
97. Ibid.
98. Ibid.
99. Ibid.
100. Schwab, The Fourth Industrial Revolution.
101. Ibid.
102. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
103. Ibid.
104. Ibid.
105. Ibid.
108. Ibid.
107. Ibid.
108. Ibid.
109. Ibid.
110. Ibid.
111. Ibid.
112. Ibid.
113. Ibid.
114. Ibid.
115. Ibid.
116. Ibid.
117. Ibid.
118. Ibid.
119. Ibid.
120. Ibid.
121. Ibid.
122. Ibid.
123. Ibid.
124. Ibid.
125. Ibid.
126. Ibid.
127. Ibid.
128. Ibid.
129. Ibid.
130. Benito Mussolini, cit. Pierre Milza and Serge Berstein, Le fascisme italien 1919-1945 (Paris : Editions de Seuil, 1980), p. 246.
131. Schwab, Malleret, Covid-19 : The Great Reset.
132. Ibid.
133. Ibid.
134. Ibid.
135. Ibid.
136. Ibid.
137. Ibid.


[Voir aussi :

  • Le cerveau du “Grand Reset” suggère de “scanner les esprits” pour évaluer les risques avant d’autoriser à voyager
  • Tucker Carlson : Les élites insistent sur les confinements du Covid pour inaugurer le “Grand Reset”
  • Le NYTimes déclare que le “Grand Reset” est une “théorie du complot” le même jour où le Forum économique mondial le célèbre
  • John Kerry déclare qu’un “Grand Reset” est nécessaire pour stopper la montée du populisme
  • Donc, c’est quoi le “Grand Reset” ?
  • Great reset : c’est pour bientôt !




Après la bombe atomique, ils nous concoctent une dystopie pire que 1984

[Source : Réseau International]

Auteur : Paul Craig Roberts

Je pensais être seul à me soucier des conséquences économiques désastreuses de la robotique, mais Clarity Press me réconforte un peu maintenant, en publiant The Artificial Intelligence Contagion
de David et Daniel Barnhizer. Les coauteurs de ce livre étant avocats,
ça nous en dit long sur la raison dêtre de la profession d’économiste.

L’inquiétude entourant la robotique et
l’intelligence artificielle, est le fait de scientifiques qui craignent
que les robots tueurs super intelligents prennent le pas sur les
humains, plus limités et moins doués. Ils n’ont peut-être pas tort, mais
ce genre de soucis découle probablement d’idées ou de vues inabouties
sur l’esprit, la conscience et la créativité. J’aimerais que Michael
Polanyi soit toujours avec nous ; il battrait en brèche la propension à
vouloir doter les machines d’intelligence artificielle.

Les coauteurs mentionnent brièvement ces
menaces ainsi que celles qui sont bien réelles et déjà là, celles des
gouvernements dotés de moyens de surveillance et de contrôle intrusifs,
permis par la révolution numérique et l’intelligence artificielle. Les
mises en garde de Stephen Hawking, Nick Bostrom et Elon Musk, contre une
super intelligence immortelle, comme divine, au mieux amorale et au
pire immorale, qui prendrait en charge notre destin, ne sont que
spéculations. En revanche, l’impact économique négatif de la robotique
est déjà là. Ainsi, les coauteurs se focalisent surtout sur l’énorme
bouleversement économique qui résulterait de rendre les travailleurs
inutiles.

J’ai découvert dernièrement que des
machines intelligentes permettent aussi bien de remplacer les
magasiniers, que les employés des usines qui fabriquent les
transpalettes servant à manipuler les caisses et les boîtes. Comme ces
machines intelligentes sont elles-mêmes fabriquées par des robots, les
ouvriers fabriquant des transpalettes sont eux aussi inutiles.

D’après le dernier rapport sur l’emploi,
les entrepôts font travailler 1 192 000 magasiniers. À la différence du
travail avec les transpalettes, les nouvelles machines intelligentes
sont incapables d’améliorer la productivité du travail. En permettant de
se passer d’humain pour travailler, la machine ne fait que remplacer la
main-d’œuvre. Au lieu d’aller dans les salaires, chaque dollar
passerait dans les bénéfices des propriétaires d’entrepôts. C’est la
grande différence entre les innovations antérieures, qui amélioraient la
productivité et le niveau de vie des gens, et l’innovation de
l’intelligence artificielle robotique, qui élimine le besoin de
travailleurs humains et les rend inutiles.

La robotique ne sera pas mise en œuvre
partout à la fois ; ça se fera par étapes. Les 1,2 million de
magasiniers évincés chercheront un autre job. Les plus chanceux en
trouveront. Les autres rejoindront les rangs du chômage, jusqu’à ce que
découragés, ils se retrouvent en marge de la société, et sortent des
statistiques du chômage. Les recettes fiscales locales et fédérales
diminueront à cause des emplois perdus, mais les indemnités de chômage
et les autres prestations sociales gonfleront. Avec des revenus limités
ou inexistants, il y aura 1,2 million de personnes de moins dans la
vente au détail. Les ventes de voitures, de maisons, de restaurants, de
vêtements et de divertissements déclineront. Les recettes fiscales de la
masse salariale, les cotisations de sécurité sociale et
d’assurance-maladie seront amputés de l’apport de 1,2 million de
travailleurs, tout comme les cotisations de retraite. La sécurité
sociale et l’assurance-maladie de la main-d’œuvre active et retraitée,
sont financées par le travail actuel. Comme la robotique éliminera la
main-d’œuvre active, les recettes fiscales de la masse salariale
s’étioleront.

Tant
que le dollar sera la monnaie de réserve mondiale, le gouvernement
fédéral pourra imprimer l’argent manquant des cotisations de sécurité
sociale et d’assurance-maladie. Mais comme de vastes régions du monde
(Russie et Chine) ont déjà été poussées à se passer du dollar, à cause
des sanctions dues justement à son usage, cela veut dire que le dollar
perdra un jour son rôle de monnaie de réserve. Que ferons-nous après,
quand un nombre jamais vu de millions de gens attendront leurs pensions
et soins médicaux de la Sécurité sociale, et qu’il n’y aura plus de
main-d’œuvre pour payer les charges sociales ?

Ce genre de questions, et il y en a bien
d’autres, devrait être le centre d’intérêt principal de tout
économiste ; sauf que ça n’améliorerait rien, puisque les économistes
néolibéraux sont endoctrinés et incapables de penser. En tout cas, le
fait que ça n’inquiète aucunement les économistes, montre leur manque de
raison d’être et de compétence.

Il y a plusieurs années, j’avais fait
remarquer qu’avec la législation et les pratiques en cours,
l’intégralité du PIB reviendrait à la poignée de détenteurs de brevets
de robotique et d’intelligence artificielle. Les autres n’auraient pas
de revenu. Ce genre de situation est irréalisable du fait que plus
personne n’ayant d’emploi et de revenu pour acheter la production
automatisée, les brevets ne pourraient rien rapporter à leurs
propriétaires. À ce dilemme évident que j’avais soulevé, aucune réponse
n’a été apportée.

Une façon pour nous de comprendre ce
dilemme, serait que l’intelligence artificielle est nécessaire à ceux
qui nous apportent cette révolution, puisqu’ils sont eux-mêmes dépourvus
d’intelligence. En effet, est-il intelligent de vouloir remplacer les
humains ? Qu’y a-t-il d’intelligent dans le fait d’avoir des chaînes de
production robotisées, quand personne n’a les moyens d’acheter ce que
fabriquent les robots ?

Eh bien, pourrait-on nous raconter, nous
obligerons les propriétaires de robots à payer des charges sociales sur
les recettes de leurs ventes. Nous assurerons le maintien du circuit
économique en mettant les brevets au service de la société, en envoyant à
chacun le chèque de sa part de PIB, et patati et patata…

Mais quel est le but de ce binz ?
Pourquoi se passer de main-d’œuvre humaine ? Que gagneront les
possesseurs de robots, puisque plus personne n’aura les moyens d’acheter
leurs marchandises ? S’il n’y a plus de consommateur à l’autre bout du
circuit économique, faire des économies de coûts de production grâce à
la robotique et à l’intelligence artificielle, est singulièrement
loufoque. Quand pour aider les populations remplacées par la robotique,
les brevets devront être mis au service de la société, à quoi aura servi
la révolution robotique ?

Les coauteurs de The Artificial Intelligence Contagion
se rendent compte que des humains à la conscience et à l’intelligence
limitées, se sont découverts une passion intellectuelle dans la mise en
œuvre de leur autodestruction, et c’est bien ce dont il s’agit avec
l’intelligence artificielle. Les armes nucléaires, par exemple, sont des
inventions démentielles, pondues par des pauvres d’esprit, puisque leur
usage courant ne peut que détruire toute vie sur la planète. Une arme
de fin du monde est une arme inutile.

Même chose pour la robotique et
l’intelligence artificielle. Que vise la fabrication de menaces d’États
policiers et de suppression de toute raison d’être pour l’existence
humaine ? C’est au-delà du démentiel. Ceux qui en sont responsables sont
les pires gredins que le monde ait portés. Et malgré cela, l’admiration
du public suscitée par tous les avantages qu’ils apportent, font se
délecter ces destructeurs de l’humanité.

Lisez The Artificial Intelligence Contagion et dites-moi ce que ce livre vous apporte.

Paul Craig Roberts

Original : www.paulcraigroberts.org/2019/05/07/are-you-ready-for-a-worse-dystopia-than-1984/

Traduction Petrus Lombard




But des Agendas 21 et 2030

[Source : Aphadolie]

Que cachent l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies ? (Vidéos)

Publié par Aphadolie

Durée : 2 mn 24 / [1]



Durée : 15 mn 26 / [2]



Durée : 13 mn 48 / [3]




Que cachent l’Agenda 21 des Nations Unies et la transition énergétique ?

Agenda 21 - 2

L’Agenda 21 / Développement durable sont des termes inventés par David Rockefeller dans les années 90. L’argument majeur de l’agenda 21 des Rockefeller : « Pourvoir aux besoins du présent sans compromettre les besoins des générations futures. » Derrière la façade écologique, c’est en réalité une feuille de route pour contrôler toutes les ressources planétaires via des monopoles transnationaux.

Sur l’un des sites qui concernent ce sujet, une phrase est cruciale : « Ce processus marque la naissance d’un nouveau partenariat mondial pour le développement durable. »

Alors que l’appellation « développement durable » nous semble
positive, « nouveau partenariat mondial » déclenche notre suspicion. Or,
il y a de quoi être suspicieux… Hélas cela fait déjà 26 ans que
les directives territoriales et communales de l’Agenda 21 sont mises en
application dans les 178 pays qui ont signé cet accord au Sommet de la
Terre de Rio en 1992
.

Pas un seul domaine de notre quotidien n’échappe à ces directives
mondiales. Chaque projet implémenté est un pavé de plus sur la route d’un totalitarisme mondialisé pour les 178 pays signataires.

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Fin du droit de propriété

Rosa Koire, retraitée, a dirigé les expertises des
domaines immobiliers commerciaux pour les transports de l’état
californien pendant 28 ans. Témoin privilégiée des diverses utilisations
des terrains individuels ou publics, elle expose ouvertement les impacts du développement durable sur les droits des propriétaires et sur les libertés individuelles.

C’est au cours de disputes légales, à n’en plus finir, qu’elle
découvre la source du chaos créé par des suites de plans de
restructuration des terres dans les communes de sa région et partout
ailleurs dans le monde : U.N. Agenda 21. Une sorte de nouvel ordre mondial pour le 21ème siècle. Son livre « Behind The Green Mask : U.N. Agenda 21 » (Derrière le Masque de l’Écologie : L’Agenda 21 de l’ONU) révèle des orientations fascistes sous couvert de discours écologique feutré.

Elle écrit sur son site :

« On pourrait croire à de la science-fiction ou à une
théorie conspirationniste mais ça n’est pas le cas. L’Agenda 21-
Développement durable de l’O.N.U. c’est le projet d’actions implémenté
dans le monde entier pour répertorier et contrôler toutes les terres,
toutes les mers, tous les minéraux, toutes les plantes, tous les
animaux, toutes les constructions, tous les moyens de production, toute
l’énergie, toute l’instruction, toutes les informations et tous les
êtres humains dans le monde. C’est un inventaire des stocks ainsi que
leur contrôle
. »

Sommet de Rio

Établi lors de la Conférence des Nations-Unies sur l’Environnement et le Développement en 1992 à Rio De Janeiro au Brésil (Sommet de la Terre), l’Agenda 21 est un guide de mise en œuvre du développement durable pour le 21ème siècle. Les nations qui se sont engagées pour sa mise en place doivent l’appliquer aux niveaux national, régional et local.

L’Agenda 21 est structuré en 4 sections et 40 chapitres.

Rosa Koire est interviewée pour le Show Veritas, son discours très
éclairant sur ce qui se passe pour nous aujourd’hui. Sa vue d’ensemble
lève le voile sur de nombreux domaines. On comprend beaucoup mieux que
tout se tient. Tout d’un coup, tout ce qui cloche devient logique et
« normal » pour les décideurs de ce plan.

Extraits de l’interview de Show Veritas :

« Les textes de l’Agenda 21 sont présents dans tous les
projets généraux des villes et des régions. Nous sommes nombreux à
appuyer l’ONU dans ses efforts de paix et nous sommes peu à savoir que
les Nations-Unies ont des règlementations très spécifiques pour
l’utilisation des terres, règlementations suivies dans chaque ville,
chaque région et chaque état dans le monde. Ce projet s’appelle Agenda
21 (développement durable) et il est basé sur le communautarisme. Nous
entendons parler du développement durable mais rarement de l’Agenda 21.
 »

Accords de libre-échange = Agenda 21

Nous devons comprendre ce qu’est la mondialisation…c’est la standardisation de tous les systèmes (transports, distribution des ressources, éducation, etc.). Il s’agit de tout « harmoniser » pour mieux mondialiser.

Tous les accords de libre échange (NAFTA, TTIP, TISA) font partie du noyau de l’Agenda 21. En 1955 ou 56, c’est l’Union Européenne
qui a commencé avec l’accord sur l’acier et le charbon. Aujourd’hui, 28
pays ont donné leur souveraineté à la Commission Européenne.

Le TTP (Trans Pacific Partnership) est au départ un projet secret mis en route il y a une dizaine d’années entre les US et 11 pays du Pacifique, l’équivalent pour l’Europe étant le pacte transatlantique

Ces projets sont fondamentalement toujours les mêmes, le dessein est de transcender les lois nationales avec les accords internationaux afin d’harmoniser toutes les lois. Les projets ou directives existent dans le monde entier et leur but est de mondialiser.

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Du local au mondial

En 1995, le conseiller à la présidence, Agnew Brezinski déclara :

« Vous ne pouvez pas avoir une mondialisation globale en
une seule étape, vous devez régionaliser… et les accords sont là pour
ça : établir des régions dont les frontières extérieures s’accorderont
avec les frontières nationales qui elles-mêmes s’accorderont avec les
directives internationales.
 »

« Le plan est une approche globale mise en œuvre
localement, c’est pourquoi vous n’entendez pas parler de l’Agenda 21,
cependant vos infos quotidiennes locales en sont truffées et les gens
dans le monde entier en sont affectés. C’est une combinaison de la Chine
communiste, de l’ancienne URSS et de l’Allemagne nazie, une sorte de
communautarisme
 ».

Méga-cités et zones sauvages

Un autre but du plan est de regrouper les populations dans des méga-cités où ils peuvent être contrôlés. Les lois et les règlements des grandes villes sont faits internationalement pour faciliter la création des mégapoles (toutes les mêmes) dans le monde entier.

Afin de vous inciter à quitter les zones rurales de nouveaux projets y sont implantés, ce qui rend les développements individuels prévus difficiles ou impossibles à réaliser ; pour exemples l’arrêt des bus scolaires, la fermeture d’écoles ou d’hôpitaux etc.

Cela est en cours partout dans le pays mais comme ça se passe de commune en commune, les citoyens ne réalisent pas que c’est un plan global mondial, c’est le même partout.
Les gens qui l’implémentent en installant les projets sont vos voisins.
Les projets sont présentés de façon à ce que vous trouviez tout cela
très bien. L’idée principale est de faire que les gens pensent que ce sont leurs idées. Les
changements apparaissent prometteurs au départ, comme de nouveaux
trottoirs ou lampadaires etc. puis vous verrez que les lampes sont
souvent hors d’usage, que les arbres peu entretenus de vos parcs
meurent, que les routes défoncées ne sont plus remises en état…parce qu’il n’y a pas d’argent.

Ces plans furent conçus pour altérer l’économie des villes et créer des mégapoles à la place.

Les écoles locales fermeront peu à peu ainsi que les petites entreprises de quartier. La chute de l’économie est faite pour détruire la stabilité financière de la classe moyenne.

Détruire le monde rural

« Le mantra développement durable » ne cesse de nous dire que nous
usons la nature, nous devons nous limiter pour les ressources, nous
devons prendre les transports en commun et toutes ces restrictions sont
faisables dans les villes.

C’est très bien, mais vivre en grande banlieue ou en milieu rural deviendra très difficile. Vous aurez à payer des taxes supplémentaires pour pouvoir conduire votre voiture, les écoles seront loin, les services publics absents, etc. Le but est de concentrer les populations dans des habitats standardisés de méga-cités. 

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Un Agenda fait pour les multinationales

Les multinationales comme Exxon ou Monsanto, Kraft veulent le moins d’obstacles possibles pour le transport de leurs marchandises sur les 5 continents et ces lois leur sont favorables.
Ces entreprises mastodontes souhaitent que les 7 milliards d’êtres
humains puissent acheter leurs produits, pas seulement les pays riches.
De plus, elles n’entendent pas payer des salaires élevés. Elles visent à mettre fin à la compétition en possédant toutes les innovations et inventions. En nivelant par le bas, les pays riches consommeront moins mais les pays en développement seront tirés vers le haut pour les nouveaux marchés (Inde, Brésil, Russie, Chine). Les économies de ces pays seront développées et les nôtres seront freinés. Souvenons-nous que c’est un plan mondial et que tout cela (l’essor des pays pauvres) est un bonus majeur pour les multinationales.

Monsanto vise le monopole

« Des entreprises mondiales comme Monsanto sont plus puissantes que les régions, communes et gouvernements. Elles peuvent orienter les évènements dans le monde entier. C’est ce que fait Monsanto (qui est membre du Conseil pour le développement durable) en interdisant la récupération naturelle des semences. C’est un exemple de l’implémentation mondiale du plan.

Ce plan sera totalement implémenté, c’est un projet totalitaire extrêmement restreint. Ces changements sont mis en œuvre pour contrôler tous les aspects de nos vies et pour nous désorienter. L’éducation actuelle est programmée en tant que système de livraison de pensée unique pour le plan.

Le projet s’effectue comme il a été prévu. Ce n’est pas une théorie conspirationniste, c’est un fait conspirationniste signé par votre gouvernement, implémenté avec les finances de votre région et de votre commune, avec la participation financière du ministère des transports, avec les fonds alloués au développement durable. Toutes ces organisations y participent ainsi qu’une bonne partie de nos impôts. »

Détruire la classe moyenne pour accélérer la relocalisation vers les « smart cities »

« Pour atteindre la durabilité, telle que décrite par l’ONU, les pays les plus riches doivent être nivelés par le bas en faveur des pays les moins aisés donc les lois doivent s’harmoniser, les frontières doivent laisser circuler les produits et les personnes. Les gens le font déjà, s’ils travaillent pour une grosse boite et que celle-ci déménage, ils déménagent aussi. Le changement d’école n’est plus un problème puisque les programmes s’harmonisent également.

Le but de tout cela est à terme de vider les campagnes et de relocaliser le maximum de personnes dans de gigantesques centres urbains écologiques appelés « smart cities » ou villes intelligentes reliées à la « smart grid », le réseau intelligent des compagnies énergétiques (ERDF, Lyonnaise des eaux, etc.) truffés d’antennes et d’appareils émettant des ondes électromagnétiques cancérigènes. On comprend alors mieux la férocité avec laquelle les autorités veulent imposer les compteurs LINKY. »

Agenda 21 - 1

Détruire les exploitants agricoles

« Une des stratégies utilisée pour vider les campagnes est d’augmenter progressivement les taxes foncières des zones rurales, et d’appauvrir les agriculteurs, les éleveurs et tous les petits producteurs fermiers en employant la « stratégie de l’édredon ». Il s’agit de supprimer leur aides, en les accablant de contraintes et en dévalorisant leurs produits pour ainsi les mettre à genoux et les forcer à vendre leur propriétés et terres pour une bouchée de pain…

L’objectif est de permettre à des multinationales comme Monsanto, spécialisées dans les OGM, de s’approprier les terres rurales afin de prendre en charge toute l’agriculture française. »


Agenda 21 - 3

Sources :

http://www.rosakoire-bgm.com/

https://en.wikipedia.org/wiki/Agenda_21

https://sustainabledevelopment.un.org/content/documents/Agenda21.pdf

https://www.interieur.gouv.fr/Actualites/Dossiers/Le-developpement-durable-au-ministere-de-l-Interieur/L-agenda-2030-de-l-ONU-les-Objectifs-Developpement-Durable

Vidéos :

[1] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [1] – Mr Aphadolie / YouTube

[2] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [2] – Mr Aphadolie / YouTube

[3] United Nations – NWO : Agenda 21 & Agenda 2030 [3] – Mr Aphadolie / YouTube




Les vraies raisons pour lesquelles nous n’avons pas encore eu la divulgation complète

[Source : https://elishean-portesdutemps.com]

Transmis par Chris Thompson

Premièrement, j’aimerais souligner que de nombreux gouvernements
importants, y compris les gouvernements britannique, australien et
russe, ont rendu leurs informations sur les ovnis entièrement à la
disposition du public… le public ne peut simplement pas être dérangé par
les procédures juridiques nécessaires d’accéder à cette information.

Pour ce qui est des médias qui ont accès à cette information… eh
bien, qui a dit le contraire? Mais les médias (à l’exception de Youtube)
sont contrôlés par les Illuminati, et les Illuminati conspirent avec
des extraterrestres diaboliques pour asservir la race humaine.

Les médias nieront donc toujours l’existence des extraterrestres (les
Illuminati ne veulent pas que vous sachiez ce qu’ils font).

La NASA (l’anagramme signifie vraiment Jamais une réponse directe) était au courant de la possibilité d’une vie extraterrestre avant de voir la moindre preuve, et a décidé à l’avance que si elle découvrait une telle preuve, elle la cacherait. Leur raisonnement était le suivant:

« Les archives anthropologiques contiennent de nombreux exemples de sociétés, sûres de leur place dans l’univers, qui se sont désintégrées lorsqu’elles ont dû s’associer à des sociétés auparavant inconnues, exposant des idées différentes et des modes de vie différents.
D’autres, qui ont survécu à une telle expérience, l’ont généralement fait en payant le prix des changements de valeurs, d’attitudes et de comportements.« 

Voici une citation de la page 215 du rapport Brookings, sur laquelle
la charte originale de la NASA était fondée. Ce que le rapport (du moins
cette partie) dit en gros, c’est que la découverte d’extraterrestres,
ou même leurs artefacts, pourrait provoquer la fin de la civilisation
telle que nous la connaissons. Personnellement, je n’y crois pas, mais
c’est ce que pense la NASA.

Leur raisonnement est erroné, car il semble basé sur la
«désintégration» de la société amérindienne, après avoir été exposée aux
colons européens. L’erreur dans cette logique est que lorsque les
Européens sont venus en Amérique, ils sont venus en envahisseurs et en
conquérants. Ce n’était pas un simple savoir des Européens et leur
technologie supérieure, qui a détruit la société des Indiens d’Amérique.
Ce sont les envahisseurs européens qui utilisent leur technologie
supérieure (armes à feu) pour tuer délibérément les Indiens et les
terroriser jusqu’à se soumettre, ce qui détruit leur culture.

Il est même exagéré d’affirmer que leur culture a été «détruite», car
dans de nombreuses petites villes ayant des réserves aux États-Unis, la
culture amérindienne subsiste malgré les efforts résolus déployés pour
la détruire (par diverses méthodes) pendant des centaines d’années.

Le simple fait de savoir que les extraterrestres existent ne nous
fera pas de mal, et rien ne prouve que, lorsque les extraterrestres
choisiront de se révéler à nous, ils viendront en conquérants et
envahisseurs, comme l’ont fait les colons européens de l’Amérique.

Des centaines de films hollywoodiens décrivant les extra-terrestres comme des conquérants et des envahisseurs ne sont pas une preuve , c’est bien ce à quoi ils ressemblent. La NASA semble coupable d’être anthropomorphisants : de les accuser de penser comme les humains. La NASA semble supposer que, parce que nous (humains) avons utilisé notre technologie supérieure pour conquérir, les extraterrestres doivent faire de même. Mais cette hypothèse doit reposer sur l’ hypothèse supplémentaire selon laquelle les ET n’ont pas déjà la technologie pour nous conquérir. Sinon, nous devons nous demander: si les extraterrestres veulent nous conquérir et qu’ils ont la technologie, pourquoi ne l’ont-ils pas déjà fait?

Et c’est précisément la question que nous devrions nous poser avant
de partir en supposant que les extraterrestres ont des intentions
hostiles à notre égard. Chaque livre que j’ai lu sur les ET (et j’en ai
lu des dizaines) suggère que certains ET ont des technologies, voire des
millions d’années devant nous, et si cela est vrai, ils auraient pu
conquérir notre planète à tout moment. Une civilisation âgée d’un
million d’années seulement (étant donné que l’univers a 15 milliards
d’années, il est fort possible, sinon probable, que de nombreuses
civilisations de ce type existent) aurait facilement pu conquérir la
Terre il y a des centaines de milliers d’années, lorsque nos ancêtres
n’étaient que des hommes des cavernes, incapables de résister de quelque
manière que ce soit. Mais ils n’ont pas et ils n’ont pas, donc il n’y a
aucune raison de supposer qu’ils le feront.

Pensez-vous vraiment qu’ils se retiennent parce qu’ils ont peur de
nous? De notre technologie d’armes? N’avez-vous pas lu la partie où j’ai
dit que leur technologie avait des milliers, voire des millions
d’années devant nous? Des films comme Independence Day , qui
représentent des êtres humains ayant une chance de se défendre, contre
une invasion extraterrestre, sont complètement irréalistes. Dans le cas
d’une véritable invasion de l’ET, nous aurions autant de chances de
riposter que les hommes des cavernes auraient contre les armes
nucléaires. La seule chose qui empêche les ET de nous envahir, c’est
qu’ils ne veulent pas .

Ainsi, l’argument de la NASA contre la divulgation de sa connaissance
des extraterrestres au public est sans fondement, mais tant qu’ils s’y
accrocheront, la NASA ne dira jamais au public la vérité sur les
extraterrestres.

Mais les véritables moteurs de ce complot de négation sont le pouvoir et l’argent.

Quiconque a accès aux technologies ET et contrôle ces technologies, a
le pouvoir sur ceux qui n’en ont pas, et peut gagner de l’argent en
limitant l’accès des autres à ces technologies. Les Illuminati ont des
technologies de contrôle mental (fournies par leurs alliés ET), mais
bien sûr, ils ne veulent pas que nous sachions à ce sujet, car si
suffisamment de gens le faisaient, sachez que ce serait une menace pour
le pouvoir des Illuminati et leurs projets de domination mondiale.

De même, les Illuminati possèdent une importante flotte de véhicules
de reproduction extraterrestres (antirétroviraux, fabriqués à partir de
vaisseaux spatiaux extraterrestres capturés, et indiscernables de la
réalité, à moins que vous ne regardiez de très près), mais si
suffisamment de gens le savaient, ils ne pourraient jamais utiliser ces
ARV pour mettre en scène une fausse invasion extraterrestre de la Terre.

Les Illuminati préparent une telle attaque sous un faux drapeau
depuis des décennies afin de créer une telle panique que la race humaine
souscrira à un gouvernement Un Monde Mondial, qui sera, bien sûr, contrôlé par les Illuminati.

Le jeu final des Illuminati consiste à organiser une invasion de la
Terre sous un faux drapeau «étranger», afin qu’ils puissent unir tous
les gouvernements et toutes les armées du monde sous le règne des
Illuminati. Si les Illuminati peuvent nous conditionner à considérer les
extraterrestres comme des envahisseurs «extraterrestres» diaboliques,
même s’ils les décrivent comme tels à travers des films, il est peu
probable que nous remettions en question la réalité d’une invasion
fausse (extraterrestre) Illuminati.

Les Illuminati pouvaient poursuivre «l’invasion» aussi longtemps
qu’ils le souhaitaient, en utilisant leur flotte d’ARV pour attaquer de
malheureux civils dans le monde entier. Parce que les antirétroviraux
sont indissociables du véritable artisanat extraterrestre (sauf pour
ceux qui ont des connaissances initiales), la plupart des gens seraient
trompés et imploreraient les Illuminati de les sauver. Les Illuminati
auraient ainsi le contrôle des deux côtés de cette «guerre»: l’armée de
la Terre unie (ou une telle entité) et les «envahisseurs
extraterrestres», et ils pourraient continuer la guerre aussi longtemps
que cela conviendrait. Ce but étant de terroriser la majorité humaine
sans méfiance, afin qu’ils acceptent les Illuminati (peut-être en
s’appelant désormais Gouvernement de la Terre Unie; ils ne s’appellent
jamais de leur vrai nom) comme des sauveurs et des dirigeants, sans
aucun doute.

Les Illuminati ont d’autres motifs, sinistres, de s’assurer que vous
ne découvrez jamais les technologies extraterrestres qu’ils possèdent.
Les engins ET sont alimentés par l’énergie du point zéro: une source d’énergie renouvelable, illimitée, propre, qui éliminerait complètement le besoin de combustibles fossiles.

Pire encore (du point de vue des Illuminati), les générateurs Zero
Point pourraient être fabriqués à partir de matériaux aussi bon marché
et couramment disponibles que n’importe qui pourrait en fabriquer un
dans leur arrière-cour (s’ils savaient seulement comment assembler les
matériaux de manière correcte).

Une connaissance et une utilisation généralisées de la
technologie Zero Point signifieraient la fin de l’industrie des
combustibles fossiles et de la domination du monde Illuminati, via le
contrôle de l’approvisionnement énergétique mondial.

Les Illuminati feront tout ce qui est en leur pouvoir pour que cela
ne se produise pas. Et leur pouvoir est considérable. L’industrie des
combustibles fossiles (que possèdent les Illuminati) représente environ
600 billions de dollars dans le monde. 600 trillions de dollars achètent
beaucoup de pouvoir pour corrompre et faire taire toute personne qui
menace de révéler une énergie de zéro point au monde.

Si jamais vous construisez votre propre dispositif d’énergie
sur-unité (sur-unité signifie que l’appareil produit plus d’énergie
qu’il n’en consomme ), soyez très attentif à qui vous en parlez. Si les
Illuminati le découvrent, ils pourraient vous proposer de vous acheter.
Ils offriraient assez d’argent pour vous préparer à la vie et, comme on
pouvait s’y attendre, cela fonctionne pour la plupart des gens. C’est
pourquoi l’Office américain des brevets a plus de 5 000 brevets sur les
technologies énergétiques à l’unité excessive… aucune dont ont été mis
en service. Les Illuminati achètent votre technologie pour pouvoir la
breveter et l’enterrer.

Dieu nous en préserve, il devrait toujours tomber entre de bonnes mains: les mains de quelqu’un qui pourrait l’utiliser pour libérer le monde de l’industrie des fossiles.

Mais si vous étiez cette personne, et vous a fait avoir une vision de mettre fin à des combustibles fossiles et fournir de l’ énergie propre, gratuite pour tous. Et si vous n’étiez pas disposé à vendre votre vision, peu importe combien d’ argent vous a été offert? Ensuite, les Illuminati détruiraient votre atelier, votre technologie et toutes vos recherches (généralement en le brûlant). Ils pourraient vous tabasser, ou même vous emmener pour la torture. Si rien de tout cela ne suffisait pour vous faire taire, ils pourraient menacer votre famille et vos amis et même répondre à ces menaces. Si même cela ne vous empêchait pas, ils vous tueraient. Il existe une longue liste de scientifiques qui ont «disparu» et dont les ateliers ont été incendiés après avoir créé des dispositifs de sur-unité.

Une autre technologie, qui pourrait changer le monde autant que l’énergie du point zéro, est l’anti-gravité (mise au point à partir de systèmes de propulsion d’engins spatiaux ET).

Un navire anti-gravité conçu par l’homme serait comme une véritable
soucoupe volante ET: fonctionnant aussi bien pour les voyages dans
l’atmosphère terrestre que pour les voyages interplanétaires ou les
voyages inter-stellaires. L’utilisation généralisée de cette technologie
rendrait les véhicules à roues obsolètes, mettrait l’industrie
automobile (en grande partie détenue par Illuminati) à la faillite, et
porterait un coup fatal à l’industrie des carburants fossiles.

Les avantages pour la race humaine seraient un voyage quasi instantané d’un point de la Terre à un autre point de la Terre; la possibilité de voyager entre les planètes en quelques secondes (parce que les entraînements anti-gravité permettent le déplacement FTL); voyager entre les étoiles en quelques minutes; et voyager entre les galaxies en heures.

Pouvez-vous imaginer ce que serait le monde si une telle technologie était disponible pour l’ être humain moyen … pas seulement une poignée de riches? Les Illuminati peuvent l’imaginer, et c’est leur pire cauchemar… ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher que cela ne se produise.

Voici pourquoi.

Si tout le monde avait accès à sa propre soucoupe volante, les humains se répandraient très rapidement dans la galaxie. Nous ne serions plus limités à une seule planète, ce qui empêcherait les Illuminati de nous contrôler: si nous n’aimions pas les planètes sous le contrôle des Illuminati, nous pourrions simplement aller sur d’autres planètes; peut-être même commencer nos propres colonies sur d’autres planètes ou astéroïdes. Un voyage FTL (plus rapide que la lumière) mettrait des milliers de planètes et d’astéroïdes à portée de main. Et toutes les ressources de ces planètes et astéroïdes seraient également facilement accessibles.

Nous aurions une liberté illimitée, avec une abondance infinie: les
ressources de l’ univers entierà notre disposition. Il n’y aurait plus
besoin d’argent, ce qui est le principal moyen des Illuminati de nous
contrôler depuis des milliers d’années. Si nous pouvions briser cette
chaîne, nous serions libérés des Illuminati pour toujours.

Le meilleur de tous, si nous avions le voyage FTL, nous pourrions
enfin prendre notre place légitime dans la société intergalactique,
parmi toutes les races extraterrestres bienveillantes qui attendent
depuis si longtemps que nous les rejoignions. Si leurs civilisations ont
des milliers, voire des millions d’années d’avance sur les nôtres,
alors certaines d’entre elles pourraient posséder des empires
galactiques s’étendant sur des milliers de planètes. Avec ces êtres
comme alliés et partenaires commerciaux, nous aurions vraiment une
abondance infinie et une liberté infinie, en tant qu’espèce,
d’apprendre, de grandir et d’explorer. Liberté, en tant qu’individus, de
vivre notre vie comme bon nous semble , sans que les Illuminati (sous
l’apparence de gouvernements, de banques, de sociétés et de sociétés du
secteur des énergies fossiles et de l’énergie) ne nous disent quoi
faire.

Mais, comme je l’ai dit, c’est le pire cauchemar des Illuminati. Pourquoi pensez-vous qu’ils ne permettent pas de voyager dans l’espace? Pourquoi pensez-vous que nous ne sommes pas encore allés sur Mars? Pourquoi pensez-vous que nous ne sommes même pas retournés sur la Lune depuis 50 ans ?!

C’est simple. Tant que nous sommes confinés à une seule planète , les
Illuminati peuvent nous contrôler, comme des moutons dans un enclos. Je
pense que nous sommes prêts à sortir de cette plume (depuis des
décennies, en fait) et à devenir une course étoilée. Mais nous devons
d’abord trouver un moyen de retirer la botte des Illuminati de notre
gorge collective.

https://medium.com/we-are-not-alone-the-disclosure-lobby/the-real-reasons-we-havent-had-full-disclosure-yet-67402c76f74a

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Bernard Gantois : « Il reste à trouver l’amorce qui déclenchera la fin de la bien-pensance dictatoriale française » [Interview]

[Source : Breizh-Info]

Bernard Gantois, qu’on avait récemment quitté avec un livre plaidoyer pour la reconquête européenne, est de retour avec Autopsie d’un assassinat – en route pour une dictature mondiale, aux éditions Chiré.

En voici la présentation par l’éditeur :

L’automobile est dans le collimateur du pouvoir, qui a multiplié depuis des années les mesures coercitives contre elle et ses usagers. L’assassinat en cours d’être perpétré n’a rien d’un acte gratuit. Il faut remonter le fil d’Ariane en compagnie de l’auteur, spécialiste des politiques publiques en matière de transport, pour découvrir le mobile caché du crime.

Ce sont les libertés, telles que les entendaient les anciens, qui doivent disparaître avec l’automobile, l’un des tout derniers instruments de liberté. Elles doivent disparaître, avec les derniers reliquats de l’ancien monde – souveraineté des nations, civilisation occidentale et religion d’un Dieu tout à la fois transcendant et incarné – pour faire définitivement place nette au Léviathan tapi, tel le Minotaure en son labyrinthe, derrière les prétendues conquêtes d’une modernité plus que jamais liberticide.

Bernard Gantois est né à Maubeuge en 1944. Polytechnicien et ingénieur civil des Ponts et Chaussées, il a effectué toute sa carrière au service de la RATP. Nous l’avons interrogé sur cet ouvrage, véritable cri de colère face aux privations de liberté qui augmentent chaque jour qui passe en Occident.

Breizh-info.com : Quelle est la thèse principale de votre ouvrage ?

Bernard Gantois : Le mondialisme politique supposé achevé dans le gouvernement mondial – si hélas cela arrive un jour – ne pourra être qu’une dictature féroce sans laquelle contrôler la planète, même à la population réduite, sera impossible. Or on parle beaucoup aux peuples de liberté depuis qu’en réalité on l’attaque, alors que quand on n’en parlait pas, comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ils en disposaient pleinement.

Pour déshabituer progressivement les peuples de la liberté, il faut liquider tout ce qui en est un instrument et/ ou un symbole fort. C’est le cas de l’automobile. Et dans quelques années on pourra écrire l’histoire de l’assassinat ou de la neutralisation d’Internet, qui commence doucement, pour très exactement la même raison. Sans compter, pour le peuple, la destruction de la propriété privée, indispensable à la liberté, qui complète le paysage.

Breizh-info.com : En route pour la dictature mondiale sous-titrez vous. N’y allez-vous pas un peu fort ?

Bernard Gantois : Il y a d’innombrables déclarations de personnages importants – David Rockefeller, James Warburg, Jacques Attali, qui a même indiqué le lieu de sa capitale souhaitable, Nicolas Sarkozy, qui a précisé que ce serait de gré ou de force et il n’était pas le premier à affirmer ce détail important – expliquant que ce gouvernement mondial est indispensable. On a créé la SDN, puis l’ONU, pour lui fabriquer une structure d’accueil.

Et toutes les filiales de l’ONU s’occupent de fantasmes mondialistes : Giec pour le CO2, OMS pour la réduction de la population via la « santé reproductive » et toutes les autres… Alors je n’ai pas, mais pas du tout, l’impression d’y aller fort. Bien au contraire.

Breizh-info.com : Qu’est-ce qui fait que la gauche et l’extrême gauche sont devenues les ennemies de l’automobile, pourtant initialement symbole de liberté pour les travailleurs et travailleuses ?

Bernard Gantois : La gauche a une qualité : elle est extrêmement disciplinée. Un chef de gauche dit en 2002 « votez Chirac » et en 2017 « votez Macron » et tout le monde de gauche applique en bloc. Les chefs sont mondialistes, dans la lignée de Cloots, Marx, Blum, Thorez, Trotsky et les autres. Ils savent ce qu’il faut faire. La troupe suit. Sinon, sous une forme ou une autre, goulag ou exclusion du groupe. Alors si la hiérarchie dit : « la voiture, c’est abominable », ils le croient et appliquent.

Breizh-info.com : Vous avez effectué une partie de votre carrière dans le transport. Comment ce dernier a-t-il évolué en France ?

Bernard Gantois : Je n’ai passé que sept ans à Paris au cœur d’une société publique de transport, ayant surtout travaillé sur l’exportation d’ingénierie, la réalisation de projets à l’étranger et dans quelques société privées. Le seul problème des transports publics en France est simple : on n’y fait que de la politique.

Quant aux clients, ce sont des usagers, généralement assez usagés. Tout est dit. Pour plus de détails, questionnez Monsieur Blanc, président de la RATP puis député ou Madame Borne, présidente de la RATP puis ministre. Présidents évidemment nommés pour leurs grandes compétences en transports. Mais qui savaient probablement que pour monter dans un train, il faut des marche-pieds.

Breizh-info.com : On ne vous sent pas franchement amoureux des écologistes, pour quelles raisons ?

Bernard Gantois : Quand Soljenitsyne – bien après Kravchenko – a commencé à soulever les jupes de l’Union soviétique et que sa réalité, soigneusement camouflée pendant des décennies, est apparue aux yeux de tous, les rouges occidentaux se sont dits qu’il fallait se recycler dans des idées plus présentables. Leur objectif restant le mondialisme – surtout pour les trotskystes qui sont les plus compatibles avec le libéralisme – ils se recyclèrent sur l’écologie qui peut très facilement être présentée au peuple comme un problème planétaire.

On a commencé par parler du problème global de l’extinction des baleines, puis on a diabolisé le nucléaire – quoiqu’en ce domaine il s’agissait surtout de démolir le nucléaire français, objectif atteint, et surtout pas l’américain, bizarre… –, puis a surgi le sujet du CO2 anthropique, puis de la disparition des espèces, et maintenant du virus global dont l’OMS s’occupe. Ceci dit, si je suis très fortement en désaccord avec leurs foutaises, ce sont quand même des humains et il faut prier pour leur salut : il en ont besoin plus que beaucoup d’autres…

Breizh-info.com : En quoi les restrictions liées à l’automobile, aux transports, préfigureraient de la disparition progressive de nos libertés ?

Bernard Gantois : Quand le mouvement anti-automobile a commencé, nous étions encore libres. Cinquante ans plus tard que reste-t-il de nos libertés ? Liberté de penser, réduite par des médias presque tous alignés – prions pour la survie des autres… – sur la doxa officielle, liberté d’expression anéantie par des lois qui permettent aux tribunaux de condamner le contenu d’un texte voire ses intentions supposées, liberté de se déplacer limitée par les contraintes de tous ordres sur la voiture, voire par la nécessité, dans certains cas, de disposer d’un laisser-passer, liberté de se réunir, dans l’espace public d’abord mais on évoque l’interdiction des réunions de famille – 3 mois avant Noël – ce n’est pas encore l’URSS mais la route en est prise. Un nommé Vladimir Boukovsky, qui connaît la question, a d’ailleurs sorti en 2005 un livre titré : L’union européenne, une nouvelle URSS ?. CQFD.

Breizh-info.com : Sans les inventeurs dites-vous, l’humanité n’aurait jamais progressé. Est-ce que le progrès illimité n’est pas non plus un danger qui nécessite des freins ?

Bernard Gantois : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » avait dit Rabelais qui ne fut pourtant pas pour rien dans l’évolution de l’Europe vers l’athéisme, constaté par Nietzsche trois siècles plus tard dans son « Dieu est mort ». Donc absence de religion, donc extinction de la morale, donc suppression de toutes les limites. Donc aucun problème pour mélanger l’ADN humain avec celui des porcs ou des mouches. Pour ces cinglés, vive le transhumanisme. Il faut relire et faire lire L’intelligence en péril de mort de Marcel de Corte (1969). C’est urgent. Il explique que l’intelligence livrée à elle-même ne peut que développer à l’infini ses propres fantasmes…. Sans une limite qui lui est supérieure, donc de nature religieuse, l’humanité court à sa perte.

Breizh-info.com : La spirale liberticide peut-elle être inversée ? Et si oui, comment ?

Bernard Gantois : On peut espérer que ce ne soit pas par un gigantesque cataclysme biologique ou économique qui ferait un « reset » – terme à la mode – total. Mais l’URSS qui paraissait indestructible a implosé, en raison de ses contradictions, sans trop de drames, à part la très violente prédation américaine dont elle a été l’objet pendant la période Eltsine. Il reste à trouver l’amorce qui déclenchera la fin de la bien-pensance dictatoriale française et plus généralement occidentale. Trump ? Marion Maréchal ? Erdogan ? Benoit XVII ? X ? Y ? Au choix…

Propos recueillis par YV

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2020, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine – V




Vladimir Poutine attaque l’accueil des migrants : « Où sont les intérêts de la population autochtone ? »

[Source : Polemia via Médias-Presse.Info]

Vladimir Poutine, président de la Russie, accordait récemment au Financial Times un entretien très commenté dans lequel il attaquait frontalement le libéralisme menant à l’accueil des migrants par de nombreux pays européens. Voici la traduction d’extraits de cet entretien par les soins de Polémia.


Financial Times :Une question
générale maintenant. J’ai parlé au début de notre entretien d’une
fragmentation. Un autre phénomène aujourd’hui est la vive réaction
populaire contre les élites et l’establishment et vous avec vu cela avec
le Brexit. Peut-être parlerez-vous de l’Amérique de Trump. Vous avez vu
cela avec l’AFD en Allemagne, en Turquie et dans le monde arabe.
Combien de temps pensez-vous que la Russie pourra rester immunisée
contre ce mouvement global de réaction contre l’establishment ?

Vladimir Poutine : Vous devez examiner les réalités
dans chaque cas particulier. Bien sûr il y a des tendances, mais elles
sont seulement générales. Dans chaque cas particulier, lorsque l’on
regarde la situation, et la manière dont elle se déroule, vous devez
prendre en compte l’histoire du pays donné, sa tradition et ses
réalités. Combien de temps la Russie restera-t-elle stable ? Le plus
longtemps sera le mieux. Parce que de nombreuses choses, et sa position
dans le monde, dépendent de sa stabilité, de sa stabilité intérieure.

Ultimement, le bien-être du peuple dépend tout d’abord de sa
stabilité. Une des raisons, la raison interne, pour laquelle pour
laquelle l’URSS s’est effondrée, est que la vie quotidienne était
difficile pour le peuple, dont les salaires nets étaient très bas. Les
magasins étaient vides et le peuple perdait le désir intrinsèque de
préserver l’Etat. Les gens pensaient que les choses ne pouvaient pas
empirer, quoi qu’il arrive. Or il advint que la vie devint pire pour de
nombreuses personnes, spécialement au début des année 1990, lorsque la
protection sociale et le système de santé s’effondrèrent et que le
système industriel s’émiettait. Le régime soviétique était probablement
inefficace mais au moins les gens avaient un travail. Après
l’effondrement ils l’ont perdu. Donc vous devez étudier chaque cas
particulier de manière séparée.

Que se passe-t-il en occident ? Quelle est la raison du « phénomène
Trump », comme vous l’avez dit, aux Etats-Unis ? Que se passe-t-il aussi
en Europe ? Les élites au pouvoir se sont détachées du peuple. Le
problème évident est le fossé entre les intérêts des élites et ceux de
l’écrasante majorité du peuple. Nous ne devons pas négliger cette
possibilité. Une des choses que nous devons faire en Russie est de ne
jamais oublier que le but de l’exercice et de l’existence de tout
gouvernement est de créer une vie stable, normale et sûre pour le
peuple, et d’œuvrer pour un avenir meilleur.

Il y a aussi la prétendue idéologie libérale qui a survécu à son
objectif initial. Nos partenaires occidentaux ont admis que de nombreux
éléments de l’idéologie libérale, comme le multiculturalisme, ne sont
plus tenables. Quand le problème des migrations est devenu une
préoccupation majeure, de nombreuses personnes ont admis que la
politique multiculturaliste n’était pas efficace, et que les intérêts de
la population nationale devaient être placés en premier. Il est vrai
que ceux qui font face à des difficultés dans leur propre pays, pour des
motifs politiques, ont aussi besoin de notre aide. C’est un bel idéal,
mais où sont les intérêts de la population autochtone quand le nombre de
migrants se dirigeant vers l’Europe de l’ouest n’est pas une simple
poignée, mais des milliers ou des centaines de milliers de personnes ?

Financial Times : Angela Merkel a-t-elle commis une faute ?

Vladimir Poutine : Une faute cardinale. On peut
critiquer Trump pour son intention de construire un mur entre le Mexique
et les Etats-Unis. Peut-être cela va-t-il trop loin. Je ne veux pas
discuter cela. Mais il devait faire quelque chose contre l’énorme flux
entrant de migrants et de narcotiques. Personne ne fait rien. On dit à
l’envi que ce n’est pas bien. Mais qu’est-ce qui n’est pas bien ? Que
faut-il faire ? Personne n’a rien proposé. Je ne dis pas qu’un mur doit
être construit, ou les droits de douane relevés de 5 % par an avec le
Mexique. Ce n’est pas ce que je dis, cependant quelque chose doit être
fait. Trump cherche au moins une solution.

A quoi je veux en venir ? Ceux qui sont concernés à propos de cela,
les Américains ordinaires, regardent cela et disent : « C’est bien, au
moins il fait quelque chose, en proposant des idées et en cherchant une
solution ». Les tenants de l’idéologie libérale ne font rien. Ils disent
que tout va bien et que tout est comme cela devrait être. Ils sont
installés dans leurs bureaux confortables tandis que ceux qui sont
confrontés aux problèmes chaque jour, au Texas ou en Floride, ne sont
pas heureux, et ils devront bientôt gérer leurs problèmes eux-mêmes. La
même chose est en train de se passer en Europe. J’ai discuté de ce
problème avec mes collègues mais personne n’a la réponse. Ils disent
qu’ils ne peuvent pas mener une politique dure contre l’immigration pour
de multiples raisons. Pourquoi exactement ? Juste parce que. « Nous
avons des lois » disent-ils. Et bien alors, changez les lois ! Nous
aussi avons des problèmes dans notre propre sphère. Nous avons ouvert
les frontières avec les anciennes républiques soviétiques, mais au moins
ces gens là parlent russe. Vous voyez ce que je veux dire ? Et en outre
nous avons pris des mesures pour rationaliser les choses dans ce
domaine. Nous travaillons avec les pays d’origine de ces migrants, on
leur apprend le russe à l’école, et nous travaillons aussi avec eux ici.
Nous avons durci la législation afin de montrer que ces migrants
doivent respecter les lois, les coutumes et la culture de notre pays.

En d’autres mots, la situation n’est pas si simple en Russie non
plus, mais nous avons commencé à travailler à l’améliorer. Alors que
l’idéologie libérale présuppose que rien n’a besoin d’être fait. Les
migrants peuvent tuer, piller et violer avec impunité car leurs droits
en tant que migrants doivent être protégés. De quels droits s’agit-il ?
Chaque crime doit être assorti d’une peine. Donc l’idéologie libérale
est devenue obsolète. Elle est venue en conflit avec les intérêts de
l’écrasante majorité de la population.

Entretien accordé par Vladimir Poutine au Financial Times
17/07/2019

Source : Traduction Polémia

Crédit photo : Vladimir Poutine lors de son discours fédéral du 1er mars 2018 – Site officiel du Kremlin, Creative Commons Attribution 4.0 International




Un système corrompu ne se contrôlera jamais lui-même

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 11 juillet 2019 − Source Alt-Market.com

Les faux espoirs engendrent une apathie paralysante – C’est ce à quoi je dois penser quand je vois la ferveur des médias pour la deuxième arrestation du (prétendu) milliardaire Jefferey Epstein, ou d’événements similaires qui, dans la plupart des cas, finissent par s’effacer dans l’oubli. La distraction préférée du public a toujours été de voir des gens d’en haut expulsés de leurs châteaux dans les nuages, mais je voudrais souligner que même lorsque les globalistes sacrifient l’un des leurs aux yeux du public, c’est généralement pour satisfaire les masses et leur soif de justice pendant une très courte période. Le système n’est pas conçu pour éradiquer le mal ; il est conçu pour obscurcir et perpétuer le mal.

Epstein en est un parfait exemple. Il avait déjà été poursuivi pour pédophilie il y a plus de 12 ans et avait obtenu un plaidoyer de culpabilité qui lui a permis de purger une peine de 13 mois seulement. Combien de violeurs d’enfants reçoivent ce genre de traitement dans notre système judiciaire ? Et qu’en est-il du grand nombre de personnes (y compris les dirigeants politiques) qui étaient des amis proches et des associés d’Epstein pendant les jours du « Lolita Express«  ? Faut-il vraiment croire qu’ils ne savaient rien de ce qui se passait ? Qu’ils ont visité son île et n’ont jamais vu d’actes répréhensibles ?

Pourquoi ne se sont-ils pas manifestés immédiatement ? Pourquoi
ont-ils attendu qu’Epstein soit déjà poursuivi avant de le réprimander
publiquement ? Est-ce parce qu’ils étaient impliqués dans les mêmes
activités ? Et si oui, pourquoi n’ont-ils pas été poursuivis également ?

Ce que je veux dire, c’est que les gens devraient moins s’attendre à ce que la justice soit rendue ou que les « dominos tombent »
dans l’affaire Epstein. De plus, n’oubliez pas que la fille de James
Comey, Maureen Comey, fera partie de l’équipe de l’accusation dans cette
affaire, ET que le ministre du Travail de Donald Trump, Alexander
Acosta, est le même homme qui a négocié l’immunité d’Epstein. Comme les
brins d’un cancer pernicieux, ces personnes s’enroulent autour de toutes
les facettes du gouvernement.

Mais il ne s’agit pas seulement d’Epstein, et même si j’aimerais voir
ce type pendu pour ses crimes, je dois admettre que ce dernier
événement n’est probablement rien de plus qu’une autre pièce de théâtre
destinée à donner au public le faux espoir que le système change et que
les criminels élitistes seront traités comme n’importe quel autre
criminel. Combien de fois cela arrive-t-il ?

Et le scandale Bernie Madoff ? Madoff dirige un stratagème de Ponzi
qui a dévoré 65 milliards de dollars de fonds de clients et il est
condamné à 150 ans de prison, mais JP Morgan, la banque qui a aidé
Madoff à déplacer son argent volé, n’a reçu rien de plus qu’une amende.

Dans le sillage de la crise du crédit de 2008 et de l’exposition du
marché des produits dérivés frauduleux, beaucoup de gens pensaient que
les têtes des banquiers allaient rouler, mais aux États-Unis, un seul
banquier, un cadre peu connu du Crédit Suisse nommé Kareem Sarageldin, a
purgé une peine de prison. Après avoir admis avoir commis des fraudes
et gonflé les prix des obligations liées aux titres adossés à des
créances hypothécaires, Sarageldin a été condamné à 30 mois
d’emprisonnement.

Le Financial Times a ensuite publié un article en 2018 sur ce sujet, affirmant que cela « allait dissiper le mythe selon lequel personne n’a été tenu responsable de l’effondrement des produits dérivés ». Ils ont dressé une liste de 47 noms. L’article admet ensuite que la grande majorité des banquiers arrêtés se trouvaient en Islande (où les prisons ressemblent à des country clubs). Le reste provenait principalement de banques de bas niveau ou d’employés de niveau intermédiaire. Le nombre de PDG sur la liste est nettement réduit et des banques comme JP Morgan et Goldman Sachs, les plus grands auteurs de fraudes sur les produits dérivés, sont nettement absentes.

L’argument de base pour ce type d’articles est en soi une sorte de
fraude. Je ne pense pas que la plupart des gens supposent que « personne »
n’a été poursuivi pour la fraude qui a contribué à créer le krach de
2008, un krach dont l’économie souffre encore. Je pense que la plupart
des gens supposent qu’aucune des élites au sommet de la pyramide n’a été
poursuivie, et peut-être qu’à l’exception de l’ancien directeur général
du FMI Rodrigo Rato en Espagne qui n’a été accusé que de fraude par
carte de crédit, cette hypothèse est correcte.

Les criminels les plus inouïs sont rarement touchés par les scandales
ou les peines d’emprisonnement parce qu’ils occupent des postes clés au
sein de notre système. Vous ne verrez jamais les banquiers centraux de
la Réserve fédérale être punis pour avoir constamment et délibérément
alimenté des bulles économiques par des taux d’intérêt artificiellement
bas et des mesures de relance. Vous ne les verrez jamais poursuivis pour
avoir délibérément fait imploser ces bulles avec un resserrement des
liquidités au moment opportun et des hausses de taux d’intérêt qui
entraînent une faiblesse économique.

En fait, cette semaine même, le président de la Fed, Jérôme Powell, a déclaré au Comité des services financiers que si Trump essayait de le virer, il l’ignorerait tout simplement et resterait à son poste pour tout son mandat. Il est plutôt étrange pour moi que presque personne dans les médias alternatifs n’ait couvert sa déclaration, peut-être parce que cela va à l’encontre du dernier récit que Powell a « peur de Trump » et que Trump a maintenant le contrôle de la Fed. C’est n’importe quoi. Même le chef d’état-major par intérim de Trump a fait remarquer que Trump « sait qu’il n’a pas l’autorité de congédier Powell ».

Les gens qui pensent que le président choisit le président de la Fed ne comprennent pas comment le système fonctionne réellement. Selon Bill English, ancien secrétaire du FOMC et conseiller du conseil d’administration, le conseil d’administration de la Fed contrôle qui est le président du conseil d’administration et peut simplement voter pour mettre qui il veut à ce poste, quoi que fasse le président. Cela signifie que le « choix » de Trump comme président de la Fed n’est qu’un simple cérémonial. Trump n’a aucun pouvoir sur la banque centrale.

Alors pourquoi cette illusion persiste-t-elle ? Encore une fois,
parce que les gens deviennent dépendants des faux espoirs. Les élites
bancaires ne seront jamais punies par le système qu’elles contrôlent.
Elles devront être punis par d’autres moyens.

Vous ne verrez jamais les dirigeants du FMI punis pour avoir prêté des prêts usuraires à des pays les plongeant dans l’oubli. La Banque des Règlements Internationaux a blanchi de l’argent pour les nazis et pourtant ils n’ont jamais été punis et elle existe encore aujourd’hui ! Le président de la BRI de l’époque, Thomas McKittrick, n’a jamais fait l’objet de poursuites après la guerre, a travaillé pour la Chase Manhattan Bank et a reçu un éloge funèbre du New York Times après sa mort en 1970, même si le New York Times a également fait état des aveux de la BRI selon lesquels il avait aidé les Nazis.

Certains pourraient soutenir que cette tendance d’une loi pour le peuple et de pas de loi pour l’élite financière devrait changer finalement sous la présidence de Donald Trump, mais je trouve que ce sentiment est très naïf. D’abord et avant tout, Trump est beaucoup trop proche de l’élite financière pour les punir, même s’il le voulait. Ses liens étroits avec Wilber Ross, agent bancaire de Rothschild, l’homme qui a sauvé Trump de ses dettes considérables dans son projet de casino d’Atlantic City dans les années 1990 et qui est maintenant secrétaire au Commerce au cabinet de Trump, donnent le ton à la présidence de Trump qui n’est ni anti-bancaire ni anti-globaliste.

Il devrait être clair pour la plupart des gens maintenant qu’il n’y aura pas de « drainage du marais », pas même de la Maison Blanche. Les promesses de Trump de poursuivre les Clinton pour leurs activités criminelles, qui comprennent la mauvaise manipulation de données classifiées, des fraudes et une foule d’autres comportements répugnants, sont restées lettre morte. La position de campagne de Trump pour tenir la Réserve fédérale responsable de la bulle historique qu’elle a gonflée sur les marchés boursiers par le biais de faibles taux d’intérêt et les mesures de relance a disparu. Maintenant, Trump s’attribue le mérite de la bulle comme si c’était une bonne chose, et exige encore plus de stimulation de la part de la Fed.

Et pourtant, il y a encore des gens qui s’imaginent que tout cela
fait partie d’une ruse élaborée de la part de Trump ; qu’il joue une
partie subtile aux échecs avec les globalistes. Je crois que cette folle
illusion découle d’un dysfonctionnement psychologique singulier dont
souffrent de nombreuses personnes – l’idée que le système, aussi
corrompu soit-il, peut être réparé de l’intérieur.

Les gauchistes le croient. Beaucoup de conservateurs le croient.
Malgré toutes les preuves du contraire, les gens VEULENT imaginer un
monde dans lequel le mal peut être vaincu si seulement les bonnes
personnes sont mises en place dans le système. S’ils votent dans le bon
sens, s’ils soutiennent le bon parti, s’ils se rallient à la bonne
enquête, s’ils protestent pacifiquement sur les marches du Congrès ou à
Wall Street, alors le système sera forcé d’expulser le mal et de servir à
nouveau la population.

J’assimile habituellement notre cadre gouvernemental actuel au mythe de l’« Anneau »
du Seigneur des Anneaux, et je pense toujours qu’il n’y a pas de
meilleure analogie. Le problème central est que le système n’est pas
seulement géré par des personnes corrompues, il a aussi été construit
par elles. Le système actuel est une machine de corruption qui fabrique
le mal. Ajouter de bonnes personnes à une machine maléfique ne va pas
l’arrêter. Et, comme avec l’Anneau Unique, les gens qui pensent
pouvoir utiliser une machine maléfique à des fins honnêtes finissent
souvent par se corrompre eux-mêmes. Vous ne pouvez pas le changer, vous
ne pouvez pas l’exploiter pour faire le bien, vous ne pouvez que le
détruire.

En d’autres termes, les conservateurs du mouvement pour la liberté en
particulier doivent se défaire de leurs illusions que les globalistes
seront vaincus en utilisant les systèmes mêmes que les globalistes ont
créés pour servir leurs intérêts. Et si vous ne pouvez pas changer un
système corrompu de l’intérieur, alors il doit être démonté de
l’extérieur et reconstruit de zéro. Un cadre constitutionnel et la
Déclaration des droits peuvent contribuer à cet effort, mais ce sont des
lois sur papier qui ne peuvent se défendre. Sans une vigilance farouche
de la part des citoyens, les lois et les droits peuvent être effacés.

Vous n’entendrez pas les médias grand public ni même une grande
partie des médias alternatifs parler des vraies solutions face à la
criminalité élitiste ou à la corruption gouvernementale. Vous
n’entendrez pas parler de ces solutions parce qu’elles sont difficiles ;
elles exigent lutte et sacrifice. Le vote est facile, c’est pourquoi
cela ne fonctionne pas. Créer des législations est facile, c’est
pourquoi cela ne fonctionne pas. De plus, il est facile de manifester
avec des pancartes au coin d’une rue, et cela peut faire passer de
l’information sur une question, mais en fin de compte, cela ne
fonctionne pas. La corruption demeure.

Il reste deux options : tout d’abord, quittez paisiblement le système
et construisez-en un qui fonctionne par vous-même ou avec d’autres
personnes du même avis. Si vous réussissez, attendez-vous à ce que le
système corrompu et les élites qui le soutiennent essaient de vous
arrêter. Deuxièmement, lorsque cela se produit, la seule option qui
reste est de riposter et d’éliminer la menace. C’est vers là où nous
allons inévitablement, non pas parce que nous le voulons, mais parce
qu’ils vont nous y forcer.

Nous ne pouvons plus nous leurrer avec l’idée d’absorber Washington
D.C. ou Wall Street et de les faire fonctionner pour nous. L’espoir que
cela soit possible est un poison, et les élites utilisent ce poison pour
affaiblir la détermination publique. Pendant que nous attendons que le
système s’auto-discipline, la Terre tourne et ils deviennent plus
puissants. Sans un changement radical de notre propre stratégie, sans
une action directe de notre part au lieu d’agir par le biais
d’intermédiaires politiques, je prévois que notre situation ne fera
qu’empirer.

Brandon Smith

Traduit par Hervé pour le Saker Francophone




Que faudrait-il pour bâtir un monde sans mondialistes ?

[Source : Nouvel Ordre Mondial]

[Auteur : Brandon Smith]

Vous pouvez parier que chaque fois que vous trouvez des gens
qui analysent la racine d’un problème, vous trouverez aussi d’autres
personnes qui essaient de faire dérailler ces efforts avec des arguments
malhonnêtes. Pour des raisons que nous pouvons deviner, mais que nous
sommes rarement en mesure de confirmer, il y a des gens qui s’agitent
lors de discussions constructives entre humains. L’une des tactiques les
plus courantes pour détourner la discussion d’un problème est de
suggérer que c’est « inutile » à moins que ces mêmes personnes puissent
offrir une grande solution au problème. C’est une perturbation de type
Alinsky 101.

En réalité, la plupart des problèmes ne peuvent être résolus que
lorsqu’au moins une partie du public en est informée. L’action ne peut
avoir lieu qu’APRÈS la compréhension, sinon nous nous retrouvons à nous
déchaîner violemment sur des ombres.

Cela dit, beaucoup de membres du mouvement pour la liberté ont offert de nombreuses solutions à la menace des mondialistes.
Le problème, c’est que les solutions les plus pratiques sont les plus
difficiles. C’est pourquoi tant d’activistes sont embourbés dans des
fausses solutions et des fraudes ; ils veulent désespérément entendre
qu’il y a un raccourci vers la victoire. Ils veulent désespérément
entendre qu’il existe un moyen de se débarrasser des mondialistes sans
sacrifice ou sans qu’ils aient à se défendre directement. Ils veulent
entendre que quelqu’un va mener cette guerre pour eux, ou que les
vampires mondialistes peuvent tout simplement être désamorcés par une
merveille technologique intangible. Ils recherchent un génie dans une
lampe, un remède miraculeux. Ce ne sera pas si facile.

Ainsi, les véritables solutions sont enterrées par les tendances et les hypes :

Nous sommes censés mettre tous nos espoirs dans un président qui a eu sa fortune et son image préservées par les élites bancaires qu’il prétend combattre.

Nous sommes censés croire qu’il va les rassembler au
même endroit et les arrêter (du jour au lendemain) dans une fantastique
manœuvre à la Game of Thrones ? Malgré le fait que ce serait plutôt
difficile quand la moitié de son cabinet est truffé de ces mêmes goules
bancaires.

Ou, nous sommes censés parier notre avenir sur le monde virtuel avec
des systèmes de cryptomonnaies ; certains d’entre eux sont construits
sur un hash créé par la NSA et correspondent parfaitement à un livre
blanc de la NSA écrit en 1996 sur les devises numériques.

Nous sommes censés croire que la cabale bancaire est en fait menacée
par ces produits basés sur les blockchain, malgré le fait que leur
valeur dérive uniquement de la marque et non des qualités qui les
rendent particulièrement uniques les unes des autres, ainsi que du
capital que cette même cabale bancaire est prête à investir en elles et
l’infrastructure qui les perpétue ?
Nous sommes censés croire que ces monnaies sont anonymes, même s’il est constamment prouvé qu’elles ne le sont pas.
Nous sommes censés croire qu’il s’agit d’une force décentralisatrice
même s’ils dépendent entièrement d’un Internet centralisé et dominé.

Nous sommes censés croire qu’ils rendront le système des
banques centrales obsolète, même si les mondialistes font la promotion
avide de cryptomonnaies et de la technologie des blockchain comme
prochaine étape de la mondialisation.

Il est intéressant de constater que les solutions au
mondialisme les plus largement promues finissent par être très
bénéfiques pour l’agenda mondialiste.

Non, ce ne sont pas des solutions. Ce sont des distractions
conçues pour garder les gens occupés comme s’ils accomplissaient
quelque chose alors qu’ils n’accomplissent rien. Les gens qui diffusent
des informations concrètes sur les dangers de la mondialisation font
beaucoup plus que ceux qui achètent des Bitcoin ou qui font circuler des
bêtises sectaires.

Quelles sont donc les vraies solutions ? Réalisez
d’abord qu’il n’y a pas de solution qui va satisfaire tout le monde.
Pour chaque solution proposée ici, il y aura une centaine d’excuses
données par des gens qui prétendent que ça ne marchera pas, ou que ça ne
vaut pas la peine d’essayer. Mais au moins chaque idée exprimée ici
n’est pas soutenue financièrement par les globalistes, contrairement aux
« solutions » mentionnées ci-dessus. Alors, pour répondre à
ceux qui prétendent que le mouvement pour la liberté n’a pas de remède
contre la menace de la mondialisation, examinons-en quelques-uns….

Une véritable décentralisation

J’en parle depuis que j’ai commencé à écrire pour le mouvement en
2006, à l’époque de Neithercorp, et c’est probablement la réponse la
plus valable (et inconfortable) au problème mondialiste. La
décentralisation exige que l’on s’appuie de moins en moins sur le
système existant et que l’on s’en remette davantage à soi et à sa
communauté locale. Cela signifie que les gens doivent devenir
producteurs de leurs propres nécessités et qu’ils doivent construire de
nouvelles économies à partir de producteurs et de commerçants LOCAUX.
Cela pourrait même aller jusqu’à la décentralisation monétaire vers des
monnaies communautaires adossées à des produits de base ou au troc.

Les gens devraient commencer à cultiver leur propre nourriture et à
fournir un service utile qui leur permettrait de faire du commerce pour
les choses dont ils ont besoin. En outre, une monnaie adossée à des
produits de base au niveau d’un État ou d’un pays pourrait fournir le
mécanisme « d’échange universel » nécessaire pour permettre un commerce plus large des marchandises.

Est-ce un pas en arrière vers les temps tribaux ? Oui, et ce n’est
pas nécessairement une mauvaise chose. Je ne parle pas d’abandonner la
technologie et le progrès, je parle d’abandonner les systèmes de
centralisation qui sont clairement destructeurs et qui nous réduisent en
esclavage. Voyez les choses de cette façon – Si chaque individu est un
producteur, il est plus difficile de lui retirer son gagne-pain. Si
chaque communauté a ses propres réseaux commerciaux en dehors des
chaînes d’entreprises, ils ne seront pas affectés lorsque ces chaînes
d’entreprises feront faillite ou disparaîtront. Si chaque communauté
dispose de mécanismes commerciaux au-delà du dollar qu’elle peut détenir
ENTRE LEURS MAINS, ils ne seront pas touchés si le dollar s’effondre.
En construisant des économies locales avec des licenciements en place,
ils deviennent à l’abri des catastrophes économiques nationales ou
mondiales.

Ce genre de stratégie exige du temps et des efforts, et franchement,
j’ai appris que très peu de gens vont tenter ce genre de stratégie
jusqu’à ce qu’ils soient de toute façon confrontés à une catastrophe.
Cependant, c’est la première et la plus importante étape pour vaincre
les mondialistes.

Le tirage au sort du gouvernement

Bien que je sois un partisan de la décentralisation, je reconnais que
les êtres humains sont des créatures sociales et que la communauté et
le droit feront probablement toujours partie de notre existence. Les
lois les meilleures et les plus significatives sont celles qui sont
universelles et intrinsèquement comprises. Ce qui veut dire qu’ils sont
archétypaux et inné. La majorité des gens comprennent que voler,
tricher, tuer, etc. sont répréhensibles et, s’ils ont la chance de
commettre de tels crimes, ils refuseront. Si ce n’était pas vrai,
l’humanité se serait annihilée il y a des siècles. Nous endurons
seulement parce que nous avons une boussole morale, qui nous a peut-être
été donnée par une force naturelle supérieure.

Le problème, c’est que tous les gens n’ont pas cette boussole morale.
Environ 1 à 5% des êtres humains naissent avec une sociopathie
narcissique latente ou à part entière, également connue sous le nom de
narcopathie. Ils n’ont pas les composantes psychologiques vitales de
l’empathie nécessaires pour prévenir les abus extrêmes de leur prochain.
Il s’agit d’une espèce différente ; un sous-ensemble prédateur, un
élément parasite caché qui se nourrit des humains normaux et les
détruit. Les mondialistes sont un parfait exemple de la réalité de cette
menace.

Il a été démontré que ce groupe génère artificiellement et
délibérément des crises économiques, des conflits géopolitiques, des
guerres, de la pauvreté et des génocides. Ils se sont servis de ces
horreurs pour s’enrichir en siphonnant la richesse et les biens
matériels de la population en période de peur et de panique. Ils ont
aussi été exposés à l’occasion comme déviants sexuels et pédophiles avec
un secret occulte entourant ces activités. Ils ont révélé qu’ils ne se
soucient absolument pas des dégâts qu’ils causent et qu’ils s’en
délectent même comme s’ils jouaient à un jeu. Ce sont des enfants
psychopathes qui voient le monde comme leur jouet. En plus de cela, ils
sont très organisés.

Les lois et la gouvernance de ces lois sont nécessaires pour traiter
avec les personnes qui ne peuvent pas respecter le principe de
non-agression et qui cherchent à exploiter et à détruire les autres.
Bien sûr, dès qu’on met en place des systèmes de gouvernance pour gérer
la loi, la classe prédatrice les envahit afin de les exploiter et de les
détruire plus efficacement. Les domaines de carrière qui garantissent
l’autorité et la protection contre tout contrôle vont automatiquement
attirer les pires éléments de l’humanité.

Le concept d’élections et de gouvernement par le peuple n’est pas
tout à fait inadéquat, mais il n’est évidemment pas suffisant pour
empêcher les méchants d’accéder au pouvoir et à l’influence. Au-delà de
cela, le gouvernement tend à rechercher une croissance infinie, et la
recherche d’un tel pouvoir ouvre la porte à la corruption d’âmes par
ailleurs bien intentionnées.

La seule solution que je peux trouver est une solution simple : le
tirage au sort. Le gouvernement devrait fonctionner comme une structure
générée au hasard dans laquelle les personnes impliquées ne sont pas des
célébrités mais des serviteurs de la loi, et la loi ne doit exister que
pour protéger les droits et libertés des habitants de cette société.
C’est essentiellement ainsi que fonctionne la sélection des jurés, alors
pourquoi ne pas procéder de la même manière avec le gouvernement ?

Et si nous avions la limite d’un mandat de deux ans pour chaque poste
gouvernemental ? Que se passerait-il si ces personnes étaient choisies
au hasard tous les deux ans dans le cadre d’un tirage au sort
démocratiquement ouvert ? Plus de politiciens de carrière, plus de
lobbyistes, plus de cabales élitistes qui contrôlent les décisions
politiques parce qu’il serait impossible d’acheter les gens à l’avance.
Les chances qu’une personne soit choisie pour accomplir le même travail
encore et encore seraient minces. Les risques qu’ils abusent de leur
pouvoir seraient réduits parce qu’ils n’auraient pas le temps.

Aussi, considérez les implications pour la société dans son ensemble ;
cette loterie n’encouragerait-elle pas les gens à devenir PLUS
conscients et plus instruits sur les conditions politiques, l’économie,
la loi, etc ? Qui voudrait être choisi pour un poste de gouvernance et
se retrouver sans instruction et bredouillant ?

Cela dit, ce type de système fait l’objet de deux critiques :
premièrement, il n’est pas volontaire. Et deux, et si on remplissait le
gouvernement au hasard de gens incompétents et qu’on causait un désastre
?

Pour répondre à cette question, premièrement, le devoir du jury n’est
pas nécessairement volontaire non plus, mais il existe des
circonstances atténuantes pour ne pas participer. Les gens devraient-ils
pouvoir se retirer du tirage au sort ? Oui, mais ils devraient tous en
avoir l’occasion. De plus, des incitatifs (comme un salaire équitable)
pourraient être offerts pour encourager les gens à participer.

Deuxièmement, honnêtement, je prendrais un gouvernement de personnes
en rotation constante, dont certaines pourraient être incompétentes,
plutôt qu’une oligarchie de psychopathes bien établis de longue date,
n’importe quand.

Éliminer les influences du mal par la force

La grande faiblesse du monde moderne est que les gens d’aujourd’hui
ont été conditionnés à croire que le bien et le mal sont des concepts
relatifs. Ils pensent que le mal est une question de « perception » et
que les choses qu’une personne considère comme mauvaises peuvent être
considérées comme positives par quelqu’un d’autre, donc les jugements
moraux deviennent inutiles. Cette culture du relativisme moral n’est pas
un hasard. Elle a été encouragée dans les médias populaires et dans la
philosophie du nouvel âge au cours des dernières décennies afin de
séparer les gens de l’idée de conscience inhérente.

Si vous voulez comprendre ce qu’est le mal, vous devez d’abord avoir
une conscience de la loi naturelle et la voix de la conscience. Les
religions ont leurs propres lignes directrices sur ce qui constitue le
mal, et certaines d’entre elles sont précieuses, mais à mesure que les
religions deviennent centralisées et bureaucratiques, elles peuvent être
tordues pour servir de mauvaises fins. En fin de compte, les sages
savent reconnaître le mal quand ils le voient parce qu’ils écoutent
leurs voix intérieures.

Le mal cherche à violer tous les principes de la loi naturelle. Il
cherche à tourner en dérision toutes les fonctions de la stabilité
humaine. Il cherche à miner l’amour, l’espoir, la famille, la sécurité
et surtout la liberté. Le mal cherche à corrompre ou à détruire tout sur
son passage. Il cherche à gagner non pas par l’industrie et
l’invention, mais par le vol. Il cherche à prendre ce qu’il ne devrait
pas avoir ; non seulement cela, mais il faut une certaine joie
détestable à soumettre ou torturer des innocents.

Pour expliquer le mal, et plus spécifiquement le mal des mondialistes
et de l’élitisme, en termes les plus simples mais significatifs
possibles, voici mon clip préféré du film Les Aventures de Mark Twain,
intitulé « Le mystérieux étranger » (The Mysterious Stranger, ndlr) :

Pour ce qui est d’une méthode scientifique permettant d’extirper le
mal, les traits de caractère des narcopathes peuvent être identifiés par
des tests et des observations, mais il n’existe aucune norme éprouvée
et vraie pour trouver un narcopathe au début de sa vie. Ceux de la
communauté psychiatrique qui prétendent pouvoir être identifiés par des
scanners d’activité cérébrale sont pour la plupart des charlatans avec
leurs propres agendas. Certains gouvernements aimeraient aussi vous
faire croire que la neuroimagerie leur permettra un jour d’identifier
les futurs criminels et « personnes dangereuses ». C’est de la prévention de la criminalité tirée de la science-fiction, et c’est dangereux.

Le fait est que la psychopathie et la narcopathie sont difficiles à
déceler chez une personne sans un interrogatoire approfondi, une
vérification des antécédents ou jusqu’à ce qu’elle ait réellement commis
des actes terribles. L’une des normes fondamentales de toute société
devrait être de veiller à ce que ces personnes n’accèdent jamais à des
postes de pouvoir et d’influence. Et s’ils y parviennent, ils doivent
être retirés, par la force si nécessaire.

Un argument courant avancé par les gens qui essaient de
démystifier la lutte contre les mondialistes est que nous pouvons
renverser ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui, mais que demain, ils
seront simplement remplacés par un autre groupe de personnes
malfaisantes.
C’est un point de vue plutôt nihiliste, mais il a
un certain mérite. Il est vrai que si l’humanité ne prend pas des
mesures pour identifier les sources du mal et décentraliser les systèmes
dans lesquels les gens du mal se cachent, alors oui, ils reviendront
plus forts que jamais, quoi que nous fassions. Mais, si nous acceptons
que le mal est une réalité, qu’il est psychologiquement quantifiable et
perceptible par l’observation de certains traits de caractère, et si
nous supprimons la centralisation dont le mal bénéficie, alors personne
ne peut affirmer que le monde ne se portera pas mieux.

D’abord, cependant, il faut s’attaquer au mal organisé actuel. Les mondialistes doivent être éliminés.
Et au-delà des tactiques plus passives pour faire face aux catastrophes
qu’elles créent, il faudra probablement des conflits. Cela exigera la
guerre, et ne vous y trompez pas, une guerre est en cours, que nous le
voulions ou non. Nous avons deux choix : riposter ou devenir des
esclaves. Toutes les autres « solutions » représentent un intervalle de
freinage, ou pire, un placebo.

Sources: Alt Market & Zero Hedge, le 16 août 2019Traduction par Nouvelordremondial.cc




Les raisons cachées du désordre mondial

[Source : Le Saker Francophone]

Valérie Bugault : Conférence Newhorizon au Liban


Présentation du livre « les raisons cachées du désordre mondial »


Par Valérie Bugault − 20 au 28 septembre 2019

Chers organisateurs, chers auditeurs, Mesdames et Messieurs,

valerie_bugault

Je suis très honorée d’être invitée à présenter mon livre « Les raisons cachées du désordre mondial »
devant vous, qui cherchez des solutions politiques pour sortir de la
nasse économico-monétaire dans laquelle la finance anglo-saxonne
projette l’avenir politique planétaire.

Le mouvement de globalisation, tant et souvent décrié, est, à mon sens, mal compris, pour ne pas dire « très mal compris ».
Or, pour combattre utilement, il est nécessaire d’identifier clairement
non seulement l’ennemi qui est en face mais encore et surtout les armes
et les méthodes qu’il utilise. Or si les techniques financières de la
globalisation à la mode anglo-saxonne sont parfaitement identifiables,
et de plus en plus souvent identifiées, les méthodes utilisées par
l’ennemi sont trop peu souvent, pour ne pas dire jamais, évoquées ;
elles sont pourtant intéressantes à plus d’un titre.

Parmi les méthodes utilisées pour développer la globalisation économique
et financière, se trouve un point de référence qui, à lui seul,
explique l’extrême efficacité des processus mis en œuvre. Les partisans
de la globalisation planétaire ont réussi le tour de force de dissocier
le pouvoir politique de la responsabilité qui, dans un ordre politique
naturel, accompagne immanquablement le pouvoir. Alors que le terme de « politique »
suppose un pouvoir identifié qui va, en conséquence, de pair avec une
responsabilité identifiée, les financiers à la manœuvre dans le
processus de globalisation mondiale ont instauré, par le double
mécanisme :

  • du parlementarisme anglais dominé par des « partis politiques » et
  • des « banques centrales indépendantes »,

un système permettant, au sein de chaque État, l’irresponsabilité
politique totale des véritables donneurs d’ordre, qui sont les « tenanciers du système économique ». Dans cet « ordre politique » nouveau, issu des Révolutions occidentales du XVIIIème siècle – les premières Révolutions colorées de l’histoire –, les « hommes politiques »
ne sont que des hommes de paille, des courroies de transmission des
véritables donneurs d’ordre anonymes qui sont les principaux détenteurs
de capitaux.

Après avoir organisé, par l’instauration de réformes politiques ad
hoc, leur irresponsabilité politique, les principaux propriétaires de
capitaux ont pu organiser les règles du jeu économiques et monétaires
dans un sens qui leur soit totalement et irrémédiablement favorable.
Dans ce contexte, le capitalisme, loin d’être l’idéologie dont on le
pare volontiers, est en réalité une arme de guerre permettant de générer
encore plus d’anonymat au profit de ceux qui en contrôlent, et
édictent, les règles du jeu. Cet anonymat permettant, en retour,
l’organisation « spontanée » c’est-à-dire mécanique, de la plus
vaste concentration des richesses qui ait jamais eu lieu sur cette
terre ; concentration des richesses qui se fait en toute impunité sans
aucun compte à rendre à personne.

Le régime parlementaire de type anglais est une organisation sociale perverse

La perversité de ces mécanismes a pour principale raison d’être de
supprimer la possibilité de l’existence de contrepouvoir. Plus
précisément, les contrepouvoirs apparents, hautement claironnées comme
étant la quintessence de la démocratie, sont en réalité tout à fait, et
structurellement, inefficaces.

En particulier, le principe de « séparation des pouvoirs »
théorisé par Montesquieu est, en régime parlementaire de type anglais,
inopérant, neutralisé par le fait que les partis politiques qui gagnent
les élections occupent en réalité toutes les places au sein des pouvoirs
législatif et exécutif.

Quant au pouvoir judiciaire – troisième pouvoir identifié par
Montesquieu – il n’existe tout simplement pas pour la simple raison que
les instances juridictionnelles sont techniquement chargées de la mise
en œuvre du pouvoir législatif, qui leur échappe, et que la force
nécessaire pour faire appliquer une décision de justice appartient au
pouvoir exécutif, qui leur échappe tout autant. Le prétendu « pouvoir judiciaire »
est en réalité étroitement dépendant des pouvoirs législatif et
exécutif. Il ne peut, d’ailleurs, pas en être autrement tant il est vrai
que le concept de « justice » est au cœur de l’émergence du « pouvoir politique ». Autrement dit : le pouvoir politique, qui consiste à organiser la vie de la Cité, est, par essence, doté de la capacité de « rendre justice ».

Par ailleurs, si le pouvoir politique nécessite évidemment, pour ne
pas être tyrannique, des contrepouvoirs, dissocier de façon autoritaire
les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire tout en ignorant le
pouvoir monétaire revient à faire disparaître la réalité du pouvoir
politique. Ou plutôt, la nature ayant horreur du vide, cela revient à
transformer le pouvoir politique en un théâtre d’ombres occupé par des
pantins avec, derrière la scène les véritables acteurs qui œuvrent en
secret – c’est-à-dire de façon anonyme. Ces acteurs politiques réels
sont représentés par la caste des « banquiers commerçants » dont les intérêts, de nature privé, sont uniformes.

Or, d’un point de vue méthodologique, « les intérêts privés » s’opposent de façon mécanique aux « intérêts publics » qui sont justement à l’origine du pouvoir politique. Car il faut revenir à la substance des choses et des idées. Le « pouvoir politique » correspond à la nécessité d’organiser la vie de la « Cité » ; ce qui suppose la prise en compte institutionnelle des différents intérêts qui traversent ladite « Cité ».
Organiser la vie de la Cité consiste à faire de choix, à opérer des
arbitrages entre les différents intérêts qui existent dans la Société ;
or, en régime parlementaire de type anglais, ces intérêts ne sont tout
simplement pas politiquement représentés. Par ailleurs, les arbitrages
politiques n’ont, à terme, de réelles efficacités, de capacités propres,
que s’ils sont perçus par l’ensemble des membres de la collectivité
comme relevant d’un sacrifice nécessaire de certains intérêts privés
catégoriels au profit de l’intérêt général, collectif, du groupe. Encore
faut-il que le sacrifice consenti soit identifié, ce qui n’est pas le
cas lorsque les intérêts privés qui dirigent restent dans l’ombre.

Les problèmes substantiels générés par l’organisation politique de
l’État autour du parlementarisme représentatif d’origine anglais sont
nombreux, variés, et essentiellement tus. Par exemple, le fait de
disjoindre les pouvoirs législatif et exécutif et d’instituer un
organisme, le « parlement », dont la seule fonction est de « faire des lois »
est en contradiction directe et irrémédiable avec l’objectif de
stabilité législative nécessaire à la sécurité juridique des
justiciables. L’existence constitutionnelle d’un parlement en tant
qu’organe législatif est la garantie, à terme, d’une profusion de lois
néfaste aux ressortissants de l’État. Or, la notion d’État politique
n’existe que pour assurer la sécurité et la sauvegarde du groupe
d’individus qu’il représente.

En outre, le pouvoir politique suppose, par essence, une capacité
d’action sur la longue durée. Or, voilà précisément (c’est-à-dire le « temps long »)
ce qui est dénié aux partis politiques sous le régime du
parlementarisme anglais. Les partis politiques sont conçus comme devant
régulièrement, à échéance variable entre trois et dix ans, se
concurrencer les uns les autres en participant à des « élections ».

L’organisation politique imposée par le modèle parlementaire anglais
est structurellement inapte à répondre aux exigences d’un État au sens
politique du terme ; une telle organisation ne peut, par nature, pas
remplir le rôle d’un État. Tous les axes sur lesquels reposent les
régimes parlementaires fondés sur la séparation des pouvoirs sont des
artefacts chargés d’anéantir le pouvoir politique réel. Il s’agit, dans
l’ombre, de transférer le pouvoir à des décisionnaires occultes tout en
mettant en scène une comédie institutionnelle chargée de faire croire à
une réalité différente, parée de contrepouvoirs, d’équilibre des
pouvoirs, de démocratie, de droits de l’homme et de bons sentiments
humanistes.

Nous en arrivons ainsi à comprendre que le principe dit de « séparation des pouvoirs »
tel qu’interprété par les régimes politiques parlementaires – sur le
modèle anglais – de la démocratie représentative est une escroquerie
politique universelle. Ce prétendu modèle démocratique est fondé sur une
imposture institutionnelle dont l’objectif est d’éclater le pouvoir
politique de façon à le transférer, en coulisse, à des entités non
clairement identifiées par les institutions.

Ce système, fondamentalement vicieux, génère inévitablement, par un
effet secondaire mécanique, de graves troubles sociaux liés à l’absence
de sécurité juridique ainsi qu’à l’absence de représentation politique
des différents courants et intérêts qui traversent la Société. Parmi ces
troubles sociaux, il en est un particulièrement dangereux pour la paix
sociale et qui n’est jamais abordé en tant que tel : la génération
spontanée, dans les populations concernées, de troubles de nature
psychique. L’apparence institutionnelle entrant en contradiction
flagrante avec la réalité sous-jacente, se créée, dans le public, une
incapacité à saisir à la fois la véritable nature politique des
institutions et l’identité réelle des décideurs. Il en résulte une
incapacité systématique – systémique – des individus à rendre les
décideurs réels responsables de leurs actes dans le même temps que les
apparences proclament l’existence de contrepouvoirs et de démocratie. Le
développement et la généralisation, chez les ressortissants desdits
États, d’un phénomène de dissonance cognitive est l’un des effets
secondaires de cette dichotomie flagrante entre apparence et réalité du
pouvoir. C’est ainsi que les « États démocratiques » occidentaux fondés sur la séparation des pouvoirs telle qu’interprétée par les « régimes parlementaires représentatifs »
entraînent inévitablement, à terme, des pathologies psychiques plus ou
moins graves parmi leurs populations. Car les humains sont des individus
qui interagissent avec leur environnement et avec leurs semblables ; la
perversité institutionnelle du parlementarisme anglais a donc,
naturellement, pour effet direct structurel, de générer des pathologies
sociales de nature psychiques parmi les populations qui y sont soumises.

Pour conclure brièvement : l’organisation politique autour du
parlementarisme représentatif – d’origine anglaise – peu à peu imposée à
la majeure partie des pays du monde, est structurellement une
organisation sociale et politique perverse, inapte à instaurer la paix
sociale et en contradiction directe avec les fonctions d’un État réel.
Elle a, historiquement, été imposée à des fins de prise de pouvoir
politique par la caste des banquiers commerçants.

La caste des banquiers commerçants contrôle les monnaies

Les banquiers commerçants, partis, au XVIIIème siècle, à l’assaut du
pouvoir politique, n’ont pas entrepris la conquête du pouvoir sans
armes. Parmi celles-ci, se trouve la création de banques centrales qui
ont permis à cette caste de centraliser l’émission et la gestion des
monnaies. Cette institution nouvelle de « banque centrale » a eu pour objectif et pour effet de faire échapper la gestion monétaire à tout contrôle de type politique.

Les États politiques d’Europe, et d’ailleurs, ont vécu des milliers d’années sans « banque centrale »,
ce concept aujourd’hui frauduleusement présenté comme intimement lié à
l’histoire des nations est une réalité politique relativement récente
née, sans surprise, en Angleterre à la fin du XVIIème siècle. Le 27
juillet 1694 naissait la première banque centrale du monde, sous le nom
de « banque d’Angleterre ». Cette banque était l’héritière
naturelle de la très puissante Banque d’Amsterdam créée en 1609 sous
l’impulsion des banquiers dominants ; ses récépissés circulaient dans le
commerce comme une sorte de monnaie fictive. La Banque d’Amsterdam a
réellement inauguré le concept de monnaie de banque comme instrument de
paiement ; elle avait l’entier contrôle de la circulation monétaire sous
forme de monnaie papier-fiduciaire, ce qui préfigure le rôle actuel des
banques centrales. Ce nouveau concept de « monnaie de banque » était promis à un bel avenir, puisqu’il a, au fil du temps, remplacé l’or dans son rôle de vecteur monétaire.

Ainsi le contrôle que les banquiers changeurs du Moyen-Âge détenaient
sur l’or s’est peu à peu transmuté au cours des XVIIIème, XIXème et
XXème siècles en un contrôle des mêmes banquiers sur la monnaie papier,
plus aisée à faire circuler que des lingots d’or. Ajoutons, par une
anticipation parfaitement prévisible et à laquelle les banquiers
préparent le monde, que la monnaie ainsi comprise – comme une
marchandise qu’il convient de contrôler et d’accaparer – circulera à
l’avenir de façon entièrement dématérialisée, ce qui raffermira encore
davantage le contrôle politique exercé par les banques sur les
individus.

Relatons, à cet égard, la récente déclaration de Mark Carney (août
2019), gouverneur de la Banque centrale d’Angleterre, qui évoque une nouvelle monnaie mondiale,
hégémonique, synthétique. Le hiatus sera dès lors complet entre la
conception de la monnaie en tant que marchandise et sa circulation qui
sera entièrement dématérialisée : le concept de « monnaie marchandise », qui ne représentera plus rien de la réalité monétaire, aura servi aux banquiers commerçants à accaparer le contrôle monétaire.

Une fois de plus, il convient de revenir à l’essence des choses et
des institutions. La monnaie, instrument au service d’intérêts privés
est complètement hors de sa raison d’être, qui était « politique », entendu au sens premier de ce terme. Accaparée par des intérêts privés, la monnaie devient une « arme par destination »
destinée à asservir le collectif au profit du particulier. Si les rois,
empereurs, tsars et autres chefs d’État ne maîtrisaient pas la totalité
de l’or qui circulait sur leurs territoires, les faux chefs d’État
actuels contrôlent encore moins les masses monétaires en circulation
dans le monde. Ces masses monétaires échappent désormais totalement à
l’emprise du pouvoir compris dans son sens politique initial pour échoir
de façon définitive aux banquiers qui contrôlent le monde.

Le retour apparent, à grand fracas, du phénomène politique sur la
gestion monétaire à laquelle on veut nous faire croire via les menées de
Donald Trump sur la Fed ne sont que poudre aux yeux. En effet, les
actuels dirigeants de tous les pays occidentaux sont sous le strict
contrôle des financiers qui sont à l’origine de leurs élections.
N’oublions pas que l’élection du président Trump a été permise par les
menées de Cambridge Analytica, organisme rattaché, par ses sources de
financement (Robert Mercer), à la City of London
; Steve Bannon, qui a commencé sa carrière dans le renseignement de la
Marine américaine (la Navy) – spécialisé dans les opérations
psychologiques – dirigeait alors les manipulations ayant abouti à
l’élection de Donald Trump. A titre incident, il n’est pas inutile de
préciser que Steve Bannon est passé directement du renseignement de la
Navy à des fonctions chez Goldman Sachs, banquier globaliste par
excellence, avant de s’occuper de politique et d’élections.

Notons que c’est ce même organisme, Cambridge Analytica, qui a été
accusé par le lanceur d’alerte Christopher Wylie d’avoir joué un rôle crucial dans le vote en faveur du Brexit. Le très médiatique Nigel Farage, qui a pris la tête de la croisade politique ayant mené au Brexit, est en effet très lié à la famille de Robert Mercer.

Il est impératif de comprendre que le Brexit, est une manœuvre des banquiers-financiers de la City of London
pour reprendre en main et piloter le changement de la monnaie mondiale,
c’est-à-dire le passage de l’utilisation du dollar américain aux DTS (SDR), panier de monnaies sur le modèle du Bancor
de Keynes – qui n’avait pas pu être imposé par les banquiers en 1944,
au moment des négociations ayant mené aux accords de Bretton Woods.

Donald Trump, Dominique Strauss-Kahn, Nigel Farage, Christine
Lagarde, le FMI, les différentes banques centrales – dont les dirigeants
de la Fed -, la Banque des Règlements Internationaux, la Banque
mondiale et beaucoup d’autres se rattachent au clan des partisans du Nouvel Ordre Mondial dont le Quartier Général se situe à la City of London.
Ces activistes de la globalisation monétaire et politique, dont les
donneurs d’ordre sont mus par un messianisme de plus en plus apparent,
œuvrent à faire advenir un gouvernement mondial qui sera dirigé, sans
contrepouvoir, par les banquiers commerçants. Le premier pas vers ce
gouvernement mondial est l’avènement des Droits de Tirage Spéciaux
(DTS / SDR Special Drawing Rights), panier de monnaies, en tant que
monnaie mondiale ; cet avènement suppose – ou plutôt nécessite –
l’abaissement économique, monétaire et militaire de l’empire américain.

Concernant cette évolution monétaire, les dirigeants officiels de la
Fed américaine sont actuellement pris entre les deux feux du dollar
monnaie locale et monnaie mondiale. Ils ne peuvent pas ouvertement
abandonner brutalement le rôle du dollar monnaie mondiale dans le même
temps qu’ils savent que cette fonction du dollar est, à la fois
techniquement obsolète et politiquement abandonnée par leurs donneurs
d’ordre rattachés à la City. Dans ce contexte, le président Trump joue
le rôle qui lui a été assigné par ses donneurs d’ordre globalistes en
aidant la Fed à transformer le dollar en une simple monnaie locale. A
terme, la Fed pilotera l’économie américaine, via la politique monétaire
du dollar américain, dans le seul intérêt bien compris à la fois de
l’économie américaine et des financiers de la City. En d’autres termes,
la Fed va progressivement réinvestir son seul rôle de gestionnaire de
monnaie locale. Le rôle de gestionnaire de la monnaie mondiale –
actuellement représentée par les DTS (Droits de Tirages Spéciaux / SDR
Special Drawing Rights) – sera, par un commun accord des banquiers
centraux, rempli par la Banque des Règlements Internationaux (BRI / BIS)
d’une part et par le FMI (Fonds Monétaire International) d’autre part.

Dans ce contexte, le seul défi américain consiste à ce que le dollar
monnaie locale ne perde pas trop de pouvoir dans la détermination de la
nouvelle monnaie mondiale, c’est-à-dire qu’il conserve un pourcentage
utile dans le panier de monnaies que constitue les DTS (Droits de Tirage
Spéciaux). D’où les menées américaines, militaires au Venezuela, et,
plus récemment, commerciales au Groenland (dont le sous-sol regorge de
richesses minières : terres rares, uranium, fer, cuivre, or…), afin de
récupérer le contrôle de matières premières telles que l’or et le
pétrole. Il ne faut absolument pas s’étonner que la Grande Bretagne
s’associe aux États-Unis pour mener à bien l’acquisition du Groenland,
après que la City of London ait court-circuité l’empire
américain : en effet, il s’agit pour les banquiers globalistes de
maintenir un équilibre entre les différentes puissances qui participent
au panier de monnaies que sont les DTS. En d’autres termes, les
banquiers de la City, qui ne sont pas sûrs de leur mainmise effective et
définitive sur la Chine et le yuan, préfèrent, à leur habitude, jouer
la carte du « tous contre tous ».

Les banquiers misent sur la concurrence entre leurs « choses »
que sont les États afin que ces derniers s’affaiblissent mutuellement,
de façon à sortir seuls vainqueurs de la lutte. Cette méthode, très
efficace, a été historiquement souvent employée, il n’est qu’à rappeler
le financement de la guerre russo-japonaise (du 8 février 1804 au 5
septembre 1905) qui a finalement abouti à la révolution bolchevik,
elle-même dûment soutenue financièrement par les mêmes banquiers.
Toutefois l’histoire apporte également des messages d’espérance car
cette Révolution a elle-même échappée à ses initiateurs : elle fut
politiquement « récupérée » par un homme « indépendant »
(Staline), qui s’est efficacement, dans une très large mesure, opposé
aux plans de globalisation prévus, dès cette époque, par les banquiers.

Pour en revenir à la prochaine monnaie mondiale que sont les Droits de Tirage Spéciaux, il faut préciser que le concept même de « monnaie mondiale » n’a été artificiellement rendu indispensable que par :

  • Le développement mondial préalable, telle une excroissance juridique monstrueuse, du principe dit du « libre échange » et
  • Le développement mondial du droit anglais comme principe normatif absolu.

Le « libre-échange » n’a de libre que le nom, car ce
principe est tout au contraire la validation juridique de la loi des
multinationales sur les autres formes d’entreprises. On reconnaît ici la
méthode de prestidigitation anglo-saxonne consistant à laisser croire, à
faire apparaître publiquement, l’exact contraire de la réalité mise en
œuvre concrètement et officieusement. Rappelons que c’est précisément
cette asymétrie entre l’être et le paraître qui instaure
l’irresponsabilité politique des décideurs réels.

Le « libre-échange » est en réalité la promesse de
disparition de toutes les petites et moyennes entreprises, c’est-à-dire,
la promesse de concentration des entreprises et des capitaux, ce qui
est, du point de vue économique, l’exact contraire de la liberté. Il
faut, par ailleurs, garder à l’esprit que les multinationales se sont
historiquement développées par la grâce des grands banquiers
fournisseurs de crédit, sous le regard bienveillant, ou sous les menées
actives selon les cas et les époques, des banquiers centraux. Je ne
reviendrai pas ici sur l’historique des banques centrales, et en
particulier sur celle de la Banque des Règlements Internationaux (la Banque Centrale des Banques Centrale), qui est largement explicitée dans mon livre « les raisons cachées du désordre mondial ».
A terme, le libre-échange est également la promesse de disparition des
États, l’OMC, par le biais des multinationales, faisant perdre aux États
leur légitimité en tant qu’organe chargé d’imposer des normes.

Quant au droit anglais, il est, par essence, la négation exacte du « droit » au sens de justice, d’équité, d’équilibre et surtout de recherche de vérité que ce concept revêt. Alors que le concept de « droit » était représenté par le droit continental européen traditionnel, le prétendu « droit anglais »
est une simple subversion du principe juridique : il est un pur outil
dans les mains des puissances financières dominantes pour imposer leur
loi au reste de l’humanité. En d’autres termes, le « droit anglais »
n’a pas pour raison d’être la pacification des relations humaines –
laquelle passe par la recherche de la vérité -, il est, tout au
contraire, le moyen, pour les puissances financières, d’imposer au monde
entier des normes commerciales qui leurs sont exclusivement favorables.
Le droit anglais a pour autre finalité de niveler les usages et
cultures locales dans le monde afin, à terme, d’imposer un gouvernement
mondial dirigé de façon exclusive et absolue par les
banquiers-commerçants monopolistes. D’une façon synthétique, disons que
le droit anglais sert :

  • à accélérer la concentration des capitaux dans les mains des banquiers,
  • à homogénéiser et uniformiser les habitudes internationales autour des concepts maîtrisés par les seuls banquiers globalistes.

Ces deux finalités de l’invasion internationale du droit anglais ont
pour objectif ultime l’élaboration d’un gouvernement mondial dans les
mains des puissances financières.

Les solutions globales à la domination totale

Pour éviter le sombre avenir organisé par quelques dominants qui
mettra, à la mode anglaise, la plus grande majorité de l’humanité en
esclavage, les solutions existent. Ce renouveau politique comporte des
conditions, sine qua non, qui concernent simultanément les questions institutionnelles, juridiques et monétaires.

La première condition consiste à mettre un terme à l’organisation
politique des États autour de l’idée de parlement représentatif et de
partis politiques. Je détaille certaines propositions institutionnelles
alternatives dans mon livre « les raisons cachées du désordre mondial ».
Néanmoins, chaque région du monde peut et doit être capable de trouver
des solutions institutionnelles alternatives en fonction de sa propre
culture, de ses croyances, de son niveau de développement et de
l’adhésion de sa population.

La deuxième condition, sine qua non, consiste, pour ces
États politiques renouvelés, à reprendre le contrôle de la monnaie qui
circule sur leurs territoires. La mise en œuvre de cette condition
suppose une réhabilitation de la monnaie dans son sens initial de
concept, lequel s’oppose à son actuelle qualification de « marchandise », c’est-à-dire de « réserve de valeur ». Le principe monétaire est, en réalité, une institution juridique qui s’apparente à une « unité de mesure de la valeur des biens et des services »,
sur le modèle du mètre ou du litre. La monnaie n’est fondamentalement
pas un bien, elle n’aurait jamais dû être confondue avec son vecteur. En
d’autres termes, la monnaie n’est pas un bien matériel pourvue d’une
valeur économique, elle n’est pas une « réserve de valeur ». Juridiquement parlant, la monnaie est, fondamentalement, un concept politique matérialisé par une « institution juridique »
dont la seule valeur est de nature sociale. Confondre le principe
monétaire avec son vecteur matériel revient à identifier la monnaie avec
un bien dans le commerce. Cette identification autorise, à son tour,
une captation et un accaparement de ce bien par des entités plus ou
moins opaques.

La confusion intellectuelle entre le principe monétaire et le vecteur
matériel utilisé pour la circulation de la monnaie est la source
première de la puissance actuelle des banquiers commerçants. Cette
confusion a pour conséquence mécanique que la monnaie ne peut plus
remplir le rôle de facilitation des échanges pour lequel elle a
précisément été créée. Dans sa version subvertie, la monnaie devient une
arme permettant de remplir le seul intérêt de ses propriétaires, qui
est un intérêt catégoriel et de quête du pouvoir, l’exact opposé de
l’intérêt collectif consistant à faciliter les échanges pour tous. Car
les « propriétaires » de la monnaie déterminent l’affectation
des ressources. Alors que les banquiers accapareurs ont historiquement
opté pour le développement d’énormes conglomérats financiers qu’ils
contrôlent, l’intérêt commun serait, tout au contraire, de permettre à
chaque individu et entreprise, quelle que soit sa taille, de disposer de
la monnaie afin de faciliter ses échanges et de lui permettre des
initiatives, notamment créatrices, propres. Le rétablissement du concept
monétaire dans sa véritable nature politique aura pour conséquence
naturelle la disparition des « banques centrales ». Le service d’État appelé « ministère des finances »,
dont le rôle est, précisément, de répondre aux besoins économiques et
sociaux des ressortissants de l’État, suffit amplement à la tâche de la
gestion monétaire et financière. Il faut bien comprendre que l’existence
d’une « banque centrale » rend fondamentalement inutile l’institution politique du « ministère des finances ».

La troisième condition sine qua non, est de mettre un terme
définitif au principe général de l’anonymat, lequel anonymat passe par
l’organisation capitalistique mais également par le contrôle des
allégeances des membres composant les gouvernements à des instances
secrètes ou occultes. L’anonymat passe enfin, de façon évidente, par la
reprise en main politique des paradis fiscaux, officiellement
territoires indépendants mais réellement territoires entièrement dominés
par les principaux détenteurs de capitaux qui sévissent depuis leur
Quartier Général de la City of London.

La quatrième condition sine qua non du retour à une gestion
naturelle de la politique est de mettre un terme définitif à la
suprématie du droit anglais dans les relations internes aux États autant
que dans les relations internationales. A cet égard, la « soft law » étant un apanage du droit anglais, les relations internationales ne doivent être régies par aucune « guide line », par aucun « modèle de Traité internationaux » proposé par l’OCDE ou par l’OMC.
La cinquième et dernière condition sine qua non du retour à une juste appréciation du concept « politique » est que la « justice » retrouve ses lettres de noblesse. Cette condition suppose la disparition du concept nouveau de « justice privée » car la « justice »,
chargée de pacifier les relations sociales, ne saurait être que
collective. Il convient donc de mettre un terme à la justice privée,
concept dérivé du droit anglais, laquelle est principalement véhiculée
par l’arbitrage internationale et par les « clauses de règlement des différends » inclus dans les traités internationaux. Le retour du concept de « justice » passe également par la disparition de la prétendue justice « internationale » qui est la matérialisation juridique de la loi du plus fort, c’est-à-dire l’exact contraire du concept de « justice ». Rappelons que la « justice »
a pour raison d’être ultime la pacification des relations entre
individus, entre entités économiques ou non économiques, étant précisé
que les États, entités politiques, appartiennent à cette dernière
catégorie. La justice ne saurait être conçue comme un moyen technique
pour imposer un rapport de force, celui des multinationales sur les
individus et les États.

Ajoutons que le concept de « justice », en tant que
recherche de la vérité dans les rapports individuels et collectif
dépend, pour sa mise en œuvre, des valeurs propres à chaque type de
Société, lesquelles sont véhiculées par sa culture et ses expériences
historiques.

Nous assistons actuellement, bien malheureusement, en matière de
justice – comme en matière de monnaie, d’entreprise et d’État – à une
subversion internationale des mots et des concepts. Cette subversion
généralisée n’aboutira qu’à un seul et unique effet : la mise en
esclavage, juridiquement validée, du plus grand nombre par les
banquiers-commerçants aussi anonymes qu’ils sont accapareurs. Cet
esclavagisme généralisé passe de façon évidente par la disparition du
concept d’État politique au profit de la création d’entités
supranationales sous le contrôle strict des banquiers-commerçants.

Je vous remercie de votre attention.

Valérie Bugault


En complément, alternative possible au Nouvel Ordre Mondial : Manifeste pour un nouveau monde




Ce que nous vivons était décrit par le journaliste Serge Monast en 1994

Dans son livre Dévoilement du complot relatif au plan de marquage de l’Humanité, Serge Monast écrivait notamment :

(Page 20 : )
Dès 1945, devant le sous-comité des relations étrangères du Sénat américain, le partisan d’un gouvernement mondial initié, J. P. Warburg établissait : 

« Nous aurons un Gouvernement Mondial que vous le vouliez ou non. La question est de savoir si le Gouvernement Mondial sera atteint par la raison ou par la force. »

Il y a ceux qui proposaient une approche étape par étape. Henry Morgan, ancien secrétaire-trésorier du CFR parlait au nom de la plupart des initiés en disant : 

« Nous pouvons difficilement nous attendre à ce que l’État-nation devienne superflu de lui-même. Le but que nous devons plutôt viser est l’acceptation dans l’esprit de tous les élus responsables, qu’ils ne sont que les concierges d’une machine internationale en banqueroute qui devrait lentement être transformée en une nouvelle machine. »

Ceci a été rapporté en mars 1993. En mars 1994, ces gens de la Haute Finance Internationale viennent d’achever de mettre en marche la machine économique qui va permettre au niveau de tous les pays, l’instauration d’un nouvel ordre économique.

Ils ont donné un avertissement à un an d’intervalle, jour pour jour, heure pour heure, aux deux puissances financières qui pourraient les gêner : les États-Unis et le Japon. Par quel moyen ? Par un tremblement de terre.

(Page 21 : )
[…] « L’ingrédient qui est dans cette formule est de mettre en banqueroute financière la machine internationale ». En d’autres termes, après avoir endetté les États-Unis au-delà du raisonnable, ils veulent créer de pure pièce une crise économique extraordinaire qui contraigne les États, pour se sortir du paiement des intérêts de leurs dettes intérieures souscrites aux banquiers qui dirigent la Finance Internationale, à exécuter des coupes sombres dans leurs programmes sociaux afin de toucher directement les populations. Ceci contraindra (c’est fait en 1994) les États-Unis à se tourner vers le Fonds Monétaire International de l’ONU et de la Banque Mondiale, qui imposeront cette condition : que les pays emprunteurs abandonnent leur souveraineté étape par étape afin de cacher ce scénario aux peuples et électeurs !

(Voici les uniques raisons de Masstricht, du Gatt, du libre-échange, des accords de Schengen,…). On oblige(ra) alors ces pays à dépendre de l’ONU pour leur survie et donc des directives que l’ONU leur dictera.

Ce qui est surprenant est que cette stratégie a été mise de l’avant par la première société secrète penchant vers la conquête du monde : les Illuminatis. En effet, ce programme extrait d’une revue financière rejoint l’article 4 du code des Illuminatis :

« … afin que les masses n’aient pas le temps de penser et de se rendre compte, leur esprit doit être orienté vers l’industrie et le commerce. Ainsi toutes les nations seront avalées par l’appât du gain, et dans cette course ils ne verront pas leur ennemi commun ».

Nous avons là une explication de la flambée boursière des années 1980 à février 1994. C’est une stratégie politique tout à fait connue : absorber l’attention de quelqu’un sur un point précis tandis que l’on est en train de préparer autre chose. Comme nous sommes témoins de cette quête effrénée du profit dans l’industrie et du commerce, on ne se rend pas compte que les États sont dans un système financier en Banqueroute qui est sur le point de s’écrouler. L’ennemi commun est le système bancaire global central, donc le FMI qui détient tous les prêts, réalisant ainsi ce qui est prévu par les Illuminatis il y a quelques centaines d’années.

L’article 6 du code des Illuminatis disait en effet : 

« Nous, l’élite financière, allons bientôt entreprendre d’immenses monopoles, réservoirs de richesses colossales — actions, valeurs, fonds mutuels, rentes — sur lesquels des fortunes encore plus grandes — celles des masses — vont dépendre, à un tel point qu’ils tomberont jusqu’au fond avec les crédits des États le jour suivant l’écroulement politique ».

Donc, en arrivant à une crise économique majeure, qui ne touchera pas les institutions comme ce fut le cas dans les années trente, toutes les fortunes faites par les masses dans la spéculation se retrouveront du jour au lendemain évaporées.

Dans ce mécanisme recherché par les architectes de l’ONU — les plus grands banquiers de la planète, — l’objectif à réaliser est que les nations et les populations à l’intérieur de ces nations se retrouvent ruinées du jour au lendemain, en n’ayant plus aucune valeur financière. C’est de cette manière qu’il sera possible d’imposer un nouveau système. Pour accéder à ce nouveau système international, les gens devront accepter l’implantation d’un Micro Chip biologique d’identification internationale, sinon ils ne pourront ni acheter, ni vendre au niveau national comme au niveau international.

Il faut bien comprendre que l’objectif n’est pas de ruiner les entreprises, mais de ruiner les États et les populations ! L’écroulement économique planifié a été utilisé maintes fois à une petite échelle pour prendre le contrôle d’un pays. Mais maintenant la grande finale est en préparation. Ils connaissent, grâce à certains pays qui ont subi

(Page 22 : )
cette thérapie de chaos, quelles seront les réactions futures des populations occidentales et américaines. Aujourd’hui, aidés par la technologie actuelle et les ordinateurs, ils sont capables de fabriquer de toutes pièces le complot d’une grande crise économique, sans que les institutions financières, les grandes corporations comme les multinationales, s’effondrent.

On tentera de faire croire à leur effondrement afin de précipiter la débâcle boursière, mais ce sera faux. Comme les économies des pays sont en train de s’effondrer lentement à cause des dettes fabriquées et des intérêts ) rembourser, les élus de ces pays se verront incapables de résoudre le problème. Le complot est mené de telle manière que les élus politiques déduiront — avant l’implosion — qu’ils seront perçus eux-mêmes comme étant les responsables de la faillite des États. Les élus perdant leur pouvoir par l’incapacité humaine de résoudre ce problème insoluble sans rejeter l’ensemble du système seront condamnés à se tourner vers l’ONU, à défaut d’être déposés par le peuple. L’ONU exigera leur assimilation aux directives élaborées par les Initiés du Gouvernement Mondial. Tout ceci sera fini en mars 1995… Ces élus multiplie(ront) et augmente(ront) la fréquence de la crise par l’augmentation des coupures au niveau social. S’en suivront des crises mondiales, des violences à l’échelle internationale.

Les élus nationaux devront admettre l’ouverture de leurs frontières à l’immigration, la mobilité de la main d’œuvre. Ce sera l’aboutissement des conséquences du libre-échange à tous les niveaux : la disparition des frontières nationales ! L’objectif étant, bien sûr ! d’augmenter les tensions intérieures entre les différentes ethnies et religions, de sorte que les pays en viennent à perdre le contrôle de leur sécurité intérieure. L’exemple chirurgical récemment dévoilé par l’ONU en Yougoslavie accrédite la réalisation de ce scénario dans quelques pays qui soient.

Finalement, les populations se retourneront vers l’ONU. Elles supplieront de faire quelque chose au niveau international. D’ailleurs, tout a été fait au cours des dernières années pour inciter les gens à reconnaître que l’intervention de l’ONU évitait aux nations d’entrer elles-mêmes dans des guerres terribles. La fabrication de toutes pièces de conflits en augmentant les tensions sociales, a rendu les gens serviles à ce genre de démarches et d’aveuglement sur les intentions réelles des tireurs de ficelles de la secte onusienne. Cela fait partie d’une stratégie dialectique développée par des philosophes au XVIIIe siècle.




Assiste-t-on à une démolition contrôlée une fois de plus ?

[Source : Réseau International]

par Gilad Atzmon.

Depuis des années, les écolo-fanatiques, qu’ils soient activistes ou scientifiques, nous disent que la « fête » va finir par s’arrêter. La planète sur laquelle nous sommes coincés ne peut plus en supporter davantage, elle est trop peuplée et il y fait une chaleur insupportable. La plupart des gens n’ont pas vraiment pris conscience de la situation, et ce pour une raison. Nous avons tendance à penser que cette planète n’est pas vraiment « la nôtre », nous y avons été jetés et pour un temps limité. Une fois que nous avons saisi le vrai sens de notre temporalité, nous commençons à reconnaître notre finalité. « Appartenir au monde » en soi est souvent la tentative de faire de notre « vie » un événement significatif.

La plupart d’entre nous qui n’avons pas été trop préoccupés par les activistes écologiques et leurs plans pour nous ralentir savaient que tant que le Big Money dirigerait le monde, rien de dramatique ne se produirait vraiment. Aux yeux du Big Money, nous avions tendance à penser que nous, le peuple, n’étions que de simples consommateurs. Nous nous considérions comme le moyen de rendre les riches plus riches.

De manière assez inattendue, la vie a subi un changement dramatique. À l’époque actuelle du Coronavirus, le Big Money a « laissé » le monde s’enfermer. Les économies ont été condamnées à une mort imminente. Notre importance en tant que consommateurs s’est en quelque sorte évaporée. L’alliance émergente que nous avons détectée entre les nouveaux leaders de l’économie mondiale (les sociétés de la connaissance) et ceux qui portent le drapeau du « progrès », de la « justice » et de « l’égalité » a évolué vers un état dystopique autoritaire dans lequel des robots et des algorithmes contrôlent notre discours et nos libertés élémentaires.

Comment se fait-il que la gauche, qui s’était consacrée à l’opposition aux riches, ait autant changé de ton ? En fait, rien ne s’est produit de manière soudaine. La gauche et l’univers progressiste ont, depuis un certain temps, été soutenus financièrement par les riches. The Guardian en est un exemple. Autrefois un journal de gauche à orientation progressiste, The Guardian est aujourd’hui ouvertement financé par Bill & Melinda Gates. Il fonctionne sans vergogne comme un porte-parole de George Soros : il a même permis à Soros de diffuser son point de vue apocalyptique pré-Brexit à l’époque où il a lui-même misé sur le vote anti-Brexit des Britanniques. Aujourd’hui, il est pratiquement impossible de considérer The Guardian comme un organe d’information – un organe de propagande pour les riches est une description plus appropriée. Mais The Guardian est loin d’être seul. Nos réseaux de militants progressistes tombent dans le même piège. Peu d’entre nous ont été surpris de voir Momentum, le groupe de soutien à la campagne de Jeremy Corbyn au sein du Parti Travailliste, se rallier au « survivant de l’Holocauste » et « philanthrope » George Soros. Lorsque Corbyn dirigeait le Parti Travailliste, j’ai appris à accepter que les « socialistes » qui se mettent en ligne de mire pour défendre les oligarques, les banquiers et les courtiers de Wall Street doivent être la nouvelle réalité de la « gauche ». Nous sommes maintenant habitués au fait qu’au nom du « progrès », Google soit passé d’un grand moteur de recherche à un outil de la Hasbara. Nous sommes habitués à ce que Facebook et Twitter dictent leur vision du monde au nom de normes communautaires. La seule question est de savoir quelle communauté ils ont à l’esprit. Certainement pas une occidentale tolérante et pluraliste.

On peut se demander ce qui motive cette nouvelle alliance qui divise presque toutes les sociétés occidentales ? La trahison de la gauche n’est guère surprenante, mais la question cruciale est de savoir pourquoi ceux qui avaient si bien réussi à mettre leurs mains sales dans nos poches ont accompagné la destruction actuelle de l’économie ? Ils ne sont certainement pas suicidaires.

Il me semble que ce à quoi nous assistons peut-être, c’est à une nouvelle démolition contrôlée. Cette fois-ci, ce n’est pas un bâtiment de New York. Ce n’est pas la destruction d’une seule industrie ou même d’une seule classe comme nous l’avons vu auparavant. Cette fois, notre compréhension de l’Être en tant qu’aventure productive et significative est mise à mal. Dans l’état actuel des choses, tout notre sens de la subsistance est en danger.

Il n’est pas nécessaire d’être un expert financier pour réaliser qu’au cours des dernières années, l’économie mondiale en général et les économies occidentales en particulier sont devenues une grosse bulle prête à éclater. Lorsque les bulles économiques éclatent, le résultat est inattendu, même si souvent le coupable ou le déclencheur du krach peut être identifié. Ce qui est unique dans la démolition contrôlée actuelle, c’est la volonté de notre classe politique compromise, des médias et en particulier des réseaux de gauche/progressistes de participer à la destruction.

L’alliance est large et inclusive. L’OMS, largement financée par Bill Gates, fixe les mesures par lesquelles nous sommes enfermés, la gauche et les progressistes alimentent les fantasmes apocalyptiques pour nous maintenir cachés dans nos greniers à travers le monde, Dershowitz tente de réécrire la constitution, le programme des grandes sociétés pharmaceutiques façonne notre avenir et nous entendons également dire que Moderna et son principal médecin israélien sont prêts à « réparer » nos gènes. Entre-temps, nous apprenons que nos gouvernements s’apprêtent à nous planter une aiguille dans le bras. Pendant tout ce temps, le Dow Jones n’a cessé de grimper. Peut-être que dans cette phase finale du capitalisme, nous, les gens, ne sommes pas nécessaires, même en tant que consommateurs. On peut nous laisser pourrir chez nous, nos gouvernements semblant vouloir financer cette nouvelle forme de détention.

Je crois que c’est moi qui ai inventé, il y a dix ans, l’adage populaire « Nous sommes tous des Palestiniens » – comme les Palestiniens, je pensais à l’époque, nous n’avons même pas le droit de nommer notre oppresseur…

source : https://gilad.online/writings

traduit par Réseau International




Les 4 firmes qui possèdent les USA

[Source en anglais US : Ron Paul Forums]

En enquêtant sur la «tuerie» du 1er octobre à Las Vegas, j’ai découvert Vanguard et Fidelity (FMR). J’ai reporté l’écriture d’un article sur ce sujet, car je voulais d’abord faire autre chose.

J’ai tout d’abord examiné les principaux actionnaires de Live Nation Entertainment Inc, qui comprend Vanguard (plusieurs fois) et Fidelity : http://investors.morningstar.com/own…jor.html?t=LYV

(archivé ici : http://archive.is/gfOhJ)



Ensuite, j’ai examiné les principaux actionnaires de MGM Resorts, notamment Vanguard (plusieurs fois) et BlackRock : https://finance.yahoo.com/quote/MGM/holders?p=MGM

(archivé ici : http://archive.is/Du5Bl)



Puis, j’ai examiné les principaux actionnaires de Las Vegas Sands, parmi lesquels figurent Vanguard (plusieurs fois), BlackRock et Fidelity (FMR, LLC) : https://finance.yahoo.com/quote/LVS/holders?p=LVS

(archivé ici : http://archive.is/fEl81)



Fondamentalement, quatre fonds d’investissement – les quatre grands – contrôlent l’économie américaine :

  • BlackRock,
  • Vanguard Group,
  • State Street,
  • Fidelity.

Les 8 plus grandes sociétés financières américaines – JP Morgan, Wells Fargo, Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs, US Bancorp, Bank of New York Mellon et Morgan Stanley – sont contrôlées à 100% par dix actionnaires. Les «quatre grands» sont les principaux actionnaires de ces 8 institutions financières.

En conséquence, la Réserve fédérale privée est contrôlée par les 4 grands…

Parmi les principales sociétés contrôlées par les 4 grands, on trouve:

  • Alcoa, Altria Group, American International Group, AT&T,
  • Boeing, Caterpillar, Coca-Cola, DuPont,
  • Exxon Mobil, General Electric, General Motors,
    Hewlett-Packard,
  • Home Depot, Honeywell International, Intel, International
    Business Machines,
  • Johnson & Johnson, JP Morgan Chase, McDonald’s, Merck,
  • Microsoft, 3M, Pfizer, Procter & Gamble,
  • United Technologies, Verizon Communications, Wal-Mart Stores,
  • Time Warner, Walt Disney, Viacom, Rupert Murdoch’s News
    Corporation,
  • CBS, NBC Universal:

http://www.pravdareport.com/business…e_the_world-0/

(archivé ici : http://archive.is/CTDsD)



L’extrait suivant parle des trois grands fonds d’investissement passifs : BlackRock, Vanguard et State Street (donc sans Fidelity).

Les trois grands, pris ensemble, sont le principal actionnaire dans 40% des entreprises cotées en bourse aux États-Unis.

Dans le S&P 500 – l’indice de référence des plus grandes entreprises américaines – les «trois grands» sont le principal actionnaire de 438 des 500 entreprises (soit environ 88%), notamment Apple, Microsoft, ExxonMobil, General Electric et Coca-Cola.

En 2015, William McNabb, PDG de Vanguard, a déclaré :

Dans le passé, certains ont supposé à tort que notre style de gestion principalement passif laissait supposer une attitude passive à l’égard de la gouvernance d’entreprise. Rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité.

http://theconversation.com/these-thr…-america-77072

(archivé ici : http://archive.is/rZENG)



Le dernier extrait est basé sur le rapport suivant, qui conclut que les Trois Grands ont considérablement augmenté leur volume au cours de la dernière décennie et que leur contrôle sur l’économie américaine est comparable à celui de John D. Rockefeller et de JP Morgan il y a cent ans.

BlackRock a été fondé en 1988 au sein du groupe Blackstone du baron Jacob Rothschild. Selon les médias officiels, BlackRock est indépendant de Blackstone depuis 1995.

BlackRock est le plus grand des Trois Grands et le plus grand gestionnaire d’actifs au monde. À la mi-2016, BlackRock gérait un actif de 4 500 milliards de dollars.

Vanguard — avec un actif sous gestion de 3 600 milliards de dollars à la mi-2016 — est actuellement le gestionnaire d’actifs à la croissance la plus rapide des Trois Grands. En 2015, le groupe a enregistré des entrées de fonds de 236 milliards de dollars, le plus important flux annuel d’argent destiné à une société de gestion d’actifs de tous les temps.

State Street est plus petit que BlackRock et Vanguard, mais reste l’un des plus importants gestionnaires d’actifs mondiaux. À la mi-2016, ses actifs sous gestion s’élevaient à 2 300 milliards de dollars.

Les trois grands votent de même. Ils se rangent du côté de la direction dans plus de 90% des votes.

Dans au moins un cas important, BlackRock a convaincu l’équipe centrale de direction d’entreprise de modifier sa politique : https://www.cambridge.org/core/servi…ncial_risk.pdf

Voir la figure suivante qui montre que les Trois Grands dominent l’économie américaine.




Le programme d’automatisation cachée de l’élite de Davos

[Source : Les Crises]

Le programme d’automatisation cachée de l’élite de Davos. Par Kevin Roose

Source : The New York Times, Kevin Roose, 25-01-2019

Cette année, le Forum économique mondial de Davos, en Suisse, où les positions publiques des chefs d’entreprise sur l’impact de l’automatisation sur les travailleurs ne correspondaient pas aux opinions qu’ils partageaient en privé. Laurent Gillieron/EPA, via Shutterstock

Par Kevin Roose

Le 25 janvier 2019

DAVOS, Suisse – Ils ne l’admettront jamais en public, mais beaucoup
de vos patrons veulent des machines pour vous remplacer dès que
possible.

Je le sais parce que, depuis une semaine, je me suis mêlé à des
dirigeants d’entreprises lors de la réunion annuelle du Forum économique
mondial à Davos. Et j’ai remarqué que leurs réponses aux questions sur
l’automatisation dépendent beaucoup de qui écoute.

En public, de nombreux cadres se tordent les mains sur les conséquences négatives que l’intelligence artificielle et l’automatisation pourraient avoir pour les travailleurs. Ils participent à des tables rondes sur la construction d’une « I.A. centrée sur l’homme » pour la « Quatrième Révolution industrielle » – Davos parle pour l’adoption par les entreprises de l’apprentissage machine et d’autres technologies avancées – et parlent de la nécessité de fournir un filet de sécurité aux personnes qui perdent leur emploi en raison de l’automatisation.

Mais dans un cadre privé, y compris lors de réunions avec les
dirigeants des nombreuses sociétés de conseil et de technologie dont les
vitrines animés bordent la Promenade de Davos, ces dirigeants racontent
une autre histoire : Ils se précipitent pour automatiser leurs propres
forces de travail afin de garder une longueur d’avance sur la
concurrence, sans se soucier de l’impact sur les travailleurs.

Partout dans le monde, les dirigeants dépensent des milliards de
dollars pour transformer leurs activités en opérations allégées,
numérisées et hautement automatisées. Ils ont soif de marges
bénéficiaires élevées que l’automatisation peut leur procurer, et ils
voient l’I.A. comme un ticket en or pour réaliser des économies,
probablement en leur permettant de réduire le nombre de services de
milliers de travailleurs à quelques dizaines à peine.

« Les gens cherchent à atteindre de très gros chiffres », a déclaré
Mohit Joshi, le président d’Infosys, une société de technologie et de
conseil qui aide d’autres entreprises à automatiser leurs opérations. «
Auparavant, ils avaient des objectifs supplémentaires de 5 à 10 pour
cent de réduction de leur main-d’œuvre. Maintenant, ils disent :
“Pourquoi ne pouvons-nous pas le faire avec 1 % des gens que nous avons
?” »

Peu de cadres américains admettront vouloir se débarrasser des
travailleurs humains, un tabou dans l’ère de l’inégalité d’aujourd’hui.
Ils ont donc dressé une longue liste de mots à la mode et d’euphémismes
pour masquer leurs intentions. Les travailleurs ne sont pas remplacés
par des machines, ils sont « libérés » de tâches pénibles et
répétitives. Les entreprises ne licencient pas des travailleurs, elles «
subissent une transformation numérique ».

Une enquête réalisée en 2017 par Deloitte a révélé que 53 % des entreprises avaient déjà commencé à utiliser des machines pour effectuer des tâches auparavant effectuées par des humains. On s’attend à ce que ce chiffre grimpe à 72 % d’ici l’an prochain.

L’obsession de l’élite entrepreneuriale pour l’I.A. a été lucrative pour les entreprises spécialisées dans « l’automatisation des processus robotiques », ou R.P.A. [R.P.A.: Robotic Process Automation NdT]. Infosys, qui est basée en Inde, a enregistré une augmentation de 33 % de ses revenus sur un an dans sa division numérique. L’unité « solutions cognitives » d’IBM, qui utilise l’I.A. pour aider les entreprises à accroître leur efficacité, est devenue la deuxième activité de l’entreprise, affichant 5,5 milliards $ en revenus au dernier trimestre. La banque d’investissement UBS prévoit que l’industrie de l’intelligence artificielle pourrait valoir jusqu’à 180 milliards de dollars l’année prochaine.

Kai-Fu Lee, l’auteur de « AI Superpowers » et un cadre en technologie depuis longtemps, prévoit que l’intelligence artificielle va éliminer 40 % des emplois dans le monde en 15 ans. Dans une entrevue, il a déclaré que les chefs de la direction subissaient d’énormes pressions de la part des actionnaires et des conseils d’administration pour maximiser les profits à court terme, et que le passage rapide à l’automatisation en était le résultat inévitable.

Les bureaux du fabricant d’électronique taïwanais Foxconn de Milwaukee, dont le président a déclaré qu’il prévoyait de remplacer 80 % des travailleurs de l’entreprise par des robots dans cinq à dix ans. Lauren Justice pour le New York Times

Les
bureaux du fabricant d’électronique taïwanais Foxconn de Milwaukee,
dont le président a déclaré qu’il prévoyait de remplacer 80 % des
travailleurs de l’entreprise par des robots dans cinq à dix ans. Lauren
Justice pour le New York Times

« Ils disent toujours que c’est davantage que le cours de l’action », dit-il. « Mais à la fin, si tu merdes, tu te fais virer. »

D’autres experts ont prédit que l’I.A. créera plus de nouveaux
emplois qu’elle n’en détruira, et que les pertes d’emplois causées par
l’automatisation ne seront probablement pas catastrophiques. Ils
soulignent qu’une certaine automatisation aide les travailleurs en
améliorant leur productivité et en les libérant pour leur permettre de
se concentrer sur des tâches créatives plutôt que routinières.

Mais à une époque de troubles politiques et de mouvements anti-élites
de la gauche progressiste et de la droite nationaliste, il n’est
probablement pas surprenant que toute cette automatisation se fasse
discrètement, hors de la vue du public. À Davos cette semaine, plusieurs
cadres supérieurs ont refusé de dire combien d’argent ils avaient
économisé en automatisant des tâches auparavant effectuées par des
humains. Et personne n’était prêt à dire publiquement que le
remplacement des travailleurs humains est leur but ultime.

« C’est la grande dichotomie », a déclaré Ben Pring, directeur du
Centre pour l’avenir du travail chez Cognizant, une société de services
technologiques. « D’un côté », dit-il, « les dirigeants soucieux du
profit veulent absolument automatiser autant que possible. »

« D’un autre côté », a-t-il ajouté, « ils font face à un retour de bâton dans la société civile. »

Pour avoir une vision sans fard de la façon dont certains dirigeants américains parlent de l’automatisation en privé, il faut écouter leurs homologues en Asie, qui souvent ne font aucune tentative pour cacher leurs objectifs. Terry Gou, président du fabricant taïwanais d’électronique Foxconn, a déclaré que l’entreprise prévoit de remplacer 80 % de ses employés par des robots au cours des cinq à dix prochaines années. Richard Liu, le fondateur de la société chinoise de commerce électronique JD.com, a déclaré lors d’une conférence d’affaires l’an dernier : « J’espère que mon entreprise sera un jour entièrement automatisée. »

L’un des arguments couramment avancés par les cadres supérieurs est que les travailleurs dont les emplois sont éliminés par l’automatisation peuvent être « requalifiés » pour occuper d’autres emplois dans une organisation. Ils donnent des exemples comme Accenture, qui a prétendu en 2017 avoir remplacé 17 000 emplois de back-office [Le back-office (service d’appui, ou post-marché, selon la terminologie officielle française, ou encore arrière-guichet selon l’Office québécois de la langue française) est l’ensemble des activités de supports, de contrôle, d’administration d’une entreprise NdT] sans licenciement par la formation d’employés pour travailler autre part dans l’entreprise. Dans une lettre adressée aux actionnaires l’an dernier, Jeff Bezos, directeur général d’Amazon, a déclaré que plus de 16 000 magasiniers d’Amazon avaient reçu une formation dans des domaines très en demande comme les soins infirmiers et la mécanique aéronautique, l’entreprise couvrant 95 % de leurs dépenses.

Mais ces programmes peuvent être l’exception qui confirme la règle. Il y a beaucoup d’histoires de recyclage réussi – les optimistes citent souvent un programme au Kentucky qui a formé un petit groupe d’anciens mineurs de charbon à devenir programmeurs informatiques – mais il y a peu de preuves que cela fonctionne à grande échelle. Un rapport du Forum économique mondial de ce mois-ci estime que sur les 1,37 million de travailleurs qui devraient être complètement remplacés par l’automatisation au cours de la prochaine décennie, seulement un sur quatre pourra être requalifié avec profit dans les rangs du secteur privé. Les autres devront probablement se débrouiller seuls ou compter sur l’aide du gouvernement.

A Davos, les cadres tendent à parler de l’automatisation comme d’un
phénomène naturel sur lequel ils n’ont aucun contrôle, comme les
ouragans ou les vagues de chaleur. Ils affirment que s’ils
n’automatisent pas le travail le plus rapidement possible, leurs
concurrents le feront.

« Ils seront éjectés s’ils ne le font pas », a déclaré Katy George,
associée principale de la société d’experts-conseils McKinsey &
Company.

L’automatisation du travail est un choix, bien sûr, rendu plus
difficile par les exigences des actionnaires, mais c’est toujours un
choix. Et même si un certain degré de chômage causé par l’automatisation
est inévitable, ces cadres peuvent choisir comment les gains de
l’automatisation et de l’I.A. sont répartis, et s’ils doivent donner aux
travailleurs les bénéfices supplémentaires qu’ils en tirent, ou les
amasser pour eux et leurs actionnaires.

Les choix faits par l’élite de Davos – et la pression qu’elle subit
pour agir dans l’intérêt des travailleurs plutôt que dans le leur –
détermineront si l’I.A. est utilisée comme un outil pour augmenter la
productivité ou pour infliger de la souffrance.

« Le choix n’est pas entre l’automatisation et la non-automatisation
», a déclaré Erik Brynjolfsson, directeur de l’Initiative sur l’économie
numérique du MIT. « C’est entre utiliser la technologie d’une manière
qui crée une prospérité partagée ou plus de concentration des richesses.
»

Kevin Roose est chroniqueur pour Business Day et rédacteur général pour le New York Times Magazine. Sa chronique « The Shift » examine l’intersection de la technologie, des affaires et de la culture.

Source : The New York Times, Kevin Roose, 25-01-2019

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.




La ruée vers une société sans cash ne sert que les intérêts globalistes

[Source : Le Saker Francophone]


Par Brandon Smith − Le 29 novembre 2019 − Source Alt-Market.com

L’un des piliers fondamentaux d’un véritable marché libre est l’existence d’un choix : la disponibilité d’options allant des producteurs aux fournisseurs pour des mécanismes de commercialisation sans ingérence des gouvernements ou de monopoles d’entreprises. Le choix est synonyme de concurrence, et la concurrence stimule le progrès. Le choix peut également entraîner des changements au sein de la société, car si les gens savent qu’il existe une meilleure façon de faire les choses ou une façon plus sûre de le faire, pourquoi voudrait-on rester coincé dans un système limité ? À tout le moins, les gens devraient pouvoir choisir les mécanismes économiques qui conviennent le mieux à leur situation particulière.

Ce n’est PAS ainsi que fonctionne notre société aujourd’hui, et le marché libre n’existe nulle part dans les nations modernes, y compris aux États-Unis. Chaque fois que j’entends quelqu’un (généralement un socialiste) blâmer le « capitalisme » du marché libre pour justifier les maux oppressifs du monde, je dois rire. L’alliance entre les gouvernements et les monopoles d’entreprises (ce que Mussolini appelait le national-socialisme ou le fascisme) rend le libre marché totalement impossible. Ce que nous avons aujourd’hui, c’est un amalgame d’ingérence économique socialiste et de corporatocratie. Notre système est très restrictif et microgéré pour tout le monde, sauf pour les élites financières, qui elles, n’ont pas à suivre les mêmes règles que nous autres.

Bien sûr, je prêche peut-être dans le vide quand il s’agit de ces
questions. Mais, il y a quelques développements sous-jacents qui sont
poussés en avant par les globalistes sortis tout droit des enfers sur un
système monétaire global unique et un gouvernement global unique dont
même beaucoup de militants de la liberté ne sont pas pleinement
conscients.

Dans les cercles économiques alternatifs, le dollar américain est
considéré comme la panacée de la domination de la monnaie fiduciaire. De
nombreux militants y voient la clé du pouvoir des élites globales et
ils pensent que la Réserve fédérale est le sommet de la pyramide
globaliste. Ce n’est pas tout à fait vrai.

Le dollar américain n’est en soi qu’un autre outil de la cabale
bancaire, et les outils perdent parfois de leur utilité avec le temps.
Si l’on peut dire qu’au cours des dernières décennies, le dollar en tant
que monnaie de réserve globale a été au cœur de l’influence globaliste,
la situation est sur le point de changer et nous pouvons en voir les
signes aujourd’hui. La ruée vers une société sans cash au cours des
dernières années est surprenante et, malheureusement, trop d’activistes
de la liberté ont été amenés à penser que c’est une bonne chose.

Il y a plusieurs raisons à cela. Comme mentionné plus haut, les
militants voient le dollar (ou monnaie de la Fed) comme un carburant
pour la machine globaliste, et ils aimeraient donc évidemment le
descendre en flammes. Ils sont aussi généralement partisans de
l’économie de marché et l’explosion des crypto-monnaies leur a donné
l’illusion que le « choix » revient, en terme économique, par la « concurrence monétaire ».
Je comprends le fondement de cette attitude, et je comprends d’où il
vient. Je n’ai jamais non plus été un partisan du dollar ou de tout
autre système fiduciaire de la banque centrale. Cet article ne doit pas
être interprété à tort comme une défense de l’hégémonie du dollar.

Cela dit, l’ordre du jour est beaucoup plus vaste et le dollar n’en
est qu’une partie qui s’estompe, car il est en train d’être
tranquillement remplacé par un cadre entièrement numérique. Nous devons
une fois de plus nous poser la question suivante : à qui profite
réellement un changement soudain dans le monde économique et monétaire ?
Qui acquiert le pouvoir politique et social par le biais d’une société
sans cash ? Est-ce le public ? Ou s’agit-il des mêmes élites bancaires
et globalistes qui ont toujours dominé notre structure économique ?

En 2017, j’ai publié un article intitulé « La monnaie unique mondiale des globalistes ressemblera beaucoup à Bitcoin« . J’y avertissais que le marketing à la mode des crypto-monnaies auprès du grand public par les médias grand public était extrêmement suspect et contraire à l’idée que l’ordre établi était « terrifié » par le fait que le Bitcoin ou la technologie de la chaîne de blocs les mettait en danger. J’ai également mis en garde contre la forte implication de banques internationales comme Goldman Sachs et JP Morgan dans les progrès de l’infrastructure de la chaîne de blocs, et plus particulièrement Goldman Sachs et l’histoire d’amour du FMI avec les systèmes monétaires numériques. Goldman Sachs a même qualifié la chaîne de blocs de « nouvelle technologie de la confiance…« .

Il est clair que les élites bancaires ne s’inquiètent pas de cette
technologie. En fait, ils y ont beaucoup investi. Mais pourquoi ? J’ai
longtemps soutenu que les crypto-monnaies populaires actuelles ne sont
rien de plus qu’un bêta test pour un système monétaire numérique global
contrôlé par les élites.

Cela ne veut pas dire que beaucoup de gens sont familiers avec
l’utilisation de Bitcoin ou d’autres crypto-monnaies. En fait, seul un
infime pourcentage de la population entre en contact avec les cryptos ou
en fait le commerce. Ce que je veux dire, c’est que la terminologie,
l’idée des crypto-monnaies, est maintenant répandue.

Grâce à une grande attention médiatique, Bitcoin est une marque grand public même si la plupart des gens n’ont jamais possédé un bitcoin (ou une partie d’un bitcoin). Les gros investisseurs ont fait exploser à la hausse le prix du bitcoin et de certaines autres crypto-monnaies à des niveaux qui dépassent toute raison puisque la demande du monde de l’investissement et des gens moyens pour ce mécanisme est au mieux minime. Ces flambées de prix, quoique brèves, ont éveillé la curiosité du public. Et dans l’esprit de beaucoup de gens, si quelque chose est considéré comme précieux, peu importe que la mesure soit éthérée ou arbitraire, il doit y avoir une raison… n’est-ce pas ? Par conséquent, dans l’esprit des pom-pom girls du bitcoin, les prix élevés du marché prouvent par défaut que le bitcoin et les crypto-monnaies sont nécessaires et souhaitables et que toute personne critique ou sceptique est simplement « contrariée » d’avoir « manqué cette opportunité ».

J’ai toujours dit quand on m’interrogeait sur ma position sur le
Bitcoin et les cryptos que si vous voulez essayer de gagner de l’argent
avec une de ces monnaies et que vous penser pouvoir jouer sur ce marché,
alors c’est à vos propres risques. Mais, pour ceux qui pensaient que
les crypto-monnaies sont un outil d’activisme et de lutte contre les
banques centrales, tout ce que je peux dire, c’est que vous vous êtes
fait avoir.

En moins d’une décennie, les masses se sont acclimatées à l’idée d’un système de monnaie numérique. Elles sont maintenant acclimatées à l’idée que les monnaies physiques devraient être supprimées et remplacées par la technologie de la chaîne de blocs « plus efficace » – Mort au dollar, mort à la Fed et mort aux globalistes disent les activistes qui encouragent le nouveau paysage numérique ! Mais ce n’est pas ce qui se passe réellement. La mort du dollar et de l’argent liquide n’est que l’amorce d’un ordre mondial encore plus envahissant.

Au cours des deux dernières années, l’idée d’un système sans numéraire et d’une monnaie unique s’est généralisée. Les plans dénoncés par des analystes du Mouvement de la liberté qui étaient traités de « théoriciens du complot » il y a une dizaine d’années sont aujourd’hui connus de tous. Le dernier tir de barrage de propagande a été lancé par le gouverneur de la Banque d’Angleterre, Mark Carney, qui a ouvertement mis en garde contre la fin du statut de réserve mondiale du dollar, le comparant à la fin du statut de réserve de la livre sterling après la Seconde Guerre mondiale. Il a également noté que le dollar pourrait être remplacé par un nouveau système monétaire numérique et que cela serait avantageux pour le système bancaire.

Ceci s’inscrit dans le prolongement des propos tenus en 2017 par Mohamed El-Erian, globaliste et PDG de PIMCO, qui déclarait dans un éditorial que le système du panier des droits de tirage spéciaux du FMI pourrait être utilisé pour remplacer le dollar comme monnaie de réserve mondiale et que cela contribuerait à « combattre la montée du populisme ».

Ensuite, Facebook a introduit le concept de la monnaie numérique « Libra », dont Mark Carney a également suggéré que les banques centrales la surveillent de près. « Libra », à mon avis, est un test conçu pour attirer un plus large public vers l’utilisation de la monnaie numérique sur une base régulière. Comme nous l’avons noté, le Bitcoin et d’autres crypto-monnaies ont été mieux exposés, mais ne se sont pas diffusés dans le grand public. Là où ils n’ont pas réussi à infiltrer le commerce quotidien du citoyen moyen, la « Libra » peut finalement réussir.

Jusqu’à présent, je pense que la réaction n’est pas celle que les globalistes espéraient. Au lieu de cela, Facebook prend son temps en introduisant un nouveau système de paiement interne appelé « Facebook Pay » similaire à Paypal. Libra, ou quelque chose comme ça, réapparaîtra probablement dans les deux prochaines années sur Facebook et sur d’autres plateformes.

Ensuite, l’ancien chef de la BCE Jean-Claude Trichet a plaidé en faveur d’une version numérique du système de panier des DTS lors de la conférence de Caixin à Pékin, arguant que les monnaies bitcoin et autres crypto-monnaies n’étaient pas assez stables ou « légitimes » pour assumer le rôle de devise de banque centrale. Beaucoup affirment que c’est la preuve que les globalistes ont peur des crypto-monnaies. Au contraire, je vois cela comme un nouvel exemple de la bataille truquée en cours entre banquiers et cryptos. Ils critiquent certains aspects de la technologie tout en y investissant et en la promouvant. Tout comme le faux paradigme gauche/droite, il existe aussi une sorte de faux paradigme banque centrale/cryptos.

L’argument de Trichet en faveur d’une cryptomonnaie dominée par le FMI a certainement été bien accueilli à Pékin, où les Chinois soutiennent depuis longtemps la prolifération des DTS et ont demandé que le DTS remplace le dollar. Les Chinois ne sont pas les seuls. Le gouvernement russe a également appelé le FMI à prendre le contrôle du système monétaire global avec le panier de DTS.  La Russie s’est pratiquement découplée du dollar, se débarrassant de ses bons du trésor américains, stockant une grande quantité d’or et supprimant le dollar dans des accords commerciaux bilatéraux avec d’autres pays.

L’année dernière, l’Europe a commencé à mettre en place une nouvelle alternative au système de paiement SWIFT contrôlé par les États-Unis. L’Allemagne, en particulier, a critiqué le système américain en tant qu’arme géopolitique. Aujourd’hui, une association de grandes banques en Allemagne et dans l’UE réclame un euro numérique basé sur le grand livre de la chaîne de blocs.

Le FMI a publié ouvertement des livres blancs qui confirment l’évaluation de la nécessité d’une monnaie numérique globale, et avec l’ancienne directrice du FMI, Christine Lagarde, qui est maintenant en charge de la BCE, il est probable qu’un système de crypto-monnaies autour de l’euro fera bientôt une apparition publique.

Dans l’intervalle, de multiples banques centrales poursuivent la mise en place d’un système sans cash et à base de leurs propres monnaies numériques. La Chine a annoncé la mise en place d’un système national de monnaie numérique au cours des 18 prochains mois. La banque centrale suisse étudie les possibilités de monnaie numérique et la Russie envisage également de lancer une crypto-monnaie.

La rhétorique des médias grand public et de l’establishment bancaire
est que les méthodes physiques de paiement vont bientôt disparaître.
C’est ce qu’on appelle la « démocratisation de l’argent », et l’« ordre global multipolaire » ; je suis désolé de dire que c’est exactement le contraire.

L’affirmation est que la fin du cash et plus particulièrement la fin du dollar se traduira par un plus grand choix dans le monde monétaire. Mais la fin de l’argent physique est en fait une suppression du choix et le résultat est PLUS de centralisation. Les élites bancaires sont très enthousiastes à l’égard du modèle de monnaie numérique parce qu’il prive le commerce de toute vie privée. Comme je l’ai souligné dans des articles précédents, la crypto-monnaie et la technologie de la chaîne de blocs n’offrent aucun anonymat, malgré les affirmations initialement diffusées par les partisans et les activistes de la crypto. Il est également clair que les banques centrales ont l’intention d’introduire leurs propres monnaies hautement gérées et que la plupart des autres crypto-monnaies seront enterrées dans le processus.

Les mèmes multipolaires et multilatéraux de l’ordre mondial sont
aussi une fraude. La Chine, la Russie, l’Europe et d’autres pays exigent
une alternative au dollar, mais si cette alternative finit par être une
version numérisée du panier de DTS sous le contrôle du FMI comme ces
pays l’ont suggéré, alors cela signifie une centralisation globale
totale et NON une décentralisation.

Une véritable décentralisation signifierait la suppression du contrôle bureaucratique et de la microgestion. Cela signifierait que les monnaies physiques soutenues par l’or et l’argent pourraient être offertes comme une option alternative, pas seulement des monnaies cryptographiques ou des fiat soutenus par rien. Après tout, l’or et l’argent ont beaucoup plus d’investisseurs individuels dans le monde que les crypto-monnaies. Que diriez-vous d’une véritable concurrence au lieu d’une suppression des prix des métaux par des gens comme JP Morgan ?

Cela signifierait des monnaies localisées et des systèmes de paiement adossés à des produits de base, et non pas une seule monnaie globale et un système de paiement adossé à rien. Cela signifierait que les pays se libéreraient non seulement de leur dépendance à l’égard du dollar, mais aussi des institutions globalistes comme le FMI, la BRI et la Banque mondiale. Les globalistes tentent de nous vendre l’esclavage en le présentant comme un « marché libre ». La solution est de ne pas utiliser les systèmes dont ils font la promotion et d’être prêts à se battre bec et ongles pour une véritable décentralisation.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par San pour le Saker Francophone




Pourquoi l’establishment élitiste est-il si obsédé par la viande ?

[Source : Le Saker Francophone]

Par Brandon Smith − Le 18 octobre 2019 − Source Alt-Market.com


Je ne sais pas combien de personnes l’ont remarqué, mais au cours des trois derniers mois, il a été impossible pour une personne de lancer une galette de hamburger de bœuf dans n’importe quelle direction sur la boussole sans lire un article sur les « effets destructeurs » de l’industrie carnée en termes de « changement climatique ». Il y a aussi eu d’innombrables articles grand public sur les bienfaits supposés énormes pour la santé d’un régime végétarien ou végétalien. Ce récit a culminé dans un raz-de-marée d’histoires sur les entreprises de viande à base de légumes comme Beyond Meat et leur ascension vers la célébrité sur le marché boursier. On dit dans la rue que les régimes à base de viande suivent la voie du Dodo, et bientôt, par nécessité environnementale, nous serons TOUS végétariens.

Depuis au moins dix ans, les Nations Unies promeuvent énergiquement le concept d’un monde sans viande, fondé sur l’affirmation selon laquelle l’utilisation accélérée des terres et les émissions de gaz à effet de serre sont en train de tuer la Terre. En Occident, les militants de gauche qui rêvent d’une utopie socialiste ont adopté une sorte de manifeste avec le Green New Deal, et une partie intégrante de leur agenda est la fin de la disponibilité de la viande pour le commun des mortels (il est intéressant de noter que le programme Green New Deal correspond presque parfaitement avec l’Agenda 21 et l’Agenda 2030 des Nations Unies). Certains de ces élitistes ont plaidé en faveur d’une forte taxation des produits carnés pour réduire leur consommation parmi le grand public ; d’autres ont plaidé pour une interdiction totale.

Le problème de cette révolution alimentaire, c’est qu’elle repose
principalement sur la science de la malbouffe et des données triées sur
le volet, ainsi que sur des mensonges et de la propagande pure et
simple. La majorité des études et des articles traitant de cette
question sont résolument biaisés, tendancieux et collectivistes par
nature. Pourquoi les élites ciblent-elles la consommation de viande
humaine et pourquoi sont-elles prêtes à mentir sur ses effets pour nous
faire abandonner nos hamburgers et nos steaks ? Quel est le véritable
programme ici… ?

Premièrement, abordons la question du changement climatique. L’ONU
affirme que la production alimentaire humaine doit changer radicalement
pour mettre un terme au réchauffement de la planète et aux dommages
causés à l’environnement, et ces changements doivent se concentrer
principalement sur la production de viande et les « gaz méthane ».
En d’autres termes, ils affirment que les pets de vache tuent la
planète. C’est une histoire plutôt commode pour les élites alors
qu’elles font avancer leur programme de taxation du carbone. Il semble
que tout ce que nous faisons en tant qu’humains doit être surveillé,
restreint ou imposé, de la respiration à la procréation en passant par
la consommation de viande, sinon la Terre est « condamnée ».

Dans des articles précédents, j’ai beaucoup écrit sur les liens directs entre l’hystérie de l’ONU en matière de réchauffement climatique et les pressions en faveur d’un gouvernement mondial. En particulier, j’ai mentionné les écrits de l’ancien secrétaire général adjoint de l’ONU, Robert Muller. Dans son manifeste rassemblé sur un site Web intitulé « Good Morning World« , Muller affirme que la gouvernance mondiale doit être réalisée en utilisant l’idée de « protéger la Terre » et l’environnementalisme comme éléments clés. Par crainte de l’apocalypse environnementale, le public pourrait être convaincu d’accepter le gouvernement mondial comme un État providence nécessaire pour empêcher la société de se détruire.

Muller a lancé de tels programmes au début des années 1990, dont le ton était semblable à celui du groupe de réflexion du Club de Rome, un groupe de consultants de l’ONU qui a appelé à mettre un terme à la croissance démographique humaine. Dans son livre blanc intitulé « La première révolution mondiale« , le Club de Rome a déclaré :

En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pouvons
nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du
réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et ainsi de
suite, correspondraient à nos attentes. Dans leur ensemble et dans leurs
interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui doit
être affrontée tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme
l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà mis en garde
nos lecteurs, à savoir la confusion entre symptômes et causes. Tous ces
dangers sont causés par l’intervention humaine dans les processus
naturels et ce n’est qu’en changeant les attitudes et les comportements
que l’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité
elle-même.

La déclaration est tirée du chapitre 5 – Le Vide, qui traite
de leur position sur la nécessité d’un gouvernement mondial. La
citation est relativement claire : un ennemi commun doit être conjuré
afin d’amener l’humanité à s’unir sous une seule bannière, et les élites
considèrent la catastrophe environnementale, causée par l’humanité
elle-même, comme le meilleur facteur de motivation possible.

D’après les aveux publics des fonctionnaires de l’ONU et du Club de
Rome, nous pouvons voir que le changement climatique est un récit motivé
par l’idéologie et non par la science, et que l’objectif réel est la
gouvernance mondiale et non la sauvegarde de la planète. Quant à la « science » dont ces idéologues prétendent qu’elle soutient leurs revendications, il n’y en a pas.

Il n’y a absolument aucune preuve tangible à l’appui de l’allégation
selon laquelle il existe un lien de cause à effet entre les émissions de
carbone et la hausse des températures. En fait, il y a plus de preuves
pour démontrer que l’inverse est vrai – que des températures plus
élevées entraînent une augmentation des populations animales et donc des
émissions de carbone et donc plus de nourriture pour la végétation.
Demandez à n’importe quel « expert » de la NOAA, de la NASA ou
du GIEC sur le réchauffement climatique quel pourcentage de
l’augmentation de la température est causé par les voitures par rapport
aux vaches et quelles preuves existent pour appuyer leurs affirmations ?
Ils ne seront pas en mesure de produire une réponse.

Ils prétendront simplement que les preuves sont irréfutables parce
que les températures et les niveaux de carbone augmentent. En d’autres
termes, leur argument est que la corrélation est toujours égale à la
causalité. Mais les températures augmentent-elles vraiment ? Et si toute
la base de l’hystérie du réchauffement climatique était fabriquée ?

La NOAA a été prise en flagrant délit à plusieurs reprises. En
revenant aux statistiques de température précédemment enregistrées et en
les ajustant pour les rendre plus basses, la NOAA donne alors
l’impression que la Terre se réchauffe dans une tendance historique.
Cependant, l’enregistrement de la température inaltérée montre que la
Terre a toujours eu des périodes de réchauffement qui se déroulent selon
des cycles naturels, suivies d’un refroidissement puis d’une activité
solaire accrue. Vous connaissez ce gigantesque réacteur nucléaire dans
le ciel qui est 1,3 million de fois plus grand que la Terre ? Ouais, ça a
beaucoup plus à voir avec le climat de la Terre que les pets de vache…

Si l’on compare les données de la NOAA sur les changements de température au cours du dernier siècle depuis 1999 aux données que la NOAA a publiées au cours des dernières années, il est facile de voir les ajustements qu’ils ont apportés à leurs propres données plus anciennes afin de donner l’impression qu’il y a un réchauffement planétaire constant. Les changements de la NOAA donnent également l’impression que les changements de température suivent de près l’augmentation des émissions de carbone.

Ici, nous voyons le canular sur le changement climatique en action,
ainsi que les Nations Unies et la conspiration du Club de Rome pour
créer une menace environnementale qui fournira une justification au
gouvernement mondial. Mais qu’est-ce que tout cela a à voir avec la
viande ?

Le mythe du changement climatique n’est qu’un moyen d’atteindre de
multiples objectifs. Et l’une des choses que les élites utilisent pour y
arriver, ce sont les habitudes alimentaires de la société. Le but de la
guerre contre la viande est moins clair, mais j’ai quelques théories
basées sur des preuves historiques et scientifiques qui montrent que les
oligarchies au pouvoir ont toujours essayé de limiter la consommation
de viande de la « classe paysanne » lorsque cela était possible.

Dans l’Europe féodale du Moyen Age, la présence de viande dans le
régime alimentaire était rare pour la classe paysanne. Les animaux de
ferme étaient une propriété strictement contrôlée, donnée aux paysans
comme outils pour travailler la terre et non pour manger. La chasse au
gibier sauvage était difficile car les familles royales au pouvoir
revendiquaient souvent la propriété de tous les meilleurs terrains de
chasse du pays. Après de multiples révoltes paysannes, comme la Grande
révolte paysanne de 1381 en Angleterre, les élites ont interdit les
parties de chasse, soupçonnées de servir de couverture aux paysans pour
s’entraîner aux tactiques militaires et planifier des rébellions.

Les paysans surpris en train de braconner « le cerf du roi »
étaient sévèrement punis – y compris par la pendaison, la castration,
l’aveuglement et le fait d’être cousus dans une carcasse de cerf et
pourchassés par des chiens féroces.

Cela n’empêchait pas les paysans de manger de la viande par moments.
Quand c’était possible, ils mangeaient du petit gibier. Mais leur régime
alimentaire se composait principalement de potage et de bouillie à base
de céréales, de haricots et de légumes-racines, ainsi que de pain de
seigle noir. En étudiant le Moyen-Âge, les chercheurs ont découvert que
pour les serfs et les pauvres, un souper à la viande était considéré
comme un événement spécial.

Dans le Japon féodal, la consommation de viande, et pas seulement la
chasse, a été spécifiquement interdite pendant plus de 1000 ans, à
partir de 675. L’interdiction était basée sur la fusion des croyances
bouddhistes et du shintoïsme. Bien sûr, alors que la loi était appliquée
pour les paysans, l’élite de la classe dirigeante et la classe des
guerriers samouraïs n’ont jamais vraiment abandonné la viande. La viande
était souvent consommée par les élites, sous les auspices de
l’amélioration de la santé. Lorsqu’elles étaient offertes en cadeau à un
seigneur féodal, les viandes marinées étaient étiquetées « médicaments » afin d’éviter toute contestation ouverte des lois.

Cette interdiction sélective s’est poursuivie jusqu’à l’arrivée des Européens sur les côtes japonaises et la réintroduction des plats de viande a commencé à se répandre. Vers la fin des années 1800, l’interdiction de la viande a été officiellement levée. Les Japonais de l’époque croyaient que les Occidentaux avaient un physique supérieur en raison de leur régime à base de viande, et que le physique japonais avait été maîtrisé par leur régime à base de légumes et de céréales. Il y a une part de vérité dans cette observation.

Aujourd’hui, l’idéologie végétarienne n’est pas une philosophie
autonome. Elle est inexorablement liée à d’autres idéologies telles que
le socialisme, le globalisme et les formes extrémistes de
l’environnementalisme. Il y a très peu de promoteurs végétariens qui ne
sont pas politiquement motivés. Cela a provoqué une vague de propagande,
tentant de réécrire l’histoire de l’alimentation humaine pour l’adapter
à leur récit bizarre.

Même si les êtres humains sont omnivores depuis des millions d’années, la campagne contre la viande prétend que les humains étaient végétariens depuis toujours. Ils le font en comparant les humains à nos plus proches parents évolutionnaires, comme les chimpanzés et les gorilles, et en soutenant que ces animaux ont un régime végétal strict (ce qui n’est pas exactement vrai).

Bien sûr, les tribus amérindiennes, vivant au plus près de la façon dont nos ancêtres préhistoriques vivaient il y a longtemps, avaient une alimentation riche en viande, mais ne vous attendez pas à ce que les environnementalistes acceptent cette réalité. Ce qu’ils ne mentionnent pas, c’est qu’il y a plus de 2 millions d’années, les ancêtres humains ont rompu avec leur régime végétal et ont commencé à manger de la viande. En plus de cela, le régime alimentaire a changé notre constitution physique. Nous sommes devenus beaucoup plus forts et plus intelligents.

Oui, c’est vrai, l’augmentation de la viande dans l’alimentation humaine suit presque exactement l’évolution de l’intelligence humaine et les progrès des outils et de la technologie.

Il a été démontré que les régimes végétariens et végétaliens réduisent le QI global en raison d’un manque de nutriments nécessaires à la santé du cerveau. C’est parce que le cerveau humain a BESOIN d’acides gras tels que le DHA et le DPA qui se trouvent principalement dans les graisses saturées des viandes. Dans le monde végétal, il n’existe pas de substitut à de nombreux acides gras. Il a été démontré que les graisses saturées provenant de protéines animales augmentent les fonctions cognitives ainsi que la mémoire.

Le cerveau utilise près de 20 % de l’apport calorique du corps humain pour fonctionner, et une grande partie de cet apport nécessite des graisses saturées et même du cholestérol. Contrairement à des décennies de désinformation, les graisses animales sont bonnes pour vous. Les athlètes professionnels doivent aussi souvent revenir à un régime à base de viande afin de développer une structure musculaire supérieure, et un autre facteur qui est rarement mentionné est l’augmentation des composés oestrogéniques dans les aliments à base de plantes (principalement le soja), qui peuvent réduire la testostérone.

Et c’est ici que nous arrivons au cœur du problème. C’est peut-être
par pure coïncidence, ou peut-être par simple observation de la part des
dynasties élitistes, mais la consommation de viande a toujours été liée
à une classe paysanne indisciplinée. En effet, la consommation de
viande contribue directement à l’amélioration des fonctions cognitives,
de la mémoire et de la masse musculaire.

Alors que l’on discute beaucoup de la façon dont la viande artificielle comme « Beyond Meat » a effectivement copié le goût ou l’apparence d’un hamburger normal, on discute peu sur ce qui lui manque. « Beyond Meat »
a zéro cholestérol et pas d’acides aminés ou d’acides gras comme les
oméga 3 ou des vitamines comme la B12. Il utilise de l’huile de noix de
coco pour imiter les graisses animales saturées, ce qui ne reproduit pas
la valeur de la graisse animale pour le cerveau ou le corps humain.
Essentiellement, un hamburger « Beyond Meat » est conçu pour copier le goût d’un hamburger sans aucun des avantages.

Ma théorie ? Les élites de l’ONU et d’autres organisations
globalistes cherchent à l’éliminer de notre régime alimentaire fondé sur
le mensonge parce qu’un tel changement pourrait contribuer à une
population plus nombreuse et plus faible qu’il serait plus facile à
contrôler.

La fausse viande est également hautement transformée et utilise une
méthode compliquée pour imiter les structures protéiques du bœuf. Elle
ne peut être créé que dans un laboratoire et produite en série dans une
usine. Vous ne pourrez jamais faire votre propre hamburger « Beyond Meat ».
Autrement dit, en interdisant ou en taxant la viande pour la propulser
dans l’oubli et en la remplaçant par un substitut industriel,
l’establishment aura rendu la société effectivement dépendante d’eux
pour une partie importante de leurs besoins alimentaires. Non seulement
ils espèrent nous rendre plus stupides et plus faibles, mais ils
espèrent aussi nous rendre désespérément dépendants.

Brandon Smith

Traduit par Hervé, relu par Kira pour le Saker Francophone




Attali : « Les élus n’ont plus de pouvoir et voici votre avenir » – Effrayant !

« La démocratie a échoué, maintenant ça suffit, on met de l’ordre ».

Effrayant !
Jacques Attali, éminence grise du Pouvoir en France, porte-parole de la finance, conseiller de tous les présidents, parrain d’Emmanuel Macron, avoue que la démocratie est un leurre, que l’État d’urgence restera permanent et que l’Homme deviendra peu à peu un robot ! Attali applique la devise du MOSSAD : « Par la perfidie tu vaincras ». Il embrouille pour que l’on ne retienne que ce qui nous fait plaisir. Il dit, il souhaite, il prévoit ou il dénonce ? En réalité, Il est là depuis Mitterrand, il a connu, tous les régimes et a conseillé tous les présidents jusqu’à aujourd’hui et tout ça sans jamais être élu, tout comme son poulain Macron. Enfin… il pense être un élu de Dieu… le sien. La réalité est qu’il représente ceux qui organisent le Monde et qui l’ont mis dans l’état où il est. Attali nous explique, provocateur, comment cela va empirer suite au Plan de nos prédateurs. Dans l’absolu, même s’il se fout de notre gueule (non sans raisons, il faut le dire), il nous prévient, et on devrait réagir. Mais non, on laisse faire… À notre décharge, ILS ont tout verrouillé, les médias, la politique, la justice, la recherche… mais à notre charge, on a là encore laissé faire… Cette vidéo replace ses propos non hors contexte, comme on pourrait le dire, mais paradoxalement, dans le contexte de tout ce qu’il dit. Car ses propos sont expurgés des compléments de style, destinés à embrouiller pour faire passer les horreurs qu’il annonce.

Source : Vox Plebeia https://youtu.be/dyGBIBvzzn4
(Merci pour l’autorisation du partage)

Voir aussi : La vision du monde futur selon Jacques Attali